ATTENTION, JE ME SUIS PLANTÉ EN NE LISANT QUE LE RÉSUMÉ DE L’ARTICLE SUR L’OMICRON S QUI FIGURAIT SUR LA PRÉSENTE PAGE! JE PUBLIE ICI UN ARTICLE QUI CORRIGE CETTE MÉPRISE.
Désolé, j’ai eu une panne d’Internet.
J’ai aussi eu une panne d’inspiration, juste après.
J’ai un paquet de notes pour quelques articles en préparation, qui n’attendent qu’à être rédigés. Avant de m’y mettre, j’ai sorti le chien et j’ai vu la rue principale du village totalement envahie par les voitures des gens qui remplissent les restaurants du coin. J’ai vu leurs têtes, leur regard éteint qui donne sur leur cerveau absent, et je me suis demandé, « A quoi bon? »
J’ai néanmoins passé la soirée et une partie de la nuit à chercher ce qui pourrait bien les réveiller. Mais rien de nouveau, le programme suit tranquillement son cours. Quelques âmes courageuses dénoncent, interpellent, publient, filment, intentent, etc. Je les relaye ici, je tente de séparer le bon grain de l’ivraie et de pointer directement le coeur du sujet, dans le chaos informationnel ambiant.
Mon épouse me dit que ses collègues commencent à s’inquiéter.
Commencent.
Juste parce que leur facture énergie a subitement augmenté.
Je me disais que ce serait donc une idée de faire le point, d’être plus simple et concis, et de m’adresser à ceux qui commencent à s’inquiéter. Pas ceux qui ont déjà compris, les autres. Qu’ils commencent à s’inquiéter de la pénurie énergétique, de la guerre Russie/Ukraine qui n’en finit pas, des effets secondaires des injections, de la pénurie de main d’oeuvre, des problèmes de réseaux de distribution, d’agriculture, d’inflation, de possible guerre civile, de recrudescence de la violence urbaine, de vagues d’immigration démentielles, des dangers de la géoingénierie.
Je pourrais donc faire le point – simple et concis – sur tous ces sujets et emballer le tout en quelques phrases. La crise énergétique sert à parachever la destruction des entreprises. Elle a été fabriquée de toute pièce par la fermeture des centrales nucléaires et par la guerre en Ukraine, volontairement menée de manière à durer le plus longtemps possible, et à démanteler ce pays. L’objectif des injections est de réduire l’espérance de vie de la majorité des populations et d’expérimenter la technologie de l’Internet des Corps. Les réseaux de distribution, volontairement sabotés depuis le Covid, le sont aujourd’hui par les coûts des transports. L’agriculture industrielle, qui se relevait tant bien que mal des mesures Covid est volontairement détruite par la pénurie d’engrais – justifiée par la pénurie énergétique – par la guerre, et la persécution des agriculteurs. L’inflation, entièrement fabriquée pour camoufler le pillage complet de l’argent public, est volontairement aggravée pour détruire ce qui reste de l’économie occidentale, après quoi le seul choix donné sera celui des monnaies digitales des banques centrales. Le chaos sociétal à venir provoquera un niveau de violence impossible à imaginer, que la présence de populations immigrées servira à parachever. Si la modification des couches atmosphériques par géoingénierie se poursuit au rythme actuel, entamé en 2010, toute vie pourrait disparaître sur Terre d’ici cinq ans.
Mais à part le chapitre géoingénierie, que j’aborderai, j’ai déjà expliqué tout ça en long et en large.
Note:j’ai supprimé la fin de l’article, qui contenait l’erreur expliquée ici.
Je n’ai jamais vu de pays se suicider économiquement auparavant et c’est assez magnifique de par son absurdité. J’ai l’impression de conduire sur l’autoroute de la vie avec, au loin, des feux clignotants bleus et rouges. Et puis on passe à côté d’un carambolage de cinq voitures et, fascination morbide oblige, impossible de détourner le regard.
En Europe, le prix du gaz naturel est en train de devenir incontrôlable. Il est désormais environ 10 fois supérieur à ce qu’il était en moyenne au cours de la dernière décennie et 10 fois plus élevé qu’aux États-Unis. Cela a semé la pagaille sur un continent qui se trouve maintenant au bord du gouffre économique. L’inflation atteint des sommets inégalés depuis 40 ans, entraînant la fermeture d’industries entières et d’entreprises, et remplissant la population de terreur lorsqu’elle reçoit ses factures d’énergie par la poste. Et cela ne fera qu’empirer à l’approche de l’hiver.
En mai, j’ai écrit un article intitulé Cycles de Turbulence qui contenait un graphique décrivant l’avenir probable de la race humaine si nous maintenons la trajectoire actuelle. Le programme du Grand Reset semble en bonne voie et il est donc temps de mettre à jour le graphique.
GUERRE MONDIALE EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE CRISE ALIMENTAIRE CHOC ÉNERGÉTIQUE GUERRE RÉGIONALE PLANDÉMIE
Les étapes de mon tableau ne sont pas mutuellement exclusives. Chacune s’appuie sur l’autre, contribuant ainsi à l’étape suivante. Ainsi, la pandémie fait toujours rage (apparemment) et l’économie mondiale peine toujours à rebondir. La Chine est toujours plongée dans sa folie du zéro-covid et provoque des ravages dans les chaînes d’approvisionnement. Toutes les manigances de l’ingénierie sociale attendent la prochaine vague de leur mise en œuvre et la technologie qu’elle a suscitée ne cesse d’être développée.
La guerre régionale est encore à l’état embryonnaire. Elle continuera à mûrir jusqu’en 2023, « Année de l’Enfer » de Martin Armstrong. Nous atteindrons probablement le sommet du graphique en octobre 2024.
Si vous avez lu certains de mes articles, vous vous souvenez peut-être que je suis étudiant en histoire. Alors permettez-moi une brève digression.
À la mi-octobre 2024, nous assisterons à un alignement planétaire inédit depuis 536 après J.-C., une année que le médiéviste de Harvard, Michael McCormick, décrit comme « le début de l’une des pires périodes à vivre, si ce n’est la pire année« . L’année 536 a marqué le début d’un hiver volcanique qui a fait chuter les températures estivales de 2,5 degrés Celsius en Europe. Les éruptions volcaniques ont entraîné des mauvaises récoltes et des famines qui ont duré des décennies. Cette situation a ensuite été compliquée par la Peste de Justinien, qui a commencé en 541. Elle a causé des millions de morts et a déclenché le Petit Âge Glaciaire de l’Antiquité tardive, qui a duré de 536 à 660. N’hésitez pas à explorer cette tangente en commençant ici – Hiver volcanique de 536.
Avant de poursuivre, je vous propose cette image de l’alignement planétaire du 13 octobre 2024. La Terre est prise dans un carré parfait des 4 grandes planètes extérieures – Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Crise énergétique européenne
La crise énergétique en Europe a souvent été mise en parallèle avec le « choc énergétique » des années 1970. Ce fut une période de forte inflation qui, bien que douloureuse, a été surmontée sans problème. Donc, assurément, cette crise énergétique ne sera pas différente de la précédente, n’est-ce-pas? L’inflation va monter en flèche, les approvisionnements seront restreints et, bien que la situation soit douloureuse, nous allons à nouveau surmonter la tempête. En fait, nous traverserons cette tempête en un an ou deux, contre une décennie la dernière fois.
Tempérons un peu cet optimisme et analysons pourquoi cette crise n’a rien à voir avec celle des années 1970.
Le 6 octobre 1973, une coalition d’États arabes dirigée par l’Égypte et la Syrie a lancé une attaque surprise contre Israël, connue aujourd’hui sous le nom de guerre du Kippour. Leurs objectifs étaient de récupérer la péninsule du Sinaï et les hauteurs du Golan.
Le 19 octobre, Richard Nixon demande au Congrès 2,2 milliards de dollars pour soutenir Israël. Dirigée par l’Arabie saoudite, l’OPEP (Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole) décrète un embargo sur le pétrole à l’encontre des États-Unis et d’autres pays soutenant Israël – Canada, Japon, Pays-Bas et Royaume-Uni. Le prix du pétrole a triplé et même si l’embargo n’a duré que quelques mois, jusqu’en janvier 1974, le prix du pétrole est resté élevé même après la levée de l’embargo.
Ce contexte étant posé, analysons pourquoi ce choc énergétique n’a rien à voir avec celui de 1973.
Le pétrole alimente les véhicules. Le gaz naturel produit de l’électricité et alimente de nombreux processus industriels. Un manque de pétrole signifie moins de voitures et de camions sur les routes. Un manque de gaz naturel entraîne une hausse des prix, ce qui conduit à la désindustrialisation et à l’implosion des économies. Et c’est exactement ce qui est en train de se produire.
Six entreprises britanniques sur 10 risquent de faire faillite devant l’augmentation de leurs facturesDes coûts énergétiques en augmentation incontrôlable obligent des entreprises belges à fermer
La fermeture de ne serait-ce que 25% des entreprises ne constitue pas un simple désagrément. Ces entreprises sont des employeurs. Leur fermeture met des millions de personnes au chômage et garantit une nouvelle Grande Dépression. Alors essayez d’imaginer ce que fera la fermeture de 60% des entreprises. Et il ne s’agit pas seulement du Royaume-Uni. Un rapport de Goldman Sachs prévoit « une réduction de 65% de l’industrie en Allemagne si les flux étaient totalement interrompus ». Et avec la fermeture indéfinie de Nord Stream 1, ces flux ont maintenant complètement cessé. [NdT. et ne reprendront pas avant très longtemps suite aux « attentats« ]
Et en raison de la folie absolue des marchés à terme du gaz, toute l’Europe est affectée. Même les pays qui ne dépendent pas du gaz russe. Le prix du gaz est fixé par la maison de commerce TTF (Title Transfer Facility) aux Pays-Bas.
Mais il y a pire. Bien pire.
Les industries lourdes qui consomment beaucoup d’énergie ne peuvent pas se permettre de rester ouvertes. Il s’agit notamment des aciéries et autres fonderies et usines de fabrication de métaux. Sans métaux, on ne peut plus RIEN fabriquer.
Shutdown = fermeture Delayed start = démarrage différé« Une mauvaise politique énergétique menace de désindustrialiser l’Europe. Le prix du zinc a explosé après qu’une des plus grandes fonderies d’Europe a annoncé qu’elle cesserait sa production le mois prochain tandis que la crise de l’énergie sur le continent menace d’entraver les industries lourdes. »
Si vous pensez que ce qui précède est grave, restez assis pour lire la suite.
Les engrais synthétiques à base d’ammoniac qui nourrissent 4 milliards de personnes sur cette planète sont fabriqués en mélangeant de l’azote atmosphérique avec du gaz naturel sous une pression et une température élevées, selon un procédé appelé Haber-Bosch.
Les prix élevés de l’énergie en Europe ont entraîné l’arrêt de 70% de la capacité de production d’engrais de la région.
Moins d’engrais, c’est moins de nourriture. C’est pourquoi la « crise alimentaire » est la suivante sur mon graphique.
En octobre 1973, la population mondiale s’élevait à 3,913 milliards d’habitants. Elle en compte aujourd’hui exactement le double et ce sont les engrais qui nourrissent toutes ces personnes en plus.
La réduction de la production d’engrais risque de provoquer une crise alimentaire – Environ 70% de la capacité de production d’engrais est à l’arrêt – Les répercussions causeront du tort même aux fermiers et aux consommateurs extra-européensL’augmentation des prix du gaz touche l’industrie chimique et des engrais en Europe Les capacités de production en milliers de tonnes par an sont indiquées à côté des produits impactés en vert, mis à jour le 2 septembre 2022
Maximo Torero, économiste en chef de l’Organisation pour l’Alimentation et l’Agriculture des Nations Unies (Food & Agriculture Organization – FAO), a déclaré à Bloomberg TV que la hausse des prix des engrais pourrait réduire la production mondiale de céréales de plus de 40% lors de la prochaine saison de plantation. Si l’on ajoute à cette équation les pertes de récoltes dues à des sécheresses record et à la guerre en Ukraine, on peut s’attendre à une véritable famine dans les pays du Sud en 2023. Cela entraînera des troubles sociaux et des conflits régionaux.
Tout cela est, bien sûr, voulu. Un livre blanc publié en 2020 par le Forum Économique Mondial et le cabinet de conseil McKinsey and Company met en garde contre les émissions de gaz à effet de serre et le ruissellement potentiel des engrais, préconisant la fin des subventions aux engrais dans les pays en développement et louant la Chine pour ses efforts de réduction de l’utilisation des engrais.
Les gouvernements ne peuvent pas résoudre ce problème
Mais ils essayeront quand même et les résultats seront désastreux. Tellement désastreux que j’ai peut-être inversé à tort les termes « Crise alimentaire » et « Effondrement économique » sur mon graphique. Le temps nous le dira.
L’Allemagne tente de faire bonne figure et s’assure que tout le monde sait que tout ira bien car elle a rempli ses réservoirs souterrains à 80%. Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ces réserves ne dureront que deux mois, soit jusqu’à la mi-novembre, lorsque le froid commencera à sévir. Gazprom a construit ces réservoirs souterrains pour assurer l’acheminement du gaz en cas de problèmes et de pannes de maintenance. Ils n’ont jamais été conçus comme une alternative à l’approvisionnement par gazoduc.
Mais pas d’inquiétude. L’Allemagne peut obtenir son gaz sous forme de GNL (gaz naturel liquéfié), non? Non, pas du tout. Elle ne le peut pas. Elle n’a pas de terminal GNL pour décharger et gazéifier le GNL. Sa seule solution est d’expédier le GNL vers d’autres pays et de transporter le gaz via le réseau de gazoducs qui traverse l’Europe. Une entreprise coûteuse et délicate.
Il y a aussi un autre facteur auquel de nombreux pays européens vont devoir faire face. Il n’y a pas assez de GNL produit dans le monde pour remplacer la quantité de gaz qui transitait par les gazoducs russes. Quelqu’un va devoir s’en passer.
L’Allemagne dispose d’un grand nombre de réacteurs nucléaires qui pourraient garder ses citoyens au chaud cet hiver. Le problème est qu’ils ont presque tous été mis hors service parce que le pays a été complètement pris en charge par le parti anti-humain des Verts. Mais en désespoir de cause, même eux ont envoyé une demande à l’exploitant de deux de ses dernières centrales nucléaires pour qu’il interrompe le déclassement des centrales le 31 décembre. Il devrait être parfaitement clair pour le monde entier que le Parti des Verts allemand ne comprend rien à l’énergie. L’exploitant de l’une des centrales, E.ON, a expliqué qu’il n’était pas possible de mettre sa centrale Isar 2 en mode de réserve au-delà de sa fermeture prévue à la fin de 2022. Le ministre allemand de l’économie, Robert Habeck, s’est dit « quelque peu déconcerté » après avoir reçu la lettre d’E.ON, qui met en doute la faisabilité du plan. L’Allemagne ne peut donc même pas redémarrer les réacteurs en service dont le démantèlement est prévu, sans parler des centrales qui ont déjà été mises au rancart.
Robert Habeck s’en moque éperdument. Il sait que l’économie allemande va être désindustrialisée cet hiver. C’est un prix qu’il est prêt à payer.
NEW – German Economy Minister Habeck can imagine parts of the economy will "simply stop producing for the time being." pic.twitter.com/raA5DpCcKi
Le Ministre de l’Économie Habeck imagine que des secteurs de l’économie « cesseront de produire pour le moment ».
Ces politiciens sont la nouvelle aristocratie. Après un hiver froid et sombre, la population allemande pourrait envisager une solution française très XVIIIe siècle à ce problème.
Un nouveau scénario à la « Lehman Brothers »
Les pays européens soutiennent désespérément leurs compagnies de production énergétique en difficulté. Le commerce de l’énergie est mis à mal par des appels de marge d’au moins 1500 milliards de dollars, ce qui met la pression sur les gouvernements pour qu’ils fournissent davantage de liquidités et renflouent les entreprises de services publics. La Finlande a mis en garde contre un scénario à la « Lehman Brothers », avec des compagnies d’électricité confrontées à de soudaines pénuries de liquidités. L’aggravation de la crise et l’injection de nouveaux milliers de milliards sur le marché ne feront que stimuler l’inflation et plonger l’ensemble de la zone euro dans une profonde récession. Mais bien sûr, ces renflouements sont tous annoncés comme des « mesures anti-inflation ». Sans parler de l’ironie évidente du fait que les coûts énergétiques des ménages ne sont pas inclus dans les statistiques de l’IPC (indice des prix à la consommation), mesure que les gouvernements utilisent pour collationner les données et calculer l’inflation, l’ironie du fait que les gouvernements arrêteront l’inflation en créant de l’inflation ne devrait pas échapper à ceux d’entre nous qui observent la lente autodestruction de notre mode de vie.
Et, bien sûr, on peut se demander pourquoi, s’il est si facile pour les gouvernements d’imprimer de l’argent et de le donner aux fournisseurs d’énergie, ils ne paient pas tout le temps les factures d’électricité de tout le monde? Même si la théorie monétaire moderne (TMM) voudrait nous faire croire que de telles choses sont probablement possibles, la situation économique actuelle, qui découle de l’impression de monnaie effectuée pendant la plandémie, démontre la totale imposture de cette nouvelle école de politique économique.
Les dirigeants de la zone euro mesurent les conséquences de la calamité qu’ils se sont infligée. Mais ces marionnettes du FEM s’en moquent. Parce que lorsque la poussière retombera, et que des milliards de personnes auront été exterminées, l’utopie sera à leur portée.
Macron annonce à la France « la fin de l’abondance » et des temps difficiles à venir
Ce qu’il veut dire, c’est que « la fin de l’abondance » est venue pour VOUS. Les membres de sa classe mangeront encore du caviar alors que vous devrez vous contenter d’une seule pomme de terre pour nourrir votre famille.
La mort de la reine Elizabeth marque la fin d’une époque
Je vais terminer cet article sur l’histoire qui a accaparé en continu le cycle des informations. La mort de la reine Elizabeth a eu un profond impact sur les habitants de ma patrie. Je n’ai jamais été royaliste, mais je n’ignore pas non plus le rôle que la famille royale a joué dans la Grande-Bretagne d’après-guerre. La mort d’une monarque qui règne depuis 1952 est un présage que personne ne devrait ignorer. Elle signale la fin d’un cycle et le début de quelque chose de funeste, comme le suggère le nom du nouveau monarque.
Le roi Charles III est désormais assis sur le trône d’un pays qui a autrefois régné sur la moitié du monde.
Les règnes de Charles I et II ont été marqués par la guerre civile. Il est inconcevable qu’une monarque régnante telle qu’Elizabeth appelle son fils aîné, et héritier du trône, Charles.
La première guerre civile anglaise a éclaté en 1642, moins de 40 ans après la mort de la reine Elizabeth I (!), et 17 ans après l’ascension de Charles Ier sur le trône. Je ne me lancerai pas dans des explications historiques, mais l’époque fut sanglante et les Roundheads d’Oliver Cromwell ont vaincu les Cavaliers de Charles, ce qui a valu au roi de perdre sa tête pour trahison en 1649.
Charles II, le fils de Charles Ier, a poursuivi la guerre de son père contre les parlementaires, jusqu’à sa défaite en 1651, et s’est réfugié en France pendant neuf ans. Il a finalement été rétabli comme monarque en 1660 après la mort de Cromwell et l’histoire réécrite le dépeint comme un roi populaire. En réalité, il n’a cessé de dissoudre les parlements, d’interférer dans la politique et de mépriser les nouvelles réalités politiques introduites par Oliver Cromwell, qui ont relégué la monarchie au rang de monarchie constitutionnelle.
Je vous laisse sur cette pensée. Peu de gens comprennent que le Grand Reset est un projet qui a été lancé par le roi Charles III. Vive le Roi!
Le Grand Reset est lancé! « Maintenant que nous passons du stade du secours à celui du redressement, se présente à nous une occasion unique, mais qui se réduit rapidement, de tirer des enseignements et de nous replacer sur une voie plus durable. C’est une occasion que nous n’avons jamais eue auparavant et que nous n’aurons peut-être plus jamais. Nous devons utiliser tous les leviers dont nous disposons, en sachant que chacun d’entre nous a un rôle vital à jouer. »
Bonjour chers lecteurs. Je vous invite à vous pencher sur le dossier Covid sous un angle un peu différent de l’habituel: la géographie. Vous aurez lu un peu partout les noms de certains pays – principalement les Etats-Unis et la Chine – cités de façon récurrente. Voici un article qui en met un autre en lumière. Ça tombe bien, j’étais justement en train de faire une brève analyse (qui me prendra quand même un certain temps) du discours de l’Etat de l’Union de Mme von der Leyen.
Et puis nous avons aussi les étranges attentats contre Nord Stream 1 et 2, que j’aborde juste après, alors que des voix s’élèvent en Allemagne pour son ouverture. Hmmm… Tout ça ressemble à un grand puzzle, dont voici une première pièce.
Vous pensiez peut-être que je me repose mais en fait, j’ai vraiment beaucoup de plats sur le feu – donc merci pour votre patience.
Gates ou l’Allemagne? Qui « contrôle » la réponse de l’OMS au Covid-19?
par Robert Kogon
26 septembre 2022
L’idée que Bill Gates est en quelque sorte la force motrice de la réponse de l’OMS au vaccin Covid-19 est très répandue – du moins sur Twitter. Mais cette notion a récemment bénéficié d’un soutien inattendu de la part d’une source médiatique grand public: Politico, le service d’information en ligne qui a vu le jour à Washington dans les années quatre-vingt, a lancé une édition européenne basée à Bruxelles en partenariat avec le géant allemand des médias Springer en 2015, et a été entièrement racheté par la firme allemande l’année dernière.
Citant des sources anonymes et avançant des chiffres de financement astronomiques, mais en grande partie non documentés, une large et tortueuse « enquête » menée par Politico et le journal allemand phare de Springer, Die Welt, a tenté de démontrer que, comme le soupçonnaient les utilisateurs de Twitter, c’est Bill Gates et son « réseau » d’organisations qui ont en définitive « contrôlé » la réaction du monde entier au Covid-19.
L' »enquête » de Springer/Politico se concentre en particulier sur l’influence présumée de Gates et de son « réseau » sur l’OMS – comme il se doit, puisque l’OMS a, bien sûr, été le principal vecteur de la réponse mondiale coordonnée à la pandémie de Covid-19. Mais le problème est qu’une profusion d’informations publiquement disponibles montre clairement que la force motrice de la réponse de l’OMS à la pandémie de Covid-19 n’est en fait nulle autre que l’Allemagne et que – de façon surprenante au vu de la fureur suscitée par Gates – Gates n’y a joué en réalité qu’un rôle très mineur.
Cela ne devrait surprendre personne, puisque l’OMS elle-même reconnaît depuis longtemps que « l’Allemagne est le principal soutien de la réponse de l’OMS au COVID-19 » (voir ici). Mais puisque cela est apparemment passé largement inaperçu, examinons les détails, en commençant par le graphique ci-dessous. Ce graphique présente les principaux contributeurs au budget de la réponse au COVID-19 de l’OMS pour la première année de la pandémie, en 2020. Le nom officiel du programme est le Plan Stratégique de Préparation et de Réponse (Strategic Preparedness and Response Plan – SPRP) du C19. Le graphique a été généré directement à partir de la base de données de financement du SPRP de l’OMS.
Comme on peut le constater, l’Allemagne est de loin le premier contributeur. Sa contribution de 425 millions de dollars représente plus de 30% du budget effectif total de 1,34 milliard de dollars. Pour mettre cela en perspective, les 80 millions d’habitants de l’Allemagne représentent environ 1% de la population mondiale totale. La Commission Européenne, sous la direction de l’ancienne Ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen, a été le 3ème plus grand contributeur, avec 81 millions de dollars. L’Allemagne et l’UE dominée par l’Allemagne ont donc fourni ensemble 506 millions de dollars, soit plus de 36% du budget d’intervention du C-19 en 2020.
Et où était Bill Gates? Ou, plus exactement, où était la Fondation Bill & Melinda Gates, qui est effectivement un contributeur majeur de l’OMS dans d’autres domaines? Le graphique ci-dessous nous le montre: à la 18e place dans la hiérarchie des financements, deux places derrière le Yémen.
La contribution effective de la Fondation Gates, de 14,5 millions de dollars, représentait environ 1% du budget total. L’Allemagne a fourni un financement environ 30 fois supérieur. L’alliance GAVI, sur laquelle nous reviendrons dans un instant, est encore plus bas dans la liste (à la 30e place avec un peu plus de 7 millions de dollars).
Le graphique suivant montre les principaux contributeurs au budget de l’OMS pour la réponse au Covid-19 en 2021, deuxième année de la pandémie et première de la vaccination de masse. L’histoire est à peu près identique. L’Allemagne est toujours, et de loin, le premier contributeur, et sa part en pourcentage du budget total est devenue encore plus importante.
La contribution allemande de 386 millions de dollars représente près de 40% du budget effectif. Si l’on additionne les contributions de l’Allemagne et de l’UE, on arrive à près de 497 millions de dollars, soit près de la moitié du budget total. Et où se trouve la Fondation Gates? Toujours à la 18ème place, maintenant trois places derrière la Guinée-Bissau! Voir ci-dessous.
La contribution effective de 6 millions de dollars de la Fondation Gates représente à peine 0,5% du budget total! La contribution de l’Allemagne – 386 millions de dollars contre 6 millions de dollars – est rien moins que 64 fois plus importante!
Les chiffres de financement ci-dessus peuvent être consultés sur le site web de l’OMS ici. Notez que le lien aboutit sur l’année de financement actuelle (2022). Vous devez sélectionner l’année de financement souhaitée en haut à gauche pour voir les années précédentes. Sur le graphique de l’année en cours, vous constaterez que l’Allemagne est en passe de rester le premier bailleur de fonds du budget de la riposte Covid, alors que les États-Unis, dont les contributions étaient auparavant relativement maigres, se sont hissés à la 2e place. La Fondation Gates s’est engagée à verser un total de 250 000 dollars. La contribution allemande de 352 millions de dollars est littéralement plus de 100 fois supérieure!
Mais un instant. Les observateurs attentifs auront noté la présence relativement importante de GAVI, qui occupe désormais la 5e place avec une contribution effective de 67 millions de dollars, parmi les principaux contributeurs en 2021, et GAVI reste un contributeur majeur pour 2022. Ainsi, même si l’Allemagne est de loin le premier contributeur et même si la contribution de la Fondation Gates est dérisoire, l’implication de cette dernière reste importante, notamment via GAVI. L' »enquête » de Springer/Politico inclut GAVI dans le « réseau » d’organisations de Gates, après tout, et à toutes fins utiles, Gates est GAVI. N’est-ce pas?
Eh bien, non. Il s’agit d’une autre idée fausse très répandue, et le fait qu’elle soit fréquemment répétée sur Twitter ne la rend pas plus vraie. Quel que soit le rôle joué par Gates dans la création de l’organisation, la majeure partie du financement de GAVI provient aujourd’hui des gouvernements nationaux, et non de sources privées. En particulier, comme le montre le tableau de financement ci-dessous, tiré du propre site web de GAVI, GAVI reçoit actuellement davantage de fonds de l’Allemagne que de la Fondation Gates.
Il est donc de toute évidence faux d’additionner le financement de la Fondation Gates et celui de GAVI et de considérer la somme comme la contribution globale de Gates, comme ont tendance à le faire de nombreux partisans de la théorie du « Gates propriétaire de l’OMS ».
En effet, l' »enquête » de Springer/Politico utilise le même stratagème, en incluant 6 milliards de dollars de financement de GAVI dans les 10 milliards de dollars que son « réseau » de quatre ONG aurait consacrés aux « mesures de lutte contre le Covid-19 » dans leur ensemble. Plus précisément, l’article affirme que:
Depuis le début de la pandémie en 2020, la Fondation Gates, Gavi et le Wellcome Trust ont donné collectivement plus de 1,4 milliard de dollars à l’OMS – un montant nettement supérieur à celui de la plupart des autres États membres officiels, dont les États-Unis et la Commission Européenne, selon les données fournies par l’OMS.
Cela pourrait être vrai si l’on inclut l’année de financement en cours. Mais en quoi cela est-il pertinent étant donné que les principaux bailleurs de fonds de GAVI sont précisément ces mêmes États membres de l’OMS ? (Je laisse de côté le fait que la Commission Européenne n’est pas, bien sûr, un Etat membre de l’OMS. Ses contributions, comme celles de la Fondation Gates, sont entièrement volontaires).
De plus, l’article de Springer/Politico s’abstient discrètement de mentionner que la contribution de l’Allemagne à l’OMS – Allemagne qui, comme on vient de le noter, est aussi un important contributeur à GAVI – est certainement comparable au chiffre cité et le dépasse même probablement.
Selon la base de données des financements publics de l’OMS, la contribution globale de l’Allemagne à l’OMS pour la période de financement 2020-21 s’élève à près de 1,15 milliard de dollars. (Voir ici.) Même en supposant que le chiffre global de Gates + GAVI + Wellcome soit d’une certaine manière pertinent, il est inférieur à ce chiffre, soit environ 1,01 milliard de dollars. (Les chiffres des financements individuels peuvent être consultés sur le site Web de l’OMS ici. Les contributions du Wellcome Trust sont relativement insignifiantes).
Voici, au cas où cela présenterait un intérêt, les 5 principaux bailleurs de fonds de l’OMS pour la période 2020-21, tels que présentés sur le site Web de l’OMS.
Mais ces chiffres de financement global ne sont en fait pas pertinents dans ce cadre. Ce qui est pertinent, ce sont les contributions dédiées au budget de la réponse Covid-19. Étant donné que l’article de Springer/Politico évoque les premiers dans ce contexte, et non les seconds, on peut se demander si les auteurs n’ont pas en fait attribué le financement global de la Fondation Gates à sa prétendue contribution de 1,1 milliard de dollars aux « mesures de lutte contre le Covid-19 ». Si tel est le cas, il s’agit d’une erreur monumentale.
Comme indiqué ci-dessus, les contributions réelles de la Fondation Gates au budget de l’OMS pour la lutte contre le Covid-19 sont relativement mineures. En incluant l’engagement de cette année, elles s’élèvent à un total d’environ 21 millions de dollars. Pas 1,1 milliard de dollars !
La plus grande partie de la contribution de la Fondation Gates au budget de l’OMS n’a absolument rien à voir avec le Covid-19. Cela peut être facilement vérifié en consultant l’organigramme détaillé disponible sur le site de l’OMS ici. Comme on peut le voir dans le détail du graphique ci-dessous, pour la période 2020-21, près de 65% du financement de la Fondation Gates a en fait été alloué à l’éradication de la polio.
Par comparaison, plus de 70% de la contribution allemande de 1,15 milliard de dollars ont été consacrés à la réponse au Covid-19 (à savoir 811 millions de dollars, comme documenté ci-dessus). Et si l’on soustrait les 58 millions de dollars de contributions obligatoires de l’Allemagne de sa contribution totale, ce chiffre atteint presque 75%.
Le prétendu exposé de Politico sur le financement de Gates cite un certain Lawrence Gostin de l’Université de Georgetown, qui fait remarquer: « Je pense que nous devrions nous montrer profondément inquiets. Pour le dire d’une manière très crue, l’argent achète l’influence ». C’est bien possible. Mais pourquoi serait-ce moins le cas de l’argent allemand?
Bien sûr, si l’argent ne consistait qu’en des contributions obligatoires, que le pays paie pour être membre de l’organisation, alors ce serait effectivement moins le cas, voire pas du tout. Mais il est évident que le financement allemand n’était pas uniquement constitué de contributions obligatoires. Comme on vient de le voir, les contributions obligatoires de l’Allemagne pour la période de financement 2020-21 se sont élevées à seulement 58 millions de dollars. En d’autres termes, 95% du financement allemand était tout aussi volontaire que le financement de Gates.
Le graphique circulaire ci-dessous est tiré directement du site Web de l’OMS (ici). La petite tranche vert-jaune représente les contributions obligatoires de l’Allemagne. Tout le reste représente des contributions volontaires.
Il est également à noter qu’aucune des contributions volontaires de l’Allemagne n’est une contribution « de base », c’est-à-dire une contribution au budget général de l’OMS, que l’organisation peut utiliser comme bon lui semble. Elles sont toutes affectées à des fins particulières.
Les discussions sur le financement de l’OMS sur Twitter et même dans des lieux plus sophistiqués souffrent d’une confusion systématique entre contributions volontaires et contributions privées. Comme le montre clairement l’exemple allemand, les contributions volontaires à l’OMS ne proviennent pas nécessairement de sources privées. En effet, la grande majorité d’entre elles proviennent précisément de sources publiques, c’est-à-dire de gouvernements nationaux ou d’organisations intergouvernementales comme l’UE.
Sachant cela, pourquoi devrait-on supposer que les contributions volontaires provenant de sources privées, même de sources caritatives privées, seraient d’une manière ou d’une autre intéressées, alors que les contributions des gouvernements seraient désintéressées?
À la lumière des chiffres de financement cités ci-dessus, il faut poser cette question évidente: pourquoi l’Allemagne est-elle soudainement devenue le premier contributeur de l’OMS avec l’avènement de la pandémie de Covid-19 et pourquoi a-t-elle été de loin le premier contributeur au budget de l’organisation pour la réponse au Covid-19? Était-ce simplement pour sauver le monde? Quel intérêt l’Allemagne aurait-elle pu avoir dans la réponse au Covid-19?
Eh bien, une fois que l’on a réalisé que le prétendu vaccin « Pfizer » qui a été au centre de cette réponse est en fait la propriété de la société allemande BioNTech et que, comme je l’ai documenté dans mon récent article sur Brownstone ici, BioNTech gagne beaucoup plus sur les ventes mondiales du vaccin que Pfizer, alors l’intérêt devient évident.
En 2021, les revenus de BioNTech sont passés d’à peu près zéro à 19 milliards de dollars, ce qui fait de l’entreprise un moteur important de la croissance allemande [NdT. Mme von der Layen a fait « réserver » par l’Union Européenne plus de quatre milliards de vaccins]. BioNTech a réalisé plus de 15 milliards de dollars de bénéfices sur ces 19 milliards de dollars de revenus, ce qui lui confère une marge bénéficiaire avant impôts de près de 80 %! BioNTech a payé près d’un tiers de ces bénéfices sous forme d’impôt sur les sociétés, faisant ainsi du gouvernement fédéral allemand et de la ville de Mayence (où la société paie des impôts locaux) les principales parties prenantes de la société.
En outre, l’Allemagne n’a pas simplement, pour ainsi dire, joué de chance avec BioNTech. Comme je l’ai détaillé dans mon précédent article sur Brownstone consacré à l’histoire de BioNTech et au partenariat BioNTech-Pfizer ici, le gouvernement allemand a été fortement impliqué dans les subventions et la promotion de la société dès sa création.
En fait, même avant sa création! Le gouvernement allemand a parrainé la création même de BioNTech (en 2009) dans le cadre d’un programme de financement « Go-Bio » dont le but explicite était de faire de l’Allemagne un leader dans le domaine des biotechnologies. L’Allemagne a également fourni l’équivalent de 375 millions de dollars de subventions à BioNTech, spécifiquement pour soutenir son vaccin Covid-19.
Voilà le genre de conflits d’intérêts qui feraient rougir un contributeur privé. Mais en tant qu’État membre de l’OMS, l’Allemagne a continué à jouer un rôle de premier plan dans l’élaboration de la réponse de l’OMS au Covid dans des instances dont les contributeurs privés, comme la Fondation Gates, sont exclus.
Ainsi, le comité qui a été mis en place dès la mi-2020 pour évaluer la réponse de l’organisation à la pandémie en cours – officiellement connu sous le nom de Comité d’Examen du Fonctionnement du Règlement Sanitaire International pendant le COVID-19 (Review Committee on the Functioning of the International Health Regulations during COVID-19) – est présidé par nul autre que Lothar Wieler. Wieler occupe en même temps le poste de président en exercice de l’Institut Robert Koch (Robert Koch Institute – RKI), l’autorité allemande de santé publique dont le rôle est à peu près équivalent à celui du CDC américain. Voir, par exemple, la déclaration de Wieler en cette étrange double qualité de président de comité de l’OMS et de président du RKI ici.
Lothar Wieler est sans aucun doute le fonctionnaire allemand le plus étroitement lié à la réponse de l’Allemagne au Covid-19. Pour avoir une idée de l’importance du fait que Wieler préside ce comité clé de l’OMS – tout en continuant à occuper son poste clé au sein du gouvernement allemand! – il suffit d’imaginer, par exemple, Anthony Fauci présidant le même comité tout en restant directeur du NIAID.
Le rôle largement prépondérant de l’Allemagne dans le financement de la réponse de l’OMS au Covid-19 pourrait également contribuer à expliquer certaines décisions majeures, et souvent déroutantes, de l’organisation: comme, par exemple, la décision, en janvier 2020, d’adopter sans attendre le protocole PCR notoirement trop sensible conçu par le virologue allemand Christian Drosten comme norme de référence pour la détection de l’infection par le Covid-19 – garantissant ainsi, de fait, que la maladie obtiendrait le statut de pandémie.
Drosten, qui est membre du « Conseil d’experts » qui conseille le gouvernement allemand sur le Covid-19, a reçu en septembre de la même année la plus haute distinction du pays: l’Ordre du Mérite ou Bundesverdienstkreuz. Il est directeur du département de virologie et coordinateur de la « santé mondiale » à l’hôpital d’enseignement et de recherche Charité de Berlin. L’hôpital Charité abrite actuellement le Centre OMS de Renseignements sur les Pandémies et les Épidémies, qui a récemment été lancé grâce à un financement de 100 millions de dollars du gouvernement allemand.
Coda: la photo au-dessus du présent article montre le président du RKI, M. Wieler, et le directeur général de l’OMS, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, en train de se donner un coup de coude à l’Institut Robert Koch de Berlin après avoir signé le protocole d’accord qui a donné naissance au « Centre Pandémies ».
Robert Kogon est le nom de plume d’un journaliste financier largement publié, d’un traducteur et d’un chercheur travaillant en Europe. Il publie sur le site edv1694.substack.com.
Pour ceux qui se demanderaient ce que prennent contre le Covid les sympathiques personnages qui veulent absolument vous injecter le « vaccin » et qui savent parfaitement que le produit en question est une mauvaise idée, voici une bonne hypothèse et un excellent article de Spartacus.
Pour rappel, Spartacus avait rédigé ce papier assez cinglant et très bien sourcé, et celui-ci non moins intéressant – ainsi que des dizaines d’autres sur son Substack, que je n’ai pas le temps de traduire. Ne vous prenez pas la tête avec les termes médicaux, le principe de base est assez limpide. Comme je l’expliquais dans cet article, vous commencez à avoir l’entraînement. Pour les plus curieux (ou les médecins), j’ai scrupuleusement traduit tous ceux qui ont un équivalent en français (certains n’en ont pas) et donné une brève définition ou un lien pour quelques termes clé. Vous commencez aussi à vous familiariser avec la soupe alphabétique des diverses organisations étatiques médicales et paramilitaires américaines, dont je n’ai traduit le nom que des plus relevantes. Ici c’est principalement le NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) et la DTRA (Agence pour l’atténuation des menaces de défense). Vous trouverez facilement les autres sur le Net.
Ils avaient un remède il y a plus de dix ans, mais pas pour vous
Spartacus
2 août
Oligomérisateur de la Caspase activée par l’ARN double brin
Le 27 juillet 2011, un article a été publié dans PLOS ONE [NdT. ici] décrivant une nouvelle protéine biologique antivirale. Il s’appelait DRACO, un acronyme pour Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer [Oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin].
À l’heure actuelle, il existe relativement peu de thérapies antivirales, et la plupart de celles qui existent sont hautement spécifiques aux agents pathogènes ou présentent d’autres inconvénients. Nous avons développé une nouvelle approche antivirale à large spectre, appelée Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO), qui induit sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb [l’ARN double brin] viral, tuant rapidement les cellules infectées sans nuire aux cellules non infectées. Nous avons créé les DRACOs et démontré qu’ils sont non toxiques dans 11 types de cellules de mammifères et efficaces contre 15 virus différents, dont le flavivirus de la dengue, les arénavirus Amapari et Tacaribe, le bunyavirus Guama et la grippe H1N1. Nous avons également démontré que les DRACOs peuvent sauver des souris atteintes de la grippe H1N1. Les DRACOs ont le potentiel pour devenir des thérapies ou des prophylaxies efficaces pour de nombreux virus cliniques et prioritaires, en raison de la sensibilité à large spectre du domaine de détection de l’ARNdb, de l’activité puissante du domaine d’induction de l’apoptose [NdT. l’apoptose (ou mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal] et du nouveau lien direct entre les deux, que les virus n’ont jamais rencontré.
[…]
Financement: Ce travail est financé par la subvention AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et du New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases (NERCE-BIED), avec un financement antérieur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA), et du Director of Defense Research & Engineering (DDR&E). Les bailleurs de fonds n’ont joué aucun rôle dans la conception de l’étude, la collecte et l’analyse des données, la décision de publier ou la préparation du manuscrit. Les opinions, interprétations, conclusions et recommandations sont celles des auteurs et ne sont pas nécessairement approuvées par le gouvernement des États-Unis.
Cette recherche a été effectuée aux Draper Labs du MIT et a été financée par le NIAID, la DARPA et la DTRA. Le Pentagone était à la recherche d’un antivirus à large spectre capable de guérir n’importe quelle infection virale, au cas où les soldats seraient exposés à un agent pathogène inconnu pour lequel il n’existe aucun vaccin (c’est-à-dire un agent de guerre biologique). La solution du Dr Todd Rider a consisté à créer une protéine chimérique composée d’un domaine de détection de l’ARNdb fusionné bout à bout avec un domaine d’induction de l’apoptose. Ces protéines biologiques ont été produites par cultivation dans un bioréacteur dans des bactéries E. Coli transfectées avec des plasmides pour produire des protéines DRACO, de la même façon que l’insuline recombinante est produite.
Il est possible de formuler différents types de DRACO, comme la protéine kinase R et le facteur d’activation de la protéase apoptotique-1, PKR et FADD, RNaseL et Apaf-1, etc. Les DRACOs ont tous le même mécanisme d’action. Ils tirent parti du fait que de nombreux virus, y compris les coronavirus, produisent de longs brins d’ARNdb lorsqu’ils infectent les cellules et se répliquent. Même les virus dont le génome contient de l’ARN à simple brin, comme le SARS-CoV-2, le font. En revanche, les cellules saines ne contiennent pas du tout de longs brins d’ARNdb.
Voici comment cela fonctionne:
Des protéines DRACO sont injectées dans le sujet.
Les protéines utilisent des peptides pénétrant dans les cellules (comme le TAT du VIH) [NdT. ici] pour traverser les membranes cellulaires et entrer dans les cellules.
Si aucun ARNdb viral n’est présent, la protéine ne fait rien.
Si un ARNdb viral est présent, le domaine de détection de l’ARNdb (comme la PKR) [NdT. protéine kinase R] se lie à l’ARNdb.
Plusieurs DRACOs se lient côte à côte à l’ARNdb viral.
Les domaines exposés d’induction de l’apoptose des DRACOs (comme l’Apaf-1) [NdT. ici] se lient et réticulent les procaspases et forcent la cellule infectée à s’autodétruire.
Les DRACOs sont comme de petites mines limpet [NdT. ici] protéiques qui pénètrent dans les cellules infectées et commandent à ces cellules de subir une apoptose immédiatement si elles trouvent des signes d’infection virale, mais ne sont pas toxiques pour les tissus sains. Cela a été prouvé expérimentalement sur des modèles de souris. Ils ont injecté du DRACO à des souris, puis leur ont injecté de grandes quantités de virus de la grippe. Rien n’est arrivé aux souris traitées au DRACO lorsqu’elles ont été exposées au virus de la grippe. Elles allaient bien. En fait, ils ont disséqué les souris saines traitées au DRACO et ont confirmé que les protéines du DRACO n’étaient pas toxiques pour les cellules non infectées.
Les protéines DRACO ont conféré une protection pratiquement inébranlable contre les virus qui a duré jusqu’à une semaine après l’injection. Tous les virus. Voyez-vous, les virus ont des moyens de supprimer les voies d’apoptose dans les cellules, transformant les cellules infectées en véritables zombies qui n’arrivent pas à s’éliminer avant d’avoir répliqué des tonnes de particules virales. C’est un vrai bordel. Cependant, une protéine qui combine un domaine de détection de l’ARNdb avec un domaine d’induction de l’apoptose contourne complètement les astuces et les failles que les virus ont développées pour empêcher l’apoptose. Les virus ne voient pas venir le DRACO. Il détruit complètement la cellule au moment où la réplication virale commence, arrêtant immédiatement l’infection alors qu’elle ne touche encore qu’une petit nombre de cellules. Si le DRACO est administré tardivement, il y a effectivement plus d’apoptose et plus d’inflammation, en raison de la plus grande population de cellules affectées. S’il est administré de manière prophylactique, avant l’infection, les virus ne peuvent pas du tout se répliquer dans les populations de cellules traitées au DRACO, que ce soit in vitro ou in vivo. Il y met un terme complet.
Maintenant, avec de tels résultats, la chose logique à faire serait de procéder à d’autres tests sur les animaux, de confirmer (ou de réfuter) les effets de façon expérimentale et, éventuellement, de procéder à des essais sur les humains. Après tout, en théorie, le DRACO pourrait être combiné à la surveillance et à la recherche des contacts pour arrêter complètement la propagation d’un agent pathogène avant même qu’il n’ait la chance de devenir une pandémie. S’il fonctionnait, et s’il avait des effets secondaires minimes, il serait devenu un outil inestimable dans la boîte à outils du contrôle des épidémies.
Ce n’est pas ce qui s’est passé.
Un remède mis sur la touche
En 2014, Todd Rider a demandé deux millions de dollars de subventions supplémentaires à la Fondation Templeton pour poursuivre ses travaux. Cependant, lors d’une réorganisation de la Fondation Templeton, la subvention est tombée à l’eau, et il s’est retrouvé sans rien. Ayant désespérément besoin d’argent, il a lancé une paire de campagnes Indiegogo pour financer ses recherches, qui ont également échoué.
Il a lancé une campagne Indiegogo le 13 octobre dernier afin de récolter 100 000 dollars, une somme suffisante pour relancer ses travaux, bien qu’elle ne représente qu’une fraction de ce dont il a réellement besoin. Mais après deux mois, il n’était qu’à mi-chemin, et la campagne a donc été récemment prolongée.
Il est impossible de savoir, à ce stade précoce, si le DRACO est capable de tout ce que Rider espère – s’il sera vraiment capable de rechercher et de détruire une grande variété de virus à l’intérieur d’une personne malade.
Et maintenant, nous ne le saurons peut-être jamais.
À peu près au même moment, Ken Gabriel, un ancien du DARPA et de Google, a pris la tête des Draper Labs du MIT.
Ken Gabriel a été professeur titulaire au Robotics Institute et au Département d’Ingénierie Électrique et Informatique de l’Université Carnegie Mellon. Il a également été directeur de programme et directeur de bureau à la DARPA, où il a conçu et dirigé des projets qui ont fait passer les MEMS [NdT. ici] du laboratoire aux applications pratiques. Au début de sa carrière, il a été professeur invité à l’Université de Tokyo, chercheur au Naval Research Laboratory et chercheur principal chez AT&T Bell Laboratories. Gabriel a notamment été nommé Technology Pioneer par le Forum Economique Mondial de Davos et nommé au Senior Executive Service, et a reçu le prix Carlton Tucker pour son Excellence dans l’Enseignement du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ken Gabriel est titulaire de diplômes SM et ScD en génie électrique et en informatique du MIT.
Ken Gabriel a également des liens avec le Wellcome Trust, qui se trouve juste à côté de Tavistock et a des liens avec Sequoia Capital. Il est le directeur de l’exploitation de Wellcome Leap. [NdT. Wellcome Leap est raccourci en « leap », qui signifie « saut » ou « bond » et est employé plus bas dans ce sens par l’auteur et Whitney Webb]
Wellcome Leap (« Leap »), un projet de pointe à but non lucratif fondé par le Wellcome Trust pour accélérer les innovations au service de la santé humaine mondiale, a annoncé aujourd’hui que l’ancien directeur par intérim de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis, Kaigham « Ken » Gabriel, a été nommé directeur de l’exploitation de l’organisation.
Ken dirigera les opérations de Leap alors que l’organisation entreprend des programmes audacieux et non conventionnels et les finance à grande échelle. Avec un financement initial de 300 millions de dollars, les programmes de Leap cibleront des défis complexes en matière de santé humaine dans le but de parvenir à des solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires d’ici dix ans.
« Le mélange rare d’expérience de Ken à travers les disciplines et les secteurs sera essentiel pour construire Leap à l’échelle mondiale et remplir notre mission », a déclaré Regina E. Dugan, PDG de Wellcome Leap. « Il est dévoué à l’innovation révolutionnaire et je suis ravie de travailler avec lui. »
Whitney Webb a réalisé un reportage détaillé sur Wellcome Leap et ses intentions transhumanistes.
Un organisme britannique à but non lucratif lié à la corruption mondiale pendant la crise du COVID-19, et ayant des liens historiques et actuels avec le mouvement eugéniste britannique, a lancé l’année dernière un équivalent du DARPA axé sur la santé mondiale. Cette initiative est passée largement inaperçue dans les médias grand public et indépendants.
Le Wellcome Trust, qui a sans doute été le second après Bill Gates dans sa capacité à influencer les événements pendant la crise du COVID-19 et la campagne de vaccination, a lancé son propre équivalent mondial de l’agence de recherche secrète du Pentagone l’année dernière, officiellement pour lutter contre les « défis sanitaires les plus pressants de notre époque. » Bien qu’elle ait été conçue pour la première fois en 2018, cette initiative particulière du Wellcome Trust a été filialisée en mai dernier avec un financement initial de 300 millions de dollars. Elle a rapidement attiré deux anciens cadres de la DARPA, qui avaient auparavant servi dans les hautes sphères de la Silicon Valley, pour gérer et planifier son portefeuille de projets.
Ce DARPA sur la santé mondiale, connu sous le nom de Wellcome Leap, vise à trouver des « solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires » d’ici à 2030, en mettant l’accent sur les « défis complexes de la santé mondiale ». Le Wellcome Trust est ouvert sur la manière dont Wellcome Leap appliquera les approches de la Silicon Valley et des sociétés de capital-risque au secteur de la santé et des sciences de la vie. Sans surprise, leurs trois programmes actuels sont prêts à développer des technologies médicales incroyablement invasives et axées sur la technologie, et dans certains cas ouvertement transhumanistes, y compris un programme exclusivement axé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), de capteurs mobiles et de technologies portables de cartographie cérébrale pour les enfants de trois ans et moins.
Whitney Webb d’UnlimitedHangout.com nous rejoint une fois de plus, cette fois pour discuter de son dernier article, « Un « bond » vers la destruction de l’humanité ». Même si vous êtes familier avec l’agenda transhumaniste, ce que les anciens de la DARPA et de la Silicon Valley, au sein de la toute nouvelle Wellcome Leap, prévoient de faire dans leur quête pour transformer l’espèce humaine au cours de la prochaine décennie va vous étonner.
Tout est lié au même programme transhumaniste du FEM, du Club de Rome et de Rockefeller: l’augmentation des capacités humaines, le marquage et le suivi des personnes, l’extraction des données de santé de leur corps, l’utilisation des données cérébrales pour la pré-criminalité, la manipulation des personnes à distance, etc.
La Superclasse veut que les gens soient intégrés à l’Internet des Corps, que nous le voulions ou non. La vaccination obligatoire n’est qu’un prétexte. Ce qu’ils veulent vraiment, c’est une marge de manœuvre illimitée pour imposer des injections de n’importe quoi, en utilisant des virus pandémiques comme prétexte.
Il est bon de rappeler aux lecteurs que la DARPA travaille sur une interface cerveau-machine à base de nanoparticules qui pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, et que cette technologie progresse rapidement.
Les chercheurs ont utilisé le génie génétique pour exprimer un canal ionique spécial sensible à la chaleur dans les neurones qui poussent les mouches à déployer partiellement leurs ailes, un geste d’accouplement courant. Les chercheurs ont ensuite injecté des nanoparticules magnétiques qui pouvaient être chauffées par un champ magnétique appliqué. Une caméra aérienne a observé les mouches qui se déplaçaient librement dans une enceinte surmontée d’un électro-aimant. En modifiant le champ magnétique d’une manière spécifique, les chercheurs ont pu chauffer les nanoparticules et activer les neurones. Une analyse de la vidéo des expériences a montré que les mouches ayant subi des modifications génétiques adoptaient la posture de l’aile déployée dans la demi-seconde environ qui suivait le changement de champ magnétique.
M. Robinson a déclaré que la capacité d’activer des cellules génétiquement ciblées à des moments précis pourrait constituer un outil puissant pour l’étude du cerveau, le traitement des maladies et le développement d’une technologie de communication directe cerveau-machine.
On ne peut pas disposer d’une telle technologie sans un cadre juridique et de droits civils qui la prenne en compte, car elle expose le public à des dérives épouvantables.
Les éthiciens sont déjà très préoccupés par les implications de la neurotechnologie. C’est pourquoi Rafael Yuste, le scientifique dont les travaux ont inspiré l’initiative BRAIN de la DARPA, a créé la Fondation des Droits Neuronaux [Neurorights Foundation]:
Jonathan Moreno est très préoccupé par la militarisation de la neurotechnologie. Il a écrit un livre en 2012 intitulé « Guerres de l’esprit: les sciences du cerveau et l’armée au 21e siècle » [Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century]. Il a également écrit un article sur le sujet qui a été republié dans le Bulletin des Scientifiques Atomiques [Bulletin of the Atomic Scientists]:
Le droit international proscrit fermement l’utilisation des neuroarmes, qui ciblent le cerveau et le système nerveux central et peuvent être de nature chimique, biologique ou toxique. La Convention sur les Armes Chimiques (CAC) interdit la production, l’acquisition, le stockage, la conservation et l’utilisation d’armes chimiques. Cette interdiction relativement simple est toutefois affaiblie par la disposition de la convention autorisant l’utilisation d’agents chimiques pour certaines activités de maintien de l’ordre, comme la lutte antiémeute. La Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines (CABT) est plus large dans son interdiction: elle interdit l’utilisation d’agents biologiques ou de toxines comme armes, quels que soient leur mode ou leur méthode de production. Mais contrairement à la Convention sur les Armes Chimiques, la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines ne prévoit aucun mécanisme d’inspection des installations nationales pour déterminer si l’interdiction est respectée.
Les neuro-armes représentent donc un défi à la fois pour la CAC, en raison de sa portée limitée, et pour la CABT, en raison de l’absence de mécanisme d’inspection. À la lumière de ces limitations, il ne serait pas surprenant de voir les gouvernements se tourner vers des agents incapacitants exotiques au cours de la prochaine décennie, afin de renforcer leur capacité à répondre aux menaces non conventionnelles, mobiles ou intégrées aux populations civiles. Certains de ces utilisateurs d’armes neurologiques peuvent être des régimes autocratiques désireux de réprimer la dissidence ou la rébellion, mais comme nous l’avons vu, les armées des nations riches et démocratiques ont également intérêt à utiliser des armes chimiques non létales pour tenter d’affronter des insurgés ou des groupes terroristes.
Tenter de contrer la menace terroriste sans blesser les non-combattants est sans doute une intention bien placée, mais elle ouvre une voie vers l’enfer en menaçant de saper près d’un demi-siècle de travail pour maintenir l’engagement de la communauté mondiale à faire respecter l’interdiction des armes biologiques, et la destruction durement acquise (bien qu’incomplète) des stocks d’armes chimiques dans le monde. Les installations qui peuvent créer des agents biochimiques non létaux ne sont pas très différentes de celles qui peuvent créer des agents létaux – et peuvent être identiques si la seule différence entre une arme létale et non létale est la dose.
Lorsque nous évoquons des choses comme le programme N3, nous parlons de la technologie permettant de priver des milliards de personnes de leur autonomie et de leurs droits fondamentaux du jour au lendemain et de les transformer, sans ironie, en drones Borg.
Non, ce n’est pas une hyperbole ou une exagération comique. Quand je dis drones Borg, je veux dire drones Borg.
Encore une fois, comme je l’ai dit dans des articles précédents sur les progrès récents de la biotechnologie, la Convention sur les Armes Chimiques et la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines n’interdisent pas la recherche sur les neurotechnologies de contrôle mental. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un bioéthicien qui approuvera un projet en déclarant qu’il ne tue ni ne neutralise, et qu’il ne s’agit donc pas d’une toxine ou d’un agent interdit.
Les lois et les traités n’ont pas du tout suivi le rythme des avancées technologiques dans ce domaine.
Le retour de DRACO
Rick Kiessig est le directeur et le PDG de la société néo-zélandaise Kimer Med, une startup dont l’objectif est de faire revivre le concept de DRACO pour les consommateurs. Il pense que les sociétés pharmaceutiques ont évité de développer le DRACO parce qu’il cannibaliserait les ventes de leurs autres produits, plus lucratifs.
Le Dr Todd Rider, l’inventeur du DRACO, a constaté que les subventions gouvernementales et les financements de type NIH liés aux produits pharmaceutiques se limitent en grande partie à deux grands domaines: soit la recherche fondamentale, soit l’étape finale de la mise sur le marché d’un nouveau médicament. Cependant, ils n’aiment apparemment pas financer la partie intermédiaire (où nous sommes actuellement), qui implique des essais cliniques.
Il a également estimé que pour obtenir des investissements de la part des entreprises pharmaceutiques, il faudrait démontrer l’efficacité du produit contre des virus commercialement intéressants, comme l’herpès, et c’est pourquoi c’était l’un des objectifs de ses campagnes de crowdfunding 2015/2016.
Mon point de vue est un peu plus cynique. Les entreprises pharmaceutiques disposent d’un certain nombre de médicaments pour traiter les maladies virales (antiviraux et autres). Nombre de ces médicaments nécessitent une utilisation régulière pendant une longue période, car ils ne font pas disparaître le virus, ils ne font qu’éloigner temporairement les symptômes tant que l’on continue à les prendre.
Macabre conclusion
Si vous avez suivi nos articles précédents, vous savez que le NIH, l’USAID et la DTRA sont complices du préjudice causé aux Américains en raison du financement de l’EcoHealth Alliance et de ses recherches sur le gain de fonction qui ont sans aucun doute conduit à la création du SARS-CoV-2. Ils ont également financé le DRACO, mais l’ont mystérieusement abandonné après que son efficacité ait été prouvée.
On ne peut que spéculer, mais de mon point de vue, il semble qu’ils voulaient un antidote à leur future arme biologique basée sur le SARS. Quelque chose que les VIP et les officiels pourraient utiliser en secret, tout en laissant le public pourrir et mourir, souffrant des séquelles à long terme du COVID-19 ou des effets secondaires des vaccins à peine testés, hautement toxiques et induisant une auto-immunité.
Il serait très simple de produire clandestinement du DRACO en quantité suffisante pour que les VIP puissent l’utiliser. Tout ce dont on a besoin, c’est de quelques bioréacteurs, de quelques colonnes de chromatographie, de quelques E. Coli et des plasmides du DRACO à transfecter avant de les cultiver. Il s’agit essentiellement du même équipement de laboratoire nécessaire pour produire de l’insuline recombinante. Cet équipement pourrait être caché dans le coin d’un bunker ou d’un immeuble commercial anodin, n’occupant pas plus de quelques centaines de pieds carrés tout au plus. D’énormes lots, suffisants pour des milliers de personnes, pourraient être fabriqués même dans un laboratoire relativement petit.
Nous savons avec certitude que le DRACO est synthétisé en Chine, où des recherches sont en cours sur son efficacité contre le virus du Syndrome dysgénésique et respiratoire porc (SDRP).
[NdT. Le transposon PiggyBac (PB) est un élément génétique mobile qui se transpose efficacement entre les vecteurs et les chromosomes par un mécanisme de « couper-coller »]
L’oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin [Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer – DRACO] est une protéine synthétique qui comprend trois parties: la protéine kinase R (PKR 1-181), qui peut détecter l’ARNdb; le facteur 11-97 d’activation de la protéase apoptotique (Apaf 11-97), qui peut aider à induire sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb viral; et le domaine 4 de transduction de la protéine (PTD-4), qui peut aider à transporter les protéines dans les cellules (Guo et al., 2015). En bref, DRACO peut tuer rapidement les cellules infectées par le virus, mais n’affecte pas les cellules non infectées. Les éléments d’ADN codant pour DRACO ont été synthétisés par General Biosystems (Anhui, Chine) et clonés dans le vecteur d’expression pET-28a (+). Le plasmide recombinant pET-28a-DRACO a été identifié par PCR, digestion par enzyme de restriction et séquençage. Ensuite, la protéine DRACO a été exprimée et purifiée avec succès in vitro.
Ils avaient le remède bien avant de lâcher sur nous le COVID-19.
Pas une zoonose naturelle. Pas une fuite de laboratoire. Des crimes intentionnels contre l’humanité.
On July 27th, 2011, a paper was published in PLOS ONE describing a novel protein biologic antiviral. It was called DRACO, an acronym for Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer.
Currently there are relatively few antiviral therapeutics, and most which do exist are highly pathogen-specific or have other disadvantages. We have developed a new broad-spectrum antiviral approach, dubbed Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO) that selectively induces apoptosis in cells containing viral dsRNA, rapidly killing infected cells without harming uninfected cells. We have created DRACOs and shown that they are nontoxic in 11 mammalian cell types and effective against 15 different viruses, including dengue flavivirus, Amapari and Tacaribe arenaviruses, Guama bunyavirus, and H1N1 influenza. We have also demonstrated that DRACOs can rescue mice challenged with H1N1 influenza. DRACOs have the potential to be effective therapeutics or prophylactics for numerous clinical and priority viruses, due to the broad-spectrum sensitivity of the dsRNA detection domain, the potent activity of the apoptosis induction domain, and the novel direct linkage between the two which viruses have never encountered.
…
Funding: This work is funded by grant AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases and the New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases, with previous funding from the Defense Advanced Research Projects Agency, Defense Threat Reduction Agency, and Director of Defense Research & Engineering. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript. Opinions, interpretations, conclusions, and recommendations are those of the authors and are not necessarily endorsed by the United States government.
This research was performed at MIT’s Draper Labs and was funded by NIAID, DARPA, and DTRA. The Pentagon were after a broad-spectrum antivirus that could cure any viral infection, in case soldiers were exposed to an unknown pathogen for which no vaccine existed (i.e. a biowarfare agent). Dr. Todd Rider’s solution was to come up with a chimeric protein consisting of a dsRNA detection domain fused end-to-end with an apoptosis induction domain. These protein biologics were produced by being cultured in a bioreactor in E. Coli bacteria transfected with plasmids to produce DRACO proteins, similar to how recombinant insulin is produced.
It is possible to formulate different types of DRACOs, such as Protein Kinase R and Apoptotic protease activating factor-1, PKR and FADD, RNaseL and Apaf-1, et cetera. DRACOs all have the same mechanism of action. They take advantage of the fact that many viruses, including coronaviruses, produce long strands of dsRNA when they infect cells and replicate. Even viruses with ssRNA genomes like SARS-CoV-2 do this. Healthy cells, on the other hand, don’t have any long strands of dsRNA in them at all.
This is how it works:
DRACO proteins are injected into the subject.
The proteins use cell-penetrating peptides (like HIV TAT) to cross cell membranes and enter cells.
If there is no viral dsRNA present, the protein does nothing.
If there is viral dsRNA present, the dsRNA detection domain (such as PKR) binds to the dsRNA.
Multiple DRACOs bind side-by-side to the viral dsRNA.
The exposed apoptosis induction domains of the DRACOs (such as Apaf-1) bind and crosslink procaspases and force the infected cell to self-destruct.
DRACOs are like little protein limpet mines that enter infected cells and command those cells to undergo apoptosis immediately if they find signs of viral infection, but are non-toxic to healthy tissue. This was proven experimentally in mouse models. They injected mice with DRACO, and then injected them with large quantities of influenza virus. Nothing happened to the DRACO treated mice when they were exposed to influenza. They were fine. In fact, they dissected the healthy DRACO-treated mice and confirmed that the DRACO proteins were non-toxic to uninfected cells.
DRACO proteins conferred practically ironclad protection against viruses that lasted up to a week after injection. All viruses. You see, viruses have ways of suppressing apoptosis pathways in cells, turning infected cells into practical zombies that can’t quite eliminate themselves before they replicate tons of viral particles. It makes a real mess. However, a protein that combines a dsRNA detection domain with an apoptosis induction domain completely bypasses the tricks and loopholes that viruses evolved to prevent apoptosis. Viruses don’t see DRACO coming. It completely destroys the cell the moment viral replication starts, shutting down the infection immediately while it’s still in a small population of cells. If DRACO is administered late, there is indeed more apoptosis and more inflammation, due to the larger population of affected cells. If it is administered prophylactically, before infection, viruses can’t even replicate in DRACO-treated cell populations at all, whether in vitro or in vivo. It puts a complete halt to it.
Now, with results like these, the logical thing to do would be to engage in more animal testing, experimentally confirm (or refute) the effects, and, eventually, proceed to human trials. After all, in theory, DRACO could be combined with surveillance and contact tracing to completely arrest the spread of a pathogen before it even had a chance to become a pandemic. If it worked, and if it had minimal side effects, it would have become an invaluable tool in the epidemic control toolbox.
That wasn’t what happened.
A Sidelined Cure
In 2014, Todd Rider sought $2 million in additional grant funding from the Templeton Foundation to continue his work. However, during a reorganization at the Templeton Foundation, the grant fell through, and he was left with nothing. Desperate for money, he started a pair of Indiegogo campaigns to fund his research that also failed.
He launched an Indiegogo campaign on October 13 to raise $100,000, enough to restart his work, though just a fraction of what he truly needs. But after two months, he was only halfway there, so the campaign was recently extended.
It’s impossible to know at this early stage if DRACO can do everything that Rider hopes it will — whether it will really be able to seek and destroy a wide variety of viruses inside a sick person.
And now we may never find out.
Around the same time, Ken Gabriel, an ex-DARPA and ex-Google guy, took over as head of MIT’s Draper Labs.
Gabriel has been a tenured professor in both the Robotics Institute and the Department of Electrical and Computer Engineering at Carnegie Mellon University. He also served as a program manager and office director at DARPA, where he conceived and led projects that took MEMS out of the laboratory into practical applications. Earlier in his career he was a visiting professor at the University of Tokyo, a research scientist at the Naval Research Laboratory and a research principal investigator at AT&T Bell Laboratories. Gabriel’s honors include being named a Technology Pioneer by the World Economic Forum at Davos and named to the Senior Executive Service, and awarded the Carlton Tucker Prize for Excellence in Teaching from the Massachusetts Institute of Technology (MIT). Gabriel holds SM and ScD degrees in Electrical Engineering and Computer Science from the MIT.
Ken Gabriel also has links to the Wellcome Trust, who are right next door to Tavistock and have links to Sequoia Capital. He is the COO of Wellcome Leap.
Wellcome Leap (“Leap”), an advanced projects non-profit founded by the Wellcome Trust to accelerate innovations that benefit global human health, today announced that former U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) acting director Kaigham ‘Ken’ Gabriel has been appointed as Chief Operating Officer (COO) of the organization.
Ken will lead operations at Leap as the organization undertakes bold, unconventional programs and funds them at scale.With initial funding of $300 million, Leap’s programs will target complex human health challenges with the goal of achieving breakthrough scientific and technological solutions within a decade.
“Ken’s rare blend of experience across disciplines and sectors will be key to building Leap globally and delivering on our mission,”said Regina E. Dugan, CEO of Wellcome Leap. “He’s devoted to breakthrough innovation and I’m stoked to work with him.”
Whitney Webb has extensive coverage on Wellcome Leap and their transhumanist intentions.
A UK nonprofit with ties to global corruption throughout the COVID-19 crisis as well as historical and current ties to the UK eugenics movement launched a global health-focused DARPA equivalent last year. The move went largely unnoticed by both mainstream and independent media.
The Wellcome Trust, which has arguably been second only to Bill Gates in its ability to influence events during the COVID-19 crisis and vaccination campaign, launched its own global equivalent of the Pentagon’s secretive research agency last year, officially to combat the “most pressing health challenges of our time.” Though first conceived of in 2018, this particular Wellcome Trust initiative was spun off from the Trust last May with $300 million in initial funding. It quickly attracted two former DARPA executives, who had previously served in the upper echelons of Silicon Valley, to manage and plan its portfolio of projects.
This global health DARPA, known as Wellcome Leap, seeks to achieve “breakthrough scientific and technological solutions” by or before 2030, with a focus on “complex global health challenges.” The Wellcome Trust is open about how Wellcome Leap will apply the approaches of Silicon Valley and venture capital firms to the health and life science sector. Unsurprisingly, their three current programs are poised to develop incredibly invasive tech-focused, and in some cases overtly transhumanist, medical technologies, including a program exclusively focused on using artificial intelligence (AI), mobile sensors, and wearable brain-mapping tech for children three years old and younger.
Whitney Webb of UnlimitedHangout.com joins us once again, this time to discuss her latest article, « A “Leap” toward Humanity’s Destruction. » Even if you’re familiar with the transhumanist agenda, what the ex-DARPA, ex-Silicon Valley old hands at the newly created Wellcome Leap are planning to do in their quest to transform the human species in the coming decade will blow your mind.
Everything ties right back into the same WEF/Club of Rome/Rockefeller transhumanist agenda; human augmentation, cattle-tagging and tracking people, pulling health data right out of their bodies, using brain data for precrime, manipulating people remotely, et cetera.
The Overclass want people to be brought onto the so-called Internet of Bodies, whether we like it or not. Mandatory vaccination is just an excuse. What they really want is unlimited leeway to mandate injections of anything, using pandemic viruses as a pretense.
It is worth reminding readers that DARPA are working on a nanoparticle-based BCI that could be used for mind control, and that this technology is advancing rapidly.
The researchers used genetic engineering to express a special heat-sensitive ion channel in neurons that cause flies to partially spread their wings, a common mating gesture. The researchers then injected magnetic nanoparticles that could be heated with an applied magnetic field. An overhead camera watched flies as they roamed freely about an enclosure atop an electromagnet. By changing the magnet’s field in a specified way, the researchers could heat the nanoparticles and activate the neurons. An analysis of video from the experiments showed flies with the genetic modifications assumed the wing-spread posture within approximately half a second of the magnetic field change.
Robinson said the ability to activate genetically targeted cells at precise times could be a powerful tool for studying the brain, treating disease and developing direct brain-machine communication technology.
You can’t have technology like this without a legal and civil rights framework that accounts for it, because it opens the public up to hideous abuse.
Ethicists are already very deeply concerned about the implications of neurotechnology. That’s why Rafael Yuste, the scientist whose work inspired DARPA’s BRAIN Initiative, started the Neurorights Foundation:
Jonathan Moreno is very concerned about the weaponization of neurotechnology. He wrote a book in 2012 entitled Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century. He also wrote an article on the matter that was republished in the Bulletin of the Atomic Scientists:
International law strongly proscribes the use of neuroweapons, which target the brain and central nervous system and can be chemical, biological, or toxin-producing in nature. The CWC bans the production, acquisition, stockpiling, retention, and use of chemical weapons. This relatively straightforward prohibition is undercut, however, by the convention’s provision allowing chemical agents to be used for certain law enforcement activities, like riot control. The BTWC is more sweeping in its prohibition: It bans biological agents or toxins from being used as weapons, whatever their mode or method of production. But unlike the CWC, the BTWC has no mechanism for inspecting national facilities to determine whether the prohibition is being upheld.
Neuroweapons, thus, present a challenge for both the CWC, because of its limited scope, and the BTWC, because of its lack of an inspection mechanism. In light of these limitations, it would not be surprising to see governments turn to exotic incapacitating agents in the coming decade, in an attempt to strengthen their ability to respond to threats that are unconventional, mobile, or embedded within civilian populations. Some of these neuroweapon users may be autocratic regimes interested in repressing dissent or rebellion, but as we’ve seen, the militaries of rich, democratic nations also have an interest in using nonlethal chemical weapons in attempting to confront insurgents or terrorist groups.
Attempting to counter the threat of terrorism without harming noncombatants is arguably a well-placed intention, but it paves a road to hell by threatening to undermine almost half a century of work to keep the global community engaged in upholding the ban on biological weapons, and the hard-won (if incomplete) destruction of chemical weapons stockpiles around the world. Facilities that can create nonlethal biochemical agents aren’t too different from ones that can create lethal agents—and may be identical if the only difference between a lethal and nonlethal weapon is dose.
When we bring up things like the N3 program, we’re talking about the tech to strip basic autonomy and rights from billions of people overnight and unironically turn them into Borg drones.
No, that’s not hyperbole or comical exaggeration. When I say Borg drones, I mean Borg drones.
Again, as I stated in previous articles on recent advances in biotechnology, the Chemical Weapons Convention and Biological Weapons Convention do not bar research into mind control neurotech. All you need is a bioethicist who will sign off on a project and say that it’s neither killing nor incapacitating, and therefore is not a proscribed toxin or agent.
Laws and treaties have not kept up with the pace of technological advancement in this area at all.
DRACO Returns
Rick Kiessig is the Director and CEO of the New Zealand company Kimer Med, a startup focused on reviving the DRACO concept for consumer use. He believes that pharmaceutical companies have avoided developing DRACO because it would cannibalize sales from their other, more lucrative products.
Dr. Todd Rider, the inventor of DRACO, said he found that government grant and NIH-type funding related to pharmaceuticals is largely limited to two broad areas: either basic research or the final step of bringing a new drug to market. However, they apparently don’t like to fund the middle part (where we are now), which involves clinical trials.
He also felt that investment from pharma companies would require showing effectiveness against commercially interesting viruses, such as herpes, which is why that was one of the goals of his 2015/2016 crowdfunding campaigns.
My view is a bit more cynical. Pharma companies have a number of drugs to treat viral illness (antivirals and others). Many of those drugs require regular use for a long period of time, because they don’t make the virus go away, they just temporarily keep the symptoms at bay as long as you continue to take them.
Grim Conclusion
If you’ve been following along with our prior articles, you’d know that NIH, USAID, and DTRA are complicit in harming Americans due to their funding for EcoHealth Alliance and their GOF research which undoubtedly led to the creation of SARS-CoV-2. They also funded DRACO, but mysteriously abandoned it after it was proven to work.
One can only speculate, but from where I stand, it looks like they wanted an antidote to their forthcoming SARS-based bioweapon. Something for VIPs and officials to use in secret, while leaving the public to rot and die, suffering from long-term sequelae from COVID-19 or the side effects from the barely tested, highly toxic, autoimmunity-inducing vaccines.
It would be trivial to clandestinely produce DRACO in sufficient quantities for VIPs to use. All you need is a couple bioreactors, some chromatography columns, some E. Coli, and the DRACO plasmids to transfect into them before culturing. It’s basically all the same lab equipment needed to produce recombinant insulin. This equipment could be hidden in the corner of a bunker or a nondescript commercial building, occupying no more than several hundred square feet at the most. Huge batches sufficient for thousands of people could be manufactured even in a relatively small laboratory.
We know for a fact that DRACO is being synthesized in China, where there is ongoing research into its effectiveness in porcine reproductive and respiratory syndrome virus.
Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer (DRACO) is a synthetic protein that includes three parts: protein kinase R (PKR 1–181), which can detect dsRNA; apoptotic protease-activating factor 11–97 (Apaf 11-97), which can help to selectively induce apoptosis in cells containing viral dsRNA; and protein transduction domain 4 (PTD-4), which can help to transport proteins into cells (Guo et al., 2015). In short, DRACO can rapidly kill virus-infected cells but does not affect uninfected cells. The DNA elements encoding DRACO were synthesized by General Biosystems (Anhui, China) and cloned into the expression vector pET-28a (+). The recombinant pET-28a-DRACO plasmid was identified by PCR, restriction enzyme digestion and sequencing. Then, the DRACO protein was successfully expressed and purified in vitro.
They had the cure long before they unleashed COVID-19 on us.
Not natural zoonosis. Not a lab leak. Intentional crimes against humanity.
Je vais écrire sur l’ajustement structurel et sur le retour sur investissement.
Je n’y connais rien, bien sûr. Je ne suis pas un expert, je suis ouvrier. Quoique pour avoir autrefois travaillé sur des projets internationaux j’en sais quand même assez sur l’ajustement structurel pour en être dégoûté.
Contrairement à un mythe qu’il faudrait dissiper, ces domaines ne nécessitent pas de grande expertise. Une fois leur logique comprise, on saisit vite quand un de leurs experts nous mène en bateau. Comme l’expliquait Miles dans l’article juste avant, un peu d’entraînement suffit pour développer un mal de mer salutaire. On réalise vite que c’est en presque en permanence qu’on se paie notre tête.
Quand on vous montre un artefact en métal de l’Egypte ancienne – alors qu’ils ne connaissaient pas la métallurgie – et qu’on vous explique que c’est fabriqué avec des métaux trouvés dans des météorites, un brin de curiosité vous ménera aux écrits d’Anatoly Fomenko – ou sur l’excellent site de Cédric-Michel Leclerc – qui ont fait le boulot, donnent leur méthodologie et le fruit de leur recherche: l’Egypte ancienne n’a jamais existé. Pourtant, il y a des égyptologues. Ce sont des experts.
Quand je repère des trous de forage modernes dans des colonnes ou des blocs à tailler sur des photos de ruines de la Grèce antique, imaginez ma surprise. Un peu de recherche suffit à découvrir que la Grèce antique n’a jamais existé non plus. Pourtant il y a des hélennistes. Ce sont des experts. Il y a également des experts en armes atomiques, ce qui devrait vous faire doucement rigoler après que vous aurez lu l’article suivant.
Des experts, vous avez vu défiler depuis deux ans et demi sur les plateaux de télévision – si vous détenez chez vous ce genre d’arme de destruction massive. Vous aurez eu l’occasion de déterminer si oui ou non on vous prend pour des pommes. Aujourd’hui, place aux experts en géostratégie, qui vont eux aussi vous mener en bateau pour vous vendre le conflit Chine/USA et/ou Russie/Europe. Prévoyez un sac en papier.
En y consacrant assez de temps, on acquiert une certaine expertise en matière de complots. Mais je le répète, méfiez-vous des experts. Prenez un peu de temps pour faire le boulot vous-mêmes – mais pas trop de temps. Investissez aussi dans l’observation de la Nature. Ça ouvre l’esprit, ça permet éventuellement de manger sainement, moyennant un peu d’effort, et ça peut même vous aider à comprendre le sens de la vie et la place de l’Homme sur Terre.
C’est ce qu’on est en train de vous confisquer.
Deux ans de blog
Pour les nouveaux qui voudraient lire mes précédents écrits (ou les anciens qui voudraient les relire) et ne se sentent pas de les rechercher dans deux cent nonante neuf titres, il y a ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci et surtout ceci et ceci et ce témoignage.
Ceci est donc le trois-centième. J’y reviens sur des sujets j’ai relayés ou traités jusqu’à présent et je relie les points. Je n’interviendrai plus désormais sur l’actualité que ponctuellement. L’objectif de l’actualité est de verrouiller l’esprit sur des arcs de pensée très courts et de faire écran, c’est le cas de le dire, à toute perspective historique. Un autre problème est qu’elle est le plus souvent fabriquée: soit un narratif frauduleux qui s’appuie sur des événements tangibles – le Covid en est un cas d’école – soit des événements purement fictifs élaborés dans tel ou tel think tank ou officine du Renseignement. J’ai déjà consacré pas mal de temps à traiter l’actualité au détriment d’articles de fond que je reporte sans cesse. Celui-ci en est un.
Je m’acharnerai aussi moins à publier des articles qui me prennent plus de temps à rédiger ou à traduire (quatre heures en moyenne) qu’il en faut à l’ensemble de mes lecteurs pour les lire. Quelqu’un m’a dit qu’il trouvait dommage que ce blog ne reçoive pas davantage de visites, ce à quoi je lui ai répondu que s’il attirait plus de monde, ça impliquerait que je n’aurais jamais eu besoin de le créer au départ. Le bon peuple qui vit dans l’insouciance ne se met à consommer des informations « alternatives » que dans l’urgence – pour souvent tomber dans le panneau des figures de proue de la « résistance ».
J’ai déjà souvent exposé l’opposition contrôlée, celle payée par le Renseignement pour ce travail. On trouve aussi un grand nombre d’idiots utiles (généralement plus idiots qu’utiles), qui n’ont eux pas besoin d’être contrôlés. Les uns comme les autres se focalisent sur les éternels suspects, de Gates à Soros, sans aller beaucoup plus loin. Leur point commun est de s’adresser au « comment » et au « qui », pas tellement au « pourquoi » – que nous aborderons en fin d’article. Leurs superhéros sont des « media darlings« , qui font partie de l’opération: des cartes joker du Renseignement comme Julian Assange, Edward Snowden et consorts, des personnages politiques sous contrôle, comme Donald Trump, Thierry Baudet et un paquet d’autres, des « patriotes » de droite sélectionnés pour leur innocuité et des gauchistes professionnels recyclés en défenseurs de la liberté. Leur discours s’articule autour des notions de liberté, de crime contre l’humanité, de génocide et d’eugénisme. Certains accusent la Chine (Naomi Wolf), d’autres la défendent (Matthew Ehret), ce qui fournit deux versions du même narratif simpliste, bâti sur la vision binaire du grand public, qui n’a pas conscience qu’il existe un monde au-dessus de leur monde, et qu’il n’y a qu’une élite aux commandes de tout le reste.
Pour maintenir le status quo, la communication est confiée à des animateurs-vedettes du Net surgis de nulle part – aux Etats-Unis des Alex Jones ou des Stew Peters et leurs équipages de faux enquêteurs – qui contrôlent les révélations, leur timing, chaperonnent les quelques professionnels sérieux trop visibles, les discréditent par association à des fantaisistes et enfin polluent l’information par des annonces exotiques ou apocalyptiques en tout genre. Leur incessante complainte est la censure de l’information sur les media mainstream, ce qui est un leurre. Internet est aujourd’hui le media mainstream, ils en sont les stars et leurs vidéos font des millions de vues. La télévision, comme la médecine, a déjà été sacrifiée dans le cadre de l’opération et n’attire plus que des hallucinés qui n’ont aucun poids dans les événements, si ce n’est celui de poids mort. Certains réseaux sociaux font tièdement semblant de censurer mais, pour rappel, Facebook, Twitter et consorts ne sont pas Internet. Au mieux, ils sont des outils d’abrutissement et de surveillance destinés à quart-mondiser la toile, ce qu’ils ont brillamment réussi. L’Internet, la plus grande invention depuis l’aspirateur sans sac, pouvait potentiellement engendrer un gigantesque bond en avant de la connaissance humaine. On attend toujours.
Covid
Les articles sur le Covid et sa version injectable commencent à fatiguer tout le monde – moi le premier. Franchement, à moins que vous débarquiez, passez directement au titre suivant. C’est du rabâché, ressassé, rebattu. J’en ai publié au moins deux cent sur le sujet. Aucune surprise dès lors qu’on a compris le principe, qui va du contrôle à la « dépopulation ». Je fais donc cette courte synthèse, non-exhaustive, basée sur cette interview du Dr Richard Fleming et de son résumé par Joel Smalley, auquel j’ajoute quelques points à partir du n°8.
Le SARS-CoV-2 est une arme biologique fabriquée en laboratoire, financée par le gouvernement américain, qui résulte d’une recherche de gain de fonction sur la protéine de pointe, la rendant plus infectieuse.
Les traitements sûrs et efficaces contre le virus ont été bloqués par les organismes de réglementation sanitaire américains.
La mise en quarantaine des personnes en bonne santé est totalement inefficace.
Les « vaccins » ARNm/ARN produits par Pfizer, Moderna et Janssen sont des armes biologiques qui délivrent la même protéine de pointe toxique que le virus, mais à des charges jusqu’à 5 millions de fois supérieures.
Les vaccinés sont responsables de la sélection par pression des variants (alpha, delta, omicron, etc.), prolongeant ainsi l’épidémie.
Le « vaccin » perturbe le système immunitaire naturel, rendant les vaccinés plus sensibles aux infections et aux maladies. [NdT. dont la flambée de cancers fulgurants observée actuellement]
Le « vaccin » par lui-même endommage les globules rouges et provoque une hyperinflammation et une coagulation qui entraînent la maladie et la mort.
Les « vaccins » déployés ont été déclinés en de nombreuses versions différentes en termes de dosage et de nanotechnologie embarquée.
Les particules nanolipidiques qu’ils contiennent ont également un rôle pathogène.
Outre leurs effets « secondaires », les injections ont comme conséquence de réduire la réponse immunitaire à la protéine de pointe (d’où les formes « moins graves »), qui se multiplie sans limite et fait potentiellement des injectés des super-épandeurs tandis que leurs organes sont attaqués par leur charge de protéine de pointe.
Tous les organes sont touchés mais les dommages au système reproducteur se reflètent dans la chute spectaculaire de la natalité, apparemment temporaire, dans les pays injectés.
Les nombreuses pathologies précitées sont déjà en hausse et attribuées à des causes surréalistes (réchauffement climatique, etc).
Le SARS-CoV-2 et les injections font partie d’une opération militaire, que l’on peut qualifier, en se basant sur ses conséquences, de Guerre Mondiale de cinquième génération – une forme élaborée de « black op« .
Cette guerre n’est manifestement pas le fait d’un pays en particulier mais d’un réseau supranational qui contrôle les gouvernements acteurs du projet et leurs services de Renseignement.
Elle s’adresse en priorité aux économies industrielles ou post-industrielles du Premier Monde, grands consommateurs d’énergie et de matières premières, dont elles dépendent entièrement pour leur survie.
A ce titre, elle fait partie d’un projet de contrôle sociétal, partiellement articulé dans diverses officines du pouvoir mondialiste – de l’Agenda 2030 de l’ONU au Grand Reset du Forum Economique Mondial – et implémenté sous forme « sanitaire » par l’OMS.
La même offensive continue sous forme de nouvelles « crises » organisées destinées à accélérer la faillite du système actuel: conflit en Ukraine, destruction des économies nationales, de l’industrie agro-alimentaire, des réseaux d’approvisionnement et du réseau énergie, et vraisemblablement d’autres à venir.
Les instigateurs et les exécutants de ce projet ont organisé depuis des décennies le cadre législatif pour ne jamais être tenus responsables de leurs actes dans le cadre de ce type d’opération, dont la liste est longue.
Tout ça est très instructif mais il y manque le point le plus important: l’immense majorité de ceux qui se sont fait injecter l’ont fait volontairement.
Energie
L’énergie est la mesure mathématique de l’existence humaine et de l’ensemble de la société. Nous sommes de l’énergie sous forme physique, le Soleil, la Terre et tout le système solaire est connecté comme système d’échange d’énergie émetteur/capaciteur, le premier canalisant la charge cosmique vers le second, et ainsi de suite. Pour les plus curieux, le Thunderbolt Project a ébauché la description de ce mécanisme, que Miles Mathis a continué à brillament théoriser et démontrer dans ses travaux sur la charge. C’est de la vraie science, pour une fois.
Tout comme les mitochondries touchées par le Sars-Cov-2, la société humaine commence à montrer des symptômes d’affaiblissement assez inquiétants. Elle plafonne depuis au moins trente ans tout en continuant à consommer la même quantité d’énergie, qui se dissipe aussitôt sans générer d’évolution ni d’effet sur son organisation interne. De plus, l’apport d’énergie qui alimente le système risque à moyen terme de diminuer ou de se tarir. Cette société atteint donc son point d’entropie, à partir duquel tout tend vers le chaos et la désintégration.
Côté agriculture, l’urbanisation indispensable à la révolution industrielle d’une part, et l’extermination de la classe paysanne lors de la Première Guerre mondiale d’autre part, ont justifié et consolidé la mise en place du modèle agricole de monoculture et celle de son complément, l’élevage intensif. La destruction écologique sans précédent qu’elle engendre par son usage intensif de pesticides et par l’épuisement des sols causé par les engrais chimiques garantissaient son échec dans le long terme. Du point de vue économique, l’agriculture industrielle n’est plus aujourd’hui que le maillon pauvre d’un coûteux réseau d’intermédiaires industriels (transformation) et commerciaux (distribution), et de financiers qui la phagocytent par le biais d’un marché truqué et tuent sa rentabilité. Elle n’est donc plus viable dans sa forme actuelle et, comme dans le secteur de l’énergie, aucune transition réaliste à l’horizon.
Dans le secteur bancaire, les banques commerciales européennes sont en situation de faillite effective depuis 2008, camouflée par des jeux d’écritures totalement illégaux, qui ne peuvent durer encore longtemps. La seule transition prévue est la monnaie digitale des banques centrales, qui n’est pas un système monétaire mais une ligne de crédit auprés de multinationales, dont la vertu annoncée sera l’égalitarisme et l’effacement de la dette, et l’effet concret de court-circuiter le dernier vestige du contrôle étatique de la monnaie et de l’inflation. En clair, la Banque supprime ouvertement un intermédiaire qui n’était déjà plus que symbolique. Au niveau individuel, la dernière liberté accordée au citoyen de choisir son mode de consommation disparaîtra dès lors que son crédit carbone, social, « vert », son statut vaccinal et d’autres critères liés à son portefeuille numérique seront jugés par des entités supranationales.
Les créateurs de ce système connaissaient dès le début sa forte entropie. Après l’avoir ponctionné sous toutes les formes possibles par des outils de manipulation monétaire, financière, sociale, comportementalistes, etc., ils ont aujourd’hui décidé d’accélérer sa destruction et ainsi rester maîtres de son remplacement par le suivant, le « technocratique ».
L’ancien Monde doit disparaître. Pour ce faire, rien de mieux qu’une catastrophe.
La catastrophe
[Pour s’instruire en s’amusant, Raymond Devos parlait en 1979 assez bien de la catastrophe.]
Chaque fois que la doctrine, qu’elle soit « communiste », « capitaliste », « libérale », s’empare de la gestion de la société, elle aménage la machine étatique pour atteindre le niveau de corruption visé que permet l’excès ou le manque de contrôle (régulation/dérégulation), et la catastrophe n’est ensuite plus qu’une question de temps. On peut se rappeler les bienfaits de l’étatisme communiste dans l’Ukraine de 1932-1933 (souvenir collectif sur lequel capitalise l’OTAN dans ses manoeuvres anti-Russes), maintenant que les Etats prétendent proposer des solutions à la sur-industrialisation du secteur agricole, mesures qui auront le même genre d’effet – voir notamment le pur délire qu’on tente de mettre en place aux Pays-Bas et ce qui vient de se produire au Sri Lanka. Si ce dernier pays se retrouve dans une merde noire, c’est pour s’être laissé entraîner dans une course à la conformité au cahier des charges de l’ESG – les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance – qui seront le clou final dans le cercueil de l’industrie et de l’agriculture.
En réalité, l’ESG est le faux nez du problème du rétrécissement du marché de l’énergie, qu’une partie de la « résistance » – les anti-Mathusiens – s’obstine à traiter comme temporaire. Leur discours récurrent est que, quelle que soit la croissance démographique, la créativité et le génie humains trouveront toujours les ressources technologiques et scientifiques nécessaires à assurer la survie et le bien-être de la masse. A ce titre, ils se battent sur le même terrain que les gens qu’ils dénoncent, c’est-à-dire en plaçant les solutions au niveau du système. C’est de la pure doctrine, pas meilleure que les promesses du communisme. Un modèle qui prétend ne pas avoir de limites quant au nombre d’êtres humains qu’il peut gérer est une utopie aussi dangereuse que l’eugénisme auquel il est censé représenter une alternative.
Comme dans l’adage du poisson, l’être humain ne doit pas être géré mais éduqué. Le problème n’est donc pas le nombre d’ếtres humains mais leur capacité individuelle d’autonomie. Encore une fois, c’est un problème de dépense d’énergie par rapport au résultat. Le résultat du système actuel est catastrophique. En l’absence de solution énergétique de rechange, il n’y a rien pour soutenir le mode de vie d’une population entièrement dépendante, qui n’a donc pas d’autre choix que d’apprendre à assurer cette autonomie. La solution n’est pas de changer de système mais de changer de mode de vie.
Pas comme on veut nous l’imposer.
L’ancien Monde
On va faire un pause dans cet article, avant qu’il devienne vraiment chiant. Je ne vais pas vous faire le portrait de l’ancien Monde. Même si 2019 semble aujourd’hui appartenir à la préhistoire, j’ose espérer que vous vous en souvenez encore un peu. Je vais plutôt vous conter une anecdote.
Ma grand-mère maternelle est née en 1920. Enfant, elle habitait avec sa famille dans la commune de St-Nicolas, en province de Liège. La rue des Grands Champs se nommait ainsi parce qu’elle était vraiment entourée de grands champs – à présent disparus, remplacés par des habitations périurbaines sans âme – dans lesquels elle allait, hors période scolaire, jouer des jours entiers avec ses frères et soeurs, leur mère les rappelant uniquement pour le repas du midi et du soir. Rien que cette partie de l’histoire semblera très exotique à la plupart de mes lecteurs les plus jeunes. La suite les fera peut-être réfléchir. J’espère…
Quand un des enfants entendait le premier un bruit de moteur, il ameutait les autres, qui le suivaient tous jusqu’au talus de la rue des Grands Champs. C’était le moteur d’une automobile. Les enfants attendaient le passage de la voiture, comme un événement rare. Les seuls autres véhicules qui passaient par là étaient des charrois agricoles, tirés par des chevaux. Quand ma grand-mère m’a raconté cette histoire, il y a une trentaine d’années, c’était pour me faire comprendre à quel point et à quelle vitesse le monde avait changé. Il ne vient désormais plus à l’idée de personne de contempler le passage d’une automobile. Il y a trente ans, les enfants s’arrêtaient pour voir encore passer une – rare – voiture tirée par des chevaux. Aujourd’hui, les seuls qui passent parfois sur la route sont montés par des cavaliers. Je vis à la campagne et les chevaux – magnifiques – que je vois sont au pré ou dans un manège. Je dois parfois attendre plus d’une minute pour m’engager en scooter dans la rue principale du village, et ce n’est pas toujours à l’heure de pointe. Une minute de circulation, dans les deux sens, ça fait beaucoup de voitures.
Ma grand-mère n’est pas née sous Napoléon. Elle est née il y a un peu plus d’un siècle. Il y avait alors sur Terre 1.811 millions d’êtres humains.
Le nouveau Monde
Le premier grand malentendu est donc qu’il est possible que rien ne change. Le pouvoir cultive cette illusion tant qu’elle lui est utile, tout en contenant l’évolution naturelle de la société – une excellente recette de la catastrophe. Quand il devient inévitable et urgent d’opérer un changement, il met en oeuvre des stratagèmes pour vendre sa propre version de ce changement aux peuples. Le dernier en date s’appelle « Nouveau Normal », « Build Back Better« , « Grand Reset », au choix.
L’autre malentendu est qu’il est possible – voire souhaitable – de tout contrôler. Encore une fois, le pouvoir a inventé cette notion absurde, dans son propre intérêt, en évacuant le fait que quasiment tout dans ce monde – y compris l’être humain – fonctionne seul et sans intervention. C’est ainsi qu’il parvient à vendre ses armes de destruction massive censées contrôler le climat – ou le Covid – à un peuple oublieux du fait que le réchauffement climatique s’appelait autrefois « été » et qu’il existe une chose nommée système immunitaire, qui a l’air de fonctionner plutôt bien, même contre des armes biologiques.
On nous présente la situation actuelle comme problématique mais elle est le résultat de choix opérés par la même caste que ceux qui les dénoncent aujourd’hui. Comme très bien expliqué dans cet article de Gail Tverberg – et comme développé dans mon préambule – le pétrole aurait dû être vendu beaucoup plus cher dès le départ, ce qui aurait temporisé son utilisation intensive, contenu l’explosion de la croissance démographique et de l’urbanisation (43% de la population mondiale), deux excès qu’il faut maintenant affronter.
Sous l’impulsion des familles du pétrole et de la finance, suffisamment influentes pour court-circuiter la régulation politique, fut établi le modèle d’industrialisation de quasiment tout, de l’agriculture à la pharmacopée, malgré que le modèle précédent était suffisant et durable. Le modèle « capitaliste » qui l’a remplacé n’est en fait qu’une étiquette apposée sur le modèle de croissance infinie et du mythe de l’énergie inépuisable, qui alimente un marché financier appuyé sur la dette et ses intérêts. En URSS, zone richissime en matières premières, il fut décidé – par les mêmes – d’organiser la croissance industrielle sous planification d’Etat. Le résultat fut épouvantable, notamment en raison de la profonde corruption de ses gestionnaires. Le XXème siècle fut ainsi le laboratoire du pouvoir grandeur nature et la préparation à l’application de ses méthodes les plus efficaces. Nous entrons maintenant dans un modèle actualisé d’étatisme de façade, téléguidé par les mêmes familles et potentialisé par la technocratie. Il est donc sérieusement temps de s’en inquiéter. L’Occident montre aujourd’hui – notamment – des symptômes de soviétisation, tels que des délais extravagants pour l’obtention d’une automobile, des menaces de pénuries alimentaires, la perte de la propriété privée, etc.
Contrairement à ce qui est annoncé partout, le prochain modèle ne sera pas multipolaire. Le nouveau pôle de pouvoir sera la Russie, associée à la Chine. Pour y parvenir, l’Occident est systématiquement détruit par une élite mondialiste – qui désigne la Russie comme coupable de nos maux – à l’arme sanitaire, alimentaire, énergétique, économique et probablement climatique, pendant que la Russie connaît une récolte de blé historique, que le rouble se stabilise par son rôle de nouvelle monnaie d’échange sur le marché de l’énergie, que le bloc BRICS établit sa propre réserve monétaire, que ces deux pays contrôlent le marché des engrais, etc.
Plusieurs raisons à ce changement de pilotage. D’abord, ce sont des zones où l’Etat a joué un rôle autoritaire sur plusieurs générations, ce qui lui confère le savoir-faire nécessaire pour contenir ou discipliner les « démocraties » à l’occidentale. Ensuite, ce sont des pays où le niveau moyen d’apprentissage est plus élevé qu’en Europe. Le jeune Russe typique, me dit-on, se lève tôt le matin, travaille toute la journée et fréquente ensuite un lieu d’enseignement pour rentrer tard le soir. La comparaison avec l’état du système éducatif en Europe de l’Ouest est vite faite. Les outils de lavage de cerveau tels que l’égalitarisme, la théorie du genre, le changement climatique, etc. ont fait de ce secteur, avec la complicité du monde enseignant, une fabrique de diplômés déboussolés, analphabètes, inemployables, geignards et indisciplinés, une cure permanente d’antidépresseurs et de smartphone dernier cri servant à calmer l’angoisse existentielle de ceux trop inertes pour devenir délinquants. Peu en réchappent. Ils sont l’avenir.
Quant au rôle de pôle industriel de la Chine, comme chacun l’aura constaté, il est déjà plus ou moins effectif (28% de la production mondiale). Les Chinois – les Asiatiques en général – sont réputés, à juste titre, pour leur très haut niveau d’adaptabilité, de détermination et de résilience. Dans l’ensemble de cette redéfinition planétaire, la place de la Chine est depuis le début la volonté de la Banque, qui comprend l’intérêt de ne pas placer ses billes dans un Occident nettement moins opiniâtre et plus rétif à l’obéissance. Ce serait un placement à haut risque, et la Banque ne prend pas ce genre de risque.
La Banque
« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »
Gutle Schnaper Rothschild
C’est évidemment un terme très général, que j’emploie ici pour représenter le réseau qui contrôle les banques commerciales, les banques d’investissement, les bourses, la haute finance et les organismes de régulation bancaires, dont la Banque des Règlements Internationaux est le sommet hiérarchique. Derrière ce réseau agissent depuis des siècles les mêmes familles, qui l’utilisent pour faire et défaire les civilisations et régir la destinée de la société humaine.
La Banque est maîtresse de l’argent qu’on lui confie, a fortiori depuis la dérégulation qui a permis aux banques commerciales de pratiquer l’investissement. L’investissement contrôle la dynamique des économies nationales et oriente l’évolution de la société. Que celle-ci prenne la forme d’une démocratie, d’une dictature, d’une technocratie, d’une dystopie, d’un coup d’état communiste, ou de n’importe quoi d’autre a peu d’importance. En temps de paix, le secteur politique sera soumis aux diktats des investisseurs. Si nécessaire, une guerre fera l’affaire. Ce qui intéresse la Banque, c’est son retour sur investissement. Si la Banque investit dans un secteur, il faut qu’il soit rentable, ou au minimum stable. Pour garantir cette rentabilité/stabilité, il faut contrôler le système social, contrôle que des outils de mesure comme le NAIRU – le taux de chômage non générateur d’inflation – permettent de quantifier. Elle est également maîtresse de l’argent qu’elle crée par le biais des Banques Centrales, émanation du secteur bancaire privé, à qui a été confiée la création monétaire, autre moyen de contrôle de l’inflation à la baisse ou, comme c’est le cas en ce moment, à la hausse. L’inflation est l’outil modulable d’appauvrissement des peuples. Quand le système devient trop instable et ne garantit plus un retour sur investissement à long terme, il y a l’outil de l’ajustement structurel.
L’ajustement structurel est un terme creux pour désigner la refonte d’un système, en général vers un niveau de technicité supérieur. Il peut s’adresser à un réseau de distribution d’eau, à un tissu industriel ou à d’autres sous-systèmes. Aujourd’hui, il s’adresse à l’ensemble du système.
Je prends l’exemple de la distribution d’eau parce que j’ai travaillé sur un projet de ce type. Je vous explique. La qualité de l’eau dans tel pays – traditionnellement pauvre – est médiocre pour cause de vétusté, incompétence, corruption, manque de moyens, etc. Le prix de l’eau est toutefois suffisamment bas pour que les familles les plus humbles y aient accès. Intervient l’ajustement structurel, généreusement financé par une organisation internationale, qui effectue un upgrade du réseau, sous-traîté à diverses compagnies privées après appel d’offres. La qualité de l’eau est améliorée. Les prix aussi, qui sont multipliés par deux, dix, ou vingt. Les familles humbles n’y ont plus accès. Si vous avez suivi ce qui est dans le pipe-line des projets destinés au monde industrialisé, vous aurez noté une certaine similitude, sauf qu’il ne s’agit pas d’améliorer la qualité mais la conformité au cahier des charges ESG (voir plus haut), ou au Green New Deal, ou au Grand Reset, qui mènera à la confiscation de tout pour quasiment tout le monde. Le Grand Reset est un projet d’ajustement structurel qui ne dit pas son nom. Je défie quiconque de me prouver le contraire. C’est le cadre nécessaire pour un investissement dont on attend un retour, rien d’autre.
Dans la sphère du pouvoir, le monde politique ne sert plus que d’interface entre la Banque et les peuples: il accomplit ses directives économiques en les présentant comme doctrine politique, environnementale, sociale, peu importe, à un peuple ignorant des mécanismes financiers. Il se contente de règlementer – ou dérèglementer – le cadre économique et de prendre les mesures qui maintiendront ou non, en fonction des besoins du moment, un semblant de paix sociale ou militaire. Si le politique est insuffisant pour ce rôle, on engage des seconds couteaux tels que Bill Gates ou Klaus Schwab pour vendre la doctrine de la dictature biosécuritaire, pendant que les investisseurs rachètent tout ce qui peut être racheté sous le soleil.
Historiquement, c’est la Banque qui a autrefois financé, grâce au système de réserve fractionnelle, la conquête des colonies et la présence tentaculaire de l’Europe dans le monde, que le développement des transports a fini par rendre obsolète. C’est la Banque qui a ensuite donné les rènes du pouvoir mondial aux Etats-Unis, dont la présence militaire et le contrôle de l’exploitation pétrolière via pétro-dollar lui ont assuré le retour sur investissement dans le système issu de l’or noir. C’est la Banque qui cède aujourd’hui cette place à la Russie. La Russie s’unit avec la Chine, remet à jour ses alliances avec la Syrie, l’Iran, la Turquie et utilise celles de ses satellites « communistes » comme le Vénézuela. Ces alliances formeront le bloc qui remplacera sur la scène internationale la zone d’influence américaine, qui va considérablement rétrécir dans les prochains mois, avant de s’éteindre complètement. La prochaine destitution de l’administration Biden se profile de plus en plus clairement – la divulgation sur 4chan des vidéos compromettantes du fils Hunter est évidemment une opération du Renseignement, sans qui rien ne pourrait jamais filtrer. Le scénario probable est que le Vice-Président Harris ne reprendra pas la fonction, ce qui devrait laisser le champ libre au rétablissement, en 2024 au plus tard, du héros fabriqué du nationalisme, Trump, dont l’image sortira indemne de l’opération Covid, l’intérim programmé de Biden lui ayant permis de préserver son image pendant le massacre sanitaire. Le boulot de Trump sera de démanteler l’influence extérieure des Etats-Unis, au nom de la priorité nationale, thème bien connu de la droite patriote.
Dans un autre registre et pour l’anecdote, le rôle d’Elon Musk est évidemment la destruction organisée de Twitter, mais aussi de Telsa. Outre l’absence d’une politique énergétique de remplacement réaliste, quasiment rien n’est fait pour la mise en place d’un nombre suffisant de stations de rechargement ni pour la production ou le recyclage des batteries électriques. Du mirobolant futur parc de véhicules électriques restera d’ici quelques années un privilège (en leasing, avec services payants) réservé à une petite classe de citoyens conformes, parqués dans des « villes intelligentes », à qui on pourra tout infliger et qui trouveront ça normal – comme dans « Nouveau Normal ». Tout comme pour l’agriculture et l’énergie, il n’y aura aucune transition dans le secteur des transports de masse tels qu’ils existent aujourd’hui. Ceux-là disparaîtront purement et simplement.
Ce ne seront pas les seuls.
Nous sommes tous foutus. La société ne survivra pas à ça. Il faut moins de morts qu’on ne le pense pour que tout s’effondre. Une mortalité de 10% mettrait fin à la bulle de la dette qui alimente ce merdier, et ce n’est pas le seul problème.
On se sera bien amusés le temps que ça aura duré.
We are all screwed. Society will not survive this. It takes fewer deaths for a collapse then one might think. A 10 percent die off would end the debt bubble that props this shit show up, just one issue.
L’élite en est arrivée à la conclusion, tout à fait correcte, qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut et que nous le tolérerons. Et si cette conclusion est correcte, elle est probablement justifiée. Si nous le tolérons, nous le méritons.
The elite have come to the conclusion, correctly so, that they can do anything they want and we will tolerate it. And if it’s correctly so, it’s probably justifiably so. If we will put up with it, we deserve it.
La majorité des peuples ne tolèrent pas ce que leur inflige le pouvoir, ils le demandent. Ils veulent être guidés, même si c’est jusqu’à l’abattoir. Ils veulent des leaders, dans tous les domaines – que ce soient des usurpateurs est sans importance. Le peuple a depuis longtemps renoncé à la maîtrise de son destin, et même au choix de ses maîtres. Il veut juste qu’on lui raconte une belle histoire. Malheureusement, cette histoire est une imposture complète et c’est tout ce qu’elle peut être. Elle a servi de fondation à tout le reste. C’est ainsi qu’ont pu naître les concepts de nation, de patriotisme, et de cent autres que les peuples défendent même et surtout contre leur propre intérêt. On ment en permanence aux peuples, exactement comme on ment aux enfants, dont on considère qu’ils n’ont pas la maturité pour connaître la vérité. L’ennemi du peuple, c’est le peuple lui-même. Ses maîtres pervers ne sont que le poison qu’il s’inflige à lui-même. Il s’en plaint mais ne commence jamais le travail nécessaire pour s’en passer.
Si j’encourage mes lecteurs à observer la Nature, ce n’est pas pour rien. Au minimum, ça leur permettra d’échapper au spectaculaire effet « mémoire de poisson rouge » et à l’encore plus impressionnant effet de déni de réalité. J’entends des gens du coin se plaindre du climat de plus en plus sec. Ils confondent le climat et le temps qu’il fait et ils ont apparemment déjà oublié les inondations de l’été dernier – je pourrais leur rappeller les 200 tonnes d’eau que j’ai dû pomper de ma cave. Je les entends aussi répéter que les récoltes de cette année sont très mauvaises alors qu’ils passent tous les jours devant des champs de blé et de maïs prêts pour la récolte un bon mois à l’avance. Mais bon, les récoltes sont mauvaises, ils l’ont entendu à la télévision.
Ils ont aussi entendu depuis toujours que la vie sur Terre est le fruit de l’évolution. Depuis l’imposture de Darwin, le fil conducteur de la science est le mépris de l’intelligence, une intelligence qu’il est urgent de défendre, ou de retrouver. D’après moi, la théorie de l’évolution est l’obstacle majeur sur ce chemin. Elle est d’une stupidité tellement anachronique que sa survie est plus que suspecte. Elle aurait dû être abandonnée mille fois, vu les moyens dont on dispose depuis presque un siècle, en particulier depuis la découverte de l’ADN – il y aurait un article entier à écrire sur ce sujet . Si elle est donc maintenue avec autant d’énergie et de duplicité c’est pour une raison: elle a pour effet un genre d’erreur récursive de la pensée, qui pollue tous les domaines de la connaissance. Tant qu’on ne s’en sera pas débarrassés, tous les problèmes humains ne seront résolus que temporairement, et reviendront inévitablement sous une forme ou une autre. Les diverses doctrines politiques ou économiques ne seront d’aucun secours.
C’est une des manières de coincer l’Homme dans sa bulle sociétale et de lui faire perdre son contact avec la Création, tout sens et toute joie de sa simple existence. Il naît pourtant avec en lui le besoin d’obéir à quelque chose de plus grand, avec les facultés de perception nécessaires pour le comprendre et le développer. C’est pour cette raison, et pour aucune autre, que la place vacante du sacré a pu être investie par un gang de faux technocrates – et vrais psychopathes – que leur anathème lié à leur profonde incompétence rend particulièrement dangereux. Ils veulent gérer le peuple, à condition qu’il ne soit pas trop nombreux. Ces gens se prennent littéralement pour des dieux. Pour cela, ils ont renoncé à être des hommes, depuis très longtemps.
Et ils veulent nous emmener avec eux dans cet Enfer.
Conclusion
Je trouve beaucoup de commentaires éclairés sur Substack, souvent plus intéressants que l’article lui-même. J’en ai cité dans cet article, je vous en livre un autre en guise de conclusion, que je trouve au moment de mettre sous presse.
Les gens qui sont contre cette opération et qui observent ce qui se passe ont tendance à ne penser qu’en termes de batailles, de tactiques et de jeux de dames.
Ces psychopathes pensent en termes de guerres séculaires, de stratégie et d’échecs.
C’est pourquoi ils sont toujours gagnants. Ils transmettent leur projet de génération en génération, et ils sont très patients. Ça ne les dérange pas de sacrifier même leurs pièces les plus précieuses. Ça ne les dérange pas de paraître faibles. Ça fait partie de leur stratégie.
Pendant ce temps, la « résistance » à courte vue pense que parce que le château de cartes s’écroule, ça veut dire quelque chose. Mais le château de cartes a été conçu pour s’écrouler. Ça s’appelle un sacrifice.
Les personnes moyennes ne regardent pas au-delà de leur horizon. Ils se contentent d’étudier quelques arbres et pensent avoir compris. Mais ils ne réalisent pas que la forêt est en fait un laboratoire.
Les rituels ne font que commencer.
Mais je conviens que le combat est spirituel. Je ne fais que décrire la partie séculaire.
Au Canada et en Europe, on exige que les gens se fassent injecter pour avoir accès au suicide médicalement assisté.
C’est du vampirisme spirituel. La récolte des âmes.
[…]
Maintenant, faites un zoom arrière et regardez le monde et sa machinerie globale. Pensez aux bribes de nouvelles qui nous parviennent. Songez au peu que nous savons réellement, et pourquoi nous savons si peu, et pourquoi on nous le montre.
Ils ont retourné les vices de l’humanité contre nous. Et globalement, nous sommes devenus plus faibles au fil des générations. Par notre propre volonté. La plupart des gens sont incapables de survivre sans le système. Mais ce n’est pas notre système, c’est le leur. Nous ne le comprenons même pas. Il est trop immense. C’est le système de la bête.
Donc, en fait, ils ne font que ranger leurs propres jouets dans leur boîte à jouets. Ils considèrent que c’est leur droit de renégocier les conditions de service. Tout est dans les clauses en petits caractères.
Ils vont nous laisser nous détruire et nous détruire les uns les autres. Et ils se délecteront de tout ça.
Mais nous n’avons jamais été créés pour faire partie de leur système. C’est pour cette raison que la plupart des gens ne se sentent pas à leur place.
Nous sommes confrontés à des choix difficiles. Le chemin de moindre résistance est généralement un piège. Seul le chemin difficile mène à la victoire.
Ils vont achever la démolition contrôlée de l’économie, pour commencer.
Je dis « contrôlée » parce que les gens au sommet du système pyramidal ne se soucient pas de l’argent. Ce sont eux qui ont tout inventé à la base, et ils possèdent ce qu’ils pensent avoir de la valeur. Seuls leurs sous-fifres ont soif d’argent, et parce que les sous-fifres croient à tort qu’ils sont au courant de tout le projet et qu’ils sont extrêmement avides, ces idiots utiles continueront à jouer leur rôle jusqu’à la fin. Ils sont trop arrogants pour imaginer qu’ils puissent être trompés et jetés comme le seront ceux qu’ils regardent de haut.
Si les banques centrales lancent leurs monnaies numériques, les « super banquiers » ne seront plus nécessaires. Toutes leurs années de malfaisance seront réduites à néant. Leur seul espoir sera de jouer un rôle de concierge ou de relations publiques. Ceux qui ne mourront pas sous le choc ou par injection se suicideront.
Une fois l’économie et les chaînes d’approvisionnement démolies, peu importe ce que nous serons en mesure de prouver.
Je pense qu’il vaut mieux être préparé. Si les gens ne comprennent pas ce qui va se passer et qu’ils acceptent l’aide sociale et le revenu de base universel (pour autant qu’ils survivent aux retombées de l’effondrement, au chaos social, etc), ils se retrouveront complètement asservis. Pour des générations.
[…]
Pensez-vous qu’un bon parent empêche ses enfants d’apprendre? Il y a une leçon inestimable à tirer de tout cela. Lorsque les humains ne subissent pas de conséquences, ils n’apprennent pas. Lorsque les parents empêchent leurs enfants de faire l’expérience des conséquences, ces derniers ne grandissent jamais.
Cela fait partie de notre éducation. Ce n’est pas « mauvais », pas « injuste », c’est merveilleux. Nous comprendrons tout lorsque les écailles tomberont de nos yeux.
[…]
Seul Dieu est réel. L’univers est une pensée dans l’esprit de Dieu. Je suis un personnage dans un roman écrit par Dieu. Dieu connaissait la fin avant le commencement. Nous disposons du libre arbitre. Seul l’amour est réel, mais nous avons été placés dans un monde d’illusion pour que nous puissions découvrir ce que signifie l’amour. L’amour est bon. L’amour est Dieu.
Le mal fait partie de notre éducation. Comme la gravité. La gravité peut paraître oppressante, mais elle nous rend plus forts. Sans gravité, nous n’aurions pas de muscles, pas de densité osseuse, notre système cardiovasculaire ne fonctionnerait pas… Mais si on se jette d’une falaise, on aura l’impression que la gravité veut nous tuer. Ce n’est pas vrai pour autant. C’est une perception.
C’est pourquoi nous avons des traditions spirituelles et des enseignants, et la capacité de dépasser les rouages du monde matériel pour nous rappeler qui nous sommes, ce qui est réel.
L’amour ne disparaît pas en présence de l’illusion ou du mal. L’amour est constant, éternel, omniprésent. Notre défi est de nous en souvenir au cœur de l’illusion, de la douleur et de la souffrance.
Quelle est la durée d’une vie humaine? Toute douleur et toute souffrance sont temporaires. Regardez les grands maîtres spirituels. Ils n’étaient pas coincés ici, ils étaient simplement ici. Mais ils étaient aussi ailleurs.
Lorsque les gens pensent qu’ils ne sont pas traités équitablement, ils souffrent. Quand les gens pensent qu’ils vivent une mauvaise expérience, ils souffrent.
Il est possible de maintenir une connexion et une immersion dans l’amour à travers n’importe quelle épreuve. Il est possible pour le corps d’endurer un grand traumatisme sans que l’esprit ne souffre. Il est possible d’éprouver une grande douleur et de ne pas souffrir.
Je pense que tout ce que nous vivons a un but. L’amour en est le but.
Les enfants comprennent rarement « pourquoi ». Nous sommes des enfants. Mais nous finirons par grandir.
Si nous sommes attachés à ce système contre-nature et maléfique, nous périrons en même temps que lui.
Nous devons le laisser mourir. Les personnes qui ne veulent pas être sauvées ne le seront pas. Ils ne sauteront jamais dans le radeau de sauvetage. Ils pensent qu’ils font partie du navire.
Vous voyez pourquoi il est utile d’avoir le mal de mer.
Comme d’habitude, une information – ici, sur l’historique du cadre légal de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence accordé aux injections – que vous ne trouverez nulle part sur le web francophone, et assez difficilement dans sa version américaine. Je déplore le peu de lecteurs que ce genre d’information attire généralement, alors qu’elle est d’une importance majeure.
Ce premier article sera suivi d’un deuxième du même auteur. Il s’agira d’un extrait, la liste de toutes les implications légales qui découlent de l’élément du Code décrit ci-après, et d’autres.
Les deux défenseurs légaux auto-appointés des peuples, le Dr David Martin et Reiner Fuellmich, après avoir rédigé l’ébauche d’une plainte, expliquent ne pas pouvoir intenter de procès géant à Big Pharma en raison de la corruption des tribunaux, là où il est écrit noir sur blanc dans les textes de loi que tout procès est impossible.
On a la culture qu’on se fait et les défenseurs qu’on mérite.
Note: USC est évidemment l’acronyme de United States Code, le Code Américain. Il est divisé en Titres, Sous-Titres, Parties, Sous-parties, Chapitres, Sous-chapitres et Sections. C’est de l’une de ces sections qu’il est question ici.
Implications du 10 USC 2371b du Code américain, la disposition relative aux contrats fédéraux citée par Pfizer
Des centaines de millions d’Américains et des milliards de personnes dans le monde ont été contraintes de participer à une expérience du Département de la Défense
Katherine Watt
26 mai
Comme annoncé hier, le 22 avril 2022, Pfizer a déposé une demande de rejet de la plainte déposée par le dénonciateur Brook Jackson au titre du False Claims Act [Loi sur les Fausses Allégations].
Dans sa demande de rejet, Pfizer ne prétend pas que les essais cliniques des produits commercialisés par le gouvernement américain sous le nom de « vaccins Covid-19 » n’étaient pas frauduleux.
Au lieu de cela, Pfizer soutient que la société n’a jamais eu l’obligation de mener des essais solides et non frauduleux en vertu de son accord de base avec le gouvernement américain (pièce A de la demande de rejet de Pfizer déposée le 22/04/2022) et du cahier des charges (pièce 10 de la plainte de Jackson déposée le 08/01/2021 et de sa plainte amendée déposée le 22/02/2022).
« En raison des exigences liées à la pandémie, l’accord n’était pas un contrat d’approvisionnement fédéral standard, mais plutôt un accord « prototype » exécuté en vertu de l’article 2371b du 10 U.S.C. […].
Le [cahier des charges du contrat] décrit une ‘démonstration de fabrication de vaccins à grande échelle’ qui n’impose aucune exigence relative aux bonnes pratiques cliniques (‘BPC’) ou aux règlements connexes de la FDA« .
Pfizer a en outre fait valoir ce qui suit:
« Le « comportement réel » du gouvernement est éloquent. La plainte elle-même et le dossier public montrent que le gouvernement était pleinement conscient des allégations du rapporteur [du dénonciateur Jackson] pendant près de deux ans, sans pour autant retirer l’autorisation ou arrêter le paiement du vaccin de Pfizer. »
C’est exact. Jackson a dit à la FDA [Food and Drugs Administration] que les essais étaient menés de manière corrompue et illégale en septembre 2020, et la FDA est allée de l’avant malgré tout.
Jackson l’a dit au Département de la Justice en janvier 2021 lorsqu’elle a déposé sa première plainte en vertu du False Claims Act. Le Département de la Justice lui a interdit de parler publiquement et a refusé de poursuivre Pfizer ou ses sous-traitants.
10 USC 2371b a été renuméroté. Il s’agit désormais de 10 USC 4022 – Autorité du Département de la Défense pour mener à bien certains projets de prototype.
Voici où se situe 10 USC 4022 dans le Titre 10, Droit Militaire :
Titre 10 – Droit militaire
→ Sous-titre A – Droit militaire général
→ →Partie V – Acquisitions
→ → →Sous-partie E – Recherche et ingénierie
→ → → → Chapitre 301 – Recherche et ingénierie en général.
→ → → → → → Sous-chapitre II – Accords
→ → → → → → → Section 4022 – Pouvoir du Département de la Défense de mener à bien certains projets de prototype.
« [L]e directeur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), le Secrétaire d’un département militaire ou tout autre fonctionnaire désigné par le Secrétaire à la Défense peut, en vertu de l’autorité de la section 4021 de ce titre, réaliser des projets de prototypes qui sont directement liés à l’amélioration de l’efficacité de la mission du personnel militaire et des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux de soutien proposés pour être acquis ou développés par le Département de la Défense, ou à l’amélioration des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux utilisés par les forces armées.
C’est ce que sont l’épidémie de SARS-CoV-2 et le programme d’injection Covid-19 : un projet de prototype militaire.
Voir aussi: En 1997, le Congrès américain a fait semblant de mettre un terme aux expérimentations non éthiques du gouvernement américain sur le personnel militaire, tout en élargissant en fait le groupe de sujets humains susceptibles de faire l’objet d’expérimentations de la part du Département de la Défense pour inclure les militaires et le reste de la population américaine, en déplaçant les programmes expérimentaux du Département de la Défense vers la Food and Drug Administration [FDA – Direction des Produits Alimentaires et Pharmaceutiques] du Department of Health and Human Services [HHS – Département de la Santé et des Services Humains], puis en fusionnant le HHS avec le Département de la Défense par une législation ultérieure.
1997 National Defense Authorization Act for FY98 [NDAA – Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 1997 pour l’année fiscale 1998] – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). La section 1078, « Restrictions sur l’utilisation de sujets humains pour les essais d’agents chimiques ou biologiques », a été abrogé et remplacé une section de 1977 du chapitre 32 du 50 USC, le Programme de Guerre Chimique et Biologique. La disposition de 1977 (50 USC 1520) avait ajouté une exigence selon laquelle le Département de la Défense devait rendre compte au Congrès des programmes d’expérimentation humaine du Département de la Défense. En 1997, le Congrès a remplacé la disposition 1520 par la disposition 1520a, censée interdire au Département de la Défense de mener des expériences sur des soldats sans le consentement éclairé de ces derniers. Cette disposition a été adoptée par le Congrès en réponse à l’indignation publique suscitée par les lésions et les décès causés par les injections obligatoires d’anthrax aux soldats pendant et après la guerre du Golfe de 1991. Toutefois, l’autorisation d’expérimentation du gouvernement fédéral sur des êtres humains non consentants a été maintenue ; le Congrès a simplement transféré le programme dans le Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (voir ci-dessous, adopté trois jours après la NDAA) dans des situations d’urgence déclarées (Emergency Use Authorizations/EUA) [Autorisation d’Utilisation d’Urgence – AUU].
1997 Food and Drug Administration Modernization Act [Loi sur la Modernisation de la Direction des Aliments et des Médicaments] – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Ajout d’une nouvelle section au Federal Food Drug and Cosmetics Act [Loi Fédérale sur les Aliments, les Médicaments et les Cosmétiques] (21 USC 9) pour élargir l’accès aux médicaments et dispositifs expérimentaux dans les situations d’urgence (21 USC 360bbb). C’était le début du cadre d’autorisation d’utilisation d’urgence qui a culminé dans le programme de coercition psychologique, sociale et économique du gouvernement fédéral visant à l’injection universelle de tous les citoyens américains avec des produits commercialisés comme des vaccins Covid-19, opérationnel de la mi-2020 à aujourd’hui.
Il y a beaucoup plus à creuser ici, en commençant par l’histoire des amendements au 10 USC 4022, et les contrats de Pfizer avec les branches militaires du gouvernement américain.
Le Congrès a adopté le 2016 National Defense Authorization Act [Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 2016]. PL 114-92, 129 Stat. 893 le 25/11/2015. La section 815 a ajouté le langage contractuel « prototype » au titre 10, Droit Militaire (10 USC 2371b, renuméroté ultérieurement 10 USC 4021), autorisant le Département de la Défense à passer des contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour mener des expériences médicales autrement illégales sur le public américain et mondial sans avis ni consentement. [Ce paragraphe a été ajouté le 27 mai 2022].
Également lié: L’un des facteurs à prendre en compte par le Secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux [HHS] pour déterminer les contre-mesures de sécurité qualifiées à acquérir, en utilisant le Fonds de Réserve Spécial du Département de la Défense, pour stocker le Stock National Stratégique de produits pharmaceutiques, auprès de sociétés pharmaceutiques, est de savoir « s’il existe un manque de marché commercial significatif pour le produit au moment de l’acquisition, autre que comme contre-mesure de sécurité ». 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), tel que révisé par le Congrès en 2004.
En d’autres termes, dans le cas d’un produit qu’aucun consommateur n’achèterait dans des circonstances commerciales normales, mais que les entreprises pharmaceutiques veulent vendre et dont le gouvernement américain veut mener des activités de recherche et de développement sur ses applications militaires, le Secrétaire du HHS le classe comme une contre-mesure de sécurité qualifiée, l’entrepreneur pharmaceutique le fabrique, le gouvernement américain l’achète en gros et le gouvernement américain oblige la population à le prendre.
Note complémentaire: Un lecteur m’a récemment envoyé un lien vers une page contenant les contrats du gouvernement américain relatifs au Covid. Les contrats Pfizer n’y figurent pas, mais deux contrats Moderna y figurent, tous deux émis par ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority) [Secrétaire Adjoint du Département de la Santé et des Services Sociaux pour la Préparation et la Réponse, Autorité de Recherche et de Développement Avancés Biomédicaux]. Tous deux sont lourdement expurgés. Les autres sociétés sous contrat figurant sur cette liste sont American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron et Vyaire.
Ste Véronique
Texte original
Implications of 10 USC 2371b, the federal contracting provision cited by Pfizer
Hundreds of millions of Americans and billions of people around the world were forced into a DOD experiment
In its motion for dismissal, Pfizer doesn’t argue that the clinical trials, for the products marketed by the US government as ‘Covid-19 vaccines,’ were not fraudulent.
Instead, Pfizer argues that the corporation never had an obligation to conduct sound, non-fraudulent trials under the terms of its Base Agreement with the US government (Exhibit A to Pfizer’s Motion to Dismiss filed 04/22/2022) and the Statement of Work (Exhibit 10 to Jackson’s Complaint filed 01/08/2021 and her Amended Complaint filed 02/22/2022).
“Because of pandemic-related exigencies, the agreement was not a standard federal procurement contract, but rather a ‘prototype’ agreement executed pursuant to 10 U.S.C. § 2371b[.]…
The [contract’s Statement of Work] describes a ‘large scale vaccine manufacturing demonstration’ that imposes no requirements relating to Good Clinical Practices (‘GCP’) or related FDA regulations.”
Pfizer further argued:
“The Government’s ‘actual behavior’ here says it all. Both the complaint itself and the public record show the Government has been fully aware of [whistleblower Jackson’s] Relator’s allegations for nearly two years without withdrawing authorization or stopping payment for Pfizer’s vaccine.”
This is true. Jackson told the FDA the trials were being conducted in corrupt and illegal ways in September 2020, and the FDA moved ahead anyway.
Jackson told the Department of Justice in January 2021 when filing her original False Claims Act complaint. The DOJ gagged her from speaking publicly, and declined to prosecute Pfizer or its subcontractors.
10 USC 2371b has been renumbered. It’s now 10 USC 4022 – Authority of the Department of Defense to carry out certain prototype projects.
Here’s where 10 USC 4022 sits under Title 10, Military Law:
Title 10 – Military Law
→ Subtitle A – General Military Law
→ →Part V – Acquisitions
→ → →Subpart E – Research and Engineering
→ → → → Chapter 301 – Research and Engineering Generally
→ → → → → Subchapter II – Agreements
→ → → → → → Section 4022 – Authority of DOD to carry out certain prototype projects
“[T]he Director of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), the Secretary of a military department, or any other official designated by the Secretary of Defense may, under the authority of section 4021 of this title, carry out prototype projects that are directly relevant to enhancing the mission effectiveness of military personnel and the supporting platforms, systems, components, or materials proposed to be acquired or developed by the Department of Defense, or to improvement of platforms, systems, components, or materials in use by the armed forces.
That’s what the SARS-CoV-2 epidemic and the Covid-19 injection program are: a military prototype project.
Related: The US Congress in 1997 pretended stop to unethical US government experimentation on military personnel, while actually expanding the pool of human subjects for DOD experiments to include the military and the rest of the American population, by moving the experimental programs from the Department of Defense to the Department of Health and Human Services Food and Drug Administration, and then merging HHS with DOD through subsequent legislation.
1997 National Defense Authorization Act for FY98 – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). Section 1078, “Restrictions on the use of human subjects for testing of chemical or biological agents,” repealed and replaced a 1977 section of 50 USC Chapter 32, the Chemical and Biological Warfare Program. The 1977 provision (50 USC 1520) had added a requirement that DOD report to Congress about DOD human experimentation programs. In 1997, Congress replaced 1520 with 1520a, purportedly to prohibit DOD conducting experiments on soldiers without the individual soldiers informed consent. It was passed by Congress in response to public outrage over injuries and deaths caused by mandated anthrax injections of soldiers during and after the 1991 Gulf War. However, the authority for federal government experimentation on non-consenting human beings continued; Congress simply transferred the program to the Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (see below, passed three days after the NDAA) under declared emergency situations (Emergency Use Authorizations/EUA).
1997 Food and Drug Administration Modernization Act – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Added new section to Federal Food Drug and Cosmetics Act (21 USC 9) to expand access to investigational drugs and devices during emergency situations (21 USC 360bbb). This was the beginning of the Emergency Use Authorization framework that culminated in the federal government’s psychological, social and economic coercion program aimed at universal injection of all American citizens with products marketed as Covid-19 vaccines, operational from mid-2020 to the present.
There’s much more to dig into here, starting with the history of amendments to 10 USC 4022, and the Pfizer contracts with US government military branches.
Congress passed 2016 National Defense Authorization Act. PL 114-92, 129 Stat. 893 on 11/25/2015. Section 815 added the ‘prototype’ contracting language to Title 10, Military Law (10 USC 2371b, later renumbered 10 USC 4021), authorizing Department of Defense to contract with pharmaceutical corporations to conduct otherwise illegal medical experiments on the American and global public without notice or consent. [This paragraph was added 05/27/2022]
Also related: One of the factors to be considered by HHS secretary in making determinations about qualified security countermeasures to be purchased, using the DOD Special Reserve Fund, to stock the Strategic National Stockpile of pharmaceuticals, from pharmaceutical corporations is « whether there is a lack of a significant commercial market for the product at the time of procurement, other than as a security countermeasure. » 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), as revised by Congress in 2004.
In other words, if no consumers would buy a product under normal commercial circumstances, but the pharmaceutical companies want to sell it, and the US government wants to conduct research and development on its military applications, the HHS Secretary classifies it as a qualified security countermeasure, the pharmaceutical contractor manufactures it, the US government buys it in bulk, and the US government forces the population to take it.
Side Note: A reader recently sent me a link to a page containing Covid-related US government contracts. The Pfizer contracts aren’t there, but two Moderna contracts are there, both issued by ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority). Both are heavily redacted. Other contracted corporations in that list include American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron and Vyaire.
Je vais parfois piocher dans le billet quotidien que Jeff Childers publie sur son Substack. Jeff fait ici du bon boulot – si ce n’est qu’il est dupe de l’arnaque du nucléaire militaire, sujet sur lequel vous lirez bientôt ma traduction de l’article de Miles Mathis déjà mentionné sur ce blog, et qu’il devrait également s’intéresser aux textes de loi américains qui légalisent la guerre biologique contre ses propres citoyens et ceux du monde entier, voir mes deux récents articles ici et ici.
🔥 L’histoire qui suit pourrait bien être la nouvelle la plus importante que j’ai jamais rapportée, et je ne pense pas exagérer. La nouvelle est que la vice-présidente de la Douma d’État russe (Congrès) Irina Yarovaya a fait le point hier sur l’enquête officielle de la Russie sur les laboratoires microbiologiques américains en Ukraine.
Ce que disent les Russes n’est pas très flatteur. Et ils affirment avoir une montagne de preuves. Jusqu’à présent, les États-Unis n’ont daigné répondre à aucune de ces allégations extrêmement graves.
Rappelez-vous qu’en mai dernier, les Russes ont présenté des preuves au Conseil de Sécurité de l’ONU, arguant que les États-Unis avaient développé – ET TESTÉ – des armes biologiques illégales en Ukraine, accusant notamment les trois dernières administrations Démocrates de travailler avec George Soros, Bill Gates et les grandes entreprises pharmaceutiques pour violer des traités, développer des technologies d’armement illégales, libérer des armes biologiques en Ukraine, tester ces armes sur des soldats et des malades mentaux et, surtout, infecter le peuple et les cultures agricoles russes.
Plus précisément, les Russes ont identifié une étonnante liste d’individus et de groupes clés qui seraient à l’origine de la conspiration:
Le *Parti Démocrate National*
*Barack Obama*
*Hilary Clinton*
*Joe Biden*
*George Soros*
Je n’invente rien. C’est ce que disent les Russes. Un magnifique diagramme montre tous les acteurs présumés et va bien au-delà de ceux nommés ci-dessus, en y incluant Pfizer, la Fondation Bill et Melinda Gates, et d’autres.
Les Russes accusent les Démocrates de haut niveau d’avoir facilité la recherche illégale à des fins militaires en collaboration avec les grandes entreprises pharmaceutiques, mises à contribution lors de chaque test et de chaque fuite pour mettre au point des traitements lucratifs contre les nouvelles maladies. En retour, ont affirmé les Russes, les grandes entreprises pharmaceutiques ont versé des sommes énormes aux Démocrates en tant que contributions électorales, créant ainsi une boucle de rétroaction virale sinistre et démoniaque.
Les médias grand public américains – qui se sont jetés avec fureur sur l’histoire inventée du Russiagate et qui, pendant des semaines, ont relayé à en perdre haleine des allégations infondées contre Brett Kavenaugh – ont complètement ignoré les accusations incroyablement sérieuses des Russes, les rejetant en bloc en les qualifiant de « désinformation russe », qui ne valent même pas la peine d’être mentionnées. L’administration Biden a même essayé de mettre en place un « conseil de gouvernance de la désinformation » dirigé par un ancien collaborateur de Zelensky, dans le but apparent de verrouiller encore davantage l’information.
La semaine dernière, les Russes ont annoncé qu’ils avaient l’intention de publier prochainement – avant les élections de mi-mandat – un rapport complet sur le programme américain de laboratoires microbiologiques, et hier, comme je l’ai dit, la présidente Yarovaya a fait le point sur la situation devant la Douma, ou assemblée législative russe.
🔥 Yarovaya a entamé ses commentaires hier comme suit:
« Comme preuve aujourd’hui, la commission parlementaire peut déjà présenter des faits selon lesquels les laboratoires biologiques supervisés par le Pentagone sur le territoire de l’Ukraine ne répondaient pas aux critères de sécurité. Dans leur mode d’activité actuel, ils constituaient et constituent encore une menace colossale pour les citoyens ukrainiens et pour le monde entier.
L’installation n’était pas seulement peu sûre. Malgré le fait qu’ils travaillaient avec des virus et des agents pathogènes dangereux, ils connaissaient aussi des fuites. Il est fort probable que cela explique la multiplication des épidémies en Ukraine.
Mais le plus probable, c’est que ceux qui ont créé ces laboratoires tenaient à s’assurer qu'[ils] n’étaient pas suffisamment protégés, non seulement pour des raisons de corruption, mais aussi dans le but de réaliser une expérience grandeur nature; pour de cette manière surveiller quelle serait la réaction de la population, quel serait le taux de mortalité, quelles seraient les conséquences. »
En d’autres termes, les Russes disent que les États-Unis ont été INTENTIONNELLEMENT négligents. L’idée serait que les États-Unis pourraient délibérément laisser échapper des agents pathogènes et se cacher ensuite derrière l’excuse que ce n’était qu’un accident, parce que chacun sait que les laboratoires sont très peu fiables. Un peu comme lorsque votre enfant agite les bras comme un fou et qu’il frappe « accidentellement » son petit frère sur le nez. Désolé, pas désolé!
La théorie des Russes semble ridicule sauf si on examine le cas de Wuhan. Le Département d’État a publié à partir de 2018 une série de rapports sur le fait que le laboratoire de microbiologie de l’Institut de Virologie de Wuhan était très peu sécurisé et mal géré. Et rien n’a été fait à ce sujet. Puis le virus Covid a « accidentellement » fuité et a bouleversé le monde. Ces rapports du Département d’État ont donc été rétrospectivement très utiles, en détournant les soupçons du fait que la fuite du virus était intentionnelle.
C’était juste un accident.
Les Russes ont également allégué que les coupables américains se réfugiaient derrière la « recherche sur les animaux », la greffe génétique de capacités d’infection humaine sur des virus animaux existants leur permettant de revendiquer des origines naturelles pour les microbes nouvellement développés. Comme avec le Covid. Ou la variole du singe.
Si c’est vrai, cela donnerait une explication à tous les laboratoires de « recherche vétérinaire » que les États-Unis ont construits dans tous ces pays du tiers-monde qui manquent de surveillance ou de contrôle efficace et où les régulateurs, quand il y en a, regardent ailleurs lorsque les circonstances le demandent. Et probablement pour pas cher.
Mme Yarovaya a déclaré que le résultat de toute cette négligence intentionnelle a donné lieu à « des situations imprévues dans le monde entier ». Elle a pointé du doigt les États-Unis pour l’épidémie de variole du singe. « Il faudrait faire une recherche dans les tubes à essai des laboratoires américains sur tout ce qui concerne le coronavirus, la variole du singe », a-t-elle déclaré.
Par une coïncidence totalement aléatoire, le même Institut de Virologie de Wuhan où le Covid a été mis au point menait également des expériences sur la variole du singe.
Bon.
🔥 Du fait que les Russes citent des individus spécifiques, on peut penser qu’ils ont l’intention de lancer une plainte pénale internationale de type Nuremberg, conformément aux souhaits de tant d’Américains. Il semble également que les Chinois se rangent du côté des Russes. Les Chinois ont de bonnes raisons de se ranger du côté des Russes.
Un article publié en 2017 dans le Journal of Health Security s’intitule « Taiwan’s Public Health National Laboratory System: Success in Influenza Diagnosis and Surveillance » [Système de laboratoire national de santé publique de Taïwan: une réussite en matière de diagnostic et de surveillance de la grippe]. Il inclut quelques statistiques intéressantes.
Taiwan est à peu près aussi peuplé que l’État de Floride. L’article rapporte que, pour quelque raison, le pays compte « 1.251 laboratoires microbiologiques dans un système à plusieurs niveaux qui répond aux besoins médicaux, agricoles, alimentaires et environnementaux. » Ça fait beaucoup de laboratoires de microbiologie; ça équivaut à 18 laboratoires de microbiologie pour chaque comté de Floride.
Selon l’article, Taiwan a « un laboratoire national BSL-4 dans le nord de Taiwan, affilié au Centre Médical de la Défense Nationale ». En d’autres termes, il est militaire. Il y a également 31 « laboratoires nationaux » qui « servent de centres de référence dans les domaines de la virologie, de la bactériologie, de la parasitologie, de la mycologie et de la biologie des vecteurs ».
La biologie vectorielle est l’étude des porteurs, comme les tiques et les moustiques, qui peuvent transmettre des maladies infectieuses à l’homme.
Les allégations russes, et la justification qu’elles apportent à l’invasion de l’Ukraine, fournissent également une justification parfaite à une invasion chinoise de Taïwan.
Dans son dernier article sur Substack, le Dr Naomi Wolf, qui a dirigé l’effort de crowdsourcing de l’examen du dumping des documents de Pfizer, affirme avoir découvert des informations montrant que Pfizer appartient en partie au Parti Communiste Chinois, ou du moins que le PCC est propriétaire d’un important fabricant du médicament à ARNm.
Selon Wolf, son projet l’a convaincue que nous sommes déjà en guerre, mais que nous ne nous en rendons pas encore compte. Facing the Beast – Outspoken avec le Dr Naomi Wolf. [NdT. flûte, encore un truc à traduire]
🔥 Toutes ces allégations – complètement ignorées par les médias institutionnels – sont incroyablement sérieuses. Les Russes accusent les États-Unis d’une attaque aux armes biologiques de destruction massive. La politique officielle des États-Unis dit depuis longtemps qu’une attaque aux armes biologiques est équivalente à une attaque nucléaire, et justifierait une réponse nucléaire.
Peu importe qu’ils aient ou non raison. Les Russes semblent croire qu’ils disposent d’une justification légale à riposter contre les États-Unis avec des armes de destruction massive. Et ils étayent leurs arguments en s’appuyant sur un grand nombre d’affaires louches auxquelles se livrent les États-Unis et leurs alliés de l’État profond.
Ce serait vraiment le moment pour le gouvernement américain de s’exprimer et de se montrer totalement transparent sur le but légitime de tous ces laboratoires. En supposant qu’il y AIT un but légitime.
Mais les coupables, qui qu’ils soient, préfèreront certainement risquer une guerre nucléaire pour protéger leurs secrets si la moitié seulement de ce que disent les Russes est vrai. Donc, consciemment ou non, nous sommes tous impliqués dans un jeu mortel de poule mouillée nucléaire. [NdT. le jeu de la poule mouillée est un jeu théorique qui décrit généralement deux joueurs se dirigeant l’un vers l’autre. Si les joueurs continuent sur le même chemin, ils se heurtent l’un à l’autre; si l’un fait une embardée et pas l’autre, celui qui fait l’embardée « perd » et est considéré comme la poule mouillée, tandis que le deuxième joueur, implicitement plus courageux, gagne.]
Et notre conducteur est Joe Biden.
Quoi qu’il en soit, il semble de plus en plus probable que Naomi Wolf ait raison, que la Troisième Guerre mondiale ait déjà commencé il y a plus de deux ans, en janvier 2020, avec le Covid. Nous pensions tous que la Troisième Guerre mondiale serait menée sous la forme d’une guerre thermonucléaire mondiale. Mais ce style de guerre est tout simplement trop coûteux, alors la guerre a évidemment évolué, ou muté. L’arsenal de cette guerre mondiale semble en fait être à base d’armes biologiques – et de leurs thérapies obligatoires.
Le Dr Vladimir « Zev » Zelenko, l’homme qui a découvert et mis en œuvre le traitement précoce contre le Covid, qui a littéralement sauvé des millions de vies dans le monde, est décédé hier [30 juin] au terme d’un combat de quatre ans contre un cancer rare. Né à Kiev, en Ukraine, en 1973, il avait 48 ans lorsqu’il est décédé.
Zelenko était animé d’une foi inébranlable et décrivait souvent son cancer comme un don divin. Il l’a décrit un jour en ces termes:
« Mon cancer est ce qui m’a préparé à la pandémie de COVID-19. Sans lui, je n’aurais pas cultivé ma passion à rechercher des réponses que d’autres disaient introuvables, et sans lui, je n’aurais pas pu résister à la persécution et au ridicule dont j’ai été la cible pour avoir osé traiter des patients. J’ai regardé la mort dans les yeux et je me suis préparé à rencontrer Dieu. Je ne crains rien sur cette terre. »
Je sais exactement ce qu’il ressentait. Et vous seriez surpris du nombre de héros de la pandémie que j’ai rencontrés et qui m’ont dit quelque chose de similaire.
Zelenko a cru jusqu’au bout que Dieu avait conçu pour lui une tâche particulière sur cette terre, et que les prières de millions de personnes l’avaient maintenu en vie suffisamment longtemps pour qu’il puisse remplir cette mission.
Dr. Vladimir “Zev” Zelenko, the man who discovered and implemented the early treatment for covid that literally saved millions of lives worldwide, passed away yesterday after a four-year battle with a rare cancer. Born in Kiev, Ukraine in 1973, he was 48 when he passed.
Zelenko had an unshakeable faith, and often described his cancer as a divine gift. Once he described it like this:
“My cancer is what prepared me for the COVID-19 pandemic. Without it, I would not have developed my passion for searching for answers that others said couldn’t be found, and without it I could not have held to the persecution and ridicule I received for daring to treat patients. I have looked death in the eye and I have been made ready to meet God. I fear nothing on this earth.”
I know just how he felt. And you’d be surprised how many of the heroes of the pandemic who I’ve met told me something similar.
Zelenko believed until the end that God had created a special mission for him on this earth, and that the prayers of millions had kept him alive long enough to fulfill that mission.
Encore un article amusant et instructif (comme les jeux de mon enfance) d’Igor Chudov, qui n’est pas médecin comme je l’avais erronément écrit précédemment, mais journaliste – mes excuses. Il commence d’ailleurs à jouir d’une certaine notoriété à cet égard – aux Etats-Unis, je suis à ma connaissance toujours le seul à le publier en français – entièrement méritée à mon avis.
Concernant le contenu de son article: ce bon Dr Fauci a-t-il vraiment reçu quatre injections, a-t-il vraiment contracté le Covid et s’est-il vraiment traité au Paxlovid? No lo sè. Si ce n’est pas le cas, ça serait un coup de relations publiques, dont l’objectif serait soit d’offrir une porte de sortie, loin de la foule déchaînée, à quelqu’un qui a de bonnes raisons de vouloir échapper à l’examen de ses pairs, et des quelques mécontents de l’opération Sars-Cov-2, soit de normaliser l’absurdité du processus vaccin>maladie>boosters>re-maladie>antiviral>re-re-maladie>re-antiviral-etc. – c’est-à-dire de ce que le grand public est censé juger « normal ». De la science, quoi. A ce propos, une petite anecdote: je suis au garage moto cet après-midi et j’entends un vieux monsieur expliquer que sa belle-fille est « prise des bronches » (belgicisme, il me semble) mais que le docteur a dit qu’il est heureux qu’elle soit vaccinée, sinon ça aurait été pire. Voilà le résultat de deux ans et demi de propagande ininterrompue. Ce brave homme, qui n’a vraisemblablement jamais entendu parler ni de Fauci, ni de la FDA, récite fidèlement leur mantra débile – à la dame au comptoir, qui n’avait pas non plus l’air très en forme…
Quoiqu’il en soit, que l’histoire de Fauci soit vraie ou non, ça fait tellement plaisir de voir se défaire un peu la tête de ce monstre glauque qu’il ne faudrait pas bouder son plaisir.
Je suis avec un article du Dr Paul Alexander, un auteur sur Substack habituellement assez indigeste – il se répète quinze fois par article et semble s’adresser à un lectorat d’analphabètes – qui pour une fois se lâche un peu et balance à tout va. Il nous expliquera en quoi vont consister les quelques années à venir… Et il le tient de fonctionnaires de la Santé Publique.
Note: les articles qui figurent en lien dans l’historique sont tous en anglais. Si ça intéresse quelqu’un de les lire traduits, faites signe.
Je ne suis pas le premier sur Substack à écrire à ce sujet, mais je voulais en parler vu que j’ai écrit quelques articles sur le Paxlovid.
Le Dr Fauci a reçu deux doses de booster. Ses quatre doses de vaccins sûrs et efficaces ne l’ont bien sûr pas empêché d’attraper le Covid. Confronté à une infection au Covid, il a pris du Paxlovid et a sincèrement cru qu’il s’en sortirait.
Regardez-le se donc vanter du succès de son vaccin et du Paxlovid:
Fauci affirme qu’il a survécu à sa sévère infection Covid uniquement grâce à sa quadruple injection: « Je pense que si ce n’était pas le cas, je ne serais pas en train de vous parler avec une aussi bonne mine. »
Devinez quoi? Le Paxlovid n’aura pas marché pour le Dr Fauci. Après s’être senti bien pendant quelques jours, il subit maintenant un rebond de son infection Covid.
Le Dr Anthony Fauci déclare qu’il a connu un rebond des symptômes du Covid après avoir pris un antiviral de Pfizer, le Paxlovid, dont les études montrent maintenant qu’il n’est PAS efficace pour les personnes vaccinées. Le Dr Anthony Fauci a déclaré qu’il en était à sa deuxième cure de Paxlovid après avoir été à nouveau testé positif au Covid-19. Selon les propres données de Pfizer, le médicament est limité dans ses capacités à combattre le Covid-19 chez une personne vaccinée. En mai 2022, les CDC ont émis un avertissement sur le risque de symptômes de rebond du Covid-19 après la prise de Paxlovid. L’avertissement a noté qu’aucun des cas de rebond signalés n’a vu les patients souffrir d’un cas grave de Covid-19, bien que Fauci ait décrit ses symptômes comme étant « bien pires ». Une étude de l’UC de San Diego a révélé que les patients qui présentaient des symptômes de rebond du Covid souffraient du fait que le Paxlovid n’atteignait pas suffisamment de cellules infectées. Lors de la même conférence où il a annoncé le rebond, Fauci a appelé à une campagne nationale de vaccination « agressive ».
Il se sent » bien plus mal » en phase de rebond qu’en phase initiale. Voilà pour ce qui est du fait que le Paxlovid atténue le Covid!
Dans l’annonce de son rebond du Covid, Fauci a déclaré que ses symptômes étaient bien pires après avoir été testé positif pour la deuxième fois.
Si nous croyons quoi que ce soit de ces nouvelles, et je comprendrais que certains de mes abonnés s’y refusent, le rebond de Fauci sous Paxlovid indiquerait que
Fauci est réellement vacciné
Fauci ne prend pas d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine, qui n’occasionnent pas de rebond.
Brian Mowrey a expliqué en quoi le Paxlovid est un bouton SNOOZE [NdT. le bouton « veille » sur les réveille-matin] biomoléculaire, et non un bouton STOP.
J’ai allégué que Pfizer savait que le Paxlovid n’était pas efficace chez les personnes vaccinées, car Pfizer a EXCLU les personnes vaccinées de son essai EPIC-SR à mi-parcours.
La FDA a ignoré la souffrance des victimes du Paxlovid telles que le Dr Fauci et a discrédité ceux qui ont souffert d’un rebond, en disant qu’elles ne représentent que 1 à 2% des cas (mais oui, c’est ça).
J’ai dénoncé le Paxlovid comme étant le nouveau modèle commercial frauduleux de Pfizer (qui en vend de plus en plus alors qu’il ne fonctionne pas et fait croire à ces personnes qui répandent le COVID qu’elles vont bien) et j’ai expliqué que la FDA et Pfizer mentaient sur le taux de rebond, qui était plutôt de 12%, même pour les personnes non vaccinées.
Enfin, une étude scientifique réalisée en Israël a montré que le Paxlovid ne fonctionne absolument PAS chez les personnes vaccinées, ce qui explique clairement pourquoi Pfizer ne voulait pas les inclure dans les essais cliniques.
Mais, avec l’audace qui le caractérise, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré que la moitié des gens sont « à haut risque », et que Pfizer continuera donc à promouvoir ce médicament de charlatans auprès de patients vaccinés et confiants, qui ne se doutent de rien.
Un deuxième traitement au Paxlovid?
Le Dr Fauci fait quelque chose que la FDA n’a jamais recommandé: prendre un deuxième traitement de Paxlovid. Cela fonctionnera-t-il? Pour répondre à cette question, rappelez-vous que le Paxlovid est un bouton SNOOZE. Tout ce qu’il fait c’est d’empêcher une certaine enzyme « protéase » de cliver les brins d’ARN viraux pendant 5 jours, ce qui interrompt l’infection.
Le Paxlovid a fonctionné chez la plupart des personnes non vaccinées dont le système immunitaire fonctionnait encore et restait capable de monter une réponse appropriée au Sars-Cov-2 en cinq jours, ce qui permettait de neutraliser le rebond dans 88% des cas.
Cependant, les personnes vaccinées ont connu beaucoup plus de rebonds, du fait que leur réponse biologique n’était pas assez rapide pour réagir après la fin du SNOOZE de cinq jours du Paxlovid.
La solution du Dr Fauci est d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « snooze » du Paxlovid, ce qui rapporte 530 dollars de plus à Pfizer. Si son système immunitaire, endommagé par la quadruple vaccination, est incapable de former une réponse dans les cinq jours suivants, il pourrait connaître un DEUXIÈME REBOND. Fauci est en territoire inconnu, car à ma connaissance, deux traitements au Paxlovid avec un rebond entre les deux n’ont jamais été essayés sur personne.
Il faut savoir que le Paxlovid est composé de deux éléments assez toxiques – le ritonavir et le nirmatrelvir – et qu’en prenant un double traitement, Fauci risque une toxicité hépatique, ainsi que d’autres toxicités. A l’âge de 81 ans, deux traitements de Paxlovid pourraient se révéler trop lourds pour lui.
Dans tous les cas, Anthony Fauci a déjà réussi à transformer son infection d’une semaine en une infection de trois semaines, grâce au Paxlovid.
J’espère que Pfizer accordera au moins une remise au Dr Fauci. Ils lui doivent bien ça.
Texte original
Dr Fauci’s Paxlovid Rebound!
It was Expected to Happen
Igor Chudov
Jun 29
I am not the first on Substack to write about this, but I want to discuss it since I wrote a few articles on Paxlovid.
Dr. Fauci is double boosted. The four doses of safe and effective vaccines, of course, did not prevent him from catching Covid. Facing a Covid infection, he took Paxlovid and sincerely believed that he would be alright.
Watch him brag about the success of his vaccine and Paxlovid:
Guess what? Paxlovid did not work for Dr. Fauci. After feeling fine for a few days, he is now having a rebound of his Covid infection.
He is feeling “much worse” during the rebound than he felt in the beginning. So much for saying that Paxlovid makes Covid milder!
And what is he doing now? Taking MORE Paxlovid — a second course, to be exact. This is despite the agency of his own government, FDA, gaslighting Paxlovid rebounders and not recommending a second course. Never mind, Dr. Fauci is obviously above FDA’s recommendations.
If we believe any of this news, and I would understand if some of my subscribers did not, Fauci’s Paxlovid rebound makes it very likely that
Fauci is actually vaccinated
Fauci is not taking Ivermectin or hydroxychloroquine, which do not give rebounds
Brian Mowrey explained how Paxlovid is a biomolecular SNOOZE button, not a STOP button.
I alleged that Pfizer knew that Paxlovid did not work in vaccinated people, because Pfizer KICKED OUT vaccinated people out of its EPIC-SR trial midstream.
FDA dismissed the suffering of Paxlovid victims like Dr. Fauci and gaslit the rebounders, saying they are only 1-2% of cases (yeah right).
I exposed Paxlovid as a new dishonest business model for Pfizer (selling more and more of it as it fails to work and makes people COVID spreaders thinking they are fine) and explained that FDA and Pfizer were lying about the rebound rate, which was more like 12% even for unvaccinated people.
Finally, a scientific study from Israel illustrated that Paxlovid totally does NOT work in vaccinated people, making it obvious why Pfizer did not want them included in clinical trials.
Pfizer finally admitted defeat and acknowledged that Paxlovid does not work in standard-risk patients.
But, with characteristic chutzpah, Pfizer CEO Albert Bourla declared that half of all people are “high risk”, so Pfizer will still push this snake oil medication onto unsuspecting trusting vaccinated patients.
Second Course of Paxlovid?
Dr. Fauci is doing something that the FDA never recommended — he is taking another course of Paxlovid. Will it work? To answer this question, remember that Paxlovid is a SNOOZE button. It simply stops a certain “protease” enzyme from cleaving viral RNA strands for 5 days, thus suspending infection.
Paxlovid worked in most unvaccinated people whose immune systems still functioned and could mount a proper response to Sars-Cov-2 in five days, thus quashing the rebound in 88% of cases.
However, vaccinated people had many more rebounds, because they did not have a biological response quick enough to respond after the five-day SNOOZE from Paxlovid ended.
So, Dr. Fauci’s solution is to press the Paxlovid snooze button again, giving Pfizer another $530. If his immune system, damaged by quadruple vaccination, is unable to form a response in yet five more days, he may end up having a SECOND REBOUND. Fauci is in uncharted territory, because to my knowledge, two Paxlovid courses with a rebound in between, were never tried on anybody.
Be aware that Paxlovid is made of two somewhat toxic components — ritonavir and nirmatrelvir — and by taking a double course, Fauci risks liver toxicity and other toxicity. Being 81 years old, two courses of Paxlovid may be too much for him.
In any case, Anthony Fauci already managed to turn his one-week infection into a three-week infection, thanks to Paxlovid.
I hope that Pfizer at least gives Dr. Fauci a discount. They owe him one.
Vous vous souvenez de la lettre de Spartacus, que j’avais traduite ici en octobre de l’année dernière? Il a depuis créé l’ICENI, l’Institut Non-lucratif de Renseignement autour de l’Emergence des Coronavirus (Institute for Coronavirus Emergence Nonprofit Intelligence) et a très logiquement créé son Substack, très riche en informations et analyses, d’où provient l’article ci-dessous.
J’y reviendrai plus en détail – si, éternel problème, je trouve le temps. En attendant voici de quoi y voir encore un peu plus clair sur le « qui?«
Moderna, les producteurs du vaccin mRNA-1273/Spikevax, sont les principaux responsables du développement de la technologie de transfection de l’ARNm actuellement utilisée dans divers vaccins COVID-19.
Le germe de l’idée qui allait donner naissance à Moderna a été planté en 2005, lorsque Derrick Rossi lut un article rédigé par la scientifique hongroise Katalin Karikó sur la façon dont l’ARNm modifié par des nucléosides pouvait être fabriqué pour échapper aux réponses immunitaires humaines des récepteurs de type toll.
L’article en question a été publié dans Cell, en 2005:
Selon cet article, l’utilisation de la pseudouridine à la place de l’uridine permet à l’ARNm étranger d’échapper à la détection par les TLR7/8.
Les récepteurs de type Toll sont un type de PRR, ou récepteur de reconnaissance de motifs [pattern-recognition receptor – PRR], les détecteurs de fumée des cellules immunitaires humaines (et d’autres mammifères). Leur but est de détecter les signes moléculaires de dommages ou de corps étrangers (DAMPs et PAMPs) et d’induire une réponse inflammatoire.
Le système immunitaire inné utilise des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) codés par la lignée germinale pour la détection initiale des microbes. Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques des microbes, appelées motifs moléculaires associés aux agents pathogènes (pathogen-associated molecular patterns – PAMP), et les molécules dérivées des cellules endommagées, appelées motifs moléculaires associés aux dommages ( damage-associated molecules patterns – DAMP). Les PRR activent des voies de signalisation en aval qui conduisent à l’induction de réponses immunitaires innées par la production de cytokines inflammatoires, d’interféron de type I (IFN) et d’autres médiateurs. Ces processus déclenchent non seulement des réponses défensives immédiates de l’hôte telles que l’inflammation, mais amorcent et orchestrent également des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène (1). Ces réponses sont essentielles à la clairance des microbes infectants et cruciales pour l’instruction conséquente des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène.
Les mammifères possèdent plusieurs classes distinctes de PRR, notamment les récepteurs de type Toll (TLR), les récepteurs de type RIG-I (RLR), les récepteurs de type Nod (NLR), les récepteurs de type AIM2 (ALR), les récepteurs de type lectine C (CLR) et les capteurs d’ADN intracellulaires tels que le cGAS (2, 3).
Normalement, l’ADN ou l’ARN étranger déclenche une réponse immunitaire, et ce à juste titre; sa présence est souvent le signe qu’un agent pathogène s’infiltre dans l’organisme. Toutefois, cela pose un problème aux scientifiques qui souhaitent transfecter des cellules humaines in vivo avec de l’ADN ou de l’ARN étranger à des fins de thérapie génique. Les recherches du Dr Karikó ont suggéré qu’il existait un moyen de « masquer » l’ARNm des TLR en remplaçant les sous-unités nucléosidiques de ces brins d’ARNm par quelque chose d’autre qui ne serait pas reconnu par ces récepteurs comme un constituant de l’ARNm. En d’autres termes, ce qu’elle proposait était de réduire l’immunogénicité des ARNm étrangers en les rendant, du point de vue de l’organisme, chimiquement inertes.
Derrick Rossi s’y est intéressé, percevant immédiatement le potentiel thérapeutique des ARNm modifiés par des nucléosides. En 2010, il sollicite l’aide de Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien et Noubar Afeyan pour créer la société ModeRNA Therapeutics.
En 2011, Noubar Afeyan engage Stéphane Bancel, anciennement PDG de bioMérieux, pour diriger ModeRNA. Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, le fondateur de bioMérieux, Alain Mérieux, est un ami personnel de Xi Jinping et a aidé à la construction du laboratoire P4 à l’Institut de Virologie de Wuhan.
Le laboratoire de biosécurité de niveau maximal de l’Institut de Virologie de Wuhan a été le premier de ce type à être construit en Chine, et a été au cœur de spéculations colossales depuis le début de la pandémie de Covid-19 qui a pris naissance dans cette ville. Le laboratoire, qui est équipé pour traiter les agents pathogènes de classe 4 (P4), y compris les virus dangereux tels qu’Ebola, a été construit avec l’aide d’experts français et sous la direction de l’homme d’affaires milliardaire français Alain Mérieux, malgré les fortes objections des responsables de la santé et de la défense à Paris. Depuis l’inauguration du laboratoire par le Premier Ministre Bernard Cazeneuve en 2017, cependant, la France n’a joué aucun rôle de supervision dans le fonctionnement de l’installation et la coopération prévue entre les chercheurs français et le laboratoire s’est arrêtée net. Reportage de Karl Laske et Jacques Massey.
[NdT. les lecteurs français auront également reconnu la troisième personne à partir de la gauche]
Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, Robert Langer, expert en nanotechnologies d’administration de médicaments au MIT, était un collègue de Charles Lieber, expert en bionanotechnologie à Harvard, très impliqué dans les recherches financées par la DARPA sur les nanofils de silicium, pouvant même potentiellement servir de base à des interfaces cerveau-ordinateur.
En 2011, ModeRNA avait déjà atteint le statut de licorne, avec une valorisation de plus d’un milliard de dollars, malgré le fait que la société n’ait jamais sorti aucun produit commercial de quelque nature que ce soit.
Les espoirs sont considérables. Le fait d’être une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars – une anomalie que les spécialistes du capital-risque appellent « licorne » – soulève des interrogations, et beaucoup se demandent si le portefeuille de produits de Moderna, composé essentiellement de vaccins pour l’instant, va s’élargir pour correspondre à la vision initiale de l’entreprise, qui voyait dans l’ARNm une vaste plateforme de traitement. » Beaucoup de grandes promesses ont été faites « , déclare Jason Schrum, consultant en biotechnologie à San Francisco et ancien employé de Moderna. « C’est ce à quoi les gens se sont accrochés ; ils veulent que les promesses se réalisent, et ils veulent voir l’investissement se traduire concrètement en quelque chose de sérieux. »
En 2013, ModeRNA et AstraZeneca ont signé un accord de cinq ans pour développer et commercialiser des thérapies à base d’ARNm pour le traitement des maladies cardiovasculaires, métaboliques et rénales, ainsi que du cancer. Dans le cadre de cet accord, AstraZeneca a versé 240 millions de dollars à ModeRNA, bien que ce dernier n’ait, là non plus, aucun produit commercial ni aucun essai de médicament en cours.
Toujours en 2013, ModeRNA a reçu 25 millions de dollars du DARPA pour développer des thérapies basées sur l’ARNm. Étant donné que la DARPA est un groupe de réflexion militaire impliqué dans la biosécurité, la biosurveillance et la biodéfense, il s’agissait là d’une étrange association, étant donné que ModeRNA était, à l’époque, engagé dans la recherche de thérapies contre le cancer et le traitement de maladies chroniques à l’aide d’ARNm, et non de vaccins à ARNm, qui poursuivent un objectif clair de biodéfense (c’est-à-dire la vaccination rapide contre les armes biologiques). ModeRNA est basé à Cambridge, dans le Massachusetts. Il se trouve qu’une grande partie du réseau américain de biodéfense est également située dans les environs de Boston, comme le souligne le livre de Frank L. Smith, American Biodefense.
Edward Hammond a dirigé un groupe de surveillance appelé le Sunshine Project pour enquêter sur les investissements massifs du DOD [Department of Defense] et du HHS [Health and Human Services] dans les laboratoires biologiques dans les années 2000 après Amerithrax [NdT. les attentats à l’anthrax en 2001, voir sur Wiki], ainsi que sur le manque scandaleux de surveillance et de responsabilité dans ces laboratoires. Malheureusement, ce groupe a été contraint de se dissoudre en 2008 en raison d’un manque de financement.
En 2014, Alexion Pharmaceuticals a conclu un accord avec ModeRNA, et lui a versé 100 millions de dollars pour développer des traitements contre des maladies rares, dont le syndrome de Crigler-Najjar. Le programme a été interrompu en 2017 après que des tests sur des animaux ont montré que les thérapies ne se révéleraient jamais assez sûres pour faire l’objet d’essais sur l’homme.
Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifie placer sa thérapie de Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides. Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : Un dosage trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzyme pour agir sur la maladie ; un dosage trop fort rend le médicament trop toxique pour les patients.
Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile. Ils ont donc parcouru la littérature médicale pour trouver des maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.
« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme quelqu’un qui avait besoin d’un Ave Maria.
Crigler-Najjar était le fruit le plus facile à cueillir.
Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, selon d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible, et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace avaient des effets problématiques sur le foie dans les études animales.
ModeRNA, sous la direction de Bancel, a connu de nombreux problèmes, dont des démissions très médiatisées dues à la culture d’entreprise sévère entretenue par son PDG. De nombreux employés ont également trouvé que la réorientation de l’entreprise vers la recherche sur les vaccins en 2017 était très discutable d’un point de vue fiscal, étant donné que les vaccins étaient perçus comme une source de pertes.
Alors qu’il poursuivait une stratégie complexe et risquée pour le développement de médicaments, Bancel a instauré une culture de récrimination chez Moderna, selon d’anciens employés. Les expériences ratées ont donné lieu à des réprimandes et même à des licenciements sur le champ. Ils se souviennent de courriels abusifs, d’humiliations lors de réunions d’entreprise, d’horaires excessivement longs et de licenciements inexpliqués.
Au moins une douzaine de cadres supérieurs ont démissionné au cours des quatre dernières années, notamment des directeurs financiers, technologiques, industriels et scientifiques. Au cours des 12 derniers mois, les responsables respectés des programmes de lutte contre le cancer et les maladies rares de Moderna ont tous deux démissionné, alors que la remarquable collecte de fonds de la société avait mis d’importantes ressources à leur disposition. Chacun d’entre eux travaillait dans l’entreprise depuis moins de 18 mois, et les postes n’ont toujours pas été pourvus.
En 2017, ModeRNA a testé sa technologie ARNm sur des rats Sprague-Dawley et des singes cynomolgus dans les installations des Laboratoires Charles River. Ils ont constaté que l’ARNm se propageait bien au-delà du site d’injection et a été découvert dans le foie, la rate, la moelle osseuse et le cœur.
La pharmacologie, la pharmacocinétique et la sécurité de l’ARNm modifié formulé dans des nanoparticules lipidiques (NPL) ont été évaluées après perfusion intraveineuse répétée à des rats et des singes. Chez les deux espèces, l’ARNm modifié codant pour la protéine de l’érythropoïétine humaine (hEPO) a eu des effets pharmacologiques et toxicologiques prévisibles et constants. L’analyse pharmacocinétique effectuée après la première dose a montré que les niveaux d’hEPO mesurés étaient maximaux 6 heures après la fin de la perfusion intraveineuse et dépassaient de 100 fois l’exposition efficace anticipée (17,6 ng/ml) à la plus forte dose testée.24 L’hEPO était pharmacologiquement active chez le rat et le singe, comme l’indique une augmentation significative des paramètres de masse des globules rouges. Les principaux résultats liés à la sécurité ont été causés par la pharmacologie exagérée de l’hEPO et comprenaient une augmentation de l’hématopoïèse dans le foie, la rate et la moelle osseuse (rats) et une hémorragie minimale dans le cœur (singes). Les autres résultats primaires liés à la sécurité chez le rat comprenaient une légère augmentation du nombre de globules blancs, des modifications des paramètres de coagulation à toutes les doses, ainsi que des lésions hépatiques et la libération de la protéine 10 inductible par l’interféron γ dans les groupes recevant la dose élevée uniquement. Chez le singe, comme lors de l’administration parentérale de LNP cationiques, une nécrose splénique et une déplétion lymphocytaire ont été observées, accompagnées d’une activation légère et réversible du complément. Ces résultats ont défini un niveau de dose bien toléré, supérieur à la dose efficace prévue. Dans l’ensemble, ces études combinées indiquent que l’ARNm modifié formulé par NPL peut être administré par perfusion intraveineuse chez 2 espèces tests toxicologiquement pertinentes et générer des niveaux suprathérapeutiques de protéine (hEPO) in vivo.
En 2018, ModeRNA s’est rebaptisé Moderna Inc, et a levé 621 millions de dollars grâce à son introduction en bourse à la fin de la même année.
Fin 2019, Moderna avait accumulé, au cours de son histoire, des pertes de 1,5 milliard de dollars.
Paradoxalement, ils continuèrent à enthousiasmer les investisseurs.
Le vaccin COVID-19 de Moderna
Très peu de temps après l’envoi par la Chine de la séquence du 2019-nCoV – qui allait devenir le SARS-CoV-2 – le 11 janvier 2020, Moderna a affirmé avoir développé un vaccin dans les 48 heures suivant la réception de la séquence génétique du virus, le 13 janvier.
Vous serez peut-être surpris d’apprendre que parmi le trio de vaccins contre le coronavirus tant attendus, le plus prometteur, le mRNA-1273 de Moderna, qui a annoncé un taux d’efficacité de 94,5% le 16 novembre, avait été conçu le 13 janvier. Deux jours seulement après que la séquence génétique ait été rendue publique dans un acte de générosité scientifique et humanitaire qui a valu au Chinois Yong-Zhen Zhang d’être temporairement chassé de son laboratoire. Dans le Massachusetts, la conception du vaccin Moderna n’a pris qu’un week-end. Il a été achevé avant même que la Chine n’ait reconnu que la maladie pouvait se transmettre d’homme à homme, plus d’une semaine avant le premier cas confirmé de coronavirus aux États-Unis. Lorsque le premier décès d’un Américain a été annoncé un mois plus tard, le vaccin avait déjà été fabriqué et expédié au National Institutes of Health pour le début de son essai clinique de phase 1. Il s’agit – comme le pays et le monde entier le célèbrent à juste titre – de la chronologie de développement la plus rapide de l’histoire des vaccins. Cela signifie également que pendant toute la durée de la pandémie dans ce pays, qui a déjà tué plus de 250.000 Américains, nous disposions des outils nécessaires pour la prévenir.
Ce vaccin était basé sur la plateforme technologique ARNm de Moderna, qui consiste en un ARNm modifié par des nucléosides contenu dans des nanoparticules lipidiques PEGylées qui sont injectées dans le corps, transfectent les cellules humaines et amènent les ribosomes de ces cellules à traduire l’ARNm étranger en protéines. L’intérêt de cette technologie est essentiellement d’utiliser les cellules humaines comme bioréacteurs pour obtenir un effet thérapeutique, en « brassant » n’importe quelle protéine imaginable dans l’organisme en utilisant les cellules humaines comme usines à protéines.
Le mode d’action du mRNA-1273/Spikevax, selon Moderna, consiste à introduire la substance dans le muscle deltoïde de l’épaule du sujet, à transfecter les cellules du muscle de l’épaule avec les nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm modifié par des nucléosides, et à traduire l’ARNm en protéines de pointe du SARS-CoV-2, incitant ainsi ces cellules à exprimer cette protéine à leur surface, favorisant une réponse immunitaire et la production d’anticorps contre la protéine de pointe.
L’innovation supposée qui a permis la production d’un vaccin « sûr » à base d’ARNm du SARS-CoV-2 a été le développement de protéines de pointe stabilisées et substituées par de la proline, telles que 2P ou HexaPro.
La pandémie de COVID-19 a entraîné une accélération des travaux de développement de thérapies et de vaccins. Une cible clé de ces efforts est la protéine de pointe (S), qui est métastable et difficile à produire de manière recombinante. Ici, nous avons caractérisé 100 conceptions de protéines de pointe basées sur leur structure et identifié 26 substitutions individuelles qui ont augmenté le rendement et la stabilité de la protéine. L’essai de combinaisons de substitutions bénéfiques a abouti à l’identification de HexaPro, une variante avec six substitutions de proline bénéfiques présentant une expression environ 10 fois supérieure à celle de sa construction parentale et la capacité de résister au stress thermique, au stockage à température ambiante et à trois cycles de congélation-décongélation. Une structure cryo-EM de 3,2 Å de résolution d’HexaPro a confirmé qu’il conserve la conformation de la protéine de pointe de préfusion. La production à haut rendement d’une protéine de pointe de préfusion stabilisée accélérera le développement de vaccins et de diagnostics sérologiques pour le SARS-CoV-2.
Ces modifications sont destinées à verrouiller la protéine de pointe dans la conformation de préfusion.
Comme le dit Norbert Pardi, spécialiste des vaccins à ARNm à l’université de Pennsylvanie, nous avons « beaucoup de chance » que les scientifiques aient mis au point la mutation 2P pour un vaccin contre le MERS avant la pandémie de COVID-19. « Sinon, il n’aurait pas été possible d’aller aussi vite avec le vaccin Moderna ».
D’autres sociétés, dont Johnson & Johnson, Novavax et Pfizer, espèrent que la mutation 2P fonctionnera également pour leurs vaccins COVID-19.
La mutation 2P pourrait littéralement être le petit détail qui pourrait faire ou défaire la première génération de vaccins COVID-19. Il s’agit d’une modification assez facile à ajouter lors des premières étapes de la conception du vaccin. En cas de succès, les vaccins basés sur la mutation 2P pourraient annoncer une nouvelle génération de vaccins dont la composition moléculaire est finement ajustée afin de créer une réponse immunitaire plus sûre et plus forte.
La recherche sur la protéine de pointe 2P était déjà en cours avant l’épidémie de COVID-19, avec d’autres coronavirus; il ne s’agissait pas d’une innovation spécifique aux vaccins COVID-19, elle a simplement été réaffectée à ces derniers.
L’idée était que le vaccin resterait dans l’épaule et ne poserait aucun problème pour les organes du sujet. Cependant, les recherches antérieures de Moderna (et les documents de Pfizer sur la biodistribution qui ont fait l’objet de fuites) nous ont appris que les nanoparticules lipidiques se répandent dans tout le corps, affectant le cœur, le foie, la rate, la moelle osseuse et d’autres tissus essentiels. Par conséquent, l’idée que le vaccin resterait dans le muscle deltoïde du receveur a toujours été une falsification flagrante.
Moderna a pu obtenir un financement considérable du HHS et de BARDA dans le cadre de l’opération Warp Speed, pour développer un vaccin contre le COVID-19. Ils ont fait passer le vaccin par des essais très accélérés avec une méthodologie très discutable. Les gouvernements ont signé des accords d’achat avec ces sociétés qui les exonéraient de leur responsabilité légale en cas de problème.
Dans le cas de Moderna, cette situation est très préoccupante, étant donné que le mRNA-1273 est leur tout premier produit commercial. Imaginez qu’une entreprise automobile soit financée par des investisseurs providentiels et des groupes de réflexion militaires pendant des années et des années, que le gouvernement impose à tous les habitants du pays d’acheter l’une de ces voitures sous peine de perdre leur emploi et d’être ostracisés s’ils refusent, et que l’entreprise qui produit les voitures soit totalement dégagée de toute responsabilité juridique, de sorte que si les roues se détachent, que le véhicule se retourne et que vous vous brisez le cou, vous n’ayez aucun recours pour poursuivre le fabricant. C’est ce que nos gouvernements ont convenu avec Moderna, pour un dangereux médicament de thérapie génique maquillé en vaccin.
Ces soi-disant vaccins posent de très nombreux problèmes en termes de toxicité, d’effets secondaires à long terme et d’ingrédients potentiels non divulgués, comme nous l’avons souligné dans nos précédents articles sur le sujet. Ils n’auraient jamais dû être approuvés par la FDA.
La chronologie de Moderna ne correspond pas aux documents divulgués l’année dernière, qui indiquent que Ralph Baric – un expert du SARS à la University of North Carolina à Chapel Hill et un collègue de Shi Zhengli (Baric était également responsable des tests et de la validation du Remdesivir) – a signé un accord de transfert de matériel confidentiel le 12 décembre 2019, afin de prendre livraison des « candidats vaccins coronavirus à ARNm développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna ». Cet accord est visible à la page 105 de cet ensemble de documents:
De nombreux résultats de recherche relatifs à Ralph Baric et à son implication dans cette affaire sont censurés par Google.
On pourrait arguer que cela fait référence à un vaccin contre un coronavirus différent. Si tel est le cas, pourquoi envoyer ces documents à Ralph Baric, un expert du SARS ayant des liens avec des chercheurs de l’Institut de Virologie de Wuhan?
Si c’est effectivement l’ARNm-1273 qui fait l’objet de cet accord, alors comment Moderna a-t-elle pu avoir connaissance de l’épidémie à Wuhan ? C’est le 30 décembre 2019 que le Dr Li Wenliang, malheureusement aujourd’hui décédé, a tenté de tirer la sonnette d’alarme sur la propagation d’une nouvelle souche de SARS à Wuhan, avant que le bureau de police de Wuhan ne le bâillonne.
Le 12 décembre 2019, personne ne savait qu’une souche de SARS hautement infectieuse circulait à Wuhan, à l’exception peut-être d’un petit nombre de chercheurs sur les virus et d’initiés du réseau de biodéfense qui auraient pu en avoir connaissance, comme Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak et d’autres personnes liées au Global Virome Project de l’USAID. Ces informations ont pu être transmises à Moderna par des voies détournées.
La preuve irréfutable
À la fin de l’année dernière, un scientifique opérant sous un pseudonyme a publié un article choquant sur son Substack, affirmant que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 contenait une séquence qui avait, comme complément inverse, une correspondance à 100 % avec une séquence génétique trouvée uniquement dans une lignée cellulaire mutante MSH3 brevetée par Moderna.
Ceci est très inquiétant et pourrait indiquer que le SARS-CoV-2 est né d’une recombinaison dans une lignée cellulaire fournie par Moderna.
Stéphane Bancel a été interrogé sur ce point par Maria Bartiromo:
Il a paru très hésitant à donner une quelconque réponse, et a finalement fourni une non-réponse évasive.
Questions non résolues
La question la plus troublante, ici, est de savoir pourquoi une start-up de biotechnologie a pu recevoir autant d’investissements au cours de la décennie, y compris de la part du réseau américain de biodéfense et des groupes de réflexion du Pentagone, alors qu’elle ne disposait d’aucun produit commercial vendable pour procurer de la valeur à ses investisseurs, puis, soudainement, a basculé dans la recherche et la production de vaccins à la onzième heure.
L’existence et le financement persistant de Moderna, en dépit d’une décennie entière d’échec commercial, n’ont aucun sens. C’est comme si un objectif spécifique de biodéfense pour l’utilisation de produits thérapeutiques à base d’ARNm avait été fixé avant même que la société n’existe, et que la société avait été créée et financée pour poursuivre cet objectif.
L’histoire de Moderna est essentiellement celle d’une société écran du réseau de biodéfense américain qui prétend s’engager dans la recherche exploratoire de thérapies contre le cancer et les maladies rares, et qui ensuite, en usant d’un subterfuge, se met à travailler sur des vaccins pour le DARPA et le BARDA.
Tout ce qui concerne cette société est extrêmement suspect, et ce avant même de prendre en compte les liens de Moderna avec le WIV [NdT. l’Institut de Virologie de Wuhan] par l’intermédiaire de Stéphane Bancel et d’Alain Mérieux, la présence d’une séquence dans le SARS-CoV-2 dont le complément inverse est une séquence brevetée de Moderna, et la collaboration secrète de Moderna avec le NIAID et Ralph Baric pour développer des vaccins à ARNm contre le coronavirus peu avant que l’épidémie de Wuhan ne soit signalée.
Nous, à l’ICENI, pensons que les actions de Moderna peuvent fournir la base d’un énorme procès RICO [NdT. Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act]. Nous pensons également que nous sommes en présence d’un crime d’une ampleur inimaginable, toujours en cours, impliquant des fonctionnaires de haut niveau, des agences de renseignement et leurs pions pharmaceutiques.
L’enquête se poursuit. Les auteurs de cette conspiration criminelle ne sont pas au-dessus de la loi, ni hors de portée de l’examen public.
Moderna, the producers of the mRNA-1273/Spikevax vaccine, are the ones principally responsible for the development of the mRNA transfection tech currently used in various COVID-19 vaccines.
The seed of the idea that would germinate into Moderna was planted in 2005, when Derrick Rossi read a paper written by Hungarian scientist Katalin Karikó on how nucleoside-modified mRNA could be made to evade human immune responses from toll-like receptors.
The paper in question was published in Cell, back in 2005:
According to this paper, using pseudouridine in place of uridine allows foreign mRNA to escape detection by TLR7/8.
Toll-like receptors are a type of PRR, or pattern-recognition receptor, the smoke alarms of human (and other mammalian) immune cells. Their purpose is to detect molecular signs of damage or foreign objects (DAMPs and PAMPs) and induce an inflammatory response.
The innate immune system employs germline-encoded pattern-recognition receptors (PRRs) for the initial detection of microbes. PRRs recognize microbe-specific molecular signatures known as pathogen-associated molecular patterns (PAMPs) and self-derived molecules derived from damaged cells, referred as damage-associated molecules patterns (DAMPs). PRRs activate downstream signaling pathways that lead to the induction of innate immune responses by producing inflammatory cytokines, type I interferon (IFN), and other mediators. These processes not only trigger immediate host defensive responses such as inflammation, but also prime and orchestrate antigen-specific adaptive immune responses (1). These responses are essential for the clearance of infecting microbes as well as crucial for the consequent instruction of antigen-specific adaptive immune responses.
Mammals have several distinct classes of PRRs including Toll-like receptors (TLRs), RIG-I-like receptors (RLRs), Nod-like receptors (NLRs), AIM2-like receptors (ALRs), C-type lectin receptors (CLRs), and intracellular DNA sensors such as cGAS (2, 3).
Normally, foreign DNA or RNA triggers an immune response, and with good reason; its presence is often a sign that a pathogen is infiltrating the body. However, this poses a conundrum for scientists who wish to transfect human cells in vivo with foreign DNA or RNA for the purpose of gene therapy. What Dr. Karikó’s research suggested was that there was a way to “cloak” mRNA from TLRs by substituting nucleoside subunits in those mRNA strands with something else that would not be recognized by those receptors as a constituent of mRNA. In other words, what she proposed was to reduce the immunogenicity of foreign mRNA by rendering them, from the perspective of the body, chemically inert.
Derrick Rossi took an interest in this, immediately seeing the therapeutic potential of nucleoside-modified mRNA. In 2010, he solicited the help of Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien, and Noubar Afeyan to form the company ModeRNA Therapeutics.
In 2011, Noubar Afeyan hired Stéphane Bancel, formerly the CEO of bioMérieux, to head up ModeRNA. As mentioned in our previous articles, the founder of bioMérieux, Alain Mérieux, is a personal friend of Xi Jinping and assisted in the construction of the P4 lab at the Wuhan Institute of Virology.
The maximum-level biosafety laboratory at the Wuhan Institute of Virology was the first of its kind to be built in China, and has been the centre of huge speculation since the start of the Covid-19 pandemic which originated in that city. The laboratory, which is equipped to handle Class 4 pathogens (P4) including dangerous viruses such as Ebola, was built with the help of French experts and under the guidance of French billionaire businessman Alain Mérieux, despite strong objections by health and defence officials in Paris. Since the laboratory’s inauguration by prime minister Bernard Cazeneuve in 2017, however, France has had no supervisory role in the running of the facility and planned cooperation between French researchers and the laboratory has come to a grinding halt. Karl Laske and Jacques Massey report.
As mentioned in our previous articles, Robert Langer, an expert in nanotech drug delivery at MIT, was a colleague of Charles Lieber, a Harvard bionanotechnology expert who was deeply involved in DARPA-funded research into silicon nanowires, potentially even as the basis for brain-computer interfaces.
In 2011, ModeRNA had already reached unicorn status, with a valuation of over a billion dollars, despite having produced no commercial products of any kind.
Expectations are high. Being a startup valued at more than a billion dollars—an anomaly that venture capitalists dub a unicorn—comes with scrutiny, and many wonder whether Moderna’s pipeline, consisting mostly of vaccines for now, will expand to match the company’s original vision of mRNA as a broad treatment platform. « There were a lot of really big promises made, » says Jason Schrum, a biotechnology consultant in San Francisco and a former Moderna employee. « That’s what people latched onto; they want the promises to be true, and they want to see the investment really turn it into something meaningful. »
In 2013, ModeRNA and AstraZeneca signed a five-year agreement to develop and commercialize mRNA-based therapies for cardiovascular, metabolic, and renal diseases, as well as cancer. As part of this agreement, AstraZeneca paid $240 million dollars to ModeRNA, despite them, again, having no commercial products nor ongoing drug trials.
Also in 2013, ModeRNA was awarded $25 million from DARPA to develop mRNA-based therapies. Given that DARPA are a military think tank involved in biosecurity/biosurveillance/biodefense, this was an odd fit, considering that ModeRNA were, at the time, engaged in research for cancer therapies and treating chronic illnesses with mRNA, and not mRNA vaccines, which have a clear biodefense purpose (i.e. rapidly vaccinating against bioweapons). ModeRNA are based in Cambridge, Massachusetts. Incidentally, a large portion of the US biodefense network is also situated in the vicinity of Boston, as outlined in Frank L. Smith’s book, American Biodefense.
Edward Hammond ran a watchdog group called the Sunshine Project to investigate the massive DOD and HHS investment in biolabs in the 2000s after Amerithrax, as well as the shocking lack of oversight and accountability in these labs. Unfortunately, this group was forced to disband in 2008 due to a lack of funding.
In 2014, Alexion Pharmaceuticals struck a deal with ModeRNA, paying them $100 million to develop treatments for rare diseases, including Crigler-Najjar syndrome. The program was terminated in 2017 after animal testing showed that the therapies would never be safe enough to enter human trials.
In order to protect mRNA molecules from the body’s natural defenses, drug developers must wrap them in a protective casing. For Moderna, that meant putting its Crigler-Najjar therapy in nanoparticles made of lipids. And for its chemists, those nanoparticles created a daunting challenge: Dose too little, and you don’t get enough enzyme to affect the disease; dose too much, and the drug is too toxic for patients.
From the start, Moderna’s scientists knew that using mRNA to spur protein production would be a tough task, so they scoured the medical literature for diseases that might be treated with just small amounts of additional protein.
“And that list of diseases is very, very short,” said the former employee who described Bancel as needing a Hail Mary.
Crigler-Najjar was the lowest-hanging fruit.
Yet Moderna could not make its therapy work, former employees and collaborators said. The safe dose was too weak, and repeat injections of a dose strong enough to be effective had troubling effects on the liver in animal studies.
ModeRNA under Bancel’s leadership was fraught with issues, including high-profile resignations due to the harsh company culture fostered by its CEO. Many employees also found the company’s pivot to vaccine research in 2017 highly questionable from a fiscal perspective, given the perception of vaccines as a loss-leader.
As he pursued a complex and risky strategy for drug development, Bancel built a culture of recrimination at Moderna, former employees said. Failed experiments have been met with reprimands and even on-the-spot firings. They recalled abusive emails, dressings down at company meetings, exceedingly long hours, and unexplained terminations.
At least a dozen highly placed executives have quit in the past four years, including heads of finance, technology, manufacturing, and science. In just the past 12 months, respected leaders of Moderna’s cancer and rare disease programs both resigned, even though the company’s remarkable fundraising had put ample resources at their disposal. Each had been at the company less than 18 months, and the positions have yet to be filled.
In 2017, ModeRNA tested their mRNA tech on Sprague-Dawley rats and cynomolgus monkeys at Charles River Laboratories’ facilities. They found that the mRNA spread well beyond the injection site and was discovered in the liver, spleen, bone marrow, and heart.
The pharmacology, pharmacokinetics, and safety of modified mRNA formulated in lipid nanoparticles (LNPs) were evaluated after repeat intravenous infusion to rats and monkeys. In both species, modified mRNA encoding the protein for human erythropoietin (hEPO) had predictable and consistent pharmacologic and toxicologic effects. Pharmacokinetic analysis conducted following the first dose showed that measured hEPO levels were maximal at 6 hours after the end of intravenous infusion and in excess of 100-fold the anticipated efficacious exposure (17.6 ng/ml) at the highest dose tested.24 hEPO was pharmacologically active in both the rat and the monkey, as indicated by a significant increase in red blood cell mass parameters. The primary safety-related findings were caused by the exaggerated pharmacology of hEPO and included increased hematopoiesis in the liver, spleen, and bone marrow (rats) and minimal hemorrhage in the heart (monkeys). Additional primary safety-related findings in the rat included mildly increased white blood cell counts, changes in the coagulation parameters at all doses, as well as liver injury and release of interferon γ–inducible protein 10 in high-dose groups only. In the monkey, as seen with the parenteral administration of cationic LNPs, splenic necrosis and lymphocyte depletion were observed, accompanied with mild and reversible complement activation. These findings defined a well-tolerated dose level above the anticipated efficacious dose. Overall, these combined studies indicate that LNP-formulated modified mRNA can be administered by intravenous infusion in 2 toxicologically relevant test species and generate supratherapeutic levels of protein (hEPO) in vivo.
In 2018, ModeRNA rebranded themselves as Moderna Inc., and raised $621 million through their IPO by the end of that year.
Through the end of 2019, Moderna had accumulated losses of $1.5 billion dollars over the course of the company’s history.
Paradoxically, they continued to excite investors.
The Moderna COVID-19 Vaccine
Very shortly after China sent the sequence for 2019-nCoV – which would eventually become known as SARS-CoV-2 – on January 11th, 2020, Moderna claimed to have developed a vaccine within 48 hours of receiving the gene sequence for the virus, on January 13th.
You may be surprised to learn that of the trio of long-awaited coronavirus vaccines, the most promising, Moderna’s mRNA-1273, which reported a 94.5 percent efficacy rate on November 16, had been designed by January 13. This was just two days after the genetic sequence had been made public in an act of scientific and humanitarian generosity that resulted in China’s Yong-Zhen Zhang’s being temporarily forced out of his lab. In Massachusetts, the Moderna vaccine design took all of one weekend. It was completed before China had even acknowledged that the disease could be transmitted from human to human, more than a week before the first confirmed coronavirus case in the United States. By the time the first American death was announced a month later, the vaccine had already been manufactured and shipped to the National Institutes of Health for the beginning of its Phase I clinical trial. This is — as the country and the world are rightly celebrating — the fastest timeline of development in the history of vaccines. It also means that for the entire span of the pandemic in this country, which has already killed more than 250,000 Americans, we had the tools we needed to prevent it.
This vaccine was based on Moderna’s mRNA technology platform, which consists of nucleoside-modified mRNA contained in PEGylated lipid nanoparticles which are injected into the body, transfect human cells, and cause ribosomes in those cells to translate the foreign mRNA into proteins. Essentially, the point of this technology is to use human cells as bioreactors for therapeutic effect, “brewing” any conceivable protein inside the body using human cells as protein factories.
The mode of action of mRNA-1273/Spikevax, according to Moderna, is to introduce the substance into the deltoid muscle in the subject’s shoulder, transfect shoulder muscle cells with the lipid nanoparticles containing nucleoside-modified mRNA, and translate the mRNA into SARS-CoV-2 Spike proteins, thereby inducing those cells to express this protein on their surfaces, promoting an immune response and antibody production against the Spike.
The supposed innovation that enabled a “safe” SARS-CoV-2 mRNA vaccine to be produced was the development of stabilized, proline-substituted Spike proteins, such as 2P or HexaPro.
The COVID-19 pandemic has led to accelerated efforts to develop therapeutics and vaccines. A key target of these efforts is the spike (S) protein, which is metastable and difficult to produce recombinantly. Here, we characterized 100 structure-guided spike designs and identified 26 individual substitutions that increased protein yields and stability. Testing combinations of beneficial substitutions resulted in the identification of HexaPro, a variant with six beneficial proline substitutions exhibiting ~10-fold higher expression than its parental construct and the ability to withstand heat stress, storage at room temperature, and three freeze-thaw cycles. A 3.2 Å-resolution cryo-EM structure of HexaPro confirmed that it retains the prefusion spike conformation. High-yield production of a stabilized prefusion spike protein will accelerate the development of vaccines and serological diagnostics for SARS-CoV-2.
These modifications are intended to lock the Spike in the prefusion conformation.
As Norbert Pardi, an mRNA vaccine scientist at the University of Pennsylvania, puts it, we’re “very lucky, actually,” that scientists worked out the 2P mutation for a MERS vaccine before the COVID-19 pandemic. “It wouldn’t be possible to go so fast with the Moderna vaccine otherwise.”
Other companies, including Johnson & Johnson, Novavax, and Pfizer, are hoping the 2P mutation works for their COVID-19 vaccines too.
The 2P mutation might quite literally be the smallest detail that could make or break the first generation of COVID-19 vaccines. It’s an easy enough tweak to add during the early stages of vaccine design. And if successful, 2P-based vaccines may herald a new generation of vaccines whose molecular makeup is fine-tuned to craft a safer, stronger immune response.
Research into 2P Spike existed before the COVID-19 outbreak, with other coronaviruses; it was not an innovation specific to COVID-19 vaccines, but merely repurposed for them.
The conceit here was that the vaccine would stay in the shoulder and would not pose any issues for any of the subject’s organs. However, we know from Moderna’s prior research (and the leaked Pfizer biodistribution documents) that lipid nanoparticles spread all over the body, affecting the heart, liver, spleen, bone marrow, and other key tissues. Therefore, the notion that the vaccine would remain in the deltoid muscle of the recipient was always a blatant falsehood.
Moderna was able to secure considerable funding from HHS and BARDA under Operation Warp Speed, to develop a COVID-19 vaccine. They pushed the vaccine through highly accelerated trials with a very questionable methodology. Governments signed purchase agreements with these companies that waived their legal liability in case anything went wrong.
In Moderna’s case, this is highly alarming, considering that mRNA-1273 is their first-ever commercial product. Imagine if there was a car company that was funded by angel investors and military think tanks for years and years, and the government mandated that everyone in the country must purchase one of these cars on pain of job loss and ostracization if they refuse, and the company producing the cars had no legal liability at all, such that if the wheels fell off and the vehicle flipped over and you broke your neck, you would have no recourse to sue the manufacturer. That’s what our governments agreed on with Moderna, for an unsafe gene therapy drug masquerading as a vaccine.
There are many, many issues with these so-called vaccines, with toxicity, long-term side effects, and potential undisclosed ingredients, as outlined in our prior articles on the matter. They should never have been approved by the FDA.
Moderna’s timeline does not match up with leaked documents uncovered last year, which indicate that Ralph Baric – a SARS expert at UNC Chapel Hill and a colleague of Shi Zhengli (Baric was also responsible for the testing and validation of Remdesivir) – signed a confidential material transfer agreement on December 12th, 2019, to take delivery of “mRNA coronavirus vaccine candidates developed and jointly-owned by NIAID and Moderna”. This is visible on Page 105 of this set of documents:
Many search results pertaining to Ralph Baric and his involvement in this are censored from Google.
One might argue that this refers to a vaccine for a different coronavirus. If so, why send these materials to Ralph Baric, a SARS expert with links to researchers at the Wuhan Institute of Virology?
If it is, in fact, mRNA-1273 that is the subject of this agreement, then how did Moderna possess foreknowledge of the outbreak in Wuhan? It was on December 30th, 2019 that the unfortunately now-deceased Dr. Li Wenliang tried sounding the alarm about the spread of a new SARS strain in Wuhan, before the Wuhan Police Bureau gagged him.
On December 12th, 2019, no one knew there was a highly infectious SARS strain circulating in Wuhan, except perhaps for a select few virus researchers and biodefense network insiders who may have possessed foreknowledge, such as Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak, and others connected to USAID’s Global Virome Project. This information may have been passed to Moderna through back channels.
The Smoking Gun
Late last year, a scientist operating under a pseudonym posted a shocking article on their Substack, claiming that SARS-CoV-2 Spike contained a sequence that had, as its reverse complement, a 100% match to a gene sequence found only in a Moderna patented MSH3-mutant cell line.
This is very alarming, and may indicate SARS-CoV-2 arose from a recombination event in a cell line supplied by Moderna.
Stéphane Bancel was questioned on this by Maria Bartiromo:
He appeared very hesitant to answer at all, eventually providing an evasive non-answer.
Unresolved Questions
The most troubling question, here, is why a biotech startup received so much investment over the course of decade, including investment from the US biodefense network and Pentagon think tanks, despite having no salable commercial products to provide value to their investors, and then, suddenly, they switched gears to vaccine research and production at the eleventh hour.
The existence and persistent funding of Moderna despite a whole decade of commercial failure behind them doesn’t make sense. It is as if there was a specific biodefense goal for the usage of mRNA-based therapeutics in mind before the company even existed, and the company was created and funded to pursue that goal.
Moderna’s history is essentially one of a US biodefense network front company pretending to engage in exploratory research for cancer and rare disease therapies, and then pulling a bait-and-switch and starting work on vaccines for DARPA and BARDA.
Everything about this company is extremely suspicious, and that’s before one takes into account Moderna’s connections to the WIV through Stéphane Bancel and Alain Mérieux, the presence of a sequence in SARS-CoV-2 the reverse complement of which is a patented Moderna sequence, and Moderna’s secretive collaboration with NIAID and Ralph Baric to develop coronavirus mRNA vaccines shortly before the outbreak in Wuhan was reported.
We at ICENI believe that Moderna’s actions may form the basis for a massive RICO case. We also believe that a crime of unimaginable proportions took place here, and is still ongoing, involving high-level public officials, intelligence agencies, and their pharma pawns.
The investigation continues. The perpetrators of this criminal conspiracy are not above the law, nor are they beyond the reach of public scrutiny.
Tout va parfaitement bien et ira encore mieux demain, hormis quelques détails mineurs.
Shangaï, c’est fini (et dire que c’était le sujet de mon prochain article).
En fait, non.
Ce n’est pas du tout fini, contrairement à ce que vous aurez lu récemment un peu partout ailleurs, sauf sur l’excellentCovidémence, qui fait le boulot et dont je reparle un peu plus loin (en bien). Même le Substack le plus pointu sur la Chine (l’auteur parle le mandarin) est un peu dans le flou. Heureusement, votre dévoué blogger écoute au boulot dans son lecteur mp3 le meilleur podcast de l’Univers, qui reçoit des rapports de terrain (boots on the ground reports) de ses producteurs/auditeurs, dont l’un réside à Shangaï. Lecture ici, à partir de 2:32:37, du rapport qui figure également dans les shownotes sur cette page (cliquer sur China) et dont voici la traduction:
Voici les dernières nouvelles de Shanghai (1) À partir du 1er juin 2022, Shanghai a mis en place la règle d’obligation de « se faire tester toutes les 72 heures ». Les résultats étaient prévisibles. (a) certaines personnes ont été testées positives, le code QR de leur téléphone est devenu rouge – elles ne pouvaient donc entrer dans aucun établissement public, centre commercial, magasin, etc. (b) nous avons des amis, et connaissons des familles des camarades de classe de ma fille, qui ont été reconfinées, à l’intérieur de leur immeuble ou de leur complexe d’appartements ou de copropriétés, en raison de leur proximité avec QUELQU’UN d’autre qui a été « testé positif ». (c) pendant les DEUX premiers jours d' »ouverture », les « stations de dépistage » ont été submergées par une forte demande – et par de longues files d’attente (45 à 60 minutes). Cependant, à l’heure actuelle, parce que les gens craignent un risque de « contact Covid » dans la file d’attente, qui ferait passer leur code au ROUGE, un nombre moindre de personnes se présentent aux stations de dépistage publiques (qui sont GRATUITES). (d) Il existe maintenant un système de dépistage à DEUX niveaux. Les gens qui ont de l’argent vont dans des hôpitaux privés (ils paient 180 RMB, soit environ 25 dollars US, pour un test valable pendant 72 heures), en partant du principe que les « bonnes personnes » ont toujours un test négatif, c’est-à-dire qu’ils courent moins de risques de fréquenter les mauvais « Sneetches » [NdT. personnages issus d’un conte du Dr Seuss]; et dans les complexes plus riches, comme le mien, l’association de logement a passé un contrat avec la ville pour obtenir un centre de dépistage dans notre enceinte, qui est limité à nos résidents. ET MAINTENANT … (2) à partir du samedi 11 juin 2022, la ville commence un confinement » tournant » – différents quartiers de la ville seront fermés – personne ne pourra entrer ou sortir. Tout le monde sera soumis à un prélèvement (prélèvement de gorge) pendant 3 à 5 jours. C’est la politique du ZERO Covid, appliquée au niveau des sous-districts. (3) AUCUNE personne de Shanghai n’est autorisée à voyager dans les provinces voisines – et si elle est autorisée à descendre d’un train, elle devra se soumettre à une quarantaine de deux semaines dans l' »hôtel Covid » local. (Et n’oubliez pas que Shanghai a un taux de vaccination de 90 % (2 injections); et qu’environ 67 % ont fait 3 injections). D’un autre côté (4) Les restaurants et la livraison de nourriture à Shanghai ont repris – mais qui sait pour combien de temps. (5) Les supermarchés ordinaires sont ouverts et reçoivent des livraisons de l’extérieur – les yaourts sont de retour, les fromages et les viandes importés garnissent les rayons. Les produits locaux sont également de retour – depuis des semaines, il n’y avait plus de carottes, de patates douces ou de mangues sur les marchés. TOUT est rentré dans l’ordre. (6) Les frais de taxi ont augmenté d’environ 50% pour les trajets de plus de 20 minutes. (7) En gros, TOUT LE MONDE, partout, porte un masque – en faisant du vélo, en conduisant un scooter, seul dans une voiture, en promenant son chien. C’est pitoyable. La folie est générale.
L’expérience chinoise se poursuit donc en grandeur nature, contre toute forme bon sens et de logique – à moins que ce soit de l’humour chinois. Heureusement, quelqu’un a l’explication.
Les Russes arrivent!
C’est officiel… ou alors les Chinois. Ou les deux. C’est le toujours très posé (mode sarcasme) Mike Adams, le fondateur de Brighteon, qui relaye ici l’information tirée d’une interview d’un certain M. Wang – dont on donne pas le prénom mais qui pourrait être Long, les anglophones apprécieront ce gag désopilant.
Résumé des points de l’interview par Mike Adams:
– La Chine finance la guerre de la Russie en Ukraine. (Rien que ce point est déjà très choquant). – La Chine a utilisé les faux confinements covid pour vider les rues afin de déplacer efficacement les équipements militaires dans les grandes villes chinoises en vue des attaques contre les États-Unis / charger des navires avec du matériel militaire, etc. [NdT. parce que évidemment les Etats-Unis ne disposent pas de personnel qualifié pour analyser les images par satellite] – Les équipements militaires sont déguisés en équipements d’intervention en cas d’épidémie, tels que des ambulances ou des véhicules de santé publique. – L’APL utilise des fréquences de communication civiles plutôt que des fréquences militaires afin de déjouer les capacités de surveillance militaire des États-Unis. [NdT. parce que évidemment les Américains sont trop stupides pour espionner les fréquences civiles] – La Chine prévoit de bloquer Taïwan plutôt que de l’envahir dans un premier temps. Ce blocus empêchera Taïwan de recevoir de la nourriture, du carburant, des médicaments et une aide militaire. Taïwan se rendra plus tard, après la défaite des États-Unis, selon le plan du PCC. [NdT. j’ai un article intéressant de John Paul sur la situation Chine/Taiwan, que je traduirai si j’ai le temps] – Une fois Taïwan bloquée, la Chine utilisera la « guerre sans restriction » et le « chantage nucléaire » pour tenter d’isoler les États-Unis tout en essayant de contrôler les sphères politiques du Japon, de Taïwan et de la Corée du Sud, en affirmant son contrôle sur leurs exportations et en refusant ainsi ces exportations aux États-Unis. Cette manœuvre, si elle réussissait, ferait s’effondrer l’économie américaine pratiquement du jour au lendemain. La chaîne d’approvisionnement en pièces détachées, en composants électroniques et en biens de consommation serait immédiatement interrompue. – La « guerre sans restriction » comprend des cyberattaques, des attaques financières telles que la mis au ban du dollar et la vente de toute la dette du Trésor américain, des attaques à l’arme biologique, des attaques de guerre d’information et même des attaques par impulsion électromagnétique visant à désactiver le réseau électrique américain. – Les meilleures troupes militaires de la Russie n’ont pas été déployées en Ukraine mais sont positionnées pour une guerre contre les États-Unis et le Canada. Cela signifie que la Russie a réservé ses troupes les plus performantes pour la véritable guerre contre les États-Unis. – La Russie n’a pas encore utilisé ses armes les plus puissantes en Ukraine, qui pourraient être déployées contre les États-Unis: 1) sa flotte de sous-marins à capacité nucléaire, et 2) des missiles balistiques intercontinentaux (MBCI) tels que le système Sarmat-II qui transporte 10 à 15 MIRV (véhicules nucléaires de rentrée) et peut échapper aux capacités anti-MBCI des États-Unis. – La Chine fabrique des armes pour la Russie dans une usine qui se présente comme « une subdivision de la société Norinco » (China North Industries Corporation). Il s’agit d’un autre moyen pour la puissance économique de la Chine de soutenir les efforts militaires de la Russie. – Une fois l’appareil d’état américain destitué par les forces d’invasion, le Président Biden sera exposé à la foule dans son plus simple appareil, coiffé d’un entonnoir. C’est Matthew Ehret qui sera nommé Premier Ministre du Canada et Lauren Katlin première Présidente des Etats-Unis.
Ok, j’avoue, c’est moi qui ai ajouté le dernier point.
Outre le côté hautement ridicule de ces révélations, la question serait, pourquoi quiconque se donnerait-il la peine d’envahir les Etats-Unis et l’Europe alors que la manière la plus sûre – et la plus économique – de les détruire serait de les laisser faire. L’Occident n’a aucun besoin de la Chine ou de la Russie pour imploser. VonderLeyen, Macron, Biden, Trudeau et leurs acolytes se débrouillent très bien tout seuls. Enfin, presque. Même si les menaces (article payant) de représailles militaires de Poutine ne se concrétisent pas, vu le volume d’armes de guerres prélevées sur les « dons » à l’Ukraine à vendre sur le Dark Web et le risque beaucoup plus réaliste de se voir couper le gaz russe, le niveau de violence criminelle en Europe pourrait bien grimper assez vite et assez haut. Un peu ce que prévoit Gonzalo Lira, sauf qu’il appelle ça indûment une « guerre civile ».
Gonzalo Lira
J’ai un peu laissé tomber ses vidéos ces derniers temps, avec l’intention de revenir sur certains points sous forme de résumé (voir ma remarque en début de cet article). Je suis d’autant plus allergique au format vidéo que dans son cas, ça signifie se farcir quotidiennement un quart d’heure d’un type très arrogant qui tente de camoufler sa calvitie sous une casquette de d’jeun. Encore un gauchiste qui veut se faire passer pour un homme de droite. Mais bon, Serge de Beketch n’est plus parmi nous, et il n’en reste plus beaucoup pour prendre la relève de sa manière d’appeler un chat un chat.
Après plusieurs semaines de bavardage dans sa cuisine, Gonzalo Lira en arrive plus ou moins à mi-chemin de l’analyse que j’avais faite ici le 23 janvier de cette année, c’est à dire un mois avant le début de l’opération militaire en Ukraine. En résumé, l’OTAN va se désintégrer et l’Europe va souffrir cruellement d’avoir compromis ses relations commerciales avec la Russie. M. Lira évoque le fait – ou plutôt la rumeur – qu’une faction en Europe, qui ne fait pas partie de la majorité actuellement au pouvoir, est en train de négocier l’après-victoire russe, pour tenter de sauver le continent de la misère et du chaos. Il évoque parallèlement la possibilité d’une révolution des ventres vides en Europe dès la fin de cette année, évidemment aggravée par la pénurie d’énergie (programmée) qui privera une partie du peuple du minimum vital, notamment de chauffage – bref, des événements que j’annonce depuis deux ans sur ce blog. Il prévoit aussi une aggravation des mesures désespérées d’une élite qui n’a plus rien à perdre devant le crash imminent du système.
Comme je l’ai maintes fois répété, il n’y aura aucune révolution. Les pitoyables revendications d’un peuple à peine capable d’une vague réaction poujadiste seront aussitôt tuées dans l’oeuf. Pour une analyse très éclairée de l’état mental du peuple français (et d’autres), je vous renvoie vers l’excellent site de Nicolas Bonnal, qui a le bagage culturel nécessaire et trouve encore en lui la ressource de haranguer une plèbe en perdition totale.
M. Lira prévoit aussi qu’en cas d’intégration de la Finlande et de la Suéde à l’OTAN, la Russie s’emparerait militairement de ces deux pays, sans effort et avec beaucoup moins de précautions que celles prises vis-à-vis du peuple ukrainien. L’OTAN soit n’interviendrait pas, soit se ferait immédiatement ratatiner. En ce qui concerne l’Australie, il qualifie de manoeuvre suicidaire sa manoeuvre autoritaire de revendication des Iles Salomon vis-à-vis de la Chine.
Volontairement ou non, M. Lira reste prisonnier de sa lecture binaire des événements et s’en tiendra probablement à sa stance actuelle, d’une Russie légitime contre un Occident pervers et en fin de vie. Il laisse pourtant échapper dans cette vidéo un signe qu’il en sait plus qu’il ne veut bien en dire quand il dit que la Russie n’envahira pas l’Europe, malgré que ce ne serait qu’un retour de l’Histoire (je paraphrase), référence à mon avis à la Nouvelle Chronologie de Fomenko. Dans ce cas, il ne vous dira donc pas non plus ce qu’il sait peut-être aussi, que j’ai dit et que je répète: l’ensemble de l’opération sert à reconstituer la Grande Russie (Finlande incluse), qui a deux ans pour succéder aux Etats-Unis et (re)devenir le pôle central du monde blanc. Il s’agit d’un changement civilisationnel, organisé depuis le niveau au-dessus des « chefs d’Etat », dans lequel ils sont tous complices, de A à Z et à 100%.
La conférence est terminée depuis deux semaines et impossible de trouver sur le Net le moindre extrait de quelque intervention que ce soit d’aucun des participants, parmi lesquels je reconnais quelques spooks notoires, notamment le Dr David Martin et l’architecte Richard Gage qui avait créé à l’époque Architects & Engineers for 9/11 Truth, un organe majeur d’opposition contrôlée. Pas grand chose non plus sur la propre chaîne du Dr Buttar, si ce n’est une conversation avec Bryan Ardis à propos des révélations grotesques de ce dernier sur la véritable nature du Sars-CoV-2, des vaccins et du Remdesivir – c’est du venin de serpent. Un peu comme ce qu’il raconte.
Rappelons que le Dr Buttar avait promis révéler lors de cette conférence la contre-mesure efficace à l’opération prévue pour cet automne, qui provoquerait la mort de centaines de millions de personnes. On pourrait donc s’attendre à ce qu’il fasse le maximum pour diffuser cette info mais non, apparemment, les seuls qui seront sauvés sont ceux qui auront payé leur place à sa conférence. Quand ce n’est pas le prix d’un ticket d’entrée, ces gens ont toujours quelque chose à vendre: leurs thérapies coûteuses, leurs produits naturopathiques et leurs explications fumeuses. J’ai déjà donné.
L’antidote le plus puissant étant d’en rigoler, je vous rappelle donc que Docteur sur Covidémence fait un excellent travail depuis plus de deux ans et que ses articles sur la ou les diverses varioles (mentales incluses) sont assez bien tournés et sourcés. Je vous en proposerai peut-être d’autres bientôt mais en attendant, il veillera sur votre santé (mentale aussi).
Quelques lectures un peu plus médicales sur le site de l’AIMSIB (un, deux, trois, quatre, cinq) pour comprendre que même en cas de vaccin « sûr et efficace » (il en existe pour les animaux), le problème est la stratégie vaccinale: la vaccination des « cas contacts » aggrave l’épidémie, qui finit par s’éteindre d’elle-même par manque de victimes et grâce aux mesures d’isolation des malades. Beaucoup d’autres articles utiles sur leur site – et ils n’ont rien à vous vendre.
Europa unter alles
Sans même tenir compte de tous les délires réels ou fictifs décrits ci-avant, il est plausible qu’il se prépare une action majeure en Europe, quelle que soit sa forme. Tout concrètes qu’elles soient, les rumeurs de guerre, de famine, de crash financier, d’épidémie – bref, des symptômes typiques de fin de système – jouent un autre rôle. Elles annoncent l’arrivée de quelque chose de moche – programmation prédicitive – ce qui aidera à la faire accepter comme une fatalité et contribuera à détruire le peu de confiance qui pouvait encore subsister dans l’ancien système. Toute l’opération des vaccins Covid repose sur ce seul principe. Ça s’appelle un complot, parce que c’est un complot.
En Europe de l’Ouest et aux Etats-Unis, on vit trop bien et surtout trop longtemps, on a trop de privilèges, on gagne trop d’argent. C’est un mauvais exemple pour le reste du monde, qui pourrait vouloir prétendre à l’équité sur cette base. Il faut donc diaboliser le présent modèle et le rendre concrètement dangereux pour faire la place au modèle suivant, qui amènera sa version de la paix (militaire, sociale, raciale, morale, sanitaire, écologique, climatique, etc.) au prix de la notion de libre choix, de l’espérance de vie et de quelques millions de têtes. Ça s’appelle une guerre, parce c’est une guerre.
Démocratie
Le grand cirque médiatique américain autour du non-événement du 6 janvier 2021, lui-même articulé sur le non-événement des élections présidentielles de 2020 est un spectacle sans intérêt qui camoufle de façon perverse un point très important. Comme dans tous les autres spectacles politiques, on ne cesse de brandir des deux côtés de la frontière du pouvoir le mot « démocratie ». Ici, il s’agit carrément de protéger la démocratie aux Etats-Unis. Une bonne fois pour toutes (enfin, probablement pas), la démocratie est l’antithèse de la république et de ses lois, qui se tiennent au-dessus du pouvoir. D’un point de vue purement légaliste, toute personne qui prétend défendre la démocratie dans une république devrait donc en toute logique être considérée comme traître, voire comme terroriste, et traîtée comme telle. Ça n’arrivera bien entendu jamais mais gardez ça à l’esprit quand vous entendrez les jacassements de l’un ou l’autre, ami ou ennemi.
Sinon…
Il y en aurait encore des tombereaux à écrire, analyser, décortiquer et désarmer, mais ça ira très bien pour cette fois.
Merci pour la patience que mes lecteurs consacrent à lire mes articles. Si ce que j’y rapporte les use autant que moi, une suggestion pour utiliser cette patience à meilleur escient: soyez bons avec les animaux et venez en aide aux sans-abri.
C’est la meilleure façon de faire obstacle à la misère.
Voici le fruit d’un monumental travail de recherche et de recoupement d’information sur le sujet. Espérant qu’il sera utile à beaucoup, l’auteur (et le traducteur) compte(nt) sur le lecteur pour le partager. Les termes médicaux employés dans les extraits d’articles sont parfois un peu pointus mais rien n’empêche de les survoler, pour n’en retenir que le principe général – quoique je recommande de faire l’effort. Je suis certain que la partie historique intéressera tout le monde.
Bonne lecture.
PS: « aegrescit medendo » signifie que le remède est pire que la maladie.
Traduction
Mythologie du vaccin contre la variole et la variole du singe, aegrescit medendo
Le remède est pire que la maladie
DoorlessCarp🐭
3 juin
Tous les extraits utilisés dans l’article suivant sont destinés à des fins de recherche et d’éducation non commerciales uniquement et peuvent être soumis aux droits d’auteur de leurs propriétaires respectifs.
Introduction
La première partie de ce Substack retrace l’histoire de la vaccination antivariolique.
La deuxième partie examine la sécurité et l’efficacité d’un candidat vaccin contre la variole du singe et les mécanismes de la cardiomyopathie induite par le vaccin.
La troisième partie conclut sur le thème « L’avenir de la vaccination contre la variole », qui examine des solutions différentes de celle qui est actuellement adoptée.
Première partie: la variole
Si la célèbre découverte d’Edward Jenner a sans aucun doute sauvé de nombreuses vies, elle a également contribué à de nombreux décès pour diverses raisons.
Son effet n’a pas vu la mortalité nette dans la population diminuer au fil du temps, mais au contraire, augmenter (mais où avons-nous déjà vu ça?).
Les principales causes en étaient les suivantes:
Les enfants immunodéprimés et mal nourris étaient incapables de produire une réponse immunitaire efficace. Cela revenait à pousser sur une corde.
Le virus vivant de la variole bovine pouvait être aussi mortel pour ces personnes que la variole elle-même.
Les bonnes pratiques de fabrication (BPF) étaient encore inconnues à l’époque. Les préparations vaccinales variaient en termes de qualité et de variants utilisés, et pouvaient même être contaminées par des spores d’anthrax. En outre, il arrivait souvent que le vaccin provienne de la variole elle-même, et non de la variole bovine…
Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je peux recommander l’excellent « Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History » [Dissiper les illusions : La maladie, les vaccins et l’histoire oubliée] (2013) de Suzanne Humphries MD, dont il convient d’inclure plusieurs citations dans ce Substack.
À bien des égards, nous n’avons pas vraiment progressé depuis l’ère victorienne:
Des vésicules fraîches se sont ensuite formées autour des boutons de vaccination, coalesçant avec eux et provoquant leur propagation. Elles se sont également développées sur le visage, la tête, le corps et dans la bouche, ce qui a empêché l’enfant de téter, et il est mort épuisé le 45e jour après la vaccination.
– Cas d’un enfant sain après la vaccination, 13 mars 1891
Essayez la revaccination – elle ne vous fera jamais de mal,
Car la revaccination a cette grande vertu:
Si elle vous blesse ou vous tue quand vous la recevez,
Nous sommes tous prêts à refuser d’y croire.
– Extrait d’une circulaire signée « The Doctors », 1876.
Et toute immunité acquise, si le vaccin ne vous tuait pas dès la première injection, n’était pas éternelle:
…on observe que tous les enfants non revaccinés âgés de plus d’un an et demi, ou à peu près, et toutes les personnes revaccinées dont la revaccination date de plus de trois ans, c’est-à-dire la grande majorité de la population entière, ne sont pas protégés.{106}
Un autre praticien, le Dr Olesen, a affirmé que la revaccination devait être effectuée chaque année.
Une vaccination récente et réussie constitue une protection absolue contre la variole. La protection dure de six à douze mois et souvent beaucoup plus longtemps. La revaccination est conseillée une fois par an.
Depuis la fin des années 1700, la profession médicale soutient la vaccination, même s’il n’y a jamais eu d’essai où un groupe a été vacciné et comparé à un autre groupe de même taille qui n’a pas été vacciné{109}.
Le CDC admet que, même aujourd’hui, le niveau d’anticorps qui protège contre l’infection par la variole est inconnu.{110} À l’époque où les auteurs de Dissolving Illusions étaient enfants aux États-Unis, on considérait les enfants comme vaccinés et immunisés simplement en révélant la cicatrice de la vaccination des années après l’intervention.
La normalisation et la pureté des vaccins antivarioliques n’étaient pas au rendez-vous, même après l’éradication de la variole aux États-Unis. Les déclarations du Dr Beddow Bayly en 1952 devraient amener chacun à se demander comment un tel vaccin aurait pu être responsable de l’éradication d’une quelconque maladie:
Quand on se rappelle que la lymphe vaccinale est dérivée, en premier lieu, soit d’un cadavre de variole, soit du pis ulcéré d’une vache, soit des plaies coulantes des talons d’un cheval malade, le choix dépendant du pays d’origine et de la firme qui le fabrique, il n’est guère étonnant qu’elle ait des effets néfastes profonds sur la constitution humaine. Il y a quelques années, le Lancet déclarait qu' »aucun praticien ne sait si la lymphe qu’il emploie provient de la variole, de la variole du lapin, de la variole de l’âne ou de la variole de la mule » {117}. Notre propre Ministère de la Santé a longtemps avoué son ignorance complète de la source ultime de sa propre réserve de lymphe; mais l’année dernière, le Dr A. Downie a déclaré dans le British Medical Journal que « la souche du virus de la vaccine utilisée pour la préparation de routine de la lymphe dans ce pays [l’Angleterre] est censée avoir été dérivée d’un cas de variole à Cologne au cours du siècle dernier ». Ceci, bien sûr, détruit toute la théorie de la vaccination avec la variole de la vache.{118}
Lorsque Jenner publia en 1798 son article revendiquant l’immunité à vie contre la variole et promouvant sa technique, de nombreux médecins qui avaient vu la variole succéder à la variole bovine contestèrent sa doctrine lors d’une réunion de la Medico-Convivial Society.
Mais il [Jenner] eut à peine le temps d’en parler qu’ils en rirent. Les docteurs des vaches auraient pu lui citer des centaines de cas où la variole avait suivi la variole bovine…{122}
En 1799, le Dr Drake, un chirurgien de Stroud, en Angleterre, a mené une expérience pour tester la nouvelle préparation préventive de Jenner en utilisant un vaccin obtenu directement d’Edward Jenner. Les enfants furent ensuite soumis à une inoculation de variole pour voir si le procédé de la variole bovine avait été efficace.
Chez trois d’entre eux, un garçon de dix-sept ans et deux des enfants Colborne (l’un âgé de quatre ans, l’autre de quinze mois), les vésicules de la variole atteignirent une maturité précoce et furent croûtées dans les délais habituels. On inocula la variole au jeune homme le 20 décembre, soit le huitième jour de sa vaccination, et aux deux enfants le 21, soit encore le huitième jour. Ils développèrent tous la variole, à la fois les pustules locales et l’éruption générale avec de la fièvre.{123}
Le Dr Hughes, un autre médecin de Stroud, rapporta que les enfants avaient ensuite développé la variole et suggéra que la technique de vaccination avait échoué. Jenner reçut le rapport mais décida d’ignorer les résultats.
Le comportement humain ne varie jamais:
Les chirurgiens et les médecins étaient bien payés pour pratiquer la vaccination et y voyaient une nouvelle source de revenus. Il est donc assez significatif qu’un si grand nombre de médecins aient écrit à des revues médicales pour relater leurs expériences. Cependant, tout comme aujourd’hui, les croyants ont ignoré les voix des dissidents médicaux, ce qui a conduit les gens ordinaires à s’exprimer dans les médias non spécialisés.
Un taux de létalité de 33 % indique une efficacité nulle. Ce n’est peut-être pas surprenant si la variole était la source de la lymphe:
Lors de l’épidémie de variole de 1844, environ un tiers des vaccinés ont contracté une forme bénigne de variole, mais environ 8% des vaccinés sont quand même morts, et près des deux tiers ont eu une maladie grave {131}.
Une lettre adressée à un journal en 1850 affirmait qu’il y avait plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que pendant l’épidémie de variole de 1781, avant le début de la vaccination. L’auteur notait également qu’un tiers des décès dus à la variole concernait des personnes qui avaient été vaccinées auparavant.
L’expérience quotidienne montre malheureusement que la situation a changé : la variole, malgré la vaccination, augmente rapidement… Il y a eu plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que lors de la célèbre épidémie de variole de 1781, avant l’introduction de la vaccination. Je choisirai également les rapports du Registrar de l’un des districts de campagne (Bradford) pour montrer le peu de protection qu’offrait la vaccination au cours du dernier trimestre de cette année 1844: 118 [181 ?] décès dus à la variole ont été enregistrés, dont 60, soit près d’un tiers, avaient été vaccinés.{132}
Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes:
En 1898, le Dr Wilder a également noté que pendant la pandémie de 1871-1872, les vaccinés ont souvent contracté une variole grave plus rapidement que les non-vaccinés.
Jamais, cependant, la foi en la vaccination n’a subi un choc aussi rude que lors de la grande épidémie de variole de 1871 et 1872. Tous les pays d’Europe furent frappés par une épidémie plus grave que celle qui avait été observée au cours des trois siècles précédents. En Angleterre, le nombre de décès dus à la maladie est passé de 2.620 en 1870 à 23.126 en 1871 et 19.064 en 1872, pour retomber à 2.634 en 1873. Sur le continent, en particulier en France et en Allemagne, l’épidémie fut encore plus grave. En Bavière, par exemple, la population vaccinée était plus nombreuse que dans n’importe quel autre pays d’Europe du Nord, à l’exception de la Suède, qui connut la plus grande épidémie jamais connue.
Ce qui est encore plus significatif, c’est que de nombreuses personnes vaccinées dans quasiment toutes les régions ont été attaquées par la variole avant que les personnes non vaccinées ne contractent la maladie.{139}
La résistance à la vaccination s’étant naturellement accrue, des obligations furent promulguées:
En 1840, alors que les médecins et les citoyens se rendaient compte que la vaccination n’était pas ce qu’on leur promettait, les refus de vaccination ont pris de l’ampleur. Les gouvernements ont adopté diverses lois pour obliger les gens à se faire vacciner. En Angleterre, la vaccination a été rendue obligatoire en 1853, et des lois plus strictes ont été adoptées en 1867. Aux États-Unis, le Massachusetts a créé un ensemble de lois générales sur la vaccination en 1855.
Cela a-t-il fonctionné? Pas vraiment.
En fait, plus de personnes sont mortes de la variole dans les 20 ans qui ont suivi les lois strictes d’obligation vaccinale que dans les 20 années précédentes.
…la variole, après avoir presque entièrement disparu de notre communauté pendant les trente ou quarante ans qui ont suivi l’introduction de la vaccination en 1800, a progressivement repris pied à Boston, où elle a continué à sévir presque sans interruption, bien qu’avec une intensité variable, de 1839, lorsque la maladie a pris pour la première fois la forme d’une épidémie distincte, jusqu’en 1873. Pendant cette période de trente-cinq ans, l’évolution de la variole a été marquée par une succession de paroxysmes épidémiques, généralement entrecoupés d’intervalles de plusieurs années, pendant lesquels un nombre variable de cas sporadiques a témoigné de la présence plus ou moins constante de la maladie. La dernière épidémie, celle de 1872-1873, ayant été fatale à 1.040 personnes, est la plus sévère qu’ait connue Boston depuis l’introduction de la vaccination.{142}
Le même schéma d’épidémies plus graves devait se répéter dans les populations fortement vaccinées du monde occidental.
Nombre total de décès en Angleterre et au Pays de Galles dus à la variole et à d’autres effets de la vaccination de 1859 à 1922.Décès dus à la variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux décès dus à la vaccination antivariolique de 1906 à 1922.
Assainissement et alimentation, comme toujours:
Le taux de mortalité de la variole a diminué après 1872, mais rien ne prouve que la vaccination y soit pour quoi que ce soit. Au début des années 1900, les décès dus à la variole ont pratiquement disparu d’Angleterre (graphique 4.5). Il est intéressant de noter que le schéma des décès dus à la variole reflétait presque parfaitement celui d’une maladie beaucoup plus meurtrière, la scarlatine, une maladie bactérienne à médiation par toxine. Il existait un vaccin contre la scarlatine à base de toxine, qui n’a jamais été utilisé à grande échelle car il avait de graves conséquences pour bon nombre de ses bénéficiaires. Un déclin marqué de la mortalité due à la scarlatine s’est produit bien avant l’utilisation de tout antibiotique.
Taux de mortalité de la variole et de la scarlatine en Angleterre et au Pays de Galles de 1838 à 1922.
En examinant les graphiques, certains pourraient penser que le vaccin a simplement nécessité plus de temps pour produire ses effets. Mais après 1872, les taux de couverture vaccinale, qui atteignaient près de 90%, ont lentement diminué. Les taux de couverture ont chuté à seulement 40% en 1909 (graphique 4.6). Malgré la baisse des taux de vaccination, le nombre de décès dus à la variole est resté faible et a pratiquement disparu après 1906. La vaccination antivariolique a toujours eu une corrélation positive avec les épidémies dans les pays qui ont recueilli des données dans le vain espoir de faire la preuve de la valeur du vaccin.
Taux de mortalité par variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux taux de couverture vaccinale contre la variole de 1872 à 1922.
Tout comme aujourd’hui, de nombreux cas poignants de décès évitables d’enfants. La soumission ne fonctionnait pas et c’est ainsi que la vaccination obligatoire fut abandonnée en Angleterre:
Après la pandémie de 1872, davantage de personnes perdirent confiance dans la vaccination. Ils se demandèrent si l’amélioration de l’assainissement, de l’hygiène, des conditions de logement, de l’alimentation et l’isolement des cas ne constituaient pas le meilleur moyen de lutter contre la variole. Ces idées, qui entraient en conflit avec la profession médicale et les lois gouvernementales, culminèrent dans une grande manifestation en 1885 contre la vaccination obligatoire dans la petite ville industrielle de Leicester, en Angleterre. Les gens en avaient assez. Le vent était sur le point de tourner contre la profession médicale et la loi.
Bien que la vaccination contre la variole ait été utilisée depuis 1800, le gouvernement ne commença pas à l’appliquer avant les premières lois de 1840 et 1853. La loi de 1853 mit en place le dispositif gouvernemental permettant d’exiger que chaque enfant soit vacciné dans les trois mois suivant sa naissance.
Grâce à une série d’actes juridiques au fil des ans, le gouvernement britannique avait, au moment de la manifestation de Leicester, fait du refus de la vaccination antivariolique un crime passible d’amendes ou d’emprisonnement.
Les sanctions frappaient de manière disproportionnée les pauvres qui, s’ils n’avaient pas les moyens de payer l’amende pour non-respect de la loi sur la vaccination, voyaient le montant du règlement récupéré de force par la saisie et la vente de leurs meubles. Extrait du Leicester Mercury, janvier 1884:
Un homme nommé Arthur Ward a eu deux enfants blessés par la vaccination et a refusé d’en soumettre un autre à l’opération. Une amende a été imposée et le 24 novembre, deux officiers de police ont réclamé l’amende ou, à défaut, la contravention des biens. Le mari était parti au marché et la pauvre femme n’avait pas d’argent pour payer. Les biens se trouvant au rez-de-chaussée ont été jugés insuffisants pour couvrir le montant, et les agents ont exigé de monter à l’étage. La femme ayant refusé, une altercation a eu lieu, et les officiers ont tenu des propos très durs, menaçant d’emmener son mari en prison, terrifiant Mme Ward. À cette époque, elle était enceinte, et le choc subi par son organisme, ainsi que la peur, étaient d’une telle nature que les symptômes qui s’ensuivirent conduisirent à un accouchement prématuré, et le 26 décembre, elle donna naissance à un enfant mort-né. Elle ne s’est jamais remise et est décédée la semaine dernière. Le médecin qui a soigné Mme Ward a déclaré que, bien qu’il soit partisan de la vaccination, il ne pense pas qu’il soit du devoir d’un professionnel d’appliquer les lois de la manière scandaleuse et brutale dont elles sont imposées {193}.
Leicester, 23 mars 1885:
En raison des conséquences graves et parfois mortelles de la procédure, et du soutien indéfectible du gouvernement à la vaccination forcée par le biais d’amendes et d’emprisonnements, la population a été incitée à se révolter. En grand nombre, ils sont descendus dans les rues de Leicester pour protester. Au moment de la manifestation, on comptait des milliers de poursuites judiciaires contre des parents qui refusaient de faire vacciner leurs enfants.
L’opposition générale à l’application des clauses obligatoires des lois sur la vaccination qui existe à Leicester a culminé hier dans une grande manifestation, qui a été menée avec grand succès. La prise de position des habitants de la ville à l’égard de cette question est due à des causes diverses. A l’heure actuelle, plus de 5.000 personnes sont convoquées pour avoir refusé de se conformer à la loi…. les convocations émises au cours de l’année 1884 ne dépassaient pas sept, soit un peu plus d’une convocation tous les deux mois, tandis qu’à l’heure actuelle, quarante-cinq convocations sont entendues et réglées chaque semaine. Mais même la disposition de quarante-cinq prévenus chaque semaine ne suffit pas à répondre aux exigences de l’affaire, et le nombre de contrevenants et d’objecteurs augmente plus vite que les affaires ne peuvent être traitées.{194}
La foule qui s’est rassemblée à Leicester venait de plusieurs comtés d’Angleterre et comprenait des personnes de toutes professions.
La manifestation… attira des délégués de toutes les régions du pays, tandis que de nombreuses lettres de sympathie furent reçues non seulement d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, mais aussi de Jersey, de France, de Suisse, de Belgique, d’Allemagne et d’Amérique. La plupart des grandes villes du royaume ont envoyé leurs propres bannières, celles du Yorkshire, d’Irlande et d’Écosse étant très en vue. Les anti-vaccinationnistes de Jersey ont envoyé une bannière très élaborée indiquant que les lois avaient été défaites quatre fois dans cette ville, tandis que la bannière belge portait cette inscription en français : « Ni les amendes ni l’emprisonnement n’empêcheront que le vaccin soit un poison et que les lois sur la vaccination soient une infamie » {195}.
Les organisateurs de la manifestation ont estimé le nombre de participants entre 80.000 et 100.000. M. Butcher, conseiller municipal de Leicester, a présidé et félicité la foule pour ce spectacle magnifique et bien organisé. Il a déclaré:
…la conduite exemplaire des milliers de personnes qui ont participé à la manifestation a montré qu’elles étaient déterminées à n’utiliser que des moyens justes et constitutionnels pour obtenir l’abrogation des lois.{200}
Il s’est ainsi adressé à l’auditoire:
De nombreuses personnes présentes ont été victimes de ces Lois, et tout ce qu’elles demandent, c’est qu’à l’avenir on les laisse tranquilles, elles et leurs enfants. Ils ne sont pas venus au monde pour servir de cobayes à l’éradication d’une maladie particulière. Une grande partie du public, qui ne cesse de croître, est d’avis que le meilleur moyen de se débarrasser de la variole et d’autres maladies semblables est de faire usage de beaucoup d’eau, de manger de bons aliments, de vivre dans des maisons claires et aérées, et de veiller à ce que la Corporation garde les rues propres et les égouts en ordre. Si l’on s’occupait de ces questions, il n’y aurait rien à craindre de la variole ni d’aucune autre maladie du même genre; si on les néglige, ni la vaccination ni aucune autre prescription d’un Acte du Parlement ne pourrait les sauver.{201}
Les habitants de Leicester prévalurent et mirent fin à ce cauchemar pseudo-scientifique, les lois sur la vaccination obligatoire furent finalement abrogées:
Des milliers de personnes courageuses lancèrent une rébellion historique qui permit de contrer avec succès la croyance médicale dominante et le pouvoir autoritaire du gouvernement. La profession médicale proclama que les habitants de Leicester souffriraient grandement de leur décision de se détourner de la vaccination. Ils prévoyaient que cette ville non vaccinée, avec ses « matières hautement inflammables »{206}, souffrirait de la « redoutable maladie »{207} qui se répandrait comme « un feu grégeois dans une prairie »{208} et décimerait la population.
Mais les dirigeants de Leicester restèrent fidèles à ce qu’ils savaient être juste et réussirent à mettre en œuvre leur plan d’assainissement, d’hygiène et d’isolement – plutôt que la vaccination. Leur grande entreprise allait mettre à l’épreuve les notions mêmes de liberté de choix, d’autodétermination et le fondement même d’une croyance médicale erronée.
Pour connaître l’histoire complète et de nombreuses autres études de cas, je vous recommande de lire le livre.
Partie 2: La variole du singe
« Nous avons décidé de devenir une grande firme pharmaceutique. » « Comme l’a jadis conseillé l’expert en affaires, Willie Sutton, ‘Parce que c’est là qu’on trouve l’argent’. » « Il faisait référence au cambriolage des banques. » « Oui, et alors? »
Je n’entrerai pas ici dans les méandres de la virologie, car il s’agit pour l’instant d’un exercice de propagande médiatique, de promotion des vaccins et de l’OMS, d’un rien du tout avec un indice R inférieur à 1 et transmis de la même manière que le VIH, en fait une MST spécifique à un genre.
Comme pour le Covid-19, pour la plupart des gens, la clade importée d’Afrique de l’Ouest se présente comme une maladie relativement bénigne, auto-limitante, avec un taux de létalité inférieur à 1, y compris pour les personnes présentant des comorbidités, c’est-à-dire qu’il est en fait assez difficile d’en mourir, et encore plus de la contracter. (1)
Cependant, il existe des preuves de sa création en laboratoire ou d’un potentiel gain de fonction, et il est possible qu’il fonctionne comme une arme binaire, l’autre composant étant l’immunosuppression médiée par les « vaccins » à coronavirus, il faut donc le surveiller du point de vue de son taux de transmission. Pour que cela devienne un problème, il faudrait qu’il se propage par aérosol plutôt que directement de personne à personne.
@Kevin_McKernan:
Il y a quelque chose de suspect dans les séquences de la variole du singe.
50 mutations, c’est beaucoup trop pour un virus ADN de 2018.
On trouve également une délétion qui laisse penser à un passage en série.
L’EPIDEMIE DE VARIOLE DU SINGE (MPXV22) PROVIENT-ELLE D’UN LABORATOIRE? La géographie, la transmissibilité, le nombre et le type de mutations le suggèrent fortement. Avertissement: ceci est une analyse PRELIMINAIRE, un premier coup d’oeil, une invitation à ouvrir le débat! J’espère me trompter. Mais les données…
Du point de vue des laboratoires pharmaceutiques, les vaccins antivarioliques sont interchangeables avec les vaccins contre la variole du singe.
Les vaccins antivarioliques ont également été associés à des taux très élevés de myocardite:
En 2015, des médecins militaires américains ont décrit une étude portant sur 1 081 jeunes soldats en bonne santé ayant reçu un vaccin antivariolique dans le cadre de leur service militaire. [Le vaccin antivariolique n’est pas utilisé dans la population civile] Il est connu pour provoquer un taux élevé d’effets secondaires, notamment des myo- et péri-cardites, des crises cardiaques et des insuffisances cardiaques.
Ils ont constaté que:
– 5 soldats, soit 0,046% (environ 1 sur 216 personnes vaccinées) ont développé un cas clinique de myo ou de péricardite. C’est plus de 200 fois le taux attendu!
– Mais 31 autres personnes vaccinées ont présenté des taux élevés d’enzymes cardiaques.
– En additionnant ces deux groupes (36 sur 1081 soldats), nous constatons qu’un soldat sur 30 a présenté une inflammation cardiaque diagnostiquée en laboratoire. Les 31 autres ne se sont pas plaints de symptômes. Mais dans l’armée, se plaindre n’est jamais payant.
– Ils étaient eux aussi exposés à un risque élevé d’arythmie cardiaque et/ou de réduction de la fonction cardiaque, et peut-être même à un risque plus élevé d’infarctus du myocarde.
Nous ne savons pas dans quelle mesure les myo/péricardites légères ou subaiguës sont fréquentes chez les jeunes Américains après l’administration des vaccins Covid, car les agences sanitaires américaines n’ont pas réalisé d’étude similaire, n’ont pas exigé une telle étude des fabricants de vaccins (alors qu’il incombe à la fois à la FDA de la demander et aux fabricants de la réaliser), et la FDA et les CDC ont gardé secrètes les bases de données qui pourraient au moins permettre d’identifier les cas « cliniques », ceux qui se sont plaints et ont demandé des soins médicaux.
Les CDC ou la FDA auraient également pu passer un contrat avec ce groupe de médecins militaires pour réaliser une étude similaire sur les personnes ayant reçu le vaccin Covid.
Le Dr Michael Nelson, deuxième auteur de cette étude, a été nommé membre du comité consultatif de la FDA pour les vaccins Covid. Mais il est resté muet sur les similitudes potentielles entre les effets secondaires du vaccin Covid et ceux du vaccin antivariolique, et n’a pas mentionné publiquement cette étude lorsqu’il s’est exprimé lors des réunions du VRBPAC.
En 2003, un autre groupe de médecins militaires et civils (comprenant au moins 2 fanatiques du vaccin comme coauteurs: Greg Poland et John Grabenstein) a publié une étude sur les soldats américains soumis au vaccin antivariolique, dans laquelle ils n’ont pas soigneusement recherché les cas. Quelle était la fréquence de la myocardite dans leur étude ? Un cas sur 12 818 soldats. Ils ont trouvé 400 fois moins de cas que les auteurs de l’étude de 2015. Le texte complet peut être téléchargé ici en pdf.
Dans quelle mesure les CDC et la FDA recherchent-ils des cas de myo-péricardite liés au vaccin Covid? Nous n’avons entendu parler d’aucune étude prospective lors des réunions du VRBPAC et de l’ACIP (les comités consultatifs des vaccins de la FDA et des CDC) en juin.
Ci-dessous le résumé, et ici le texte complet de l’étude militaire de 2015:
« De nouvelles douleurs thoraciques, une dyspnée et/ou des palpitations sont apparues chez 10,6 % des personnes ayant reçu le vaccin SPX et 2,6 % des personnes ayant reçu le vaccin TIV dans les 30 jours suivant la vaccination (risque relatif (RR) 4,0, IC 95 % : 1,7-9,3). Parmi les 1 081 vaccinés par le SPX ayant fait l’objet d’un suivi complet, 4 hommes caucasiens ont été diagnostiqués avec une myocardite probable et 1 femme avec une péricardite présumée. Cela indique un taux d’incidence post-SPX plus de 200 fois supérieur au taux de surveillance de la myocardite/péricardite de la population de référence avant le SPX (RR 214, IC 95 % 65-558). De plus, 31 personnes ayant reçu le vaccin SPX et ne présentant pas de symptômes cardiaques spécifiques ont vu leur taux de cTnT (>99e percentile) augmenter de plus de 2 fois par rapport à la ligne de base (pré-SPX) pendant la fenêtre de risque de myocardite/péricardite clinique et répondant à une définition de cas proposée pour une possible myocardite subclinique. Ce taux est 60 fois plus élevé que le taux d’incidence des cas cliniques manifestes. Aucun cas clinique ou possible de myocardite subclinique n’a été identifié dans le groupe vacciné par le TIV. »
Si vous pensez qu’un cas sur trente est incroyablement élevé, une étude finlandaise sur des recrues militaires publiée en 1978 a révélé le même taux de 3 % après la vaccination contre la variole et le DTC, sur la base de modifications de l’ECG.
Les vaccins Covid pourraient également être à l’origine de taux élevés similaires d’inflammation cardiaque. Mais aujourd’hui, qui fait le compte?
Et cela a-t-il incité les militaires à cesser de vacciner contre la variole, une maladie éradiquée en 1977? Non. Les vaccinations militaires contre la variole ont continué.
Nass, Meryl MD, Quelle est la fréquence de la myocardite? Cela dépend énormément de la façon de regarder. Pour le vaccin antivariolique chez les recrues militaires, 1 sur 30 présentait une myo ou une péricardite clinique ou subclinique/PLOS One, (mercredi 7 juillet 2021) https://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/07/how-common-is-myocarditis-it-hugely.html
Considérons maintenant « JYNNEOS », le vaccin contre la variole du singe du moment. Il s’agit d’un vaccin antivariolique vivant, non répliquant, à 2 doses, réaffecté.
Se faire « immuniser » avec ce vaccin est une décision très personnelle, basée sur votre situation et les développements épidémiologiques futurs. Je présente ici les preuves et je conseille personnellement une extrême prudence.
Le mémorandum dénote un parti pris désormais trop familier et manquait de données de sécurité ou d’efficacité immunologique à long terme.
Extraits du mémorandum d’examen clinique de la BLA, une demande de licence biologique (BLA) datée du 25/10/2018 et téléchargeable sur:
Jynneos est une tentative de créer un vaccin antivariolique plus sûr (« MVA-BN »). Pour une maladie éradiquée.
Et qui pourraient être ces « bioterroristes » auxquels ils font référence?
La variole est une maladie infectieuse très contagieuse causée par le virus de la variole, dont le taux de mortalité est de 30 à 40 %. La variole a été déclarée officiellement éradiquée en 1980. Après la déclaration officielle d’éradication de la variole, les programmes de vaccination de routine contre la variole ont été interrompus, ce qui a eu pour conséquence qu’une majorité croissante de la population mondiale n’est pas immunisée contre la variole. La dissémination intentionnelle du virus de la variole, un agent reconnu pour son potentiel bioterroriste, pourrait donc avoir des effets dévastateurs. Le seul vaccin antivariolique actuellement homologué, l’ACAM2000, est un vaccin antivariolique vivant, répliquant le virus de la vaccine. L’ACAM2000 est contre-indiqué chez les personnes gravement immunodéprimées dont on ne s’attend pas à ce qu’elles tirent bénéfice du vaccin. L’utilisation de l’ACAM2000 fait également l’objet de restrictions chez les personnes présentant un risque élevé de variole en raison d’effets secondaires graves, tels que la vaccine progressive chez les personnes moins gravement immunodéprimées pour lesquelles le vaccin n’est pas contre-indiqué, l’eczéma vaccinatum chez les personnes atteintes de dermatite atopique, la myopéricardite chez les personnes n’ayant jamais reçu le vaccin antivariolique, la vaccine fœtale chez les femmes enceintes et la propagation du virus vaccinal au-delà du site de vaccination (vaccine généralisée) ou aux contacts des personnes vaccinées. Il existe donc un besoin médical non satisfait pour un vaccin antivariolique présentant un meilleur profil de sécurité.
La variole du singe est une zoonose virale rare dont les symptômes sont similaires à ceux observés chez les patients atteints de variole. Bien qu’elle soit cliniquement moins grave que la variole, elle peut être mortelle. Le taux de létalité dans les épidémies de variole du singe se situe entre 1 et 10 %. Depuis l’éradication de la variole en 1980 et l’arrêt de la vaccination contre la variole, le virus de la variole du singe est devenu le principal orthopoxvirus. La variole du singe survient sporadiquement dans la forêt tropicale humide d’Afrique centrale et occidentale. Une épidémie de variole du singe a été confirmée pour la première fois aux États-Unis en 2003. Il n’existe pas de traitement spécifique ou de vaccin approuvé pour la variole du singe, mais l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommande d’utiliser ACAM2000 pour la prévention de la variole du singe chez les personnes présentant un risque élevé d’exposition (par exemple, les travailleurs de laboratoire qui manipulent le virus de la variole du singe).
BN (également appelé le demandeur dans le document) a proposé une série primaire de deux doses à utiliser chez les personnes n’ayant jamais reçu de vaccin antivariolique et une dose de rappel unique à utiliser chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique (série primaire du vaccin antivariolique réplicatif ou MVA-BN). Ils ont soumis 22 essais cliniques pour étayer l’efficacité et l’innocuité de MVA-BN en vue d’une autorisation de mise sur le marché. Parmi ces 22 essais cliniques, 7 sont considérés comme essentiels par l’équipe de révision pour soutenir l’indication et l’utilisation proposées. Des rapports d’études cliniques complets ont été soumis à la BLA pour ces 7 études:
– POX-MVA-006: Un essai pivot de non-infériorité de phase 3 comparant MVA-BN à ACAM2000 pour étayer l’innocuité et l’efficacité de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais reçu de vaccin.
– POX-MVA-013: Essai de phase 3 contrôlé par placebo sur l’uniformité des lots pour établir l’uniformité de la fabrication de MVA-BN et pour confirmer l’innocuité de MVA-BN.
– POX-MVA-008: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes atteintes de dermatite atopique.
– POX-MVA-011: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes infectées par le VIH.
– POX-MVA-005 et -23: Un essai de phase 2 et son extension, respectivement, pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes ayant déjà été vaccinées.
– POX-MVA-024: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes âgées de 65 ans et plus.
Tout commence donc sur une note positive pour se dégrader ensuite rapidement. L’objectif initial d’efficacité n’est que de 50%. La sécurité et l’efficacité ne sont pas évaluées prioritairement par rapport à un groupe témoin non vacciné mais par rapport à l’ACAM2000, est-ce pour donner l’impression qu’il est plus sûr?
Les anticorps ne sont pas synonymes d’immunité. Ils relèvent qu’il n’existe pas de quantification connue de la réponse des anticorps qui démontrerait l’immunité:
Au cours des discussions sur la voie d’homologation de MVA-BN, nous avons convenu que l’approche la plus appropriée pour l’homologation de MVA-BN serait de démontrer l’efficacité du vaccin par rapport à l’ACAM2000 en utilisant un critère primaire de non infériorité des titres d’anticorps neutralisants spécifiques de la vaccine. La marge de non-infériorité a été fixée au préalable à 0,5. Étant donné que les antigènes du vaccin et la compétence de réplication sont différents pour MVA-BN et ACAM2000, et qu’une réponse d’anticorps neutralisants de la vaccine permettant de prédire la protection contre la variole n’a pas été établie, nous avons considéré que la démonstration de l’efficacité du vaccin dans des modèles animaux montrant une protection contre un défi orthopoxviral pertinent (par exemple la variole du singe chez les PNH) serait essentielle pour soutenir la comparaison de non-infériorité immunologique.
Et il n’est pas nécessaire de l’essayer contre une espèce différente de la variole puisque la variole du singe est suffisamment proche et qu’il a fonctionné sur les singes. Je ne suis pas sûr que ce soit comme ça que ça marche, c’est une conjecture.
L’indication proposée à l’origine par le demandeur ne comprenait pas la variole du singe. Au cours de l’examen de cette demande, nous avons reçu des demandes de renseignements de la part de parties prenantes externes du gouvernement américain, qui souhaitaient savoir si les données disponibles pour MVA-BN permettaient d’étayer une indication pour la prévention de la variole du singe. Nous avons déterminé que les données sur l’immunogénicité de MVA-BN obtenues chez l’homme ainsi que les données sur les primates non humains (PNH) déjà soumises à la BLA 125678/0 appuient l’indication pour la prévention de la variole du singe, puisque les études cliniques et non cliniques ont fourni de multiples pistes de preuves que la réponse immunitaire à MVA-BN fournit une protection contre différents orthopoxvirus, et spécifiquement contre la variole du singe dans le modèle de défi des PNH. Par conséquent, nous avons recommandé d’inclure l’indication de la variole du singe dans l’étiquetage du produit.
Certains participants à l’essai ont été suivis pendant 6 mois, mais la fibrose myocardique peut prendre des années avant de devenir symptomatique et réduit malgré cela l’espérance de vie naturelle. Ces articles méritent d’être lus dans leur intégralité dans le contexte de la myo et de la péricardite médiées par le « vaccin » Covid-19. Les capillaires à petite lumière sont particulièrement susceptibles d’être obstrués et l’infiltration des lymphocytes T aggrave les lésions myocardiques.
Résumé
Les lésions cardiaques dues à diverses causes peuvent aboutir à une finalité commune de remodelage pathologique et de fibrose, favorisant le développement de l’insuffisance cardiaque. La cardiomyopathie dilatée est une cause importante d’insuffisance cardiaque et résulte souvent d’une myocardite déclenchée par un virus. Les monocytes et les cellules de type monocyte représentent un sous-ensemble majeur de cellules infiltrant le cœur au niveau du site de la lésion. Ces cellules issues de la moelle osseuse favorisent non seulement la lésion tissulaire à court terme, mais aussi l’angiogenèse et le dépôt de collagène à long terme. Elles jouent donc un rôle essentiel dans la fibrose tissulaire typique qui se développe dans le ventricule dilaté au cours du processus de remodelage pathologique. Des découvertes récentes suggèrent que les cellules de type monocyte infiltrant le cœur contiennent en effet un pool de progéniteurs, qui représentent la source cellulaire à la fois pour l’accumulation de monocytes différenciés pendant la phase inflammatoire aiguë et pour la fibrose myocardique médiée par le facteur de croissance transformant bêta pendant les stades chroniques ultérieurs de la maladie. Il est évident qu’un équilibre délicat entre les cytokines pro-inflammatoires et profibrotiques dicte le destin des progéniteurs infiltrant le cœur dérivés de la moelle osseuse et influence directement le phénotype morphologique du cœur affecté. Dans la présente brève présentation, nous faisons le point sur ces mécanismes et discutons de leur importance dans le remodelage pathologique et la progression de l’insuffisance cardiaque après une myocardite.
Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi : 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID : 20447565.
Le remodelage cardiaque en détail. Il s’agit de la phase post « crise cardiaque » (infarctus du myocarde ou IM) mais elle est applicable dans le contexte des mécanismes partagés de la fibrose myocardique :
Résumé
La mort cellulaire ischémique au cours d’un infarctus du myocarde entraîne une réponse réparatrice multiphase dans laquelle le tissu endommagé est remplacé par une cicatrice fibrotique produite par des fibroblastes et des myofibroblastes. Cela induit également des changements géométriques, biomécaniques et biochimiques dans la paroi ventriculaire indemne, provoquant un processus de remodelage réactif qui inclut une fibrose interstitielle et périvasculaire. Bien que la fibrose réparatrice initiale soit cruciale pour prévenir la rupture de la paroi ventriculaire, une réponse fibrotique exagérée et une fibrose réactive en dehors de la zone lésée sont préjudiciables car elles entraînent une altération progressive de la fonction cardiaque et finalement une insuffisance cardiaque. Dans cette présentation, nous résumons les connaissances actuelles sur les mécanismes de la fibrose cardiaque réparatrice et réactive en réponse à l’infarctus du myocarde, nous discutons de la possibilité d’induire une régénération cardiaque par reprogrammation directe des fibroblastes et des myofibroblastes en cardiomyocytes, et nous passons en revue les stratégies thérapeutiques actuelles et potentielles pour inhiber la fibrose cardiaque.
La réponse fibrotique après un infarctus peut être classée en deux types de fibrose, à savoir la fibrose de remplacement et la fibrose réactive, qui sont toutes deux médiées par les fibroblastes et les myofibroblastes. La fibrose de remplacement, c’est-à-dire la formation de cicatrices, est un processus essentiel pour empêcher la rupture de la paroi ventriculaire après une agression ischémique (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). Cependant, l’augmentation du stress mécanique post-IM, associée à des médiateurs hormonaux et paracrines, induit également l’expansion du tissu conjonctif dans des zones éloignées de l’infarctus. Cette fibrose réactive dans la zone limite de l’infarctus et dans le myocarde non lésé éloigné entraîne une altération de la compliance des chambres et une augmentation de la rigidité ventriculaire, compromettant ainsi le débit cardiaque.
Outre leur effet sur la contractilité cardiaque, il a été démontré que la cicatrice fibreuse et la fibrose interstitielle interfèrent avec la fonction électrique normale du cœur, prédisposant ainsi à l’arythmie (pour une présentation, voir Francis Stuart et al. 2015). La cicatrice compacte peut constituer une zone isolée non excitable qui fixe l’arythmie réentrante et conduit à une tachycardie ventriculaire soutenue (Ripplinger et al. 2009). Dans la fibrose interstitielle, le réseau de collagène fibrillaire non conducteur entre les feuillets de cardiomyocytes pourrait favoriser la tachycardie réentrante en induisant une activité ectopique focale et en ralentissant ou en bloquant la conduction (Francis Stuart et al. 2015). De plus, le couplage électronique des myofibroblastes et des cardiomyocytes pourrait jouer un rôle dans l’arythmogenèse induite par la fibrose (Kohl et Gourdie 2014). Sans surprise, la fibrose cardiaque a été identifiée comme un facteur de risque autonome dans l’insuffisance cardiaque : elle prédispose les patients atteints d’insuffisance cardiaque à la mort cardiaque subite et augmente la mortalité globale indépendamment de la fraction d’éjection (Gulati et al. 2013).
Après la mise en place d’une matrice à base de collagène sur le site de l’infarctus, les facteurs de croissance et les protéines matricellulaires favorisant la survie et l’activité des myofibroblastes sont épuisés (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). En réponse, la majorité des myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, probablement par apoptose. En outre, les cellules vasculaires meurent, et la microvasculature temporaire est désintégrée. On ne sait pas encore si une signalisation inhibitrice active est impliquée dans la suppression de la réponse fibrotique. Pendant la phase de maturation de l’IM, le renouvellement du collagène par les myofibroblastes restants se poursuit, et le collagène de type III est remplacé par du collagène de type I. Le collagène de type I est encore modifié par la réticulation catalysée par la lipoxygénase. L’expression des quatre isoformes de lipoxygénase est accrue dans la zone de l’infarctus et dans la zone limite 3 à 7 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). L’inhibition de la lipoxygénase à l’aide d’un inhibiteur pharmacologique ou d’un anticorps neutralisant réduit l’expansion de l’infarctus et améliore la fonction cardiaque 28 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). La réticulation des fibres de collagène entraîne une augmentation de la résistance à la traction et une contraction de la cicatrice, ce qui modifie la géométrie de la chambre et contribue au remodelage des zones éloignées de la paroi ventriculaire (van den Borne et al. 2010). Dans une réaction normale de cicatrisation, tous les myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, mais dans le cœur, on a constaté qu’ils persistaient dans la cicatrice de l’infarctus même des décennies après l’agression (Willems et al. 1994). La raison de la présence continue de myofibroblastes dans la cicatrice de l’infarctus n’est pas connue, mais il est possible qu’ils soient nécessaires au maintien continu de la matrice extracellulaire dans un environnement en constante contraction (van den Borne et al. 2010).
Fibrose réactive: remodelage du myocarde distant
Le plus souvent, ce n’est pas la perte de cardiomyocytes nécrosés lors d’un infarctus qui provoque l’insuffisance cardiaque, mais le remodelage ultérieur de la paroi ventriculaire gauche non infarcie. Dans le remodelage pathologique, l’expansion de la matrice extracellulaire médiée par les fibroblastes s’accompagne d’une croissance hypertrophique des cardiomyocytes, car les cellules tentent de compenser l’augmentation de la charge de travail en augmentant leur taille afin d’améliorer la fonction cardiaque et de diminuer la tension de la paroi ventriculaire (Heineke et Molkentin 2006). L’augmentation de l’épaisseur causée par l’hypertrophie des cardiomyocytes et la rigidité attribuable à un excès de collagène réticulé et à la contraction tonique du tissu fibreux médiée par les myofibroblastes compromettent la fonction diastolique du cœur (Weber et al. 2013). Ce processus de remodelage est progressif et conduit finalement au développement de l’insuffisance cardiaque.
Les mécanismes exacts et la régulation de la fibrose réactive ne sont pas clairs, et les études systématiques examinant les caractéristiques des fibroblastes dans le myocarde non infarci font défaut (Shinde et Frangogiannis 2014). L’un des facteurs favorisants est le stress mécanique accru dans la paroi ventriculaire gauche non infarcie; ce stress induit également l’activation du TGF-β latent dans le myocarde non infarci. En outre, les myofibroblastes activés qui persistent dans la cicatrice de l’infarctus continuent de sécréter des facteurs pro-fibrotiques qui pourraient traverser les zones éloignées du myocarde en induisant l’activation et la prolifération des fibroblastes locaux et une augmentation du dépôt de collagène dans le compartiment interstitiel (fibrose interstitielle) et dans l’adventice des vaisseaux coronaires (fibrose périvasculaire ; Weber et al. 2013). Les facteurs pro-fibrotiques initiant et entretenant la réponse fibrotique réactive sont décrits dans la section suivante.
Alors que la fibrose interstitielle rigidifie le myocarde et entraîne ainsi une dysfonction diastolique et systolique, la fibrose réactive dans l’adventice des artères et artérioles coronaires (fibrose périvasculaire) peut provoquer un rétrécissement de la lumière du vaisseau et a été associée à une altération du flux sanguin coronaire (Dai et al. 2012). Cela pourrait diminuer l’apport en oxygène au myocarde, compromettant ainsi la survie des cardiomyocytes et les prédisposant à la mort cellulaire ischémique.
Plus:
Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Fibrose cardiaque dans l’infarctus du myocarde – de la réparation et du remodelage à la régénération. Cell and tissue research, 365(3), 563-581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9
Sur l’amyloïdose cardiaque. Ceci est plus pertinent pour l’infiltration des protéines de pointe mais mérite certainement d’être abordé dans le contexte de la transfection Covid-19 (2). Informations diagnostiques utiles également :
Amyloïdose cardiaque à chaînes légères
L’amylose à chaînes légères est la conséquence d’un trouble de la prolifération de plasmocytes clonaux dans lequel des chaînes légères d’immunoglobulines mal repliées se déposent sous forme de fibrilles amyloïdes dans plusieurs organes, y compris le cœur dans environ la moitié des cas. Le dysfonctionnement cardiaque dans l’amylose à chaînes légères résulte d’une infiltration extracellulaire du myocarde, mais il existe souvent aussi des preuves d’un effet cardiotoxique exercé par les agrégats de chaînes légères pré-fibrillaires. La gravité du dysfonctionnement cardiaque est le principal déterminant de la morbidité et de la mortalité (3).
L’amylose à chaînes légères est le type d’amylose cardiaque le plus fréquemment diagnostiqué. Un ou plusieurs systèmes d’organes vitaux peuvent être touchés, généralement les reins, le foie, les systèmes nerveux périphérique et autonome et les tissus mous. Le cœur est fréquemment touché et est le seul organe cliniquement impliqué chez certains patients.
La présentation clinique reflète le dépôt multisystémique variable de l’amyloïde. Les résultats de l’examen peuvent refléter l’infiltration amyloïde dans les tissus mous et les petits vaisseaux et comprennent la macroglossie, le pupura périorbital, l’hypertrophie de la glande submandibulaire et la dystrophie des ongles. La fatigue et la perte de poids sont fréquentes. L’infiltration hépatique ou splénique peut provoquer une organomégalie palpable. Le dysfonctionnement rénal est fréquent, se présentant généralement sous la forme d’une protéinurie à portée néphrotique.
L’amylose cardiaque précoce est un défi diagnostique majeur. Les caractéristiques classiques de l’insuffisance cardiaque congestive « droite » peuvent ne pas être évidentes avant que la maladie cardiaque ne soit très avancée. Une pression veineuse jugulaire élevée, un troisième bruit cardiaque, une hépatomégalie et un œdème périphérique peuvent être très subtils ou absents chez les patients qui ont déjà commencé les diurétiques.
La neuropathie périphérique est relativement fréquente et se manifeste par une paresthésie ou une dysesthésie typiquement répartie en » gants et chaussettes « . La neuropathie autonome est un indice diagnostique important, se manifestant par une hypotension orthostatique, une alternance de diarrhée et de constipation et un dysfonctionnement érectile.
Les immunoglobulines monoclonales ou les chaînes légères libres peuvent être identifiées dans le sérum et/ou l’urine d’au moins 95% des patients à l’aide de tests sensibles, mais elles passent souvent inaperçues lors d’une électrophorèse sérique de routine. L’absence d’un clone détectable est problématique pour le diagnostic et le suivi de la réponse au traitement.
Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). L’amyloïdose cardiaque. Clinical medicine (Londres, Angleterre), 18(Suppl 2), s30-s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30
Revenons à l’application de Jynneos. Les titres d’anticorps étaient des critères d’évaluation communs dans les essais, même s’il n’y a pas de seuil d’efficacité connu ou d’évaluation de la possibilité de fonctionner réellement contre la variole du singe.
Ils le savent et l’affirment, mais ils ont néanmoins poursuivi les essais, par exemple l’essai POX-MVA-005:
POX-MVA-005 était un essai de phase 2 visant à comparer l’immunogénicité de deux doses de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais été vaccinés et une dose unique de MVA-BN chez des sujets sains ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques il y a plus de 25 ans. Le critère d’évaluation principal était le taux de séroconversion spécifique de la vaccine, calculé à partir des titres d’anticorps spécifiques ELISA deux semaines après la dernière vaccination. L’étude a porté sur 549 sujets n’ayant jamais été vaccinés contre la vaccine et 204 sujets ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques.
Les études POX-MVA-005/023 et POX-MVA-011 ont utilisé un test de séroneutralisation [Plaque Reduction Neutralization Test – PRNT], et les études POX-MVA-008 et POX-MVA-024 ont utilisé un test de séroneutralisation. [Le dosage] du test de séroneutralisation utilisé dans ces études n’était pas suffisamment validé et n’a pas été accepté par les examinateurs du Centre d’Evaluation et de Recherche sur les Produits Biologiques [Center for Biologics Evaluation and Research – CBER]. Le problème du dosage du PRNT nous a empêchés de tirer toute conclusion concernant l’efficacité du vaccin parmi les populations étudiées, y compris pour l’utilisation d’une dose de rappel unique chez les personnes ayant reçu le vaccin antivariolique. De plus, les principaux critères d’évaluation de ces études étaient le taux de séroconversion déterminé par le test ELISA à base de marqueurs MVA [Modified Vaccinia Ankara], qui n’est pas considéré comme cliniquement significatif pour déduire l’efficacité du vaccin. Par conséquent, les données obtenues à partir de ces études n’étaient pas suffisantes pour appuyer l’efficacité vaccinale de deux doses de MVA-BN [Modified Vaccinia Ankara-Bavarian Nordic] spécifiquement chez les personnes infectées par le VIH ou les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, ni pour appuyer l’homologation d’une dose unique (ou pour informer le moment de l’administration d’une dose de rappel unique) chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique. Cependant, il était raisonnable de conclure que le schéma à 2 doses de MVA-BN serait aussi efficace chez les personnes ayant été vaccinées contre la variole que chez les personnes n’ayant jamais été vaccinées contre la variole, de sorte que les personnes ayant été vaccinées contre la variole ont été incluses dans l’indication approuvée pour le schéma à 2 doses. De même, il n’y a pas de raison physiologique de suspecter une diminution de l’efficacité du MVA-BN chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et le rapport bénéfice/risque du MVA-BN peut encore être favorable chez les personnes infectées par le VIH. Par conséquent, il n’y a aucune raison d’exclure spécifiquement les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou infectées par le VIH de l’indication générale d’utilisation de ce vaccin.
C’est ça le secret. Nous inventons tout au fur et à mesure.
Ce qui suit est totalement inacceptable, étant donné qu’une troponine élevée est un indicateur de lésion myocardique, qui peut être asymptomatique pendant des mois ou des années jusqu’à ce qu’elle se manifeste par un arrêt cardiaque ou une maladie cardiaque.
La « pharmacovigilance post-commercialisation » signifie que vous devenez le participant involontaire d’un essai, avec peu de chances que le produit soit retiré, même si le profil de sécurité réalisé est épouvantable:
4.6 Pharmacovigilance
Bien qu’aucun signal de sécurité concernant des événements cardiaques n’ait été identifié dans les études, on a signalé que jusqu’à 18,4 % des sujets de deux des 22 essais cliniques présentaient une élévation anormale et asymptomatique de la troponine I après la vaccination. Ces élévations de troponine-I n’étaient pas accompagnées de modifications cliniquement significatives de l’ECG ou d’autres résultats de l’évaluation cardiologique et leur signification clinique était incertaine. Nous trouvons acceptable le plan proposé par le demandeur pour évaluer les données cardiaques signalées spontanément dans le cadre du plan de pharmacovigilance de routine après la commercialisation.
Lymphadénopathie = gonflement des ganglions lymphatiques, un marqueur d’une immunité supprimée et/ou de troubles auto-immuns (3).
Arthralgie = douleur articulaire, une autre condition associée aux troubles auto-immuns, tout comme la troponine élevée et la péri & myocardite.
Notez les pourcentages de catégorie 3.
Groupe 1 = Jynneos
Groupe 2 = ACAM2000
10,9 % des candidats Jynneos analysés présentaient une induration de catégorie 3, vraisemblablement au niveau du site d’injection, mais ils ne l’expliquent pas davantage. Imaginez un gonflement et une douleur de type « piqûre d’abeille » :
Induration : « Durcissement localisé des tissus mous du corps. La zone devient ferme, mais pas aussi dure qu’un os. »
« Les événements de catégorie 3 sont graves et interfèrent avec la capacité d’une personne à faire des choses basiques comme manger ou s’habiller. Les événements de grade 3 peuvent également nécessiter une intervention médicale.4 »
Aegrescit medendo.
6.1.10.1 Populations inscrites/analysées
Ensemble d’analyse intégral (Full Analysis Set – FAS)
Le FAS a été défini comme l’ensemble des sujets ayant reçu au moins une dose du vaccin de l’essai et pour lesquels on disposait de données sur l’innocuité ou l’immunogénicité après la vaccination.
L’analyse de l’innocuité et les analyses secondaires d’immunogénicité de soutien ont été effectuées sur le FAS.
Diapositives d’une présentation de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) [Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation]. Malgré les données des essais et leur propre évaluation, ils ont réussi à faire supprimer tout risque de péri ou myocardite de la notice:
Conseils cliniques pour l’utilisation de JYNNEOS. Réunion de l’ACIP le 3 novembre 2021
Virus vaccinal: Virus de la vaccine compétent pour la réplication / Virus de la vaccine déficient pour la réplication, Vaccinia Ankara Modifié « Prise »: Une « prise » se produit / Pas de « prise » après la vaccination Inoculation par inadvertance et auto-inoculation: Risque existant / Aucun risque Effet indésirable grave: Risque existant / Moins de cas prévus Effets indésirables cardiaques: Myopéricardite chez 5,7 pour 1.000 primo-vaccinés / On pense que le risque est plus faible que celui pour ACAM2000 Efficacité: Efficacité évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique et la « prise » au Dryvax* / Évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique à ACAM2000 et par des études animales Administration: Par voie percutanée par une technique de ponction multiple en une seule dose / Par voie sous-cutanée en 2 doses, à 28 jours d’intervalle * ACAM2000 et Dryvax sont tous deux dérivés de la souche de vaccine du NYC Board of Health ; ACAM2000 est un vaccin antivariolique de « deuxième génération » dérivé d’un clone de Dryvax, purifié et produit à l’aide d’une technologie moderne de culture cellulaire.
Une fois dans le programme, attendez-vous à être pourchassé pour recevoir des boosters tous les 2 ans au risque de subir des dommages cardiaques cumulatifs:
Recommandations proposées pour JYNNEOS® par rapport à ACAM2000 Population recommandée: Personnes à risque professionnel pour les orthopoxvirus (c’est-à-dire le personnel des laboratoires de recherche, les laboratoires de diagnostic, les membres des équipes d’intervention). Populations proposées: Personnes qui administrent ACAM2000 ou qui soignent des patients infectés ou vaccinés par un virus capable de se répliquer. Populations pour lesquelles un rappel est recommandé à des intervalles spécifiques: Les personnes qui présentent un risque continu ou soutenu d’orthopoxvirus [Remarque : les équipes d’intervention ne présentent pas de risque continu et ne recevront des rappels qu’au moment d’un épisode de variole ou de variole du singe]. Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec la variole et la variole du singe: Tous les 3 ans (auparavant tous les ans) / Tous les 2 ans Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec des orthopoxvirus moins virulents / Au moins tous les 10 ans
Ceux qui en ont le plus besoin sont ceux qui en bénéficient le moins. Bon retour dans l’Angleterre victorienne:
3. Conditions associées à l’immunosuppression ▪ Les conditions comprennent une infection par le virus de l’immunodéficience humaine/syndrome d’immunodéficience acquise, une leucémie, un lymphome, une tumeur maligne généralisée, une transplantation d’organe solide, un traitement par agents alkylants, antimétabolites, radiations, inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale, corticostéroïdes à forte dose, être un receveur avec une greffe de cellules souches hématopoïétiques <24 mois après la greffe ou ≥24 mois mais avec une maladie du greffon contre l’hôte ou une rechute de la maladie, ou avoir une maladie auto-immune avec une immunodéficience comme composante clinique. ▪ Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent avoir une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS en raison de leur statut immunodéprimé.
Alors là, c’est NON:
4. Grossesse ▪ Les données humaines disponibles sur JYNNEOS administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse. ▪ Cependant, les modèles animaux, y compris les rats et les lapins, n’ont montré aucune preuve d’un effet nocif sur un fœtus en développement.5. Enfants âgés de moins de 1 an ▪ La vaccination des nourrissons âgés de <1 an est contre-indiquée pour ACAM2000. ▪ JYNNEOS n’est pas autorisé pour les personnes <18 ans et n’a pas été rigoureusement évalué dans cette population. ▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage d’administrer ACAM2000 ou JYNNEOS à des enfants et des adolescents âgés de moins de 18 ans.
Tout comme la protéine de pointe exprimant la transfection est déficiente en réplication. Là aussi c’est NON:
6. Allaitement ▪ La sécurité et l’efficacité de JYNNEOS n’ont pas été évaluées chez les femmes qui allaitent. ▪ On ne sait pas si JYNNEOS est excrété dans le lait maternel et on ne dispose pas de données permettant d’évaluer l’impact de JYNNEOS sur la production de lait ou la sécurité de JYNNEOS chez les nourrissons allaités. ▪ Cependant, le vaccin JYNNEOS est déficient en réplication et ne devrait donc pas présenter de risque de transmission aux nourrissons allaités. ▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage l’administration de . JYNNEOS aux femmes qui allaitent
A partir de l’application jusqu’à 2,1%, c’est-à-dire 1 sur 50, ont présenté un événement indésirable cardiaque d’intérêt particulier (EIIP). C’est plus de 10 fois le taux du placebo. Et 127 autres cas n’ont pas atteint le seuil de 2 fois la limite supérieure de la normale (LSN). Le VIH, la maladie d’Alzheimer et les symptômes associés aux maladies auto-immunes étaient fortement corrélés:
Donc les études de troponine étaient plus sensibles, c’est ça l’explication?
Qui a fait l’évaluation de la péricardite suspectée, pourquoi était-elle « peu probable qu’elle soit liée au vaccin MVA-BN »?
Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 1,3% (95/7.093) des receveurs du MVA-BN et chez 0,2% (3/1.206) des receveurs du placebo qui n’avaient jamais été vaccinés contre la variole. Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 2,1% (16/766) des receveurs du MVA-BN qui avaient déjà reçu le vaccin antivariolique. La proportion plus élevée de receveurs du vaccin MVA-BN ayant subi des EIIP cardiaques provient de 28 cas d’élévation post-vaccination asymptomatique de la troponine-I dans deux études: POX-MVA011, qui a recruté 482 sujets infectés par le VIH et 97 sujets sains, et POX-MVA-008, qui a recruté 350 sujets atteints de dermatite atopique et 282 sujets sains. 127 cas supplémentaires d’élévation asymptomatique post-vaccination de la troponine-I au-dessus de la LSN mais pas au-dessus de 2 fois la LSN ont été documentés chez les receveurs de MVA-BN tout au long du programme de développement clinique, dont 124 dans les études POX-MVA-011 et POX-MVA-008. Les proportions de sujets présentant des élévations de troponine-I (> LSN) étaient similaires entre les sujets sains (13,7%) et les sujets infectés par le VIH (11,5%) dans l’étude POX-MVA-011 et entre les sujets sains (18,9%) et les sujets atteints de dermatite atopique (18,0%) dans l’étude POX-MVA-008.
Dans l’ensemble, le nombre de sujets présentant des EIIP dans ce programme de développement clinique était relativement faible. A l’exception d’un cas de péricardite suspecté qui a été évalué comme n’étant probablement pas lié au MVA-BN et d’augmentations isolées légères à modérées des niveaux de troponine avec une signification clinique inconnue, aucun autre EIIP cardiaque n’a été rapporté. Parmi les 22 études, toutes les études, à l’exception des études POXMVA-008 et POX-MVA-011, comptaient peu de sujets présentant une élévation de la troponine-I après la vaccination. Le demandeur postule que la proportion accrue de sujets présentant une élévation de la troponine I après la vaccination est liée à l’utilisation d’un test de troponine plus sensible. Dans ces deux études, 188 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « conventionnel », et 934 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « haute sensibilité ». Le test de troponine « haute sensibilité » utilisé dans ces deux études n’a pas été approuvé par la FDA. Parmi les 188 sujets dont la troponine-I a été évaluée avec le test de troponine « conventionnel », aucun sujet n’a signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination, tandis que 144 des 934 sujets dont la troponine-I a été évaluée par le test de troponine « haute sensibilité » ont signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination. Tous les sujets présentant des taux élevés de troponine-I ont fait l’objet d’un bilan cardiologique et aucune anomalie cardiaque cliniquement significative n’a été identifiée parmi ces sujets. Comme il n’y avait pas de contrôle par placebo dans ces deux études, la pertinence clinique de la proportion accrue de sujets présentant une troponine-I subclinique, mais anormale, est inconnue.
« Pas détecté de risque accru de myopéricardite », était-ce le même, un peu moindre peut-être? C’est une formulation trompeuse, jusqu’à 18% des groupes VIH, MA et dermatite atopique (eczéma) ayant des niveaux élevés de troponine est une preuve solide d’un risque élevé de péri ou myocardite subclinique ou de future cardiomyopathie induite par la fibrose, en plus des EIIP dans d’autres groupes:
7. Trois facteurs de risque cardiaque majeurs connus ou plus ▪ Les facteurs de risque cardiaque majeurs comprennent l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie, une maladie cardiaque à l’âge de 50 ans chez un parent du premier degré et le tabagisme. ▪ Les études cliniques n’ont pas détecté de risque accru de myopéricardite chez les receveurs de JYNNEOS. ▪ Les personnes présentant une cardiopathie sous-jacente ou ≥3 facteurs de risque cardiaque majeurs doivent être conseillées sur le risque théorique de myopéricardite étant donné l’étiologie incertaine de la myopéricardite associée aux vaccins antivarioliques compétents pour la réplication.
Ici, ils mettent en garde contre la maladie aggravée par la vaccination (vaccine-associated enhanced disease – VAED). Merci.
Conseils pour réduire au minimum le risque d’exposition professionnelle ▪ De nombreuses personnes présentant des contre-indications à la vaccination avec ACAM2000 (par exemple, dermatite atopique, conditions d’immunodépression, allaitement ou grossesse) peuvent recevoir la vaccination avec JYNNEOS. ▪ Cependant, ces personnes peuvent présenter un risque accru de maladie grave si une infection professionnelle survient malgré la vaccination. ▪ Les personnes présentant un état d’immunodépression peuvent être moins susceptibles de présenter une réponse efficace après toute vaccination, y compris après JYNNEOS, même si JYNNEOS peut être administré en toute sécurité à ces personnes.
Il n’existe aucune preuve solide que Jynneos ait un quelconque effet (hormis celui de tuer les cardiomyocytes).
Faites-nous confiance, d’accord, nous sommes des experts:
Test de titre ▪ En tant que vaccin déficient en réplication, JYNNEOS ne produit pas de lésion au site du vaccin (également appelée » prise « ) qui peut être utilisée comme marqueur de réussite de la vaccination. ▪ Le test de routine de titre n’est pas recommandé après la vaccination avec JYNNEOS pour confirmer l’administration réussie du vaccin étant donné que des taux élevés de séroconversion ont été démontrés dans les essais cliniques. ▪ Cependant, un test de titre pourrait être envisagé au cas par cas après consultation des autorités de santé publique pour certaines personnes présentant des conditions d’immunodépression ou travaillant avec des orthopoxvirus plus virulents (par exemple, le virus de la variole et le virus de la variole du singe) afin de confirmer qu’une réponse immunitaire a été obtenue.
« Faux sentiment de sécurité »:
Test de titre ▪ Un corrélat de protection n’a pas été établi et il n’y a pas de niveau de titre d’anticorps connu qui assure une protection. ▪ Les résultats des tests de titre doivent être interprétés avec prudence dans de tels cas pour éviter de donner un faux sentiment de sécurité.
Il manque quelque chose? Des événements de risque cardiaque que vous estimez de façon peu convaincante « inférieurs » et qui ne sont pas au niveau du placebo?
Notice de JYNNEOS Mises en garde et précautions ▪ Réactions allergiques sévères – Un traitement médical approprié doit être disponible pour gérer les éventuelles réactions anaphylactiques après l’administration de JYNNEOS – Les personnes ayant présenté une réaction allergique sévère à la suite d’une dose précédente de JYNNEOS ou à la suite d’une exposition à l’un des composants de JYNNEOS peuvent présenter un risque accru de réactions allergiques graves après l’administration de JYNNEOS – Le risque de réaction allergique grave doit être mis en balance avec le risque de maladie due à la variole ou à la variole du singe ▪ Altération de l’immunocompétence – Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent présenter une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS ▪ Limitations de l’efficacité du vaccin. – La vaccination par JYNNEOS peut ne pas protéger tous les receveurs.
Quand je lis un article où il manque des mots, je complète les mots manquants dans ma tête pendant que je lis.
Ainsi, vu l’efficacité non confirmée contre la variole du singe chez l’homme, les titres d’anticorps à des niveaux inconnus à long terme, l’absence d’études sur les lymphocytes T ou les lymphocytes B mémoires et un profil de risque biaisé, sans données de sécurité à long terme, qui incite à n’administrer le produit qu’aux personnes les plus vulnérables (sauf si elles sont immunodéprimées), on pourrait s’attendre à ce que le Jynneos soit retiré du marché ou strictement limité.
Ce n’est pas tout à fait ce qui s’est passé:
Après confirmation que la variole du singe est arrivé aux États-Unis, le gouvernement a commandé des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus.
Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé que les États-Unis avaient passé une commande de 119 millions de dollars, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.
La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.
Bavarian Nordic collabore avec le gouvernement américain depuis 2003 pour développer, fabriquer et fournir des vaccins antivarioliques. À ce jour, l’entreprise a fourni près de 30 millions de doses au Ministère de la Santé et des Services Sociaux.
Les États-Unis ne sont pas le seul pays à constituer des stocks de vaccins. Jeudi, Bavarian Nordic a déclaré qu’un pays européen non identifié avait conclu un contrat pour obtenir le vaccin.
« Bien que les circonstances entourant les cas actuels de variole du singe en Europe restent à élucider, la vitesse à laquelle ils ont évolué, combinée au potentiel d’infections au-delà du cas initial non détecté, exige une approche rapide et coordonnée de la part des autorités sanitaires, et nous sommes heureux de leur apporter notre aide dans cette situation d’urgence », a déclaré Paul Chaplin, président et PDG de Bavarian Nordic dans un communiqué.
Le gouvernement américain passe une commande de 119 millions de dollars pour 13 millions de vaccins lyophilisés contre la variole du singe, (19 mai 2022)
BAVARIAN NORDIC FABRIQUERA LES PREMIÈRES DOSES LYOPHILISÉES DE VACCIN ANTIVARIOLIQUE À LA SUITE DE L’EXERCICE D’UNE OPTION CONTRACTUELLE PAR LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN.
– Option de 119 millions USD exercée pour la fabrication de JYNNEOS® lyophilisé en 2023 et 2024.
– Il s’agit de la première série d’options d’une valeur totale de 299 millions USD pour convertir le stock de vaccin actuel, acheté précédemment par BARDA, en environ 13 millions de doses de JYNNEOS® lyophilisées.
De grands noms sont cités dans ces articles. Que ce soit par la réutilisation d’aiguilles contaminées ou par la réactivation virale (ou les deux?), la théorie du complot devient plausible, voire suffisamment plausible pour parrainer des recherches sur la seconde hypothèse.
Nous verrons pourquoi plus tard.
Le mécanisme clé qui sous-tend l’hypothèse est mis en évidence:
L’objectif principal du projet est d’étudier les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1 et l’hôte; en particulier, les réponses de l’organisme atopique à l’infection par le virus de la vaccine et l’effet du potentiel redox sur la réactivation du VIH-1 latent seront étudiés. La recherche devrait fournir une base pour de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus.
Objectifs de la recherche:
– Développer un modèle de souris d’eczéma vaccinatum chez les souris Nc/Nga ou dans un autre modèle de souris de dermatite atopique, et étudier les réponses immunitaires de l’organisme atopique au virus de la vaccine.
– Tester l’effet antiviral de dérivés sélectionnés de l’acide éthacrynique et d’autres agents ayant un effet anti-poxviral in vivo ; en culture tissulaire, étudier le mécanisme d’action exact des agents, le type de mort cellulaire des cellules infectées de différentes origines embryonnaires et son importance pour l’induction des réponses immunitaires lors de l’infection par le virus de la vaccine.
– Caractériser le mécanisme moléculaire d’action des agents modulateurs d’oxydoréduction sur la réactivation du VIH-1 latent et vérifier les résultats obtenus in vitro dans des cultures de tissus ainsi que dans des lymphocytes périphériques primaires de donneurs sains et de patients VIH+ ex vivo.
Vous trouverez de plus amples informations sur le site www.phenogenomics.cz ou sur le lien suivant
Notre principal objectif de recherche est d’étudier les interactions virus-hôte, à savoir les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1. Cette recherche devrait fournir la base de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus et d’autres.
Contrairement à une idée répandue, il est toujours nécessaire de comprendre la pathogenèse de l’infection par les poxvirus et les complications post-vaccinales, ainsi que de développer des vecteurs de vaccination sûrs et/ou des médicaments efficaces contre les poxvirus. Nos recherches portent principalement sur la réponse d’un organisme atopique à la vaccine et à d’autres virus. Nous avons développé notre propre modèle d’eczéma vaccinatum chez des souris atopiques Nc/Nga, nous l’avons utilisé pour caractériser les réponses immunitaires et pour comparer les risques et les efficacités des vaccinations avec la souche WR du virus de la vaccine, le Dryvax et le MVA non répliqué. Dans ce modèle atopique, nous continuons à étudier les réponses immunitaires déréglées vis-à-vis du virus de la vaccine et d’autres virus.
La latence du VIH dans les cellules réservoirs est le principal obstacle à la guérison du VIH/SIDA. Notre objectif est d’identifier, de caractériser et de développer de nouveaux agents pour réactiver le VIH-1 latent. Nous avons décrit un potentiel de réactivation de l’arginate d’hème et nous avons identifié plusieurs autres agents réactivant le VIH-1 in vitro dans des cultures de tissus. Nous nous concentrons actuellement sur la confirmation des résultats dans les lymphocytes périphériques primaires de patients VIH + et dans des modèles de latence primaires. Nous avons l’intention de patienter avec les combinaisons de médicaments sélectionnées et de rechercher un partenaire stratégique pour poursuivre le développement du nouveau traitement contre le VIH.
Potentiel de coopération
Nous sommes ouverts aux nouveaux doctorants et à tout type de collaboration/échange avec des chercheurs intéressés par l’étude des réponses immunitaires d’un organisme atopique vis-à-vis de la vaccine et d’autres virus. Afin de poursuivre le développement de nouveaux agents efficaces pour la réactivation du VIH latent, nous sommes à la recherche d’un investisseur stratégique.
MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Étude des interactions du virus Vaccinia avec l’hôte et réactivation du VIH-1 latent, (Année ?).
Sur les vaccins contre le VIH basés sur la variole, comme le montre la dernière coupure de presse, co-écrite par rien de moins que Luc Montagnier:
Résumé
Les séquences codant pour les protéines centrales p55, p25 et p18 du virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1) ont été insérées dans le génome du virus de la vaccine. L’infection de cellules cultivées avec les virus recombinants vivants a conduit à l’expression de protéines qui ont été reconnues par les sérums d’individus séropositifs. L’immunisation de souris avec le virus recombinant exprimant la protéine p25 du VIH et le précurseur p55 a produit des niveaux élevés d’anticorps dirigés contre les antigènes correspondants du VIH. Les données obtenues sont discutées en termes d’utilisation possible de ces virus recombinants vivants dans le développement d’une stratégie vers un vaccin contre le SIDA.
Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. Protéines centrales du VIH-1 exprimées à partir de virus de la vaccine recombinants. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi : 10.1089/aid.1989.5.147. PMID : 2713165.
Glutathion peroxydase, réactivation du HERV et Vaccinia, cette fois dans un rôle protecteur:
…Il est démontré que le risque réduit de mélanome dû au BCG et à la vaccine, ainsi qu’à certaines causes communes de maladies infectieuses, est associé à des déterminants antigéniques présentant des homologies de séquence avec l’antigène HERV-K-MEL. Ce dernier est le produit d’un pseudo-gène qui est étroitement associé au gène env du rétrovirus humain endogène K (HERV-K). Une réaction immunitaire suppressive semble inhiber l’expression de gènes rétroviraux endogènes, tels que le gène env du HERV-K, qui pourraient autrement entraîner une transformation maligne des années, voire des décennies plus tard. La protéine env de HERV-K possède des séquences d’acides aminés homologues avec la protéine de liaison à l’élément sensible à l’oxygène (OREBP), un facteur nucléaire humain qui contrôle l’expression de la glutathion peroxydase. La formation de cette enzyme et d’autres enzymes redox, nécessaires au maintien de niveaux appropriés du potentiel redox intracellulaire normal, semble être supprimée par la protéine homologue OREBP. La présente hypothèse est conforme au concept selon lequel la dérégulation immunitaire due à des impacts environnementaux négatifs est un facteur de risque non seulement pour certains troubles auto-immuns, comme décrit précédemment, mais aussi pour certaines malignités telles que le mélanome.
Bernd Krone et al, Protection contre le mélanome par la vaccination avec le Bacille Calmette-Guérin (BCG) et/ou la vaccine : une hypothèse basée sur l’épidémiologie sur la nature d’un facteur de risque de mélanome et son contrôle immunologique, Eur J Cancer, (2005 Jan).
Le VIH est très sensible au potentiel REDOX de la cellule (5). La clé ici est que Vaccinia code une glutaredoxine fonctionnelle.
Qu’est-ce que c’est? La réponse courte:
« Les glutaredoxines (également connues sous le nom de Thioltransférase) sont de petites enzymes redox d’environ cent résidus d’acides aminés qui utilisent le glutathion comme cofacteur. Chez l’homme, cette enzyme réparatrice de l’oxydation est également connue pour participer à de nombreuses fonctions cellulaires, notamment la signalisation redox et la régulation du métabolisme du glucose.[4][5] Les glutaredoxines sont oxydées par les substrats et réduites de manière non enzymatique par le glutathion.(6) »
Résumé
Il a été démontré précédemment que le virus Vaccinia (VV) code pour une glutaredoxine fonctionnelle, le produit du gène o2l, qui est synthétisé tard dans l’infection, après le début de la réplication de l’ADN. Nous rapportons ici qu’un cadre de lecture ouvert dans le génome du VV, appelé g4l, code une protéine dont la séquence est similaire à celle des glutaredoxines et qui possède des activités thioltransférase et déhydroascorbate réductase. La protéine G4L peut être détectée dans les cellules infectées dès 4 heures après l’infection et est exprimée de manière constitutive jusqu’à 24 heures après l’infection. Une protéine homologue à G4L et conservant le centre actif prédit de la glutaredoxine est codée par le virus Molluscum Contagiosum (MCV) récemment séquencé, alors que la protéine O2L n’est pas conservée, ce qui suggère que l’activité glutaredoxine de G4L peut être impliquée dans la réplication de tous les poxvirus.
Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Le gène G4L du virus Vaccinia encode une seconde glutaredoxine. Virologie. 1996 Dec 15;226(2):408-11.
Comment la glutarédoxine peut-elle réactiver des virus latents, dont le VIH?
Le premier point à noter est que les voies de signalisation du cancer sont également activées:
Résumé
Bien que l’utilisation d’antioxydants pour le traitement du cancer et du VIH/SIDA ait été proposée depuis des décennies, de nouvelles connaissances issues de la recherche sur l’oxydoréduction ont suggéré un scénario très différent. Ces nouvelles données montrent que les principaux systèmes antioxydants cellulaires, les systèmes de la thiorédoxine (Trx) et du glutathion (GSH), favorisent en fait la croissance du cancer et l’infection par le VIH, tout en supprimant une réponse immunitaire efficace. D’un point de vue mécanique, ces systèmes contrôlent à la fois les voies redox et NO (homéostasie nitroso-redox), qui sous-tendent les défenses immunitaires innées et cellulaires. La double inhibition des systèmes Trx et GSH tue de manière synergique les cellules néoplasiques in vitro et chez la souris et diminue la résistance aux traitements anticancéreux. De même, la population de cellules réservoirs du VIH, qui constitue le principal obstacle à la guérison du SIDA, est extrêmement sensible à l’oxydoréduction et pourrait être ciblée sélectivement par les inhibiteurs de la Trx et du GSH. L’inhibition de la Trx et du GSH peut conduire à une reprogrammation de la réponse immunitaire, faisant pencher la balance entre le système immunitaire et le cancer ou le VIH en faveur du premier, permettant ainsi l’élimination des cellules malades. Ainsi, les thérapies basées sur l’inhibition des voies de la Trx et du GSH représentent une approche prometteuse pour la guérison du cancer et du SIDA et méritent d’être étudiées plus avant.
Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Double ciblage des systèmes de la thiorédoxine et du glutathion dans le cancer et le VIH. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630-1639. (2016)
Ce qui nous ramène à la vaccination contre la variole du singe.
Jynneos est un MVA. Exprime-t-il aussi la glutaredoxine en quantité?
Veuillez me corriger si je lis mal l’article sur le génome, mais la réponse semble être oui.
C’est logique car pour générer une immunité, il faut un haut degré d’homologie, c’est-à-dire l’expression de protéines.
Les virus de la vaccine modifiés pour exprimer des gènes étrangers sont des vecteurs pour la production de protéines recombinantes, le plus courant étant un système d’administration d’antigènes pour les vaccins[3]. Les préoccupations concernant la sécurité du virus de la vaccine ont été prises en compte par le développement de vecteurs basés sur des virus de la vaccine atténués. L’un d’entre eux, le virus Modified vaccinia Ankara (MVA), est une souche hautement atténuée du virus de la vaccine qui a été développée vers la fin de la campagne d’éradication de la variole par Anton Mayr à Munich, en Allemagne. Produite entre 1953 et 1968 par plus de 500 passages en série du virus de la vaccine (à partir d’une souche sauvage découverte par l’Institut turc du vaccin d’Ankara) dans des cellules de poulet[4] (fibroblaste d’embryon de poulet), la MVA a perdu environ 10 % du génome de la vaccine et, avec lui, la capacité de se répliquer efficacement dans les cellules de primates. Un vecteur recombinant à base de MVA pour la vaccination avec différents gènes rapporteurs fluorescents a été développé par Antonio Siccardi, qui indiquent le progrès de la recombinaison génétique avec le transgène d’un antigène (vert, incolore, rouge) [5] [6].
…Par rapport aux virus de la vaccine qui se répliquent, le MVA fournit des niveaux similaires ou supérieurs d’expression de gènes recombinants, même dans les cellules non permissives.
… Le MVA est un virus de la vaccine atténué et ne se réplique pas dans le corps humain aussi efficacement que la vaccine. Cependant, on ignore pour l’instant si le MVA peut induire les mêmes effets secondaires que la vaccine.
G4L est le gène qui exprime la glutaredoxine, et il est conservé dans le MVA et donc dans le Jynneos, avec des implications potentielles pour la santé publique.
Notez la référence à la variole bovine:
Résumé
La séquence complète de l’ADN génomique de la souche vaccinale hautement atténuée modified vaccinia Ankara (MVA) a été déterminée. Le génome de MVA a une longueur de 178 kb, ce qui est significativement plus petit que le génome de la souche vaccinia Copenhagen, qui est de 192 kb. Les 193 cadres de lecture ouverts (open reading frames – ORF) cartographiés dans le génome du MVA correspondent probablement à 177 gènes, dont 25 sont divisés et/ou ont subi des mutations entraînant des protéines tronquées. La région génomique terminale gauche du MVA contient quatre grandes délétions et une grande insertion par rapport à la souche Copenhagen. En outre, de nombreux ORF de cette région sont fragmentés, ne laissant que huit gènes structurellement intacts et donc vraisemblablement fonctionnels. L’ADN inséré code pour un groupe de gènes que l’on trouve également dans la souche vaccinia WR et dans le virus de la variole bovine, et comprend un gène hautement fragmenté homologue au gène de la gamme d’hôtes du virus de la variole bovine, ce qui constitue une preuve supplémentaire qu’un virus semblable à la variole bovine était l’ancêtre de la vaccine. De manière surprenante, la région centrale conservée du génome contient également quelques gènes fragmentés, dont l’ORF F5L, codant pour une protéine membranaire majeure, et les ORF F11L et O1L, codant pour des protéines de 39,7 et 77,6 kDa, respectivement. La région génomique terminale droite porte trois grandes délétions : tous les gènes classiques d’évasion immunitaire poxvirale et tous les gènes de type ankyrine situés dans cette région sont fragmentés, à l’exception de ceux codant pour le récepteur de l’interleukine-1β et la protéine de type ankyrine B18R de 68 kDa. Ainsi, le phénotype atténué du MVA est le résultat de nombreuses mutations, affectant particulièrement les protéines interactives avec l’hôte, dont les gènes ankyrin-like, mais impliquant également certaines protéines structurelles.
Lien vers le pdf:
G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain : Comparaison avec d’autres orthopoxvirus, (1998),
L’infection par le COVID-19 peut-elle être renforcée/réactivée de la même manière? Il semble que non car, contrairement au VIH, il se développe dans un environnement oxydatif.(7)
L’immunisation contre la vaccine peut encore la favoriser indirectement par d’autres voies, comme l’épuisement des cellules T ou la réactivation d’autres virus latents, ce qui affaiblit le système immunitaire. Les défis antigéniques répétés ne sont pas à encourager.
En rapport avec la vaccination Vaccinia, un excellent article sur le renforcement des infections virales par les anticorps, notamment pourquoi les tentatives répétées de créer des vaccins efficaces contre le VIH et les coronavirus continuent d’échouer :
Résumé
Des exemples d’augmentation de la sensibilité à l’infection virale ou de pathogénie virale aberrante induite par un vaccin ont été documentés pour des infections par des membres de différentes familles de virus. Plusieurs mécanismes, dont beaucoup sont encore mal compris, sont à la base de ce phénomène. La mise au point de vaccins contre les infections à lentivirus en général, et contre le VIH/SIDA en particulier, n’a guère été couronnée de succès. Certains vaccins lentiviraux expérimentaux se sont même révélés contre-productifs : ils ont rendu les sujets vaccinés plus sensibles à l’infection au lieu de les protéger. En ce qui concerne l’augmentation de la sensibilité à l’infection par certains virus comme le coronavirus félin, le virus de la dengue et le virus de l’immunodéficience féline, il a été démontré que la facilitation de l’infection par les anticorps (antibody-dependent enhancement – ADE) joue un rôle important. D’autres mécanismes peuvent être impliqués, soit en l’absence de l’ADE, soit en combinaison avec celui-ci. Par conséquent, le renforcement induit par le vaccin a été un obstacle majeur au développement de certains vaccins contre les flavi-, corona-, paramyxo- et lentivirus. De même, les récents échecs dans le développement d’un vaccin contre le VIH peuvent être attribués, au moins en partie, à l’induction d’une susceptibilité accrue à l’infection. Il pourrait bien y avoir un équilibre délicat entre l’induction d’une immunité protectrice d’une part et l’induction d’une susceptibilité accrue d’autre part. Le présent article passe en revue les mécanismes actuellement connus de l’augmentation de la sensibilité à l’infection virale induite par le vaccin ou de la pathogenèse virale aberrante.
Mots clés: Vaccin, Amélioration, ADE, VIH, Lentivirus.
W. Huisman,1 B.E.E. Martina, G.F. Rimmelzwaan, R.A. Gruters, et A.D.M.E. Osterhaus, Renforcement des infections virales par le vaccin, Vaccine. 2009 Jan 22 ; 27(4) : 505-512, publié en ligne le 18 novembre 2008. doi : 10.1016/j.vaccine.2008.10.087
L’avenir de la vaccination contre la variole du singe
Cette étude de 2011 souligne également les défauts majeurs de l’approche Jynneos et recommande des essais d’efficacité qui pourraient également bénéficier à une population à risque réel, imaginez ça!
Les nouveaux vaccins candidats ont été évalués chez l’homme pour leur immunogénicité, mais depuis l’éradication de la variole, tous les essais d’efficacité ont été réalisés sur des modèles animaux. Par conséquent, aucun des produits récemment développés pour la prévention et le traitement de l’infection par le virus de la variole n’a été testé sur le terrain chez l’homme, et ont été fabriqués et déposés dans le stock de biodéfense sur la base d’études animales et de la présomption qu’ils fonctionneront chez l’homme en cas de crise.
Bien que l’on sache que l’immunité médiée par les cellules T est importante pour éliminer les infections par poxvirus, la protection est fortement associée aux réponses en anticorps. Cela est dû au fait que la complexité et le coût d’un essai vaccinal de phase I sont considérablement plus élevés si la cryoconservation des cellules mononucléaires du sang périphérique (peripheral blood mononuclear cells – PBMC) est nécessaire. Pour les essais de phase I des vaccins candidats contre le poxvirus, le prélèvement de sérum pour la recherche d’anticorps induits par le vaccin serait suffisant.
Il est difficile, long et coûteux de le faire correctement, et l’efficacité visée devrait être de 80% pour que cela en vaille la peine, et non de 50%.
Il est beaucoup plus rapide, plus facile et moins coûteux de sauter toutes ces inepties de sécurité et d’efficacité des phases II et III et de signer l’autorisation de distribution massive:
Passer de la phase I des tests d’innocuité et d’immunogénicité à un essai d’efficacité de phase IIb ou III ajouterait un nouveau niveau de complexité, non seulement en raison de la taille de l’étude, mais aussi parce que le lieu de l’étude passerait de Kinshasa au district de Sankuru, dans la partie centrale de la RDC, où il y a peu d’établissements de soins de santé et peu de routes, ce qui rend l’accès difficile et crée des défis logistiques pour la gestion de la livraison des produits biologiques et des échantillons cliniques. La réalisation d’études épidémiologiques a nécessité un système élaboré de véhicules, de motos, de bicyclettes et de déplacements à pied pour accéder aux populations et transporter les échantillons diagnostiques. Même avec une incidence annuelle proche de 0,2% (chez les enfants de 5 à 19 ans), un essai d’efficacité contrôlé par placebo avec un an de suivi nécessiterait environ 20.000 sujets pour détecter une efficacité du vaccin de 80% avec une puissance de 80%. Il faudrait moins de sujets si la période de suivi pouvait être prolongée, à condition que l’on s’attende à un maintien de l’immunité.
Avantages des essais cliniques du vaccin dans les zones endémiques de la variole du singe (MPX)
La réalisation d’essais cliniques en RDC présenterait un certain nombre d’avantages pour différentes parties prenantes. Tout d’abord, les populations du bassin du fleuve Congo qui sont les plus touchées par la maladie en bénéficieraient. Les études cliniques permettraient d’attirer l’attention sur le problème de la variole du singe, d’améliorer les connaissances générales sur la prévention de la variole du singe et, éventuellement, d’améliorer les connaissances sur d’autres problèmes de santé en renforçant l’infrastructure de la santé publique. Il y aurait également des avantages intangibles qui accompagnent les activités d’essais cliniques, notamment la stimulation des économies locales. Deuxièmement, la population congolaise en général et le système de santé congolais en bénéficieraient car un essai de vaccin interventionnel nécessiterait un investissement dans l’infrastructure réglementaire. En outre, il permettrait d’accroître la capacité de recherche en augmentant le nombre de chercheurs actifs et le personnel. Avec une efficacité de 85% au taux d’incidence actuel, environ une infection par le virus de la variole du singe pourrait être évitée pour 600 personnes vaccinées.
Les développeurs de vaccins antivarioliques alternatifs et les parties prenantes dans le domaine de la biodéfense et des maladies infectieuses émergentes tireraient profit de la possibilité d’évaluer sur le terrain des vaccins antivarioliques candidats contre un orthopoxvirus virulent. Cet avantage ne doit pas être sous-estimé car l’inoculation de la vaccine vivante est le seul vaccin antivariolique dont l’efficacité a été prouvée chez l’homme. Tous les autres vaccins candidats seront provisoirement approuvés en appliquant la Règle des Animaux (20). Le fait de disposer de données sur l’efficacité chez l’homme conférerait un avantage de sélection significatif à un vaccin candidat par rapport à un autre.
En fin de compte, les auteurs se demandent si tout cela vaut la peine? Pourquoi ne pas simplement administrer des antiviraux aux rares cas qui se présentent et éduquer les groupes à risque sur les pratiques sûres? Pourquoi pas, en effet.
C’est la méthode Leicester de réponse à l’incidence et de quarantaine ciblée, mise à jour pour le 21e siècle:
Alternatives à la vaccination antivariolique
Compte tenu des risques d’effets indésirables, du coût et des considérations logistiques associés à la vaccination antivariolique, il convient également d’envisager d’autres stratégies pour lutter contre la variole du singe chez l’homme. Une alternative à la vaccination pourrait être le traitement des cas incidents avec une thérapie antivirale pour réduire la morbidité et la transmission, et en donnant accès aux antibiotiques pour le traitement des infections bactériennes secondaires. Le diagnostic clinique de la variole du singe étant relativement facile, des antiviraux efficaces et des soins cliniques de soutien pourraient être des options plus pratiques que la vaccination à l’heure actuelle.
La réduction de la fréquence de l’infection humaine par la variole du singe pourrait également être obtenue par l’éducation sanitaire sur la manipulation des espèces réservoirs animales potentielles afin de prévenir la transmission de l’animal à l’homme et par la quarantaine ou l’isolement des contacts afin de prévenir la propagation interhumaine. La définition des facteurs sous-jacents à l’augmentation de l’incidence, et leur impact sur la transmission primaire par rapport à la transmission secondaire, est donc une direction cruciale pour les recherches en cours. En outre, une meilleure compréhension de la mortalité et des complications associées à l’infection par la variole du singe doit être évaluée. La poursuite de la surveillance active de la maladie dans les régions endémiques, associée à des études sur les ménages et les contacts avec un suivi à long terme, permettrait de répondre à ces questions importantes.
D’autres études sont également nécessaires pour identifier les hôtes intermédiaires et les réservoirs animaux. La vaccination antivariolique ne modifiera pas le réservoir ni la quantité de virus de la variole du singe trouvés dans les espèces d’amplification. L’introduction de la variole du singe dans les populations humaines dépend du contact avec des espèces infectées. Par conséquent, la vaccination seule ne sera pas efficace pour contrôler la propagation géographique de la variole du singe, car elle est déterminée par les mouvements d’animaux et largement motivée par la perte d’habitat naturel.
Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60-D64.
« Wally, je te nomme responsable des tests de notre nouveau médicament dans un essai clinique randomisé à grande échelle. » « Certainement. Quel résultat veux-tu que je te fournisse? » « Tu es limite trop parfait pour ce boulot. » « Merci. »
Et merci de m’avoir lu.
Références:
1: WHO, Monkeypox – United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, (May 18th 2022),
Any extracts used in the following article are for non commercial research and educational purposes only and may be subject to copyright from their respective owners.
Introduction
This Substack reviews the history of smallpox vaccination in part 1.
The safety & efficacy of a vaccine candidate against monkeypox and mechanisms of vaccine induced cardiomyopathy are reviewed in part 2.
It concludes with “Whither monkeypox vaccination” which discusses different approaches to the currently adopted one.
Part 1: Smallpox
Whilst Edward Jenner’s famous discovery undoubtedly saved many lives, it also contributed to many deaths for various reasons.
The net effect was that at the population level net mortality didn’t fall over time, if anything it went up (where have we seen that before?)
The main causes were:
Immunosuppressed, malnourished children were unable to mount an effective immune response. It was like pushing on a string.
The live cowpox virus could be as lethal to these individuals as smallpox itself.
Good Manufacturing Practice (GMP) was a thing of the future. Vaccine preparations varied in quality and variant used, and could even be contaminated with anthrax spores. It was also often traceable back to smallpox itself, not cowpox…
For those who haven’t read it I can recommend the excellent “Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History” (2013) by Suzanne Humphries MD, and it is appropriate to include several quotes in this Substack.
In many ways we haven’t really progressed from the Victorian era:
Fresh vesicles subsequently formed around the vaccination pocks coalescing with them and causing them to spread. They developed also on the face, head, body, and in the mouth, the later prevented the child from suckling, and it died exhausted on the 45th day after vaccination.
– Case of a healthy child after vaccination, March 13, 1891
Try revaccination—It never will hurt you,
For revaccination has this one great virtue:
Should it injure or kill you whenever you receive it,
We all stand prepared to refuse to believe it.
– From a circular signed “The Doctors,” 1876
And any acquired immunity, if the vax didn’t kill you first time round, wasn’t lifelong:
…it is observed that all un-revaccinated children over one and a-half years of age, or thereabouts, and all revaccinated persons whose revaccinations are more than three years old, i.e., the vast majority of the entire population—are unprotected.{106}
Another practitioner named Dr. Olesen claimed that revaccination should be done annually.
Recent successful vaccination is an absolute protection against smallpox. Protection lasts from six months to twelve months and often much longer. Revaccination is advisable once a year.
Since the late 1700s, the medical profession has supported vaccination, even though there was never a trial where one group was vaccinated and compared to another group of the same size that was not vaccinated.{109}
The CDC admits that, even now, the level of antibody that protects against smallpox infection is unknown.{110} When the authors of Dissolving Illusions were growing up in the United States, children were considered vaccinated and immune simply by revealing the scar of vaccination years after the procedure.
The standardization and purity of smallpox vaccines was lackluster even after the eradication of smallpox from the United States. Dr. Beddow Bayly’s 1952 statements should leave everyone wondering how such a vaccine could have possibly been responsible for eradication of any disease:
When we recall that vaccine lymph is derived, in the first place, either from a smallpox corpse, the ulcerated udder of a cow, or the running sores of a sick horse’s heels, the choice depending upon the country of its origin and the firm which manufactures it, it is hardly to be wondered at that it has far-reaching ill effects on the human constitution. Years ago, the Lancet declared that “no practitioner knows whether the lymph he employs is derived from smallpox, rabbit-pox, ass-pox, or mule-pox.”{117} Our own Ministry of Health has long confessed to complete ignorance of the ultimate source of its own supply of lymph; but last year Dr. A. Downie stated in the British Medical Journal that “the strain of vaccinia virus used for the routine preparation of lymph in this country [England] is believed to have been derived from a case of smallpox in Cologne during the last century.” That, of course, disposes of the whole theory of cow-pox vaccination.{118}
When Jenner published his paper in 1798 claiming lifelong immunity to smallpox and promoting his technique, many doctors who had seen smallpox follow cowpox challenged his doctrine at a meeting of the Medico-Convivial Society.
But he [Jenner] no sooner mentioned it than they laughed at it. The cow doctors could have told him of hundreds of cases where smallpox had followed cow-pox…{122}
In 1799 Dr. Drake, a surgeon from Stroud, England, conducted an experiment to test Jenner’s new preventive using vaccine obtained directly from Edward Jenner. The children were then challenged with a smallpox inoculation to see if the cowpox procedure had been effective.
In three of them, a lad aged seventeen and two of the Colborne children (one four years, the other fifteen months), the cowpox vesicles came to early maturity and were scabbed under the usual time. The lad was inoculated with smallpox on the 20th December, being the eight day from his vaccination, and the two children on the 21st, being again the eight day. They all developed smallpox, both the local pustules and the general eruption with fever.{123}
Dr. Hughes, another doctor from Stroud, reported that the children subsequently developed smallpox and suggested that the vaccination technique failed. Jenner received the report but decided to ignore the results.
Human behaviour never changes:
Surgeons and doctors were paid well to perform vaccination and embraced it as a new form of income. It is therefore quite significant that so many doctors wrote to medical journals about their experiences. However, just like today, the believers ignored the voices of the medical dissenters, which led to ordinary people speaking out in the lay media.
A case fatality rate of 33% indicates zero efficacy. Perhaps not surprising if smallpox was the source of the lymph:
In the 1844 smallpox epidemic, about one-third of the vaccinated contracted a mild form of smallpox, but roughly 8 percent of those vaccinated still died, and nearly two-thirds had severe disease.{131}
A letter to a newspaper in 1850 claimed there were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than during the smallpox epidemic of 1781 before vaccination began. The author also noted that one-third of the deaths from smallpox were in people who had previously been vaccinated.
Daily experience now unhappily shows an altered state of things: small pox, in spite of vaccination, is rapidly on the increase… There were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than in the celebrated smallpox epidemic of 1781 before vaccination was introduced. I shall also select the Registrar’s returns of one of the country districts (Bradford) to show how little protection vaccination afforded in the last quarter of that year, 1844: 118 [181?] deaths from smallpox were recorded, 60, or nearly one-third, of which had been vaccinated.{132}
The more things change, the more they stay the same:
In 1898 Dr. Wilder also noted that during the 1871–1872 pandemic, the vaccinated often contracted severe smallpox more rapidly than the nonvaccinated.
Never, however, did the faith in vaccination receive so rude a shock as in the Great SmallPox Epidemic of 1871 and 1872. Every country in Europe was invaded with a severity greater than had ever been witnessed during the three preceding centuries. In England, the number of deaths from the disease was increased from 2,620 in 1870 to 23,126 in 1871 and 19,064 in 1872, falling again to 2,634 in 1873. Upon the Continent, particularly in France and Germany, the visitation was even more severe. In Bavaria, for example, with a population vaccinated more than any other country of Northern Europe, except Sweden, which experienced the greatest that had ever been known.
What was even more significant, many vaccinated persons in almost every place were attacked by smallpox before any unvaccinated persons took the disease.{139}
As resistance to vaccination understandably grew, mandates were enacted:
In 1840, as doctors and citizens realized that vaccination was not what it was promised to be, vaccine refusals increased. Governments passed various laws to force people to be vaccinated. Vaccination was made compulsory in England in 1853, with stricter laws passed in 1867. In the United States, Massachusetts created a set of comprehensive vaccination laws in 1855.
Did this work? Not exactly.
In fact, more people died from smallpox in the 20 years after the strict compulsory laws than in the 20 years prior.
…smallpox, after having almost wholly disappeared from our community during the thirty or forty years which followed the introduction of vaccination in 1800, gradually regained its foothold in Boston, where it continued to prevail almost uninterruptedly, although with varying intensity, from 1839, when the disease for the first time assumed the form of a distinct epidemic, up to 1873. During this period of thirty-five years the course of smallpox has been marked by a succession of epidemic paroxysms, generally by intervals of several years, during which a varying number of sporadic cases has testified to the more or less constant presence of the disease. The latest epidemic that of 1872-1873, having proved fatal to 1040 persons, was the most severe that has been experienced in Boston since the introduction of vaccination.{142}
The same pattern of more severe epidemics was to be repeated throughout highly vaccinated populations in the Western world.
England and Wales total deaths from cowpox and other effects of vaccination from 1859 to 1922.England and Wales smallpox deaths vs. smallpox vaccination deaths from 1906 to 1922.
Sanitation and nutrition, every time:
The death rate for smallpox declined after 1872, but there is no evidence that vaccination had anything at all to do with it. In the early 1900s, death from smallpox all but vanished from England (Graph 4.5). Interestingly, the pattern of smallpox deaths mirrored almost perfectly a much bigger killer—scarlet fever, a bacterial toxin-mediated disease. There was a scarlet fever toxin vaccine, which was never widely used because it had severe consequences to many of its recipients. A marked decline in scarlet fever death occurred long before any antibiotic was used.
England and Wales smallpox and scarlet fever mortality rates from 1838 to 1922.
Some may look at the graphs and think that the vaccine just needed longer to have its effect. But after 1872, vaccination coverage rates slowly declined from a high of nearly 90 percent. Coverage rates plummeted to only 40 percent by 1909 (Graph 4.6). Despite declining vaccination rates, smallpox deaths remained low, vanishing to near zero after 1906. Smallpox vaccination has always correlated positively to epidemics in the countries that collected data in the vain hope of proving the vaccine’s worth.
England and Wales smallpox mortality rate vs. smallpox vaccine coverage rates from 1872 to 1922.
Just as now, many harrowing cases of needless child deaths. Being compliant didn’t work and how compulsory vaccination was halted in England:
After the 1872 pandemic, even more people lost confidence in vaccination. They began asking the question as to whether better sanitation, hygiene, improved housing, nutrition, and isolation of cases were the best ways to deal with smallpox. These ideas, which clashed with the medical profession and governmental laws, culminated in a large demonstration in 1885 against compulsory vaccination in the small manufacturing town of Leicester, England. People had had enough. The tide was about to turn against both the medical profession and the law.
Although vaccination for smallpox had been used since the year 1800, the government did not begin to enforce it until the first acts in 1840 and 1853. The 1853 law set the governmental machinery in place to require every child to be vaccinated within three months of birth.
Through a series of legal acts over the years, the British government had, by the time of the protest in Leicester, made refusing smallpox vaccination a crime punishable by fines or imprisonment.
The penalties fell disproportionately on the poor who, if they could not afford to pay the fine for noncompliance with the vaccination law, would have the settlement forcibly offset by seizure and sale of their furniture. From the Leicester Mercury, January 1884:
A man named Arthur Ward had two children injured through vaccination and refused to submit another one to the operation. A fine was imposed and on 24th November two police officers called for the penalty, or in default to ticket the goods. The husband was out at the market, and the poor woman had no money to pay. The goods downstairs were considered insufficient to cover the amount, and the officers demanded to go upstairs. The woman refused to allow this, and an altercation took place, and harsh language was used by the officers, who threatened to take her husband to prison, terrifying Mrs. Ward. At that time she was pregnant, and the shock to the system, and the fright, were of such a character that symptoms ensued which ultimately led to a premature confinement, and on 26th December she gave birth to a still-born child. She never recovered and last week she expired. The doctor who had attended Mrs. Ward said that although he believed in vaccination he did not think it was the duty of any professional man to carry out the laws in the outrageous and brutal manner in which they were enforced.{193}
Leicester, March 23, 1885:
Because of the serious and sometimes fatal results of the procedure, and the government’s steadfast support of forced vaccination through fines and imprisonment, the people were motivated to revolt. In great numbers, they took to the streets of Leicester to protest. At the time of the demonstration, thousands of prosecutions were being brought against parents who refused vaccination for their children.
The widespread opposition to the enforcement of the compulsory clauses of the Vaccination Acts which exists in Leicester culminated yesterday in a great demonstration, which was carried out very successfully. The position which the inhabitants of the town have assumed with regard to this question is due to a variety of causes. At the present moment there are over 5,000 persons being summoned for refusing to comply with the law.… summonses issued in the year 1884 only reached seven, or a little over one summons in every two months, while at the present moment forty-five summonses are being heard and disposed of every week. But even the disposal of forty-five defendants every week is not sufficient to meet the requirements of the case, and the defaulters and the objectors increase faster than the cases can be dealt with.{194}
The crowd gathered in Leicester from a number of different counties in England and included people of all professions.
The demonstration… drew delegates from all parts of the country, while many letters of sympathy were received not only from England, Scotland, and Ireland, but from Jersey, France, Switzerland, Belgium, Germany, and America. Most of the large towns in the kingdom sent special banners, the Yorkshire, Irish, and Scotch being very prominent. The anti-vaccinationists in Jersey sent a very elaborate banner setting forth that the Acts had been four times defeated there, while the Belgium banner had this inscription in French—“Neither fines nor imprisonment will prevent vaccine being a poison nor the vaccination laws an infamy.”{195}
Organizers of the event estimated the number at attendance to have been between 80,000 and 100,000. Mr. Councillor Butcher of Leicester presided and congratulated the crowd on the magnificent and elaborate display. He said:
…the exemplary conduct of the many thousands of people who had attended the demonstration showed that they were determined only to use fair and constitutional means to bring about a repeal of the Acts.{200}
He addressed the audience:
Many present had been sufferers under the Acts, and all they asked was that in the future they and their children might be let alone. They lived for something else in this world than to be experimented upon for the stamping out of a particular disease.A large and increasing portion of the public were of opinion that the best way to get rid of smallpox and similar diseases was to use plenty of water, eat good food, live in light and airy houses, and see that the Corporation kept the streets clean and the drains in order. If such details were attended to, there was no need to fear smallpox, or any of its kindred; and if they were neglected, neither vaccination nor any other prescription by Act of Parliament could save them.{201}
The people of Leicester prevailed and brought this pseudoscientific nightmare to a close, the compulsory vaccination laws were eventually repealed:
Thousands of brave people set off a historical rebellion that successfully countered a prevailing medical belief and heavy-handed government rule. The medical profession proclaimed that the Leicester residents would suffer greatly for their decision to turn their backs on vaccination. They prognosticated that this unvaccinated town with its “highly flammable material”{206} would suffer with the “dread disease”{207} that would spread like “wild-fire on a prairie”{208} and decimate the population.
But the leaders of Leicester held steadfast to what they knew was right and successfully implemented their plan of sanitation, hygiene, and isolation—instead of vaccination. Their grand experiment would test the very notions of freedom of choice, self-determination, and the heart of a flawed medical belief.
For the full story and many other case studies I recommend reading the book.
Part 2: Monkeypox
I won’t be going into great virological depth here as currently it’s something of a media hyped, vaccine/WHO promoting propaganda exercise, a nothingburger with an R number less than 1 and transmitted in a similar fashion to HIV, effectively a gender specific STD.
Just like with Covid-19 for most people the imported West African clade presents as a comparatively mild, self limiting disease with a case fatality ratio of less than 1, including all those with comorbidities, ie its actually quite difficult to die from, let alone catch in the first place.1
However there is evidence of a lab based origin or potential gain of function work, and there is the possibility it could function like a binary weapon, the other component being immunosuppression mediated by Coronavirus “vaccines”, so it’s one to watch for transmission rates. That would require aerosol spread rather than direct person to person to become an issue.
@Kevin_McKernan:
There is something fishy about the monkey pox sequences.
50 mutations is too many for a 2018 DNA virus.
There is also a deletion which hints at serial passaging.
From the pharma viewpoint, smallpox vaccines are interchangeable with monkeypox vaccines.
Smallpox vaccines have also been associated with very high rates of myocarditis:
In 2015, US military physicians described a study of 1,081 healthy young soldiers who received a smallpox vaccine as part of their military service. [Smallpox vaccine is not used in the civilian population.] It is known to cause a high rate of side effects, including myo- and peri-carditis, heart attacks and heart failure.
They found:
– 5 soldiers or 0.046% (about 1 in 216 vaccine recipients) developed a clinical case of myo or pericarditis. This is over 200 times the expected rate!
– But an additional 31 vaccine recipients had elevated cardiac enzymes
– Adding these 2 groups together (36 out of 1081 soldiers) we find that one in 30 soldiers had lab-diagnosed cardiac inflammation. The 31 didn’t complain of symptoms. But in the military, it never pays to complain.
– They too were at elevated risk of a cardiac arrhythmia and/or reduced cardiac function, and may have been at higher risk of a myocardial infarction.
We don’t know how common mild or subacute myo/pericarditis is in young Americans after Covid vaccines, because the US health agencies have neither performed a similar study, demanded such a study from the vaccine manufacturers (while it is the responsibility of both FDA to request and the manufacturers to perform), and the FDA and CDC have kept the databases hidden that might help at least identify the « clinical » cases, the ones who complained and sought medical care.
The CDC or FDA could also have contracted with this group of military physicians to perform a similar study of Covid vaccine recipients.
Dr. Michael Nelson, this study’s second author, was made a member of the FDA vaccine advisory committee for Covid vaccines. But he has been mum about the potential similarities between the covid and smallpox vaccine side effects, and didn’t publicly mention this study when he spoke at the VRBPAC meetings.
In 2003, another group of military and civilian physicians (including at least 2 vaccine zealots as coauthors: Greg Poland and John Grabenstein) published a study of US soldiers receiving smallpox vaccine, in which they did not look carefully for cases. How common was myocarditis in their study? One case in 12,818 soldiers. They found 400 times fewer cases than the authors of the 2015 study. The full text can be downloaded here as a pdf.
How hard are CDC and FDA looking for Covid vaccine myo-pericarditis cases? We heard about no prospective studies at the VRBPAC and ACIP (the FDA and CDC vaccine advisory committees’) meetings in June.
« New onset chest pain, dyspnea, and/or palpitations occurred in 10.6% of SPX-vaccinees and 2.6% of TIV-vaccinees within 30 days of immunization (relative risk (RR) 4.0, 95% CI: 1.7-9.3). Among the 1081 SPX-vaccinees with complete follow-up, 4 Caucasian males were diagnosed with probable myocarditis and 1 female with suspected pericarditis. This indicates a post-SPX incidence rate more than 200-times higher than the pre-SPX background population surveillance rate of myocarditis/pericarditis (RR 214, 95% CI 65-558). Additionally, 31 SPX-vaccinees without specific cardiac symptoms were found to have over 2-fold increases in cTnT (>99th percentile) from baseline (pre-SPX) during the window of risk for clinical myocarditis/pericarditis and meeting a proposed case definition for possible subclinical myocarditis. This rate is 60-times higher than the incidence rate of overt clinical cases. No clinical or possible subclinical myocarditis cases were identified in the TIV-vaccinated group.«
If you think one in thirty is impossibly high, a Finnish study of military recruits published in 1978 found the same 3% rate after smallpox and DTP vaccination, based on EKG changes.
Covid vaccines may be causing similar high rates of cardiac inflammation too. But today, who’s counting?
And did this cause the military to stop vaccinating for smallpox, a disease wiped out in 1977? No. Military smallpox vaccinations continued.
Now we consider “JYNNEOS”, the monkeypox vaccine of the hour. It’s a repurposed 2 dose live, non-replicating smallpox vaccine.
To get “immunised” with it is very much a personal decision based on your circumstances and future epidemiological developments. I present the evidence here and personally would advise extreme caution.
The memorandum wreaks of a now all too familiar bias and lacked long term safety or immunological efficacy data.
Extracts from the BLA Clinical Review Memorandum, a Biologics License Application (BLA) dated 10/25/2018 and downloadable from:
Jynneos is an attempt at a safer smallpox vaccine (“MVA-BN”). For an eradicated disease.
And who might these “bioterrorists” be they refer to?
Smallpox is a highly contagious infectious disease caused by variola virus with a mortality rate of 30-40%. Smallpox was declared officially eradicated in 1980. Following the official declaration of smallpox eradication, routine vaccination 3 programs against smallpox were discontinued, leading to a growing majority of the world’s population lacking immunity to smallpox. The intentional release of variola virus, a recognized agent of potential bioterrorist intent, could therefore have devastating effects. The only currently licensed smallpox vaccine, ACAM2000, is a live, replicating vaccinia virus based smallpox vaccine. ACAM2000 is contraindicated in severely immunocompromised individuals who are not expected to benefit from the vaccine. ACAM2000 is also limited to use in individuals at high risk of smallpox because of severe side effects, such as progressive vaccinia in less severely immunocompromised individuals for whom the vaccine is not contraindicated, eczema vaccinatum in individuals with atopic dermatitis, myopericarditis in smallpox vaccine naïve individuals, fetal vaccinia in pregnant women, and spread of vaccine virus beyond the vaccination site (generalized vaccinia) or to contacts of vaccinees. Therefore, an unmet medical need exists for a smallpox vaccine with an improved safety profile.
Monkeypox is a rare viral zoonosis with symptoms similar to those seen in smallpox patients. Although it is clinically less severe than smallpox, it can be fatal. Case fatality in monkeypox outbreaks has been between 1% and 10%. With the eradication of smallpox in 1980 and subsequent cessation of smallpox vaccination, monkeypox virus has emerged as the most important orthopoxvirus. Monkeypox occurs sporadically in central and western Africa’s tropical rainforest. A monkeypox outbreak was first confirmed in the U.S. in 2003. There is no specific treatment or approved vaccine for monkeypox although Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommends that ACAM2000 be used for prevention of monkeypox in individuals at high risk of exposure (e.g., lab workers who handle monkeypox virus).
BN (also referred to as the applicant throughout the document) proposed a 2- dose primary series for use in smallpox vaccine naïve individuals and a single booster dose for use in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine (replicating smallpox vaccine or MVA-BN primary series). They submitted 22 clinical trials to support the effectiveness and safety of MVA-BN for licensure. Among these 22 clinical trials, 7 clinical trials are considered essential by the review team to support the proposed indication and usage. Full clinical study reports were submitted to the BLA for these 7 studies:
• POX-MVA-006: A pivotal Phase 3 non-inferiority trial comparing MVA-BN with ACAM2000 to support safety and effectiveness of MVA-BN in vaccinia naïve healthy subjects
• POX-MVA-013: A placebo-controlled Phase 3 lot consistency trial to establish manufacturing consistency of MVA-BN as well as to support safety of MVA-BN
• POX-MVA-008: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals with atopic dermatitis
• POX-MVA-011: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in HIV-infected individuals
• POX-MVA-005 and -23: A Phase 2 trial and its extension trial, respectively, to support use of MVA-BN in vaccinia experienced individuals
• POX-MVA-024: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals 65 years of age and older
So it starts on a high note, but things go downhill fast from there. Starting efficacy target is only 50%. Safety and efficacy isn’t assessed primarily against an unvaccinated control but against ACAM2000, is this to make it look safer?
Antibodies do not equal immunity. They do pick up that there is no known quantified antibody response to demonstrate immunity:
During the discussions of licensure pathway for MVA-BN, we agreed that the most appropriate approach to licensure for MVA-BN would be to demonstrate vaccine effectiveness compared to ACAM2000 using a primary endpoint of noninferior vaccinia specific neutralizing antibody titers. The non-inferiority margin was pre-specified at 0.5. Given that vaccine antigens and replication competence are different for MVA-BN vs. ACAM2000, and that a vaccinia neutralizing antibody response that predicts protection against smallpox has not been established, we considered that demonstrating vaccine efficacy in animal models showing protection against relevant orthopoxvirus challenge (e.g., monkeypox in NHPs) would be critical to support the immunologic non-inferiority comparison.
And no need to actually trial it against a different species to smallpox as monkeypox is close enough and it worked on monkeys. I’m not sure that’s how it works, its conjecture.
The applicant’s original proposed indication did not include monkeypox. During the review of this submission, we received inquiries from external stakeholders in the US government asking whether the available data for MVA-BN would support an indication for prevention of monkeypox. We determined that immunogenicity data for MVA-BN obtained in humans together with the non-human primate (NHP) data already submitted to BLA 125678/0 support the indication for prevention of monkeypox, since the clinical and non-clinical studies provided multiple lines of evidence that the immune response to MVA-BN provided protection against different orthopoxviruses, and specifically monkeypox in the NHP challenge model. Therefore, we recommended including the monkeypox indication in the product labeling.
They followed up some trial participants for 6 months, but myocardial fibrosis can take years to become symptomatic and still shortens your natural lifespan. These papers are worth reading in full in the context of Covid-19 “vaccine” mediated myo and pericarditis. Small lumen capillaries are particularly prone to obstruction and T-cell infiltration mediates further myocardial injury.
Abstract
Heart injury from many causes can end up in a common final pathway of pathologic remodeling and fibrosis, promoting heart failure development. Dilated cardiomyopathy is an important cause of heart failure and often results from virus-triggered myocarditis. Monocytes and monocyte-like cells represent a major subset of heart-infiltrating cells at the injury site. These bone marrow-derived cells promote not only tissue injury in the short term but also angiogenesis and collagen deposition in the long term. Thus, they are critically involved in the typical tissue fibrosis, which evolves in the dilating ventricle during the process of pathologic remodeling. Recent findings suggest that heart-infiltrating monocyte-like cells indeed contain a pool of progenitors, which represent the cellular source both for accumulation of differentiated monocytes during the acute inflammatory phase and for transforming growth factor-beta-mediated myocardial fibrosis during the later chronic stages of disease. Obviously, a delicate balance of proinflammatory and profibrotic cytokines dictates the fate of bone marrow-derived heart-infiltrating progenitors and directly influences the morphologic phenotype of the affected heart. In this minireview, we provide an update on these mechanisms and discuss their significance in pathologic remodeling and heart failure progression after myocarditis.
Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi: 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID: 20447565.
Cardiac remodelling in detail. This is post “heart attack” (myocardial infarction or MI) but is applicable in the context of the shared mechanisms of myocardial fibrosis:
Abstract
Ischemic cell death during a myocardial infarction leads to a multiphase reparative response in which the damaged tissue is replaced with a fibrotic scar produced by fibroblasts and myofibroblasts. This also induces geometrical, biomechanical, and biochemical changes in the uninjured ventricular wall eliciting a reactive remodeling process that includes interstitial and perivascular fibrosis. Although the initial reparative fibrosis is crucial for preventing rupture of the ventricular wall, an exaggerated fibrotic response and reactive fibrosis outside the injured area are detrimental as they lead to progressive impairment of cardiac function and eventually to heart failure. In this review, we summarize current knowledge of the mechanisms of both reparative and reactive cardiac fibrosis in response to myocardial infarction, discuss the potential of inducing cardiac regeneration through direct reprogramming of fibroblasts and myofibroblasts into cardiomyocytes, and review the currently available and potential future therapeutic strategies to inhibit cardiac fibrosis.
The fibrotic response after an MI can be classified into two types of fibrosis, namely replacement and reactive fibrosis, both of which are mediated by fibroblasts and myofibroblasts. Replacement fibrosis, i.e. scar formation, is a pivotal process to prevent the rupturing of the ventricular wall after an ischemic insult (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). However, the increased mechanical stress post-MI, together with hormonal and paracrine mediators, also induces the expansion of connective tissue in areas remote to the infarction. This reactive fibrosis in the infarct border zone and in the remote uninjured myocardium leads to altered chamber compliance and increased ventricular stiffness thereby compromising cardiac output.
In addition to its effect on cardiac contractility, both the fibrous scar and interstitial fibrosis have been shown to interfere with the normal electrical function of the heart thus predisposing to arrhythmia (for a review, see Francis Stuart et al. 2015). The compact scar may serve as an insulated non-excitable area that anchors re-entrant arrhythmia leading to sustained ventricular tachycardia (Ripplinger et al. 2009). In interstitial fibrosis, the non-conducting fibrillar collagen network between cardiomyocyte sheets might promote re-entrant tachycardia through inducing focal ectopic activity and through slowing or blocking of conduction (Francis Stuart et al. 2015). Additionally, the electronic coupling of myofibroblasts and cardiomyocytes might play a role in fibrosis-induced arrhythmogenesis (Kohl and Gourdie 2014). Not surprisingly, cardiac fibrosis has been identified as an autonomous risk factor in HF: it predisposes HF patients to sudden cardiac death and increases overall mortality independently of the ejection fraction (Gulati et al. 2013).
Following the establishment of a collagen-based matrix at the infarct site, the growth factors and matricellular proteins promoting the survival and activity of myofibroblasts are depleted (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). In response, the majority of myofibroblasts are removed from the scarred area, possibly through apoptosis. Moreover, the vascular cells die, and the temporary microvasculature is disintegrated. Whether active inhibitory signaling is involved in suppressing the fibrotic response is unclear. During the maturation phase of MI, collagen turnover by the remaining myofibroblasts continues, and type III collagen is replaced with type I collagen. Type I collagen is further modified by LOX-catalyzed cross-linking. The expression of all four LOX isoforms is increased in the infarct area and in the border zone at 3–7 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). This correlates with significant accumulation of mature collagen fibers and extensive remodeling, and LOX inhibition with a pharmacological inhibitor or a neutralizing antibody reduces infarct expansion resulting in improved cardiac function at 28 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). Cross-linking of the collagen fibers leads to increased tensile strength and contraction of the scar, which alters the geometry of the chamber and contributes to remodeling in the remote areas of the ventricular wall (van den Borne et al. 2010). In a normal wound healing response, all myofibroblasts are cleared from the scarred area, but in the heart, they have been found to persist in the infarct scar even decades after the insult (Willems et al. 1994). The reason for the continuous myofibroblast presence in the infarct scar is not known but is possibly necessary for the continuous maintenance of the ECM in the continuously contracting environment (van den Borne et al. 2010).
Reactive fibrosis: remodeling of remote myocardium
Most often it is not the necrotic cardiomyocyte loss during MI that causes heart failure but the subsequent remodeling of the non-infarcted left ventricular wall. In pathological remodeling, the fibroblast-mediated expansion of the ECM is accompanied by the hypertrophic growth of cardiomyocytes as the cells try to compensate for the increased workload by growing in size in order to increase cardiac function and decrease ventricular wall tension (Heineke and Molkentin 2006). The increased thickness caused by cardiomyocyte hypertrophy and stiffness attributable to excessive cross-linked collagen and the tonic contraction of fibrous tissue mediated by myofibroblasts compromise the diastolic function of the heart (Weber et al. 2013). This remodeling process is progressive and eventually leads to the development of heart failure.
The exact mechanisms and regulation of reactive fibrosis are unclear, and systematic studies examining the characteristics of fibroblasts in the non-infarcted myocardium are lacking (Shinde and Frangogiannis 2014). One promoting factor is the increased mechanical stress in the non-infarcted left ventricular wall; this stress also induces the activation of latent TGF-β in the non-infarcted myocardium. In addition, the persisting activated myofibroblasts in the infarct scar continue to secrete pro-fibrotic factors that might traverse to the remote areas of the myocardium inducing activation and proliferation of local fibroblasts and increased collagen deposition in the interstitial compartment (interstitial fibrosis) and in the adventitia of coronary vessels (perivascular fibrosis; Weber et al. 2013). Pro-fibrotic factors initiating and sustaining the reactive fibrotic response are described in the next section.
Whereas interstitial fibrosis stiffens the myocardium and thereby leads to diastolic and systolic dysfunction, reactive fibrosis in the adventitia of the coronary arteries and arterioles (perivascular fibrosis) can cause narrowing of the vessel lumen and has been associated with impaired coronary blood flow (Dai et al. 2012). This might decrease the oxygen supply to the myocardium thereby compromising the survival of cardiomyocytes and predisposing them to ischemic cell death.
More:
Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Cardiac fibrosis in myocardial infarction-from repair and remodeling to regeneration. Cell and tissue research, 365(3), 563–581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9
On cardiac amyloidosis. This is more relevant to spike protein infiltration but certainly worth covering within the context of Covid-19 transfection2. Useful diagnostic information too:
Cardiac AL amyloidosis
Light chain amyloidosis is consequent on a clonal plasma cell proliferative disorder in which misfolded immunoglobulin light chains are deposited as amyloid fibrils in multiple organs, including the heart in about half of cases. Cardiac dysfunction in AL amyloidosis results from extracellular infiltration of the myocardium, but there is often also evidence for a cardiotoxic effect exerted by pre-fibrillar light chain aggregates. The severity of cardiac dysfunction is the major determinant of morbidity and mortality.3
Light chain amyloidosis is the most commonly diagnosed type of cardiac amyloidosis. One or many vital organ systems may be involved, commonly the kidneys, liver, peripheral and autonomic nervous systems and soft tissues. The heart is frequently affected and is the only clinically involved organ in some patients.
Clinical presentation reflects the varying multisystem deposition of amyloid. Examination findings may reflect soft tissue and small vessel amyloid infiltration and include macroglossia, periorbital pupura, submandibular gland enlargement and nail dystrophy. Fatigue and weight loss are common. Hepatic or splenic infiltration may cause palpable organomegaly. Renal dysfunction is common, usually presenting as nephrotic range proteinuria.
Early cardiac amyloidosis is a major diagnostic challenge. The classical features of ‘right-sided’ congestive heart failure may not be evident until cardiac disease is very advanced. Elevated jugular venous pressure, a third heart sound, hepatomegaly and peripheral oedema may be very subtle or absent in patients who have already started diuretics.
Peripheral neuropathy is relatively common, presenting with paraesthesia or dysaesthesia typically in a ‘glove and stocking’ distribution. Autonomic neuropathy is an important diagnostic clue, manifesting as orthostatic hypotension, alternating diarrhoea and constipation and erectile dysfunction.
Monoclonal immunoglobulin or free light chains can be identified in the serum and/or urine of at least 95% of patients using sensitive assays, but are often missed in routine serum electrophoresis. The absence of a detectable clone is problematic for diagnosis and monitoring response to treatment.
Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). Cardiac amyloidosis. Clinical medicine (London, England), 18(Suppl 2), s30–s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30
Back to the Jynneos application. Antibody titres were common endpoints in the trials, even though there is no known threshold of efficacy or assessment of whether they could actually work against monkeypox.
They know this and state this but proceeded nonetheless as per, for example, trial POX-MVA-005:
POX-MVA-005 was a Phase 2 trial to compare immunogenicity of two doses of MVA-BN in vaccinia-naïve healthy subjects and a single dose of MVA-BN in vaccinia-experienced healthy subjects who were vaccinated with the first generation of smallpox vaccines over 25 years ago. The primary endpoint was vaccinia-specific SCR derived from the ELISA specific antibody titers two weeks after the last vaccination. The study enrolled 549 vaccinia-naïve subjects and 204 subjects who were previously vaccinated with the first generation of smallpox vaccines.
Studies POX-MVA-005/023 and POX-MVA-011 used of PRNT, and Studies POX-MVA-008 and POX-MVA-024 used of PRNT. of PRNT used in these studies were insufficiently validated and were not accepted by CBER assay reviewers. The PRNT assay issue precluded us from making any conclusion regarding vaccine effectiveness among the study populations, including for use of a single booster dose in smallpox vaccine experienced individuals. In addition, the primary endpoints for these studies were SCR determined by MVA-based ELISA, which is not considered clinically meaningful for inferring vaccine effectiveness. Therefore, the data obtained from these studies were not sufficient to support vaccine effectiveness of two doses of MVA-BN specifically in HIV-infected individuals or individuals with AD subjects, nor to support licensure of a single dose (or to inform timing of a single booster dose) in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine. However, it was reasonable to conclude that the 2-dose regimen of MVA-BN would be as effective in smallpox vaccine experienced individuals as compared to smallpox vaccine naïve individuals, so smallpox vaccine experienced individuals were included in the approved indication for the 2-dose regimen.Similarly, there is no physiologic reason to suspect decreased effectiveness of MVA-BN in individuals with AD, and benefit-risk of MVA-BN may still be favorable in HIV-infected individuals. Therefore, there is no reason to specifically exclude individuals with AD or infected with HIV from the general indication for use of this vaccine.
The following is totally unacceptable, given that elevated troponin is an indicator of myocardial injury, which may be asymptomatic for months or years until it presents as cardiac arrest or heart disease.
“Post-marketing pharmacovigilance” means that you become the unwitting trial participant, with little chance of the product being pulled regardless of how dreadful the realised safety profile is:
4.6 Pharmacovigilance
Although no safety signal regarding cardiac events has been identified from the studies, up to 18.4% of subjects in two of the 22 clinical trials were reported to have abnormal, asymptomatic troponin-I elevations following vaccination. These troponin-I elevations were not accompanied by clinically significant ECG changes or other findings on cardiology evaluation and were of uncertain clinical significance. We find the applicant’s proposed plan to assess spontaneously reported cardiac data as part of the routine post-marketing pharmacovigilance plan acceptable.
Lymphadenopathy = swollen lymph nodes, a marker of suppressed immunity and/or autoimmune disorders3.
Arthralgia = joint pain, another condition associated with autoimmune disorders, just as elevated troponin and peri & myocarditis is.
Note the grade 3 percentages.
Group 1 = Jynneos
Group 2 = ACAM2000
10.9% of the Jynneos candidates analysed had grade 3 induration, presumably at the injection site but they don’t break it down further. Think “bee sting” sort of swelling and pain:
Induration: “Localized hardening of soft tissue of the body. The area becomes firm, but not as hard as bone.”
“Grade 3 events are serious and interfere with a person’s ability to do basic things like eat or get dressed. Grade 3 events may also require medical intervention.4”
Aegrescit medendo.
6.1.10.1 Populations Enrolled/Analyzed
Full Analysis Set (FAS)
FAS was defined as all subjects who had received at least one dose of trial vaccine and for whom any post vaccination safety or immunogenicity data were available.
The safety analysis and secondary supportive immunogenicity analyses were performed on the FAS.
Slides from a presentation by the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Despite the trials data and their own assessment they managed to get any risk of peri or myocarditis removed from the package insert:
Clinical guidance for the use of JYNNEOS. ACIP Meeting November 3 , 2021
Once on the program, expect to be chased for boosters every 2 years with risk of cumulative cardiac damage:
Those who need it the most benefit the least. Welcome back to Victorian England:
That’s a NO then:
Just like spike protein expressing transfection is replication deficient. That’s also a NO:
From the application up to 2.1%, that’s 1 in 50, had a cardiac adverse event of special interest (AESI). That’s over 10 times the placebo rate. And they had another 127 cases that didn’t meet the threshold of 2 times the upper limit of normal (ULN). HIV, Alzheimer’s Disease and autoimmune associated symptoms were strong correlates:
So the troponin studies were more sensitive, is that the explanation?
Who made the assessment about the suspected pericarditis, why was it “unlikely related to MVA-BN”?
Cardiac AESIs were reported to occur in 1.3% (95/7,093) of MVA-BN recipients and 0.2% (3/1,206) of placebo recipients who were smallpox vaccine-naïve. Cardiac AESIs were reported to occur in 2.1% (16/766) of MVA-BN recipients who were smallpox vaccine-experienced. The higher proportion of MVA-BN recipients who experienced cardiac AESIs was driven by 28 cases of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I in two studies: POX-MVA011, which enrolled 482 HIV-infected subjects and 97 healthy subjects, and POX-MVA-008, which enrolled 350 subjects with atopic dermatitis and 282 healthy subjects. An additional 127 of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I above the ULN but not above 2 times the ULN were documented in MVA-BN recipients throughout the clinical development program, 124 of which occurred in studies POX-MVA-011 and POX-MVA-008. Proportions of subjects with troponin-I elevations (> ULN) were similar between healthy (13.7%) and HIV-infected (11.5%) subjects in POX-MVA-011 and between healthy (18.9%) and atopic dermatitis (18.0%) subjects in POX-MVA-008.
Overall, the number of subjects with AESIs in this clinical development program was relatively low. Except for one case of suspected pericarditis that was assessed as unlikely related to MVA-BN and isolated mild to moderate increases of troponin levels with unknown clinical significance, there were no other reported cardiac AESIs. Among the 22 studies, all the studies except for studies POXMVA-008 and POX-MVA-011 had few subjects with post-vaccination elevation of troponin-I. The applicant postulates that the increased proportion of subjects with post-vaccination elevation of troponin-I is related to the use of a more sensitive troponin assay. Among these two studies, 188 subjects were assessed for troponin-I with a ”conventional” troponin assay, and 934 subjects were assessed for troponin-I with a “high sensitivity” troponin assay. The “high sensitivity” troponin assay used in these two studies was not cleared by FDA. Among the 188 subjects whose troponin-I was assessed with the “conventional” troponin assay, no subject reported post-vaccination elevation of troponin-I, while 144 out of 934 subjects whose troponin-I was assessed by the “high sensitivity” troponin assay reported post-vaccination troponin-I elevation. All subjects with elevated troponin-I levels underwent a cardiologist workup and no clinically meaningful cardiac abnormality was identified among these subjects. Since there was no placebo control in these two studies, the clinical relevance of the increased proportion of subjects with subclinical, yet abnormal troponin-I is unknown.
“Not detected an increased risk of myopericarditis”, was it the same, a bit less maybe? This is misleading wordage, up to 18% of the HIV, AD & atopic dermatitis (eczema) groups having elevated troponin levels is strong evidence of elevated risk of subclinical peri or myocarditis or future fibrosis induced cardiomyopathy, in addition to the AESI’s in other groups:
Here they are warning of vaccine-associated enhanced disease (VAED). Thanks.
There is no strong evidence that Jynneos is actually doing anything (apart from killing cardiomyocytes).
Trust us, OK, we’re experts:
“False sense of security”:
Something missing? Cardiac risk events which you unconvincingly “believe to be lower” and not at placebo levels?
So with unconfirmed efficacy against actual monkeypox in humans, antibody titres at unknown levels long term, with no T or memory B-cell studies and a skewed risk profile with no long term safety data leaning towards administering to only the most vulnerable (apart from if they immunocompromised) then you would expect Jynneos to be withdrawn or strictly restricted.
That’s not quite how it worked out:
Following confirmation that monkeypox has made its way to the U.S., the government ordered millions of doses of a vaccine that protects against the virus.
Bavarian Nordic, the biotech company that makes the vaccine, has announced a $119 million order placed by the U.S., with the option to buy $180 million more if it wants. Should that second option be exercised, it would work out to approximately 13 million doses.
The order will convert existing smallpox vaccines, which are also effective against monkeypox, into freeze-dried versions, which have a longer shelf life. The converted vaccines will be manufactured in 2023 and 2024, the company says.
Bavarian Nordic has worked with the U.S. government since 2003 to develop, manufacture and supply smallpox vaccines. To date, it says, it has supplied nearly 30 million doses to the Department of Health and Human Services.
The U.S. isn’t the only country stocking up on the vaccine. On Thursday, Bavarian Nordic said an unidentified European country had secured a contract to obtain the vaccine.
“While the full circumstances around the current monkeypox cases in Europe remain to be elucidated, the speed of which these have evolved, combined with the potential for infections beyond the initial case going undetected, calls for a rapid and coordinated approach by the health authorities, and we are pleased to assist in this emergency situation,” said Paul Chaplin, president and CEO of Bavarian Nordic in a statement.
U.S. government places $119 million order for 13 million freeze-dried Monkeypox vaccines, (May 19, 2022)
BAVARIAN NORDIC TO MANUFACTURE FIRST FREEZE-DRIED DOSES OF SMALLPOX VACCINE UPON EXERCISE OF CONTRACT OPTION BY THE U.S. GOVERNMENT
USD 119 million option exercised for the manufacturing of freeze-dried JYNNEOS® in 2023 and 2024
This represents the first set of options with a total value of USD 299 million to convert the existing bulk vaccine, previously purchased by BARDA, to approximately 13 million freeze-dried JYNNEOS doses
Some big names quoted in these articles. Whether by contaminated needle reuse or viral reactivation (or both?), the conspiracy theory becomes plausible, indeed plausible enough to sponsor research into the latter.
We see why later.
The key mechanism behind the hypothesis is hi-lighted:
The main focus of the project consists in the studies of interactions of vacccinia virus and HIV-1 with the host; specifically responses of the atopic organism towards infection with vaccinia virus and the effect of redox potential on reactivation of the latent HIV-1 will be studied. The research should provide a basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these viruses.
Research Objectives:
– To develop a mouse model of eczema vaccinatum in Nc/Nga mice or in a different mouse model of atopic dermatitis, and to study immune responses of the atopic organism to vaccinia virus.
– To test the antiviral effect of selected derivatives of the ethacrynic acid and other agents with the anti-poxviral effect in vivo; in tissue culture, to study the exact mechanism of action of the agents, the type of cell death of the infected cells of different embryonic origin and its significance for induction of the immune responses in infection with vaccinia virus
– To characterize the molecular mechanism of action of redox-modulating agents on reactivation of the latent HIV-1 and to verify the results obtained in vitro in tissue cultures also in primary peripheral lymphocytes of healthy donors and HIV+ patients ex vivo.
Our primary research focus is to study virus-host interactions, namely interactions between vaccinia virus and HIV-1. The research should provide the basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these and other viruses.
Contrary to a common belief, the need to understand pathogenesis of poxvirus infection and post-vaccination complications as well as to develop safe vaccination vectors and/or drugs effective against poxviruses still remains. The main focus of our research is the response of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. We have developed our own model of eczema vaccinatum in atopic Nc/Nga mice, used it to characterize immune responses and to compare the risks and efficiencies of vaccinations with vaccinia virus strain WR, Dryvax and non-replicating MVA. In this atopic model, we continue to study the disregulated immune responses towards vaccinia and other viruses.
HIV latency in reservoir cells is the main obstacle to cure HIV/AIDS. Our goal is to identify, characterize and develop new agents to reactivate latent HIV-1. We have described a reactivation potential of heme arginate and we identified several other HIV-1-reactivating agents in vitro in tissue cultures. We are currently focusing on confirmation of the results in primary peripheral lymphocytes of HIV + patients and in primary latency models. We intend to patient selected drug combinations and to seek for a strategic partner to further develop the new HIV treatment.
Potential for Cooperation
We are open to new PhD students and to any type of collaboration/exchange with researchers interested in studying the immune responses of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. To further develop new agents effective a reactivation of latent HIV, we are seeking for a strategic investor.
MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Study of Vaccinia Virus Interactions with the Host and Reactivation of the Latent HIV-1, (Year ?).
On smallpox based HIV vaccines, as per the last newspaper cutout, co-authored by no less than Luc Montagnier:
Abstract
The sequences encoding the core proteins p55, p25, and p18 of the human immunodeficiency virus (HIV-1) have been inserted into the vaccinia virus genome. Infection of cultured cells with the live recombinant viruses led to the expression of proteins that were recognized by sera from HIV-seropositive individuals. Immunization of mice with the recombinant virus expressing the HIV p25 protein and the p55 precursor yielded high levels of antibodies directed against the corresponding HIV antigens. The data obtained are discussed in terms of the possible use of these live recombinant viruses in the development of a strategy toward an AIDS vaccine.
Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. HIV-1 core proteins expressed from recombinant vaccinia viruses. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi: 10.1089/aid.1989.5.147. PMID: 2713165.
Glutathione peroxidase, HERV reactivation and Vaccinia, this time in a protective role:
…The reduced risk of melanoma due to BCG and vaccinia, as well as certain common causes of infectious disease, is shown to be associated with antigenic determinants exhibiting sequence homologies with the HERV-K-MEL-antigen. The latter is a product of a pseudo-gene that is closely associated with the env-gene of the endogenous human retrovirus K (HERV-K). A suppressive immune reaction appears to inhibit the expression of endogenous retroviral genes, such as the HERV-K env-gene, that could otherwise result in malignant transformation years or even decades later. The HERV-K env-protein has homologous amino acid sequences with the human nuclear factor Oxygen Responsive Element Binding Protein (OREBP) that controls the expression of glutathione peroxidase. The formation of this and other redox-enzymes, needed to maintain appropriate levels of the normal intracellular redox potential, seems to be suppressed by the OREBP-homologous protein. The present hypothesis is in accordance with the concept that immune dysregulation due to adverse environmental impacts is a risk factor not only for some autoimmune disorders, as previously described, but also for certain malignancies such as melanoma.
Bernd Krone et al, Protection against melanoma by vaccination with Bacille Calmette-Guerin (BCG) and/or vaccinia: an epidemiology-based hypothesis on the nature of a melanoma risk factor and its immunological control, Eur J Cancer, (2005 Jan).
HIV is very sensitive to the REDOX potential of the cell (5). The key here is that Vaccinia encodes a functional glutaredoxin.
What are these? Short answer:
« Glutaredoxins (also known as Thioltransferase) are small redox enzymes of approximately one hundred amino-acid residues that use glutathione as a cofactor. In humans this oxidation repair enzyme is also known to participate in many cellular functions, including redox signaling and regulation of glucose metabolism.[4][5] Glutaredoxins are oxidized by substrates, and reduced non-enzymatically by glutathione.6«
Abstract Vaccinia virus (VV) was previously shown to encode a functional glutaredoxin, the product of the o2l gene, which is synthesized late in infection, after the onset of DNA replication. Here we report that an open reading frame in the VV genome designated as g4l encodes a protein that has sequence similarity to glutaredoxins and possesses thioltransferase and dehydroascorbate reductase activities. G4L protein in infected cells can be detected as early as 4 hr after infection and is constitutively expressed up to 24 hr postinfection. A protein homologous to G4L and retaining the predicted glutaredoxin active center is encoded by the recently sequenced Molluscum Contagiosum virus (MCV), whereas O2L protein is not conserved, suggesting that the glutaredoxin activity of G4L may be involved in replication of all poxviruses.
Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Vaccinia virus G4L gene encodes a second glutaredoxin. Virology. 1996 Dec 15;226(2):408-11.
How might glutaredoxin reactivate latent viruses including HIV?
First point of note is the cancer signalling pathways being activated too:
Abstract Although the use of antioxidants for the treatment of cancer and HIV/AIDS has been proposed for decades, new insights gained from redox research have suggested a very different scenario. These new data show that the major cellular antioxidant systems, the thioredoxin (Trx) and glutathione (GSH) systems, actually promote cancer growth and HIV infection, while suppressing an effective immune response. Mechanistically, these systems control both the redox- and NO-based pathways (nitroso-redox homeostasis), which subserve innate and cellular immune defenses. Dual inhibition of the Trx and GSH systems synergistically kills neoplastic cells in vitro and in mice and decreases resistance to anticancer therapy. Similarly, the population of HIV reservoir cells that constitutes the major barrier to a cure for AIDS is exquisitely redox sensitive and could be selectively targeted by Trx and GSH inhibitors. Trx and GSH inhibition may lead to a reprogramming of the immune response, tilting the balance between the immune system and cancer or HIV in favor of the former, allowing elimination of diseased cells. Thus, therapies based on silencing of the Trx and GSH pathways represent a promising approach for the cure of both cancer and AIDS and warrant further investigation.
Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Dual targeting of the thioredoxin and glutathione systems in cancer and HIV. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630–1639. (2016)
Jynneos is an MVA. Is it expressing glutaredoxin too in quantity?
Please correct me if I’m reading the genome paper incorrectly, but the answer appears to be yes.
It makes sense as in order to generate immunity then you need a high degree of homology, ie protein expression.
Vacciniaviruses re-engineered to express foreign genes are vectors for production of recombinant proteins, the most common being a vaccine delivery system for antigens.[3] Concerns about the safety of the vaccinia virus have been addressed by the development of vectors based on attenuated vaccinia viruses. One of them, the Modified vaccinia Ankara (MVA) virus, is a highly attenuated strain of vaccinia virus that was developed towards the end of the campaign for the eradication of smallpox by Anton Mayr in Munich, Germany. Produced between 1953 and 1968 by more than 500 serial passages of vaccinia virus (from a wild strain discovered by the Turkish vaccine institute of Ankara) in chickencells[4] (chicken embryo fibroblast), MVA has lost about 10% of the vaccinia genome and with it the ability to replicate efficiently in primate cells. A recombinant MVA-based vector for vaccination with different fluorescent reporter genes was developed by Antonio Siccardi, which indicate the progress of genetic recombination with the transgene of an antigen (green, colorless, red).[5][6]
…Compared to replicating vaccinia viruses, MVA provides similar or higher levels of recombinant gene expression even in non-permissive cells.
…MVA is an attenuated vaccinia virus and does not replicate in the human body as efficiently as vaccinia. However, whether or not MVA can induce the same side effects as vaccinia is not known at this time.
G4L is the gene that expresses glutaredoxin, and it’s conserved in MVA and therefore in Jynneos, with potential public health implications.
Note the reference to cowpox:
Abstract
The complete genomic DNA sequence of the highly attenuated vaccinia strain modified vaccinia Ankara (MVA) was determined. The genome of MVA is 178 kb in length, significantly smaller than that of the vaccinia Copenhagen genome, which is 192 kb. The 193 open reading frames (ORFs) mapped in the MVA genome probably correspond to 177 genes, 25 of which are split and/or have suffered mutations resulting in truncated proteins. The left terminal genomic region of MVA contains four large deletions and one large insertion relative to the Copenhagen strain. In addition, many ORFs in this region are fragmented, leaving only eight genes structurally intact and therefore presumably functional. The inserted DNA codes for a cluster of genes that is also found in the vaccinia WR strain and in cowpox virus and includes a highly fragmented gene homologous to the cowpox virus host range gene, providing further evidence that a cowpox-like virus was the ancestor of vaccinia. Surprisingly, the central conserved region of the genome also contains some fragmented genes, including ORF F5L, encoding a major membrane protein, and ORFs F11L and O1L, encoding proteins of 39.7 and 77.6 kDa, respectively. The right terminal genomic region carries three large deletions: all classical poxviral immune evasion genes and all ankyrin-like genes located in this region are fragmented except for those encoding the interleukin-1β receptor and the 68-kDa ankyrin-like protein B18R. Thus, the attenuated phenotype of MVA is the result of numerous mutations, particularly affecting the host interactive proteins, including the ankyrin-like genes, but also involving some structural proteins.
Link to pdf:
G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain: Comparison with Other Orthopoxviruses, (1998),
Can COVID-19 infection be enhanced/reactivated in the same way? It appears not as, unlike HIV it thrives in an oxidative environment.(7)
Vaccinia immunisation may still promote it indirectly via other pathways such as T cell exhaustion or reactivation of other latent viruses, chipping away at your immune system. Repeated antigenic challenge is not to be encouraged.
Related to Vaccinia vaccination, an excellent paper on vaccine mediated antibody dependent enhancement of viral infections, especially why repeated attempts at creating effective HIV & coronavirus vaccines keep failing:
Abstract
Examples of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis have been documented for infections by members of different virus families. Several mechanisms, many of which still are poorly understood, are at the basis of this phenomenon. Vaccine development for lentivirus infections in general, and for HIV/AIDS in particular, has been little successful. Certain experimental lentiviral vaccines even proved to be counterproductive: they rendered vaccinated subjects more susceptible to infection rather than protecting them. For vaccine-induced enhanced susceptibility to infection with certain viruses like feline coronavirus, Dengue virus, and feline immunodeficiency virus, it has been shown that antibody-dependent enhancement (ADE) plays an important role. Other mechanisms may, either in the absence of or in combination with ADE, be involved. Consequently, vaccine-induced enhancement has been a major stumble block in the development of certain flavi-, corona-, paramyxo-, and lentivirus vaccines. Also recent failures in the development of a vaccine against HIV may at least in part be attributed to induction of enhanced susceptibility to infection. There may well be a delicate balance between the induction of protective immunity on the one hand and the induction of enhanced susceptibility on the other. The present paper reviews the currently known mechanisms of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis.
This study from 2011 also calls out the major flaws in the Jynneos approach and recommends efficacy trials which may also benefit a population at genuine risk, imagine that!
New candidate vaccines have been evaluated in humans for immunogenicity, but since smallpox is eradicated, all efficacy testing has been conducted in animal models. Therefore, none of the products recently developed for the prevention and treatment of variola virus infection have been field-tested in humans, and have been manufactured and deposited into the biodefense stockpile based on animal studies and thepresumption they will work in humans in the event of a crisis.
Although T cell-mediated immunity is known to be important for clearing poxvirus infections, protection is strongly associated with antibody responses. This is noted because the complexity and cost of a Phase I vaccine trial is significantly higher if cryopreservation of peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) is required. For Phase I testing of candidate poxvirus vaccines, serum collection for vaccine-induced antibody would be sufficient.
Its difficult, time consuming and expensive to do properly, and their target efficacy would be 80% to make it worthwhile, not 50%.
Its a lot quicker, easier and cheaper to just skip all this Phase II & III safety and efficacy nonsense and just sign it off for mass distribution:
Advancing from Phase I safety and immunogenicity testing to a Phase IIb or Phase III efficacy trial would add a new level of complexity not only because of the size, but because the study location would shift from Kinshasa to the Sankuru District in the central part of DRC where there are few health care facilities and few roads making access difficult and creating logistical challenges for managing the delivery of biological products and clinical samples. Performance of epidemiological studies required an elaborate system of vehicles, motorcycles, bicycles, and foot travel to access populations and transport diagnostic samples. Even with an annual incidence approaching 0.2% (in 5–19 year old children), a placebo-controlled efficacy trial with one year of follow-up would require about 20,000 subjects to detect a vaccine efficacy of 80% with 80% power. Fewer subjects would be needed if the follow-up period could be extended, provided immunity was expected to be maintained.
Benefits of vaccine clinical trials in areas endemic for MPX
Performing clinical trials in the DRC would have a number of benefits for distinct constituencies. First, the people of the Congo River Basin who are primarily affected by the disease would benefit. Clinical studies would call attention to the problem of MPX, improve general knowledge about MPX prevention, and potentially improve knowledge about other health conditions by strengthening the public health infrastructure. There would also be intangible benefits that accompany clinical trial activities including stimulation of local economies. Secondly, Congolese people in general and the Congolese health system would benefit because an interventional vaccine trial would require investment in the regulatory infrastructure. In addition, it would expand research capacity by increasing the number of active investigators and staff. With an efficacy of 85% at the current incidence rate, approximately one MPX infection could be prevented for every 600 persons vaccinated.
Vaccine developers of alternative smallpox vaccines and stakeholders in the area of biodefense and emerging infectious diseases would derive benefit from the opportunity to evaluate candidate smallpox vaccines in the field against a virulent orthopoxvirus. This benefit should not be underestimated because live vaccinia inoculation is the only smallpox vaccination that has proven efficacy in humans. All other candidate vaccines will be provisionally approved by applying The Animal Rule20. Having human efficacy data would provide a significant selection advantage for one candidate vaccine over another.
In the end the authors ask themselves if its all worthwhile? Why not just administer antivirals to the rare cases that crop up and educate at risk groups about safe practices? Why not indeed.
Its the Leicester Method of incidence response & focused quarantine updated for the 21st Century:
Alternatives to smallpox vaccination
Given the risks of adverse events, cost and logistical considerations associated with smallpox vaccination, alternate strategies should also be considered for control of human MPX. An alternative to vaccination could be treatment of incident cases with antiviral therapy to reduce the morbidity and transmission, and by providing access to antibiotics for treatment of secondary bacterial infections. Clinical diagnosis of MPX is relatively easy, thus effective antivirals and supportive clinical care may be more practical options than vaccination at this time.
Reducing the frequency of human MPX infection could be also be accomplished through health educationon handling potential animal reservoir species to prevent animal-to-human transmission and by quarantine or contact isolation to prevent human-to-human spread. Defining the factors underlying increased incidence, and their impact on primary versus secondary transmission, is thus a crucial direction for on-going research. Additionally, a better understanding of the mortality and complications associated with monkeypox infection should be assessed. Continued active disease surveillance in endemic regions coupled with household and contact studies with long term follow up would address these important questions.
Further studies are also needed to identify intermediate hosts and animal reservoirs. Smallpox vaccination will not modify the reservoir nor the amount of MPX virus found in amplification species. Introduction of MPX into human populations is dependent upon contact with infected species, thus vaccination alone will not be effective in controlling the geographic spread of MPX as it is determined by the movement of animals and driven largely by the loss of natural habitat.
Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60–D64.
Voici un article d’un gars très intéressant, que je suis depuis longtemps sur Substack mais que je n’avais pas encore traduit en raison de son anglais très moyen. Il est assez fortiche pour analyser les données brutes et en tirer des prévisions – je pense que c’est d’ailleurs son métier. Vu l’actualité de cet article, je fais l’effort et de mon mieux pour rendre ça lisible en français. C’est la suite d’un article paru en janvier, très utile aussi, que je peux traduire si je vois que ça interpelle.
Le gars a aussi fait d’autres trouvailles très instructives sur la variole et toute sa petite famille. Comme il se passe plein de choses très amusantes, je fourre ça avec le reste dans des « Nouvelles en vrac » dès que possible – si on est pas tous morts avant, bien entendu.
Ceci est une suite non officielle de cet article, sur le (véritable) avenir de la guerre.
Se préparer aux pandémies, quelles que soient les avancées technologiques, est une entreprise futile, une des nombreuses façons de faire du « grant grabbing« , c’est-à-dire obtenir des fonds pour sa « recherche ». L’un des meilleurs exemples de la futilité de ce raisonnement est celui du DARPA lui-même. En 2017, ils prétendaient pouvoir arrêter une pandémie (réelle, dévastatrice, à forte mortalité et à propagation rapide) en deux mois.
Aujourd’hui, ils veulent mettre à profit l’IA pour la « prévention, le traitement » et tout autre objectif inepte qui leur vient à l’esprit. Je me propose de vous démontrer à quel point cet objectif est futile, et je vous inviterai à vous demander à quel point cet objectif est réellement réalisable, sans compter la mise en place d’un État de surveillance mondial qui ferait honte au système du Parti Communiste Chinois.
(Je vous conseille de lire l’intégralité de l’article ci-dessous)
« Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. »
Un instructeur de l’Ecole de Chimie de Fort Leonard Wood, désigné comme manipulateur d’agents, transporte l’agent neurotoxique VX pour contaminer une jeep dans l’une des huit chambres utilisées pour la formation à la défense chimique, le 18 avril 2003 à Fort Leonard Wood, Missouri.
Il a fallu moins de six heures à l’IA spécialisée dans la recherche de médicaments pour inventer 40.000 molécules potentiellement mortelles. Lors d’une conférence sur le contrôle des armes biologiques, les chercheurs ont utilisé l’IA, normalement utilisée pour rechercher des médicaments utiles, en mode « mauvais acteur » pour montrer à quel point il est facile d’en abuser.
Tout ce que les chercheurs ont eu à faire, c’est de modifier leur méthodologie pour rechercher, plutôt que d’éliminer, la toxicité. L’IA a trouvé des dizaines de milliers de nouvelles substances, dont certaines similaires au VX, l’agent neurotoxique le plus puissant jamais mis au point. Ebranlés, ils ont publié leurs conclusions ce mois-ci dans la revue Nature Machine Intelligence.
Deuxièmement, nous avons examiné un grand nombre de structures de ces molécules nouvellement générées. Et beaucoup d’entre elles ressemblaient au VX et à d’autres agents de guerre, et nous en avons même trouvé certaines, générées à partir du modèle, qui étaient de réels agents de guerre chimique. Ceux-ci ont été générés à partir du modèle qui n’avait jamais rencontré ces agents de guerre chimique. Nous savions donc que nous travaillions dans le bon contexte et que le modèle générait des molécules qui avaient un sens, car certaines d’entre elles avaient déjà été fabriquées auparavant.
Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. Beaucoup de choses que nous avons utilisées sont disponibles gratuitement. On peut télécharger un ensemble de données sur la toxicité n’importe où. Une personne qui sait coder en Python et qui a des capacités d’apprentissage automatique peut, en un week-end de travail, construire un modèle génératif basé sur des données de toxicité. C’est ce qui nous a fait réfléchir à l’idée de publier cet article; les obstacles à ce type d’utilisation abusive étaient si faibles.
Comme je l’ai expliqué dans le premier article, avec un peu de savoir-faire, il n’est pas difficile de concevoir de nouveaux produits, qu’il s’agisse de toxines comme celle-ci ou d’acides aminés/peptides qui feront littéralement griller votre système nerveux. Et voici quelque chose que j’avais en tête et que j’avais écrit dans mon carnet de notes en cuir en 2020. C’est un article étonnant que j’ai référencé dans Future of War I.
Dans le passé, les experts ont ignoré le risque que les biorégulateurs peptidiques puissent être « militarisés », car ces composés ne sont pas volatils et se dégradent rapidement lorsqu’ils sont dispersés dans l’atmosphère, ce qui les rend peu adaptés à une diffusion sur de vastes zones. Mais les progrès récents de la technologie d’administration des médicaments ont modifié cette évaluation. Plus particulièrement, la mise au point de systèmes d’administration de l’insuline (une hormone composée de 51 unités d’acides aminés) sous forme d’aérosol inhalable a rendu possible la diffusion de biorégulateurs peptidiques de cette même manière. Pour empêcher l’utilisation abusive de ces produits chimiques naturels du corps à des fins hostiles, les scientifiques et les analystes de la sécurité nationale doivent comprendre la nature de la menace et élaborer des réponses politiques appropriées.
Dans quelle mesure serait-il « difficile » d’utiliser l’apprentissage automatique et des ensembles de données publiques pour générer de nouvelles toxines? Apparemment, pas trop difficile si on a assez d’imagination et de curiosité. Tellement peu difficile que j’ai demandé à un ami codeur de m’écrire un petit programme, en lui donnant des instructions précises et quelques « trucs mathématiques » spécifiques à y ajouter.
Le résultat a été une séquence peptidique spécifique (mon objectif principal étant les protéines et les acides aminés), qu’il est possible de commander dans le commerce auprès de n’importe quelle grande entreprise de production de peptides sur mesure. C’est ce que j’ai fait, il y a plusieurs semaines, et aucun signal d’alarme majeur ou autre n’a été émis, du simple fait que la séquence n’existe dans aucun ensemble de données ni nulle part ailleurs.
La séquence et ses implications ont été vérifiées par un ami proche, un biochimiste très doué.
Nous avons détruit le programme, annulé la commande, et j’ai détruit toutes les informations.
Combien de personnes disposent-elles du savoir-faire nécessaire pour déterminer les poches chimiques qui peuvent être remplies par des molécules susceptibles d’être de plusieurs ordres de grandeur plus toxique que le VX? Nous n’avons actuellement pas la réponse à ces questions. Ceci augmente grandement la taille du public qui devrait porter son attention sur ces questions.
Entre l’application de l’apprentissage automatique et de l’IA à la création d’une nouvelle toxine et la fabrication effective d’une toxine, il y a un écart énorme, mais cet écart se réduit de jour en jour, et l’un des facteurs est la difficulté de la créer, de la synthétiser et de la tester. Je dirais que c’est aussi difficile que de créer la variole dans son petit laboratoire pour 100.000 dollars.
Je sais ce qui vient de vous traverser la tête: « Hein, QUOI? ».
En 2017, le virologue David Evans a fait la une des journaux lorsqu’il a utilisé la biologie synthétique pour recréer le virus éteint de la variole du cheval, étroitement lié au virus qui cause la variole, une maladie éradiquée en 1980. Evans et son équipe, qui ont commandé le matériel génétique dont ils avaient besoin par courrier, auraient dépensé 100 000 dollars pour cette recherche, une somme qui semble minime au regard des implications capitales de leurs travaux. « Aucun doute. Si c’est possible avec la variole du cheval, c’est possible avec la variole », a déclaré le virologue allemand Gerd Sutter au magazine Science dans un compte rendu de presse sur les travaux d’Evans. Un certain nombre d’experts en biosécurité et même le comité éditorial du Washington Post se sont joints à lui pour exprimer leurs inquiétudes. Compte tenu de la réaction qu’a rencontrée Evans, on pourrait s’attendre à ce que la nouvelle de la synthèse d’un autre microbe apparenté au virus de la variole déclenche des signaux d’alarme similaires.
Pourtant, lorsque la société américaine de biotechnologie qui a financé les travaux d’Evans sur la variole, Tonix Pharmaceuticals, a annoncé en janvier dernier qu’elle avait réussi à synthétiser un tel microbe, la vaccine, personne n’a semblé en prendre note.
Depuis que l’Organisation Mondiale de la Santé a éradiqué de la nature le virus variolique responsable de la variole, les seuls échantillons connus de ce virus sont conservés dans deux installations de haute sécurité aux États-Unis et en Russie. Mais les progrès de la biologie synthétique, un domaine qui comprend l’art et la science de la construction de génomes viraux, ont rendu possible la création du virus de la variole en laboratoire. Bien que rien ne prouve que quelqu’un l’ait encore fait, comme l’indiquent les travaux de Tonix, les chercheurs s’en approchent de très près. Avant d’être éradiquée, la variole a été responsable de 300 millions de décès au XXe siècle. La réintroduction de cette maladie – par négligence ou par malveillance – serait une catastrophe sanitaire mondiale. Comme je l’ai écrit dans International Security il y a 10 ans, la biosécurité mondiale peut être mise en danger non seulement par la guerre biologique et le bioterrorisme, mais aussi par des accidents de laboratoire avec des agents pathogènes dangereux.
Tonix a annoncé le nouveau virus synthétique de la vaccine sans faire de bruit, en dissimulant la nouvelle dans un communiqué de presse relatif à un poster que la société a présenté à la conférence annuelle sur la science et la politique de biodéfense de l’American Society for Microbiology. L’affiche mettait l’accent sur les progrès réalisés par la société dans les tests du virus synthétique de la variole d’Evans en vue de son utilisation comme vaccin contre la variole, que Tonix appelle TNX-801. Les vaccins actuels contre la variole sont basés sur le virus vivant de la vaccine, cultivé à l’aide d’une technologie de culture cellulaire. L’affiche de Tonix fait également référence à un autre candidat vaccin contre la variole que la société teste, basé sur une version synthétique du virus de la vaccine que Tonix appelle TNX-1200. Bien que les virus de la vaccine et de la variole du cheval ne constituent pas en eux-mêmes des menaces sérieuses pour la santé humaine, il y a plusieurs raisons pour lesquelles ce nouveau progrès de la biologie synthétique est problématique.
Tonix a apparemment ignoré les préoccupations soulevées par de nombreux experts en biosécurité, dont moi-même. Étant donné l’étroite similitude génétique entre les orthopoxvirus comme le virus de la variole du cheval, le virus de la variole et le virus de la vaccine, les techniques de laboratoire qui peuvent être utilisées pour créer l’un d’entre eux peuvent également être utilisées pour produire d’autres virus – le plus inquiétant étant le virus responsable de la variole. C’est d’ailleurs ce qu’a déclaré Evans lui-même, soulignant une fois que ses recherches « démontraient clairement que cela pouvait également être fait avec le virus de la variole ». Le laboratoire d’Evans a utilisé la même technique pour produire le virus synthétique de la vaccine pour Tonix que pour synthétiser le virus de la variole.
Contrairement à d’autres exemples de recherche à double usage sujette à controverse, les risques posés par la synthèse des orthopoxvirus ne sont pas compensés par un avantage significatif.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les exercices de simulation se concentrent autant sur un petit sous-ensemble d’agents pathogènes pouvant être utilisés comme armes, l’une d’elles étant la négligence et le fait que les scientifiques soviétiques étaient surchargés de travail et mal payés. L’autre raison est la facilité avec laquelle un acteur malveillant pourrait réellement le faire avec peu d’investissement et un petit groupe d’experts. La variole en fait partie.
Je sais ce qui vous passe par la tête en ce moment « Hein, QUOI? Ça ne peut pas être aussi facile. Peut-être que les virus de la variole sont super-simples et plus faciles à faire ». Le lecteur est-il d’accord avec moi pour dire que le SARS-CoV-2 est un agent pathogène très complexe? On pourrait écrire de nombreuses thèses sur le fait qu’il est l’un des virus les plus complexes à ce jour.
Le premier cas de coronavirus en Suisse a été détecté il y a une semaine, mais le virus était dans le pays bien avant, sous la forme d’un échantillon de laboratoire.
Ce contenu a été publié le 3 mars 2020 – 15:00
Trois semaines avant que le premier cas ne soit identifié sur le sol suisse, des scientifiques d’un laboratoire de haute sécurité ont réussi à fabriquer un clone synthétique du coronavirus. Les chercheurs tentent maintenant de déterminer l’importance de ses différents gènes. Leur réussite attire l’attention du monde entier : des laboratoires et des entreprises demandent à travailler sur ce clone.
J’ai commenté dans quelques tweets ici et là qu’Omicron a été conçu à l’aide de l’IA, de modèles mathématiques et d’une sorte de pari d’une équipe de recherche interdisciplinaire pour « mettre fin » à la pandémie. Un virus dont la réponse immunitaire est littéralement opposée d’un point de vue inflammatoire/moléculaire, qui confère une large immunité dans les organes précis que le SARS-CoV-2 attaque le plus (voies respiratoires inférieures, fond des poumons), et dont chacune des séquences les plus inflammatoires a été atténuée (la fameuse séquence SEB étant la plus perceptible, même pour les profanes).
Il est tellement différent qu’il est impossible de fabriquer un vaccin (j’en ai déjà parlé). En d’autres termes, le double usage de la technologie n’est pas à des décennies dans le futur, il est déjà là, et prévenir les « pandémies synthétiques » est tout aussi insensé que d’utiliser la technologie ARNm pour une immunité à long terme contre un virus respiratoire hautement transmissible.
L’ensemble de cet article est conforme à l’orthodoxie de la biologie et de la chimie, ce qui signifie que tout ce qui figure ici a été réalisé à partir de ce que la « science » considère actuellement comme l’avant-garde de la manipulation moléculaire et de l’édition de gènes. Que se passe-t-il lorsqu’une équipe interdisciplinaire aux tendances mercenaires est engagée pour développer de nouvelles armes biologiques et décide d’aller aussi loin que possible, au-delà de l’orthodoxie scientifique actuelle? Cela existe-t-il vraiment?
Une nouvelle technologie pourrait conduire au développement de nouveaux médicaments « xénoprotéiques » contre les maladies infectieuses.
Des chimistes du MIT ont mis au point un moyen de synthétiser et de cribler rapidement des millions de nouvelles protéines qui pourraient être utilisées comme médicaments contre le virus Ebola et d’autres virus.
Toutes les protéines produites par les cellules vivantes sont fabriquées à partir des 20 acides aminés programmés par le code génétique. L’équipe du MIT a trouvé un moyen d’assembler des protéines à partir d’acides aminés non utilisés dans la nature, dont beaucoup sont des images miroir d’acides aminés naturels.
Ces protéines, que les chercheurs appellent « xénoprotéines », présentent de nombreux avantages par rapport aux protéines naturelles. Elles sont plus stables, ce qui signifie que, contrairement à la plupart des médicaments protéiques, elles ne nécessitent pas de réfrigération et pourraient ne pas provoquer de réaction immunitaire.
« Aucune autre plateforme technologique ne peut être utilisée pour créer ces xénoprotéines, car on n’a pas encore réussi à utiliser des ensembles d’acides aminés complètement non naturels dans toute la forme de la molécule », explique Brad Pentelute, professeur associé de chimie au MIT et auteur principal de l’article, qui sera publié dans les Proceedings of the National Academy of Sciences la semaine du 21 mai.
Je souhaiterais que le lecteur visionne au moins la vidéo du Dr James Giordano, lise cet article et celui-ci, et me réponde.
Si on fréquente l’université, on a encore plus accès à une myriade d’autres outils, entièrement à sa disposition et personne ne se doutera de ce que l’on y fait. Construire un laboratoire n’est pas très coûteux, tout se commande en ligne, et en faisant de bonnes affaires, on peut construire un laboratoire pour 50.000 dollars.
Comment pourrait-on se préparer à quelque chose qu’un jeune adulte avec un kit CRISPR, une connexion internet et de la curiosité est capable de créer?
Pour les plus anxieux de mes lecteurs, ce n’est pas si facile à faire, cela n’arrivera pas du jour au lendemain, et 99% du temps il est facile de repérer quand quelqu’un a « cuisiné » quelque chose, mais moins facile de repérer où/quand cela a été diffusé. Ce billet vise davantage la prise de conscience que la peur ou le pessimisme.
Le public doit prendre conscience de la facilité avec laquelle il est possible de commettre des actes qui peuvent changer radicalement le destin des nations, voire du monde. On devrait légiférer sur ce sujet dès maintenant, et non sur le changement climatique, entre autres avis plus tranchés de ma part, avec lesquels je ne vais pas ennuyer le lecteur.
(Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi j’ai quitté mon ancien travail, cela m’a rendu la vie beaucoup plus facile, la lecture de Future of War et du premier Beyond Mathematical Odds vous donnera la réponse).
J’espère que vous passerez tous un bon dimanche! Peut-être un petit billet sur les variants d’Omicron et l’immunité (en gros, il faut être réinfecté par les nouveaux pour être protégé contre les prochains).
Texte original
The futility of « pandemic preparedness »
The Future of War Part II
John Paul
May 28
This is an unofficial continuation of this piece, about the (true) Future of War.
Preparing for pandemics, regardless of technological advances is a futile endeavor, another of the many ways you can execute “grant grabbing”, meaning funding for your “research”. One of the biggest examples of how futile this line of thinking is would be DARPA itself. They argued they could stop a (real, devasting, high mortality, fast spreading) pandemic within 2 months in 2017.
Now they want to leverage AI for the “prevention, treatment” and whatever other inane goal they have in mind. I am about to show you how futile this goal is, and I will ask you how feasible, besides a global surveillance state that would put the Chinese Communist Party system to shame, the goal truly is.
(I advise you to read the entire article below btw)
‘For me, the concern was just how easy it was to do’
An instructor at the Fort Leonard Wood Chemical School, who is designated as an agent handler, carries the VX nerve agent to contaminate a jeep in one of the eight chambers used for training chemical defense on April 18, 2003 at Fort Leonard Wood, Missouri.
It took less than six hours for drug-developing AI to invent 40,000 potentially lethal molecules. Researchers put AI normally used to search for helpful drugs into a kind of “bad actor” mode to show how easily it could be abused at a biological arms control conference.
All the researchers had to do was tweak their methodology to seek out, rather than weed out toxicity. The AI came up with tens of thousands of new substances, some of which are similar to VX, the most potent nerve agent ever developed. Shaken, they published their findings this month in the journal Nature Machine Intelligence.
Second, we actually looked at a lot of the structures of these newly generated molecules. And a lot of them did look like VX and other warfare agents, and we even found some that were generated from the model that were actual chemical warfare agents. These were generated from the model having never seen these chemical warfare agents. So we knew we were sort of in the right space here and that it was generating molecules that made sense because some of them had already been made before.
For me, the concern was just how easy it was to do. A lot of the things we used are out there for free. You can go and download a toxicity dataset from anywhere. If you have somebody who knows how to code in Python and has some machine learning capabilities, then in probably a good weekend of work, they could build something like this generative model driven by toxic datasets. So that was the thing that got us really thinking about putting this paper out there; it was such a low barrier of entry for this type of misuse.
As I covered in the first post, designing novel anything, from toxins like this one to aminoacid/peptides that will literally fry your own nervous system is not hard, if you have a little know-how. And here we have something that I had in my own mind and written in my leather notebook in 2020. Here is an amazing article I referenced in Future of War I.
The Body’s Own Bioweapons In the past, experts discounted the risk that peptide bioregulators might be “weaponized” because such compounds are non-volatile and degrade rapidly when dispersed in the atmosphere, making them poorly suited for dissemination over large areas. But recent advances in drug delivery technology have changed this assessment. In particular, the development of systems for the delivery of insulin (a hormone made up of 51 amino acid units) as an inhalable aerosol has made it feasible to disseminate peptide bioregulators in the same manner. To prevent the misuse of these natural body chemicals for hostile purposes, scientists and national security analysts must understand the nature of the threat and develop appropriate policy responses.
How “hard” it would be to use machine learning and public datasets to generate novel toxins ? Apparently not that hard if you have the imagination and curiosity for it. So not that hard that I asked I friend who codes to write a little program for me, and gave him precise instructions and a couple of specific “math things” to add “it”.
The result was a specific peptide sequence (my main focus was always proteins and amino acids), that you can commercially order at any of the big custom peptides producing companies. Which I did, weeks ago, and no major red flags or anything else was raised, by the simple fact that the sequence doesn’t exist in any dataset or anywhere else.
The sequence and its implications were checked by a close friend, a very gift biochemist.
We destroyed the program, canceled the order, and I destroyed all the information.
Between applying machine learning and AI to create a new toxin, and actually making one there is a huge gap, but the gap is getting smaller by the day, and one argument is how hard it would be to create, synthesize and test it. I would argue as hard as creating smallpox in your small lab for 100.000 dollars.
In 2017, the virologist David Evans made headlines when he used synthetic biology to recreate the extinct horsepox virus, which is closely related to the virus that causes smallpox, a disease eradicated in 1980. Evans and his team, ordering the genetic material they needed through the mail, reportedly spent $100,000 on the research, an amount that seems small given the momentous implications of their work. “No question. If it’s possible with horsepox, it’s possible with smallpox,” German virologist Gerd Sutter told Science magazine in a press account of Evans’s work. A number of biosecurityexperts and even TheWashington Posteditorial board joined him in voicing their concerns. Given the reaction Evans met, one might expect the news that yet another microbe related to the smallpox virus had been synthesized to set off similar alarm bells.
Yet when the American biotech company that funded Evans’s horsepox work, Tonix Pharmaceuticals, announced this January that it had successfully synthesized just such a microbe, vaccinia, no one seemed to take note.
Since the World Health Organization eradicated the smallpox-causing variola virus from nature, the only known samples of it have been held in two high-security facilities in the United States and Russia. But developments in synthetic biology, a field which includes the art and science of constructing viral genomes, have made it possible to create the smallpox virus in a lab. While there’s no evidence that anyone has done that yet, as Tonix’s work indicates, researchers are inching incredibly close to that line. Before it was eradicated, smallpox was responsible for 300 million deaths in the 20th century. The re-introduction of the disease—through negligence or malice—would be a global health disaster. As I wrote in International Security 10 years ago, global biosecurity can be endangered not just by biological warfare and bioterrorism, but also by laboratory accidents with dangerous pathogens.
Tonix announced the new synthetic vaccinia virus quietly, burying the news in a press release for a poster that the firm presented at the American Society for Microbiology’s annual biodefense science and policy conference. The poster focused on the progress the company was making in testing Evans’s synthetic horsepox virus for use as a vaccine against smallpox, which Tonix calls TNX-801. Current smallpox vaccines are based on live vaccinia virus that is grown using cell culture technology. Tonix’s poster also references another smallpox vaccine candidate the company is testing, one based on a synthetic version of the vaccinia virus that Tonix is calling TNX-1200. While the vaccinia and horsepox viruses are not themselves serious threats to human health, there are several reasons why this new development in synthetic biology is problematic.
Tonix has apparently ignored the concerns that many biosecurity experts, including myself, have raised. Given the close genetic similarity among orthopoxviruses like the horsepox, variola, and vaccinia viruses, the laboratory techniques that can be used to create one can also be used to produce others–most worryingly, the smallpox-causing variola virus. Indeed, Evans has said as much himself, once pointing out that his research “was a stark demonstration that this could also be done with variola virus.” Evans’s lab used the same technique to produce the synthetic vaccinia virus for Tonix as it did to synthesize the horsepox virus.
Unlike in other cases of controversial dual-use research, the risks posed by the synthesis of orthopoxviruses are not offset by any significant benefit.
There are a few reasons tablet top exercises focus so much on a small subset of weaponizable pathogens, one was the carelessness and how overworked and low-paid soviet scientists were. The other is how easy it would be for a malicious actor to actually do it with little investment, and a small group of experts. Smallpox is one of them.
I know what it is going to your head right now “Wait, WHAT ? It can’t be that easy. Maybe Poxviruses are super-simple and easier to do ». Would the reader agree with my assertion that SARS-CoV-2 is a very complex pathogen ? One could write many theses on how it is among the most complex viruses to date.
The first case of coronavirus in Switzerland was detected a week ago but the virus was in the country much before that, as a laboratory sample.
This content was published on March 3, 2020 – 15:00March 3, 2020 – 15:00
Three weeks before the first case was identified on Swiss soil scientists at a high security lab managed to make a synthetic clone of the coronavirus. The researchers are now trying to determine the importance of its individual genes. Their accomplishment is getting worldwide attention: labs and companies are requesting the clone to work on.
I have commented in a few tweets here and there that Omicron was engineered using AI, mathematical models, and somewhat of a bet from an interdisciplinary research team to “end” the pandemic. A virus with the literal opposite immune response from an inflammatory/molecular perspective, that gives broad immunity in the exact organs SARS-CoV-2 attacks the most (lower respiratory tract, deep in the lungs), and it had every single one of the most inflammatory sequences attenuated (the famous SEB one being the most perceptible even to laypeople).
It is so different that you can’t make a vaccine (I covered this before). That is to say, the dual use of technology isn’t decades ahead, it is already here, and preventing “synthetic pandemics” is as much a fool’s errand as using mRNA technology for long-term immunity against a highly transmissible respiratory virus.
This entire post is based on biology and chemistry orthodoxy, meaning everything here has been done from what “science” currently believes is the cutting edge of molecular manipulation and gene editing. What happens when an interdisciplinary team with mercenary tendencies is hired to develop novel bioweapons and decides to go as far as possible, beyond current scientific orthodoxy ? Is that even a thing ?
New technology could lead to development of novel “xenoprotein” drugs against infectious diseases.
MIT chemists have devised a way to rapidly synthesize and screen millions of novel proteins that could be used as drugs against Ebola and other viruses.
All proteins produced by living cells are made from the 20 amino acids that are programmed by the genetic code. The MIT team came up with a way to assemble proteins from amino acids not used in nature, including many that are mirror images of natural amino acids.
These proteins, which the researchers call “xenoproteins,” offer many advantages over naturally occurring proteins. They are more stable, meaning that unlike most protein drugs, they don’t require refrigeration, and may not provoke an immune response.
“There is no other technological platform that can be used to create these xenoproteins because people haven’t worked through the ability to use completely nonnatural sets of amino acids throughout the entire shape of the molecule,” says Brad Pentelute, an MIT associate professor of chemistry and the senior author of the paper, which appears in the Proceedings of the National Academy of Sciences the week of May 21.
I want the reader to watch the video by Dr. James Giordano at the very least, read that piece and this one, and answer me.
If you attend university, you get even more access to a myriad of other tools, completely at your disposal and nobody is the wiser about whatever you are doing it. Building a lab is not that expensive, you can order everything online, on a stretch, and with good deals, you can build a lab for 50.000 dollars.
How can you prepare for something you a young adult with a CRISPR kit, an internet connection and curiosity can create ?
For the more anxious among my readers, this isn’t that easy to do, this won’t happen overnight, and 99% of the time it is easy to track whenever someone “cooked up” something, but not that easy to track where/when it was released. This post is more about awareness than fear, or doom and gloom.
The population should be aware of how easy it is to do things that can vastly change the fate of nations, sometimes the world. There should be legislation written about this right now, and not about climate change, among other more harsh opinions from me, that I won’t bore the reader with.
(If you ever asked yourself why I left my former job, that made life much easier, reading both Future of War and the first Beyond Mathematical Odds will give you the answer).
I hope you all have a nice Sunday ! Perhaps a small post about Omicron variants and immunity (basically you need to get reinfected with the new ones to be protected against the coming ones).
« Si la loi exige que chaque paquet de cigarettes porte la mention « Le tabac est nocif pour votre santé », pourquoi ne pas proposer un projet de loi qui rende obligatoire de mentionner sur la couverture de chaque livre marxiste: « L’application de cette théorie a entraîné la mort de plusieurs dizaines de millions d’hommes au cours des derniers soixante ans »? Un tel projet de loi ne serait pas compris, car le marxisme est devenu partie intégrante de la mentalité occidentale. »
Vladimir Boukovski – Cette lancinante douleur de la liberté
Je vous agonis encore de quelques articles sur le dossier « sanitaire ». Pas pour vous torturer – c’est le boulot des médias et des gouvernements – mais parce que je voudrais vraiment passer au chapitre géoingénierie, que j’ai mis en veilleuse depuis plus d’un an. J’ai promis à Nikki Florio de BeeHeroic de faire le boulot pour le public francophone, avec sa précieuse et scientifique collaboration. Protéger la nature est un sujet un peu plus vivant et motivant que la mort et la maladie. En attendant, je fais le tour des dernières nouveautés sur le Covid et bien entendu sur notre nouvel amie, la variole du singe – dont le profil semble tout aussi atypique que le Covid et qui aurait fait l’objet de (Ô surprise!) recherches sur le gain de fonction, info à scrupuleusement vérifier.
On se penche ici sur le compte-rendu de ce désormais célèbre exercice de simulation. J’en avais déjà traduit une bonne partie avant de réaliser à quel point ça allait ennuyer le lecteur, pour le dire poliment. J’ai donc laissé tombé la toute fin du texte (la Quatrième constatation) – si vous y tenez absolument, faites-le moi savoir et je finis le boulot. De toute manière, ce genre de littérature hermétique n’est pas vraiment faite pour être lue de A à Z. Ce que j’ai traduit suffira à établir trois choses, sachant que le plus important est à trouver dans ce qui manque.
Premièrement, on a de nouveau affaire au schéma exercice/événement « réel », le premier précèdant de peu, voire chevauchant, le second. C’est une des signatures de quasiment tous les attentats sous faux drapeau (le plus récent étant évidemment l’Evénement 201/Covid). A ce stade il est prématuré de conclure avec certitude à un (nouvel) attentat sanitaire mais sans chercher plus loin, on voit déjà une énorme campagne de propagande médiatique couplée à une combine d’achat massif de vaccins – voir l’article précédent pour le cui bono.
Deuxièmement, les mesures envisagées ici sont de la même nature que celles du Covid, qui n’ont soit, selon les mêmes institutions qui les avaient initialement recommandées, servi à rien – masques, tests, confinements, distanciation sociale, traçage, interdiction des rassemblements, « aplatir la courbe » – soit à tuer un certain nombre de patients – respirateurs et subséquemment, « vaccins ». Zéro mention des traitements. Pour rappel, en décembre dernier, après avoir demandé à son équipe de calculer le taux de sous-déclaration des « événement indésirables » des injections Covid au VAERS et comparé le résultat avec d’autres recherches (taux probable=44, ce qui donnait un nombre réel de l’ordre de 388.000 décès), notre vieil ami Steve Kirsch a récemment mené une mini-enquête auprès de ses lecteurs pour estimer le nombre de décès post-vaccins toutes causes confondues aux Etats-Unis, ce qui donne la bagatelle de 500.000 décès. On peut émettre un doute sur sa méthodologie mais la progression semble cohérente. A ce stade, l’examen des données empiriques est en tout cas plus réaliste que d’attendre que les états publient honnêtement les chiffres. Pour en revenir au document ci-dessous, le plus beau est qu’on présente ici la recherche « à double usage » [dual-use research], c’est-à-dire la militarisation des pathogènes destinée à « prévenir » une éventuelle future épidémie/attentat sanitaire, comme l’ultime mesure de prévention. Après tout ce qui vient de se produire depuis deux ans et demi, ces gens ne manquent pas de toupet. Le Sars-CoV-2 était censé faire partie de ce type de recherche et on a vu à quel point ça a donné une prévention efficace. Notez aussi le mensonge « Comme on le sait, un certain nombre de pays plus riches, dotés de solides systèmes de santé publique, n’ont pas réagi de manière proactive et opportune et ont donc connu des résultats bien pires que les nations moins riches mais qui ont réagi de manière plus proactive. »
Troisièmement, à aucun endroit dans le texte il n’est question de libre consentement, de choix individuel ou de quoi que ce soit de cet ordre. Cette nouvelle crise surgit au moment opportun où l’OMS tente d’établir son projet de contrôle absolu sur les politiques sanitaires des gouvernements nationaux, qui devront abandonner toute souveraineté en cas « d’urgence », même genre de rouleau compresseur politique qui se met en marche dans le domaine du climat. On « exigera que l’ensemble du gouvernement s’engage rapidement, afin que les obstacles bureaucratiques internes ne causent pas de retards critiques. » Apparemment, question bureaucratie, on est pas encore arrivés au niveau d’inhumanité nécessaire pour le Grand Reset. On parle pourtant ici des mêmes gouvernements qui ont interdit les traitements précoces (hydroxychloroquine, ivermectine, etc.), imposé « l’euthanasie » des vieux en institution, d’abord au Rivotril puis au « vaccin » (encore un exemple récent, assez spectaculaire). Ils continuent donc sur leur lancée, en toute impunité.
En définitive, cet exercice tient plutôt d’une assemblée de propriétaires qui discute de la gestion d’une épidémie dans un cheptel d’animaux d’élevage. Si vous suivez ce qui se passe dans ce domaine, vous aurez constaté que la solution vedette est soit le confinement extrême, soit l’abattage massif – comme pour les humains, mais en moins discret. Vous remarquerez aussi que le scénario « terroriste » correspond assez fidèlement à ce que nous annonçait l’oracle/médecin en chef/devin-plombier Gates dans cet article.
Tant que nous laisserons ces criminels contrôler le réseau sanitaire, ils feront ce qu’ils veulent, comme ils veulent, à qui ils veulent.
Consolidation des systèmes mondiaux de prévention et de réaction aux menaces biologiques à haut risque
Résultats de l’exercice de simulation de 2021 mené en partenariat avec la Conférence de Munich sur la Sécurité
RÉSUMÉ
En mars 2021, la NTI s’est associée à la Conférence de Munich sur la Sécurité pour mener un exercice de simulation sur table sur la réduction des menaces biologiques à haut risque. L’exercice a examiné les lacunes dans les architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies – en étudiant les possibilités d’amélioration des capacités de prévention et de réponse aux événements biologiques à haut risque. Ce rapport résume le scénario de l’exercice, les principales conclusions de la discussion et les recommandations pratiques destinées à la communauté internationale.
[…]
Résumé exécutif
En mars 2021, l’Initiative sur la Menace Nucléaire (Nuclear Threat Initiative – NTI) s’est associée à la Conférence de Munich sur la Sécurité (Munich Security Conference – MSC) pour réaliser un exercice de simulation portant sur la réduction des menaces biologiques à haut risque. Réalisé virtuellement, l’exercice a permis d’examiner les lacunes des architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies et d’explorer les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réponse aux événements biologiques à haut risque. Parmi les participants figuraient 19 hauts responsables et experts venus d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe et possédant des décennies d’expérience combinée dans les domaines de la santé publique, de l’industrie biotechnologique, de la sécurité internationale et de la philanthropie.
Le scénario de l’exercice décrivait une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe, apparue dans la nation fictive de Brinia et qui s’est propagée dans le monde entier en 18 mois. En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène fabriqué dans un laboratoire dont les dispositions en matière de biosécurité et de sûreté biologique étaient inadéquates et dont la surveillance était faible. À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde.
[…]
La discussion a été organisée en trois « mouvements » séquentiels correspondant aux développements du scénario, suivis d’une table ronde sur les questions plus générales de biosécurité et de préparation à la pandémie. L’approche par étapes pour révéler les développements du scénario reflétait les limites des informations dont disposent les décideurs du monde réel, ainsi que l’incertitude qui en résulte, associée à une pandémie d’origine inconnue (voir Figure 1).
Le premier mouvement (qui se produit le 5 juin 2022, selon le calendrier du scénario) commence par une épidémie inhabituelle de variole du singe à Brinia (250 millions d’habitants), avec des rapports faisant état de 1 421 cas et de quatre décès. Il n’y a pas de preuve immédiate d’une propagation internationale, mais l’épidémie a lieu pendant une fête nationale avec de nombreux déplacements nationaux et internationaux des Briniens. La variole du singe n’étant pas naturellement présente à Brinia, les experts locaux et internationaux considèrent cette épidémie comme inhabituelle. Le gouvernement brinien accueille favorablement les enquêtes internationales sur les épidémies et demande l’aide médicale de l’OMS. Le séquençage du génome d’échantillons de patients atteints de variole du singe révèle que la souche présente à Brinia contient des mutations qui la rendent résistante aux vaccins existants.
La discussion qui a suivi a porté sur la manière dont le système international est positionné pour analyser les premiers indicateurs du risque de pandémie et pour communiquer les avertissements appropriés.
Le deuxième mouvement (10 janvier 2023) se produit six mois plus tard. À ce moment-là, le virus s’est propagé dans 83 pays, avec 70 millions de cas signalés, causant plus de 1,3 million de décès. En l’absence de thérapies ou de vaccins efficaces connus, les pays ont dû s’appuyer principalement sur des interventions non pharmaceutiques (INP) pour atténuer les effets de la pandémie. Mettant en évidence des résultats nationaux très différents dans la gestion de la pandémie, certains gouvernements, dont la République fictive de Dranma, ont rapidement adopté des mesures agressives pour ralentir la transmission du virus en interdisant les rassemblements de masse, en imposant des mesures d’éloignement social et en mettant en place des obligations de port de masque. Ces pays ont également mis en place des opérations de dépistage et de recherche des contacts à grande échelle et renforcé leurs systèmes de santé pour faire face à l’augmentation prévue du nombre de cas. En revanche, le scénario dépeint un autre groupe de pays, dont le Cardus fictif, qui ont donné la priorité au maintien de l’ouverture de leur économie, à la mise en place de peu ou pas d’INP et à la minimisation du virus et de ses impacts potentiels. Ces pays ont connu des résultats bien pires en termes de maladie et de mortalité (figure 2) que ceux qui ont réagi rapidement et énergiquement. Comme le montre la figure 3, Dranma a connu beaucoup moins de cas et de décès que Cardus.
La discussion des participants lors du mouvement 2 s’est concentrée sur l’exploration des conditions qui devraient déclencher des actions nationales de réponse à la pandémie et sur la discussion des stratégies et des défis pour la mise à l’échelle des interventions de santé publique.
Le troisième mouvement (10 mai 2023) se déroule 12 mois après l’épidémie initiale, avec plus de 480 millions de cas et 27 millions de décès dans le monde (figure 4). À ce stade, les participants apprennent que la pandémie a été provoquée par une attaque bio-terroriste régionale qui a largement dépassé les objectifs de ses auteurs.
Plus précisément, les services de renseignements briniens révèlent que le virus de la variole du singe a été développé de manière illicite dans le principal institut de virologie du pays fictif d’Arnica. Arnica (75 millions d’habitants) a toujours été en conflit avec son voisin Brinia (voir la carte de la figure 5). Un groupe terroriste arnicain indépendant – la SPA – a travaillé avec des scientifiques de laboratoire sympathisants pour créer un agent pathogène mortel hautement contagieux et le disperser dans les gares bondées de Brinia pendant la fête nationale, alors qu’une grande partie de la population voyageait à l’intérieur du pays et à l’étranger.
La SPA a exploité la faiblesse du gouvernement arnicain en matière de surveillance de ses laboratoires de recherche en sciences biologiques. Des sympathisants de la SPA travaillant dans le principal institut de virologie d’Arnica ont utilisé des publications scientifiques accessibles au public pour guider leurs travaux visant à modifier le virus de la variole du singe afin de le rendre plus transmissible et résistant aux vaccins actuellement disponibles.
La discussion du mouvement 3 a porté sur la gouvernance de la recherche bioscientifique à double usage ainsi que sur les faiblesses actuelles des systèmes de biosécurité et de sûreté biologique qui exacerbent les risques biologiques.
La phase finale de l’exercice a consisté en une table ronde qui a examiné les disparités en matière de préparation à la santé publique dans le monde et la nécessité qui en découle de mettre en place des mécanismes de financement plus efficaces pour accélérer le renforcement des capacités de préparation à la pandémie. Reconnaissant que la préparation à une pandémie nécessite des investissements coûteux que les pays à revenu faible et moyen inférieur ne peuvent se permettre de faire, les participants ont été invités à discuter de stratégies visant à catalyser ces investissements de manière durable.
[…]
Résumé de la discussion et des conclusions de l’exercice
Les discussions qui ont eu lieu tout au long de l’exercice de simulation ont permis de dégager un large éventail d’informations et de conclusions essentielles. En particulier, les participants à l’exercice ont convenu que, malgré les améliorations apportées à la suite de la réponse mondiale au COVID-19, le système international de détection, d’analyse, d’alerte et de réponse aux pandémies est terriblement inadéquat pour relever les défis actuels et futurs.
Les participants à l’exercice s’accordent à dire que les lacunes de l’architecture internationale de biosécurité et de préparation aux pandémies sont importantes et fondamentales, et qu’elles sapent la capacité de la communauté internationale à organiser des réponses efficaces aux futurs événements biologiques – et ils notent qu’une préparation robuste nécessitera une transformation fondamentale sur plusieurs fronts. Compte tenu de la latence inhérente à l’acquisition de données définitives sur les menaces de pandémie (répartition géographique, taux de transmission et létalité) et des conséquences très graves d’un retard dans la réponse à une pandémie, les participants ont observé que le système international et les gouvernements nationaux doivent être transformés pour mettre l’accent sur des actions d’anticipation prédéterminées « sans regrets ». Un tel système nécessite des améliorations significatives de la capacité de la communauté internationale à détecter, évaluer et alerter sur les menaces de pandémie, ainsi qu’à développer des plans de réponse proactifs au niveau national et des organes de décision. Les participants s’accordent à dire que la communauté internationale doit également renforcer son système de gouvernance pour la recherche sur les sciences de la vie à double usage, et ils concluent que les gouvernements du monde entier sous-investissent gravement dans la préparation aux pandémies, en particulier dans les pays à revenu faible et moyen inférieur. Ces résultats consensuels encadrent les conclusions plus détaillées présentées ci-dessous.
Première constatation
La communauté internationale a besoin d’un système de détection, d’évaluation et d’alerte précoce plus robuste et transparent, capable de communiquer rapidement des alertes exploitables sur les risques de pandémie.
Les participants à l’exercice ont constaté que le monde continue de manquer d’un système cohérent de détection et d’évaluation des pandémies qui serait efficace dans toute la gamme des scénarios plausibles. Dans cet exercice, le scénario décrivait sans doute le « meilleur cas » où le pays d’origine signalait ce qu’il savait à l’OMS en temps utile et accueillait favorablement l’enquête internationale. Pourtant, même dans ce cas, les participants à l’exercice se sont inquiétés du fait qu’il serait extrêmement difficile de discerner les signaux d’alerte suffisamment tôt pour contenir ou au moins atténuer les effets de l’épidémie initiale.
Par conséquent, plusieurs participants ont souligné que la communauté internationale avait besoin d’un réseau de biosurveillance international mieux coordonné, qui intègre également le séquençage du génome des agents pathogènes. En examinant le potentiel pandémique des épidémies, les participants à l’exercice ont identifié un certain nombre d’indicateurs clés pour un système efficace d’évaluation des risques basé sur les données de biosurveillance.
Les participants ont souligné que les indicateurs les plus importants pour analyser le potentiel pandémique d’une épidémie sont son épidémiologie et la distribution géographique des cas. Un nouveau virus jugé hautement virulent et transmissible, que ce soit sur la base d’observations épidémiologiques directes ou d’autres prédictions fondées sur des preuves, méritera une attention particulière. L’analyse d’autres caractéristiques du virus sera également importante. Par exemple, le virus change-t-il et/ou est-il différent des variants précédemment détectés ? Un participant a fait remarquer que le nombre de décès ne serait pas une bonne mesure à suivre au début d’une pandémie, car il s’agit d’un indicateur tardif à un moment où la croissance des cas est exponentielle.
Les participants ont également suggéré que la prise en compte du contexte social, politique et économique du pays d’origine ou de la détection initiale pourrait être utile pour l’évaluation des risques. Les facteurs clés comprennent le degré d’ouverture sociétale du pays et l’ampleur des voyages internationaux à travers ses frontières – deux caractéristiques qui pourraient contribuer à une propagation plus rapide. Il convient également de prendre en compte la solidité du système de santé publique du pays et de déterminer si la population réduit le risque de propagation en utilisant des IPN et en évitant les rassemblements de masse.
Dans la séquence d’événements qui suit la détection et l’analyse, l’étape suivante est l’alerte. Tous les participants ont convenu que le principal moyen d’alerte internationale au risque de pandémie actuellement en place – la déclaration par le directeur général de l’OMS d’une Urgence de Santé Publique de Préoccupation Internationale (Public Health Emergency of International Concern – PHEIC) – nécessite une réforme importante. Parmi les lacunes qu’ils ont identifiées dans l’approche actuelle des PHEIC figure le fait qu’il s’agit d’un outil binaire pour un monde où les risques de pandémie sont caractérisés par différents niveaux de risque qui évoluent dans le temps. L’approche actuelle des PHEIC peut regrouper des risques tels qu’une épidémie régionale limitée d’Ebola et un événement biologique catastrophique à l’échelle mondiale. Les deux sont préoccupants, mais à des degrés très différents, et ils justifient des réponses différentes. La nature binaire de l’approche PHEIC crée aussi involontairement des incitations à retarder les alertes. En effet, si les analystes et les décideurs n’ont que deux choix, ils risquent de miser sur la certitude avant d’activer un système d’alerte international.
Les participants ont souligné qu’un système d’alerte pandémique graduel – analogue aux systèmes graduels utilisés pour les ouragans et autres catastrophes naturelles – constituerait sans doute un système plus souple, plus informatif et plus facile à mettre en œuvre pour communiquer les risques. En vertu du Règlement Sanitaire International actuel (RSI 2005), l’OMS pourrait être habilitée à fournir des évaluations de risque plus détaillées aux États membres. Un participant a fait remarquer que le passage formel du PHEIC de l’OMS à un système gradué pourrait nécessiter une modification du RSI, ce qui pourrait poser des défis politiques importants.
Les participants à l’exercice ont observé que, quels que soient les arrangements institutionnels particuliers choisis pour les systèmes internationaux de détection, d’analyse et d’alerte en cas de pandémie, ces systèmes doivent être transparents. En particulier, les délibérations qui se déroulent actuellement à huis clos – le Comité d’Urgence de l’OMS, par exemple – gagneraient à ce que, au minimum, un groupe d’experts extérieur puisse analyser les données et tirer des conclusions en parallèle. On peut penser que cela contribuerait à valider et à conférer un poids indépendant aux conclusions officielles, ou pourrait remettre en question les conclusions si elles sont incompatibles avec les données disponibles.
Évaluation des origines des épidémies
Les participants ont noté que les incidents biologiques d’origine inconnue présentent une lacune dans le système des Nations Unies. L’OMS, comme l’a souligné un participant, est l’équivalent pour les épidémies d’un pompier et non d’un policier; l’organisation est mieux adaptée à la santé publique et à la réponse médicale, et non aux enquêtes de sécurité. Dans les cas où une épidémie est délibérément provoquée, une enquête de sécurité menée par le mécanisme du Secrétaire général des Nations unies (UNSGM) serait appropriée. Cependant, les moyens par lesquels l’OMS et le Secrétaire général des Nations Unies opèrent en parallèle, voire en coordination, ne sont toujours pas clairs. Plus problématiques encore sont les cas où l’origine d’un incident n’est pas claire ou est suspecte. Dans ces cas, les rôles respectifs du Secrétaire Général des Nations Unies et de l’OMS doivent être clairement définis.
Les participants ont discuté d’autres défis politiques internationaux qui pourraient faire obstacle à une enquête efficace sur une épidémie. Premièrement, la communauté internationale exige la coopération et la transparence du pays d’origine présumé. Deuxièmement, bien que le Secrétaire Général ait le pouvoir d’utiliser son mécanisme d’enquête en réponse à une demande de n’importe quel État membre, ce mécanisme n’a jamais été utilisé pour enquêter sur un incident biologique, et les tensions entre les États membres de l’ONU pourraient causer des retards. De même, les objections de l’un des principaux États membres donateurs de l’OMS pourraient nuire à l’efficacité de l’organisation dans la coordination de la détection et de l’évaluation rapides.
Deuxième constatation
Les gouvernements devraient améliorer l’état de préparation en élaborant des plans d’intervention en cas de pandémie au niveau national, fondés sur un système cohérent de » déclencheurs » qui incitent à une action anticipée sur une base » sans regrets « .
Les participants à l’exercice de simulation ont convenu que le scénario de l’exercice et les leçons plus larges tirées de la réponse mondiale au COVID-19 soulignent la nécessité d’établir des plans de réponse nationaux avec une série de » déclencheurs » de planification, ou conditions de seuil, qui garantissent des mesures anticipées dès le début d’une pandémie potentielle. Le scénario de l’exercice et la réponse au COVID-19 démontrent que les actions précoces des gouvernements nationaux ont un impact positif significatif sur la gestion de l’impact de la maladie. Étant donné que la nature de la transmission exponentielle de la maladie punit sévèrement les retards, même modestes, les réponses lentes des gouvernements nationaux entraînent une augmentation du nombre de cas, des taux de mortalité plus élevés, voire l’effondrement du système de santé publique et du système médical.
Les avantages d’une action précoce
Un participant a observé que les résultats de l’exercice étaient cohérents avec les performances nationales lors de la réponse au COVID-19; les gouvernements qui ont réagi rapidement et énergiquement aux alertes pandémiques ont beaucoup mieux réussi à protéger leurs populations. Comme on le sait, un certain nombre de pays plus riches, dotés de solides systèmes de santé publique, n’ont pas réagi de manière proactive et opportune et ont donc connu des résultats bien pires que les nations moins riches mais qui ont réagi de manière plus proactive.
Qu’est-ce qu’un élément déclencheur?
Dans les plans nationaux d’intervention en cas de pandémie, des mesures de préparation spécifiques seraient « déclenchées » en fonction de facteurs liés à la gravité potentielle de l’épidémie, aux retards prévus dans la connaissance de la situation et au temps nécessaire pour mettre en œuvre les mesures d’intervention et en voir les résultats.
Les participants ont souligné que les décideurs au niveau national doivent élaborer des plans de déclenchement qui mettent l’accent sur une action précoce » sans regrets « . Bien qu’il existe inévitablement un risque de fausses alertes, les participants ont estimé que le risque de retard était bien plus dommageable. L’action, selon un participant, doit être la « voie par défaut » car » nous ne pourrons pas nous permettre le luxe d’attendre une certitude « .
Bien que les actions déclenchées varient en fonction des besoins particuliers du pays, dans la plupart des cas, les objectifs sont les mêmes : ralentir la propagation de la maladie pour gagner du temps et aplanir la courbe épidémiologique, tout en utilisant ce temps pour renforcer les systèmes de santé publique et médicaux afin de faire face à l’augmentation du nombre de cas et de sauver des vies. Les IPN telles que les masques obligatoires et l’arrêt des rassemblements de masse ont été jugées essentielles pour bloquer les chaînes de transmission des maladies. Les participants n’ont généralement pas approuvé les restrictions de voyage telles que la fermeture des frontières, mais les mesures de dépistage de la santé des voyageurs ont été jugées utiles.
Grâce au temps gagné par les IPN, les participants ont plaidé pour le renforcement de diverses capacités. La priorité absolue est de mettre en œuvre des tests à grande échelle et d’accroître la capacité des systèmes de santé en termes d’installations et de personnel. En outre, les pays devraient accélérer la production de l’ensemble des fournitures essentielles qui pourraient autrement provoquer des goulets d’étranglement dans les opérations de réponse, notamment les masques, les équipements de protection individuelle (EPI) pour les agents de santé, les réactifs de test, les réservoirs d’oxygène et les respirateurs.
Les déclencheurs ne doivent pas se limiter aux actions ; ils doivent également porter sur les relations institutionnelles. En effet, un certain nombre de participants ont souligné que le processus décisionnel pangouvernemental pour la réponse à une pandémie au niveau national doit être planifié et exercé le plus tôt possible, avant la prochaine pandémie. Plusieurs participants ont fait valoir que la plupart des gouvernements nationaux ont trop de « silos » de prise de décision qui doivent être rapidement intégrés pour une réponse réussie à la pandémie. Une réponse nationale efficace, » sans regrets « , exigera que l’ensemble du gouvernement s’engage rapidement, afin que les obstacles bureaucratiques internes ne causent pas de retards critiques.
Renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement en cas de pandémie
Tous les participants ont convenu que le renforcement de la résilience de la chaîne d’approvisionnement serait essentiel dans les futures interventions en cas de pandémie, mais ils ont divergé sur la manière de relever le défi. En particulier, un débat s’est engagé sur la question de savoir si la bonne approche pour assurer la disponibilité des articles critiques consiste à constituer des stocks ou à maintenir une capacité de production « à chaud », ou un mélange des deux. Pour les articles ayant une longue durée de vie, comme les masques et autres EPI, certains participants ont fait valoir qu’il était prudent que les gouvernements nationaux et les institutions internationales constituent des stocks.
D’autres ont fait valoir que les gouvernements et/ou les organisations internationales devraient offrir des incitations pour maintenir ouvertes ou au moins « chaudes » les lignes d’approvisionnement à double usage – ce qui pourrait, par exemple, aider à la production à grande échelle de respirateurs pendant une urgence de santé publique internationale. Une solution scientifique et technique encore plus avancée, lorsque cela est possible, consisterait à développer des technologies de plate-forme, c’est-à-dire des outils permettant de mettre rapidement au point des diagnostics, des vaccins et d’autres contre-mesures médicales pour le large éventail d’agents pathogènes à potentiel pandémique.
Un participant a formulé une recommandation connexe en matière d’approvisionnement en vaccins qui établit un équilibre entre le stockage national et la coordination mondiale : il s’agit de sélectionner et de responsabiliser les gouvernements chefs de file dans chacune des régions du globe. Ce participant a notamment plaidé pour la création d’un réseau mondial de pays à faible population qui seraient chargés de fabriquer des vaccins à grande échelle pour leurs régions respectives. Une telle approche nécessiterait un accord régional et un financement coopératif pour renforcer les capacités des pays sélectionnés.
Troisième constatation
Le système international qui régit la recherche biologique à double usage n’est ni préparé à répondre aux exigences de sécurité actuelles, ni prêt à relever des défis beaucoup plus importants à l’avenir. Il existe des besoins de réduction des risques tout au long du cycle de vie de la recherche et du développement bioscientifiques.
Les participants à l’exercice ont discuté de l’importance de renforcer la biosécurité pour la recherche et le développement bioscientifiques. Les risques biologiques émergents associés aux progrès technologiques rapides ne sont pas nouveaux, mais les participants ont reconnu que la pandémie de COVID-19 a exacerbé ces risques. Ils ont souligné que la communauté internationale doit s’attendre à une expansion rapide des laboratoires à haut niveau de confinement (laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4), car un certain nombre de pays développent leurs capacités de recherche en biosciences et s’engagent dans davantage de recherches à double usage sur le SARS-CoV-2 et d’autres agents pathogènes à potentiel pandémique.
Les participants ont convenu que, bien qu’il soit essentiel d’éviter de restreindre la recherche biologique légitime, il est également crucial d’intégrer des mesures de biosécurité et de sûreté biologique plus strictes dans les processus de recherche et de développement bioscientifiques, depuis la conception et le financement du projet jusqu’à la publication ou la commercialisation de la technologie, en passant par l’exécution de la recherche.
Bailleurs de fonds
Au début du cycle de vie de la recherche et du développement, les bailleurs de fonds gouvernementaux, philanthropiques et industriels peuvent jouer un rôle dans l’examen précoce des projets de recherche proposés, créant ainsi un cadre plus solide pour la biosécurité et la recherche responsable. Les participants ont fait valoir que ces activités devront englober les bailleurs de fonds publics et privés, tout en reconnaissant que l’intégration de ces derniers peut être particulièrement difficile. Au cours de la discussion, plusieurs participants ont fait valoir que les bailleurs de fonds ne peuvent être le seul arbitre et que la mise en œuvre d’un examen de la biosécurité dans le cadre du processus d’évaluation pour le financement de nouveaux projets devra faire partie d’une solution plus globale.
[…]
Texte original (extraits)
Strengthening Global Systems to Prevent and Respond to High-Consequence Biological Threats
Results from the 2021 Tabletop Exercise Conducted in Partnership with the Munich Security Conference
SUMMARY
In March 2021, NTI partnered with the Munich Security Conference to conduct a tabletop exercise on reducing high-consequence biological threats. The exercise examined gaps in national and international biosecurity and pandemic preparedness architectures—exploring opportunities to improve prevention and response capabilities for high-consequence biological events. This report summarizes the exercise scenario, key findings from the discussion, and actionable recommendations for the international community.
[…]
Executive Summary
In March 2021, the Nuclear Threat Initiative (NTI) partnered with the Munich Security Conference (MSC) to conduct a tabletop exercise on reducing high-consequence biological threats. Conducted virtually, the exercise examined gaps in national and international biosecurity and pandemic preparedness architectures and explored opportunities to improve capabilities to prevent and respond to high-consequence biological events. Participants included 19 senior leaders and experts from across Africa, the Americas, Asia, and Europe with decades of combined experience in public health, biotechnology industry, international security, and philanthropy.
The exercise scenario portrayed a deadly, global pandemic involving an unusual strain of monkeypox virus that emerged in the fictional nation of Brinia and spread globally over 18 months. Ultimately, the exercise scenario revealed that the initial outbreak was caused by a terrorist attack using a pathogen engineered in a laboratory with inadequate biosafety and biosecurity provisions and weak oversight. By the end of the exercise, the fictional pandemic resulted in more than three billion cases and 270 million fatalities worldwide.
[…]
The discussion was organized into three sequential “moves” corresponding with scenario developments, followed by a roundtable discussion of broader biosecurity and pandemic preparedness issues. The step-by-step approach to revealing scenario developments reflected the limitations of information available to real-world decision makers, as well as the resulting uncertainty associated with a pandemic of unknown origin (see Figure 1).
Move 1 (occurring on June 5, 2022, in scenario time) starts with an unusual outbreak of monkeypox in Brinia (population 250 million), with reports of 1,421 cases and four fatalities. There is no immediate evidence of international spread, but the outbreak takes place during a national holiday with extensive domestic and international travel by Brinians. Because monkeypox is not naturally found in Brinia, local and international experts consider this outbreak to be unusual. The Brinian government welcomes international outbreak investigations and requests medical support from the WHO. Genome sequencing of monkeypox patient samples reveals that the strain in Brinia contains mutations that make it resistant to existing vaccines.
The discussion that followed considered how the international system is postured to analyze initial indicators of pandemic risk and to communicate appropriate warnings.
Move 2 (January 10, 2023) occurs six months later, at which point the virus has spread to 83 countries with 70 million reported cases, causing more than 1.3 million fatalities. With no known effective therapies or vaccines, countries have had to rely principally on non-pharmaceutical interventions (NPIs) to mitigate the impacts of the pandemic. Highlighting significantly different national outcomes in managing the pandemic, some governments, including the fictional Republic of Dranma, promptly adopted aggressive measures to slow virus transmission by shutting down mass gatherings, imposing social-distancing measures, and implementing mask mandates. These countries have also established large-scale testing and contact-tracing operations and scaled-up their health care systems to support anticipated growing case numbers. By contrast, the scenario depicts another group of countries, including fictional Cardus, that have prioritized keeping their economies open, undertaking little-to-no NPIs, and downplaying the virus and its potential impacts. These countries have experienced much worse outcomes in terms of illness and mortality (Figure 2) than those that responded early and energetically. As Figure 3 shows, Dranma experienced far fewer cases and fatalities than Cardus.
Participant discussion in Move 2 focused on exploring the conditions that should trigger national pandemic response actions and discussing strategies and challenges for scaling public health interventions.
Move 3 (May 10, 2023) occurred 12 months after the initial outbreak, with more than 480 million cases and 27 million fatalities globally (Figure 4). At this stage, participants learn that the pandemic was caused by a regional bio-terror attack that far exceeded the perpetrators’ goals.
Specifically, Brinian intelligence reveals that the engineered monkeypox virus was developed illicitly at the fictional country of Arnica’s leading institute for virology. Arnica (population 75 million) has a history of conflict with neighboring Brinia (see map in Figure 5). An independent Arnican terrorist group—the SPA—had worked with sympathetic laboratory scientists to engineer a highly contagious, deadly pathogen and disperse it at crowded train stations in Brinia during the national holiday, when much of the population was travelling domestically and internationally.
The SPA had exploited the Arnican government’s weak oversight of its bioscience research laboratories. SPA sympathizers working in Arnica’s leading virology institute used publicly available scientific publications to guide their work to modify the monkeypox virus to make it more transmissible and resistant to currently available vaccines.
The discussion in Move 3 focused on governance of dual-use bioscience research as well as current weaknesses in biosafety and biosecurity systems that exacerbate biological risks.
The final phase of the exercise was a roundtable discussion that considered disparities in public health preparedness around the globe and the resulting need for more effective financing mechanisms to accelerate pandemic preparedness capacity building. Recognizing that pandemic preparedness requires costly investments that lower- and lower-middle income countries cannot afford to make, participants were asked to discuss strategies to catalyze these investments in sustainable ways.
[…]
Summary of Exercise Discussion and Findings
The discussions throughout the tabletop exercise generated a wide range of valuable insights and keyfindings. Most significantly, exercise participants agreed that, notwithstanding improvements following the global response to COVID-19, the international system of pandemic detection, analysis, warning, and response is woefully inadequate to address current and anticipated future challenges.
Exercise participants agreed that gaps in the international biosecurity and pandemic preparedness architecture are extensive and fundamental, undermining the ability of the international community to mount effective responses to future biological events—and they noted that robust preparedness will require fundamental transformation across a number of fronts. Given the inherent latency in acquisition of definitive data on pandemic threats—e.g., geographic distribution, transmission rates, and lethality—and the very serious consequences of delay in pandemic response, participants observed that the international system and national governments must be transformed to emphasize pre-determined “no-regrets” anticipatory actions. Such a system requires significant improvements in the international community’s ability to detect, assess, and warn about pandemic threats as well as to develop proactive, national-level response plans and decision-making bodies. They agreed that the international community also must bolster its system of governance for dual-use life-science research, and they concluded that governments globally are severely underinvesting in pandemic preparedness—especially in low- and lower-middle income countries. These consensus findings frame the more detailed conclusions discussed below.
Finding 1
The international community needs a more robust, transparent detection, evaluation, and early warning system that can rapidly communicate actionable warnings about pandemic risks.
Exercise participants found that the world continues to lack a coherent system for pandemic detection and assessment that would be effective across the full range of plausible scenarios. In this exercise, the scenario arguably depicted a “best case” where the country of origin reported what it knew to the WHO in a timely manner and welcomed international investigation. Yet even in this case, exercise participants expressed concern that it would be extremely challenging to discern warning signals early enough to contain or at least mitigate the effects of the initial outbreak.
Consequently, several participants stressed that the international community requires a more coordinated international biosurveillance network, which also incorporates pathogen genome sequencing. In scrutinizing disease outbreaks for pandemic potential, exercise participants identified a number of key indicators for an effective risk assessment system based on biosurveillance data.
Participants stressed that the most important indicators for analyzing the pandemic potential of an outbreak are its epidemiology and the geographic distribution of cases. A novel virus that is assessed to be highly virulent and transmissible—either based on direct epidemiological observations or other evidence-based predictions—will warrant significant attention. Analyzing additional virus characteristics will also be important. For example, is the virus changing and/or is it different from previously detected variants? One participant observed that the number of fatalities would not be a good measure to track in the early period of a pandemic because it is a lagging indicator at a time of exponential growth in cases.
Participants also suggested that considering the social, political, and economic context of the country of origin or initial detection could be valuable for risk assessment. Key factors include the degree of societal openness of the country and the extent of international travel across its borders—both features that could contribute to faster spread. Another consideration is the strength of the country’s public health system and whether the population is reducing the risk of spread by using NPIs and avoiding mass gatherings.
In the sequence of events after detection and analysis, the next step is warning. All participants agreed that the principal means of international pandemic risk warning now in place—the WHO Director General’s declaration of a Public Health Emergency of International Concern (PHEIC)—requires significant reform. Among the shortfalls they identified in the current PHEIC approach is that it is a binary tool for a world where pandemic risks are characterized by different levels of risk that evolve over time. The current PHEIC approach potentially lumps risks like a limited regional Ebola outbreak with a globally catastrophic biological event. Both are concerning, but to very different degrees, and they warrant different responses. The binary nature of the PHEIC also unintentionally creates incentives to delay warnings. In effect, if analysts and decision makers only have two choices, they are likely to err on the side of certainty before activating an international alert system.
Participants stressed that a graded pandemic warning system—analogous to graded systems used for hurricanes and other natural disasters—would arguably provide a more flexible, informative, and actionable system for communicating risk. Under the current International Health Regulations (IHR 2005), the WHO could be empowered to provide more detailed risk assessments to member states. One participant noted that formally shifting the WHO PHEIC to a graded system might require a change to the IHR, which could pose significant political challenges.
Exercise participants observed that regardless of the particular institutional arrangements chosen for international systems of pandemic detection, analysis, and warning, these systems must be transparent. In particular, deliberations that currently occur behind closed doors—the WHO Emergency Committee, for example—would benefit if, at a minimum, an outside expert group could analyze the data and reach conclusions in parallel. Arguably, this would help validate and lend independent weight to official findings, or could challenge findings if they are inconsistent with available evidence.
Evaluating Outbreak Origins
Participants noted that biological incidents of unknown original fall into a gap in the UN system. The WHO, as one participant highlighted, is the outbreak equivalent of a firefighter, not a police officer; the organization is best suited to public health and medical response, not security investigations. In cases where an outbreak is deliberately caused, a security investigation by the UN Secretary-General’s Mechanism (UNSGM) would be appropriate. However, the means by which the WHO and the UN Secretary-General operate in parallel, if not in coordination, are still unclear. More problematic still are those cases where the origin of an incident is unclear or suspicious. In these cases, the respective roles of the UN Secretary-General and WHO must be clearly defined.
Participants discussed additional international political challenges that could pose obstacles to effective investigation of an outbreak. First, the international community requires cooperation and transparency from the putative country of origin. Second, although the Secretary-General has the authority to use its investigative mechanism in response to a request from any member state, the mechanism has never been used to investigate a biological incident, and tensions among UN member states could cause delays. Similarly, objections by any of the WHO principal member state donors could hamper the organization’s effectiveness in coordinating prompt detection and assessment.
Finding 2
Governments should improve preparedness by developing national-level pandemic response plans built upon a coherent system of “triggers” that prompt anticipatory action on a “no-regrets” basis.
Tabletop exercise participants agreed that the exercise scenario and the larger lessons from the global COVID-19 response highlight the need to establish national response plans with a series of planning “triggers,” or threshold conditions, that ensure anticipatory steps early in a potential pandemic. Both the exercise scenario and the COVID-19 response demonstrate that early actions by national governments have significant, positive impacts in managing the impact of the disease. Because the nature of exponential disease transmission severely punishes even modest delays, slow responses by national governments lead to higher caseloads, worse mortality rates, and potentially even the collapse of the public health and medical system.
The Benefits of Early Action
One participant observed that the exercise outcomes were consistent with national performance during the COVID-19 response; governments that responded early and energetically to pandemic warnings were much more successful in protecting their populations. As is widely recognized, a number of wealthier countries with strong public health systems were not proactive and timely in their responses and therefore experienced significantly worse outcomes than those nations that are less wealthy but responded more proactively.
What Is a Trigger?
In national pandemic response plans, specific readiness measures would be “triggered” based on factors related to the potential severity of the outbreak, expected delays in situational awareness, and the time it would take to implement response measures and see results.
Participants stressed that national-level decision makers must build trigger-based plans that emphasize a “no-regrets” bias toward early action. Although there is inevitably a risk of false-alarm responses, participants deemed the risk of delay as far more consequential. Action, one participant argued, must be the “default pathway” because “you will not have the luxury of waiting for certainty.”
Although triggered actions would vary depending upon the particular needs of the country, in most cases the goals are the same: slow the spread of disease to buy time and flatten the epidemiological curve, while using that time to scale up public health and medical systems to keep up with growing caseloads and save lives. NPIs such as mask mandates and ceasing mass gatherings were deemed to be critical for blocking chains of disease transmission. Participants generally did not endorse travel restrictions such as border closures, but travel health screening measures were viewed as valuable.
With the time bought by NPIs, participants argued for scaling up various capacities. The highest priority is implementing testing at scale and increasing health system capacity in terms of facilities and personnel. In addition, nations should ramp up production of the range of critical supplies that could otherwise cause bottlenecks in response operations, including masks, personal protective equipment (PPE) for health workers, testing reagents, oxygen tanks, and ventilators.
The triggers should not be limited just to actions; they should address institutional relationships as well. Indeed, a number of participants stressed that the whole-of-government decision-making process for national-level pandemic response must be planned and exercised as soon as possible, before the next pandemic. Several participants argued that most national governments have too many “silos” of decision making that must be swiftly integrated for a successful pandemic response. An effective, “no-regrets” national response will demand that the whole-of-government engage early, so internal bureaucratic hurdles do not cause critical delays.
Bolstering Pandemic Supply Chain Resilience
All participants agreed that bolstering supply-chain resilience would be critical in future pandemic responses, but they differed on how to address the challenge. In particular, a debate ensued about whether the right approach for ensuring the availability of critical items is stockpiling or maintaining “warm” production capacity, 3 or a mixture of both. For those items with long shelf lives—such as masks and other PPE—some participants argued that it is prudent for national governments and international institutions to stockpile.
Others argued that governments and/or international organizations should provide incentives to keep dual-use supply lines open or at least, “warm”—which could, for example, assist with large-scale ventilator production during an international public health emergency. An even more advanced scientific and engineering solution, where possible, would be to develop platform technologies—tools to rapidly develop diagnostics, vaccines, and other medical countermeasures for the wide range of pathogens with pandemic potential.
One participant offered a related vaccine supply recommendation that strikes a balance between national stockpiling and global coordination: selecting and empowering leading governments in each of the globe’s regions. In particular, this participant argued for the creation of a global network of small-population countries that would be charged with manufacturing at scale for their respective regions. Such an approach would require regional agreement and cooperative financing to build the capabilities in the selected countries.
Finding 3
The international system for governing dual-use biological research is neither prepared to meet today’s security requirements, nor is it ready for significantly expanded challenges in the future. There are risk reduction needs throughout the bioscience research and development life cycle.
Exercise participants discussed the importance of strengthening biosecurity for bioscience research and development. Emerging biological risks associated with rapid technology advances are not new, but participants recognized that the COVID-19 pandemic has exacerbated these risks. They pointed out that the international community should expect to see a rapid expansion of high-containment laboratories (biosafety level 3 and 4 labs) as a number of countries expand their bioscience research capabilities and engage in more dual-use research on SARS-CoV-2 and other pathogens with pandemic potential.
Participants agreed that, although it is essential to avoid restricting legitimate biological research, it also is critically important to incorporate stronger biosafety and biosecurity measures into bioscience research and development processes—from project design and funding, through research execution, and on to publication or technology commercialization.
Funders
At the beginning of the research and development life cycle, government, philanthropic, and industry funders can play a role in early review of proposed research projects, thereby creating a stronger framework for biosecurity and responsible research. Participants argued that these activities will need to encompass both public and private funders, while recognizing that incorporating the latter may be particularly challenging. During this discussion, several participants argued that the funders cannot be the only arbiter and that implementing a biosecurity review as part of the evaluation process for funding new projects will need to be part of a more comprehensive solution.
La variole du singe est-elle une campagne médiatique subventionnée?
Un seul cas aux États-Unis suscite une énorme attention médiatique
Igor Chudov
19 mai
J’adore lire les nouvelles et je sais que j’ai tendance à être trop alarmiste. Ainsi, la récente polémique sur la variole du singe, qui fait le tour de la presse libérale et de Twitter, a suscité mon intérêt.
Une nouvelle et terrible pandémie se profile-t-elle à l’horizon? Va-t-elle tuer 10% de notre population? Devons-nous faire confiance à la science, comme toujours, et nous faire injecter de toute urgence un « vaccin contre la variole du singe » nouvellement mis au point, qui sera sans aucun doute sûr et efficace? Devons-nous oublier les mensonges et les exactions de la vaccination Covid, les maladies sans fin parmi les personnes boostées, etc., et voir à nouveau les « autorités sanitaires » comme nos sauveurs, en gobant toutes leurs paroles?
Ou, peut-être, n’est-ce que du tapage et que les médias essaient de nous détourner de quelque chose d’autre? Quelqu’un paie-t-il les médias pour nous vendre un nouveau problème et de nouveaux « traitements »?
Examinons la question.
La variole du singe n’est pas endémique chez l’homme et n’est pas nouvelle
Lisez cet excellent article écrit avant 2022, sur la variole du singe. La variole du singe est un virus qui présente des similitudes génétiques avec la variole et dont la présentation est assez semblable à celle de la variole, avec des pustules remplies de pus.
L’homme n’est pas très susceptible d’être infecté par la variole du singe. Il s’agit d’une maladie animale, présente chez les rongeurs et autres animaux africains, qui nécessite généralement un contact étroit entre l’homme et l’animal pour qu’il y ait transmission. Elle est donc généralement confinée à l’Afrique rurale où les gens entrent en contact avec des animaux sauvages ou dépecent de la viande de brousse.
La transmission de la variole du singe se fait généralement par contact direct avec des animaux infectés ou éventuellement par la consommation de viande mal cuite provenant d’un rongeur ou d’un singe infecté. Les lésions cutanées ou muqueuses des animaux infectés sont une source probable de transmission à l’homme, en particulier lorsque la peau de l’homme est abîmée par des morsures, des griffures ou d’autres traumatismes. Le transfert interhumain, probablement par des gouttelettes respiratoires infectées, est possible mais peu documenté. Une étude a suggéré qu’environ 8 à 15 % seulement des infections se produisaient par transmission interhumaine entre membres proches de la famille.
Il y a eu de nombreuses épidémies de variole du singe par le passé, qui n’ont toutes fait l’objet que d’une attention limitée de la part de la presse.
Quelle est la gravité de l’épidémie actuelle de variole du singe aux États-Unis? Au 18 mai 2022, une seule personne avait été diagnostiquée comme ayant la variole du singe aux États-Unis. (Relisez la phrase précédente) Malgré cela, des dizaines d’articles dans la presse d’entreprise ont été consacrés à la variole du singe et à ce seul cas.
La variole du singe n’est toujours pas facilement transmissible
Provoquant l’ire de la communauté LGBTQIA, l’UKHSA a indiqué que la plupart des nombreux cas de variole du singe recensés au Royaume-Uni concernent des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Bien que nous devions nous préoccuper pareillement de tous les citoyens, indépendamment de leurs penchants sexuels, le fait que la variole du singe soit confinée à une communauté sexuelle spécifique suggère que quelque chose dans cette communauté permet la propagation (extrêmement limitée) de la variole du singe, mais en même temps, cela prouve que la variole du singe n’est toujours pas aéroportée et ne se propage pas entre des personnes choisies au hasard.
Qu’est-ce qui pourrait faciliter la propagation de la variole du singe chez les homosexuels? Je l’ignore. Comme la plupart des épidémies passées de variole du singe étaient associées à des rongeurs, nous devons d’abord voir si ces hommes partageaient ou utilisaient des rongeurs ou s’ils en avaient comme animaux de compagnie ou autre.
Les anciennes épidémies de variole du singe n’ont pas fait l’objet d’un battage médiatique
Cet incident a, à juste titre, été très peu couvert, principalement par la presse locale, et a été oublié dès qu’il a pris fin.
Et alors?
Malgré le fait que rien n’indique que la variole du singe mérite autant d’attention médiatique qu’elle en reçoit, elle pourrait devenir le prochain fléau mondial, tout simplement parce que tout est possible. Bien que je sache que tout est possible, je ne vois rien de concret dans cette discussion sur la variole du singe, si ce n’est une tentative médiatique concertée d’attirer l’attention sur un sujet dont presque personne ne devrait se soucier.
J’ai fait partie des nombreuses autres personnes qui ont réalisé que le Covid-19 serait une catastrophe mondiale en janvier 2020. J’ai acheté de la nourriture, du papier toilette, etc., et j’avais tout mon argent en liquide (à part les actions de Berkshire Hathaway que je ne vends jamais). Le 24 avril 2020, j’ai investi massivement dans des actions, car je pensais que nous allions surmonter le Covid. J’ajoute que j’ai vendu des actions trop tôt à la fin de l’année 2020 en raison de craintes de surévaluation, et je n’ai pas l’habitude de faire du trading « time-to-market ». Je ne suis pas et n’ai jamais été un « market timer » qui négocie en gros plus d’une fois par an. Il s’agissait juste d’une transaction ponctuelle due à la pandémie inhabituelle de Covid que je suivais de près. C’est juste pour dire que j’essaie d’être réaliste et que j’ai de l’argent en jeu.
À ce jour, le 18 mai 2022, je crois que la variole du singe ne deviendra pas la catastrophe mondiale de demain. Si je peux prédire ce qui le sera, ce sera le VAIDS [NdT. ma traduction de cet article ici] et le Covid chronique [NdT. ma traduction de cet article ici] et de nombreux bouleversements économiques et problèmes géopolitiques, et une guerre sans fin. (Je n’essaie pas de prédire les actes de bioterrorisme tels que le Sars-Cov-2 car ils sont imprévisibles). En résumé, des temps difficiles nous attendent, mais la variole du singe restera une note de bas de page historique.
En d’autres termes, bien que les temps qui s’annoncent seront probablement difficiles, l’humanité se rétablira, prospérera et poursuivra son chemin, en connaissant peut-être une réduction de sa population qui ne mettra pas fin à la race humaine.
Pourquoi ce battage médiatique?
Quelle est la raison de cette promotion de la « sensibilisation à la variole du singe »? Je n’en ai aucune idée et je suis prêt à attendre la réponse. Cela pourrait être:
Une hystérie médiatique auto-alimentée
Bill Gates qui veut promouvoir davantage de vaccins
Un moyen de préparer le terrain pour des épidémies de variole
Une façon de détourner notre attention des personnes boostées qui meurent du Covid
Il est possible que le vaccin Covid ait rendu les homosexuels particulièrement vulnérables à la variole du singe. Si c’est le cas, cela sera dissimulé, mais finira par se savoir.
Mon article n’a pas pour but de justifier une théorie de la conspiration sur la raison pour laquelle la variole du singe occupe une place si importante dans la couverture médiatique. Je veux juste souligner qu’elle ne mérite pas une telle place dans l’actualité.
Qu’en pensez-vous? Qui profite de cette affaire de variole du singe?
Ajout du 20 mai: L’épidémie espagnole a également été retracée à un sauna spécifique, où les gens se sont beaucoup amusés ensemble.
Texte original
Is Monkeypox Hype a Paid Media Campaign?
One Case in the US Gets Enormous Media Attention
Igor Chudov
May 19
I love reading news and I know that I tend to be too alarmist. Thus, the recent monkeypox talk, that is all over the liberal press and Twitter, piqued my interest.
Is there a new terrible pandemic coming? Will it kill 10% of our population? Do we need to trust science, as always, and urgently inject ourselves with a recently developed “monkeypox vaccine”, that is definitely safe and effective? Should we forget Covid vaccination lies and abuses, endless illness among the boosted, etc, and again look at “health authorities” as our saviors, swallowing every word?
Or, perhaps, this is just noise and the media trying to distract us from something? Is someone paying off the media to sell us a new concern and new “treatments”?
Let’s look.
Monkeypox is Not Endemic to Humans and is Not New
Read this excellent article written before 2022, about monkeypox. Monkeypox is a virus with some genetic similarities to smallpox, that has somewhat similar presentation to smallpox through pus filled pustules.
It is not easy for humans to get infected with monkeypox. It is an animal disease, present among African rodents and other animals, that usually requires close human-animal contact to establish transmission. Thus, it is usually confined to rural Africa where people contact wild animals or butcher bushmeat.
Transmission of monkeypox is usually by direct contact with infected animals or possibly by eating poorly cooked meat from an infected rodent or monkey. Cutaneous or mucosal lesions on the infected animals are a likely source of transmission to humans, especially when the human skin is broken due to bites, scratches, or other trauma — are a likely source for virus infection. Human-to-human transfer, probably by infected respiratory droplets, is possible but is not often documented. One study suggested that only about 8%-15% of infections occurred through human-to-human transmission among close family members.
There were numerous outbreaks of monkeypox in the past, all receiving scant attention from the press.
How bad is the current monkeypox outbreak in the US? Only one person in the US was diagnosed with monkeypox as of May 18, 2022. (Read this again) Despite that, dozens of news articles in the corporate press were devoted to monkeypox and this one case.
Monkeypox is Still not Easily Transmissible
Provoking the ire of the LGBTQIA community, UKHSA reported that most of the several UK cases of monkeypox occur among men who have sex with men. While we should equally care about all citizens regardless of their sexual proclivities, the fact that monkeypox is confined to a specific sexual community suggests that there is something in that community that enables the (extremely limited) spread of monkeypox, but at the same time, it proves that monkeypox is still not airborne and does not spread between randomly chosen persons.
What could facilitate the spread of monkeypox among gay men? I do not know. As most past monkeypox outbreaks were associated with rodents, we first need to see if these men shared or used any rodents or had them as pets or some such.
Past Outbreaks of Monkeypox were Not Hyped Up
In 2003, 71 persons in the US were infected with monkeypox. That incident was also rodent driven, had very limited human-to-human transmission, and fizzled out as soon as it was identified and the rodents were taken care of.
This incident deservedly received very little coverage, mostly in the local press, and was forgotten as soon as it ended.
So what?
Despite literally zero indication that monkeypox deserves as much media attention as it receives, it could somehow become the next global plague just because anything is possible. Despite knowing that anything is possible, I see nothing concrete in this monkeypox talk other than a concerted media attempt at bringing attention to a topic that almost nobody should care about.
I was one of the numerous other people who realized that Covid-19 will be a global disaster in January 2020. I bought food, toilet paper etc, and had all money in cash (other than Berkshire Hathaway I never sell). I majorly shifted money into stocks on April 24, 2020, because I thought that we will get through Covid. To add something, I sold stocks too early in late 2020 due to overpricing concerns, and I do not normally trade to time markets. I am not and never was a market timer who would trade more than once a year or so. It was just a one-time deal due to the unusual Covid pandemic that I started following closely. This is just to say that I am trying to be realistic and have money on the line.
As of this day, May 18, 2022, I believe that monkeypox will not be the global disaster of the future. If I may predict what will, it is VAIDS and Chronic Covid and numerous economic dislocations and geopolitical problems, and endless war. (I do not try to predict bioterrorism such as Sars-Cov-2 because it is unpredictable). The bottom line is, bad times lie ahead, but monkeypox will remain a historical footnote.
To clarify, despite likely seeing bad times ahead, humanity will heal, thrive, and continue on, perhaps experiencing a population reduction that will not end the human race.
Why the Hype?
What is the reason “monkeypox awareness” is now promoted? I have no idea and I am willing to just wait until we find out. It could be:
Self fed media hysterics
Bill Gates promoting more vaccines
Paving a way for smallpox outbreaks
A way to distract us from boosted people dying from Covid
There is a possibility that Covid vaccination made gay people uniquely susceptible to monkeypox. If that is the case, it will be covered up, but will eventually come out.
My article is not attempting to prove a conspiracy theory about why exactly monkeypox is so elevated in the news coverage. I just want to point out that it does not deserve to be in the news so much.
What do you think? Who benefits from this monkeypox business?
EDIT May 20: The Spain outbreak was also tracked to one specific sauna, where people had a lot of fun together.
On plonge directement dans le nid de frelons avec cet article signé Whitney Webb.
J’enchaîne avec un bref aperçu de la simulation « variole du singe » de mars 2021 dont il est question dans l’article pour donner ensuite la parole au toujours fiable Dr Igor Chudov, sur le même sujet.
Pour éviter de heurter la sensibilité des lecteurs, je n’ai pas inclus les photos de l’article original.
Les craintes liées à la variole du singe pourraient sauver des entreprises en péril
Il y a quelques semaines à peine, deux sociétés corrompues se trouvaient en territoire financier instable. Aujourd’hui, alors que les médias et les organismes de santé mondiaux s’inquiètent d’une épidémie mondiale de variole du singe, les inquiétudes – et les péchés – de ces deux entreprises semblent avoir été bien vite oubliées.
par Whitney Webb – 20 mai 2022
Ces derniers jours, les médias et les ministères de la santé du monde entier ont fait grand cas de l’apparition d’une épidémie mondiale de variole du singe, une maladie bénigne apparentée à la variole et à la varicelle, et ont même provoqué une réunion d’urgence de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Certains craignent que la variole du singe soit la « prochaine pandémie » potentielle après celle du Covid-19. Pour d’autres, la crainte est que la variole du singe soit utilisée comme un nouveau prétexte pour faire progresser les politiques draconiennes de biosécurité et les prises de pouvoir au niveau mondial.
Quelle que soit l’issue de la crise de la variole du singe, deux entreprises en tirent d’ores et déjà profit. L’inquiétude suscitée par la variole du singe a entraîné une hausse des actions d’Emergent Biosolutions et de SIGA Technologies. Ces deux sociétés détiennent rien moins que le monopole sur le marché américain, ainsi que sur d’autres marchés, pour les vaccins et les traitements contre la variole. Leurs principaux produits de lutte contre la variole sont, comme par hasard, également utilisés pour prévenir ou traiter la variole du singe. En conséquence, les actions d’Emergent Biosolutions ont grimpé de 12% jeudi, tandis que celles de SIGA ont grimpé de 17,1%.
Pour ces entreprises, les craintes liées à la variole du singe représentent une aubaine, en particulier pour SIGA, qui fabrique un traitement contre la variole, connu sous le nom de marque TPOXX. Il s’agit du seul produit de SIGA. Si certains médias ont noté que la hausse de l’évaluation de SIGA Technologies a coïncidé avec les récentes inquiétudes concernant la variole, aucune attention n’a été accordée au fait que la société constitue apparemment la seule pièce de l’empire d’un puissant milliardaire à ne pas être en plein effondrement.
Ce milliardaire, le « pilleur de sociétés » Ron Perelman, entretient des liens profonds et controversés avec la famille Clinton et le Parti Démocrate, ainsi que des liens troubles avec Jeffrey Epstein. En dehors de sa participation majoritaire dans SIGA, Perelman a récemment fait la une des journaux pour avoir liquidé rapidement un grand nombre de ses actifs dans une tentative désespérée de trouver des liquidités.
De même, Emergent Biosolutions a également traversé des moments difficiles. La société, aux liens troubles avec les attaques à l’anthrax de 2001, a été critiquée il y a un peu moins de deux semaines pour avoir « dissimulé » des problèmes de contrôle de la qualité liés à la production de vaccins Covid-19. Une enquête du Congrès a révélé que des problèmes de contrôle de la qualité dans une usine gérée par Emergent ont conduit à la mise au rebut de plus de 400 millions de doses de vaccins Covid-19. L’usine Emergent en question avait été fermée par la FDA en avril 2021. Elle a été autorisée à rouvrir en août dernier, avant que le gouvernement ne mette fin au contrat. Étant donné que la majorité de l’activité de cette entreprise dépend de ses contrats avec le gouvernement américain, de la perte de ce contrat et de la mauvaise publicité qui l’accompagne, la nouvelle que son vaccin antivariolique pourrait bientôt présenter un intérêt international doit probablement être prise comme une véritable aubaine par cette compagnie.
Il est à noter que c’est la deuxième fois en un an que ces deux entreprises bénéficient des craintes de pandémie ou de bioterrorisme propagées par les médias. En novembre dernier, on a assisté à une vague de spéculations sur une réapparition prochaine du virus éradiqué de la variole. Cela a commencé avec les commentaires de Bill Gates sur les perspectives de bioterrorisme lié à la variole lors d’une interview du 4 novembre 2021 [NdT. voir mon article ici] et a été suivi par l’annonce, le 16 novembre, d’une enquête du CDC/FBI sur 15 flacons suspects étiquetés « variole » dans une usine Merck à Philadelphie [NdT. voir mon autre article ici]. Aujourd’hui, environ six mois plus tard, les mêmes craintes se révèlent à nouveau payantes pour les deux mêmes entreprises.
Une entreprise qui tue
Emergent Biosolution était auparavant connue sous le nom de BioPort. La société a été fondée par Fuad el-Hibri, un homme d’affaires libanais, qui a mis à profit ses contacts avec d’anciens responsables militaires et politiques américains très puissants pour prendre le contrôle d’une usine du Michigan en difficulté. C’était la seule usine autorisée à produire un vaccin contre l’anthrax.
On savait que le vaccin contre l’anthrax présentait des problèmes majeurs avant même que BioPort ne l’acquière, et de nombreux chercheurs pensent qu’il est l’une des principales causes du syndrome de la « guerre du Golfe » [NdT. je vous recommande vivement la lecture de ce récent article qui traite le sujet en profondeur et complètera la présente analyse]. Le vaccin lui-même, développé à l’origine à Fort Detrick, n’avait que peu ou pas d’antécédents de sécurité au moment où il a été administré aux troupes américaines lors de la première guerre du Golfe – un problème qui n’a jamais été résolu. Cependant, ses problèmes chroniques de sécurité et son schéma multidose malcommode ont incité BioPort/Emergent Biosolutions à consacrer plusieurs années au développement d’une nouvelle formulation de son vaccin contre l’anthrax.
La création de BioPort a coïncidé avec les tentatives de l’administration Clinton de rendre obligatoire le vaccin contre l’anthrax pour tous les membres des forces armées américaines. En contrôlant la seule source de vaccin contre l’anthrax, BioPort était sur le point de faire un malheur.
Après que la société ait acquis l’usine du Michigan, elle a reçu d’importantes sommes d’argent du gouvernement américain, apparemment pour apporter des améliorations au site. Cependant, la société a refusé d’utiliser ces fonds pour effectuer les réparations nécessaires, préférant consacrer cet argent aux bureaux de ses dirigeants, plutôt qu’à l’usine de vaccins, et à verser des millions de dollars en primes à la « haute direction ». Les auditeurs du Pentagone ont par la suite découvert que des millions de dollars supplémentaires avaient « disparu » et que le personnel de BioPort ignorait le coût de production par dose de vaccin. Malgré cette mauvaise gestion et cette corruption évidentes, BioPort a exigé d’être renfloué par le Pentagone, ce qui fut fait. Entre-temps, l’usine du Michigan a perdu sa licence après qu’une inspection gouvernementale ait révélé de nombreux problèmes de sécurité.
Quoiqu’il en soit, en août 2001, BioPort courait le risque de perdre les contrats du Pentagone, sa seule source de revenus. Le Pentagone a alors entrepris la préparation d’un rapport, qui devait être publié en septembre 2001, et qui exposait en détail un plan de liquidation de BioPort. En raison de l’attaque du 11 septembre 2001 contre le Pentagone, ce rapport n’a jamais été publié. Peu de temps après, les attaques à l’anthrax de 2001 ont commencé.
Quelques mois auparavant, BioPort avait passé un contrat avec le Battelle Memorial Institute pour l’aider à sauver son programme de vaccins en difficulté. L’accord a permis à Battelle d’avoir accès à « une exposition immédiate au vaccin » et celui-ci a été utilisé dans le cadre du programme de gain de fonction de l’anthrax financé par le Pentagone, qui impliquait Ken Alibek et William C. Patrick III, deux experts en armes biologiques ayant des liens étroits avec la CIA. Ce programme était hébergé dans les installations de Battelle à West Jefferson dans l’Ohio. De nombreux enquêteurs pensent que cette installation était la source de l’anthrax utilisé dans les attaques de 2001.
La panique qui a suivi les attaques à l’anthrax a conduit le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (Health and Human Services – HHS) à intervenir. Celui-ci a rendu sa licence à BioPort en janvier 2002, malgré la persistance de problèmes de sécurité dans son usine de production de vaccins du Michigan. BioPort ne s’est cependant pas contentée de voir ses anciens contrats avec le Pentagone rétablis, puisqu’elle a commencé à exercer un lobbying intense pour remporter de nouveaux contrats de vaccins contre l’anthrax destinés aux civils américains, aux postiers et autres. Elle les a obtenus, en grande partie grâce à Jerome Hauer, conseiller en matière de lutte contre le terrorisme à l’époque et bientôt nouveau secrétaire adjoint du Ministère de la Santé. Hauer rejoindra plus tard le conseil d’administration de BioPort, après sa refonte en tant qu’Emergent Biosolutions, en 2004.
De tels exemples de copinage sont monnaie courante chez Emergent Biosolutions. En effet, la société s’est souvent appuyée sur des individus qui ont passé leur carrière à franchir la « porte tournante » entre l’industrie pharmaceutique et le gouvernement, en particulier ceux qui jouent aussi les alarmistes en matière de bioterrorisme.. L’une des principales personnes à avoir joué un rôle essentiel dans le succès de l’entreprise au fil des ans est Robert Kadlec. Kadlec était le principal conseiller en bioterrorisme du Pentagone dans les semaines qui ont précédé les attaques à l’anthrax de 2001. Quelques mois auparavant, il avait participé à la simulation Dark Winter de juin 2001, qui avait « prédit » des aspects majeurs des attaques à l’anthrax qui ont suivi. M. Kadlec a ensuite rédigé une grande partie de la législation qui allait créer la politique de réponse du pays en matière de bioterrorisme et de pandémie, y compris la BARDA [NdT. La Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) est un bureau du département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis (HHS) chargé de l’acquisition et du développement de contre-mesures médicales, principalement contre le bioterrorisme] et le Stock National Stratégique [NdT. Le Strategic National Stockpile (SNS) fait partie de l’infrastructure fédérale d’intervention médicale et peut compléter les contre-mesures médicales dont ont besoin les États, les nations tribales, les territoires et les plus grandes zones métropolitaines en cas d’urgence de santé publique].
Peu après avoir quitté le gouvernement, Robert Kadlec a participé à la création d’une nouvelle entreprise en 2012, appelée « East West Protection« , qui développe et fournit des « systèmes intégrés de préparation et de réponse à tous les risques pour les communautés et les nations souveraines. » D’autre part, la société « conseille les communautés et les pays sur les questions liées à la menace des armes de destruction massive et des pandémies naturelles. »
M. Kadlec a créé cette société avec W. Craig Vanderwagen, le Premier Secrétaire adjoint du HHS chargé de la Préparation et de la Réponse (un poste que M. Kadlec a contribué à faire adopter par voie législative et qu’il occupera plus tard lui-même). L’autre cofondateur d’East West Protection était Fuad El-Hibri, le fondateur de BioPort/Emergent Biosolutions, qui venait de quitter son poste de PDG d’Emergent plus tôt cette année-là.
Kadlec est ensuite devenu consultant. Le cabinet de conseil de Kadlec, RPK Consulting, lui a rapporté 451.000 dollars rien qu’en 2014, où il a directement conseillé Emergent Biosolutions ainsi que d’autres sociétés pharmaceutiques comme Bavarian Nordic. Kadlec a également été consultant pour des entreprises militaires et de renseignement, comme Invincea, une entreprise soutenue par la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency], et Scitor, une entreprise de la NSA [National Security Agency], qui a récemment été rachetée par SAIC [Science Applications International Corp].
Kadlec devait réintégrer le gouvernement en tant qu’ASPR [Secrétaire Adjoint pour la Préparation et la Réponse – Assistant Secretary for Preparedness and Response] au HHS sous Trump, un poste qu’il occupait au moment où la crise Covid-19 a commencé. L’année précédente, en 2019, Kadlec avait mené une simulation de plusieurs mois axée sur une pandémie mondiale originaire de Chine, appelée Crimson Contagion. Une fois que la crise du Covid-19 a commencé pour de bon, il a joué un rôle majeur dans l’obtention de contrats de vaccins Covid-19 pour Emergent Biosolutions, malgré ses conflits d’intérêts, dont certains qu’il avait refusé de divulguer lors de sa nomination au poste d’ASPR.
Le schéma de corruption d’Emergent Biosolutions, initié avec son vaccin contre l’anthrax, persiste dans ses actions récentes relatives à la production des vaccins Covid-19. D’après le récent rapport du Congrès, publié quelques jours avant le récent pic d’inquiétude suscité par la variole du singe, les employés du laboratoire d’Emergent ont « intentionnellement cherché à tromper les inspecteurs du gouvernement sur les problèmes » de son usine de Baltimore et ont également « repoussé » à plusieurs reprises les tentatives d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson d’inspecter leurs installations. « Malgré des signaux d’alarme importants dans son usine de fabrication de vaccins, les dirigeants d’Emergent ont balayé ces problèmes sous le tapis et ont continué à encaisser l’argent des contribuables », a déclaré lors de la publication du rapport Carolyn Maloney (D-NY), Présidente de la Commission de Surveillance et de Réforme de la Chambre des Représentants. Ces « signaux d’alarme majeurs » sont pourtant présents tout au long de l’histoire de la société, pour qui veut bien prendre le temps de regarder.
Quelques jours seulement après la publication du rapport du Congrès, Emergent Biosolutionsa annoncé qu’elle allait acquérir les droits exclusifs mondiaux du « premier antiviral oral contre la variole approuvé par la FDA pour tous les âges » auprès de la société Chimerix. Ce médicament, appelé TEMBEXA, est uniquement destiné au traitement de la variole, que la société qualifie de « menace de santé publique hautement prioritaire ». Le communiqué de presse relatif à l’acquisition de TEMBEXA par la société indique que des contrats de plusieurs millions de dollars avec le gouvernement américain sont prévus pour ce produit. La FDA a officiellement approuvé le médicament en juin dernier.
Emergent Biosolutions détient également les droits sur le vaccin antivariolique connu sous le nom d’ACAM2000, qui peut également être utilisé pour traiter la variole du singe. Le vaccin, initialement produit par Sanofi, a été acquis par la société en 2017. Par conséquent, la société dispose d’un véritable monopole sur les vaccins antivarioliques, car ACAM2000 est « le seul vaccin autorisé par la FDA pour l’immunisation active contre la variole chez les personnes déterminées comme étant à haut risque d’infection par la variole. »
Compte tenu de leurs antécédents, il convient de se demander pourquoi Emergent Biosolutions s’est efforcée ces derniers mois d’orienter une grande partie de ses activités vers les traitements antivarioliques. Toutefois, aucune spéculation n’est nécessaire pour constater que les craintes actuelles liées à la variole contribuent à sauver cette entreprise, dont les actions avaient chuté d’environ 26% depuis le début de l’année avant que les inquiétudes liées à la récente épidémie de variole ne prennent de l’ampleur.
Quelle que soit l’issue de l’affaire de la variole du singe, le bilan des décennies d’activité de Emergent Biosolutions est indéniablement marqué par la corruption et le copinage.
Une « armure biologique » pour l’empire commercial chancelant de Ron Perelman
SIGA Technologies, qui compare ses produits à une » armure biologique humaine « , affiche une citation de Bill Gates en haut de sa page d’accueil. Cette citation se lit comme suit : « […] la prochaine épidémie pourrait naître sur l’écran d’ordinateur d’un terroriste désireux d’utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole […] ». La citation est tirée du discours de Bill Gates à la Conférence de Munich sur la Sécurité de 2017, où il a utilisé la menace spécifique de la variole pour justifier la fusion de la « sécurité sanitaire » et de la « sécurité internationale ». Fait notable, en mars dernier, la Conférence sur la Sécurité de Munich a hébergé une simulation de pandémie mondiale causée par un « virus de la variole du singe génétiquement modifié. » [NdT. je traduirai quelques points de cet édifiant document]
SIGA est le parfait exemple d’une entreprise qui cherche à trouver sa place entre « sécurité sanitaire » et « sécurité internationale ». Elle fournit spécifiquement « des solutions pour des besoins non satisfaits sur le marché de la sécurité sanitaire qui comprennent des contre-mesures médicales contre les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), ainsi que les maladies infectieuses émergentes ». La majorité des contrats relatifs aux contre-mesures médicales CBRN aux États-Unis sont financés par le Pentagone. Bien qu’elle se présente comme une entreprise axée sur les menaces CBRN, SIGA se concentre, pour l’instant, uniquement sur la variole.
En effet, SIGA Technologies n’est actuellement rentable qu’en cas d’épidémie réelle de variole ou d’une maladie connexe, ou lorsque la crainte d’un événement bioterroriste lié à la variole est élevée. C’est précisément cette dernière crainte qui a permis à l’entreprise de remporter des contrats gouvernementaux pour produire du TPOXX pour le Stock National Stratégique (SNS). En effet, le TPOXX est uniquement utilisé pour traiter l’infection active par la variole ou la variole du singe, et non pour la prévenir. Cela signifie qu’il n’est utile que si la variole, la variole du singe ou une maladie apparentée infecte activement des personnes ou s’il existe un risque élevé que l’une de ces maladies infecte bientôt de grands groupes de personnes. Le TPOXX a été approuvé pour la première fois en 2018 par la FDA et a été approuvé par l’Agence Européenne du Médicament (EMA) en janvier dernier. La FDA a approuvé une version intraveineuse du TPOXX pas plus tard que jeudi dernier. Au total, SIGA a reçu plus d’un milliard de dollars du gouvernement américain pour développer le TPOXX.
SIGA travaille actuellement en partenariat avec le BARDA du HHS, le Ministère de la Défense, le CDC et les NIH. Un autre partenaire est la société Lonza, une entreprise européenne de fabrication de produits pharmaceutiques qui est associée à la fois au Forum Economique Mondial et à Moderna. Le PDG de SIGA, Phillip Gomez, est un ancien de PRTM Consulting, où il a dû travailler en étroite collaboration avec Robert Kadlec, puisque les deux hommes se sont côtoyés en tant que directeurs de la société et ont tous deux conseillé des agences gouvernementales sur des questions de santé publique et de biodéfense.
Il faut souligner également que SIGA est probablement la seule entreprise de l’empire commercial du prédateur Ron Perelman qui ne soit pas accablée par des montagnes de dettes. Perelman est l’un des prédateurs d’entreprises les plus connus des années 1980, qu’il a procédé à des rachats d’entreprises financés par des obligations pourries, notamment celles liées à la société Drexel Burnham Lambert de Michael Milken. Les tactiques commerciales de Perelman sont depuis longtemps dictées par son tempérament volcanique et son caractère impitoyable. L’ancien PDG de Salomon Brothers, John Gutfruend, a fait remarquer un jour que « croire que M. Perelman ne nourrit aucune intention hostile revient à croire que la petite souris existe ». [NdT. la petite souris qui échange les dents de lait contre une pièce de monnaie, vous connaissez]
Perelman est également connu comme mécène de longue date de la famille Clinton, même si, plus récemment, il a fait des dons aux campagnes politiques de Donald Trump. Perelman a apparemment commencé à s’intéresser à l’influence des Clinton après avoir épousé Patricia Duff en 1994. Duff était très liée au Parti Démocrate, pour avoir travaillé pour le sondeur Démocrate Pat Cadell, et elle avait également travaillé pour la commission de la Chambre qui a « enquêté » sur les assassinats de John F. Kennedy et de Martin Luther King Jr. Avant d’épouser Perelman, elle avait été mariée au magnat du cinéma Michael Medavoy et avait « présenté Clinton à l’establishment d’Hollywood », selon le Washington Post.
En tant qu’épouse de Perelman, Duff s’est présentée comme l’une des principales collectrices de fonds du Parti Démocrate, le dîner de collecte de fonds de 1995 en étant le symbole. En 1995, Perelman a également assisté à un dîner à 1.000 dollars le couvert à New York pour les Clinton, où Perelman était assis en face du Président, ainsi qu’à un dîner d’État pour le président du Brésil à la Maison Blanche.
La générosité de Perelman envers la machine politique des Clinton lui a valu d’être nommé par ces derniers au conseil d’administration du Kennedy Center en 1995. Il est probable que les Clinton aient eu pour lui d’autres gestes moins publics, car Perelman a offert beaucoup plus à la Première Famille qu’il ne semble avoir reçu en retour. Parmi les faveurs accordées par Perelman à Bill Clinton, la plus notable est sans doute l’offre d’emplois qu’il a faite à des membres de son administration en proie à des scandales, Webster Hubbell et Monica Lewinsky, à la suite de leurs controverses respectives. Cependant, après que ces offres d’emploi aient été rendues publiques, Hubbell et Lewinsky ont tous deux été licenciés, ces offres ayant toutefois ensuite attiré l’attention de l’avocat indépendant Ken Starr. Ce dernier n’a jamais assigné à comparaître ni enquêté sur Perelman ou sur les offres qu’il avait faites à Hubbell ou Lewinsky.
Les embauches controversées avaient été convenues entre Perelman et Vernon Jordan, conseiller de Clinton, qui siégeait au conseil d’administration de Revlon, une société contrôlée par Perelman, tandis que sa femme siégeait au conseil d’administration d’une autre société appartenant à Perelman. Jordan était connu pour être le » passeur de Clinton vers les hauts et les puissants » et avait emmené Clinton à la conférence Bilderberg de 1991. Au sujet de la décision d’engager Lewinsky à la suite du scandale, un ancien associé de Perelman a déclaré au Washington Post que « c’est comme dans la mafia, tout fonctionne selon un code », ajoutant que « je peux vous assurer que Ronald a pris la décision de donner le poste à Lewinsky. Et je peux vous assurer qu’il ne voulait pas savoir pourquoi Jordan le demandait. »
En 1995, Perelman a organisé une collecte de fonds pour Clinton dans son manoir, avec comme invités le chanteur Jimmy Buffett, l’acteur de Miami Vice Don Johnson, la femme de l’acteur Michael Douglas à l’époque, Deandra, et le coprésident du DNC Don Fowler [NdT. Le Comité national démocrate (en anglais : Democratic National Committee, abrégé en DNC) est un organisme politique américain chargé de diriger le Parti Démocrate au niveau national]. Parmi les autres invités figuraient A. Paul Prosperi, un copain corrompu de Clinton, et le désormais tristement célèbre Jeffrey Epstein. Clinton a personnellement participé à la collecte de fonds. Selon le Palm Beach Post, les invités avaient donné au moins 100.000 dollars au DNC pour assister au dîner avec le Président. Cela se passait, bien sûr, à l’approche des élections de 1996, et le DNC a fait l’objet d’un examen approfondi pour collecte illégale de fonds. Cette collecte de fonds n’a pas été la seule interaction d’Epstein avec Perelman – Perelman sera plus tard répertorié comme un invité fréquent d’Epstein dans le portrait de Vanity Fair de 2003 écrit par Vicky Ward et figure dans le livre noir des contacts d’Epstein.
Pendant la majeure partie des années 2000, Perelman a régné sur une fortune massive et en croissance constante. Pourtant, depuis 2020, Perelman « s’est débarrassé de ses actifs. De beaucoup d’actifs. Rapidement. » Cela a commencé par la vente de tableaux de valeur chez Sotheby’s et s’est bientôt étendu à la société d’investissement de Perelman, MacAndrews & Forbes, qui a cédé sa participation dans deux sociétés la même année, dont 1 milliard de dollars d’actions de Scientific Games. Selon MoneyWeek, la valeur nette de Perelman a chuté de 19 milliards de dollars en 2018 à 4,2 milliards de dollars à la fin de 2020, « suscitant des conjectures selon lesquelles il serait à court d’argent. » Au cours de l’année dernière, Perelman a continué à « réduire ses effectifs », cherchant à vendre son domaine dans les Hamptons pour 115 millions de dollars, un autre domaine de 57 acres d’une valeur de 180 millions de dollars et deux maisons de ville dans l’Upper East Side de Manhattan pour 60 millions de dollars.
D’autres actifs détenus par la société de Perelman, MacAndrews & Forbes, croulent également sous les dettes. L’un des rares actifs de la société qui n’est pas à ce jour en pleine hémorragie d’argent ou en prise avec des dettes est sa participation dans SIGA Technologies. La société principale de Perelman, MacAndrews & Forbes, a longtemps été l’un des principaux investisseurs de SIGA et reste son principal actionnaire, contrôlant 33% de toutes ses actions.
Depuis que Perelman est impliqué dans SIGA, la compagnie fait l’objet d’accusations de corruption. Par exemple, en mai 2011, SIGA a obtenu un contrat sans appel d’offres d’une valeur d’environ 433 millions de dollars pour développer et produire 1,7 million de doses d’un médicament antiviral contre la variole. À l’époque, rien ne prouvait que le médicament antiviral en question était capable de traiter la maladie et certains membres du personnel du HHS se sont émus du fait que le retour sur investissement de SIGA dans le cadre de ce contrat était « scandaleux. » Le contrat a alors fait l’objet d’une enquête, car on craignait qu’il n’ait été attribué à SIGA précisément parce qu’elle était contrôlée par Perelman, qui avait fait des dons importants à Barack Obama. À l’époque, CNN a noté ce qui suit au sujet des liens de Perelman avec la Maison Blanche d’Obama:
« Ronald Perelman est l’actionnaire majoritaire de Siga Technologies et un militant et collecteur de fonds de longue date du Parti Démocrate. Il est également un gros contributeur des Républicains, mais il est particulièrement ami avec la Maison Blanche d’Obama.
Andy Stern, ancien président du Syndicat International des Employés de Service, qui a eu des relations étroites avec l’administration Obama et qui a soutenu les initiatives du président Barack Obama en matière de soins de santé, fait également partie du conseil d’administration de Siga. »
Du fait de ces préoccupations et du potentiel conflit d’intérêt, une enquête du Congrès a été ouverte. Quelques jours après avoir appris la menace qui pesait sur ce contrat gouvernemental clé, les dirigeants de SIGA ont vendu de grandes quantités d’actions de la société à un prix moyen de 13,46 dollars par action, ce qui a rapporté des millions de dollars à son Directeur Général et à son Directeur Scientifique de l’époque. Un mois plus tard, la société annonçait que son contrat avait été réduit et les actions de la société étaient tombées à moins de 2 dollars en décembre.
Étant donné les précédentes accusations de « pay-to-play » [NdT. en gros, pots-de-vin] entourant le rôle de Perelman dans l’entreprise pendant l’administration Obama, alors que le Président Joe Biden était Vice-Président, que devons-nous penser du récent battage médiatique autour de la variole du singe? Ou des inquiétudes soulevées l’année dernière concernant un événement bioterroriste impliquant la variole?
Il est peut-être plus important de poser d’autres questions: pourquoi le rôle de Perelman dans SIGA a-t-il été largement occulté ou totalement ignoré dans les récents communiqués sur cette entreprise? De même, pourquoi les épouvantables antécédents d’Emergent Biosolutions ont-ils également été exclus des récents communiqués, y compris des principales plaintes déposées par le Congrès contre la société il y a moins de deux semaines? Il semble que la peur générée par la variole du singe ne fait pas que stimuler les actions de ces deux sociétés pourries, elle aide aussi le public à oublier leurs anciens péchés.
Whitney Webb est une rédactrice, chercheuse et journaliste professionnelle depuis 2016. Elle a écrit pour plusieurs sites web et, de 2017 à 2020, a été rédactrice en chef et journaliste d’investigation principale pour Mint Press News. Elle écrit actuellement pour The Last American Vagabond.
Texte original
Monkeypox Fears May Rescue Endangered Corporations
Two corrupt companies were in rocky financial territory just a few weeks ago. Now, with concerns over a global monkeypox outbreak being hyped by media and global health organizations alike, the worries – and sins – of these two firms are quickly being forgotten.
by Whitney Webb – May 20, 2022
In recent days, concern over a global outbreak of monkeypox, a mild disease related to smallpox and chickenpox, has been hyped in the media and health ministries around the world, even prompting an emergency meeting at the World Health Organization (WHO). For some, fears have centered around monkeypox being the potential “next pandemic” after Covid-19. For others, the fear is that monkeypox will be used as the latest excuse to further advance draconian biosecurity policies and global power grabs.
Regardless of how the monkeypox situation plays out, two companies are already cashing in. As concern over monkeypox has risen, so too have the shares of Emergent Biosolutions and SIGA Technologies. Both companies essentially have monopolies in the US market, and other markets as well, on smallpox vaccines and treatments. Their main smallpox-focused products are, conveniently, also used to protect against or treat monkeypox as well. As a result, the shares of Emergent Biosolutions climbed 12% on Thursday, while those of SIGA soared 17.1%.
For these companies, the monkeypox fears are a godsend, specifically for SIGA, which produces a smallpox treatment, known by its brand name TPOXX. It is SIGA’s only product. While some outlets have noted that the rise in the valuation of SIGA Technologies has coincided with recent concerns about monkeypox, essentially no attention has been given to the fact that the company is apparently the only piece of a powerful billionaire’s empire that isn’t currently crumbling.
That billionaire, “corporate raider” Ron Perelman, has deep and controversial ties to the Clinton family and the Democratic party as well as troubling ties to Jeffery Epstein. Aside from his controlling stake in SIGA, Perelman has recently made headlines for rapidly liquidating many of his assets in a desperate bid for cash.
Similarly, Emergent Biosolutions has also been in hot water. The company, which has troubling ties to the 2001 Anthrax attacks, came under fire just under two weeks ago for engaging in a “cover up” over quality control issues relating to their production of Covid-19 vaccines. A Congressional investigation found that quality control concerns at an Emergent-run facility led to more than 400 million doses of Covid-19 vaccines being discarded. The Emergent factory in question had been shut down by the FDA in April 2021. They were allowed to reopen last August before the government terminated the contract. Given that the majority of the company’s business is tied to US government contracts, the loss of this contract, and the accompanying poor publicity, the news that its smallpox vaccine may soon be of international interest is likely seen as a godsend by the company.
Notably, this the second time in a year that both companies have benefitted from pandemic or bioterror fears propagated by the media. Last November, speculation rose that a re-emergence of the eradicated virus that causes smallpox would soon take place. This first began with Bill Gates’ comments on the prospects of smallpox bioterrorism during a November 4th, 2021 interview and was followed by the November 16th announcement of a CDC/FBI investigation into 15 suspicious vials labeled “smallpox” at a Merck facility in Philadelphia. Now, roughly six months later, the same fears are again paying off for the same two companies.
A Killer Enterprise
Emergent Biosolution was previously known as BioPort. The company was founded by Fuad el-Hibri, a Lebanese businessman, who leveraged his contacts with powerful US former military officials and politicians, to take control of a flailing Michigan factory. It was the only factory authorized to produce an anthrax vaccine.
The anthrax vaccine was known to have major problems even before BioPort had acquired it, and is believed by many investigators to be one of the main causes of “Gulf War” syndrome. The vaccine itself, originally developed at Fort Detrick, had little to no safety track record at the time it was administered to US troops in the First Gulf War – a problem that was never remedied. However, its chronic safety issues and its clumsy, multi-dose regimen would later prompt BioPort/Emergent Biosolutions to spend years developing a new formulation of its anthrax vaccine.
The creation of BioPort coincided with the Clinton administration’s efforts to mandate the anthrax vaccine for all members of the US Armed Forces. With control over the only source of anthrax vaccine, BioPort was poised to make a killing.
Once the company acquired the Michigan facility, it took large amounts of US government funds, ostensibly to make improvements at the site. However, the company declined to use the funds to make the necessary repairs, instead spending that money on its executives’ offices, as opposed to the vaccine factory, and millions more on bonuses for “senior management.” Pentagon auditors would later find that still millions more had gone “missing” and BioPort’s staff were unaware of the cost of producing a single dose of the vaccine. Despite the clear mismanagement and corruption, BioPort demanded to be bailed out by the Pentagon, and they were. Meanwhile, the Michigan facility lost its license after a government inspection found numerous safety issues.
However, by August 2001, BioPort stood to lose the Pentagon contracts – its only source of income. The Pentagon began preparing a report, due to be released in September 2001, that would detail a plan for letting BioPort go. Thanks to the September 11, 2001 attack on the Pentagon, that report was never released. Shortly thereafter, the 2001 anthrax attacks began.
Just months before, BioPort had contracted Battelle Memorial Institute to help rescue its flailing vaccine program. The deal gave Battelle “immediate exposure to the vaccine” and it was used in connection with the Pentagon-funded, gain-of-function anthrax program that involved both Ken Alibek and William C. Patrick III, two bioweapons experts with deep ties to the CIA. That program was housed at Battelle’s West Jefferson facility in Ohio. That facility is believed by many investigators to be the source of the anthrax used in the 2001 attacks.
The ensuing panic from the anthrax attacks led the Department of Health and Human Services (HHS) to intervene. They gave BioPort its license back in January 2002 despite persisting safety concerns at its vaccine production facility in Michigan. BioPort was not content to merely see its past contracts with the Pentagon restored, however, as it began lobbying heavily for new contracts for anthrax vaccines intended for American civilians, postal workers and others. They would get them, largely thanks to HHS’ then-counter-terrorism adviser and soon to be HHS’ newest Assistant Secretary — Jerome Hauer. Hauer would later join the board of BioPort, after it reformed as Emergent Biosolutions, in 2004.
Such examples of cronyism are more common than not when it comes to Emergent Biosolutions. Indeed, the company has frequently relied on individuals who spend their careers passing through the “revolving door” between the pharmaceutical industry and government, particularly those who also moonlight as bioterror alarmists. One of the main individuals critical to the company’s success over the years has been Robert Kadlec. Kadlec served as the top bioterror advisor to the Pentagon in the weeks leading up to the 2001 anthrax attacks. Months prior, he had participated in the June 2001 simulation Dark Winter, which “predicted” major aspects of the subsequent anthrax attacks. Kadlec subsequently crafted much of the legislation that would create the country’s subsequent bioterror/pandemic response policy, including BARDA and the Strategic National Stockpile.
Soon after leaving government, Robert Kadlec helped found a new company in 2012 called “East West Protection,” which develops and delivers “integrated all-hazards preparedness and response systems for communities and sovereign nations.” The company also “advises communities and countries on issues related to the threat of weapons of mass destruction and natural pandemics.”
Kadlec formed the company with W. Craig Vanderwagen, the first HHS Assistant Secretary for Preparedness and Response (a position Kadlec had helped write into law and would later hold himself). The other co-founder of East West Protection was Fuad El-Hibri, the founder of BioPort/Emergent Biosolutions, who had just stepped down as Emergent’s CEO earlier that year.
Kadlec then became a consultant. Kadlec’s consultancy firm, RPK Consulting, netted him $451,000 in 2014 alone, where he directly advised Emergent Biosolutions as well as other pharmaceutical companies like Bavarian Nordic. Kadlec was also a consultant to military and intelligence contractors, such as the DARPA-backed firm Invincea and NSA contractor Scitor, which was recently acquired by SAIC.
Kadlec would return to government as HHS ASPR under Trump, a position which he held at the time the Covid-19 crisis began. The year prior, in 2019, Kadlec had conducted a months-long simulation focused on a global pandemic originating in China called Crimson Contagion. Once the Covid-19 crisis began in earnest, he played a major role in securing Covid-19 vaccine contracts for Emergent Biosolutions, despite his conflicts of interest, some of which he had declined to disclose upon being appointed to serve as ASPR.
Emergent Biosolutions’ pattern of corrupt behavior, beginning with its anthrax vaccine, can be seen with its recent actions as it relates to its production of Covid-19 vaccines. Per the recent Congressional report, released just days before the recent spike in concern over monkeypox began, Emergent lab workers “intentionally sought to mislead government inspectors about issues” at its Baltimore-based plant and also repeatedly “rebuffed” efforts by AstraZeneca and Johnson & Johnson to inspect their facilities. “Despite major red flags at its vaccine manufacturing facility, Emergent’s executives swept these problems under the rug and continued to rake in taxpayer dollars,” House Oversight and Reform Committee Chairwoman Carolyn Maloney (D-NY) stated upon the report’s release. Yet such “major red flags” can be found throughout the company’s entire history, for those willing to take the time to look.
Just days after the Congressional report was released, Emergent Biosolutions announced that it would acquire the exclusive worldwide rights to the “first FDA-approved Smallpox Oral Antiviral for all ages” from the company Chimerix. The drug, called TEMBEXA, is only for the treatment of smallpox, which the company refers to as “a high priority public health threat.” The press release on the company’s acquisition of TEMBEXA states that multi-million US government contracts for the product are anticipated. The FDA formally approved the drug last June.
Emergent Biosolutions also has the rights to the smallpox vaccine known as ACAM2000, which can also be used to treat monkeypox. The vaccine, originally produced by Sanofi, was acquired by the company in 2017. As a result, the company has an essential monopoly over smallpox vaccines as ACAM2000 is “the only vaccine licensed by the FDA for active immunization against smallpox disease for people determined to be at high risk of smallpox infection.”
Given their track record, it’s worth asking why Emergent Biosolutions has been working in recent months to pivot much of its business into smallpox treatments. However, there is no speculation needed when observing that the current monkeypox fears and helping rescue the company, whose shares had fallen some 26% year to date before concern over the recent monkeypox outbreak began to grow.
Whatever comes of the monkeypox situation, Emergent Biosolutions’ decades-long track record is undeniably one of corruption and cronyism.
“BioArmor” for Ron Perelman’s Flailing Business Empire
SIGA Technologies, which likens its products to “Human BioArmor”, features a quote from Bill Gates at the top of its about page. The quote reads: “[…] the next epidemic could originate on the computer screen of a terrorist intent on using genetic engineering to create a synthetic version of the smallpox virus […]” The quote is from Bill Gates’ speech to the 2017 Munich Security Conference, where he used to the threat specifically of smallpox to argue that “health security” and “international security” be merged. Notably, last March, the Munich Security Conference hosted a simulation of a global pandemic caused by a “genetically engineered monkeypox virus.”
SIGA is one example of a company that seeks to find its niche in the middle of “health security” and “international security.” It specifically provides “solutions for unmet needs in the health security market that comprises medical countermeasures against chemical, biological, radiological, and nuclear (CBRN) threats, as well as emerging infectious diseases.” The majority of contracts for CBRN medical countermeasures in the US are funded by the Pentagon. While it promotes itself as a CBRN threat-focused company, SIGA is, for now, singularly focused on smallpox.
Indeed, SIGA Technologies is only currently profitable in the event of an actual outbreak of smallpox or a related disease, or when fear of a smallpox bioterror event is high. Specifically, concern over the latter has led to the company to win government contracts to produce TPOXX for the Strategic National Stockpile (SNS). This is because TPOXX is only used to treat active smallpox or monkeypox infection, not prevent it. This means that it is only useful if smallpox, monkeypox or a related disease is actively infecting people or if there is a high risk that one of these diseases will soon infect large groups of people. TPOXX was first approved in 2018 by the FDA and was approved by the European Medicine Agency (EMA) this past January. The FDA approved an intravenous version of TPOXX just this past Thursday. Overall, SIGA has received over $1 billion from the US government to develop TPOXX.
SIGA is currently partnered with HHS’ BARDA, the Department of Defense, the CDC and the NIH. Another partner is Lonza, a European pharmaceutical manufacturing firm that is partnered with both the World Economic Forum and Moderna. SIGA’s CEO, Phillip Gomez, is an alumni of PRTM Consulting, where he would have worked closely with Robert Kadlec, as the two men overlapped as directors of the firm and both worked advising government agencies on matters of public health and biodefense.
SIGA is also notable because it is possibly the only company in the business empire of corporate raider Ron Perelman that is not attached to growing mountains of debt. Perelman is one of the notorious corporate raiders from the 1980s who conducted corporate takeovers fueled by junk bonds, particularly those connected to Michael Milken’s Drexel Burnham Lambert. Perelman’s business tactics have long been informed by his volcanic temper and his ruthlessness, with former Salomon Brothers CEO John Gutfruend once remarking that “believing Mr. Perelman has no hostile intentions is like believing the tooth fairy exists.”
Perelman is also known for being a long-time patron of the Clinton family, even though, more recently he donated to Donald Trump’s political campaigns. Perelman apparently first became interested in courting influence with the Clintons after marrying Patricia Duff in 1994. Duff was deeply connected to the Democratic Party, having worked for Democratic pollster Pat Cadell, and she had also worked for the House panel that “investigated” the assassinations of John F. Kennedy and Martin Luther King Jr. Prior to marrying Perelman, she had been married to movie mogul Michael Medavoy and had “introduced Clinton to the Hollywood establishment,” according to the Washington Post.
As Perelman’s wife, Duff styled herself a leading Democratic fundraiser, with the 1995 fund-raising dinner being emblematic of that. Also, in 1995, Perelman attended a $1,000-a-plate dinner in New York for the Clintons, where Perelman sat across from the President, as well as a state dinner for Brazil’s president at the White House.
For Perelman, his generosity to the Clinton political machine resulted in an appointment by Clinton to the board of trustees of the Kennedy Center in 1995. Other, less public gestures from the Clintons were likely, as Perelman offered much more to the First Family than he appears to have received in return. Perhaps most notable of Perelman’s favors for Bill Clinton was his offering of jobs to scandal-ridden members of his administration, Webster Hubbell and Monica Lewinsky, in the wake of their respective controversies. However, after the job offers were publicly reported, both Hubbell and Lewinsky were let go, though the offers later caught the attention of independent counsel Ken Starr. Starr never subpoenaed or investigated Perelman or the offers he had made to Hubbell or Lewinsky.
The controversial hirings had been arranged between Perelman and Clinton advisor Vernon Jordan, who sat on the board of Revlon, a Perelman-controlled company, while his wife was on the board of another Perelman-owned firm. Jordan was known as Clinton’s “conduit to the high and mighty” and had taken Clinton to the 1991 Bilderberg conference. On the decision to hire Lewinsky following the scandal, a former business associate of Perelman’s told the Washington Post that “It’s like the Mafia, it’s all done in code,” adding that “I can assure you that Ronald made the decision to give Lewinsky the job. And I can assure you he wouldn’t want to know why Jordan was asking.”
In 1995, Perelman held a Clinton fundraiser at his mansion, with guests including singer Jimmy Buffett, Miami Vice actor Don Johnson, actor Michael Douglas’ then-wife Deandra and DNC co-chair Don Fowler. Other guests included A. Paul Prosperi, a corrupt Clinton crony, and the now infamous Jeffrey Epstein. Clinton himself attended the fundraiser. According to the Palm Beach Post, guests had donated at least $100,000 to the DNC to attend the dinner with the President. This was, of course, in the lead up to the 1996 election, and the DNC would later come under heavy scrutiny due to illegal fundraising. This fundraiser was not Epstein’s only interaction with Perelman – Perelman would later be listed as a frequent dinner guest of Epstein’s in the 2003 Vanity Fair profile penned by Vicky Ward and is listed in Epstein’s black book of contacts.
For most of the 2000s, Perelman has sat atop a massive, ever-growing fortune. Yet, since 2020, Perelman has “been unloading assets ‘A lot of them. Rapidly.’” It stated with sales of valuable paintings at Sotheby’s and soon extended to Perelman’s investment company MacAndrews & Forbes, which disposed of its interest in two companies that same year, including $1 billion in shares in Scientific Games. According to MoneyWeek, Perelman’s net worth dropped from $19 billion in 2018 to $4.2 billion in late 2020, “prompting speculation that he’s runnings out of money.” Over the course of last year, Perelman has continued to “downsize”, looking to sell off his estate in the Hamptons for $115 million, another 57-acre estate worth $180 million and two townhouses in Manhattan’s Upper East Side for $60 million.
Other assets held by Perelman’s company MacAndrews & Forbes are also drowning in debt. One of the few assets of the company that isn’t currently haemorrhaging money or struggling with debt is its shares in SIGA Technologies. Perelman’s main company, MacAndrews & Forbes, has long been one of SIGA’s biggest investors and remains its largest shareholder, controlling 33% of all shares.
Since Perelman got involved with SIGA, accusations of corruption have plagued the company. For instance, in May 2011, SIGA was given a no-bid contract worth about $433 million to develop and produce 1.7 million doses of anti-viral drug for smallpox. At the time there was no evidence the smallpox drug in question was capable of treating the disease and there was alarm among some HHS staffers that SIGA’s return on investment from the contract was “outrageous.” The contract began to be investigated over concerns that the contract had been awarded to SIGA precisely because it was controlled by Perelman, who had donated heavily to Barack Obama. At the time, CNN noted the following about Perelman’s connections to the Obama White House:
“Ronald Perelman is controlling shareholder of Siga Technologies and a longtime Democratic Party activist and fundraiser. He’s also a large contributor to Republicans, but has been a particular friend of the Obama White House.
Also on Siga’s board of directors is Andy Stern, former president of the Service Employees International Union, who has had close relations with the Obama administration and who has supported President Barack Obama’s health care initiatives.”
As a result of these concerns and the potential conflict of interest, a congressional investigation began. Days after learning that this key government contract may be in jeopardy, SIGA executives sold off large amounts of company stock at an average price of $13.46 per share, netting its Chief Executive Officer and Chief Scientific Officer at the time millions of dollars. A month later, the company announced that its contract had been downsized and shares in the company fell to under $2 by that December.
Given past “pay-to-play” accusations around Perelman’s role in the firm during the Obama administration, when President Joe Biden served as Vice President, what are we to make of the recent media hype around monkeypox? Or concerns raised last year of a bioterrorism event involving smallpox?
Perhaps it’s more important to ask other questions – why has Perelman’s role in SIGA been largely obfuscated or totally ignored by recent reporting on the company? Similarly, why has Emergent Biosolutions’ horrific track record also been excluded from recent reports, including the major complaints from Congress made against the company less than two weeks ago? It seems the fear being generated around monkeypox is not only boosting shares for these two rotten companies, it’s helping the public forget their past sins.
Whitney Webb has been a professional writer, researcher and journalist since 2016. She has written for several websites and, from 2017 to 2020, was a staff writer and senior investigative reporter for Mint Press News. She currently writes for The Last American Vagabond.
Supprimer, nier et détruire: les stratégies chinoises et occidentales visant à effacer l’origine du COVID révélées par une recherche indépendante
par Jonathan Latham, PhD et Allison Wilson, PhD
21 avril 2022
La tâche de toute théorie de l’origine du COVID-19 est d’expliquer une épidémie humaine à Wuhan, en Chine, alors que les plus proches parents sauvages du SARS-CoV-2 sont situés très loin, à 1700 km au sud-ouest.
En public, les virologues ont eu tendance à dire que la proximité de l’épidémie avec l’Institut de Virologie de Wuhan, qui se spécialise dans la collecte, l’étude et l’amélioration des coronavirus liés au SARS, n’est qu’une coïncidence. Ils désignent plutôt le marché de fruits de mer de Huanan, situé à proximité, comme le site probable de la propagation, même s’il est similaire à des milliers d’autres en Chine.
L’origine du marché de Huanan a été officiellement rejetée par les autorités chinoises. Néanmoins, le 25 février, une prépublication rédigée par George Gao, responsable du CDC chinois, et 38 autres virologues chinois est parue, qui semble destinée à régler la question (Gao et al., 2022).
L’article de Gao conclut, sur la base de plusieurs sources de preuves, notamment l’absence de corrélation entre les échantillons de virus positifs et les étals qui vendaient des animaux, que le marché de Huanan était simplement un événement amplificateur. Ces auteurs ne précisent pas comment ils pensent que le virus est apparu pour la première fois, sauf pour noter que les échantillons de virus rapportés dans d’autres pays sont antérieurs de plusieurs mois à leur échantillonnage sur le marché de Huanan. Cette conclusion est conforme aux déclarations du gouvernement chinois selon lesquelles le SARS-CoV-2 provenait de l’extérieur de la Chine.
Seize heures plus tard, le 26 février, deux articles paraissent simultanément et contredisent directement les conclusions de Gao. Les auteurs principaux de ces articles complémentaires sont un ensemble redondant de virologistes très en vue. Aucun n’est originaire de Chine.
L’un de ces prépublications affirme, sur la base de prélèvements de surface et d’autres échantillons environnementaux trouvés sur place, que le marché de Huanan était l' » épicentre sans ambiguïté » de la pandémie (Worobey et al., 2022). Le second affirme que le SARS-CoV-2 a émergé au moins deux fois sur le marché (Pekar et al., 2022). Selon ces derniers auteurs, une contagion zoonotique a créé ce que l’on appelle les virus de la lignée A du SARS-CoV-2 et une seconde contagion a été à l’origine de tous les virus de la lignée B du SARS-CoV-2. Ces deux contagions, disent-ils, contredisent de manière décisive une fuite du laboratoire.
De nombreux génomes du SARS-CoV-2 découverts au début de l’épidémie ont une séquence intermédiaire entre les lignées A et B. Ces intermédiaires étaient auparavant supposés être des virus de la lignée B. Ils ont été identifiés comme des virus de la lignée A. Ces intermédiaires ont été précédemment supposés indiquer une seule contagion, une lignée évoluant vers l’autre (Morel et al., 2021; Pipes et al., 2021). Pekar et al. proposent au contraire que ces intermédiaires sont tous soit des artefacts (principalement des erreurs de séquençage), soit sans rapport avec l’origine. Les deux articles sont cependant évasifs quant au type d’animal impliqué dans les contagions théorisées.
Ces conclusions contradictoires créent une dynamique intéressante. Il est clair que les virologues chinois ne soutiennent pas l’hypothèse du marché. D’autre part, les auteurs principaux de Pekar et al. et de Worobey et al. sont d’éminents virologues occidentaux. Nombre d’entre eux, comme Kristian Andersen, Robert Garry, Ed Holmes et Andrew Rambaut, sont de fervents partisans publics de l’origine zoonotique et sont très proches d’Anthony Fauci, directeur du NIAID.
L’un des aspects de cette dynamique est la division Est/Ouest. Il est clair que les deux factions ne coopèrent pas. L’autre aspect est une différence d’approche. Les chercheurs chinois affirment ce qui, selon eux, ne s’est pas produit. A l’inverse, en formulant une hypothèse explicite (sauf pour ce qui concerne l’animal hôte), les virologues occidentaux ont misé leur crédibilité sur une théorie spécifique. La première approche est peu risquée ; la seconde est très risquée, car toute théorie spécifique est potentiellement vulnérable si de nouveaux éléments viennent la réfuter (comme ce fut le cas dans des cas antérieurs avérés); mais le bénéfice en a été l’attention des médias, du type « La théorie de la fuite du laboratoire est enterrée« .
Une caractéristique importante de cet épisode est la proximité de la date de publication des trois articles. S’il fallait une preuve supplémentaire de non-coopération, il semble évident que les prépublications de Worobey/Pekar étaient une embuscade. Leur apparition a été précisément programmée pour faire les gros titres que l’article du CDC chinois aurait probablement générés en excluant l’origine du marché.
Pekar et Worobey sont-ils convaincants?
En particulier si l’on inclut les nouvelles preuves de Gao et al., il y a déjà de puissantes raisons de douter à la fois de l’origine zoonotique du marché et d’un double effet de contagion. Ces raisons sont largement passées sous silence dans les prépublications de Pekar et Worobey et méritent donc d’être brièvement exposées:
1) Les échantillons du marché ont probablement été prélevés tard dans l’épidémie de Wuhan. La première raison, et la plus simple, est que les échantillons du marché ont été prélevés entre le 1er janvier et le 30 mars 2020. Pourtant, de nombreux éléments, tels que les articles de presse contemporains faisant état d’une épidémie à Wuhan, indiquent que le SARS-CoV-2 circulait déjà largement à Wuhan et au-delà au 1er janvier. Il est donc difficile de s’accorder sur le fait que les échantillons du marché, qui font l’objet d’un débat animé, présentent un intérêt particulier pour la source du virus pandémique lui-même.
Par exemple, selon l’enquête de l’OMS sur l’origine du COVID, il y avait 174 hospitalisations liées au COVID-19 à Wuhan au 31 décembre 2019. Compte tenu du délai normal entre l’infection et l’hospitalisation et du taux important auquel le COVID-19 donne des cas asymptomatiques et bénins, ces hospitalisations ne représentaient probablement que la partie émergée d’une vaste flambée infectieuse en décembre.
L’étude détaillée du cas d’une famille du Guangdong ayant visité Wuhan entre le 29 décembre et le 4 janvier 2020 témoigne également de la propagation précoce du virus à Wuhan. Cinq des six membres de la famille ont contracté le COVID-19 pendant leur séjour à Wuhan, sans avoir visité aucun marché (Chan et al., 2020). Plus loin, un ensemble important de preuves de la séquence du génome et des anticorps suggère que le SARS-CoV-2 était en Europe et dans d’autres pays à l’automne 2019, bien avant que les échantillons du marché de Huanan ne soient prélevés (examiné dans Canuti et al., 2022).
S’il y avait des milliers de cas dans la ville de Wuhan au 1er janvier, alors que le marché était fermé et que 10.000 personnes par jour le visitaient habituellement, comment les échantillons prélevés alors (ou plus tard) constituent-ils des preuves crédibles d’une origine du marché ? Il est fort probable que les vendeurs et les autres personnes présentes sur le marché dont on a découvert qu’ils étaient infectés par le COVID-19 étaient simplement typiques de Wuhan en décembre 2019 (Courtier-Orgogoz et de Assis, 2022). Typiques ou non, les échantillons du marché ont été collectés trop tard pour distinguer une origine du marché de toute autre origine à Wuhan ou à proximité.
2) Les échantillons environnementaux collectés sur le marché sont d’origine humaine et ne proviennent pas d’animaux vendus sur place. L’objectif de l’article du CDC chinois était d’analyser les échantillons environnementaux (écouvillons de surfaces, etc.) prélevés sur le marché de Huanan et dans ses environs après le 1er janvier 2020 (Gao et al., 2022). Ils ont conclu que le marché n’était qu’un événement amplificateur, en partie parce que les échantillons positifs pour le SARS-CoV-2 étaient associés à des étals appartenant à plusieurs types de vendeurs, y compris ceux qui ne vendent pas d’animaux (la prépublication de Worobey soutient qu’il existe une corrélation). Plus convaincant encore, les auteurs du CDC ont constaté que les échantillons prélevés sur le marché, qui, selon Pekar et Worobey, proviennent d’animaux infectés, ne sont mélangés qu’avec du matériel génétique humain et non avec du matériel génétique de chiens viverrins ou d’autres espèces potentiellement vendues sur le marché. La seule conclusion raisonnable est que ces échantillons positifs ne proviennent pas des fèces, de l’urine ou des exhalaisons d’un animal vivant non humain. Peu de résultats indiqueraient mieux que les échantillons de marché positifs au virus proviennent d’humains infectés par opposition à d’autres espèces.
3) Pekar et Worobey s’appuient sur un raisonnement circulaire pour identifier les virus racine. La prépublication de Pekar et al. de 2022 adapte les résultats d’une publication précédente (Pekar et al., 2021) pour générer l’hypothèse nouvelle d’une phylogénie divisée qui fait remonter le SARS-CoV-2 à deux contagions indépendantes, toutes deux survenues sur le marché de Huanan. Ces deux contagions, affirment-ils, sont représentées aujourd’hui par ce que l’on appelle les virus de la lignée A et de la lignée B, qui ne diffèrent que par deux mutations. Cependant, les méthodes phylogénétiques utilisées pour construire les arbres évolutifs et ainsi identifier le virus racine dans les deux articles de Pekar sont très problématiques car elles sont vulnérables à un échantillonnage inégal et biaisé et à des phénomènes génétiques inhabituels, tels que les événements de super propagation (Liu et al., 2020). Un biais clé pertinent ici est que, pour de nombreux cas précoces de COVID-19, le contact avec le marché de Huanan était une condition de diagnostic (Liu et al., 2020). Cela aura tendance à orienter les phylogénies vers le marché. De plus, Pekar et al. utilisent un algorithme basé sur une horloge qui utilise les dates d’échantillonnage pour déduire le virus racine. Cette méthode est conçue pour orienter le choix du virus racine vers les génomes échantillonnés le plus tôt. Si le marché a été l’objet d’un échantillonnage précoce, ce qui a été le cas, alors la méthode de Pekar pour déduire la racine est basée sur deux formes indépendantes de raisonnement circulaire. Ces biais ont encore été amplifiés par les auteurs de Pekar et Worobey, qui ont eux-mêmes décidé, sur la base de peu de preuves, quels cas de patients comptaient dans l’ensemble de données et parfois quelles étaient leurs dates de début de maladie. Cette intervention a eu pour effet d’ajouter encore plus de circularité dans le processus de sélection des virus racine. Pour déterminer de manière satisfaisante quels virus sont les plus proches de la véritable origine, il faut au contraire recourir à une méthode différente, explicitement indépendante des biais de constatation et des décisions subjectives (Liu et al., 2020).
4) Pekar et al. manquent de preuves pour deux événements de contagion. L’une des principales affirmations de la prépublication de Pekar est sa proposition selon laquelle les virus de la lignée A et de la lignée B actuels sont les descendants de deux événements indépendants de contagion du SARS-CoV-2 (Pekar et al., 2022). Pour fonctionner, cette affirmation de double contagion doit expliquer pourquoi il existe de nombreuses séquences génomiques intermédiaires entre la lignée A et la lignée B. Pour surmonter ce défi, Pekar et al. proposent que ces intermédiaires soient tous des artefacts résultant d’erreurs de séquençage ou qu’ils ne soient pas pertinents pour la question de l’origine pour d’autres raisons. Les erreurs de séquençage sont assez courantes, mais Pekar et al. ne les démontrent de manière convaincante que dans une minorité de cas. Par exemple, pour la plupart des artefacts de séquence qu’ils suggèrent, ils s’appuient sur une « communication personnelle » invérifiable d’un seul scientifique (L. Chen) en Chine. Pour démontrer la non-pertinence des autres, ils doivent suggérer, par exemple, que deux génomes échantillonnés en février à Pékin ne sont pas pertinents, comme si les premières séquences ne pouvaient pas s’être répandues ailleurs ou avoir persisté. En fin de compte, leur suggestion audacieuse selon laquelle la phylogénie du SARS-CoV-2 s’explique mieux en le divisant en deux propagations indépendantes est très faiblement étayée par des preuves.
Le grand jeu virologique
Pekar et Worobey ne parviennent pas à faire valoir leurs arguments et il est donc tentant de rejeter leur forte dépendance à l’égard de données faibles, leurs interprétations non parcimonieuses, leur sélection et leur raisonnement circulaire comme étant simplement de la science de mauvaise qualité. Mais, d’après notre expérience, ce serait une erreur. Une science médiocre de la part de scientifiques par ailleurs compétents, et à une telle échelle, a généralement une raison d’être. Et, à la lumière de la réunion, décrite par Katherine Eban de Vanity Fair, entre Jesse Bloom, Kristian Andersen, Anthony Fauci, Francis Collins et d’autres, qui portait sur les séquences supprimées des premiers échantillons de patients, il semble plus clair que jamais quelle est cette raison.
La mauvaise science ordinaire se produit le plus souvent pour des raisons simples et banales. Il se peut qu’un domaine de recherche soit considéré comme un marigot scientifique vers lequel gravitent des chercheurs de second ordre, ou qu’une thèse de recherche ait été mal supervisée ou non achevée. Si tel est le cas, il est presque certain que les résultats paraîtront dans une revue de bas niveau évaluée par des pairs.
L’autre catégorie de mauvaise science correspond à un schéma très différent. Il arrive que les dirigeants qui contrôlent les cordons de la bourse de la science s’engagent dans une théorie ou un programme majeur qui est ensuite contredit par les nouvelles preuves. Si, pour des raisons politiques ou financières, il n’est pas possible de corriger le tir, une rationalisation dans une revue scientifique de premier plan sera nécessaire pour fournir, comme le Vatican pourrait le dire, une « orientation pour les fidèles ».
Ces publications comptent généralement un nombre inutilement élevé d’auteurs, qui seront pour la plupart des chefs de laboratoire et d’autres leaders scientifiques éminents; l’article paraîtra généralement dans une revue de très haute visibilité, comme Nature, Cell ou Science, et les erreurs que contiennent ces articles (les rationalisations) ne sont jamais des erreurs – elles sont intentionnelles et soigneusement calculées. Un classique du genre, que nous avons disséqué en détail, est la réponse du NIH à l’échec du projet de génome humain, qui n’a pas tenu sa promesse d’expliquer les maladies humaines non transmissibles, un problème qui demeure à ce jour (Manolio et al., 2009).
De toute évidence, les théories de fuite de laboratoire sont une préoccupation majeure de la communauté des maladies infectieuses et la coalescence de l’opinion autour d’une hypothèse zoonotique semi-plausible est l’intention plutôt évidente du NIAID de Fauci. Certes, nous ne savons pas encore dans quelles revues Pekar et al., 2022 et Worobey et al., 2022 paraîtront, mais leurs précurseurs (Pekar et al., 2021 et Worobey, 2021) ont tous deux été publiés dans Science. Avant cela, le prototype de tous les efforts futurs était The proximal origin of SARS-CoV-2, publié dans Nature Medicine (Andersen et al., 2020).
Si l’on met tout cela bout à bout, on constate que les virologistes chinois et occidentaux poursuivent la même stratégie générale, dont la première étape consiste à ignorer, discréditer, nier, supprimer, détruire ou dissimuler de toute autre manière les premières séquences et les premiers échantillons (Bloom, 2021; Canuti et al., 2022). Le fait d’effacer, ou de ne pas collecter, les premières informations a pour effet principal de réduire la probabilité de retrouver un jour l’origine véritable. Accessoirement, l’effacement permet également d’imposer plus facilement des conclusions préférées sur les données restantes. Du côté chinois, le fait de supprimer ou de ne pas recueillir les premières preuves d’une épidémie à Wuhan contribue à placer la première apparition documentée du virus en dehors de la Chine. L’objectif occidental a plutôt été de forcer la conclusion d’une contagion du marché en discréditant de préférence les échantillons et les cas survenus avant l’échantillonnage du marché et ceux qui n’ont aucun lien avec le marché (Pekar et al., 2021 et Worobey, 2021).
Ces objectifs stratégiques seraient irréalisables sans la circularité des méthodes phylogénétiques standard discutées ci-dessus, qui sont assez largement comprises par les initiés (Liu et al., 2020; Kumar et al., 2021). Ainsi, la sélection et le choix d’échantillons précoces permettent aux méthodes phylogénétiques basées sur l’horloge, qui sont vulnérables aux biais d’échantillonnage, de livrer un virus racine prédéfini.
La principale complication, visible pour tous après la parution des prépublications contradictoires de Gao, Pekar et Worobey, est qu’un conflit important est apparu en raison des scénarios d’origine divergents auxquels chaque groupe tente d’adapter les faits.
On peut raisonnablement déduire de ce qui précède que les principaux virologues de chaque camp, qui dirigent ces efforts, soupçonnent fortement (ou savent parce qu’ils sont assis sur les preuves) que les premières données ne disculperaient pas la recherche sur le virus à Wuhan, sinon les mêmes personnes rechercheraient les premiers échantillons avec beaucoup d’empressement, ce qui n’est manifestement pas le cas. Et nous pouvons supposer qu’il s’agit d’une fuite du laboratoire qui est dissimulée, car c’est la seule préoccupation que les virologistes chinois et occidentaux pourraient plausiblement partager.
Jusqu’à récemment, la question de l’origine du COVID-19 devait donc se résumer à un simple bras de fer à double sens entre le club Gao à l’Est et le club Fauci à l’Ouest. Mais aucun d’entre eux ne s’attendait à l’émergence d’une nouvelle méthode phylogénétique capable de discréditer leurs calculs minutieux.
Analyse de l’Ordre Mutationnel
Récemment, une méthode différente a été appliquée à la question de l’origine du SARS-CoV-2 (Kumar et al., 2021). Cette méthode est nouvelle en virologie, mais elle est largement utilisée dans la recherche sur le cancer (par exemple, Miura et al., 2018). En l’utilisant, Kumar, Pond et leurs collègues ont pu déduire l’existence de souches virales plus anciennes (c’est-à-dire des ancêtres de) Wuhan-hu-1 (le génome de référence standard du SARS-CoV-2) et des autres séquences du marché par au moins 3 mutations, ce qui est beaucoup.
Leur méthode innovante est appelée Analyse de l’Ordre Mutationnel (AOM) [Mutational Order Analysis – MOA]. L’AOM constitue une avancée importante par rapport aux approches standard, notamment parce qu’elle ne s’appuie pas sur des horloges (c’est-à-dire le temps) pour orienter (c’est-à-dire biaiser) les arbres évolutifs qu’elle produit. Au contraire, elle utilise uniquement les données de la séquence du génome pour déduire le virus progéniteur. Ainsi, l’AOM peut être utilisée pour annuler les biais connus, tels que les horloges, d’autres facteurs de confusion de l’échantillonnage, ou même la destruction systématique des échantillons.
Pour comprendre la différence majeure entre l’AOM et la méthode phylogénétique utilisée par Pekar et al, considérons un individu théorique à Wuhan fin 2019 qui a attrapé un cas très précoce de SARS-CoV-2 et qui s’est ensuite envolé vers un pays lointain. Une fois sur place, il a déclenché une épidémie mineure qui n’a duré que quelques semaines ou quelques mois (un peu comme la famille de Guangdong mentionnée plus haut). Si le génome d’un cas ultérieur de cette épidémie était par hasard séquencé, cette information serait très précieuse. Il s’agirait d’un exemple rare de génome de virus racine (ou très proche de celui-ci). Cet exemple hypothétique nous permet de constater que même les séquences qui apparaissent tardivement dans une épidémie, ou loin d’une origine géographique présumée, peuvent, en principe, préserver des informations essentielles sur cette origine.
D’ordinaire, l’analyse phylogénétique de l’origine (y compris Pekar et al., 2021 et 2022 et Bloom, 2021) tend à se concentrer, parfois entièrement, sur les séquences précoces et celles trouvées à proximité de l’origine de l’épidémie. Les génomes considérés comme ayant une pertinence improbable pour la question de l’origine sont ignorés. Par exemple, Pekar et al. 2022 ont effectué leur analyse sur 787 génomes, avec une date limite fixée au 14 février 2020. L’AOM, en revanche, peut utiliser chaque séquence génomique disponible pour dresser un tableau de la parenté virale, sans faire de discrimination. Si un génome de virus dans l’ensemble des données constitue un lien manquant apparent entre deux virus, il sera inséré dans l’ordre de mutation qui est construit. Parce que l’AOM utilise un très grand ensemble de données, spécifiquement pour capturer des événements idiosyncratiques tels que celui théorisé ci-dessus, elle peut construire un arbre évolutif beaucoup plus précis, beaucoup plus détaillé et beaucoup plus robuste statistiquement que les approches conventionnelles. Mieux encore, elle le fait sans introduire ses propres biais.
Pour ces raisons, l’AOM est clairement une méthode supérieure. Elle est particulièrement utile pour déduire l’origine des épidémies dans les cas où, comme pour le SARS-CoV-2, les premières séquences sont rares et leur collecte est sujette à des biais d’échantillonnage.
L’AOM contredit la théorie de la double contagion du marché de Pekar et Worobey
1) L’AOM n’identifie qu’un seul virus racine. A partir de près de 176.000 génomes complets, l’AOM a pu déchiffrer un ordre mutationnel pour les virus d’origine, avec une confiance statistique très élevée (Kumar et al., 2021). Leurs résultats sont résumés dans la Fig. 1 ci-dessous (tirée de la Fig. 2 de Kumar et al., 2021).
Fig. 1 La phylogénie de la première pandémie, selon Kumar et al., 2021
Dans l’ensemble, trois de ses conclusions contredisent fortement la théorie de la double contagion du marché:
1) Comme le montre la figure 1, contrairement à Pekar et al. (2022), l’AOM identifie un seul virus racine (μ1, en haut à gauche, est son premier mutant). Un seul virus racine signifie que la pandémie a commencé avec une seule contagion initiale. Un seul événement de contagion est une observation cruciale car elle implique fortement une fuite en laboratoire (puisque les scientifiques ont tendance à travailler avec des cultures pures); alors que des preuves équivalentes de contagions multiples et/ou génétiquement diverses auraient impliqué une source naturelle. L’AOM montre également que tous les virus de la lignée B descendent d’un virus de la lignée A.
2) Le virus racine identifié par l’AOM est antérieur à tous les virus racine identifiés par Pekar et Worobey. Le virus identifié par l’AOM comme étant la racine est séparé par de multiples mutations de tous les génomes viraux trouvés sur le marché de Huanan et de Wuhan-hu-1. On en déduit que tous les échantillons connus du marché sont bien en aval du patient zéro. Par conséquent, comme l’ont également conclu Gao et al., les échantillons du marché représentent tout au plus un événement amplificateur.
L’évolution prend du temps. Étant donné que de multiples mutations se sont accumulées avant les premiers cas confirmés, Kumar et al. ont calculé que la contagion initiale (vraisemblablement à Wuhan) a eu lieu vers la fin octobre/début novembre, c’est-à-dire plusieurs mois avant le premier échantillonnage du marché de Wuhan (le 1er janvier 2020). Cette conclusion est donc cohérente avec la présence de génomes de SARS-CoV-2 très éloignés en Europe et ailleurs à l’automne 2019. Elle est également compatible avec une large propagation du virus à Wuhan avant la collecte des échantillons sur le marché.
Très récemment, Kumar et ses collègues ont publié une autre prépublication (Caraballo-Ortiz et al., 2022). Ils utilisent encore plus de données (1 million de génomes) et une méthode améliorée, qu’ils appellent TopHap, pour rendre leurs conclusions encore plus solides. L’ajout de nombreuses séquences génomiques supplémentaires, dont certaines très proches de la racine, confirme les conclusions initiales d’un seul virus racine et que la lignée B a évolué à partir de la lignée A. Il leur a également permis de faire reculer le virus racine d’une mutation supplémentaire, ce qui repousse encore plus loin dans le temps la date prévue d’émergence du SARS-CoV-2 – en septembre 2019.
Cette date de contagion de septembre contredit davantage la date de Pekar et Worobey. Toutefois, elle concorde bien avec un large éventail d’autres analyses phylogénétiques et rend encore plus plausibles les découvertes de virus éloignés en Europe et ailleurs (Mostefai et al., 2021; Schrago et Barzilai, 2021; Song et al., 2021; Xia, 2021).
3) L’analyse des seuls virus trouvés en Chine a déterminé les résultats des articles de Pekar. Dans leurs analyses phylogénétiques, les deux articles de Pekar se distinguent par le choix de seuils géographiques et temporels étroits pour leurs ensembles de données. Bien que ces choix semblent, à première vue, assez raisonnables, comme le soulignent Kumar et al. pour Pekar et al., 2021, ces choix déterminent leurs conclusions finales. L’exclusion des séquences obtenues hors de Chine (et aussi celles échantillonnées plus de 4 mois après décembre) a empêché ces auteurs d’inclure la branche précoce majeure qui a commencé avec v1 (voir Fig. 1). La lignée v a été échantillonnée pour la première fois aux États-Unis, mais elle est nécessaire pour la sélection correcte d’un virus racine (voir également Morel et al., 2021). En fin de compte, l’exclusion complète de la lignée v en raison de l’utilisation de seuils étroits est une raison essentielle pour laquelle les deux approches ont abouti à des conclusions divergentes (Kumar et al., 2021). En bref, la contribution scientifique de Pekar et al. (2021 et 2022) consiste à déployer des fenêtres étroites pour l’acquisition de données afin d’accomplir l’équivalent phylogénétique du p-hacking.
Si Pekar et Worobey ont tort, Gao et al. ont-ils raison?
La méthode AOM n’est que légèrement plus clémente envers les conclusions d’origine de Gao et al.
Bien que la méthode AOM soutienne que le marché est un site secondaire, elle contredit l’idée d’une origine du virus en dehors de la Chine. Gao et al. mettent en évidence des cas très précoces en dehors de la Chine et laissent entendre que l’un d’entre eux était la source ultime. Mais il ressort clairement de l’analyse de Kumar et al. que c’est à Wuhan et en Chine que se trouve la diversité génétique autour de la racine. En d’autres termes, il est peu probable que le virus soit apparu en Italie (ou ailleurs) fin 2019 et qu’il ait ensemencé Wuhan. Il est beaucoup plus probable qu’il se soit répandu à Wuhan et ait ensemencé l’Italie.
Le statut d’une origine zoonotique à la lumière de l’AOM
Nous avons décrit ci-dessus sept défauts majeurs de l’hypothèse de la double contagion du marché. La plupart de ces critiques s’appliquent à n’importe quel scénario de contagion hypothétique sur le marché de Huanan, mais il est remarquable que les résultats de l’AOM de Kumar, Pond et leurs collègues fassent progresser la critique de manière très significative. Leurs deux articles représentent donc des jalons importants dans l’étude de l’origine du COVID-19 (Kumar et al., 2021; Caraballo-Ortiz et al., 2022).
Les points clés méritent d’être rappelés: les nombreuses preuves d’une épidémie à Wuhan bien avant le prélèvement des échantillons du marché de Huanan; le fait que les échantillons du marché contenant le SARS-CoV-2 étaient mélangés à de l’ARN humain et non à de l’ARN animal; le raisonnement circulaire de la méthode phylogénétique de Pekar et al. la supériorité méthodologique de la méthode AOM, qui identifie une racine unique et nettement plus ancienne, et, enfin, la dépendance de l’arbre évolutif de Pekar du rejet des séquences de SARS-CoV-2 prélevées tardivement ou en dehors de la Chine.
Il faut également tenir compte du contexte général. Au cas où il serait nécessaire de le répéter, il n’existe toujours aucune preuve de l’infection d’animaux sauvages ou d’élevage par le SARS-CoV-2 en Chine, que ce soit avant, pendant ou depuis le déclenchement de la pandémie. En outre, les théoriciens de la zoonose ont été très réticents à désigner une espèce animale candidate claire comme hôte intermédiaire. Cela semble être dû au fait qu’il est difficile de construire un bon dossier pour aucune d’entre elles. Troisièmement, il y a la nature peu remarquable, selon les normes chinoises, du marché de Huanan. Pourquoi Wuhan? C’est une question à laquelle les théories sur les zoonoses naturelles ne répondent toujours pas.
En bref, il n’est pas raisonnable de prétendre que le marché de Huanan était « l’épicentre sans ambiguïté » de la pandémie (Worobey et al., 2022). Une telle certitude est scientifiquement injustifiée et ne sert qu’à donner l’apparence d’une opération sous faux drapeau.
Cette impression est renforcée par le fait que ni Gao, ni Pekar, ni Worobey ne discutent jamais de l’existence de l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW) [Wuhan Institute of Virology – WIV] et de l’hypothèse alternative évidente qui en découle. L’IVW se trouve à quelques kilomètres du marché et, selon ses bailleurs de fonds américains et les personnes qui y travaillent, il est spécialisé dans la collecte, l’étude et le renforcement des coronavirus liés au SARS (Latinne et al., 2020). Depuis des décennies, l’un des principaux objectifs de ses recherches est d’identifier ou d’en créer qui soient adaptés à la contagion humaine (par exemple, Li et al., 2019).
L’AOM, une mine d’or d’informations sur l’origine des pandémies
Les deux articles de l’AOM/TopHap fournissent de loin le candidat le plus solide à ce jour pour un virus racine et ils détaillent son évolution ultérieure (Caraballo-Ortiz et al., 2022; Kumar et al., 2021). Par conséquent, ils ont encore plus à nous dire car la détermination précise de la racine est inestimable pour comprendre d’autres aspects clés de l’origine de tout virus.
Une question clé à poser à toute hypothèse d’origine zoonotique est de savoir si le virus racine pourrait infecter des hôtes intermédiaires putatifs, tels que le chien viverrin suggéré par Pekar et Worobey. Pour répondre à cette question, il faut savoir précisément quelles étaient ces premières souches. De tels tests peuvent être très trompeurs s’ils sont réalisés sur des souches virales datant de beaucoup plus tard dans la pandémie, car les variantes du SARS-CoV-2 ont des gammes d’hôtes mammifères distinctes (Montaguteli et al., 2021; Gu et al., 2020). En particulier, les théoriciens de l’origine devraient être troublés par le fait que la seule preuve de l’infection des chiens viverrins par le SARS-CoV-2 provient d’une souche ultérieure (D614G) (Freuling et al., 2021).
Un deuxième avantage de la détermination précise de la racine est probablement le plus important de tous. Il découle du fait que les virus racine peuvent montrer quelles ont été, le cas échéant, les étapes initiales d’adaptation du SARS-CoV-2 à l’homme.
Par exemple, la phylogénie de l’AOM indique (bien que cela ne soit pas visible sur la figure 1) que même les toutes premières souches virales qui ont précédé les échantillons du marché sont restées inchangées pendant une longue période de la pandémie. Il s’agit d’une observation très importante. Elle montre que, malgré les améliorations ultérieures de son aptitude, le SARS-CoV-2 était très bien adapté à l’homme en septembre ou octobre et, pour autant que nous puissions en juger, dès le début.
Cette constatation est corroborée par le fait que les toutes premières souches ne diffèrent que par des mutations synonymes (voir par exemple les mutants μ1-3 sur la figure 1). Les mutations synonymes (par opposition aux mutations non synonymes) sont des changements de nucléotides uniquement, c’est-à-dire qu’elles ne modifient pas la séquence d’acides aminés et n’ont donc généralement aucun effet sur l’aptitude du virus.
(Remarque: pour chaque mutant, la figure 1 montre soit les changements de nucléotides (>), soit les changements d’acides aminés (>). Les nucléotides sont représentés par les lettres A, C, G ou U et les modifications apportées à ceux-ci représentent des mutations synonymes ; les autres lettres représentent le système de notation standard des acides aminés et ces lettres indiquent donc des mutations non synonymes).
À partir de la nature synonyme des mutations les plus anciennes, les auteurs ont conclu que ces virus les plus anciens:
» possédaient déjà le répertoire de séquences protéiques nécessaires pour infecter, se propager et persister dans la population humaine mondiale » (Kumar et al., 2021).
En outre, de nombreux descendants immédiats de ces virus ne contenaient souvent que des mutations synonymes et pourtant ces souches sont trop souvent devenues abondantes. En effet, de tels génomes à peine modifiés ont été trouvés « sur chaque continent échantillonné » (Kumar et al., 2021).
Là encore, cela implique la même conclusion. Quelle que soit la façon dont on examine les preuves, il est évident que même les tout premiers virus étaient non seulement hautement adaptés à l’homme, mais aussi capables, sans être modifiés, de provoquer une pandémie.
C’est un résultat extrêmement instructif. La question de savoir si le SARS-CoV-2 était hautement adapté à l’homme (et donc vraisemblablement préadapté) a fait l’objet d’un vif débat presque dès le début de la pandémie (Zhan et al., 2020). Mais la phylogénie de l’AOM fournit de loin la preuve la plus décisive qu’il l’était effectivement.
Une lecture un peu plus poussée de leur phylogénie confirme encore davantage la préadaptation. Ce n’est qu’à partir de la huitième mutation qu’est apparue une mutation (β2 sur la figure 1) dont on a montré par la suite qu’elle augmentait la capacité d’adaptation du virus chez l’homme (Dearlove et al., 2020; van Dorp et al., 2020). β2 est la mutation bien connue D614G, identifiée pour la première fois à Wuhan fin janvier. À cette époque, la pandémie était déjà bien avancée.
La seule autre mutation de la figure 1 qui est devenue abondante pendant la pandémie est son prédécesseur immédiat, β1. β1 est une mutation synonyme (encore) qui a probablement été prise en auto-stop par D614G (Dearlove et al., 2020). [NdT. un virus peut apparemment faire de l’auto-stop d’un hôte à l’autre en utilisant les particules d’autres virus comme moyen de transport].
La signification de ce schéma est d’indiquer que, même si elles ont donné des changements d’acides aminés, même les mutations non synonymes regroupées à la racine étaient sélectivement neutres. En d’autres termes, elles sont également apparues au hasard et non parce qu’elles conféraient un avantage quelconque au virus. Cela renforce encore une fois l’idée que le virus a subi peu de pression pour s’adapter lors de sa première propagation à Wuhan.
Il n’est pas du tout normal qu’un virus pénètre dans une nouvelle population hôte sans évoluer rapidement pour s’y adapter. Ainsi, le premier coronavirus du SARS (SARS-CoV) a subi des modifications d’acides aminés au cours de sa propagation précoce chez l’homme (Zhan et al., 2020). La norme alternative est que le virus ne s’adapte pas du tout à son nouvel hôte, comme cela s’est produit jusqu’à présent avec chacune des nombreuses introductions chez l’homme du coronavirus MERS (Dudas et al., 2018).
Reconnaissant que le SARS-CoV-2 était préadapté, certains ont affirmé que le SARS-CoV-2 était un virus « généraliste » (Frutos et al., 2020). Il semble y avoir très peu de preuves à cet égard. Le SARS-CoV-2 n’infecte pas la plupart des espèces de mammifères (Kock et Caceres-Escobar, 2022). Il peut être transmis activement par un nombre encore bien plus restreint d’espèces et, lorsque ces quelques espèces transmettent le virus, des mutations adaptatives se produisent (Gu et al., 2021; Sawatzki et al., 2021; Tan et al., 2022). En bref, le SARS-CoV-2 ne s’est révélé préadapté à aucune espèce hôte mammifère testée jusqu’à présent (à l’exception de l’homme) et ne présente donc aucune des caractéristiques d’un virus généraliste.
La préadaptation du SARS-CoV-2 implique une fuite du laboratoire. Mais elle implique également une fuite d’un type spécifique de virus, qui n’est pas simplement adapté aux cellules humaines mais à la transmission entre humains entiers et intacts. Une seule théorie de l’apparition du SARS-CoV-2 correspond à cette description. Il s’agit de la théorie du Passage des Mineurs de Mojiang.
Où en est la recherche sur l’origine?
Les grandes institutions, principalement l’EcoHealth Alliance, le NIH et l’IVW, détiennent de grandes quantités d’informations qui pourraient prouver ou infirmer une fuite de laboratoire. Toutes affirment leur transparence et leur responsabilité, mais, dans la pratique, chacune a refusé de nombreuses demandes de documents et autres données. Si l’on n’écoutait que leurs paroles, on pourrait penser qu’ils veulent trouver les origines du COVID-19, mais leurs actions sont plus éloquentes. Les progrès dépendront donc probablement d’initiatives indépendantes.
Lorsque Jesse Bloom a ingénieusement récupéré dans le Cloud des séquences précoces du SARS-CoV-2 précédemment supprimées et a ainsi récupéré une nouvelle souche virale précoce (Bloom, 2021), le virologue Rasmus Nielsen a déclaré que ces informations étaient:
« les données les plus importantes que nous ayons reçues concernant les origines du COVID-19 depuis plus d’un an ».
Nielsen avait raison puisque la découverte de Bloom a été cruciale pour permettre à Kumar et ses collègues d’améliorer leur identification du virus racine (Caraballo-Ortiz, et al., 2022).
La valeur exceptionnelle de ces premières séquences pour la recherche indique également la référence scientifique appropriée pour juger ceux qui effacent ou retiennent de telles preuves. L’histoire est pleine d’ironies, mais peu d’entre elles dépassent le spectacle de scientifiques éminents, dont les carrières sont financées par des fonds publics sur la promesse d’identifier les causes des maladies infectieuses, qui ne veulent pas que d’autres connaissent la cause de la pandémie de COVID-19. Après tout, pourquoi des institutions publiques comme le NIH, le NIAID, l’USAID, le DOD, qui ont arrosé d’argent EcoHealth Alliance, soi-disant pour prévenir les pandémies, n’ont-elles pas financé les recherches à grande échelle des premières infections par le SARS-CoV-2 au tout début de la pandémie?
Compte tenu de ce blocage, même à cette date tardive, la manière la plus simple et la plus utile de faire avancer la recherche scientifique de l’origine du SARS-CoV-2 serait probablement de localiser et d’analyser davantage d’échantillons provenant du début de l’épidémie, de n’importe quel pays, quel qu’il soit (Basavaraju et al., 2021; Montomoli et al, 2021; Canuti et al., 2022). Les recherches préliminaires suggèrent qu’il existe une pléthore d’échantillons cliniques et environnementaux appropriés dans les collections et les bases de données d’échantillons civils et militaires, et que les recherches de séquences précoces seront probablement fructueuses (Canuti et al. 2022, Paixao et al. 2022, Althoff et al. 2021; Chapleau et al. 2021; Lednicky et al. 2021; Basavaraju et al. 2021; Chen et al. 2020).
L’autre point de référence nécessaire est d’ordre éthique. Le Dr Tedros, de l’OMS, a qualifié l’enquête sur l’origine de la pandémie d' »obligation morale« . Nous irions plus loin. Bien qu’il n’existe aucune loi interdisant d’entraver la recherche sur l’origine, il faudrait néanmoins considérer comme un crime contre l’humanité le fait de rendre plus probable qu’un événement ayant entraîné des millions de morts et une misère indicible se reproduise parce que nous n’en avons jamais trouvé la cause (Relman, 2020).
In public, virologists have tended to say that the proximity of the outbreak to the Wuhan Institute of Virology, which uniquely specialises in collecting, studying, and enhancing, SARS-related coronaviruses, is a coincidence. Instead, they point to the nearby Huanan seafood market as the probable spillover site, even though it is similar to thousands of others in China.
A Huanan market origin has officially been dismissed by the authorities in China. Nevertheless, on February 25th a preprint authored by George Gao, head of China’s CDC, and 38 other Chinese virologists appeared that seems intended to settle the issue (Gao et al., 2022).
The Gao article concludes, based on several lines of evidence, including a lack of correlation between positive virus samples and stalls that sold animals, that the Huanan market was simply an amplifying event. These authors do not specify how they thought the virus did first emerge, except to note that virus samples reported from other countries predate their Huanan market sampling by several months. This conclusion is in line with Chinese government statements that SARS-CoV-2 came from outside China.
Just sixteen hours later, on February 26th, two preprints appeared simultaneously that directly contradict the Gao conclusions. The senior authors of these companion articles are an overlapping set of very high-profile virologists. None are from China.
One of these preprints asserts, based on surface swabs and other environmental samples found there, that the Huanan market was the “unambiguous epicenter” of the pandemic (Worobey et al., 2022). The second argues that SARS-CoV-2 emerged at least twice at the market (Pekar et al., 2022). According to these latter authors, one zoonotic spillover created what are known as the lineage A SARS-CoV-2 viruses and a second spillover was the root of all lineage B SARS-CoV-2 viruses. These two spillovers, they say, decisively contradict a lab leak.
Many SARS-CoV-2 genomes found early in the outbreak are intermediate in sequence between the A and B lineages. These intermediates have previously been assumed to indicate a single spillover with one lineage evolving into the other (Morel et al., 2021; Pipes et al., 2021). Pekar et al. propose instead that such intermediates are all either artifactual (mostly sequencing errors) or are otherwise irrelevant to the origin. Both papers are coy, however, about what type of animal was involved in their theorised spillovers.
These conflicting conclusions set up an interesting dynamic. Clearly, Chinese virologists do not support the market hypothesis. On the other hand, the senior authors of Pekar et al. and Worobey et al. are prominent Western virologists. Many, like Kristian Andersen, Robert Garry, Ed Holmes, and Andrew Rambaut, are vocal public supporters of a zoonotic origin, and very close to Anthony Fauci the director of NIAID.
One aspect of this dynamic is the East/West split. Clearly, the two factions are not co-operating. The other is a difference of approach. The Chinese researchers assert what they think did not happen. In contrast, by formulating an explicit hypothesis (except for the host animal), the Western virologists have staked their credibility on a specific theory. The former approach is low risk; the latter is high risk since any specific theory is potentially vulnerable if new evidence were to come forward that disproves it (as proven earlier cases would); but the reward has been ample media attention of the “The Lab Leak is Dead” type.
A significant feature of this episode is the close timing of the three papers. If more evidence was needed of non-cooperation, it seems obvious that the Worobey/Pekar preprints were an ambush. Their appearance was precisely timed to spike the headlines that the China CDC paper would likely have generated by ruling out a market origin.
Do Pekar and Worobey make their case?
Especially if one includes the new Gao et al. evidence, there are already powerful reasons to doubt both the market-zoonotic origin and a dual-spillover. These reasons are largely glossed over by the Pekar and Worobey preprints so they are worth outlining briefly:
1) The market samples were probably taken late in the Wuhan outbreak. The first reason, and the simplest, is that the market samples were taken between Jan 1st and March 30th, 2020. Yet plentiful evidence, such as contemporaneous newspaper reports of an outbreak in Wuhan, implies that SARS-CoV-2 was circulating widely in Wuhan and beyond by January 1st. Such evidence makes it difficult to agree that the market samples, so hotly discussed, have any special relevance to the source of the pandemic virus itself.
For example, according to the WHO COVID origin investigation, there were 174 COVID-19 hospitalisations in Wuhan by December 31st 2019. Given the normal delay between infection and hospitalisation and the significant rate at which COVID-19 gives asymptomatic and mild cases, these hospitalisations likely represented only the tip of a large infectious outbreak in December.
Early wide spread of the virus in Wuhan is evidenced too by a detailed case study of a family from Guangdong who visited Wuhan between December 29th and January 4th, 2020. Five from a total of six family members contracted COVID-19 while in Wuhan, without them having visited any markets (Chan et al., 2020). Further afield, a significant body of genome sequence and antibody evidence suggests SARS-CoV-2 was in Europe and other countries in the fall of 2019, well before the Huanan market samples were taken (reviewed in Canuti et al., 2022).
If there were thousands of cases in the city of Wuhan by Jan 1st when the market was closed and 10,000 people per day usually visited it, how do samples taken then (or later) constitute credible evidence for a market origin? Quite likely, vendors and others at the market found to have COVID-19 infections were just typical for Wuhan in December 2019 (Courtier-Orgogoz and de Assis, 2022). Typical or not, the market samples were collected too late to distinguish a market origin from any other origin in or near Wuhan.
2) Environmental samples collected at the market are of human origin and did not come from animals sold there. The aim of the Chinese CDC paper was to analyse the environmental samples (swabs from surfaces etc.) that they took in and around the Huanan market after Jan 1st, 2020 (Gao et al., 2022). They concluded that the market was only an amplifying event, in part because SARS-CoV-2-positive samples were associated with stalls belonging to multiple types of vendors, including those not selling animals (the Worobey preprint argues there is a correlation). More compelling, the CDC authors found that the samples collected from the market, which Pekar and Worobey claim are from infected animals, are admixed only with human genetic material and not with genetic material from raccoon dogs or other species potentially sold at the market. The only reasonable inference is that these positive samples did not derive from the faeces or urine or exhalations of a live non-human animal. Few results would better indicate that virus-positive market samples derive from infected humans as opposed to other species.
3) Pekar and Worobey rely on circular reasoning to identify root viruses. The 2022 Pekar et al. preprint adapts the findings of a previous publication (Pekar et al., 2021) to generate the novel hypothesis of a split phylogeny that traces SARS-CoV-2 back to two independent spillovers, both occurring in the Huanan market. These two spillovers, they claim, are represented today by what are known as lineage A and lineage B viruses, which differ by only two mutations. However, the phylogenetic methods used for building evolutionary trees and thus identifying the root virus in both Pekar papers are highly problematic because they are vulnerable to uneven and biased sampling and unusual genetic phenomena, such as superspreading events (Liu et al., 2020). One key bias relevant here is that, for many early COVID-19 cases, contact with the Huanan market was a diagnostic requirement (Liu et al., 2020). This will tend to orient phylogenies towards the market. Further, Pekar et al. use a clock-based algorithm that uses sampling dates to infer the root virus. This method is designed to channel the choice of root virus towards those genomes sampled earliest. If the market was the early focus of sampling, which it was, then the Pekar method of inferring the root is based on two independent forms of circular reasoning. These biases were further amplified by the Pekar and Worobey authors, who themselves decided, based on scant evidence, which patient cases counted towards the dataset and sometimes what were their disease onset dates. The effect of this intervention was to add yet more circularity into the selection process for root viruses. To satisfactorily determine which viruses are closest to the true origin requires instead a different method, one that is explicitly independent of ascertainment biases and subjective decision-making (Liu et al., 2020).
4) Pekar et al., lack the evidence for two spillover events. A key assertion of the Pekar preprint is its proposal that extant lineage A and lineage B viruses represent the descendants of two independent SARS-CoV-2 spillover events (Pekar et al., 2022). To succeed, this double spillover claim must explain why numerous genome sequences exist that are intermediate between lineage A and lineage B. To overcome this challenge, Pekar et al. propose that such intermediates are all either artifacts from sequencing errors or irrelevant to the origin question for other reasons. Sequencing errors are common enough, but Pekar et al. only demonstrate them convincingly in a minority of instances. For example, for most of their suggested sequence artifacts they rely on an unverifiable ‘personal communication’ from a single scientist (L. Chen) in China. To make a case for the irrelevance of others they have to suggest, for example, that two genomes sampled in February in Beijing are irrelevant–as if early sequences cannot have spread elsewhere or persisted. Ultimately, their bold suggestion that the phylogeny of SARS-CoV-2 is best explained by resolving it into two independent spillovers is very poorly supported by evidence.
The Great Virological Game
Pekar and Worobey fail to make their case and hence it is tempting to dismiss their heavy reliance on weak data, their non-parsimonious interpretations, their cherry-picking, and their circular reasoning as simple shoddy science. But, in our experience, this would be an error. Poor science by otherwise competent scientists, and on such a scale, usually happens for a reason. And, in the light of the meeting, described by Katherine Eban of Vanity Fair, between Jesse Bloom, Kristian Andersen, Anthony Fauci, Francis Collins, and others, which revolved around deleted sequences from early patient samples, it seems more clear than ever what that reason is.
Ordinary bad science mostly occurs for reasons that are simple and mundane. Perhaps a research field is considered a scientific backwater to which second-rate researchers have gravitated, or a research thesis was badly supervised or not completed. If so, the results are almost sure to appear in a low-ranking peer-reviewed journal.
The other class of bad science fits a very different pattern. It sometimes occurs that the leaders who control science’s purse-strings commit to a theory or a major programme that is then contradicted by emerging evidence. If, for political or financial reasons, a policy course correction is unavailable, a rationalisation in a prominent scientific journal will be necessary to provide, as the Vatican might put it, “guidance for the faithful”.
Such publications typically have an unnecessarily large number of authors, who will mostly be laboratory heads and other prominent scientific leaders; the article will usually appear in a journal with the very highest visibility, like Nature, Cell, or Science, and the mistakes such papers contain (the rationalisations) are never errors–they are purposeful and carefully calculated. A classic of this genre, which we dissected in detail, was the NIH response to the failure of the human genome project to deliver on its promise of explaining human noncommunicable disease, a problem that remains to this day (Manolio et al., 2009).
Obviously, lab leak theories are a top concern of the infectious disease community and coalescing opinion around a semi-plausible zoonotic hypothesis is the rather obvious intent of Fauci’s NIAID. Granted, we don’t yet know in which journals Pekar et al., 2022 and Worobey et al., 2022 will appear, but their precursors (Pekar et al., 2021 and Worobey, 2021) were both published in Science. Before that, the prototype for all future efforts was The proximal origin of SARS-CoV-2, published in Nature Medicine (Andersen et al., 2020).
Putting this all together, one can see that both Chinese and Western virologists are pursuing the same general strategy, the first step of which is to ignore, discredit,deny, delete, destroy, or otherwise conceal, early sequences and samples (Bloom, 2021; Canuti et al., 2022). Erasing, or failing to collect, early information has the primary effect of lessening the likelihood that a true origin will ever be retrieved. Secondarily, erasure also makes it easier to force preferred conclusions on the data that remain. On the Chinese side, removing or failing to collect early evidence of a Wuhan outbreak helps to place the first documented appearance of the virus outside of China entirely. The Western goal has instead been to force a market spillover conclusion by preferentially discrediting samples and cases that occurred prior to the market sampling and those with no links to the market (Pekar et al., 2021 and Worobey, 2021).
These strategic aims would be unfeasible without the circularity of the standard phylogenetic methods discussed above, which are quite widely understood by insiders (Liu et al., 2020; Kumar et al., 2021). Thus, picking and choosing early samples lets clock-based phylogenetic methods that are vulnerable to sampling biases deliver a foreordained root virus.
The major complication, visible to all after the publication of the conflicting Gao, Pekar, and Worobey preprints, is that a significant conflict has arisen due to the divergent origin scenarios each group is trying to fit the facts to.
It is a reasonable inference from the above that the leading virologists on each side, and who are directing these efforts, strongly suspect (or know because they are sitting on the evidence) that early data would not exonerate virus research in Wuhan, otherwise the same people would be hunting for early samples with great alacrity, which is clearly not happening. And we can surmise it is a lab leak that is being covered up since it is the only concern that both Chinese and Western virologists could plausibly share.
Until recently, the COVID-19 origin question was therefore set to devolve into a simple two-way tug-of-war between the Gao club in the East and the Fauci club in the West. What none of them expected, however, was that a novel phylogenetic method would emerge capable of discrediting their careful calculus.
Mutational Order Analysis
Recently, a different method has been applied to the SARS-CoV-2 origin question (Kumar et al., 2021). This method is new to virology but it is widely used in cancer research (e.g. Miura et al., 2018). Using it, Kumar, Pond, and colleagues were able to infer the existence of viral strains that are older (i.e. ancestors of) Wuhan-hu-1 (the standard SARS-CoV-2 reference genome) and the other market sequences by at least 3 mutations, which is a lot.
Their innovative method is called Mutational Order Analysis (MOA). MOA is an important advance over standard approaches, not least because it doesn’t rely on clocks (i.e. time) to orient (i.e. bias) the evolutionary trees it produces. Rather, it uses genome sequence data alone to deduce the progenitor virus. Thus, MOA can be used to undo known biases, such as clocks, other sampling confounders, or even systematic sample destruction.
To understand the major difference between MOA and the phylogenetic method used by Pekar et al., consider a theoretical individual in Wuhan in late 2019 who caught a very early case of SARS-CoV-2 and who then flew to a distant country. Once there, they seeded a minor outbreak that lasted just a few weeks or months (not unlike the Guangdong family noted earlier). If any genome from a later case in this outbreak were by chance sequenced, this information would be very valuable. It would be a rare example of a root virus genome (or very close to it). From this hypothetical example we can see that even sequences that occur late in an epidemic, or far from a presumed geographic origin, can, in principle, preserve critical information about that origin.
Ordinarily, phylogenetic analysis of the origin (including Pekar et al., 2021 and 2022 and Bloom, 2021) tends to focus, sometimes entirely, on early sequences and those found local to the outbreak origin. Genomes considered of improbable relevance to the origin question are ignored. For instance, Pekar et al. 2022 performed their analysis on 787 genomes, with a cut-off date of February 14th, 2020. MOA, however, can use every available genome sequence to build up a picture of viral relatedness, without discriminating. If any virus genome in the data set constitutes an apparent missing link between two viruses it will be inserted as part of the mutational order that is built up. Because MOA uses a very large data set, specifically to capture idiosyncratic events such as the one theorised above, it can build a far more accurate, far more detailed, and much more statistically robust evolutionary tree than conventional approaches. Best of all, it does so without introducing any biases of its own.
For these reasons, MOA is clearly a superior method. Its value is especially great for inferring outbreak origins in cases where, like SARS-CoV-2, early sequences are scarce and their collection is subject to sampling biases.
MOA contradicts the Pekar and Worobey dual spillover market theory
1) MOA identifies just one root virus. From almost 176,000 full-length genomes, MOA was able to decipher a mutational order for the origin viruses, with very high statistical confidence (Kumar et al., 2021). Their results are summarised in Fig. 1 below (taken from Fig. 2 of Kumar et al., 2021).
Fig. 1 The phylogeny of the early pandemic, according to Kumar et al., 2021
Overall, three of its findings strongly contradict the dual spillover market theory:
1) As is apparent from Fig. 1, unlike Pekar et al. (2022), MOA identifies a single root virus (μ1, top left, is its first mutant). A single root virus means the pandemic began with only one initial spillover. A single spillover event is a crucial observation because it strongly implies a lab leak (since scientists tend to work with pure cultures); whereas equivalent evidence for multiple and/or genetically diverse spillovers would have implied a natural source. MOA also shows that all lineage B viruses are descended from one lineage A virus.
2) The root virus identified by MOA predates all the root viruses identified by Pekar and Worobey. The virus identified by MOA as the root is separated by multiple mutations from any of the viral genomes found at the Huanan market and from Wuhan-hu-1. This infers that all known market samples are well downstream of patient zero. Therefore too, as was also concluded by Gao et al., the market samples represent an amplifying event, at most.
Evolution takes time to occur. Because multiple mutations accumulated before the first confirmed cases, Kumar et al. calculated that the initial spillover (presumably in Wuhan) was around late October/early November, i.e. several months before the Wuhan market was first sampled (on Jan 1st, 2020). This conclusion is hence consistent with the presence of far-flung SARS-CoV-2 genomes in Europe and elsewhere in the fall of 2019. It is also consistent with wide spread of the virus in Wuhan before the market samples were collected.
Very recently, Kumar and colleagues released a further preprint (Caraballo-Ortiz et al., 2022). It uses even more data (1 million genomes) and an improved method, which they call TopHap, to make their findings still more robust. The addition of many more genome sequences, including some very close to the root, affirms the original conclusions of a single root virus and that lineage B evolved from lineage A. It also allowed them to move back the root virus by one further mutation and this pushes back even further in time the predicted date of SARS-CoV-2 emergence–into September, 2019.
This September spillover date further contradicts Pekar and Worobey’s date. However, it agrees well with a broad set of other phylogenetic analyses and makes the farflung virus findings in Europe and elsewhere more plausible still (Mostefai et al., 2021; Schrago and Barzilai, 2021; Song et al., 2021; Xia, 2021).
3) Analysing only viruses found in China determined the results of the Pekar articles. In their phylogenetic analyses, both Pekar papers are noteworthy for selecting narrow geographical and temporal cut-offs for their data sets. Though these choices seem, at first sight, reasonable enough, as Kumar et al. point out for Pekar et al., 2021, the choices determine their ultimate conclusions. The excluding of sequences obtained outside China (and also those sampled more than 4 months after December) prevented these authors from including the major early branch that began with v1 (see Fig. 1). The v lineage was first sampled in the US but is needed for the correct selection of a root virus (see also Morel et al., 2021). Ultimately, the complete exclusion of the v lineage due to use of narrow cut-offs is a key reason why the two approaches reached divergent conclusions (Kumar et al., 2021). In short, the scientific contribution of Pekar et al. (2021 and 2022) is to deploy narrow windows for data acquisition to accomplish the phylogenetic equivalent of p-hacking.
If Pekar and Worobey are wrong, are Gao et al. right?
The MOA method is only somewhat kinder to the Gao et al. origin conclusions.
Although MOA supports the market being a secondary site, it contradicts the idea of a virus origin outside China. Gao at al. point at evidence for very early cases outside of China and imply that one of these was the ultimate source. But, it is clear from the Kumar et al. analysis that Wuhan and China are where the genetic diversity around the root occurs. In other words, the virus is unlikely to have emerged in Italy (or elsewhere) in late 2019 and seeded Wuhan. Far more probably, it spilled over in Wuhan and seeded Italy.
The status of a zoonotic origin in the light of MOA
We described above seven major flaws in the hypothesis of a double market spillover. Most of these criticisms apply to any hypothesised spillover scenario at the Huanan market, but it is notable that the MOA findings of Kumar, Pond, and colleagues advance the critique very significantly. Their two papers thus represent important landmarks in the study of the origin of COVID-19 (Kumar et al., 2021; Caraballo-Ortiz et al., 2022).
The key points are worth recalling: The extensive evidence of an epidemic in Wuhan long before the Huanan market samples were taken; that the market samples containing SARS-CoV-2 were mixed with human RNA and not with animal RNA; the circular reasoning of Pekar et al.’s phylogenetic method; the lack of support for dismissing viruses intermediate between lineages A and B; the methodological superiority of the MOA method, which identifies a single and significantly earlier root; and, last, the dependence of the Pekar evolutionary tree on ignoring SARS-CoV-2 sequences harvested either late or outside of China.
There is also the wider context to consider. In case it needs reiterating, there is still no evidence for wild or farmed animals being infected with SARS-CoV-2 in China, either before, during, or since the pandemic broke out. Moreover, zoonotic theorists have been very reluctant to specify a clear candidate animal species as an intermediate host. This seems to be because it is hard to construct a good case for any of them. Third, there is the unremarkable nature, by Chinese standards, of the Huanan market. Why Wuhan? It is a question still unanswered by natural zoonotic theories.
In short, it is unreasonable to claim that the Huanan market was the “unambiguous epicentre” of the pandemic (Worobey et al., 2022). Such certitude is scientifically unwarranted and only serves to give the appearance of a false flag operation.
This impression is strengthened since neither Gao, Pekar, nor Worobey, ever discuss the existence of the Wuhan Institute of Virology (WIV) and the obvious alternative hypothesis that they know goes along with it. The WIV is just a few miles from the market and, according to its US funders and the people who work there, it specialises in the collection and study and enhancement of SARS-related coronaviruses (Latinne et al., 2020). For decades, a major goal of its research has been to identify or create ones primed for human spillover (e.g. Li et al., 2019).
MOA, a goldmine of pandemic origin information
The two MOA/TopHap papers provide by far the strongest candidate yet for a root virus and they detail its subsequent evolution (Caraballo-Ortiz et al., 2022; Kumar et al., 2021). Consequently, they have even more to tell us because precise rooting is invaluable for understanding additional key aspects of any virus origin.
One key question to ask any zoonotic origin hypothesis is whether the root virus could infect putative intermediate hosts, such as the raccoon dog suggested by Pekar and Worobey. Answering this requires knowing precisely what those early strains were. Such tests can be highly misleading if performed on virus strains from much later in the pandemic since the variants of SARS-CoV-2 have distinct mammalian host ranges (Montaguteli et al., 2021; Gu et al., 2020). In particular, it ought to trouble origin theorists that the only evidence for SARS-CoV-2 infecting raccoon dogs comes from a later (D614G) strain (Freuling et al., 2021).
A second benefit of accurate rooting is probably the most significant of all. It follows from the fact that root viruses can show what, if any, were the initial adaptation steps of SARS-CoV-2 to humans.
For example, the MOA phylogeny indicates (though this can’t be seen in Fig. 1) that even the very early virus strains that predated the market samples, persisted unchanged long into the pandemic. This is a very important observation. It shows that, notwithstanding later improvements in its fitness, SARS-CoV-2 was very well adapted to humans by September or October and, so far as we can tell, from the very start.
Corroborating this, the very earliest strains differ only by synonymous mutations (see e.g. mutants μ1-3 in Fig. 1). Synonymous (as opposed to nonsynonymous) mutations are nucleotide changes only; that is, they do not alter the amino acid sequence and so they usually have zero effect on the fitness of the virus.
(Note: For each mutant, Fig.1 shows either nucleotide changes (>) or amino acid changes (>). Nucleotides are represented by the letters A, C, G, or U and changes to these represent synonymous mutations; other letters represent the standard amino acid notation system and these letters thus indicate nonsynonymous mutations.)
From the synonymous nature of the earliest mutations, the authors concluded that these earliest viruses:
“already possessed the repertoire of protein sequences needed to infect, spread, and persist in the global human population” (Kumar et al., 2021).
Moreover, many immediate descendants of these viruses often also contained only synonymous mutations and yet these strains too often became abundant. Indeed, such barely altered genomes were found “on every sampled continent” (Kumar et al., 2021).
Again, this implies the same conclusion. Whichever way one looks at the evidence, it is evident that even the very earliest viruses were not only highly adapted to humans but able, unaltered, to cause a pandemic.
This is a tremendously informative result. The question of whether SARS-CoV-2 was highly adapted to humans (and thus presumably preadapted) has been in hot dispute almost from the beginning of the pandemic (Zhan et al., 2020). But the MOA phylogeny provides by far the most decisive evidence yet that indeed it was.
Reading into their phylogeny a little further gives even more support for preadaptation. It was not until the eighth mutation did one arise (β2 in Fig. 1) that has subsequently been shown to increase the fitness of the virus in humans (Dearlove et al., 2020; van Dorp et al., 2020). β2 is the well-known D614G mutation, first identified in Wuhan late January. By this time the pandemic was well underway.
The only other mutation in Fig.1 that became abundant during the pandemic was its immediate predecessor, β1. β1 is a synonymous mutation (again) that probably hitch-hiked on D614G (Dearlove et al., 2020).
The significance of this pattern is to indicate that, even though they gave amino acid changes, even the nonsynonumous mutations clustered at the root were selectively neutral. That is, they too arose at random and not because they conferred any advantage on the virus. This again strongly reinforces the idea that the virus was under little pressure to adapt during its early spread in Wuhan.
It is not at all normal for a virus to enter a new host population without also evolving rapidly to adapt to it. Thus the first SARS coronavirus (SARS-CoV) acquired amino acid changes during its early spread in humans (Zhan et al., 2020). The alternative norm is for the virus to fail to adapt to its new host at all, such as has happened so far with every one of the many introductions into humans of the coronavirus MERS (Dudas et al., 2018).
Conceding that SARS-CoV-2 was preadapted, some have argued that SARS-CoV-2 is a ‘generalist’ virus (Frutos et al., 2020). There seems to be very little evidence for this. SARS-CoV-2 does not infect most mammal species (Kock and Caceres-Escobar, 2022). It can be actively transmitted by far fewer species still, and, when those few do transmit the virus, adaptive mutations occur (Gu et al., 2021; Sawatzki et al., 2021; Tan et al., 2022). In short, SARS-CoV-2 has not proven preadapted to any mammalian host species tested so far (except humans) and so it bears none of the hallmarks of a generalist virus.
Preadaptation of SARS-CoV-2 implies a lab leak. But it also implies a leak of a specific kind of virus; one that is not merely adapted to human cells but to transmission between whole, intact, humans. Only one theory of how SARS-CoV-2 arose fits this description. It is the Mojiang Miners Passage theory.
Where now for origin research?
Major institutions, primarily the EcoHealth Alliance, the NIH, and the WIV, hold large troves of information that could prove or disprove a lab leak. All assert their transparency and accountability, but, in practice, each has denied numerous requests for documents and other data. If one only listened to their words, one would think they wanted to find the origins of COVID-19, but their actions speak louder. Progress will therefore likely depend on independent initiatives.
When Jesse Bloom ingeniously retrieved previously deleted early SARS-CoV-2 sequences from the cloud and thereby recovered a novel early virus strain (Bloom, 2021), virologist Rasmus Nielsen said that this information was:
“the most important data that we have received regarding the origins of COVID-19 for more than a year”.
Nielsen was proven correct since Bloom’s discovery has been crucial to the improved rooting of Kumar and colleagues (Caraballo-Ortiz, et al., 2022).
The exceptional research value of these early sequences indicates also the appropriate scientific benchmark for judging those who erase or withold such evidence. History is full of ironies, but not many exceed the spectacle of prominent scientists, whose careers are publicly funded on the promise of identifying causes of infectious diseases, not wanting others to know the cause of the COVID-19 pandemic. Why, after all, did public institutions like NIH, NIAID, USAID, DOD, who have showered money on the EcoHealth Alliance, supposedly to prevent pandemics, not fund widespread searches for early SARS-CoV-2 infections at the very start of the pandemic?
Given this blockade, even at this late date, probably the simplest and most useful way to advance the scientific search for the origin of SARS-CoV-2 would be to locate and analyse more samples from early in the outbreak, from any country, regardless (Basavaraju et al., 2021; Montomoli et al; 2021; Canuti et al., 2022). Preliminary research suggests a plethora of suitable clinical and environmental samples exist in civilian and also military sample collections and databases, and that searches for early sequences are likely to be fruitful (Canuti et al. 2022, Paixao et al. 2022, Althoff et al. 2021; Chapleau et al. 2021; Lednicky et al. 2021; Basavaraju et al. 2021; Chen et al. 2020).
The other necessary benchmark is an ethical one. Dr Tedros of the WHO has called investigating the origin of the pandemic “a moral obligation“. We would go further. Although there is no law against obstructing origin research, it should nevertheless be considered a crime against all humanity to make it more likely that an event that resulted in millions of deaths and untold misery will recur because we never found its cause (Relman, 2020).
Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.
Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.
Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)
Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir
Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme
Monica Hughes, PhD
24 avril
Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.
J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.
Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.
J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:
Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.
C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.
La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.
Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.
Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.
Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.
S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).
Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.
Le monde tourne à l’envers.
Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.
D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.
Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.
Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.
J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.
J’avais tort.
Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.
Quelle idiote j’étais.
Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?
Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.
Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?
Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.
Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.
Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.
Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.
En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.
Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.
Non.
Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.
J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.
J’ai juré de ne plus jamais voter.
En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.
J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.
Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.
Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »
Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].
Sommes-nous en train de jouer leur jeu?
Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de » Nuremberg 2 « , ni de » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]
Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.
Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].
Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.
Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.
Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.
Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.
J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.
Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?
Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.
L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.
Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.
L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.
Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.
Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)
Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].
Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.
Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.
Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».
Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:
Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.
Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.
S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.
Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.
Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.
Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.
Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:
« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »
Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.
L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.
Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.
On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »
Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »
Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.
J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.
Texte original
Our Ancestors Voted for Your Right to Die
Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future
Monica Hughes, PhD
Apr 24
Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.
I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.
His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.
I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:
To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.
Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.
I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.
I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.
I was wrong.
Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.
Silly me.
Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.
I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.
I vowed never to vote again.
In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.
I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.
It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.
Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”
Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.
Are we playing into their hand?
My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.
I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.
It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.
If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.
And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.
I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.
For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.
But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”
Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:
They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.
So just come to terms with it and get ready for it:
That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.
I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.
Le problème du pouvoir est toujours et partout le même: gérer le troupeau. A cet effet, il dispose d’un arsenal d’outils. Economiques, technologiques, médicaux, culturels… On peut y inclure quasiment toutes les disciplines sociétales. Il suffit au pouvoir de savoir s’en servir. C’est leur métier.
Tous ces outils permettent d’opérer in fine l’enjeu profond de toutes les civilisations: l’eugénisme. La pauvreté, la détresse, l’incertitude, la peur, l’ignorance sont extrêmement efficaces pour faire baisser le taux de natalité. Quand ils ne suffisent plus, il y a des moyens plus radicaux.
Injectables.
Ou militaires.
Ces outils, que le pouvoir a confisqués pour assurer sa propre pérennité, appartiennent au peuple. Pour éviter les conséquences tragiques de ce qu’on veut lui imposer de force, la solution serait que le peuple recommence à les mettre en oeuvre lui-même.
L’eugénisme et la génétique ne sont pas l’apanage du Diable, ils sont l’affaire des familles. Quand on choisit la mère ou le père de ses enfants, quand on le/la choisit de sa propre ethnie ou non, on fait de la génétique. Quand on décide du nombre de ses enfants, on fait de l’eugénisme. On les pratique surtout à leur juste mesure. Tout comme la santé, ce sont des affaires individuelles. L’Etat n’a pas à y fourrer son nez. Bill Gates non plus.
Vous aviez le choix en 2017. Les Français avaient à portée de main un candidat humble, bienveillant, politiquement cultivé et parfaitement capable de gérer le pays. Un candidat qui avait sacrifié son petit confort personnel au service de son pays. Il s’appelait François Asselineau.
Aujourd’hui, ce candidat n’a même pas pu se présenter. Comme en 2017, vous avez le choix entre un petit dictateur et une rombière incompétente.
Le premier a fait depuis cinq ans – au moins – la preuve cinglante de sa nocivité et de sa malveillance. Le nombre de victimes des injections est, à dessein, impossible à évaluer mais si on se base sur les chiffres américains, il doit être considérable. La stérilité va devenir un problème majeur pour l’ensemble de la société, pendant que l’obligation vaccinale déjà revue à la hausse avant le Covid continuera à handicaper les enfants – encore une fois, voir les chiffres américains, qui montrent qu’un enfant sur dix est dans la sphère autistique et 54% souffrent de maladie chronique. Voilà le vrai visage de l’eugénisme d’Etat.
On peut également prédire que Macron appliquera, dès la diffusion du prochain mutant de laboratoire – on nous annonce le H1N1, probablement cette année – l’équivalent des mesures de confinement délirantes actuellement en phase d’essai à Shanghaï – sur lesquelles je reviens dans un article en cours de traduction – qui contiendra l’inflation par l’immobilisation de la circulation monétaire, le temps d’offrir à ses supérieurs de la haute finance une nouvelle opportunité de juteuses opérations avant le crash final.
Le même vous promet des tickets de rationnement alimentaire pour soutenir l’effort militaire du front Nazi contre la Russie, voire d’y envoyer des troupes, ce qui, après la destruction économique du pays, laisse augurer sa destruction physique à court terme, le tout justifié par la comédie de son alter ego et condisciple des Young Global Fascists Leaders, acteur cocaïnomane coupable de « purification ethnique » (13.000 morts), subventionnée par les Etats-Unis. Si vous avez le moindre sens de l’Histoire, tout ça devrait vous rappeler quelque chose. Quelque chose qui a coûté la vie à plus de vingt millions de Russes.
Le peuple russe est l’ami du peuple français. Du moins du peuple français dont ils ont gardé le souvenir, celui d’il y a trois générations, qui bossait dur, respectait son pays et votait à droite, parce qu’ils n’avaient pas peur qu’on attende d’eux qu’ils se comportent en Français et en chrétiens. Les russes d’aujourd’hui bossent toujours aussi dur, respectent toujours leur pays et votent à droite plus que jamais. Ce sont des gens intelligents et courageux. On a pas besoin de leur rappeler qu’ils sont russes et orthodoxes. Le fait que ça puisse effrayer un bon nombre de Français en dit long sur la chute libre de leur courage et de leur perception de leur propre identité.
La deuxième candidate est payée pour ne pas dire ce qu’elle sait et ne rien savoir du reste. Comme son père, son boulot est essentiellement d’occuper la chaise qui fait face au vainqueur désigné d’avance et donner l’illusion d’un débat. Un chien avec un chapeau ferait le boulot.
Le RN, anciennement FN, est une plaisanterie. Un faux parti, repoussoir politique mis en selle par la gauche de Mitterand, dont la seule raison d’être est de ne jamais assumer le pouvoir. S’il l’avait voulu, le FN disposait dans ses rangs des deux seules personnalités politiques présidentiables en France depuis trente ans – excepté Asselineau – capables de balayer toutes les autres. Le premier était Bruno Gollnisch, soigneusement évincé par le père Le Pen lors de sa succession et mis sur la voie de garage de la députation européenne. Gollnisch avait le niveau, la culture et la carrure. Je pense encore aujourd’hui qu’il aurait fait un excellent Président, peut-être le meilleur de l’Histoire. Encore aurait-il fallu que le peuple le comprenne.
La deuxième était Marion Auque-LePen. Je la désigne sous le nom auquel elle pourrait prétendre – c’est juste mon avis personnel – parce qu’elle est, avant d’être une Le Pen, la digne fille de son vrai père, un de ceux qui font une différence dans le cours de l’Histoire – les agents secrets. Elle est même plus que ça, en fait.
Marion, c’est Marianne.
Mais voilà, elle n’a pas voulu. On peut la comprendre. Elle aussi a le niveau, la culture et la carrure d’une Présidente. Mais honnêtement, qui voudrait présider à la destinée de 70 millions d’enfants, dont autant se sont égarés sur la route du « progrès »?
Avant de vouloir changer de pouvoir, il faut changer les électeurs. Il doivent commencer par digèrer leur vieux syndrome de Stockholm, et cesser d’imaginer que leur bourreau cessera tôt ou tard d’être ce pour quoi il est payé. « Si on est gentils avec lui, il sera peut-être gentil avec nous. » Non, ça ne marchera pas.
Ce qui pourrait marcher, c’est que le peuple trouve lui-même des solutions. La France a perdu une grande partie de son autonomie, et on ne la lui rendra pas. C’est donc à partir de la base – donc, du citoyen – qu’il faut la réinstaurer. Des coopératives, des potagers familiaux, villageois ou urbains, des sources d’énergie locales, et mille autres choses à créer ou à retrouver. Bref, des initiatives. Tout ce qui aurait dû être fait depuis des décennies – Reiser en parlait il y a quarante ans – et qui est maintenant particulièrement urgent, avant que l’Enfer se déchaîne.
A force que le peuple se retienne du choix difficile de l’autonomie et du travail qu’elle implique, quelqu’un s’est glissé dans le créneau pour vendre sa camelote. Si vous votez pour le Grand Reset, vous aurez leur version de l’autonomie: ne rien posséder, et être heureux. C’est-à-dire possèder un code QR et être obéissants.
Je ne sais pas si mettre à l’Elysée Machin-chose Le Pen changera le cours de l’Histoire. Probablement pas. Elle recevra les mêmes feuilles de route des mêmes treize familles. Ce qui changerait vraiment serait de lui signifier, à elle et à ses commanditaires, que le peuple se chargera de tout, merci bien, et qu’elle s’occuperait utilement à choisir de nouvelles tentures pour les fenêtres de son palais temporaire, à y passer un coup d’aspirateur et un coup de chiffon sur le dessus des portes.
Ou bien c’est trop tard. La tâche est impossible. Le courage n’est plus là. Mieux vaut tout laisser détruire et choisir l’homme de confiance de Davos, dont c’est la mission. Mieux vaut se réfugier dans sa cellule urbaine et le Metaverse, sans rien savoir de la beauté magique de ce magnifique pays.
Je ne sais pas et de toute manière, comme je ne suis pas Français, on ne me demande pas mon avis.
Je n’ai rien publié depuis une semaine mais je vous assure que je bosse beaucoup pour ce blog, en plus de mon travail à plein temps, de mes cinq chats et de mes trois chiens. Je remercie encore mon épouse d’assumer plus que son dû pour me permettre de trouver le temps de lire et rédiger.
Mes lecteurs réguliers auront remarqué que mes récents articles concernent surtout la protéine de pointe et plus du tout l’oxyde de graphène. Ils savent aussi que je tolère assez mal les « négationnistes » du Covid.
Une petite mise à jour s’impose, ainsi qu’un petit tour d’horizon de ce qu’on « sait ».
Virus?
L’essentiel de ce que je relaie s’articule donc autour du concept coronavirus/protéine de pointe, et bien entendu des injections qui introduisent violemment cette dernière dans l’organisme – en théorie. Il existe une frange dont l’argument est de contester l’existence du virus, puisque celui-ci n’a effectivement jamais été isolé. Une des figures les plus connues de cette tendance est le Dr Stefan Lanka, virologue, connu pour avoir contesté l’existence de tous les virus. L’intéressante critique que Lanka avait faite de la théorie virale à l’époque du VIH est reprise aujourd’hui notamment par le Dr Sam Bailey, le Dr Andrew Kaufman et le Dr Thomas Cowan. Ils sont loin d’être les seuls, mais ce sont eux qui ont eu le plus de visibilité sur la toile – raison pour laquelle je n’inclus pas de lien, vous les trouverez facilement.
Leur point de vue en très bref résumé: étant donné les conditions pour le moins douteuses de culture, d’identification, d’isolation et de reproductibilité de la pathogenèse des virus, on ne peut affirmer qu’ils sont causatifs de maladie, ni qu’ils existent en tant qu’entités indépendantes. Les postulats de Koch ne sont pas satisfaits. Les éléments que la virologie désigne sous l’appellation « virus » sont d’après le Dr Lanka des résidus cellulaires, et d’après le Dr Kaufman, des exosomes. Tout se tient dans leur analyse, jusqu’au moment où il s’agit de désigner le véritable mécanisme de pathogenèse et de contagion. Leur solution est d’attribuer les symptômes des maladies à des processus de détoxification et d’ignorer purement et simplement le phénomène de contagion, que tout le monde aura pourtant eu l’occasion d’observer. Comme toujours, les défenseurs d’une théorie alternative commettent la même erreur, en pire, que ceux qu’ils contestent en tentant de justifier un phénomène complexe par une explication simpliste et susceptible de séduire les amateurs de théories alternatives. Ce n’est pas à proprement parler de l’opposition contrôlée mais ça remplit la même case.
De la théorie de Lanka, il reste des remarques judicieuses, par exemple que les omniprésentes représentations graphiques des virus sont des créations d’artistes, vu qu’il n’en existe aucune photographie légitime. L’explication officielle qui lui est opposée est que, les virus n’existant pas en tant qu’entité indépendante mais uniquement comme « parasite » cellulaire, on ne peut en obtenir une image. La froide vérité est que la virologie suit le modèle essai/erreur (surtout erreur) que l’ensemble des sciences a adopté depuis plus d’un siècle, selon une méthodologie digne du Professeur Shadoko – je vous recommande à ce propos cet épisode des Shadoks, qui devrait vous rappeler ce que nous subissons depuis deux ans – et qu’elle s’engage aujourd’hui dans un processus de modélisation qui rompt son dernier lien avec la réalité. Ce n’est pas moi qui fait ici une assertion gratuite: les chercheurs de très haut niveau sont les premiers à dire que plus ils avancent, plus ils réalisent ce qui reste à découvrir – en gros, qu’ils ne savent quasiment rien. Je vous ai déjà orientés vers ce bouquin (en anglais) de Dewey B. Larson, « The case against the nuclear atom« , dont la longue introduction épistémologique dit exactement la même chose. Si vous ne devez lire qu’un ouvrage scientifique, c’est celui-là.
Je précise que le Dr Lanka, dont j’ai suivi avec intérêt le parcours depuis vingt ans, est aujourd’hui devenu complètement fou. Il promeut la Nouvelle Médecine Germanique, du Dr Hamer, théorie d’une stupidité confondante. Son avenir consiste désormais à donner des interviews à des professeurs de yoga et des conférences devant dix personnes dans des magasins bio, hormis la tribune qui lui est offerte, à lui et au Dr Kaufmann, dans le Comité Corona de Reiner Fuellmich, qui manque parfois cruellement de discernement. J’y reviens dans un prochain article.
Oxyde de graphène?
Ricardo Delgado Martin, la cheville ouvrière de La Quinta Columna, dont j’ai publié plusieurs articles, est le premier à avoir signalé la présence d’oxyde de graphène dans les fioles des injections Covid. J’ai également publié sur ce sujet un long article du créateur de Kokopelli et deux articles de Stephers (ici et ici).
La Quinta Columna a procédé à l’analyse de fioles de « vaccins » des quatres fabricants principaux et en a déduit la présence d’oxyde de graphène. Assez étrangement, ils ont ensuite a élaboré la théorie suivante: il y avait déjà de l’oxyde de graphène dans les vaccins anti-grippaux des années 2018 et 2019, vaccins administrés à 80% des résidents des maisons de repos en Espagne, pays où la majorité des antennes 5g sont concentrées autour de ces établissements. Selon eux toujours, les premiers « cas » auraient été ainsi volontairement provoqués fin 2019 par l’irradiation des personnes injectées par des ondes millimétriques, qui, concentrées par l’oxyde de graphène, auraient donné les symptômes du Covid, point de départ de la panique autour d’une pandémie virale inexistante – voir paragraphe précédent. La Quinta Columna a également en son temps relayé les histoires de magnétisme (ce que j’ai également fait ici) et de bébés mutants, qui ont depuis totalement disparu des sujets traités sur les réseaux.
Le problème est que je connais personnellement plusieurs personnes qui ont fait le Covid (dont deux très sérieux) sans avoir jamais reçu aucun des vaccins antigrippaux en question, ni aucun autre, et qui n’ont jamais été à proximité de quelque antenne 5g que ce soit. Je peux aussi, dans au moins un cas, retracer l’origine de la contamination de personne à personne.
Autre problème, d’autres personnes qui ont publié ensuite ce type d’analyse au microscope ne sont pas crédibles. Il s’agit du Dr Robert Young, qui ne fait apparemment que reprendre le dossier de La Quinta Columna en y apposant son nom, d’anonymes qui se font nommer The Scientists Club, d’une équipe de néo-zélandais, le Dr Shelton et l’avocate Sue Grey, difficiles à prendre au sérieux vu le manque de rigueur de leur étude, et d’autres qui donnent également ce genre d’impression.
J’ajoute enfin que la totalité de l’histoire diffusée autour de la découverte d’hydroxyde de graphène dans les injections par un certain Andreas Noack, supposément expert en la matière, sent le hoax à plein nez, hoax dont l’objectif serait d’être le clou dans le cercueil de toute cette histoire, contre laquelle Whitney Webb met en garde dans cet article.
Mais…
Dans le dossier oxyde de graphène, une autre analyse semble légitime, celle présentée par une équipe autrichienne à Viviane Fischer du Comité Corona – ce qui interroge sur le fait que l’organisation de Reiner Fuellmich ne l’a pas utilisée pour attaquer les firmes pharmaceutiques dans ce qui serait un procès gagné d’avance, mais je digresse.
Et le Dr Sam Bailey donne sur sa chaîne la parole au Dr Robin Wakeling, qui fournit une présentation assez convaincante et très professionnelle de sa propre analyse du contenu d’une fiole de Pfizer.
… ou alors?
Tenant à m’assurer au préalable qu’il n’est pas un Alex Jones du pauvre, je n’ai jusqu’à présent relayé ici aucune des émissions de Stew Peters. Etait annoncé pour vendredi dernier (donc le 8 avril) un long documentaire intitulé « Watch the Water« , autour d’une interview du Dr Bryan Ardis, un médecin américain – proche du Dr Peter McCullough (que j’ai publié ici et ici) – qui donne des conférences sur les dangers des protocoles hospitaliers Covid et bien entendu des injections. La diffusion de ce documentaire, annoncé comme particulièrement explosif, est finalement reportée à lundi, 18h (EST) donc une heure du matin ici. Selon la bande-annonce, le Dr Ardis reprend l’analyse du Pr Bing Liu, assassiné alors qu’il menait des recherches sur l’origine du Covid, et en conclut que l’agent contaminant n’est pas un virus mais un poison distribué dans l’eau du réseau public. Je suis plutôt sceptique mais je regarderai le documentaire en question et ne manquerai pas de vous tenir au courant de ce que j’en pense.
Je rappelle que je posais la question du mode de contamination à l’origine du Covid il y a deux ans ici. Le Dr Lee Merritt a depuis posé une question du même ordre: la protéine de pointe étant le pathogène, a-t-elle pu être distribuée seule, par exemple sous forme de spores? La question mérite d’être posée pour une simple raison. Ceux qui parlent d’arme biologique ne semble jamais tenir compte que la recherche militaire a quarante ans d’avance sur le secteur civil, ce que rappelle ici le Dr Igor Shepherd qui a oeuvré de longues années dans ce domaine, côté soviétique.
D’après ce qui précède, mes propres observations et les centaines de témoignages que j’ai lus ou recueillis personnellement, ma conclusion, purement empirique et temporaire à ce stade, est que:
le Covid est bien une maladie spécifique – ou un ensemble de symptômes – et potentiellement très dangereuse;
les premiers cas de Covid remontent à plusieurs mois, voire plusieurs années avant décembre 2019;
le comptage des morts a certes été frauduleux mais il a occulté d’autres conséquences majeures, que l’on commence à évaluer et sur lesquelles je reviens bientôt (dégâts au système immunitaire et autres atteintes vasculaires, cardiaques, cérébrales, etc.) qui ont sans doute causé d’autres décès et rendent le comptage initial impossible et faussent le calcul du taux de mortalité;
la question de l’origine virale est intéressante tant qu’elle ne sert pas à nier l’existence du Covid, ni le fait qu’il y a eu contamination et contagion;
aucun test n’est fiable;
toutes les mesures prises (confinements, masques, protocoles hospitaliers, injections) ont été soit inefficaces, soit dangereuses, soit mortelles.
Un premier article signé Igor Chudov, très sérieux mais assez rigolo quand même. J’ai traduit sous les illustrations le texte qui y figure et j’ai souligné ce que l’auteur a souligné en rouge.
Le SARS-Cov-2 a-t-il été CONÇU pour engendrer autant de variants?
Ralph Baric a créé un variant du SARS à mutation accélérée en 2010
Igor Chudov
26 mars
Comme de nouveaux variants de Sars-Cov-2 apparaissent de plus en plus rapidement, nous devons nous demander ce qui fait que la quasi-espèce Sars-Cov-2 mute si vite, beaucoup plus vite que le Sars original de 2003, engendrant une infinité de nouveaux variants.
Il s’avère que la science a peut-être la réponse! Un scientifique de génie bien connu, Ralph Baric, a publié une recherche intéressante en 2010:
L’infidélité de la réplication du virus mutant Nsp14-Exonucléase du SARS-CoV est révélée par le séquençage complet du génome
Lance D. Eckerle, Michelle M. Becker, Rebecca A. Halpin, Kelvin Li, Eli Venter, Xiaotao Lu, Sana Scherbakova, Rachel L. Graham, Ralph S. Baric, Timothy B. Stockwell, David J. Spiro, Mark R. Denison
La plupart des virus à ARN ne disposent pas des mécanismes nécessaires pour reconnaître et corriger les mutations qui surviennent lors de la réplication du génome, ce qui entraîne une diversité de quasi-espèces nécessaire à la pathogenèse et à l’adaptation. Cependant, on ne sait pas comment les virus codant pour de grands génomes ARN viraux tels que les Coronaviridae (26 à 32 kb) équilibrent les exigences de stabilité du génome et de diversité de la quasi-espèce. De plus, les limites de l’infidélité de réplication pendant la réplication des grands génomes d’ARN et l’impact de la diminution de la fidélité sur l’aptitude du virus au fil du temps ne sont pas connus. Nos travaux précédents ont démontré que l’inactivation génétique de l’exoribonucléase (ExoN) du coronavirus dans la protéine non structurale 14 (nsp14) du virus de l’hépatite murine entraîne une diminution de 15 fois de la fidélité de réplication. Cependant, on ne sait pas si la protéine nsp14-ExoN est nécessaire à la fidélité de réplication de tous les coronavirus, ni l’impact de la diminution de la fidélité sur la diversité du génome et la forme physique pendant la réplication et le passage. Nous rapportons ici l’ingénierie et la récupération de virus mutants nsp14-ExoN du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) qui présentent des défauts de croissance stables et démontrent une augmentation de 21 fois de la fréquence de mutation pendant la réplication en culture. L’analyse des séquences complètes du génome des clones viraux mutants SARS-ExoN a révélé des ensembles de mutations uniques dans chaque génome examiné provenant du même cycle de réplication et un total de 100 mutations uniques dans tout le génome. À l’aide de nouveaux outils bioinformatiques et du séquençage profond du génome complet après 10 passages de population in vitro, nous démontrons la rétention des mutations ExoN et l’augmentation continue de la diversité et de la charge mutationnelle par rapport au SARS-CoV de type sauvage. Les résultats définissent un nouveau modèle génétique et bioinformatique pour l’introduction et l’identification de mutations multi-alléliques dans des virus capables de se répliquer, qui seront des outils puissants pour tester les effets d’une diminution de la fidélité et d’une augmentation de la diversité des quasi-espèces sur la réplication, la pathogenèse et l’évolution virales.
Pourquoi cet article vieux de 12 ans est-il si intéressant? Parce qu’il montre comment Ralph Baric, l’éminent chercheur en matière de gain de fonction, a modifié le virus du SARS (le SARS original de 2003) afin de le faire muter plus rapidement et de lui permettre de créer de nouveaux variants à un rythme plus soutenu.
Apparemment, Ralph Baric était mécontent que le virus original du SARS, bien que hautement pathogène, ne mute pas assez vite. Lui et ses coauteurs ont donc entrepris de modifier le virus du SARS pour qu’il mute plus rapidement!
En tant que brillants chercheurs, ils ont trouvé le moyen d’y parvenir :
Nous rapportons ici l’ingénierie et la récupération de virus mutants nsp14-ExoN du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) qui présentent des défauts de croissance stables et dont la fréquence de mutation est multipliée par 21 pendant la réplication en culture.
À l’aide de nouveaux outils bioinformatiques et du séquençage profond du génome complet après 10 passages de population in vitro, nous démontrons la rétention des mutations ExoN et l’augmentation continue de la diversité et de la charge mutationnelle par rapport au SARS-CoV de type sauvage. Les résultats définissent un nouveau modèle génétique et bioinformatique pour l’introduction et l’identification de mutations multi-alléliques dans des virus capables de se répliquer, qui seront des outils puissants pour tester les effets d’une diminution de la fidélité et d’une augmentation de la diversité des quasi-espèces sur la réplication, la pathogenèse et l’évolution virales.
Financement : Ce travail a été soutenu par des bourses du Service de Santé Publique de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses.
Pour résumer ce qu’ils ont fait en langage simple, ils ont utilisé des outils logiciels de bioinformatique pour trouver les changements génétiques nécessaires pour que le virus mute plus rapidement lors de la réplication, ce qui lui permet d’engendrer plus de variants plus rapidement, tout en restant robuste et compétent pour la réplication.
Ils ont découvert que les mutations dites « ExoN », telles que nsp14-ExoN, font muter le virus 21 fois plus vite, tout en le maintenant compétent pour la réplication (c’est-à-dire qu’il est toujours capable de se répliquer). Ils l’ont également fait passer 10 fois in-vitro comme preuve de concept, pour s’assurer que ce variant mutant du Sars mute effectivement 21 fois plus vite pour engendrer encore plus de variants.
Notez que nsp14 est une « protéine non structurelle » qui doit être mutée pour désactiver la correction des erreurs et permettre l’apparition d’autres mutations pendant la réplication virale.
Et alors, me direz-vous? Pourquoi devrions-nous nous intéresser à cette obscure protéine?
Les mutations de la protéine nsp14 du SRAS-CoV-2 sont fortement associées à une augmentation de la charge de mutation à l’échelle du génome.
[…]
pour lutter contre la maladie. Dans cette étude, nous avons analysé les densités de mutation des isolats viraux portant des mutations fréquemment observées pour quatre protéines du complexe de synthèse de l’ARN au fil du temps, par rapport aux isolats de type sauvage. Nos observations suggèrent que les mutations de nsp14, une protéine exonucléase correctrice d’erreurs, ont la plus forte association avec une charge de mutation accrue sans pression sélective et à travers le génome, par rapport à nsp7, nsp8 et nsp12, qui forment le noyau du complexe de la polymérase. Nous proposons la nsp14 comme cible de recherche prioritaire pour comprendre le taux de variance génomique dans les isolats du SARS-CoV-2 et les mutations nsp14 comme prédicteurs potentiels des souches à forte mutabilité.
que la sous-unité nsp14 ExoN du CoV a une fonction supplémentaire, qui est apparemment essentielle à la synthèse de l’ARN viral primaire et diffère donc de la fonction de relecture qui, sur la base d’études antérieures sur le MHV et le SARS-CoV, a été proposée pour renforcer la fidélité de la réplication à plus long terme. IMPORTANCE La sous-unité bifonctionnelle nsp14 de la réplicase des coronavirus contient des domaines 3′-to-5′ exoribonucléase (ExoN) et guanine-N7-méthyltransférase. Pour les bétacoronavirus MHV et SARS-CoV, ExoN a été signalé pour promouvoir la fidélité de la réplication du génome, probablement en médiant une forme de relecture. Pour ces virus, les mutants knock-out ExoN sont viables tout en affichant une fréquence de mutation accrue. De manière frappante, nous avons maintenant établi que les mutants knock-out ExoN équivalents de deux autres bétacoronavirus, le MERS-CoV et le SARS-CoV-2, sont non viables, ce qui suggère une fonction ExoN supplémentaire et critique dans leur réplication. Cela est remarquable compte tenu de la distance génétique très limitée entre le SARS-CoV et le SARS-CoV-2, qui est mise en évidence, par exemple, par l’identité de séquence de 95 % des acides aminés dans leurs séquences nsp14. Les deux activités enzymatiques de la nsp14 (recombinante) du MERS-CoV ont été évaluées à l’aide de nouveaux tests in vitro qui peuvent être utilisés pour caractériser plus en détail ces enzymes clés de la réplication et explorer leur potentiel en tant que cible pour le développement de médicaments antiviraux.
Donc, Sars-Cov-2 contient un nsp14 muté du SARS. Comment se comporte-t-il dans la vie réelle? Très bien, en fait! Les mutations du nsp14 ont favorisé l’apparition de nouveaux variants.
Résultats de l’étude
L’examen des nouveaux génomes du SARS-CoV-2 provenant de ces régions du monde a permis de découvrir les variants BA.1.1 et BA.2. Il est intéressant de noter que ces régions ont été témoins de la résurgence du COVID-19, malgré un bon contrôle préalable. Cela indique que les nouvelles mutations ont pu contribuer à l’augmentation des nouveaux cas dans ces deux pays.
Contrairement au reste du monde, la Nouvelle-Zélande a signalé son premier cas Omicron dû au BA.1 en décembre 2021, et le premier BA.1.1 seulement le premier jour de 2022. Pendant ce temps, l’augmentation des cas de COVID-19 en Nouvelle-Zélande est survenue à partir du 22 février 2022, ce qui conduit à postuler que pendant cette période, l’évolution virale s’est poursuivie.
Cette évolution a été facilitée par l’apparition de jusqu’à 70 mutations par génome viral, les variantes BA.1.1 et BA.2 étant à l’origine de la plupart des cas, tandis que la variante BA.1 semblait s’estomper.
Les nouvelles mutations ont été trouvées dans la protéine non structurelle (NSP)3, NSP10 et NSP14, toutes trois présentes dans les génomes BA.1.1. La mutation NSP10 a été trouvée dans plus de 700 génomes de SARS-CoV-2 ; toutefois, les mutations NSP3 et NSP14 ne se produisent pas ensemble et affectent différentes parties du génome BA.1.1.
Rien à voir ici
Il pourrait s’agir d’une pure coïncidence: certaines chauves-souris, installées dans des grottes à 1000 km de Wuhan, ont décidé par pur hasard de suivre la suggestion de l’article de Baric de 2010 et ont modifié les gènes nsp14 ExoN afin de faire muter leur virus plus rapidement – juste pour le plaisir.
Franchement, pourquoi Moderna donnerait-elle à des chauves-souris la permission d’utiliser son code breveté dans le Sars-Cov-2? Il n’y a pas la moindre raison! Les milliards que Moderna a gagnés avec les vaccins Covid-19 n’ont sûrement aucun rapport.
Une fois les modifications génétiques effectuées, ces chauves-souris se sont envolées à 1000 km de leur grotte pour rejoindre Wuhan, en Chine, et ont déclenché une pandémie mondiale en plein « marché humide », à 2 km de l’Institut de virologie de Wuhan. Tout ceci n’est, bien sûr, qu’une coïncidence. Il n’y a rien à voir ici. Passez à autre chose, ignorez cette histoire et ne partagez PAS cet article!
Texte original
Was Sars-Cov-2 DESIGNED to Spawn so Many Variants?
Ralph Baric Engineered Faster Mutating SARS Variant in 2010
Igor Chudov
Mar 26
As new variants of Sars-Cov-2 keep appearing faster and faster, we have to ask what makes the Sars-Cov-2 quasispecies mutate so fast, so much faster than the original Sars from 2003, spawning endless new variants.
It turns out that science may have the answer for us! A well known genius scientist Ralph Baric published an interesting piece of research in 2010:
Why is this 12 year old article so interesting? Because it shows how the leading Gain-of-Function researcher Ralph Baric was messing around with the SARS (the original SARS of 2003) virus in order to make it mutate faster and be able to spawn new variants at a greater rate.
Apparently, Ralph Baric was unhappy that the original Sars virus, while highly pathogenic, was not mutating fast enough. So he and his coauthors set out to make changes to the SARS virus to mutate faster!
Being brilliant researchers, they found a way to do it:
We report here the engineering and recovery of nsp14-ExoN mutant viruses of severe acute respiratory syndrome coronavirus (SARS-CoV) that have stable growth defects and demonstrate a 21-fold increase in mutation frequency during replication in culture.
Using novel bioinformatic tools and deep sequencing across the full-length genome following 10 population passages in vitro, we demonstrate retention of ExoN mutations and continued increased diversity and mutational load compared to wild-type SARS-CoV. The results define a novel genetic and bioinformatics model for introduction and identification of multi-allelic mutations in replication competent viruses that will be powerful tools for testing the effects of decreased fidelity and increased quasispecies diversity on viral replication, pathogenesis, and evolution.
Funding: This work was supported by Public Health Service awards from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases
To restate what they did in simple language: they used computer bioinformatic tools to find genetic changes required to make the virus mutate faster upon replication, thus allowing it to spawn more variants faster, while still remaining robust and replication competent.
They found that so called “ExoN” mutations such as nsp14-ExoN, make the virus mutate 21 times faster, while keeping it replication competent (so that it is still able to replicate). They also passed it 10 times in-vitro as proof of concept, making sure that this mutant Sars variant indeed mutates 21 times faster to spawn even more variants.
Mind you, nsp14 is a “non-structural protein” that needs to be mutated to disable error correction and allow more mutations to appear during viral replication.
So what, you would say? Why should we care about this obscure protein?
So, Sars-Cov-2 contains a mutated nsp14 from SARS. How does it do in real life? Turns out, very well! nsp14 mutations helped new variants to occur.
Nothing to See Here
This might be a pure coincidence: certain bats, sitting in the caves 1,000 km away from Wuhan, purely by chance decided to follow the suggestion of the 2010 Baric article and modified the nsp14 ExoN genes in order to make their virus mutate faster — just for fun.
I mean, why would Moderna give bats permission to use its patented code in Sars-Cov-2? There is no reason at all! The billions that Moderna made from Covid-19 vaccines, surely, are completely unrelated.
When done with the genetic modifications, those bats flew 1,000 km from their caves to Wuhan, China and started a global pandemic right in the “wet market” 2km away from the Wuhan Institute of Virology. All this is, of course, only a coincidence. There is nothing to see here. Please move on, ignore it, and do NOT share this article!
Note: pour plus d’infos sur les (ricanements) de Gates, voir cet article.
Traduction
Journaliste: Je voulais commencer par entendre M. Gates nous donner un aperçu de la situation, car je sais que c’est un sujet dont vous avez parlé à maintes reprises. Vous étiez en avance sur la courbe avant le début de cette pandémie. Comment évaluez-vous la situation actuelle en matière de lutte contre le Covid-19?
Bill Gates: Eh bien, le… vous savez, malheureusement, le virus lui-même, en particulier le variant appelé Omicron, est un type de vaccin, c’est-à-dire qu’il crée une immunité à la fois des cellules B et des cellules T, et il a mieux réussi à toucher la population mondiale que les vaccins que nous avons utilisés. Si vous faites des enquêtes dans les pays africains, vous obtenez bien plus de 80 % des gens qui ont été exposés soit au vaccin, soit à différents variants. Et donc, vous savez, cela signifie que le risque de maladie grave, qui est principalement associé au fait d’être âgé et d’avoir de l’obésité ou du diabète, est maintenant considérablement réduit grâce à cette exposition à l’infection. Et, vous savez, c’est triste que nous n’ayons pas fait du bon travail en matière de (ricanement) thérapeutique, vous savez, ce n’est que maintenant, deux ans après, que nous avons une bonne thérapeutique. Les vaccins, il nous a fallu deux ans pour être en surproduction. Aujourd’hui, il y a plus de vaccins qu’il n’y a de demande de vaccins. Et, vous savez, ce n’était pas vrai et la prochaine fois, nous devrions essayer de (ricanement) faire en sorte qu’au lieu de deux ans, ce soit plutôt six mois. Et certainement, vous savez, certaines des approches de la plate-forme standardisée, y compris l’ARNm, nous permettraient de le faire. Donc, vous savez, cela nous a pris beaucoup plus de temps cette fois-ci que cela aurait dû.
Transcription originale
Journalist: But I wanted to kick off actually and get a bit of a scene setter from Mr Gates because this is, I know, a topic that you’ve spoken on again and again. You were ahead of the curve prior to the beginning of this pandemic. Where would you assess where we are today in beating Covid-19?
Bill Gates: Well, the… you know sadly, the virus itself, particularly the variant called Omicron is a type of vaccine, that is, it creates both B-cell and T-cell immunity and it’s done a better job of getting out to the world population than we have with vaccines. If you do surveys in African countries, you get well over 80 percent of people have been exposed either to the vaccine or to various variants. And so, you know, what that does is, it means the chance of severe disease which is mainly associated with being elderly and having obesity or diabetes, those risks are now dramatically reduced because of that infection exposure. And, you know, it’s sad we didn’t do a great job on (snicker) therapeutics, you know, only here, two years in do we have a good therapeutic. Vaccines, it took us two years to be in oversupply. Today there are more vaccines than there is demand for vaccines. And, you know, that wasn’t true and next time we should try and (snicker) make it instead of two years, we should make it more like six months. Which certainly, you know, some of the standardized platform approaches including mRNA would allow us to do that. So, you know, it took us a lot longer this time than it should have.
Joyce Kamen est la fille du Dr Jack Kamen, le docteur qui a mis au point le système d’obturation des canules pour trachéotomie qui porte son nom. Ce petit médecin des familles aura ainsi sauvé un nombre incalculable de vies. Joyce en parle ici. En digne héritière de son papa, elle a aussi publié un article sur la trahison du Dr Andrew Hill, d’un niveau de malfaisance qui fait froid dans le dos. Je traduirai et publierai les deux sur ce blog (même si je n’ai pas le temps).
Joyce nous explique dans l’article ci-dessous comment, après avoir imposé un protocole de soins conçu pour tuer des centaines de milliers de gens, le CDC retourne sa veste, en recommandant maintenant le traitement précoce du Covid. En anglais, on appelle ça « adding insult to injury »: ajouter l’insulte à la blessure. Sauf que tout ça est évidemment plus grave que des « blessures ».
Je vous l’avais annoncé ici, et c’est exactement ce qui est en train de se produire. Ils retournent tous leur veste, et en plus ils se foutent de nos gueules.
L’Imperial College, où sévit Neil Ferguson, qui avait promis 500.000 morts rien qu’au Royaume-Uni dans l’étude qui a servi d’alibi à tous les gouvernements pour imposer deux ans de mesures totalement inutiles à autre chose qu’à la destruction de leurs économies nationales, publie maintenant des études qui montrent que les masques ne servent absolument à rien, ce qu’on sait depuis des décennies et ce que rappellent tous les scientifiques sérieux depuis le début de l’épidémie.
Une étude de Johns Hopkins (ceux qui ont co-organisé le Event 201 censé prévoir toutes les mesures nécessaires en cas d’épidémie) annonce que les mesures prises par les gouvernements, qui ont engendré des dégâts humains incalculables, n’auront finalement réduit la mortalité que de 0,2%.
Ecoutez Scott Gottlieb, l’ancien de la FDA recyclé chez Pfizer, qui explique que le CDC n’était malheureusement pas équipé pour indiquer la marche à suivre – après avoir interdit aux médecins de soigner les malades – et que tout est donc de la faute de ceux qui les ont écoutés. Le CDC est donc innocent.
Présentatrice: Les lignes directrices du CDC ont semé la confusion, elles ont été déconcertantes, elles ont semblé définir la » science telle que nous la connaissons » à certains égards, mais je suppose que c’est la réalité et que c’est probablement la raison pour laquelle ils ont modifié ces lignes directrices pour refléter exactement ce que nous voyons actuellement. Enfin, je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas dit cela à l’époque, mais sachant que nous allons avoir, disons, un pour cent de la population infectée, 10 % infectés à un moment donné, comme nous l’avons vu ces dernières semaines, est-ce que c’est ce que le CDC a vu et savait? C’est pour cela que nous avons reçu ce genre de conseils insensés?
Gottlieb: Je pense que les directives du CDC reflètent la réalité: une grande partie de la propagation actuelle est le fait de personnes qui sont légèrement symptomatiques ou asymptomatiques et qui ne transmettent pas leurs infections; imposer toutes les réglementations et les restrictions sur le petit pourcentage de personnes qui se font diagnostiquer et s’isolent ne va pas permettre de contrôler cette épidémie. Tout comme nous ne faisons pas de recherche de contacts en ce moment. Beaucoup d’écoles ne recommandent pas la mise en quarantaine des élèves lorsqu’il y a un cas dans la classe, parce qu’il y a tellement d’infections et qu’il est impossible de contrôler l’épidémie par les infections que l’on transmet. Je pense qu’en ce qui concerne les conseils du CDC de manière plus générale, la réalité est que le CDC n’est pas une agence habituée à parler au public. Ils émettent généralement leurs recommandations aux prestataires par le biais des agences de santé publique. Dans le cas de cette épidémie, ils ont été mis dans une position où ils ont dû émettre des recommandations aux consommateurs. Ce n’est pas quelque chose qu’ils font habituellement. Je pense que nous avons commis une erreur ces deux dernières années en nous tournant vers le CDC pour savoir comment vivre notre vie. Nous aurions vraiment dû nous tourner vers les autorités locales pour ce genre de conseils. Je crois qu’en fin de compte, il faut réformer le CDC. Nous avons besoin d’une sorte d’agence fédérale de santé publique capable de faire ça. Mais le CDC n’était pas cette agence et il est très difficile pour une agence de s’auto-organiser, de se réformer dans le cadre d’une crise. Le CDC a été incapable de le faire.
Host: The CDC guidelines have been confusing, they’ve been befuddling, they have seemed to define « science as we know it » in some ways but I guess this is the reality and this is probably why they changed those guidelines to reflect exactly what we were seeing right now. I mean, I don’t understand why they didn’t say that at the time but knowing that you’re going to have, what do you say, one percent of the population being infected, having 10% infected at any point in time as we’ve been moving through the last several weeks, is that what the CDC saw and knew? Is that why we’ve gotten this kind of crazy guidance?
Gottlieb: I think the CDC guidelines reflect the reality that a lot of the spread right now is being done by people who are mildly or asymptomatic and aren’t turning over their infections and sort of impose all the regulations and restrictions on the small percentage of people are actually getting diagnosed and self isolating isn’t going to control this epidemic. Just like we’re not doing contact tracing right now. A lot of schools aren’t making recommendations to quarantine students when there’s a case in the class because there’s just so much infection that you’re not going to be driving this epidemic by the infections that you’re turning over. I think with respect to the CDC guidance more generally, the reality is that the CDC is not an agency accustomed to talking to the public. They usually issue their recommendations through public health agencies to providers. In this epidemic they were thrust into a position of having to issue by and large recommendations to consumers. It’s not something they do. I think we made a mistake all along for the last two years looking to the CDC for guidance on how we were going to live our lives. We really should have been looking to more local authorities for that kind of guidance. I mean, ultimately you need to reform the CDC. We need some kind of federal public health agency capable of doing this. But CDC was not that agency and it’s very hard for an agency to self-organize, to reform itself in the setting of a crisis. CDC has been unable to do that.
Le CDC est avant tout une bureaucratie, ce qui permet de diluer les responsabilités jusqu’au point où elles ne signifient plus rien. Mais ne vous y trompez pas, ces gens sont responsables.
Et coupables.
Que ce soit aux Etats-Unis, en France ou ailleurs ce sont toujours les mêmes procédés. Partout, tout le temps. Et ils s’en tirent toujours à bon compte. Mais les organismes de régulation, les gouvernements, les politiciens, les administrations, les médecins complices et les médias sont coupables.
Il n’aura fallu que 30 minutes à LinkedIn pour supprimer mon message. Mais vous méritez de le voir quand même.
Il n’y a pas de rideau assez grand pour occulter l’aube qui se lève sur ce crime.
Joyce Kamen
13 février
Mon message sur LinkedIn – imprimé dans son intégralité ci-dessous – a été retiré de la plateforme en 30 minutes à peine. Il faut leur reconnaître le mérite d’avoir été très rapides à la détente. Une simple pression et PAN! Disparu.
Ce qu’ils (et d’autres géants des médias sociaux) ne veulent pas que vous voyiez ou sachiez est dans ce post. Mais ce que les chercheurs de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) et de nombreux autres experts médicaux de renom dans le monde crient depuis deux ans ne parvient que maintenant aux oreilles des agences de santé publique américaines. Deux ans trop tard. Ils veulent à présent vous faire croire qu’ils sont de votre côté depuis le début. Mais est-ce vrai?
A vous de décider.
Posté le 12 février sur LinkedIn à 18h30. Retiré à 19h00.
OH MON DIEU.
Avec deux ans de retard pour les centaines de milliers de personnes qui ont péri – le plus souvent inutilement – le CDC dit enfin aux citoyens de suivre un TRAITEMENT PRÉCOCE contre le COVID. Sans s’excuser ni exprimer le moindre remords, ils ont publié hier le graphique et le lien ci-dessous et ont conseillé de « consulter votre prestataire de soins pour obtenir un traitement précoce ».
Les médecins/experts en COVID du FLCCC crient sur tous les toits depuis DEUX ANS qu’un traitement combiné précoce est essentiel pour arrêter la progression de la maladie. Ils ont présenté les alternatives. Mais le CDC ne recommande un traitement précoce que maintenant, parce que Merck et Pfizer ont mis sur le marché deux nouveaux antiviraux – tous deux difficiles à obtenir, inabordables pour beaucoup, pour lesquels les données d’études sont insuffisantes et qui peuvent présenter des problèmes de sécurité importants. [NdT. j’ai publié ça et ça sur ces deux médicaments]
Le problème est le suivant: si le traitement précoce du COVID est essentiel MAINTENANT comme le dit le CDC, pourquoi n’était-il pas essentiel ces deux dernières années, alors que certains des experts américains en soins intensifs les plus renommés et les plus publiés demandaient à être entendus sur l’importance du traitement précoce? Ces experts désignaient les composants extrêmement sûrs qui pouvaient assurer la sécurité des personnes, et ils étaient à ce titre censurés et menacés de perdre leur gagne-pain par les responsables de la santé publique et les grands médias. [NdT. voir les innombrables articles sur ce blog (sommaire ici), notamment l’interview de Peter McCullough]
MAINTENANT, CDC? Vous recommandez maintenant un traitement précoce? Alors que près d’un million d’Américains sont morts ces deux dernières années de souches plus virulentes que celle d’Omicron – qui est maintenant en déclin?? Maintenant seulement, alors que Big Pharma a jeté ses chiens dans la bataille?
MAINTENANT, vous lancez un appel aux gens pour qu’ils demandent un traitement précoce, comme pour laisser entendre que vous vous souciez, ou éprouvez de la compassion pour ceux qui en auraient vraiment eu besoin il y a deux ans?
Pour ma part, je n’ai pas besoin d’attendre que l’histoire de la gestion de cette pandémie par les responsables américains soit écrite pour connaître le premier paragraphe de ce récit tragique. Il se lira comme suit :
« Le COVID-19 a toujours été une maladie traitable – si elle est traitée à temps. Dès le début, les meilleurs experts en soins américains ont supplié les autorités de santé publique de les écouter et d’agir. Mais jusqu’à ce que cela devienne rentable, les responsables américains ont décidé de laisser plutôt les gens mourir. Et c’est ainsi qu’ils sont morts… par dizaines de milliers. »
Ils ont publié le graphique ci-dessous le 11 février 2022.
Graphique du CDC publié sur Twitter le 11 février 2022 – deux ans après que de nombreux experts médicaux, y compris des médecins du FLCCC, leur aient dit qu’un traitement précoce était essentiel pour réduire les hospitalisations et les décès.
C’était beaucoup trop tard pour beaucoup trop de gens.
Texte original
It Only Took LinkedIn 30 Minutes to Remove My Post. But You Deserve to See it Anyway.
There isn’t a blackout shade big enough to block out the daylight that’s dawning on this crime.
Joyce Kamen
Feb 13
My LinkedIn post —printed in its entirety below —was yanked off of the platform in a scant 30 minutes. Gotta give them credit for being so quick on the trigger. One good squeeze and KABOOM! Off it went.
What they (and other social media giants) don’t want you to see or know is in this post. But what the scholars of the Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) and many other highly regarded medical experts around the world have been screaming for two years is just now making it to the ears of America’s public health agencies. Two years too late. They just want you to think that they’ve been on your side all along. But have they?
You decide.
Posted on February 12 on LinkedIn at 6:30 PM. Taken down at 7:00 PM.
OMG.
Two years too late for the hundreds of thousands who have perished —mostly unnecessarily—the CDC is finally telling citizens to TREAT EARLY for COVID. With no apologies or expressions of remorse, they posted the graphic and link below just yesterday and advised “see your healthcare provider about getting early treatment.”
The physician/ COVID experts of the FLCCC have been shouting to the rooftops for TWO YEARS that early combination treatment is essential to stop the progression of disease. They laid out the options. But the CDC is only recommending early treatment now because Merck and Pfizer have introduced two new anti-viral$ to the market —both of which are not easily obtainable, are unaffordable for many, have insufficient study data and may have significant safety issues.
The point is this: If getting early treatment for COVID is essential NOW as the CDC says, why wasn’t it essential for the past two years when some of America’s most renowned and highly published critical care experts were begging to be heard on the importance of early treatment? The experts were naming the highly safe components that could keep people safe, and being censored and threatened with the loss of their livelihoods by public health officials and major media for doing it.
NOW CDC? Now you’re recommending early treatment? When nearly a million Americans died from more virulent strains in the last two years than Omicron —which is now waning?? Only now when Big Pharma has put its designer dogs in the fight?
NOW you emerge with a plea for people to get early treatment as if to imply that you care or have compassion for those who really could have used it two years ago?
I, for one, do not have to wait until the history of how American officials managed this pandemic is written to know the first paragraph in the tragic tale. It will read as follows:
“COVID-19 was always a treatable disease —if treated early. From the very beginning, America’s top care experts begged public health authorities to listen to them and act. But until it became profitable, American officials determined that people had to die instead. And so they did die…by the tens of thousands.”
They posted the graphic below on February 11, 2022.
CDC graphic posted on Twitter, February 11, 2022—two years after numerous medical experts, including FLCCC physicians, told them that early treatment was essential to lower hospitalizations and deaths
Je m’appelle Wesley, je suis directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans. J’ai donc quelques notions sur ce qui se passait avant le début de cette pandémie et sur ce qui se passe actuellement. Il y a eu un pic en mars, avril de l’année dernière et après ça, ça s’est considérablement calmé. Tout était gonflé d’après ce que je voyais. Et on a fermé ces unités de stockage supplémentaires qui étaient là durant l’été et on ne les a jamais rouvertes.
Les ont-ils utilisés avant?
Oui, mais je ne pense pas que… Je ne saurais pas vous dire combien de corps ils contenaient, mais on a vite fait de les refermer. Elles n’ont été ouvertes que pendant deux mois.
Donc la seule fois où vous avez observé un pic, c’était au début de cette histoire, et depuis, il n’y a presque rien eu?
Eh bien, à l’automne, c’était probablement l’une des périodes les plus calmes jamais enregistrées – et les autres directeurs de pompes funèbres vous le diront dans la mesure où ils peuvent s’exprimer. Mais en janvier, les chiffres ont crevé le plafond. À ce moment-là, les unités de stockage supplémentaires étaient planquées, à l’écart. Et cela depuis que les gens ont été vaccinés. Donc cette année, au fur et à mesure des vaccinations, j’ai vu des tendances dans les différents groupes d’âge. Évidemment, le fait qu’ils soient vaccinés n’est pas signalé, mais c’est le plus grand nombre d’enterrements que nous ayons jamais vu en deux semaines et ils sont tous âgés de 30, 40 ans, pas plus.
Et c’est ce que vous voyez maintenant?
C’est ce que j’ai vu plus tôt dans l’année quand cette tranche d’âge a été vaccinée.
Et quelle était la proportion par rapport à la proportion habituelle?
Eh bien, on procède habituellement avec tous les groupes d’âge, mais comme je le disais, les personnes âgées qui devaient probablement mourir dans l’année ou l’année et demie à venir, sont déjà mortes. Il y a donc un grand vide. Nous ne voyions plus ces décès. Et les plus jeunes sont maintenant vaccinés – et j’en ai eu environ 12 en une seule fois.
Combien en recevez-vous en général?
Très peu, très peu, mais nous avons eu des taux de suicide élevés, surtout chez les jeunes hommes. C’était surtout pendant l’été et l’automne derniers.
Mais pouvez-vous donner aux gens une idée de la proportion? Vous en avez eu 12 en un court laps de temps. Combien en recevriez-vous habituellement dans ce laps de temps? 1 ou peut-être 50% de probabilité?
Nous avons normalement 4 ou 5 funérailles en cours, pas 12 – 11, 12. Et pas tous de cette tranche d’âge. Il y a souvent des personnes âgées parmi eux. Maintenant, c’est calme et j’ai vu beaucoup de nouveau-nés dans les frigos des morgues.
Voulez-vous nous parler du nombre de nouveau-nés que vous avez vu dans les morgues?
Oh, ils sont vraiment nombreux. Il y en a plus de trente dans un seul hôpital.
Et combien en ont-ils habituellement?
Ils ont des frigos qui peuvent en contenir 6 à 10 maximum. Ils ne sont jamais pleins en temps normal. Mais maintenant ils sont tous dans la section adulte.
Donc il y a peut-être 10 fois plus de cas que d’habitude?
Oui, et manifestement, ce sont soit des fausses couches, soit des naissances à terme, des mort-nés. Mais on n’en parle pas beaucoup.
Wow. Et qu’avez-vous vu d’autre? Avez-vous vu une autre augmentation, peut-être chez les jeunes récemment?
Pas chez les moins de 20 ans. Pas dans la vingtaine, à vrai dire. Mais au-dessus, oui. Au début de l’été, quand ils sont tous allés se faire vacciner. Voyez-vous, ce qui va se passer, c’est qu’on va avoir ceux qui déclenchent quelque chose en eux, ou qui ne sont pas en très bonne santé, ou qui ne le savent pas, donc ceux-là vont passer en premier. Et ensuite, on en verra probablement beaucoup plus.
Et qu’est-ce que vous voyez sur les certificats de décès?
Il y a beaucoup de myocardites, d’infarctus du myocarde. Tout ce qui est lié au sang, au cœur, à la pneumonie. Mais pour le Covid, je n’en ai eu qu’un seul cette année, un seul décès par Covid depuis janvier.
Sur combien?
Je ne peux pas vous dire combien nous en avons eu, mais si c’était une pandémie, il devrait y en avoir plus. Mais c’est comme s’ils ne s’en souciaient plus, ils peuvent juste manipuler leurs chiffres et faire comme bon leur semble.
Donc vous en recevez des centaines par an ou peut-être une centaine?
Oui, oui. Mais vous voyez, l’année dernière ils ont étiqueté tout le monde avec cette maladie. Ils mouraient d’autres choses, ils les testaient et les étiquetaient comme Covid. Mais maintenant, depuis que les vaccinations ont commencé, ils ne le font plus.
Vous pensez que c’est parce qu’ils sont sûrs que ces injections fonctionnent sur les gens, qu’elles ne les tuent pas?
Oui, oui, ils font juste peur aux gens à la télé.
Donc c’est un truc psychologique.
Oui, oui, faites-vous vacciner. Ce qu’on va faire à partir de maintenant, je ne sais pas, quand de plus en plus de gens commenceront à mourir de ce vaccin. On a eu les premières réactions, mais que va-t-il se passer ensuite?
Et puis-je vous demander, en ce qui concerne l’année dernière, l’étiquetage des personnes comme mortes de Covid. Combien… dans quelles proportions pensez-vous qu’elles ont été faussement attribuées?
Oh, une forte proportion parce qu’ils testaient tout le monde. Donc si vous étiez testé positif et que cela n’avait rien à voir, enfin, j’ai rencontré une personne vraiment bouleversée par cela. La personne était en train de mourir d’autre chose, je pense que c’était un cancer à l’époque, et ils ont marqué que c’était un décès dû au Covid. Elle n’avait jamais eu de Covid. Mais elle a été testée positive.
Et est-ce que vous avez vu… donc vous avez vu d’autres exemples de ça, de personnes mourant de diverses autres causes et ensuite…
Oui, oui, oui, oui. Et maintenant on voit qu’il n’y a pas de mention de qui a été vacciné et de qui ne l’a pas été sur les certificats. Et il devrait y en avoir.
Et est-ce que vous travaillez avec les familles?
Pas vraiment, non.
Donc vous n’avez pas l’occasion de leur parler et de leur poser des questions pour savoir s’ils ont eu l’injection ou pas?
Non, c’est un peu difficile à faire à moins qu’ils ne soient eux-mêmes intéressés par le sujet, car c’est une question assez privée pour eux.
Mais qu’avez-vous remarqué d’autre récemment? Vous avez remarqué une augmentation massive de décès de bébés, je peux vous demander quel âge avaient ces bébés? Étaient-ils des nouveau-nés?
Oui, des nouveau-nés ou des fausses couches. Je n’en sais pas plus, je les vois juste dans les frigos. Même sans prénom, « bébé de » et ensuite le nom des parents.
Wow.
Oui, c’est choquant et je suis sûr qu’il y a beaucoup d’autres personnes qui le remarquent aussi. Voyez-vous, nous ne nous occupons pas des nouveaux-nés, donc je ne sais pas trop ce qui leur est arrivé. Mais je les vois dans les frigos des morgues.
Et y a-t-il autre chose que vous aimeriez me dire maintenant et que je ne vous ai peut-être pas demandé?
Je ne vois rien d’autre. Juste que les décès d’adultes sont en baisse en ce moment. Comme je l’ai dit, il y a eu des vagues de personnes affectées par les vaccins. Non pas qu’il soit écrit qu’ils sont morts à cause des vaccins. Mais c’est évident et le Covid est inexistant.
Puis-je vous demander quel est votre message à toutes les personnes qui envisagent de s’exprimer ou à tous les entrepreneurs de pompes funèbres?
Je dis faites-le, faites-le. Le problème, c’est que pour beaucoup de croque-morts qui travaillent pour de grandes entreprises, il n’est pas permis de s’exprimer. Si vous voyez ce qui se passe, vous devez le dire. Je veux dire que c’est évident, c’est clair comme le jour. Personne d’autre ne voit ces certificats de décès à part le personnel du crématorium. Et tout est visible.
Merci beaucoup.
Je vous en prie.
Transcription
My name’s Wesley, I’ve been a funeral director for over three years. So I have a bit of knowledge about what was going on before this pandemic started and what’s going on right now. So there was a spike back in March, April last year and after that, it considerably calmed down. It was all hyped from what I was seeing. And they shut down these extra storage units that they had in the summer and they never open them up again.
Did they use them in the first place?
Yes, but I don’t think that… I couldn’t tell you how many bodies were in there but they soon went back down. They were only up for a couple of months.
So the only time you saw a spike was right at the start of this whole thing and since then there’s been next to nothing?
Well, come Autumn it was probably one of the quietest in record – and other funeral directors will tell you that where they can speak out. But come January the numbers were going through the roof. By this time the extra storage units were hidden, they were out of the way. And that’s since people were being vaccinated. So this year as the vaccinations have gone on I’ve seen trends through the age groups. Obviously it’s not marked down that they’re vaccinated but it’s the most funerals that you’ve ever done in 2 weeks and they’re all aged 30, 40, no older.
And that’s what you’re seeing now?
That’s what I saw earlier in the year when that age group got vaccinated.
And what sort of proportion was that compared to the proportion that you usually do with?
Well, you usually do with all different age groups but as I was saying the elderly that were probably gonna go in the next year or year and a half or whatever, they’ve already gone. So there’s a big gap there. So we weren’t having those deaths anymore. And with younger people, they are now vaccinated – and I had about 12 in one go.
How many would you usually get?
Very few, very few but I mean we’ve had high suicide rates, especially in young men. That was mainly last summer into the Autumn.
But could you give people a sense of proportion? You got 12 in a short space of time. How many would you get in that space of time? 1 or maybe like a 50 percent chance?
We normally have about 4 or 5 funerals going, not 12 – 11,12. And not all of that age group. There would be old people in there. So, and then now it’s quiet and what I’ve seen is a lot of newborn babies in the fridges in the mortuaries.
So do you want to talk about the number of newborn babies that you’ve seen in the mortuaries?
Oh, they’re really high. They’re up above thirty in one hospital.
And how many would they usually have?
They have fridges that’ll hold about 6 to 10 maximum. They’re never normally full. But now they’re all in the adult section.
So there’s about maybe 10 times the rate of what they would usually have?
Yeah, and obviously they’re either miscarried our full term birth, stillbirth. But not a lot is being said about it.
Wow. And what else have you seen? Have you seen another uptake, perhaps in younger people recently?
Not in people under 20. Not in their twenties, really. But above that, yes. Earlier in the summer when they all first went out and got vaxed. You see, what’s going to happen is you’re gonna get the ones that triggers something in them or they haven’t very good health or maybe don’t know about, so they will go first. And then down the line you’re probably gonna see a lot more.
And what do you see being put down on the death certificates?
There’s a lot of myocarditis, myocardial infractions. You know it’s all blood-, heart-based, pneumonia. But Covid, I’ve only had one this year, one Covid death written down since January.
Of how many?
I can’t tell you how many we’ve done but if it’s the same as a pandemic going on there should be more than that. But it’s like they’re not that bothered of it anymore, they can just twist their figures and do whatever.
So would that be hundreds that you do in a year or maybe a hundred?
Yeah, yeah. But you see last year they were marking anybody and everybody down with it. They died of other things, they were testing them and they were marking them down as Covid. But now since the vaccinations have been going, they’re not doing that.
So do you think it’s because they feel confident that these injections are working on people, that they’re not putting people down?
Yeah, yeah, they just scaring people on TV.
So it’s a psychological thing.
Yeah, yeah, get your vaccination. What we’re gonna do now, I don’t know, when more and more people start dying of this vaccination. I mean, you’ve had the initial reactions but what’s gonna happen down the line?
And can I ask you in terms of last year, marking people down as Covid death. How many… what sort of proportions do you think were falsely attributed?
Oh, a high proportion ’cause they were testing everybody. So if you tested positive and that wasn’t anything to do with it, I mean, I had one person really upset about it. The person was dying of something else, I think it was cancer at the time, and they marked it down as a Covid death. She’d never had Covid. But tested positive.
And were you seeing… so you’re seeing other examples of this, of people dying of multiple different things and then it…
Yeah, yeah, yeah, yeah. And now you see there’s no record of who’s been vaccinated and of who hasn’t that’s going down on the certificates. And it should be.
And do you work with the families at all?
Not really, no.
So you don’t get to speak to them and ask them any questions about whether they’ve had the injection or not?
No, it’s a bit of a tricky thing to do unless they’re on the subject because it’s quite private to them, so.
But what else have you noticed recently? You’ve noticed a massive uptick in babies and I can I ask how old were these babies? Were they newborns?
Yeah, newborns or miscarried. I don’t know anymore than that, I just see them in the fridges. Even without names, « baby of » and then the parents name.
Wow.
Yeah, it’s shocking and I’m sure there’s many more people noticing it, too. You see, we don’t we don’t deal with newborn babies so I don’t get to see what goes on with them. But I see them in the fridges in the mortuaries.
And is there anything else that you’d like to tell me now that maybe I haven’t asked you?
Can’t think of anything. Just that the deaths of adults are down right now. As I say, you’ve had the waves of people affected by the vaccines. Not that it’s written down that they’ve died of vaccines. But it’s there and Covid’s just nonexistent.
And can I ask what is your message to any of the people who are thinking of speaking out or any of the undertakers?
I say do it, do it. Problem is, with a lot of undertaker who are, you know, working for big companies, you’re not allowed to speak out. If you’re seeing this you need to speak out. I mean it’s there, it’s clear as day. Nobody else sees these death certificates apart from those in the crematorium staff. So, it’s all there.
La Généralissime Gates – longue vie à son Régne! – nous annonce la prochaine étape de la guerre contre le Mal : mise en place d’un Quartier Général Sanitaire Global. Dans son infinie sagesse, la Généralissime s’est également associée avec l’Obersturmführer Soros, dans l’acquisition d’une entreprise de « tests », afin de désigner les porteurs du Mal dans notre société.
Rendons grâce à la clairvoyance de nos guides!
Ok, sérieusement maintenant. D’abord, pour le confort de mes lecteurs, j’ai traduit en français correct l’insupportable charabia d’analphabète qui est le mode de communication habituel de Gates, assorti de divers spasmes physiques, indicateurs classiques d’un cerveau grillé par cinquante ans d’injection de testostérone – ou pire. Ensuite, j’ai noté les endroits où intervient son léger ricanement irrépressible, dont tout psychologue compétent sait qu’il trahit un conflit interne. Ce même ricanement est omniprésent dans ses interventions, généralement à des moments incongrus, par exemple lorsqu’on parle de mort et de destruction, assorti parfois d’un sourire plutôt inquiétant. Dans ce cas précis, observez bien à quel moment de son discours ce ricanement se produit.
J’ai détecté le même phénomène, parfois encore plus spectaculaire, dans une myriade d’interventions verbales de divers acteurs de l’enfumage médiatique autour de cette pandémie. Les mêmes commettent aussi des tombereaux de lapsus linguae très révélateurs. Je vous en donne un seul exemple ici, mais ils sont innombrables. Comme le dit John C. Dvorak, qui en a balancé des dizaines sur No Agenda, c’est « la vérité qui tente de sortir ». Adam Curry est très fort aussi pour repérer les ricanements mentionnés plus haut. Je les remercie tous les deux au passage pour le clip sonore que je leur pique ci-dessous.
Tous ces signes pointent une absence d’empathie chez ces personnes : ce sont des psychopathes. Un exemple extrême de ce phénomène est Joe Biden, qui outre sa psychopathologie sombre chaque jour davantage dans la sénilité : réactions à contretemps, tics de langage obsessionnels, incohérences verbales et constants couacs d’élocution. Tout caricatural qu’il soit, Biden est représentatif de la majorité des défenseurs médiatisés de l’opération en cours. Selon n’importe quelle définition, ce sont des épaves humaines. Biden, Fauci, Schwab, Gates, Soros : des vieillards cyniques qui n’ont plus rien à perdre et ont été recrutés pour cette raison. Macron est exceptionnellement jeune pour faire partie de cette clique mais si vous l’observez bien, vous verrez qu’il est déjà mort à l’intérieur. Pour le dire en français, ils ont la gueule de ce qu’ils sont. Jetez un coup d’oeil sur les photos de l’article en lien dans la capsule sous le titre…
Ces personnages ne peuvent se permettre que d’être interrogés dans un cadre strict, très scénarisé, avec des questions filtrées posées par des journalistes aux ordres. Vous pouvez vous-mêmes observer le phénomène, que je relaie dans cet article, dans votre propre entourage. Dans les rares cas où une question gênante est posée, soit ils agressent, soit ils s’écroulent complètement et passent en mode panique, où leur dernier recours est de ne pas répondre du tout à la question et à réciter à la place des mantras de propagande orwellienne. C’est clairement leur seule tactique de défense lorsqu’ils comparaissent devant le Congrès américain, où le cadre est un peu moins contrôlé. Celui qui s’en sort le mieux dans ce cas précis est Anthony Fauci, mais il faut rappeler qu’il a bénéficié d’un entraînement au mensonge systématique de plus de quarante ans et qu’entre les « crises » VIH et SARS-CoV-2, il laisse derrière lui un chemin jonché de cadavres.
En ce qui concerne Gates, je vous renvoie à cet article d’Isabelle, sur Conscience du Peuple, que je remercie d’avoir fait en grande partie le boulot à ma place. Comme elle l’a bien relevé et comme vous le lirez ci-dessous, la nouvelle mascotte de Gates s’appelle variole. La « prochaine pandémie » ne serait donc pas le « virus » Marburg comme récemment annoncé, mais gardons l’oeil ouvert tout de même. Comme Isabelle le rappelle judicieusement, la potentielle épidémie de variole a déjà été scénarisée dans un exercice de simulation (War Game) nommé Dark Winter – dont je vous ai déjà parlé, sur le même modèle que l’Evénement 201- terme repris plusieurs fois par les deux candidats à la présidentielle américaine lors de leur second « débat » télévisé. En Israël, ça a simulé également avant-hier: mise à jour de la même simulation.
Les jeux de simulation sont une signature classique des opérations sous faux drapeau. Il arrive même souvent qu’ils soient simultanés à l’opération, comme ce fut le cas pour le 11 septembre. Une autre des signatures classiques des psyops est la programmation prédictive. Et là, on en tient un exemple assez spectaculaire.
Je ne vous l’ai jamais avoué mais je suis un fan des films de James Bond. Pas sérieux mais en fait bien moins anodin qu’il paraît. Si vous avez vu « No time to die » – que je vous recommande vivement – vous aurez certes vu beaucoup trop de gens s’entretuer, comme d’habitude, mais [ALERTE SPOILER!] vous savez aussi que l’arme du méchant est le virus militarisé de la variole. Vous avez aussi vu que cette arme est génétique, qu’elle peut être programmée pour cibler certains ADN et que sa diffusion se fait par contact cutané. Et – le plus important – vous avez vu que des gouvernements envoient des navires militaires récolter leur arsenal de fioles. Vous avez en réalité fait le plein d’informations réelles sous forme de fiction – principe de la programmation prédictive. On vous a fait faire le tour des éléments de l’opération en cours, raison pour laquelle il est très instructif de décoder ces films – même remarque pour les deux prequels de Alien par Ridley Scott – pour les remettre dans l’ordre et les connecter à la réalité. Si je trouve le temps, je décoderai celui-ci.
Petit exemple de l’intérêt du décodage d’un autre film de James Bond: dans le 23ème film, on devait en apprendre davantage sur l’organisation souterraine et maléfique, Quantum, dont il était question dans le film précédent, « Quantum of Solace« . Le fonds d’investissement de M. Soros se nomme Quantum Funds. M. Soros, qui trouvait qu’on lui soufflait un peu trop dans la nuque, a émis en 2010 un offre d’achat de 1,5 milliards de dollars sur MGM (qui en valait 4) dans le but de couler le studio pendant le tournage du film – qui fut quand même tourné, avec un peu de retard et moyennant quelques changements au scénario. Quand M.Soros se sent visé à ce point, il y a une raison. Il est une caricature vivante des méchants à la James Bond.
Pour ceux qui ne l’ont pas vue, il y a toujours cette magnifique interview de Soros, dans laquelle il déclare qu’il ne se « soucie pas des conséquences sociales de ses actes » (amusant de la part du bailleur de fond de multiples organes de déstabilisation des Etats) et qu’il n’éprouve aucun remords à avoir aidé dans sa jeunesse le NSDAP à confisquer les biens des déportés juifs parce que « quelqu’un d’autre l’aurait fait de toute manière », et que c’étaient « les moments les plus heureux de sa vie ». Sans commentaire.
Passons maintenant au décodage de l’intervention de son acolyte. Vous pouvez éventuellement d’abord lire la traduction ci-dessous et revenir ici après.
« Nous devons repenser la façon de concevoir les vaccins » : ce qui est évidemment l’annonce d’une généralisation de la technologie ARNm.
« On n’a pas fait beaucoup de progrès sur le plan thérapeutique » : ce qui est la consolidation du fait que les remèdes anciens ne seront pas réaffectés et que les protocoles n’autoriseront que les molécules nouvellement créées. On a vu le résultat.
« [L]’Australie et la Nouvelle-Zélande ont démontré […] qu’une gestion compétente pouvait faire baisser le taux de mortalité de manière assez spectaculaire » : confinements, isolation, contrôle policier, censure, etc. qui n’ont eu strictement aucun effet sur le plan sanitaire mais arrangent les gouvernements qui en sont preneurs.
« [I]l faudra des dizaines de milliards de dollars en recherche et développement » : rentables, sans aucun doute, ce qui devrait attirer les investisseurs, poussés dans le dos par Blackrock.
« […] la réalisation de ce que j’appelle des exercices de simulation bactériologique, où l’on se pose la question de savoir ce qui se passerait si un bioterroriste introduisait la variole dans dix aéroports » : voir remarque ci-dessus, concernant les simulations.
« Il y a des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme » : non, il n’y a jamais eu d’épidémies causées par le bioterrorisme et il est plus que douteux qu’il y en ait jamais. Les souches dangereuses sont sous haute surveillance militaire. Les pseudo-attentats à l’anthrax en 2001 se sont révélées être un « inside job« , la souche provenant de Fort Detrick. Le Dr. Igor Shepherd détaille une opération de contamination de masse menée à St Petersbourg par le gouvernement soviétique ici. Les seuls dangers bioterroristes sont ceux mis en place au niveau national ou international par des « insiders » sous forme de « black ops« . Désolé pour cette avalanche de termes américains.
« […] éradiquer la grippe, se débarrasser du rhume, concevoir des vaccins sous forme d’un petit patch à placer sur le bras » : le patch en question est un des outils de la politique de marquage du bétail humain, au même titre que les codes QR, les applis de traçage et surtout le traçage direct via adresses Mac individuelles implémentées par l’oxyde de graphène et nanobots probablement contenus dans les injections (voir ici, paragraphe « Hackers, un » et autres articles relevants sur ce blog et d’autres).
Pour compléter cet article, une lecture utile est cet article-ci, de Liliane Held-Khawam, récemment mis à jour, sur les accords passés en décembre 2019 entre le gouvernement français (mais pas que) et l’OMS – entiérement contrôlée par la Fondation Gates – qui lui donne officiellement plein pouvoir sur l’ensemble des réseaux de santé nationaux et les mains libres pour imposer son système. Toujours sur son site, excellent article sur Gates ici.
Sur le chapitre « Climat » (avec de gros guillemets) évoqué en passant par Gates ci-dessous, Liliane Held Khawam publie cette traduction d’un article de Whitney Webb, également très utile. Bref, tout est à lire sur son site.
Traduction
Q : Et prenons-nous maintenant, ou plutôt ne prenons-nous pas maintenant, les mesures qui devraient être prises en vue de la prochaine pandémie ?
R : C’est en 2015 que j’ai donné la conférence Ted, accompagnée d’un certain nombre de documents intitulés « Nous ne sommes pas prêts pour la prochaine pandémie ». Et malheureusement, c’était une meilleure prévision de ce qui allait arriver que ce que quiconque aurait souhaité faire. Les dommages économiques, les morts, tout cela a été absolument horrible et je m’attendais à ce que cela pousse (ricanement) les projets de recherche et développement à se concentrer sur ce dont nous ne disposons pas aujourd’hui.
Nous ne disposions pas de vaccins qui bloquent la transmission. Nous avons des vaccins qui améliorent notre état de santé, mais qui ne réduisent que légèrement les transmissions. Nous devons repenser la façon de concevoir les vaccins. On n’a pas fait beaucoup de progrès sur le plan thérapeutique. La dexaméthasone et maintenant le Molnupiravir pourraient être utiles mais beaucoup moins que ce qui aurait été souhaitable. Nous n’avons pas réussi à mettre en place les diagnostics qui nous auraient permis d’atteindre ce que l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont démontré, à savoir qu’une gestion compétente pouvait faire baisser le taux de mortalité de manière assez spectaculaire.
J’espère donc pouvoir écrire dans cinq ans un livre intitulé « Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie », mais il faudra des dizaines de milliards de dollars en recherche et développement, et les États-Unis et le Royaume-Uni y participeront. Il faudra probablement environ un milliard de dollars par an pour constituer une task force [groupe de travail] sur les pandémies au niveau de l’OMS, chargée de la surveillance et de la réalisation de ce que j’appelle des exercices de simulation bactériologique, où l’on se pose la question de savoir ce qui se passerait si un bioterroriste introduisait la variole dans dix aéroports. Comment le monde réagirait-il à cela?
Il y a des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous connaissons aujourd’hui et pourtant les progrès de la science médicale devraient nous donner des outils qui nous permettraient de faire considérablement mieux. On pourrait donc considérer qu’il s’agit d’une priorité et l’année prochaine, je devrai procéder à ces affectations, y compris pour la task force sur la pandémie mondiale.
Ce qui est bien, c’est une grande partie de la recherche et du développement dont nous avons besoin pour être prêts pour la prochaine pandémie ou des questions comme rendre les vaccins bon marché, disposer des usines, éradiquer la grippe, se débarrasser du rhume, concevoir des vaccins sous forme d’un petit patch à placer sur le bras, des choses qui seront incroyablement bénéfiques même dans les années où nous n’aurons pas de pandémies. Donc parallèlement au message sur le climat et (ricanement) à la lutte permanente contre les maladies des populations pauvres, la préparation aux pandémies est un sujet dont je parlerai beaucoup et je pense que ce sujet trouvera un terrain fertile parce que nous avons perdu des milliers de milliards (ricanement) de dollars et des millions de vies et les gouvernements… les citoyens attendent de leurs gouvernements qu’ils ne laissent pas cela se reproduire. »
Transcription originale
Q : And are we doing things now or rather we not doing things now that we really need to be doing in preparation for the next pandemic?
A : Yeah so it’s 2015 that I gave the Ted talk among a number of papers titled « We’re not ready for the next pandemic ». And sadly that was a better forecast of what would happen than anyone would have wished for. The economic damage, the deaths, it’s been completely horrific and I would expect that would lead (snicker) the R and D projects to be focused on things we didn’t have today.
You know, we didn’t have vaccines that blocked transmission. We got vaccines that help you with your health but they only slightly reduce the transmissions. We need a new way of doing the vaccines. We didn’t get much in the way of therapeutics. Dexamethsone and now Molnupiravir could help but way less than should have been the case. We don’t get the diagnostics up and running in order to achieve what at least Australia and New Zealand showed that competent management could keep the death rate down pretty dramatically.
And so I’m hoping in five years I can write a book called « We are ready for the next pandemic » but it’ll take tens of billions in R and D that the US and UK will be part of that. It’ll take probably about a billion a year for a pandemic task force at the WHO level which is doing the surveillance and actually doing what I call germ games where you practice you say okay what if a bioterrorist brought smallpox to ten airports, you know? How would the worlds respond to that?
There’s naturally-caused epidemics and bioterrorism-caused epidemics that could even be way worse than what we experience today and yet the advances in medical science should give us tools that, you know, we could do dramatically better. So you’d think this would be a priority and the next year will be where those allocations I have to get made including this global pandemic task force.
The nice thing is a lot of the R and D we need to do to be ready for the next pandemic or things like making vaccines cheap, having the factories, eridacting the flu, getting rid of the common cold, making vaccines just a little patch you put on your arm, things that will be incredibly beneficial even in the years when we don’t have pandemics. So you know along with the climate message and (snicker) the ongoing fight against disease of the poor, the pandemic preparedness is something I’ll be talking about a lot and I think it’ll find fertile ground because, you know, we lost trillions (snicker) of dollars and millions of lives and, you know, governments… citizens expect their governments not to let that happen again.
Etant donné que j’ai des traductions à terminer, des articles à rédiger, trois cent onglets ouverts sur FireFox en permanence et un sous-titrage d’une conférence de Nikki Florio qui n’avance pas, je vous présente les quelques nouvelles ci-dessous sous forme résumée.
Vaccidents
Le comportement des automobilistes, qui n’était déjà pas parfait avant, s’est considérablement dégradé depuis le début de la campagne d’injection, selon les témoignages assez éloquents de chauffeurs de poids lourds et de policiers que j’ai lus récemment. Des conducteurs qui dérivent sans raison d’une file à l’autre, des crashes inexplicables dans des lignes droites sur des routes parfaitement sûres, etc.
Soyez prudents.
Pénurie organisée
En Belgique, les institutions telles que les maisons d’hébergement, centres pour sans-abri reçoivent depuis des semaines de la part de la Banque Alimentaire des dons de nourriture en quantité astronomique, avec des dates de péremption très éloignées. Ces dons proviennent des grandes chaînes de distribution et ne sont pas des invendus : beaucoup de ces articles sont manquants dans les rayons des grandes surfaces, notamment les pâtes alimentaires.
Au même moment, toutes les enseignes font des promotions extraordinaires sur une très large gamme d’articles (moins x%, 1+1 gratuit…), même les plus coûteux comme la télé/hifi, gros électroménager, etc. A titre d’exemple, on offre une télé gratuite (valeur 500€) à l’achat d’un téléphone de moins de 300€. Parallèlement, on annonce une grève générale du personnel dans ce secteur, qui n’a obtenu qu’une indexation de 0,2% de son salaire – contre 2% dans les autres secteurs – et en est légitimement mécontent.
De ces simples observations, on peut dégager deux tendances concomitantes.
D’une part, un déstockage massif et une offre sur-stimulée par des prix artificiellement bas en bout de chaîne. En Chine et au Royaume-Uni, le gouvernement va même jusqu’à créer une ruée artificielle des consommateurs en menaçant des centaines de milliers de citoyens de confinement imminent par des avertissements sur leur smartphones leur recommandant également de stocker les denrées nécessaires.
D’autre part, on sait qu’il existe des goulots d’étranglement dans la production (manque de pièces et de matière première) et la distribution (coûts exorbitants et manque de personnel dans le transport, situation de fermeture des détaillants).
On crée donc de toute pièce une situation de surconsommation dans un contexte de sous-production qui ne peut qu’aboutir à une pénurie et à une flambée des prix.
Faut-il rappeler que le même genre de procédé a été utilisé pour créer la crise Covid: pseudo-situation épidémique aggravée par l’interdiction des traitements, pseudo-crise hospitalière aggravée par la non-utilisation des cliniques privées et la fermeture des services non-Covid, pseudo-létalité du virus aggravée par des protocoles dangereux et inefficaces, etc.
C’est signé.
Facebook et censure
Grande mascarade autour des pratiques malsaines de l’annexe de la CIA la célèbre plateforme sociale : ses algorithmes sèmeraient les graines de la discorde chez ses utilisateurs, en leur suggérant des liens haineux/de désinformation, à tel point que le non-événement du 6 janvier – « l’attaque » du Capitole – serait en partie de leur faute.
C’est une agente du renseignement ancienne employée de la firme qui se pose en lanceuse d’alerte, et vient témoigner de ce scandale (10.000 copies de documents internes à l’appui) devant un Congrès américain qui, dûment indigné devant le danger pour la « démocratie » américaine (je rappelle que les Etats-Unis sont une République Constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé d’une démocratie), propose de réguler l’activité du site, clause de responsabilité incluse, l’objectif de cette mise en scène étant in fine de « réguler » tout le Web, évidemment.
Soins intensifs à Anvers
Interview du Dr Kristiaan Deckers de l’hôpital GZA à St-Augustinus, diffusée sur une chaîne flamande:
En ce moment, ils pensent de manière beaucoup plus radicale à l’Hôpital Universitaire de Gand (?). Ceux qui pensent que l’unité de soins intensifs est pleine de patients vaccinés n’ont plus raison. « En ce moment, ici, nous voyons qu’une majorité de patients sont des cas de percées infectieuses (« breakthrough cases »). C’est très différent de ce qui se passait il y a quelques semaines, lorsque la majorité des patients de l’unité de soins intensifs n’étaient pas encore vaccinés, mais ce n’est plus le cas. Les patients de l’USI de nos hôpitaux à GZA, je l’ai vérifié hier, sont tous vaccinés. »
Une infirmière qui travaille au service Covid d’un grand hôpital de la ville de Liège me confirme la même chose: 100% de patients injectés dans son service.
Hors milieu hospitalier, j’ai reçu le récit de cas de Covid récents qui permettent de faire une comparaison. Personne non-injectée: cinq jours d’infection; personne injectée: cinq semaines.
Le fait que l’infection soit plus sévère et plus durable chez les personnes injectées indiquent vraisemblablement le résultat de la facilitation de l’infection par anticorps, ou antibody-dependent enhancement, que plusieurs médecins décrivaient il y a des mois au fil des nombreux articles publiés sur ce blog et sur lequel on colle maintenant la nouvelle étiquette « percées infectieuses » ou breakthrough cases.
Ne les croyez pas.
Grippe cardiaque et AVC des enfants
On annonce dans les médias que la grippe de cet hiver risque d’être très meurtrière puisque son absence lors de la saison dernière (attribuée au port du masque, au lavage des mains et à la distanciation sociale) provoquerait un relatif déficit immunitaire dans la population. Bien entendu, on recommande la vaccination anti-grippale.
On rappelle aussi dans ces mêmes médias que la grippe multiplie par six (ancienne étude) le risque de crise cardiaque.
L’aggravation des infections de type grippal et l’augmentation du nombre de crises cardiaques sont donc imputées à l’avance à ces deux facteurs, ce qui permettrai d’exclure d’emblée la possibilité qu’elles soient dues à des effets secondaires des injections Covid.
Dans la même veine, on voit sur le Net des photos de placards sur des autobus canadiens (neuf affiches en tout, ce n’est pas une campagne massive) qui informent que « Les enfants aussi ont des AVC ». Ces affichages sont l’initiative d’une organisation nommée Achieving Beyond Brain Injury, créée par deux parents dont les enfants de 10 et 14 ans ont souffert d’AVC. Il s’agirait donc d’une pure coïncidence si ces affiches, qui préviennent d’un phénomène atypique et rarissime, sont apparues parallèlement à l’injection des adolescents, et à présent des 5-11 ans.
Nous verrons bientôt s’ils sont rarissimes.
Fauci et les Beagles
Le Dr Fauci est éclaboussé par le scandale des Beagles de laboratoire. Pour rendre quelqu’un vraiment antipathique, quoi de mieux que d’en faire un tueur de chiens? Ça semble en tout cas beaucoup plus émouvant auprès du grand public que la mort de quelques centaines de milliers de vieux – au Rivotril dans leur home ou au respirateur et/ou au Remdesivir à l’hôpital. Sans même évoquer l’hécatombe de centaines de milliers de séropositifs, à doses massives d’AZT, il y a quarante ans.
Ce pseudo-scandale canin pourrait fournir à Fauci une meilleure porte de sortie qu’un procès pour crime contre l’Humanité. Le même procédé vient d’être employé pour le gouverneur de New-York, Andrew Cuomo, qui se retire la tête haute suite à des accusations de harcèlement sexuel, après avoir organisé dans son Etat, comme le rappelle le Dr Zelenko, la mort de milliers de ses administrés.
Rappelons les paroles du Dr Zelenko à son sujet: « Qu’il brûle en Enfer. »
Liberté
Ben McClintock, de Defending Utah, explique parfaitement dans cette conférence (en anglais) le fait que la liberté d’un peuple est fonction de sa moralité. La liberté étant la principale revendication du moment, je me pencherai dans un article prochain sur ce qui se passe actuellement sur le front de la moralité.
Hackers, un
Rien de nouveau mais au cas où vous l’auriez loupé : un hacker russe rentre dans le système informatique qui liste les personnes injectées (qui ont toutes une adresse Mac) et y consulte les données sur un de ses camarades en temps réel.
Le système l’informe que son camarade est endormi.
[MàJ. 29/05/22: un de mes lecteurs calé en informatique m’informe que c’est un fake total]
Hackers, deux
Voici un truc rigolo. Adolf Hitler, Bob l’Éponge, même combat.
Lien
Pour le reste de l’actualité, je vous recommande Covidémence, qui fait le boulot – sans oublier de rester rigolo également.
Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme
Conclusions
Attention : quelques détails assez curieux (par exemple la notion que les « vaccins » éviteraient de faire une forme grave de la maladie alors que c’est exactement le contraire) pourraient indiquer une opération de limited hangout, comme à peu près tout ce qui est publié sur le sujet. Sinon, la majorité des infos semble solide. A vous de faire le tri.
Nous avons été forcés de regarder l’Amérique et le monde libre s’enfoncer dans un déclin inexorable à cause d’une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d’innombrables autres personnes, avons été victimisés et désorientés par des opérations de propagande et de guerre psychologique menées par une élite non-élue et non-responsable contre le peuple américain et nos alliés.
Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti la morsure de l’isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines, et d’autres actes complètement absurdes d’un théâtre sanitaire qui n’ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie actuelle de COVID-19.
Maintenant, nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens Américains sans la moindre résistance.
On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
Nous avons passé des milliers d’heures à analyser les images qui fuitaient de Wuhan, les documents scientifiques de sources primaires ainsi que les traces écrites laissées par l’establishment médical.
Ce que nous avons découvert choquerait n’importe qui.
Nous allons d’abord résumer nos découvertes, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.
Résumé :
Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, ce qui provoque un épanchement pulmonaire.
Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nuisibles aux patients, ils accélèrent le stress oxydatif et provoquent de graves lésions pulmonaires induites par le respirateur (ventilator-induced lung injuries – VILI). L’utilisation continue de respirateurs en l’absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées et constituent une forme de théâtre médical.
Diverses interventions non-vaccinales ont été supprimées à la fois par les médias et par l’establishment médical en faveur des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.
Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement contre une.
Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, SRAS-CoV- 2, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou facilitation de l’infection par anticorps (antibody-dependent enhancement) ; les anticorps actuels pourraient ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit [NdT. qui permet une fuite immunitaire] supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.
Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de Virologie de Wuhan.
Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« lacet neuronal »). L’un d’entre eux a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l’intérieur des vaccins qui ne sont pas censées s’y trouver.
L’ensemble de la pandémie est utilisé comme une excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.
Physiopathologie et traitements du COVID-19 :
Le COVID-19 n’est pas une pneumonie virale. Il s’agit d’une endothélite vasculaire virale qui s’attaque à la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier aux petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant l’activation et la destruction des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. Il s’agit d’une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Du système circulatoire. Toute pneumonie qu’elle provoque en est une conséquence secondaire.
Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, comme le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.
Parmi les résultats de laboratoire les plus courants dans le COVID-19, on trouve une élévation du taux de D-dimères, un temps de prothrombine élevé, une protéine C-réactive élevée et un taux d’hémoglobine élevé, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d’hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires.
Le COVID-19 peut se présenter sous presque n’importe quelle forme, en raison du tropisme important du SRAS-CoV-2 pour divers tissus dans les organes vitaux de l’organisme. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes de type grippal, il peut se présenter sous la forme d’une inflammation cérébrale, d’une maladie gastro-intestinale, voire d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.
Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l’obésité, le diabète et l’hypertension. Cela est dû au fait que ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, qui rend le système circulatoire plus sensible à l’infection et aux lésions par ce virus particulier.
La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle dite des 80/20, selon laquelle 80 % des cas sont bénins et 20 % sont graves ou critiques.
Cependant, ce ratio n’est correct que pour les cas connus, et non pour toutes les infections. Le nombre d’infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, le COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu’un nombre important de patients gravement malades et en état critique apparaissent dans un court laps de temps.
Chez ceux qui présentent une septicémie critique induite par le COVID-19, une hypoxie, une coagulopathie et un SDRA, les traitements les plus courants sont l’intubation, l’injection de corticoïdes et les anticoagulants. Ce n’est pas le traitement approprié pour le COVID-19. En cas d’hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l’ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l’oxygène, fait que la xanthine oxydase produit des tonnes de radicaux très nocifs qui attaquent les tissus. C’est ce qu’on appelle une lésion d’ischémie-reperfusion, et c’est pourquoi la majorité des gens qui sont mis sous respirateur meurent. Dans la mitochondrie, l’accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; quand l’oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxyde. N’en doutez pas, l’intubation tue les gens qui ont le COVID-19.
Le stade final du COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à « rouiller » à cause des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne une auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des corps étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou épitopes spécifiques de l’oxydation (oxidation-specific epitopes). De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance des formes, déclenchant encore plus d’inflammation et en appelant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent encore plus d’enzymes destructeurs. Ce phénomène est similaire à la pathophysiologie du lupus.
La décomposition de la pathologie est la suivante :
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie à l’ACE2. L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou SRAA. Le SRAA est un système de contrôle hormonal qui modère volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c’est-à-dire l’osmolarité) en contrôlant la rétention et l’excrétion du sel. Cette protéine, l’ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui sont en relation avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes du cerveau, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales du canal biliaire et de l’intestin, ainsi que les canaux séminifères des testicules, toutes ces cellules pouvant être infectées par le SRAS-CoV-2, et pas seulement les poumons.
Le SRAS-CoV-2 infecte une cellule de la manière suivante : la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 subit un changement de conformation au cours duquel les trimères du S1 se retournent et s’étendent, se verrouillant sur l’ACE2 lié à la surface d’une cellule. La TMPRSS2, ou protéase transmembranaire sérine 2 (transmembrane protease serine 2), arrive et coupe les têtes de la protéine de pointe, exposant la sous-unité S2 en forme de tige à l’intérieur. Le reste de la protéine de pointe subit un changement de conformation qui fait qu’elle se déplie comme une échelle à coulisse, s’encastrant dans la membrane cellulaire. Puis, elle se replie sur elle-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent, et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 entre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les structures de la cellule pour produire plus de virus.
Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 incorporées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion des cellules humaines, formant ainsi des syncytia/CGM (cellules géantes multinucléaires). Elles ont également d’autres effets pathogènes et nocifs. Le SRAS-CoV- 2, comme la protéine d’enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle à l’interféron, ce qui entraîne une inflammation retardée. La protéine N du SRAS-CoV-2 peut également activer directement l’inflammasome NLRP3. Elle supprime également la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l’ACE2 par la liaison avec la protéine de pointe entraîne une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l’ACE2.
Cet influx constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s’accompagne) d’une hypocalcémie notable, ou faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule à la hausse l’activité de l’AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Il en résulte une sécrétion de prostaglandine et une augmentation considérable de la signalisation calcique intracellulaire, ce qui favorise une libération très agressive de ERO (espèces réactives de l’oxygène) et une diminution de l’ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l’espace extracellulaire. Les radicaux superoxydes réagissent avec l’oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec la tétrahydrobioptérine nécessaire à la synthase d’oxyde nitrique endothéliale, le détruisant et « découplant » les enzymes, ce qui amène la synthase de l’oxyde nitrique (NOS) à synthétiser davantage de superoxyde à la place. Ce processus se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que la biodisponibilité de l’oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.
L’oxyde nitrique gazeux produit en permanence par la eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est aussi antiviral contre les coronavirus de type SRAS, en empêchant la palmitoylation de la protéine de pointe virale et en rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l’hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans l’organisme. Les personnes qui présentent un dysfonctionnement endothélial (c’est-à-dire hypertension, diabète, obésité, vieillesse, race afro-américaine) ont des problèmes d’équilibre redox au départ, ce qui donne un avantage au virus.
En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps convoque une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés de monocytes dans les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Elles agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD (superoxyde dismutase) et la MPO (myéloperoxydase). La superoxyde dismutase prend du superoxyde et produit du peroxyde d’hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d’hydrogène et des ions de chlore et produit de l’hypochlorite, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l’hypochlorite de sodium de l’eau de Javel.
Les neutrophiles peuvent jouer un sale tour. Ils peuvent aussi éjecter ces enzymes dans l’espace extracellulaire, où ils vont continuellement cracher du peroxyde et de l’hypochlorite dans le sang. C’est ce qu’on appelle la formation de pièges extracellulaires pour les neutrophiles (NET), ou, lorsqu’elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans les cas graves et critiques du COVID-19, il y a en fait une NETose assez sévère.
L’acide hypochloreux qui s’accumule dans la circulation sanguine commence à réagir avec le fer de l’hème et à le concurrencer comme site de fixation de l’oxygène. Les globules rouges perdent leur capacité à transporter l’oxygène, et le visage de la personne atteinte devient bleu. Le fer, le peroxyde d’hydrogène et le superoxyde non libérés dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyles extrêmement réactifs qui arrachent violemment les électrons des graisses et de l’ADN environnants, les oxydant sévèrement.
Cet état n’est pas inconnu de la science médicale. Son nom exact est septicémie aiguë.
Nous savons que c’est ce qui se passe dans le COVID-19 parce que les gens qui sont morts de cette maladie ont des signatures de ferroptose dans leurs tissus, ainsi que d’autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE, et le malondialdéhyde.
Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en alimentant les cellules en O2. C’est un cercle vicieux, car nous avons besoin d’oxygène pour fabriquer de l’adénosine triphosphate (c’est-à-dire pour vivre), mais l’O2 est aussi le précurseur de tous ces radicaux nuisibles qui conduisent à la peroxydation des lipides.
Le traitement correct de la septicémie grave liée au COVID-19 est la ventilation non invasive, les stéroïdes et les perfusions d’antioxydants. La plupart des médicaments réadaptés pour le COVID-19 qui présentent un quelconque avantage pour le sauvetage des patients gravement malades sont des antioxydants. La N-acétylcystéine, la mélatonine, la fluvoxamine, le budésonide, la famotidine, la cimétidine et la ranitidine sont tous des antioxydants. L’indométhacine empêche l’oxydation par le fer de l’acide arachidonique en isoprostanes. Il existe de puissants antioxydants, comme l’apocynine, qui n’ont même pas encore été testés sur les patients COVID-19 et qui pourraient défaire les neutrophiles, prévenir la peroxydation lipidique, rétablir la santé endothéliale et restaurer l’oxygénation des tissus.
Les scientifiques qui connaissent un tant soit peu la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox ont compris ou supposé beaucoup de tout cela depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que le COVID-19 était une endothélite vasculaire. A la fin de 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoque une forme de septicémie virale. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n’est particulièrement nouvelle, et pourtant, dans la plupart des cas, elle n’a pas été prise en compte. Les médecins continuent à utiliser techniques d’intubation préjudiciables avec des réglages PEEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades par faute médicale.
En raison de la manière dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront jamais aucun avantage pour aucun antiviral contre le COVID-19. Ni le Remdesivir, ni le Kaletra, ni la HCQ, ni l’Ivermectine. La raison en est simple : pour les patients qu’ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d’Oxford, l’intervention est trop tardive pour avoir un quelconque effet positif.
L’évolution clinique du COVID-19 est telle qu’au moment où la plupart des personnes consultent un médecin pour hypoxie, leur charge virale a déjà diminué au point de devenir presque nulle. Si quelqu’un a été exposé depuis environ 10 jours et qu’elle est déjà symptomatique depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son organisme, mais seulement des lésions et des dérèglements cellulaires qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C’est dans ce groupe que les essais cliniques pour les antiviraux ont recruté, presque exclusivement.
Dans ces essais, on donne des antiviraux à des patients gravement malades qui n’ont pas de virus dans leur corps, mais seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis on affirme de manière absurde que les antiviraux n’ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.
C’est comme si on utilisait un défibrillateur pour choquer uniquement les personnes en arrêt cardiaque, et qu’on prétendait ensuite de manière absurde que les défibrillateurs n’ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de se relever d’entre les morts. L’intervention est trop tardive. Ces essais d’antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique qu’ils enrôlent.
L’Inde est allée à l’encontre des instructions de l’OMS et a rendu obligatoire l’utilisation prophylactique de l’Ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L’Association du Barreau Indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l’Ivermectine.
L’ivermectine n’est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, elle est vendue sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour les animaux. Elle est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.
Les médias ont prétendu de façon fallacieuse que parce que l’Ivermectine est un médicament antiparasitaire, elle n’a aucune utilité en tant qu’antivirus. Cette affirmation est inexacte. L’Ivermectine a une utilité en tant qu’antiviral. Elle bloque l’importine, empêchant l’importation nucléaire, inhibant efficacement l’accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont plusieurs modes d’action. L’ivermectine est l’un de ces médicaments. Elle est à la fois antiparasitaire et antivirale.
Au Bangladesh, l’ivermectine coûte 1,80 $ pour un traitement complet de 5 jours. Le Remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3.120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements aux frais du contribuable, et il s’est avéré totalement inutile pour traiter l’hyperinflammation du COVID-19. Les médias ont à peine couvert cette affaire.
L’opposition à l’utilisation de l’Ivermectine générique n’est pas fondée sur la science. Elle est purement motivée par des raisons financières et politiquement motivée. Une intervention non-vaccinale efficace mettrait en danger l’approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l’industrie pharmaceutique s’apprête à rafler des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.
La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie, à cause d’un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui ait la moindre idée de ce que tout cela signifie.
Transmission du COVID-19 :
Le COVID-19 est transmis par voie aérienne. L’OMS a soutenu la Chine en affirmant que le virus n’était transmis que par gouttelettes. Notre propre CDC a affirmé de manière absurde qu’il était principalement transmis par contact de personne à personne, ce qui, étant donné sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.
La croyance ridicule que le contact fomite-à-visage est un mode de transmission primaire a conduit à l’utilisation de protocoles de désinfection des surfaces qui ont entraîné une perte de temps, d’énergie, de productivité et de désinfectant.
Les directives de distanciation sociale de six pieds [NdT. environ 1,80m] sont absolument inutiles. La distance minimale de sécurité pour se protéger d’un virus aérosolisé est de plus de 6 mètres d’une personne infectée, pas moins. En réalité, aucun transport public n’est sûr.
Les masques chirurgicaux ne protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a des mailles trop larges pour le filtrer. Ils peuvent capter les gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d’être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d’aérosols infectieux si quelqu’un entre dans ce nuage.
Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR, ou un respirateur 40 mm de l’OTAN, idéalement associé à une combinaison intégrale en Tyvek ou Tychem, des gants et des chaussons, dont tous les trous et interstices ont été scotchés.
Le SRAS-CoV-2 vivant peut être détecté dans les écoulements d’eaux usées et il peut y avoir une transmission oro-fécale. Au cours de l’épidémie de SRAS en 2003, lors de l’incident d’Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des matières fécales en aérosol provenant des siphons de sol de leurs appartements.
Dangers des vaccins COVID-19 :
Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu’ils suppriment la pression évolutive exercée sur le virus pour qu’il devienne moins mortel. Cela signifie également que les vaccinés sont des porteurs parfaits. En d’autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non-vaccinés, et non l’inverse.
Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi un minimum de tests, avec des essais cliniques. Bien qu’ils semblent limiter les maladies graves, le profil de sécurité à long terme de ces vaccins reste inconnu.
Certains de ces soi-disant « vaccins » font appel à une nouvelle technologie non testée qui n’a jamais été utilisée dans des vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent des virus affaiblis ou tués pour stimuler une réponse immunitaire. Ce n’est pas le cas des vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d’ARN messager. Ces nanoparticules génèrent une réponse immunitaire en fusionnant avec les cellules de l’épaule du sujet vacciné, en subissant une endocytose, en libérant leur ARNm dans ces cellules, puis en utilisant les ribosomes de ces cellules pour synthétiser in situ des protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2.
Ces protéines de pointe modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Cela est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre la protéine de pointe du virus réel. Les vaccins de J&J et d’AstraZeneca ont une action similaire, mais utilisent un vecteur adénoviral pour la transmission du matériel génétique au lieu d’une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l’aide de lignées cellulaires fœtales HEK-293 et PER.C6, ce à quoi les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent fortement s’opposer.
La protéine de pointe du SRARS-CoV-2 est une protéine hautement pathogène en elle-même. Il est impossible de surestimer le danger que représente l’introduction de cette protéine dans le corps humain.
Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l’épaule et que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 produite et exprimée par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l’insertion de prolines dans la séquence de la protéine de pointe pour la stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant la protéine de pointe de devenir active et de fusionner avec d’autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique réalisée au Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l’ARNm du vaccin Pfizer ne sont pas restées dans l’épaule et se sont en fait bioaccumulées dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que la protéine de pointe modifiée est exprimée littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher une anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais ce qui est bien plus inquiétant, c’est l’expression non régulée de la protéine de pointe dans diverses lignées de cellules somatiques éloignées du site d’injection et les conséquences inconnues qui en découlent.
L’ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans l’organisme, étant traduit en protéine par un ribosome. L’ARNm du vaccin COVID-19 est produit en dehors du corps, bien avant qu’un ribosome ne le traduise. Entre-temps, il peut accumuler des dommages s’il est mal conservé. Lorsqu’un ribosome tente de traduire un brin d’ARNm endommagé, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il a maintenant un morceau d’ARNm coincé en lui, comme une carte de dentelle [NdT. Une carte de dentelle est une carte avec tous les trous perforés, principalement utilisées comme blagues pour perturber les lecteurs de cartes] dans un vieux lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes doivent être synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules dont la rotation des ribosomes est faible, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.
Certaines protéines, y compris la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, ont des sites de clivage protéolytique qui ressemblent à de petites lignes en pointillé indiquant « coupez ici », qui attirent les protéases d’un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que la S1 soit clivée protéolytiquement de la S2, ce qui fait que la S1 active s’échappe dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » de la S2 intégrée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.
Une étude a montré que les anticorps anti-protéine de pointe fonctionnent comme des auto-anticorps et attaquent les cellules de l’organisme. Les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, ce qui indique que le vaccin favorise les réactions auto-immunes contre les tissus sains.
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ne se lie pas seulement à l’ACE2. On soupçonne qu’elle possède des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par elle-même, peut potentiellement se lier à n’importe lequel de ces éléments et agir comme un ligand pour eux, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement très inflammatoire.
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient un insert d’ERAR inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour la protéine de pointe, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus sauvage de type SRAS apparenté au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui le rend très suspect, et pourrait être un signe de manipulation humaine.
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède un domaine de type prion qui accroît son pouvoir infectieux.
Le RBD S1 de la protéine de pointe peut se lier aux protéines de liaison à l’héparine et favoriser l’agrégation amyloïde. Chez l’homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d’Alzheimer prématurée, ou à diverses autres maladies neurodégénératives. Ceci est très préoccupant car la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est capable de causer des dommages et de traverser la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Elle est également capable d’augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d’autres molécules.
Le SRAS-CoV-2, comme d’autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue, ou une facilitation de l’infection par anticorps. Pour ceux qui l’ignorent, certains virus, dont les bêta-coronavirus, présentent une caractéristique appelée ADE. Il existe aussi ce qu’on appelle le péché antigénique originel (Original Antigenic Sin), dans lequel on observe que l’organisme préfère produire des anticorps basés sur des souches virales déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.
Dans le cas de l’ADE, les anticorps d’une infection antérieure deviennent non-neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non-neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d’être d’être attiré dans les macrophages par l’intermédiaire de leurs récepteurs Fc, ce qui permet au virus d’infecter des cellules immunitaires qu’il n’aurait pas été capable d’infecter auparavant. C’est ce qui s’est produit avec la dengue ; lorsqu’une personne est atteinte de la dengue, qu’elle se rétablit et qu’elle contracte une autre souche, elle peut devenir très, très malade.
Si quelqu’un est vacciné avec un ARNm basé sur la protéine de pointe de la souche initiale de Wuhan du SRAS-CoV-2, et qu’elle est ensuite infectée par une nouvelle souche mutée du virus, elle peut tomber gravement malade. En d’autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent une personne à la maladie.
Il existe un précédent dans l’histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué parce qu’il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez des personnes dont le système immunitaire n’avait jamais été exposé à la dengue.
Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et exposées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont ont développé une immunosensibilisation, une immunopathologie Th2 et une infiltration d’éosinophiles dans leurs poumons.
On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l’ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. Cette affirmation est fausse. Il existe des éléments dans les cellules humaines humains appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent effectivement intégrer l’ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Comme l’ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste dans les cellules plus longtemps, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est intégré dans une partie du génome qui n’est pas silencieuse et qui exprime une protéine, il est possible que les personnes qui reçoivent ce vaccin puissent exprimer continuellement la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à partir de leurs cellules somatiques pour le reste de leur vie.
En inoculant aux gens un vaccin qui amène leur organisme à produire la protéine de pointe in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut causer des inflammations à long terme, des problèmes cardiaques, et un risque accru de cancers. A long terme, elle peut aussi potentiellement mener à une maladie neurodégénérative.
Absolument personne ne devrait être obligé de recevoir ce vaccin, en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.
Conspiration criminelle autour du COVID-19 :
Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.
En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu’en 2017. Cette recherche n’a pas été arrêtée. Au contraire, elle a été externalisée, les subventions fédérales étant blanchies par des ONG.
Ralph Baric est un virologue et un expert du SRAS à l’UNC Chapel Hill en Caroline du Nord.
C’est à lui qu’Anthony Fauci faisait référence lorsqu’il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur les gains de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.
C’était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. C’est un crime.
Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, particulièrement le passage en série, qui résulte en un virus qui semble être d’origine naturelle. En d’autres termes, des armes biologiques indéniables. Le passage en série dans souris humanisées hACE2 a pu produire quelque chose comme le SRAS-CoV-2.
Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l’Institut de Virologie de Wuhan provient de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions du National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c’est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du Département de la Défense des États-Unis), et de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Les NIH/NIAID ont contribué à hauteur de quelques millions de dollars, et la DTRA et l’USAID ont chacune contribué à hauteur de dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, cela représente plus de cent millions de dollars.
EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l’Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire chinois avec des antécédents très douteux en matière de sécurité et un personnel mal formé, afin qu’il puisse mener des recherches sur le gain de fonction, non pas dans leur luxueux laboratoire P4, mais dans un laboratoire de niveau 2 où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué qu’un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Les scientifiques chinois de Wuhan ont rapporté s’être régulièrement fait mordre et uriner dessus par des animaux de laboratoire. La raison pour laquelle quiconque voudrait externaliser ce travail dangereux et délicat vers la République Populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont coûté des centaines de vies, me dépasse complètement, à moins que le but ne soit de déclencher une pandémie intentionnellement.
En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de Virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak, et Ralph Baric ont su immédiatement ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels.
Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus dont Moderna et les NIH sont copropriétaires. Ce n’est qu’un mois plus tard mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.
Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux a joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan.
La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été créée en entrant une séquence génétique à la main dans une base de données, afin de créer une histoire de couverture pour l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de Virologie de Wuhan et qui a fait l’objet d’une fuite accidentelle ou d’une diffusion intentionnelle.
Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert.
Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle des personnes liées au développement du mRNA-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de Virologie de Wuhan et à et leur recherche sur le gain de fonction, avec très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie.
La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce qu’en tirant sur ce fil, on en conclut inévitablement qu’il y a suffisamment de preuves circonstancielles pour lier Moderna, les NIH, l’Institut de Virologie de Wuhan, et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.
Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik.
La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19.
La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé inoffensif et un antioxydant, en obligeant Amazon à le retirer de sa vitrine en ligne.
Cela nous laisse avec une question effrayante : est-ce que la FDA a sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ?
L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité et leur facilite la tâche, suppriment activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à nous faire injecter les produits de ces criminels dans nos corps. C’est absolument inacceptable.
Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme :
Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l’establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que les liens troublants entre les scientifiques impliqués dans la recherche de vaccins et les scientifiques dont les travaux impliquent la fusion de la nanotechnologie et des cellules vivantes.
Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard ayant des décennies d’expérience, a été inculpé par le DOJ (Département de la Justice) pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions de la part du Département de la Défense des États-Unis, plus précisément des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et du MITRE. Sa spécialité est l’utilisation de nanofils de silicium à la place d’électrodes de type patch clamp pour surveiller et moduler l’activité intracellulaire, un sujet sur lequel il travaille à Harvard depuis vingt ans. On a prétendu qu’il travaillait sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne se souvient qu’il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange des nanotechnologies avec les cellules vivantes.
L’accusation porte sur sa collaboration avec l’Université de Technologie de Wuhan. Il avait fait coup double, contre les termes de ses subventions du Ministère de la Défense, et pris de l’argent du plan « Mille talents » de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour corrompre les scientifiques occidentaux afin qu’ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l’APL pour obtenir un avantage stratégique.
Les articles de Charles Lieber décrivent l’utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou la technologie du « lacet neuronal ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l’activité neuronale.
Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.
Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en nanotechnologies d’administration de médicaments, est l’un des cofondateurs de la société Moderna. Sa valeur nette s’élève aujourd’hui à 5,1 milliards de dollars américains grâce aux ventes du vaccin mRNA-1273 de Moderna.
Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d’amélioration de l’homme, c’est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, fondateur du Forum Economique Mondial et l’architecte de ce que l’on appelle le « Great Reset », parle depuis longtemps, dans ses livres, du « mélange de la biologie et des machines ».
Depuis ces révélations, des chercheurs indépendants ont découvert que les vaccins COVID-19 pouvaient contenir des nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.
L’oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu’il réduit l’anxiété des souris de laboratoire lorsqu’il est injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, il s’agit de la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l’extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine vers le cerveau. Le graphène est également hautement conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.
En 2013, sous l’administration Obama, la DARPA a lancé l’initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d’interface cerveau-ordinateur (brain-computer interface – BCI) pour l’armée, notamment des systèmes non invasifs et injectables qui causent des dommages minimes au tissu cérébral lorsqu’ils sont retirés. En principe, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, pour le contrôle direct par le cerveau de membres prosthétiques, et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones par l’esprit.
Plusieurs méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l’optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, l’objectif est d’obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.
Cependant, l’idée d’une utilisation généralisée de la technologie BCI, comme le dispositif Neuralink d’Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant au respect de la vie privée et à l’autonomie personnelle. La lecture des neurones est déjà problématique en soi. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l’infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, ce qui pose des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant pourrait compromettre ces réseaux pour obtenir des données sur le cerveau des gens, puis les exploiter à des fins malveillantes.
Cependant, un dispositif capable d’écrire dans les neurones humains, et pas seulement de les lire, présente une autre série de problèmes éthiques encore plus graves. Une BCI capable d’altérer le contenu de l’esprit d’une personne à des fins inoffensives, comme la projection d’un affichage « tête haute » sur le centre visuel du cerveau ou l’envoi de sons dans le cortex auditif, serait aussi théoriquement capable de modifier l’humeur et la personnalité, ou peut-être même de subjuguer la volonté d’une personne, la rendant totalement obéissante à l’autorité. Cette technologie serait le rêve éveillé d’un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésiter, ou des serfs impuissants qui se contentent de vivre dans de véritables niches à chiens.
Les BCI pourraient être utilisées pour modifier sans scrupule la perception de choses aussi fondamentales que les émotions et les valeurs, changer les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. des gens. Ce n’est pas sans conséquence. L’ensemble des comportements d’une personne pourrait être modifié par une BCI, y compris des choses telles que supprimer son appétit ou son désir pour pratiquement tout ce qui figure dans la hiérarchie des besoins de Maslow.
Tout est possible lorsqu’on dispose d’un accès direct au cerveau d’une personne et à son contenu. Une personne obèse pourrait être dégoûtée à la vue de la nourriture. Quelqu’un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée pour qu’elle ne désire même pas de sexe du tout. Quelqu’un qui est raciste pourrait être forcé à se réjouir de cohabiter avec des personnes d’autres races. Quelqu’un de violent pourrait être forcé à être doux et soumis. Ces choses peuvent sembler bonnes à un tyran, mais pour les gens normaux, l’idée d’un tel dépassement de l’autonomie personnelle est consternante.
Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d’augmenter leur intelligence avec des neuroprothèses (c’est-à-dire un « exocortex »), et de donner des ordres irrésistibles directement dans l’esprit de leurs serviteurs dotés d’un BCI, même s’il s’agit d’ordres physiques ou sexuels abusifs qu’ils auraient normalement refusés.
Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement une BCI injectable dans le corps de millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors nous assistons à la montée en puissance d’un régime tyrannique sans équivalent, jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a l’intention de priver chaque homme, femme, et enfant de son libre arbitre.
Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n’est pas une utopie du tout. C’est un cauchemar monomaniaque. En outre, les gens qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut confier un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un riche et puissant psychopathe et être forcé de sourire et d’en rire parce que votre lacet neural ne vous donne pas d’autre choix que d’obéir à votre maître.
Les élites vont de l’avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de s’interroger sur les ramifications sociales ou éthiques, ou d’établir des cadres réglementaires qui garantissent que nos choix personnells et notre autonomie ne seront pas supplantés par ces dispositifs. Ils font cela parce qu’ils rêvent secrètement d’un avenir où ils pourront vous traiter pire qu’un animal et où vous ne pourrez même pas vous défendre. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.
Conclusions :
La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, par l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire de guerre biologique chinois lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française.
Cette recherche a été menée sous l’euphémisme absolument ridicule de recherche à « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de vacciner ou de protéger de manière préventive.
La recherche à « gain de fonction/gain de menace », aussi appelée Dual-Use Research of Concern ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, à consonance plus agréable, simplement pour éviter le tabou de l’appeler par son nom réel. Il s’agit depuis toujours de recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu’ils prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux pour les humains et les rendent plus infectieux, souvent grâce à des subventions de groupes de réflexion militaires qui les encouragent à le faire.
Les virologues qui mènent ce type de recherche sont des ennemis de leurs semblables, comme les pompiers pyromanes. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais protégé personne d’une quelconque pandémie. En fait, elle en a maintenant déclenché une, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Elle aurait dû être interdite mondialement, et les fous qui l’exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.
Que ce soit à cause d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de Virologie de Wuhan, une souche mortelle de SRAS est maintenant endémique à travers le monde, après que l’OMS, le CDC et les fonctionnaires aient d’abord minimisé les risques, puis aient intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé des gens et leurs moyens de subsistance.
Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme excuse pour forcer les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle/pacification de l’esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux à la fois. Ils pensent qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils ont tort.
Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et a connu une crise de liquidités depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total sur l’humanité avant que nous réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.
La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :
Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société. Au lieu d’avoir un Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs laquais ont pu se montrer à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale maraudeuse de méprisables pirates terrestres qu’ils sont.
Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches des milliardaires et d’intérêts particuliers.
S’engager dans des délits d’initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et ruiner les commerces de détail et les agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face-à-face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller les vies et l’argent américains et nous conduire au bord de l’armageddon nucléaire.
Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle des populations et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision l’automatisation généralisée, le chômage, et les pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour forcer la coopération.
Chacune de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Prises ensemble, elles dépassent l’entendement ; elles sont une inversion complète de nos valeurs les plus précieuses.
Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.
Les élites tentent de tirer l’échelle vers le haut, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir en laisse le reste de l’humanité, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugé « à fort impact », tels que l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leurs propres luxes, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme.
Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement erronés dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables.
À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.
À ceux qui lisent cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension totales de ce qu’ils font et de la façon dont cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots.
Allez en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurerons.
[voir la liste des références bibliographiques dans le document original]
Texte original
Hello,
My name is Spartacus, and I’ve had enough.
We have been forced to watch America and the Free World spin into inexorable decline due to a biowarfare attack. We, along with countless others, have been victimized and gaslit by propaganda and psychological warfare operations being conducted by an unelected, unaccountable Elite against the American people and our allies.
Our mental and physical health have suffered immensely over the course of the past year and a half. We have felt the sting of isolation, lockdown, masking, quarantines, and other completely nonsensical acts of healthcare theater that have done absolutely nothing to protect the health or wellbeing of the public from the ongoing COVID-19 pandemic.
Now, we are watching the medical establishment inject literal poison into millions of our fellow Americans without so much as a fight.
We have been told that we will be fired and denied our livelihoods if we refuse to vaccinate. This was the last straw.
We have spent thousands of hours analyzing leaked footage from Wuhan, scientific papers from primary sources, as well as the paper trails left by the medical establishment.
What we have discovered would shock anyone to their core.
First, we will summarize our findings, and then, we will explain them in detail. References will be placed at the end.
Summary:
COVID-19 is a blood and blood vessel disease. SARS-CoV-2 infects the lining of human blood vessels, causing them to leak into the lungs.
Current treatment protocols (e.g. invasive ventilation) are actively harmful to patients, accelerating oxidative stress and causing severe VILI (ventilator-induced lung injuries). The continued use of ventilators in the absence of any proven medical benefit constitutes mass murder.
Existing countermeasures are inadequate to slow the spread of what is an aerosolized and potentially wastewater-borne virus, and constitute a form of medical theater.
Various non-vaccine interventions have been suppressed by both the media and the medical establishment in favor of vaccines and expensive patented drugs.
The authorities have denied the usefulness of natural immunity against COVID-19, despite the fact that natural immunity confers protection against all of the virus’s proteins, and not just one.
Vaccines will do more harm than good. The antigen that these vaccines are based on, SARS-CoV-2 Spike, is a toxic protein. SARS-CoV-2 may have ADE, or antibody-dependent enhancement; current antibodies may not neutralize future strains, but instead help them infect immune cells. Also, vaccinating during a pandemic with a leaky vaccine removes the evolutionary pressure for a virus to become less lethal.
There is a vast and appalling criminal conspiracy that directly links both Anthony Fauci and Moderna to the Wuhan Institute of Virology.
COVID-19 vaccine researchers are directly linked to scientists involved in brain-computer interface (“neural lace”) tech, one of whom was indicted for taking grant money from China.
Independent researchers have discovered mysterious nanoparticles inside the vaccines that are not supposed to be present.
The entire pandemic is being used as an excuse for a vast political and economic transformation of Western society that will enrich the already rich and turn the rest of us into serfs and untouchables.
COVID-19 Pathophysiology and Treatments:
COVID-19 is not a viral pneumonia. It is a viral vascular endotheliitis and attacks the lining of blood vessels, particularly the small pulmonary alveolar capillaries, leading to endothelial cell activation and sloughing, coagulopathy, sepsis, pulmonary edema, and ARDS-like symptoms. This is a disease of the blood and blood vessels. The circulatory system. Any pneumonia that it causes is secondary to that.
In severe cases, this leads to sepsis, blood clots, and multiple organ failure, including hypoxic and inflammatory damage to various vital organs, such as the brain, heart, liver, pancreas, kidneys, and intestines.
Some of the most common laboratory findings in COVID-19 are elevated D-dimer, elevated prothrombin time, elevated C-reactive protein, neutrophilia, lymphopenia, hypocalcemia, and hyperferritinemia, essentially matching a profile of coagulopathy and immune system hyperactivation/immune cell exhaustion.
COVID-19 can present as almost anything, due to the wide tropism of SARS-CoV-2 for various tissues in the body’s vital organs. While its most common initial presentation is respiratory illness and flu-like symptoms, it can present as brain inflammation, gastrointestinal disease, or even heart attack or pulmonary embolism.
COVID-19 is more severe in those with specific comorbidities, such as obesity, diabetes, and hypertension. This is because these conditions involve endothelial dysfunction, which renders the circulatory system more susceptible to infection and injury by this particular virus.
The vast majority of COVID-19 cases are mild and do not cause significant disease. In known cases, there is something known as the 80/20 rule, where 80% of cases are mild and 20% are severe or critical.
However, this ratio is only correct for known cases, not all infections. The number of actual infections is much, much higher. Consequently, the mortality and morbidity rate is lower. However, COVID-19 spreads very quickly, meaning that there are a significant number of severely-ill and critically-ill patients appearing in a short time frame.
In those who have critical COVID-19-induced sepsis, hypoxia, coagulopathy, and ARDS, the most common treatments are intubation, injected corticosteroids, and blood thinners. This is not the correct treatment for COVID-19. In severe hypoxia, cellular metabolic shifts cause ATP to break down into hypoxanthine, which, upon the reintroduction of oxygen, causes xanthine oxidase to produce tons of highly damaging radicals that attack tissue. This is called ischemia-reperfusion injury, and it’s why the majority of people who go on a ventilator are dying. In the mitochondria, succinate buildup due to sepsis does the same exact thing; when oxygen is reintroduced, it makes superoxide radicals. Make no mistake, intubation will kill people who have COVID-19.
The end-stage of COVID-19 is severe lipid peroxidation, where fats in the body start to “rust” due to damage by oxidative stress. This drives autoimmunity. Oxidized lipids appear as foreign objects to the immune system, which recognizes and forms antibodies against OSEs, or oxidation-specific epitopes. Also, oxidized lipids feed directly into pattern recognition receptors, triggering even more inflammation and summoning even more cells of the innate immune system that release even more destructive enzymes. This is similar to the pathophysiology of Lupus.
The breakdown of the pathology is as follows:
SARS-CoV-2 Spike binds to ACE2. Angiotensin Converting Enzyme 2 is an enzyme that is part of the renin-angiotensin-aldosterone system, or RAAS. The RAAS is a hormone control system that moderates fluid volume in the body and in the bloodstream (i.e. osmolarity) by controlling salt retention and excretion. This protein, ACE2, is ubiquitous in every part of the body that interfaces with the circulatory system, particularly in vascular endothelial cells and pericytes, brain astrocytes, renal tubules and podocytes, pancreatic islet cells, bile duct and intestinal epithelial cells, and the seminiferous ducts of the testis, all of which SARS-CoV-2 can infect, not just the lungs.
SARS-CoV-2 infects a cell as follows: SARS-CoV-2 Spike undergoes a conformational change where the S1 trimers flip up and extend, locking onto ACE2 bound to the surface of a cell. TMPRSS2, or transmembrane protease serine 2, comes along and cuts off the heads of the Spike, exposing the S2 stalk-shaped subunit inside. The remainder of the Spike undergoes a conformational change that causes it to unfold like an extension ladder, embedding itself in the cell membrane. Then, it folds back upon itself, pulling the viral membrane and the cell membrane together. The two membranes fuse, with the virus’s proteins migrating out onto the surface of the cell. The SARS-CoV-2 nucleocapsid enters the cell, disgorging its genetic material and beginning the viral replication process, hijacking the cell’s own structures to produce more virus.
SARS-CoV-2 Spike proteins embedded in a cell can actually cause human cells to fuse together, forming syncytia/MGCs (multinuclear giant cells). They also have other pathogenic, harmful effects. SARS-CoV-2’s viroporins, such as its Envelope protein, act as calcium ion channels, introducing calcium into infected cells. The virus suppresses the natural interferon response, resulting in delayed inflammation. SARS-CoV-2 N protein can also directly activate the NLRP3 inflammasome. Also, it suppresses the Nrf2 antioxidant pathway. The suppression of ACE2 by binding with Spike causes a buildup of bradykinin that would otherwise be broken down by ACE2.
This constant calcium influx into the cells results in (or is accompanied by) noticeable hypocalcemia, or low blood calcium, especially in people with Vitamin D deficiencies and pre-existing endothelial dysfunction. Bradykinin upregulates cAMP, cGMP, COX, and Phospholipase C activity. This results in prostaglandin release and vastly increased intracellular calcium signaling, which promotes highly aggressive ROS release and ATP depletion. NADPH oxidase releases superoxide into the extracellular space. Superoxide radicals react with nitric oxide to form peroxynitrite. Peroxynitrite reacts with the tetrahydrobiopterin cofactor needed by endothelial nitric oxide synthase, destroying it and “uncoupling” the enzymes, causing nitric oxide synthase to synthesize more superoxide instead. This proceeds in a positive feedback loop until nitric oxide bioavailability in the circulatory system is depleted.
Dissolved nitric oxide gas produced constantly by eNOS serves many important functions, but it is also antiviral against SARS-like coronaviruses, preventing the palmitoylation of the viral Spike protein and making it harder for it to bind to host receptors. The loss of NO allows the virus to begin replicating with impunity in the body. Those with endothelial dysfunction (i.e. hypertension, diabetes, obesity, old age, African-American race) have redox equilibrium issues to begin with, giving the virus an advantage.
Due to the extreme cytokine release triggered by these processes, the body summons a great deal of neutrophils and monocyte-derived alveolar macrophages to the lungs. Cells of the innate immune system are the first-line defenders against pathogens. They work by engulfing invaders and trying to attack them with enzymes that produce powerful oxidants, like SOD and MPO. Superoxide dismutase takes superoxide and makes hydrogen peroxide, and myeloperoxidase takes hydrogen peroxide and chlorine ions and makes hypochlorous acid, which is many, many times more reactive than sodium hypochlorite bleach.
Neutrophils have a nasty trick. They can also eject these enzymes into the extracellular space, where they will continuously spit out peroxide and bleach into the bloodstream. This is called neutrophil extracellular trap formation, or, when it becomes pathogenic and counterproductive, NETosis. In severe and critical COVID-19, there is actually rather severe NETosis.
Hypochlorous acid building up in the bloodstream begins to bleach the iron out of heme and compete for O2 binding sites. Red blood cells lose the ability to transport oxygen, causing the sufferer to turn blue in the face. Unliganded iron, hydrogen peroxide, and superoxide in the bloodstream undergo the Haber-Weiss and Fenton reactions, producing extremely reactive hydroxyl radicals that violently strip electrons from surrounding fats and DNA, oxidizing them severely.
This condition is not unknown to medical science. The actual name for all of this is acute sepsis.
We know this is happening in COVID-19 because people who have died of the disease have noticeable ferroptosis signatures in their tissues, as well as various other oxidative stress markers such as nitrotyrosine, 4-HNE, and malondialdehyde.
When you intubate someone with this condition, you are setting off a free radical bomb by supplying the cells with O2. It’s a catch-22, because we need oxygen to make Adenosine Triphosphate (that is, to live), but O2 is also the precursor of all these damaging radicals that lead to lipid peroxidation.
The correct treatment for severe COVID-19 related sepsis is non-invasive ventilation, steroids, and antioxidant infusions. Most of the drugs repurposed for COVID-19 that show any benefit whatsoever in rescuing critically-ill COVID-19 patients are antioxidants. N-acetylcysteine, melatonin, fluvoxamine, budesonide, famotidine, cimetidine, and ranitidine are all antioxidants. Indomethacin prevents iron-driven oxidation of arachidonic acid to isoprostanes. There are powerful antioxidants such as apocynin that have not even been tested on COVID-19 patients yet which could defang neutrophils, prevent lipid peroxidation, restore endothelial health, and restore oxygenation to the tissues.
Scientists who know anything about pulmonary neutrophilia, ARDS, and redox biology have known or surmised much of this since March 2020. In April 2020, Swiss scientists confirmed that COVID-19 was a vascular endotheliitis. By late 2020, experts had already concluded that COVID-19 causes a form of viral sepsis. They also know that sepsis can be effectively treated with antioxidants. None of this information is particularly new, and yet, for the most part, it has not been acted upon. Doctors continue to use damaging intubation techniques with high PEEP settings despite high lung compliance and poor oxygenation, killing an untold number of critically ill patients with medical malpractice.
Because of the way they are constructed, Randomized Control Trials will never show any benefit for any antiviral against COVID-19. Not Remdesivir, not Kaletra, not HCQ, and not Ivermectin. The reason for this is simple; for the patients that they have recruited for these studies, such as Oxford’s ludicrous RECOVERY study, the intervention is too late to have any positive effect.
The clinical course of COVID-19 is such that by the time most people seek medical attention for hypoxia, their viral load has already tapered off to almost nothing. If someone is about 10 days post-exposure and has already been symptomatic for five days, there is hardly any virus left in their bodies, only cellular damage and derangement that has initiated a hyperinflammatory response. It is from this group that the clinical trials for antivirals have recruited, pretty much exclusively.
In these trials, they give antivirals to severely ill patients who have no virus in their bodies, only a delayed hyperinflammatory response, and then absurdly claim that antivirals have no utility in treating or preventing COVID-19. These clinical trials do not recruit people who are pre-symptomatic. They do not test pre-exposure or post-exposure prophylaxis.
This is like using a defibrillator to shock only flatline, and then absurdly claiming that defibrillators have no medical utility whatsoever when the patients refuse to rise from the dead. The intervention is too late. These trials for antivirals show systematic, egregious selection bias. They are providing a treatment that is futile to the specific cohort they are enrolling.
India went against the instructions of the WHO and mandated the prophylactic usage of Ivermectin. They have almost completely eradicated COVID-19. The Indian Bar Association of Mumbai has brought criminal charges against WHO Chief Scientist Dr. Soumya Swaminathan for recommending against the use of Ivermectin.
Ivermectin is not “horse dewormer”. Yes, it is sold in veterinary paste form as a dewormer for animals. It has also been available in pill form for humans for decades, as an antiparasitic drug.
The media have disingenuously claimed that because Ivermectin is an antiparasitic drug, it has no utility as an antivirus. This is incorrect. Ivermectin has utility as an antiviral. It blocks importin, preventing nuclear import, effectively inhibiting viral access to cell nuclei. Many drugs currently on the market have multiple modes of action. Ivermectin is one such drug. It is both antiparasitic and antiviral.
In Bangladesh, Ivermectin costs $1.80 for an entire 5-day course. Remdesivir, which is toxic to the liver, costs $3,120 for a 5-day course of the drug. Billions of dollars of utterly useless Remdesivir were sold to our governments on the taxpayer’s dime, and it ended up being totally useless for treating hyperinflammatory COVID-19. The media has hardly even covered this at all.
The opposition to the use of generic Ivermectin is not based in science. It is purely financially and politically-motivated. An effective non-vaccine intervention would jeopardize the rushed FDA approval of patented vaccines and medicines for which the pharmaceutical industry stands to rake in billions upon billions of dollars in sales on an ongoing basis.
The majority of the public are scientifically illiterate and cannot grasp what any of this even means, thanks to a pathetic educational system that has miseducated them. You would be lucky to find 1 in 100 people who have even the faintest clue what any of this actually means.
COVID-19 Transmission:
COVID-19 is airborne. The WHO carried water for China by claiming that the virus was only droplet-borne. Our own CDC absurdly claimed that it was mostly transmitted by fomite-to-face contact, which, given its rapid spread from Wuhan to the rest of the world, would have been physically impossible.
The ridiculous belief in fomite-to-face being a primary mode of transmission led to the use of surface disinfection protocols that wasted time, energy, productivity, and disinfectant.
The 6-foot guidelines are absolutely useless. The minimum safe distance to protect oneself from an aerosolized virus is to be 15+ feet away from an infected person, no closer. Realistically, no public transit is safe.
Surgical masks do not protect you from aerosols. The virus is too small and the filter media has too large of gaps to filter it out. They may catch respiratory droplets and keep the virus from being expelled by someone who is sick, but they do not filter a cloud of infectious aerosols if someone were to walk into said cloud.
The minimum level of protection against this virus is quite literally a P100 respirator, a PAPR/CAPR, or a 40mm NATO CBRN respirator, ideally paired with a full-body tyvek or tychem suit, gloves, and booties, with all the holes and gaps taped.
Live SARS-CoV-2 may potentially be detected in sewage outflows, and there may be oral-fecal transmission. During the SARS outbreak in 2003, in the Amoy Gardens incident, hundreds of people were infected by aerosolized fecal matter rising from floor drains in their apartments.
COVID-19 Vaccine Dangers:
The vaccines for COVID-19 are not sterilizing and do not prevent infection or transmission. They are “leaky” vaccines. This means they remove the evolutionary pressure on the virus to become less lethal. It also means that the vaccinated are perfect carriers. In other words, those who are vaccinated are a threat to the unvaccinated, not the other way around.
All of the COVID-19 vaccines currently in use have undergone minimal testing, with highly accelerated clinical trials. Though they appear to limit severe illness, the long-term safety profile of these vaccines remains unknown.
Some of these so-called “vaccines” utilize an untested new technology that has never been used in vaccines before. Traditional vaccines use weakened or killed virus to stimulate an immune response. The Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines do not. They are purported to consist of an intramuscular shot containing a suspension of lipid nanoparticles filled with messenger RNA. The way they generate an immune response is by fusing with cells in a vaccine recipient’s shoulder, undergoing endocytosis, releasing their mRNA cargo into those cells, and then utilizing the ribosomes in those cells to synthesize modified SARS-CoV-2 Spike proteins in-situ.
These modified Spike proteins then migrate to the surface of the cell, where they are anchored in place by a transmembrane domain. The adaptive immune system detects the non-human viral protein being expressed by these cells, and then forms antibodies against that protein. This is purported to confer protection against the virus, by training the adaptive immune system to recognize and produce antibodies against the Spike on the actual virus. The J&J and AstraZeneca vaccines do something similar, but use an adenovirus vector for genetic material delivery instead of a lipid nanoparticle. These vaccines were produced or validated with the aid of fetal cell lines HEK-293 and PER.C6, which people with certain religious convictions may object strongly to.
SARS-CoV-2 Spike is a highly pathogenic protein on its own. It is impossible to overstate the danger presented by introducing this protein into the human body.
It is claimed by vaccine manufacturers that the vaccine remains in cells in the shoulder, and that SARS-CoV-2 Spike produced and expressed by these cells from the vaccine’s genetic material is harmless and inert, thanks to the insertion of prolines in the Spike sequence to stabilize it in the prefusion conformation, preventing the Spike from becoming active and fusing with other cells. However, a pharmacokinetic study from Japan showed that the lipid nanoparticles and mRNA from the Pfizer vaccine did not stay in the shoulder, and in fact bioaccumulated in many different organs, including the reproductive organs and adrenal glands, meaning that modified Spike is being expressed quite literally all over the place. These lipid nanoparticles may trigger anaphylaxis in an unlucky few, but far more concerning is the unregulated expression of Spike in various somatic cell lines far from the injection site and the unknown consequences of that.
Messenger RNA is normally consumed right after it is produced in the body, being translated into a protein by a ribosome. COVID-19 vaccine mRNA is produced outside the body, long before a ribosome translates it. In the meantime, it could accumulate damage if inadequately preserved. When a ribosome attempts to translate a damaged strand of mRNA, it can become stalled. When this happens, the ribosome becomes useless for translating proteins because it now has a piece of mRNA stuck in it, like a lace card in an old punch card reader. The whole thing has to be cleaned up and new ribosomes synthesized to replace it. In cells with low ribosome turnover, like nerve cells, this can lead to reduced protein synthesis, cytopathic effects, and neuropathies.
Certain proteins, including SARS-CoV-2 Spike, have proteolytic cleavage sites that are basically like little dotted lines that say “cut here”, which attract a living organism’s own proteases (essentially, molecular scissors) to cut them. There is a possibility that S1 may be proteolytically cleaved from S2, causing active S1 to float away into the bloodstream while leaving the S2 “stalk” embedded in the membrane of the cell that expressed the protein.
SARS-CoV-2 Spike has a Superantigenic region (SAg), which may promote extreme inflammation.
Anti-Spike antibodies were found in one study to function as autoantibodies and attack the body’s own cells. Those who have been immunized with COVID-19 vaccines have developed blood clots, myocarditis, Guillain-Barre Syndrome, Bell’s Palsy, and multiple sclerosis flares, indicating that the vaccine promotes autoimmune reactions against healthy tissue.
SARS-CoV-2 Spike does not only bind to ACE2. It was suspected to have regions that bind to basigin, integrins, neuropilin-1, and bacterial lipopolysaccharides as well. SARS-CoV-2 Spike, on its own, can potentially bind any of these things and act as a ligand for them, triggering unspecified and likely highly inflammatory cellular activity.
SARS-CoV-2 Spike contains an unusual PRRA insert that forms a furin cleavage site. Furin is a ubiquitous human protease, making this an ideal property for the Spike to have, giving it a high degree of cell tropism. No wild-type SARS-like coronaviruses related to SARS-CoV-2 possess this feature, making it highly suspicious, and perhaps a sign of human tampering.
SARS-CoV-2 Spike has a prion-like domain that enhances its infectiousness.
The Spike S1 RBD may bind to heparin-binding proteins and promote amyloid aggregation. In humans, this could lead to Parkinson’s, Lewy Body Dementia, premature Alzheimer’s, or various other neurodegenerative diseases. This is very concerning because SARS-CoV-2 S1 is capable of injuring and penetrating the blood-brain barrier and entering the brain. It is also capable of increasing the permeability of the blood-brain barrier to other molecules.
SARS-CoV-2, like other betacoronaviruses, may have Dengue-like ADE, or antibody-dependent enhancement of disease. For those who aren’t aware, some viruses, including betacoronaviruses, have a feature called ADE. There is also something called Original Antigenic Sin, which is the observation that the body prefers to produce antibodies based on previously-encountered strains of a virus over newly-encountered ones.
In ADE, antibodies from a previous infection become non-neutralizing due to mutations in the virus’s proteins. These non-neutralizing antibodies then act as trojan horses, allowing live, active virus to be pulled into macrophages through their Fc receptor pathways, allowing the virus to infect immune cells that it would not have been able to infect before. This has been known to happen with Dengue Fever; when someone gets sick with Dengue, recovers, and then contracts a different strain, they can get very, very ill.
If someone is vaccinated with mRNA based on the Spike from the initial Wuhan strain of SARS-CoV-2, and then they become infected with a future, mutated strain of the virus, they may become severely ill. In other words, it is possible for vaccines to sensitize someone to disease.
There is a precedent for this in recent history. Sanofi’s Dengvaxia vaccine for Dengue failed because it caused immune sensitization in people whose immune systems were Dengue-naïve.
In mice immunized against SARS-CoV and challenged with the virus, a close relative of SARS-CoV-2, they developed immune sensitization, Th2 immunopathology, and eosinophil infiltration in their lungs.
We have been told that SARS-CoV-2 mRNA vaccines cannot be integrated into the human genome, because messenger RNA cannot be turned back into DNA. This is false. There are elements in human cells called LINE-1 retrotransposons, which can indeed integrate mRNA into a human genome by endogenous reverse transcription. Because the mRNA used in the vaccines is stabilized, it hangs around in cells longer, increasing the chances for this to happen. If the gene for SARS-CoV-2 Spike is integrated into a portion of the genome that is not silent and actually expresses a protein, it is possible that people who take this vaccine may continuously express SARS-CoV-2 Spike from their somatic cells for the rest of their lives.
By inoculating people with a vaccine that causes their bodies to produce Spike in-situ, they are being inoculated with a pathogenic protein. A toxin that may cause long-term inflammation, heart problems, and a raised risk of cancers. In the long-term, it may also potentially lead to premature neurodegenerative disease.
Absolutely nobody should be compelled to take this vaccine under any circumstances, and in actual fact, the vaccination campaign must be stopped immediately.
COVID-19 Criminal Conspiracy:
The vaccine and the virus were made by the same people.
In 2014, there was a moratorium on SARS gain-of-function research that lasted until 2017. This research was not halted. Instead, it was outsourced, with the federal grants being laundered through NGOs.
Ralph Baric is a virologist and SARS expert at UNC Chapel Hill in North Carolina.
This is who Anthony Fauci was referring to when he insisted, before Congress, that if any gain-of-function research was being conducted, it was being conducted in North Carolina.
This was a lie. Anthony Fauci lied before Congress. A felony.
Ralph Baric and Shi Zhengli are colleagues and have co-written papers together. Ralph Baric mentored Shi Zhengli in his gain-of-function manipulation techniques, particularly serial passage, which results in a virus that appears as if it originated naturally. In other words, deniable bioweapons. Serial passage in humanized hACE2 mice may have produced something like SARS-CoV-2.
The funding for the gain-of-function research being conducted at the Wuhan Institute of Virology came from Peter Daszak. Peter Daszak runs an NGO called EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance received millions of dollars in grant money from the National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (that is, Anthony Fauci), the Defense Threat Reduction Agency (part of the US Department of Defense), and the United States Agency for International Development. NIH/NIAID contributed a few million dollars, and DTRA and USAID each contributed tens of millions of dollars towards this research. Altogether, it was over a hundred million dollars.
EcoHealth Alliance subcontracted these grants to the Wuhan Institute of Virology, a lab in China with a very questionable safety record and poorly trained staff, so that they could conduct gain-of-function research, not in their fancy P4 lab, but in a level-2 lab where technicians wore nothing more sophisticated than perhaps a hairnet, latex gloves, and a surgical mask, instead of the bubble suits used when working with dangerous viruses. Chinese scientists in Wuhan reported being routinely bitten and urinated on by laboratory animals. Why anyone would outsource this dangerous and delicate work to the People’s Republic of China, a country infamous for industrial accidents and massive explosions that have claimed hundreds of lives, is completely beyond me, unless the aim was to start a pandemic on purpose.
In November of 2019, three technicians at the Wuhan Institute of Virology developed symptoms consistent with a flu-like illness. Anthony Fauci, Peter Daszak, and Ralph Baric knew at once what had happened, because back channels exist between this laboratory and our scientists and officials.
December 12th, 2019, Ralph Baric signed a Material Transfer Agreement (essentially, an NDA) to receive Coronavirus mRNA vaccine-related materials co-owned by Moderna and NIH. It wasn’t until a whole month later, on January 11th, 2020, that China allegedly sent us the sequence to what would become known as SARS-CoV-2. Moderna claims, rather absurdly, that they developed a working vaccine from this sequence in under 48 hours.
Stéphane Bancel, the current CEO of Moderna, was formerly the CEO of bioMérieux, a French multinational corporation specializing in medical diagnostic tech, founded by one Alain Mérieux. Alain Mérieux was one of the individuals who was instrumental in the construction of the Wuhan Institute of Virology’s P4 lab.
The sequence given as the closest relative to SARS-CoV-2, RaTG13, is not a real virus. It is a forgery. It was made by entering a gene sequence by hand into a database, to create a cover story for the existence of SARS-CoV-2, which is very likely a gain-of-function chimera produced at the Wuhan Institute of Virology and was either leaked by accident or intentionally released.
The animal reservoir of SARS-CoV-2 has never been found.
This is not a conspiracy “theory”. It is an actual criminal conspiracy, in which people connected to the development of Moderna’s mRNA-1273 are directly connected to the Wuhan Institute of Virology and their gain-of-function research by very few degrees of separation, if any. The paper trail is well-established.
The lab-leak theory has been suppressed because pulling that thread leads one to inevitably conclude that there is enough circumstantial evidence to link Moderna, the NIH, the WIV, and both the vaccine and the virus’s creation together. In a sane country, this would have immediately led to the world’s biggest RICO and mass murder case. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli, and Stéphane Bancel, and their accomplices, would have been indicted and prosecuted to the fullest extent of the law. Instead, billions of our tax dollars were awarded to the perpetrators.
The FBI raided Allure Medical in Shelby Township north of Detroit for billing insurance for “fraudulent COVID-19 cures”. The treatment they were using? Intravenous Vitamin C. An antioxidant. Which, as described above, is an entirely valid treatment for COVID-19-induced sepsis, and indeed, is now part of the MATH+ protocol advanced by Dr. Paul E. Marik.
The FDA banned ranitidine (Zantac) due to supposed NDMA (N-nitrosodimethylamine) contamination. Ranitidine is not only an H2 blocker used as antacid, but also has a powerful antioxidant effect, scavenging hydroxyl radicals. This gives it utility in treating COVID-19.
The FDA also attempted to take N-acetylcysteine, a harmless amino acid supplement and antioxidant, off the shelves, compelling Amazon to remove it from their online storefront.
This leaves us with a chilling question: did the FDA knowingly suppress antioxidants useful for treating COVID-19 sepsis as part of a criminal conspiracy against the American public?
The establishment is cooperating with, and facilitating, the worst criminals in human history, and are actively suppressing non-vaccine treatments and therapies in order to compel us to inject these criminals’ products into our bodies. This is absolutely unacceptable.
COVID-19 Vaccine Development and Links to Transhumanism:
This section deals with some more speculative aspects of the pandemic and the medical and scientific establishment’s reaction to it, as well as the disturbing links between scientists involved in vaccine research and scientists whose work involved merging nanotechnology with living cells.
On June 9th, 2020, Charles Lieber, a Harvard nanotechnology researcher with decades of experience, was indicted by the DOJ for fraud. Charles Lieber received millions of dollars in grant money from the US Department of Defense, specifically the military think tanks DARPA, AFOSR, and ONR, as well as NIH and MITRE. His specialty is the use of silicon nanowires in lieu of patch clamp electrodes to monitor and modulate intracellular activity, something he has been working on at Harvard for the past twenty years. He was claimed to have been working on silicon nanowire batteries in China, but none of his colleagues can recall him ever having worked on battery technology in his life; all of his research deals with bionanotechnology, or the blending of nanotech with living cells.
The indictment was over his collaboration with the Wuhan University of Technology. He had double-dipped, against the terms of his DOD grants, and taken money from the PRC’s Thousand Talents plan, a program which the Chinese government uses to bribe Western scientists into sharing proprietary R&D information that can be exploited by the PLA for strategic advantage.
Charles Lieber’s own papers describe the use of silicon nanowires for brain-computer interfaces, or “neural lace” technology. His papers describe how neurons can endocytose whole silicon nanowires or parts of them, monitoring and even modulating neuronal activity.
Charles Lieber was a colleague of Robert Langer. Together, along with Daniel S. Kohane, they worked on a paper describing artificial tissue scaffolds that could be implanted in a human heart to monitor its activity remotely.
Robert Langer, an MIT alumnus and expert in nanotech drug delivery, is one of the co-founders of Moderna. His net worth is now $5.1 billion USD thanks to Moderna’s mRNA-1273 vaccine sales.
Both Charles Lieber and Robert Langer’s bibliographies describe, essentially, techniques for human enhancement, i.e. transhumanism. Klaus Schwab, the founder of the World Economic Forum and the architect behind the so-called “Great Reset”, has long spoken of the “blending of biology and machinery” in his books.
Since these revelations, it has come to the attention of independent researchers that the COVID-19 vaccines may contain reduced graphene oxide nanoparticles. Japanese researchers have also found unexplained contaminants in COVID-19 vaccines.
Graphene oxide is an anxiolytic. It has been shown to reduce the anxiety of laboratory mice when injected into their brains. Indeed, given SARS-CoV-2 Spike’s propensity to compromise the blood-brain barrier and increase its permeability, it is the perfect protein for preparing brain tissue for extravasation of nanoparticles from the bloodstream and into the brain. Graphene is also highly conductive and, in some circumstances, paramagnetic.
In 2013, under the Obama administration, DARPA launched the BRAIN Initiative; BRAIN is an acronym for Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. This program involves the development of brain-computer interface technologies for the military, particularly non-invasive, injectable systems that cause minimal damage to brain tissue when removed. Supposedly, this technology would be used for healing wounded soldiers with traumatic brain injuries, the direct brain control of prosthetic limbs, and even new abilities such as controlling drones with one’s mind.
Various methods have been proposed for achieving this, including optogenetics, magnetogenetics, ultrasound, implanted electrodes, and transcranial electromagnetic stimulation. In all instances, the goal is to obtain read or read-write capability over neurons, either by stimulating and probing them, or by rendering them especially sensitive to stimulation and probing.
However, the notion of the widespread use of BCI technology, such as Elon Musk’s Neuralink device, raises many concerns over privacy and personal autonomy. Reading from neurons is problematic enough on its own. Wireless brain-computer interfaces may interact with current or future wireless GSM infrastructure, creating neurological data security concerns. A hacker or other malicious actor may compromise such networks to obtain people’s brain data, and then exploit it for nefarious purposes.
However, a device capable of writing to human neurons, not just reading from them, presents another, even more serious set of ethical concerns. A BCI that is capable of altering the contents of one’s mind for innocuous purposes, such as projecting a heads-up display onto their brain’s visual center or sending audio into one’s auditory cortex, would also theoretically be capable of altering mood and personality, or perhaps even subjugating someone’s very will, rendering them utterly obedient to authority. This technology would be a tyrant’s wet dream. Imagine soldiers who would shoot their own countrymen without hesitation, or helpless serfs who are satisfied to live in literal dog kennels.
BCIs could be used to unscrupulously alter perceptions of basic things such as emotions and values, changing people’s thresholds of satiety, happiness, anger, disgust, and so forth. This is not inconsequential. Someone’s entire regime of behaviors could be altered by a BCI, including such things as suppressing their appetite or desire for virtually anything on Maslow’s Hierarchy of Needs.
Anything is possible when you have direct access to someone’s brain and its contents. Someone who is obese could be made to feel disgust at the sight of food. Someone who is involuntarily celibate could have their libido disabled so they don’t even desire sex to begin with. Someone who is racist could be forced to feel delight over cohabiting with people of other races. Someone who is violent could be forced to be meek and submissive. These things might sound good to you if you are a tyrant, but to normal people, the idea of personal autonomy being overridden to such a degree is appalling.
For the wealthy, neural laces would be an unequaled boon, giving them the opportunity to enhance their intelligence with neuroprosthetics (i.e. an “exocortex”), and to deliver irresistible commands directly into the minds of their BCI-augmented servants, even physically or sexually abusive commands that they would normally refuse.
If the vaccine is a method to surreptitiously introduce an injectable BCI into millions of people without their knowledge or consent, then what we are witnessing is the rise of a tyrannical regime unlike anything ever seen before on the face of this planet, one that fully intends to strip every man, woman, and child of our free will.
Our flaws are what make us human. A utopia arrived at by removing people’s free will is not a utopia at all. It is a monomaniacal nightmare. Furthermore, the people who rule over us are Dark Triad types who cannot be trusted with such power. Imagine being beaten and sexually assaulted by a wealthy and powerful psychopath and being forced to smile and laugh over it because your neural lace gives you no choice but to obey your master.
The Elites are forging ahead with this technology without giving people any room to question the social or ethical ramifications, or to establish regulatory frameworks that ensure that our personal agency and autonomy will not be overridden by these devices. They do this because they secretly dream of a future where they can treat you worse than an animal and you cannot even fight back. If this evil plan is allowed to continue, it will spell the end of humanity as we know it.
Conclusions:
The current pandemic was produced and perpetuated by the establishment, through the use of a virus engineered in a PLA-connected Chinese biowarfare laboratory, with the aid of American taxpayer dollars and French expertise.
This research was conducted under the absolutely ridiculous euphemism of “gain-of-function” research, which is supposedly carried out in order to determine which viruses have the highest potential for zoonotic spillover and preemptively vaccinate or guard against them.
Gain-of-function/gain-of-threat research, a.k.a. “Dual-Use Research of Concern”, or DURC, is bioweapon research by another, friendlier-sounding name, simply to avoid the taboo of calling it what it actually is. It has always been bioweapon research. The people who are conducting this research fully understand that they are taking wild pathogens that are not infectious in humans and making them more infectious, often taking grants from military think tanks encouraging them to do so.
These virologists conducting this type of research are enemies of their fellow man, like pyromaniac firefighters. GOF research has never protected anyone from any pandemic. In fact, it has now started one, meaning its utility for preventing pandemics is actually negative. It should have been banned globally, and the lunatics performing it should have been put in straitjackets long ago.
Either through a leak or an intentional release from the Wuhan Institute of Virology, a deadly SARS strain is now endemic across the globe, after the WHO and CDC and public officials first downplayed the risks, and then intentionally incited a panic and lockdowns that jeopardized people’s health and their livelihoods.
This was then used by the utterly depraved and psychopathic aristocratic class who rule over us as an excuse to coerce people into accepting an injected poison which may be a depopulation agent, a mind control/pacification agent in the form of injectable “smart dust”, or both in one. They believe they can get away with this by weaponizing the social stigma of vaccine refusal. They are incorrect.
Their motives are clear and obvious to anyone who has been paying attention. These megalomaniacs have raided the pension funds of the free world. Wall Street is insolvent and has had an ongoing liquidity crisis since the end of 2019. The aim now is to exert total, full-spectrum physical, mental, and financial control over humanity before we realize just how badly we’ve been extorted by these maniacs.
The pandemic and its response served multiple purposes for the Elite: • Concealing a depression brought on by the usurious plunder of our economies conducted by rentier-capitalists and absentee owners who produce absolutely nothing of any value to society whatsoever. Instead of us having a very predictable Occupy Wall Street Part II, the Elites and their stooges got to stand up on television and paint themselves as wise and all-powerful saviors instead of the marauding cabal of despicable land pirates that they are. • Destroying small businesses and eroding the middle class. • Transferring trillions of dollars of wealth from the American public and into the pockets of billionaires and special interests. • Engaging in insider trading, buying stock in biotech companies and shorting brick-and-mortar businesses and travel companies, with the aim of collapsing face-to-face commerce and tourism and replacing it with e-commerce and servitization. • Creating a casus belli for war with China, encouraging us to attack them, wasting American lives and treasure and driving us to the brink of nuclear armageddon. • Establishing technological and biosecurity frameworks for population control and technocratic-socialist “smart cities” where everyone’s movements are despotically tracked, all in anticipation of widespread automation, joblessness, and food shortages, by using the false guise of a vaccine to compel cooperation.
Any one of these things would constitute a vicious rape of Western society. Taken together, they beggar belief; they are a complete inversion of our most treasured values.
What is the purpose of all of this? One can only speculate as to the perpetrators’ motives, however, we have some theories.
The Elites are trying to pull up the ladder, erase upward mobility for large segments of the population, cull political opponents and other “undesirables”, and put the remainder of humanity on a tight leash, rationing our access to certain goods and services that they have deemed “high-impact”, such as automobile use, tourism, meat consumption, and so on. Naturally, they will continue to have their own luxuries, as part of a strict caste system akin to feudalism.
Why are they doing this? Simple. The Elites are Neo-Malthusians and believe that we are overpopulated and that resource depletion will collapse civilization in a matter of a few short decades. They are not necessarily incorrect in this belief. We are overpopulated, and we are consuming too many resources. However, orchestrating such a gruesome and murderous power grab in response to a looming crisis demonstrates that they have nothing but the utmost contempt for their fellow man.
To those who are participating in this disgusting farce without any understanding of what they are doing, we have one word for you. Stop. You are causing irreparable harm to your country and to your fellow citizens.
o those who may be reading this warning and have full knowledge and understanding of what they are doing and how it will unjustly harm millions of innocent people, we have a few more words.
Damn you to hell. You will not destroy America and the Free World, and you will not have your New World Order. We will make certain of that.
Voici la traduction d’un article de 42 pages qui présente un tour d’horizon quasi-exhaustif des études médicales sur les mécanismes et la sécurité des « vaccins » à ce jour. Le tout est évidemment sourcé : la liste des références bibliographiques est en bas de page, par ordre alphabétique, et un lien est inclus vers chaque article cité. Les deux illustrations qui figurent dans le texte original ne sont pas reprises ici mais vous pouvez les retrouver dans le pdf original (voir source ci-dessous).
Cette monographie est le résultat de l’énorme travail de Stephanie Seneff (dont une précédente mention dans cet article) et Greg Nigh. Qu’ils en soient remerciés.
J’ai fait le (moins énorme) travail de le traduire.
A vous de faire l'(encore moins énorme) travail de le lire, et éventuellement de le partager, en tout ou en partie, avec vos proches, sur vos réseaux sociaux (qui ne manqueront pas de le censurer) ou sur votre blog (j’en profite ici pour saluer tous les courageux blogueurs qui oeuvrent à diffuser l’info) : c’est un article de référence.
Ne vous laissez pas décourager par les nombreux termes et concepts médicaux présents dans cet article. Les quelques recherches que j’ai faites pour les traduire correctement en valaient la peine. Ça reste de la vulgarisation même si ça demande un petit effort.
Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19
INTERNATIONAL JOURNAL OF VACCINE THEORY, PRACTICE AND RESEARCH
Stephanie Seneff
Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory, MIT, Cambridge MA, 02139, USA, E-mail: seneff@csail.mit.edu
Greg Nigh
Naturopathic Oncology, Immersion Health, Portland, OR 97214, USA
ABSTRACT
L’opération Warp Speed a mis sur le marché aux États-Unis deux vaccins à ARNm, produits par Pfizer et Moderna. Les données intermédiaires suggèrent une efficacité élevée pour ces deux vaccins, ce qui a contribué à légitimer l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) par la FDA. Cependant, la mise en oeuvre exceptionnellement rapide de ces vaccins, depuis des essais contrôlés vers un déploiement de masse, soulève de multiples problèmes de sécurité. Dans cette analyse, nous décrirons d’abord en détail la technologie sous-jacente à ces vaccins. Nous examinerons ensuite les deux composants et la réponse biologique prévue à ces vaccins, y compris la production de la protéine de pointe elle-même, et leur relation potentielle avec un large éventail de pathologies induites, à la fois aiguës et à long terme, telles que les troubles sanguins, les maladies neurodégénératives et les maladies auto-immunes. Parmi ces potentielles pathologies induites, nous discuterons de la pertinence des séquences d’acides aminés liées à la protéine prion au sein de la protéine de pointe. Nous présenterons également un bref bilan des études soutenant le potentiel de « délestage » de la protéine de pointe, la transmission de la protéine d’une personne vaccinée à une personne non vaccinée, entraînant des symptômes induits chez cette dernière. Nous terminerons en abordant un point de débat commun, à savoir : si ces vaccins pourraient ou non modifier l’ADN des personnes vaccinées. Bien qu’il n’y ait aucune étude démontrant clairement que cela se produit, nous proposons un scénario plausible, soutenu par des voies précédemment établies de la transformation et le transport du matériel génétique, dans lesquelles l’ARNm injecté pourrait finalement être incorporé dans l’ADN des cellules germinales menant à une transmission transgénérationnelle. Nous concluerons par nos recommandations pour une surveillance qui aideront à clarifier les effets à long terme de ces médicaments expérimentaux et nous permettront de mieux évaluer le véritable rapport risque/bénéfice de ces nouvelles technologies.
Mots clés : facilitation de l’infection par anticorps, maladies auto-immunes, édition de gènes, nanoparticules lipidiques, ARN messager, maladies à prions, transcription inverse, vaccins SARS-CoV-2
Introduction
Sans précédent. Ce mot a défini tant de choses de l’année de 2020 et de la pandémie liée au SARS-CoV-2. En plus d’une maladie sans précédent et de sa réponse mondiale, le COVID-19 a également initié un processus sans précédent de recherche, de production, de test et de distribution publique de vaccins (Shaw, 2021). Le sentiment d’urgence qui entoure la lutte contre le virus a conduit à la création, en mars 2020, de l’opération Warp Speed (OWS), le programme du président de l’époque, Donald Trump, visant à mettre sur le marché un vaccin contre le COVID-19 le plus rapidement possible (Jacobs et Armstrong, 2020).
L’OWS a instauré quelques autres mécanismes sans précédent, liés au COVID-19. Premièrement, il a amené le Département américain de la Défense à collaborer directement avec les Départements de la Santé américains en ce qui concerne la distribution de vaccins (Bonsell, 2021). Deuxièmement, les National Institutes of Health (NIH) ont collaboré avec la société de biotechnologie Moderna pour mettre sur le marché un type de vaccin sans précédent contre les maladies infectieuses, utilisant une technologie basée sur l’ARN messager (ARNm) (National Institutes of Health, 2020).
La confluence de ces événements sans précédent a rapidement fait prendre conscience au public de la promesse et du potentiel des vaccins à ARNm en tant que nouvelle arme contre les maladies infectieuses pour le futur. Dans le même temps, les événements sans précédent sont, par définition, sans histoire ni contexte qui permettraient d’évaluer pleinement les risques, les avantages espérés, la sécurité et la viabilité à long terme en tant que contribution positive à la santé publique.
Dans cet article, nous passerons brièvement en revue un aspect particulier de ces événements sans précédent, à savoir le développement et le déploiement de vaccins à ARNm contre la classe ciblée de maladies infectieuses sous l’égide du « SARS-CoV-2 ». Nous pensons que bon nombre des problèmes que nous soulevons ici seront applicables à tout futur vaccin à ARNm qui pourrait être produit contre d’autres agents infectieux, ou dans leurs applications liées au cancer et aux maladies génétiques, tandis que d’autres semblent spécifiquement pertinents pour les vaccins à ARNm actuellement mis en œuvre contre la sous-classe des virus corona. Alors que les promesses de cette technologie ont été largement annoncées, les risques évalués objectivement et les problèmes de sécurité ont reçu une attention beaucoup moins détaillée. Nous avons l’intention d’examiner plusieurs aspects moléculaires très préoccupants de la technologie des ARNm liés aux maladies infectieuses et de les corréler avec des effets pathologiques documentés et potentiels.
De nombreux aspects du Covid-19 et du développement ultérieur d’un vaccin sont sans précédent dans le cadre d’un vaccin déployé pour une utilisation dans la population générale. Certains d’entre eux comprennent les suivants.
Premier à utiliser du PEG (polyéthylène glycol) en injection (voir texte)
Premier à utiliser la technologie des vaccins ARN contre un agent infectieux
Premier produit que Moderna met sur le marché
Première fois que les responsables de la santé publique disent aux personnes vaccinées de s’attendre à une réaction indésirable
Premier à être mis en œuvre publiquement sans rien de plus que des données d’efficacité préliminaires (voir texte)
Premier vaccin à ne faire aucune déclaration claire sur la réduction des infections, de la transmissibilité ou des décès
Premier vaccin contre le coronavirus jamais tenté chez l’homme
Première injection de polynucléotides génétiquement modifiés dans la population générale
Le développement de vaccins à ARNm contre les maladies infectieuses est sans précédent à bien des égards. Dans une publication de 2018 parrainée par la Fondation Bill et Melinda Gates, les vaccins ont été divisés en trois catégories : Simples, Complexes et Sans Précédent (Young et al., 2018). Les vaccins Simples et Complexes représentaient des applications standard et modifiées des technologies vaccinales existantes. Sans Précédent représente une catégorie de vaccin contre une maladie pour laquelle il n’y a jamais eu de vaccin approprié auparavant. Les vaccins contre le VIH et le paludisme en sont des exemples. Comme l’indique leur analyse, illustrée à la figure 1, des vaccins sans précédent devraient mettre 12,5 ans à se développer. Plus inquiétant encore, ils ont 5 % de chances estimées de passer les essais de phase II (évaluation de l’efficacité) et, sur ces 5 %, 40 % de chances de passer les essais de phase III (évaluation des avantages pour la population). En d’autres termes, un vaccin Sans Précédent devait avoir une probabilité de succès de 2% au stade d’un essai clinique de phase III. Comme les auteurs l’ont dit sans ambages, il y a une « faible probabilité de succès, en particulier pour des vaccins sans précédent ». (Young et al., 2018)
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Figure 1. Le lancement de vaccins innovants est coûteux et prend du temps, avec une faible probabilité de succès, en particulier pour des vaccins sans précédent (adapté de Young et al, 2018).
Dans cet esprit, deux ans plus tard, nous avons un vaccin sans précédent avec des rapports d’efficacité de 90 à 95 % (Baden et al. 2020). En fait, ces rapports d’efficacité sont la principale motivation du soutien public à l’adoption de la vaccination (U.S. Department of Health and Human Services, 2020). Cela défie non seulement les prédictions, mais aussi les attentes. Le British Medical Journal (BMJ) est peut-être la seule publication médicale conventionnelle de premier plan à avoir donné une tribune aux voix qui ont attiré l’attention sur les inquiétudes concernant l’efficacité des vaccins COVID-19. Il y a en effet des raisons de croire que les estimations d’efficacité doivent être réévaluées.
Peter Doshi, rédacteur en chef associé du BMJ, a publié deux analyses importantes (Doshi 2021a, 2021b) des données brutes publiées à la FDA par les fabricants de vaccins, données qui sont à la base de l’affirmation d’une efficacité élevée. Malheureusement, celles-ci ont été publiés sur le blog du BMJ et non dans son contenu évalué par des pairs. Doshi, cependant, a publié une étude sur l’efficacité du vaccin et l’utilité douteuse des critères d’évaluation des essais de vaccins dans le contenu évalué par les pairs du BMJ (Doshi 2020).
Un aspect central de la critique de Doshi des données préliminaires sur l’efficacité est l’exclusion de plus de 3.400 « cas suspects de COVID-19 » qui n’ont pas été inclus dans l’analyse intermédiaire des données du vaccin Pfizer soumises à la FDA. En outre, un pourcentage faible mais non négligeable d’individus dans les essais Moderna et Pfizer a été préliminairement évalué positif au SARS-CoV-1, malgré qu’une infection antérieure représente un motif d’exclusion. Pour ces raisons et d’autres, l’estimation provisoire de l’efficacité d’environ 95 % pour les deux vaccins est suspecte.
Une analyse plus récente s’est penchée spécifiquement sur la question de la réduction du risque relatif par rapport au risque absolu. Tandis que les estimations élevées de la réduction du risque sont basées sur les risques relatifs, la réduction du risque absolu est une mesure plus appropriée pour le grand public pour lui permettre de déterminer si une vaccination fournit une réduction significative du risque personnel. Dans cette analyse, en utilisant les données fournies par les fabricants de vaccins à la FDA, le vaccin Moderna au moment de l’analyse intermédiaire a démontré une réduction du risque absolu de 1,1 % (p = 0,004), tandis que la réduction du risque absolu du vaccin Pfizer était de 0,7 % (p <0.000) (Brown 2021).
D’autres ont soulevé d’importantes questions supplémentaires concernant le développement du vaccin COVID-19, des questions directement pertinentes pour les vaccins à ARNm examinés ici. Par exemple, Haidere, et. Al. (2021) identifient quatre « questions critiques » liées au développement de ces vaccins, des questions qui sont pertinentes à la fois pour leur sécurité et leur efficacité :
Les vaccins stimuleront-ils la réponse immunitaire ?
Les vaccins fourniront-ils une endurance immunitaire durable ?
Comment le SARS-CoV-2 va-t-il muter ?
Sommes-nous prêts pour les retours de flammes des vaccins ?
L’absence d’essais précliniques et cliniques standard et étendus des deux vaccins à ARNm mis en œuvre fait que chacune de ces questions n’aura de réponse qu’au fil du temps. Ce n’est désormais que par l’observation des données physiologiques et épidémiologiques pertinentes générées par la distribution à grande échelle des vaccins au grand public que ces questions seront résolues. Et cela ne sera possible que s’il existe un accès gratuit à des rapports impartiaux sur les résultats – ce qui semble peu probable étant donné la censure généralisée des informations relatives aux vaccins en raison du besoin perçu d’en déclarer le succès à tout prix.
Les deux vaccins à ARNm qui ont réussi les essais de phase 3 et sont maintenant distribués à la population générale sont le vaccin Moderna et le vaccin Pfizer-BioNTech. Ces vaccins ont beaucoup en commun. Les deux sont basés sur l’ARNm codant pour la protéine de pointe du virus SARS-CoV-2. Les deux ont démontré un taux d’efficacité relative de 94-95%. Les indications préliminaires sont que les anticorps sont toujours présents après trois mois. Les deux recommandent deux doses espacées de trois ou quatre semaines, et récemment, des rapports indiquent que des injections de rappel annuelles sont nécessaires (Mahose, 2021). Les deux sont administrés par injection musculaire et nécessitent tous deux un stockage au congélateur pour empêcher l’ARN de se décomposer. En effet, contrairement à l’ADN double brin, qui est très stable, les produits d’ARN simple brin sont susceptibles d’être endommagés ou rendus inactifs à des températures chaudes et doivent être conservés à des températures extrêmement froides pour conserver leur efficacité potentielle (Pushparajah et al., 2021). Les fabricants prétendent que le vaccin Pfizer doit être conservé à -94 degrés Fahrenheit (-70 degrés Celsius), ce qui rend très difficile son transport et son maintien au froid jusqu’à son administration. Le vaccin Moderna peut être conservé pendant 6 mois à -4 degrés Fahrenheit (-20 degrés Celsius), et il peut être conservé en toute sécurité au réfrigérateur pendant 30 jours après décongélation (Zimmer et al., 2021).
Deux autres vaccins actuellement administrés sous autorisation d’urgence sont le vaccin Johnson & Johnson et le vaccin AstraZeneca. Les deux sont basés sur une technologie d’ADN vecteur très différente de la technologie utilisée dans les vaccins à ARNm. Bien que ces vaccins aient également été mis sur le marché après évaluation insuffisante, ils ne font pas l’objet de cet article, nous décrirons donc brièvement comment ils ont été développés. Ces vaccins sont basés sur une version défectueuse d’un adénovirus, un virus à ADN double brin responsable du rhume. L’adénovirus a été génétiquement modifié de deux manières, de sorte qu’il ne peut pas se répliquer en raison de gènes critiques manquants, et son génome a été augmenté avec le code ADN de la protéine de pointe SARS-CoV-2. La production d’AstraZeneca implique une lignée cellulaire humaine immortalisée appelée Human Embryonic Kidney (HEK) 293, qui est reproduite en culture avec les virus défectueux (Dicks et al., 2012). La lignée cellulaire HEK a été génétiquement modifiée dans les années 1970 en augmentant son ADN avec des segments d’un adénovirus qui fournissent les gènes manquants nécessaires à la réplication du virus défectueux (Louis et al., 1997). Johnson & Johnson utilise une technique similaire basée sur une lignée cellulaire rétinienne fœtale. Étant donné que la fabrication de ces vaccins nécessite des lignées cellulaires tumorales humaines génétiquement modifiées, il existe un potentiel de contamination de l’ADN humain ainsi que de nombreux autres contaminants potentiels.
Les médias ont suscité beaucoup d’enthousiasme à propos de cette technologie révolutionnaire, mais on peut également craindre qu’on ne réalise pas la complexité du potentiel du corps à réagir à l’ARNm étranger et à d’autres ingrédients de ces vaccins qui vont bien au-delà du simple objectif d’inciter le corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe.
Dans la suite de cet article, nous décrirons d’abord plus en détail la technologie qui sous-tend les vaccins à ARNm. Nous consacrerons plusieurs sections aux aspects spécifiques des vaccins à ARNm qui nous préoccupent en raison du potentiel de conséquences négatives prévisibles et imprévisibles. Nous concluerons par un appel aux gouvernements et à l’industrie pharmaceutique à envisager de faire preuve d’une plus grande prudence dans l’entreprise actuelle de vacciner le plus de personnes possible contre le SARS-CoV-2.
Technologie des vaccins à ARNm
Dans la première phase du développement de la thérapie génique basée sur les nucléotides, des efforts considérables ont été investis dans la délivrance de gènes par le biais de plasmides d’ADN plutôt que par la technologie d’ARNm. Deux obstacles majeurs pour l’ARNm sont sa nature transitoire due à sa susceptibilité à la dégradation par les ARNases, ainsi que son potentiel connu d’invoquer une forte réponse immunitaire, qui interfère avec sa transcription en protéine. Il a été démontré que l’ADN plasmidique persiste dans le muscle jusqu’à six mois, alors que l’ARNm disparaît presque certainement beaucoup plus tôt. Pour les applications vaccinales, on pensait à l’origine que la nature immunogène de l’ARN pouvait être avantageuse, car l’ARNm pouvait également jouer le rôle d’adjuvant pour le vaccin, éliminant les arguments en faveur d’un additif toxique comme l’aluminium. Cependant, la réponse immunitaire se traduit non seulement par une réponse inflammatoire mais également par la clairance rapide de l’ARN et la suppression de la transcription. Cette idée s’est donc avérée peu pratique.
Il y a eu une longue période au cours de laquelle diverses idées ont été explorées pour essayer d’empêcher l’ARNm de se décomposer avant qu’il ne puisse produire des protéines. Une avancée majeure a été la réalisation que la substitution de la méthyl-pseudouridine à tous les nucléotides d’uridine stabiliserait l’ARN contre la dégradation, lui permettant de survivre assez longtemps pour produire des quantités adéquates d’antigène protéique nécessaire à l’immunogenèse (Liu, 2019). La forme d’ARNm délivrée dans le vaccin n’existe pas dans la nature et présente donc un potentiel de conséquences inconnues.
Les vaccins à ARNm Pfizer-BioNTech et Moderna sont basés sur des technologies très similaires, où une nanoparticule lipidique renferme une séquence d’ARN codant pour la protéine de pointe SARS-CoV-2 complète. Dans le processus de fabrication, la première étape consiste à assembler une molécule d’ADN codant pour la protéine de pointe. Ce processus est maintenant banalisé, il est donc relativement simple d’obtenir une molécule d’ADN à partir d’une spécification de la séquence de nucléotides (Corbett et al., 2020). Suite à une transcription in vitro sans cellule à partir de l’ADN, en utilisant une réaction enzymatique catalysée par l’ARN polymérase, l’ARN simple brin est stabilisé par des modifications nucléosidiques spécifiques et hautement purifié.
La société Moderna, à Cambridge, MA, est l’un des développeurs de vaccins à ARNm déployés pour le SARS-CoV-2. Les dirigeants de Moderna ont le projet grandiose d’étendre cette technologie à de nombreuses applications où le corps peut être dirigé pour produire des protéines thérapeutiques non seulement pour la production d’anticorps, mais aussi pour traiter les maladies génétiques et le cancer, entre autres. Ils développent une plate-forme générique où l’ADN est l’élément de stockage, l’ARN messager est le « logiciel » et les protéines pour lesquelles l’ARN code représentent divers domaines d’application. Leur projet est grandiose et les applications potentielles théoriques sont vastes (Moderna, 2020). La technologie est impressionnante, mais la manipulation du code de la vie pourrait entraîner des effets négatifs totalement imprévus, potentiellement à long terme voire permanents.
Le SARS-CoV-2 fait partie de la classe des virus à ARN à brin positif, ce qui signifie qu’ils codent directement pour les protéines codées par l’ARN, plutôt que de nécessiter une copie sur un brin antisens avant la traduction en protéine. Le virus se compose principalement de la molécule d’ARN simple brin emballée à l’intérieur d’une enveloppe protéique, constituée des protéines structurelles du virus, notamment la protéine de pointe, qui facilite à la fois la liaison virale à un récepteur (dans le cas du SARS-CoV-2, il s’agit du récepteur ACE2) et la fusion du virus avec la membrane de la cellule hôte. La protéine de pointe SARS-CoV-2 est la cible principale des anticorps neutralisants. C’est une glycoprotéine de fusion de classe I, et elle est analogue à l’hémagglutinine produite par les virus de la grippe et à la glycoprotéine de fusion produite par les virus syncytial, ainsi qu’à la gp160 produite par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) (Corbett et al., 2020).
Les vaccins à ARNm sont l’aboutissement d’années de recherche sur la possibilité d’utiliser l’ARN encapsulé dans une particule lipidique comme messager. La machinerie biologique existante de la cellule hôte est cooptée pour faciliter la production naturelle de protéines à partir de l’ARNm. Le domaine s’est épanoui en partie en raison de la facilité avec laquelle des séquences d’ADN oligonucléotidiques spécifiques peuvent être synthétisées en laboratoire sans l’implication directe d’organismes vivants. Cette technologie s’est banalisée et peut être utilisée à grande échelle, à un coût relativement faible. La conversion enzymatique de l’ADN en ARN est également simple et il est possible d’isoler de l’ARN simple brin essentiellement pur à partir de la soupe réactionnelle (Kosuri et Church, 2014).
1. Considérations dans la sélection et la modification de l’ARNm
Bien que le processus soit simple en principe, les fabricants de vaccins à ARNm sont confrontés à des défis techniques considérables. Le premier, comme nous l’avons vu, est que l’ARNm extracellulaire lui-même peut induire une réponse immunitaire qui entraînerait sa clairance rapide avant même d’être absorbée par les cellules. Ainsi, l’ARNm doit être enfermé dans une nanoparticule qui le gardera caché du système immunitaire. Le deuxième problème est d’amener les cellules à absorber les nanoparticules. Cela peut être résolu en partie en incorporant des phospholipides dans la nanoparticule pour tirer parti des voies naturelles de l’endocytose des particules lipidiques. Le troisième problème est d’activer la machinerie impliquée dans la traduction de l’ARN en protéine. Dans le cas du SARS-CoV-2, la protéine produite est la protéine de pointe. Après la synthèse de la protéine de pointe, les cellules présentatrices d’antigène doivent présenter la protéine de pointe aux cellules T, qui finiront par produire des anticorps protecteurs à mémoire (Moderna, 2020). Cette étape n’est pas particulièrement simple, car les nanoparticules sont majoritairement absorbées par les cellules musculaires qui, étant immobiles, ne sont pas nécessairement équipées pour déclencher une réponse immunitaire. Comme nous le verrons, le scénario probable est que la protéine de pointe est synthétisée par les cellules musculaires, puis transmise aux macrophages agissant comme des cellules présentatrices d’antigène, qui lancent ensuite la réponse en cascade génératrice d’anticorps à base de cellules B standard.
L’ARNm contenu dans les vaccins subit plusieurs étapes de modification suite à sa synthèse à partir d’une matrice d’ADN. Certaines de ces étapes impliquent de la préparer pour qu’elle ressemble exactement à une séquence d’ARNm humain modifiée de manière appropriée pour prendre en charge la traduction ribosomique en protéine. D’autres modifications ont pour objectif de le protéger de la dégradation, de sorte qu’une quantité suffisante de protéines puisse être produite pour provoquer une réponse en anticorps. L’ARNm non modifié induit une réponse immunitaire qui conduit à des taux sériques élevés d’interféron-α (IF-α), ce qui est considéré comme une réponse indésirable. Cependant, les chercheurs ont découvert que le remplacement de toutes les uridines de l’ARNm par la N-méthyl-pseudouridine améliore la stabilité de la molécule tout en réduisant son immunogénicité (Karikó et al. 2008; Corbett et al., 2020). Cette étape fait partie de la préparation de l’ARNm dans les vaccins, mais, en plus, une « coiffe » de 7-méthylguanosine est ajoutée à l’extrémité 5′ de la molécule et une queue poly-adénine (poly-A), constituée de 100 nucléotides d’adénine ou plus sont ajoutés à l’extrémité 3′. La coiffe et la queue sont essentielles au maintien de la stabilité de l’ARNm dans le cytosol et à la promotion de la traduction en protéine (Schlake et al., 2012 ; Gallie, 1991).
Normalement, la protéine de pointe bascule très facilement d’une configuration de pré-fusion à une configuration de post-fusion. La protéine de pointe qui se trouve dans ces vaccins a été modifiée pour l’encourager à favoriser une configuration stable dans son état de préfusion, car cet état provoque une réponse immunitaire plus forte (Jackson et al., 2020). Cela a été fait via une « mutation génétique », en remplaçant un segment critique à deux résidus par deux résidus de proline aux positions 986 et 987, au sommet de l’hélice centrale de la sous-unité S2 (Wrapp et al., 2020). La proline est un acide aminé très rigide, elle interfère donc avec la transition vers l’état de fusion. Cette modification fournit aux anticorps un bien meilleur accès au site critique qui prend en charge la fusion et l’absorption cellulaire ultérieure. Mais cela pourrait-il également signifier que la version génétiquement modifiée de la protéine de pointe produite par la cellule hôte humaine suivant les instructions de l’ARNm du vaccin persiste dans la membrane plasmique liée aux récepteurs ACE2 en raison de capacités de fusion altérées? Quelle peut en être la conséquence? Nous ne savons pas.
Des chercheurs chinois ont publié un rapport dans Nature en août 2020 dans lequel ils présentaient des données sur plusieurs vaccins expérimentaux à ARNm où l’ARNm codait pour divers fragments et protéines du virus SARS-CoV-2. Ils ont testé trois formulations vaccinales distinctes pour leur capacité à induire une réponse immunitaire appropriée chez la souris. Les trois protéines structurelles, S (spike), M et E sont des exigences minimales pour assembler une « particule de type virus » (VLP – virus-like particle). Leur hypothèse était que fournir M et E ainsi que la protéine de pointe S dans le code d’ARNm permettrait l’assemblage de VLP qui pourraient déclencher une réponse immunitaire améliorée, car elles ressemblent plus au virus naturel que la protéine S exposée à la surface des cellules. qui n’ont absorbé que l’ARNm de la protéine S des nanoparticules du vaccin. Ils espéraient également que des fragments critiques de la protéine de pointe seraient suffisants pour induire l’immunité, plutôt que la protéine de pointe entière, si des particules de type viral pouvaient être produites par augmentation avec M et E (Lu et al., 2020).
Ils ont confirmé expérimentalement qu’un vaccin contenant les gènes complets des trois protéines a suscité une réponse immunitaire robuste qui a duré au moins huit semaines après la deuxième dose du vaccin. Ses performances étaient de loin supérieures à celles d’un vaccin ne contenant que la protéine de pointe. De manière décevante, un vaccin qui ne contenait que des composants critiques de la protéine de pointe, augmenté des deux autres protéines d’enveloppe, n’a suscité pratiquement aucune réponse.
Les chercheurs de Moderna ont mené des études similaires avec des résultats similaires. Ils ont conclu que la protéine de pointe seule était clairement inférieure à une formulation contenant de l’ARN codant pour les trois protéines d’enveloppe, et ils ont émis l’hypothèse que cela était dû au fait que les trois protéines étaient nécessaires pour permettre à la cellule de libérer des particules virales intactes, plutôt que de simplement poster la protéine de pointe dans la membrane plasmique. La protéine de pointe seule n’a pas réussi à initier une réponse des lymphocytes T dans les études animales, alors que la formulation avec les trois protéines l’a fait (Corbett et al., 2020).
Les deux vaccins approuvés en urgence ne contiennent que le code ARNm de la protéine de pointe (sans E ni M), et il doit y avoir une bonne raison à cette décision, malgré ses mauvaises performances observées. Il est possible qu’une conception plus sophistiquée de la nanoparticule lipidique (voir ci-dessous) ait permis d’utiliser les lipides comme adjuvant (similaire à l’aluminium couramment ajouté aux vaccins traditionnels) tout en protégeant l’ARN de la dégradation.
Autre modification curieuse du code ARN, les développeurs ont enrichi la séquence en cytosines et guanines (C et G) au détriment des adénines et des uraciles (A et U). Ils ont pris soin de ne remplacer que la troisième position dans le codon de cette manière, et uniquement lorsque cela n’altère pas la carte des acides aminés (Hubert, 2020). Il a été démontré expérimentalement que les séquences d’ARNm riches en GC sont exprimées (traduites en protéine) jusqu’à 100 fois plus efficacement que les séquences pauvres en GC (Kudla et al., 2006). Cela semble donc être une autre modification pour assurer davantage la synthèse de copies abondantes de la protéine de pointe. Nous ne connaissons pas les conséquences involontaires de cette manœuvre. Les agents pathogènes intracellulaires, y compris les virus, ont tendance à avoir une faible teneur en GC par rapport au génome de la cellule hôte (Rocha et Danchin, 2020). Ainsi, cette modification peut avoir été motivée en partie par le désir d’améliorer l’efficacité de l’artifice selon laquelle la protéine serait une protéine humaine.
Toutes ces diverses modifications apportées à l’ARN sont conçues pour le faire résister à la dégradation, ressembler davantage à une séquence codant pour une protéine d’ARN messager humain et se traduire efficacement en protéine antigénique.
2. Construction de nanoparticules lipidiques
Les nanoparticules lipidiques (NPL), également connues sous le nom de liposomes, peuvent encapsuler des molécules d’ARN, les protégeant de la dégradation enzymatique par les ribonucléases, et constituent ainsi un ingrédient essentiel d’une méthode d’administration réussie (Wadhwa et al., 2020; Xu et al., 2020). Ces constructions artificielles ressemblent étroitement à des exosomes. Les exosomes sont des vésicules extracellulaires sécrétées par les cellules et absorbées par leurs voisines, et ils intègrent aussi souvent de l’ADN ou de l’ARN. Ainsi, ces nanoparticules peuvent tirer parti des processus naturels d’endocytose qui internalisent normalement les exosomes extracellulaires dans les endosomes. Au fur et à mesure que l’endosome s’acidifie pour devenir un lysosome, l’ARNm est libéré dans le cytoplasme, et c’est là que la traduction en protéine a lieu. Les liposomes se sont en fait avérés plus efficaces pour améliorer la présentation des antigènes et la maturation des cellules dendritiques, par rapport aux protéines de fusion qui encapsulent les vaccins à base de virus (Norling et al., 2019).
Les nanoparticules lipidiques (NPL) de ces vaccins sont composées de lipides cationiques ionisables, de phospholipides, de cholestérol et de polyéthylène glycol (PEG). Ensemble, ce mélange s’assemble en une bicouche lipidique stable autour de la molécule d’ARNm. Les phospholipides de ces vaccins expérimentaux consistent en un groupe de tête phosphatidylcholine relié à deux queues alkyles saturées par l’intermédiaire d’un lieur glycérol. Le lipide utilisé dans ces vaccins, nommé 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC), a 18 unités de carbone répétées. La chaîne relativement longue a tendance à former une phase de gel plutôt qu’une phase fluide. Les molécules avec des chaînes plus courtes (comme une chaîne à 12 carbones) ont plutôt tendance à rester en phase fluide. Les liposomes en phase gel utilisant le DSPC se sont avérés avoir des performances supérieures dans la protection de l’ARN contre la dégradation car les chaînes alkyle plus longues sont beaucoup plus limitées dans leurs mouvements dans le domaine lipidique. Ils semblent également être plus efficaces en tant qu’adjuvant, augmentant la libération du facteur de nécrose tumorale α (TNF-α), de l’interleukine (IL)-6 et de l’IL-1β par les cellules exposées (Norling et al., 2019). Cependant, leur capacité à induire une réponse inflammatoire peut être à l’origine des nombreux symptômes que les gens ressentent, tels que la douleur, l’enflure, la fièvre et la somnolence. Une étude publiée dans bioRxiv a vérifié expérimentalement que ces lipides cationiques ionisables dans les nanoparticules lipidiques induisaient une forte réponse inflammatoire chez la souris (Ndeupen et al., 2021).
Les vaccins à ARNm actuels sont administrés par injection intramusculaire. Les muscles contiennent un vaste réseau de vaisseaux sanguins où les cellules immunitaires peuvent être recrutées au site d’injection (Zeng et al., 2020). Les cellules musculaires peuvent généralement renforcer une réaction immunitaire une fois que les cellules immunitaires s’infiltrent, en réponse à un adjuvant (Marino et al., 2011). Une analyse minutieuse de la réponse à un vaccin à ARNm, administré à des souris, a révélé que l’antigène est exprimé initialement dans les cellules musculaires, puis transféré aux cellules présentatrices de l’antigène, suggérant un « amorçage croisé » comme voie principale pour initier une réponse des lymphocytes T CD8 (Lazzaro et al., 2015). On peut supposer que les cellules musculaires utilisent une réponse immunitaire qui est normalement utilisée pour traiter les protéines humaines mal repliées. De telles protéines induisent une régulation positive des protéines de classe II du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH), qui se lient ensuite aux protéines mal repliées et les transportent intactes jusqu’à la membrane plasmique (Jiang et al., 2013).
La protéine de surface liée au CMH induit alors une réponse inflammatoire et une infiltration subséquente de cellules présentatrices d’antigène (par exemple, des cellules dendritiques et des macrophages) dans le tissu musculaire, qui absorbent ensuite les protéines affichées et les transportent dans le système lymphatique pour les présenter aux cellules T. Ces cellules T peuvent alors enfin lancer la cascade qui produit finalement des anticorps à mémoire spécifiques de la protéine. Les cellules musculaires expriment des protéines du CMH de classe II (Cifuentes-Diaz et al., 1992). Contrairement à la classe I, les protéines du CMH de classe II se spécialisent dans le transport de protéines intactes vers la surface, par opposition aux petites séquences peptidiques dérivées de la dégradation partielle des protéines (Jiang et al., 2013).
Une étude in vitro sur des primates non humains a démontré que l’ARNm radiomarqué se déplaçait du site d’injection vers le ganglion lymphatique drainant et y restait pendant au moins 28 heures. Il a été démontré que les cellules présentatrices d’antigène (CPA) dans le tissu musculaire ainsi que dans les ganglions lymphatiques drainants contiennent de l’ARNm radiomarqué (Lindsay et al., 2019). Les CPA classiques comprennent les cellules dendritiques, les macrophages, les cellules de Langerhans (dans la peau) et les cellules B. Bon nombre des effets secondaires associés à ces vaccins impliquent une douleur et une inflammation au site d’injection, comme on pouvait s’y attendre compte tenu de l’infiltration rapide des cellules immunitaires.
La lymphadénopathie est un état inflammatoire du système lymphatique associé à des ganglions lymphatiques enflés. L’enflure des ganglions lymphatiques dans l’aisselle (lymphadénopathie axillaire) est une caractéristique du cancer du sein métastatique. Un article publié en 2021 décrivait quatre cas de femmes ayant développé une lymphadénopathie axillaire suite à un vaccin contre le SARS-CoV-2 (Mehta et al., 2021). Les auteurs ont exhorté à la prudence dans l’interprétation erronée de cette condition comme indicateur nécessitant un suivi de biopsie pour un éventuel cancer du sein. Ce symptôme corrobore les études de traceur montrant que le vaccin à ARNm est principalement absorbé par les CPA qui synthétisent ensuite vraisemblablement l’antigène (protéine de pointe) à partir de l’ARNm et migrent dans le système lymphatique, affichant la protéine de pointe sur leurs membranes.
Une liste des effets indésirables les plus courants signalés par la FDA qui ont été ressentis au cours des essais cliniques Pfizer-BioNTech comprend «douleur au site d’injection, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires, frissons, douleurs articulaires, fièvre, gonflement au site d’injection, rougeur au site d’injection, nausées , malaise et lymphadénopathie. » (US Food and Drug Administration, 2021).
Nous passons maintenant aux problèmes de systèmes moléculaires et organiques individuels qui surviennent avec ces vaccins à ARNm.
Adjuvants, polyéthylène glycol et anaphylaxie
Les adjuvants sont des additifs vaccinaux destinés à « obtenir des profils immunologiques distinctifs en ce qui concerne la direction, la durée et la force des réponses immunitaires » des vaccins auxquels ils sont ajoutés (Liang et al., 2020). L’alun ou d’autres composés d’aluminium sont le plus souvent utilisés dans les vaccins traditionnels, et ils déclenchent un large éventail de voies d’activation immunitaire systémique ainsi que l’activation des cellules stromales au site d’injection (Lambrecht et al., 2009 ; Danielsson & Eriksson, 2021) .
Il a été déterminé qu’un adjuvant à base d’aluminium n’était pas optimal pour un vaccin contre le coronavirus, d’autres solutions ont donc été recherchées (Liang et. al., 2020). Une solution s’est présentée sous la forme de l’ingrédient pharmaceutique largement utilisé, le polyéthylène glycol, ou PEG. Un facteur limitant dans l’utilisation de vaccins à base d’acides nucléiques est la tendance des acides nucléiques à être rapidement dégradés par les enzymes nucléases (Ho et al., 2021). Concernant les enzymes RNAse ciblant l’ARNm injecté, ces enzymes sont largement distribuées à la fois au niveau intracellulaire (principalement au sein des lysosomes) (Fujiwara et al., 2017) et extracellulaire (Lu et al., 2018). Pour surmonter cette limitation, les deux vaccins à ARNm actuellement déployés contre le COVID-19 utilisent des nanoparticules à base de lipides comme véhicules d’administration. La cargaison d’ARNm est placée à l’intérieur d’une coque composée de lipides synthétiques et de cholestérol, ainsi que de PEG pour stabiliser la molécule d’ARNm contre la dégradation.
Le vaccin produit par Pfizer/BioNTech crée des nanoparticules à partir de 2-[(polyéthylène glycol)-2000]-N,N-ditétradécylacétamide, ou ALC-0159, communément abrégé simplement en PEG (Organisation mondiale de la santé, 2021, 14 janvier). Le vaccin Moderna contient une autre variante de PEG, SM-102, 1,2-dimyristoyl-rac-glycero-3-methoxypolyethylene glycol2000 (Organisation mondiale de la santé, 2021, 19 janvier). Pour plus de commodité, nous abrégerons ces deux lipides modifiés par le PEG en PEG et désignerons les vaccins comme PEGylés selon la nomenclature standard.
La coquille lipidique joue un triple rôle. Premièrement, elle protège le matériel génétique de la dégradation avant l’absorption cellulaire. Deuxièmement, l’enveloppe lipidique, qui contient également du cholestérol, facilite l’absorption cellulaire par fusion avec la membrane lipidique de la cellule et l’endocytose ultérieure de la particule lipidique, invoquant des processus naturellement existants. Et enfin, il agit comme adjuvant (Ho et al., 2021). C’est dans ce dernier rôle de stimulant immunitaire que la plupart des inquiétudes ont été soulevées concernant l’utilisation généralisée du PEG dans une thérapie par injection.
Dans un article publié en mai 2019, avant les grands essais cliniques impliquant ces vaccins pégylés, Mohamed et. Al. (2019) ont décrit un certain nombre de découvertes préoccupantes concernant le PEG et l’activation immunologique dont on a montré qu’il était responsable, qui comprend l’activation humorale, à médiation cellulaire et basée sur le complément. Ils notent que, paradoxalement, de fortes doses injectées de PEG ne provoquent aucune réaction allergique apparente. De petites doses, cependant, peuvent conduire à une activation immunitaire pathologique dramatique. Les vaccins utilisant la PEGylation utilisent des quantités micromolaires de ces lipides, qui représentent cette exposition à faible dose potentiellement immunogène.
Dans des études animales, il a été démontré que l’activation du complément est responsable à la fois de l’anaphylaxie et du collapsus cardiovasculaire, et que le PEG injecté active également de multiples voies du complément chez l’homme. Les auteurs d’une étude concluent en notant que « cette cascade de médiateurs secondaires amplifie considérablement les réponses immunitaires effectrices et peut induire une anaphylaxie chez les individus sensibles. En effet, des études récentes chez le porc ont démontré que l’activation systémique du complément (par exemple, induite après l’injection intraveineuse de liposomes PEGylés) peut être à l’origine de l’anaphylaxie cardiaque où C5a a joué un rôle causal. (Hamad et al., 2008) Il est également important de noter que le choc anaphylactoïde chez les porcs s’est produit non pas lors de la première exposition injectée, mais après la deuxième exposition injectée (Kozma et al., 2019).
La présence d’anticorps contre le PEG est répandue dans la population (Zhou et al., 2020). Yang et Lai (2015) ont découvert qu’environ 42 % des échantillons de sang étudiés contenaient des anticorps anti-PEG, et ils préviennent que ceux-ci pourraient avoir des conséquences importantes pour toute thérapie à base de PEG introduite. Hong et. Al. (2020) ont trouvé des anticorps anti-PEG avec une prévalence allant jusqu’à 72% dans les populations sans exposition préalable à un traitement médical à base de PEG. Lila et. Al. (2018) notent que « l’existence de tels anticorps anti-PEG a été intimement corrélée à une altération de l’efficacité thérapeutique en tandem avec le développement d’effets indésirables graves dans plusieurs contextes cliniques employant des thérapies à base de produits PEGylés ».
L’anaphylaxie aux vaccins était auparavant considérée comme rare sur la base de la fréquence de tels événements signalés au VAERS, une base de données établie par les Centers for Disease Control and Prevention en 1990 pour signaler les événements indésirables liés aux vaccins (Centers for Disease Control and Prevention, 1990 ; Su et al., 2019). Bien que rare, l’anaphylaxie peut mettre la vie en danger, il est donc important de surveiller la possibilité dans la courte période suivant la vaccination (McNeil et al., 2016).
Sellaturay et. al., après avoir examiné 5 cas d’anaphylaxie qu’ils ont liés à l’exposition au PEG, dont un presque mortel et impliquant un arrêt cardiaque, écrivent : « Le PEG est un allergène « caché » à haut risque, généralement insoupçonné et peut provoquer des réactions allergiques provoquées par une réexposition par inadvertance. L’investigation allergologique comporte un risque d’anaphylaxie et ne doit être entreprise que dans des centres spécialisés en allergie médicamenteuse. » (Sellaturay et al., 2020). En fait, il a déjà été démontré que les anticorps préexistants contre le PEG sont liés à des réactions plus courantes et plus graves lors d’une réexposition (Ganson et al., 2016).
L’anaphylaxie lors d’une exposition au PEG se produit-elle avec une fréquence pertinente d’une question de santé publique? De nombreuses études ont désormais documenté le phénomène (Lee et al., 2015 ; Povsic et al., 2016 ; Wylon et al., 2016). Les réactions anaphylactiques aux vaccins à ARNm sont largement rapportées dans les médias (Kelso, 2021) et, comme indiqué ci-dessus, ont été fréquemment rapportées dans la base de données VAERS (690 rapports d’anaphylaxie suite aux vaccins SARS-CoV-2 jusqu’au 29 janvier 2021). Il existe également quelques études initiales de cas publiées dans la littérature à comité de lecture (Garvey & Nasser, 2020 ; CDC COVID-19 Response Team, 2021, 15 janvier). Les réactions anaphylactiques aux vaccins antérieurs à ces vaccins COVID-19 ont généralement été signalées à des taux inférieurs à 2 cas par million de vaccinations (McNeil et al., 2016), tandis que le taux actuel pour les vaccinations COVID-19 a été signalé par le CDC comme étant de plus de 11 cas par million (CDC COVID-19 Response Team, 2021, 29 janvier). Cependant, une étude prospective publiée sur 64.900 employés médicaux, où leurs réactions à leur première vaccination à l’ARNm ont été soigneusement surveillées, a révélé que 2,1% des sujets ont signalé des réactions allergiques aiguës. Une réaction plus extrême impliquant l’anaphylaxie s’est produite à un taux de 247 par million de vaccinations (Blumenthal et al., 2021). C’est plus de 21 fois plus que ce qui a été initialement rapporté par le CDC. La deuxième injection d’exposition est susceptible de provoquer un nombre encore plus important de réactions anaphylactiques.
Vaccins à ARNm, protéines de pointe et facilitation de l’infection par anticorps (ADE – Antibody-Dependent Enhancement)
L’ADE est un phénomène immunologique décrit pour la première fois en 1964 (Hawkes et al., 1964). Dans cette publication, Hawkes décrivait une série d’expériences dans lesquelles des cultures de flavivirus étaient incubées avec des sérums aviaires contenant des titres élevés d’anticorps contre ces virus. La découverte inattendue était qu’avec des dilutions de plus en plus élevées des sérums contenant des anticorps, l’infectivité des cellules était augmentée. L’absence d’explication sur la façon dont cela pourrait se produire est probablement responsable du fait qu’il est resté ignoré pendant près de 20 ans (Morens et al., 1994).
De multiples voies ont été proposées par lesquelles les anticorps participent à la fois directement et indirectement à la neutralisation des infections (Lu et al., 2018b). L’ADE est un cas particulier de ce qui peut arriver lorsque de faibles niveaux non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors de la réinfection, les anticorps présents en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps s’arriment ensuite au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée virale dans la cellule et améliorant par la suite l’infectivité du virus (Wan et al., 2020).
On pense que l’ADE est à l’origine de la forme la plus sévère de fièvre dengue souvent observée chez les personnes ayant déjà été exposées (Beltramello et al., 2010), et pourrait également jouer un rôle dans la forme plus sévère de la maladie chez les personnes précédemment vaccinées contre la maladie (Shukla et al., 2020 ). On pense également que l’ADE joue un rôle dans Ebola (Takada et al., 2003), l’infection par le virus zika (Bardina et al., 2017) et d’autres infections à flavivirus (Campos et al., 2020).
Dans une correspondance détaillée publiée dans Nature Biotechnology, Eroshenko et. Al. offrent un examen complet des preuves suggérant que l’ADE pourrait se manifester pour toutes les vaccinations utilisées contre le SARS-CoV-2. Ils notent surtout que l’ADE a été observé pour des vaccins contre le coronavirus testés dans des modèles in vitro et in vivo (Eroshenko et al., 2020). D’autres ont mis en garde contre la même possibilité pour les vaccins contre le SARS-CoV-2. Une théorie sur la façon dont l’ADE pourrait se produire dans le cas d’un vaccin contre le SARS-CoV-2 suggère que les anticorps non-neutralisants forment des complexes immuns avec des antigènes viraux pour provoquer une sécrétion excessive de cytokines pro-inflammatoires et, dans le cas extrême, une tempête de cytokines provoquant dommages tissulaires locaux étendus (Lee et al., 2020). Un examen approfondi de l’ADE potentiellement associé aux vaccins contre le SARS-CoV-2 a noté : «À l’heure actuelle, il n’y a pas de résultats cliniques, de tests immunologiques ou de biomarqueurs connus qui puissent différencier une infection virale grave d’une maladie à renforcement immunitaire, que ce soit en mesurant les anticorps, les cellules T ou les réponses intrinsèques de l’hôte » (Arvin et al. 2020; Liu et al., 2019). Nous reviendrons à nouveau sur ce point ci-dessous.
Les anticorps préexistants d’immunoglobuline G (IgG), induits par une vaccination préalable, contribuent à de graves lésions pulmonaires par le SARS-CoV chez les macaques (Liu et al., 2019). Peron et Nakaya (2020) fournissent des preuves suggérant que la gamme beaucoup plus diversifiée d’expositions antérieures aux coronavirus subies par les personnes âgées pourrait les prédisposer à l’ADE lors de l’exposition au SARS-CoV-2. Un article inquiétant en preprint a rapporté que le plasma de 76% des patients qui s’étaient rétablis d’une maladie COVID-19 sévère, lorsqu’il était ajouté à des cultures de SARS-CoV-2 et de cellules sensibles, présentait une capacité accrue du SARS-CoV-2 d’infecter les cellules Raji (Wu et al., 2020). Les auteurs notent que « les titres d’anticorps [contre la protéine de pointe] étaient plus élevés chez les patients âgés de COVID-19, et une réponse en anticorps plus forte était associée à une clairance virale retardée et à une gravité accrue de la maladie chez les patients. Par conséquent, il est raisonnable de supposer que les anticorps spécifiques à la protéine S peuvent contribuer à la gravité de la maladie pendant l’infection par le SARS-CoV-2. » (Wu et al., 2020)
Il a été rapporté que les trois fabricants de vaccins américains – Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson – travaillent à développer des injections de rappel (Zaman 2021). Avec des dizaines de millions de jeunes adultes et même d’enfants maintenant porteurs d’anticorps anti-protéine de pointe de coronavirus induits par le vaccin, il existe la possibilité de déclencher une ADE liée soit à une future infection par le SARS-CoV-2, soit à une injection de rappel parmi cette population plus jeune. Le temps nous le dira.
Les vaccins à ARNm délivrent en fin de compte la protéine de pointe hautement antigénique aux cellules présentatrices d’antigène. En tant que tels, les anticorps monoclonaux contre la protéine de pointe sont le résultat attendu des vaccins à ARNm actuellement déployés. Les anticorps monoclonaux de la protéine de pointe humaine se sont révélés produire des niveaux élevés d’anticorps à réaction croisée contre les protéines humaines endogènes (Vojdani et. al., 2021; examiné plus en détail ci-dessous). Étant donné les preuves seulement examinées partiellement ici, il existe des raisons suffisantes de soupçonner que les anticorps dirigés contre la protéine de pointe contribueront à l’ADE provoquée par une infection ou une vaccination antérieure par le SARS-CoV-2, qui peut se manifester par des conditions auto-immunes et inflammatoires aiguës ou chroniques. Nous avons noté ci-dessus qu’il n’est pas possible de distinguer une manifestation d’une maladie ADE d’une véritable infection virale non-ADE. Dans cette optique, il est important de reconnaître que, lorsque des maladies et des décès surviennent peu de temps après la vaccination avec un vaccin à ARNm, il ne peut jamais être déterminé avec certitude, même avec une enquête complète, que la réaction vaccinale n’était pas une cause proximale.
Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité
L’amorçage pathogène est un concept dont le résultat est similaire à celui de l’ADE, mais différent dans le mécanisme sous-jacent. Nous en discutons ici comme d’un mécanisme unique par lequel les vaccins à ARNm pourraient provoquer des pathologies associées.
En avril 2020, un article important a été publié concernant le potentiel de génération d’anticorps auto-réactifs suite à une exposition à la protéine de pointe et à d’autres épitopes antigéniques répartis sur la longueur du SARS-CoV-2. Lyons-Weiler (2020) a inventé l’expression « amorçage pathogène » parce qu’il pensait que l’expression « renforcement immunitaire » plus couramment utilisée ne permet pas de saisir la gravité de la maladie et ses conséquences. Dans son analyse in silico, Lyons-Weiler a comparé tous les épitopes de protéines antigéniques du SARS-CoV-2 signalés dans la base de données SVMTriP (http://sysbio.unl.edu/SVMTriP/) et a effectué des recherches dans la base de données p-BLAST (https:// blast.ncbi.nlm.nih.gov/Blast.cgi) pour l’homologie entre ces épitopes et les protéines humaines endogènes. Sur les 37 protéines SARS-CoV-2 analysées, 29 avaient des régions antigéniques. Toutes sauf une de ces 29 protéines présentaient une homologie avec des protéines humaines (auto-antigènes putatifs) et étaient censées être autoréactogènes. Le plus grand nombre d’homologies était associé à la protéine de pointe (S) et à la protéine NS3, toutes deux ayant 6 protéines humaines homologues.
Une analyse fonctionnelle des protéines humaines endogènes homologues aux protéines virales a révélé que plus d’un tiers d’entre elles sont associées au système immunitaire adaptatif. L’auteur suppose qu’une exposition antérieure au virus ou à une vaccination antérieure, qui pourraient initier la production d’anticorps ciblant ces protéines endogènes, pourraient jouer un rôle dans le développement d’une maladie plus grave, chez les personnes âgées en particulier. Dans ce cas, les anticorps préexistants agissent pour supprimer le système immunitaire adaptatif et conduire à une maladie plus grave.
Un autre groupe (Ehrenfeld et. al., 2020), dans un article portant principalement sur le large éventail de maladies auto-immunes trouvées en association avec une infection antérieure par le SARS-CoV-2, a également étudié comment la protéine de pointe pouvait déclencher une telle gamme de maladies. Ils rapportent, dans le tableau 1 de cette référence, des chaînes d’heptapeptides dans le protéome humain qui se chevauchent avec la protéine de pointe générée par le SARS-CoV-2. Ils ont identifié 26 heptapeptides trouvés chez l’homme et dans la protéine de pointe. Il est intéressant de noter que 2 des 26 heptapeptides chevauchants se sont avérés séquentiels, une chaîne étonnamment longue de peptides identiques se trouvant en commun entre les protéines humaines endogènes et la protéine de pointe. Commentant les peptides qui se chevauchent qu’ils avaient découverts et leur potentiel de mener simultanément à de nombreux types d’auto-immunité, ils commentent: « Le scénario clinique qui émerge est très inquiétant. » En effet.
En mai 2020, un autre article important à cet égard a été publié par Vojdani et Kharrazian (2020). Les auteurs ont utilisé des anticorps monoclonaux de souris et de lapin contre la protéine de pointe du SARS de 2003 pour tester leur réactivité non seulement contre la protéine de pointe du SARS-CoV-2, mais également contre plusieurs protéines humaines endogènes. Ils ont découvert qu’il y avait un niveau élevé de liaison non seulement avec la protéine de pointe SARS-CoV-2, mais contre un large éventail de protéines endogènes. « [Nous] avons constaté que les réactions les plus fortes étaient avec la transglutaminase 3 (tTG3), la transglutaminase 2 (tTG2), l’ENA, la protéine basique de la myéline (MBP), les mitochondries, l’antigène nucléaire (NA), la α-myosine, la peroxydase thyroïdienne (TPO) , collagène, claudine 5+6 et S100B. » (Vojdani et Kharrazian, 2020).
Ces résultats importants doivent être soulignés. Les anticorps ayant une affinité de liaison élevée avec le pic du SARS-CoV-2 et d’autres protéines ont également une affinité de liaison élevée avec la tTG (associée à la maladie cœliaque), la TPO (thyroïdite de Hashimoto), la protéine basique de la myéline (sclérose en plaques) et plusieurs protéines endogènes. Contrairement au processus auto-immun associé à l’amorçage pathogène, ces maladies auto-immunes mettent généralement des années à se manifester de manière symptomatique.
Les auto-anticorps générés par la protéine de pointe prédits par Lyons-Weiler (2020) et décrits ci-dessus ont été confirmés par une étude in vitro publiée plus récemment. Dans cet article de suivi, Vojdani et. al., (2021) ont examiné à nouveau la question de la réactivité croisée des anticorps, cette fois en utilisant des anticorps monoclonaux humains (mAb – monoclonal antibodies) contre la protéine de pointe SARS-CoV-2 plutôt que des mAb de souris et de lapin. Leurs résultats ont confirmé et étendu leurs découvertes antérieures. « À un seuil de 0,32 OD [densité optique], l’anticorps de la protéine membranaire du SARS-CoV-2 a réagi avec 18 des 55 antigènes testés. » Ces 18 antigènes endogènes englobent la réactivité aux tissus dans le foie, les mitochondries, le système nerveux et digestif, le pancréas et ailleurs dans le corps.
Dans un rapport sur le syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant (SIME), Carter et. Al. (2020) ont étudié 23 cas. Dix-sept des 23 (68 %) patients présentaient des preuves sérologiques d’une infection antérieure par le SARS-CoV-2. Parmi les trois anticorps évalués dans la population de patients (nucléocapside, RBD et pointe)[RBD – domaine de liaison au récepteur, receptor binding domain], la densité optique des anticorps de la protéine de pointe IgG (qui quantifie les concentrations d’anticorps par rapport à une courbe standardisée (Wikipedia, 2021)), était la plus élevée (voir Figure 1d dans Carter et al., 2020).
Le SIME est maintenant communément supposé être un exemple d’amorçage immunitaire par une exposition préalable au SARS-CoV-2 ou à d’autres coronavirus. Buonsenso et. Al. (2020) ont examiné plusieurs similitudes immunologiques entre le SIME et la maladie liée à une infection streptococcique du groupe A (SGA) β-hémolytique antérieure. Les auteurs écrivent : « Nous pouvons supposer que l’exposition multiple des enfants au SARS-CoV-2 avec des parents atteints de COVID-19 peut fonctionner comme un amorçage du système immunitaire, comme cela se produit avec l’infection à SGA et, chez les enfants génétiquement prédisposés, conduire au développement du [SIME]. Une autre hypothèse est que des infections antérieures avec d’autres coronavirus, beaucoup plus fréquentes dans la population pédiatrique, pourraient avoir sensibilisé le système immunitaire de l’enfant au virus SARS-CoV-2. »
En juin 2019, Galeotti et Bayry (2020) ont examiné la survenue de maladies auto-immunes et inflammatoires chez les patients atteints de COVID-19. Ils concentrent leur analyse sur le SIME. Après avoir examiné plusieurs rapports publiés précédemment sur un lien temporel entre COVID-19 et l’apparition du SIME et décrit un certain nombre de connexions mécanistiques possibles entre les deux, les auteurs ont noté qu’aucun lien de causalité n’avait été établi. Dans une recommandation quelque peu prémonitoire, ils ont écrit : « Une analyse fine de l’homologie entre divers antigènes du SARS-CoV-2 et les auto-antigènes, en utilisant des approches in silico et une validation dans des modèles expérimentaux, devrait être envisagée afin de confirmer cette hypothèse. » C’est précisément ce type d’analyse in silico réalisée par Lyons-Weiler (2020) et par Ehrenfeld et. Al. (2020) décrit dans les premiers paragraphes de cette section qui décrit l’homologie étroite entre les antigènes viraux et les auto-antigènes. Bien que cela ne confirme peut-être pas définitivement le lien de causalité supposé par Galeotti et Bayry, il s’agit d’une preuve solide à l’appui.
L’auto-immunité est de plus en plus reconnue comme une séquelle du COVID-19. Il existe de nombreux rapports d’individus auparavant en bonne santé qui ont développé des maladies telles que le purpura thrombocytopénique idiopathique, le syndrome de Guillain-Barré et l’anémie hémolytique auto-immune (Galeotti et Bayry, 2020). Il existe trois rapports de cas indépendants de lupus érythémateux disséminé (LED) avec manifestations cutanées suite à des symptômes de COVID-19. Dans un cas, un homme de 39 ans a présenté un LED deux mois après un traitement ambulatoire pour COVID-19 (Zamani et.al., 2021). Un autre cas frappant de LED à évolution rapide et fatale avec manifestations cutanées est décrit par Slimani et.al. (2021).
Les auto-anticorps sont très fréquemment trouvés chez les patients COVID-19, y compris les anticorps trouvés dans le sang (Vlachoyiannopoulos et. al., 2020) et le liquide céphalo-rachidien (LCR) (Franke et. al., 2021). Bien que le SARS-CoV-2 ne se trouve pas dans le LCR, il est théorisé que les auto-anticorps créés en réponse à l’exposition au SARS-CoV-2 peuvent entraîner au moins une partie des complications neurologiques documentées chez les patients COVID-19. Une importante lettre à l’éditeur soumise à la revue Arthritis & Rheumatology par Bertin et. Al. (2020) ont noté la prévalence élevée et la forte association (p = 0,009) des auto-anticorps contre la cardiolipine chez les patients COVID-19 atteints d’une maladie grave.
Zuo et. Al. (2020) ont trouvé des auto-anticorps anti-phospholipides chez 52 % des patients COVID-19 hospitalisés et ont émis l’hypothèse que ces anticorps contribuent à l’incidence élevée des coagulopathies chez ces patients. Schiaffino et. Al. (2020) ont rapporté que le sérum d’un pourcentage élevé de patients COVID-19 hospitalisés contenait des auto-anticorps réactifs à la membrane plasmique des hépatocytes et des cellules gastriques. Un patient atteint du syndrome de Guillain-Barre s’est avéré présenter une réactivité des anticorps dans le liquide céphalo-rachidien (LCR), ce qui a conduit les auteurs à suggérer qu’une réactivité croisée avec des protéines dans le LCR pourrait entraîner des complications neurologiques observées chez certains patients COVID-19. Dans une revue plus récente, Gao et. Al. (2021) ont noté des niveaux élevés d’auto-anticorps chez les patients COVID-19 dans plusieurs études. Ils concluent : « [U]n des effets secondaires potentiels de l’administration d’un vaccin de masse pourrait être une fusion [sic] de maladies auto-immunes, en particulier chez les personnes génétiquement sujettes à l’auto-immunité. »
Une publication récente compile de nombreuses preuves que des auto-anticorps contre un large éventail de récepteurs et de tissus peuvent être trouvés chez les personnes qui ont déjà eu une infection par le SARS-CoV-2. « Les 31 anciens patients COVID-19 avaient entre 2 et 7 GPCR-fAAB différents [auto-anticorps fonctionnels du récepteur couplé aux protéines G – G-protein coupled receptor functional autoantibodies] qui agissaient comme agonistes des récepteurs. » (Wallukat et. al. 2021) La diversité des GPCR-fAAB identifiés, englobant activité à la fois agoniste et antagoniste sur les récepteurs cibles, fortement corrélée avec une gamme de symptômes post-COVID-19, y compris la tachycardie, la bradycardie, l’alopécie, le déficit de l’attention, le PoTS [syndrome de tachycardie orthostatique posturale – Postural tachycardia syndrome], les neuropathies et autres.
La même étude, faisant référence aux auto-anticorps prédits par Lyons-Weiler (2020) mentionnés ci-dessus, note avec une évidente grave préoccupation : « La protéine de pointe Sars-CoV-2 est une cible épitopique potentielle pour les processus auto-immunologiques induits par le biomimétisme [25]. Par conséquent, nous pensons qu’il sera extrêmement important d’étudier si les GPCR-fAAB deviendront également détectables après immunisation par vaccination contre le virus. »
Nous avons examiné ici les preuves que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 a une homologie de séquence étendue avec plusieurs protéines humaines endogènes et pourrait amorcer le système immunitaire vers le développement de maladies auto-inflammatoires et auto-immunes. Ceci est particulièrement préoccupant étant donné que la protéine a été repensée avec deux résidus de proline supplémentaires pour potentiellement entraver son élimination de la circulation par fusion membranaire. Ces maladies pourraient se présenter de manière aiguë et sur des périodes de temps relativement courtes, comme avec le SIME, ou pourraient ne pas se manifester pendant des mois ou des années après l’exposition à la protéine de pointe, que ce soit par infection naturelle ou par vaccination.
Beaucoup de personnes testées positives pour le COVID-19 n’expriment aucun symptôme. Le nombre de cas asymptomatiques positifs à la PCR varie considérablement d’une étude à l’autre, d’un minimum de 1,6% à un maximum de 56,5% (Gao et al., 2020). Ceux qui sont insensibles au COVID-19 ont probablement un système immunitaire inné très fort. Les neutrophiles et les macrophages de la barrière muqueuse saine éliminent rapidement les virus, souvent sans qu’aucun anticorps ne soit produit par le système adaptatif. Cependant, le vaccin contourne intentionnellement complètement le système immunitaire muqueux, à la fois par son injection au-delà des barrières muqueuses naturelles et sa configuration artificielle en tant que nanoparticule contenant de l’ARN. Comme indiqué dans Carsetti (2020), ceux qui ont une forte réponse immunitaire innée souffrent presque universellement d’une infection asymptomatique ou d’une simple présentation de la maladie COVID-19. Néanmoins, ils pourraient être confrontés à une maladie auto-immune chronique, comme décrit précédemment, en raison d’une production excessive d’anticorps en réponse au vaccin, qui n’était pas nécessaire en premier lieu.
La rate, les plaquettes et la thrombocytopénie
Le Dr Gregory Michael, obstétricien à Miami Beach, est décédé d’une hémorragie cérébrale 16 jours après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer/BioNTech COVID-19. Dans les trois jours suivant le vaccin, il a développé un purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI), une maladie auto-immune dans laquelle les cellules immunitaires attaquent et détruisent les plaquettes. Sa numération plaquettaire a chuté de manière abrupte, ce qui a entraîné une incapacité à arrêter une hémorragie interne, ce qui a conduit à l’AVC, comme décrit dans un article du New York Times (Grady et Mazzei, 2021). Le New York Times a poursuivi avec un deuxième article qui a discuté de plusieurs autres cas de PTI après la vaccination contre le SARS-CoV-2 (Grady, 2021), et plusieurs autres incidences de chute précipitée de plaquettes et de thrombocytopénie après la vaccination contre le SARS-CoV-2 ont été rapportés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
1. Biodistribution des vaccins à ARNm
Plusieurs études sur les vaccins à base d’ARNm ont confirmé de manière indépendante que la rate est un centre d’activité majeur pour la réponse immunitaire. Une étude sur un vaccin contre le virus de la grippe à base d’ARNm est extrêmement pertinente pour répondre à la question de la biodistribution de l’ARNm dans le vaccin. Ce vaccin, comme les vaccins SARS-CoV-2, a été conçu sous forme de nanoparticules lipidiques avec un ARN modifié codant pour l’hémagglutinine (la protéine de fusion de surface équivalente à la protéine de pointe dans les virus corona), et a été administré par injection musculaire. La concentration d’ARNm a été suivie dans le temps dans divers échantillons de tissus, et la concentration maximale observée à chaque site a été enregistrée. Sans surprise, la concentration était la plus élevée dans le muscle au site d’injection (5.680 ng/mL). Ce niveau a diminué lentement au fil du temps, atteignant la moitié de la valeur initiale à 18,8 heures après l’injection. Le niveau le plus élevé suivant a été observé dans le ganglion lymphatique proximal, culminant à 2.120 ng/mL et ne tombant à la moitié de cette valeur que 25,4 heures plus tard. Parmi les organes, les niveaux de loin les plus élevés ont été trouvés dans la rate (86,69 ng/mL) et le foie (47,2 ng/mL). Ailleurs dans le corps, la concentration était de 100 à 1.000 fois plus faible. En particulier, les ganglions lymphatiques distaux n’avaient qu’une concentration maximale de 8 ng/mL. Ils ont conclu que l’ARNm se distribue du site d’injection au foie et à la rate via le système lymphatique, atteignant finalement la circulation générale. Cela se produit probablement par son transport à l’intérieur des macrophages et d’autres cellules immunitaires qui l’absorbent au site d’injection musculaire. De manière inquiétante, il atteint également le cerveau, bien qu’à des niveaux beaucoup plus faibles (Bahl et al., 2017). Le rapport d’évaluation de l’Agence Européenne des Médicaments pour le vaccin Moderna a également noté que l’ARNm pouvait être détecté dans le cerveau après administration intramusculaire à environ 2% du niveau trouvé dans le plasma (Agence Européenne des Médicaments, 2021).
Dans une autre expérience menée pour suivre la voie de biodistribution des vaccins à ARN, un vaccin à ARN contre la rage a été administré par voie intramusculaire à des rats en une seule dose. Le vaccin comprenait un code pour une protéine immunogène de la rage ainsi que le code pour l’ARN polymérase et a été formulé sous la forme d’une nanoémulsion huile-dans-eau. Ainsi, il n’est pas entièrement représentatif des vaccins à ARNm du SARS-CoV-2. Néanmoins, son administration intramusculaire et sa dépendance à l’égard de l’absorption d’ARN par les cellules immunitaires signifient probablement qu’il migrerait à travers les tissus selon une voie similaire à celle du vaccin SARS-CoV-2. Les auteurs ont observé une hypertrophie des ganglions lymphatiques de drainage et des études tissulaires ont révélé que l’ARN de la rage apparaissait initialement au site d’injection et dans les ganglions lymphatiques de drainage en un jour, et qu’il était également retrouvé dans le sang, les poumons, la rate et le foie (Stokes et al., 2020). Ces résultats sont cohérents avec l’étude ci-dessus sur les vaccins à ARNm de la grippe.
Enfin, une étude comparant des nanoparticules d’ARNm exprimant la luciférase avec des cellules dendritiques d’ARNm exprimant la luciférase en tant qu’approche alternative à la vaccination a révélé que le signal de la luciférase atteignait une gamme plus large de sites lymphoïdes avec le mécanisme de délivrance des nanoparticules. Plus important encore, le signal de la luciférase était concentré dans la rate pour les nanoparticules par rapport à la dominance dans les poumons pour les cellules dendritiques (Firdessa-Fite et Creuso, 2020).
2. Thrombocytopénie immunitaire
La thrombocytopénie immunitaire (ou purpura thrombocytopénique immunitaire – PTI) est devenue une complication importante du COVID-19 (Bhattacharjee et Banerjee, 2020). Dans de nombreux cas, elle apparaît après une guérison complète de la maladie, c’est-à-dire après que le virus a été éliminé, ce qui suggère qu’il s’agit d’un phénomène auto-immun. Une voie probable par laquelle le PTI pourrait se produire après la vaccination est la migration de cellules immunitaires transportant une cargaison de nanoparticules d’ARNm via le système lymphatique dans la rate. Ces cellules immunitaires produiraient une protéine de pointe selon le code contenu dans les nanoparticules, et la protéine de pointe induirait la génération de cellules B d’anticorps IgG contre celle-ci.
Le PTI apparaît initialement sous forme de pétéchies ou de purpura sur la peau et/ou de saignements des surfaces muqueuses. Il présente un risque élevé de décès par hémorragie et accident vasculaire cérébral. Le PTI se caractérise à la fois par une destruction accrue des plaquettes et une production réduite de plaquettes, et les auto-anticorps jouent un rôle central (Sun et Shan, 2019). Les plaquettes sont recouvertes d’anticorps antiplaquettaires et de complexes immuns, ce qui induit leur clairance par les phagocytes.
En particulier dans des conditions d’autophagie altérée, la cascade de signalisation qui en résulte peut également entraîner la suppression de la production de mégacaryocytes dans la moelle osseuse, qui sont les cellules précurseurs de la production de plaquettes (Sun et Shan, 2019). Une étude de cas d’un patient diagnostiqué avec le COVID-19 est révélatrice car il a développé une thrombocytopénie d’apparition soudaine quelques jours après sa sortie de l’hôpital sur base d’un test d’acide nucléique COVID-19 négatif. Suite à ce développement, il a été vérifié que le patient avait un nombre réduit de mégacaryocytes producteurs de plaquettes, tandis que les anticorps auto-immuns étaient négatifs, suggérant un problème de production de plaquettes plutôt que de destruction de plaquettes (Chen et al., 2020).
L’autophagie est essentielle pour éliminer les protéines endommagées, les organites et les agents pathogènes bactériens et viraux. Les altérations des voies d’autophagie apparaissent comme une caractéristique de la pathogenèse de nombreux virus respiratoires, notamment le virus de la grippe, le MERS-CoV, le SARS-CoV et, surtout, le SARS-CoV-2 (Limanaqi et al., 2020). L’autophagie est certainement essentielle dans l’élimination de la protéine de pointe produite par les cellules immunitaires programmées pour la produire via les vaccins à ARNm.
On peut supposer que l’autophagie altérée empêche la clairance de la protéine de pointe produite par les macrophages à partir de l’ARNm du vaccin. Comme nous le montrerons plus tard, les plaquettes possèdent des protéines autophagiques et utilisent l’autophagie pour éliminer les virus. L’autophagie altérée est une caractéristique du PTI, et elle peut être la clé de l’attaque auto-immune des plaquettes (Wang et al., 2019).
3. Un rôle essentiel pour la rate
La rate est le plus grand organe lymphoïde secondaire chez l’homme et elle contient jusqu’à 1/3 des réserves de plaquettes du corps. La rate est le site principal de destruction des plaquettes au cours du PTI, car elle contrôle la réponse des anticorps contre les plaquettes. Les deux principaux auto-anticorps associés au PTI sont dirigés contre l’immunoglobuline G (IgG) et le complexe glycoprotéine (GP) IIb/IIIa sur les plaquettes (Aslam et al., 2016).
La rate joue un rôle central dans la clairance des antigènes étrangers et la synthèse des IgG par les cellules B. Lors de l’exposition à un antigène, tel que la protéine de pointe, les neutrophiles dans la zone marginale de la rate acquièrent la capacité d’interagir avec les cellules B, induisant la production d’anticorps (Puga et al., 2011). Ceci est probablement crucial pour le succès de la vaccination. La modification pseudouridine de l’ARNm est importante pour assurer la survie de l’ARN suffisamment longtemps pour qu’il atteigne la rate. Dans une expérience sur l’injection de nanoparticules d’ARNm à des souris, l’ARNm délivré et la protéine codée ont pu être détectés dans la rate 1, 4 et 24 heures après l’injection, à des niveaux significativement plus élevés que lorsque l’ARN non modifié était utilisé (Karikó et al., 2008).
Un mécanisme sophistiqué de communication croisée plaquettes-neutrophiles dans la rate peut conduire à une thrombocytopénie, médiée par une réponse pathologique appelée nétose. Les plaquettes-TLR7 (récepteur toll-like 7 – toll-like receptors) reconnaissent les particules grippales en circulation et entraînent leur engloutissement et leur endocytose par les plaquettes. Après avoir englouti les virus, les plaquettes stimulent les neutrophiles pour libérer leur ADN dans les pièges extracellulaires des neutrophiles (NETs – Neutrophil Extracellular Traps) (Koupenova et al., 2019), et l’ADN, en quantité excessive, lance une cascade prothrombotique.
4. Leçons de la grippe
Le virus de la grippe, comme le virus corona, est un virus à ARN simple brin. La thrombocytopénie est une complication courante de l’infection grippale, et sa gravité prédit les résultats cliniques chez les patients gravement malades (Jansen et al., 2020). Les plaquettes contiennent dans leurs membranes des glycoprotéines abondantes qui agissent comme des récepteurs et favorisent l’adhésion à la paroi endothéliale. Des auto-anticorps contre les glycoprotéines plaquettaires sont retrouvés chez la majorité des patients atteints de thrombocytopénie auto-immune (Lipp et al., 1998). Le virus de la grippe se lie aux cellules via les glycoprotéines et libère une enzyme appelée neuraminidase qui peut décomposer les glycosaminoglycanes liés aux glycoprotéines et les libérer. Cette action expose probablement les glycoprotéines plaquettaires aux cellules B, induisant la production d’auto-anticorps. Il a été démontré que la neuraminidase exprimée par le pathogène Streptococcus Pneumoniae désialyle les plaquettes [Ndt. une étude en français ici qui décrit le mécanisme de « Sialylation des plaquettes et thrombopénies« ], entraînant une hyperactivité plaquettaire (Kullaya et al., 2018).
Les plaquettes semblent jouer un rôle important dans la clairance virale. Moins d’une minute après l’incubation de plaquettes avec les virus de la grippe, les virus s’étaient déjà attachés aux plaquettes. L’internalisation ultérieure, peut-être par phagocytose, a culminé à 30 minutes (Jansen et al., 2020).
La protéine de pointe SARS-CoV-2 se lie à l’acide sialique, ce qui signifie qu’elle pourrait se fixer aux glycoprotéines dans les membranes plaquettaires (Baker et al., 2020). Il existe une similitude structurelle entre la protéine de pointe S1 dans le CoV du SARS et la neuraminidase exprimée par le virus de la grippe, ce qui pourrait signifier que la protéine de pointe possède une activité de neuraminidase (Zhang et al., 2004). Plusieurs virus expriment la neuraminidase, et elle agit généralement par voie enzymatique pour cataboliser les glycanes dans les glycoprotéines par désialylation.
Ainsi, il semble plausible qu’une cascade dangereuse menant au PTI puisse s’ensuivre après la vaccination par ARNm, même en l’absence de virus vivant, en particulier dans le contexte d’une autophagie altérée. Les cellules immunitaires du muscle du bras absorbent les particules d’ARN et circulent dans le système lymphatique, s’accumulant dans la rate. Là, les cellules immunitaires produisent une protéine de pointe abondante, qui se lie aux glycoprotéines plaquettaires et les désialyle. L’interaction plaquettaire avec les neutrophiles provoque une NETose [voir plus haut et ici] et le lancement d’une cascade inflammatoire. Les glycoprotéines exposées deviennent des cibles pour les anticorps auto-immuns qui attaquent et éliminent ensuite les plaquettes, entraînant une chute rapide du nombre de plaquettes et un événement mettant la vie en danger.
Activation du zona latent
Une étude observationnelle menée au Tel Aviv Medical Center et au Carmel Medical Center à Haïfa, en Israël, a révélé une augmentation significative du taux de zona après la vaccination Pfizer (Furer 2021). Cette étude observationnelle a suivi des patients atteints de maladies rhumatismales inflammatoires auto-immunes préexistantes (AIIRD – Autoimmune inflammatory rheumatic diseases). Parmi les 491 patients atteints d’AIIRD au cours de la période d’étude, 6 (1,2 %) ont reçu un diagnostic de zona comme premier diagnostic entre 2 jours et 2 semaines après la première ou la deuxième vaccination. Dans le groupe témoin de 99 patients, aucun cas de zona n’a été identifié.
La base de données VAERS du CDC, interrogée le 19 avril 2021, contient 278 rapports de zona suite aux vaccinations Moderna ou Pfizer. Compte tenu de la sous-déclaration documentée au VAERS (Lazarus et al. 2010), et compte tenu de la nature associative des déclarations du VAERS, il n’est pas possible de prouver un lien de causalité entre les vaccinations et les déclarations de zona. Cependant, nous pensons que l’apparition du zona est un autre « signal » important dans le VAERS.
Ce risque accru de zona, s’il est valide, peut avoir d’importantes implications plus larges. De nombreuses études ont montré que les patients présentant un déficit immunitaire primaire ou acquis sont plus sensibles à une infection sévère par le zona (Ansari et al., 2020). Cela suggère que les vaccins à ARNm peuvent supprimer la réponse immunitaire innée. Il existe une interaction entre le TNF-α et l’interféron de type I dans les maladies auto-immunes, où chacun supprime l’autre (Palucka et al., 2005). L’interféron de type I inhibe la réplication du virus varicelle-zona (Ku et al., 2016). Le TNF-α est fortement régulé à la hausse dans une réponse inflammatoire, qui est induite par les nanoparticules lipidiques du vaccin. Sa régulation positive est également associée à l’état inflammatoire chronique de la polyarthrite rhumatoïde (Matsuno et al., 2002). L’expression exubérante du TNF-α après la vaccination peut interférer avec la réponse INF-α des cellules dendritiques qui contrôle le zona latent.
Toxicité de la protéine de pointe
L’image émerge maintenant que le SARS-CoV-2 a des effets graves sur le système vasculaire dans plusieurs organes, y compris le système vasculaire cérébral. Comme mentionné précédemment, la protéine de pointe facilite l’entrée du virus dans une cellule hôte en se liant à l’ACE2 dans la membrane plasmique. L’ACE2 est une protéine membranaire intégrale de type I qui clive l’angiotensine II en angiotensine (1-7), éliminant ainsi l’angiotensine II et abaissant la pression artérielle. Dans une série d’articles, Yuichiro Suzuki, en collaboration avec d’autres auteurs, a présenté un argument solide selon lequel la protéine de pointe en elle-même peut provoquer une réponse de signalisation dans le système vasculaire avec des conséquences potentiellement étendues (Suzuki, 2020 ; Suzuki et al., 2020 ; Suzuki et al. ., 2021 ; Suzuki et Gychka, 2021). Ces auteurs ont observé que, dans les cas graves de COVID-19, le SARS-CoV-2 provoque des changements morphologiques importants du système vasculaire pulmonaire. L’analyse post-mortem des poumons des patients décédés du COVID-19 a révélé des caractéristiques histologiques montrant un épaississement de la paroi vasculaire, principalement dû à une hypertrophie de la tunique moyenne [tunica media]. Les cellules musculaires lisses agrandies étaient devenues arrondies, avec des noyaux gonflés et des vacuoles cytoplasmiques (Suzuki et al., 2020). En outre, ils ont montré que l’exposition de cellules musculaires lisses d’artères pulmonaires humaines cultivées à la sous-unité S1 de la protéine de pointe SARS-CoV-2 était suffisante pour promouvoir la signalisation cellulaire sans le reste des composants du virus.
Des articles de suivi (Suzuki et al., 2021, Suzuki et Gychka, 2021) ont montré que la sous-unité S1 de la protéine de pointe supprime l’ACE2, provoquant une affection ressemblant à l’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP), une maladie pulmonaire grave avec une mortalité très élevée. Leur modèle est représenté ici sur la figure 2. Fait inquiétant, Suzuki et Gychka (2021) ont écrit : « Ainsi, ces études in vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 (sans le reste du virus) réduit l’expression de l’ACE2, augmente le niveau d’angiotensine II et aggrave la lésion pulmonaire. Les « études in vivo » auxquelles ils ont fait référence ici (Kuba et al., 2005) avaient montré que les lésions pulmonaires induites par le coronavirus du SARS étaient principalement dues à l’inhibition de l’ACE2 par la protéine de pointe du SARS-CoV, provoquant une forte augmentation de l’angiotensine-II . Suzuki et al. (2021) a ensuite démontré expérimentalement que le composant S1 du virus SARS-CoV-2, à une faible concentration de 130 pM, activait la voie de signalisation MEK/ERK/MAPK pour favoriser la croissance cellulaire. Ils ont émis l’hypothèse que ces effets ne seraient pas limités au système vasculaire pulmonaire. La cascade de signalisation déclenchée dans le système vasculaire cardiaque provoquerait une maladie coronarienne, et son activation dans le cerveau pourrait conduire à un accident vasculaire cérébral. Une hypertension systémique serait également prédite. Ils ont émis l’hypothèse que cette capacité de la protéine de pointe à favoriser l’hypertension artérielle pulmonaire pourrait prédisposer les patients qui se remettent du SARS-CoV-2 à développer plus tard une insuffisance cardiaque ventriculaire droite. En outre, ils ont suggéré qu’un effet similaire pourrait se produire en réponse aux vaccins à ARNm, et ils ont mis en garde contre les conséquences potentielles à long terme pour les enfants et les adultes qui ont reçu des vaccins COVID-19 basés sur la protéine de pointe (Suzuki et Gychka, 2021).
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Figure 2 : Un modèle simple pour un processus par lequel la protéine de pointe produite par les vaccins à ARNm pourrait induire une réponse pathologique distincte de l’induction souhaitable d’anticorps pour supprimer l’entrée virale. Redessiné avec la permission de Suzuki et Gychka, 2021
Une étude intéressante de Lei et. Al. (2021) ont découvert que les pseudovirus – des sphères décorées avec la protéine SARS-CoV-2 S1 mais dépourvues d’ADN viral dans leur noyau – provoquaient une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris exposées par voie intratrachéale. Ils ont ensuite exposé des cellules endothéliales humaines saines aux mêmes particules de pseudovirus. La liaison de ces particules aux récepteurs endothéliaux ACE2 a entraîné des dommages mitochondriaux et une fragmentation de ces cellules endothéliales, entraînant les changements pathologiques caractéristiques du tissu associé. Cette étude montre clairement que la protéine de pointe seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages endothéliaux associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins destinés à amener les cellules à fabriquer la protéine de pointe sont claires et constituent une cause évidente de préoccupation.
Les symptômes neurologiques associés au COVID-19, tels que les maux de tête, les nausées et les étourdissements, l’encéphalite et les caillots sanguins cérébraux mortels sont tous des indicateurs d’effets viraux dommageables sur le cerveau. Buzhdygan et al. (2020) ont proposé que les cellules endothéliales microvasculaires primaires du cerveau humain pourraient provoquer ces symptômes. L’ACE2 est exprimé de manière ubiquitaire dans les cellules endothéliales des capillaires cérébraux. L’expression de l’ACE2 est régulée à la hausse dans le système vasculaire cérébral en association avec la démence et l’hypertension, qui sont tous deux des facteurs de risque d’effets néfastes du COVID-19. Dans une étude in vitro de la barrière hémato-encéphalique, le composant S1 de la protéine de pointe a favorisé la perte d’intégrité de la barrière, suggérant que la protéine de pointe agissant seule déclenche une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau, ce qui pourrait expliquer les conséquences neurologiques de la maladie (Buzhdygan et al., 2020). Les implications de cette observation sont troublantes car les vaccins à ARNm induisent la synthèse de la protéine de pointe, qui pourrait théoriquement agir de manière similaire pour endommager le cerveau.
La protéine de pointe générée de manière endogène par le vaccin pourrait également avoir un impact négatif sur les testicules mâles, car le récepteur ACE2 est fortement exprimé dans les cellules de Leydig des testicules (Verma et al., 2020). Plusieurs études ont maintenant montré que la protéine de pointe du coronavirus est capable d’accéder aux cellules des testicules via le récepteur ACE2 et de perturber la reproduction masculine (Navarra et al., 2020 ; Wang et Xu, 2020). Un article impliquant un examen post-mortem des testicules de six patients masculins atteints de COVID-19 a trouvé des preuves microscopiques de protéines de pointe dans les cellules interstitielles des testicules de patients présentant des testicules endommagés (Achua et al., 2021).
Un lien possible avec les maladies à prions et la neurodégénérescence
Les maladies à prions sont un ensemble de maladies neurodégénératives induites par le mauvais repliement de protéines corporelles importantes, qui forment des oligomères toxiques qui finissent par précipiter sous forme de fibrilles causant des dommages étendus aux neurones. C’est Stanley Prusiner qui a inventé le nom de « prion » pour décrire ces protéines mal repliées (Prusiner, 1982). La maladie à prions la plus connue est la maladie de la vache folle (encéphalopathie spongiforme bovine), devenue épidémique chez les bovins européens à partir des années 1980. Le site Web du CDC au sujet des maladies à prions indique que « les maladies à prions sont généralement rapidement progressives et toujours mortelles. » (Centers for Disease Control and Prevention, 2018). On pense maintenant que de nombreuses maladies neurodégénératives, notamment la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique (SLA) peuvent être des maladies à prions, et les chercheurs ont identifié des particules infectieuses protéiniques spécifiques liées à ces maladies (Weickenmeier et al., 2019).
De plus, les chercheurs ont identifié un motif de signature lié à la susceptibilité à un mauvais repliement en oligomères toxiques, appelé glycine zipper motif [voir ici]. Il est caractérisé par un motif de deux résidus glycine espacés de trois acides aminés intermédiaires, représentés par GxxxG. Le prion bovin lié à la maladie de la vache folle a une séquence spectaculaire de dix GxxxG d’affilée (voir uniprot.org/uniprot/P10279).
Plus généralement, le motif GxxxG est une caractéristique commune des protéines transmembranaires, et les glycines jouent un rôle essentiel dans la réticulation des hélices dans la protéine (Mueller et al., 2014). Les protéines prions deviennent toxiques lorsque les hélices α se replient mal en feuillets β, et la protéine est alors altérée dans sa capacité à pénétrer dans la membrane (Prusiner, 1982). Les glycines dans les glycine zipper motif transmembranaires dans la protéine précurseur de l’amyloïde-β (APP – amyloid-β precursor protein) jouent un rôle central dans le mauvais repliement de l’amyloïde-β lié à la maladie d’Alzheimer (Decock et al., 2016). L’APP contient un total de quatre motifs GxxxG.
Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence (voir uniprot.org/uniprot/P0DTC2), il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion. L’une des séquences GxxxG est présente dans son domaine de fusion membranaire. Rappelons que les vaccins à ARNm sont conçus avec une séquence modifiée qui remplace deux acides aminés adjacents dans le domaine de fusion par une paire de prolines. Ceci est fait intentionnellement afin de forcer la protéine à rester dans son état ouvert et de rendre plus difficile sa fusion avec la membrane. Cela nous semble être une dangereuse étape vers un mauvais repliement menant potentiellement à la maladie à prions.
Un article publié par J. Bart Classen (2021) [NdT. que j’ai traduit et publié ici le14 avril] a proposé que la protéine de pointe dans les vaccins à ARNm pourrait provoquer des maladies de type prion, en partie grâce à sa capacité à se lier à de nombreuses protéines connues et à induire leur mauvais repliement en prions potentiels. Idrees et Kumar (2021) ont proposé que le composant S1 de la protéine de pointe est susceptible d’agir comme un amyloïde fonctionnel et de former des agrégats toxiques. Ces auteurs ont écrit que S1 a la capacité « de former des agrégats amyloïdes et toxiques qui peuvent agir comme facteurs d’agrégation de nombreuses protéines cérébrales mal repliées et peuvent finalement conduire à une neurodégénérescence ».
Selon Tetz et Tetz (2020), la forme de la protéine de pointe dans le SARS-CoV-2 a des régions de prions qui ne sont pas présentes dans les protéines de pointe d’autres coronavirus. Bien que cela ait été signalé dans un article non évalué par des pairs, les auteurs avaient publié un article précédent en 2018 identifiant des régions de type prion dans plusieurs virus eucaryotes, ils ont donc une expertise considérable dans ce domaine (Tetz et Tetz, 2018).
Un dernier point concerne les informations sur le vaccin Pfizer en particulier. Le rapport d’évaluation publique de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) est un document soumis pour obtenir l’autorisation de commercialiser le vaccin en Europe. Il décrit en détail un examen du processus de fabrication ainsi qu’un large éventail de données d’essai associées. Une révélation préoccupante est la présence d’« espèces fragmentées » d’ARN dans la solution d’injection. Ce sont des fragments d’ARN résultant de l’arrêt précoce du processus de transcription à partir de la matrice d’ADN. Ces fragments, s’ils étaient traduits par la cellule après l’injection, généreraient des protéines de pointe incomplètes, entraînant à nouveau une structure tridimensionnelle altérée et imprévisible et un impact physiologique neutre dans le meilleur des cas et au pire préjudiciable au fonctionnement cellulaire. On a trouvé beaucoup plus de ces formes fragmentées d’ARN dans les produits fabriqués commercialement que dans les produits utilisés dans les essais cliniques. Ces derniers ont été produits via un processus de fabrication beaucoup plus contrôlé. [NdT. ce qu’explique le Dr Vanessa Schmidt-Kruger, que j’ai également traduite et publiée ici]
Pfizer affirme que les fragments d’ARN « n’entraîneront probablement pas de protéines exprimées » en raison de leur supposée dégradation rapide dans la cellule. Aucune donnée n’a été présentée pour exclure l’expression des protéines, cependant, laissant les examinateurs commenter : « Ces formes [d’ARN fragmenté] sont mal caractérisées et les données limitées fournies pour l’expression des protéines ne répondent pas pleinement aux incertitudes liées au risque de traduction des protéines/peptides autres que la protéine de pointe prévue » (EMA 2020). À notre connaissance, aucune donnée n’a été communiquée depuis lors.
Bien que nous n’affirmions pas que les protéines différentes des protéines de pointe générées à partir d’ARN fragmenté seraient mal repliées ou autrement pathologiques, nous pensons qu’elles contribueraient au moins au stress cellulaire qui favorise les changements de conformation associés aux prions dans la protéine de pointe qui est présente.
1. Leçons de la maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative associée à des dépôts de corps de Lewy dans le cerveau, et la principale protéine trouvée dans ces corps de Lewy est l’α-synucléine. Cette protéine, l’α-Synucléine, est certainement de type prion dans la mesure où, dans certaines conditions, elle s’agrège en oligomères et fibrilles solubles toxiques (Lema Tomé et al., 2013). Des recherches ont montré que l’α-synucléine mal repliée peut se former d’abord dans l’intestin, puis voyager de là vers le cerveau le long du nerf vague, probablement sous la forme d’exosomes libérés par les cellules mourantes d’où provient la protéine mal repliée (Kakarla et al., 2020 ; Steiner et al., 2011). Les conditions cellulaires qui favorisent le mauvais repliement comprennent à la fois un pH acide et une expression élevée de cytokines inflammatoires. Il est clair que le nerf vague est essentiel pour la transmission de protéines mal repliées au cerveau, car la rupture du nerf vague protège de la maladie de Parkinson. L’atrophie du nerf vague associée à la maladie de Parkinson fournit une preuve supplémentaire de l’implication du nerf vague dans le transport d’oligomères de α-synucléine mal repliés de l’intestin vers le cerveau (Walter et al., 2018). Une autre voie passe par le nerf olfactif, et une perte de l’odorat est un signe précoce de la maladie de Parkinson. De façon inquiétante, la diminution ou la perte de l’odorat est également un symptôme courant de l’infection par le SARS-CoV-2.
Il existe de nombreux parallèles entre l’α-synucléine et la protéine de pointe, suggérant la possibilité d’une maladie de type prion après la vaccination. Nous avons déjà montré que l’ARNm du vaccin se retrouve en forte concentration dans le foie et la rate, deux organes bien connectés au nerf vague. Les lipides cationiques contenus dans le vaccin créent un pH acide propice à un mauvais repliement, et ils induisent également une forte réponse inflammatoire, une autre condition y prédisposant.
Les centres germinatifs sont des structures au sein de la rate et d’autres organes lymphoïdes secondaires où les cellules dendritiques folliculaires présentent des antigènes aux cellules B, qui à leur tour perfectionnent leur réponse en anticorps. Les chercheurs ont montré que les vaccins à ARNm, contrairement aux vaccins à protéines recombinantes, provoquent un développement robuste d’anticorps neutralisants au niveau de ces centres germinatifs de la rate (Lederer et al., 2020). Cependant, cela signifie également que les vaccins à ARNm induisent une situation idéale pour la formation de prions à partir de la protéine de pointe et son transport via les exosomes le long du nerf vague jusqu’au cerveau.
Des études ont montré que la propagation du prion d’un animal à un autre apparaît d’abord dans les tissus lymphoïdes, en particulier la rate. Les cellules dendritiques folliculaires différenciées sont au cœur du processus, car elles accumulent des protéines prions mal repliées (Al-Dybiat et al., 2019). Une réponse inflammatoire régule positivement la synthèse de l’α-synucléine dans ces cellules dendritiques, augmentant le risque de formation de prions. Les prions qui s’accumulent dans le cytoplasme sont emballés dans des corps lipidiques qui sont libérés sous forme d’exosomes (Liu et al., 2017). Ces exosomes finissent par pénétrer le cerveau, provoquant la maladie.
2. Excrétion du vaccin
Il y a eu beaucoup de discussions sur Internet au sujet de la possibilité que des personnes vaccinées provoquent des maladies chez des personnes non vaccinées à proximité. Bien que cela puisse sembler difficile à croire, il existe un processus plausible par lequel cela pourrait se produire par la libération d’exosomes à partir de cellules dendritiques dans la rate contenant des protéines de pointe mal repliées, en complexe avec d’autres protéines de prions reconformées. Ces exosomes peuvent voyager vers des endroits éloignés. Il n’est pas impossible d’imaginer qu’ils sont libérés des poumons et inhalés par une personne proche. Des vésicules extracellulaires, y compris des exosomes, ont été détectées dans les expectorations, le mucus, le liquide de revêtement épithélial et le liquide de lavage broncho-alvéolaire en association avec des maladies respiratoires (Lucchetti et al., 2021).
Une étude de phase 1/2/3 entreprise par BioNTech sur le vaccin à ARNm de Pfizer impliquait dans leur protocole d’étude qu’ils anticipaient la possibilité d’une exposition secondaire au vaccin (BioNTech, 2020). Le protocole incluait l’exigence selon laquelle « l’exposition pendant la grossesse » devrait être signalée par les participants à l’étude. Ils ont ensuite donné des exemples d’« exposition environnementale pendant la grossesse » qui incluaient l’exposition « à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact cutané ». [NdT. « l’intervention » signifie dans ce cadre le produit sujet de l’étude] Ils ont même suggéré deux niveaux d’exposition indirecte : « Un membre masculin de la famille ou un professionnel de la santé qui a été exposé à l’intervention de l’étude par inhalation ou par contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour du moment de la conception. »
Emergence de nouveaux variants du SARS-CoV-2
Une hypothèse intéressante a été proposée dans un article publié dans Nature, qui décrivait un cas de maladie COVID-19 grave chez un patient cancéreux qui prenait des médicaments de chimiothérapie anticancéreuse immunosuppressive (Kemp et al., 2021). Le patient a survécu pendant 101 jours après son admission à l’hôpital, succombant finalement dans la bataille contre le virus. Le patient a constamment excrété des virus pendant les 101 jours et il a donc été transféré dans une salle d’isolement pour maladies infectieuses à haute pression négative et à fort renouvellement d’air, afin d’éviter la propagation contagieuse.
Au cours du séjour à l’hôpital, le patient a été traité avec du Remdesivir et par la suite avec deux séries de plasma contenant des anticorps prélevés sur des personnes qui s’étaient rétablies du COVID-19 (plasma de convalescence). Ce n’est qu’après les traitements plasmatiques que le virus a commencé à muter rapidement, et une nouvelle souche dominante a finalement émergé, vérifiée à partir d’échantillons prélevés dans le nez et la gorge du patient. Un patient immunodéprimé présente peu de soutien des cellules T cytotoxiques pour éliminer le virus.
Une expérience in vitro a démontré que cette souche mutante avait une sensibilité réduite à plusieurs unités de plasma de convalescent prélevées sur plusieurs patients guéris. Les auteurs ont suggéré que les anticorps administrés avaient en fait accéléré le taux de mutation du virus, car le patient n’était pas en mesure d’éliminer complètement le virus en raison de sa faible réponse immunitaire. Cela a permis à un programme de « survie des plus aptes » de s’installer, remplissant finalement le corps du patient d’une nouvelle souche résistante aux anticorps. La réplication virale prolongée chez ce patient a conduit à une « évasion immunitaire virale » et des souches résistantes similaires pourraient potentiellement se propager très rapidement au sein d’une population exposée (Kemp et al., 2021). En effet, un processus similaire pourrait vraisemblablement être à l’œuvre pour produire les nouvelles souches hautement contagieuses qui apparaissent maintenant au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil.
Il y a au moins deux préoccupations que nous avons concernant cette expérience, en relation avec les vaccins à ARNm. La première est que, via l’infection continue des patients immunodéprimés, nous pouvons nous attendre à une émergence continue de nouvelles souches résistantes aux anticorps induits par le vaccin, de sorte que le vaccin peut rapidement devenir obsolète, et qu’il pourrait bien y avoir des demandes de la population à subir une autre campagne de vaccination de masse. Déjà une étude publiée par des chercheurs de Pfizer a montré que l’efficacité du vaccin est réduite pour bon nombre de ces souches variantes. Le vaccin était seulement 2/3 aussi efficace contre la souche sud-africaine que contre la souche d’origine (Liu et al., 2021).
La deuxième considération plus inquiétante est de réfléchir à ce qui se passera avec un patient immunodéprimé après la vaccination. Il est concevable qu’ils répondent au vaccin en produisant des anticorps, mais ces anticorps seront incapables de contenir la maladie après une exposition au COVID-19 en raison d’une altération de la fonction des cellules T cytotoxiques. Ce scénario n’est pas très différent de l’administration de plasma convalescent à des patients immunodéprimés, et il pourrait donc engendrer l’évolution de souches résistantes aux anticorps de la même manière, mais à une échelle beaucoup plus grande. Cette possibilité sera sûrement utilisée pour plaider en faveur de séries répétées de vaccins tous les quelques mois, avec un nombre croissant de variants viraux codés dans les vaccins. C’est une course aux armements que nous allons probablement perdre.
Potentiel d’incorporation permanente du gène de la protéine de pointe dans l’ADN humain
Il a été affirmé que les vaccins à base d’ARNm sont plus sûrs que les vaccins à vecteur d’ADN qui fonctionnent en incorporant le code génétique de la protéine antigénique cible dans un virus à ADN, car l’ARN ne peut pas être incorporé par inadvertance dans le génome humain. Cependant, il n’est pas du tout clair que cela soit vrai. On sait maintenant que le modèle classique ADN → ARN → protéine est faux. Il est maintenant incontestable qu’il existe une grande classe de virus appelés rétrovirus qui portent des gènes qui rétrotranscrivent l’ARN en ADN complémentaire (ADNc). En 1975, Howard Temin, Renato Dulbecco et David Baltimore ont partagé le prix Nobel de Physiologie ou Médecine en 1975 pour leur découverte de la transcriptase inverse et sa synthèse par des rétrovirus (tels que le virus de l’immunodéficience humaine (VIH)) pour dériver l’ADN de l’ARN (Temin et Mizutani, 1970, Baltimore, 1970).
Beaucoup plus tard, il a été découvert que la transcriptase inverse n’est pas unique aux rétrovirus. Plus d’un tiers du génome humain est consacré à de mystérieux éléments mobiles de l’ADN appelés SINE et LINE (respectivement, éléments nucléaires courts et longs intercalés – short and long interspersed nuclear elements). Les LINEs fournissent des capacités de transcriptase inverse pour convertir l’ARN en ADN, et les SINEs permettent d’intégrer l’ADN dans le génome. Ainsi, ces éléments fournissent les outils nécessaires pour convertir l’ARN en ADN et l’incorporer dans le génome afin de maintenir le nouveau gène à travers les générations futures (Weiner, 2002).
Les SINE et les LINE font partie d’une classe plus large d’éléments génétiques appelés rétrotransposons. Les rétrotransposons peuvent copier et coller leur ADN vers un nouveau site du génome via un ARN intermédiaire, tout en introduisant éventuellement des altérations génétiques dans le processus (Pray, 2008). Les rétrotransposons, également connus sous le nom de « gènes sauteurs », ont été identifiés pour la première fois par la généticienne Barbara McClintock du Cold Spring Harbor Laboratory à New York, il y a plus de 50 ans (McClintock, 1965). Beaucoup plus tard, en 1983, elle a reçu un prix Nobel pour ce travail.
Remarquablement, les rétrotransposons semblent être capables d’étendre leur domaine de génération en génération. Les LINEs et les SINEs collaborent pour envahir de nouveaux sites génomiques grâce à la traduction de leur ADN en ARN et en une nouvelle copie d’ADN, qui est ensuite insérée dans une région riche en AT du génome [NdT. la caractéristique la plus distinctive d’une région riche en AT est sa teneur élevée en résidus adénine et thymine par rapport à la moyenne globale d’une origine de réplication entière]. Ces LINEs et SINEs ont longtemps été considérés comme de l’ADN « indésirable », une idée absurde qui a maintenant été dissipée, alors que la prise de conscience de leurs fonctions critiques s’est accrue. En particulier, il est maintenant devenu clair qu’ils peuvent également importer de l’ARN d’une source exogène dans l’ADN d’un hôte mammifère. Les éléments répétés de type rétroviral trouvés dans le génome de la souris, appelés particules A intracisternales (IAP – intracisternal A particles), se sont révélés capables d’incorporer de l’ARN viral dans le génome de la souris. La recombinaison entre un virus à ARN non rétroviral exogène et un rétrotansposon IAP a entraîné une transcription inverse de l’ARN viral et une intégration dans le génome de l’hôte (Geuking et al., 2009).
De plus, comme nous le verrons plus loin, l’ARNm des nouveaux vaccins SARS-CoV-2 pourrait également se transmettre de génération en génération, à l’aide de LINEs exprimées dans le sperme, via un ADNc non intégré encapsulé dans des plasmides. Les implications de ce phénomène prévisible ne sont pas claires, mais potentiellement de grande envergure.
1. Rétrovirus exogènes et endogènes
On craint également que l’ARN des vaccins à ARNm puisse être transféré dans le génome humain par l’intervention de rétrovirus. Les rétrovirus sont une classe de virus qui conservent leurs informations génomiques sous forme d’ARN, mais qui possèdent les enzymes nécessaires pour transcrire à l’envers leur ARN en ADN et l’insérer dans un génome hôte. Ils s’appuient ensuite sur des outils naturels existants de l’hôte pour produire des copies du virus par traduction de l’ADN en ARN et pour produire les protéines que l’ARN viral code et les assembler en une nouvelle particule virale (Lesbats et al., 2016) .
Les rétrovirus endogènes humains (HERV – human endogenous retroviruses) sont des sections bénignes de l’ADN humain qui ressemblent étroitement aux rétrovirus et qui sont censées être devenues des séquences permanentes dans le génome humain grâce à un processus d’intégration à partir de ce qui était à l’origine un rétrovirus exogène. Les rétrovirus endogènes sont abondants chez tous les vertébrés à mâchoires et on estime qu’ils occupent 5 à 8 % du génome humain. La protéine syncytine, devenue indispensable à la fusion placentaire avec la paroi utérine et à l’étape de fusion entre le sperme et l’ovule lors de la fécondation, est un bon exemple de protéine rétrovirale endogène. La syncytine est le gène d’enveloppe d’un rétrovirus défectif endogène humain récemment identifié, HERV-W (Mi et al., 2000). Pendant la gestation, le fœtus exprime des niveaux élevés d’un autre rétrovirus endogène, HERV-R, et il semble protéger le fœtus des attaques immunitaires de la mère (Luganini et Gribaudo, 2020). Les éléments rétroviraux endogènes ressemblent étroitement aux rétrotransposons. Leur transcriptase inverse, lorsqu’elle est exprimée, a la capacité théorique de convertir l’ARN de la protéine de pointe des vaccins à ARNm en ADN.
2. Intégration permanente de l’ADN des gènes de rétrovirus exogènes
Les humains sont colonisés par une grande collection de rétrovirus exogènes qui, dans de nombreux cas, ne causent aucun dommage à l’hôte et peuvent même être symbiotiques (Luganini et Gribaudo, 2020). Les virus exogènes peuvent être convertis en virus endogènes (incorporés de manière permanente dans l’ADN de l’hôte) en laboratoire, comme l’a démontré Rudolf Jaenisch (Jaenisch, 1976), qui a infecté des embryons de souris préimplantatoires avec le virus de la leucémie murine de Moloney (M-MuLV). Les souris générées à partir de ces embryons infectés ont développé une leucémie et l’ADN viral a été intégré dans leur lignée germinale et transmis à leur progéniture. Outre l’incorporation d’ADN viral dans le génome de l’hôte, il a également été démontré dès 1980 que des plasmides d’ADN pouvaient être micro-injectés dans les noyaux d’embryons de souris pour produire des souris transgéniques qui se reproduisent réellement (Gordon et al., 1980). L’ADN plasmidique a été incorporé dans le génome nucléaire des souris par des processus naturels existants, préservant ainsi les informations génétiques nouvellement acquises dans le génome de la progéniture. Cette découverte a été à la base de nombreuses expériences de génie génétique sur des souris transgéniques conçues pour exprimer des gènes humains nouvellement acquis depuis lors (Bouabe et Okkenhaug, 2013).
3. LINE-1 est largement exprimé
Les LINEs représentent à eux seuls plus de 20 % du génome humain. Le LINE le plus courant est le LINE-1, qui code pour une transcriptase inverse qui régule les processus biologiques fondamentaux. Le LINE-1 est exprimé dans de nombreux types de cellules, mais à des niveaux particulièrement élevés dans les spermatozoïdes. Les spermatozoïdes peuvent être utilisés comme vecteurs d’ADN exogène et de molécules d’ARN exogènes par le biais de tests de transfert de gènes médiés par le sperme. Le sperme peut inverser la transcription de l’ARN exogène directement en ADNc et peut fournir des plasmides contenant cet ADNc à l’ovule fécondé. Ces plasmides sont capables de se propager dans l’embryon en développement et de peupler de nombreux tissus chez le fœtus. En fait, ils survivent jusqu’à l’âge adulte en tant que structures extrachromosomiques et sont capables d’être transmis à la descendance. Ces plasmides sont transcriptionnellement compétents, ce qui signifie qu’ils peuvent être utilisés pour synthétiser des protéines codées par l’ADN qu’ils contiennent (Pittoggi et al., 2006).
En plus du sperme, les embryons expriment également la transcriptase inverse avant l’implantation, et son inhibition provoque un arrêt du développement. Le LINE-1 est également exprimé par les cellules cancéreuses, et le silençage par interférence ARN du LINE-1 humain induit la différenciation dans de nombreuses lignées cellulaires cancéreuses. La machinerie de la transcriptase inverse est impliquée dans la genèse de nouvelles informations génétiques, à la fois dans les cellules cancéreuses et dans les cellules germinales. De nombreux tissus tumoraux se sont avérés exprimer des niveaux élevés de LINE-1 et contenir de nombreux plasmides extrachromosomiques dans leur noyau. Les gliomes malins sont les tumeurs primaires du système nerveux central. Il a été montré expérimentalement que ces tumeurs libèrent des exosomes contenant de l’ADN, de l’ARN et des protéines, qui se retrouvent dans la circulation générale (Vaidya et Sugaya, 2020). Le LINE-1 est également fortement exprimé dans les cellules immunitaires dans plusieurs maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, [le syndrome de] Sjögrens et le psoriasis (Zhang et al., 2020).
4. Intégration du gène de la protéine de pointe dans le génome humain
Remarquablement, il a été démontré que les neurones du cerveau des patients atteints de la maladie d’Alzheimer hébergent de multiples variantes du gène de la protéine précurseur amyloïde APP [amyloid precursor protein], incorporés dans le génome, qui sont créés par un processus appelé recombinaison génétique somatique (SGR – somatic gene recombination) (Kaeser et al., 2020). La SGR nécessite une transcription génique, des cassures de brins d’ADN et une activité de transcriptase inverse, qui peuvent tous être favorisés par des facteurs de risque bien connus de la maladie d’Alzheimer. L’ADN codant pour l’APP est transcrit de manière inverse en ARN, puis retranscrit en ADN et incorporé dans le génome au niveau d’un site de rupture de brin. Étant donné que l’ARN est plus sensible aux mutations, l’ADN de ces copies mosaïques contient de nombreuses variantes mutantes du gène, de sorte que la cellule devient une mosaïque, capable de produire de multiples variantes de l’APP. Les neurones de patients atteints de la maladie d’Alzheimer contenaient jusqu’à 500 millions de paires de bases d’ADN en excès dans leurs chromosomes (Bushman et al., 2015).
Des chercheurs du MIT et de Harvard ont publié un article troublant en 2021, dans lequel ils ont fourni des preuves solides que l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétrotranscrit en ADN et intégré dans l’ADN humain (Zhang et al., 2021). Ils ont été amenés à enquêter sur cette idée après avoir observé que de nombreux patients continuent d’être testés positifs pour le COVID-19 après que le virus ait déjà été éliminé de leur corps. Les auteurs ont trouvé des transcrits chimériques qui contenaient des séquences d’ADN viral fusionnées à des séquences d’ADN cellulaire chez des patients qui s’étaient remis du COVID-19. Étant donné que le COVID-19 induit souvent une tempête de cytokines dans les cas graves, ils ont confirmé la possibilité d’une activité de transcriptase inverse améliorée grâce à une étude in vitro utilisant des milieux conditionnés contenant des cytokines dans des cultures cellulaires. Ils ont trouvé une régulation positive doublée à triplée de l’expression endogène de LINE-1 en réponse aux cytokines. L’ARN exogène du virus incorporé dans l’ADN humain pourrait produire des fragments de protéines virales indéfiniment après la disparition de l’infection, ce qui donne un faux positif sur un test PCR.
5. Diarrhée virale bovine : un modèle inquiétant
La diarrhée virale bovine (BVD – Bovine Viral Diarrhea) est une maladie virale infectieuse qui affecte les bovins dans le monde entier. Il fait partie de la classe des pestivirus, qui sont de petits virus à ARN enveloppés, sphériques, simple brin. La maladie est associée à des maladies gastro-intestinales, respiratoires et reproductives. Une caractéristique unique de la BVD est que le virus peut traverser le placenta d’une mère enceinte infectée. Cela peut entraîner la naissance d’un veau porteur de particules virales intracellulaires qu’il confond avec le « soi ». Son système immunitaire refuse de reconnaître le virus comme une invasion étrangère et, par conséquent, le veau excrète le virus en grande quantité tout au long de sa vie, infectant potentiellement tout le troupeau. C’est devenu une pratique répandue d’identifier ces veaux porteurs et de les éliminer du troupeau pour tenter de réduire l’infection (Khodakaram-Tafti & Farjanikish, 2017).
Il semble plausible qu’une situation dangereuse puisse survenir à l’avenir lorsqu’une femme reçoit un vaccin à ARNm contre le SARS-CoV-2, puis conçoit un enfant peu de temps après. Le sperme serait libre d’absorber les liposomes inclus dans l’ARN du vaccin et de les convertir en ADN à l’aide de LINE-1. Ils produiraient alors des plasmides contenant le code de la protéine de pointe qui serait absorbé par l’œuf fécondé par le processus décrit ci-dessus. L’enfant qui naît est alors potentiellement incapable de produire des anticorps contre la protéine de pointe parce que son système immunitaire la considère comme « soi ». Si ce nourrisson était infecté par le SARS-CoV-2 à tout moment de sa vie, son système immunitaire ne constituerait pas de défense contre le virus, et le virus serait vraisemblablement libre de se multiplier dans le corps du nourrisson sans retenue. Le nourrisson deviendrait logiquement un super-épandeur dans une telle situation. Certes, il s’agit de spéculations à l’heure actuelle, mais il existe des preuves de ce que nous savons sur les rétrotransposons, les spermatozoïdes, la fécondation, le système immunitaire et les virus, qu’un tel scénario ne peut être exclu. Il a déjà été démontré chez la souris que les éléments génétiques des vaccins vecteurs à ADN, qui sont essentiellement des plasmides, peuvent s’intégrer dans le génome de l’hôte (Wang et al., 2004). En fait, un tel processus a été suggéré comme base de l’évolution lamarckienne définie comme l’hérédité des traits acquis (Steele, 1980).
La prise de conscience que ce qui était autrefois appelé « ADN poubelle » n’est pas de l’ADN poubelle, n’est qu’un des résultats du nouveau paradigme philosophique du langage humain, de la biologie et de la génétique basé sur la génomique fractale (Pellionisz, 2012) – un paradigme que Pellionisz a lié à l’implication de « vraies représentations narratives » (TNR ; Oller, 2010), réalisées comme des « itérations d’un modèle fractal » dans les processus hautement répétitifs du développement normal des nombreuses structures ramifiées du corps humain. Ces processus sont nombreux dans les poumons, les reins, les veines et les artères, et surtout dans le cerveau. Les vaccins à ARNm sont une thérapie génique expérimentale avec le potentiel d’incorporer le code de la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans l’ADN humain. Ce code ADN pourrait instruire la synthèse d’un grand nombre de copies de particules infectieuses protéiques, ce qui a le potentiel d’insérer plusieurs faux signaux dans le développement des instructions, entraînant des résultats imprévisibles.
Conclusion
Les vaccins expérimentaux à ARNm ont été annoncés comme ayant le potentiel de grands avantages, mais ils recèlent également la possibilité de conséquences imprévues potentiellement tragiques et même catastrophiques. Les vaccins à ARNm contre le SARS-CoV-2 ont été mis en œuvre en grande pompe, mais de nombreux aspects de leur utilisation généralisée méritent d’être préoccupants. Nous avons passé en revue certaines de ces préoccupations ici, mais pas toutes, et nous tenons à souligner que ces préoccupations sont potentiellement graves et pourraient ne pas être évidentes avant des années ou même être transgénérationnelles. Afin d’écarter de manière adéquate les potentialités négatives décrites dans cet article, nous recommandons, au minimum, que les pratiques de recherche et de surveillance suivantes soient adoptées :
Un effort national pour collecter des données détaillées sur les événements indésirables associés aux vaccins à ARNm avec une allocation de financement abondante, suivi bien au-delà des deux premières semaines après la vaccination.
Des tests répétés d’auto-anticorps de la population vaccinée. Les auto-anticorps testés pourraient être standardisés et devraient être basés sur des anticorps et des auto-anticorps préalablement documentés potentiellement induits par la protéine de pointe. Ceux-ci comprennent des auto-anticorps contre les phospholipides, le collagène, l’actine, la thyroperoxydase (TPO), la protéine basique de la myéline, la transglutaminase tissulaire et peut-être d’autres.
Un profilage immunologique lié à l’équilibre des cytokines et aux effets biologiques associés. Les tests doivent inclure, au minimum, l’IL-6, l’INF-α, les D-dimères, le fibrinogène et la protéine C-réactive.
Des études comparant les populations qui ont été vaccinées avec les vaccins à ARNm et celles qui ne l’ont pas été afin de confirmer la diminution attendue du taux d’infection et des symptômes plus légers du groupe vacciné, tout en comparant les taux de diverses maladies auto-immunes et maladies à prions dans les deux mêmes populations.
Des études visant à évaluer s’il est possible pour une personne non vaccinée d’acquérir des formes spécifiques au vaccin des protéines de pointe d’une personne vaccinée à proximité.
Des études in vitro pour évaluer si les nanoparticules d’ARNm peuvent être absorbées par le sperme et converties en plasmides d’ADNc.
Des études animales visant à déterminer si la vaccination peu de temps avant la conception peut entraîner des descendants porteurs de plasmides codant pour les protéines de pointe dans leurs tissus, éventuellement intégrés dans leur génome.
Des études in vitro visant à mieux comprendre la toxicité de la protéine de pointe pour le cerveau, le cœur, les testicules, etc.
La politique publique autour de la vaccination de masse s’est généralement basée sur l’hypothèse que le rapport risque/bénéfice pour les nouveaux vaccins à ARNm était « du tout cuit ». Alors que la campagne de vaccination massive est bien engagée en réponse à l’urgence internationale déclarée de COVID-19, nous nous sommes précipités dans des expériences de vaccination à l’échelle mondiale. À tout le moins, nous devrions tirer parti des données disponibles à partir de ces expériences pour en savoir plus sur cette nouvelle technologie non testée auparavant. Et, à l’avenir, nous exhortons les gouvernements à faire preuve de plus de prudence face aux nouvelles biotechnologies.
Enfin, en tant que suggestion évidente mais tragiquement ignorée, le gouvernement devrait également encourager la population à prendre des mesures sûres et abordables pour renforcer naturellement leur système immunitaire, comme s’exposer au soleil pour augmenter les niveaux de vitamine D (Ali, 2020), et manger principalement des aliments entiers biologiques plutôt que des aliments transformés chargés de produits chimiques (Rico-Campà et al., 2019). En outre, la consommation d’aliments qui sont de bonnes sources de vitamine A, de vitamine C et de vitamine K2 doit être encouragée, car les carences en ces vitamines sont liées aux mauvais résultats du COVID-19 (Goddek, 2020 ; Sarohan, 2020)
Remerciements
Cette recherche a été financée en partie par Quanta Computers, Inc., Taiwan, sous les auspices du projet Qmulus.
Conflits d’intérêt
Les auteurs n’ont pas d’intérêts concurrents ou de conflits d’intérêt à déclarer.
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Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19
INTERNATIONAL JOURNAL OF VACCINE THEORY, PRACTICE AND RESEARCH
Stephanie Seneff
Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory, MIT, Cambridge MA, 02139, USA, E-mail: seneff@csail.mit.edu
Greg Nigh
Naturopathic Oncology, Immersion Health, Portland, OR 97214, USA
ABSTRACT
Operation Warp Speed brought to market in the United States two mRNA vaccines, produced by Pfizer and Moderna. Interim data suggested high efficacy for both of these vaccines, which helped legitimize Emergency Use Authorization (EUA) by the FDA. However, the exceptionally rapid movement of these vaccines through controlled trials and into mass deployment raises multiple safety concerns. In this review we first describe the technology underlying these vaccines in detail. We then review both components of and the intended biological response to these vaccines, including production of the spike protein itself, and their potential relationship to a wide range of both acute and long-term induced pathologies, such as blood disorders, neurodegenerative diseases and autoimmune diseases. Among these potential induced pathologies, we discuss the relevance of prion-protein-related amino acid sequences within the spike protein. We also present a brief review of studies supporting the potential for spike protein “shedding”, transmission of the protein from a vaccinated to an unvaccinated person, resulting in symptoms induced in the latter.We finish by addressing a common point of debate, namely, whether or not these vaccines could modify the DNA of those receiving the vaccination. While there are no studies demonstrating definitively that this is happening, we provide a plausible scenario, supported by previously established pathways for transformation and transport of genetic material, whereby injected mRNA could ultimately be incorporated into germ cell DNA for transgenerational transmission. We conclude with our recommendations regarding surveillance that will help to clarify the long-term effects of these experimental drugs and allow us to better assess the true risk/benefit ratio of these novel technologies.
Unprecedented. This word has defined so much about 2020 and the pandemic related to SARS-CoV-2. In addition to an unprecedented disease and its global response, COVID-19 also initiated an unprecedented process of vaccine research, production, testing, and public distribution (Shaw, 2021). The sense of urgency around combatting the virus led to the creation, in March 2020, of Operation Warp Speed (OWS), then-President Donald Trump’s program to bring a vaccine against COVID-19 to market as quickly as possible(Jacobs and Armstrong, 2020).
OWS established a few more unprecedented aspects of COVID-19. First, it brought the US Department of Defense into direct collaboration with US health departments with respect to vaccine distribution (Bonsell, 2021). Second, the National Institutes of Health (NIH) collaborated with the biotechnology company Moderna in bringing an unprecedented type of vaccine against infectious disease to market, one utilizing a technology based on messenger RNA (mRNA) (National Institutes of Health, 2020).
The confluence of these unprecedented events has rapidly brought to public awareness the promise and potential of mRNA vaccines as a new weapon against infectious diseases into the future. At the same time, events without precedent are, by definition, without a history and context against which to fully assess risks, hoped-for benefits, safety, and long-term viability as a positive contribution to public health.
In this paper we will be briefly reviewing oneparticular aspect of these unprecedented events, namely the development and deployment of mRNA vaccines against the targeted class of infectious diseases under the umbrella of “SARS-CoV-2.”We believe many of the issues we raise here will be applicable to any future mRNA vaccine that might be produced against other infectious agents, or in applications related to cancer and genetic diseases, while others seem specifically relevant to mRNA vaccines currently being implemented against the subclass of corona viruses. While the promises of this technology have been widely heralded, the objectively assessed risks and safety concerns have received far less detailed attention. It is our intention to review several highly concerning molecular aspects of infectious disease-related mRNA technology, and to correlate these with both documented and potential pathological effects.
Many aspects of Covid-19 and subsequent vaccine development are unprecedented for a vaccine deployed for use in the general population. Some of these includes the following.
First to use PEG (polyethylene glycol) in an injection (see text)
First to use mRNAvaccine technology against an infectious agent
First time Moderna has brought any product to market
First to have public health officials telling those receiving the vaccination to expect an adverse reaction
First to be implemented publicly with nothing more than preliminary efficacy data (see text)
First vaccine to make no clear claims about reducing infections, transmissibility, or deaths
First coronavirus vaccine ever attempted in humans
First injection of genetically modified polynucleotides in the general population
Development of mRNA vaccines against infectious disease is unprecedented in many ways. In a 2018 publication sponsored by the Bill and Melinda Gates Foundation, vaccines were divided into three categories: Simple, Complex, and Unprecedented (Young et al., 2018). Simple and Complex vaccines represented standard and modified applications of existing vaccine technologies. Unprecedented represents a category of vaccine against a disease for which there has never before been a suitable vaccine. Vaccines against HIV and malaria are examples. As their analysis indicates, depicted in Figure 1, unprecedented vaccines are expected to take 12.5 years to develop. Even more ominously, they have a 5% estimated chance of making it through Phase II trials (assessing efficacy) and, of that 5%, a 40% chance of making it through Phase III trials (assessing population benefit). In other words, an unprecedented vaccine was predicted to have a 2% probability of success at the stage of a Phase III clinical trial. As the authors bluntly put it, there is a “low probability of success, especially for unprecedented vaccines.” (Young et al., 2018)
(IMAGE)
Figure 1. Launching innovative vaccines is costly and time-consuming, with a low probability of success, especially for unprecedented vaccines (adapted from Young et al, 2018).
With that in mind, two years later we have an unprecedented vaccine with reports of 90-95% efficacy (Baden et al. 2020). In fact, these reports of efficacy are the primary motivation behind public support of vaccination adoption (U.S. Department of Health and Human Services, 2020). This defies not only predictions, but also expectations. The British Medical Journal(BMJ) may be the only prominent conventional medical publication that has given a platform to voices calling attention to concerns around the efficacy of the COVID-19 vaccines. There are indeed reasons to believe that estimations of efficacy are in need of re-evaluation.
Peter Doshi, an associate editor of the BMJ, has published two important analyses (Doshi 2021a, 2021b) of the raw data releasedto the FDA by the vaccine makers, data that are the basis for the claim of high efficacy. Unfortunately, these were published to the BMJ’s blog and not in its peer-reviewed content. Doshi, though, has published a study regarding vaccine efficacy and the questionable utility of vaccine trial endpoints in BMJ’s peer reviewed content (Doshi 2020).
A central aspect of Doshi’s critique of the preliminary efficacy data is the exclusion of over 3400 “suspected COVID-19 cases” that were not included in the interim analysis of the Pfizer vaccine data submitted to the FDA. Further, a low-but-non-trivial percent of individuals in both Moderna and Pfizer trials were deemed to be SARS-CoV-1-positive at baseline despite prior infection being grounds for exclusion. For these and other reasons the interim efficacy estimate of around 95% for both vaccines is suspect.
A more recent analysis looked specifically at the issue of relative vs. absolute risk reduction. While the high estimates of risk reduction are based upon relative risks, the absolute risk reduction is a more appropriate metric for a member of the general public to determine whether a vaccination provides a meaningful risk reduction personally. In that analysis, utilizing data supplied by the vaccine makers to the FDA, the Moderna vaccine at the time of interim analysis demonstrated an absolute risk reduction of 1.1% (p= 0.004), while the Pfizer vaccine absolute risk reduction was 0.7% (p<0.000) (Brown 2021).
Others have brought up important additional questions regarding COVID-19 vaccine development, questions with direct relevance to the mRNA vaccines reviewed here. For example, Haidere, et. al. (2021) identify four “critical questions” related to development of these vaccines, questions that are germane to both their safety and their efficacy:
Will Vaccines Stimulate the Immune Response?
Will Vaccines Provide Sustainable Immune Endurance?
How Will SARS-CoV-2 Mutate?
Are We Prepared for Vaccine Backfires?
Lack of standard and extended preclinical and clinical trials of the two implemented mRNA vaccines leaves each of these questions to be answered over time. It is now only through observation of pertinent physiological and epidemiological data generated by widescale delivery of the vaccines to the general public that these questions will be resolved. And this is only possible if there is free access to unbiased reporting of outcomes –something that seems unlikely given the widespread censorship of vaccine-related information because of the perceived need to declare success at all cost.
The two mRNA vaccines that have made it through phase 3 trials and are now being delivered to the general population are the Moderna vaccine and the Pfizer-BioNTech vaccine. The vaccines have much in common. Both are based on mRNA encoding the spike protein of the SARS-CoV-2 virus. Both demonstrated a relative efficacy rateof 94-95%. Preliminary indications are that antibodies are still present after three months. Both recommend two doses spaced by three or four weeks, and recently there are reports of annual booster injections being necessary (Mahose, 2021). Both are delivered through muscle injection, and both require deep-freeze storage to keep the RNA from breaking down. This is because, unlike double-stranded DNA which is very stable, single-strand RNA products are apt to be damaged or rendered powerless at warm temperatures and must be kept extremely cold to retain their potential efficacy (Pushparajah et al., 2021). It is claimed by the manufacturers that the Pfizer vaccine requires storage at -94 degrees Fahrenheit (-70 degrees Celsius), which makes it very challenging to transport it and keep it cold during the interim before it is finally administered. The Moderna vaccine can be stored for 6 months at -4 degrees Fahrenheit (-20 degrees Celsius), and it can be stored safely in the refrigerator for 30 days following thawing (Zimmer et al., 2021).
Two other vaccines that are now being administered under emergency use are the Johnson & Johnson vaccine and the AstraZeneca vaccine. Both are based on a vector DNA technology that is very different from the technology used inthe mRNA vaccines. While these vaccines were also rushed to market with insufficient evaluation, they are not the subject of this paper so we will just describe briefly how they are developed. These vaccines are based on a defective version of an adenovirus, a double-stranded DNA virus that causes the common cold. The adenovirus has been genetically modified in two ways, such that it cannot replicate due to critical missing genes, and its genome has been augmented with the DNA code for the SARS-CoV-2 spike protein. AstraZeneca’s production involves an immortalized human cell line called Human Embryonic Kidney (HEK) 293, which is grown in culture along with the defective viruses (Dicks et al., 2012). The HEK cell line was genetically modified back in the 1970s by augmenting its DNA with segments from an adenovirus that supply the missing genes needed for replication of the defective virus (Louis et al., 1997). Johnson & Johnson uses a similar technique based on a fetal retinal cellline. Because the manufacture of these vaccines requires genetically modified human tumor cell lines, there is the potential for human DNA contamination as well as many other potential contaminants.
The media has generated a great deal of excitement about this revolutionary technology, but there are also concerns that we may not be realizing the complexity of the body’s potential for reactions to foreign mRNA and other ingredients in these vaccines that go far beyond the simple goal of tricking the body into producing antibodies to the spike protein.
In the remainder of this paper, we will first describe in more detail the technology behind mRNA vaccines. We devote several sections to specific aspects of the mRNA vaccines that concern us with regard to potential for both predictable and unpredictable negative consequences. We conclude with a plea to governments and the pharmaceutical industry to consider exercising greater caution in the current undertaking to vaccinate as many people as possible against SARS-CoV-2.
Technology of mRNA Vaccines
In the early phase of nucleotide-based gene therapy development, there was considerably more effort invested in gene delivery through DNA plasmids rather than through mRNA technology. Two major obstacles for mRNA are its transient nature due to its susceptibility to breakdown by RNAses, as well as its known power to invoke a strong immune response, which interferes with its transcription into protein. Plasmid DNA has been shown to persist in muscle up to six months, whereas mRNA almost certainly disappears much sooner. For vaccine applications, it was originally thought that the immunogenic nature of RNA could work to an advantage, as the mRNA could double as an adjuvant for the vaccine, eliminating the arguments in favor of a toxic additive like aluminum. However, the immune response results not only in an inflammatory response but also the rapid clearance of the RNA and suppression of transcription. So this idea turned out not to be practical.
There was an extensive period of time over which various ideas were explored to try to keep the mRNA from breaking down before it could produce protein. A major advance was the realization that substituting methyl-pseudouridine for all the uridine nucleotides would stabilize RNA against degradation, allowing it to survive long enough to produce adequate amounts of protein antigen needed for immunogenesis (Liu, 2019). This form of mRNA delivered in the vaccine is never seen in nature, and therefore has the potential for unknown consequences.
The Pfizer-BioNTech and Moderna mRNA vaccines are based on very similar technologies, where a lipid nanoparticle encloses an RNA sequence coding for the full-length SARS-CoV-2 spike protein. In the manufacturing process, the first step is to assemble a DNA molecule encoding the spike protein. This process has now been commoditized, so it’s relatively straightforward to obtain a DNA molecule from a specification of the sequence of nucleotides (Corbett et al., 2020). Following a cell-free in vitro transcription from DNA, utilizing an enzymatic reaction catalyzed by RNA polymerase, the single-stranded RNA is stabilized through specific nucleoside modifications, and highly purified.
The company Moderna, in Cambridge, MA, is one of the developers of deployed mRNA vaccines for SARS-CoV-2. Moderna executives have a grand vision of extending the technology for many applications where the body can be directed to produce therapeutic proteins not just for antibody production but also to treat genetic diseases and cancer, among others. They are developing a generic platform where DNA is the storage element, messenger RNA is the “software” and the proteins that the RNA codes for represent diverse application domains. The vision is grandiose and the theoretical potential applications are vast (Moderna, 2020). The technology is impressive, but manipulation of the code of life could lead to completely unanticipated negative effects, potentially long term or even permanent.
SARS-CoV-2 is a member of the class of positive-strand RNA viruses, which means that they code directly for the proteins that the RNA encodes, rather than requiring a copy to an antisense strand prior to translation into protein. The virus consists primarily of the single-strand RNA molecule packaged up inside a protein coat, consisting of the virus’s structural proteins, most notably the spike protein, which facilitates both viral binding to a receptor (in the case of SARS-CoV-2 this is the ACE2 receptor) and virus fusion with the host cell membrane. The SARS-CoV-2 spike protein is the primary target for neutralizing antibodies. It is a class I fusion glycoprotein, and it is analogous to haemagglutinin produced by influenza viruses and the fusion glycoprotein produced by syncytial viruses, as well as gp160 producedby human immunodeficiency virus (HIV) (Corbett et al., 2020).
The mRNA vaccines are the culmination of years of research in exploring the possibility of using RNA encapsulated in a lipid particle as a messenger. The host cell’s existing biological machinery is co-opted to facilitate the natural production of protein from the mRNA. The field has blossomed in part because of the ease with which specific oligonucleotide DNA sequences can be synthesized in the laboratory without the direct involvement of living organisms. This technology has become commoditized and can be done at large-scale, with relatively low cost. Enzymatic conversion of DNA to RNA is also straightforward, and it is feasible to isolate essentially pure single-strand RNA from the reaction soup (Kosuri and Church, 2014).
1. Considerations in mRNA Selection and Modification
While the process is simple in principle, the manufacturers of mRNA vaccines do face some considerable technical challenges. The first, as we’ve discussed, is that extracellular mRNA itself can induce an immune response which would result in its rapid clearance before it is even taken up by cells. So, the mRNA needs to be encased in a nanoparticle that will keep it hidden from the immune system. The second issue is getting thecells to take up the nanoparticles. This can be solved in part by incorporating phospholipids into the nanoparticle to take advantage of natural pathways of lipid particle endocytosis. The third problem is to activate the machinery that is involved in translating RNA into protein. In the case of SARS-CoV-2, the protein that is produced is the spike protein. Following spike protein synthesis, antigen-presenting cells need to present the spike protein to T cells, which will ultimately produce protective memory antibodies (Moderna, 2020). This step is not particularly straightforward, because the nanoparticles are mostly taken up by muscle cells, which, being immobile, are not necessarily equipped to launch an immune response. As we will see, the likely scenario is that the spike protein is synthesized by muscle cells and then handed over to macrophages acting as antigen-presenting cells, which then launch the standard B-cell-based antibody-generating cascade response.
The mRNA that is enclosed in the vaccines undergoes several modification steps following its synthesis from a DNA template. Some of these steps involve preparing it to look exactly like a human mRNA sequence appropriately modified to support ribosomal translation into protein. Other modifications have the goal of protecting it from breakdown, so that sufficient protein can be produced to elicit an antibody response. Unmodified mRNA induces an immune response that leads to high serum levels of interferon-α (IF-α), which is considered an undesirableresponse. However, researchers have found that replacing all of the uridines in the mRNA with N-methyl-pseudouridine enhances stability of the molecule while reducing its immunogenicity (Karikó et al. 2008; Corbett et al., 2020). This step is part of the preparation of the mRNA in the vaccines, but, in addition, a 7-methylguanosine “cap” is added to the 5’ end of the molecule and a poly-adenine (poly-A) tail, consisting of 100 or more adenine nucleotides, is added to the 3’ end. The cap and tail are essential in maintaining the stability of the mRNA within the cytosol and promoting translation into protein (Schlake et al., 2012; Gallie, 1991).
Normally, the spike protein flips very easily from a pre-fusion configuration to a post-fusion configuration. The spike protein that is in these vaccineshas been tweaked to encourage it to favor a stable configuration in its prefusion state, as this state provokes a stronger immune response (Jackson et al., 2020). This was done via a “genetic mutation,” by replacing a critical two-residue segment with two proline residues at positions 986 and 987, at the top of the central helix of the S2 subunit (Wrapp et al., 2020). Proline is a highly inflexible amino acid, so it interferes with the transition to the fusion state. This modification provides antibodies much better access to the critical site that supports fusion and subsequent cellular uptake. But might this also mean that the genetically modified version of the spike protein produced by the human host cell following instructions from the vaccine mRNA lingers in the plasma membrane bound to ACE2 receptors because of impaired fusion capabilities? What might be the consequence of this? We don’t know.
Researchers in China published a report in Naturein August 2020 in which they presented data on several experimental mRNA vaccines where the mRNA coded for various fragments and proteins in the SARS-CoV-2 virus. They tested three distinct vaccine formulations for their ability to induce an appropriate immune response inmice. The three structural proteins, S (spike), M and E are minimal requirements to assemble a “virus-like particle” (VLP). Their hypothesis was that providing M and E as well as the S spike protein in the mRNA code would permit the assembly of VLPs that might elicit an improved immune response, because they more closely resemble the natural virus than S protein exposed on the surface of cells that have taken up only the S protein mRNA from the vaccine nanoparticles. They were also hoping that critical fragments of the spike protein would be sufficient to induce immunity, rather than the entire spike protein, if viral-like particles could be produced through augmentation with M and E (Lu et al., 2020).
They confirmed experimentally that a vaccine containing the complete genes for all three proteins elicited a robust immune response that lasted for at least eight weeks following the second dose of the vaccine. Its performance was far superior to that of a vaccine containing only the spike protein. Disappointingly, a vaccine that contained only critical components of the spike protein, augmented with the other two envelope proteins, elicited practically no response.
Moderna researchers have conducted similar studies with similar results. They concluded that the spike protein alone was clearly inferior to a formulation containing RNA encoding all three envelope proteins, and they hypothesized that this was due to the fact that all three proteins were needed to allow the cell to release intact virus-like particles, rather than to just post the spike protein in the plasma membrane. The spike protein alone failed to initiate a T cell response in animal studies, whereas the formulation with all three proteins did (Corbett et al., 2020).
The two emergency-approved vaccines only contain mRNA code for spike protein (without E or M), and there must have been a good reason for this decision, despite its observed poor performance. It is possible that more sophisticated design of the lipid nanoparticle (see below) resulted in the ability to have the lipids serve as an adjuvant (similar to aluminum that is commonly added to traditional vaccines) while still protecting the RNA from degradation.
Another curious modification in the RNA code is that the developers have enriched the sequence in cytosines and guanines (Cs and Gs) at the expense of adenines and uracils (As and Us). They have been careful to replace only the third position in the codon in this way, and only when it does not alter the amino acid map (Hubert, 2020). It has been demonstrated experimentally that GC-rich mRNA sequences are expressed (translated into protein) up to 100-fold more efficiently than GC-poor sequences (Kudla et al., 2006). So this appears to be another modificationto further assure synthesis of abundant copies of the spike protein. We do not know the unintended consequences of this maneuver. Intracellular pathogens, including viruses, tend to have low GC content compared to the host cell’s genome (Rocha and Danchin, 2020). So, this modification may have been motivated in part by the desire to enhance the effectiveness of the deception that the protein is a human protein.
All of these various modifications to the RNA are designed to make it resist breakdown, appear more like a human messenger RNA protein-coding sequence, and efficiently translate into antigenic protein.
2. Lipid Nanoparticle Construction
Lipid nanoparticles (LNPs), also known as liposomes, can encapsulate RNA molecules, protecting them from enzymatic degradation by ribonucleases, and thus they form an essential ingredient of a successful delivery method (Wadhwa et al., 2020; Xu et al., 2020). These artificial constructs closely resemble exosomes. Exosomes are extracellullar vesicles secreted by cells and taken up by their neighbors, and they also often embed DNA or RNA. Thus, these nanoparticles can take advantage of natural endocytosis processes that normally internalize extracellular exosomes into endosomes. As the endosome acidifies to become a lysosome, the mRNA is released into the cytoplasm, and this is where translation into protein takes place. Liposomes have actually been found to be more successful at enhancing antigen presentation and maturation of dendritic cells, when compared to fusion proteins that encapsulate virus-based vaccines (Norling et al., 2019).
The lipid nanoparticles (LNPs) in these vaccines are composed of ionizable cationic lipids, phospholipids, cholesterol and polyethyleine glycol (PEG). Together, this mixture assembles into a stable lipid bilayer around the mRNA molecule. The phospholipids in these experimental vaccines consist of a phosphatidylcholine headgroup connected to two saturated alkyl tails through a glycerol linker. The lipid used in these vaccines, named 1,2-distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine (DSPC), has 18 repeat carbon units. The relatively long chain tends to form a gel phase rather than a fluid phase. Molecules with shorter chains (such as a 12-carbon chain) tend to stay in a fluid phase instead. Gel phase liposomes utilizing DSPC have been found to have superior performance in protecting RNA from degradation because the longer alkyl chains are much more constrained in their movements within the lipid domain. They also appear to be more efficient as an adjuvant, increasing the release of the cytockines tumor necrosis factor-α (TNF-α), interleukin (IL)-6 and IL-1β from exposed cells (Norling et al., 2019). However, their ability to induce an inflammatory response may be the cause of the many symptoms people are experiencing, such as pain, swelling, fever and sleepiness. A study published in bioRxiv verified experimentally that these ionizable cationic lipids in lipid nanoparticles induce a strong inflammatory response in mice (Ndeupen et al., 2021).
The current mRNA vaccines are delivered through intramuscular injection. Muscles contain a large network of blood vessels where immune cells can be recruited to the injection site (Zeng et al., 2020). Muscle cells generally can enhance an immune reaction once immune cells infiltrate, in response to an adjuvant (Marino et al., 2011). Careful analysis of the response to an mRNA vaccine, administered to mice, revealed that antigen is expressed initially within muscle cells and then transferred to antigen-presenting cells, suggesting “cross-priming” as the primary path for initiating a CD8 Tcell response (Lazzaro et al., 2015). One can speculate that muscle cells make use of an immune response that is normally used to deal with misfolded human proteins. Such proteins induce upregulation of major histocompatibility complex (MHC) class II proteins, which then bind to the misfolded proteins and transport them intact to the plasma membrane (Jiang et al., 2013).
The MHC-bound surface protein then induces an inflammatory response and subsequent infiltration of antigen-presenting cells (e.g., dendritic cells and macrophages) into the muscle tissue, which then take up the displayed proteins and carry them into the lymph system to present them to T cells. These Tcells can then finally launch the cascade that ultimately produces memory antibodies specific to the protein. Muscle cells do express MHC class II proteins (Cifuentes-Diaz et al., 1992). As contrasted with class I, class II MHC proteins specialize in transporting intact proteins to the surface as opposed to small peptide sequences derived from the partial breakdown of the proteins (Jiang et al., 2013).
An in vitro study on non-human primates demonstrated that radiolabeled mRNA moved from the injection site into the draining lymph node and remained there for at least 28 hours. Antigen presenting cells (APCs) in both the muscle tissue as well as the draining lymph nodes were shown to contain radiolabeled mRNA (Lindsay et al., 2019). Classical APCs include dendritic cells, macrophages, Langerhans cells (in the skin) and B cells. Many of the side effects associated with these vaccines involve pain and inflammation at the injection site, as would be expected given the rapid infiltration of immune cells.
Lymphadenopathy is an inflammatory state in the lymph system associated with swollen lymph nodes. Swollen lymph nodes in the arm pit (axillary lymphadenopathy) is a feature of metastatic breast cancer. A paper published in 2021 described four cases of women who developed axillary lymphadenopathy following a SARS-CoV-2 vaccine (Mehta et al., 2021). The authors urged caution in misinterpreting this condition as an indicator requiring biopsy follow-up for possible breast cancer. This symptom corroborates tracer studies showing that the mRNA vaccine is predominantly taken up by APCs that then presumably synthesize the antigen (spike protein) from the mRNA and migrate into the lymph system, displaying spike protein on their membranes.
A list of the most common adverse effects reportedby the FDA that were experienced during the Pfizer-BioNTech clinical trials include “injection site pain, fatigue, headache, muscle pain, chills, joint pain, fever, injection site swelling, injection site redness, nausea, malaise, and lymphadenopathy.” (US Food and Drug Administration, 2021).
We turn now to individual molecular and organ system concerns that arise with these mRNA vaccines.
Adjuvants, Polyethylene Glycol, and Anaphylaxis
Adjuvants are vaccine additives intended to “elicit distinctive immunological profiles with regard to the direction, duration, and strength of immune responses” from the vaccines to which they are added (Liang et al., 2020). Alum or other aluminum compounds are most commonly utilized in traditional vaccines, and they elicit a wide range of systemic immune activation pathways as well as stromal cell activation at the site of the injection (Lambrecht et al., 2009; Danielsson & Eriksson, 2021).
An aluminum-based adjuvant was determined not to be optimal for a coronavirus vaccine, so other solutions were sought (Liang et. al., 2020). A solution presented itself in the form of the widely used pharmaceutical ingredient polyethylene glycol, or PEG. A limiting factor in the use of nucleic-acid-based vaccines is the tendency for the nucleic acids to be quickly degraded by nuclease enzymes (Ho et al., 2021). Regarding the RNAse enzymes targeting injected mRNA, these enzymes are widely distributed both intracellularly (primarily within the lysosomes) (Fujiwara et al., 2017) and extracellularly (Lu et al., 2018). To overcome this limitation, both mRNA vaccines currently deployed against COVID-19 utilize lipid-based nanoparticles as delivery vehicles. The mRNA cargo is placed inside a shell composed of synthetic lipids and cholesterol, along with PEG to stabilize the mRNA molecule against degradation.
The vaccine produced by Pfizer/BioNTech creates nanoparticles from 2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide, or ALC-0159, commonly abbreviated simply as PEG (World Health Organization, 2021, January 14). The Moderna vaccine contains another PEG variant, SM-102, 1,2-dimyristoyl-rac-glycero-3-methoxypolyethylene glycol2000 (World Health Organization, 2021, January 19). For convenience we will abbreviate both PEG-modified lipids as PEG, and refer to the vaccines as PEGylated according to standard nomenclature.
The lipid shell plays a triple role. First, it protects the genetic material from degradation prior to cellular uptake. Second, the lipid shell, which also contains cholesterol, facilitates cellular uptake through fusion with the lipid membrane of the cell and subsequent endocytosis of the lipid particle, invoking naturally existing processes. And finally, it acts as an adjuvant (Ho et al., 2021). It is in this latter role asimmune stimulant that most concerns have been raised regarding the widespread use of PEG in an injection therapy.
In an article published in May 2019, prior to large clinical trials involving these PEGylated vaccines, Mohamed et. al. (2019) described a number of concerning findings regarding PEG and the immunological activation it had been shown to produce, which includes humoral, cell-mediated, and complement-based activation. They note that, paradoxically, large injection doses of PEG cause no apparent allergic reaction. Small doses, though, can lead to dramatic pathological immune activation. Vaccines employing PEGylation utilize micromolar amounts of these lipids, constituting this potentially immunogenic low-dose exposure.
In animal studies it has been shown that complement activation is responsible for both anaphylaxis and cardiovascular collapse, and injected PEG activates multiple complement pathways in humans as well. The authors of one study conclude by noting that “This cascade of secondary mediators substantially amplifies effector immune responses and may induce anaphylaxis in sensitive individuals. Indeed, recent studies in pigs have demonstrated that systemic complement activation (e.g., induced following intravenous injection of PEGylated liposomes) can underlie cardiac anaphylaxis where C5a played a causal role.” (Hamad et al., 2008) It is also important to note that anaphylactoid shock in pigs occurred not with first injected exposure, but following second injected exposure (Kozma et al., 2019).
The presence of antibodies against PEG is widespread in the population (Zhou et al., 2020). Yang and Lai (2015) found that around 42% of blood samples surveyed contained anti-PEG antibodies, and they warn that these could have important consequencesfor any PEG-based therapeutics introduced. Hong et. al. (2020) found anti-PEG antibodies with a prevalence up to 72% in populations with no prior exposure to PEG-based medical therapy. Lila et. al. (2018) note that the “existence of such anti-PEG antibodies has been intimately correlated with an impairment of therapeutic efficacy in tandem with the development of severe adverse effects in several clinical settings employing PEGylated-based therapeutics.”
Anaphylaxis to vaccines has previously been assumedto be rare based on the frequency of such events reported to VAERS, a database established by the Centers for Disease Control and Prevention in 1990 for reporting of adverse events related to vaccines (Centers for Disease Control and Prevention, 1990; Su et al., 2019). While rare, anaphylaxis can be life-threatening, so it is important to monitor for the possibility in the short period following vaccination (McNeil et al., 2016).
Sellaturay et. al., after reviewing 5 cases of anaphylaxis they link to PEG exposure, one near-fatal and involving cardiac arrest, write, “PEG is a high-risk ’hidden’ allergen, usually unsuspected and can cause frequent allergic reactions due to inadvertent re-exposure. Allergy investigation carries the risk of anaphylaxis and should be undertaken only in specialist drug allergy centres.” (Sellaturay et al., 2020). In fact it has already been demonstrated that pre-existing antibodies to PEG are linked to more common and more severe reactions upon re-exposure (Ganson et al., 2016).
Is anaphylaxis upon exposure to PEG happening with a frequency relevant to public health? Numerous studies have now documented the phenomenon (Lee et al., 2015; Povsic et al., 2016; Wylon et al., 2016). Anaphylactic reactions to the mRNA vaccines are widely reported in the media (Kelso, 2021) and, as noted above, have been frequently reported in the VAERS database (690 reports of anaphylaxis following SARS-CoV-2 vaccines up to January 29, 2021). There are also some initial case studies published in the peer-reviewed literature (Garvey & Nasser, 2020; CDC COVID-19 Response Team, 2021, January 15). Anaphylaxis reactions to vaccines prior to these COVID-19 vaccines were generally reported at rates less than 2 cases per million vaccinations (McNeil et al., 2016), while the current rate with the COVID-19 vaccinations was reported by the CDC to be more than 11 cases per million (CDC COVID-19 Response Team, 2021, January 29). However, a published prospective study on 64,900 medical employees, where their reactions to their first mRNA vaccination were carefully monitored, found that 2.1% of the subjects reported acute allergic reactions. A more extreme reaction involving anaphylaxis occurred at a rate of 247 per million vaccinations (Blumenthal et al., 2021). This is more than 21 times as many as were initially reported by the CDC. The second injection exposure is likely to cause even larger numbers of anaphylactic reactions.
mRNA Vaccines, Spike Proteins, and Antibody-Dependent Enhancement (ADE)
ADE is an immunological phenomenon first described in 1964 (Hawkes et al., 1964). In that publication Hawkes described a set of experiments in which cultures of flavivirus were incubated with avian sera containing high titers of antibodies against those viruses. The unexpected finding was that, with increasingly high dilutions of the antibody-containing sera, cell infectivity was enhanced. Lack of an explanation for how this could happen is likely responsible for its being largely ignored for almost 20 years (Morens et al., 1994).
Multiple pathways have been proposed through which antibodies both directly and indirectly participate in the neutralization of infections (Lu et al., 2018b). ADE is a special case of what can happen when low, non-neutralizing levels of either specific or cross-reactive antibodies against a virus are present at the time of infection. These antibodies might be present due to prior exposure to the virus, exposure to a related virus, or due to prior vaccination against the virus. Upon reinfection, antibodies in insufficient numbers to neutralize the virus nevertheless bind to the virus. These antibodies then dock at the Fc receptor on cell surfaces, facilitating viral entry into the cell and subsequently enhancing the infectivity of the virus (Wan et. al.,2020).
ADE is believed to underlie the more severe dengue fever often observed in those with previous exposure (Beltramello et al., 2010), and might also play a role in more severe disease among those previously vaccinated against the disease (Shukla et al., 2020). ADE is also believed to play a role in Ebola (Takada et al., 2003), zika virus infection (Bardina et al., 2017), and other flavivirus infections (Campos et al., 2020).
In an extended correspondence published in Nature Biotechnology, Eroshenko et. al. offer a comprehensive review of evidence suggesting that ADE could become manifest with any vaccinations employed against SARS-CoV-2. Importantly, they note that ADE has been observed with coronavirus vaccines tested in both in vitroand in vivomodels (Eroshenko et al., 2020). Others have warned about the same possibility with SARS-CoV-2 vaccines. A theory for how ADE might occur in the case of a SARS-CoV-2 vaccine suggests that non-neutralizing antibodies form immune complexes with viral antigens to provoke excessive secretion of pro-inflammatory cytokines, and, in the extreme case, a cytokine storm causing widespread local tissue damage (Lee et al., 2020). One extensive review of ADE potentially associated with SARS-CoV-2 vaccines noted, “At present, there are no known clinical findings, immunological assays or biomarkers that can differentiate any severe viral infection from immune-enhanced disease, whether by measuring antibodies, T cells or intrinsic host responses” (Arvin et al. 2020; Liu et al.,2019). We will return to this point again below.
Preexisting immunoglobulin G (IgG) antibodies, induced by prior vaccination, contribute to severe pulmonary damage by SARS-CoV in macaques (Liu et al., 2019). Peron and Nakaya (2020) provide evidence suggesting that the much more diverse range of prior exposures to coronaviruses experienced by the elderly might predispose them to ADE upon exposure to SARS-CoV-2. A concerning pre-print article reported that plasma from 76% of patients who had recovered from severe COVID-19 disease, when added to cultures of SARS-CoV-2 and susceptible cells, exhibited enhanced ability for SARS-CoV-2 viral infection of Raji cells (Wu et al., 2020). The authors note that “the antibody titers [against the spike protein] were higher in elderly patients of COVID-19, and stronger antibody response was associated with delayed viral clearance and increased disease severity in patients. Hence it is reasonable to speculate that S protein-specific antibodies may contribute to disease severity during SARS-CoV-2 infection.” (Wu et al., 2020)
It has been reported that all three US vaccine manufacturers – Moderna, Pfizer, and Johnson & Johnson – are working to develop booster shots (Zaman 2021). With tens of millions of young adults and even children now with vaccine-induced coronavirus spike protein antibodies, there exists the possibility of triggering ADE related to either future SARS-CoV-2 infection or booster injection among this younger population. Time will tell.
The mRNA vaccines ultimately deliver the highly antigenic spike protein to antigen-presenting cells. As such, monoclonal antibodies against the spike protein are the expected outcome of the currently deployed mRNA vaccines. Human spike protein monoclonal antibodies were found to produce high levels of cross-reactive antibodies against endogenous human proteins (Vojdani et. al., 2021; reviewed in more detail below). Given evidence only partially reviewed here, there is sufficient reason to suspect that antibodies to the spike protein will contribute to ADE provoked by prior SARS-CoV-2 infection or vaccination, which may manifest as either acute or chronic autoimmune and inflammatory conditions. We have noted above that it is not possible to distinguish an ADE manifestation of disease from a true, non-ADE viral infection. In this light it is important to recognize that, when diseases and deaths occur shortly after vaccination with an mRNA vaccine, it can never be definitively determined, even with a full investigation, that the vaccine reaction was not a proximal cause.
Pathogenic Priming, Multisystem Inflammatory Disease, and Autoimmunity
Pathogenic priming is a concept that is similar in outcome to ADE, but different in the underlying mechanism. We discuss it here as a unique mechanism through which the mRNA vaccines could provokeassociated pathologies.
In April 2020 an important paper was published regarding the potential for self-reactive antibodies to be generated following exposure to the spike protein and other antigenic epitopes spread over the length of SARS-CoV-2. Lyons-Weiler (2020) coined the phrase “pathogen priming” because he believed the more commonly used “immune enhancement” fails to capture the severity of the condition and its consequences. In his in silico analysis, Lyons-Weiler compared all antigenic SARS-CoV-2 protein epitopes flagged in the SVMTriP database (http://sysbio.unl.edu/SVMTriP/) and searched the p-BLAST database (https://blast.ncbi.nlm.nih.gov/Blast.cgi) for homology between those epitopes and endogenous human proteins. Of the 37 SARS-CoV-2 proteins analyzed, 29 had antigenic regions. All but one of these 29 had homology with human proteins (putative self-antigens)and were predicted to be autoreactogenic. The largest number of homologies were associated with the spike (S) protein and the NS3 protein, both having 6 homologous human proteins.
A functional analysis of the endogenous human proteins homologous with viral proteins found that over 1/3 of them are associated with the adaptive immune system. The author speculates that prior virus exposure or prior vaccination, either of which could initiate antibody production that targets these endogenous proteins, may be playing a role in the development of more severe disease in the elderly in particular. In this case the pre-existing antibodies act to suppress the adaptive immune system and lead to more severe disease.
Another group (Ehrenfeld et. al., 2020), in a paper predominantly about the wide range of autoimmune diseases found in association with a prior SARS-CoV-2 infection, also investigated how the spike protein could trigger such a range of diseases. They report, in Table 1 of that reference, strings of heptapeptides within the human proteome that overlap with the spike protein generated by SARS-CoV-2. They identified 26 heptapeptides found in humans and in the spike protein. It is interesting to note that 2 of the 26 overlapping heptapeptides were found to be sequential, a strikingly long string of identical peptides to be found in common between endogenous human proteins and the spike protein. Commenting on the overlapping peptides they had discovered and the potential for this to drive many types of autoimmunitysimultaneously, they comment, “The clinical scenario that emerges is upsetting.” Indeed, it is.
In May of 2020 another important paper in this regard was published by Vojdani and Kharrazian (2020). The authors used both mouse and rabbit monoclonal antibodies against the 2003 SARS spike protein to test for reactivity against not only the spike protein of SARS-CoV-2, but also against several endogenous human proteins. They discovered that there was a high level of binding not only with the SARS-CoV-2 spike protein, but against a wide range of endogenous proteins. “[W]e found that the strongest reactions were with transglutaminase 3 (tTG3), transglutaminase 2 (tTG2), ENA, myelin basic protein (MBP), mitochondria, nuclear antigen (NA), α-myosin, thyroid peroxidase (TPO), collagen, claudin 5+6, and S100B.” (Vojdani and Kharrazian, 2020).
These important findings need to be emphasized. Antibodies with a high binding affinity to SARS-CoV-2 spike and other proteins also have a high binding affinity with tTG (associated with Celiac Disease), TPO (Hashimoto’s thyroiditis), myelin basic protein (multiple sclerosis), and several endogenous proteins. Unlike the autoimmune process associated with pathogen priming, these autoimmune diseases typically take years to manifest symptomatically.
The autoantibodies generated by the spike protein predicted by Lyons-Weiler (2020) and described above were confirmed with an in vitro study published more recently. In this follow-on paper, Vojdani et. al., (2021) looked again at the issue of cross-reactivity of antibodies, this time using human monoclonal antibodies (mAbs) against the SARS-CoV-2 spike protein rather than mouse and rabbit mAbs. Their results confirmed and extended their prior findings. “At a cutoff of 0.32 OD [optical density], SARS-CoV-2 membrane protein antibody reacted with 18 out of the 55 tested antigens.” These 18 endogenous antigens encompass reactivity to tissue in liver, mitochondria, the nervous and digestive system, the pancreas, and elsewhere in the body.
In a report on multisystem inflammatory syndrome in children (MIS-C), Carter et. al. (2020) studied 23 cases. Seventeen of 23 (68%) patients had serological evidence of prior SARS-CoV-2 infection. Of the three antibodies assessed in the patient population (nucleocapsid, RBD, and spike), IgG spike protein antibody optical density (which quantifies antibody concentrations against a standardized curve (Wikipedia, 2021)), was highest (see Figure 1d in Carter et al., 2020).
MIS-C is now commonly speculated to be an example of immune priming by prior exposure to SARS-CoV-2 or to other coronaviruses. Buonsenso et. al. (2020) reviewed multiple immunologic similarities between MIS-C and disease related to prior β-hemolytic Group A streptococcal infection (GAS). The authors write, “We can speculate that children’s multiple exposition to SARS-CoV-2 with parents with COVID-19 can work as a priming of the immune system, as happens with GAS infection and, in genetically predisposed children, lead to [MIS-C] development. Another hypothesis is that previous infections with other coronaviruses, much more frequent in the pediatric population, may have primed the child immune system to SARS-CoV-2 virus.”
In June 2019 Galeotti and Bayry (2020) reviewed the occurrence of both autoimmune and inflammatory diseases in patients with COVID-19. They focus their analysis on MIS-C. After reviewing several previously published reports of a temporal link between COVID-19 and onset of MIS-C and describing a number of possible mechanistic connections between the two, the authors noted that no causal link had been established. In a somewhat prescient recommendation, they wrote, “A fine analysis of homology between various antigens of SARS-CoV-2 and self-antigens, by use of in silico approaches and validation in experimental models, should be considered in order to confirm this hypothesis.” It is precisely this type of in silico analysis carried out by Lyons-Weiler (2020) and by Ehrenfeld et. al. (2020) described in the opening paragraphs of this section which found the tight homology between viral antigens and self-antigens. While this may not definitively confirm the causal link hypothesized by Galeotti and Bayry, it is strong supporting evidence.
Autoimmunity is becoming much more widely recognized as a sequela of COVID-19. There are multiple reports of previously healthy individuals who developed diseases such as idiopathic thrombocytopenic purpura, Guillain-Barré syndrome and autoimmune haemolytic anaemia (Galeotti and Bayry, 2020). There are three independent case reports of systemic lupus erythemosus (SLE) with cutaneous manifestations following symptomatic COVID-19. In one case a 39-year-old male had SLE onset two months following outpatient treatment for COVID-19 (Zamani et.al., 2021). Another striking case of rapidly progressing and fatal SLE with cutaneous manifestations is described by Slimani et.al. (2021).
Autoantibodies are very commonly found in COVID-19 patients, including antibodies found in blood (Vlachoyiannopoulos et. al., 2020) and cerebrospinal fluid (CFS) (Franke et. al., 2021). Though SARS-CoV-2 is not found in the CSF, it is theorized that the autoantibodies created in response to SARS-CoV-2 exposure may lead to at least some portion of the neurological complications documented inCOVID-19 patients. One important Letter to the Editor submitted to the journal Arthritis & Rheumatology by Bertin et. al. (2020) noted the high prevalence and strong association (p=0.009) of autoantibodies against cardiolipin in COVID-19 patients with severe disease.
Zuo et. al. (2020) found anti-phospholipid autoantibodies in 52% of hospitalized COVID-19 patients and speculated that these antibodies contribute to the high incidence of coagulopathies in these patients. Schiaffino et. al. (2020) reported that serum from a high percentage of hospitalized COVID-19 patients contained autoantibodies reactive to the plasma membrane of hepatocytes and gastric cells. One patient with Guillain-Barre Syndrome was found to have antibody reactivity in cerebrospinal fluid (CFS), leading the authors to suggest that cross-reactivity with proteins in the CFS could lead to neurological complications seen in some COVID-19 patients. In a more recent review, Gao et. al. (2021) noted high levels of autoantibodies in COVID-19 patients across multiple studies. They conclude, “[O]ne of the potential side effects of giving a mass vaccine could be an mergence [sic] of autoimmune diseases especially in individuals who are genetically prone for autoimmunity.”
A recent publication compiles a great deal of evidence that autoantibodies against a broad range of receptors and tissue can be found in individuals who have had previous SARS-CoV-2 infection. “All 31 former COVID-19 patients had between 2 and 7 different GPCR-fAABs [G-protein coupled receptor functional autoantibodies] that acted as receptor agonists.”(Wallukat et. al. 2021) The diversity of GPCR-fAABs identified, encompassing both agonist and antagonist activity on target receptors, strongly correlated with a range of post-COVID-19 symptoms, including tachycardia, bradycardia, alopecia, attention deficit, PoTS, neuropathies, and others.
The same study, referencing the autoantibodies predicted by Lyons-Weiler (2020) mentioned above, notes with obvious grave concern: “The Sars-CoV-2 spike protein is a potential epitopic target for biomimicry-induced autoimmunological processes [25]. Therefore, we feel it will be extremely important to investigate whether GPCR-fAABs will also become detectable after immunisation by vaccination against the virus.”
We have reviewed the evidence here that the spike protein of SARS-CoV-2 has extensive sequence homology with multiple endogenous human proteins and could prime the immune system toward development of both auto-inflammatory and autoimmune disease. This is particularly concerning given that the protein has been redesigned with two extra proline residues to potentially impede its clearance from the circulation through membrane fusion. These diseases could present acutely and over relatively short time spans such as with MIS-C or could potentially not manifest for months or years following exposure to the spike protein, whether via natural infection or via vaccination.
Many who test positive for COVID-19 express no symptoms. The number of asymptomatic, PCR-positive cases varies widely between studies, from a low of 1.6% to a high of 56.5% (Gao et. al., 2020). Those who are insensitive to COVID-19 probably have a very strong innate immune system. The healthy mucosal barrier’s neutrophils and macrophages rapidly clear the viruses, often without the need for any antibodies to be produced by the adaptive system. However, the vaccine intentionally completely bypasses the mucosal immune system, both through its injection past the natural mucosal barriers and its artificial configuration as an RNA-containing nanoparticle. As noted in Carsetti (2020), those with a strong innate immune response almost universally experience either asymptomatic infection or only mild COVID-19 disease presentation. Nevertheless, they might face chronic autoimmune disease, as described previously, as a consequence of excessive antibody production in response to the vaccine, which was not necessary in the first place.
The Spleen, Platelets and Thrombocytopenia
Dr. Gregory Michael, an obstetrician in Miami Beach, died of a cerebral hemorrhage 16 days after receiving the first dose of the Pfizer/BioNTech COVID-19 vaccine. Within three days of the vaccine, he developed idiopathic thrombocytopenic purpura (ITP), an autoimmune disorder in which the immune cells attack and destroy the platelets. His platelet count dropped precipitously, and this caused an inability to stop internal bleeding, leading to the stroke, as described in an article in the New York Times (Grady and Mazzei, 2021). The New York Times followed up with a second article that discussed several other cases of ITP following SARS-CoV-2 vaccination (Grady, 2021), and several other incidences of precipitous drop of platelets and thrombocytopenia following SARS-CoV-2 vaccination have been reported in the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
1. Biodistribution of mRNA Vaccines
Several studies on mRNA-based vaccines have confirmed independently that the spleen is a major center of activity for the immune response. A study on an mRNA-based influenza virus vaccine is extremely relevant for answering the question of the biodistribution of the mRNA in the vaccine. This vaccine, like the SARS-CoV-2 vaccines, was designed as lipid nanoparticles with modified RNA coding for hemagglutinin (the equivalent surface fusion protein to the spike protein in corona viruses), and was administered through muscular injection. The concentration of mRNA was tracked over time in various tissue samples, and the maximum concentration observed at each site was recorded. Not surprisingly, the concentration was highest in the muscle at the injection site (5,680 ng/mL). This level decreased slowly over time, reaching half the original value at 18.8 hours following injection. The next highest level was observed in the proximal lymph node, peaking at 2,120 ng/mL and not dropping to half this value until 25.4 hours later. Among organs, the highest levels by far were found in the spleen (86.69 ng/mL) and liver (47.2 ng/mL). Elsewhere in the body the concentration was at 100-to 1,000-fold lower levels. In particular, distal lymph nodes only had a peak concentration of 8 ng/mL. They concluded that the mRNA distributes from the injection site to the liver and spleen via the lymphatic system, ultimately reaching the general circulation. This likely happens through its transport inside macrophages and other immune cells that take it up at the muscular injection site. Disturbingly, it also reaches into the brain, although at much lower levels (Bahl et al., 2017). The European Medicines Agency assessment report for the Moderna vaccine also noted that mRNA could be detected in the brain following intramuscular administration at about 2% of the level found in the plasma (European Medicines Agency, 2021).
In another experiment conducted to track the biodistribution pathway of RNA vaccines, a rabies RNA vaccine was administered intramuscularly to rats in a single dose. The vaccine included a code for an immunogenic rabies protein as well as the code for RNA polymerase and was formulated as an oil-in-water nanoemulsion. Thus, it is not entirely representative of the SARS-CoV-2 mRNA vaccines. Nevertheless, its intramuscular administration and its dependence on RNA uptake by immune cells likely means that it would migrate through the tissues in a similar pathway as the SARS-CoV-2 vaccine. The authors observed an enlargement of the draining lymph nodes, and tissue studies revealed that the rabies RNA appeared initially at the injection site and in the draining lymph nodes within one day, and was also found in blood, lungs, spleen and liver (Stokes et al., 2020). These results are consistent with the above study on influenza mRNA vaccines.
Finally, a study comparing luciferase-expressing mRNA nanoparticles with luciferase-expressing mRNA dendritic cells as an alternative approach to vaccination revealed that the luciferase signal reached a broader range of lymphoid sites with the nanoparticle delivery mechanism. More importantly, the luciferase signal was concentrated in the spleen for the nanoparticles compared to dominance in the lungs for the dendritic cells (Firdessa-Fite and Creuso, 2020).
2. Immune Thrombocytopenia
Immune thrombocytopenia (ITP) has emerged as an important complication of COVID-19 (Bhattacharjee and Banerjee, 2020). In many cases, it emerges after full recovery from the disease, i.e, after the virus has been cleared, suggesting it is an autoimmune phenomenon. A likely pathway by which ITP could occur following vaccination is through the migration of immune cells carrying a cargo of mRNA nanoparticles via the lymph system into the spleen. These immune cells would produce spike protein according to the code in the nanoparticles, and the spike protein would induce B cell generation of IgG antibodies to it.
ITP appears initially as petechiae or purpura on the skin, and/or bleeding from mucosal surfaces. It has a high risk of fatality through haemorrhaging and stroke. ITP is characterized by both increased platelet destruction and reduced platelet production, and autoantibodies play a pivotal role (Sun and Shan, 2019). Platelets are coated by anti-platelet antibodies and immune complexes, and this induces their clearance by phagocytes.
Particularly under conditions of impaired autophagy, the resulting signaling cascade can also result in suppression of production of megakaryocytes in the bone marrow, which are the precursor cells for platelet production (Sun and Shan, 2019). A case study of a patient diagnosed with COVID-19 is revealing because he developed sudden onset thrombocytopenia a couple of days after he had been released from the hospital based on a negative COVID-19 nucleic acid test. Following this development, it was verified that the patient had a reduced number of platelet-producing megakaryocytes, while autoimmune antibodies were negative, suggesting a problem with platelet production rather than platelet destruction (Chen et al., 2020).
Autophagy is essential for clearing damaged proteins, organelles, and bacterial and viral pathogens. Alterations in autophagy pathways are emerging as a hallmark of the pathogenesis of many respiratory viruses, including influenza virus, MERS-CoV, SARS-CoV and, importantly, SARS-CoV-2 (Limanaqi et al., 2020). Autophagy is surely critical in the clearance of spike protein produced by immune cells programmed to produce it through the mRNA vaccines.
One can speculate that impaired autophagy prevents clearance of the spike protein produced by macrophages from the vaccine mRNA. As we will show later, platelets possess autophagic proteins and use autophagy to clear viruses. Impaired autophagy is a characteristic feature of ITP, and it may be key to the autoimmune attack on the platelets (Wang et al., 2019).
3. A Critical Role for the Spleen
The spleen is the largest secondary lymphoid organ in humans and it contains as much as 1/3 of the body’s platelet supplies. The spleen is the primary site for platelet destruction during ITP, as it controls the antibody response against platelets. The two main autoantibodies associated with ITP are against immunoglobulin G (IgG) and the glycoprotein (GP) IIb/IIIa complex on platelets (Aslam et al., 2016).
The spleen plays a central role in the clearance of foreign antigens and the synthesis of IgG by B cells. Upon exposure to an antigen, such as the spike protein, neutrophils in the marginal zone of the spleen acquire the ability to interact with B cells, inducing antibody production (Puga et al., 2011). This is likely crucial for successful vaccination outcome. The pseudouridine modification of mRNA is important for assuring RNA survival long enough for it to reach the spleen. In an experiment on injection of mRNA nanoparticles into mice, both the delivered mRNA and the encoded protein could be detected in the spleen at 1, 4, and 24 hours after injection, at significantly higher levels than when non-modified RNA was used (Karikó et al., 2008).
A sophisticated platelet-neutrophil cross-communication mechanism in the spleen can lead to thrombocytopenia, mediated by a pathological response called NETosis. Platelet-TLR7 (toll-like receptor 7) recognizes influenza particles in circulation and leads to their engulfment and endocytosis by the platelets. After engulfing the viruses, the platelets stimulate neutrophils to release their DNA within Neutrophil Extracellular Traps (NETs) (Koupenova et al., 2019), and the DNA, in excessive amounts, launches a prothrombotic cascade.
4. Lessons from Influenza
The influenza virus, like the corona virus, is a single-strand RNA virus. Thrombocytopenia is a common complication of influenza infection, and its severity predicts clinical outcomes in critically ill patients (Jansen et al., 2020). Platelets contain abundant glycoproteins in their membranes which act as receptors and support adhesion to the endothelial wall. Autoantibodies against platelet glycoproteins are found in the majority of patients with autoimmune thrombocytopenia (Lipp et al., 1998). The influenza virus binds to cells via glycoproteins, and it releases an enzyme called neuraminidase that can break down the glycosaminoglycans bound to the glycoproteins and release them. This action likely exposes the platelet glycoproteins to B cells, inducing autoantibody production. Neuraminidase expressed by the pathogen Streptococcus pneumoniae has been shown to desialylate platelets, leading to platelet hyperactivity (Kullaya et al., 2018).
Platelets appear to play an important role in viral clearance. Within one minute after platelets were incubated together with influenza viruses, the viruses had already attached to the platelets. Subsequent internalization, possibly by phagocytosis, peaked at 30 minutes (Jansen et al., 2020).
The SARS-CoV-2 spike protein binds sialic acid, which means it could attach to glycoproteins in the platelet membranes (Baker et al., 2020). There is a structural similarity between the S1 spike protein in SARS CoV and neuraminidase expressed by the influenza virus, which might mean that the spike protein possesses neuraminidase activity (Zhang et al., 2004). Several viruses express neuraminidase, and it generally acts enzymatically to catabolize the glycans in glycoproteins through desialylation.
Thus, it seems plausible that a dangerous cascade leading to ITP could ensue following mRNA vaccination, even with no live virus present, particularly in the context of impaired autophagy. Immune cells in the arm muscle take up the RNA particles and circulate within the lymph system, accumulating in the spleen. There, the immune cells produce abundant spike protein, which binds to the platelet glycoproteins and desialylates them. Platelet interaction with neutrophils causes NETosis and the launch of an inflammatory cascade. The exposed glycoproteins become targets for autoimmune antibodies that then attack and remove the platelets, leading to a rapid drop in platelet counts, and a life-threatening event.
Activation of Latent Herpes Zoster
An observational study conducted at Tel Aviv Medical Center and the Carmel Medical Center in Haifa, Israel, found a significantly increased rate of herpes zoster following the Pfizer vaccination (Furer 2021). This observational study monitored patients with pre-existing autoimmune inflammatory rheumatic diseases (AIIRD). Among the 491 patients with AIIRD over the study period, 6 (1.2%) were diagnosed with herpes zoster as a first-ever diagnosis between 2 days and 2 weeks after either the first or second vaccination. In the control group of 99 patients there were no herpes zoster cases identified.
The CDC’s VAERS database, queried on April 19, 2021, contains 278 reports of herpes zoster following either the Moderna or Pfizer vaccinations. Given the documented underreporting to VAERS (Lazarus et al. 2010), and given the associational nature of VAERS reports, it is not possible to prove any causal link between the vaccinations and the zoster reports. However, we believe the occurrence of zoster is another important ‘signal’ in VAERS.
This increased risk to shingles, if valid, may have important broader implications. Multiple studies have shown that patients with either primary or acquired immune deficiency are more susceptible to severe herpes zoster infection (Ansari et al., 2020). This suggests that the mRNA vaccines may be suppressing the innate immune response. There is cross-talk between TNF-α and type I interferon in autoimmune disease, wherein each suppresses the other (Palucka et al., 2005). Type I interferon inhibits varicella-zoster virus replication (Ku et al., 2016). TNF-α is sharply upregulated in an inflammatory response, which is induced by the lipid nanoparticles in the vaccine. Its upregulation is also associated with the chronic inflammatory state of rheumatoid arthritis (Matsuno et al., 2002). Exuberant TNF-α expression following vaccination may be interfering with the dendritic cell INF-α response that keeps latent herpes zoster in check.
Spike Protein Toxicity
The picture is now emerging that SARS-CoV-2 has serious effects on the vasculature in multiple organs, including the brain vasculature. As mentioned earlier, the spike protein facilitates entry of the virus into a host cell by binding to ACE2 in the plasma membrane. ACE2 is a type I integral membrane protein that cleaves angiotensin II into angiotensin(1-7), thus clearing angiotensin II and lowering blood pressure. In a series of papers, Yuichiro Suzuki in collaboration with other authors presented a strong argument that the spike protein by itself can cause a signaling response in the vasculature with potentially widespread consequences (Suzuki, 2020; Suzuki et al., 2020; Suzuki et al., 2021; Suzuki and Gychka, 2021). These authors observed that, in severe cases of COVID-19, SARS-CoV-2 causes significant morphological changes to the pulmonary vasculature. Post-mortem analysis of the lungs of patients who died from COVID-19 revealed histological features showing vascular wall thickening, mainly due to hypertrophy of the tunica media. Enlarged smooth muscle cells had become rounded, with swollen nuclei and cytoplasmic vacuoles (Suzuki et al., 2020). Furthermore, they showed that exposure of cultured human pulmonary artery smooth muscle cells to the SARS-CoV-2 spike protein S1 subunit was sufficient to promote cell signaling without the rest of the virus components.
Follow-on papers (Suzuki et al., 2021, Suzuki and Gychka, 2021) showed that the spike protein S1 subunit suppresses ACE2, causing a condition resembling pulmonary arterial hypertension (PAH), a severe lung disease with very high mortality. Their model is depicted here in Figure 2. Ominously, Suzuki and Gychka (2021) wrote: “Thus, these in vivo studies demonstrated that the spike protein of SARS-CoV-1 (without the rest of the virus) reduces the ACE2 expression, increases the level of angiotensin II, and exacerbates the lung injury.” The “in vivo studies” they referred to here (Kuba et al., 2005) had shown that SARS coronavirus-induced lung injury was primarily due to inhibition of ACE2 by the SARS-CoV spike protein, causing a large increase in angiotensin-II. Suzuki et al. (2021) went on to demonstrate experimentally that the S1 component of the SARS-CoV-2 virus, at a low concentration of 130 pM, activated the MEK/ERK/MAPK signaling pathway to promote cell growth. They speculated that these effects would not be restricted to the lung vasculature. The signaling cascade triggered in the heart vasculature would cause coronary artery disease, and activation in the brain could lead to stroke. Systemic hypertension would also be predicted. They hypothesized that this ability of the spike protein to promote pulmonary arterial hypertension could predispose patients who recover from SARS-CoV-2 to later develop right ventricular heart failure. Furthermore, they suggested that a similar effect could happen in response to the mRNA vaccines, and they warned of potential long-term consequences to both children and adults who received COVID-19 vaccines based on the spike protein (Suzuki and Gychka, 2021).
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Figure 2: A simple model for a process by which the spike protein produced through the mRNA vaccines could induce a pathological response distinct from the desirable induction of antibodies to suppress viral entry. Redrawn with permission from Suzuki and Gychka, 2021
An interesting study by Lei et. al. (2021) found that pseudovirus — spheres decorated with the SARS-CoV-2 S1 protein but lacking any viral DNA in their core — caused inflammation and damage in both the arteries and lungs of mice exposed intratracheally. They then exposed healthy human endothelial cells to the same pseudovirus particles. Binding of these particles to endothelial ACE2 receptors led to mitochondrial damage and fragmentation in those endothelial cells, leading to the characteristic pathological changes in the associated tissue. This study makes it clear that spike protein alone, unassociated with the rest of the viral genome, is sufficient to cause the endothelial damage associated with COVID-19. The implications for vaccines intended to cause cells to manufacture the spike protein are clear and are an obvious cause for concern.
Neurological symptoms associated with COVID-19, such as headache, nausea and dizziness, encephalitis and fatal brain blood clots are all indicators of damaging viral effects on the brain. Buzhdygan et al. (2020) proposed that primary human brain microvascular endothelial cells could cause these symptoms. ACE2 is ubiquitously expressed in the endothelial cells in the brain capillaries. ACE2 expression is upregulated in the brain vasculature in association with dementia and hypertension, both of which are risk factors for bad outcomes from COVID-19. In an in vitro study of the blood-brain barrier, the S1 component of the spike protein promoted loss of barrier integrity, suggesting that the spike protein acting alone triggers a pro-inflammatory response in brain endothelial cells, which could explain the neurological consequences of the disease (Buzhdygan et al., 2020). The implications of this observation are disturbing because the mRNA vaccines induce synthesis of the spike protein, which could theoretically act in a similar way to harm the brain.
The spike protein generated endogenously by the vaccine could also negatively impact the male testes, as the ACE2 receptor is highly expressed in Leydig cells in the testes (Verma et al., 2020). Several studies have now shown that the coronavirus spike protein is able to gain access to cells in the testes via the ACE2 receptor, and disrupt male reproduction (Navarra et al., 2020; Wang and Xu, 2020). A paper involving postmortem examination of testicles of six male COVID-19 patients found microscopic evidence of spike protein in interstitial cells in the testes of patients with damaged testicles (Achua et al., 2021).
A Possible Link to Prion Diseases and Neurodegeneration
Prion diseases are a collection of neurodegenerative diseases that are induced through the misfolding of important bodily proteins, which form toxic oligomers that eventually precipitate out as fibrils causing widespread damage to neurons. Stanley Prusiner first coined the name `prion’ to describe these misfolded proteins (Prusiner, 1982). The best-known prion disease is MADCOW disease (bovine spongiform encephalopathy), which became an epidemic in European cattle beginning in the 1980s. The CDC web site on prion diseases states that “prion diseases are usually rapidly progressive and always fatal.”(Centers for Disease Control and Prevention, 2018). It is now believed that many neurodegenerative diseases, including Alzheimer’s, Parkinson’s disease, and amyotrophic lateral sclerosis (ALS) may be prion diseases, and researchers have identified specificproteinaceous infectious particles linked to these diseases (Weickenmeier et al., 2019).
Furthermore, researchers have identified a signature motif linked to susceptibility to misfolding into toxic oligomers, called the glycine zipper motif. It is characterized by a pattern of two glycine residues spaced by three intervening amino acids, represented as GxxxG. The bovine prion linked to MADCOW has a spectacular sequence of ten GxxxGs in a row (see uniprot.org/uniprot/P10279).
More generally, the GxxxG motif is a common feature of transmembrane proteins, and the glycines play an essential role in cross-linking α-helices in the protein (Mueller et al., 2014). Prionproteins become toxic when the α-helices misfold as β-sheets, and the protein is then impaired in its ability to enter the membrane (Prusiner, 1982). Glycines within the glycine zipper transmembrane motifs in the amyloid-β precursor protein (APP) play a central role in the misfolding of amyloid-β linked to Alzheimer’s disease (Decock et al., 2016). APP contains a total of four GxxxG motifs.
When considering that the SARS-CoV-2 spike protein is a transmembrane protein, and that it contains five GxxxG motifs in its sequence (see uniprot.org/uniprot/P0DTC2), it becomes extremely plausible that it could behave as a prion. One of the GxxxG sequences is present within its membrane fusion domain. Recall that the mRNA vaccines are designed with an altered sequencethat replaces two adjacent amino acids in the fusion domain with a pair of prolines. This is done intentionally in order to force the protein to remain in its open state and make it harder for it to fuse with the membrane. This seems to us like a dangerous step towards misfolding potentially leading to prion disease.
A paper published by J. Bart Classen (2021) proposed that the spike protein in the mRNA vaccines could cause prion-like diseases, in part through its ability to bind to many known proteins andinduce their misfolding into potential prions. Idrees and Kumar (2021) have proposed that the spike protein’s S1 component is prone to act as a functional amyloid and form toxic aggregates. These authors wrote that S1 has the ability “to form amyloid and toxic aggregates that can act as seeds to aggregate many of the misfolded brain proteins and can ultimately lead to neurodegeneration.”
According to Tetz and Tetz (2020), the form of the spike protein in SARS-CoV-2 has prion regions that are not present in the spike proteins for other coronaviruses. While this was reported in a non-peer-reviewed article, the authors had published a previous paper in 2018 identifying prion-like regions in multiple eukaryotic viruses, so they have considerable expertise in this area (Tetz and Tetz, 2018).
A final point here relates to information about the Pfizer vaccine in particular. The European Medicines Agency (EMA) Public Assessment Report is a document submitted to gain approval to market the vaccine in Europe. It describes in detail a review of the manufacturing process as well as a wide range of associated testing data. One concerning revelation is the presence of “fragmented species” of RNA in the injection solution. These are RNA fragments resulting from early termination of the process of transcription from the DNA template. These fragments, if translated by the cell following injection, would generate incomplete spike proteins, again resulting in altered and unpredictable three-dimensional structure and a physiological impact that is at best neutral and at worst detrimental to cellular functioning. There were considerably more of these fragmented forms of RNA found in the commercially manufactured products than in the products used in clinical trials. The latter were produced via a much more tightly controlled manufacturing process.
Pfizer claims the RNA fragments “likely… will not result in expressed proteins” due to their assumed rapid degradation within the cell. No data was presented to rule out protein expression, though, leaving the reviewers to comment, “These [fragmented RNA] forms are poorly characterised, and the limited data provided for protein expression do not fully address the uncertainties relating to the risk of translating proteins/peptides other than the intended spike protein” (EMA 2020). To our knowledge no data has been forthcoming since that time.
While we are not asserting that non-spike proteins generated from fragmented RNA would be misfolded or otherwise pathological, we believe they would at least contribute to the cellular stress that promotes prion-associated conformational changes in the spike protein that is present.
1. Lessons from Parkinson’s Disease
Parkinson’s disease is a neurodegenerative disease associated with Lewy body deposits in the brain, and the main protein found in these Lewy bodies is α-synuclein. That protein, α-Synuclein, is certainly prion-like insofar as under certain conditions it aggregates into toxic soluble oligomers and fibrils (Lema Tomé et al., 2013). Research has shown that misfolded α-synuclein can form first in the gut and then travel from there to the brain along the vagus nerve, probably in the form of exosomes released from dying cells where the misfolded protein originated (Kakarla et al., 2020; Steiner et al., 2011). The cellular conditions that promote misfolding include both an acidic pH and high expression of inflammatory cytokines. It is clear that the vagus nerve is critical for transmission of misfolded proteins to the brain, because severance of the vagus nerve protects from Parkinson’s. Vagus nerve atrophy in association with Parkinson’s disease provides further evidence of the involvement of the vagus nerve in transport of misfolded α-synuclein oligomers from the gut to the brain (Walter et al., 2018). Another pathway is through the olfactory nerve, and a loss of a sense of smell is an early sign of Parkinson’s disease. Ominously, diminution or loss of the sense of smell is also a common symptom of SARS-CoV-2 infection.
There are many parallels between α-synuclein and the spike protein, suggesting the possibility of prion-like disease following vaccination. We have already shown that the mRNA in the vaccine ends up in high concentrations in the liver and spleen, two organs that are well connected to the vagus nerve. The cationic lipids in the vaccine create an acidic pH conducive to misfolding, and they also induce a strong inflammatory response, another predisposing condition.
Germinal centers are structures within the spleen and other secondary lymphoid organs where follicular dendritic cells present antigens to Bcells, which in turn perfect their antibody response. Researchers have shown that mRNA vaccines, in contrast with recombinant protein vaccines, elicit a robust development of neutralizing antibodies at these germinal centers in the spleen (Lederer et al., 2020). However, this also means that mRNA vaccines induce an ideal situation for prion formation from the spike protein, and its transport via exosomes along the vagus nerve to the brain.
Studies have shown that prion spread from one animal to another first appears in the lymphoid tissues, particularly the spleen. Differentiated follicular dendritic cells are central to the process, as they accumulate misfolded prion proteins (Al-Dybiat et al., 2019). An inflammatory response upregulates synthesis of α-synuclein in these dendritic cells, increasing the risk of prion formation. Prions that accumulate in the cytoplasm are packaged up into lipid bodies that are released as exosomes (Liu et al., 2017). These exosomes eventually travel to the brain, causing disease.
2. Vaccine Shedding
There has been considerable chatter on the Internet about the possibility of vaccinated people causing disease in unvaccinated people in close proximity. While this may seem hard to believe, there is a plausible process by which it could occur through the release of exosomes from dendritic cells in the spleen containing misfolded spike proteins, in complex with other prion reconformed proteins. These exosomes can travel to distant places. It is not impossible to imagine that they are being released from the lungs and inhaled by a nearby person. Extracellular vesicles, including exosomes, have been detected in sputum, mucus, epithelial lining fluid, and bronchoalveolar lavage fluid in association with respiratory diseases (Lucchetti et al., 2021).
A Phase 1/2/3 study undertaken by BioNTech on the Pfizer mRNA vaccine implied in their study protocol that they anticipated the possibility of secondary exposure to the vaccine (BioNTech, 2020). The protocol included the requirement that “exposure during pregnancy” should be reported by the study participants. They then gave examples of “environmental exposure during pregnancy” which included exposure “to the study intervention by inhalation or skin contact.” They even suggested two levels of indirect exposure: “A male family member or healthcare provider who has been exposed to the study intervention by inhalation or skin contact then exposes his female partner prior to or around the time of conception.”
Emergence of Novel Variants of SARS-CoV-2
An interesting hypothesis has been proposed in a paper published in Nature, which described a case of serious COVID-19 disease in a cancer patient who was taking immune-suppressing cancer chemotherapy drugs (Kemp et al., 2021). The patient survived for 101 days after admission to the hospital, finally succumbing in the battle against the virus. The patient constantly shed viruses over the entire 101 days, and therefore he was moved to a negative-pressure high air-change infectious disease isolation room, to prevent contagious spread.
During the course of the hospital stay, the patient was treated with Remdesivir and subsequently with two rounds of antibody-containing plasma taken from individuals who had recovered from COVID-19 (convalescent plasma). It was only after the plasma treatments that the virus began to rapidly mutate, and a dominant new strain eventually emerged, verified from samples taken from the nose and throat of the patient. An immune-compromised patient offers little support from cytotoxic T cells to clear the virus.
An in vitro experiment demonstrated that this mutant strain had reduced sensitivity to multiple units of convalescent plasma taken from several recovered patients. The authors proposed that the administered antibodies had actually accelerated the mutation rate in the virus, because the patient was unable to fully clear the virus due to their weak immune response. This allowed a “survival of the fittest” program to set in, ultimately populating the patient’s body with a novel antibody-resistant strain. Prolonged viral replication in this patient led to “viral immune escape,” and similar resistant strains could potentially spread very quickly within an exposed population (Kemp et al., 2021). Indeed, a similar process might plausibly be at work to produce the highly contagious new strains that are now appearing in the United Kingdom, South Africa and Brazil.
There are at least two concerns that we have regarding this experiment, in relation to the mRNA vaccines. The first is that, via continued infection of immune-compromised patients, we can expect continued emergence of more novel strains that are resistant to the antibodies induced by the vaccine, such that the vaccine may quickly become obsolete, and there may well be demands for the population to undergo another mass vaccination campaign. Already a published study by researchers from Pfizer has shown that vaccine effectiveness is reduced for many of these variant strains. The vaccine was only 2/3 as effective against the South African strain as against the original strain (Liu et al., 2021).
The second more ominous consideration is to ponder what will happen with an immune-compromised patient following vaccination. It is conceivable that they will respond to the vaccine by producing antibodies, but those antibodies will be unable to contain the disease following exposure to COVID-19 due to impaired function of cytotoxic T cells. This scenario is not much different from the administration of convalescent plasma to immune-compromised patients, and so it might engender the evolution of antibody-resistant strains in the same way, only on a much grander scale. This possibility will surely be used to argue for repeated rounds of vaccines every few months, with increasing numbers of viral variants coded into the vaccines. This is an arms race that we will probably lose.
Potential for Permanent Incorporation of Spike Protein Gene into human DNA
It has been claimed that mRNA-based vaccines are safer than DNA-vectored vaccines that work by incorporating the genetic code for the target antigenic protein into a DNA virus, because the RNA cannot become inadvertently incorporated into the human genome. However, it is not at all clear that this is true. The classic model of DNA → RNA → protein is now known to be false. It is now indisputable that there is a large class of viruses called retroviruses that carry genes that reverse transcribe RNA back into complementary DNA (cDNA). In 1975, Howard Temin, Renato Dulbecco, and David Baltimore shared the Nobel Prize in Physiology or Medicine in 1975 for their discovery of reverse transcriptase and its synthesis by retroviruses (such as human immunodeficiency virus (HIV)) to derive DNA from RNA (Temin and Mizutani, 1970, Baltimore, 1970).
Much later, it was discovered that reverse transcriptase is not unique to retroviruses. More than a third of the human genome is devoted to mysterious mobile DNA elements called SINEs and LINEs (short and long interspersed nuclear elements, respectively). LINEs provide reverse transcriptase capabilities to convert RNA into DNA, and SINEs provide support for integrating the DNA into the genome. Thus, these elements provide the tools needed toconvert RNA into DNA and incorporate it into the genome so as to maintain the new gene through future generations (Weiner, 2002).
SINEs and LINEs are members of a larger class of genetic elements called retrotransposons. Retrotransposons can copy and paste their DNA to a new site in the genome via an RNA intermediate, while possibly introducing genetic alterations in the process (Pray, 2008). Retrotransposons, also known as “jumping genes,” were first identified by the geneticist Barbara McClintock of Cold Spring Harbor Laboratory in New York, over 50 years ago (McClintock, 1965). Much later, in 1983, she was recognized with a Nobel prize for this work.
Remarkably, retrotransposons seem to be able to expand their domain from generation to generation. LINEs and SINEs collaborate to invade new genomic sites through translation of their DNA to RNA and back to a fresh copy of DNA, which is then inserted at an AT-rich region of the genome. These LINEs and SINEs had long been considered to be “junk” DNA, an absurd idea that has now been dispelled, as awareness of their critical functions has grown. In particular, it has now become clear that they can also import RNA from an exogenous source into a mammalian host’s DNA. Retroviral-like repeat elements found in the mouse genome called intracisternal A particles (IAPs) have been shown to be capable of incorporating viral RNA into the mouse genome. Recombination between an exogenous nonretroviral RNA virus and an IAP retrotansposon resulted in reverse transcription of the viral RNA and integration into the host’s genome (Geuking et al., 2009).
Furthermore, as we shall see later, the mRNA in the new SARS-CoV-2 vaccines could also get passed on from generation to generation, with the help of LINEs expressed in sperm, via non-integrated cDNA encapsulated in plasmids. The implications of this predictable phenomenon are unclear, but potentially far-reaching.
1. Exogenous and Endogenous Retroviruses
There is also a concern that the RNA in the mRNA vaccines could be transferred into the human genome with assistance from retroviruses. Retroviruses are a class of viruses that maintain their genomic information in the form of RNA, but that possess the enzymes needed to reverse transcribe their RNA into DNA and insert it into a host genome. They then rely on existing natural tools from the host to produce copies of the virus through translation of DNA back into RNA and to produce the proteins that the viral RNA codes for and assemble them into a fresh viral particle (Lesbats et al., 2016).
Human endogenous retroviruses (HERVs) are benign sections in the DNA of humans that closely resemble retroviruses, and that are believed to have become permanent sequences in the human genome through a process of integration from what was originally an exogenous retrovirus. Endogenous retroviruses are abundant in all jawed vertebrates and are estimated to occupy 5-8% of the human genome. The protein syncytin, which has become essential for placental fusion with the uterine wall and for the fusion step between the sperm and the egg at fertilization, is a good example of an endogenous retroviral protein. Syncytin is the envelope gene of a recently identified human endogenous defective retrovirus, HERV-W (Mi et al., 2000). During gestation, the fetus expresses high levels of another endogenous retrovirus, HERV-R, and it appears to protect the fetus from immune attack from the mother (Luganini and Gribaudo, 2020). Endogenous retroviral elements closely resemble retrotransposons. Their reverse transcriptase, when expressed, has the theoretical capability to convert spike protein RNA from the mRNA vaccines into DNA.
2. Permanent DNA integration of Exogenous Retrovirus Genes
Humans are colonized by a large collection of exogenous retroviruses that in many casescause no harm to the host, and may even be symbiotic (Luganini and Gribaudo, 2020). Exogenous viruses can be converted to endogenous viruses (permanently incorporated into host DNA) in the laboratory, as demonstrated by Rudolf Jaenisch (Jaenisch, 1976), who infected preimplantation mouse embryos with the Moloney murine leukemia virus (M-MuLV). The mice generated from these infected embryos developed leukemia, and the viral DNA was integrated into their germ line and transmitted to their offspring. Besides the incorporation of viral DNA into the host genome, it was also shown as early as 1980 that DNA plasmids could be microinjected into the nuclei of mouse embryos to produce transgenic mice that breed true (Gordon et al., 1980). The plasmid DNA was incorporated into the nuclear genome of the mice through existing natural processes, thus preserving the newly acquired genetic information in the offspring’s genome. This discovery has been the basis for many genetic engineering experiments on transgenic mice engineered to express newly acquired human genes since then (Bouabe and Okkenhaug, 2013).
3. LINE-1 is Widely Expressed
LINEs alone make up over 20% of the human genome. The most common LINE is LINE-1, which encodes a reverse transcriptase that regulates fundamental biological processes. LINE-1 is expressed in many cell types, but at especially high levels in sperm. Sperm cells can be used as vectors of both exogenous DNA and exogenous RNA molecules through sperm-mediated gene transfer assays. Sperm can reverse transcribe exogenous RNA directly into cDNA and can deliver plasmids packaging up this cDNA to the fertilized egg. These plasmids are able to propagate themselves within the developing embryo and to populate many tissues in the fetus. In fact, they survive into adulthood as extrachromosomal structures and are capable of being passed on to progeny. These plasmids are transcriptionally competent, meaning that they can be used to synthesize proteins encoded by the DNA they contain (Pittoggi et al., 2006).
In addition to sperm, embryos also express reverse transcriptase prior to implantation, and its inhibition causes developmental arrest. LINE-1 is also expressed by cancer cells, and RNA interference-mediated silencing of human LINE-1 induces differentiation in many cancer cell lines. Reverse-transcriptase machinery is implicated in the genesis of new genetic information, both in cancer cells and in germ cells. Many tumor tissues have been found to express high levels of LINE-1, and to contain many extrachromosomal plasmids in their nucleus. Malignant gliomas are the primary tumors of the central nervous system. It has been shown experimentally that these tumors release exosomes containing DNA, RNA and proteins, that end up in the general circulation (Vaidya and Sugaya, 2020). LINE-1 is also highly expressed in immune cells in several autoimmune diseases such as systemic lupus erythematosus, Sjögrens and psoriasis (Zhang et al., 2020).
4. Integrating Spike Protein Gene into Human Genome
Remarkably, it has been demonstrated that neurons from the brain of Alzheimer’s patients harbor multiple variants of the gene for amyloid precursor protein APP, incorporated into the genome, which are created through a process called somatic gene recombination (SGR) (Kaeser et al., 2020). SGR requires gene transcription, DNA strand-breaks, and reverse transcriptase activity, all of which may be promoted by well-known Alzheimer’s disease risk factors. The DNA coding for APP is reverse transcribed into RNA and then transcribed back into DNA and incorporated into the genome at a strand break site. Since RNA is more susceptible to mutations, the DNA in these mosaic copies contains many mutant variants of the gene, so the cell becomes a mosaic, capable of producing multiple variants of APP. Neurons from Alzheimer’s patients contained as many as 500 million base pairs of excess DNA in their chromosomes (Bushman et al., 2015).
Researchers from MIT and Harvard published a disturbing paper in 2021, where they provided strong evidence that the SARS-CoV-2 RNA can be reverse transcribed into DNA and integrated into human DNA (Zhang et al., 2021). They were led to investigate this idea after having observed that many patients continue to test positive for COVID-19 after the virus has already been cleared from their body. The authors found chimeric transcripts that contained viral DNA sequences fused to cellular DNA sequences in patients who had recovered from COVID-19. Since COVID-19 often induces a cytokine storm in severe cases, they confirmed the possibility of enhanced reverse transcriptase activity through an in vitro study using cytokine-containing conditioned media in cell cultures. They found a 2-3-fold upregulation of endogenous LINE-1 expression in response to cytokines. The exogenous RNA from the virus incorporated into human DNA could produce fragments of viral proteins indefinitely after the infection has been cleared, and this yields a false-positive on a PCR test.
5. Bovine Viral Diarrhea: A Disturbing Model
Bovine Viral Diarrhea (BVD) is an infectious viral disease that affects cattle throughout the world. It is a member of the class of pestiviruses, which are small, spherical, single-stranded, enveloped RNA viruses. The disease is associated with gastrointestinal, respiratory and reproductive diseases. A unique characteristic of BVD is that the virus can cross the placenta of an infected pregnant dam. This can result in the birth of a calf which carries intra-cellular viral particles which it mistakes as `self.’ Its immune system refuses to recognize the virus as a foreign invasion, and, as a result, the calf sheds the virus in large quantities throughout its life, potentially infecting the entire herd. It has become a widespread practice to identify such carrier calves and cull them from the herd in an attempt to curtail infection (Khodakaram-Tafti & Farjanikish, 2017).
It seems plausible that a dangerous situation may arise in the future where a woman receives an mRNA vaccine for SARS-CoV-2 and then conceives a child shortly thereafter. The sperm would be free to take up RNA-embedded liposomes from the vaccine and convert them to DNA using LINE-1. They would then produce plasmids containing the code for the spike protein which would be taken up by the fertilized egg through the process described above. The infant that is born is then potentially unable to mount antibodies to the spike protein because their immune system considers it to be `self.’ Should that infant get infected with SARS-CoV-2 at any time in its lifespan, its immune system would not mount a defense against the virus, and the virus would presumably be free to multiply in the infant’s body without restraint. The infant would logically become a super-spreader in such a situation. Admittedly, this is speculation at this time, but there is evidence from what we know about retrotransposons, sperm, fertilization, the immune system and viruses, that such a scenario cannot be ruled out. It has already been demonstrated in mouse experiments that the genetic elements in DNA vector vaccines, which are essentially plasmids, can integrate into the host genome (Wang et al., 2004). In fact, such a process has been suggested as a basis for Lamarckian evolution defined as the inheritance of acquired traits (Steele, 1980).
The realization that what was formerly called “junk DNA” is not junk, is just one of the results coming out of the new philosophical paradigm in human language, biology and genetics that is based on fractal genomics (Pellionisz, 2012) — a paradigm that Pellionisz has linked to the involvement of « true narrative representations » (TNRs; Oller, 2010), realized as “iterations of a fractal template” in the highly repetitive processes of normal development of the many branching structures of the human body. These processes are numerous in the lungs, kidneys, veins and arteries, and most importantly in the brain. The mRNA vaccines are an experimental gene therapy with the potential to incorporate the code for the SARS-CoV-2 spike protein into human DNA. This DNA code could instruct the synthesis of large numbers of copies of proteinaceous infectious particles, and this has the potential to insert multiple false signals into the unfolding narrative, resulting in unpredictable outcomes.
Conclusion
Experimental mRNA vaccines have been heralded as having the potential for great benefits, but they also harbor the possibility of potentially tragic andeven catastrophic unforeseen consequences. The mRNA vaccines against SARS-CoV-2 have been implemented with great fanfare, but there are many aspects of their widespread utilization that merit concern. We have reviewed some, but not all, of those concerns here, and we want to emphasize that these concerns are potentially serious and might not be evident for years or even transgenerationally. In order to adequately rule out the adverse potentialities described in this paper, we recommend, at a minimum, that the following research and surveillance practices be adopted:
A national effort to collect detailed data on adverse events associated with the mRNA vaccines with abundant funding allocation, tracked well beyond the first couple of weeks after vaccination.
Repeated autoantibody testing of the vaccine-recipient population. The autoantibodies tested could be standardized and should be based upon previously documented antibodies and autoantibodies potentially elicited by the spike protein. These include autoantibodies against phospholipids, collagen, actin, thyroperoxidase (TPO), myelin basic protein, tissue transglutaminase, and perhaps others.
Immunological profiling related to cytokine balance and related biological effects. Tests should include, at a minimum, IL-6, INF-α, D-dimer, fibrinogen, and C-reactive protein.
Studies comparing populations who were vaccinated with the mRNA vaccines and those who were not to confirm the expected decreased infection rate and milder symptoms of the vaccinated group, whileat the same time comparing the rates of various autoimmune diseases and prion diseases in the same two populations.
Studies to assess whether it is possible for an unvaccinated person to acquire vaccine-specific forms of the spike proteins from a vaccinated person in close proximity.
In vitro studies to assess whether the mRNA nanoparticles can be taken up by sperm and converted into cDNA plasmids.
Animal studies to determine whether vaccination shortly before conception can result in offspring carrying spike-protein-encoding plasmids in their tissues, possibly integrated into their genome.
In vitro studies aimed to better understand the toxicity of the spike protein to the brain, heart, testes, etc.
Public policy around mass vaccination has generally proceeded on the assumption that the risk/benefit ratio for the novel mRNA vaccines is a “slam dunk.” With the massive vaccination campaign well under way in response to the declared international emergency of COVID-19, we have rushed into vaccine experiments on a world-wide scale. At the very least, we should take advantage of the data that are available from these experiments to learn more about this new and previously untested technology. And, in the future, we urge governments to proceed with more caution in the face of new biotechnologies.
Finally, as an obvious but tragically ignored suggestion, the government should also be encouraging the population to take safe and affordable steps to boost their immune systems naturally, such as getting out in the sunlight to raise vitamin D levels (Ali, 2020), and eating mainly organic whole foods rather than chemical-laden processed foods (Rico-Campà et al., 2019). Also, eating foods that are good sources of vitamin A, vitamin C and vitamin K2 should be encouraged, as deficiencies in these vitamins are linked to bad outcomes from COVID-19 (Goddek, 2020; Sarohan, 2020)
Acknowledgements
This research was funded in part by Quanta Computers, Inc., Taiwan, under the auspices of the Qmulus project.
Competing interests
The authors have no competing interests or conflicts to declare.
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Reiner Fuellmich : Encore une fois, excusez-moi mais c’était extrêmement important. Nous avons beaucoup appris de notre « Quincy« , médecin-légiste maison, le Pr Burkhardt. Vous vous souvenez probablement de cette série télévisée, oui? [..] Je vous ai vu dans de nombreuses interviews, l’une d’entre elles sur Fox Television – je pense que la dernière était celle où vous avez déstabilisé l’animateur, Tucker Carlson. Quelle est votre opinion sur cette situation? Nous savons que beaucoup de médecins ont en quelque sorte changé d’avis au fil du temps, quand ils ont commencé à voir les nombreuses preuves qui indiquent qu’il n’y a vraiment pas de pandémie réelle mais qu’il se passe quelque chose d’autre. Que pensez-vous de ce qui se passe?
Dr Peter McCullough : Mon analyse en bref, c’est que je pense que nous sommes confrontés à une forme de bioterrorisme. Au niveau mondial. Il semblerait qu’il y a derrière tout ça de nombreuses années de planification, et que la première vague de ce bioterrorisme était un virus respiratoire qui s’est propagé à travers le monde, a touché relativement peu de personnes, environ un pour cent dans de nombreuses populations, mais a généré une grande peur. Le virus a provoqué un certain nombre de décès chez les personnes très fragiles et les personnes âgées. Sinon, pour les gens en bonne santé, ce n’était pas pire qu’un simple rhume. Mais cette peur a très rapidement été instrumentalisée, je trouve, de manière surprenante, pour exercer une énorme influence sur la vie humaine, les confinements et tout ce que nous savons. Et tout ce qui a été fait dans le cadre de la réponse de la santé publique à la pandémie a aggravé la situation. Les tests excessifs et même les confinements ont probablement aggravé la situation car le virus a évolué au fil du temps pour devenir plus contagieux. Chaque réponse a aggravé la situation.
Ce qui m’a fait m’impliquer en tant que médecin, c’est que je pensais que le virus allait être assez facile à traiter, une fois que nous avions compris qu’il y avait trois phases : la réplication, la tempête de cytokines et la thrombose. Et aussitôt que j’ai promulgué un traitement précoce, j’ai commencé à rencontrer une résistance à tous les niveaux vis-à-vis du traitement réel des patients, puis de la publication d’articles. Je suis l’éditeur de deux grandes revues, je suis dans le domaine de la publication, donc heureusement, j’ai eu assez de poids dans ce domaine pour arriver à publier ce qui constitue essentiellement les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter le Covid-19 à la maison, pour éviter l’hospitalisation et la mort. Nous avons fait de notre mieux, sans aucun financement ni aucun soutien du gouvernement, et nous avons démontré que ça se traduisait par une réduction d’environ 85% des hospitalisations et des décès.
Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée au développement d’un vaccin. Et l’ensemble du programme, lorsque, dans un sens, la première phase du bioterrorisme a été mise en place, visait en fait à maintenir la population dans la peur et l’isolement et à la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase deux de cette opération de bioterrorisme. Le virus respiratoire et le vaccin introduisent tout deux dans le corps humain la protéine de pointe, le gain de fonction ciblé par cette recherche en bioterrorisme. Je ne peux pas déballer tout ça à la télévision nationale, ni aujourd’hui ni demain. Mais ce que nous avons appris au fil du temps, c’est que nous ne pouvions même plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions même plus communiquer avec nos collègues propagandisés des grands centres médicaux, qui semblent tous être envoûtés – c’est presque comme s’ils étaient hypnotisés en ce moment. Et les médecins, les bons médecins, font des choses impensables, comme d’injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif, qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que quand les médecins se réveilleront de leur transe, ils seront aterrés de voir ce qu’ils ont infligé aux gens.
Notre stratégie était d’organiser, il y a beaucoup de groupes. Un groupe aux États-Unis appelé C-19, que j’ai organisé, beaucoup d’entre vous reçoivent leurs e-mails. Il comprend environ 1.000 personnes. Un autre groupe s’appelle le FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Un autre groupe international s’appelle Panda, je pourrais m’y impliquer. Il y a aussi Heart, Bird et Covid Medical Network, Treatment Domiciliary en Italie. On en est arrivé au point où les gens [inaudible] traitement précoce. Les gouvernements ont en fait essayé de bloquer le moindre milligramme de traitement pour quiconque. Nous avons donc décidé que nous devions transmettre notre message aux gens d’ici l’été. Il y a une association de médecins qui a travaillé avec nous, l’Association of American Physicians and Surgeons. Nous avons créé un guide du patient à domicile. Nous avons organisé aux États-Unis quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux. Nous avons réussi à toucher les gens et ceux qui sont tombés malades du Covid-19 ont appelé et ont obtenu des médicaments sur prescription dans les pharmacies locales ou à une pharmacie de distribution par correspondance. Et sans que le gouvernement comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons aplati la courbe épidémique aux États-Unis vers fin décembre, janvier. Nous avons fondamentalement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et services de télémédecine. Et à ce jour, nous traitons environ 25% de la population américaine à haut risque touchée par le Covid-19, les personnes âgées de plus de 50 ans, qui souffrent de problèmes médicaux ou qui présentent des symptômes graves. Nous avons fondamentalement géré la pandémie et en même temps, nous avons essayé de nous maintenir au-dessus de la mêlée politique. Et nous comprenons que la suppression du traitement précoce est étroitement liée à la vaccination.
Ensuite, nous avons attendu que soient diffusées toutes les nouvelles sur la vaccination et nous travaillons à changer la vision du vaccin dans le public . Le public a d’abord accepté le vaccin et nous avons entrepris de lui faire faire lentement demi-tour. Maintenant, les taux de vaccination aux États-Unis sont en baisse depuis le 8 avril et ils continuent de baisser chaque jour. Les centres de vaccination que je vois sont complètement vides et aux États-Unis, on tente désespérément de convaincre les gens de se faire vacciner. On offre des loteries dotées de prix d’un million de dollars. Toutes les universités qui tentent d’imposer la vaccination de force se heurtent à une résistance. Je suis l’expert principal dans l’affaire Bellwether Houston Methodist, qui est actuellement plaidée devant un juge du Texas [NdT. qui l’a rejetée avec une mauvaise foi spectaculaire] et qui va être rapidement portée devant la Cour Suprême du Texas, [une affaire] où l’Hôpital Méthodiste de Houston – un hôpital de premier plan – tente de forcer ses employés à recevoir le vaccin. Nous avons déjà appris que ça ira jusque devant la Cour Suprême. Ce sera une affaire à très haute visibilité. Nous sommes donc très actifs aux États-Unis, nous engageons de plus en plus d’avocats. C’est formidable de vous avoir, vous et votre équipe, impliqués au niveau international et j’imagine que nos positions sur presque tout ce que je viens de dire sont alignées.
Reiner Fuellmich : Permettez-moi de traduire rapidement mais donnez-nous une chance car je ne veux pas être impoli mais j’ai complètement oublié de vous présenter car je pensais que tout le monde vous connaissait. Je pense que la plupart des gens vous connaissent, mais parlez-nous un peu de votre parcours.
Dr Peter McCullough : Donc permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Peter McCullough, je suis Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor, Dallas, je pratique la médecine interne et la cardiologie. Lorsque la pandémie a frappé, j’ai recentré tous mes efforts sur Covid-19. Je suis rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, je suis rédacteur en chef de Cardiorenal Medicine, c’est mon domaine de recherche, rédacteur en chef associé principal de l’American Journal of Cardiology, je suis président de la Cardiorenal Society et dans le domaine des interactions cardiaques et rénales, je suis la personne la plus publiée dans mon domaine au monde dans l’histoire. Et j’ai acquis une grande expérience dans le traitement du Covid-19. J’ai publié les deux principaux articles sur le traitement et j’ai dirigé l’initiative de traitement précoce aux États-Unis. Donc, que les gens le veuillent ou non, j’ai assis mon autorité médicale en accomplissant ces actions dans une plus large mesure que quiconque dans les agences de santé publique ou que tout autre médecin des médias.
Reiner Fuellmich : Merci beaucoup. Nous sommes vraiment très heureux que vous soyez de notre côté, extrêmement reconnaissants. Je vais traduire ça. […] Il semble donc qu’aux États-Unis au moins, les choses changent vraiment en ce moment.
Dr Peter McCullough : Oui, nous avons clairement eu un impact. Je vis au Texas où nous n’avons jamais subi de confinement, j’étais un ardent partisan de la politique de laisser tout ouvert. Nous avons 35 médecins traitants prêts à aller à l’encontre des centres médicaux et à soigner les patients. Nous avons réussi à convaincre notre gouverneur de publier un décret exécutif qui reconnaît l’immunité naturelle, qui interdit toute obligation vaccinnale par les agences publiques, qui interdit les passeports vaccinaux, qui interdit tout passeport discriminatoire. Nous avons récemment fait adopter une loi similaire pour les employeurs privés. Cependant, nous n’avons pas pu interdire aux employeurs privés d’exiger le vaccin, de sorte que cet aspect va être porté devant les tribunaux. Dans l’affaire du Houston Methodist Bellwether, nous sommes très actifs. Il y a America’s Frontline Doctors, un autre groupe, qui a déposé en Alabama une ordonnance restrictive temporaire contre la vaccination pédiatrique. Et nous avons déposé des dossiers devant l’État du Maine contre l’encodage erroné des résultats des tests positifs, qui gonfle le nombre de cas et de décès. Nous agissons dans des domaines très variés. Nous avons des alliés à Washington, le Sénateur Ron Johnson et le Sénateur Rand Paul. Nous avons des alliés dans les médias, principalement Fox News, Real News et OAN. Nous n’avons pas encore CNN ou MSNBC. Mais le groupe C-19, que j’ai plus ou moins créé, passe maintenant à la télévision nationale presque tous les soirs aux États-Unis pour fournir un contre-point de vue à Anthony Fauci et à Walensky, au CDC et au NIH et nous faisons appel à différents experts et continuons à apparaître au peuple américain comme ayant davantage de crédibilité scientifique que les agences.
Viviane Fischer : Et pourquoi pensez-vous que cette fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour vous permettre de passer à la télévision nationale? Ce n’est pas rien. Ici, à ce stade, c’est fondamentalement impossible.
Dr Peter McCullough : Nous avons bénéficié d’une aide dans les médias. Il y avait des gens aux yeux ouverts, prêts à diffuser des interviews de haut niveau. Nous avons de bons contacts sur les réseaux sociaux partout dans le monde, qui ont vraiment servi à amplifier ce courant. Bien que nous soyons constamment censurés sur Twitter et YouTube, nous continuons à trouver de nouvelles stratégies pour faire valoir nos arguments. Nous fonctionnons sur base de preuves. Les États-Unis, c’est un pays de rebelles et de gens qui aiment enfreindre la loi et c’est ce que nous sommes. Il y a Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, il y a beaucoup de gens très connus. Le Sénateur Rand Paul a déclaré « Je ne recevrai pas ce vaccin, j’ai eu le Covid-19. » Le Sénateur Johnson aussi. Sebastian Gorka qui m’a interviewé – il était dans l’administration Trump – il m’a interviewé, il va s’exprimer dimanche soir et dire qu’il a pris de l’hydroxychloroquine et a vaincu le Covid-19 en décembre, et qu il ne recevra pas ce vaccin. Il nous faut des gens qui font ces déclarations publiques. Par exemple sur Real TV avec Dan Ball, qui sera diffusé dans quelques heures, il va annoncer qu’il ne recevra pas ce vaccin. Nous avons contribué à empêcher le district scolaire de Los Angeles d’imposer le vaccin, c’est l’école ou vont ses enfants et ils ont fait machine arrière sur leurs exigences. Nous travaillons très dur. Notre stratégie est la suivante : nous savons que c’est du bioterrorisme, nous savons que c’est la phase deux de ce bioterrorisme et nous ne savons pas qui est derrière mais nous savons qu’ils veulent « une aiguille dans chaque bras », afin d’injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain. Ils visent chaque être humain. Nous ne pourrons pas l’empêcher pour tout le monde, mais notre objectif est d’avoir un grand nombre de gens auxquels ils ne pourront pas accéder, qu’ils ne pourront pas vacciner. Ça inclurait les patients qui ont guéri du Covid, les patients dont on suspecte qu’ils ont guéri du Covid, les personnes immunisées, les enfants, les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer. Nous tentons de constituer ce grand groupe et si nous y arrivons et que nous les brisons, si nous brisons leur projet « d’une aiguille dans chaque bras », je pense que nous dévoilerons le plan qui se cache derrière « une aiguille dans chaque bras ».
Reiner Fuellmich : Je suis vraiment content que ça arrive maintenant aux États-Unis parce qu’il a fallu un certain temps pour que les gens s’y mettent vraiment. Nous sommes en contact étroit et en étroite coopération avec les avocats que vous… Vous n’avez mentionné aucun nom mais je sais que vous connaissez Anna Garner et Tom Renz qui travaillent en Sierra Leone et en Alabama. Bien sûr, nous coopérons étroitement avec CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland [NdT. l’avocate de Chidren’s Health Defense], et nous coopérons également étroitement avec ces personnes et avec d’autres dans d’autres pays, comme sur le continent africain par exemple. Et il se passe des choses très positives en ce moment. Ce qui est tragique, c’est qu’ici en Allemagne, je pense qu’il y a maintenant un taux de vaccination où il n’y a que 19% des gens qui ont reçu leur deuxième vaccin – ce qu’on appelle « vaccin » – mais il y en a près de 50% qui ont reçu leur premier vaccin. Et chaque fois que je prends le taxi, par exemple, quand je parle aux chauffeurs, c’est très facile de parler avec eux parce qu’ils semblent comprendre beaucoup plus que la plupart des scientifiques et des médecins qui apparaissent dans les médias grand public. Et ils diffusent l’information. Mais c’est plus important, je pense, et c’est ce qu’on essaie de faire ici en Allemagne et à l’international, c’est plus important de faire passer le mot, d’expliquer aux gens, pour faire sortir la vérité, de leur expliquer ce que provoquent ces injections. Et j’ai vu une de vos interviews qui a été quasiment reprise par vos collègues au Canada. Nous avons parlé avec le Dr Roger Hodkinson, nous avons parlé avec le Professeur Luc Montagnier et avec Byram Bridle – non, nous n’avons pas encore parlé avec Byram Bridle. Mais tout le monde s’accorde à dire que ça doit cesser immédiatement. C’est excessivement, monstrueusement dangereux. Nous avons entendu parler du fait que chez les femmes enceintes qui ont reçu les injections, ça se retrouve dans leur lait maternel bien sûr – je ne sais pas si c’est vous qui l’avez dit ou Byram Bridle – et il y a des cas de nourrissons allaités qui ont souffert de troubles de la coagulation et d’autres problèmes . C’est donc quelque chose de monstrueux qui doit être arrêté, et je pense que tout le monde est d’accord là-dessus.
Dr Peter McCullough : Nous essayons de faire passer un message de santé publique qui pourrait vraiment attirer l’attention de la Santé Publique. Je pense que c’était il y a environ une semaine, Harvey Risch et moi sommes passés sur Fox News et Harvey Risch a décrit la vignette [le rapport sur VAERS] de la femme allaitante qui a reçu le vaccin, ce qui a tué son bébé. A ce jour, il y a eu 800 cas de jeunes qui ont développé une myocardite ou une inflammation du cœur. Et parce que je suis cardiologue, j’ai là-dessus une position d’autorité clinique. Je dirais que, vu qu’il n’y a aucun avantage clinique chez les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas est de trop. Le CDC a publié ses diapositives aujourd’hui et sa conclusion est « Nous allons faire une nouvelle réévaluation un peu plus tard en juin. » Donc nos agences n’ont rien fait pour réduire les risques du vaccin, ce qu’on appelle l’atténuation des risques. J’ai présidé plus de 2.000 conseils de surveillance de la sécurité des données pour la FDA et les National Institutes of Health, et dans ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de conseil de surveillance de la sécurité des données et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires dans toutes les grandes investigations cliniques. Le mot qui convient vraiment pour décrire ce qui se passe est malfaisance, méfait par ceux en position d’autorité. Et sans aucune mesure de sécurité en place, on peut voir ce qui se passe lors de l’administration… Fondamentalement, c’est la plus grande application d’un produit biologique qui provoque la plus grande morbidité et mortalité dans l’histoire de notre pays. Nous sommes à plus de 5.000 décès, comme vous le savez, et, je pense, à 15.000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10.000 décès. Nous travaillons avec le Center for Medicaid Services, les données du CMS, et nous avons un assez bon indice qui montre que le nombre réel est 10 fois supérieur. Il est 10 fois supérieur.
Nous savions grâce aux données de Harvard en 2016 que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne rapporte qu’environ 10% de ce qui se passe réellement, nous avons donc dû obtenir une autre source de données. Et nous avons des informateurs. Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC. Et ceux-ci sont en action en ce moment afin de sortir l’information. Ce serait donc un facteur de 10. Nous pensons qu’il y a eu 50.000 américains morts. 50.000. Nous avons donc en fait plus de décès par jour dus au vaccin que certainement, ceux dus à la maladie virale, et de loin. C’est fondamentalement, dans un sens, du bioterrorisme propagé par injection.
Reiner Fuellmich : Oui. Et la grande question est de savoir qui est derrière tout cela. L’image se précise. Oui, je dois traduire rapidement.
Viviane Fischer : Combien d’états sont exempts de confinement ou des nuisances engendrées par les mesures corona?
Dr Peter McCullough : Je ne connais pas les chiffres mais il est clair que ce sont principalement le Texas et la Floride, ce qui est bien – ce sont deux très grands états. Et la Floride compte le plus de personnes âgées et ils ont donc montré – c’est là que Covid frappe le plus – que nous avons fait preuve d’une grande résilience dans ces États indépendants, grâce à leurs gouverneurs. Je viens de recevoir l’e-mail de Laura Ingraham de Fox News, juste pour vous donner une idée. Au moins, nous avons une grande chaîne d’information avec nous. Son e-mail dit « Ce soir, nous parlerons d’ici quelques heures de la méfiance envers Fauci et envers les élites médicales qui se plient à ses ordres, des retombées de ses e-mails demandant une étude sur l’hydroxychloroquine, qui ont montré que le médicament était injustement calomnié, et finalement de cette nouvelle inquiétude quant aux problèmes cardiaques chez les jeunes hommes après leur deuxième vaccination. Le public a très peu confiance dans ce qu’on leur dit en termes de vie ou de mort. » Vous voyez les progrès que nous avons faits question médias, au moins certains des médias sont maintenant nos alliés. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que nous avons dû renoncer aux publications scientifiques, nous avons dû renoncer à plein de choses, et que nous devons nous adresser directement au public.
Reiner Fuellmich : Oui, c’est précisément ce que nous pensons aussi. Il y a un grand média ici dans ce pays qui a fait preuve d’esprit critique – pas trop critique mais critique jusqu’à un certain point. Ils viennent de sortir, je pense hier ou avant-hier, une histoire qui explique comment le gouvernement – notre propre gouvernement – a frauduleusement informé les gens sur le fait que le système de santé était submergé, alors qu’il ne l’était pas. Ils nous ont donné des chiffres complètement faux, des chiffres complètement faux en ce qui concerne les lits de soins intensifs. Nous en avions beaucoup plus qu’ils ne le prétendaient et il y a également eu des incitations financières concrétes pour garder ces lits inoccupés et pour cela beaucoup d’argent versé aux hôpitaux et aux médecins. Mais c’est tout, le seul point positif est que tout ça est sorti au grand jour, donc nous serons en mesure de l’exploiter, et nous le ferons. Parce qu’il y a assez de gens prêts à se battre et je pense qu’il y en a beaucoup d’autres qui n’ont tout simplement pas pu se résoudre à s’exprimer ouvertement. Mais il y en a quelques-uns parmi ceux que nous venons de rencontrer aujourd’hui, y compris le médecin qui a sauvé cette femme que nous avons interviewée il y a quelques semaines.
Wolfgang veut poser une question. Oui?
Wolfgang Wodarg : Oui, une chose ou deux. La première concerne les hôpitaux. Nous avons les données de l’administration qui contrôle le gouvernement et supervise les dépenses d’argent, ils donnent des chiffres clairs, ils disent que les soins cliniques en Allemagne ont dépensé près de 1.500.000.000€ de plus que la normale l’année dernière et ils ont eu 8% de patients en moins sur la même période. Donc ils ont reçu beaucoup d’argent mais le système clinique en Allemagne n’a jamais été surchargé. Et d’autre part, vous parlez de bioterrorisme et je voudrais faire la distinction, parce que vous parlez de bioterrorisme par vaccination et je pense que vous avez raison quand vous dites ça. Parce que je ne pense pas qu’il y ait un virus dangereux en circulation actuellement. Car si on parle de bioterrorisme par virus à gain de fonction, je suis absolument sûr que les virus à gain de fonction, s’ils se propageaient, ils ne pourraient pas se propager car ils tueraient leurs hôtes. Ce serait un virus très stupide s’il tuait son hôte. [NdT. j’ai déjà commencé à démonter cet argument dans d’autres articles et j’y reviendrai. Je trouve difficile à croire qu’un pneumologue puisse être aussi obtus. Vous noterez dans le reste de l’interview que le Dr McCullough n’est pas dupe non plus] Je tiens à dire aux gens qu’ils ne doivent pas avoir peur de virus dangereux issus de laboratoires, afin que les gens ne soient pas terrifiés en pensant qu’il se passe quelque chose de spécial. C’est juste un virus Corona et nous connaissons les virus Corona, les virus Sars, les coronavirus Peta, depuis 20 ans. Et notre système immunitaire les connaît. N’ayez pas peur du virus mais ayez peur de la vaccination. Le bioterrorisme, c’est la vaccination et non le virus.
Dr Peter McCullough : Oui, je suis d’accord avec vous pour dire que l’immunité naturelle sera capable de gérer les variants, d’après ce que je peux voir. Je ne prédis pas d’autre vague. En fait, lors de ma dernière apparition à la télévision, j’ai dit à l’Amérique « Il n’y aura pas d’autre vague. » Et donc quand je m’exprime, quand je parle à l’Amérique, je suis très positif, je donne un message très joyeux, je calme le pays et quand je le fais, Fauci et les autres ne le supportent pas car ils veulent promouvoir la peur, ils veulent promouvoir la souffrance et ils veulent promouvoir ce vaccin – c’est leur message. Nous faisons tout le contraire et nous sommes d’accord avec vous. Maintenant, ce qui pourrait se passer, c’est, disons qu’il y a un adversaire, disons simplement que c’est la Chine. Ils pourraient négocier à un niveau très élevé, dire « Écoutez, C-21. Nous avons un virus plus virulent et nous voulons un statut commercial favorable ou d’autres choses encore » parce qu’ils vont dire « Nous vous avons montré ce qui peut arriver avec une première salve, nous en avons [d’autres] » donc il pourrait y avoir une menace.
Mais je suis d’accord avec vous en ce qui concerne l’infection naturelle. Ça va se déplacer, je pense que ça va frapper l’Asie du Sud-Est. Ça va toucher des populations plus vulnérables. Mais si nous réagissons simplement avec un traitement pour chaque cas, le Mexique, les pays d’Amérique du Sud, les États-Unis et maintenant l’Inde, nous traitons chaque cas et nous aplatissons les courbes avec un traitement précoce rien qu’en traitant les patients à haut risque. En soignant les patients avec un traitement multimédicamenteux, nous réduisons la durée des symptômes, nous réduisons considérablement la propagation et nous réduisons les hospitalisations et les décès. C’est très, très important, c’est la seule chose qui le permet. La vaccination ne le permet pas. La vaccination, du fait que les personnes qui reçoivent le vaccin ont moins d’un pour cent de chances d’entrer en contact avec le virus et quand ça arrive, elles ont bien moins de 1% de risque d’attraper le virus. Il est impossible que le vaccin ait un impact sur la courbe épidémique et c’est un autre message que nous transmettons au public. Parce que les gens qui font la promotion du vaccin vont crier victoire, que tout a fonctionné en leur faveur et Brown au Canada [NdT. je publie bientôt la traduction] et d’autres ont fait d’excellentes analyses. Il est mathématiquement impossible que le vaccin ait un impact. Le CDC aux États-Unis a enregistré 10.000 cas d’infection post-vaccinale [NdT. « breakthrough cases », c’est-à-dire des personnes vaccinées qui développent le Covid], de véritables cas d’infection post-vaccinale où le vaccin a échoué. Et nous ne connaissons pas le dénominateur mais nous savons que ça demande beaucoup de travail et notre lecture de leur action est qu’ils ont été submergés par le nombre de cas d’infection post-vaccinale, submergés, ils ont abandonné. À la fin du mois de mai, ils ont abandonné, ils ont dit « Nous cessons de suivre les cas d’infection post-vaccinale. »
Wolfgang Wodarg : Nous savons qu’une fois les études cliniques terminées, la réduction du risque absolu est d’environ un pour cent. Et les autres étaient déjà immunisés donc c’est ridicule. Le fait de la vaccination, pour protéger les gens, est ridicule.
Dr Peter McCullough : C’est complètement ridicule. Nous avons des données de la Cleveland Clinic, qui vient de publier que 50 pour cent des personnes qui sont déjà immunisées, naturellement immunisées, reçoivent quand même le vaccin parce que le gouvernement leur a dit de se faire vacciner. Nous avons des données de trois études, deux au Royaume-Uni et une aux États-Unis, montrant que parmi tous ceux qui reçoivent le vaccin, environ 30 pour cent sont déjà immunisés […]. Vous pouvez donc voir comment le vaccin est manipulé, tout ça est manipulé. Ça devrait être très évident maintenant le CDC a révisé le seuil de cycle à la baisse afin d’obtenir moins de cas. Donc ça va ressembler à un truc dans le genre : le vaccin nous a sauvés. Peut-être que la question à se poser à propos de cette injection bioterroriste est, pourquoi l’ont-ils rendue si toxique? À l’heure actuelle, tant de gens meurent, alors pourquoi ne l’ont-ils pas rendue plus acceptable? Parce que je pense que la vraie charge utile du bioterrorisme va être dans les boosters.
Reiner Fuellmich : C’est ce que nous commençons à craindre aussi. Laissez-moi vous expliquer pourquoi Wolfgang a dit ça, car l’autre jour, j’ai été interviewé par Steve Bannon et il m’a écouté. Il n’était pas tout à fait d’accord parce qu’il semble que tout ça était nouveau pour lui. Mais c’est ce qui s’est réellement passé, nous l’avons appris en discutant avec deux anciens employés de l’OMS. Il y a eu un accident à l’Institut de Virologie de Wuhan et les Chinois étaient vraiment inquiets, c’est pourquoi ils ont ordonné à la personne qui dirige ce laboratoire de revenir immédiatement. [NdT. il y a eu de nombreux cas reconnus officiellement avant cette fameuse fuite, ailleurs qu’en Chine, et j’y reviendrai aussi] Et alors qu’elle était encore dans le train, ils ont supprimé leur site Web pour brouiller les pistes. Ils étaient vraiment inquiets. Mais au bout de deux ou trois semaines, ils ont réalisé qu’il ne s’était pas passé grand-chose. Cependant, l’autre côté, comme nous les appelons, a vu ça comme un possible tremplin ou comme un incident déclencheur pour mettre en œuvre le programme qu’ils avaient planifié depuis au moins 10 ans. Ils l’avaient planifié depuis plus longtemps, mais depuis 10 ans, nous pouvons le voir, il avaient élaboré des plans concrets et la répétition générale – je suppose qu’on pourrait l’appeler un essai – c’était l’Event 201, qui est en réalité l’événement 21 parce que le [?] est la Terre en octobre 2019. C’est donc à ce moment-là qu’ils ont décidé, « Nous allons saisir cette opportunité » et c’est à ce moment-là qu’ils ont prévenu Drosten et c’est pourquoi nous étions à cette audience ce matin, à l’enquête. C’est à ce moment-là qu’ils ont dit à Drosten : « Commencez votre travail sur votre test PCR. » Il a commencé son travail le soir du Nouvel An, estimons-nous. Et quelques semaines plus tard, les 22 et 23 janvier, il y a eu une énorme pression, probablement de la part de l’industrie pharmaceutique, sur l’OMS pour finalement déclarer une urgence de santé publique de portée internationale parce que c’est nécessaire pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis pour ces vaccins, qui n’ont jamais été testés, ou une autorisation d’utilisation conditionnelle ici en Europe. Mais ils n’ont pu s’entendre sur rien parce qu’il n’y avait pas de cas. Mais ils se sont mis d’accord sur une chose, ils allaient tenir une deuxième réunion d’urgence deux semaines plus tard, début février. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont déclaré l’urgence de santé publique de portée internationale. Pourquoi? Parce qu’ils avaient utilisé le test de Drosten, parce qu’il avait mis ce test à leur disposition, ce test PCR, et ils l’ont imposé comme l’étalon-or pour le monde entier, comme l’étalon-or pour détecter les infections. Comme nous l’avons tous appris entre-temps, il est impossible de détecter les infections avec le test PCR et comme nous le savons également grâce aux personnes qui… L’un des experts est le Dr Mike Yeadon, avec qui je sais que vous êtes en contact, et il nous a dit que si on monte jusqu’à 35 cycles d’amplification, on se retrouve avec au moins 97% de faux positifs. Ce type avait établi ses cycles d’amplification jusqu’à 45 alors devinez quoi? Ce sont tous des faux positifs. C’est pourquoi Wolfgang disait, ce n’est pas l’accident, ce n’est pas le virus dangereux qui s’est échappé du laboratoire. Ce sont les vaccinations dont nous devons nous inquiéter et c’est probablement vrai. Je ne peux pas en juger parce que je ne suis pas médecin, mais il est probablement vrai que nous devons vraiment avoir peur des boosters.
Dr Peter McCullough : Nous avons beaucoup appris. Vous avez probablement examiné ce cas d’autopsie en Allemagne il y a quelques jours à peine. Nous avons appris que – je suis sûr que vous savez tout ça, mais – le Salk Institute et les fabricants nous ont dit que les nanoparticules lipidiques et l’ARN messager restent dans le bras, ce n’est pas le cas. Ils sont distribués ailleurs [dans le corps]. Nos radiologues savent que les seins deviennent incroyablement enflammés chez les femmes, à tel point qu’ils n’arrivent pas lire une mammographie – ils ont en fait changé leurs critères pour la mammographie, du moins dans mon hôpital, je ne sais pas ailleurs – et que l’autopsie a montré qu’en fait il y a une énorme distribution de… Nous l’avons examinée, la protéine de pointe est clairement pathogène, le gain de fonction [engendre] une mutation d’une séquence de quatre acides aminés au niveau de la zone de clivage de la furine. Il y a quatre domaines codants pour le VIH, nous nous sommes toujours demandés pourquoi le comptage des lymphocytes était en baisse. L’e-mail qui a été envoyé à Fauci qui dit « Hé Tony, comment as-tu fait pour coder le VIH là-dedans? » montre clairement ce qui se passe. C’était absolument à dessein, il s’agit d’une arme de bioterrorisme. Et injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral et provoquer une production incontrôlée de la protéine de pointe dans le corps humain est une proposition biologiquement très, très dangereuse. Nous ne savons pas ce qui contrôle les hauteurs de production de la protéine de pointe, ni les organes dans lesquels elle est produite, ni où elle circule. Nous savons qu’elle provoque une forme unique de thrombose qui est en partie une hémo-agglutination parce que la protéine de pointe se fixe aux résidus d’acide sialique sur les globules rouges. Normalement dans la coagulation, les globules rouges ne sont pas impliqués mais ici les globules rouges le sont. Nous savons que, par exemple, les Italiens ont montré que lorsque la saturation en oxygène descend dans les poumons, il se produit une micro-thrombose. Vous pouvez donc imaginer bien sûr que donner du Remdesivir chinois à une personne atteinte de micro-thrombose ne sert à rien.
Une personne à qui vous pourriez peut-être parler – il est un peu extravagant mais il est intéressant, il a de l’influence – c’est Steve Kirsch. Steve Kirsch est millionnaire et Steve Kirsch a fait l’annonce publique d’une récompense de 2.000.000$, en disant : « Quelqu’un peut-il démontrer que le CDC, la FDA ou le NIH ont fait une seule chose correcte dans la réponse à la pandémie? Si vous le pouvez, nous paierons 2.000.000$. » Personne ne s’est manifesté, personne n’a même écrit de lettre. On a donc affaire à une erreur colossale. Et bien sûr les chaînes d’informations sont intéressées, le cycle de l’actualité reprend toujours ce genre de choses. Notre objectif est de faire passer le message au public, de demeurer impeccables et irréprochables au niveau de notre intégrité scientifique, de toujours nous présenter de manière très professionnelle et de voir si nous pouvons gagner l’opinion publique afin qu’un certain nombre de personnes ne se fasse pas vacciner. Une fois que ce sera fait et qu’on y verra plus clair, je pense que nos adversaires seront démasqués. Pourquoi voulaient-ils ce vaccin? Nous assistons à des problèmes de sécurité tout à fait incroyables. On voit des thromboses de la veine porte, j’ai vu ça chez mes patients, des infarctus du myocarde, des myocardites. J’ai vu une femme hier au bureau, sa mémoire s’est complètement effacée après le vaccin. C’est totalement déconcertant. Nous remplissons les formulaires de rapport des effets secondaires et tôt ou tard, l’opinion publique finira par se retourner.
Il y a deux grandes populations très méfiantes aux États-Unis, il y a les Afro-Américains qui représentent 12% et il y a les Hispaniques qui représentent 20%, et ils ne veulent majoritairement pas du vaccin. Nous travaillons avec des églises afro-américaines, nous faisons des conférences et les Afro-Américains disent : « Nous savions que le gouvernement nous mentait. » Donc, ils le savent déjà. Voilà donc notre plan en quelques mots. Je pense que nous sommes vraiment complètement sur la même ligne. Nous devons cependant gagner de grosses affaires. Anna Garner, tous ces gens, Mike Renz, nous devons gagner. Honnêtement, vous pensez que les médecins ont peur? Mais les avocats ont peur! Je suis étonné de voir combien d’avocats sont si craintifs. Ils ne peuvent même pas déposer une lettre d’intention. Nous avons un avocat, il a fait un modèle et il a dit « Je vais vous montrer comment déposer votre propre lettre d’intention, vous payez vous-même les frais. » J’ai répondu, « Bon Dieu, je suis médecin, je suis une personnalité médiatique, je m’occupe de patients, je suis éditeur, [?], je dois maintenant faire mon propre travail juridique ? » C’est vraiment incroyable de voir à quel point la peur s’est emparée de tout le monde.
Reiner Fuellmich : Le fait est qu’à l’échelle internationale, j’ai l’impression que nous ne coopérons qu’avec 100 avocats seulement. 100 avocats, dans le monde entier. Il devrait y en avoir beaucoup plus, bien sûr. Mais nous progressons grâce à ces cas, ceux que vous mentionnez, et il y a quelques cas vraiment importants sur lesquels nous travaillons tous, y compris nos collègues américains. Je ne peux pas vous donner les détails parce que nous ne voudrions pas que ça soit compromis de quelque manière que ce soit. Mais vous avez raison, c’est la seule voie à suivre, en procédant prudemment, d’une manière scientifiquement correcte, sans écume au bord des lèvres, pour qu’enfin on gagne l’opinion publique et qu’ensuite on démasque les gens qui sont derrière ça.
Dr Peter McCullough : Exact. Je vais vous dire ce que je pense être des distractions, qui nous feraient perdre notre temps. C’est le sujet du port de masques. Par exemple, ils aimeraient nous voir nous disputer au sujet des masques pendant qu’eux continueraient à faire leurs injections, n’est-ce pas? J’essaie donc de ne pas faire des masques notre cheval de bataille. Dans un autre domaine, il y a cette notion extrême que la maladie n’existe pas, comme le prétend Dolores Cahill. Je pense que c’est un peu une perte de temps car nous avons obtenu suffisamment d’informations du séquençage, nous pouvons le voir dans la [?] capside, nous savons qu’elle est physiquement présente dans certains cas. Nous savons que beaucoup de choses sont largement surestimées, avec tout ce que vous avez mentionné, et nous savons que beaucoup de choses sont dissimulées. Dans mon système de santé hospitalier, par exemple, les cas de Covid sont considérés comme des patients « break-the-glass » [NdT. Le système « break-the-glass » est une alerte dans un dossier de santé électronique qui s’affiche lorsqu’un clinicien ou un utilisateur final essaie d’accéder au dossier d’un patient dont l’accès est limité], ce qui signifie qu’ils sont admis dans des unités fermées, où nous ne pouvons même pas voir ce qui se passe. Donc, s’ils ne sont pas ouverts à l’examen par les pairs, il n’y aura pas d’examen par les pairs accessible, il y a donc une rupture du processus normal, même au sein des services de soins de santé. Mais ce que nous voulons obtenir, nous avons besoin d’aide, nous avons besoin de l’aide de psychiatres. Il y a un état de transe, il y a des médecins qui disent à leurs patients de se faire vacciner, les patients se font vacciner et meurent de thrombose. Et les médecins ne font rien, ou ils injectent aux femmes enceintes de l’ARN messager expérimental. C’est une histoire d’horreur, quelque chose qui ne se produirait jamais dans le cadre d’une bonne pratique clinique, des médecins disent qu’ils n’accepteront pas dans leur salle d’attente les patients qui n’ont pas reçu le vaccin. Je pense qu’une cible prioritaire est, et c’est de ma responsabilité, de mettre les médecins de notre côté. Les médecins sont un énorme problème.
Reiner Fuellmich : Et nous avons besoin de vous, n’est-ce pas, et c’est ce que j’ai dit dès le début. C’est une énorme opération psychologique. Nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Et ils utilisent comme arme principale, ils utilisent les médias grand public pour endoctriner les gens avec ce paquet de panique qu’ils ont mis au point pendant de nombreuses années. Les malades de l’autre côté, décidément très malades…
Dr Peter McCullough : Voyez ce professeur chinois d’Emory, elle passe sur CNN. Et ils sont allés encore plus loin, ils ont lié le vaccin aux libertés. Et ça s’est déjà produit en Europe, ils ont dit « Les gens doivent comprendre qu’ils doivent se faire vacciner pour retrouver leur liberté. » C’était « Waouh! »
Wolfgang Wodarg : Nous connaissons ça de la mafia. C’est exactement ce que font ses membres, c’est une très, très vieille méthode. Si vous nous laissez vous protéger, vous devrez payer un peu, tout ira bien. Si vous ne nous laissez pas vous protéger, vous allez voir ce qui se passera. [NdT. ce que j’ai explicitement décrit danscet article]
Dr Peter McCullough : […] La plupart de ces actions ne sont en fait que de la pure intimidation. Par exemple, il y a plusieurs universités aux États-Unis qui déclarent qu’elles exigeront le vaccin. Fait intéressant, ils exigent le vaccin pour les étudiants mais pas pour les professeurs. Vous savez, le CDC, le NIH et la FDA, leurs membres ne reçoivent pas le vaccin, ce qui est assez intéressant. D’après ce que je sais, ils n’ont rédigé aucune politique interne. Les hôpitaux sont tenus d’avoir une politique et celle-ci doit être certifiée et figurer dans la bibliothèque des politiques [hospitalières], car les hôpitaux des États-Unis sont accrédités par la commission paritaire d’accréditation des hôpitaux. Il n’y a donc pas eu de politiques signées parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas rédiger une politique exigeant un vaccin expérimental. Il peut y avoir une politique qui oblige les gens à faire de la recherche. Mais si une institution, un hôpital ou une université exige un vaccin sans politique [écrite], c’est par définition du harcèlement ou de l’intimidation. Il y a maintenant des parents qui déposent des lettres d’intention qui qualifient ce harcèlement et ils les déposent auprès des agents de conformité, auprès du bureau de l’ombudsman, auprès des bureaux qui, selon leur charte, doivent prendre des mesures internes. Nous faisons donc faire à ces institutions une quantité incroyable de travail administratif. Nous les punissons pour leurs actions. Le district scolaire de Los Angeles a reculé, la Louisiana State University a reculé, nous avons remporté une victoire au Texas au niveau de l’État et des employeurs privés. Nous devons donc persévérer et ensuite, espérons-le, la psychologie de masse [inaudible] ni de formation psychologique mais quand je prends la parole, je n’ai pas de préparation adéquate, je fais juste de mon mieux. Mais je suis médecin, je ne suis pas une personne des médias.
Je voudrais ajouter une chose avant d’oublier. Le Dr Bakhti, le Dr Yeadon, le Dr Vandenbosche et même le Dr Bridle. Voici le problème : trop long. Quand ils font une vidéo d’une heure et demie, ils sont complètement inefficaces pour faire passer le message, complètement inefficaces. Ils doivent adapter leur message à une durée d’une minute ou deux. Les gens font des références à ces vidéos mais c’est perdu d’avance. Non seulement ça, mais ils ne sont pas crédibles, ils n’ont pas l’air crédibles. Bakhti, Laura Ingraham l’a reçu une fois et Bakhti qui était assis là a commencé par « Si nous vaccinons le monde, nous sommes condamnés », comme ça, elle a répondu « D’accord, merci Docteur » et ils l’ont juste coupé. On ne peut pas faire ça. Il doit comprendre, ces gens doivent comprendre que les médias sont très importants. Peut-être que ce soir avec Laura Ingraham, j’aurai une minute et demie. Ça devra être impeccable, le look devra être impeccable et le message devra être court. C’est tout un art et nous avons besoin d’aide. Bridle, il se tait – je pense que quelqu’un l’a menacé ou menacé son enfant et il se tait. Il y a des menaces. Je voudrais préciser que nous prêtons attention à l’identité de ceux qui nous attaquent. Lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, j’ai été agressé par un journaliste français. Français! Pourquoi les Français surveillent-ils ce qui se passe au Sénat du Texas? Récemment, j’ai été très vivement attaqué dans les médias par une femme de Singapour et nous l’avons retracée directement jusqu’à la Fondation Gates.
Reiner Fuellmich : Ça explique toute l’histoire. Nous savons donc qui sera finalement démasqué. Très bien, très bien. Tout est là. Nous ne pouvons pas rester assis, nous devons nous battre. C’est la seule façon de faire.
Peter McCullough : Et avec force. Ce que je fais, c’est que je prends en fait une position d’autorité morale et je défie quiconque d’en avoir plus que moi. J’ai dit qu’à moi seul, j’ai vu et examiné plus de patients, j’ai traité plus de patients, j’ai publié plus sur le Covid-19, j’ai le meilleur parcours académique, j’ai eu la maladie moi-même, mon père l’a eu, j’ai eu un décès dans ma famille à cause de la maladie. Qui, à lui seul, peut dire cela? Je prends donc une position d’autorité morale, clinique, éthique et humaine et je défie quiconque de me suivre. Parce que la seule façon de faire reculer l’autre côté est d’être extrêmement confiant et fort. Extrêmement confiant et fort. Je n’aime pas ce que fait Bridle en ce moment, il recule, il s’est passé quelque chose et depuis il recule. Les autres vont prendre peur et se cacher, nous devons être très, très forts.
Reiner Fuellmich : Êtes-vous né au Texas ?
Peter McCullough : Non, je suis né à Buffalo, New York.
Reiner Fuellmich : Parce que vous parlez comme un Texan.
Peter McCullough : J’ai grandi ici quand j’étais enfant, mais je suis disposé à porter mes bottes de cowboy quand je vais à la barre.
Reiner Fuellmich : Je l’ai souvent fait quand j’allais au tribunal de Seattle.
Peter McCullough : Oui, oui j’ai fait mon stage à Seattle. Mais c’est très important. De toute évidence, quelque chose ne tourne pas rond dans le monde et si nous restons assis sans rien faire… C’est évident, beaucoup de gens sont morts, beaucoup de gens sont torturés. J’ai très peur, sur base de ce que nous avons appris des premières injections, qu’elles interagissent avec le p53 et le BRCA, qu’elles puissent au final provoquer des cancers. Elles peuvent provoquer des cancers. Les Japonais ont déjà montré que les particules lipidiques se concentrent dans les ovaires. Seraient-ils en train de nous stériliser? Si on supposait que tout ça est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, ça correspondrait assez bien à cette hypothèse, n’est-ce pas? La première vague c’était pour tuer les personnes âgées par infection respiratoire, la deuxième vague c’est pour s’emparer des survivants, et cibler les jeunes et les stériliser. Si vous prêtez attention aux messages diffusés dans chaque pays, aux États-Unis, ils ne s’intéressent même plus aux personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants. Ils se concentrent avant tout sur les enfants.
Reiner Fuellmich : Et c’est eux que nous devons protéger. C’est une nouvelle boîte de Pandore qu’on va devoir ouvrir mais on va devoir s’en occuper, vous avez raison.
Peter McCullough : Donc je vais y aller fort ce soir, on ne doit pas accepter qu’on approche une aiguille des enfants. Nous en sommes à 100 cas de dommages cardiaques chez ces enfants, certains d’entre eux très importants, qui vont conduire à une insuffisance cardiaque et nous devons vraiment foutre la trouille aux parents. Aux États-Unis, dans un État, ils ont déjà préparé le terrain pour que les enfants de 12 ans aient le droit d’accepter le vaccin eux-mêmes, sans le consentement de la famille. Ça n’est jamais arrivé dans l’Histoire. À Toronto, l’autre jour, ils ont attiré les enfants avec de la crème glacée, ils ont tenu les parents à l’écart et ils ont vacciné les enfants. C’est vraiment horrible. Ma femme est canadienne et sa mère a été vaccinée de force. Elle ne parle pas très bien l’anglais et un agent de santé est venu, il y a eu une sorte de conflit et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle s’est fait injecter. Elle ne sait même pas ce qu’elle a reçu. C’est en train d’arriver. Je prédis qu’on en arrivera à l’injection de force, ils iront aussi loin que ça.
Reiner Fuellmich : On va arrêter ça. Nous devons, il n’y a pas le choix.
Peter McCullough : Mais je prédis que ça s’en vient. C’est déjà arrivé dans certaines parties de l’Indonésie. Je vous garantis que ça se produit quelque part en ce moment. C’est probablement arrivé dans les maisons de soins infirmiers et dans d’autres endroits.
Reiner Fuellmich : Nous savons que ça s’est produit dans les maisons de retraite.
Peter McCullough : Nous devons arrêter ça et nous devons savoir ce qu’il y a derrière. Est-ce que Bill Gates essaie de contrôler la population? Est-ce que ce sont les Chinois qui essaient de faire pression par une action de bioterrorisme? Est-ce quelque chose de plus malveillant? Pour moi, ce qui est magistral, c’est la partie psychologique de tout ça. Comment ont-ils réussi ça du point de vue de la psychologie de masse? Comment ont-ils fait?
Reiner Fuellmich : C’est pourquoi nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Ils ont les réponses.
Peter McCullough : Ils ont les réponses. D’accord.
Reiner Fuellmich : Eh bien, Dr McCullough, c’était à la fois un honneur et un plaisir. Merci beaucoup.
Peter McCullough : Merci. Restons en contact. Merci.
Reiner Fuellmich : Et restons en selle, oui
Peter McCullough : D’accord. Bye Bye.
Reiner Fuellmich : Bonne journée.
Transcription intégrale
Reiner Fuellmich : Again, I apologize but this was extremely important. We learned a lot from our very own « Quincy » the pathologist, it’s Pr Burkhardt. You probably remember that TV series, right? [..] I’ve seen you in many interviews, one of them was on Fox Television – I think the last one was when you shocked the host, Tucker Carlson. What is your take on this entire situation? We know that a lot of doctors have sort of changed their mind over time because they began to understand that there is a lot of evidence that points in the direction that there really is no actual pandemic but there is something else going on. What do you think of what’s going on?
Dr Peter McCullough : Well, my quick analysis is, I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism. That’s worldwide. That appears to have been many years in the planning and that the first wave of the bio terrorism is a respiratory a virus that spread across the world and affected relatively few people, about one percent of many populations but generated great fear. The virus was responsible for some deaths in the very frail and elderly. But, you know, for otherwise well people, it was like having the common cold. But that fear was used very quickly, and I think surprisingly, to generate tremendous influences in human life, and lockdowns all the things you know about. And every single thing that was done in the public health response to the pandemic of made it worse. So overtesting and, you know, even lockdowns probably made it worse because the virus evolved over time to become more contagious. And so every single response made it worse.
How I got involved is, as a doctor I thought the virus was going to be pretty easy to treat once we understood there were three phases : replication, cytokine storm and thrombosis. And so as I promulgated early treatment I started to meet resistance at all levels in terms of actually treating patients and then publishing papers. And so, I’m the editor of two major journals, I’m in the business of publishing so fortunately I had enough publication strength to publish basically the only two papers in the entire medical literature that teaches doctors how to treat Covid-19 at home to prevent hospitalization and death. And we did the best we could without any funding or government support and we demonstrated that it results in about 85 percent reduction in hospitalization and death.
So what we have discovered is that the suppression of early treatment was tightly linked to the development of a vaccine. And the entire program as this, in a sense, bioterrorism phase one was rolled out was really all about keeping the population in fear and in isolation and preparing them to accept the vaccine which appears to be phase two of a bioterrorism operation. Both the respiratory virus and the vaccine deliver to the human body the spike protein, the gain of function target of this bioterrorism research. Now I can’t come out and say all that on national TV today or any time. But what we have learned over time is that we could no longer communicate with government agencies. We actually couldn’t even communicate with our propagandized colleagues in major medical centers, all of which appear to be under a spell – they’re almost as if they’re hypnotized right now. And doctors, good doctors, are doing unthinkable things like injecting biologically active messenger RNA that produces this pathogenic spike protein into pregnant women. I think when the doctors wake up from the trance are gonna be shocked to think what they’ve done to people.
And so our strategy was to organize, there are many groups. One group in the United States called C-19 that I organized, many of you get these emails. It’s about 1000 people. Another one’s called FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Another worldwide one is called Panda, I may be involved in that. There’s also Heart and Bird and Covid Medical Network, Treatment Domiciliary in Italy. It’s gotten to the point where people [inaudible] early treatment. Governments have actually tried to block even any single milligram of a treatment to individuals. And so we decided by the summer we had to take our message to the people. We had one physician association that workes with us, called the Association of American Physicians and Surgeons. We’ve created a home patient guide. We organized in the United States four national telemedicine services, 15 regional services. We broke through to the people and the people who got sick with Covid-19 called in and got medications prescribed to local pharmacies or to a mail order distribution pharmacies. And so without the government really even understanding what was going on we crushed the epidemic curve in the United States towards the end of December and January. We basically took care of the pandemic with about 500 doctors and telemedicine services. And to this day we treat about 25 percent of the US Covid-19 population that actually are at high risk, over age 50, with medical problems or present with severe symptoms. And we basically handled the pandemic and at the same time we’ve tried to keep ourselves above the political fray. And we understand the suppression of early treatment is tightly linked to vaccination.
Then we’ve let all the news and vaccination come out and are working to change the public view of the vaccine. The public initially accepted the vaccine and we had to kind of slowly turn the ship. And now the United States rates of vaccination has been dropping since April 8, they continue to drop every day. The vaccine centers that I go by are completely empty and in the United States they’re becoming desperate to try to convince individuals to get a vaccine. They’re offering million-dollar lotteries. All the universities who are trying to force vaccination are receiving resistance. I’m the lead expert in the Bellwether Houston Methodist case, which is currently being argued before a judge in Texas [who rejected it in spectacular bad faith] and is going to be quickly escalated to the Supreme Court of Texas where Houston Methodist Hospital – a leading hospital – is attempting to force the employees to receive the vaccine. And we already have word that it is going to be escalated to a Supreme Court case. It’ll be a very high-visibility case. So we have a lot of activity going on United States, we are engaging more and more attorneys. It’s great to have you and your team involved, you know, on the international level and I imagine we’re aligned on almost all the things I said.
Reiner Fuellmich : Let me quickly translate but give us a chance because I don’t want to be rude but I completely forgot to introduce you because I thought that everybody knows you. I think most people do but please tell us a little about your background.
Dr Peter McCullough : So let me introduce myself. I’m Peter McCullough, I’m a Professor of Medicine at the Texas A and M College of Medicine on the Baylor, Dallas campus, I practice internal medicine and cardiology. When the pandemic hit I refocused all of my efforts on Covid-19. I’m the editor of Reviews in Cardiovascular Medicine, I’m the editor of Cardiorenal Medicine, that’s my area of research, senior associate editor of American Journal of Cardiology, I’m the president of the Cardiorenal Society and in my field about heart and kidney connections, I’m the most published person in my field in the world in history. And I have developed a great experience in treating Covid-19. I’ve published the two major treatment papers and I’ve lead the early treatment initiative in the United States. So I have, whether people like it or not, I have declared my medical authority in doing this to a greater extent than anybody in public health agencies or any other media doctors.
Reiner Fuellmich : Thank you so much. We can sure as hell be glad that you’re on our side, extremely grateful. I’m going to translate this. […] So it appears that in the United States at least things are really changing right now.
Dr Peter McCullough : Yeah, I mean, we’ve clearly had an impact. I’m in Texas where we never underwent lockdown. I was a strong proponent of us staying open. We have 35 treating doctors who are willing to go against the medical centers and treat patients. We were able to convince our governor to put an executive order recognizing natural immunity, banning any mandatory vaccines by public agencies, banning vaccine passports, banning any discrimination passports. We recently passed similar legislation for private employers. However we were unable to get in a ban on private employers mandating the vaccine so that part is going to be litigated. With the Houston Methodist Bellwether case we’re very active. We have the America’s Frontline Doctors as another group that has a temporary restraining order in against pediatric vaccination filed in Alabama. And we have cases filed in the state of Maine against falsely coding the test results positives, inflating the number of cases and deaths. We have a variety of activities. We have allies in Washington, Senator Ron Johnson and Senator Rand Paul. We have allies in the media, largely Fox News and Real News and OAN. We don’t yet have CNN or MSNBC. But the C-19 group that I loosely formed, we now are on national TV almost every night in the United States to provide a counter viewpoint to Anthony Fauci and Walensky at the CDC and NIH and we bring on different experts and continue to appear to the American people that we have more scientific credibility then the agencies.
Viviane Fischer : And why do you think that, you know, this window of opportunity has opened for you to be on on national TV? I mean that’s quite something. I mean here, at this point, you know, this is impossible basically.
Dr Peter McCullough : Well, we had some help in the media. We had some open-eyed people who were willing to give some high-level interviews. We have good social media contacts all over the world that really amplified things. Although we’re consistently shut down on Twitter and YouTube we continue to find new strategies to get the points out. We’re very evidence based. You know, the United States, we’re a whole country of rebels and people who want to break the law and, you know, that’s who we are. So we have, you know, Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, we have some very big figures. We had Senator Rand Paul come out and say « Listen, I’m not taking the vaccine, I’ve had Covid-19. » So did Senator Johnson. Sebastian Gorka who interviewed me – he used to be in the Trump administration – he interviewed me, he’s going to come out on Sunday night and say he took hydroxychloroquine and defeated Covid-19 in December, he’s not taking the vaccine. So, you know, we have to have people be making these public statements. You know, for instance on Real TV, with Dan Ball coming up in a few hours, he’s gonna come on and say he’s not taking the vaccine. We’ve helped shut down the Los Angeles school district from mandating the vaccine, his kids go to school there, they’ve backed off on the mandates. So we’re working very hard. This is the strategy : we know that this is bioterrorism, we know that this is phase two of bioterrorism and we don’t know who’s behind it but we know that they want a needle in every arm to inject messenger RNA or adenoviral DNA into every human being. They want every human being. Our goal is, we can’t stop it for everybody, but our goal is to get a large group that they cannot get to, that they cannot vaccinate. And that would be Covid recovered, suspected Covid recovered, those with immunity, children, pregnant women, childbearing women. We want a big block and if we can get that big block and break them, if we can break the needle in every arm, then I think it’ll be exposed on what is the plan for a needle in every arm.
Reiner Fuellmich : You know, I’m sure glad that this is happening in the U. S. right now because it took some time for people to really get going there. We’re in close touch and in close cooperation with the attorneys that you – you didn’t mention any names but I know you know Anna Garner and Tom Renz who are working in Sierra Leone and Alabama. Of course we’re in close cooperation with CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland, and we’re also in close cooperation with these people and others in other countries like in on the African continent for example. And there’s some really good things going on right now. The tragic thing is though that here in Germany I think we have now a rate of vaccination where people have gotten their second vaccination – so-called vaccination – of only 19 percent but those who have, those who got their first shot are up to close to 50 percent. And whenever I’m in a cab, for example, talking to the cab drivers it’s very easy to talk with them because they seem to understand much more than many of the scientists and doctors who appear on mainstream media. And they spread the news. But it’s more important, I think, and that’s what we’re trying to do here in Germany and internationally, it’s more important to spread the word, to explain to the people to get out the truth, to explain to them what the shots really do. And I saw an interview with you which is almost mirrored by your colleagues in Canada. We spoke with doctor Roger Hodkinson, we spoke with Pr Luc Montagnier and with Byram Bridle – no, we haven’t spoken with Byram Bridle yet. But everyone agrees this has got to stop immediately. This is excessively, it’s monstrously dangerous. We heard about how pregnant women who got the shots, it appears in their breast milk of course – I don’t know if you said this or Byram Bridle said this – but there’s some cases of suckling infants who’s suffered bleeding disorders and other problems. So this is a monstrous thing that needs to be stopped, and I think everybody agrees on that.
Dr Peter McCullough : We’re trying to get to this public health message that can really get the Public Health attention. So I think it was about a week ago, Harvey Risch and I appeared on Fox News and Harvey Risch described the vignette of the woman who got the vaccine and breastfeeding and it killed the baby. Today we have 800 cases of young people developing myocarditis or inflammation of the heart. And because I’m a cardiologist I have a clinical authority position here. And, you know, I’m going to opine that because there is no clinical benefit whatsoever in young people to get the vaccine that even one case is too many. And the CDC, you know, distributed their slides today and their conclusion is « Well, we’re going to reevaluate again a little bit later on in June. » So our agencies have done nothing to reduce the risks of the vaccine, it’s called risk mitigation. And I’ve chaired up over 2,000 data safety monitoring boards for the FDA and the National Institutes of Health, and with this program, there is no critical event committee, there is no data safety monitoring board and there’s no human ethics committee. Those structures are mandatory for all large clinical investigations. And so the word that’s really used for what’s going on is malfeasance, wrongdoing by those in position of authority. And without any safety measures in place, you can see what’s going on when administering… Basically it’s the largest application of a biological product with the greatest amount of morbidity and mortality in the history of our country. We are at over 5,000 deaths as you know, I think 15,000 hospitalizations. In the EU, it’s over 10,000 deaths. We are working with the Center for Medicaid Services, CMS data, and we have a pretty good lead that the real number is 10 fold. It’s 10 fold.
We knew from data from Harvard in 2016 that the Vaccine Adverse Event Reporting System only reports about 10 percent of what’s really going on so we had to get another data source. And we have inside people. We have now a whistle blower inside the CMS, we have two whistle blowers within the CDC. And those are being developed right now in order to get this out. So we’re looking at 10x. We think we have 50,000 dead Americans. 50,000. So we actually have more deaths due to the vaccine per day than certainly the viral illness, by far. It’s is basically, in a sense, it’s propagandized bioterrorism by injection.
Reiner Fuellmich : Yeah. And the big question is, who is behind this. The picture is becoming clearer. Yeah, I have to translate quickly.
Viviane Fischer : How many states are without any lockdown or like the, you know, nuisances with regards to the measures corona?
Dr Peter McCullough : I don’t know the numbers but it’s clear that the lead states are Texas and Florida, which is good – those are two very big states. And Florida has the most elderly people and so they have shown – and that’s where Covid strikes the most – so we have shown great resilience in these independent states with these governors. I just got the email from Laura Ingraham on Fox News, to just give you an idea. At least we have one major news station that’s with us. Her email says « Tonight we’re gonna talk in a few hours about the mistrust in Fauci and the medical elites who do his bidding, the fallout from his emails to do a hydroxychloroquine study that showed the drug was unfairly maligned, finally this new concern about heart issues in young men after their second vaccination. The public has very little faith in what we’re being told in terms of life and death. » So you can see how we have really come a long way to get the media, at least some of the media now coming with us. What I’ve learned in this whole thing is we gave up on the scientific publications, we gave up on these other things, we have to go straight to the people.
Reiner Fuellmich : Yeah, that is precisely what we think too. There is one major medium here in this country which has been critical – not overly critical but critical to a point. They have just come out, I think yesterday or the day before yesterday, with a story that explains how fraudulently the government – our own government – informed the people about how the health care system was being overwhelmed, when it wasn’t. They gave us completely false numbers, completely false figures as far as the intensive care beds are concerned. We had many more than they claimed and in addition the real financial incentives to keep these beds unoccupied because there’s so much money that’s being paid to hospitals and to the doctors. But this is all, you know, the one good thing about this is this has all come out into the open so we will be able to deal with this, and we will. Because we have enough people who are willing to fight and I think there’s many more who just couldn’t bring themselves to come out into the open. But a few of them we just met today, including the doctor who saved that woman whom we interviewed a couple of weeks ago.
Wolfgang wants to ask a question. Yes?
Wolfgang Wodarg : Yes, one thing or two things. One is with the hospitals. We have from the office who is controlling the government and how they spend the money, they have clear numbers, they say that the clinical care in Germany spent close to 1,500,000,0000 more than normal the last year and they have 8% less patients in the same time. So they got a lot of money but it was never overloaded, the clinical system in Germany. And the other thing, you speak about bioterrorism and I want to distinguish because you speak about bioterrorism by vaccination and I think you’re right when you say this. Because I don’t think that there is a dangerous virus on the way now. Because if we speak about bioterrorism by gain of function viruses, I’m very sure that gain of function viruses, if they would spread, they could not spread because they would kill their hosts. And so it’s a very stupid virus that kills the host. So I am eager to tell the people that they needn’t be afraid of dangerous viruses that come from the laboratory environment, so that people are not terrified because there’s something special. It’s just a corona virus and we’re acquainted to corona viruses, to Sars viruses, Peta coronaviruses since 20 years. And our immune system is. Don’t be afraid of the virus but be afraid of the vaccination. The bioterrorism is the vaccination and not the virus.
Dr Peter McCullough : Yeah, I agree with you that the natural immunity will be able to handle the variants as far as I can see. I’m not predicting another wave. In fact in my last TV appearance I told America « Listen, there’s not going to be another wave. » And so when I come down, when I talk to America I’m very positive, I give a very joyous message, I calm down the country and by doing that Fauci and the other people can’t stand it because they want to promote fear, they want to promote suffering and they want to promote this vaccine – and so that’s their message. And so we’re just the opposite and we agree with you. Now what could be happening is let’s say there’s an adversary, let’s just say it’s China. They could be dealing at a very high level, say « Listen we do have, you know, C-21. We have a more virulent virus and we want, you know, favorable trade status or we want other things » because they’ll say « Listen we showed you what can happen with, you know, the first round we have some (? ») so there may be a threat.
But I agree with you in terms of the natural infection. It will move around, I think it’s going to hit Southeast Asia. It’s going to hit some more vulnerable populations. But if we can simply respond with treatment in every case, Mexico City, countries in South America, United States and now India, every single case, we crush the curves with early treatment if we just treat the high risk patients. By treating patients with multi-drug treatment we reduce the duration of symptoms, we reduce the spread dramatically and we reduce hospitalization and death. This is very, very important, the only thing that can do that. Vaccination will not do that. Vaccination, because the people getting the vaccine have less than a one percent chance of ever coming in contact with the virus and then when they do they have a, you know, way less than one percent chance of even getting the virus. It’s impossible for the vaccine to have an impact on the epidemic curve and that’s another message we’re getting out to the public. Because the people promoting the vaccine are going to claim victory, that all things worked out in our favor and Brown in Canada and others have done great analyses. It’s mathematically impossible for the vaccine to have any impact. The CDC in the United States has recorded 10,000 breakthrough cases, bona fide breakthrough cases where the vaccine failed. And we don’t know the denominator but we know it’s very labor intensive and our read on their action is they were overwhelmed with the number of breakthrough cases, overwhelmed, they gave up. At the end of may they gave up, they said « We’re not gonna track anymore breakthrough cases. »
Wolfgang Wodarg : We know that when the clinical studies were finished, the absolute risk reduction is about around one percent. And the others, they were already immune so this is ridiculous. The fact of the matter of the of the vaccination, to protect people, is ridiculous.
Dr Peter McCullough : It’s completely ridiculous. We have data from Cleveland Clinic, that just published that 50 percent of people who are already immune, naturally immune, they’re still getting the vaccine because they were told by the government to get the vaccine. We have data from three studies, two in the UK and one in the United States showing of all those who get the vaccine about 30 percent are already immune (?). So you can see how the vaccine is contrived, this whole thing is contrived. It should be very obvious that now the CDC has changed the cycle threshold down to lower so they’re gonna make fewer cases. So it’s gonna look like things like the vaccine saved it. So maybe the thing about this bioterrorism injection is, why did they make it so toxic? Right now when so many people are dying, why didn’t they make it more acceptable? Because I think, the real payload of the bioterrorism is going to be on the boosters.
Reiner Fuellmich : That’s what we begin to fear too. Let me explain why Wolfgang said this, because the other day I had an interview with Steve Bannon and he heard me out. He didn’t quite agree because it seems that was news to him. But this is what really happened and we know this from talking to two former WHO employees. There was an accident at the Wuhan Institute of Virology and the Chinese were really worried about it and that’s why they ordered the person who runs that lab to come back immediately. And even while she was still on the train they took down their website so as to cover their tracks. So they were really worried. But within 2 or 3 weeks they realize well nothing much had happened. However the other side as we call them took this as a springboard or as a triggering incident to put that agenda into motion which they had been planning for for at least 10 years. They’ve been planning for longer, but for 10 years we can see, there are concrete plans that they’ve been making and the final – I guess you could call it a dry run – was Event 201 which is really Event 21 because the (?) is the Earth in October of 2019. So that’s when they decided, we’re going to take this opportunity and that’s when they told Drosten and that’s why we were at this hearing this morning, at the inquiry. That’s when they told Drosten, « Start your all work on your PCR test. » He started his work on New Year’s Eve, we believe. And a couple weeks later on the 22 and 23 January, there was an enormous push, probably by the pharmaceutical industry, on the WHO to finally declare the public health emergency of international concern because that’s what you need in order to get the emergency use authorization in the United States for these vaccines, which were completely untested, or the conditional use authorization here in Europe. But they couldn’t agree on anything because there were no cases. But they did agree on one thing, they’re going to have another second emergency meeting two weeks later in early February. And that’s when they declared the public health emergency of international concern. Why? Because they had been using the Drosten test, because he had made this test this PCR test available to them and they pushed it as the gold standard for the entire world as the gold standard for detecting infections. As we all know in the meantime you cannot detect infections with the PCR test and as we also know because of the people who… One of the experts is Dr Mike Yeadon, who I know you’re in touch with, and he told us, if you go up to 35 cycles of amplification you end up with at least 97 percent false positives. This guy had his cycles of amplification up to 45 so guess what? This is all false positives. That’s why Wolfgang was saying, it is not the accident, it is not the dangerous virus that escaped from the from the lab. It’s the vaccinations that we have to be worried about and it’s probably correct. I mean, I can’t be the judge of this because I’m not a medical doctor but it’s probably correct that we really have to be afraid of the boosters.
Dr Peter McCullough : We’ve learned a lot you know you probably have reviewed that autopsy case from Germany just a few days ago that came out. We’ve learned that – I’m sure you know all this but – we were told by the Salk Institute and by the manufacturers that the lipid nanoparticles and the messenger RNA stay in the arm, they don’t. They’re distributed elsewhere. Our radiologists know that the breast becomes incredibly inflamed a woman, so much that they can’t read a mammogram – they’ve actually changed their mammography criteria, at least in my hospital, I don’t know elsewhere – and that the autopsy showed that in fact there’s a tremendous distribution of… We’ve reviewed it, the spike protein is clearly pathogenic, the gain of function [enables] mutation of four amino acid sequence at the furin cleavage joint. You know, there’s four domains that code for HIV, we were always wondering why the lymphocyte count was down. The email that went to Fauci that says « Hey Tony, how did you get the HIV coded in there? », I mean you can see that this is going on. This was absolutely by design that this is a weapon of bioterrorism. And to inject messenger RNA or adenoviral DNA and cause an uncontrolled production of the spike protein in the human body is a very, very biologically dangerous proposition. We don’t know what controls the heights of the production of the spike protein, the organs in which it is produced, where it circulates to. We know it causes a unique form of thrombosis which is a partly hemo-agglutination because the spike protein catches to sialic acid residues on red blood cells. Normally coagulation, the red blood cells are not involved but here the red blood cells are. We know that, for instance, the Italians have shown that when the oxygen saturation goes down the lungs is to do micro thrombosis. So you can imagine of course giving Chinese Remdesivir to somebody with micro thrombosis is going to do nothing.
And so one person who you may want to talk to – he’s kind of flamboyant but he’s interesting, he’s got influences – Steve Kirsch. Steve Kirsch is a millionaire and Steve Kirsch has offered $2,000,000 publicly to say « Can anybody show that the CDC, FDA or NIH has done one single thing correct in the pandemic response? if you can we’ll pay $2,000,000. » No one has even brought forward, no one’s even written a letter. So you know, it’s a colossal blunder. And of course the news is interested, the news cycle is always promulgated by this. But our goal is to take the message to the public, to remain impeccable and unimpeachable in our scientific integrity, to always present ourselves very professionally and see if we can win public opinion to have a block of people not get the vaccine. And then once that occurs and it becomes clear, I think the other side will be exposed. Why did they want this vaccine? We are seeing safety events like you can’t believe. You saw the portal vein thrombosis, I’ve had that in my patients, myocardial infarctions, myocarditis. I had a woman yesterday in the office, her memory was completely obliterated after the vaccine. It’s so disconcerning. So we’re filling out the safety events and at some point in time the public opinion is going to have to turn.
We have two big populations that are distrustful in the United States, we have African Americans at 12 percent and we have Hispanics at 20 percent, and they’re largely not taking the vaccine. And we’re working with African American churches and making presentations and African Americans say « We know the government was lying to us. »So they know already. So that’s our plan in a nutshell. I think we’re really completely aligned. We do need to win big cases, though. So Anna Garner, all these people, Mike Renz, we’ve got to win. I mean, honestly, you think there’s fear among doctors? There’s fear among attorneys! I am amazed at how many attorneys are so fearful. They can’t even file a letter of intent. We have one attorney, he made a template and he goes « Here, I’ll show you how to file your own letter of intent, you pay your own funding » I said « My God, I’m a doctor, I’m a media person, I’m taking care of patients, a publisher, (?), now have to do my own legal work? » I mean, it’s really amazing the fear that’s overcome people.
Reiner Fuellmich : The thing is, on an international scale I feel we’re only cooperating with 100 attorneys. I mean, 100 attorneys in the entire world. There must be many many more, of course. But we’re making progress because of those cases, the ones that you’re mentioning, and there’s a couple of really big cases that all of us, including our American colleagues are working on. I can’t tell you the details because we don’t want this to be in anyway disturbed. But you’re right, this is the only way to go, by cautiously proceeding in a scientifically correct manner, without foam at the edges of our mouths, so that finally we will win public opinion and then we’ll expose the people who are behind this.
Dr Peter McCullough : Right. Let me tell you where I think there’s some distractions and we’re wasting our time. And that’s on wearing masks. So for instance, I mean, they would love us to be arguing about masks while they continue to give injections, right? So I try not to make masks the signature issue. Another area is this extreme view that the disease doesn’t occur, like Dolores Cahill. I think that’s a bit of a waste of time because we have enough information from sequencing, we can see this in the (?) capsid, we know it’s physically there in some cases. We know it’s grossly overstated because of everything you mentioned and we know there’s a big cover up. At my hospital health system, for instance, they have now, the Covid cases are considered break-the-glass, meaning they get admitted to closed units, we can’t even see what’s going on with them. So if they’re not open to peer review, we’re not having open peer review so we really have due process break down even within health care. But what we wanna do is, we need help, you know, we need help from psychiatrists. There is a trance, there are doctors that are telling their patients to take the vaccine, the patients are taking the vaccine and dying of thrombosis. And the doctors are, you know, not doing anything, injecting pregnant women with experimental messenger RNA. I mean, this is like a horror, this is something that would never occur in good clinical practice where doctors are saying that they won’t see patients in the waiting room unless you get the vaccine. I think a big target is, and this is my responsibilities, we have to win the doctors. Doctors are a big problem here.
Reiner Fuellmich : And we need you, right, as this is what I said right from the start. This is a huge psychological operation. We need to talk to the psychiatrists and the psychologists. And they’re using as their major weapon, they’re using the mainstream media in order to indoctrinate people with this panic package which they invented over many years. Sick people on the other side, definitely very sick…
Dr Peter McCullough : You see this Chinese professor from Emory, she gets on CNN. And they’ve gone further, they’ve linked the vaccine to freedoms. And this has occurred in Europe by now, they said « Listen, people need to understand they need to get the vaccine to get their freedom back. » It was « Wow! »
Wolfgang Wodarg : We know this from the mafia, you know. It’s just what the membership does, it’s a very, very old method. If you let us protect you, you have to pay a little for this, everything is okay. If we are not allowed to protect you, you will see what happens.
Dr Peter McCullough : What we’re trying to do is, most of this is actually just sheer intimidation. So an example is, we have, I don’t know, several universities now in the United States declaring that they’re gonna demand the vaccine. Interestingly they demand the vaccine for the students but not for the professors. You know, the CDC and NIH and FDA, they’re not taking the vaccine themselves, which is quite interesting. In every circumstance that I’m aware of, they have not written a policy. So for hospitals they must have a policy and it must be certified and be in the policy library because hospitals in United States are accredited by the joint commission for hospital accreditation. So there have been no signed policies because they know they can’t write a policy mandating an investigational vaccine. You can have a policy, you know, forcing people into research. So if an institution or hospital or university demands a vaccine without a policy, by definition that’s harassment or intimidation. And so we now have parents filing letters of intent identifying harassment and they filing it with compliance officers, ombudsman’s office, filing with offices that by their charter must take some internal action. So we’re making these institutions do an incredible amount of administrative work. We’re punishing them for doing this. The Los Angeles school district backed off, Louisiana State University backed off, we’ve had a Texas win at the state and private employer level. So we have to continue this effort and then hopefully the mass psychology [inaudible] or psychological training but when I go on, there’s no proper preparation, I’m just doing the best I can. But I’m a doctor, I’m not a media person.
I just want to say one thing before I forget. Dr Bakhti, Dr Yeadon, Dr Vandenbosche and even Dr Bridle. Here’s the problem : too long. When they do a video an hour and a half, they are completely ineffective in giving a message, completely ineffective. They need to tailor their message down to one minute or 2 minutes. People refer these videos and they’re dead on arrival. And not only that but they’re not credible, they don’t look credible. So Bakhti, Laura Ingraham had him one time and Bakhti was sitting there, he goes « If we vaccinate the world, we are doomed » like this, and she goes « Okay, thank you doctor » and they just shut him down. You can’t do that. He has to understand, these people have to understand the media is very important. Maybe tonight with Laura Ingraham I’ll have 1.5 minutes. It’s gotta be impeccable, the look has to be impeccable and the message has to be short. It’s an art to doing this and we need help. You know, Britle, he shut down – I think somebody threatened him or threaten his child and he shut down. There’s threats. I want to mention that we’re paying attention to who’s attacking us. When I testified in the Texas Senate I was attacked by a French reporter. French! Why are the French watching Texas Senate? So recently I was very heavily attacked in the media by a Singapore woman and we traced her directly to the Gates Foundation.
Reiner Fuellmich : That explains the whole story. So we know who’s going to be exposed ultimately. Very good, very good. That is the thing. We can’t just sit here, we have to fight back. That’s the only way to do it.
Peter McCullough : And strong. So what I’m doing is, I’m actually taking the moral authority and I’m challenging who here has a greater amount. I said in a single person, I’ve seen and examined more patients, I’ve treated more patients, I’ve published more on Covid-19, I have the best academic record, I’ve had the illness myself, my father has had it, I’ve had a death in my family due to the illness. Who, in one single person in the world, can say that? So I am taking the moral and clinical and ethical and human authority and challenging anybody to to come after me. Because the only way to get the other side to back down is to be supremely confident and strong. Supremely confident and strong. I don’t like what Britle is doing right now, he’s backing off, something happened and then he’s backing off. Other people, you know, going to fear and hiding, we have to be very, very strong.
Reiner Fuellmich : Are you born in Texas?
Peter McCullough : No I was born in Buffalo, New York.
Reiner Fuellmich : Because you sound like a Texan.
Peter McCullough : I grew up here as a kid okay but I’m willing to wear my cowboy boots when I go on the stand.
Reiner Fuellmich : I used to do that when I went to court in Seattle.
Peter McCullough : Yes, yes I’ve trained in Seattle. But this is very important. Something obviously is going on very wrong in the world and if we sit by and do nothing… You know, obviously a lot of people have died, a lot of people are being tortured. I am very afraid, based on what we’re learning just by the first injections, that they interact with p53 and BRCA, that they could ultimately lead to cancers. They can lead to cancers. The Japanese have already shown that the lipid particles concentrate in the ovaries. Could they be sterilizing? If you said this is all a Gates Foundation program to reduce the population, it’s fitting pretty well with that hypothesis, right? The first wave was to kill the old people by the respiratory infection, the second wave is to take the survivors and target the young people and sterilize them. If you notice the messaging in the countries, in the United States, they’re not even interested in old people now. They want the kids. They want the kids, kids, kids, kids, kids. There’s such a focus on the kids.
Reiner Fuellmich : And that’s who we have to protect. Thats a whole new can of worms we’re gonna have to open but we’re gonna have to deal with this, you’re right.
Peter McCullough : So I’m gonna come out strong tonight about, you know, the kids shouldn’t be touched with a needle. We’re at 100 cases of heart injury in these kids, some of them it’s really pretty significant it’s gonna lead to heart failure and we need to scare parents so hard. You know, in the United States, in one state they’ve already put the groundwork that the kids aged 12 can accept the vaccine on their own, without family consent. That’s never happened in history. In Toronto, the other day they lured the kids out to get ice cream and they held the parents back and they were vaccinating the kids. Really it’s terrible. My wife is Canadian and her mother was forcibly vaccinated. She doesn’t speak English very well and a health care worker came over, there was some type of dispute and before she knew it she was injected. She doesn’t even know what she got. So it’s happening. I predict that it will come to forcible injection, they’re gonna take it this far.
Reiner Fuellmich : We’re gonna stop that. We have to, there’s no choice.
Peter McCullough : But I predict it’s coming. It’s already happened in parts in Indonesia. I guarantee it’s happening in places right now. It’s probably happened in nursing homes and other places.
Reiner Fuellmich : We know it happened in nursing homes.
Peter McCullough : We have to stop it and we have to see what’s behind it. Is it Bill Gates trying to control the population? Is it the Chinese trying to, you know, pressure for bioterrorism? Is it something more malevolent? To me what was masterful is the psychological part of this. How did they pull this off from a mass psychology perspective? How did they do this?
Reiner Fuellmich : That’s why we have to talk to the psychiatrists and to the psychologists. They have the answers.
Peter McCullough : They have the answers. Okay.
Reiner Fuellmich : Well, Dr McCullough this was both an honor and a pleasure. Thank you so much.
Peter McCullough : Thank you. Let’s stay in touch. Thank you.
Reiner Fuellmich : And let’s stay in the saddle, yes
On commence par une petite mise à jour des chiffres (officiels) :
Europe (au 21 juin) : 15,472 morts, 1.509.266 effets secondaires dont 753,657 graves (graves, c’est-à-dire »Une occurrence médicale qui entraîne la mort, met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne un autre problème médical important, ou une prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne une invalidité ou une incapacité permanente ou significative, ou constitue une anomalie ou un défaut congénital.« ) Source ici en anglais, avec le détail de tous les effets, triés par fabricant (énorme boulot fait par un des abonnés du site, bravo). Attention, ce sont uniquement les chiffres rapportés sur Eudravigilance, qui ne concernent théoriquement que les pays membres de l’Union (27). Ce n’est donc qu’une partie des chiffres pour le continent, qui compte 50 pays. De plus, il n’existe aucune étude sur l’efficacité de ce système (quel pourcentage d’événements réels y sont rapportés), contrairement à ce qui existe pour le VAERS, ce dont Del Bigtree parle ici et sur lequel le Dr McCullough donne de nouvelles infos ici. Et donc, à ce sujet…
Etats-Unis(au 25 juin) : 6,113 morts dont 576 avortements, 5.172 handicaps permanents, 6.435 pronostics vitaux, and 51.558 passages aux services d’urgences. Le nombre de morts équivaut au total de ce qui a été rapporté dans la base de données du 1 janvier 1991 au 30 novembre 2020 (6.045) pour tous les autres vaccins confondus. Rappelons que le Dr McCullough, voir lien ci-dessus, donne le chiffre réel de 50.000 morts, selon les informations d’un lanceur d’alerte qui travaille au CDC. Rappelons aussi et surtout que toutes les autres campagnes de vaccination précédentes ont été interrompues – en fait, abandonnées – si elles faisaient 25 morts.
Avant de conclure ces infos, voici une anecdote. Je viens de parler avec un bien brave Monsieur (la petite cinquantaine) qui a glissé dans la conversation le fait qu’il venait de recevoir sa deuxième injection du produit de chez Pfizer. Il en parlait parce qu’il se plaignait d’être un peu fatigué depuis – en fait, il est très fatigué – et qu’il a du mal à se concentrer – il se trompe dans ses comptes, et de beaucoup. Mais il a ajouté que c’était commun suite à ces injections, et donc que c’est normal. Voilà un cas typique de quelqu’un qui n’a pas la moindre idée de ce qu’on lui a injecté et qui n’aura évidemment jamais le réflexe de le signaler dans les bases de données précitées. Il pense que ça va s’arranger avec le temps, ce qui ne pourrait pas être plus éloigné de la réalité. J’ai entendu l’histoire d’un médecin (américain, sur No Agenda) qui disait recevoir un nombre anormal de personnes de cet âge avec ce genre de problème, sans aucun antécédent (ce sont ses patients réguliers donc elle le sait), suite à leur(s) injection(s), qu’ils pensent être un vaccin. Ils ont désormais du mal à trouver leurs mots et à formuler des phrases entières. Ces effets secondaires ne sont pas aussi spectaculaires que ceux qu’on trouve facilement sur le Net, donc on en parle assez peu mais ils sont très, très fréquents. Et surtout, ils ne font qu’empirer, sans aucun espoir de traitement efficace à ce stade, ce que ce Monsieur ne réalise absolument pas. Comme l’explique très bien le Dr Mikovits, ces personnes sont désormais en état inflammatoire permanent, ce qui se manifeste par des destructions d’organes, dans ce cas par des atteintes neurologiques et des dégâts à plus ou moins longue échéance, qu’on étiquettera Alzheimer, ou ce seront des maladies à prions ou d’autres maladies auto-immunes, dont le plus ardent défenseur de l’origine non-vaccinale sera typiquement la victime elle-même, qui s’accroche à la propagande vaccinale comme une moule à son rocher. Ceux qui ont vu ou lu, dans les médias ou les réseaux sociaux, la réthorique de ces personnes auront constaté le phénomène. Comme je l’ai lu hier sur un forum : « Les gens pensent que si ce qu’on leur injecte ne les tue pas sur le coup, c’est que ça va les soigner. » Ceci pour mettre en contexte la fiabilité des bases de données des effets secondaires…
Addendum 04/06 : des études récentes montrent une corrélation (pas encore de rapport cause-effet établi à ce stade) entre la perte de tissu cérébral et l’infection au Covid. En gros, on a effectué des scans cérébraux sur des personnes ayant développé le Covid et on les a comparés à des scans précédents. Etant donné, d’une part, la propriété bien documentée de franchissemement par la protéine de pointe de la barrière hémato-encéphalique et d’autre part, le mécanisme également bien documenté des dégâts neurologiques de cette même protéine, on pourrait suspecter que son introduction par voie sanguine serait susceptible de causer ce type de dommages. Je ne le sors pas de mon chapeau : c’est un des points soulevés par divers lanceurs d’alerte dans le monde médical. Les symptômes constatés sur le terrain, comme celui décrit ci-dessus, mériteraient d’être examinés selon cette hypothèse.
Bon, la fameuse interview.
Je précise que je suis d’accord avec ce que dit M. Fuellmich, mais j’ai des commentaires à y ajouter, que j’ai également mis à jour ce 04/06, dont je vous laisse juges de l’intérêt. Vous les trouverez après la traduction ci-dessous.
Reiner Fuellmich : Je suis avocat et avocat plaidant depuis maintenant 26 ans. Nous, mon cabinet et moi, dans lequel certaines des personnes travaillent pour moi depuis maintenant 20 ans, représentons les consommateurs et les petites et moyennes entreprises contre des sociétés frauduleuses. En raison de cette expérience, notamment avec la Deutsche Bank, qui est l’une des organisations les plus criminelles au monde, je n’ai pas été complètement surpris de voir ce qui s’est déroulé sous nos yeux dans le cadre du corona, sauf que cette fois il ne s’agit pas d’une seule société frauduleuse, mais de dizaines et de dizaines de sociétés frauduleuses, plus les politiciens qu’ils ont réussi à mettre sous leur contrôle.
Il ne fait aucun doute – du moins pas pour moi, après avoir interrogé tant d’experts de tous les domaines scientifiques : médecins, virologues, épidémiologistes, économistes, juristes, psychologues, psychiatres – il ne fait aucun doute que les événements qui se déroulent depuis un an maintenant constituent les pires crimes contre l’Humanité jamais commis, pires que ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre Mondiale et bien sûr pendant la Première Guerre Mondiale. Ce qui est encore pire, c’est que tant de personnes y participent, le même type de personnes qui avaient participé il y a environ 80 ans à ce qui allait être alors la Seconde Guerre Mondiale. Je ne suis pas le seul à le dire, je cite Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste. Elle était alors une enfant, elle était à Auschwitz, et elle a déclaré : «C’est absolument incroyable. Je n’aurais jamais cru que je devrais à nouveau combattre les mêmes personnes que j’ai combattues il y a 80 ans. »
Je sais qu’il y a des gens qui ne travaillent peut-être pas tout à fait selon des preuves tangibles. Ce n’est pas notre cas parce que nous avons parlé à beaucoup de scientifiques et à d’autres, plus de 100 à ce jour, et tout est reproductible. Et ce sera reproduit parce que ces mêmes personnes qui ont témoigné devant notre comité d’enquête Corona peuvent tout aussi bien témoigner devant les tribunaux, et elles le feront.
Nous savons tous maintenant, je veux dire que nous devrions savoir, les 10 ou 20% d’entre nous qui ont encore un cerveau opérationnel et capable de penser, que ça n’a jamais été une question de virus, ça n’a jamais été une question de santé. Ça consiste, depuis le début, à tout nous enlever pour nous rendre dépendants d’eux, plus la réduction de la population, plus le contrôle total sur ceux qui restent. Je n’aurais pas dit ça il y a un an. Il y a un an, si vous m’aviez posé la question ou si quelqu’un m’avait dit ça, j’aurais répondu : « Vous devriez absolument consulter un médecin ». Mais non, toutes les preuves, toutes les personnes que nous avons interrogées au sein du comité Corona indiquent que cette conclusion est inévitable.
Ce à quoi nous avons affaire est probablement quelque chose comme 00000,1% de la population qui tente de prendre le contrôle du reste du monde. Ce n’est pas une question d’argent parce que ce groupe de personnes, peut-être de 3.000 en tout, ce groupe de personnes, ce sont les super-riches. Ils ont, en termes de ressources financières, beaucoup plus que ce dont ils ont besoin. Ils n’ont pas besoin d’acheter un dixième ou un troisième yacht ou une vingtième Maserati ou quoi que ce soit. Ce n’est donc pas vraiment une question d’argent. C’est une question d’argent parce qu’ils utilisent l’argent pour soudoyer les gens dans les hôpitaux, les médecins, les politiciens. Ils utilisent également toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens ou les menacer. De nombreux politiciens, certains d’entre eux peuvent être menacés, d’autres peuvent être soudoyés. Mais ce n’est pas vraiment une question d’argent. Ils utilisent l’argent comme outil. Donc ce que nous pensons, ce qu’ils mijotent en réalité, c’est… Vous devez garder à l’esprit que ce sont précisément ces personnes, dont une partie que nous appelons maintenant la clique de Davos – vous savez, l’élite politique autoproclamée et l’élite corporative autoproclamée – qui font partie des gens avec qui nous avons affaire.
C’est ce mondialisme qui nous a menés ici. Nous nous sommes retrouvés avec – comment les désigner, comment désigner l’OMS, le Forum Economique Mondial? Ce sont des organisations mondiales privées qui ont pris le contrôle du monde entier, des organisations privées dirigées par les super-riches. Je pense qu’une fois que les gens comprendront ça, ce ne sera pas trop difficile de renverser la vapeur.
Et ce sont eux qui sont responsables de la crise financière d’il y a 10 ou 12 ans. Si nous avions été un peu plus prudents, si nous avions regardé d’un peu plus près, nous aurions su que depuis 30 ans, ce groupe de personnes vole l’argent des contribuables partout dans le monde. Nous aurions dû être beaucoup plus prudents. La première crise financière aurait été l’occasion idéale pour nous de comprendre ce qui se passe. Ils nous ont fait croire qu’ils contrôlaient la situation. Ce n’était pas vrai, mais ils se sont mis à imprimer de l’argent pour nous faire taire. Nous aurions dû savoir qu’on ne peut pas imprimer de l’argent pour remplacer ce qu’ils nous ont volé. Ça n’a aucun sens. Eh bien, cette fois-ci, à la fin de 2019, je crois, lorsque la situation est de nouveau devenue critique et que le système était à nouveau sur le point d’imploser, ils ont trouvé le Corona comme tactique de diversion. Et nous devons garder à l’esprit que nous n’avons pas affaire en face à un mur monolithique. Il y a beaucoup de luttes internes, il y a des intérêts contradictoires et c’est une chance de plus pour nous.
Nous allons bientôt atteindre le point de non-retour, je pense, car ils commettent beaucoup d’erreurs. Parce que je ne pense pas que toutes ces réactions indésirables aux vaccins fassent partie de leur plan. Et c’est parce qu’ils essaient de précipiter leur projet. […] Nous avons une dénonciatrice qui nous a dit que le plan initial était de déployer ça en 2050. Mais ensuite, ceux qui y sont impliqués sont devenus gourmands et l’ont avancé à 2030, puis à 2020. Et c’est pourquoi tant d’erreurs sont commises, parce que, comme je l’ai dit, je ne pense pas et nous ne pensons pas qu’ils avaient vraiment l’intention que ces réactions indésirables se produisent et que ça alarme même ceux qui sont encore en accord avec le gouvernement.
Et comme nous le savons tous maintenant, ce n’est pas une vaccination. On l’appelle un vaccin mais ça ne l’est pas. La seule raison pour laquelle l’Union Européenne l’appelle vaccin, c’est parce que c’est un produit injectable. C’est encore un tour de passe-passe, comme quand l’OMS a changé la définition d’une pandémie exactement à cette fin, afin de créer une pandémie pendant la grippe porcine. Ici, ils ont changé la définition de ce qu’est un vaccin en disant « Bien sûr que c’est une expérience génétique, mais puisque nous l’injectons à des personnes, ce n’est plus une expérience génétique, c’est un vaccin. » [Ce produit] est extrêmement dangereux. Je viens de recevoir un communiqué du professeur Bahkti, un des acteurs majeurs en la matière, c’est un spécialiste. Lui et un groupe d’autres médecins viennent de publier un communiqué de presse aujourd’hui, qui traite des effets secondaires de ces prétendues vaccinations. La coagulation et les saignements après les vaccinations sont la règle. Et il y a beaucoup de gens – pas seulement quelques-uns – beaucoup de gens qui meurent. Ils souffrent d’accidents vasculaires cérébraux et d’anévrismes, etc. etc. Il détaille tout ça – je vais vous l’envoyer par mail. Ce n’est qu’un court communiqué de presse, mais il explique qu’il y a un énorme combat en cours, en particulier ici en Europe, également aux États-Unis, pour savoir s’ils peuvent ou non le rendre obligatoire. À ce stade, ils ne peuvent pas.
Quand on parle d’un « recours collectif de classe A », on ne parle pas d’un seul recours. Jusqu’à présent, on en a intenté un au Canada, un autre est sur le point d’être intenté et nous prévoyons d’en intenter quelques autres. « Nous » signifie moi et mes collègues, mes collègues anglo-américains parce que je ne suis qu’une des personnes qui essaie de rassembler les preuves en intentant de nombreuses autres poursuites, de nombreuses autres poursuites individuelles. Par exemple en Allemagne, pour que les tribunaux disent « Drosten vous ment ». Il n’arrêtait pas de dire au monde que son test PCR est génial car il avait réussi un tour incroyable, il rend visibles des choses invisibles à l’œil humain en les amplifiant.
Ce que nous appelons le document de rétractation, ses auteurs comprennent 22 scientifiques de renommée internationale. Et il s’avère que ce qu’ils écrivent sur l’article de Drosten-Corman, ou Corman-Drosten, le protocole de test PCR, est très accablant. Ils en disent deux choses. Il est complètement non-scientifique et deuxièmement, il semble qu’il ait été expressément bâclé, dans le seul but de produire autant de faux positifs que possible partout dans le monde, [pour pousser] leur programme qui débouche sur les prétendues vaccinations – qui, bien sûr, nous le savons tous maintenant, n’ont rien à voir avec des vaccinations, nous avons affaire à des expériences génétiques.
Les blocages sont tous basés sur le même test de Drosten. Tous, tous. Parce que son test a été recommandé par l’OMS comme l’étalon-or pour le monde entier, tous les autres tests PCR – et je pense qu’il y en a eu environ 3 ou 500 entre-temps – utilisent son test comme modèle. Bien sûr, ils savent tous que ces tests ne peuvent rien révéler sur les infections, mais ils gagnent tous beaucoup d’argent, alors ils s’en moquent. J’ai parlé avec quelques-uns de ces fabricants de tests PCR. Bien sûr, ils ne vont pas l’admettre en public mais au moins à huis clos, ils l’ont admis.
Le deuxième mensonge important qui sert à faire passer le tout est aussi de son invention. Il affirme qu’il existe des infections asymptomatiques, ce qui signifie que les personnes qui ne présentent aucun symptôme – ce qui signifie normalement « Vous êtes en bonne santé » – peuvent être infectieuses. C’était important pour lui de faire en sorte que tout le monde, dans le monde entier, ait peur de tout le monde, peu importe à quel point ils ont l’air d’être en bonne santé. C’est totalement ridicule, ça n’a aucun sens car que fait-on si on a aucun symptôme ? Va-t-on vraiment aller consulter un médecin juste à cause de ce que dit cet idiot de Drosten ? Qu’est-ce qu’on fait? On va voir un médecin ? « J’ai quelque chose, je ne sais pas ce que c’est mais pouvez-vous m’aider? S’il vous plaît, dites-moi de quoi je souffre. » La première question que le médecin va poser est « Quels symptômes avez-vous ? » « Aucun. » Ça n’a aucun sens.
Ce qui est bien, c’est qu’entre-temps, il y a eu deux décisions. Il y en aura plus, mais il y a deux décisions de tribunaux qui disent que ce test de Drosten est incapable de détecter quoi que ce soit d’une infection. La première décision date de 4, 5, 6 mois, je pense. C’était une décision d’une cour d’appel portugaise qui a jugé que ces tests de Drosten, ces tests PCR, ne peuvent rien révéler sur les infections. Et la deuxième décision n’a que deux jours, nous l’avons reçue il y a deux jours, je pense – ou peut-être que c’était hier – d’un tribunal de Vienne et il est encore très clair que ces tests ne peuvent rien révéler sur les infections. La grande question est de savoir de combien de décisions supplémentaires nous aurions besoin pour que les recours collectifs en dommages et intérêts s’accélèrent. Ils sont en attente, mais il y aura d’autres cas de ce genre. Et nous sommes très optimistes en ce moment parce que nous voyons toutes les erreurs commises par l’adversaire, et que nous sommes proches d’un point de basculement ce qui fait que dans l’ensemble, la structure du pouvoir sera complètement différente un fois atteint ce point de basculement . Et puis nos collègues qui travaillent sur ces recours collectifs en dommages-intérêts vont pouvoir se concentrer là-dessus. Certains d’entre eux, en particulier aux États-Unis, ont de très bonnes idées sur les différentes voies juridiques qui existent pour s’attaquer à l’industrie pharmaceutique et technologique, et peut-être aussi à l’industrie financière.
Mais en fin de compte, il se peut très bien qu’il faille un tribunal spécial parce que – et il y a beaucoup de choses qui pointent dans cette direction – peut-être que les tribunaux nationaux ne seront pas vraiment en mesure de traiter ça. Parce que c’est d’une telle ampleur, c’est si énorme, qu’il est très possible que nous ayons finalement besoin de quelque chose comme un Nuremberg 2.
La raison pour laquelle l’Europe est au centre de tout ça – c’est probablement le champ de bataille le plus important de toute cette guerre – est que l’Europe est complètement, définitivement et totalement ruinée [NdT. un article édifiant de Jean-Pierre Chevallier sur ce sujet]. La BCE est totalement ruinée parce qu’elle a acheté toutes ces obligations et ces papiers qui sont totalement et complètement sans valeur. Et encore plus important, les fonds de pension sont complètement vidés. C’est-à-dire que si les gens le découvrent, que malgré le fait qu’ils dépensent autant d’argent pour leur retraite, il ne reste plus rien, tout a été volé, il va y avoir un gros problème [NdT. Liliane Held Khawam l’expliquait très bien et très tôt sur son excellent site et je l’avais écrit sous forme de conte pour enfants – honte à moi – ici]. Et c’est l’une des raisons pour lesquelles ils essaient de maîtriser l’Europe, avant que les gens comprennent ce qui se passe réellement.
Le plus important est de diffuser l’information, diffuser la vérité, diffuser les faits au plus grand nombre de personnes possible. Et ne perdez pas votre temps avec les gens qui sont agressivement de l’autre côté, qui tiennent à tout prix à se faire vacciner. C’est tragique mais on ne pourra pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens perdront non seulement leurs moyens de subsistance, mais aussi leur vie. Notre main leur est tendue, donc s’ils changent d’avis, ils sont toujours les bienvenus à bord. Mais ces 10 ou 20% de la population que je pense que nous sommes en attendant – peut-être que plus de gens commencent à poser des questions, en portant toujours leur masque parce qu’ils ne veulent pas avoir d’ennuis – mais ces 10 ou 20% des populations, c’est nous qui allons renverser la vapeur. Et c’est pourquoi nous devons nous concentrer sur la façon dont nous pouvons le faire au mieux, et c’est pourquoi nous devons nous connecter les uns aux autres. En plus, ça a été surprenant pour moi mais je pense que ça a un sens, également sur le plan spirituel. Si nous perdons, nous pensons que ce sera la fin de l’Humanité. Je veux dire, si nous perdons, cela signifie que nous, en tant qu’humains, perdons face au numérique et à des gens complètement fous furieux. C’est pourquoi nous ne perdrons pas, nous ne pouvons pas perdre car nous devons gagner.
Oui, c’est ce qu’ils veulent nous faire croire. C’est pourquoi ils ont investi tant d’argent et tant d’efforts dans les médias grand public. Mais pour autant que je sache, si je regarde en Allemagne, la réalité est complètement différente de ce qu’ils essaient de nous faire croire. Chaque fois, par exemple, que j’ai besoin d’un taxi pour me rendre quelque part à Berlin ou ici à […] ou dans n’importe quel autre endroit – je pense avoir parlé à au moins 100 chauffeurs de taxi – presque tous me disent immédiatement que, bien sûr qu’ils savent que c’est stupide, le masque ne sert à rien. Et ils ne le disent pas seulement intuitivement. Beaucoup d’entre eux sont en fait bien informés parce qu’ils ne regardent pas la télévision publique. Ils obtiennent leurs informations des nouveaux médias alternatifs indépendants. Les vieux médias sont à peu près morts.
Il n’y a que 00000,1% de la population qui essaie de prendre le contrôle sur nous tous. Si nous sommes10%, nous sommes les plus forts. Je ne veux en aucun cas paraître arrogant, mais je pense que c’est vrai. Et le reste, ceux qui font la queue, ceux qui veulent quand même se faire vacciner, comme je l’ai dit tout à l’heure, c’est tragique mais on ne peut rien faire pour eux. Ils ne jouent pas vraiment de rôle. C’est tragique mais nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Ils ne jouent aucun rôle pour l’autre côté. Le seul rôle qu’ils jouent pour eux est celui de chair à canon ou de cobaye.
Le plus important, comme je l’ai dit, c’est d’avoir le plus d’informations possible, de les diffuser le plus possible. Et je pense que ce n’est possible que si le plus de personnes possible se connectent dans le monde parce que cela donne une certaine force qui va bien au-delà de la capacité d’échanger des informations. Je pense que, même si cela peut sembler stupide, c’est une force à un niveau très spirituel. Je ne suis pas quelqu’un de religieux mais j’en suis venu à croire qu’il y a plus, qu’il y a différents niveaux de conscience au-delà du rationnel.
Je vois un monde bien meilleur au bout de ce tunnel. Il y a une lumière au bout de ce tunnel et c’est un monde bien meilleur parce que la plupart des choses auxquelles nous nous sommes habitués, notre mode de vie, est très destructeur, à la fois au niveau individuel et au niveau mondial. Il y a trop d’injustice et trop de gens essaient de profiter des autres. Ça va changer. C’est la lumière que je vois au bout du tunnel. […] Mon héros juridique, un ancien juge de la Cour Suprême, de la Cour suprême des États-Unis, s’appelle Louis Brandeis. Il y a 100 ans, il s’est attaqué à deux grandes industries monstrueuses, l’industrie financière et l’industrie pétrolière. Et il a dit, parce qu’ils essayaient de tout couvrir, il a dit que « la lumière du soleil est le meilleur des désinfectants ». Et c’est encore vrai aujourd’hui. Ainsi, la lumière au bout du tunnel est la lumière du soleil, dont nous avons besoin pour voir ce qui se passe et changer les choses pour le mieux.
Il y a eu des progrès – il faut voir le bon côté des choses – il y a eu des progrès parce que de plus en plus de gens commencent à se poser des questions. C’est en soi un progrès. Nous gagnons certaines batailles judiciaires, nous en gagnerons bien d’autres. Beaucoup de gens ont créé des liens les uns avec les autres, comme vous l’avez dit. Je n’aurais jamais cru que je vous parlerais, par exemple, et que je m’amuserais à vous parler. Certaines des personnes, certains des avocats avec lesquels nous travaillons sont des gens vraiment formidables. Pas ces idiots d’avocats dont on préfèrerait qu’ils n’existent pas, mais de très bonnes personnes qui ne sont pas là pour l’argent mais pour la cause. Et beaucoup d’autres personnes de tous horizons. Et ça me dit que j’ai perdu mon temps quand, par exemple, j’allais à des dîners, à bavarder tout le temps, c’était une perte de temps. Je ne ferai plus jamais ça.
Intervieweur : Et peut-être qu’un jour, l’histoire nous regardera avec tendresse.
Reiner Fuellmich : Je pense que oui, absolument.
Commentaires (et autres réflexions pénibles)
Mis à jour le 06/02/23.
Je le répète, je suis d’accord avec tout ce que dit M. Fuellmich. Là n’est pas la question. La question est ce qu’il ne dit pas, soit parce qu’il ne le sait pas (encore), parce qu’il n’y croit pas ou parce qu’il a choisi de ne pas en parler, ce qui est son droit le plus strict.
En préambule, je dirai que si M. Fuellmich pensait il y a un an que la situation qu’il a désormais bien intégrée était un délire de complotiste, il aurait gagné pas mal de temps à consulter le Net – mon blog, par exemple, où je le décrivais dès le mois d’août dans mes articles et à travers des articles d’autres intervenants. Je n’étais pas le seul, évidemment, mais j’étais le premier dans le monde francophone à traduire et publier ça, notamment. Il gagnerait aujourd’hui pas mal de temps à lire ce qui suit, parce que même si on considère qu’il est sur la bonne voie dans sa réaction à cette guerre, si je me réfère à ce qu’il déclare – et si je ne me trompe pas – il n’en a apparemment pas encore saisi l’enjeu premier derrière tous les autres. Parlons d’abord des autres.
Premièrement, les gens qui ont reçu l’injection ne jouent effectivement aucun rôle maintenant. Mais la plupart vont en jouer un très important, très bientôt. Je suis étonné qu’il ne s’en aperçoive pas, lui qui a consulté tant d’experts. Ils vont servir de levier pour la vaccination obligatoire. Je parle ici de façon pas très sympa – mais je ne suis pas très sympa – de leur profil psychologique, qui conviendra parfaitement pour en faire des outils, voire des armes (j’y reviens plus loin) : ils ne sont généralement ni très intelligents, ni très courageux mais ils sont nombreux. 70%, vous vous rappelez? On va pouvoir leur raconter de jolies histoires de quatrième vague provoquée par les récalcitrants – alors que ce sont eux qui ne prennent plus aucune précaution et qui vont, en plus, partir à l’étranger – et ils goberont ça comme ils ont gobé le reste.
Je suis également assez étonné que M. Fuellmich soit apparemment assez proche du Dr Wolfgang Wodarg, qui détaille dans cet article que j’ai traduit ici l’origine naturelle du Sars-CoV-2 (mais sérieusement?) et la dangerosité de l’hydroxychloroquine pour les personnes originaires d’Afrique, le continent où elle est le plus utilisée, j’invente pas. Lors du webinaire que j’ai traduit partiellement ici et sur lequel je travaille à la traduction complète, le Dr Wodarg se permet non seulement de faire mine de « remettre à sa place » le Dr McCullough (traduit et publié ici) sur le fait que le virus est une arme biologique mais il s’absente ensuite de la réunion – pas que ses réflexions ni la contemplation de son physique de plumeau me soient tellement indispensables.
Il y a eu récemment une polémique suite au fait que certains rigolos ont fait sur le Net l’annonce tonitruante de la tenue imminente d’un nouveau procès de Nuremberg, à l’initiative de M. Fuellmich, entouré de 1.000 avocats, rien que ça – et en Mondovision aussi, peut-être. Celui-ci a nié avec véhémence cette fausse information et a tenté de rectifier, notamment par l’intermédiaire de France-Soir et par correspondance avec un pseudo-journaliste, qui tient un site dont je ne donnerai pas le lien ici – je ne peux pas le blairer, et il écrit comme une patate. La mention qui figure dans l’interview ci-dessus : « […] c’est si énorme, qu’il est très possible que nous ayons finalement besoin de quelque chose comme un Nuremberg 2 » aurait donc été mal interprétée. Ça arrive, je suppose.
Concernant le procès de Nuremberg lui-même, j’en profite pour rappeler que, comme la plupart des événements historiques de ce type, ce fut une entière et complète mascarade, où furent condamnés de façon purement expéditive divers seconds couteaux sacrifiables du régime national-socialiste, pendant que les Américains (et les Soviétiques) rapatriaient plus ou moins discrètement (Opération Paperclip) les éléments dudit régime utiles à ses programmes militaires, « spatiaux » et de contrôle mental (dont je parle plus loin), pendant qu’ils organisaient le massacre de 9 à 15 millions d’Allemands, me dit-on (ça dépend des sources) entre 1945 et 1953, afin de décapiter le pays de ses pères (comme on l’a fait en France lors de la guerre mondiale précédente) et d’asseoir leur hégémonie, pendant que les superstars du régime nazi allaient goûter une paisible retraite sous le soleil argentin, probablement entourés d’agents du Renseignement américain, à la Ben Laden. Les affaires sont les affaires.
Personnellement, je me passerais volontiers de Nuremberg 1 ou 2, ou de toute autre opération de comm’. Un tribunal militaire fera l’affaire. C’est une guerre.
Quant au Code de Nuremberg, ce n’est qu’une autre mascarade écoeurante, une déclaration, tout comme celle des Droits de l’Homme, que brandissent certains quand il s’agit de diaboliser l’un ou l’autre contrevenant à l’ordre mondial et avec laquelle les mêmes se torchent le cul quand il s’agit de l’appliquer chez eux. L’Occident ne tarit pas de récriminations à l’égard, entre autres, du traitement des Ouïghours par la Chine mais néglige de balayer devant sa porte quand il s’agit de bioéthique à géométrie variable. Outre celle en cours, l’expérimentation médicale sur l’être humain a ainsi de beaux jours devant elle : modifications génétiques, création de chimères, une nouvelle autorisation étendant la limite des expérimentations sur foetus humains au-delà de 14 semaines, des greffes de scalps de foetus de cinq mois sur des dos de souris, des souris humanisées avec des organes prélevés sur des foetus, plus tout ce que j’ai déjà publié sur ce blog et bien davantage. N’oublions pas dans l’équation son fournisseur officiel, l’avortement à l’échelle industrielle (Planned Parenthood, dont un ancien directeur se nomme William Gates) et la rentabilisation de ses cadavres – « tissus foetaux », « cellules souches » et autres appellations absconses dont seuls quelques chrétiens arriérés pourraient s’émouvoir. L’ironie étant qu’après avoir fait le tour des cliniques d’avortement, des laboratoires de recherche, de l’industrie pharmaceutique et des fabricants de produits cosmétiques, la désacralisation/marchandisation de la vie revient en pleine gueule du très indolent consommateur moyen, qui n’est finalement qu’un produit parmi tant d’autres, à transhumaniser/contrôler/éliminer.
Si on se plonge un peu dans l’histoire récente de l’expérimentation sur l’humain, on trouve assez aisément quelques applications grand public du célèbre programme MK-Ultra aux Etats-Unis : lobotomies à l’échelle industrielle, « thérapies » de modification du comportement et effacement de la mémoire par électrochocs, par LSD, etc. Faites une petite recherche. Il est intéressant de se rappeler que ces expérimentations se sont effectuées sur base « volontaire », notamment – mais pas que – sur une population carcérale. Des gens traumatisés, en détresse psychologique et/ou privés de liberté, à qui on promet de rendre une vie « normale » sous réserve d’un « traitement » handicapant… Ça vous rappelle quelque chose? La « crise » Corona, peut-être?
En ce qui concerne les recommandations de M. Fuellmich, celle de diffuser l’information et de se connecter, j’ai une remarque à faire, qui s’applique également à un autre « résistant » légaliste, le Dr David Martin, que vous pouvez voir dans Plandemic 2ici. Je trouve curieux que ces personnes n’appellent à aucune autre action que celle de faire circuler l’information. Le Dr Martin va même jusqu’à préciser lors de cette conférence que nous ne devons pas nous poser en « juge, jury et exécuteur ». Vu son excellente maîtrise de la PNL et le danger qui se dégage de sa personne – j’ai croisé très peu de personnes qui ait l’air plus physiquement dangereuses que le Dr Martin, et j’ai du flair – j’ai un doute sur la question de pour qui il travaille. Il élude d’ailleurs cette question précise, posée par un spectateur lors de cette même conférence… Le coup du « Soyez patients, on s’occupe de tout, asseyez-vous et profitez du spectacle », on nous l’a déjà fait : ça s’appelait Q, c’était le script concocté par les scénaristes du Renseignement pour vendre le personnage du Président patriote, invincible et intègre, qui allait « nettoyer le marais », qui n’a finalement juste rien nettoyé du tout et a permis aux mêmes services d’établir la liste des éléments indésirables, désormais tagués « suprémacistes blancs » et « première menace terroriste domestique ». Concernant ses motifs, M. Fuellmich a répondu dans l’interview : il travaille « pour la cause« . Très bien.
Personnellement, je fais évidemment tout pour que l’information circule, c’est même la raison d’être du présent blog, mais je ne recommanderais jamais à personne de ne pas agir, étant donné l’extrême gravité de l’enjeu. La patience est une grande qualité mais elle peut aussi devenir un défaut : tout dépend du contexte. D’une part, je sais que l’idée effraye et déplaît au plus haut point mais je ne vois pas comment faire l’économie d’ostraciser – au strict minimum – les personnes « vaccinées », y compris celles qui font partie de nos proches. Si la Deuxième Guerre Mondiale, dont M. Fuellmich rappelle à juste titre qu’elle était moins grave que celle présente, peut nous servir de leçon, c’est bien celle de l’ennemi intérieur qu’il faut retenir – les collabos. Ceux qui argumentent que ce discours est dangereux et sert les objectifs de l’ennemi – la discorde entre deux factions – ont parfaitement raison mais ils oublient (volontairement ou non) que cette séparation est maintenant un fait. D’autre part, il se met en place des outils de violence d’Etat – « une expérience qui a vocation à être généralisée » – vis-à-vis desquels la patience, la compassion et la politique de la « main tendue » risquent de faire un peu court. Que ceux qui pensent qu’il s’agit de maintenir « l’ordre » examinent quel genre « d’ordre » se met en place actuellement. L’Empire déploie ses Stormtroopers. Et si on veut poursuivre cette analogie science-fictionnesque, il est parfaitement plausible que les vaccinés reçoivent un jour leur « Ordre 66 » – « Le Mal ne trouve alors plus de réelle opposition importante, et les Sith dirigent la galaxie« , qu’ils disent.
Enfin, et surtout, M. Fuellmich parle de « dizaines de corporations » impliquées et tente le chiffre de 3.000 personnes derrière ce projet. C’est ici que je peux lui faire gagner un certain temps, parce que s’il est avocat depuis vingt-six ans, je suis complotiste depuis presque autant. La structure de commande de cette guerre est, comme d’habitude, configurée en cercles concentriques et les « dizaines de corporations » qu’il mentionne et auxquelles il prétend s’attaquer n’en sont que le cercle extérieur, politiciens et autres parfaits imbéciles à la tête des Etats en constituant leur satellite temporaire. Les attaquer équivaut à s’en prendre à des caporaux pas fortiches, très facilement remplaçables, comme on l’a vu mille fois. Nuremberg n’a pas l’air de les avoir beaucoup gênés. Outres les nouveaux collabos, qui participent avec enthousiasme – voir en France – les plus réticents plient tous l’un après l’autre, ou ils meurent – je souhaite bonne chance au Président du Madagascar, qui vient de ruer dans les brancards – et même l’invincible Poutine vient de se coucher comme une paillasse, comme l’explique ici Xavier Moreau. Ce qu’il importerait de défaire, c’est le noyau central et surtout leur programme, dont quasiment personne aujourd’hui n’est en mesure d’évaluer la portée, y compris dans les cercles adjacents.
Transcription originale
Reiner Fuellmich : I’m a lawyer and I’ve been a trial lawyer for 26 years now. We, my firm and I, some of the people working for me for 20 years now, we have been representing consumers and small- and medium-sized businesses against fraudulent corporations. Because of this experience, in particular with Deutsche Bank, which is one of the most criminal organizations in this world, I wasn’t completely surprised at what was unfolding before our eyes in the context of corona, except this time it’s not just one fraudulent corporation but it’s dozens and dozens of fraudulent corporations, plus the politicians whom they managed to get under their control.
There cannot be any doubt whatsoever – at least not for me after having interviewed so many experts from all different fields of science : doctors, virologists, epidemiologists, economists, lawyers, psychologists, psychiatrists – there cannot be any doubt whatsoever that what has been happening here for a year now, these are the worst crimes against humanity ever, ever committed this is worse than what happened in World War 2 and of course in World War 1. What’s even worse is that so many people are participating in this, the same type of people who participated some 80 years ago in what was then going to be World War 2. I’m not just saying this, I’m quoting this from Vera Sharav who is a Holocaust survivor. She was a child then, she was in Auschwitz, and she said, « This is so incredible. I would never have believed that I’m once again going to have to fight the very same people whom I fought 80 years ago. »
I know there’s some people out there who may not quite work with actual evidence. Well, it’s different with us because we have been speaking to all these scientists and other people, over 100 in the meantime, and this is all replicable. And what’s going to happen is, it will be replicated because those very same people who testified before our Corona Investigative Committee can just as well testify before the courts of law, and they will.
We all know now, I mean we should know, those 10 or 20 percent of us who still have a brain to use and to think with, this has never been about the virus, this has never been about health. This has always been about taking everything away from us so that we would be dependent on them, plus population reduction, plus gaining complete control over those who are left. I wouldn’t have said this a year ago. A year ago, if you had asked me or if somebody had told me this, I would have said, « You definitely need to see a doctor ». But no, this is all the evidence, all of the people who we interviewed on the Corona Committee, what this points to, this conclusion is inevitable.
What we’re dealing with is probably point 00000,1 something percent of the population trying to gain control over the rest of the world. This is not about money because this group of people, maybe 3,000, this group of people, they are the super rich. They have, in terms of financial assistance, they have much more than they need. They’re not going to need to buy a tenth or third yacht or the twentieth Maserati or whatever. So this is not really about money. It is about money because they’re using money in order to bribe people in the hospitals, the doctors, politicians. They’re also using all kinds of psychological techniques in order to manipulate people or they threaten people. Many politicians, some of them may be threatened, some of them may be getting bribed. But it’s not really about money. They’re using money as a tool. So what we think is, what they’re really up to is… You have to keep in mind that the very same people, a part of which we now call the Davos clique – you know, the self-appointed political elite and the self appointed corporate elite – that is part of the people who we’re dealing with.
This globalism is what got us here. We ended up with global – what do you call them, what do you call the WHO, the World Economic Forum? These are private global organizations which have taken control over the entire world, private organizations run by the super rich. I think once people understand this, it’s not gonna be too hard to turn the tables.
And those were the ones responsible for the financial crisis some 10 or 12 years ago. Had we been a little more careful, had we looked a little closer, we would have known that for 30 years, this group of people has been stealing the taxpayers money all over the world. We should have been a lot more careful. The first financial crisis would have been the perfect chance for us to catch on to what’s going on. They managed to tell us that they have everything under control. They didn’t but they started to print money in order to keep us quiet. We should have known that you cannot print money in order to restore what they have stolen. It doesn’t make any sense. Well, this time around, in late 2019, I believe, when things were again coming to a head and things were again about to implode, they came up with Corona as a diversionary tactic. And we have to keep in mind however, we’re not dealing with a monolithic wall on the other side. There’s lots of infighting, there’s contradicting interests and that’s another one of our chances that we have.
We’re about to reach the tipping point, I think, because there’s so many mistakes that they’re making. Because I don’t think that all these adverse reactions to the vaccines are part of the plan. And that’s because they’re trying to rush this thing through. […] We have a whistle blower and she told us that the original plan was to roll this out in 2050. But then those who are involved in this got greedy and pulled things forward to 2030, and then to 2020. And that’s why we think, that’s why so many mistakes are happening, because, as I said, I don’t think and we don’t think, they did not really intend these adverse reactions to happen and to warn even those people who are still sort of in line with the government.
And as we all know now, this is not a vaccination. It’s called a vaccine but it isn’t. The only reason why the European Union calls it vaccine is because it’s something that’s being injected. It’s another one of those sleight-of-hand tricks, just like the WHO changed the definition of a pandemic exactly for this purpose, in order to create a pandemic during the swine flu. Here they changed the definition of what a vaccine is by saying « Of course it’s a genetic experiment but since we’re injecting it into people, it’s not a genetic experiment anymore, it’s a vaccine. » It is extremely dangerous. I just got a press release from Professor Bahkti, who is one of the major players in this, he’s a specialist. He and a bunch of other doctors just published a press release today, and it deals with the side effects of these so-called vaccinations. Clotting and bleeding after vaccinations is the rule. And there are many people – not just a few – many people who die. They suffer strokes and aneurysms, etc. etc. So he’s detailing this – I’m going to mail it to you. This is just a short press release but it tells you that there’s a huge fight going on, in particular here in Europe, also in the United States, about whether or not they can make this mandatory. At this point they can’t.
When we talk about an « A class action lawsuit », it’s not just one. Thus far one has been filed in Canada, another one is on its way to be filed and we’re planning to file a couple of more. « We » means the colleagues, my Anglo American colleagues because I’m just one of the people who is trying to put together the evidence by filing many other lawsuits, many other individual lawsuits. For example in Germany, in order to get the courts to say « Drosten is lying to you ». He kept telling the world that his PCR test is great because it does an incredible trick, it makes things visible that are not visible to the human eye by amplifying it.
What we call the retraction paper, its authors include 22 internationally highly renowned scientists. And as it turns out, what they’re writing about the Drosten-Corman, or Corman-Drosten paper, the PCR test protocol, is so devastating. What they’re saying is two things. It is completely unscientific and the second thing is, it looks as though it was done in such a sloppy way on purpose, for the sole purpose of producing as many false positives as possible all over the world, [to push] their agenda which ends with the so-called vaccinations – which of course we all know now, doesn’t have anything to do with vaccinations, what we’re dealing with is genetic experiments.
The lockdowns are all based on the same Drosten test. All of them, all of them. Because his test was recommended by the WHO as the gold standard for the entire world, all of the other PCR tests – and I think there about 3 or 500 in the meantime – they all use his test as the blueprint. Of course all of them know that these tests cannot tell you anything about infections but they’re all making a lot of money, so they don’t care. I’ve spoken with a couple of these PCR test makers. Of course they’re not going to admit it in public but at least behind closed doors, they admitted as much.
The second lie that was important for this whole thing to go down is also his invention. He claims that there are a symptomatic infections, meaning people who show no symptoms whatsoever – which is normally « You’re healthy » – they can be infectious. That was important for him to make everyone in the entire world afraid of everyone, no matter how healthy they look. It is totally ridiculous, it makes no sense because what are you gonna do if you don’t have any symptoms? Are you really going to go see a doctor just because of what this idiot Drosten says? What are you gonna do? You gonna go see a doctor? « I have something, I don’t know what it is but can you help me? Please tell me what I’m suffering from. » The first question the doctor’s going to ask you is « What symptoms do you have? » « None. » It doesn’t make any sense.
The good thing is that in the meantime we have two decisions. There’s going to be more but we have two decisions by courts of law that say that this Drosten test doesn’t even come close to tell you anything about infection. The first decision is about 4, 5, 6 months old, I think. It was a decision by a Portuguese appellate court which held that these Drosten tests, these PCR tests, can’t tell you anything about infections. And the second decision is only two days old – we got it two days ago, I think, or maybe it was yesterday – from a Vienna court and it again holds very clearly that these tests cannot tell you anything about infections. The big question is, how many more decisions do we need until the class actions for damages are going to pick up real speed. They are pending but there’s going to be more such cases. And we are very optimistic right now because we can see all the mistakes that are being made by the other side, that we are close to a tipping point so that this whole thing, the power structure will be completely different after we reach this tipping point. And then our colleagues who are working on these class actions for damages are going to be able to concentrate on that. Some of them, in particular in the United States, have some pretty good ideas about how there are different legal avenues to go after the pharmaceutical and the tech industry, and maybe the financial industry as well.
But in the end it may very well turn out that we’re going to have to have a special court because maybe – and there’s a lot pointing in that direction – maybe the national courts will not really be able to deal with this. Because this is on such a magnitude, it’s so big, that it is very possible that we’re going to eventually need to have something like Nuremberg 2.
The reason why Europe is at the center of all this – this is probably the most important battleground in this whole war – is because Europe is completely, definitely, totally broke. The ECB is totally broke because they bought all these bonds and papers that are totally, completely worthless. And what’s even more important, the pension funds, they’re completely broke. Meaning if people find out about this, that despite their spending so much money on their pensions, there’s nothing left, that’s all stolen, now we’re going to have a real problem. And that’s of the reasons why they’re trying to get Europe under control, before people understand what’s really going on.
The most important thing is to just spread the information, spread the truth, spread the facts to as many people as possible. And don’t waste your time on those people who are aggressively on the other side, who really want to get vaccinated. I mean, it’s tragic but we will not be able to save everyone. A lot of people will lose not just their livelihoods but also their lives. Our hand is extended to them, so if they change their minds they are always welcome to come aboard. But those 10 or 20 percent of the population that I think we are in the meantime – maybe more people are beginning to ask questions, still wearing their mask because they don’t want to get into trouble – but those 10 or 20 percent of the population, we’re the ones who will turn the tables. And that’s why we have to focus on how can we do this best and that’s why we have to connect with each other. Also, this is surprising for me but I think it makes sense, also on the spiritual level. If we loose that’ll be the end of humanity, we believe. I mean, if we lose, it means we, as humans, lose to Digitalism and to completely stark raving mad people. That’s why we won’t lose, we cannot lose because we must win.
Yes, that’s what they want us to believe. That’s why they invested so much money and so much effort into the mainstream media. But as far as I can tell, if I look at Germany, the reality is completely different from what they’re trying to make us believe. Whenever, for example, I need a cab in order to go someplace in Berlin or here in […] or any other place – I think I’ve spoken to at least 100 cab drivers – almost all of them immediately tell me that, of course they know this is stupid, the mask is not doing anything. And they’re not just doing this intuitively. Many of them are actually well informed because they’re not watching public television. They’re getting their information from the new independent alternative media. The old media are pretty much dead.
There is only 00000,1 something percent of the population trying to gain control over all of us. We are, if it is 10 percent, we are the best ones. I don’t want to sound arrogant in any way but I think this is true. And the rest of the people, those who are falling in line, those who even want to get vaccinated, as I said earlier, it’s tragic but there’s nothing much we can do about them. They do not really play a role. It’s tragic but we cannot save everyone. They don’t play a role for the other side at all. The only role they play for them is that of cannon fodder or guinea pigs.
The most important thing, as I said, is to get as much information as possible, to spread it as far as possible. And I think that’s only possible if as many people as possible connect worldwide because that gives a certain strength which goes far beyond that of the ability to exchange information. I think, even though it may sound stupid, this is strength on a very spiritual level. I’m not a religious person but I have come to believe that there is more, there are different levels of awareness beyond the rational stuff.
I see a much better world at the end of this tunnel. There is a light at the end of this tunnel and that’s a much better world because most of those things that we have come used to, our way of life is very destructive, both on a personal level and on a global level. There’s too much injustice and there’s too many people trying to take advantage of other people. That will change. That’s the light at the end of the tunnel I can see. […] My legal hero, he’s a former Supreme Court Justice of the United States Supreme Court, his name is Louis Brandeis. 100 years ago, he took on two monstrous large industries, the financial industry and the oil industry. And he said, because they were trying to cover everything up, he said that « Sunlight is the best of disinfectants. » And that is still true today. So the light at the end of the tunnel was the sunlight that we need in order to see what’s going on and change things for the better.
There has been progress – you have to look at the bright side – there has been progress because more and more people are beginning to wonder. That in itself is progress. We’re winning some of the court battles, we will win many more. Many people are connected with each other, as you said. I wouldn’t have believed that I would be speaking to you, for example, and that I would be having fun speaking to you. Some of the people, some of the lawyers we work with are just great people. Not those idiot lawyers who you wish didn’t exist but really good people who are not in it for the money but who are in it for the cause. And so many other people from all walks of life. And it tells me that I’ve wasted my time when, for example, I went to dinner parties, small talking all the time, it was a waste of time. I’m never ever going to do that again.
Interviewer : And maybe one day, history will look back on us fondly.
Merci pour le clip sonore à John, Adam et aux producteurs de No Agenda n°1358.
Je viens de découvrir la vidéo sur Bitchute, c’est un échange entre le Dr McCullough et Reiner Fuellmich. Je vous en livre un extrait – et l’intégralité dès que possible.
Le Dr McCullough (son interview du 19 mai est intégralement traduite ici) dit – encore une fois – exactement la même chose à propos des chiffres du VAERS que ce qu’expliquait un complotiste lanceur d’alerte, Del Bigtree, que j’avais publié en début de cet article. Il en dit encore bien davantage dans le reste de l’interview.
J’ajoute brièvement qu’on ne parle encore pour l’instant que des morts causées par les effets secondaires directs de ces produits. Si le phénomène de facilitation de l’infection par anticorps et/ou de déficit immunitaire par anticorps non-immunisants (reportez-vous à mes nombreux autres articles sur ce blog, les traductions d’articles de médecins) se déclenchent cet hiver, on est effectivement partis pour ce que les médias américains nomment poétiquement « a rough winter » – sauf qu’eux vous expliquent évidemment que c’est parce qu’il n’y a pas assez de personnes « vaccinées ».
Pour info, le Dr Judy Mikovits et le Dr Sherri Tenpenny (je traduirai, si je trouve le temps, leurs très intéressantes conférences dont les vidéos sont ici) prévoient entre 25 et 30 millions de morts aux USA dans les deux ans à venir. En attendant, il se passe des choses étranges dans les entreprises pétrolières, si vous ne l’avez pas encore lu.
Dans ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de conseil de surveillance de la sécurité des données et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes investigations cliniques. Et donc le mot qui convient vraiment pour ce qui se passe est malfaisance, méfait par ceux en position d’autorité. Et sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe lors de l’administration… Fondamentalement, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande morbidité et mortalité dans l’histoire de notre pays. Nous sommes à plus de 5.000 décès comme vous le savez et, je pense, à 15.000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10.000 décès. Nous travaillons avec le Center for Medicaid Services, les données du CMS, et nous avons un assez bon indice qui montre que le nombre réel est 10 fois supérieur. Il est 10 fois supérieur.
Nous savions grâce aux données de Harvard en 2016 que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne rapporte qu’environ 10 % de ce qui se passe réellement, nous avons donc dû obtenir une autre source de données. Et nous avons des informateurs. Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC. Et ceux-ci sont en action en ce moment afin de sortir l’information. Ce serait donc un facteur de 10. Nous pensons que nous avons 50.000 morts américains. 50.000. Nous avons donc en fait plus de décès par jour dus au vaccin que certainement, ceux dus à la maladie virale.
Transcription originale
With this program, there is no critical event committee, there is no data safety monitoring board and there’s no human ethics committee. Those structures are mandatory for all large clinical investigations. And so the word that’s really used for what’s going on is malfeasance, wrongdoing by those in position of authority. And without any safety measures in place, you can see what’s going on when administering… Basically it’s the largest application of a biological product with the greatest amount of morbidity and mortality in the history of our country. We are at over 5,000 deaths as you know, I think 15,000 hospitalizations. In the EU, it’s over 10,000 deaths. We are working with the Center for Medicaid Services, CMS data, and we have a pretty good lead that the real number is 10 fold. It’s 10 fold.
We knew from data from Harvard in 2016 that the Vaccine Adverse Event Reporting System only reports about 10 percent of what’s really going on so we had to get another data source. And we have inside people. We have now a whistle blower inside the CMS, we have two whistle blowers within the CDC. And those are being developed right now in order to get this out. So we’re looking at 10x. We think we have 50,000 dead Americans. 50,000. So we actually have more deaths due to the vaccine per day than certainly the viral illness.
Dans le monde médical américan, le Dr Peter McCullough est une pointure. Il vous l’explique lui-même dans l’interview ci-dessous. Il est très écouté et très respecté, à juste titre. C’est un excellent médecin, très compétent et polyvalent, aux nombreuses responsabilités. Mais – et c’est le plus important – il est extrêmement courageux et humain. C’est un médecin qui prend fait et cause pour ses patients, qui s’implique professionnellement et émotionnellement, ce qu’on ne perçoit pas forcément à la lecture du texte. Si vous regardez la vidéo source (non sous-titrée), vous comprendrez de quoi je parle.
Tout ceci l’a amené à observer ce qui se déroule depuis le début de cette crise, à tout faire pour la comprendre mais surtout à prendre la parole et à agir. Et ce qu’il a observé et compris rejoint exactement ce que d’autres médecins – notamment le Dr Sherri Tenpenny et d’autres, dont j’ai traduit des articles sur ce blog – ont observé et compris. La différence est que le Dr McCullough n’a évidemment pas ce sulfureux profil de contestataire, complotiste, anti-vaccins, etc. C’est un médecin vieille école, qui plus est un des plus établis dans son pays et internationalement. Et quand un médecin vieille école de ce niveau voit et dit la même chose que des complotistes agréés, ce que ça implique est assez simple à comprendre.
Pour info, l’article suivant sur ce blog est un extrait d’une interview plus récente du même Dr McCullough, où il va encore beaucoup plus loin que dans celle ci-dessous, qui date du 19 mai. Sa parole courageuse et sans détour est une bonne chose parce que tout va très vite, que beaucoup de gens meurent et que tout ça est très, très loin d’être fini.
Encore un mot : mon épouse, qui travaille dans le domaine de l’enfance, me dit que beaucoup d’ados comprennent ce qui se passe actuellement – beaucoup mieux que leurs parents. C’est en grande partie pour eux que je me suis tapé ce boulot monumental, au cas où ça pourrait les aider à se défendre, voire à faire comprendre quelque chose à un adulte, qui sont souvent des cas désepérés, à quelques heureuses exceptions près.
La transcription intégrale de cette interview (qui dure 1h48′) et sa traduction m’ont pris plus de trente heures. Il y manque juste deux ou trois mots (inaudibles). J’ai abondamment consulté les sources médicales pour vérifier les noms et pour livrer une traduction exacte des termes techniques. J’en ai profité pour inclure des liens pour les personnes, institutions, publications et termes techniques cités. Pour une meilleure lisibilité, j’ai un peu élagué les tics de langage parlé typiquement américains. J’ai rajouté de l’emphase sur quelques passages-clé.
Je vous invite évidemment à lire cette traduction et encore plus à la partager, avec mention de la page source, ce serait bien sympa.
Le Dr Peter McCullough est le plus éminent et le plus ardent défenseur au monde du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) afin de prévenir l’hospitalisation et la mort. Le 19 mai 2021, je l’ai interviewé à propos de ses efforts en tant que médecin traitant et chercheur. De son point de vue unique, il a observé et documenté une RÉPONSE POLITIQUE PROFONDEMENT PERTURBANTE à la pandémie – une réponse politique qui pourrait s’avérer être la plus grande faute professionnelle et malversation de l’histoire de la médecine et de la santé publique.
Le Dr McCullough est interniste, cardiologue, épidémiologiste et professeur de médecine au Texas A & M College of Medicine, Dallas, Texas, États-Unis. Depuis le début de la pandémie, le Dr McCullough est un chef de file de la réponse médicale à la catastrophe du COVID-19 et a publié « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » première synthèse du traitement multimédicament séquencé de patients ambulatoires infectés par le SRAS-CoV-2 dans l’American Journal of Medicine et mise à jour par la suite dans Reviews in Cardiovascular Medicine. Il compte 40 publications évaluées par des pairs sur l’infection et a longuement commenté la réponse médicale à la crise du COVID-19 à TheHill et sur FOX NEWS Channel. Le 19 novembre 2020, le Dr McCullough a témoigné devant le Comité Sénatorial Américain sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales et tout au long de 2021 devant le Comité Sénatorial du Texas sur la Santé et les Services Sociaux, l’Assemblée Générale du Colorado et le Sénat du New Hampshire concernant de nombreux aspects de la réponse à la pandémie.
Le 19 mai 2021, le Dr Peter McCullough a été interviewé par l’auteur John Leake à Dallas, au Texas, au sujet du traitement et de la recherche du Dr McCullough sur le Covid-19.
Peter A. McCullough, MD, MPH, FACP, FACC, FAHA, FCRSA, FCCP, FNKF, FNLA Professeur de médecine, Texas A & M College of Medicine Interniste et cardiologue certifié Président de la Société Cardio-rénale Américaine Rédacteur en chef, Reviews in Cardiovascular Medicine Rédacteur en chef, Cardiorenal Medicine Rédacteur associé principal, American Journal of Cardiology
Je suis le Docteur Peter McCullough et je suis interniste et cardiologue, médecin universitaire et Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor à Dallas. Et en février 2020, comme de nombreux autres médecins, j’ai vraiment été pris dans la tourmente suite à la nouvelle d’un virus extrêmement contagieux qui émanait de Wuhan, en Chine, et qu’il semblait que les États-Unis étaient dans la ligne de mire.
Lorsque vous avez entendu les premiers rapports concernant cette nouvelle maladie respiratoire, quelles ont été vos premières réflexions sur la façon de vous y préparer ?
Au début, dans l’exercice de ma pratique clinique, je n’avais vraiment aucun point de vue sur les pandémies virales du passé. Certains ont mentionné les pandémies de grippe d’autrefois. Elles remontaient aux années 1300, des épidémies qui s’étaient répandues dans toute l’Europe. Mais en fait, nous avons été tous très rapidement mis en mode d’urgence. Ce qui arrivé ensuite, c’est un ensemble de communiqués au sein des systèmes de santé qui traitaient en fait de la protection des médecins et des infirmières. On a présenté aux Américains le terme EPI – équipement de protection individuelle. La plupart des réunions et des communications de nos groupes de travail n’avaient rien à voir avec les patients malades. Elles concernaient la protection des travailleurs de la santé et des médecins. J’ai donc compris très tôt que la peur – la peur collective – était un moteur majeur du comportement face à la pandémie.
Mes recherches – et ma vie de chercheur avant le Covid-19 – étaient centrées sur l’interface entre les maladies cardiaques et rénales. Je suis Président de la Cardio-Renal Society of America, je suis considéré comme la personne la plus publiée sur ce sujet dans l’histoire, au niveau mondial. Je préside de nombreux essais cliniques approuvés par la FDA et des comités de surveillance des données sur la sécurité. En fait, j’ai probablement observé et examiné plus de données d’essai sur la sécurité des médicaments que n’importe quel médecin américain actuel. J’ai donc une grande expérience de l’épidémiologie, des maladies chroniques et des essais randomisés.
Mais pour le Covid-19, notre point de vue principal au début – ou du moins le mien, sur base de mes précédentes collaborations en médecine cardio-rénale – était celui des médecins italiens et nous avons donc commencé à nous envoyer des e-mails pour savoir ce qui se passait dans le région métropolitaine de Milan – à Milan puis à Sienne, en Toscane – et nous avons rapidement compris que cette maladie se présentait comme une infection des voies respiratoires supérieures, comme un rhume – et pour une majorité d’individus, c’était comme un rhume. Cependant, chez certaines personnes, cela pouvait évoluer vers ce que nous appelons le syndrome de détresse respiratoire de l’adulte, où il y a atteinte majeure des poumons. Les patients perdaient leur capacité à respirer et à échanger l’oxygène et le dioxyde de carbone et devaient ensuite être intubés mécaniquement. Ce qui n’avait rien de commun avec un rhume et semblait très différent de la grippe. Chez les personnes âgées, la grippe peut également provoquer le syndrome de détresse respiratoire de l’adulte, mais c’est presque toujours à cause d’une infection bactérienne secondaire, telle qu’une infection staphylococcique.
Le Sars-CoV-2, le virus du Covid-19, présentait ces caractéristiques particulières. Puis en quelques semaines, nous avons compris assez clairement que la maladie avait trois caractéristiques biologiques majeures. L’une était la réplication virale précoce, où le virus se réplique de manière exponentielle comme c’est le cas dans d’autres infections virales. Il y avait une deuxième phase, où le système immunitaire réagit selon un schéma inadapté et très anormal. Au lieu que le système immunitaire défende le corps, le système immunitaire envoie des signaux qui endommagent les organes dont le cœur, les poumons, les reins, le cerveau, le système sanguin.
Et puis, ce qui est très important, le virus lui-même, par l’intermédiaire de la protéine de pointe – le dangereux spicule à la surface de la boule du virus – la protéine de pointe elle-même provoque la coagulation ou des caillots sanguins. Et c’est un type de coagulation unique. Les globules rouges se collent les uns aux autres, et les plaquettes se collent les unes aux autres. Il s’agit donc d’un type de coagulation sanguine très différent de celui qu’on verrait lors de formation de caillots sanguins majeurs dans les artères et les veines. Par exemple, les caillots sanguins impliqués dans les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques, les caillots sanguins qui surviennent dans les gros vaisseaux sanguins des jambes. Il s’agissait d’un autre type de coagulation et en fait, les Italiens ont courageusement pratiqué des autopsies et ont trouvé des micro-caillots sanguins dans les poumons. Et donc nous avons fini par comprendre que la raison pour laquelle les poumons ne fonctionnent plus n’est pas liée à la présence du virus mais à la présence de micro-caillots sanguins.
Que voyiez-vous dans les premiers rapports sur Covid-19 ?
Le flux de publication de rapports et de littérature médicale émanait initialement de Chine – les premières publications – et le public doit comprendre que le cycle de publication typique d’un article universitaire évalué par des pairs et publié peut prendre de neuf mois à deux ans. Ce qui s’est passé, c’est que les cycles de publication étaient trop longs pour garantir une information rapide. Donc, immédiatement, notre système s’est rabattu sur ce qu’on appelle les preprints [prépublication]. Les publications étaient soumises, les articles étaient soumis pour publication, mais le preprint était diffusé en faisant valoir au public que l’article n’avait pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs, mais que nous devions diffuser cette information immédiatement pour que le public comprenne ce qui se passe. Nous avons initialement reçu une vague [de publications] en provenance de Chine qui était difficile à interpréter à cause de la différence d’écriture avec l’anglais, et parce que la population chinoise est très différente en termes de structure et qu’il était difficile de tirer parti de ce qui venait de Chine, excepté que dans certains cas, ça pouvait être fatal. L’Italie ressemble beaucoup plus aux États-Unis. Ce fut la grande vague [de publications] suivante et nous collaborons plus librement avec les Italiens. J’avais contacté ce qu’on appelle le réseau [?] en Italie en tant que médecin américain. Et j’ai dit ouvertement, « Je ne suis ni virologue ni immunologiste, mais je peux vous dire que tous les médecins spécialistes des maladies infectieuses en Amérique ont complètement souscrit à la politique d’hospitalisation des patients atteints de Covid-19 et que personne n’est capable de réfléchir à ce qui se passe dans cette pandémie. »
Ce que nous avons appris relativement tôt, c’est que cette maladie était clairement et fortement candidate à la restratification ou que les risques de base étaient des déterminants très, très importants de la mortalité, encore plus que le virus lui-même. Cela signifie donc que le déterminant le plus important de la mortalité est l’âge, l’âge lui-même constitue un déterminant de base ou une cause de décès, si vous voulez, dans la population générale. Ensuite, nous avons ajouté des éléments typiques qui exposent les gens à un risque de décès liés à d’autres causes : maladie cardiaque, maladie pulmonaire, maladie rénale, cancer, obésité, diabète. Ce qui est intéressant, c’est que l’obésité semblait être un facteur très important et que le virus semblait donc s’attaquer en particulier aux patients obèses. Il y a des raisons, qui ont à voir avec la manière dont la production des cytokines et les facteurs immunitaires réagissent au virus, qui pourraient l’expliquer. Mais on a vite compris que les personnes de moins de 50 ans, par exemple, sans problème médical majeur pouvaient très facilement traverser cette maladie. En fait, les Suédois ont compris cela très rapidement et ont dit, « Nous n’allons pas fermer, nous allons… On en sait assez pour se limiter à protéger les individus à risque le mieux possible – en prenant les meilleures mesures de protection possibles – et ainsi notre économie et nos écoles pourront fonctionner normalement. »
Dans cette pandémie, on a vu au niveau mondial un moratoire sur les voyages et un moratoire sur les réunions universitaires. Pour la première fois dans ma carrière, nous ne pouvions plus rencontrer nos collègues, aux États-Unis ou à l’étranger. En médecine universitaire, il est vital de se rencontrer et d’échanger des idées. Et pour la première fois, nous ne pouvions pas échanger librement nos idées au sein du groupe. En fait, je me souviens d’une téléconférence tenue au début par le National Institutes of Health, plus exactement par sa division de l’insuline, du diabète et des maladies rénales. C’est avec cet institut que je suis en relation en termes d’essais cliniques et il est dirigé par le Dr Robert Starr – un scientifique formidable. Et si je me souviens bien, des centaines de personnes ont répondu à leur appel pour simplement savoir ce qui se passait dans les autres centres. Les gens se posaient mutuellement la question « Qu’est-ce qui se passe à UCLA, qu’est-ce qui se passe à Baylor, qu’est-ce qui se passe à Harvard? » Nous communiquions pour littéralement tenter de comprendre ce qui se passait ailleurs avec ce virus, qui doit être hospitalisé, que se passe-t-il lorsqu’ils sont hospitalisés, qui a besoin de ventilation mécanique? Toutes ces interactions se fondaient sur l’idée que tout cela était très ouvert à une restratification. Les personnes de moins de 50 ans sans problème médical, à moins qu’elles ne présentent des symptômes sévères, elles allaient s’en tirer et honnêtement, ça ne serait pas pire qu’un rhume. Mais au-delà de 50 ans, elles couraient un risque réel d’hospitalisation et de décès. Et les deux critères d’évaluation importants étaient l’hospitalisation et le décès. Si vous demandez aux Américains « De quoi avez-vous peur? Vous avez peur d’attraper un rhume et de rester à la maison pendant quelques jours ou quelques semaines? » « Non. J’ai peur, j’ai une peur mortelle d’être hospitalisé et j’ai manifestement peur de mourir. »
Pourquoi l’hospitalisation était-elle si effrayante ? Parce que pour la première fois, les patients étaient hospitalisés, mis en isolement et ils ne pouvaient plus jamais revoir leurs proches. Ceux qui sont morts n’ont en fait jamais revu leurs proches. Les travailleurs étaient terrifiés, ils portaient des équipements de protection individuelle, ils faisaient très peu de visites aux patients dans leur chambre, ils se sont mis à utiliser des services de télémédecine où les pauvres patients étaient enfermés derrière des vitres, personne ne venait les voir et les soins qui leur étaient prodigués était minimes. Honnêtement, les patients recevaient des soins symptomatiques jusqu’à ce qu’ils aient besoin d’être mis sous respirateur. Ils restaient couchés à l’hôpital sous oxygène, terrifiés, jour après jour, sans que personne ne puisse entrer dans la chambre, sans voir leur famille. Ces messages ont été transmis à d’autres membres de la famille et ont plongé l’Amérique dans une peur extraordinaire.
Au cours de cette dernière année, j’ai publié – et j’ai réussi à les publier malgré les cycles de publication incroyablement ardus – j’ai publié 40 articles évalués par des pairs sur le Covid-19. C’est peut-être plus que n’importe qui en Amérique. Et l’un de mes tout premiers articles, c’en était le titre, traitait des problèmes majeurs : l’hospitalisation et la mort. Et quand j’ai commencé à voir les tableaux de comptage des chiffres apparaître sur les principaux canaux médiatiques où ils répertoriaient les cas positifs et les décès – tous les Américains s’en souviennent – ils sont apparus presque instantanément, ils venaient de Johns Hopkins. Immédiatement, on ne vit que des cas et des décès. Je me demandais comment ils avaient obtenu ces informations si rapidement. C’était incroyable. Nous ne disposons de rien d’aussi rapide, certificats de décès ou autre, donc qui pouvait le savoir? Mais quoiqu’il en soit, c’était ce qu’on nous montrait et j’ai dit que nous devions vraiment savoir qui était hospitalisé parce que si nous ne savions pas qui était hospitalisé et si nous ne savions pas où les hospitalisations avaient lieu, nous ne savions pas où allouer les ressources. J’ai donc publié un article à ce sujet dans la revue que j’édite, Reviews in Cardiovascular Medicine. J’ai immédiatement voulu m’adresser au grand public américain. J’ai publié un éditorial dans The Hill, une newsletter de Washington, et j’ai dit « Il y a un besoin émergent : nous avons besoin des données d’hospitalisation » et j’ai crié aussi fort que j’ai pu à l’administration « Obtenez un décret pour obtenir le recensement des hôpitaux américains tous les jours afin que nous puissions voir ce qui se passe. » Ce n’est jamais arrivé. Nous avons obtenu un décret pour recevoir les résultats des tests positifs en provenance de tous les principaux laboratoires et via les laboratoires hospitaliers, car tous les tests pour le virus étaient soumis à une autorisation d’utilisation d’urgence, ils étaient donc liés à un décret. Les chiffres des tests positifs arrivaient au Johns Hopkins Center, donc nous savions qui avait été testé positif. Il n’y avait aucun contrôle sur les doublons, donc si un patient avait passé un, deux ou trois tests, à moins que le système n’ait un moyen de filtrer ces doublons, ceux-ci s’additionnaient. Et on ne tenait absolument pas compte de qui était malade et qui n’était pas malade. Nous avions donc les tests positifs, puis les décès qui suivaient d’environ quatre semaines les cas de test positif. Mais ces évaluations de la mortalité était un véritable mystère pour les Américains.
Et j’ai dit, je pense que c’était vers mars ou avril, j’ai fait la déclaration relativement publiquement, j’ai dit « Il y a deux issues néfastes : l’hospitalisation et la mort. Je vais constituer une équipe de médecins et trouver un moyen d’arrêter ces hospitalisations et ces décès. » Je m’y sentais obligé en tant que leader universitaire en médecine, si personne à la Maison Blanche ne pouvait le dire, si personne dans le groupe de travail de la Maison Blanche ne pouvait le dire, si personne à la FDA ne pouvait le dire, ou au NIH ou au CDC tandis que les Américains affluaient dans les hôpitaux et mouraient. Personne ne pouvait singulièrement et individuellement faire cette déclaration courageuse et seul, j’ai fait cette déclaration.
Comment avez-vous conceptualisé le problème du Covid-19 et comment y faire face ?
Nous voyions, chez les dirigeants de ce pays, une incapacité à définir le problème. Le problème était qu’il y avait un virus, qu’il apparaissait en grappes aux États-Unis et que chez la plupart des gens il causait un rhume et qu’ils s’en sortaient très bien et que chez d’autres, il conduisait à l’hospitalisation et à la mort. Nous ne pouvions pas définir le problème qui faisait que le virus chez certaines personnes provoquait l’hospitalisation et la mort. Arrêtons ça, arrêtons les hospitalisations et les décès, traitons le virus. Nous n’arrivions pas à cadrer ce problème, nos dirigeants n’arrivaient pas à cadrer le problème. Personnellement, je n’ai eu aucun problème à formuler le problème. C’était grave. Si ç’avait été une autre forme de pneumonie, j’aurais dit la même chose, une autre forme d’asthme nouvellement acquise, une autre forme d’infection uro-génitale ou gastro-intestinale.
Ebola avait touché Dallas quelques années plus tôt. Je pense qu’Ebola nous a causé du tort en termes de réflexion, parce qu’Ebola était si terriblement contagieux et si rapidement mortel que la peur qu’Ebola a créée à Dallas était extraordinaire. Je n’oublierai jamais le jour où, dans notre centre médical, j’ai essayé d’entrer par l’une des portes par lesquelles j’entre d’habitude et où je suis tombé sur un policier en faction. J’ai demandé « Que se passe-t-il ? », il a répondu « Nous sommes ici pour empêcher toute personne atteinte d’Ebola de rentrer dans notre hôpital. Nous les envoyons à l’hôpital presbytérien, au nord. » Depuis quand refusons-nous l’accès d’un hôpital aux patients? La peur qu’Ebola a créée, à cause de cette idée qu’elle était terriblement contagieuse et rapidement mortelle, je pense, nous a mis sur le fil. Avec le virus Sars-CoV-2, ce que nous avons appris, c’est que, dans la moyenne, la personne reste à la maison pendant deux semaines, il n’y a pas de létalité immédiate de ce virus. En fait, nous disposons une longue fenêtre pour poser un diagnostic, organiser le traitement et prévenir les hospitalisations et les décès. Le Sars-CoV-2 est donc très différent d’Ebola.
Mais nous devons nous pencher sur d’autres maladies dans lesquelles nous savons très bien que quelqu’un peut tomber malade à la maison, mais que si nous commençons tôt le traitement de l’infection, nous pouvons sauver le patient. C’est le cas pour les pneumonies communautaires, c’est le cas pour diverses formes d’infection à staphylocoque, le syndrome de choc toxique staphylococcique, c’est le cas pour la diverticulite et les affections abdominales, c’est le cas pour les infections cutanées, diverses formes de cellulite, c’est le cas pour la méningite. Si par exemple, si quelqu’un avait une forme de méningite, nous ne dirions pas « Restez chez vous pendant deux semaines mais si vous allez vraiment très mal et que vous avez des crises et que vous ne parvenez même plus à respirer alors venez à l’hôpital, nous commencerons le traitement. » Ainsi, l’aspect unique et différent de la réponse médicale au Sars-Cov2 et au Covid-19 était que pour la première fois, nous avons vu une maladie infectieuse où la communauté médicale s’est réfugiée dans une réflexion de groupe et que cela a été soutenu par le NIH, le CDC, la FDA , l’American Medical Association, toutes les sociétés médicales. Cela a été soutenu par ces sociétés qui ont dit aux médecins « Ne touchez pas à ce virus, laissez les patients à la maison, laissez-les tomber aussi malades que possible, puis quand ils ne peuvent plus respirer, envoyez-les à l’hôpital ».
En fait, j’ai été choqué, le 8 octobre, lorsque le National Institutes of Health a publié son premier ensemble de directives de traitement, car avant cela, aucune des sociétés n’avait de directives de traitement. En fait, ils n’ont pas dit aux médecins comment traiter la maladie. Ils avaient des suggestions sur ce qui devait être fait à l’hôpital, mais les Américains se souciaient de ce qui se passait quand ils tombaient malades chez eux. Et le premier chapitre de la directive disait « Vous tombez malade à la maison, ne faites rien. Ne faites rien, venez à l’hôpital quand vous ne pouvez vraiment plus respirer, ne faites toujours rien jusqu’à ce que le patient ait besoin d’oxygène, puis commencez à faire quelque chose, comme administrer le premier médicament antiviral, qui était le Remdesivir. » Ce qui fait 14 jours après que le virus a déjà commencé à se répliquer. À ce moment-là, le virus a disparu depuis longtemps. Lorsque les gens ne peuvent plus respirer, le problème est la microcoagulation sanguine dans les poumons.
Ainsi, les agences fédérales, le CDC, le NIH et la FDA se sont montrés extrêmement incompétents en termes de perception de ce problème, incroyablement inaptes à appliquer tout type de jugement ou de directive aux médecins. Et ce qu’on a vu chez les médecins, c’était « Nous avons très peur, nous ne ferons rien sans le soutien intellectuel de nos associations, de nos agences fédérales, de nos sociétés médicales. » Ce qui était exactement le contraire de ce que la médecine avait toujours été.
La médecine a toujours été basée sur l’innovation précoce par les médecins, un traitement empirique, de petites études, des essais randomisés, puis des grands essais randomisés parrainés, dans cet ordre. Et puis, après de grands essais randomisés, les organismes en charge des lignes directrices examinent tous ces grands essais randomisés, déterminent ce qui devrait être fait, puis ces organismes en charge des lignes directrices publient des lignes directrices et les agences fédérales suivent ces lignes directrices. C’est exactement ce que nous faisons pour la mammographie, la coloscopie, le traitement de l’infarctus du myocarde, le traitement de la pneumonie. Ça a toujours commencé par un empirisme précoce, puis des années plus tard, des lignes directrices et des déclarations des agences.
Pourquoi a-t-on supposé que rien ne pouvait être fait pour traiter les personnes aux premiers stades de l’infection à Covid-19 ?
C’était une hypothèse dangereuse. Supposer qu’il n’y a rien que l’on puisse faire pour une infection mortelle est une énorme bévue. C’est une bévue de la part des citoyens, c’est une bévue de la part des intervenants en santé et c’est une bévue massive de la part des agences. Vous imaginez? Faisons une hypothèse. Et notre hypothèse pourrait-elle conduire au pire résultat possible qui serait l’hospitalisation et la mort? Ou nous pouvons faire une autre hypothèse et dire « C’est traitable ». On va essayer de soigner. Quelle hypothèse est la plus dangereuse? L’hypothèse absolument dangereuse est de ne rien faire.
On peut prendre n’importe quel exemple. Faisons une hypothèse sur la sécurité routière. On peut supposer que les règles et les lignes de sécurité routière, les panneaux d’arrêt et les ceintures de sécurité sont utiles ou on peut supposer qu’ils sont inutiles. Essayons dès maintenant de laisser une liberté totale sur la route et voyons ce que ça donne en comparaison au respect de certaines règles. Nous ne risquons jamais d’hypothèses dangereuses pour le public et ce qui est vraiment inquiétant dans cette histoire, c’est qu’on a affaire à une série d’hypothèses extrêmement dangereuses. Pouvez-vous imaginer qu’une personne âgée qui souffre d’une maladie cardiaque et pulmonaire, qui s’est remise d’un cancer, qui souffre d’une maladie rénale se voit remettre les résultats d’un test de diagnostic qui dit « Vous avez le Covid-19, c’est votre diagnostic fatal. Nos recommandations, basées sur l’hypothèse que nous ne pouvons rien faire, est que vous devez rentrer à la maison et attendre. Et quand la panique, la peur et l’essoufflement et la fièvre deviendront tellement accablants que vous ne pourrez plus le supporter, alors allez à l’hôpital. «
Et comment les gens vont-ils à l’hôpital? Ils appellent les membres de leur famille. Ils contaminent tous les membres de leur famille, ils appellent le service d’aide médicale urgente, les chauffeurs uber, les chauffeurs de taxi. Chaque hospitalisation en Amérique a été un événement de super-contamination. L’hypothèse qu’il n’y a rien qui puisse être fait et le fait de donner à quelqu’un un diagnostic fatal sans marche à suivre a conduit à une amplification massive des cas.
Ce que nous aurions pu supposer, et ce que j’ai supposé, c’est qu’il existe certains principes que nous pouvions adopter à partir d’autres précédents. Par exemple, dans toutes les formes connues de pneumonie, on voit une amélioration si elle est traitée tôt – même pour la grippe. Et c’est la raison pour laquelle le Tamiflu, par exemple – et il y a un produit analogue – sont approuvé par la FDA pour le traitement de la grippe. Ils ont un effet partiel. Utilisons-nous jamais le Tamiflu seul? Non, nous le combinons généralement avec d’autres médicaments pour aider les patients à traverser la maladie. Il existe des médicaments respiratoires de soutien, il existe des formes de traitements à inhaler – ce qu’on appelle les bêta-agonistes et les stéroïdes à inhaler. Nous les utilisons généreusement dans les formes d’emphysème, de pneumonie, d’asthme, de pneumonie allergique. Il y a d’autres choses que nous pouvons faire pour aider les patients à surmonter le syndrome. La nature inflammatoire du syndrome est devenue très intéressante. Nous comprenons que les antihistaminiques, par exemple le montélukast, l’aspirine, les stéroïdes, les corticostéroïdes, jouent un rôle important. Si j’avais un asthmatique à traiter à domicile, je ne lui dirais pas « Restez à la maison pendant deux semaines jusqu’à ce que vous ne puissiez plus respirer et ensuite allez à l’hôpital. » Vous plaisantez, j’espère? Je prescrirais à cet asthmatique des traitements à inhaler, j’utiliserais probablement des antibiotiques de façon empirique chez ce patient, puis des stéroïdes, et j’aurai évité l’hospitalisation du mieux que je pouvais.
J’ai donc abordé la maladie respiratoire du Covid-19 comme n’importe quelle autre, avec la pensée suivante : nous avions assez rapidement mis en place notre approche sur base d’autres précédents, notamment la grippe, l’asthme et la pneumonie bactérienne. Comme il s’ensuit que [le Covid] allait se prêter à une restratification, ceux de moins de 50 ans qui n’avaient aucun symptôme pulmonaire pourraient traverser la maladie sans complication. Nous disposions de données suggérant que les carences nutritionnelles semblaient augmenter le risque d’hospitalisation et de décès. Et c’est donc là que les nutraceutiques sont intervenus dès le début – il y avait des indications de soutien, pas des indications curatives mais des indications de soutien, pour le zinc, pour la vitamine D, la vitamine C et, fait intéressant, une substance polyphénolique appelée quercétine. D’autres ont été pris en compte, notamment la lysine et la N-acétylcystéine. Ils ont constitué ce que nous appelons le bouquet nutraceutique. Est-il donc raisonnable de les prescrire aux les patients? Je dirais que oui, si ça influence la mortalité, que nous ne savons rien d’autre, qu’il n’y a aucun risque dans ces suppléments, qu’ils sont facilement disponibles, les gens savent en trouver. Nous avons donc recommandé ce bouquet nutraceutique pour les moins de 50 ans sans autre traitement médical. Cela représentait à peu près, sur le nombre de personnes qui tombaient malades à l’époque, probablement deux tiers à trois quarts des patients qui n’avaient réellement besoin d’aucun traitement.
Cependant, pour une personne de moins de 50 ans présentant des problèmes médicaux, présentant des symptômes graves ou une personne de plus de 50 ans présentant des problèmes médicaux, il est devenu évident que les taux d’hospitalisation et de décès étaient supérieurs à un pour cent. C’était suffisant. Plus d’un pour cent est un nombre magique dans cette équation. C’est suffisant pour intervenir. C’est suffisant pour faire quelque chose. Nous savions qu’une personne de 60 ans, par exemple, ferait face à environ 18% de risques d’hospitalisation et de décès. 18% de risques, c’est trop élevé. Dans mon domaine, la cardiologie, nos lignes directrices disent que tout ce qui dépasse 5% est un risque élevé, 1 à 5 % est un risque modéré, moins de 1% est un risque faible. En général, nous ne médicalisons pas si c’est moins d’un pour cent. Donc ce groupe à faible risque, nous ne l’avons pas traité, mais les personnes de plus de 50 ans, les jeunes présentant des symptômes sévères, nous les avons traités – avec ce bouquet nutraceutique.
Que savions-nous d’autre? La chronologie était très intéressante. Nous savions grâce au Sars-CoV-1, qui est similaire à 80% au Sars-Cov2, nous savions grâce à des études remontant à 2006 que l’hydroxychloroquine, un médicament utilisé pour le lupus, utilisé pour la polyarthrite rhumatoïde, utilisé pour d’autres affections rhumatologiques, y compris les yeux secs ainsi que le paludisme, sans danger, était efficace pour réduire la réplication virale du Sars-CoV-1. Nous le savions et les États-Unis le savaient. En fait, ce médicament était stocké par le gouvernement des États-Unis, le gouvernement australien, certains gouvernements européens. L’hydroxychloroquine a donc été intégrée de manière appropriée et elle était prête à faire son effet. En fait, de nombreux pays ont utilisé l’hydroxychloroquine comme remède de première ligne pour les patients à haut risque et ils le font encore aujourd’hui. Vous pouvez vous rendre à Athènes, en Grèce, à Rome, en Italie, dans toute l’Europe de l’Est, en Amérique Centrale et en Amérique du Sud, l’hydroxychloroquine y est le médicament phare. En Inde et en Asie de l’Est, l’hydroxychloroquine est le médicament phare.
L’hydroxychloroquine a donc joué un rôle. Nous savions également à l’été, nous savions que l’ivermectine jouait un rôle – il s’agit d’un médicament antiparasitaire utilisé contre la gale et d’autres maladies, sûr et efficace. Pour ces médicaments, la raison pour laquelle ils agissent contre le virus, c’est qu’ils pénètrent à l’intérieur des cellules. Beaucoup d’antibiotiques comme la pénicilline ne pénètrent pas à l’intérieur de la cellule, mais ce qu’on appelle les anti-infectieux intracellulaires le font. Le Japon disposait d’un médicament antigrippal qui avait exactement la même activité que le Remdesivir, le premier médicament intraveineux approuvé aux États-Unis pour les patients hospitalisés. Ce médicament s’appelle Favipiravir et les Japonais disposaient de données suggérant que le Favipiravir, comme le Remdesivir oral, jouerait un rôle dès le début. Il a été facilement approuvé par cinq pays, approuvé par la FDA, approuvé par la FDA comme équivalent dans ces pays, pour traiter le Covid-19.
On avait donc l’hydroxychloroquine, on avait l’ivermectine, le Favipiravir, on les combinait avec soit de la doxycycline soit de l’azithromycine. Ce sont des antibiotiques que les Américains connaissent bien. Ils pénètrent à l’intérieur des cellules, ce sont aussi des anti-facteurs intracellulaires et ils servaient un peu d’auxiliaires à plusieurs égards. Ils réduisaient certaines des surinfections bactériennes qui se produisaient dans les sinus et les voies respiratoires et nous savions d’après certaines études qu’il y avait un chevauchement d’environ 3% entre le Covid-19 et ce qu’on appelle une pneumonie atypique qui pouvait être un mycoplasme, une pneumonie aux chlamydiae. Et celles-ci y étaient également sensibles. Rapidement, l’hydroxy[chloroquine] et l’azythro[mycine], l’ivermectine et la doxy[cycline] sont devenues communs à tous les [traitements] examinés par les pairs et sont devenues des anti-facteurs intracellulaires d’usage courant.
Mais seuls ils étaient insuffisants, car la réplication virale déclenche ce qu’on appelle la tempête de cytokines, qui survient quand le système immunitaire se détraque. Et donc assez vite, dans les hôpitaux, les médecins se sont mis à utiliser des stéroïdes et on a vu une certaine confusion dans la littérature : « Sont-ils nuisibles ou bénéfiques? » Les Britanniques ont beaucoup contribué à son étude, une étude sur des patients hospitalisés baptisée Essai Recovery. Et l’Essai Recovery a sélectionné un corticostéroïde inhabituel, la dexaméthasone, à une dose inhabituelle, 6 milligrammes par jour – on utilise généralement environ 10 milligrammes, 4 fois par jour, donc une dose inhabituelle – mais qui a montré une légère réduction de la mortalité. C’était une méta-analyse publiée sur l’hydrocortisone et la prednisone. Il s’est avéré que tout stéroïde fonctionnait à une dose raisonnable. Ainsi, aux États-Unis, nous avons rapidement adopté la prednisone que nous utilisons fréquemment dans l’asthme. Et puis un autre essai a été réalisé au Royaume-Uni, le Stoic Trial, qui utilisait du budésonide en inhalation. C’était une avancée très intéressante parce qu’un médecin non-conformiste, le médecin militaire en retraite Richard Bartlett de l’ouest du Texas, a fait la une de l’actualité nationale en déclarant « Je pense que le budésonide en inhalation fonctionne. » Il a dit ça au début du printemps, et il passait aux nouvelles nationales. Il a dit « J’essaie. Je suis médecin, j’essaie d’aider mes patients, j’utilise un traitement empirique, je sais qu’il n’y a pas d’essais randomisés. » Mais il a fait ce qu’il fallait. C’est ce que tous les médecins américains auraient dû faire, essayer d’aider leurs patients en faisant des choix empiriques de médicaments qui ont un sens au point de vue clinique. Il a essayé et ça a fonctionné. Les Britanniques ont mené le Stoic Trial et ça a entraîné une réduction de plus de 80% des hospitalisations rien qu’avec du budésonide en inhalation chez les patients ambulatoires atteints de Covid-19. Donc on l’a adopté.
L’Institut de Cardiologie de Montréal, l’un des principaux centres d’essais contrôlés randomisés au monde, a obtenu un financement du National Institutes of Health, de la Fondation Gates et des autorités canadiennes et a testé un médicament contre la goutte qui agit contre le système immunitaire, en particulier contre les globules blancs et leur capacité à faire proliférer des granules toxiques et à assembler des microtubules. Ce médicament s’appelle la colchicine. Les Américains le connaissent comme médicament contre la goutte. Ils ont organisé et dirigé un essai prospectif randomisé, en double aveugle pendant 30 jours, le meilleur essai de qualité réalisé dans l’ensemble du Covid-19 et ils ont démontré qu’il y avait une nette réduction des hospitalisations et des décès. Alors la colchicine a été adoptée.
Le dernier élément que nous devions vraiment comprendre était la coagulation sanguine. Et à ce jour, il n’y a pas eu une seule étude de médicaments ambulatoires qui pourraient altérer l’agrégation plaquettaire, ou anti-thrombotique. Cependant, nous pouvons apprendre des choses des études sur les patients hospitalisés et il y a eu de très bonnes analyses. Elles sont toutes d’accord. L’utilisation d’aspirine à dose complète à l’hôpital est associée à des réductions de mortalité et l’utilisation d’anticoagulants à dose complète, qu’ils soit injectables, l’héparine de bas poids moléculaire, l’héparinisation complète – on peut même utiliser des anticoagulants oraux en ambulatoire – sont associées à des réductions dans la mortalité.
De mon côté, je travaillais avec les Italiens pour voir comment réunir ces concepts et j’ai publié un article dans l’American Journal of Medicine en août 2020. Et je dois vous dire, quand j’ai examiné la littérature publiée jusqu’au printemps, en travaillant avec les Italiens, il y avait, au moment où j’ai soumis l’article le 1er juillet, 55.000 articles publiés dans la littérature à comité de lecture. Pas un seul n’enseignait aux médecins comment combiner des médicaments et traiter le virus. Ça semble vraiment étrange. Nous savions qu’il s’agissait d’une infection virale mortelle. Dans les infections virales mortelles, les médicaments seuls ne fonctionnent jamais. Nous le savions pour le VIH, nous savions que nous avons besoin de plusieurs médicaments contre le VIH, nous le savions pour l’hépatite C, nous le savions pour toutes les autres infections virales mortelles. Nous utilisons des combinaisons de médicaments, jamais des médicaments uniques. Et tout ce que nous pouvions faire à ce moment-là était d’examiner des études sur des médicaments uniques et trouver des signaux d’avantages, une sécurité acceptable, puis d’assembler des schémas thérapeutiques de référence. Des essais cliniques testant une thérapie combinatoire de 4 à 6 médicaments n’ont même pas encore été planifiés. Le taux de mortalité aurait été astronomique si personne ne s’était aventuré et n’avait eu le courage de publier les concepts. Je suppose que ce sera mon rôle dans l’histoire du monde de l’avoir fait.
J’ai publié un article intitulé « The pathophysiological rationale for early ambulatory treatment of Covid-19 » et il a été publié dans le numéro d’août 2020 de l’American Journal of Medicine. À ce jour, c’est l’article le plus téléchargé du journal, tous sujets confondus. Et il est devenu viral, il est littéralement devenu viral, parce que le monde était en demande d’une approche du Covid-19. Peu de temps après sa publication, je gérais tous les différents types de communications concernant l’article – scientifiques et également médiatiques – et nous bénéficiions de données solides pour l’ivermectine, la colchicine, les stéroïdes inhalés. L’opération Warp Speed avait fourni des anticorps monoclonaux dirigés contre la protéine de pointe, la partie pathogène du virus, et ils incluaient un produit de Lilly et un autre de Regeneron. J’avais donc besoin de mettre à jour l’algorithme, j’ai rassemblé le tout et je l’ai publié dans le journal que j’édite, Reviews in Cardiovascular Medicine mais dans un numéro séparé, avec un éditeur impartial indépendant, sur qui je n’avais pas d’influence, pour m’assurer qu’il soit entièrement vérifié par des pairs et approuvé, ce qui fut le cas, et il a été publié dans Reviews in Cardiovascular Medicine en août 2020. À cette époque, il y avait près de 100.000 articles dans la littérature. Et en dehors de mon premier article, il n’y avait pas un seul autre article qui proposait réellement une thérapie combinatoire ou un protocole pour traiter les patients atteints de Covid-19.
C’était assez extraordinaire de voir que nous étions depuis plus de neuf mois sous pandémie fatale au niveau mondial et que personne n’avait encore trouvé une idée originale sur la façon de combiner des médicaments pour traiter le virus. Nous n’avions pas de protocole de Harvard, nous n’avions pas de protocole de Johns Hopkins, nous n’avions pas celui de l’UCLA, nous n’avions pas de protocole de l’OMS. C’était donc extraordinaire qu’avec toute la puissance de feu que nous avions en médecine universitaire, ils aient fait chou blanc. En fait, aucun de ces centres aux États-Unis et dans le monde n’a jamais ouvert de centre de traitement du Covid. Ils n’avaient pas de centres de traitement ambulatoire du Covid. Ils n’ont jamais tenté d’étudier ou d’aider un seul patient ambulatoire à se soigner du Covid-19.
Pourquoi n’y avait-il pas plus de médecins qui se sont exprimés ou qui ont proposé des solutions pour un traitement précoce du Covid-19?
Ma contribution était, je pense, ma capacité à publier les idées. C’est très important. D’autres que moi ont eu des idées. Vladimir Zelenko à New York, juif orthodoxe, est sorti des sentiers battus. Il a dit, « Nous devons traiter cette maladie, nous pouvons utiliser certains médicaments en combinaison, de l’hydroxychloroquine, de l’azythromycine, des stéroïdes, d’autres médicaments » et il a ajouté des médicaments dans la [thérapie combinatoire]. Richard Bartlett, qui vit dans l’ouest du Texas, Brian Tyson et George Reed – l’ancien scientifique du NIH George Reed est sorti de sa retraite – ils sont vraiment allés au feu du Covid-19, à la frontière entre la Californie et le Mexique où ils ont ouvert une clinique et monté une tente et les gens y sont allés et ils les ont traités. Didier Raoult, dans le sud de la France, a déclaré « Nous pouvons le soigner. » Lui et un groupe de médecins français courageux ont ouvert une grande clinique dans le sud de la France [NdT. c’est l’IHU de Marseille, il était déjà ouvert, mais soit] et ont soigné des patients. Il y a eu Yvette Lozano à Dallas – elle a transformé son bâtiment de médecine générale près de White Rock Lake en un centre de traitement Covid. Elle a converti toutes ses chambres pour y traiter les patients Covid – elle avait des concentrateurs d’oxygène, elle avait tous les médicaments, il y a des photos de patients faisant la queue sur le trottoir pour recevoir un traitement. Il est donc intéressant de voir que les innovateurs étaient tous des médecins indépendants et courageux et que les centres médicaux universitaires ont fait chou blanc. Ils n’ont même pas été capables de planter une seule tente pour aider les gens. Pour moi, c’était étonnant de voir que les centres médicaux universitaires ou même les grands centres communautaires n’aidaient un seul patient ambulatoire. Ils ne pouvaient même pas fournir une brochure au patient sur ce qui devait être fait. Le CDC a offert des conseils du genre « Prenez du Tylenol [paracétamol] et si vous tombez vraiment malade, allez à l’hôpital. » Leur réponse à un problème ambulatoire traitable qui laisse deux semaines d’opportunité pour faire quelque chose – l’absence de cette réponse était stupéfiante.
À mon avis, cela était dû à toute une chronologie d’événements qui ont freiné les tentatives de traitement de Covid-19. Je pense que les médecins, les systèmes de santé et d’autres, dans un ordre relativement court, ont été activement découragés de traiter le Covid-19. Je peux vous dire que je n’ai jamais reçu aucun e-mail ni aucun appel téléphonique encourageant me disant « Faites votre possible pour vos patients, essayez de les aider, ces hospitalisations sont terribles. S’il vous plaît, nous vous invitons à utiliser votre meilleur jugement » ou » Voici quelques suggestions de ce que vous pourriez faire. » Je n’ai jamais reçu aucun courriel de ce genre de la part des sociétés médicales ou d’autres.
En fait, il n’y a eu qu’une organisation médicale – tout comme il y a eu quelques médecins courageux, il y a eu une organisation médicale courageuse – l’Association of American Physicians and Surgeons [NdT. dont le Dr Lee Merritt, publiée ici, a été un temps directrice] qui a compris ce qui se passait. Et il est intéressant de noter que cette organisation représente des médecins indépendants, pas employés par les hôpitaux ou par les grands groupes médicaux ou les écoles de médecine, mais des médecins indépendants. Ils ont compris ce qui se passait et la première chose qu’ils ont attaquée était le stock d’hydroxychloroquine. Les États-Unis disposaient d’un approvisionnement suffisant en hydroxychloroquine et le seul problème était de l’utiliser et de le combiner avec d’autres médicaments pour traiter le Covid-19. C’était une excellente idée, et chronologiquement le premier événement a été l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA pour l’hydroxychloroquine. L’auditeur doit comprendre qu’une autorisation d’utilisation d’urgence concerne un tout nouveau médicament ou produit pour lequel il existe un grand besoin non satisfait, pour lequel il n’y aurait pas assez de temps pour faire tous les tests, et à qui on accorderait une autorisation d’utilisation d’urgence. Il existe pour ça un mécanisme gouvernemental. Il est prévu pour les cas d’urgence. Il ne devait pas s’appliquer à l’hydroxychloroquine. Celle-ci était déjà entièrement approuvé par la FDA ; elle est sur le marché depuis 65 ans, elle est sans danger, elle est utilisée pendant la grossesse, nous connaissons bien son profil de sécurité, les médecins savent comment utiliser l’hydroxychloroquine, je l’utilise dans ma pratique, ce n’est pas un problème. Son usage ne nécessitait pas d’autorisation d’utilisation d’urgence.
Dans l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à l’hydroxychloroquine, on trouvait un passage qui disait « restreindre l’hydroxychloroquine à l’usage des patients hospitalisés ». Bien. Une des premières grandes études à sortir avait été effectué sur des milliers de patients du réseau Henry Ford [NdT. réseau médical de cinq hôpitaux,13 cliniques, 53 centres médicaux, et autres services] et c’était une excellente nouvelle que l’hydroxychloroquine se voit associée à une forte réduction de la mortalité si elle était utilisée précocement. Mais plus elle était utilisée tardivement lors d’un séjour à l’hôpital, moins elle semblait fonctionner, les patients étaient trop atteints. J’ai donné mon avis dans plusieurs publications diffusées à travers les États-Unis, dont un éditorial dans The Hill parce que, selon mon point de vue, j’ai argumenté que cette autorisation d’utilisation d’urgence était de facto une restriction. Elle devait être levée et nous aurions du pouvoir utiliser l’hydroxychloroquine en toute liberté.
Et puis il s’est produit quelque chose de vraiment terrible. Gardez à l’esprit que les données provenant de Henry Ford, étaient très positives, nous avions une autorisation d’utilisation d’urgence et les États-Unis en détenaient un stock. Le National Institutes of Health, la section allergie et immunologie, avait commandé un essai prospectif, randomisé, en double aveugle, contre placebo, de l’hydroxychloroquine et de l’azythromycine, comprenant plusieurs milliers patients ambulatoires du Covid-19. Ils avaient financé l’essai, ils avaient obtenu l’approvisionnement en médicaments, ils avaient les placebos, ils avaient organisé tous les centres d’études aux États-Unis, tout était prêt. C’était au printemps. Magnifique. Tout se mettait en place.
Et puis un article bidon a été publié dans The Lancet. Un article bidon. Nos auditeurs doivent comprendre que The Lancet est au même niveau que le New England Journal of Medicine, c’est l’une des revues médicales les plus prestigieuses au monde. Et lorsqu’un article est soumis, il y a énormément de contrôles de validité – la provenance de l’article, la provenance des données, la validation des données – il est ensuite envoyé à des pairs examinateurs indépendants, qui vérifient tout dans l’article, qui font des commentaires, est-ce que ceci ou cela est bien rapporté, il y a énormément de contrôle sur les articles. Suite à quoi il revient, une décision éditoriale est prise quant à l’article et il est finalement publié. C’est ce qu’on appelle l’examen par les pairs. Ça garantit au public que les articles ne sont pas bidon. C’est très important et ça garantit au public que rien n’est falsifié. Cet article avait des auteurs de Harvard, il provenait d’une société appelée Surgisphere – dont personne ne comprenait vraiment ce qu’elle faisait – et les données reprenaient un grand ensemble de données de patients Covid-19 hospitalisés dans le monde entier, avec des données précises sur leur traitement médicamenteux. Nous ne disposions de rien de tel à l’époque. C’étaient des données qui dataient de décembre, janvier, février, quand [le Covid] était en train d’émerger. Nous ne disposions de rien de tel. L’âge moyen mentionné dans leur article était de 49 ans et l’article impliquait que l’utilisation de l’hydroxychloroquine était dangereuse. Et The Lancet a publié cet article falsifié. D’une manière ou d’une autre, il est passé à travers tous les autres examens par les pairs, est revenu, et comment ont-ils pu le publier? Et dès qu’il est sorti, j’ai su en deux secondes que ça devait être un faux. Nous n’hospitalisons pas les quadragénaires. Et l’hydroxychloroquine est en fait associée à des avantages, pas à des dommages.
Cet article dans The Lancet a effrayé le monde entier. Il a créé comme une onde de choc et a provoqué toute une série de réactions. Les gens ont commencé à publier des articles « Oh, l’hydroxychloroquine pourrait être dangereuse, voyez tous ces médecins universitaires. Affaire classée, l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas, arrêtez de l’utiliser. » Les hôpitaux se sont mis à la retirer des listes de médicaments. C’est invraisemblable ce qui s’est passé avec l’hydroxychloroquine. En fait, la FDA américaine a publié un avis disant que l’hydroxychloroquine ne devait pas être utilisée, point final. Nous annulons l’autorisation d’utilisation d’urgence pour les patients hospitalisés et elle ne doit pas être utilisé, point final. Les consignes de la FDA ont ensuite été transmis à l’EMA et l’EMA a déclaré « N’utilisez pas d’hydroxychloroquine, point final, en hospitalisation ou en ambulatoire ». C’est remonté au Conseil des Pharmaciens. Le Conseil des Pharmaciens a dit : « Oh, les médecins ne peuvent pas utiliser ça. » Alors que les médecins soignaient les patients de leur communauté en leur prescrivant de l’hydroxychloroquine, les patients se présentaient à la pharmacie et le pharmacien leur disait « Désolé, je ne peux pas en dispenser, mon Conseil a dit que je ne pouvais pas. » Puis les licences des médecins ont commencé à être menacées et une cascade d’événements a suivi. L’hydroxychloroquine a été l’événement fondateur de l’effet dissuasif contre toute tentative de traiter le Covid-19 en ambulatoire.
Pourquoi les autorités de régulation et les médias grand public ont-ils déclaré au public que l’hydroxychloroquine était dangereuse et inefficace ?
L’hydroxychloroquine, je pense qu’on peut légitimement en dire qu’elle est aujourd’hui la thérapeutique la plus étudiée et la plus utilisée au monde contre le Covid-19. Il existe des centaines et des centaines d’études. L’hydroxychloroquine a été acquise et stockée de manière appropriée par le gouvernement américain. Le président Trump, qui, de mon avis personnel, a été très faible dans sa réaction, n’a pas pu articuler que les hospitalisations et les décès étaient un problème grave, il n’a pas pu réunir une équipe de médecins qui apprenaient à traiter le Covid-19. Le NIH, le CDC ou la FDA non plus. Nous avons subi des échecs flagrants de la part de la présidence américaine et des grandes agences. Pouvez-vous imaginer qu’à ce jour, nous n’avons toujours pas vu un seul médecin en position d’autorité aux États-Unis qui ait jamais vu un patient atteint de Covid-19 et qui l’ait traité. Aucun. C’est incroyable, ce qui s’est passé.
Le président Trump a fait mention de l’hydroxychloroquine : « Essayons de tenter le coup. » Il s’est fait aussitôt rabaisser par ses détracteurs. Déjà, j’ai trouvé que c’était une déclaration très faible au départ, mais il s’est vraiment fait descendre. Les gens l’en ont toujours tenu responsable, « C’était Trump, s’il n’avait pas mentionné l’hydroxychloroquine, rien de tout cela ne serait arrivé ». Je ne suis pas d’accord. Je pense qu’il y a eu une entreprise colossale de suppression du traitement précoce, et l’hydroxychloroquine en a été le premier paratonnerre. Rappelez-vous que j’ai mentionné cet essai du NIH? Vous savez ce qu’ils ont fait après 20 patients? Ils ont frauduleusement prétendu qu’ils n’arrivaient plus à trouver de patients Covid-19 et ils ont mis fin à un essai de plusieurs milliers de patients. Ils l’ont arrêté après 20 patients. Ça n’arrive jamais. Ils avaient acheté le placebo, ils avaient trouvé les centres d’étude, ils avaient les classeurs, ils avaient embauché des infirmières, tout le monde était prêt à soigner les Américains avec de l’hydroxychloroquine et de l’azythromycine et ils ont abandonné après 20 patients. C’était incroyable.
Le faux papier publié dans The Lancet était incroyable. Nous avons commencé à voir publiés une série d’articles incroyablement biaisés qui exagéraient les effets cardiaques de l’hydroxychloroquine. « Oh, ça pourrait provoquer des arythmies dangereuses. » Il y en a un, dont j’ai parlé dans mon témoignage devant le Sénat Américain, qui venait de la Mayo Clinic. Ils affirmait que l’hydroxychloroquine pourrait provoquer une cicatrice dans le cœur. Ils montraient un cœur avec une énorme cicatrice blanche. En fait, j’ai fini par traquer ce journal, par traquer les auteurs et l’éditeur, et j’ai exigé une rétractation. En fin de compte, j’ai fait publier une lettre conciliante qui disait « Nous sommes désolés, ça ne cause pas vraiment de cicatrice sur le cœur. »
On s’est mis à essayer de nuire intentionnellement à l’hydroxychloroquine afin qu’elle ne soit pas utilisée pour le Covid-19. Nénamoins, d’autres pays s’y sont résolument tenus. J’ai mentionné tous les pays qui utilisent à ce jour l’hydroxychloroquine. Et maintenant, nous avons des études, par exemple une étude iranienne, sur 30.000 patients, une étude massive. Ils soignent environ 25% des personnes de façon appropriée, avec de l’hydroxychloroquine en combinaison avec d’autres médicaments. Et on voit une réduction massive de la mortalité. Donc l’hydroxychloroquine est un pilier des essais prospectifs randomisés, on les isole, les études pré-hospitalières sont toutes positives. Cela change-t-il la donne? Non, je dirais qu’il s’agit d’une réduction d’environ 25% au niveau des paramètres, mais c’est un médicament très utile si on l’utilise tôt. Ce n’est pas un médicament d’usage unique, je ne me fierais pas à lui seul. Mais l’hydroxychloroquine, je pense, sert d’illustration à ce qui s’est passé.
Dès le début, je suis devenu objet d’attention nationale, j’ai reçu des appels de la Maison Blanche, j’ai été contacté par le Sénat Américain, je suis devenu célèbre sur les réseaux sociaux – je ne figurais jamais sur les réseaux sociaux auparavant. Je ne suis pas immunologiste, je ne suis pas virologue, je ne suis pas spécialiste des maladies infectieuses mais je suis un bon médecin clinicien et je connais très bien les médicaments et la sécurité des médicaments. L’hydroxychloroquine montrait des signes de bénéfice et une sécurité acceptable.
J’ai été contacté par des médecins en Afrique qui m’ont dit anonymement : « Dr McCullough, il y a des sales types qui font des descentes dans les pharmacies la nuit et ils entrent et brûlent l’hydroxychloroquine. » J’ai demandé « Qui sont ces sales types? » Ils ont répondu « Nous ne savons pas, mais on dirait des mercenaires ou des agents. » Mystérieusement, la deuxième plus grande usine de production d’hydroxychloroquine, dans les faubourgs de Taipei, a brûlé. L’hydroxychloroquine, en tant que médicament simple, sûr et efficace, semble à ce jour être la figure emblématique de la lutte mondiale et globale visant à supprimer le traitement précoce. Et autre sujet d’intérêt, depuis que les données sont publiques concernant l’ivermectine, l’ivermectine est devenue le nouveau médicament.
Ce qui est intéressant à propos de l’ivermectine, c’est qu’une association s’est formée, le Front Line Critical Care Consortium, le FLCCC, dirigé par Pierre Kory. Je l’ai identifié, ainsi que le Dr Paul Marik, j’ai communiqué avec lui, nous avons tenu des téléconférences et j’ai recommandé au Dr Kory de témoigner lors de la deuxième audience devant le Sénat Américain en décembre. Il y a aussi le Dr JJ Rajter en Floride. Le Dr Rajter avait fait l’essai de l’ivermectine chez tous ses patients malades dans les hôpitaux de Floride et avait réussi à drastiquement réduire la mortalité. Il a publié un article dans Chest, l’une des meilleures revues de médecine pulmonaire, ce pour quoi je lui suis immensément reconnaissant. Le Dr Kory et le Dr Rajter ont présenté ce qui est resté un plaidoyer très convaincant pour l’ivermectine. Les gens trop découragés par l’hydroxychloroquine pouvaient se concentrer sur l’ivermectine. Le Dr Tess Lawrie [NdT. auteure d’un autre article que j’ai récemment publié ici], au Royaume-Uni, considérée comme l’un des analystes les plus éminentes au monde, a publié – avec le Dr Andrew Hill – des analyses incroyables démontrant que l’ivermectine réduisait la mortalité, en hospitalisation et en ambulatoire. Donc une légère différence par rapport à l’hydroxychloroquine. L’hydroxychloroquine met un peu de temps à agir et ne fonctionne probablement pas à la toute fin de la maladie, mais l’ivermectine fait des miracles dans tout le déroulement de la maladie. Les données ont commencé à arriver pour l’ivermectine et elles étaient assez convaincantes pour faire pression sur les directives du National Institutes of Health, qui a édité une déclaration spécifique sur l’ivermectine. Ils ont déclaré « Nous comprenons les données sur l’ivermectine. Nous ne pouvons pas être pour mais nous ne pouvons pas être contre. » C’est la même déclaration qu’ils avaient faite pour l’autorisation d’utilisation d’urgence du Regeneron et des anticorps Lilly. Le NIH a déclaré « Nous comprenons les données, nous ne pouvons pas être pour ni contre ». Au moins, nous avions obtenu une déclaration neutre de leur part.
L’hydroxychloroquine souffre encore à ce jour d’une série de déclarations négatives et les médecins ont littéralement dû se battre pour conserver leurs licences médicales pour continuer à prescrire de l’hydroxychloroquine. Une par une, toutes ces licences ont été restaurées, toutes ces décisions d’État ont été annulées, toutes les sociétés médicales ont été déboutées. Et l’hydroxychloroquine est aujourd’hui utilisée, l’ivermectine est aujourd’hui largement utilisée. Les deux médicaments peuvent non seulement traiter l’infection à un stade précoce, mais ils peuvent également la prévenir. Il y a des études sur la prophylaxie, elles peuvent être préventives. Si les patients prennent ces médicaments périodiquement – généralement une fois par semaine environ – ils peuvent empêcher le Covid-19 de devenir une maladie. Ils sont préventifs.
En fait, j’ai dirigé l’une des toutes premières études sur l’hydroxychloroquine ici à Dallas, pour protéger nos travailleurs de la santé. Ces médicaments sont efficaces à environ 90%. Ils sont à peu près aussi efficaces que les vaccins pour prévenir l’acquisition du Covid-19. Quand quelqu’un est malade, je ne prescris jamais ces médicaments seuls, je les prescris dans ce que j’appelle une polythérapie séquentielle. C’est l’approche que les médecins indépendants ont adoptée aux États-Unis et, de manière inédite, aucun centre médical universitaire, aucun centre médical communautaire ne traite aujourd’hui les patients Covid-19 en ambulatoire dans le but de réduire les hospitalisations et les décès. Pourquoi ces centres refusent-ils d’aider leurs patients?
Pourquoi davantage de médecins n’ont-ils pas résisté aux directives interdisant de fournir des soins ambulatoires précoces à leurs patients?
Les médecins obéissent clairement à une pensée de groupe. Et les médecins veulent recevoir un soutien intellectuel dans leur pratique. C’est pourquoi nous nous rencontrons tout le temps, pourquoi nous faisons des tournées ensemble, c’est la raison pour laquelle nous tenons des conférences tous les jours. Nous voulons nous soutenir intellectuellement dans la prise de décision quant à nos patients, pour avoir l’assurance de prendre les bonnes décisions. Et avec la pandémie, toutes nos réunions ont été annulées, nous ne pouvions plus nous rencontrer, il n’y avait plus aucun moyen de trouver le soutien intellectuel nécessaire et chaque médecin devait prendre une décision individuellement.
Lorsque le premier patient a appelé pour dire : « Je suis malade du Covid-19, pouvez-vous m’aider? », le choix était binaire. Le choix était : « Non, je ne vous aiderai pas, rien ne fonctionne, je ne peux rien faire, attendez d’être hospitalisé » ou la réponse pouvait être « Laissez-moi essayer ». Ce que nous avons découvert, c’est que ce choix binaire était la biopsie qui montrait ceux qui avait vraiment du courage et un excellent jugement clinique. Les médecins qui n’étaient pas sûrs de leur jugement clinique ont rapidement dit « Il n’y a rien à faire. » Et ils se sont réfugiés dans cette pensée de groupe. Il y a peut-être 90% ou plus des médecins qui manquent de jugement clinique et qui manquent de courage. Ce que j’ai découvert, c’est que ces deux choses sont rares.
Pour moi, c’était vraiment très naturel. C’était très naturel. Mon père a été l’un des premiers patients Covid-19 de maison de soins infirmiers à Dallas, il a été le tout premier du Village Presbytérien. Il a attrapé le Covid-19, il a eu une fracture du bassin, il était couché à plat sur le dos, un assistant personnel épouvanté m’a dit « Votre père a le Covid, il est envoyé en unité, nous ne savons pas ce qui va arriver. » Son risque de mortalité, complètement cloué au lit par la démence et maintenant le Covid, je peux vous dire qu’il faisait face à un risque de mortalité de 80% du simple fait d’avoir le Covid, selon la moyenne. Alors qu’est-ce que j’ai fait ? Ai-je pris cette décision binaire de ne rien faire. Bien sûr que non! Bien sûr que non!
Si je pouvais envoyer un message à tous les médecins américains, tous les médecins dans le monde, là, maintenant, ce serait « Ayez du courage et faites confiance à votre jugement clinique. » Je l’ai fait et c’est ce que font les vrais médecins et je ne m’en excuserai jamais. Bien sûr, mon père a été traité à l’hydroxychloroquine, il a été traité à l’azythromycine, il a été traité à l’aspirine nous l’avons mis sous Lovenox, un anticoagulant. Le bouquet nutraceutique complet : zinc, vitamine C, vitamine D, quercitine. Ouvrez les fenêtres, faites sortir ce virus. Et il est tombé vraiment malade, comme c’était prévisible. Il souffrait de démence. Ses souhaits étaient de ne pas aller à l’hôpital et de ne pas être placé sous ventilateur mécanique, nous le traitions sur place. Ça a mis 60 jours, c’était une longue maladie mais il a survécu. Et c’était tôt [dans la pandémie]. Ça m’a appris que si je suis prêt à le faire pour mon père, j’ai prêté le serment d’Hippocrate et j’ai une responsabilité fiduciaire envers mes patients. Et je refuse de laisser mes patients mourir de cette maladie. [pleurs]
Quand j’ai témoigné devant le Sénat Américain, j’ai dit au peuple américain « J’ai toujours traité mes patients à haut risque. Toujours. » Et à la fin de ma déclaration d’ouverture, j’ai brandi le protocole et j’ai dit au peuple américain « Je ne demande pas la permission pour le faire. Je ne la demande pas mais je vous demande votre aide. » C’est une déclaration très, très importante parce que mes patients ont été traités de manière appropriée au mieux de mes capacités. Il y a eu 600.000 américains morts qui n’ont ni été traités de manière appropriée ni au mieux de la capacité de leurs médecins. Et ça restera comme une honte historique pour notre pays. Je pense que c’est une mascarade qu’il y ait eu 600.000 américains morts, et qu’une grande majorité d’entre eux n’aient pas reçu une once de traitement.
En fait, il y a eu des groupes médicaux qui ont adopté une politique selon laquelles ils ne répondaient même pas aux appels des patients Covid-19 et il y a eu des millions de patients inutilement hospitalisés. Nous avons reçu des données plus tard du Dr Zelenko à New York, du Dr Proctor ici à Dallas qui a fait exactement la même chose que lui, ce qui a montré que nos méthodes pouvaient réduire les hospitalisations et les décès de 85%. Et je regrette, il n’y a pas d’essais prospectifs randomisés de 4 à 6 médicaments et il n’y en a aucun de prévu. Par conséquent, sans essais de taille, il n’y aura jamais de déclarations de directives et sans déclaration de directives, nous n’aurons jamais le soutien des agences.
Mais il y a eu des médecins courageux qui ont sauvé les Américains et j’irai plus loin : il y a eu des médecins courageux qui ont sauvé le monde.
Aujourd’hui, il y a l’Association of American Physicians and Surgeons, il y a le FLCC aux États-Unis, il y a 250 médecins traitants, il y a quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux de télémédecine, nous traitons entre 10- et 15.000 patients par jour. Oubliez le gouvernement américain, oubliez ce que quiconque raconte à ce sujet, les Américains reçoivent un traitement qui, une fois que notre message de traitement précoce est passé lors des deux audiences du Sénat américain dirigées par le sénateur Ron Johnson, les hôpitaux ont commencé à se vider fin décembre, début janvier. Parce qu’un traitement précoce réduit considérablement la propagation et réduit considérablement les hospitalisations et les décès. C’est le seul moyen qui le permette. L’hôpital ne sauve pas tous les patients. Je dirais que l’hôpital a honnêtement un impact très modeste sur quoi que ce soit dans le Covid-19. Tout est question de traitement précoce. Les hôpitaux ont commencé à se vider, les courbes se sont effondrées aux États-Unis, avant que quiconque ne soit complètement vacciné.
J’ai témoigné devant le Sénat du Texas le 10 mars, j’ai dit « Selon les équations standard du CDC, nous avons atteint l’immunité collective. » Le 10 mars. Aucun effet vaccinal. Seulement en traitant les patients. Au Texas, il y a 35 centres de traitement, nos protocoles et nos méthodes fonctionnent. Et j’ai appris au fil du temps qu’il y a beaucoup de façons de traiter le virus. J’ai tenu un séminaire avec le Dr Shankara Chetty en Afrique du Sud, il a dit que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine – tout comme aux États-Unis – sont devenues si politiquement chargées que les médecins perdent leur licence. En fait, certains médecins ont été emprisonnés pour avoir tenté d’aider des patients atteints de Covid-19. Il ne tentent plus de les aider. Il a traité 4.000 patients, dont moins de 10% ont reçu de l’hydroxychloroquine ou de l’ivermectine. Il les soigne, il suit la chronologie de la maladie. Il attend jusqu’au jour 8, puis il commence les stéroïdes à inhaler et oraux, il commence l’aspirine, d’autres anti-inflammatoires, du montélukast et de l’hypospray d’anticoagulants en traitement de fond. Et il a sauvé pratiquement tout le monde, à l’exception d’une poignée de patients, sur 4.000 patients malades en Afrique du Sud.
Ce que j’ai appris sur ce virus, c’est que si les médecins font quelque chose pour tenter d’aider les patients, ils peuvent réduire les hospitalisations et les décès. Et la seule raison pour laquelle c’est une page tellement horrible de l’histoire américaine, c’est que les médecins n’ont pas agi.
Pourquoi, face au Covid-19, tant de médecins ont-ils accepté de s’écarter d’une pratique médicale de longue date en termes de recherche et de formulation de traitements ambulatoires précoces pour leurs patients?
La FDA américaine publie des milliers de mises en garde concernant les médicaments chaque année. En fait, les Américains le savent bien parce qu’ils voient une publicité pour un médicament à la télévision qui dit: « Attention, peut causer la mort, peut causer ceci ou cela. » Nous recevons donc des milliers d’avertissements par an. La FDA rappelle des médicaments, fait placer des avertissements encadrés en noir sur les médicaments. Les médecins utilisent quand même ces médicaments, ils comprennent ces avertissements. Environ 40 % des médicaments sont utilisés « hors avis publicitaires ». Une fois qu’un médicament est plus ancien, son avis publicitaire d’origine ne s’applique plus vraiment, nous utilisons donc des médicaments « hors AMM » tout le temps, c’est courant.
Mais ce qui s’est passé dans Covid-19 est dû à la peur énorme qui s’est installée dans notre pays. Quelles qu’aient été les déclarations de la FDA américaine, du NIH et du CDC, elles ont pris plus de poids qu’elles n’en auraient jamais eu dans le passé. Si ces agences disaient quelque chose comme « Ne pas utiliser d’hydroxychloroquine », cela émanait de l’AMA, de l’Association Nationale des Conseils de Pharmaciens où ils refusaient en fait l’hydroxychloroquine aux patients. En fait il y a probablement eu des patients qui sont morts parce que la pharmacie ne leur a pas dispensé d’hydroxychloroquine ou d’ivermectine. Il y a des médecins qui ont commencé à recevoir des lettres d’avertissement indiquant – le Dr Richard Urso de Houston, un autre médecin est sorti de son rôle comme je l’ai fait pour traiter le virus, a reçu des lettres d’avertissement du conseil médical du Texas – « Nous allons examiner votre licence, nous comprenons que vous prescrivez de l’hydroxychloroquine, et que vous essayez d’aider les patients Covid. » D’accord. Ces médecins, le Dr Robin Armstrong au Texas, ont sauvé des dizaines de patients des maisons de soins infirmiers avec de l’hydroxychloroquine, de l’azythromycine, des stéroïdes et des anticoagulants. Les familles le considèrent comme un héros, le Conseil Médical du Texas a tenté de lui retirer sa licence. Il a dû passer par des audiences et des examens et finalement il a été rétabli, bien que sa pratique ait été compromise, voire détruite.
Des e-mails ont commencé à être envoyés aux grandes organisations médicales « N’utilisez pas d’hydroxychloroquine ». Plus tard, ils sont revenus à la charge en écrivant « N’utilisez pas d’ivermectine. » En fait, il disaient catégoriquement « Ne le faites pas ». Nous recevions des messages officiels qui disaient essentiellement « Ne vous occupez pas du Covid-19 ». Ces instructions sont codifiés dans les politiques, dans les e-mails des principales organisations médicales et cela est allé à l’encontre… Pouvez-vous imaginer recevoir des e-mails disant « Ne traitez pas la pneumonie à pneumocoques, laissez-les mourir. Ne traitez pas la méningite, laissez-les mourir. » C’est du jamais vu. Le terme qui s’applique à ce qui se passe est : un méfait de la part de ceux qui occupent des postes d’autorité. Ça s’appelle de la malfaisance. On ne diffuse pas un message négatif et effrayant qui causera des dommages. On ne fait pas ça. On ne fait pas ça dans une société civile. C’est ce qu’ont fait le NIH, le CDC, la FDA, les grands groupes médicaux. Ces messages effrayants.
Mais en même temps il y a eu l’AAPS qui disait « Je sais que c’est mal, traitez les patients », il y a eu le FLCC, un groupe qui est devenu très puissant, qui disait « Non, traitez les patients ». Au Royaume-Uni, il y a eu le Bird Group qui a dit « Traitez les patients, utilisez des protocoles à base d’ivermectine. » Il y a eu le […] Development en Afrique du Sud, nous avons créé le Covid Medical Network en Australie, nous avons créé Treatment Domiciliary en Italie. Le contre-argument à cela, « Non, nous devrions traiter le virus », ce contrepoids était là. C’est l’une des raisons pour lesquelles vous me parlez aujourd’hui. Vous ne parlez pas à un fonctionnaire de la FDA qui fondamentalement veut jeter de l’eau froide sur ces organisations. Vous me parlez aujourd’hui parce que vous avez le sens de la vérité, vous avez le sens de la réalité que ce virus est traitable. Tout ce que nous avons fait par rapport à ce virus, nous l’avons aggravé en ne le traitant pas, en maintenant les patients dans la peur et l’isolement. Nous avons fait beaucoup de choses qui ont favorisé l’hospitalisation et nous avons fait beaucoup de choses qui ont en fait favorisé la surmortalité. Et c’est une période honteuse pour l’Amérique et pour le monde.
D’où venait la politique ordonnant aux médecins de NE PAS traiter leurs patients? Qui donnait ces ordres?
Sous le sombre nuage de la peur, les administrations médicales s’en remettent à la FDA, au NIH et au CDC, nos trois agences gouvernementales. Elles s’en remettent à elles. En fait, elles disent « Nous suivons le programme ». Prenons un sujet moins chargé, comme le port du masque. Qu’est-ce qui définit la politique de port du masque? Ce que dit le CDC. Ils disent quelque chose, on les suit. La même chose est vraie si les agences disent de ne pas utiliser d’hydroxychloroquine ou d’ivermectine – et c’est ce qu’elles disent – ça se répercute rapidement dans l’administration médicale et elles envoient un e-mail disant « Ne le faites pas ». En fait, dans un pays, parlons de l’Australie, ils ont la TGA – c’est l’équivalent de la FDA – ils ont des directives qui comportent littéralement des dizaines et des dizaines de déclarations négatives. « Ne faites pas ceci, ne faites pas cela, ne faites pas ceci, ne faites pas cela. » Il est intéressant de noter qu’aucun de ces groupes ne dit quoi faire. Si on prend n’importe quel grand hôpital et qu’on leur demande quel e-mail ou quelle politique ils ont reçue qui disait aux médecins quoi faire – on a issu des avertissements sur ce qu’il ne faut pas faire, mais que leur a-t-on dit de faire pour prendre soin des patients Covid-19 hospitalisés – la plupart d’entre eux répondront : « Aucun. »
En fait, j’ai témoigné devant le Sénat du Texas à ce propos le 10 mars et dans les 48 heures, il y avait un projet de loi pour donner aux patients au moins quelques informations. Si les hôpitaux et les médecins ne font rien, nous allons vous donner des informations, pour que, lorsque vous obtenez un résultat de test positif, vous ayez quelques informations sur ce que vous pouvez faire. Voici les protocoles de traitement, voici les anticorps monoclonaux sous autorisation d’utilisation d’urgence. Et encore une fois si l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine sont controversées, d’accord. Mais qu’en est-il des anticorps monoclonaux, nous n’en avons même pas parlé. Ce sont des produits de haute technologie, ils sont produits par Big Pharma, ils brassent beaucoup d’argent, tout a été financé par le NIH, ils sont sous autorisation d’utilisation d’urgence par la FDA américaine. Comment se fait-il qu’en l’Amérique il n’ont aucune visibilité? Comment se fait-il qu’il n’y ait aucune mise à jour quant à leurs résultats? Comment se fait-il qu’il n’y ait pas de numéros 1 800 permettant aux patients malades de savoir où trouver ces anticorps? On a affaire à une suppression globale du traitement précoce, qu’il s’agisse de médicaments génériques ou de médicaments nouvellement approuvés. Il y a une suppression globale du traitement précoce.
Les Américains le comprennent. Ils regardent la télé tous les soirs. Le discours initial était « Nous avons peur, portons des masques, restons en confinement, désinfectons-nous les mains ». D’accord. Ensuite, il y a eu des reportages sur les choses terribles qui se passaient à l’hôpital. Ensuit les reportages disaient « Attendez un vaccin ». Il n’y a jamais eu de reportages réguliers ou de mises à jour des télévisions locales ou nationales qui donnaient des mises à jour régulières. « Voici ce que vous devez faire si vous avez le Covid-19 à la maison, voici les médicaments qui fonctionnent, voici les protocoles, voici les lignes directes pour obtenir une perfusion d’anticorps approuvée par la FDA, voici les lignes directes pour vous tenir au courant de la recherche. » La recherche est importante. Les Américains n’ont toujours pas de ligne directe pour pour s’informer sur la recherche sur le Covid-19. Au niveau étatique ou fédéral. C’est stupéfiant. Il n’y a eu aucune mise à jour. Lorsque j’ai eu affaire à plusieurs bureaux du Congrès et du Sénat, j’ai dit « Il faut donner des mises à jour hebdomadaires au peuple américain pour qu’il sache quoi faire, afin qu’il n’ait pas si peur lorsqu’il reçoit ces résultats ». Des mises à jour hebdomadaires sur tous les canaux publics. Des mises à jour hebdomadaires sur le traitement, puis des mises à jour mensuelles des directives. Il n’y a rien de tout cela. Nous en sommes à plus d’un an et les Américains ont été complètement abandonnés par les agences gouvernementales, par les médias. Les médias – pourquoi n’entrerait-il pas dans le processus de réflexion des radiodiffuseurs locaux de donner à leurs auditeurs une mise à jour sur le traitement précoce? C’est époustouflant de négligence.
Étant donné que la plupart des médicaments sont annoncés comme ayant des effets secondaires potentiellement dangereux, pourquoi les régulateurs ont-ils catégoriquement rejeté les thérapies ambulatoires précoces pour le Covid-19, y compris l’hydroxychloroquine approuvée par la FDA, au motif de provoquer des effets secondaires potentiellement dangereux?
Pour que les produits soient réellement annoncés officiellement, ils doivent avoir quelqu’un qui paye pour l’annonce, qui serait une société pharmaceutique, et ils doivent être approuvés par la FDA. Et ils doivent recevoir une vignette publicitaire de la FDA. Et comme les anticorps monoclonaux, par exemple, n’ont pas de vignette publicitaire, ils ne peuvent pas faire l’objet d’annonces – Lilly et Regeneron ne peuvent pas en faire la publicité. Mais parce qu’ils sont sous autorisation d’utilisation d’urgence, du point de vue des messages de santé publique, ils devraient être promus au même titre que les vaccins. Désormais, les vaccins sont sous autorisation d’utilisation d’urgence et on n’entend parler que de vaccins, matin midi et soir. Pourquoi martèle-t-on ce message sur les vaccins ? Les Américains devraient y réfléchir. Pourquoi les vaccins sont-ils mis en exergue par le CDC, le NIH et la FDA, matin midi et soir, par les médias, matin midi et soir, par chaque centre médical, matin midi et soir? Je peux vous dire, en tant que médecin dans un centre médical, que tous nos e-mails concernent la vaccination. Pourquoi les retrouve-t-on dans chaque communication de santé publique, « une aiguille dans chaque bras »? En fait, de manière choquante, dans la région de Dallas en octobre – bien avant la fin des essais de vaccins – si vous appeliez CVS ou Walgreens, le répondeur disait « Nous sommes fiers d’offrir le vaccin Covid-19 dès qu’il sera disponible. » Nous n’avons jamais fait de publicité pour un produit avant qu’il ne soit disponible. En fait, c’est une infraction aux lois américaines concernant les médicaments et les produits biologiques.
Les choses ont donc commencé à dérailler très tôt et il semble qu’il y ait eu un agenda. L’agenda était de supprimer tout espoir de traitement. Une oblitération complète du traitement par toutes les entités que nous avons mentionnées. Et en même temps préparer la population à la vaccination de masse. Les deux sont très étroitement liés.
Et maintenant, dans cette vaccination de masse, nous assistons à des choses jamais vues. De la publicité pour un vaccin avant même qu’il ne soit disponible, un matraquage massif pour le vaccin complètement disproportionné par rapport au traitement. Il y a deux produits sous autorisation d’utilisation d’urgence : un dont on n’entend jamais parler, les Américains ont un besoin vital de ces anticorps monoclonaux – en fait, ils sont largement sous-utilisés, ils auraient probablement pu sauver des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de vies et ils ont été anéantis. Tout ce qui concerne Lilly et Regeneron a été anéanti mais les produits Pfizer, Moderna et J&J sont massivement promus et annoncés. Les Américains devraient se demander « Que se passe-t-il, pourquoi se focalise-t-on sur les patients malades et sur les personnes en bonne santé? » Tous les messages sur le contrôle de la contagion et les vaccins sont destinés aux personnes en bonne santé. Pourquoi ne se concentre-t-on pas sur les patients malades? C’était la teneur de mon message au Ministère de la Santé et des Services Sociaux du Texas, mais ça va plus loin que ça. Ça va plus loin que ça.
Les études d’enregistrement des vaccins excluaient strictement les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer, les patients guéris du Covid, les patients qui avaient déjà des anticorps contre le Covid – elles les excluaient strictement. Selon la règlementation scientifique, si toutes les études d’enregistrement excluent un groupe de patients, on n’utilise jamais ce produit dans ce groupe une fois qu’il est sur le marché. Jamais. Jamais. Nous ne violons jamais ce principe. Pourquoi? Parce qu’on ne sait pas si ça va fonctionner et on ne sait pas si ça va être sûr. On ne le fait jamais.
Il y a un autre niveau. Les femmes enceintes sont un groupe particulier dans la recherche et les produits médicinaux – il est très important que les Américains le sachent – chez les femmes enceintes, pour la vaccination, nous ne vaccinons qu’avec des produits inactifs sûrs : grippe inactivée, tétanos, diphtérie et coqueluche. C’est tout. Nous n’injecterions jamais une substance biologiquement active dans le corps d’une femme enceinte qui pourrait être dangereuse. Jamais. Et dans le cas de ces vaccins, dès qu’ils sont sortis, le CDC, la FDA, les médias, tout le monde a dit « Vaccinez-les. Vaccinez-les. »
Compte tenu de notre acceptation de longue date des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio et la rougeole, en quoi le développement et le déploiement de Covid s’écartent-ils du précédent développement de vaccins et de l’examen de la sécurité ?
Les directives réglementaires de la FDA sur les vaccins aux États-Unis – et il y a eu des vaccins modernes, vous n’avez pas à regarder les anciens, il y a des vaccins modernes, des vaccins contre le zona, l’hépatite B, les vaccins contre le méningocoque – exigent un minimum de deux ans de données de sécurité. Deux ans. Par effet réglementaire, c’est en quelque sorte écrit et codifié dans les lois réglementaires pour les fabricants. Tout ça a été jeté à la poubelle, et a on a dit « Deux mois. » Pour le Covid, deux mois. Donc deux mois de données d’observation. L’idée que nous pouvons vacciner des personnes qui n’ont même pas été testées lors des essais, ça n’a jamais été fait auparavant. Nous n’avons tout simplement jamais balancé un vaccin à quelqu’un sans avoir aucune donnée. Aucune. Donc, la toute première femme enceinte qui a été vaccinée ici aux États-Unis, ça a été fait sans aucune connaissance sur la sécurité et sur l’efficacité. Et l’argument que nous avons entendu est que le Covid-19 est une grave maladie, 600.000 personnes sont décédées, le vaccin pourrait les aider, nous devrions tenter le coup. Allez, on devrait tenter le coup.
Des 600.000 personnes qui sont mortes, je vous ai déjà dit que 85% était évitable avec un traitement précoce, qui a été activement supprimé et anéanti. Et il n’y a pas que ça. Si ce vaccin peut les aider, il vaudrait mieux que le vaccin soit sûr. Il vaudrait mieux qu’il soit sûr. Et mes commentaires sur le vaccin sont : la sécurité, la sécurité, la sécurité. Voyons ça. Voyons ça. Et les Américains ne sont pas… Tout comme les Américains auraient dû recevoir des mises à jour hebdomadaires sur les innovations en matière de traitement, les Américains auraient dû recevoir des mises à jour hebdomadaires sur la sécurité des vaccins. Très important. Des mises à jour hebdomadaires par nos fonctionnaires fédéraux sur la sécurité. Hyper important.
Ces deux choses sont probablement les deux plus grands actes de malfaisance de toute l’histoire de la réglementation médicale. Cela restera dans l’histoire des méfaits commis par les autorités. Comment se fait-il qu’il n’y ait eu aucune mise à jour sur le traitement et aucune promotion d’un traitement précoce pour réduire les hospitalisations et les décès? Et maintenant qu’on distribue le vaccin, pourquoi n’y a-t-il pas de mises à jour de sécurité? Pourquoi n’y a-t-il aucune tentative d’atténuation des risques pour rendre le programme de vaccination plus sûr? Pourquoi y a-t-il tous ces vaccins? Comment savons-nous que nous pouvons vacciner les femmes enceintes? Nous le savons grâce à des années et des années et des années de données de sécurité. Avant qu’un vaccin soit injecté à une femme enceinte, il a probablement été testé pendant des décennies avant que nous ne l’essayions chez une femme enceinte. Nous n’utiliserions jamais une toute nouvelle technologie prête à l’emploi, qui n’a jamais été testée auparavant, jamais.
Et nous savons que la technologie du vaccin produit la dangereuse protéine de pointe. Il produit la protéine de pointe de Wuhan, le spicule sur la boule du virus-même, qui endommage les vaisseaux sanguins et provoque la coagulation du sang, et tous [les vaccins] le font. Nous ne libèrerions jamais ça dans le corps d’une femme enceinte. Les Américains doivent comprendre qu’il se passe quelque chose de très anormal – ce qui se passe actuellement dans le monde. Ce sont des exemples clairs de méfait. C’est à un niveau si élevé, la pensée de groupe va dans la mauvaise direction d’une manière si cohérente et accablante qu’on leur cause du tort de façon inouïe.
Comment avez-vous rendues publiques vos découvertes sur les thérapies ambulatoires précoces pour prévenir les hospitalisations et les décès? Comment cela a-t-il été reçu?
Lorsque j’ai publié mon premier article dans l’American Journal of Medicine, j’ai enseigné aux médecins comment traiter le Covid-19. Ça aurait pu être quelqu’un d’autre. Si le Dr Zelenko avait le pouvoir de publication, il aurait pu le faire, ou le Dr Proctor aurait pu le faire , ou le Dr Didier Raoult aurait pu le faire, ou Brian Tyson ou George Freed. Il s’est avéré que j’étais la personne qui avait l’autorité académique suffisante pour le faire. Et j’ai cette autorité. J’en assume l’entière responsabilité. Je l’ai fait de manière unique – j’ai été la seule personne au monde à le faire. D’autres ont peut-être essayé et ces articles ont peut-être été refusés par les éditeurs. Ils l’ont probablement été parce que nous avons constaté une suppression de la littérature sur le traitement précoce partout. Il était devenu impossible de publier des articles. C’était vraiment difficile. J’ai peut-être été [NdT. ou « je n’étais peut-être pas », c’est pas clair] le médecin le plus fort et le plus courageux au monde pour l’avoir fait, mais je l’ai fait.
Et le retour que j’ai reçu a été formidable, du style « Evidemment, c’est sensé. Je suis tellement content que ça ait fait son chemin dans la littérature. » Il est sorti en version électronique en août, puis en version papier en janvier. Quand il est sorti en janvier et qu’il a atterri dans toutes les bibliothèques médicales du monde, c’est à ce moment-là que ça a commencé à chauffer. Et je dois vous dire que j’ai reçu des lettres adressées au rédacteur en chef de l’American Journal of Medicine – le Dr Joe Albert de l’Arizona en est le rédacteur en chef. Joe m’a fait suivre chacune de ces lettres pour que j’y réponde. La teneur des lettres est assez intéressante. Elles provenaient de l’Université Duke, elles provenaient de McGill, de l’Université Monash en Australie, elles provenaient du Brésil. La teneur des lettres était « Dr McCullough, vous ne pouvez pas faire ça. Vous ne pouvez pas traiter les patients Covid-19. »
C’est le plus intéressant. Ma réponse a été « Docteur, ayez du courage. Finissons-en avec le nihilisme thérapeutique, et unissons-nous et traitons les patients Covid-19 avec compassion pour réduire les hospitalisations et les décès. Nous pouvons le faire et je peux le faire. » Et nous avons même davantage de données à l’appui, donc chaque fois qu’ils disaient « Oh, ce médicament ne fonctionne pas », je leur répondais « Voici cinq autres études qui [prouvent le contraire]. L’hydroxychloroquine, nous en sommes à des centaines d’études qui montrent qu’elle fonctionne, l’ivermectine, des centaines d’études, les stéroïdes, des dizaines d’études, les anticoagulants, au moins une douzaine d’études. » Nous avons une base tellement solide des notions du traitement du Covid-19, qu’à chaque fois qu’une de ces lettres arrive, je m’amuse un peu avec elle car ma position de force est énorme. Mes pensées et mes positions et mes déclarations au fil du temps deviennent progressivement plus fortes et progressivement plus puissantes. Et les détracteurs le sentent. Le sentiment de peur, la peur intellectuelle de mes adversaires, est palpable. Je la ressens tous les jours.
Et quand ce premier article est sorti dans l’American Journal of Medicine, ma fille m’a dit « Papa, pourquoi tu ne fais pas une vidéo YouTube ? J’ai dit « Je ne veux pas aller sur les réseaux sociaux, c’est pour les enfants, je n’ai pas le temps pour ça. » Elle m’a appris comment le faire. C’était une présentation Power Point. J’ai littéralement enregistré mon visage dans le coin inférieur, j’ai mis une cravate, quatre diapositives, [inaudible] ce sont des Américains, ce sont des Italiens, nous avons examiné la sécurité, nous avons examiné l’efficacité, nous avons examiné toutes les données disponibles, nous pensons que c’est la meilleure façon de combiner les médicaments. Nous avons montré quatre diapositives à ce sujet, ça a été publié sur YouTube, c’est devenu absolument viral. Absolument viral. Et puis j’ai reçu un message qui disait « Vous avez violé les termes de la communauté » et ça a été supprimé.
Puis j’ai reçu un appel du Sénat américain. Je vous ai dit que je savais qu’il se passait quelque chose parce que, jusque là, je n’avais jamais été appelé par la Maison Blanche, je n’avais jamais été appelé par le Sénat. Des gens à Washington suivaient tout ça de près. Il y avait des parties intéressées à Washington qui, dans un sens, savaient que quelque chose ne tournait pas rond, que cette infection virale pouvait être traitée, mais ils attendaient en quelque sorte que quelqu’un dans la communauté universitaire prenne les devants et dise littéralement « Ça peut être traité ». J’ai été le premier à dire « On peut traiter cette maladie. Nous pouvons le faire. » Il est donc très important à mon sens de déclarer « Nous pouvons le faire. » Sur base de quoi? Sur base de mon jugement. Etayé par la science disponible mais surtout sur base de mon jugement.
J’ai fini par contracter moi-même le Covid-19 en octobre. Ma femme est rentrée à la maison avec, elle est tombée malade et très vite je suis tombé malade, c’est descendu dans mes poumons, j’étais dans les protocoles approuvés, j’ai vite été mis sous protocole. Ce fut difficile mais j’ai pu trouver un protocole. J’étais sous hydroxychloroquine, azythromycine, un protocole de bouquet nutraceutique et plus tard j’ai eu besoin de stéroïdes en raison de la durée de la maladie. Mais je voulais montrer à l’Amérique qu’on peut attraper le Covid-19 et avoir des problèmes médicaux, ce qui est mon cas, et s’en sortir sans être hospitalisé.
Le sixième jour de traitement, huitième jour de maladie, c’était une journée ensoleillée à Dallas, Texas, je suis allé dans un endroit désert et j’ai fait du jogging et j’étais vraiment essoufflé et croyez-moi, je suis un excellent coureur. J’étais essoufflé à cause des effets du Covid sur mes poumons mais j’ai couru jusqu’à un parc, j’ai tourné une vidéo dans ce parc puis je suis rentré chez moi et je me suis amusé avec cette vidéo. En fait, j’ai ajouté ce morceau d’Eminem qui dit – la vidéo de Recovery si l’un d’entre vous regarde Eminem – qui dit « Je n’ai pas peur » […]. Je me suis filmé en vidéo pour dire « Je n’ai pas peur du Covid-19 » dans une vidéo. Et cette vidéo a été supprimée. Finalement, je l’ai fait restaurer.
Mais minute, YouTube joue un rôle ici, en plus de tous les autres intervenants, dans la suppression de tout traitement précoce. En fait, les premiers médecins qui traitaient précocement ont commencé à se voir effacés de Twitter, de YouTube, des médias sociaux et finalement YouTube a émis un message très clair. Ils ont dit : « Nous n’admettrons que des informations conformes à celles du CDC, du NIH et de la FDA qui disent ‘Ne faites rien’ et tout le reste sera considéré comme trompeur et nous portons un jugement, c’est nous qui décidons ce qui est trompeur et ce qui ne l’est pas. » Mais il est assez facile d’être en accord avec le CDC, le NIH et la FDA parce qu’ils disent de ne rien faire. Donc, si la plate-forme des médias sociaux dit « Ne faites rien pour le traitement précoce » et « Occultez le traitement précoce », ce qui est le cas, les principaux médias doivent aussi occulter le traitement précoce. Alors je reviens encore à cette question de base, qui est responsable ?
J’ai parlé des agences gouvernementales. En cette période de crise, si nous nous en remettons à nos agences gouvernementales et à notre groupe de travail [Task Force] et si notre président n’est même pas être assez avisé pour choisir des médecins qui ont déjà vu un patient et qui savent comment le traiter, si ils ne sont pas assez avisés pour choisir des médecins qui peuvent traiter le Covid-19, il n’y aura jamais d’agences pour dire « Nous pouvons traiter le Covid-19 ». Et si il n’y a aucune agence pour le dire, alors rien d’autre ne suivra. Si les médecins et les personnes que nous sélectionnons n’ont jamais vu le Covid-19, s’ils en ont peur, s’ils ne savent pas comment le traiter et que les seules sujets sur lesquelles ils s’expriment, c’est le port de masques et la distanciation sociale, la vaccination, c’est tout ce qu’on aura en Amérique. La réponse de l’Amérique au Covid-19, la réponse officielle, a été fondamentalement « Bon, tout le monde, portez des masques et faites-vous vacciner » et l’Amérique n’a rien eu à proposer à la personne malade.
Et en ce qui concerne l’hôpital, nous n’avons pas vu beaucoup d’articles là-dessus. Les médicaments sont assez faibles : Remdesivir, plasma convalescent, Tocilizumab, stéroïdes, anticoagulants. On n’en entend pas beaucoup parler. C’est franchement trop tard. Récemment, le groupe de Harvard, Stop Covid Group a publié que parmi ceux qui sont assez malades pour entrer en soins intensifs, la mortalité à 28 jours est de 38%. Inacceptablement élevé. Aller à l’hôpital est un cauchemar. Je reçois des appels désespérés de partout aux États-Unis. Dieu merci pour les grands réseaux de télémédecine et de télémédecine mutuelle qui, fondamentalement, ont pris le relais. Ce sont les vrais héros de la pandémie de Covid-19. Les hôpitaux sont vides maintenant. Les hôpitaux ici à Dallas avaient 200, 300 patients en même temps, maintenant ils en ont 10, 5. L’autre jour, au Texas, nous avons atteint zéro décès. Zéro.
Le traitement précoce sera l’une des grandes, grandes histoires que les historiens… Nous avons contacté Ben Marble qui a lancé myfreedoctor.com. Ben Marble, toute sa télémédecine est financée entièrement par des dons. Les gens font des dons d’argent et ils donnent aux patients leurs médicaments et ils prescrivent de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine, des stéroïdes et d’autres médicaments. Ils les mettent dans la thérapie combinatoire, ils suivent les protocoles. Magnifique. Ils voient des milliers de patients par télémédecine chaque jour. Les Américains sont donc soignés. Et le bouche à oreille fonctionne, les gens se parlent. Les Américains – c’est intéressant – ils comprennent que les médias et nos agences ne sont pas honnêtes avec eux. Ils le comprennent bien.
J’ai donné un séminaire assez tôt parce que j’avais traité un ministre afro-américain très éminent ici à Dallas. Lui et sa femme étaient malades. Il ne m’a pas parlé de sa femme et son test était négatif. Elle n’était pas une de mes patientes. Il a reçu ce qu’on appelle une polythérapie séquentielle. Il est tombé très malade, il souffre d’insuffisance cardiaque, de diabète, d’emphysème, d’obésité, de maladie rénale. Il a survécu à la maison, malade, pendant environ dix jours. Je ne dis pas que la thérapie médicamenteuse est parfaite, mais je l’ai sauvé de l’hospitalisation ou de la mort. Sa femme, sans traitement, hospitalisée, diagnostiquée tardivement, hospitalisée pendant cinq semaines, est rentrée chez elle sous oxygène. Ce virus a ravagé ses poumons. C’était horrible. Ils avaient la même maladie. Et il est devenu proactif et il m’a demandé « Dr McCullough, pouvez-vous faire un webinaire pour les églises afro-américaines dans tout le pays? » J’ai fait un webinaire et j’ai présenté ma démarche. Et vous savez quels ont été les commentaires? Ils ont dit « Dr McCullough, nous savions que le gouvernement nous mentait. Nous savions que c’était traitable. Nous le savions depuis le début. » Les gens le voient.
Est-ce que davantage de médecins apprennent enfin à surmonter la suppression réglementaire et institutionnelle des thérapies ambulatoires Covid-19?
Il y a des découvertes individuelles suite auxquelles des pratiques sont mises en place. J’ai reçu des appels à Dallas « Dr McCullough, pouvez-vous partager vos protocoles? Nous voulons le faire. » Les médecins traitants se sont vraiment concaténés [NdT. merci au Dr Fouché 😉] et nous avons formé de manière informelle un groupe appelé C-19 où nous recevons environ quatre à cinq mises à jour par e-mail chaque jour, de mises à jour vraiment critiques sur le traitement. [C-19] est international. Il y a d’anciens chefs d’État impliqués dans C-19, il y a des lauréats du prix Nobel impliqués dans C-19, des centaines et des centaines de médecins américains. Il y a à présent une liste publiée de médecins traitants et je dirais qu’il en a 250 dans les 50 États. Le Texas en compte 35. Les Américains trouvent donc leur voie malgré la suppression des traitements précoces.
L’une des grandes histoires – que je n’oublierai jamais – [s’est passée] lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, le 10 mars , moi-même et le Dr Richard Urso, un autre médecin de premier plan dans le traitement précoce à Houston. La présidente du Comité, au cours d’une conversation en aparté, nous a dit : » Oui, mon mari a contracté le Covid-19, il est tombé vraiment malade et je suis tellement contente qu’il ait reçu un traitement précoce. Nous avons trouvé un médecin qui lui a alors prescrit de l’ivermectine et d’autres médicaments. » Et je n’ai pas voulu faire un scandale devant les médias texans mais j’ai eu envie de dire « Faut-il être présidente du Département de la Santé et des Services Sociaux pour obtenir un traitement? Qu’en est-il de ces pauvres gens du sud de Dallas, de San Antonio et de Houston? Qu’en est-il des personnes qui ne sont pas aussi privilégiées? » Savez-vous que 85 % de certains de nos patients hospitalisés ici sont noirs ou hispaniques? Qui les aide? Nous devrions avoir des centres de traitement précoce. On leur a refusé tout traitement, c’est déchirant. Les Hispaniques et les Afro-Américains ont une mortalité deux fois plus élevée que celle des Caucasiens.
En tant que médecin confronté à des personnes malades qui ont besoin d’un traitement MAINTENANT, comment évaluez-vous quelles thérapies sont efficaces pour aider vos patients MAINTENANT au lieu d’attendre la publication d’études à grande échelle ?
Nous avons en fait une loi en Amérique. Cela s’appelle le XXIst Century Cures Act et elle dit que la FDA et les médecins et d’autres personnes, lorsqu’ils doivent décider d’un traitement, sont tenus d’évaluer la totalité des informations, aussi bien ces petites anecdotes sur votre mère et son aide-soignant, que les séries de cas, les études de cohorte prospectives, les études de cohorte rétrospectives, les études hospitalières, les études opérationnelles, puis de vastes essais prospectifs randomisés en double aveugle contre placebo. Mais par rapport à un virus, il est très difficile de démontrer l’efficacité d’un médicament seul. Si nous avions eu cette exigence pour le VIH, nous n’aurions trouvé aucun traitement. Pour le VIH, on s’est vite rendu compte qu’on avait besoin de trois, quatre ou cinq médicaments. Tout le monde le comprend. Pour le Covid-19, je n’ai jamais pensé qu’un médicament seul fonctionnerait. L’hydroxychloroquine, non, pas seule mais en association. Et c’est cette pensée – il faut ce genre de faculté de pensée supérieure – que d’une manière ou d’une autre, les médecins ont simplement perdue – leur capacité à penser. Pensez-vous que pour un cancer, un médecin dirait que cette seule pilule guérit le cancer? Jamais. On a toujours une thérapie combinée contre le cancer.
Donc, avec l’hydroxychloroquine, nous en sommes maintenant au stade où nous disposons clairement de centaines et de centaines d’essais. Nous avons même de grands essais randomisés. J’ai publié les travaux du Dr Joe Ladapo. Seuls les essais contrôlés randomisés prospectifs montrent un bénéfice. Ainsi, à tous les niveaux, on atteint le niveau de preuve suffisant pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine. À tous les niveaux, on atteint le niveau de preuve suffisant pour l’utilisation de l’ivermectine. Pas autant de preuves mais d’assez bonnes preuves pour les anticorps monoclonaux. Même chose pour les stéroïdes. Le plus grand et le meilleur essai de Covid-19 est le Col Corona et il mentionne la colchicine. Étonnamment, Col Corona, le meilleur essai, 4.000 patients, essai contrôlé par placebo randomisé en double aveugle, la meilleure qualité qui existe, rejeté par le New England Journal of Medicine, rejeté par JAMA, rejeté par The Lancet. Il y a une suppression globale de tout traitement précoce. Je veux que les auditeurs comprennent à quel point c’est mondial.
Si on regarde ce qui se passe dans le nord du Canada, les médecins sont menacés de voir leurs licences examinées ou retirées s’ils tentent de traiter un patient Covid-19 en ambulatoire. C’est ce qu’on leur dit au Canada. Dans le nord de l’UE, la même chose est vraie. Le Dr Didier Raoult, qui a tenté d’innover avec l’hydroxychloroquine et l’azythromycine en France au tout début, a subi diverses menaces d’arrestation ou d’arrestation partielle, d’assignation à résidence. On se croirait presque de retour au Moyen-Age. En Australie, en avril, on a publié un décret qui dit que dans le Queenslands, Australie, un médecin qui tente d’aider un patient avec de l’hydroxychloroquine peut être sanctionné, jusqu’à une peine de prison de six mois, pour avoir tenté de soigner. En Afrique du Sud, on a mis des médecins en prison pour avoir tenté d’aider des patients en leur donnant de l’ivermectine.
Des pouvoirs en place qui veulent supprimer les traitements précoces et causer autant de peur, de souffrance, d’hospitalisation et de mort que possible, ce n’est pas le fruit du hasard. Ce sont des forces puissantes qui ont créé une telle peur parmi les médecins qu’ils craignent de perdre leur carrière, leur gagne-pain, leur licence médicale. Ils ont peur d’aller en prison. En aidant simplement leur prochain à traverser le Covid-19. C’est incroyable. Les historiens devraient remonter le cours du temps. Vous savez, le tout premier médecin qui a tenté d’aider un patient atteint de polio à y survivre en le plaçant dans un poumon d’acier, qui fait maintenant partie des appareils des services de soins intensifs, a été renvoyé du personnel médical. « Virez-le de l’équipe! »
Pouvez-vous proposer des pistes d’investigation aux chercheurs qui tentent de découvrir POURQUOI les premières thérapies ambulatoires pour Covid-19 ont été supprimées?
J’examinerais très attentivement le travail qui s’appuie sur celui d’autres journalistes d’investigation. Le Dr Peter Breggin a écrit un livre intitulé « Covid-19, les prédateurs mondiaux – Nous sommes la proie » et il contient un document vivant [NdT. un document vivant, également appelé document permanent ou document dynamique, est un document qui est continuellement modifié et mis à jour], il a déjà publié le manuscrit avant sa publication. Il publie des mises à jour. Maintenant qu’il est plus âgé, il a un peu peur que l’histoire ne sorte pas de son vivant. Mais je crois qu’il a près de 900 documents. L’histoire n’est pas encore structurée mais elle est substantielle et montre les interconnexions des parties prenantes impliquées. Le Dr Nicholas Wade, qui était récemment l’invité de Tucker Carlson [NdT. présentateur sur Fox News, qui a également reçu le Dr McCullough] en tant que journaliste d’investigation, a compilé une fameuse histoire. Et puis Whitney Webb, une jeune journaliste d’investigation, a publié des choses assez saisissantes .
Ces trois personnes, et bien d’autres, font le lien entre deux concepts importants. La suppression du traitement précoce, et même probablement la discrète atténuation du traitement à l’hôpital, pour aggraver le problème. De nombreuses méthodes pour faire en sorte que le nombre de cas semble plus élevé que ce qu’il est, et faire en sorte que les chiffres de mortalité semblent pires qu’ils ne sont. De nombreuses méthodes pour créer une réaction hors de proportion avec la réalité. Confinements, peurs, souffrances économiques, etc. Toutes ces choses rendent la pandémie bien pire que ce qu’elle est, afin que se produisent encore plus de peur, de souffrance, d’hospitalisation, de mort, de solitude, de confinement, afin de favoriser la vaccination de masse.
Les deux sont étroitement liés. La vaccination de masse à tout prix. Le monde doit être vacciné en masse et tous les êtres humains sur Terre doivent comprendre à ce stade, que ce que nous voyons est sans précédent. Il est apparu que le virus allait se prêter à un vaccin vers avril, mai et à ce moment-là, pfuitt! la thérapie a été supprimée. Rien ne pouvait être publié. Tout, le faux papier du Lancet, l’anéantissement du traitement et ensuite la mise en condition de la population à la vaccination. Une fois les vaccins sortis, ils sont expédiés à toute allure et on assiste partout à des bouffées d’enthousiasme. Vous savez « une aiguille dans chaque bras », des camions qui sillonnent la route, des Américains qui applaudissent – et puis le programme de vaccination de masse démarre.
Et avant qu’on s’en rende compte, on vaccinait des femmes enceintes. Pourquoi fait-on ça? Ça n’est absolument pas sûr. Maintenant, on va vacciner les patients guéris du Covid. Minute, ils ont une immunité permanente complète et robuste. Personne n’a jamais contesté l’immunité d’un patient guéri du Covid. Pourquoi les vacciner ? Et ça continue, encore et encore. Au début, on a vacciné les personnes à haut risque. Je n’ai pas vraiment compris pourquoi vacciner les jeunes travailleurs de la santé, parce qu’ils ne couraient aucun risque. Il n’y a jamais eu d’épidémies hospitalières aux États-Unis. La seule chose qui était claire, les travailleurs des maisons de soins infirmiers le donnent aux patients des maisons de soins infirmiers. Nous le savions. Donc, les travailleurs des maisons de soins infirmiers auraient dû être vaccinés, puis peut-être les personnes à haut risque et on aurait dû s’arrêter là. On a estimé qu’environ 20.000.000 de personnes devaient être vaccinées, mais ça n’a pas semblé satisfaire les parties intéressées du vaccin que sont Pfizer, Moderna, J&J, AstraZeneca et les autres qui se sont manifestées, le CDC, la FDA et le NIH – et le Maison Blanche. Les principales parties intéressées du vaccin. Vous pouvez ajouter la Fondation Gates, l’Organisation Mondiale de la Santé – vous pouvez également les ajouter. Des parties intéressées majeures. Et tous voulaient que tout le monde soit vacciné, sans exception. Personne n’échappera à l’aiguille.
On a jamais vu ça et le processus de vaccination est extraordinaire. Il y a un formulaire de consentement. Il dit « Ceci est expérimental, nous ne savons pas si ça va marcher, il n’y a que deux mois de données, les effets secondaires pourraient aller d’une douleur au bras jusqu’à la mort, nous ne savons pas. Signez ici. Nous avons besoin de votre information d’identification, nous avons besoin d’un code-barres sur le flacon, nous avons besoin de vous identifier et maintenant vous êtes dans une base de données. Vous êtes vacciné. »
Cette vaccination de masse est extrêmement préoccupante. Nous ne vaccinons jamais au milieu d’une pandémie, jamais. Nous n’avons jamais eu de vaccin efficace contre les virus respiratoires, y compris la grippe – il n’est que modestement efficace. Nous savions à partir des données publiées que les taux d’attaque [NdT. il s’agit de la proportion de la population qui développera les signes cliniques de la maladie durant une pandémie] dans les bras placebo et vaccin étaient inférieurs à un pour cent. Nous savons donc que le vaccin peut avoir un effet inférieur à 1% dans la population. Pourquoi serait-ce différent des essais cliniques? Nous savions d’après les essais cliniques que ça n’empêchait pas le Covid-19 et que les gens pouvaient de toute façon attraper le Covid-19. Quelle est cette incroyable volonté de vacciner tout le monde?
Et maintenant, mes pires… en quelques mois, le vaccin a été complètement militarisé. Maintenant, ce sont les voyages qui sont liés au vaccin, les gens ne peuvent pas aller à l’école sans le vaccin, les gens perdent leur emploi sans le vaccin. Croyez-moi, il y a quelque chose de très, très puissant dans ce vaccin. Ça devrait inquiéter tout le monde. Le mot « vaccin » devrait être le mot le plus inquiétant qu’ils aient jamais entendu.
Nous voyons des enfants de douze ans à qui on dit qu’ils peuvent décider eux-mêmes s’ils peuvent ou non se faire vacciner. Environ soixante-dix pour cent de mes patients sont vaccinés – je suis très pro-vaccin, j’ai moi-même reçu tous les vaccins [NdT. les autres vaccins, évidemment]. Environ soixante-dix pour cent et ils ont tous été vaccinés en décembre, janvier et février. Mais au moment où nous nous parlons aujourd’hui, en mai, il y a eu plus de 4.000 décès liés au vaccin [NdT. 5.000 au moment où je traduis, un mois plus tard, et le Dr McCullough dans mon article suivant révise sérieusement ce chiffre] et plus de 10.000 hospitalisations.
La limite pour arrêter un programme est d’environ 25 à 50 décès. Grippe porcine, 1976, 25 morts, on a arrêté le programme. Il n’était pas sûr. Tous les vaccins administrés chaque année aux États-Unis – ce qu’Ambulink rapporte dans la base de données – font environ 200 [morts]. Et nous parlons de probablement cinq cent millions d’injections. Ici aux États-Unis, avec une centaine de millions de personnes vaccinées [Covid], c’est de loin l’agent biologique toxique le plus mortel jamais injecté dans le corps humain dans l’histoire américaine et ça y va plein pot, sans aucune mention de sécurité des responsables officiels, dans l’enthousiasme délirant des hôpitaux et des administrateurs d’hôpitaux, avec le soutien des médecins – des médecins disent maintenant qu’ils refusent de recevoir les patients non-vaccinés dans leur salle d’attente.
Ce problème, le Covid-19 était en fait depuis le tout début, c’est ce que Whitney Webb dit, elle dit « Le Covid-19 tourne entièrement autour du vaccin. Il ne s’agit pas du virus, mais du vaccin.«
Pourquoi l’accent a-t-il été mis sur la vaccination de masse comme le SEUL moyen de revenir à la normale?
Je pense qu’il s’agit de ce que représente le vaccin et Whitney Webb a le mérite de l’avoir dit. En avril, elle a dit « Aha, j’ai compris. C’est ce que les mondialistes attendaient. Ils attendaient un moyen de marquer les gens. » Quand vous recevez un vaccin, vous êtes encodé dans une base de données. Et ça peut être utilisé pour les échanges, pour le commerce, pour la modification du comportement, à beaucoup des fins différentes. Et vous le voyez ici à Dallas, on a annoncé « Vous ne pouvez aller au match des Dallas Mavericks que si vous êtes vacciné. » Vous entendez des gens dire « Vous avez des passeports? ». Des collèges ont annoncé aujourd’hui qu’ils n’accorderaient aucun crédit à l’immunité naturelle. Tous les scientifiques du monde savent que l’immunité naturelle est bien meilleure que l’immunité vaccinale. S’il s’agit de Covid, pourquoi les gens qui ont guéri du Covid ne peuvent-ils pas assister aux match des Mavericks? Pourquoi les personnes guéries du Covid ne sont-elles pas libres d’aller à l’université? Pourquoi considère-t-on que l’immunité vaccinale défectueuse est la priorité et que l’immunité naturelle ne compte pas? Voyez-vous, ce genre de choses me fait penser que Whitney Webb a raison. Il s’agit en fait de marquage. Le vaccin est un moyen de marquer les gens, c’est un moyen de mettre en oeuvre une entreprise de création de conformité, un contrôle des comportements.
N’oubliez pas que le vaccin n’est qu’une première étape. Il y aura des mises à jour, il y aura des boosters, on y prépare déjà le public, il y a d’autres choses en réserve. Les fabricants de vaccins sont tous liés, ils bénéficient tous d’une indemnité unique. Quel produit médical bénéficie-t-il d’une indemnité qui fait que, si quelque chose vous arrive, vous n’avez aucun recours? Une femme se fait vacciner, une femme enceinte, elle n’a aucun droit maternel ni fœtal. Quelque chose arrive à son bébé, pas de chance.
C’est extraordinaire ce que font les Américains. C’est en fait extraordinaire ce qui nous est imposé maintenant.
Entrons-nous dans un Brave New World dans lequel une personne qui choisit de NE PAS se faire vacciner sera punie par des moyens non-judiciaires en lui interdisant de travailler, de voyager et d’assister à des événements publics importants?
Je pense que toute cette pandémie, depuis le début, est centrée sur le vaccin. Je pense donc que tous les chemins mènent au vaccin. Ce que ça signifie, c’est qu’il existe déjà des endroits en Asie du Sud-Est et en Europe, où on prépare le terrain pour la vaccination obligatoire. Obligatoire, ça veut dire que quelqu’un vous cloue au sol et vous enfonce une aiguille. C’est à ce point que les parties intéressées veulent la vaccination. « Ça ne vous coûtera rien, vous n’avez pas à payer, tout est fourni. » Il y a des gens ou des intervenants qui veulent « une aiguille dans chaque bras ». Cette « aiguille dans chaque bras » est une formule très importante. Pourquoi? Pourquoi veulent-ils une « aiguille dans chaque bras »?
Prenons les gens qui ont guéri du Covid. Ils ne peuvent pas attraper le virus, ne peuvent pas le recevoir, il n’y a rien à… Pourquoi voudrait-on jamais piquer une aiguille dans le bras d’un patient guéri du Covid ? Pourquoi? Trois études montrent des événements de sécurité très élevés. La tension que les Américains ressentent en ce moment s’ils veulent garder leur emploi et aller travailler, c’est qu’ils savent qu’ils peuvent mourir du vaccin. C’est tout le problème. Si le vaccin était juste de l’eau et qu’on pouvait le recevoir sans effets secondaires, qui n’en voudrait pas? « Très bien, je vais me conformer. Ils ont de toute façon mon numéro de sécurité sociale dans une base de données, je suis déjà marqué. Je serai juste [encore] marqué. »
Mais non, il y a quelque chose de très unique dans ce vaccin, il s’agit d’injecter dans le corps quelque chose de tellement important pour les parties prenantes que rien n’a d’importance. Des enfants de douze ans à qui on dit qu’ils peuvent eux-mêmes prendre cette décision alors que ça pourrait être leur décision fatale? Pensez-y. La Caroline du Nord vient de l’adopter. Les enfants de douze ans peuvent décider seuls. Il y a plus de 4.000 Américains morts [NdT. cf. note précédente], il y a plus de 10.000 morts en Europe qui meurent les jours 1, 2 et 3 après le vaccin.
Pourquoi veut-on l’imposer de telle façon que les emplois des gens, leur éducation et leurs moyens de subsistance dépendent d’une décision potentiellement fatale? La tension est à couper au couteau. Il y a des parents qui disent « Je veux que mon enfant aille à l’université cette année mais je ne veux pas le perdre à cause du vaccin. » Ils savent ce qui se passe, Internet regorge de ces cas : caillots sanguins, accidents vasculaires cérébraux, mort immédiate. J’ai de la chance, je n’ai pas directement perdu de patient à cause du vaccin. Je vous l’ai dit, la plupart se sont fait vacciner en décembre, janvier, février. Sur la base des données de sécurité maintenant, je ne peux plus le recommander. Je ne peux pas le recommander. Il a dépassé toutes les limites pour pouvoir être considéré un produit sûr. Ce n’est pas un produit sûr, aucun d’entre eux ne l’est. Il n’y a pas que Johnson et Johnson. En fait, plus d’événements de sécurité aux États-Unis se sont produits avec Moderna et Pfizer.
Il existe maintenant des articles écrits par d’éminents scientifiques appelant à un arrêt mondial du programme. Il y a d’éminents virologues, dont beaucoup, y compris des lauréats du prix Nobel, qui disent : « Si nous vaccinons les gens et que nous créons une bibliothèque très étroite et incomplète d’immunité, ce que fait le vaccin – les vaccins sont tous ciblés sur la protéine de pointe de Wuhan qui a disparu depuis longtemps, elle est éteinte, les patients se font vacciner pour quelque chose qui n’existe même plus, cette protéine de pointe de Wuhan est partie, nous espérons que l’immunité couvre les autres variants mais cette immunité étroite est un piège, c’est comme donner à tout le monde un antibiotique à spectre étroit – si on le faisait, ce qui se passerait c’est qu’on élèverait des super-bactéries. » Il y a des avertissements qui disent « Ne faites pas ça! Ne vaccinez pas le monde entier. Tout ce que nous allons faire, c’est créer un super-virus qui va vraiment anéantir les populations. » [NdT. à l’heure où je traduis ceci, il y a un « variant of concern », le Delta+, sur lequel il circule des choses inquiétantes, mais ce n’est pas vraiment une nouveauté]
Donc, pour de nombreuses raisons, le vaccin, la vaccination aveugle, est une idée horrible. C’est une arme biologique épouvantable qui a été balancée sur les peuples et qui va causer de grands dommages personnels – ce qu’elle a déjà fait, des milliers de personnes ont déjà perdu la vie. Je n’ai jamais perdu de patient direct, mais j’ai vu mes patients perdre des membres de leur famille, beaucoup d’entre eux. J’ai rempli un rapport de sécurité sur un patient qui a développé des caillots sanguins après l’un des vaccins Moderna et ça m’a pris une demi-heure. Il comportait beaucoup de pages et chaque page disait « Attention! Infraction fédérale passible d’amendes et de peines sévères » si je falsifiais le rapport. Tous ces milliers d’Américains qui sont morts avec le vaccin et les hospitalisations dans la base de données, je pense, sont réels. Et ils sont bien au-delà de tout ce que nous avons jamais vu.
En tant que médecin et en tant que citoyen public, je suis extrêmement préoccupé par ce vaccin. Le centre de vaccination juste en bas de ma rue est vide. Je passe devant tous les jours. Les Américains savent, ils se parlent, le vaccin n’est pas sûr et maintenant les parties intéressées du vaccin ont comme objectif que les enfants se passent d’accord parental et maintenant ils veulent rentrer dans les églises.
Les Américains et les gens du monde entier devraient être extrêmement alarmés.
Une agence ou une personne a-t-elle tenté de vous faire taire par des menaces ou d’autres formes d’intimidation?
Ma situation personnelle, ma situation professionnelle est une position de force. Et ceux qui ont tenté, de quelque manière que ce soit, de faire pression sur moi, de me contraindre ou de me menacer de représailles en ont payé un prix extraordinaire. Je pense que c’est un message important à faire passer.
Il existe une position de force, basée sur les principes de compassion et du serment d’Hippocrate et d’une relation fiduciaire qu’un médecin doit à un patient, et un médecin éminent à une population, qui l’emporte sur toutes toute autre intention malfaisante.
Et ce que je dis, c’est « Qu’ils essayent ».
Le Dr McCullough est interniste, cardiologue, épidémiologiste et professeur de médecine au Texas A & M College of Medicine, Dallas, Texas, États-Unis. Depuis le début de la pandémie, le Dr McCullough est un chef de file de la réponse médicale à la catastrophe du COVID-19 et a publié « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » première synthèse du traitement multimédicament séquencé de patients ambulatoires infectés par le SRAS-CoV-2 dans l’American Journal of Medicine et mise à jour par la suite dans Reviews in Cardiovascular Medicine. Il compte 40 publications évaluées par des pairs sur l’infection et a longuement commenté la réponse médicale à la crise du COVID-19 à TheHill et sur FOX NEWS Channel. Le 19 novembre 2020, le Dr McCullough a témoigné devant le Comité Sénatorial Américain sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales et tout au long de 2021 devant le Comité Sénatorial du Texas sur la Santé et les Services Sociaux, l’Assemblée Générale du Colorado et le Sénat du New Hampshire concernant de nombreux aspects de la réponse à la pandémie.
Note to my English readers : this is the full transcription of an interview found here. Please feel free to use it as you see fit, and please be so kind as to mention this here source page. It was a lot of work.
Dr. Peter McCullough has been the world’s most prominent and vocal advocate for early outpatient treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection in order to prevent hospitalization and death. On May 19, 2021, I interviewed him about his efforts as a treating physician and researcher. From his unique vantage point, he has observed and documented a PROFOUNDLY DISTURBING POLICY RESPONSE to the pandemic — a policy response that may prove to be the greatest malpractice and malfeasance in the history of medicine and public health.
Dr. McCullough is an internist, cardiologist, epidemiologist, and Professor of Medicine at Texas A & M College of Medicine, Dallas, TX USA. Since the outset of the pandemic, Dr. McCullough has been a leader in the medical response to the COVID-19 disaster and has published “Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection” the first synthesis of sequenced multidrug treatment of ambulatory patients infected with SARS-CoV-2 in the American Journal of Medicine and subsequently updated in Reviews in Cardiovascular Medicine. He has 40 peer-reviewed publications on the infection and has commented extensively on the medical response to the COVID-19 crisis in TheHill and on FOX NEWS Channel. On November 19, 2020, Dr. McCullough testified in the US Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs and throughout 2021 in the Texas Senate Committee on Health and Human Services, Colorado General Assembly, and New Hampshire Senate concerning many aspects of the pandemic response.
On May 19, 2021 Dr. Peter McCullough was interviewed by author John Leake in Dallas, Texas on the subject of Dr. McCullough’s treatment and research of Covid-19.
Peter A. McCullough, MD, MPH, FACP, FACC, FAHA, FCRSA, FCCP, FNKF, FNLA Professor of Medicine, Texas A & M College of Medicine Board Certified Internist and Cardiologist President Cardiorenal Society of America Editor-in-Chief, Reviews in Cardiovascular Medicine Editor-in-Chief, Cardiorenal Medicine Senior Associate Editor, American Journal of Cardiology
I’m doctor Peter McCullough and I’m an internist and cardiologist, an academic physician, Professor of Medicine at Texas A and M College of Medicine on the Baylor Dallas campus. And in February of 2020, like many physicians I was really taken by storm with the news that a tremendously contagious virus was emanating out of Wuhan, China and it looks like the United States was in the crosshairs.
When you heard the first reports of this novel respiratory illness headed our way, what were your intial thoughts about how to prepare for it?
In the beginning, in my clinical practice I really didn’t have any viewpoint about prior viral pandemics. Some had mentioned prior influenza pandemics. We go back to the 1300’s it was, you know, plagues that occurred across Europe. But point in fact we were largely and very quickly thrown into emergency mode. And so what happened was a whole series of communications within health systems that really dealt with protection of the doctors and nurses. Americans were introduced to a term called PPE – personal protective equipment. And most of our task force meetings and calls really didn’t have to do with sick patients. It had to do with protection of the health care workers and doctors. So I got a sense early on that fear – group fear – was a major driver in the behavioral response to the pandemic.
My research endeavors – and my research life before Covid-19 – centered on the interface between heart and kidney disease. I’m the President of the Cardio-Renal Society of America, I’m considered the most published person on this topic in the world and history. I chair many FDA-approved clinical trial, data safety monitoring boards. In fact I’ve probably seen and examined more drug safety trial data than any doctor in current American medicine. So I’m well grounded in chronic disease, epidemiology and randomized trials.
But for Covid-19 our major viewpoint that we had early on – or at least for me with my prior cardio-renal collaborations – was with Italian doctors and so we were starting emailing each other in terms of what is going on in the metro Milan area – in Milan and then down to Sienna, in Tuscany – and we quickly started to get an understanding that this illness was like an upper respiratory infection, like a common cold – and for a majority of individuals it was like the common cold. However in some individuals it could progress to what we call the adult respiratory distress syndrome where there’s an overwhelming attack against the lungs. Patients lost their ability to breathe and exchange oxygen and carbon dioxide and then required mechanical intubation. So this was unlike any common cold and it appeared to be very different than influenza. Influenza in elderly people can also cause the adult respiratory distress syndrome but it’s almost always because of a secondary bacterial infection like staphylococcal infection.
So Sars-CoV-2, the virus in Covid- 19, appeared to have these special features. And then within a few weeks we understood pretty clearly that the illness had three major biological features to it. One was early viral replication where the virus replicates exponentially as other viral infections do. And that it has a second phase where the immune system is tipped off into a very abnormal, maladaptive pattern. So instead the immune system defending the body, the immune system sends out signals that begin to damage organs including the heart, the lungs, the kidneys, the brain, the blood system.
And then very importantly the virus itself through the spike protein – or the dangerous spicule on the surface of the ball of the virus – the spike protein itself caused coagulation or blood clotting. And a unique type of coagulation. It caused the red blood cells to stick together, at the same time the platelets stick together. So this is a very different type of blood clotting that we would see with major blood clots in the arteries and veins – for instance blood clots involved in stroke and heart attack, blood clots involved in major blood vessels in the legs. This was a different type of clotting and in fact the Italians courageously did some autopsies and found micro-blood clots in the lungs. And so we understood in the end the reason why the lungs fail is not because the virus is there, it’s because micro-blood clots are there.
What were you seeing in the initial reports about Covid-19?
The waves of reports and published medical literature originally emanated out of China – the early ones – and the public should understand that the typical publication cycle for an academic paper that’s peer-reviewed and published can be anywhere from nine months to two years. So what happened was, the publication cycles were too long to get any rapid information out. So immediately our system collapsed into what’s called pre-prints. So publications would be submitted, papers would be submitted for publication but the pre-print would come out basically telling the world that the paper had not yet undergone peer-review but we need to get this information out now because people need to understand what’s going on. So we had a wave from China originally which was difficult to interpret because of English writing, because the Chinese population is just so different in terms of its structure and it was hard to make much out of what was coming out of China outside of, in some cases it could be fatal. Italy was much more like the United States. That was the next big wave and we just collaborate more freely with the Italians. And what I had done is I’d reached out to what’s called the Cortical [?] network in Italy as an American doctor. And I freely said, « Listen, I am not a virologist and immunologist but I can tell you every infectious disease doctor in America has completely subscribed to inpatient care of patients with Covid-19 and there’s nobody able to kind of think their way through what’s going on in the pandemic. »
And so what we learned relatively early is that this illness was clearly and strongly amenable to restratification or that baseline risks were very, very strong determinants, even more so than the virus itself, for mortality. So what that meant is, the strongest determinant of mortality is age, and age itself is an underlying determinant or cause of death, if you will, in the general population. Then we started adding on the typical things that put people at risk for death of other causes : heart disease, lung disease, kidney disease, cancer, obesity, diabetes. The interesting thing is that obesity appeared to be a super-loaded factor and so the virus seemed to really prey upon patients particularly who were obese. There are some reasons for this in terms of how the cytokines and immune factors are generated in response to the virus that could explain it. But we understood quickly that individuals under age 50, for example, with no major medical problems could ride through this illness very easily. In fact the Swedes figured this out very quickly and said « You know what, we’re not going to shut down, we can just… this is sufficiently understood that we can simply protect the individuals at risk the best we can – the best that any protection measure can – and then we’ll just have our economy and our schools move along in the usual fashion. »
With the pandemic what happened is, there was a global shut down on travel and a global shut down on academic meetings. So for the first time in my career we could no longer meet with our colleagues, in the United States or overseas. In academic medicine, its life blood is meeting and interchange of ideas. And so for the first time we could not freely interchange ideas as a group. In fact I recall a teleconference early on held by the National Institutes of Health strictly actually by the division of insulin, of diabetes and kidney disease. It was that institute that I’m aligned with in terms of clinical trials and it was led by Dr Robert Starr – a terrific scientist. And as I recall there were hundreds of people on their call to just learn about what was going on in other centers and people were asking each other « What are you seeing out at UCLA, what are you seeing at Baylor, what are you seeing at Harvard? » And so we were literally just communicating to try to understand what in the world is going on with this virus : who needs to be hospitalized, what happens when they’re hospitalized, who needs mechanical ventilation? All of these interactions had to settle on the idea that this was enormously amenable to restratification. People under age 50 without any medical problems, unless they presented with severe symptoms, they were going to be fine, honestly it was gonna be like a head cold. But over age 50 they became a real risk of hospitalization and death. And the two important endpoints were hospitalization and death. You ask Americans « What are you afraid of? You’re afraid of getting a cold and being at home for a few days or a few weeks? » « No. I’m afraid, I’m deathly afraid of being hospitalized and obviously afraid of dying. »
Why was the hospitalization so frightening? Because for the first time patients would be hospitalized, they were put into isolation, they could never see their loved ones again. Those who died actually never did see their loved ones again. The workers were terrified, they were wearing personal protective equipment, they had very reduced visitation to patients in rooms, they started using telemedicine services where the poor patients were in glass rooms, no one was coming in and seeing them and the care that was offered was modest. Honestly it was supportive care until patients needed to go on the respirator. So to sit in the hospital on oxygen, terrified day by day by day, no one being able to come in the room, not being able to see family. These messages got out to other family members and it put America on watch with extraordinary fear.
Now over the last year I’ve published – and I’ve managed to get this out despite our incredibly difficult publication cycles – I’ve published 40 peer-reviewed papers on Covid-19. That may be more than anybody in America. And one of my very first papers, the title of it, the paper dealt with what are the important outcomes : that’s hospitalization and death. And when I started to see that scoreboard come up on the major media channels where it listed positive cases and deaths – and all Americans remember this – this was up there almost instantaneously, it came from Johns Hopkins. Instantaneously it was cases and deaths – I kind of wondered how did they get that information so quickly? That was amazing. We don’t have death certifications and other things that are very rapid at all and who could be determining this? But at any rate it was up there and what I said was, what we really need to know was, who’s being hospitalized because if we can’t figure out who’s being hospitalized and we can’t figure out where the hospitalizations are occurring we don’t know where to allocate resources. So I published a paper on this in the journal that I edit, Reviews in Cardiovascular Medicine. I immediately wanted to reach the American public. I published an op ed in The Hill, which is a newsletter out of Washington, and I said « Listen, there’s an emergent need : we need the hospitalizations » and I screamed as loud as I could to the administration to say « Listen, get an executive order to get the US hospital census every day so we could see what was going on. » It never happened. We got an executive order to get the positive test results to come in from all the major laboratories and through the hospital laboratories because all the tests for the virus were under the emergency use authorization so it was linked to an executive order. So the positive tests were just coming in to the Johns Hopkins Center, so we knew who tested positive. There was no control over duplicates by the way so if a patient had one or two or three tests, unless the system had a way of actually filtering out these duplicates, those piled on. And it really didn’t take into consideration who was sick and who wasn’t sick. So we just had test-positive and then we had the deaths which started to take on a cadence of trailing by about four weeks after a positive test cases. But that whole death ascertainment was a real mystery to Americans.
And what I said, I think it was around March or April, I basically made the statement relatively publicly, I said « Listen, there are two bad outcomes : hospitalization and death. I’m going to put together a team of doctors and figure out how to stop these hospitalizations and deaths. » I felt compelled as an academic leader in medicine if no one in the White House could say that, no one in the White House task force could say that, if no one in the FDA could say that, or the NIH or the CDC and Americans were pouring into hospitals and dying. No one could make that courageous statement uniquely and individually and alone, I made that statement.
How did you conceptualize the problem of Covid-19 and how to deal with it?
We had, as our country’s leadership, an inability to frame the problem. The problem was, there was a virus, it was popping up in clusters in the United States and in most people was causing a cold and they got through it just fine and in other people it was leading to hospitalization and death. We couldn’t frame the problem that the virus in some people causes hospitalization and death. Let’s stop it, let’s stop the hospitalizations and deaths, let’s treat the virus. We could not frame that problem, our leaders couldn’t frame the problem. I personally didn’t have any problem framing the problem. It’s a bad thing. If there was another form of pneumonia out there I would have said the same thing, another form of newly acquired asthma, another form of uro-genital infection or gastrointestinal infection.
Ebola had just been actually in Dallas a few years earlier. I think Ebola hurt us in terms of our thinking, because Ebola was so terribly contagious and so quickly fatal that the fear that Ebola created in Dallas was extraordinary. I’ll never forget in our Medical Center, one time I tried to get in one of the usual doors that I go into and there was a police officer there. I said « What’s going on? », he goes « We’re here to block anybody with Ebola from coming in our hospital. We’re going to shut them to Presbyterian Hospital north of us. » When do we shut patients away from one hospital? The fear that Ebola created because of this idea it was terribly contagious and fatal quickly, I think set us on edge. And with the Sars-CoV-2 virus what we learned is, the average person sits at home for two weeks, there’s no immediately lethality to the virus. In fact we’ve got a long window of time to make a diagnosis, organize treatment and prevent hospitalization and death. So Sars-CoV-2 was very different from Ebola.
But we [must] look at other conditions where we readily accept the fact that somebody can fall ill at home but if we start treatment early with an infection we can save the patient. That exists for community-acquired pneumonias, it occurs for various forms a staph infection, staphylococcal toxic shock syndrome, it occurs for diverticulitis and abdominal conditions, it occurs for skin infections, various forms of cellulitis, it occurs from meningitis. If for instance, if someone had a form of meningitis, we wouldn’t say « Listen, sit at home for two weeks then if you’re really, really bad and you’re having seizures and you can’t even breathe anymore then come to the hospital, we’ll start treatment. » So the different unique aspect of the medical response to Sars-CoV-2 and Covid-19 was, for the first time we had an infectious disease where the medical community settled into a group think and this was supported by the NIH, the CDC, the FDA, the American Medical Association, all the medical societies. It was supported by these societies to tell doctors « Don’t touch this virus, let patients stay at home, let them get as sick as humanly possible and then when they can’t breathe anymore then go to the hospital. »
In fact it was shocking, October 8th, when the National Institutes of Health came out with their first set of treatment guidelines because prior to that none of the societies had any treatment guidelines. They actually didn’t tell doctors how to treat the illness. Now there were suggestions about what should be done in the hospital but Americans cared about what was going on when they got sick at home. And the first set of the guidelines said « You get sick at home, don’t do anything. Don’t do anything, come into the hospital when you really can’t breathe, still don’t do anything until the patient needs oxygen, then start doing something like then actually give the first anti-viral drug which was Remdesivir. » Well that’s 14 days after the virus had already started replicating. By that time the virus is long gone. When people can’t breathe the problem is micro-blood clotting in the lungs. So the federal agencies, the CDC, the NIH, and FDA were enormously inept in terms of perceiving what this problem was, incredibly inept in applying any type of judgment or direction to doctors. And what had happened among the doctors was « We’re so terribly frightened, we’re not gonna do anything unless we have the intellectual support from our associations, from our federal agencies, from our medical societies. » And it was just the opposite of what medicine had always been.
Medicine had always been early innovation by doctors, empiric treatment, small studies, randomized trials and then sponsored large randomized trials, in that order. And then after large randomized trials, then guidelines bodies would then look at all those large randomized trials, make determinations of what should be done and then those guidelines bodies would issue guidelines and then the federal agencies would follow the guidelines. That’s exactly what we do for mammography, colonoscopy, treatment of myocardial infarction, treatment of pneumonia. It always started out with early empiricism then getting to guidelines and agency statements years later.
Why was there an assumption that nothing could be done to treat people in the early stages of Covid-19 infection?
It was a dangerous assumption. To assume there’s nothing that one can do for a fatal infection is an enormous blunder. It’s a blunder by citizens, it’s a blunder by health responders and it’s a massive blunder by agencies. Can you imagine? Let’s make an assumption. And could our assumption lead to the absolute worst possible outcome which would be hospitalization and death? Or we can make another assumption and say « You know what, it’s treatable. We’re gonna try to treat it. » Which assumption is more dangerous? Absolutely the dangerous assumption is to do nothing.
You could take any example. Let’s make an assumption on traffic safety. You can assume that traffic safety rules and lines and stop signs and seat belts do something or you can assume they don’t. Let’s try and let’s have a free-for-all out on the streets right now and see what happens versus paying attention to some rules. We never make assumptions that are dangerous to people and the thing that really worried me about this whole thing is this is a series of extraordinarily dangerous assumptions. Can you imagine a senior citizen who has heart and lung disease, who recovered from cancer, has some kidney disease is handed a diagnostic test results that says « Here, you have Covid-19, now you have your fatal diagnosis. Our recommendations based on the assumption we can’t do anything is, go home and wait it out. And when that panic and that fear and that breathlessness and that fever is so overwhelming, when you can’t bear it any more, then go to the hospital. »
And how do people go to the hospital? They call family members. They contaminate all their family members, they call EMS, uber drivers, taxi drivers. Every hospitalization in America was a super spreader event. So this assumption that there’s nothing we could do and giving somebody a fatal diagnosis with no instructions led to a massive amplification of cases.
So what we could have assumed, and what I did assume, was that there are some principles we can adopt from other precedents. For example, every form of pneumonia known to man does better if treated early – even influenza. And that’s reason why Tamiflu, as an example – and there’s an analogous product – are FDA-approved for the treatment of influenza. They have some partial effect. Now do we ever use Tamiflu alone? No, we typically combine it with other drugs to get patients through the illness. There are supportive respiratory drugs, there are forms of inhalers – what’s called beta agonist inhalers and steroid inhalers. We use those liberally in forms of emphysema, pneumonia, asthma, allergic pneumonitis. There’s other things that we can do to help patients get through the syndrome. The inflammatory nature of the syndrome became very interesting. We understand that anti-histamines, as an example, Montelukast, aspirin, steroids, corticosteroids, play an important role. If I had an asthmatic at home, I wouldn’t say « Listen, sit at home for two weeks until you can’t breathe anymore and then go into the hospital. » Are you kidding me? I put that asthmatic on inhalers, I probably would use some empiric antibiotics in that patient and then some steroids and I’d prevent hospitalization to the best I could.
So I approached Covid-19 respiratory illness like any other with the following thought : we’d pretty quickly put together our approach based on other precedents including influenza, including asthma, including bacterial pneumonia. As follows that this was going to be amenable to restratification, those under age 50 who had no pulmonary symptoms, they could simply ride through the illness. We had data suggesting that nutritional deficiencies seemed to increase the risk for hospitalization and death. And so that’s where the nutraceuticals came in early on – that there was supportive data, not curative but supportive data, for zinc, for vitamin D, vitamin C and interestingly a polyphenol substance called quercetine. There were some others that were considered including lysine and N-acetylcysteine. They became what we call the nutraceutical bundle. So is it kind of reasonable to do that in patients? I would say, yeah, if it’s linked to mortality, we don’t know anything else, there’s no harm in these supplements, they are readily available, people come by them. So we recommended the nutraceuticals bundle for those under age 50 and really no medical treatment. That amounted to roughly, of people getting ill at the time, probably two thirds to three quarters of patients really need no treatment.
However someone below age 50 with medical problems, presented with severe symptoms, or over age 50 with medical problems, it became clear that the rates of hospitalization and death were greater than one percent. That was enough. Greater than one percent is kind of a magic number in this whole equation. That’s enough to do something. We knew somebody at age 60, for instance, would face about an 18 percent chance of hospitalization and death. 18 percent chances is too high. In my field, cardiology, our guidelines say anything more than 5 percent is high risk, one to 5 percent is moderate, less than one percent is low risk. In general anything less than one percent we don’t go after. So in this low risk group, we didn’t go after, but age over 50, young people presenting with severe symptoms, we went after. So with this nutraceutical bundle.
What do we know next? The timeline was very interesting. We knew from Sars-CoV-1, that’s 80 percent similar to Sars-CoV-2, we knew from studies dating back to 2006 that hydroxychloroquine, a drug that’s used for lupus, that’s used for rheumatoid arthritis, it’s used for other rhumatologic conditions including dry eyes as well as malaria, safe, was effective in reducing the viral replication of Sars-CoV-1. We knew that and so the United States knew that. In fact that drug was stockpiled by the United States government, Australian government, some European governments. So hydroxychloroquine was on-boarded appropriately and ready to rock-and-roll. In fact many countries frontlined hydroxychloroquine for high risk patients and still do so today. You can go to Athens, Greece, Rome, Italy, across all of Eastern Europe, Central and South America, hydroxychloroquine is the lead drug. India and East Asia, hydroxychloroquine is the lead drug.
So hydroxychloroquine played a role. We also knew that by the summer, we knew that ivermectin played a role – this is an anti-parasitic drug use for scabies and other illnesses, safe and effective. So these drugs, reason why they work against the virus is they get inside cells. A lot of antibiotics like penicillin doesn’t get inside the cell but these, what’s called intracellular anti-infectives do. Japan had an influenza drug that had the exact same activity as Remdesivir, the first US-approved in-patient IV drug. That drug’s called Favipiravir and the Japanese had data to suggest that Favipiravir, like oral Remdesivir, will play a role early on. It was readily approved by five countries, FDA-approved, FDA-equivalent-approved in those countries to treat Covid-19.
So we had hydroxychloroquine, we had ivermectin, Favipiravir, we combine it with either doxycycline or azithromycin. Those are antibiotics Americans know about. They get inside of cells, they’re also intracellular anti-factors and they were slightly assistive in a couple of ways. They cut down on some of the bacterial super-infection that would occur in the sinuses and respiratory tract and we knew for some studies that there was about a 3 percent overlap between Covid-19 and what’s called a atypical pneumonias which could be mycoplasma, chlamydia pneumonia. And these would also be responsive to these. So quickly hydroxy[chloroquine] and azythro[mycine], ivermectin and doxy[cycline] these were common of every peer-reviewed [treatment] and became common intracellular anti-factors.
But those alone didn’t carry the day because what happened is the viral replication tipped off what’s called cytokine storm where the immune system is going haywire. And so doctors early on in the hospital started using steroids and we had some confusing literature : « Are they hurting, are they helping? » And the British helped out a lot with the study, an inpatient study called the Recovery Trial. And the Recovery Trial picked an odd corticosteroid, dexamethasone in an odd dose, 6 milligrams a day – we typically use like 10 milligrams 4 times a day so an odd dose – but did show a small reduction in mortality. And it was a meta analysis published, looking at hydrocortisone, prednisone. It turned out any steroid worked in some reasonable dose. So in the United States we quickly adopted using prednisone which we use in asthma frequently. And then another trial in the UK was done called the Stoic Trial using inhaled budesonide. Now that was a very interesting development because there was a maverick doctor, former military doctor Richard Bartlett from West Texas – he would make the national news by saying « You know what, I thing inhaled budesonide works. » He said that early in the spring, and he was on national news. He said « You know, I’m trying. I’m a doctor, I’m trying to help my patients, I am using empiric treatment, I know there’s no randomized trials. » But he was doing the right thing. That’s what American doctors all should have been doing, it’s trying to help their patients by taking empiric choices on drugs that make clinical sense. And he tried it and indeed it worked. The British did the Stoic Trial and sure enough there was over an 80 percent reduction in hospitalization if we just used inhaled budesonide in outpatients with Covid-19. So that made it on board.
Montreal Heart Institute, one of the leading overall randomized controlled trial centers in the world, got funding from the National Institutes of Health, Gates Foundation, Canadian authorities and tested a gout drug which works against the immune system, particularly works against the white blood cells and their ability to proliferate toxic granules and assemble microtubules. That drug’s called colchicine. So Americans will recognize this as a gout drug. They carried out and conducted a prospective randomized trial, a double blind for 30 days, the best quality trial done in all of Covid-19 and they demonstrated that there was a marked reduction in hospitalization and death. So colchicine came on board.
And so the last thing that we really had to look at was blood clotting. And to this day there has not been a single outpatient study of drugs to impair platelet aggregation or anti-thrombotic. However we can learn from in-patient studies – and there’s been very good analysis, they all agree – the use of full-dose aspirin in the hospital is associated with reductions in mortality and the use of full-dose anticoagulation, whether that be injectable, low molecular heparin, full heparinisation – we can even use oral anticoagulants as an outpatient – is associated with reductions in mortality.
So what I’d been doing is, I was working with the Italians looking at how these concepts would come together and I published a paper in the American Journal of Medicine in August of 2020. And I have to tell you, when I looked at the literature through the spring, working with the Italians, there would have been by the time I submitted the paper on July 1st, there were 55.000 papers in the peer-reviewed literature. Not a single one taught doctors how to put drugs in combination and treat the virus. And it seems so odd to me. We knew this was a fatal viral infection. In fatal viral infections single drugs never work. We knew this in HIV, we knew that we needed multiple drugs in HIV, we knew this for hepatitis C, we knew this for all the other fatal viral infections. We use drug combinations, never single drugs. And the only thing we could do at that time is look at studies of single drugs and find signals of benefit, acceptable safety and then assemble memento regimens. The clinical trials testing a 4 to 6 drug regimen, those haven’t even been planned yet. I mean, the mortality rate would have been astronomical if somebody didn’t step forward and have the courage to publish the concepts. And I guess that’s what my role is in world’s history for this.
I published a paper called « The pathophysiological rationale for early ambulatory treatment of Covid-19 » and it was published in the August issue of 2020 of the American Journal of Medicine. To this day that’s the most widely downloaded paper from the journal of all topics. And it went viral, and literally it went viral, because the world was thirsting for an approach to Covid-19. Now quickly after that was published, I was managing all different types of communications regarding the paper – scientific and also media-related – and we had supportive data now coming in strong for ivermectin, for colchicine, for inhaled steroids. And operation Warp Speed had delivered monoclonal antibodies directed against the spike protein, the pathogenic part of the virus, and they included a product from Lilly another one from Regeneron. So I needed to update the algorithm and I put that together and published that in the journal that I edit, Reviews in Cardiovascular Medicine but with a separate issue, with a separate unbiased editor, and that I didn’t have influence on to make sure that was fully peer-reviewed and vetted, which it was, and that was published in Reviews in Cardiovascular Medicine in August of 2020. By that time there was almost 100.000 papers in the literature. And outside of my first paper there wasn’t a single other paper that actually proposed a regimen or protocol to treat patients with Covid-19.
It was almost extraordinary that we were over 9 months into a fatal pandemic influence in the world and no one could come up with an original idea of how to put drugs in combination to treat the virus. We didn’t have the Harvard protocol, we didn’t have the Johns Hopkins protocol, we didn’t have UCLA , we didn’t have a World Health protocol. So this was extraordinary that all the fire power we had in academic medicine, they just drew a blank. Matter of fact, if you look at these centers across the United states, across the world, they never opened up Covid treatment centers. They didn’t have outpatient Covid treatment centers. They didn’t attempt to study or help a single outpatient with Covid-19.
Why were there not more doctors speaking out or offering solutions for early treatment of Covid-19?
My contribution was, I think, the ability to publish the ideas. This is very important. Others had the ideas. Vladimir Zelenko in New York City, orthodox Jew, stepped out of the box. He said, « Listen, we need to treat this, we can use some drugs in combination, hydroxychloroquine, azythromycine, steroids, other drugs » and he started putting drugs in the combination. Richard Bartlett in West Texas, Brian Tyson and George Reed – former NIH scientist George Reed came out of retirement – they went to really the crucible of Covid-19 down to California Mexico border and just opened up a clinic and opened a tent and people started walking up and they started treating them. Didier Raoult in southern France said « Listen, we can treat this. » Him and a group of courageous French doctors opened up a large clinic in southern France and started treating patients. We had Yvette Lozano in Dallas – she took her general practice building by White Rock Lake and turned it into a Covid treatment center. She converted all her rooms to treating patients of Covid – oxygen concentrators, had all the drugs, there’s pictures of patients lining up on the sidewalk to receive treatment. So it’s interesting how the innovators were all independent, courageous doctors and the academic medical centers drew a blank. They couldn’t even pitch a tent to help people. And to me it was stunning that the academic medical centers or even the large community centers couldn’t help a single outpatient. They couldn’t even provide a patient brochure of what should be done. The CDC offered guidance like, « Take some Tylenol and if you get really sick go to the hospital. » The response to a treatable outpatient problem that gave us two weeks of opportunity to do something – the lack of that response was stunning.
It had to do in my view because of a whole timeline of events that put a chill on the attempts to treat Covid-19. Doctors and health systems and others, I think, in a relatively short order, became actively discouraged from treating Covid-19. I can tell you, I never got an encouraging email or phone call saying « You know what, do the best you can for your patients, try to help them, these hospitalizations are terrible. Please, we support you in using your best judgment » or « Here’s a few suggested things you could do. » I never got any of those emails from medical societies, from others.
In fact it was only one medical organization – just like there’s, you know, a few courageous medical doctors, there was one courageous medical organization – the Association of American Physicians and Surgeons that saw what was going on. And interestingly that organization is an organization that represents independent doctors, not those employed by hospitals or big medical groups or medical schools, but independent doctors. And they saw what was going on and the first thing that they attacked was the stockpile of hydroxychloroquine. So what happened was, the US had an ample supply of hydroxychloroquine and the only issue was, start using it and start putting it into combination with other drugs to treat Covid-19. Seemed terrific, and the first event in the timeline was the FDA emergency use authorization for hydroxychloroquine. So the listener should understand that an emergency use authorization would be for a brand new drug or product where there is a great unmet need, there’s not enough time to do all the testing, and that we would do an EUA for that. There’s a government mechanism for that. It’s under emergency circumstances. That wouldn’t apply to hydroxychloroquine. It was already fully FDA-approved, it was out for 65 years, it was safe, they used it in pregnancy, we knew all of its safety profile, doctors know how to use a hydroxychloroquine, I used it in my practice, it was just not a big deal. It didn’t need a EUA.
But so the EUA that went out to hydroxychloroquine said, you know this EUA with language in it that says « restricting hydroxychloroquine to inpatient use ». Okay. And so of one of the first big studies out of the block was done in thousands of patients out of Henry Ford and it was great news that hydroxychloroquine was associated with a large reduction in mortality if applied early. But the later it was applied in a hospital stay it didn’t look like it, the patients were too far gone. I wrote the response to that in several publications across the United States and one was an op-ed in The Hill because as I saw this, I basically made the case that that emergency use authorization was an effective restriction. It should be lifted and we should use hydroxychloroquine wide open.
And then something really terrible happened. Keep in mind that the Henry Ford data was very positive, we had the EUA, the US had stockpiled it. The National Institutes of Health, the allergy and immunology branch, had commissioned a several-thousand, prospective, double blind randomized placebo-controlled trial of hydroxychloroquine and azythromycin in outpatients of Covid-19. They funded the trial, they got the drug supply, they got the placebos, they set up all the study centers in the United States, we were all ready to go. That was in the spring. Terrific. Everything’s coming together.
And then what happened was a fake paper was published in The Lancet. A fake paper. Now the listener should understand that The Lancet is like the New England Journal of Medicine, one of the most prestigious medical journals in the world. And when a paper is submitted, there are so many checks on validity – where’s the paper coming from, where is the data coming from, validating the data – then it’s sent out to peer reviewers who are independent, they would check everything in the paper, they give comments about, was this reported, was that reported, there’s so many checks on papers. And then it comes back and then there’s an editorial decision made on a paper and then it’s published. That’s called peer review. That ensures to the public that papers are not fake. It’s very important and it ensures the public that things are not falsified. Well this paper had authors from Harvard, it came from a company called Surgisphere – that no one really understood this company was about – and the data was a large dataset of inpatients with Covid-19 from all over the world that had in-depth drug exposure data. We didn’t have that back then. That was from December, January, February, this was just emerging. We didn’t have this. The average age in their paper was 49 years old and the paper implied that use of hydroxychloroquine was dangerous. And Lancet published this falsified paper. Somehow it fell through all the other peer-review, back, and how could they possibly publish it? And as soon as it came out, I knew in two seconds said it had to be wrong. We don’t hospitalize people in their forties. And hydroxychloroquine is in fact is associated with benefit, not harm.
This paper in The Lancet frightened the entire world. It was like a shockwave and there was a whole series of reactions. People started publishing papers « Oh, hydroxychloroquine could be dangerous, all these academic doctors. Case closed, hydroxychloroquine doesn’t work, stop using it. » Hospitals started pulling it off the formularies. It was extraordinary what happened with hydroxychloroquine. In fact the US FDA put out language that said « Hydroxychloroquine shouldn’t be used, period. We’re canceling the EUA for inpatient use and it shouldn’t be used, period. » So that FDA language then went to the EMA and EMA said « Don’t use hydroxychloroquine, period, inpatient or outpatient. » That went to the Pharmacy Boards. Pharmacy Boards said, « Oh, doctors shouldn’t be using this. » So as doctors were treating patients in the community prescribing hydroxychloroquine, next thing you know patients would show up to the pharmacy, the pharmacist said « Sorry I can’t dispense, my board says that I can’t. » And then doctors licenses started to become threatened and then, you know, there was a cascade of events. Hydroxychloroquine being the lead that put a chilling effect on anybody’s attempt to treat Covid-19 as an outpatient.
Why did the regulatory authorities and mainstream media tell the public that Hydroxychloroquine was dangerous and ineffective?
Hydroxychloroquine, I think the fair statements are it’s the most studied and utilized therapeutic in the world for Covid-19 today. There are hundreds and hundreds of studies. And hydroxychloroquine was appropriately acquired and stockpiled by the US government. President Trump, who I personally think was very weak in the response, he could not articulate that hospitalizations and deaths were a serious problem, he could not assemble a team of doctors who were learning how to treat Covid-19. Neither could the NIH or the CDC or the FDA. We had gross failures from US presidence and the major agencies. Can you imagine that, to this day, we still have not had a doctor in any position of authority in the United States who’s actually ever seen a patient with Covid-19 and treated them. None. It is extraordinary what’s happened.
So President Trump mentioned hydroxychloroquine, « Let’s try to give it a shot. » And then immediately he was bashed down by his detractors. I thought it was a very weak statement to begin with but he was bashed down. People have always held him up as « It was Trump, if he hadn’t mentioned hydroxychloroquine, none of this would have happened. » I disagree. I think that there was an enormous effort to suppress early treatment, hydroxychloroquine was an initial lightning rod. Remember I mentioned that NIH trial? You know what they did after 20 patients? Disingenuously they said they couldn’t find Covid-19 patients and they shut down a several-thousand patients trial. They shut it down after 20 patients. That never happens. They purchased the placebo, they found the study centers, they had the binders, they had the nurses hired, they had everybody ready to treat Americans with hydroxychloroquine and azythromycin and they gave up after 20 patients. That was extraordinary.
The false paper published in The Lancet was extraordinary. We started to have an array of incredibly flawed papers publishing exaggerating cardiac effects of hydroxychloroquine. « Oh, it could cause dangerous arythmias. » There was one that I mentioned my US Senate testimony, it came from Mayo Clinic. It said hydroxychloroquine could cause a scar in the heart. Actually they had a heart that showed a huge white scar. In fact I ultimately hunted down that paper, hunted down the authors and the publisher, and I demanded a retraction. Ultimately I got a conciliatory letter published saying « You know what, we’re sorry it doesn’t really cause a scar on the heart. »
So people started to intentionally try to damage hydroxychloroquine so it would not be used in Covid-19. Yet other countries held with it steadfast. I mentioned all the countries to this day that use hydroxychloroquine. And now we have studies, for instance a study from Iran, in 30.000 patients a massive study. And they treat about 25 percent of people properly with hydroxychloroquine in combination with other drugs. And it has a massive reduction in mortality. So hydroxychloroquine’s a mainstay, the prospective randomized trials, we just isolate on them, pre-hospital studies are all positive. Now is it a game changer? No. I’d say it’s about a 25 percent reduction in endpoints but it’s very useful drug to get started early. It’s not a single drug, I wouldn’t rely on it alone. But hydroxychloroquine itself I think is a poster child for what happened.
You know, early on in this I became of national attention, I received calls from the White House, I was contacted by the US Senate, I became known on social media – which I was never on social media before. I’m not an immunologist, I’m not a virologist, I’m not an infectious disease doctor but I’m a good clinical doctor and I understand drugs and I understand drug safety very well. Hydroxychloroquine had a signal of benefit, acceptable safety. I was contacted by doctors in Africa who anonymously told me, « Dr McCullough, there are some bad guys raiding the pharmacies at night and they’re coming in and burning the hydroxychloroquine. » I said « Who are these bad guys? » They said « We don’t know but they look like they’re some type of mercenaries or operatives. » Mysteriously the second largest hydroxychloroquine producing plant, outside of Taipei, burned to the ground. So hydroxychloroquine as a simple, safe and effective drug, to this day, seems to be a poster child for worldwide, comprehensive efforts to suppress early treatment. And of interest, as the data came out with ivermectin, ivermectin became the next drug.
Now of interest with ivermectin, there was an associated group that formed called the Front Line Critical Care Consortium, the FLCCC, it was led by Pierre Kory. I identified him and Dr Paul Marik, I communicated with him, we had teleconferences and I recommended doctor Kory testify at the second US Senate hearings in December. Also Dr JJ Rajter from Florida. Dr Rajter had tried ivermectin in all of his sick patients in Florida hospitals and was enormously successful at reducing mortality. Publishes paper in Chest, one of the best pulmonary journals so I give him tremendous credit for that. And so Dr Kory and Dr Rajter presented what became a very compelling case for ivermectin. If people were sufficiently turned off by hydroxychloroquine, we could focus on ivermectin. Dr Tess Lawrie who’s considered one of the world’s most prominent analysts in the UK published – and Dr Andrew Hill, as well – published incredible analyses demonstrating that ivermectin reduced mortality, inpatient and outpatient. So a little different than hydroxychloroquine. Hydroxychloroquine takes a little time to work and probably doesn’t work at the very end of the illness but ivermectin miraculously works through the range of illness. And so the data started coming on for ivermectin and it was enough push-power for emphasis on the National Institutes of Health guidelines where they made a specific statement regarding ivermectin. They said « You know what, we understand the data with ivermectin. We can’t be for it but we can’t be against it. » It’s the same statement that they made for the emergency use of Regeneron and Lilly antibodies. The NIH said « We understand the data, we can’t be for it or against it. » But at least we got a neutral statement out of them.
Hydroxychloroquine still to this day has a series of negative statements on this and doctors have literally had to fight for their medical licenses in order to prescribe hydroxychloroquine. One by one by one, all of those licenses have been restored, all of those state rulings have been overturned, all the medical societies have been overturned. And hydroxychloroquine is used today, ivermectin is widely used today. Both drugs can not only treat the infection early but they can prevent it. And there’s prophylactic studies, they can prevent. If patients take these drugs periodically – typically once a week or so – they can prevent Covid-19 from becoming an illness. They are preventive.
In fact I led one of the very early studies of hydroxychloroquine here in Dallas, to protect our health care workers. These drugs are about 90 percent effective. They are about as effective as the vaccines in preventing acquiring Covid-19. When someone’s ill I never prescribe these drugs alone but I prescribe them in what I call sequence multi-drug therapy. But that is the approach that independent doctors have taken in the United States and uniquely not a single academic medical center today or community medical center today treats Covid-19 patients as an outpatient with the goal of reducing hospitalizations and deaths. Why would these centres not want to help their patients?
Why didn’t more doctors resist the directives against providing early outpatient care for their patients?
Doctors clearly have a group think. And doctors want intellectual support for what they do. This is why we meet all the time, this is why we go on rounds together, that’s the reason why we have conferences every day. We want to intellectually support each other for making decisions on patients for the assurances were making the right decisions. And what happened was, with the pandemic, all of our meetings were dissolved, we could not meet with each other anymore, there wasn’t a chance to have much intellectual support and each doctor, one by one, had to make a decision. When the next patient called and said, « Listen I’m sick with Covid-19, can you help me? », there was a binary choice. The choice was, « No, I’m not gonna help you, nothing works, there’s nothing I can do, just wait until you get hospitalized » or the answer could be « You know what, let me try. » And what we found is that binary choice was the biopsy of who really had courage and who really had excellent clinical judgment. And doctors who were not confident in their clinical judgment quickly said « You know what, there’s nothing you can do. » And they got into that group think. And that could have been 90 percent plus of doctors had a lack of clinical judgment and a lack of courage. And what I found in this whole thing is those two things are rare.
And for me it was just very natural. It was very natural. My father was one of the first nursing home Covid-19 patients in Dallas, he was the very first one at Presbyterian Village. He got Covid-19, had pelvic fracture, he’s flat on his back, a scared PA says « Your dad’s got Covid, he’s sent in unit, we don’t know what’s going to happen. » His mortality, being completely bedridden with dementia and now Covid, I can tell you he was facing an 80 percent mortality of just having Covid, just for average. So what did I do? Did I make that binary decision of doing nothing? Of course not! Of course not!
If I could ever message any American doctor, any doctor in the world right now, « Have some courage and trust your clinical judgement. » I did and that’s what real doctors do and I will never apologize for that. Of course my dad was treated with hydroxychloroquine, he was treated with azythromycin, he was treated with aspirin we put him on Lovenox, a blood thinner. The full nutraceutical bundle : zinc, vitamin C, vitamin D, quercitine. Open the windows, get that virus aired out there. And he got really sick as expected. He had dementia. His wishes were to not go to the hospital, not go in a mechanical ventilator, we treat him right there. It took 60 days and it was a long illness but he survived. And that was early. And that taught me that if I’m willing to do that for my father, I have a Hippocratic oath and I have a fiduciary responsibility to my patients. And I refuse to let my patients die of this illness. [cries]
And when I testified at the US Senate, I told the American people « I have always treated my high risk patients. Always. » And at the end of my opening statement I held up the protocol and I told the American people « I’m not asking for permission to do this. I’m not. But I’m asking for your help. » That’s a very, very important statement because my patients were appropriately treated to the best of my ability. And we have 600.000 dead Americans that were not treated appropriately and not treated to the best of the ability of their doctors. And that will go down in historical shame for our country. I think it’s a travesty that we have 600.000 dead Americans, and a vast majority of them didn’t get an ounce of treatment.
In fact there were medical groups that adopted policies that they won’t even answer the calls of Covid-19 patients and there were millions of patients needlessly hospitalized. We had data that came in later from Dr Zelenko in New York City, Dr Proctor here in Dallas who did the same exact thing, showing that our methods could reduce hospitalization and death by 85 percent. And I’m sorry, there are no prospective randomized trials of 4 to 6 drugs, there are none planned. So therefore without any large trials, they’re not going to be any guideline statements and without a guideline statement we’ll never have any agency support for this.
But this is about courageous doctors saving Americans and I will go farther than this : this is about courageous doctors saving the world.
So now we have the Association of American Physicians and Surgeons, we have FLCC in the United States, we have 250 treating doctors, we have four national telemedicine services, 15 regional telemedicine services, we’re treating 10- to 15.000 patients a day. Forget the US government, forget what anybody says about this, Americans are getting treatment that once our message of early treatment came to two US Senate hearings headed by Senator Ron Johnson, the hospitals started clearing out at the end of December, early January. Because early treatment markedly reduces spread and dramatically reduces hospitalization and death. It’s the only thing that does. The hospital doesn’t save all the patients. I’d say the hospital honestly has a very modest impact on anything with Covid-19. It’s all about early treatment.The hospitals started clearing out, the curves came way down in the United States, that’s before anybody was fully vaccinated.
And I testified at the Texas Senate on March 10, I said « Listen, by standard CDC equations, we’re at herd immunity. » By March 10. No vaccine effect. That’s actually just treating patients. In Texas we have 35 treatment centers, our protocols and methods work. And I have learned over time there are so many ways to treat the virus. I’ve had a seminar with Dr Shankara Chetty in South Africa, he said that hydroxychloroquine and ivermectin – just like in the United States – have become so politically charged, doctors were losing their license. In fact some doctors were jailed in trying to help patients with Covid-19. He gave up on them. He’s treated 4.000 patients, fewer than 10 percent got hydroxychloroquine or ivermectin. He treats them, he times the illness. He waits till day 8 and then he starts inhaled and oral steroids, he starts aspirin, other anti inflammatories, Montelukast and a hypospray usage of anticoagulants on the back end. And he saved virtually everyone, outside of a handful of patients, out of 4.000 sick patients in South Africa.
So what I’ve learned about this virus is if doctors do anything to try to help patients they can reduce hospitalizations and death. And the only reason why this is such a horrible thing in American history is because doctors failed to act.
Why, when it came to Covid-19, did so many doctors agree to depart from longstanding medical practice in terms of seeking and formulating early outpatient treatments for their patients?
The US FDA puts out thousands of drug warnings per year. In fact Americans know this because they see a drug advertised on TV that says, « Warning, may cause death may cause what-have-you. » So we get thousands of warnings per year. FDA recalls drugs, puts black box warnings on drugs. Doctors still use these drugs, they understand the warnings. About 40 percent of drugs are used « off the advertising labels. » So once a drug is older, its original advertising label doesn’t really apply so we use drugs « off label » all the time, that’s common.
But what happened in Covid-19 is, because of the tremendous fear that settled in over our country. Whatever statements came out by the US FDA, the NIH and the CDC started to take more weight than they ever would in the past. So if those agencies said something like « Don’t use hydroxychloroquine » that emanated down through the AMA, NA of the Pharmacy Boards where they actually denied patients hydroxychloroquine. In fact there are probably patients who died because the pharmacy did not dispense the hydroxychloroquine to patients or the ivermectin. There are doctors who started getting warning letters stating – Dr Richard Urso from Houston, another doctor stepped out of his role like I did to treat the virus got warning letters from the Texas Medical Board – « We’re gonna examine your license, we understand you’re prescribing hydroxychloroquine, trying to help Covid patients. » Okay. These doctors, Dr Robin Armstrong in Texas saved dozens of nursing home patients with hydroxychloroquine, azythromycine and steroids and blood thinners. The families think he’s a hero, the Texas medical board tried to take away his license. And so he had to go through hearings and reviews and ultimately he was restored, although his practice was just damaged if not destroyed.
Emails started coming down to big medical organizations « Don’t use hydroxychloroquine. » They later on came down and said « Don’t use ivermectin. » In fact there was, you know, flat out « Don’t do it. » We were getting official messages that basically said « Don’t take care of Covid-19. » These are codified in policies, in emails by major medical organizations and it went counter… Can you imagine getting emails saying « Don’t treat pneumococcal pneumonia, just let him die. Don’t treat meningitis, let him die. » We’ve never seen this. The term that applies to what’s going on is wrongdoing by those in positions of authority. It’s called malfeasance. We don’t put down a chilling, negative message that’s going to result in harm. We don’t do that. We don’t do that in a civil society. It happened from the NIH, the CDC, the FDA, major medical groups. These chilling messages.
But at the same time you had AAPS « I know this is wrong, treat patients », you’d FLCC, a group that became very strong, say « No, treat patients. » In the UK, we had the Bird Group that said « You know what, treat patients, use ivermectin-based protocols. » We had [?] Development in South Africa, we had the Covid Medical Network developed in Australia, we had Treatment Domiciliary develop in Italy. So listen, the counter argument to this of « No, we should treat the virus », that counter weight was there. That’s one the reasons why you’re talking to me today. You’re not talking to some FDA official who basically want to throw cold water on these. You’re talking to me today because you’re getting a sense of truth, you’re getting a sense of reality, that this virus is treatable. Everything that we’ve done for this virus, we’ve made it far worse by not treating it, keeping patients in fear, isolation. We’ve done multiple things that have promoted hospitalization and we’ve done multiple things that have actually promoted excess mortality. And it’s a shameful time in America and in the world.
Where was the policy instructing doctors to NOT treat their patients coming from? Who was giving these orders?
Under the dark cloud of fear, the medical administrations defer to the FDA, the NIH and the CDC, our three governmental agencies. They defer to that. In fact they will state « We’re following the policy. » So let’s pick something less charged, like wearing masks. You know, what sets the mask wearing policy? What the CDC says. Well they say this, let’s follow. The same thing is true if the agencies say don’t use hydroxychloroquine or ivermectin, and that’s what they say, that quickly gets done in medical administration and they’ll float out an email saying « Don’t do it. » In fact in a country, we can pick on Australia, they have the TGA, that’s the equivalent to the FDA, they have guidelines where they literally have dozens and dozens of negative statements. « Don’t do this, don’t do that, don’t do this, don’t do that. » Interestingly none of these groups actually say what to do. So if you’re to take any major hospital and ask them what email or what policy came down that told doctors what to do – you gave warnings on what not to do but what did you tell them to do to take care of clinic patients of Covid-19 – most of them will say « Nothing. »
In fact I testified in the Texas Senate on this topic on March 10 and within 48 hours there was a draft legislation to at least give patients some information. So listen, if the hospitals and doctors aren’t going to do anything, we’re gonna give you some information here, so when you get a positive test result here is some information on what you can do. Here are the treatment protocols, here are the EUA monoclonal antibodies. And again if hydroxychloroquine or ivermectin is controversial, okay. But what about the monoclonal antibodies, we haven’t even talked about these. These are high tech, they’re produced by Big Pharma, it’s big money, it was all NIH-funded, they’re emergency-use-authorized by the US FDA. How come America has no window to that? How come there’s no updates on how we’re doing with that? How come there’s no 1 800 numbers how sick patients can find out where these antibodies are? So it is a global suppression of early treatment whether they’re generic drugs or newly approved drugs. There is a global suppression of early treatment.
Americans will know. They watch the TV every night. The initial dialogue was « We’re scared, wearing masks, go in lockdown, hand sanitizer. » Okay. Then there were some reports about terrible things going in the hospital. Then the reports later on were « Wait for a vaccine. » There were never regular reports or updates from any local or national TV source that gave regular updates. « This is what you should do when you get Covid-19 at home, here are the drugs that work, here are the protocols, here are the hot lines so you can get an antibody infusion which is approved by the FDA, here are the hot lines you can get in research. » Research is important. There’s still no hotline for Americans to get in Covid-19 research. At a state or federal level. Stunning. There’s been no updates. When I’ve dealt with multiple congressional and Senate offices, I said « Listen, weekly updates to the American people so they know what to do, so they’re not so in fear when they’re getting these results. » Weekly updates through all public channels. Weekly updates on treatment and then monthly updates to the guidelines. We have none of that. We are over a year of this and the Americans have been absolutely let down by the government agencies, by the media. The media – why wouldn’t it come into any local broadcasters thought process to give their listeners an update on early treatment? It’s a stunning oblivion.
Given that most medications are advertised as having possibly dangerous side effects, why did regulators categorically dismiss early outpatient therapies for Covid-19, including FDA-approved hydroxychloroquine, on the ground of having possibly dangerous side effects?
For products to actually be officially advertised, they have to have somebody who’s going to pay for the ad, which is a drug company, and they have to be FDA-approved. And actually have to have an FDA advertising label. And because of the monoclonal antibodies, as an example, don’t have an advertising label, they can’t be – Lilly and Regeneron can’t go out and advertise for them. But because they’re EUA, from a public health messaging perspective, they should be equally featured as vaccines. Now vaccines are emergency-use-authorized, all we hear about is vaccines, morning noon and night. Why do we hear a massive messaging about vaccines? Americans ought to think about this. Why are vaccines featured by the CDC, the NIH and FDA, morning noon and night, by the media, morning noon and night, by every medical center, morning noon and night? I can tell you as a doctor in a medical center, all our emails are about vaccination. Why are they featured in every single a public health communication, « needles in all the arms »? In fact shockingly, in the Dallas area in October – this is long before the vaccine trials were ever completed – if you were to call CVS or Walgreens, the answering machine would say « We’re proud to offer the Covid-19 vaccine when it comes available. » We have never advertised for a product before it comes available. In fact it’s against the US laws regarding drugs and biological products.
So things started to go off the rails very early on and it seems like there was a playbook. The playbook was to suppress any hope of treatment. A complete oblivion to treatment through all the entities that we’ve mentioned. And at the same time prepare the population for mass vaccination. These two are very tightly linked.
And now with mass vaccination we see things we have never seen. Advertising the vaccine before it’s even available, massive messaging for the vaccine far out of proportion to treatment. You have two EUA products : one you never hear about, Americans are starved of these monoclonal antibodies – in fact they’re grossly underused, they could have saved probably tens of thousands if not hundreds of thousands of lives and they’re being squashed. The Lilly and Regeneron part was squashed but the Pfizer, Moderna and J&J products are being massively promoted and advertised. Americans ought to be wondering « Why is that happening, why are we de-focusing on the sick patient and focusing on well people? » All the messaging about contagion control and vaccines are for well people. Why can we not focus on the sick Covid patients? That was my message to the Department of Health and Human Services in Texas but it goes further than that. It goes further than that.
The vaccine registrational trials strictly excluded pregnant women, women of childbearing potential, Covid recovered patients, patients who had prior Covid antibodies – strictly excluded them. By regulatory science if all the registrational trials excluded a group of patients, we would never use that product in that group once it gets on the market. Never. Never. We never violate that. Why? Because we don’t know if it’s gonna work and we don’t know if it’s going to be safe. We never do that.
There’s another level. With pregnant women are a special group in research and medicinal products – it’s very important for Americans to know this – in pregnant women, for vaccination we only vaccinate with safe inactive products : inactive flu, tetanus, diphtheria and pertussis. That’s it. We would never inject a biologically active substance in a pregnant woman’s body that could be dangerous. Never. And with the vaccines, as soon as they came out, the CDC, FDA, media, everybody said « Vaccinate them. Vaccinate them. »
Given our longstanding acceptance of vaccines for diphteria, tetanus, polio and measles, how is the developement and deployment of Covid a departure from previous vaccine development and safety review?
Well the US FDA regulatory guidance in vaccines – and there have been modern vaccines, you don’t have to pick the old ones, I mean we’ve had modern vaccine, shingles vaccines, hepatitis B, meningococcal vaccines – demand a minimum of two years of safety data. Two years. By regulatory effect this is kind of written and codified into the regulatory rules for the manufacturers. That was all thrown out, and said « two months. » For Covid, two months. So two months of observational data. This idea that we could vaccinate people that were not even tested in the trials, that has never been done before. We’ve never just thrown a vaccine at somebody without having any data. None. So the very first pregnant woman that was vaccinated here in the United States, it was done with no knowledge of safety and no knowledge of efficacy. And the argument that we’ve heard is Covid-19’s a bad illness, 600.000 people have died, the vaccine could help them, we should give it a shot. Come on, we should just give it a shot.
Well that 600.000 died, I’ve already told you 85 percent of that was preventable with early treatment which was actively suppressed and squashed. And not only that. If this vaccine can help them, the vaccine better be safe. It better be safe. And my comments on the vaccine are safety, safety, safety. Let’s see it. Let’s see it. And Americans aren’t… Just like the American should have been getting weekly updates on treatment innovations, Americans should have been getting weekly updates on vaccine safety. Very important. Weekly updates from our federal officials on safety. Super important.
Those two things are probably the two largest acts of malfeasance in all of medical regulatory history. It’ll go down in history of malfeasance, wrongdoing by those of authority. How come there was no updates on treatment and no promotion of early treatment to reduce hospitalization and death? And now when we release the vaccine why are there no safety updates? Why are there no attempts for risk mitigation in terms of making the vaccine program safer? How do we have all these vaccines? How do we know we can vaccinate pregnant women? We know because of years and years and years of safety data. Before a vaccine has ever been injected into a pregnant woman, it’s probably been tested for decades before we tried it in a pregnant woman. We would never, out of the box, take a brand new technology that’s never been tested before, ever.
And we know that the vaccine technology produces the dangerous spike protein. It produces the Wuhan spike protein, the spicule on the ball of the virus itself, which damages blood vessels and causes blood clotting and all of them do. We would never unleash that into a pregnant woman’s body. Americans have to understand something is very wrong– what’s going on now in the world. These are clear cut examples of wrongdoing. That is at such a high level, the group think is in the wrong direction in such a consistent an overwhelming way that people are being harmed in extraordinary fashion.
How did you go public with your findings about early outpatient therapies for preventing hospitalization and death? How was it received?
When I published the first paper in the American Journal of Medicine, taught doctors how to treat Covid-19. Now it could have been somebody else. If Dr Zelenko had the publication power he could have done it, or Dr Proctor could have done it, or Dr Didier Raoult could have done it, or Brian Tyson or George Freed. It turned out that I was the person who had sufficient academic authority to do this, okay. And I have authority. I take complete responsibility for doing this. I did it uniquely – the only person in the world to do this. Others actually may have been trying and those papers may have been suppressed by editors. They probably were because we’ve found suppression of early treatment literature all over. It became impossible to publish papers. It was really hard. I may have just been the strongest and the most courageous doctor in the world to do that but I did it.
And the feedback I was getting was tremendous, it’s like « Of course, this makes sense. I’m so glad this got into the the the literature. » It came out in electronic print in August and then it came into hard print in January. When it hit January and it landed in all the medical libraries in the world, that’s when things really heated up. And I do have to tell you that I got letters to the editor that came into the American Journal of Medicine – and Dr Joe Albert out of Arizona’s the editor. Joe has let everyone of those letters come to me for response. The tenor of the letters is quite interesting. And they’ve come from Duke University, they’ve come from McGill, from Monash University in Australia, they’ve come from Brazil. The tenor of the letters is « Dr McCullough, you can’t do this. You can’t treat Covid-19 patients. »
And it’s the most interesting. My response is « Doctor, please have courage. Let’s do away with therapeutic nihilism, and let’s join together and treat Covid-19 patients compassionately to reduce hospitalization and death. And we can do this and I can do it. » And we even have more supportive data so every time they say « Oh this drug doesn’t work » and I’ll say « Well, here’s five more studies that do. Hydroxychloroquine, we’re up to hundreds of studies that show that it works, ivermectin, hundreds of studies, steroids, dozens of studies, anticoagulants, at least a dozen studies. » We are so well supported in the concepts of treating Covid-19 that every time one of these letters comes in, I have a little fun with it because of the position of strength is enormous. My thoughts and my positions and my statements over time are becoming progressively stronger and progressively more powerful. And the detractors sense that. The feeling of fear, intellectual fear from my adversaries, is palpable. I feel it every day.
And when that first paper came out in the American Journal of Medicine, my daughter said « Daddy, why don’t you make a YouTube video? I said « I don’t want to do social media, that’s for kids, I just I don’t have time for this. » She taught me how to do it. It was Power Point. I literally just recorded my face down the lower corner, wore a tie, four slides. […] it’s Americans, it’s Italians, we looked at safety, we looked at efficacy, we looked at all the available data, we think this is the best way to put together the drugs. We had four slides on this, it got up on YouTube, it went absolutely viral. Went absolutely viral. And then I got a message that said « You violated terms of the community » and it was struck down.
Then I got a call from the US Senate. So I told you I knew something was going on because I’ve never been called by the White House before, I’ve never been called by the Senate before. People in Washington were following this. There were stakeholders in Washington who in a sense knew that something was going wrong here, that this viral infection can be treated but they were kind of waiting for someone in the academic community step forward and literally say « It can be treated. » I was the first one to say « We can treat this. We can do this. » So very important to me to make the statement « We can do it. » Based on what? Based on my judgment. Based on my judgment. Supported by the available science but more importantly based on my judgment.
And so I ended up contracting Covid-19 myself in October. My wife came home with it, she got sick, before you know I got sick, it got into my lungs, I was in approved protocols, I quickly got into a protocol. It’s hard but I was able to find a protocol. I was on hydroxychloroquine, azythromycin, nutraceutical bundle protocol and later I needed steroids because of long involvement. But I wanted to show America that you can get Covid-19 and have some medical problems, which I do, and be able to get through it without being hospitalized.
So on treatment day 6, illness day 8, beautiful sunny day in Dallas, Texas, I went out far away from anybody else and I went jogging and I was really short of breath and I tell you, I’m a pretty strong runner. I was short of breath because of the Covid involvement my lungs but I ran all the way to a park, I made a video in the park and then I made it all the way home and I had fun with it. In fact I played that Eminem music that said – the Recovery video if any of you watch Eminem – that said « I’m not afraid » and I just… You know, videoed myself that say « I’m not afraid of Covid-19 » in a video. And that video was struck down. And then ultimately I had it get restored.
Now wait a minute, YouTube is playing a role here, in addition to all the other stakeholders, in suppressing any early treatment. In fact the early treatment doctors started to become scrubbed from Twitter, from YouTube, from social media and then ultimately YouTube came out with a very clear message. They said « Listen, we are only going to have information that is in line with the CDC, NIH and FDA which say ‘Do nothing’ and everything else is going to be considered misleading and we’re making a judgment, it’s our call on what’s misleading and what’s not. » But it’s pretty easy to be in line with the CDC, NIH and FDA because they say to do nothing. So if the social media platform is just « Do nothing for early treatment » and suppress early treatment, which it is, the major media is to suppress early treatment. So I still go back and say, who’s responsible?
I said the government agencies. In this period of crisis, if we’re going to revert to our government agencies and our Task Force and if our President can’t be wise enough to even choose doctors who’ve ever even seen a patient and knows how to treat it, if they’re not wise enough to pick doctors who can treat Covid-19, we’ll never have agencies that say « We can treat Covid-19. » And if we don’t have agencies to do that, then nothing else is going to follow. If the doctors and people we pick have never seen Covid-19, they’re scared of it, they don’t know how to treat it and the only thing they can comment on is wearing masks and social distancing, the vaccination, that’s all that America’s gonna have. So America’s response to Covid-19, the official response, has basically been to, « Well, people, wear masks and be vaccinated » and America’s offered nothing to the sick person.
And when we get in the hospital, we haven’t seen much featured on that. The drugs are pretty weak : Remdesivir, convalescent plasma, Tocilizumab, steroids, anticoagulants. You don’t hear much about it. It’s honestly too late. Recently Harvard Group, Stop Covid Group had published, those sick enough to get in the ICU, the 28 day mortality is 38 percent. Unacceptably high. Going into hospital’s a nightmare. I get desperate calls from all over the United States. Thank goodness for the major telemedicine and mutual telemedicine networks that basically have taken over. They’re the real heroes of the Covid-19 pandemic. Hospitals are empty now. Hospitals here in Dallas used to have 200, 300 patients at a time, now they’ve got 10, 5. The other day in Texas we hit zero deaths. Zero.
So early treatment is going to be one of the great, great stories that historians… You know, we reached out to Ben Marble who started myfreedoctor.com. Ben Marble, that whole telemedicine is run strictly by charity. People donate money and they get patients their drugs and they prescribe hydroxychloroquine, ivermectin, steroids and other drugs. They put them in the combination, they follow protocols. Terrific. They’re seeing thousands of patients by telemedicine everyday. So Americans are getting treated. And so the word is out, people talk to each other. Americans – it’s interesting – they understand that the media and our agencies are not leveling with them. They understand that.
I did a seminar early on because I had treated a very prominent African American minister here in Dallas. And him and his wife were sick. He didn’t tell me about his wife and she was testing negative. She wasn’t a patient of mine. He got what’s called sequence multi-drug therapy. He got really sick, he’s got heart failure, diabetes, emphysema, obesity, kidney disease. Survives at home sick for about 10 days. I’m not saying the drug therapy’s perfect but I saved him from being hospitalized or dying. His wife, no treatment, hospitalized, diagnosed late, was in the hospital for 5 weeks, came home on oxygen. That virus ravaged her lungs. It was awful. They had the same illness. And so he became active and he said « Dr McCullough, can you do a webinar for African American churches nationwide? » I did a webinar and I presented my approach. And you know what the comments were? They said « Dr McCullough, we knew the government was lying to us. We knew this was treatable. We knew it all along. » People notice.
Are more doctors finally learning to overcome the regulatory and institutional suppression of outpatient Covid-19 therapies?
It’s individual findings where there are practices that have come on. I’ve gotten calls in Dallas « Dr McCullough can you share your protocols? We want to do this. » The treating doctors really have interdigitated and we informally formed a group called C-19 where we get about 4 to 5 email updates a day of really critical updates on treatment. It is international. We have former heads of state involved in C-19, we have Nobel prize winners involved in C-19, hundreds and hundreds of American doctors. There now’s a published list of treating doctors and I’ll say it’s 250 across all 50 states. Texas has 35 of them. So Americans are finding their way despite suppression of early treatments.
One of the great stories – and I’ll never forget – when I testified in the Texas Senate on March 10, myself and Dr Richard Urso, another leading early treating doctor in Houston. The chairwoman of the Committee at one of the side conversations said « Yeah, my husband got Covid-19 and he got really sick and I’m so glad he got early treatment. We found a doctor, that’s when he prescribed ivermectin and other drugs. » And I didn’t throw up a zinger in front of the Texas media but I felt like saying « You know, do you have to be a chairperson of the Department Health and Human Services to get some treatment? What about these poor people in South Dallas and San Antonio and Houston? What about people who are not so privileged? » Do you know that 85 percent of some of our patients hospitalized here are black or Hispanic? Who’s helping them out? We should be having early treatment centers. They’ve been denied treatment, it’s heartbreaking. Hispanics and African Americans have double the mortality that of Caucasians.
As a doctor confronted with sick people who need treatment NOW, how do you evaluate what therapies are effective in order to help your patients NOW instead of waiting for the publication of largescale studies?
We have actually a law in America. It’s called the XXIst Century Cures Act and what it says is that the FDA and doctors and others trying to decide on treatment evaluate the totality of information, including that little anecdote about your mom and the caretaker, as well as case series, large prospective cohort studies, retrospective cohort studies, hospital studies, operations studies and then large prospective randomized double-blind placebo controlled trials. But in a virus, single drugs themselves are very difficult to prove. If we required that for HIV, we would have no treatment. HIV, we quickly realized we need 3 or 4, 5 drugs. Everyone understands this. With Covid-19 I never thought a single drug was going to work. Hydroxychloroquine, no, not alone but in combination. And it was that thinking – it takes kind of superior thinking – that somehow doctors just lost their ability to think. Think in cancer a doctor would say this one pill cures cancer? Never. It’s always combination cancer therapy.
So with this, with hydroxychloroquine – we’re now at the stage obviously [where] we have hundreds and hundreds of trials. We even have large randomized trials. I’ve published Dr Joe Ladapo. Only prospective randomized controlled trials show benefit. So at every level we meet the evidence grade to use hydroxychloroquine. At every level we meet the evidence grade to use ivermectin. Not so much evidence but good enough in the monoclonal antibodies. We have the same for steroids. The biggest and best trial in all of Covid-19 is Col Corona and mentioned the colchicine. Shockingly, Col Corona, the best trial, 4.000 patients, double-blind randomized placebo controlled trial, the best quality that exists, rejected by New England Journal of Medicine, rejected by JAMA, rejected by The Lancet. There is a global suppression on any early treatment. I want the listeners understand how global this is. If we were to go north into Canada, doctors are threatened that their licenses will be examined or taken away if they attempt to treat an outpatient with Covid-19. They’re told this in Canada. In northern EU the same is true. Dr Didier Raoult who is trying to innovate with hydroxychloroquine, azythromycin in France in prior times has been under degrees of a threat of arrest, or partial arrest, or house arrest, okay. Almost as if we’re back in the Dark Ages. In Australia, in April, they put on the books, in Queenslands Australia, a doctor who tries to help a patient with hydroxychloroquine could be penalized up unto the point of going to jail for six months for helping. South Africa, they put some doctors in jail for trying to help patients with ivermectin.
Listen, the powers that are out there that want to suppress early treatment and cause as much fear, suffering, hospitalization and death are not by happenstance. These are powerful forces that have created such fear among doctors, people are fearful they’re gonna lose their careers, their livelihood, their medical license. People are afraid of going to jail. In just helping their fellow men get through Covid-19. This is extraordinary. Historians should go look through the course of time. You know, the very first doctor who tried to help a polio patient survive polio with the iron lung machine, which became really a stable ICU device, was thrown off medical staff. « Throw him off staff! »
Can you offer any investigative leads to researchers trying to discover WHY early outpatient therapies for Covid-19 have been suppressed?
I would look very carefully at the work building upon other investigative reporters. So Dr Peter Breggin has a book called « Covid-19, the Global Predators – We are the Prey » and it has a living document, he’s already pre-released the manuscript. He’s releasing updates. Now he’s older, he’s kind of worried the story won’t get out at his age. But I believe he’s up to 900 documents. The whole story is not put together but it is a substantial and shows the interconnections of the stakeholders involved. Dr Nicholas Wade who was featured on a recent Tucker Carlson as an investigative reporter, he has assembled quite a story. And then Whitney Webb who’s a young investigative reporter has published some striking things.
All three of these, and as well as many more, are linking two important concepts. The suppression of early treatment, and even probably the soft attenuation of in-hospital treatment, to make the problem worse than what it is. Many methods to make the case count look higher than what it is, make the mortality numbers look worse than what they are. Many methods to create the reaction out of proportion to the reality. So lockdowns, fears, economic suffering, what-have-you. All of these things making the pandemic way worse than what it is, okay, to have that occur : more fear, suffering, hospitalization, death, loneliness, lockdown, in order to promote mass vaccination.
These two are tightly linked. Mass vaccination at all costs. The world must be mass vaccinated and human beings on Earth ought to understand at this point in time, what we’re seeing is unprecedented. It became known the virus was going to be amenable to a vaccine somewhere around April, May and at that point in time, pheew! therapy was suppressed. Nothing could be published. Everything, the fake Lancet paper, squash treatment and then prepare the population for vaccination. Once the vaccines come out, they’re short tracked and there’s all kinds of enthusiasm regarding it. You know « needles in all the arms », trucks rolling, Americans cheering – and then the mass vaccination program starts off.
And then before we know it, we were vaccinating pregnant women. Why are we doing that? That can’t be safe. Now we’re going to vaccinate Covid recovered patients. Wait a minute, they have complete and robust permanent immunity. No one’s ever challenged the immunity of a Covid recovered patient. Why are we vaccinating them? And then it keeps going and going. At first we vaccinated high risk people. I didn’t really understand vaccinating young healthcare workers because they weren’t at risk. There were never any hospital outbreaks in the United States. The only thing that was clear, nursing home workers give it to nursing home patients. We knew that. So nursing home workers should have been vaccinated and then maybe high risk people and we should call it a day. It was estimated maybe 20.000.000 people need to be vaccinated but that didn’t seem to satisfy the vaccine stakeholders which are Pfizer, Moderna, J&J, AstraZeneca and any others to come forward, the CDC, the FDA and the NIH – and the White House. Massive vaccine stakeholders. You can throw in Gates Foundation, World Health Organization – you can throw those in as well. Massive stakeholders. And they wanted everybody to be vaccinated without exception. No one will escape the needle.
We’ve actually never had this before and the vaccine process is extraordinary. There’s a consent form. It says « This is investigational, we don’t know if it’s gonna work, there’s only two months of data, the side effects could be a sore arm all the way to death and we don’t know. Sign here. We need your identifying information, we need a bar code on the vial, we need you identified and now you’re in a database. You’re vaccinated. »
And so this mass vaccination is extraordinarily concerning. We never vaccinate into the middle of a pandemic, never. We’ve never had an effective vaccine for respiratory viruses including influenza – it’s only modestly effective. We knew from the published data that the attack rates in placebo and the vaccine arms were less than one percent. So we know that the vaccine can have a less than one percent effect in the population. Why would it be any different than the clinical trials? We knew from the clinical trials that it didn’t stop Covid-19 so people can get Covid-19 anyway. What would be this incredible drive to vaccinate everybody?
And now all my worst… Now the vaccine within a few months has been completely weaponized. Now it’s travel that’s related to the vaccine, people can’t go to school without the vaccine, people are losing their jobs without the vaccine. Believe me there is something very, very potent in this vaccine. It should be disturbing to everybody. The word « vaccine » ought to be the most disturbing word that they have seen. Now we have twelve year old children who are told they can decide on their own whether or not they could take the vaccine. So about seventy percent of my patients are vaccinated, I’m very pro-vaccine, I’ve taken all the vaccines myself. About seventy percent and they were all vaccinated in December, January and February. But as we sit here today in May, we have over 4.000 vaccine-related deaths and over 10.000 hospitalizations.
The limit to shut down a program is about 25 to 50 deaths. Swine flu, 1976, 25 deaths, they shut down the program. It’s not safe. All the vaccines in United States per year – what Ambulink has reported in the database – is about 200. And we’re talking about vaccinating probably five hundred million injections. Here in the United States, at a hundred million people vaccinated, this is far and away the most lethal toxic biologic agent ever injected into human body in American history and it’s going strong, with no mention of safety by our officials, with wild enthusiasm by our hospitals and hospital administrators, with doctors supporting it – doctors are saying now they won’t see patients in their waiting room without the vaccine.
This problem, Covid-19 was actually from the very beginning, that’s what Whitney Webb said, she goes « Covid-19 is actually about the vaccine. It’s not about the virus it’s about the vaccine.«
Why has there been such a relentless focus on mass vaccination as the ONLY way back to normalcy?
I think it’s about what the vaccine means and Whitney Webb gets credit for this. Back in April she said « Aha, I figured this out. This is what globalists have been waiting for. They’ve been waiting for a way of marking people. » When you’re getting a vaccine, you’re marked in a database. And this can be used for trade, for commerce, for behavior modification, all different purposes. And you see it right here in Dallas, they’ve announced, « You know, you can’t go to Dallas Mavericks game unless you’re vaccinated. » You’ve had people say « Listen, you have passports? » You had colleges today announce that they’re not going to give any credit to natural immunity. Every scientist in the world knows that the natural immunity is way better than the vaccine immunity. If it’s about Covid, why don’t we have Covid recovered go to the Mavericks games? Why don’t we have Covid recovered people free to go to college? Why do we have to have faulty vaccine immunity be the priority and have natural immunity not count? See, these types of things make me think that Whitney Webb is correct. This is actually about marking. The vaccine is a way of marking people, it’s a way of starting to assert efforts to create compliance, behavior control.
Don’t forget the vaccine is just a starter. Now there’s going to be updates, there’s going to be boosters, they’re already prepping people for this, there’s going to be more. The vaccine manufacturers are all linked, they’re all uniquely indemnified. What medical product is there indemnification where something happens to you, you don’t have any recourse? You know, woman gets vaccinated, pregnant woman, she has no maternal fetal rights. Something happens to her or her baby, she’s out of luck.
This is extraordinary what Americans are doing. It’s actually extraordinary what’s being thrust upon us now.
Are we entering a Brave New World in which a person who elects NOT to get vaccinated will be punished through nonjudicial means by being forbidden to work, travel, and attend important public events?
I think this whole pandemic from the beginning was about the vaccine. So I think all roads lead to the vaccine. And what it means is, there are already places in Southeast Asia and Europe, they’re laying the groundwork for compulsory vaccination. I mean compulsory, that means somebody pins you down to the ground and puts a needle in you. That’s how bad stakeholders want vaccination. « Listen this is not of cost, you don’t have to pay for it, it’s all provided. » There are people or stakeholders, they do want « a needle in every arm ». This « needle in every arm » is a very important moniker. Why? Why do you want « a needle in arm »?
Let’s take Covid recovered. Can’t get the virus, can’t receive it, it has nothing to… Why would they ever want a needle in the arm of a Covid recovered patient? Why? Three studies show higher safety events. The tension that Americans are feeling right now as they try to keep their jobs and go to work is they know they can die of the vaccine. That’s the problem. If the vaccine was like water and we just got it, no side effects, who wouldn’t take it? « So I’ll comply. They got my social security number anyway in a database, I’m already marked. I’ll just get marked. »
But no, there’s something very unique about this vaccine, it’s something about injecting something into into a body that is so important to stakeholders it doesn’t matter. Kids twelve years old told they can make their own decision on this and it could be their fatal decision? Think about that. North Carolina just passed it. Well, kids twelve year old can decide on their own. There are over 4.000 dead Americans, there’s over 10.000 dead people in Europe that die on days 1, 2 and 3 after the vaccine.
Why are we pushing this in a way where people’s jobs and their education and their livelihood decide on a decision that’s potentially fatal? The tension, you can cut it with a knife. There are parents who say « Listen, I want my kid to go to college this year but I don’t want to lose him to the vaccine. » They know what’s going on, the internet is full of these cases : blood clots, strokes, immediate death. I’m fortunate, I have not directly lost a patient to the vaccine. I told you, most got vaccinated in December, January, February. Based on the safety data now, I can no longer recommend it. I can’t recommend it. It’s past all the thresholds to being a safe product. It’s not a safe product, none of them are. It’s not just Johnson and Johnson. In fact more of the safety events in the United States have occurred with Moderna and Pfizer.
There are now papers written by prominent scientists calling for a worldwide halt in the program. There are prominent virologists, many of them, including Nobel Prize winners, who have said « Listen, if we vaccinate people and we create a very narrow, incomplete library of immunity, which what the vaccine is – the vaccines are all targeted to the original Wuhan spike protein which is long gone, that’s extinct, patients are getting vaccinated for something that doesn’t even exist anymore, that Wuhan spike protein is gone, we’re hoping the immunity covers the other variants but that narrow immunity is a set up, it’s just like giving everybody a narrow spectrum antibiotic – if you did that what would happen, we grow up super bugs. » There are warnings out there saying « Don’t do this! Don’t vaccinate the entire world. All we’re going to do is set ourselves up for a super bug that’s gonna really wipe out populations. »
So for many reasons the vaccine, indiscriminate vaccination, is a horrendous idea. It’s a horrendous bio weapon that’s been thrust on to the public and it’s going to cause great personal harm – which it already has, thousands of people lost their lives. I’ve never lost a direct patient but I’ve had my patients lose their family members, lots of them. I filled out a safety report on a patient who developed blood clots after one of the Pfizer/Moderna vaccine and I’m telling you, it took half an hour to do it. It was many pages and each page said « Warning! Federal Offense punishable by severe fines and penalties » if I falsified the report. All those thousands of Americans who have died with the vaccine and hospitalizations in the database I think are real. And they are far beyond anything we’ve ever seen.
And as a doctor and as a public citizen I am extraordinarily concerned about the vaccine. The vaccine center right down the street here’s empty. I drive past it every day. Americans know, they’re talking to each other, the vaccine’s not safe and now the effort is the vaccine stakeholders want kids without parental guidance and now they want to be in the church.
Americans and people worldwide should be extraordinarily alarmed.
Has any agency or individual tried to silence you through threats or other forms of intimidation?
My personal situation, professional situation is a position of strength. And those who have attempted, in any way, to pressure, coerce or threaten me with reprisal have paid an extraordinary price. And I think that’s an important message to get out there.
There is a position of strength, based on principles of compassionate care and of the Hippocratic Oath and of the fiduciary relationship that a doctor has to a patient, and a prominent doctor has to a population that supersedes all of those other ill intents.
And what I say is « Bring them on. »
Dr. McCullough is an internist, cardiologist, epidemiologist, and Professor of Medicine at Texas A & M College of Medicine, Dallas, TX USA. Since the outset of the pandemic, Dr. McCullough has been a leader in the medical response to the COVID-19 disaster and has published “Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection” the first synthesis of sequenced multidrug treatment of ambulatory patients infected with SARS-CoV-2 in the American Journal of Medicine and subsequently updated in Reviews in Cardiovascular Medicine. He has 40 peer-reviewed publications on the infection and has commented extensively on the medical response to the COVID-19 crisis in TheHill and on FOX NEWS Channel. On November 19, 2020, Dr. McCullough testified in the US Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs and throughout 2021 in the Texas Senate Committee on Health and Human Services, Colorado General Assembly, and New Hampshire Senate concerning many aspects of the pandemic response.
Nouvelle formule pour fidéliser le lecteur : voici une mini-série sur un sujet brûlant, pleine de bruit et de fureur avec en prime des infos intéressantes, de brefs cours vaguement théoriques, des observations judicieuses et des analyses brillantes – mais toujours pas de photos, sorry. Le meilleur étant pour la fin du dernier chapitre, comme dans tout bon écrit de SF. Patience…
En préambule, pour les nés de la dernière pluie ou ceux qui voudraient se farcir un bilan plutôt bien fait du dossier « crise sanitaire » – et qui aiment les voix féminines synthétiques – il y a ce documentaire à voir. Il est assez long (2h36′) mais il permet de contrecarrer l’effet « mémoire de poisson rouge » inhérent à la communication sur le Net.
Pour les petits et les grands enfants, j’ai récemment écrit ce petit conte, un peu la version innocente de ce que vous allez lire ici prochainement. Exercice difficile mais je pense avoir presque tout dit en peu de mots, sans rien déformer. Inutile de mentir aux enfants, ils nous percent à jour – leur sens logique n’a rien à envier à celui des adultes. Et puis c’est leur avenir qui est en jeu, après tout. Voire leur vie.
Les adultes, par contre, sont beaucoup plus faciles à tromper. Je vais vous expliquer comment.
Préface : nous sommes en pleine science-fiction
« Je sais comment tout ça va finir. J’ai vu ‘I am legend’. » – « Mimi » Dvorak
Je l’ai vu aussi. Ado, je ne lisais quasiment que de la science-fiction. Mon auteur préféré était et reste Robert Sheckley – et bien entendu, dans un autre genre, Chaval.
J’allais aussi voir les films du genre. J’en ai vu beaucoup depuis, notamment « Children of Men », « THX-1138 » et « The Book of Eli » – qui seraient d’ailleurs tout autant dans le sujet que « I am legend ». Souvent remplis d’incohérences – mais c’est sans importance. Vous allez comprendre pourquoi.
On pourrait dire que j’ai trop lu, ou vu, de science-fiction. Que je suis un peu pollué. Que ça a déformé ma vision du monde. C’est pas faux. Et pour cause : c’est fait pour.
Comme je l’ai découvert plus tard, ce n’est pas de la science-fiction.
C’est de la programmation prédictive. Eh oui.
Programmation prédictive
Origines, objectif
La programmation prédictive ne se limite pas du tout au genre SF. Toute la littérature, la télévision et le cinéma populaires sont des outils de ce programme. Vous êtes donc pollués aussi…
Depuis des décennies, ces secteurs fonctionnent entièrement sous contrôle des services secrets. Quand les scripts ne sont pas directement (et généralement mal) écrits dans un bureau à Langley (pour les USA) ou dans une autre officine nationale du Renseignement, ils sont sous-traités à des écrivaillons en quête de célébrité/boulot, que l’on « forme » lors de « séminaires » destinés à leur fournir la matière première du programme, la « crise/urgence climatique » figurant actuellement en tête de classement. C’est normal, elle va devenir très utile dans un proche avenir.
C’est le même réseau de contrôle qui s’est emparé, à coups de subventions en amont et de censure en aval, de la « science ». Depuis quelques mois, on assiste aux effets spectaculaires de cette prise de contrôle sur la médecine, qui n’est pas une science mais un art, simple rappel. Contrôle direct et hermétique sur son réseau « officiel » et à coups de représailles, intimidations, censure et assassinats sur le réseau « parallèle ». Ce contrôle est en place depuis très longtemps et, comme on vient d’en avoir confirmation, il est toujours bien présent et efficace. Historiquement, la pierre angulaire en est l’escroquerie proto-scientifique du darwinisme et son corollaire idéologique, le darwinisme social, colonne vertébrale de la politique de gestion du troupeau, telle que pratiquée aujourd’hui à l’échelle mondiale.
Dans le domaine spécifique de la médecine, comme tout bon complotiste le sait, l’événement fondateur fut la mainmise du secteur bancaire/pétrolier – en gros, de la famille Rockefeller – sur le secteur médical universitaire au début du XXème siécle et la création de Big Pharma qui s’ensuivit. Big Pharma est le bras médical de la finance. C’est une arme du « pouvoir profond ». Son objectif n’est pas le profit mais le contrôle total du peuple. Le contrôle de sa vie et de sa mort.
Comme dans les romans de science-fiction – je veux dire, de programmation prédictive. Ne m’embrouillez pas.
… et principe
La programmation prédictive, c’est quoi, ça fonctionne comment, ça mange quoi et à quoi ça sert? C’est extrêmement simple à comprendre. Faisons parallèle avec un autre domaine d’actualité.
La programmation prédictive obéit exactement au même principe que l’injection d’ARNm, qui est un cheval de Troie immunitaire. C’est donc un cheval de Troie mental.
Le sujet est initialement soumis à un traumatisme artificiel. L’effet visé est de programmer dans le sens voulu sa réponse future à un traumatisme réel. Le système du sujet développe une familiarité avec le premier traumatisme, qui fait que sa réaction au danger réel ne sera pas adéquate : elle sera tronquée/affaiblie/paralysée ou inversée. Le sujet intégre ensuite le second traumatisme comme élément de sa normalité. Son système est suffisamment désarmé pour qu’il devienne lui-même acteur de sa propre perte. Il est subjugué.
Ça a l’air diabolique.
Ça l’est.
C’est de la manipulation mentale et c’est une science – ou un art.
Manipulation mentale
Si on veut saisir la nature de l’emprise que cette opération a réussi à mettre en oeuvre sur une bonne partie des peuples, il faut observer la mécanique des sectes. C’est une mécanique d’éducation inversée, de déresponsibilisation et d’infantilisation, qui s’articule principalement sur quatre pivots : l’ignorance, le besoin d’appartenance à un groupe, le complexe de supériorité et in fine la démence. Ce sont des tables gigognes ou des poupées russes, comme vous préférez : la deuxième s’emboîte sur la première, la troisième sur la deuxième et la quatrième sur la troisième.
Il y a un mécanisme de base – le Syndrome de Stockhholm – que je laisse à Miles Mathis le soin de détailler ici (c’est en anglais). Je vais vous parler de ce que j’ai appris par observation, donc c’est juste ma version, en procédant par exemples, pris dans le cadre de la « crise sanitaire ». Luttons ensemble contre l’ignorance. Taïaut!
1. Ignorance
Le télespectateur moyen – qui, malgré qu’il se double maintenant d’un utilisateur de smartphone, n’a pas multiplié son QI – s’est vu affranchi des lourdes tâches de la connaissance et de la réflexion. Il a oublié qu’il avait un esprit. Grâce à la récente opération terroriste internationale, il a aujourd’hui aussi oublié qu’il avait un corps : son système immunitaire, il croit devoir se le faire injecter.
Revenons un instant sur le mécanisme sectaire. Comment un seul Français peut-il encore envisager de voter (et je pourrais arrêter là la question) pour Emmanuel Macron? Parce que nonobstant son comportement de voyou, il utilise les ficelles des chefs de secte. Par la torture mentale et les informations contradictoires – menaces et soulagement en alternance – il crée un envoûtement. Ses sujets sont subjugués. Ils ont déjà voté pour lui une fois sans rien savoir de son programme et ils ont l’air prêts à recommencer. Que dire de plus? Pauvre France. C’est sur ce substrat de connerie endémique que les pires crapules parviennent à conserver leur place dominante, quel que soit leur palmarès. Le papier précité de Miles Mathis argumente assez bien le truc. Nous verrons dans un chapitre suivant le rôle de ce bon Dr Fauci et de quelques autres « chefs ». Je peux vous assurer que ce sera une lecture surprenante.
Moins loin, je croise des gens ça et là, éventuellement je leur parle (enfin, je leur parlais, j’ai abandonné l’idée) et j’observe leur comportement. Qu’ils soient ignorants, je le savais déjà et ce n’est pas le problème. On ignore quelque chose jusqu’à ce qu’on l’apprenne. Ça m’arrive tout le temps. Ce que je constate c’est qu’ils ne veulent rien apprendre.
L’ignorance est un processus actif.
C’est vrai que savoir quelque chose représente un risque, celui d’agir. Par exemple, lire un blog ou l’autre – ou pire en faire un. Juste pour rappeler que je suis ouvrier à plein temps et que je tiens celui-ci, qui devient progressivement une source de références francophone, sur mon temps libre, sans aucune sorte de rémunération. Y’a pas de quoi.
Dans un monde où tout est source de connaissance, rester ignorant est souvent le travail de toute une vie. Peu importe le prix à payer, je vois la majorité s’y accrocher comme la misère au monde. Dans ce cas précis, que je tente de leur sauver éventuellement la vie n’a pas du tout l’air de les concerner. Ce qui les intéresse, c’est cette question : suis-je leur ami? La réponse étant invariablement « non, sorry » – je préfère les oiseaux – ils se tourneront vers le premier venu qui aura appris à en jouer – tout le monde joue dans cette histoire. Un comédien qui leur garantira leur place dans la secte – woke, communiste, féministe, écologiste, révolutionnaire, nationaliste, patriotique, ou « vacciné » – peu importe le nom de la troupe, ça reste du théâtre.
Ce qui nous amène au point suivant.
2. Appartenance à un groupe
On a vu ce mécanisme à l’oeuvre de manière spectaculaire dans la présente psyop. La menace ultime était la solitude. Vous avez bien dû la voir passer : vous n’acceptez pas l’injection, vous êtes hors du groupe. On vous laissera crever seuls, comme ceux qu’on a renvoyés chez eux lors de la « première vague » avec un cachet de paracétamol ou comme les vieux qu’on a achevés à coup de Rivotril, seuls dans leur chambre de maison de repos – éternel, celui-là.
Les humains sont des êtres sociaux. Ils craignent la solitude. Ils ont raison, elle est dangereuse. On peut donc s’en servir pour les rabattre dans un piège.
Ceux qui se sont rués dans le piège constituent à présent une armée, et ce n’est pas une image. Il y aura conflit. Ils s’y sont enrôlés en se faisant injecter un produit annoncé comme potentiellement mortel – ce qui est à présent confirmé par les chiffres – sans le moindre effet sur le risque de transmission et dont on voit en fait maintenant l’effet exactement inverse, au nom de l’immunité de groupe. Ils ont fait le sacrifice. Protégés par l’illusion de la sécurité du nombre – qui peut être fatale – ils pensent être du bon côté du manche et peuvent donc désormais se sentir légitimes et supérieurs.
3. Complexe de supériorité
Parmi ceux qui ont reçu l’injection, beaucoup se sentent invincibles. Ils méprisent/craignent/vilipendent ceux qui n’ont pas accepté le chantage. Ils réclament leur exclusion sociale. On leur a appris qu’il n’existait qu’une et une seule cause d’inquiétude, un seul risque, un seul enjeu et donc un seul remède et que son acceptation leur donnerait tous les droits et libertés et les affranchirait de tout le reste – y compris leurs simples réflexes d’humanité. Ils ont cru recevoir la bénédiction des mêmes qui annoncent pour bientôt la vie éternelle. Ils se sont cruellement trompés de promesse et surtout de Maître. On a commencé à les « transhumaniser ». C’était un test et ils l’ont loupé. Ils le paieront au prix fort.
Comme l’expliquait magistralement l’irremplaçable Serge de Beketch lors de la psyop de la vache folle – écoutez-le pour le plaisir, pour mesurer l’ampleur de ce qu’on a perdu dans le monde journalistique et pour vous forger un sens de la répétition de l’Histoire – ce ne sont pas des abrutis, « c’est bien plus grave que ça ».
La démence est créée par le sujet lui-même pour éviter la souffrance. Cette souffrance n’a pas besoin d’être réelle : sa simple évocation suffit à créer la peur. Pour fabriquer la peur, il y a – encore – la télévision, ses chiffres et son gaslighting (cf. Macron ci-dessus). La peur de la souffrance peut donc être manipulée à loisir, jusqu’à ne laisser place qu’à une échappatoire. Et – et c’est là toute la beauté de la manoeuvre – même si cette échappatoire est mortelle. Ou pire.
Ce n’est pas un paradoxe. Les humains ont bien plus peur de la souffrance que de la mort. C’est une limite naturelle de l’esprit humain : il est incapable de conceptualiser la mort. Il a peur de la mort mais comme il ne sait pas ce que c’est, cette peur est abstraite. A cet égard, les croyants ont un léger avantage : ils ont fait leur paix avec la mort et n’en ont pas peur, raison pour laquelle ils sont une cible prioritaire du pouvoir. Que fait le télespectateur moyen devant l’échappatoire à la souffrance qui lui est proposée/imposée? Il refuse de réfléchir. Il ne se pose pas la question en termes de vie/mort mais en termes de souffrance/non-souffrance, exclusion/intégration, infériorité/supériorité, doctrine/savoir. Et il prend le chemin de résistance minimum. Voilà le genre d’extinction méthodique de la logique qui permet de pousser des centaines de millions de gens à se suicider.
Comme le dit le Dr Palevski, c’est la propagande du génocide. Et c’est du marketing.
Propagande et marketing
Trucs de langage
Un concept essentiel de la manipulation psychologique est que pour que le mensonge fonctionne, c’est vous qui devez vous mentir à vous-même. Et c’est, encore, diabolique.
Pour ce résultat, deux méthodes concomitantes et complémentaires – elles sont souvent mélangées, ce qui fonctionne encore mieux.
La première méthode est de systématiquement changer la définition des mots ou leur emploi. Sans vous en avertir, bien entendu : les choses sont ainsi mal nommées pour vous. Entre la personne qui vous parle et vous s’installe la confusion et donc l’impossibilité d’agir efficacement. Vous avez perdu avant de commencer. Pendant que vous vous égarez à chercher une solution à un problème mal posé peuvent s’élaborer les étapes suivantes.
Un exemple, dont vous avez peut-être entendu parler. Un richissime promoteur immobilier fait l’acquisition d’un complexe d’immeubles commerciaux. La transaction n’est pas rentable car il est tenu de mettre ces bâtiments truffés d’amiante aux normes, ce qui coûterait une fortune. Mais il est au courant. Accord a été passé avec le Renseignement pour la démolition contrôlée desdits bâtiments, opération rentable pour le Renseignement aussi, qui a besoin d’un « événement fondateur » médiatique pour implémenter son programme de contrôle militaire mondial, notamment la restauration dans un pays du Moyen-Orient de champs de pavots dont le marché finance ses blackops. La manipulation mentale étant à l’oeuvre, le terrain est mûr pour le narratif de « l’attentat terroriste ». Le public qui assiste à la démolition contrôlée/pulvérisation d’immeubles à armature métallique (47 piliers) sous l’action d’incendies mineurs (avec ou sans image incrustée d’avions), se convainc lui-même que c’est possible. J’ai même rencontré à l’époque – par hasard – un architecte américain qui trouvait ça normal. Il était même assez furieux : lui était patriote et moi anti-américain – alors que j’aime et connais mieux son pays que lui – ou quelque chose comme ça. On est donc bien en dehors de toute forme de rationalité. Le bypass du cortex cérébral a réussi. Il a suffi de coller le mot « attentat » sur toute l’opération, et le reste suit.
Retour au présent : il a suffi de coller le mot « pandémie » sur une attaque à l’arme biologique, « maladie » sur un ensemble de symptômes liés à cette attaque et « vaccin » sur une arme injectable, et le reste suit.
Ils sont loin d’être les seuls. Ça commence à vouloir sortir. Le Dr Mc Cullough, une pointure du monde médical étatsunien, pas très complotiste à la base, se met à balancer du lourd (article en cours de traduction). Il vaudrait mieux que lumière se fasse rapidement, maintenant qu’il est un peu tard…
Un exemple plus connu – anecdotique mais intéressant – est que l’OMS a changé la définition de la pandémie (quoique ceci soit contesté ici), et celle de l’immunité collective, ce qui n’est pas contestable.
La deuxième méthode du mensonge est de toujours dire la vérité. Les « complotistes » de tout poil loupent complètement ce mécanisme assez cocasse mais très efficace. Anecdote amusante, ce système est exactement ce dont certains médias accusent les personnes qui font juste le récit personnel de leurs dommages après « vaccin » sur les réseaux sociaux : lying with truth. On leur reproche donc de rapporter des faits et de laisser le lecteur en tirer des conclusions que l’on craint fâcheuses (Comment? Le vaccin serait dangereux?), ce qui est le principe de base du mensonge médiatique permanent – sauf que leurs « faits » à eux sont souvent fictifs. La méthode du « mensonge par la vérité » est plutôt utilisée au plus haut niveau du contrôle – les petits apparatchiks des médias ne sont pas aussi subtils. J’avais fait un petit article amusant sur le décodage du narratif au début de la « crise », un genre de traduction français/français. Ils vous disent la vérité de telle manière que vous fassiez le travail de la comprendre à l’envers : en les privant de leur contexte que vous rajouterez, ou en vous laissant interpréter favorablement ce qui est essentiellement une menace (voir ici). C’est un peu de la paranoïa inversée : vous ne comprenez que si vous l’êtes (parano).
Essayez avec ça :
« Nous sommes en guerre »
« Non-essentiels »
« Vous ne possèderez rien »
« 95% d’efficacité »
« Sûr et efficace »
« Eradiquer le virus »
« Science is truth«
Alors?
Solution des jeux dans le prochain épisode.
Les incentives
« Ils iront en cadence, crever pour quelques francs. » – Boris Vian
Si j’ai bien suivi, la liste des incentives serait : vous pourrez partir en vacances, aller au restaurant, voir vos amis, assister à des événements publics (concerts, rencontres sportives, mariages, enterrements, partouzes, etc.). Je ne vais pas encore me fatiguer, la liste a été établie et je l’ai reprise mot pour mot ici, article déja cité plus haut.
Pour ce qui est des « communautés », toute référence à la « science » est désormais abandonnée. Le mot d’ordre est de passer par des personnalités influentes dont le discours pourra convaincre leur public. Un des groupes-cibles annoncés de cette campagne est la « communauté noire », qui souffre de vaccine hesitancy. Ce qu’on peut aisément comprendre : tandis que les effets « secondaires » des vaccins – les vaccins classiques, principalement le MMR – sont de provoquer l’autisme chez seulement un enfant sur 36 aux Etats-Unis, l’incidence dans la communauté noire est de un enfant sur 14. Donc ils « hésitent ». Il va donc falloir communiquer.
C’est le genre de plan qui doit bien amuser les contrôleurs. Ça rentre dans le cadre de leur biais de confirmation : si on peut convaincre ces connards aussi facilement, ils méritaient bien de crever.
Encore ce bon vieux darwinisme social à l’oeuvre. Ce truc sert à tout.
Résultat
Le résultat c’est que ça fonctionne. J’entends la justification majeure des zombies qui courent demander l’injection.
C’est pour pouvoir se réunir.
C’est pour pouvoir partir en vacances.
Ce sont les mêmes dont le seul objectif professionnel est le vendredi. Voilà des gens bien drillés à la frustration. Des vacances, ils prennent le risque d’en avoir de très longues. Et d’être réunis très longtemps.
Mais je comprends. Je vois leur tête à tous, le matin, leur regard éteint, leur grimace de victime de la vie, entre deux séances d’alcoolisme quotidien, leur femme qui les fait chier, leurs enfants qui les emmerdent, la télé qui les insulte et le boulot dont ils n’ont rien à foutre. Ça fait longtemps qu’ils attendent qu’on vienne les sauver de l’existence. N’importe qui, n’importe comment.
Je vous propose ici la traduction du témoignage particulièrement bien écrit d’une jeune femme sur sa longue et rude bataille contre le Covid long (le titre est ironique), de juin à novembre 2020. Je ne saurais trop recommander, à tout le monde, de le lire, en particulier à ceux qui pensent encore que cette maladie est surévaluée, voire fictive. Je pense – j’espère – que ça mettra beaucoup de choses en perspective.
Il y a plus de courage, d’intelligence et de sensibilité dans ce qu’elle relate ici que dans beaucoup de ce que j’ai lu, vu ou entendu autour de cette maladie – y compris de la part de scientifiques chevronnés. Mon épouse a elle-même fait, et continue de faire, dans sa vie et dans ses épreuves (encore bien plus rudes que celle relatée ici), montre d’un courage, d’une ténacité, d’une générosité et d’une humilité jamais pris en défaut, et dont peu d’hommes sont capables – moi le premier. C’est aussi à elle que je rends hommage en publiant ceci. J’en ai gagné un grand respect pour ces femmes – alors que ce n’est pas vraiment ma qualité majeure. Je devrais, et nous devrions tous, mieux le leur témoigner.
Pour ceux que ça intéresse, il y a la très longue liste des « suppléments » utiles ainsi que les détails de son régime de rétablissement à la fin de chaque partie.
Elle est aussi artiste, vous pouvez aller voir sur son site.
Pour mémoire : L’expérience du COVID-19 «léger à modéré», jours 1-90.
WhiteFeather Hunter, 10 juin 2020
Partie 1: Chronologie des symptômes physiques
Premier Round sur trois – INFECTION (12 – 31 mars)
En mars 2020, j’étais en Australie occidentale pour préparer mon doctorat. Mon partenaire m’accompagnait pour quelques mois, après quoi il prévoyait de retourner au Canada. J’avais loué une chambre dans un Airbnb pour cinq mois, car je devais partir à l’étranger fin mai pour une résidence d’artiste très attendue au Musée de la Sorcellerie et de la Magie, puis au Canada à partir de là, pour une autre résidence de deux mois dans un laboratoire de l’Université de Montréal. J’étais pleine d’enthousiasme, enchantée par mes recherches et je me délectais du temps que je passais à Perth. Ma vie hors recherche tournait autour du cyclisme. C’était mon principal moyen de transport, et je consacrais tout mon temps libre à parcourir les superbes étendues de piste cyclable qui traversent la côte ouest, où une plage dorée succéde à l’autre. Je parcourais près de 200 km par semaine, riant en faisant la course avec mon partenaire, ou le souffle coupé devant la beauté des couchers de soleil sur l’océan Indien. La vie était simple et belle. J’étais rayonnante de santé.
Le vieux père de mon partenaire a soudainement vu sa santé décliner, puis il est entré en soins intensifs à la fin de février. Mon partenaire a pris l’avion pour Chypre et est arrivé juste à temps pour tenir la main de son père et lui dire au revoir. Il n’y avait pas de verrouillage à ce moment-là, et le SRAS Cov-2 n’était pas encore le sujet majeur de préoccupation générale, mais il commençait rapidement à le devenir. Il est revenu à Perth après les funérailles, le 8 mars. J’étais, à ce moment-là, en courte période de congé «maladie», pour cause de santé mentale. À son retour, la merde du coronavirus a aussitôt frappé le ventilateur [NdT. expression anglaise, vous comprenez] et nous avons décidé de nous auto-isoler dans notre chambre, principalement parce que le propriétaire de la maison continuait à louer les autres chambres à des voyageurs internationaux venus de pays durement touchés, comme l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, etc., ainsi qu’à des passagers de navires de croisière, tout en sortant régulièrement dîner et en invitant des groupes d’amis. Nous étions inquiets. Il a continué à serrer la main d’étrangers et à se tenir trop près, bafouant les nouvelles règles de distanciation au fur et à mesure qu’elles se mettaient en place.
Quatre jours plus tard, le 12 mars, mon partenaire et moi sommes tombés malades. Quelques jours plus tard, nous découvrions que le vol Emirates qu’il avait pris de Chypre via Dubaï transportait des cas de COVID-19 confirmés sur le même vol la veille et le jour d’après, bien qu’il n’ait jamais reçu aucun avis spécifique concernant son vol. Mes symptômes ont commencé par un mal de gorge aigu et un écoulement postnasal, associés à des maux de tête intenses, qui ont duré pendant 10 jours. Pendant ces 10 jours, j’ai développé la fameuse toux sèche et j’ai commencé à avoir du mal à respirer. Mes sinus ont enflé au point de me sembler s’épaissir jusqu’à mon œsophage. Nous avons réussi à acheter le dernier thermomètre qui restait sur l’étagère de la pharmacie, mais ma température restait inférieure à la normale: 36,5, puis 36, 35,5, etc. Je me disais que le thermomètre était cassé. Ensuite, il est monté à 37,5, mais jamais plus haut. Les symptômes de mon partenaire étaient à peine perceptibles (il a 10 ans de moins que moi), bien que lui aussi ait eu mal à la gorge et des maux de tête, de temps en temps. Le 20 mars, après cinq jours de sensation de picotements continus sur mes lèvres et sans toujours arriver à respirer correctement, j’ai appelé la ligne nationale de santé et on m’a dit d’aller me faire examiner. J’ai reçu de mauvaises informations, de mauvais numéros de téléphone, de mauvaises directions.
J’ai fini par me dépétrer dans ces mauvaises informations et me suis rendu à la clinique COVID du centre-ville. Ils ont carrément refusé de me tester, arguant que je ne répondais pas aux trois critères de test requis: je n’avais pas de fièvre, je n’avais pas voyagé et je n’avais pas été en contact avec un «cas confirmé». Mon partenaire s’est également vu refuser le test car même s’il avait voyagé et avait des symptômes, il n’avait pas de fièvre et son vol ne comportait pas encore de cas confirmés. Ils nous ont renvoyés sournoisement à la maison, nous traitant comme si notre réaction était excessive. On m’a dit: «C’est probablement juste un rhume ordinaire». La femme qui m’a évalué a tout fait à part de rouler des yeux et m’a dit de ne pas revenir à moins que j’aie « le souffle court », comme elle l’expliqua.
Lorsque nous sommes rentrés de la clinique, munis des avis officiels indiquant que nous n’avions pas besoin d’une évaluation plus approfondie, le propriétaire de la maison nous a annoncé que nous devions partir le plus tôt possible. Il a négligé de prendre en compte l’irresponsabilité de son propre comportement et nous a plutôt accusés, nous, de mettre sa vie en danger. Il tremblait de panique et s’exclama qu’il ne se lavait pas beaucoup les mains et que mon partenaire avait touché des choses telles que la poignée du grille-pain dans la cuisine (j’avais à peine quitté la pièce). Nous devions être partis avant la fin du mois, ce qui nous laissait à peine une semaine et demie. Soudain, j’étais confrontée à l’itinérance dans un pays étranger pendant une pandémie mondiale avec un verrouillage en progrès rapide, tout en essayant de m’isoler.
J’ai immédiatement commencé à chercher des appartements en ligne et à devoir subir le laborieux processus de demande d’approbation de location (vérification de crédit, etc.). J’ai immédiatement réussi à trouver un logement que j’aimais beaucoup et dans lequel j’étais acceptée, mais soudainement, le propriétaire de l’appartement n’a plus pu partir pour aller occuper son nouvel emploi à l’étranger, car l’Angleterre avait déjà fermé ses frontières. Alors, la location de l’appartement a tourné court. J’ai tenté désespérément pendant la deuxième semaine de trouver un autre appartement meublé, mais j’étais en concurrence avec une nouvelle vague de personnes en pleine frénésie qui avaient également dû quitter leur logement partagé. Mon gros désavantage était de ne pas être citoyenne australienne, ce qui faisait que les propriétaires hésitaient à me donner un bail à long terme puisqu’ils pouvaient choisir parmi un certain nombre de citoyens qui les arrangeaient mieux. J’avais encore des visites restreintes (avec distanciation sociale) programmées, mais on m’a alors proposé une maison à loyer réduit, où nous pouvions emménager dès le lendemain, si je payais en espèces. J’ai aussitôt accepté et annulé les autres visites. Le lendemain, cette option fut également annulée car le propriétaire nous informa qu’une famille américaine fraîchement débarquée d’un bateau de croisière avait offert beaucoup plus pour la maison. À ce stade, mon partenaire et moi avons acheté des billets d’avion pour le Canada en prévision du pire des cas – devoir quitter le pays et voyager à nouveau en avion, en pleine pandémie. Nous avons pu réserver les derniers vols possibles, dans l’espoir de trouver une alternative. Air Canada offrait le remboursement intégral en cas d’annulation, nous savions donc que nous pourrions annuler à la dernière minute et nous avions encore l’espoir de trouver un logement.
Je me suis également tournée vers l’université pour obtenir de l’aide. Après cet effort futile, je me sentais complètement exaspérée et abandonnée, à tenter de me faufiler dans toutes les fissures possibles. Ils m’ont passée comme une patate chaude, d’un bureaucrate administratif à l’autre, sans rien faire. Ils m’ont proposé un logement temporaire pour étudiant, mais il n’était pas meublé: pas même un drap de lit ou un ustensile. Comment aurais-je pu vivre dans un appartement complètement vide pendant un verrouillage, sans même aucun moyen d’aller acheter ce dont j’avais besoin? Personne ne me donnait de réponses concrètes. Mes superviseurs essayèrent de m’aider, en m’offrant un lit temporaire chez eux, mais ce n’était absolument pas faisable. Ensuite, le gouvernement australien a publié son plan de relance, qui comprenait un soutien à tout le monde en Australie, à l’exception des étudiants internationaux. Au lieu de cela, on nous a officiellement dit de «rentrer chez nous». Tous les étudiants internationaux de l’université étaient autorisés à rentrer chez eux et à suivre leurs cours en ligne, à l’exception des HDR (diplôme supérieur par recherche, c’est-à-dire des étudiants de troisième cycle sans cours). J’ai supplié l’université de m’accorder un congé de recherche à l’étranger pour me permettre de poursuivre mon doctorat à distance pendant la crise, et ils ont obstinément refusé, invoquant des limitations d’assurance, car l’université interdisait de de voyager et que techniquement j’étais payée par l’université. Le consulat du Canada en Australie envoyait quotidiennement des courriels rédigés en majuscules, exhortant les Canadiens à partir immédiatement tant qu’ils le pouvaient encore.
Vers la fin du mois de mars, mes symptômes semblaient s’atténuer et je me sentais quasiment guérie. Ma capacité pulmonaire n’était pas tout à fait ce qu’elle avait été (je ne pouvais toujours pas prendre de profonde inspiration), mais les autres symptômes s’étaient atténués. J’avais pris de nombreux suppléments antiviraux dès le départ, comme du ginseng, de l’extrait de champignon shiitake, de l’extrait de champignon cordyceps, de l’extrait d’algue rouge, de l’extrait de champignon de crinière de lion, de l’extrait d’ail noir vieilli, de nombreuses tisanes et vitamines (C, D), et j’avais également mangé une tonne d’ail cru et inhalé de la vapeur d’eucalyptus plusieurs fois par jour. On aurait bien dit que tout ça avait été miraculeux. Je n’avais à aucun moment eu de problèmes gastro-intestinaux, ni de fièvre. Je ne me suis jamais trop épuisée et j’ai continué à faire un peu de vélo à l’extérieur tout au long de ces trois semaines et demie (j’ai pris une petite gamelle en vélo et je me suis écorché la jambe et ma dent a troué ma lèvre – ça a de l’importance pour plus tard).
Nous avons pris notre vol de retour pour le Canada le 2 avril. J’avais le cœur brisé d’avoir été forcée de suspendre mon doctorat et de tout abandonner pour un avenir imprévisible. J’ai coupé de vieux leggings et des t-shirts pour fabriquer des masques sans couture pour le vol, afin que nous puissions réduire le risque de transmission. C’était une bénédiction, rétrospectivement, d’avoir déjà été en congé «maladie» et donc n’avoir eu aucun contact physique avec mes superviseurs ou amis après avoir été infectée. Je n’étais même pas allée sur le campus, sauf une seule fois pour ramasser et déposer des affaires après que tout le monde avait été invité à travailler à domicile.
Aucun des aéroports que nous avons traversés (Perth, Sydney, Vancouver, Montréal, Ottawa) n’a pris la peine de vérifier les symptômes de personne. C’était une procédure d’admission totalement volontaire, consistant à cocher des cases sur une feuille de papier. J’ai vu passer de nombreuses personnes manifestement malades et fiévreuses. De nombreux voyageurs n’avaient pas pris la peine de porter des masques et aucun des agents d’embarquement ne portait de masque. Je ne saurai jamais vraiment si je m’étais déjà rétablie d’une souche de COVID-19 et si j’ai été infectée par une autre pendant le voyage, ou si ma maladie grave qui a suivi était une rechute de la même souche.
Deuxième round sur trois – LA PHASE AIGUË (3-30 avril)
Nous avons atterri au Canada, épuisés, le 3 avril et avons été «reçus» à l’arrivée à la douane avec la menace d’une amende d’un million de dollars si nous quittions notre maison pour quelle que raison que ce soit au cours des deux prochaines semaines. Nous avons été accueillis à la maison par des victuailles déposées là par de bons amis, puis on s’est installés en se racontant des blagues sur la claustrophobie et sur la quarantaine. Cependant, je n’ai pas terminé ma quarantaine de deux semaines. Mes symptômes sont brutalement revenus le 7 avril (mal de gorge, toux, migraines oculaires, difficulté à respirer, écoulement postnasal extrême), puis j’ai été conduite à l’hôpital en ambulance le 9 avril après avoir éprouvé de graves douleurs cardiaques et une sensation de pression qui équivalait à celle d’un homme lourd debout sur ma poitrine, et une sensation de pincement/picotement et de faiblesse dans mon bras gauche, ainsi qu’une douleur fulgurante qui me montait dans le cou depuis l’estomac – tous les indicateurs d’une crise cardiaque. Après un ECG «normal» aux urgences, j’ai été envoyé à la clinique COVID locale pour des tests (un mois après l’apparition initiale de mes symptômes). Après mon test COVID, que l’infirmière a effectué très soigneusement et doucement pour ne pas me causer trop de douleur, j’ai vu un médecin qui m’a prescrit des narcotiques (TEVA-EMTEC) pour la douleur thoracique. Elle m’a dit que j’avais probablement un cas «léger» de COVID et des bronches enflammées. La pharmacie a livré le médicament le lendemain et j’ai essayé de faire avec.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai commencé à ressentir de fortes douleurs abdominales ainsi que des palpitations cardiaques, et la douleur et la pression cardiaques/thoraciques n’avaient pas disparu, même avec la codéine. J’avais toujours des picotements et une sensation de pression dans le bras. Je ne pouvais pas dormir allongée et je devais me mettre sur 4 ou 5 oreillers pour simplement essayer de passer la nuit. J’ai essayé de m’allonger sur le ventre (ce qui m’a aidé à mieux respirer), j’ai essayé de me pencher sur mes genoux ou sur un oreiller, etc. Le 12 avril, mon test COVID est revenu négatif. J’ai appelé le 811 à propos de ma douleur thoracique persistante et un médecin m’a rappelé le lendemain. Après lui avoir décrit mes symptômes, il m’a dit que c’était probablement juste de l’anxiété et m’a offert une ordonnance pour un médicament contre l’anxiété. Je savais qu’il avait tort et j’ai refusé la prescription. J’ai décidé de retourner à l’hôpital en voyant que la douleur/pression thoracique, la pression dans le bras, les picotements et l’engourdissement, ainsi que la douleur intense de mon cœur, de l’avant jusqu’au dos (zone des omoplates), etc. étaient toujours là le jour suivant.
Le 14 avril, on m’a diagnostiqué une péricardite, une inflammation de la muqueuse autour du cœur. Elle a été diagnostiquée sur base d’une radiographie pulmonaire, bien que le docteur m’ait dit que mes poumons eux-mêmes avaient l’air « bien ». Je n’ai appris que plus tard, quand un cardiologue a examiné les notes sur le document radiographique, que la radiographie montrait une «détérioration» de mon poumon supérieur gauche (près du cœur). On m’a prescrit du naproxène (un anti-inflammatoire ou AINS) ainsi qu’un inhibiteur de la pompe à protons (pantoprazole) pour mon estomac. J’ai de nouveau quitté l’hôpital pour attendre la livraison du médicament le lendemain. Cependant, j’étais de retour à l’hôpital en ambulance avant même que le médicament arrive le matin.
Quand je me suis réveillée le matin du 15 avril, je me sentais complétement ivre. J’ai déplacé ma tête sur le côté et la pièce a commencé à tourner. J’ai essayé de me lever du lit et j’ai vomi violemment. Mon partenaire a pris ma tension artérielle à l’aide de notre tensiomètre de bras et il affichait 70/50, un niveau alarmant. Je ne pouvais même pas marcher. Il a appelé le 911 et m’a préparé un sac avec de la nourriture et de l’eau et toutes mes cartes et documents. Ma tension artérielle s’est quelque peu stabilisée pendant le trajet en ambulance, et quand je suis arrivée à l’hôpital, elle a été jugée à nouveau dans la plage «normale». L’infirmière à l’accueil m’a donc conduit dans la salle d’attente et m’a laissée assise là dans un fauteuil roulant, grimaçante de douleur thoracique, pendant quatre heures. Il semblait que si je ne mourais pas immédiatement ou ne nécessitais pas d’intubation, elle ne voulait pas s’occuper de moi, malgré le fait que j’étais la seule personne dans la salle d’attente. Mon partenaire n’était pas autorisé à être présent, mais il est venu déposer les médicaments que je devais prendre. J’ai pris le pantoprazole et le naproxène dans la salle d’attente, et au moment où l’infirmière à l’admission m’a enfin examinée, mon ECG ne montrait plus rien d’irrégulier et elle m’a tancée vertement en disant: «Je ne sais pas ce que vous attendez de nous! Tout est parfaitement normal. » Je suis rentrée chez moi très bouleversée et j’ai espéré que le nouveau médicament m’aiderait les jours suivants.
Les choses ont considérablement empiré après cela, au cours des deux semaines suivantes. Je ne savais pas si je souffrais des effets secondaires du médicament ou s’il s’agissait de l’aggravation de la maladie (j’ai découvert plus tard en comparant les symptômes avec des centaines d’autres personnes, que la plupart venaient de la maladie, pas des médicaments). J’ai commencé à sentir mon corps entier brûler pendant la nuit, même si je n’avais pas de fièvre et que ma peau était froide au toucher. Quoi qu’il en soit, je mouillais le lit de transpiration toutes les nuits. La régulation de ma température corporelle semblait ne plus fonctionner et pendant la journée, je ne savais pas combien de couches de pyjamas, de pulls et de chaussettes porter. Puis les douleurs articulaires ont commencé. Je n’ai jamais eu de douleur articulaire de ma vie, mais ça a soudainement commencé par l’articulation d’un doigt: mon annulaire gauche. Puis ça s’est propagé à mon annulaire droit. Puis à mes orteils, les orteils équivalents aux annulaires. Puis un orteil s’est engourdi. Puis ça s’est propagé à ma colonne vertébrale, et la douleur atroce dans ma colonne vertébrale me faisait l’effet d’un trou dans mon âme par lequel s’engouffraient les vents glacés d’un enfer gelé – je pouvais à peine respirer sans me demander si ma vie allait être aspirée par là. Mon œsophage me faisait mal comme s’il était à vif et enflé, et j’avais l’impression que mes poumons étaient emplis d’une fine poudre de verre. Et puis la douleur articulaire s’est propagée plus profondément dans mes os – en particulier l’os de ma mâchoire gauche. J’ai aussi, à ce moment, commencé à avoir une diarrhée violente, qui vidait mon corps de tous les nutriments et liquides. La diarrhée a duré environ une semaine et je buvais désespérément des litres d’un mélange de jus d’orange et d’eau salée pour restaurer mes électrolytes. Ma soif pendant cette période ne ressemblait à rien de ce que j’ai jamais connu et je consommais 12 à 14 verres d’eau par jour. À la fin des deux semaines, j’avais perdu 10 livres.
J’ai également développé un tremblement interne étrange et profond, comme si tout mon système nerveux avait été complètement grillé par un choc électrique. C’était une vibration incontrôlable qui venait d’un endroit au centre de mon corps (pas musculaire), toujours pire la nuit et toujours présent et en train de vibrer quand je me levais le matin. Je sentais dans ma tête la pression immense d’un étau, comme si mon cerveau gonflait, et mes maux de tête étaient intenses et vertigineux, avec une sensation de vertige saccadée, comme si j’étais sur le point de m’évanouir. Mes sinus étaient enflés et mon visage me faisait mal, et mes écoulements post-nasaux constants m’étouffaient la nuit dès que j’essayais de reposer ma tête en arrière. La douleur lancinante dans mon cou (dans ma thyroïde?) a continué au fil des jours, ma peau s’est vraiment desséchée et mes globes oculaires ont commencé à brûler. J’ai également perdu mon sens du goût (mais pas entièrement mon odorat) pendant environ 24 heures. Mes œufs et mon pain grillé avaient un goût de textures visqueuses et spongieuses, et je ne goûtais rien du sel que j’avais mis dessus.
De plus, à ce moment-là, des caillots de sang superficiels sont apparus dans ma jambe gauche, à l’endroit où j’avais eu quelques écorchures dues à ma gamelle en vélo un mois plus tôt. Des bosses dures et douloureuses s’étaient rapidement formées et je les sentais battre *intensément* et me faire mal la nuit, me tirant de tout moment de sommeil dans lequel je parvenais à tomber. Les orteils de mon pied gauche se contractaient involontairement la nuit (mais pas ceux de mon pied droit), et même si j’essayais de les étirer, ils se recroquevillaient fermement. J’avais des douleurs dans la face externe de ma jambe gauche, sans aucun indice visible de leurs causes. J’avais aussi d’étranges crampes musculaires au sommet de mes mollets, qui venaient et partaient pendant la nuit, à l’improviste. J’ai commencé à porter des bas de compression quand je me reposais au lit pendant la journée, car à ce stade, je n’avais pas bougé du lit depuis des jours et j’étais terrifiée à l’idée d’avoir caillots plus profonds. J’ai fait faire des analyses de sang au D-dimère dès le début, lorsque les caillots dans ma jambe étaient apparus la première fois, pour détecter une thrombose veineuse profonde, et les résultats étaient revenus négatifs. Mon médecin de l’époque m’a dit qu’il s’agissait d’une thrombophlébite superficielle et qu’il n’y avait rien de grave à craindre car elles se situaient sur les côtés de ma jambe et non à l’arrière de mon genou. Il n’avait pas d’explication sur la raison pour laquelle elles étaient apparues soudainement, sur le site d’une vieille blessure déjà guérie, et palpitaient sans relâche la nuit.
J’avais également d’autres sensations veineuses ou nerveuses – des douleurs qui montaient fréquemment dans mon bras gauche des deux côtés de l’intérieur de mon coude. Tout était situé du côté gauche de mon corps uniquement, et mes maux de tête étaient du côté droit de ma tête. Tout sauf des douleurs récurrentes dans le bas du dos à droite, plus profondes que les douleurs musculaires, et je me demandais si ça venait d’un rein. J’étais plongée dans un désespoir absolu, sachant que je voyais la mort de près et ne sachant pas si je me rétablirais un jour de cette maladie mystérieuse dont personne ne savait grand-chose.
Puis un jour, mon cœur a vraiment commencé à s’affoler. Ma fréquence cardiaque au repos a dépassé les 135, très soudainement, et aucun effort de volonté, aucun exercice de respiration et aucune technique de relaxation ne la ramenait à quelque chose qui ressemble à la normale. Elle restait autour de 113 pendant la nuit, je me sentais essoufflée et incroyablement anxieuse et j’avais peur de m’endormir. Elle a continué à fluctuer énormément entre plus de 80 et moins de 100 le jour suivant, martelant dans ma tête et mes veines. Je pensais que les médicaments en étaient la cause. En fait, c’était le résultat de la maladie, comme je l’ai découvert plus tard quand les symptômes atypiques du COVID-19 ont commencé à être connus. J’ai également commencé à avoir des palpitations cardiaques plus fortes, et tout cela a été la cause de graves crises de panique consécutives.
Quand j’ai appelé à nouveau la clinique médicale au sujet de ce que je pensais être des effets secondaires graves de l’association naproxène/pantoprazole, on m’a prescrit en remplacement du Celebrex, qui est un anti-inflammatoire à plus faible dose (AINS). J’en ai pris pendant trois jours et mes symptômes/effets secondaires se sont aggravés, avec une détresse intestinale si intense que je me suis demandé si des extraterrestres m’avaient fécondée et allaient me déchirer l’abdomen à tout moment. J’ai ensuite parlé à un autre médecin, au téléphone, qui m’a dit d’abandonner le Celebrex parce que j’avais une inflammation systémique et que je devais prendre un autre médicament à la place: la prednisone, qui est un stéroïde. J’étais extrêmement hésitante à sauter sur un autre médicament et je suis retournée à l’hôpital pour un deuxième avis et une évaluation physique. J’étais complètement à bout de souffle. C’était mon huitième voyage aux urgences, car je n’avais pas encore de médecin de famille au Québec (la liste d’attente est extrêmement longue). Après d’autres analyses de sang, on m’a dit qu’il n’y avait aucun des indicateurs habituels d’inflammation systémique et que la prednisone était un «médicament toxique», alors j’ai décidé de ne pas en prendre. Le médecin traitant a plutôt prescrit un spray nasal stéroïdien pour remédier à l’écoulement postnasal, et m’a dit que je n’avais rien de grave. J’étais très fatiguée d’entendre ça. Encore une fois, il a suggéré que l’anxiété était la cause. Je lui ai expliqué que j’avais également commencé à avoir des problèmes avec mon urètre et que je ne semblais plus avoir le contrôle total de ma vessie. Il a semblé perplexe et a dit qu’il y avait tellement de symptômes sur tant de semaines qu’ils ne pouvaient pas tous être liés, et il en est resté là. Ma fréquence cardiaque qui montait en flèche a été réduite, et on m’a dit que tant qu’elle ne restait pas au-dessus de 120 pendant plus d’une heure à la fois, tout irait bien. La douleur thoracique (dans mon cœur) était toujours intense. Il m’a demandé d’arrêter de prêter attention à mes symptômes – comme si c’était possible – et que faire attention à mon corps provoquait de l’anxiété, et donc des problèmes. J’ai demandé (pour la troisième fois) à voir un cardiologue et j’ai finalement obtenu une référence.
Troisième round sur trois – LE LONG PARCOURS (1er mai-présent)
[NdT. « long haul » fait référence au Covid long]
Ma fréquence cardiaque normale au repos n’est pas supérieure à 65, et généralement autour de 60 ou moins – je suis une cycliste assez assidue depuis maintenant quelques années et je fais du yoga régulièrement (ou j’en ai fait). Mon cœur a continué à s’emballer et à marteler pendant plus de trois semaines, avec des palpitations quotidiennes. Mon partenaire se réveillait la nuit pour vérifier si je respirais encore. Un autre médecin m’a conseillé de façon dédaigneuse d’arrêter tous les médicaments et d’aller plutôt parler à un psychologue. J’avais déjà parlé au téléphone de manière proactive chaque semaine avec un conseiller pendant plusieurs semaines, pour gérer mes crises de panique et une partie du stress traumatique que je ressentais. J’ai arrêté le médicament comme conseillé et j’ai plutôt commencé un régime strict d’anti-inflammatoires et d’anticoagulants naturels (curcuma, bromélaïne, huile de CBD, etc.) et un régime anti-inflammatoire agressif. Je détaillerai les choses que j’ai essayées après avoir terminé la chronologie des symptômes physiques. Le simple fait d’arrêter les médicaments n’a pas soulagé pas mes symptômes, ça a juste soulagé un peu mes problèmes intestinaux et la sensation que tout mon corps brûlait, et j’ai alors réalisé que la plupart de ce que je ressentais n’était pas dû à des effets secondaires. J’ai continué mes recherches fébriles sur les antiviraux, les anti-inflammatoires et sur d’autres aliments, herbes et suppléments bénéfiques qui étaient à ma portée, et j’ai commencé à voir de lentes améliorations.
Le 14 mai, le bureau du cardiologue a finalement appelé. Ma fréquence cardiaque au repos était encore à 110 lors de ma visite. Il a écouté ma poitrine, mon dos et a sorti son appareil à ultrasons miniature pour rechercher une inflammation. Il a dit qu’il ne voyait aucun liquide autour de mon cœur, ce qui signifie que la péricardite s’était apparemment dissipée, mais m’a programmé pour une échocardiographie complète et un test de stress à l’hôpital. C’était prévu pour deux semaines plus tard. Je suis rentrée chez moi, on m’a dit une fois de plus que je n’avais rien de préoccupant dans l’immédiat. J’ai posé des questions insistantes sur ma fréquence cardiaque élevée, ce qui, selon lui, pouvait être dû au fait que mon cœur était « déconditionné » à cause de mon inactivité pendant la quarantaine et pour être restée alitée pendant tant de jours. C’était peut-être en partie exact, car lorsque j’ai inclus par la suite une marche d’une heure, deux fois par jour, dans mon régime de récupération, ma fréquence cardiaque a commencé à se stabiliser, mais pas de manière cohérente.
On m’a dit que les palpitations étaient « probablement normales ». Elles n’étaient pas normales parce que je n’ai pas de palpitations cardiaques quotidiennes quand je suis en bonne santé, et elles ont continué des semaines après que ma fréquence cardiaque se soit quelque peu stabilisée. On n’a jamais fait mention de complications possibles du COVID, car tant que j’avais un résultat de test négatif, on supposait immédiatement et sans chercher plus loin que je n’avais pas cette maladie, malgré l’imprécision bien connue des tests. Les chercheurs savent maintenant que le COVID provoque de graves complications au cœur et à tout le système cardiovasculaire, mais mon cardiologue semblait totalement l’ignorer. Il m’affirma que ma douleur thoracique n’était pas liée au cœur. Il m’avait examinée pour tous les problèmes cardiaques connus en utilisant les outils de diagnostic disponibles, et en gros il m’a tapoté sur l’épaule et renvoyé chez moi. Mon échocardiogramme suivant et mon test d’effort furent jugés «normaux» malgré que mes palpitations et ma fréquence cardiaque anormalement élevée perduraient.
Quelques jours après ma première visite chez le cardiologue, mon mal de gorge et ma sinusite sont ENCORE réapparus et une nouvelle toux persistante et une douleur pulmonaire lancinante des deux côtés de la poitrine sont apparues. Mes trompes d’Eustache (entre les oreilles et la gorge) ont commencé à me faire mal et je me suis retrouvée à étouffer une fois de plus de mon écoulement post-nasal. De plus, je sentais du liquide suinter autour de mes poumons lorsque je me levais de la position allongée, ce qui restreignait ma respiration mais disparaissait après être restée debout pendant quelques minutes. Un autre nouveau symptôme était également apparu: une douleur nerveuse fulgurante qui me traversait la poitrine, sous mon aisselle gauche, le long de mon bras gauche. D’autres fois, ça se mettait dans ma jambe, ainsi qu’une ou deux fois dans mon urètre. Mon orteil engourdi restait engourdi. La douleur articulaire dans mes doigts et mes orteils continuait. La vibration intérieure continuait mais diminuait légèrement. Je suis retournée voir mon nouveau médecin de famille (j’en avais finalement obtenu un après 8 ans passés au Québec) pour une deuxième visite, et elle a ausculté mes oreilles et y a trouvé une inflammation du côté droit, là où je lui avais dit que la douleur était la pire. Elle m’a dit que le spray nasal stéroïdien devrait la résoudre. Je lui ai posé des questions le liquide qui suintait dans mes poumons et elle m’a répondu qu’elle en ignorait la cause, mais elle m’a programmé une nouvelle radiographie pulmonaire, d’autres tests sanguins et m’a prescrit de l’ostéopathie, de la massothérapie, de la physiothérapie et de la psychothérapie. Elle m’a également demandé un moniteur cardiaque Holter, mais a précisé que ça pourrait prendre des mois pour en obtenir un. Elle a réitéré que les médecins savent que les tests COVID sont inexacts. Elle a pris note de tous mes symptômes. Je lui ai demandé si je pouvais passer un test d’anticorps pour le COVID, mais elle m’a dit qu’ils n’étaient pas disponibles au Canada et qu’ils n’étaient pas assez précis. Elle a ensuite admis que la médecine moderne ne peut pas tout traiter seule et que les autres thérapeutiques pourraient découvrir d’autres causes aux nombreux problèmes que je rencontrais, ou du moins les aider à les atténuer.
À partir du 7 juin (jour 87), j’ai commencé à me sentir plus moi-même, mais le mal de gorge est réapparu – était-ce le quatrième round? L’écoulement postnasal a fait son grand retour. Chaque fois que mes symptômes refont surface, ce nouveau cycle est moins sévère et de durée plus courte, comme si mon corps reconstruisait lentement son d’immunité. Ma douleur thoracique/cardiaque a presque complètement disparu, mais le suintement de liquide (que je soupçonne être un épanchement pulmonaire mineur) continue et ma capacité pulmonaire en est diminuée. La petite toux qui part du sommet de ma gorge persiste, avec une sensation mousseuse. Mes douleurs articulaires s’atténuent lentement mais sont toujours là par intermittence, tout comme mes douleurs nerveuses. Ma fréquence cardiaque est en gros revenue à la normale et mes palpitations sont devenues de moins en moins nombreuses – de temps en temps, je sens encore les veines de tout mon corps battre fortement, en général quand j’essaie de faire du yoga ou de prendre un bain chaud. Mon système gastro-intestinal est en gros revenu à son état d’équilibre, avec une rechute occasionnelle. J’ai encore de profondes vibrations internes qui me tirent parfois du sommeil, ainsi que des douleurs occasionnelles du côté des «reins». Mais je suis, de loin, bien mieux que je ne l’étais il y a à peine deux semaines. Enfin, je suis récemment sortie faire une tranquille balade à vélo, et j’ai retrouvé un peu de joie de vivre.
Partie 1: Points à retenir: Le COVID-19 a été pour moi, et pour beaucoup d’autres dans mon cas, une maladie qui encapsule un certain nombre de symptômes connus d’autres maladies, tous à la fois ou les uns après les autres: maladies cardiaques, maladies cardiovasculaires, arthrose, maladies pulmonaires, maladies neurologiques dégénératives, maladies du tractus gastro-intestinal, maladies auto-immunes, etc. Des personnes qui en entendent parler (mais ne l’ont pas eue) l’ont comparée à la maladie de Lyme dont ils ont souffert. Je n’ai pas eu la maladie de Lyme, donc je ne sais pas comparer, mis à part l’ impact psychologique d’un diagnostic erroné ou non et d’une dépréciation/incompréhension de la part des communautés médicales et autres.
J’ai découvert que les neurologues savent maintenant que la maladie est une constellation complexe de symptômes dont l’équivalent le plus proche est la dysautonomie post-virale.
Partie 2: Les impacts psychologiques et sociaux du COVID-19
Pour moi, et pour de nombreuses autres personnes à qui j’ai parlé, avoir le COVID-19 est extrêmement traumatisant. Ça aboutit à un stress traumatique qui se manifeste par des sentiments accablants de danger imminent, de chagrin, de perte, d’anxiété, de panique, d’isolement et d’aliénation. J’ai ressenti et je continue encore parfois de ressentir toutes ces choses. J’ai également ressenti des sentiments de désespoir quand mon corps était assailli de symptômes de plus en plus nombreux, et que je me demandais quelle horreur potentiellement mortelle allait m’arriver ensuite.
L’anxiété et la panique qui découlaient du COVID-19 au moment où le monde était sous le choc de sa rapide propagation et de l’ignorance complète des conséquences de la première vague, étaient totalement paralysantes. Je n’ai pas pu fonctionner pendant plusieurs semaines, non seulement à cause de mes symptômes physiques invalidants, mais aussi parce que mon corps était en mode combat/vol constant. J’ai vécu une semaine entière où se succédaient crise de panique sur crise de panique, déclenchées par de petites choses. Quand je lisais le titre d’un nouvel article de presse qui mentionnait les morts du COVID (en particulier à cause de problèmes cardiaques), j’avais immédiatement une crise de panique. Si je regardais un film où il se produisait une détonation soudaine, j’éclatais en sanglots et une crise de panique s’ensuivait. J’ai essayé quatre fois, pendant trois semaines, de regarder un épisode de Westworld, et je n’y suis pas arrivée. J’étais réveillée la nuit par des crises de panique causées par mes cauchemars. J’ai pleuré chaque jour pendant environ deux mois, d’épuisement, ce qui alimentait ma panique. Je devais rester assise très tranquillement sur une chaise près de la fenêtre ouverte de la chambre, une douce couverture sur les épaules, à boire tasse de thé après tasse de thé et à regarder les bourgeons apparaître sur les feuilles, puis les oiseaux gazouiller et construire leurs nids, puis les fleurs et les feuilles sortir, toute une saison qui passe à essayer simplement de me concentrer sur les délices de la nature et rien d’autre, pour passer un après-midi, un jour à la fois, une semaine à la fois. Je regardais les gens rire dans le parc, visibles depuis la fenêtre de ma chambre, et ceux qui passaient à vélo, pleins de vitalité, et je n’arrêtais pas de me dire: encore un jour et ce sera moi là-bas, pleine de vie. Je devais faire des exercices de respiration pour réinitialiser mon système nerveux autonome et arrêter mes attaques. Je devais méditer sur un endroit heureux où je pouvais me sentir en sécurité et en paix. J’avais l’impression de faire une dépression nerveuse, et peut-être était-ce le cas.
J’étais aussi profondément blessée d’avoir parfois l’impression que je combattais inutilement quelque chose qui essayait très fort de me tuer, et de la possibilité d’affronter la mort seule. Chaque visite solitaire aux urgences ancrait cette idée de plus en plus en moi. Ce chagrin pèse toujours lourdement dans ma poitrine, même si le risque de mourir est devenu maintenant bien plus lointain. Ma vie (et celle des autres) m’apparaissait progressivement plus précieuse et plus fragile, directement mise en péril à la fois par le virus en moi et par toutes les personnes stupides, insouciantes ou arrogantes, infantiles, qui ne prenaient aucune précaution à l’extérieur. La frustration que ça engendre me fait grincer des dents d’inquiétude pour ma famille, dont certains membres sont extrêmement vulnérables et que je n’ai pas pu voir pendant des mois. Ma vie et mon bien-être dépendent aussi des leurs.
Devant le chagrin éprouvé pour tout ce que j’avais si soudainement perdu dans ma vie personnelle (MA SANTÉ, mon doctorat et la progression de ma carrière, pouvoir planifier mon avenir, ma capacité à participer à des réseaux et des activités professionnels, ma capacité à faire quoi que ce soit de productif) ainsi que la perte de la vie d’autrui, y compris un ami pas beaucoup plus âgé que moi qui est mort subitement, je me suis effondrée et j’ai réfléchi à tout et à tous ceux à qui j’avais besoin de pardonner. Devoir supporter le poids d’autres fardeaux était intenable. J’ai pardonné à mon partenaire tout ce qu’il avait jamais fait de mal dans notre relation, parce qu’il s’épuisait à prendre soin de moi. J’ai pardonné certaines des erreurs stupides et des méfaits commis par d’autres dans mon passé. J’ai laissé tomber tout ce que je pouvais de ma psyché, qui n’avait plus besoin d’être là, parce que je me sentais tellement accablée et brisée, et que ma voix est restée pendant longtemps à peine plus forte que le murmure d’une petite fille effrayée. Je pouvais à peine me reconnaître (et quiconque me connaît aura du mal à l’imaginer). J’ai pensé que je devais tenter de guérir mon cœur émotionnel autant que mon cœur physiologique. J’ai également éprouvé une profonde estime et un profond respect pour la force et l’endurance de quiconque souffre de douleur chronique et de maladie. J’ai trouvé une plus profonde compréhension des défis auxquels ma grand-mère a été confrontée tous les jours au cours de la dernière décennie, car j’ai vécu certaines des choses qu’elle vit au quotidien. Je me sentais comme une femme de 87 ans, malgré ma voix de petite fille effrayée.
L’isolement, l’aliénation et le désespoir sont des impacts interconnectés, aggravés par le manque de connaissances (et une certaine ignorance sexiste) du le système de santé sur le COVID-19. Se sentir gravement malade et voir qu’il est totalement impossible de se fier aux institutions censées diagnostiquer, traiter et guérir a été une expérience horrible. Je ne suis pas un adepte aveugle de la médecine conventionnelle, en aucun cas – j’ai personnellement de vives critiques à son encontre, en tant que féministe, et une grande partie de mon doctorat a trait à ce sujet. Mais je travaille également dans le domaine des biosciences et j’apprécie certains aspects du progrès scientifique, en promouvant ceux qui adoptent une approche mixte de la médecine et qui respectent ce que les gens (en particulier les femmes) disent aux prestataires de soins de santé de ce qui se passe dans leur corps. Mais en ce qui concerne le COVID-19, la médecine a *vraiment* laissé tomber beaucoup d’entre nous, ce fut un échec épique de réponse adéquate et un déni de la présence de la maladie elle-même, en dehors d’un petit ensemble de symptômes. Nous avons été invalidés et ignorés, parfois avec arrogance, et parfois à cause d’un manque fondamental de connaissances ou de cohérence du système. Cela peut être mortel, mais aussi incroyablement aliénant, car les directions des autorités sanitaires ont nié les graves expériences de maladie que de nombreuses personnes atteintes de COVID ont vécues. Nous nous sommes sentis fous, mis en doute par les médecins, mis en doute par des amis, mis en doute par des inconnus et même mis en doute par des membres de nos familles, insensibles ou ignorants. C’est la sempiternelle fausse accusation d’hystérie. C’est du gaslighting [manipulation mentale] médical, parce que les «autorités» ne contrôlent pas réellement la situation mais qu’elles veulent que les populations pensent qu’elles la contrôlent. Je me suis beaucoup battue contre ça, jusqu’à ce que je trouve des groupes de soutien – en particulier le Body Politic COVID-19 Recovery Support Group, animé par un «collectif de bien-être féministe queer» (bonjour les sorcières!) basé à New York.
Mais avant cela, j’avais créé mon propre groupe de soutien de base. Tout d’abord, une jeune artiste française m’avait contactée. Elle avait vu un post Facebook que j’avais publié sur ma douleur thoracique et s’est confiée à moi au sujet de son expérience du COVID d’alors. Elle m’a exhortée à continuer à chercher des soins médicaux et à ne pas ignorer mes symptômes. Au fil des semaines, elle est devenue une bouée de sauvetage essentielle, car elle était la seule personne à comprendre ce que je vivais, et elle était à juste titre agacée par l’ignorance et le manque de soins du système médical français. Puis un de mes associés m’a dit connaître quelqu’un à Montréal (une autre artiste féminine) qui vivait exactement les mêmes choses que moi, et m’a exhortée à la contacter. Quand je l’ai contactée, il s’est à nouveau mis en place un échange continu entre nous où nous comparions la similitude de nos symptômes. La seule différence était qu’elle n’avait toujours retrouvé aucun sens du goût ni de l’odorat après deux mois, et qu’elle avait été testée positive une fois sur les quatre tests qu’elle avait passés (les trois autres étaient négatifs). Sa péricardite et ses problèmes cardiaques semblaient également un peu plus aigus que les miens. Je l’ai mise en contact avec la première femme et nous sommes devenues une bulle de soutien de trois. Peu de temps après, j’ai été contactée à Montréal par une autre femme qu’une amie commune m’avait envoyée et qui souffrait également d’une péricardite et d’autres symptômes. Nous sommes alors devenues quatre piliers qui forment ensemble un refuge, nous aidant mutuellement à faire face à la réalité quotidienne des symptômes récurrents, des échecs médicaux et des sentiments de désespoir périodiques, et partageant toutes les informations et les ressources utiles. Ces femmes restent maintenant, et ont été, des soutiens essentiels dans le progrès de mon rétablissement. C’est la deuxième femme qui m’a parlé du Body Politic COVID Recovery Support Group, et je m’y suis rapidement inscrite.
Au sein de ce plus grand groupe de soutien en ligne, j’ai trouvé un nombre phénoménal (des milliers) d’autres personnes qui avaient toutes éprouvé les mêmes symptômes persistants que moi, à un degré alarmant de similitude (durée, moment, types de symptômes). Beaucoup d’entre nous sont tombés malades à la mi-mars. La péricardite était l’un des principaux symptômes, ainsi que les autres problèmes cardiaques: palpitations, rythme cardiaque rapide, étranges douleurs veinales et nerveuses du côté gauche du corps. Et aussi les vibrations internes, les douleurs articulaires, etc. etc. Mon expérience isolante de ma maladie s’est transformée en l’expérience de faire partie commune d’un organisme malade, qui souffre collectivement. Le groupe a produit une étude qui montre des facettes de ces données, mentionnées dans cet article (le lien vers l’étude est fourni à la fin de cet article dans la liste des ressources). Les personnes testées positives étaient probablement celles qui avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat, contrairement à celles qui avaient été testées négatives, mais la gamme des autres symptômes était la même. Ça rejoint ce qu’on voyait mon mini groupe de soutien de femmes artistes: deux d’entre nous ont été testées négatives, une n’a jamais été testée et une a été testée positive après de nombreux tests. Pourtant, nous avons toutes vécu *exactement* les mêmes choses à divers degrés de gravité.
Les médecins praticiens au Canada devraient être guidés par l’écoute de leurs patients et par les décideurs en matière de santé qui font le travail de se tenir au courant rapidement et constamment des recherches les plus importantes sur le COVID à l’échelle mondiale. On ne peut pas s’attendre à ce que les médecins eux-mêmes travaillent toute la journée à s’occuper des autres, puis fassent des recherches toute la nuit pour s’assurer qu’ils ont bien toutes les informations nécessaires. Ils sont également limités par les autorités sanitaires dans leur approche de la maladie. Les autorités sanitaires de différents pays n’apprennent pas suffisamment les unes des autres et ne prêtent pas attention aux recherches qui s’imposent le plus. Le Québec, où je vis, n’a pas eu la bonne réaction à la maladie, comme en témoigne le fait qu’il compte le plus grand nombre de cas et de décès au Canada. S’ils veulent rouvrir plus tôt que recommandé, ils devraient donner la priorité à de meilleurs traitements et soins, en particulier les soins à long terme et les soins de suivi. Selon mon amie en France, des études d’épidémiologie sont déjà en cours à Paris pour évaluer les symptômes atypiques à long terme du COVID. Non pas que la France se débrouille parfaitement dans la crise non plus, mais une grande partie du Canada est toujours pathétiquement ancrée sur l’obligation de ne porter un masque qu’en cas de fièvre ou de toux, malgré les conseils internationaux de scientifiques qui étudient la maladie, et ancrée sur la notion que les voyages internationaux sont le principal mode de transmission au lieu de mieux soutenir les communautés pour réduire la propagation. La transmission communautaire est aujourd’hui suffisamment massive pour que la question: « Avez-vous voyagé au cours des 14 derniers jours? » devienne presque sans objet. À cause de ces lacunes en matière de sensibilisation à la prévention, au Québec, nous sommes (certains d’entre nous) dans l’étrange illusion que, comme me disait un homme en me voyant entrer dans la pharmacie avec un masque, «Le COVID? C’est fini! «
Comme il est judicieusement écrit dans un article (je ne me souviens pas exactement lequel, mais j’ai mis le lien quelque part dans le texte): les seules personnes qui ne sont plus touchées par le COVID sont celles qui sont décédées.
Partie 3: Le travail à plein temps de guérison et de rétablissement
Je vais partager ici ma propre expérience des méthodes de rétablissement qui pourraient être intéressantes ou utiles pour certains de ceux qui souffrent encore du COVID-19, ou pour toute personne prenant soin de quelqu’un souffrant du COVID-19. J’ai eu le privilège d’être dans une certaine sécurité économique tout au long de ce que j’ai traversé et j’ai pu me permettre des suppléments coûteux, donc je reconnais que mes approches ne sont pas toutes praticables. Je reconnais également que ce relatif privilège (et le soutien d’un partenaire privilégié) m’a permis un rétablissement qui, très tragiquement, n’a pas été accordé à d’autres.
De plus, aucun de mes textes ne constitue un avis médical et je ne recommande à personne de faire ce que j’ai fait, car chaque corps est différent et personne ne sait vraiment comment traiter au mieux le COVID-19. Je dois également dire que bon nombre des médecins que j’ai vus étaient gentils et généralement inquiets pour moi, bien que souvent incapables de comprendre ce qui n’allait pas ou de ce qu’il fallait faire pour y remédier. Certains d’entre eux étaient clairement des connards prévisibles et vieille école, tandis que d’autres m’infligeaient indûment leurs frustrations. Heureusement, mon nouveau médecin de famille est assez formidable et ouverte d’esprit. Je suis reconnaissante aux personnes qui ont essayé de m’aider et qui ont mis leur vie en danger pour me prodiguer des soins, quels que soient ces soins, pendant cette crise. Mais surtout, tout au long de cette épreuve, j’ai eu à maintes reprises la preuve que les réseaux de soins qui m’ont le mieux soignée étaient les femmes pleines de sagesse que j’ai rencontrées (et souvent leurs partenaires), qui se sont rassemblées autour de moi et m’ont prodigué leur force, leurs connaissances, leur temps, leur cœur et leurs ressources.
Outre les interminables bulles de temps et de repos indifférenciés, les exercices de respiration entrecoupés d’exercices aérobiques très doux (la marche lente) et de quelques étirements mineurs, voici les choses que j’ai essayées avec un certain succès et sans effets secondaires. La liste de ce que j’ai utilisé pour tenter de me soigner est scientifiquement étayée pour le traitement de nombreux problèmes non liés au COVID, mais dont beaucoup se produisent lors du COVID-19. J’ai eu l’impression que le virus s’était attaqué à de nombreux systèmes de mon corps et j’ai adapté ma méthode pour en tenir compte, en changeant d’herbes/suppléments de temps en temps selon que j’en sentais la nécessité, afin de répondre à différents problèmes. J’ai eu le sentiment qu’il fallait continuellement surprendre le virus par de nouveaux types de défenses, car il ne cessait de me surprendre par de nouvelles attaques. Certains des suppléments que j’ai pris sont ceux dont j’avais entendu parler dans les récits de guérison complète du COVID sur les pages des groupes de soutien.
Rappelez-vous, je ne les ai pas tous pris en même temps.
Vitamine C – en continu, au moins 2000 mg/jour plus autant de fruits et légumes sélectionnés et de jus purs (sans sucre ajouté) que je pouvais ingurgiter. J’ai bu des jus de myrtille, de canneberge, de grenade, d’orange, d’orange-mangue et d’ananas, généralement dilués dans de l’eau.
Vitamine D – en continu, à 1000 UI/jour, que j’ai augmenté jusqu’à 2000 UI/jour lorsque mes poumons étaient le plus compromis.
J’ai complété la vitamine D avec de l’huile d’origan lorsque j’ai eu besoin d’un soutien pulmonaire supplémentaire. J’ai également ajouté de l’extrait de pépins de pamplemousseNutriBiotic à mon eau lorsque je luttais contre l’infection pulmonaire.
Vitamine B12 – en continu, d’abord prise sous forme de levure alimentaire ajoutée à ma nourriture, puis à la fin, je suis passée aux gouttes de B12 qui m’ont donné un excellent regain d’énergie (et je l’utilise pour reconstruire mes globules rouges).
Zinc – périodiquement au début, mais systématiquement après le deuxième train de symptômes.
Le miel cru, généralement tout ce qui était produit en local – en continu, mais surtout pour les maux de gorge et les écoulements post-nasaux. J’ai utilisé du miel liquide et aussi des pastilles de miel de manuka.
L’EAU – une tonne d’eau, en continu – un minimum de 1,5 L/jour, mais de préférence un peu plus. L’eau est pleine d’oxygène (H2O), mais aussi essentielle pour lutter contre l’inflammation, m’a dit un médecin. Je sentais très clairement que ce virus fonctionnait mieux dans un corps déshydraté, donc je n’allais pas lui donner cet avantage supplémentaire.
Huile d’eucalyptus – de brèves inhalations quotidiennes en vapeur (5 minutes) aussi longtemps que je sentais que j’en avais besoin (j’en ai encore parfois besoin) pour traiter l’inflammation bronchique et la sinusite. J’ai également utilisé un humidificateur avec de l’huile d’eucalyptus la nuit, quand mes douleurs thoraciques, respiratoires et sinusales étaient au pire.
Huile de lavande – au besoin, pour les maux de tête ou pour essayer de me calmer la nuit avant de dormir. J’en mettais dans le bain (quand je me sentais assez bien pour recommencer les bains sans craindre d’avoir une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral). J’en mettais également dans des bains de pieds aux sels d’Epsom, ou j’en frottais dans mes mains et l’inhalais avant de me coucher. J’ai aussi bu du thé à la lavande et à la camomille pour me détendre le soir, le moment où les symptômes s’aggravaient *toujours*.
Gruau d’avoine – pendant ma pire phase de détresse intestinale, c’était à peu près tout ce que je pouvais manger. Cela a apaisé mon tube digestif, ainsi que mes nerfs. J’en ai mangé en alternance ave de la banane, de la pomme, des graines de lin, des graines de chia, de la cannelle, du gingembre, du lait d’avoine, du miel ou du sirop d’érable. Le sirop d’érable est aussi, miraculeusement, un anti-inflammatoire! Un petite bénédiction. Une fois, j’ai même mangé du gruau avec des oignons et de l’ail. Je mange maintenant de l’avoine au petit-déjeuner tous les jours, car j’ai dû abandonner les œufs (nous en parlerons plus tard).
Réglisse – J’ai utilisé du thé à la réglisse et des pâtes à mâcher à la réglisse à base d’extrait de réglisse pur (et pas beaucoup d’autres ingrédients). C’était aussi pour apaiser mon tractus intestinal lors des pires accès de diarrhée. Cependant, j’y ai été mollo, car cela peut faire baisser la tension artérielle et j’avais déjà donné de ce côté-là.
Poudre de curcuma – en continu, SAUF lorsque je prenais du Naproxen (qui est également un anticoagulant). Les lattés au curcuma, avec du lait d’avoine et du miel, sont devenus mon café du matin. J’ai dû laisser tomber complètement le café (à cause des problèmes de cœur qui s’emballe), et à la place, je me faisais ce genre de boisson mousseuse le matin et parfois la nuit. C’était mon réconfort quotidien. Ça me tapissait la gorge et ça apaisait mon estomac, et c’est également un analgésique très efficace (un inhibiteur du récepteur COX-2, même mode d’action que les AINS), un anti-inflammatoire, un anticoagulant et tant d’autres choses bénéfiques qui m’ont aidée à faire face à cette maladie. Je n’en ai pas pris trop, car cela stimule également la thyroïde et je ne voulais pas me retrouver avec une hyperthyroïdie à l’issue de cette maladie .
Bromélaïne – tous les jours (sauf lors de la prise de Naproxen) – une enzyme protéolytique d’ananas qui dissout les caillots sanguins et les tissus cicatriciels. J’ai commencé à utiliser de la bromélaïne dès que j’ai arrêté le Naproxen, car je sentais qu’il était essentiel de continuer à fluidifier mon sang et de faire quelque chose pour empêcher la coagulation – cela me semblait être un bon complément au curcuma. De plus, je savais que la maladie provoquait la formation de tissus cicatriciels dans les organes vitaux. Depuis, je continue à prendre de la bromélaïne. Les caillots douloureux dans ma jambe se sont complètement dissous, bien qu’une certaine sensibilité demeure, ainsi que la masse de tissu cicatriciel qui s’était formée à l’endroit où ma dent était passée par ma lèvre. La bromélaïne a été l’un des suppléments les plus importants.
Teinture de sureau pour le soutien immunitaire, mais je ne l’ai pas utilisée lorsque je me sentais dans la phase la plus aiguë de la maladie et que je pensais que mon système immunitaire pourrait attaquer mon corps. Je n’ai pas de maladie auto-immune, mais traiter le COVID me semblait être un exercice d’équilibre délicat pour soutenir la fonction immunitaire, mais pas trop, à certaines phases de la maladie. Ma sorcière de cousine herboriste a préparé le sureau et me l’a envoyée avec un ensemble de produits de soins.
Teinture d’absinthe (artemisia/armoise), également préparée par ma cousine – je l’ai utilisée sporadiquement et avec parcimonie, car elle peut être toxique. J’ai commencé en la combinant avec de petites doses de capsules de teinture de noix noire et de clou de girofle vendues dans le commerce. Je bois aussi du thé d’artémisia, avec de l’herbe que j’ai cueillie moi-même dans la ferme de ma famille en me promenant avec ma cousine l’année dernière.
Teinture d’usnée, un autre anti-viral, également préparée par ma cousine.
NAC, ou N-acétylcystéine, qui est produite par le corps mais est utilisée comme supplément pour réduire l’inflammation dans les bronches, ainsi que pour la désintoxication et la reconstruction du foie (beurk, tous ces médicaments que j’ai pris!) et encore bien d’autres choses.
Mélatonine (3 mg) – J’en ai pris tous les soirs pendant environ 3,5 semaines pour m’aider à dormir (j’étais en manque grave de sommeil), ainsi que pour bénéficier de son excellente action anti-inflammatoire. C’était une aubaine, mais je ne voulais pas en prendre trop longtemps au risque que cela puisse éventuellement inhiber ma propre production corporelle.
Magnésium (500 mg) – pour le soutien neurologique, ainsi que pour aider à faire face aux étranges crampes musculaires.
Glutathion liposomal – *très* cher. Votre corps produit de toute façon du glutathion, à partir du NAC, donc cela peut être un complément inutile autrement que pour un coup de pouce. Mais lorsque vous vous battez pour sauver votre vie, vous faites n’importe quoi qui pourrait vous donner un avantage supplémentaire.
Teinture Dan Shen (Red Sage) – ce remède de médecine chinoise m’a été recommandé par une sorcière herboriste de New York que je connais et qui me l’a envoyé par la poste. Il aide à réparer les vaisseaux sanguins, le cœur et le cerveau. Je l’ai utilisé au troisième round, pour tenter de résoudre les problèmes qui restaient et pour reconstruire mon système vasculaire. Cela semble être ce qui a finalement arrêté la douleur cardiaque.
Ginseng nord-américain (capsules, le nom commercial est Cold FX) – pris au début, puis interrompu jusqu’aux derniers stades de la phase de rétablissement (maintenant).
Extrait de champignon Cordyceps (poudre, gélules) – J’ai utilisé cet antiviral au début de l’infection et j’en reprends au stade actuel.
Poudre de spiruline – mélangée à du jus d’orange, c’est depuis longtemps l’un de mes préférés, pour stimuler l’énergie. Je fais également attention de ne pas en prendre trop, car il s’agit d’une algue marine riche en iode, qui peut perturber la fonction thyroïdienne.
L’AIR (oxygène) – Je n’ai jamais autant apprécié les choses basiques telles que l’air et l’eau. Pratiquer des exercices de respiration et tenter de reconditionner mes poumons en étant à l’extérieur dans les bois ou près de l’eau a été un aspect central de mon rétablissement.
Molène (fumée) – non, je ne l’ai pas fumée – je l’ai brûlée en petites quantités et j’ai laissé la fumée se répandre dans la pièce, en la respirant doucement. La molène est utile pour l’asthme et l’ouverture des bronches, et sent plutôt bon, ce qui est apaisant.
Huile d’arnica – Je l’ai utilisée pour les douleurs musculaires et articulaires. Je savais que je n’étais pas allergique à la plante (certaines personnes le sont) parce que je me souviens avoir cueilli des fleurs d’arnica un été dans les montagnes de Grand Téton, dans ma vingtaine, pour les utiliser comme remède. J’adore aussi son odeur.
Huile de bois de santal – Je la frotte sur ma thyroïde (région du cou). J’ai vraiment senti que le virus avait foutu le bordel dans ma thyroïde, provoquant des douleurs fulgurantes dans cette zone. J’ai lu que l’huile de bois de santal est censée équilibrer une thyroïde hyperactive – est-ce que cela pourrait aussi être la cause de l’accélération de ma fréquence cardiaque? J’ai une excellente huile de bois de santal que j’ai ramenée d’une visite dans une distillerie en Australie occidentale. De plus, une odeur très relaxante.
Quercitine (capsules) – J’ai récemment commencé à en prendre, après avoir lu ceci. C’est un bioflavinoïde qui, comme je l’ai également lu ailleurs, est bon pour aider le corps à surmonter la maladie.
Bouillon d’os, que je fais moi-même en faisant bouillir des os de poulet, avec du vinaigre ajouté à l’eau, ainsi que des restes de légumes que je garde au congélateur. C’est de l’or liquide, à mon avis. La recette de la soupe au poulet de grand-mère n’échoue jamais.
Ail – énormément d’ail. De l’ail cru, écrasé sur la nourriture ou grignoté à même la gousse à chaque bouchée de nourriture. Peut-être que le répulsif classique contre les vampires fonctionne sur le coronavirus de la chauve-souris qui veut corrompre mon sang et mes veines?
L’huile de CBD – m’a sauvée, comme analgésique et pour calmer l’anxiété. J’ai un spray que je vaporise sous ma langue pour un soulagement assez rapide.
J’ai utilisé toutes ces choses dans différentes combinaisons, pour différentes périodes de temps.
Quelques autres tisanes que j’ai utilisées: racine de guimauve, racine de pissenlit, racine de valériane, feuille d’ortie, fleur de pois papillon bleu, mélisse, gingembre. J’ai bu beaucoup de tisane, mais je l’ai également équilibrée avec beaucoup d’eau, car beaucoup de thés sont des diurétiques.
Mon régime alimentaire a radicalement changé pour devenir un régime anti-inflammatoire strict, semblable à ce que suivent les personnes atteintes de maladies auto-immunes. J’ai eu tellement de zones d’inflammation dans mon corps (cœur, poumons, gorge, œsophage, oreilles, sinus, etc.) et de nouveaux symptômes auto-immuns (douleurs articulaires), qu’il est devenu nécessaire d’être plus vigilante que la normale, de faire de la nourriture mon médicament. Je suis un gourmet hédoniste, donc ça craint vraiment, mais j’ai aussi relevé le défi avec tout l’enthousiasme dont je suis capable. C’est devenu mon nouveau projet de recherche, mais c’est mon partenaire qui a préparé toute la nourriture en fonction de mes besoins car pendant très longtemps (des semaines et des semaines), je ne pouvais RIEN faire d’autre que me reposer, pleurer, m’écrire des déclarations désespérées, respirer, écouter des méditations guidées et regardez Netflix ou Prime dans mon lit. Je maintiens une discipline dans mon régime, sinon, c’est la DOULEUR et les poussées de symptômes assurés. Je suis simplement reconnaissante de pouvoir à nouveau manger et profiter de la nourriture, de n’importe quel aliment, après des semaines de liquides et de flocons d’avoine et sans aucun appétit. Parfois, je ne pouvais pas manger du tout parce que j’étais si remplie d’anxiété, de chagrin et de désespoir, que je pleurais rien qu’en essayant de mettre de la nourriture dans ma bouche – de la nourriture dont je savais que j’avais besoin pour continuer à me battre et rester en vie. J’ai également traversé une période où je semblais engouffrer sans difficulté ma nourriture et mes liquides, ce qui était étrange et effrayant.
Donc:
J’ai complètement arrêté l’alcool. Pouah. Le cardiologue et mon médecin de famille me l’ont tous deux conseillé. Mes cocktails de gin occasionnels, prosecco, verre de vin ou Aperol spritz me manquent, car j’ai l’impression qu’ils font partie de qui je suis (j’étais), mais un jour je pourrai en boire à nouveau, me dis-je. Peut-être quand je pourrai à nouveau sortir librement dans un bar à cocktails local.
J’ai éliminé la caféine (principalement le café). Aie. J’adore un bon café fort le matin – mmm, les boissons à base d’espresso sont mes préférées. Mais je ne pouvais même pas faire de thé vert, car un cœur qui bat la chamade n’a pas très envie de caféine. De plus, l’anxiété causée par cette maladie est RÉELLE et je n’ai pas besoin d’en avoir encore plus. Je pourrais recommencer le thé vert lentement, bientôt, en raison des avantages qu’il offre.
J’ai supprimé le sucre, sauf le miel et le sirop d’érable, car ils présentent de grands avantages pour la santé. Je ne suis pas très sucrée. J’avais un faible pour les croissants aux amandes, mais bon.
J’ai arrêté le pain, ou tous les produit à base de blé et les produits de boulangerie – l’obligation de cuire son propre pain en quarantaine ne me concernait pas. Et plus de pâtes, de couscous, de pizza ou de pierogis, etc. En fait, cela a été étonnamment facile, malgré ma vieille passion pour les toasts au beurre, mais mon partenaire doit manger sa pizza en secret pour ne pas me torturer complètement.
J’ai arrêté les œufs. Ils ont été très difficile à abandonner – j’adore les œufs et j’en mange tous les jours au petit-déjeuner. Ils ont de nombreux avantages, mais provoquent également une réaction inflammatoire dans le corps. Dès que je les ai arrêtés, ma douleur s’est beaucoup calmée. J’ai faillit mangé un œuf aujourd’hui, mais je me suis dégonflée (haha).
J’ai arrêté tous les produits laitiers. Même le yaourt. Les produits laitiers sont un agent inflammatoire bien connu et provoquent des mucosités. J’adore le fromage (mmm, le gouda fumé, la feta, le brie …) et ça me manque tellement, surtout sur une baguette… Je remplace le yogourt par la choucroute, pour quand même trouver des probiotiques. Aussi, je mange du miso, du tempeh et je bois de petites quantités de kombucha de temps en temps, dans le même but.
J’ai arrêté les graisses frites. Fini les délicieuses chips pour les collations occasionnelles. Je les ai remplacés par des noix – beaucoup de noix – des noix de pécan, des noix, des noix de cajou, des amandes, des noix du Brésil (anti-inflammatoires et aussi pour soutenir la thyroïde). Et les graines – les graines de tournesol, les graines de citrouille. Tout ça me fournit vraiment ma dose de bonne graisse.
J’ai arrêté tous les membres de la famille des morelles – tomates, pommes de terre, aubergines, poivrons. Plus de sauce pour pâtes, mais je ne mange plus de pâtes de toute façon, alors, bon, quoi.
Alors, que puis-je manger, bordel? Je suis certaines lignes directrices fournies dans cet article, car la plupart de mes symptômes sont d’origine cardiovasculaire. Qu’est-ce qui est anti-inflammatoire à l’extrême? Beaucoup de légumes. Je mange beaucoup de putains de légumes et de fruits, en particulier des légumes verts et des baies qui ne ruinent pas mon budget. Je mange des salades extravagantes, avec autant de graisse oméga que je peux combiner: huile d’olive, avocats, noix et graines. Elles comprennent également du céleri, des herbes et des baies, mais PAS de tomates. J’ai aussi récolté des feuilles de pissenlit et des têtes de violon dans ma cour et dans la zone riveraine le long de la rivière des Outaouais. Je mange du poisson (principalement local), comme la morue et le saumon, et je mange des algues (mais encore une fois pas trop, à cause de leur forte teneur en iode). Je mange parfois du poulet et du bœuf, très rarement. Je mange du riz basmati de temps en temps, ou du quinoa, mais je limite cela aussi. Je mange des champignons, de toutes sortes, mais surtout du shiitake. Je mange des soupes, en particulier des soupes avec du bouillon d’os et/ou du lait de coco. Je suis également vigilante par rapport aux inhibiteurs de l’ECA [NdT. enzyme de conversion de l’angiotensine] (autres que les œufs et les produits laitiers), comme les choux de Bruxelles, les pruneaux, etc. Je mange parfois des pâtes de riz, mais aussi avec parcimonie. Je mange du chocolat noir en petites quantités, parce que… les petits plaisirs de la vie, et c’est sain. Heureusement, j’ai repris tout le poids que j’avais perdu lorsque j’étais au plus misérable. Donc, je pense que je peux suivre ce régime anti-inflammatoire pendant un certain temps, jusqu’à ce que je me sente à 110% de moi-même. Ensuite, je dévorerai à nouveau certains de mes aliments et boissons préférés, lentement et un à la fois. Les œufs en premier. Puis la pizza. Puis un cocktail au gin de sureau. A la vôtre!
Le système nerveux central – un disjoncteur déclenché
Récemment, j’ai rejoint l’étude COVID-19 sur le cerveau, une étude mondiale sur la façon dont le virus affecte la cognition. Je ne m’attendais pas à me sortir aussi mal des tests de fonction cognitive de cette étude, donc mes résultats étaient un peu déprimants. Je savais que j’avais eu d’importants problèmes de mémoire à court terme pendant le COVID, mais je ne me rendais pas vraiment compte de leur ampleur. Je lutte depuis des semaines pour trouver certains mots en parlant, et je souffre d’une incapacité à me les rappeler au moment où je veux les utiliser. Je perds constamment le souvenir de la raison pour laquelle je rentre dans une pièce pour y faire quelque chose, je reste plantée là, pendant plusieurs minutes, avec le regard fixe d’un poisson rouge, essayant de me souvenir de ce que je faisais juste avant d’entrer dans la pièce. Plus particulièrement, je suis souvent incapable de conserver la moindre notion de mes activités de la nuit précédente, du film que j’ai regardé, etc. Je dois demander à mon partenaire d’essayer de me rafraîchir la mémoire, l’obligeant parfois à raconter plusieurs détails avant que la lumière ne se rallume dans ma tête. J’ai également remarqué un effet retard dans ma capacité à former de nouvelles voies neuronales. Par exemple, si je déplace un pot de quelque chose – du thé, par exemple – vers un nouvel emplacement, je retourne à plusieurs reprises à l’ancien emplacement pour le chercher. Ce n’est pas normal pour moi. En règle générale, ça ne m’arrive de chercher quelque chose à son ancien emplacement qu’une seule fois (au maximum), puis une nouvelle voie neuronale se forme pour m’aider à me rappeler qu’elle se trouve maintenant dans un endroit différent. Ma mère dit en plaisantant que c’est sa normale à elle, mais mon cerveau n’est pas censé fonctionner comme celui d’une personne de 70 ans.
Toutes ces défaillances cérébrales sont nouvellement apparues, dans le laps de temps relativement court de cette maladie. Je ne suis pas soudainement entrée en périménopause. Je suis très certainement distraite par le traumatisme de ce que j’ai enduré et le chaos qui règne dans le monde en ce moment, car je n’ai pas pu me concentrer sur autre chose. Beaucoup d’entre nous, avec ou sans COVID, vivent la même chose. Cependant, la distraction seule n’est pas responsable de l’abîme de perte de mémoire à court terme contre lequel je me bats. Je n’avais de ma vie jamais perdu mes mots de cette façon. Je suis une écrivaine et une érudite – les mots sont mon médium (en plus de mes médiums en arts visuels). Les mauvais résultats que j’ai obtenus lors de l’étude sur le cerveau COVID-19 sont un indicateur choquant des impacts neurologiques persistants de cette maladie.
Heureusement, cela n’a pas l’air d’être tout à fait permanent, car les jours passent et une partie de ma neuroplasticité semble se rétablir. Je me suis souvenue du nouvel emplacement du pot tout récemment, et j’étais fière (et soulagée). J’ai déjà subi un traumatisme crânien, il y a environ 30 ans. Juste après l’accident qui l’a causé, j’étais incapable de compter les pièces dans la caisse au travail. Je m’étais trompée sur la monnaie que j’avais rendue aux clients sur leurs commandes de poisson-frites, et mon sale con de patron m’a congédiée pour avoir décidé de quitter mon service plus tôt pour aller à l’hôpital. Je me souviens de mon état de confusion tandis que j’essayais de comprendre ce qui m’arrivait, pendant que je vomissais dans une casserole et qu’on me préparait pour mon scanner. J’ai ressenti une désorientation similaire aux traumatismes crâniens dans mon COVID-19.
À différents stades de cette maladie, j’ai eu pendant plusieurs nuits d’affilée de graves maux de tête généralisés qui refusaient de cesser – pas des maux de tête classiques qui disparaissent avec des analgésiques, mais un mal de tête du style « plaques-qui-poussent-contre-mon-crâne », qui rayonnait jusque dans les racines de mes dents de devant/mes sinus. Quelques semaines plus tôt, j’avais ressenti une pression à l’intérieur de mon crâne qui rendait mes globes oculaires chauds et gonflés, même si je n’avais pas de fièvre. Mes globes oculaires semblaient même un peu volumineux dans le miroir, ce qui était étrange, et ma mère l’avait fait remarquer après avoir vu un selfie que je lui avais envoyé. Mes analyses sanguines pour la maladie de Graves étaient revenues négatives, donc mes globes oculaires bombés ne venaient pas de ma glande thyroïde, heureusement. J’ai également éprouvé quelques troubles mineurs de la vision: je voyais des choses pelucheuses flotter dans ma ligne de vision, comme de petits fils de lumière ondulés, et ma vision était légèrement floue, par intermittence. Le médecin de la salle d’urgence à qui j’en avais parlé avait haussé les épaules, alors je les avais oubliés (ha!) au milieu de tous les symptômes mortels les plus immédiats qui m’assaillaient alors.
Mon système nerveux central, cependant, se comporte toujours comme un disjoncteur déclenché. Les vibrations internes que je ressentais depuis le début sont toujours présentes, quoique beaucoup plus subtilement ces derniers jours. Ces profonds tremblements intérieurs à haute fréquence ne sont perceptibles que la nuit quand ils me tirent de mon sommeil, ou le matin lorsque je me réveille pour la première fois. Je les sens dans mon torse et parfois dans mes bras. Ils ne sont pas visibles de l’extérieur – je ne tremble pas – c’est juste un bug interne. J’envisage d’essayer l’acupuncture, afin de réinitialiser le fusible, pour ainsi dire.
Enfin, j’ai aussi des acouphènes périodiques et récurrents, et ma coordination est COMPLÈTEMENT hors service. Non seulement je suis particulièrement maladroite depuis deux mois quand je suis chez moi, me blessant les orteils et les tibias, mais hier, j’ai encore pris une sérieuse gamelle en vélo, sans raison concrète – pour la deuxième fois depuis que cette maladie s’est emparée de moi. Une telle chose ne devrait jamais m’arriver – je suis cycliste, pour l’amour de Dieu. La dernière fois que j’avais pris une gamelle en vélo avant le COVID, c’était en sixième année. J’ai toujours eu des réflexes très fins, comme ceux d’un chat.
Le système nerveux périphérique
Un grand nombre des symptômes de phase aiguë que j’ai ressentis avant (et que j’éprouve encore occasionnellement) semblent venir d’un dysfonctionnement du système nerveux autonome: tachycardie et essoufflement, chute de tension artérielle, palpitations cardiaques, dérégulation de la température corporelle, sueurs nocturnes sévères, soif extrême, diarrhée, rapide perte de poids, diminution du contrôle de la vessie, crises de panique/d’anxiété extrême, étourdissements en me levant, etc.
De même, d’autres parties de mon système nerveux périphérique ne se sont pas non plus complètement rétablis. J’ai des douleurs nerveuses persistantes, que je sens voyager dans le haut de ma poitrine et dans mon bras gauche, en passant par mon aisselle. J’ai également des douleurs articulaires continues dans deux articulations symétriques de l’annulaire, et j’ai un orteil est continuellement engourdi.
Soulagement temporaire et clarifiant
Récemment, j’ai fini par prendre conscience qu’avec le COVID, je suis depuis le début comme la grenouille dans la casserole d’eau, inconsciente de la plupart des dommages neurologiques que j’ai endurés – vous connaissez la vieille théorie: on met la grenouille dans un pot d’eau, on allume le gaz et on laisse chauffer lentement, et la grenouille ne comprend à aucun moment qu’elle va bouillir à mort parce que la chaleur est progressive (n’essayez pas ça à la maison, les amis). Ma prise de conscience est venue sous la forme d’une pilule appelée Pepcid. Mon médecin m’a suggéré d’essayer un antiacide à délivrance libre pour soulager certains de mes symptômes pulmonaires, pensant qu’ils pourraient provenir d’un reflux acide. J’ai trouvé des références en ligne sur le Pepcid (famotidine), utilisé avec succès par un certain nombre de personnes souffrant de COVID, et aussi qu’il peut avoir d’autres indications pour le COVID. Ma première dose a changé ma vie. Je vous explique:
J’ai actuellement une sinusite sévère et un écoulement post-nasal, ainsi que les oreilles internes enflammées, le visage douloureux et enflé et des maux de tête avec pression des globes oculaires (comme je l’ai mentionné). Alors que je me suis allongée dans mon lit la première fois après avoir pris du Pepcid, en attendant de m’endormir (ce qui me prend généralement une heure), j’ai senti un dégagement lent et miraculeux de mes sinus – le système de cavité sinusale ENTIER: maxillaire, frontal, ethmoïde et sphénoïde. Soudainement, j’ai senti un flux d’air dans mon crâne comme je n’en avais plus connu depuis des mois. J’ai senti mes conduits auditifs se dégager, presque comme lorsque on ajuste la pression dans ses oreilles en gravissant une montagne. Et puis il s’est aussi produit un changement dans mon cerveau. Soudain, j’ai commencé à sentir une odeur de pain grillé. Il était minuit, la maison était fermée pour la nuit, et il n’y avait en fait aucun toast qui grillait où que ce soit. Fatiguée et en attente de sommeil, je n’y ai pas beaucoup réfléchi. Peu de temps après, je me suis endormie, avec la meilleure respiration que j’avais connue depuis longtemps. Puis, je me suis réveillée en pleine nuit et j’ai senti une odeur de plastique chaud. J’ai pensé que le ventilateur de la chambre, que j’utilise parce qu’il fait un bruit qui me berce, risquait peut-être de prendre feu. Trop fatiguée pour vraiment m’en soucier, je me suis rendormie. Quand je me suis réveillée le matin, claire et alerte à 6h du matin (cela n’arrive jamais!), j’ai de nouveau senti une odeur de pain grillé. J’ai réalisé à ce moment que j’avais des hallucinations olfactives. Je me suis levée et je suis allée dans la salle de bain, et j’ai senti des choses que je n’avais plus senties depuis des mois – comme l’air frais qui entre par la fenêtre chargé d’une odeur capiteuse de feuilles humides, de plantes et d’arbres. Je n’avais pas encore réalisé que mon sens de l’odorat avait été réduit à moins de moitié jusqu’à ce que je le récupère. Les seules odeurs que je repérais étaient les plus fortes, comme celle des bananes très mûres placées directement sous mon nez ou celle, enivrante, des fleurs d’asclépiade sur le sentier pédestre. Je ne peux pas exprimer la joie que j’ai ressentie à retrouver une partie de moi-même, ni la crainte de savoir que ça dépendait de la prise d’une pilule contenant un antagoniste des récepteurs H2 de l’histamine. Le COVID provoque-t-il une intolérance à l’histamine? Et mes nouvelles hallucinations indiquent-elles des dommages neurologiques plus graves que ceux que j’ai déjà identifié?
Rechute(s) du COVID
Au 110éme jour, j’ai fait une rechute assez sévère. Elle était plus effrayante que mes rechutes précédentes en raison de l’apparition de nouveaux symptômes et de nouveaux problèmes. D’abord, j’ai eu une étrange anomalie du sens du goût ce soir-là alors que je mangeais de la salade pour le souper: c’était comme si je mâchais du papier d’aluminium au lieu de la salade. Cependant plus spécifiquement, mon taux d’oxygène sanguin a chuté. Cela s’est produit après mon retour à l’hôpital où j’avais passé un test complet de la fonction pulmonaire. On m’avait demandé d’utiliser un inhalateur de salbutamol pour le test, et même si cela semblait m’aider à respirer un peu plus facilement sur le moment, cela a également causé des mucosités épaisses et une congestion dans mes poumons et ma gorge un peu plus tard. Avant d’aller me coucher ce soir-là, ma tachycardie était revenue, pour la première fois depuis des semaines – je savais que le salbutamol pouvait provoquer une accélération du rythme cardiaque, mais c’était quelques heures plus tard. Je me suis endormie avec ma fréquence cardiaque à 90 au repos, sentant mon pouls palpiter dans mon visage. Je fus réveillé vers 5 heures du matin par des douleurs cardiaques/thoraciques et des douleurs nerveuses dans la poitrine et le long de mon bras gauche. Mon partenaire a utilisé un oxymètre de pouls pour vérifier ma fréquence cardiaque et a remarqué que mon taux d’oxygène dans le sang était en chute libre, jusqu’à 79%. C’était un cas de ce que les cercles médicaux appellent maintenant une « hypoxie heureuse », particulière au COVID-19, où les signes de détresse respiratoire qui devraient intervenir lorsqu’on est en manque sévère d’oxygène sont absents. Mon partenaire ne m’a pas dit à ce moment-là que j’étais en train d’étouffer inconsciemment, pour ne pas déclencher de panique, mais m’a plutôt dit de respirer profondément et régulièrement pendant quelques minutes. Je pensais qu’il voulait simplement réduire mon rythme cardiaque. Il a attendu un moment, jusqu’à ce que mon taux d’oxygène dans le sang revienne à un niveau normal, avant de nous laisser nous rendormir tous les deux. Le fait que mon taux d’oxygène dans le sang se stabilise avec une respiration consciente contrôlée me dit qu’il était probablement lié à ma dysautonomie – comme si mon système nerveux autonome oubliait de s’assurer que je respirais pendant que j’étais inconsciente, comme dans l’apnée du sommeil, mais pas tout à fait. Ma tension artérielle a également, au cours de la semaine dernière, chuté à nouveau à un niveau extrêmement bas (77/60), me laissant extrêmement étourdie lorsque j’essayais de me lever du lit – une autre caractéristique dysautonomique.
La semaine précédente, j’avais réussi à parcourir 60 km (avant ma gamelle en vélo). Je sentais que j’étais en bonne voie de rétablissement complet. Maintenant, je suis limitée une fois de plus à la marche lente , pour toutes ces raisons. À l’heure actuelle, un simple exercice physique fait grimper à nouveau ma fréquence cardiaque. C’est comme si j’étais revenue à mon état d’il y a un mois, à certains égards, et que je recommençais à zéro tous mes efforts de rééducation.
Réhabilitation globale
Ce que nous savons maintenant, c’est que le COVID-19 attaque plusieurs systèmes (tous à la fois ou l’un après l’autre). Cela nécessite une approche holistique de la guérison, mais la médecine occidentale n’est pas conçue pour le faire. Ce que cela a signifié pour moi, c’est que j’ai pataugé continuellement dans le système afin d’accéder à de nombreux spécialistes non-connectés entre eux: cardiologue, pneumologue, neurologue, ostéopathe, physiothérapeute, massothérapeute… puis j’ai dû rassembler les informations glanées de chacun pour tenter de recomposer un image entière. Il faut trouver en soi la résolution pour se défendre avec véhémence tout en étant malade et physiquement diminué, mais ce n’est rien de nouveau – surtout pour ceux qui souffrent de maladies chroniques.
Récemment, j’ai commencé des séances chez un ostéopathe très compétent et respectueux. Cela m’a un peu sauvé à la fois la vie et la santé mentale à ce stade de la maladie. Elle m’a étonnée par les explications et les solutions qu’elle a fournies pour certaines des difficultés que j’ai rencontrées. L’un des premiers endroits de mon corps sur lequel elle a travaillé est un gros faisceau nerveux situé sous l’aisselle. Elle n’était pas du tout surprise de l’emplacement de ma douleur nerveuse parce que ce faisceau nerveux spécifique, a-t-elle expliqué, est affecté par les problèmes cardiaques et pulmonaires. Enfin, une chose qui a du sens! Une réponse. C’est énorme! Chaque fois qu’une pièce du puzzle s’ajoute, je ressens non seulement un soulagement physique, mais aussi un soulagement psychologique.
L’ostéopathe a également travaillé la zone autour de mon estomac, du diaphragme et des côtes, relâchant la tension sur mon côté gauche afin de m’aider à mieux respirer. Elle m’a effectivement montré que mes problèmes pulmonaires restants étaient causés par un système de drainage lymphatique globalement stressé, y compris les reins, en travaillant sur les canaux des fluides corporels pour me montrer comment mes poumons pouvaient s’ouvrir complètement lorsqu’elle appliquait une pression sur certaines zones. Elle a expliqué que la péricardite (liquide autour du cœur) et le liquide dans/autour de mes poumons avaient exercé un stress supplémentaire sur mon drainage lymphatique. Cette réponse était la plus importante de toutes, parce que je souffre de toux et de suintements de liquide dans les poumons depuis 16 semaines maintenant. Mais plus important encore, elle a identifié la nécessité de desserrer un type spécifique de tissu situé à la base du crâne, où j’ai ressenti beaucoup de douleur, afin que le drainage des fluides puisse s’y produire pour relâcher la pression dans la partie supérieure du crâne et soulager mes maux de tête. Il y a encore du travail à faire et j’aurais aimé pouvoir commencer à travailler avec elle beaucoup plus tôt, mais les installations comme celles-ci viennent seulement maintenant de rouvrir leurs portes aux clients. Ce type de soins n’était tout simplement pas disponible il y a deux ou trois semaines.
J’ai également commencé à travailler avec un physiothérapeute, qui m’a prescrit une séquence d’exercices doux pour renforcer la musculature autour de ma colonne vertébrale, ainsi que pour agrandir ma cavité thoracique. J’ai une vieille fracture de compression vertébrale (T7) après avoir chuté en arrière en 2007, et j’ai maintenant expliqué à un certain nombre de spécialistes de la santé que je pense que le virus a pénétré dans ma colonne vertébrale par ce point de fracture. J’ai SENTI que cela se produisait et c’était atrocement douloureux dans les vertèbres en question, me faisant craindre ma vieillesse lointaine presque autant que je craignais la mort immédiate. Cependant, la physiothérapie a des effets bénéfiques et me permet à nouveau de me sentir un peu plus en contrôle de mon corps. Mon physiothérapeute m’a suggéré de me procurer un Fitbit, pour surveiller ma fréquence cardiaque fluctuante et mieux comprendre quel est mon seuil réel d’activité physique maintenant, au lieu de simplement le deviner et de payer les conséquences (rechute) plus tard.
La farce de la politique de santé COVID/La réadaptation négligée pour les victimes du COVID long
Heureusement, mon médecin généraliste est ouverte d’esprit et compréhensive (c’est elle qui a prescrit les traitements ci-dessus, après tout), mais est toujours déterminée à trouver un « diagnostic » qui n’inclut pas nécessairement le COVID-19. C’est une diligence raisonnable de sa part de veiller à écarter d’autres maladies graves, donc j’applaudis sa minutie et je lui en suis reconnaissante. Pour l’instant, elle a hâte de voir les résultats des tests de conduction nerveuse qu’elle m’a prescrits et elle soupçonne fortement que quelque chose d’anormal y apparaîtra, mais elle attribue par ailleurs mes autres symptômes à une éventuelle hyperthyroïdie. C’est aussi une toute nouvelle possibilité depuis le COVID, et qui nécessite une cinquième série de prises de sang.
Mais, chers lecteurs, nous devons nous demander: pourquoi la réticence générale de la communauté médicale et des politiques de santé en général à reconnaître ou à diagnostiquer le COVID-19 sur la base de preuves cliniques abondantes et croissantes? Surtout quand cela fausse très certainement les chiffres par rapport au nombre de ceux qui ont RÉELLEMENT EU LE COVID?
Beaucoup d’entre nous, lorsque nous avons finalement été autorisés à passer un test, des semaines ou un mois plus tard, ont été testés négatifs, ce qui nous indique en fait que le virus n’était plus dominant dans nos sinus au moment du test. De plus, parce que beaucoup d’entre nous n’ont pas eu de fièvre, qui reste le principal symptôme de diagnostic clinique – même si les professionnels de la recherche des contacts aux États-Unis affirment sur les réseaux sociaux que la fièvre n’est pas l’un des symptômes courants qu’ils observent dans les infections et la distribution du COVID (hé vous tous, ce n’est PAS une grippe – mettez-vous ça dans le crâne). On sait qu’il peut ne jamais apparaître de fièvre. Et, parce que les directives de l’OMS sont au mieux conservatrices. L’OMS n’a toujours pas reconnu que les gens souffrent de COVID pendant bien plus de deux semaines, ce qui est ridicule. Récemment, j’ai fait partie d’un groupe de survivants du COVID qui a publié une lettre ouverte aux responsables provinciaux de la santé publique au Canada demandant la reconnaissance et le soutien des personnes atteintes de COVID long. Le Toronto Star a publié cet article récent à ce sujet. De nombreux autres articles similaires commencent à apparaître (j’ai inclus quelques liens à la fin de cet article) dans les médias grand public du monde entier. Je ne peux m’empêcher de penser à la possibilité que la responsabilité de la confirmation du COVID sur la base de l’ensemble de symptômes cliniques désormais largement médiatisés comme les miens, soit trop accablante pour que les gouvernements fédéraux considèrent la possibilité d’un dédommagement – comme les dédommagements pour l’invalidité de longue durée, par exemple – pour ceux comme moi qui ne cessent de rechuter, encore et encore. Je n’ai tout simplement trouvé aucune autre explication à la flagrante négligence largement répandue envers les personnes souffrant de COVID long.
Adopter une nouvelle stratégie – désactiver la pensée capacitiste et viser la victoire éventuelle
J’ai du mal à me résoudre à long terme à faire face à cette maladie, alors même que les semaines passent et que je reste malade et à demi-capacité. La «fille malade» n’a jamais été la façon dont je me vois et je ne me suis jamais identifiée au stéréotype de la «fille malade». Avant, j’avais bien intégré la notion que la réussite de mes objectifs frénétiques reposait sur une santé optimale (ayant grandi dans les années 70 et 80 – Participaction, L’entraînement de 20 minutes, Jane Fonda…), alors je m’y suis profondément investie. Certes, cela pue la pensée capacitiste et je continue à conserver le privilège du niveau de santé que j’avais autrefois, mais que je n’ai plus.
Mes premières réactions à cette maladie ont inclus la classique question impuissante, « POURQUOI MOI? » qui accompagne une perte et un chagrin soudains. J’ai essayé de raisonner avec l’univers: Mais j’ai travaillé dur pour protéger ma santé et pour maintenir mon mode de vie à 100 à l’heure. J’ai souvent fait comprendre à mon fils que la santé était *tout*, le réprimandant quand il restait assis à jouer à des jeux vidéo, qu’il buvait un Coca dans mon dos ou qu’il m’avouait manger un beignet comme petit-déjeuner. Mais, en fin de compte, j’ai appris une leçon d’humilité: le COVID ne se soucie tout simplement pas de votre état de santé initial – cette maladie débilitante détruit tout. Je n’aime pas les problèmes de santé tels que ceux auxquels je suis à présent confrontée (comme si quelqu’un les aimait), mais maintenant ils sont là et je ne sais pas combien de temps ils resteront. Mon directeur de thèse a suggéré que je ne pourrais peut-être pas reprendre mon doctorat avant l’année prochaine, pour un certain nombre de raisons. Je ne suis pas encore prête à l’accepter, mais cela devient une grande et dure leçon d’apprendre à comprendre qu’il y a des choses dans ma vie que je ne peux tout simplement pas contrôler… comme le régime alimentaire de mon fils adulte. Et les pandémies.
À l’heure actuelle, j’essaie de trouver un sens au processus de rétablissement à long terme. J’ai été invitée à participer à un projet de film appelé Alone Together, et j’ai commencé à vlogger à propos de mon rétablissement. De plus, j’ai vu des tortues partout où je suis passée cet été – lors de mes promenades et lors de paisibles descentes en kayak. J’essaie de voir dans ces fréquentes observations des messages qui me disent de ralentir et de continuer à me protéger plus longtemps encore. J’ai vu des tortues serpentines de l’Est, des tortues peintes, peut-être une tortue tachetée et une fois, une tortue mouchetée. Donc, je continuerai à écouter la tortue et ralentir, changer de rythme jusqu’à ramper si c’est nécessaire. J’ai toujours été bonne en endurance, ce sera donc mon nouveau marathon. Le marathon lent, le marathon des tortues. Et j’ai confiance dans le fait que je finirai par gagner.
Réflexions finales: J’ai récemment participé à un séminaire avec le spécialiste en réadaptation cardio-pulmonaire, le Dr Noah Greenspan de la Pulmonary Wellness Foundation. Ses excellents conseils incluaient l’assertion que le COVID est un métamorphe qui peut ressembler en même temps à de nombreuses maladies différentes, et qu’il s’agit d’une maladie de «terre brûlée». Cela résonne beaucoup avec mon (premier) article précédent sur la pandémie, où je l’ai comparée à une photo que j’ai prise des Stirling Mountain Ranges en Australie-Occidentale, ravagée par un feu de forêt – et où les herbes avaient déjà commencé à fleurir, avec des fleurons ressemblant à un coronavirus (voir ci-dessous). En fait, les incendies de forêt sont une bonne analogie, car «l’inflammation est la marque du COVID» (Dr Greenspan).
Feu = flamme. 2020 a été une année de feux de forêt, à tous ces égards.
Noah a souligné que la communauté médicale traite le COVID comme un «MCI» – un «incident faisant des victimes massives» [mass casualty incident] où seuls les cas de vie ou de mort sont prioritaires. Ce type de langage fait référence aux catastrophes naturelles et à la guerre. À ce stade, je peux dire avec confiance que je suis un vétéran du COVID. Je me suis battue pour ma vie et j’ai survécu (jusqu’à présent). Le Dr Greenspan a affirmé que personne ne devrait encore parler de dommages permanents, car tout ça est nouveau et nous ne pouvons pas vraiment le savoir, donc je garde espoir qu’avec une rééducation continue, en connaissant mes limites et en me poussant progressivement, jusqu’au bord de ces limites, je vais complètement récupérer. Noah dit: « Vous ne récupérerez qu’à la vitesse de votre système le plus lent. » Ce système, mes amis, est le système neurologique.
Ce qui suit est une nouvelle liste de remèdes complémentaires que j’ai utilisés à ce stade avancé de la maladie (en complément de certains des remèdes que j’ai énumérés dans mon premier article de blog sur le COVID), qui ne constitue pas un avis médical – juste diverses choses que j’ai essayées, afin de lutter contre les symptômes persistants:
Safran – sous forme de thé ou cuit dans du riz. On me l’a présenté comme une histoire – un remède issu d’un rêve, par une femme qui a prié pour que sa famille se remette du COVID après l’échec de ses remèdes traditionnels indigènes habituels. Selon son expérience vécue, le safran a fonctionné pour elle et sa famille. Oui, c’est anecdotique, mais la recherche scientifique sur les propriétés médicinales du safran suggère qu’il est entièrement efficace pour de nombreux effets pathologiques du COVID, tels que la dépression, la neurodégénérescence, les problèmes du système nerveux, les problèmes oculaires, les maladies cardiovasculaires, l’essoufflement, les troubles gastro-intestinaux, l’inflammation et la régulation du système immunitaire. Je crois ÉNORMÉMENT aux rêves visionnaires. Le safran a l’avantage supplémentaire d’être un aphrodisiaque et de favoriser le bien-être utérin.
Thé de prêle – pour réparer les tissus pulmonaires.
Huile essentielle de laurier noble (baies de laurier) appliquée sur la plante des pieds afin de dégager mes poumons et de soutenir la fonction bronchique.
Jeûne intermittent – J’ai peut-être développé une hernie hiatale (à cause de toute cette toux?), avec un tout nouvel épisode de reflux acide et de douleurs à l’estomac la nuit lorsque je me couche, ou parfois après avoir mangé. Le jeûne intermittent signifie ne pas manger entre 20h et 12h, car pas de collations avant le coucher ni de petit-déjeuner. Certaines sources ont indiqué que le médicament pour l’estomac qui m’a été prescrit pour la première fois, le pantoprazole, peut aggraver les effets du COVID en lui permettant de pénétrer plus facilement dans le tractus gastro-intestinal en réduisant l’acide gastrique. Il peut également réactiver C. Difficile [NdT. Clostridioides difficile] pour la même raison – excellent. Cela pourrait expliquer ma lutte continue contre la diarrhée. J’ai eu C. Difficile en 2011. COVID se nourrit de toutes vos faiblesses!
Bio-K – pour restaurer le microbiome intestinal.
Biotine – pour mes ongles et cheveux cassants, qui se sont détériorés pendant le COVID (problèmes liés à la thyroïde! J’ai des nodules thyroïdiens).
Thé au basilic sacré – pour calmer le système nerveux, anti-inflammatoire et tant d’autres bienfaits.
MSM (méthylsulfonylméthane) – J’utilise ceci dans l’espoir de soulager mes douleurs articulaires, mais le jury n’a toujours pas décidé si cela fonctionne ou non. Je suis convaincue que mes douleurs articulaires ont été causées par le pantoprazole – cette saloperie de médicament est connu pour détériorer les os, et je pense que cela a créé une autre vulnérabilité dans mon système qui a laissé le COVID entrer – genre, tout de suite après, et maintenant ça a l’air de vouloir rester.
Calcium – Je l’ai ajouté à mon énorme apport quotidien en vitamines, après que mon médecin l’ait recommandé.
Sel de mer – J’ai augmenté ma consommation de sel, pour aider à résoudre le problème d’hypotension artérielle.
Bas de compression – Je recommence à m’en servir, depuis que j’ai appris qu’ils aident à soulager les étourdissements dysautonomiques.
Oreiller chauffant pour les yeux (soie) – soulagement des yeux secs et brûlants.
Plus de ressources (je continuerai à en ajouter au fil du temps):
Pour mémoire: l’expérience du COVID-19 «léger à modéré», jours 120-150
La politique économique du traitement
Les récents relevés de mon moniteur cardiaque Holter montrent 19 incidences de tachycardie et un incident de bradycardie, et mon médecin dit que cela pourrait être à l’origine de certains de mes symptômes. Elle reste cependant apparemment réticente à clairement considérer ces résultats dans le contexte du COVID-19, et à évaluer cliniquement ensemble tous mes symptômes comme un tout – un tout très révélateur – que des milliers de personnes ont déjà minutieusement décrit dans leur lutte continue contre la maladie (y compris les professionnels de la santé infectés). Certes, mon médecin n’est pas au courant de cette mine d’informations, car celles-ci restent cantonnées dans des groupes de soutien en ligne fréquentés uniquement par ceux qui sont tombés malades. Ainsi, cet ensemble de résultats de tests (tardifs) a au contraire été évalué seul, comme restant dans les limites du « normal », principalement parce qu’il n’y a pas de signes clairs de maladie(s) cardiaque(s) connue(s). C’est loin d’être normal pour moi, cependant. Bien qu’il soit rassurant de ne pas présenter d’insuffisance cardiaque imminente, cela indique quand même quelque chose.
Le fait demeure que j’ai toujours un comportement cardiaque inhabituel (quoique de moins en moins au fil des semaines), bien que ce comportement puisse ne pas provenir du cœur, comme l’a suggéré le cardiologue. J’ai lu des recherches récentes suggérant que la thyroïde peut être temporairement enflammée par le COVID et cela pourrait contribuer à nombre des problèmes que j’ai rencontrés, y compris la tachycardie (ainsi que les palpitations, la diarrhée, les sueurs nocturnes, les problèmes de mémoire, l’irritabilité, la perte de poids, etc.). Mon médecin a suggéré, la dernière fois que je l’ai vue, que ma thyroïde pourrait également être responsable puisque ma dernière analyse sanguine a montré des niveaux de TSH proches de l’hyperthyroïdie (encore une fois, je n’ai jamais souffert de ça de ma vie). Alors, elle m’a programmé une cinquième série de tests sanguins pour déterminer le comportement de ma thyroïde sur une plus longue période. En fin de compte, elle fait son possible, en suivant la façon habituelle de la médecine conventionnelle de procéder de manière compartimentée – ce genre de réaction indique que la plupart des médecins ne savent toujours pas (ou ne veulent pas) interpréter les symptômes du COVID comme ceux d’une maladie multisystémique globale, qui présente un forme chronique identifiable. C’est peut être sur le point de changer, cependant, car le CDC vient de reconnaître officiellement que le COVID peut entraîner une invalidité à long terme chez ceux qui n’ont jamais été hospitalisés, qui sont jeunes et qui étaient jusque là en bonne santé.
Il y a cependant une autre façon de voir les choses, je pense. Santé Canada n’a TOUJOURS pas reconnu les symptômes chroniques du COVID, malgré la lettre ouverte envoyée aux ministres provinciaux et fédéraux de la Santé leur demandant de reconnaître le COVID long. Je ne peux que vaguement supposer que cela est lié au fonctionnement du système de santé canadien – il est principalement financé par l’État. Si Santé Canada reconnaît la possibilité d’une invalidité à long terme due à des complications post-virales du COVID, cela pourrait entraîner que l’argent des contribuables doive être alloué pour créer de nouveaux centres de rétablissement, ainsi que pour financer les thérapies à long terme et les temps de récupération nécessaires, pour des dizaines de milliers de personnes qui ne peuvent pas recommencer à travailler. À l’heure actuelle, il n’y a pas de financement pour cette nouvelle réalité. Il est possible que mon médecin tente de contourner ces limites pour m’assurer les meilleurs soins de longue durée possibles, en me traitant non pas dans le cadre du COVID, mais pour les groupes de symptômes distincts de divers troubles possibles.
Les impacts économiques pour les malades du COVID-19: quelques perspectives
On assiste dans le monde à un tollé et à une indignation générale, en réaction aux mesures strictes prises pour tenter de contrôler la propagation du COVID-19: verrouillage, distanciation sociale, masques, etc. L’arrogance des masses semble ridicule, une réminiscence du droit de l’enfant, et une colère à l’avenant. Laissez-moi, je vous prie, vous parler un peu de perte de liberté, d’abord, puis de perte de revenus/d’opportunités.
Escroqueries aux assurances, médicaments/suppléments, thérapies à la charge de la personne, incapacité de travailler, remboursement possible du financement d’urgence du gouvernement, la liste est longue. Être immobilisé par une maladie potentiellement mortelle est beaucoup plus restrictif que toute obligation légale de rester à la maison ou de porter un masque. Etre immobilisé quand on est infecté par un coronavirus et malade du COVID-19 ressemble à ceci: on est confiné au lit pendant des semaines, ce qui occasionne une perte de vitalité cardiaque, pulmonaire, musculaire, cérébrale, etc. et quand on parvient finalement à s’extraire du lit, on vit à un rythme d’escargot pendant de nombreuses semaines – même dans les cas «modérés» comme le mien. Cela signifie que toutes vos activités de plein air préférées, ou même simplement la marche, posent le défi de retrouver un minimum de vigueur.
Mais attendez, il y a mieux. Être cloué au lit, ce n’est pas seulement tuer l’ennui en regardant Netflix pendant des heures et des jours et en attendant que la maladie passe. C’est ne pas savoir si ou quand la maladie passera. Ce sont des jours ou des semaines de à courir à la salle de bain à cause de la diarrhée et être au bord de l’évanouissment à cause d’une tension artérielle déréglée (ou même de vomissements) par la même occasion. Ça signifie la détresse physique, car le système nerveux s’effondre du fait du cerveau et des veines qui enflent, du sang désaturé en oxygène, du déséquilibre/de la déshydratation électrolytique, de l’inflammation et du dérèglement des fonctions de la colonne vertébrale, de la thyroïde et du cœur, etc. Ce ne sont pas des vacances à la maison quand tout le corps est enflammé. Ce n’est pas seulement «le gouvernement» qui vous dit de rester à la maison, mais des médecins qui ne veulent pas vous traiter tant que vous n’êtes pas à l’agonie.
Et dans ce genre de confinement, il n’y a non plus personne pour vraiment vous payer à rester enfermé. Mon fils, qui a un job d’étudiant pour le gouvernement provincial en été, s’est à moitié plaint qu’il était en gros payé pour jouer à des jeux vidéo chez lui au lieu d’être sur le terrain pour faire ce qu’il aime. Je me faisais mal pour lui, à ravaler ma frustration de ne pas savoir quand il pourrait vivre la vie qu’il l’a toujours connue. Mais au-delà de ma sympathie, je ressentais le soulagement qu’il n’avait pas attrapé le virus et que je n’avais pas à m’inquiéter qu’il tombe gravement malade ou qu’il meure tandis que je luttais moi-même pour retrouver un semblant de vitalité. Au cours de ma bataille personnelle, j’ai essayé de ne pas trop m’inquiéter du fait que je recevais l’aide que le gouvernement accordait en vertu de la loi sur l’assurance-emploi, sans être en fait «prête, disposée et apte» à travailler. Je ne sais toujours pas ce qu’il en adviendra, si on s’attend ou non à ce qu’on en rembourse une partie.
Actuellement, mes options thérapeutiques se réduisent, à mesure que le plafond, assez élevé, de remboursement annuel de mon assurance médicale est presque atteint. Mes limites de remboursement pour l’ostéopathie ont été dépassées. Mes limites de remboursement pour la massothérapie ont maintenant été dépassées. La psychothérapie et la physiothérapie ont des limites de remboursement légèrement plus élevées, je peux donc m’en contenter pour le moment, mais mon acupuncture n’est pas du tout couverte. Ma compagnie d’assurance, la Sun Life, ne couvre que l’acupuncture effectuée par un «médecin» qui s’est spécialisé en acupuncture (comme si c’était courant), mais PAS un acupuncteur agréé et enregistré. J’ai découvert cette petite mise en garde trop tard, après avoir investi près de 600 $ dans des traitements cruciaux d’acupuncture.
Le rétablissement demande une équipe
Mon acupuncteur a été extrêmement proactif dans le traitement de mes symptômes neurologiques. Je lui ai demandé spécifiquement de traiter le dysfonctionnement de mon (mes) système (s) nerveux. Son approche comprenait une acupression intense sur ma colonne vertébrale et sur les articulations de mes orteils et de mes doigts, remontant un peu plus à chaque séance vers les poignets, les chevilles, les coudes et les épaules. C’était atrocement douloureux sur mon pied gauche, mais légèrement agréable sur mon pied droit (tout est pire de mon côté gauche). Il a également utilisé l’acupuncture sur mes nerfs périphériques (mains/avant-bras et pieds/bas des jambes), ainsi que la moxibustion sur mon abdomen et mon dos. Lors de la première séance, il a efficacement stabilisé ma fréquence cardiaque à sa fréquence de repos normale (pré-COVID). J’étais un peu étonnée, étant donné la tachycardie intense dont je souffrais constamment. Il est ensuite resté stable pendant une semaine complète, et ne s’est emballé que lorsque j’ai perturbé l’équilibre de mon système en arrêtant le Pepcid.
J’ai arrêté le Pepcid d’un coup après qu’il m’ait informé que mon foie était compromis (ce que mon massothérapeute a confirmé), puis j’ai effectué mes propres recherches sur le sujet. Il a remarqué que mes points de pression liés au foie étaient devenus très douloureux. J’ai noté que cela coïncidait clairement avec ma prise de Pepcid (famotidine) pendant cinq jours. Il a également vu que ma langue était chargée, un autre indicateur de stress hépatique. J’ai malheureusement découvert, après coup, que la famotidine peut provoquer des lésions hépatiques même après une seule semaine de prise. L’arrêt du Pepcid a ravivé certains de mes symptômes du COVID, comme la tachycardie, les douleurs musculaires, les douleurs de la colonne vertébrale, de minuscules douleurs cardiaques, le reflux acide et une congestion majeure dans mes oreilles et mes sinus. Mais, après une ou deux séances d’acupuncture supplémentaires, ma fréquence cardiaque s’est à nouveau stabilisée, en grande partie…
J’ai encore des pics occasionnels de fréquence cardiaque pendant mes phases de sommeil profond, me dit mon Fitbit, ce qui n’est pas tellement un problème car ils ne sont pas persistants, et je n’ai plus de palpitations. Cependant, ma saturation en oxygène a continué de fluctuer à de faibles niveaux, sous la cote d’alerte. Mon médecin suit ça de près et suggère un oxymètre de sommeil sur 24 heures et d’autres analyses du sommeil si ça persiste, bien qu’elle ne pense pas que ça puisse être une apnée du sommeil, vu que je ne correspond pas au profil-type d’homme âgé en surpoids qui ronfle. Je la tiendrai informée de mes données Fitbit, car il semble que les preuves soient utiles pour établie une évaluation médicale clinique. Mon Fitbit a continué à montrer que mes niveaux d’oxygène sanguin diminuent pendant mon sommeil profond au moins une fois par semaine. Je pense personnellement que mon apnée du sommeil est induite par ma dysautonomie, mais elle ne semble pas vouloir admettre de dysautonomie, à l’instar de nombreux professionnels de la santé. C’est un syndrome silencieux et mal compris.
Ce dont j’ai le plus besoin, c’est d’être évaluée pour ma dysautonomie et pour d’autres dommages neurologiques. Par exemple, avant le COVID, je pouvais saisir correctement le mot de passe de mon ordinateur et d’autres mots de passe du premier coup. Maintenant, il me faut 6 ou 7 tentatives pour y arriver, presque comme si j’avais une dyslexie légère. La fantosmie [NdT. hallucination olfactive] s’est également poursuivie sans relâche jusqu’à présent. J’ai été réveillée à plusieurs reprises la nuit par des odeurs qui n’étaient pas vraiment présentes, mais que je perçois néanmoins comme réelles: du pain qui cuit ou qui brûle, du plastique qui chauffe ou qui brûle, des casseroles en fer rouillées, de la fumée de bois/papier, des odeurs de moteur chaud, et récemment, des ordures pourries, des odeurs d’égouts et des odeurs de solvant ou d’autres produits chimiques. Cela suggère un problème qui touche mon système olfactif ou une nouvelle manifestation des nombreux problèmes neurologiques persistants. À ce stade, mon médecin a décidé, sur les conseils d’un spécialiste des oreilles, du nez et de la gorge, de m’envoyer passer une IRM cérébrale et un examen par caméra nasale de mon bulbe olfactif.
Mon ostéopathe reste la personne la plus compétente de mon équipe de rétablissement. Elle a repositionné deux fois mon bras blessé pour soulager une partie de la tension et de la douleur causées par ma chute de vélo, me redonnant une mobilité significative. Mais ce n’est pas tellement pour ça qu’elle est si incroyable. Son vrai don est son incroyable connaissance de l’anatomie – le système squelettique, circulatoire et nerveux et tous les tendons, la musculature et le fascia qui les relient. Non seulement cela, mais la synthèse inspirée de toutes ces connaissances quand elle se penche sur mon ensemble spécifique de problèmes, pour reconstituer le puzzle du COVID qui m’a accablée.
Elle m’a aidé à comprendre que certains de mes problèmes cardiaques, et en particulier pulmonaires, sont probablement liés au système neurologique qui les gère. J’ai souffert de douleurs nerveuses constantes à deux endroits situés aux extrémités de mes clavicules, près de l’endroit où mes bras se relient à mes épaules. Elle m’a expliqué que cette jonction majeure des nerfs spinaux est liée à toutes les fonctions thoraciques, y compris les voies respiratoires. Il est particulièrement intéressant de noter que les vertèbres T7 contrôlent la fonction pulmonaire, et ce sont les vertèbres où j’ai une vieille fracture et celles qui ont été attaquées par le COVID. Tout cela a été une révélation, et cela explique les problèmes respiratoires continus/la saturation en oxygène que les gens comme moi éprouvent pendant leur rétablissement, malgré les radiographies pulmonaires « claires », etc. Putain, c’est neurologique – le hardware pulmonaire va maintenant bien mais le logiciel a un bug! Alors, quelle sera la prochaine étape? Je suis sur le point de commencer une thérapie avec un neuro-physiothérapeute, et je pense que ce sera la thérapie la plus importante à l’avenir, pour faire face à tous les problèmes restants.
Mon massothérapeute se concentre également sur les nerfs et les muscles de la région thoracique supérieure pour aider à résoudre mes problèmes respiratoires restants, et il a utilisé des ventouses à percussion sur mon dos pour aider à amener le flux sanguin et l’oxygène dans mes poumons. J’ai déjà un bon programme de physiothérapie pour renforcer les muscles autour des os de mon bras blessé, et j’ai commencé à remonter sur mon vélo pour le Great Cycle Challenge. Mais je dois y aller doucement. Doucement et gentiment. Difficile de m’en souvenir, jusqu’à ce que je me retrouve le cul par terre.
Et je me suis retrouvée le cul par terre à plusieurs reprises lors de ma quête d’un retour à un fonctionnement physique plus ou moins normal. Je suis clairement en train de gérer une sorte de fatigue post-virale – pas au quotidien, mais si je me pousse trop loin. Si je fais une randonnée ardue deux jours de suite sans jour de repos entre les deux, je suis physiquement et mentalement épuisée à l’extrême le lendemain. C’est un épuisement profond comme je ne n’en avais jamais connu, comme si je luttais pour survivre, et je me sens complètement impuissante. Si je ne me pousse pas trop, que je me cantonne à des activités de faible intensité que je me repose entre chacune, alors je vais bien, en termes d’énergie. J’essaie de maintenir ma fréquence cardiaque en dessous de 140 pendant l’exercice. C’est encore difficile à accepter car j’ai toujours été pleine d’énergie et en mouvement. À certains égards, j’ai l’impression d’avoir vieilli d’une décennie à cause de cette maladie et je me demande si je redeviendrai un jour la personne libre et énergique que j’étais autrefois.
Néanmoins, mon objectif EST la résurrection complète de cette maladie effrayante.
La profonde capacité de guérison du corps
Les blessures christiques sur mes deux paumes de main (de ma récente gamelle en vélo) ont effacé les extrémités de mes lignes de vie, au niveau des talons de mes paumes. « Hé, Jésus! » dit mon partenaire en plaisantant sur mes croûtes. Mes lignes de vie sont devenues indéfinissables, mutilées par l’asphalte. Je me suis demandé si cela pouvait représenter ce que le coronavirus m’a fait, en fin de compte. Ça a raccourci ma vie? Regarder mes mains guérir lentement, cependant, a été étrangement gratifiant et réconfortant, simplement à observer que mon corps PEUT guérir, et se régénère activement un peu plus chaque jour. En utilisant les connaissances que j’ai acquises de certaines de mes recherches de doctorat – à savoir que le sang menstruel contient des cellules souches qui améliorent la réparation de la peau – j’ai appliqué les miennes sur mes plaies pour voir si je pouvais accélérer le processus (le timing de mon cycle était impeccable), ma petite expérience personnelle. Cela a trop bien fonctionné, en fusionnant la chair de mes paumes de chaque côté de mes lignes de vie, et j’ai dû les déchirer à nouveau, créant une toute nouvelle extrémité de ligne de vie sur chaque main.
Si je peux me voir en train de guérir à l’extérieur, alors tout ce qui se trouve à l’intérieur doit également guérir de manière durable – mon cœur, mes poumons, mes veines, mes nerfs, etc. Je continue d’avoir des sensations de piqûres d’épingle, par exemple – comme de petites morsures partout dans mes bras et mes jambes. Cette sensation quelque peu douloureuse a duré environ 12 heures, puis elle s’est arrêtée, pour revenir quelques jours plus tard, et je soupçonne que c’est une régénération des nerfs périphériques, car j’ai lu que cela peut arriver. Ces petites sensations de piqûres d’épingle sont également réconfortantes (quoique ennuyeuses), similaires à une séance d’acupuncture, car elles s’accompagnent de la prise de conscience que mon intégrité est en cours de restauration et que mes circuits endommagés sont en train de redémarrer.
Vous trouverez ci-dessous une liste de certains éléments que j’utilise actuellement, qui aident beaucoup à ce stade du processus de récupération.
Derniers remèdes de cuisine:
Chardon-Marie (teinture) pour la réparation du foie
Gingko biloba (thé) pour le soutien cognitif
Huile de poisson Neuro-mega (capsules) pour la réparation/le soutien du cerveau – maquereau, sardine et anchois au thym et à la vitamine E
Ginseng de Sibérie (teinture) pour l’énergie
Champignon crinière de lion (capsules) pour le soutien nerveux et cérébral
Sulfate de glucosamine – pour mes douleurs articulaires – cela semble fonctionner beaucoup mieux que le MSM.
Le spray nasal stéroïdien Avamys – cela aide les oreilles, les sinus et la gorge mais a provoqué des palpitations cardiaques le premier jour où je l’ai essayé – elles ont cependant cessé maintenant.
Aussi, l’hydrothérapie de contraste – j’alterne simplement entre l’eau chaude et froide dans la douche pour stimuler mon système nerveux, ou je fais suivre un bain chaud aux sels d’Epsom par une douche froide et vive. J’ai remarqué qu’au cours des deux dernières semaines, ma peau est en train de se conditionner à tolérer beaucoup plus facilement l’eau froide.
Vibration – J’ai utilisé un vibromasseur Crave Vesper sur mes bras, mes jambes, mon dos et mon cou pour stimuler également le système nerveux.
Je joue à Trivia Royale (une application de jeu) sur mon téléphone pour essayer d’améliorer ma mémoire et mes temps de réaction. C’est un jeu-questionnaire compétitif contre différents joueurs du monde entier. Cela semble aider, car mes temps de réaction se sont clairement accélérés ces dernières semaines.
Natural Treatments for Coronavirus – une grande partie de cela reflète ce que j’ai fait depuis le début, avec quelques suggestions supplémentaires, toutes étayées par des preuves, bien sûr.
Pour mémoire: l’expérience du COVID-19 « léger à modéré », à partir du 150e jour
J’avance
Tout au long de ma très longue récupération du COVID, j’ai appris à mieux apprécier le pouvoir de la marche. Marcher (quotidiennement) a été une solide corde à laquelle m’accrocher, pour me hisser au sommet de cette montagne qu’est le boulot de revitalisation. Je marche au moins une heure (généralement plus) presque tous les jours, avant de manger le matin, puis de nouveau au coucher du soleil.
Je n’avais jamais accordé autant d’attention à la marche avant. J’ai trouvé cela un peu banal puisque j’ai toujours préféré la vitesse et la liberté sur mon vélo. Je ressentais surtout le besoin de faire une longue marche uniquement si c’était avec quelqu’un avec qui j’avais vraiment besoin de parler, afin de faciliter le genre de flux verbal qui se produit naturellement lorsque l’on avance à l’unisson. Marcher a sans aucun doute approfondi ma relation avec mon partenaire pendant toute cette crise. Non seulement cela a calmé nos sentiments de méfiance et notre nervosité, mais cela nous a également permis de surmonter, verbalement, toutes les pensées dérangeantes, les peurs, les frustrations et les malentendus. Et puis, nous avons pu regarder les oiseaux, les serpents et les grenouilles et nous concentrer de nouveau sur autre chose que nous-mêmes. La marche a été l’un des facteurs de guérison les plus importants pour moi.
La marche est distincte des autres voyages que je fais sur mes deux jambes. J’ai aussi, pendant ces mois étranges, fait des randonnées boisées, des promenades le week-end le long des plans d’eau, ainsi que des escalades difficiles. Je me suis efforcée de faire du vélo autant que possible sur un rythme hebdomadaire (provoquant parfois des rechutes mineures). J’ai également fait ma juste part de séances d’entraînement de 10 minutes à la maison, de séances de yoga tous les soirs et des dîners dansants spontanés à deux quand j’avais vraiment besoin de me défouler. Mais la marche a été le baume guérisseur.
Beaucoup d’écriture et d’exploration artistique ont été produites sur le thème des aspects psychologiquement enrichissants de l’errance et de la marche sur de longues distances (découlant d’un héritage beaucoup plus ancien des promenades et de l’itinérance autochtones). De ma perspective occidentale contemporaine, Rebecca Solnit me vient en premier à l’esprit. Je me souviens aussi avoir appris, au cours de la première année de mon programme de maîtrise (en Beaux-Arts), l’histoire très intéressante des pratiques ambulatoires liées au dénouement des esprits en temps de guerre, mais aussi liées à la psychogéographie – actes de création délibérée de sens nouveau d’espace/lieu (cela a influencé quelques œuvres d’art que j’ai produites plus tard). J’ai déjà participé à des promenades sonores, qui me semblent être les premières expériences de réalité virtuelle, y compris une promenade sonore de Janet Cardiff au Louisiana Museum juste à l’extérieur de Copenhague, lorsque j’ia visité pour la première fois un pays étranger (en dehors de l’Amérique du Nord). Aussi, une promenade sonore électrique discordante à Montréal par Christina Kubisch, animée par le Goethe Institute, qui était une sonification de toute l’activité électromagnétique de la ville. Ces promenades ont changé ma perception des endroits où je me trouvais.
Marcher procure aussi l’évasion du sentiment d’être prisonnier de soi-même ou de se sentir piégé dans un corps; une maladie ou un handicap ou des états d’être socialement divergents/mal compris peuvent conduire à ce type de sentiment. Mon oncle David, atteint d’autisme, avait grandi dans les années 50 et 60. Ses dernières années, lorsque sa mère n’était plus en vie pour s’occuper de lui, furent passées dans une maison de soins dans une communauté rurale. Il y était largement connu pour sa marche. Il marchait sur le pont au-dessus de l’autoroute, saluant la circulation au passage. Il parcourait les petites rues de la ville et passait devant les parcs locaux. Il était surnommé de manière ludique «Super Dave» par les jeunes habitants pour ses impressionnants exploits de marche incessante. J’imagine que marcher était un but, une petite liberté et une évasion de la banalité d’une pièce dans une maison qu’il n’avait pas d’autre raison de quitter.
Marcher a maintenant progressivement changé ma façon de voir les maladies incontrôlables, la guérison précaire et les adaptations culturelles plus larges à la réalité pandémique. Actuellement, j’habite au bord de la rivière Ottawa, ou du côté québécois, l’Outaouais, sur le territoire de la Première Nation Odawa. La rivière est spéciale: incrustée d’un trésor de fossiles discrets et méconnus, comme des orthocones de la taille de mon avant-bras, d’anciens amas de trous de vers et d’une communauté remarquable de stromatolites. Mon chemin de promenade est exactement le long de cet ancien foyer de vie, qui abrite désormais une forêt de chênes anciens, des sites de nidification de tortues vivaneaux et des marais qui regorgent de nombreuses espèces. Au cours de mes promenades quotidiennes, j’ai surveillé à la fois les paysages changeants de la nature et les temps de récupération progressivement améliorés de mon système nerveux autonome: des jours où il était complètement déséquilibré aux jours plus récents, à mesure que je me rapprochais de la normale. Avant, je pouvais à peine me traîner en pantalon de pyjama pendant dix minutes, sans que mon rythme cardiaque ne monte en flèche et que la douleur thoracique ne m’immobilise. Maintenant, j’apprécie les marches mesurées, d’un bon pas, presque rapides avec une respiration plus facile, généralement sans douleur et une récupération plus rapide de ma fréquence cardiaque au repos.
Mais j’ai aussi développé des réseaux de relations avec les autres, en traversant cet espace partagé. Il y a eu le cycliste désemparé qui avait assommé un pic passé à travers les rayons de ses roues – nous nous sommes arrêtés (à une distance de sécurité) pour l’aider, ramenant le pic à la maison avec précaution dans un chapeau et lui permettant de se reposer en toute sécurité jusqu’à ce qu’il puisse voler à nouveau vers ses arbres familiers (ce qui n’a pas pris longtemps). Il y a des couples plus âgés qui apprécient encore les subtilités civiles d’un « hello » ou « bonjour » [NdT. efdt] ou « good morning » au passage comme nous fréquentons souvent ces moments/lieux les uns et les autres (je ne peux pas dire que je me suis toujours comportée aussi civilement ces temps-ci). Il y a une femme, toujours la même, à la même heure, tous les jours, toujours rivée à son téléphone en courant pour aller quelque part (?) Et une autre femme, toujours la même, à la même heure, tous les jours, de l’autre côté de la rivière avec son masque et sa visière, qui circule près du même banc. Dans nos interactions, il y a la compréhension commune et tranquille que nous sommes ici pour faire face, pour faire quelque chose de productif. Cet effort collectif pour continuer à avancer, c’est réconfortant.
Retour rapide (pour mémoire):
Août/septembre
J’ai consacré le mois d’août au cyclisme, à me pousser en respectant mes modestes limites, et à faire machine arrière si nécessaire. Un jour, j’ai inclus le rapide trajet à vélo de chez moi au cabinet de mon dentiste à mon total de kilomètres pour le mois d’août (pour le Great Cycle Challenge Canada – j’ai finalement recueilli 1000$ pour le cancer des enfants). J’y ai été très doucement dans mon retour progressif au cyclisme, me tenant généralement à un rythme qui garde ma fréquence cardiaque en dessous de 140 bpm, et généralement en dessous de 130. Cependant, ce jour-là, j’étais un peu juste pour arriver à mon rendez-vous à l’heure, alors j’ai forcé un peu. Ce qui s’est passé ensuite est très bizarre: malgré que j’ai pédalé à fond pendant 15 à 20 minutes et que je sois arrivée à bout de souffle à la porte du cabinet du dentiste, mon obligatoire prise de température à l’arrivée ne montrait que 35,2°C. J’avais peur que ma température soit trop élevée (et de me faire remballer) à cause de l’effort que je venais de fournir, mais au lieu de cela, elle frôlait… l’hypothermie. La réceptionniste a de nouveau pris ma température, car elle était inhabituellement basse, même si la personne qui venait d’entrer avant moi présentait une lecture normale. Les deux fois, la mienne était autour de 35°C. En règle générale (avant le COVID), lorsque je faisais un gros effort sur mon vélo sur un court laps de temps, puis que je m’arrêtais, je me mettais à transpirer. Ce jour-là, je n’ai pas sué une goutte, malgré le fait qu’il faisait chaud et ensoleillé dehors. Le lendemain, je n’ai pas non plus retrouvé ma température corporelle normale, avant beaucoup plus tard dans l’après-midi, lorsque mon thermomètre domestique a finalement atteint 37°C.
Ces longues périodes d’ajustement et ce fonctionnement inversé ont perduré, bien que mon système se soit clairement amélioré grâce à mes stratégies actuelles (que je détaillerai dans la section suivante de cet article). Quand je suis tombée malade pour la première fois, au début du mois de mars, on m’a refusé le test parce que je n’avais pas de fièvre. Au contraire, ma température corporelle avait, même à l’époque, chuté en dessous de la normale. Cela indique que mon système nerveux autonome réagissait dès le premier jour. Plus de sept mois et demi plus tard, il a encore du mal à retrouver un bon fonctionnement, bien qu’il montre maintenant des signes impressionnants de rétablissement significatif. J’ai encore épisodiquement une température corporelle aberrante pendant mon sommeil – des sueurs nocturnes, mais plus étrangement, une désensibilisation au froid digne d’un vampire. Je me suis souvent réveillée complètement découverte en pleine nuit, sans éprouver la moindre sensation froid même quand ma peau était glacée au toucher (comme celle d’un cadavre). Quand je me couvre à nouveau, mon corps se met à profondément trembler de façon involontaire quelques minutes, le temps de se réajuster – ce ne sont clairement pas des frissons, mais un tremblement – je sais ce que c’est de frissonner, et ce n’est pas ça. De plus, lorsque je fais du vélo, ma fréquence cardiaque se comporte de manière étrange au début et à la fin de mon itinéraire: il grimpe (parfois à 150 bpm – oups) lorsque je démarre et déclenche les vibrations d’alarme d’urgence de mon Fitbit. Ensuite, il se stabilise progressivement au cours de la demi-heure suivante, mais remonte à nouveau pendant un bon moment à plus de 120 bpm après que je me sois arrêtée. Je ressens quelque chose de similaire mais de moins extrême quand je marche (ce qui m’oblige à ralentir ma foulée à la fin, comme dans une phase de récupération après un effort intense). Cette variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) mal ajustée est l’indicateur principal d’un système nerveux autonome stressé et dysfonctionnel. Si on peut s’y fier, mes statistiques Fitbit me disent que mon VRC nocturne oscille autour de 21, ce qui équivaut au VFC d’un homme de 80 ans! Cependant, ça pourrait un bug du système, car il s’agit d’une nouvelle fonctionnalité récemment déployée par Fitbit. Je reste donc attentive mais pas paniquée.
…
Mon dernier rendez-vous avec mon médecin (en septembre) m’a donné la validation attendue depuis longtemps et j’ai failli en pleurer de soulagement sur le parking. Elle m’a dit: « Vous n’êtes pas seule. » Elle avait à ce moment vu un certain nombre de patients qui présentaient des ensembles de symptômes distincts correspondant aux miens, assez pour considérer l’examen de cette base clinique concrète dans le diagnostic des effets post-viraux du COVID. Elle m’a dit que mes symptômes persistants indiquaient un STOP – un syndrome de tachycardie orthostatique posturale, une forme de dysautonomie post-virale affectant la pression artérielle, la fréquence cardiaque et la température corporelle d’une manière spécifique, parmi les autres choses contrôlées par les systèmes nerveux autonome et sympathique. La feuille des relevés orthostatiques que j’avais remplie pendant deux ou trois semaines lui a permis de confirmer son évaluation du STOP. J’ai encore d’autres tests à passer et d’autres résultats à évaluer (conduction nerveuse, IRM cérébrale, moniteur de sommeil) avant d’envisager la suite, les choix du traitement médical (ce qui, je pense, ne sera pas nécessaire à ce stade), mais elle était heureuse d’apprendre que j’avais été proactive dans l’atténuation de ma dysautonomie par ma consommation accrue de sel et ma consommation régulière de boissons électrolytiques.
J’ai aussi consulté une très bonne physiothérapeute pendant un certain temps (aussi longtemps que mon assurance le remboursait), et elle m’a diagnostiqué une inflammation des nerfs qui vont de mon cou à mes bras jusqu’aux articulations des doigts qui me faisaient encore mal. Grâce à une thérapie au laser froid sur mon cou, elle a aidé à quelque peu atténuer mes douleurs aux articulations des doigts et du poignet. Maintenant, je me concentre sur mes séances de yoga nocturnes qui renforcent le soutien de mon cou et de ma colonne vertébrale, et je continue à prendre des comprimés de glucosamine, et tout ça a permis de réduire la fréquence et l’intensité de mes douleurs articulaires.
Ma consultation chez le spécialiste nez-gorge-oreille (ORL) a également été rassurante, car il a confirmé que de nombreux patients du COVID souffrent de fantosmie, en particulier des odeurs de brûlé, résultant de la destruction par le virus de certaines des cellules du bulbe olfactif. Il a examiné mes sinus à la recherche de polypes et d’autres lésions avec une sonde à fil lubrifié (heureusement, je n’ai aucun souci de ce côté-là), m’a conseillé de continuer le spray nasal stéroïdien et de lui communiquer la date de mon IRM cérébrale dès qu’il sera programmé (j’attends toujours ma date de rendez-vous 3-4 mois plus tard). Il a souligné que pour tous les patients qu’il a vus jusqu’à présent qui souffrent d’une fantosmie induite par COVID, on a détecté chez aucun des tumeurs cérébrales, de sorte que je ne devrais pas m’inquiéter. Il semblait penser qu’en poursuivant des stratégies de réduction de l’inflammation, je devrais guérir complètement. Et il avait raison – avec le soutien actuel que je reçois du coach de santé avec lequel je travaille, j’ai maintenant réussi à arrêter le spray nasal stéroïdien (il y a quelques semaines) et la fantosmie n’est pas revenue.
Avec tout le travail que j’ai entrepris pour guérir, y compris le cyclisme et le yoga, ma capacité pulmonaire s’est certainement améliorée et j’ai de moins en moins souvent du mal à respirer profondément (bien que cela arrive encore). Mes palpitations cardiaques ont maintenant complètement cessé, HALLELUJAH! Mon système gastro-intestinal fonctionne à nouveau très bien, bien que je doive dormir sur un oreiller compensé de 12″ pour contrôler mon étrange reflux acide ou les symptômes de type RGO [reflux gastro-oesophagien] qui, comme je le crois maintenant, provoquent ma sensation de suintement pulmonaire. Mon rythme cardiaque est dans la normale (parfois encore élevé, mais seulement modérément) la plupart du temps, et ma pression artérielle très basse et mes étourdissements ont drastiquement diminué. Il semble qu’avec le temps et mon traitement actuel très efficace, l’intolérance orthostatique de mon corps s’est réétalonnée avec succès.
Retour à maintenant – Mymee
Le 12 septembre était la date des six mois de mon COVID, du début de l’infection jusqu’à mon travail de rétablissement à long terme. Je m’attendais à être entièrement rétablie entretemps. Puis le 12 octobre est passé. À l’orée du mois de novembre, je vais beaucoup mieux, question santé. Grâce en grande partie à mon programme de réadaptation, auquel j’ai la chance et la reconnaissance de pouvoir participer. J’ai déjà arrêté de prendre un certain nombre de suppléments, simplement parce que je suis maintenant (enfin) à un stade de mon rétablissement qui me permet de faire de mon régime mon traitement principal, ce que je vois comme une réussite majeure.
Au cours des six dernières semaines, je participe à un programme appelé Mymee, qui m’a été recommandé par David Putrino, neurologue et Directeur de la Recherche sur l’Innovation en Réadaptation au Mt Sinai à New York. (Il se trouve aussi que David a obtenu son doctorat à l’Université d’Australie-Occidentale! C’est drôle, ça!) Ce programme, spécialisé dans la guérison des maladies auto-immunes, m’a permis de surmonter les nombreux derniers obstacles à mon rétablissement. Grâce à Mymee, je suis en liaison une fois par semaine avec un coach de santé personnel, qui évalue mon alimentation et mes symptômes pour identifier les possibles déclencheurs. J’utilise l’application Mymee pour envoyer des photos de ma nourriture, le relevé de mes symptômes, mes selles (y compris la sélection d’options de description de leur texture à partir de pages d’onglets), ma consommation d’eau, etc. J’en ai beaucoup appris jusqu’à présent – par exemple, qui sait que les fraises sont un déclencheur d’histamine? Je ne le savais pas, et j’en ai mangé beaucoup parce que j’en trouvais tout le temps sur le marché du fermier du coin.
Les modifications de mon régime alimentaire pourraient sembler drastiques à certains, mais je ne me sens pas trop limitée dans mes choix alimentaires – je dois juste devenir plus créative, ce qui n’est pas un problème pour moi. J’ai totalement arrêté toutes les céréales (même l’avoine) et tous les produits laitiers (même mon fromage de chèvre bien-aimé). J’ai également totalement arrêté certaines chose dont je n’avais jamais pensé qu’elles pouvait causer des problèmes: sérieusement, les carottes et les bananes !? Si ça c’est pas banane [NdT. jeu de mots intraduisible]? J’ai arrêté tous les produits à base de soja, le chocolat et de tous les aliments fermentés. Certains de ces aliments sont très sains en temps normal, mais avec un système immunitaire et nerveux affaibli, ils doivent (au moins temporairement) être éliminés. Il s’agit principalement d’un régime antihistaminique.
Régime actuel: Je mange des noix (noix, amandes, noix de pécan, noix de cajou) et des graines (citrouille, tournesol, chia, lin, sarrasin). Je mange toutes sortes de légumineuses, de viandes et de poissons (sauf du porc, je déteste le porc). Je mange de la courge, des patates douces et parfois des patates blanches. Je mange beaucoup de légumes verts feuillus, de choux de Bruxelles, de concombres, de céleri, de champignons et même d’aubergines à l’occasion (malgré le fait que ce soit une morelle). Je mange des œufs et de bonnes graisses: huile de coco, huile de sésame, huile d’olive, huiles de poisson, avocats. Ma consommation de fruits est centrée sur les pommes et les myrtilles, ainsi que sur certains fruits secs comme les dattes ou les pruneaux. Je fabrique mes propres produits de boulangerie à partir de farine d’amande et de pois chiche et de caroube. Donc, il me reste encore beaucoup de choses délicieuses et intéressantes à manger et ça ne m’a pas vraiment pris beaucoup de temps pour m’habituer à ce régime strict. Je mets du lait d’amande ou de noix de coco dans mes lattes de curcuma et de matcha (je ne bois toujours pas de café).
Stade ultérieur de rétablissement: stratégies d’auto-soins (en plus des quelques précédentes discutées dans mes articles de blog précédents):
Vinaigre de cidre de pomme – 1 cuillère à soupe dans 1/4 de tasse d’eau le matin et avant le coucher le soir. Cela a été assez efficace pour contrôler les curieux problèmes d’acidité/reflux qui se sont produits, ainsi que pour faire baisser un peu mon suintement pulmonaire et contrôler ma détresse intestinale. Un petit miracle, vraiment!
Comprimés d’électrolytes d’hydratation clinique nuun et/ou Hydralyte – tous les jours.
Sels variés: sel rose andin (non iodé), sel de mer français (non iodé), sel de mer grec (iodé) – je dois les mélanger pour éviter l’excés d’iode!
GABA (acide gamma-aminobutyrique) – pour l’apaisement neurologique, pour calmer les vibrations/tremblements intérieurs. Je prends environ la moitié de la dose la plus faible (100 mg), ce qui m’aide à m’endormir rapidement et à me réveiller avec des tremblements beaucoup plus légers ou souvent imperceptibles. Cela aide apparemment aussi à développer ma tolérance à l’exercice, ce qui est génial, mais si je le prends pendant la journée, je suis dans le gaz. Il a l’avantage supplémentaire d’éliminer complètement les crampes menstruelles.
Double dose de magnésium – l’augmentation de mon apport en magnésium a vraiment aidé à me débarrasser de mes tremblements (sans jeu de mots, haha) [NdT. encore un jeu de mots intraduisible]
CoQ10 Supreme avec resvératrol (soutien du cerveau et du cœur) – J’en ai pris à court terme, mais j’ai maintenant cessé d’en prendre après avoir terminé la bouteille.
Acide folique – aide à soutenir le développement neuronal (re-développement dans mon cas).
Vitamines: B12, C, D (jusqu’à 4000 UI actuellement), E, biotine, zinc.
Bromelaïne – c’est le plus important, utile à tant de choses. Encore une fois, je ne pourrais jamais dire assez de bien de la bromélaïne – anticoagulant, préventif des caillots sanguins, aide digestive, etc.
Rouleau en mousse pour tissus profonds – recommandé par mon (mes) physiothérapeute(s) ainsi que par le Pulmonary Wellness Rehab Center, pour traiter le mal de dos causé par la dysautonomie et pour aider à ouvrir la poitrine pour une meilleure respiration. Je me roule parfois dessus contre le mur, comme un ours qui se gratte contre un tronc d’arbre.
Oreiller compensé en mousse 30° (12 « de hauteur) – excellent pour traiter un certain nombre de mes problèmes, tels que le reflux et une possible apnée du sommeil (toujours en attente de ces résultats de test).
Yoga du visage – aussi drôle que cela puisse paraître, cela m’aide à ramasser mon visage du sol où il était tombé tout au long de cette épreuve (et d’autres événements tragiques de cette année). Non seulement j’ai l’impression que le COVID a vieilli mon apparence, d’environ dix ans, mais j’ai aussi l’impression d’avoir oublié comment vraiment sourire. Le yoga quotidien du visage m’aide à reconstruire la structure musculaire de mon visage pour me stimuler à sourire plus souvent et à me sentir inspirée. Je suis un programme quotidien mais il y a beaucoup de conseils/exercices gratuits en ligne.
Musculation des fessiers sans accroupissement – probablement l’exercice le plus intensif que je fais maintenant, et chaque session ne dure que *10 minutes*. Un petit engagement de ma part et la bonne dose d’action pour me stimuler. Au fil du temps, je commence à aimer ce que je vois dans le rétroviseur après toutes ces semaines de repos au lit et d’activité ralentie.
De retour à plein temps à mes recherches de doctorat – depuis septembre, je me suis concentrée sur ce qui donne un réel sens à ma vie: mon travail créatif (art) et les recherches qui font partie de mon doctorat. Je suis actuellement inscrite «offshore» mais j’espère vraiment que cela changera bientôt et que je pourrai retourner à Perth, au campus et aux laboratoires où j’a vraiment envie être.
Plus d’informations sur les groupes de revendication/patients Covid long et sur les recherches importantes (je continuerai à en ajouter au fil du temps):
For the record: The experience of « mild to moderate » COVID-19, days 1 – 90.
Part 1: A Timeline of Physical Symptoms
Round 1/3 – INFECTION (March 12 – 31)
In March 2020, I was in Western Australia working on my PhD. My partner had come along with me for a few months, after which he planned to return to Canada. I was renting a room in an Airbnb for five months, since I was scheduled to go overseas at the end of May for a much-anticipated artist residency at the Museum of Witchcraft and Magic, and then on to Canada from there, for another two-month residency in a lab at l’Université de Montreal. I was filled with enthusiasm, excited about my research and reveling in the time I had in Perth. My life outside of research centred on cycling. It was my main mode of transportation, and all my time off was spent ripping along the stunning stretches of bike path that traverse the west coast, threading together one golden beach after another. I cycled close to 200kms a week, laughing as I raced with my partner, or breathless with the beauty of the sunsets over the Indian Ocean. Life was simple and good. I was in peak health.
My partner’s elderly father suddenly went into rapid decline and then critical care in late February. My partner got on a plane to Cyprus and made it just in time to hold his father’s hand and say goodbye. There were no lockdowns at that point, and SARS Cov-2 had not quite yet flagged mainstream concern, but was quickly beginning to. He returned to Perth after the funeral, on March 8. I was, at that time, on a short period of « sick » leave, for a mental health break. When he returned, coronavirus-shit immediately hit the fan and we decided to self-isolate in our room, mainly because the owner of the house was continuing to rent out the other rooms to international travelers from hard-hit countries, like Germany, France, the UK, etc., including cruise ship passengers, while also going off for regular dinner parties and inviting groups of friends over. We were worried. He continued shaking hands with strangers and standing too close, flouting the new distancing rules as they unfolded.
Four days later, on March 12, my partner and I both became sick. Days later, we would discover that the Emirates flight he had taken from Cyprus via Dubai saw confirmed COVID-19 cases on the same flight the day before and after, though he never received notification about his specific flight. My symptoms began with a major sore throat and postnasal drip, coupled with splitting headaches, ongoing for 10 days. During those 10 days, I developed the infamous dry cough and started having trouble breathing. My sinuses swelled up to the point of feeling thick all the way down into my esophagus. We managed to buy the last thermometer on the pharmacy shelf, but my temperature kept reading below normal: 36.5, then 36, 35.5, etc. I thought the thermometer must be broken. Then it went up to 37.5, but never higher than that. My partner’s symptoms were barely noticeable (he is 10 years younger than I am), though he, too, had the sore throat and headaches, on and off again. By March 20, following five days of feeling my lips continuously tingling and still not being able to breathe properly, I called the national healthline and was told to go for assessment. I was given the wrong information, wrong phone numbers, wrong directions.
I eventually unraveled the misinformation and made my way to the COVID clinic in the city centre. They outright refused to test me, citing that I did not meet the three required testing criteria: I did not have a fever, I had not traveled, and I had not been in contact with a « confirmed case. » My partner was also refused testing because even though he had traveled and had symptoms, he didn’t have a fever and his flight didn’t yet have confirmed cases. They snidely sent us home, behaving as if we were over-reacting. I was told, « it’s probably just a regular cold. » The woman assessing me did everything short of rolling her eyes at me and told me not to come back again unless I was « gasping for breath, » as she explained it.
When we returned home from the clinic, with official notices in hand that we did not require further assessment, the owner of the house told us that we had to leave as soon as possible. He neglected to take his own irresponsible behavior into account and instead accused us of threatening his life. He trembled in panic as he exclaimed that he didn’t even wash his hands that much, and my partner had touched things like the toaster handle in the kitchen (I had barely left the room). We had to be gone by the end of the month, a mere week and a half away. Suddenly, I was facing homelessness in a foreign country during a global pandemic and the rapidly advancing lockdown, while trying to self-isolate.
I immediately began looking online for apartments, and undergoing the laborious process of applying for rental approval (credit checks, etc). I managed right away to secure a place that I really liked and was approved for, but then suddenly the apartment owner could no longer leave to go take up his new job overseas, because England was already going under lockdown. So, the apartment fell through. I went through another week of desperately attempting to find another furnished apartment, but was competing with a new surge of frantic others who also had to leave shared housing. I had the distinct disadvantage of not being an Australian citizen, so property owners were wary of giving me a long-term lease when they could cherry pick from a number of suitable citizens. I still had restricted (socially distanced) viewings lined up, but then was offered a discount on a house rental, which we could move into the next day, if I paid cash. I quickly agreed and cancelled the other viewings. The next day, that option too was yanked away as the owner informed us that an American family just off a cruise ship had offered significantly more for the house. At this point, my partner and I bought airline tickets back to Canada in preparation for the worst case scenario – having to leave the country and fly again, in the middle of the pandemic. We secured the last possible flights out, hoping to come up with an alternative. Air Canada was offering full refunds on cancellations, so we knew we could cancel last minute, and hoped we would be able to still find a place to live.
I also turned to the university for help. This futile effort left me feeling utterly exasperated and abandoned, slipping through every possible crack there was to slip through. They passed me around like a hot potato, from administrative bureaucrat to bureaucrat, doing nothing. They offered me temporary student housing, but it was unfurnished: not even a bed sheet or utensil included. How could I live in a completely empty apartment during a lockdown, with no way to even go buy the things I needed? Nobody gave me tangible answers. My supervisors tried to help, offering me a temporary bed in their homes, but this wasn’t feasible by any stretch. Then the Australian government issued its stimulus package, which included support to everyone in Australia except international students. Instead, we were officially told to, « go home. » All international students at the university were allowed to go home and do their coursework online, except HDRs (higher degree by research, meaning non-coursework postgraduate students). I begged the university to grant me overseas research leave so that I could continue my PhD from a distance during the crisis, and they consistently refused, citing insurance limitations since a university travel ban was in place and I was technically paid by the university. The Canadian consulate in Australia was sending daily emails in all caps, urging Canadians to leave immediately while they still could.
Nearing the end of March, my symptoms seemed to taper off and I felt I was pretty much recovered. My lung capacity wasn’t quite what it was before (I still couldn’t take a full deep breath), but the other things had cleared up. I’d been taking numerous antiviral supplements from the get-go, like ginseng, shiitake mushroom extract, cordyceps mushroom extract, red algae extract, lion’s mane mushroom extract, aged black garlic extract, numerous herbal teas and vitamins (C, D), ate a ton of raw garlic as well, and inhaled eucalyptus steam repeatedly throughout the days. It seemed like these things had worked wonders. I never got gastrointestinal issues, nor feverish. I never got overly exhausted, and continued cycling outdoors a bit throughout the three and a half week period (I had a minor bike wipe-out and scraped up my leg and drove my tooth through my lip – this becomes important later).
We got on our flight back to Canada on April 2. I was heartbroken, having been forced to suspend my PhD and leave everything behind for the unforeseeable future. I cut off some old leggings and t-shirts to make no-sew masks for the flight, so that we could reduce the risk of transmission. It was a small grace, in retrospect, that I’d already been on « sick » leave and therefore had no physical contact with my supervisors or friends after becoming infected. I hadn’t even been to campus, except one trip to pick up and drop off some belongings after everyone else had been told to work from home.
None of the airports we passed through (Perth, Sydney, Vancouver, Montreal, Ottawa) bothered checking people for symptoms. It was a completely voluntary admission, consisting of ticking some boxes on a sheet of paper. I saw numerous obviously ill, feverish people waved through. Many travelers hadn’t bothered with masks, and none of the gate agents wore masks. I will never really know if I had already recovered from one strain of COVID-19 and got infected with another during the trip, or if my ensuing severe illness was a relapse of the same one.
Round 2/3 – THE ACUTE PHASE (April 3-30)
We landed back in Canada, exhausted, on April 3 and were « served » upon arrival at customs with the threat of a million dollar fine if we left our home for any reason over the next two weeks. We were greeted at home by grocery drop-offs from good friends, and then hunkered down for cabin fever and quarantine jokes. I, however, didn’t make the two week quarantine. My symptoms came back with a vengeance by April 7 (sore throat, coughing, ocular migraines, trouble breathing, extreme postnasal drip) and then I was ushered to the hospital by ambulance on April 9 after suffering severe stabbing heart pain and pressure that felt like a heavy man was standing on my chest, and a squeezing/tingling sensation with weakness in my left arm, as well as pain shooting up into my neck from my stomach – all the indicators of a heart attack. After a « normal » ECG at the emergency room, I was sent to the local COVID clinic for testing (a month after the initial onset of my symptoms). After my COVID test, which the nurse performed very carefully and gently so as to avoid causing me much pain, I saw a doctor who prescribed narcotics (TEVA-EMTEC) for the chest pain. She told me that I likely had a « mild » case of COVID and inflamed bronchial tubes. The pharmacy delivered the medication the next day and I tried to get by with it.
In the next few days that followed, I started having major stomach pain as well as heart palpitations, and the heart/chest pain and pressure didn’t go away, even with the codeine. My arm continued to feel squeezed and tingly. I couldn’t sleep laying down flat, and had to prop myself up on 4 or 5 pillows just to try to get through the night. I tried laying on my stomach (which helped me breathe better), tried hunching over on my knees or over a pillow, etc. By April 12, my COVID test came back negative. I called 811 about the ongoing chest pain and a doctor called me back the next day. After describing my symptoms to him, he told me it was probably just anxiety and offered me a prescription for anxiety medication. I knew he was wrong and declined the prescription. I decided to go back to the hospital when the chest pain/pressure, arm pressure, tingling and numbness, and serious pain shooting from my heart area in the front through to my back (shoulder blade area), etc continued for another day.
On April 14, I was diagnosed with pericarditis, an inflammation of the lining around the heart. It was diagnosed after a lung x-ray, though the dr. told me that my lungs themselves looked « fine ». I didn’t find out until later, when a cardiologist was reviewing the notes on the x-ray document, that the x-ray showed « deterioration » in my left upper lung (near my heart). I was prescribed Naproxen (an anti-inflammatory, or NSAID) as well as a proton pump inhibitor (Pantoprazole) for my stomach. I left the hospital again to wait for the delivery of the medication the next day. However, I was back at the hospital via ambulance before the medication even had a chance to arrive in the morning.
When I woke up on the morning of April 15, I felt like I was very drunk. I moved my head to the side and the room started spinning. I tried to get up from bed and puked violently. My partner took my blood pressure using our home blood pressure cuff and it read 70/50, alarmingly low. I couldn’t even walk. He called 911 and prepared a bag for me, with food and water and all of my cards and paperwork. My blood pressure somewhat stabilized during the ambulance ride, and when I arrived at the hospital, it was deemed within « normal » range again. The intake nurse thus wheeled me into the waiting room and left me sitting there in a wheelchair, wincing with chest pain, for four hours. It seemed that if I wasn’t immediately dying or requiring intubation, she didn’t want to deal with me, even though I was the only one in the waiting room. My partner was not allowed to be there, but came to drop off the medication I was supposed to be taking. I took the Pantoprazole and Naproxen in the waiting room, and by the time the intake nurse got around to seeing me, my ECG didn’t show anything irregular anymore and she nastily scolded me, saying, « I don’t know what you expect us to do! Everything is perfectly normal. » I went home very upset and hoped that the new medication would help in the coming days.
Things got drastically worse after that, over the next two weeks. I didn’t know if I was suffering side effects of the medication or if it was the worsening disease (I found out later by comparing symptoms with hundreds of other people, that most of it was the disease, not the drugs). My entire body started to feel like it was on fire at night, though I didn’t have a fever and my skin was cool to the touch. Regardless, I sweat the bed every night. My body temperature regulation felt disabled and during the day, and I didn’t know how many layers of pyjamas and sweaters and socks to wear. And then joint pain started. I have never had joint pain in my life, but it began suddenly in one finger knuckle: my left ring finger. Then it spread to my right ring finger. Then my toes, the equivalent toes to the ring fingers. Then one toe went numb. Then it spread to my spine, and the excruciating pain in my spine felt like a hole in my soul that some icy winds of a frozen hell were whistling through – I could barely breathe in without wondering if my life was going to be sucked out through it. My esophagus ached like it was raw and swollen, and my lungs felt like they were full of fine glass powder. And then the joint pain spread deeper into my bones – specifically my left jaw bone. I also, at this time, started having violent diarrhea, emptying my body of all nutrients and liquid. The diarrhea lasted about a week, and I was desperately drinking litres of an orange juice and salt water mix to restore my electrolytes. The thirst was like nothing I’ve ever known during this period, and I was consuming 12-14 glasses of water a day. By the end of the two weeks, I’d lost 10 lbs.
I also developed a bizarre, deep internal tremor, like my entire nervous system was utterly fried by some electric shock. It was an uncontrollable vibration from a core place in my body (not muscular), always bad in the night and still vibrating when I got up in the morning. My head felt squeezed by an immense pressure, like my brain was swelling, and the headaches were intense and dizzying, with a jerky, vertigo feeling like I might faint. My sinuses were swollen and my face hurt, and constant postnasal drip choked me at night as soon as I tried to lay my head back at all. The shooting pain up my neck (into my thyroid?) continued over the days, my skin got really dried out and my eyeballs started burning. I also lost my sense of taste (but not my smell entirely) for about 24 hours. My eggs and toast breakfast just tasted like slimy and spongy textures, and I couldn’t register the salt that I’d put on them.
Also, at this time, superficial blood clots appeared in my left leg, at the place where I’d had a couple of abrasions from my bike wipe-out a month earlier. Hard, painful lumps had quickly formed and would *intensely* throb and ache at night, waking me up from whatever slumber I’d manage to fall into. The toes on my left foot clenched involuntarily at night as well (but not my right foot), and no matter how much I tried to stretch them out, they curled tightly over on themselves again. I had pains on the outside of my left leg, with no visible clues as to why. I also had weird muscle cramps at the tops of my calves, that came and went at night, out of the blue. I started wearing compression stockings during my daytime bed rest, since at this point I had not moved out of bed for days and was terrified of deeper clots. I’d had D-dimer bloodwork done, early on when the clots in my leg first formed, to check for deep vein thrombosis, and the results came back negative. The doctor at the time told me they were superficial thrombophlebitis and nothing serious to worry about because they were at the sides of my leg and not at the back of my knee. There was no answer for why they would suddenly appear, at the site of an old injury that had already healed, and throb relentlessly at night.
I had other vein or nerve sensations as well – pain frequently shooting up my left arm on both sides of the inside of my elbow. Everything was happening on the left side of my body only, and the headaches were on the right side of my head. Everything except some recurring pain in my right lower back, deeper than muscle pain, and I wondered if it was a kidney. I was in utter despair, knowing I was having a brush with death and feeling unsure if I’d ever get better from this mysterious disease that nobody knew much about.
Then one day, my heart really started freaking out. My resting heart rate shot up past 135, very suddenly, and no manner of strong will, breathing exercises or relaxation techniques would bring it down to anything resembling normal. It remained around 113 overnight, causing me to feel breathless and unbelievably anxious, and afraid to fall asleep. It continued to fluctuate wildly between mid-80s and low-100s the next day, pounding in my head and veins. I thought the drugs were causing it. In fact, it was a result of the disease, I later discovered as atypical symptoms of COVID-19 started to become known. I also started having stronger heart palpitations, and all this caused me severe panic attacks, back to back.
When I called the medical clinic again about what I thought were serious side effects of the Naproxen/Pantoprazole combo, I was prescribed Celebrex to try instead, which is a lower dose anti-inflammatory (NSAID). I was on this for three days and my symptoms/side effects became worse, with intestinal distress so intense that I wondered if aliens had impregnated me and would rip through my abdomen at any moment. I then spoke to another doctor, over the phone, who told me to get off the Celebrex because I had systemic inflammation and needed to take another drug instead: Prednisone, which is a steroid. I felt extremely hesitant about jumping onto yet another medication and went back to the hospital again for a second opinion, and physical assessment. I was completely at my wits’ end. This was my eighth trip to the emergency room, because I didn’t yet have a family doctor in Quebec (the waiting list is extremely backed up). After more bloodwork, I was told there were none of the usual indicators of systemic inflammation and that Prednisone was a « dirty drug », so I decided not to take it. The attending doctor instead prescribed a steroid nasal spray to help with the postnasal drip, and told me that nothing serious was wrong. I got very tired of hearing this. Again, it was suggested that anxiety was the culprit. I explained to him that I’d also started having issues with my urethra, and didn’t seem to have full control over my bladder anymore. He looked perplexed and said that there were so many symptoms over so many weeks that they couldn’t possibly all be related, and left it at that. My skyrocketing heart rate was shrugged off, and I was told that as long as it didn’t stay over 120 for more than an hour at a time, I should be fine. The chest pain (in my heart) was still intense. He instructed me to stop paying attention to my symptoms–as if that were possible–and that paying attention to my body was causing the anxiety, and thus the problems. I requested (for the third time) to see a cardiologist, and finally got a referral.
Round 3/3 – THE LONG HAUL (May 1-present)
My normal resting heart rate is no higher than 65, and typically around 60 or lower – I have been a pretty serious cyclist for a few years now, and do yoga regularly (or I did). My heart stayed racing and pounding for over three weeks, with daily palpitations. My partner would wake up at night and check to see if I was still breathing. Another doctor dismissively advised me to stop all medications and instead go talk to a psychologist. I had already proactively been speaking on the phone weekly with a counselor for a number of weeks, to help with the panic attacks and some of the traumatic stress I was feeling. I went off the medication as advised, and instead began a strict regimen of natural anti-inflammatories and blood thinners (turmeric, bromelain, CBD oil, etc) and an aggressive anti-inflammatory diet. I will detail the things I tried after I finish going through the physical symptoms timeline. Simply going off the medications did not alleviate symptoms other than to ease the bowel issues a bit and the whole body burning sensation, so I then realized that most of the things I was experiencing weren’t side effects. I continued to fervently research anti-virals, anti-inflammatories, and other beneficial foods, herbs and supplements that were within my reach, and started to see some slow improvements.
On May 14, the cardiologist’s office finally called. My resting heart rate was still at 110 when I had my visit. He listened to my chest, my back and pulled out his miniature ultrasound device to look for inflammation. He said he couldn’t see any fluid around my heart, meaning the pericarditis had apparently cleared up, but scheduled me for a full echocardiogram and stress test at the hospital. This was scheduled for two weeks away. I went home again, being told once again that there was nothing of immediate concern. I asked insistently about the ongoing elevated heart rate, which he said may be because my heart was « de-conditioned » from inactivity during quarantine and not being able to get out of bed for so many days. This may have been partly right, because when I later made sure to include an hour-long walk, twice a day in my recovery regimen, my heart rate started to stabilize, though not consistently.
I was told that the palpitations were « probably normal ». They weren’t normal because I don’t have heart palpitations on a daily basis in my usual, disease-free life and they continued for weeks after my heart rate somewhat leveled out again. There was no mention of possible COVID complications, because as long as I had a negative test result, the immediate dismissive assumption was that I didn’t have the disease, regardless of the known inaccuracy of the tests. Researchers now know there are severe complications to the heart and entire cardiovascular system caused by COVID, but my cardiologist seemed utterly oblivious to this. He told me that my chest pain wasn’t heart-related. He had looked for all the well-known heart problems using the diagnostic tools at hand, and I was essentially patted on the back and sent away. My eventual echocardiogram and stress test were deemed « normal » even though the palpitations and elevated heart rate continued.
Some days after my first visit with the cardiologist, the sore throat and sinusitis cycled back around AGAIN and I developed a new, persistent cough and stabbing lung pain on both sides of my chest. My Eustachian tubes (between the ears and throat) started aching and I found myself once again choking on postnasal drip. Also, I could feel fluid oozing around my lungs when I got up from a reclining position, that restricted my breathing but went away after I stood up for a few minutes. Another new symptom had also appeared: shooting nerve pain fanning across my chest, under my left armpit, down my left arm. Other times it was in my leg, as well as once or twice in my urethra. The numb toe stayed numb. The joint pain in my fingers and toes continued. The inner vibrating continued but lessened ever so slightly. I went back to my new family doctor (finally got one after 8 years in Quebec) for a second visit, and she looked into my ears and found inflammation on the right side, where I had told her the pain was worst. She told me the steroid nasal spray should clear it up. I asked her about my oozing fluid lungs and she said she didn’t know what would cause that, but scheduled another lung x-ray, more bloodwork and prescribed osteopathy, massage therapy, physiotherapy and psychotherapy. She also referred me to be fitted with a holter heart monitor, but said it could take months to get it. She reiterated that doctors know that COVID tests are inaccurate. She took notes of all my symptoms. I asked if I could get an antibody test for COVID, but she said that they aren’t available in Canada, and they aren’t accurate enough. She then admitted that modern medicine can’t treat everything alone and that the other therapies may discover some other causes to the many, many problems I have been having, or at least help alleviate them.
As of June 7 (day 87), I began to feel more like myself but I had the sore throat appear again – is this round 4? The postnasal drip has made a comeback. Each time the symptoms resurface for another round, they are less severe and shorter in duration, like my body is slowly building up more immunity. My chest/ heart pain is almost completely gone, but the oozing fluid (which I suspect is minor pulmonary effusion) remains and my lung capacity is diminished. The little cough stuck at the top of my throat lingers on, with a foamy feeling. The joint pain is becoming slowly fainter but is still there off and on, as is the nerve pain. My heart rate is mostly back to normal, and the palpitations have become fewer and far between – once in a while I still feel the veins pounding heavily throughout my body, usually if I try to do yoga or have a hot bath. My gastrointestinal system is mostly back to a state of equilibrium, with an occasional setback. I still have the deep internal vibrations that sometimes wake me up from sleep, as well as the occasional « kidney » feeling pain. But, I am far, far better than I was, even just two weeks ago. Finally, I have recently gotten out for a gentle bike ride, restoring some of the joy to my life.
Part 1 Takeaways: COVID-19 has been for me, and many others like me, a disease that encapsulates a number of known disease-like symptoms, all at once or one after the other: heart disease, cardiovascular disease, osteoarthritis, pulmonary disease, neurological degenerative disease, GI tract diseases, autoimimmune disease, etc. Some who hear about it (but haven’t had it) have compared it to Lyme disease that they’ve suffered from. I haven’t had Lyme, so I don’t know how it compares, other than the psychological impacts of mis- or non-diagnosis and belittling/ misunderstanding by the medical and other communities.
I’ve discovered that neurologists now know that the disease is a complicated constellation of symptoms that most resemble post-viral dysautonomia.
Part 2: The psychological and social impacts of having COVID-19
For me, and for numerous others I have talked to, having COVID-19 is hugely traumatic. It is a culmination of traumatic stress that manifests in overwhelming feelings of serious danger, grief, loss, anxiety, panic, isolation and alienation. I have and sometimes continue to feel all these things. There has also been feelings of despair as more and more symptoms bombard the body, wondering what life-threatening horror comes next.
The anxiety and panic that came from having COVID-19 at a time when the world was reeling with the rapid spread and unknown full consequences of the first wave, was utterly crippling. I couldn’t function for a number of weeks, not only due to the immobilizing physical symptoms but also because my body was in constant fight/flight mode. I had a full week of panic attack after panic attack, triggered by little things. If I saw yet another news article headline that mentioned COVID deaths (especially from heart-related issues), I would immediately downward spiral into a panic attack. If I was watching a movie with a sudden loud bang, I would burst into tears and a panic attack would ensue. I tried four times, over three weeks, to get through one episode of Westworld, and couldn’t do it. I woke up in the night having panic attacks caused by nightmares. I cried every single day for approximately two months, out of exhaustion, which fed into the panic. I had to sit very quietly in a chair by the open bedroom window with a soft blanket around my shoulders, drinking cup of tea after cup of tea and watching the buds appear on the leaves, and then birds twitterpated and building their nests, and then the blossoms and leaves coming out in full, an entire season passing while just trying to focus on the delights of nature and nothing else, to make it through an afternoon, one day at a time, one week at a time. I watched people laughing in the park, visible outside my bedroom window, and those cycling by with full vitality, and kept telling myself one day again, it would be me out there, full of life. I had to perform breathing exercises that would reset my autonomic nervous system and stop the attacks. I had to meditate on a happy place where I can feel safe and at peace. I felt like I was having a nervous breakdown, and maybe I was.
I was also deeply aggrieved by sometimes feeling I was futilely fighting something that was trying very hard to kill me, with the possibility of facing death alone. Every solitary visit to the emergency room drove this home, deeper and deeper. This grief still sits heavy in my chest, even though the threat of death has become far more distant now. My life (and the lives of others) has felt increasingly precious and fragile, directly under threat, by both the virus within me and by every stupid, careless or cocky, infantile person outside who doesn’t take precautions. The frustration over this causes me to gnash my teeth in worry about my family, some of whom are extremely vulnerable, and none of whom I’ve been able to see for months. My life and well-being also depends on theirs.
In my state of grief over everything I’d so suddenly lost in my personal life (MY HEALTH, my PhD and career progress, being able to plan for my future, ability to participate in professional networks and activities, ability to do anything productive whatsoever) as well as the loss of others’ lives, including a friend not much older than me who suddenly died, I broke down and contemplated everything and everyone I needed to forgive. The weight of carrying any more burdens was untenable. I forgave my partner for any wrong thing he’d ever done in our relationship, because he was exhausting himself caring for me. I forgave some of the stupid mistakes and trespasses by others in my past. I dropped whatever I could from my psyche, that no longer needed to be there, because I felt so burdened and broken, that my voice could barely rise above the whisper of a frightened little girl, for a time. I could hardly recognize myself (and anyone who knows me would find this hard to imagine). I figured I needed to work on healing my emotional heart as much as my physiological one. I also gained a deeper appreciation and respect for the strength and endurance of anyone dealing with chronic pain and disease. I developed a deeper understanding of the challenges that my grandmother has been living with every day for the last decade, because I was experiencing many of the same things she experiences on a daily basis. I felt like an 87 year-old woman, despite my tiny, frightened girl voice.
The isolation, alienation and desperation are interconnected impacts, aggravated by the lack of knowledge (and some sexist ignorance) about COVID-19 in the healthcare system. Feeling critically ill and unable to depend at all on the institutions that are meant to diagnose, treat and heal, has been horrifying. I’m not a blind devotee of conventional medicine, by any stretch – I have my strong feminist criticisms and much of my PhD is about this. But, I also work in a bioscience field and value aspects of scientific progress, promoting those that include a blended approach to medicine, and that respect what people (especially women) tell healthcare providers about what is happening in their bodies. But with COVID-19, medicine has *really* let many of us down, in an epic failure of adequate response and a denial of the presence of the disease itself, outside of a narrow set of symptoms. We have been invalidated and ignored, sometimes arrogantly, and other times from a basic lack of knowledge or direction in the system. This can be life threatening, but also incredibly alienating, as directorates from the health authorities negate the severe experiences of the disease that many COVID sufferers have. It leaves us feeling crazy, doubted by doctors, doubted by friends, doubted by strangers, and even doubted by insensitive or ignorant family members. It’s the false accusation of hysteria all over again. It is medical gaslighting, because the ‘authorities’ aren’t actually in control of the situation but need populaces to think that they are. I struggled with this a great deal, until I found support groups – especially the Body Politic COVID-19 Recovery Support Group, facilitated by a « queer feminist wellness collective » (hello, witches!) based in NY.
But before this, I built my own essential support group. First, a young artist in France reached out to me. She saw a Facebook post I’d made about chest pain, and confided in me about her ongoing COVID experience. She urged me to continue seeking medical care and not ignore my symptoms. Over the weeks, she became an absolute lifeline, because she was the only person who understood what I was going through, and she was appropriately pissed with the ignorance and lack of care from the French medical system. Then an associate mentioned knowing someone in Montreal (another female artist) who was going through the exact same things I was, and urged me to contact her. When I reached out to her, again there was a flood of exchange between us as we compared our identical symptoms. The only difference was that she still had no sense of taste or smell after two months, and had tested positive once in the four times she’d been tested (the other three were negative). Her pericarditis and heart stuff also seemed a bit more acute than mine. I connected her with the first woman, and then we became a support bubble of three. Shortly afterwards, I was contacted by another woman in Montreal whom a mutual friend had sent my way, also with pericarditis and the other stuff. We then became four – pillars holding shelter together, helping each other cope with the daily reality of recurring symptoms, medical failure, and periodic feelings of hopelessness, as well as sharing any helpful information and resources. These women are now, and have been, critical supports in my recovery progress. It was the second woman who told me about The Body Politic COVID recovery support group, and I quickly signed up.
Within this larger support group online, I found a phenomenal number (thousands) of other people who had all experienced the same enduring symptoms as I had, to an alarmingly precise degree (duration, timing, symptom types). Many of us became ill in mid-March. Pericarditis was a top symptom, as well as the other other heart-related issues: palpitations, rapid heart rate, weird vein and nerve pain on the left side of the body. Also, the internal vibrations, joint pain, etc etc etc. My experience of isolating illness became an experience of a being part of a diseased organism, collectively unwell. The group spawned a study that showed aspects of this data, mentioned in this article (the link to the study is provided in a list of resources at the end). People who tested positive were most likely the ones who had lost their sense of taste and smell while those who tested negative hadn’t, but the range of symptoms was otherwise the same. This correlates with my mini support group of women artists: two of us tested negative, one was never tested, and one tested positive after numerous tests. Yet, we have all experienced the *exact* same things in varying degrees of severity.
Medical practitioners in Canada need to be guided by listening to patients, and by health policy makers who do the work of quickly and doggedly staying up to date with the most important COVID research happening globally. Doctors themselves can’t be expected to work all day taking care of others and then research all night to make sure they have all the info. They are also limited by the health authorities in the approaches they can take to the disease. Different countries’ health authorities are not learning enough from each other, not paying attention to research that is gaining the most traction. Quebec, where I live, has not responded appropriately to the disease, evidenced by the fact that it has the highest number of cases and deaths in Canada. If they want to open up sooner than recommended, they should prioritize better treatment and care, especially long-term and follow up care. According to my friend in France, there are already epidemiology studies happening in Paris to assess longer-term, atypical symptoms of COVID. Not that France is doing perfectly in the crisis either, but much of Canada is pathetically still stuck on the mandate to only wear a mask if you have fever or cough, despite international advice from scientists studying the disease, and stuck on international travel as the main mode of transmission instead of better supporting communities to reduce spread. Community transmission is now massive enough to render the question, « have you traveled in the past 14 days? » almost moot. Because of these shortfalls in prevention awareness, in Quebec, we are (some of us) under the bizarre delusion that, as one man said to me when he saw me headed into the pharmacy wearing a mask, « Le COVID? C’est fini! »
As one astute article put it (can’t remember exactly which one, but I have linked to it here in the text somewhere): the only people no longer affected by COVID are the ones who have died.
Part 3: The Full-time Job of Healing and Recovery
Here, I’m going to share my own experience with recovery approaches that may be of interest or use to some of those still suffering COVID-19, or anyone taking care of someone suffering COVID-19. I’ve been privileged to have some economic security throughout this, and have been able to afford some expensive supplements, so I recognize that not all of my approaches may be practical. I also recognize that my relative privilege (and having the support of a partner with privilege) has afforded me recovery that very tragically hasn’t been afforded to others.
Also, none of my text constitutes medical advice and I am not advocating for anyone to do what I did, because every body is different and nobody actually knows how to best treat COVID-19. I also need to say that many of the medical practitioners I’ve seen have been kind, and usually concerned, although often at a loss for what is wrong and what to do about it. Some certainly have been predictable, old school assholes, while others have inappropriately expressed their frustrations directly at me. Luckily, my new family doctor is pretty great, and open-minded. I appreciate the people who have tried to help me, and who have put their own lives at risk to offer some kind of care, any care, during this crisis. Importantly, though, throughout this ordeal, I have had it proven to me over and over again, that the care networks that have healed me the most have been the wise women in my life (and often their partners), who have gathered closely around me and lent their strength, knowledge, time, hearts and resources.
Other than the endless blobs of indistinguishable time and rest, breathing exercises interspersed with very gentle aerobic exercise (walking slowly) and some minor stretching, below are the things I’ve tried with some degree of success and no side effects. The list of what I’ve used to try to heal myself has science behind it for dealing with numerous non-COVID-related issues, but many of which occur with COVID-19. It has felt like the virus attacked numerous systems in my body and I adapted my approach to account for this, switching herbs/supplements every so often as I felt I needed to, in order to address different concerns. It felt to me that I had to keep surprising the virus with new kinds of defenses, as it kept surprising me with new attacks. Some of the supplements I took were ones I heard about through COVID healing success stories on the support group pages.
Remember, I didn’t take these all at once.
Vitamin C – continuous, at least 2000mg/day plus as many selected fruits and vegetables, and pure (no sugar added) juices as I could stuff into myself. I drank blueberry, cranberry, pomegranate, orange, orange-mango and pineapple juices, usually diluted with water.
Vitamin D – continuous, at 1000IU/day, which I ramped up to 2000IU/day when my lungs were compromised the most.
I complemented Vitamin D with Oregano Oil when I needed extra lung support. I also added NutriBiotic grapefruit seed extract to my water when I was fighting lung infection.
Vitamin B12 – continuous, first taken as nutritional yeast added to my food, and then at the end, I switched to B12 drops which has given me an excellent energy boost (and I am using this to rebuild my red blood cells).
Zinc – periodically at first, but consistently after round 2 of symptoms hit.
Raw honey, typically whatever has been local – continuously, but especially for the sore throat and postnasal drip. I used liquid honey and also manuka honey lozenges.
WATER – a fuck-ton of water, continuously – a minimum of 1.5L/day but preferably quite a bit more. Water is full of oxygen (H2O), but also essential for fighting inflammation, one doctor told me. I felt very strongly that this virus did best in a dehydrated body, so I wasn’t going to give it that extra edge.
Eucalyptus oil – daily brief steam inhalations (5 minutes) for as long as I felt I needed them (I still sometimes need them) to deal with bronchial inflammation and sinusitis. I also used a humidifier with eucalyptus oil at night, when I was having the worst of my chest pain, breathing trouble and sinus pain.
Lavender oil – as needed, for headaches or for trying to calm myself down at night before sleep. I put it in baths (when I felt OK to take a bath again without fear of having a heart attack or stroke). I also put it in epsom salts foot baths,or would rub it between my hands and inhale it before bed. I also drank lavender and chamomile tea to help chill out in the evening, when symptoms would *always* get worse.
Oatmeal – during the worst phase of intestinal distress, this was pretty much all I could eat. It soothed my digestive tract, as well as nerves. I ate it alternately including banana, apple, flax seeds, chia seeds, cinnamon, ginger, oat milk, honey or maple syrup. Maple syrup is also, miraculously, an anti-inflammatory! Small mercies. Once I even ate gruel with onions and garlic. I now eat oatmeal for breakfast every day, since I had to give up eggs (more on this later).
Licorice – I used licorice tea and licorice chewies made with pure licorice extract (and not many other ingredients). This was to also soothe my intestinal tract during the worst bouts of diarrhea. I took it easy with this, though, since it can lower blood pressure and I’d already had a run-in with that.
Turmeric powder – continuous, EXCEPT when I was taking Naproxen (which is also a blood thinner). Turmeric lattes, with oat milk and honey, became my morning coffee. I had to drop coffee completely (due to racing heart), and instead frothed this drink up morning and sometimes at night. It has been a daily comfort. It coated my throat and soothed my stomach, and is also a very effective pain reliever (a COX-2 receptor inhibitor, just like how NSAIDs work), anti-inflammatory, blood thinner and so many other beneficial things I found for dealing with this disease. I didn’t overdo it, though, because it also stimulates the thyroid and I didn’t want to come out of this disease with hyperthyroidism.
Bromelain – daily (except when taking Naproxen) – a proteolytic pineapple enzyme that dissolves blood clots and scar tissue. I began using bromelain as soon as I went off the Naproxen, because I felt it was critical to continue to thin my blood and do something to prevent clotting – it felt to me like a good complement to the turmeric. Plus, I knew that the disease caused scar tissue formation in vital organs. I have continued taking bromelain since then. The painful clots in my leg have dissolved completely, though some tenderness remains, as well as the mass of scar tissue that had formed where my tooth had gone through my lip. Bromelain has been one of the most important supplements.
Elderberrytincture for immune support, but I didn’t use this when I felt in my most acute state of the illness and when I thought my immune system might be attacking my body. I don’t have autoimmune disease, but dealing with COVID has felt like a delicate balancing act of supporting immune function but not too much, at certain phases of the illness. My herbalist witch cousin prepared the elderberry and sent it to me in a care package.
Wormwood (artemisia/ mugwort) tincture, also prepared by my cousin – I have used this sporadically and sparingly, because it can be toxic. I have started combining it with small doses of commercially prepared Black Walnut tincture and clove capsules. I also drink artemisia tea, from herb that I gathered myself on my family’s farm while out walking with my cousin last year.
Usnea tincture, another anti-viral, also prepared by my cousin.
NAC, or N-acetylcysteine, which occurs in the body but is used as a supplement to bring down inflammation in the bronchial tubes, as well as detox and rebuild the liver (ugh, all those medications I took!) and a number of other things.
Melatonin (3mg) – I took this every night for approximately 3.5 weeks to help me sleep (I was severely sleep deprived), as well as to benefit from its excellent anti-inflammatory action. It was a godsend, but I didn’t want to be on it too long in case it might eventually inhibit my own bodily production of it.
Magnesium (500mg) – for neurological support, as well as to help deal with weird muscle cramping.
Liposomal Glutathione – *very* expensive. Your body produces glutathione anyway, from NAC, so this may be an unnecessary supplement other than a jump-start. But when you’re fighting for your life, you’ll do anything for an extra advantage.
Dan Shen (Red Sage) tincture – this Chinese medicine remedy was recommended to me by an herbalist witch in NY who I know, and who sent it to me in the mail. It supports the blood vessels, heart and brain. I’ve used this in round 3, to help with trying to kick the last of the issues and rebuild my vascular system. It seems to be what finally stopped the heart pain.
North American Ginseng (capsules, commercial name is Cold FX) – at the onset, and then not again until the later stages of the recovery phase (now).
Cordyceps mushroom extract (powder, capsules) – I used this anti-viral early on in the infection, and have taken it up again in the current stage.
Spirulinapowder – mixed in orange juice, this has long been a favourite of mine, for boosting energy. I’m also careful to not overdo this, though, because it is a marine algae and high in iodine, which can mess with thyroid function.
AIR (oxygen) – I’ve never been so appreciative of basic things like air and water. Practing breathing exercises and attempting to recondition my lungs by being outdoors in the woods or near water has been a central aspect of my recovery.
Mullein (smoke) – no, I didn’t smoke it – I burned it in small amounts and allowed the smoke to disburse in the room, breathing it in gently. Mullein is helpful for asthma and opening the bronchial tubes, and smells pretty good, which is calming.
Arnica oil – I used this for muscle and joint pain. I knew I wasn’t allergic to the plant (some people are) because I remember picking arnica flowers one summer in the Grand Teton Mountains, in my 20s, to use for medicine. I also love the smell of it.
Sandalwood oil – I rub this on my thyroid (neck area). I really have felt that the virus has been doing something funky with my thyroid, causing shooting pains in that area. I read that sandalwood oil is supposed to balance out an overactive thyroid – could this also be what was causing the accelerated heart rate? I have some excellent sandalwood oil that I got from a visit to a distillery in Western Australia. Plus, very relaxing smell.
Quercitin (capsules) – I have recently started with these, after reading this. It’s a bioflavinoid that I have also read elsewhere is good for supporting the body in overcoming disease.
Bone broth, that I make myself from boiling chicken bones, with some vinegar added to the water, along with veggie scraps that I keep in the freezer. This is liquid gold, in my opinion. Grandmother’s chicken soup recipe never fails.
Garlic – so much garlic. Raw garlic, crushed on food, or chomped right off the clove with every bite of food. Perhaps the classic vampire repellant works on the bat coronavirus that wants to corrupt my blood and veins?
CBD oil – has saved my ass, as a pain reliever and to calm anxiety. I have a spray that I spritz under my tongue for pretty quick relief.
I’ve used all these things in different combinations, for different periods of time.
Some other herbal teas I used: marshmallow root, dandelion root, valerian root, nettle leaf, blue butterfly pea flower, lemon balm, ginger. I drank so much herbal tea, but also balanced it out with plenty of water, since a lot of teas are diuretics.
My diet has drastically changed to become a strict anti-inflammatory diet, similar to what people with autoimmune disorders follow. I have had so many areas of inflammation in my body (heart, lungs, throat, esophagus, ears, sinuses, etc) and some new autoimmune symptoms (joint pain), that it became necessary to focus more strongly than I typically already did, on making food my medicine. I’m a hedonistic foodie, so this really sucked, but also I took up the challenge with whatever enthusiasm I could muster. It became my new research project, but it was my partner who prepared all the food according to my needs because for soooooo long (weeks and weeks), I couldn’t do ANYTHING but rest, cry, journal desperate affirmations to myself, breathe, listen to guided meditations and watch Netflix or Prime in bed. I’ve stayed disciplined with the diet, because otherwise, I have guaranteed PAIN and flare ups of symptoms. I’m just grateful that I can actually eat and enjoy food again, any food, after weeks of liquids and oatmeal and no appetite whatsoever. Sometimes I couldn’t eat at all because I was so full of anxiety, grief and despair, that I would cry just attempting to put food in my mouth–food which I knew I needed to keep fighting and stay alive. I also went through a period of seeming to easily aspirate my food and liquids, which was odd and scary.
So:
I cut out alcohol completely. Ugh. Both the cardiologist and my family doctor advised this. I miss my occasional gin cocktails, prosecco, glass of wine or Aperol spritz, because they feel like a part of who I am (was), but one day I’ll be able to have them again, I tell myself. Perhaps when I can go out freely to a local cocktail bar again.
I cut out caffeine (mainly coffee). Ouch. I adore good, strong coffee in the morning – mmm, espresso-based drinks are my fave. But, I couldn’t even do green tea, because a racing heart is not happy with caffeine. Plus, the anxiety caused by having this disease is REAL, and I don’t need any extra. I might add green tea back in slowly, soon, because of the benefits it offers.
I cut out sugar, except honey and maple syrup, because they have big health benefits. I don’t have a big sweet tooth. I did have a weakness for almond croissants, but, oh well.
I cut out bread, or any other wheat or baked product – all that quarantine bread baking fulfillment no longer applied to me. And no more pasta, couscous, pizza or pierogis, etc. It’s actually been surprisingly easy, despite my lifelong passion for toast with butter, but my partner does have to eat his pizza in secret so as not to completely torture me.
I cut out eggs. This one was very hard to give up – I love eggs and ate them for breakfast every day. They have a lot of benefits, but also provoke an inflammation response in the body. As soon as I cut them out, my pain eased off A LOT. I almost ate an egg today, but then I chickened out (haha).
I cut out all dairy. Even yogurt. Dairy is a well-known inflammatory agent, and causes phlegm. I love and miss cheese so much (mmm smoked gouda, feta, brie…), especially on baguette… I substitute sauerkraut for yogurt, to still get probiotics. Also, I have miso, tempeh and small amounts of kombucha from time to time, for the same purpose.
I cut out fried fats. No more delicious, delicious kettle chips for occasional snacks. I’ve substitued these with nuts – so many nuts – pecans, walnuts, cashews, almonds, brazil nuts (anti-inflammatory, and also to support thyroid). And seeds – sunflower seeds, pumpkin seeds. These really give me my healthy fat fix.
I cut out all members of the nightshade family – tomatoes, potatoes, eggplant, peppers. No more pasta sauce, but I’m not eating pasta anyway, so, meh, whatevs.
So, what can I eat, ffs? I follow some guidelines provided in this paper, since most of my symptoms have been cardiovascular. What is anti-inflammatory to the extreme? Many vegetables. I eat a lot of goddamn vegetables and fruits, especially green vegetables and any berries that don’t drain the bank. I eat wildly extravagant salads, with as many omega fatty things in them as I can add at once: olive oil, avocados, nuts and seeds. They also include celery, herbs and berries, but NO tomatoes. I also harvested dandelion greens and fiddleheads from my yard and from the riparian zone along the Ottawa River. I eat fish (mostly local), like cod and salmon, and I eat some seaweed (though not too much again, because of the high iodine). I eat chicken sometimes and beef very rarely. I eat basmati rice once in a while, or quinoa, but I limit that, too. I eat mushrooms, all kinds, but especially shiitake. I eat soups, particularly soups with bone broth and/or coconut milk. I’ve also been focusing on ACE inhibitors (other than eggs and dairy), like brussels sprouts, prunes, etc. I eat lentils and beans – my fave is baked beans with molasses (iron, anyone?) or dahl with extra cumin. I eat rice pasta sometimes, but also very sparingly. I eat dark chocolate in small amounts, because… small pleasures, and it’s healthy. Thankfully, I’ve gained all the weight back that I lost while at my most wretched. So, I think I can do this anti-inflammatory diet thing for a while, until I feel 110% back to myself. Then, I will devour some of my favourite missing foods and beverages again, slowly and one at a time. Eggs will be first. Then pizza. Then an elderberry gin cocktail. Cheers.
Part 4: Resources
A few important resources (which I will add to and update periodically):
For the record: the experience of « mild to moderate » COVID-19, days 90 – 120
There are numerous lingering or recurring COVID symptoms after day 90. Some of mine have only now really come to the forefront of my experience, since acutely painful symptoms have receded enough to allow for a closer awareness of them. The majority of these seem to be neurological.
The Central Nervous System – a tripped breaker
Recently I joined the COVID-19 Brain Study—a global study of how the virus affects cognition. I did not expect to do as poorly as I did on the study’s cognitive function tests, so my results were a bit depressing. I knew I was having significant short-term memory problems during COVID, but I didn’t quite realize the extent. I’ve been struggling for weeks to grasp certain words while speaking, experiencing an inability to recall them in the moment I want to use them. I’ve constantly lost my recall of why I walked into a room for something, standing there staring blankly like a goldfish for some minutes, trying to remember what I was doing before I even walked into the room. Most notably, I’ve often been unable to retain even a tiny inkling of what activities I’ve done the night before, what movie I watched, etc. I have to ask my partner to try to jog my memory, sometimes requiring him to recount several details before the light comes on again in my head. I’ve also noticed that my capacity to form new neural pathways is delayed. For example, if I move a jar of something — tea, for example — to a new location, I keep repeatedly going back to the old location looking for it. This isn’t normal for me. Typically, I may only go looking for something in its old place once (if even that) and then a new neural pathway forms to help me remember that it is kept in a different place now. My mother jokes that this is her normal, but I should not be operating with the brain of a 70 year-old.
All of these brain lapses are new within the relatively short time span of this disease. I’m not suddenly going through perimenopause. I most certainly am distracted by the trauma of what I’ve endured and the chaos in the world right now, as I haven’t been able to focus on much else. Many of us, with or without COVID, are experiencing this. However, distraction itself does not account for the full abyss of short-term memory loss I’ve been struggling with. I have never before in my life lost my words like this. I’m a writer and a scholar — words are my medium (other than my visual art mediums). The poor results I got on the COVID-19 Brain Study were a jarring indicator of thepersistent neurological impacts of this disease.
Thankfully, it doesn’t seem entirely permanent, as the days tick by and some of my neuroplasticity seems restored. I did remember the new spot for the jar just recently, and was proud (and relieved). I’ve previously experienced head injury, about 30 years ago. Right after the accident that caused it, I was incapable of counting coins in the till at work. I gave people back the wrong change from their fish and chips orders, and my creepy boss fired me for deciding to leave my shift early to go to the hospital. I remember the confusion of trying to understand what was happening to me, as I vomited into a pan while being prepped for my CT scan. I have felt some similar disorienting head injury effects from COVID-19.
At different stages of this disease, I’ve had severe all-over headaches that wouldn’t quit for a sequence of nights — not regular-type headaches that go away with painkillers, but a pushing-against-my-skull-plates-kind of headache that extended into the roots of my front teeth/ sinuses. A number of weeks back, I felt pressure in my skull that made my eyeballs feel hot and bulgy, though I didn’t have a fever. My eyeballs even looked a bit bulgy in the mirror, which was weird, and my mother remarked on this from a selfie I’d sent her. My bloodwork for Graves’ disease came back negative, so my bulging eyeballs aren’t thyroid related, thankfully. I also had some minor vision disturbances with this: lint-like floaters in my line of view, like little squiggly threads of light, as well as slightly blurred vision, off and on. The emergency room doctor I’d told about the disturbances had shrugged it off, so I forgot about it (ha!) in the onslaught of the more immediate life-threatening symptoms.
My central nervous system, however, still behaves like a tripped breaker. The internal vibrations I’ve experienced all along have continued, albeit much more subtly in recent days. These deeply interior, high-frequency tremors are only noticeable at night if I wake up from sleep because of them, or in the morning when I first wake up. I can feel them in my torso and sometimes in my arms. They are not externally visible — I don’t shake — it’s just some glitch at my core. I’m planning to try acupuncture for this, in order to reset the fuse, so to speak.
Finally, I also have periodic, recurring tinnitus, and my coordination is COMPLETELY off. Not only have I been exceptionally klutzy around the house in the past couple of months, injuring my toes and shins, but yesterday I seriously wiped out on my bike yet again, for no real reason — for the second time since this disease took hold of me. That is not something I would ever do — I’m a cyclist, for gods’ sake. The last time I wiped out on my bicycle previous to COVID was in grade 6. My reflexes have always been finely tuned, like a cat.
The Peripheral Nervous System
Many of the acute phase symptoms I experienced earlier on (and still occasionally experience) are what seem like autonomic nervous system dysfunction: tachycardia and breathlessness, blood pressure drop, heart palpitations, body temperature deregulation, severe night sweats, extreme thirst, diarrhea, rapid weight loss, decreased bladder control, panic attacks/ extreme anxiety, dizziness when standing up, etc. These symptoms subside and then reappear with the occasional blips in recovery.
Likewise, other aspects of my peripheral nervous system have not fully recovered, either. I’ve had lingering nerve pain, as traveling sensations in my upper chest and left arm, including through my armpit. I’ve also had continued joint pain in two symmetrical ring finger knuckles, and one toe continuously goes numb.
Temporary, clarifying relief
Recently, I was provided the dawning realization that with COVID, all along I have been like a frog in a pot of water, mostly unaware of the neurological damage I’ve endured — you know how the old theory goes: put frog in pot of water, turn heat on and let it slowly heat up, and frog never knows it’s boiling to death because the heat is so gradual (please don’t try this at home, folks). My realization came in the form of a pill called Pepcid. My doctor suggested I try an otc antacid to relieve some of my lung symptoms, believing they may stem from acid reflux. I’ve seen references online of Pepcid (famotidine) being successfully used by a number of COVID sufferers, and also that it may have other indicators for COVID. My first dose of it was life-altering. Let me explain:
I have had ongoing severe sinusitis and post-nasal drip, including inflamed inner ears, aching and swollen face, and headaches with eyeball pressure (as I mentioned). As I lay in bed the first time after taking Pepcid, waiting to fall asleep (which typically takes me an hour), I could feel a slow and miraculous clearing of my sinuses — the ENTIRE sinus cavity system: maxillary, frontal, ethmoid and sphenoid. Suddenly, there was air flow in my skull like I haven’t experienced in months. I felt my ear canals clear out, almost like when you pop your ears driving up a mountain. And then my brain also changed. Suddenly, I started smelling toast. It was 12am, the house was shut down for the night, and there was no real toast happening anywhere. Tired and anticipating sleep, I didn’t give it much thought. Shortly after, I fell asleep, breathing better than I have in awhile. Then, I woke up sometime in the middle of the night, smelling hot plastic. I thought maybe the bedroom fan, that I use for white noise to help me sleep, might be about to catch on fire. Tired enough to not really care, I fell back asleep. When I woke up in the morning, bright and clear at 6am (this never happens!), I smelled toast again. I realized at this point that I was having olfactory hallucinations. I got up and walked into the bathroom, and smelled things that I haven’t smelled in months — like the fresh air that comes in through the window with its heady, moist plant and tree wafts. I hadn’t even realized that my sense of smell had been cut down to less than half, until I got it back again. The only smells I’ve actually been registering have been the stronger ones, like very ripe bananas placed directly under my nose, or the intoxicating milkweed blossoms on the walking trail. I cannot express the joy I felt at regaining some part of myself, and the dread of knowing it depends on taking a pill containing an histamine H2-receptor antagonist. Does COVID causehistamine intolerance? And do my new hallucinations indicate wider neurological damage than what I’ve already identified?
COVID Relapse(s)
On Day 110, I relapsed kind of badly. It was more frightening than previous relapses because of new symptoms and problems that appeared. First, I had a weird taste anomaly that evening when I was eating salad for supper: instead of salad, it tasted like I was chewing on aluminum foil. More notably, however, my blood oxygen level dropped. This happened after being back at the hospital for a complete pulmonary function test. I was asked to take a salbutamol inhaler for the test, and while it seemed to help me breathe a little easier in the moment, it also caused thick phlegm and congestion in my lungs and throat, a while later. Before I went to bed that night, the tachycardia had come back, for the first time in weeks — I knew that salbutamol could cause rapid heart rate, but this was hours later. I went to sleep with my resting heart rate well up into the 90s, feeling my pulse throbbing in my face. I was woken up around 5am by stabbing heart/ chest pain and nerve pain shooting across my chest and down my left arm again. My partner used a pulse oximeter to check my heart rate and noticed that my blood oxygen level had taken a deep dive, down to 79%. This was a case of what is being referred to now in medical circles as ‘happy hypoxia‘, particular to COVID-19, where gasping for air when severely oxygen deprived just doesn’t happen like it should. My partner didn’t tell me that I was unwittingly suffocating at the time, so as not to trigger panic, but instead told me to start taking some deep, steady breaths for a few minutes. I’d thought he meant to just get my heart rate down. He waited a while, until my blood oxygen level went back up to within normal range, before letting us both go back to sleep. The fact that my blood oxygen level stabilized with controlled conscious breathing tells me it was likely related to dysautonomia — as in, my autonomic nervous system forgot to make sure I was breathing while unconscious, similar to, but not quite sleep apnea. My blood pressure also, in the past week, dropped again to a critically low number (77/60), leaving me extremely dizzy when I tried to get up out of bed — another dysautonomic feature.
The week before this, I’d managed to cycle 60kms (before the bike wipe-out). I felt I was solidly on the road to full recovery. Now, I’m limited to slow walking once more, for all the reasons. Right now, performing a simple exercise causes my heart rate to skyrocket again. It’s like I’m back to where I was a month ago, in some regards, and have begun again at ground zero with the rehabilitation efforts.
Overall Rehabilitation
What we now know is that COVID-19 attacks multiple systems (all at once or one after the other). This requires a holistic approach to recovery, but Western medicine is not set up to do this. What this has meant for me is continuous wading through the system in order to access numerous disconnected specialists: cardiologist, pulmonologist, neurologist, osteopath, physiotherapist, massage therapist… and then piecing together the information gleaned from each in an attempt to compose a whole picture. One must find the resolve to vehemently advocate for oneself, while also being sick and compromised, but this is nothing new — particularly not for those who suffer chronic illness.
Recently, I started sessions with a very knowledgeable and respectful osteopath. This has been a bit of a life- and sanity-saver at this stage of the disease. She has amazed me with the explanations and solutions she’s provided for some of the remaining difficulties I’ve been having. One of the first places she worked in my body is a large nerve bundle that sits under the armpit. She wasn’t at all surprised about the location of my nerve pain because this particular nerve bundle, she explained, is affected by heart and lung issues. Finally, a thing that makes sense! An answer. This is huge! Every time a piece of the puzzle comes together, not only do I experience physical relief, but psychological relief as well.
The osteopath also worked around my stomach, diaphragm and ribs, loosening tension on my left side in order to help me breathe easier. She effectively showed me that my remaining lung issues are caused by an overall stressed lymph drainage system, including kidneys, by working with my body’s fluid channels to show me how my lungs could open up fully again when she applied pressure to certain areas. She explained that the pericarditis (fluid around the heart) and fluid in/around my lungs had put extra stress on my lymph drainage. This answer was the most important of all, because I have had a cough and oozing fluid in my lungs on and off for 16 weeks now. But also importantly, she identified the need to loosen a specific type of tissue at the base of my skull, where I’ve had a lot of pain, so that fluid drainage can happen there to release pressure in the upper skull and relieve the headaches. There is still more work to do, and I wish I could have started working with her much sooner, but facilities like this have only just reopened their doors to clients now. This kind of care simply wasn’t available two or three weeks ago.
I’ve also started working with a physiotherapist, who has prescribed a sequence of gentle exercises to strengthen the musculature around my spine, as well as expand my thoracic cavity. I have an old spinal compression fracture (T7) from being rear-ended in 2007, and I’ve explained to a number of healthcare specialists now that I think the virus may have gotten into my spine through this fracture point. I FELT it happening and it was excruciatingly painful in the specific vertebrae, causing me to fear my distant old age almost as much as I was fearing immediate death. However, the physiotherapy is having some beneficial effects, and allowing me to feel a bit more in control of my body once more. My physiotherapist suggested I get a Fitbit, to start monitoring my fluctuating heart rate and better understand what my actual threshold for physical activity is now, instead of just guessing at it and paying the (relapse) consequences later.
The Farce of COVID Health Policy/ Neglecting COVID Rehab for Longhaulers
Thankfully, my GP is open-minded and understanding (she’s the one who prescribed the above treatments, after all), but is still fixated on finding a ‘diagnosis’ that doesn’t necessarily include COVID-19. It is due diligence on her part to rule out other serious things, so I applaud her thoroughness and feel gratitude. For now, she is keen to see the results of the nerve conduction tests she ordered for me, and strongly suspects something abnormal will show up there, but is otherwise attributing my other symptoms to possible hyperthyroidism. This is also a brand new possibility since COVID, and which requires a fifth round of bloodwork.
But, dear readers, we have to ask: Why the overall reluctance in the medical and wider health policy community to recognize or diagnose COVID-19 based on ample, mounting clinical evidence? Especially when it most certainly skews the numbers in terms of how many actually HAVE COVID?
Many of us, when we finally were allowed to get a test, weeks or a month later, tested negative, which for us really only indicates the virus was no longer dominant in our sinuses at the time of testing. Also, because many of us haven’t had a fever, which remains the number one clinical diagnostic symptom — even though contact tracing professionals in the U.S. argue on social media that fever is not one of the common symptoms they see in emergent COVID infections and spreads (folks, this is NOT a flu – get tf over it already). It is known that fever may never appear. And, because WHO guidelines are decidedly conservative at best. The WHO has still not recognized that people suffer COVID for much longer than two weeks, which is ludicrous. Recently, I was part of a group of COVID survivors who released an open letter to provincial public health officials in Canada asking for recognition and support for long-term COVID sufferers. The Toronto Star published this recent article on it. There are many other similar articles beginning to appear (I’ve included some links at the end of this post) in mainstream media across the globe. I can’t help but ponder the possibility that the liability of confirming COVID based on the now broadly publicized clinical set of symptoms like mine, is too overwhelming for federal governments to ponder paying out for — such as with long-term disability payments, for example — for those like me who keep relapsing, over and over again. I simply have no other explanation for the widely practiced, gross neglect of long-term COVID sufferers.
Taking a New Stance – disabling ableist thinking, and going for the eventual win
I struggle to resolve myself to a long-term view of coping with this illness, even as the weeks tick by and I remain sick and at half-capacity. ‘Sick girl’ has never been how I see myself and I have never related to the ‘sick girl’ stereotype. Before now, I always understood that meeting my manic goals relied on optimal health (thanks to growing up in the 70s and 80s — Participaction, The 20-minute workout, Jane Fonda…), so I deeply invested myself in it. Admittedly, this reeks of ableist thinking and I continue to process the level of health privilege I once possessed, but no longer do.
My first reactions to this disease included the classic, « WHY ME? » helpless questioning that accompanies sudden loss and grief. I tried to reason with the universe: But I’ve worked hard to protect my health and maintain a high-functioning lifestyle. I’ve often impressed upon my son that health is *everything*, chastising him when he’d sit around playing video games, drink a Coke behind my back, or admit to eating a donut for breakfast. But, ultimately, I learned a lesson in humility: COVID simply doesn’t care how healthy you are to begin with — the debilitating illness knocks down any and all. I don’t like health limitations like the new ones I face (as if anybody does), but now they are here and I don’t know how much longer they will remain. My PhD supervisor has suggested that I may not be able to get back to my PhD until next year, for a number of reasons. I’m not willing to accept that yet, but it is becoming a larger, hard lesson in learning to understand that there are things in my life I just can’t control… like my grown son’s diet. And pandemics.
At present, I try to find meaning in the prolonged recovery process. I was invited to join a film project called Alone Together, and have begun vlogging about my recovery. Also, I have been seeing turtles everywhere I go this summer — on my walks and during peaceful kayaking. I try to draw upon these frequent sightings as messages to slow down, and to keep protecting myself a while longer. I have seen Eastern snapping turtles, Painted turtles, possibly a Spotted turtle and once, a Blanding’s turtle. So, I will keep listening to turtle and slow down, pace myself to a crawl when need be. I’ve always been good at endurance, so this will be the new marathon. The slow marathon, the turtle marathon. And I trust that I will eventually win.
Final thoughts: I recently attended a seminar with Cardio-pulmonary rehab specialist, Dr. Noah Greenspan of the Pulmonary Wellness Foundation. His excellent guidance included the assertion that COVID is a shapeshifter that can look like many different diseases at once, and that it is a « scorched earth » condition. This very much resonates with my earlier (first) post about the pandemic, where I compared it to a photo I took of the Stirling Mountain Ranges in Western Australia, ravaged by wildfire — and where the grass trees had already started blossoming, with florets resembling coronavirus (see below). In fact, wildfire is an apt analogy, as « inflammation is the hallmark of COVID » (Dr. Greenspan).
Fire = flame. 2020 has been a wildfire year, in all these respects.
Noah highlighted that the medical community is treating COVID as a « MCI » — a « mass casualty incident » where only life or death cases are being prioritized. This type of language refers to natural disasters, and war. At this point, I can say with confidence that I am a COVID Veteran. I fought for my life, and I’ve survived (so far). Dr. Greenspan has asserted that nobody should be talking about permanent damage yet, because this is new and we can’t really know, so I remain hopeful that with continued rehabilitation, knowing my limits, and pushing myself progressively, up to just before those limits, I will completely recover. Noah says, « You’re only going to recover as fast as your slowest system. » That system, folks, is the neurological system.
The following is a new list of add-on remedies I’ve been using in this later-stage of the disease (accompanying some of the remedies I listed in my first COVID blog post), which does not constitute medical advice – just varia that I have been trying, in order to combat lingering symptoms:
Saffron – as tea or cooked in rice. This was offered to me as a story — a remedy that came from a dream, by an woman who prayed for help for her family to get over COVID after her usual indigenous traditional remedies failed. According to her lived experience, saffron worked for her, and her family. Yes, it’s anecdotal, but scientific research into the medicinal properties of saffron suggest that it is entirely effective for numerous disease effects of COVID, such as depression, neurodegeneration, nervous system issues, eye problems, cardiovascular disease, shortness of breath, gastrointestinal disorders, inflammation and immune system regulation. I am a HUGE believer in visionary dreams. Saffron has the extra bonus of being an aphrodisiac and supports uterine wellness.
Horsetail tea – to repair lung tissue.
Noble Laurel (Bay Laurel) essential oil applied to the bottoms of my feet in order to clear my lungs and support bronchial function.
Intermittent fasting – I may have developed a hiatal hernia (from all the coughing?), with a brand new experience of acid reflux and stomach pain at night when I lay down, or sometimes after eating. Intermittent fasting means not eating between 8pm – 12pm, as in, no bedtime snacks or breakfast. Some sources have indicated that the stomach medication I was first prescribed, Pantoprazole, can worsen the effects of COVID by allowing it easier entry into the gastrointenstinal tract through reducing stomach acid. It can also reactivate C. Difficile for the same reason – great. That might explain my ongoing battle with diarrhea. I had C. Difficile in 2011. COVID preys on all the weaknesses you have!
Bio-K – for restoring gut microbiome.
Biotin – for my brittle nails and hair, which have gotten bad during COVID (thyroid-related issues! I have thyroid nodules).
Holy Basil tea – to calm the nervous system, anti-inflammatory, and so many other benefits.
MSM (Methylsulfonylmethane) – I’m using this in hopes of helping my joint pain, but the jury is still out on whether it’s working or not. I’m convinced my joint pain was caused by Pantoprazole – that bastardly medication is known to deteriorate bones, and I think it created another vulnerability in my system that let the COVID in. I only got joint pain after taking Pantoprazole — like immediately after, and now it seems here to stay.
Calcium – I’ve added this to my huge vitamin intake each day, after my doctor recommended it.
Sea salt – I’ve increased my salt intake, to help with the low blood pressure issue.
Compression stockings – I’m back on these, since learning that they will help with dysautonomic dizziness.
For the record: the experience of « mild to moderate » COVID-19, days 120 – 150
The Economic Politics of Treatment
My recent holter heart monitor results showed 19 incidences of tachycardia and one incident of bradycardia, and my doctor says this may be causing some of my symptoms. Her seeming reticence remains, however, to look at the results definitively within the context of COVID-19, and to clinically assess all of my symptoms together as a set — a very telling set — that thousands of people have already painstakingly described in their ongoing struggle with the disease (including infected medical professionals). Granted, my doctor is not privy to this wealth of information because it remains nestled within online support groups frequented only by those of us who have fallen ill. So, instead, this one set of (late) test results has been assessed on its own, as falling within the limits of ‘normal’, mainly because there is no clear indication of known heart disease(s). It is far from normal for ME, however. While it’s reassuring that I don’t present as having impending heart failure, it does still indicate something.
The fact remains that I do still have unusual heart behavior (albeit less and less as the weeks pass), though that behavior may not originate in the heart, as the cardiologist suggested. I’ve seenrecent research that suggests that the thyroid can be temporarily inflamed by COVID and this may contribute to numerous issues that I’ve been experiencing, including the tachycardia (as well as palpitations, diarrhea, night sweats, memory problems, irritability, weight loss, etc). My doctor did suggest, the last time I saw her, that my thyroid could also be a culprit since my last blood work showed TSH levels bordering on hyperthyroidism (again, I have never had this before in my life). So, she is sending me for a fifth round of blood work to determine what my thyroid is doing over a longer period of time. Ultimately, she is doing what she can in the usual compartmentalized fashion of conventional medicine — such response indicates that doctors in general still do not know how to (or are not willing to) interpret COVID symptoms as overall, multi-systemic disease with an identifiable chronic form. This may be about to change, however, as the CDC just officially acknowledged that COVID can cause long-term disability in those who were never hospitalized, and who are young and were previously healthy.
There is another aspect to this, though, I suspect. Health Canada has STILL not acknowledged chronic COVID symptoms, despite the open letter that was sent to provincial and federal health ministers asking that they acknowledge long-haul COVID. I can only loosely speculate that this has something to do with how Canada’s healthcare system works — it is predominantly publicly funded. If Health Canada acknowledges the possibility of long-term disability due to COVID post-viral complications, it may mean that taxpayer money then must be allocated to establish new recovery centres, as well as fund the long-term therapies and recovery times needed, for tens of thousands of people who are unable to return to work. At present, there is no funding for this new course of reality. It is possible that my doctor is working around these limitations to ensure that I can get the best long-term care possible, by treating me not within the COVID framework, but in the separate symptom sets of various possible disorders.
More on the Economic Impacts of HAVING COVID-19: Some Perspective
There is growing outrage and indignation in the world, surrounding any strict measures to attempt to control the spread of COVID-19: lockdown, social distancing, masks, etc. When you’ve lived (and greatly suffered) through COVID-19, such petulance from the masses strikes one as ludicrous, a product of childish entitlement, and an outrage all its own. Please, let me tell you a little bit about loss of freedom, first, and then loss of income/ opportunities.
Insurance scams, medications/ supplements, therapies out of pocket, inability to work, possible repayment of government emergency funding, and the list goes on. Being immobilized by a life-threatening disease is far more restrictive than any mandate to stay home or wear a mask. Immobilization by being infected by coronavirus and becoming stricken with COVID-19 looks like this: being confined to bed for weeks on end, leading to deconditioning of the heart, lungs, muscles, brain, etc, so that when you are eventually able to move out of bed, it is at a snail’s pace for many weeks to come — even in ‘moderate’ cases like mine. It means that all of your favourite outdoor activities, or even just walking, become a challenge to regain any momentum with.
But wait, it gets better. Being stuck in bed is not just a matter of dodging boredom by watching Netflix for hours and days on end and waiting for the illness to pass. It is not knowing if or when the illness will pass. It is days or weeks of rushing to the bathroom with diarrhea and nearly passing out from disregulated blood pressure (or even puking), in the process. It is severe discomfort in the body, as the nervous system breaks down via swelling in the brain and veins, lack of blood oxygen saturation, electrolyte imbalance/ dehydration, spinal, thyroid and heart inflammation and disregulation, etc. There is no stay-cation during full body inflammation. It is not just « the government » telling you to stay home, but doctors who don’t want to deal with you unless you’re dying on the spot.
And with this kind of confinement, nobody’s really paying you to stay put, either. My son, who works as a summer student for the provincial government, half-complained that he was basically being paid to play video games at home instead of being out in the field doing what he loves. I felt bad for him, having to swallow the frustration of not knowing when he’d be able to live life as he’s always known it. But greater than my sympathy was my relief, that he did not have the disease and I didn’t have to worry about him becoming gravely ill or dying while I struggled to return to some semblance of vitality myself. During my personal battle, I tried not to worry too much about the fact that I was receiving what support the government was doling out through the employment insurance act, while not actually being, « ready, willing and able » to work. I still don’t know what it will all mean in the end, in terms of possibly being expected to pay some of it back.
Currently, my therapy options are thinning out as my substantial annual medical insurance limits begin to be met. My osteopathy limits have been exceeded. My massage therapy limits have now been exceeded. Psychotherapy and physiotherapy have slightly higher limits, so I can stay with those for now, but my acupuncture is not covered at all. My insurance company, Sun Life, will only cover acupuncture performed by a ‘physician’ who specializes in acupuncture (as if that person commonly exists) but NOT a certified, registered acupuncturist. I found out that small caveat too late, after plunking close to $600 into crucial acupuncture treatments.
Recovery takes a team
My acupuncturist has been extremely proactive in treating my neurological symptoms. I asked him specifically to help with my nervous system(s) dysfunction. His approach included intense acupressure on my spine, and on my toe and finger joints, moving upwards a bit more each session, to wrists, ankles, elbows, shoulders. It was painful as hell on my left foot, but mildly enjoyable on my right foot (everything is worse on my left side). He also employed acupuncture to my peripheral nerves (hands/ forearms and feet/ lower legs), as well as moxibustion on my abdomen and back. In the first session, he effectively stabilized my heart rate at its normal (pre-COVID) resting rate. I was a bit astonished, given the intense tachycardia I’d been consistently suffering from. It stayed stable for a full week after that, only shooting up again when I upset the balance of my system by discontinuing Pepcid.
I stopped Pepcid cold turkey after he informed me that my liver was compromised (which my massage therapist confirmed), and then doing some follow up research of my own. He noted that I had developed seriously painful pressure points for liver. I noted that this distinctly coincided with taking Pepcid (famotidine) for five days. He also saw that my tongue was coated, another liver stress indicator. I unfortunately discovered, after the fact, that famotidine can cause hepatic injury even after just one week. Discontinuing Pepcid brought back some of my COVID symptoms again, like the tachycardia, muscle aches, spine pain, tiny heart pains, acid reflux, and major congestion in my ears and sinuses. But, after another acupuncture session or two, my heart rate re-stabilized again, for the most part…
I do still have the occasional spike in heart rate during deep sleep, my Fitbit tells me, which is not so much a concern since it isn’t consistent, and I’m not having palpitations anymore. However, my oxygen saturation has continued to fluctuate to low levels within a range of concern. My doctor is following this, and suggesting a 24-hour sleep oximeter and other sleep analyses if it continues, though she doesn’t imagine it could be sleep apnea since I don’t fit the usual profile of an older, overweight male who snores. I will keep her informed of my Fitbit data, as it seems that evidence is helpful for clinical medical assessment. My Fitbit has continued to show that my blood oxygen levels are dropping during deep sleep at least once a week. I think it’s dysautonomia-induced sleep apnea, personally, but she doesn’t seem to register dysautonomia, much like many medical professionals. It is a silent, little understood syndrome.
What I need most is to be assessed for dysautonomia and other neurological damage. For example, pre-COVID, I used to be able to type in my computer password, and other passwords, correctly on the first go. Now it takes me 6 or 7 times to get it right, almost like I have mild dyslexia. Phantosmia has also continued unabated at present. I have been repeatedly awoken at night by smells that aren’t really there, but that I perceive as real nonetheless: burning or baking bread, hot or burning plastic, burning rusty iron pans, wood/ paper smoke, hot engine smells, and recently, rotten garbage, sewage smells and solvent or other chemical smells. This suggests an issue around my olfactory system or a new manifestation of the many lingering neurological problems. At this point, my doctor has decided, upon advice from an Ear, Nose and Throat specialist, to send me for a brain MRI and nasal camera scope to investigate my olfactory bulb.
My osteopath remains the single most knowledgeable person in my recovery team. She re-positioned my wounded arm twice to alleviate some of the strain and pain from my bike fall, giving me back significant mobility. But, this is not the main reason why she is so amazing. Her true gift is her incredible knowledge of anatomy — the skeletal, circulatory and nervous system and all connecting tendons, musculature and fascia that are interwoven between them. Not only this, but her quick witted synthesis of all this knowledge in applying it to my particular set of circumstances, to piece together the COVID puzzle that has plagued me.
She has helped me to understand that some of my heart, and especially lung, problems are likely connected to the neurological system that operates them. I’ve had consistent nerve pain in two spots that sit at the ends of my clavicles, close to where my arms connect to my shoulders. She explained to me that this major juncture of spinal nerves is connected to all thoracic function, including airways. Of particular interest, is that the T7 vertebrae controls lung function, and this is the vertabrae that I have an old fracture in and which was attacked by COVID. This has all been a revelation, and this explains continued breathing problems/ oxygen saturation that people like me have during recovery, despite the ‘clear’ lung x-rays, etc. It’s fucking neurological — the lung hardware is now fine but the software is glitchy! So what is next for me? I’m about to begin therapy with a neuro-physiotherapist, and I feel this will be the most important therapy going forward, for dealing with all the remaining problems.
My massage therapist is also focused on the nerves and muscles in the upper thoracic area to help with my remaining breathing issues, and has used percussive hand cupping on my back to help bring blood flow and oxygen to my lungs. I have a good physio regimen already to re-strengthen the muscles around the bones in my wounded arm, and have been starting to get back on my bike for the Great Cycle Challenge. I have to take it slow, though. Slow and easy. It’s hard to remember that until I get knocked flat on my ass.
And I have gotten knocked on my ass a few times in my quest for a return to some kind of physical normalcy. I am definitely negotiating some kind of post-viral fatigue — not on a daily basis, but if I push myself too hard. If I go for a strenuous hike two days in a row without a day of rest in between, I am physically and mentally exhausted to the extreme the next day. It is a deep exhaustion like I haven’t known before, like a struggle to exist, and I feel utterly useless. If I don’t push myself too hard, keep with low-key activities and rest in between, then I am OK, energy-wise. I try to keep my heart rate below 140 when exercising. This is still difficult to accept since I have always been full of energy and on the go. In some ways, I feel as if I’ve aged a decade because of this disease and I wonder if I will ever again know the free, spritely person I once was.
My sights ARE set on full resurrection from this creepy ailment, though.
The Body’s Profound Ability to Heal
The Christ-like wounds on both my palms (from my recent bike wipe-out) obliterated the ends of my lifelines, at the heels of my palms. « Hey, Jesus! » my partner said, joking about the central scabs. My lifelines became nondescript, mangled by asphalt. I pondered if this could represent what coronavirus has done to me, ultimately. Shortened my life? Watching my hands slowly heal, however, has been strangely rewarding and comforting, simply in the observation that my body CAN heal, and is actively regenerating itself a little bit more each day. Using the knowledge that I’ve gained from some of my PhD research — namely, that menstrual blood contains stem cells that enhance skin repair — I applied my own to my wounds to see if I could speed up the process (the timing of my cycle was impeccable), conducting my own little experiment. It worked too well, fusing the flesh of my palms together just on either side of my lifelines, and I had to rip them back apart again, creating a brand new end-of-lifeline on each hand.
If I can see myself healing on the outside, then everything inside must be healing reliably as well — my heart, lungs, veins, nerves, etc. Internally, I can feel my body healing. I keep getting pin prick sensations, for example — like tiny things are biting me all over my arms and legs. I experienced this somewhat painful sensation for about 12 hours and then it stopped, coming back again days later, and I suspect it is peripheral nerve regeneration, as I have read that this can happen. These little pin prick sensations are likewise comforting (albeit annoying), similar to an acupuncture session, since they are accompanied by the awareness that my wholeness of self is being restored and that my damaged wires are getting a reboot.
Below is a list of some things I am currently using, which are helping quite a bit at this stage of the recovery journey.
Latest remedies on the kitchen island:
Milk thistle (tincture) for liver repair
Gingko biloba (tea) for cognitive support
Neuro-mega fish oil (capsules) for brain repair/ support – mackerel, sardine and anchovy with thyme and Vitamin E
Siberian Ginseng (tincture) for energy
Lion’s mane mushroom (capsules) for nerve and brain support
Glucosamine sulphate – for my joint pain – this seems to be working much better than the MSM did.
Avamys steroidal nasal spray – this helps with ears, sinuses and throat but caused heart palpitations the first day I tried it – they have stopped now, though.
Also, contrasthydrotherapy — simply alternating between hot and cold water in the shower to stimulate my nervous system, or following up a hot epsom salts bath with a brisk cold shower. I’ve noticed that over the past couple of weeks, my skin is now becoming conditioned to tolerate cold water much easier.
Vibration — I’ve been using a Crave Vesper vibrator on my arms, legs, back and neck to also stimulate the nervous system.
I play Trivia Royale (a game app) on my phone to try to improve my memory and reaction times. It’s a competitive trivia game against different players around the world. It seems to be helping, as my reaction times have definitely sped up over the past couple of weeks.
Natural Treatments for Coronavirus – much of this reflects what I’ve done all along, with a few additional suggestions, all backed by evidence, of course.
For the record: The experience of ‘mild to moderate’ COVID-19, Day 150-onwards
Keep moving
Throughout my very long COVID recovery, I have learned to more fully appreciate the power of walking. Walking (daily) has been a solid rope to grab onto, to pull myself up this mountainous task of revitalization. I have walked at least an hour (usually more) almost every single day, before eating in the morning and then again at sunset.
I didn’t pay so much attention to walking before. I thought it somewhat banal since I have always preferred the speed and freedom of being on my bike. I typically felt the urge to do a significant walk only if it was with someone I really needed to talk to, in order to facilitate the kind of open flow of words that happens naturally when striding along in unison. Walking has no doubt deepened my relationship with my partner during this entire crisis. Not only has it mitigated our cagey feelings and nervous energy, but it has also allowed us to work through, verbally, all disturbing thoughts, fears, frustrations and misunderstandings. And then, we could watch birds, snakes and frogs to focus outside of ourselves again. Walking has been one of the strongest factors of healing for me.
Walking is distinct from the other two-legged journeys I do. I’ve also, during these strange months, done woodsy hikes, weekend strolls along bodies of water, as well as some challenging mountain climbing. I have pushed myself to cycle as much as possible on a weekly basis (sometimes causing minor relapses). I’ve also done my fair share of 10-minute at-home booty workouts, nightly yoga sessions and spontaneous dinner dance parties à deux when I really needed to shake it out. But walking has been the balm.
Plenty of writing and artistic exploration has been done on the topic of the psychologically enriching aspects of wandering and distance walking (stemming from a much older legacy of indigenous walkabouts and roaming). From my contemporary Western perspective, Rebecca Solnit first comes to mind. I also remember learning, in the first year of my masters (of fine arts) program, about the very interesting history of ambulatory practices connected to the unravelling of minds during war times, but also connected to psychogeography–acts of deliberately creating new meaning of space/place (this influenced a couple of art pieces that I later produced). I’ve previously participated in sound walks, which feel like the first VR experiences to me, including a Janet Cardiff sound walk at Louisiana Museum just outside of Copenhagen, when I was first visiting a foreign country (outside of North America). Also, a jarring electrical sound walk in Montreal by Christina Kubisch, hosted by the Goethe Institute, which was a sonification of all of the electromagnetic activity in the city. These walks changed my perceptions of the locations I was in.
Walking is also an escape from a trapped sense of self or feeling trapped in a body; illness or disability or socially divergent/ poorly understood states of being can lead to this sort of feeling. My uncle David had grown up in the 50s and 60s with autism. His later years, when his mother was no longer alive to look after him, were spent in a care home in a rural community. He was widely known there, for his walking. He walked the bridge over the highway, waving to traffic as he went by. He walked the small town streets and past local park spaces. He was playfully referred to by younger locals as ‘Super Dave’ for his impressive feats of ceaseless walking. I imagine that walking was a purpose, a tiny freedom and an escape from the mundanity of a room in a house he had no other cause to leave.
Walking now has gradually changed my perspective of uncontrollable disease, precarious recovery and wider cultural adaptations to the pandemic reality. At present, I live next to the Ottawa River, or on the Quebec side, the Outaouais, on First Nation Odawa territory. The river is special: encrusted with a treasure hoard of unnoticed and unappreciated fossils, like orthocones the size of my forearm, ancient worm hole clusters, and a remarkable community of stromatolites. My walk path is exactly along this ancient hotbed of life, which now hosts an old-growth oak forest, snapper turtle nesting sites and marshes that are vibrant with numerous species. During my daily walks, I’ve monitored both the changing nature scapes and the gradually improving recovery times of my autonomic nervous system: from the days when it was completely out of whack to more recent days as I inch closer to normalcy. I once could barely shuffle along in my pyjama pants for ten minutes, without my heart rate skyrocketing and chest pain immobilizing me. Now, I enjoy measured, fast-paced, almost speed walks with easier breathing, usually no pain and faster resting heart rate recovery.
But I’ve also developed threads of relationships to others, as I traverse this shared space. There was the distraught cyclist who’d stunned a woodpecker that flew through the spokes of his tires–we stopped (at a safe distance) to help, taking the woodpecker carefully home in a hat and allowing it to safely rest until it could fly back to its familiar trees (didn’t take long). There are older couples who still enjoy the civil niceties of a passing ‘hello’ or ‘bonjour’ or ‘good morning’ as we frequent these times/places with each other habitually (I can’t say that I’ve always felt so civil these days). There is the same woman, at the same time, every single day, forever on her phone as she races along to get somewhere(?) and another same woman at the same time, every single day, on the other side of the river in her mask and visor, hovering close to the same bench. In our interactions, there is the common, quiet understanding that we’re out here to cope, to do something productive. As a collective effort to keep moving, it is comforting.
…
Quick Rewind (for the record):
August/ September
August was about cycling, pushing myself to meet gentle limits and then backing off when necessary. One day, I included a quick bike commute to my dentist’s office as part of my overall tally of kms for the month of August (for the Great Cycle Challenge Canada – I raised $1000 for kid’s cancer in the end). With my gradual return to cycling, I took it very easy, typically staying at a pace that would keep my heart rate below 140bpm, and typically below 130. However, on this day, I was down to the wire in terms of getting to my appointment on time, so I raced a bit. What happened next was trés bizarre: despite cycling full-tilt for 15-20ish minutes and landing breathless at the dentist’s office door, my mandatory temperature reading upon arrival hit just 35.2˚C. I had been worried my temp would read high (and I’d be turned away) because of the exertion I’d just undergone, but instead it bordered on… hypothermia. The receptionist took my temperature again, since it was unusually low, even though the person who had just walked in before me displayed a normal reading. Twice, mine hovered at 35˚C. Typically (before COVID), when I’d do a hard cycle for a short burst and then stop, I’d begin to sweat. That day, I did not sweat a drop, despite the fact that it had been warm and sunny outside. The following day, I did not warm up to a normal body temperature either, until much later in the afternoon when my home thermometer finally reached 37˚C.
The slow adjustment times and backwards functioning has continued, though my system has definitely improved with my current strategies (which I will detail in the following section of this post). When I first got sick, back in early March, I was denied testing because I didn’t present with a fever. Instead, my body temperature had, even back then, dropped below normal. This indicates that my autonomic nervous system was reacting from Day 1. Over seven and a half months later, it is still struggling to regain proper function, though there are now impressive signs of significant recovery. I do still have weird body temperature experiences while sleeping — sopping night sweats, but more strangely, a vampire-like desensitization to cold. I have often woken up in the middle of the night to find myself completely uncovered, with no internal register of being cold even though my skin feels very cold (corpse-like) to the touch. When I cover myself back up, my body starts to deeply quake involuntarily for a few minutes while it readjusts — definitely not a shiver, but a tremor — I know what a shiver is, and this ain’t it. Also, when cycling, my heart rate behaves weirdly at the bookends of my route: shooting up (sometimes to 150bpm – oops) when I first get going, setting off urgently vibrating Fitbit alarms. Then it slowly stabilizes over the course of about a half hour, but spikes up again to over 120bpm for a while after I’ve stopped. I experience a similar, less extreme thing when walking (requiring me to slow down my walk at the end, just like an intense workout cool-down). This poorly adjusted heart rate variability (HRV) is the greatest indicator of a stressed and dysfunctioning autonomic nervous system. If it can be believed, my Fitbit stats tell me my nightly HRV is hovering around 21, which is about the HRV of an 80-year old! There may be some glitches in the system, though, as this is a new feature recently rolled out by Fitbit — so, I’m attentive but not panicking.
…
My last appointment with my doctor (back in September) was a long-awaited validation and I nearly cried in the parking lot afterwards from relief. She told me: « You are not alone. » She had by then seen a number of patients with distinct symptom sets matching mine, enough to feel that a solid clinical basis for diagnosing COVID post-viral effects is on the table. She told me that my ongoing symptoms indicated POTS – postural orthostatic tachycardia syndrome, a form of post-viral dysautonomia affecting blood pressure, heart rate and body temperature in a specific way, among other things controlled by the autonomic and sympathetic nervous systems. Giving her the orthostatics log sheet I’d been filling out over two or three weeks was helpful in confirming her assessment of POTS. I have more testing to go through and results to be assessed (nerve conduction, brain MRI, sleep monitor) before we go on to possibly discuss medical treatment options (which I don’t think will be necessary at this point), but she had been happy to hear that I’d been proactive in mitigating dysautonomia with increased salt intake and regularly consuming electrolyte drinks.
I was also seeing a pretty great physiotherapist for a while (as long as my insurance was covering it), and she determined some inflammation in the nerves travelling from my neck, down my arms and all the way to the finger joints that still hurt. With cold laser therapy on my neck, she helped the finger joint and wrist pain somewhat subside. Now, I focus on nightly yoga routines that support my neck and spine, and continue taking glucosamine caplets, which have all helped with lessening the frequency and intensity of the joint pain.
My consultation with the Ear, Nose and Throat (ENT) specialist was also reassuring, as he confirmed that many COVID patients are experiencing phantosmia, particularly the burning smells, stemming from the virus’ destruction of some of the cells of the olfactory bulb. He examined my sinuses for polyps and other lesions with a lubed-up wire camera scope (thankfully, I have none of concern), advised me to continue with the steroid nasal spray and to let him know the date of my brain MRI as soon as it is booked (I am still waiting for my appointment booking 3-4 months later). He emphasized that with all of the patients he’s seen so far with COVID-induced phantosmia, none have been found with brain tumours, so that I should not worry. He seemed to think that with continued inflammation reduction strategies, I should recover completely. And he was right — with the current support I have through a health coach I’m working with, I’ve now managed to get off the steroid nasal spray (as of a couple of weeks ago) and the phantosmia has not returned.
With all the work I’ve been doing towards recovery, including cycling and yoga, my lung capacity has certainly improved and I am less frequently struggling to get a deep breath (though this does still occur). My heart palpitations have completely stopped now, HALLELUJAH! My GI system is functioning very well again, though I have to sleep on a 12″ wedge pillow to control the bizarre acid reflux or GERD-like symptoms that I believe now are causing my lung ooze feeling. My heart rate is normal-ish (sometimes still high, but only moderately) much of the time, and the very low blood pressure and dizziness has completely abated. It seems that with time and my current, very effective course of therapy, my body’s orthostatic intolerance is being successfully recalibrated.
Back to Now — Mymee
September 12 marked six months of COVID, from point of infection through long-haul recovery. I expected to be fully repaired by then. Then October 12 came and went. As November arrives, things are looking a lot better, health-wise. This is in large part due to my rehabilitation program, which I am fortunate and grateful to be enrolled in. I’ve already discontinued a number of supplements I’d been taking, simply because I’m now at a stage in my recovery (finally) that allows for mainly using diet as medicine and this feels like a pretty major achievement.
For the past six weeks, I have been enrolled in a program called Mymee, which I was referred for by David Putrino, a neurologist and Director of Rehabilitation Innovation research at Mt Sinai in NY. (It also just so happens that David got his PhD at the University of Western Australia! Funny, that!) This program, specializing in healing autoimmune disorders, has been instrumental in getting me over numerous final hurdles in my recovery. Through Mymee, I am on call with a personal health coach once a week who assesses my diet and symptoms to identify triggers. I use the Mymee app to upload photos of my food, log symptoms, bowel movements (including selecting texture description options from slide tabs), water consumption, etc. I’ve gleaned a lot so far — like, who knew that strawberries were a histamine trigger? I didn’t, and I had been eating a lot of them because they were so readily available at my local farmer’s market.
My diet modifications are what some may consider severe, but I don’t feel overly limited in food options — I just have to be more creative, which is not a problem for me. I am completely off all grains (even oats) and all dairy (even my beloved goat cheese). I’m also off a few things I would never have expected to cause problems: I mean, carrots and bananas!? How bananas is that? I’m off all soy products, chocolate and all fermented foods. Some of these things are normally very healthy, but with a whacked out immune and nervous system, they need to (temporarily, at least) be eliminated. This is predominantly an anti-histamine diet.
Current diet: I eat nuts (walnuts, almonds, pecans, cashews) and seeds (pumpkin, sunflower, chia, flax, buckwheat). I eat all kinds of legumes and meats and fish (except pork, because I loathe pork). I eat squash, sweet potatoes and sometimes white potatoes. I eat plenty of leafy greens, brussels sprouts, cucumbers, celery, mushrooms and even eggplant on occasion (despite the fact that it’s a nightshade). I eat eggs and good fats: coconut oil, sesame oil, olive oil, fish oils, avocados. My fruit consumption is centred on apples and blueberries, as well as some dried fruits like dates or prunes. I make my own baked goods from almond and chickpea flour and carob. So, I still have plenty of delicious, interesting things to eat and the restricted diet really didn’t take that much getting used to. I have almond or coconut milk in my turmeric and matcha lattes (I’m still completely off coffee).
Later stage recovery: self-care strategies (in addition to some of the previous ones discussed in earlier blog posts):
Apple Cider Vinegar – 1tbsp in 1/4c water first thing in the morning and before bed at night. This has been pretty important in helping control the acidy, reflux-like weird stuff that has been happening, as well as easing off the lung ooze a bit and controlling intestinal distress. A bit of a miracle stuff, really!
Varieties of salt: pink Andean salt (non-iodized), French sea salt (non-iodized), Greek (iodized) sea salt — I need to keep it mixed up in order to avoid too much iodine!
GABA (Gamma-Aminobutyric Acid) – for neurological soothing, to help with the inner vibrations/ tremors. I take about half of the lowest dose (100mg), which helps me fall asleep fast and wake up with much milder or often unnoticeable tremors. It apparently also helps build exercise tolerance, which is great, but if I take it during the day, I am in a stupor. It’s had the extra bonus of completely eliminating any menstrual cramps.
Doubled-up magnesium – increasing my magnesium intake has really helped shake the tremors (no pun intended haha).
CoQ10 Supreme with resveratrol (brain and heart support) – I did this short-term but have now ceased taking it since finishing the bottle.
Folic Acid – helps with supporting neural development (re-development in my case).
Vitamins: B12, C, D (up to 4000IU now), E, biotin, zinc.
Bromelain – this is the big steady, helping with so many things. Again, I cannot say enough good things about bromelain – blood thinner, clot preventer, digestive aid, etc.
Deep tissue foam roller – recommended by my physiotherapist(s) as well as by the Pulmonary Wellness Rehab Centre, to deal with the ‘coat hanger’ back pain caused by dysautonomia, and to help open up the chest for better breathing. I sometimes roll myself on this against the wall, like a bear scratching itself against a tree trunk.
30˚ foam wedge pillow (12″ height) – excellent for dealing with a number of my issues, such as the reflux and possible sleep apnea (still waiting on those test results).
Face Yoga – as funny as this sounds, it’s helping me pick my face back up off the floor where it had fallen to throughout this ordeal (and other tragic events this year). Not only do I feel that COVID aged me in appearance, by about ten years, but I also feel like I forgot how to actually smile. The daily Face Yoga is helping me rebuild muscle structure in my face to support a better tendency to smile and feel uplifted. I do a daily program but there are plenty of free guidelines/ exercies online.
No-squat booty workout – probably the most intensive exercise I do now, and each session is *only 10 minutes* long. A small commitment and just enough action to get myself revved up. Over time, I’m starting to like what I’m seeing in the rear-view mirror after all those weeks of bed rest and low activity.
Returning full-time to my PhD research – I have, since September, resumed focus on what gives me a real sense of purpose in life: my creative (art) work and research that is part of my PhD. I’m currently enrolled ‘offshore’ but I really hope that changes soon and I can get back to Perth, to the campus and labs where I really want to be.
More advocacy/ long-hauler news and important research (will keep adding to these over time):
Source. Pour les anglophones, le site de l’auteur, Jennifer Margulis, est d’une lecture très utile.
Il faut arrêter la vaccination Covid, déclare une éminente scientifique au CDC
Dans un commentaire public adressé au CDC, le Dr Janci Chunn Lindsay, Ph.D., biologiste moléculaire et toxicologue, a appelé à arrêter immédiatement la production et la distribution du vaccin Covid. Invoquant les problèmes de fertilité, de coagulation sanguine (coagulopathie) et la fuite virale, le Dr Lindsay a expliqué au comité les preuves scientifiques montrant que les vaccins contre le coronavirus ne sont pas sûrs.
Le 23 avril 2021, le Comité Consultatif du CDC sur les Pratiques de Vaccination [Advisory Committee on Immunization Practices, ACIP] a tenu une réunion à Atlanta, en Géorgie. Le sujet de cette réunion de l’ACIP était les troubles de la coagulation sanguine suite aux vaccins Covid. Le Dr Janci Chunn Lindsay s’est entretenue avec le CDC pendant la période réservée aux commentaires du public.
Vous pouvez écouter son témoignage sur YouTube ici (pour le moment, du moins. YouTube le censurera probablement). [NdT. j’ai fait une copie]
Une biologiste moléculaire et toxicologue appelle à l’arrêt du vaccin Covid
Bonjour, je suis le Dr Janci Chunn Lindsay. Je suis titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de l’Université du Texas et j’ai plus de 30 ans d’expérience scientifique, principalement en toxicologie et biologie mécaniste.
Au milieu des années 1990, j’ai participé au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer la destruction auto-immune involontaire des ovaires et la stérilité dans les modèles de test sur les animaux. Malgré les précautions prises et les analyses séquentielles qui ne le prédisaient pas.
Je suis fermement convaincue que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts.
Janci Chunn Lindsay: les vaccins Covid pourraient induire des anticorps à réaction croisée contre la syncytine et altérer la fertilité ainsi que l’issue de la grossesse
Premièrement, il y a une raison crédible de penser que les vaccins Covid réagiront de manière croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, entraînant une altération de la fertilité et une altération des résultats de la reproduction et de la gestation.
Le virologue de renom, le Dr Bill Gallaher, Ph.D., a présenté d’excellents arguments pour expliquer pourquoi on peut s’attendre à une réaction croisée. En raison des similitudes de conformation de la feuille bêta entre les protéines de pointe et la syncytine-1 et la syncytine-2.
Je n’ai pas à ce jour lu une seule étude immunologique qui le réfute. Malgré le fait qu’il ne faudrait littéralement aux fabricants qu’une seule journée pour mener ces études sur la syncytine pour s’en assurer [sitôt qu’ils ont obtenu du sérum d’individus vaccinés]. Cela fait plus d’un an qu’on a affirmé pour la première fois que cela [le corps attaquant ses propres protéines syncytines en raison de la similitude de la structure des protéines de pointe] pourrait se produire.
Les fausses couches signalées au VAERS exigent l’arrêt du vaccin Covid
Nous comptons 100 fausses couches rapportées dans le VAERS au 9 avril. Et il y a [aussi] des rapports de spermatogenèse altérée et de lésions placentaires à la fois dans les modèles animaux naturellement infectés, vaccinés, et ceux déficients en syncytine, qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle médié par la syncytine dans ces résultats.
De plus, nous avons entendu parler de plusieurs rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. [NdT. ET chez les femmes qui côtoient des personnes vaccinées, article ici] Ceux-ci doivent être étudiés.
Nous ne pouvons tout simplement pas injecter ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent 0,002% de risque de mortalité par Covid, s’ils sont infectés, pas plus qu’à la population en âge de procréer sans une enquête approfondie sur cette question.
[Si nous le faisons], nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation que cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population.
Le vaccin Covid provoque des troubles sanguins
Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [vaccins Covid] provoquent une coagulopathie. [coagulopathie, lorsque le système de coagulation sanguine du corps est altéré.] Cela n’est pas limité à un seul fabricant. Et ce n’est pas limité à un groupe d’âge.
Nous assistons à des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé sans comorbidités secondaires.
Il y a eu 795 rapports liés à des troubles de la coagulation sanguine au 9 avril dans le système de notification VAERS, 338 d’entre eux étant dus à une thrombocytopénie.
Il existe des principes mécanistes antérieurs et postérieurs expliquant pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine de pointe. Tous les vaccins de thérapie génique programment le corps à fabriquer la protéine de pointe. Zhang et al dans [un article scientifique publié dans le Journal of Hematology & Oncology] en septembre 2020 ont montré que si on infuse des protéines de pointe à des souris qui ont des récepteurs ACE-2 humanisés sur leurs plaquettes sanguines, on obtient également une thrombose disséminée.
La protéine de pointe incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. [La fibrinolyse est le processus du corps qui consiste à décomposer les caillots sanguins]. La protéine de pointe provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent pas être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir de pouvoir être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable.
Troisièmement, il existe des preuves solides de fuite virale –
À ce stade de son témoignage oral, le Dr Janci Chunn Lindsay a été interrompue par une voix d’homme: «Merci pour votre commentaire, votre temps est écoulé.»
J’ai contacté le Dr Janci Chunn Lindsay pour savoir ce qu’elle souhaitait partager avec l’ACIP, en plus de ses préoccupations concernant la fertilité et les troubles de la coagulation sanguine. Elle m’a renvoyé son troisième point, qu’elle a soumis sous forme de témoignage écrit.
Troisièmement, il existe des preuves solides d’une fuite virale et que l’inoculation sous pression pandémique avec ces vaccins qui fuient entraîne la création de plus de mutants mortels qui infectent à la fois un groupe démographique plus jeune et causent plus de décès liés à Covid dans la population que ce qui se serait produit sans intervention. Autrement dit, il est prouvé que les vaccins aggravent la pandémie.
Il est clair que nous assistons à une dépression immunitaire temporelle immédiatement après les inoculations [voir le décompte des décès de World Meter Global Covid après les dates d’inoculation] et il existe des régions immunosuppressives sur les protéines de pointe, ainsi que sur Syn-2, qui pourraient probablement en être la cause, par un mécanisme médié par les lymphocytes T. Si nous n’arrêtons pas cette campagne de vaccination tant que ces problèmes n’ont pas été étudiés, nous pourrions voir un phénomène tel que celui que nous observons chez les poulets atteints de la maladie de Marek. [NdT. je vous rappelle à ce sujet cet article du Dr Brian Hooker que j’ai traduit et publié ici le 23 janvier]
Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour voir une corrélation claire avec l’augmentation des décès de Covid et les campagnes de vaccination. Ce n’est pas une coïncidence. C’est un effet indésirable malheureux des vaccins. Nous ne devons absolument pas fermer les yeux et faire comme si de rien n’était [NdT. tiens, comme dans la chanson de Propaganda]. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccin Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser.
Une scientifique du MIT également préoccupée par la coagulation sanguine et les problèmes de fertilité
Stephanie Seneff, Ph.D., experte en synthèse de protéines, estime que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. NdT. un nouvel article ici, la traduction intégrale de son analyse des recherches sur la sécurité des « vaccins »] «Je partage absolument ces préoccupations», m’a écrit le Dr Seneff, chercheur principal au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.
«Le potentiel de troubles de la coagulation sanguine et le potentiel de stérilisation ne sont qu’une partie de l’histoire. Il existe également d’autres effets potentiels à long terme de ces vaccins, tels que les maladies auto-immunes et la fuite virale, dans lesquelles les vaccins administrés à des personnes immunodéprimées accélèrent le taux de mutation du virus ce qui a pour effet que les anticorps à la fois acquis naturellement et induits par le vaccin ne sont plus efficaces.»
Comme le Dr Lindsay, le Dr Seneff pense qu’il faut immédiatement mettre un terme aux campagnes de vaccination Covid. «Cet essai clinique massif sur la population générale pourrait avoir des effets dévastateurs et irréversibles sur un grand nombre de personnes», explique Seneff.
Le Dr Janci Chunn Lindsay est le directeur de la toxicologie et de la biologie moléculaire pour les services de soutien en toxicologie, LLC. Elle est titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de la Graduate School of Biomedical Sciences de l’Université du Texas, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Le Dr Lindsay possède une vaste expérience dans l’analyse du profil moléculaire des réponses pharmacologiques. Son expertise se concentre sur l’évaluation de la dynamique complexe de la toxicité, comme la pharmacologie des toxiques, la voie d’exposition, le métabolisme de l’hôte et les effets cellulaires subséquents en ce qui concerne la contribution de substances spécifiques à la déficience, aux risques pour la santé et la fertilité et aux maladies humaines.
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Texte original
Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC
In a public comment to the CDC, molecular biologist and toxicologist Dr. Janci Chunn Lindsay, Ph.D., called to immediately halt Covid vaccine production and distribution. Citing fertility, blood-clotting concerns (coagulopathy), and immune escape, Dr. Lindsay explained to the committee the scientific evidence showing that the coronavirus vaccines are not safe.
On April 23, 2021, the CDC’s Advisory Committee on Immunization Practices held a meeting in Atlanta, Georgia. The focus of this ACIP meeting was blood clotting disorders following Covid vaccines. Dr. Janci Chunn Lindsay spoke to the CDC during the time set aside for public comment.
You can listen to her testimony on YouTube here (for now, anyway. YouTube will likely censor it).
Molecular Biologist and Toxicologist Calls to Halt Covid Vaccine
Hi, my name is Dr. Janci Chunn Lindsay. I hold a doctorate in biochemistry and molecular biology from the University of Texas, and have over 30 years of scientific experience, primarily in toxicology and mechanistic biology.
In the mid-1990s, I aided the development of a temporary human contraceptive vaccine which ended up causing unintended autoimmune ovarian destruction and sterility in animal test models. Despite efforts against this and sequence analyses that did not predict this.
I strongly feel that all the gene therapy vaccines must be halted immediately due to safety concerns on several fronts.
Janci Chunn Lindsay: Covid vaccines could induce cross-reactive antibodies to syncytin, and impair fertility as well as pregnancy outcomes
First, there is a credible reason to believe that the Covid vaccines will cross-react with the syncytin and reproductive proteins in sperm, ova, and placenta, leading to impaired fertility and impaired reproductive and gestational outcomes.
Respected virologist Dr. Bill Gallaher, Ph.D., made excellent arguments as to why you would expect cross reaction. Due to beta sheet conformation similarities between spike proteins and syncytin-1 and syncytin-2.
I have yet to see a single immunological study which disproves this. Despite the fact that it would literally take the manufacturers a single day to do these syncytin studies to ascertain this [once they had serum from vaccinated individuals]. It’s been over a year since the assertions were first made that this [the body attacking its own syncytin proteins due to similarity in spike protein structure] could occur.
Pregnancy losses reported to VAERS lead to demand to halt Covid vaccine
We have seen 100 pregnancy losses reported in VAERS as of April 9th. And there have [also] been reports of impaired spermatogenesis and placental findings from both the natural infection, vaccinated, and syncytin knockout animal models that have similar placental pathology, implicating a syncytin-mediated role in these outcomes.
Additionally, we have heard of multiple reports of menses irregularities in those vaccinated. These must be investigated.
We simply cannot put these [vaccines] in our children who are at .002% risk for Covid mortality, if infected, or any more of the child-bearing age population without thoroughly investigating this matter.
[If we do], we could potentially sterilize an entire generation. Speculation that this will not occur and a few anecdotal reports of pregnancies within the trial are not sufficient proof that this is not impacting on a population-wide scale.
Covid vaccine causes blood disorders
Secondly, all of the gene therapies [Covid vaccines] are causing coagulopathy. [Coagulopathy when the body’s blood clotting system is impaired.] This is not isolated to one manufacturer. And this is not isolated to one age group.
As we are seeing coagulopathy deaths in healthy young adults with no secondary comorbidities.
There have been 795 reports related to blood clotting disorders as of April 9th in the VAERS reporting system, 338 of these being due to thrombocytopenia.
There are forward and backward mechanistic principles for why this is happening. The natural infection is known to cause coagulopathy due to the spike protein. All gene therapy vaccines direct the body to make the spike protein. Zhang et al in [a scientific paper published in the Journal of Hematology & Oncology] in September 2020 showed that if you infuse spike protein into mice that have humanized ACE-2 receptors on blood platelets that you also get disseminated thrombosis.
Spike protein incubated with human blood in vitro also caused blood clot development which was resistant to fibrinolysis. [Fibrinolysis is the body’s process of breaking down blood clots]. The spike protein is causing thrombocytic events, which cannot be resolved through natural means. And all vaccines must be halted in the hope that they can be reformulated to guard against this adverse effect.
Third, there is strong evidence for immune escape—
At this point in her oral testimony, Dr. Janci Chunn Lindsay was interrupted by a man’s voice: “Thank you for your comment, your time has expired.”
I reached out to Dr. Janci Chunn Lindsay to find out what else she had wanted to share with ACIP, in addition to her concerns over fertility and blood-clotting disorders. She sent me back her third point, which she submitted as written testimony.
Third, there is strong evidence for immune escape, and that inoculation under pandemic pressure with these leaky vaccines is driving the creation of more lethal mutants that are both newly infecting a younger age demographic, and causing more Covid-related deaths across the population than would have occurred without intervention. That is, there is evidence that the vaccines are making the pandemic worse.
It is clear that we are seeing a temporal immune depression immediately following the inoculations [see World Meter Global Covid deaths counts following inoculation dates] and there are immunosuppressive regions on spike proteins, as well as Syn-2, that could be likely causing this, through a T-cell mediated mechanism. If we do not stop this vaccine campaign until these issues can be investigated, we may see a phenomenon such as we see in chickens with Marek’s disease.
We have enough evidence now to see a clear correlation with increased Covid deaths and the vaccine campaigns. This is not a coincidence. It is an unfortunate unintended effect of the vaccines. We simply must not turn a blind eye and pretend this is not occurring. We must halt all Covid vaccine administration immediately, before we create a true pandemic that we cannot reign in.
MIT scientist also concerned about blood-clotting, fertility issues
Stephanie Seneff, Ph.D., an expert in protein synthesis, believes that Dr. Lindsay’s hypothesis is correct. “I absolutely share these concerns,” Dr. Seneff, who is a senior research scientist at MIT, wrote to me in a sobering email.
“The potential for blood clotting disorders and the potential for sterilization are only part of the story. There are other potential long-term effects of these vaccines as well, such as autoimmune disease and immune escape, whereby the vaccines administered to immune-compromised people accelerate the mutation rate of the virus so as to render both naturally acquired and vaccine-induced antibodies no longer effective.”
Like Dr. Lindsay, Dr. Seneff believes we need to immediately halt Covid vaccine campaigns. “This massive clinical trial on the general population could have devastating and irreversible effects on a huge number of people,” Seneff explains.
Dr. Janci Chunn Lindsay is the Director of Toxicology and Molecular Biology for Toxicology Support Services, LLC. She holds a doctorate in Biochemistry and Molecular Biology from the University of Texas Graduate School of Biomedical Sciences, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Dr. Lindsay has extensive experience in analyzing the molecular profile of pharmacologic responses. Her expertise centers on evaluating the complex dynamics of toxicity, such as toxicant pharmacology, exposure route, host metabolism, and subsequent cellular effects as they relate to the contribution of specific substances to impairment, health and fertility risk, and human disease.
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Le Dr Wolfgang Wodarg donne son avis sur l’imbroglio criminel d’incompétence, d’ignorance, de paranoïa, d’opportunisme, d’auto-complaisance, de techniques de marketing et de mauvaise foi crasse qui, bien touillés dans le crâne d’un public éberlué et balotté par tout et son contraire, constituent les ingrédients de base de la « crise » Covid.
Ne lui parlez toutefois pas de laboratoire P4 ni de gain de fonction, pour lui le virus est d’origine naturelle. Etonnant… Assez curieusement, il explique dans un autre article qu’en raison d’une déficience enzymatique (déficience du glucose-6-dehydrogenase, ou « déficience G6PD ») chez certaines personnes d’origine africaine – dans les zones ou sévit la malaria – il est farouchement opposé à l’utilisation d’hydroxychloroquine et d’azythromycine chez tout le monde. Trèèèèès étonnant…
Addendum – pas totalement indispensable mais toutefois utile : j’ai eu trois personnes proches qui ont chopé cette saloperie. Cette maladie n’a rien eu d’une farce pour eux. Tant mieux pour ceux qui n’ont eu que des symptômes bénins mais ce n’est pas ce que j’ai vu. Ce serait bien qu’on cesse de minimiser. C’est bien une arme biologique, merci, et il lui arrive de faire du dégât, même s’ils sont négligeables par rapport à celle de la phase deux – les injections. Et merci mon Dieu pour l’azythromycine et le zinc, qui ont fait la différence.
L’industrie pharmaceutique et ses virologues tentent actuellement, pour des raisons transparentes, de définir le pathogène SARS-CoV2 comme une entité hostile stable. Pour la « guerre contre le virus », le danger est nécessaire, et il est représenté par une balle à pointes. Un «monde sans corona» est l’objectif déclaré de l’obsédé des vaccins Bill Gates et de ses amis politiques. Aussi, en ce qui concerne une éventuelle vaccination, essaient-ils de nous donner l’illusion d’un ennemi clairement définissable dans le monde des virus. Après tout, c’est la condition sine qua non du marché des tests et de l’application gouvernementale d’une politique mondiale de vaccination sans risque à la clé pour les fabricants de vaccins. Aujourd’hui, le 5 avril 2020, a lieu une conférence en ligne de donateurs sur la « Création d’un monde sans corona » (ARD-Tagesschau) et la chancelière Merkel promet d’y dépenser des milliards de nos impôts. D’un point de vue scientifique, tous ces efforts sont – pour le dire gentiment – des aberrations dangereuses. Je ne parle même pas des profiteurs de cette folie.
La vie n’est ni triviale ni calculable
Il est absolument certain que le virus du SARS est également en constante et rapide évolution. Et à quoi sert une vaccination contre quelque chose qui a depuis longtemps changé de façon impossible à calculer? Notre système immunitaire réagit également de manière imprévisible. Immunités croisées? Mémoire immunitaire? La spécificité et l’importance des tests s’estompent rapidement. Il en va de même pour l’effet d’un vaccin.
C’est pourquoi la notion de preuve d’immunité est une farce, et si elle devient loi, un injustifiable danger pour la santé. Pour la même raison, les vaccinations de masse contre les virus respiratoires sont un non-sens risqué qui peuvent provoquer des dommages corporels. Avec des agents pathogènes à évolution rapide, comme dans le cas de la vaccination contre la grippe, la réussite n’est qu’une question de chance. Ce n’est qu’après coup que l’on pourra déterminer si les personnes vaccinées étaient mieux loties que les non-vaccinées. Cela reste un bon compromis, car une évaluation préalable des avantages fondée sur des données probantes ne sera bien entendu jamais possible. Jusqu’à présent, d’autres virus ont prospéré et se sont répandus là où un type de virus a rencontré des difficultés du fait de la vaccination.
Les virus de Wuhan ont disparu depuis longtemps
Tout dépend du taux de mutation extrêmement élevé des virus à ARN, qui comprend le SARS-CoV2. Ce taux est démontré de manière impressionnante par le site Web CoV-Glue, « Analyse des acides aminés pour la pandémie de SARS-CoV-2« , qui montre que pour le SARS-CoV2, le taux de mutation est très élevé sur une très courte période d’environ 4 mois.
· 7.237 mutations non-synonymes, c’est-à-dire modifiant les acides aminés (remplacements),
· 6 insertions (insertion de bases supplémentaires) et
· 87 délétions (perte de bases dans la séquence génique) dans les séquences génétiques trouvées.
C’est, pour un génome qui ne comprend lui-même qu’environ 30.000 bases, un nombre énorme de mutations, d’insertions et de délétions en très peu de temps. Et ce ne sont que les données des quelques milliers de virus SARS-CoV2 qui ont été séquencés. La nature en connaît bien d’autres. Les mutations non-synonymes provoquent l’insertion d’autres acides aminés dans les protéines du virus. Ceux-ci modifient ainsi les propriétés chimiques de ces protéines. Ces mutations s’accumulent en quelques semaines (!), comme le montrent les données. Les insertions et les suppressions sont d’une importance particulière, car elles peuvent conduire à un décalage de trame, où toute la chaîne suivante est lue différemment. Il existe également des mutations synonymes qui, bien qu’elles ne modifient pas la structure primaire des protéines du SARS-CoV2, peuvent quand même jouer un rôle dans le diagnostic. En outre, il reste encore de nombreuses questions ouvertes sur les effets supplémentaires des mutations synonymes. Des doutes sur le test PCR, existaient depuis le début: Li et al, « Problèmes de stabilité du test RT-PCR du SRAS-CoV-2 pour les patients hospitalisés cliniquement diagnostiqués avec COVID-19 », J Med Virol. 26 mars 2020 doi: 10.1002 / jmv.25786,
Instantanés d’une histoire sans fin
Un autre point important est que les virus SARS-CoV2 séquencés jusqu’à présent ne présentent qu’une très petite partie de ce qui circule dans la nature. En ce qui concerne le génome total de tous les virus corona chez tous les humains, cette partie est de peu d’importance. Il faut également se rappeler qu’il n’y a pas seulement le SARS-CoV2, mais aussi d’autres coronavirus humains – et qu’ils mutent également. Sinon, on ne se serait pas retrouvés avec le virus SARS-CoV2. Les analyses informatiques, par ex. de l’arbre généalogique du SARS-CoV2 (analyse phylogénétique), sont très problématiques parce qu’elles ne se basent que sur cette très petite section des virus présents dans la nature tels qu’ils existent aujourd’hui. Depuis 15 ans, les virus corona n’ont guère été pris en compte, ni chez l’homme ni chez l’animal. La grande majorité des séquences de gènes de coronavirus dans les bases de données proviennent des 4 derniers mois ou ont 15 ans d’âge. La critique à ce sujet n’est pas nouvelle, en particulier la distribution géographique très inhomogène des séquences de gènes trouvées, voir Mavian et al, « Rétablir la perspective sur le traçage moléculaire du SRAS-CoV-2 et ses implications« , medrxiv, 20.3.2020 : « Cependant, dans un nouvel arbre déduit une semaine plus tard, lorsque plus de 135 nouvelles séquences génomiques complètes ont été mises à disposition sur GISAID (Figure S2), le lien direct entre l’Allemagne et l’Italie a disparu en raison du regroupement supplémentaire des précédents séquences non échantillonnées du Portugal, du Brésil, du Pays de Galles et des Pays-Bas (figure 2b) ».
Zoonose? L’homme aussi est un « zoon »!
Certaines publications indiquent que les haplotypes (c’est-à-dire les modèles génétiques) du SARS-CoV2 ont à nouveau déjà disparu, c’est-à-dire qu’ils ne sont plus trouvés dans les séquences de bases nouvellement séquencées. Le SARS (1) a à nouveau lui aussi disparu depuis longtemps. Quel sens a alors une distance génétique entre deux séquences de gènes?
Mais la virologie fait ce qu’elle fait depuis 30 ans. Elle trouve une séquence de gène viral qu’elle ne connaissait pas encore et déclare le virus nouvellement découvert un virus mortel. Pour que cela fonctionne, elle a besoin de l’hypothèse de la zoonose.
Sans ça, ça ne marche pas. Car ce n’est que grâce à cette hypothèse qu’un agent pathogène a été nouvellement transféré d’un hôte animal à l’homme à Wuhan sur le marché aux poissons à la fin de 2019, qu’on peut faire l’hypothèse générale que l’agent pathogène a une pathogénicité accrue (= un potentiel accru de causer une maladie). L’agent pathogène est nouveau pour l’homme, c’est pourquoi l’homme, contrairement aux hôtes d’origine, n’a pas eu la possibilité de s’adapter au nouvel agent pathogène.
Cette approche fonctionne très bien car il est toujours supposé que les patients sont gravement malades, alors qu’ils souffrent généralement de plusieurs maladies (multimorbides), tandis que les personnes sans symptômes ou avec des symptômes faibles ne sont pas testées. Et immédiatement, on obtient la preuve apparente que les tests positifs et la mort vont de pair.
Pour preuve, Drosten, Wieler & Co. présentent deux séquences de gènes, l’une d’un virus corona animal et l’autre d’un virus corona humain, et en soulignent la grande distance génétique. Cette affirmation peut être faite trés facilement car il n’existe aucune donnée pour quoi que ce soit entre les deux. Personne n’a fait de mesure des coronavirus animaux et humains dans la densité nécessaire au cours des 15 dernières années. Un très grand nombre de personnes séropositives au SARS-CoV2 ne présentent aucun symptôme ou seulement des symptômes bénins. La proportion de personnes asymptomatiques qui ne présentent pas de symptômes serait de 50 à 70%. Cela n’est pas possible sans que le système immunitaire n’ait été préparé pour le virus. Cela suggère un développement continu jusqu’au SARS-CoV2 (et ses nombreux variants).
Parler d’origine indique seulement le moment où on a commencé à réfléchir
De plus en plus, des analyses phylogénétiques sont également effectuées pour tenter de construire un arbre généalogique différent à partir des nombreuses séquences de gènes différentes; contrairement à l’hypothèse selon laquelle le SARS-CoV2 a été nouvellement créé par zoonose fin 2019, ce n’est pas le cas. Les analyses de ce type sont problématiques en raison de la très courte période d’échantillonnage. Cependant, c’est tout ce qui est actuellement disponible. De plus, le point zéro, c’est-à-dire la séquence de référence par rapport à laquelle les mutations sont évaluées, est choisi arbitrairement. Ce n’est qu’en Chine que le nouveau test PCR a été lancé et que les premières séquences génétiques ont été générées. Ce n’est qu’alors qu’ils ont fait de même dans d’autres parties du monde. La qualification de mutation antérieure et postérieure est une déclaration relative par rapport à la séquence de référence. La propagation supposée ne reflète que la séquence géographique des tests. Néanmoins, les alarmistes de Johns Hopkins continuent de l’utiliser ailleurs.
Il faudrait enfin renoncer à l’image d’un «arbre généalogique» – l’image des réseaux récursifs apparaît plus appropriée
La diversité du SARS-CoV2 est si grande que des grappes se forment même dans de petits échantillons. Il n’est plus possible de déterminer clairement comment le virus est arrivé à New York. Cf. Gonzalez-Reiche et al., « Introductions et propagation précoce du SARS-CoV-2 dans la région de New York« , 16 avril 2020, medxriv: « L’analyse phylogénétique de 84 génomes SARS-CoV2 distincts indique des introductions multiples, indépendantes mais isolées, principalement d’Europe et d’autres régions des États-Unis. De plus, nous trouvons des preuves de la transmission communautaire du SARS-CoV2 comme le suggèrent des grappes de virus apparentés trouvés chez des patients vivant dans différents quartiers de la ville. » Ces grappes doivent s’être formées aux États-Unis au cours des 3 derniers mois. C’est le SARS-CoV2 et tout ce qui a conduit au SARS-CoV2 est beaucoup plus ancien.
«Nous devons souligner que l’estimation TMRCA [du plus récent ancètre commun – Wikipedia] est fortement influencée par le schéma d’échantillonnage du génome. Étant donné que le premier génome disponible a été échantillonné le 24/12/2019 près d’un mois après l’épidémie, l’origine réelle de l’épidémie actuelle pourrait en fait être antérieure à notre estimation. »
«En supposant un taux de substitution synonyme de 2,9×10-3/site/an, la recombinaison a été estimée avoir eu lieu il y a environ 40 ans (95% HPD: 31-69 ans; temps de divergence (t) = divergence (dS)/(substitution taux x 2 x 3), considérant que le dS dans RBD est 3 fois supérieur à la moyenne du génome). Les acides aminés dans la région RBD des deux génomes ont été maintenus par sélection naturelle depuis lors, tandis que des substitutions synonymes se sont accumulées. Si cela est vrai, le SARS-CoV-2 a peut-être circulé de manière cryptique parmi les humains pendant des années avant d’être récemment remarqué. »
Ce sont des évaluations très récentes et il reste à voir si ce preprint réussira à se frayer un chemin à travers le processus tant vanté d’examen par les pairs, par lequel la science se «régule» elle-même et régule l’état des connaissances.
Ce que le glyphosate est aux champs, les antiviraux le sont aux humains
Les virus sont probablement aussi anciens que les bactéries. Le système immunitaire des vertébrés est le seul capable d’harmoniser le corps avec les variants toujours nouveaux des virus. C’est exactement ce pour quoi il a été créé au cours de l’évolution. Le groupe de vertébrés est né il y a environ 500 millions d’années et le concept de système immunitaire est peut-être encore plus ancien. Il y a 500 millions d’années, le système immunitaire des vertébrés, dont le point final préliminaire est l’homme, s’est développé en contact étroit avec les virus. Cependant, la médecine moderne utilise des corticostéroïdes pour supprimer la réponse immunitaire, comme le montrent de nombreux protocoles de traitement COVID-19, en particulier aux États-Unis.
Pendant ce temps, l’industrie fait constamment de la publicité pour de nouveaux médicaments. Où sont-ils utilisés? 98% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme ou seulement des symptômes légers. Mais les médias mélangent sans discernement le test et l’infection, l’infection et la maladie symptomatique, la maladie symptomatique et la mort. Les personnes gravement touchées ont en moyenne 80 ans et plus et dans la grande majorité des cas, elles souffrent de maladies préexistantes sévères. Personne ne peut dire combien d’entre eux sont décédés des suites d’une ventilation prématurée. En attendant, les patients en soins intensifs sont toujours sevrés de la respiration avec du Fentanyl, entre autres, sinon la respiration artificielle ne fonctionne pas. Lorsque ces patients se réveillent, si ils se réveillent, ce sont des drogués. Katherine Ellen Foley, « Certains médicaments utilisés pour maintenir les patients atteints de coronavirus sous ventilation sont sous-approvisionnés« , Quartz, 31 mars 2020,
Un vent de peur souffle depuis les unités de soins intensifs, mais que se passe-t-il?
L’USI [unité de soins intensifs] montre ce qu’elle peut faire. En outre, il existe des médicaments comme le Remdesivir, qui s’est révélé trop toxique pour le traitement contre Ebola et qui échoue dans d’autres tests. Josh Farkas. « PulmCrit – Onze raisons pour lesquelles l’article du NEJM sur le remdesivir ne révèle rien« , 11 avril 2020, Tous les doutes n’ont pas empêché le Remdesivir d’être mis en circulation aux USA par la « méthode flash ». Ou les thérapies combinées à la chloroquine et à l’azithromycine, qui peuvent entraîner un arrêt cardiaque chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires antérieures. Ou la monothérapie à la chloroquine, qui endommage les globules rouges chez les personnes présentant un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase est le défaut génétique héréditaire le plus courant dans le monde, avec une fréquence allant jusqu’à 20-30% en Afrique. Les pays qui comptent une forte proportion de personnes nées en Afrique sont également particulièrement touchés.
Mauvaises priorités et chiffres trompeurs
Tout est parti d’un test vétuste, de mesures hâtives et d’une confiance aveugle dans une nano-partie de la nature évolutive de la machine, numérisée dans les bases de données génétiques et justifiée par rien. La science, et les politiciens qui croient en ses conseils, devront continuer à maintenir la crise qu’ils ont eux-mêmes créée. Bien qu’il soit très douteux qu’un virus ne provoquant aucun (!) symptôme chez 50 à 70% des personnes infectées soit arrivé en Europe au moment exact du début des tests, comme certains veulent maintenant nous le faire croire en s’appuyant sur des courbes de surmortalité. Et ceci dans une population de patients dans laquelle 40% des patients en réanimation sont venus directement de la maison de retraite à l’USI en demande des soins les plus intensifs. Voir Matthias Thöns, « De très mauvaises priorités et tous les principes éthiques violés« , Deutschlandfunk, 11.4.2020, « Et nous devons nous rappeler que les patients gravement malades du COVID-19, comme on appelle la maladie, sont pour la plupart des personnes très âgées, parmi lesquelles beaucoupsont malades, dont 40 pour cent viennent de maisons de retraite médicalisées et nécessitent le plus haut niveau de soins, et en Italie, sur 2.003 décès, seuls trois patients n’avaient pas de gravespathologies préexistantes. Il s’agit donc d’un groupe qui habituellement et jusqu’à présent a toujours reçu plus de soins palliatifs que de soins intensifs, et maintenant qu’une nouvelle maladie est diagnostiquée, tous ces patients deviennent des patients de soins intensifs. » Dans certains pays, il existe une compensation supplémentaire pour les hôpitaux, si le DRG [« Diagnostic Related Group », groupe homogène de diagnostic – Wikipedia] est mis à niveau vers le covid-19. Cela devient encore plus attrayant si le patient est intubé. Medicare [Medicare est le système d’assurance-santé géré par le gouvernement fédéral des États-Unis au bénéfice des personnes de plus de 65 ans ou répondant à certains critères- Wikipedia] aux États-Unis paie 20% de plus pour les DRG avec covid-19.
Les fausses alertes – une maladie auto-immune sociale
Dans le climat médiatique actuel et sous une immense pression politique pour justifier les mesures draconiennes et leurs conséquences, il est très douteux que, même rétrospectivement, on voit une discussion scientifique indépendante sur une évaluation prudente des risques de l’hypothèse de zoonose . Pour quelles demandes de recherche des fonds seront-ils accordés? L’évolution est en cours depuis des millions d’années, et au cours des 20 dernières années, les virologues ont évoqué de nouveaux virus mortels tous les 3 à 5 ans pour menacer les humains? MERS, SARS (1), SARS (2), grippe porcine, grippe aviaire? C’est devenu franchement ridicule.
Texte original
War against a joker
The pharmaceutical industry and its virologists are currently trying, for transparent reasons, to define the pathogen SARS-CoV2 as a stable hostile entity. For the « war against the virus », the danger is needed, represented by a spiked ball. A « corona-free world » is the declared goal of vaccine-obsessed Bill Gates and his political friends. Also, with regard to a possible vaccination, they try to give us the illusion of a clearly definable enemy in the world of viruses. After all, this is the prerequisite for the testing business and the governmental enforcement of a worldwide vaccination policy that is risk-free for vaccine manufacturers. Today, on 4.5.2020, an online donor conference on the « Creation of a corona-free world » (ARD-Tagesschau) is taking place and Chancellor Merkel promises to spend billions of our tax money on it. From a scientific point of view, all these efforts are – to put it mildly – dangerous aberrations. I am not yet talking about the profiteers of this madness.
Life is not trivial and calculable
It is absolutely certain that the SARS virus is also constantly and rapidly changing. And what good is a vaccination against something that has long since changed incalculably? Our immune system also reacts unpredictably. Cross-immunities? Immune memory? The specificity and significance of tests is quickly fading. So does the effect of a vaccine.
That’s why proof of immunity is a farce, and if it becomes law, a health hazard that cannot be justified. For the same reason, mass vaccinations against respiratory viruses are a risky nonsense and may cause bodily injury. With rapidly changing pathogens, as with influenza vaccination, success is a matter of luck. Only afterwards can it be determined whether the vaccinated persons were better off than the non-vaccinated. This remains a good deal, since an evidence-based prior benefit assessment will of course never be possible. Up to now, other viruses have been happy and spread where one type of virus has become difficulties by vaccination.
The Wuhan viruses are long gone
It’s all about the extremely high mutation rate of RNA viruses, which includes SARS-CoV2. The rate is impressively demonstrated by the website CoV-Glue, » Amino acid analysis for the SARS-CoV-2 pandemic« , which shows that for SARS-CoV2 the mutation rate is very high in a very short period of about 4 months.
· 7237 non-synonymous, i.e. amino acid changing mutations (replacements),
· 6 insertions (inserting additional bases) and
· 87 deletions (loss of bases in the gene sequence) in found gene sequences. .
That is for a genome that itself consists of only about 30,000 bases an enormous number of mutations, insertions and deletions in a very short time. And these are only the data of a few thousand SARS-CoV2 viruses that have been sequenced. Nature knows many, many more. Non-synonymous mutations cause other amino acids to be inserted into the virus’ proteins. These thus change the chemical properties of these proteins. These mutations accumulate within weeks(!), as the data show. Insertions and deletions are of special importance, because they can lead to a frame shift, where the whole subsequent chain is read differently. There are also synonymous mutations which, although they do not change the primary structure of the SARS-CoV2 proteins, can still play a role in diagnostics. In addition, there are still many open questions about further effects of synonymous mutations. Doubts about the PCR test, existed from the beginning: Li et al, « Stability Issues of RT-PCR Testing of SARS-CoV-2 for Hospitalized Patients Clinically Diagnosed with COVID-19 », J Med Virol. 2020 Mar 26. doi: 10.1002/jmv.25786,
Snapshots of a neverending story
Another important point is that the SARS-CoV2 viruses sequenced so far show an extremely small section of nature. In relation to the total genome of all corona viruses in all humans, this section is of little importance. It must also be remembered that there are not only SARS-CoV2, but also other human coronaviruses – and they also mutate. Otherwise one would not have ended up with the SARS-CoV2 virus. Computer analyses, e.g. of the family tree of SARS-CoV2 (phylogenetic analysis), are very problematic based on this extremely small section of nature as it exists today. For the last 15 years, corona viruses have hardly been considered, neither in humans nor in animals. The vast majority of the coronavirus gene sequences in the databases originate from the last 4 months or are 15 years old. The criticism of this is not new, especially the very inhomogeneous geographical distribution of the gene sequences found, see Mavian et al, « Regaining perspective on SARS-CoV-2 molecular tracing and its implications« , medrxiv, 20.3. 2020, : « However, in a new tree inferred just one week later, when more than 135 new full genome sequences were made available on GISAID (Figure S2), the direct link between Germany and Italy has disappeared due to the additional clustering of previously unsampled sequences from Portugal, Brazil, Wales and Netherland (Figure 2b).
Zoonosis? Man is also a zoon!
Some publications say that haplotypes (i.e. genetic patterns) of SARS-CoV2 have already disappeared again, i.e. are no longer found in newly sequenced base sequences. SARS(1) has also disappeared again for a long time. What sense does a genetic distance between two gene sequences make then?
But virology is doing what it has been doing for the last 30 years. It finds a viral gene sequence that it did not yet know and declares the newly discovered virus a death virus. For this to work, it needs the zoonosis hypothesis.
Without it, it doesn’t work. Because only thanks to this hypothesis that a pathogen has been newly transferred from an animal host to humans in Wuhan at the fish market at the end of 2019, can a general assumption be made that the pathogen has an increased pathogenicity (= an increased potential to cause illness). The pathogen is new to humans, which is why humans, in contrast to the original hosts, have not had the opportunity to adapt to the new pathogen.
This approach works so well because it is always assumed that patients are seriously ill, who then usually suffer from several diseases (multimorbid), and people with no or weak symptoms are not tested. And immediately you have the apparent proof that positive testing and death go hand in hand.
As proof of this, Drosten, Wieler & Co. hold up two gene sequences, one from an animal corona virus and one from a human corona virus, and point to the large genetic distance. This assertion can be made so easily because there is no data for anything in between. Nobody has measured animal and human coronaviruses in the necessary density in the last 15 years. A very large number of SARS-CoV2 positive people show no or only mild symptoms. The proportion of asymptomatic people who do not show symptoms is said to be 50 – 70%. This is not possible without the immune system having been prepared for the virus. This suggests a continuous development up to SARS-CoV2 (and its many variants).
Talking about origin only shows where you started thinking
Increasingly, phylogenetic analyses are also being carried out in an attempt to construct a different family tree from the numerous different gene sequences; contrary to the hypothesis that SARS-CoV2 was newly created by zoonosis at the end of 2019, this is not the case. Analyses of this kind are problematic due to the very short sample period. However, this is all that is currently available. In addition, the zero point, i.e. the reference sequence against which mutations are evaluated, is arbitrarily chosen. Only in China has the new PCR test been started and the first gene sequences have been generated. Only then did they do the same in other parts of the world. What is a forward and backward mutation is a relative statement in relation to the reference sequence. The supposed spread only reflects the geographical sequence of the tests. Nevertheless, the alarmists at Johns Hopkins continue to use this elsewhere.
We should finally give up the image of a « family tree » – the image of recursive networks appears more appropriate
The diversity of SARS-CoV2 is so great that clusters are formed even in small samples. It is no longer possible to clearly assign how the virus got to New York. Cf. Gonzalez-Reiche et al., « Introductions and early spread of SARS-CoV-2 in the New York City area« , April 16, 2020, medxriv: « Phylogenetic analysis of 84 distinct SARS-CoV2 genomes indicates multiple, independent but isolated introductions mainly from Europe and other parts of the United States. Moreover, we find evidence for community transmission of SARS-CoV2 as suggested by clusters of related viruses found in patients living in different neighborhoods of the city. » These clusters must have formed in the USA in the last 3 months. It is the SARS-CoV2 and everything that led to SARS-CoV2 is much older.
“We have to point out that the TMRCA estimation is strongly influenced by the genome sampling scheme. Since the earliest available genome was sampled on 12/24/2019 almost one month after the outbreak, the real origin of the current outbreak may actually be earlier than our estimation.”
“Assuming a synonymous substitution rate of 2.9×10-3/site/year, the recombination was estimated to have occurred approximately 40 years ago (95% HPD : 31-69 years; divergence time (t) = divergence (dS)/(substitution rate x 2 x 3), considering dS in RBD is 3-fold of genome average). The amino acids in the RBD region of the two genomes have been maintained by natural selection ever since, while synonymous substitutions have been accumulated. If this is true, SARS-CoV-2 may have circulated cryptically among humans for years before being recently noticed.”
These are very recent evaluations and it remains to be seen whether this preprint will make it through the much-vaunted peer review process by which science « regulates » itself and the state of knowledge.
What glyphosate is to fields, antivirals are to humans
Viruses are probably as old as bacteria. The vertebrate immune system is the only one capable of harmonizing the body with the ever-new virus variants. This is exactly what it was created for in the course of evolution. The group of vertebrates originated about 500 million years ago and the concept of the immune system is possibly even older. 500 million years ago, the vertebrate immune system, at the preliminary endpoint of which is man, developed in close contact with the viruses. However, modern medicine uses corticosteroids to suppress the immune response, as shown by many COVID-19 treatment protocols, particularly from the USA.
In the meantime, the industry is constantly advertising new drugs. Where are they used? 98% of test positives show no or only mild symptoms. But the media uncritically mix test and infection, infection and symptomatic disease, symptomatic disease and death. The severely affected persons are 80+ on average and in the vast majority of cases suffer from severe pre-existing conditions. Nobody can say how many of them have died as a result of premature ventilation. In the meantime, intensive care patients are still being weaned off breathing with fentanyl, among other things, otherwise artificial respiration will not work. These patients wake up, if at all, as junkies. Katherine Ellen Foley, « Some drugs used to keep coronavirus patients on ventilators are in short supply« , Quartz, March 31, 2020,
The fear is coming out of the ICU, but what’s going on?
The ICU’s showing what it can do. In addition, there are drugs like Remdesivir, which has been too toxic for the Ebola therapy and fails in further tests. Josh Farkas. « PulmCrit – Eleven reasons the NEJM paper on remdesivir reveals nothing« , April 11, 2020, All doubts have not prevented Remdesivir from being released for use in the USA by the flash method. Or chloroquine and azithromycin combination therapies, which can lead to cardiac arrest in people with previous cardiovascular diseases. Or chloroquine monotherapy, which causes damage to red blood cells in people with glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency. Glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency is the most common hereditary genetic defect worldwide, with a frequency of up to 20-30% in Africa. Countries with a high proportion of African-born people are also particularly affected.
Wrong priorities and deceptive figures
Everything is initiated by a dilapidated test, hasty measures and a blind trust in some nano part of the evolutionary machine nature, which is digitized in the gene databases and not justified by anything. Science and the politicians beleaving its advises will have to continue to pursue their self-made crisis. Although it is very doubtful that a virus that causes no(!) symptoms in 50 – 70% of infected people had arrived in Europe at the exact time the tests were started, as some now want to make us believe with the help of the curves for excess mortality. And this in a patient population in which 40% of intensive care patients came directly from the nursing home to the ICU in need of the most intensive care. See Matthias Thöns, « Very wrong priorities set and all ethical principles violated », Deutschlandfunk, 11.4.2020, « And we have to remember that the seriously ill COVID-19 patients, as the disease is called, are mostly very old people, many of whom are ill, 40 percent of whom come from nursing homes in need of the highest degree of care, and in Italy, out of 2,003 deaths, only three patients have been without serious pre-existing conditions. So it is a group that has usually and until now always received more palliative care than intensive care, and now a new disease is diagnosed and all these patients become intensive care patients. » In some countries there is an extra compensation for hospitals, if the DRG is upgraded to covid-19. This gets still more attractive, if the patient gets intubated. Medicare in US pays 20% more for DRGs with covid-19.
False alarms – a social autoimmune disease
In the current media climate and under immense political pressure to justify the draconian measures and their consequences, even retrospectively, it is very doubtful that there will be an independent scientific discussion on the zoonosis hypothesis of prudent risk assessment. For which research applications will money be granted? Evolution has been going on for millions of years, and in the last 20 years virologists have been conjuring up new death viruses every 3-5 years to threaten humans? MERS, SARS(1), SARS(2), swine flu, bird flu? This has gone really stupid.
Del Bigtree dans le petit clip ci-dessus extrait de son émission n° 213 nous rappelle le résultat d’une étude, commandée par le CDC et faite par Harvard en 2010 sur le système VAERS. Seulement moins de 1% (un pour cent) des effets secondaires des vaccins (y compris les décès) y sont rapportés. La plupart des médecins ne sont même pas au courant de son existence. Et dans ceux qui la connaissent, beaucoup hésitent à faire la démarche, qui pourrait se retourner contre eux. Vu la très grande médiatisation de la campagne actuelle, il est possible qu’un plus grand pourcentage s’y retrouve – mais pas 100%. Il y a donc probablement beaucoup plus de morts que ce qui est annoncé.
Mise à jour du 05/06 : les chiffres actualisés en début de cet article et le nombre réel des décès donné par le Dr McCullough ici. C’est bien ce que je disais.
On notera que le budget de l’étude (un million de dollars) prévoyait également la mise au point d’un système plus automatisé et plus fiable que le VAERS, solution que les gens de Harvard, sur base d’un de leur propres systèmes, ont à l’époque proposé au CDC.
Le CDC a alors cessé de leur répondre.
Il y a ce site qui trie les données du VAERS en temps réel – et en anglais. Vous pouvez paramètrer votre propre recherche. Très pratique. Vous pouvez aussi – toujours en anglais – consulter ce relevé + analyse des chiffres fait par un lecteur de Miles Mathis ici.
Il y a cet article qui donne une compilation – faite à la manivelle, le site ne proposant pas cette fonction – des chiffres des dommages physiques et décès suite à l’administration des quatre injections présentes en Europe au 22 mai sur Eudravigilance : 12.184 morts et 1.196.190 dommages physiques.
La FDA déclare aujourd’hui ne pas disposer d’un système efficace pour le suivi des effets secondaires de la campagne de « vaccination » actuelle.
A ce sujet, je propose qu’on cesse de nommer ainsi cette campagne et qu’on lui donne un appellation plus appropriée:
L’ancien Vice-Président de Pfizer qualifie de « mensonge » la présomption de coïncidence concernant les décès après vaccination COVID-19
7 mai 2021
L’ancien Vice-Président et Directeur Scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant les morts qui interviennent après vaccination contre le COVID-19.
«Tandis que la vaccination contre le COVID-19 implique un grand nombre de gens, nous vaccinons habituellement tellement de personnes contre tant d’agents pathogènes qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le COVID-19 uniquement sur la base du nombre de personnes vaccinées, »déclare-t-il.
« Ceux qui contestent [le lien avec] les près de 4.000 décès après vaccination contre le COVID-19 aux États-Unis disent généralement que « ces rapports ne prétendent pas montrer un lien de causalité. C’est juste une coïncidence », déclare Yeadon.
«La réplique à ce mensonge est que, si c’est une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent [en temps normal] et si on vaccine X personnes, on obtient un certain nombre de décès par l’effet du hasard.
«Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vaccination contre le COVID-19 est une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès suivrait le même rythme, la même proportion dans la population vaccinée, comme on le verrait dans le VAERS.
« Et ce n’est PAS ce que le VAERS nous dit. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vaccination interviennent après la vaccination COVID-19. »
Yeadon poursuit : «Ce qu’il y a de choquant dans les données statistiques c’est que près de 99% des décès signalés au VAERS après vaccination sont survenus après la vaccination COVID-19.
« Les 1% restant concernaient TOUS LES AUTRES VACCINS COMBINÉS.
« Quiconque refuse maintenant de l’admettre est un « théoricien de la coïncidence ». »
Yeadon poursuit en mettant en garde contre les ramifications du «Passeport Vert», le qualifiant d’«apartheid médical illégal» : «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe.
«L’intention est d’imposer partout des passeports vaccinaux. Mais c’est un subterfuge. Il s’agit du premier système d’identification numérique de format commun et interopérable à l’échelle mondiale, qui comprend un indicateur de santé modifiable (vacciné, O ou N).
«Cela ne change rien sur le plan de la sécurité individuelle. Si on est vacciné, on est protégé et on n’est pas plus en sécurité si on connait le statut immunitaire des autres.
« Comme en Israël, on sera obligé de présenter un VaxPass valide pour accéder à des installations définies ou pour accéder à des services. Pas de VaxPass, on est refusé.
«Ce système n’a besoin d’inclure que 50% + de la population adulte pour se mettre en place, vu son énorme pouvoir coercitif sur les non-vaccinés.
«C’est un apartheid médical illégal.
«S’ils réussissent, cela ne servira à rien de le refuser; ils passeront à l’étape suivante, et la minorité sera exclue.
« Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.
«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar biosécuritaire est de NE PAS SE FAIRE VACCINER POUR DES RAISONS NON-MÉDICALES !!!
« Je crains que, si nos adversaires réussissent à obtenir ce contrôle absolu, ils l’utilisent pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »
L’ancien Directeur Scientifique de Pfizer conclut par un plaidoyer: «NE PERMETTEZ PAS À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il deviendra impossible à arrêter ensuite.
« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant de participer à votre 3e, 4e ou 5e vaccin de rappel ou anti-variant. Sinon, votre VaxPass expirera et fera de vous une personne exclue, incapable d’accéder à sa propre vie.
«Quel choix vous restera-t-il?
« Aucun. Vous serez sous contrôle. Pour toujours. »
Texte original
Former Pfizer VP calls presumption of coincidence in death following COVID-19 vaccination ‘a lie’
May 7, 2021
Former Pfizer Vice President and Chief Science Officer Dr. Mike Yeadon today called the presumption of coincidence regarding death following COVID-19 vaccination « a lie ».
« While COVID-19 vaccination involves a lot of people, we routinely vaccinate so many people against so many pathogens that it’s impossible to account for the increased numbers of deaths reported to VAERS after COVID-19 purely on the grounds of the numbers being vaccinated, » he said.
« Those who dispute the almost 4,000 deaths after COVID-19 vaccination in the US usually say ‘these reports aren’t claiming causation. It’s just coincidence’, » Yeadon said.
« The counter to this lie is that, if it was simple coincidence, that is, then people do die and if you vaccinate enough people, you’ll get a number of coincidental deaths.
« Well, yes, that’d true. But what isn’t true is that this very large increase in deaths following COVID-19 vaccination is mere coincidence. If it was, then the number of deaths would remain at the same rate, the same proportion of the population vaccinated, as it passed VAERS.
« And that’s NOT what VAERS is telling us. Instead, almost ALL of the deaths reported shortly after vaccination are after COVID-19 vaccination. »
Yeadon continues: « The shocking statistic is that almost 99% of the deaths reported to VAERS after vaccination occurred after COVID-19 vaccination.
« The balancing 1% were for ALL THE OTHER VACCINES COMBINED.
« Anyone in denial now is a ‘coincidence theorist’. »
Yeadon went on to warn about the ramifications of the « Green Passport », calling it « illegal medical apartheid »: « It is very important that people understand what is happening here.
« The intention is to introduce vaccine passports everywhere. But this is a disguise. It’s the world’s first digital common-format, globally-interoperable ID system with an editable health flag (vaccinated, Y or N).
« It makes no-one safer. If you’re vaccinated, you’re protected and are not made safer by knowing others’ immune status.
« As in Israel, you will be compelled to present a valid VaxPass in order to access defined facilities or access services. No VaxPass, you’re denied.
« This system only needs 50%+ of the adult population to start up because of its huge coercive power on the unvaccinated.
« It’s illegal medical apartheid.
« If they succeed, it won’t help you to refuse; they’ll move on, leaving that minority behind.
« A VaxPass system like this will give to those controlling the database and it’s algorithms TYRANNICAL TOTALITARIAN CONTROL over us all.
« The ONLY way to stop this biosecurity nightmare is to NOT GET VACCINATED FOR NON-MEDICAL REASONS!!!
« I fear that, if our adversaries gain this absolute control, they will use it to harm the population. There’s no limit to the evil which will flow from this strategic goal. »
The former Pfizer Chief Science Officer concluded with a plea: « DO NOT ALLOW THIS SYSTEM TO START UP, because it’s unstoppable afterwards.
« One example: Your VaxPass pings, instructing you to attend for your 3rd or 4th or 5th booster or variant vaccine. If you don’t, your VaxPass will expire and you’ll become an out-person, unable to access your own life.
Voici la traduction partielle du webinaire évoqué dans mon article précédent. La traduction complète est en cours, si j’ai le courage et le temps. Revenez voir éventuellement dans quelques jours – c’est un gros boulot. En attendant, ne vous gênez pas pour lire et/ou partager.
13/05 : en fait je vais re-publier sous forme de dossier, avec d’autres infos. Je travaille à ça et à deux articles de fond.
Pour info, les intervenants sont le Dr Larry Palevski, le Dr Sherri Tenpenny, le Dr Christiane Northrup, Le Dr Carrie Madej et le Dr Lee Merritt. J’ai sélectionné une intervention du Dr Palevski, dont la prise de position est sans ambiguité (j’en profite pour vous rappeller ceci par le Dr David Martin, c’est sous-titré en français), et une du Dr Northrup, très claire et concise – les autres partent parfois dans tous les sens et s’égarent alors dans des conjectures un peu vaines.
Ce qui ne devrait pas faire perdre de vue que la question de base est parfaitement réelle et concrète.
Les symptômes encourus par les personnes à proximité de celles qui ont reçu l’injection d’ARNm sont :
saignements de nez sévères,
migraines sévères,
caillots sanguins aux extrémités et au cerveau,
corps couvert d’ecchymoses,
péricardite,
zona,
pneumonie,
paralysie de Bell,
gonflement du scrotum,
impuissance,
oligospermie,
jeunes filles de dix ans et femmes ménopausées réglées,
dysmenorrhées,
caillots sanguins utérins,
pertes deciduelles complètes,
nombre de fausses couches multiplié par quatre, etc.
Pour les anglophones, témoignages ici, ici et ici. Il y en a d’autres…
Pour prendre le problème à l’envers – ce qui selon mon expérience fonctionne assez bien – on notera que les media américains ont d’ores et déjà apporté la réponse à cette épidémie de symptômes : les troubles sanguins et gynécologiques constatés par des milliers de femmes proviennent d’une inhalation de gaz lacrymogènes lors de manifestations. Et voilà, fallait pas manifester… J’invente pas. Niveau foutage de gueule, je trouve qu’on faisait mieux en Union Soviétique.
En ce qui me concerne, les seuls imbéciles individus de mon entourage à s’être fait injecter ces produits sont parmi ceux que je suis censé cotoyer sur mon lieu de travail. Je leur « propose » de ne pas s’approcher à moins de cinq mètres, ce qui est déjà un sérieux compromis de ma part, puisque comme vous ne le savez pas forcément, la distance minimum – je cite le Pr Raoult – devrait être de trente mètres, les particules aérosolisées pouvant même parcourir, selon une étude chinoise, jusqu’à deux cent mètres. Voilà ce que j’appelle de la distanciation sociale. Ce qui est assez amusant c’est que c’est maintenant qu’elle deviendrait donc nécessaire. Le Dr Lee Merritt cite également dans sa conférence (faudrait que je retrouve le lien) ce genre de distance à propos du dernier cas de variole répertorié en Europe (en Allemagne), où un patient hospitalisé a contaminé le personnel soignant du batiment en face rien qu’en se mettant à la fenêtre (ce qui lui était interdit). Trente morts…
J’ajoute enfin que le Dr Baker refuse l’accès aux personnes « vaccinées » à son cabinet, pour protéger ses assistantes et qu’une école privée en Floride a interdit aux professeurs « vaccinés » toute proximité avec les élèves, et leur a proposé de se représenter à la rentrée scolaire suivante, sous réserve que tout risque de transmission ait été élucidé et qu’il reste encore des emplois disponibles.
Avant l’article lui-même, je cite America’s Front Line Doctors, à qui je fais confiance vu leur niveau de professionnalisme. Ils mettent également en garde contre le risque de transmission abordé ci-dessous (article sur Lifesite News).
Ci-dessous les paragraphes 3 et 4 de leur document, IDENTIFYING POST-VACCINATION COMPLICATIONS & THEIR CAUSES: AN ANALYSIS OF COVID-19 PATIENT DATA [IDENTIFICATION DES COMPLICATIONS POST-VACCINATION ET DE LEURS CAUSES: UNE ANALYSE DES DONNÉES DES PATIENTS COVID-19] :
(Traduction)
3. Les personnes non-vaccinées peuvent-elles tomber malades par contact avec les personnes vaccinées?
Le vaccin produit plusieurs milliards de particules de protéines de pointe chez le receveur. Les patients vaccinés peuvent excréter certaines de ces particules (de protéines de pointe) vers des personnes en contact rapproché. Ces particules ont la capacité de créer une inflammation et une maladie chez ces personnes en contact. En d’autres termes, les protéines de pointe sont pathogènes («facteurs des maladies») tout comme le virus complet. Le plus inquiétant, c’est que le corps d’une personne est soudainement envahi de 13 milliards de ces particules et que les protéines de pointe se lient plus étroitement que le virus totalement intact. En raison du biomimétisme (similitude) de la protéine de pointe, l’excrétion semble être à l’origine d’une grande variété de maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes. Dans le monde entier, des cas de péricardite, de zona, de pneumonie, de caillots sanguins aux extrémités et au cerveau, de paralysie de Bell, de saignements vaginaux et de fausses couches ont été signalés chez des personnes proches de personnes vaccinées. De plus, nous savons que les protéines de pointe peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique, contrairement aux vaccins traditionnels.
4. Qu’en est-il de l’interaction entre les enfants non vaccinés et les adultes vaccinés?
L’AFLDS craint que certains enfants deviennent symptomatiques du COVID après que leurs parents et leurs enseignants se soient fait vacciner. Cette préoccupation ne concerne pas le risque d’infection. En effet, selon l’American Academy of Pediatrics et l’Association des Hôpitaux pour Enfants, environ «1,6% des enfants avec un cas connu de COVID-19 ont été hospitalisés et 0,01% sont décédés». Au contraire, les bureaucrates de la santé publique pourraient utiliser ces cas de transmission d’un type nouveau [breakthrough transmission] ou de symptômes pour spéculer que la maladie d’un enfant serait liée à un «variant» du SARS-CoV-2, alors qu’en réalité il s’agit d’une réaction au vaccin. Notre autre préoccupation est que les enfants pourraient développer une maladie auto-immune chronique à long terme, y compris des problèmes neurologiques, car les enfants ont des décennies de vie devant eux eux et des milliards de protéines de pointe mentionnées ci-dessus.
(Texte original)
3. Can the unvaccinated get sick from contact with the vaccinated?
The vaccine produces many trillions of particles of spike proteins in the recipient. Patients who are vaccinated can shed some of these (spike protein) particles to close contacts. The particles have the ability to create inflammation and disease in these contacts. In other words, the spike proteins are pathogenic (“disease causing”) just like the full virus. What is most worrisome is that a person’s body is being suddenly flooded with 13 trillion of these particles and the spike proteins bind more tightly than the fully intact virus. Because of the biomimicry (similarity) on the spike, shedding appears to be causing wide variety of autoimmune disease (where the body attacks its own tissue) in some persons. Worldwide cases of pericarditis, shingles, pneumonia, blood clots in the extremities and brain, Bell’s Palsy, vaginal bleeding and miscarriages have been reported in persons who are near persons who have been vaccinated. In addition, we know the spike proteins can cross the blood brain barrier, unlike traditional vaccines.
4. What about interaction between unvaccinated children and vaccinated adults?
AFLDS is concerned that some children will become COVID symptomatic after their parents and teachers get vaccinated. This concern does not relate to risk from infection. Indeed, according to the American Academy of Pediatrics and the Children’s Hospital Association, approximately “1.6% of children with a known case of COVID-19 have been hospitalized and 0.01% have died.” Rather, public health bureaucrats might use these cases of breakthrough transmission or symptoms to speculate that a child’s illness is related to a SARS-CoV-2 “variant,” when in reality it is a reaction to the vaccine. Our other concern is that children could develop long-term chronic autoimmune disease including neurological problems due to the fact that children have decades ahead of them and trillions of the spike proteins mentioned above.
URGENT! Cinq médecins conviennent que les injections Covid-19 sont des armes biologiques et discutent des mesures à prendre
[…]
Dr Christiane Northrup : Merci.
Je me présente : je suis d’abord Docteur certifié en gynécologie-obstétrique, j’ai étudié à la Dartmouth Medical School, j’ai fait ma résidence au Tufts New England Medical Center à Boston. J’ai été Professeur Assistant clinique en gynécologie-obstétrique pendant 25 ans à l’Université du Vermont College of Medicine, je suis l’auteur de 3 best-sellers du New York Times, y compris cette Bible sur la santé des femmes intitulée « Women’s bodies women’s wisdom » [« Corps de femmes, sagesse de femmes »] truffée de références scientifiques vérifiées et des fruits de mon expérience en première ligne de médecine corps-esprit chez les femmes. Pendant de nombreuses années, j’ai participé à l’émission d’Oprah Winfrey, 10 fois, j’ai fait 8 émissions spéciales très suivies à la télévision publique, qui ont permis de recueillir des millions de dollars pour la télévision publique.
En 2013, j’étais dans le classement du Reader’s Digest des 100 personnes en Amérique les plus dignes de confiance et aujourd’hui, en 2021, je suis l’une des « Douze de la Désinformation » [NdT. Disinformation Dozen, inspiré par Dirty Dozen – les Douze Salopards : nom donné à une liste noire de personnes influentes qui dénoncent les « vaccins » Covid], avec Sherri, ceux d’entre nous accusés de 70% de la désinformation sur les vaccins sur Internet, ce qui semble une spectaculaire tombée en disgrâce, jusqu’à ce qu’on comprenne qui détermine ce qu’est la grâce.
Ayant étudié le cycle menstruel, notre lien avec la créativité, notre connexion avec la lune, je suis assez horrifiée par ce qui se passe actuellement. Je connaissais déjà – j’ai un rapport ici – par Lifesite News, des milliers de rapports sur des irrégularités menstruelles et des dysfonctionnement de la reproduction suite au vaccin Covid. Les médias se concentrent sur les caillots sanguins, mais nous avons soudainement vu toutes ces femmes – et une de mes amies aujourd’hui m’a littéralement envoyé une photo de ce qui est sorti de son corps. C’est une femme dans la trentaine. Des pertes déciduelles complètes, c’est leur nom, ce qui signifie que tout l’intérieur de l’utérus se détache – decidua se référant aux arbres à feuilles caduques [deciduous] qui perdent leurs feuilles.
Le cycle menstruel est l’un des indices de la santé, nous savons donc qu’un cycle menstruel régulier – tous les 25 à 30 jours – est considéré comme l’un des moyens par lesquels nous pouvons déterminer la santé d’une femme. Et quand soudainement, on voit des milliers de personnes [affectées] partout dans le monde, dont beaucoup n’ont pas été vaccinées mais ont été à proximité de celles qui l’ont été, nous commençons à nous poser des questions. Nous savons déjà que le polysorbate 80 qui est inclus dans ces injections peut nuire à la fonction ovarienne et arrête la fonction ovarienne chez le rat.
Nous savons également que de nombreuses femmes sont devenues stériles à la suite du vaccin Gardasil, ce dont j’ai parlé en 2006 dans l’émission d’Oprah Winfrey. Il existe ce qu’on nomme des phéromones, qui sont sécrétées par les glandes sudoripares apocrines dans la région pubienne et sous les aisselles. Celles-ci régulent les cycles menstruels des femmes. Nous pensons que les phéromones expliquent la raison pour laquelle les femmes ont leurs règles en même temps lorsqu’elles vivent toutes ensemble à proximité.
Il y a beaucoup de choses qui affectent le cycle menstruel, mais les rapports que nous recevons ne parlent pas seulement de gonflement des organes génitaux. Dysfonction érectile chez l’homme, gonflement du scrotum, des problèmes de cette nature, irrégularités mammaires, etc. Ces éléments proviennent du programme volontaire Yellow Card en Angleterre. Mais nous ne disposons pas actuellement de base de données, de base de données formelle, pour ces anomalies qui se produisent chez les personnes qui ont reçu cette injection.
Donc, mon impression est qu’il s’agit d’une sorte d’arme biologique.
Une sorte d’arme biologique que le corps sécrète maintenant – transmet pour ainsi dire, comme vous l’avez dit, Sherri – depuis les personnes qui ont reçu cette injection, parce que voici ce que nous savons.
Ce n’est pas une vaccination normale.
C’est en fait quelque chose qui pousse le corps à fabriquer une protéine synthétique en réaction à la protéine de pointe du SARS-CoV2. C’est une protéine synthétique qui n’a jamais été vue auparavant et le corps la produit tel une usine. Il ne s’arrête pas. J’ai entendu des gens dire « Eh bien, peut-être que dans deux semaines ça s’arrêtera ». C’est impossible que cela s’arrête parce que cela transforme le corps en usine de protéines synthétiques, jamais vues auparavant, qui peuvent théoriquement se retrouver dans la salive, l’urine, les excréments, la sueur, le liquide séminal, le sang, les flatulences peut-être.
Et donc, quand on est à proximité de quelqu’un, je pense que cela sort de son corps et affecte possiblement le système hormonal le plus délicat qui soit. Tomber enceinte et rester enceinte est un système extrêmement complexe et nous savons que cet anticorps de protéine de pointe réagit de manière croisée avec ce qu’on appelle la syncitine 1 et 2, et ce sont des protéines absolument essentielles pour le placenta, pour la fécondation, pour maintenir une grossesse. Nous voyons maintenant des femmes qui font une fausse couche, qui sont incapables de tomber enceintes, qui ont des saignements abondants. Nous ne savons pas pourquoi mais mon sentiment à ce sujet est que quelque chose est produit par le corps des personnes vaccinées.
Cela nuit peut-être aux autres et cela me préoccupe beaucoup.
[…]
Dr Larry Palevski : Merci Maureen et merci à tous pour votre participation. Je veux commencer par quelques déclarations assez audacieuses. Cela ne me ressemble pas du tout, n’est-ce pas Dr T? En tous cas…
Tout d’abord, ce n’est pas un vaccin.
Ce n’est pas un vaccin.
Ce n’est pas un vaccin.
Un vaccin est censé …
Dr Sherri Tenpenny : Merci, merci, merci, merci!
Dr Larry Palevski : Ce n’est pas un vaccin. Un vaccin est censé nous protéger contre une infection bactérienne ou virale. Il n’y a rien dans aucune des injections qui soit conçu pour nous protéger contre une infection virale.
Les autorités le disent, les brevets le décrivent, et tous ceux qui sont impliqués dans la réalisation de ces injections. Selon leur intention, elles n’ont jamais été faites pour nous protéger contre une infection virale. Sitôt que nous réalisons qu’elles ne sont pas ce qu’on prétend, nous nous rendons compte que tout le reste est un mensonge complet et absolu.
Ce n’est pas un vaccin. Il n’est pas conçu pour nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Par conséquent, il ne peut pas arrêter la transmission du virus SARS-CoV2 car ce qu’il y a dans l’injection ne vise pas à nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Maintenant, quand nous examinons la littérature de 2020 et que nous voyons que les gens souffraient de maladies du sang, de manque d’oxygène, d’hypoxie, de maladie pulmonaire, de maladie de la coagulation, d’accident vasculaire cérébral, d’hypertension, d’hypotension, de perte de goût, de perte d’odorat, de problèmes neurologiques, de coma, ce n’était pas une maladie virale. C’était la présentation clinique d’un empoisonnement du sang.
Et toute la littérature montre que la protéine de pointe de ce prétendu virus est responsable de tous ces symptômes : les problèmes cérébraux, les problèmes neurologiques, les maladies cardiaques, les facteurs de coagulation, la perte d’oxygène, la perte de goût, la perte d’odorat, hypertension, hypotension. Cette protéine de pointe était responsable de la maladie que nous avons vue.
Mesdames et Messieurs, cette protéine de pointe n’est pas une chose naturelle.
C’est une arme fabriquée par l’homme.
Ce n’est pas un virus.
Ça fait partie de, ou c’est attaché à un virus, ou attaché à qui sait quoi d’autre, qui a ouvert le bal des gens qui sont tombés malades. Cela n’a jamais été une maladie de type grippal. Ce n’était pas un genre de grippe. C’était carrément un empoisonnement du sang. Cette protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs dans tout le corps, le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, les intestins, le sperme et le système reproducteur féminin. On a donc découvert dans l’ensemble des symptômes naturels du Covid que cette protéine de pointe était responsable de ce qui rendait les gens malades.
Alors pourquoi, au nom de Dieu, sommes-nous d’accord pour nous faire injecter quelque chose dans le corps qui va nous amener tous à fabriquer des protéines de pointe? Précisément la partie de la prétendue arme qui provoquait la maladie et l’ensemble de symptômes.
Ce n’est pas un vaccin. Si le corps reçoit le matériel génétique pour fabriquer une protéine de pointe synthétique, nous n’avons absolument aucune idée de ce que fait le corps lorsque les instructions génétiques pénètrent dans les cellules et se mettent à fabriquer ces protéines de pointe. En fait, dans notre « Réflexion Critique avec le Dr T et le Dr P », le Dr Tenpenny a spécifiquement découvert la possibilité que d’autres brins d’ARNm soient présents dans certaines injections.
Quand on pose la question, « Y a-t-il quelque chose qui est excrété? », nous n’avons vraiment aucune idée de ce qu’il y a dans cette chose – ou ces choses. Nous pensons, nous pensons, nouspensons que c’est une protéine de pointe. Mais en fait nous n’en avons aucune idée. Mais nous nous basons sur le fait que la protéine de pointe est fabriquée dans l’usine, par les cellules du corps humain – et nous savons que peut-être si c’était notre propre ARN messager, à l’intérieur de nous, nous pourrions l’éteindre nous-mêmes. Mais nous n’avons aucune expérience de l’utilisation d’instructions génétiques injectées d’ARN messager synthétique pour nous permettre de savoir si notre corps va l’activer ou l’éteindre lorsque nous commençons l’usine de fabrication de la protéine de pointe. Et il n’y a donc aucune preuve, zéro preuve, aucune étude scientifique pour savoir si cette protéine de pointe s’allume et reste active. Ou s’éteint jamais. Et nous n’avons aucune preuve que le corps qui a reçu cette injection et fabrique la protéine de pointe les exhale en particules par les poumons, les recrache dans la salive, les évacue dans l’urine, les transpire à travers la peau ou les fait sortir par les gaz ou les selles.
Nous n’en avons aucune idée.
Mais ce que nous avons, c’est une massive et brillante propagande de génocide.
Parce qu’ils n’ont pas besoin d’injecter ça à tout le monde pour obtenir les résultats qu’ils recherchent. Parce que maintenant, nous voyons que ce sont les personnes qui ont reçu cette injection qui sont en fait les lépreux, sont en fait les parias, et font en fait que des personnes en bonne santé qui n’ont jamais reçu cette injection ont des symptômes du Covid : des saignements, qui faisaient partie de la maladie Covid elle-même, des fausses couches et des décès.
Ce n’est pas un vaccin. Arrêtez de l’appeler un vaccin. Comme l’a dit le Dr Madej, les nanoparticules lipidiques n’ont jamais été utilisées dans des injections auparavant. Elles sont capables de transmettre tout matériau auquel elles sont attachées dans le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, le foie, le sperme et le système reproducteur féminin.
Nous sommes dans la merde.
On joue à la roulette russe.
Nous n’avons aucune réponse sur ce qui est transmis, comment cela se transmet et nous devrions prendre les armes. C’est pourquoi j’ai dit que le génie était hors de la bouteille. Les femmes – en tant que seul homme sur ce panel et ayant travaillé avec des mères la plupart de ma vie – les femmes sont plus en phase avec ce qui se passe dans leur corps que quiconque. Désolé les gars. C’est comme ça.
Et c’est un génocide.
C’est une arme de destruction massive.
Et cela nous oblige à prendre la parole. Il y a un pédiatre de premier plan dans ce pays qui m’a critiqué. Et en fait, il a nié qu’il y ait une excrétion virale après cette injection. Mesdames et Messieurs, ce n’est que conjecture. Il y a quelque chose qui passe depuis les gens à qui on a injecté ce poison vers d’autres qui n’ont pas reçu l’injection. Nous devrions mettre en quarantaine les personnes à qui on a injecté ce poison. Et les enfants qui ne faisaient pas partie du cycle initial d’empoisonnement aux protéines de pointe, probablement parce que – et je ne le sais pas avec certitude – leurs récepteurs ACE2 n’étaient probablement pas assez importants et pas assez omniprésents pour s’attacher à la protéine de pointe. Leur risque de maladie est donc mineur.
Le tout pour une maladie militarisée qui a un taux de récupération supérieur à 99,7% dans le grand public et pour une maladie pour laquelle nous avons des médicaments, des interventions nutritionnelles et des interventions médicales : ozone, oxygénation hyperbare, iode, peroxyde d’hydrogène, médecine chinoise, homéopathie, stéroïdes inhalés et d’autres interventions qui ont non seulement empêché cette maladie de se produire, mais ont également guéri des personnes malades et ont en fait empêché la mort dans de grandes populations où les médecins ont pu se rendre auprès de leurs patients, les traiter et faire de la médecine préventive à temps.
C’est grave. Je ne mâche pas mes mots – Dr T, vous savez que je ne mâche pas mes mots. Nous ne savons pas ce qui se passe et je sais que vous voudriez entendre quelque chose de gentil. Je pense vraiment que nous devrions exiger que les personnes qui ont reçu cette injection soient mises en quarantaine et portent un badge sur le bras indiquant qu’ils ont été vaccinés, même si ce n’est pas un vaccin, afin que nous puissions les éviter, eux, dans la rue.
Ne nous approchons jamais d’eux en société.
Transcription originale partielle
URGENT! Five Doctors Agree that COVID-19 Injections are Bioweapons and Discuss What to do About It
[…]
Dr Christiane Northrup : Thank you.
So I’m introducing myself : first I’m a board certified OBGYN physician, went to Dartmouth Medical School, did my residency at Tufts New England Medical Center in Boston. I was a clinical Assistant Professor of OBGYN for 25 years at the University of Vermont College of Medicine, I’m the author of 3 New York Times bestsellers including this Bible of women’s health called « Women’s bodies women’s wisdom » loaded with peer reviewed literature and my experience on the front lines of mind-body medicine when it comes to women. For many many years I was on the Oprah Winfrey show 10 times, I did just 8 highly successful public television specials which raised millions of dollars for public television.
In 2013 I was one of the Reader’s Digest 100 most trusted people in America and now in 2021 I am one of the 12 Disinformation Dozen along with Sherri, those of us accused of 70 percent of the disinformation about vaccines on the internet which is an astounding fall from grace until you understand who is determining what grace is.
Having studied the menstrual cycle, our connection with creativity, our connection with the moon I am rather horrified at what’s been going on around this. I already knew – this is a report here – from Lifesite News, thousands of reports of menstrual irregularities and reproductive dysfunction following Covid vaccine. So the media is focused on blood clots but then we had suddenly all of these women – and a friend of mine today literally sent me a picture of what came out of her body. She is a woman in her thirties. Entire decidual casts, they’re called, meaning that the entire inside of the uterus just slops off – decidua meaning like deciduous trees that shed their leaves.
The menstrual cycle is one of the indices of health so we know that a regular menstrual cycle – it’s every 25 to 30 days – is considered one of the ways that we determine a woman’s health. And when suddenly you have thousands of people all over the world, many of whom have not been vaccinated but have been around those who have, we begin to wonder. Now we already know that polysorbate 80 which is included in these shots can adversely affect ovarian function and shuts down ovary function in rats.
We also know that many many women have become infertile as a result of the Gardasil vaccine which I spoke out about in 2006 on the Oprah Winfrey show. There are things called pheromones that are secreted by the apocrine sweat glands in the pubic area and under the armpits. Those regulate women’s menstrual cycles. The pheromones are why, we think, women have periods at the same time when they’re all living together in close proximity.
There are so many things that affect the menstrual cycle but the reports that we are getting are not only the swelling of the genitals. Erctile dysfunction in males, scrotum swelling, problems of this nature, breast irregularities, all of that. This is from the the Yellow Card voluntary program in England. But we don’t have any database right at this very moment, a formal database, for these abnormalities that are occurring when you’re simply someone who’s had this shot.
So my feeling on this is that there’s some kind of a bioweapon.
Some kind of a bioweapon that the body is now secreting – transmitting as it were, as you said Sherri – from somebody who’s had the shot because here’s what we know.
This is not a normal immunization.
It is in fact something that causes the body to make a synthetic protein against a SARS-CoV2 spike protein. It is a synthetic protein that’s never been seen and the body begins to produce this as a factory. It doesn’t shut off. I’ve had people say « Well, you know, maybe in 2 weeks that will stop ». There is no way this is going to stop because it’s made your body into a factory for synthetic protein that’s never been seen before that theoretically can be in your saliva, urine, feces, sweat, seminal fluid, blood, flatus maybe.
And so when you’re around a person – I think this is coming out of their bodies and possibly adversely affecting the most delicate hormonal system. I mean, to get pregnant and stay pregnant is an enormously complex system and we know that that spike protein antibody cross reacts with what’s called syncitine 1 and 2, and those are proteins absolutely essential for the placenta, for fertilization, for maintaining a pregnancy. We now have women who are miscarrying, they are unable to get pregnant, they’re having heavy bleeding. We don’t know why but my feeling about this is that something is being produced by the body of a vaccinated person.
That is possibly adversely affecting others and it is a great concern to me.
[…]
Dr Larry Palevski : Thank you Maureen and thank you everyone for your participation. I want to start with some pretty bold statements. That’s very unlike me, right Dr T? Anyway…
Dr Larry Palevski : This is not a vaccine. A vaccine is supposed to protect us against a bacterial or viral infection. There is nothing in any of the shots that is designed to protect us against a virus infection.
The authorities say it, the patents describe it, everyone who is involved in the making of these injections. With their intention it was never ever made to protect us against a viral infection. As soon as we start to realize that that is not what this is, we realize that everything after that is a complete and utter lie.
So this is not a vaccine. It is not designed to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Therefore it cannot stop the transmission of the SARS-CoV2 virus because what’s in the shot is not meant to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Now when we look at the literature from 2020 and we see that people were getting illnesses of blood disorders, lack of oxygen, hypoxia, lung disease, clotting disease, strokes, hypertension, hypotension, loss of taste, loss of smell, neurological issues, comatose. This was not a viral illness. This was the clinical presentation of a poisoning of the blood.
And all of the literature shows that the spike protein of this so-called virus was responsible for causing all of these symptoms : the brain problems, the neurological problems, heart disease, clotting factors, loss of oxygen, loss of taste, loss of smell, hypertension, hypotension. This spike protein was responsible for causing the disease that we saw.
Ladies and gentlemen, this spike protein is not a naturally-occurring thing.
It is a man-made weapon.
It is not a virus.
This is part to, or maybe attached to a virus and attached to who knows what else that started the ball rolling with people getting sick. This was never an influenza-like disease. It was never a flu-like illness. It was straight-up a poisoning of the blood. This spike protein could attach to receptors all over the body, the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the intestines, the sperm and the female reproductive system. So they found in the naturally occurring Covid set of symptoms this spike protein was responsible for what made people sick.
So why in God’s name are we okay with injecting something into the body that’s going to cause all of us to make spike protein? The very part of the so-called weapon that was creating the illness and the group of symptoms in the first place.
This is not a vaccine. Now if your body is being given the genetic material to make a synthetic spike protein, we have absolutely no idea what the body does when the genetic instructions get into the cells and start making spike protein. In fact in our critically thinking with Dr T and Dr P, Dr Tenpenny has specifically found the possibility that there are other pieces of the mRNA that may be in some of the shots.
So when people say « Is something shedding? », we really don’t have any idea what’s in this thing – or these things. We think, we think, we think it’s spike protein. But we generally have no idea. But if we go on the fact that spike protein is being manufactured in the factory by the cells of the human body and that we know that maybe if our own messenger RNA within ourselves we would turn it off ourselves. But we have no experience using an injected synthetic messenger RNA genetic instructions as to whether or not our bodies are going to turn that on or turn it off as we start the factory of making the spike protein. And so there is no evidence, zero evidence, no scientific studies as to whether or not that spike protein turns on and stays on. Or ever turns off. And we have no evidence if that body who’s getting injected is making the spike protein is exhaling in particles through the lungs, spitting it out through saliva, urinating it out through urine, sweating it out through skin or putting it out through gas or stool.
We have no idea.
But what we have is a massive brilliant propaganda of genocide.
Because they don’t have to inject everyone to get the results that they’re looking for. Because now we see that those people who are getting injected are actually the lepers, are actually the pariahs, and are actually making healthy people who have never been injected get Covid symptoms : bleeding, which was part of the Covid illness itself, miscarriages and deaths.
This is not a vaccine. Please stop calling it a vaccine. As Dr Madej said, the lipid nanoparticles have never been used in injections before. They are capable of passing any material that it’s attached to into the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the liver, the sperm and the female reproductive system.
We are in a crapchute.
This is Russian roulette.
We have no answers about what is being transmitted, how it’s being transmitted and we should be up in arms. That’s why I said the genie is out of the bottle. Women – as the only guy on this panel and working with mothers most of my life – women are more in touch with what’s going on with their bodies than anybody else. Sorry guys. They are.
And this is genocide.
This is a weapon of mass destruction.
And it is requiring us to speak up. There is a prominent pediatrician in this country who has called me out. And actually denied that there’s any shedding in this injection. Ladies and gentlemen that is conjecture only. There is something being passed from people who are shot up with these poison to others who have not gotten the shot. We should be quarantining those people who are injected with this poison. And the children who were not part of the initial round of spike protein poisoning probably because – and I don’t know this for sure – their ACE2 receptors were probably not as prominent and not as ubiquitous to have been attaching to the spike protein. So their sense of illness was actually minor.
All for a condition of weaponization that have greater than a 99.7 percent recovery rate in the general public and in a condition where we had drugs, nutritional interventions and medical interventions : ozone, hyperbarics, iodine, hydrogen peroxide, Chinese medicine, homeopathy, inhaled steroids and other interventions that not only prevented this illness from happening but treated people who were sick and actually prevented death in large populations where doctors were able to get to their patients and treat them and prevent them in time.
This is serious. I’m not mincing words – Dr T you know I don’t mince words. We don’t know what’s going on and I know you want something nice. I really think we should start calling for people who are getting the shot to be quarantined and have a badge on their arms that say I’ve been vaccinated, even though it’s not a vaccine, so that we know to avoid them on the street.
La première expose un nouveau problème qui, s’il se confirme, semble particulièrement grave et urgent : sur base de milliers de témoignages, il y aurait un risque de transmission de quelque chose depuis des gens qui ont reçu les injections géniques (« vaccins ») Covid vers des personnes « non-vaccinées« . A ce stade, personne ne comprend encore comment. Une hypothèse avancée ici est que ça pourrait être par voie aérienne. Les femmes sont particulièrement touchées. Les symptômes vont de la dysménorrhée (perturbation des règles, parfois très sévères avec d’importantes pertes de tissu utérin, et reprise des règles chez des femmes ménopausées) à la fausse couche. Les hommes et les enfants sont également touchés et montrent des troubles sanguins. Il y aurait aussi des décès.
C’est une vidéoconférence entre cinq médecins assez connus comme lanceurs d’alerte par rapport à ces injections. J’avais déja traduit et publié une vidéo du Dr Lee Meritt ici et un article du Dr Sherri Tenpenny ici. Si les faits sont avérés et le lien de causalité établi, leurs prévisions sembleraient se réaliser, ainsi que celle du Dr Yeadon (également ici), qui avait attiré très tôt l’attention sur le risque de stérilité lié à la réaction à la syncitine induite par les injections.
Les deux passages qui me semblent essentiels dans cette vidéo sont les interventions du Dr Christiane Northrup et du Dr Larry Palevski.
La deuxième source est un un écrit. C’est un gros boulot de compilation et d’analyse des statistiques d’effets secondaires de ces mêmes injections, mis à jour le 1er avril. L’auteur est un lecteur de Miles Mathis, qui le relaye sur son site, lien ici.
Vous pouvez aussi le télécharger directement ci-dessous.
Des médecins et des scientifiques écrivent à l’Agence Européenne des Médicaments pour mettre en garde contre les dangers du vaccin COVID-19 une troisième fois
Avant le vote du certificat vert européen (passeport vaccinal) au Parlement européen le 28 avril, les experts avertissent que les symptômes cardinaux de la thrombose du sinus veineux cérébral (TVC) dominent la liste des effets indésirables des vaccins COVID-19
À l’attention personnelle urgente d’Emer Cooke, directeur exécutif de l’Agence Européenne des Médicaments
Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas, 20 avril 2021
PAR EMAIL UNIQUEMENT
Chers Messieurs / Mesdames,
À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE D’EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS
L’Agence Européenne des Médicaments et les personnes qui travaillent pour cet organisme de contrôle, dont vous êtes le directeur exécutif, ont été mises en demeure par Doctors for Covid Ethics le 1er avril 2021.
Nous notons vos itérations à la presse depuis cette date.
Nos préoccupations concernant les vaccins génétiques ne se limitent pas à celle d’Astra-Zeneca, mais à tous les vaccins génétiques COVID-19, à savoir ceux d’Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.
1a. Notre préoccupation la plus sérieuse concernant TOUS les vaccins géniques est que vous donnez l’impression que la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) est un événement indésirable très rare. En fait, le contraire est probablement vrai. Les symptômes cardinaux de CVST dominent la liste des effets indésirables:
maux de tête intenses
nausée et vomissements
altération de la conscience
troubles de la parole
troubles de la vision
une déficience auditive
paralysie à des degrés divers à divers endroits
perte de contrôle moteur (y compris une perte si grave que les victimes présentent des symptômes identiques de la chorée de Huntington).
Il est impératif qu’une attention médicale appropriée soit accordée à chaque personne qui présente l’un des symptômes ci-dessus.
Il incombe à l’Agence Européenne des Médicaments de diffuser les informations ci-dessus aux médecins et aux autorités responsables.
1b. Une autre préoccupation sérieuse est que vous n’avez pas du tout fait allusion à la formation de «caillots» périphériques.
Il est évident que la formation de «caillots» dans les veines profondes des jambes et des bras peut entraîner une embolie pulmonaire potentiellement mortelle.
1c. En outre, la formation de thrombus dans les petits vaisseaux des poumons peut conduire à un tableau clinique ressemblant à une pneumonie atypique.
1d. En outre, il est d’une importance vitale de comprendre que l’un quelconque des 1a. 1b. 1c. ou toute combinaison de ceux-ci peut conduire via atteinte tuberculinique [NdT. « consumption » en anglais, autre appellation de la tuberculose] de facteurs de coagulation au tableau clinique de la coagulation intravasculaire disséminée (CID) qui est en fait caractérisée par des événements hémorragiques massifs dans la peau et dans d’autres organes du corps.
Il est impératif que tous les diagnostics ci-dessus soient activement recherchés et que tous les cas présentant des symptômes compatibles avec l’un de ces diagnostics soient correctement enregistrés en tant qu’événements indésirables liés au vaccin.
1e. En outre, les effets indésirables à long terme, en particulier le danger de facilitation de l’infection par les anticorps de la maladie et les effets indésirables des vaccinations ultérieures sont impossibles à prédire.
L’Agence Européenne des Médicaments, en tant que régulateur des vaccins pour près de 450 millions de personnes dans 27 États membres de l’Union Européenne, doit informer le public et les autorités compétentes de cette question extrêmement importante.
2. Nous pensons que le nombre de décès dus aux vaccins génétiques que vous avez admis publiquement ne représente qu’un petit pourcentage du nombre réel de décès dus aux vaccins géniques.
3. En ce qui concerne 2. nous soupçonnons que les certificats de décès sont falsifiés, volontairement ou involontairement, en particulier lorsque
4. les autopsies ne sont pas effectuées et
5. lorsque les «lois» entourant la crémation (qui constitue une destruction de preuves dans le contexte actuel de la commission de grands crimes) ont été dangereusement assouplies (3. 4. et 5. selon la loi sur le coronavirus 2020 et la législation équivalente dans le monde) et
6. en particulier au vu du silence assourdissant des 3. 4. et 5. des coroners et des pathologistes du monde entier.
Vous comprendrez que ce cocktail potentiellement mortel est de la plus haute importance, notamment au vu des nombreuses mesures coercitives graves employées sur les populations psychologiquement traumatisées dans le monde pour prendre des vaccins géniques qui ne sont pas sûrs, qui ne sont pas efficaces et qui ne sont pas nécessaires.
Nous vous avons déjà signalé de multiples violations flagrantes du Code de Nuremberg concernant l’expérimentation médicale humaine.
Dans ce contexte, nous vous demandons de divulguer toutes les données que vous détenez et/ou pourriez obtenir sur:
1) les effets des vaccins géniques sur la fertilité chez les femmes en âge de procréer et chez les hommes
2) le nombre d’incinérations effectuées depuis le 8 décembre 2020 inclus et le nombre d’inhumations depuis le 8 décembre 2020 inclus de ceux enregistrés comme décédés du COVID-19 sur leurs certificats de décès, pas nécessairement dans l’Union européenne
3) la justification médicale de l’intervalle entre les deux injections de Pfizer étant porté, avec un délai d’annonce très court, de 3 semaines à 12 semaines, malgré les protestations de Pfizer selon lesquelles ils ne possédaient des données que pour un intervalle de trois semaines
4) la justification médicale du «mélange et appariement» de différents vaccins géniques et
5) la justification médicale pour priver les receveurs de vaccins géniques, dans au moins un État membre de l’Union européenne, de savoir quel vaccin génique ils ont reçu.
Dans l’attente de vous lire.
Nous nous réservons le droit de publier cette communication par e-mail à tout moment.
Cet e-mail est copié à l’avocat Reiner Fuellmich et à d’autres avocats, à Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe, à Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne, et à cinq membres de votre personnel.
Recevez nos salutations distinguées,
Doctors for Covid Ethics
Doctors and Scientists Write to the European Medicines Agency, Warning of COVID-19 Vaccine Dangers for a Third Time
Ahead of European Green Certificate (vaccine passport) vote in the European Parliament on April 28, the experts warn that cardinal symptoms of cerebral venous sinus thrombosis (CVST) dominate the list of adverse reactions to COVID-19 vaccines
For the urgent personal attention of Emer Cooke, Executive Director of the European Medicines Agency
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands, 20 April 2021
BY EMAIL ONLY
Dear Sirs/Mesdames,
FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY
The European Medicines Agency and those persons who work for that regulatory body, of which body you are Executive Director, were put on notice by Doctors for Covid Ethics on 1 April 2021.
We note your iterations to the press since that date.
Our concerns re the gene-based vaccines are not confined to that of Astra-Zeneca, rather to all the COVID-19 gene-based vaccines, namely those of Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna and Johnson & Johnson.
1a. Our most serious concern re ALL the gene-based vaccines is that you convey the impression that cerebral venous sinus thrombosis (CVST) is a very rare adverse event. In fact the opposite is probably true. The cardinal symptoms of CVST dominate the list of adverse reactions:
piercing headache
nausea and vomiting
impaired consciousness
impaired speech
impaired vision
impaired hearing
paralysis of varying degrees in various locations
loss of motor control (including such severe loss that victims mimic the symptoms of Huntington’s Chorea).
It is imperative that proper medical attention is given to every individual who presents with any of the above symptoms.
It is the indirigible duty of the European Medicines Agency to disseminate the above information to medical doctors and responsible authorities.
1b. A further serious concern is that peripheral “clot” formation is not alluded to by you at all.
It is evident that “clot” formation in the deep veins of the legs and arms can lead to life-threatening pulmonary embolism.
1c. Further, thrombus formation in the small vessels of the lungs can lead to a clinical picture resembling atypical pneumonia.
1d. In addition, it is vitally important to understand that any one of 1a. 1b. 1c. or any combination of these can lead via consumption of coagulation factors to the clinical picture of disseminated intravascular coagulation (DIC) which is actually characterised by massive bleeding events into the skin and into other organs of the body.
It is imperative that all the above diagnoses are actively searched for and that all cases displaying symptoms consistent with any of these diagnoses are recorded properly as adverse vaccine-related events.
1e. Furthermore, long term adverse effects, in particular the danger of immune dependant enhancement of disease and adverse effects of subsequent vaccinations are impossible to predict.
The European Medicines Agency, as the regulator re vaccines for almost 450 million people across 27 European Union member states, must inform the public and the relevant authorities of this profoundly important issue.
2. We believe that the number of deaths due to the gene-based vaccines to which you have publicly admitted is but a small percentage of the actual number of deaths due to the gene-based vaccines.
3. With regard to 2. we suspect that death certificates are being falsified, whether wittingly or unwittingly, particularly when
4. post-mortems are not being performed and
5. when the “laws” surrounding cremation (which constitutes destruction of evidence in the present context of the commission of great crimes) have been dangerously relaxed (3. 4. and 5. as per the Coronavirus Act 2020 and equivalent legislation worldwide) and
6. particularly in view of the deafening silence re 3. 4. and 5. from coroners and pathologists worldwide.
You will understand that this potentially lethal cocktail is of the highest importance, particularly in view of the numerous serious coercive measures being employed on psychologically traumatised populations worldwide to take gene-based vaccines which are not safe, which are not effective and which are not needed.
We have previously made you aware of multiple gross violations of the Nuremberg Code re human medical experimentation.
With this background, we ask that you disclose all data which you hold and/or could obtain on:
1) the effects of the gene-based vaccines on fertility in women of child bearing age, and in men
2) the number of cremations performed since and including 8 December 2020 and the number of burials since and including 8 December 2020 of those recorded as having died from COVID-19 on their death certificates, not necessarily in the European Union
3) the medical justification for the interval between the two Pfizer injections being increased at short notice from 3 weeks to 12 weeks, despite protests from Pfizer that they only possessed data for a three week interval
4) the medical justification for “mixing and matching” of different gene-based vaccines and
5) the medical justification for depriving recipients of the gene-based vaccines, in at least one European Union member state, of knowledge of which gene-based vaccine they have received.
We look forward to hearing from you.
We reserve the right to publish this email communication at any time.
This email is copied to the lawyer Reiner Fuellmich and other lawyers, to Charles Michel, President of the Council of Europe, to Ursula von der Leyen, President of the European Commission, and to five members of your staff.
Lettre de réfutation adressée à l’Agence Européenne des Médicaments par Doctors for Covid Ethics, 1er avril 2021.
Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification en ligne (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication).
Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas
1er avril 2021
Mesdames et Messieurs,
À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE: EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS
Nous accusons réception de votre réponse du 23 mars à notre lettre datée du 28 février, demandant l’assurance que les risques prévisibles de «vaccins» géniques COVID-19 avaient été écartés dans les essais sur les animaux avant l’utilisation chez l’homme. Nos préoccupations découlent de plusieurs sources de preuves, notamment que la «protéine de pointe» du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’amarrage passive, mais que sa production est susceptible de déclencher la coagulation sanguine via de multiples mécanismes.
Malheureusement, votre réponse du 23 mars n’est ni convaincante ni acceptable. Nous sommes consternés que vous choisissiez de répondre à notre demande d’informations d’une importance cruciale de manière dédaigneuse et non-scientifique. Une telle approche cavalière de la sécurité des vaccins crée l’impression fâcheuse que l’EMA sert les intérêts des sociétés pharmaceutiques-mêmes dont il est de votre devoir d’évaluer les produits. Les preuves montrent clairement qu’il existe des risques d’événements indésirables graves et qu’un certain nombre de personnes, non exposées au risque de SRAS-CoV-2, sont décédées après la vaccination.
Vous admettez que les «vaccins», qui sont plus précisément décrits comme des agents géniques expérimentaux, pénètrent dans la circulation sanguine, mais vous ne pouvez évidemment pas fournir de données quantitatives. En l’absence de ces dernières, toute évaluation scientifique que vous prétendez avoir entreprise manque de fondement.
Votre déclaration selon laquelle les études non cliniques n’indiquent aucune absorption détectable des vaccins dans les cellules endothéliales manque de crédibilité. Nous exigeons de voir les preuves scientifiques. Si elles ne sont pas disponibles, il faut supposer que les cellules endothéliales sont ciblées.
L’auto-attaque n’aurait pas pu être exclue chez les animaux à moins qu’ils n’aient été préalablement immunologiquement amorcés. Nous exigeons des preuves que de telles expériences ont été réalisées. Des expériences similaires ont déjà été entreprises avec des vaccins candidats antérieurs, infructueux, et une facilitation de l’infection par les anticorps [NdT. voir sur Wikipedia], fatale, de la maladie a été observée.
Nous avons demandé des preuves scientifiques, et non une description vague de ce qui aurait été observé lors d’expériences animales non valides. Votre mention superficielle des résultats de laboratoire chez les humains est cynique. Compte tenu du lien plausible entre la production de protéines de pointe et l’émergence d’événements indésirables graves (EIG) thromboemboliques, nous exigeons de voir les résultats des déterminations des D-dimères. Comme vous le savez, le D-dimère est un très bon test pour diagnostiquer la thrombose.
Après délivrance de notre lettre le 1er mars, des événements ont suivi qui ont démenti votre réponse à nos trois dernières questions dans une mesure que l’on ne peut que qualifier d’embarrassante. Comme nous le craignions, des coagulopathies sévères et mortelles sont survenues chez de jeunes individus après «vaccination», conduisant 15 pays à suspendre leur programme de «vaccination» AZ. Une enquête officielle de l’EMA sur les cas d’individus plus jeunes affligés a suivi, dont les résultats ont été annoncés par l’OMS le 17 mars 2021, déclarant: «Pour le moment, l’OMS considère que les bénéfices du vaccin AstraZeneca l’emportent sur ses risques et recommande que les vaccinations se poursuivent. »
Sur quoi cette décision était-elle fondée? L’OMS n’est pas un organisme compétent pour évaluer formellement la sécurité des médicaments. C’est explicitement le rôle de l’agence que vous dirigez.
Dans votre communiqué de presse, vous avez divulgué les informations suivantes pour étayer votre conclusion. Vous aviez examiné les données sur deux conditions mortellement dangereuses qui s’étaient produites dans les 14 jours suivant la «vaccination»: CIVD, coagulation intravasculaire disséminée; et TVC, thrombose veineuse des sinus cérébraux [NdT. voir Wikipedia]. 5 CIVD et 18 TVC étaient enregistrés, avec un nombre total de décès de 9. La plupart des cas étaient des personnes âgées de moins de 55 ans. 5 CIVD et 12 TVC avaient moins de 50 ans. Aucun n’a été signalé comme ayant eu une maladie préexistante grave.
Par conséquent, pour ces conditions très rares, un lien avec la vaccination ne pouvait pas être entièrement écarté. Cependant, étant donné que 20 millions d’individus avaient été «vaccinés», les avantages étaient considérés comme largement supérieurs aux risques.
Mais en fait, votre communiqué de presse a montré de façon flagrante que le «vaccin» AZ a le potentiel de déclencher la coagulation intravasculaire, que les risques réels l’emportent largement sur les avantages théoriques, et que toute autorité ayant le moindre sens des responsabilités doit en suspendre l’usage ultérieur.
Concernant vos chiffres d’incidence pour les personnes de moins de 50 ans dans la population «vaccinée» par rapport à la population «normale»:
TVC: 12 contre 1,3.
Une multiplication par 9 est au-delà de la plage de coïncidence.
CIVD: 5 contre <1.
Comme nous espérons que vous le savez, le CIVD ne se produit jamais à l’improviste chez les individus en bonne santé. L’incidence ne doit pas être déclarée <1 alors qu’en réalité elle est nulle.
PAR CONSÉQUENT, LES CAS CIVD REPRÉSENTENT UNE PREUVE CONCLUANTE QUE LE VACCIN AZ SEUL PEUT DÉCLENCHER LA COAGULATION INTRAVASCULAIRE.
Supposons que 10 millions de receveurs du «vaccin» avaient moins de 60 ans et que cela a été suivi de 9 décès dus aux CIVD et TVC. Le nombre de morts sur 60 millions de «vaccinations» serait extrapolable à 54.
La pandémie a frappé environ 60 millions de personnes de moins de 60 ans en Allemagne.
En raison du manque de fiabilité des tests PCR et de la manière totalement nouvelle de déterminer les décès « avec covid19 », la valeur de 52 est une surestimation du bilan réel de la maladie, ce qui affaiblit encore davantage votre affirmation déjà inadéquate sur le rapport bénéfice-risque.
Comment pouvez-vous alors déclarer que les avantages de la vaccination l’emportent largement sur les risques? Nous exigeons votre réponse étayée par des faits et des chiffres que nous communiquerons au public.
D’autres considérations montrent l’ampleur vraiment effrayante de votre affirmation irresponsable.
La TVC, thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition potentiellement mortelle qui nécessite une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez admis s’être produits ne peut représenter que la pointe d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants du TVC sont des maux de tête intenses, une vision trouble, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un AVC surviennent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement corporel, une faiblesse, une diminution de la vigilance et une perte de contrôle moteur.
Vous n’êtes certainement pas inconscient du fait que d’innombrables personnes ont souffert précisément de tels symptômes directement après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.
La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez sûrement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été rapportées à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux
Les microthromboses dans le système vasculaire pulmonaire peuvent conduire à un diagnostic erroné de pneumonie. En combinaison avec une PCR faussement positive (avec des seuils de cycle élevés), ceux-ci seront alors enregistrés comme cas COVID-19. Vous devez sûrement savoir que ce scénario s’est probablement reproduit à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.
Dans tous les cas, la formation étendue de thrombus peut conduire à l’atteinte tuberculinique [NdT. « consumption » est une autre appellation de la tuberculose] de plaquettes et de facteurs de coagulation, entraînant une diathèse hémorragique et des saignements à tous les endroits possibles. Vous devez sûrement savoir que des saignements cutanés abondants ont été observés à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.
Étant donné qu’il existe une explication mécanistiquement plausible à ces effets indésirables thromboemboliques (EIT), à savoir que les produits géniques incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine de pointe potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe [NdT. un effet médicamenteux produit par tous les membres d’un groupe de médicaments chimiquement apparentés et pas seulement par un seul médicament de cette classe]. En d’autres termes, les dangers doivent être exclus pour tous les vaccins géniques autorisés d’urgence, et pas seulement pour le produit AZ.
Nous vous exhortons à adopter cette position à moins et jusqu’à ce qu’il y ait des données offrant une confiance clinique élevée à l’effet contraire. Nous sommes tout à fait disposés à collaborer avec l’Agence afin de contribuer à l’élaboration d’un plan de pharmacovigilance ciblé pour atteindre cet objectif. Compte tenu de ce qui précède, nous espérons que vous savez que tous les événements thrombotiques peuvent être rapidement diagnostiqués par la mesure des D-Dimères dans le sang. Et cette bonne pratique médicale exige impérativement que des tentatives soient entreprises pour diagnostiquer le TVC chez tout patient, jeune ou vieux, présentant les signes et symptômes typiques après «vaccination».
Compte tenu du potentiel d’effets indésirables, potentiellement mortels, il est tout à fait inapproprié et inacceptable que l’EMA autorise ces produits, qui ne détiennent que des autorisations d’utilisation d’urgence, à être administrés à des personnes plus jeunes (<60 ans) en bonne santé, car elles présentent des risques non-mesurables de SARS-CoV-2.
Ne pas rendre cela explicite est, à notre avis, une imprudence commise initialement et doublement maintenant.
Tout aussi important, vous êtes tenu par le devoir de rechercher s’il existe des raisons pour les vagues de décès survenus à la suite de la «vaccination» des résidents âgés dans les établissements de soins et les maisons de retraite. Ou affirmez-vous que les dangers des événements thrombotiques dérivés du «vaccin» sont limités aux personnes plus jeunes? Sinon, restreindre leur utilisation à un seul groupe d’âge – comme décidé en Allemagne – équivaut à rien de moins qu’un génocide monstrueux et toléré de l’autre.
Pour terminer, le fait de ne pas informer les bénéficiaires de «vaccins» des risques et des avantages négligeables décrits ici représente de graves violations de l’éthique médicale et des droits médicaux des citoyens. Ces violations sont particulièrement graves car tous les risques que nous décrivons devraient augmenter à chaque revaccination et à chaque exposition intermédiaire au coronavirus. Cela rend à la fois la vaccination répétée et les coronavirus communs dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels – en l’absence de «vaccination» – le COVID-19 ne pose aucun risque substantiel.
Telle est la véritable analyse risque-bénéfice des «vaccins» COVID-19. Soit l’EMA n’a pas l’expertise en la matière pour apprécier la science moléculaire de cette réalité, soit elle n’a pas l’éthique médicale pour agir en conséquence.
Au mieux, nous considérons que la position de complaisance de l’EMA sur les dangers des vaccins est symptomatique du fait que, dans le cadre de la réponse politico-médicale dominante au COVID-19, l’éthique médicale est passée du cabinet de consultation à un stade géopolitique. Face à un problème médical, l’intervention médicale de masse a vu la pratique de la médecine être prise des mains des médecins. Dans ce contexte politisé, les acteurs corporatifs et politiques peuvent se considérer comme libres de contraintes éthiques, opérant sans lien avec un code d’éthique médicale, contrairement aux médecins. Cependant, tous les acteurs sont liés par le Code de Nuremberg.
Tromper les populations pour qu’elles acceptent des agents de recherche tels que les «vaccins» géniques COVID-19, ou les contraindre par des «passeports vaccinaux», constitue des violations manifestes et flagrantes du Code de Nuremberg. Le Code de Nuremberg impose le consentement éclairé volontaire «sans intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie [ou] de contrainte». https://history.nih.gov/display/history/Nuremberg+Code
En d’autres termes, les citoyens ont le droit, en vertu du Code de Nuremberg et des protections connexes, de ne pas être involontairement soumis à des expériences médicales. Il est clair que ces agents expérimentaux doivent être CONTRE-INDIQUÉS chez les personnes ne présentant pas un risque élevé de maladie grave et de décès en cas d’infection par le SRAS-CoV-2. En outre, l’utilisation des agents expérimentaux doit également être suspendue dans la population âgée jusqu’à ce qu’une évaluation risque-bénéfice ait été correctement conduite. Dans tous les cas, l’étiquette du vaccin doit être révisée pour refléter les événements indésirables graves récemment apparus et abordés ici.
Compte tenu des centaines de millions et éventuellement des milliards de personnes qui pourraient être contraintes d’accepter ces agents, l’EMA, en s’éloignant constamment du débat public et de la vérité, sera considérée par les avocats et les historiens comme ayant activement contribué à des crimes contre l’Humanité, avec le tout le poids des implications pour toutes les parties impliquées. Nous exigeons que vous vous engagiez ouvertement avec nous pour veiller à ce que le public ait une compréhension objective du profil de risque clinique de ces interventions génétiques.
Vous comprenez que des pressions coercitives sont exercées sur les citoyens pour qu’ils reçoivent les vaccins COVID-19, qui sont des traitements médicaux expérimentaux. Votre responsabilité envers ces citoyens inclut de veiller à ce qu’ils soient informés des risques d’événements indésirables liés à chacun de ces traitements. À ce jour, vous ne l’avez pas fait et vous avez plutôt induit le public en erreur sur la réalité du profil risque-bénéfice des «vaccins».
Si vous continuez à cacher la vérité, des efforts seront faits pour la mettre en lumière et pour que justice soit faite. Pour le bien des blessés et des morts, et pour protéger d’autres vies contre des destins similaires.
REMARQUE
Pour éviter toute ambiguïté, si votre organisme de réglementation ne suspend pas immédiatement sa recommandation «d’urgence» de «vaccins» génétiques insuffisamment testés potentiellement dangereux, tandis que les questions que nous vous avons mises en évidence sont correctement examinées, nous mettons en demeure par la présente l’Agence Européenne des Médicaments de sa complicité à une expérimentation médicale, en violation du Code de Nuremberg, qui constitue ainsi la commission de crimes contre l’Humanité
En outre, il est de votre devoir indirigé en tant qu’organisme de réglementation de veiller à ce que tous les médecins du monde entier soient informés qu’ils participent à des expérimentations médicales via des programmes de «vaccination», que ce soit volontairement ou non, avec toutes les obligations légales et éthiques que cette implication entraîne.
Copie de cet e-mail est envoyé à l’avocat Reiner Fuellmich. Il est également copié à Charles Michel, président du Conseil de l’Europe, et à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission Européenne.
Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer les lettres ouvertes en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification sur le Web (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication ).
Texte original
Rebuttal letter to European Medicines Agency from Doctors for Covid Ethics, April 1, 2021
Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letter by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands
April 1st, 2021
Ladies and Gentlemen,
FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF: EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY
We acknowledge receipt of your March 23 reply to our letter dated February 28, seeking reassurance that foreseeable risks of gene-based COVID-19 “vaccines” had been ruled out in animal trials prior to human use. Our concerns arise from multiple lines of evidence, including that the SARS-CoV-2 “spike protein” is not a passive docking protein, but its production is likely to initiate blood coagulation via multiple mechanisms.
Regrettably, your reply of March 23 is unconvincing and unacceptable. We are dismayed that you choose to respond to our request for crucially important information in a dismissive and unscientific manner. Such a cavalier approach to vaccine safety creates the unwelcome impression that the EMA is serving the interests of the very pharmaceutical companies whose products it is your pledged duty to evaluate. The evidence is clear that there are some serious adverse event risks & that a number of people, not at risk from SARS-CoV-2, have died following vaccination.
1. You concede that the “vaccines”, which are more accurately described as investigational gene-based agents, enter the bloodstream but you can obviously provide no quantitative data. In the absence of the latter, any scientific assessment you purport to have undertaken lacks foundation.
2. Your statement that non-clinical studies do not indicate any detectable uptake of the vaccines into endothelial cells lacks credibility. We demand to see the scientific evidence. If not available, it must be assumed that endothelial cells are targeted.
3. Auto-attack could not have been excluded in animals unless they had been immunologically primed beforehand. We demand evidence that such experiments had been performed. Similar experiments have been undertaken before with previous, unsuccessful candidate vaccines, and fatal, antibody-dependent enhancement of disease was observed.
4. We requested scientific evidence, not a vague description of what was purportedly seen in non-valid animal experiments. Your cursory mention of laboratory findings in humans is cynical. In view of the plausible connection between production of spike protein and the emergence of thromboembolic serious adverse events (SAEs), we demand to see the results of D-dimer determinations. As you are aware, D-dimer is a very good test as an aid to diagnose thrombosis.
After delivery of our letter to you on March 1, events followed that debunk your response to our last three queries to an extent that can only be termed embarrassing. As we feared, severe and fatal coagulopathies occurred in young individuals following “vaccination”, leading 15 countries to suspend their AZ-“vaccination” program. An official investigation by the EMA into the cases of afflicted younger individuals followed, the results of which were announced by the WHO on March 17, 2021, stating: “At this time, WHO considers that the benefits of the AstraZeneca vaccine outweigh its risks and recommends that vaccinations continue.”
What was this decision based upon? The WHO is not a competent body for formally evaluating drug safety. That is explicitly the role of the agency you lead.
In your press release, you disclosed the following information to support your conclusion. You had scrutinized data on two mortally dangerous conditions that had followed within 14 days of “vaccination”: DIC, disseminated intravascular coagulation; and CSVT, cerebral sinus vein thrombosis. 5 DIC and 18 CSVT were on record, with a total death toll of 9. Most cases were <55 year-old individuals. 5 DIC and 12 CSVT were under 50 years of age. None were reported as having had serious pre-existing illness.
You stated numbers that “normally” would be expected : DIC <1, CSVT 1.3.
Consequently, for these very rare conditions, a link to vaccination could not entirely be dismissed. However, given that 20 million individuals had been “vaccinated”, the benefits were deemed to far outweigh the risks.
But in fact, your Press Release rendered it glaringly apparent that the AZ-“vaccine” does have the potential to trigger intravascular coagulation, that the true risks far outweigh any theoretical benefits, and that any authority with the slightest sense of responsibility must suspend its further use.
1. Regard your incidence numbers for <50 year old individuals in the “vaccinated” versus “normal” population:
CSVT : 12 versus 1.3.
A 9-fold increase is beyond the range of coincidence.
DIC : 5 versus <1.
As we hope you know, DIC neveroccurs out of the blue in healthy individuals. The incidence should not be stated as <1 when in reality it is ZERO.
ACCORDINGLY, THE DIC CASES REPRESENT CONCLUSIVEEVIDENCE THAT THE AZ-VACCINE ALONE CAN TRIGGER INTRAVASCULAR COAGULATION .
2. Assume that 10 million recipients of the “vaccine” were < 60 yrs and this was followed by 9 deaths due to DIC and SVCT. The death toll upon 60 million “vaccinations” would be extrapolatable to 54.
The pandemic hit around 60 million individuals < 60 yrs in Germany.
Because of the unreliability of PCR testing and because of the completely novel way that deaths ‘with covid19’ are determined, the value of 52 is an over-estimate of the real burden of disease, further weakening your already-inadequate claim for risk-benefit.
How, then, can you declare that the benefits of vaccination far outweigh the risks? We demand your reply supported by facts and figures that we will convey to the public.
3. Further considerations expose the truly frightful dimensions of your irresponsible assertion.
CSVT, cerebral venous thrombosis, is always a life-threatening condition that demands immediate medical attention. The number of cases you conceded had occurred can represent just the tip of a huge iceberg. As you must know, the most common symptoms of CSVT are piercing headache, blurred vision, nausea and vomiting. In severe cases, stroke-like symptoms occur including impairment of speech, vision and hearing, body numbness, weakness , decreased alertness and loss of motoric control.
Surely, you are not oblivious to the fact that countless individuals suffered from precisely such symptoms directly following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents.
Clot formation in deep leg veins can lead to lethal pulmonary embolisms. Surely you must know that peripheral venous thromboses have repeatedly been reported following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents
Microthromboses in the lung vasculature can lead to misdiagnosis of pneumonia. In combination with false-positive PCR (with high cycle thresholds), these will then be registered as COVID 19 cases. Surely you must know that this scenario has probably repeatedly taken place following “vaccinations” with all the experimental gene- based agents.
In all events, extensive thrombi formation can lead to consumption of platelets and coagulation factors, resulting in hemorrhagic diathesis and bleeding at all possible locations. Surely you must know that profuse skin bleedings have repeatedly been observed following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents.
Given that there is a mechanistically plausible explanation for these thromboembolic adverse drug reactions (TE ADRs), namely that the gene-based products induce human cells to manufacture potentially pro-thrombotic spike protein, the reasoned & responsible assumption must now be that this may be a class effect. In other words, the dangers must be ruled out for all emergency-authorised gene-based vaccines, not merely the AZ product.
We urge you to adopt this stance unless and until there is data providing high clinical confidence to the contrary. We are very willing to liaise with the Agency in order to help craft a focussed pharmacovigilance plan to accomplish this goal. With the above in mind, we hope you are aware that all thrombotic events can be rapidly diagnosed by measurement of D-Dimers in blood. And that good medical practice imperatively demands that attempts are undertaken to diagnose CSVT in any and every patient, young or old, presenting with the typical signs and symptoms following “vaccination”.
Given the potential for adverse effects, potentially fatal ones, it is completely inappropriate and unacceptable that EMA permits these products, which hold only emergency use authorisations, to be administered to younger (<60y) people who are healthy, as they are at unmeasurable risks from SARS-CoV-2.
Not to make this explicit is, in our view, a reckless stance to have taken in the first place and doubly so now.
Of equal importance, you are bound by duty to investigate whether reasons exist for the waves of deaths that have occurred following “vaccination” of elderly residents in care and senior homes. Or are you asserting that dangers of “vaccine”-derived thrombotic events are limited to younger individuals? If not, restricting their use solely in one age group — as decided upon in Germany — equates with nothing less than monstrous, condoned genocide of the other.
In closing, failure to inform “vaccine” recipients of the risks and negligible benefits outlined here represents serious violations of medical ethics and citizens’ medical rights. Those violations are especially grave as all the risks we describe can be expected to increase with each re-vaccination, and each intervening coronavirus exposure. This renders both repeated vaccination and common coronaviruses dangerous to young and healthy age groups, for whom — in the absence of “vaccination” — COVID-19 poses no substantive risk.
Such is the real risk-benefit analysis of the COVID-19 “vaccines”. Either the EMA lacks the subject-matter expertise to appreciate the molecular science of this reality, or it lacks the medical ethics to act accordingly.
At best, we regard the EMA’s complacent stance on vaccine dangers to be symptomatic of the fact that, under the prevailing politico-medical response to COVID-19, medical ethics has migrated from the consulting room to a geopolitical stage. Faced with a medical problem, mass-medical intervention has seen the practice of medicine taken from doctors’ hands. In this politicized context, corporate and political actors may consider themselves free from ethical constraints, operating unbound by a medical code of ethics, unlike medical doctors. All actors, however, are bound by the Nuremberg Code.
Misleading populations into accepting investigational agents such as the gene-based COVID-19 “vaccines”, or coercing them through “vaccine passports”, constitutes clear and egregious violations of the Nuremberg Code. The Nuremberg Code mandates voluntary informed consent “without the intervention of any element of force, fraud, deceit [or] duress”. https://history.nih.gov/display/history/Nuremberg+Code
In other words, citizens have the right under the Nuremberg Code and related protections not to be subject involuntarily to medical experiments. It is clear that these experimental agents should be CONTRA-INDICATED in individuals not at elevated risk of serious illness & death if infected by SARS-CoV-2. Furthermore, the use of the experimental agents must also be withheld in the elderly population until a risk-benefit assessment has been properly conducted. In any event, the vaccine label must be revised to reflect the recently emerged serious adverse events addressed here.
Given the hundreds of millions and eventually billions of people who may be coerced into accepting these agents, the EMA, in persistently shrinking from open debate and the truth, will be seen by lawyers and historians as having actively assisted in crimes against humanity, with the full weight of the implications to all involved. We demand thatyou engage openly with us to ensure that the public have an objective understanding of the clinical risk profile of these gene-based interventions.
You understand that coercive pressure is being placed on citizens to receive COVID-19 vaccines, which are experimental medical treatments. Your responsibility to those citizens includes ensuring that they are informed of the adverse event risks of every such treatment. To date you have failed to do so, and have instead misled the public on the reality of the “vaccines’” risk-benefit profile.
If you continue to conceal the truth, efforts will be made to bring this to light and to see that justice is done. For the sake of the injured and the dead, and to protect further lives from similar fates.
NOTICE
For the avoidance of doubt, if your regulatory body does not immediately suspend its “emergency” recommendation of potentially dangerous inadequately tested gene-based “vaccines”, while the matters which we have highlighted to you are properly investigated, we hereby put the European Medicines Agency on notice of being complicit in medical experimentation, in violation of the Nuremberg Code, which thereby constitutes the commission of crimes against humanity.
Furthermore, it is your indirigible duty as a regulatory body to ensure that all doctors worldwide are advised that they are taking part in medical experimentation via “vaccination” programmes, whether wittingly or unwittingly, with all the legal and ethical obligations that such involvement entails.
This email is copied to the lawyer Reiner Fuellmich. It is also copied to Charles Michel, President of the Council of Europe, and to Ursula von der Leyen, President of the European Commission.
Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letters by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).
Lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne des Médicaments concernant les problèmes de sécurité des vaccins COVID-19
Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification en ligne (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication ).
Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas
28 février 2021
Chers Messieurs / Mesdames,
À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE: EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS
En tant que médecins et scientifiques, nous soutenons en principe l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que la thérapeutique.
Nous notons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé après la vaccination d’individus plus jeunes auparavant en bonne santé avec les vaccins géniques COVID-19. De plus, il y a eu de nombreux reportages dans les médias du monde entier faisant état de maisons de soins frappées par le COVID-19 dans les jours suivant la vaccination des résidents. Bien que nous reconnaissions que ces événements pourraient, chacun pris à part , avoir été des coïncidences malheureuses, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue à y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, et particulièrement en l’absence d’examens post mortem.
En particulier, nous nous demandons si les problèmes cardinaux concernant la sécurité des vaccins ont été correctement traités avant leur approbation par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA).
De toute urgence, nous demandons par la présente à l’EMA de nous apporter des réponses aux problèmes suivants:
Après une injection intramusculaire, il faut s’attendre à ce que les vaccins géniques atteignent la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de supposer que cela se produira en particulier sur les sites de flux sanguin lent, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de pointe soient présentés via le CMH de type 1 [NdT. complexe majeur d’histocompatibilité] à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains ont des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une infection antérieure au COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de coronavirus [3; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont monter une attaque sur les cellules respectives. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine via l’activation des plaquettes se produisent à d’innombrables sites dans tout le corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que cela conduise à une baisse du nombre de plaquettes, à l’apparition de D-dimères dans le sang [NdT. Les D-dimères sont un produit de la dégradation de la fibrine (élément final de la coagulation sanguine) – Wikipedia] et à une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques peuvent survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome CIVD [NdT. La coagulation intravasculaire disséminée souvent appelée CIVD (ou encore syndrome de défibrination ou coagulopathie de consommation) est une activation pathologique de la coagulation (formation de caillots sanguins) – Wikipedia], y compris, entre autres possibilités, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons la preuve que toutes ces possibilités ont été exclues dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombopénie [NdT. Une thrombopénie (ou thrombocytopénie1, ou hypoplaquettose2) est une anomalie de la quantité de thrombocytes (plaquettes) dans le sang, caractérisée par une diminution du nombre de thrombocytes en dessous du seuil de 150 Gigathrombocytes par litre ou une diminution de 50 % par rapport au niveau de référence – Wikipedia] a été rapportée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombopénie a également été rapportée chez des individus vaccinés [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
Le balayage du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés car une proportion croissante de la population mondiale était déjà infectée et le pire de la pandémie s’était déjà calmé. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes qu’une véritable urgence existait au moment de l’octroi par l’EMA de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, pour justifier leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.
Si toutes ces preuves ne sont pas disponibles, nous exigeons que l’approbation pour l’utilisation des vaccins génétiques soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’exercice de la diligence raisonnable par l’EMA.
Il y a de sérieuses inquiétudes, y compris mais non limitées à celles décrites ci-dessus, que l’approbation des vaccins COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une «expérimentation humaine», ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.
Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à cet e-mail dans les sept jours et de répondre de manière substantielle à toutes nos préoccupations. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.
Copie de cet e-mail est adressée à:
Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe
Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne.
[NdT. Les références et signataires se trouvent en fin du texte original ci-dessous]
Texte original
Urgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding COVID-19 Vaccine Safety Concerns
Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letter by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands
28 February 2021
Dear Sirs/Mesdames,
FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF: EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY
As physicians and scientists, we are supportive in principle of the use of new medical interventions which are appropriately developed and deployed, having obtained informed consent from the patient. This stance encompasses vaccines in the same way as therapeutics.
We note that a wide range of side effects is being reported following vaccination of previously healthy younger individuals with the gene-based COVID-19 vaccines. Moreover, there have been numerous media reports from around the world of care homes being struck by COVID-19 within days of vaccination of residents. While we recognise that these occurrences might, every one of them, have been unfortunate coincidences, we are concerned that there has been and there continues to be inadequate scrutiny of the possible causes of illness or death under these circumstances, and especially so in the absence of post-mortems examinations.
In particular, we question whether cardinal issues regarding the safety of the vaccines were adequately addressed prior to their approval by the European Medicines Agency (EMA).
As a matter of great urgency, we herewith request that the EMA provide us with responses to the following issues:
1. Following intramuscular injection, it must be expected that the gene-based vaccines will reach the bloodstream and disseminate throughout the body [1]. We request evidence that this possibility was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
2. If such evidence is not available, it must be expected that the vaccines will remain entrapped in the circulation and be taken up by endothelial cells. There is reason to assume that this will happen particularly at sites of slow blood flow, i.e. in small vessels and capillaries [2]. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
3. If such evidence is not available, it must be expected that during expression of the vaccines’ nucleic acids, peptides derived from the spike protein will be presented via the MHC I — pathway at the luminal surface of the cells. Many healthy individuals have CD8-lymphocytes that recognize such peptides, which may be due to prior COVID infection, but also to cross-reactions with other types of Coronavirus [3; 4] [5]. We must assume that these lymphocytes will mount an attack on the respective cells. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
4. If such evidence is not available, it must be expected that endothelial damage with subsequent triggering of blood coagulation via platelet activation will ensue at countless sites throughout the body. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
5. If such evidence is not available, it must be expected that this will lead to a drop in platelet counts, appearance of D-dimers in the blood, and to myriad ischaemic lesions throughout the body including in the brain, spinal cord and heart. Bleeding disorders might occur in the wake of this novel type of DIC-syndrome including, amongst other possibilities, profuse bleedings and haemorrhagic stroke. We request evidence that all these possibilities were excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
6. The SARS-CoV-2 spike protein binds to the ACE2 receptor on platelets, which results in their activation [6]. Thrombocytopenia has been reported in severe cases of SARS-CoV-2 infection [7]. Thrombocytopenia has also been reported in vaccinated individuals [8]. We request evidence that the potential danger of platelet activation that would also lead to disseminated intravascular coagulation (DIC) was excluded with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.
7. The sweeping across the globe of SARS-CoV-2 created a pandemic of illness associated with many deaths. However, by the time of consideration for approval of the vaccines, the health systems of most countries were no longer under imminent threat of being overwhelmed because a growing proportion of the world had already been infected and the worst of the pandemic had already abated. Consequently, we demand conclusive evidence that an actual emergency existed at the time of the EMA granting Conditional Marketing Authorisation to the manufacturers of all three vaccines, to justify their approval for use in humans by the EMA, purportedly because of such an emergency.
Should all such evidence not be available, we demand that approval for use of the gene-based vaccines be withdrawn until all the above issues have been properly addressed by the exercise of due diligence by the EMA.
There are serious concerns, including but not confined to those outlined above, that the approval of the COVID-19 vaccines by the EMA was premature and reckless, and that the administration of the vaccines constituted and still does constitute “human experimentation”, which was and still is in violation of the Nuremberg Code.
In view of the urgency of the situation, we request that you reply to this email within seven days and address all our concerns substantively. Should you choose not to comply with this reasonable request, we will make this letter public.
This email is copied to:
Charles Michel, President of the Council of Europe
Ursula von der Leyen, President of the European Commission.
Doctors and scientists can sign the open letter by emailing their name, qualifications, areas of expertise, country and any affiliations they would like to cite, to Doctors4CovidEthics@protonmail.com
• References
[1] Hassett, K. J.; Benenato, K. E.; Jacquinet, E.; Lee, A.; Woods, A.; Yuzhakov, O.; Himansu, S.; Deterling, J.; Geilich, B. M.; Ketova, T.; Mihai, C.; Lynn, A.; McFadyen, I.; Moore, M. J.; Senn, J. J.; Stanton, M. G.; Almarsson, Ö.; Ciaramella, G. and Brito, L. A.(2019).Optimization of Lipid Nanoparticles for Intramuscular Administration of mRNA Vaccines, Molecular therapy. Nucleic acids 15 : 1–11.
[2] Chen, Y. Y.; Syed, A. M.; MacMillan, P.; Rocheleau, J. V. and Chan, W. C. W.(2020). Flow Rate Affects Nanoparticle Uptake into Endothelial Cells, Advanced materials 32 : 1906274.
[3] Grifoni, A.; Weiskopf, D.; Ramirez, S. I.; Mateus, J.; Dan, J. M.; Moderbacher, C. R.; Rawlings, S. A.; Sutherland, A.; Premkumar, L.; Jadi, R. S. and et al.(2020). Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals, Cell 181 : 1489–1501.e15.
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[5] Sekine, T.; Perez-Potti, A.; Rivera-Ballesteros, O.; Strålin, K.; Gorin, J.-B.; Olsson, A.; Llewellyn-Lacey, S.; Kamal, H.; Bogdanovic, G.; Muschiol, S. and et al.(2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158–168.e14.
[6] Zhang, S.; Liu, Y.; Wang, X.; Yang, L.; Li, H.; Wang, Y.; Liu, M.; Zhao, X.; Xie, Y.; Yang, Y.; Zhang, S.; Fan, Z.; Dong, J.; Yuan, Z.; Ding, Z.; Zhang, Y. and Hu, L.(2020). SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19, Journal of hematology & oncology 13 : 120.
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[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, Feb. 8, 2021.
Yours faithfully,
Professor Sucharit Bhakdi MD, Professor Emeritus of Medical Microbiology and Immunology, Former Chair, Institute of Medical Microbiology and Hygiene, Johannes Gutenberg University of Mainz (Medical Doctor and Scientist) (Germany and Thailand)
Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, Consultant Psychiatrist and Visiting Professor, University College London (Medical Doctor) (United Kingdom and Italy)
Dr C Stephen Frost BSc MBChB Specialist in Diagnostic Radiology, Stockholm, Sweden (Medical Doctor) (United Kingdom and Sweden)
Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, Consultant Neurologist and Neurophysiologist (studied Medicine in Freiburg, Germany, speciality training for Neurology at New York University, Fellowship in Neurophysiology at Mount Sinai Medical Centre, New York City; PhD in Pharmacology with special interest in chronic low level neurotoxicology and effects of environmental factors on brain health), Medical Director, The London Neurology and Pain Clinic (Medical Doctor and Scientist) (Germany and United Kingdom)
Professor Martin Haditsch MD PhD, Specialist (Austria) in Hygiene and Microbiology, Specialist (Germany) in Microbiology, Virology, Epidemiology/Infectious Diseases, Specialist (Austria) in Infectious Diseases and Tropical Medicine, Medical Director, TravelMedCenter, Leonding, Austria, Medical Director, Labor Hannover MVZ GmbH (Medical Doctor and Scientist) (Austria and Germany)
Professor Stefan Hockertz, Professor of Toxicology and Pharmacologym, European registered Toxicologist, Specialist in Immunology and Immunotoxicology, CEO tpi consult GmbH. (Scientist) (Germany)
Dr Lissa Johnson, BSc, BA(Media) MPsych(Clin) PhD, Clinical Psychologist and Behavioural Scientist, Expertise in the social psychology of atrocity, torture, collective violence and propaganda, former member, professional body Public Interest Advisory Group (Psychologist) (Australia)
Professor Ulrike Kämmerer PhD, Associate Professor of Experimental Reproductive Immunology and Tumor Biology at the Department of Obstetrics and Gynaecology, University Hospital of Würzburg, Germany, Trained molecular virologist (Diploma, PhD-Thesis) and Immunologist (Habilitation), Remains engaged in active laboratory research (Molecular Biology, Cell Biology (Scientist) (Germany)
Associate Professor Michael Palmer MD, Department of Chemistry (studied Medicine and Medical Microbiology in Germany, has taught Biochemistry since 2001 in present university in Canada; focus on Pharmacology, metabolism, biological membranes, computer programming; experimental research focus on bacterial toxins and antibiotics (Daptomycin); has written a textbook on Biochemical Pharmacology, University of Waterloo, Ontario, Canada (Medical Doctor and Scientist) (Canada and Germany)
Professor Karina Reiss PhD, Professor of Biochemistry, Christian Albrecht University of Kiel, Expertise in Cell Biology, Biochemistry (Scientist) (Germany)
Professor Andreas Sönnichsen MD, Professor of General Practice and Family Medicine, Department of General Practice and Family Medicine, Center of Public Health, Medical University of Vienna, Vienna (Medical Doctor) (Austria)
Dr Wolfgang Wodarg, Specialist in Pulmonary and Bronchial Internal Medicine, Hygiene and Environmental Medicine, Epidemiology, and Public Health; Honorary Member of the Parliamentary Assembly of the Council of Europe and former Head of the Health Committee of the Parliamentary Assembly of the Council of Europe; former Member of Parliament, German Bundestag; Initiator and Spokesman for the study commission ‘Ethics and Law in Modern Medicine’; Author and University Lecturer (Medical Doctor) (Germany)
Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), Formerly Vice President & Chief Scientific Officer Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D; Co-founder & CEO, Ziarco Pharma Ltd.; Independent Consultant (Scientist) (United Kingdom)
Endorsing signatories
Dr Reem Abu-Sbaih, DO, Doctor of Osteopathy, Associate Professor Osteopathic Manipulative Medicine/ Neuromusculoskeletal Medicine (Medical Doctor) (USA)
Dr Véronique Ahari, General Practitioner (France)
Dr. Elizabeth Bastian, BSc (Genetics and Microbiology), MDCM, Family Medicine, General Practitioner in Oncology, sub specialty trained in Palliative Care (Medical Doctor) (Canada)
Dr Michael D Bell, MB, ChB (1978 Edinburgh) MRCGP (1989), General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)
Rev. Reuben P. Bell, DO, MS, MDiv, PhD, Osteopathic family physician since 1982, Bachelors and Masters degrees in Zoology, Professor of Biology (including Molecular Genetics and Developmental Biology) at the Bryn Athyn College of the New Church, 1989–1998, M.Div. and Ph.D. in theological studies, with attention to issues of science and religion (Medical Doctor and Scientist) (USA)
Dr Francisco Lacruz Bescos, MD, PhD, Consultant Neurologist with special training and dedication to Neuroimmunology and Multiple Sclerosis (Retired) (Medical Doctor) (Spain)
Dr Thomas Binder, MD, specialised in Cardiology and Internal Medicine, thesis in Immunology and Virology, with 32 years experience in diagnosis and treatment of Acute Respiratory Illness (Medical Doctor) (Switzerland)
Sarah Binns, MA VetMB, MS, MRCVS, MSc, PhD, DipLSHTM, Former Veterinary Infectious Disease Epidemiologist (United Kingdom)
Dr Rainer Bliefert, Dentist (Switzerland)
Dr Rachel Brown, MBChB, LLM (Medical Law & Ethics), MRCPsych CFMP, Consultant Psychiatrist (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Roxana Bruno, PhD in Immunology, Researcher in Biochemistry, Immunology, Neuroinmunology and Genetics (Scientist) (Argentina)
Dr Elizabeth Burton, MBChB, General Medical Practitioner (Retired)(Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Ronald S. Carlson, AB Chem/Bio, DDS, Dentist (USA)
Dr Vernon Coleman, MB, ChB, General Practice Principal (Retired) (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr David Critchley, BSc, PhD, Clinical Research Scientist with more than 30 years experience, including projects in Virology and Immunology (Scientist) (United Kingdom)
Professor Barbara A Crothers, DO, Associate Professor, Pathology, Gynecologic, Breast and Cytopathology (USA)
Dr Rita Darby, General Practitioner (Medical Doctor) (Wales)
Dr. Daniel de la Torre Llorente, Biology Professor, Biotechnology-Plant Biology Department. Agronomic, Food and Biosystems Engineering School (ETSIAAB) Universidad Politécnica de Madrid (Scientist) (Spain)
Dr Nyjon Eccles, BSc, MBBS, MRCP, PhD, Specialist in Functional & Environmental Medicine (United Kingdom)
Dr Kjetil H. Elvevold, Senior Scientist, worked as Senior Scientist in a Contract Research Organization (CRO) in Norway that performed pre-clinical experiments for the pharmaceutical industry (Scientist) (Norway)
Dr Andreas Emmert, Specialist in Microbiology, Head Physician at Østfold Regional Hospital, Norway (Medical Doctor) (Norway)
Merit Enckell, Civ. Ing, PhD, Independent researcher, Structural Health Monitoring and Emerging Technologies, Formerly of KTH Royal Institute of Technology (Scientist) (Sweden)
Dr Radimé Farhumand, Specialist in Anesthesia (Medical Doctor) (Germany)
Dr Thomas Faulkner, MChiro, DC, Managing Director and Chiropractor (United Kingdom)
Dr Susan Flett, Specialist in Psychiatry, Child Psychiatry and Psychotherapy (Semi-retired) (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Konstantinos Fountzoulas, MD, PGDiP Orth Eng., FEBOT, FRCS (Tr & Orth), Consultant Trauma and Orthopaedic Surgeon (Medical Doctor) (England and Italy)
Dr Carrie Ganek, MD, Adult Psychiatry (Medical Doctor) (USA)
Dr Martin E Ganek, MD, Board Certified Paediatrician (Medical Doctor) (USA)
Dr Parisi Giovanni, Specialist in Ophthalmology and Sports Medicine (Medical Doctor) (Italy)
Dr Céline Guérin, PhD in Neurosciences, Master in Microbiology and Genetics (Scientist-Practitioner) (France)
Dr. Olga Petrovna Guzova, Pediatrician, Dermatologist and Dermatopathologist (Medical Doctor) (Panama)
Dr Roman Häussler, General Medicine (Austria)
Dr Jutta Heinrich-Nols, Doctor and Clinical Pharmacologist (Medical Doctor and Scientist) (Germany)
Dr April M. Hurley, MD, Family Physician for 35 years (Medical Doctor) (USA)
William Ip, BSc. MIBMS, Former NHS Biomedical Scientist (Specialist in Microbiology), for over 30 years (Sicentist) (United Kingdom)
Dr Hervé Janecek, Veterinarian (France)
Jerzy Jaskowski, MD, PhD, MS, Specialties in General Surgery, Environmental Medicine, Physics and Biophysics (Retired)(Medical Doctor and Scientist) (Poland)
Dr. Elisabeth Jenik, General Medicine, Occupational Medicine and Psychosomatic Medicine (Medical Doctor) (Austria)
Dr Alain Joseph, General Medicine Specialist (Retired) (Medical Doctor) (France)
Dr Konstantinos Kakleas, MD, MRCPCH, MSc, PhD, Paediatric Allergy Consultant, Leicester Royal Infirmary Hospital (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Ingrid Kiesel, Specialist in Psychiatry, Psychotherapy and General Medicine (Medical Doctor) (Germany)
Dr Wiltrud Kling, Specialist in General Medicine (Medical Doctor) (Germany)
Dr Ewa Konik, MD, Heart Transplant Cardiologist (Medical Doctor) (USA)
Dr Doris Krien, Assistant Doctor, Günzburg District Hospital (Medical Doctor) (Germany)
Brigitte Lacroix, clinical PKPD and PBPK modeler (Pharma industry), PhD in Pharmacy (Paris XI University), PhD in Pharmacometrics (Uppsala University) (Scientist) (France, Sweden)
Dr Andreas Lang, MD (Medical Doctor) (Germany)
Dr Paul Laursen, PhD, Adjunct Professor, AUT University (Scientist) (New Zealand and Canada)
Dr Michael S Lavender, Consultant Anaesthetist (Medical Doctor) (Australia)
Dr Tess Lawrie, MBBCh, PhD, Guideline methodologist and evidence synthesis expert, Director of The Evidence Based Medicine Consultancy Ltd, Bath UK. Honorary Researcher at the Royal United Hospital, Bath UK (Medical Doctor and Scientist) (United Kingdom)
Dr Bronia Lee, MBBCh, MRCGP, Retired General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Katrina Lewis, MD, BSc in Immunology and Physiological Chemistry, triple Board certified ( USA) in Anesthesiology, Pain Medicine and Functional Medicine (Medical Doctor) (South Africa, USA)
Dr Derek Lohan, Consultant Radiologist and Director, Helix Radiology (Medical doctor) (Ireland)
Dr. Adele Lorigan, BSC (Chiro), Chiropractor (Australia)
Dr Antje Lueg, Specialist in Opthamology (Medical Doctor) (Germany)
Dr Kulvinder S. Manik, MBChB, MA, LLM, MRCGP, GP (Medical Doctor) (England)
Dr. Rosemarie Mayr, Specialist in Psychiatry and Psychotherapeutic Medicine and Child and Adolescent Psychiatry, ÖÄK Diploma for Homeopathy (Retired) (Medical Doctor) (Germany)
Dr Janet Menage, MA, MB, ChB, General Medical Practitioner (Retired) Qualified Psychological Counsellor (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Niall McCrae, PhD, MSc, RMN, Mental health researcher, Psychiatric Nurse (United Kingdom)
Professor Nathalie McDonell, MD, PhD (human genetics), Professor of Molecular and Cell Biology (Medical Doctor and Scientist) (France)
Dr Sabine de Monvallier, General Practitoner (Medical Doctor) (France)
Dr Amir Mortasawi, Physician and author (Germany)
Dr Souha Nasreddine, MD, Ob/Gyn, Graduated from the Free University of Brussels Belgium, Holistic Gynecology (Lebanon)
Dr Terezia Novotna, General Practitioner, Emergency Doctor, and Anesthesiologist in Training (Medical Doctor) (Austria)
Akhmetzhanova Tamara Nikolaevna, Therapist and Cardiologist, the Republican Medical Genetic Center, Ufa (Medical Doctor) (Russia)
Ole C G Olesen, Double specialist in General Surgery, as well as Orthopedic Surgery and Trauma (Medical Doctor) (Denmark, Norway, Sweden and United Kingdom)
Dr Waltraud Parta-Kehry, Biologist and Doctor for Gynaecology and Reproductive Medicine (Medical Doctor) (Germany)
Dr Arun Kumar Patel, MBBS, MPH, MRCPH, FFPH, Medical Public Health Specialist (Retired), NHS (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr. Cristina Pinho, MD, Gastroenterologist (Medical Doctor) (Portugal)
Dr Hélène Potrich, General Practitioner (Medical Doctor) (France)
Dr Fabio Quirici, Swiss Medical Association (Medical Doctor) (Switzerland)
Professor Denis Rancourt, PhD, Researcher, Ontario Civil Liberties Association, Member scientist, PANDA (Pandemics Data & Analysis), Retired former Full Professor of Physics, University of Ottawa, with expertise in environmental nanoparticles, molecular science, molecular dynamics, statistical analysis methods and mathematical and epidemiological modelling (Scientist) (Canada)
Claudia Riempp, Psychologist and psychotherapist, expert in health education (Germany)
Dr Nicola Reiser, Anaesthetist and Intensive Care Physician, Senior Physician at the University Clinic UMEÅ (Medical Doctor) (Sweden)
Rhys Rogers, BSc, Physiotherapy, 12 years experience as a frontline Physiotherapist (United Kingdom)
Dr Tred J Rissacher, DC, Chiropractor specialising in obesity and diabetes (USA)
Professor Simon Ruijsenaars, Professor in Mathematical Physics, School of Mathematics, University of Leeds (Scientist) (United Kingdom)
Dr Sam Saidi, MB, ChB, BSc, FRCOG, PhD, University of Sydney (Medical Doctor and Scientist) (Australia)
Dr Pamela Shervanick, DO, Medical doctor and Doctor of Osteopathic Medicine, with specialization in Psychiatry (Medical Doctor) (USA)
Dr Guido Spanoghe, Gastroenterologist (Medical Doctor) (Belgium)
Dr Paul Steven Spradbery, Forensic and Research Biologist, Foundation for Science and Technology, Lisbon, Intertek Life Sciences, London (Scientist) (United Kingdom)
Dr Duncan Syme, MBBS, FRACGP, Dip Prac Derm University of Cardiff, Graduate Monash University 1987, General Practitioner (Medical Doctor) (Australia)
Dr Carol Taccetta, MD, FCAP (Fellow of the College of American Pathologists), Pharmaceutical Physician for over 25 years, specializing in drug safety (Medical Doctor) (USA)
Dr Noel Thomas, MA, MB, ChB, DCH, DObsRCOG, DTM&H, MFHom. Semi retired NHS GP and homeopath (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Corinne Tilloy, General Practitioner, (Medical Doctor) (France)
Dr Gilbert Tominez, General Practitioner (Retired) (Medical Doctor) (France)
De Georgy Urushadze, Naturopathic Doctor, Pediatrician (Pirogov Russian National Medical University), Emergency Doctor, Physiotherapist, Homeopath, Researcher (Russia)
Dr Jasmina Vucic-Peev, PhD, studied in Freiburg, Germany, training in Psychiatry in Switzerland (Medical Doctor) (Germany, Switzerland, Portugal)
Dr Jo Waller, UK State registered Biomedical Scientist since 1990 (Scientist) (United Kingdom)
Dr Maja Waibel, Dermatologist with specialty in Melanoma prevention (Medical Doctor) (Germany)
Dr Gerard A Waters, Mb, Bch, BAO, MICGP, General Practitioner, Recently suspended from Irish medical register for refusing to administer C 19 vaccine and objecting to Covid lockdowns (Medical Doctor) (Ireland)
Dr Ronald Weikl, Gynecologist and General Practitioner (Medical Doctor) (Germany)
Dr Helen Westwood MBChB (Hons), MRCGP, DCH, DRCOG, GP (Medical Doctor) (United Kingdom)
Dr Madhu Wickremaratchi, MBChB, MRCP, Acute and General Medicine (United Kingdom)
Dr Clive Wilder-Smith, FRCP, AGAF, MD, Consultant Gastroenterologst, Director of Research (Medical Doctor) (Switzerland)
Thomas Robin Wilks, MA, BSc(Hons) FHEA, CPhys, MInstP, University Science Lecturer, Maths, Mathematical Modelling and Physics, Open University (Scientist) (United Kingdom)
Dr Christopher Wood, MBBS, Retired General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)
Signatures of Colleagues in Allied Disciplines relating to Ethics and Human Rights
Dr Violeta Sotirova, MPhil, PhD, Lecturer in English (United Kingdom)
En décembre 2020, les premiers vaccins contre la maladie à coronavirus ont obtenu une Autorisation d’Utilisation d’Urgence [EUA – Emergency Use Authorization] par la Food and Drug Administration (FDA) et ont été recommandés par le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation [ACIP – Advisory Committee on Immunization Practices]. L’administration du vaccin a commencé immédiatement. Étiez-vous en première ligne? J’espère que non, et j’espère aussi que personne dans vos proches ne s’est précipité pour recevoir cette injection.
Ce n’est pas «juste un autre vaccin» et ce n’est pas «juste comme se faire vacciner contre la grippe». Les ingrédients sont expérimentaux et l’ARNm est codé pour produire une protéine qui PEUT modifier vos gènes.
Ce que nous savons des vaccins COVID
Selon le Coronavirus Vaccine Tracker, au 26 décembre 2020, 83 vaccins étaient en phase 1, 2 ou 3 d’essai clinique humain et animal, dont 18 proches des étapes finales de test. Jamais auparavant autant d’entreprises n’avaient testé autant de vaccins différents en même temps, contre un virus qui n’a pas été isolé. Parmi ceux qui ont fait partie des essais, cinq vaccins sont maintenant utilisés à un stade précoce, avec trois vaccins approuvés pour une utilisation clinique : Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Voici ce que l’on nous en a dit jusqu’à présent:
Pfizer/BioNTech (BNT162b2)
Le vaccin de Pfizer – sous le nom provisoire de Comirnaty – a été approuvé pour les personnes de 16 ans et plus. Le vaccin à ARNm se compose de deux doses (30 mcg de solution dans 0,3 cc) administrées par voie intramusculaire à 21 jours d’intervalle. Le vaccin doit être conservé à -94F (-70C). L’ARNm est une molécule instable, c’est pourquoi elle doit être enveloppée dans des nanoparticules lipidiques pour le stockage et le transport. Mais la nanoparticule lipidique est extrêmement sensible à la température; raison pour laquelle le vaccin doit être stocké et transporté à des températures extrêmement basses.
Notez qu’aucun des ingrédients n’est répertorié avec son dosage en milligrammes. Regardez les trois premiers excipients. Aucun d’eux n’a jamais été utilisé dans un vaccin précédemment approuvé. Ont-ils fait l’objet d’un test de toxicité synergique? Y a-t-il eu des tests de stabilité sur la décomposition de chaque ingrédient une fois réchauffé à température ambiante? Et qu’en est-il de toutes les réactions allergiques qui ont été signalées? L’un de ces produits chimiques a-t-il été testé par rapport à ses propriétés allergènes, chez l’homme ou même chez l’animal? Pfizer donne des instructions explicites sur la façon de mélanger et d’administrer cette injection. Consultez les instructions spécifiques ici.
Alors que Pfizer et la FDA ne savent absolument pas si ce vaccin préviendra l’infection ou même si les anticorps persisteront à long terme, Pfizer prévoit de fabriquer plus de 1,3 milliard de doses dans le monde d’ici fin 2021. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.
Moderna (ARNm-1273)
Tout comme le vaccin de Pfizer, le vaccin de Moderna utilise également l’ARNm comme véhicule pour induire la production d’anticorps à la protéine de pointe. Approuvé pour les personnes âgées de 18 ans et plus, le vaccin est administré en deux doses (100 mcg en injection intramusculaire de 0,5 cc) avec la deuxième dose administrée un mois (28 jours) plus tard, ou aussi près que possible de l’intervalle recommandé. Ce vaccin peut être conservé jusqu’à six mois à des températures de -4F (-20C).
Les ingrédients du vaccin Moderna sont maintenant répertoriés sur la fiche technique Moderna destinée aux fournisseurs: le vaccin Moderna COVID-19 est une suspension blanche à blanc cassé pour injection intramusculaire à injecter à 28 jours d’intervalle. Chaque dose de 0,5 mL de vaccin Moderna COVID-19 contient: (CDC, diapositive 20)
ARN messager (ARNm) codant pour la glycoprotéine Spike (S) stabilisée avant fusion du virus SARS-CoV-2, 100 mcg
IMPORTANT: Le brevet Moderna indique qu’un autre ARNm peut être présent qui code pour la protéine, la flagelline, un adjuvant de vaccin non approuvé utilisé pour stimuler le récepteur pro-inflammatoire Toll-like 5 (TLR5)
Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
trométhamine, 31 mg – c’est un médicament d’ordonnance utilisé pour traiter l’acidose métabolique
chlorhydrate de trométhamine, 18 mg
acide acétique, 0,42 mg
acétate de sodium, 0,12 mg
saccharose, 43,5 mg
Êtes-vous prêt à vous faire injecter quelque chose d’inconnu, jamais testé auparavant chez l’homme? Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.
Une section ignorée par les médias et non-mentionnée sur la fiche d’information du fournisseur Moderna est enfouie au plus profond du brevet Moderna. L’ARNm du vaccin Moderna a été codé pour transcrire une protéine, la flagelline, qui est utilisée pour améliorer la réponse cytokine des macrophages.
L’un ou l’autre des vaccins à ARNm COVID-19 actuellement autorisés peut être utilisé lorsqu’indiqué; l’ACIP n’indique pas de préférence de produit. Cependant, ces deux vaccins ne sont pas interchangeables et les deux doses de la série doivent être complétées avec le même produit. Cependant, si deux doses de produits vaccinaux à ARNm COVID-19 différents sont administrées par inadvertance, pas de souci! Des doses supplémentaires de l’un ou l’autre des produits ne sont pas recommandées.
N’oubliez pas que les deux vaccins sont complètement exempts de toute responsabilité en vertu de la loi PREP 2005. Donc, si l’infirmière vous donne le mauvais vaccin et que vous faites une réaction grave, voire si vous mourez, il n’y aura aucune répercussion pour l’infirmière et aucune compensation pour vous.
Un autre candidat: AstraZeneca (AZD1222) (ChAdOx1 nCoV-19)
Le candidat vaccin contre le coronavirus AZD1222 d’AstraZeneca, anciennement connu sous le nom de ChAdOx1 nCoV-19, est fabriqué à partir d’une version affaiblie d’un virus du rhume, d’où son nom d’origine. Bien qu’il puisse provoquer une infection chez les chimpanzés, le virus a été génétiquement modifié et ne peut donc pas se reproduire/se répliquer chez l’homme.
Le fabricant n’a publié qu’une liste sommaire d’ingrédients, sans mentionner la quantité en microgrammes ou en milligrammes de chaque produit chimique. Une injection de 0,5cm3 contient:
*Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM)
Vecteur d’adénovirus chimpanzé recombinant déficient en réplication codant pour la glycoprotéine SARS CoV 2 Spike (S)
Cellule 293 de rein embryonnaire humain génétiquement modifié (HEK)
Liste des excipients – quantités inconnues:
L-histidine
Chlorhydrate de L-histidine monohydraté
Chlorure de magnésium hexahydraté
Polysorbate 80
Éthanol
Saccharose
Chlorure de sodium
Edétate disodique dihydraté
Eau pour préparations injectables
Ce candidat vaccin présente un intérêt car les études cliniques, réalisées en collaboration avec l’Université d’Oxford, ont été largement diffusées, le présentant comme le premier et le plus prometteur des vaccins. Cependant, en mai 2020, il a été signalé que tous les singes vaccinés traités avec le vaccin d’Oxford avaient été infectés lorsqu’ils ont été exposés au virus. Alors, pourquoi l’entreprise a-t-elle persévéré avec ce candidat vaccin, renommé AZD1222? Parce que même si le vaccin n’a pas protégé les animaux contre l’infection, il a atténué la maladie. Tâchez de bien repérer ce genre de logique, maintenant que plus de 80 vaccins COVID tentent de se frayer un chemin sur le marché des vaccins de plusieurs milliards de dollars.
Mais pour ne pas gaspiller toute cette recherche et cet argent, les chercheurs pensent maintenant que le vaccin sera efficace contre un nouveau variant viral émergeant en Grande-Bretagne. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.
Pour plus de détails sur tous les essais cliniques de vaccins en cours, accédez au Coronavirus Vaccine Tracker ici (abonnement requis à NYTimesOnline)
[…]
Coronavirus Pt. 6: Les vaccins COVID – partie 2 – MIS À JOUR
Anticorps anti-spike induits par le vaccin: des ravages sur les poumons
Lorsque le vaccin contre le coronavirus est injecté, l’ARNm contient des «instructions» pour construire la protéine de pointe qui a été identifiée à la surface du virus SRAS-CoV2. Les enzymes de transcriptase inverse de la cellule sont mises en action, conduisant à la production en masse de la protéine de pointe (S), la protéine qui joue un rôle vital dans son infectivité.
Cependant, est-ce une bonne chose?
L’étude de 2019 de Liu, Li et al, «Les anticorps IgG anti-spike provoquent des lésions pulmonaires aiguës sévères en biaisant les réponses des macrophages lors d’une infection aiguë par le SRAS-CoV» vaut qu’on prenne le temps de la lire et de l’étudier.
Une étude a été menée pour étudier l’effet des anticorps anti-protéine de pointe induits par le vaccin sur la prévention des infections SRAS-CoV et pour examiner l’effet possible des anticorps anti-protéine de pointe sur le système immunitaire.
Ce que les chercheurs ont découvert est stupéfiant.
Seize singes macaques ont reçu deux injections; la moitié des animaux a reçu un virus de la vaccine modifié avec une protéine de pointe insérée (ADS-MVA) ou un vaccin témoin fabriqué avec un virus de la vaccine modifié sans l’antigène protéique de pointe (ADC-MVA). Trois singes sains non vaccinés ont été inclus comme témoins supplémentaires.
Les animaux ont été sacrifiés entre les semaines 9 et 21, après avoir reçu la deuxième injection; le vaccin contenant la protéine de pointe a induit des réponses d’anticorps très élevées à la protéine de pointe (anti-S-IgG). Bien que les anticorps aient réduit la charge virale dans les voies respiratoires supérieures, ils ont provoqué une lésion pulmonaire grave, renforcée par les anticorps. En fait, il y avait une corrélation directe et positive entre le taux d’anticorps sérique et le degré de lésion pulmonaire. Les tissus présentaient des signes de lésions alvéolaires diffuses [DAD – diffuse alveolar damage], avec divers degrés d’exsudat (liquide de type pus) et d’hémorragie (saignement).
De plus, les poumons étaient remplis de grandes quantités de macrophages (pus) qui avaient été affaiblis et inactivés.
Les macrophages sont un type de globules blancs qui engloutissent, digèrent et éliminent les microbes et les protéines étrangères grâce à un processus appelé phagocytose. Il existe deux principaux types de macrophages. Les cellules M1 tuent les pathogènes en sécrétant des médiateurs pro-inflammatoires et les cellules M2, qui ont une fonction anti-inflammatoire et régulent la cicatrisation des plaies. Les anticorps formés contre la protéine de pointe du SRAS-CoV se fixent à la surface des macrophages M2 et affaiblissent leur fonction, permettant aux macrophages M1 de libérer des quantités incontrôlées de cytokines. Au lieu de guérir et de réparer les tissus pulmonaires infectés, les anticorps anti-S-IgG étouffent les cellules M2 et favorisent l’inflammation causée par M1. Les résultats sont catastrophiques.
Un résumé des résultats de l’étude:
Nous présentons des preuves d’un rôle néfaste de l’anti-S-IgG (anticorps protéinique anti-spike) et d’une lésion pulmonaire aiguë lors d’une infection par le SRAS-CoV.
Les anticorps spécifiques aux protéines de pointe induits par le vaccin ont entraîné de graves lésions pulmonaires aiguës chez les macaques chinois infectés par le SRAS-CoV.
L’anticorps anti-S-IgG n’a pas réussi à prévenir l’infection des voies respiratoires inférieures du SRAS-CoV (pneumonie) et a amplifié (augmenté) l’infiltration et l’accumulation de macrophages M1 dans les poumons.
L’anti-S-IgG provoque une lésion pulmonaire aiguë sévère [ALI – acute lung injury] lorsque les poumons sont réinfectés et/ou réexposés aux coronavirus en supprimant l’action de résolution de l’inflammation des macrophages M2.
Les animaux décédés d’une infection par le SRAS-CoV présentaient une accumulation de macrophages M1 pro-inflammatoires et une absence de macrophages M2 cicatrisants dans leurs poumons.
L’examen histologique [du tissu pulmonaire des animaux sacrifiés] chez 6 des macaques vaccinés a révélé des lésions alvéolaires diffuses aiguës [NdT. diffuse alveolar damage – DAD] avec divers degrés de gravité. La plupart des macaques du groupe témoin ayant reçu le vaccin sans protéine de pointe ne présentaient qu’une inflammation pulmonaire mineure à modérée. (Remarque: les alvéoles sont les minuscules sacs aériens dans les poumons qui oxygènent le sang.)
En l’absence des anticorps anti-S-IgG, les macrophages M2 ont commencé à guérir les poumons dans les deux jours suivant l’infection.
Preuves ignorées
L’étude ci-dessus est très récente (2019), mais fait partie de NOMBREUSES AUTRES études publiées depuis 2002 qui documentent à quel point le(s) vaccin(s) COVID sera (sont) dommageable(s) une fois qu’une personne sera vaccinée puis réexposée aux coronavirus en circulation.
Mais ce n’est pas le seul problème causé par les vaccins COVID-19.
La plupart des virus respiratoires communs provoquent une infection en se liant à des récepteurs spécifiques à la surface des cellules de l’hôte. Pour bloquer cette fixation, des anticorps formés à partir d’infections antérieures ou par des vaccins se lient au virus circulant et le neutralisent. Cela arrête, ou du moins affaiblit, l’évolution vers une infection sévère.
Cependant, dans le cas de certains virus, les anticorps formés contre eux ne se lient que faiblement aux protéines de surface virales. Au lieu d’arrêter l’infection, ce mécanisme favorise leur invasion dans la cellule, augmentant l’infection au lieu de l’arrêter.
Anticorps: neutralisants vs non-neutralisants
Un anticorps neutralisant a la forme de la lettre Y. Les bras supérieurs sont appelés fragments Fab et la tige est appelée fragment Fc. Les fragments Fab se lient à un agent pathogène invasif. Le fragment Fac se lie ensuite à un récepteur Fac à la surface des globules blancs, tels que les macrophages, les lymphocytes, les cellules tueuses naturelles [NK – natural killer cells] et d’autres. Normalement, cela donne l’instruction aux globules blancs sanguins de libérer de petites quantités de produits chimiques inflammatoires pour détruire les microbes
Cependant, lorsque l’anticorps de protéine de pointe (anti-S-IgG) se lie au récepteur Fac à la surface de la cytomembrane, la «porte s’ouvre» et permet au complexe d’entrer dans les cellules hôtes. Et, si les fragments Fab de l’anticorps ne sont que faiblement liés à la surface de la protéine pathogène, l’anticorps agit comme un cheval de Troie. Le matériel protéique faiblement lié «s’échappe» de l’extrémité des fragments Fab, il fait sauter le système enzymatique de transcriptase inverse et commence à se répliquer, et augmente l’infection plutôt que de l’arrêter.
C’est le processus de fonctionnement de la facilitation de l’infection par des anticorps, ou ADE [antibody derived enhancement]. C’est l’équivalent d’un bouton « marche » sur un réplicateur qui n’aurait pas de bouton « arrêt ». Au fur et à mesure que l’ARNm se réplique, de plus en plus d’anticorps non-neutralisants sont produits, conduisant à des maladies auto-immunes accélérées, affectant principalement les poumons, le foie et les reins. L’ADE peut même jouer un rôle dans le développement du SDRA fulminant (syndrome de détresse respiratoire aiguë) après que les patients se soient rétablis du COVID.
L’ADE a été identifié pour plus de 40 types de virus, notamment le VIH, la dengue, le virus du Nil occidental et les coronavirus. Sept des 36 souches de coronavirus en circulation sont capables d’infecter les humains.
Chaque animal testé
Dans une étude de 2012 sur des souris, des furets, des hamsters et des singes Cynomolgus, utilisant diverses protéines de coronavirus et divers adjuvants, les chercheurs ont signalé une immunopathologie chez chaque animal qui avait été vacciné puis réexposé à un virus SRAS-CoV.
Les chercheurs ont clairement déclaré ce qui suit:
Cette expérience combinée est préoccupante pour les essais de vaccins contre le SRAS-CoV chez l’homme. Des essais cliniques ont été menés avec des vaccins contre le coronavirus du SRAS et ont démontré qu’ils induisent la production d’anticorps et qu’ils sont «sûrs». Cependant, la preuve de leur sécurité est mesurée sur une courte période d’observation. Le problème soulevé par le présent rapport concerne une réaction immunopathologique survenant chez des individus vaccinés lors d’une (ré)exposition au SRAS-CoV infectieux, base de la mise au point d’un vaccin contre le SRAS.
Les chercheurs ont conclu ce qui suit:
Les vaccins contre le SRAS-CoV ont tous induit une protection par anticorps contre l’infection par le SRAS-CoV. Cependant, l’exposition [virale] des souris ayant reçu un de ces vaccins, quel qu’il soit, a conduit à l’apparition d’une immunopathologie de type Th2 suggérant une hypersensibilité aux composants du SRAS-CoV. La prudence est de mise lors de l’application d’un vaccin contre le SRAS-CoV chez l’homme.
Questions sans réponse
Nous en savons si peu sur les vaccins COVID.
Le vaccin prévient-il l’infection ou atténue-t-il seulement les symptômes d’un patient?
Les empêche-t-il de propager le virus? Si oui, pourquoi avons-nous encore besoin de distanciation sociale et de masques?
Combien de temps durent les anticorps? En d’autres termes, pendant combien de temps devons-nous nous soucier de la réexposition virale?
Et si on a déjà une comorbidité telle qu’une maladie auto-immune?
Dans quelle mesure protège-t-il les personnes âgées, dont beaucoup ont reçu un vaccin contre la grippe?
Nous n’en sommes qu’à quelques semaines de cette campagne mondiale de vaccination de masse, et des milliers d’effets secondaires sont déjà signalés.
Toutes les preuves étant ignorées, est-ce qu’éviter une infection avec un taux de survie de 99% vaut le risque du vaccin?
Mon vote sera sans équivoque : non.
05-01-2021: MISE À JOUR: En moins d’un mois et avec 1 million de doses administrées, les dernières données du Ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) montrent qu’il y a maintenant eu 40.433 événements indésirables signalés par rapport aux vaccinations Covid19 aux États-Unis … . ET IL Y EN A PEUT-ÊTRE DES MILLIERS D’AUTRES QUI NE SONT PAS SIGNALÉS.
Le Dr Sherri Tenpenny est un médecin ostéopathe certifié par le conseil d’administration de Cleveland, Ohio. Le Dr Tenpenny est un médecin praticien et s’occupe des patients 2,5 jours par semaine. Le Dr Tenpenny est un expert de renommée internationale sur les problèmes associés aux vaccins. Des étudiants du monde entier sont devenus des parents confiants et des militants éloquents grâce à ses cours éducatifs en ligne, disponibles sur Courses4Mastery.com. En tant que «Voix pour la liberté de la santé», le Dr Tenpenny est un ardent défenseur du libre choix en matière de soins de santé, y compris le droit de refuser la vaccination.
Texte original
Coronavirus Pt. 6: The COVID Vaccines – part 1 – UPDATED 3-30-2021
In December 2020, the first vaccines for coronavirus disease were granted an EUA – Emergency Use Authorization – by the Food and Drug Administration (FDA) and recommended by the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Vaccine administration began immediately. Were you first in line? I hope you were not, and I hope no one you care about ran to get this injection either.
This is not “just another vaccine” and this is not “just like getting a flu shot.” The ingredients are experimental and the mRNA is coded to produce a protein that CAN modify your genes.
What We Know About the COVID Vaccines
According to the Coronavirus Vaccine Tracker, as of Dec. 26, 2020, 83 vaccines are in Phase 1, 2 or 3 human and animal clinical trials, with 18 approaching the final stages of testing. Never before have so many companies tested so many different vaccines at the same time, against a virus that has not been isolated. Of those in the trials, five vaccines are now early use, with three vaccines approved for clinical use Pfizer, Moderna and AstraZeneca. Here’s what we have been told, so far:
Pfizer/BioNTech (BNT162b2)
Pfizer’s vaccine – given the tentative name Comirnaty – has been approved for persons 16 years of age and older. The mRNA vaccine consists of two doses (30mcg solution in 0.3cc) given intramuscularly 21 days apart. The vaccine must be stored at -94F (-70C). mRNA is an unstable molecule, which is why it needs to be wrapped in lipid nanoparticles for storage and transportation. But the lipid nanoparticle is exquisitely sensitive to temperature; hence the reason that the vaccine must be stored and transported at extraordinarily low temperatures.
Note that none of the ingredients are listed with milligrams dosage. Look at the first three excipients. Not one of these has ever been used in a previously approved vaccine.Have they been tested for synergistic toxicity? Has there been stability testing for the breakdown of each ingredient when warmed to room temperature? And what about all those allergic reactions being reported? Have ANY of these chemicals been tested for allergic responses, in humans or even in animals? Pfizer gives explicit instructions on how to mix and administer this injection. See the specific instructions here.
While Pfizer and the FDA have no idea if this vaccine will prevent infection or even if the antibodies will persist long-term, Pfizer expects to manufacture over 1.3 billion doses worldwide by the end of 2021. For more on how this vaccine works, go here.
Moderna (mRNA-1273)
Like Pfizer’s vaccine, Moderna’s vaccine also uses mRNA as its vehicle for inducing antibody responses to the spike protein. Approved for those 18 years of age and older, the vaccine is given in two doses, (100 mcg in 0.5 cc intramuscular injection) with the second dose given one month (28 days) later, or as close to the recommended interval as possible. This vaccine can be stored for up to six months at -4F (-20C) temperatures.
The ingredients in the Moderna vaccine have now been listed on the Moderna Fact Sheet for providers: Moderna COVID-19 Vaccine is a white to off-white suspension for intramuscular injection to be injected 28 days apart. Each 0.5 mL dose of Moderna COVID-19 Vaccine contains: (CDC, slide 20)
Messenger RNA (mRNA) encoding the pre-fusion stabilized Spike glycoprotein (S) of SARS-CoV-2 virus, 100 mcg
IMPORTANT: The Moderna patent states that another mRNA may be present that encodes for the protein, flagellin,an unapproved vaccine adjuvant used to stimulate the pro-inflammatory Toll-like receptor 5 (TLR5)
tromethamine, 31 mg – this is a prescription medication used to treat metabolic acidosis
tromethamine hydrochloride, 18 mg
acetic acid, 0.42 mg
sodium acetate, 0.12 mg
sucrose, 43.5 mg
Are you willing to be injected with something unknown and never tested before in humans? For more on how this vaccine works, go here.
Buried deep inside the Moderna patent is a section that has been ignored by the media and is not mentioned on the Moderna provider fact sheet. The mRNA in the Moderna vaccine has been coded to transcribe a protein, flagellin, that is used to enhance the cytokine response of the macrophages.
Either of the currently authorized mRNA COVID-19 vaccines can be used when indicated; ACIP does not state a product preference. However, these two vaccines are not interchangeable and both doses of the series should be completed with the same product. However, if two doses of different mRNA COVID-19 vaccine products are inadvertently administered, no worries! Additional doses of either product are not recommended.
Remember that both vaccines are completely protected from all liability by the 2005 PREP Act. So, if the nurse gives you the wrong shot, and you have a serious reaction, even death, there will be no repercussions for the nurse and no compensation for you.
One more candidate:AstraZeneca (AZD1222) (ChAdOx1 nCoV-19)
AstraZeneca’s AZD1222 coronavirus vaccine candidate, formerly known as ChAdOx1 nCoV-19, is made from a weakened version of a common cold virus, hence its original name. While it can cause infection in chimpanzees, the virus was genetically changed so it cannot reproduce/ replicate in humans.
The manufacturer released only a cursory list of ingredients, without including the microgram or milligram amount of each chemical. One 0.5cc injecting includes:
Recombinant, replication-deficient chimpanzee adenovirus vector encoding the SARS CoV 2 Spike (S) glycoprotein
Genetically modified human embryonic kidney (HEK) 293 cell
List of excipients – unknown amounts:
L-Histidine
L-Histidine hydrochloride monohydrate
Magnesium chloride hexahydrate
Polysorbate 80
Ethanol
Sucrose
Sodium chloride
Disodium edetate dihydrate
Water for injections
This vaccine candidate is of interest because the clinical studies, done in collaboration with the University of Oxford, were widely publicized as the first and most promising vaccine. However, in May 2020, it was reported that all the vaccinated monkeys treated with the Oxford vaccine became infected when challenged. Then, why did the company press forward with the renamed, AZD1222 vaccine candidate? Because even though the vaccine did not protect the animals from infection, it did moderate the disease. Watch for this type of logic as the 80+ COVID vaccines try to make their way into the multi-trillion-dollar vaccine market.
But not to let all that research and money go to waste, researchers now believe the shot will be effective against a new viral variant emerging in Britain. To find out more about how this vaccine works, to here.
For details on all of the current vaccines clinical trials, go to the Coronavirus Vaccine Tracker found here (subscription required to NYTimesOnline to view)
[…]
Coronavirus Pt. 6: The COVID Vaccines – part 2 – UPDATED
Vaccine-induced Spike Antibodies: Havoc on the Lungs
When the coronavirus vaccine is injected, the mRNA contains “instructions” for building the spike protein that has been identified on the surface of the SARS-CoV2 virus. The cell’s reverse transcriptase enzymes are called into action, leading to the mass production of the spike (S) protein, the protein thought to play a vital role in its infectivity.
However, is this a good thing?
The 2019 study by Liu, Li et al,“Anti-spike IgG antibody causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection” is worthy of your time to read and study.
The investigation was undertaken to study the effect vaccine-induced, spike-protein antibodies have on preventing SARS-CoV infections and to examine the possible effect the spike-protein antibodies have on the immune system.
What the researchers discovered was startling.
Sixteen macaque monkeys were given two injections; half of the animals received a modified vaccinia virus with an inserted spike protein (ADS-MVA) or a control vaccine made with a modified vaccinia virus without the spike protein antigen (ADC-MVA). Three healthy, non-vaccinated monkeys were included as additional controls.
The animals were sacrificed between weeks 9 and 21, after receiving the second injection; the vaccine containing the spike protein induced very high antibody responses to the spike protein (anti-S-IgG). Although the antibodies had reduced the viral load in the upper respiratory tract, they caused a serious, antibody-enhanced injury in the lungs. In fact, there was a direct and positive correlation between the level of antibody in serum and the degree of lung injury. The tissues had evidence of diffuse alveolar damage (DAD), with various degrees of exudate (pus-like fluid) and hemorrhage (bleeding).
Even more, the lungs were large filled with large quantities of macrophages (pus) that had been weakened and inactivated.
Macrophages are a type of white blood cell that engulf, digest and eliminate microbes and foreign proteins through a process called phagocytosis. There are two primary types of macrophages. The M1 cells kill pathogens by secreting pro-inflammatory mediators and the M2 cells, which have an anti-inflammatory function and regulate wound healing. Antibodies formed against the SARS-CoV spike protein binds to the surface of M2 macrophages and weaken their function, allowing the M1 macrophages to release unchecked quantities cytokines. Instead of healing and repairing the infected lung tissues, the anti-S-IgG antibodies stifle the M2 cells and promote M1-caused inflammation. The results are a disaster.
A Summary of The Study’s Findings:
We present evidence of a detrimental role of the anti-S-IgG (anti-spike protein antibody) and acute lung injury during a SARS-CoV infection.
Vaccine-induced, spike-specific antibodies resulted in severe acute lung injury in SARS-CoV infected Chinese macaques
Anti-S-IgG antibody failed to prevent SARS-CoV lower respiratory tract infection (pneumonia) and amplify (increase) M1 macrophage infiltration and accumulation in the lungs.
Anti-S-IgG causes severe acute lung injury (ALI) when the lungs become re-infected and/or re-exposed to coronaviruses by removing the inflammation-resolving work of the M2 macrophages.
Animals who died of SARS-CoV infection had an accumulation of pro-inflammatory M1 macrophages and an absence of wound-healing M2 macrophages in their lungs.
Histological examination [the lung tissue of the sacrificed animals] in 6 of the vaccinated macaques revealed acute diffuse alveolar damage (DAD) with various degrees of severity. Most of the macaques in the control group given the non-spike protein vaccine showed only minor to moderate lung inflammation. (Note: alveoli are the tiny air sacs in the lungs that oxygenate the blood.)
Without the presence of the anti-S-IgG antibodies, M2 macrophages began healing the lungs within two days of infection.
Evidence Ignored
The above study was very recent (2019) but is it one of MANY dating back to 2002 documenting how damaging the COVID vaccine(s) are going to be once a person is vaccinated and then is re-exposed to circulating coronaviruses.
But that’s not the only problem caused by the COVID-19 vaccines.
Most garden-variety respiratory viruses cause infection by binding to specific receptors on the surface of the host’s cells. To block this attachment, antibodies formed from previous infections or by vaccines bind the circulating virus and neutralize it. This stops, or at least weakens, the progression to a full-blown infection.
However, in some viruses, the antibodies formed against them bind only loosely to the viral surface proteins. Instead of stopping an infection, this mechanism promotes invasion into the cell, enhancing the infection instead of stopping it.
Antibodies: Neutralizing vs Non-Neutralizing
A neutralizing antibody is shaped like the letter Y. The upper arms are called the Fab fragments and the stem is called the Fc fragment. The Fab fragments bind to an invading pathogen. The Fac fragment then binds to an Fac receptor on the surface of white blood cells, such as macrophages, lymphocytes, natural killer (NK) cells and others. Normally, this signals the white blood to release tiny bits of inflammatory chemicals to destroy the microbes
However, when the spike protein antibody (anti-S-IgG) engages with the Fac receptor on the surface of the cytomembrane, the “door opens” and allows the complex to enter host cells. And, if the Fab fragments of the antibody are only weakly bound to the surface of the pathogenic protein, the antibody acts like a Trojan horse. The loosely bound protein material “escapes” from the end of the Fab fragments, it highjacks that reverse transcriptase enzyme system and begins to replicate, enhancing the infection rather than stopping it.
This is the process of how antibody derived enhancement, or ADE, works. It’s like having an “on button” on a replicator but no “off button.” As the mRNA replicates, more and more non-neutralizing antibody is produced, leading to accelerated autoimmune diseases, primarily affecting the lungs, liver and kidneys. ADE may even plan a role in the development of fulminant ARDS (Acute Respiratory Distress Syndrome) after patients have recovered from COVID.
ADE has been identified in more than 40 kinds of viruses including HIV, Dengue, West Nile and coronaviruses. There are seven or the 36 circulating coronavirus strains (LINK) are known to infect humans.
Every Animal Tested
In a 2012 study of mice, ferrets, hamsters, and Cynomolgus monkeys, using various coronavirus proteins and various adjuvants, researchers reported immunopathology in every animal that had been vaccinated and then re-exposed to a SARS-CoV virus.
Researchers clearly stated the following:
This combined experience provides concern for trials with SARS-CoV vaccines in humans. Clinical trials with SARS coronavirus vaccines have been conducted and reported to induce antibody responses and to be ‘‘safe.” However, the evidence for safety is for a short period of observation. The concern arising from the present report is for an immunopathologic reaction occurring among vaccinated individuals on (re)exposure to infectious SARS-CoV, the basis for developing a vaccine for SARS.
Researchers concluded the following:
The SARS-CoV vaccines all induced antibody protection against infection with SARS-CoV. However, [viral] challenge of the mice given any of the vaccines led to the occurrence of Th2-type immunopathology suggesting hypersensitivity to SARS-CoV components. Caution in proceeding to application of a SARS-CoV vaccines in humans is indicated.
Unanswered questions
We know so little about the COVID vaccines.
Does the vaccine prevent the infection or only lessen a patient’s symptoms?
Does it keep them from spreading the virus? If so, why do we still need to distance and wear a mask?
How long will the antibody last? In otherwords, how long to we have to worry about viral re-exposure?
What if you already have a co-morbidity such as an autoimmune disease?
How well does it protect the elderly, many of whom have received a flu vaccine?
We are only a few weeks into this mass global vaccination campaign, and thousands of side effects are already being reported.
With all the evidence being ignored, is avoiding an infection with a 99% survival rate, worth the risk of the vaccine?
My vote will be unequivocally no.
1-5-2021: UPDATE: In less than 1 month and with 1M doses delivered, the latest data from the Department of Health and Human Services (HHS) shows there have now been 40,433 adverse events REPORTED from the Covid19 vaccinations in the USA….AND THERE MAY BE THOUSANDS MORE UNREPORTED
Dr. Sherri Tenpenny is a board-certified osteopathic medical doctor from Cleveland, Ohio. Dr. Tenpenny is a practicing physician and cares for patients 2.5 days per week. Dr. Tenpenny is an internationally known expert on the problems associated with vaccines. Students from all over the world have become confident parents and articulate activists through her online educational courses, found at Courses4Mastery.com. As the “Voice for the Health Freedom,” Dr. Tenpenny is an outspoken advocate for free choice in healthcare, including the right to refuse vaccination.
C’est très didactique et très professionnel. Et c’est en français, yay!
Suite à sa note d’expertise grand public sur les vaccins faisant appel aux biotechnologies, le Dr Christian VÉLOT*, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo didactique sous-titrée sur les différents types de vaccins contre la COVID-19, et en particulier ceux de dernière génération avec les risques potentiels qu’ils peuvent engendrer. Bon visionnage !
*Enseignant-chercheur du Service Public, Christian VÉLOT déclare n’avoir aucun conflit d’intérêt.
Encore une article qui dit du mal de l’excellllllent vac… euh, enfin le truc qu’on injecte en ce moment aux naïfs de France et de Navarre. N’ayant pas la moindre idée de la validité scientifique de ce papier, je fais ce que font les profanes dans ce cas, je vais voir qui l’a écrit. C’est lui. Il a fondé une boîte qui évalue les vaccins et leurs effets secondaires. Le site de sa boîte est ici et il a écrit ça au Président Trump (c’est en anglais, évidemment). C’est pas piqué des hannetons. Franchement, faites l’effort de le traduire – éventuellement il y a GoogleTranslate qui fonctionne très bien.
Que « le vaccin [puisse] causer beaucoup plus de tort que d’avantages« , ça c’est fait. Faut pas être grand clerc pour le comprendre. Un recueil des chiffres des effets adverses et décès ici (chez Vernon Coleman). De toute manière, quand on voit que, vu que 1) les chiffres de la létalité du virus, mêmes bidouillés au-delà du raisonnable, sont insignifiants, 2) l’argument selon lequel les personnes non-vaccinées présenteraient un risque pour les personnes vaccinées est tellement débile et démontable en moins de dix secondes que la seule stratégie de communication qu’ils ont trouvée est de surtout ne jamais l’évoquer (d’autant que ça pourrait bien être exactement le contraire et même encore pire), et 3) la manoeuvre d’évincement des traitements et prévention (page que je devrais un peu mettre à jour) est parfaitement lisible – je dirais même transparente : d’une part l’absence de traitement approuvé est indispensable pour obtenir une autorisation d’urgence pour leur produit injectable, d’autre part les planificateurs de cette psyop en mode problème/réaction/solution comptent bien susciter par chaos mental un niveau de stress suffisant pour pousser à la démence (la réaction) qui faciliterait leur solution (le vaccin). J’en parle dans un article à publier.
Alors… vous lisez le truc, vous ne devenez pas dingues, et si nécessaire vous allez faire un tour dans la nature. Chez moi les hirondelles sont de retour, c’est tellement plus intéressant que toutes ces saloperies. Ou que de traîner dans les cafés, qui de toutes façons sont fermés.
Source. Attention, j’ai dû insister pour ouvrir la page, FireFox préfèrerait pas. Pour mon bien, évidemment.
Traduction
Article de Recherche
ISSN 2639-9458
Microbiologie et maladies infectieuses
Vaccins COVID-19 à base d’ARN et risque de maladie à prion
Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.
ABSTRACT
Le développement de nouvelles technologies vaccinales a été en proie à maints problèmes par le passé. Les actuels vaccins anti-SRAS-CoV-2 à base d’ARN ont été approuvés aux États-Unis par autorisation d’utilisation d’urgence, sans tests approfondis de sécurité à long terme. Dans cet article, le vaccin Pfizer COVID-19 a été évalué par rapport au risque potentiel d’induire une maladie à prion chez les personnes vaccinés. La séquence d’ARN du vaccin ainsi que l’interaction cible de la protéine de pointe ont été analysées pour déterminer le potentiel de conversion des protéines de liaison à l’ARN intracellulaire, la protéine de liaison à l’ADN TAR (TDP-43) et « Fused in Sarcoma » (FUS) [NdT. j’ai pas la traduction exacte] vers leurs conformations de prions pathologiques. Les résultats indiquent que l’ARN du vaccin a des séquences spécifiques qui peuvent induire le repli du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G Quadruplex potentielles sont peut-être présentes mais un programme informatique plus sophistiqué est nécessaire pour les vérifier. En outre, la protéine de pointe, créée par la traduction de l’ARN du vaccin, se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme contenant du zinc. Cette interaction a le potentiel d’augmenter le zinc intracellulaire. Il a été démontré que les ions de zinc provoquent la transformation du TDP-43 en sa configuration prion pathologique. Le repliement du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques est connu pour provoquer la SLA [NdT. sclérose latérale amyotrophique], la dégénérescence lobaire frontotemporale avant, la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies dégénératives neurologiques. La découverte ci-jointe ainsi que les risques potentiels supplémentaires amènent l’auteur à croire que l’approbation réglementaire des vaccins à base d’ARN pour le SRAS-CoV-2 était prématurée et que le vaccin pourrait causer beaucoup plus de tort que d’avantages.
Mots clés
COVID-19, vaccins, diabète, immunité.
Introduction
Les vaccins sont à l’origine d’une multitude d’événements indésirables chroniques à développement tardif. Certains événements indésirables comme le diabète de type 1 peuvent ne pas survenir avant un délai de 3 à 4 ans après l’administration d’un vaccin [1]. Dans l’exemple du diabète de type 1, la fréquence des cas d’événements indésirables peut dépasser la fréquence des cas de maladies infectieuses graves que le vaccin a été conçu pour prévenir. Étant donné que le diabète de type 1 n’est qu’une des nombreuses maladies à médiation immunitaire potentiellement causées par les vaccins, les événements indésirables chroniques tardifs sont un grave problème de santé publique. Par exemple, le premier vaccin antipoliomyélitique atténué a en fait causé la polio chez les receveurs parce que le processus de fabrication à plus grande échelle n’a pas tué efficacement le virus de la polio avant qu’il ne soit injecté aux patients. Les vaccins à base d’ARN présentent des risques particuliers d’induire des événements indésirables spécifiques. Un tel événement indésirable potentiel est les maladies à base de prions provoquées par l’activation de protéines intrinsèques pour former des prions. Une mine de connaissances a été publiée sur une classe de protéines de liaison à l’ARN dont il a été démontré qu’elles contribuent à provoquer un certain nombre de maladies neurologiques, notamment la maladie d’Alzheimer et la SLA. Les TDP-43 et FUS sont parmi les mieux étudiés de ces protéines [2].
Le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer a été approuvé par la FDA américaine en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence sans données sur sa sécurité à long terme. En raison de préoccupations concernant la sécurité de ce vaccin, une étude a été réalisée pour déterminer si le vaccin pouvait potentiellement induire une maladie à prion.
Méthodes
Le vaccin à base d’ARN de Pfizer contre le COVID-19 a été évalué pour déterminer le potentiel de conversion du TDP-43 et/ou du FUS vers leurs états pathogènes à base de prions. L’ARN du vaccin a été analysé pour la présence de séquences susceptibles d’activer les TDP-43 et FUS. L’interaction de la protéine de pointe transcrite avec sa cible a été analysée pour déterminer si cette action pouvait également activer les TDP-43 et FUS.
Résultats
L’analyse du vaccin Pfizer contre le COVID-19 a identifié deux facteurs de risque potentiels d’induction de la maladie à prion chez l’homme. La séquence d’ARN dans le vaccin [3] contient des séquences censées induire l’agrégation du TDP-43 et du FUS dans leur conformation en prions conduisant au développement de maladies neurodégératives courantes. En particulier, il a été montré que les séquences ARN GGUA [4], les séquences riches en UG [5], les répétitions en tandem UG [6] et les séquences G Quadruplex [7], ont une affinité accrue pour se lier au TDP-43 et/ou FUS et peuvent induire la conformation pathologique de TDP-43 ou FUS dans le cytoplasme. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G quadruplex sont peut-être présentes, mais des programmes informatiques sophistiqués sont nécessaires pour les vérifier. La protéine de pointe codée par le vaccin se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme qui contient des molécules de zinc [8]. La liaison de la protéine de pointe à ACE2 a le potentiel de libérer la molécule de zinc, un ion qui amène le TDP-43 à assumer sa transformation de prion pathologique [9].
Discussion
Il existe un vieil adage en médecine selon lequel «le remède peut être pire que le mal». Cette phrase peut être appliquée aux vaccins. Dans cet article est formulée l’inquiétude de voir les vaccins COVID à base d’ARN avoir le potentiel de provoquer plus de maladies que l’épidémie de COVID-19. Cet article se concentre sur un nouveau mécanisme potentiel d’événements indésirables provoquant une maladie à prion qui pourrait être encore plus courante et débilitante que l’infection virale que le vaccin est conçu pour prévenir. Bien que cet article se concentre sur un événement indésirable potentiel, il existe plusieurs autres événements indésirables mortels potentiels, comme indiqué ci-dessous. Au cours des deux dernières décennies, certains scientifiques se sont inquiétés du fait que les prions pourraient être utilisés comme armes biologiques. Plus récemment, on a craint que des molécules intracellulaires omniprésentes puissent être activées pour provoquer une maladie à prion, y compris la maladie d’Alzheimer, la SLA et d’autres maladies neurodégénératives. Cette préoccupation est due au potentiel d’utilisation abusive des données de recherche sur les mécanismes par lesquels certaines protéines de liaison à l’ARN comme le TDP-43, le FUS et d’autres peuvent être activées pour former des prions pathogènes. Le fait que cette recherche, qui pourrait être utilisée pour le développement d’armes biologiques, soit financée par des organisations privées telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et Ellison Medical Foundation [2] sans contrôle national/international est également préoccupant. Par le passé, par exemple, il était interdit de publier des informations relatives à la construction de bombes nucléaires.
Les données publiées ont montré qu’il existe plusieurs facteurs différents qui peuvent contribuer à la conversion de certaines protéines de liaison à l’ARN, notamment le TDP-43, le FUS et les molécules apparentées, à leurs états pathologiques. Ces protéines de liaison à l’ARN ont de nombreuses fonctions et se trouvent à la fois dans le noyau et dans le cytoplasme. Ces protéines de liaison ont des régions d’acides aminés, des motifs de liaison qui se lient à des séquences d’ARN spécifiques. On pense que la liaison à certaines séquences d’ARN lorsque les protéines sont dans le cytoplasme provoque le repli des molécules de manières définies conduisant à une agrégation pathologique et à la formation de prions dans le cytoplasme [2]. L’analyse actuelle indique que le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer contient un grand nombre de ces séquences d’ARN qui se sont révélées avoir une forte affinité pour le TDP-43 ou le FUS et ont le potentiel d’induire des maladies neurologiques dégénératives chroniques.
Le TDP-43 est un autre mécanisme conduisant à la formation d’agrégations de type amyloïde [9]. La protéine de pointe virale, codée par la séquence d’ARN du vaccin, lie ACE2, une enzyme contenant des molécules de zinc [8]. Cette interaction a le potentiel d’augmenter les niveaux de zinc intracellulaire conduisant à une maladie à prions. La liaison initiale pourrait être entre les protéines de pointe à la surface de la cellule transfectée par le vaccin et ACE2 à la surface d’une cellule adjacente. Le complexe résultant peut devenir intériorisé. Une variante de l’interaction pourrait initialement avoir lieu dans le cytoplasme d’une cellule qui produit l’ACE2 et qui a été transfectée avec l’ARN du vaccin codant pour la protéine de pointe. L’interaction est assez préoccupante si on considère l’hypothèse que le virus responsable du COVID-19, le SRAS-CoV-2, est une arme biologique [10,11] et il est possible que la protéine de pointe virale ait été conçue pour provoquer une maladie à prions.
Une autre préoccupation connexe est que le vaccin Pfizer utilise un ARN nucléoside unique 1-méthyl-3′-pseudouridylyle (Ψ). Selon les documents d’information de la FDA, ce nucléoside a été choisi pour réduire l’activation du système immunitaire inné [12]. Les molécules d’ARN contenant ce nucléoside auront sans aucun doute une liaison altérée [13]. Malheureusement, l’effet sur le TDP-43, le FUS et d’autres protéines de liaison à l’ARN n’est pas publié. L’utilisation de ce nucléoside dans un vaccin peut potentiellement améliorer l’affinité de liaison des séquences d’ARN capables d’amener les TDP-43 et FUS à prendre des configurations toxiques.
Il existe de nombreux autres événements indésirables potentiels qui peuvent être induits par les nouveaux vaccins à base d’ARN contre le COVID-19. Le vaccin place une nouvelle molécule, la protéine de pointe, dans/sur la surface des cellules hôtes. Cette protéine de pointe est un récepteur potentiel pour un autre agent infectieux potentiellement nouveau. Si ceux qui soutiennent que le COVID-19 est en fait une arme biologique ont raison, alors un deuxième virus potentiellement plus dangereux peut être libéré qui se liera à la protéine de pointe présente sur les cellules hôtes des personnes vaccinées. Les données ne sont pas publiquement accessibles concernant la durée pendant laquelle l’ARN du vaccin est traduit chez le receveur du vaccin ni concernant pendant quelle durée après la traduction la protéine de pointe sera présente dans les cellules du receveur. De telles études relatives à l’expression in vivo seront complexes et intéressantes. La diversité génétique protège les espèces des pertes massives causées par les agents infectieux. Un individu peut être tué par un virus tandis qu’un autre peut ne subir aucun effet nocif du même virus. En plaçant le même récepteur, la protéine de pointe, sur les cellules de tous dans une population, la diversité génétique d’au moins un récepteur potentiel disparaît. Tous les individus d’une population deviennent maintenant potentiellement susceptible de se lier avec le même agent infectieux.
L’auto-immunité et la condition opposée, le syndrome métabolique, sont des événements indésirables bien connus causés par les vaccins [14]. Les infections au COVID-19 sont associées à l’induction d’auto-anticorps et de maladies auto-immunes [15,16], ce qui fait qu’il est plus que plausible qu’un vaccin puisse faire de même. Un auteur a trouvé que les séquences d’acides aminés codées par la protéine de pointe sont identiques aux séquences de protéines humaines, y compris les protéines présentes dans le SNC [système nerveux central] [17]. L’auto-immunité peut également être induite par la propagation d’épitope lorsqu’un antigène étranger, comme la protéine de pointe, est présenté par une cellule présentant l’antigène qui a également des molécules auto attachées à ses molécules du CMH [complexe majeur d’histocompatibilité].
Enfin, d’autres personnes travaillant dans le domaine ont publié une autre thèse soutenant que les vaccins COVID-19 pourraient potentiellement induire une maladie à prion. Les auteurs [18] ont trouvé des séquences liées au prion dans la protéine de pointe COVID-19 qui n’ont pas été trouvées dans les coronavirus apparentés. D’autres [19] ont rapporté un cas de maladie à prions, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, survenant initialement chez un homme atteint de COVID-19.
Beaucoup ont émis l’avertissement que l’épidémie actuelle de COVID-19 est en fait le résultat d’une attaque à l’arme biologique lancée en partie par des individus au sein du gouvernement des États-Unis [10,11]. Une telle théorie n’est pas exagérée étant donné que l’attaque à l’anthrax de 2001 aux États-Unis a commencé à Fort Detrick, une installation d’armes biologiques de l’armée américaine. Étant donné que l’enquête sur l’anthrax du FBI a été cloturée contre l’avis de l’agent principal du FBI en charge de l’affaire, il est probable que des conspirateurs travaillent encore au gouvernement américain. Dans un tel scénario, l’objectif principal de l’arrêt d’une attaque à l’arme biologique doit être d’appréhender les conspirateurs, sinon les attaques ne cesseront jamais. L’approbation d’un vaccin, en utilisant une nouvelle technologie d’ARN sans tests approfondis, est extrêmement dangereuse. Le vaccin pourrait être une arme biologique et se révéler encore plus dangereuse que l’infection d’origine.
Texte original
Research Article
ISSN 2639-9458
Microbiology & Infectious Diseases
COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease
Received:27 December 2020; Accepted: 18 January 2021
Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.
ABSTRACT
Development of new vaccine technology has been plagued with problems in the past. The current RNA based SARS-CoV-2 vaccines were approved in the US using an emergency order without extensive long term safety testing. In this paper the Pfizer COVID-19 vaccine was evaluated for the potential to induce prion-based disease in vaccine recipients. The RNA sequence of the vaccine as well as the spike protein target interaction were analyzed for the potential to convert intracellular RNA binding proteins TAR DNA binding protein (TDP-43) and Fused in Sarcoma (FUS) into their pathologic prion conformations. The results indicate that the vaccine RNA has specific sequences that may induce TDP-43 and FUS to fold into their pathologic prion confirmations. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. Potential G Quadruplex sequences are possibly present but a more sophisticated computer program is needed to verify these. Furthermore, the spike protein, created by the translation of the vaccine RNA, binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), a zinc containing enzyme. This interaction has the potential to increase intracellular zinc. Zinc ions have been shown to cause the transformation of TDP-43 to its pathologic prion configuration. The folding of TDP-43 and FUS into their pathologic prion confirmations is known to cause ALS, front temporal lobar degeneration, Alzheimer’s disease and other neurological degenerative diseases. The enclosed finding as well as additional potential risks leads the author to believe that regulatory approval of the RNA based vaccines for SARS-CoV-2 was premature and that the vaccine may cause much more harm than benefit.
Keywords
COVID-19, Vaccines, Diabetes, Immunity.
Introduction
Vaccines have been found to cause a host of chronic, late developing adverse events. Some adverse events like type 1 diabetes may not occur until 3-4 years after a vaccine is administered [1]. In the example of type 1 diabetes the frequency of cases of adverse events may surpass the frequency of cases of severe infectious disease the vaccine was designed to prevent. Given that type 1 diabetes is only one of many immune mediated diseases potentially caused by vaccines, chronic late occurring adverse events are a serious public health issue.
The advent of new vaccine technology creates new potential mechanisms of vaccine adverse events. For example, the first killed polio vaccine actually caused polio in recipients because the up scaled manufacturing process did not effectively kill the polio virus before it was injected into patients. RNA based vaccines offers special risks of inducing specific adverse events. One such potential adverse event is prion based diseases caused by activation of intrinsic proteins to form prions. A wealth of knowledge has been published on a class of RNA binding proteins shown to participating in causing a number of neurological diseases including Alzheimer’s disease and ALS. TDP-43 and FUS are among the best studied of these proteins [2].
The Pfizer RNA based COVID-19 vaccine was approved by the US FDA under an emergency use authorization without long term safety data. Because of concerns about the safety of this vaccine a study was performed to determine if the vaccine could potentially induce prion based disease.
Methods
Pfizer’s RNA based vaccine against COVID-19 was evaluated for the potential to convert TDP-43 and or FUS to their prion based disease causing states. The vaccine RNA was analyzed for the presence of sequences that can activate TDP-43 and FUS. The interaction of the transcribed spike protein with its target was analyzed to determine if this action could also activate TDP-43 and FUS.
Results
Analysis of the Pfizer vaccine against COVID-19 identified two potential risk factors for inducing prion disease is humans. The RNA sequence in the vaccine [3] contains sequences believed to induce TDP-43 and FUS to aggregate in their prion based conformation leading to the development of common neurodegerative diseases. In particular it has been shown that RNA sequences GGUA [4], UG rich sequences [5], UG tandem repeats [6], and G Quadruplex sequences [7], have increased affinity to bind TDP-43 and or FUS and may cause TDP-43 or FUS to take their pathologic configurations in the cytoplasm. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. G Quadruplex sequences are possibly present but sophisticated computer programs are needed to verify these.
The spike protein encoded by the vaccine binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), an enzyme which contains zinc molecules [8]. The binding of spike protein to ACE2 has the potential to release the zinc molecule, an ion that causes TDP-43 to assume its pathologic prion transformation [9]
Discussion
There is an old saying in medicine that “the cure may be worse than the disease.” The phrase can be applied to vaccines. In the current paper the concern is raised that the RNA based COVID vaccines have the potential to cause more disease than the epidemic of COVID-19. This paper focuses on a novel potential adverse event mechanism causing prion disease which could be even more common and debilitating than the viral infection the vaccine is designed to prevent. While this paper focuses on one potential adverse event there are multiple other potential fatal adverse events as discussed below.
Over the last two decades there has been a concern among certain scientists that prions could be used as bioweapons. More recently there has been a concern that ubiquitous intracellular molecules could be activated to cause prion disease including Alzheimer’s disease, ALS and other neurodegenerative diseases. This concern originates due to potential for misuse of research data on the mechanisms by which certain RNA binding proteins like TDP-43, FUS and others can be activated to form disease causing prions. The fact that this research, which could be used for bioweapons development, is funded by private organizations including the Bill and Melinda Gates Foundation, and Ellison Medical Foundation [2] without national/international oversight is also a concern. In the past, for example, there were prohibitions for publishing information pertaining to construction of nuclear bombs.
Published data has shown that there are several different factors that can contribute to the conversion of certain RNA binding proteins including TDP-43, FUS and related molecules to their pathologic states. These RNA binding proteins have many functions and are found in both the nucleus and the cytoplasm. These binding proteins have amino acid regions, binding motifs that bind specific RNA sequences. Binding to certain RNA sequences when the proteins are in the cytoplasm is believed to causes the molecules to fold in certain ways leading to pathologic aggregation and prion formation in the cytoplasm [2]. The current analysis indicates Pfizer’s RNA based COVID-19 vaccine contains many of these RNA sequences that have been shown to have high affinity for TDP-43 or FUS and have the potential to induce chronic degenerative neurological diseases.
Zinc binding to the RNA recognition motif of TDP-43 is another mechanism leading to formation of amyloid like aggregations [9]. The viral spike protein, coded by the vaccine RNA sequence, binds ACE2 an enzyme containing zinc molecules [8]. This interaction has the potential to increase intracellular zinc levels leading to prion disease. The initial binding could be between spike proteins on the surface of the cell transfected by the vaccine and ACE2 on the surface of an adjacent cell. The resulting complex may become internalized. Alternatively, the interaction could initially take place in the cytoplasm of a cell that makes ACE2 and has been transfected with the vaccine RNA coding for the spike protein. The interaction is quite concerning given the belief that the virus causing COVID-19, SARS-CoV-2, is a bioweapon [10,11] and it is possible that the viral spike protein may have been designed to cause prion disease.
Another related concern is that the Pfizer vaccine uses a unique RNA nucleoside 1-methyl-3′-pseudouridylyl (Ψ). According to FDA briefing documents, this nucleoside was chosen to reduce activation of the innate immune system [12]. RNA molecules containing this nucleoside will undoubtedly have altered binding [13]. Unfortunately, the effect on TDP-43, FUS and other RNA binding proteins is not published. The use of this nucleoside in a vaccine can potentially enhance the binding affinity of RNA sequences capable of causing TDP-43 and FUS to assume toxic configurations.
There are many other potential adverse events that can be induced by the novel RNA based vaccines against COVID-19. The vaccine places a novel molecule, spike protein, in/on the surface of host cells. This spike protein is a potential receptor for another possibly novel infectious agent. If those who argue that the COVID-19 is actually a bioweapon are correct, then a second potentially more dangerous virus may be released that binds spike protein found on the host cells of vaccine recipients. Data is not publicly available to provide information on how long the vaccine RNA is translated in the vaccine recipient and how long after translation the spike protein will be present in the recipient’s cells. Such studies pertaining to in vivo expression will be complex and challenging. Genetic diversity protects species from mass casualties caused by infectious agents. One individual may be killed by a virus while Volume 5 | Issue 1 | 3 of 3Microbiol Infect Dis, 2021another may have no ill effects from the same virus. By placing the identical receptor, the spike protein, on cells of everyone in a population, the genetic diversity for at least one potential receptor disappears. Everyone in the population now becomes potentially susceptible to binding with the same infectious agent.
Autoimmunity and the opposing condition, metabolic syndrome, are well know adverse events caused by vaccines [14]. COVID-19 infections are associated with the induction of autoantibodies and autoimmune disease [15,16] making it more than plausible a vaccine could do the same. One author has found amino acid sequences coded by the spike protein to be identical to sequences in human proteins including proteins found in the CNS [17]. Autoimmunity can also be induced by epitope spreading when a foreign antigen, like the spike protein, is presented by an antigen presenting cell that also has self molecules attached to its MHC molecules.
Finally, others working in the field have published additional support that COVID-19 vaccines could potentially induce prion disease. Authors [18] found prion related sequences in the COVID-19 spike protein which were not found in related coronaviruses. Others [19] have reported a case of prion disease, Creutzfeldt-Jakob disease, initially occurring in a man with COVID-19.
Many have raised the warning that the current epidemic of COVID-19 is actually the result of an bioweapons attack released in part by individuals in the United States government [10,11]. Such a theory is not far fetched given that the 2001 anthrax attack in the US originated at Fort Detrick, a US army bioweapon facility. Because the FBI’s anthrax investigation was closed against the advice of the lead FBI agent in the case, there are likely conspirators still working in the US government. In such a scenario the primary focus of stopping a bioweapons attack must be to apprehend the conspirators or the attacks will never cease. Approving a vaccine, utilizing novel RNA technology without extensive testing is extremely dangerous. The vaccine could be a bioweapon and even more dangerous than the original infection.
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NOTE du 29 avril : Mike Yeadon est également le co-auteur, au sein du Doctors for Covid Ethics qui regroupe une centaine de médecins, de courriers adressés à l’Agence Européenne des Médicaments.
J’ai traduit ces courriers : le premier, le deuxième et le troisième. Lecture très, très importante.
Source originale. Source de la version traduite. Note d’introduction et traduction originale de Jeanne Smits, revue par moi le 15/04.
30 mars 2021
Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, met en garde contre la vaccination à grande échelle contre le COVID et en détaille les dangers
Note de Jeanne Smits :
Chers lecteurs,
Je vous propose ci-dessous la traduction d’un entretien accordé par le médecin et chercheur britannique Dr Mike Yeadon (ci-contre), ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, à Mordechai Sones d’America’s Frontline Doctors (AFLDS), à propos notamment des vaccinations – et en particulier les «vaccinations» expérimentales à ARN messager – en cours.
Mike Yeadon n’est pas un hurluberlu ; c’est un scientifique parfaitement au fait de ce qui se fait (et ne se fait pas) dans le domaine de la vaccination. Très circonspect à l’égard des « vaccins » peu testés actuellement distribués à l’échelle planétaire, il a déjà mis en garde contre leurs potentiels dangers, ayant été parmi les premiers à avertir contre le risque de thrombose qu’ils font encourir.
Mais il va plus loin. Il estime que dans certaines conditions – notamment si l’on s’avise de revacciner certaines populations en invoquant une diminution de la protection immunitaire ou une mutation du virus SARS-CoV-2 – les conséquences pourraient être désastreuses, si bien qu’il voit dans cette potentielle démarche, rendue possible par les vaccinations en cours, un moyen de nuire à une part non négligeable de la population mondiale dans les années à venir, et même une manière de procéder à une dépopulation à grande échelle.
Voilà le moment où il faut proclamer, en chœur : « Complotisme ! »
Cependant, je verse cette pièce au débat, parce que l’homme est sérieux et qu’il donne une explication intéressante pour étayer sa mise en garde.
Exclusif: l’ancien VP de Pfizer à l’AFLDS: ` »Il est tout à fait possible que ce système soit utilisé pour un dépeuplement à grande échelle »
L’AFLDS [médecins de première ligne américains] a parlé à l’ancien Vice-Président et Directeur Scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, de son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.
D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :
«Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés à l’échelle globale contre une vaste proportion de la population mondiale.
« Je ressens une grande peur, mais cela ne m’empêche pas de donner mon témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.
«Je n’ai absolument aucun doute quant au fait que nous sommes en présence de produits à la fois maléfiques (c’est un constat que je n’ai jamais fait à ce jour, en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.
«Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont décidées à administrer des “vaccins” au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même soutenir que les risques valent la peine d’être assumés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle “mécanistes”, c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ces agents fonctionnent.
«Mais tous les autres, les personnes en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas identifié.
«A aucun autre moment, il ne serait sage d’agir ainsi, par rapport à l’objectif proclamé.
«Puisque je sais cela avec certitude, et que je sais que ceux qui pilotent tout cela le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur mobile ?
«Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent. Et ce motif ne tient pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose. Sachant que, en parlant de la population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le lot, c’est cela que j’interprète comme un acte maléfique.
«Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant que la conception de ces “vaccins” consiste à provoquer l’expression, dans l’organisme des receveurs, de la protéine spike, qui a elle-même des effets biologiques indésirables qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation sanguine et activation du “système du complément” immunitaire), je suis déterminé à souligner que les personnes qui ne sont pas menacées par ce virus ne devraient pas être exposées au risque d’effets indésirables de ces agents. »
« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SARS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi dis-je cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a circulé dans certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SARS, et n’oubliez pas que le CoV-2 du SARS est similaire à 80 % au SARS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse proposer.
« Les preuves sont claires : des immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SARS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SARS original, et ils ont tous réagi ; ils avaient tous une mémoire des lymphocytes T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SARS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.
« Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si on les avait vaccinées et qu’on avait vérifié des années plus tard si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc qu’il existe des preuves très solides indiquant que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »
En d’autres termes, une exposition antérieure au SARS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SARS – a conféré l’immunité au CoV-2 du SARS. Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de Passeports Verts. Compte tenu du verdict de la Cour Suprême, pensez-vous qu’il soit possible d’empêcher de futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?
DR. YEADON : «Ce que j’ai décrit à propos de l’immunité au SARS est précisément ce que nous observons avec le SARS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans leur domaine.
« Donc, théoriquement, on pourrait tester l’immunité conférée par les cellules T de quelqu’un en mesurant sa réponse cellulaire dans un petit échantillon de son sang. De tels tests existent, ils ne sont pas “à haut rendement” et ils coûteront probablement quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers de dollars. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, uniquement dans le cadre de la recherche au Royaume-Uni.
«Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test “pour la recherche” à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si on appliquait ces tests à quelques milliers d’Israéliens non-vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après ce qu’on a constaté dans d’autres pays, 30 à 50 % de la population était déjà immunisée et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.
«Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités en me soumettant à leurs conditions ; celles-ci consistent à soupçonner tout le monde d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. On ne devrait pas avoir à prouver qu’on ne représente pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui sont inquiets de ce virus sont vaccinés, il n’y a strictement aucune raison que qui que ce soit d’autre doive être vacciné.»
Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins imparfaits contre la grippe aviaire pour réduire rapidement les populations de poulets, car les sujets non vaccinés meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, de laquelle il fallait sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les sujets non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’un vaccin imparfait est donc fonction de l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux sujets non vaccinés.
Les souches les plus virulentes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées sont atteintes moins gravement par la maladie, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui font une forme grave de la maladie et en meurent.
Êtes-vous d’accord avec cette évaluation? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes les plus exposées, la seule solution est une prophylaxie par hydroxychloroquine pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19?
Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si tel était le cas?
Et si de nombreuses personnes ont déjà l’immunité susmentionnée de 17 ans contre le SARS, cela ne les protégerait-il pas contre n’importe quel super-variant?
DR. YEADON : «Je pense que l’histoire de Geert Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination mène ou mènera à des “variants dangereux”. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.
«En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus contagieux avec le temps, à mesure qu’ils trouvent un équilibre avec leur hôte humain. En général, les variants ne deviennent pas plus dangereux.
«Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.
«C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d’“échapper à l’immunité”.
«Non seulement c’est intrinsèquement improbable – car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucun risque qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant – mais cela est empiriquement étayé par des recherches de grande qualité.
«Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants. Cet article montre POURQUOI la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants sans importance.
«Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de revaccinations sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très sournoise derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. A l’examen, ces affirmations manquent toujours de fondement, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions de test de l’efficacité des anticorps. Les anticorps jouent probablement un rôle peu important dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques “expériences naturelles” ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, si bien qu’un test élaboré dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.
«Les seules personnes qui pourraient demeurer vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont les personnes âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).
«La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de nombreuses possibilités : l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, le budésonide (stéroïde à inhaler utilisé chez les asthmatiques) et, bien sûr, la vitamine D par voie orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ceux-ci réduisent suffisamment la gravité pour qu’on puisse dire que ce virus n’aurait jamais du constituer une crise de santé publique.»
INTERVIEWEUR : Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’organisme de réglementation? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm?
DR. YEADON : «Jusqu’à une date récente, j’avais beaucoup d’estime pour les organismes mondiaux de réglementation des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, puis PDG d’une société de biotechnologie que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avions eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni. Des interactions qui ont toujours été de bonne qualité.
«Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de Réglementation des Médicaments et des produits de santé (MHRA)! Comment peut-on tolérer ça? Ils sont financés par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.
«Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts. L’Agence Européenne des Médicaments a omis certaines exigences, comme l’a révélé le “piratage” de ses dossiers concernant l’examen du vaccin Pfizer.
«Vous pouvez trouver des exemples dans le “Comité Corona” de Reiner Fuellmich, en ligne.
«Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques [NdT. j’ai traduit cette pétition ici, ainsi que le deuxième et le troisième courrier adressé à l’EMA]. Ils nous ont ignorés.
«Récemment, nous leur avons écrit à titre privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendue publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.
«Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et les gros sous de la BMGF ont installé un système où les organismes de régulation ne sont plus en mesure de refuser quoi que ce soit.
«Je dois revenir sur la question des “revaccinations” [top-up vaccines ou booster shots] ; je crains que toute cette histoire ne soit exploitée et utilisée pour permettre l’acquisition d’un pouvoir sans précédent sur nous.
«JE VOUS EN PRIE, faites passer le message qu’il faut absolument refuser les revaccinations. Elles ne sont absolument pas nécessaires.
«Comme elles ne sont pas nécessaires, mais qu’elles sont fabriquées par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation n’ont pas joué leur rôle (il n’y a pas eu de tests de sécurité), je ne peux qu’en déduire qu’elles seront utilisées à des fins néfastes.
«Par exemple, si quelqu’un souhaite nuire à ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.
«Mon opinion mûrement réfléchie est qu’il est tout à fait possible que ce système soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle.»
Exclusive: Former Pfizer VP to AFLDS: ‘Entirely possible this will be used for massive-scale depopulation’
America’s Frontline Doctors (AFLDS) spoke to former Pfizer Vice President and Chief Science Officer Dr. Mike Yeadon about his views on the COVID-19 vaccine, hydroxychloroquine and ivermectin, the regulatory authorities, and more.
At the outset, Dr. Yeadon said « I’m well aware of the global crimes against humanity being perpetrated against a large proportion of the worlds population.
« I feel great fear, but I’m not deterred from giving expert testimony to multiple groups of able lawyers like Rocco Galati in Canada and Reiner Fuellmich in Germany.
« I have absolutely no doubt that we are in the presence of evil (not a determination I’ve ever made before in a 40-year research career) and dangerous products.
« In the U.K., it’s abundantly clear that the authorities are bent on a course which will result in administering ‘vaccines’ to as many of the population as they can. This is madness, because even if these agents were legitimate, protection is needed only by those at notably elevated risk of death from the virus. In those people, there might even be an argument that the risks are worth bearing. And there definitely are risks which are what I call ‘mechanistic’: inbuilt in the way they work.
« But all the other people, those in good health and younger than 60 years, perhaps a little older, they don’t perish from the virus. In this large group, it’s wholly unethical to administer something novel and for which the potential for unwanted effects after a few months is completely uncharacterized.
« In no other era would it be wise to do what is stated as the intention.
« Since I know this with certainty, and I know those driving it know this too, we have to enquire: What is their motive?
« While I don’t know, I have strong theoretical answers, only one of which relates to money and that motive doesn’t work, because the same quantum can be arrived at by doubling the unit cost and giving the agent to half as many people. Dilemma solved. So it’s something else. Appreciating that, by entire population, it is also intended that minor children and eventually babies are to be included in the net, and that’s what I interpret to be an evil act.
« There is no medical rationale for it. Knowing as I do that the design of these ‘vaccines’ results, in the expression in the bodies of recipients, expression of the spike protein, which has adverse biological effects of its own which, in some people, are harmful (initiating blood coagulation and activating the immune ‘complement system’), I’m determined to point out that those not at risk from this virus should not be exposed to the risk of unwanted effects from these agents. »
AFLDS: The Israel Supreme Court decision last week cancelling COVID flight restrictions said: “In the future, any new restrictions on travel into or out of Israel need, in legal terms, a comprehensive, factual, data-based foundation.”
“The most likely duration of immunity to a respiratory virus like SARS CoV-2 is multiple years. Why do I say that? We actually have the data for a virus that swept through parts of the world seventeen years ago called SARS, and remember SARS CoV-2 is 80% similar to SARS, so I think that’s the best comparison that anyone can provide.
“The evidence is clear: These very clever cellular immunologists studied all the people they could get hold of who had survived SARS 17 years ago. They took a blood sample, and they tested whether they responded or not to the original SARS and they all did; they all had perfectly normal, robust T cell memory. They were actually also protected against SARS CoV-2, because they’re so similar; it’s cross immunity.
“So, I would say the best data that exists is that immunity should be robust for at least 17 years. I think it’s entirely possible that it is lifelong. The style of the responses of these people’s T cells were the same as if you’ve been vaccinated and then you come back years later to see if that immunity has been retained. So I think the evidence is really strong that the duration of immunity will be multiple years, and possibly lifelong.”
In other words, previous exposure to SARS – that is, a variant similar to SARS CoV-2 – bestowed SARS CoV-2 immunity.
The Israel government cites new variants to justify lockdowns, flight closures, restrictions, and Green Passport issuance. Given the Supreme Court verdict, do you think it may be possible to preempt future government measures with accurate information about variants, immunity, herd immunity, etc. that could be provided to the lawyers who will be challenging those future measures?
Yeadon: « What I outlined in relation to immunity to SARS is precisely what we’re seeing with SARS-CoV-2.The study is from one of the best labs in their field. »So, theoretically, people could test their T-cell immunity by measuring the responses of cells in a small sample of their blood. There are such tests, they are not “high throughput” and they are likely to cost a few hundred USD each on scale. But not thousands. The test I’m aware of is not yet commercially available, but research only in U.K.
« However, I expect the company could be induced to provide test kits “for research” on scale, subject to an agreement. If you were to arrange to test a few thousand non vaccinated Israelis, it may be a double edged sword. Based on other countries experiences, 30-50% of people had prior immunity & additionally around 25% have been infected & are now immune.
« Personally, I wouldn’t want to deal with the authorities on their own terms: that you’re suspected as a source of infection until proven otherwise. You shouldn’t need to be proving you’re not a health risk to others. Those without symptoms are never a health threat to others. And in any case, once those who are concerned about the virus are vaccinated, there is just no argument for anyone else needing to be vaccinated. »
My understanding of a “leaky vaccine” is that it only lessens symptoms in the vaccinated, but does not stop transmission; it therefore allows the spread of what then becomes a more deadly virus.
For example, in China they deliberately use leaky Avian Flu vaccines to quickly cull flocks of chicken, because the unvaccinated die within three days. In Marek’s Disease, from which they needed to save all the chickens, the only solution was to vaccinate 100% of the flock, because all unvaccinated were at high risk of death. So how a leaky vax is utilized is intention-driven, that is, it is possible that the intent can be to cause great harm to the unvaccinated.
Stronger strains usually would not propagate through a population because they kill the host too rapidly, but if the vaccinated experience only less-serious disease, then they spread these strains to the unvaccinated who contract serious disease and die.
Do you agree with this assessment? Furthermore, do you agree that if the unvaccinated become the susceptible ones, the only way forward is HCQ prophylaxis for those who haven’t already had COVID-19?
Would the Zelenko Protocol work against these stronger strains if this is the case? And if many already have the aforementioned previous “17-year SARS immunity”, would that then not protect from any super-variant?
« I think the Gerrt Vanden Bossche story is highly suspect. There is no evidence at all that vaccination is leading or will lead to ‘dangerous variants’. I am worried that it’s some kind of trick.
« As a general rule, variants form very often, routinely, and tend to become less dangerous & more infectious over time, as it comes into equilibrium with its human host. Variants generally don’t become more dangerous.
« No variant differs from the original sequence by more than 0.3%. In other words, all variants are at least 99.7% identical to the Wuhan sequence.
« It’s a fiction, and an evil one at that, that variants are likely to “escape immunity.”
« Not only is it intrinsically unlikely – because this degree of similarity of variants means zero chance that an immune person (whether from natural infection or from vaccination) will be made ill by a variant – but it’s empirically supported by high-quality research.
« The research I refer to shows that people recovering from infection or who have been vaccinated ALL have a wide range of immune cells which recognize ALL the variants.
« This paper shows WHY the extensive molecular recognition by the immune system makes the tiny changes in variants irrelevant.
« I cannot say strongly enough: The stories around variants and need for top up vaccines are FALSE. I am concerned there is a very malign reason behind all this. It is certainly not backed by the best ways to look at immunity. The claims always lack substance when examined, and utilize various tricks, like manipulating conditions for testing the effectiveness of antibodies. Antibodies are probably rather unimportant in host protection against this virus. There have been a few ‘natural experiments’, people who unfortunately cannot make antibodies, yet are able quite successfully to repel this virus. They definitely are better off with antibodies than without. I mention these rare patients because they show that antibodies are not essential to host immunity, so some contrived test in a lab of antibodies and engineered variant viruses do NOT justify need for top up vaccines.
« The only people who might remain vulnerable and need prophylaxis or treatment are those who are elderly and/or ill and do not wish to receive a vaccine (as is their right).
« The good news is that there are multiple choices available: hydroxychloroquine, ivermectin, budesonide (inhaled steroid used in asthmatics), and of course oral Vitamin D, zinc, azithromycin etc. These reduce the severity to such an extent that this virus did not need to become a public health crisis. »
Do you feel the FDA does a good job regulating big pharma? In what ways does big pharma get around the regulator? Do you feel they did so for the mRNA injection?
« Until recently, I had high regard for global medicines regulators. When I was in Pfizer, and later CEO of a biotech I founded (Ziarco, later acquired by Novartis), we interacted respectfully with FDA, EMA, and the U.K. MHRA.
Always good quality interactions.
« Recently, I noticed that the Bill & Melinda Gates Foundation (BMGF) had made a grant to the Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA)! Can that ever be appropriate? They’re funded by public money. They should never accept money from a private body.
« So here is an example where the U.K. regulator has a conflict of interest. »The European Medicines Agency failed to require certain things as disclosed in the ‘hack’ of their files while reviewing the Pfizer vaccine.
« You can find examples on Reiner Fuellmich’s “Corona Committee” online.
« Dr. Wolfgang Wodarg and I petitioned the EMA Dec 1, 2020 on the genetic vaccines. They ignored us.
« Recently, we wrote privately to them, warning of blood clots, they ignored us. When we went public with our letter, we were completely censored. Days later, more than ten countries paused use of a vaccine citing blood clots.
« I think the big money of pharma plus cash from BMGF creates the environment where saying no just isn’t an option for the regulator.
« I must return to the issue of ‘top up vaccines’ (booster shots) and it is this whole narrative which I fear will he exploited and used to gain unparalleled power over us.
« PLEASE warn every person not to go near top up vaccines. There is absolutely no need to them. »As there’s no need for them, yet they’re being made in pharma, and regulators have stood aside (no safety testing), I can only deduce they will be used for nefarious purposes.
« For example, if someone wished to harm or kill a significant proportion of the worlds population over the next few years, the systems being put in place right now will enable it.
« It’s my considered view that it is entirely possible that this will be used for massive-scale depopulation. »
Source : la traduction en anglais et la transcription originale en allemand. Traduction en français par moi . J’ai bazardé les notes de minutage et j’ai mis les notes de traduction originales sous forme standard.
Cet article étant très diffusé, j’ai encore revu et corrigé ce 7 août la traduction, qui est maintenant exacte et plus lisible.
Traduction
Entretien avec le Dr Vanessa Schmidt-Kruger
Audition n° 37 de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona du 30 janvier 2021
Il s’agit de l’audience n° 37 de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona avec Le Dr.Vanessa Schmidt-Krueger, qui débute à la minute 3.56.38 de l’audience jusqu’à la fin. La transcription a d’abord été produite en allemand, puis traduite (par Gilian Crowther, membre du BDÜ, l’Association Fédérale des Interprètes et Traducteurs).
Pour l’original, veuillez consulter l’audience 37 ici.
La Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona a été initiée par le Dr Reiner Fuellmich le 10 juillet 2020. Le Dr Fuellmich L.L.M. (UCLA) est avocat, autorisé à plaider devant tous les tribunaux de l’État Fédéral Américain de Californie. Il est avocat spécialisé dans la protection des consommateurs en Californie et en Allemagne depuis 26 ans.
La Commission d’Enquête Corona a écouté un grand nombre de scientifiques internationaux et de témoignages d’experts depuis sa création. Des recours collectifs sont en préparation aux Etats-Unis et au Canada. Des poursuites sont également en préparation en Allemagne. L’Allemagne n’autorisant pas les actions collectives, le processus y est préparé différemment. Le comité travaille également à la création de directives juridiques et de bases de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.
Ceci est son témoignage, présenté lors de la 37ème audition de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona, le 30 janvier 2021.
RF = Dr. Reiner Fuellmich \ VSK = Dr. Vanessa Schmidt-Krueger \ VF = Viviane Fischer \ MT = Marcel Templin \ Dr. H. = Dr. Holzeisen (Italie)
RF: [Le Dr. Schmidt-Krueger] mène des recherches sur les maladies cardiovasculaires et expliquera le mécanisme et les risques du vaccin.
VSK: Je suis biologiste cellulaire et mon domaine de spécialisation est la caractérisation fonctionnelle et l’élucidation des protéines, c’est-à-dire [que mon travail est de] comprendre comment les protéines sont produites, comment elles sont transportées dans la cellule, comment elles sont absorbées par les cellules, comment elles sont métabolisées, comment se déroule la communication intra- et intercellulaire, y compris dans les tissus, et comment les organes interagissent. Tout cela est très important si l’on souhaite mener une évaluation des risques: comment le vaccin fonctionne, par exemple, et les dangers/risques des nanoparticules lipidiques (NPL). Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle: c’est une nouveauté en tant que vaccin, mais nous utilisons ces NPL dans la recherche depuis plus de 20 ans, et nous avons toujours été aux prises avec le problème de la toxicité des lipides et de l’évaluer par rapport à leur efficacité.
Je voudrais vous donner quelques explications, à partir de l’exemple du vaccin BioNTech, en me concentrant sur quelques points spécifiques. J’ai amené quelques notes.
Le premier point est que le vaccin BioNTech déjà utilisé actuellement n’est pas hautement purifié, il contient des contaminants de certains composants. Ça figure dans le rapport d’évaluation ouvert de l’EMA [NdT. European Medicine Agency] , l’agence qui a accordé l’autorisation à ce vaccin. L’EMA a rédigé ce rapport et couvre ce point.
Deuxièmement, je voudrais aborder la première étude clinique du vaccin BioNTech, et comment la quantité de vaccin à utiliser a été déterminée: cela n’a pas été correctement caractérisé d’un point de vue scientifique, à mon avis.
Le point n°3 concerne les effets ou les risques des NPL, et encore une fois je me concentrerai sur le vaccin BioNTech, l’étude préclinique qu’ils ont menée, tout ce qui en est ressorti, et ce qui n’a pas été discuté publiquement, et aussi ce que les publications en disent. Ce n’est fondamentalement pas la seule étude de recherche [à ce sujet].
Et enfin, si nous avons le temps, je voudrais parler des conséquences à long terme qui concernent les maladies immunitaires, un aspect qui n’a pas du tout encore été discuté publiquement.
RF: Je ne sais pas si vous en êtes consciente, mais juste à côté de vous [à l’écran] se trouve le collègue Dr. Holzeisen, qui est la personne-clé de la construction du plaidoyer pour l’annulation de l’autorisation du vaccin: ce que vous dites aujourd’hui aura probablement un impact substantiel sur le procès que nous formulons et soumettrons à l’Agence Européenne des Médicaments/à la Commission Européenne.
VSK: Ok, ravie de vous aider. J’ai pris des notes et je peux les soumettre par écrit plus tard. Bien. Pourquoi tout cela n’est-il pas discuté? Une des raisons possibles est que ce rapport d’évaluation ouvert est rédigé en anglais et que la moitié de l’Allemagne ne parle pas l’anglais. Ensuite, il y a le fait qu’il faut être très familier de toute la terminologie médicale qu’on trouve dans ce rapport. Et puis il y a toutes les technologies et opérations cellulaires décrites: seuls les spécialistes comme moi peuvent réellement les comprendre. Je suis ici pour cette raison et pour essayer d’éclaircir tout ça.
Fondamentalement, le rapport du comité de l’EMA comprend deux rubriques principales: l’une concerne les bonnes pratiques de fabrication (BPF), c’est-à-dire tous les processus de production, la purification, le niveau de qualité et les mécanismes de contrôle. Et la deuxième rubrique concerne l’étude préclinique.
Dans la première section sur les BPF, ils ont fait du très bon travail, à mon avis: ils ont été très critiques, ont demandé la soumission ultérieure d’un grand nombre de preuves scientifiques et ont demandé de nombreuses améliorations. Ils on été très critiques et précis dans leurs détails, et j’en ai été impressionnée. Mais leur approche des effets secondaires, dans la deuxième rubrique, contraste beaucoup avec la première. Ils n’ont procédé à aucun examen critique, beaucoup d’effets secondaires n’ont pas du tout été discutés publiquement, ils n’ont pas non plus examiné de manière critique les conséquences de l’injection de ces produits aux humains, en particulier chez les groupes vulnérables qui souffrent déjà de certains troubles des organes, groupes qui sont particulièrement sensibles à ces effets indésirables. Je les détaillerai à la fin.
Nous savons que la mise au point de vaccins prend normalement beaucoup de temps. Pas seulement pour la phase clinique: pour ce vaccin, elle est fixée à trois fois deux ans et demi, soit trois phases de deux ans et demi chacune, plus la phase d’évaluation, ce qui fait sept ans et demi au total. Et puis il ne faut pas oublier l’optimisation de la production qui est aussi importante, il faudrait sûrement minimum un an pour y arriver. Cela n’a pas du tout été fait. Le vaccin est déjà vendu et utilisé, mais l’optimisation de la production n’est pas encore achevée. Et il y a des lacunes considérables.
Je voudrais aborder la question des déficiences de la substance active: j’entends par là l’ARN modifié qu’ils synthétisent. Le deuxième problème est qu’il y a des lacunes dans la cohérence des différents lots de production: ils doivent toujours être cohérents pour garantir un volume et une qualité de vaccin constants.
Le problème rencontré par BioNTech est qu’en phase clinique, le produit, c’est-à-dire l’ARN, a été fabriqué avec des techniques complètement différentes de celles utilisées actuellement. Pendant la phase clinique, ils n’avaient besoin que de petits volumes de vaccin, ils ont pu utiliser des techniques très coûteuses qui ont fourni des produits finaux hautement purifiés. Maintenant qu’ils ont commencé leur production de masse, ce n’est plus possible, ils ont dû passer à des processus moins coûteux, par exemple en utilisant d’énormes quantités d’ADN, qui sert de substrat pour la production de l’ARN dans une réaction de transcription in vitro. Cela se fait via des bactéries, via la fermentation de bactéries transformées qui contiennent cet ADN. Les bactéries multiplient l’ADN en énormes quantités, ce qui entraîne de nouveaux dangers ou risques, en particulier de contamination. Par exemple, actuellement l’ADN est transformé dans la bactérie, il est multiplié, ensuite les bactéries sont ouvertes et l’ADN en est extrait, puis il est linéarisé via des enzymes, ensuite l’ADN linéarisé subit une transcription in vitro pour produire l’ARN par diverss procédés. Le comité de l’EMA a requis plusieurs choses du fabricant du vaccin, c’est-à-dire BioNTech. Le demandeur doit à présent développer et appliquer divers procédés d’analyse pour s’assurer que le substrat est exempt de contaminants microbiologiques – ils sous-entendent E. Coli, par exemple. Il ne semble pas y avoir de processus pour garantir ou surveiller ça. Ils doivent également s’assurer que tous les buffers – ce sont les solvants utilisés – sont exempts d’ARNases. Les ARNases sont des enzymes qui dégradent l’ARN. S’il y a contamination par ces solvants ARNases, l’ARN dans le vaccin sera dégradé et le vaccin n’aura plus aucun effet. Ils doivent également analyser la force de l’activité des enzymes; c’est très important car j’ai expliqué qu’à l’étape suivante, l’ARN est transcrit à partir de l’ADN et ensuite l’ADN doit être éliminé, il est digéré par des enzymes: par des ADNases. Et si cet ADN n’est pas assez bien digéré, s’il reste des résidus, cela comporte des risques – je reviendrai sur les risques liés aux résidus d’ADN, mais l’activité des enzymes doit être bien surveillée et à la fin on doit avoir un ARN pur sans traces d’ADN. Et ce n’est pas le cas. BioNTech a admis qu’il existe des contaminations d’ADN.
Des exigences ont également été formulées concernant le fait qu’ils n’ont pas réalisé d’étude de vérification du transport. Cela signifie qu’ils n’ont aucune idée de la viabilité du vaccin après son transport. C’est actuellement en cours.
Ensuite, il y a la stérilité du flacon du vaccin. Ils ont de bons flacons, ils les ont testés, mais on leur a demandé de développer un nouveau «test rapide» afin que le médecin ou la personne qui administre le vaccin puisse effectuer ce test pour vérifier si le lot qu’ils ont acheté est vraiment stérile.
C’est une simple précaution supplémentaire, qui devrait être prise.
Et puis, ils n’ont pas de norme spécifique pour les différents lots.
On a constaté que l’intégrité de l’ARN varie systématiquement dans les lots fabriqués. J’y reviendrai. Il doit y avoir une norme qui doit être la même pour chaque lot. Celle-ci doit être utilisée comme référence pour mesurer la [conformité à] la norme. Et ils n’en ont bien sûr une que pour les processus de la phase clinique. Nous devons maintenant créer une nouvelle norme pour les nouveaux procédés de fabrication, c’est-à-dire pour les ventes commerciales. Cela n’a pas encore été fait, ils sont en train de le faire maintenant.
Donc – l’intégrité de l’ARN signifie bien sûr la qualité de l’ARN. Ils ont constaté qu’elle n’était pas très élevée: elle était plus élevée pour les processus de la phase clinique. Dans ce rapport, ils ne disent pas à quel degré, mais j’ai des informations qui montrent que 78% de l’ARN était correct [NdT. cela fait référence à l’intégrité], le reste ne l’était pas, mais on a maintenant trouvé de nouveaux lots dont l’ARN n’est intègre qu’à 55%, c’est-à-dire que la moitié de celui-ci n’est simplement pas viable. Je vais à nouveau l’expliquer: lors de la synthèse de cet ARN, l’ADN sert de modèle, puis l’ARN est produit. Il est possible qu’un ARN incomplet soit produit, que le processus soit interrompu prématurément, il faudrait vérifier. Il existe des méthodes d’analyse pour vérifier quel pourcentage du produit fabriqué a la longueur totale de l’ARN (100%) et quel pourcentage n’est que de 80%, ou autre. Ces fragments d’ARN tronqués sont par conséquent plus instables: au bout de l’ARN, il y a une adénine attachée, et plus cette «queue» est longue, plus l’ARN est stable dans la cellule. Si celle-ci est tronquée, l’ARN est dégradé dans la cellule assez rapidement, et aucune protéine ne peut être formée: dans le pire des cas, il se forme si peu de protéine qu’aucune réponse immunitaire ne peut se produire. Mais c’est le pire des cas. Si l’intégrité de l’ARN n’est que de 55% et que les 45% restants ne sont que des morceaux tronqués, parce qu’on détecte des morceaux d’ARN raccourcis, le comité de l’EMA voulait savoir si des morceaux de protéines tronquées seraient produits et quelle quantité de protéine appropriée [NdT. c’est-à-dire, la protéine de pointe] est produite. Tout cela doit être analysé.
RF: Vous nous expliquez tout ce qui cloche côté production, et un risque qui ne semble pas du tout avoir été discuté – du moins je n’ai rien lu sur ce dont vous venez de parler – est que 45% de l’ARN produit à partir de l’ADN n’est pas viable.
VSK: Il peut être non-viable si la protéine n’est pas formée – BioNTech doit le vérifier maintenant parce qu’on peut rendre les protéines visibles en utilisant une technique spécifique, et on peut ainsi voir la taille des protéines. Elles sont triées en fonction de leur taille, et si des protéines tronquées sont fabriquées du fait de morceaux d’ARN raccourcis, on peut le voir parce que de nouvelles protéines plus courtes se forment. Dans leur analyse, ils ont vu différentes bandes, c’est-à-dire différentes tailles de protéines, et le comité de l’EMA aimerait savoir de BioNTech si ces différentes tailles se rapportent toutes à la même protéine ou non – s’il s’agit d’autres protéines – des protéines raccourcies qui n’ont peut-être aucun effet, et quel pourcentage de la protéine correcte recherchée est réellement présente dans la dose de vaccin. La quantité produite.
VF: Les petites protéines: pourraient-elles simplement n’avoir aucune fonction, ou pourraient-elles produire un autre effet?
VSK: Je suppose qu’elles seraient alors sans fonction.
RF: Au moins, elles ne feraient pas de dégâts alors?
VSK: Oui, ce ne sont pas des protéines complètement différentes, ce n’est qu’une petite fraction de la protéine de pointe.
VF: Et juste une autre question à propos de l’ADN – quel type d’ADN se retrouve [NdT. dans le vaccin], quels effets cela pourrait-il avoir?
VSK: La séquence de l’ADN est complémentaire de l’ARN, ce qui est nécessaire pour que l’enzyme ait une «matrice», de sorte que l’ARN puisse être «lu». L’ARN est transcrit par l’ADN, qui est essentiellement le gène de la protéine de pointe. Le gène code pour la protéine; l’ARN est le produit intermédiaire.
WW: Si des morceaux plus courts sont produits, c’est-à-dire pas les protéines plus longues mais ces courtes sections, je pense au système immunitaire. Il existe de nombreuses homologies en biologie, le système immunitaire réagit différemment à ce qui est produit dans la cellule. Est-il possible que certaines choses – que quelque chose y soit reconnu par le système immunitaire qui conduirait à des réactions croisées – conduirait à une immunité aberrante ou à des réactions immunitaires aberrantes? Je m’intéresse à l’aspect immunologique de ces contaminants.
VSK: La protéine a une longueur de séquence spécifique et un nombre spécifique d’acides aminés, ce qui entraîne un repliement spécifique de la protéine. Si l’ARN est tronqué, il est possible que le repliement soit différent, ce qui peut bien sûr avoir un effet sur la formation d’anticorps. Je ne dirais pas que cela aurait un effet négatif parce que la protéine doit atteindre la surface cellulaire pour que la cellule la reconnaisse. S’il est très tronqué, alors il ne trouvera pas son chemin jusque là, il ne s’ancrera pas dans la membrane, il sera sécrété par la cellule et entrera dans le flux [sanguin]. C’est donc théoriquement possible, mais je pense que la probabilité est très faible qu’une autre protéine ou une protéine pliée différemment soit produite et provoque d’autres types d’effets secondaires.
WW: Merci.
VSK: Pour revenir à la question de Mme Fischer sur l’ADN. Le problème est que quand il contient des contaminations d’ADN, la situation est la suivante: eh bien, avec l’ARN, il est relativement peu probable qu’il puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte. La situation est différente avec l’ADN, et surtout dans ce cas parce que il y a des contaminants d’ADN linéarisé. L’intégration de l’ADN dans le génome nucléaire est vraiment relativement rare – de nombreux facteurs différents doivent être réunis pour que ça arrive. Tout d’abord, la cellule doit se diviser; si elle se divise correctement, il ne peut pas être intégré car le génome cellulaire est dans le noyau de la cellule et ce noyau cellulaire doit d’abord se dissoudre. Mais il ne le fait que lorsque la cellule se divise. J’y reviendrai, car les nanoparticules lipidiques pénètrent dans toutes les cellules, pas seulement les cellules musculaires – c’est une erreur de le croire.
RF: C’est important, c’est ce qui compte vraiment.
VSK: Il est donc théoriquement possible que cet ADN linéarisé présent comme contaminant puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte dans une cellule en division, l’ADN linéarisé est optimal pour l’intégration. L’ADN circulaire ne l’est pas. L’ADN des bactéries est circulaire et n’est pas aussi facile à intégrer. Cela arrive, mais pas si souvent. Mais dans une situation comme celle-ci, ça se produit plus souvent. Voilà le risque. Je ne voulais pas vraiment discuter de ce qui peut arriver si tel est le cas: les gènes peuvent être activés et désactivés, régulés à la hausse et à la baisse, un cancer peut se développer – il y a beaucoup de possibilités. Il faut donc absolument réduire cette contamination.
RF: Pouvez-vous nous expliquer à nouveau, parce que c’est particulièrement important pour nous en tant qu’avocats, en particulier pour le Dr Holzeisen. Que peut-il se passer dans ce cas?
VSK: D’accord. Cette intégration: là où elle se produit, c’est dans le génome nucléaire – nous ne pouvons pas la contrôler, elle peut arriver n’importe où. Il y a des sections de l’ADN qui y sont vulnérables, et d’autres qui ne le sont pas. Et il est important de savoir où l’ADN atterrit. Il peut atterrir sur un gène: alors le gène deviendra dysfonctionnel, la protéine ne se formera plus, et s’il s’agit d’une protéine importante, la cellule peut mourir, et si cela continue à se répliquer, cela peut causer des dommages vraiment énormes. Si, par exemple, il atterrit dans une cellule importante qui se divise fréquemment, alors des clones peuvent apparaître qui seront modifiés, ils seront modifiés par le gène, et dans ce cas, dans ces cellules clonées, ces protéines ne seront plus produites et, dans le pire des cas, il y aura une perte de fonction. S’il saute dans des gènes qui ont un effet régulateur sur l’expression génique, alors les gènes peuvent être activés ou régulés à la baisse, c’est-à-dire que la sortie sera différente. Et cela signifie que le métabolisme de la cellule va changer. Si cela est transmis lors de la réplication, alors cela peut occasionner de nombreuses modifications dans le corps.
WW: Mais ce sont des processus qui ne sont probablement pas les mêmes chez tous les patients. La question de savoir si cela se produit est tout au plus stochastique, et si cela se produit, les résultats dépendent probablement également de chaque individu et de ce qui se passe dans ses cellules. Donc, personne ne peut affirmer que quand on fait ceci, c’est cela qui va se passer, ce sont des éventualités – si un million ou deux et tant de milliers de personnes sont vaccinées, alors on peut pourra-être dire avec un certain degré de probabilité après 10 ou 20 ans si quelque chose va se passer ou non.
VSK: Oui.
WW: Pour certaines choses peut-être après 3 ou 4 ans. Mais il faut un certain temps pour pouvoir détecter cliniquement de tels effets.
VSK: C’est exactement ça. On ne trouve jamais un groupe qui a tout le temps la même mutation, cela varie selon les personnes – exactement.
RF: Cette description ne correspond pas au mode de fonctionnement normal d’un vaccin, de ce que nous avons connu jusqu’à présent, les possibilités que vous décrivez semblent rappeler davantage une intervention génétique ou peut-être devrait-on dire une expérience génétique?
VSK: Oui, c’est vrai. Le vaccin lui-même, même si l’ADN – cette contamination – n’y figurait pas, est toujours une intervention génétique. J’en parlerai davantage, alors vous serez en mesure de le comprendre très clairement. Mais je ne sais pas à quel point la contamination est élevée, ils ont seulement indiqué le fait qu’il [le vaccin] était contaminé.
VF: Mais dans le contexte de ce problème d’ADN, en particulier dans le cas des cellules en division, la question qui se pose est qu’il est probablement particulièrement dangereux de vacciner les femmes enceintes ou les enfants, car dans ces cas les cellules se divisent beaucoup plus que dans un adulte ou une personne très âgée.
VSK: C’est absolument le cas.
WW: Dans le cas des femmes enceintes, il y a aussi le problème que leur système immunitaire réagit différemment de celui des femmes qui ne sont pas enceintes. Parce que pendant la grossesse, le système immunitaire est commuté afin que le fœtus soit toléré et non rejeté. Il réagit différemment en conséquence. Cela peut également avoir une incidence pour cette vaccination, cela peut entraîner des complications pendant la grossesse, ainsi que chez les personnes âgées, où certains processus n’ont plus lieu – le système immunitaire tolère plus que la normale et des complications immunologiques en résultent. Cela peut arriver chez les personnes âgées et pendant la grossesse.
VSK: Mais comme je l’ai dit, nous sommes tous à risque car nos cellules sont soumises à un dynamisme permanent: des millions de cellules en nous se dégradent et se renouvellent chaque jour: il faut considérer toutes les cellules souches, toutes les cellules immunitaires, il y a un flux constant: si ces contaminants interfèrent, alors…
C’est pourquoi le vaccin AstraZeneca est d’un calibre totalement différent.
Mais pour rester sur le sujet de BioNTech: il y a d’autres contaminants, il y a l’ARN double brin par exemple. Le comité de l’EMA dit que c’est léger, c’est acceptable, mais…
Il [le comité] mesure les quantités qui s’y trouvent: une partie des 30 microgrammes est de l’ADN double brin… c’est encore quelque chose qui ne peut pas être utilisé.
Ok, donc l’EMA dit au fabricant du vaccin que les critères d’acceptation de l’intégrité de l’ARNm, de l’ARN double brin et de ces fragments d’ARN raccourcis, etc., que tout doit être réévalué, et dès que d’autres données seront disponibles, ils les examineront de nouveau.
Bien. Ensuite, il y a aussi les contaminants liés aux lipides qui sont utilisés pour ces nanoparticules lipidiques (NPL). Ils ont parfois observé des particules visibles dans les flacons prêts. Ils ne savent pas pourquoi. Ils ne pensent pas que ça soit à cause du stockage. Ils ont mis en place certains systèmes de surveillance automatique chez les fabricants, et aussi en aval dans le processus, qui vérifient et surveillent tout ça, mais ça doit être amélioré, ce n’est pas suffisant pour l’EMA. Le médecin qui manipulera ce flacon est censé vérifier si ces particules sont présentes. Si tel est le cas, il doit être jeté. Je ne sais pas si cela a été communiqué.
RF: Mais pour revenir là-dessus: vous venez de dire que l’EMA a spécifié plusieurs exigences, et quand elles auront été remplies, ils [les fabricants] devraient les soumettre à nouveau. Alors, comment se fait-il que les vaccinations aient déjà lieu?
VSK: C’est la question que je vous pose!
Une telle pression politique.
Dr H: C’est criminel, incroyable. Terrifiant.
WW: Un autre point est qu’aux Etats-Unis et ailleurs, il est désormais permis de combiner différents vaccins pour le premier et le deuxième vaccin… Mélanger les différents vaccins pour qu’on ne puisse même pas tirer de conclusions claires, et ce pendant que les études sont toujours en cours – enfin, ce qui est censé être des études. Les doses de vaccin sont mélangées de sorte que vous pouvez à peine déterminer quel vaccin a quel effet et a quel effet secondaire. Cela semble intentionnel, c’est comme ça aux USA, les vaccins Moderna, BionTech et AstraZeneca peuvent être mélangés – si l’un n’est pas disponible, un autre peut être utilisé. Cela rend impossible d’avoir une vue d’ensemble et cela signifie qu’il ne peuvent pas non plus être évalués dans l’étude d’observation – ce qui signifie que nous volons à l’aveugle.
VSK: Oui, c’est exactement comme ça que je le vois. Ils ont une date limite à la fin juillet de cette année pour ces enquêtes, puis la décision sera prise quant à savoir si le vaccin reçoit ou non l’autorisation finale; il n’y a pour le moment qu’une autorisation temporaire d’après ce que j’ai compris. Le problème est que toutes ces techniques d’analyse, ces protocoles, tous ces engagements qu’ils doivent prendre, tout cela se déroule en parallèle avec l’administration des vaccins – c’est ça qui est si désastreux.
RF: Si nous attendons juillet, il n’y aura plus d’Israéliens pour autant que je sache. Putain de merde.
Dr H: En même temps, la Commission Européenne, en la personne de son Président, a donné des instructions claires pour faire vacciner la plupart des adultes d’ici juillet, en particulier ceux qui souffrent déjà de maladies sous-jacentes, et nos professionnels de la santé, etc. Il y a une énorme pression en faveur de la vaccination obligatoire. C’est criminel. Nous allons certainement déposer une plainte pénale la semaine prochaine: cette information était la preuve finale dont nous avions besoin. Le plaidoyer en annulation, si nous ne le déposons pas auprès de la Cour de Justice Européenne – nous essaierons de le faire la semaine prochaine. Je vous demanderai de me soumettre rapidement vos notes écrites, s’il vous plaît, c’est essentiel, nous devons vraiment accélérer ces travaux, cela coûte des vies chaque jour à travers le monde. Nous pouvons essayer de le bloquer au niveau de l’UE. C’est affreux.
RF: Nous ferons de même aux USA, nous en avons déjà discuté, mais c’est prêt Renate, ça vous a été envoyé.
Dr H: Cette information, si vous pouviez m’envoyer après par écrit ce que vous avez dit ici, ce serait vraiment superbe.
VSK: Je vous enverrai tout. Les informations sont publiques, elles figurent dans le rapport d’évaluation.
Dr H: C’est clair, nous l’avons vu aussi, mais il est toujours important d’avoir un commentaire cohérent aussi.
VSK: C’est bien. Alors je vais continuer. Il existe également des contaminants dans les lipides. Il y a deux nouveaux lipides, ils se sont concentrés sur eux. L’un est ALC-0315, c’est-à-dire le lipide cationique, et l’autre est ALC-0159, le peptide PEGylé, le composant PEG. Et ils ont constaté qu’il y a des contaminants dans le produit final dans certains lots. Ils ne savent pas d’où ils viennent, probablement du lipide cationique. Il leur faut désormais savoir d’où proviennent les contaminants, et l’EMA leur a donc demandé de rédiger un rapport sur le fonctionnement de la synthèse chimique, d’où ils l’obtiennent, c’est-à-dire le fabricant, ce qui signifie effectuer un contrôle sur les matières premières et les solvants. Ils doivent énumérer les étapes essentielles de la synthèse. Et ils doivent faire tout cela avant la fin du mois de juillet 2021. Ils ne connaissent donc pas la source des contaminants, et le comité de l’EMA n’a pas examiné les conséquences possibles de cette contamination.
Il n’y a aucune preuve de contamination pour le PEG, mais ils doivent également documenter leur stratégie de contrôle de qualité, de pureté, etc. à ce sujet, également par écrit.
Le comité de l’EMA a émis des plaintes sur environ 20 points en tout, sur les bonnes pratiques de fabrication. Ce sont des points très vastes, ce sera un grand défi de gérer cela en six mois, à mon avis, et ils ont émis 23 recommandations pour le développement ultérieur de la qualité du produit. Et puis il y a encore six pages à la fin. Je les cite: «L’évaluation du risque pour la sécurité est considérée comme acceptable; il existe des calculs théoriques des concentrations les plus défavorables des résidus du processus de fabrication, mais ceux-ci se sont avérés inférieurs aux limites de sécurité établies». Cela signifie que notre santé dépend de calculs théoriques et non de tests réels dans la pratique.
Je voulais juste que ça soit dit.
RF: Que font ces lipides? Nous avons entendu partout – pas des médias grand public bien sûr, vous n’entendrez pas un mot critique de leur part – mais nous apprenons par des rapports sur Internet qu’à Gibraltar, par exemple, 53 personnes sont mortes après vaccination. En Allemagne, nous apprenons que la même chose se passe dans les maisons de retraite. Les personnes qui viennent d’être vaccinées meurent immédiatement après ou tombent très malades, tandis que celles qui n’ont pas été vaccinées restent dans le même état que précédemment. Et nous avons entendu dire par des scientifiques de haut niveau que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec les lipides ou les liposomes qui, chez certaines personnes, conduisent immédiatement à une très faible saturation en oxygène dans les poumons, ou qui s’accrochent d’une manière ou d’une autre dans le cerveau et provoquent des problèmes neurologiques – tremblements et tout types de dysfonctionnements [NdT. voir ici]. Cela a-t-il quelque chose à voir avec les lipides?
VSK: Je peux le confirmer. C’est le grand sujet que je voudrais aborder à la fin. Pouvons-nous y revenir plus tard? Je vais vous expliquer cela en détail, c’est vraiment le cas.
Ok – J’en viens maintenant à mon deuxième point, qui est la détermination de la dose de vaccin, qu’ils étaient censés analyser dans la phase clinique 1. Il y a une phase clinique 1, et BioNTech a pour tâche non seulement de détecter les effets secondaires, c’est-à-dire effets indésirables spontanés, mais aussi de déterminer la dose de vaccin. Ils ont testé trois ou quatre doses de vaccin différentes – 10 microgrammes d’ARN, 20 µg et 20 µg respectivement en deux doses, et [Inaudible] d’une seule injection. Et puis ils ont effectué leur test et les patients étaient censés prendre des notes dans un journal numérique pendant sept jours. En résumé, ils ont découvert que plus la dose de vaccin était élevée – plus la concentration d’ARN était forte et élevée – plus les effets secondaires étaient fréquents. En général, on peut dire qu’il y a toujours eu des effets secondaires plus nombreux et plus forts avec la deuxième dose qu’avec la première. Les participants plus âgés de l’essai en avaient moins parce que leur système immunitaire est déjà âgé et n’est pas si réactif. Ils ont naturellement analysé les effets secondaires publiés – fièvre, fatigue, maux de tête, douleurs articulaires, myalgie, frissons, vomissements, diarrhée. Rien de plus n’est couvert dans la publication – nous ne savons pas s’il y en a eu plus. Ils ont également examiné le nombre d’anticorps produits et combien se lient à la protéine de pointe: ils ont fait un test de liaison et étudié les anticorps lorsqu’ils rencontrent un virus. Ils ont généré un virus SARS-CoV-2 artificiel qui contient un GFP [NdT. «green fluorescent protein», je pense que c’était mNeonGreen – un marqueur fluorescent], c’est-à-dire que les cellules infectées par le virus s’allument en vert, ainsi on peut compter le nombre de cellules vertes à la fin. Et si l’on isole ensuite les anticorps des participants vaccinés et qu’on les mélange avec les virus, alors ils neutralisent partiellement les virus, et on a moins de cellules vertes, ce qui est observable. Donc, pour résumer, le vaccin a un effet positif, mais la critique est qu’il n’y a pas de corrélation positive entre les différentes doses de vaccin, c’est-à-dire que nous constatons le même effet à 10, 20 et 30 microgrammes. Malgré cela, ils veulent utiliser 30 microgrammes comme dose de vaccin. Bien que 30 microgrammes aient beaucoup plus d’effets secondaires que 10 microgrammes. Les avantages sont les mêmes, mais le risque est différent. Cela n’est pas scientifiquement justifié. Si j’écrivais une demande d’essai sur des animaux et que je voulais vacciner les animaux avec 30 microgrammes et que je devais justifier pourquoi 30 microgrammes, pourquoi pas 10, ma demande d’essai sur animaux serait immédiatement rejetés si j’obtenais le même effet avec 10 microgrammes. Il n’y a tout simplement aucun avantage supplémentaire à augmenter le volume d’ARN dans ces tests.
WW: J’ai une question: est-ce que ces valeurs de microgrammes incluent les additifs, les NPL sont-ils inclus, ou ces dosages se réfèrent-ils uniquement à l’ARNm?
VSK: La dose se réfère uniquement à l’ARNm. Mais ils sont bien sûr enveloppés dans les NPL, et plus le dosage en microgrammes d’ARNm est élevé, plus vous avez besoin de NPL.
WW: Ok
VF: Est-ce une question de coûts?
WW: Si les effets secondaires proviennent des nanoparticules, alors la dépendance à la dose pourrait être expliquée par cela, et non par l’effet de l’ARNm.
VSK: Les effets secondaires?
WW: Oui
VSK: Oui bien sûr. Parce que ceux-ci sont principalement dus aux NPL. Mais j’y reviendrai à la fin.
Le fait est que l’étude clinique de phase 1 sert normalement à déterminer la quantité de vaccin dont on a besoin; il est important de prouver la dose de vaccin nécessaire. Quelle dose de vaccin est nécessaire pour obtenir l’effet recherché, en somme. Pour ce faire, il faut effectuer un test statistique avec toutes les doses de vaccin différentes: en science, c’est un cas clair de [test de Wanneranzapf mengen – inaudible – un test de volume avec un nom], c’est un test particulier qu’on doit utiliser, qui indique s’il existe une corrélation positive, c’est-à-dire si l’effet augmente en fonction de l’augmentation de la dose de vaccin ou non, s’il diminue ou s’il reste le même. Ils n’ont pas fait ce test, avec comme excuse qu’il y avait trop peu de points de données par groupe, c’est-à-dire qu’ils n’avaient que 12 participants à l’essai par groupe. Je me demande, s’ils le savaient dès le départ, pourquoi ils n’ont pas inclus plus de participants dans l’essai. Et deuxièmement, c’est une excuse absolument stupide car tout scientifique serait satisfait d’avoir 12 points de données par groupe, soit 12 participants à l’essai par groupe. Il est tout à fait possible d’en tirer une conclusion statistique – on peut le faire avec 5 ou 6 personnes, cela ne donnera pas de résultats aussi fiables, mais avec 12 personnes par groupe, on peut tirer une assez bonne conclusion quant à savoir s’il existe une corrélation ou non. Si je regarde le tableau – et j’ai un œil exercé – et que je compare les valeurs médianes et la dispersion des données, je peux déjà dire qu’il n’y a pas de corrélation. Quel que soit le test que je fais, il fluctue, ils ont tous plus ou moins le même effet. C’est à dire, l’excuse qu’ils ne voulaient pas faire ce test… ou disons que s’ils avaient fait ce test, ils auraient produit la preuve que 30 microgrammes serait une dose trop élevée, ils auraient dû utiliser des doses de vaccin de 10 µg.
RF: Mais c’est une erreur particulièrement flagrante. Si cela fait partie de l’essai de phase 1 de tester la dose efficace, si d’autre part vous nous dites, Dr Schmidt-Krueger, que cela n’augmente pas l’efficacité, l’efficacité reste la même indépendamment du fait que 10 µg ou 30 µg sont utilisés mais les effets secondaires augmentent, c’est une faute médicale grave.
VSK: Vous avez parfaitement compris. C’est exactement ça. À mon avis, ils n’ont intentionnellement pas pratiqué le test parce qu’ils en auraient eu la preuve et n’auraient plus eu aucune justification pour 30 µg. De plus, ils trouvent l’excuse ridicule qu’ils ne peuvent pas faire le test parce qu’ils n’ont pas assez d’échantillons.
MT: Tout d’abord, je me demande combien coûte ce vaccin. Si j’ai besoin de plus de cet étrange liquide, ce sera plus cher, et pour moi, en tant que profane, cela n’a pas vraiment d’impact sur la question de savoir si – je veux dire, si on suppose que c’est un traitement miracle, qu’est-ce que j’ai comme bénéfice si j’augmente la dose, ou est-ce que je me trompe? N’aurais-je pas plus de bénéfice du vaccin si je dis dès le départ que je dois en utiliser moins? Ou est-ce que je comprends mal quelque chose?
VSK: Nous savons que le flacon de vaccin est pour 5 personnes, mais il y en a assez pour 6. On en donne un peu moins, mais on sait déjà que cela fonctionnera pareillement.
RF: Ce que vous expliquez ici a d’autres conséquences. Nous constatons que cela a des effets néfastes qui peuvent aller jusqu’à la mort, cela et ce qui se passe ici jouera un rôle extrêmement important car les médecins doivent assumer leurs responsabilités, ils y participent – c’est une faute médicale grave.
Cela implique également un renversement de la charge de la preuve. Ceux qui ont subi des dommages n’ont plus à fournir la preuve que la cause en est le vaccin: le médecin doit prouver que ce n’était pas le vaccin et qu’il n’est pas coupable. Ce sera un argument très fort.
VF: Désolée, une autre question sur les coûts. Normalement, on pourrait penser – après tout, c’est une entreprise commerciale – qu’on n’y mettrait pas des ingrédients qui représentent trois fois la quantité réellement nécessaire: l’ARN a sûrement un coût.
VSK: Cela nous coûte plus cher!
RF: C’était la question évidente. Plus on en injecte aux gens, plus ça coûte cher, c’est logique. C’est un résultat remarquable et difficile à expliquer – au contribuable en particulier.
VF: Disons que le prix que les gens sont prêts à payer pour un produit de ce genre, dont ils ne savent pas vraiment ce qu’il contient, est de 50 euros, ce prix n’augmenterait pas vraiment si j’en mettais trois fois plus. Donc, si ça a le même effet, ils pourraient dire que c’est l’effet qui coûte 50 euros. Ont-ils négocié un prix en fonction du nombre de particules d’ADN qu’il contient ou autre chose?
RF: Les contrats sont secrets. Savez-vous quelque chose à ce sujet, est-il calculé en fonction de la quantité de [l’ARN dans les] vaccins? Je ne peux vraiment rien imaginer d’autre.
VSK: Je ne sais pas à quel point les données sont fiables, mais j’ai entendu dire que normalement il y a 5 vaccins dans un flacon, mais ils facturent 6 vaccins par flacon. Bien que l’entreprise n’ait pas de frais supplémentaires pour cela. C’est une information dont je dispose, mais je ne sais pas si c’est vrai, je viens de l’entendre.
Dr H: Et autre chose. Le vaccin est mélangé à la main: on prend le flacon, on prend l’unité de mesure nécessaire pour une personne, on y ajoute une solution saline, puis on l’injecte?
VSK: Oui, il arrive déshydraté, c’est-à-dire que toute l’eau est éliminée. Il contient une petite quantité de poudre blanche. Elle est ensuite dissoute dans une solution saline et on doit ensuite en retirer les quantités respectives. Les personnes qui ont reçu cinq fois la dose ont probablement reçu tout le flacon.
Dr H: Exactement, c’est là que je voulais en venir: tout d’abord, pourquoi font-ils cela? Cela me semble être une vulnérabilité évidente dans le système. C’est vraiment une source d’erreur. Est-ce à cause des volumes de transport ou de quoi s’agit-il?
VSK: Oui, le transport est bien meilleur lorsqu’il est déshydraté. Il peut être mieux stocké de cette façon.
Dr H: Ceci explique cela. Je trouve ça risqué. D’après ce que j’ai entendu, ça a mal tourné. Quelqu’un a en fait oublié de diviser la bonne quantité et le patient a reçu cinq fois la dose. Quels seraient les risques à votre avis?
VSK: [inaudible, je pense que ça doit être «Les dommages»] sont beaucoup plus élevés. Mais j’y reviendrai. Parlons encore du volume: ce que j’ai couvert n’est pas le seul point de critique, tant que nous sommes sur ce sujet. Dans la même étude, ils affirment qu’il est important de donner deux doses. C’est peut-être vrai, mais ils ne l’ont pas prouvé; ils ne l’ont pas testé scientifiquement. Ce qu’ils ont fait dans cette étude, c’est qu’ils ont donné deux doses de toutes les quantités: 10 µg, 20 µg et 30 µg. Normalement, pour affirmer [qu’il faut utiliser 2 doses], il faut avoir un groupe où l’on ne donne qu’une seule dose. Normalement, c’est comme ça: on reçoit une injection, puis le corps forme des anticorps, cela prend un certain temps avant que ça commence, le titre d’anticorps augmente puis il se forme une courbe de saturation. Donc, à un moment donné, ça ne va pas plus haut: on a atteint la saturation. Et ça augmente avec le temps. Mais pour savoir si la deuxième dose a un effet, il faut faire l’injection et déterminer le niveau de titre après 35 jours. On fait de même avec l’autre groupe; après la même période, 35 jours, on regarde le niveau de titre. Et si le titre est plus élevé, alors la deuxième dose a eu un effet. S’il n’est pas plus élevé, la deuxième dose n’a pas eu d’effet. Je suppose que ça a eu un effet parce que dans un autre vaccin similaire à celui-ci, on a vu que ça a eu un effet, mais dans ce cas, les données scientifiques ont été générées de façon un peu médiocre – le temps manque parfois dans les données, ils l’ont simplement abandonné pour qu’on ne puisse pas prouver s’il a eu un effet ou pas.. Mais par expérience, je pense qu’une deuxième dose est susceptible d’avoir un effet… mais je suis sûre que c’est comme ça au tribunal: la croyance n’est pas une preuve ou une connaissance – c’est-à-dire qu’ils auraient dû le prouver dans cette étude clinique avec ce vaccin. Ils ne l’ont pas fait: ils l’ont simplement affirmé.
RF: Il n’y a pas d’étude là-dessus?
VSK: Non, je n’en ai pas trouvé. Il y a l’étude clinique n° 1 sur les êtres humains, c’est là qu’ils auraient dû le tester.
RF: Ils auraient dû le tester dans le cadre de l’étude de phase 1.
VSK: Dans l’étude sur des souris et les rats. Je ne sais pas, mais cette petite étude sur l’être humain: c’était le moment où ils auraient dû le tester. C’est mon avis.
RF: Non, c’est exact. C’est le cas sur le plan juridique. Ils l’ont simplement affirmé. A un moment donné, ils ont affirmé: c’est mieux deux fois qu’une fois – peut-être même que trois fois ne serait pas une mauvaise idée, ça aurait valu tout ce qu’on aurait pu dire d’autre. C’est vraiment horrible. Le professeur Hockertz nous a dit que c’était habituel dans le développement de nouveaux médicaments – également dans le cas des vaccins: aucune phase préclinique n’a été réalisée, aucun essai sur des animaux: les phases 1, 2 et 3 se sont déroulées de manière complètement télescopée, et maintenant vous nous dites… vous venez de souligner que l’EMA a formulé diverses demandes qui n’ont pas encore été satisfaites dans certains cas parce qu’elles ne doivent être satisfaites qu’en juillet – mais on est déjà en train de vacciner. Que se passe t-il? L’étude se déroule essentiellement maintenant, sous nos yeux, en direct sur scène – sur des patients qui n’ont aucune idée de ce dont nous discutons ici en ce moment! Nous devrions en parler à nos collègues israéliens, ils ne seront pas très contents…
Dr H: Et juste pour rappeler ce que disait Reiner: sans que les vaccinés ne soient suivis comme des participants à l’essai, qu’ils sont de fait. Si j’étais un participant à un essai dans une série de tests de vaccins, alors je devrais être suivi médicalement, c’est-à-dire évalué. Les gens sont simplement vaccinés, et s’ils meurent, c’est compté comme un décès Covid. C’est la réalité. Ou plus fréquemment, on dit qu’ils sont morts de leurs conditions sous-jacentes. Tout ce qui peut empêcher que ce soit considéré comme un effet du vaccin.
RF: C’est ce que nous avons entendu en commençant, Renate: le fait que trois fois la quantité réellement nécessaire est administrée, et en même temps que le risque est multiplié par trois. C’est clairement une faute médicale, clairement le renversement du fardeau de la preuve, et on ne peut plus dire que c’était le Covid, au lieu de cela, on peut demander à vous entendre sur la question de la causalité… Vous devez la prouver vu que vous avez commis d’énormes erreurs. La causalité est-elle différente de la faute médicale grave dont nous devons vous accuser? C’est ce que j’ai dit depuis le début: il s’agit clairement de lésions corporelles. À tout le moins parce qu’aucune clarification/information préalable n’est fournie, [comme ce serait le cas si vous participiez à une étude]. Mais ce que j’entends maintenant en plus de ça – mon Dieu…
Dr H: Avez-vous effectué la même évaluation pour le vaccin Moderna, qui est déjà utilisé, ou seulement pour BioNTech?
VSK: Je n’ai pas encore réussi à le faire pour Moderna ou AstraZeneca. Je le ferai bientôt, mais j’avais trop d’engagements et tant de demandes, d’émissions sur Youtube etc.
Dr H: Moderna serait plus important qu’AstraZeneca car Moderna est déjà sur le marché.
VSK: Exactement, ce sera la prochaine que je ferai, en examinant les études. D’autres questions sur cette partie? Parce que maintenant, nous arrivons aux effets secondaires. Vous en resterez bouche bée. Je pense que ça vous mettra au tapis pour de bon.
Une étude préclinique a été menée, mais au moment où le professeur Hockertz en a parlé, elle n’existait pas, il n’en savait rien. Elle a été publiée avec le rapport vers la mi-décembre. Et je lui ai parlé fin novembre.
Il y a donc eu une étude préclinique. Examinons les bases pour commencer. La technologie des nanoparticules. Je ne veux pas la dénigrer complètement. C’est vraiment une technologie superbe. Mais le problème est qu’il est encore beaucoup trop tôt pour l’utiliser chez les êtres humains. La toxicité est encore trop élevée, il faut d’abord l’éliminer, alors ce serait vraiment une technologie brillante. De nombreux scientifiques travaillent à se débarrasser de cette toxicité, des recherches sont menées à ce sujet depuis des années. [NdT : depuis 20 ans, dit-elle à la fin]
Elle est en fait utilisé chez les patients atteints de cancer, mais là, le rapport bénéfice/risque est très différent, j’y reviendrai. Chez une personne en bonne santé, je considère disproportionné d’appliquer cette technologie comme vaccin dès lors que cette toxicité existe. Les nanoparticules, ce sont de très petites particules toujours dommageables pour les cellules, car plus la particule est petite, plus elles peuvent avoir d’interaction avec les composants cellulaires, c’est-à-dire avec les protéines, avec d’autres lipides, ou avec l’ADN etc. Mais il faut à ces nanoparticules une enveloppe lipidique car on ne peut tout simplement pas injecter l’ARN à un humain, il est décomposé en 10 minutes par ses nucléases. Les cellules ne prendront pas l’ARN/ADN s’il n’est pas introduit via une nanoparticule lipidique par exemple.
Il existe diverses études in vivo sur des souris ou des rats – je ne sais pas quel animal, je dois demander – il a été constaté que si l’on donne des NPL sur une longue durée aux animaux, par inhalation dans les poumons, on obtient une rupture des brins d’ADN dans les poumons. Et cela peut déclencher une maladie pulmonaire grave ou un cancer du poumon: il a été constaté que le cancer du poumon se développe. Et l’absorption de NPL dans la rate a été détectée: des cassures de brins d’ADN y ont également été identifiées. Et il a également été constaté que lorsque les NPL sont transportés dans le sang, des thromboses peuvent survenir, ou une hémolyse – l’hémolyse signifie la dissolution soudaine des érythrocytes, c’est-à-dire des globules rouges, cela provoque une hypoxie.
(Murmures)
VSK: Je vais en parler. Cela peut être directement appliqué au vaccin BioNTech.
Et maintenant, je veux vous expliquer comment fonctionne cette technologie.
Pourriez-vous me laisser utiliser l’écran – alors nous aurons une meilleure idée de l’origine de la toxicité.
RF: On s’en occupe.
VSK: Vous pouvez maintenant voir un morceau de papier blanc, non? Vous le voyez? Ok, c’est comme ça. [NdT. Les croquis sont visibles sur ce document] Voici une NPL. À l’intérieur, c’est l’ARN. Cette NPL, ce n’est pas juste un ARN, il y a beaucoup d’ARN à l’intérieur, toujours les mêmes, mais en beaucoup d’exemplaires. La NPL dans cette enveloppe lipidique se compose de nombreux lipides différents. Il y a un lipide auxiliaire: totalement inintéressant, ce n’est pas toxique ou quoi que ce soit. Il est simplement là pour la structure de l’enveloppe. Ensuite, il y a un lipide cationique1. Et puis il y a le composant PEG. Il est cationique. Et puis nous avons le cholestérol.
Ce sont donc les différents composants et ces 4 composants sont également nécessaires. Et puis nous avons une cellule. Appelons cela une cellule musculaire parce que l’injection se fait dans un muscle. Et cette cellule a une charge négative à cause des lipides qui y sont stockés. Et cette NPL ici est neutre, c’est-à-dire que la cellule n’a absolument aucune raison de l’absorber. Comment elle entre dans la cellule s’explique ainsi: il existe de nombreuses publications sur ce sujet qui ont établi qu’il entre par un transporteur ApoE – on va faire beaucoup de chimie maintenant, mais c’est nécessaire pour comprendre.
Il y a des protéines dans le sang appelées ApoE. Ce sont les composants du HDL-LDL, qui sont testés dans des tests sanguins humains pour connaître les niveaux de cholestérol, l’ApoE est toujours là. L’ApoE peut se lier au cholestérol, c’est pourquoi il se lie ici au cholestérol de la particule. Et maintenant, cette particule est reconnue par la cellule; la cellule a des récepteurs ApoE, il en existe plusieurs. Il y a le récepteur LDL ou LAP – il y en a beaucoup, bien plus de 10 récepteurs différents et ils se lient ensuite à l’ApoE où tout le complexe lipoprotéique se lie, puis il entre dans la cellule. Puis toute la cascade commence. La NPL est située dans une vésicule ici. Et il y a un capteur dans la membrane ici, le TLR – toll-like receptor – ils sont là pour reconnaître/localiser l’ADN/ARN étranger. Donc, s’il s’agissait d’un virus plutôt que du vaccin, il reconnaîtrait l’ARN et le décomposerait.
Cela fait partie du système immunitaire. Mais comme l’ARN est entouré d’une coque de NPL, le système immunitaire ne peut pas reconnaître l’ARN et il n’est pas décomposé, ce qui est fait exprès. Nous ne voulons pas, ou les fabricants de vaccins ne veulent pas que l’ARN soit décomposé. Et ce qui se passe maintenant est un processus tout à fait normal, c’est ce qui se passe toujours dans les cellules: peu importe, quels que soient ces NPL, les protons migrent maintenant. Donc, tout ici est chargé positivement. En raison de cette charge positive, une partie du lipide PEG est séparée – il est sensible au pH, le lipide est rompu et ce PEG ne peut plus supprimer la charge cationique du lipide dans la coque ici. Cela signifie que le lipide est chargé positivement. Et donc tout ici devient positif – et ensuite, en principe, l’eau y pénètre, et le tout éclate et l’ARN est libéré dans la cellule.
Vous avez maintenant l’ARN libéré et les composants individuels: le peptide auxiliaire, le peptide cationique qui est maintenant chargé positivement car il n’est plus supprimé par le PEG, puis il y a le PEG et le cholestérol.
Ce qui s’est passé maintenant, c’est que les TLR peuvent accéder à l’ARN, qui envoie un signal vers l’extérieur. La cellule produit alors des chimiokines et des cytokines qui sont libérées de la cellule. C’est la première partie de la réponse immunitaire innée.
En même temps, l’ARN entre dans une zone de la cellule, il est transporté vers une zone spécifique où la production de protéines a lieu. La protéine – c’est là que se trouve alors l’ARN – la protéine est alors seulement synthétisée/produite ici afin que la protéine de pointe puisse être resynthétisée. Et la protéine de pointe peut être trouvée partout dans la membrane; elle migre à la surface de la cellule de sorte qu’il y a des protéines de pointe partout à la surface de la cellule. La protéine de pointe n’était pas là au début – elle est née en réponse à la vaccination et c’est pourquoi elle est appelée cellule génétiquement modifiée. Nous sommes donc devenus un organisme génétiquement modifié. Tant que les protéines de pointe sont là, et les ARN, nous sommes des OGM. Ils disparaîtront à un moment donné, alors nous ne serons plus un OGM mais nous le serons aussi longtemps qu’ils seront là.
C’est une modification génétique. Il n’est pas intégré dans l’ADN mais se produit d’une manière différente, à savoir indirectement.
OK, continuons.
[Question: Combien de temps y reste-t-il?]
VSK: Un tel ARN a une stabilité variable – il peut durer quelques minutes, car ces ARN sont importants pour le développement, mais aussi plusieurs jours. Je parlerai de la durée pendant laquelle ils sont présents plus tard.
Alors, comment en arrivons-nous à la suite de la réponse immunitaire? Ici, il y a des chimiokines et des cytokines. Vous devez les considérer comme un parfum sécrété par les cellules. Et puis il y a les cellules immunitaires, ce sont les CPA: les cellules présentatrices d’antigènes. Elles captent l’odeur des chimiokines et des cytokines et migrent vers la concentration la plus élevée d’entre eux. Parce que la production de chimiokines et de cytokines est un appel à l’aide de la cellule, disant «Il y a quelque chose qui ne va pas ici». Quelque chose m’arrive. Et donc les cellules immunitaires arrivent et vérifient ce qui se passe. Qu’est-ce qui ne va pas, se demandent-elles et elles rencontrent les NPL – elles ne sont pas tous simultanément pris en charge par la cellule. Elles sont également absorbées par les cellules – elles sont également à l’intérieur ici. Les NPL – les protéines de pointe sont également formées ici aussi, seules ces cellules ont la particularité que les protéines sont à nouveau dégradées, c’est la fonction de la cellule. Elles ont des fragments des protéines de pointe, et chacune est présentée à la surface de la cellule pour le reste du système immunitaire. Cela se produit via la classe de récepteurs CMH [NdT. complexe majeur d’histocompatibilité]. Et lorsque ces cellules CPA ont absorbé la protéine de pointe, elles migrent vers la rate par exemple et sont digérées. Ensuite, elles sont présentées aux autres cellules immunitaires, c’est-à-dire les cellules B et les cellules T. Je simplifie car c’est vraiment beaucoup plus compliqué dans la vraie vie. Mais ce qui se passe maintenant, c’est d’une part que les cellules B sont activées, elles deviennent des plasmocytes et produisent maintenant des anticorps. Anticorps contre la protéine de pointe ici qui est maintenant enfin à la surface de la cellule. Et ces anticorps migrent maintenant ici, ils migrent dans la circulation sanguine et trouvent leurs antigènes et la cellule où la protéine de pointe est exprimée. Ils lient ensuite cette protéine de pointe sur les cellules musculaires par exemple. En même temps ici, les cellules T sont activées et deviennent par exemple des cellules T cytotoxiques qui migrent également dans le sang et recherchent ces anticorps et se lient à eux via leurs récepteurs de cellules T. C’est ainsi que surgit un complexe. Une fois formée, la substance cellulaire T pénètre dans la cellule de sorte que cette cellule est incitée à commettre un suicide cellulaire – la mort cellulaire. C’est ce qu’on appelle la mort cellulaire programmée ou l’apoptose.
Ce qu’il y a de nouveau avec ce vaccin, ce ne sont pas seulement les protéines qui nous sont injectées qui nagent dans le sang et sont ensuite éliminées par les anticorps: nous avons ici différentes voies par lesquelles la toxicité/destruction cellulaire a lieu. Un moyen en est: la cellule T cytotoxique force la cellule musculaire à l’apoptose. Et puis nous avons l’ARN, qui est fondamentalement également toxique pour la cellule à partir d’une certaine longueur. Et surtout – c’est particulièrement important – le lipide cationique, il est cationique, c’est-à-dire qu’il a une charge positive. Et c’est très, très toxique, nous le savons depuis plus de 20 ans.
Donc, c’est le processus pour le moment. Avez-vous des questions à ce sujet?
RF: C’est le processus après la vaccination, avant même d’entrer dans le voisinage d’un virus dangereux?
VSK: Oui, c’est ainsi que se produit la réponse immunitaire, c’est-à-dire que ça fait partie de la réponse immunitaire. C’est beaucoup plus étendu, il y a d’autres facteurs, mais c’est très approximativement comment les anticorps sont produits et comment les antigènes – les protéines de pointe – sont détruits dans la cellule.
Donc: je voulais vous montrer exactement quelle est la toxicité. Nous avons clairement ces lipides cationiques dans la cellule, et je vais maintenant parler de ce qu’ils font à la cellule.
Je vais quitter le partage d’écran maintenant.
OK, c’est bon.
Donc: les lipides cationiques. Je reviens sur le vaccin BioNTech: les NPL sont constituées jusqu’à 50% de ces lipides cationiques. 50% c’est très élevé, ils sont toxiques car ils ont cette charge positive. Cela leur permet de très bien entrer en interaction avec d’autres composants de la cellule, ils peuvent également interagir fondamentalement avec des acides aminés chargés négativement. Cela détruit les protéines qui perdent leur capacité à fonctionner parce qu’elles «se déplient» comme on le dit. En principe, ils peuvent interagir avec l’ADN, parce que l’ADN est également chargé négativement en raison de ses groupes phosphate, et créer des ruptures de brins d’ADN. Ils peuvent également interagir avec d’autres lipides car ils sont également chargés négativement, en particulier les lipides de la membrane cellulaire. Par exemple, la membrane cellulaire des mitochondries, ce sont les centrales de la cellule qui sont vitales pour la production d’énergie; je mentionne cela parce que les radicaux d’oxygène se forment dans les mitochondries lorsque l’énergie est produite. C’est un processus très naturel, mais la cellule dispose également d’un mécanisme de réparation pour que ces radicaux d’oxygène soient à nouveau éliminés et rendus inoffensifs, c’est ainsi que la cellule survit, c’est simplement un équilibre. Ils sont produits, vous ne pouvez pas l’empêcher parce que l’oxygène est consommé, ce qui génère des radicaux d’oxygène, mais des moyens ont été trouvés pour désactiver ces radicaux d’oxygène. Si toutefois ces lipides cationiques entrent, il est confirmé dans de nombreuses publications qu’ils détruisent cette membrane [NdT: la membrane mitochondriale] et cela conduit à la formation d’un grand nombre de radicaux d’oxygène. Ces radicaux d’oxygène occasionnent beaucoup de dommages dans la cellule. Ils interagissent – ils modifient les acides aminés, la cellule déverse autant de cytokines que possible, les radicaux d’oxygène attaquent également les membranes et créent une peroxydation lipidique. L’intégrité de la membrane est compromise, la membrane devient poreuse, et lorsqu’une membrane cellulaire devient poreuse, de l’eau y pénètre et l’équilibre ionique est perturbé. Cela signifie que la cellule entière perd sa fonction car la fonction des protéines dépend de la concentration ionique, de l’ion calcium par exemple, et de l’ion magnésium. La cellule subit un stress oxydatif maximal, comme on l’appelle dans la terminologie spécialisée. Et lorsque ce stress est si élevé et que l’ADN est également endommagé, la cellule entre en apoptose – elle s’autodétruit.
C’est tout ce que j’ai à dire à ce sujet pour le moment.
RF: Il y a donc deux facteurs qui mènent à cela.
VSK: Oui: l’un est la réponse immunitaire – via la liaison de l’anticorps. L’autre facteur est ce composant spécifique: le lipide cationique. C’est précisément ce composant qui est si dangereux. Cela crée un stress oxydatif maximal dans la cellule, ce qui entraîne des dommages tels que la cellule ne peut pas se réparer assez rapidement. Et c’est pourquoi elle meurt. Elle doit s’autodétruire ou se transformer en cellule cancéreuse. Telle est l’alternative. Donc, elle s’autodétruit généralement parce que si une cellule cancéreuse se développe, des dommages spécifiques en résultent, il y a d’autres facteurs impliqués, mais en général, elle meurt.
Et maintenant, j’arriverai au rapport bénéfice/risque. La technologie est très judicieuse dans le traitement du cancer. Le but de cette technologie est de tuer les cellules cancéreuses. Nous avons maintenant un vaccin utilisant la même technologie que celle utilisée dans le traitement du cancer pour tuer les cellules cancéreuses. En ce qui concerne la thérapie anticancéreuse: jusqu’à présent, nous n’avions que de la chimiothérapie ou de la radiothérapie; elles ont pour but de déclencher un stress oxydatif dans la cellule pour l’inciter à s’autodétruire. Mais jusqu’à présent, ce n’était pas spécifique: les tissus sains sont également irradiés et meurent. Avec cette technologie [d’encapsulation], vous pouvez insérer des protéines ou d’autres substances dans l’enveloppe de nanoparticules qui visent à détecter et à trouver les cellules cancéreuses. Il existe déjà des études relativement bonnes et réussies, et c’est pourquoi elle est utilisée dans le traitement du cancer.
Les cellules cancéreuses ont sur leur surface cellulaire un motif complètement différent des cellules saines. Elles ont par exemple beaucoup de récepteurs de transferrine ou de récepteurs de folate: quand on insère les ligands dans les NPL, c’est-à-dire quand on construit de la transferrine ou du folate dans ces NPL, alors ces NPL trouvent les cellules cancéreuses qui ont les récepteurs pour ceux-ci. En conséquence, ces NPL ciblent les cellules cancéreuses presque exclusivement et créent un stress oxydatif en elles, de sorte que les cellules cancéreuses sont tuées.
VF: Est-ce un événement local, ou cela peut-il se répandre sur tout le corps, ou se situer dans des niches spécifiques?
VSK: Dans le cas des cellules cancéreuses, il est conçu pour être local, et maintenant nous en arrivons vraiment au fait: dans le cas du vaccin, ce n’est pas local. Il se répand dans tout le corps. Je vais d’abord dire une phrase à ce sujet. Il y a la toxicité du lipide cationique, qui agit initialement au niveau cellulaire. Maintenant, un mot sur le PEG – je crois qu’il a été publié dans les médias que dans certains cas, si vous avez déjà été en contact avec le PEG, il est possible que vous ayez formé des anticorps contre celui-ci, et si vous avez des anticorps et que vous entrez ensuite en contact avec du PEG, même longtemps après, ce qui est le cas avec le vaccin, vous pouvez alors souffrir d’une réaction allergique ou d’un choc analphylactique en raison de cette hypersensibilité. Cela dépend de la quantité de PEG dans ces NPL – c’est 2 à 6% dans le cas de BioNTech, et de la force de l’affinité de liaison de vos propres anticorps contre le PEG. Avoir des anticorps ne signifie pas toujours qu’ils se lieront immédiatement au PEG: la force de liaison varie d’un anticorps à l’autre.
La force de la réaction allergique est individuelle: elle dépend de la puissance des anticorps et du volume de PEG lors de ce second contact. Sinon, en ce qui concerne le PEG, il y a des publications qui disent qu’il est un peu toxique, mais on ne trouve pas de détails à ce sujet.
Ainsi, avec le PEG, vous pouvez avoir des réactions allergiques, mais les lipides cationiques sont absolument toxiques pour les cellules.
Je vais maintenant répondre aux questions posées par Mme Fischer. Je parlerai de l’étude préclinique menée par BioNTech, en grande partie sur des souris et des rats. Les questions qui se posent avant qu’une telle chose n’arrive sur le marché sont, combien de temps il reste dans le corps, réparti comme suit: combien de temps les lipides restent-ils, combien de temps l’ARNm reste-t-il? Comment sont-ils décomposés? Quelle est leur répartition dans le corps? La toxicologie et la carcinologie doivent être étudiées. Y a-t-il un problème lié à la reproduction? Et a-t-il une influence sur l’environnement? Parce que nous sommes en train de devenir un OGM: cela a-t-il un impact? Ce sont des questions fondamentales que l’EMA doit toujours poser.
Je ferai référence à ce rapport d’évaluation public – je dois dire que les données brutes manquent, elles ne figurent pas dans le rapport, ce que je trouve décevant.
RF: Peter Doshi les interpelle à ce sujet.
VSK: Oui, j’aimerais maintenant examiner ces données moi-même parce que j’ai déjà vu qu’ils interprètent les données de manière incorrecte dans l’étude clinique. Je voudrais les voir de mes yeux et me forger ma propre opinion. Ils n’ont fourni qu’une description de ce qu’ils ont observé. Donc je ne peux m’appuyer que là-dessus. J’imagine que ce sera vrai parce que les observations qu’ils ont faites ont également été observées par d’autres scientifiques dans leurs propres essais sur les animaux avec leurs substances.
Alors, quelle est la distribution des nanoparticules lipidiques (NPL) dans l’essai sur les animaux? Ceci est similaire à ce qui est décrit dans d’autres publications et par d’autres scientifiques. Ils ont utilisé des NPL avec de l’ARNm, non pas avec la protéine de pointe mais avec la luciférase. La luciférase a l’avantage de pouvoir rendre les choses visibles. Utile pour cet essai car ils ont donné aux lipides un marqueur radioactif.
Si on peut utiliser la radioactivité comme marqueur, on peut utiliser une technique permettant de voir les organes et de savoir si les lipides y étaient ou non. Ils les ont injectées dans tout le muscle et observé comment les lipides se propagent dans tout le corps, et ont constaté que ces lipides se retrouvaient dans de nombreux organes après seulement 15 minutes. La plupart se retrouvaient au site d’injection, dans ce cas, c’était le muscle, mais aussi beaucoup dans le plasma. Logique car ils sont transportés dans le plasma, mais aussi à 22% dans le foie. Et si on les injecte dans les veines, 60% des lipides cationiques se retrouvent dans le foie, et 20% des lipides PEG. Ils ont également été retrouvés dans la rate, les surrénales et dans les deux organes sexuels. Leur présence dans d’autres organes n’a pas été décrite. Je suppose donc qu’ils se sont répandus dans tous les organes. Ils sont essentiellement absorbés partout où le sang circule. La description se concentre principalement sur le site d’injection, le plasma et le foie.
Puis ils ont regardé comment les lipides étaient dégradés. Ils ont trouvé des preuves de la présence du lipide cationique dans le plasma pendant 12 jours et des preuves de la présence du lipide PEG pendant 6 jours. Ils sont donc restés présents pendant assez longtemps. Il n’y a pas plus d’informations, donc je ne sais pas si les lipides pourraient être mis en évidence plus longtemps ou non. 50% du PEG est dégradé par excrétion, c’est-à-dire qu’il est excrété par l’organisme. Il va dans notre «réseau d’égouts», pour ainsi dire. Les lipides cationiques sont exclusivement dégradés dans les cellules, seulement 1% a été retrouvé dans les selles. Cela signifie que les cellules en subissent pleinement la toxicité. Ensuite, ils ont analysé la demi-vie de ce lipide cationique dans le foie, ils disent qu’elle est de 3 semaines. La demi-vie signifie que la substance se dégrade toujours plus rapidement au début, puis ça diminue, la courbe devient plus plate. Déjà, cette demi-vie est déjà de 3 semaines, ce qui est relativement long. Et combien de temps cette élimination prend-elle? On peut encore trouver 5% des lipides dans le foie après 4 à 6 semaines – c’est incroyablement long, et avec le PEG, la demi-vie est de 1 semaine. Elle est donc plus courte, mais parce qu’une grande proportion, c’est-à-dire 50%, est excrétée. Ce n’est pas le cas du lipide cationique.
Nous n’avons aucune autre information ou résultat d’enquête concernant d’autres organes, ils ont juste étudié le foie, le plasma, l’urine et les selles. Ils auraient certainement dû regarder dans d’autres organes. Peut-être l’ont-ils fait, mais il n’y a rien dans la publication à ce sujet.
Et puis ils ont regardé à quelle vitesse l’ARN est dégradé. C’est là que la luciférase prend tout son sens. La luciférase peut transformer un substrat pour que l’on le voie en couleur, il devient fluorescent. On peut le détecter. Mais ce n’est pas une méthode très sensible. Et ils n’ont injecté que 2 microgrammes d’ARN. 30 microgrammes sont utilisés sur nous. Cela signifie que ce qu’on observe est probablement beaucoup plus fort dans le cas du vaccin utilisé. Donc, dans le muscle où il a été injecté, il y a eu un pic après 6 heures. Tout d’abord, les NPL doivent être absorbés dans la cellule, la protéine doit être formée, cette luciférase, et alors seulement la réaction a lieu. On voit ça après un maximum de 6 heures, il est absorbé par les cellules extrêmement rapidement, et la protéine est également exprimée très rapidement. On voit encore la protéine après 9 jours. Il y a des publications – il y en a une de 2016 par exemple – où on dit que l’on voit encore la luciférase après 35 jours, mais cela dépend toujours de la stabilité de l’ARN, et ils ne l’ont pas fait avec l’ARN de pointe mais juste avec la luminescence, et l’ARN de pointe peut très bien avoir une stabilité différente. Donc, je dirais qu’ils n’ont pas enquêté correctement sur notre vaccin.
Dans le foie, ils ont vu un pic après 6 heures, et après deux jours, il avait disparu. C’est parce que le foie a un taux métabolique très élevé.
Donc, pour résumer, l’ARN et la NPL sont absorbés relativement rapidement. Et les lipides cationiques restent dans notre corps pendant très longtemps. C’était également intéressant. Il semble y avoir eu une discussion de l’EMA avec BioNTech à propos de la durée de rémanence dans le corps: combien de temps cela dure-t-il dans le cas des êtres humains, ont-ils demandé, parce que l’étude n’a pas été faite. BioNTech a fait référence à une étude de 2010, par Mamoth et al. Je ne l’ai pas retrouvée dans la base de données des publications, et il n’y a pas de liste de références sous le rapport de l’EMA, donc je ne sais pas du tout si c’est vrai et si cet article existe, mais ils disent qu’ils ont utilisé des lipides, et quand ils font la conversion de cette étude sur souris ou rat vers les êtres humains, ils calculent que les lipides cationiques ont une demi-vie de 20 à 30 jours chez l’homme, et l’élimination à 5%, donc ils ne sont pas vraiment éliminés, prend 4 à 5 mois. Ils supposent que c’est 4 à 5 mois, et le comité de l’EMA s’est contenté de dire que «c’est long».
Dr H: En plus de tout ça, la deuxième vaccination survient après 30 jours…
VSK: Oui exactement: rien de tout cela n’a été étudié. Fondamentalement, ils n’ont effectué aucune cinétique pour ce vaccin. Ni sur les souris. Les NPL étaient les mêmes [die Zusammenrechnung – dans le calcul? Inaudible], mais l’ARN était différent. Ils auraient vraiment dû le faire avec le vaccin lui-même. Ils auraient dû tout barrer et recommencer toute l’étude. Ils ne l’ont pas fait.
MT: Je voudrais juste poser une question. Vous avez dit que quelque chose est été excrété du corps. Y a-t-il un danger que les personnes vaccinées pourraient poser à cause de cela, ou est-ce excrété et ensuite ça disparaît?
VSK: Cela n’a pas fait l’objet d’une enquête.
Dr H: Oh mon Dieu.
VSK: Il n’y a pas de données à ce sujet.
MT: Je pense que nous devrons boire de l’eau de source en bouteilles à partir de maintenant.
RF: Cela ne dit rien de bon. Et quel genre de conséquences tout ça a-t-il? Il y a une apoptose qui se produit apparemment dans tout le corps, comme vous venez de nous le dire: à quoi cela mène-t-il?
VSK: Oui, je vais vous le dire dans un instant, c’est le plus difficile à entendre. Mais je voulais juste finir de parler de l’élimination, ils n’ont rien envisagé dans ce domaine parce qu’ils n’ont fait aucune analyse sur l’impact environnemental – comme je l’ai dit, nous sommes devenus des OGM, il est possible que les cellules modifiées sont éliminées: pensez aux lipides, à l’ARN du vaccin. Nous savons que les lipides – du moins le PEG – sont excrétés. Qu’arrive-t-il aux eaux usées s’il y en a une telle quantité d’éliminée? S’il elles contiennent tant de lipides? Cela pose-t-il un problème ou sont-ils dégradés? Nous ne le savons tout simplement pas. Je ne sais pas, je ne suis pas une experte de la manière dont il sont dégradés.
Dr H: Exactement, et intentionnellement, on doit le dire en tant qu’avocat, en juillet 2020, la législation de l’UE a été modifiée: la législation de l’UE sur les OGM a été déclarée inapplicable aux vaccins. C’est là que cette monstruosité a commencé, d’un point de vue juridique. Nous aborderons cette question par un appel en annulation. Cela ouvre un abîme horrible – incroyable.
VF: Ce truc, quand il se retrouve dans les égouts, et s’il n’est pas filtré – si je buvais ce truc de laboratoire: cela poserait-il un problème? Si je bois ces lipides? Y a-t-il des enquêtes à ce sujet, s’il pénètre dans l’approvisionnement en eau, ou si j’en bois un peu dans un verre, que se passerait-il?
VSK: Tout ce que je peux dire c’est que si nous excrétons le lipide PEGylé et que s’il n’est pas filtré et qu’on le boit – c’est-à-dire en supposant qu’il ne se dégrade pas naturellement d’une autre manière et qu’il continue à exister dans l’eau potable (ce que je ne sais pas avec certitude) – alors vous auriez un problème si vous y êtes allergique.
Ce serait pareil que ces chocs anaphylactiques.
Je ne peux que l’imaginer. Il serait absorbé par l’estomac, mais je ne sais pas exactement ce qui se passerait ensuite – s’il y aurait des réactions allergiques. Il est possible qu’il soit complètement dégradé dans l’estomac par les enzymes qui décomposent les graisses.
MT: Je trouve cela fascinant: nous parlons de technologie génétique, il y a des gens qui sonnent l’alerte depuis des années et disent que si je mange du maïs génétiquement modifié ou si j’en fais du pain, il pourrait me pousser une deuxième tête, voire sept têtes. Je suis étonné que personne ne se penche là-dessus de plus près et que ce sont les mêmes qui se taisent. Les mêmes qui disaient que c’était vraiment terrible, qu’on ne pouvait pas faire ça.
RF: Si les médecins n’apprennent pas à réfléchir à ce qui se passe réellement, et ne font que vacciner au lieu d’écouter des gens comme vous, en faisant aveuglément confiance et sans poser de questions…
Mais juste pour revenir là-dessus: si cela se répand dans le corps, dans toutes les cellules, alors c’est un scénario catastrophe si vous dites que le résultat est qu’un nombre massif de cellules s’autodétruisent.
VSK: Oui, c’est une bonne introduction à ce point précis, et à toutes ses conséquences. Parlons de l’étude préclinique – de ce qui est arrivé aux rats.
Dans l’expérience préliminaire, on a injecté au rat, dans le muscle, 30 microgrammes de ce même vaccin actuellement utilisé. C’est comparable, sauf que c’était trois injections à la place de deux. À intervalles d’une semaine. Et deux jours après la dernière injection, c’est-à-dire 17 jours après la première, une autopsie a été réalisée et on a trouvé ce qui suit. Comme mentionné, je n’ai pas de données brutes, seulement des données écrites descriptives. Les rats avaient une réponse immunitaire, des ganglions lymphatiques enflés, la rate, le nombre de cellules, tout cela est normal, une production accrue de lymphocytes, c’est-à-dire des cellules B et T dans la moelle osseuse, une production d’anticorps neutralisants, des globules blancs circulants, une libération de cytokines, tout cela était normal. Mais d’autres choses se sont passées ensuite: leur température corporelle a augmenté de un degré, c’est aussi normal chez les rats, une légère température, mais leur poids corporel a baissé alors qu’ils recevaient leur alimentation normale… Chez les rongeurs, quand le poids diminue, c’est toujours un signe de stress massif. Et puis ils ont fait une autopsie. Ils ont documenté les dommages au muscle. Ce qu’ils rendent public – gonflement, œdème, rougeur – n’est que la pointe de l’iceberg. Je vais disséquer cela dans un instant pour ceux qui ne connaissent pas la terminologie spécialisée: dégénérescence myofasciale, scléropathie, incrustation accompagnée de la propagation de cette inflammation aux tissus adjacents, inflammation sous-cutanée, hyperplasie. Alors qu’est-ce que tout cela signifie? L’inflammation sous-cutanée signifie que la couche inférieure de la peau – la peau a trois couches – est enflammée, c’est-à-dire la couche où les cellules adipeuses, les nerfs et les vaisseaux sanguins sont localisés. Si ceux-ci deviennent enflammés, les cellules adipeuses éclatent, les acides gras sont libérés et accentuent encore l’inflammation.
Cela entraîne une scléropathie, c’est-à-dire que le tissu durcit parce que des quantités croissantes de tissu conjonctif se forment. C’est similaire à la formation des cicatrices. Le tissu est si fortement endommagé… Si vous vous coupez le doigt et que c’est superficiel, la couche supérieure de la peau peut se régénérer, vous ne voyez rien par la suite. Si vous vous coupez trop profondément et que cela traverse les trois couches de la peau, l’organisme ne peut pas reproduire sa propre structure. Ensuite, parce que les cellules doivent être remplacées et que la plaie doit être fermée, le tissu conjonctif se forme, se dépose, une cicatrice se développe. Et c’est le cas du muscle, il durcit du fait de dépôt de tissu conjonctif. C’est ce qu’on appelle la fibrose. Le tissu perd fondamentalement sa fonction à ces endroits, des incrustations se développent, il y a dépôt de sels dans le tissu nécrotique; le tissu nécrotique est un tissu en train de mourir. Les muscles sont en train de mourir. On parle de dégénérescence myofasciale, cela signifie la mort des cellules des fibres musculaires, qui sont simplement remplacées par du tissu conjonctif non fonctionnel.
VF: Est-ce juste local ou dans de nombreux endroits?
VSK: À cet endroit, c’est uniquement local, uniquement dans le muscle. Vous pouvez voir tout ce processus à partir des paramètres sanguins qui ont été mesurés: ils ont noté par exemple une augmentation de 72% de l’alpha-2-macroglobuline, cela signifie que l’augmentation fait partie de la réponse immunitaire due à l’inflammation, mais on voit également une augmentation de alpha-1-acylmycoprotéine [NdT : je pense, c’était difficile à entendre], qui se forme quand il y a une lésion particulièrement forte dans les tissus, causée par une inflammation ou une infection, dans ce cas de la vaccination, et une augmentation du fibrinogène… C’est un signe, lorsque celui-ci est élevé dans le sang, d’inflammation des vaisseaux sanguins, il est essentiellement responsable de la coagulation sanguine. J’ai dit que les vaisseaux sanguins sont dans la couche inférieure – les vaisseaux sanguins sont endommagés, et c’est probablement pourquoi le fibrinogène se forme, pour refermer les vaisseaux sanguins. Je me demande, pour les personnes âgées dans les maisons de retraite, qui prennent souvent des médicaments anticoagulants à titre prophylactique: est-il possible que leur coagulation ne fonctionne pas correctement? On a besoin de la coagulation: peut-être qu’elle ne fonctionne pas correctement? Cela peut-il avoir des conséquences si les vaisseaux sanguins sont fortement endommagés en raison de cette vaccination?
RF: Nous verrons tout cela très rapidement, je le crains.
Dr H: Les effets secondaires, c’est-à-dire la corrélation avec d’autres médicaments, n’ont pas du tout été examinés. Cela ressort expressément des annexes de la décision de mise en œuvre de l’UE pour les deux vaccins. Je trouve que ce que vous nous décrivez maintenant est absolument criminel.
VSK: C’est donc ce qui se passe localement, sur le site du muscle. Nous avons entendu dire que beaucoup de choses se retrouvent dans le foie, et c’est un peu plus grave. Cela conduit à une vacuolisation périportale hépatocellulaire. Le jour de l’autopsie, là où ils l’ont trouvé, et probablement beaucoup plus tôt, car il pénètre dans le foie relativement rapidement et ensuite cela se produit relativement rapidement. Alors qu’est-ce que cela signifie? Hépatocellulaire signifie se rapportant aux cellules du foie. Périportal signifie les cellules du foie près de la veine porte. C’est l’endroit où le sang entre dans le foie. C’est-à-dire que ces dommages ne seront causés par rien d’autre chez le rat. Si les rats buvaient de l’alcool, d’accord, alors ces dommages se produiraient également, mais ce serait dans tout le foie. Mais c’est quelque chose qui entre par le flux sanguin, et seulement à proximité de cette veine, et c’est particulièrement là qu’on voit des dégâts. Et ils sont tellement endommagés qu’ils sont vacuolisés: c’est toujours une indication que les cellules hépatiques sont en train de mourir. Je répugne à utiliser le mot poison, mais le foie essaie de séquestrer la substance qui l’endommage; il ne gère pas, et les lipides cationiques en sont responsables, BioNTech l’admettent eux-mêmes, c’est dans le rapport, ce sont les lipides cationiques. Le foie essaie d’éliminer ces lipides cationiques, de les métaboliser, mais n’y parvient pas car ils sont trop nombreux. Le volume est trop important. Donc, il essaie de les planquer dans une zone de la cellule, et c’est à ce moment-là que des vacuoles apparaissent dans la cellule: de l’eau coule, c’est simplement une zone où elles ne causent plus de dégâts. Mais lorsque ces vacuoles apparaissent alors la fonction de la cellule hépatique est massivement perturbée, beaucoup d’entre elles meurent, elles perdent leur fonction. Elles s’autodétruisent, commettent l’apoptose. Voilà donc ce qui se passe dans le foie.
RF: Si cela est découvert lors de l’autopsie, cela me semble être une indication claire que cela a été causé par la vaccination. Ou peut-il y avoir d’autres causes à cela? Vous venez de dire que si on boit de l’alcool, cela se produit aussi, mais pas comme ça. Ce qu’on y trouve semble être un signe certain que c’est le vaccin qui a conduit au décès.
VSK: Oui, on peut aussi enquêter sur ce qu’il y a exactement dans ces vacuoles. On peut regarder et voir si les lipides cationiques sont présents. Si on a une vacuole causée par l’alcool, on a une stéatose hépatique; l’alcool est transformé en graisse, il est stocké sous forme de graisse. C’est cette stéatose dont on entend parler.
RF: Je voulais juste demander – indépendamment de la grave faute médicale qui vient d’être décrite précédemment: on peut en découvrir la cause via une autopsie, n’est-ce pas?
VSK: Oui, on peut, je pense. Et on peut également voir si le foie est gravement endommagé grâce aux paramètres sanguins, un médecin doit savoir ça. Ce sont des valeurs normées: une élévation de la GGT [gamma-glutamyl transférase], une enzyme, peut avoir diverses causes. C’est certainement une indication de dommages au foie dus à des médicaments ou à un poison, par exemple. C’est une indication que les cellules hépatiques meurent, c’est-à-dire lorsqu’il y a augmentation de la GGT sécrétée.
Et puis nous avons des AST [aspartate aminotransférase] élevés. Il s’agit d’une enzyme métabolique qui augmente dans l’inflammation du foie et les lésions cardiaques. Il y a une phosphotase alcaline élevée – elle est produite par les os et le foie, par exemple, et un ou deux autres organes; une augmentation indique des lésions hépatiques et osseuses. Et puis nous avons une diminution du rapport albumine/globuline. Ce rapport est toujours mesuré pour voir si le volume de protéines dans le sang est constant. Sinon, c’est un signe de maladie: trop de protéines sont éliminées. Si une baisse est constatée, c’est le signe d’une grave lésion hépatique, d’une inflammation, d’un trouble digestif, etc. Le rat présente une perte de protéines.
Pour résumer, on peut dire que le foie est massivement endommagé et que les cellules hépatiques meurent. Ils ont dit qu’après l’autopsie, trois semaines plus tard, que le foie s’était régénéré. Mais l’EMA n’a pas discuté de ce que pourrait être la situation avec les personnes qui ont un trouble du foie, qui n’ont pas cette capacité régénératrice. Qu’en est-il de ceux qui ont une hépatite ou un foie alcoolique ou autre? Qui ont vécu une vie malsaine? Si quelque chose vient s’ajouter à cela, vous pouvez très rapidement avoir une défaillance d’organe. Cela ne doit pas être oublié, il faut en discuter, mais c’est complètement balayé sous le tapis.
Alors, pourquoi exactement le foie est-il endommagé? C’est parce que le foie est l’organe qui absorbe le plus de lipoprotéines. Et pourquoi en prend-il le plus? Parce qu’une de ses fonctions est de décomposer le cholestérol. J’ai expliqué que les nanoparticules sont liées aux protéines ApoE. Celles-ci retournent directement au foie où le cholestérol est décomposé, et c’est pourquoi le foie entre en contact avec une grande quantité de ce dernier.
RF: Je dois juste reposer la question: comment peuvent-ils vacciner dans ce contexte?
VSK: Ce n’est pas toute l’histoire. Il se produit une inflammation du tissu périneural du nerf iscias, le nerf le plus fort du corps. Et puis une inflammation dans le tissu extracapsulaire a été trouvée, je ne sais pas exactement de quoi il s’agit, ils ne l’ont pas précisé, mais je suppose que ce sont les capsules articulaires. Qu’en est-il des personnes souffrant d’arthrite, par exemple? Et puis, c’est particulièrement important, très dangereux: ils ont constaté une réduction modérée à forte des globules rouges et des réticulocytes dans la numération sanguine. Cela explique l’hypoxie. Ils sont massivement endommagés par les nanoparticules lipidiques. Pourquoi donc? Parce que ce sont précisément ces globules rouges qui sont utilisés comme modèle cellulaire pour le stress oxydatif, ils sont particulièrement sensibles au stress oxydatif. Parce qu’ils transportent l’hémoglobine. Toutes les cellules qui transportent de l’oxygène sont toujours sensibles au stress oxydatif. Et lorsque les NPL y pénètrent et provoquent ce stress oxydatif massif, elles meurent très rapidement. Donc, les rats devaient souffrir d’hypoxie ou du moins ils ont constaté qu’ils avaient moins d’hémoglobine parce que, de toute évidence, cela a disparu lorsque la cellule a disparu, et un hématocrite plus faible. Ce sont des signes très clairs d’hypoxie, et je dois dire que cela doit être examiné de manière très critique, car qu’en est-il des personnes atteintes de troubles cardiaques, par exemple. Un muscle cardiaque, par exemple, s’il est sous-alimenté en oxygène, cela peut très rapidement se transformer en crise cardiaque. Et pour autant que je sache, il y a quelqu’un qui a eu une crise cardiaque après la vaccination. Je ne dis pas que cette personne en est morte, mais il faudrait au moins s’en enquérir.
RF: Vous n’avez pas besoin de dire cela, nous non plus, car sur base de ce que vous avez déjà décrit plus tôt – ils utilisent le triple du volume dont ils ont besoin par exemple – nous trouverons diverses formes de faute professionnelle médicale grave. Le médecin est responsable et devra prouver que cela ne s’est pas produit à cause du vaccin et qu’il/elle n’est pas coupable, ou du moins négligent dans ce qu’il/elle a fait. Ils ne vont pas s’en tirer comme ça.
Dr H: Exactement. Revenons au poumon – à ce problème d’approvisionnement en oxygène. Nous avons entendu dire que dans diverses institutions, les gens montrent des signes d’affaiblissement grave après la vaccination [description de la situation dans les maisons de retraite par exemple]. Ils deviennent de plus en plus faibles, ne veulent ni manger ni boire. Dans un cas, après une semaine, la personne était décédée, d’autres après 14 jours… Ils ne se sont pas rétablis. Est-il vrai que si vous êtes en meilleure forme, vous pouvez mieux faire face à cela? Les personnes âgées sont-elles désavantagées? Bien qu’il ne s’agisse pas de cas palliatifs, ils étaient vieux, mais en forme.
VSK: Les personnes plus âgées sont toujours plus faibles et présentent un certain degré d’inflammation. Parce que les cellules produisent plus de stress oxydatif et parce que les personnes âgées, en particulier dans les maisons de retraite, ne sont pas très bien nourries. Elles manquent de beaucoup de nutriments: vitamine D, E, C, glutathion – on sait que les personnes âgées ont moins d’antioxydants et un état nutritionnel inférieur – elles sont plus sensibles à ces phénotypes. Les plus jeunes ont une plus grande capacité de régénération. Les dommages sont exactement les mêmes, mais ils peuvent mieux se régénérer à moins qu’ils n’aient une condition préexistante – cancer, diabète ou similaire.
VF: Si l’organisme n’est pas altéré par des conditions sous-jacentes, serait-il capable de se régénérer? Chez les souris ou les rats, les dégâts disparaissent au bout de 3 semaines: reste-t-il quelques petits dégâts dans le foie ou se régénère-t-il complètement?
VSK: Oui, il se régénère complètement. Le foie est assez robuste.
RF: Ok, mais ceux qui ont des conditions sous-jacentes ont un problème. [Non repris – mention que les médecins ont été vaccinés, et les infirmières, et ont eu des réactions indésirables] Si les gens ont des conditions préexistantes, alors on peut craindre qu’ils puissent succomber s’ils reçoivent cette intervention OGM. La plupart des histoires que nous avons entendues proviennent de maisons de retraite [plus de détails dans ce sens]. Maintenant que vous l’avez expliqué, je comprends pourquoi, cela a du sens.
Ensuite, il y a la phase suivante. Et cette fameuse «tempête cytokinique»? Si le vacciné rencontre le virus sauvage six mois ou un an plus tard… Que peut-il se passer alors?
VSK: Vous parlez probablement de l’ADE [Antibody–dependant enhancement] – la facilitation de l’infection par des anticorps .
VF: Avez-vous fini de parler des effets indésirables, ou y a-t-il autre chose?
VSK: Presque.
RF: L’histoire d’horreur doit être complète.
VSK: Je suis extrêmement critique envers le comité de l’EMA: il n’y a eu aucune discussion sur les conséquences qui peuvent résulter des effets secondaires. Ils ont simplement hoché la tête tout du long. Ils ont juste dit ok, c’est comme ça… Peut-être ont-ils dit quelque chose, mais cela n’a pas été noté par écrit. Je trouve également très médiocre qu’ils n’aient enquêté sur aucune de ces choses qui, selon eux, n’ont pas été étudiées sur des êtres humains dans le cadre de l’étude clinique. Des échantillons de sang ont été prélevés dans les études, alors pourquoi pas? Il serait assez facile de mesurer tous ces paramètres sanguins tels que les érythrocytes, toutes les enzymes, toutes les autres substances. On peut faire des biopsies des muscles – rien de tout cela n’a été fait. Soit cela n’a pas été fait parce qu’ils avaient peur de ce qui allait sortir et qu’ils auraient à l’expliquer, soit ils l’ont fait et se taisent à ce sujet. Ils connaissaient toutes les observations sur les rats… et nous n’avons aucune donnée sur la façon dont cela se passe avec les êtres humains. Ils auraient pu mener cette étude. Nous avons le droit de savoir.
RF: Absolument. C’est la raison pour laquelle le Dr Peter Doshi dit qu’il veut voir les données brutes. Cela sortira d’une manière ou d’une autre.
VSK: La seule chose qu’ils ont faite a été de mesurer le taux de lymphocytes et ils ont constaté que les sujets souffraient de lymphopénie dans les 1 à 3 jours, c’est-à-dire une baisse du nombre de lymphocytes, mais les opinions divergent à ce sujet dans les publications. Il y a une ou deux publications qui disent que la lymphopénie peut survenir après une vaccination, elles le montrent – mais ils ne savent pas pourquoi cela se produit. Dans une publication, on pense que les lymphocytes transmigrent simplement du sang vers les tissus et qu’il y en a moins dans le sang. Mais cela n’est pas prouvé, il est tout aussi probable que les lipides cationiques attaquent les lymphocytes dans le sang. Aucune enquête n’a été menée pour montrer pourquoi cette lymphopénie survient chez l’homme. C’est le seul paramètre qu’ils ont examiné.
VF: Est-ce que c’était aussi le cas avec le rat?
VSK: Oui
VF: Et c’était lié aux problèmes de foie?
VSK: Non, c’est indépendant du foie.
VF: Simplement le même phénomène. D’accord.
VSK: C’est la seule chose qu’ils ont examinée chez les êtres humains dans l’étude clinique n° 1.
VF: Je comprends. Ça a également été trouvé chez les rats.
Dr H: Une question sur les décès. En Italie, nous avons eu beaucoup de rapports, pas via les principaux médias bien sûr. Un médecin, dans ce cas un pharmacien. Dans ce cas, ses organes ont été prélevés et donnés. Quelles en sont les implications? J’ai reçu cette information du Dr Gatti, il y a deux jours. Le message nous a choqués. Ils ont prélevé les organes et les ont transplantés chez des patients. Qu’est-ce que cela implique si cette femme était vraiment décédée des suites du vaccin?
VSK: C’est une bonne question.
Dr H: Nous avons ici plusieurs affaires criminelles l’une après l’autre. Non seulement on se débarrasse des preuves, mais aussi éventuellement on induit de nouvelles maladies chez les personnes qui souffrent déjà de conditions sous-jacentes sévères. Ce vaccin transgresse les frontières dans toutes les directions. C’est incroyable ce qui se passe. Nous avons le cas d’un jeune médecin, c’était sur les réseaux sociaux: il était vacciné, se vantait d’avoir reçu le vaccin, puis quelques jours plus tard, il s’est effondré et est mort en jouant au tennis. Cela semble lié à ce que vous nous avez dit ici. Nous n’avons pas seulement ces cas individuels, des cas se multiplient dans le monde entier d’effets secondaires graves soupçonnés [une discussion plus approfondie à ce sujet suit].
MT: [demande la chaîne des preuves lorsque cela se produit…] Parlons de la loi qui concerne la preuve et du renversement de la charge de la preuve. Quelqu’un se manifeste et dit qu’il a besoin d’une contiguïté causale. Si l’on pratiquait une autopsie, serait-on en mesure de délimiter la cause et de dire que sur la base de l’autopsie, le vaccin était causal? Je pose cette question parce qu’on ne serait pas en mesure de décider de transplanter leurs organes, ou d’incinérer rapidement le cadavre. Si le médecin (ou quiconque) porte le fardeau de la preuve, mais que les preuves ont disparu, il n’y a rien qui puisse lui permettre d’être disculpé. Donc ma question: est-il possible de déduire la cause du décès en utilisant la numération hépatique sanguine, etc.?
VSK: [Explique qu’un spécialiste des autopsies devrait répondre à cela…. Discussion supplémentaire]
RF: [poursuite de la discussion] Le professeur Cahill en Irlande nous a dit récemment que si une personne est immédiatement décédée après un vaccin – soit immédiatement, soit dans un certain laps de temps – une autopsie doit être pratiquée. Elle était d’avis qu’il serait possible de le prouver avec une probabilité proche de la certitude. Peut-être pas sur base d’un organe en particulier, mais en regardant l’image d’ensemble.
WW: Nous avons une loi en Allemagne qui stipule qu’avant que les preuves ne soient détruites, c’est-à-dire l’incinération, une enquête doit être menée par un médecin public, le certificat de décès est inspecté, la cause du décès doit être examinée. Si le fait qu’une vaccination a eu lieu n’est pas connu et que le cadavre est simplement incinéré, il faut se poser la question de la responsabilité: le médecin public a-t-il détruit des preuves? Une diligence raisonnable est requise, la question relative à la documentation du vaccin doit être posée, elle doit faire partie du cadre si quelqu’un décède. C’est l’Institut Paul Ehrlich qui a permis cette étude télescopique: si cela n’a pas été envisagé, nous devrions l’exiger.
Dr H: Professeur Wodarg, je suppose que cela ne devrait pas seulement être réservé à l’Allemagne, cela devrait être le cas partout où ce vaccin est utilisé. [Poursuite de la discussion]
WW: […] On ne peut pas incinérer le corps comme ça – trop de choses peuvent être négligées.
RF: Contrairement aux effets indésirables antérieurs des vaccins, il s’agit d’une technique complètement nouvelle […] Il faudrait commencer par détecter certains schémas qui se reproduiraient à répétition.
WW: J’insisterais absolument pour avoir un aperçu des dossiers de l’Institut Paul Ehrlich. Il faudrait examiner très attentivement leur plan d’observation. L’Institut Paul Ehrlich est responsable à 100%.
Dr H.: Il ne devrait pas être permis de donner des organes à transplanter dans des cas comme celui-ci. Une étude d’observation du type dont vous parlez devrait être menée.
WW: Il faudrait définir exactement quelles enquêtes devraient avoir lieu si quelqu’un décède après une vaccination – cette destruction des preuves doit cesser. Il faut vérifier si quelqu’un a été vacciné peu de temps avant sa mort et, si oui, interdire l’incinération. Les médecins du service public devraient en être informés. Pour protéger ceux qui ont été vaccinés et ceux qui le seront.
[Discussion plus en détail du problème de l’ADE. Parce que nous connaissons le sujet, je l’ai laissé de côté pour le moment. Je peux y revenir une autre fois.]
[Discussion sur les raisons pour lesquelles tant de tests PCR s’avèrent positifs après la vaccination: \ L’ARN est optimisé en codon – Normalement, trois nucléotides codent pour un acide aminé. Ils ont échangé le troisième dans le triplet, ce qui augmente la vitesse à laquelle la protéine est exprimée. Il est peu probable que ce qui est dans l’ARNm puisse être en corrélation avec ce que le test PCR recherche; Le Dr VSK dit qu’il est possible que la séquence puisse correspondre dans un cas ou l’autre, mais c’est très hypothétique. \ Le professeur Wodarg demande s’il serait possible de faire le test PCR sur le vaccin, pour exclure cette possibilité. Le Dr VSK dit que oui, ce serait tout à fait possible. \ \ Discussion sur le test de toxicité pour la reproduction.]
VSK: […] Un test de développement et de toxicologie de la reproduction (DART) a été réalisé. Ils ont examiné des rats femelles deux fois avant l’accouplement, puis deux fois pendant qu’elles étaient enceintes et vaccinées. On a regardé si cela avait des conséquences sur leur progression.
[Divers détails différents donnés, je peux y revenir plus tard si vous le souhaitez. On dirait que tout est dans le rapport. En effet, diverses anomalies ont été constatées concernant l’implantation d’ovules, par exemple. Ils ont dit que tout était dans la fourchette des données de contrôle historiques. Ils n’ont examiné que 21 fœtus, le Dr VSK dit qu’elle pense que c’est un nombre trop faible, ils ont trouvé une légère incidence de gastroparésie (anomalie de la paroi proximale de l’estomac), malformation de la mâchoire,anomalies de l’arcade droite de l’aorte et des vertèbres cervicales. Mais encore une fois, BN a déclaré que tous étaient dans les données de contrôle. Elle dit qu’ils auraient dû faire plus d’études et plus longtemps pour voir si cette légère incidence à la hausse s’est poursuivie ou non. Seulement 21 animaux. \ \ Le Prof. WW pose des questions sur le problème de la syncytine. Les anticorps contre la syncytine peuvent empêcher la formation du placenta. Cela conduirait à l’infertilité. Ils n’ont pas enquêté sur le problème de la syncytine, dit le Dr VSK. WW dit que ce phénomène n’est pas réservé aux êtres humains – cela aurait pu être fait dans une étude animale.
Des études à long terme et des études sur d’éventuelles maladies auto-immunes n’ont pas été menées.
On n’a pas cherché à savoir si le vaccin pouvait être transféré au fœtus.]
VSK: Ce mécanisme traverse la barrière hémato-encéphalique en raison du transport médié par ApoE. Ainsi, les NPL peuvent causer des dommages au cerveau. Endommager les astrocytes. Stress oxydant extrême. Ça peut entraîner une inflammation, un gonflement. Ça peut avoir un impact sur les nerfs. Paralysie faciale (paralysie de Bell) – soit le nerf est enflammé, soit le tissu adjacent, le gonflement appuie contre l’os traversé par le nerf, ce qui altère le nerf.
VF: Les dommages aux zones du cerveau pourraient entraîner les contractions et les tremblements que l’on voit, les conditions de type MS.
WW: Et les blessures survenant à la moelle épinière – le liquide céphalo-rachidien… les nerfs spinaux
VSK: Oui, il faudrait prouver que ces lipides y sont arrivés. Dès qu’ils sont là – et c’est dans la publication en noir et blanc – la cascade commence: stress oxydatif, dommages, apoptose.
RF: Combien de temps doit-on retenir sa respiration quand on a été vacciné. Une vie, ou y a-t-il un moment où vous pouvez vous détendre à nouveau?
VSK: Cela dépend des dégâts observés. Les lipides sont là pendant 4 à 5 mois. Des dommages peuvent survenir tant que les lipides sont là.
WW: Le grand projet de l’industrie pharmaceutique est de faire de nous un bioréacteur où nous créerons nous-mêmes les anticorps. C’est un excellent plan d’affaires pour eux. S’ils réussissent à le faire une fois, ils le feront pour tous les vaccins qu’ils pourront à l’avenir. Mais ces vaccins peuvent-ils entrer en conflit en nous? Un, puis peu de temps après, le suivant – les interactions n’ont pas été vérifiées, ne pouvaient pas encore l’être.
RF: Sans une véritable étude clinique, on ne peut pas vraiment dire si l’ARN d’un vaccin pourrait interagir avec un autre…
WW: Impossible d’avoir des études de recherche à ce sujet pour le moment.
VSK: Aucune étude de génotoxicité n’a encore été réalisée. Ils disent qu’ils n’ont pas besoin de le faire car «aucun potentiel génotoxique n’est à prévoir». Mais on sait depuis 20 ans que les lipides cationiques sont hautement toxiques. Dans quel univers vivent-ils?!
[Poursuite de la discussion sur le fait que ce n’est jamais un seul virus de toute façon – ce qui nous mène au diagnostic différentiel. Qu’est-il arrivé à nos conseils médicaux? Comment peuvent-ils permettre cela? Quel genre de formation nos médecins ont-ils pour participer à tout ça? En modifiant quelque chose avec un vaccin, l’ARNm conduisant à l’expression de l’antigène aura un effet sur un environnement où nous avons de nombreux virus, pas un seul. C’est une approche tellement bornée. L’Italie avait reçu des vaccinations contre la grippe: cela change le biotope, les personnes qui ont eu ces vaccinations réagiront probablement différemment à un vaccin à ARNm de ce type par rapport à celles qui ne l’ont pas reçu.]
Texte original
Interview with Dr. Vanessa Schmidt-Kruger
Hearing # 37 of German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee 30 January, 2021
This is Hearing No. 37 of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee with \ Dr. Vanessa Schmidt-Krueger, beginning at minute 3.56.38 of the hearing to the end.\ The transcript was first produced in German and then translated (by Gilian Crowther, member of the BDÜ, the Federal Association of Interpreters and Translators)
The German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee was launched by Dr. Reiner Fuellmich on July 10, 2020. Dr. Fuellmich LL.M. (UCLA) is an attorney at law, authorized to represent at all courts in the US federal state of California. He has been a consumer protection trial lawyer in California and Germany for 26 years.
The Corona Investigative Committee has been listening to a large number of international scientists and expert testimony since its inception. Class-action lawsuits are being prepared in the US and Canada. Lawsuits are also being prepared in Germany. Germany does not permit class-actions so the process is being prepared differently there. The committee is also working on the creation of legal guidelines and data caches that attorneys around the world will be able to use to file their own lawsuits.
This is her evidence presented at the 37^th^ Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee on 30^th^ January 2021.
RF = Dr. Reiner Fuellmich\ VSK = Dr. Vanessa Schmidt-Krueger\ VF = Viviane Fischer\ MT = Marcel Templin\ Dr. H. = Dr. Holzeisen (Italy)\ \ *RF: [Dr. Schmidt-Krueger] conducts research on cardiovascular disease and will explain the mechanism and risks of the vaccine.
*VSK: I’m a cell biologist and my specialist field is the functional characterisation and elucidation of proteins, i.e., I understand how proteins are produced, how they are transported in the cell, how they are taken up by cells, how they are metabolised, how intra- and intercellular communication takes place, including within tissue, and how organs interact. This is all very important if one wishes to conduct a risk assessment: how the vaccine functions for example, and the dangers/risks of the lipid nanoparticles (LNPs). This technology is not really new: it’s novel as a vaccine, but we have been using these LNPs in research for over 20 years, and we have always been struggling with the problem of toxicity of the lipids and balancing this against their efficacy.
I would like to explain a little using the example of the BioNTech (BioNTech) vaccine, focusing on a number of specific points. I’ve made a few notes.
The first point is that the BioNTech vaccine that is currently already being used is not highly purified, it contains contaminants of certain components. This is in the EMA’s Open Assessment Report, the Agency that has granted the authorisation to this vaccine. The EMA has written this report, and covers this point.
Secondly, I would like to go into the first clinical study of the BioNTech vaccine, and how the quantity of vaccine to be used was determined: this has not been correctly characterised from a scientific perspective in my opinion.
Point 3 relates to the effects or risks of the LNPs, and again I will be focusing on the BioNTech vaccine, the preclinical study they conducted, everything that came out in that, and what has not been discussed in public, and also what the publications say. This is basically not the only research study [on this].
And finally if we have time I would like to talk about the long-term consequences relating to immune disease, that is an aspect that has not yet been discussed in public at all.
RF: I don’t know if you are aware of this, but right next to you [on screen] is the colleague Dr. Holzeisen, who is key in constructing the plea for annulment of the vaccine authorisation: what you say today is likely to have a substantial impact on the lawsuit that we formulate and submit to the European Medicines Agency/the EU Commission.
VSK: Ok, pleased to help. I have made notes and can submit them in writing later.\ Good. Why isn’t all this being discussed? One reason might be that this Open Assessment Report is in English, and half of Germany can’t speak English. Then there’s the factor that one needs to be very familiar with the entire medical terminology in the report. And then there are all the technologies and cellular operations described: only specialists like myself can really understand them. That’s why I’m here, and would like to try and throw some light on all of this.
Basically the EMA Committee’s report has two main sections: one is about Good Manufacturing Practice, GMP, i.e. all the production processes, purification, how good the quality is and the monitoring mechanisms. And the second section is the preclinical study.
In the first section on the GMP they have done very good work I would say: they were very critical, asked for subsequent submission of a great deal of scientific evidence, and asked for numerous improvements. They were very critical and granular, and I was impressed with that. But their approach to the second section concerning side effects was in stark contrast to that. They didn’t conduct any critical scrutiny at all, there are lots of side effects that were not discussed at all in public, they also didn’t critically scrutinise what consequences it will have to inject this into people, particularly vulnerable groups who already have certain organ-related complaints, who are especially susceptible to these adverse effects. I’ll go into them in detail at the end.
We know that normally vaccine development takes a very long time. It’s not just the clinical phase: with this vaccine, it’s set at three times two and a half years, i.e., three phases of 2.5 years each plus the evaluation phase, which makes 7 ½ years in total. And then one shouldn’t forget that the production optimisation is also important, at least a year would surely be needed for that. That hasn’t taken place at all. The vaccine is already being sold and used, but the production optimisation isn’t yet by any means completed. And there are considerable deficiencies.
One issue I would like to discuss are the deficiencies relating to the active substance: by that, I mean the modified RNA that they are synthesising. As a second issue there are deficiencies in the consistency of the various production batches: they need to always be consistent so that one always obtains the same vaccine volume and quality.
The problem that BioNTech had is that in the clinical phase the product, i.e. the RNA, was produced with completely different techniques to how it is being produced now. During the clinical phase they only needed small volumes of vaccine, they were able to use very expensive techniques that delivered highly purified end products. Now that they have entered mass production, that is no longer possible, they have had to switch to lower-cost processes, e.g. using huge quantities of DNA that functions as the substrate to be able to produce the RNA in an in-vitro transcription reaction. This is done via bacteria, via the fermentation of transformed bacteria that contain this DNA. The bacteria multiply the DNA in huge amounts, and this leads to new dangers or risks, particularly contamination. At the moment for instance the situation is that the DNA is transformed in the bacteria, it is multiplied, next the bacteria are opened and the DNA is extracted, then it is linearised via enzymes, and after that the linearised DNA undergoes in-vitro transcription to produce the RNA using various procedures. The EMA Committee made various requirements of the vaccine manufacturer, i.e. BioNTech. The applicant needs to now develop and introduce various analysis processes to ensure that the substrate is free of microbiological contaminants – they probably mean E Coli bacteria for example. There don’t seem to be any processes to ensure or monitor for that. They also need to ensure that all the buffers – those are the solvents that are used – are free of RNAses. RNAses are enzymes that degrade RNA. If there are any contaminants of these RNAse solvents, then RNA in the vaccine will be degraded and the vaccine won’t have any effect anymore. They also have to analyse how strong the activity of the enzymes is; that is very important because I explained that after that the RNA is transcribed from the DNA and then the DNA has to be eliminated, it is digested by enzymes: by DNAses. And if this DNA is not digested well enough, if residues are left, this harbours risks – I’ll come back to the risks from DNA residues, but the activity of the enzymes has to be monitored well and at the end you need to have a pure RNA without any more DNA. And that is not the case. BioNTech has admitted that there are DNA contaminants.
So. Requirements were also made relating to the fact that they have not conducted a transport verification study. This means they have no idea whether the vaccine is still viable after transportation. That is currently being performed.
Then there’s the sterility of the vaccine vial. They have good vials, they have tested them, but they have been asked to develop a new “Quick Test” so that the doctor or whoever administers the vaccine can conduct this test to check whether the batch that they have just purchased is really sterile.
This is simply an additional step that should be taken.
And then they don’t have any proper standard for the various batches.
It was found that the integrity of the RNA always varies in the batches that had been made. I will come back to that again. There needs to be a standard that is always the same for each batch. This should be used as the reference to measure the standard. And they only have this of course for the processes of the clinical phase. Now we have to generate a new standard for the new manufacturing processes, i.e., for the commercial sales. That hasn’t been done yet, they are in the process of doing that now.
So – the integrity of the RNA means of course the RNA quality. They have found that this is not very high: it was higher for the processes during the clinical phase. In this report they don’t say how high it is, but I have other information that says 78% of the RNA was good [translator: this refers to the integrity], the remainder was not, but now they have found new batches with only 55% RNA integrity, i.e., half of it is basically unviable. I’ll explain that again: during the synthesis of this RNA, the DNA serves as a template, and then the RNA is produced. It is possible that the entire RNA is not produced, the process is broken off prematurely, this has to be checked. There are analysis methods for checking what percentage of the product that has been produced has the full RNA length (100%), and what percentage is only 80% or whatever. These truncated pieces of RNA are more unstable as a result: at the end of the RNA there is an adenine attachment, and the longer this “tail” is, the more stable the RNA is in the cell. If this is truncated, the RNA is degraded in the cell relatively fast, and then no protein can be formed at all: in the worst case so little protein is formed that no immune response can take place. But that’s the worst case. If you have RNA integrity of only 55% and the remaining 45% is just truncated pieces because you have found shortened pieces of RNA, then the EMA Committee wanted to know whether truncated protein pieces would be produced, and how much of the proper protein [translator: i.e., spike protein] is produced. This all needs to be analysed.
RF: You are just explaining to us everything that is going wrong with production, and a risk that does not appear to have been discussed at all – at least I have not read anything about what you have just discussed – is that 45% of the RNA that is produced from the DNA is non-viable.
VSK: It may be non-viable if the protein is not formed – BioNTech has to check that now because one can make the proteins visible using a specific technique, and then one can see how large the proteins are. They are divided up according to their size, and if truncated proteins are made due to shortened pieces of RNA, then one sees that because new shorter proteins are formed. In their analysis they have seen various bands, i.e. various protein sizes, and the EMA Committee would like to know from BioNTech whether these various sizes all belong to the same protein or not – whether they are other proteins – shortened proteins that perhaps have no effects at all, and what percentage of the correct protein that we want to have is actually in the vaccine dose. How much is being made.
VF: The small proteins: could they simply have no function, or might they produce some other effect?
VSK: I assume that they would then be without function.
RF: At least they wouldn’t be doing any damage then?\ \ VSK: Yes, these are not completely different proteins, this is just a small fraction of the spike protein. (15.11)
VF: And just one other question about the DNA – what kind of DNA is this that is sort of swimming around, what effects could it have?
VSK: The sequence of the DNA is complementary to the RNA, and this is needed so that the enzyme has a “template”, so that the RNA can be “read”. The RNA is transcribed by the DNA, that is basically the gene of the spike protein. The gene codes for the protein; the RNA is the interim product.
WW: If shorter pieces are produced, i.e., not the longer proteins but these short sections, I’m thinking about the immune system. There are many homologies in biology, the immune system reacts differently to what is produced in the cell. Is it possible that certain things – that something is is recognised there by the immune system that leads to cross-reactions – leading to aberrant immunity or aberrant immune reactions? I would be interested in the immunological aspect of these contaminants.
VSK: The protein has a specific sequence length and a specific number of amino acids, this results in specific folding of the protein. If one has truncated RNA, it is possible that the folding looks different, and this can of course have an effect on the antibody formation. I wouldn’t say that it would have a negative effect because the protein has to reach the cell surface for the cell to recognise it at all. If it is very truncated, then it doesn’t find its way there, it would not be anchored in the membrane, it would be secreted from the cell and enter the [blood] flow. So this is theoretically possible, but I think the likelihood is very slight that another protein or a differently folded protein would arise, causing other types of side effect.
WW: Thank you.
VSK: To come back to Ms. Fischer’s question about the DNA. The problem is that when it contains DNA contaminants, then the situation is: well, with RNA it is relatively unlikely that it can integrate into the host’s cell nucleus. The situation is different with DNA, and especially in this case because you have contaminants of linearised DNA. The integration of DNA into the nuclear genome is relatively rare really – many different factors have to come together for this to function. First of all the cell has to divide; if it divides properly it can’t be integrated because the cell genome is in the nucleus of the cell and this cell nucleus first has to dissolve. But it only does this when the cell is dividing. I will come back to this, because the lipid nanoparticles get into all cells, not just the muscle cells – it is an error to believe the latter.
RF: That is important, that’s what really counts.
18.42
VSK: So it is theoretically possible that this linearised DNA that is in there as a contaminant could integrate into the host’s cell nucleus in a dividing cell, linearised DNA is optimal for integration. Circular DNA is not. DNA from bacteria is circular and is not as easy to integrate. It happens, but not so often. But as soon as you have a situation like we do here, it will happen more often. That is the risk. I didn’t really want to get into what can happen if this is the case: genes can be switched on and off, upregulated and downregulated, cancer can develop – there are a lot more possibilities. So this contamination definitely has to be reduced.
RF: Can you explain that to us again because that is particularly important for us as lawyers, especially for Dr. Holzeisen. What can happen in that case?
VSK: Ok. This integration: where it occurs is the nuclear genome – we can’t control that, it can happen anywhere. There are sections in the DNA that are vulnerable to it, and others that are not so vulnerable. And it is important where the DNA lands. It may land on a gene: then the gene will become dysfunctional, the protein will no longer be formed, and if it is an important protein, the cell may die, and if this continues to replicate, this can cause really massive damage. If for example it lands in an important cell that divides frequently, then clones can arise that are modified, they are gene modified, and in that case in these cloned cells these proteins are no longer produced and then, in the worst case, there is a loss of function. If it leaps into genes that have a regulatory effect on gene expression, then the genes may be switched on or downregulated, i.e., the output will differ. And this means the metabolism of the cell will alter. If this is passed on in replication, then many things may alter in the body.
WW: But these are processes that are probably not the same in all patients. Whether this happens at all is stochastic at the most, and if it does happen, the results are probably also dependent on each individual and what else is going on in their cells. So one can’t say put that in and this is what will happen, these are eventualities – if a million or so and so many thousands of people are vaccinated, then one can perhaps say with a certain degree of probability after 10 or 20 years whether something will happen or not.
VSK: Yes.
WW: With some things perhaps after 3 or 4 years. But one needs some time to be able to detect such effects clinically.
VSK: That’s exactly right. One never finds a group that all have the same mutation, this varies in people – exactly.
RF: This description is not the normal way a vaccine works, from what we have known up to now, the possibilities that you describe seem reminiscent to more of a genetic intervention or perhaps one should say a genetic experiment -?
VSK: Yes, that is true. The vaccine itself, even if the DNA – that contamination – were not in it – is still a genetic intervention. I’ll be talking more about that, then you will be able to understand it really clearly. But I don’t know how high the contamination is, they have only stated the fact that it is contaminated.
VF: But against the backdrop of this DNA issue, especially in the case of dividing cells, the question that arises is that it is probably especially dangerous to vaccinate pregnant women or children, because in those cases the cells are dividing much more than in an adult or a very old person.
VSK: That’s absolutely the case.
WW: In the case of pregnant women one also has the problem that the immune system reacts differently than in those who are not pregnant. Because in pregnancy the immune system is switched so that the foetus is tolerated and not rejected. It reacts differently as a result. This may also have a bearing with this vaccination, it can lead to complications in pregnancy, and also in older people, where certain processes no longer take place – the immune system tolerates more than normal, and immunological complications arise as a result. This could happen in elderly people and in pregnancy.
VSK: But as I have said, we are all at risk because our cells are subject to ongoing dynamism: millions of cells in us are being degraded and renewed every day: one has to consider all the stem cells, all the immune cells, it is a constant flux: if these contaminants interfere, then …
That’s why the AstraZeneca vaccine is an entirely different caliber.
But to stick with BioNTech: there are further contaminants, there is double-stranded RNA for instance. The EMA Committee says it is slight, it is acceptable, but …
It is measuring it in the quantities that are in there: part of the 30 micrograms is double-stranded DNA….that is something else that cannot be used.
Ok, so the EMA tells the vaccine manufacturer that the acceptance criteria for the mRNA integrity, the double-stranded RNA and these shortened RNA pieces etc., that all has to be reassessed, and as soon as further data are available they will review it again.
Good. Then there are also contaminants relating to the lipids that are used for these lipid nanoparticles (LNPs). They have sometimes observed visible particles in the ready vials. They don’t know why that is. They don’t think this comes from storage. They have certain automatic monitoring systems at the manufacturers and also later in the process that check and monitor for this, but this needs to be improved, it’s not sufficient for the EMA. The doctor who handles this vial later is meant to look and see if these particles are there. If so, it is meant to be discarded. I don’t know whether that is being communicated. 26.18
RF: But just to go a step back for a moment: You have just said that the EMA has specified several requirements, and when they have fulfilled them they should come back again. So how come vaccinations are already taking place?
VSK: That’s a question I’d ask you! 26.41
Such political pressure.
Dr. H: That’s criminal, unbelievable. Terrifying.
WW: Another point is that in the USA and elsewhere it is now being permitted to combine different vaccines for the first and second vaccine … Mixing the different vaccines so that one can’t even draw clear conclusions, and this while studies are still ongoing – well, they are supposed to be studies – that the vaccine doses are being mixed so that you can scarcely determine which vaccine is having which effect and which side effect – that seems to be intentional, it’s like that in the USA, that the Moderna, BionTech and AstraZeneca vaccines can be mixed – if one isn’t available, another can be used. This makes it impossible to have an overview and it means it can’t be evaluated in the observational study either – which means we’re flying blind.
VSK: Yes, that’s exactly how I see it. They have a deadline of the end of July of this year for these investigations, and then the decision will be made as to whether the vaccine receives final authorisation or not; it only has a temporary authorisation at the moment from what I understand. The problem is that all these analysis techniques, protocols, all these commitments they have to make, it’s all running parallel to the vaccines actually being administered – that’s what’s so disastrous.
RF: If we wait until July we won’t have any Israelis left as far as I can tell. Holy Shit.
Dr. H: At the same time the EU Commission in the person of its President has given clear instructions to have most adults vaccinated by July, especially those who are already have underlying conditions, and our health professionals, etc. There’s huge pressure towards mandatory vaccination. This is criminal. We will definitely file a criminal complaint next week: this information was the final evidence that we needed. The plea for annulment, if we don’t file it with the European Court of Justice – we will try to next week. I’d request that you submit your written notes quickly to me please, it is essential, we really have to expedite the proceedings, this is costing lives every day across the world. We can try to block it on an EU level. This is dreadful.
RF: We will do the same in the USA, we’ve already discussed this, but it’s ready Renate, it’s on the way to you.
Dr. H: This information, if you could send to me in writing what you have said here afterwards, that would be really superb.
VSK: I will send you everything. The information is public, it’s in the Assessment Report.
Dr. H: That’s clear, we’ve seen it too, but it’s always important to have a coherent commentary, too.
VSK: That’s fine. So I’ll continue. There are also contaminants with regard to the lipids (30.32). There are two new lipids, they have focused on them. One is ALC-0315, that is the cationic lipid, and the other is ALC-0159, the PEGylated peptide, the PEG component. And they have found that the end product – that there are contaminants in the end product in some batches. They don’t know where this is coming from, probably from the cationic lipid. They now have to find out where the contaminants are coming from, and the EMA has therefore asked them to write a report on how the chemical synthesis functions, where they obtain it from, i.e., the manufacturer, which means conducting a quality control for the feedstock and the solvents. They have to list which steps are critical in the synthesis. And they have to do all this by the end of July 2021. So they don’t know the source of the contaminants, and the EMA Committee didn’t go into what consequences the contamination might have.
There is no evidence of contamination for the PEG, but they also need to document their strategy for the quality control, purity, etc. on this in writing, too.
The EMA Committee issued complaints about 20 points in total regarding Good Manufacturing Practice. These are very extensive points, it will be quite a challenge to manage this in half a year I’d say, and they have issued 23 recommendations for further development of the quality of the of the product. And then there are another six pages at the end: I’ll quote from that: “The assessment of the safety risk is considered acceptable; there are theoretical calculations of worst-case concentrations from residues from the manufacturing process, but these have been found to be below established safety limits”. What this means is that our health depends on theoretical calculations, and not on actual tests in practice.
I just wanted to have said that.
RF: What do these lipids do? We have heard from all over the place – not from the mainstream media of course, you don’t hear a word of criticism from there – but we are hearing reports from the Internet that can be substantiated that in Gibraltar for example, 53 people died after vaccination. In Germany we are hearing that the same is happening in old people’s homes. People who have just been vaccinated are either dying immediately afterwards or getting very ill, while those who have not been vaccinated are in the same condition as previously. And we have heard from top scientists that this could have something to do with the lipids or liposomes that in some people are immediately leading to very poor oxygen saturation in the lungs, or are somehow docking in the brain and causing neurological issues – tremors and all kinds of dysfunctions. Does this have something to do with the lipids?
VSK: I can confirm that. This is the large topic that I would like to cover at the end. Could we come back to that later? I will explain that in detail, that really is the case.
Ok – I’ll now come to my second point, which is determining the vaccine dose, which they were supposed to analyse in the Clinical Phase 1. There’s a Clinical Phase 1, and BioNTech has the task of not just detecting side effects, i.e. spontaneous adverse effects, but also of determining the vaccine dose. They tested three or four different vaccine dosages – 10 micrograms of RNA, 20 µg, and 20 µg respectively in two doses, and [hundertenprogramm? Inaudible] of just one injection. And then they conducted their test 34.56 and the patients were supposed to make notes in the seven-day digital diary. Basically what they found was the higher the vaccine dose – the stronger and higher the concentration of RNA – the more frequent were the side effects. Generally one can say that there were always more and stronger side effects with the second dose than with the first. Older trial participants had fewer because their immune system is already aged and is not so reactive. They naturally analysed the side effects that have been published – fever, fatigue, headaches, joint pain, myalgia, shivering, vomiting, diahorrea. Nothing more is covered in the the publication – we don’t know whether they did more. They also looked at how many antibodies were produced and then bind the spike protein: they did a binding assay and investigated the antibodies when they encounter a virus. They generated an artificial SARS-CoV-2 virus that contains a GFB [NB: “green fluorescent protein”, I think this was mNeonGreen – a fluorescent marker], i.e., cells that are infected with the virus light up green, then one can count how many green cells there are at the end. And if one then isolates the antibodies from the vaccinated trial participants and mixes them with the viruses, then they partially neutralise the viruses, and then one has fewer green cells, you can see that. So to summarise, the vaccine has a positive effect, but the criticism is that there is no positive correlation between the different vaccine doses, i.e., we see the same effect at 10, 20 and 30 micrograms. Despite this they want to use 30 micrograms as the vaccine dose. Although 30 micrograms has many more side effects than 10 micrograms. The benefits are the same, but the risk is different. This is not scientifically justifiable. If I were writing an application for an animal trial and I wanted to vaccinate the animals with 30 micrograms and I had to justify why 30 micrograms, why not 10, then I would never get past the door with my animal trial application if I got the same effect with 10 micrograms. There is simply no additional benefit if I increase the RNA volume in these assays.
WW: I have a question: do these microgram values include the additives (37.51), are the LNPs included, or do these dosages only refer to the mRNA?
VSK: The dose only refers to the mRNA. But they are of course wrapped in the LNPs, and the higher the microgram dosage mRNA, the more LNPs you need.
WW: Ok
VF: Is that a question of costs?
WW: If the side effects come from the nanoparticles, then the dose dependency could be explained by that, and not by the effect of the mRNA.
VSK: The side effects?
WW: Yes
Dr. VSK: Yes of course. Because these are primarily due to the LNPs. But I’ll get onto these at the end.
The fact is that the clinical study Phase 1 is normally there to find out what quantity of vaccine you need; it is important to prove what the vaccine dose should be. What vaccine dose you need to get the effect you want to have, ultimately. To do that you need to conduct a statistical test across all the different vaccine doses: in science that is a clear case of [Wanneranzapf mengen test – inaudible – a volume test with a name], that is a particular test that one has to use, it tells you whether there is a positive correlation, i.e., that the effect increases with a rising vaccine dose or not, whether it falls, or whether it remains the same. They didn’t do this test, giving the excuse that there were too few data points per group, i.e., that they only had 12 trial participants per group. I wonder whether they knew from the outset why they weren’t consigning more trial participants. And second, it is an absolutely stupid excuse because any scientist would be happy to have 12 datapoints per group, i.e. 12 trial participants per group. It is entirely possible to draw a statistical conclusion – you can do it with 5 or 6 people, it won’t deliver such robust results, but with 12 per group you can draw a fairly good conclusion as to whether there is a correlation or not. If I look at the image – and I’ve got a trained eye – and compare the median values and the scatter of the data, I can already say that there is no correlation. Whatever test I do, it fluctuates, they all have more or less the same effect. I.e. the excuse that they didn’t want to do this test … or let’s say if they had done this test, they would have produced the evidence that 30 micrograms would be too much, they should have used 10 µg vaccine doses.
RF: But that is a particularly egregious error. If that is part of the Phase 1 trial to test out the dose that will be effective, if at the same time as you are telling us Dr. Schmidt-Krueger it doesn’t increase the efficacy: the efficacy remains the same regardless of whether 10 µg or 30 µg are used but the side effects increase, that is severe medical malpractice.
VSK: You have completely understood. That’s exactly how it is. In my opinion they intentionally didn’t use the test because they would have had the evidence and no justification any longer for\ 30 µg. And then they give the stupid excuse that they can’t do the test because they don’t have enough samples.
41.22
MT: First of all I’m wondering how expensive this vaccine is. If I need more of this strange fluid, then it will be more expensive, and for me as a layperson that doesn’t really have an impact on the issue of whether – I mean, if one assumes that it is this miracle treatment, how much do I get from a dose if I increase the dose, or am I getting this wrong? Wouldn’t I get more out of the vaccine if I said right from the outset that I need to use less? Or am I misunderstanding something?
VSK: We know that the vaccine vial is for 5 people, but you get enough out for 6. You give a little less, but you have previous knowledge that that will also work.
RF: The point you are explaining here will have further consequences. We are seeing that it has adverse effects through to death, this point and what’s happening here will play an extremely big role because the doctors have to take responsibility, they are participating in this – this is serious medical malpractice.
This also involves a reversal of the burden of proof. (42.56) Those who have been damaged no longer have to provide evidence that the cause of what has happened is the vaccine: the doctor has to prove that it was not the vaccine and that he/she is not guilty. This is going to be a really strong argument.
VF: Sorry, another question about the costs. Normally one would think – after all, it’s a commercial enterprise – I wouldn’t put ingredients into it that are three times the quantity of what I really need: the RNA surely has a cost.
VSK: It’s costing US more!
RF: That was the simple question. The more of the stuff is pumped into people, the more expensive it is, that’s logical. It would be a remarkable result and difficult to explain – to the taxpayer particularly –
VF: Let’s say the price people are willing to pay for a product of this kind, where they don’t really know what’s in it, is EUR 50, it wouldn’t really be the case that this price would increase if I said I’m putting three times the quantity in. So if it achieved the same effect, they could say this effect costs EUR 50. They won’t have negotiated a price that revolves around how many DNA particles it contains or whatever?
RF: The contracts are secret. Do you know anything about it, is it calculated according to vaccine quantity? I can’t imagine anything else really.
VSK: I don’t know how reliable the data are, but I have heard that normally there 5 vaccines in one vial, but they charge 6 vaccines per vial. Although the company doesn’t have any extra costs for this. That’s a piece of information I have, but I don’t know if it is true, I’ve just heard it.
Dr. H: And something else. The vaccine is mixed by hand: you take the vial, take the unit of measure that you need for one person, and add saline to it, and then it’s injected – ?
VSK: Yes, it arrives dehydrated, i.e. all the water is removed. It contains a small amount of white powder. This is then dissoves in the saline solution and then you have to take the respective amount out of that. The people who received five times the dose probably got all of it.
Dr. H: Exactly, that was the point I wanted to get at: first of all, why do they do that? That seems to me to be a clear vulnerability in the system. That’s the source of error really. Is it because of transport volumes, or what is it?
VSK: Yes, transportation is much better when it is dehydrated. It can be stored better that way.
Dr. H: That explains it. I find that risky. From what I have heard, it has gone wrong. Someone actually forgot to divide off the right quantity, and the patient was given five times the dose. What would the risks of that be in your opinion? (46.49)
VSK: [Inaudible, think must be “The damage”] is much higher. But I will come to that.\ We are still talking about the volume: what I’ve covered is not the only point of criticism while we’re on this subject. In the same study they have also – well, they claim that it is important to give two doses. That may well be true, but they haven’t proved it; they haven’t tested it scientifically. What they did in this study was they gave two doses of all the quantities: 10 µg, 20 µg and 30 µg. Normally to make the assertion [translator: that it is necessary to use 2 doses], you need to have a group where you give just one dose. Normally it’s like this: you get an injection, then the body forms antibodies, it takes a while until it starts, the antibody titre rises and then it forms a saturation curve. So at some point it doesn’t go any higher: then you have reached saturation. And this goes up over time. But to find out whether the second dose has an effect you have to give the injection and find out how high the titre is after 35 days. And then do the same with the other group; after the same time, 35 days, look at how high the titre is. (47.59). And if the titre is higher, then the second dose has had an effect. If it is not higher, then the second dose has not had an effect. I assume it did have an effect because in another vaccine similar to this [Which? Would be useful to know] it did have an effect, but in that case the scientific data were generated a little shoddily – the time is sometimes missing in the data, they simply left it out so that one can’t prove whether it has had an effect or not …. But from experience I think that a second dose is likely to have an effect … but I’m sure it’s like that in a court of law: belief is not evidence or knowledge – i.e., they would have had to prove it in this clinical study with this vaccine. They didn’t do that: they are simply making the claim.
RF: There isn’t a study on it?
VSK: No, I haven’t found one. There is the Clinical Study No. 1 on human beings, that is where they should have tested it.
RF: They should have tested it within the aegis of the Phase 1 study.
VSK: In the study on mice/rats. I don’t know, but this small study on human beings: that would have been the moment where they should have tested it. That’s my opinion.
RF: No, that is correct. Legally that’s the case. They have simply made the claim. Somewhere along the line they made the assertion: better twice than once – perhaps even three times wouldn’t be a bad idea, would have been just as good from all one can tell. That is really ghastly. Professor Hockertz told us that it is usual in the development of new medications – also in the case of vaccines: no preclinical phase was done, no animal trials: Phases 1, 2 and 3 took place in a completely telescoped fashion, and now you are telling us after having … you have just pointed out that the EMA has made various demands that haven’t yet been fulfilled in some cases because they only have to be met by July – but they’re already going ahead and vaccinating. What’s going on here? The study is basically taking place now, right before our eyes, live on stage – on patients who have no idea what we are discussing here just now! We’ll have to tell our Israeli colleagues this, they won’t be happy at all ….
Dr. H: And just to mention Reiner: without the vaccinated being tracked like the trial participants that they are (50.47) If I were a trial participant in a vaccine test series then I would have to be medically tracked, i.e., assessed. People are simply being vaccinated, and if they die it’s counted as a Covid death. That’s the reality. Or more frequently it’s said they died of their underlying conditions. Anything to prevent it being seen as a result of the vaccine.
RF: We just heard that at the start Renate: The fact that three times the quantity that is really necessary is being administered, and at the same time the risk is increased by three times: we definitely have medical malpractice, we definitely have the reversal of the burden of proof, and we can’t say any longer that was Covid, instead we can say we want to hear from you: is the causality … you have to prove that as you have made huge blunders. Is the causality different to the severe medical malpractice that we have to accuse you of. That is what I said from the beginning: this is definitely bodily harm. At the very least because there isn’t any proper up-front clarification/information provided, [as there would be if you were taking part in a study]. But what I’m hearing now in addition to that – my goodness …
Dr. H: Have you conducted the same evaluation for the Moderna vaccine that is already being used, or only for BioNTech?
VSK: I haven’t managed this for Moderna or AstraZeneca yet. I will do it soon, but had too many commitments and so many requests, broadcasts on Youtube etc. (52.24)
Dr. H: Moderna would be more important than AstraZeneca because Moderna is already on the market.
VSK: Exactly, that will be the next that I do, looking into the studies.\ \ Any more questions on that part? Because now we are getting to the side effects. That’s a real head turner. I suspect it will knock you for six. (52.57)
A preclinical study was done, but at the time Professor Hockertz discussed this it didn’t exist, he didn’t know anything about it. It came out with the report at some point in mid-December. And I spoke to him at the end of November.
So there is a preclinical study. Let’s look at the basics to start with. The technology of the nanoparticles. I don’t want to completely malign it. It’s a superb technology really. But the problem is that it is still much too early for use in human beings. The toxicity is still too high, that first needs to be eliminated, then it would really be a brilliant technology. There are many scientists working on getting rid of this toxicity, research has been conducted on that for years. [Trans: for 20 years she says at the end]
It is actually used for cancer patients, but there the risk/benefit ratio is very different, I’ll come back to that. In a healthy person such as with a vaccine, I consider it disproportionate to apply this technology at the moment while this toxicity exists. Nanoparticles, these are very small particles and always damaging to cells, because the smaller the particle, the more interaction they can have with cell components, i.e., with the proteins, with other lipids, or with the DNA etc. But one needs a nanoparticle lipid envelope because one can’t just inject the RNA into people, it is broken down within 10 minutes by the nucleases that are swimming around. The cells won’t take up the RNA/DNA if it is not nicely presented via a lipid nanoparticle for example.
There are various studies in vivo on mice or rats – I don’t know which animal, I have to ask – it has been found that if one gives long-lasting LNPs to animals, via inhalation over the lungs, that you get DNA strand breaks in the lungs. And that can trigger serious lung disease or lung cancer: it has been found that lung cancer develops. And the uptake of LNPs in the spleen has been detected: DNA strands breaks were also identified there. And it has also been found that when the LNPs are transported in the blood then thromboses can occur, or haemolysis – haemolysis means the sudden dissolution of erythrocytes, i.e. red blood cells, this causes hypoxia.
(Whisper)\ VSK I’ll get round to speaking about that. That can directly be applied to the BioNTech vaccine.
And now I want to explain to you how this technology functions. (55.54)
Could you let me use the screen – then we’ll have a better idea of where the toxicity comes from.
RF: We’ll get that sorted.
VSK: Now you can see a white piece of paper, right? Can you see it? Ok, it’s like this.\ \ Here is an LNP. Inside it is the RNA. This LNP, it isn’t just one RNA, there are lots of RNAs inside, always the same, but lots of them. The LNP in this lipid envelope consists of many different lipids. There is a helper lipid: that is completely uninteresting, it’s not toxic or anything. It’s simply there for the structure of the envelope. Then there is a cationic lipid1. And then there is the PEG component. It is cationic. And then we have cholesterol.
So these are the different components and these 4 components are also needed for this. And then we have a cell. Let’s call it a muscle cell because we inject into a muscle. And this cell has a negative charge here because of the lipids that are stored in it. And this LNP up here is neutral i.e. the cell has absolutely no reason to absorb it. How it gets into the cell is as follows: there are many publications on this subject that have established that it comes in through an ApoE transporter – there’s a lot of chemistry now but you need to understand this.
There are proteins in the blood called ApoE. Those are the components of HDL-LDL that are tested in human blood tests to find out cholesterol levels, ApoE is always there. The ApoE can bind to cholesterol, that is why it binds the cholesterol from the particle here. And now this whole particle is recognised by the cell; the cell has ApoE receptors, there are different ones. There’s the LDL-receptor or LAP – there are many, certainly well over 10 different receptors and they then bind the ApoE where the whole lipoprotein complex binds to it and then it goes into the cell. Then the whole cascade begins. The LNP is located in a vesicle out here. And there’s a sensor in the membrane here, the TLR – toll-like receptor – they are there to recognise/locate foreign DNA/RNA. So if it were a virus rather than the vaccine, it would recognise RNA and break it down.
That is part of the immune system. But since the RNA is surrounded by an LNP shell, the immune system cannot recognize the RNA and it is not broken down, this is done on purpose. We don’t want or the vaccine manufacturers don’t want the RNA to be broken down. And what happens now is a completely normal process, it’s what always happens in the cells: it doesn’t matter at all, regardless of these LNPs, that protons now migrate in. So everything in here is positively charged. Due to this positive charge, part of the PEG lipid is split off – it is pH-sensitive, the lipid is broken apart and this PEG can no longer suppress the cationic charge of the lipid in the shell here. This means that the lipid is positively charged. And so everything in here becomes positive – and then, in principle, water flows in, and the whole thing bursts open and the RNA it is released into the cell (1.00.34)
You now have the released RNA and the individual components: helper peptide, the cationic peptide that is now positively charged because it is no longer suppressed by the PEG, then there’s the PEG and the cholesterol.
What has happened now is that the TLR can access the RNA, which sends a signal to the outside. The cell then produces chemokines and cytokines that are released from the cell. That is the first part of the innate immune response. 1.01.14
At the same time the RNA goes into an area of the cell, it is transported to a specific area where the production of proteins takes place. The protein – this is where the RNA is then – the protein is then only synthesised/produced here so that the spike protein can be resynthesised. And the spike protein can be found everywhere in the membrane; it migrates to the surface of the cell so that there are spike proteins everywhere on the surface of the cell. The spike protein was not there at first – it came into being in response to the vaccination and that’s why it’s called a genetically modified cell. We have therefore become a genetically modified organism. As long as the spike proteins are there and the RNAs, we are GMOs. They’ll go away at some point, then we’ll no longer be a GMO but we are a GMO for as long as they are there.
This is genetic modification. It is not integrated in the DNA but happens in a different way, namely indirectly.
OK, let’s carry on.
[Question: How long does it stay in there?]
VSK: Such an RNA has variable stability – it can last from a few minutes because these RNAs are important for development, but also several days. I will talk about the length of time it is in there later on.
So how do we get to the rest of the immune response? Down here there are chemokines and cytokines. You have to think of them as a fragrance secreted by the cells. And then there are immune cells, those are APCs: antigen-presenting cells. They pick up the scent of the chemokines and cytokines and migrate to the highest concentration of them. Because the production of the chemokines and cytokines is a cry for help from the cell, saying “There’s something wrong here”. Something’s happening to me. And so the immune cells come along and check what’s going on. What’s wrong they ask themselves and they meet the LNPs – they are not all simultaneously taken in by the cell. They are also taken in by the cells – they are also inside here. The LNPs – the spike proteins are also formed here too, only these cells have the feature that the proteins are degraded again, that is the function of the cell. They have fragments of the spike proteins, and each one is presented on the surface of the cell for the rest of the immune system. This happens via the MHC class of receptors. And when these APC cells have absorbed the spike protein, they migrate back to the spleen for example and are digested. Then they are presented to the other immune cells, i.e. the B-cells and the T-cells. I’m keeping it simple because it is really much more complicated in real life. But what happens now is on the one hand that the B cells are activated, they become plasma cells and now produce antibodies. Antibodies against the spike protein up here which is now finally on the surface of the cell. And these antibodies now migrate here, they migrate through the bloodstream and find their antigens and the cell where the spike protein is expressed. They then bind this spike protein onto the muscle cells for example. At the same time up here, T cells are activated and become for instance cytotoxic T cells which also migrate in the blood and seek these antibodies and bind to them via their T cell receptors. This is how a complex arises. Once formed, the T cell substance enters the cell so that this cell is prompted to commit cell suicide – cell death. This is called programmed cell death or apoptosis.
What we have here that is new with this vaccine is it’s not just proteins that are injected into us that swim in the blood and are then eliminated by the antibodies: we have here various avenues whereby toxicity/cell destruction take place. One way is via this here: the cytotoxic T-cell forces the muscle cell into apoptosis. And then we have RNA, which is fundamentally also toxic for the cell from a certain length onwards. And above all – this is particularly important – the cationic lipid, it is cationic, i.e. it has a positive charge. And that is very very toxic, we have known that for over 20 years.
So, that is the process for now. Do you have any questions about it?
RF: 1.06.49 That is the process after the vaccination, before you even get into the vicinity of a dangerous virus?
VSK: Yes, that’s how the immune response arises, i.e. it’s part of the immune response. It is much more extensive, there are other factors, but that is very roughly how antibodies are produced and how the antigens – the spike proteins – are destroyed in the cell.
So: I wanted to show you exactly what the toxicity is. We definitely have these cationic lipids in the cell, and now I’ll talk about what they do with the cell.
I’ll just leave the screenshare now.
Ok, that’s fine.
So: the cationic lipids. I’ll go back to the BioNTech vaccine: the LNPs consist of up to 50% of these cationic lipids: 50% is very high, they are toxic because they have this positive charge. This enables them to enter into interactions with other components of the cell really well, they can also basically interact with negatively charged amino acids. This destroys the proteins which lose their ability to function because they “unfold” as it is called. In principle they can interact with the DNA because the DNA is also negatively charged due to its phosphate groups, creating DNA strand breaks. They can also interact with other lipids because they are also negatively charged, especially the lipids of the cell membrane. E.g. the cell membrane of the mitochondria, these are the powerhouses of the cell that are vital for energy generation; I’m mentioning this because oxygen radicals are formed in the mitochondria when energy is produced. This is a very natural process, but the cell also has a repair mechanism so that these oxygen radicals are removed again and rendered harmless, this is how the cell survives, it is simply a balance. They are produced, you can’t prevent that because oxygen is consumed, which generates oxygen radicals, but avenues have been found to disable these oxygen radicals. If however these cationic lipids gain entry, it is confirmed in many publications that they destroy this membrane [Trans: meant is the mitochondrial membrane, here] and this leads to the formation of a large number of oxygen radicals. These oxygen radicals create a lot of damage in the cell. They interact – they alter the amino acids, the cell pours out as many cytokines as it can, the oxygen radicals also attack membranes and create lipid peroxidation. Membrane integrity is jeopardised, the membrane becomes porous, and when a cell membrane becomes porous water flows in and then the ion balance is disrupted. This means the entire cell loses its function because the function of proteins depends on the ion concentration, on the calcium ion for example, and the magnesium ion. The cell experiences maximum oxidative stress, as it is called in the specialist terminology. And when that stress is so high and the DNA is also damaged, then the cell goes into apoptosis – it self-destructs.
That’s all I have to say about that for now.
RF: So there are two factors that lead to that.\ \ VSK: Yes: one is the immune response – via the binding of the antibody. The other factor is that specific component: the cationic lipid. It’s just this component that is so dangerous. It creates maximum oxidative stress in the cell leading to such damage that the cell can’t repair itself fast enough. And that’s why it dies. It has to self-destruct, or it transforms into a cancer cell. That is the alternative. So it usually self-destructs because if a cancer cell develops, specific damage results, there are other factors involved, but generally it dies.
And now I’ll get to the risk/benefit ratio. The technology is very sensible in cancer therapy. The purpose of this technology there is to kill cancer cells. We are now getting a vaccine using the same technology that is used in cancer therapy to kill cancer cells. Where cancer therapy is concerned: up to now we have only had chemotherapy or radiotherapy; they have the aim of triggering oxidative stress in the cell to encourage it to self-destruct. But up to now this has been very unspecific: healthy tissue is also irradiated and dies. With this [encapsulation] technology you can insert proteins or other substances in the nanoparticle envelope that are targeted at detecting and finding the cancer cells. There are already relatively good, successful studies, and this is why it is used in cancer therapy.
Cancer cells have a completely different pattern on their cell surface to healthy cells. They have for example a lot of transferrin receptors or folate receptors: when one inserts the ligands into LNPs, i.e. builds transferrin or folate into these LNPs, then these LNPs find the cancer cells that have the receptors for these. As a result, these LNPs target the cancer cells almost exclusively and create oxidative stress in them so that the cancer cells are killed.
VF: Is that a local occurrence, or can this spread out across the whole body, or locate to specific niches?
VSK: In the case of cancer cells it is designed so that it is local, and now we’re really getting to the point: in the case of the vaccine it is not local. It spreads out through the entire body. I’ll first say a sentence about that. There’s the toxicity of the cationic lipid, which initially works on a cellular level. Now a word about the PEG – I believe it has been published in the media that in some cases if you have previously come into contact with PEG it is possible that you have formed antibodies to it, and if you have antibodies and then come into contact with PEG at any time after that, which is the case with the vaccine, then you may suffer an allergic reaction or analphylactic shock due to this hypersensitivity. This depends on how much PEG is in these LNPs – it’s 2 – 6% in the case of BioNTech, and on the how strong the binding affinity of your own antibodies against the PEG is. Having antibodies doesn’t always mean that they will immediately bind to the PEG: the binding strength varies from one antibody to another.
The strength of the allergic reaction is individual: it depends on how powerful the antibodies are, and the volume of PEG on this second contact. Otherwise where the PEG is concerned, there are publications that say it is a little toxic, but one can’t find any great detail on it.
So with PEG you can get allergic reactions, but the cationic lipids are absolutely toxic for cells.
Now I’ll address the questions Ms. Fischer asked. I’ll talk about the preclinical study that BioNTech has done, largely on mice and rats. The questions that arise before something like this comes onto the market are how long it remains in the body, divided up as follows: how long do the lipids remain, How long does the mRNA remain? How are they broken down? What is their distribution in the body? The toxicology and carcinology have to be investigated. Is there a problem related to reproduction? And does it have an influence on the environment? Because we’re becoming a GMO: does this have any impact? These are fundamental questions that the EMA always has to pose.
I will refer to this Public Assessment Report – I have to say that the raw data are lacking, they aren’t in the report, which I find disappointing.
RF: Peter Doshi is challenging them on that.
VSK : Right, I’d now like to look at that data myself because I have already seen that they interpret the data incorrectly in the clinical study. I’d like to see it myself and form my own opinion. They have only provided a description of what they observed. So I can only go on that. I imagine this will be true because the observations they made have been observed by other scientists in their animal trials with their substances, too.
So what is the distribution of the lipid nanoparticles (LNPs) in the animal trial? This is similar to that described in other publications and by other scientists. They used LNPs with mRNA, not with the spike protein but with Luciferase. Luciferase has the advantage that you can make things visible. Useful for this trial as they they gave the lipids a radioactive marker.
1.16.57
If you can use the radioactivity as a marker, you can use a technique whereby can can see the organs and whether the lipids were in them or not to see. They injected the whole muscle and watched how the lipids spread out throughout the body, and found that these lipids were in many organs after just 15 minutes. Most were at the injection site, in this case it was the muscle, but a lot in the plasma, too. Logical because it’s transported in the plasma, but also 22% in the liver. And if you inject it into the veins then 60% of the cationic lipids can be found in the liver, and 20% of the PEG lipids. They were also found in the spleen, the adrenals, and in both sexual organs. Further organs were not described. So I assume that it spread out throughout all organs. 1.18.02 It is basically absorbed everywhere where blood flows. The description focuses most on the injection site, the plasma, and the liver.
Then they looked at how the lipids were degraded. They found evidence of the cationic lipid in the plasma for 12 days, and evidence of the PEG lipid for 6 days. So they remained for quite some time. There isn’t any more information, so I don’t know whether the lipids could be evidenced for longer or not. 50% of the PEG is degraded via excretion, i.e., it is excreted from the body. It goes into our “sewer system”, as it were. The cationic lipids are exclusively degraded in the cells, only 1% was found in the stool. This means the cells take the full hit of the toxicity. Then they analysed the half life of this cationic lipid in the liver, they say it is 3 weeks. With half life at the beginning the substance always degrades faster, and then it gets less, the curve gets flatter. This half life at the outset is already 3 weeks, which is relatively long. And how long does the elimination take? One can still find 5% of the lipid in the liver after 4 – 6 weeks – that is incredibly long, and with the PEG the half life is 1 week. So it is shorter, but because a large proportion, i.e., 50%, is excreted. That is not the case with the cationic lipid.
We don’t have any other information or investigations regarding other organs, they just investigated liver, plasma, urine and stool. They should definitely have looked at other organs. Perhaps they did, but there’s nothing in the publication about that.
And then they looked at how fast the RNA is degraded. This is where the Luciferase comes into its own. The Luciferase can transform a substrate so that one sees it in colour, it fluoresces. You can detect it. But it’s not a very sensitive method. And they only injected 2 micrograms of RNA. 30 micrograms are being used for us. This means what you are seeing is probably a lot stronger in the case of the actual vaccine being used. So in the muscle where it was injected there was a peak after 6 hours. First the LNPs have to be taken up into the cell, the protein has to be formed, this Luciferase, and only then does the reaction take place. You see this after a max. of 6 hours, it is taken up by the cells extremely fast, and the protein is also expressed very fast. You can still see the protein after 9 days. There are publications – there is one from 2016 for example – where they say that one can see the Luciferase for 35 days, but that always depends on how stable the RNA is, and they didn’t do it with the spike RNA but just with the luminescence, and the spike RNA may very well have a different stability. So they didn’t investigate it properly for our vaccine, I would say.
In the liver they saw a peak after 6 hours, and after two days it was gone. This is because the liver has a very high metabolic rate.
So to summarise, both the RNA and the LNP are taken up relatively fast. And the cationic lipids remain in our bodies for a very long time. This was also interesting. There seems to have been a discussion of the EMA with BioNTech about the period that it remains in the body: how long is it in the case of human beings, they asked, because the study wasn’t done. BioNTech referred to a study from 2010, by Mamoth et al. I have not been able to find this in the publications database, and there is no list of references below the EMA report, so I don’t know whether this is true at all and whether that article exists, but they say they have used similar lipids, and when they calculate the conversion from this mouse or rat study to human beings, that cationic lipids have a half life of 20 to 30 days in human beings, and the elimination to 5%, so not really eliminated, takes 4 – 5 months. They assume 4 – 5 months, and the EMA Committee just said “That’s a long time”. 1.22.54
Dr. H: The second vaccination comes on top of that after 30 days …
VSK: Yes exactly: none of that has been investigated. Basically they haven’t conducted any kinetics with this vaccine. (1.23.12) Not on the mice either. The LNPs were the same [die Zusammenrechnung – in the calculation? Inaudible], but the RNA was different. They should really have done it with the actual vaccine. They should have marked it and then carried out the whole study again. They didn’t do that.
MT: I’d just like to ask a question. You said something was excreted from the body. Is there any danger that people who are vaccinated could be causing as a result of this, or is it excreted and then it’s gone?
VSK: That wasn’t investigated.
Dr. H: Oh God –
VSK: There’s no data on that.
MT: I reckon we’ll need to be drinking spring water from bottles from now on then …
RF: That doesn’t sound good. And what kind of consequences does that have? You’ve got apoptosis that apparently takes place throughout the body, as you have just told us: what does that lead to? 1.24.25
VSK: Yes, I can tell you that in a moment, that’s the toughest of all to hear. But I just wanted to finish talking about the elimination, they haven’t considered this at all because they haven’t done any analyses on the environmental impact of all of this – as I said, we’ve become GMOs, it is possible that modified cells are eliminated: think about the lipids, the RNA from the vaccine – We know that the lipids – the PEG at least – are being excreted. What happens to the sewage if so much is being eliminated? If so many lipids are in it? Does this cause a problem, or is it degraded? We just don’t know that. I don’t know, I’m not an expert in how it is degraded.
Dr. H: Exactly, and intentionally one has to say as a lawyer, in July 2020 EU legislation was changed: EU legislation on GMOs was declared inapplicable to the vaccines. That’s when this monstrosity began, from a legal perspective. We will be addressing this with a plea for annulment. This is opening up a horrendous abyss – unbelievable.
VF: This stuff, when it appears in the sewage works, and if it were not filtered out – If I drank this stuff from the laboratory: would that cause a problem? If I drink these lipids? Are there investigations on that, if it gets into the water supply, or I drink a little from a glass, what would happen?\ \ VSK: I can only say that if we excrete the PEGylated lipid and if it is not filtered out and one drank it, i.e., assuming it doesn’t get degraded naturally in some other way, it would continue to exist in the drinking water (and I don’t know that for certain), then you would have a problem if you had an allergy to it.
That would be the same as these anaphylactic shocks.
I could imagine that. It is absorbed via the stomach, but I don’t know exactly what happens then – whether there would be allergic reactions. It’s possible that it is completely degraded in the stomach by the enzymes that break down fat.
MT: I find it fascinating: we are talking about gene technology, there are people who have been warning for years and saying if I eat gene-manipulated corn or make bread out of it, then I could grow a second head, maybe 7 heads – I’m astonished that people aren’t looking at this more closely and that it’s the same people who are keeping their mouths shut. The same ones who before said this is so terrible, we can’t do that.
RF: If doctors don’t learn to think about what’s really happening, and just vaccinate away instead of listening to people like you, just blindly trusting and not asking any questions …
But just to go back a moment: If this spreads out in the body, to all the cells, then that’s a horrendous scenario if you say the result is that massive numbers of cells self destruct.
VSK: Yes, that’s a good introduction to that exact point, with all the consequences. Let’s talk about the preclinical study – about what happened to the rat (1.28.42).
In the preliminary experiment the rat was injected in the muscle with 30 micrograms of this same vaccine that is now being used. That is comparable, but three times rather than twice. At intervals of one week. And two days after the last injection, that would have been 17 days after the first, an autopsy was conducted, and the following was found. As mentioned, I don’t have any raw data, only descriptive written data. The rats had an immune response, raised lymph nodes, the spleen, cell numbers, that is all normal, increased production of lymphocytes, i.e. B and T cells in the bone marrow, production of neutralising antibodies, circulating white blood cells, cytokine release, that is all normal. But then other things followed:\ Their body temperature was 1 degree raised, that is also normal, a slight temperature, for rats too;\ but their body weight went down although they were having their normal feed … With rodents, if the body weight decreases, that is always a sign of massive stress. And then they did an autopsy. They document damage to the muscle. What they make public – swelling, oedema, reddening – is just the tip of the iceberg.\ I’ll dissect this in a moment for those who are unfamiliar with the specialist terminology: myofascial degeneration, scleropathy, encrustation accompanied by spread of this inflammation to adjacent tissue, subcutaneous inflammation, hyperplasia.\ So what does all that mean?\ Subcutaneous inflammation means the lowest layer of skin – the skin has three layers, and the bottom one is inflamed, that is the layer where the adipose cells, nerves and blood vessels are located. If these become inflamed then the adipose cells burst open, the fatty acids are released, and further accentuate the inflammation.
This results in scleropathy, i.e., the tissue hardens because increasing amounts of connective tissue are formed. This is ultimately like scar formation. The tissue is so heavily damaged …. If you cut your finger and it is superficial then the upper skin layer can regenerate, you don’t see anything afterwards. If you cut yourself too deeply and it goes through all three layers of skin then the organism can’t replicate its own structure. Then, because the cells need to be replaced, the wound has to be closed, connective tissue is formed, deposits, a scar develops. And this is the case with the muscle, it hardens due to the deposition of connective tissue. This is called fibrosis. The tissue basically loses its function at these locations, encrustations develop, this is the deposition of salts in necrotic tissue; necrotic tissue is tissue that is dying. The muscles there are dying. They talk about myofascial degeneration, this means death of the cells of the muscle fibres, which is simply replaced by connective tissue that is non-functional.
VF: Is that just local or at many locations?
VSK: At that location it’s only local, only in the muscle. You can see this entire process from the blood parameters that were measured: they noted for example a 72% increase in alpha-2-macroglobulin, this means the increase is part of the immune response due to inflammation, but you also get an increase in alpha-1-acylmycoprotein [trans: I think, was hard to hear], that is formed when there is a particularly strong injury in the tissues, caused by inflammation or infection, in this case from the vaccination, and an increase in fibrinogen…. That is a sign, when that is elevated in the blood, of inflammation of the blood vessels, it is basically responsible for blood coagulation. I have said that the blood vessels are in the bottom layer – the blood vessels are damaged, and this is probably why fibrinogen is formed, to reseal the blood vessels. I wonder, with the elderly in care homes, they are often on anti-clotting medication as a prophylaxis:: is it possible that their coagulation doesn’t work properly? – You need coagulation: maybe it doesn’t function correctly? Can this have consequences if the blood vessels are heavily damaged due to this vaccination?
RF: We will see all of that very quickly, I fear.
Dr. H: The side effects, i.e. the correlation with other medications, was not examined at all. This can expressly be seen from the appendices to the EU Implementation Decision for both vaccines. I find what you are now telling us absolutely criminal.
VSK: So that’s what happens locally, at the site of the muscle.\ We have heard that a great deal goes to the liver, and that is a bit more serious. This leads to hepatocellular periportal vacuolisation. (1.34.30). On the day of the autopsy, where they found it, and probably a lot earlier, because it gets into the liver relatively fast and then that takes place relatively quickly. So what does that mean? Hepatocellular means relating to the cells of the liver. Periportal means the liver cells near the portal vein. That is the place where the blood enters the liver. I.e., this damage will not be caused by anything else in the rat. If the rats drank alcohol, ok, then this damage would also occur, but it would be across the entire liver. But this is something which is entering via the blood flow, and only in the proximity of this vein, and there one particularly sees the damage. And they are so damaged that they are vacuolising: that is always an indication that the liver cells are dying. I’m loathe to use the word poisons, but the liver is trying to sequester away the substance that is damaging to it; it doesn’t manage, and the the cationic lipids are the perpetrator, BioNTech admits that themselves, that’s in the report, it’s the cationic lipids. The liver tries to eliminate these cationic lipids, to metabolise them, but doesn’t manage because there are too many of them. The volume is too great. So it tries to ferret them away in an area of the cell, and that is when vacuoles arise in the cell: water streams in, it’s simply an area where they no longer do any harm. But when these vacuoles arise then the function of the liver cell is massively disrupted, many of them die, they lose their function. They self-destruct, commit apoptosis. So that’s what happens in the liver.
RF: If this is found during the autopsy then it seems to me to be a clear indication that it has been caused by the vaccination. Or can there be other causes for it? You have just said that if you drink alcohol this occurs too, but not like that. What is found there seems to be a sure sign that it was the vaccine that led to the death.
VSK: Yes, one can also investigate what there exactly is in these vacuoles. One can look and see whether the cationic lipids are there. If you have a vacuole caused by alcohol, you have a fatty liver; the alcohol is made into fat, it is stored in fat. That’s this steatosis that one hears about.\ \ RF: I just wanted to ask – independently of the severe medical malpractice that was just described previously: you can find out what the cause is via an autopsy can’t you?
VSK: Yes, you can I’d say. And you can also see that the liver is severely damaged from the blood parameters, doctors should know this really. These are standard values: an elevation in GGT, an enzyme, can have various causes. It’s definitely an indication of liver damage from medications or poison, for example. It is an indication that the liver cells are dying, that is when increased GGT is secreted.
And then we have elevated AST. This is a metabolic enzyme that goes up in liver inflammation and cardiac damage. There’s elevated alkaline phosphotase – this is produced by the bones and liver, for example, and one or two other organs; an increase points to liver and bone injury. And then we have a decrease in the ratio of albumin to globulin. This ratio is always measured to see whether the volume of protein in blood is constant. If not, it is a sign of disease: too much protein is being eliminated. If a decline is noticed, this is a sign of severe liver damage, inflammation, a digestive disorder, etc. The rat is displaying a loss of protein.
To summarise, one can say that the liver is massively damaged, and the liver cells are dying.\ \ They did say that after the autopsy, three weeks later, the liver had regenerated. But the EMA didn’t discuss what the situation might be with people who have a liver disorder, who don’t have this regenerative capacity. What of those who have hepatitis or an alcoholic liver or whatever? Who had been living an unhealthy lifestyle? If something comes ontop of that, you can very quickly get organ failure. This shouldn’t be forgotten, it needs to be discussed, but it’s being completely swept under the carpet.
So why exactly is the liver being damaged? It’s because the liver is the organ that takes up the most lipoproteins. And why does it take up the most? Because one of its functions is to break down cholesterol; I’ve explained that the nanoparticles are bound to ApoE proteins. These make their way directly back to the liver where the cholesterol is broken down, and that’s why the liver comes into contact with a huge amount of this.
RF: I just have to reiterate: how can they be vaccinating against this backdrop?
1.40.44
VSK: That’s not the whole story. You get inflammation of the perineural tissue of the iscias nerve, the strongest nerve in the body. And then inflammation in the extracapsular tissue was found, I don’t know exactly what capsules they mean, they didn’t specify that, but I assume that’s the joint capsules. What about people with arthritis for example? And then this is particularly important, very dangerous: they found a moderate to strong reduction in red blood cells and reticulocytes in the bloodcount. That accounts for the hypoxia. They are massively damaged by the lipid nanoparticles. Why is that? Because it is exactly these red blood cells that are used as a cell model for oxidative stress, they are particularly sensitive to oxidative stress. Because they carry the haemoglobin. All cells that carry oxygen are always sensitive to oxidative stress. And when the LNPs get into them and cause this massive oxidative stress, they die very quickly. So the rats would have to be suffering from hypoxia or at least they found that they had less haemoglobin because obviously that is gone when the cell is gone, and lower haematocrit. These are very clear signs of hypoxia, and I have to say this needs to be looked at very critically, because what about people with cardiac disorders for example. A cardiac muscle, for instance, if it is undersupplied with oxygen, this can very quickly turn into a heart attack. And as far as I know there is someone who had a heart attack after vaccination. I’m not saying that person died of it, but one should at least look into it.
RF: You don’t need to say that, we don’t either, because based on what you have already described earlier – they’re using triple the volume they need to for example – we will find various forms of serious medical malpractice. The doctor is responsible and will have to prove that this did not happen due to the vaccine and that he/she is not guilty, or at least negligent in what he/she has done. They’re not going to get away with it.
Dr. H: Exactly. Coming back to the lung – to this problem of oxygen supply. We have heard that in various institutions people are showing signs of serious debilitation after vaccination [description of the situation in old people’s homes as an example]. They become ever weaker, don’t want to eat or drink. In one case after another week the person was dead, others after 14 days … They didn’t recover. Is it the case that if you are fitter, you can cope with this better? Are older people at a disadvantage? Although these weren’t palliative cases – they were old, but fit.
VSK: People who are older are always weaker and have degree of inflammation. Because the cells produce more oxidative stress and that is because older people particularly in care homes are not very well nourished. They lack a lot of nutrients: vitamin D, E, C, glutathione – one knows that older people have fewer antioxidants and a lower nutritional status – they are more susceptible for these phenotypes. Younger people have a greater regenerative capacity. The damage is exactly the same, but they can regenerate better unless they have a preexisting condition – cancer, diabetes or the like.
VF: If the organism is not impaired by underlying conditions, would it be able to regenerate? With the mice or rats, the damage disappears after 3 weeks: does some small damage remain in the liver, or does it regenerate completely?
VSK: Yes, it regenerates completely. The liver is fairly robust.
RF Ok, but those who do have underlying conditions have a problem. [Left out – mentions that doctors have been vaccinated, and nurses, and had adverse reactions] If people have preexisting conditions, then there is the worry that they may well be pushed right over if they get this GMO intervention. Most of the stories we have heard are from care homes [further details along these lines] Now that you have explained it, I understand why, it makes sense.
Then there’s the next phase. What about this famous “cytokine storm”? If the vaccinee encounters the wild virus 6 months or a year later … What can happen then?\ \ VSK: You probably mean the ADE – antibody-dependent enhancement.
VF: Have you finished talking about the adverse effects, or is there something else?\ \ VSK: Almost.
RF: The horror story needs to be complete.
VSK: I am extremely critical of the EMA Committee: there is no discussion at all about the consequences that can arise from side effects. They just nodded it all through. They just said ok, that’s how it is … Perhaps they did say something, but it hasn’t been noted down in writing. I also find it very poor that they didn’t investigate any of these things that they found were not investigated in human beings in the clinical study. Blood samples were taken in the studies, so why not? It would be easy enough to measure all these blood parameters such as erythrocytes, all the enzymes, all the other substances. One can do biopsies of muscles – none of this was done. Either it wasn’t done because they were afraid of what would come out and would have to explain it, or they did it and are keeping silent about it. They knew of all the observations on the rats … and we have no data at all on how this is with human beings. They could have generated that. We have a right to know.
RF: Absolutely. That is the reason why Dr. Peter Doshi says he wants to see the raw data. It will come out one way or another.
VSK: The one thing they did do was measure the lymphocyte level, and found that subjects suffer from lymphopenia within 1 – 3 days, i.e., a fall in the number of lymphocytes, but there are varying opinions on that in publications. There are one or two publications that say lymphopenia can occur after a vaccination, they do show it – but they don’t know why it happens. One publication thinks the lymphocytes simply transmigrate from the blood into tissue and that there are fewer in the blood. But that is not proven, it is just as likely that that cationic lipids attack the lymphocytes in the blood. No investigations were conducted to show why this lymphopenia occurs in human beings. That’s the only parameter that they looked at.
VF: Was this the case with the rat too?
VSK: Yes
VF: And that was related to the liver issues?
VSK: No, that is independent of the liver.
VF: Simply the same phenomenon. Ok.
VSK: That was only thing they looked at in human beings in the Clinical Study No 1.
VF: I understand. It was found in the rats, too.
Dr. H: A question about the deaths. In Italy we have had a lot of reports, not via the mainsteam media of course. A doctor, in one case a pharmacist. In that case her organs were removed and donated. What are the implications of that? I have this information from Dr. Gatti, two days ago. The message shocked us. They removed the organs and transplanted them into patients. What does that mean if that woman had really died as a consequence of the vaccine?
VSK: That’s a good question.
Dr. H: We have several criminal cases one after the other here. Not just getting rid of evidence, but also possibly inducing further disease in people who are already suffering from severe underlying conditions. This vaccine is transgressing boundaries in all directions. It’s incredible what’s happening. We have a case of a young doctor, this was on social media: he was vaccinated, boasted of having received the vaccine, and then a few days later he collapsed and died while playing tennis. That would seem to be linked to what you have told us here. We don’t just have these individual cases, cases are building all over the world of suspected serious side effects [some further discussion of this follows].
MT: [Asks about the chain of evidence when this happens …] We’re talking about the law as it relates to evidence, and reversal of the burden of proof. Someone comes around the corner and says I require causal contiguity. If one performed an autopsy, would one be able to delineate the cause and say that based on the autopsy, the vaccine was causative? I’m asking this because then you wouldn’t be able to say we’ll just transplant their organs, or quickly cremate the corpse. If the doctor (or whoever) bears the burden of proof, but the evidence is gone, there isn’t anything with which he/she can be exonerated. So my question: is it possible to narrow down the cause of death using liver/blood count etc.?\ \ 1.54.51
VSK: [Explains that a specialist for autopsies would need to answer this …. Further discussion]
RF: ….. [Further discussion] Professor Cahill in Ireland said to us recently that immediately someone has died after a vaccine – either right away or within a certain period of time – an autopsy should be performed. She was of the opinion that it would be possible to prove it with a probability bordering on certainty. Perhaps not from one particular organ, but when looking at the overall picture.
WW: We have a law in Germany that before the evidence is destroyed, i.e., cremation, an inquest has to be performed by a public medical officer, the death certificate is inspected, the cause of death scrutinised. If the fact that a vaccination has taken place is not known, and the corpse is simply cremated, one has to pose the question of liability: has the public medical officer destroyed evidence? Due diligence is required, the question relating to the documentation of the vaccine needs to be asked, it needs to be part of the framework if someone dies. It is the Paul Ehrlich Institute that permitted this telescoped study: if this has not been considered, we should demand it.
Dr H: Professor Wodarg, I assume that this would not just be reserved to Germany, it should be the case everywhere where this vaccine is being used. [Further discussion]
WW: […..] You can’t simply cremate the body – too much that can be overlooked.
RF: In contrast to previous adverse effects from vaccines, this is a completely new technique […] One would need to start detecting certain patterns that occurred again and again.
WW: I would absolutely insist on gaining insight into the files at the Paul Ehrlich Institute. One would need to take a very careful look at the observation plan of theirs (2.00.50)\ The Paul Ehrlich Institute is 100% responsible.
Dr. H.: It should not be permitted to give away organs for transplantation in cases like this. An observation study of the kind you are talking about would have to be conducted.
WW: You would have to define exactly what investigations should take place if someone dies after a vaccination – this destruction of the evidence has to stop. Find out whether someone has been vaccinated shortly before they died, and if so, forbid cremation. The public medical officers would need to be informed of this. To protect those who have been vaccinated, and those who will be.\ …
**[Further talk about the ADE issue. Because we know about this, I have left it out for now. Can do this another time.] **
Discussion on why so many PCR tests are turning out positive after vaccination:\ The RNA is codon optimised – Normally three nucleotides code for one amino acid. They exchanged the third in the triplet, this increases the speed at which the protein is expressed. Unlikely that what is in the mRNA can correlate with what the PCR test is looking for; Dr. VSK says it is possible that the sequence may fit in the odd case, but that is very hypothetical.\ Prof. Wodarg asks whether it would be possible to do the PCR test on the vaccine, to exclude this possibility. Dr. VSK says yes that would be absolutely possible.\ \ Discussion about the reproduction toxicity test.
VSK: […] A Development and Reproductive Toxicology test (DART) was conducted. They examined female rats twice before pairing, and then twice while they were pregnant and vaccinated. Looked to see if this had consequences for their progency. [Various different details given, I can go into this later if wished. Sounds like it’s all in the report.] There were indeed various anomalies found relating to implantation of the eggs, for example. They said it all fell within the range of historical control data. They only examined 21 foetuses, Dr. VSK says she thinks this is too low a number, they found a slight incidence of gastroparesis (abnormality of the proximal stomach wall), malformation of the jaw, right-sided arch of the aorta and cervical vertebrae anomalies. But again BN said all were within control data. She says they should have done more studies and for longer to see if this slight upwards incidence was continued or not. Only 21 animals.\ \ Prof. WW asks about the Syncytin issue. Antibodies against Syncytin can prevent the formation of the placenta. That would lead to infertility. They did not investigate the Syncytin issue, Dr. VSK says. WW says this phenomenon is not reserved to human beings – that could have been done in an animal study.
Long-term studies and studies on possible autoimmune conditions2 were not conducted.
Didn’t investigate whether the vaccine can be transferred to the foetus.
VSK: This mechanism crosses the blood-brain barrier due to the ApoE -mediated transport. So the LNPs can cause damage in the brain. 6.11.37 Damage the astrocytes. Extreme oxidative stress. Can lead to inflammation, swelling. Can have an impact on nerves. Facial palsy (Bell’s palsy) – either the nerve is inflamed or the adjacent tissue, the swelling presses against the bone that the nerve passes through, and this impairs the nerve.
VF: Damage to areas of the brain could result in the twitches and tremors that one sees, MS-type conditions\ \ WW: And injuries happening to the spinal cord – the cerebrospinal fluid … spinal nerves
VSK: Yes, one would have to prove that these lipids had got there. As soon as they are there – and this is in the publication in black and white – the cascade begins: oxidative stress, damage, apoptosis.
RF: How long does one need to hold one’s breath when one has been vaccinated. A lifetime, or does there come a time when you can relax again?
VSK: It depends on which damage you are observing. The lipids are there for 4 – 5 months. Damage can arise for as long as the lipids are there.
WW: The planning of the pharmaceutical industry is to make us into a bioreactor where we create the antibodies ourselves. It’s a great business plan for them. If they’ve managed to do it once, they’ll do it for all the vaccines they can in future. But can these vaccines clash in us? One, and then quite soon after that the next – the interactions haven’t been checked, couldn’t be yet.
RF: Without a real clinical study one can’t really say whether the RNA in one vaccine could interact with another …
WW: Impossible to have research studies on this yet.
VSK: No genotoxicity studies done yet. They say they don’t need to because “no genotoxic potential is to be expected”. But it has been known for 20 years that cationic lipids are highly toxic. What universe do they live in!
[Further discussion on the fact that it’s never one virus alone anyway – what’s happened to the differential diagnosis. What has happened to our medical councils? How can they allow this? What kind of training do our doctors have that they are going along with this? Modifying something with a vaccine, the mRNA leading to antigen expression will have an effect on an environment where we have many viruses, not just one. This is such a narrow-minded approach. Italy had been given influenza vaccinations: this changes the biotope, people who have had these vaccinations will likely react differently to an mRNA vaccine of this kind compared to those who haven’t.]
Note : Un ancien de la Fondation Gates – un pro-vaccin par définition – encore plus alarmiste que les plus alarmistes? Analyse intéressante mais quelques éléments peu cohérents avec ce que d’autres affirment – par exemple, il décrit la première version du virus comme moins pathogène, alors qu’elle est généralement plutôt décrite à l’inverse. Un autre problème, d’ordre logique : si les personnes vaccinées engendrent des variants, comment peuvent-elles devenir des excréteurs asymptomatiques puisque la protéine S (mutée) de ces variants n’est pas ciblée par leur « vaccin »? Elles devraient tomber malades, non? C’est moi qui suis obtus? Ensuite, les gens qui parlent de virus comme d’entités douées de réflexes de survie (genre, l’ennemi invisible et fourbe tapi dans l’ombre) me gonflent un peu : jusqu’à plus ample informé, ce sont des brins d’information génétique, et ils ne sont pas vivants.
Enfin, sa conclusion est très suspecte : il faudrait bien une campagne de vaccination mais différente?
Où sont les références bibliographiques de ses affirmations?
Quant aux remèdes et préventions, ils sont encore une fois glissés sous le tapis. Mais bon, le gars travaille vraiment beaucoup pour l’industrie vaccinale…
Mike Yeadon dit que c’est de l’intox : lisez l’article pour bien comprendre pourquoi. Il explique aussi ici (en anglais) – notamment – que ceux qui ont eu une maladie à Coronavirus une fois sont immunisés contre tous ses variants.
Le Dr Sherry Tenpenny explique ici que la « vague » suivante sera due à des effets secondaires provoqués par le « vaccin » mais sera mise au compte d’un nouveau « variant ». La lettre ci-dessous pourrait donc servir à préparer le terrain pour ce narratif.
Il y a aussi une analyse critique de ce Monsieur et de sa lettreici, en anglais, par Rosemary Frei, quelqu’un de crédible.
Geert Vanden Bossche, DMV, PhD,virologue indépendant et expert en vaccins, anciennement employé à GAVI et à la Fondation Bill & Melinda Gates.
A toutes les autorités, scientifiques et experts du monde entier, à qui cela concerne: la population mondiale.
Je suis tout sauf un anti-vaccin. En tant que scientifique, je n’utilise généralement aucune plateforme de ce type [NdT. LinkedIn] pour prendre position sur les vaccins. En tant que virologue et expert en vaccins, je ne fais une exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administration de vaccins dans des conditions qui menacent la santé publique, particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation extrêmement critique actuelle m’oblige à diffuser cet appel d’urgence. Étant donné que l’ampleur sans précédent de l’intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risque maintenant d’entraîner une catastrophe mondiale sans égale, cet appel doit retentir le plus fort possible.
Comme indiqué, je ne suis pas contre la vaccination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vaccins actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, voire très dangereux, lorsqu’il fait l’objet de campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale. Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme sur des individus, mais ne semblent pas se soucier des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. À moins que je ne me fourvoie sur le plan scientifique, il est difficile d’envisager comment les interventions humaines actuelles pourraient empêcher les variants en circulation de se transformer en monstres sauvages.
Dans ma course contre la montre, je termine mon manuscrit scientifique, dont la publication est malheureusement susceptible d’arriver trop tard compte tenu de la menace toujours croissante de variants très infectieux qui se propagent rapidement. C’est pourquoi j’ai décidé de publier d’ores et déjà un résumé de mes découvertes ainsi que mon discours d’ouverture lors du récent Sommet des Vaccins dans l’Ohio sur LinkedIn. Lundi dernier, j’ai fourni aux organisations internationales de santé, y compris à l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle basée sur des connaissances scientifiquement fondées sur la biologie immunitaire du Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en considération mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle «fuite immunitaire virale». Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine, je joins ci-dessous une version accessible et compréhensible des aspects scientifiques de ce phénomène insidieux.
Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai reçu aucun commentaire jusqu’à présent. Les experts et les politiciens sont restés silencieux, tout en se montrant manifestement toujours désireux de parler d’assouplissement des règles de prévention des infections et de «liberté au printemps». Mes déclarations sont basées exclusivement sur la science. Elles ne seront contredites que par la science. Bien que l’on puisse difficilement faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfère rester silencieuse. Des preuves scientifiques suffisantes ont été présentées. Malheureusement, elles n’ont pas été prises en compte par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps encore ignorera-t-on le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que la fuite immunitaire virale représente aujourd’hui une menace pour l’humanité? Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas – ou que nous n’avions pas été prévenus.
Dans cette lettre angoissante, j’ai mis toute ma réputation et ma crédibilité en jeu. J’attends de vous, gardiens de l’humanité, au moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat. Par tous les moyens: inversez la tendance!
Pourquoi une vaccination de masse en pleine pandémie crée un monstre indomptable
LA question clé est: pourquoi personne ne semble-t-il se soucier de l’évasion immunitaire virale? Permettez-moi d’essayer d’expliquer cela au moyen d’un phénomène plus facile à comprendre: la résistance aux antibiotiques. On peut facilement extrapoler ce fléau à la résistance à nos propres «antibiotiques antiviraux». En effet, les anticorps (AC) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antibiotiques antiviraux fabriqués par notre corps, qu’ils fassent partie de notre système immunitaire inné (appelés AC « naturels ») ou qu’ils soient induits en réponse à des agents pathogènes spécifiques (résultant en ce que l’on appelle des AC «acquis»). Les AC naturels ne sont pas spécifiques aux germes tandis que les AC acquis sont spécifiquement dirigés contre le pathogène envahisseur. À la naissance, notre système immunitaire inné est «inexpérimenté» mais bien établi. Il nous protège d’une multitude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces agents pathogènes de provoquer des maladies. Étant donné que le système immunitaire inné est incapable de se souvenir des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas ce qu’on appelle la «mémoire immunologique»), nous ne pouvons continuer à nous y fier qu’à condition de le maintenir suffisamment «entraîné». Son entraînement s’obtient par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes. Cependant, à mesure que nous vieillissons, nous serons de plus en plus confrontés à des situations où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter le pathogène à la porte d’entrée (principalement les barrières muqueuses comme les épithéliums respiratoires ou intestinaux). Lorsque cela se produit, le système immunitaire doit s’appuyer sur des effecteurs plus spécialisés de notre système immunitaire (c’est-à-dire des cellules AC et T spécifiques de l’antigène) pour lutter contre le pathogène. Ainsi, à mesure que nous grandissons, nous développons une immunité de plus en plus spécifique aux agents pathogènes, y compris des AC hautement spécifiques. Comme ceux-ci ont une affinité plus forte pour le pathogène (par exemple, le virus) et peuvent atteindre des concentrations élevées, ils peuvent assez facilement surpasser nos AC naturels pour se lier au pathogène/virus. C’est précisément ce type d’AC hautement spécifiques et de haute affinité que les vaccins Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble objectif de ces AC est de nous protéger contre le Covid-19. Alors, pourquoi l’utilisation de ces vaccins pour lutter contre le Covid-19 poserait-elle un problème majeur?
Eh bien, à l’instar des règles qui s’appliquent aux antibiotiques antimicrobiens classiques, il est primordial que les «antibiotiques antiviraux» que nous fabriquons soient disponibles en concentration suffisante et soient adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi. C’est pourquoi en cas de maladie bactérienne, il est essentiel non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (en fonction des résultats d’un antibiogramme) mais aussi de prendre cet antibiotique suffisamment longtemps (selon la prescription). Le non-respect de ces exigences risque de donner aux microbes une chance de survivre et, par conséquent, peut entraîner une aggravation de la maladie. Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent muter facilement et rapidement (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus); lorsque la pression exercée par la défense immunitaire de l’armée (lire: la population) commence à menacer la réplication et la transmission virales, le virus modifiera son enveloppe de façon à ne plus être facilement reconnu et, par conséquent, attaqué par le système immunitaire de l’hôte. Le virus est désormais capable d’échapper à l’immunité (ce que l’on appelle: «évasion immunitaire»). Cependant, le virus ne peut s’appuyer sur cette stratégie que s’il dispose encore de suffisamment de place pour se répliquer. Les virus, contrairement à la majorité des bactéries, doivent compter sur des cellules-hôtes vivantes pour se répliquer. C’est pourquoi l’apparition de «mutants échappés» n’est pas trop inquiétante tant que la probabilité pour ces variants de trouver rapidement un autre hôte est assez faible. Cependant, ce n’est pas particulièrement le cas lors d’une pandémie virale! Pendant une pandémie, le virus se propage dans le monde entier, de nombreux sujets excrétant et transmettant le virus (y compris même des «porteurs» asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus le virus est susceptible de tomber sur des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui l’ont été mais n’ont pas développé de symptômes. À moins qu’ils ne soient suffisamment protégés par leur défense immunitaire innée (via les AC naturels), ils attraperont la maladie Covid-19 car ils ne peuvent pas compter sur d’autres AC, c’est-à-dire des AC acquis. Il a été largement rapporté, en effet, que l’augmentation des AC spécifiques au S (Spike) chez les personnes infectées de manière asymptomatique est plutôt limitée et de courte durée. De plus, ces AC n’ont pas atteint leur pleine maturité. La combinaison d’une infection virale sur un fond de maturité et de concentration en AC sous-optimales permet au virus de sélectionner des mutations lui permettant d’échapper à la pression immunitaire. La sélection de ces mutations se produit de préférence dans la protéine S car c’est la protéine virale qui est responsable de l’infectiosité virale. Comme les mutations sélectionnées confèrent au virus une capacité infectieuse accrue, il devient maintenant beaucoup plus facile pour le virus de provoquer une maladie grave chez les sujets infectés. Plus les personnes développent une maladie symptomatique, mieux le virus peut assurer sa propagation et sa perpétuation (les personnes qui contractent une maladie grave excréteront plus de virus et pendant une période plus longue que les sujets infectés de manière asymptomatique). Malheureusement, l’élévation de courte durée des AC spécifiques au S intervient pour contourner les AC innés/naturels des gens. Ceux-ci sont mis en faillite car leur affinité pour S est inférieure à celle des AC spécifiques du S. C’est-à-dire qu’avec un taux d’infection croissant dans la population, le nombre de sujets qui sont infectés tout en connaissant une augmentation momentanée des AC spécifique à S augmentera régulièrement. Par conséquent, le nombre de sujets infectés au cours d’une diminution momentanée de leur immunité innée augmentera. En conséquence, un nombre sans cesse croissant de sujets deviendront plus susceptibles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes bénins (c’est-à-dire limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme. Pendant une pandémie, les jeunes en particulier seront affectés par cette évolution, car leurs AC naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’AC «acquis» spécifiques à l’antigène. Les AC naturels et l’immunité naturelle en général jouent un rôle essentiel dans la protection contre les agents pathogènes car ils constituent notre première ligne de défense immunitaire. Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large spectre d’agents pathogènes (alors ne compromettez pas ou ne sacrifiez pas votre défense immunitaire innée!). Parce que les AC naturels et les cellules immunitaires innées reconnaissent un spectre diversifié d’agents étrangers (c’est-à-dire autres que nous, dont seuls quelques-uns ont un potentiel pathogène), il est important, en effet, de les maintenir suffisamment exposés aux défis environnementaux. En gardant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire!) ENTRAÎNÉ, nous pouvons beaucoup plus facilement résister aux germes qui ont un réel potentiel pathogène. Il a, par exemple, été rapporté et scientifiquement prouvé que l’exposition à d’autres coronavirus tout à fait inoffensifs provoquant un « rhume banal » peut fournir une protection, bien que de courte durée, contre le Covid-19 et ses fidèles sbires (c’est-à-dire les variants les plus infectieux).
La suppression de l’immunité innée, en particulier dans les groupes d’âge plus jeunes, peut donc devenir très problématique. Il ne fait aucun doute que le manque d’exposition dû aux mesures de confinement strictes mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfique pour maintenir bien entraîné le système immunitaire inné de la population. Comme si cela ne compromettait pas déjà fortement la défense immunitaire innée dans ce segment de la population, une autre force entre en jeu qui augmentera considérablement les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge plus jeunes: LA VACCINATION DE MASSE des personnes âgées. Plus le groupe d’âge plus avancé sera vacciné et donc protégé, plus le virus est forcé de continuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes. Cela ne sera possible qu’à condition qu’il s’échappe vers les AC spécifiques S qui sont momentanément élevés chez des sujets précédemment infectés de manière asymptomatique. Si le virus y parvient, il peut bénéficier de l’immunité innée (momentanément) supprimée, provoquant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagation. La sélection de mutations ciblées dans la protéine S est donc la voie royale pour que le virus améliore son infectiosité chez les candidats susceptibles de contracter la maladie en raison d’une faiblesse transitoire de leur défense immunitaire innée.
Mais en attendant, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vaccinées car elles sont de plus en plus confrontées à des variants infectieux présentant un type de protéine S de plus en plus différent de la version de S incluse dans le vaccin (la dernière version provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse au début de la pandémie). Plus les variants deviennent infectieux (c’est-à-dire en raison du blocage de l’accès du virus au segment vacciné de la population), moins les AC vaccinaux protègeront. Déjà maintenant, le manque de protection conduit à l’excrétion et à la transmission virales chez les vaccinés qui sont exposés à ces souches plus infectieuses (qui, d’ailleurs, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vaccinés en porteurs asymptomatiques excrétant des variants infectieux.
À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il deviendra plus rentable (en termes de « retour sur investissement de sélection ») pour le virus d’ajouter simplement quelques mutations supplémentaires (peut-être juste une ou deux) à la protéine S des variants (déjà dotés de multiples mutations améliorant l’infectiosité) pour tenter de renforcer davantage sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimé à la surface des cellules épithéliales permissives. Cela permettra désormais au nouveau variant de shunter l’AC vaccinal pour se lier au récepteur ACE. C’est-à-dire qu’à ce stade, il ne faudrait que très peu de mutations ciblées supplémentaires dans le domaine de liaison au récepteur viral pour résister totalement aux AC anti-Covid-19 spécifiques de S, que ces derniers soient provoqués par le vaccin ou par l’infection. À ce stade, le virus aura, en effet, réussi à accéder à un énorme réservoir de sujets qui seront alors devenus très sensibles à la maladie car leurs AC spécifiques au S seront désormais devenus inutiles en termes de protection mais parviendront toujours à provoquer la suppression durable de leur immunité innée (c’est-à-dire, une infection naturelle, et en particulier la vaccination, provoquent des titres d’AC spécifiques à durée de vie relativement longue). Le réservoir sensible comprend à la fois les personnes vaccinées et celles qui se retrouvent avec suffisamment d’AC spécifiques S en raison d’une précédente maladie Covid-19. Donc, MISSION ACCOMPLIE pour le Covid-19 mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vaccinés et les séropositifs Covid-19 car ils ont maintenant perdu les deux, leur défense immunitaire acquise et innée contre le Covid-19 (alors que des souches hautement infectieuses circulent!). C’est « un petit pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité« , c’est-à-dire que nous aurons stimulé le virus dans la population plus jeune jusqu’au stade où il lui faudra peu d’efforts pour que le Covid-19 se transforme en un virus hautement infectieux qui ignore complètement à la fois le bras inné de notre système immunitaire ainsi que le bras adaptatif/acquis (indépendamment du fait que les AC acquis résultent d’une vaccination ou d’une infection naturelle). L’effort pour le virus devient maintenant encore plus négligeable étant donné que de nombreux vaccinés sont maintenant exposés à des variants viraux hautement infectieux alors qu’ils n’ont reçu qu’une seule injection du vaccin. Par conséquent, ils sont dotés d’AC qui n’ont pas encore acquis une fonctionnalité optimale. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela ne fera que renforcer la fuite immunitaire. En gros, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectieux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux: le système immunitaire humain.
De tout ce qui précède, il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences d’une intervention humaine erronée à grande échelle dans cette pandémie pourraient ne pas anéantir une grande partie de la population humaine. On n’aurait pu penser meilleure stratégie pour transformer avec autant d’efficacité un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive.
Il est certainement aussi intéressant de mentionner que les mutations de la protéine S (c’est-à-dire précisément la protéine soumise à la sélection de mutations d’échappement) sont connues pour permettre aux coronavirus de traverser les barrières entre les espèces. Cela signifie que le risque que la fuite immunitaire médiée par le vaccin permette au virus de se propager à d’autres espèces animales, en particulier le bétail industriel (par exemple, les élevages de porcs et de volailles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour servir d’hôtes à plusieurs coronavirus différents et sont généralement hébergées dans des fermes à forte densité de peuplement. Comme c’est le cas avec le virus de la grippe, ces espèces pourraient servir de réservoir supplémentaire pour le virus SRAS-COVID-2.
Comme les agents pathogènes ont co-évolué avec le système immunitaire de l’hôte, des pandémies naturelles d’infections virales aiguës autolimitantes finissent par ne faire de plus de ravages en vies humaines que ce qui est strictement nécessaire. En raison de l’intervention humaine, le cours de cette pandémie a été profondément perturbé dès le début. Des mesures de prévention des infections généralisées et strictes associées à des campagnes de vaccination de masse utilisant des vaccins inadéquats conduiront sans aucun doute à une situation où la pandémie devient de plus en plus «incontrôlable».
Paradoxalement, la seule intervention qui pourrait offrir une perspective pour mettre fin à cette pandémie (autre que de la laisser suivre son cours désastreux) est… LA VACCINATION. Bien entendu, le type de vaccins à utiliser serait complètement différent des vaccins conventionnels en ce qu’ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK [NdT. Non-Killer cells, cellules non-tueuses]. Il existe, en effet, des preuves scientifiques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé en facilitant l’élimination complète de Covid-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets infectés de manière asymptomatique. Les cellules NK font partie du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, tout comme les AC naturels, elles sont capables de reconnaître et d’attaquer un spectre large et diversifié d’agents pathogènes. Il existe une justification scientifique solide pour supposer qu’il est possible de «préparer» les cellules NK de manière à ce qu’elles reconnaissent et tuent les coronavirus en général (y compris tous leurs variants) à un stade précoce de l’infection. Les cellules NK sont de plus en plus décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir une mémoire immunologique. En éduquant ces cellules de manière à leur permettre de reconnaître et de cibler durablement les cellules infectées par le coronavirus, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une attaque ciblée contre l’univers des coronavirus avant l’exposition. Comme la défense immunitaire basée sur les cellules NK fournit une immunité stérilisante et permet une protection à large spectre et rapide, il est raisonnable de supposer que l’exploitation de nos cellules immunitaires innées sera le seul type d’intervention humaine restant pour arrêter la propagation dangereuse de variants du Covid-19 hautement infectieux.
Si nous, en tant qu’êtres humains, sommes déterminés à perpétuer notre espèce, nous n’avons plus d’autre choix que d’éradiquer ces variants viraux hautement infectieux. Cela nécessitera en effet de vastes campagnes de vaccination. Cependant, les vaccins à base de cellules NK permettront principalement à notre immunité naturelle d’être mieux préparée (mémoire!) Et d’induire une immunité collective (ce qui est exactement le contraire de ce que font les vaccins Covid-19 actuels, car ceux-ci transforment de plus en plus les personnes vaccinées en porteurs asymptomatiques qui excrétent le virus). Il n’y a donc plus une seconde à perdre pour changer de tactique et remplacer les vaccins tueurs actuels par des vaccins qui sauvent des vies.
J’appelle l’OMS et toutes les parties prenantes impliquées, quelle que soit leur conviction, à déclarer immédiatement cette action comme LA PLUS IMPORTANTE URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE D’ENVERGURE INTERNATIONALE.
Texte original
Geert Vanden Bossche, DVM, PhD,independent virologist and vaccine expert, formerly employed at GAVI and The Bill & Melinda Gates Foundation.
To all authorities, scientists and experts around the world, to whom this concerns: the entire world population.
I am all but an antivaxxer. As a scientist I do not usually appeal to any platform of this kind to make a stand on vaccine-related topics. As a dedicated virologist and vaccine expert I only make an exception when health authorities allow vaccines to be administered in ways that threaten public health, most certainly when scientific evidence is being ignored. The present extremely critical situation forces me to spread this emergency call. As the unprecedented extent of human intervention in the Covid-19pandemic is now at risk of resulting in a global catastrophe without equal, this call cannot sound loudly and strongly enough.
As stated, I am not against vaccination. On the contrary, I can assure you that each of the current vaccines have been designed, developed and manufactured by brilliant and competent scientists. However, this type of prophylactic vaccines are completely inappropriate, and even highly dangerous, when used in mass vaccination campaigns during a viral pandemic. Vaccinologists, scientists and clinicians are blinded by the positive short-term effects in individual patents, but don’t seem to bother about the disastrous consequences for global health. Unless I am scientifically proven wrong, it is difficult to understand how current human interventions will prevent circulating variants from turning into a wild monster.
Racing against the clock, I am completing my scientific manuscript, the publication of which is, unfortunately, likely to come too late given the ever increasing threat from rapidly spreading, highly infectious variants. This is why I decided to already post a summary of my findings as well as my keynote speech at the recent Vaccine Summit in Ohio on LinkedIn. Last Monday, I provided international health organizations, including the WHO, with my analysis of the current pandemic as based on scientifically informed insights in the immune biology of Covid-19. Given the level of emergency, I urged them to consider my concerns and to initiate a debate on the detrimental consequences of further ‘viral immune escape’. For those who are no experts in this field, I am attaching below a more accessible and comprehensible version of the science behind this insidious phenomenon.
While there is no time to spare, I have not received any feedback thus far. Experts and politicians have remained silent while obviously still eager to talk about relaxing infection prevention rules and ‘springtime freedom’. My statements are based on nothing else but science. They shall only be contradicted by science. While one can barely make any incorrect scientific statements without being criticized by peers, it seems like the elite of scientists who are currently advising our world leaders prefer to stay silent. Sufficient scientific evidence has been brought to the table. Unfortunately, it remains untouched by those who have the power to act. How long can one ignore the problem when there is at present massive evidence that viral immune escape is now threatening humanity? We can hardly say we didn’t know – or were not warned.
In this agonizing letter I put all of my reputation and credibility at stake. I expect from you, guardians of mankind, at least the same. It is of utmost urgency. Do open the debate. By all means: turn the tide!
Why mass vaccination amidst a pandemic creates an irrepressible monster
THE key question is: why does nobody seem to bother about viral immune escape? Let me try to explain this by means of a more easily understood phenomenon: Antimicrobial resistance. One can easily extrapolate this scourge to resistance to our self-made ‘antiviral antibiotics’. Indeed, antibodies (Abs) produced by our own immune system can be considered self-made antiviral antibiotics, regardless of whether they are part of our innate immune system (so-called ‘natural’ Abs’) or elicited in response to specific pathogens (resulting in so-called ‘acquired’ Abs). Natural Abs are not germ-specific whereas acquired Abs are specifically directed at the invading pathogen. At birth, our innate immune system is ‘unexperienced’ but well-established. It protects us from a multitude of pathogens, thereby preventing these pathogens from causing disease. As the innate immune system cannot remember the pathogens it encountered (innate immunity has no so-called ‘immunological memory’), we can only continue to rely on it provided we keep it ‘trained’ well enough. Training is achieved by regular exposure to a myriad of environmental agents, including pathogens. However, as we age, we will increasingly face situations where our innate immunity (often called ‘the first line of immune defense’) is not strong enough to halt the pathogen at the portal of entry (mostly mucosal barriers like respiratory or intestinal epithelia). When this happens, the immune system has to rely on more specialized effectors of our immune system (i.e., antigen-specific Abs and T cells) to fight the pathogen. So, as we grow up, we increasingly mount pathogen-specific immunity, including highly specific Abs. As those have stronger affinity for the pathogen (e.g., virus) and can reach high concentrations, they can quite easily outcompete our natural Abs for binding to the pathogen/virus. It is precisely this type of highly specific, high affinity Abs that current Covid-19 vaccines are inducing. Of course, the noble purpose of these Abs is to protect us against Covid-19. So, why then should there be a major concern using these vaccines to fight Covid-19?
Well, similar to the rules applying to classical antimicrobial antibiotics, it is paramount that our self-made ‘antiviral antibiotics’ are made available in sufficient concentration and are tailored at the specific features of our enemy. This is why in case of bacterial disease it is critical to not only chose the right type of antibiotic (based on the results from an antibiogram) but to also take the antibiotic for long enough (according to the prescription). Failure to comply with these requirements is at risk of granting microbes a chance to survive and hence, may cause the disease to fare up. A very similar mechanism may also apply to viruses, especially to viruses that can easily and rapidly mutate (which is, for example, the case with Coronaviruses); when the pressure exerted by the army’s (read: population’s) immune defense starts to threaten viral replication and transmission, the virus will take on another coat so that it can no longer be easily recognized and, therefore, attacked by the host immune system. The virus is now able to escape immunity (so-called: ‘immune escape’). However, the virus can only rely on this strategy provided it still has room enough to replicate. Viruses, in contrast to the majority of bacteria, must rely on living host cells to replicate. This is why the occurrence of ‘escape mutants’ isn’t too worrisome as long as the likelihood for these variants to rapidly find another host is quite remote. However, that’s not particularly the case during a viral pandemic! During a pandemic, the virus is spreading all over the globe with many subjects shedding and transmitting the virus (even including asymptomatic ‘carriers’). The higher the viral load, the higher the likelihood for the virus to bump into subjects who haven’t been infected yet or who were infected but didn’t develop symptoms. Unless they are sufficiently protected by their innate immune defense (through natural Abs), they will catch Covid-19 disease as they cannot rely on other, i.e., acquired Abs. It has been extensively reported, indeed, that the increase in S (spike)-specific Abs in asymptomatically infected people is rather limited and only short-lived. Furthermore, these Abs have not achieved full maturity. The combination of viral infection on a background of suboptimal Ab maturity and concentration enables the virus to select mutations allowing it to escape the immune pressure. The selection of those mutations preferably occurs in the S protein as this is the viral protein that is responsible for viral infectiousness. As the selected mutations endow the virus with increased infectious capacity, it now becomes much easier for the virus to cause severe disease in infected subjects. The more people develop symptomatic disease, the better the virus can secure its propagation and perpetuation (people who get severe disease will shed more virus and for a longer period of time than asymptomatically infected subjects do). Unfortunately, enough, the short-lived rise in S-specific Abs does, however, surface to bypass people’s innate/natural Ab. Those are put out of business as their affinity for S is lower than the affinity of S-specific Abs. This is to say that with an increasing rate of infection in the population, the number of subjects who get infected while experiencing a momentary increase in S-specific Abs will steadily increase. Consequently, the number of subjects who get infected while experiencing a momentary decrease in their innate immunity will increase. As a result, a steadily increasing number of subjects will become more susceptible to getting severe disease instead of showing only mild symptoms (i.e., limited to the upper respiratory tract) or no symptoms at all. During a pandemic, especially youngsters will be affected by this evolution as their natural Abs are not yet largely suppressed by a panoply of ‘acquired’, antigen-specific Abs. Natural Abs, and natural immunity in general, play a critical role in protecting us from pathogens as they constitute our first line of immune defense. In contrast to acquired immunity, innate immune responses protect against a large spectrum of pathogens (so don’t compromise or sacrifice your innate immune defense!). Because natural Abs and innate immune cells recognize a diversified spectrum of foreign (i.e., non-self) agents (only some of which have pathogenic potential), it’s important, indeed, to keep it sufficiently exposed to environmental challenges. By keeping the innate immune system (which, unfortunately, has no memory!) TRAINED, we can much more easily resist germs which have real pathogenic potential. It has, for example, been reported and scientifically proven that exposure to other, quite harmless Coronaviruses causing a ‘common cold ’ can provide protection, although short-lived, against Covid-19 and its loyal henchmen (i.e., the more infectious variants).
Suppression of innate immunity, especially in the younger age groups, can, therefore, become very problematic. There can be no doubt that lack of exposure due to stringent containment measures implemented as of the beginning of the pandemic has not been beneficial to keeping people’s innate immune system well trained. As if this was not already heavily compromising innate immune defense in this population segment, there comes yet another force into play that will dramatically enhance morbidity and mortality rates in the younger age groups: MASS VACCINATION of the ELDERLY. The more extensively the later age group will be vaccinated and hence, protected, the more the virus is forced to continue causing disease in younger age groups. This is only going to be possible provided it escapes to the S-specific Abs that are momentarily raised in previously asymptomatically infected subjects. If the virus manages to do so, it can benefit from the (momentarily) suppressed innate immunity, thereby causing disease in an increasing number of these subjects and ensuring its own propagation. Selecting targeted mutations in the S protein is, therefore, the way to go in order for the virus to enhance its infectiousness in candidates that are prone to getting the disease because of a transient weakness of their innate immune defense.
But in the meantime, we’re also facing a huge problem in vaccinated people as they’re now more and more confronted with infectious variants displaying a type of S protein that is increasingly different from the S edition comprised with the vaccine (the later edition originates from the original, much less infectious strain at the beginning of the pandemic). The more variants become infectious (i.e., as a result of blocking access of the virus to the vaccinated segment of the population), the less vaccinal Abs will protect. Already now, lack of protection is leading to viral shedding and transmission in vaccine recipients who are exposed to these more infectious strains (which, by the way, increasingly dominate the field). This is how we are currently turning vaccines into asymptomatic carriers shedding infectious variants.
At some point, in a likely very near future, it’s going to become more profitable (in term of ‘return on selection investment’) for the virus to just add another few mutations (maybe just one or two) to the S protein of viral variants (already endowed with multiple mutations enhancing infectiousness) in an attempt to further strengthen its binding to the receptor (ACE-2) expressed on the surface of permissive epithelial cells. This will now allow the new variant to outcompete vaccinal Abs for binding to the ACE receptor. This is to say that at this stage, it would only take very few additional targeted mutations within the viral receptor-binding domain to fully resist S-specific ant-Covid-19 Abs, regardless whether the later are elicited by the vaccine or by natural infection. At that stage, the virus will, indeed, have managed to gain access to a huge reservoir of subjects who have now become highly susceptible to disease as their S-specific Abs have now become useless in terms of protection but still manage to provide for long-lived suppression of their innate immunity (i.e., natural infection, and especially vaccination, elicit relatively long-lived specific Ab titers). The susceptible reservoir comprises both, vaccinated people and those who’re left with sufficient S-specific Abs due to previous Covid-19 disease).So, MISSION ACCOMPLISHED for Covid-19 but a DISASTROUS SITUATION for all vaccinated subjects and Covid-19 seropositive people as they’ve now lost both, their acquired and innate immune defense against Covid-19 (while highly infectious strains are circulating!). That’s ‘one small step for the virus, one giant catastrophe for mankind’, which is to say that we’ll have whipped up the virus in the younger population up to a level that it now takes little effort for Covid-19 to transform into a highly infectious virus that completely ignores both the innate arm of our immune system as well as the adaptive/acquired one (regardless of whether the acquired Abs resulted from vaccination or natural infection). The effort for the virus is now becoming even more negligible given that many vaccine recipients are now exposed to highly infectious viral variants while having received only a single shot of the vaccine. Hence, they are endowed with Abs that have not yet acquired optimal functionality. There is no need to explain that this is just going to further enhance immune escape. Basically, we’ll very soon be confronted with a super-infectious virus that completely resists our most precious defense mechanism: The human immune system.
From all of the above, it’s becoming increasingly difficult to imagine how the consequences of the extensive and erroneous human intervention in this pandemic are not going to wipe out large parts of our human population. One could only think of very few other strategies to achieve the same level of efficiency in turning a relatively harmless virus into a bioweapon of mass destruction.
It’s certainly also worth mentioning that mutations in the S protein (i.e., exactly the same protein that is subject to selection of escape mutations) are known to enable Coronaviruses to cross species barriers. This is to say that the risk that vaccine-mediated immune escape could allow the virus to jump to other animal species, especially industrial livestock (e.g., pig and poultry farms), is not negligible. These species are already known to host several different Coronaviruses and are usually housed in farms with high stocking density. Similar to the situation with influenza virus, these species could than serve as an additional reservoir for SARS-COVID-2 virus.
As pathogens have co-evolved with the host immune system, natural pandemics of acute self-limiting viral infections have been shaped such as to take a toll on human lives that is not higher than strictly required. Due to human intervention, the course of this pandemic has been thoroughly disturbed as of the very beginning. Widespread and stringent infection prevention measures combined with mass vaccination campaigns using inadequate vaccines will undoubtedly lead to a situation where the pandemic is getting increasingly ‘out of control’.
Paradoxically, the only intervention that could offer a perspective to end this pandemic (other than to let it run its disastrous course) is …VACCINATION. Of course, the type of vaccines to be used would be completely different of conventional vaccines in that they’re not inducing the usual suspects, i.e., B and T cells, but NK cells. There is, indeed, compelling scientific evidence that these cells play a key role in facilitating complete elimination of Covid-19 at an early stage of infection in asymptomatically infected subjects. NK cells are part of the cellular arm of our innate immune system and, alike natural Abs, they are capable of recognizing and attacking a broad and diversified spectrum of pathogenic agents. There is a sound scientific rationale to assume that it is possible to ‘prime’ NK cells in ways for them to recognize and kill Coronaviruses at large (include all their variants) at an early stage of infection. NK cells have increasingly been described to be endowed with the capacity to acquire immunological memory. By educating these cells in ways that enable them to durably recognize and target Coronavirus-infected cells, our immune system could be perfectly armed for a targeted attack to the universe of Coronaviruses prior to exposure. As NK cell-based immune defense provides sterilizing immunity and allows for broad-spectrum and fast protection, it is reasonable to assume that harnessing our innate immune cells is going to be the only type of human intervention left to halt the dangerous spread of highly infectious Covid-19 variants.
If we, human beings, are committed to perpetuating our species, we have no choice left but to eradicate these highly infectious viral variants. This will, indeed, require large vaccination campaigns. However, NK cell-based vaccines will primarily enable our natural immunity to be better prepared (memory!) and to induce herd immunity (which is exactly the opposite of what current Covid-19 vaccines do as those increasingly turn vaccine recipients into asymptomatic carriers who are shedding virus). So, there is not one second left for gears to be switched and to replace the current killer vaccines by life-saving vaccines.
I am appealing to the WHO and all stakeholders involved, no matter their conviction, to immediately declare such action as THE SINGLE MOST IMPORTANT PUBLIC HEALTH EMERGENCY OF INTERNATIONAL CONCERN.