Mon objectif étant de donner des infos claires et exactes, je rétracte celles que j’ai indûment publiées. Ce n’est pas forcément passionnant mais ça évitera à d’autres de tomber dans le même piège. Voici donc un nouveau démenti, cette fois de l’histoire de la protection des oeufs contre le SARS-CoV-2. Le malentendu vient de cet article de Jessica Rose, qu’elle a publié sans vérifier le contenu de l’étude elle-même – maladresse que j’ai déjà commise et démenti ici.
De nombreux rapports ont été publiés au sujet des œufs, la plupart semblent être des informations erronées ou des erreurs d’interprétation flagrantes.
Modern Discontent
4 février
Les États-Unis sont actuellement confrontés à une grave pénurie d’œufs, qui entraîne une flambée des prix et une limitation des quantités disponibles dans certaines régions du pays.
En réponse à cette pénurie d’œufs, il semble y avoir un déferlement soudain de rapports différents, certains suggérant que les œufs sont accusés de provoquer des caillots sanguins afin de détourner l’attention des vaccins. D’autres rapports suggèrent que le jaune d’œuf présente un avantage réel et attribuent donc la pénurie à une conspiration visant à nous rendre malades.
Il suffira de dire que toutes ces informations présentent de sérieux problèmes.
En particulier, je suis tombé sur cet article bizarre de Yahoo! (provenant à l’origine de USA Today) qui vérifiait une affirmation selon laquelle les œufs seraient responsables de tous les caillots sanguins qui se produisent:
Vérification des faits: Une fausse étude prétend relier la consommation d’œufs à la formation de caillots sanguins.
L’article note que cette affirmation provient d’un site web appelé News Punch, dans lequel l’auteur fait un commentaire selon lequel les œufs sont en quelque sorte utilisés comme bouc émissaire pour les caillots sanguins liés aux vaccins, alors qu’il ne semble pas qu’une telle tentative soit faite par les responsables gouvernementaux (pour autant que je sache):
Des scientifiques avertissent que les œufs sont à l’origine de la formation « soudaine » de caillots sanguins chez des milliers de personnes. Il s’agit là d’un nouvel exemple de l’élite mondiale qui tente de détourner l’attention du public de la cause réelle de la recrudescence des problèmes cardiaques depuis la mise en place des injections.
Le plus étrange, c’est que cette affirmation n’a aucun sens. Pourquoi le gouvernement supprimerait-il les œufs s’ils sont censés provoquer des caillots sanguins? Cela reviendrait à supprimer l’élément incriminé, donc à éliminer le bouc émissaire supposé et à renforcer par procuration la relation entre les vaccins et les caillots sanguins.
Ce qui est également très étrange, c’est que cette information est censée être corroborée par un AUTRE article publié sur Express qui semble être le point de départ des allégations relatives aux caillots sanguins:
Caillots sanguins: un composé présent dans les œufs lié à un risque accru de coagulation sanguine La coagulation sanguine est une réaction normale à une blessure. Parfois, cependant, elle peut entraîner des crampes, des douleurs et des gonflements, et si elle pénètre dans le système circulatoire, elle peut être fatale. Une petite étude a établi un lien entre un aliment populaire du petit-déjeuner et ce problème.
Les articles qui affichent ce genre de titres me posent beaucoup de problèmes. Ils sont de purs appâts à clics et sont conçus dans le but d’effrayer les gens plutôt que de les informer.
Dans le cas présent, on prend un produit courant et quotidien et on le rend super effrayant en l’associant à quelque chose de mortel.
Si vous lisez l’article, vous verrez qu’il fait référence à une étude portant sur un composé appelé choline. Il n’est pas nécessaire de savoir ce qu’est la choline, hormis le fait qu’il s’agit d’un composé essentiel pour notre organisme, que nous l’obtenons en grande partie par notre alimentation et qu’on peut la trouver dans des compléments alimentaires en vente libre.
Dans tous les cas, il s’agit d’un composé courant qui ne se trouve pas uniquement dans les œufs. Pourquoi les œufs seraient-ils les seuls concernés? Encore une fois, les œufs sont un aliment courant dans les ménages, donc peut-être que cela augmente le niveau de peur. En outre, dans ce cas, il semble que l’article ait changé de titre, comme indiqué dans la mise à jour du 26 janvier.
Une version antérieure de l’article [NdT. d’un an plus tôt exactement, à la minute près – très étrange] ne mentionnait que les aliments pour le petit-déjeuner dans le titre:
Caillots sanguins: l’aliment populaire du petit-déjeuner qui pourrait augmenter le risque de coagulation du sang La coagulation sanguine est une réaction normale à une blessure. Parfois, cependant, il peut entraîner des crampes, des douleurs et des gonflements, et s’il pénètre dans le système circulatoire, il peut être fatal. Une petite étude a établi un lien entre un aliment populaire du petit-déjeuner et ce problème.
Il est intéressant de noter que le texte des deux articles fait référence aux « œufs et à la viande » plutôt qu’aux seuls œufs, ce qui rend le changement de titre plutôt étrange. Peut-être que des raisons ponctuelles ont conduit à un changement éditorial pour coïncider avec un problème particulier en cours en ce moment….
En tout cas, l’article sur Express fait référence à un article de 20171 publié dans Circulation qui examine la conversion par les microbes de la choline en un autre composé appelé Trimethylamine-N-Oxide (TMAO). C’est ce composé TMAO qui semble être associé aux maladies cardiovasculaires et à la thrombose, bien que les preuves semblent plutôt corrélatives.
Cette étude a recruté des omnivores ainsi que des végétariens/végétaliens :
Nous avons recruté de manière prospective des végétariens/végétaliens (n=8) et des omnivores (n=10) en bonne santé, sans antécédents (1 mois) d’antibiotiques ou de probiotiques.
L’inclusion de personnes ne mangeant pas de viande aurait dû soulever des critiques quant à la relation de cette étude avec les œufs en particulier – ce qui aurait dû être remarqué.
Le reste de l’étude n’est pas utile à cette discussion, et je laisse les autres lire l’étude pour obtenir des informations supplémentaires (notez qu’il s’agit d’une très petite étude qui ne fournit que des données proximales via les niveaux de plaquettes. En outre, tous les participants ont reçu l’équivalent de 450 mg de choline par jour, soit l’équivalent de 3 œufs, à titre de référence).
Mais ce qui est très frustrant, c’est que tout cela ressemble à un jeu de téléphone, dans lequel les informations ont été relayées sans que personne ne prenne la peine de vérifier la véracité des informations présentées.
Une partie du tableau 2 du NIH est présentée ci-dessus, indiquant certains aliments riches en choline.
On pourrait faire valoir que les œufs sont plus riches en choline compte tenu de la taille de leur portion, mais là encore, il semble que les œufs aient été choisis en particulier en raison du calendrier des vaccins et de la pénurie d’œufs, ce qui n’a aucun sens.
Au lieu de cela, tout ceci ne fait que nourrir l’esprit conspirationniste plus qu’il ne fournit quoi que ce soit de substantiel.
Ne vous laissez pas séduire par des déclarations sans vérifier vous-même les preuves. Un simple coup d’œil aurait dû éveiller des soupçons immédiats sur ces affirmations.
De l’IgY dans le jaune
Cela m’amène à une autre étude qui semble avoir circulé récemment.
J’ai été informé de cette étude2 par un ami, qui lui-même semble l’avoir obtenue par le biais de rumeurs, car on lui a posé des questions sur cette étude.
Les anticorps de jaune d’œuf de poule (IgY) bloquent la liaison de plusieurs variants de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 à l’ACE2 humaine
Au lieu de soutenir qu’il existe une conspiration visant à accuser les œufs de provoquer des caillots sanguins, il semble y avoir dans ce cas une conspiration suggérant que les œufs sont en fait protecteurs, et que le gouvernement nous confisque les œufs pour que nous ne puissions pas nous protéger du COVID.
Le timing des événements serait étrange si c’était vrai, étant donné que le COVID ne sera plus considéré comme une urgence dans les mois à venir, à moins que le gouvernement n’essaie de créer une autre vague de COVID pour ramener l’urgence en bloquant notre capacité à obtenir des œufs. Encore une fois, davantage de conspiration.
Le fait que les œufs étaient toujours disponibles même pendant les confinements n’aide pas non plus, donc cette affirmation ne devrait-elle pas être comparée à des preuves réelles de vagues de COVID qui pourraient ne pas avoir été atténuées par la consommation d’œufs? Quoi qu’il en soit, je m’égare… ou peut-être pas.
Dans le cadre de cette étude, l’argument semble suggérer que les anticorps du jaune d’œuf peuvent en fait empêcher la protéine de pointe de se lier à l’ACEII.
Ce serait formidable si c’était vrai, mais c’est seulement vrai si l’on se contente de lire le titre.
De la même manière que l’esprit critique semble avoir été subverti dans le cas des œufs et des caillots sanguins, il semble que beaucoup d’esprit critique ait manqué dans la diffusion de cette étude.
Lorsqu’on vous présente ces anticorps de jaune d’œuf de poule, demandez-vous ce qui les rend tellement spéciaux plutôt que de leur prêter des pouvoirs magiques et bienveillants.
Car si vous y réfléchissez, vous devriez probablement comprendre que ces anticorps ne devraient pas avoir une capacité de liaison inhérente à un antigène – les anticorps ne fonctionnent pas ainsi. Le système immunitaire doit être mis en présence de quelque chose au préalable afin de créer les anticorps nécessaires pour cibler l’antigène.
Et c’est exactement ce qui s’est passé dans cette étude. Les chercheurs ne se sont pas contentés d’isoler des IgY à partir de jaunes d’œufs de poules choisis au hasard. Au contraire, les œufs provenaient de poules immunisées qui avaient reçu un vaccin contenant la sous-unité S1 de la protéine de pointe:
La protéine S1 recombinante purifiée du SARS-CoV-2 a été mélangée et émulsionnée avec l’adjuvant immunitaire de Freund en volume égal, puis utilisée comme immunogène. Chaque poule a reçu une injection (intramusculaire) de 150 μg de la protéine de pointe recombinante sous les ailes, une fois par semaine pendant 4 semaines, puis les IgY ont été extraites et le titre évalué.
Donc non, ce n’est pas comme si les anticorps tirés du jaune d’œuf avaient une caractéristique inhérente et unique différente de la nôtre. Au contraire, ils fonctionnent de la même manière que nos propres anticorps, les IgY étant comparables aux IgG chez l’homme3.
D’après Müller, et al. La structure entre l’IgY trouvé chez les poules est comparée à l’IgG trouvé chez les humains. Les structures sont comparables, la différence notable étant la région charnière présente dans les anticorps IgG.
Et non, manger un simple jaune d’œuf ne fournira pas d’IgY anti-protéine de pointe magique – encore une fois, la poule devrait avoir été immunisée au préalable (d’après Müller, et al.).
La production d’IgY commence par l’immunisation des poules.
Les IgY sont une forme alternative et peu coûteuse d’anticorps polyclonaux. Pour l’immunisation, les poules ont reçu une injection intramusculaire d’antigènes spécifiques à plusieurs intervalles. Les anticorps sont transférés de la poule à sa progéniture via le stade latent de l’œuf. Le poussin immuno-incompétent est capable de résister à diverses maladies infectieuses grâce au système immunitaire inné transmis par la poule. Le transfert des anticorps IgY du sérum maternel au jaune d’œuf est analogue à la transmission transplacentaire chez les mammifères [12]. Pendant les derniers jours de la phase de développement embryonnaire, les IgY sont transportés à travers la membrane du sac vitellin dans la circulation sanguine de l’embryon [13]. Des études récentes montrent que le transfert des IgY du sérum au jaune d’œuf est un processus médié par les récepteurs qui permet un transfert sélectif des anticorps du sérum maternel [14, 15]. Des recherches ont confirmé qu’une séquence spécifique (His-Glu-Ala-Leu: HEAL) dans la région FC et une région charnière intacte sont nécessaires au transport. Les modifications de cette séquence d’acides aminés inhibent le transport des IgY dans le jaune d’œuf. Environ 4 à 6 jours après l’inoculation, les IgY peuvent être détectées dans le jaune d’œuf [16, 17].
Mais là encore, ne serait-il pas plus facile de manger les poules étant donné que les IgY apparaissent dans le sérum des poules? Je parie que beaucoup de gens ne voudraient pas manger des poules vaccinées de toute façon, étant donné les circonstances.
Et cela n’aurait probablement pas d’importance, car les IgY ne semblent pas survivre à la voie gastrique en raison du faible pH, sans même tenir compte de ce que la cuisson ferait au contenu en IgY avant même qu’il n’atteigne votre bouche.
Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit là encore d’une affirmation largement diffusée, mais qui n’est même pas étayée par la littérature citée.
Je me demande donc combien de personnes ont pris la peine de lire l’étude et ont remarqué qu’il fallait vacciner les poules pour qu’elles produisent des anticorps!
Rien de tout cela n’a de sens, et pour être tout à fait honnête, je suis en fait frustré par le fait que tout cela a retenu autant l’attention.
L’ « équipe des sceptiques » affirme être plus critique et s’intéresser davantage à la littérature, et pourtant des études comme celles-ci continuent à circuler sans aucun scepticisme ou recul sur le contenu réel de ces articles.
Emergence d’une nouvelle maladie de Creutzfeldt-Jakob : 26 cas de la version humaine de la maladie de la vache folle, quelques jours après une injection de COVID-19
Pour ceux qui ne le savent pas, la maladie de Creutzfeldt-Jakob est une maladie à prions débilitante et rapide qui entraîne une perte soudaine de la fonction motrice, de la capacité de parler et, éventuellement, de la fonction des organes, car le cerveau se détériore et ne peut plus envoyer de signaux au reste du corps. En général, la mort peut survenir après qu’une personne atteinte de la MCJ ne puisse plus respirer.
Au dire de tous, la MCJ est littéralement une maladie à une chance sur un million, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles tout rapport sur un seul diagnostic de MCJ excédentaire peut susciter des soupçons quant à sa cause.
Mais la progression de la MCJ est également soudaine. L’espérance de vie d’une personne diagnostiquée avec la MCJ est généralement de quelques mois, ce qui signifie qu’au moment où les symptômes se manifestent, le patient n’a plus beaucoup de temps à vivre.
Du CDC. Le tableau ci-dessus faisait partie d’un tableau plus large énumérant les caractéristiques de la MCJ. Notez que la durée médiane de la maladie est d’environ 4 à 5 mois. [Durée médiane de la maladie: 4-5 mois – 13-14 mois]
Un article du NIH indique également qu’environ 70% des patients atteints de la MCJ meurent dans l’année qui suit leur diagnostic.
Quelle que soit la façon dont on la considère, la MCJ est une maladie rapide et progressive.
C’est pourquoi l’article de ResearchGate dont le lien figure ici soulève de sérieuses questions, puisqu’il mentionne à plusieurs reprises que la MCJ met des décennies à se manifester, plutôt que des mois.
Peut-être ai-je mal lu l’article, mais là où le mot « décennie » est mentionné, aucune citation n’est fournie. Le seul texte qui semble s’approcher de ce que l’on déduit est celui-ci:
Nous résumons également dans les figures 1 à 3 certaines des différences surprenantes entre cette nouvelle forme de maladie de Creutzfeldt-Jakob à développement rapide et la maladie à prions beaucoup plus lente connue auparavant par des symptômes similaires mais se développant non pas en quelques semaines ou évoluant vers un décès en un an environ, mais se développant sur environ une décennie et durant une ou plusieurs décennies supplémentaires.
Encore une fois, peut-être que j’ai mal lu, mais les figures 1 à 3 ne semblent pas fournir de comparaison entre la MCJ et la nouvelle forme supposée apportée par les vaccins, et je reste donc sur ma faim quant à l’origine exacte des preuves qui suggèrent que la MCJ met des décennies à se manifester5.
Cet article est plus une anecdote, mais c’est l’un des nombreux articles que j’ai vus qui ont été cités et utilisés pour faire avancer un argument alors que des questions auraient dû être soulevées quant à l’interprétation qui en est faite.
Dans le cas de l’article de ResearchGate, il est possible que la MCJ soit liée aux vaccins, mais alors pourquoi le tourner de manière à minimiser le moment réel de la manifestation et du décès de la MCJ, si ce n’est pour créer un récit selon lequel la MCJ due aux vaccins est complètement différente des autres formes de MCJ.
Et puis, qu’en est-il de tous ces rapports sur les œufs? Il est clair que l’étude de Wei et al. elle-même mentionne que les poules ont été vaccinées au préalable. En fait, toute personne qui a acquis des connaissances en immunologie au cours des trois dernières années aurait probablement dû supposer que c’était le cas.
S’agit-il d’un cas où les gens n’appliquent pas les connaissances qu’ils ont acquises, ou est-ce que le narratif peut rapidement prendre le pas sur la pensée critique pour coïncider avec la pensée de groupe? Peut-être une dissonance cognitive est-elle en jeu?
Quelle qu’en soit la raison, il n’en reste pas moins que ce problème d’information n’est pas apparu soudainement. Il semble exister depuis l’apparition de COVID et, en toute franchise, il est peut-être simplement révélateur de la façon dont la science est relayée.
Mais cela ne signifie pas qu’il faut s’en contenter. Si nous voulons vraiment faire preuve de diligence raisonnable et nous assurer que des informations exactes sont diffusées, nous devons vérifier nos sources avant d’en faire état.
Plus important encore, nous devrions faire de notre mieux pour corriger les erreurs flagrantes. Permettez-moi d’être clair et de dire que je suis aussi faillible que n’importe qui d’autre, c’est pourquoi je dis que chacun devrait vérifier que mes sources ne contiennent pas d’erreurs.
Et en fait, cela aurait dû être le cas depuis le début. Si nous voulons plaider en faveur de la liberté d’expression, il nous faut plaider en faveur d’un discours ouvert. Au lieu de cela, on a l’impression que n’importe quelle idée peut être lancée sans trop se soucier des preuves, et qu’un public non averti, qui a peut-être placé sa confiance en quelqu’un, n’a aucune idée de la réalité des affirmations faites.
C’est une chose dont j’espère que beaucoup de gens prendront conscience.
Zhu, W., Wang, Z., Tang, W. H. W., & Hazen, S. L. (2017). Gut Microbe-Generated Trimethylamine N-Oxide From Dietary Choline Is Prothrombotic in Subjects.Circulation, 135(17), 1671–1673. https://doi.org/10.1161/CIRCULATIONAHA.116.025338
Perez, jean-claude & Montagnier, Luc. (2023). Emergence of a New Creutzfeldt-Jakob Disease: 26 Cases of the Human Version of Mad-Cow Disease, Days After a COVID-19 Injection. 10.5281/zenodo.7540331.
Pour étayer l’argument, il est possible que les auteurs aient fait référence à une différence dans le mode de développement de la MCJ. La plupart des MCJ surviennent sans explication connue, donc dans ce cas, on peut argumenter qu’il y a des caractéristiques qui semblent être uniques avec les vaccins. L’article fait référence à la région de la protéine de pointe censée former des prions, que beaucoup d’autres ont désignée comme coupable, mais là encore, l’organisation de l’article semble éluder toute comparaison avec la MCJ typique.
Commentaire
J’ai vu cette étude sur les œufs censés protéger contre le covid – j’ai même pensé qu’elle avait probablement été écrite dans le seul but que les « anti-vaxx » la citent pour ensuite leur rétorquer que l’étude ne dit pas ce que ces gens pensent qu’elle dit – ces gens sont des idiots. Quand quelque chose est trop évident et a été financé par big pharma, il faut l’examiner attentivement.
Je suis un réfugié soviétique, et ce fait affecte ma vision du monde.
En Union Soviétique, la science était contrôlée par l’idéologie politique. L’exemple le plus tristement célèbre est le Lysenkoïsme. Défendu par Trofim Lysenko, le Lysenkoïsme était une école de pensée idéologique qui rejetait la génétique mendélienne et la sélection naturelle en tant que science bourgeoise en faveur d’une théorie conforme à la philosophie marxiste-léniniste. Ignorant les principes fondamentaux de la science – tels que la rationalité, l’observation et la pensée empirique – l’application du Lysenkoïsme à l’agriculture a entraîné une famine désastreuse, tandis que les médias soviétiques célébraient les succès de Lysenko. Face à la réalité et à la calamité évidente, de véritables scientifiques, opposés à la poursuite de l’application de l’idéologie, ont été publiquement humiliés, jugés lors de simulacres de procès publics, condamnés aux travaux forcés et exécutés.
Malheureusement, les principes du Lysenkoïsme médical deviennent omniprésents dans la science médicale américaine. Nous assistons à la suppression des divergences d’opinion raisonnables, à des tests de pureté idéologique et à des tentatives de légiférer sur les pratiques médicales acceptables pour les conformer au dogme idéologique souhaité. Les domaines dans lesquels les exemples sont les plus évidents sont la politique COVID-19, les sujets liés à la diversité, l’équité et l’inclusion (DEI) et la gestion de la dysphorie de genre.
J’ai été de nouveau confronté au Lysenkoïsme médical lorsque la législature californienne a récemment approuvé un projet de loi désignant la fourniture d’informations fausses ou trompeuses comme conduite non professionnelle pouvant entraîner des mesures disciplinaires de la part du conseil médical de l’État. Ces mesures disciplinaires comprennent la révocation de la licence médicale d’un médecin reconnu coupable d’avoir diffusé des informations non considérées comme appropriées par la loi. La loi, AB-2098 Physicians and Surgeons: Unprofessional Conduct [Médecins et chirurgiens: Conduite non professionnelle], est maintenant la première dans la nation à légiférer sur ce qui est une information acceptable dans la science médicale. Selon le projet de loi, il a été rédigé pour cibler les informations erronées et la désinformation liées à la pandémie de SARS-CoV-2. Je crains cependant que la cible de ce projet de loi ne s’étende à l’ensemble de la science médicale.
La question fondamentale soulevée par l’AB-2098 sera bien sûr: qui est l’arbitre de ce qui est et de ce qui n’est pas de la désinformation ou de la fausse information? La pratique médicale et l’élaboration des politiques médicales dépendent de l’interprétation des preuves médicales – l’application des preuves à l’individu ou à la population à travers un prisme professionnel. Il existe des recommandations et des directives de pratique publiées par les sociétés médicales professionnelles, mais c’est le médecin, en consultation avec son patient, qui détermine en dernier ressort le traitement optimal.
Examinons les trois domaines dans lesquels le Lysenkoïsme médical semble le plus marqué. Pendant la pandémie de COVID-19, les preuves scientifiques ont évolué particulièrement rapidement, les thérapies et les traitements ont changé et les médecins individuels ont interprété et appliqué les informations disponibles différemment selon les cas. Le masque en tissu en est un bon exemple. Une étude désormais célèbre a démontré que les masques en tissu étaient inefficaces pour prévenir la propagation du SARS-CoV-2. Ce résultat a finalement été reconnu par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) en janvier 2022. Étant donné que tous les États et le gouvernement fédéral avaient précédemment rendu obligatoire le port de masques en tissu, il fut un temps où un médecin qui déclarait que les masques en tissu ne minimisaient pas la propagation du SARS-CoV-2 (la vérité) aurait pu être tenu coupable en vertu de la loi sur la désinformation.
Le fait de rendre obligatoire une pratique acceptable alors que les preuves scientifiques sont rares ou, pire encore, lorsque les directives contredisent l’ensemble de la littérature publiée, est alarmant. La plupart des pratiques médicales ne sont basées que sur une compréhension partielle de la maladie et de la thérapeutique. J’aimerais croire que les auteurs de la législation californienne l’ont rédigée de bonne foi. Mais le précédent historique de corruption médicale, lorsqu’elle est associée au pouvoir gouvernemental, est solide. Je crains que la loi, telle qu’elle est rédigée, ne menace de faire passer l’establishment médical sous le parapluie de la hiérarchie, en lui donnant un outil pour propager son programme Lysenkoïste.
Un deuxième exemple. Les écoles de médecine filtrent les candidats en fonction de leur conformité à une idéologie politique. Le processus d’inscription à l’école de médecine comprend une candidature commune primaire et des candidatures secondaires spécifiques aux écoles. Un rapport récent de l’organisation Do No Harm (une organisation dont le mandat est de « lutter pour les patients individuels – et contre les politiques identitaires ») a démontré l’omniprésence des tests de conformité idéologique dans le processus de candidature. Le rapport a révélé que 72% des 50 premières écoles de médecine (et 8 des 10 premières écoles) utilisent des questions pour vérifier si les candidats souscrivent à l’idéologie préférée de l’institution en matière d’actions personnelles fondées sur la race. Par exemple, le SUNY Downstate Medical Center-College of Medicinedemande directement comment le candidat a été, est ou sera un défenseur, un apparatchik, de sa cause: « Quelle(s) activité(s) actuelle(s) ou future(s) a/auront contribué à la diversité, à l’équité en matière de santé et à la justice sociale? »
Le but de la conformité idéologique dans l’éducation médicale américaine, je le crains, est d’exproprier l’éducation médicale des normes imparfaites, basées sur l’excellence, en faveur de la formation d’individus qui en fera des « apparatchiks » d’une cause idéologique. Dans ce cas, tout scepticisme, même empirique, ne doit pas être toléré. Le cas du Dr Norman Wang est une anecdote exemplaire qui se lit comme une « séance de lutte« . En 2020, le Dr Wang a rédigé un livre blanc dans le Journal of the American Heart Association (dont il est impossible de donner le lien car il a été rétracté). Le Dr Wang a retracé l’histoire de la discrimination positive et a critiqué, bien que légèrement, les politiques de DEI. Il a avancé des idées controversées telles que: « En fin de compte, tous ceux qui aspirent à une profession dans le domaine de la médecine et de la cardiologie doivent être évalués en tant qu’individus sur la base de leurs mérites personnels, et non de leur identité raciale et ethnique. » Comme on pouvait s’y attendre (dans l’atmosphère actuelle), il a été attaqué sur les médias sociaux et le journal a rétracté l’article (contre les objections du Dr Wang). Le Journal s’est excusé, a dénoncé les opinions exprimées dans l’article et a déclaré que l’article était une déformation des faits. L’American Heart Association [Association américaine de cardiologie] a lancé une enquête officielle pour « mieux comprendre comment un article incompatible avec les valeurs fondamentales de l’association a été publié« . En d’autres termes, pour éliminer la possibilité que d’autres réflexions contre-révolutionnaires soient publiées. Il va sans dire que l’université qui employait le Dr Wang l’a dûment licencié et que ses collègues l’ont publiquement dénoncé pour son crime de pensée.
Il est probable qu’aucun autre domaine ne démontre aussi bien le Lysenkoïsme médical que la gestion des adolescents souffrant de dysphorie de genre. Aux États-Unis, l’approche politiquement acceptable de la thérapie consiste à accepter l’identité de genre de l’individu et à utiliser des traitements médicaux et chirurgicaux pour mettre le corps en conformité avec le genre subjectif. L’autre point de vue considère que la pratique actuelle va à l’encontre de la pratique médicale établie, selon laquelle la non-congruence entre le sexe biologique et l’identité de genre est pathologique.
Le débat sur la prise en charge de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents est bien réel. D’un côté, il y a les patients et les parents qui pensent vraiment que les soins d’affirmation du genre sont dans leur meilleur intérêt et celui de leurs enfants. Il s’agit d’une population de patients à haut risque de préjugés, d’ostracisme et de suicide. De l’autre côté, il y a un groupe qui voit de nouvelles thérapies, avec des impacts à vie, être appliquées depuis peu de temps et avec peu de données. Ils notent que les procédures médicales et chirurgicales associées ont des taux de complication élevés et peuvent engager les patients dans des soins médicaux à vie. En outre, les preuves en faveur d’une approche d’affirmation du genre sont de faible qualité et limitées.
Compte tenu de l’absence de débat ouvert, il est probablement utile d’exposer les preuves et les événements récents dans ce domaine. Récemment, il y a eu la fermeture très médiatisée de la clinique du genre Tavistock au Royaume-Uni après qu’une étude du Service National de Santé britannique (NHS) ait cité des études contredisant l’approche d’affirmation du genre. Il s’agit par exemple d’une étude suédoise menée sur 30 ans, qui a suivi des personnes après une opération de réassignation sexuelle et a démontré un taux de mortalité plus élevé pour les patients en transition. Le National Institute for Health and Care Excellence [Institut national britannique pour la santé et l’excellence des soins] a évalué la prise en charge médicale par « bloqueurs de puberté » et hormones de changement de sexe chez les enfants et a constaté qu’il n’y avait que peu ou pas de changements dans leur fonctionnement ou leur santé mentale et qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour décider d’une politique. Ils ont déclaré que toutes les études évaluées étaient de faible qualité et qu’il n’y avait aucun moyen de déterminer si ces « traitements apportent un bénéfice ou un préjudice aux mineurs. » Le Council for Choices in Health Care de Finlande [Conseil pour le Choix des Soins de Santé] a qualifié le « changement de sexe des mineurs de pratique expérimentale », la dysphorie de genre dans l’enfance ayant un taux de résolution élevé.
Dans tous ces cas, les avis discordants semblent de plus en plus malvenus. À l’instar des Lysenkoïstes soviétiques qui ignoraient les citoyens affamés et éliminaient les scientifiques qui osaient remettre en question leurs méthodes, les partisans de la thérapie d’affirmation du genre ne semblent pas disposés à envisager un autre point de vue. Des enregistrements récents de réunions médicales au Centre Médical de l’Université Vanderbilt montrent que l’institution menace de représailles les médecins qui s’opposent à la transition médicale des enfants et leur suggère de trouver un autre emploi. Le biologiste Colin Wright a été sanctionné pour avoir déclaré que le sexe était binaire et non un spectre.
En tant que réfugié soviétique, je vois de plus en plus de signes qui me rappellent la vie en Union Soviétique où la censure et l’autocensure étaient monnaie courante. Souvent, les professionnels de la santé ne s’expriment pas en faveur de la vérité, ou du moins d’un débat civil, par crainte de représailles. Avec des médecins et des scientifiques censurés et licenciés pour avoir débattu de questions discutables qui ne s’alignent pas sur les tendances politiques acceptables, la science médicale américaine glisse vers le Lysenkoïsme. La science est dissidence, désaccord et discussion. Si ce processus, né au siècle des Lumières, est subverti, nous ne sommes plus des scientifiques ou des médecins. La censure des opinions sur les médias sociaux (ou la conscience d’un besoin d’autocensure) est non-scientifique et non-américaine. La tension dans ce domaine est particulièrement forte dans la communauté médicale pour les personnes qui critiquent ou désapprouvent les politiques du COVID, les initiatives DEI et le traitement de la dysphorie de genre.
Pour atténuer et inverser cette dérive, nous devons nous appuyer sur des bases scientifiques. Cela implique de recourir à l’empirisme pour parvenir à des conclusions, peu importe qu’elles soient incompatibles avec notre vision du monde. Nous devons nous engager à ne pas sélectionner les données, même si elles sont inadéquates, pour justifier un engagement continu envers une idéologie. Nous devons encourager et promouvoir la dissidence afin de garantir que nos conclusions et nos politiques résistent à l’examen permanent de l’évolution des connaissances. Nous devons refuser de qualifier tout scepticisme de « phobique » ou de « conspirationniste », version Lysenkoïste moderne de « démolisseurs, saboteurs et contre-révolutionnaires ». En fin de compte, nous devons montrer du courage: le courage de défendre la vérité et le courage de tenir tête aux médias qui ont réussi à réquisitionner la vérité et à devenir des apparatchiks qui sélectionnent l’information pour modeler la société selon la vision du monde qu’ils souhaitent. Et nous devons avoir le courage de nous opposer aux foules des médias sociaux qui ont réussi à contraindre de nombreuses revues médicales à rétracter des articles scientifiques jugés inacceptables ou subversifs pour la ligne du parti.
Nous devons continuer à nous montrer vigilants à défendre et promouvoir l’empirisme et les données, ainsi que le dialogue permanent avec les divergences d’opinion raisonnables. La restriction du discours scientifique n’est pas acceptable pour l’épanouissement humain. Le précédent historique est on ne peut plus clair, et il est de notre devoir d’empêcher une ère Lysenkoïste aux États-Unis.
Le Dr Gary Levy est gynécologue-obstétricien, endocrinologue de la reproduction, directeur de programme de résidence, professeur associé de gynécologie-obstétrique et médecin militaire. Il est un réfugié de l’ancienne Union Soviétique et est préoccupé par les similitudes qui apparaissent dans la science et la médecine avec les aspects totalitaires de la société soviétique. Les opinions exprimées sont celles de l’auteur et ne reflètent pas le point de vue du Service Médical de l’Armée, la politique ou la position officielle du Département de l’Armée, du Ministère de la Défense ou du Gouvernement des Etats-Unis.
Quelques remarques, ajouts et questions par rapport au contenu publié la semaine dernière.
Note: Je ferai peut-être dorénavant un billet hebdomadaire pour emballer les nouvelles de la semaine écoulée (à lire pour savoir de quoi je parle ci-dessous) et en donner quelques autres que je n’ai pas traitées.
Sasha et Katherine ont raison: toute l’opération implique la défense américaine, et plus spécifiquement, le renseignement. La question à poser ensuite: qui contrôle les deux?
Le raisonnement de Sasha Latypova et de JJ Couey sur la faisabilité d’une vraie pandémie virale est valide, tant qu’on s’en tient au secteur civil. Le problème ici est qu’il s’agit d’une opération militaire. Le Dr Lee Merritt rappelait ici que pour toute arme se pose la question de son déploiement et émettait quelque temps plus tard l’hypothèse d’épandages aériens de spores, ce qui colle assez bien avec mes propres observations en 2020: les lieux, autant que les humains, semblaient des sources de contamination majeures.
Le Dr Steven Quay émettait la même année l’hypothèse que le lieu de contamination initial était la ligne 2 du métro de Wuhan, où transitent quotidiennement un million de personnes (ici, ici, ici). Si quelqu’un voulait diffuser un pathogène, j’imagine que le métro serait l’endroit idéal. Je ne fais pas que l’imaginer, d’ailleurs, puisque le Dr Igor Shepherd explique ici que ça a déjà été utilisé en 1977 dans le métro de St-Petersbourg, occasionnant 70 000 morts.
On en est réduits à un jeu de devinette: la recherche militaire a quarante ans d’avance sur son équivalent civil et dispose vraisemblablement de biotechnologies uniques, de centres dont personne, en dehors d’un cercle très étroit, n’a jamais entendu parler – je doute que Fort Detrick et l’Institut de Virologie de Wuhan soient autre chose que des fausses pistes – et de moyens de déploiement sans équivalent civil.
Quant au débat sur les mille laboratoires où on pratique le gain de fonction, il faut y ajouter maintenant un nouvel élément: celui de laboratoires vivants, au système immunitaire reprogrammé susceptible de générer de nouvelles souches, avec l’aide d’anti-viraux dont on sait maintenant qu’ils sont mutagènes – Paxlovid, Molnupiravir (deux articles dans Nature) et Remdesivir (un article dans Cell). Ces nouveaux laboratoires, il y en a environ quatre milliards.
Le conflit en Ukraine aura permis au complexe militaro-industriel américain de se refaire une santé en liquidant ses stocks, qu’ils factureront à l’Etat, et en mettant leur matériel à l’épreuve du terrain, avec l’aimable participation de l’armée russe. C’est la norme de toutes les guerres menées précédemment par les US hors de son territoire (Vietnam, Irak, etc.). Résultat: contre un armement russe simple, efficace et peu coûteux, il ne tient pas la route. Il est très cher à l’achat, trop sophisitiqué et donc fragile et demande une longue formation et une maintenance maximum, très coûteuses également – en réalité, il tient davantage du produit financier que de l’armement. L’Etat américain accordera donc au complexe militaro-industriel des sommes astronomiques pour la R&D d’une nouvelle génération d’armement, sommes prélevées sur l’argent public, dont le siphonnage au nom de tout et n’importe quoi reste la seule constante en temps de paix ou de guerre.
Même arnaque en Europe où on va se réarmer – face à la « menace russe », je suppose. En président responsable, Macron met le paquet. Pendant ce temps, le conflit en Ukraine ne durera finalement pas jusqu’au dernier Ukrainien vivant, comme il était annoncé par leur président et ses alliés occidentaux. On aura jugé que la phase armée a fait son office, puisqu’il n’est plus maintenant question que de « reconstruction« , qui mettra ce qui reste du pays entre les mains des grands investisseurs. Tout ça sent la collusion à plein nez, y compris côté russe, qui gardera vraisemblablement les territoires conquis. Pauvre Ukraine!..
Pour citer un rejeton du renseignement américain, Frank Zappa, « La guerre est un autre nom pour un échange commercial entre deux pays ». Dans un registre moins rock’n’roll, il y a le bouquin de Smedley Butler, qui n’a rien perdu de son actualité. Extrait:
« J’ai passé trente-trois ans et quatre mois en service actif au sein de la force militaire la plus mobile de notre pays: le corps des Marines. J’ai occupé tous les grades d’officier, de sous-lieutenant à général de division, et, durant cette période, j’ai consacré le plus clair de mon temps à servir le grand capital, Wall Street et les banquiers, comme homme de main de haut vol. En bref, j’ai été un racketteur à la solde du capitalisme. C’est ainsi que j’ai contribué, en 1914, à faire du Mexique, et spécialement de Tampico, un lieu sûr pour les intérêts pétroliers américains. J’ai aidé Haïti et Cuba à devenir des endroits suffisamment respectables pour que les hommes de la National City Bank viennent y gagner de l’argent. En 1909-1912, au Nicaragua, j’ai participé à l’épuration au profit de la banque internationale Brown Brothers. En 1916, j’ai apporté la lumière à la République dominicaine pour le compte des intérêts sucriers américains. En 1913, j’ai fait en sorte que le Honduras soit mûr pour accueillir les compagnies fruitières des États-Unis. En Chine, en 1927, j’ai veillé à ce que la Standard Oil puisse vaquer à ses activités sans être inquiétée. Pendant toutes ces années, comme l’auraient dit les hommes attablés dans l’arrière-salle, les affaires ont superbement marché pour moi. J’ai été récompensé par des honneurs, des décorations, des promotions. Quand je regarde en arrière, j’ai le sentiment que j’aurais pu rendre quelques points à Al Capone. Au mieux, il ne pouvait pratiquer son racket que sur trois arrondissements de la ville, alors que nous, les Marines, opérions sur trois continents. »
Les Etats-Unis brûlent tous les ponts depuis un certain temps, en prenant la tête de l’Opération Covid, en prenant tous les risques avec la « communauté internationale », c’est-à-dire nous (cf. Nordstream 2), en compromettant en interne leur secteur industriel et énergie par le délire du Green New Deal. Catherine Austin Fitts, assez bien placée pour le savoir, rappelle ici que les investisseurs ont retiré leurs billes des Etats-Unis depuis vingt ans. Deux issues possibles: soit ils implosent, et l’Europe avec eux, soit, comme le prévoyait Miles Mathis, le détournement « woke » de la Gauche sociale – celle qui ne jurait que par l’Ukraine tout en jetant à la rue sa propre population – aura été utilisé pour en dégoûter le peuple, qui réclamera un retour à une Droite nationale salvatrice. C’est la seconde tendance qui a l’air de s’annoncer aussi bien chez eux qu’en Europe occidentale (voir ce qui se passe en Italie), dans le même cas de figure. On commence à sentir un rétropédalage sur la politique verte et tout ce genre d’âneries, et repoindre d’autres choix sociétaux traditionnels tels que la formation et le travail. Remettra-t-on aussi la famille au goût du jour? Dans ce domaine, il y a aussi pas mal de « reconstruction » à la clé. Wait and see…
Les Etats-Unis annoncent maintenant ce que j’annonçais ici il y a un an: un conflit avec la Chine en 2025. A cause de Taïwan, bien entendu. Le récent coup du ballon-espion, du niveau « L’île aux enfants« , devrait suffire à comprendre que c’est un nouvel acte dans la même pièce de théâtre: depuis le conflit en Ukraine, le discours officiel (télévision) et alternatif (sur le Net) nous rebat les oreilles d’une possible escalade nucléaire, l’OMS s’en mèle maintenant avec des recommandations sur les dangers d’irradiations. Ça n’aura pas eu lieu avec la Russie, on remet le couvert avec la Chine. Dans les deux cas, comme mes lecteurs le savent, c’est du pipeau. Si guerre cinétique il y a, ce sera avec armes « conventionnelles » et troupes. Vladimir Boukovski écrivait à juste titre que seuls les occidentaux pensent qu’on peut gagner une guerre avec des gadgets (voir plus haut). La Chine dispose d’une armée gigantesque, n’est tenue par aucune convention sur les armements et dispose donc de missiles à (très) longue portée. Si un navire de guerre (porte-avions et/ou lance-missiles) s’aventure un peu trop près de leurs côtes, il sera promptement désintégré. La suite au prochain épisode, et rendez-vous dans deux ans pour le dénouement.
Une réflexion intéressante qu’ont eue deux personnes très intelligentes – mon épouse et John C Dvorak – sans se consulter: nous sommes dans un schéma de violence familiale, où le mari (les Etats-Unis) bat la femme (les gouvernements européens) tandis que les enfants (les peuples) assistent, impuissants, et en font les frais. Chouette petite famille.
Bientôt sur vos écrans
Les oeufs aident à prévenir le Covid. Ce n’est pas une connerie, c’est sur Science Direct. Une des raisons pour les problèmes de production et leur remplacement par des substituts végétaux? Si vous avez un bout de terrain, prenez des poules (trois au minimum)! Ce sont des animaux très agréables et amicaux, de bons compagnons, qui mangent quasiment tout et n’importe quoi, et qui pondent. Si vous vous retrouvez avec trop d’oeufs, comme c’est probable (trois oeufs par jour, ça va vite), vous pouvez télécharger le livre (gratuit) de Mimi Dvorak sur toomanyeggs.com (en anglais, utilisez un traducteur automatique), qui vous donnera 800 recettes pour les accommoder. Ou donnez-en à la famille, aux voisins ou à des sans-abri. Cuits durs, dans ce cas.
Et encore d’autres sujets passionnants en fonction de l’actualité ou de mes trouvailles.
Sasha et Catherine, deux femmes courageuses que j’ai été le premier à publier en français (vous pouvez vérifier). Ceci aborde justement ce que je me préparais à écrire – synchronicité? – et que j’écrirai quand même.
Pour les nouveaux arrivés, vous pouvez trouver les articles de Sasha et Catherine en faisant une recherche dans le Sommaire.
Si j’ai le temps (air connu), je ferai la transcription/traduction de la vidéo.
« La Réinitialisation Directe » expliquée par Catherine Austin Fitts
Sasha Latypova
3 février
On me demande souvent: « Pourquoi le Ministère de la Défense (le gouvernement américain, tous les gouvernements mondialistes occidentaux) agit-il contre le peuple, et tue et blesse-t-il sa propre population » ? La réponse tient en grande partie à la création d’argent. Il ne s’agit pas de savoir combien d’argent quelqu’un a en ce moment précis, mais de savoir qui pourra en gagner davantage à tout moment. Le gouvernement américain et son Ministère de la Défense, en particulier, étaient incapables de rendre compte d’environ 21+ trillions de dollars il y a quelques années (qui sait à combien s’élève ce chiffre aujourd’hui?) [NdT. j’ai publié ceci à ce sujet en 2020], de vastes promesses ont été faites par des politiciens pour acheter le soutien des électeurs, promesses qui ne pourront jamais être tenues (Sécurité Sociale et autres droits), et plus récemment, des trillions de dollars ont été versés à des entreprises copines – maintenant fusionnées avec le gouvernement et impossibles à distinguer de celui-ci.
Je suis une fan de Catherine Austin Fitts – une ancienne initiée du gouvernement, banquière d’investissement et aujourd’hui éditrice à succès. Je recommande vivement sa publication, le Rapport Solari. L’article qui nous intéresse particulièrement aujourd’hui est décrit dans le « 2020 Wrap Up » ici avec John Titus [NdT. John Titus, ici en français], et dans une interview récemment publiée ci-dessous.
Les gouvernements en faillite sont différents des entreprises en faillite parce qu’ils peuvent imprimer de l’argent pour retarder leur faillite (au lieu d’être obligés de se restructurer par un tribunal des faillites). Cependant, cette méthode n’est pas non plus sans limite. À un moment donné, l’impression de monnaie et le vol ne peuvent plus continuer. Il est difficile d’estimer exactement quand ce seuil sera atteint, mais il est toujours atteint. Plusieurs monnaies de réserve et de nombreuses monnaies mineures ont existé et ont disparu au cours de l’Histoire. Lorsque le seuil final est atteint, il est extrêmement rapide et impossible à arrêter. La politique monétaire américaine est devenue « directe » en août 2019, comme Catherine l’explique dans son interview, et la « pandémie » qui avait été planifiée à l’avance (probablement spécifiquement pour cette éventualité) a été déclenchée à la fois pour couvrir cela (temporairement) et permettre de fermer l’économie tout en libérant un tsunami d’argent imprimé pour s’emparer davantage du pouvoir centralisé, des actifs à bas prix, déstabiliser et enlever le pouvoir à toute opposition potentielle.
Il est important de noter que pour les « propriétaires » (de la source d’argent), il s’agit également de restructurer leur bilan déséquilibré, c’est-à-dire leur passif incontrôlé. Il ne s’agit pas seulement des retraités des pays occidentaux qui ont été endormis par des promesses d’utopie socialiste, bien qu’ils constituent évidemment un groupe important de créanciers. Chaque personne, quel que soit son âge, possède une « créance sur actifs » sous la forme d’une utilisation de la provision en dollars (ou de ce qui succédera au dollar). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la pression en faveur de « vaccinations » réduisant l’espérance de vie est si massive en Occident et semble beaucoup moins importante en Afrique (où les gens ne valent pas autant par tête en termes de dollars).
La guerre actuelle contre le peuple fait partie de la restructuration que les « propriétaires » mondialistes (propriétaires des banques centrales) tentent de mettre en place – en passant par la réinitialisation directe et en tentant de créer des MNBC [monnaie numérique de banque centrale]. Il s’agit également lutter pour savoir quel fausse monnaie numérique constituera la « réserve mondiale », et nous voyons donc les États-Unis se battre contre la zone Euro, la Russie et la Chine à différents stades de guerre économique/bioterroriste, en train de prendre le chemin d’une guerre cinétique. Pendant ce temps, la Russie, la Chine et la zone Euro restructurent frénétiquement leurs bilans en assassinant et en terrorisant leurs propres citoyens.
Pour réussir, les propriétaires doivent installer un système mondial de contrôle totalitaire par le biais de divers moyens technologiques de surveillance, réduire la population, appauvrir et terroriser complètement les survivants. Je crois personnellement qu’ils ne réussiront pas parce qu’ils ne disposent pas de la technologie qu’ils revendiquent (ils mentent beaucoup à ce sujet) et qu’ils ne seront pas en mesure de la mettre en place à temps avant que la situation ne se dégrade totalement. Plus nous sommes conscients et éduqués sur ce qui se passe exactement, plus nous avons de chances de survivre à ce chaos. Reconnaître la réalité est la seule façon d’avancer. Malgré l’horreur de ce qui s’est passé, je suis optimiste quant à l’avenir, en partie parce que j’ai rencontré des gens comme Catherine Austin Fitts lors de ce littéral voyage en enfer. [NdT. moi aussi!]
Un court article de Katherine Watt ce soir, qui complète celui d’hier de Sasha Latypova. Pour bien situer le contexte – et pour ceux qui ne l’auraient pas lu – Sasha détaille ici de long en large le fait que c’est le Ministère de la Défense américain qui contrôle toute la « réponse » Covid, au niveau mondial. Katherine a aussi beaucoup écrit sur le sujet, avec énormément de références, c’est un gros boulot de faire le tri pour en retirer les infos essentielles.
Comme je l’écrivais cette semaine, il y a des tonnes de nouvelles en ce moment. J’ai aussi un éclairage à donner sur cette histoire de « fuite de laboratoire », avec quelques éléments à ajouter à l’équation – et peut-être un petit appel à nos amis allemands. C’est vendredi soir, j’ai la flemme d’écrire. Je m’y mets demain.
Des « nouvelles de dernière minute », des « révélations » et des analyses frénétiques pointant de plus en plus Pfizer du doigt sont diffusées pour détourner la colère du public du complexe DOD-HHS [Ministère de la Défense/de la Santé] et l’orienter vers des éléments sacrifiables.
Les dirigeants et les employés de Pfizer sont des criminels coupables de meurtres de masse, c’est entendu, et ils devraient faire l’objet d’une enquête, être poursuivis, jugés, condamnés et punis, tout comme leurs complices du gouvernement.
Mais Pfizer en tant que marque n’est pas indispensable. BioNTech n’est pas indispensable. Moderna, Advanced Technology International (ATI), Analytic Services Inc. (ANSER), Emergent Biosolutions, BioPort, EcoHealth Alliance…
Toutes ces sociétés écrans peuvent être dissoutes autant de fois que nécessaire, et reconstituées sous de nouvelles raisons sociales autant de fois que nécessaire.
Le système de santé publique et militaire américain (DOD+HHS+DHS+DOJ+DOS…) – le gouvernement américain infiltré et partiellement renversé – ne pourra pas être réétiqueté une fois que le peuple aura compris la campagne de meurtres de masse que les imposteurs du service exécutif supérieur (SES) mènent depuis son sein.
Les secrétaires imposteurs du Cabinet, les présidents Biden/Obama/Harris, les banquiers centraux mondialistes [NdT. la BRI, j’y reviendrai] qui tirent les ficelles, et les médias de masse sont tous ensemble à la croisée des chemins.
Ils peuvent:
Poursuivre l’arnaque – en sacrifiant Pfizer et d’autres co-conspirateurs à l’appétit de justice du public si nécessaire – tout en installant progressivement les systèmes de gouvernement mondial par le biais de lois votées et financées par un Congrès Potemkine et ratifiées par l’immobilité silencieuse de tribunaux Potemkine (passeports vaccinaux, MNBC, etc.).
Accélérer l’implosion du gouvernement américain et inviter les fonctionnaires du gouvernement mondial qui se tiennent prêts aux Nations Unies, à Washington DC et dans le reste du pays, à former un gouvernement intérimaire permanent pour l’État américain en déroute.
Se soumettre à leur expulsion par le gouvernement légitime des États-Unis (le reste des membres du Congrès et des juges fédéraux courageux, authentiques, non imposteurs, non traîtres et non sournois); se soumettre aux poursuites et aux procès; puis assister depuis leur prison à la reconstitution laborieuse d’institutions gouvernementales souveraines légitimes à partir des décombres.
Ils préfèrent l’option 1.
Ils tenteront l’option 2 s’ils se sentent poussés par les circonstances.
Je me rends compte que j’ai assez peu relayé Sasha depuis son interview et ceci, ce qui est un comble vu que c’est une des seules voix « alt-Covid » à qui je fais confiance – même remarque pour Katherine Watt. Depuis cette fameuse interview – beaucoup lue, vu que je suis un des seuls à la publier en français et que mes lecteurs ont du goût – Sasha a créé son propre Substack. J’y pêcherai d’autres articles prochainement. Pour ne rien gâcher, elle y joint habituellement une photo de ses magnifiques peintures, comme elle. Une femme d’une beauté stupéfiante, d’une grande intelligence et d’un grand courage – et ukrainienne, ce qui devrait m’éviter, j’espère, la ridicule étiquette « pro-russe ».
Voici un billet très ponctuel – avec un peu de retard, que je rattrape lentement mais sûrement – qui démonte une intox dont j’imagine que tout le monde parle, pas toujours à bon escient. Ponctuel ou non, comme tout ce qu’écrit Sasha, c’est une lecture essentielle. En préambule, pour mieux comprendre la maintenant célèbre notion de « gain de fonction » et ses limites, je vous renvoie à mon article sur JJ Couey.
Un scénario de film où « Contagion » rencontre « Idiocratie »
Sasha Latypova
26 janvier
Un billet en vitesse. On m’a demandé de commenter la vidéo « explosive » publiée par le Projet Veritas, dans laquelle un « cadre supérieur en R&D de Pfizer » fait des déclarations sur « l’évolution dirigée » du virus du covid, que Pfizer envisage de mettre en œuvre.
BREAKING: @Pfizer Exploring "Mutating" COVID-19 Virus For New Vaccines
"Don't tell anyone this…There is a risk…have to be very controlled to make sure this virus you mutate doesn't create something…the way that the virus started in Wuhan, to be honest."#DirectedEvolutionpic.twitter.com/xaRvlD5qTo
D’abord, concernant cette personne. Je ne sais pas qui il est, certaines personnes tentent actuellement de vérifier s’il travaille chez Pfizer. Supposons pour l’instant qu’il travaille chez Pfizer. Son titre est directeur des opérations de R&D et de la planification scientifique. Il faut bien comprendre que ce domaine n’est PAS un domaine scientifique. Il ne travaille pas dans un laboratoire. Il gratte du papier, crée des présentations PowerPoint et d’autres documents et parle aux fournisseurs. Pfizer EXTERNALISE tout le travail scientifique et les essais cliniques. Personne en interne chez Pfizer ne fait quoi que ce soit en rapport avec le produit afin de se dégager de toute responsabilité et de laisser les sous-traitants commettre des fraudes en leur nom (afin que les dirigeants aient toujours une dénégation plausible).
De plus, ce type n’est pas intelligent. Il est ivre, mais il a aussi clairement un QI moyen. C’est exactement ce genre de personne que Pfizer a embauché en masse au cours des dix dernières années ou presque, tout en se débarrassant de personnes intelligentes et expérimentées qui savaient comment concevoir et développer des médicaments, parce qu’elles posaient trop de questions gênantes et ne se seraient pas laissées embobiner si facilement pour implémenter un meurtre de masse sous le nom de « réponse covid ».
Bien sûr, ce type n’a aucune morale.
Il parle de « virus mutant » ou d’ « évolution dirigée » et les décrit de la même manière que Peter Daszak et Ralph Baric dans leurs propositions au NIH – mêmes termes, mêmes plans expérimentaux et mêmes idées, et ce même scénario existe depuis des décennies. Savez-vous comment je le sais? J’ai un livre sur les armes bio-chimiques publié en 1970 en Union Soviétique, et j’en ai aussi un publié par le NIH en 2018. Ils répètent les mêmes choses et les mêmes concepts. Le type de Pfizer a probablement tiré son scénario des mémos de BARDA/DARPA. BARDA finance 50% de la R&D pharmaceutique aujourd’hui. Il ne s’agit cependant que d’un narratif. Il n’y a aucun moyen de « faire muter des virus » en laboratoire comme ils le laissent entendre – pour les rendre artificiellement plus mortels et plus transmissibles à la fois. Il s’agit d’un conte de fées de propagande avec un objectif très précis. Vous devriez être très prudents à l’égard de toute personne (de « leur » côté ou du « nôtre ») qui le répète en prenant un air sérieux.
Bien sûr, les scientifiques peuvent expérimenter avec des soupes d’ADN/ARN et faire se développer des choses dans des boîtes de Pétri. Ils peuvent concevoir des mutations sur ordinateur et essayer diverses concoctions. S’agit-il de « virus » qui peuvent « s’échapper d’un laboratoire » et « infecter le monde »? Non. La preuve en est qu’alors qu’il y a 1000 laboratoires biologiques aux États-Unis et dans le monde occidental qui jouent avec des virus, aucune pandémie ou épidémie n’a résulté de ces activités. Je vous assure que pas un seul laboratoire académique n’a jamais été capable de suivre les procédures opérationnelles standard de base, et s’il existait une chose telle qu’une « fuite de virus dangereux », nous en aurions constamment. Si une telle chose existe réellement et que nous en avons eu constamment, cela signifie que nous sommes tous déjà bien adaptés à ces fuites! Des regroupements locaux de maladies ont été détectés, il s’agit probablement de « tests de déploiement » plutôt que d’une véritable « fuite ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes à chaque fois.
Des souris s’échappent de ces laboratoires tout le temps – où est la pandémie de souris?
The Mouse King [NdT. article de Sasha sur ce sujet, très rigolo et bien écrit – faudra que je traduise?]
L’homme dans la vidéo parle de faire passer les virus d’un animal à l’autre – une technique de longue date dont on sait qu’elle ne donne rien, car les virus ne font que s’atténuer dans ce processus. Et ce, pour autant que l’on puisse reproduire une infection d’un animal à l’autre. C’est impossible. Pfizer s’est rendu célèbre pour son incapacité à infecter les singes avec le virus Sars-Cov-2 dans ses études précliniques pour son « vaccin ». Et dans ces études, ils n’essaient même pas de produire une infection d’animal à animal (parce qu’ils savent que cela ne fonctionne pas), ils pulvérisent les animaux directement dans le nez et la bouche, et généralement la quantité de liquide est suffisante pour atteindre les poumons et leur donner une pneumonie, surtout pour les petites espèces comme les souris.
En parlant de souris, vous vous souvenez de la récente étude tristement célèbre de l’université de Boston où l’on a « muté le virus » pour produire un covid tueur à 80%? [NdT. j’avais naïvement relayé l’histoire avant de la rétracter avec cet article] Aucune souris n’a été infectée par d’autres souris et 8 souris sur 10 qui sont mortes ont été euthanasiées par les chercheurs parce que (elles allaient mourir?). Oui, celui-là. C’est la même histoire de science bidon que cette personne ivre déballe au journaliste du Projet Veritas qui pense avoir un scoop!
Une autre affirmation tout droit sortie de BARDA/DARPA – il s’agit de « prédire les mutations » et de « développer des vaccins de manière proactive ». Un non-sens total. Vendu par des psychopathes titulaires d’un doctorat à un public désespérément crédule et à des politiciens qui acquiescent et accordent des milliards de dollars de financement pour la « préparation à la pandémie ». C’est là que se situe le nœud du problème. Il ne s’agit pas seulement d’un babillage stupide et scientifiquement inepte. Il s’agit en fait d’un récit de propagande militarisée très bien pensé, destiné à faire avancer la chose la plus importante pour les auteurs de ce crime mondial:
Ces criminels ont désespérément besoin, à tout prix, que vous croyiez que « la mutation de virus en laboratoire » aboutit à un résultat terrifiant, qui peut ensuite être « divulgué ». Que tout le monde peut le faire, même un étudiant en doctorat dans son garage*. Que nos ennemis le font et qu’ils vont « libérer » un virus super terrifiant à tout moment, à moins que le gouvernement ne soit « préparé » en constituant un stock de « vaccins prédictifs » qui peuvent être déployés en quelques jours après la détection d’un nouveau virus terrifiant en Chine. Ou à Tombouctou.
(*) [NdT. je suppose qu’il faut que je rétracte aussi ceci et que je remette en question l’intégrité de l’auteur]
Connaissez-vous l’histoire de cette ville italienne au bord de la mer où toutes les vitrines des magasins se faisaient briser, et une fois remplacées, briser à nouveau, et où enfin un couple de gars sympas passait dans chaque magasin et vendait une « protection » aux propriétaires de magasins et où les vitrines restaient intactes tant que la protection était payée chaque mois? Savez-vous qui brisait les vitrines?
C’est la même histoire, mais racontée avec des marionnettes qui coiffent des casquettes de spécialistes des virus. Sauf que les auteurs de l’histoire sont plus intelligents que les frères italiens – ils convainquent tout le monde par la propagande et quelques produits chimiques habilement déployés que des virus terrifiants seront libérés (ou fuiront), puis vendent la « protection » du gouvernement. Cette fois, dans cette phase, ils comptent tuer pour de bon – ils se préparent à orchestrer la panique mondiale en prétendant qu’un terrifiant virus évolutif prédictif muté a effectivement fui d’un laboratoire (et n’a pas sauté d’une chauve-souris sur un marché comme la dernière fois). Ils ont déjà toutes les images vidéo de personnes tombant mortes dans les rues et autres matériels de propagande promotionnelle prêts à l’emploi. Ils l’annonceront dans un endroit reculé, et le traqueur de virus de Johns Hopkins s’emballera et coloriera en rouge le monde entier. Puis, dans les jours qui suivront, ils disposeront du « vaccin qui sauve des vies » et procéderont à la mise en place d’obligations, de quarantaines, d’injections, etc. dans un climat de panique totale, en attribuant toutes leurs morts à l’effrayant virus muté.
S’il vous plaît, NE TOMBEZ PAS DANS LE PANNEAU!
Je n’en suis pas certaine, mais je soupçonne fortement le Projet Veritas d’être ici victime de sa propre blague. Ils se sont fait avoir par les agences de défense qui ont « divulgué » ces informations « super secrètes » (qui sont placardées partout dans leurs documents publics et sur leurs sites Web, il suffit de les lire et le PV a avalé l’hameçon, la ligne et le plomb).
PS. Peu importe si la personne interrogée ici travaille vraiment pour Pfizer et croit vraiment ce qu’elle dit dans cette vidéo. Je suis presque sûr qu’il le croit et qu’il y travaille. C’est là l’essentiel. Du moment où on embauche des personnes d’un poids intellectuel limité et au sens moral non opérationnel (le système universitaire actuel est parfaitement adapté à la production de ce profil), il est facile de les former pour qu’ils répètent les propos voulus avec conviction.
Tout a commencé avant l’épidémie: chronologie du projet de vaccin de BioNTech et de Pfizer
Robert Kogon
30 janvier
Les étranges vidéos de Projet Veritas [NdT. je reviens juste après sur cette nouvelle intox] qui sont devenues ultra-virales sur Twitter ont sans aucun doute semé davantage de confusion dans l’esprit du public. Mais le véritable développeur et propriétaire du vaccin Covid-19 dit « Pfizer » est la société allemande BioNTech. La technologie de l’ARNm sous-jacente appartient à BioNTech et – à supposer que cela se soit produit – si une entreprise a modifié l’ARNm pour coder pour un variant maison du virus, ce doit être BioNTech.
Quoi qu’il en soit, comme nous l’avons vu dans mon dernier article, bien que le PDG de BioNTech, Ugur Sahin, affirme dans le livre The Vaccine que BioNTech a lancé son projet de vaccin Covid-19 le 27 janvier 2020, nous savons que ce n’est pas vrai : un rapport d’étude de BioNTech publié en réponse à une demande de FOIA montre que la société avait en fait déjà commencé les tests précliniques (sur les animaux) le 14 janvier.
C’est déjà assez étonnant, car le 14 janvier 2020 n’était que 2 semaines après le premier rapport des cas de Covid-19 à Wuhan. Ce même jour, d’ailleurs, l’OMS disait qu’il n’y avait pas de « preuve évidente » de transmission interhumaine. (Voir le tweet de l’OMS ici.) Pourquoi BioNTech aurait-elle commencé à travailler sur un vaccin contre le Covid-19 sans preuve évidente de transmission interhumaine?
A ce stade, Pfizer ne faisait pas partie du projet de vaccin C-19 de BioNTech. Comme raconté dans The Vaccine, la petite entreprise allemande, qui n’avait jamais eu de produit sur le marché, n’a réussi à recruter la multinationale américaine comme partenaire que trois mois plus tard (p. 156).
Nous savons donc que BioNTech a commencé les tests précliniques le 14 janvier. Mais, bien sûr, cela signifie que le projet en tant que tel a dû être lancé encore plus tôt. La formulation testée devait d’abord être produite. Dans ce cas, cela signifiait d’abord fabriquer l’ARNm, puis le formuler dans des nanoparticules lipidiques.
Comme évoqué dans mon dernier article, c’était en fait le but de l’étude : tester les performances de l’ARNm BioNTech formulé dans des lipides fabriqués par la société canadienne Acuitas. BioNTech n’était pas encore en mesure de fabriquer de l’ARNm codant pour un élément quelconque du virus SARS-CoV-2 – le génome complet n’avait été publié que la veille – et utilisait plutôt de l’ARNm codant pour un antigène de substitution (luciférase).
Combien de temps fallait-il donc pour que la formulation soit prête à être testée ? Heureusement, le livre de Sahin, coécrit par sa femme Özlem Türeci et le journaliste Joe Miller, fournit des détails techniques et logistiques pertinents. D’après le livre, la fabrication de l’ARNm – un processus comportant « des dizaines de milliers d’étapes » (p. 182) – prend cinq jours (p. 170 et 171).
Cinq jours nous amènent donc au 9 janvier. Mais l’ARNm doit encore être enveloppé dans les lipides, ce qui pose un problème logistique particulier: BioNTech ne peut pas le faire elle-même à son siège de Mayence, en Allemagne.
BioNTech disposait de ses propres lipides, mais ils se sont révélés inadaptés. Pour que l’ARNm soit enveloppé dans les lipides d’Acuitas, il a fallu l’expédier à un sous-traitant autrichien du nom de Polymun, près de Vienne.
L’ARNm a été transporté en voiture – un trajet de 8 heures, selon Sahin et Türeci – puis formulé dans les lipides par Polymun, et enfin la formulation a été ramenée à Mayence. Dans le livre, Sahin et Türeci décrivent un lot d’ARNm destiné à une étude ultérieure sur l’animal, qui a été achevé le 2 mars, expédié à Polymun, puis retourné à Mayence enveloppé dans les lipides le 9 mars (pp. 116 et 123).
Cela ajoute donc 5 jours supplémentaires, ce qui nous amènerait maintenant au 4 janvier. Mais il se trouve que BioNTech n’a pas effectué les tests sur les animaux elle-même. Ces tests ont également été sous-traités et réalisés dans d’autres centres d’essais. Dans The Vaccine, Sahin et Türeci notent que l’étude préclinique ultérieure a commencé le 11 mars, 2 jours après la livraison de l’ARNm encapsulé dans un lipide.
En ajoutant deux jours supplémentaires à notre calendrier, nous arrivons au 2 janvier. Le 2 janvier 2020 n’est pas deux semaines, mais seulement deux jours après le premier signalement de cas de Covid-19 à Wuhan le 31 décembre 2019.
Mais avant de pouvoir être fabriquée, il va sans dire qu’il fallait d’abord concevoir et développer la formulation à tester; et prendre contact avec Polymun et Acuitas pour obtenir les autorisations requises et organiser la collaboration nécessaire. Tout cela prend du temps.
Il est impossible d’éviter la conclusion que le projet de vaccin Covid-19 de BioNTech a en fait dû commencer avant même qu’aucun cas de Covid-19 n’ait été signalé! La question évidente est: comment est-ce possible?
Mowrey a raison, le gouvernement américain se fiche éperdument que sa guerre soit secrète. Vu la totale impunité des Etats-Unis autour du (pseudo-)sabotage de Nordstream 2, il aurait tort de s’inquiéter.
Je reviens bientôt avec un (nouvel) indice de la collaboration de l’Allemagne à l’Opération, et j’emballe le tout ensuite en ajoutant la Russie à l’équation.
Confirmation de l’opération « fuite de laboratoire »
Je découvre tardivement la révélation de Will Jones
Brian Mowrey
25 janvier
Résumé (cliquer pour agrandir):
Sur Daily Skeptic, Will Jones a rapporté* que les premiers rapports des médias sur la théorie de l’origine de la fuite de laboratoire provenaient de sources proches du renseignement américain. Elle a été présentée dès le départ comme une contre-mesure de propagande aux théories selon lesquelles le gouvernement américain aurait libéré le virus. (*il y a deux semaines, je suis en retard sur l’actualité)
Jones a également construit un examen convaincant des arguments en faveur du fait que les services de renseignement américains « en savaient trop sur la scène du crime » en novembre 2019 – ce qui implique une diffusion par les États-Unis.
Jones propose une chronologie et une théorie expliquant pourquoi la théorie de la fuite du laboratoire a été abandonnée par la suite. Essentiellement, des luttes intestines entre les éléments de la communauté du renseignement qui ont promu la théorie et les acteurs universitaires et gouvernementaux qui ont été indirectement piégés par cette théorie – de Fauci à Daszak en passant par Farrar.
Brian soutient cette théorie. Elle implique que les acteurs qui ont diffusé le SARS-CoV-2 étaient assez stupides (ma théorie selon laquelle la fuite du laboratoire était destinée à être supprimée pour rendre attrayante la théorie de l’origine « alternative » – elle n’aurait convaincu personne autrement – pourrait impliquer qu’ils sont trop intelligents).
Origine du renseignement américain de la théorie de la fuite de laboratoire
Le 10 janvier, j’ai réitéré mon évaluation de longue date de la théorie de l’origine de la « fuite de laboratoire » et du gain de fonction de l’Institut de Virologie de Wuhan:
Cependant, la préparation et la promotion artificielles évidentes du contre-narratif de la « fuite de laboratoire » et du « gain de fonction » me convainquent que Unz avait raison au sujet de la diffusion intentionnelle [du SARS-CoV-2 par des acteurs de l’État profond américain] en soi.
Ce n’est qu’aujourd’hui que je découvre que le jour même où j’ai écrit cela, Will Jones, du Daily Sceptic, a rapporté que l’origine artificielle, associée aux services de renseignement américains, de la théorie de la fuite en laboratoire se cachait au grand jour depuis trois ans.
Le rapport de Jones plante le clou dans le cercueil de la théorie de l’origine de la fuite du GOF/laboratoire.
L’Institut de Virologie de Wuhan n’a pas fabriqué le SARS-CoV-2; la théorie selon laquelle il l’a fait (qui a été émise par Radio Free Asia, un organisme de propagande associé aux services de renseignement américains, le 9 janvier 2020) a été conçue dès le départ pour détourner la théorie de l’origine américaine.
Cette diversion a été décrite comme une mesure de rétorsion; mais comme il n’y avait encore rien à quoi rétorquer, cette description fait office d’aveu que la théorie de la fuite du laboratoire était anticipée, préventive:
Le rapport du Washington Times [du 24 janvier] indique à un moment donné qu’il s’agit d’une réponse à des rumeurs « circulant sur l’Internet chinois et affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques », citant un « responsable américain » anonyme.
Selon un responsable américain, un signe inquiétant est que, depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines, de fausses rumeurs ont commencé à circuler sur l’Internet chinois, affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques.
Cela pourrait indiquer que la Chine prépare des moyens de propagande pour contrer les accusations futures selon lesquelles le nouveau virus s’est échappé de l’un des laboratoires de recherche civils ou militaires de Wuhan.
Pourquoi le rapport anticipe-t-il des « accusations futures » de fuite de laboratoire – en particulier lorsqu’il est en train de formuler des charges identiques?
Ce n’est pas surprenant; c’est simplement quelque chose que personne n’avait encore pensé à chercher (pour autant que je sache, veuillez me corriger dans les commentaires si c’était déjà connu).
Ce n’est pas surprenant parce que, encore une fois, le récit de la fuite du laboratoire présente des signes évidents de sa mise en scène des années à l’avance, à travers les pitreries ridicules d’EcoHealth et de « DEFUSE ». Comme pour le dévoilement des documents du Projet Veritas l’année dernière, tout cela a toujours ressemblé à une opération visant à détourner l’attention d’une diffusion intentionnelle:
Ici encore, le spectre se dresse que la proposition DEFUSE a été conçue dès le départ comme un écran de fumée, et que le projet n’a jamais eu lieu. L’apparente (pour l’instant) nécessité d’apposer rétroactivement les mots inquiétants « Gain de Fonction » sur le projet ne fait certainement rien pour purger l’ensemble de l’odeur d’une opération psychologique. Il semble avoir été conçu pour nourrir « l’opposition », un paratonnerre pour détourner l’attention du grand mot qui commence par « I ». [diffusion intentionnelle]
Jones se demande pourquoi, s’il est vrai que le gouvernement américain est à l’origine de la théorie, le gouvernement américain supprimerait plus tard la théorie de la fuite du laboratoire. Ce faisant (personnellement, je n’ai jamais trouvé cela très déroutant), il produit une théorie de réflexion alternative intéressante et convaincante fondée sur les luttes intestines épistémiques, dont je parlerai plus loin.
Reconstruction de l’affaire Unz par Jones
L’article de Jones est le quatrième d’une excellente reconstitution archéologique de l’affaire de la connaissance préalable par les services de renseignement américains de l’existence du SARS-CoV-2 à Wuhan – que « nous » savions avant la Chine. Les deuxième et troisième parties sont, selon Unz, le fruit d’une collaboration dans le sillage de la première.
Les trois parties ci-dessous sont des examens hautement recommandés des preuves, rares mais accablantes, de la diffusion du SARS-CoV-2 par le gouvernement américain.
Ainsi, ce rapport de Harvard, destiné à montrer comment les analystes du renseignement américain ont repéré le virus en novembre 2019 en Chine alors que la Chine elle-même ne l’avait pas encore remarqué, a fini par révéler par inadvertance qu’il n’y avait aucun signal d’une épidémie virale respiratoire à Wuhan à ce moment-là et donc aucun moyen pour les analystes du renseignement américain d’en repérer une.
Naturellement, cela n’atténue en rien les soupçons croissants sur la façon dont les services de renseignement américains ont pu suivre l’épidémie de coronavirus à Wuhan, et uniquement à Wuhan, à un moment où personne d’autre, y compris les Chinois, n’était au courant de son existence.
« Le gouvernement américain identifié comme la source originale de la théorie de la fuite en laboratoire. Que se passe-t-il réellement? » [lien ci-dessus] [NdT. ma traduction] (10 janvier 2023.)
La chronologie de l’ « abandon » de la théorie de la fuite de laboratoire selon Jones.
Dans sa bombe du 10 janvier, Jones reconstruit la chronologie apparente du pivot entre le flottement américain de la théorie de la fuite de laboratoire (à partir du 9 janvier 2020) et la suppression ouverte de cette dernière quelques mois plus tard. Il en résulte une théorie convaincante sur les raisons de ce revirement (c’est moi qui souligne; les hyperliens en double ont été supprimés):
La crainte de ce groupe de scientifiques d’être impliqués dans la création du virus les a conduits à organiser une campagne très efficace pour écarter et supprimer la théorie de l’origine de laboratoire. Cette intervention a considérablement complexifié l’histoire de couverture, si bien que les résultats de la communauté du renseignement américaine (CR) sont devenus confus et incohérents. Dans ce qui suit, j’énumère les six principales interventions de la communauté du renseignement américaine pendant la pandémie et je suggère ce qui les a probablement motivées. Ces interventions sont les suivantes:
Le rapport secret de renseignement de novembre 2019 prétendant montrer une grande épidémie respiratoire à Wuhan, qui a été utilisé pour informer le gouvernement américain, l’OTAN et Israël. Il est important de noter que les prétendues preuves de cette épidémie n’ont jamais été produites et que les preuves existantes suggèrent qu’en réalité, il n’y a pas eu d’épidémie détectable à Wuhan en novembre 2019, ce qui signifie que le rapport semble être en grande partie une œuvre de fiction.
L’introduction et la promotion, en janvier 2020, de l’histoire de l’origine du laboratoire chinois, comme indiqué ci-dessus.
Les briefings médiatiques de début avril 2020 de sources de renseignement anonymes concernant les rapports de renseignement de novembre mentionnés au point (1) ci-dessus. Ces briefings étaient particulièrement étranges parce qu’à ce moment-là, le principal scénario d’origine mis en avant par les canaux officiels américains était la théorie du marché de produits frais, que ces informations contredisaient parce qu’elles impliquaient une grande épidémie (une épidémie « hors de contrôle » et un « événement cataclysmique ») bien avant l’épidémie du marché de produits frais en décembre.
L’approbation publique, fin avril et début mai 2020, par la communauté du renseignement américaine de la théorie de l’origine naturelle du marché de produits frais. Cela contredit à la fois les briefings médiatiques anonymes de début avril (3) et l’histoire de l’origine en laboratoire (2), tout en embarrassant Mike Pompeo et le président Trump qui, à l’époque, poussaient fortement la théorie de la fuite en laboratoire.
Le rapport de renseignement déclassifié d’août 2021 sur les origines de Covid, qui donnait une image quelque peu mitigée de la manière dont la communauté du renseignement évaluait la théorie de la fuite en laboratoire. Ce que le rapport ne manquait pas de préciser dès la première page, cependant, c’est que le virus n’a « pas été développé comme une arme biologique » et qu’il n’a « pas été conçu génétiquement ». Le rapport indique qu’un petit nombre d’éléments de la CR pensaient que le virus pouvait s’être échappé d’un laboratoire (mais en tant que virus naturel et non artificiel); en particulier, le National Center for Medical Intelligence (NCMI), qui était responsable du rapport secret de renseignement de novembre 2019 et (vraisemblablement) des briefings anonymes aux médias d’avril 2020, a approuvé cette théorie avec une « confiance modérée ». Il convient de noter qu’à ce stade, la théorie de la fuite en laboratoire était de nouveau évoquée après l’enquête de l’OMS sur les origines en février 2021.
Le rapport minoritaire du Sénat d’octobre 2022, qui a pour la première fois exposé les preuves en faveur d’un virus fabriqué et d’une fuite en laboratoire. Robert Kadlec, le grand manitou de la biodéfense aux États-Unis, est à l’origine de ce rapport, qui ne mentionne notamment pas le rapport secret des services de renseignement américains de novembre 2019, qui semble avoir été entièrement « oublié » (en fait, il n’a jamais été officiellement reconnu). Il ne faisait pas non plus référence à l’implication considérable des États-Unis dans la recherche sur le coronavirus de la chauve-souris dans les années précédant la pandémie. Nous devons également noter que les preuves présentées dans le rapport d’une prétendue violation de la sécurité à l’IVW en novembre 2019 ont toutes été rassemblées rétrospectivement – rien ne suggère que ces preuves étaient connues à l’époque, et le rapport indique clairement que toutes ses informations proviennent de sources accessibles au public, en déclarant: « Ce rapport a examiné des informations de source ouverte, accessibles au public, pertinentes pour les origines du virus. »
Voici donc ce que je suggère qu’il se passait réellement avec ces interventions souvent curieuses et contradictoires de la CR.
Le rapport secret des services de renseignement de novembre 2019 (1) visait à avertir le gouvernement américain et ses alliés de la nécessité potentielle de prendre des contre-mesures épidémiques compte tenu du risque de retour de flamme de l’attaque. Si le retour de flamme n’était probablement pas anticipé (après tout, le SARS et le MERS n’ont jamais inquiété l’Europe et l’Amérique), il s’agissait manifestement d’un risque. Notez que les responsables du rapport de novembre 2019 devaient savoir qu’il n’y avait pas vraiment de preuve d’une épidémie à Wuhan à cette époque, et donc que leur rapport était basé sur une fiction. Cela semble impliquer le NCMI, qui a produit le rapport, dans l’attaque.
Les briefings anonymes des médias au début d’avril 2020 (3) concernant le rapport des services de renseignement de novembre 2019 étaient très probablement une tentative de la communauté du renseignement (ou, plutôt, du NCMI) de souligner qu’ils avaient bien essayé d’avertir tout le monde du virus et de la nécessité de se préparer. Cela expliquerait pourquoi ils ont poursuivi les briefings anonymes, même si, à ce moment-là, ces briefings contredisaient le nouveau « récit officiel » selon lequel le virus provenait du marché de produits frais.
L’approbation officielle par la communauté du renseignement, fin avril et début mai 2020, de la théorie du marché de produits frais (4) aurait alors eu lieu en raison du passage de la plupart des membres de la communauté du renseignement au récit créé et approuvé par Anthony Fauci, Jeremy Farrar, etc. Les membres de la communauté du renseignement qui n’ont pas participé à l’attaque (probablement la grande majorité) avaient probablement compris ce qui se passait, c’est-à-dire que la théorie de la fuite de laboratoire était une couverture mise en place par des collègues imprudents, et ils étaient très conscients des terribles retombées si la vérité était connue. D’où la suppression à cette époque, au sein du gouvernement américain, de toutes les enquêtes sur les origines du Covid, ce qui, selon un haut fonctionnaire du gouvernement, ne ferait qu’ « ouvrir la boîte de Pandore ».
Le gouvernement s’en fiche
Le dernier commentaire souligné ci-dessus est crucial pour élaborer une théorie de réflexion sur la personne qui a décidé de diffuser le SARS-CoV-2. En avril 2020, ABC News a été incité par des tuyaux d’initiés à rapporter que la Maison Blanche avait été avertie par les services de renseignement de l’existence d’une épidémie virale à Wuhan au mois de novembre précédent; mais au moment de la diffusion de l’histoire, les tuyaux d’initiés ont été contredits par un commentaire officiel du Pentagone (si vous n’avez pas déjà lu tous les articles liés, la vidéo de Unz avec Kevin Barrett (rumble.com) reprend et examine l’histoire originale d’ABC).
Il s’agit d’un cas classique de preuve de culpabilité par le fait d’ « en savoir trop sur la scène du crime ».
Les lecteurs, en raison des implications, pourraient être mal à l’aise à l’idée d’appliquer au gouvernement américain la même norme que celle utilisée depuis des siècles par les humains pour déterminer qui est coupable de crimes, mais c’est l’outil qui convient ici. Le gouvernement américain savait qu’il y avait une épidémie virale parce qu’il l’avait provoquée.
Étant donné que l’histoire d’ABC, bien qu’elle s’appuie sur des tuyaux non corroborés, est une quasi-preuve que le gouvernement américain a libéré le virus, on pourrait imaginer que la réalisation tardive de la même implication apparaisse comme une théorie économe pour expliquer pourquoi le briefing de novembre a été nié le même jour. Quelqu’un a pensé à demander: « Attendez – Est-il vraiment vrai que nous avions la capacité de détecter une épidémie virale à Wuhan de seconde main en novembre; qu’il existait déjà des preuves de ce fait? » (De toute évidence, non, puisque le virus se propageait déjà ailleurs et qu’il n’y avait pourtant aucune reconnaissance revendiquée de ce fait).
La cause plus prosaïque du revirement suggéré par Jones me paraît plausible pour une raison simple: le gouvernement américain se fiche de savoir si sa guerre contre l’humanité est flagrante.
Par conséquent, la fuite avortée de la connaissance préalable en novembre était un autre reflet des stratégies conflictuelles relatives à la théorie du marché de Huanan qui étaient déjà évidentes au moment même de l’histoire. Après tout, l’origine du marché de produits frais insiste sur le fait que le virus s’est déclaré en décembre, pas avant, directement des animaux infectés aux visiteurs d’un marché animé représentant un incroyable millième de 1% de l’ensemble de l’industrie chinoise de l’élevage illicite d’animaux sauvages.
Ce n’est donc qu’un accident ironique que l’aveu de culpabilité du gouvernement américain, dans cette affaire, n’ait pas été confirmé de manière plus catégorique.
Ne s’attendait-on vraiment pas à un retour de flamme incontrôlable?
Pour réitérer ma position sur la théorie de la fuite de laboratoire, je l’ai considérée comme un récit « alternatif » manifestement mis en place; il a été conçu dès le début pour être non seulement promu mais supprimé. La théorie de la fuite de laboratoire n’aurait jamais été considérée comme convaincante par les sceptiques si elle ne l’avait pas été.
A l’appui de ma théorie sur cette affaire, il y a l’observation suivante :
Ça a marché, pas vrai?
Selon mon paradigme, Wuhan était une scène conçue et chorégraphiée des années à l’avance pour susciter une grande, énorme « controverse » de diversion entre une origine de l’Institut de Virologie de Wuhan et [le marché de] Huanan. Ainsi, la seule raison pour laquelle le virus a été libéré à Wuhan était de susciter cette controverse; en d’autres termes, l’emplacement de Wuhan en Chine était secondaire par rapport aux objectifs plus larges.
Jones a rassemblé une vue d’ensemble convaincante de l’argumentation d’Unz selon laquelle la Chine était la cible, et pas seulement un vecteur de diffusion mondiale, et que les contre-mesures pandémiques de Kadlec et al. avaient pour but d’endiguer le virus, plutôt que d’être une fin en soi. En d’autres termes, les orchestrateurs de ce plan étaient littéralement des idiots forcenés.
Ils pensaient que l’endiguement fonctionnerait, même si les États-Unis ne sont pas une île. Pourquoi?
Ils pensaient que le virus ne se propagerait pas bien, bien qu’il soit impossible de le savoir à l’avance. Pourquoi?
Ils pensaient que tout le monde les écouterait en novembre, ce qui faciliterait l’endiguement. Pourquoi?
Ils n’ont pas jugé nécessaire de rendre infaillible le lien entre l’Institut de Virologie de Wuhan et le SARS-CoV-2, bien qu’ils aient établi le cadre à l’avance. Pourquoi?
Ils pensaient que personne d’autre dans les milieux universitaires et gouvernementaux ne se soucierait du fait que les liens entre l’Institut de Virologie de Wuhan et Ecohealth, soigneusement établis à l’avance, pourraient mettre fin à leur carrière. Pourquoi?
Pour reformuler les points 3 et 4, ce que l’affaire Unz-Jones propose, c’est que les orchestrateurs de la diffusion du virus avaient prévu de piéger des éléments de l’appareil de santé publique pour le SARS-CoV-2, mais plutôt que de les inciter à commettre un crime réel (amener l’IVW à créer le SARS-CoV-2), ils ont prévu une possibilité d’exonération partielle (rien n’indique que l’IVW travaillait sur un précurseur du SARS-CoV-2). Il n’est tout simplement pas venu à l’esprit de cette branche de la communauté du renseignement de s’attendre à une résistance de la part des autres acteurs du gouvernement qu’elle essayait d’impliquer!
D’un autre côté, le problème de ma théorie – selon laquelle l’origine de l’IVW a toujours été censée être indémontrable et donc suppressible, conduisant à la construction d’une fausse dichotomie entre deux théories mortellement erronées – est peut-être le contraire: elle implique que les auteurs n’étaient pas des idiots forcenés.
Quoi qu’il en soit, la fuite de laboratoire était une opération.
Que la chronologie de Jones corrobore la théorie d’Unz (attaque économique contre la Chine) ou que le motif de la diffusion du SARS-CoV-2 ait toujours été de provoquer un confinement mondial, le récit de la fuite de laboratoire était dès le départ une manoeuvre de diversion contre la diffusion par les États-Unis.
Après cinq semaines de maladie (j’y reviendrai) et quelques publications sporadiques, je suis de retour « with a vengeance » . Je publierai quelque chose tous les jours, pas juste pour le principe: vous verrez que ce début d’année est assez riche en infos explosives. Au fait, une abonnée me signale qu’elle ne reçoit plus de notifications de mes publications. Il n’est pas impossible que ce soit du shadow-banning. Je ne peux malheureusement rien y faire. Revenez demain!
Je pense que ça va assez mal se passer pour certains acteurs de ces trois dernières années. Comme l’écrit l’auteur de cet article, ça ne s’annonce pas bien. La France a du pain sur la planche question nettoyage, mais vous savez que je traite assez peu le sujet – voyez chez d’autres blogueurs bien plus au courant que moi. Allons voir du côté des Etats-Unis, quartier général de l’opération, qui risquent de sérieusement morfler, comme je l’annonce depuis deux ans. Je pense que le raisonnement de l’auteur est solide, et j’y ajouterai deux éléments supplémentaires: 1) je suis de plus en plus convaincu que les vidéos en provenance de Wuhan du début 2020, qui montraient des gens tombant raide morts sont authentiques, 2) depuis que le gouvernement chinois a mis fin à sa politique Zéro Covid, il y a eu 66 000 morts depuis fin décembre et on en attend 36 000 par jour suite aux grands mouvements du Nouvel An lunaire. Alors, arme à ciblage génétique?
Comme dans toute guerre, le plus important est de ne pas se tromper d’ennemi. Pendant que tout est fait pour attiser le conflit en Ukraine, histoire de déplacer le centre d’attention, une nouvelle manoeuvre de détournement de la culpabilité – que je démonterai – est en train de se mettre en place. Voici un premier article qui aidera à retracer ses origines. Je suis demain avec son analyse par le Dr Mowrey, qui y ajoute quelques points intéressants.
Une histoire d’intrigues du Renseignement, avec quelques millions de morts à la clé.
Le gouvernement américain identifié comme la source originale de la théorie de la fuite de laboratoire. Que se passe-t-il réellement?
par Will Jones
10 janvier 2023, 7h00
D’où vient la théorie de la fuite de laboratoire? Qui a été le premier à promouvoir cette idée et pourquoi? La réponse à cette question est surprenante – et pourrait être la clé qui permettra de percer le mystère de l’origine du COVID-19.
La première mention connue de l’idée que le coronavirus pourrait provenir d’un laboratoire chinois est apparue le 9 janvier 2020 dans un rapport de Radio Free Asia (RFA). Ce n’était que quelques jours après l’apparition du virus dans la conscience publique, et à l’époque, aucun décès n’avait encore été signalé et peu de gens s’inquiétaient du virus – y compris, semble-t-il, les Chinois, qui affirmaient qu’il n’était même pas clair s’il se propageait entre les humains.
Apparemment mécontente de l’absence de panique, RFA a publié un commentaire de Ren Ruihong, ancienne responsable du département d’assistance médicale de la Croix-Rouge chinoise, qui s’est dite convaincue que le virus se propageait entre les humains. Elle a également affirmé qu’il s’agissait d’un « nouveau type de coronavirus mutant » et a immédiatement, sans reprendre son souffle, évoqué la possibilité qu’il s’agisse d’une attaque biologique chinoise contre Hong Kong à l’aide d’un virus développé à l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW). Rappelez-vous que cela s’est produit avant qu’une seule personne n’ait été déclarée décédée à cause du virus, et qu’aucune preuve solide n’a été présentée à l’appui de cette affirmation. C’est la première fois que l’IVW et l’idée d’une origine de laboratoire du virus étaient mentionnés dans les médias. Le rapport laissait ensuite entendre que l’IVW cachait son implication, bien que la base de cette insinuation soit pour le moins ténue.
Ren a déclaré, « Ils n’ont pas rendu publique la séquence génétique, car le virus est très contagieux. D’après ce que je sais, les patients l’ont attrapé d’autres personnes. C’est ce que j’ai toujours pensé. »
Selon elle, l’absence de décès n’indique pas que le virus est moins mortel que le SARS, mais simplement que les médicaments antiviraux se sont améliorés au cours des dix dernières années environ.
Mme Ren a également considéré avec suspicion le nombre relativement élevé d’infections à Hong Kong, étant donné qu’aucun cas n’a été signalé entre les deux villes, dans la province méridionale de Guangdong, par exemple.
« La technologie du génie génétique est arrivée à un tel point aujourd’hui, et Wuhan abrite un centre de recherche sur les virus qui est sous l’égide de l’Académie des Sciences de Chine, qui est le plus haut niveau d’installation de recherche en Chine », a-t-elle déclaré.
Les appels répétés aux différents numéros de l’Institut de Virologie de Wuhan, qui dépend de l’Académie des Sciences de Chine, sont restés sans réponse.
Toutefois, une employée qui s’est identifiée comme étant un ingénieur principal a déclaré ne rien savoir du virus.
« Désolé, je… je ne suis pas au courant », a déclaré l’employée.
Au cours des deux semaines suivantes, RFA a fortement insisté sur l’idée de l’origine chinoise du laboratoire de guerre biologique, et ses informations ont été reprises par le Washington Times le 24 janvier, qui a cité Dany Shoham, un « expert israélien en guerre biologique ».
L’épidémie de virus animal mortel qui se propage dans le monde entier pourrait provenir d’un laboratoire de Wuhan lié au programme secret d’armes biologiques de la Chine, selon un expert israélien en guerre biologique.
Radio Free Asia a rediffusé cette semaine un reportage de la télévision locale de Wuhan datant de 2015, montrant le laboratoire de recherche sur les virus le plus avancé de Chine, connu [sous le nom] d’Institut de Virologie de Wuhan, a rapporté Radio Free Asia.
Ce laboratoire est le seul site déclaré en Chine capable de travailler avec des virus mortels.
Dany Shoham, ancien officier des renseignements militaires israéliens qui a étudié la guerre biologique chinoise, a déclaré que l’institut était lié au programme secret d’armes biologiques de Pékin.
« Certains laboratoires de l’institut ont probablement été impliqués, en termes de recherche et de développement, dans les [armes biologiques] chinoises, au moins de manière collatérale, mais pas en tant qu’installation principale de l’alignement des [armes biologiques] chinoises », a déclaré M. Shoham au Washington Times.
Pourquoi Radio Free Asia et le Washington Times ont-ils introduit et promu l’idée que le Covid était une arme biologique chinoise? RFA semble l’avoir fait pour contrer le manque d’inquiétude des Chinois à l’égard du virus, d’où le titre: « Les experts doutent des affirmations officielles chinoises concernant le ‘nouveau’ coronavirus de Wuhan ». Le rapport du Washington Times indique à un moment donné qu’il s’agit d’une réponse à des rumeurs « circulant sur l’Internet chinois et affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques », citant un « responsable américain » anonyme.
Selon un responsable américain, un signe inquiétant est que, depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines, de fausses rumeurs ont commencé à circuler sur l’Internet chinois, affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques.
Cela pourrait indiquer que la Chine prépare des moyens de propagande pour contrer les accusations futures selon lesquelles le nouveau virus s’est échappé de l’un des laboratoires de recherche civils ou militaires de Wuhan.
Pourquoi le rapport anticipe-t-il des « accusations futures » de fuite de laboratoire – en particulier lorsqu’il est en train de formuler des charges identiques?
Les propos du fonctionnaire américain anonyme semblent indiquer que les rumeurs chinoises ont commencé « il y a plusieurs semaines », c’est-à-dire début janvier ou fin décembre; toutefois, curieusement, l’article a été rapidement mis à jour pour supprimer les mots « depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines », pour des raisons qui ne sont pas claires.
Quoi qu’il en soit, ce qui est vraiment étrange à propos de ces « rumeurs circulant sur l’Internet chinois », c’est qu’aucune preuve n’a jamais été produite ou trouvée. En effet, dans tous les endroits où l’on pourrait s’attendre à ce qu’elles soient mentionnées, elle ne le sont pas. Par exemple, en février 2021, le DFRLab de l’Atlantic Council a publié, en collaboration avec l’Associated Press, un long document résumant toutes les « fausses rumeurs » et les « canulars » concernant les origines du Covid. Sa grande équipe de recherche a parcouru l’Internet à la recherche de toutes les rumeurs liées aux origines du Covid – pourtant, la section sur la Chine ne mentionne rien sur ces prétendues rumeurs de janvier sur les armes biologiques américaines.
Un autre exemple est celui de Larry Romanoff, un activiste qui écrit sur diverses « théories du complot » et qui a vécu en Chine pendant de nombreuses années. Ses chroniques du début de l’année 2020 sur le site Global Research attaquant la position américaine ont été tweetées par des personnalités chinoises de haut rang, mais il ne mentionne jamais rien au sujet de ces prétendues premières rumeurs sur « l’Internet chinois », ce qu’il n’aurait sûrement pas manqué de faire.
En outre, l’allégation de rumeurs n’a jamais été répétée par aucune source de renseignement; c’est la seule fois qu’elle a été faite.
Pourquoi alors RFA a-t-elle introduit le récit du virus fabriqué en laboratoire, avant même le premier décès? Pourquoi essayait-elle de déclencher la panique? Et pourquoi le responsable américain anonyme a-t-il prétendu répondre à des rumeurs chinoises qui se sont révélées inexistantes?
L’intrigue s’épaissit lorsque l’on sait que Radio Free Asia est un média financé par le gouvernement américain, essentiellement une façade de la CIA et désigné par le New York Times comme un élément clé du « réseau mondial de propagande » de l’agence. Comme Whitney Webb l’a souligné en janvier 2020, bien que RFA ne soit plus dirigé directement par la CIA, il est géré par le Broadcasting Board of Governors (BBG), financé par le gouvernement, qui répond directement au secrétaire d’État – qui, au début de la pandémie, était Mike Pompeo, dont le poste précédent était celui de directeur de la CIA.
Nous pouvons donc constater que le récit de l’origine de laboratoire du Covid est issu des services de sécurité du gouvernement américain, et ce très tôt, avant le premier décès, dans le cadre de tentatives délibérées de susciter l’inquiétude en Chine et ailleurs. Elle a également été conçue pour contrer les affirmations anticipées, qui n’avaient pas encore été faites (bien que le fonctionnaire américain anonyme ait faussement prétendu qu’elles l’avaient été), selon lesquelles le virus était une attaque biologique américaine.
Le fait que le gouvernement américain soit à l’origine de la théorie de l’origine en laboratoire surprendra sans doute de nombreuses personnes, étant donné que quelques semaines plus tard, cette même théorie sera rejetée par les responsables gouvernementaux comme une « théorie de la conspiration » et supprimée en force. À sa place, les canaux officiels américains avaliseront la théorie de l’origine naturelle du marché de produits frais et chercheront à mettre un terme à tout autre débat et enquête. Alors, que se passe-t-il?
Voici une explication possible, qui tient compte de tous les faits connus – mais qui est, il faut bien l’admettre, très dérangeante. Elle n’est peut-être pas correcte, mais j’avoue que je n’en vois pas de meilleure pour le moment. Peut-être que quelqu’un d’autre en trouvera une.
L’explication est que le récit de l’origine du laboratoire chinois a été présenté par les services de renseignement américains au début du mois de janvier comme une histoire de couverture. Une histoire de couverture pour quoi? Pour une attaque biologique américaine contre la Chine. En tant que couverture d’une attaque, elle sert quatre objectifs principaux. Premièrement, elle permet d’éviter les allégations d’une attaque américaine (le fonctionnaire américain anonyme a d’ailleurs affirmé à tort qu’elles avaient déjà été faites). Deuxièmement, elle anticipe la nécessité d’expliquer l’origine non naturelle du virus, dont on s’attendrait à ce qu’elle soit découverte, car une origine naturelle se manifeste différemment d’une origine non naturelle – une origine naturelle devrait avoir des réservoirs animaux, une diversité génétique précoce et des preuves d’adaptation à l’homme, qui font défaut au SARS-CoV-2. Troisièmement, il sème la panique en Chine – l’un des objectifs de l’attaque. Et quatrièmement, cela justifie que les États-Unis et d’autres pays activent des protocoles de biodéfense pour se défendre contre toute répercussion – ce qui, nous le savons, est exactement ce qu’ils ont fait, en considérant qu’il s’agissait d’une question de sécurité nationale et non de santé publique.
L’idée que les États-Unis puissent délibérément libérer un virus en Chine peut sembler farfelue pour certains. Cependant, il est bien connu que le Pentagone a intensifié ses recherches sur les virus transmis par les chauves-souris dans les années qui ont précédé la pandémie. Bien qu’il ait déclaré qu’il s’agissait uniquement d’un programme défensif en raison du risque supposé d’utilisation des chauves-souris comme « armes biologiques », des scientifiques ont déjà signalé, dans la revue Science, qu’un autre programme prétendument défensif du Pentagone, le programme « Insect Allies » de la DARPA, semblait en réalité viser à créer et à livrer une « nouvelle classe d’armes biologiques » et qu’il révélait « une intention de développer un moyen de livrer des HEGAA [Horizontal Environmental Genetic Alteration Agents, agents horizontaux d’altération génétique de l’environnement] à des fins offensives ». En outre, le gouvernement iranien était tellement convaincu que son épidémie précoce de COVID-19 en février 2020, qui a tué un nombre important de ses hauts dirigeants, était due à une attaque biologique américaine qu’il a déposé une plainte officielle auprès de l’ONU. De telles allégations ne prouvent rien, bien sûr. Mais ensemble, elles suggèrent qu’une telle attaque n’est pas hors du domaine du possible et devrait au moins être considérée comme une explication de l’origine du virus.
Mais si la fuite de laboratoire était la couverture prévue, pourquoi a-t-elle été supprimée peu après en tant que « théorie du complot »? Il est de notoriété publique que cela s’est produit en grande partie grâce aux efforts d’Anthony Fauci, de Jeremy Farrar et d’autres scientifiques occidentaux, qui ont organisé une dissimulation scientifique des preuves susceptibles d’impliquer leur complicité dans la recherche sur le gain de fonction qu’ils soupçonnaient d’avoir créé le virus. Étaient-ils au courant de l’attaque ? Il n’y a aucune preuve qu’ils l’étaient. Ce qui signifie qu’ils auraient également été dans l’ignorance de la couverture prévue. En effet, l’un des conspirateurs, Christian Drosten, dans l’un des courriels divulgués, demande directement au groupe d’où vient la « théorie de la conspiration » d’une origine de laboratoire. Farrar et Fauci, pour leur part, semblent véritablement explorer les questions d’origine dans leurs courriels (tout en visant clairement une réponse particulière).
La crainte de ce groupe de scientifiques d’être impliqués dans la création du virus les a conduits à organiser une campagne très efficace pour écarter et supprimer la théorie de l’origine de laboratoire. Cette intervention a considérablement complexifié l’histoire de couverture, si bien que les résultats de la communauté du renseignement américaine (CR) sont devenus confus et incohérents. Dans ce qui suit, j’énumère les six principales interventions de la communauté du renseignement américaine pendant la pandémie et je suggère ce qui les a probablement motivées. Ces interventions sont les suivantes:
Le rapport secret de renseignement de novembre 2019 prétendant montrer une grande épidémie respiratoire à Wuhan, qui a été utilisé pour informer le gouvernement américain, l’OTAN et Israël. Il est important de noter que les prétendues preuves de cette épidémie n’ont jamais été produites et que les preuves existantes suggèrent qu’en réalité, il n’y a pas eu d’épidémie détectable à Wuhan en novembre 2019, ce qui signifie que le rapport semble être en grande partie une œuvre de fiction.
L’introduction et la promotion, en janvier 2020, de l’histoire de l’origine du laboratoire chinois, comme indiqué ci-dessus.
Les briefings médiatiques de début avril 2020 de sources de renseignement anonymes concernant les rapports de renseignement de novembre mentionnés au point (1) ci-dessus. Ces briefings étaient particulièrement étranges parce qu’à ce moment-là, le principal scénario d’origine mis en avant par les canaux officiels américains était la théorie du marché de produits frais, que ces informations contredisaient parce qu’elles impliquaient une grande épidémie (une épidémie « hors de contrôle » et un « événement cataclysmique ») bien avant l’épidémie du marché de produits frais en décembre.
Le rapport de renseignement déclassifié d’août 2021 sur les origines de Covid, qui donnait une image quelque peu mitigée de la manière dont la communauté du renseignement évaluait la théorie de la fuite en laboratoire. Ce que le rapport ne manquait pas de préciser dès la première page, cependant, c’est que le virus n’a « pas été développé comme une arme biologique » et qu’il n’a « pas été conçu génétiquement ». Le rapport indique qu’un petit nombre d’éléments de la CR pensaient que le virus pouvait s’être échappé d’un laboratoire (mais en tant que virus naturel et non artificiel); en particulier, le National Center for Medical Intelligence (NCMI), qui était responsable du rapport secret de renseignement de novembre 2019 et (vraisemblablement) des briefings anonymes aux médias d’avril 2020, a approuvé cette théorie avec une « confiance modérée ». Il convient de noter qu’à ce stade, la théorie de la fuite en laboratoire était de nouveau évoquée après l’enquête de l’OMS sur les origines en février 2021.
Le rapport minoritaire du Sénat d’octobre 2022, qui a pour la première fois exposé les preuves en faveur d’un virus fabriqué et d’une fuite en laboratoire. Robert Kadlec, le grand manitou de la biodéfense aux États-Unis, est à l’origine de ce rapport, qui ne mentionne notamment pas le rapport secret des services de renseignement américains de novembre 2019, qui semble avoir été entièrement « oublié » (en fait, il n’a jamais été officiellement reconnu). Il ne faisait pas non plus référence à l’implication considérable des États-Unis dans la recherche sur le coronavirus de la chauve-souris dans les années précédant la pandémie. Nous devons également noter que les preuves présentées dans le rapport d’une prétendue violation de la sécurité à l’IVW en novembre 2019 ont toutes été rassemblées rétrospectivement – rien ne suggère que ces preuves étaient connues à l’époque, et le rapport indique clairement que toutes ses informations proviennent de sources accessibles au public, en déclarant: « Ce rapport a examiné des informations de source ouverte, accessibles au public, pertinentes pour les origines du virus. »
Voici donc ce que je suggère qu’il se passait réellement avec ces interventions souvent curieuses et contradictoires de la CR.
Le rapport secret des services de renseignement de novembre 2019 (1) visait à avertir le gouvernement américain et ses alliés de la nécessité potentielle de prendre des contre-mesures épidémiques compte tenu du risque de retour de flamme de l’attaque. Si le retour de flamme n’était probablement pas anticipé (après tout, le SARS et le MERS n’ont jamais inquiété l’Europe et l’Amérique), il s’agissait manifestement d’un risque. Notez que les responsables du rapport de novembre 2019 devaient savoir qu’il n’y avait pas vraiment de preuve d’une épidémie à Wuhan à cette époque, et donc que leur rapport était basé sur une fiction. Cela semble impliquer le NCMI, qui a produit le rapport, dans l’attaque.
Les briefings anonymes des médias au début d’avril 2020 (3) concernant le rapport des services de renseignement de novembre 2019 étaient très probablement une tentative de la communauté du renseignement (ou, plutôt, du NCMI) de souligner qu’ils avaient bien essayé d’avertir tout le monde du virus et de la nécessité de se préparer. Cela expliquerait pourquoi ils ont poursuivi les briefings anonymes, même si, à ce moment-là, ces briefings contredisaient le nouveau « récit officiel » selon lequel le virus provenait du marché de produits frais.
L’approbation officielle par la communauté du renseignement, fin avril et début mai 2020, de la théorie du marché de produits frais (4) aurait alors eu lieu en raison du passage de la plupart des membres de la communauté du renseignement au récit créé et approuvé par Anthony Fauci, Jeremy Farrar, etc. Les membres de la communauté du renseignement qui n’ont pas participé à l’attaque (probablement la grande majorité) avaient probablement compris ce qui se passait, c’est-à-dire que la théorie de la fuite de laboratoire était une couverture mise en place par des collègues imprudents, et ils étaient très conscients des terribles retombées si la vérité était connue. D’où la suppression à cette époque, au sein du gouvernement américain, de toutes les enquêtes sur les origines du Covid, ce qui, selon un haut fonctionnaire du gouvernement, ne ferait qu’ « ouvrir la boîte de Pandore ».
Cette tension entre les éléments de la CR s’est ensuite poursuivie avec le rapport de renseignement déclassifié de 2021 (5), la plupart de la CR affirmant ne rien savoir, mais le NCMI continuant de croire que la fuite de laboratoire était la meilleure couverture et voulant la remettre sur le tapis.
Au moment du rapport du Sénat d’octobre 2022 (6), la théorie de l’origine naturelle s’effondrait clairement. Ce rapport représente donc une tentative de certains membres de la communauté du renseignement de ramener la fuite de laboratoire comme histoire de couverture, tout en dirigeant toute l’attention vers la Chine et l’IVW et loin des États-Unis.
Tout cela est-il plausible? Cela correspond certainement aux preuves, bien qu’il existe peut-être une autre façon, plus innocente, d’expliquer tout cela.
Cependant, ceux qui voudraient exclure la possibilité d’une attaque biologique américaine – et en effet, je voudrais l’exclure – doivent répondre à au moins deux questions clés:
Pourquoi les États-Unis se sont-ils inquiétés et ont-ils suivi une épidémie à Wuhan en novembre 2019 dont toutes les preuves disponibles montrent qu’elle n’était pas détectable à l’époque? Pourquoi les États-Unis ont-ils faussement prétendu qu’il y avait un signal d’une épidémie importante et inquiétante et ont-ils informé leurs alliés à ce sujet?
Pourquoi les services de sécurité américains ont-ils commencé à répandre des rumeurs selon lesquelles le virus aurait été fabriqué en Chine au début du mois de janvier, avant même que le premier décès ne soit signalé, alors qu’ils n’en avaient aucune preuve (du moins, ils n’ont jamais expliqué comment ils le savaient) et que personne d’autre ne s’en inquiétait, et sur la base de la fausse affirmation selon laquelle des rumeurs étaient déjà répandues en Chine au sujet d’une arme biologique américaine?
Je ne sais pas si on en parle même sur le Web francophone mais il y a une info sur laquelle se sont récemment jetés, comme la misère sur le monde, de nombreux toubibs que je lis/relaie sur ce blog: l’IgG4.
C’est-à-dire le fait que la protéine de pointe de l’injection module la réponse immunitaire pour augmenter la proportion de l’immunoglobuline G4, ce qui est (encore) une mauvaise nouvelle. Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.
Typiquement, John Paul écrivait là-dessus il y a plusieurs mois, c’est-à-dire bien avant tout le monde. J’aurais dû relayer l’info à l’époque mais je traduis assez peu ses articles médicaux sachant qu’ils seront, typiquement aussi, assez peu lus. Il faut avouer qu’il est assez pointu sur le sujet, ce qui implique qu’il faut suivre ses analyses au fil de plusieurs articles très denses, sans se faire larguer en route. En voici un plus facilement accessible, d’un auteur néerlandais, pour changer. Je ne vous garantis pas que sa conclusion est scientifiquement exacte – j’ai posé la question à John sans recevoir de réponse – mais le papier a le mérite d’exister et de présenter les données.
Il y a une référence au réchauffement climatique anthropocentrique à la fin, ce qui a le don de m’agacer et devrait vous agacer aussi. Sorry!
Note 27/01: John Paul m’a répondu au sujet du sérieux de cet article (voir ci-dessous). Je publierai ce qu’il a écrit sur le sujet si je trouve le temps.
Bonjour John.
Est-ce que ça tient la route ou est-ce que ce n’est que du sensationnalisme?
Ça ne tient pas tellement la route, ça me semble être beaucoup de sensationnalisme avec des « preuves » tangentiellement liées, d’ailleurs utilisées par la plupart des Alt-Covid pour promouvoir des narratifs spécifiques.
Je suis très méfiant à l’égard de beaucoup de gens maintenant, alors prends les informations que tu vois chez eux et même chez moi, avec précaution, même si j’essaie résolument d’être 100% honnête.
La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante.
Radagast
24 décembre 2022
Faites-moi donc plaisir et servez-vous un verre, vous en aurez besoin à la fin de cet article.
Je vais essayer d’éviter de répéter ce que nous avons déjà abordé dans les deux articles précédents sur ce sujet. Après la vaccination à l’ARNm, la réponse immunitaire contre la protéine de pointe bascule vers les IgG4, ce qui correspond à la façon dont le corps réagit après une exposition répétée à des substances qu’il lui faut tolérer, comme le venin d’abeille, le pollen ou les protéines d’arachide.
Tout d’abord, le tableau général de ce que l’on voudrait observer après une infection par le SARS-COV-2:
À gauche, vous voyez qui effectue la neutralisation, à droite, vous voyez quel pourcentage du total des anticorps ils représentent. Bien qu’ils ne représentent que 3% de votre quantité d’anticorps, les IgG3 effectuent 42,2% de la neutralisation.
L’IgA est occupée à combattre le virus dans le mucus [NdT. particulièrement efficace chez les Japonais, comme le rappelait ici le Dr Fukushima], l’IgM répond à l’infection en réduisant la charge virale, puis l’IgG3 se joint au combat et traque le virus dans ses derniers retranchements, afin que votre organisme ne finisse pas par tolérer ce méchant sarbecovirus en arrière-plan.
Si ce n’était pas encore évident, pour une raison quelconque, notre corps semble tolérer la propagation de ce virus dans notre population. Regardez ce qui arrive à mon pauvre petit pays:
Les niveaux de ce virus dans les eaux usées sont de nouveau à des niveaux records. Il est clair que la population n’apprend pas à reléguer ce virus au second plan.
Le nombre de décès augmente à l’unisson de la charge virale, car la surmortalité n’est pas un produit direct du vaccin [NdT. pas toujours], mais un produit indirect du vaccin qui interfère avec notre réponse à ce virus:
Nous avons eu une grande vague de décès en mars 2020, puis nous avons eu deux hivers meurtriers, donc la surmortalité est maintenant censée être négative. Nous avons déjà « épuisé » les personnes susceptibles de mourir pendant la saison de la grippe. Pourtant, 27% de personnes de plus que prévu sont mortes la semaine dernière. Ce serait censé inquiéter les personnes dont le QI est supérieur à la température ambiante, mais celles-ci se contentent de qualifier ce phénomène d’ « inexpliqué » et tentent de l’ignorer.
Je vous le signale parce que je me suis disputé sur Twitter avec l’un des auteurs de l’étude que nous allons examiner, qui insiste sur le fait que ses résultats, qui correspondent à ceux des autres équipes dont j’ai présenté les résultats dans les deux derniers articles, sont « inattendus », mais « ne sont pas inquiétants ». Honnêtement, je doute un peu qu’il le pense vraiment. Je vais expliquer ici pourquoi les résultats sont inquiétants, alors commençons par examiner leurs résultats et ce qui est réellement nouveau.
Vous connaissez déjà l’histoire: après la deuxième injection, les IgG4 commencent à apparaître. Cela s’aggrave avec les infections perthérapeutiques [breakthrough infections], puis cela s’aggrave encore avec la troisième injection. Nous avons maintenant des résultats actualisés sur les infections perthérapeutiques après la troisième injection. Et ça va vous choquer, mais ça empire encore:
En moyenne, les quatre personnes qui ont contracté une infection après leur booster sont maintenant à 42,45% d’IgG4. L’ensemble de la cohorte est à 19,27%, contre seulement 0,04% auparavant, de sorte que ceux qui n’ont pas encore eu d’infection perthérapeutiques se retrouveront dans une situation similaire: une réponse entièrement dominée par les IgG4.
La seule nouvelle chose utile que ces messieurs dames ont faite est de poser la question évidente: est-ce la norme pour d’autres agents pathogènes auxquels nous sommes couramment exposés? Ils se sont donc penchés sur un autre virus, le virus qui fait souffrir beaucoup d’enfants en ce moment, le VRS. Ils ont vu que nous ne réagissons pas au VRS par une réponse IgG4:
Personne n’a montré cette réponse au VRS et on ne l’observe même pas vraiment après une vaccination constante contre le tétanos.
Une réponse IgG4 à une infection respiratoire n’est tout simplement pas souhaitable. Parmi les IgG, ce sont principalement les IgG3 et quelques IgG1 qui sont souhaitables. L’un des auteurs affirme que le passage aux IgG4 n’a pas d’importance, car les anticorps ne servent pas seulement à déclencher la phagocytose (vos cellules immunitaires qui mangent les particules virales), ils servent aussi à la neutralisation.
Tout ça est bien beau, mais on se heurte à deux problèmes:
Le virus évolue. Il évolue rapidement pour éviter les anticorps les plus neutralisants. Le potentiel de neutralisation contre XBB et BQ.1 a pratiquement disparu.
Les IgG4 ne sont pas vraiment faites pour la neutralisation. Parmi les IgG, l’IgG3 est le meilleur neutralisateur de virus. Ce que font les IgG3 dans le cas du SARS2, c’est que leurs queues se lient ensemble. Cela signifie que sur les quatre sous-classes, l’IgG3 présente une neutralisation 50 fois plus forte contre le SARS2 que les trois autres sous-classes.
Et maintenant, il est temps de boire ce verre, car regardez ce qui arrive aux IgG3 après trois injections:
Il reste quelques IgG3 chez certaines personnes après la deuxième injection, mais au moment où elles reçoivent la troisième injection, elles sont toutes tombées à zéro.
Si vous vous demandez comment on en arrive à ces graphiques bizarres:
Cela a probablement quelque chose à voir avec le fait que nous débarrassons notre corps de l’anticorps IgG le plus compétent contre ce virus, en le remplaçant par un anticorps que nous utilisons pour tolérer des choses comme le pollen, les protéines d’arachide ou le venin d’abeille.
Cela ne s’est jamais produit auparavant. Il y a maintenant les inconnues connues, comme la question de savoir si le corps finit par tolérer des infections persistantes en raison de cette réponse complètement dominée par les IgG4, ainsi que les inconnues inconnues, des questions que nous devrions nous poser et que la plupart des gens n’ont même pas réalisé que nous devions nous poser.
Voici la grande question que je me pose: l’expérience a échoué, on a créé une réponse anticorps à dominante IgG4 chez bientôt des milliards de personnes. La réponse en anticorps IgG4 est homogène, ce sont les mêmes épitopes que tout le monde apprend maintenant à tolérer.
Vous êtes prêts?
Qu’est-ce que cela signifie pour les autres virus?
C’est la grande question qui fait mal. Si vous me disiez que chacun a une réponse immunitaire différente à différentes régions de la protéine de pointe, mais que tout le monde déploie maintenant des anticorps IgG4 contre ces régions, ce serait déjà une mauvaise nouvelle pour notre relation avec le SARS-COV-2.
Mais restez avec moi, je ressors encore une fois ce vieux tableau:
Vous voyez la réponse immunitaire des non vaccinés en A, en bas. Vous voyez qu’elle est assez différente chez tout le monde.
Vous voyez la réponse immunitaire des vaccinés en haut. Vous voyez qu’elle est assez similaire chez tout le monde, avec des régions distinctes qui reçoivent la réponse la plus forte.
Pour certaines de ces régions, le virus est indifférent à notre réponse en anticorps, donc ces régions ont tendance à rester les mêmes. Dans d’autres régions, la réponse des anticorps interfère, et le virus mute pour modifier ces régions. Cela signifie qu’au bout d’un certain temps, la réponse IgG est rappelée pour un sous-ensemble de plus en plus restreint de ces régions, de sorte qu’on obtient une forte réponse IgG4 pour une poignée d’épitopes, MAIS CES EPITOPES SONT LES MÊMES POUR TOUT LE MONDE!
Ce que je tente de dire, c’est qu’il existe désormais certaines chaînes d’acides aminés non-soi [étrangères] que des milliards d’êtres humains dans le monde apprennent soudainement à tolérer. Les virus respiratoires à ARN fonctionnent tous avec des blocs de construction assez similaires.
Certaines de ces chaînes d’acides aminés que nous tolérons maintenant dans le cas du SARS2 sont des chaînes que l’on retrouve également dans d’autres virus respiratoires. Et il y aura des virus respiratoires qui ne possèdent pas encore ces chaînes, mais qui peuvent muter pour les incorporer dans des emplacements où ils doivent actuellement faire face à de puissants anticorps IgG3.
En d’autres termes: une évolution homogène de la population vers les IgG4 pour certains anticorps peut finir par avoir un impact sur notre relation avec les virus respiratoires autres que le SARS2. On pourrait s’attendre, par exemple, à ce que les personnes vaccinées deviennent de meilleurs propagateurs asymptomatiques d’autres virus respiratoires, comme le VRS. Nous constatons l’existence d’anticorps à réaction croisée entre le SARS2 et les virus corona humains. Voulez-vous que ces anticorps passent des IgG3 aux IgG4? Probablement pas.
Il me semble que l’hypothèse plausible qui mérite d’être étudiée est que la recrudescence massive du VRS dans les pays occidentaux serait la conséquence du fait que les adultes vaccinés commencent à tolérer le VRS, ce qui entraîne une augmentation des infections chez les enfants, puisqu’ils y sont exposés plus souvent. Comme les enfants contractent maintenant ces infections auprès d’adultes vaccinés plutôt que d’autres enfants, la dose infectieuse qu’ils reçoivent aura tendance à être plus élevée. Cela pourrait suffire à expliquer la virulence plus élevée observée chez les enfants.
L’atteinte immunitaire des enfants par l’infection par le SARS2 est également une hypothèse qui mérite d’être étudiée, bien sûr, mais une propagation asymptomatique à partir des adultes est également possible.
Il faut garder à l’esprit que le passage complet aux IgG4 ne se produit qu’après des infections perthérapeutiques après le booster. En d’autres termes, les virus non-SARS2 n’ont pas encore eu beaucoup de temps pour évoluer et s’adapter au nouveau monde dans lequel nous vivons, où tout le monde se retrouve avec un étrange sous-ensemble d’anticorps IgG4 pour certains épitopes.
Les anticorps IgG se lient principalement à des régions d’environ 5 à 6 acides aminés, bien que cela varie beaucoup. Si un autre virus, comme le VRS, la grippe ou les virus corona humains, possède une telle région, il risque de s’en trouver très heureux! L’un de ces méchants anticorps IgG3 qui lui rendaient la vie misérable a disparu, remplacé par un anticorps IgG4 qui n’est pas capable de lier sa queue aux autres anticorps IgG4 pour une meilleure neutralisation.
Et s’il ne possède pas encore une telle région, mais qu’il pourrait éventuellement y parvenir après avoir échangé un acide aminé contre un autre, on pourrait se demander, le moment venu, pourquoi on se retrouve soudainement confronté à un gros problème de grippe, de VRS ou d’un autre agent pathogène.
Encore une fois, je suis désolé de ne pas avoir bien compris cela il y a deux ans. Je l’ai compris de manière assez basique. J’ai compris le grand principe important: on ne peut pas homogénéiser la réponse immunitaire de la population à un virus respiratoire, c’est profondément dangereux.
Rappelez-vous ce que j’ai écrit il y a longtemps:
L’un des facteurs nécessaires pour que notre espèce atteigne des densités de population aussi élevées que celles que nous avons atteintes aujourd’hui est la diversité de notre réponse immunitaire d’une personne à l’autre.
Si nous avions des gènes HLA très peu diversifiés, nous aurions tous une réponse immunitaire très similaire aux agents pathogènes. Le manque de diversité dans leurs gènes HLA est l’un des facteurs qui ont rendu les Amérindiens si vulnérables aux virus introduits par les colonisateurs européens: ces virus pouvaient se propager dans un environnement où la réponse immunitaire était homogène, ce qui a permis à ces virus d’évoluer pour tirer le meilleur parti de cet environnement particulier.
Si nous avions des gènes HLA peu diversifiés, les agents pathogènes développeraient des variants permettant de surmonter cette réponse immunitaire particulière. La diversité de notre réponse immunitaire empêche que cela ne se produise: une modification particulière n’est pas d’un grand secours pour un agent pathogène, car chacun réagit à l’agent pathogène d’une manière différente.
Avec les vaccins à base de protéine de pointe, nous avons fait exactement la pire chose que l’on puisse faire: nous avons homogénéisé la réponse immunitaire humaine à un nouveau virus qui devient rapidement plus diversifié génétiquement.
Il s’agit à nouveau du même principe de base que j’ai décrit ci-dessus, mais cette fois-ci, nous nous concentrons sur le passage à la classe IgG4. Je ne m’inquiéterais pas de l’impact sur les autres agents pathogènes si le passage aux IgG4 différait d’une personne à l’autre. Mais tout le monde se retrouve maintenant avec des combinaisons d’acides aminés sélectionnées qui n’existent pas dans notre propre corps (c’est-à-dire des peptides que nous ne tolérerions normalement pas et que nous pourchasserions avec des anticorps s’ils apparaissaient dans notre sang), que tout le monde apprend maintenant à tolérer!
Nous sommes intervenus dans quelque chose que nous ne comprenons pas bien, à l’échelle de milliards de personnes.
Permettez-moi de vous rapporter une anecdote. Il y a longtemps, au 19e siècle, un Suédois du nom d’Arrhenius, parent d’une Suédoise autiste dont vous avez peut-être entendu parler, a réalisé que nous étions en train de modifier l’atmosphère. Les gens ont trouvé cela plutôt bien, car ils supposaient que cela se produirait lentement. Finalement, la plupart des gens ont oublié ce phénomène.
Dans les années 60, nous avons réalisé que nous émettions beaucoup de ce gaz étrange, qui modifiait l’atmosphère. Là encore, les experts ne s’inquiétaient pas. « L’océan s’en chargera probablement », tel était le consensus de personnes très intelligentes, DONT LA SPÉCIALITÉ ÉTAIT D’ÉTUDIER CE TYPE DE CHOSE. Ce n’est que dans les années 1980 que tout le monde a reconnu que nous avions affaire à un véritable problème.
Dans ce contexte, je voudrais que vous jetiez un coup d’œil au scientifique qui a annoncé ses conclusions sur Twitter:
If we believed billions were doomed, we would not have celebrated. It’s an interesting finding, but no need to worry.
Et portons un toast à tout notre travail qui a permis de découvrir quelque chose qui pourrait signifier que des milliards de personnes sont condamnées.
Si nous pensions que des milliards de personnes sont condamnées, noux n’aurions pas fait la fête. C’est une découverte intéressante mais pas de quoi s’inquiéter.
Je suis un anonyme hollandais qui a abandonné ses études avec une prédilection pour d’obscurs produits psychédéliques, il est virologue avec un doctorat. Je comprendrais parfaitement que vous souhaitiez le croire plutôt que moi, c’est la réponse que la plupart des gens semblent avoir.
Mais ce que je vois, c’est un scientifique qui dit « Eh, l’océan s’en chargera ».
C’est un virologue et les choses ne vont pas bien dans le domaine des virus. Trop de gens meurent. Nous avons un sarbecovirus qui persiste. Les hôpitaux du monde occidental ne peuvent plus faire face à la charge des malades.
Et le plus important de tout: les enfants tombent malades.
Peut-être ne faudrait-il pas doter des milliards de personnes d’un répertoire d’anticorps IgG4 au profil similaire ciblant un virus respiratoire à ARN. Peut-être toutes sortes de virus respiratoires et d’autres agents pathogènes peuvent-ils s’en servir comme d’une opportunité.
On a mené une expérience sans précédent sur des milliards de personnes, nos systèmes immunitaires réagissent maintenant d’une manière sans précédent à un pathogène respiratoire et nous voyons maintenant un nombre sans précédent de personnes malades d’infections respiratoires.
Si vous êtes virologue, je crois que c’est le moment où vous êtes censé être inquiet.
Mise à jour 1: Une critique que vous pourriez faire de mon avertissement, à savoir qu’une évolution vers les IgG4 pourrait également avoir un impact sur d’autres agents pathogènes respiratoires, est que la réactivité croisée des anticorps pourrait ne pas être suffisante.
Pourtant, nous savons déjà qu’il doit y avoir une réactivité croisée importante entre le SARS2 et un certain nombre d’autres virus respiratoires à ARN, pour une raison simple: les vaccins antigrippaux sous-unitaires (c’est-à-dire non vivants) ont montré une nette réduction de 89% du risque d’infection grave par le SARS-CoV-2.
Si les anticorps de la grippe ont un impact sur le SARS2, les anticorps du SARS2 ont un impact sur la grippe. Et si les anticorps du SARS2 évoluent vers la tolérance, cela aura un impact sur la grippe. L’impact ne fera que s’accentuer au fil du temps, à mesure que ces autres virus s’adapteront par mutation et sélection naturelle pour tirer le meilleur parti de cette évolution vers les IgG4.
Une analyse du « pic pétrolier », pour complèter le papier précédent. Katherine fait partie des quelques très rares analystes à qui je fais encore confiance à ce stade, avec Sasha Latypova, Catherine Austin Fitts, John Titus, quelques médecins indépendants et bien entendu John Paul. J’avais traité du « pic pétrolier » avec notamment un papier de Gail Tverberg, qui s’appuie abondamment sur les travaux cités dans le présent article, et celui-ci de Eliott Freed, deux analyses que Katherine met ici très bien en perspective.
Vous pouvez commencer par la petite vidéo ci-dessous, très bien produite. Je ne suis pas fan de la chaîne PragerU mais il faut leur reconnaître le mérite d’être très factuels et rigoureux. C’est en anglais mais si vous activez d’abord les sous-titres, puis vous allez dans Règlages>Sous-titres>Traduire automatiquement>Français (de préférence), vous avez un sous-titrage nickel.
Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme.
En plus du Covid-19, des armes biologiques injectables, des banques centrales, des monnaies fiduciaires, des programmes de géo-ingénierie et de changement climatique.
Je me suis intéressée à ces questions à l’origine par le biais de la théorie du « pic pétrolier », en lisant le livre de Richard Heinberg de 2005 intitulé The Party’s Over: Oil, War and the Fate of Industrial Societies [La Fête est finie: Pétrole, guerre et destin des sociétés industrielles], qui exposait les implications des travaux du géologue et géophysicien M. King Hubbert sur les réserves de pétrole et le rendement énergétique de l’énergie investie (Energy Return on Energy Invested – EROEI).
Les travaux de Hubbert étaient liés aux effets des ressources pétrolières limitées sur les systèmes financiers et économiques qui dépendent d’un pétrole bon marché et facilement accessible pour fonctionner correctement.
Les systèmes financiers et économiques basés sur l’endettement, en particulier.
De 2005 à 2020, j’ai considéré le pic pétrolier et l’EROEI comme des problèmes géochimiques et techniques qui nécessitaient une relocalisation des systèmes de prise de décision, d’alimentation, d’eau, de production économique et de distribution, en tant que réponses pratiques à la résolution des problèmes.
J’ai donc travaillé avec le Community Environmental Legal Defense Fund [Fonds de défense juridique de l’environnement communautaire] sur des projets de gouvernement local basés sur les droits, et j’ai créé et/ou soutenu plusieurs petites organisations travaillant sur le développement de systèmes alimentaires locaux, l’acquisition de compétences en homesteading et des campagnes de protection de l’approvisionnement en eau.
J’ai effectué des recherches et écrit sur ces questions dans une série de blogs destinés aux lecteurs de la communauté du New Jersey où j’ai vécu de 2002 à 2008, et de la communauté de Pennsylvanie où je vis depuis 2008. J’ai lancé Bailiwick News en 2016.
C’est dans cette arène que j’ai appris ce qu’est l’État administratif, en regardant les législateurs et les juges élus locaux se faire écraser – sans opposer beaucoup de résistance – par des administrateurs publics professionnels non élus, notamment des directeurs de canton, des avocats de canton et des directeurs de planification et de zonage, en collaboration avec des dirigeants d’entreprises privées et quasi privées, en particulier dans les domaines de l’investissement immobilier, du développement foncier et de l’ingénierie.
Cependant.
Depuis 2020, observant en temps réel la manipulation massive des données Covid pour influencer et contrôler le comportement des groupes et des individus, j’en suis arrivée à la conclusion que le rapport du Club de Rome sur les Limites de la Croissance, le mouvement du pic pétrolier, la panique de la surpopulation, la panique du changement climatique et autres, ont fait partie du même projet multigénérationnel d’opération de manipulation psychologique […] des mondialistes.
Rien que des mensonges.
Tous racontés dans le but d’obscurcir l’intellect, de désorienter, d’effrayer et de contrôler les hommes et les femmes.
Je ne connais pas le véritable état des réserves mondiales de pétrole; je sais seulement ce que l’Agence Internationale de l’Energie (créée en 1974) et d’autres institutions mondialistes capturées disent publiquement à propos des réserves de pétrole.
Il est possible que la surconsommation de ressources, l’endettement et l’effondrement économique soient toujours le lot des civilisations en chute libre, et qu’il s’agisse simplement d’un processus naturel à l’échelle mondiale, manipulé à des fins personnelles par les élites au sommet de la structure de pouvoir de la civilisation actuelle.
Mais il est également possible que cette histoire précise de surconsommation des ressources mondiales, de destruction écologique, de dette et d’effondrement économique soit créée, mise au point et/ou projetée dans l’esprit des gens du monde entier en ce moment même, par ces mêmes élites, non seulement pour leur gain personnel, mais aussi au service de Satan, dans le but de livrer les âmes humaines à la damnation éternelle en détruisant la foi en Dieu.
Aujourd’hui, je penche pour la deuxième interprétation des événements.
Le sujet du pic pétrolier est revenu récemment dans un fil de discussion sur le Substack de Sasha Latypova.
Un lecteur a commenté, adoptant la position selon laquelle les mondialistes « exterminent » les gens pour prévenir d’autres formes de chaos mortel, comme les famines, les crashs économiques et les guerres de ressources, en raison de la pénurie d’énergie fossile liée au pic pétrolier.
Il a cité ce même rapport « Perfect Storm » de 2013 de l’échange de juillet (ci-dessus) comme « le document définitif qui relie tout » et a désigné les sables bitumineux et le forage en eaux profondes comme preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les limites naturelles des réserves de combustibles fossiles sont la motivation de base.
Comme je l’ai écrit en juillet, j’avais l’habitude de penser que le pic pétrolier était la clé, et j’ai travaillé principalement à partir de cette vision du monde de 2005 à 2020.
Je ne trouve plus ce cadre plausible, car je suis trop consciente de l’efficacité avec laquelle les mondialistes et leurs sbires manipulent les données, les informations et la propagande pour se rapprocher de leurs objectifs géopolitiques et autres, et de l’utilité de l’anxiété généralisée concernant le pic pétrolier et le changement climatique dans ce processus de manipulation.
Il est maintenant clair pour moi que la BRI [Banque des Règlements Internationaux] et ses propriétaires, ainsi que leurs pairs institutionnels dans d’autres organisations internationales (comme le Club de Rome/ »Limites à la Croissance« /Donella Meadows) sont en position, depuis très longtemps, de manipuler les données et les analyses produites par M. King Hubbert et d’autres géophysiciens, ainsi que des scientifiques de l’environnement/du climat, de telle sorte que « Limites à la Croissance » n’est pas un modèle basé sur des faits, mais une projection ou un plan basé sur leur intention et leur capacité à manipuler l’accès aux réserves de combustibles fossiles et à manipuler les aspects du climat, afin de soutenir leurs efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle.
Ils ont l’argent et la maîtrise du projet pour forer des kilomètres sous la mer à la recherche de pétrole, extraire du pétrole du sable à la vapeur et lâcher des bombes dans des trous, non pas parce que ce sont les seules sources d’approvisionnement restantes, mais simplement pour perpétuer la fraude.
C’est le même mode d’emploi que celui qu’ils utilisent pour manipuler les informations sur ce qui se passe dans le cadre du programme Covid, tuer et rendre malades des millions de personnes avec des injections d’armes biologiques, et mentir sur ce qu’ils font.
Je suis maintenant d’avis que « l’économie » n’est également qu’une fraude massive, et qu’aucun des chiffres présentés par les banquiers centraux au cours des 100 dernières années – ou plus – n’est digne de confiance ou ne devrait être utilisé pour prendre des décisions sociétales ou personnelles sur ce qu’il faut faire ensuite.
Ce ne sont que des mensonges, du début à la fin, racontés par les banquiers centraux, dans le but de centraliser le contrôle direct et quotidien de 8 milliards de personnes, tout en envoyant 7,5 milliards d’entre vers une mort prématurée à l’aide de mensonges, d’armes biologiques, de pulvérisations chimiques, de famine forcée par le biais de perturbations de l’approvisionnement alimentaire, de perturbations de l’approvisionnement énergétique, de manipulations monétaires et d’autres outils de leur arsenal.
Ils font tout cela et bien plus encore, tout en organisant des exercices de simulation séquentiels et détaillés et en publiant des plans détaillés décrivant ce qu’ils ont l’intention de faire, qui correspondent à ce qu’ils font réellement, dans le but d’humilier rituellement leurs ennemis: nous.
En conséquence, je ne crois plus qu’il existe des limites naturelles à la production et à la distribution de nourriture, ni qu’il existe des limites naturelles à l’approvisionnement en énergie fossile.
Les pénuries et les catastrophes sont orchestrées par les banquiers centraux.
Un autre intervenant dans le fil de discussion a cité d’autres sources de données et a proposé un débat, comparant le scepticisme à l’égard du pic pétrolier au déni de l’existence du 11 septembre ou de Covid-19.
J’ai examiné les données sur le pic pétrolier. Je ne fais plus confiance aux sources de ces données.
Je ne veux donc pas en débattre, car la vraie question n’est pas celle de l’information. La question est de savoir si les sources d’information sont dignes de confiance. Et je ne pense pas que nier le pic pétrolier soit comparable à nier le 11 septembre ou le Covid. Il est cohérent de penser que ces trois événements sont des manipulations, impliquant des informations et des données fabriquées, qui ont néanmoins eu et ont toujours des effets directement observables sur la vie des gens.
Le débat public sur le pic pétrolier (tel qu’il est) n’a pas vraiment d’importance, cependant.
Que vous croyiez que le pic pétrolier s’est produit en 2005 et que la pénurie d’énergie est basée sur des limites géochimiques et techniques réelles de forage, ou que vous croyiez que le pic pétrolier est une campagne de propagande et que les pénuries sont et continueront d’être fabriquées, la décentralisation de la capacité de production des produits de première nécessité, y compris les informations véridiques, et la décentralisation des systèmes de gouvernance pour maintenir l’ordre social, sont des réponses utiles aux deux interprétations des événements passés et actuels.
Même si l’approvisionnement en énergie fossile est encore abondant, les personnes qui organisent depuis longtemps les perturbations des chaînes d’approvisionnement et des systèmes financiers et monétaires seront probablement en mesure de continuer à le faire dans un avenir prévisible.
La seule différence importante entre les deux points de vue est la différence entre le niveau où on place la responsabilité.
Là encore, la déviation et la suppression de la vérité ne servent qu’à masquer le pouvoir et les actes des prédateurs-parasites mondialistes.
Les personnes qui croient à la propagande sur le pic pétrolier et le changement climatique concentrent leurs réactions sur le changement de comportement et la réduction de la liberté de mouvement des gens ordinaires qui essaient de vivre, d’apprendre, de travailler, d’adorer Dieu et d’élever des enfants.
Les personnes qui percent à jour la propagande, jusqu’aux hommes et aux femmes qui se sont positionnés pour contrôler l’accès aux informations véridiques et aux ressources nécessaires à la vie, se concentrent sur l’élargissement de notre accès aux informations véridiques, sur l’élargissement de notre amplitude de mouvement pour produire et obtenir des réserves d’eau, de nourriture et d’énergie adéquates et contrôlées localement, et sur le rétablissement ou la création de systèmes financiers et d’autorités gouvernementales légitimes.
Massacre des Saints Innocents. Peinture de Guido Reni.
Nous venons de vivre quelques semaines intéressantes dans l’arène de la « conspiration COVID™ » (oui, c’est nous, apparemment). Les rapports de luttes intestines abondent – ce qui est bizarre car presque tout ce que nous avons prédit s’est concrétisé, en particulier l’Iatrocide fomenté par les gouvernements avec une combinaison de confinements, de masques et des pires vaccins jamais vus.
iatrocide 1. L’acte de tuer un patient avec un traitement médical
On pourrait donc penser que la « Team Reality » (alias #mousearmy) serait en train de se détendre sur une plage en sirotant des margaritas dans des gobelets « Je vous l’avais bien dit ».
Pas du tout, apparemment. Comme si nous n’avions pas assez souffert ces trois dernières années de fascisme médical et scientifique. Notre margarita de plage ressemble plus à
J’ai donc pensé que c’était le bon moment pour diffuser un petit message. Arrêtez de vous laisser distraire.
Toutes ces querelles internes sont du théâtre Kabuki. Ça l’a toujours été. Et ça n’a pas d’importance. Non, sérieusement, ça n’a pas d’importance.
Que signifie théâtre Kabuki ? Le kabuki est une forme de théâtre classique au Japon, connue pour ses costumes élaborés et son jeu dynamique. Les expressions « théâtre kabuki », « danse kabuki » ou « pièce kabuki » sont parfois utilisées dans le discours politique pour décrire un événement caractérisé davantage par le spectacle que par le contenu.
Ça n’a pas d’importance que JJ Couey ait critiqué son ami Charles Rixey dans son stream, car tous deux ont raison. Charles a raison de dire que la séquence virale présentée comme « l’origine de la pandémie » a été fabriquée. Et JJ a raison de dire qu’un tel virus ne peut pas créer à lui seul une pandémie mortelle [NdT. voir mon article ici].
Ça n’a pas d’importance que Michael Senger ait mal interprété la prise de bec sur son substack et ait déclaré que JJ avait « rejeté l’hypothèse du laboratoire » – parce que c’est faux. Il a simplement dit que ça n’avait pas d’importance parce qu’ils n’auraient jamais pu fabriquer un virus suffisamment transmissible et mortel pour provoquer la « pire pandémie de l’Histoire ». Cela signifie que les coronavirus de ce type, même s’ils peuvent provoquer une épidémie locale, n’ont pas la stabilité génomique nécessaire pour traverser le monde en conservant leur virulence. En tout cas, pas sans le type d’aide que celle dont le MERS a eu besoin pour provoquer de multiples épidémies dans le monde.
Ça n’a pas d’importance que Robert Malone poursuive les Breggin pour avoir osé le mettre en cause… alors qu’ils avaient le droit de le faire. Robert Malone a-t-il raison de faire ça? Peut-être, peut-être pas. Mais ça n’a pas d’importance. C’est un spectacle.
Ça n’a pas d’importance que Maajid Nawaz et Alexandros Marinos se disputent sur Twitter au sujet d’Elon Musk. Alexandros a raison et Maajid a raison. Ils parlent juste à contre-sens. C’est encore un spectacle.
Again, please read my article. It addresses matters that you are avoiding (deliberately or not) in this reply.
Je suis heureux d’avoir une conversation de bonne foi sur tout sujet lié à Elon. Je suis aussi préoccupé que n’importe qui par le fait que la MDBC s’érige autour de nous et j’ai tiré la sonnette d’alarme très tôt et souvent. Encore une fois, veuillez lire mon article. Il aborde des sujets que vous évitez (délibérément ou non) dans cette réponse.
Ça n’a pas d’importance que mon ami Mathew Crawford se soit brouillé avec Steve Kirsch – parce que soit Mathew est un véritable pilier de la statistique, comme je le crois, soit ses nombreuses analyses détaillées seront exposées comme étant incorrectes. Elles ne l’ont pas été. Elles ne le seront pas. Il fournit toujours des justificatifs.
Ça n’a pas d’importance que l’affaire Kassam contre Hazzard ait été « perdue ». Ce qui a de l’importance, c’est que l’affaire a mis en lumière l’échec lamentable des tribunaux qui a conduit le juge Robert Beech-Jones à dire au peuple que « la coercition reste un consentement ». Ce qui a de l’importance c’est que Tony Nikolic ait apporté la preuve que les tribunaux savaient que:
les vaccins ne réduisaient pas la transmission
les taux d’infection étaient plus élevés chez les vaccinés
les preuves justifiant les confinements, les masques et les vaccins n’existaient pas
le principal expert témoin du gouvernement a reçu 65 millions de dollars de subventions gouvernementales et n’a jamais traité un patient atteint du COVID.
The State expert in Australia’s leading case Kassam v Hazard (at the time) had never treated a COVID patient. But Justice Beech Jones found she was “impressive” witness. The many Doctors/experts that did treat were rejected by court. No confidence vote I think!@SenatorRennick
L’expert de l’État dans la principale affaire australienne Kassam contre Hazard (à l’époque) n’avait jamais traité de patient COVID. Mais le juge Beech Jones a estimé qu’elle était un témoin « impressionnant ». Les nombreux médecins/experts qui avaient traité des patients ont été rejetés par la cour. Un vote de défiance, je pense !
Ça n’a pas d’importance que l’ivermectine « fonctionne » ou ne « fonctionne » pas dans le cas du COVID et de toute autre infection virale. Ce qui compte, c’est que les médecins qui utilisaient l’ivermectine – comme Pierre Kory, Brian Tyson, Zev Zelenko et Lynn Fynn – ont réellement pris la peine de traiter le patient sans suivre un protocole anonyme. Ce qui signifie que leurs patients ont également reçu des antibiotiques pour traiter la pneumonie secondaire qui était en fait la cause des décès de personnes âgées.
C’est ce qu’ils ont refusé aux personnes âgées qui ont été diagnostiquées avec une « pneumonie COVID » parce qu’on leur a dit de ne pas la traiter. C’était une pneumonie bactérienne. Elles sont mortes.
Si elles n’avaient pas eu le test, elles auraient eu les comprimés.
Qu’est-ce qui a de l’importance alors?
Ce qui a de l’importance, c’est ce que nous savons.
Déterminez ce que vous savez et le reste n’a pas d’importance, car il y a suffisamment d’éléments pour justifier l’arrestation massive des membres du gouvernement qui ont conspiré à un démocide.
Voici ce que nous savons :
Le nombre de personnes décédées en avril 2020 et en janvier 2021 est supérieur au nombre de personnes qui seraient normalement mortes.
Dans certains pays, le taux de mortalité global était normal pour 2020, ce qui signifie que l’impact de la « pandémie » était soit mineur, soit un effet d’entraînement.
Les laboratoires ont effectué des tests PCR pour détecter un brin d’ARN, qui s’est révélé positif chez certaines personnes.
Ces tests PCR étaient plus susceptibles d’être positifs au moment où il y avait des décès.
Les amorces pour ces tests PCR étaient commerciales (sauf en Nouvelle-Galles du Sud en 2020) et nous ne savons donc pas ce qu’ils testaient.
Les amorces utilisées pour les premiers tests PCR en Chine1 étaient erronées et n’ont donc pas pu détecter le « SARS-CoV-2 » :
NOM DE DIEU. Pourquoi les médecins ont-ils accepté sans hésiter de ne pas traiter les personnes de 80 ans pour une pneumonie post-virale en 2020-2022, alors que c’était la norme de soins auparavant?
Parce qu’on leur a dit de le faire en 2019. Par une institution appelée… [Vous allez adorer ça….]
Si vous êtes une personne âgée atteinte d’une pneumonie post-virale et que l’on vous refuse des antibiotiques, vous mourrez très probablement.
L’écrasante majorité des décès en Chine concernait des patients traités à Wuhan selon les protocoles de Wuhan. La Chine continentale a connu un taux de mortalité quasi nul pour une maladie censément nouvelle et censément originaire de ce pays.
La même maladie en dehors de Wuhan (Hubei) présentait un risque de décès2 7,5 fois inférieur à celui de la maladie survenant à Wuhan (Hubei). Cela n’est pas attribuable au hasard3.
La Chine – l’épicentre supposé du « nouveau coronavirus non traitable » a vu le taux de mortalité par COVID par million d’habitants le plus bas du monde en 2020 et 2021. Ce n’est pas possible au regard de l’histoire présentée.
Nombre de décès par million sur Our World in Data pour 7 pays. La Chine est la ligne plate (indétectable) en bas.
Sur le motif d’une « nouvelle pandémie de coronavirus à fort taux de mortalité », le monde entier (partout sauf la Chine) a été soumis à:
des mesures de confinement (qui n’ont pas fonctionné)
des obligations de port de masque (qui n’ont pas fonctionné)
Sur le motif de la « pandémie » provenant de Chine, qui n’a pas affecté la Chine de manière appréciable, les économies du monde ont été arrêtées et vous vivez toujours avec les conséquences.
Pour certaines personnes, les obligations de vaccination et l’ingérence du gouvernement dans les traitements médicaux ont entraîné la mort. C’est la réalité. La suppression des antibiotiques dans le traitement standard de la pneumonie post-virale s’est faite au même rythme dans le monde entier. Comment cela a-t-il pu se produire? Par MAGIC: Un consortium dirigé par l’Université de Liverpool et l’OMS.
Ces décès dus au COVID n’avaient pas à se produire. Les personnes affiliées à Andrew Owen de MAGIC ont été dénoncées par Tess Lawrie pour avoir admis une influence financière indue dans le rejet de l’ivermectine comme thérapie. Mais l’ivermectine n’était qu’une partie du problème, car les protocoles utilisant l’ivermectine étaient accompagnés d’antibiotiques (doxycycline ou azithromycine) qui prévenaient la pneumonie bactérienne.
Que s’est-il donc réellement passé?
Voici mon évaluation de la situation en tenant compte des faits connus ci-dessus. Vous êtes invités à exprimer votre désaccord et les commentaires sont ouverts. Je vous encourage à tenter de réfuter ces propos.
Il n’y a jamais eu de pandémie d’un quelconque virus mortel. Les séquences fabriquées par Baric, Daszak, Shi et leurs copains dans les laboratoires de virologie du monde entier sont des séquences virales d’ARN, mais elles sont synthétiques. Elles peuvent être distribuées efficacement par le biais de clones4 (production en laboratoire de séquences d’ARN) au lieu de lâcher sur le monde un coronavirus à ARN instable et réel, qui régresserait probablement et échouerait en tant qu’arme biologique. Ce qu’ils ont avancé (un nouveau coronavirus mortel effrayant provoquant une pandémie) est pratiquement impossible, mais la peur était bien réelle.
Afin de persuader les gens de l’existence d’un virus pandémique mortel, le PCC (qui dicte les protocoles médicaux) de Wuhan a autorisé la diffusion d’un clone viral qui provoquait une maladie conduisant à une pneumonie bactérienne. Ensuite, soit ils ont refusé le traitement antibiotique pour les cas de Wuhan seulement (tuant des gens), soit ils n’ont signalé que les cas qui n’avaient pas répondu aux antibiotiques (produisant un biais de sélection dans les rapports). Dans un cas comme dans l’autre, cela a produit un taux de mortalité artificiellement gonflé parmi les cas de Wuhan, qui n’a pas été reproduit dans le reste de la Chine. C’est ainsi qu’est née la peur de la pandémie.
Une fois que des cas d’infection virale (qui auraient pu n’être que des coronavirus en circulation, car les tests PCR n’étaient pas assez spécifiques pour détecter uniquement le « COVID ») ont été observés dans d’autres pays, la propagande a été mobilisée (lancée par le PCC et reprise par l’Occident via Tony Fauci) pour s’assurer que les antibiotiques normalement utilisés dans les pneumonies post-virales ne le soient pas dans les pneumonies « post-COVID ». Il n’y avait aucune raison médicale à cela, seulement une raison politique. Le raisonnement politique consistait à s’assurer que les populations étaient suffisamment terrifiées par ce virus effrayant pour accepter les confinements, les masques et ensuite les vaccins expérimentaux. Aucune de ces mesures n’aurait dû être prise, car elles ne figuraient pas dans les plans de lutte contre la pandémie élaborés avant 2020. N’oubliez pas non plus qu’aucun des confinements chinois n’était réel. Tout cela n’était que de la propagande.
When you take a step back and look at the entire world shutting down, masking up, tossing away human rights in lockstep after China supposedly beat a super-virus with fake videos of residents falling dead by locking down one city, the lockdown fraud looks embarrassingly obvious.
Lorsque l’on prend du recul et que l’on voit le monde entier se fermer, se masquer, rejeter en bloc les droits de l’homme après que la Chine ait soi-disant vaincu un super-virus en confinant une ville, en s’appuyant sur de fausses vidéos montrant des habitants tombant raides morts, l’imposture du confinement apparaît comme une évidence gênante.
Les masques étaient de la propagande destinée à entretenir la peur. Les confinements étaient conçus pour neutraliser les économies non chinoises, de telle sorte que la seule économie à croître en 2020 a été celle de la Chine. Une fois ces deux piliers de la fausse pandémie mis en place, la voie était ouverte pour l’introduction des vaccins « d’urgence », pour lesquels la technologie de thérapie génique à ARNm était prête à être utilisée.
Au lieu de s’opposer à la propagande du PCC, l’Occident a continué à suivre la même fausse piste. Ils ont ignoré le fait que la Chine continentale refusait les vaccins à ARNm. Ils ont mobilisé des personnes telles que Gideon Meyerowitz-Katz, dont le laboratoire est ouvertement affilié au CDC5 chinois, pour promouvoir la propagande du confinement, du masque et du vaccin.
26 février 2020: L’OMS ne recommande pas le port du masque pour les personnes non-soignantes pour empêcher la propagation du Covid19. Pourquoi? Ce que j’ai vu chez ceux qui portent un masque: il se touchent le visage, il se curent le nez, il lèchent leur doigts, etc. 3 décembre 2022: Le meilleur dans ce tweet c’est que tandis que je participais à cette discussion, je prenais aussi la défense des masques auprès de quelqu’un qui pense qu’ils ne servent à rien mais évidemment ce n’est pas suffisant pour les tordus extrémistes.
Ce faisant, le monde s’est aligné sur les dictats mondiaux fournis par les protocoles de l’application MAGIC qui disaient aux médecins de ne pas utiliser d’antibiotiques dans les pneumonies post-COVID. Et en faisant cela, les médecins du monde entier ont collaboré – sciemment ou non – à un Iatrocide mondial qui aurait pu être entièrement évité.
Les protocoles vantés par Zelenko et Kory étaient simples. Hydroxychloroquine ou ivermectine (qui sont des anti-inflammatoires ou des antiviraux dans la phase précoce), zinc (qui est un antiviral) et doxycycline ou azithromycine (qui prévient ou traite la pneumonie secondaire, cause de décès dans la majorité des cas de « COVID »). Des médicaments parmi les plus sûrs de la planète. Pourtant, nous n’étions pas autorisés à les utiliser, parce que l’OMS, Fauci et Andrew Owen le disaient. Et puis le gouvernement est intervenu pour restreindre leur prescription.
L’hydroxychloroquine ou l’ivermectine n’étaient peut-être même pas tellement importantes. Plus probablement, tout ce qui était nécessaire était les « #3comprimés » [#3tablets] d’azithromycine qui représentent un cours de traitement pour la pneumonie acquise en communauté. Moins d’un dollar dans de nombreux pays. Si vous aviez un « test COVID » négatif, on vous donnait ces comprimés. Si le test était positif, on ne vous les donnait pas. Une personne âgée atteinte d’une pneumonie post COVID non traitée était placée sur la chemin de la mort.
Un dollar. 3 comprimés. C’est le prix que l’OMS a jugé trop élevé pour traiter vos parents âgés.
Je suppose que le directeur de l’OMS, Tedros, en dit trop sur cette photo. Mais là encore, il n’en est pas à son premier rodéo démocidaire, ayant été le ministre de la santé qui a supervisé la discrimination systématique en matière de santé mise en évidence dans le rapport 2010 de Human Rights Watch.
Mais bien sûr, tout ce qu’il fait maintenant c’est uniquement pour protéger mamie.
1 dollar. 3 comprimés. Portez un masque. Prenez votre vaccin. Restez à l’intérieur. N’écoutez pas les réactionnaires. Contentez-vous de vous conformer. C’est pour votre sécurité.
Une dernière question… qui sommes-nous censés saluer le bras tendu cette fois-ci?
Voici le document du CDC chinois. N’oubliez pas que seuls les documents approuvés par le PCC sont autorisés à être publiés. Cela signifie que soit le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine, soit le PCC voulait faire croire au monde que le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine. Ça n’a pas d’importance. Cela signifie que des personnes se sont vu refuser un traitement médical pour promouvoir l’idée qu’une effroyable pandémie de coronavirus se préparait. https://arkmedic.substack.com/api/v1/file/4885838c-6c88-4684-86dd-68a37256b46c.pdf
Katherine Watt est une alliée des plus précieuses pour comprendre comment l’état de guerre biosécuritaire a pu légalement et juridiquement se mettre en place aux États-Unis. Ceci concerne également au premier plan les pays européens qui ont passé contrat avec les firmes pharmaceutiques (vous voyez lesquelles), par une astuce légale typiquement américaine qui octroie à ces contrats précédence sur les lois nationales. Je traduis l’article de Katherine Watt à ce sujet, dès que je le retrouve – j’ai compté, j’ai plus de 900 onglets ouverts…
Les deux derniers paragraphes sont humoristiques, mais j’avais pensé sérieusement à ce genre de manoeuvre. Je ne vois pas pourquoi ce seraient toujours les mêmes qui s’amusent.
Pour les lecteurs souhaitant vérifier les citations légales de ce billet, vous pouvez les trouver dans la chronologie du billet épinglé American Domestic Bioterrorism Program. [NdT. dont j’ai traduit la seule conclusion ici, les références juridiques rendant la lecture interminable]
On m’a récemment envoyé un lien vers l’interview de Karen Kingston avec Greg Hunter, publiée le 24 décembre 2022, et on m’a demandé mon avis sur les points qu’elle aborde entre 22:00 et 28:00. Au cours de ce segment, Karen Kingston discute des implications juridiques de l’approbation par la FDA, le 23 août 2021, du Nouveau Médicament Expérimental (Investigational New Drug – IND) du produit Comirnaty de Pfizer, qui est « juridiquement distinct », comme pouvant percer les boucliers de responsabilité civile et pénale de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (Emergency Use Authorization – EUA).
Je comprends son point de vue, mais je ne suis pas d’accord avec son analyse.
Je ne pense pas que les lois d’urgence de l’EUA ou de la santé publique soient contraignantes, en tant que lois de santé publique et de réglementation des médicaments.
Je pense qu’elles ne sont contraignantes que dans le sens où elles transfèrent toutes les utilisations et implications légales des produits des programmes de santé publique au programme d’armes chimiques et biologiques (50 USC 1511 et seq.).
Ainsi, dans le cadre d’un état de guerre, d’un état d’urgence national et/ou d’un état d’urgence de santé publique, tous les Américains sont classés comme ennemis de l’État (le prétexte employé par le gouvernement fédéral du District de Columbia1), comme insurgés, rebelles ou étrangers, et peuvent être légalement ciblés pour être tués, en utilisant toutes les armes que le gouvernement fédéral et ses militaires jugent appropriées, à la discrétion du Président et du Secrétaire à la Défense.
Parmi les nombreux documents utiles que les lecteurs m’ont envoyés au sujet de la prise de pouvoir de l’exécutif et du droit militaire pendant la guerre de Sécession, il existe des preuves à l’appui de l’argument selon lequel le statut de droit militaire n’a jamais été levé lorsque les hostilités sur le champ de bataille ont pris fin en 1865.
Au lieu de cela, de nombreuses générations d’Américains – de toutes les races, classes et ethnies – sont nées, ont vécu et sont mortes sous une occupation militaire fédérale secrète, illégitime et financiarisée.
Sans le savoir.
Depuis le début de la guerre de Sécession en 1861 jusqu’à l’AUMF (autorisation de recours à la force militaire)/Proclamation 7463 de 2001, les banquiers centraux mondialistes ont eu suffisamment de contrôle sur les leviers qu’ils voulaient contrôler pour permettre à certaines dispositions de la séparation des pouvoirs de la Constitution de sembler fonctionner de façon plus ou moins intacte, y compris un certain contrôle du Congrès, un certain contrôle judiciaire et certains droits limités des États, fournissant un certain contrepoids au Président et aux agences exécutives et administratives.
Au fil des décennies, les banquiers centraux planifiaient et se préparaient à prendre davantage de pouvoir, et à mettre en place des mécanismes de transfert discrets, tels que le Federal Reserve Act de 1913, l’Executive Order 6102 et la House Joint Resolution 192 de 1933, ainsi que les accords de Bretton Woods de 1945, tout en construisant l’architecture juridique, financière et scientifique du programme de bioterrorisme.
En 2001, ils voulaient plus de contrôle et étaient prêts à risquer d’être un peu plus visibles pour l’obtenir.
En septembre 2001, sous le couvert de la peur suscitée par le 11 septembre et les attaques à l’anthrax, un autre niveau d’urgence nationale/état de guerre (« Guerre Mondiale contre la Terreur ») a été mis en place, par le biais de l’Autorisation du Congrès pour le Recours à la Force Militaire (AUMF) et la Proclamation 7463 de George W. Bush, Déclaration d’Urgence Nationale en Raison de Certaines Attaques Terroristes, promulguée sous la Loi d’Urgence Nationale de 1975 et renouvelée chaque année depuis.
Ces mesures ont été rapidement suivies de la loi PATRIOT en octobre 2001, de la création du Département de la Sécurité Intérieure en novembre 2002 et de l’expansion des programmes d’état policier biomédical au cours des deux décennies suivantes par le biais de la loi PREP, de la loi Project Bioshield et plus encore.
En 2019, ils voulaient prendre un contrôle encore plus direct, étaient prêts à risquer de s’exposer encore un peu plus, et avaient placé plus de pièces sur l’échiquier pour centraliser plus de pouvoir dans des conditions d’urgence de santé publique.
Ainsi, en 2020, sous la couverture de la peur suscitée par le Covid-19, une autre couche de contrôle est entrée en vigueur, par la détermination en janvier 2020 de l’existence d’une urgence de santé publique (Alex Azar, secrétaire du HHS) et la proclamation 9994 de Donald Trump du 13 mars 2022, Déclaration d’une Urgence Nationale concernant l’Épidémie de Nouveau Coronavirus (COVID-19), également en vertu de la Loi sur les Urgences Nationales de 1975.
Également renouvelée chaque année depuis.
[Et positionnée comme une Guerre Mondiale contre les Humains Susceptibles aux Maladies Communicables: traduction de l’Agenda pour la Sécurité Sanitaire Mondiale intégré dans les règlements et traités de l’Organisation Mondiale de la Santé, et dans les programmes fédéraux américains. Voir la section 5955 du NDAA pour l’année fiscale 2023].
Je pense que la solution pour sortir de ce pétrin est que le peuple, le Congrès, les tribunaux et les gouvernements des États reconnaissent ouvertement la crise constitutionnelle déclenchée pendant la guerre de Sécession et renforcée depuis par les banquiers centraux et la branche exécutive/état administratif.
Ça craint.
Les affaires civiles et pénales introduites entre-temps, dans le cadre des structures pseudo-juridiques actuelles qui ont été conçues par les banquiers centraux pour rendre la Constitution inopérante et, par conséquent, trahir le peuple, peuvent contribuer à préciser quand et comment nos structures juridiques actuelles ont perdu leur légitimité et à indiquer quelques pistes pour revenir au fondement constitutionnel original.
Je pense également – aussi étrange que cela puisse paraître – que certaines des corrections les plus importantes seraient remarquablement simples à mettre en œuvre, une fois que les majorités du Congrès, les juges fédéraux et les gouverneurs des États, les procureurs généraux et les législateurs commenceraient à comprendre la situation de guerre et à changer de camp, passant des banquiers centraux à la Constitution+Peuple.
Les archives de la guerre de Sécession et les événements qui s’en sont suivis appuient fortement l’argument selon lequel le Congrès est une pseudo-institution fictive depuis 1863 environ, occupant les sièges vides du vrai Congrès par un accord mutuel et secret entre les dirigeants conscients – pour participer à l’illusion et la promulguer – et l’ignorance pure et simple par l’ensemble de ses membres du fait qu’il s’agit d’une illusion.
Avec un bon leadership et une forte pression populaire, les hommes et les femmes vivants assis dans ces sièges pourraient ouvertement présenter des résolutions, débattre et voter pour révoquer leur consentement à participer au mensonge, et ainsi réoccuper le vrai Congrès.
Si une telle résolution était adoptée, elle effacerait tous les statuts du Congrès, toutes les agences et réglementations fédérales dérivées, et tous les ordres et proclamations présidentiels, depuis 1861.
Y compris toutes les lois d’urgence nationale et d’urgence de santé publique qui, pour l’instant, semblent protéger les tueurs de toute poursuite pénale pour les atrocités de masse qu’ils ont commises ces trois dernières années.
Une grand reset constitutionnel, en quelque sorte.
À partir de ce retour aux principes fondateurs, le vrai Congrès et les États pourraient commencer à débattre et à adopter des lois conformes à la Constitution, accompagnés par une population beaucoup plus alerte et des tribunaux fonctionnels positionnés pour examiner et annuler les lois inconstitutionnelles.
Pour m’amuser, j’imagine parfois qu’en vertu de la propriété transitive du wokeness, n’importe qui pourrait « s’identifier » à John Roberts, Juge en Chef de la Cour Suprême des États-Unis, entrer et prendre le contrôle de la SCOTUS (Cour suprême des Etats-Unis) et de son registre, et demander à des avocats publics et privés de déposer des dossiers contestant la constitutionnalité des lois d’habilitation du programme américain de bioterrorisme domestique, des décrets, des règlements des agences et de leurs fictions juridiques précurseurs.
Comment les agents de sécurité des tribunaux pourraient-ils refuser de s’incliner devant les noms propres, les identités et les autorités légales que nous préférons?
Adoration du Saint Nom de Jésus. Peinture d’El Greco.
J’ai appris récemment que les événements du 6 janvier se déroulant dans le district de Columbia sont probablement significatifs, en termes de structure corporative du pays et de statut juridique des hommes et des femmes qui ont traversé les 10 miles carrés du district de Columbia, alors qu’une déclaration d’urgence de santé publique/d’urgence nationale était en vigueur.
Je ne me souviens pas s’il y a eu d’autres grandes manifestations politiques à Washington depuis janvier 2020. Si c’est le cas, je ne sais pas comment le Ministère de la Justice rationalise le fait de jeter les prisonniers politiques du 6 janvier en prison mais pas ceux de Black Lives Matter, par exemple, ou même s’ils essaieront de rationaliser ce traitement disparate. Il est probable que les manifestants du 6 janvier et leur allégeance claire à la Constitution avaient le potentiel d’interférer avec la tentative de contrôle des banquiers centraux, alors que les manifestants de BLM ne l’avaient pas.
Quoi qu’il en soit, je pense maintenant que les accusations d’intrusion et d’insurrection sont peut-être davantage liées au fait que les manifestants du 6 janvier sont entrés à Washington, et non dans le bâtiment du Capitole lui-même. Ou, plus précisément, qu’ils ont dû être frauduleusement incités, par des agents du FBI infiltrés, à entrer dans le bâtiment du Capitole, afin de fournir une fausse façade pour les accusations d’intrusion et d’insurrection qui passerait mieux dans les médias propagandistes.
Donc 2023, Année de la Redevabilité? De la Justice?
Comme le répète (plaisamment) Adam Curry, les coupables auront-ils la tête rasée et les fera-t-on défiler sur les avenues? Le Grand Jury de Fuellmich aura-t-il finalement gain de cause?
On verra bien mais j’ai comme un doute.
En attendant, pour sortir des discours – volontairement? – naïfs à la Christian Perrone des « erreurs commises », en voici un autre nettement plus à charge. Les nombreux liens dans le texte renvoient principalement vers des articles de l’auteur (en anglais), c’est donc en plus d’un poéme un récapitulatif serré et cinglant de ces trois dernières années et un genre de catalogue de son Substack, dont des lettres ouvertes à tel ou tel acteur de l’Opération. Je les ai parcourues, elles sont nettement moins féroces que ce que j’écris et ce que je publierai ensuite.
A propos de férocité, le prochain (très court) article parle d’un truc qui va vraiment arriver.
Aucune erreur n’a été commise: un hymne à la justice
Margaret Anna Alice
1er janvier
Le poème qui suit a été inspiré par une conversation avec Mike Yeadon. Nous avons tous deux remarqué, indépendamment l’un de l’autre, l’utilisation croissante de termes comme « bâclé » et « bavure » pour décrire les crimes contre l’humanité perpétrés sous le couvert du COVID. Même les personnes bien intentionnées qui partagent des valeurs et des objectifs similaires tombent parfois dans ce piège tendu par ceux qui préparent leur saut en parachute pour échapper à toute culpabilité.
Cet Hymne à la Justice est ma tentative de décrire succinctement l’intentionnalité calculée qui sous-tend la tyrannie du COVID, et je demande votre aide pour diffuser le message clair que #MistakesWereNOTMade [#AUCUNEErreurNaEteCommise]. S’il vous plaît, partagez ce poème et gardez-le à portée de main pour la prochaine fois que quelqu’un tentera de minimiser par du verbiage les atrocités commises. Faisons de 2023 l’Année de la Redevabilité afin que personne n’ose répéter de tels actes à l’avenir.
Aucune erreur n’a été commise: Un hymne à la justice
par Margaret Anna Alice
Le Génocide Arménien n’était pas une erreur. L’Holodomor n’était pas une erreur. La Solution Finale n’était pas une erreur. Le Grand Bond en avant n’était pas une erreur. Les Champs de la Mort n’étaient pas une erreur.
Quel que soit le génocide, ce n’était pas une erreur. Ça inclut le Grand Démocide des années 2020. Insinuer le contraire, c’est Leur offrir la porte de sortie qu’ils cherchent.
Ce n’était pas bâclé. Ce n’était pas une bavure. Ce n’était pas une gaffe.
En attendant mes propres articles – qui me prennent un temps monstrueux à rédiger, j’ai compris pourquoi et je l’expliquerai – il se passe des choses qu’il serait dommage de louper. Je vous les fais en tir de barrage. Voici la première.
Meryl Nass décrypte ici le rapport de la récente réunion des parasites habituels et en donne une traduction en langage humain, que j’apprécie d’autant mieux pour m’être moi-même goinfré ce genre de littérature – rédigée en « globalien » – à l’époque maudite où je bossais dans les appels d’offres internationaux. Et au cas où vous vous demanderiez – question légitime – si ces clowns croient à leurs propres salades, la plupart sont prêts à croire n’importe quoi. Ils vivent dans un monde de croyances et de doctrines, qui leur tiennent lieu de savoir. Quant aux autres, ils n’en ont juste rien à caler de vous, de personne. Ce sont des gens cyniques et extrêmement dangereux.
J’ai ajouté à la fin quelques commentaires judicieux de lecteurs, qui complètent bien l’article.
Si vous préférez sauter les détails et passer directement aux Thèmes Principaux, faites défiler la page jusqu’au milieu. C’est sous le couvert de ces THÈMES que notre autonomie est censée nous être confisquée.
Mike Benz m’a appris aujourd’hui que le sens du terme « résilience » a été détourné pour y inclure la censure instaurée par le gouvernement américain. Pour ce faire, on a renommé nos cerveaux, nos opinions et notre présence sur les médias sociaux en tant qu' »infrastructure ». C’est en protégeant l’infrastructure contre les dommages (des idées dangereuses) que l’infrastructure (nos esprits) est rendue résiliente. Plutôt astucieux, non ?
L’objectif du Sommet Mondial de la Santé conjoint était de créer des synergies et de combiner les forces pour le développement de la santé mondiale en engageant tous les dirigeants et les parties prenantes de la santé mondiale de tous les secteurs dans toutes les régions du monde.
Le Sommet Mondial de la Santé 2022 a permis de renforcer les échanges, d’encourager les solutions innovantes aux problèmes de santé, d’élever la santé mondiale au rang de question politique clé et de promouvoir le débat sur la santé mondiale dans l’esprit des objectifs de développement durable des Nations Unies.
Aujourd’hui, la santé est « élevée » au rang de question politique clé. J’appelle ça un aveu, celui que la santé sera utilisée pour en tirer des avantages politiques. Côté développement durable, le sommet a encouragé les participants à ne pas prendre l’avion et tous les repas étaient végétariens.
Réduire l’impact climatique
Le changement climatique est l’un des problèmes de santé les plus urgents de notre époque et figure depuis longtemps à l’ordre du jour du Sommet Mondial de la Santé.
Projets de réduction des émissions
Les émissions de carbone estimées pour les vols des intervenants au Sommet Mondial de la Santé ont été entièrement compensées par le soutien d’un projet de réduction des émissions dans l’État de Karnataka, en Inde. Certifié par Gold Standard, le projet Kolar Biogas fournit des unités de biogaz aux ménages ruraux, réduisant ainsi l’utilisation du bois et du kérosène pour la cuisine. Le projet présente également des avantages pour la santé des ménages participants grâce à la réduction de la pollution de l’air intérieur, et est désigné comme apportant une contribution particulière à l’ODD3 ( Bonne Santé et Bien-être). [J’ai fait des recherches sur ce projet et j’ai trouvé très peu d’informations à son sujet. Les bénéficiaires transforment-ils réellement les déjections animales en gaz de cuisson, ou s’agit-il simplement d’un autre système de transfert d’argent et de crédits carbone sans aucun avantage pour l’environnement ou les personnes? – Nass]
Alternatives au transport aérien
Les orateurs et les participants sont encouragés à éviter de prendre l’avion si possible. Des prix spéciaux sont disponibles auprès de la Deutsche Bahn pour les participants au Sommet Mondial de la Santé. [C’est un sommet MONDIAL et ils demandent aux participants d’éviter de prendre l’avion. C’est une blague? Ce qui aurait pu être significatif, c’est d’interdire les avions privés – Nass].
Restauration
Les repas du Sommet Mondial de la Santé sont entièrement végétariens et préparés à partir de produits régionaux et saisonniers provenant principalement de sources locales. [Pas de grillons au menu donc].
« Les parlements jouent un rôle crucial dans la conception, la mise en œuvre et le suivi de la législation, des politiques et des programmes pertinents pour la réalisation du droit de chacun à jouir du meilleur état de santé physique et mentale possible et pour la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) liés à la santé. »
Cette phrase contient des termes en vogue [NdT. buzzwords] à la fois importants et inquiétants.
Qui décide de ce qu’est le meilleur état de santé possible? Cela pourrait-il impliquer une multitude de vaccinations?
De même, qui décide du meilleur niveau de santé mentale possible? Est-ce qu’il nécessite des médicaments? S’agit-il d’un état soporifique? Un état dans lequel on ne pense jamais à défier l’autorité?
Et pourquoi les objectifs de développement durable sont-ils systématiquement invoqués?
Venons-en maintenant aux thèmes centraux de la conférence:
Investir dans la santé et le bien-être
L’urgence d’investir de manière durable et équitable dans la santé et le bien-être s’avère plus importante que jamais compte tenu de l’imbrication des défis mondiaux actuels. Des discussions approfondies ont eu lieu sur la nécessité d’accroître les investissements dans la santé, notamment à la suite de l’impact de la pandémie de COVID19; les institutions financières sont plus engagées et plusieurs nouveaux instruments financiers ont été proposés. Si l’on constate une évolution vers des investissements responsables de la part des investisseurs privés et institutionnels, particulièrement en ce qui concerne l’impact sur le climat, il reste encore beaucoup à faire pour que les grands flux financiers soutiennent la santé, améliorent l’impact des acteurs économiques sur la santé et élargissent l’approche ESG pour y inclure des considérations sanitaires. Les groupes de personnes vulnérables et marginalisées étant particulièrement touchés, les investissements ciblés sur la santé et ses déterminants jouent également un rôle crucial pour l’équité en matière de santé.
Traduction de Nass: Nous vous avons escroqué pour que vous nous donniez des montagnes d’argent afin de prévenir le changement climatique (sans aucun résultat à la clé), alors pourquoi ne ferions-nous pas de même pour la santé, puisque l’OMS n’a pratiquement rien fait pour la santé depuis sa création en 1948, et que vous ne l’avez jamais remarqué?
Changement climatique et santé planétaire
Le changement climatique est la plus grande menace pour la santé planétaire. Des millions de personnes sont victimes des vagues de chaleur, des sécheresses, des inondations et des tempêtes, de la faim et de la propagation des maladies infectieuses, de l’élévation du niveau de la mer et des migrations et de l’instabilité politique qui en résultent. Nous constatons que de nouvelles inégalités sanitaires importantes apparaissent en conséquence. Pour changer de cap, il faut adopter de nouvelles approches audacieuses en matière d’élaboration des politiques, de recherche et de commerce. Un défi sans précédent exige une réponse sans précédent. De nouvelles coalitions se forment entre les défenseurs et les militants de la santé et du climat, et des organisations internationales telles que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont en train d’accumuler des preuves et de créer des alliances pour placer ce programme au centre de l’action sanitaire mondiale. De nouvelles voies de transformation dans le secteur de la santé et au-delà, tant au niveau local que mondial, doivent être développées. L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.
Traduction de Nass: Pendant que nous prenons en charge la santé, n’oublions pas que nous devons encore lutter contre le changement climatique. Fusionnons simplement les deux concepts, appelons le climat le plus grand défi sanitaire mondial, et exigeons des actions sur les deux, toujours.
Architecture pour la préparation aux pandémies
Malgré les efforts considérables investis dans la préparation mondiale à la pandémie au cours des deux dernières décennies, [150 milliards de dollars US dépensés pour rien, si ce n’est davantage de virus à gain de fonction! – Nass] la pandémie de COVID-19 a souligné la nécessité d’être mieux préparé à identifier et à répondre aux nouvelles menaces pandémiques et épidémiques. Plusieurs groupes d’experts et commissions de haut niveau ont recommandé d’améliorer l’architecture mondiale de la santé publique, tandis que le G7 et le G20 ont inscrit la préparation à la pandémie en bonne place dans leur ordre du jour. Un défi majeur, tant au niveau mondial qu’au niveau national, consiste à mettre en place une surveillance plus forte et plus intelligente, notamment pour la détection rapide des agents pathogènes inconnus, associée à des capacités de prise de décision et de réponse efficaces. Une réalité fondamentale est qu’une meilleure intelligence des pandémies et des épidémies exige que tous les pays soient mieux préparés et capables de collaborer efficacement les uns avec les autres. Pour cela, les aspects structurels sont importants, comme les cadres juridiques internationaux, les mécanismes de financement, l’amélioration de la collaboration multisectorielle et le renforcement des organisations mondiales de santé publique existantes, notamment l’Organisation Mondiale de la Santé.
Traduction de Nass: Nos copains de l’industrie de la biodéfense ont dit qu’il fallait développer considérablement leur industrie. Et sous couvert de préparation, nous pourrons usurper l’autorité des pays pour gérer les pandémies, augmenter la surveillance mondiale non seulement des virus mais aussi des personnes, créer de nouveaux traités et règlements exécutoires, et demander beaucoup plus d’argent pour payer tout cela, le tout sous l’égide de l’OMS.
Transformation numérique de la santé
La transformation numérique de la santé progresse à grande vitesse. Aujourd’hui, les technologies numériques représentent une composante essentielle sur la voie de la connaissance de la santé, des systèmes de santé durables et de la couverture sanitaire universelle. Des changements fondamentaux sont actuellement en cours dans le domaine de la santé en ce qui concerne la manière dont les soins médicaux sont dispensés et dont les informations sont obtenues et diffusées. Les stratégies « Digital Health First » se développent rapidement, car de nombreuses grandes entreprises technologiques entrent dans l’arène de la santé. Le rôle des grandes plateformes technologiques en matière d’informations sanitaires fiables a été mis en évidence pendant la pandémie de COVID-19 et les infodémies sont devenues une menace majeure pour la santé. Ces développements ont conduit à de nouvelles formes de coopération entre les organisations internationales et l’industrie technologique au niveau mondial. Cependant, dans de nombreux pays, d’importants investissements dans les infrastructures sanitaires et numériques sont nécessaires et l’environnement réglementaire est faible. L’extraction de données et la perte de souveraineté numérique suscitent des inquiétudes. Les pays ont besoin de stratégies de santé numérique solides qui intègrent le leadership, les ressources financières, organisationnelles, humaines et technologiques, ainsi que le soutien nécessaire pour surmonter les principaux obstacles auxquels ils sont confrontés.
Traduction de Nass: Les dossiers médicaux électroniques ont contribué à ruiner les soins de santé aux États-Unis, mais ont considérablement amélioré les possibilités de chantage et de surveillance. Alors étendons-les au reste du monde. Le contrôle de l’espace numérique nous permettra une plus grande censure. Donnez-nous plus d’argent pour déployer la grille de contrôle numérique.
Systèmes alimentaires et santé
Les systèmes alimentaires nous rendent malades, entraînent des changements climatiques et sapent la santé des écosystèmes. L’alimentation est au cœur de la santé humaine, des écosystèmes et des animaux. Le programme est vaste : nous devons changer notre façon de penser, de produire, de distribuer, de consommer, d’éliminer et de valoriser les aliments, pour obtenir de meilleurs résultats en matière de santé. Il existe cinq voies interconnectées et interdépendantes : les régimes alimentaires malsains et l’insécurité alimentaire; les agents pathogènes zoonotiques et la résistance antimicrobienne; les aliments dangereux et frelatés; la contamination et la dégradation de l’environnement et les risques professionnels. Nous avons besoin d’une transformation des systèmes pour faire évoluer les systèmes alimentaires vers la fourniture de régimes alimentaires sains et durables pour tous. Si les systèmes alimentaires sont transformés, ils peuvent devenir une force motrice puissante pour mettre un terme à la faim, à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition sous toutes ses formes. Le paquet d’actions comprend la taxation des options malsaines et la subvention des options saines, la protection des enfants contre le marketing nuisible des aliments et des boissons, la garantie d’un étiquetage nutritionnel clair et précis, la réduction des niveaux de sel, de sucres et de graisses nocives dans les aliments et les boissons transformés, l’enrichissement des aliments de base en ajoutant des vitamines et des minéraux supplémentaires, la garantie que des aliments nutritifs pour des régimes plus sains sont servis ou vendus dans les écoles, les hôpitaux et autres lieux publics, l’amélioration de la surveillance et de la réponse aux maladies d’origine alimentaire et l’évaluation et le renforcement des systèmes nationaux de contrôle alimentaire.
Traduction de Nass: Pour prendre le contrôle du système alimentaire mondial, nous avions besoin d’un très Gros Mensonge. Nous avons donc associé le changement climatique à l’affirmation selon laquelle la nourriture nous rend malades (ce ne sont finalement pas les additifs ni la malbouffe). C’est vous, les gens, qui avez bousillé la production alimentaire, alors maintenant laissez-nous fournir des grillons sains et durables à tous. Et prétendre réparer toutes ce que nos partenaires Pharma/Big Ag présents à cette conférence ont jusqu’à présent empêché les autorités de régulation de réparer. Et lancer des « systèmes nationaux de contrôle alimentaire ».
Je me souviens du temps où la Rhodésie a mis en place un système de contrôle alimentaire. Les noirs étaient soumis à des régimes de famine pour les empêcher de partager la nourriture avec les guérilleros. Oh oh.
Résilience et équité des systèmes de santé
La résilience des systèmes de santé et l’équité en matière de santé sont deux éléments clés d’une réponse efficace et efficiente à des crises telles que celle du COVID-19. Si un système de santé n’est pas en mesure de résister aux pressions exercées par un choc, il peut cesser de fonctionner ou s’effondrer, laissant en particulier les plus vulnérables en danger. Il est donc urgent de s’engager au niveau mondial et national à progresser durablement vers la couverture sanitaire universelle et la sécurité sanitaire, tout en s’engageant à respecter l’équité. Cela nécessite une approche intégrée pour construire et reconstruire des systèmes de santé qui répondent aux besoins de la population, avant, pendant et après les urgences de santé publique. Il faut s’adapter aux changements à long terme, apprendre en permanence, assurer les fonctions essentielles de santé publique, renforcer la santé primaire, gérer les risques d’urgence de toutes sortes et faire participer l’ensemble de la société. L’OMS a publié sept recommandations de politique générale sur la mise en place de systèmes de santé résilients fondés sur les soins de santé primaires et le suivi des inégalités en matière de santé effectué par l’OMS fournit une base factuelle pour les politiques, programmes et pratiques axés sur l’équité visant à combler les écarts existants.
Traduction de Nass: Définissez résilience, sécurité sanitaire, approche intégrée, ensemble de la société, pratiques axées sur l’équité. De quoi parlez-vous au juste? Puis donnez-moi un seul exemple dans lequel l’OMS a réalisé quoi que ce soit de ce genre, où que ce soit.
La santé mondiale pour la paix
Le monde connaît le plus grand nombre de conflits depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon les Nations Unies, deux milliards de personnes, soit un quart de la population mondiale, vivent aujourd’hui dans des zones touchées par des conflits. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a réagi en lançant l’Initiative Mondiale Santé pour la Paix (Global Health for Peace Initiative – GHPI) qui vise à positionner la santé comme un facteur d’influence de la paix et l’OMS comme un acteur qui aide à soutenir la paix par des interventions sanitaires qui sont sensibles aux conflits et donnent des résultats en matière de paix dans les zones touchées par les conflits. La GHPI encourage et soutient l’élaboration de programmes de santé qui tiennent compte de la dynamique de la paix et des conflits et qui, dans la mesure du possible, contribuent aux résultats de la paix. Sur la base du principe « Do no harm » (ne pas nuire), il vise à concevoir des interventions qui tiennent compte de la dynamique, des moteurs et des acteurs du conflit et cherche des moyens de contribuer aux résultats de la paix tout en poursuivant des objectifs de santé. Elle comprend la santé mentale et le soutien psychosocial, le dialogue communautaire et les initiatives de promotion de la santé inclusives. Les interventions sanitaires peuvent faire une réelle différence, elles peuvent servir de point de départ pour rassembler les gens. Elles contribuent également à permettre et à renforcer le dialogue, la participation, l’inclusion et l’instauration de la confiance.
Traduction de Nass: Nous avons inventé le chiffre de « 2 milliards » de personnes vivant dans des zones de conflit afin de faire croire que nos interventions peuvent avoir un impact beaucoup plus important que ce qui est possible. Puis nous avons inventé un concept: « la paix grâce aux interventions sanitaires ». Cela nous a permis de prétendre qu’on peut demander à une organisation de santé (l’OMS) d’apporter la paix dans les zones de conflit, même si c’est le travail de l’ONU, pas le nôtre. Et nous utiliserons la promotion de la santé pour gagner la confiance des gens. Et peut-être pourrons-nous droguer les combattants et appeler ça santé mentale.
Pour en savoir plus sur cette conférence, vous pouvez consulter toutes les sessions ou vous concentrer sur les discours de Bill Gates, Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS) ou Antonio Guterres (secrétaire général des Nations unies).
L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.
Les systèmes de santé occidentaux, utilisés dans la plupart des hôpitaux publics du monde, sont tous des systèmes à forte émission de carbone et à forte consommation d’énergie. Cette déclaration nous dit simplement qu’ils continueront à détruire les hôpitaux dans le monde entier. Ils ont amorcé le mouvement avec le covid, mais ils avaient déjà préparé le terrain des années auparavant. Ceux qui comprennent les systèmes émetteurs de carbone savent que le « net zéro » est impossible. Ceux qui travaillent dans la médecine occidentale savent à quel point elle est gourmande en énergie. Ils vont littéralement briser les systèmes de santé au nom de la durabilité et de l’équité, ce qui entraînera la mort de millions de personnes. C’est une destruction systématique de toutes les grandes infrastructures sociétales. Banque, santé, défense, juridique, agriculture, et gouvernance.
Il est extrêmement irritant de lire la salade de mots toxiques générée par ces destructeurs. Les leçons apprises de la pandémie nous permettent de traduire leur vision en une description concise des objectifs réels. Ils veulent que les gouvernements financent l’exécution de leur guerre contre toute vie humaine. Rien n’est plus durable et bénéfique pour les riches psychopathes que de générer d’énormes profits dans leur entreprise d’élimination des mangeurs inutiles.
Bon sang, certaines personnes aiment vraiment en contrôler d’autres. Malheureusement, cela semble aller crescendo jusqu’au moment où ces personnes aiment vraiment en tuer d’autres.
Les humains sont du « carbone ». Toute matière vivante est du carbone. C’est une guerre contre la création de Dieu. Il a déjà gagné la guerre, mais l’ennemi de notre âme et ceux qui le servent causeront autant de souffrance que possible en attendant. Tournez-vous vers Jésus pour trouver la paix et l’espoir.
C’est facile à résumer. C’est le Nouveau Manifeste Néo-Communiste et il est en train de se réaliser parce que personne ne comprend le langage qu’ils utilisent.
Raison pour laquelle Meryl et votre serviteur sont heureux de vous en faire la traduction.
Un article de John Paul sur l’enjeu de « l’accord pandémie » de l’OMS, qui complète bien les trois articles que j’ai publiés juste avant: ici (le mien, qui m’a pris au moins vingt heures de recherche – donc lisez et partagez, merci), ici (de Spartacus, qui servira de synthèse) et ici (d’Igor, qui, comme celui ci-dessous, annonce la suite). Tout ça aidera à comprendre que tout dans cette opération a été orchestré de A à Z, du virus au changement de société, en passant par les sous-opérations de prise de pouvoir financier, politique et technologique. Problème/réaction/solution: classique.
Une petite réserve toutefois: John inclut en toute fin d’article un lien vers le bouquin d’Erica Chenoweth sur la résistance civile non-violente, qui prétend qu’il suffit de seulement 3,5% d’opposition populaire à un gouvernement pour provoquer une révolution. Comme je l’ai déjà maintes fois écrit, violente ou non-violente, il n’y a jamais eu de révolution et il n’y en aura jamais – ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait aucune solution à la tyrannie. C’est d’ailleurs l’objet d’un article que je rédige, bientôt prêt pour publication, « Le Grand Bluff ».
Pour info, Mme Chenoweth est professeure à l’Université de Harvard, fournisseur officiel d’agents au Renseignement américain, ce qui devrait suffire à la discréditer. Son bouquin n’est rien d’autre qu’un manuel à l’usage des fomenteurs de « révolutions colorées », c’est-à-dire de coups d’état étatsuniens.
Le traité de l’OMS sur les pandémies et « la prochaine pandémie »
John Paul
13 décembre
Si vous n’êtes pas au courant, il y a quelques mois, dans le contexte des abus de pouvoir qu’ont permis les discours alarmistes et les pressions (une version pauvre des opérations psychologiques), les suspects habituels se sont jetés sur l’occasion pour accélérer le processus d’approbation de politiques qui, sans cela, auraient été farouchement combattues par de larges pans de la population.
Parmi ces politiques, la plus scandaleuse de toutes est celle qui conduit à un gouvernement mondial unique, également connu sous le nom de « traité de l’OMS sur la pandémie ». Dès qu’il a été rendu public, ce traité a suscité des réactions considérables, car, comme je le disais au début de ce paragraphe, il prévoit l’abandon de toute souveraineté nationale au profit de l’OMS, qui aura carte blanche pour mettre en œuvre toutes les mesures nécessaires pour « faire face à une urgence ou à une pandémie ».
Les pays se réunissent pendant trois jours pour convenir des prochaines étapes de la mise en place d’un instrument juridique historique, ancré dans la Constitution de l’OMS, destiné à protéger le monde des futures pandémies.
Au cours des discussions, les États membres appellent à un accord mondial qui tienne compte de l’équité, qui promeuve la préparation, qui garantisse la solidarité et qui respecte la souveraineté.
La version zéro de l’accord sur la pandémie sera prête à être négociée par les États membres à partir de février 2023.
Les États membres de l’Organisation Mondiale de la Santé ont convenu aujourd’hui d’élaborer le premier projet d’un accord juridiquement contraignant destiné à protéger le monde des futures pandémies. Ce « projet zéro » de l’accord sur la pandémie, ancré dans la Constitution de l’OMS, sera examiné par les États membres en février 2023.
L’accord conclu aujourd’hui par l’Organe Intergouvernemental de Négociation (Intergovernmental Negotiating Body – INB), composé des 194 États Membres de l’OMS, constitue une étape importante dans le processus mondial visant à tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 et à empêcher que ne se reproduisent les effets dévastateurs qu’elle a eus sur les individus et les communautés du monde entier. L’INB s’est réuni au siège de l’OMS à Genève du 5 au 7 décembre pour sa troisième réunion depuis sa création en décembre 2021, à la suite d’une session extraordinaire de l’Assemblée Mondiale de la Santé.
L’Organe a convenu aujourd’hui que le Bureau de l’INB élaborera le projet zéro de l’accord sur la pandémie afin d’entamer les négociations lors de la quatrième réunion de l’INB, qui devrait débuter le 27 février 2023. Ce projet sera basé sur le projet zéro conceptuel et sur les discussions de la réunion de l’INB de cette semaine. Le Bureau de l’INB est composé de six délégués, un pour chacune des six régions de l’OMS, dont les coprésidents M. Roland Driece des Pays-Bas et Mme Precious Matsoso d’Afrique du Sud.
« Les pays ont envoyé un message clair: le monde doit être mieux préparé, mieux coordonné et mieux soutenu pour protéger toutes les personnes, partout, d’une répétition du COVID-19 », a déclaré M. Driece, coprésident du Bureau de l’INB. « La décision de nous confier la tâche d’élaborer un projet zéro d’accord sur la pandémie représente une étape importante sur la voie d’un monde plus sûr. »
Sa collègue coprésidente du Bureau de l’INB, Mme Matsoso, a déclaré que les représentants des gouvernements ont souligné que tout futur accord sur la pandémie devrait tenir compte de l’équité, renforcer la préparation, assurer la solidarité, promouvoir une approche de l’ensemble de la société et de l’ensemble du gouvernement, et respecter la souveraineté des pays.
« L’impact de la pandémie de COVID-19 sur les vies humaines, les économies et les sociétés dans leur ensemble ne doit jamais être oublié », a déclaré Mme Matsoso. « La meilleure chance que nous ayons aujourd’hui, en tant que communauté mondiale, d’éviter que le passé ne se répète, c’est de nous rassembler, dans un esprit de solidarité, dans un engagement d’équité et dans la recherche de la santé pour tous, et d’élaborer un accord mondial qui protège les sociétés contre les menaces de pandémies futures. »
L’accord de l’OMS sur la pandémie est examiné en vue de son adoption en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS, sans préjudice de l’examen, au fur et à mesure de l’avancement des travaux, de la pertinence de l’article 21.
Pourquoi est-ce important? Pour de multiples raisons, la plus importante étant le degré de corruption, de mainmise des entreprises et d’inefficacité de l’OMS. Si l’on pouvait imputer à une organisation au moins la moitié de tout ce qui s’est passé depuis 2020, cette organisation serait l’OMS.
Durant la majeure partie des cent cinquante dernières années s’est maintenu un espace philosophique permettant de discuter du fait que la centralisation du pouvoir, l’octroi d’un pouvoir incalculable à quelques personnes, ou en un lieu unique, a conduit aux plus grandes catastrophes de l’histoire récente. Comme pour la politique de Covid, cette nouvelle politique sera mise à profit par des sectes des élites mondiales pour instaurer sur le monde un contrôle sans possibilité d’opposition. De nombreux écrivains et personnalités ont expliqué à quel point ce traité est scandaleusement dangereux, mais il y a une raison particulière pour laquelle j’ai décidé d’écrire ce court article.
Il y a quelques jours, les suspects habituels, à savoir Johns Hopkins et la Fondation Bill & Melinda Gates, ont organisé un « exercice ».
Dans la même veine, l’exercice « pandémie SPARS » [NdT. document original ici] était un exercice similaire écrit et organisé par Johns Hopkins en 2017 qui avait choisi comme agent pathogène un nouveau coronavirus. Les exercices de ce type sont assez courants, mais la plupart d’entre eux choisissent des agents pathogènes communs ou pouvant être utilisés comme armes, tels que la rougeole, le virus Ebola, etc.
De nombreuses hypothèses et théories sont apparues très tôt dans la pandémie, liant ces documents à l’intention de libérer un nouveau coronavirus.
Celui qui a été choisi dans le cadre de cet exercice est le SEERS, Severe Epidemic Enterovirus Respiratory Syndrome [Syndrome respiratoire épidémique sévère à entérovirus]. Ce qui revêt beaucoup plus de signification, à la fois explicite et même ésotérique. En première analyse, une épidémie ou une pandémie d’entérovirus d’une pathogénicité significative décimera très probablement la santé des quadri-vaccinés, ou plus, à l’ARNm. En fonction de l’ampleur du changement immunologique provoqué par l’intervention susmentionnée, cela pourrait aller bien au-delà.
Une signification secondaire se trouve dans le fait que SEER [NdT. « seer », du verbe « to see », littérallement, visionnaire] est à la fois un mot désignant un sage ou une personne qui prédisait autrefois l’avenir et le nom d’une société de biotechnologie de haut niveau, une société non seulement à l’avant-garde de l’intelligence artificielle/apprentissage automatique liés à la recherche sur les protéines, mais qui dispose de beaucoup d’argent provenant des acteurs également impliqués dans l’ensemble de la réponse à la pandémie. Des entreprises dont vous n’avez probablement jamais entendu parler font souvent plus que laisser leurs empreintes sur les grands événements, comme dans le cas de Leidos [NdT. société militaire privée américaine réputée pour avoir de nombreuses connexions avec le Département de la Défense des États-Unis] et du SARS-CoV-2 (pourtant, vous ne voyez personne en parler, nulle part, jamais, encore moins chez 99% de la résistance Covid…).
Ce n’est un secret pour personne, je suis convaincu qu’il y aura une autre pandémie au cours de cette décennie. Des mathématiques à l’analyse des données, en passant par tout ce qui se trouve entre les deux, tout semble l’indiquer. Ce qui est intriguant, c’est le calendrier proposé par les organismes qui ont mené ces exercices, et par leurs partenaires financiers. Vous pouvez vous servir d’un moteur de recherche pour vérifier: pourquoi toutes les personnes impliquées dans la réponse à la pandémie au cours des cinq dernières années ont-elles prédit une pandémie mortelle d’ici 2025?
Et dans le cas d’un tel événement, que ce soit par la ruse ou par la force (soit une diffusion par des personnes au pouvoir, soit par des personnes qui en ont marre d’elles), lorsque l’inévitable prochaine pandémie frappera un monde où 30% de la population est paradoxalement immunodéprimée, la souveraineté nationale de la plupart des pays du monde se retrouvera entre les mains d’une organisation hautement corrompue, inefficace et captive d’intérêts extérieurs.
Si vous voulez comprendre, au moins en partie, pourquoi je suis à ce point sûr qu’il y aura tout un assortiment de fléaux dans les dix ou vingt prochaines années, mon article suivant pourrait être instructif. Ou alimenter l’anxiété de certains.
Comme je l’ai déjà écrit, le moment où les peuples devront fixer leur limite se rapproche de plus en plus, et au moins une partie de la population devra choisir de s’opposer à la tyrannie ou de se soumettre. Et au cas où vous penseriez qu’il faudrait que ce soit la moitié de la population, en vertu des lois du comportement populationnel et surtout de la théorie mimétique de Girard et de la guerre neuro-cognitive, seul un petit pourcentage de la population suffit.
Certains types de comportements et de mèmes sont aussi contagieux que la rougeole, le SARS-CoV-2 ou toute autre peste artificielle.
Synchronicité? Spartacus a écrit un article très détaillé qui complètera parfaitement le mien.
Addendum15/12:
« L’OMS a annoncé que le Dr Jeremy Farrar deviendra son nouveau Directeur scientifique. Actuellement Directeur du Wellcome Trust, le Dr Farrar rejoindra l’OMS au deuxième trimestre 2023. »
Vous trouverez une mention du Dr Farrar dans l’article ci-dessous, ainsi qu’un aperçu de ses états de service. Apparemment, on est content de lui. La source est sur le site de l’OMS, datée du jour de la publication du présent article. Encore une synchronicité.
Ce n’était pas une fuite de laboratoire, c’était intentionnel
On nous l’a infligé délibérément
Spartacus
12 décembre
Une fausse dichotomie
Actuellement, un débat est en cours entre les Zoonistes [NdT. partisans de l’origine animale] et les Fuitistes [NdT. partisans de la fuite de laboratoire] sur la question de savoir si le SARS-CoV-2 est sorti d’un laboratoire ou d’un pangolin. Ce débat consiste principalement à étudier les preuves génétiques et épidémiologiques pour tenter de déterminer si le virus est d’origine naturelle ou non. De temps à autre, les promoteurs de la théorie de la zoonose font référence à l’un ou l’autre article récent qui affirme que les cas survenus au Marché de Huanan sont le point de départ de la contagion. Les adeptes de la théorie de la fuite de laboratoire ripostent alors en présentant quelque fait obscur sur les attributs génétiques du SARS-CoV-2, indiquant une manipulation en laboratoire. Les deux parties continuent ainsi à lancer des fléchettes sur la cible pour voir celle qui s’y plante.
C’est carrément grotesque. Les événements des deux dernières décennies recèlent une montagne de preuves circonstancielles qui indiquent que le scénario le plus probable est une libération intentionnelle .
La capacité des laboratoires américains BSL-3 et BSL-4 a été massivement augmentée au cours des années 2000 et une grande partie de la recherche de gain de fonction a été menée dans ces laboratoires. La DTRA [Defense Threat Reduction Agency, Agence de réduction des menaces de défense], la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency, Agence pour les projets de recherche avancée de la défense], les NIH [National Institutes of Health, Instituts nationaux de la santé], l’USAID [United States Agency for International Development, Agence des États-Unis pour le développement international] et In-Q-Tel [fonds d’investissement de la CIA] n’ont commencé à sous-traiter ces recherches à des laboratoires étrangersau mépris de toute transparence publique qu’après que les laboratoires locaux aient fait l’objet d’un examen minutieux de la part de groupes de surveillance comme le Sunshine Project d’Ed Hammond et que les demandes de FOIA [Freedom of Information Act, loi d’accès à l’information] aient commencé à affluer. Ils ne sont pas allés en Chine pour espionner les laboratoires chinois. Ils y sont allés pour garder leurs très douteuses recherches de GDF [gain de fonction]/DURC [Dual-use research of concern, recherche à double usage] loin des yeux du public.
Les rhinolophes [chauves-souris] intermédiaires, porteuses du SARS, vivent dans des grottes à 800 miles/1300 kilomètres de Wuhan, dans la province du Yunnan. Le SARS-CoV-2 ou son ancêtre immédiat ne s’est pas téléporté comme par magie à Wuhan, personne n’a chassé les chauves-souris pour leur viande au cœur de l’hiver, lorsqu’elles hibernent, et aucun camion frigorifique ou wagon ferroviaire transportant des chauves-souris n’a parcouru cette distance pour les vendre en faisant une énorme perte.
La collaboration de Ralph Baric et Shi Zhengli constitue essentiellement un transfert de technologie des États-Unis vers la Chine, ce qui est fondamentalement le contraire du travail du renseignement. Pourquoi l’argent de nos impôts et nos méthodes de recherche exclusives de gain de fonction sont-ils partagés avec des puissances rivales?
La DARPA et la DTRA disposent d’inhibiteurs (comme le DRACO) [NdT. ma traduction ici] comme s’il en pleuvait. Ils avaient anticipé quelque chose de ce genre.
Moderna a développé ses vaccins à base d’acide nucléique dans le cadre d’un partenariat de plusieurs années avec la DARPA appelé ADEPT: PROTECT. Ces vaccins utilisent un nouveau mécanisme (d’utilisation de cellules humaines comme bioréacteurs) qui n’a jamais été testé sur des humains dans le cadre d’essais cliniques complets pour l’évaluation des risques sanitaires à long terme.
Les fabricants de vaccins ont été dégagés de toute responsabilité par leurs contrats avec nos gouvernements.
Le directeur de Moderna, Stéphane Bancel, était auparavant le PDG de BioMérieux. Alain Mérieux a participé à la construction du laboratoire P4 au WIV.
Le directeur de Metabiota, Nathan Wolfe, lié à la DARPA, ne faisait pas seulement partie du comité de rédaction d’EcoHealth Alliance, il était aussi un ami de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein, et sa société a reçu des fonds de la société d’investissement de Hunter Biden, Rosemont Seneca. Il est absolument consternant qu’un larbin d’Epstein/Maxwell soit responsable de la sous-traitance de subventions du DOD [Department of Defence, Ministère de la Défense], des NIH et de l’USAID à des laboratoires biologiques étrangers.
Peter Daszak – dont l’EcoHealth Alliance a acheminé des fonds du DOD, des NIH et de l’USAID au WIV – a non seulement travaillé pour la CIA et le DHS, mais il était également un enquêteur de l’OMS sur le terrain à Wuhan, et l’un des principaux responsables de la lettre du Lancet dénonçant la fuite du laboratoire. Il a été cité des années à l’avance, faisant la promotion des contre-mesures médicales.
En 2017, Anthony Fauci a déclaré qu’il y aurait une épidémie surprise.
Il existe de nombreux exercices qui semblent correspondre presque exactement aux événements qui les ont suivis, comme l’Event 201, Lock Step, SPARS 2025-2028, Twin Pillars, l’exercice Monkeypox du NTI, etc. [NdT. il y en a un nouveau que je vous présente dans un article imminent] Nous sommes apparemment censés croire que ces personnes sont clairvoyantes.
Il a été créé un partenariat appelé COVID-19 Healthcare Coalition, dirigé par MITRE [NdT. ici], qui comprenait In-Q-Tel, la monumentalement louche Palantir [NdT. ici] et de nombreuses organisations d’analyse de données d’IA. Ils ont recueilli de nombreuses informations sur les mouvements et les activités des gens.
Il règne une étrange synchronisation entre les différents gouvernements du monde quant aux mesures qu’ils ont prises pour imposer le masquage, le confinement, la censure des médias sociaux, la répression des manifestations, le deplatforming/la mise sur liste noire financière et le suivi des mouvements et du comportement des personnes. De nombreuses entités publiques et privées ont fait des vaccins COVID-19 une exigence pour conserver un emploi. Les gouvernements et les médias ont exercé une coercition et une propagande incessantes. En général, ces mesures semblent viser à établir une tyrannie par le biais de la biosécurité/biosurveillance, de l’expansion du pouvoir et de l’influence du « capitalisme participatif » et des partenariats public-privé, de la destruction des petites entreprises et du transfert de leurs parts de marché à des sociétés oligopolistiques, de l’achat de divers actifs (terres agricoles, etc.) à des prix de liquidation pour se lancer ensuite dans le rentiérisme, de l’effondrement des monnaies pour les remplacer par des MNBC [NdT. voir ici] programmables, de l’expansion de l’État de surveillance et des villes intelligentes, et de l’élimination de la population « excédentaire ». Tout cela est aidé et encouragé par des responsables gouvernementaux complices qui s’engagent dans des actes de malfaisance généralisés et très inquiétants.
La FDA et les CDC font la promotion des vaccins COVID-19 malgré les données alarmantes montrant des taux élevés de lésions vaccinales. Les régulateurs et les fonctionnaires semblent pratiquement en transe, insistant sans cesse sur l’innocuité des vaccins malgré de nombreuses preuves du contraire.
L’industrie pharmaceutique et ses partenaires au sein du gouvernement ont supprimé les thérapies non vaccinales du COVID-19, souvent par le biais d’essais cliniques conçus pour ne trouver aucun avantage. Au moins un de ces essais a été financé par FTX.
Klaus Schwab et le Forum Economique Mondial (FEM) mentionnent à plusieurs reprises que les interfaces cerveau-ordinateur sont un élément clé de leur vision de l’avenir et, en effet, Klaus Schwab mentionne nommément l’initiative BRAIN de la DARPA dans son livre Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. Les personnes affiliées au FEM mentionnent à plusieurs reprises l’Internet des Corps et les outils de biosurveillance implantés. Par ailleurs, le MITRE, la DARPA, la DTRA, les NIH, l’AFOSR, l’ONR et d’autres sont impliqués dans la recherche sur les interfaces cerveau-ordinateur et la neuro-guerre, et certaines des personnes impliquées dans Moderna et l’opération Warp Speed, comme Robert Langer et Moncef Slaoui, sont également liées à des personnes comme Charles Lieber (qui a effectué des recherches sur les interfaces cerveau-ordinateur pour la DARPA) et à des organisations comme Galvani Bioelectronics, qui étudient les thérapies basées sur la neuromodulation. Parallèlement, le Wellcome Trust et le Wellcome Leap de Jeremy Farrar sont impliqués jusqu’au cou dans les origines du virusetla recherche sur l’augmentation de l’être humain.
Le livre COVID-19: The Great Reset de Klaus Schwab et Thierry Malleret était prêt à être publié en juillet 2020, quelques mois seulement après que la pandémie ait commencé à toucher les nations occidentales. On nous a dit que la « Grande Réinitialisation » et « Reconstruire en mieux » étaient des théories du complot, mais les dirigeants mondiaux les ont répétées l’un après l’autre.
Les vaccins COVID-19 extrêmement toxiques à base d’acide nucléique sont essentiellement des produits de biodéfense du DOD. Ce sujet a été largement couvert par Sasha Latypova:
Le gouvernement américain a passé des années à éroder les diverses protections juridiques entourant les vaccins et autres produits pharmaceutiques pour faire une place aux « contre-mesures médicales » du Département de la Défense. Ce sujet a été couvert de manière très détaillée par Katherine Watt:
[NdT. deux articles connexes de Katherine Watt traduits ici et ici]
Au vu de tout cela, nous sommes apparemment censés croire que cette pandémie était soit le produit d’un débordement zoonotique, soit un accident de laboratoire, et qu’un troisième scénario – la libération intentionnelle d’un agent pathogène mortel pour justifier le meurtre de personnes avec des contre-mesures médicales empoisonnées, la restructuration de l’économie et la suppression des libertés civiles – est impensable.
C’est pourtant le seul scénario qui colle à toutes les preuves circonstancielles. Il existe une trace écrite remontant à plusieurs décennies qui démontre l’intention. Il n’est pas nécessaire de disposer de preuves génétiques relatives au virus pour démontrer que tout ceci était intentionnel. Mais lorsqu’on inclut des preuves génétiques, on découvre une souche bizarre du SARS avec un site de clivage de la furine et des motifs semblables à ceux de la gp120 [NdT. une des protéines du VIH], et une correspondance génétique avec un brevet de Moderna.
L’idée qu’un virus se soit échappé d’un laboratoire, puis que des macrostructures politiques massives se soient mises en place dans le monde entier pour supprimer les libertés fondamentales des gens, du jour au lendemain, est absurde. Chaque composante de cette opération a nécessité des années de planification délibérée et de préméditation.
Les gens doivent être prêts à penser l’impensable et à dire l’indicible. Une fois l’origine de laboratoire prouvée, il n’y a aucune raison pour que l’enquête s’arrête là. L’étape suivante consiste à prouver ce que nous savons déjà être vrai, à savoir une libération intentionnelle.
Cette courte absence m’a permis de consacrer beaucoup de temps libre à lire un paquet d’articles. Je reviens avec quelques infos et analyses intéressantes, en commençant par ceci.
On a beaucoup parlé du gain de fonction dans le cadre de la pathogénicité du SARS-CoV-2, sans vraiment définir ce qu’est le gain de fonction. Ce sujet a récemment été abordé par Jonathan Jay Couey, neurobiologiste et membre fondateur de DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Team Investigating Covid-19), qu’il a quitté depuis. Extrait d’un article du Sun du 2 mars 2021:
« DRASTIC est une équipe indépendante de scientifiques, d’analystes et d’enquêteurs qui se sont réunis pour enquêter sur les origines de Covid-19. Leurs travaux ont été cités dans le New York Post, le Washington Post, le Telegraph, le Mail on Sunday et sur Sky News en Australie. Bon nombre de ses membres ont choisi de rester anonymes afin de se protéger d’éventuelles représailles et de pouvoir mener des recherches potentiellement controversées sans que leur carrière en pâtisse. Il s’agirait de spécialistes de l’ingénierie, des mathématiques, de la biologie, du renseignement et des données de sources ouvertes, qui se sont rencontrés sur Twitter. »
Le site web de Couey est ici. Son exposé sur le gain de pureté est ici, suivi d’une analyse de la conférence zoom organisée par Robert F Kennedy Jr, à laquelle il a participé aux côtés de Meryl Nass, Jessica Rose, Tess Lawrie (noms familiers à mes lecteurs) et Robert Malone, dont il décrypte le discours très ambigu – ce que j’ai commencé ici.
Couey rassemble sur son site des interviews qu’il fait de médecins et autres professionnels de la santé et de la recherche, dont le Dr Walter Chestnut (Substack et site web), déjà publié sur ce blog, et Kevin McKernan (Substack), biologiste spécialisé dans la bio-ingénierie, fondateur de Medicinal Genomics, qui étudie rien moins que la génomique du cannabis.
Ceci correspond à l’analyse globale selon laquelle l' »épidémie » et tout ce qui en découle font partie d’une gigantesque fraude.
JJ Couey ne dit pas que la fraude serait le fait que les virus eux-mêmes n’existent pas.
La fraude réside dans le fait que les virus naturels, même s’ils sont manipulés et recombinés en laboratoire par des individus comme Ralph Baric, ne sont pas capables de provoquer des pandémies mondiales, en raison de leur diversité génétique intrinsèque, de la coévolution de nos systèmes immunitaires avec eux et de la manière dont ces deux éléments affectent leur capacité de réplication in vivo.
Les épidémies naturelles s’épuisent trop rapidement, après avoir infecté trop peu de personnes.
Mais les virus synthétiques purifiés en laboratoire, distribués artificiellement et sélectionnés pour leur capacité de réplication, peuvent être présentés au monde comme des virus naturels ou recombinants.
Et cette fraude, dont l’objectif est de créer la peur, pouvait être et a été la justification des masques, des tests, des confinements, des essais cliniques truqués, des campagnes de vaccination de masse par injection létale, des décrets, de la destruction économique, de la centralisation du pouvoir et de la concentration des financements.
[Le tout] partant du principe frauduleux que les pandémies virales constituent une menace véritable pour l’humanité [et] que les gouvernements peuvent et doivent exercer des pouvoirs insensés et investir d’énormes ressources financières dans les entreprises pharmaceutiques – en particulier les produits à base de nanoparticules d’ARNm/lipides – pour tenter de les contrôler.
Continuer de présenter cette fraude au public comme une vérité permet de poursuivre les dissimulations, les campagnes de diversion et autres guerres de l’information.
Pour ce que ça vaut, je vois les Malone (Robert et Jill) d’une manière différente de celle de Crawford. Je pense qu’ils sont des acteurs conscients et volontaires de cette opération criminelle.
Je ne pense pas qu’ils soient des participants réticents pour qui le jeu a soudainement dérapé, et qui cherchent maintenant des moyens de se désengager et de s’expliquer sans violer les termes de leurs autorisations de sécurité du Département de la Défense.
Cependant, ce n’est que mon opinion. Basée sur l’habileté du Dr Malone à éviter de se compromettre, et sur son étrange adhésion à l’image publicitaire de l’Homme-le-plus-intéressant [NdT. ce lien renvoie vers un article de Sage Hana qui taille un costard au Dr Malone, que je rhabillerai pour l’hiver dans un prochain article].
Pour bien comprendre ce qui précède, je vais tenter de résumer succintement quelques points de la présentation susmentionnée de Couey. Comme le fait Katherine Watt ci-dessus, je les replace dans le contexte des événements, ce qui amène logiquement aux questions qu’elle soulève, et aussi à une autre, qu’apparemment personne ne pense à poser.
Juste pour rappel, au début de la « pandémie », certains médecins s’étonnaient de l’étrange distribution de la maladie. Les « viro-sceptiques » y voyaient même la confirmation d’une autre cause, non-virale. Arthur Firstenberg a écrit un bouquin qui donnait comme cause unique du Covid la pollution électromagnétique ambiante générée par la nouvelle génération d’ondes millimétriques – en bref, la 5g. D’autres pointaient l’oxyde de graphène (supposément contenu dans des vaccins anti-grippaux antérieurs), associé à ce même genre d’ondes, comme cause des symptômes du Covid, et comme cause des effets « secondaires » des injections. D’autres enfin, comme le Dr Andrew Kauffman, niaient purement et simplement l’existence du virus, qu’ils identifiaient comme exosomes, et attribuaient les symptômes du Covid à leur hypothèse favorite, la « détoxification ». J’ai déjà traité de ces voies de garage ici.
Ce pseudo-débat a récemment repris un peu d’ampleur sur Substack. De nombreux scientifiques assez pointus, dont je traduis et re-publie ici certains articles, ont assez vite clos le débat par des arguments solides et très documentés sur les divers mécanismes de la pathologie du SARS-CoV-2. L’hypothèse aujourd’hui dominante, longtemps diabolisée, est que le SARS-CoV-2 – la souche dite « de Wuhan » – est issu d’une manipulation en laboratoire, un « gain de fonction » qui l’a rendu plus virulent – et plus mortel – pour l’être humain par rapport à un coronavirus « sauvage ».
Couey pose donc la question: qu’est-ce exactement qu’un gain de fonction? Je résume ce qu’il en dit dans son exposé. Il existe quatre méthodes de gain de fonction, dont trois – passage animal, culture cellulaire, récolte de virus sauvage – sont relativement aléatoires et n’offrent aucune garantie de résultat. La méthode de gain de fonction la plus aboutie est de travailler directement sur le virus. C’est cette méthode qui a vraisemblablement été utilisée pour la fabrication du SARS-CoV-2.
Il est en fait assez facile de créer des copies identiques de virus ARN in silico – appelées « clones » synthétiques – par un procédé employé dans les laboratoires de biologie moléculaire. On utilise pour les répliquer une méthode dite de l’ADN circulaire. Les virus ARN sont d’abord découpés en brins, qui correspondent à des fonctions distinctes du virus et sont conçus pour s’ajuster ensuite comme des pièces de puzzle – la pièce 2 ne s’ajuste qu’avec la pièce 1 et 3, la pièce 3 qu’avec la 2 et 4, etc. On utilise ensuite de l’ADN bactérien pour répliquer ces pièces, qui seront ensuite récoltées par filtration et ré-assemblées par ligation pour former des clones complets. On peut ainsi en fabriquer de grandes quantités et, contrairement à la réplication in vivo, quasiment sans aucune erreur dans le processus, grâce à la stabilité inhérente à l’ADN reproducteur. En plus d’un gain de fonction, on a donc ainsi créé ce que Couey appelle un « gain de pureté ».
Le SARS-CoV-2 est un virus ARN à simple brin qui utilise dans une population humaine l’ADN de l’hôte pour se reproduire. Lors de cette reproduction in vivo, contrairement à ce qui se passe en laboratoire, se produisent de nombreuses erreurs de réplication. Le résultat est qu’un grand nombre devient inapte à causer des symptômes, voire à se répliquer à nouveau – ce sont des virus à réplication défective ou à défaut de réplication. Le résultat est donc une masse de virus dont seule une fraction est identique au modèle de départ. Ils sont désignés par le terme « quasi-espèce » (quasi-species). Lorsqu’ils infectent un hôte, ils constituent un « essaim viral » (swarm), dont seul un petit pourcentage est virulent. C’est donc, pour ainsi dire, un premier mécanisme naturel de contrôle des épidémies.
Un autre mécanisme expliqué par Couey et repris par Katherine Watt ci-dessus, est que les hôtes qui développent une infection létale meurent avant d’avoir pu contaminer d’autres personnes. Qu’il y ait décès ou non, l’état général des infectés est de toute manière suffisamment mauvais pour qu’ils se retirent eux-mêmes très tôt de la circulation – à noter que le Dr Meryl Nass donne plusieurs contre-exemples de ce schéma lors de la susdite conférence zoom. Le virus en circulation s’éteint ensuite purement et simplement, faute d’hôtes. Pour cette raison, les virus à fort taux de létalité sont de très mauvais candidats pour créer une pandémie. Couey cite une fuite de laboratoire antérieure qui a suivi ce schéma (8 000 contaminations, 800 morts, fin de l’épidémie).
Depuis cette présentation, pour une raison qui m’échappe, Couey a succombé à une explication simpliste de la pandémie, rapportée ici avec enthousiasme par Michael Senger, un opposant contrôlé avec un bouquin à vendre sur la culpabilité de la Chine, sujet répété ad nauseam, sur lequel je reviens plus bas avec un point de vue assez différent. Couey pense aujourd’hui qu’il n’y aurait eu aucun nouveau pathogène et que la pandémie ne serait le fait que d’une simple manipulation statistique. Par conséquent, je ne parlerai plus de JJ Couey à l’avenir, pour les mêmes raisons qui me font abandonner tous ceux dont le raisonnement « plafonne » – ou dévie de manière suspecte. Je peux vous assurer avec 100% de certitude, de ma propre expérience et de celle de centaines de personnes dont j’ai lu le témoignage (dont celui-ci) que sa conclusion est fausse. C’est bien un nouveau pathogène, qui provoque un nouveau train de symptômes, aussi étrange qu’épouvantable.
En ce qui concerne la possibilité que ce virus se diffuse et crée une pandémie malgré cet inhérent défaut de réplication, Kevin McKernan donne une réponse – qui ne convainc pas tout le monde – sur cette page ainsi que dans ses commentaires sur cette page:
Mon interprétation de son podcast était qu’un clone infectieux ne durerait pas longtemps dans un essaim…
Je pense qu’il peut durer suffisamment longtemps pour faire le tour du globe comme l’a fait Alpha.
Il est rejoint sur ce point par le Dr Brian Mowrey, autre auteur très prolifique sur Substack, aux publications très fouillées et documentées. En résumé, son angle est de laisser toutes les options sur la table, ce qui donne parfois l’impression qu’il tente de noyer le poisson – c’est quelqu’un d’intéressant mais je lui fais très moyennement confiance. Il retrace une histoire hautement suspecte de la polio, vu ce qu’on en sait maintenant. Il conteste la date d’apparition du VRS, et donc son origine iatrogéne – le vaccin anti-poliomyélitique. Il continue encore aujourd’hui avec obstination à enquêter sur l’origine naturelle ou synthétique du virus. Pour le sujet qui nous intéresse dans cet article, il estime, contrairement à ce que comprend Couey, que la rémanence de certaines souches plaide plutôt en faveur d’un mécanisme de stabilité du génome viral et par conséquent – ça devient intéressant – il ne croit pas beaucoup à l’émergence spontanée de variants (il l’explique ici, ici et ici) et laisse ainsi la porte ouverte à une possibilité de diffusions volontaires et multiples de clones, à commencer par l’original. Pour des raisons techniques qu’il développe en détail, il soupçonne un acteur autre que la Chine ou les Etats-Unis. Il explique à ce propos, qu’il n’y a pas eu de pandémie à proprement parler mais un ensemble de foyers épidémiques distincts, hypothèse partagée par plusieurs autres médecins, notamment le Dr Lee Merritt, qui colle assez bien avec cette distribution étrange.
Voici la question, dont je parlais au début: vu que la souche originale de Wuhan, dont on comprend mieux les différents modes d’action, était manifestement dangereuse, vu que c’est chez les personnes injectées, qui produisent la protéine de pointe de cette souche précise, que l’on voit aujourd’hui des morts subites (SADS, voir ici), vu que les vidéos émanant de Chine début 2020 montraient un genre similaire de mort subite, ces vidéos, jugées frauduleuses, étaient-elles en fait authentiques? Montraient-elles les conséquences d’une diffusion d’arme biologique létale? Dans l’affirmative, ce fait donnerait un tout autre sens à la politique extrême de zéro Covid du PCC. Les Chinois savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas – par exemple, les effets à long terme de la contamination au SARS-CoV-2?
J’ai à publier sur ces effets quelques articles du susmentionné Dr Chestnut, qui montrent que les personnes contaminées par le virus, l’injection et/ou l’excrétion vaccinale de personnes injectées, si on ne trouve aucun traitement adéquat, n’éliminent jamais cette protéine de pointe, qui continue à causer silencieusement des dégâts irréversibles aux organes, au système sanguin et au système immunitaire. Nous verrons donc une dépopulation, d’abord par les morts à court et moyen terme et la stérilisation, suivie par une réduction de l’espérance de vie au niveau global. L’arme parfaite. Le type qui a inventé ça est un génie.
Technocratique ou non, il semble que l’élite compte pour instaurer son système un rétablissement de l’ancien cadre féodal, ou du moins de la notion qu’ils en ont. En recréant l’exode rural par les « villes intelligentes », en recréant la disette alimentaire par la suppression de protéines animales essentielles, le rationnement et la pénurie permanente, en recréant l’indigence avec la ruine économique et l’appauvrissement institutionnel que permettront revenu universel et monnaie digitale programmable des banques centrales, en recréant le sacrifice patriotique par les sanctions contre la Russie, en recréant les anciens cultes par un système de croyances « vertes » et en recréant le spectre des grandes épidémies par une arme biologique destructice de la résistance humaine.
Les médecins sont redevenus de dangereux charlatans, les hôpitaux des mouroirs surchargés. Les gens ont froid, les gens ont faim. La misère et la peur du lendemain sont de retour.
J’attendais de voir un médecin piquer une colère appropriée. Cette scène fut une expérience cathartique. Le mec est énervé, dans le genre énervé niveau génocide.
Avant de commencer, permettez-moi d’expliquer une chose relativement méconnue en Occident, à propos de la colère des Orientaux, ces gens incroyablement polis et patients.
Ce qu’il faut en savoir, c’est qu’elle est très difficile à susciter, et impossible à arrêter.
Vous pouvez me croire, je suis à moitié oriental. Très peu de gens m’ont vu en colère mais tous s’en souviennent.
On n’avait jusqu’à présent vu personne faire de vagues depuis cette partie du monde. Comme vous le lirez, ce n’est pas une simple vague, c’est un tsunami et c’est un signe clair que quelque chose est en train de changer – vous pouvez me croire aussi sur ce point.
Je n’ai pas vérifié si quelqu’un s’était déjà tapé le boulot de sous-titrer la vidéo en français mais comme mes lecteurs le savent, vous pouvez faire confiance à ma traduction (voir note ci-dessus). Merci à Naked Emperor pour sa transcription en anglais, qui m’a fait gagner pas mal de temps. Et bien entendu, merci à Super Sally. J’ai également transcrit et traduit un autre extrait de l’allocution du Dr Fukushima, qui figure sous le premier extrait, en addendum.
Taquin, j’ai failli mettre comme titre « Fukushima explose » mais je me suis retenu à temps.
Note:Quelqu’un sur Substack a fait appel à un traducteur professionnel pour corriger la traduction initiale du japonais vers l’anglais. Devant le grand nombre de lecteurs de cet article, j’ai revu et corrigé ma traduction sur cette base le 12/06/24.
Addendum 17/02/23: la suite de cette histoire ici.
Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19
Il s’adresse au monde entier: « ce vaccin a été scientifiquement mal conçu », « les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial », « des milliards de vies pourraient à terme être en danger »
Super Sally
1er décembre 2022
Un Professeur Emérite japonais, que l’on peut le voir sur Twitter, dénonce l’idiotie et la tragédie des vaccins en termes cinglants. Une carence scientifique totale! Le Dr Fukushima est Professeur Émérite à l’Université de Kyoto et Président du Translational Research Informatics Center. Voici 4:49 minutes de son allocution sur Rumble.
NdT. Cliquez sur la photo pour accéder à la vidéo sur Rumble.
Premièrement, le vaccin a été scientifiquement mal conçu. En 2020, j’ai immédiatement traduit les directives chinoises, dès qu’elles sont arrivées de Chine, sur manière la plus appropriée d’utiliser les stéroïdes. Je l’ai ensuite annoncé. Mais personne ne m’a entendu.
Mais les médecins japonais sont compétents, ils ont donc compris que les stéroïdes devaient être utilisés immédiatement et ont publié une directive vers le mois de juin. Le taux de mortalité a alors fortement diminué. C’était avant le vaccin. Donc, pour ce qui est de ce vaccin, les personnes qui en ont ordonné l’utilisation sans les connaissances académiques, cela constitue un péché. Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial.
Dans un article publié récemment, de nombreuses personnes ayant reçu le vaccin ont été considérées comme ayant subi un préjudice généralisé, ce qui représente des milliards de vies qui pourraient être en danger.
Pour les agences de santé, les questions qui ont été présentées doivent être démontrées avec preuves à l’appui, afin que le Ministère de la Santé et du Travail n’ait pas à s’en préoccuper. Ou reconnaître que c’est le cas et agir en conséquence. Ensuite, pour chaque individu, ces informations doivent être largement diffusées, afin que tout le monde soit sur la même longueur d’onde d’un point de vue médical.
Cet article a été traduit et distribué à tout le monde, alors lisez-le attentivement!
Autre chose, après avoir reçu le vaccin, la moitié des décès étaient dus à des effets sur les nerfs et le cœur, parmi les causes de la mort. Vous comprenez, n’est-ce pas? Alpha, gamma, bêta, et faire tous ces trucs débiles en rassemblant des savants incompétents, en ignorant complètement la science et la médecine.
Cela ne peut plus se reproduire. Notre pays est un pays de science et de technologie. Ignorer la science et la médecine, éroder nos soins de santé, c’est un gâchis! Du rêve à la réalité, nous voyons combien de soins urgents nous avons reçus. Toutes les personnes qui ont reçu ce vaccin et dont la tension artérielle a augmenté, c’est à cause de ce vaccin. Près de 2 000 personnes, mais les décès réels sont, je crois, plusieurs fois supérieurs. La plupart ont perdu tout espoir. J’ai dit « perdu tout espoir »! Il se trouve que l’on a procédé à une autopsie et que l’on a soumis un article d’opinion, mais on n’y a pas touché! Qu’est-ce qu’ils font? Il n’y a aucune raison de cacher ces faits.
Les préjudices antérieurs causés par la médecine sont similaires. Il y a eu de grandes souffrances. Quoi qu’il en soit, nous devons éradiquer les souffrances causées par les médicaments. Ce pays a appris sa leçon sur les souffrances induites par les médicaments, et il est devenu ce pays.
Mais nous l’avons délibérément ignoré, pour dépenser des milliers de milliards de yens afin d’importer des vaccins. C’est pourquoi la situation s’est à peine stabilisée. L’année dernière, on pensait que l’utilisation des vaccins se généraliserait et que la pandémie prendrait fin grâce à eux – j’ai eu l’impression que c’était une chimère dans les revues spécialisées. C’est une idée fausse. Nous avons enfin commencé à le comprendre. De même, en ce qui concerne les nanoparticules… et… le danger qu’il y a à les envelopper dans des nanoparticules et à les injecter. Diverses cellules l’absorbent et se transforment. Nous le savons maintenant. Le mécanisme est clair.
Dissolvez immédiatement le Comité d’Evaluation et enquêtez sur tous les cas. Telle est la conclusion. Enquêtez sur tous les cas! Toutes les personnes qui ont reçu le vaccin se sont senties plus mal; que chacun prévienne les institutions médicales. Nous ne pouvons pas traîner les pieds. Les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes, la susceptibilité aux infections, tout cela se répercutera sur le cerveau. Les nanoparticules seront absorbées par le cerveau. Les scientifiques idiots diront: « Elles ne peuvent pas traverser la barrière sanguine, donc c’est bon. » J’ai envie de dire: « Vous devez être stupide. » L’immunité naturelle est supprimée. La raison pour laquelle le virus ne s’est pas propagé au Japon au début est que les Japonais ont des IgA (immunoglobuline A salivaire) dans leur salive et qu’ils ont une résistance au Corona. Cependant, à cause du vaccin, l’immunité naturelle a été supprimée. L’immunité naturelle a été supprimée, c’est pourquoi cela s’est produit. Le phénomène ne s’atténuera pas du tout. Il va se propager de plus en plus.
Avez-vous calculé le nombre de cas d’infection post-vaccinale? La plupart des personnes ont subi une infection post-vaccinale. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui sont infectées. Ce sont les vaccinés qui s’infectent les uns les autres. Le Ministère de la Santé et du Travail a publié des données qui clarifient tout cela. J’en parlerai plus tard.
Il faut que tout le monde réagisse dès demain. Faites-en part aux journaux et à la presse, ainsi qu’aux membres de la Diète. [NdT. La Diète, c’est-à-dire le parlement japonais, est le plus haut organe de l’Etat et le seul à détenir le pouvoir législatif]
Les gens ont montré où ils avaient été vaccinés.
ADDENDUM
Kyoto University Emeritus Professor, Fukushima:
"Stop the bad science and do the right science. You have vaccinated so many people. And yet, only 10% of the members of the Ministry of Health, Labor and Welfare who are leading the vaccine campaign have been vaccinated." https://t.co/pVydtZQXgApic.twitter.com/AxEvOUBT1p
Pr Fukushima: Je dis donc qu’il faut enquêter! Se baser sur un bout de papier n’est pas correct. Il faut examiner les dossiers médicaux et enquêter correctement. Il n’y a aucun doute à ce sujet. Allons-nous faire de la science? Allons-nous essayer d’effacer des preuves? Faites ce qu’il faut, ou vous allez vous retrouver avec un procès criminel sur les bras. Trop c’est trop. Je ne veux pas en entendre parler. Personne ne sera convaincu par cela.
Membre du Ministère de la Santé: Bien sûr, il ne s’agit pas d’une évaluation pure et simple, mais…
Pr Fukushima: Il n’y a aucun moyen d’évaluer! Ce dont vous avez besoin, c’est de consulter correctement les dossiers médicaux – les données – et de les examiner minutieusement au cas par cas. La vie des gens est en jeu.
Membre du Ministère de la Santé: Oui Monsieur! Nous ferons tout notre possible.
Pr Fukushima: Espèce d’idiot! Assez, c’est assez.
Après avoir réuni les membres de l’académie et de la Diète, nous ne pouvons pas répéter ce genre de choses! Dès le départ, nous devons faire la lumière sur cette affaire grâce au pouvoir de la science. Cela signifie que vous devez dissoudre l’organisation stupide qu’est le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins. Créez un comité d’enquête chargé d’examiner tous les cas. Pour ce faire, il faut inclure des statisticiens et des chercheurs compétents. Ensuite, il faut mener les enquêtes. Comme l’a dit le Dr Sano, s’il y a des échantillons de tissus, quel type de procédure allons-nous suivre? Cette question fait déjà l’objet de recherches dans le monde entier. La restauration du Japon est en jeu.
On a vacciné beaucoup de monde. Et pourtant, seuls 10% des membres du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales qui dirigent la campagne de vaccination ont été vaccinés. Mais qu’est-ce que c’est que cette blague? Premièrement, il faut clarifier cette situation, dissoudre immédiatement le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins, et enquêter sur tous les cas. On doit identifier tous les décès et les décès non signalés. Des milliers, des dizaines de milliers de vies sont en jeu.
Encore une chose. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ce vaccin. De nombreuses nanoparticules absorbées par l’organisme produiront sans cesse des protéines de pointe. Les gens se demanderont pourquoi ils se sentent de plus en plus malades. Soudain, la situation s’aggrave. La tension artérielle monte en flèche sans crier gare. De l’eczéma sans crier gare. Lorsque nous enquêtons, nous trouvons des protéines de pointe. Mais à ce stade du diagnostic, la maladie est déjà passée à la phase suivante. Nous devons immédiatement arrêter les vaccinations et prendre soin de la santé de tous ces cas. C’est ce que dit cet article!
On fait appel à des gens incapables de comprendre correctement la science de pointe, et la presse montre aussi ces gens où ils répètent toujours la même chose. C’est de la bêtise! La bêtise en spectacle. Je ne suis pas ici pour le processus, patati et patata. Je suis ici aujourd’hui pour corriger les choses correctement. C’est pour cela que je suis ici.
FIN DE L’ADDENDUM
Cette biographie le présente comme un expert en maladies infectieuses. Il est oncologue et possède plus de 25 ans d’expérience. Il est amplement qualifié pour s’exprimer.
Le Dr Fukushima est Professeur Emérite à l’Université de Kyoto et Directeur et Président du Translational Research Informatics Center (TRI), Japon. Oncologue, il a plus de 25 ans d’expérience dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux au Japon. Le Dr Fukushima contribue activement à la construction de l’infrastructure des essais cliniques, en mettant l’accent sur la recherche translationnelle. Il encourage l’utilisation des normes CDISC dans la recherche universitaire afin de parvenir à une normalisation complète et harmonisée des données. Le Dr Fukushima supervise également les programmes nationaux de promotion de la recherche translationnelle menés par le gouvernement japonais, qui ont conduit à la formation du Conseil des Organisations de Recherche Académique (ARO).
Les Japonais sont généralement considérés comme polis, réservés et discrets. Cela devrait rendre l’appel du Dr Fukushima d’autant plus frappant et convaincant.
Le Japon fait partie des nations les plus fortement vaccinées contre le virus Covid-19 dans le monde.
Cependant, le nombre de cas augmente à nouveau, ainsi que le nombre de décès. Ça n’a pas de sens si les vaccins sont efficaces. Il est clair qu’ils ne le sont pas!
Ensuite, on voit une montée en flèche et l’accélération de la surmortalité toutes causes confondues au Japon! Cela n’aurait pas dû se produire si ces produits étaient sûrs. Il est clair qu’ils ne le sont pas!
La croissance démographique négative antérieure sera aggravée et accélérée par les produits Covid-19.
Le Japon avait déjà une croissance démographique négative avant le Covid-19. Ajoutez à cela les crises cardiaques, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux, la surmortalité, l’infertilité induite par les vaccins et les pertes de grossesse, entre autres événements indésirables. Cela pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le Japon est peut-être en voie d’extinction!
Le nombre de naissances au Japon atteint un nouveau plancher alors que la population diminue et vieillit
Le principal porte-parole du gouvernement japonais a déclaré lundi que le nombre de bébés nés cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière.
Par MARI YAMAGUCHI Associated Press 28 novembre 2022, 11:32 AM
TOKYO — Le nombre de bébés nés au Japon cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière, ce que le porte-parole du gouvernement a décrit comme une « situation critique ».
Le secrétaire en chef du Cabinet, Hirokazu Matsuno, a promis des mesures globales pour encourager les mariages et les naissances.
Le total de 599 636 Japonais nés entre janvier et septembre est inférieur de 4,9 % au chiffre de l’année dernière, ce qui laisse penser que le nombre de naissances pour l’ensemble de l’année 2022 pourrait être inférieur au chiffre plancher de 811 000 bébés enregistré l’année dernière, a-t-il déclaré.
Le Japon est la troisième plus grande économie du monde, mais le coût de la vie est élevé et les augmentations de salaire sont lentes. Le gouvernement conservateur a tardé à rendre la société plus inclusive pour les enfants, les femmes et les minorités.
Jusqu’à présent, les efforts du gouvernement pour encourager les gens à avoir plus de bébés ont eu un impact limité malgré le versement de subventions pour la grossesse, l’accouchement et les soins aux enfants.
« Le rythme est encore plus lent que l’année dernière […]. Je comprends que la situation est critique », a déclaré Matsuno.
De nombreux jeunes Japonais ont hésité à se marier ou à fonder une famille, découragés par les sombres perspectives d’emploi, les trajets pénibles et les cultures d’entreprise incompatibles avec le travail des deux parents.
Le nombre de naissances est en baisse depuis 1973, année où il a culminé à environ 2,1 millions. Il devrait tomber à 740 000 en 2040.
La population du Japon, qui compte plus de 125 millions d’habitants, est en baisse depuis 14 ans et devrait tomber à 86,7 millions en 2060. La diminution et le vieillissement de la population ont d’énormes répercussions sur l’économie et la sécurité nationale, car le pays renforce son armée pour contrer les ambitions territoriales de plus en plus affirmées de la Chine.
Le Dr Fukushima a absolument raison de dénoncer les vaccins et les conséquences de la pandémie, d’être livide! Son gouvernement doit y prêter attention! Nous devons y prêter attention! Tous les gouvernements qui ont forcé leur population à se faire vacciner sont confrontés aux mêmes conséquences et résultats. Ne pas écouter, c’est courir un grave danger!
Je vous propose quelques articles qui passent en revue des personnalités du monde médical, en commençant par le plus tristement célèbre. On trouve quelques répétitions inutiles dans celui-ci, et il oublie de mentionner les millions de morts causés par les « mesures ». Il y a d’autres articles que je publierais (conditionnel) si j’avais plus de temps mais il se passe pas mal de choses en ce moment.
Fauci inaugure une nouvelle tactique après l’amnistie pandémique: l’amnésie pandémique.
Aucune transcription n’est encore disponible et aucun journaliste n’a été admis. Mais grâce aux procureurs généraux qui ont intenté le procès, aux plaignants et à leur avocat, ainsi qu’aux autres parties impliquées dans le procès contre l’administration Biden, nous disposons de quelques informations sur la déposition d’Anthony « Je suis la Science » Fauci. Ce dernier a été la figure de proue de la réponse à la pandémie et il est accusé de collusion avec Big Tech pour faire taire la dissidence, en violation du Premier Amendement.
La question de savoir si la déposition devait être publique a elle-même fait l’objet d’un débat juridiques. Le Ministère de la Justice a fait opposition à la publication de tout enregistrement et de toute information personnelle identifiable par crainte de harcèlement public, et cette exigence a été satisfaite. En conséquence, on ne dispose pas (encore) de transcription et on sent une grande réticence, même de la part des personnes présentes, à révéler l’intégralité des propos tenus. Les grands médias nationaux n’ont montré aucune volonté de s’intéresser à pour cette affaire.
On dispose néanmoins d’informations par le biais de tweets sans ambigüité et d’un article rédigé par l’un des plaignants. Le fait marquant majeur est que Fauci est atteint d’un sévère cas d’amnésie. Le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, a rapporté que pendant sept heures, Fauci a essentiellement éludé toute question précise, répondant qu’il ne se rappelait pas clairement les détails qui pouvaient mettre en lumière son implication dans la censure de la parole.
« Wow! Ça a été stupéfiant de passer 7 heures avec le Dr Fauci. L’homme qui, à lui seul, a détruit l’économie américaine en s’appuyant sur ‘la science’. Tout ça pour découvrir qu’il ne se souvient pratiquement de rien concernant sa réponse au Covid! »
Et ce, malgré les centaines de pages et les nombreuses déclarations publiques qui semblent confirmer que la Maison Blanche et de nombreuses agences gouvernementales ont collaboré très étroitement avec Google, Facebook, Twitter et d’autres, pour contrôler le récit durant près de deux ans. Une collaboration qui perdure probablement encore aujourd’hui.
C’est Eric Schmitt, Procureur Général du Missouri et à présent Sénateur élu, qui a intenté le procès aux côtés du Procureur Général de Louisiane. Schmitt a tweeté « quelques éléments à retenir de la déposition de Fauci: Fauci savait que la théorie de la fuite du laboratoire était fondée, mais comme elle risquait de lui être reprochée, il a immédiatement cherché à la discréditer; il a défendu les mesures de confinement; le commun des mortels n’est pas en mesure de déterminer la meilleure solution pour lui-même. »
Il écrit également: « Au cours de la déposition de Fauci cette semaine, la sténographe a éternué. Fauci a exigé qu’elle porte un masque. Voilà, en novembre 2022, la mentalité de l’homme qui a verrouillé notre pays et détruit un nombre incalculable de vies et de moyens de subsistance. Les experts ont fait pareil. La dissidence a été censurée. En Amérique. Plus jamais ça ».
Le plaignant Aaron Kheritary, Chercheur Principal et Associé de Brownstone, explique ce qui suit:
MISE À JOUR: extrait de la déposition d’hier de Fauci dans l’affaire MO contre Biden. Fauci a confirmé avoir envoyé en février 2020 Clifford Lane, son adjoint au NIAID, en tant que représentant américain pour la délégation de l’OMS en Chine. Lane a convaincu Fauci que nous devrions imiter les mesures de confinement de la Chine.
Le PCC avait annoncé que la Chine avait maîtrisé le virus grâce à des mesures de confinement draconiennes – une affirmation que l’on sait maintenant mensongère. Compte tenu de l’habitude de la Chine de falsifier les informations, Lane et Fauci auraient dû faire preuve de scepticisme face à cette affirmation. Les confinements constituaient une pratique totalement expérimentale et inédite.
Comme l’a dit notre avocat, @Leftylockdowns1, Fauci « était apparemment prêt à baser son plaidoyer en faveur du confinement sur les observations d’un seul homme s’appuyant sur les rapports d’un dictateur ». Ce n’est pas exactement le niveau de preuve d’un essai randomisé en double aveugle, ni un quelconque niveau de preuve.
Quelques jours après le retour de Lane, l’OMS a publié son rapport faisant l’éloge de la stratégie de la Chine: « L’utilisation intransigeante et rigoureuse par la Chine de mesures non pharmaceutiques [confinement] pour contenir la transmission du virus COVID-19 dans de multiples contextes offre des leçons essentielles pour une réponse mondiale ».
« Cette réponse de santé publique plutôt unique et inédite de la Chine a permis d’inverser la progression des cas », affirme le rapport. Mon collègue @jeffreyatucker du @brownstoneinst a donné un aperçu ironique du rapport ému de l’OMS: « J’ai eu une vision du futur, et c’est Wuhan. »
Le confinement s’est rapidement diffusé de la Chine vers l’Occident, vu qu’un nombre troublant d’apologistes occidentaux, en plus de l’OMS, se sont également penchés sur la réponse au covid du Parti Communiste Chinois.
Les États-Unis et le Royaume-Uni ont emboité le pas au confinement de l’Italie, qui avait suivi la Chine, et tous les pays du monde, hormis une poignée, ont immédiatement suivi notre exemple. Quelques semaines plus tard, le monde entier était confiné.
Depuis le début, la base factuelle de cette catastrophe politique mondiale était très mince. Nous vivons maintenant les conséquences de cette catastrophe.
Jim Hoft, de Gateway Pundit, a ajouté des citations directes de Fauci confirmant pleinement le rapport de Brownstone sur le voyage éclair des NIH en Chine en février 2020:
John Sauer, « Et M. Lane, au retour de ce voyage, a dit que la gestion des Chinois était très structurée, organisée; exact?.. Avez-vous discuté avec M. Lane de ses impressions sur ce voyage lorsqu’il est revenu du voyage de l’OMS ? »
Dr Fauci: « La réponse est oui… Le Dr Lane a été très impressionné par la façon dont, du point de vue de la santé publique clinique, les Chinois géraient l’isolement, la recherche des contacts, la construction d’installations pour soigner les gens, et je pense que c’est ce qu’il voulait dire en parlant de [leur] gestion très structurée et organisée. »
Sauer: « Il a donc tiré la conclusion qu’il pourrait être nécessaire de prendre des mesures extrêmes, selon ses termes, pour imposer une distanciation sociale afin de maîtriser l’épidémie; exact? »
Fauci: « C’est ce que cela implique, oui… Il a discuté avec moi du fait que les Chinois avaient adopté une méthode très organisée pour tenter de contenir la propagation à Wuhan et ailleurs. Il n’a pas eu l’occasion d’aller à Wuhan, mais il était à Pékin, et je crois dans d’autres villes – au moins à Pékin – et il a mentionné leur manière très organisée, bien réglée de gérer l’épidémie.
Sauer: « Et donc sa réaction a été plutôt positive. Y a-t-il des leçons à tirer pour les États-Unis dans leur réponse à l’épidémie? »
Fauci: « Je crois que le Dr Lane est arrivé à la conclusion que, lorsqu’on est confronté à une maladie respiratoire fortement répandue, un moyen très courant et efficace de freiner la propagation rapide de la maladie est de mettre en œuvre des mesures de distanciation sociale… Le Dr Lane est un clinicien très avisé, et j’ai toutes les raisons de croire que son évaluation de la situation était précise et correcte. »
Pour être clair, ce que Fauci décrit ici, c’est une réponse politique qui consistait à souder les portes des appartements des gens et à exercer un contrôle totalitaire sur leurs déplacements, comme mise en œuvre « très organisée » et « bien réglée » de « mesures de distanciation sociale ».
Fauci est un menteur habile. Comme nous l’avons constaté depuis des mois dans ses commentaires publics, il ment quand il sent qu’il peut s’en tirer ou quand il sent qu’il n’y aura pas de conséquences significatives.
Fauci a fréquemment menti, à moins et jusqu’à ce qu’il soit confronté à des faits alternatifs. Par exemple, il a prétendu qu’il ne connaissait pas Ralph Baric (créateur du virus COVID) ou Peter Daszak (qui a négocié la subvention du NIAID de Fauci au laboratoire de biologie chinois de Wuhan), jusqu’à ce qu’il soit confronté à la preuve que son propre chef de cabinet lui a envoyé un courriel mentionnant que Daszak et Baric faisaient partie de l’équipe de Fauci!
Fauci a prétendu qu’il n’avait pas connaissance que son équipe de communication ne se coordonnait pas avec les entreprises de médias sociaux pour empêcher la « mal-information et la désinformation » jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il avait effectivement connaissance de certains cas de coordination.
Fauci a continué à faire valoir l’affirmation, aujourd’hui démentie, selon laquelle le COVID-19 était un virus d’origine naturelle.
Fauci a déclaré que la désinformation et la mal-information (les informations avec lesquelles il n’est pas d’accord) mettent des vies en danger.
Fauci a refusé de donner une définition de la recherche sur le « gain de fonction », affirmant que ce terme était trop large pour être défini.
FAIT AMUSANT: jusqu’à TRÈS récemment, la fille de Fauci travaillait pour Twitter.
FAIT AMUSANT: Fauci est un hypocondriaque. Dans un moment bizarre et surprenant de sa déposition, Fauci a déchargé une partie de sa frustration sur la pauvre sténographe. La sténographe qui transcrivait la déposition a éternué, et Fauci a interrompu la déposition et a réprimandé la sténographe: « C’EST QUOI VOTRE PROBLÈME? Vous souffrez d’une maladie respiratoire parce qu’à l’ère du COVID, je suis inquiet à l’idée d’être près de vous. » Sténographe: « Je ne suis pas malade, j’ai juste des allergies. Mais je peux porter un masque. » Fauci: « Ok. Merci, parce que ce que je ne veux surtout pas, c’est attraper le COVID. » [NdT. ce qui précède semble indiquer/confirmer que Fauci est un véritable psychopathe) (à noter que (1) Fauci lui-même n’a porté de masque à aucun moment de la déposition, et (2) il était apparemment assis à plusieurs mètres de la journaliste judiciaire).
FAIT AMUSANT: lors d’un autre spasme d’hypocondrie de Fauci, Fauci a ostensiblement fait une moue répobatrice au procureur général de la Louisiane Jeff Landry après que Landry ait éternué dans la veste de son costume.
Stratégie de jeu. Chaque fois qu’il aborde un sujet difficile, il refuse malhonnêtement de définir les termes clés afin d’éviter d’être coincé et de devoir rendre des comptes. Par exemple, lorsqu’il a abordé le sujet de la recherche sur le « gain de fonction », il a refusé de reconnaître la signification de ce terme, objectant qu’il s’agissait d’un terme si large qu’il ne pouvait être défini.
Fauci a affirmé à plusieurs reprises qu’il « ne se rappelait pas » ou « n’arrivait pas à se souvenir », et a tenté de soutenir ces déclarations invraisemblables en faisant valoir le grand volume de courriels qu’il recevait ou les questions ou études qui atterrissaient sur son bureau. La quasi-totalité de ces affirmations n’est tout simplement pas crédible, car les incidents en question étaient soit récents, soit survenus au cours des trois dernières années, et ils étaient tous porteurs d’une forte connotation politique.
L’autre méthode de mensonge de Fauci consistait simplement à prétendre qu’il ne comprenait pas quelque chose, en espérant que l’avocat qui posait la question ne pourrait pas le prendre en défaut. Par exemple, il a manifestement menti à un moment donné lorsqu’il a prétendu ne pas savoir ce qu’était Meta (société mère de Facebook), jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il savait en fait ce qu’était Meta.
Autre tactique de Fauci: lorsqu’il était forcé d’admettre qu’il avait fait une communication ou examiné un document clé à un moment clé, ou qu’il connaissait ou travaillait avec un individu clé, il essayait de minimiser chaque fait négatif en (1) minimisant l’importance de la communication, (2) suggérant que bien qu’il ait examiné le document clé, il ne l’a pas vraiment lu attentivement, ou (3) suggérant, avec une fausse humilité, qu’il n’était pas un expert dans le domaine X et qu’il ne comprenait donc pas pleinement l’étude scientifique en question, ou (4) affirmant que, bien qu’il « connaissait » la personne en question, il ne la connaissait pas vraiment bien car il rencontrait de nombreux médecins et scientifiques dans le cadre de son travail.
Autre tactique de tromperie de Fauci: jeter ses subordonnés par-dessus bord. Fauci est un champion de la survie dans le milieu de la bureaucratie. L’une des façons dont il a survécu aussi longtemps est de ne s’attribuer que le mérite des victoires et de rejeter les pertes sur ses infortunés subordonnés. Cette tendance s’est poursuivie lors de sa déposition, dans laquelle il a effrontément affirmé que, bien qu’il soit à la tête du NIAID et de son budget de 6 milliards de dollars, il n’a jamais eu connaissance de ce que ses subordonnés directs faisaient juste sous son nez. Fauci est disposé à rendre des comptes, tant qu’il a un subordonné à sacrifier.
Fauci a affirmé que l’hydroxychloroquine était « dangereuse » et avait des effets secondaires « toxiques »… Fauci a affirmé que l’HCQ était inefficace dans le traitement du COVID, mais n’a pas pu citer une seule étude pour étayer son affirmation. Fauci a également rejeté la liste des 371 études sur l’HCQ et son efficacité dans le traitement de la maladie lorsqu’on lui a présenté cette liste.
Fauci a admis avoir menti au public. Dans l’un des moments les plus étonnants de sa déposition, Fauci a admis qu’il avait sciemment fait de fausses déclarations de santé publique au début de la pandémie, en déconseillant aux gens d’utiliser des masques afin de les dissuader d’épuiser les stocks de masques.
Fauci a admis qu’il tenait ses idées de confinement de la Chine Communiste qui a mis en place ses confinements extrêmes en janvier 2020.
Jenin Younes, avocat des plaignants qui travaille avec la New Civil Liberties Alliance, a écrit sur Twitter: « Une de mes citations préférées de la déposition de Fauci aujourd’hui: » Mon travail quotidien est très prenant, je dirige un institut de six milliards de dollars. Je n’ai pas le temps de me préoccuper de choses comme la Déclaration de Great Barrington. »
Gardez à l’esprit que nous disposons des archives complètes des courriels, dans lesquels Fauci s’attribue le mérite de s’être « prononcé très fermement et publiquement contre la Déclaration de Great Barrington« .
En conclusion, nous avons ici un compte rendu révélateur de l’étonnant témoignage de Fauci, qui n’est choquant, pour ceux qui ont suivi cette affaire de près depuis le tout début, que parce qu’il confirme le degré de trahison que nous soupçonnions depuis longtemps d’être à la source de toute cette histoire de confinement aux États-Unis. Nous avons également eu confirmation que l’expression « distanciation sociale » n’est rien d’autre qu’un euphémisme désignant une attaque massive à la chinoise contre tout ce que nous appelions autrefois en Occident la liberté.
Note: 1) « Globohomo » est un néologisme plaisant pour désigner l’élite globaliste. 2) « Sûr et Efficace » désigne le produit injectable que nous avons tous appris à connaître et à apprécier.
« Ce n’est pas parce que vous êtes paranoïaque qu’ils ne sont pas après vous. »
Kurt Cobain
Ce que je n’arrivais pas à comprendre lorsque l’injection de poison ARNm a été annoncée pour la première fois à un public plein d’espoir et reconnaissant, c’est pourquoi Globohomo ciblait le segment le plus docile de la société pour l’administration de ces injections mortelles. Tuer ses serviteurs et laisser debout la plupart de ses ennemis n’avait aucun sens, à moins que les universitaires des think tanks qui élaborent la stratégie de Globohomo ne soient pas très brillants, que Globohomo veuille faire table rase du passé pour mettre ses ennemis en avant, ou que cette « pandémie » n’ait rien à voir avec un virus et qu’il y ait d’autres intentions. La Grande Réinitialisation n’était-elle qu’une diversion à la James Bond pour cacher ce qui se passait réellement derrière le rideau de Globohomo?
J’ai acquis la conviction que ce qui se passe réellement est la troisième prémisse: les propriétaires du réseau bancaire mondial créent une « transition » afin de pouvoir déplacer l’Occident (et donc entraîner le reste du monde avec lui) et son panier de fausses monnaies défaillantes, pondérées en fonction des échanges commerciaux, vers une nouvelle fausse monnaie qui reste sous leur contrôle, tout comme les anciennes monnaies de singe criblées de dettes (USD, EUD, GBP, JPY). Pendant cette transition fabriquée, le véritable ennemi de Globohomo n’est pas la souveraineté nationale ou les Déplorables, c’est l’hyperinflation qui représente le plus grand risque pour son contrôle systémique sur le panier de fausses monnaies.
L’hyperinflation est la résultante d’une véritable révolution et nationalise la création, l’administration, la distribution et la fixation des prix de la monnaie d’une nation au profit de ses citoyens (voir l’Allemagne de Weimar pour en avoir la preuve). Cette nouvelle monnaie devra être une monnaie numérique, car elle fournit les moyens – en utilisant les prétextes fallacieux du changement climatique – de contrôler la demande et donc de contrecarrer le monstre hyperinflationniste qui suivra cette transition. Ainsi, une fois l’hyperinflation apprivoisée, cela garantit que le réseau bancaire mondial contrôlera la nouvelle fausse monnaie, car M. et Mme Tout-le-monde n’y pourront absolument rien, comme la dernière fois le 15 août 1971 [NdT. fin de Bretton Woods], la fois précédente le 1er mai 1933 [NdT. ici] et la fois précédente le 23 décembre 1913 [NdT. création de la FED].
Pour combattre cette hyperinflation, Globohomo est affecté par la même pensée de groupe qui étrangle l’Occident aujourd’hui et n’est donc plus aussi habile qu’avant, alors que le monde est beaucoup plus complexe. Après avoir donné un coup de pied dans la fourmilière des taux d’intérêt, il ne lui reste plus que deux outils keynésiens [NdT. ici] dans son sac de tours de magie monétaires: 1) détruire la demande en détruisant l’offre et 2) détruire la demande en tuant les consommateurs. Sûr et Efficace était la solution à long terme pour contrôler l’hyperinflation – tuer les consommateurs, réduire leur demande, amortir l’hyperinflation pendant la transition vers la fausse monnaie, et maintenir le contrôle sur la nouvelle fausse monnaie numérique (mondiale?).
La deuxième façon de réduire la demande est de détruire l’offre de biens en utilisant des guerres artificielles. Mais si la guerre avait progressé en premier, la demande des consommateurs subsisterait pour une quantité réduite de marchandises, ce qui aurait été inflationniste et aurait déclenché l’hyperinflation trop tôt dans la transition vers la fausse monnaie. Globohomo a donc dû expérimenter un nouveau moyen de détruire la demande, raison pour laquelle il fallait d’abord vacciner les gens avec ce bon vieux Sûr et Efficace pendant la fausse pandémie, car leur demande devait être détruite avant que les guerres ne détruisent ce qu’ils demandaient. Ainsi, grâce à un mécanisme permettant de contrôler l’hyperinflation, la fausse transition monétaire a pu se dérouler comme prévu.
C’est pourquoi les nations économiquement développées du monde (à l’exception du Japon) [NdT. petite erreur, voir ici] sont les nations les plus vaccinées – ce n’est pas parce qu’elles sont les plus riches, qu’elles ont un accès immédiat aux meilleures technologies ou qu’elles ont les meilleurs systèmes de « soins de santé ». C’est parce que c’est de ces pays que provient la plus grande demande de biens et que, grâce à la création immédiate de crédits, ils ont la capacité de payer tous ces biens.
Ainsi, les nations développées présentent le plus grand risque d’hyperinflation dans le cadre d’un scénario de statu quo de la demande de biens à long terme et, comme il n’était pas possible de détruire d’abord la demande des consommateurs par la guerre, les consommateurs eux-mêmes sont systématiquement détruits. Le Japon, quant à lui, est de toute façon en pleine spirale démographique descendante et pourrait mettre en œuvre une destruction de la demande à long terme sans guerre ni Sûr et Efficace. Bien que l’Afrique et les pays pauvres du Moyen-Orient présentent une forte demande de biens à long terme, ils disposent de peu de moyens pour payer ces biens et ne représentent donc pas un risque appréciable d’hyperinflation, de sorte qu’ils ont largement échappé aux programmes de vaccination de masse.
Taux de financement garanti au jour le jour 2014 – 19
Mais ensuite, le plan de Globohomo s’est pris un coup de poing dans la figure. Ce coup de massue, avec son compte à rebours de 8, remonte à l’événement de singularité financière du 17 septembre 2019, lorsque le SOFR [NdT. Secured Overnight Financing Rate] est passé en une seule journée de 2,20% à 5,25%, gelant la création de crédit mondiale et plongeant la chronologie de Globohomo dans le chaos. À l’insu de M. et Mme Tout-le-monde, de septembre 2019 à juin 2020, Trump et Mnunchin – à l’aide d’un programme REPO [NdT. ici] du Trésor – ont fait apparaître 17,66 trillions de dollars et ont créé de fait ce qui a été le plus grand événement financier de l’histoire du monde. La question est la suivante: s’agissait-il de dollars de la Réserve Fédérale ou de dollars du Trésor américain? Cet acte de vandalisme monétaire représente-t-il une opportunité rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinitialiser notre faux système monétaire à l’équivalent de ce que Kennedy avait tenté de faire en 1963, mais sans l’argent [NdT. métallique]?
Si la vie telle que nous la connaissions le 18 septembre 2019 avait continué comme si de rien n’était avec cette énorme quantité d’argent supplémentaire en circulation, cela aurait créé l’Armageddon de l’hyperinflation, ce qui est le pire cauchemar de Globohomo; il fallait donc faire quelque chose, et quelque chose d’énorme et de rapide. Ainsi, il n’y a aucune coïncidence dans la chronologie rapide révisée – octobre 2019: le virus est libéré pendant les Jeux Militaires Mondiaux à Wuhan en Chine avec son laboratoire BSL4 fournissant une couverture parfaite; novembre 2019: des vidéos chinoises spectaculaires de personnes mourant dans les rues à cause de l’étrange et catastrophique nouveau virus; décembre 2019: l’OMS déclare l’urgence sanitaire mondiale; février 2020: interdiction de voyager dans le monde; mars 2020: début du confinement aux USA; mai 2020: début de l’opération Warp Speed, etc.
(L’histoire entière de la civilisation humaine telle qu’on nous la raconte est censée s’être développée à cette période) Températures historiques dans l’hémisphère nord de la Terre à haute latitude
Le plan initial pour détruire la demande, étouffer l’hyperinflation et commencer la transition vers une fausse monnaie consistait à enfermer tout le monde jusqu’en 2030 en utilisant comme excuse la fausse crise climatique de l’Agenda 2030 de l’ONU. Cela aurait probablement commencé une fois que la plupart des nations occidentales auraient eu des gouvernements de gauche et/ou de faux conservateurs, conformes et contrôlés, fermement en place. Une fois tout le monde enfermé, il n’y aurait plus eu de sorties shopping, les garçons n’auraient jamais rencontré les filles et la reproduction se serait effondrée dans le monde développé. Pas de naissances et beaucoup de morts de désespoir – un démocide bien propret et étincelant.
Globohomo ne pouvait pas se permettre de laisser M. et Mme Tout-le-monde découvrir que l’entièreté du réchauffement de la planète dans l’hémisphère nord a eu lieu il y a 11 600 à 10 000 ans. Et ils ne pouvaient surtout pas apprendre que l’hémisphère nord de la Terre s’est en fait légèrement refroidi au cours des 8 000 dernières années.
Niveaux mondiaux de CO2 et température au cours des temps géologiques
Globohomo ne pouvait pas non plus permettre à M. et Mme Tout-le-monde d’apprendre que la dernière fois que les niveaux de dioxyde de carbone ont été aussi bas, la Terre a connu son déclin permien, au cours duquel 95% des espèces ont disparu. Ils ne pouvaient pas non plus apprendre que les températures mondiales sont en réalité égales à deux minimums historiques antérieurs, à savoir l’Ordovicien et la transition Carbonifère/Permien. Ils ne pouvaient jamais apprendre que la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre plus efficace que le dioxyde de carbone. Et ils ne pouvaient, en aucun cas, apprendre que le principal moteur du réchauffement de la planète est le soleil.
Les scientifiques qui vous apportent la Science
Mais c’est ce qui a failli se passer – au lieu de cela, nous avons eu droit à une politique monétaire déguisée en fausse pandémie et nous nous sommes enfermés pendant que Globohomo attendait que le bon vieux Sûr et Efficace opère sa magie destructrice de la demande. Tous les décès ont été soudainement attribués au virus que, jusqu’à présent, aucun scientifique de la Science n’a réussi à isoler d’un être humain in toto plutôt qu’in silico et beaucoup de M. et Mme Tout-le-monde ont avalé le scénario – peur, espoir, conformité et libération.
Ils ont fait la queue par millions pour obtenir leur produit « Sûr et efficace » afin de pouvoir goûter cette libération, sans même avoir pris la peine d’effectuer une simple recherche Google sur les « vaccins à ARNm » ni cherché à savoir comment tous ces furets s’en étaient tirés après des expériences similaires. Puis sont apparues les variants in silico, maintenant nous avons le SADS [NdT. ici] et la myocardite normalisée chez les enfants de 8 ans, et bientôt nous verrons des milliers de personnes tomber mortes à cause – roulement de tambour – du changement climatique – bruit de cymbale! Attendez-vous donc à ce que le récit du changement climatique soit le signe avant-coureur de la finalité première de ces confinements. Pour sauver mamie du soleil.
La politique monétaire de Donald Trump – Elle ne peut être menée qu’une fois
Mais Trump a-t-il plutôt profité de cette rare mais étroite fenêtre d’opportunité pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre système de fausse monnaie pour lancer une bombe nucléaire financière qui déclencherait l’hyperinflation bien plus tôt que ce que Globohomo avait prévu, lui forçant ainsi la main pour la mise en oeuvre du Plan-B pandémique de destruction de la demande? Globohomo a-t-il dû changer à la hâte sa raison d’être et condenser son calendrier de transition monétaire – ce serait la raison pour laquelle nous nous retrouvons aujourd’hui dans ce merdier mondial absolu? Ce que je n’arrive pas à savoir, c’est qui doit porter le chapeau pour ces 17,66 trillions de dollars imprimés entre septembre 2019 et juin 2020 – c’est comme si cet argent s’était évaporé, avait été « corziné » [NdT. « corzined » signifie en argot américain, confier son argent à une personne importante et découvrir qu’il a mystérieusement disparu].
La Réserve Fédérale ne détient pas tout, car son « bilan » le 16 septembre 2019 s’élevait à 3,84 trillions de dollars et s’élève aujourd’hui à 8,8 trillions de dollars. Où sont les 12,7 trillions de dollars manquants? Si c’est dans l’aile comptable du Pentagone, cet avion a atterri il y a 21 ans [NdT. voir mon article pour les détails]. Si le Trésor détient sa propre dette (c’est-à-dire des bons du Trésor émis en dollars de la Réserve Fédérale), cela signifie-t-il que le gouvernement américain se paie lui-même lorsqu’il paie les intérêts et que nous avons donc effacé la dette américaine lorsque Trump a réhypothéqué la totalité de celle-ci? Est-ce là le grand secret que le public américain ne pourra jamais apprendre (outre les secrets du changement climatique)? La dette fédérale en septembre 2019 s’élevait à environ 16 trillions USD et serait-ce une coïncidence que 17,66 trillions USD aient été imprimés? Pourquoi pas 10 trillions USD, 35 trillions USD, etc. Les esprits curieux veulent savoir.
Le jeu est-il enfin terminé? Ou est-ce que le jeu ne fait que commencer?
Une partie de cet argent manquant a probablement été retiré pour liquider des positions REPO, mais les banques étant des banques, lorsqu’elles ont pris leur argent REPO au lieu de se prêter de l’argent les unes aux autres puis de liquider leurs positions REPO, elles ont utilisé tout cet argent libre pour acheter des actions technologiques et ont ainsi créé une hyperinflation sur le marché boursier qui s’est déversée dans l’immobilier haut de gamme, les crypto-monnaies, les jets privés, les NFT [NdT. non-fungible tokens] et toutes sortes de conneries en papier, en numérique et en « actifs » haut de gamme. Globohomo n’a pas approuvé. Avec des actions maintenant en baisse de 20%, ces banques pourraient faire face à des pertes si elles vendaient leurs avoirs en actions, donc elles ne peuvent pas vendre et ainsi le monstre de l’hyperinflation se réveille sous le lit de Globohomo. Et on commence à voir que « Sûr et Efficace » a peut-être été un peu plus sûr que prévu. Apparemment, les furets sont de mauvais extrapolateurs linéaires pour les humains.
C’est ce que la Fed tente désespérément d’étouffer – elle essaie de forcer les liquidités à sortir du marché boursier pour liquider les positions REPO 2019-20 et rayer de la carte l’argent de Trump, tout comme le Trésor américain de l’après-Kennedy a chassé et retiré de la circulation le moindre billet des États-Unis. Si l’augmentation des taux d’intérêt ne fonctionne pas, Globohomo fera exploser sa bombe antimatière financière avec un REPO inversé, mais les banques devront alors non seulement prendre leur mal en patience avec des pertes d’actions – un scénario où le plus petit perdant est le plus grand gagnant – mais elles se retrouveront ensuite à détenir des bons du Trésor à 0,75% dans un monde à 3,5+%.
Les banques sont dans la merde et quand les banques sont dans la merde, Globohomo est dans la merde jusqu’à ce qu’il reçoive le prochain renflouement (bail-out) des contribuables sous la forme d’un renflouement (bail-in) à la Barney Frank [NdT. j’explique la différence entre les deux sous cet article]. Mais lorsque l’argent du compte en banque de M. et Mme Tout-le-monde s’envole au moment même où les factures médicales s’accumulent et qu’il renaît sous forme d’actions ordinaires de la banque qui se ratatinent immédiatement dans le néant financier, alors de véritables révolutions peuvent se produire. Hyperinflation ou renflouement, Globohomo devra bientôt choisir son poison, mais M. et Mme Tout-le-monde l’ont déjà choisi pour eux. C’est une course contre la montre des morts à venir – Course à la Mort 2023. Tic-tac, tic-tac…
Nous sommes tous dans la même galère.
D’un point de vue historique, ce à quoi nous assistons aujourd’hui en temps réel était autrefois qualifié de sorcellerie – la coercition d’une grande partie de la population pour lui faire accomplir des actions de masse nuisibles à son bien-être, qui sont néanmoins accomplies pour le seul bénéfice d’une petite minorité malveillante. Et la société ne se rend compte de rien tandis que ces actions délétères produisent leurs effets pernicieux. Les gens, vos amis et vos proches, ne savent pas ce qu’ils ont fait. Ils ne veulent pas savoir ce qu’ils ont fait. Ils se jettent dans le feu en riant, la main dans la main.
Et est-ce une coïncidence que – 2019: L’OMS déclare une urgence sanitaire mondiale 1353: fin de la peste noire 2019 – 1353 = 666
Dans la bataille pour le contrôle du monde, il n’y a pas de règles.
Bail-out, bail-in
Bail-out bancaire: Le gouvernement utilise l’argent des contribuables pour racheter des actifs toxiques et injecter des capitaux dans les banques en faillite afin de les empêcher de faire faillite.
Bail-in bancaire: Disposition de la loi Dodd-Frank. Plutôt que d’utiliser l’argent des contribuables pour injecter des capitaux dans les banques, celles-ci peuvent saisir l’argent des déposants, transformant ainsi la dette en capitaux propres pour maintenir la banque à flot.
Une simple mise à jour, pour ainsi dire. Pour être complet, j’inclus à la fin l’article d’août d’Igor auquel il fait référence pour les modalités de calcul.
Avant ça, juste une petite anecdote: il y a environ deux ans, mon épouse me montre un clip sur YouTube, une interview sur une chaine turque d’information, genre journal parlé – ça fait longtemps, je n’ai plus le lien. L’invité explique que oui, il y aura bel et bien un « vaccin » mais qu’il causera un nombre faramineux de cancers et qu’ensuite les grands groupes pharma mettront sur le marché un vaccin contre le cancer qui sera accessible à la population sous condition. Je vérifie le profil du gars, il a travaillé pour le secteur bancaire à très haut niveau- ce qui, en ce qui me concerne, le disqualifie.
Oups, erreur! Octobre 2022, les voici. Avec nos nouvelles amies, les particules nanolipidiques…
L’association entre les vaccins et la SURMORTALITÉ se renforce et est discutée au Parlement britannique
L’association devient étrangement plus forte – et plus inquiétante
Igor Chudov
6 novembre
Bien que nous allons aborder la très mauvaise nouvelle de l’augmentation des taux de mortalité, je suis heureux d’annoncer qu’un membre éminent du Parlement britannique, Andrew Bridgen, a soulevé, devant le Parlement britannique, la relation entre la vaccination et la surmortalité.
Un simple coup d’œil aux données montre qu’il existe une CORRELATION TRÈS FORTE entre la SURMORTALITÉ et le niveau d’utilisation des vaccins dans ce pays. Une enquête devrait certainement être menée. Ce sont des dizaines de milliers de PERSONNES qui MEURENT.
Voir son discours ci-dessous.
UK MP @ABridgen: “even a casual glance at the data shows that there’s a VERY STRONG CORRELATION between excess DEATHS & the level of vaccine uptake in that country. Surely we must have an investigation? These are 10s of thousands of PEOPLE who are DYING..”pic.twitter.com/EBwCV5Mncvhttps://t.co/JocCkR7MTO
(Après ce discours, Andrew a été suspendu du Parlement pendant sept jours pour une supposée « infraction sans rapport »).
D’où Andrew Bridgen a-t-il tiré son idée (correcte)? Je ne suis pas sûr, mais j’ai posté une analyse originale [NdT. voir en dessous de cet article] liant statistiquement la « surmortalité » au taux de vaccination par pays le 30 août 2022.
Je ne prétends évidemment pas qu’il l’a appris par moi – j’espère que de nombreuses autres personnes ont effectué des analyses similaires, et que l’une d’entre elles a été remarquée par M. Bridgen. Plus il y a de gens qui analysent ces données, mieux c’est. J’en suis heureux.
Les nouvelles données semblent encore pires
J’ai décidé de refaire le calcul de la surmortalité par rapport à l’utilisation des vaccins ou des boosters, en utilisant deux mois supplémentaires de données sur la mortalité.
J’utilise exactement la même méthodologie que dans mon article sur la « relation prouvée« . Je vous invite à le lire si vous êtes intéressé par les détails ou si vous souhaitez reproduire mes résultats. Au lieu des semaines 10 à 35, j’analyse maintenant la « surmortalité » des semaines 20 à 44 (pour être précis, la semaine la plus récente disponible à la semaine 44 dans la base de données sur la mortalité à court terme – les données ont un décalage). Tout le reste est resté inchangé. Les données sont ici:
Quelques remarques sur les données ci-dessus:
Le pays le moins vacciné, la Bulgarie, présente une surmortalité NÉGATIVE (la plus faible de toutes).
Le Chili a en réalité reçu plus de boosters qu’il n’a d’habitants, en raison de la multiplication des boosters par personne, et connaît la plus FORTE surmortalité.
La Suède, malheureusement, est passée en territoire de surmortalité positive, même si je suis heureux de dire qu’elle reste faible.
Les questions que je veux étudier sont les suivantes: Existe-t-il une association entre la prise de vaccin ou de booster et la surmortalité dans les semaines 20 à 44? L’association s’est-elle affaiblie ou renforcée par rapport aux semaines 10-35?
Voyons cela.
Surmortalité par rapport au taux de vaccination:
Excès de mortalité par rapport à la prise de booster:
Nous pouvons constater que les taux de vaccination (nombre de personnes entièrement vaccinées pour 100), ainsi que les doses de boosters administrées pour 100 personnes, sont TRES FORTEMENT ASSOCIÉS À LA SURMORTALITÉ. Tous deux ont des valeurs P très faibles, ce qui suggère qu’il est très peu probable que cette association soit le fruit du hasard.
Voici le pire: Au cours des semaines 10 à 35, le taux de vaccination n’explique que 27% de la variation de la surmortalité, et le taux de boosters n’explique que 40% de la surmortalité. (ce qu’on appelle le R-carré). (voir l’article précédent sur ce sujet pour les régressions)
Pendant les semaines 20 à 44, les taux de vaccination et de boosters expliquent PRESQUE LA MOITIÉ de la variation de la surmortalité (49% pour les deux). C’est un pouvoir explicatif beaucoup plus important!
Cela signifie qu’au fil du temps, la force de l’association entre la surmortalité et la vaccination AUGMENTE!
EDIT: Notez également que la PENTE de la ligne, par exemple, pour le taux de vaccination, est passée de 0,0024 dans mon article d’août à 0,0034 deux mois plus tard! Une augmentation de 40% de la pente. Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que l’ampleur de l’effet a également augmenté, et pas seulement le pouvoir explicatif. Les choses se dégradent de manière mesurable.
C’est contre-intuitif et inquiétant!
Je vous invite à consacrer une minute à comprendre que l’augmentation de la force de l’association, à mesure que le temps passe après l’événement à l’origine de l’association (la vaccination), est
très inhabituel
très inquiétant.
Que se passe-t-il? L’horloge tourne; les personnes non vaccinées ne se font plus guère vacciner. Et pourtant, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de décès en excès sont expliqués par le taux de vaccination (49% au cours des semaines 20 à 44, au lieu de 27% 10 semaines auparavant). Le taux de vaccination, pour l’essentiel, se réfère à des vaccinations qui ont eu lieu dans un passé relativement lointain, il y a un an environ. Il se passe quelque chose dans le corps des personnes qui ont été vaccinées il y a plus d’un an qui augmente le degré de cette association entre les vaccins et les décès au fil du temps!
Stop. Ce n’est PAS normal.
Prenons l’exemple d’un poison typique, comme la mort-aux-rats. Disons qu’un cuisinier négligent a accidentellement saupoudré des quantités variables de mort-aux-rats sur les salades des clients du restaurant. Certains en ont reçu plus, d’autres moins, et certains sont donc morts de la mort-aux-rats. Il serait compréhensible que la « visite au restaurant » soit associée à une « surmortalité » des malheureux dans la première ou les deux premières semaines suivant la visite. Un an plus tard, cependant, on ne s’attendrait pas à une telle relation, les effets du poison se dissipant.
Cependant, l’association entre la vaccination (événement passé lointain) et la mortalité (événement présent) augmente au fur et à mesure que le temps passe!
Qu’est-ce qui pourrait l’expliquer? Pour être honnête, je n’en suis pas certain. Je peux proposer deux explications:
La vaccination a un effet différé qui fait augmenter la surmortalité. Les poisons ordinaires ne produisent pas cet effet. Les substances cancérigènes ont exactement cet effet. Ils déclenchent une chaîne de processus biologiques qui entraînent une augmentation de la mortalité à terme.
La vaccination a eu des effets négatifs ET positifs sur la mortalité, et les effets protecteurs s’estompent. Il y a quelque temps, les vaccins contre le Covid offraient une certaine protection contre les décès dus au Covid. Cependant, au fil du temps, cette protection s’est amenuisée. Ainsi, alors que les effets protecteurs s’amenuisent et que les effets négatifs se poursuivent, le pouvoir explicatif des vaccinations pourrait augmenter.
Avertissement: Corrélation contre causalité
La corrélation n’est pas la causalité. Ces régressions linéaires montrent une corrélation et non une causalité. Elles constituent un signal d’alarme qui nécessite une analyse honnête et approfondie.
Voir une corrélation, c’est comme voir de la fumée. Y a-t-il un incendie?
Nous avons besoin de toute urgence d’une enquête, pas d’obstruction ou d’une « amnistie pandémique »
Un dirigeant honnête d’un bon pays, en entendant des nouvelles aussi inquiétantes, embaucherait de nouvelles personnes qui ne sont pas entachées du bagage et de la responsabilité d’avoir imprudemment vacciné des millions de personnes avec une nouvelle technologie non éprouvée connue pour ses échecs, ses problèmes d’infertilité et la mort d’animaux de laboratoire.
Ces nouvelles personnes incluraient des médecins talentueux, des biostatisticiens sophistiqués, des médecins légistes expérimentés, des biologistes, des historiens, des enquêteurs, etc. Ils concevraient un processus public, ouvert et sophistiqué pour examiner la surmortalité au niveau individuel, ainsi que pour comparer les résultats des personnes vaccinées et non vaccinées, etc.
Ils examineraient les corps de centaines de personnes jeunes et en bonne santé qui meurent subitement afin de vraiment comprendre la chaîne d’événements qui a provoqué leur mort soudaine et inattendue. De même, ils essaieraient de comprendre pourquoi les taux de cancer montent en flèche, bien au-delà des niveaux habituels.
Leurs conclusions et les données sous-jacentes seraient accessibles à la communauté afin que les membres intéressés du public puissent apporter leur contribution.
Enfin, une telle enquête pourrait sauver des milliers, voire des millions de vies, si le mécanisme des décès excessifs était correctement compris et si la chaîne des séquelles mortelles était brisée. J’espère que ces décès puissent être évités d’une manière ou d’une autre!
Rien de tout cela ne se produit.
Tout ce que nous avons, c’est une augmentation des décès excessifs, un déni et une dissimulation. Google ne veut PAS que vous recherchiez « surmortalité 2022 » dans la barre de « suggestion de recherche ».
Google est au courant de la « surmortalité 2022 » ; c’est pourquoi il bloque les suggestions de recherche pour ce terme. Mais Google ne veut pas que VOUS le sachiez.
Nous n’avons pas à leur accorder d’amnistie, nous devons découvrir ce qui se passe et pourquoi des gens meurent.
Cher lecteur, dites-moi s’il vous plaît: pourquoi pensez-vous qu’ils font obstruction à toutes les enquêtes et suspendent les membres du Parlement britannique? Quelle en est la raison? Une préoccupation mal placée pour la poursuite de l’utilisation des vaccins? La peur de la responsabilité? Ou quelque chose de pire?
RELATION PROUVÉE: Boosters COVID et surmortalité en 2022
29 pays montrent une forte association entre « l’utilisation des boosters » et « la surmortalité »
Igor Chudov
30 août
Cet article montre qu’il existe une association statistiquement très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters COVID.
Le taux de boosters au 1er juillet explique la surmortalité en 2022, par pays, en utilisant une régression linéaire avec un R^2 = 40% et une valeur P incroyable de 0,0002, ce qui donne à cette relation une signification statistique indiscutable!
De quoi s’agit-il?
On parle beaucoup de la surmortalité et des taux élevés de cancer en 2022. J’ai également écrit à ce sujet récemment (je ne suis pas Gammadion):
NdT. « Snake oil » (l’huile de serpent) est le qualificatif que les américains donnent aux remèdes bidon. Ça se vendait réellement comme médicament à l’époque des pionniers de l’Ouest.
Depuis cet article, j’ai voulu voir si les intuitions des anti-vaccins sur la cause de la surmortalité étaient vraies. J’ai donc entrepris de trouver des données sur la mortalité dans de nombreux pays et de voir si je pouvais les faire correspondre à des données sur la vaccination ou l’utilisation des boosters.
Par bonheur, j’ai trouvé des données pour les deux paramètres. La mortalité pour les dernières années, par semaine, est répertoriée dans la base de données sur la mortalité à court terme. Cette base de données comporte un fichier CSV qui peut être téléchargé. La prise de boosters et de vaccins se trouve dans Our World in Data (OWID) [Notre monde en données], que j’ai déjà téléchargé dans une base de données SQL.
Par ailleurs, j’ai déjà utilisé la base de données OWID pour prouver que les boosters sont fortement associés à la mortalité due au COVID en Europe. (décès dus au Covid)
Bien content d’avoir refusé le « booster »! Les boosters AUGMENTENT maintenant les morts du Covid en Europe.
Mais qu’en est-il de la surmortalité totale, et pas seulement de la mortalité Covid? C’est ce que nous allons examiner aujourd’hui.
Base de données sur la mortalité à court terme
Après avoir téléchargé les données de mortalité à court terme sous forme de fichier CSV, j’ai écrit un script perl pour lire les données et les analyser.
Le script charge les données pour deux périodes: l’année principale, ou 2022, et les trois années de base 2017 à 2019. Les semaines sélectionnées pour l’analyse sont les semaines 10 à 35. Il ajoute, pour chaque pays, le sous-total des décès pour chaque semaine trouvée, et compte le nombre de semaines trouvées également (tous les pays ne déclarent pas exactement le même nombre de semaines). J’ai dû exclure l’Australie, le Luxembourg, la République tchèque et la Corée du Sud, faute de données suffisantes. (La Corée du Sud a un taux de surmortalité faramineux de 50%, renseignez-vous).
Compte tenu de ce que nous avons, nous pouvons comparer les « décès par semaine » (décès divisés par le nombre de semaines) pour la période 2022 (principale), ainsi que pour la période 2017-2019 (base), pour les mêmes semaines des années correspondantes. J’appelle le rapport des « décès par semaine » pour ces périodes, MOINS UN, la surmortalité.
NB : Notez que ce calcul n’est qu’une approximation assez proche de la surmortalité que les statisticiens officiels calculent car ils prennent également en compte les petits changements de population, etc. Bien que ces différences soient importantes pour effectuer des calculs démographiques tout à fait corrects, elles sont suffisamment mineures pour ne pas être prises en compte dans le cadre de mon analyse, à mon avis. Je compare les mêmes semaines de toutes les années, pour tenir compte de la saisonnalité.
Cela nous donne les données de « surmortalité » pour chaque pays donné.
Our World in Data – Taux de boosters et taux de vaccination
Our World in Data peut nous donner le taux de boosters et le taux de vaccination par pays. Je peux interroger ma base de données SQL comme suit:
Ainsi, à partir de ma base de données OWID, j’obtiens des données sur les « boosters pour 100 personnes au 1er juillet 2022 », ainsi que sur le « taux de vaccination au 1er mars 2022 ». Il est à noter que les données initiales sur les boosters dans OWID sont insuffisantes, j’ai donc choisi le taux de boosters au 1er juillet pour avoir des données valides sur lesquelles travailler. Le choix d’une date tardive pour les boosters pour cette période ne compromet en aucun cas l’intégrité de ces résultats. Bien au contraire, l’examen de l’effet du taux de boosters proche de la fin de la période permet de saisir les dommages causés par les boosters donnés pendant ladite période.
Les données compilées se présentent donc comme suit:
(Oui, le Chili administre plus de boosters qu’il n’a de citoyens).
Relation entre les boosters, les vaccins et les décès
J’ai ensuite effectué une « régression linéaire » pour voir s’il existe une relation entre l’utilisation des rappels au 1er juillet 2022 et l’excès de décès en 2022. (Les choses ne changent pas beaucoup si je déplace la date, tant que de bonnes données sont disponibles à cette date).
Le résultat est consternant!
Il montre que l’utilisation des boosters est extrêmement fortement (et positivement) liée à la surmortalité, avec une valeur P de 0,0002. Attention, tout ce dont la valeur P est inférieure à 0,05 est considéré comme statistiquement significatif – donc P=0,0002 est irréfutable.
Comme la plupart de mes lecteurs ne sont pas statisticiens, je m’explique. Le graphique ci-dessus signifie que plus on prend de boosters, plus la surmortalité est importante pour les pays figurant sur le graphique. Le P=0,0002 signifie qu’il est extrêmement improbable que cette association soit une coïncidence aléatoire.
Plus de boosters – plus de décès!
Ce qui est également très intéressant, c’est que l’ordonnée à l’origine est très proche de zéro.
En outre, un seul chiffre par pays – le nombre de rappels à un jour donné, le 1er juillet 2022 – explique 40% de la variation de la surmortalité. Cela signifie que la vaccination et les boosters ont probablement été un facteur extrêmement important en ce qui concerne la surmortalité de chaque pays.
J’ai effectué la même régression pour le taux de vaccination au 1er mars. Le résultat est principalement le même, mais légèrement moins impressionnant que pour les boosters au 1er juillet. La signification statistique reste extrêmement forte, mais le pouvoir explicatif appelé R-carré est légèrement inférieur.
Avertissement, corrélation et causalité
Rien de ce qui précède n’autorise une déclaration simpliste du type « Je viens de prouver que les boosters font crever les gens ». Ce ne serait PAS une interprétation correcte. (bonjour les vérificateurs de faits).
L’interprétation correcte est qu’il existe une RELATION EXTRÊMEMENT PROMINENTE entre les boosters et les décès en 2022. Il s’agit d’un signal d’alarme et d’un sujet de réflexion qui doit être analysé plus avant. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité.
La démographie est une science compliquée et il existe des instituts de démographie dans chaque pays. Je ne suis pas personnellement propriétaire d’un institut de démographie et je fais seulement ce que je peux, avec les compétences dont je dispose. Cependant, personne ne me possède non plus.
Bien que j’aie clairement indiqué que j’ai découvert une corrélation, et non une causalité, je crois personnellement que les boosters SONT une cause de mortalité accrue. Il y a de nombreuses raisons de croire que c’est très probable, mais c’est un sujet pour un autre article.
Données régionales du Royaume-Uni
Notre perspicace lecteur Nova nous a fait remarquer qu’au Royaume-Uni, le même schéma de mortalité en fonction de la région est évident et qu’il est aussi statistiquement très significatif avec P < 0,0001. Je ne l’ai pas vérifié personnellement.
C’est exactement ce que je constate ici au Royaume-Uni en utilisant les données officielles du gouvernement. La vérité se cache au grand jour.
J’ai comparé la surmortalité avec les niveaux de triple vaccination dans chaque région LTLA (Lower Tier Local Authority) en Angleterre pour les 15 semaines les plus récentes et les données donnent un message très clair – il y a plus de surmortalité dans les zones avec des niveaux plus élevés de triple vaccination.
Les données ont une valeur P de <0,0001, ce qui indique une déviation significative par rapport à l’horizontale, comme le montre la ligne de tendance linéaire.
Une analyse plus poussée des données indique que la surmortalité s’élève actuellement à 1180 décès par semaine en Angleterre. Il est évident que ces décès se produisent de manière disproportionnée dans les zones où les niveaux de vaccination sont les plus élevés, ce qui m’amène à conclure que les vaccins jouent un rôle dans les niveaux de décès élevés actuels.
Ma propre hypothèse
Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters?
Revoici Alexandra Latypova. Vous avez été très nombreux à lire son interview. Bravo.
Un sujet, brièvement abordé au tout début de l’Opération, revient maintenant sur le tapis: la distribution géographique très atypique de la maladie.
Une distribution qui fait penser à une opération militaire de diffusion d’un agent pathogène.
Mme Latypova en parle ici. Le Dr Lee Merritt l’avait évoquée dans des interviews que j’ai déjà mentionnées mais pas eu le temps de transcrire. Liliane Held-Khawam avait également relevé il y a un certain temps le fait que cette « pandémie » touchait surtout certaines zones à fort taux d’épargne, chiffres à l’appui. Le Dr Mike Yeadon se penche également sur cette question dans une interview et une autre mentionnée dans cet article. Il pense qu’il n’y avait en définitive pas de nouveau pathogène et que les décès en 2020 n’étaient le fait que des décisions « sanitaires ». J’aime beaucoup le Dr Yeadon, il est très courageux, il fait de gros efforts pour reconsidérer sa vision du monde et remettre en question certains de ses concepts mais c’est un médecin civil. Dans ce cas, il est incompétent. Je le mentionne puisqu’il est question de lui dans cet article. S’il s’agit d’une arme biologique, la recherche militaire a quarante ans d’avance sur le secteur civil. Ils ont probablement un peu mieux qu’un virus dans leur arsenal. Seul un membre de la recherche militaire en bio-armement pourrait expliquer ce qui se passe. Ce qui est peu probable.
Après l’interview susmentionnée de Mme Latypova, il ne devrait plus rester le moindre doute que la totalité de la réponse au Covid était sous contrôle militaire étatsunien. La question se pose donc aussi et surtout pour la « pandémie » elle-même.
Était-ce un acte de guerre biologique?
La réponse pourrait finir tôt ou tard par sortir.
Si elle est positive, toute cette histoire pourrait rapidement assez mal tourner.
Note: je n’ai pas inclus tous les liens de l’article original qui renvoient à des articles précédents de Sage Hana, dont certains que j’ai déjà publiés.
Sasha Latypova, lanceuse d’alerte et ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, répond aux 6 questions de baba_gbb
« Le fait que le COVID soit causé par un virus n’est pas clair. »
Sage Hana
3 novembre
Le billet d’aujourd’hui est la suite du billet de mardi et du fil de discussion concernant la thèse actuelle du Dr Mike Yeadon: « Il n’y a jamais eu de pandémie virale d’un nouvel agent pathogène ».
L’un de mes lecteurs et collègues détectives, baba_gbb, a contacté Sasha Latypova avec quelques questions récapitulatives compilées à partir de notre longue et tortueuse session de brainstorming.
Sasha a gracieusement accepté d’y répondre et nous a permis de publier ses réflexions.
Merci, Sasha!
Contexte:
Sasha Latypova est une vétérante de longue date des essais cliniques et de la réglementation dans l’industrie pharmaceutique. Tout comme Yeadon, ancien cadre de Pfizer devenu lanceur d’alerte, elle n’était plus en activité lorsque l’opération COVID-19 a été lancée.
Comme Yeadon, elle a immédiatement senti que quelque chose n’allait pas du tout.
Elle a fait des recherches sur les contrats accessibles au public, sur les informations de la FOIA, et a exploité les données disponibles sur les procès.
Elle est incroyablement vive, minutieuse et intrépide.
J’ai beaucoup d’estime pour le courage dont elle a fait preuve pour dévoiler la corruption et la collusion sinistres entre le Département de la Défense et Big Pharma.
Interview par baba_gbb
Quelle(s) partie(s) de « la période sars-cov-2/covid19 » est (sont) factuelle(s)?
Sasha:
La seule partie factuelle à laquelle je peux penser est qu’il existe un ensemble de symptômes que l’on peut appeler « maladie covidienne ». Elle a un taux de mortalité très faible et est généralement bénigne, mais chez un petit pourcentage de personnes affectées, elle peut produire une réaction plus grave qui peut conduire à une faible oxygénation du sang et à une tempête de cytokines consécutive (il s’agirait d’un petit pourcentage d’un déjà petit pourcentage, car à tout moment, seul un petit pourcentage de la population est atteint de la maladie covidienne).
Le taux de létalité global est approximativement celui de la grippe. La maladie répond à une variété de médicaments génériques et de traitements complémentaires lorsqu’ils sont utilisés à temps. Le profil de risque pour toute personne âgée de moins de 65 ans et en bonne santé est tel que la vaccination n’est pas nécessaire (ce point est bien sûr fortement démenti par le gouvernement, mais il s’agit là d’une manière traditionnelle de considérer les risques et les avantages de la vaccination).
Lesquels ne sont pas factuels/pas clairs? Quels sont ceux qui relèvent de la propagande mensongère? D’autres aspects qui relèvent d’une gradation ou d’un spectre entre les faits et la fiction?
Sasha:
Le fait que le covid soit causé par un virus n’est pas clair. Je pense que cela a toujours été de la propagande, même avant qu’ils aient prétendument « isolé et séquencé » le virus, ils avaient déjà publié un tas d’articles sur la découverte d’un nouveau virus en Chine. Le virus était censé être séquencé le 9 janvier 2020, sur 1 (une) personne en Chine. À mon avis, c’est de la foutaise, et toutes les études que j’ai vues étaient des modélisations informatiques. L’Operation Warp Speed en octobre 2020 l’a appelé « ébauche de génome », ce qui est très révélateur.
Les symptômes de la maladie et les schémas d’apparition dans le monde entier ne sont pas cohérents avec une propagation virale (c’est-à-dire qui commence à un endroit et se déplace à partir de cet endroit sur une certaine période de temps) mais sont très cohérents avec une « application », comme on appliquerait un pesticide sur un champ (pic rapide dans plusieurs endroits, suivi d’une « combustion » assez rapide de la maladie dans cette zone). Je suis cependant disposée à suivre le récit du « virus » car ça ne fait pas vraiment de différence pour les choses sur lesquelles je travaille.
Toutes les mesures gouvernementales sont des foutaises dangereuses et de la propagande. La majorité des « décès dus au covid » sont le résultat direct d’actions gouvernementales – confinements, isolement des personnes âgées et fragiles, protocoles forcés absurdes et à forte mortalité dans les hôpitaux et les maisons de retraite, plus de nombreuses fraudes sur les certificats de décès (très bien documentées par John Beaudoin dans le Massachusetts). La suppression de tous les points de vue scientifiques et médicaux alternatifs, la poursuite en justice de médecins qui ont traité avec succès des milliers de patients, la promotion constante de la peur par tous les médias, etc. et [la suppression] des données fiables constituent un acte malveillant évident du gouvernement.
Un nouvel agent pathogène transmissible (un virus ou tout autre nom qu’on voudra lui donner) a-t-il été libéré à un moment donné en 2018/19? Est-ce cela qui a rendu beaucoup de gens malades?
Sasha:
Un nouvel agent pathogène – oui. Transmissible – cela dépend de la façon dont on définit la transmission. Le gouvernement veut que vous pensiez que la seule transmission se fait par voie aérienne et impose des masques à tout le monde. La transmission par voie aérienne de la maladie du covid n’a jamais été documentée ou prouvée scientifiquement, jamais. Dans les études sur les animaux, tous les animaux ont dû être aspergés directement dans le nez, la bouche ou la gorge avec des préparations de « virus ». Dans certaines études, même après avoir fait cela, aucun animal n’est tombé malade (étude Pfizer sur les singes rhésus). En ce qui concerne 2018/19, de manière anecdotique, je sais que c’est aussi le cas. Il sera très difficile de le prouver avec des données.
De nombreuses personnes ont été malades en 2019 et en 2020. Donc, si ce n’était pas un nouvel agent pathogène transmissible, qu’est-ce que c’était? Plusieurs choses différentes à différents endroits? Une plateforme de diffusion d’ARN entièrement conçue en laboratoire? De vilaines chaînes de protéines adhérentes? De multiples autres vecteurs supplémentaires (toxines et poisons en aérosol, ainsi que des champs électromagnétiques)?
Sasha:
Je parie sur un minimum de deux vecteurs, de quelque nature que ce soit. Les virus (si on pense qu’ils peuvent être modifiés) sont extrêmement difficiles à contrôler. Ils s’éteignent d’eux-mêmes rapidement ou bien, dans un environnement ouvert, ils meurent tout simplement et ne se propagent jamais. C’est pourquoi je crois que les agresseurs ont épandu un autre agent pathogène ou une autre toxine, ce qui ferait deux vecteurs. Parce qu’il leur fallait contrôler le déploiement et coordonner leur action avec la propagande des médias.
Y a-t-il eu des choses particulièrement dangereuses libérées à certains endroits spécifiques qui ont rendu les gens de ces endroits beaucoup plus susceptibles d’être particulièrement malades?
Sasha:
Très probablement, ou simplement des doses plus concentrées et plus élevées de substances dangereuses.
Quelle est l’importance du rôle des champs électromagnétiques dans tout ça, depuis le début en 2018/19 jusqu’à maintenant? Quel dispositif en particulier et quel est le rôle des champs électromagnétiques dans ces différents dispositifs?
Sasha:
Je viens seulement de me mettre à lire la littérature sur ce sujet, et j’ai un certain nombre de collègues en Australie et ailleurs qui sont plus instruits sur ce sujet, y compris plusieurs ingénieurs en électricité. Il existe un grand nombre de publications scientifiques sur les composés chimiques et biologiques qui peuvent être contrôlés ou manipulés par les champs électromagnétiques, y compris les substances « nano-« , en tant que matériaux divers utilisés à cette fin. Cela existe bel et bien. Cette année, le prix Nobel de chimie a été décerné à la « chimie orthogonale », qui est également quelque chose de ce genre.
Merci beaucoup à Mme Latypova de nous avoir permis de publier ses perspectives et merci à baba_gbb pour les excellentes questions de l’interview.
On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.
Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.
Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?
Bon, ça c’est fait.
Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:
Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:
Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais). Alors que faire? Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui. On peut le faire sans honte.
Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!
[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».
On nous a dit que de mystérieux vaccins avaient été instantanément « mis au point en deux jours« , à l’aide d’une nouvelle technologie connue pour son échec total, contre un agent pathogène (coronavirus) contre lequel aucun vaccin n’a jamais fonctionné.
On nous a présenté la misère des confinements, des fermetures d’entreprises, de l’imposition de masques aux enfants, etc. comme la « voie à suivre pour se faire vacciner ».
On nous a menti en nous disant que nous devions accepter ces vaccins parce qu’ils « arrêtaient la transmission » et « mettraient fin à la pandémie ».
Je suis sûr que j’oublie de nombreux autres aspects sinistres de l’histoire du Covid-19.
Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.
Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!
Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.
Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.
Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.
Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.
Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.
Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.
« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »
En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »
Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.
Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.
Quel cadre?
Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.
A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.
Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.
Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.
Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.
On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.
Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?
A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.
Alors, pourquoi?
J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.
Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.
Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…
Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.
Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agenda – félicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.
Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?
[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.
Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.
Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.
La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.
Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.
Ok, réfléchissons deux minutes.
Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.
Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.
Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.
Parlons maintenant des hasards.
Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjàlevé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?
Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?
Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?
Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .
Vous nous prenez vraiment pour des gosses!
Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en1997:
[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.
Et on termine en musique.
Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger Je vois que vous êtes très bien nourris Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Le prochain truc que je vous dirai sera vrai Le dernier truc que je vous ai dit était faux Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire
Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Assez parlé!
DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh
Discutons de l’étude « Gain de fonction de l’Omicron Chimérique »
Et rendons-lui son contexte nécessaire, autre que celui de la pornographie de la peur
Modern Discontent
17 octobre
Quelques personnes ont fait état de cette étude récente1 dans laquelle des chercheurs ont créé un Omicron chimérique en prélevant le gène de la protéine de pointe d’Omicron et en l’insérant dans la variante de type sauvage (c’est-à-dire une variante D614G), ce qui a suscité des inquiétudes quant à la recherche sur le gain de fonction menée et aux ravages possibles de cette recherche.
Le variant Omicron (BA.1) du SARS-CoV-2 récemment identifié et prédominant à l’échelle mondiale est hautement transmissible, même chez les personnes entièrement vaccinées, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine de pointe (S) Omicron, avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus portant le gène S d’Omicron échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison du récepteur (RBM), mais, contrairement à Omicron présent dans la nature, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection légère et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80%. Cela indique que si l’échappement vaccinal d’Omicron est défini par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S.
A priori, c’est assez inquiétant. Un variant échappant au vaccin qui tue 80% des souris qu’il infecte? Plutôt effrayant!
Ou ça le serait si ce n’était l’absence de contexte. Autant le dire tout de suite, il y a beaucoup plus dans cette étude.
Ainsi, plutôt que de ne lire que le résumé de cette étude, je vais souligner quelques problèmes relatifs à cette étude, dont un qui semble avoir été négligé par de nombreuses personnes qui n’y ont jeté qu’un coup d’œil rapide.
Le virus sauvage a fait mieux qu’Omicron ou Omi-S
Il est donc vrai que les chercheurs ont essentiellement assemblé un Omicron chimérique. Ils ont pris le gène S d’Omicron, l’ont inséré dans la forme sauvage (appelée WT – Wildtype – dans l’étude) du virus, puis ont observé son comportement dans des tests in vitro et chez des souris transgéniques.
Ce nouvel Omicron chimérique a été appelé Omi-S dans cette étude. Le schéma ci-dessous de la figure 2 illustre ce nouveau variant chimérique:
Tout est resté WT à part le gène S qui a été pris à Omicron, créant ainsi la nouvelle chimère Omi-S.
Ce qui est important pour toutes les études, et que Brian Mowrey de Unglossed mentionne très fréquemment, c’est que toutes les études sont relatives, en ce sens qu’elles doivent être comparées soit à un contrôle, soit à d’autres normes (le fameux « comparé à quoi? »).
Le résumé seul ne vous dit pas grand-chose sur cette étude, si ce n’est que ce nouvel Omi-S semble beaucoup plus dangereux que l’Omicron.
C’est très inquiétant, mais saviez-vous que les chercheurs ont également testé le SARS-COV2 de type sauvage?
Le résumé ne mentionne absolument pas ce fait, ce qui obscurcit complètement la question importante du « comparé à quoi? », car sans mentionner les résultats du virus sauvage, on pourrait croire que cette variante de l’Omi-S est beaucoup plus pathogène et virulente que tout ce que nous avons vu jusqu’à présent.
Les résultats des chercheurs eux-mêmes suggèrent que ce n’est pas le cas.
J’ai mis en gras les chiffres importants ci-dessous, basés sur les résultats des tests in vitro, mais notez à quelle forme du virus il est fait référence2:
Le virus ancestral [ci-après appelé virus de type sauvage (WT)] et Omi-S se propagent rapidement dans les cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, donnant 89% et 80% de cellules infectées, respectivement, à 24 heures post-infection (hpi) (Fig. 2b). En revanche, Omicron s’est répliqué plus lentement, conduisant à 48% de cellules infectées à 24 hpi. Un schéma similaire a été observé dans les cellules Vero E6, où 60% et 41% des cellules étaient positives pour WT et Omi-S, respectivement, à 48 hpi, contre 10% de cellules positives pour Omicron (Fig. 2c). Le test des plaques a montré que, bien que Omi-S et Omicron aient produit des niveaux inférieurs de particules virales infectieuses par rapport à WT, le titre viral d’Omi-S était significativement plus élevé que celui d’Omicron. Dans les cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, Omi-S a produit 5,1 fois (p = 0,0006) et 5,5 fois (p = 0,0312) plus de particules infectieuses qu’Omicron à 12 hpi et 24 hpi, respectivement (Fig. 2d). […] L’efficacité d’infection plus élevée d’Omi-S par rapport à Omicron se reflète également dans la taille des plaques; alors que WT a produit les plus grandes plaques (~ 4,1 mm), la taille des plaques d’Omi-S (~ 2,2 mm) était 2 fois (p < 0,0001) plus grande que celle des plaques d’Omicron (~ 1,1 mm) (Fig. 2g).
Compte tenu de ces résultats in vitro, qui incluaient la forme WT du SARS-COV2, il est assez clair que ce nouvel Omi-S s’est mieux comporté que l’Omi lors de l’infection, mais pas mieux que le WT.
Tous ces résultats montrent, du moins en ce qui concerne ces tests, que l’ordre d’infectivité est le suivant:
WT > Omi-S > Omicron
Et cela se reflète dans les graphiques ci-dessous, qui portent sur les deux lignées cellulaires différentes (Caco-23 et Vero E64). Heureusement pour nous, les chercheurs ont inclus les résultats de Omi-S dans les graphiques WT et Omi en violet, ce qui facilite la comparaison.
Comme vous pouvez le constater, l’infectivité et la réplication virale de WT étaient supérieures à celles de Omi-S dans ces deux lignées cellulaires:
Cela se voit également dans l’essai de viabilité cellulaire5 réalisé avec des lignées cellulaires Caco-2, illustré ci-dessous, qui montre une baisse marquée dans le groupe WT par rapport aux groupes Omi-S et Omi.
Bien sûr, les chercheurs ne semblent pas montrer de données statistiques pour la comparaison du groupe WT ici, mais c’est ce que montrent leurs résultats, dont nous pourrions déduire qu’ils montrent des différences statistiquement significatives dans le groupe WT par rapport à l’Omi-S ou à l’Omicron:
Enfin, les chercheurs ont soumis des souris transgéniques à chacun des variants et ont examiné leur tissu pulmonaire pour déterminer le titre viral 2 et 4 jours après l’infection (dpi).
Comme pour les essais in vitro, les résultats de l’étude sur les souris suggèrent que les souris infectées par le virus WT présentaient des titres viraux plus élevés que les virus Omicron et Omi-S6:
Il est important de se rappeler que ces résultats ne concernent que les essais donnés – d’autres études peuvent donner des résultats différents (voir les notes de bas de page 2-5).
Cependant, dans l’ensemble, les résultats des chercheurs eux-mêmes suggèrent que le WT est plus infectieux que l’Omicron ou l’Omi-S.
C’est quelque chose qu’on ne peut déduire de la simple lecture du résumé, qui lui-même ne fournit guère d’informations significatives.
Mais il est clair qu’il y a plus d’éléments, comme le fait que le virus WT semble mieux se comporter qu’Omicron ou que la nouvelle variante chimérique.
Alors pourquoi les rapports sur cet article n’ont-ils pas mentionné ce fait, à savoir qu’un virus auquel nous avons été exposés au début de la pandémie, d’après les résultats des chercheurs eux-mêmes, s’est mieux comporté que la construction qu’ils ont conçue pour cette étude?
Pourquoi ce soudain tapage sur le fait qu’ils essaient de créer un virus plus mortel alors que le virus créé n’était pas meilleur que celui qui a provoqué le début de la pandémie mondiale?
Il s’agit d’un problème de lecture du « résumé seulement », de sorte que toutes les craintes au sujet de cet article découlent uniquement du résumé.
En creusant un peu plus, nous constatons qu’il y a beaucoup plus que cela, et en fait, les preuves ici, qui ne doivent pas être considérées comme concluantes, contredisent au moins certains des rapports que j’ai vus circuler.
En ce qui concerne les « 80% de létalité »…
J’ai également lu à plusieurs reprises ce chiffre de 80% de létalité, ce qui revient à dire que la libération de cet Omicron chimérique entraînera la mort de presque tous les habitants de la Terre (à l’exception de quelques chanceux, je suppose).
Une fois de plus, ce chiffre est dépourvu de tout contexte – que signifie ici une létalité de 80%?
Dans une expérience, les chercheurs ont soumis 26 souris à chacun des trois virus:
6 ont reçu WT
10 ont reçu Omicron, et
10 ont reçu Omi-S.
Les chercheurs ont évalué les souris à l’aide de scores cliniques (plus les scores sont élevés, plus les symptômes sont nombreux et plus l’infection est grave) et du poids corporel.
Ce qui est intéressant dans cette étude, c’est que les chercheurs ont fixé des seuils stricts pour l’euthanasie éthique des souris, de sorte que les souris dont le poids corporel était inférieur de 80% au poids de départ pendant deux jours consécutifs ou dont les scores cliniques étaient supérieurs à 4 pendant deux jours consécutifs étaient tuées de manière éthique :
Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20%, ou s’ils obtenaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
Je n’ai encore jamais vu ça dans le cadre d’autres études, mais c’est peut-être parce que je méconnais certaines des méthodes d’étude sur les animaux.
Les chercheurs mentionnent que les souris mortes de l’infection ont été marquées comme mortes « le jour même », tandis que les souris tuées de manière éthique ont été marquées comme mortes « le jour suivant », c’est-à-dire que si une souris est morte le jour 5, sa mort sera mesurée le jour 5, tandis qu’une souris tuée de manière éthique le jour 7 sera étiquetée comme morte le jour 8:
Pour établir les courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné sont comptés morts le jour suivant. Les animaux trouvés morts dans leur cage ont été comptés morts le même jour.
En d’autres termes, la « mort » réelle est plutôt confuse, dans la mesure où il est difficile de dire quelles souris sont mortes du virus ou lesquelles ont été humainement euthanasiées compte tenu de leurs résultats cliniques et de leur poids (c’est moi qui souligne):
Comme le SARS-CoV-2 provoque une infection mortelle chez les souris K18- hACE23,40,41, nous avons tiré parti de cette situation pour comparer la survie des animaux après l’infection virale. En accord avec les résultats de la perte de poids corporel et du score clinique, WT et Omi-S ont provoqué des taux de mortalité de 100% (6/6) et 80% (8/10), respectivement. En revanche, tous les animaux infectés par Omicron ont survécu (Fig. 3c).
De toute évidence, le libellé des résultats laisse entendre que les souris WT et Omi-S ont été humainement euthanasiées plutôt que laissées à mourir de leurs infections respectives :
[…] l’inoculation du virus WT a déclenché une diminution rapide du poids corporel, tous les animaux perdant plus de 20 % de leur poids corporel initial au bout de 8 jours post-infection (dpi) (Fig. 3a). Il est important de noter que 80% des animaux infectés par Omi-S ont également perdu plus de 20% de leur poids corporel à 9 dpi (Fig. 3a et Données étendues Fig. 2a).
Mais là encore, il est difficile de dire dans quelle mesure les souris ont succombé au virus ou atteint un seuil final artificiel.
Le graphique de ces résultats peut être vu ci-dessous pour ceux qui préfèrent une représentation visuelle:
Il convient également de noter qu’aucune des souris Omicron n’a présenté une réduction du poids corporel ou une augmentation des scores cliniques (figures 3A et 3B, respectivement).
Dans l’ensemble, je dirais que le chiffre de « 80% de létalité » avancé souffre de plusieurs problèmes. Il n’y a aucun moyen de savoir quelles souris sont mortes du virus ou d’avoir été euthanasiées, et dans le cas de l’euthanasie, nous ne savons peut-être pas combien de souris se seraient rétablies.
Mais prenons ces résultats pour ce qu’ils sont et extrapolons à partir de là.
Une fois de plus, au vu des résultats obtenus, le SARS-COV2 WT semble être plus mortel que l’Omi-S, puisque 100% des souris infectées par le WT sont mortes.
Bien sûr, cette hypothèse souffre du fait majeur que les chercheurs n’ont inclus que 6 souris dans le groupe WT contre 10 dans le groupe Omi-S – soit près de la moitié, ce qui signifie qu’il est facile de jouer sur les pourcentages entre ces deux groupes (une baisse de 17% de la survie chez les WT contre 10% chez les Omi-S).
Mais si nous prenons cette valeur de « létalité de 100% » chez les WT, pouvons-nous l’extrapoler à un contexte réel?
Eh bien, nous avons déjà vécu l’émergence et la propagation du WT, et nous savons clairement que toutes les personnes infectées par le WT ne sont pas mortes (je suis presque sûr que CNN nous aurait alerté sur ce fait).
Par conséquent, nous savons absolument que ces « % de létalité » peuvent difficilement être comparables à la létalité ou au taux de létalité réel en cas d’exposition au grand public.
N’oublions pas non plus que des personnes sont également mortes d’Omicron, même si les chiffres semblent bien meilleurs que ceux des variants précédents.
En substance, cette « létalité de 80% » ne peut guère nous renseigner, et le fait que plusieurs personnes aient fait état de ce taux de létalité élevé est plutôt inquiétant.
De nombreuses personnes sont déjà sur les nerfs, et de tels rapports ne font qu’alimenter la peur et accroître l’anxiété.
Il est clair ici que le contexte nous dit qu’il y a beaucoup plus en jeu, et surtout qu’il est plutôt dangereux d’associer ces chiffres à un contexte réel, surtout si l’on tient compte du fait que nous avons déjà traité deux formes du virus (WT et Omicron) qui contredisent les résultats de ces études sur les souris.
Que nous apprend cette étude?
J’éviterai la partie neutralisation de cette étude, mais je rappelle aux lecteurs que les personnes qui parlent de ce nouvel Omi-S qui échappe à l’immunité vaccinale ne rapportent rien de nouveau.
Il est évident qu’un virus ayant reçu une protéine de pointe différente (celle d’Omicron) est capable d’échapper à l’immunité des variants précédents. Ce n’est pas nouveau, et nous le savons depuis l’apparition d’Omicron, et pourtant cela semble être rapporté comme s’il s’agissait d’une nouvelle révélation.
Il est étrange de constater à quelle vitesse les connaissances préalables de certaines personnes peuvent être complètement balayées par de soi-disant « nouvelles preuves », même lorsque ces nouvelles preuves correspondent à ce que nous savions auparavant et ne modifient aucune de nos hypothèses préalables.
Il s’agit là d’une conséquence des rapports qui peuvent occulter tout contexte et toute information nécessaires et qui présentent une vue d’ensemble d’une étude.
Je critiquerai toutefois la conclusion du chercheur concernant son essai de neutralisation (c’est moi qui souligne) :
Fait notable, Omi-S présentait des valeurs ND50 identiques à celles d’Omicron (11,5 fois 168 inférieures à celles de WA1 ; p < 0,0001) (Fig. 4a,b), ce qui suggère que la protéine S d’Omicron, lorsqu’elle est incorporée dans un virus WT, se comporte de la même manière que dans Omicron.
Il n’y a aucun moyen d’extrapoler le comportement de la protéine de pointe à partir des seuls essais de neutralisation. Tout ce que fait ce test est de mesurer si ce qui a collé à une autre protéine de pointe collera à cette protéine de pointe différente, mais en aucun cas il ne peut dire comment la pointe se « comporte ».
Il faut faire attention à ce genre de formulation, car il est facile de n’en retenir que ça.
Et cela nous amène à la vraie question: quel était le but de cette étude?
Au milieu du brouhaha qui entoure le gain de fonction et d’autres craintes, l’objectif réel de cette étude était de voir si on trouvait autre chose que la protéine de pointe comme responsable de l’infectivité/pathogénicité du SARS-COV2.
En assemblant différentes parties de virus, les chercheurs ont tenté de voir si l’infectivité des lignées cellulaires ou l’infectivité des souris auraient changé.
Si la protéine de pointe était le seul facteur déterminant la capacité d’un virus à infecter et à tuer des cellules, la transplantation du gène S dans le virus WT donnerait, en théorie, les mêmes résultats qu’Omicron, puisqu’ils partageraient la même protéine de pointe.
Cependant, les résultats obtenus ici suggèrent que quelque chose d’autre est en jeu.
Malheureusement, les chercheurs n’ont jamais élucidé ce qui expliquerait exactement ces différences: l’étude n’a été conçue que pour suggérer qu’il n’y a pas que la protéine de pointe qui peut dicter la façon dont un virus infecte les cellules, mais elle n’explique jamais quelles protéines ou quelles nouvelles voies en seraient responsables.
Pour replacer cette hypothèse dans son contexte, une étude récente de Hossain et al.7 montre qu’Omicron présente de nombreuses mutations dans des protéines autres que la protéine de pointe, comme le montre le tableau ci-dessous (notez qu’un seul * à côté d’une mutation indique que cette mutation ne se trouve que dans Omicron):
D’après Hossain, et al. Diverses mutations dans les protéines autres que les protéines de pointe, avec un accent particulier sur les mutations Omicron.
Les auteurs fournissent cet éclairage sur le rôle de ces protéines autres que les protéines de pointe:
Les protéines autres que les protéines de pointe jouent de multiples rôles importants dans la régulation immunitaire, la régulation transcriptionnelle et la pathogenèse virale. Cependant, il reste des lacunes dans les connaissances concernant leur mode d’action et leurs rôles spécifiques, notamment en ce qui concerne les mutations uniques d’Omicron. Cependant, des rapports ont été rédigés sur l’effet des mutations des protéines autres que les protéines de pointe sur la capacité virale et la gravité de la maladie dans des contextes expérimentaux et cliniques [87,100-102].
Le rôle de l’épistasie, dans lequel des mutations dans des protéines virales identiques ou différentes apportent des caractéristiques supplémentaires ou des comportements synergiques au virus, est plus pertinent pour cette étude sur Omicron chimérique. En substance, les mutations de protéines autres que les protéines de pointe, lorsqu’elles sont associées à des mutations de protéines de pointe, peuvent conférer quelque chose de nouveau au virus.
On peut en voir quelques exemples dans l’extrait ci-dessous:
La mutation Delta R203 M dans la protéine N a un effet synergique statistiquement significatif avec la mutation de la protéine de pointe L452R, et le taux de croissance des variants 203K(N)/484K(S)/501Y(S) est constamment plus élevé que celui des variants 203R(N)/484K(S)/501Y(S). Les données cliniques confirment que la protéine de pointe D614G + NSP12 L323P peut avoir augmenté le taux de réplication [104]. Plus important encore, cette association de mutations autres que celles de la protéine de pointe trouvées dans d’autres variants ouvre donc la voie à d’autres études similaires pour le variant Omicron. La présence de mutations uniques telles que dans NSP6, dans la protéine M et dans les ORF, qui distingue les deux sous-variants, peut également contribuer à ces impacts par une chaîne d’effets épistatiques [[105]s]. Notamment, il existe cependant des publications solides sur l’épistasie plausible des mutations autres que les protéines de pointe, basées sur des études computationnelles [88,106-108].
Étrangement, les chercheurs de cette étude sur l’Omicron chimérique pourraient avoir trouvé des preuves d’épistasie, car les résultats de leur étude sur les souris, dans laquelle ils ont évalué les bronchioles des souris infectées par ces virus, montrent une certaine forme de tropisme de l’Omi-S pour l’épithélium des bronchioles, bien que ces résultats doivent être pris avec beaucoup de précautions (notez la faute de frappe, car il faut lire Jours et non heures):
D’après la légende de la figure : « Le pourcentage de bronchioles S-positives dans les poumons des souris infectées. Chaque point représente 665 un animal infecté. » Notez ici qu’il s’agit peut-être d’une faute de frappe, dans la mesure où il aurait fallu indiquer Jours plutôt que Heures.
Nous pouvons déduire que l’Omi-S peut avoir un certain tropisme pour les bronchioles sur la base de la combinaison de l’Omicron S et des protéines WT qui ne sont pas des protéines de pointe, mais une fois encore, il n’y a aucun moyen d’évaluer les mécanismes qui interviennent ici, ou si les résultats de cette étude actuelle fournissent des preuves circonstancielles.
Quoi qu’il en soit, le rôle réel de cette Omi-S semble avoir donné lieu à un tapage inutile.
Cet Omi-S est-il un Omicron plus fort, ou un WT plus faible? Si le but était de tuer des gens, pourquoi ne pas simplement essayer de libérer la WT et voir comment cela se passe, étant donné que ces résultats suggèrent que la WT serait le variant le plus dangereux?8
Le principal problème ici est que nous ne vivons pas dans un monde sans SARS-COV2 où une telle recherche soulèverait de sérieuses inquiétudes.
Le fait que des scientifiques aient pu tenter de construire un virus qui pourrait (ou non) apparaître dans le futur afin de créer des thérapies ou des vaccins qui pourraient (ou non) s’attaquer au virus soulève de sérieuses inquiétudes.
Une telle recherche sur le gain de fonction permettant la création de nouveaux virus est manifestement contraire à l’éthique.
Mais soyons également réalistes et rappelons que cette étude ne se déroule pas dans le vide – elle se déroule dans un monde post-COVID. Le fait que les chercheurs aient essayé d’assembler un virus à partir de parties que nous avons déjà vues, et qu’ils en aient peut-être fait un virus intermédiaire médiocre, ne suscite pas ici l’argument de la nouveauté comme ce serait le cas pour un virus que nous n’avons jamais connu.
Ceci nous rappelle que l’équipe des sceptiques doit garder son sang-froid plutôt que de succomber à la pornographie de la peur, en particulier pour des questions qu’ils n’ont peut-être pas correctement évaluées. Les inquiétudes justifiées doivent être évoquées, mais une lecture correcte des études est également essentielle. Le fait que plusieurs personnes aient rendu compte de cette étude uniquement sur la base du résumé montre à nouveau la volonté de rendre compte dans la précipitation plutôt que de prendre le temps de lire ces études.
Ne perdons pas la tête à propos de choses dont nous n’avons pas pris le temps de comprendre le sens. Nous savons déjà que cela se produit bien trop souvent.
1) Rôle du pic dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron
Da-Yuan Chen, Devin Kenney, Chue-Vin Chin, Alexander H Tavares, Nazimuddin Khan, Hasahn L Conway, GuanQun Liu, Manish C Choudhary, Hans P Gertje, Aoife K OConnell, Darrell N Kotton, Alexandra Herrmann, Armin Ensser, John H Connor, Markus Bosmann, Jonathan Z Li, Michaela U Gack, Susan C Baker, Robert N Kirchdoerfer, Yachana Kataria, Nicholas A Crossland, Florian Douam, Mohsan Saeed.
2) Les mesures pour les N-positifs étaient basées sur les anticorps anti-N et l’utilisation de la cytométrie de flux.
3) Les lignées cellulaires Caco-2 sont des cellules cancéreuses de l’épithélium intestinal. Ici, elles ont été fabriquées pour exprimer ACE2 et TMPRSS2. Gardez cela à l’esprit lorsque vous examinez de tels essais, car les lignées cellulaires utilisées doivent au moins ressembler étroitement aux cellules qui seraient ciblées par le virus. Les tests avec Caco-2 peuvent ne pas refléter correctement les cellules réelles chez l’homme, et l’expression de l’ACE2 et du TMPRSS2 peut fausser les résultats. N’oubliez pas qu’on pense qu’Omicron n’utilise pas le TMPRSS2 comme méthode d’entrée dans les cellules.
4) Les lignées cellulaires Vero E6 proviennent des reins d’un singe vert africain. Comme pour les lignées cellulaires Caco-2, il faut garder à l’esprit que l’expression de l’ACE2 et du TMPRSS2 dans ces lignées cellulaires peut différer de celle d’autres lignées cellulaires, ce qui signifie que ces résultats peuvent ne pas refléter le chemin et le taux d’infection réels dans les cellules épithéliales pulmonaires humaines ou une infection réelle.
5) Notez que les tests de viabilité cellulaire mesurent le nombre de cellules dites « vivantes » après l’introduction du virus. Par conséquent, une viabilité cellulaire plus faible est supposée être associée à une mort cellulaire d’une certaine capacité.
6) Les chercheurs considèrent ici que la différence de titres de virus entre WT et Omi-S n’est « pas statistiquement significative », comme l’indique le ns dans le graphique. Cependant, cela peut être dû à une souris qui semble présenter un titre viral très faible à 2 jours dans le groupe WT, et je parierais que cette aberration influence la moyenne du groupe WT à 2 jours.
7) Hossain, A., Akter, S., Rashid, A. A., Khair, S., & Alam, A. (2022). Mutations uniques dans les protéines de non-spike des sous-variants Omicron du SRAS-CoV-2 : Impacts potentiels sur la pathogenèse virale et l’évasion immunitaire de l’hôte. Microbial pathogenesis, 170, 105699. https://doi.org/10.1016/j.micpath.2022.105699
8) Cela ne tient pas compte du fait que cela a peut-être déjà eu lieu avec le WT, je suis donc un peu sarcastique ici.
Spartacus est l’auteur de la (pas assez) célèbre lettre qui porte son nom, que j’ai traduite ici, et de nombreux autres articles indispensables sur son Substack, dont deux autres traduits ici et ici.
Voici ses réponses aux dix questions que Sage Hana avait rédigées à l’intention initiale du Dr Brian Mowrey (qui y a répondu ici, c’est en anglais) et des auteurs les plus pointus sur Substack, dont j’ai publié des articles pour la plupart: Vaccine Sherpa (c’est-à-dire Robert Malone), Arkmedic, Igor Chudov, Steve Kirsch, Dr Jessica Rose, Dr Marc Girardot, Dr Meryl Nass, A Midwestern Doctor, Geert Vanden Bossche, etc.
Avec sa lettre et ses autres articles, ce questionnaire et ses réponses complètent la lettre de Parrhesia que je viens de publier. A leur lecture, il se dégage quelque chose de vraiment intéressant à comprendre dans les événements présents pour le long terme.
Il n’y aura plus de crise énergétique: il y aura bien assez d’énergie pour ceux qui resteront.
Il n’y aura plus de crise du logement: les « villes intelligentes » sont prévues pour parquer ceux qui resteront, comme je l’avais prédit il y a plus de deux ans.
Puisque les « migrants » sont dispensés d’injection, le Grand Remplacement de ceux qui s’accrochent encore maintenant – et couleront – avec le navire en perdition aura bien lieu en Occident. C’est d’ailleurs subtilement annoncé par Ursula dans son discours de l’Etat de l’Union, sur lequel je reviendrai comme promis – brièvement, manque de temps.
Le gouvernement mondial sera ensuite infiniment plus aisé à mettre en place.
Nous sommes tous Spartacus. (Pas vraiment, ce type précis comme un Laser est une exception)
Sage Hana
14 octobre
Première partie: Qui est Spartacus?
Pour ceux d’entre nous qui, il y a un an, parcouraient Twitter à la recherche désespérée d’informations réelles sur le COVID, Spartacus est un personnage important.
C’est l’été dernier que j’ai commencé à me montrer très curieuse de ces nouveaux « vaccins ».
Je m’étais déjà rétablie d’un cas brutal de COVID au printemps 2020. [NdT. un témoignage très bien écrit sur ce qu’a été le Covid long en 2020 ici]
Je connaissais l’immunité naturelle et j’étais déconcertée par l’agressivité avec laquelle les nouvelles injections étaient promues. C’était le début du fascisme. On le sentait.
Après m’être fait les dents sur la folie de la vaccination de masse en cas de pandémie (Geert Vanden Bossche), puis avoir appris ce qu’étaient les signaux de sécurité immédiats et l’utilisation abusive des statistiques des essais (Dr Peter McCullough), j’ai ensuite interrogé un médecin/scientifique qui avait été envoyée à New York pour le déclenchement de la pandémie.
Il s’agissait d’un médecin urgentiste et chercheuse scientifique de la région de Denver.
Elle a traité de charlatan le Célèbre GVB et a fortement suggéré que Robert Malone était un égocentrique en quête d’attention.
Ce qui… 😅
Quoi qu’il en soit, elle a également craché des trucs clairement faux comme « Les vaccins sont efficaces à 94%, mieux que pour la polio! » et a raillé une enseignante en Californie pour avoir transmis le COVID à ses élèves, même si nous savions que les personnes injectées excrétaient également le virus.
Comment cela était-il possible? Que se passait-il dans la communauté médicale et scientifique?
Elle n’avait pas la moindre critique à formuler à l’égard d’Anthony Fauci, mais elle souffrait d’un cas grave de SDT (Syndrome de Diabolisation de Trump).
(Notez que ce Syndrome Fauci/Trump est jumelé de l’autre « côté » par l’univers parallèle Fauci/SHT, ou Syndrome de l’Héroïsation de Trump. L’Homme Orange fait fondre les cerveaux comme personne. 😅)
Quoi qu’il en soit, son SDT était clairement une variable confondante du mystère de ce qui se passe avec ce virus, ces injections, et notre monde qui bascule rapidement dans la folie.
Spartacus a surgi de nulle part et a balancé la vérité en direct dans une lettre ouverte sur tout ce qui concerne le COVID.
Si vous voulez la lire, les liens vers cette lettre sont dans ce billet. [NdT. ma traduction]
Je l’ai interrogé sur cette lettre l’autre jour sur son Stack, lien ci-dessous.
Êtes-vous le vrai Spartacus, celui de la lettre sur le COVID qui a circulé l’année dernière?
Vous êtes quelqu’un de brillant. Vous comprenez ce que peu de gens semblent capables de comprendre. En particulier par rapport à beaucoup de docteurs et de scientifiques garde-barrières qui ont proliféré dans ce marécage pendant des décennies, qu’on voit encore maintenant en train de transiger sur le fait qu’ils côtoyaient des psychopathes.
Ouaip, c’était moi. J’en avais assez de voir tout ce qui se passait, et selon ce que moi et mes correspondants savions, il y avait des preuves accablantes de malversations, du haut en bas de l’échelle. J’ai rédigé la première version de la lettre en cinq jours environ, pendant ma pause au travail, et je l’ai postée sur DocDroid. Cela s’est révélé être une erreur, car DocDroid diffusait d’horribles publicités aux utilisateurs de téléphones portables, et certaines personnes ont donc mis en garde les autres en leur disant « ce lien vous filera un virus! »
Dans un premier temps, je ne me rendais compte de rien, car j’étais sur mon ordinateur de bureau avec un bloqueur de publicité sur mon navigateur. Je l’ai posté sur certains forums et envoyé par e-mail à quelques personnes, dont Robert Malone. Je ne m’attendais pas à ce qu’il le publie sur son Twitter.
Cela a mis en mouvement un certain nombre d’autres choses. Automatic Earth l’a reposté depuis son compte, puis ZeroHedge les a repostés, et à partir de là, plus d’un million de personnes l’ont vu. Quelqu’un s’est plaint de l’absence de citations en ligne. J’ai également remarqué que les gens se demandaient s’il fallait ou non le rediffuser pour des raisons de droits d’auteur. J’ai donc ajouté des citations en ligne, l’ai légèrement développé et l’ai publié sous Creative Commons, ce qui a donné lieu aux versions V2, V3 et V4.
Quelques jours après qu’il soit devenu viral sur ZeroHedge, CNBC a publié cette vidéo.
Soit ils n’ont effectué aucune recherche, soit ils mentent délibérément. En affirmant qu’il est impossible de faire passer une micropuce dans une aiguille de vaccin, ils sous-entendent que les dispositifs dont nous disposons aujourd’hui sont des « puces » à grande échelle visibles à l’œil nu. Ce n’est pas le cas. Elles sont beaucoup, beaucoup plus petites que cela. Plus petites qu’un virus, en fait.
La DARPA a été la force motrice de la technologie des vaccins à ARNm [NdT. voir cet article]. Faites une recherche sur ADEPT (Autonomous Diagnostics to Enable Prevention and Therapeutics) [Diagnostics Autonomes pour Permettre la Prévention et la Thérapeutique]:
For past several years, DARPA has been pioneering a powerful new type of countermeasure against infectious disease called gene-encoded antibodies. They work by providing cells with genetic instructions for producing one or more highly protective antibodies against a given threat. pic.twitter.com/h2gz8fuOXJ
Depuis ces dernières années, la DARPA est à la pointe d’un nouveau genre de contre-mesures contre les maladies infectieuses, appelées anti-corps génétiquement encodés. Leur action est de fournir aux cellules des instructions génétiques qui leur font produire un ou plusieurs anticorps hautement protecteus contre toute menace.
Ce sont également eux qui font pression pour la mise en place de la technologie d’interface cerveau-ordinateur sans fil, par le biais de l’initiative BRAIN et du programme N3. Regina Dugan, ancienne directrice de la DARPA, travaille aujourd’hui à Wellcome Leap, une émanation du Wellcome Trust. Elle a également travaillé chez Google et Facebook.
Qui, selon Andrew Huff, est l’un des bailleurs de fonds de EcoHealth Alliance? Le Wellcome Trust. [NdT. voir cet autre article de Spartacus]
Ils prennent très au sérieux cette affaire d’Internet des Corps, et ils ont passé des années à mettre en place toute l’infrastructure nécessaire. Ils ont également mis beaucoup de leur énergie à empoisonner le puits de la critique des vaccins et de la 5G au cours de la dernière décennie, afin de faire passer pour des excentriques tous ceux qui posent trop de questions pointues. L’establishment médical intimide et fait chanter les médecins en les menaçant de leur retirer leur licence, alors même que les gens tombent comme des mouches à cause des effets secondaires de ces vaccins. Les médias de masse, complètement contrôlés, diffusent des publicités et des messages d’intérêt public sur les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux chez les enfants, comme s’ils avaient tout prévu à l’avance.
Oui, très certainement. La théorie du terrain ne résiste pas vraiment à l’examen scientifique. Les virus ne peuvent pas satisfaire aux postulats de Koch car on ne peut pas en faire une culture purifiée. Contrairement aux bactéries, qui sont très vivantes, les virus ne sont pas vivants, ce sont des instructions flottantes qui entrent dans les cellules vivantes. Ce sont obligatoirement des parasites cellulaires qui ont besoin de cellules vivantes pour se répliquer, c’est pourquoi on introduit généralement des cellules Vero, par exemple, dans les cultures avant de les infecter avec un virus. L’entrée virale et l’infection des cellules peuvent être vérifiées par marquage fluorescent, et les particules virales peuvent être observées en microscopie TEM ou SEM. Les virus sont incroyablement petits. Un globule rouge est 66 fois plus grand qu’un virion du SARS-CoV-2.
Un nouveau coronavirus a-t-il émergé fin 2019, entraînant une pandémie mondiale?
Le SARS-CoV-2 est très similaire au SARS-CoV. Ses seules caractéristiques vraiment nouvelles sont le site de clivage de la Furine sur la protéine de pointe (qui améliore considérablement la transmission en raison de l’ubiquité des protéases Furine humaines qui peuvent la cliver et l’activer; oui, les protéases de l’organisme – comme la Furine et le TMPRSS2 – aident le virus) et quelques autres motifs suspects sur ses protéines. Le fait que la technologie de séquençage d’Illumina soit si largement utilisée pour analyser les échantillons – avec peu d’alternatives – est suspect, mais étant donné les centaines de milliers d’articles qui ont été publiés sur le virus jusqu’à présent, il serait grotesque de supposer que tout ceci n’était qu’un canular. Ayant moi-même contracté le COVID-19 et m’en étant généralement bien remis, je peux dire que cette maladie était assurément différente de la grippe. [NdT. je confirme]
Vous (Brian Mowrey, les questions lui étaient initialement destinées) avez jugé que le péché originel antigénique était faux ou inexact. Qui est/sont les principaux partisans de cette théorie et en quoi se sont-ils égarés?
Le péché originel antigénique (Original Antigenic Sin – OAS) et la facilitation de l’infection par anticorps (Antibody Dependent Enhancement – ADE) sont incontestablement des phénomènes réels. Il suffit de voir ce qui se passe lorsqu’une personne attrape deux souches différentes de la dengue. On parle de facilitation de l’infection par anticorps lorsque les anticorps non-neutralisants de la première infection sont utilisés sur la seconde, et que les virions incomplètement neutralisés sont attirés dans les macrophages par leurs récepteurs Fc [NdT. mécanisme bien détaillé par le Dr Tenpenny ici], infectant les cellules immunitaires avec des virions de dengue vivants. Nous savons que les sarbecovirus et les merbecovirus ont un potentiel d’ADE similaire à celui de la dengue, ce qui fait de la vaccination des personnes avec un vaccin non stérilisant (c’est-à-dire qui permet la transmission de la maladie) et qui encourage l’émergence de variants d’échappement immunitaire, au mieux une course folle, au pire une erreur mortelle. C’est ce que nous constatons avec les vaccins actuels. Ils stimulent d’abord les réponses du système immunitaire inné, mais l’efficacité du système immunitaire adaptatif à repousser le SARS-CoV-2 semble baisser en dessous du seuil de référence après quelques mois. C’est tout sauf bon.
lié au n°3: Se sont-ils égarés en raison d’une erreur de bonne foi, ou de motifs sombres ou personnels?
Je ne peux pas commenter cette question car je ne pense pas du tout qu’ils se soient égarés.
Les vaccins étaient-ils nécessaires pour le nouveau coronavirus appelé SARS-Cov2? (À ne pas prendre en compte si les questions n°1 et 2 la rendent inapplicable).
Non, ils ne l’étaient pas. Au moment où ils ont commencé les campagnes de vaccination de masse, la grande majorité des gens étaient déjà séropositifs et avaient un certain degré d’immunité. Au mieux, ils voulaient juste utiliser des milliards de personnes comme cobayes pour la technologie de transfection de l’ARNm qui serait plus tard utilisée dans les vaccins contre le cancer, les traitements favorisant la longévité, et ainsi de suite. Au pire, ils empoisonnent les gens. Délibérément. Et ils ouvrent probablement la voie à une modification humaine généralisée en modifiant génétiquement et physiquement les cellules des gens afin de les rendre dociles et obéissants.
Lesquels sont les meilleurs: les chimichangas ou les tacos?
Les enchiladas.
Sommes-nous au milieu d’une campagne de dépeuplement (abattage du troupeau), ou n’est-ce qu’une sombre théorie de la conspiration?
Un grand nombre de personnes au pouvoir sont liées au FEM (Forum Economique Mondial), et le FEM est ouvertement néo-malthusien, tout comme le Club de Rome et les Rockefeller. Bill Gates, Yuval Noah Harari, Boris Johnson et des dizaines d’autres membres de la classe dirigeante ont ouvertement exprimé des opinions qui relèvent du contrôle de la population.
Yuval Noah Harari has said out loud how the capitalist elite view most of humanity: as expendable & surplus to requirements. The World Economic Forum adviser said: “We just don’t need the vast majority of the population” in the early 21st century. https://t.co/0aTrwFcEvVpic.twitter.com/hBDtB9NlBt
Yuval Noah Harari a exprimé tout haut la façon dont l’élite capitaliste considère la majeure partie de l’humanité: sacrifiable et excédentaire par rapport aux besoins. Le conseiller du Forum Economique Mondial a déclaré: « Nous n’avons tout simplement pas besoin de la majeure partie de la population » en ce début de XXIème siècle.
Je suis sûr à 90% qu’ils essaient de réduire la population, et les 10% restants sont juste de bonnes vieilles expérimentations sur l’être humain.
Pourquoi pensez-vous que les leaders mondiaux ont tous promu les injections expérimentales d’édition de gènes et l’ont fait de manière draconienne et fasciste?
Parce qu’ils suivent tous exactement le même scénario.
A qui faites-vous confiance dans le monde de la science biomédicale pour opérer avec une pure rigueur scientifique?
Personne. L’édition scientifique est l’une des choses les plus corrompues de la planète, où tout le monde est motivé par l’argent plutôt que par l’exactitude des faits. La seule fois où on sait que quelque chose est un tant soit peu exact, c’est lorsqu’il peut être reproduit dans au moins une douzaine d’autres articles. La psychologie, en tant que domaine, est catastrophique à cet égard [NdT. je traite bientôt ce sujet]. Pratiquement aucun de leurs résultats ne peut être reproduit.
Avez-vous déjà subi des pressions pour fausser les résultats, que ce soit de la part de collègues chercheurs ou de bailleurs de fonds?
Pas moi, personnellement, mais je connais d’autres personnes qui en ont subi.
Question bonus:
Y a-t-il un seul élément de l’opération Injection 19 que nous pouvons considérer comme exact à plus de 99%? (sachant que la science n’est jamais figée)
Un seul élément?
Bonus: Les vaccins à ARNm sont un produit de biodéfense militaire créé avec le financement de la DARPA.
L’intérêt des vaccins à base d’acide nucléique est qu’ils peuvent être produits très rapidement pour contrer les nouveaux agents pathogènes dès leur apparition. La seule raison pour laquelle on pourrait l’envisager, et pour laquelle le Ministère de la Défense le finance, est qu’il anticipe une guerre biologique. S’ils anticipent la guerre biologique, alors qui libère des agents pathogènes (en violation de la Convention sur les Armes Biologiques) et pourquoi? C’est l’éléphant géant dans la pièce dont personne ne parle.
Merci, Spartacus!
Voici le billet de Brian Mowrey qui répond au SH-10:
C’est un vrai bonheur pour moi, et j’espère pour vous, les gars.
Les divergences de points de vue ne me posent aucun problème, comment pourrait-il ne pas y en avoir?
Nous semblons arriver à la pointe de nos connaissances et ceux qui coordonnent l’Opération nous mentent à chaque instant.
C’est ce que je voulais savoir il y a un an.
Il a été très difficile pour une profane de faire le tri entre la politique, le bal des héros, les mensonges et les diverses impulsions de raisonnement motivées par ceux qui émergent du ventre de la bête.
J’ai confiance dans le fait qu’à travers Spartacus et Brian, nous avons maintenant deux réponses inscrites au registre qui visent aussi droit au but qu’ils le peuvent selon leur compréhension de la situation.
Un blogueur qui se plaint des courriels anonymes est un peu comme un pêcheur qui se plaint de la mer. Il est regrettable que très peu de ces courriels soient courtois, bien que cela ne soit guère surprenant, car, en général, seuls les ignorants et les agresseurs injurieux manquent de la conviction nécessaire pour s’identifier.
Les règles ont cependant des exceptions, et une exception à cette règle est arrivée hier soir. Il s’agissait d’une capture d’écran en noir et blanc, écrite, ou du moins publiée, par une personne portant le surnom de Parrhesia. Un terme bien choisi, qui signifie quelque chose comme « audace ou honnêteté du discours » en grec ancien. J’ai lu avec intérêt les treize paragraphes qui accompagnaient le message et qui portaient sur les « vaccins COVID », comme la plupart des courriels du moment.
Il était clair que l’auteur a reçu une bonne formation en biochimie et en biologie moléculaire et qu’il comprend très bien les graves dangers associés à ces médicaments infernaux. J’en ai déduit également que son anonymat n’était pas préservé pour se protéger de moi, mais d’un employeur ou d’une agence gouvernementale, par exemple. En lisant entre les lignes, je sens que cette personne ne dit pas tout ce qu’elle sait.
Le texte s’adresse à des lecteurs dotés de solides connaissances bioscientifiques, mais des non-scientifiques intelligents pourront facilement le suivre jusqu’à ses inquiétantes conclusions logiques. Je pourrais être extrêmement pointilleux et contester certains détails mineurs, mais cela détournerait l’attention du message essentiel. J’ai donc isolé chaque paragraphe (en gras et en italique) et ajouté de brèves notes explicatives là où je pensais qu’elles pourraient être utiles.
Avertissement: Certains lecteurs pourraient trouver ce qui suit perturbant… mais ils devraient quand même le lire.
Les premiers à succomber aux vaccins seront les personnes sujettes aux caillots sanguins. Les protéines de pointe que ces vaccins font produire à l’organisme se fixent aux récepteurs endothéliaux ACE2. Elles agissent comme un agoniste partiel (stimulateur). À leur tour, les mitochondries des cellules accélèrent la production d’ATP [NdT. adénosine triphosphate, voir ici], mais de manière imparfaite. Cela provoque des erreurs dans les réactions impliquées, ce qui entraîne la production de groupes hydroxyle malencontreux au lieu d’ATP. Cela peut tuer la cellule, et c’est généralement le cas. Cela se produit dans tout le corps, entraînant une inflammation cardiovasculaire systémique invisible et non perçue (le système circulatoire n’a pas de nerfs). La coagulation s’ensuit, que ce soit au niveau micro ou macro.
Note: La première phrase est corroborée par des masses de preuves cliniques récentes. À tel point que les termes « caillot » et « attaque » sont aujourd’hui largement utilisés, parfois même avec désinvolture. Le terme « endothélial » désigne la couche unique de cellules qui tapisse la surface intérieure des vaisseaux sanguins.
L’ARNm est absolument transcrit en sens inverse en ADN. Nous savons que cela est potentiellement mortel depuis 1998, lorsque l’Université de Pennsylvanie a tué un enfant en utilisant un adénovirus modifié par le gène d’un chimpanzé pour soigner une maladie rare dans laquelle le corps ne peut pas réduire les niveaux d’ammoniac. L’enfant a été guéri, puis a souffert d’une insuffisance hépatique. Les gènes de chimpanzé insérés dans le vecteur viral ont été transcrits en sens inverse dans les cellules de son foie, et ses cellules immunitaires les ont détruits – le tuant.
Note: Il est maintenant prouvé que le code génétique contenu dans tous les « vaccins COVID » s’incorpore à l’ADN de l’hôte. Ce processus moléculaire est appelé transcription inverse. Ainsi, les cinq milliards de receveurs dans le monde ne sont plus strictement humains mais des organismes génétiquement modifiés (OGM). L’histoire du garçon tué par thérapie génique est authentique et peut être lue à l’adresse suivante: https://www.sciencehistory.org/distillations/the-death-of-jesse-gelsinger-20-years-later
Le mécanisme est celui des rétrotransposons de type LINE 1 [NdT. « long interspersed nuclear elements » ou éléments nucléaires dispersés longs, voir ici]. Il s’agit d’anciens rétrovirus et de déchets génétiques qui sont enroulés et inactifs 99,9 % du temps. L’introduction de l’ARNm viral est un adjuvant qui provoque le déroulement et l’expression de ces gènes, y compris la transcriptase inverse virale. Des études ont depuis confirmé que c’est ce qui se produit avec les vaccins.
Note: Ce paragraphe montre que l’auteur a une excellente compréhension de ce que l’on appelle la transposition génétique – c’est-à-dire des morceaux de matériel génétique qui se copient et se collent d’un site à un autre. (Certaines de mes propres recherches ont porté sur l’analyse des éléments Alu, qui sont également des « gènes sauteurs »). En outre, l’auteur identifie la manière correcte dont le code génétique des « vaccins » est inséré dans le génome humain.
Les rétrotransposons de type LINE 1 sont le fruit du hasard. Parfois, ils effectuent une transcription inverse vers des LINE 1 eux-mêmes, créant ainsi des chimères inutiles qui ne s’expriment pas. Parfois, ils s’inscriront sur des segments d’ADN actifs. Parfois, en faisant cela, ils écraseront un gène nécessaire, tuant la cellule. Parfois, ils écrivent sur de l’ADN actif, et l’ARNm précédent l’exprime comme s’il s’agissait de votre propre gène. Parfois, le système immunitaire va alors tuer ces cellules. Parfois, il ne le fera pas.
Note: Une compréhension aussi profonde de la génétique moléculaire me fait penser que l’auteur a reçu une formation de niveau post-doctoral. En passant, une chimère, en biologie, désigne un organisme dont les gènes proviennent de sources étrangères.
À titre de référence, une injection du vaccin Moderna contient 40 trillions de paquets d’ARNm dans leur enveloppe peg-ylée. Si les rétrotransposons de type LINE 1 réussissent à effectuer une transcription inverse, ne serait-ce que dans 0,05 % des cas, le gène permettant de créer la protéine de pointe du covid sera inséré dans 200 milliards de cellules. Ces cellules produiront alors occasionnellement la protéine de pointe du covid – pour le reste de l’existence du receveur.
Note: Par exemple, un jeune homme de taille et de poids moyens est constitué d’environ 30 trillions de cellules humaines. Une injection contient donc suffisamment d’ARNm pour produire indéfiniment des protéines de pointe mortelles dans chaque cellule. Il n’y a pas de bouton « arrêt ».
L’ARNm du vaccin aboutit en premier lieu dans le thymus, en deuxième lieu dans le foie et en troisième lieu dans les ovaires des femmes. GARDEZ CELA À L’ESPRIT. Ils le savaient. Cela a été révélé dans la plus récente divulgation de documents de Pfizer, et en fait, cela était connu bien avant par ceux d’entre nous qui étaient vigilants. Je reviendrai sur ce point.
Note: Ces informations concordent, plus ou moins, avec les données de biodistribution originales de Pfizer, que j’ai reçues il y a un peu plus d’un an. Il est criminel que les fabricants sachent que leurs nouveaux médicaments présentent des « fuites » mais qu’ils les commercialisent malgré tout dans le monde entier. Dans ce contexte, la « fuite » signifie qu’au lieu que le médicament reste en sûreté au site d’injection (muscle de l’épaule) avant qu’une réponse immunitaire ne soit activée, il est transporté dans tout le corps. Ainsi, la protéine de pointe sera synthétisée dans chaque organe et chaque cellule exprimant cette toxine, qu’il s’agisse d’une cellule du cerveau, du cœur ou autre, sera attaquée par le système immunitaire.
En plus de causer des dommages cardiovasculaires progressifs qu’un receveur ne ressentira jamais et dont il n’aura jamais connaissance parce qu’ils sont indolores et en grande partie asymptomatiques, la protéine de pointe empêche la recombinaison v(d)j. Lorsque vos cellules immunitaires créent de nouveaux anticorps, elles n’ont pas de gène qui code pour cette création. Elles divisent donc leur ADN, en extraient les séquences qui pourraient partiellement créer la séquence nécessaire, les épissent ensemble et les insèrent, puis réparent l’ADN qui a été endommagé au cours de ce processus. C’est la recombinaison v(d)j. Seuls 2 % des lymphocytes T tueurs y parviennent, ce qui explique pourquoi les personnes gravement malades commencent à perdre rapidement du poids. L’organisme a besoin de ressources pour alimenter ce processus très important. Chez les vaccinés, ce processus est encore plus altéré, au point que leur système immunitaire ne peut plus suivre. Les taux de cellules CD4 et CD8 diminuent progressivement, ce qui conduit au SIDA induit par le vaccin. Il faut savoir que cela peut prendre entre 5 et 10 ans pour atteindre le point où les symptômes apparaissent chez les personnes infectées par le VIH.
Note: Cette partie est assez complexe. La recombinaison V(D)J est un mécanisme d’essai et d’erreur par lequel des longueurs d’ADN sont réarrangées de telle sorte que de nouveaux anticorps spécifiques peuvent être synthétisés. Son découvreur, un polymathe japonais appelé Susumu Tonegawa (1939-), a reçu le prix Nobel de Physiologie ou de Médecine en 1987. La référence (valable) au SIDA induit par le vaccin est un sujet que j’ai évoqué dans des articles récents.
Revenons aux ovaires. La recombinaison v(D)j est utilisée par les cellules immunitaires, mais les protéines impliquées – BRCA1 et 53BP1 – sont utilisées dans chaque cellule pour la réparation de routine de l’ADN. BRCA1 élimine les cassures double brin de l’ADN. La 53BP1 agit comme un point de repère, indiquant où la réparation de l’ADN doit avoir lieu. Ces deux protéines doivent leur nom à leur implication dans la recherche sur le cancer. Si l’une ou l’autre de ces protéines n’est pas présente, comme dans le cas des personnes qui n’ont pas de copies fonctionnelles des gènes permettant de créer ces protéines, le risque de cancer augmente de façon exponentielle avec l’âge.
Non seulement les personnes ayant reçu les vaccins présentent un risque accru de tous les types de cancer, mais les femmes commenceront à entrer en ménopause plus tôt et à donner naissance à des enfants présentant davantage de malformations congénitales. Les femmes n’ont qu’un nombre limité d’ovules, et leur exposition à ces vaccins et la suppression des BRCA1 et 53BP1 signifient que les cellules de ces ovules [sic] ne peuvent plus s’engager dans la réparation de routine de l’ADN en raison de l’exposition quotidienne au stress oxydatif. Ces ovules vont soit mourir prématurément, soit donner lieu à une grossesse viable mais avec une progéniture endommagée.
Note: Cette affirmation est malheureusement vraie. Les « vaccins » inhibent la réparation de l’ADN et préservent ainsi les mutations génétiques qui sont à la base de toute maladie néoplasique, qu’elle soit bénigne ou maligne (cancer). Il existe déjà des preuves de l’augmentation de l’incidence de la croissance agressive des tumeurs dans tous les organes du corps – et ce n’est qu’un avant-goût de ce qui est à venir.
Les rétrotransposons de type LINE 1 peuvent et vont transcrire l’ARNm du vaccin dans les cellules somatiques. Les cellules de l’ovule. Cela signifie que les enfants nés de mères vaccinées produiront la protéine de pointe du covid chaque jour de leur vie. Leur expression de BRCA1 et 53BP1 sera inhibée du jour de leur naissance jusqu’à leur mort. La recombinaison v(D)j sera inhibée du jour de leur naissance jusqu’au jour de leur mort. Non seulement ils risquent d’être atteints de cancers précoces et fréquents, mais leur système immunitaire sera compromis et ils ne seront pas en mesure d’organiser des réponses immunitaires adaptatives efficaces contre les agents pathogènes courants. Ils seront malades et leur vie sera courte.
Note: La plus grande tragédie de toutes est peut-être que les effets horribles de ces « vaccins » risquent de se manifester dans de nombreuses générations à venir. Puisse le sang versé à l’avenir rester irrémédiablement sur les mains de tous ceux qui, en connaissance de cause ou par négligence, ont facilité l’injection d’un médicament aussi toxique à des personnes non informées et mal informées.
Quand la communauté médicale ne pourra plus cacher cela, ce sera la fin. L’augmentation des décès, des cancers et de l’épidémie massive de SIDA induite par les vaccins est balayée sous le tapis pour le moment.
Au bout du compte, on ne pourra plus le cacher. Les tentatives de dissimuler les faits aussi longtemps que possible étaient prévues puisque les médecins et les universitaires sont des psychopathes arrogants et bien-pensants dont on peut attendre qu’ils protègent leur réputation à tout prix. Cela ne fera que susciter encore plus de colère.
Note: je me demande combien de temps encore le grand public pourra rester inconscient. Il y aura un point de rupture. Le personnel médical de haut niveau sait ce qu’il en est, mais, à leur plus grande honte, ils restent silencieux.
12 [sic]. Comme c’était le but, les attaques contre les médecins, les médias et le gouvernement entraîneront des guerres civiles dans le monde entier et la destruction des gouvernements nationaux. Seuls 20% de la population humaine survivront.
J’ai inclus une copie de la capture d’écran originale que j’ai tapée mot pour mot (Figure 197.2).
La dernière phrase est consternante. Une telle éventualité ne me surprendrait cependant pas. Après tout, elle correspond à l’opinion du professeur Dolores Cahill – [NdT. en qui j’ai une confiance relative]https://profdolorescahill.com – une immunologiste expérimentée et hautement qualifiée, anciennement du University College de Dublin:
Toute personne ayant reçu une injection d’ARNm mourra dans les trois à cinq ans.
Bien que hautement qualifiée, le professeur Cahill a été censurée, déplateformée et est même traquée par les autorités irlandaises pour avoir osé contredire si audacieusement le faux narratif. Comme l’a dit un jour JFK:
« Une nation qui a peur de laisser son peuple juger du vrai et du faux sur la place publique est une nation qui a peur de son peuple ».
Le surnom de « parrhesia » est approprié. L’auteur parle avec audace, honnêtement et librement, et ce d’un point de vue de connaissance et de compréhension considérables. Le pouvoir en place est terrifié. Ils sont terrifiés par des experts comme le professeur Cahill. Ils sont terrifiés à l’idée que l’émergence de la vérité s’avère imparable. Ils sont terrifiés par la réaction éventuelle du public, lorsque les milliards de personnes injectées réaliseront qu’elles ont reçu une condamnation à mort pharmacologique.
ATTENTION, JE ME SUIS PLANTÉ EN NE LISANT QUE LE RÉSUMÉ DE L’ARTICLE SUR L’OMICRON S QUI FIGURAIT SUR LA PRÉSENTE PAGE! JE PUBLIE ICI UN ARTICLE QUI CORRIGE CETTE MÉPRISE.
Désolé, j’ai eu une panne d’Internet.
J’ai aussi eu une panne d’inspiration, juste après.
J’ai un paquet de notes pour quelques articles en préparation, qui n’attendent qu’à être rédigés. Avant de m’y mettre, j’ai sorti le chien et j’ai vu la rue principale du village totalement envahie par les voitures des gens qui remplissent les restaurants du coin. J’ai vu leurs têtes, leur regard éteint qui donne sur leur cerveau absent, et je me suis demandé, « A quoi bon? »
J’ai néanmoins passé la soirée et une partie de la nuit à chercher ce qui pourrait bien les réveiller. Mais rien de nouveau, le programme suit tranquillement son cours. Quelques âmes courageuses dénoncent, interpellent, publient, filment, intentent, etc. Je les relaye ici, je tente de séparer le bon grain de l’ivraie et de pointer directement le coeur du sujet, dans le chaos informationnel ambiant.
Mon épouse me dit que ses collègues commencent à s’inquiéter.
Commencent.
Juste parce que leur facture énergie a subitement augmenté.
Je me disais que ce serait donc une idée de faire le point, d’être plus simple et concis, et de m’adresser à ceux qui commencent à s’inquiéter. Pas ceux qui ont déjà compris, les autres. Qu’ils commencent à s’inquiéter de la pénurie énergétique, de la guerre Russie/Ukraine qui n’en finit pas, des effets secondaires des injections, de la pénurie de main d’oeuvre, des problèmes de réseaux de distribution, d’agriculture, d’inflation, de possible guerre civile, de recrudescence de la violence urbaine, de vagues d’immigration démentielles, des dangers de la géoingénierie.
Je pourrais donc faire le point – simple et concis – sur tous ces sujets et emballer le tout en quelques phrases. La crise énergétique sert à parachever la destruction des entreprises. Elle a été fabriquée de toute pièce par la fermeture des centrales nucléaires et par la guerre en Ukraine, volontairement menée de manière à durer le plus longtemps possible, et à démanteler ce pays. L’objectif des injections est de réduire l’espérance de vie de la majorité des populations et d’expérimenter la technologie de l’Internet des Corps. Les réseaux de distribution, volontairement sabotés depuis le Covid, le sont aujourd’hui par les coûts des transports. L’agriculture industrielle, qui se relevait tant bien que mal des mesures Covid est volontairement détruite par la pénurie d’engrais – justifiée par la pénurie énergétique – par la guerre, et la persécution des agriculteurs. L’inflation, entièrement fabriquée pour camoufler le pillage complet de l’argent public, est volontairement aggravée pour détruire ce qui reste de l’économie occidentale, après quoi le seul choix donné sera celui des monnaies digitales des banques centrales. Le chaos sociétal à venir provoquera un niveau de violence impossible à imaginer, que la présence de populations immigrées servira à parachever. Si la modification des couches atmosphériques par géoingénierie se poursuit au rythme actuel, entamé en 2010, toute vie pourrait disparaître sur Terre d’ici cinq ans.
Mais à part le chapitre géoingénierie, que j’aborderai, j’ai déjà expliqué tout ça en long et en large.
Note:j’ai supprimé la fin de l’article, qui contenait l’erreur expliquée ici.
Vu l’importance et la qualité des informations contenues dans cette interview, j’ai mis en attente tous mes articles en préparation pour me consacrer à sa transcription complète (texte ici) et à sa traduction ci-dessous, qui m’ont pris plus de vingt heures. Je remercie évidemment Alexandra Latypova pour son travail précieux et considérable, le Comité Corona pour lui avoir donné la parole, Sage Hana pour l’avoir mentionnée sur son Substack et tout particulièrement mon épouse pour l’incroyable patience dont elle a fait preuve pendant que j’étais accaparé par cette tâche.
Pour plus de clarté, j’ai inclus dans le texte une capture des diapositives PowerPoint présentées lors de l’interview. Je n’ai pas traduit le texte qui y figure puisqu’il est expliqué dans le texte juste en-dessous par Mme Latypova.
Addendum 27/10: le document en fichier pdf est consultable ou téléchargeable ci-dessous.
Je vous remercie de le lire et de bien vouloir le diffuser. Je vous rappelle que je ne suis présent nulle part sur les réseaux sociaux, que je ne fais aucune promotion de ce blog (non-monétisé) et que je dépens entièrement de mes lecteurs pour que ce genre de travail soit utile à d’autres.
NOTE 08/02/23: il y a d’autres articles de Sasha sur ce blog ici, ici et ici.
Source de la vidéo. Source de la session complète.
Viviane Fischer: Nous avons une nouvelle invitée. Il s’agit de Mme Alexandra Latypova. Elle a longtemps travaillé comme cadre dans l’industrie pharmaceutique. Bonjour.
Alexandra Latypova: Bonjour à tous.
Viviane Fischer: Bonjour, ravie de vous recevoir. Ce serait bien que vous vous présentiez un peu. Quelles sont les points les plus importants de votre carrière que vous aimeriez partager avec notre public?
Alexandra Latypova: Mon expérience professionnelle est dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutiques. J’ai travaillé pendant environ 25 ans dans ce secteur, à différents postes. Au début, j’ai fait de l’analyse de données, puis j’ai travaillé dans le domaine des essais cliniques et des technologies qui sont utilisées dans les essais cliniques pour évaluer divers médicaments, comme les technologies d’imagerie, l’électrophysiologie et de nombreuses autres techniques. J’ai cofondé plusieurs organismes de recherche clinique. Ce sont des entreprises sous-traitantes des sociétés pharmaceutiques, qui travaillent dans le domaine des essais cliniques. J’ai ainsi travaillé pour environ 60 sociétés pharmaceutiques dans le monde entier, principalement aux États-Unis et en Europe, mais aussi en Asie. Pfizer a été mon client et a été, en fait, mon investisseur à deux reprises. Nous avons travaillé en collaboration en matière de R&D sur les technologies susceptibles d’être utilisées dans les essais cliniques. J’ai également travaillé directement avec la FDA dans le domaine des évaluations de la sécurité cardiovasculaire et j’ai participé aux consortiums industriels de la FDA sur les méthodologies d’évaluation de la sécurité cardiovasculaire dans la recherche clinique et préclinique. J’ai pris ma retraite de l’industrie il y a quelques années et je ne travaillais plus lorsque l’arnaque Covid est arrivée. Je m’en suis tout de suite inquiétée quand j’ai compris que ça se passait très mal, que les pratiques et les politiques mises en place n’avaient aucun sens. J’ai entrepris d’examiner la situation de plus près. J’ai d’abord analysé les données du VAERS du CDC, parce qu’elles sont accessibles au public, et ensuite, jusqu’à ce jour, j’ai travaillé sur divers documents rendus disponibles par des actions en justice relatives à la liberté d’information. J’examine ces documents et je collabore avec divers groupes pour tenter de leur fournir une expertise et une interprétation du contenu de ces documents afin que diverses actions puissent être entreprises par le public et par les cabinets d’avocats.
Viviane Fischer: Vous avez donc manifestement beaucoup d’expérience dans ce domaine. Ce qui en ressort, c’est que de votre point de vue, toutes les mesures de protection et les réglementations précédemment en vigueur, sur lesquelles le public s’est appuyé pendant des années – et dont il présumait qu’elles continueraient à être mises en œuvre – ont été fondamentalement supprimées. Pourriez-vous peut-être nous en dire plus à ce sujet?
Alexandra Latypova: Voilà le plus gros mensonge sur ces prétendus vaccins. Ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont même pas des produits pharmaceutiques, ce que j’expliquerai dans ma présentation. Voilà le mensonge qui nous a été vendu au niveau mondial, à savoir que c’est un médicament, mais ce n’est pas un médicament. Et lorsqu’on a dit au public qu’il s’agissait d’un médicament, d’un vaccin, tout le monde s’est attendu à ce que toutes les garanties auxquelles nous sommes habitués en matière de médicaments soient en place, mais ça n’a pas été le cas. En fait, ces garanties ne peuvent même pas légalement s’appliquer à ces produits, même si c’est sujet à caution. On ne peut pas passer un contrat pour commettre un crime, or ils ont passé un contrat pour commettre un crime et ils commettent ce crime en ce moment même. Et ils le qualifient de légal mais cela reste à voir – et je l’expliquerai dans ma présentation. J’ai quelques diapositives, si je peux les partager?
Wolfgang Wodarg: Partagez simplement votre écran.
Alexandra Latypova: Ma présentation aujourd’hui traitera de ces injections et plus particulièrement de la fraude en matière de réglementation et de fabrication, problème spécifique sur lequel peu de gens se sont penchés et sur lequel je me suis concentrée. Il n’implique pas seulement la FDA, mais aussi l’AEM (Agence Européenne des Médicaments), toutes ces agences, et surtout le Département d’État américain. Ce programme est entièrement dirigé par le Département d’Etat américain. C’est une action militaire, un programme militaire, qui a effectivement suspendu toutes les règles et réglementations de sécurité dans le monde entier. Et ils sont de connivence avec les fabricants de produits pharmaceutiques pour la diffusion de ces produits mortels dans le monde entier.
Jusqu’à présent, nous disposons d’un résumé de très haut niveau de toutes les preuves concernant les injections Covid 19 actuelles et je pense que la plupart d’entre nous seront d’accord sur ces points. Ils ont été couverts par votre commission d’enquête de manière assez exhaustive.
Tout d’abord, ces produits ont été conçus pour être toxiques. De nombreuses publications en expliquent la raison ainsi que les nombreux mécanismes de dommages incorporés dans ces produits. Ils interfèrent avec les processus génétiques qui ont lieu en permanence dans notre corps. Les fabricants affirment qu’une sorte de protéine utile est exprimée, mais ce n’est pas ainsi que fonctionne le corps humain. Ils ne font que détruire le système immunitaire, ce qui entraîne diverses conséquences catastrophiques. Nous savons maintenant que ces produits ne sont absolument pas sûrs. Le nombre de morts et de blessés dans le monde entier est tout simplement effroyable. Il dépasse tous les chiffres antérieurs les plus élevés repris dans les anciennes bases de données accessibles au public. Pourtant, aucun responsable n’y prête attention ou, lorsque ce point leur est soumis, ils le nient purement et simplement et embrouillent le public. Ce produit n’a aucune efficacité. Je n’ai vu nulle part quelqu’un qui puisse démontrer que ces injections offrent une protection durable. Ce n’est pas vrai. Les gouvernements veulent maintenant que les gens se fassent injecter tous les 3 ou 4 mois. C’est tout à fait grotesque pour un produit désigné sous le nom de vaccin et ces produits n’offrent absolument aucune protection contre la maladie du Covid.
Ma présentation d’aujourd’hui sera principalement axée sur le mode de fabrication, sur la manière dont le cadre en place permet de commettre cette fraude, comment ce cartel s’est formé, qui sont les participants à ce cartel et quel est leur rôle exact. La question de la fabrication déficiente a été très peu évoquée, mais ce produit est totalement non conforme parce qu’il n’a pas à l’être. C’est un prototype, ce n’est pas un produit pharmaceutique, il est donc très peu conforme à son étiquette et il est extrêmement variable. Il n’est pas conforme aux bonnes pratiques de fabrication et on ne voit aucune application des bonnes pratiques de fabrication dans les pays où de telles lois existent. Les gouvernements poursuivent manifestement une politique malfaisante. Nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils dissimulent, qu’ils embrouillent les familles des personnes tuées ou blessées par ces injections. Toutes ces actions font apparaître très, très clairement leur intention de nuire. A ce stade, tout doit être considéré comme intentionnel. Tous les dommages et les décès doivent être considérés comme totalement intentionnels.
Parlons maintenant de la fabrication, pour illustrer ce que sont les bonnes pratiques de fabrication. Aux États-Unis, il s’agit d’un ensemble de lois, de règles et de règlements qui figurent dans le code des règlements fédéraux. C’est un ensemble de lois très complet qui couvre les normes de haute qualité, de cohérence et de pureté pour les médicaments, les vaccins, ainsi que les aliments et les boissons – fabriqués en masse. On s’attend à ce que chaque lot de chaque nouveau produit soit à peu près identique au lot précédent du même produit, qu’il soit conforme à son étiquette, qu’il ne contienne pas d’impuretés ni de substances toxiques. Dans le cas de ces injections Covid 19, on s’attend également à ce qu’elles soient interchangeables entre différentes marques, bien qu’aucun test n’ait été effectué pour le démontrer. Ces règles et réglementations existent dans d’autres pays où elles sont très similaires. Aux États-Unis, elles ont été élaborées entre les années 1900 et 1960 et constituent un ensemble très complet. C’était en réaction au grand nombre de personnes empoisonnées et tuées par des produits mal fabriqués à l’époque et, en fait, c’est un crime grave que d’introduire un produit frelaté, un produit qui n’est pas conforme à ces règles dans le commerce inter-États aux États-Unis ou au niveau international.
Quand je me suis mise à examiner ces injections Covid 19, je voulais comprendre de quoi elles avaient l’air par rapport à quelque chose de plus traditionnellement conforme à nos bonnes pratiques de fabrication. Comme il s’agissait d’un prétendu vaccin, j’ai décidé de le comparer aux vaccins antigrippaux traditionnels et j’ai pris toutes les données de la base de données VAERS qui couvraient les vaccins antigrippaux traditionnels. Je les ai reportées sur ce graphique. Sur l’axe des X, figurent tous les numéros de lot des vaccins contre la grippe. Il s’agit d’une douzaine de fabricants, de différents produits, tous des vaccins antigrippaux injectables, et sur l’axe Y, figurent les événements indésirables graves et les décès. Je n’inclus jamais la somme des événements indésirables, qui peuvent inclure de nombreuses questions administratives et des problèmes potentiellement mineurs, je me concentre donc sur les événements graves et les décès. En ce qui concerne les événements graves et les décès, comme vous pouvez le voir, ce sont des produits très cohérents, ils ne varient jamais beaucoup. La moyenne est d’environ 3 ou 4 événements indésirables graves par lot. Puis, nous trouvons quelques valeurs aberrantes – nous ne trouvons ici que 2 valeurs aberrantes sur de nombreuses années et la plus importante était de 37 rapports par lot. C’est à peu près ce à quoi ressemble un vaccin conforme aux bonnes pratiques de fabrication, et c’est ce à quoi on devrait s’attendre.
Lorsque j’ai examiné les injections Covid 19, le tableau était radicalement différent, ce qui est extrêmement alarmant. Il est tellement catastrophique qu’il aurait dû constituer un signal d’alarme pour tout organisme de réglementation à tous les niveaux – fédéral, étatique et local. Nous disposons tous d’organismes de réglementation établis à tous les niveaux du gouvernement, capables de signaler des problèmes d’anomalies ou des schémas anormaux pour tous les produits relevant de leur juridiction et d’effectuer alors leur rappel. Mais personne ne l’a fait. On observe une énorme variation d’un lot à l’autre pour toutes ces injections Covid 19. J’ai d’ailleurs ici tous les lots vérifiés par le CDC, on dispose de la liste complète des lots émis aux États-Unis avec numéros de lot exacts, dates de fabrication et dates d’expiration. Ces données sont donc toutes valides et pourtant on voit que les variations sont des centaines de milliers de fois plus importantes que celles du vaccin contre la grippe, qui sont toutes sous cette ligne rouge ici, et elles sont toutes beaucoup plus élevées. La fourchette va de 1.500 événements indésirables graves pour un seul lot à certains lots qui en ont très peu et il y a aussi une énorme différence – vous pouvez le constater visuellement – entre les différents fabricants. Nous avons Janssen ici, Moderna ici, et puis Pfizer – regardez ça. C’était extrêmement alarmant et en fait, une alerte a été émise très tôt dans le déploiement par le comté d’Orange, en Californie. Ils ont détecté le 18 janvier 2021, soit quelques semaines seulement après le déploiement massif de ces injections, un lot de Moderna qui, selon eux, a généré un nombre important d’événements indésirables. Cependant, personne d’autre ne s’en est alarmé. L’affaire a fait la une des journaux, mais aucune autre autorité sanitaire n’a reçu la moindre notification. Le fabricant n’a pas arrêté la production de ce lot, ne l’a pas rappelé, personne parmi les autorités sanitaires n’a imposé un rappel et ce lot a continué à être vendu dans tous les États-Unis jusqu’à son épuisement en mars. Il a également généré un millier d’événements indésirables graves et près de 60 décès. Tout cela doit donc être considéré comme intentionnel, car les autorités l’ont signalé, elles ont constaté qu’il générait des effets indésirables anormaux. Personne n’a pourtant fait quoi que ce soit pour l’arrêter et on a continué à l’administrer aux gens.
Viviane Fischer: Dans cette représentation de Pfizer, il semble que lorsqu’il y a un lot toxique, il est très toxique.
Alexandra Latypova: Ceux-là, oui, les chiffres sont extrêmement élevés, ils sont extrêmement toxiques. Ces lots provoquent en général aussi beaucoup de décès, je n’ai pas détaillé les décès ici, mais oui. Ces énormes lots générent beaucoup de décès, mais ce n’est pas toujours le cas. Parfois, même un petit lot peut générer un nombre anormal de décès. Ils varient également au niveau de la létalité, comme vous pouvez le voir. On observe donc d’énormes variations à tous les niveaux.
Wolfgang Wodarg: Vous allez certainement nous parler de la raison de ces variations.
Alexandra Latypova: Oui, nous avons trouvé de nombreuses raisons. Les gens nous ont souvent dit : « Vous êtes des conspirationnistes, c’est juste parce que la taille des lots est différente », mais en fait, elles ne sont pas si différentes. Nous avons reçu récemment des informations dans le cadre d’une demande d’accès à l’information (FOIA) et on nous a fourni la liste de toutes les expéditions de produits Pfizer aux États-Unis par numéro de lot et par nombre de doses. Lorsque je les ai représentés par date de fabrication, ici sur l’axe des X, et qu’on ne compte que les décès – ici, c’est plus facile à voir – en ajustant pour la taille des lots – ici, j’ai ajusté par 1.000 doses – on obtient cette image très étrange. La variabilité est énorme – ceux-ci sont jusqu’à 12 fois supérieurs à ceux-là. Et notez la dispersion, surtout au début de l’année. Cette variabilité a ensuite diminué et la toxicité a diminué mais la variabilité est toujours inacceptable dans cette partie du graphique. C’est juste qu’elle est éclipsée par cette partie du graphique. Rien de tout cela ne devrait se produire. La relation attendue devrait ressembler à une ligne plate, zéro ou aussi proche de zéro que possible. Mais ici nous avons une relation statistique définie, en relation avec la date de fabrication pour Pfizer. Pensez-y, il ne devrait pas y avoir de différence dans la toxicité d’un produit en fonction de sa date de fabrication, et la même relation existe même entre les codes alphanumériques de Pfizer et Moderna. Ils se regroupent également – je ne le montre pas ici – mais ils se regroupent également autour de différents codes alphanumériques. Nous savons aujourd’hui quelles lettres et quels chiffres correspondent à quel niveau de toxicité. Nous pouvons en informer les gens et nous le faisons d’ailleurs sur notre site Internet.
Voilà la situation, absolument alarmante et absolument évidente, évidente depuis le début et qu’aucune autorité sanitaire n’a jamais remarquée. C’est extrêmement inquiétant et encore une fois, cela indique un acte intentionnel.
Viviane Fischer: Je ne sais pas si vous allez y venir, mais j’ai une question, avant que j’oublie. Au début, il y avait les personnes âgées et les malades, des personnes peut-être déjà malades, qui se faisaient vacciner et ensuite les personnes plus jeunes ont été admises. Quand on voit le nombre de réactions jusqu’au 21 avril, se pourrait-il que la variabilité soit due à des réactions plus intenses, en raison du groupe d’âge qui a été vacciné? Reviendrez-vous sur cette question plus tard ?
Alexandra Latypova: Oui, j’ai en fait une diapositive à ce sujet dans mes diapositives de sauvegarde. Cette question a été posée fréquemment et voici la réponse – c’est d’ailleurs mon collègue allemand qui l’a écrite et elle est basée sur des données allemandes. L’âge n’a pas autant d’influence qu’on le pense. La différence entre les lots à faible létalité et les lots à forte létalité était de 12 fois. Il y avait quelques personnes âgées, mais n’oubliez pas qu’au début du déploiement, il y avait aussi des travailleurs de la santé, donc il n’y a pas eu que des personnes âgées. L’âge moyen a toujours été assez bas. Il n’était pas dans les quatre vingt ans, il était beaucoup plus bas. Mais ici, mon collègue allemand a effectué une analyse de l’influence de l’âge sur les décès et les événements indésirables et il s’avère que l’âge n’a qu’un pouvoir explicatif partiel, il n’explique pas tout – il explique en fait très peu. L’âge peut expliquer quelque chose comme 18%, 13% mais il n’explique pas le reste. Et vous pouvez le constater visuellement. Si on soumet à l’examen les lots expédiés en Allemagne qui ont occasionné des événements indésirables graves et des décès, et qu’on les représente ici, on peut voir par exemple ici – on le voit très clairement sur ce graphique – que l’âge est inférieur à 60 ans, peut-être 58 ans, et on voit cette dispersion verticale des résultats des événements indésirables. Cela signifie que pour le même âge, il y a des lots qui étaient moins toxiques et d’autres beaucoup plus toxiques. C’est une dispersion énorme et on la trouve presque constamment, comme vous pouvez le voir. Et comme vous pouvez le voir ici, à 60 ou 70 ans, il y a un lot très peu toxique et un autre à environ 80 ans, très toxique, dispersé un peu partout. Les données regroupées dans ce nuage nous disent simplement que l’âge n’explique pas tout – il explique une toute petite partie.
Viviane Fischer: D’accord, merci beaucoup.
Alexandra Latypova: [Permettez-moi de revenir en arrière.] Il y a aussi d’autres schémas de variabilité étrange, qui restent inexpliqués. Un autre de mes collègues a établi ce graphique pour les États-Unis. On observe des anomalies géographiques très étranges en termes de toxicité de ces produits. Ainsi, lorsqu’on examine les données du VAERS, elles représentent des populations vaccinées à 100%, de sorte que les politiques des gouverneurs locaux ne jouent aucun rôle ici. Tous ceux qui ont été vaccinés sont couverts par ce système. Si on examine le nombre de décès pour cent mille personnes vaccinées dans l’État, on obtient ce tableau assez étrange lui aussi. Par exemple, le Dakota du Sud est le pire État de l’Union en ce moment. Il compte 33 décès pour cent mille personnes vaccinées et l’État suivant est le Kentucky, avec seulement 24 décès pour cent mille personnes vaccinées. Et puis il y a des États comme l’Utah et la Californie, par exemple, avec seulement 1,7 et 1,9, ce qui représente un écart considérable. Encore une fois, il n’y a aucun moyen d’expliquer cela par la démographie normale des États. En fait, la Californie a une piètre démographie si on considère les populations de sans-abri et de toxicomanes, etc. C’est donc inexplicable à ce stade et personne ne semble s’en préoccuper. Mais pour moi, cela signifie simplement que le produit est extrêmement variable et que ce qu’ils envoient à ces différents États l’est aussi.
Etant donné cette variabilité de la fabrication, le fabricant fournit des produits très, très variables et cela crée ces anomalies étranges quelle que soit la façon dont on les considère. Je me suis ensuite penchée sur les documents réglementaires que j’ai pu obtenir et j’ai examiné plusieurs dossiers de ce que l’on appelle des résumés non cliniques. Ils ont été mis à disposition par le biais de la loi sur la liberté d’information et ils concernaient Pfizer et Moderna. Ces résumés contenaient – leurs propres résumés des études sur animaux qu’ils avaient réalisées et que la FDA a ensuite utilisées pour approuver le produit injectable de Pfizer et le Spikevax de Moderna.
Pour des raisons de temps, je parlerai surtout de Moderna, mais les deux sont très similaires. J’ai d’abord examiné Moderna et j’ai découvert quelque chose de très étrange. Moderna a apparemment deux numéros de médicament de recherche, ce qui me semble étrange car, selon les règles, il ne peut y avoir qu’un seul numéro de médicament de recherche pour chaque nouvelle entité moléculaire. Ce numéro permet de soumettre une demande à la FDA et à un processus similaire dans les agences européennes. Ce numéro ouvre une demande et ensuite, en tant que promoteur, vous recueillez toutes les données relatives aux études sur les animaux, puis aux études cliniques, et tous les résultats et tous les ensembles de données sont annexés à ce numéro. C’est un genre de numéro de référence qui constitue ensuite un dossier que l’on présente aux autorités de réglementation pour l’examen et l’approbation du produit. C’est ainsi que cela fonctionne partout dans le monde où ces systèmes sont utilisés, la Conférence Internationale pour l’Harmonisation. Dans le cas de Moderna, j’ai trouvé deux numéros. Je ne comprends toujours pas pourquoi, mais on n’a jamais répondu à ma question. Tout d’abord, cet autre numéro a été ouvert en premier, puis le numéro de Moderna en second. Le premier numéro appartient aux NIH. Ce sont les propriétaires, les National Institutes of Health, et plus précisément la division de la microbiologie et des maladies infectieuses, la DMID, et sur le plan organisationnel, ce groupe dépend d’Anthony Fauci. Ils sont donc propriétaires de ce numéro, ils ont ouvert ce numéro pour Moderna en février 2020 et ils ont également réalisé – c’est peut-être encore le cas – de nombreuses études sur animaux pour Moderna. Parce qu’ils détiennent ces deux numéros, cela signifie qu’ils sont copropriétaires de ce produit et qu’ils détiennent les droits sur les revenus et les bénéfices dérivés de ce produit. Il s’agit d’une situation tout à fait anormale et d’un énorme conflit d’intérêts, car elle va bien au-delà d’une relation idéale plus standard où, disons, un fabricant privé peut obtenir une licence pour un brevet des NIH ou un brevet d’une institution universitaire et leur verser ensuite de petites redevances lorsque cette technologie est utilisée dans des produits ultérieurs sur le marché. Mais ici, c’est différent, c’est le NIH qui obtient des revenus et des bénéfices sur ce produit – ou du moins qui en a les droits – et il faut également noter que, bien sûr, le NIH et Anthony Fauci en particulier sont ceux qui ont imposé tous ces obligations draconiennes et la coercition de la population pour injecter ce produit à tout le monde. Alors comment se fait-il qu’ils en profitent directement? J’ai soulevé cette question à plusieurs reprises. Personne ne l’a jamais abordée, mais je pense qu’il faudrait en parler davantage.
Ensuite, j’ai examiné les dossiers de Pfizer et de Moderna pour ce qui concerne les tests standard d’expériences précliniques ou animales. Pour vous en donner un aperçu, ce sont des essais de très, très haut niveau, chacun de ces encadrés regroupe en fait de nombreuses études. Pour un médicament, un vaccin ou tout autre produit biologique normal, il faut d’abord l’évaluer dans le cadre d’expérimentations animales avant de pouvoir l’administrer aux humains dans le cadre d’un essai clinique hautement contrôlé. Ceci afin d’exclure les risques majeurs et de s’assurer que le produit est suffisamment sûr pour être administré à l’homme en tant que produit expérimental. Les catégories de tests de sécurité précliniques comprennent trois éléments principaux: la pharmacologie, la pharmacologie de sécurité et la pharmacocinétique. La pharmacologie comprend deux domaines. Le premier est la pharmacologie primaire: il faut au minimum essayer de démontrer le mécanisme d’action déclaré pour le produit. Par exemple, si le fabricant prétend que « ce produit va créer une protéine de pointe qui va ensuite créer un antigène », cela doit être démontré dans ces études. Ensuite, tout effet hors cible. Si en faisant cela, il fait autre chose, il faut aussi le montrer ou l’exclure ou au moins avoir une idée des potentiels effets hors cible qui peuvent se produire. Les interactions médicamenteuses sont également très importantes, surtout si le produit est censé être administré à absolument tout le monde. Chez beaucoup de personnes qui prennent déjà plusieurs médicaments, ils peuvent interagir de manière inconnue, donc il faut au moins avoir une idée des interactions potentielles et des contre-indications pour d’autres produits. La catégorie suivante consiste à examiner la façon dont le produit est distribué dans l’organisme lorsqu’il est injecté – c’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique. Dans la pharmacocinétique, on évalue beaucoup de choses, mais les plus importantes sont l’absorption, la distribution, le métabolisme, les études d’excrétion – ce sont les études standard. Ensuite, la toxicologie, qui est très, très importante. La toxicologie signifie que si le produit est détecté dans une certaine zone – disons qu’il pénètre dans le tissu cardio-vasculaire, dans le tissu hépatique, dans le cerveau ou dans d’autres organes – il faut alors faire une étude toxicologique spécifique pour ces organes et déterminer l’exposition maximale, l’exposition dans le temps, quand il disparaît, la dose maximale tolérée et où commence la toxicité, parce que l’objectif est de développer ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, où l’on peut administrer le médicament à un niveau suffisamment élevé pour qu’il provoque une réponse souhaitable, mais aussi suffisamment bas pour qu’il ne franchisse pas le seuil de la toxicité. C’est la partie la plus importante de toutes ces expériences, il s’agit de trouver cet espace. Et cet espace n’a d’ailleurs jamais été trouvé pour ces produits. Un autre domaine est bien sûr la toxicologie de la reproduction, j’en parlerai plus en détail.
Dans le cas de Moderna et de Pfizer, la stratégie utilisée est très similaire. Ils n’ont pas fait d’études ADME (absorption, distribution, métabolisme, excrétion), ils n’ont pas fait de pharmacologie secondaire, puis ils se sont eux-mêmes dispensés de tout ce domaine de la pharmacologie de sécurité en disant aux régulateurs que cela ne s’appliquait pas à eux en raison des directives de l’OMS de 2005 pour les vaccins, ce qui est une affirmation totalement absurde car ces produits ne sont pas des vaccins et, surtout qu’en 2005, ils n’étaient pas considérés comme des vaccins, mais comme des thérapies géniques. Cette affirmation ridicule a été acceptée sans réserve par la FDA et, dans le cas précis de Moderna, j’ai découvert qu’environ 50% de toutes les études incluses dans leur dossier non clinique contenaient des tests pour des produits totalement non-pertinents. Ils ont simplement compilé les données de tout un tas de produits qui avaient échoué auparavant et qui étaient en cours de développement, ils les ont annexés à ce paquet et ils ont dit « Oh, c’est applicable Spikevax ». Ce n’est pas applicable à Spikevax. Tous les tests doivent être effectués avec la formulation exacte qui sera utilisée dans le produit clinique final, c’est-à-dire l’ARNm qui sera incorporé dans Spikevax et la nanoparticule lipidique identique à celle qui sera dans Spikevax. Rien de tout cela n’a été fait. C’était un méli-mélo de différentes études de différentes années. Par exemple, pour la distribution, ils ont inclus une étude de 2017 pour un cytomégalovirus, une concoction de 6 ARNm différents. Aucun d’entre eux n’est l’ARNm présent dans Spikevax. Ensuite, les études de toxicologie n’ont pas été faites. Il n’y a eu qu’une seule étude toxicologique, non-GOP – non conforme aux bonnes pratiques de laboratoire – et elle n’a pas été achevée, même au moment où l’emballage a été rédigé. Et il n’y a eu qu’une seule étude GOP en toxicologie reproductive, j’en parlerai. La génotoxicité et la cancérogénicité n’ont été évaluées que pour un seul composant, le produit chimique SM102, et seulement dans le cadre d’une expérience sur une lignée cellulaire in vitro. C’est totalement inacceptable, mais la FDA, soit dit en passant, n’a pas considéré que cela posait problème, elle l’a accepté sans rechigner. Et ce, tant pour Pfizer que pour Moderna. Pour moi, cela signifie qu’il y a collusion entre le régulateur et ces fabricants, et en fait, je crois que le régulateur, la FDA, leur a ouvert la voie. Ils leur ont dit comment soumettre les documents, parce que c’est une violation complète de toute [directive]. Si on considère les lignes directrices de la FDA, on constate qu’elles sont toutes violées. C’est tellement inacceptable que si un fabricant essayait de faire pareil et que la FDA suivait ses propres règles, rien de tout cela ne passerait. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, on leur déroule le tapis rouge et ils se pointent avec leurs conneries en disant que « Jimmy dit que la FDA leur a dit de faire comme ça ». [NdT. référence à une nouvelle de O. Henry, A Retrieved Reformation]
Moderna a également fait cette affirmation vraiment bizarre – que tous deux font maintenant – et qui est en train de s’inscrire dans la pratique réglementaire en ce moment même. Voici une diapositive de Moderna présentée à la conférence de JP Morgan en 2018. Ils affirmaient que leur produit est une plateforme – soit dit en passant, toutes les startups de tous les secteurs affirment que leur produit est une plateforme, donc cela ne veut absolument rien dire. Ils affirment qu’ils possèdent une plateforme qui leur permet de fabriquer ces nanobulles lipidiques et de mettre l’ARNm qu’ils souhaitent dans cette nanobulle lipidique et que si cela a fonctionné une fois, cela fonctionnera encore et encore. Je ne vais pas m’attarder sur ce point, mais quoi qu’il en soit, il s’agit d’une affirmation très dangereuse. Ils disent essentiellement que leur produit n’a pas besoin d’être testé. Seul le vecteur de distribution doit être testé. Ça revient à dire: « Les camions qui transportent de la nourriture et celui qui transporte des explosifs sont parfaitement identiques. N’y prêtez pas attention. » Parce que cette allégation en elle-même n’aurait jamais passé les pratiques réglementaires normales telles qu’elles sont conçues et les réglementations telles qu’elles sont écrites, ils ont dû fabriquer la crise pour la faire passer par l’autorisation d’utilisation d’urgence, afin qu’ils puissent effectivement mettre ce produit sur le marché – et c’est ce qu’ils ont fait. [Moderna] n’a pas testé le Spikevax et Pfizer n’a pas non plus testé son produit BNT162. Le seul test est celui du vecteur, ainsi que toutes sortes de tests évasifs pour ne pas tester directement cette combinaison de produits. Aujourd’hui, les deux entreprises affirment avoir une plateforme et la FDA les autorise à réaliser une étude sur huit souris et à mettre immédiatement le produit sur le marché. Cela pose bien sûr de nombreux problèmes. Tout d’abord, qui voudrait d’un produit qui a été testé sur huit souris? Je n’en sais rien. Le second est que maintenant la FDA, Pfizer et Moderna forment un cartel. Ils ont établi un cartel où Pfizer et Moderna peuvent faire une étude sur huit souris et rien d’autre. Tous ceux qui souhaitent travailler dans le domaine de l’ARNm, par exemple, toutes les autres start-ups, qui se disent « Oh mon Dieu, la révolution de l’ARNm a eu lieu et nous allons tous devenir riches », devraient y réfléchir à deux fois, car ils doivent désormais se conformer à toutes les réglementations pour faire approuver leurs plateformes. Mais Pfizer et Moderna peuvent se contenter d’études sur huit souris. En agissant de la sorte, ils ont ruiné l’ensemble de l’industrie, la recherche et le développement pharmaceutiques, et ils ont établi un cartel entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique et ont imposé leurs spécifications.
Je voudrais ensuite aborder spécifiquement l’étude de toxicologie reproductive réalisée par Moderna. Il s’agissait d’une petite étude sur une quarantaine de rats et je n’en couvrirai pas la conception. La moitié des rats étaient vaccinés, l’autre moitié non. À propos, on n’a pas vacciné de rats mâles, nous ne savons donc rien de ce qui advient de la reproduction des mâles et personne n’a abordé cette question. Ils n’ont vacciné que les femelles et ont fini par constater un fort transfert d’anticorps de celles-ci au fœtus et de celles-ci au petit – et les niveaux étaient élevés. Ils disent « anticorps » comme si c’était une bonne chose, mais si les anticorps sont transférés, l’ARNm et les protéines de pointe le sont aussi. Nous savons maintenant que les protéines de pointe étaient présentes dans le lait maternel, par exemple, et que l’ARNm spécifiquement était présent dans le lait maternel. Ces éléments, l’ARNm et les protéines de pointe, franchissent toutes sortes de barrières, comme le placenta, le cerveau et le sang, et se retrouvent donc dans le bébé, sans que l’on connaisse bien leurs effets. Nous savons qu’ils sont dangereux et que les bébés ont évidemment un petit corps et qu’ils sont en plein développement. Cela pose donc des risques élevés pour le bébé en développement et rien de tout cela n’a été étudié par qui que ce soit. En outre, les mères ont présenté une toxicité pendant la gestation et cette toxicité coïncidait avec le jour où elles exprimaient les niveaux les plus élevés d’antigènes, ce qui est manifestement lié à la vaccination. On les vaccine, elles présentent une toxicité élevée. Ils ont prétendu que ces effets étaient transitoires et pas si graves, mais les rats ont perdu leur fourrure et ne pouvaient plus utiliser leurs pattes arrière. Mais Moderna a déclaré: « Ne vous inquiétez pas, ils étaient en pleine forme ». Je ne vois pas comment un animal qui perd sa fourrure peut être en pleine forme. Comme je n’ai pas accès aux rapports complets, il ne s’agit que des résumés de Moderna, de leurs propres mots sur leurs études, je ne peux pas vous dire exactement ce qui s’est passé, mais il me semble qu’ils édulcorent beaucoup de choses. Le plus important, c’est qu’ils ont découvert que la progéniture des rats présentait des malformations squelettiques. Voici leur propre langage : « ARNm 1273 » – c’est le Spikevax de Moderna – « les variations liées à l’examen du squelette comprenaient une augmentation statistiquement significative du nombre de rats avec une ou plusieurs côtes ondulées et un ou plusieurs nodules de côtes » – c’est-à-dire des côtes supplémentaires. Il s’agit de malformations squelettiques graves qui ont augmenté de manière statistiquement significative chez les bébés des mères vaccinées. C’est un signal de sécurité aussi clair qu’il est possible, dans le cadre d’études standard pour l’évaluation de la toxicité sur le plan du développement. Il est donc évident que c’est lié au vaccin et que ce produit cause des dommages à la fois aux mères et à leurs bébés en développement.
Cependant, la FDA a directement menti sur l’étiquette et les documents réglementaires au nom de Moderna. La FDA a indiqué dans son résumé de pharmacologie et de toxicologie non cliniques, qui fait partie de l’étiquetage du Spikevax, qu’il n’y avait pas de malformations ou de variations fœtales liées au vaccin. Et cela a été caché, secret, pendant un an – plus d’un an en fait – jusqu’à ce que cela soit rendu public par une ordonnance du tribunal et jusqu’à ce que je le lise. Nous n’aurions jamais su et ils continueraient à vouloir l’injecter aux femmes enceintes dans le monde entier – et ils continuent. Ils étaient au courant, mais ils l’ont sciemment imposé aux femmes enceintes. Rappelez-vous les campagnes omniprésentes: la publicité du CDC, la publicité de la FDA, on aurait dit des vendeurs de produits pharmaceutiques, annonçant que ce produit est totalement sûr pendant la grossesse et les poussant – et même obligeant les femmes enceintes si elles étaient des travailleuses de la santé, des policières ou des enseignantes. Pour moi, c’est un crime, c’est un crime horrible qu’ils ont commis. Et nous savons maintenant qu’il y a énormément d’événements indésirables tels que fausses couches, problèmes chez les bébés, des bébés qui meurent, des bébés allaités qui meurent et tout cela est enregistré dans le VAERS. Et encore une fois, ils le nient et tentent d’embrouiller tout le monde.
J’aimerais ensuite vous parler de la véritable nature de ce produit, de la raison pour laquelle cette variabilité existe à mon avis et de ce que nous avons découvert en effectuant divers tests directs sur des flacons et en examinant de plus près les processus de fabrication. Comme vous le savez, chaque produit a son étiquette et même si Pfizer a essayé de dissimuler cette information pendant un certain temps, elle est maintenant disponible. Nous savons qu’ils déclarent certains ingrédients tels que BNT162b2, c’est leur séquence d’ARNm, et que le reste est constitué de lipides, de nanoparticules lipidiques, ils décrivent la composition des nanoparticules lipidiques, de ces ALC et ainsi de suite, de cholestérol et d’autres produits qui l’équilibrent en produit injectable. Ils déclarent également des quantités très précises de chacun d’entre eux par flacon et par dose – car n’oubliez pas qu’ils sont expédiés dans des flacons multidoses et que chaque dose est préparée manuellement par l’administrateur du vaccin sur le site, de manière totalement incontrôlée et en dehors de toute conformité aux bonnes pratiques de fabrication. Néanmoins, chaque dose est censée contenir 30 microgrammes d’ARNm, par exemple, et d’autres composants également décrits de manière très précise. Mais ce que j’ai découvert en lisant les documents de fabrication de Pfizer soumis à l’AEM, c’est qu’aucun test n’a été conçu pour tester les ingrédients, en particulier au niveau du flacon – et ne parlons même pas du niveau de la dose. Ce qu’ils décrivent comme tests au niveau du flacon est essentiellement le poids du flacon au moment du remplissage et certains paramètres d’intégrité comme la façon dont il est bouché et ainsi de suite. Mais il n’y a aucun test qui stipulait « nous allons prélever un échantillon aléatoire de quelques flacons de chaque lot ou de chaque ligne au fur et à mesure de leur sortie, puis nous allons les ouvrir et nous allons voir s’ils contiennent ou non 225 microgrammes d’ARN ». Rien de tout cela n’a eu lieu. Tous les tests de spécification des ingrédients sont conçus au niveau du lot – et le lot est un produit en vrac, une étape de fabrication en amont. Selon les réglementations gouvernementales actuelles, ces tests doivent exister au niveau de la dose, au niveau de la dose unitaire du médicament lorsqu’il est administré au patient – et ils ne le font pas, je vais en parler plus loin. Jusqu’à présent, nos conclusions sont les suivantes – et il s’agit de tests aléatoires sur des flacons dans le monde entier: nous avons constaté que pas un seul flacon n’est conforme à son étiquette ou à toute autre étiquette des fabricants.
Des tests indépendants des flacons ont été effectués par de nombreuses équipes. Cet article a été récemment publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. Je connais certains des auteurs et je suis en correspondance avec eux. Ces équipes de chercheurs et chercheurs indépendants du monde entier – de 16 pays, je crois – ont eu accès à certains des flacons, principalement Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – mais également à d’autres. Le résumé des conclusions générales est que tous ces produits sont complètement différents, ils diffèrent de leurs étiquettes, mais il y a quelques résultats constants. Par exemple, lorsqu’ils parviennent à isoler et à séquencer l’ARN des flacons, la séquence d’ARN n’est pas conforme à l’étiquette. Nous n’avons toujours pas trouvé une seule concordance avec ce que Pfizer indique dans sa composition. Ensuite, on trouve des quantités énormes d’impuretés d’ADN et de protéines – des quantités gigantesques, je vais vous le montrer. On trouve aussi systématiquement d’autres impuretés en grande quantité et il s’agit de métaux lourds et rares. On ne connaît ni l’origine ni le but de ces matériaux présents dans les flacons. Parmi ces métaux, on trouve des choses comme du cobalt, du chrome et de l’aluminium, qui sont très toxiques pour le corps et neurotoxiques. Des éléments rares comme du thulium, ce qui est étrange, et de l’antimoine ont même été trouvés dans des fioles de Moderna. L’antimoine est un métal utilisé dans la fabrication de semi-conducteurs, il est extrait en Chine. On se demande bien ce qu’il fait dans les flacons de Moderna, qui sont censés être produits dans le Massachusetts. On trouve également des inclusions, des contaminations avec des structures d’origine également inconnue. Elles ressemblent à des taches et à des particules inexplicables et elles sont de grande taille parce qu’on les découvre au microscope optique standard, ce qui signifie qu’elles ne sont pas à l’échelle nanométrique, elles sont plus grandes que ça. Quant aux cristaux, ils sont très caractéristiques: plats et de forme très carrée ou rectangulaire, avec des arêtes vives. Fibres et rubans également très caractéristiques, des rubans plats. Il y a un assemblage, un processus d’auto-assemblage – probablement chimique – dont le mouvement est visible immédiatement à partir de l’état congelé, qui a été filmé dans des vidéos à prise unique, de sorte que ce processus est très bien documenté. Les chercheurs prennent des précautions et des mesures pour exclure toute salissure environnementale sur les lames. Ils effectuent des expériences contrôlées, ce qui permet de réaliser des études de grande qualité. Toutes les études ne sont pas de haute qualité mais certaines études de haute qualité ont révélé toutes ces choses que je suis en train de résumer. Il est possible qu’il y ait différentes formes de graphène dans ces flacons et aussi des choses comme, par exemple, des restes de billes magnétiques. Vous vous souvenez de tous ces gens qui avaient comme des magnets de frigo collés sur leurs bras après l’injection? C’est de cela qu’il s’agit. Les billes magnétiques sont utilisées dans la purification de l’ARN lors de la fabrication. Elles ont été laissées dans les flacons, n’ont pas été retirées et ont ensuite été injectées à des personnes.
Voici un exemple de séquençage de l’ARN d’un flacon de Pfizer. Ici, les chercheurs nous montrent que la première ligne verte est la séquence déclarée par Pfizer et tout ceci, d’ailleurs, est calculé en poids et c’est ainsi que Pfizer procède également, ou plutôt en fonction de la longueur de la molécule. La première séquence est cette séquence BNT, c’est la séquence déclarée par Pfizer, et elle est censée ressembler à cette ligne verte. Les trois autres que l’on voit sont des correspondances possibles, mais aucune d’entre elles ne correspond réellement. Il y a quelques fragments et des éléments supplémentaires à la fin, mais le début est manquant. Voilà ce qui flotte dans cette fiole. Ce qui est très inquiétant, ce sont ces petits fragments d’ARN supplémentaires, et ils ont même été décrits par les régulateurs dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments comme des impuretés liées au processus, et ils s’en sont inquiétés. Et ils ont raison de s’en inquiéter. Je les ai appelés ARN shrapnel, il y a beaucoup de noms pour les décrire, micro ARN, petit ARN interférent, et bien d’autres encore, mais vous pouvez les considérer comme du shrapnel. Quand le verre se casse, il se brise en gros morceaux et en petits morceaux de manière imprévisible – comme ici. Ils ne le nient pas. La FDA les a considérés comme une préoccupation théorique, ce n’est pas une préoccupation théorique. Les micro-ARN ont été spécifiquement désignés comme une catégorie d’arme biologique utilisable parce qu’ils interfèrent avec les processus génétiques normaux. Il n’est pas nécessaire qu’ils codent pour des protéines, ils n’ont pas besoin d’avoir une longueur pour coder pour quoi que ce soit, ils peuvent quand même interférer avec les processus cellulaires de manière spectaculaire et ils peuvent de toute façon détériorer le système immunitaire et le détruire à un tel point qu’avec le temps, il se produira divers types de dysfonctionnements, notamment et spécifiquement des cancers, des maladies neurodégénératives et toutes sortes d’anomalies. Voilà ce qu’il y a dans les flacons. Comme vous pouvez le voir, la proportion de composants contenant de gros morceaux d’ARN qui ne correspondent pas et tous ce shrapnel d’ARN est presque du 50/50.
Les chercheurs ont ensuite examiné plusieurs flacons de Pfizer et Moderna et ils ont trouvé de grandes quantités d’ADN. Et l’ADN est également une impureté liée au processus, il provient du début du processus où l’ARN est transcrit à partir d’une matrice d’ADN. C’est une matière première ou un intrant dans le processus. Cette matrice d’ADN n’est jamais transcrite à 100%, il reste donc une impureté liée à ce processus et il faut l’éliminer. Et ici, il est clair qu’elle n’a pas été éliminée car on a trouvé de l’ADN dans trois flacons de BioNtech et un flacon de Moderna. Dans ce test – et là encore Pfizer utilise un test similaire – vous pouvez voir, à gauche, une bande d’étalonnage des différentes tailles d’ADN possibles, qui correspondent à ce qui se trouve dans le flacon. Vous voyez ces bandes de différentes tailles qui ont été trouvées dans les flacons. Ici, c’est un peu éparpillé entre différentes tailles. Ils ont donc trouvé de l’ADN de différentes tailles dans ces flacons.
Ils ont ensuite calculé le poids de l’ADN et il s’avère qu’il y en a une quantité énorme dans chaque flacon. Pfizer a déclaré que les critères d’acceptation des flacons étaient fixés à hauteur de 10 nanogrammes d’ADN par dose. Mais ce qui a été calculé ici à partir de l’analyse réelle est jusqu’à 2000 [fois] cette quantité. C’est vraiment, vraiment, vraiment inquiétant. J’ai également trouvé ces lots spécifiques dans le VAERS – bien qu’ils proviennent d’Europe et que le VAERS ne soit pas complet pour l’Europe – mais je les ai trouvés dans le VAERS et j’ai trouvé pour ces lots des rapports d’événements indésirables graves et de décès dans le VAERS.
Une autre image a été fournie par mon collègue, Shimon Yanovitz, d’Israël. Ils ont fait des tests et cette image est prise sous un microscope standard. Ils ont examiné les flacons à partir de leur état de congélation totale, puis ont attendu qu’ils dégèlent et ont photographié ce processus. Ce qu’ils ont trouvé, c’est ce que nous voyons sur la ligne du haut, immédiatement à partir de l’état congelé, imagé sous un microscope standard. On peut constater la présence de nombreux types différents d’inclusions et de taches et d’autres particules. Et ce ne sont pas des nanoparticules, car au microscope standard, on voit des structures beaucoup plus grandes. Leur nature n’est pas claire. Puis, 20 à 30 minutes après décongélation, ils ont refait des photos et regardez, elles ont changé de composition. Ça évolue, grandit et s’assemble. Ça s’agglomère en quelque sorte, quelque chose se passe, une sorte de chimie en mouvement constant qui se rassemble et fusionne dans ces autres structures et de nouvelles apparaissent même, comme ces fibres qui apparaissent sur ces images. C’est très étrange, c’est inexplicable et ça n’a pas sa place dans ce type de produit. La question est: pourquoi est-ce là?
Ces structures ne sont pas rares. Un autre collègue m’a fourni cette image et il m’a dit qu’il s’agissait d’une seule goutte du produit Pfizer. Après 72 heures de repos, ils l’ont examinée à un grossissement de 100X, et on y voit la quantité de substance, elle en est littéralement remplie – et c’est juste une goutte. Elle est remplie de ces structures étranges, certaines ressemblent à des particules, d’autres à des morceaux carrés plus grands, et on ne comprend pas bien ce qu’on voit, mais il y en a beaucoup, ça bouillonne littéralement.
Wolfgang Wodarg: Question : Est-ce que ça pourrait être des cristaux de cholestérol ?
Alexandra Latypova: En partie, peut-être, mais ceux qui sont carrés, rectangulaires, ne ressemblent pas à des cristaux. Nous avons par ailleurs observé des images normales de cristaux de cholestérol et ceci ne correspond pas, ils ne ressemblent pas à ça. Ils ressemblent à autre chose et il y a encore davantage de structures beaucoup plus grandes et très bizarres qui ressemblent à des chariots sur roues, c’est difficile à décrire. Il y a aussi des choses circulaires attachées à des choses carrées attachées à un genre de fibre. Si on les compare aux cristaux de sel et aux cristaux de cholestérol, ils ne sont pas pareils. On attend toujours les explications des fabricants, qui restent extrêmement silencieux à ce sujet.
Et nous avons également découvert – ce qui est presque une bonne nouvelle pour les victimes – nous avons découvert que lorsque ce produit est endommagé, il est plus sûr. La diapositive de gauche vient en fait d’Allemagne. Un rapport récent a été publié par l’une de ces équipes de recherche, qui s’appelle le German Working Group. Ils ont effectué un certain nombre de tests, bien menés, sérieux et de grande qualité, sur ces produits. L’un de ces tests portait sur la qualité de la pégylation du produit. Ils disposaient de différents lots Pfizer – chaque point ici représente un lot – et ils ont examiné le degré de polymérisation, l’homogénéité de la polymérisation de ces nanobulles. Le rôle du PEG est de protéger les bulles et de les maintenir séparées. Si les petites molécules sont toutes homogènes, comme une mosaïque, le PEG les protège très bien. En revanche, si ces molécules sont trop petites ou trop grandes, ces nanobulles peuvent se briser. Si elles se brisent, l’ARNm s’échappe, interagit avec l’eau et se dégrade. Les chercheurs ont découvert que ce phénomène est associé au degré d’inhomogénéité. Ainsi, la fréquence à laquelle ces bulles peuvent se briser est associée à moins d’événements indésirables, ce qui est moins dangereux pour la victime. Et puis j’ai découvert précédemment dans mon analyse des documents de Pfizer qu’une fois que l’ARNm s’échappe et se brise, s’il y a plus d’ARNm brisé dans le lot – et c’est aussi le cas pour d’autres lots de Pfizer – il est aussi moins mortel, donc plus sûr. C’est une bonne nouvelle parce qu’il est évident qu’ils ne sont pas en mesure de rendre ce produit stable, ils ne peuvent pas le fabriquer selon leurs propres spécifications et cela se révèle être une bénédiction parce qu’il ne tue pas autant de personnes qu’ils le souhaitaient.
Wolfgang Wodarg: Avez-vous des informations concernant la dépendance à la température de stockage? Parce que j’imagine que si on stocke le produit non congelé pendant une longue période à une température plus élevée, il y a plus de dégradation et la toxicité diminue. Est-ce possible?
Alexandra Latypova: Oui, absolument. Durant le stockage, le transport, ça se détériore à toutes les étapes, même lorsqu’on le secoue. La consigne donnée à l’administrateur est la suivante: « Ne secouez pas le flacon, retournez-le plusieurs fois ». Si on le secoue, bien sûr, il y aura plus de casse. Ça ne rendra pas le produit bénin, mais il sera quand même un peu plus sûr.
Wolfgang Wodarg: Donc si on veut montrer aux gens que ce n’est pas si dangereux, qu’on ne voulait pas qu’ils s’alarment des effets de toxicité, il suffirait de prévoir des températures un peu plus élevées, c’est plus facile. On se sert de cet effet secondaire.
Alexandra Latypova: Oui, dans les documents de Pfizer, ils utilisent également cette méthode pour dégrader l’ARN à des fins de test. C’est très bien documenté. Encore quelques diapositives, c’est assez court, mais en fait nous abordons une partie très intéressante. Nous en avons parlé, nous avons dit que les tests effectués directement à partir des flacons ou directement à partir des lots montrent que ce produit est conçu pour être toxique, conçu pour être mortel parce que c’est l’inverse qui arrive quand il est endommagé et n’est pas conforme à ses spécifications.
Ce que j’ai découvert plus tard… Je me suis mise à réfléchir et à me documenter sur la fabrication de l’ARNm, je n’en savais pas grand-chose au début. J’ai maintenant établi des contacts avec un certain nombre d’experts et je comprends mieux la situation. Je dispose de nombreux documents, notamment de Pfizer, sur la fabrication de ce produit. D’après ce que j’ai appris, je suis franchement d’avis aujourd’hui qu’il est impossible de fabriquer ce produit à l’échelle que ces personnes déclarent. C’est un autre élément du mensonge et de la fraude. Tout d’abord, la fabrication d’ARNm est un véritable défi, même à l’échelle du laboratoire. Si on veut en fabriquer quelques microgrammes, c’est un vrai défi et les gens qui l’ont réalisé me l’ont décrit. Les rendements sont faibles, il y a plusieurs étapes de fabrication et chaque étape donne un rendement inférieur à 100%. Et à chaque étape, on perd en stabilité du produit. Par exemple, un processus en 5 étapes avec un rendement optimiste de 80%, se traduit à la fin par 30% du produit final et 70% d’impuretés à éliminer. Et si le rendement est de 60%, il ne restera que 7% et il faudra éliminer 93% d’impuretés. De plus, il faut évidemment augmenter à l’échelle toutes les matières premières nécessaires pour atteindre une cible donnée, un poids donné du produit. Les ARNm sont très fragiles, surtout ceux qui sont utilisés actuellement dans les injections, ce sont de grandes chaînes. Auparavant, le seul produit approuvé sur le marché qui utilisait de l’ARN en utilisait un très court, appelé petit ARN interférent. Il a une longueur d’environ 100 nucléotides. Celui utilisé par Pfizer et Moderna fait 4.000 et plus de 4.000 nucléotides. Il est donc très long et plus il est long, plus il est fragile. Il n’est pas stable. Il a subi de nombreuses modifications pour le rendre plus stable, c’est pourquoi il n’est pas humain, c’est une séquence étrange, mais qui reste instable. Il doit aussi être encapsulé et avoir une queue et ce sont deux processus distincts. Chacun de ces processus détériore également le produit, donc il n’y a pas de capsulage complet, ni de queue complète. Les PNL dont nous avons déjà parlé, les nanoparticules lipidiques, peuvent également se briser pour diverses raisons, notamment une imperfection de la pégylation, et lorsqu’elles se brisent, l’ARNm se brise également. Comme nous l’avons vu précédemment, il existe un grand nombre d’impuretés liées au processus et d’autres qui peuvent être introduites par de mauvaises pratiques et qui doivent être éliminées. Mais on ne peut rien retirer de manière agressive de ce produit car il est très fragile. On ne peut donc pas utiliser les mêmes techniques de centrifugation, de filtration, de mélange qu’on utilise dans la fabrication de produits chimiques. Les fabricants prétendent maintenant – j’ai des archives qui montrent que ces lots font en moyenne quelque chose comme 200 à 300 litres, ce qui dépasse déjà l’imagination, pour un seul lot. Récemment, j’ai obtenu des documents qui montrent qu’un lot de Pfizer a produit 12.000.000 de doses, ce qui représente environ 900 litres d’ARNm. À ce moment-là, mes collègues ont éclaté de rire et m’ont dit: « Je ne savais même pas que l’on produisait des sacs biologiques de cette taille ». Pourquoi faire ça? Je ne comprends pas ce qui se passe. Est-ce qu’ils diluent trop, est-ce qu’ils mélangent plusieurs lots, est-ce qu’ils étiquettent mal, est-ce qu’ils réactivent simplement un ancien produit? Je ne sais pas. Tout est possible parce que, comme je le développerai bientôt, aucune règle ne s’applique à eux. Lorsque l’on a affaire à une échelle de cette ampleur, la disponibilité des matières premières est sujette à caution. Là encore, mes collègues se demandent s’ils sont en mesure d’obtenir les enzymes à cette échelle, car il faut tout multiplier par les rendements pour atteindre l’objectif final. De plus, ces lots sont produits simultanément à cette échelle et à cette vitesse par de nombreuses entreprises. Je ne sais pas si c’est possible ou non. Pfizer signalait déjà une instabilité chimique même avec 37 litres. Dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments de Pfizer, il est dit que la réaction enzymatique pour fabriquer de l’ARN s’arrêtait déjà à ce niveau parce qu’à de grands volumes, les produits chimiques ne s’équilibrent pas de la même manière qu’à de petits volumes. Maintenant, même si on arrive à produire quelque chose de ce genre en grande quantité, ce qui se passe, c’est que le produit devient super hétérogène. Il y a des problèmes dans les petits lots, mais dans les grands lots, on trouve des lipides dans l’eau. Et les lipides flottent dans un énorme volume, donc ils commencent à se séparer et ont tendance à aller vers le haut et à former des amas. On a donc de l’ARNm en quantité très irrégulière qui flotte dans un grand volume d’autres éléments, dont l’eau. Ensuite, cet énorme volume doit être conditionné dans des récipients de 0,45 millilitre, des flacons, et bien sûr, il y aura une multitude de flacons vierges ou presque vierges qui ne contiendront pas du tout d’ARNm. Il peuvent contenir des contaminations métalliques ou autres et on se retrouve alors avec des injections mortelles d’ARNm super concentrées. Et cela explique le fait que la plupart des gens sont apparemment en forme après ces injections – du moins au début. Ils peuvent développer quelque chose plus tard, ils peuvent avoir le Covid, cela augmente la probabilité d’avoir le Covid. Mais on voit aussi des gens qui meurent dans les minutes qui suivent l’injection. Voilà ce qui se passe, la dure réalité, à cause de l’énorme hétérogénéité des flacons.
Wolfgang Wodarg: Il n’est pas possible de l’homogénéiser ensuite, de le conserver comme le lait, qui est très homogène. Le lait naturel ne l’est pas, il y a la crème en haut et l’eau en bas. Ils ont des procédés techniques pour homogénéiser le tout, mais ils ne peuvent pas le faire sans perturber, sans détruire l’ARN, n’est-ce pas?
Alexandra Latypova: Oui, exactement. Avec le lait, c’est peut-être possible, mais même dans ce cas, si on regarde du lait homogénéisé au microscope, on voit des grumeaux et d’autres éléments. On ne peut pas faire ça avec ce produit parce que ça le brise. Et il se brise tout au long du processus et toutes les impuretés qu’ils ne peuvent pas éliminer y restent en permanence. C’est un énorme gâchis, un gâchis complet. À mon avis, il est impossible de fabriquer ce produit en respectant les bonnes pratiques de fabrication et je soupçonne qu’ils le savaient parce qu’ils ont essayé pendant 20 ans de mettre ce produit sur le marché et qu’ils sont toujours arrivés jusqu’au stade, peut-être, des études humaines précoces, mais c’est tout. Et ils n’ont pas pu aller plus loin à cause des problèmes de sécurité et parce que je soupçonne qu’ils ne parvenaient pas à rendre le produit constant. Ils le savaient et ils ont décidé « Ok, maintenant nous allons le faire passer par cette grosse arnaque ». Je vais vous expliquer comment ils l’ont inscrit dans leur contrat. Je suis pratiquement sûre que ces produits ne peuvent pas être fabriqués conformément à l’étiquette, à l’échelle et à la vitesse prévues, et les fabricants le savent très bien, c’est pourquoi ils ne le font pas.
Examinons la structure de cette organisation, l’organisation globale, la vue d’ensemble. Voici leur organigramme, il est orienté sur le côté mais il s’agit quand même d’un organigramme et il provient de la réunion du Comité Consultatif sur les Vaccins et les Produits Biologiques Associés du 22/10/2020. C’est toute l’opération Warp Speed qui se réunit et décrit sa structure organisationnelle. Remarquez deux ou trois choses. Qui dirige cette opération? C’est le Ministère de la Défense des États-Unis, Chef des Opérations. Qui est le chef scientifique? C’est le HHS et la FDA. Ensuite, évidemment, cette partie du tableau, c’est la partie supérieure et ce sont les personnes en charge: le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et le HHS. Ces autres personnes ne sont pas responsables, mais elles reçoivent d’énormes sommes d’argent, donc elles sont contentes et elles assurent la continuité du projet. En outre, la partie supérieure comprend la fabrication, l’approvisionnement, la production, la distribution et les essais cliniques. De nombreux contrats on été conclus par le Ministère de la Défense et le Ministère de la Santé avec tous ces fabricants de vaccins, et ils révèlent beaucoup de choses sur la structure. Ces contrats sont disponibles par le biais des divulgations de la Commission des valeurs mobilières et des échanges aux actionnaires et j’en ai lu beaucoup. Ils révèlent la structure par laquelle le gouvernement a pris le contrôle de l’industrie pharmaceutique en lui octroyant d’énormes sommes d’argent et en signant ces contrats très restrictifs qui contrôlent tout. Mais le gouvernement conçoit les essais cliniques, le gouvernement conçoit tout et la FDA se contente d’approuver – en fait, la FDA fait partie du gouvernement. Voyons qui fabrique vraiment ces produits.
Voici une autre diapositive Power Point de la même réunion. C’est l’opération Warp Speed/BARDA. BARDA est une agence militaire de développement de produits biologiques et ils déclarent « Bien, voici notre panel de fabrication de vaccins ». Encore une fois, par le biais de ces contrats – et il y a des contrats disponibles pour toutes les entités listées ici – par le biais de ces contrats, il est très clair que ce qu’ils appellent les initiatives de soutien aux vaccins décrivent en réalité qui fabrique effectivement les vaccins. Par exemple, Emergent Biosolutions, que j’ai entouré ici, est l’un des centres de fabrication que le BARDA a mis en place il y a longtemps. Les contrats que j’ai lus remontent à 2012, date à laquelle Emergent a été établi comme fabricant de vaccins, le fabricant de vaccins de la Défense pour les vaccins contre la grippe à l’époque. Ils ont également déclaré « Nous allons construire cette prétendue capacité de pointe », ce qui signifie que d’énormes sommes d’argent ont été versées. Le contrat s’étend de 2012 à 2037, avec différentes options, puis en 2020, ils ont mis en œuvre une option pour les vaccins Covid. Emergent fabriquait les vaccins d’AstraZeneca et de Janssen, dont elle était le fournisseur. Et, soit dit en passant, ils ne respectaient aucune règle de bonnes pratiques de fabrication. Il y a aussi d’autres entités très importantes comme Ology. Aujourd’hui, elle a été convertie en cette nouvelle entité monstrueuse, appelée National Resilience Company, et il s’agit essentiellement pour le Ministère de la Défense d’acheter un ensemble d’usines de fabrication à des sociétés pharmaceutiques et d’établir sa propre structure de fabrication. Ça représente des millions de mètres carrés, ils ont d’énormes sommes d’argent et ils fabriquent ces produits. Texas A&M, également. Celle-ci semble fabriquer des produits comme Novavax, car elle utilise une sorte de lignée d’insectes – je ne sais pas ce que cela signifie. Il y en a beaucoup d’autres. Une fabrication complexe exige – il ne s’agit pas seulement de fabriquer quelque chose – il faut aussi disposer d’un personnel qualifié, de tout l’équipement nécessaire, de fournitures, de produits à usage unique, d’un accès aux matières premières, c’est une infrastructure énorme qu’il faut mettre en place et ce n’était pas possible. Ce n’est pas comme si on pouvait aller voir Ford Motor Company et leur dire : « Voici 10 milliards de dollars, j’ai besoin de 1 million de nouvelles voitures en 6 mois ». Même Ford, dont la production est déjà établie, en est incapable, car il n’est même pas possible d’obtenir les matières premières à temps. Maintenant, imaginez le même scénario si le gouvernement va voir Ford, General Motors et Toyota et leur dit de le faire simultanément. Aucune somme d’argent ne permettra de produire ce miracle en 6 mois. Ça n’a pas été le cas. Ils ont juste donné de l’argent à ces entreprises et leur ont ensuite ordonné de se tourner vers les entreprises qu’ils avaient déjà établies depuis longtemps pour fabriquer le produit. Ce sont elles qui fabriquent le produit et ces personnes ne sont qu’une façade. Ils assurent certains aspects de la fabrication, mais pour l’essentiel, c’est ici que ça se passe. Et tout cela est contrôlé par le Ministère de la Défense. Plus précisément, les contrats ne prévoient aucune exigence en matière de responsabilité – permettez-moi de passer à la page suivante.
La mauvaise nouvelle est qu’il s’agit d’un produit du Ministère de la Défense à part entière. Les gens ne le comprennent pas. On a l’impression que c’est une opération militaire, on le dit partout. Il s’agit en fait d’une opération militaire de A à Z. Ce n’est pas seulement qu’ils ont fait appel à une distribution militaire pour des raisons de rapidité, d’acheminement vers différents États et d’utilisation de la réfrigération. Non, ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Tous ces contrats sont passés avec le Ministère de la Défense. Il y en a des centaines, qui concernent toutes sortes d’entreprises. Tous les contrats sont passés avec le Ministère de la Défense, le Ministère de la Défense est l’acheteur, le Ministère de la Défense leur octroie d’énormes sommes d’argent. Comme je l’ai dit, ils disposent déjà d’une base de fabrication établie. Par exemple, le premier contrat pour Pfizer se montait à 10 milliards de dollars pour livrer 100 millions de doses de vaccin et jusqu’à 500 millions au total, et il était prévu des primes pour une livraison plus rapide, ce qui me fait dire « Pourquoi en produisent-ils 900 litres? Eh bien, parce qu’ils n’ont pas de comptes à rendre et qu’ils reçoivent des primes s’ils livrent toutes ces doses à temps ». C’est l’une des raisons. Et il était impossible de les livrer à temps, sauf en faisant appel aux fournisseurs déjà établis du Ministère de la Défense. Et il n’est question de responsabilité que celle des entreprises de faire des efforts raisonnables, quoi que cela signifie. Mais le contrat prévoit une microgestion extrême à chaque étape des opérations. De même, les essais cliniques sont conçus par le gouvernement, et non par le fabricant de produits pharmaceutiques. Les interactions réglementaires sont complètement prises en charge par le gouvernement. Par exemple, les entreprises pharmaceutiques ne peuvent en aucun cas discuter de manière indépendante avec la FDA. S’ils ont une réunion, il faut que les représentants du Ministère de la Défense y assistent. Pour moi, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une relation sans lien de dépendance, mais d’un contrôle total de leur relation par le Ministère de la Défense.
Autre chose, la distribution du produit. Le produit est expédié au Ministère de la Défense. Toutes les doses de vaccin aux USA sont expédiées au Ministère de la Défense. Elles ne sont pas envoyées à des distributeurs pharmaceutiques indépendants, agréés et réglementés, comme c’est le cas pour tous les produits pharmaceutiques normaux. Elles sont retirées de ce système pour être placées dans cette boîte noire de distribution réservée au Ministère de la Défense. Et en fait, les contrats avec les vaccinateurs stipulent explicitement que ce produit est la propriété du Ministère de la Défense ou du gouvernement américain jusqu’à ce qu’il soit injecté à la personne. Et qu’il est interdit de tester les flacons de manière indépendante, d’obtenir un accès indépendant aux flacons, ce qui est qualifié de détournement de la propriété du gouvernement. Ils interdisent de tester les flacons et comme je l’ai déjà dit, ni les fabricants, ni les régulateurs ne testent les flacons. Personne ne teste les flacons et personne n’est autorisé à le faire. Dans le même contrat, il y a une clause qui les exonère tous de toute responsabilité tant qu’ils suivent leurs ordres et cette même clause décrit le produit comme une application civile et militaire. Il existe aussi des contrats conclus par les États-Unis avec d’autres pays comme l’Union Européenne, le Brésil et l’Albanie. Les contrats de l’Union Européenne sont encore largement expurgés mais j’ai vu un contrat albanais non expurgé et on nous a dit que toutes les clauses du contrat étaient identiques. Ces contrats interdisent explicitement le test des flacons par des gouvernements étrangers ou qui que ce soit sur place. Et en fait, ils indemnisent aussi Pfizer pour absolument tout, et fournissent une immense couverture de responsabilité. Le gouvernement est obligé de renoncer à toutes les règles et réglementations et aux bonnes pratiques de fabrication, aux pratiques de distribution, à tous les contrôles existants, pour garantir l’indemnisation de Pfizer. De plus, ils ne peuvent pas modifier leurs lois nationales pour qu’il en soit autrement. Donc, en signant ce contrat, ils ont abandonné leur souveraineté nationale à une société pharmaceutique. C’est totalement ridicule. C’est ainsi qu’ils évitent toute forme de responsabilité et qu’ils interdisent les tests de lots, les tests de flacons. Mais on peut interdire tout ce qu’on veut. Comme vous l’avez vu, il se déploie une vaste activité secrète de tests et nous avons déjà trouvé toutes ces réponses. Nous avons découvert que ces produits sont corrompus, contaminés, qu’ils ne sont pas du tout conformes à ce que dit l’étiquette, qu’ils sont extrêmement toxiques et qu’ils le sont à dessein. Mais ceci vous explique comment ils peuvent tous s’en tirer et comment ils peuvent tout simplement ignorer toute règle: parce que ces règles ne s’appliquent pas à eux, c’est un produit militaire, fabriqué par l’armée, pour l’armée, distribué par l’armée et injecté aux gens et ce que c’est sous couvert de secret total.
En conclusion, je tiens à souligner que ces injections ne sont absolument pas des produits pharmaceutiques et que les gens devraient cesser de les considérer comme tels. Ils auraient dû cesser de les considérer comme des vaccins depuis longtemps, mais ils devraient cesser de les considérer comme des produits pharmaceutiques, des médicaments ou quoi que ce soit qui ait le moindre rapport avec ceux-ci. Ce ne sont pas des produits pharmaceutiques. La collusion entre le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et l’industrie pharmaceutique a abouti à cette violation de toutes les règles et garanties établies. Ces produits sont mortels de par leur conception, intentionnellement, et il est impossible de les produire selon les bonnes pratiques de fabrication. Ces gens qui prétendent « Nous pouvons recoder vos gènes et guérir n’importe quelle maladie », c’est de la foutaise pure et simple. Personne ne le peut. Toute cette révolution de l’ARNm est, à mon avis, une escroquerie. Il faut les faire cesser immédiatement, mener une enquête approfondie et traduire les responsables en justice, leur demander des comptes. Tant que cela ne sera pas fait, nous ne pourrons pas avancer et je suis tout à fait d’accord avec l’intervenante précédente lorsqu’elle dit « Ce n’est pas que toutes les obligations sont terminées et que maintenant nous allons tous partir en vacances et oublier tout cela ». Non, parce qu’ils continuent de plus belle. Ils convertissent tous les vaccins existants en plateforme ARNm. Et devinez quoi, ils ne se limiteront pas aux vaccins, ils vont commencer à produire toutes sortes de médicaments utilisant cette plateforme parce que maintenant ils le peuvent. Maintenant, ils peuvent se contenter de faire une étude sur huit souris et déclarer que c’est sûr et efficace. C’est la raison pour laquelle nous devons nous focaliser davantage sur ce sujet et nous focaliser en particulier sur les poursuites judiciaires afin de traduire les responsables en justice.
Viviane Fischer: On pourrait naïvement penser que si cette opération est si gigantesque et qu’il est si important pour eux de fournir ces vaccins à tout le monde que […] pour cette tâche logistique gigantesque, il faut impliquer les militaires en raison de leur expérience logistique et de leurs contacts. Pourrait-il y avoir – je suppose que non – mais pourrait-il y avoir une réponse naïve à la question de savoir pourquoi l’armée est impliquée à ce point?
Alexandra Latypova: Oui, c’est une réponse naïve, mais si l’objectif était valable, si l’objectif était innocent et consistait à faire en sorte que les gens guérissent de cette maladie, alors les directives de sécurité devraient être suivies et elles ne le sont pas du tout. On ne peut donc pas dire « parce que c’est un tel désastre, nous devons tout faire de travers et causer davantage de décès au cours du processus, mais ce n’est pas grave ». Ce n’est pas logique selon moi. Cela ne fait que provoquer un énorme gâchis. Je ne vois aucun avantage à procéder de cette façon. Ce n’est pas comme si l’armée avait une sorte de capacité plus miraculeuse que les fabricants privés. Les fabricants privés fabriquent beaucoup de produits, des produits de très haute qualité à des vitesses fulgurantes. Ils possèdent en fait une expérience incroyable dans ce domaine. Le rôle de l’armée n’est pas plus crucial que celui des fabricants privés dans ce domaine.
Wolfgang Wodarg: On dirait que les militaires sont tout simplement aveugles au fait qu’ils aident à tirer sur leur propre peuple.
Alexandra Latypova: Exactement et nous avons beaucoup de courageux dénonciateurs au cœur des opérations militaires, qui ont été harcelés, comme Theresa Long par exemple [NdT. voir ici] , qui a essayé d’arrêter ces agissements. Ils attirent l’attention sur ce problème, ils le signalent et ils disent « Je ne le donnerai pas à mes gens, je ne le donnerai pas aux soldats de ma base ». Ils sont confrontés à de lourdes répercussions, mais ils continuent à prendre la parole et à expliquer que c’est mal et qu’il ne faut pas le faire. Oui, cela porte préjudice à nos forces armées en ce moment même, car ils exercent une pression sur les soldats et surtout sur les pilotes. Cela leur cause du tort et c’est une autre raison pour laquelle cela devrait être arrêté.
Wolfgang Wodarg: Je me demande juste, qu’est-ce qui se passe au niveau de l’OTAN? Vous avez parlé de l’Union Européenne mais l’Union Européenne a juste comme rôle d’obtenir l’argent, de collecter l’argent et de fournir de l’argent à l’industrie. Mais la fonction des militaires qui travaillent ensemble et coopèrent au sein de l’OTAN, il devrait y avoir des recommandations pour les troupes allemandes en Allemagne qui sont membres de l’OTAN. Si c’est une affaire de taille qui émane du Ministère de la Défense et que nous sommes partenaires au sein de l’OTAN, nous avons observé que lorsque tout a commencé, lorsqu’ils ont commencé à distribuer les flacons, c’est l’armée allemande qui s’est rendue dans les institutions et ce sont des médecins de haut niveau qui ont administré les flacons. Il n’y avait pas de médecins normaux mais c’était une action où l’armée allemande était employée pour s’occuper de la distribution, qui était en charge de garder tout ça. Et normalement, quand l’armée allemande fait quelque chose, le Parlement doit décider de tout ce que l’armée fait. Je ne me souviens d’aucune décision du Parlement allemand.
Alexandra Latypova: Exactement. Le Ministère américain de la Défense s’est adressé à l’armée allemande, mais je suis sûre qu’il s’est adressé à toutes les autres armées de l’OTAN et leur a dit: » Voilà, vous allez injecter ça à vos gens. Au fait, vous ne pouvez pas savoir ce qu’il y a dedans ». Comment cela pourrait-il être acceptable? Et c’est bien cela qui se passe et c’est bien le crime qui est commis. Ils ont contracté tout cela, ils ont créé cette structure légale sur papier mais, devinez quoi, il n’est pas légal de contracter pour tuer et blesser des gens. Pour cette raison, il faut enquêter et arrêter ça.
Wolfgang Wodarg: Il est essentiel que tout cela soit dit ouvertement. Il est essentiel que cela soit documenté. C’est essentiel que tout le monde le sache. Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup pour votre travail. C’est remarquable.
Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Tout le monde peut me joindre par votre intermédiaire si quelqu’un a des questions ou souhaite voir les documents originaux. Tout ce que je montre est disponible publiquement. Tout provient de documents accessibles au public.
Viviane Fischer: Il faudrait que nous publiions une liste de tous ces documents. Je pense que ce serait important afin que tout le monde puisse les consulter, ou peut-être avez-vous une source. Je suis en fait assez choquée par le fait que cela montre que tout est lié. Il ne s’agit pas de gens qui se dépêchent pour être les premiers sur le marché et qui font ensuite de petites ou de plus grosses erreurs dans le processus de production. La façon dont vous l’avez présenté ici indique qu’il s’agit d’un effort bien orchestré.
Wolfgang Wodarg: Une opération internationale sous contrôle.
Alexandra Latypova: Une opération internationale sous contrôle, exactement. De plus, les fournisseurs que je vous ai énumérés, les fabricants, sont présents dans le monde entier. Beaucoup d’entre eux sont présents en Allemagne également, mais aussi en Belgique, en Italie et un peu partout, en Inde et en Chine. La Chine participe massivement, je n’ai pas eu le temps d’en parler, mais tout est connecté dans le monde entier.
Viviane Fischer: Quel rôle joue la Russie dans tout cela ?
Alexandra Latypova: Je n’ai pas vu de mention de la Russie dans ces contrats. Ce que j’ai vu, c’est que la Chine, l’Allemagne, les États-Unis sont connectés et investissent dans les mêmes entités, puis le Ministère de la Défense leur donne 10 milliards de dollars, ce qui signifie qu’il a donné dix milliards de dollars à une entité dont le PCC est actionnaire. Ils sont incontestablement en lien. Je n’ai vu aucune mention de la Russie, mais ils ont leurs propres vaccins, ils font la même chose mais en parallèle, ils jouent le même jeu mais dans un bac à sable différent.
Wolfgang Wodarg: C’est une question très intéressante car il y a ce conflit en Ukraine, il y a le conflit sur l’énergie. Je pense que c’est une très, très grande partie d’échecs et que toutes ces puissances essaient d’en tirer le meilleur parti pour elles-mêmes. Il serait donc très intéressant d’en savoir plus sur les projets de la Russie. Ils gagnent beaucoup avec l’énergie, ils viennent de couper une ligne mais ils la vendent de l’autre côté à d’autres nations. C’est un jeu très global très difficile et très compliqué à comprendre. Je pense que si nous continuons à chercher, nous apprendrons beaucoup de choses à ce sujet et nous devons apprendre beaucoup de choses pour que de telles choses ne se reproduisent plus jamais.
Alexandra Latypova: Oui, exactement.
Viviane Fischer: Merci beaucoup. Je pense que nous devons vraiment creuser ce sujet. C’est vraiment choquant et étonnant. Merci beaucoup pour votre travail.
Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Passez une bonne soirée.
Source de la vidéo. Source de la session complète.
Viviane Fischer: We have a new guest. It’s Mrs Alexandra Latypova. She’s a former pharmaceutical industry executive. Hello.
Alexandra Latypova: Hi everybody.
Viviane Fischer: Hello, nice to see you. It would be great if you could maybe introduce yourself a little bit. What’s the most important things that you would like to share about your CV with our audience?
Alexandra Latypova: My experience is in pharmaceutical research and development. I spent about 25 years in the industry in various roles. Early on it was data analysis and later on I started working in clinical trials and in technologies that are used in clinical trials for various drug assessments such as imaging technologies, electrophysiology and many other techniques. I co- founded several clinical research organizations. These are companies that are contractors to pharmas, working in clinical trials. I worked eventually for approximately 60 pharmaceutical companies all over the world, mostly in the US and Europe but also in Asia. And Pfizer was my client and in fact they were my investor twice and we had an R&D collaboration around these technologies that can be used in clinical trials. And I also worked directly with FDA in the areas of cardiovascular safety assessments and participated in FDA industry consortia around methodologies to perform cardiovascular safety assessments in clinical and preclinical research. I retired from the industry a few years back and I wasn’t working when this whole Covid scam started. I became immediately concerned due to my knowledge that things were going very wrong, that the practices and policies that were being put in place just didn’t make any sense. I started looking into the situation more closely. I worked initially by analyzing CDC VAERS data set because it’s publicly available and then later on, now, I work on various documents that become available through freedom of information lawsuits. I review these documents and I collaborate with various groups trying to provide them expertise and interpretation of what’s in these documents so that various actions can be taken by public and also by law firms.
Viviane Fischer: So you have a lot of experience in this field, obviously. What results from all of this is that you think that all safeguards and regulations that were used, that the public relied on for years – and also assumed that they would continue to be in place – are basically abandoned. Could you maybe elaborate on that?
Alexandra Latypova: That’s the biggest lie about these so-called vaccines. They’re not vaccines, they’re not even pharmaceuticals and I will explain [that] in my presentation. But that’s the lie that was sold to everyone globally that this is a medicine but it’s not a medicine. And once the public was told this is a medicine, a vaccine, everybody’s expectation was that all these safeguards that we’re used to for medicines were in place and they were not. And they actually do not even legally apply to these products although that’s a question. You cannot contract for a crime, they have contracted for a crime and they’re committing it as we speak. And they’re calling it legal but it remains to be seen – and I can explain in my presentation. I have some slides if I can share?
Wolfgang Wodarg: Just share your screen.
Alexandra Latypova: The topic of my presentation today is to talk about these injections and specifically about regulatory and manufacturing fraud because not a lot of people have addressed this particular issue and this has been my focus.Through this investigation I realized that there’s a deep collusion between manufacturers, global regulatory agencies. It’s not just FDA, it’s EMA, all of them, and especially with the US Department of State. This entire program is headed by the US Department of State. This is a military action, a military program that has suspended all safety rules and regulations everywhere in the world effectively. And they’re colluding with pharmaceutical manufacturers to drive these deadly products throughout the world.
So far, this is overall a very high level summary of all evidence for these Covid 19 injections that we have today and I think most of us here will agree on these points. They were covered in your investigative committee also quite extensively.
So, first of all these products are toxic by design. There’s been numerous publications explaining how that is and overall the numerous mechanisms of injury designed into these products. They interfere with your genetic processes that are ongoing in your body all the time. While the manufacturers a claiming that there’s some sort of helpful protein that gets expressed, that’s not how the human body works. It really just breaks down the immune system leading to all sorts of catastrophic consequences. We now know that there is no safety of these products. The death and injury toll is simply horrific all over the world. It exceeds all previous high numbers from old publicly available databases. Yet nobody in authority is paying attention to it or when that point is brought up to them, they just plain deny it and gaslight the public. There is no efficacy of this product. I’ve yet to see anywhere that somebody could show a lasting protection from these injections. They don’t. Now the governments want people get injected every 3 to 4 months. That’s just ridiculous for something that’s called a vaccine and there’s absolutely no protection against Covid illness that these products can provide.
Now the focus of my presentation today will be mostly on manufacturing and how this fraud is committed from the framework, how this cartel formed, who are the participants of the cartel and what exactly they are doing. The bad manufacturing, few people have addressed it but this product is completely non-conformant because it doesn’t have to conform. It’s a prototype, it’s not a pharmaceutical so it’s highly non-conforming to its label and it’s extremely variable. It does not conform to good manufacturing practices and there is no enforcement of good manufacturing practices anywhere in the world where such laws exist. There is obviously malignant policy from the governments. We know that they’re lying, we know that they’re covering up, they’re gaslighting the families of killed and injured by these shots. They demonstrated very, very clear intent to harm through all these actions. At this point everything should be deemed intentional. All the injury and death toll should be deemed completely intentional.
Now let’s talk about manufacturing to just bring out the point what is good manufacturing practices. In the US, it’s a set of laws and rules and regulations which is in the code of federal regulations. It’s a very extensive set of laws that covers high quality, consistency, purity standards for drugs, vaccines, also covers food and beverage – mass produced. The expectation is that every batch of every new product is about the same as the previous batch of the same product and that they conform to the label, they don’t have impurities and they don’t have anything toxic. There’s also, in the case of these Covid 19 injections, the expectation that they’re even interchangeable between different brands although no testing have been done to demonstrate that. These rules and regulations exist in other countries and they’re very similar. In the US they were developed somewhere between the 1900’s and 1960’s and there’s a very extensive set of them. It was in response to a lot of people being poisoned and killed by badly produced products at the time and in fact it’s a severe crime to introduce an adulterated product, a product doesn’t comply to these rules into interstate commerce in the US or internationally.
When I first started looking at these Covid 19 injections, I wanted to understand how they look like versus something that was more traditionally compliant with our good manufacturing practices. Because we were talking about an alleged vaccine, I decided to compare it with the traditional flu vaccines and I took all the data from VAERS database that coved traditional flu vaccines. I plotted it on this graph. On the X axis we have all the lot numbers for flu vaccines. This is about a dozen manufacturers, different products, all injectable flu vaccines, and on the Y axis I have serious adverse events and deaths. I never include all adverse events because there’s a lot of administrative issues and maybe minor things so I just want to focus on serious and death. As far as serious and death, as you can see, these are very consistent products are they never vary much. The average is around maybe 3 or 4 serious adverse events per lot. Then we have some outliers – we only have 2 outliers here over many years and the largest was 37 reports per lot. This is approximately how a product in compliance with good manufacturing practices would look like for a vaccine product and that should be the expectation.
When I looked up the Covid 19 injections, the picture was dramatically different and this is extremely alarming. It’s so bad that it should have been a flag right away for any regulator on any level – federal state, local. We all have established regulators at all levels of the government that can flag issues with abnormalities, abnormal patterns with any products in their jurisdiction and then a recall can be issued. But nobody did that. We see this huge variation between lot to lot for all these Covid 19 injections. Here, by the way, I have all the verified lots from CDC, we have a complete list of lots that were issued in the United States with correct lot numbers, manufacture dates and expiration dates. So all of these are valid and yet you can see they are hundreds and thousands of times larger in variation compared to flu vaccine, which is all under this red line here, and all of these are so much higher. We have the range of up to 1 500 serious adverse events and that’s for a lot and then we have some lots that have very few and then we have a huge difference even between – you can visually see it – between different manufacturers. We have Janssen here, Moderna all these here, and then Pfizer – look at this. This was incredibly alarming and in fact there was one flag issued very early on in the rollout by Orange County, California. They detected on 1/18/2021, so just couple of weeks after the mass roll out of these injections, they detected one lot from Moderna that they said generated a substantial number of adverse events. However nobody else was alerted. This was in the news but no other health authorities were issued any communication. The manufacturer did not stop this lot, did not recall it, nobody from the health authorities forced a recall and this lot was continued to be sold all over the United States until it ran out in March. It also generated about a thousand of serious adverse events and close to 60 deaths. So all of those should be deemed intentional because the authorities did flag it, they did find that it was generating abnormal adverse events. Yet nobody did anything to stop it and they continued pushing it into people.
Viviane Fischer: In this Pfizer representation there, it seems if there’s a toxic lot, then it’s very toxic.
Alexandra Latypova: These ones, yes, they’re extremely high and they’re extremely toxic. Usually these ones generate a lot of deaths as well so I didn’t itemize death here but yes. We see these large lots generating a lot of deaths but it’s not always. Sometimes even a small one will generate abnormal number of deaths. They also vary by lethality as you can see. So there’s huge variation all over the place.
Wolfgang Wodarg: So you will for sure tell us something about the reason for those variations.
Alexandra Latypova: Yes, we found many reasons. People often told us, « You guys are conspiracists and that’s all just because of the size of the lots are different » and actually they are not that different. We later received just recently – there was FOIA data request information came out and they provided all the shipments of Pfizer products in the US by lot number and what number of doses. When I plotted them by date of manufacture here on the X axis, and we’re just looking at deaths – here it’s easier to see – so when adjusting for the lot size – here I adjusted by 1000 doses – we see this very strange picture. There is a huge variable – these are up to 12 times different from these. And look at the dispersion especially at the beginning of the year. Then this variability declined and toxicity declined but the variability is still unacceptable in this part of the graph. It’s just that it gets dwarfed by this part of the graph. All of this should not be there. The expected relationship should be like flat line, zero and as close to zero as possible. But here we have a definite statistical relationship, for Pfizer it’s both between the date of manufacture. Think about it, you should not have any difference in toxicity of a product depending on the date it was manufactured and also, the same relationship exists between even the alphanumeric codes for Pfizer and Moderna. They also cluster – I’m not showing it here – but they also cluster around different alphanumeric codes. We know which letters and numbers stand for what level of toxicity today. And we can tell it to people and in fact we have been, on our website.
That’s the situation that absolutely is alarming and absolutely obvious, has been obvious from the start and no health authority ever noticed it. That’s extremely concerning and again that points to intentional act.
Viviane Fischer: I don’t know if you’re going to come to that but I have a question, before I forget. In the beginning there was the elderly and the sick, already sick people maybe, who got vaccinated and then we had the younger people who were admitted. So when you see that until April 21 could it be that this has the variability because of more intense reactions, because of the age group that got vaccinated? Are you going to come to that question later?
Alexandra Latypova: Yeah, I have a slide on this in my backup slides in fact. That question was asked frequently and here is the answer – this is by the way by my German colleague and this is based on German data. Age doesn’t influence this as much as you think. We had 12 times difference which between the low lethality lots and high lethality lots. There were some older people but remember in the early roll out there were also healthcare workers so it was never just old people. The average age has always been fairly low. It’s not in the eighties, it’s much less. But here my colleague from Germany did analysis looking at the influence of age over these effects of death and these adverse events and it turns out age has only partial explanatory power, does not explain all of – it actually explains very little of it. So here we have something like 18, 13 percent explained by the age and the rest is not explained. And you can visually see it. If you did different tests on the lots that were shipped to Germany with the severe adverse events and deaths and you plotted them here, you can see for example here, it very clearly can be seen on this graph, the age here is less than 60, so this is maybe 58 year old, and you can see this vertical dispersion of the results of the adverse events. This means that for the same age they have the lots that were less toxic and far more toxic. This is a huge dispersion and it goes almost everywhere, you can see that. And you can see here 60 or 70 even, so there is this very not toxic and this is around 80 years and very highly toxic and it goes all over the place. So because the data exists in this cloud, it just tells you age doesn’t explain it – it explains a little bit.
Viviane Fischer: Okay, thanks so much.
Alexandra Latypova: [Let me go back.] And there are also other patterns of a strange variability also still unexplained. Another one of my colleagues put together this chart for the US. We have very strange geographic abnormalities in terms of how toxic these products are. So when we look at data in VAERS, that’s all 100 percent vaccinated populations so policies of local governors do not play a role here. Everyone who got vaccinated is covered by this. We look at death per hundred thousand vaccinated people in the state then we see this picture which is also quite strange. For example South Dakota is the worst state in the Union right now. It has 33 deaths per hundred thousand vaccinated people and the next worst state is Kentucky with just 24 per hundred thousand vaccinated people. And then we have states like Utah and California for example with only 1.7 and 1.9 so that’s a huge range. Again, there’s no way to explain this by normal demographics of the states. In fact, California has poor demographics if you think about homeless and drug addicted populations and so forth. So that’s unexplainable right now and nobody seems to be concerned about this. But to me it just says that the product is gigantically variable and whatever they’re shipping to these different states is extremely variable, too.
So given this variability of manufacturing, the manufacturer is producing highly, highly variable products and that creates these strange patterns abnormalities whichever way you look. I started next looking at the regulatory documents that I could get and I reviewed several packages of what’s called non-clinical summaries. They became available through FOIA and these were for Pfizer and for Moderna and those summaries contained – their own summaries of animal studies that they performed and that the FDA then used for approval of Pfizer’s injection product and Moderna’s Spikevax.
I’m going to talk mostly about Moderna for the interest of time but they are very, very similar both of them. First I looked at Moderna and I found a very strange thing about Moderna. Moderna apparently has two investigational new drug numbers which is strange to me because by rules, by regulations, there’s supposed to be only one investigational new drug number for each new molecular entity. And that number opens your application with the FDA and the similar process in European agency. That number opens your application and then you as a sponsor collect all the data for animal studies and then clinical studies and all the results and all the data sets, they get appended to that number. It’s like a case number and then that becomes a dossier that you use with the regulators to review and approve your product. And that works like this everywhere in the world where we use these systems, International Conference for Harmonization. And in Moderna’s case I saw two numbers. I still don’t know how this works but that’s my question that was never addressed. First of all that other number was opened first and then Moderna’s number second. The first number belongs to the NIH. They are the owners, National Institutes of Health and specifically it’s a division of microbiology and infectious diseases, DMID, and organizationally that group reports to Anthony Fauci. So they own this number, they opened this number for Moderna in February 2020 and then they also did – it may be on going – they’re performing a lot of animal studies for Moderna. Because they have these two numbers, that means that they are co-owners of this product and they have the rights for revenues and profits derived from this product. This is highly abnormal and a huge conflict of interest because this is well beyond a more standard ideal relationship where, let’s say, private manufacturer can license a patent from NIH or a patent from an academic institution and then they pay them small royalties when that technology is used in subsequent products on the market. But this is different, this is NIH actually getting revenues and profits from this product – or at least has the rights to – and also we should note that, of course, NIH and Anthony Fauci specifically were in charge of all these draconian mandates, coercion of people into injecting this product into everyone. So how is this that they’re then profiting from it directly? I’ve raised this question many times. This has never been addressed by anyone but I think people need to speak about it more.
Next I reviewed the packages for both Pfizer and Moderna with respect to what the standard testing would be in preclinical or animal experiments. And just to give you an overview, this is very, very high level, each of these boxes contains numerous studies. For a normal drug or vaccine or any product, biological, what you need to do is assess them in animal experiments first before you can give it to humans in a highly controlled clinical trial setting. This is in order to exclude major risks and make sure that the product is safe enough to then be given as experimental product to humans. And the categories of safety testing in preclinical will include three major components: pharmacology, safety pharmacology and pharmacokinetics. Pharmacology includes a couple of areas. One is primary pharmacology: you have to at least try to demonstrate mechanism of action that you declare for your product. For example, if the manufacturer is claiming « This product will create spike protein and then that’ll create an antigen », that needs to be demonstrated in those studies. Then secondary, any off target effects. So if while doing that, it’s doing something else, you also have to show that or exclude it or at least have some idea what potential off-target effects may happen. Then drug interactions also are an important part, especially if the product is supposed to be given to absolutely everyone then a lot of people already taking multiple drugs, they can interact in unknown ways so at least some idea needs to be given to what potential interactions and are there any counter indications for other products. Then the next category is to see how the product gets distributed through the body when you inject it – and that’s called pharmacokinetics. In pharmacokinetics we assess many things but important ones are absorption, distribution, metabolism, excretion studies, those are standard. Then very, very important ones are toxicology. Toxicology means that if your product is detected in a certain area, let’s say, it gets into cardio-vascular tissue or it gets into liver tissue or it gets into the brain, in other organs, you need to then do the toxicology study for those particular organs and figure out what is the maximum exposure, what’s the exposure over time, when does it clear, what’s the maximum tolerated dose, where the toxicity starts because we want to develop what’s called a therapeutic window where you can give the drug high enough so that it elicits desirable response but it’s also low enough so that it doesn’t cross the threshold of toxicity. That’s the most important part of all these experiments, it’s to find that space. And that space was never found for these products, by the way. Also an other area here of course is reproductive toxicology, I’ll talk about it some more.
What happened with both Moderna and Pfizer, they use very similar strategy here. They did not do ADME studies, they did not do any secondary pharmacology, then they waived for themselves this whole area of safety pharmacology and they told the regulators that it doesn’t apply to them because of 2005 WHO guidance for vaccines, which is an absolutely preposterous claim because these products are not vaccines and especially in 2005, they were not considered vaccines, they were gene therapies. That ridiculous claim was accepted wholesale by the FDA and in Moderna’s case specifically, what I found is that about 50 percent of all the studies that they included into this non-clinical package contains tests for completely irrelevant articles. They just compiled a whole bunch of previously failed products that they had in the pipeline, appended them to this and they said « Oh, it applies to Spikevax ». It doesn’t apply to Spikevax. All the tests need to be performed with the exact formulation that you’re going to use in the ultimate clinical product, meaning your mRNA that’s going to go into the Spikevax and the lipid nanoparticle exactly as it going to be in the Spikevax. None of this was done at all. This was a hodgepodge of different studies from different years. For example, bydistribution, they included a study from 2017 for a cytomegalovirus and it was a concoction of 6 different mRNAs. None of them are the mRNA that’s in Spikevax. Then toxicology studies were not done. There was only one non-GOP – non good laboratory practice compliant – toxicology study and it wasn’t completed even at the time that the package was written. And there was only one GOP study in reproductive toxicology, I’ll talk about that. Genotoxicity, carcinogenicity was assessed only for one component, this chemical SM102 and only an in vitro-like cell line experiment. That’s completely unacceptable but the FDA, by the way, did not find any problem with this, completely accepted it. And that was for both Pfizer and Moderna. To me that told that there is a collusion between the regulator and these manufacturers, and in fact I believe the regulator, FDA, drove this road. They told them how to submit the documents because this is in complete violation of any [guidance]. If you look at the FDA guidances, it violates all of them. That is just so bad that if a manufacturer tried to do that and the FDA was following its own rules, none of this would fly. Yet somehow it just gets red carpet and they just waltz in with this garbage and that « Jimmy says the FDA told them to do it this way ».
Moderna also made this really bizarre claim – which now both of them are making – and now it’s being enshrined into regulatory practice as we speak. This is a slide from Moderna from JP Morgan conference in 2018. They were claiming that their product is a platform – which, by the way, every start up in every industry claims that their product is a platform so this means absolutely nothing. They’re claiming they have a platform where they can make these lipid nano bubbles and they can put whatever mRNA they desire into this lipid nano bubble and if it worked once, it will work again and again. I won’t dignify this but anyway, this is a very dangerous claim. They’re saying essentially [that] their product doesn’t need to be tested. Only the delivery vehicle needs to be tested. It’s like saying « Well, the truck that’s carrying food and the truck that’s carrying explosives is completely the same thing. Don’t pay attention. » Because this claim by itself would have never passed through normal regulatory practices as they are designed and regulations as they’re written, what they needed to do is to manufacture the crisis to push it through emergency use authorization, so that they could actually put this on the market – and they did. [Moderna] did not test the Spikevax and Pfizer didn’t test their BNT162 product either. The only test is [of the] delivery vehicle and all kinds of evasive tests not to actually test directly this combination of things. And now they’re both claming « We have a platform » and now FDA is allowing them to do a study in eight mice and then immediately put the product on the market. This has of course many problems. First of all, who wants the product which was tested on eight mice? I don’t know. The second is that now FDA, Pfizer and Moderna are a cartel. They established a cartel where for Pfizer and Moderna, they can do eight mice study and that’s it. For everybody else who even wants to work in mRNA, for example, any other startup – they’re all thinking « Oh my God, this mRNA revolution happened and we’re all going to be rich », they should think again because now they have to comply with all regulations to approve their platforms. But Pfizer and Moderna can only do eight mice study. So they have ruined the entire industry, pharmaceutical research and development by doing this and they have established government-pharma cartel by doing exact these specs.
Next I want to specifically address the reproductive toxicology study that Moderna did. It was a small study in about 40 rats and I’m not going to cover design. They had half of them vaccinated, half of them not vaccinated. By the way, the male rats were never vaccinated so we don’t know what happens with the male reproduction at all and nobody has addressed that. They only vaccinated females and then eventually they found that there was a strong transfer of antibodies from them to fetus and from them to pup – and the levels were high. They’re saying « antibodies » like it’s a good thing but if antibodies transferred, so did mRNA and spike proteins. We now know that spike proteins were found in breast milk, for example, and mRNA specifically was found in breast milk. These things, mRNA and spike proteins, they pass all sorts of barriers such as placenta, such as brain and blood so they will end up in the baby and it’s not clear what it does. We know it’s dangerous and the babies obviously have a small body and it’s developing. So this poses high risks to the developing baby and none of this was studied by anyone. Also, mothers experienced toxicity during gestation and it coincided with the day when they were expressing the highest levels of antigens so obviously this is related to the vaccination. They vaccinate them, they experience high toxicity. They were claiming that these effects were transient and not so bad but rats lost fur and they couldn’t use their hind legs. But Moderna said « Don’t worry, they were thriving ». I’m not sure how the animal is thriving when they’re losing fur. Because I don’t have access to full reports, this is only Moderna’s own summaries, their own words about their studies, I cannot tell you exactly what happened there but it looks to me like they’re whitewashing a lot of stuff. The most important thing was that they found that rats offspring had skeletal malformations. Here’s their own language: « mRNA 1273 » – that’s Moderna Spikevax – « related variations in skeletal examination included statistically significant increase in the number of rats with one or more of wavy ribs and one or more rib nodules » – which is extra ribs. Those are severe skeletal malformations and they were statistically significantly increased in the babies of the vaccinated mothers. That’s as clear safety signal as you get and those are standard studies for assessment of developmental toxicity.They also correlated that with maternal toxicity during the gestation on the same day. So obviously it’s related to the vaccine and obviously this product is causing damage to both mothers and their developing babies.
However FDA directly lied on the label and the regulatory documents on behalf of Moderna. What the FDA put in their summary for non-clinical pharmacology and toxicology which is part of labeling for Spikevax is that there were no vaccine-related fetal malformations or variations. And that was hidden, secret, for a year – more actually than a year – until it was released through court order and until I read it. We would have never known and they would continue pushing this on pregnant women worldwide and they’re continuing. They knew about this but they were knowingly forcing this on pregnant women. Remember the campaigns that were everywhere: CDC advertising, FDA advertising like pharma sales reps, just advertising this is totally safe in pregnancy and pushing everyone – and even forcing pregnant women if they were health care workers or police or school teachers. To me, it’s a crime, it’s a horrible crime what they did. And we know now that there are huge adverse events related to miscarriages to problems with babies, babies dying, lactating babies dying and that’s all recorded in VAERS. And again they’re denying it and gaslighting everyone.
Next I want to talk about what’s really happening with this product, why this variability exists in my opinion and what we’ve found through various now direct testing of vials and examination more closely on the manufacturing processes. So, as you know, each product has its label and even though Pfizer was trying to hide this particular information for a while, now it’s available. We know that they are declaring certain ingredients such as BNT162b2, it’s their mRNA sequence and then the rest of it is lipids, lipid nano, it describes lipid nano bubble composition, these ALC’s and so forth, cholesterol, and then some other products that balance it into injectable product. They’re also declaring quite precise quantities of each on the per vial and per dose level – because remember, they get shipped in multi-dose vials and then each dose gets prepared by the vaccine administrator at the site manually, in completely uncontrolled manner and outside of any good manufacturing practice compliance. Nevertheless each dose is supposed to contain 30 micrograms of mRNA, for example, and then some other components also very precisely described. But what I found by reading manufacturing documents for Pfizer specifically that were submitted to EMA, no tests were designed for testing of the ingredients especially at the vial level – and forget about the dose level. What they were describing as tests at the vial level were basically the vial weight at filling and some integrity parameters like how well it’s capped and so forth. But there were no test that said « We’re going to take random sampling of a few vials from each lot or from each line as it comes off and then we’re going to open them and we’re going to see if it does contain 225 micrograms of RNA or not ». None of that exists. All the ingredients specification tests are designed at the batch level – and the batch is a bulk product, it’s upstream manufacturing step. Per current government regulations, these tests need to exist at the dose level, at the unit dose level as it’s dispensed to the patient – and they’re not doing it, I’ll talk more about this. So far, our findings is that – and this is from random vial testing all over the world – so far we found that not a single vial conforms to this label or any other label of the manufacturers.
So what has been going on is independent testing of vials by many teams. This paper was recently published in the International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. I know some of the authors and I am in correspondence with them and these teams of researchers and independent researchers all over the world – 16 countries, I believe – have gotten access to some of the vials, mostly Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – but there’s some other ones as well. The summary of overall findings is that all these products are completely different, they differ from the labels, but there are some consistent findings. For example, when they’re able to isolate and sequence RNA from the vials, RNA sequence does not conform to the label. We have yet to find a match to what Pfizer says it should be. Then there are huge DNA impurities and protein impurities – gigantic amounts, I’ll show you that. There are also consistently other impurities found in large quantities and they constitute heavy and rare metals. It’s unknown origin or purpose of these materials inside the vials. Metals includes things like cobalt and chromium and aluminum which are very toxic to the body and neurotoxic. Rare things like thulium, which is bizarre, and antimony even was found in Moderna vials. Antimony is a metal used in semiconductor manufacturing, mined in China. It’s not clear what it’s doing in Moderna’s vials which is supposed to be produced in Massachusetts. There are also inclusions found, contaminations with structures of also unknown origin. They look like unexplainable blobs and particles and they’re large because people find them under standard optical microscope which means that they’re not nano scale, they’re larger than that. And crystals, they’re very characteristic: flat and very square and rectangular shapes with sharp edges. Also very characteristic fibers and ribbons, flat ribbons. There is assembly, a self-assembly process – chemical probably – movement visible immediately from the frozen state and this was videoed in single-take videos and so there’s very good documentation of it. Researchers take precautions and steps to exclude environmental dirt on the slides. They do controlled experiments so there are some high quality studies. Not all studies are high quality but some high quality studies found all these things – that’s what I’m summarizing. There is possibly different forms of graphene in these vials and also things like, for example, leftover magnetic beads. Remember though all those people who had like fridge magnets stuck to their arms post injection? That’s what it is. Magnetic beads are used in purification of RNA in manufacturing. They were left in the vials, not removed and then subsequently injected into people.
Here is an example of the RNA sequencing from a Pfizer vial. Here researchers showing the first green line is the declared Pfizer sequence and all of this, by the way, is by weight and that’s how Pfizer does it, too, or rather by length of the molecule. The first sequence is this BNT sequence, that’s Pfizer declared sequence, and it’s supposed to be like this green line. The next three you can see, those a possible matches but none of them actually match.There are some pieces of it and then some extra stuff at the end but the beginning is missing. And that’s what’s floating in that vial. What’s very concerning is these additional small RNA fragments and they were even described by the regulators in European Medicines Agency documents as process-related impurities and they were concerned about it. And they should be concerned about it. I call them shrapnel RNA, there are many, many names for them, microRNA, small interfering RNA, all kinds of things but you can think of it as shrapnel. When the glass breaks, it breaks into large pieces and small pieces and they’re all inpredictable – it’s like this. They’re not denying it. FDA dismissed them as a theoretical concern, it’s not a theoretical concern. MicroRNA’s have been designated specifically as a class of a biological weapon that can be used because they are interfering with the normal genetic processes. They do not have to code for proteins, they do not have to have a a length to code for anything but they can still interfere with the cellular processes dramatically and they can still aggravate the immune system and break it down to such a degree that over time you will have various types of malfunctions including cancer specifically and neurodegenerative diseases and all sorts of abnormalities. So this is in the vials. You can see, it’s almost half and half how much of this component has larger pieces of RNA that don’t match and then all these shrapnel RNA’s.
Then the researchers looked at several Pfizer and Moderna vials and they found large quantities of DNA. And DNA is also a process-related impurity, it comes from the beginning of the process where RNA is transcribed from a DNA matrix. It’s a raw material or input into the process. This DNA matrix is always not 100 percent transcribed, you have remaining impurity from this process and it needs to be removed. And here it clearly wasn’t removed because in three BioNtech vials and one Moderna vial they found DNA. In this test – and again Pfizer uses a similar test – you can see, this is a calibration band on the left of different sizes of DNA that are possible and these are matched with what’s in the vial. You can see that there are these stripes of different sizes that were found in the vials. Here it’s kind of smeared amongst different sizes. So they found DNA and they found it in various sizes in these vials.
And then they calculated the weight of it and it turns out that there’s huge amount of it in each vial. Pfizer themselves declared that acceptance criteria for the vials is such that the DNA can be present there only up to about 10 nanograms per dose. But what’s calculated here from the actual analysis is up to 2000 [times] that amount. That’s really, really, really concerning. Also I found these batches specifically in VAERS – although they come from Europe so VAERS is not complete for Europe – but I found them in VAERS and I found reports for serious adverse events and death for them in VAERS.
Another image was provided by my colleague, Shimon Yanovitz from Israel. They did some testing and this is under standard microscope. They were looking at the vials from completely frozen state and then waiting for them to unfreeze and photographing that process. What they found is, on the top line, here we see immediately from frozen state, this is imaged under standard microscope and you can see how many different types of inclusions and and blobs and some sort of particles are there. And they’re not nanoparticle because under standard microscope we’re seeing much larger structures. It’s not clear what they are. Then after some 20, 30 minutes after unfreezing, they photographed again and look, they changed to all these compositions. That’s what’s evolving and growing and self assembling. They kind of agglomerate, there’s something going on, some kind of chemistry that’s constantly moving and then collecting and coalescing in these other structures and even new ones appearing like these fibers, that one up in these images. It’s very strange, that’s unexplained and that should not be in this type of product. It’s a question, why do we have this?
These structures are not rare. Another colleague provided this image for me and they said that this is just from one drop of Pfizer product. After it sat for 72 hours they examined that at 100X magnification and you can see how much of the stuff, it’s basically just filled – and this is just one drop. It’s filled with this, with these strange structures, some are like particles and some like larger square pieces and it’s not clear what’s going on but there’s a lot of it, it’s kind of steaming with it.
Wolfgang Wodarg: Question: Could this be cholesterol crystals?
Alexandra Latypova: Some of them might be but the ones that are like square, rectangular, they don’t look like crystals. We’re also looking at normal images of cholesterol crystals and they don’t match that, they don’t look like that. They look like something else and there are even more much larger and weird structures that look like carts on wheels, it’s hard to describe. They also have circular things attached to square things attached to some fibers. We’re comparing to salt crystals and cholesterol crystals and, no. Some of it maybe but most of it not.This still remains to be explained by the manufacturers who are keeping extremely silent about it.
And what we also found – and this is almost good news for the victims – we found that when this product is broken, it’s safer. The slide on the left actually came from Germany. A recent report was published by one of these research teams, it’s called the German Working Group. And they did a number of very good, solid and high quality tests for these products. One of these tests was looking out the pegylation quality of the product. They had different Pfizer batches – each dot here is a batch – and they looked at the degree of polymerization, how homogeneous was the polymerization of these nano bubbles. The PEG is there to protect the bubble and to keep them separated. If you have small molecules and they’re all homogeneous, it’s like a mosaic, it protects these really well. When you have smaller and larger ones, that can lead to breakage of these nano bubbles. If it breaks then the mRNA will escape, get interacting with water and will also degrade. What they found is that this associates with degree of inhomogeneity. So how often those bubbles can break is associated with fewer adverse events so it’s safer for the victim. And then I found previously in my analysis of Pfizer documents that once mRNA escapes and breaks, if you have more broken mRNA in your batch – and these are also batches from Pfizer different that these – it’s also less deadly, so it’s safer. That’s just good news because obviously they cannot make this product stable, they cannot make it to their own specification and that turns out to be a saving grace because it doesn’t kill as many people as they were intending to.
Wolfgang Wodarg: Do you have information about the the dependence on storage temperature? Because I can imagine if you store it not frozen for a longer time in a higher temperature that there’s more degradation and that the toxicity will diminish then. Is it possible?
Alexandra Latypova: Yes, absolutely. So, storage, transportation, it breaks in all steps and even shaking. They’re saying to the administrator, the instruction is « Do not shake the vial, you have to invert it a couple of times ». If you shake it, of course, you’re gonna get more broken pieces. They’re not benign but they’re a bit safer.
Wolfgang Wodarg: So if you want to just show the people that is not so dangerous, that you don’t want the people to be alerted by toxicity effects, you just care for a little bit higher temperatures, it’s easier. You use the side effect.
Alexandra Latypova: Yeah, in Pfizer documents they use that method to degrade RNA as well for testing purposes. It’s very well documented. A couple more slides, a short part but actually we’re getting into a very interesting part. We talked about this, we [said] the tests directly from vials or directly from batches show that this product is designed to be toxic, designed to be deadly because it actually is the opposite when it’s broken and doesn’t conform to its specification.
What I found later… I started thinking about and reading more about the manufacturing of mRNA and I didn’t know much about it at the beginning. I now have connected with a number of experts and I understand it better and I have a lot of documents including from Pfizer about how this product is being made. What I learned from it is I frankly have an opinion today that it cannot be made at the scale that these people are claiming. That’s also part of a lie and part of a fraud. First of all, mRNA manufacturing is a challenge even in the lab scale. If you want to make some micrograms of it, it’s a challenge and people who have done it, they’ve described it to me. It has low yields so there are multiple steps of making it and each step creates some sort of not 100 percent yield. And you lose stability of the product at every step. For example, if you have a 5 step process and it has an optimistic yield of 80 percent, then at the end you have 30 percent of the final product and 70 percent of impurities that you need to remove. And if you have a yield of something like 60 percent you only have 7 percent, then you need to remove 93 percent of impurities. Also, of course, you will have to scale up all of your raw materials to achieve some sort of a target that you need, some sort of a weight of the product that you need. mRNA is very fragile, especially the ones that they are using now in these injections, they are large chains. Previously the only approved product on the market that’s using RNA is using a very small one, it’s called small interfering RNA. It’s something like 100 nucleotides in length. The ones that are in Pfizer and Moderna are 4000 and higher than 4000 nucleotides. So it’s very large and the larger it is, the more fragile it is. It’s not stable. They modified it with numerous modifications to make it more stable so that’s why it’s not human it’s just some strange sequence but it still is unstable. Also it needs to be capped and has a tail and those two are separate processes. Each one of them breaks the product as well, so it’s not in complete capping, it’s incomplete tails. LNPs we already discussed, they’re lipid nanoparticles, they can also break because of various things including pegylation imperfection and when they break mRNA also breaks. As we’ve seen before, there are large impurities process-related and some others can be introduced through bad practices and they need to be removed. But you can not aggressively remove anything from this product because it’s very fragile. So you cannot use the same centrifugation, filtration, mixing techniques that they use in chemical manufacturing. Now manufacturers are claiming – I have records that show that on average these batches are something like 200 to 300 liters which already stretches imagination, that’s for batch. Recently I obtained records that showed one batch of Pfizer was manufactured with 12 000 000 doses in it, which means it’s around 900 liters of mRNA. My colleagues at this point started laughing and they said « I don’t even know that there are bio bags that big being produced ». Why are they doing this? I don’t know what’s going on. Are they overdiluting, are they mixing multiple batches, are they mislabeling, are they just reenabling an old product? I don’t know. Any of this can be possible because, as I will discuss shortly, they have no rules that apply to them. When we’re talking about scale like this, the availability of raw materials is questionable. Again my colleagues are questioning « Can they get the enzymes at this scale? » because again you have to have everything multiplied by the yields to reach your final target. Also, these batches are produced simultaneously by numerous companies at the scale and the speed. I don’t know whether this is possible or not. Pfizer was already reporting chemical instability even at 37 liters. That was in the Pfizer European Medicines Agency documents that they said that enzymatic reaction to make RNA was already stopping at that level because at large volumes, chemicals don’t balance the same way as they [do] at small volumes. Now even if you can produce something like this at a large volume, what happens is it the product becomes super heterogeneous. We have problems in the small batch but when the batch is large, you have lipids in water. And lipids are floating in a huge volume so they start separating and they tend to go to the top and they also tend to form into clumps. Now you have the mRNA in very unstraighted quantities floating around in a large volume of other stuff including water. Then that huge volume needs to be filled into 0.45 milliliter containers, vials, and of course you will have a whole bunch of vials that are blanks or near blanks that don’t contain much of the mRNA at all. It may contain metal contaminations or whatever and then you will have some super concentrated mRNA deadly shots. And that explains the reality where we see most people seemingly fine after these injections – at least at the beginning. They may develop something later on, they might get Covid, this increases probability of getting Covid. But then we see also some people drop dead within minutes of injection. That’s what happens, this is the reality of this, because there’s this huge heterogeneity of the vials.
Wolfgang Wodarg: It’s not possible to homogenize it afterwards, to keep it like milk, it’s very homogene. The natural milk is not, you have the cream up and you have the water down. They have technical process to homogenize the whole thing but you cannot do it without disturbing, without destroying the RNA, isn’t it?
Alexandra Latypova: Right, exactly. With milk it’s maybe possible but even then if you look at homogenized milk in a microscope, you’ll see clumps and stuff. These products can not because they will break it. And it continues breaking throughout the whole process and all the impurities that they can’t remove stay continuously. It’s a huge mess, a complete mess. In my opinion, this product can not be made to good manufacturing practices and I suspect that they knew about it because they’ve tried for 20 years to put this on the market and they always ran out to, maybe, early human studies but that’s it. And then they couldn’t get any further because of the safety issues and because I suspect they couldn’t make it consistent. They knew that and then they decided « Okay, well now we have to push it through this big scam ». I’ll explain how they put it in their contract form. I’m pretty sure that these products cannot be made in conformity to the label at the scale and at the speed and the manufacturers are well aware of it and that’s why they’re not doing it.
Let’s look at the structure of this organization, the overall organization, the big picture. This is their organizational chart, it’s turned on the side but it’s still an organizational chart and this is from Vaccines and Related Biologics Advisory Committee meeting from 10/22/2020. This is all the operation Warp Speed meeting together and describing their organizational structure. Notice a couple of things. Who is in charge of this operation? It’s the US Department of Defense, Chief Operating Officer. Who is chief scientific officer? It’s HHS and FDA. Then obviously this part of the chart, it’s the top part and these are people in charge: US government, Department of Defense and HHS. These people are not in charge although they’re getting huge amounts of money so they’re happy and they’re keeping the plans going. Also, the top part includes manufacturing, supply, production, distribution, clinical trials. Now there are many contracts available that were made by the Department of Defense, HHS with all of these vaccine manufacturers and they reveal a lot of things about the structure. The contracts are available through Securities and Exchange commission disclosures to shareholders and I read a lot of them. It does reveal the structure where the government took over pharmaceutical industry by giving them huge amounts of money and signing these very restrictive contracts that control everything. But the government designs the clinical trials, the government designs everything about it and then the FDA just approves it – well, FDA is part of the government. Let’s see who is really making these products.
Here’s from the same meeting, another Power Point slide. This is Operation Warp Speed/BARDA. BARDA is a military biologics development agency and they’re saying « Well, here’s our vaccine manufacturing portfolio ». Again, through these contracts – and there are contracts for all of these entities listed here available – through these contracts it’s very clear that what they’re calling vaccine supporting efforts is in fact what’s manufacturing the vaccines. For example Emergent Biosolutions which I circled here, it’s one of the centers for manufacturing that BARDA set up a long time ago. The contracts that I read go back to 2012 where Emergent was established as a vaccine manufacturer, the Defense vaccine manufacturer extensively for flu vaccines at the time. They also said « We’re going to build this so-called surge capacity » so there were huge amounts of money given. The contract is from 2012 to 2037 in different options and then in 2020 they executed option to do Covid vaccines. Emergent was manufacturing both AstraZeneca’s and Janssen’s vaccines and they were supplier for them. And they were not following any good manufacturing practice rules, by the way. There are also other entities that are very important like Ology. Now it’s been converted into this new monstrous, it’s called National Resilience Company and this is DOD essentially buying a bunch of manufacturing plants from pharma companies and establishing their own manufacturing base. It’s millions of square feet, they have huge amounts of money and they’re manufacturing these products. Texas A&M, also another one. That one seems to be manufacturing for things like Novavax because they use some sort of insect line – I don’t know what that means. You can also see a lot of others. Complex manufacturing requires – it’s not just making something – it’s also having qualified staff, having all the equipment that you need, having supplies, disposables, access to raw materials, it’s a huge infrastructure that you need to have in place and it was not possible. It’s not like you can go to Ford Motor Company and tell them here’s 10 000 000 000 bucks, I need a 1 000 000 new cars in 6 months. Even Ford with already established manufacturing can’t do that because you can’t even secure raw materials in time. Now imagine the same scenario happens when the government goes to Ford, General Motors and Toyota and tells them all simultaneously to do that. No amount of money will produce this miracle in 6 months. It wasn’t. They just gave money to these companies and then directed them to go to these companies that they already established for a long time to produce the product. This is who is making the product and these guys are just a front. They have some aspects of manufacturing but for the most part it’s being done here. And all of this is controlled by the Department of Defense. Specifically the contracts included no accountability – let me go to the next page.
The bad news is that this is a Department of Defense product entirely. People don’t realize it. It seems like it’s a military operation, gets thrown around. It is actually military operation from A to Z. It’s not just that they used some military distribution for just speed and getting it to different states and using refrigeration. No, that’s not how it works. All of these contracts are with DOD. There are hundreds of them with all kinds of companies. All the contracts are with DOD, DOD is the purchaser, DOD gives them huge amounts of money. As I said, they already have established manufacturing base. For example the first contract for Pfizer was for $10 000 000 000 to deliver 100 000 000 doses of vaccine and up to 500 000 000 and there were bonuses for faster delivery which to me says « Why are they making 900 liters of it? Well, because they’re not accountable and they have bonus if they ship all these doses on time ». That’s one of the reasons. And there was no capacity to fulfill them on time except if you use the already established DOD vendors. And there’s no accountability other than the companies to make reasonable efforts, whatever that means. But the contract is extremely micromanaging on every step of operations. Also clinical trials are designed by the government, not by this pharma manufacturer. Regulatory interactions are completely taken over by the government. For example pharma cannot independently talk to the FDA in any way. If they have a meeting, the Department of Defense representatives needs to be in that meeting. That to me says it’s not an arm’s length relationship, it’s a total control of their relationship by the DOD.
Now another thing, the distribution of the product. The product gets shipped to the DOD. All of the vaccine doses in the US get shipped to the Department of Defense. They do not get shipped to independent and licensed and regulated pharmaceutical distributors as all normal pharmaceuticals go to. They’re taken out of that system also into this black box of DOD-only distribution. And in fact the contracts with the vaccinators explicitly state that this product is the Department of Defense property or US government property until it gets injected into the person. And that you can not independently test the vials, you cannot get independent access to the vials and it’s called diversion of government property. They’re prohibiting to test the vials and as I said before, the manufacturers are not testing the vials, neither regulators are testing the vials. Nobody’s testing the vials and you’re not allowed to. In the same contract, there’s a clause that exempts them all from any liability as long as they follow their orders and that same clause describes the product as civilian and military application. There’s also some ex-US contracts with other countries like European Union and Brazil and Albania became available. European Union contracts are still largely redacted but I’ve seen an unredacted Albanian contract and we were told that all the contract clauses were the same. Those contracts explicitly prohibit testing of the vials by foreign governments or anyone there. And in fact they also indemnify Pfizer for anything, provide huge liability cover. The government is forced to waive all the rules and regulations and good manufacturing practices, distribution practices, any controls that exist, in order to indemnify Pfizer. Also, they cannot change their national laws to make it otherwise. So by signing this contract they signed away their national sovereignty to a pharmaceutical company. How ridiculous is that? That’s how they’re avoiding all this liability and they’re prohibiting batch testing, prohibiting vial testing. However you can prohibit all you want. As you’ve seen, there is a large covert testing activity that’s been going on and we’ve found all these answers already. We found that these products are dirty, contaminated, do not conform at all to what the label says and they’re hugely toxic and they’re toxic by design. But this explains to you how they can all get away with it and how they can just not follow any rules: because these rules do not apply to them, this is a military product, made by the military, for the military, distributed by the military and injected into people and it’s a total secret what that is.
So in conclusion what I would like to say is that these injections are definitely not pharmaceuticals and people should stop thinking of them as [such]. They should have stopped thinking about them as vaccines a long time ago but they should stop thinking about them as pharmaceutical or medicine or anything that has to do with that. They are not. US government/DOD/pharma collusion enabled this violation of all established rules and safeguards. These products are deadly by design, intentional, and they cannot be produced according to good manufacturing practices. These people who are claiming « We can recode your genes and cure any disease », it’s total garbage that they’re making. Nobody can do that. That whole mRNA revolution, it’s a scam in my opinion, and they should all be stopped immediately and this should be investigated properly and we should bring those responsible to justice, to accountability. Until that happens, we cannot move on from this and I completely agree with the previous speaker when she said « It’s not that all mandates are over and now let’s all go on vacation and we can forget about it ». No, because they’re doing it more and more. They’re converting all existing vaccines into the mRNA platform. And guess what, this is not going to stop at the vaccines, they’re gonna start producing all kinds of medicines with this platform because now they can. Now they can only do eight mice study and declare it safe and effective. That’s why we have to focus on this more and focus especially on prosecution and bring those responsible to justice.
Viviane Fischer: Naively one could think if this operation is so giant and it’s so important for them to bring these vaccines to everyone that […] for this giant logistical task, we need to get the military involved because they have logistic experience and they have all these contacts. Could there be – I guess not – but could there be a naïve answer to why the military is so much involved?
Alexandra Latypova: Yes, it is a naïve answer but then if the purpose of it was a good purpose, a benign purpose to try to make people heal and cure this disease then the safety guidelines should be followed and they don’t follow a single one of them. So you can’t just say « Well, because it’s such a disaster we have to do everything wrong and produce more death in the process and that’s okay ». It’s not logical in my opinion. It just creates one huge mess. I don’t see any benefit of doing it that way. It’s not like the military has some kind of a more miraculous capability versus private manufacturers. Private manufacturers make lots of products, very high quality products at huge speeds. They have in fact incredible experience in this. The military is not critically required here [more] than the domestic way to do this.
Wolfgang Wodarg: It looks as if the military is just blind that they help shooting their own people.
Alexandra Latypova: Exactly and we do have a lot of very brave whistleblowers inside the military operations, who were stalked, like Theresa Long for example who was trying to stop this. And they’re bringing this up to attention and they’re reporting this and they’re saying « I will not give it to my to my people, I will not give it to the soldiers in my base ». They’re facing huge repercussions but they’re still speaking up and explaining how this is wrong and you shouldn’t do it. Yes, it is damaging our military also as we speak because they’re pushing it on the soldiers and pushing it on the pilots especially. It’s hurting them and that’s another reason why it should be stopped.
Wolfgang Wodarg: I just ask myself, what is it with NATO? You spoke about the European Union but the European Union just has the role to get the money, to collect the money and provide the industry with money. But the function of the military which is working together cooperating in the NATO, there should be some advice for German troops in Germany who are member of the NATO. If it is a big thing coming from the Department of Defense and we are partners in NATO so we had this observation that when the whole thing started, when they started to distribute the the vials, that was the German army going to institutions and there were some higher doctors who applied then the vials. There were no normal doctors but this was an action where the German army was employed to care for the distribution, who was in charge of keeping all this stuff. And normally when the German army does something, the Parliament has to decide on everything the army does. I don’t remember any decision of the German parliament.
Alexandra Latypova: Exactly. The US Department of Defense just went to the German army but I’m sure they went to all other NATO militaries and they said « Here, you will inject it into your people. By the way, you can’t know what’s in it ». How is this okay? And that’s what’s going on and that’s the crime that’s being committed. They’ve contracted all this, they created this legal on paper structure but, guess what, it’s not legal to contract for killing and injuring people. For that reason, this needs to be investigated and stopped.
Wolfgang Wodarg: It is so important that we have all of this outspoken. It’s so important that it’s documented. It’s so important that everyone could know. Thank you very, very, much for your work. It’s great.
Alexandra Latypova: Thank you for inviting me, guys. Anyone can reach me through you if anybody has questions or wants to see the actual documents. All I’m showing is available publicly. It’s from publicly available materials.
Viviane Fischer: We have to we have to publish a list of all these documents. I think that would be important so everyone can really look at that or maybe you have a source. I’m actually pretty shocked because this makes it seem like it’s all connected. It’s not people rushing along for being the first in the market and then maybe doing little mistakes or larger mistakes in the production process. It seems to be well orchestrated kind of effort in the way that you presented here.
Wolfgang Wodarg: International controlled operation.
Alexandra Latypova: International controlled operation, exactly. Also, these suppliers that I was showing, the manufacturers, they’re all over the world. A lot of them are in Germany as well and then in Belgium and Italy and all over, India and China. China is participating in a large way, here I didn’t have time to cover but it’s all connected all over the world.
Viviane Fischer: What role does Russia play in this?
Alexandra Latypova: I haven’t seen that Russia in these contracts. What I’ve seen is definitely China, Germany, US connection and investments into the same entities and then DOD giving them $10 000 000 000, you just gave ten billion dollars to something that where CCP is an equity holder. Those are definitely connected. I have not seen Russia there at all but they have their own vaccines.They’re making the same thing but in parallel – playing the same game but in a different sandbox.
Wolfgang Wodarg: This is a very interesting question because we have this Ukraine conflict, we have the conflict with energy. I think it’s a very, very big chess game and it’s a very big game where all those powers are trying to get the best out of it for themselves. So it would be very interesting to get to know more how are the plans of Russia? They are earning a lot with the energy, they just cut down one line but they sell it on the other side to other nations. It’s a very global play which is very difficult and very complicated to understand. I think if we go on trying to find out, we can learn a lot about this and we have to learn a lot about this so that such thing can never happen again.
Alexandra Latypova: Yeah, exactly.
Viviane Fischer: Well thanks ever so much. I think we have to really dig deep into this. It’s pretty shocking and amazing. Thanks so much for your hard work.
Alexandra Latypova: Thank you for inviting me. Have a good evening.
Je n’ai jamais vu de pays se suicider économiquement auparavant et c’est assez magnifique de par son absurdité. J’ai l’impression de conduire sur l’autoroute de la vie avec, au loin, des feux clignotants bleus et rouges. Et puis on passe à côté d’un carambolage de cinq voitures et, fascination morbide oblige, impossible de détourner le regard.
En Europe, le prix du gaz naturel est en train de devenir incontrôlable. Il est désormais environ 10 fois supérieur à ce qu’il était en moyenne au cours de la dernière décennie et 10 fois plus élevé qu’aux États-Unis. Cela a semé la pagaille sur un continent qui se trouve maintenant au bord du gouffre économique. L’inflation atteint des sommets inégalés depuis 40 ans, entraînant la fermeture d’industries entières et d’entreprises, et remplissant la population de terreur lorsqu’elle reçoit ses factures d’énergie par la poste. Et cela ne fera qu’empirer à l’approche de l’hiver.
En mai, j’ai écrit un article intitulé Cycles de Turbulence qui contenait un graphique décrivant l’avenir probable de la race humaine si nous maintenons la trajectoire actuelle. Le programme du Grand Reset semble en bonne voie et il est donc temps de mettre à jour le graphique.
GUERRE MONDIALE EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE CRISE ALIMENTAIRE CHOC ÉNERGÉTIQUE GUERRE RÉGIONALE PLANDÉMIE
Les étapes de mon tableau ne sont pas mutuellement exclusives. Chacune s’appuie sur l’autre, contribuant ainsi à l’étape suivante. Ainsi, la pandémie fait toujours rage (apparemment) et l’économie mondiale peine toujours à rebondir. La Chine est toujours plongée dans sa folie du zéro-covid et provoque des ravages dans les chaînes d’approvisionnement. Toutes les manigances de l’ingénierie sociale attendent la prochaine vague de leur mise en œuvre et la technologie qu’elle a suscitée ne cesse d’être développée.
La guerre régionale est encore à l’état embryonnaire. Elle continuera à mûrir jusqu’en 2023, « Année de l’Enfer » de Martin Armstrong. Nous atteindrons probablement le sommet du graphique en octobre 2024.
Si vous avez lu certains de mes articles, vous vous souvenez peut-être que je suis étudiant en histoire. Alors permettez-moi une brève digression.
À la mi-octobre 2024, nous assisterons à un alignement planétaire inédit depuis 536 après J.-C., une année que le médiéviste de Harvard, Michael McCormick, décrit comme « le début de l’une des pires périodes à vivre, si ce n’est la pire année« . L’année 536 a marqué le début d’un hiver volcanique qui a fait chuter les températures estivales de 2,5 degrés Celsius en Europe. Les éruptions volcaniques ont entraîné des mauvaises récoltes et des famines qui ont duré des décennies. Cette situation a ensuite été compliquée par la Peste de Justinien, qui a commencé en 541. Elle a causé des millions de morts et a déclenché le Petit Âge Glaciaire de l’Antiquité tardive, qui a duré de 536 à 660. N’hésitez pas à explorer cette tangente en commençant ici – Hiver volcanique de 536.
Avant de poursuivre, je vous propose cette image de l’alignement planétaire du 13 octobre 2024. La Terre est prise dans un carré parfait des 4 grandes planètes extérieures – Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Crise énergétique européenne
La crise énergétique en Europe a souvent été mise en parallèle avec le « choc énergétique » des années 1970. Ce fut une période de forte inflation qui, bien que douloureuse, a été surmontée sans problème. Donc, assurément, cette crise énergétique ne sera pas différente de la précédente, n’est-ce-pas? L’inflation va monter en flèche, les approvisionnements seront restreints et, bien que la situation soit douloureuse, nous allons à nouveau surmonter la tempête. En fait, nous traverserons cette tempête en un an ou deux, contre une décennie la dernière fois.
Tempérons un peu cet optimisme et analysons pourquoi cette crise n’a rien à voir avec celle des années 1970.
Le 6 octobre 1973, une coalition d’États arabes dirigée par l’Égypte et la Syrie a lancé une attaque surprise contre Israël, connue aujourd’hui sous le nom de guerre du Kippour. Leurs objectifs étaient de récupérer la péninsule du Sinaï et les hauteurs du Golan.
Le 19 octobre, Richard Nixon demande au Congrès 2,2 milliards de dollars pour soutenir Israël. Dirigée par l’Arabie saoudite, l’OPEP (Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole) décrète un embargo sur le pétrole à l’encontre des États-Unis et d’autres pays soutenant Israël – Canada, Japon, Pays-Bas et Royaume-Uni. Le prix du pétrole a triplé et même si l’embargo n’a duré que quelques mois, jusqu’en janvier 1974, le prix du pétrole est resté élevé même après la levée de l’embargo.
Ce contexte étant posé, analysons pourquoi ce choc énergétique n’a rien à voir avec celui de 1973.
Le pétrole alimente les véhicules. Le gaz naturel produit de l’électricité et alimente de nombreux processus industriels. Un manque de pétrole signifie moins de voitures et de camions sur les routes. Un manque de gaz naturel entraîne une hausse des prix, ce qui conduit à la désindustrialisation et à l’implosion des économies. Et c’est exactement ce qui est en train de se produire.
Six entreprises britanniques sur 10 risquent de faire faillite devant l’augmentation de leurs facturesDes coûts énergétiques en augmentation incontrôlable obligent des entreprises belges à fermer
La fermeture de ne serait-ce que 25% des entreprises ne constitue pas un simple désagrément. Ces entreprises sont des employeurs. Leur fermeture met des millions de personnes au chômage et garantit une nouvelle Grande Dépression. Alors essayez d’imaginer ce que fera la fermeture de 60% des entreprises. Et il ne s’agit pas seulement du Royaume-Uni. Un rapport de Goldman Sachs prévoit « une réduction de 65% de l’industrie en Allemagne si les flux étaient totalement interrompus ». Et avec la fermeture indéfinie de Nord Stream 1, ces flux ont maintenant complètement cessé. [NdT. et ne reprendront pas avant très longtemps suite aux « attentats« ]
Et en raison de la folie absolue des marchés à terme du gaz, toute l’Europe est affectée. Même les pays qui ne dépendent pas du gaz russe. Le prix du gaz est fixé par la maison de commerce TTF (Title Transfer Facility) aux Pays-Bas.
Mais il y a pire. Bien pire.
Les industries lourdes qui consomment beaucoup d’énergie ne peuvent pas se permettre de rester ouvertes. Il s’agit notamment des aciéries et autres fonderies et usines de fabrication de métaux. Sans métaux, on ne peut plus RIEN fabriquer.
Shutdown = fermeture Delayed start = démarrage différé« Une mauvaise politique énergétique menace de désindustrialiser l’Europe. Le prix du zinc a explosé après qu’une des plus grandes fonderies d’Europe a annoncé qu’elle cesserait sa production le mois prochain tandis que la crise de l’énergie sur le continent menace d’entraver les industries lourdes. »
Si vous pensez que ce qui précède est grave, restez assis pour lire la suite.
Les engrais synthétiques à base d’ammoniac qui nourrissent 4 milliards de personnes sur cette planète sont fabriqués en mélangeant de l’azote atmosphérique avec du gaz naturel sous une pression et une température élevées, selon un procédé appelé Haber-Bosch.
Les prix élevés de l’énergie en Europe ont entraîné l’arrêt de 70% de la capacité de production d’engrais de la région.
Moins d’engrais, c’est moins de nourriture. C’est pourquoi la « crise alimentaire » est la suivante sur mon graphique.
En octobre 1973, la population mondiale s’élevait à 3,913 milliards d’habitants. Elle en compte aujourd’hui exactement le double et ce sont les engrais qui nourrissent toutes ces personnes en plus.
La réduction de la production d’engrais risque de provoquer une crise alimentaire – Environ 70% de la capacité de production d’engrais est à l’arrêt – Les répercussions causeront du tort même aux fermiers et aux consommateurs extra-européensL’augmentation des prix du gaz touche l’industrie chimique et des engrais en Europe Les capacités de production en milliers de tonnes par an sont indiquées à côté des produits impactés en vert, mis à jour le 2 septembre 2022
Maximo Torero, économiste en chef de l’Organisation pour l’Alimentation et l’Agriculture des Nations Unies (Food & Agriculture Organization – FAO), a déclaré à Bloomberg TV que la hausse des prix des engrais pourrait réduire la production mondiale de céréales de plus de 40% lors de la prochaine saison de plantation. Si l’on ajoute à cette équation les pertes de récoltes dues à des sécheresses record et à la guerre en Ukraine, on peut s’attendre à une véritable famine dans les pays du Sud en 2023. Cela entraînera des troubles sociaux et des conflits régionaux.
Tout cela est, bien sûr, voulu. Un livre blanc publié en 2020 par le Forum Économique Mondial et le cabinet de conseil McKinsey and Company met en garde contre les émissions de gaz à effet de serre et le ruissellement potentiel des engrais, préconisant la fin des subventions aux engrais dans les pays en développement et louant la Chine pour ses efforts de réduction de l’utilisation des engrais.
Les gouvernements ne peuvent pas résoudre ce problème
Mais ils essayeront quand même et les résultats seront désastreux. Tellement désastreux que j’ai peut-être inversé à tort les termes « Crise alimentaire » et « Effondrement économique » sur mon graphique. Le temps nous le dira.
L’Allemagne tente de faire bonne figure et s’assure que tout le monde sait que tout ira bien car elle a rempli ses réservoirs souterrains à 80%. Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ces réserves ne dureront que deux mois, soit jusqu’à la mi-novembre, lorsque le froid commencera à sévir. Gazprom a construit ces réservoirs souterrains pour assurer l’acheminement du gaz en cas de problèmes et de pannes de maintenance. Ils n’ont jamais été conçus comme une alternative à l’approvisionnement par gazoduc.
Mais pas d’inquiétude. L’Allemagne peut obtenir son gaz sous forme de GNL (gaz naturel liquéfié), non? Non, pas du tout. Elle ne le peut pas. Elle n’a pas de terminal GNL pour décharger et gazéifier le GNL. Sa seule solution est d’expédier le GNL vers d’autres pays et de transporter le gaz via le réseau de gazoducs qui traverse l’Europe. Une entreprise coûteuse et délicate.
Il y a aussi un autre facteur auquel de nombreux pays européens vont devoir faire face. Il n’y a pas assez de GNL produit dans le monde pour remplacer la quantité de gaz qui transitait par les gazoducs russes. Quelqu’un va devoir s’en passer.
L’Allemagne dispose d’un grand nombre de réacteurs nucléaires qui pourraient garder ses citoyens au chaud cet hiver. Le problème est qu’ils ont presque tous été mis hors service parce que le pays a été complètement pris en charge par le parti anti-humain des Verts. Mais en désespoir de cause, même eux ont envoyé une demande à l’exploitant de deux de ses dernières centrales nucléaires pour qu’il interrompe le déclassement des centrales le 31 décembre. Il devrait être parfaitement clair pour le monde entier que le Parti des Verts allemand ne comprend rien à l’énergie. L’exploitant de l’une des centrales, E.ON, a expliqué qu’il n’était pas possible de mettre sa centrale Isar 2 en mode de réserve au-delà de sa fermeture prévue à la fin de 2022. Le ministre allemand de l’économie, Robert Habeck, s’est dit « quelque peu déconcerté » après avoir reçu la lettre d’E.ON, qui met en doute la faisabilité du plan. L’Allemagne ne peut donc même pas redémarrer les réacteurs en service dont le démantèlement est prévu, sans parler des centrales qui ont déjà été mises au rancart.
Robert Habeck s’en moque éperdument. Il sait que l’économie allemande va être désindustrialisée cet hiver. C’est un prix qu’il est prêt à payer.
NEW – German Economy Minister Habeck can imagine parts of the economy will "simply stop producing for the time being." pic.twitter.com/raA5DpCcKi
Le Ministre de l’Économie Habeck imagine que des secteurs de l’économie « cesseront de produire pour le moment ».
Ces politiciens sont la nouvelle aristocratie. Après un hiver froid et sombre, la population allemande pourrait envisager une solution française très XVIIIe siècle à ce problème.
Un nouveau scénario à la « Lehman Brothers »
Les pays européens soutiennent désespérément leurs compagnies de production énergétique en difficulté. Le commerce de l’énergie est mis à mal par des appels de marge d’au moins 1500 milliards de dollars, ce qui met la pression sur les gouvernements pour qu’ils fournissent davantage de liquidités et renflouent les entreprises de services publics. La Finlande a mis en garde contre un scénario à la « Lehman Brothers », avec des compagnies d’électricité confrontées à de soudaines pénuries de liquidités. L’aggravation de la crise et l’injection de nouveaux milliers de milliards sur le marché ne feront que stimuler l’inflation et plonger l’ensemble de la zone euro dans une profonde récession. Mais bien sûr, ces renflouements sont tous annoncés comme des « mesures anti-inflation ». Sans parler de l’ironie évidente du fait que les coûts énergétiques des ménages ne sont pas inclus dans les statistiques de l’IPC (indice des prix à la consommation), mesure que les gouvernements utilisent pour collationner les données et calculer l’inflation, l’ironie du fait que les gouvernements arrêteront l’inflation en créant de l’inflation ne devrait pas échapper à ceux d’entre nous qui observent la lente autodestruction de notre mode de vie.
Et, bien sûr, on peut se demander pourquoi, s’il est si facile pour les gouvernements d’imprimer de l’argent et de le donner aux fournisseurs d’énergie, ils ne paient pas tout le temps les factures d’électricité de tout le monde? Même si la théorie monétaire moderne (TMM) voudrait nous faire croire que de telles choses sont probablement possibles, la situation économique actuelle, qui découle de l’impression de monnaie effectuée pendant la plandémie, démontre la totale imposture de cette nouvelle école de politique économique.
Les dirigeants de la zone euro mesurent les conséquences de la calamité qu’ils se sont infligée. Mais ces marionnettes du FEM s’en moquent. Parce que lorsque la poussière retombera, et que des milliards de personnes auront été exterminées, l’utopie sera à leur portée.
Macron annonce à la France « la fin de l’abondance » et des temps difficiles à venir
Ce qu’il veut dire, c’est que « la fin de l’abondance » est venue pour VOUS. Les membres de sa classe mangeront encore du caviar alors que vous devrez vous contenter d’une seule pomme de terre pour nourrir votre famille.
La mort de la reine Elizabeth marque la fin d’une époque
Je vais terminer cet article sur l’histoire qui a accaparé en continu le cycle des informations. La mort de la reine Elizabeth a eu un profond impact sur les habitants de ma patrie. Je n’ai jamais été royaliste, mais je n’ignore pas non plus le rôle que la famille royale a joué dans la Grande-Bretagne d’après-guerre. La mort d’une monarque qui règne depuis 1952 est un présage que personne ne devrait ignorer. Elle signale la fin d’un cycle et le début de quelque chose de funeste, comme le suggère le nom du nouveau monarque.
Le roi Charles III est désormais assis sur le trône d’un pays qui a autrefois régné sur la moitié du monde.
Les règnes de Charles I et II ont été marqués par la guerre civile. Il est inconcevable qu’une monarque régnante telle qu’Elizabeth appelle son fils aîné, et héritier du trône, Charles.
La première guerre civile anglaise a éclaté en 1642, moins de 40 ans après la mort de la reine Elizabeth I (!), et 17 ans après l’ascension de Charles Ier sur le trône. Je ne me lancerai pas dans des explications historiques, mais l’époque fut sanglante et les Roundheads d’Oliver Cromwell ont vaincu les Cavaliers de Charles, ce qui a valu au roi de perdre sa tête pour trahison en 1649.
Charles II, le fils de Charles Ier, a poursuivi la guerre de son père contre les parlementaires, jusqu’à sa défaite en 1651, et s’est réfugié en France pendant neuf ans. Il a finalement été rétabli comme monarque en 1660 après la mort de Cromwell et l’histoire réécrite le dépeint comme un roi populaire. En réalité, il n’a cessé de dissoudre les parlements, d’interférer dans la politique et de mépriser les nouvelles réalités politiques introduites par Oliver Cromwell, qui ont relégué la monarchie au rang de monarchie constitutionnelle.
Je vous laisse sur cette pensée. Peu de gens comprennent que le Grand Reset est un projet qui a été lancé par le roi Charles III. Vive le Roi!
Le Grand Reset est lancé! « Maintenant que nous passons du stade du secours à celui du redressement, se présente à nous une occasion unique, mais qui se réduit rapidement, de tirer des enseignements et de nous replacer sur une voie plus durable. C’est une occasion que nous n’avons jamais eue auparavant et que nous n’aurons peut-être plus jamais. Nous devons utiliser tous les leviers dont nous disposons, en sachant que chacun d’entre nous a un rôle vital à jouer. »
Les vaccins mettent en moyenne cinq mois pour causer des décès
Le CDC a gardé secret le fichier maître des décès établi par la Sécurité Sociale. Je l’ai obtenu d’un lanceur d’alerte. Il montre que les décès surviennent cinq mois après le vaccin. Le lien est donc difficile à détecter.
par Steve Kirsch
1 septembre
Résumé
Nous avons supposé depuis le début que le vaccin tue rapidement (au cours des deux premières semaines) parce que c’est le moment où les gens font le lien et le signalent au VAERS. C’est encore vrai; chez certains, le vaccin tue rapidement.
Cependant, grâce à un lanceur d’alerte du HHS [NdT. Health and Human Services, le département de la santé et des services sociaux américains], on voit maintenant clairement que les décès dus au vaccin surviennent majoritairement en moyenne cinq mois après la dernière dose. Ce délai correspond à la deuxième dose; il peut être plus court en fonction du nombre d’injections, mais il y a des arguments à la fois pour et contre (puisqu’il peut y avoir un biais des survivants) [NdT. explication ici].
Mais c’est la raison pour laquelle les compagnies d’assurance-vie ont observé des pics de mortalité toutes causes confondues chez les personnes de moins de 60 ans aux troisième et quatrième trimestres plutôt que juste après le lancement des vaccins.
Ce délai de cinq mois concorde également avec les rapports de décès de personnes qui développent de nouveaux cancers agressifs et mortels dans un délai de quatre à six mois.
Ce délai de cinq mois avant le décès a également été confirmé sur base des seules données européennes. Cette analyse a été publiée le 11 août, mais je n’en ai pris connaissance qu’après avoir écrit cet article.
Dès lors, lorsqu’un décès par accident vasculaire cérébral, arrêt cardiaque, crise cardiaque, cancer et suicide survient environ cinq mois après la vaccination, il pourrait très bien s’agir d’un décès lié au vaccin.
Les données proviennent du fichier principal des décès de l’administration de la sécurité sociale (18 à 55 ans)
J’ai reçu ce tableau d’un lanceur d’alerte employé au HHS. Il s’agit de données que vous n’êtes pas censés voir. L’augmentation de la mortalité (avec un pic de 60%) est énorme. Une telle augmentation ne peut être causée que par un phénomène nouveau qui touche un grand nombre de personnes.
Il n’y a qu’une seule possibilité qui cadre: le vaccin COVID.
Le pic est au 9 septembre 2021.
Ce graphique, qui n’est pas accessible au public, provient du fichier principal des décès de la sécurité sociale américaine. Il compare les décès de 2021 à ceux de 2020. Une telle augmentation du nombre de décès est impossible à moins qu’une maladie très mortelle ne touche un grand nombre de personnes. Cela explique pourquoi les compagnies d’assurance du monde entier ont constaté des pics de décès massifs aux troisième et quatrième trimestres 2021. Le vaccin prenait en effet en moyenne cinq mois à partir de l’injection la plus récente pour provoquer des décès. Le pic ici est au 9 septembre 2021.
Doses de vaccin administrées quotidiennement aux États-Unis
Le pic est au 12 avril 2021.
Le pic est au 12 avril 2021.
Le rasoir d’Occam
La conclusion la plus évidente est que le vaccin prend en moyenne cinq mois pour causer des décès après la deuxième dose.
Le deuxième pic de décembre 2021 entraînera des pics pour les compagnies d’assurance-vie au premier et au deuxième trimestre 2022.
Voici ce que dit le professeur britannique Norman Fenton
Une autre analyse basée sur les seules données européennes trouve exactement le même délai de cinq mois!
Une analyse sur le site de Chris Martenson trouve le même délai de cinq mois en se basant sur des données de sources différentes! C’est vraiment stupéfiant. Je n’en avais aucune idée lorsque j’ai écrit mon article.
Une simple analyse observationnelle causale datée du 9 août aboutit à la même conclusion. Elle était basée sur des données européennes.
Edit: comme il faut être membre pour lire le contenu du lien ci-dessus, j’ai pris la liberté de poster le texte ici.
« Voici ma réponse promise à Holden. Commençons par la conclusion basée sur les données de l’UE provenant des ensembles de données utilisés par Holden (voir image).
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Ce que montre la figure, c’est le « coefficient de corrélation » en fonction d’un délai temporel, c’est-à-dire d’un décalage temporel. Un décalage temporel négatif indique que la surmortalité précède le statut vaccinal.
Un décalage positif indique que les doses administrées précèdent la surmortalité.
Le décalage temporel optimal est défini comme le décalage temporel qui maximise le coefficient de Pearson absolu. Nous recherchons la valeur la plus élevée ou la plus basse. La valeur la plus basse se situe autour de -0,3, tandis que la valeur la plus élevée se situe autour de 0,8. Comme la valeur absolue de la valeur la plus élevée, +0,8, est plus grande que la valeur absolue de la valeur la plus faible, +0,3, le décalage optimal est de + 5 mois. Autrement dit, les doses administrées précèdent la surmortalité.
Comme Holden l’a mentionné, nous trouvons également une relation négative lorsqu’il n’y a pas de décalage. Cependant, le pouvoir explicatif de +0,8 est bien plus important que celui de -0,3. La raison pour laquelle j’ai utilisé « causes » au lieu de causes est qu’il existe plusieurs caractéristiques des relations causales. Ce que nous avons testé maintenant est la « préséance temporelle ».
Un autre aspect important de la causalité observationnelle est que la cause doit prédire l’effet mieux que l’effet ne se prédit lui-même. Dans le cas présent, nous constatons effectivement que l’excès de mortalité se prédit mal – bien sûr, pour un délai égal à 0, il se prédit, mais pour tous les autres délais, il n’a que peu ou pas de pouvoir explicatif.
Nous pouvons donc en conclure que, sur la base des ensembles de données utilisés, les doses administrées provoquent effectivement une surmortalité. Bien sûr, nos « brillants experts » sont toujours bloqués au XIXe siècle en matière de méthodes statistiques. Je ne m’attends pas à ce qu’ils soient en mesure d’expliquer la surmortalité avec leurs méthodes actuelles, simplement parce que cinq mois représentent un délai énorme, et parce qu’ils ont généralement peu de connaissances des méthodes causales d’observation.
A propos de la méthode
La méthode utilisée est basée sur les corrélations. Les dernières avancées en la matière sont basées sur la théorie de l’information, mais cela sort trop de l’ordinaire pour les profanes, et même pour les experts, alors mieux vaut ne pas s’y aventurer. Lorsque j’aurai le temps, dans quelques semaines, j’effectuerai peut-être l’analyse causale de la théorie de l’information.
À propos des données
Comme mentionné, nous avons utilisé les ensembles de données provenant des sources de Holden. Nous avons sélectionné uniquement les pays de l’UE, nous n’avons pas fait de distinction entre les sexes et les groupes d’âge. Enfin, nous avons utilisé des données mensuelles en raison de contraintes de temps de mon côté (je n’ai tout simplement pas le temps de rechercher ou de créer des ensembles de données hebdomadaires pour la surmortalité). »
J’encourage tout le monde à lire tous les commentaires.
Autres hypothèses
Si quelqu’un a une meilleure explication pour ces données, je serais ravi de l’entendre.
Si un vérificateur de faits veut me mettre au défi sur ce point, il peut utiliser le formulaire de contact et nous tiendrons une conversation enregistrée.
Le CDC refuse d’en parler. Ils refusent également de nous dire pourquoi ils ne nous montrent pas ces données.
Il est certain que le NY Times et l’ensemble des médias grand public ignoreront cette affaire et ne poseront aucune question. Peut-être que Tucker Carlson en parlera. [NdT. j’en doute, Carlson fait partie de l’opposition contrôlée]
Résumé
Il était faux de supposer que la plupart des décès liés aux vaccins surviennent peu de temps après la vaccination. C’est le cas de certains, mais pas de la majorité. Ces décès ont simplement été plus faciles à remarquer puisqu’il existait une proximité temporelle avec les injections.
Si une de vos connaissances est décédée environ cinq mois après la vaccination, vous devriez absolument réclamer une autopsie en bonne et due forme, comme décrit dans mon précédent entretien avec Ryan Cole.
Merci de partager cette information.
Texte original
Vaccines are taking an average of 5 months to kill people
The CDC has been hiding the Social Security Administration death master file. I got it from a whistleblower. This shows deaths are taking 5 months from the jab to happen. This is why it’s hard to see.
by Steve Kirsch
Sept 1
Executive Summary
We’ve always assumed the vaccine kills you quickly (in the first two weeks) because that’s when people notice the association and report it to VAERS. This is still true; it does kill some people quickly.
However, thanks to an HHS whistleblower, we can now clearly see that most of the deaths from the vaccine are happening an average of 5 months from the last dose. That is for the second dose; it may be getting shorter the more shots you get but there are arguments both ways (since there can be survivor bias).
But this explains why the life insurance companies got off-the-charts all-cause mortality peaks for people under 60 in Q3 and Q4 rather than right after the shots rolled out.
The five month delay is also consistent with death reports where people are developing new aggressive cancers that are killing them over a 4 to 6 month period.
The 5 month death delay was also confirmed using only European data. That analysis was posted Aug 11, but I learned about it after I wrote this post.
So when you hear of a death from stroke, cardiac arrest, heart attack, cancer, and suicide that is happening around 5 months after vaccination, it could very well be a vaccine-related death.
The data from the Social Security Administration death master file (ages 18 to 55)
I got this chart from a whistleblower who works for HHS. This is data you are not supposed to see. The mortality increase (60% at peak) is huge. That sort of increase can only be caused by something novel that affected massive numbers of people.
There is only one possibility that fits that: the COVID vaccine.
The peak is September 9, 2021.
This graph, which is not publicly available, is from the US Social Security death master file. It compares deaths from 2021 to deaths in 2020. You simply cannot get such a rise in deaths like that unless something very deadly is affecting massive numbers of people. This explains why insurance companies all over the world were seeing massive death spikes in Q3 and Q4 of 2021. The vaccine was simply taking an average of 5 months from the most recent injection to kill people. The peak here is September 9, 2021.
Daily vaccine doses administered in the US
The peak is April 12, 2021.
The peak is April 12, 2021.
Occam’s razor
The most obvious conclusion is that the vaccine takes an average of 5 months to kill people after the second dose.
The second peak in December 2021 will result in life insurance companies having spikes in Q1 and Q2 of 2022.
Here’s what UK Professor Norman Fenton said
Another analysis using only European data found the exact same 5 month delay!
Analysis from Chris Martenson’s site found the same 5 month delay using different source data! That is really stunning. I had no idea when I wrote my article.
If someone has a better explanation for this data, I’d love to hear it.
If any fact checker wants to challenge me on this, you can use the Contact Form and let’s have a recorded conversation.
The CDC doesn’t want to talk about this. They also won’t tell us why they aren’t showing us this data.
For sure, the NY Times and rest of the mainstream media will ignore this and won’t ask any questions. Maybe Tucker Carlson will talk about it.
Summary
It was wrong to assume that most of the vaccine-related deaths were happening shortly after vaccination. Some are, but most are not. It’s just that they were easier to notice when there was temporal proximity to the jabs.
If someone you know died around 5 months after vaccination, you should definitely have a proper autopsy done as described in my earlier interview with Ryan Cole.
Pour ceux qui se demanderaient ce que prennent contre le Covid les sympathiques personnages qui veulent absolument vous injecter le « vaccin » et qui savent parfaitement que le produit en question est une mauvaise idée, voici une bonne hypothèse et un excellent article de Spartacus.
Pour rappel, Spartacus avait rédigé ce papier assez cinglant et très bien sourcé, et celui-ci non moins intéressant – ainsi que des dizaines d’autres sur son Substack, que je n’ai pas le temps de traduire. Ne vous prenez pas la tête avec les termes médicaux, le principe de base est assez limpide. Comme je l’expliquais dans cet article, vous commencez à avoir l’entraînement. Pour les plus curieux (ou les médecins), j’ai scrupuleusement traduit tous ceux qui ont un équivalent en français (certains n’en ont pas) et donné une brève définition ou un lien pour quelques termes clé. Vous commencez aussi à vous familiariser avec la soupe alphabétique des diverses organisations étatiques médicales et paramilitaires américaines, dont je n’ai traduit le nom que des plus relevantes. Ici c’est principalement le NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) et la DTRA (Agence pour l’atténuation des menaces de défense). Vous trouverez facilement les autres sur le Net.
Ils avaient un remède il y a plus de dix ans, mais pas pour vous
Spartacus
2 août
Oligomérisateur de la Caspase activée par l’ARN double brin
Le 27 juillet 2011, un article a été publié dans PLOS ONE [NdT. ici] décrivant une nouvelle protéine biologique antivirale. Il s’appelait DRACO, un acronyme pour Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer [Oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin].
À l’heure actuelle, il existe relativement peu de thérapies antivirales, et la plupart de celles qui existent sont hautement spécifiques aux agents pathogènes ou présentent d’autres inconvénients. Nous avons développé une nouvelle approche antivirale à large spectre, appelée Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO), qui induit sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb [l’ARN double brin] viral, tuant rapidement les cellules infectées sans nuire aux cellules non infectées. Nous avons créé les DRACOs et démontré qu’ils sont non toxiques dans 11 types de cellules de mammifères et efficaces contre 15 virus différents, dont le flavivirus de la dengue, les arénavirus Amapari et Tacaribe, le bunyavirus Guama et la grippe H1N1. Nous avons également démontré que les DRACOs peuvent sauver des souris atteintes de la grippe H1N1. Les DRACOs ont le potentiel pour devenir des thérapies ou des prophylaxies efficaces pour de nombreux virus cliniques et prioritaires, en raison de la sensibilité à large spectre du domaine de détection de l’ARNdb, de l’activité puissante du domaine d’induction de l’apoptose [NdT. l’apoptose (ou mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal] et du nouveau lien direct entre les deux, que les virus n’ont jamais rencontré.
[…]
Financement: Ce travail est financé par la subvention AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et du New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases (NERCE-BIED), avec un financement antérieur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA), et du Director of Defense Research & Engineering (DDR&E). Les bailleurs de fonds n’ont joué aucun rôle dans la conception de l’étude, la collecte et l’analyse des données, la décision de publier ou la préparation du manuscrit. Les opinions, interprétations, conclusions et recommandations sont celles des auteurs et ne sont pas nécessairement approuvées par le gouvernement des États-Unis.
Cette recherche a été effectuée aux Draper Labs du MIT et a été financée par le NIAID, la DARPA et la DTRA. Le Pentagone était à la recherche d’un antivirus à large spectre capable de guérir n’importe quelle infection virale, au cas où les soldats seraient exposés à un agent pathogène inconnu pour lequel il n’existe aucun vaccin (c’est-à-dire un agent de guerre biologique). La solution du Dr Todd Rider a consisté à créer une protéine chimérique composée d’un domaine de détection de l’ARNdb fusionné bout à bout avec un domaine d’induction de l’apoptose. Ces protéines biologiques ont été produites par cultivation dans un bioréacteur dans des bactéries E. Coli transfectées avec des plasmides pour produire des protéines DRACO, de la même façon que l’insuline recombinante est produite.
Il est possible de formuler différents types de DRACO, comme la protéine kinase R et le facteur d’activation de la protéase apoptotique-1, PKR et FADD, RNaseL et Apaf-1, etc. Les DRACOs ont tous le même mécanisme d’action. Ils tirent parti du fait que de nombreux virus, y compris les coronavirus, produisent de longs brins d’ARNdb lorsqu’ils infectent les cellules et se répliquent. Même les virus dont le génome contient de l’ARN à simple brin, comme le SARS-CoV-2, le font. En revanche, les cellules saines ne contiennent pas du tout de longs brins d’ARNdb.
Voici comment cela fonctionne:
Des protéines DRACO sont injectées dans le sujet.
Les protéines utilisent des peptides pénétrant dans les cellules (comme le TAT du VIH) [NdT. ici] pour traverser les membranes cellulaires et entrer dans les cellules.
Si aucun ARNdb viral n’est présent, la protéine ne fait rien.
Si un ARNdb viral est présent, le domaine de détection de l’ARNdb (comme la PKR) [NdT. protéine kinase R] se lie à l’ARNdb.
Plusieurs DRACOs se lient côte à côte à l’ARNdb viral.
Les domaines exposés d’induction de l’apoptose des DRACOs (comme l’Apaf-1) [NdT. ici] se lient et réticulent les procaspases et forcent la cellule infectée à s’autodétruire.
Les DRACOs sont comme de petites mines limpet [NdT. ici] protéiques qui pénètrent dans les cellules infectées et commandent à ces cellules de subir une apoptose immédiatement si elles trouvent des signes d’infection virale, mais ne sont pas toxiques pour les tissus sains. Cela a été prouvé expérimentalement sur des modèles de souris. Ils ont injecté du DRACO à des souris, puis leur ont injecté de grandes quantités de virus de la grippe. Rien n’est arrivé aux souris traitées au DRACO lorsqu’elles ont été exposées au virus de la grippe. Elles allaient bien. En fait, ils ont disséqué les souris saines traitées au DRACO et ont confirmé que les protéines du DRACO n’étaient pas toxiques pour les cellules non infectées.
Les protéines DRACO ont conféré une protection pratiquement inébranlable contre les virus qui a duré jusqu’à une semaine après l’injection. Tous les virus. Voyez-vous, les virus ont des moyens de supprimer les voies d’apoptose dans les cellules, transformant les cellules infectées en véritables zombies qui n’arrivent pas à s’éliminer avant d’avoir répliqué des tonnes de particules virales. C’est un vrai bordel. Cependant, une protéine qui combine un domaine de détection de l’ARNdb avec un domaine d’induction de l’apoptose contourne complètement les astuces et les failles que les virus ont développées pour empêcher l’apoptose. Les virus ne voient pas venir le DRACO. Il détruit complètement la cellule au moment où la réplication virale commence, arrêtant immédiatement l’infection alors qu’elle ne touche encore qu’une petit nombre de cellules. Si le DRACO est administré tardivement, il y a effectivement plus d’apoptose et plus d’inflammation, en raison de la plus grande population de cellules affectées. S’il est administré de manière prophylactique, avant l’infection, les virus ne peuvent pas du tout se répliquer dans les populations de cellules traitées au DRACO, que ce soit in vitro ou in vivo. Il y met un terme complet.
Maintenant, avec de tels résultats, la chose logique à faire serait de procéder à d’autres tests sur les animaux, de confirmer (ou de réfuter) les effets de façon expérimentale et, éventuellement, de procéder à des essais sur les humains. Après tout, en théorie, le DRACO pourrait être combiné à la surveillance et à la recherche des contacts pour arrêter complètement la propagation d’un agent pathogène avant même qu’il n’ait la chance de devenir une pandémie. S’il fonctionnait, et s’il avait des effets secondaires minimes, il serait devenu un outil inestimable dans la boîte à outils du contrôle des épidémies.
Ce n’est pas ce qui s’est passé.
Un remède mis sur la touche
En 2014, Todd Rider a demandé deux millions de dollars de subventions supplémentaires à la Fondation Templeton pour poursuivre ses travaux. Cependant, lors d’une réorganisation de la Fondation Templeton, la subvention est tombée à l’eau, et il s’est retrouvé sans rien. Ayant désespérément besoin d’argent, il a lancé une paire de campagnes Indiegogo pour financer ses recherches, qui ont également échoué.
Il a lancé une campagne Indiegogo le 13 octobre dernier afin de récolter 100 000 dollars, une somme suffisante pour relancer ses travaux, bien qu’elle ne représente qu’une fraction de ce dont il a réellement besoin. Mais après deux mois, il n’était qu’à mi-chemin, et la campagne a donc été récemment prolongée.
Il est impossible de savoir, à ce stade précoce, si le DRACO est capable de tout ce que Rider espère – s’il sera vraiment capable de rechercher et de détruire une grande variété de virus à l’intérieur d’une personne malade.
Et maintenant, nous ne le saurons peut-être jamais.
À peu près au même moment, Ken Gabriel, un ancien du DARPA et de Google, a pris la tête des Draper Labs du MIT.
Ken Gabriel a été professeur titulaire au Robotics Institute et au Département d’Ingénierie Électrique et Informatique de l’Université Carnegie Mellon. Il a également été directeur de programme et directeur de bureau à la DARPA, où il a conçu et dirigé des projets qui ont fait passer les MEMS [NdT. ici] du laboratoire aux applications pratiques. Au début de sa carrière, il a été professeur invité à l’Université de Tokyo, chercheur au Naval Research Laboratory et chercheur principal chez AT&T Bell Laboratories. Gabriel a notamment été nommé Technology Pioneer par le Forum Economique Mondial de Davos et nommé au Senior Executive Service, et a reçu le prix Carlton Tucker pour son Excellence dans l’Enseignement du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ken Gabriel est titulaire de diplômes SM et ScD en génie électrique et en informatique du MIT.
Ken Gabriel a également des liens avec le Wellcome Trust, qui se trouve juste à côté de Tavistock et a des liens avec Sequoia Capital. Il est le directeur de l’exploitation de Wellcome Leap. [NdT. Wellcome Leap est raccourci en « leap », qui signifie « saut » ou « bond » et est employé plus bas dans ce sens par l’auteur et Whitney Webb]
Wellcome Leap (« Leap »), un projet de pointe à but non lucratif fondé par le Wellcome Trust pour accélérer les innovations au service de la santé humaine mondiale, a annoncé aujourd’hui que l’ancien directeur par intérim de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis, Kaigham « Ken » Gabriel, a été nommé directeur de l’exploitation de l’organisation.
Ken dirigera les opérations de Leap alors que l’organisation entreprend des programmes audacieux et non conventionnels et les finance à grande échelle. Avec un financement initial de 300 millions de dollars, les programmes de Leap cibleront des défis complexes en matière de santé humaine dans le but de parvenir à des solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires d’ici dix ans.
« Le mélange rare d’expérience de Ken à travers les disciplines et les secteurs sera essentiel pour construire Leap à l’échelle mondiale et remplir notre mission », a déclaré Regina E. Dugan, PDG de Wellcome Leap. « Il est dévoué à l’innovation révolutionnaire et je suis ravie de travailler avec lui. »
Whitney Webb a réalisé un reportage détaillé sur Wellcome Leap et ses intentions transhumanistes.
Un organisme britannique à but non lucratif lié à la corruption mondiale pendant la crise du COVID-19, et ayant des liens historiques et actuels avec le mouvement eugéniste britannique, a lancé l’année dernière un équivalent du DARPA axé sur la santé mondiale. Cette initiative est passée largement inaperçue dans les médias grand public et indépendants.
Le Wellcome Trust, qui a sans doute été le second après Bill Gates dans sa capacité à influencer les événements pendant la crise du COVID-19 et la campagne de vaccination, a lancé son propre équivalent mondial de l’agence de recherche secrète du Pentagone l’année dernière, officiellement pour lutter contre les « défis sanitaires les plus pressants de notre époque. » Bien qu’elle ait été conçue pour la première fois en 2018, cette initiative particulière du Wellcome Trust a été filialisée en mai dernier avec un financement initial de 300 millions de dollars. Elle a rapidement attiré deux anciens cadres de la DARPA, qui avaient auparavant servi dans les hautes sphères de la Silicon Valley, pour gérer et planifier son portefeuille de projets.
Ce DARPA sur la santé mondiale, connu sous le nom de Wellcome Leap, vise à trouver des « solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires » d’ici à 2030, en mettant l’accent sur les « défis complexes de la santé mondiale ». Le Wellcome Trust est ouvert sur la manière dont Wellcome Leap appliquera les approches de la Silicon Valley et des sociétés de capital-risque au secteur de la santé et des sciences de la vie. Sans surprise, leurs trois programmes actuels sont prêts à développer des technologies médicales incroyablement invasives et axées sur la technologie, et dans certains cas ouvertement transhumanistes, y compris un programme exclusivement axé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), de capteurs mobiles et de technologies portables de cartographie cérébrale pour les enfants de trois ans et moins.
Whitney Webb d’UnlimitedHangout.com nous rejoint une fois de plus, cette fois pour discuter de son dernier article, « Un « bond » vers la destruction de l’humanité ». Même si vous êtes familier avec l’agenda transhumaniste, ce que les anciens de la DARPA et de la Silicon Valley, au sein de la toute nouvelle Wellcome Leap, prévoient de faire dans leur quête pour transformer l’espèce humaine au cours de la prochaine décennie va vous étonner.
Tout est lié au même programme transhumaniste du FEM, du Club de Rome et de Rockefeller: l’augmentation des capacités humaines, le marquage et le suivi des personnes, l’extraction des données de santé de leur corps, l’utilisation des données cérébrales pour la pré-criminalité, la manipulation des personnes à distance, etc.
La Superclasse veut que les gens soient intégrés à l’Internet des Corps, que nous le voulions ou non. La vaccination obligatoire n’est qu’un prétexte. Ce qu’ils veulent vraiment, c’est une marge de manœuvre illimitée pour imposer des injections de n’importe quoi, en utilisant des virus pandémiques comme prétexte.
Il est bon de rappeler aux lecteurs que la DARPA travaille sur une interface cerveau-machine à base de nanoparticules qui pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, et que cette technologie progresse rapidement.
Les chercheurs ont utilisé le génie génétique pour exprimer un canal ionique spécial sensible à la chaleur dans les neurones qui poussent les mouches à déployer partiellement leurs ailes, un geste d’accouplement courant. Les chercheurs ont ensuite injecté des nanoparticules magnétiques qui pouvaient être chauffées par un champ magnétique appliqué. Une caméra aérienne a observé les mouches qui se déplaçaient librement dans une enceinte surmontée d’un électro-aimant. En modifiant le champ magnétique d’une manière spécifique, les chercheurs ont pu chauffer les nanoparticules et activer les neurones. Une analyse de la vidéo des expériences a montré que les mouches ayant subi des modifications génétiques adoptaient la posture de l’aile déployée dans la demi-seconde environ qui suivait le changement de champ magnétique.
M. Robinson a déclaré que la capacité d’activer des cellules génétiquement ciblées à des moments précis pourrait constituer un outil puissant pour l’étude du cerveau, le traitement des maladies et le développement d’une technologie de communication directe cerveau-machine.
On ne peut pas disposer d’une telle technologie sans un cadre juridique et de droits civils qui la prenne en compte, car elle expose le public à des dérives épouvantables.
Les éthiciens sont déjà très préoccupés par les implications de la neurotechnologie. C’est pourquoi Rafael Yuste, le scientifique dont les travaux ont inspiré l’initiative BRAIN de la DARPA, a créé la Fondation des Droits Neuronaux [Neurorights Foundation]:
Jonathan Moreno est très préoccupé par la militarisation de la neurotechnologie. Il a écrit un livre en 2012 intitulé « Guerres de l’esprit: les sciences du cerveau et l’armée au 21e siècle » [Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century]. Il a également écrit un article sur le sujet qui a été republié dans le Bulletin des Scientifiques Atomiques [Bulletin of the Atomic Scientists]:
Le droit international proscrit fermement l’utilisation des neuroarmes, qui ciblent le cerveau et le système nerveux central et peuvent être de nature chimique, biologique ou toxique. La Convention sur les Armes Chimiques (CAC) interdit la production, l’acquisition, le stockage, la conservation et l’utilisation d’armes chimiques. Cette interdiction relativement simple est toutefois affaiblie par la disposition de la convention autorisant l’utilisation d’agents chimiques pour certaines activités de maintien de l’ordre, comme la lutte antiémeute. La Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines (CABT) est plus large dans son interdiction: elle interdit l’utilisation d’agents biologiques ou de toxines comme armes, quels que soient leur mode ou leur méthode de production. Mais contrairement à la Convention sur les Armes Chimiques, la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines ne prévoit aucun mécanisme d’inspection des installations nationales pour déterminer si l’interdiction est respectée.
Les neuro-armes représentent donc un défi à la fois pour la CAC, en raison de sa portée limitée, et pour la CABT, en raison de l’absence de mécanisme d’inspection. À la lumière de ces limitations, il ne serait pas surprenant de voir les gouvernements se tourner vers des agents incapacitants exotiques au cours de la prochaine décennie, afin de renforcer leur capacité à répondre aux menaces non conventionnelles, mobiles ou intégrées aux populations civiles. Certains de ces utilisateurs d’armes neurologiques peuvent être des régimes autocratiques désireux de réprimer la dissidence ou la rébellion, mais comme nous l’avons vu, les armées des nations riches et démocratiques ont également intérêt à utiliser des armes chimiques non létales pour tenter d’affronter des insurgés ou des groupes terroristes.
Tenter de contrer la menace terroriste sans blesser les non-combattants est sans doute une intention bien placée, mais elle ouvre une voie vers l’enfer en menaçant de saper près d’un demi-siècle de travail pour maintenir l’engagement de la communauté mondiale à faire respecter l’interdiction des armes biologiques, et la destruction durement acquise (bien qu’incomplète) des stocks d’armes chimiques dans le monde. Les installations qui peuvent créer des agents biochimiques non létaux ne sont pas très différentes de celles qui peuvent créer des agents létaux – et peuvent être identiques si la seule différence entre une arme létale et non létale est la dose.
Lorsque nous évoquons des choses comme le programme N3, nous parlons de la technologie permettant de priver des milliards de personnes de leur autonomie et de leurs droits fondamentaux du jour au lendemain et de les transformer, sans ironie, en drones Borg.
Non, ce n’est pas une hyperbole ou une exagération comique. Quand je dis drones Borg, je veux dire drones Borg.
Encore une fois, comme je l’ai dit dans des articles précédents sur les progrès récents de la biotechnologie, la Convention sur les Armes Chimiques et la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines n’interdisent pas la recherche sur les neurotechnologies de contrôle mental. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un bioéthicien qui approuvera un projet en déclarant qu’il ne tue ni ne neutralise, et qu’il ne s’agit donc pas d’une toxine ou d’un agent interdit.
Les lois et les traités n’ont pas du tout suivi le rythme des avancées technologiques dans ce domaine.
Le retour de DRACO
Rick Kiessig est le directeur et le PDG de la société néo-zélandaise Kimer Med, une startup dont l’objectif est de faire revivre le concept de DRACO pour les consommateurs. Il pense que les sociétés pharmaceutiques ont évité de développer le DRACO parce qu’il cannibaliserait les ventes de leurs autres produits, plus lucratifs.
Le Dr Todd Rider, l’inventeur du DRACO, a constaté que les subventions gouvernementales et les financements de type NIH liés aux produits pharmaceutiques se limitent en grande partie à deux grands domaines: soit la recherche fondamentale, soit l’étape finale de la mise sur le marché d’un nouveau médicament. Cependant, ils n’aiment apparemment pas financer la partie intermédiaire (où nous sommes actuellement), qui implique des essais cliniques.
Il a également estimé que pour obtenir des investissements de la part des entreprises pharmaceutiques, il faudrait démontrer l’efficacité du produit contre des virus commercialement intéressants, comme l’herpès, et c’est pourquoi c’était l’un des objectifs de ses campagnes de crowdfunding 2015/2016.
Mon point de vue est un peu plus cynique. Les entreprises pharmaceutiques disposent d’un certain nombre de médicaments pour traiter les maladies virales (antiviraux et autres). Nombre de ces médicaments nécessitent une utilisation régulière pendant une longue période, car ils ne font pas disparaître le virus, ils ne font qu’éloigner temporairement les symptômes tant que l’on continue à les prendre.
Macabre conclusion
Si vous avez suivi nos articles précédents, vous savez que le NIH, l’USAID et la DTRA sont complices du préjudice causé aux Américains en raison du financement de l’EcoHealth Alliance et de ses recherches sur le gain de fonction qui ont sans aucun doute conduit à la création du SARS-CoV-2. Ils ont également financé le DRACO, mais l’ont mystérieusement abandonné après que son efficacité ait été prouvée.
On ne peut que spéculer, mais de mon point de vue, il semble qu’ils voulaient un antidote à leur future arme biologique basée sur le SARS. Quelque chose que les VIP et les officiels pourraient utiliser en secret, tout en laissant le public pourrir et mourir, souffrant des séquelles à long terme du COVID-19 ou des effets secondaires des vaccins à peine testés, hautement toxiques et induisant une auto-immunité.
Il serait très simple de produire clandestinement du DRACO en quantité suffisante pour que les VIP puissent l’utiliser. Tout ce dont on a besoin, c’est de quelques bioréacteurs, de quelques colonnes de chromatographie, de quelques E. Coli et des plasmides du DRACO à transfecter avant de les cultiver. Il s’agit essentiellement du même équipement de laboratoire nécessaire pour produire de l’insuline recombinante. Cet équipement pourrait être caché dans le coin d’un bunker ou d’un immeuble commercial anodin, n’occupant pas plus de quelques centaines de pieds carrés tout au plus. D’énormes lots, suffisants pour des milliers de personnes, pourraient être fabriqués même dans un laboratoire relativement petit.
Nous savons avec certitude que le DRACO est synthétisé en Chine, où des recherches sont en cours sur son efficacité contre le virus du Syndrome dysgénésique et respiratoire porc (SDRP).
[NdT. Le transposon PiggyBac (PB) est un élément génétique mobile qui se transpose efficacement entre les vecteurs et les chromosomes par un mécanisme de « couper-coller »]
L’oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin [Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer – DRACO] est une protéine synthétique qui comprend trois parties: la protéine kinase R (PKR 1-181), qui peut détecter l’ARNdb; le facteur 11-97 d’activation de la protéase apoptotique (Apaf 11-97), qui peut aider à induire sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb viral; et le domaine 4 de transduction de la protéine (PTD-4), qui peut aider à transporter les protéines dans les cellules (Guo et al., 2015). En bref, DRACO peut tuer rapidement les cellules infectées par le virus, mais n’affecte pas les cellules non infectées. Les éléments d’ADN codant pour DRACO ont été synthétisés par General Biosystems (Anhui, Chine) et clonés dans le vecteur d’expression pET-28a (+). Le plasmide recombinant pET-28a-DRACO a été identifié par PCR, digestion par enzyme de restriction et séquençage. Ensuite, la protéine DRACO a été exprimée et purifiée avec succès in vitro.
Ils avaient le remède bien avant de lâcher sur nous le COVID-19.
Pas une zoonose naturelle. Pas une fuite de laboratoire. Des crimes intentionnels contre l’humanité.
On July 27th, 2011, a paper was published in PLOS ONE describing a novel protein biologic antiviral. It was called DRACO, an acronym for Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer.
Currently there are relatively few antiviral therapeutics, and most which do exist are highly pathogen-specific or have other disadvantages. We have developed a new broad-spectrum antiviral approach, dubbed Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO) that selectively induces apoptosis in cells containing viral dsRNA, rapidly killing infected cells without harming uninfected cells. We have created DRACOs and shown that they are nontoxic in 11 mammalian cell types and effective against 15 different viruses, including dengue flavivirus, Amapari and Tacaribe arenaviruses, Guama bunyavirus, and H1N1 influenza. We have also demonstrated that DRACOs can rescue mice challenged with H1N1 influenza. DRACOs have the potential to be effective therapeutics or prophylactics for numerous clinical and priority viruses, due to the broad-spectrum sensitivity of the dsRNA detection domain, the potent activity of the apoptosis induction domain, and the novel direct linkage between the two which viruses have never encountered.
…
Funding: This work is funded by grant AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases and the New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases, with previous funding from the Defense Advanced Research Projects Agency, Defense Threat Reduction Agency, and Director of Defense Research & Engineering. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript. Opinions, interpretations, conclusions, and recommendations are those of the authors and are not necessarily endorsed by the United States government.
This research was performed at MIT’s Draper Labs and was funded by NIAID, DARPA, and DTRA. The Pentagon were after a broad-spectrum antivirus that could cure any viral infection, in case soldiers were exposed to an unknown pathogen for which no vaccine existed (i.e. a biowarfare agent). Dr. Todd Rider’s solution was to come up with a chimeric protein consisting of a dsRNA detection domain fused end-to-end with an apoptosis induction domain. These protein biologics were produced by being cultured in a bioreactor in E. Coli bacteria transfected with plasmids to produce DRACO proteins, similar to how recombinant insulin is produced.
It is possible to formulate different types of DRACOs, such as Protein Kinase R and Apoptotic protease activating factor-1, PKR and FADD, RNaseL and Apaf-1, et cetera. DRACOs all have the same mechanism of action. They take advantage of the fact that many viruses, including coronaviruses, produce long strands of dsRNA when they infect cells and replicate. Even viruses with ssRNA genomes like SARS-CoV-2 do this. Healthy cells, on the other hand, don’t have any long strands of dsRNA in them at all.
This is how it works:
DRACO proteins are injected into the subject.
The proteins use cell-penetrating peptides (like HIV TAT) to cross cell membranes and enter cells.
If there is no viral dsRNA present, the protein does nothing.
If there is viral dsRNA present, the dsRNA detection domain (such as PKR) binds to the dsRNA.
Multiple DRACOs bind side-by-side to the viral dsRNA.
The exposed apoptosis induction domains of the DRACOs (such as Apaf-1) bind and crosslink procaspases and force the infected cell to self-destruct.
DRACOs are like little protein limpet mines that enter infected cells and command those cells to undergo apoptosis immediately if they find signs of viral infection, but are non-toxic to healthy tissue. This was proven experimentally in mouse models. They injected mice with DRACO, and then injected them with large quantities of influenza virus. Nothing happened to the DRACO treated mice when they were exposed to influenza. They were fine. In fact, they dissected the healthy DRACO-treated mice and confirmed that the DRACO proteins were non-toxic to uninfected cells.
DRACO proteins conferred practically ironclad protection against viruses that lasted up to a week after injection. All viruses. You see, viruses have ways of suppressing apoptosis pathways in cells, turning infected cells into practical zombies that can’t quite eliminate themselves before they replicate tons of viral particles. It makes a real mess. However, a protein that combines a dsRNA detection domain with an apoptosis induction domain completely bypasses the tricks and loopholes that viruses evolved to prevent apoptosis. Viruses don’t see DRACO coming. It completely destroys the cell the moment viral replication starts, shutting down the infection immediately while it’s still in a small population of cells. If DRACO is administered late, there is indeed more apoptosis and more inflammation, due to the larger population of affected cells. If it is administered prophylactically, before infection, viruses can’t even replicate in DRACO-treated cell populations at all, whether in vitro or in vivo. It puts a complete halt to it.
Now, with results like these, the logical thing to do would be to engage in more animal testing, experimentally confirm (or refute) the effects, and, eventually, proceed to human trials. After all, in theory, DRACO could be combined with surveillance and contact tracing to completely arrest the spread of a pathogen before it even had a chance to become a pandemic. If it worked, and if it had minimal side effects, it would have become an invaluable tool in the epidemic control toolbox.
That wasn’t what happened.
A Sidelined Cure
In 2014, Todd Rider sought $2 million in additional grant funding from the Templeton Foundation to continue his work. However, during a reorganization at the Templeton Foundation, the grant fell through, and he was left with nothing. Desperate for money, he started a pair of Indiegogo campaigns to fund his research that also failed.
He launched an Indiegogo campaign on October 13 to raise $100,000, enough to restart his work, though just a fraction of what he truly needs. But after two months, he was only halfway there, so the campaign was recently extended.
It’s impossible to know at this early stage if DRACO can do everything that Rider hopes it will — whether it will really be able to seek and destroy a wide variety of viruses inside a sick person.
And now we may never find out.
Around the same time, Ken Gabriel, an ex-DARPA and ex-Google guy, took over as head of MIT’s Draper Labs.
Gabriel has been a tenured professor in both the Robotics Institute and the Department of Electrical and Computer Engineering at Carnegie Mellon University. He also served as a program manager and office director at DARPA, where he conceived and led projects that took MEMS out of the laboratory into practical applications. Earlier in his career he was a visiting professor at the University of Tokyo, a research scientist at the Naval Research Laboratory and a research principal investigator at AT&T Bell Laboratories. Gabriel’s honors include being named a Technology Pioneer by the World Economic Forum at Davos and named to the Senior Executive Service, and awarded the Carlton Tucker Prize for Excellence in Teaching from the Massachusetts Institute of Technology (MIT). Gabriel holds SM and ScD degrees in Electrical Engineering and Computer Science from the MIT.
Ken Gabriel also has links to the Wellcome Trust, who are right next door to Tavistock and have links to Sequoia Capital. He is the COO of Wellcome Leap.
Wellcome Leap (“Leap”), an advanced projects non-profit founded by the Wellcome Trust to accelerate innovations that benefit global human health, today announced that former U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) acting director Kaigham ‘Ken’ Gabriel has been appointed as Chief Operating Officer (COO) of the organization.
Ken will lead operations at Leap as the organization undertakes bold, unconventional programs and funds them at scale.With initial funding of $300 million, Leap’s programs will target complex human health challenges with the goal of achieving breakthrough scientific and technological solutions within a decade.
“Ken’s rare blend of experience across disciplines and sectors will be key to building Leap globally and delivering on our mission,”said Regina E. Dugan, CEO of Wellcome Leap. “He’s devoted to breakthrough innovation and I’m stoked to work with him.”
Whitney Webb has extensive coverage on Wellcome Leap and their transhumanist intentions.
A UK nonprofit with ties to global corruption throughout the COVID-19 crisis as well as historical and current ties to the UK eugenics movement launched a global health-focused DARPA equivalent last year. The move went largely unnoticed by both mainstream and independent media.
The Wellcome Trust, which has arguably been second only to Bill Gates in its ability to influence events during the COVID-19 crisis and vaccination campaign, launched its own global equivalent of the Pentagon’s secretive research agency last year, officially to combat the “most pressing health challenges of our time.” Though first conceived of in 2018, this particular Wellcome Trust initiative was spun off from the Trust last May with $300 million in initial funding. It quickly attracted two former DARPA executives, who had previously served in the upper echelons of Silicon Valley, to manage and plan its portfolio of projects.
This global health DARPA, known as Wellcome Leap, seeks to achieve “breakthrough scientific and technological solutions” by or before 2030, with a focus on “complex global health challenges.” The Wellcome Trust is open about how Wellcome Leap will apply the approaches of Silicon Valley and venture capital firms to the health and life science sector. Unsurprisingly, their three current programs are poised to develop incredibly invasive tech-focused, and in some cases overtly transhumanist, medical technologies, including a program exclusively focused on using artificial intelligence (AI), mobile sensors, and wearable brain-mapping tech for children three years old and younger.
Whitney Webb of UnlimitedHangout.com joins us once again, this time to discuss her latest article, « A “Leap” toward Humanity’s Destruction. » Even if you’re familiar with the transhumanist agenda, what the ex-DARPA, ex-Silicon Valley old hands at the newly created Wellcome Leap are planning to do in their quest to transform the human species in the coming decade will blow your mind.
Everything ties right back into the same WEF/Club of Rome/Rockefeller transhumanist agenda; human augmentation, cattle-tagging and tracking people, pulling health data right out of their bodies, using brain data for precrime, manipulating people remotely, et cetera.
The Overclass want people to be brought onto the so-called Internet of Bodies, whether we like it or not. Mandatory vaccination is just an excuse. What they really want is unlimited leeway to mandate injections of anything, using pandemic viruses as a pretense.
It is worth reminding readers that DARPA are working on a nanoparticle-based BCI that could be used for mind control, and that this technology is advancing rapidly.
The researchers used genetic engineering to express a special heat-sensitive ion channel in neurons that cause flies to partially spread their wings, a common mating gesture. The researchers then injected magnetic nanoparticles that could be heated with an applied magnetic field. An overhead camera watched flies as they roamed freely about an enclosure atop an electromagnet. By changing the magnet’s field in a specified way, the researchers could heat the nanoparticles and activate the neurons. An analysis of video from the experiments showed flies with the genetic modifications assumed the wing-spread posture within approximately half a second of the magnetic field change.
Robinson said the ability to activate genetically targeted cells at precise times could be a powerful tool for studying the brain, treating disease and developing direct brain-machine communication technology.
You can’t have technology like this without a legal and civil rights framework that accounts for it, because it opens the public up to hideous abuse.
Ethicists are already very deeply concerned about the implications of neurotechnology. That’s why Rafael Yuste, the scientist whose work inspired DARPA’s BRAIN Initiative, started the Neurorights Foundation:
Jonathan Moreno is very concerned about the weaponization of neurotechnology. He wrote a book in 2012 entitled Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century. He also wrote an article on the matter that was republished in the Bulletin of the Atomic Scientists:
International law strongly proscribes the use of neuroweapons, which target the brain and central nervous system and can be chemical, biological, or toxin-producing in nature. The CWC bans the production, acquisition, stockpiling, retention, and use of chemical weapons. This relatively straightforward prohibition is undercut, however, by the convention’s provision allowing chemical agents to be used for certain law enforcement activities, like riot control. The BTWC is more sweeping in its prohibition: It bans biological agents or toxins from being used as weapons, whatever their mode or method of production. But unlike the CWC, the BTWC has no mechanism for inspecting national facilities to determine whether the prohibition is being upheld.
Neuroweapons, thus, present a challenge for both the CWC, because of its limited scope, and the BTWC, because of its lack of an inspection mechanism. In light of these limitations, it would not be surprising to see governments turn to exotic incapacitating agents in the coming decade, in an attempt to strengthen their ability to respond to threats that are unconventional, mobile, or embedded within civilian populations. Some of these neuroweapon users may be autocratic regimes interested in repressing dissent or rebellion, but as we’ve seen, the militaries of rich, democratic nations also have an interest in using nonlethal chemical weapons in attempting to confront insurgents or terrorist groups.
Attempting to counter the threat of terrorism without harming noncombatants is arguably a well-placed intention, but it paves a road to hell by threatening to undermine almost half a century of work to keep the global community engaged in upholding the ban on biological weapons, and the hard-won (if incomplete) destruction of chemical weapons stockpiles around the world. Facilities that can create nonlethal biochemical agents aren’t too different from ones that can create lethal agents—and may be identical if the only difference between a lethal and nonlethal weapon is dose.
When we bring up things like the N3 program, we’re talking about the tech to strip basic autonomy and rights from billions of people overnight and unironically turn them into Borg drones.
No, that’s not hyperbole or comical exaggeration. When I say Borg drones, I mean Borg drones.
Again, as I stated in previous articles on recent advances in biotechnology, the Chemical Weapons Convention and Biological Weapons Convention do not bar research into mind control neurotech. All you need is a bioethicist who will sign off on a project and say that it’s neither killing nor incapacitating, and therefore is not a proscribed toxin or agent.
Laws and treaties have not kept up with the pace of technological advancement in this area at all.
DRACO Returns
Rick Kiessig is the Director and CEO of the New Zealand company Kimer Med, a startup focused on reviving the DRACO concept for consumer use. He believes that pharmaceutical companies have avoided developing DRACO because it would cannibalize sales from their other, more lucrative products.
Dr. Todd Rider, the inventor of DRACO, said he found that government grant and NIH-type funding related to pharmaceuticals is largely limited to two broad areas: either basic research or the final step of bringing a new drug to market. However, they apparently don’t like to fund the middle part (where we are now), which involves clinical trials.
He also felt that investment from pharma companies would require showing effectiveness against commercially interesting viruses, such as herpes, which is why that was one of the goals of his 2015/2016 crowdfunding campaigns.
My view is a bit more cynical. Pharma companies have a number of drugs to treat viral illness (antivirals and others). Many of those drugs require regular use for a long period of time, because they don’t make the virus go away, they just temporarily keep the symptoms at bay as long as you continue to take them.
Grim Conclusion
If you’ve been following along with our prior articles, you’d know that NIH, USAID, and DTRA are complicit in harming Americans due to their funding for EcoHealth Alliance and their GOF research which undoubtedly led to the creation of SARS-CoV-2. They also funded DRACO, but mysteriously abandoned it after it was proven to work.
One can only speculate, but from where I stand, it looks like they wanted an antidote to their forthcoming SARS-based bioweapon. Something for VIPs and officials to use in secret, while leaving the public to rot and die, suffering from long-term sequelae from COVID-19 or the side effects from the barely tested, highly toxic, autoimmunity-inducing vaccines.
It would be trivial to clandestinely produce DRACO in sufficient quantities for VIPs to use. All you need is a couple bioreactors, some chromatography columns, some E. Coli, and the DRACO plasmids to transfect into them before culturing. It’s basically all the same lab equipment needed to produce recombinant insulin. This equipment could be hidden in the corner of a bunker or a nondescript commercial building, occupying no more than several hundred square feet at the most. Huge batches sufficient for thousands of people could be manufactured even in a relatively small laboratory.
We know for a fact that DRACO is being synthesized in China, where there is ongoing research into its effectiveness in porcine reproductive and respiratory syndrome virus.
Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer (DRACO) is a synthetic protein that includes three parts: protein kinase R (PKR 1–181), which can detect dsRNA; apoptotic protease-activating factor 11–97 (Apaf 11-97), which can help to selectively induce apoptosis in cells containing viral dsRNA; and protein transduction domain 4 (PTD-4), which can help to transport proteins into cells (Guo et al., 2015). In short, DRACO can rapidly kill virus-infected cells but does not affect uninfected cells. The DNA elements encoding DRACO were synthesized by General Biosystems (Anhui, China) and cloned into the expression vector pET-28a (+). The recombinant pET-28a-DRACO plasmid was identified by PCR, restriction enzyme digestion and sequencing. Then, the DRACO protein was successfully expressed and purified in vitro.
They had the cure long before they unleashed COVID-19 on us.
Not natural zoonosis. Not a lab leak. Intentional crimes against humanity.
Je vais écrire sur l’ajustement structurel et sur le retour sur investissement.
Je n’y connais rien, bien sûr. Je ne suis pas un expert, je suis ouvrier. Quoique pour avoir autrefois travaillé sur des projets internationaux j’en sais quand même assez sur l’ajustement structurel pour en être dégoûté.
Contrairement à un mythe qu’il faudrait dissiper, ces domaines ne nécessitent pas de grande expertise. Une fois leur logique comprise, on saisit vite quand un de leurs experts nous mène en bateau. Comme l’expliquait Miles dans l’article juste avant, un peu d’entraînement suffit pour développer un mal de mer salutaire. On réalise vite que c’est en presque en permanence qu’on se paie notre tête.
Quand on vous montre un artefact en métal de l’Egypte ancienne – alors qu’ils ne connaissaient pas la métallurgie – et qu’on vous explique que c’est fabriqué avec des métaux trouvés dans des météorites, un brin de curiosité vous ménera aux écrits d’Anatoly Fomenko – ou sur l’excellent site de Cédric-Michel Leclerc – qui ont fait le boulot, donnent leur méthodologie et le fruit de leur recherche: l’Egypte ancienne n’a jamais existé. Pourtant, il y a des égyptologues. Ce sont des experts.
Quand je repère des trous de forage modernes dans des colonnes ou des blocs à tailler sur des photos de ruines de la Grèce antique, imaginez ma surprise. Un peu de recherche suffit à découvrir que la Grèce antique n’a jamais existé non plus. Pourtant il y a des hélennistes. Ce sont des experts. Il y a également des experts en armes atomiques, ce qui devrait vous faire doucement rigoler après que vous aurez lu l’article suivant.
Des experts, vous avez vu défiler depuis deux ans et demi sur les plateaux de télévision – si vous détenez chez vous ce genre d’arme de destruction massive. Vous aurez eu l’occasion de déterminer si oui ou non on vous prend pour des pommes. Aujourd’hui, place aux experts en géostratégie, qui vont eux aussi vous mener en bateau pour vous vendre le conflit Chine/USA et/ou Russie/Europe. Prévoyez un sac en papier.
En y consacrant assez de temps, on acquiert une certaine expertise en matière de complots. Mais je le répète, méfiez-vous des experts. Prenez un peu de temps pour faire le boulot vous-mêmes – mais pas trop de temps. Investissez aussi dans l’observation de la Nature. Ça ouvre l’esprit, ça permet éventuellement de manger sainement, moyennant un peu d’effort, et ça peut même vous aider à comprendre le sens de la vie et la place de l’Homme sur Terre.
C’est ce qu’on est en train de vous confisquer.
Deux ans de blog
Pour les nouveaux qui voudraient lire mes précédents écrits (ou les anciens qui voudraient les relire) et ne se sentent pas de les rechercher dans deux cent nonante neuf titres, il y a ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci et surtout ceci et ceci et ce témoignage.
Ceci est donc le trois-centième. J’y reviens sur des sujets j’ai relayés ou traités jusqu’à présent et je relie les points. Je n’interviendrai plus désormais sur l’actualité que ponctuellement. L’objectif de l’actualité est de verrouiller l’esprit sur des arcs de pensée très courts et de faire écran, c’est le cas de le dire, à toute perspective historique. Un autre problème est qu’elle est le plus souvent fabriquée: soit un narratif frauduleux qui s’appuie sur des événements tangibles – le Covid en est un cas d’école – soit des événements purement fictifs élaborés dans tel ou tel think tank ou officine du Renseignement. J’ai déjà consacré pas mal de temps à traiter l’actualité au détriment d’articles de fond que je reporte sans cesse. Celui-ci en est un.
Je m’acharnerai aussi moins à publier des articles qui me prennent plus de temps à rédiger ou à traduire (quatre heures en moyenne) qu’il en faut à l’ensemble de mes lecteurs pour les lire. Quelqu’un m’a dit qu’il trouvait dommage que ce blog ne reçoive pas davantage de visites, ce à quoi je lui ai répondu que s’il attirait plus de monde, ça impliquerait que je n’aurais jamais eu besoin de le créer au départ. Le bon peuple qui vit dans l’insouciance ne se met à consommer des informations « alternatives » que dans l’urgence – pour souvent tomber dans le panneau des figures de proue de la « résistance ».
J’ai déjà souvent exposé l’opposition contrôlée, celle payée par le Renseignement pour ce travail. On trouve aussi un grand nombre d’idiots utiles (généralement plus idiots qu’utiles), qui n’ont eux pas besoin d’être contrôlés. Les uns comme les autres se focalisent sur les éternels suspects, de Gates à Soros, sans aller beaucoup plus loin. Leur point commun est de s’adresser au « comment » et au « qui », pas tellement au « pourquoi » – que nous aborderons en fin d’article. Leurs superhéros sont des « media darlings« , qui font partie de l’opération: des cartes joker du Renseignement comme Julian Assange, Edward Snowden et consorts, des personnages politiques sous contrôle, comme Donald Trump, Thierry Baudet et un paquet d’autres, des « patriotes » de droite sélectionnés pour leur innocuité et des gauchistes professionnels recyclés en défenseurs de la liberté. Leur discours s’articule autour des notions de liberté, de crime contre l’humanité, de génocide et d’eugénisme. Certains accusent la Chine (Naomi Wolf), d’autres la défendent (Matthew Ehret), ce qui fournit deux versions du même narratif simpliste, bâti sur la vision binaire du grand public, qui n’a pas conscience qu’il existe un monde au-dessus de leur monde, et qu’il n’y a qu’une élite aux commandes de tout le reste.
Pour maintenir le status quo, la communication est confiée à des animateurs-vedettes du Net surgis de nulle part – aux Etats-Unis des Alex Jones ou des Stew Peters et leurs équipages de faux enquêteurs – qui contrôlent les révélations, leur timing, chaperonnent les quelques professionnels sérieux trop visibles, les discréditent par association à des fantaisistes et enfin polluent l’information par des annonces exotiques ou apocalyptiques en tout genre. Leur incessante complainte est la censure de l’information sur les media mainstream, ce qui est un leurre. Internet est aujourd’hui le media mainstream, ils en sont les stars et leurs vidéos font des millions de vues. La télévision, comme la médecine, a déjà été sacrifiée dans le cadre de l’opération et n’attire plus que des hallucinés qui n’ont aucun poids dans les événements, si ce n’est celui de poids mort. Certains réseaux sociaux font tièdement semblant de censurer mais, pour rappel, Facebook, Twitter et consorts ne sont pas Internet. Au mieux, ils sont des outils d’abrutissement et de surveillance destinés à quart-mondiser la toile, ce qu’ils ont brillamment réussi. L’Internet, la plus grande invention depuis l’aspirateur sans sac, pouvait potentiellement engendrer un gigantesque bond en avant de la connaissance humaine. On attend toujours.
Covid
Les articles sur le Covid et sa version injectable commencent à fatiguer tout le monde – moi le premier. Franchement, à moins que vous débarquiez, passez directement au titre suivant. C’est du rabâché, ressassé, rebattu. J’en ai publié au moins deux cent sur le sujet. Aucune surprise dès lors qu’on a compris le principe, qui va du contrôle à la « dépopulation ». Je fais donc cette courte synthèse, non-exhaustive, basée sur cette interview du Dr Richard Fleming et de son résumé par Joel Smalley, auquel j’ajoute quelques points à partir du n°8.
Le SARS-CoV-2 est une arme biologique fabriquée en laboratoire, financée par le gouvernement américain, qui résulte d’une recherche de gain de fonction sur la protéine de pointe, la rendant plus infectieuse.
Les traitements sûrs et efficaces contre le virus ont été bloqués par les organismes de réglementation sanitaire américains.
La mise en quarantaine des personnes en bonne santé est totalement inefficace.
Les « vaccins » ARNm/ARN produits par Pfizer, Moderna et Janssen sont des armes biologiques qui délivrent la même protéine de pointe toxique que le virus, mais à des charges jusqu’à 5 millions de fois supérieures.
Les vaccinés sont responsables de la sélection par pression des variants (alpha, delta, omicron, etc.), prolongeant ainsi l’épidémie.
Le « vaccin » perturbe le système immunitaire naturel, rendant les vaccinés plus sensibles aux infections et aux maladies. [NdT. dont la flambée de cancers fulgurants observée actuellement]
Le « vaccin » par lui-même endommage les globules rouges et provoque une hyperinflammation et une coagulation qui entraînent la maladie et la mort.
Les « vaccins » déployés ont été déclinés en de nombreuses versions différentes en termes de dosage et de nanotechnologie embarquée.
Les particules nanolipidiques qu’ils contiennent ont également un rôle pathogène.
Outre leurs effets « secondaires », les injections ont comme conséquence de réduire la réponse immunitaire à la protéine de pointe (d’où les formes « moins graves »), qui se multiplie sans limite et fait potentiellement des injectés des super-épandeurs tandis que leurs organes sont attaqués par leur charge de protéine de pointe.
Tous les organes sont touchés mais les dommages au système reproducteur se reflètent dans la chute spectaculaire de la natalité, apparemment temporaire, dans les pays injectés.
Les nombreuses pathologies précitées sont déjà en hausse et attribuées à des causes surréalistes (réchauffement climatique, etc).
Le SARS-CoV-2 et les injections font partie d’une opération militaire, que l’on peut qualifier, en se basant sur ses conséquences, de Guerre Mondiale de cinquième génération – une forme élaborée de « black op« .
Cette guerre n’est manifestement pas le fait d’un pays en particulier mais d’un réseau supranational qui contrôle les gouvernements acteurs du projet et leurs services de Renseignement.
Elle s’adresse en priorité aux économies industrielles ou post-industrielles du Premier Monde, grands consommateurs d’énergie et de matières premières, dont elles dépendent entièrement pour leur survie.
A ce titre, elle fait partie d’un projet de contrôle sociétal, partiellement articulé dans diverses officines du pouvoir mondialiste – de l’Agenda 2030 de l’ONU au Grand Reset du Forum Economique Mondial – et implémenté sous forme « sanitaire » par l’OMS.
La même offensive continue sous forme de nouvelles « crises » organisées destinées à accélérer la faillite du système actuel: conflit en Ukraine, destruction des économies nationales, de l’industrie agro-alimentaire, des réseaux d’approvisionnement et du réseau énergie, et vraisemblablement d’autres à venir.
Les instigateurs et les exécutants de ce projet ont organisé depuis des décennies le cadre législatif pour ne jamais être tenus responsables de leurs actes dans le cadre de ce type d’opération, dont la liste est longue.
Tout ça est très instructif mais il y manque le point le plus important: l’immense majorité de ceux qui se sont fait injecter l’ont fait volontairement.
Energie
L’énergie est la mesure mathématique de l’existence humaine et de l’ensemble de la société. Nous sommes de l’énergie sous forme physique, le Soleil, la Terre et tout le système solaire est connecté comme système d’échange d’énergie émetteur/capaciteur, le premier canalisant la charge cosmique vers le second, et ainsi de suite. Pour les plus curieux, le Thunderbolt Project a ébauché la description de ce mécanisme, que Miles Mathis a continué à brillament théoriser et démontrer dans ses travaux sur la charge. C’est de la vraie science, pour une fois.
Tout comme les mitochondries touchées par le Sars-Cov-2, la société humaine commence à montrer des symptômes d’affaiblissement assez inquiétants. Elle plafonne depuis au moins trente ans tout en continuant à consommer la même quantité d’énergie, qui se dissipe aussitôt sans générer d’évolution ni d’effet sur son organisation interne. De plus, l’apport d’énergie qui alimente le système risque à moyen terme de diminuer ou de se tarir. Cette société atteint donc son point d’entropie, à partir duquel tout tend vers le chaos et la désintégration.
Côté agriculture, l’urbanisation indispensable à la révolution industrielle d’une part, et l’extermination de la classe paysanne lors de la Première Guerre mondiale d’autre part, ont justifié et consolidé la mise en place du modèle agricole de monoculture et celle de son complément, l’élevage intensif. La destruction écologique sans précédent qu’elle engendre par son usage intensif de pesticides et par l’épuisement des sols causé par les engrais chimiques garantissaient son échec dans le long terme. Du point de vue économique, l’agriculture industrielle n’est plus aujourd’hui que le maillon pauvre d’un coûteux réseau d’intermédiaires industriels (transformation) et commerciaux (distribution), et de financiers qui la phagocytent par le biais d’un marché truqué et tuent sa rentabilité. Elle n’est donc plus viable dans sa forme actuelle et, comme dans le secteur de l’énergie, aucune transition réaliste à l’horizon.
Dans le secteur bancaire, les banques commerciales européennes sont en situation de faillite effective depuis 2008, camouflée par des jeux d’écritures totalement illégaux, qui ne peuvent durer encore longtemps. La seule transition prévue est la monnaie digitale des banques centrales, qui n’est pas un système monétaire mais une ligne de crédit auprés de multinationales, dont la vertu annoncée sera l’égalitarisme et l’effacement de la dette, et l’effet concret de court-circuiter le dernier vestige du contrôle étatique de la monnaie et de l’inflation. En clair, la Banque supprime ouvertement un intermédiaire qui n’était déjà plus que symbolique. Au niveau individuel, la dernière liberté accordée au citoyen de choisir son mode de consommation disparaîtra dès lors que son crédit carbone, social, « vert », son statut vaccinal et d’autres critères liés à son portefeuille numérique seront jugés par des entités supranationales.
Les créateurs de ce système connaissaient dès le début sa forte entropie. Après l’avoir ponctionné sous toutes les formes possibles par des outils de manipulation monétaire, financière, sociale, comportementalistes, etc., ils ont aujourd’hui décidé d’accélérer sa destruction et ainsi rester maîtres de son remplacement par le suivant, le « technocratique ».
L’ancien Monde doit disparaître. Pour ce faire, rien de mieux qu’une catastrophe.
La catastrophe
[Pour s’instruire en s’amusant, Raymond Devos parlait en 1979 assez bien de la catastrophe.]
Chaque fois que la doctrine, qu’elle soit « communiste », « capitaliste », « libérale », s’empare de la gestion de la société, elle aménage la machine étatique pour atteindre le niveau de corruption visé que permet l’excès ou le manque de contrôle (régulation/dérégulation), et la catastrophe n’est ensuite plus qu’une question de temps. On peut se rappeler les bienfaits de l’étatisme communiste dans l’Ukraine de 1932-1933 (souvenir collectif sur lequel capitalise l’OTAN dans ses manoeuvres anti-Russes), maintenant que les Etats prétendent proposer des solutions à la sur-industrialisation du secteur agricole, mesures qui auront le même genre d’effet – voir notamment le pur délire qu’on tente de mettre en place aux Pays-Bas et ce qui vient de se produire au Sri Lanka. Si ce dernier pays se retrouve dans une merde noire, c’est pour s’être laissé entraîner dans une course à la conformité au cahier des charges de l’ESG – les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance – qui seront le clou final dans le cercueil de l’industrie et de l’agriculture.
En réalité, l’ESG est le faux nez du problème du rétrécissement du marché de l’énergie, qu’une partie de la « résistance » – les anti-Mathusiens – s’obstine à traiter comme temporaire. Leur discours récurrent est que, quelle que soit la croissance démographique, la créativité et le génie humains trouveront toujours les ressources technologiques et scientifiques nécessaires à assurer la survie et le bien-être de la masse. A ce titre, ils se battent sur le même terrain que les gens qu’ils dénoncent, c’est-à-dire en plaçant les solutions au niveau du système. C’est de la pure doctrine, pas meilleure que les promesses du communisme. Un modèle qui prétend ne pas avoir de limites quant au nombre d’êtres humains qu’il peut gérer est une utopie aussi dangereuse que l’eugénisme auquel il est censé représenter une alternative.
Comme dans l’adage du poisson, l’être humain ne doit pas être géré mais éduqué. Le problème n’est donc pas le nombre d’ếtres humains mais leur capacité individuelle d’autonomie. Encore une fois, c’est un problème de dépense d’énergie par rapport au résultat. Le résultat du système actuel est catastrophique. En l’absence de solution énergétique de rechange, il n’y a rien pour soutenir le mode de vie d’une population entièrement dépendante, qui n’a donc pas d’autre choix que d’apprendre à assurer cette autonomie. La solution n’est pas de changer de système mais de changer de mode de vie.
Pas comme on veut nous l’imposer.
L’ancien Monde
On va faire un pause dans cet article, avant qu’il devienne vraiment chiant. Je ne vais pas vous faire le portrait de l’ancien Monde. Même si 2019 semble aujourd’hui appartenir à la préhistoire, j’ose espérer que vous vous en souvenez encore un peu. Je vais plutôt vous conter une anecdote.
Ma grand-mère maternelle est née en 1920. Enfant, elle habitait avec sa famille dans la commune de St-Nicolas, en province de Liège. La rue des Grands Champs se nommait ainsi parce qu’elle était vraiment entourée de grands champs – à présent disparus, remplacés par des habitations périurbaines sans âme – dans lesquels elle allait, hors période scolaire, jouer des jours entiers avec ses frères et soeurs, leur mère les rappelant uniquement pour le repas du midi et du soir. Rien que cette partie de l’histoire semblera très exotique à la plupart de mes lecteurs les plus jeunes. La suite les fera peut-être réfléchir. J’espère…
Quand un des enfants entendait le premier un bruit de moteur, il ameutait les autres, qui le suivaient tous jusqu’au talus de la rue des Grands Champs. C’était le moteur d’une automobile. Les enfants attendaient le passage de la voiture, comme un événement rare. Les seuls autres véhicules qui passaient par là étaient des charrois agricoles, tirés par des chevaux. Quand ma grand-mère m’a raconté cette histoire, il y a une trentaine d’années, c’était pour me faire comprendre à quel point et à quelle vitesse le monde avait changé. Il ne vient désormais plus à l’idée de personne de contempler le passage d’une automobile. Il y a trente ans, les enfants s’arrêtaient pour voir encore passer une – rare – voiture tirée par des chevaux. Aujourd’hui, les seuls qui passent parfois sur la route sont montés par des cavaliers. Je vis à la campagne et les chevaux – magnifiques – que je vois sont au pré ou dans un manège. Je dois parfois attendre plus d’une minute pour m’engager en scooter dans la rue principale du village, et ce n’est pas toujours à l’heure de pointe. Une minute de circulation, dans les deux sens, ça fait beaucoup de voitures.
Ma grand-mère n’est pas née sous Napoléon. Elle est née il y a un peu plus d’un siècle. Il y avait alors sur Terre 1.811 millions d’êtres humains.
Le nouveau Monde
Le premier grand malentendu est donc qu’il est possible que rien ne change. Le pouvoir cultive cette illusion tant qu’elle lui est utile, tout en contenant l’évolution naturelle de la société – une excellente recette de la catastrophe. Quand il devient inévitable et urgent d’opérer un changement, il met en oeuvre des stratagèmes pour vendre sa propre version de ce changement aux peuples. Le dernier en date s’appelle « Nouveau Normal », « Build Back Better« , « Grand Reset », au choix.
L’autre malentendu est qu’il est possible – voire souhaitable – de tout contrôler. Encore une fois, le pouvoir a inventé cette notion absurde, dans son propre intérêt, en évacuant le fait que quasiment tout dans ce monde – y compris l’être humain – fonctionne seul et sans intervention. C’est ainsi qu’il parvient à vendre ses armes de destruction massive censées contrôler le climat – ou le Covid – à un peuple oublieux du fait que le réchauffement climatique s’appelait autrefois « été » et qu’il existe une chose nommée système immunitaire, qui a l’air de fonctionner plutôt bien, même contre des armes biologiques.
On nous présente la situation actuelle comme problématique mais elle est le résultat de choix opérés par la même caste que ceux qui les dénoncent aujourd’hui. Comme très bien expliqué dans cet article de Gail Tverberg – et comme développé dans mon préambule – le pétrole aurait dû être vendu beaucoup plus cher dès le départ, ce qui aurait temporisé son utilisation intensive, contenu l’explosion de la croissance démographique et de l’urbanisation (43% de la population mondiale), deux excès qu’il faut maintenant affronter.
Sous l’impulsion des familles du pétrole et de la finance, suffisamment influentes pour court-circuiter la régulation politique, fut établi le modèle d’industrialisation de quasiment tout, de l’agriculture à la pharmacopée, malgré que le modèle précédent était suffisant et durable. Le modèle « capitaliste » qui l’a remplacé n’est en fait qu’une étiquette apposée sur le modèle de croissance infinie et du mythe de l’énergie inépuisable, qui alimente un marché financier appuyé sur la dette et ses intérêts. En URSS, zone richissime en matières premières, il fut décidé – par les mêmes – d’organiser la croissance industrielle sous planification d’Etat. Le résultat fut épouvantable, notamment en raison de la profonde corruption de ses gestionnaires. Le XXème siècle fut ainsi le laboratoire du pouvoir grandeur nature et la préparation à l’application de ses méthodes les plus efficaces. Nous entrons maintenant dans un modèle actualisé d’étatisme de façade, téléguidé par les mêmes familles et potentialisé par la technocratie. Il est donc sérieusement temps de s’en inquiéter. L’Occident montre aujourd’hui – notamment – des symptômes de soviétisation, tels que des délais extravagants pour l’obtention d’une automobile, des menaces de pénuries alimentaires, la perte de la propriété privée, etc.
Contrairement à ce qui est annoncé partout, le prochain modèle ne sera pas multipolaire. Le nouveau pôle de pouvoir sera la Russie, associée à la Chine. Pour y parvenir, l’Occident est systématiquement détruit par une élite mondialiste – qui désigne la Russie comme coupable de nos maux – à l’arme sanitaire, alimentaire, énergétique, économique et probablement climatique, pendant que la Russie connaît une récolte de blé historique, que le rouble se stabilise par son rôle de nouvelle monnaie d’échange sur le marché de l’énergie, que le bloc BRICS établit sa propre réserve monétaire, que ces deux pays contrôlent le marché des engrais, etc.
Plusieurs raisons à ce changement de pilotage. D’abord, ce sont des zones où l’Etat a joué un rôle autoritaire sur plusieurs générations, ce qui lui confère le savoir-faire nécessaire pour contenir ou discipliner les « démocraties » à l’occidentale. Ensuite, ce sont des pays où le niveau moyen d’apprentissage est plus élevé qu’en Europe. Le jeune Russe typique, me dit-on, se lève tôt le matin, travaille toute la journée et fréquente ensuite un lieu d’enseignement pour rentrer tard le soir. La comparaison avec l’état du système éducatif en Europe de l’Ouest est vite faite. Les outils de lavage de cerveau tels que l’égalitarisme, la théorie du genre, le changement climatique, etc. ont fait de ce secteur, avec la complicité du monde enseignant, une fabrique de diplômés déboussolés, analphabètes, inemployables, geignards et indisciplinés, une cure permanente d’antidépresseurs et de smartphone dernier cri servant à calmer l’angoisse existentielle de ceux trop inertes pour devenir délinquants. Peu en réchappent. Ils sont l’avenir.
Quant au rôle de pôle industriel de la Chine, comme chacun l’aura constaté, il est déjà plus ou moins effectif (28% de la production mondiale). Les Chinois – les Asiatiques en général – sont réputés, à juste titre, pour leur très haut niveau d’adaptabilité, de détermination et de résilience. Dans l’ensemble de cette redéfinition planétaire, la place de la Chine est depuis le début la volonté de la Banque, qui comprend l’intérêt de ne pas placer ses billes dans un Occident nettement moins opiniâtre et plus rétif à l’obéissance. Ce serait un placement à haut risque, et la Banque ne prend pas ce genre de risque.
La Banque
« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »
Gutle Schnaper Rothschild
C’est évidemment un terme très général, que j’emploie ici pour représenter le réseau qui contrôle les banques commerciales, les banques d’investissement, les bourses, la haute finance et les organismes de régulation bancaires, dont la Banque des Règlements Internationaux est le sommet hiérarchique. Derrière ce réseau agissent depuis des siècles les mêmes familles, qui l’utilisent pour faire et défaire les civilisations et régir la destinée de la société humaine.
La Banque est maîtresse de l’argent qu’on lui confie, a fortiori depuis la dérégulation qui a permis aux banques commerciales de pratiquer l’investissement. L’investissement contrôle la dynamique des économies nationales et oriente l’évolution de la société. Que celle-ci prenne la forme d’une démocratie, d’une dictature, d’une technocratie, d’une dystopie, d’un coup d’état communiste, ou de n’importe quoi d’autre a peu d’importance. En temps de paix, le secteur politique sera soumis aux diktats des investisseurs. Si nécessaire, une guerre fera l’affaire. Ce qui intéresse la Banque, c’est son retour sur investissement. Si la Banque investit dans un secteur, il faut qu’il soit rentable, ou au minimum stable. Pour garantir cette rentabilité/stabilité, il faut contrôler le système social, contrôle que des outils de mesure comme le NAIRU – le taux de chômage non générateur d’inflation – permettent de quantifier. Elle est également maîtresse de l’argent qu’elle crée par le biais des Banques Centrales, émanation du secteur bancaire privé, à qui a été confiée la création monétaire, autre moyen de contrôle de l’inflation à la baisse ou, comme c’est le cas en ce moment, à la hausse. L’inflation est l’outil modulable d’appauvrissement des peuples. Quand le système devient trop instable et ne garantit plus un retour sur investissement à long terme, il y a l’outil de l’ajustement structurel.
L’ajustement structurel est un terme creux pour désigner la refonte d’un système, en général vers un niveau de technicité supérieur. Il peut s’adresser à un réseau de distribution d’eau, à un tissu industriel ou à d’autres sous-systèmes. Aujourd’hui, il s’adresse à l’ensemble du système.
Je prends l’exemple de la distribution d’eau parce que j’ai travaillé sur un projet de ce type. Je vous explique. La qualité de l’eau dans tel pays – traditionnellement pauvre – est médiocre pour cause de vétusté, incompétence, corruption, manque de moyens, etc. Le prix de l’eau est toutefois suffisamment bas pour que les familles les plus humbles y aient accès. Intervient l’ajustement structurel, généreusement financé par une organisation internationale, qui effectue un upgrade du réseau, sous-traîté à diverses compagnies privées après appel d’offres. La qualité de l’eau est améliorée. Les prix aussi, qui sont multipliés par deux, dix, ou vingt. Les familles humbles n’y ont plus accès. Si vous avez suivi ce qui est dans le pipe-line des projets destinés au monde industrialisé, vous aurez noté une certaine similitude, sauf qu’il ne s’agit pas d’améliorer la qualité mais la conformité au cahier des charges ESG (voir plus haut), ou au Green New Deal, ou au Grand Reset, qui mènera à la confiscation de tout pour quasiment tout le monde. Le Grand Reset est un projet d’ajustement structurel qui ne dit pas son nom. Je défie quiconque de me prouver le contraire. C’est le cadre nécessaire pour un investissement dont on attend un retour, rien d’autre.
Dans la sphère du pouvoir, le monde politique ne sert plus que d’interface entre la Banque et les peuples: il accomplit ses directives économiques en les présentant comme doctrine politique, environnementale, sociale, peu importe, à un peuple ignorant des mécanismes financiers. Il se contente de règlementer – ou dérèglementer – le cadre économique et de prendre les mesures qui maintiendront ou non, en fonction des besoins du moment, un semblant de paix sociale ou militaire. Si le politique est insuffisant pour ce rôle, on engage des seconds couteaux tels que Bill Gates ou Klaus Schwab pour vendre la doctrine de la dictature biosécuritaire, pendant que les investisseurs rachètent tout ce qui peut être racheté sous le soleil.
Historiquement, c’est la Banque qui a autrefois financé, grâce au système de réserve fractionnelle, la conquête des colonies et la présence tentaculaire de l’Europe dans le monde, que le développement des transports a fini par rendre obsolète. C’est la Banque qui a ensuite donné les rènes du pouvoir mondial aux Etats-Unis, dont la présence militaire et le contrôle de l’exploitation pétrolière via pétro-dollar lui ont assuré le retour sur investissement dans le système issu de l’or noir. C’est la Banque qui cède aujourd’hui cette place à la Russie. La Russie s’unit avec la Chine, remet à jour ses alliances avec la Syrie, l’Iran, la Turquie et utilise celles de ses satellites « communistes » comme le Vénézuela. Ces alliances formeront le bloc qui remplacera sur la scène internationale la zone d’influence américaine, qui va considérablement rétrécir dans les prochains mois, avant de s’éteindre complètement. La prochaine destitution de l’administration Biden se profile de plus en plus clairement – la divulgation sur 4chan des vidéos compromettantes du fils Hunter est évidemment une opération du Renseignement, sans qui rien ne pourrait jamais filtrer. Le scénario probable est que le Vice-Président Harris ne reprendra pas la fonction, ce qui devrait laisser le champ libre au rétablissement, en 2024 au plus tard, du héros fabriqué du nationalisme, Trump, dont l’image sortira indemne de l’opération Covid, l’intérim programmé de Biden lui ayant permis de préserver son image pendant le massacre sanitaire. Le boulot de Trump sera de démanteler l’influence extérieure des Etats-Unis, au nom de la priorité nationale, thème bien connu de la droite patriote.
Dans un autre registre et pour l’anecdote, le rôle d’Elon Musk est évidemment la destruction organisée de Twitter, mais aussi de Telsa. Outre l’absence d’une politique énergétique de remplacement réaliste, quasiment rien n’est fait pour la mise en place d’un nombre suffisant de stations de rechargement ni pour la production ou le recyclage des batteries électriques. Du mirobolant futur parc de véhicules électriques restera d’ici quelques années un privilège (en leasing, avec services payants) réservé à une petite classe de citoyens conformes, parqués dans des « villes intelligentes », à qui on pourra tout infliger et qui trouveront ça normal – comme dans « Nouveau Normal ». Tout comme pour l’agriculture et l’énergie, il n’y aura aucune transition dans le secteur des transports de masse tels qu’ils existent aujourd’hui. Ceux-là disparaîtront purement et simplement.
Ce ne seront pas les seuls.
Nous sommes tous foutus. La société ne survivra pas à ça. Il faut moins de morts qu’on ne le pense pour que tout s’effondre. Une mortalité de 10% mettrait fin à la bulle de la dette qui alimente ce merdier, et ce n’est pas le seul problème.
On se sera bien amusés le temps que ça aura duré.
We are all screwed. Society will not survive this. It takes fewer deaths for a collapse then one might think. A 10 percent die off would end the debt bubble that props this shit show up, just one issue.
L’élite en est arrivée à la conclusion, tout à fait correcte, qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut et que nous le tolérerons. Et si cette conclusion est correcte, elle est probablement justifiée. Si nous le tolérons, nous le méritons.
The elite have come to the conclusion, correctly so, that they can do anything they want and we will tolerate it. And if it’s correctly so, it’s probably justifiably so. If we will put up with it, we deserve it.
La majorité des peuples ne tolèrent pas ce que leur inflige le pouvoir, ils le demandent. Ils veulent être guidés, même si c’est jusqu’à l’abattoir. Ils veulent des leaders, dans tous les domaines – que ce soient des usurpateurs est sans importance. Le peuple a depuis longtemps renoncé à la maîtrise de son destin, et même au choix de ses maîtres. Il veut juste qu’on lui raconte une belle histoire. Malheureusement, cette histoire est une imposture complète et c’est tout ce qu’elle peut être. Elle a servi de fondation à tout le reste. C’est ainsi qu’ont pu naître les concepts de nation, de patriotisme, et de cent autres que les peuples défendent même et surtout contre leur propre intérêt. On ment en permanence aux peuples, exactement comme on ment aux enfants, dont on considère qu’ils n’ont pas la maturité pour connaître la vérité. L’ennemi du peuple, c’est le peuple lui-même. Ses maîtres pervers ne sont que le poison qu’il s’inflige à lui-même. Il s’en plaint mais ne commence jamais le travail nécessaire pour s’en passer.
Si j’encourage mes lecteurs à observer la Nature, ce n’est pas pour rien. Au minimum, ça leur permettra d’échapper au spectaculaire effet « mémoire de poisson rouge » et à l’encore plus impressionnant effet de déni de réalité. J’entends des gens du coin se plaindre du climat de plus en plus sec. Ils confondent le climat et le temps qu’il fait et ils ont apparemment déjà oublié les inondations de l’été dernier – je pourrais leur rappeller les 200 tonnes d’eau que j’ai dû pomper de ma cave. Je les entends aussi répéter que les récoltes de cette année sont très mauvaises alors qu’ils passent tous les jours devant des champs de blé et de maïs prêts pour la récolte un bon mois à l’avance. Mais bon, les récoltes sont mauvaises, ils l’ont entendu à la télévision.
Ils ont aussi entendu depuis toujours que la vie sur Terre est le fruit de l’évolution. Depuis l’imposture de Darwin, le fil conducteur de la science est le mépris de l’intelligence, une intelligence qu’il est urgent de défendre, ou de retrouver. D’après moi, la théorie de l’évolution est l’obstacle majeur sur ce chemin. Elle est d’une stupidité tellement anachronique que sa survie est plus que suspecte. Elle aurait dû être abandonnée mille fois, vu les moyens dont on dispose depuis presque un siècle, en particulier depuis la découverte de l’ADN – il y aurait un article entier à écrire sur ce sujet . Si elle est donc maintenue avec autant d’énergie et de duplicité c’est pour une raison: elle a pour effet un genre d’erreur récursive de la pensée, qui pollue tous les domaines de la connaissance. Tant qu’on ne s’en sera pas débarrassés, tous les problèmes humains ne seront résolus que temporairement, et reviendront inévitablement sous une forme ou une autre. Les diverses doctrines politiques ou économiques ne seront d’aucun secours.
C’est une des manières de coincer l’Homme dans sa bulle sociétale et de lui faire perdre son contact avec la Création, tout sens et toute joie de sa simple existence. Il naît pourtant avec en lui le besoin d’obéir à quelque chose de plus grand, avec les facultés de perception nécessaires pour le comprendre et le développer. C’est pour cette raison, et pour aucune autre, que la place vacante du sacré a pu être investie par un gang de faux technocrates – et vrais psychopathes – que leur anathème lié à leur profonde incompétence rend particulièrement dangereux. Ils veulent gérer le peuple, à condition qu’il ne soit pas trop nombreux. Ces gens se prennent littéralement pour des dieux. Pour cela, ils ont renoncé à être des hommes, depuis très longtemps.
Et ils veulent nous emmener avec eux dans cet Enfer.
Conclusion
Je trouve beaucoup de commentaires éclairés sur Substack, souvent plus intéressants que l’article lui-même. J’en ai cité dans cet article, je vous en livre un autre en guise de conclusion, que je trouve au moment de mettre sous presse.
Les gens qui sont contre cette opération et qui observent ce qui se passe ont tendance à ne penser qu’en termes de batailles, de tactiques et de jeux de dames.
Ces psychopathes pensent en termes de guerres séculaires, de stratégie et d’échecs.
C’est pourquoi ils sont toujours gagnants. Ils transmettent leur projet de génération en génération, et ils sont très patients. Ça ne les dérange pas de sacrifier même leurs pièces les plus précieuses. Ça ne les dérange pas de paraître faibles. Ça fait partie de leur stratégie.
Pendant ce temps, la « résistance » à courte vue pense que parce que le château de cartes s’écroule, ça veut dire quelque chose. Mais le château de cartes a été conçu pour s’écrouler. Ça s’appelle un sacrifice.
Les personnes moyennes ne regardent pas au-delà de leur horizon. Ils se contentent d’étudier quelques arbres et pensent avoir compris. Mais ils ne réalisent pas que la forêt est en fait un laboratoire.
Les rituels ne font que commencer.
Mais je conviens que le combat est spirituel. Je ne fais que décrire la partie séculaire.
Au Canada et en Europe, on exige que les gens se fassent injecter pour avoir accès au suicide médicalement assisté.
C’est du vampirisme spirituel. La récolte des âmes.
[…]
Maintenant, faites un zoom arrière et regardez le monde et sa machinerie globale. Pensez aux bribes de nouvelles qui nous parviennent. Songez au peu que nous savons réellement, et pourquoi nous savons si peu, et pourquoi on nous le montre.
Ils ont retourné les vices de l’humanité contre nous. Et globalement, nous sommes devenus plus faibles au fil des générations. Par notre propre volonté. La plupart des gens sont incapables de survivre sans le système. Mais ce n’est pas notre système, c’est le leur. Nous ne le comprenons même pas. Il est trop immense. C’est le système de la bête.
Donc, en fait, ils ne font que ranger leurs propres jouets dans leur boîte à jouets. Ils considèrent que c’est leur droit de renégocier les conditions de service. Tout est dans les clauses en petits caractères.
Ils vont nous laisser nous détruire et nous détruire les uns les autres. Et ils se délecteront de tout ça.
Mais nous n’avons jamais été créés pour faire partie de leur système. C’est pour cette raison que la plupart des gens ne se sentent pas à leur place.
Nous sommes confrontés à des choix difficiles. Le chemin de moindre résistance est généralement un piège. Seul le chemin difficile mène à la victoire.
Ils vont achever la démolition contrôlée de l’économie, pour commencer.
Je dis « contrôlée » parce que les gens au sommet du système pyramidal ne se soucient pas de l’argent. Ce sont eux qui ont tout inventé à la base, et ils possèdent ce qu’ils pensent avoir de la valeur. Seuls leurs sous-fifres ont soif d’argent, et parce que les sous-fifres croient à tort qu’ils sont au courant de tout le projet et qu’ils sont extrêmement avides, ces idiots utiles continueront à jouer leur rôle jusqu’à la fin. Ils sont trop arrogants pour imaginer qu’ils puissent être trompés et jetés comme le seront ceux qu’ils regardent de haut.
Si les banques centrales lancent leurs monnaies numériques, les « super banquiers » ne seront plus nécessaires. Toutes leurs années de malfaisance seront réduites à néant. Leur seul espoir sera de jouer un rôle de concierge ou de relations publiques. Ceux qui ne mourront pas sous le choc ou par injection se suicideront.
Une fois l’économie et les chaînes d’approvisionnement démolies, peu importe ce que nous serons en mesure de prouver.
Je pense qu’il vaut mieux être préparé. Si les gens ne comprennent pas ce qui va se passer et qu’ils acceptent l’aide sociale et le revenu de base universel (pour autant qu’ils survivent aux retombées de l’effondrement, au chaos social, etc), ils se retrouveront complètement asservis. Pour des générations.
[…]
Pensez-vous qu’un bon parent empêche ses enfants d’apprendre? Il y a une leçon inestimable à tirer de tout cela. Lorsque les humains ne subissent pas de conséquences, ils n’apprennent pas. Lorsque les parents empêchent leurs enfants de faire l’expérience des conséquences, ces derniers ne grandissent jamais.
Cela fait partie de notre éducation. Ce n’est pas « mauvais », pas « injuste », c’est merveilleux. Nous comprendrons tout lorsque les écailles tomberont de nos yeux.
[…]
Seul Dieu est réel. L’univers est une pensée dans l’esprit de Dieu. Je suis un personnage dans un roman écrit par Dieu. Dieu connaissait la fin avant le commencement. Nous disposons du libre arbitre. Seul l’amour est réel, mais nous avons été placés dans un monde d’illusion pour que nous puissions découvrir ce que signifie l’amour. L’amour est bon. L’amour est Dieu.
Le mal fait partie de notre éducation. Comme la gravité. La gravité peut paraître oppressante, mais elle nous rend plus forts. Sans gravité, nous n’aurions pas de muscles, pas de densité osseuse, notre système cardiovasculaire ne fonctionnerait pas… Mais si on se jette d’une falaise, on aura l’impression que la gravité veut nous tuer. Ce n’est pas vrai pour autant. C’est une perception.
C’est pourquoi nous avons des traditions spirituelles et des enseignants, et la capacité de dépasser les rouages du monde matériel pour nous rappeler qui nous sommes, ce qui est réel.
L’amour ne disparaît pas en présence de l’illusion ou du mal. L’amour est constant, éternel, omniprésent. Notre défi est de nous en souvenir au cœur de l’illusion, de la douleur et de la souffrance.
Quelle est la durée d’une vie humaine? Toute douleur et toute souffrance sont temporaires. Regardez les grands maîtres spirituels. Ils n’étaient pas coincés ici, ils étaient simplement ici. Mais ils étaient aussi ailleurs.
Lorsque les gens pensent qu’ils ne sont pas traités équitablement, ils souffrent. Quand les gens pensent qu’ils vivent une mauvaise expérience, ils souffrent.
Il est possible de maintenir une connexion et une immersion dans l’amour à travers n’importe quelle épreuve. Il est possible pour le corps d’endurer un grand traumatisme sans que l’esprit ne souffre. Il est possible d’éprouver une grande douleur et de ne pas souffrir.
Je pense que tout ce que nous vivons a un but. L’amour en est le but.
Les enfants comprennent rarement « pourquoi ». Nous sommes des enfants. Mais nous finirons par grandir.
Si nous sommes attachés à ce système contre-nature et maléfique, nous périrons en même temps que lui.
Nous devons le laisser mourir. Les personnes qui ne veulent pas être sauvées ne le seront pas. Ils ne sauteront jamais dans le radeau de sauvetage. Ils pensent qu’ils font partie du navire.
Vous voyez pourquoi il est utile d’avoir le mal de mer.
Comme d’habitude, une information – ici, sur l’historique du cadre légal de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence accordé aux injections – que vous ne trouverez nulle part sur le web francophone, et assez difficilement dans sa version américaine. Je déplore le peu de lecteurs que ce genre d’information attire généralement, alors qu’elle est d’une importance majeure.
Ce premier article sera suivi d’un deuxième du même auteur. Il s’agira d’un extrait, la liste de toutes les implications légales qui découlent de l’élément du Code décrit ci-après, et d’autres.
Les deux défenseurs légaux auto-appointés des peuples, le Dr David Martin et Reiner Fuellmich, après avoir rédigé l’ébauche d’une plainte, expliquent ne pas pouvoir intenter de procès géant à Big Pharma en raison de la corruption des tribunaux, là où il est écrit noir sur blanc dans les textes de loi que tout procès est impossible.
On a la culture qu’on se fait et les défenseurs qu’on mérite.
Note: USC est évidemment l’acronyme de United States Code, le Code Américain. Il est divisé en Titres, Sous-Titres, Parties, Sous-parties, Chapitres, Sous-chapitres et Sections. C’est de l’une de ces sections qu’il est question ici.
Implications du 10 USC 2371b du Code américain, la disposition relative aux contrats fédéraux citée par Pfizer
Des centaines de millions d’Américains et des milliards de personnes dans le monde ont été contraintes de participer à une expérience du Département de la Défense
Katherine Watt
26 mai
Comme annoncé hier, le 22 avril 2022, Pfizer a déposé une demande de rejet de la plainte déposée par le dénonciateur Brook Jackson au titre du False Claims Act [Loi sur les Fausses Allégations].
Dans sa demande de rejet, Pfizer ne prétend pas que les essais cliniques des produits commercialisés par le gouvernement américain sous le nom de « vaccins Covid-19 » n’étaient pas frauduleux.
Au lieu de cela, Pfizer soutient que la société n’a jamais eu l’obligation de mener des essais solides et non frauduleux en vertu de son accord de base avec le gouvernement américain (pièce A de la demande de rejet de Pfizer déposée le 22/04/2022) et du cahier des charges (pièce 10 de la plainte de Jackson déposée le 08/01/2021 et de sa plainte amendée déposée le 22/02/2022).
« En raison des exigences liées à la pandémie, l’accord n’était pas un contrat d’approvisionnement fédéral standard, mais plutôt un accord « prototype » exécuté en vertu de l’article 2371b du 10 U.S.C. […].
Le [cahier des charges du contrat] décrit une ‘démonstration de fabrication de vaccins à grande échelle’ qui n’impose aucune exigence relative aux bonnes pratiques cliniques (‘BPC’) ou aux règlements connexes de la FDA« .
Pfizer a en outre fait valoir ce qui suit:
« Le « comportement réel » du gouvernement est éloquent. La plainte elle-même et le dossier public montrent que le gouvernement était pleinement conscient des allégations du rapporteur [du dénonciateur Jackson] pendant près de deux ans, sans pour autant retirer l’autorisation ou arrêter le paiement du vaccin de Pfizer. »
C’est exact. Jackson a dit à la FDA [Food and Drugs Administration] que les essais étaient menés de manière corrompue et illégale en septembre 2020, et la FDA est allée de l’avant malgré tout.
Jackson l’a dit au Département de la Justice en janvier 2021 lorsqu’elle a déposé sa première plainte en vertu du False Claims Act. Le Département de la Justice lui a interdit de parler publiquement et a refusé de poursuivre Pfizer ou ses sous-traitants.
10 USC 2371b a été renuméroté. Il s’agit désormais de 10 USC 4022 – Autorité du Département de la Défense pour mener à bien certains projets de prototype.
Voici où se situe 10 USC 4022 dans le Titre 10, Droit Militaire :
Titre 10 – Droit militaire
→ Sous-titre A – Droit militaire général
→ →Partie V – Acquisitions
→ → →Sous-partie E – Recherche et ingénierie
→ → → → Chapitre 301 – Recherche et ingénierie en général.
→ → → → → → Sous-chapitre II – Accords
→ → → → → → → Section 4022 – Pouvoir du Département de la Défense de mener à bien certains projets de prototype.
« [L]e directeur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), le Secrétaire d’un département militaire ou tout autre fonctionnaire désigné par le Secrétaire à la Défense peut, en vertu de l’autorité de la section 4021 de ce titre, réaliser des projets de prototypes qui sont directement liés à l’amélioration de l’efficacité de la mission du personnel militaire et des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux de soutien proposés pour être acquis ou développés par le Département de la Défense, ou à l’amélioration des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux utilisés par les forces armées.
C’est ce que sont l’épidémie de SARS-CoV-2 et le programme d’injection Covid-19 : un projet de prototype militaire.
Voir aussi: En 1997, le Congrès américain a fait semblant de mettre un terme aux expérimentations non éthiques du gouvernement américain sur le personnel militaire, tout en élargissant en fait le groupe de sujets humains susceptibles de faire l’objet d’expérimentations de la part du Département de la Défense pour inclure les militaires et le reste de la population américaine, en déplaçant les programmes expérimentaux du Département de la Défense vers la Food and Drug Administration [FDA – Direction des Produits Alimentaires et Pharmaceutiques] du Department of Health and Human Services [HHS – Département de la Santé et des Services Humains], puis en fusionnant le HHS avec le Département de la Défense par une législation ultérieure.
1997 National Defense Authorization Act for FY98 [NDAA – Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 1997 pour l’année fiscale 1998] – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). La section 1078, « Restrictions sur l’utilisation de sujets humains pour les essais d’agents chimiques ou biologiques », a été abrogé et remplacé une section de 1977 du chapitre 32 du 50 USC, le Programme de Guerre Chimique et Biologique. La disposition de 1977 (50 USC 1520) avait ajouté une exigence selon laquelle le Département de la Défense devait rendre compte au Congrès des programmes d’expérimentation humaine du Département de la Défense. En 1997, le Congrès a remplacé la disposition 1520 par la disposition 1520a, censée interdire au Département de la Défense de mener des expériences sur des soldats sans le consentement éclairé de ces derniers. Cette disposition a été adoptée par le Congrès en réponse à l’indignation publique suscitée par les lésions et les décès causés par les injections obligatoires d’anthrax aux soldats pendant et après la guerre du Golfe de 1991. Toutefois, l’autorisation d’expérimentation du gouvernement fédéral sur des êtres humains non consentants a été maintenue ; le Congrès a simplement transféré le programme dans le Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (voir ci-dessous, adopté trois jours après la NDAA) dans des situations d’urgence déclarées (Emergency Use Authorizations/EUA) [Autorisation d’Utilisation d’Urgence – AUU].
1997 Food and Drug Administration Modernization Act [Loi sur la Modernisation de la Direction des Aliments et des Médicaments] – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Ajout d’une nouvelle section au Federal Food Drug and Cosmetics Act [Loi Fédérale sur les Aliments, les Médicaments et les Cosmétiques] (21 USC 9) pour élargir l’accès aux médicaments et dispositifs expérimentaux dans les situations d’urgence (21 USC 360bbb). C’était le début du cadre d’autorisation d’utilisation d’urgence qui a culminé dans le programme de coercition psychologique, sociale et économique du gouvernement fédéral visant à l’injection universelle de tous les citoyens américains avec des produits commercialisés comme des vaccins Covid-19, opérationnel de la mi-2020 à aujourd’hui.
Il y a beaucoup plus à creuser ici, en commençant par l’histoire des amendements au 10 USC 4022, et les contrats de Pfizer avec les branches militaires du gouvernement américain.
Le Congrès a adopté le 2016 National Defense Authorization Act [Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 2016]. PL 114-92, 129 Stat. 893 le 25/11/2015. La section 815 a ajouté le langage contractuel « prototype » au titre 10, Droit Militaire (10 USC 2371b, renuméroté ultérieurement 10 USC 4021), autorisant le Département de la Défense à passer des contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour mener des expériences médicales autrement illégales sur le public américain et mondial sans avis ni consentement. [Ce paragraphe a été ajouté le 27 mai 2022].
Également lié: L’un des facteurs à prendre en compte par le Secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux [HHS] pour déterminer les contre-mesures de sécurité qualifiées à acquérir, en utilisant le Fonds de Réserve Spécial du Département de la Défense, pour stocker le Stock National Stratégique de produits pharmaceutiques, auprès de sociétés pharmaceutiques, est de savoir « s’il existe un manque de marché commercial significatif pour le produit au moment de l’acquisition, autre que comme contre-mesure de sécurité ». 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), tel que révisé par le Congrès en 2004.
En d’autres termes, dans le cas d’un produit qu’aucun consommateur n’achèterait dans des circonstances commerciales normales, mais que les entreprises pharmaceutiques veulent vendre et dont le gouvernement américain veut mener des activités de recherche et de développement sur ses applications militaires, le Secrétaire du HHS le classe comme une contre-mesure de sécurité qualifiée, l’entrepreneur pharmaceutique le fabrique, le gouvernement américain l’achète en gros et le gouvernement américain oblige la population à le prendre.
Note complémentaire: Un lecteur m’a récemment envoyé un lien vers une page contenant les contrats du gouvernement américain relatifs au Covid. Les contrats Pfizer n’y figurent pas, mais deux contrats Moderna y figurent, tous deux émis par ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority) [Secrétaire Adjoint du Département de la Santé et des Services Sociaux pour la Préparation et la Réponse, Autorité de Recherche et de Développement Avancés Biomédicaux]. Tous deux sont lourdement expurgés. Les autres sociétés sous contrat figurant sur cette liste sont American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron et Vyaire.
Ste Véronique
Texte original
Implications of 10 USC 2371b, the federal contracting provision cited by Pfizer
Hundreds of millions of Americans and billions of people around the world were forced into a DOD experiment
In its motion for dismissal, Pfizer doesn’t argue that the clinical trials, for the products marketed by the US government as ‘Covid-19 vaccines,’ were not fraudulent.
Instead, Pfizer argues that the corporation never had an obligation to conduct sound, non-fraudulent trials under the terms of its Base Agreement with the US government (Exhibit A to Pfizer’s Motion to Dismiss filed 04/22/2022) and the Statement of Work (Exhibit 10 to Jackson’s Complaint filed 01/08/2021 and her Amended Complaint filed 02/22/2022).
“Because of pandemic-related exigencies, the agreement was not a standard federal procurement contract, but rather a ‘prototype’ agreement executed pursuant to 10 U.S.C. § 2371b[.]…
The [contract’s Statement of Work] describes a ‘large scale vaccine manufacturing demonstration’ that imposes no requirements relating to Good Clinical Practices (‘GCP’) or related FDA regulations.”
Pfizer further argued:
“The Government’s ‘actual behavior’ here says it all. Both the complaint itself and the public record show the Government has been fully aware of [whistleblower Jackson’s] Relator’s allegations for nearly two years without withdrawing authorization or stopping payment for Pfizer’s vaccine.”
This is true. Jackson told the FDA the trials were being conducted in corrupt and illegal ways in September 2020, and the FDA moved ahead anyway.
Jackson told the Department of Justice in January 2021 when filing her original False Claims Act complaint. The DOJ gagged her from speaking publicly, and declined to prosecute Pfizer or its subcontractors.
10 USC 2371b has been renumbered. It’s now 10 USC 4022 – Authority of the Department of Defense to carry out certain prototype projects.
Here’s where 10 USC 4022 sits under Title 10, Military Law:
Title 10 – Military Law
→ Subtitle A – General Military Law
→ →Part V – Acquisitions
→ → →Subpart E – Research and Engineering
→ → → → Chapter 301 – Research and Engineering Generally
→ → → → → Subchapter II – Agreements
→ → → → → → Section 4022 – Authority of DOD to carry out certain prototype projects
“[T]he Director of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), the Secretary of a military department, or any other official designated by the Secretary of Defense may, under the authority of section 4021 of this title, carry out prototype projects that are directly relevant to enhancing the mission effectiveness of military personnel and the supporting platforms, systems, components, or materials proposed to be acquired or developed by the Department of Defense, or to improvement of platforms, systems, components, or materials in use by the armed forces.
That’s what the SARS-CoV-2 epidemic and the Covid-19 injection program are: a military prototype project.
Related: The US Congress in 1997 pretended stop to unethical US government experimentation on military personnel, while actually expanding the pool of human subjects for DOD experiments to include the military and the rest of the American population, by moving the experimental programs from the Department of Defense to the Department of Health and Human Services Food and Drug Administration, and then merging HHS with DOD through subsequent legislation.
1997 National Defense Authorization Act for FY98 – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). Section 1078, “Restrictions on the use of human subjects for testing of chemical or biological agents,” repealed and replaced a 1977 section of 50 USC Chapter 32, the Chemical and Biological Warfare Program. The 1977 provision (50 USC 1520) had added a requirement that DOD report to Congress about DOD human experimentation programs. In 1997, Congress replaced 1520 with 1520a, purportedly to prohibit DOD conducting experiments on soldiers without the individual soldiers informed consent. It was passed by Congress in response to public outrage over injuries and deaths caused by mandated anthrax injections of soldiers during and after the 1991 Gulf War. However, the authority for federal government experimentation on non-consenting human beings continued; Congress simply transferred the program to the Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (see below, passed three days after the NDAA) under declared emergency situations (Emergency Use Authorizations/EUA).
1997 Food and Drug Administration Modernization Act – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Added new section to Federal Food Drug and Cosmetics Act (21 USC 9) to expand access to investigational drugs and devices during emergency situations (21 USC 360bbb). This was the beginning of the Emergency Use Authorization framework that culminated in the federal government’s psychological, social and economic coercion program aimed at universal injection of all American citizens with products marketed as Covid-19 vaccines, operational from mid-2020 to the present.
There’s much more to dig into here, starting with the history of amendments to 10 USC 4022, and the Pfizer contracts with US government military branches.
Congress passed 2016 National Defense Authorization Act. PL 114-92, 129 Stat. 893 on 11/25/2015. Section 815 added the ‘prototype’ contracting language to Title 10, Military Law (10 USC 2371b, later renumbered 10 USC 4021), authorizing Department of Defense to contract with pharmaceutical corporations to conduct otherwise illegal medical experiments on the American and global public without notice or consent. [This paragraph was added 05/27/2022]
Also related: One of the factors to be considered by HHS secretary in making determinations about qualified security countermeasures to be purchased, using the DOD Special Reserve Fund, to stock the Strategic National Stockpile of pharmaceuticals, from pharmaceutical corporations is « whether there is a lack of a significant commercial market for the product at the time of procurement, other than as a security countermeasure. » 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), as revised by Congress in 2004.
In other words, if no consumers would buy a product under normal commercial circumstances, but the pharmaceutical companies want to sell it, and the US government wants to conduct research and development on its military applications, the HHS Secretary classifies it as a qualified security countermeasure, the pharmaceutical contractor manufactures it, the US government buys it in bulk, and the US government forces the population to take it.
Side Note: A reader recently sent me a link to a page containing Covid-related US government contracts. The Pfizer contracts aren’t there, but two Moderna contracts are there, both issued by ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority). Both are heavily redacted. Other contracted corporations in that list include American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron and Vyaire.
Après ce que je viens de publier, le sujet de cet article pourrait sembler mineur. Ce serait une erreur. Il faudra au minimum demander pardon, et tenter de réparer ce qui peut l’être.
[Cet article, publié à l’origine en hébreu et qui paraît maintenant en anglais pour la première fois, est signé par Asa Kasher (Professeur Emérite d’Ethique Professionnelle à l’Université de Tel Aviv), Yogev Amitai (Directeur de l’école élémentaire « Simaney Derech [milestones] » dans le kibboutz Ma’abarot), et Shahar Gavish (ancien professeur de mathématiques et de physique)].
Ce sont les enfants qui ont payé le prix le plus lourd au cours des deux dernières années, principalement à cause des politiques malavisées de COVID-19. Les énormes préjudices se feront sentir à l’avenir, mais le bilan moral et le chemin de la guérison doivent commencer maintenant. Et la responsabilité morale est une tache sur notre société.
En 2000, James Heckman a reçu le prix Nobel en Economie pour ses recherches sur l’impact économique de l’éducation à un jeune âge. Les recherches du professeur Heckman ont révélé que plus l’âge auquel une éducation de qualité est offerte est jeune, plus sa contribution au revenu futur de l’enfant est élevée.
Malheureusement pour nos enfants, il n’existe aucune compensation pour les années d’éducation perdues. L’équation d’Heckman nous a donné un outil quantitatif important pour évaluer l’éducation à un jeune âge en tant qu’investissement économique.
En septembre 2020, l’OCDE a publié une évaluation fondée sur la recherche montrant que la perte de trois mois de scolarité due à la fermeture des écoles en temps de crise équivaut à la perte d’environ 2,5 à 4% du revenu total futur de l’enfant pour le reste de sa vie.
Avons-nous fait assez pour éviter que nos enfants ne perdent plus de 600 milliards de dollars au total de leurs revenus futurs tout au long de leur vie? De telles conséquences néfastes ont-elles été prises en compte dans l’une ou l’autre des discussions qui ont eu lieu pendant la crise du COVID et au cours desquelles il a été décidé de fermer les écoles, de fermer des classes et des structures d’accueil de jour entières ou de » seulement » isoler les enfants de manière répétée pendant une semaine entière?
En novembre 2020, le directeur des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) a annoncé que l’organisation ne recommandait pas la fermeture des écoles: « L’un des endroits les plus sûrs pour les enfants jusqu’à l’âge de 12 ans est l’école ».
Néanmoins, le Ministère Israélien de la Santé a ignoré la recommandation des CDC et a exhorté les décideurs à fermer les écoles. Le Ministère de l`Éducation s’ est endormi pendant son tour de garde, a cessé de défendre le droit des enfants à recevoir des services éducatifs essentiels, et a plutôt travaillé dans la direction opposée en qualifiant les confinements et l’isolement d' »apprentissage à distance ». Dans la pratique – outre l’énorme difficulté de mener efficacement l’apprentissage à distance, comme l’indiquent, entre autres, les rapports des parents sur le faible niveau de collaboration de leurs enfants pendant les leçons Zoom, ou les difficultés techniques rencontrées par les enfants qui ne disposent pas d’ordinateurs ou de connexions réseau adéquates à la maison – le principal préjudice causé par les confinements et l’isolement a été la santé mentale des enfants.
Au début de la vague Omicron, les écoles israéliennes se sont vu imposer une politique discriminatoire à l’égard des élèves en fonction de leur statut vaccinal – une stratégie qui visait clairement à faire pression sur les parents pour qu’ils fassent vacciner leurs enfants. Les enfants non vaccinés étaient punis par l’isolement, tandis que leurs amis continuaient à vivre.
Bien que de nombreux parents n’aient vacciné leurs enfants qu’en raison de la sanction de l’isolement et non par confiance dans le vaccin expérimental, de larges pans de la population ont continué à désapprouver le vaccin et à se méfier de la vaccination des enfants malgré la persistance des mesures discriminatoires. Une fois de plus, les enfants, les parents et le personnel éducatif ont été contraints de supporter les coûts les plus lourds dans la société israélienne, sans en retirer aucun avantage significatif.
Ce système de mesures, qui a été le premier à établir ouvertement une discrimination entre les enfants, au mépris flagrant du principe de l’égalité des chances dans l’enseignement public, n’a pas été abrogé à l’initiative du Ministère de la Santé, mais en dépit du mécontentement manifeste de ce dernier – et uniquement à la suite d’une forte pression publique, notamment des prises de parole publiques de centaines de directeurs d’école et de responsables d’établissements d’enseignement qui ont osé se lever ouvertement et demander la suppression des mesures discriminatoires et le retour des enfants dans les écoles.
Un rapport actualisé de la Banque Mondiale nous apprend que le préjudice dû aux fermetures d’écoles a été beaucoup plus important que prévu: le montant injustement prélevé sur l’avenir des enfants dans le monde est estimé à 17 trillions de dollars (17.000 milliards de dollars).
En outre, les écarts entre les nantis et les démunis ont continué à se creuser, les enfants ne bénéficiant pas d’un soutien familial et communautaire adéquat étant les plus touchés. « L’apprentissage à distance » était, au mieux, un substitut partiel et inadéquat à l’apprentissage en face à face.
Outre l’impact éducatif, les enfants ont été considérablement affectés sur le plan émotionnel et social, car l’école est avant tout le cadre social dans lequel les enfants développent les compétences de base nécessaires à l’interaction humaine et à l’intégration sociale.
Il ne fait aucun doute que le préjudice subi par les enfants était dû à la volonté de protéger les adultes d’une maladie qui pouvait être particulièrement dangereuse pour les personnes âgées. Si le bénéfice de la réduction de la mortalité avait été très important, il aurait peut-être été possible de justifier les énormes préjudices subis par les enfants.
Mais la fermeture des écoles a-t-elle réellement contribué à une réduction significative de la mortalité due au COVID? Une méta-analyse de l’Université Johns Hopkins indique que toutes les mesures de distanciation sociale, de masquage, de confinement et d’isolement combinées n’ont pas entraîné de réduction significative de la mortalité due au COVID.
Malheureusement, ce sont les enfants qui ont également payé un lourd tribut aux pratiques coercitives de masquage. Alors que certains d’entre nous, les adultes, avons trouvé des moyens de réduire de manière significative le temps quotidien que nous devions passer masqués, nos jeunes enfants, dont certains n’ont que 6 ans, ont dû porter des masques de manière ininterrompue, indiscriminée et continue tous les jours pendant environ deux années consécutives.
À la lumière de tout cela, en tant que société, nous sommes appelés à nous livrer à une profonde introspection. Nous avons fait payer un si lourd tribut à la jeune génération, alors qu’il était clair dès le départ que les dommages qu’elle subissait étaient énormes et que les avantages en termes de réduction de la mortalité étaient insignifiants.
Le chemin de la guérison et de la reconstruction est encore long, mais dans un premier temps, nous devons assumer nos responsabilités, admettre que nous nous sommes égarés et demander à nos enfants de nous pardonner sincèrement. Dans le même temps, nous devons orienter des ressources massives vers nos enfants afin de réparer les dommages de ces deux dernières années, tant sur le plan socio-émotionnel que sur le plan éducatif.
[This piece, originally published in Hebrew and now appearing in English for the first time, is by Asa Kasher (Professor Emeritus of Professional Ethics at Tel Aviv University), Yogev Amitai (Principal of “Simaney Derech [milestones]” elementary school in kibbutz Ma’abarot), and Shahar Gavish (former mathematics and physics teacher).]
It is children who have paid the heaviest price over the last two years, mainly due to misguided COVID-19 policies. The enormous harms will be felt in the future, but the moral reckoning and the attempt to heal should begin now. And the moral responsibility is a blot on our society.
In 2000, James Heckman received the Nobel Prize in Economics for his research on the economic impact of education at a young age. Professor Heckman’s research has found that the younger the age at which high-quality education is offered, the higher its contribution to the child’s future income.
Unfortunately for our children, there is no compensation for lost years of education. The Heckman equation has given us an important quantitative tool for assessing education at a young age as an economic investment.
In September 2020, the OECD published a research-based assessment showing that the loss of three months of schooling due to the closure of schools in times of crisis is equivalent to the loss of about 2.5-4% of the child’s total future income for the rest of their life.
Have we done enough to prevent our children from losing more than a total of $600 billion of their future lifelong income? Were such harmful consequences taken into account in any of the discussions during the COVID crisis in which decisions were made to close the schools, to close entire classrooms and daycare settings, or to “only” repeatedly isolate children for an entire week?
In November 2020, the Director of the Centres for Disease Control (CDC) announced that the organization does not recommend school closures: “One of the safest places for children up to the age of 12 is school.”
Nevertheless, the Israeli Ministry of Health ignored the CDC’s recommendation and urged decision-makers to close the schools. The Ministry of Education fell asleep on guard duty, stopped advocating for the children’s right to receive essential educational services, and instead worked in the opposite direction by labelling the lockdowns and isolation as “distant learning.” In practice—apart from the enormous difficulty of conducting remote learning effectively, as indicated, among other things, by parents’ reports about their children’s low levels of collaboration during Zoom lessons, or the technical difficulties faced by children who do not have computers or proper network connections in their homes—the main harm caused by the lockdowns and isolation was to the children’s mental health.
At the beginning of the Omicron wave, a policy was imposed on schools in Israel that discriminated among students based on their vaccination status—a strategy that was clearly intended to put pressure on parents to vaccinate their children. Unvaccinated children were punished with isolation, while their friends carried on.
Although quite a few parents vaccinated their children only because of the penalty of isolation and not as a result of trust in the experimental vaccine, broad segments of the public continued to disapprove of the vaccine and remained wary of vaccinating children even as the discriminatory measures persisted. Again, children, parents and educational staff were forced to bear the heaviest costs in Israeli society, with no significant benefits.
This system of measures, which was the first to openly discriminate among children, in flagrant disregard of the principle of equal opportunities in public education, was not repealed at the initiative of the Ministry of Health but despite the Ministry’s clear displeasure—and only as a result of heavy public pressure, including public acts of speaking out by hundreds of school principals and heads of educational institutions who dared to stand up openly and call for the removal of discriminatory measures and the return of children to schools.
An updated World Bank report tells us that the harm due to school closures was much greater than expected: the amount unjustifiably taken from the future of children around the world is estimated at $17 trillion ($17,000 billion).
In addition, the gaps between the haves and the have nots continued to deepen, with children without adequate family and community support experiencing the greatest harm. “Distant learning” was, at best, a partial and inadequate substitute for face-to-face learning.
Alongside the educational impact, the children have been significantly affected emotionally and socially, since the school is, above all, the social framework within which children develop the basic competencies needed for human interaction and social integration.
Le Dr Vladimir « Zev » Zelenko, l’homme qui a découvert et mis en œuvre le traitement précoce contre le Covid, qui a littéralement sauvé des millions de vies dans le monde, est décédé hier [30 juin] au terme d’un combat de quatre ans contre un cancer rare. Né à Kiev, en Ukraine, en 1973, il avait 48 ans lorsqu’il est décédé.
Zelenko était animé d’une foi inébranlable et décrivait souvent son cancer comme un don divin. Il l’a décrit un jour en ces termes:
« Mon cancer est ce qui m’a préparé à la pandémie de COVID-19. Sans lui, je n’aurais pas cultivé ma passion à rechercher des réponses que d’autres disaient introuvables, et sans lui, je n’aurais pas pu résister à la persécution et au ridicule dont j’ai été la cible pour avoir osé traiter des patients. J’ai regardé la mort dans les yeux et je me suis préparé à rencontrer Dieu. Je ne crains rien sur cette terre. »
Je sais exactement ce qu’il ressentait. Et vous seriez surpris du nombre de héros de la pandémie que j’ai rencontrés et qui m’ont dit quelque chose de similaire.
Zelenko a cru jusqu’au bout que Dieu avait conçu pour lui une tâche particulière sur cette terre, et que les prières de millions de personnes l’avaient maintenu en vie suffisamment longtemps pour qu’il puisse remplir cette mission.
Dr. Vladimir “Zev” Zelenko, the man who discovered and implemented the early treatment for covid that literally saved millions of lives worldwide, passed away yesterday after a four-year battle with a rare cancer. Born in Kiev, Ukraine in 1973, he was 48 when he passed.
Zelenko had an unshakeable faith, and often described his cancer as a divine gift. Once he described it like this:
“My cancer is what prepared me for the COVID-19 pandemic. Without it, I would not have developed my passion for searching for answers that others said couldn’t be found, and without it I could not have held to the persecution and ridicule I received for daring to treat patients. I have looked death in the eye and I have been made ready to meet God. I fear nothing on this earth.”
I know just how he felt. And you’d be surprised how many of the heroes of the pandemic who I’ve met told me something similar.
Zelenko believed until the end that God had created a special mission for him on this earth, and that the prayers of millions had kept him alive long enough to fulfill that mission.
Encore un article amusant et instructif (comme les jeux de mon enfance) d’Igor Chudov, qui n’est pas médecin comme je l’avais erronément écrit précédemment, mais journaliste – mes excuses. Il commence d’ailleurs à jouir d’une certaine notoriété à cet égard – aux Etats-Unis, je suis à ma connaissance toujours le seul à le publier en français – entièrement méritée à mon avis.
Concernant le contenu de son article: ce bon Dr Fauci a-t-il vraiment reçu quatre injections, a-t-il vraiment contracté le Covid et s’est-il vraiment traité au Paxlovid? No lo sè. Si ce n’est pas le cas, ça serait un coup de relations publiques, dont l’objectif serait soit d’offrir une porte de sortie, loin de la foule déchaînée, à quelqu’un qui a de bonnes raisons de vouloir échapper à l’examen de ses pairs, et des quelques mécontents de l’opération Sars-Cov-2, soit de normaliser l’absurdité du processus vaccin>maladie>boosters>re-maladie>antiviral>re-re-maladie>re-antiviral-etc. – c’est-à-dire de ce que le grand public est censé juger « normal ». De la science, quoi. A ce propos, une petite anecdote: je suis au garage moto cet après-midi et j’entends un vieux monsieur expliquer que sa belle-fille est « prise des bronches » (belgicisme, il me semble) mais que le docteur a dit qu’il est heureux qu’elle soit vaccinée, sinon ça aurait été pire. Voilà le résultat de deux ans et demi de propagande ininterrompue. Ce brave homme, qui n’a vraisemblablement jamais entendu parler ni de Fauci, ni de la FDA, récite fidèlement leur mantra débile – à la dame au comptoir, qui n’avait pas non plus l’air très en forme…
Quoiqu’il en soit, que l’histoire de Fauci soit vraie ou non, ça fait tellement plaisir de voir se défaire un peu la tête de ce monstre glauque qu’il ne faudrait pas bouder son plaisir.
Je suis avec un article du Dr Paul Alexander, un auteur sur Substack habituellement assez indigeste – il se répète quinze fois par article et semble s’adresser à un lectorat d’analphabètes – qui pour une fois se lâche un peu et balance à tout va. Il nous expliquera en quoi vont consister les quelques années à venir… Et il le tient de fonctionnaires de la Santé Publique.
Note: les articles qui figurent en lien dans l’historique sont tous en anglais. Si ça intéresse quelqu’un de les lire traduits, faites signe.
Je ne suis pas le premier sur Substack à écrire à ce sujet, mais je voulais en parler vu que j’ai écrit quelques articles sur le Paxlovid.
Le Dr Fauci a reçu deux doses de booster. Ses quatre doses de vaccins sûrs et efficaces ne l’ont bien sûr pas empêché d’attraper le Covid. Confronté à une infection au Covid, il a pris du Paxlovid et a sincèrement cru qu’il s’en sortirait.
Regardez-le se donc vanter du succès de son vaccin et du Paxlovid:
Fauci affirme qu’il a survécu à sa sévère infection Covid uniquement grâce à sa quadruple injection: « Je pense que si ce n’était pas le cas, je ne serais pas en train de vous parler avec une aussi bonne mine. »
Devinez quoi? Le Paxlovid n’aura pas marché pour le Dr Fauci. Après s’être senti bien pendant quelques jours, il subit maintenant un rebond de son infection Covid.
Le Dr Anthony Fauci déclare qu’il a connu un rebond des symptômes du Covid après avoir pris un antiviral de Pfizer, le Paxlovid, dont les études montrent maintenant qu’il n’est PAS efficace pour les personnes vaccinées. Le Dr Anthony Fauci a déclaré qu’il en était à sa deuxième cure de Paxlovid après avoir été à nouveau testé positif au Covid-19. Selon les propres données de Pfizer, le médicament est limité dans ses capacités à combattre le Covid-19 chez une personne vaccinée. En mai 2022, les CDC ont émis un avertissement sur le risque de symptômes de rebond du Covid-19 après la prise de Paxlovid. L’avertissement a noté qu’aucun des cas de rebond signalés n’a vu les patients souffrir d’un cas grave de Covid-19, bien que Fauci ait décrit ses symptômes comme étant « bien pires ». Une étude de l’UC de San Diego a révélé que les patients qui présentaient des symptômes de rebond du Covid souffraient du fait que le Paxlovid n’atteignait pas suffisamment de cellules infectées. Lors de la même conférence où il a annoncé le rebond, Fauci a appelé à une campagne nationale de vaccination « agressive ».
Il se sent » bien plus mal » en phase de rebond qu’en phase initiale. Voilà pour ce qui est du fait que le Paxlovid atténue le Covid!
Dans l’annonce de son rebond du Covid, Fauci a déclaré que ses symptômes étaient bien pires après avoir été testé positif pour la deuxième fois.
Si nous croyons quoi que ce soit de ces nouvelles, et je comprendrais que certains de mes abonnés s’y refusent, le rebond de Fauci sous Paxlovid indiquerait que
Fauci est réellement vacciné
Fauci ne prend pas d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine, qui n’occasionnent pas de rebond.
Brian Mowrey a expliqué en quoi le Paxlovid est un bouton SNOOZE [NdT. le bouton « veille » sur les réveille-matin] biomoléculaire, et non un bouton STOP.
J’ai allégué que Pfizer savait que le Paxlovid n’était pas efficace chez les personnes vaccinées, car Pfizer a EXCLU les personnes vaccinées de son essai EPIC-SR à mi-parcours.
La FDA a ignoré la souffrance des victimes du Paxlovid telles que le Dr Fauci et a discrédité ceux qui ont souffert d’un rebond, en disant qu’elles ne représentent que 1 à 2% des cas (mais oui, c’est ça).
J’ai dénoncé le Paxlovid comme étant le nouveau modèle commercial frauduleux de Pfizer (qui en vend de plus en plus alors qu’il ne fonctionne pas et fait croire à ces personnes qui répandent le COVID qu’elles vont bien) et j’ai expliqué que la FDA et Pfizer mentaient sur le taux de rebond, qui était plutôt de 12%, même pour les personnes non vaccinées.
Enfin, une étude scientifique réalisée en Israël a montré que le Paxlovid ne fonctionne absolument PAS chez les personnes vaccinées, ce qui explique clairement pourquoi Pfizer ne voulait pas les inclure dans les essais cliniques.
Mais, avec l’audace qui le caractérise, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré que la moitié des gens sont « à haut risque », et que Pfizer continuera donc à promouvoir ce médicament de charlatans auprès de patients vaccinés et confiants, qui ne se doutent de rien.
Un deuxième traitement au Paxlovid?
Le Dr Fauci fait quelque chose que la FDA n’a jamais recommandé: prendre un deuxième traitement de Paxlovid. Cela fonctionnera-t-il? Pour répondre à cette question, rappelez-vous que le Paxlovid est un bouton SNOOZE. Tout ce qu’il fait c’est d’empêcher une certaine enzyme « protéase » de cliver les brins d’ARN viraux pendant 5 jours, ce qui interrompt l’infection.
Le Paxlovid a fonctionné chez la plupart des personnes non vaccinées dont le système immunitaire fonctionnait encore et restait capable de monter une réponse appropriée au Sars-Cov-2 en cinq jours, ce qui permettait de neutraliser le rebond dans 88% des cas.
Cependant, les personnes vaccinées ont connu beaucoup plus de rebonds, du fait que leur réponse biologique n’était pas assez rapide pour réagir après la fin du SNOOZE de cinq jours du Paxlovid.
La solution du Dr Fauci est d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « snooze » du Paxlovid, ce qui rapporte 530 dollars de plus à Pfizer. Si son système immunitaire, endommagé par la quadruple vaccination, est incapable de former une réponse dans les cinq jours suivants, il pourrait connaître un DEUXIÈME REBOND. Fauci est en territoire inconnu, car à ma connaissance, deux traitements au Paxlovid avec un rebond entre les deux n’ont jamais été essayés sur personne.
Il faut savoir que le Paxlovid est composé de deux éléments assez toxiques – le ritonavir et le nirmatrelvir – et qu’en prenant un double traitement, Fauci risque une toxicité hépatique, ainsi que d’autres toxicités. A l’âge de 81 ans, deux traitements de Paxlovid pourraient se révéler trop lourds pour lui.
Dans tous les cas, Anthony Fauci a déjà réussi à transformer son infection d’une semaine en une infection de trois semaines, grâce au Paxlovid.
J’espère que Pfizer accordera au moins une remise au Dr Fauci. Ils lui doivent bien ça.
Texte original
Dr Fauci’s Paxlovid Rebound!
It was Expected to Happen
Igor Chudov
Jun 29
I am not the first on Substack to write about this, but I want to discuss it since I wrote a few articles on Paxlovid.
Dr. Fauci is double boosted. The four doses of safe and effective vaccines, of course, did not prevent him from catching Covid. Facing a Covid infection, he took Paxlovid and sincerely believed that he would be alright.
Watch him brag about the success of his vaccine and Paxlovid:
Guess what? Paxlovid did not work for Dr. Fauci. After feeling fine for a few days, he is now having a rebound of his Covid infection.
He is feeling “much worse” during the rebound than he felt in the beginning. So much for saying that Paxlovid makes Covid milder!
And what is he doing now? Taking MORE Paxlovid — a second course, to be exact. This is despite the agency of his own government, FDA, gaslighting Paxlovid rebounders and not recommending a second course. Never mind, Dr. Fauci is obviously above FDA’s recommendations.
If we believe any of this news, and I would understand if some of my subscribers did not, Fauci’s Paxlovid rebound makes it very likely that
Fauci is actually vaccinated
Fauci is not taking Ivermectin or hydroxychloroquine, which do not give rebounds
Brian Mowrey explained how Paxlovid is a biomolecular SNOOZE button, not a STOP button.
I alleged that Pfizer knew that Paxlovid did not work in vaccinated people, because Pfizer KICKED OUT vaccinated people out of its EPIC-SR trial midstream.
FDA dismissed the suffering of Paxlovid victims like Dr. Fauci and gaslit the rebounders, saying they are only 1-2% of cases (yeah right).
I exposed Paxlovid as a new dishonest business model for Pfizer (selling more and more of it as it fails to work and makes people COVID spreaders thinking they are fine) and explained that FDA and Pfizer were lying about the rebound rate, which was more like 12% even for unvaccinated people.
Finally, a scientific study from Israel illustrated that Paxlovid totally does NOT work in vaccinated people, making it obvious why Pfizer did not want them included in clinical trials.
Pfizer finally admitted defeat and acknowledged that Paxlovid does not work in standard-risk patients.
But, with characteristic chutzpah, Pfizer CEO Albert Bourla declared that half of all people are “high risk”, so Pfizer will still push this snake oil medication onto unsuspecting trusting vaccinated patients.
Second Course of Paxlovid?
Dr. Fauci is doing something that the FDA never recommended — he is taking another course of Paxlovid. Will it work? To answer this question, remember that Paxlovid is a SNOOZE button. It simply stops a certain “protease” enzyme from cleaving viral RNA strands for 5 days, thus suspending infection.
Paxlovid worked in most unvaccinated people whose immune systems still functioned and could mount a proper response to Sars-Cov-2 in five days, thus quashing the rebound in 88% of cases.
However, vaccinated people had many more rebounds, because they did not have a biological response quick enough to respond after the five-day SNOOZE from Paxlovid ended.
So, Dr. Fauci’s solution is to press the Paxlovid snooze button again, giving Pfizer another $530. If his immune system, damaged by quadruple vaccination, is unable to form a response in yet five more days, he may end up having a SECOND REBOUND. Fauci is in uncharted territory, because to my knowledge, two Paxlovid courses with a rebound in between, were never tried on anybody.
Be aware that Paxlovid is made of two somewhat toxic components — ritonavir and nirmatrelvir — and by taking a double course, Fauci risks liver toxicity and other toxicity. Being 81 years old, two courses of Paxlovid may be too much for him.
In any case, Anthony Fauci already managed to turn his one-week infection into a three-week infection, thanks to Paxlovid.
I hope that Pfizer at least gives Dr. Fauci a discount. They owe him one.
Vous vous souvenez de la lettre de Spartacus, que j’avais traduite ici en octobre de l’année dernière? Il a depuis créé l’ICENI, l’Institut Non-lucratif de Renseignement autour de l’Emergence des Coronavirus (Institute for Coronavirus Emergence Nonprofit Intelligence) et a très logiquement créé son Substack, très riche en informations et analyses, d’où provient l’article ci-dessous.
J’y reviendrai plus en détail – si, éternel problème, je trouve le temps. En attendant voici de quoi y voir encore un peu plus clair sur le « qui?«
Moderna, les producteurs du vaccin mRNA-1273/Spikevax, sont les principaux responsables du développement de la technologie de transfection de l’ARNm actuellement utilisée dans divers vaccins COVID-19.
Le germe de l’idée qui allait donner naissance à Moderna a été planté en 2005, lorsque Derrick Rossi lut un article rédigé par la scientifique hongroise Katalin Karikó sur la façon dont l’ARNm modifié par des nucléosides pouvait être fabriqué pour échapper aux réponses immunitaires humaines des récepteurs de type toll.
L’article en question a été publié dans Cell, en 2005:
Selon cet article, l’utilisation de la pseudouridine à la place de l’uridine permet à l’ARNm étranger d’échapper à la détection par les TLR7/8.
Les récepteurs de type Toll sont un type de PRR, ou récepteur de reconnaissance de motifs [pattern-recognition receptor – PRR], les détecteurs de fumée des cellules immunitaires humaines (et d’autres mammifères). Leur but est de détecter les signes moléculaires de dommages ou de corps étrangers (DAMPs et PAMPs) et d’induire une réponse inflammatoire.
Le système immunitaire inné utilise des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) codés par la lignée germinale pour la détection initiale des microbes. Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques des microbes, appelées motifs moléculaires associés aux agents pathogènes (pathogen-associated molecular patterns – PAMP), et les molécules dérivées des cellules endommagées, appelées motifs moléculaires associés aux dommages ( damage-associated molecules patterns – DAMP). Les PRR activent des voies de signalisation en aval qui conduisent à l’induction de réponses immunitaires innées par la production de cytokines inflammatoires, d’interféron de type I (IFN) et d’autres médiateurs. Ces processus déclenchent non seulement des réponses défensives immédiates de l’hôte telles que l’inflammation, mais amorcent et orchestrent également des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène (1). Ces réponses sont essentielles à la clairance des microbes infectants et cruciales pour l’instruction conséquente des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène.
Les mammifères possèdent plusieurs classes distinctes de PRR, notamment les récepteurs de type Toll (TLR), les récepteurs de type RIG-I (RLR), les récepteurs de type Nod (NLR), les récepteurs de type AIM2 (ALR), les récepteurs de type lectine C (CLR) et les capteurs d’ADN intracellulaires tels que le cGAS (2, 3).
Normalement, l’ADN ou l’ARN étranger déclenche une réponse immunitaire, et ce à juste titre; sa présence est souvent le signe qu’un agent pathogène s’infiltre dans l’organisme. Toutefois, cela pose un problème aux scientifiques qui souhaitent transfecter des cellules humaines in vivo avec de l’ADN ou de l’ARN étranger à des fins de thérapie génique. Les recherches du Dr Karikó ont suggéré qu’il existait un moyen de « masquer » l’ARNm des TLR en remplaçant les sous-unités nucléosidiques de ces brins d’ARNm par quelque chose d’autre qui ne serait pas reconnu par ces récepteurs comme un constituant de l’ARNm. En d’autres termes, ce qu’elle proposait était de réduire l’immunogénicité des ARNm étrangers en les rendant, du point de vue de l’organisme, chimiquement inertes.
Derrick Rossi s’y est intéressé, percevant immédiatement le potentiel thérapeutique des ARNm modifiés par des nucléosides. En 2010, il sollicite l’aide de Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien et Noubar Afeyan pour créer la société ModeRNA Therapeutics.
En 2011, Noubar Afeyan engage Stéphane Bancel, anciennement PDG de bioMérieux, pour diriger ModeRNA. Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, le fondateur de bioMérieux, Alain Mérieux, est un ami personnel de Xi Jinping et a aidé à la construction du laboratoire P4 à l’Institut de Virologie de Wuhan.
Le laboratoire de biosécurité de niveau maximal de l’Institut de Virologie de Wuhan a été le premier de ce type à être construit en Chine, et a été au cœur de spéculations colossales depuis le début de la pandémie de Covid-19 qui a pris naissance dans cette ville. Le laboratoire, qui est équipé pour traiter les agents pathogènes de classe 4 (P4), y compris les virus dangereux tels qu’Ebola, a été construit avec l’aide d’experts français et sous la direction de l’homme d’affaires milliardaire français Alain Mérieux, malgré les fortes objections des responsables de la santé et de la défense à Paris. Depuis l’inauguration du laboratoire par le Premier Ministre Bernard Cazeneuve en 2017, cependant, la France n’a joué aucun rôle de supervision dans le fonctionnement de l’installation et la coopération prévue entre les chercheurs français et le laboratoire s’est arrêtée net. Reportage de Karl Laske et Jacques Massey.
[NdT. les lecteurs français auront également reconnu la troisième personne à partir de la gauche]
Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, Robert Langer, expert en nanotechnologies d’administration de médicaments au MIT, était un collègue de Charles Lieber, expert en bionanotechnologie à Harvard, très impliqué dans les recherches financées par la DARPA sur les nanofils de silicium, pouvant même potentiellement servir de base à des interfaces cerveau-ordinateur.
En 2011, ModeRNA avait déjà atteint le statut de licorne, avec une valorisation de plus d’un milliard de dollars, malgré le fait que la société n’ait jamais sorti aucun produit commercial de quelque nature que ce soit.
Les espoirs sont considérables. Le fait d’être une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars – une anomalie que les spécialistes du capital-risque appellent « licorne » – soulève des interrogations, et beaucoup se demandent si le portefeuille de produits de Moderna, composé essentiellement de vaccins pour l’instant, va s’élargir pour correspondre à la vision initiale de l’entreprise, qui voyait dans l’ARNm une vaste plateforme de traitement. » Beaucoup de grandes promesses ont été faites « , déclare Jason Schrum, consultant en biotechnologie à San Francisco et ancien employé de Moderna. « C’est ce à quoi les gens se sont accrochés ; ils veulent que les promesses se réalisent, et ils veulent voir l’investissement se traduire concrètement en quelque chose de sérieux. »
En 2013, ModeRNA et AstraZeneca ont signé un accord de cinq ans pour développer et commercialiser des thérapies à base d’ARNm pour le traitement des maladies cardiovasculaires, métaboliques et rénales, ainsi que du cancer. Dans le cadre de cet accord, AstraZeneca a versé 240 millions de dollars à ModeRNA, bien que ce dernier n’ait, là non plus, aucun produit commercial ni aucun essai de médicament en cours.
Toujours en 2013, ModeRNA a reçu 25 millions de dollars du DARPA pour développer des thérapies basées sur l’ARNm. Étant donné que la DARPA est un groupe de réflexion militaire impliqué dans la biosécurité, la biosurveillance et la biodéfense, il s’agissait là d’une étrange association, étant donné que ModeRNA était, à l’époque, engagé dans la recherche de thérapies contre le cancer et le traitement de maladies chroniques à l’aide d’ARNm, et non de vaccins à ARNm, qui poursuivent un objectif clair de biodéfense (c’est-à-dire la vaccination rapide contre les armes biologiques). ModeRNA est basé à Cambridge, dans le Massachusetts. Il se trouve qu’une grande partie du réseau américain de biodéfense est également située dans les environs de Boston, comme le souligne le livre de Frank L. Smith, American Biodefense.
Edward Hammond a dirigé un groupe de surveillance appelé le Sunshine Project pour enquêter sur les investissements massifs du DOD [Department of Defense] et du HHS [Health and Human Services] dans les laboratoires biologiques dans les années 2000 après Amerithrax [NdT. les attentats à l’anthrax en 2001, voir sur Wiki], ainsi que sur le manque scandaleux de surveillance et de responsabilité dans ces laboratoires. Malheureusement, ce groupe a été contraint de se dissoudre en 2008 en raison d’un manque de financement.
En 2014, Alexion Pharmaceuticals a conclu un accord avec ModeRNA, et lui a versé 100 millions de dollars pour développer des traitements contre des maladies rares, dont le syndrome de Crigler-Najjar. Le programme a été interrompu en 2017 après que des tests sur des animaux ont montré que les thérapies ne se révéleraient jamais assez sûres pour faire l’objet d’essais sur l’homme.
Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifie placer sa thérapie de Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides. Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : Un dosage trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzyme pour agir sur la maladie ; un dosage trop fort rend le médicament trop toxique pour les patients.
Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile. Ils ont donc parcouru la littérature médicale pour trouver des maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.
« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme quelqu’un qui avait besoin d’un Ave Maria.
Crigler-Najjar était le fruit le plus facile à cueillir.
Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, selon d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible, et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace avaient des effets problématiques sur le foie dans les études animales.
ModeRNA, sous la direction de Bancel, a connu de nombreux problèmes, dont des démissions très médiatisées dues à la culture d’entreprise sévère entretenue par son PDG. De nombreux employés ont également trouvé que la réorientation de l’entreprise vers la recherche sur les vaccins en 2017 était très discutable d’un point de vue fiscal, étant donné que les vaccins étaient perçus comme une source de pertes.
Alors qu’il poursuivait une stratégie complexe et risquée pour le développement de médicaments, Bancel a instauré une culture de récrimination chez Moderna, selon d’anciens employés. Les expériences ratées ont donné lieu à des réprimandes et même à des licenciements sur le champ. Ils se souviennent de courriels abusifs, d’humiliations lors de réunions d’entreprise, d’horaires excessivement longs et de licenciements inexpliqués.
Au moins une douzaine de cadres supérieurs ont démissionné au cours des quatre dernières années, notamment des directeurs financiers, technologiques, industriels et scientifiques. Au cours des 12 derniers mois, les responsables respectés des programmes de lutte contre le cancer et les maladies rares de Moderna ont tous deux démissionné, alors que la remarquable collecte de fonds de la société avait mis d’importantes ressources à leur disposition. Chacun d’entre eux travaillait dans l’entreprise depuis moins de 18 mois, et les postes n’ont toujours pas été pourvus.
En 2017, ModeRNA a testé sa technologie ARNm sur des rats Sprague-Dawley et des singes cynomolgus dans les installations des Laboratoires Charles River. Ils ont constaté que l’ARNm se propageait bien au-delà du site d’injection et a été découvert dans le foie, la rate, la moelle osseuse et le cœur.
La pharmacologie, la pharmacocinétique et la sécurité de l’ARNm modifié formulé dans des nanoparticules lipidiques (NPL) ont été évaluées après perfusion intraveineuse répétée à des rats et des singes. Chez les deux espèces, l’ARNm modifié codant pour la protéine de l’érythropoïétine humaine (hEPO) a eu des effets pharmacologiques et toxicologiques prévisibles et constants. L’analyse pharmacocinétique effectuée après la première dose a montré que les niveaux d’hEPO mesurés étaient maximaux 6 heures après la fin de la perfusion intraveineuse et dépassaient de 100 fois l’exposition efficace anticipée (17,6 ng/ml) à la plus forte dose testée.24 L’hEPO était pharmacologiquement active chez le rat et le singe, comme l’indique une augmentation significative des paramètres de masse des globules rouges. Les principaux résultats liés à la sécurité ont été causés par la pharmacologie exagérée de l’hEPO et comprenaient une augmentation de l’hématopoïèse dans le foie, la rate et la moelle osseuse (rats) et une hémorragie minimale dans le cœur (singes). Les autres résultats primaires liés à la sécurité chez le rat comprenaient une légère augmentation du nombre de globules blancs, des modifications des paramètres de coagulation à toutes les doses, ainsi que des lésions hépatiques et la libération de la protéine 10 inductible par l’interféron γ dans les groupes recevant la dose élevée uniquement. Chez le singe, comme lors de l’administration parentérale de LNP cationiques, une nécrose splénique et une déplétion lymphocytaire ont été observées, accompagnées d’une activation légère et réversible du complément. Ces résultats ont défini un niveau de dose bien toléré, supérieur à la dose efficace prévue. Dans l’ensemble, ces études combinées indiquent que l’ARNm modifié formulé par NPL peut être administré par perfusion intraveineuse chez 2 espèces tests toxicologiquement pertinentes et générer des niveaux suprathérapeutiques de protéine (hEPO) in vivo.
En 2018, ModeRNA s’est rebaptisé Moderna Inc, et a levé 621 millions de dollars grâce à son introduction en bourse à la fin de la même année.
Fin 2019, Moderna avait accumulé, au cours de son histoire, des pertes de 1,5 milliard de dollars.
Paradoxalement, ils continuèrent à enthousiasmer les investisseurs.
Le vaccin COVID-19 de Moderna
Très peu de temps après l’envoi par la Chine de la séquence du 2019-nCoV – qui allait devenir le SARS-CoV-2 – le 11 janvier 2020, Moderna a affirmé avoir développé un vaccin dans les 48 heures suivant la réception de la séquence génétique du virus, le 13 janvier.
Vous serez peut-être surpris d’apprendre que parmi le trio de vaccins contre le coronavirus tant attendus, le plus prometteur, le mRNA-1273 de Moderna, qui a annoncé un taux d’efficacité de 94,5% le 16 novembre, avait été conçu le 13 janvier. Deux jours seulement après que la séquence génétique ait été rendue publique dans un acte de générosité scientifique et humanitaire qui a valu au Chinois Yong-Zhen Zhang d’être temporairement chassé de son laboratoire. Dans le Massachusetts, la conception du vaccin Moderna n’a pris qu’un week-end. Il a été achevé avant même que la Chine n’ait reconnu que la maladie pouvait se transmettre d’homme à homme, plus d’une semaine avant le premier cas confirmé de coronavirus aux États-Unis. Lorsque le premier décès d’un Américain a été annoncé un mois plus tard, le vaccin avait déjà été fabriqué et expédié au National Institutes of Health pour le début de son essai clinique de phase 1. Il s’agit – comme le pays et le monde entier le célèbrent à juste titre – de la chronologie de développement la plus rapide de l’histoire des vaccins. Cela signifie également que pendant toute la durée de la pandémie dans ce pays, qui a déjà tué plus de 250.000 Américains, nous disposions des outils nécessaires pour la prévenir.
Ce vaccin était basé sur la plateforme technologique ARNm de Moderna, qui consiste en un ARNm modifié par des nucléosides contenu dans des nanoparticules lipidiques PEGylées qui sont injectées dans le corps, transfectent les cellules humaines et amènent les ribosomes de ces cellules à traduire l’ARNm étranger en protéines. L’intérêt de cette technologie est essentiellement d’utiliser les cellules humaines comme bioréacteurs pour obtenir un effet thérapeutique, en « brassant » n’importe quelle protéine imaginable dans l’organisme en utilisant les cellules humaines comme usines à protéines.
Le mode d’action du mRNA-1273/Spikevax, selon Moderna, consiste à introduire la substance dans le muscle deltoïde de l’épaule du sujet, à transfecter les cellules du muscle de l’épaule avec les nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm modifié par des nucléosides, et à traduire l’ARNm en protéines de pointe du SARS-CoV-2, incitant ainsi ces cellules à exprimer cette protéine à leur surface, favorisant une réponse immunitaire et la production d’anticorps contre la protéine de pointe.
L’innovation supposée qui a permis la production d’un vaccin « sûr » à base d’ARNm du SARS-CoV-2 a été le développement de protéines de pointe stabilisées et substituées par de la proline, telles que 2P ou HexaPro.
La pandémie de COVID-19 a entraîné une accélération des travaux de développement de thérapies et de vaccins. Une cible clé de ces efforts est la protéine de pointe (S), qui est métastable et difficile à produire de manière recombinante. Ici, nous avons caractérisé 100 conceptions de protéines de pointe basées sur leur structure et identifié 26 substitutions individuelles qui ont augmenté le rendement et la stabilité de la protéine. L’essai de combinaisons de substitutions bénéfiques a abouti à l’identification de HexaPro, une variante avec six substitutions de proline bénéfiques présentant une expression environ 10 fois supérieure à celle de sa construction parentale et la capacité de résister au stress thermique, au stockage à température ambiante et à trois cycles de congélation-décongélation. Une structure cryo-EM de 3,2 Å de résolution d’HexaPro a confirmé qu’il conserve la conformation de la protéine de pointe de préfusion. La production à haut rendement d’une protéine de pointe de préfusion stabilisée accélérera le développement de vaccins et de diagnostics sérologiques pour le SARS-CoV-2.
Ces modifications sont destinées à verrouiller la protéine de pointe dans la conformation de préfusion.
Comme le dit Norbert Pardi, spécialiste des vaccins à ARNm à l’université de Pennsylvanie, nous avons « beaucoup de chance » que les scientifiques aient mis au point la mutation 2P pour un vaccin contre le MERS avant la pandémie de COVID-19. « Sinon, il n’aurait pas été possible d’aller aussi vite avec le vaccin Moderna ».
D’autres sociétés, dont Johnson & Johnson, Novavax et Pfizer, espèrent que la mutation 2P fonctionnera également pour leurs vaccins COVID-19.
La mutation 2P pourrait littéralement être le petit détail qui pourrait faire ou défaire la première génération de vaccins COVID-19. Il s’agit d’une modification assez facile à ajouter lors des premières étapes de la conception du vaccin. En cas de succès, les vaccins basés sur la mutation 2P pourraient annoncer une nouvelle génération de vaccins dont la composition moléculaire est finement ajustée afin de créer une réponse immunitaire plus sûre et plus forte.
La recherche sur la protéine de pointe 2P était déjà en cours avant l’épidémie de COVID-19, avec d’autres coronavirus; il ne s’agissait pas d’une innovation spécifique aux vaccins COVID-19, elle a simplement été réaffectée à ces derniers.
L’idée était que le vaccin resterait dans l’épaule et ne poserait aucun problème pour les organes du sujet. Cependant, les recherches antérieures de Moderna (et les documents de Pfizer sur la biodistribution qui ont fait l’objet de fuites) nous ont appris que les nanoparticules lipidiques se répandent dans tout le corps, affectant le cœur, le foie, la rate, la moelle osseuse et d’autres tissus essentiels. Par conséquent, l’idée que le vaccin resterait dans le muscle deltoïde du receveur a toujours été une falsification flagrante.
Moderna a pu obtenir un financement considérable du HHS et de BARDA dans le cadre de l’opération Warp Speed, pour développer un vaccin contre le COVID-19. Ils ont fait passer le vaccin par des essais très accélérés avec une méthodologie très discutable. Les gouvernements ont signé des accords d’achat avec ces sociétés qui les exonéraient de leur responsabilité légale en cas de problème.
Dans le cas de Moderna, cette situation est très préoccupante, étant donné que le mRNA-1273 est leur tout premier produit commercial. Imaginez qu’une entreprise automobile soit financée par des investisseurs providentiels et des groupes de réflexion militaires pendant des années et des années, que le gouvernement impose à tous les habitants du pays d’acheter l’une de ces voitures sous peine de perdre leur emploi et d’être ostracisés s’ils refusent, et que l’entreprise qui produit les voitures soit totalement dégagée de toute responsabilité juridique, de sorte que si les roues se détachent, que le véhicule se retourne et que vous vous brisez le cou, vous n’ayez aucun recours pour poursuivre le fabricant. C’est ce que nos gouvernements ont convenu avec Moderna, pour un dangereux médicament de thérapie génique maquillé en vaccin.
Ces soi-disant vaccins posent de très nombreux problèmes en termes de toxicité, d’effets secondaires à long terme et d’ingrédients potentiels non divulgués, comme nous l’avons souligné dans nos précédents articles sur le sujet. Ils n’auraient jamais dû être approuvés par la FDA.
La chronologie de Moderna ne correspond pas aux documents divulgués l’année dernière, qui indiquent que Ralph Baric – un expert du SARS à la University of North Carolina à Chapel Hill et un collègue de Shi Zhengli (Baric était également responsable des tests et de la validation du Remdesivir) – a signé un accord de transfert de matériel confidentiel le 12 décembre 2019, afin de prendre livraison des « candidats vaccins coronavirus à ARNm développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna ». Cet accord est visible à la page 105 de cet ensemble de documents:
De nombreux résultats de recherche relatifs à Ralph Baric et à son implication dans cette affaire sont censurés par Google.
On pourrait arguer que cela fait référence à un vaccin contre un coronavirus différent. Si tel est le cas, pourquoi envoyer ces documents à Ralph Baric, un expert du SARS ayant des liens avec des chercheurs de l’Institut de Virologie de Wuhan?
Si c’est effectivement l’ARNm-1273 qui fait l’objet de cet accord, alors comment Moderna a-t-elle pu avoir connaissance de l’épidémie à Wuhan ? C’est le 30 décembre 2019 que le Dr Li Wenliang, malheureusement aujourd’hui décédé, a tenté de tirer la sonnette d’alarme sur la propagation d’une nouvelle souche de SARS à Wuhan, avant que le bureau de police de Wuhan ne le bâillonne.
Le 12 décembre 2019, personne ne savait qu’une souche de SARS hautement infectieuse circulait à Wuhan, à l’exception peut-être d’un petit nombre de chercheurs sur les virus et d’initiés du réseau de biodéfense qui auraient pu en avoir connaissance, comme Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak et d’autres personnes liées au Global Virome Project de l’USAID. Ces informations ont pu être transmises à Moderna par des voies détournées.
La preuve irréfutable
À la fin de l’année dernière, un scientifique opérant sous un pseudonyme a publié un article choquant sur son Substack, affirmant que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 contenait une séquence qui avait, comme complément inverse, une correspondance à 100 % avec une séquence génétique trouvée uniquement dans une lignée cellulaire mutante MSH3 brevetée par Moderna.
Ceci est très inquiétant et pourrait indiquer que le SARS-CoV-2 est né d’une recombinaison dans une lignée cellulaire fournie par Moderna.
Stéphane Bancel a été interrogé sur ce point par Maria Bartiromo:
Il a paru très hésitant à donner une quelconque réponse, et a finalement fourni une non-réponse évasive.
Questions non résolues
La question la plus troublante, ici, est de savoir pourquoi une start-up de biotechnologie a pu recevoir autant d’investissements au cours de la décennie, y compris de la part du réseau américain de biodéfense et des groupes de réflexion du Pentagone, alors qu’elle ne disposait d’aucun produit commercial vendable pour procurer de la valeur à ses investisseurs, puis, soudainement, a basculé dans la recherche et la production de vaccins à la onzième heure.
L’existence et le financement persistant de Moderna, en dépit d’une décennie entière d’échec commercial, n’ont aucun sens. C’est comme si un objectif spécifique de biodéfense pour l’utilisation de produits thérapeutiques à base d’ARNm avait été fixé avant même que la société n’existe, et que la société avait été créée et financée pour poursuivre cet objectif.
L’histoire de Moderna est essentiellement celle d’une société écran du réseau de biodéfense américain qui prétend s’engager dans la recherche exploratoire de thérapies contre le cancer et les maladies rares, et qui ensuite, en usant d’un subterfuge, se met à travailler sur des vaccins pour le DARPA et le BARDA.
Tout ce qui concerne cette société est extrêmement suspect, et ce avant même de prendre en compte les liens de Moderna avec le WIV [NdT. l’Institut de Virologie de Wuhan] par l’intermédiaire de Stéphane Bancel et d’Alain Mérieux, la présence d’une séquence dans le SARS-CoV-2 dont le complément inverse est une séquence brevetée de Moderna, et la collaboration secrète de Moderna avec le NIAID et Ralph Baric pour développer des vaccins à ARNm contre le coronavirus peu avant que l’épidémie de Wuhan ne soit signalée.
Nous, à l’ICENI, pensons que les actions de Moderna peuvent fournir la base d’un énorme procès RICO [NdT. Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act]. Nous pensons également que nous sommes en présence d’un crime d’une ampleur inimaginable, toujours en cours, impliquant des fonctionnaires de haut niveau, des agences de renseignement et leurs pions pharmaceutiques.
L’enquête se poursuit. Les auteurs de cette conspiration criminelle ne sont pas au-dessus de la loi, ni hors de portée de l’examen public.
Moderna, the producers of the mRNA-1273/Spikevax vaccine, are the ones principally responsible for the development of the mRNA transfection tech currently used in various COVID-19 vaccines.
The seed of the idea that would germinate into Moderna was planted in 2005, when Derrick Rossi read a paper written by Hungarian scientist Katalin Karikó on how nucleoside-modified mRNA could be made to evade human immune responses from toll-like receptors.
The paper in question was published in Cell, back in 2005:
According to this paper, using pseudouridine in place of uridine allows foreign mRNA to escape detection by TLR7/8.
Toll-like receptors are a type of PRR, or pattern-recognition receptor, the smoke alarms of human (and other mammalian) immune cells. Their purpose is to detect molecular signs of damage or foreign objects (DAMPs and PAMPs) and induce an inflammatory response.
The innate immune system employs germline-encoded pattern-recognition receptors (PRRs) for the initial detection of microbes. PRRs recognize microbe-specific molecular signatures known as pathogen-associated molecular patterns (PAMPs) and self-derived molecules derived from damaged cells, referred as damage-associated molecules patterns (DAMPs). PRRs activate downstream signaling pathways that lead to the induction of innate immune responses by producing inflammatory cytokines, type I interferon (IFN), and other mediators. These processes not only trigger immediate host defensive responses such as inflammation, but also prime and orchestrate antigen-specific adaptive immune responses (1). These responses are essential for the clearance of infecting microbes as well as crucial for the consequent instruction of antigen-specific adaptive immune responses.
Mammals have several distinct classes of PRRs including Toll-like receptors (TLRs), RIG-I-like receptors (RLRs), Nod-like receptors (NLRs), AIM2-like receptors (ALRs), C-type lectin receptors (CLRs), and intracellular DNA sensors such as cGAS (2, 3).
Normally, foreign DNA or RNA triggers an immune response, and with good reason; its presence is often a sign that a pathogen is infiltrating the body. However, this poses a conundrum for scientists who wish to transfect human cells in vivo with foreign DNA or RNA for the purpose of gene therapy. What Dr. Karikó’s research suggested was that there was a way to “cloak” mRNA from TLRs by substituting nucleoside subunits in those mRNA strands with something else that would not be recognized by those receptors as a constituent of mRNA. In other words, what she proposed was to reduce the immunogenicity of foreign mRNA by rendering them, from the perspective of the body, chemically inert.
Derrick Rossi took an interest in this, immediately seeing the therapeutic potential of nucleoside-modified mRNA. In 2010, he solicited the help of Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien, and Noubar Afeyan to form the company ModeRNA Therapeutics.
In 2011, Noubar Afeyan hired Stéphane Bancel, formerly the CEO of bioMérieux, to head up ModeRNA. As mentioned in our previous articles, the founder of bioMérieux, Alain Mérieux, is a personal friend of Xi Jinping and assisted in the construction of the P4 lab at the Wuhan Institute of Virology.
The maximum-level biosafety laboratory at the Wuhan Institute of Virology was the first of its kind to be built in China, and has been the centre of huge speculation since the start of the Covid-19 pandemic which originated in that city. The laboratory, which is equipped to handle Class 4 pathogens (P4) including dangerous viruses such as Ebola, was built with the help of French experts and under the guidance of French billionaire businessman Alain Mérieux, despite strong objections by health and defence officials in Paris. Since the laboratory’s inauguration by prime minister Bernard Cazeneuve in 2017, however, France has had no supervisory role in the running of the facility and planned cooperation between French researchers and the laboratory has come to a grinding halt. Karl Laske and Jacques Massey report.
As mentioned in our previous articles, Robert Langer, an expert in nanotech drug delivery at MIT, was a colleague of Charles Lieber, a Harvard bionanotechnology expert who was deeply involved in DARPA-funded research into silicon nanowires, potentially even as the basis for brain-computer interfaces.
In 2011, ModeRNA had already reached unicorn status, with a valuation of over a billion dollars, despite having produced no commercial products of any kind.
Expectations are high. Being a startup valued at more than a billion dollars—an anomaly that venture capitalists dub a unicorn—comes with scrutiny, and many wonder whether Moderna’s pipeline, consisting mostly of vaccines for now, will expand to match the company’s original vision of mRNA as a broad treatment platform. « There were a lot of really big promises made, » says Jason Schrum, a biotechnology consultant in San Francisco and a former Moderna employee. « That’s what people latched onto; they want the promises to be true, and they want to see the investment really turn it into something meaningful. »
In 2013, ModeRNA and AstraZeneca signed a five-year agreement to develop and commercialize mRNA-based therapies for cardiovascular, metabolic, and renal diseases, as well as cancer. As part of this agreement, AstraZeneca paid $240 million dollars to ModeRNA, despite them, again, having no commercial products nor ongoing drug trials.
Also in 2013, ModeRNA was awarded $25 million from DARPA to develop mRNA-based therapies. Given that DARPA are a military think tank involved in biosecurity/biosurveillance/biodefense, this was an odd fit, considering that ModeRNA were, at the time, engaged in research for cancer therapies and treating chronic illnesses with mRNA, and not mRNA vaccines, which have a clear biodefense purpose (i.e. rapidly vaccinating against bioweapons). ModeRNA are based in Cambridge, Massachusetts. Incidentally, a large portion of the US biodefense network is also situated in the vicinity of Boston, as outlined in Frank L. Smith’s book, American Biodefense.
Edward Hammond ran a watchdog group called the Sunshine Project to investigate the massive DOD and HHS investment in biolabs in the 2000s after Amerithrax, as well as the shocking lack of oversight and accountability in these labs. Unfortunately, this group was forced to disband in 2008 due to a lack of funding.
In 2014, Alexion Pharmaceuticals struck a deal with ModeRNA, paying them $100 million to develop treatments for rare diseases, including Crigler-Najjar syndrome. The program was terminated in 2017 after animal testing showed that the therapies would never be safe enough to enter human trials.
In order to protect mRNA molecules from the body’s natural defenses, drug developers must wrap them in a protective casing. For Moderna, that meant putting its Crigler-Najjar therapy in nanoparticles made of lipids. And for its chemists, those nanoparticles created a daunting challenge: Dose too little, and you don’t get enough enzyme to affect the disease; dose too much, and the drug is too toxic for patients.
From the start, Moderna’s scientists knew that using mRNA to spur protein production would be a tough task, so they scoured the medical literature for diseases that might be treated with just small amounts of additional protein.
“And that list of diseases is very, very short,” said the former employee who described Bancel as needing a Hail Mary.
Crigler-Najjar was the lowest-hanging fruit.
Yet Moderna could not make its therapy work, former employees and collaborators said. The safe dose was too weak, and repeat injections of a dose strong enough to be effective had troubling effects on the liver in animal studies.
ModeRNA under Bancel’s leadership was fraught with issues, including high-profile resignations due to the harsh company culture fostered by its CEO. Many employees also found the company’s pivot to vaccine research in 2017 highly questionable from a fiscal perspective, given the perception of vaccines as a loss-leader.
As he pursued a complex and risky strategy for drug development, Bancel built a culture of recrimination at Moderna, former employees said. Failed experiments have been met with reprimands and even on-the-spot firings. They recalled abusive emails, dressings down at company meetings, exceedingly long hours, and unexplained terminations.
At least a dozen highly placed executives have quit in the past four years, including heads of finance, technology, manufacturing, and science. In just the past 12 months, respected leaders of Moderna’s cancer and rare disease programs both resigned, even though the company’s remarkable fundraising had put ample resources at their disposal. Each had been at the company less than 18 months, and the positions have yet to be filled.
In 2017, ModeRNA tested their mRNA tech on Sprague-Dawley rats and cynomolgus monkeys at Charles River Laboratories’ facilities. They found that the mRNA spread well beyond the injection site and was discovered in the liver, spleen, bone marrow, and heart.
The pharmacology, pharmacokinetics, and safety of modified mRNA formulated in lipid nanoparticles (LNPs) were evaluated after repeat intravenous infusion to rats and monkeys. In both species, modified mRNA encoding the protein for human erythropoietin (hEPO) had predictable and consistent pharmacologic and toxicologic effects. Pharmacokinetic analysis conducted following the first dose showed that measured hEPO levels were maximal at 6 hours after the end of intravenous infusion and in excess of 100-fold the anticipated efficacious exposure (17.6 ng/ml) at the highest dose tested.24 hEPO was pharmacologically active in both the rat and the monkey, as indicated by a significant increase in red blood cell mass parameters. The primary safety-related findings were caused by the exaggerated pharmacology of hEPO and included increased hematopoiesis in the liver, spleen, and bone marrow (rats) and minimal hemorrhage in the heart (monkeys). Additional primary safety-related findings in the rat included mildly increased white blood cell counts, changes in the coagulation parameters at all doses, as well as liver injury and release of interferon γ–inducible protein 10 in high-dose groups only. In the monkey, as seen with the parenteral administration of cationic LNPs, splenic necrosis and lymphocyte depletion were observed, accompanied with mild and reversible complement activation. These findings defined a well-tolerated dose level above the anticipated efficacious dose. Overall, these combined studies indicate that LNP-formulated modified mRNA can be administered by intravenous infusion in 2 toxicologically relevant test species and generate supratherapeutic levels of protein (hEPO) in vivo.
In 2018, ModeRNA rebranded themselves as Moderna Inc., and raised $621 million through their IPO by the end of that year.
Through the end of 2019, Moderna had accumulated losses of $1.5 billion dollars over the course of the company’s history.
Paradoxically, they continued to excite investors.
The Moderna COVID-19 Vaccine
Very shortly after China sent the sequence for 2019-nCoV – which would eventually become known as SARS-CoV-2 – on January 11th, 2020, Moderna claimed to have developed a vaccine within 48 hours of receiving the gene sequence for the virus, on January 13th.
You may be surprised to learn that of the trio of long-awaited coronavirus vaccines, the most promising, Moderna’s mRNA-1273, which reported a 94.5 percent efficacy rate on November 16, had been designed by January 13. This was just two days after the genetic sequence had been made public in an act of scientific and humanitarian generosity that resulted in China’s Yong-Zhen Zhang’s being temporarily forced out of his lab. In Massachusetts, the Moderna vaccine design took all of one weekend. It was completed before China had even acknowledged that the disease could be transmitted from human to human, more than a week before the first confirmed coronavirus case in the United States. By the time the first American death was announced a month later, the vaccine had already been manufactured and shipped to the National Institutes of Health for the beginning of its Phase I clinical trial. This is — as the country and the world are rightly celebrating — the fastest timeline of development in the history of vaccines. It also means that for the entire span of the pandemic in this country, which has already killed more than 250,000 Americans, we had the tools we needed to prevent it.
This vaccine was based on Moderna’s mRNA technology platform, which consists of nucleoside-modified mRNA contained in PEGylated lipid nanoparticles which are injected into the body, transfect human cells, and cause ribosomes in those cells to translate the foreign mRNA into proteins. Essentially, the point of this technology is to use human cells as bioreactors for therapeutic effect, “brewing” any conceivable protein inside the body using human cells as protein factories.
The mode of action of mRNA-1273/Spikevax, according to Moderna, is to introduce the substance into the deltoid muscle in the subject’s shoulder, transfect shoulder muscle cells with the lipid nanoparticles containing nucleoside-modified mRNA, and translate the mRNA into SARS-CoV-2 Spike proteins, thereby inducing those cells to express this protein on their surfaces, promoting an immune response and antibody production against the Spike.
The supposed innovation that enabled a “safe” SARS-CoV-2 mRNA vaccine to be produced was the development of stabilized, proline-substituted Spike proteins, such as 2P or HexaPro.
The COVID-19 pandemic has led to accelerated efforts to develop therapeutics and vaccines. A key target of these efforts is the spike (S) protein, which is metastable and difficult to produce recombinantly. Here, we characterized 100 structure-guided spike designs and identified 26 individual substitutions that increased protein yields and stability. Testing combinations of beneficial substitutions resulted in the identification of HexaPro, a variant with six beneficial proline substitutions exhibiting ~10-fold higher expression than its parental construct and the ability to withstand heat stress, storage at room temperature, and three freeze-thaw cycles. A 3.2 Å-resolution cryo-EM structure of HexaPro confirmed that it retains the prefusion spike conformation. High-yield production of a stabilized prefusion spike protein will accelerate the development of vaccines and serological diagnostics for SARS-CoV-2.
These modifications are intended to lock the Spike in the prefusion conformation.
As Norbert Pardi, an mRNA vaccine scientist at the University of Pennsylvania, puts it, we’re “very lucky, actually,” that scientists worked out the 2P mutation for a MERS vaccine before the COVID-19 pandemic. “It wouldn’t be possible to go so fast with the Moderna vaccine otherwise.”
Other companies, including Johnson & Johnson, Novavax, and Pfizer, are hoping the 2P mutation works for their COVID-19 vaccines too.
The 2P mutation might quite literally be the smallest detail that could make or break the first generation of COVID-19 vaccines. It’s an easy enough tweak to add during the early stages of vaccine design. And if successful, 2P-based vaccines may herald a new generation of vaccines whose molecular makeup is fine-tuned to craft a safer, stronger immune response.
Research into 2P Spike existed before the COVID-19 outbreak, with other coronaviruses; it was not an innovation specific to COVID-19 vaccines, but merely repurposed for them.
The conceit here was that the vaccine would stay in the shoulder and would not pose any issues for any of the subject’s organs. However, we know from Moderna’s prior research (and the leaked Pfizer biodistribution documents) that lipid nanoparticles spread all over the body, affecting the heart, liver, spleen, bone marrow, and other key tissues. Therefore, the notion that the vaccine would remain in the deltoid muscle of the recipient was always a blatant falsehood.
Moderna was able to secure considerable funding from HHS and BARDA under Operation Warp Speed, to develop a COVID-19 vaccine. They pushed the vaccine through highly accelerated trials with a very questionable methodology. Governments signed purchase agreements with these companies that waived their legal liability in case anything went wrong.
In Moderna’s case, this is highly alarming, considering that mRNA-1273 is their first-ever commercial product. Imagine if there was a car company that was funded by angel investors and military think tanks for years and years, and the government mandated that everyone in the country must purchase one of these cars on pain of job loss and ostracization if they refuse, and the company producing the cars had no legal liability at all, such that if the wheels fell off and the vehicle flipped over and you broke your neck, you would have no recourse to sue the manufacturer. That’s what our governments agreed on with Moderna, for an unsafe gene therapy drug masquerading as a vaccine.
There are many, many issues with these so-called vaccines, with toxicity, long-term side effects, and potential undisclosed ingredients, as outlined in our prior articles on the matter. They should never have been approved by the FDA.
Moderna’s timeline does not match up with leaked documents uncovered last year, which indicate that Ralph Baric – a SARS expert at UNC Chapel Hill and a colleague of Shi Zhengli (Baric was also responsible for the testing and validation of Remdesivir) – signed a confidential material transfer agreement on December 12th, 2019, to take delivery of “mRNA coronavirus vaccine candidates developed and jointly-owned by NIAID and Moderna”. This is visible on Page 105 of this set of documents:
Many search results pertaining to Ralph Baric and his involvement in this are censored from Google.
One might argue that this refers to a vaccine for a different coronavirus. If so, why send these materials to Ralph Baric, a SARS expert with links to researchers at the Wuhan Institute of Virology?
If it is, in fact, mRNA-1273 that is the subject of this agreement, then how did Moderna possess foreknowledge of the outbreak in Wuhan? It was on December 30th, 2019 that the unfortunately now-deceased Dr. Li Wenliang tried sounding the alarm about the spread of a new SARS strain in Wuhan, before the Wuhan Police Bureau gagged him.
On December 12th, 2019, no one knew there was a highly infectious SARS strain circulating in Wuhan, except perhaps for a select few virus researchers and biodefense network insiders who may have possessed foreknowledge, such as Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak, and others connected to USAID’s Global Virome Project. This information may have been passed to Moderna through back channels.
The Smoking Gun
Late last year, a scientist operating under a pseudonym posted a shocking article on their Substack, claiming that SARS-CoV-2 Spike contained a sequence that had, as its reverse complement, a 100% match to a gene sequence found only in a Moderna patented MSH3-mutant cell line.
This is very alarming, and may indicate SARS-CoV-2 arose from a recombination event in a cell line supplied by Moderna.
Stéphane Bancel was questioned on this by Maria Bartiromo:
He appeared very hesitant to answer at all, eventually providing an evasive non-answer.
Unresolved Questions
The most troubling question, here, is why a biotech startup received so much investment over the course of decade, including investment from the US biodefense network and Pentagon think tanks, despite having no salable commercial products to provide value to their investors, and then, suddenly, they switched gears to vaccine research and production at the eleventh hour.
The existence and persistent funding of Moderna despite a whole decade of commercial failure behind them doesn’t make sense. It is as if there was a specific biodefense goal for the usage of mRNA-based therapeutics in mind before the company even existed, and the company was created and funded to pursue that goal.
Moderna’s history is essentially one of a US biodefense network front company pretending to engage in exploratory research for cancer and rare disease therapies, and then pulling a bait-and-switch and starting work on vaccines for DARPA and BARDA.
Everything about this company is extremely suspicious, and that’s before one takes into account Moderna’s connections to the WIV through Stéphane Bancel and Alain Mérieux, the presence of a sequence in SARS-CoV-2 the reverse complement of which is a patented Moderna sequence, and Moderna’s secretive collaboration with NIAID and Ralph Baric to develop coronavirus mRNA vaccines shortly before the outbreak in Wuhan was reported.
We at ICENI believe that Moderna’s actions may form the basis for a massive RICO case. We also believe that a crime of unimaginable proportions took place here, and is still ongoing, involving high-level public officials, intelligence agencies, and their pharma pawns.
The investigation continues. The perpetrators of this criminal conspiracy are not above the law, nor are they beyond the reach of public scrutiny.
Voici un article d’un gars très intéressant, que je suis depuis longtemps sur Substack mais que je n’avais pas encore traduit en raison de son anglais très moyen. Il est assez fortiche pour analyser les données brutes et en tirer des prévisions – je pense que c’est d’ailleurs son métier. Vu l’actualité de cet article, je fais l’effort et de mon mieux pour rendre ça lisible en français. C’est la suite d’un article paru en janvier, très utile aussi, que je peux traduire si je vois que ça interpelle.
Le gars a aussi fait d’autres trouvailles très instructives sur la variole et toute sa petite famille. Comme il se passe plein de choses très amusantes, je fourre ça avec le reste dans des « Nouvelles en vrac » dès que possible – si on est pas tous morts avant, bien entendu.
Ceci est une suite non officielle de cet article, sur le (véritable) avenir de la guerre.
Se préparer aux pandémies, quelles que soient les avancées technologiques, est une entreprise futile, une des nombreuses façons de faire du « grant grabbing« , c’est-à-dire obtenir des fonds pour sa « recherche ». L’un des meilleurs exemples de la futilité de ce raisonnement est celui du DARPA lui-même. En 2017, ils prétendaient pouvoir arrêter une pandémie (réelle, dévastatrice, à forte mortalité et à propagation rapide) en deux mois.
Aujourd’hui, ils veulent mettre à profit l’IA pour la « prévention, le traitement » et tout autre objectif inepte qui leur vient à l’esprit. Je me propose de vous démontrer à quel point cet objectif est futile, et je vous inviterai à vous demander à quel point cet objectif est réellement réalisable, sans compter la mise en place d’un État de surveillance mondial qui ferait honte au système du Parti Communiste Chinois.
(Je vous conseille de lire l’intégralité de l’article ci-dessous)
« Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. »
Un instructeur de l’Ecole de Chimie de Fort Leonard Wood, désigné comme manipulateur d’agents, transporte l’agent neurotoxique VX pour contaminer une jeep dans l’une des huit chambres utilisées pour la formation à la défense chimique, le 18 avril 2003 à Fort Leonard Wood, Missouri.
Il a fallu moins de six heures à l’IA spécialisée dans la recherche de médicaments pour inventer 40.000 molécules potentiellement mortelles. Lors d’une conférence sur le contrôle des armes biologiques, les chercheurs ont utilisé l’IA, normalement utilisée pour rechercher des médicaments utiles, en mode « mauvais acteur » pour montrer à quel point il est facile d’en abuser.
Tout ce que les chercheurs ont eu à faire, c’est de modifier leur méthodologie pour rechercher, plutôt que d’éliminer, la toxicité. L’IA a trouvé des dizaines de milliers de nouvelles substances, dont certaines similaires au VX, l’agent neurotoxique le plus puissant jamais mis au point. Ebranlés, ils ont publié leurs conclusions ce mois-ci dans la revue Nature Machine Intelligence.
Deuxièmement, nous avons examiné un grand nombre de structures de ces molécules nouvellement générées. Et beaucoup d’entre elles ressemblaient au VX et à d’autres agents de guerre, et nous en avons même trouvé certaines, générées à partir du modèle, qui étaient de réels agents de guerre chimique. Ceux-ci ont été générés à partir du modèle qui n’avait jamais rencontré ces agents de guerre chimique. Nous savions donc que nous travaillions dans le bon contexte et que le modèle générait des molécules qui avaient un sens, car certaines d’entre elles avaient déjà été fabriquées auparavant.
Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. Beaucoup de choses que nous avons utilisées sont disponibles gratuitement. On peut télécharger un ensemble de données sur la toxicité n’importe où. Une personne qui sait coder en Python et qui a des capacités d’apprentissage automatique peut, en un week-end de travail, construire un modèle génératif basé sur des données de toxicité. C’est ce qui nous a fait réfléchir à l’idée de publier cet article; les obstacles à ce type d’utilisation abusive étaient si faibles.
Comme je l’ai expliqué dans le premier article, avec un peu de savoir-faire, il n’est pas difficile de concevoir de nouveaux produits, qu’il s’agisse de toxines comme celle-ci ou d’acides aminés/peptides qui feront littéralement griller votre système nerveux. Et voici quelque chose que j’avais en tête et que j’avais écrit dans mon carnet de notes en cuir en 2020. C’est un article étonnant que j’ai référencé dans Future of War I.
Dans le passé, les experts ont ignoré le risque que les biorégulateurs peptidiques puissent être « militarisés », car ces composés ne sont pas volatils et se dégradent rapidement lorsqu’ils sont dispersés dans l’atmosphère, ce qui les rend peu adaptés à une diffusion sur de vastes zones. Mais les progrès récents de la technologie d’administration des médicaments ont modifié cette évaluation. Plus particulièrement, la mise au point de systèmes d’administration de l’insuline (une hormone composée de 51 unités d’acides aminés) sous forme d’aérosol inhalable a rendu possible la diffusion de biorégulateurs peptidiques de cette même manière. Pour empêcher l’utilisation abusive de ces produits chimiques naturels du corps à des fins hostiles, les scientifiques et les analystes de la sécurité nationale doivent comprendre la nature de la menace et élaborer des réponses politiques appropriées.
Dans quelle mesure serait-il « difficile » d’utiliser l’apprentissage automatique et des ensembles de données publiques pour générer de nouvelles toxines? Apparemment, pas trop difficile si on a assez d’imagination et de curiosité. Tellement peu difficile que j’ai demandé à un ami codeur de m’écrire un petit programme, en lui donnant des instructions précises et quelques « trucs mathématiques » spécifiques à y ajouter.
Le résultat a été une séquence peptidique spécifique (mon objectif principal étant les protéines et les acides aminés), qu’il est possible de commander dans le commerce auprès de n’importe quelle grande entreprise de production de peptides sur mesure. C’est ce que j’ai fait, il y a plusieurs semaines, et aucun signal d’alarme majeur ou autre n’a été émis, du simple fait que la séquence n’existe dans aucun ensemble de données ni nulle part ailleurs.
La séquence et ses implications ont été vérifiées par un ami proche, un biochimiste très doué.
Nous avons détruit le programme, annulé la commande, et j’ai détruit toutes les informations.
Combien de personnes disposent-elles du savoir-faire nécessaire pour déterminer les poches chimiques qui peuvent être remplies par des molécules susceptibles d’être de plusieurs ordres de grandeur plus toxique que le VX? Nous n’avons actuellement pas la réponse à ces questions. Ceci augmente grandement la taille du public qui devrait porter son attention sur ces questions.
Entre l’application de l’apprentissage automatique et de l’IA à la création d’une nouvelle toxine et la fabrication effective d’une toxine, il y a un écart énorme, mais cet écart se réduit de jour en jour, et l’un des facteurs est la difficulté de la créer, de la synthétiser et de la tester. Je dirais que c’est aussi difficile que de créer la variole dans son petit laboratoire pour 100.000 dollars.
Je sais ce qui vient de vous traverser la tête: « Hein, QUOI? ».
En 2017, le virologue David Evans a fait la une des journaux lorsqu’il a utilisé la biologie synthétique pour recréer le virus éteint de la variole du cheval, étroitement lié au virus qui cause la variole, une maladie éradiquée en 1980. Evans et son équipe, qui ont commandé le matériel génétique dont ils avaient besoin par courrier, auraient dépensé 100 000 dollars pour cette recherche, une somme qui semble minime au regard des implications capitales de leurs travaux. « Aucun doute. Si c’est possible avec la variole du cheval, c’est possible avec la variole », a déclaré le virologue allemand Gerd Sutter au magazine Science dans un compte rendu de presse sur les travaux d’Evans. Un certain nombre d’experts en biosécurité et même le comité éditorial du Washington Post se sont joints à lui pour exprimer leurs inquiétudes. Compte tenu de la réaction qu’a rencontrée Evans, on pourrait s’attendre à ce que la nouvelle de la synthèse d’un autre microbe apparenté au virus de la variole déclenche des signaux d’alarme similaires.
Pourtant, lorsque la société américaine de biotechnologie qui a financé les travaux d’Evans sur la variole, Tonix Pharmaceuticals, a annoncé en janvier dernier qu’elle avait réussi à synthétiser un tel microbe, la vaccine, personne n’a semblé en prendre note.
Depuis que l’Organisation Mondiale de la Santé a éradiqué de la nature le virus variolique responsable de la variole, les seuls échantillons connus de ce virus sont conservés dans deux installations de haute sécurité aux États-Unis et en Russie. Mais les progrès de la biologie synthétique, un domaine qui comprend l’art et la science de la construction de génomes viraux, ont rendu possible la création du virus de la variole en laboratoire. Bien que rien ne prouve que quelqu’un l’ait encore fait, comme l’indiquent les travaux de Tonix, les chercheurs s’en approchent de très près. Avant d’être éradiquée, la variole a été responsable de 300 millions de décès au XXe siècle. La réintroduction de cette maladie – par négligence ou par malveillance – serait une catastrophe sanitaire mondiale. Comme je l’ai écrit dans International Security il y a 10 ans, la biosécurité mondiale peut être mise en danger non seulement par la guerre biologique et le bioterrorisme, mais aussi par des accidents de laboratoire avec des agents pathogènes dangereux.
Tonix a annoncé le nouveau virus synthétique de la vaccine sans faire de bruit, en dissimulant la nouvelle dans un communiqué de presse relatif à un poster que la société a présenté à la conférence annuelle sur la science et la politique de biodéfense de l’American Society for Microbiology. L’affiche mettait l’accent sur les progrès réalisés par la société dans les tests du virus synthétique de la variole d’Evans en vue de son utilisation comme vaccin contre la variole, que Tonix appelle TNX-801. Les vaccins actuels contre la variole sont basés sur le virus vivant de la vaccine, cultivé à l’aide d’une technologie de culture cellulaire. L’affiche de Tonix fait également référence à un autre candidat vaccin contre la variole que la société teste, basé sur une version synthétique du virus de la vaccine que Tonix appelle TNX-1200. Bien que les virus de la vaccine et de la variole du cheval ne constituent pas en eux-mêmes des menaces sérieuses pour la santé humaine, il y a plusieurs raisons pour lesquelles ce nouveau progrès de la biologie synthétique est problématique.
Tonix a apparemment ignoré les préoccupations soulevées par de nombreux experts en biosécurité, dont moi-même. Étant donné l’étroite similitude génétique entre les orthopoxvirus comme le virus de la variole du cheval, le virus de la variole et le virus de la vaccine, les techniques de laboratoire qui peuvent être utilisées pour créer l’un d’entre eux peuvent également être utilisées pour produire d’autres virus – le plus inquiétant étant le virus responsable de la variole. C’est d’ailleurs ce qu’a déclaré Evans lui-même, soulignant une fois que ses recherches « démontraient clairement que cela pouvait également être fait avec le virus de la variole ». Le laboratoire d’Evans a utilisé la même technique pour produire le virus synthétique de la vaccine pour Tonix que pour synthétiser le virus de la variole.
Contrairement à d’autres exemples de recherche à double usage sujette à controverse, les risques posés par la synthèse des orthopoxvirus ne sont pas compensés par un avantage significatif.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les exercices de simulation se concentrent autant sur un petit sous-ensemble d’agents pathogènes pouvant être utilisés comme armes, l’une d’elles étant la négligence et le fait que les scientifiques soviétiques étaient surchargés de travail et mal payés. L’autre raison est la facilité avec laquelle un acteur malveillant pourrait réellement le faire avec peu d’investissement et un petit groupe d’experts. La variole en fait partie.
Je sais ce qui vous passe par la tête en ce moment « Hein, QUOI? Ça ne peut pas être aussi facile. Peut-être que les virus de la variole sont super-simples et plus faciles à faire ». Le lecteur est-il d’accord avec moi pour dire que le SARS-CoV-2 est un agent pathogène très complexe? On pourrait écrire de nombreuses thèses sur le fait qu’il est l’un des virus les plus complexes à ce jour.
Le premier cas de coronavirus en Suisse a été détecté il y a une semaine, mais le virus était dans le pays bien avant, sous la forme d’un échantillon de laboratoire.
Ce contenu a été publié le 3 mars 2020 – 15:00
Trois semaines avant que le premier cas ne soit identifié sur le sol suisse, des scientifiques d’un laboratoire de haute sécurité ont réussi à fabriquer un clone synthétique du coronavirus. Les chercheurs tentent maintenant de déterminer l’importance de ses différents gènes. Leur réussite attire l’attention du monde entier : des laboratoires et des entreprises demandent à travailler sur ce clone.
J’ai commenté dans quelques tweets ici et là qu’Omicron a été conçu à l’aide de l’IA, de modèles mathématiques et d’une sorte de pari d’une équipe de recherche interdisciplinaire pour « mettre fin » à la pandémie. Un virus dont la réponse immunitaire est littéralement opposée d’un point de vue inflammatoire/moléculaire, qui confère une large immunité dans les organes précis que le SARS-CoV-2 attaque le plus (voies respiratoires inférieures, fond des poumons), et dont chacune des séquences les plus inflammatoires a été atténuée (la fameuse séquence SEB étant la plus perceptible, même pour les profanes).
Il est tellement différent qu’il est impossible de fabriquer un vaccin (j’en ai déjà parlé). En d’autres termes, le double usage de la technologie n’est pas à des décennies dans le futur, il est déjà là, et prévenir les « pandémies synthétiques » est tout aussi insensé que d’utiliser la technologie ARNm pour une immunité à long terme contre un virus respiratoire hautement transmissible.
L’ensemble de cet article est conforme à l’orthodoxie de la biologie et de la chimie, ce qui signifie que tout ce qui figure ici a été réalisé à partir de ce que la « science » considère actuellement comme l’avant-garde de la manipulation moléculaire et de l’édition de gènes. Que se passe-t-il lorsqu’une équipe interdisciplinaire aux tendances mercenaires est engagée pour développer de nouvelles armes biologiques et décide d’aller aussi loin que possible, au-delà de l’orthodoxie scientifique actuelle? Cela existe-t-il vraiment?
Une nouvelle technologie pourrait conduire au développement de nouveaux médicaments « xénoprotéiques » contre les maladies infectieuses.
Des chimistes du MIT ont mis au point un moyen de synthétiser et de cribler rapidement des millions de nouvelles protéines qui pourraient être utilisées comme médicaments contre le virus Ebola et d’autres virus.
Toutes les protéines produites par les cellules vivantes sont fabriquées à partir des 20 acides aminés programmés par le code génétique. L’équipe du MIT a trouvé un moyen d’assembler des protéines à partir d’acides aminés non utilisés dans la nature, dont beaucoup sont des images miroir d’acides aminés naturels.
Ces protéines, que les chercheurs appellent « xénoprotéines », présentent de nombreux avantages par rapport aux protéines naturelles. Elles sont plus stables, ce qui signifie que, contrairement à la plupart des médicaments protéiques, elles ne nécessitent pas de réfrigération et pourraient ne pas provoquer de réaction immunitaire.
« Aucune autre plateforme technologique ne peut être utilisée pour créer ces xénoprotéines, car on n’a pas encore réussi à utiliser des ensembles d’acides aminés complètement non naturels dans toute la forme de la molécule », explique Brad Pentelute, professeur associé de chimie au MIT et auteur principal de l’article, qui sera publié dans les Proceedings of the National Academy of Sciences la semaine du 21 mai.
Je souhaiterais que le lecteur visionne au moins la vidéo du Dr James Giordano, lise cet article et celui-ci, et me réponde.
Si on fréquente l’université, on a encore plus accès à une myriade d’autres outils, entièrement à sa disposition et personne ne se doutera de ce que l’on y fait. Construire un laboratoire n’est pas très coûteux, tout se commande en ligne, et en faisant de bonnes affaires, on peut construire un laboratoire pour 50.000 dollars.
Comment pourrait-on se préparer à quelque chose qu’un jeune adulte avec un kit CRISPR, une connexion internet et de la curiosité est capable de créer?
Pour les plus anxieux de mes lecteurs, ce n’est pas si facile à faire, cela n’arrivera pas du jour au lendemain, et 99% du temps il est facile de repérer quand quelqu’un a « cuisiné » quelque chose, mais moins facile de repérer où/quand cela a été diffusé. Ce billet vise davantage la prise de conscience que la peur ou le pessimisme.
Le public doit prendre conscience de la facilité avec laquelle il est possible de commettre des actes qui peuvent changer radicalement le destin des nations, voire du monde. On devrait légiférer sur ce sujet dès maintenant, et non sur le changement climatique, entre autres avis plus tranchés de ma part, avec lesquels je ne vais pas ennuyer le lecteur.
(Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi j’ai quitté mon ancien travail, cela m’a rendu la vie beaucoup plus facile, la lecture de Future of War et du premier Beyond Mathematical Odds vous donnera la réponse).
J’espère que vous passerez tous un bon dimanche! Peut-être un petit billet sur les variants d’Omicron et l’immunité (en gros, il faut être réinfecté par les nouveaux pour être protégé contre les prochains).
Texte original
The futility of « pandemic preparedness »
The Future of War Part II
John Paul
May 28
This is an unofficial continuation of this piece, about the (true) Future of War.
Preparing for pandemics, regardless of technological advances is a futile endeavor, another of the many ways you can execute “grant grabbing”, meaning funding for your “research”. One of the biggest examples of how futile this line of thinking is would be DARPA itself. They argued they could stop a (real, devasting, high mortality, fast spreading) pandemic within 2 months in 2017.
Now they want to leverage AI for the “prevention, treatment” and whatever other inane goal they have in mind. I am about to show you how futile this goal is, and I will ask you how feasible, besides a global surveillance state that would put the Chinese Communist Party system to shame, the goal truly is.
(I advise you to read the entire article below btw)
‘For me, the concern was just how easy it was to do’
An instructor at the Fort Leonard Wood Chemical School, who is designated as an agent handler, carries the VX nerve agent to contaminate a jeep in one of the eight chambers used for training chemical defense on April 18, 2003 at Fort Leonard Wood, Missouri.
It took less than six hours for drug-developing AI to invent 40,000 potentially lethal molecules. Researchers put AI normally used to search for helpful drugs into a kind of “bad actor” mode to show how easily it could be abused at a biological arms control conference.
All the researchers had to do was tweak their methodology to seek out, rather than weed out toxicity. The AI came up with tens of thousands of new substances, some of which are similar to VX, the most potent nerve agent ever developed. Shaken, they published their findings this month in the journal Nature Machine Intelligence.
Second, we actually looked at a lot of the structures of these newly generated molecules. And a lot of them did look like VX and other warfare agents, and we even found some that were generated from the model that were actual chemical warfare agents. These were generated from the model having never seen these chemical warfare agents. So we knew we were sort of in the right space here and that it was generating molecules that made sense because some of them had already been made before.
For me, the concern was just how easy it was to do. A lot of the things we used are out there for free. You can go and download a toxicity dataset from anywhere. If you have somebody who knows how to code in Python and has some machine learning capabilities, then in probably a good weekend of work, they could build something like this generative model driven by toxic datasets. So that was the thing that got us really thinking about putting this paper out there; it was such a low barrier of entry for this type of misuse.
As I covered in the first post, designing novel anything, from toxins like this one to aminoacid/peptides that will literally fry your own nervous system is not hard, if you have a little know-how. And here we have something that I had in my own mind and written in my leather notebook in 2020. Here is an amazing article I referenced in Future of War I.
The Body’s Own Bioweapons In the past, experts discounted the risk that peptide bioregulators might be “weaponized” because such compounds are non-volatile and degrade rapidly when dispersed in the atmosphere, making them poorly suited for dissemination over large areas. But recent advances in drug delivery technology have changed this assessment. In particular, the development of systems for the delivery of insulin (a hormone made up of 51 amino acid units) as an inhalable aerosol has made it feasible to disseminate peptide bioregulators in the same manner. To prevent the misuse of these natural body chemicals for hostile purposes, scientists and national security analysts must understand the nature of the threat and develop appropriate policy responses.
How “hard” it would be to use machine learning and public datasets to generate novel toxins ? Apparently not that hard if you have the imagination and curiosity for it. So not that hard that I asked I friend who codes to write a little program for me, and gave him precise instructions and a couple of specific “math things” to add “it”.
The result was a specific peptide sequence (my main focus was always proteins and amino acids), that you can commercially order at any of the big custom peptides producing companies. Which I did, weeks ago, and no major red flags or anything else was raised, by the simple fact that the sequence doesn’t exist in any dataset or anywhere else.
The sequence and its implications were checked by a close friend, a very gift biochemist.
We destroyed the program, canceled the order, and I destroyed all the information.
Between applying machine learning and AI to create a new toxin, and actually making one there is a huge gap, but the gap is getting smaller by the day, and one argument is how hard it would be to create, synthesize and test it. I would argue as hard as creating smallpox in your small lab for 100.000 dollars.
In 2017, the virologist David Evans made headlines when he used synthetic biology to recreate the extinct horsepox virus, which is closely related to the virus that causes smallpox, a disease eradicated in 1980. Evans and his team, ordering the genetic material they needed through the mail, reportedly spent $100,000 on the research, an amount that seems small given the momentous implications of their work. “No question. If it’s possible with horsepox, it’s possible with smallpox,” German virologist Gerd Sutter told Science magazine in a press account of Evans’s work. A number of biosecurityexperts and even TheWashington Posteditorial board joined him in voicing their concerns. Given the reaction Evans met, one might expect the news that yet another microbe related to the smallpox virus had been synthesized to set off similar alarm bells.
Yet when the American biotech company that funded Evans’s horsepox work, Tonix Pharmaceuticals, announced this January that it had successfully synthesized just such a microbe, vaccinia, no one seemed to take note.
Since the World Health Organization eradicated the smallpox-causing variola virus from nature, the only known samples of it have been held in two high-security facilities in the United States and Russia. But developments in synthetic biology, a field which includes the art and science of constructing viral genomes, have made it possible to create the smallpox virus in a lab. While there’s no evidence that anyone has done that yet, as Tonix’s work indicates, researchers are inching incredibly close to that line. Before it was eradicated, smallpox was responsible for 300 million deaths in the 20th century. The re-introduction of the disease—through negligence or malice—would be a global health disaster. As I wrote in International Security 10 years ago, global biosecurity can be endangered not just by biological warfare and bioterrorism, but also by laboratory accidents with dangerous pathogens.
Tonix announced the new synthetic vaccinia virus quietly, burying the news in a press release for a poster that the firm presented at the American Society for Microbiology’s annual biodefense science and policy conference. The poster focused on the progress the company was making in testing Evans’s synthetic horsepox virus for use as a vaccine against smallpox, which Tonix calls TNX-801. Current smallpox vaccines are based on live vaccinia virus that is grown using cell culture technology. Tonix’s poster also references another smallpox vaccine candidate the company is testing, one based on a synthetic version of the vaccinia virus that Tonix is calling TNX-1200. While the vaccinia and horsepox viruses are not themselves serious threats to human health, there are several reasons why this new development in synthetic biology is problematic.
Tonix has apparently ignored the concerns that many biosecurity experts, including myself, have raised. Given the close genetic similarity among orthopoxviruses like the horsepox, variola, and vaccinia viruses, the laboratory techniques that can be used to create one can also be used to produce others–most worryingly, the smallpox-causing variola virus. Indeed, Evans has said as much himself, once pointing out that his research “was a stark demonstration that this could also be done with variola virus.” Evans’s lab used the same technique to produce the synthetic vaccinia virus for Tonix as it did to synthesize the horsepox virus.
Unlike in other cases of controversial dual-use research, the risks posed by the synthesis of orthopoxviruses are not offset by any significant benefit.
There are a few reasons tablet top exercises focus so much on a small subset of weaponizable pathogens, one was the carelessness and how overworked and low-paid soviet scientists were. The other is how easy it would be for a malicious actor to actually do it with little investment, and a small group of experts. Smallpox is one of them.
I know what it is going to your head right now “Wait, WHAT ? It can’t be that easy. Maybe Poxviruses are super-simple and easier to do ». Would the reader agree with my assertion that SARS-CoV-2 is a very complex pathogen ? One could write many theses on how it is among the most complex viruses to date.
The first case of coronavirus in Switzerland was detected a week ago but the virus was in the country much before that, as a laboratory sample.
This content was published on March 3, 2020 – 15:00March 3, 2020 – 15:00
Three weeks before the first case was identified on Swiss soil scientists at a high security lab managed to make a synthetic clone of the coronavirus. The researchers are now trying to determine the importance of its individual genes. Their accomplishment is getting worldwide attention: labs and companies are requesting the clone to work on.
I have commented in a few tweets here and there that Omicron was engineered using AI, mathematical models, and somewhat of a bet from an interdisciplinary research team to “end” the pandemic. A virus with the literal opposite immune response from an inflammatory/molecular perspective, that gives broad immunity in the exact organs SARS-CoV-2 attacks the most (lower respiratory tract, deep in the lungs), and it had every single one of the most inflammatory sequences attenuated (the famous SEB one being the most perceptible even to laypeople).
It is so different that you can’t make a vaccine (I covered this before). That is to say, the dual use of technology isn’t decades ahead, it is already here, and preventing “synthetic pandemics” is as much a fool’s errand as using mRNA technology for long-term immunity against a highly transmissible respiratory virus.
This entire post is based on biology and chemistry orthodoxy, meaning everything here has been done from what “science” currently believes is the cutting edge of molecular manipulation and gene editing. What happens when an interdisciplinary team with mercenary tendencies is hired to develop novel bioweapons and decides to go as far as possible, beyond current scientific orthodoxy ? Is that even a thing ?
New technology could lead to development of novel “xenoprotein” drugs against infectious diseases.
MIT chemists have devised a way to rapidly synthesize and screen millions of novel proteins that could be used as drugs against Ebola and other viruses.
All proteins produced by living cells are made from the 20 amino acids that are programmed by the genetic code. The MIT team came up with a way to assemble proteins from amino acids not used in nature, including many that are mirror images of natural amino acids.
These proteins, which the researchers call “xenoproteins,” offer many advantages over naturally occurring proteins. They are more stable, meaning that unlike most protein drugs, they don’t require refrigeration, and may not provoke an immune response.
“There is no other technological platform that can be used to create these xenoproteins because people haven’t worked through the ability to use completely nonnatural sets of amino acids throughout the entire shape of the molecule,” says Brad Pentelute, an MIT associate professor of chemistry and the senior author of the paper, which appears in the Proceedings of the National Academy of Sciences the week of May 21.
I want the reader to watch the video by Dr. James Giordano at the very least, read that piece and this one, and answer me.
If you attend university, you get even more access to a myriad of other tools, completely at your disposal and nobody is the wiser about whatever you are doing it. Building a lab is not that expensive, you can order everything online, on a stretch, and with good deals, you can build a lab for 50.000 dollars.
How can you prepare for something you a young adult with a CRISPR kit, an internet connection and curiosity can create ?
For the more anxious among my readers, this isn’t that easy to do, this won’t happen overnight, and 99% of the time it is easy to track whenever someone “cooked up” something, but not that easy to track where/when it was released. This post is more about awareness than fear, or doom and gloom.
The population should be aware of how easy it is to do things that can vastly change the fate of nations, sometimes the world. There should be legislation written about this right now, and not about climate change, among other more harsh opinions from me, that I won’t bore the reader with.
(If you ever asked yourself why I left my former job, that made life much easier, reading both Future of War and the first Beyond Mathematical Odds will give you the answer).
I hope you all have a nice Sunday ! Perhaps a small post about Omicron variants and immunity (basically you need to get reinfected with the new ones to be protected against the coming ones).
James Lyons-Weiler est un des premiers médecins à avoir pris la parole en public pour dénoncer les absurdités et dangers de la campagne de mesures sanitaires et vaccinations Covid-19. Je n’avais pas encore publié cet auteur sur ce blog, non par manque d’intérêt mais par manque de temps. Pour faire suite à mon article précédent qui traite du mécanisme bureaucratique de la prise de pouvoir mondiale via cartel Big Pharma, je vous propose aujourd’hui cette intéressante publication, une de celles qui aborde le mieux le sujet des nouvelles « mesures », c’est-à-dire la militarisation de la psychologie en mode communiste, dont l’objectif est d’encadrer et de faire passer en force les mesures « sanitaires » – donc, selon toute définition, la fin de la civilisation occidentale. Je ne saurai trop vous recommander à cet égard la lecture du bouquin de Vladimir Boukovski, « Et le vent reprend ses tours » (lisez au moins l’article en lien!) qui vous donnera une perspective historique sur les méthodes décrites dans cet article – je n’ai pas lu « Cette lancinante douleur de la liberté », du même auteur (cité dans mon article précédent), sûrement aussi intéressant.
Le point de vue du Dr Lyons-Weiler s’articule sur l’éthique de sa profession mais il s’agit en définitive d’une question de décision individuelle. Je suivrai donc cet article avec ma propre conclusion personnelle. A mon avis, un très mauvais exemple à suivre.
La pathologisation de la raison, de la logique et du savoir mettra fin à la civilisation occidentale
Conformément ce qu’on trouve dans le manuel du PCC, selon certains, vous êtes désormais un malade mental si vous remettez en question le récit officiel. À partir de 2021, votre cerveau constitue le champ de bataille. Protégez-le à tout prix.
James Lyons-Weiler
17 mai
Un article complet gratuit, comme toujours, riche en liens vers des documents de référence.
Deux ans avant le COVID-19, j’avais prévenu que Big Pharma allait manœuvrer via nos institutions pour rendre obligatoires les médicaments psychotropes dans la population générale. Avec cet article, je tire à nouveau la sonnette d’alarme. Cette bataille concerne nos droits, oui, et nos cerveaux en constituent le champ de bataille.
Le savoir fondamental – la base de notre compréhension de la réalité – n’est pas seulement en voie de décomposition. Il est détruit, systématiquement, par ceux qui profitent grassement de l’ignorance imposée par la censure et la police de la pensée. Sans liberté d’expression, il ne peut y avoir de liberté de pensée. C’est l’un des arguments que Benjamin Franklin faisait valoir, sous le nom de Silence Dogood, lorsqu’il écrivait dans New England Courant (1722):
« Sans Liberté de Pensée, il ne peut y avoir de Sagesse, ni de Liberté Publique, sans la Liberté de Parole, qui est le Droit de chaque Homme, dans la mesure où par elle, il ne blesse pas ou ne contrarie pas le Droit d’un autre: Et c’est le seul Contrôle qu’elle doit subir, et les seules Limites qu’elle doit connaître.
« Ce Privilège sacré est si essentiel aux Gouvernements libres, que la Sécurité de la Propriété et la Liberté de Parole vont toujours de pair; et dans ces misérables Pays où un Homme ne peut s’approprier sa Langue, il ne peut guère s’approprier autre chose. Quiconque veut renverser la Liberté d’une Nation, doit commencer par soumettre la Liberté de Parole; une Chose terrible pour les Traîtres publics ».
Les réalités dont moi-même, et d’autres, avons fait état dès février 2020, sont aujourd’hui des faits évidents pour presque toute personne réfléchie. Au cours des deux dernières années, vos processus de pensée – votre compréhension – de la réalité des campagnes de désinformation sur le COVID-19, les vaccins COVID-19 et les traitements COVID-19 ont été pathologisés dans la littérature biomédicale dans une mesure difficile à imaginer. Cet article de #PopularRationalism fait la chronique de ce gaslighting [manipulation] en détail, cataloguant et caractérisant leurs diverses méthodes de pathologisation de la dissidence.
Le nombre d’articles, d’études, de lettres à la rédaction et de rapports de médias en ligne qui reflètent des processus de pensée de scepticisme rationnel et d’analyse critique de messages clairement frauduleux est stupéfiant.
Depuis le début de l’année 2020, des centaines de personnes déterminées à propager leur croyance et leur foi dans les messages trompeurs à facettes multiples de Fauci ont tenté de pathologiser (c’est-à-dire de faire passer pour une maladie psychiatrique clinique) la vigilance face au risque vaccinal. La vigilance face au risque vaccinal est l’une des expressions que j’ai proposées pour contrecarrer l’étiquette « anti-vaccinisme »; elle a été popularisée en 2015 par un commentaire de Del Bigtree sur The Highwire. La vigilance face au risque vaccinal correspond à la connaissance du risque vaccinal associée à la connaissance des programmes destinés à minimiser la perception du risque par le public.
Il semble exister de multiples méthodes pour pathologiser la vigilance face au risque vaccinal – et avec celle-ci, la pathologisation des meilleurs outils dont notre société dispose pour établir les bases rationnelles et scientifiques d’un avenir stable. D’après mon examen approfondi de la question, ces méthodes sont les suivantes:
L’attribution de signes de maladie mentale au scepticisme à l’égard des vaccins. Parmi les meilleurs exemples, citons un rapport publié en avril 2020 par l’Université de Manchester, au Royaume-Uni, qui affirmait que les enfants de malades mentaux étaient moins susceptibles d’être vaccinés. L’article affirmait qu’étant donné qu’1/4 des mères au Royaume-Uni sont atteintes de maladies mentales, 1/4 des enfants au Royaume-Uni pourraient poser un risque. Le rapport ne semble pas autrement s’alarmer de ses propres statistiques selon lesquelles 1/4 des mères au Royaume-Uni souffriraient de troubles mentaux.
La psychologie de salon. Cela est illustré par des articles qui énumèrent – et apparemment inventent de toutes pièces – des « faits » concernant ceux qui comprennent mieux que d’autres les risques et le manque de bénéfices des vaccins COVID-19 – comme « The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal » [Les 9 barrières psychologiques qui conduisent à l’hésitation et au refus du vaccin COVID-19] paru dans The Conversation (29 septembre 2021). Parmi les barrières « psychologiques » énumérées? La méfiance à l’égard des ingrédients. « Crise de confiance ». « Dépendance et évitement des conflits ». « Sentiment de rejet et d’exclusion ». « Anxiété et déni ». « Sentiment d’impuissance ». Lisez l’article et voyez si vous êtes d’accord avec moi – ce ne sont pas des barrières psychologiques. « Sentiment de rejet et d’exclusion? » Oui, en gros, si on se fait virer de son travail ou exclure de sa communauté par la majorité des gens vaccinés, qui maintenant continuent à attraper et à propager le COVID-19, on ressentira en premier un sentiment de rejet et d’exclusion parce que c’est bien ce qui nous arrive. Toute crise de confiance est en réalité un problème pour ceux qui perpétuent l’arnaque.
« Études » attribuant directement la vigilance face au risque vaccinal à une maladie mentale. Un bon exemple se trouve dans l’article de synthèse « Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy » [Facteurs psychologiques influant sur l’hésitation à recevoir le vaccin COVID-19] (mai 2021, Irish Journal of Medical Science). Les auteurs écrivent: « Le concept d' »hésitation vaccinale » est considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « l’une des dix principales menaces pour la santé mondiale. » On se pose la question de savoir si l’épidémie de COVID-19, qui peut être définie comme une situation d’urgence globale, permettra de résoudre le problème du rejet des vaccins, une préoccupation pour la santé publique depuis quelques décennies [3]. La plupart des publications actuelles sur l’hésitation et la résistance aux vaccins se concentrent sur les causes évidentes exprimées par des individus contre un vaccin particulier ou contre les programmes de vaccination en général [4]. L’identification des processus psychologiques qui distinguent les individus hésitants et résistants aux vaccins des individus réceptifs aux vaccins constituera une approche directrice [5]. Cette approche peut également offrir la possibilité d’adapter les messages de santé publique en fonction des tendances psychologiques de ces individus [6]. À ce jour, de nombreuses structures psychologiques ont été étudiées en rapport avec l’hésitation vaccinale. Par exemple, les croyances altruistes [7]; les traits de personnalité que sont le névrosisme et la conscienciosité [8]; les croyances conspirationnistes, religieuses et paranoïaques [9]; la méfiance à l’égard des membres autorisés de la société tels que les représentants du gouvernement, les scientifiques et les professionnels de la santé ont été associés à des attitudes négatives envers les vaccins [12]. » Notez que les cibles désignées sont « les structures psychologiques ». Les auteurs omettent d’explorer ou de relayer la légitimité du fondement de l’un ou l’autre de ces facteurs, notamment la méfiance bien méritée envers ce qu’ils appellent les « membres autorisés de la société »… des autorités dont il a été démontré qu’elles ont tout faux sur pratiquement toutes les connaissances qu’elles ont tenté de revendiquer. Leur panoplie de prétendues psychoses liées au risque vaccinal est elle-même déconnectée de la réalité: la plupart de leurs exemples montrent chez eux un biais de confirmation basé sur une fausse présomption de sécurité des vaccins. Un autre exemple est l’article paru dans BMJ Open qui établit un lien entre « l’hésitation vaccinale » et les traumatismes de l’enfance. Je vais d’abord résumer la façon dont j’interprète les résultats: Les personnes qui ont subi un traumatisme dans leur enfance sont moins faciles à manipuler. Ce n’est pas une surprise. Encore une fois, les auteurs préconisent une manipulation de la perception, sans s’attaquer à ce qui fait problème dans les vaccins ou aux études qui occultent l’efficacité des traitements précoces: « Il est urgent de mieux comprendre comment accroître leur confiance dans les systèmes de santé et leur respect des recommandations sanitaires. Si l’on ne réfléchit pas à la meilleure façon d’impliquer ces personnes, certaines risquent d’être effectivement exclues des interventions de santé publique, de rester exposées à des risques d’infection plus élevés et de poser un risque potentiel de transmission à d’autres. » –BMJ On peut citer d’autres exemples, notamment ceux d’un Numéro Spécial du Journal Vaccines du MDPI, consacré aux “Aspects psychologiques de l’adoption du vaccin COVID-19: Principes et stratégies empiriques« , sous la direction de Efrat Neter (Israël) et Karen Morgan (Royaume-Uni). Leur article stipule, entre autres, que: « Comme vous le savez tous, le développement d’un vaccin contre le COVID19 est notre meilleur espoir de lutter efficacement contre l’épidémie mondiale actuelle. Cependant, il ne suffit pas de mettre au point un vaccin efficace (ou plusieurs): Encore faut-il que les gens reçoivent réellement le vaccin. Afin de parvenir à une compréhension plus approfondie des connaissances scientifiques récentes qui s’appliquent à d’éventuels vaccins liés au COVID-19 (c’est moi qui souligne), ce numéro spécial se concentrera sur les questions essentielles, les défis, les réussites et les nouvelles façons de considérer la prise d’un vaccin contre le COVID-19.« Pourquoi ne pas plutôt résoudre les problèmes relatifs aux vaccins? Il ne fait guère de doute que la revue ne publiera jamais un article qui rapporte les faits suivants: (a) que l’hypothèse explicite de la justification du Numéro Spécial est frauduleuse (voir c19study.com), (b) le fait de manipuler les gens pour qu’ils acceptent un vaccin pire qu’inutile est discutable et hautement contraire à l’éthique, et en fait irresponsable – comme le prouvent toutes les données du monde réel sur l’efficacité négative, et les résultats du Dr Fantini sur la facilitation de l’infection par anticorps. Voici un autre exemple » d’étude » qui met en avant des facteurs psychologiques derrière la vigilance face au risque vaccinal (pardon, je veux dire » l’hésitation vaccinale « ): Pas de vaccination psychologique: L’hésitation vaccinale est associée à des réactions psychiatriques négatives chez les Israéliens ayant reçu le vaccin COVID-19. Les auteurs affirment que leurs résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. C’est une « étude » étrange parce que la véritable vigilance face au risque vaccinal n’est pas représentée dans leur échantillon (les participants à l’étude étaient tous vaccinés), et les auteurs semblent avoir aboli la loi de la causalité: si des personnes vaccinées deviennent « hésitantes face au vaccin » et souffrent d’une anxiété nouvelle, d’une dépression nouvelle ou d’une détresse péritraumatique, ne peut-on pas raisonnablement considérer le vaccin comme un facteur contribuant à ces états mentaux? Les conclusions complètes des auteurs: « Les résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. Ces résultats soutiennent l’idée que le fait d’avoir des attitudes ambivalentes à l’égard de la vaccination est lié à la morbidité de la santé mentale (Fusick et al., 2020). En outre, il semble que le fait de recevoir des vaccins COVID-19 n’élimine pas l’effet de l’hésitation vaccinale sur la morbidité psychiatrique, et que certains individus qui déclarent une hésitation vaccinale continuent, malgré leur décision de recevoir le vaccin, à manifester des niveaux cliniques d’anxiété, de dépression et de stress, peut-être en raison de leurs craintes concernant la sécurité et les effets à long terme du vaccin (Palamenghi et al., 2020). » Quelle contorsion de la logique. La logique la plus élémentaire et la plus simple nous dit que lorsqu’on annonce à des personnes vaccinées qu’elles continueront à devoir se masquer, qu’elles devront continuer à se faire vacciner encore et encore, après leur avoir promis un retour à la normale, beaucoup, si ce n’est la plupart des gens, se sentiront angoissés, mis au pied du mur et manipulés.
Ré-ré-étiquetage. Les articles décrivant la résistance aux vaccins comme une « hésitation vaccinale » sont bien connus, mais saviez-vous qu’on tente de changer cette terminologie en « anxiété vaccinale »? Voici un article de septembre 2021 qui suggère que « les manifestants anti-vaccins sont habités par une anxiété existentielle« , citant un psychologue de l’Université Acadia (Joseph Hayes) qui suggère également que la meilleure façon de convaincre les personnes qui protestent contre les obligations vaccinales du COVID-19 est de « promouvoir l’idée que se faire vacciner aidera les gens à retrouver leurs libertés d’avant la pandémie » ainsi que « la valeur personnelle ou le caractère héroïque » de la vaccination. Bien sûr, nous savons tous maintenant que les vaccins COVID-19 n’empêchent pas la propagation du SARS-CoV-2, et Hayes n’est pas au courant des conclusions du Dr Fantini selon lesquelles la vaccination contre le variant de Wuhan pourrait, après Bêta, entraîner la facilitation de l’infection par anticorps. Hayes est un psychologue qui étudie certains aspects intéressants de la façon dont les gens réagissent aux menaces, mais il n’est ni vaccinologue, ni épidémiologiste, ni virologue, ni biologiste de l’évolution. Cette personne entend parler de choses qui dépassent son domaine d’expertise, fait la promotion de la manipulation, et décrit la notion de liberté individuelle comme une incitation à s’exposer à des risques qui étaient, en septembre 2021, tout à fait évidents. Cette tendance à rebaptiser le scepticisme rationnel en « anxiété » associe des cas d’anxiété clinique existante (établie) au refus du vaccin. Voici un article d’Ilene Rush, essayiste indépendante et auteur de fiction: « Comment gérer l’anxiété liée au vaccin contre le coronavirus« . Elle écrit que « Alors que la vaccination généralisée offre le meilleur espoir de mettre fin à la pandémie de COVID-19, des facteurs de stress liés à la santé mentale (appelons-les anxiété liée au vaccin COVID) découragent certaines personnes de se faire vacciner. » Rush cite ainsi Thea Gallagher, PsyD, professeur adjoint et directeur de la clinique externe du Centre de Traitement et d’Étude de l’Anxiété (Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety – CTSA) de la Perelman School of Medicine de l’Université de Pennsylvanie : « La meilleure façon de combattre l’hésitation vaccinale causée par l’anxiété est de s’appuyer sur des données fiables » – en d’autres termes, il faut accepter le récit malgré les études frauduleuses qui « montrent » prétendument que l’ivermectine n’est pas efficace; malgré le fait que les données d’Israël, du comté de Barnstable et d’ailleurs ont montré une efficacité négative, et malgré (encore) les résultats remarquables du Dr Fantini qui montrent que la facilitation de l’infection par anticorps se manifeste depuis décembre 2020 – dès le début du programme de vaccination. Mme Gallagher pense détenir la solution à l’anxiété vaccinale. D’abord, elle préconise de citer des « sites fiables » pour obtenir des « informations valables »… « Parmi les sites fiables qu’elle recommande pour obtenir des informations valables figurent les Centers for Disease Control, qui s’efforcent de publier des données claires aussi rapidement que possible. Vous pouvez également vous référer à un spécialiste des maladies infectieuses de confiance, comme le Dr Anthony Fauci, ou à un expert en vaccins, comme Paul Offit, MD. Ou encore, contactez votre propre médecin ou un spécialiste des maladies infectieuses en qui vous avez confiance pour parler de vos craintes. » Je doute que le sophisme invoqué ici ait besoin d’être expliqué. Elle propose ensuite d’autres « conseils » pour « combattre l’anxiété » suscitée par le vaccin COVID, notamment, littéralement, selon ses indications, en restreignant votre pensée (bien sûr):
» Freinez votre imagination (c’est moi qui souligne): L’anxiété liée au vaccin COVID est souvent alimentée par des scénarios imaginaires qui envisagent tout ce qui pourrait mal tourner. Par exemple, si vous craignez de vous faire vacciner par crainte d’une réaction allergique, consultez les faits: une étude sur le vaccin Pfizer a montré que des réactions allergiques surviennent environ 11,1 fois par million de patients. Sachez qu’avant de recevoir un vaccin, vous devez remplir un questionnaire sur vos antécédents de réactions allergiques à des injections antérieures. (c’est moi qui souligne). De plus, on vous demandera de demeurer au centre de vaccination pendant 15 à 30 minutes pour s’assurer que aucune réaction ne se produise. « (JLW: « Freinez votre imagination » signifie « n’utilisez pas les pouvoirs d’inférence logique que nous utilisons normalement: Si cela arrive aux autres, cela peut m’arriver à moi ». En ce qui concerne l’allergie, il est ironique de constater que cette dame est médicalement négligente si on se réfère au tableau 4 du CDC. Si vous suivez ses conseils, vous serez tout de même vacciné, sans avoir à vous soucier des problèmes chroniques à long terme liés à l’anaphylaxie qui survient chez certaines personnes après la vaccination).
» Faites une analyse risques-avantages: Penser au vaccin en termes de risques par rapport aux avantages peut aider à recadrer votre anxiété liée au vaccin COVID puisque les risques de contracter le COVID-19 sont bien pires que tout risque posé par les vaccins. « Rappelez-vous que les femmes enceintes reçoivent actuellement le vaccin parce que les risques du coronavirus sont bien pires que de se faire vacciner », déclare Mme Gallagher. Elle ignore ici le fait que toute analyse risque-bénéfice sur les vaccins et la santé publique exige une correspondance parfaite entre le discours relatif au risque et le risque réel lui-même. Tout indique que le déni du risque, des blessures et des décès liés aux vaccins et la minimisation de la perception du risque sont les modes opératoires utilisés pour accroître l’utilisation des vaccins.
Restez dans l’instant présent: En termes pratiques, M. Gallagher suggère d’établir un programme clair : prévoyez comment et quand vous vous rendrez au centre de vaccination, comment vous vous ferez vacciner, comment vous vous assiérez après pour attendre toute réaction négative. » Travaillez sur ce que vous devez faire pour franchir chaque étape et évitez d’anticiper le pire « , conseille-t-elle. Après vous avoir dit de renoncer à vos propres prévisions, elle vous explique ensuite ce que vous êtes autorisé à faire en matière d’imagination, de prévision et de planification. Incroyable. Elle recommande ensuite une thérapie, complétant ainsi le message de pathologisation (si vous n’êtes pas d’accord avec le discours dominant, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez vous et vous avez besoin d’une aide clinique): « Si l’anxiété continue à vous empêcher de vous faire vacciner, ou si vous avez fait toutes les recherches nécessaires auprès de sources fiables et que vous avez encore trop peur pour vous faire vacciner, ou si vous avez pris un rendez-vous et que vous l’avez évité, alors vous avez peut-être besoin de consulter un thérapeute », dit-elle.
Mettre l' »anxiété liée aux vaccins » sur le compte de la « désinformation ». Le Journal of Family Medicine and Primary Care a publié une lettre à la rédaction intitulée » La désinformation induit des anxiétés et des peurs affectant les programmes de vaccination » rédigée par deux auteurs. Ces auteurs attribuent « l’hésitation à se faire vacciner » au fait que « des niveaux élevés de dispositions psychologiques telles que (i) la sensibilité aux aiguilles et au sang (anxiété), (ii) le besoin de résolution cognitive (manque de tolérance à l’ambiguïté) et (iii) le désir de pureté morale (sentiments de dégoût) sont liés à la désinformation et à l’hésitation vaccinale. Les personnes des deux premiers groupes étaient plus sensibles à la désinformation sur les vaccins, et le troisième groupe était moins susceptible d’être affecté par la désinformation. Si le refus ou l’hésitation à se faire vacciner peuvent être associés aux facteurs mentionnés, certains facteurs émotionnels peuvent être à l’origine de l’hésitation, comme le fait de choisir de subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination. » et ils suggèrent que « La psychologie sociale peut jouer un rôle important dans la transformation des attitudes et de la perception des gens, en leur rappelant les normes sociales qui définissent que les gens considèrent que se faire vacciner est une norme et en utilisant les théories de la psychologie sociale pour modifier le comportement des gens. » Encore une fois, leur solution consiste à gérer la perception du risque, mais ne fait rien pour atténuer le risque réel. Tout ce qu’ils ont à proposer, c’est le négationnisme. Et dans celui-ci, le fait de « subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination » est présenté comme un risque de propagation du COVID-19. Si les gens comprennent les risques, le coût des « conséquences négatives du rejet » cité doit être considéré comme faible par rapport au coût des effets indésirables aigus et chroniques. Comment cela pourrait-il être le cas, si le monde est entièrement noyé dans la désinformation sur les risques liés aux vaccins?
Amalgamer la raison et la logique fondées sur la connaissance des droits personnels avec les processus de pensée affectifs. Le NYTimes et la revue Becker Hospital ont tous deux exhumé une étude de 2017 intitulée « Association of moral values with vaccine hesitancy » (association des valeurs morales avec l’hésitation vaccinale) qui faisait état d’associations significatives entre les notions de pureté et de liberté et l’hésitation. Plutôt que d’applaudir la connaissance des parents de leurs droits au consentement éclairé et des droits constitutionnels à l’autonomie corporelle, Becker’s Hospital Review explique qu’ « Il s’agit de croyances, pas de connaissances: Un ensemble de traits psychologiques lié au scepticisme à l’égard des vaccins » et le New York Times rapporte que « Le scepticisme à l’égard des vaccins était considéré comme un problème de connaissances. Il s’agit en fait de croyances viscérales. L’identification de ces traits psychologiques pourrait aider les responsables de la santé à convaincre la minorité non négligeable d’Américains qui ne veulent pas d’un vaccin contre le coronavirus. Le simple partage de l’information n’a pas fonctionné.« Considérer la connaissance de ses propres droits comme des « croyances psychologiques profondément ancrées » est une considération sans appel. Elle obéit au modèle dans lequel l’une des parties à un débat tente d’orienter la discussion vers le domaine émotionnel en provoquant son adversaire. L’approche du NYTimes reprise par Becker Hospital Review est subtile: qualifier la connaissance des droits d’une personne d' »intuition morale » – affective, non fondée sur le fait de la loi – afin de pouvoir la dépeindre comme fallacieuse. Tiré du texte de Becker: « En 2018, des scientifiques ont trouvé des schémas similaires dans un large échantillon de personnes hésitant à se faire vacciner dans 24 pays. ‘À la base, il y a ces intuitions morales – ces sentiments instinctifs – et elles sont très fortes’, a déclaré Jeff Huntsinger, PhD, un psychologue social à l’Université Loyola de Chicago… ‘Il est très difficile de les neutraliser avec des faits et des informations. On ne peut pas les raisonner de cette façon.' » Vous voulez dire que vous ne pouvez pas combattre les faits avec des mensonges, Jeff? Pour faire simple, le programme de manipulation de la perception des risques liés aux vaccins a échoué. Chacune des ressources citées partait de la fausse prémisse « Tout le monde sait que les vaccins COVID-19 sont le meilleur moyen de revenir à la normale » ou d’une formule similaire – certaines dataient même d’avant la mise au point des vaccins – pour ensuite dépeindre comme mentalement déficient quiconque montre l’une des compréhensions personnelles suivantes de l’équation risques/bénéfices: (a) le risque relatif de la vaccination est plus élevé que le bénéfice personnel de la vaccination, ou (b) le risque de la vaccination n’est pas suffisamment connu et/ou le bénéfice personnel potentiel n’est pas suffisamment connu, ou (c) ma perception et ma compréhension du risque de la vaccination ou du bénéfice de la vaccination ont été manipulées, et je n’ai donc pas confiance dans les allégations de bénéfice > risque, ou (d) ma perception et ma compréhension du risque ou du bénéfice de la vaccination reposent sur des informations solides, car j’ai fait preuve de diligence raisonnable et trouvé d’autres preuves ignorées par ceux qui promulguent le récit officiel. Toute personne assumant ces positions dispose d’un argument parfaitement rationnel pour refuser les vaccins COVID-19 en se basant sur des connaissances, la logique et la raison. Où vous situez-vous? Envoyez un commentaire ci-dessous. Tout ceci est un élément de la grande bataille pour le contrôle de notre pensée. Les oligarques aux commandes qui ont remplacé la médecine allopathique occidentale par le système de Santé Publique considèrent comme nécessaire la bataille visant à faire de la pensée rationnelle et de l’inférence un trouble psychologique, faute de quoi leurs chers programmes de vaccination ne pourront pas se poursuivre. Ils jouent la carte de l’incompréhension face à la spirale descendante de la confiance du public envers le CDC. Comme je l’ai expliqué ailleurs, chaque personne blessée, chaque parent ou enfant tué par des vaccins éveille davantage de personnes à la responsabilité légitime de faire ses propres choix de santé sur la base d’informations vérifiées. La confiance du public dans les « autorités » a disparu parce que celles-ci ont trahi cette confiance, à maintes reprises; l’utilisation de propagande ouverte à propos du COVID-19 a fortement renforcé la méfiance à l’égard des CDC, de l’industrie pharmaceutique et des médias. Leur avant-dernière tactique est la suivante: « maintenant, si vous n’êtes pas d’accord avec les récits dominants, vous êtes un malade mental ». Leur dernière tactique sera d’accuser les personnes qui décident de ne pas se faire vacciner de mettre en danger la santé mentale et la vie des autres. Il s’agit d’une tactique tirée du « premier programme de santé mentale » de la Chine, qui habilite le PCC à poursuivre un individu accusé de mettre en danger la santé mentale d’autrui. Une fois achevée la pathologisation de la logique et de la raison, nous verrons une nouvelle société dans laquelle les gens ne pourront pas aller à l’école, travailler, se marier, avoir des enfants, etc. à moins de passer le test de « croyance et compréhension normatives » de l’État. Ils seront bourrés de psychotropes, soumis à une rééducation visant à « normaliser » leurs processus cognitifs. L’utilisation de médicaments psychotropes aux États-Unis atteint des sommets – en 2012, l’APA a indiqué qu’un citoyen américain adulte sur cinq, soit 20 %, utilise aujourd’hui au moins une forme de médicaments psychotropes. Depuis, cette estimation a fluctué chaque année, jusqu’en 2021, date à laquelle les CDC ont indiqué qu’un Américain adulte sur cinq utilisait au moins une forme de médicament psychotrope « dans le contexte du COVID-19 » (soit une augmentation de 6,5 % par rapport aux années précédentes). Il ne fait aucun doute que l’industrie pharmaceutique est en train de ronger son frein pour trouver des moyens de faire figurer le reste d’entre nous – les 80% qui ne prennent pas encore de médicaments psychotropes – sur leur liste de consommateurs. Pendant ce temps, l’Organisation Mondiale de la Santé a fait de l’un de ses 30 points sur les considérations de santé mentale un décret selon lequel tous devraient « Assurer la disponibilité des médicaments psychotropes essentiels et génériques à tous les niveaux de soins de santé« . Le fait d’associer le scepticisme rationnel à un état clinique traitable n’est qu’un premier pas vers l’application clinique de modes de cognition spécifiques. C’est ce que nous ont enseigné de nombreuses œuvres de science-fiction, notamment le Brave New World d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell. De toute évidence, les mondialistes et leurs alliés de la Santé Publique n’ont pas été notifiés. Ces histoires dystopiques de science-fiction ont été présentées par leurs auteurs comme des avertissements, et non comme des recommandations. Vous aimez ce que vous avez lu? Envisagez de suivre des cours d’un semestre complet avec le Dr Lyons-Weiler et d’autres professeurs de l’IPAK-EDU! Les inscriptions sont ouvertes pour le trimestre d’été et les semestres d’automne! Vous ne le regretterez pas!
Texte original
The Pathologization of Reason, Logic and Knowledge Will End Western Civilization
Pulling a page from the CCP playbook, according to some, now you’re mentally ill if you question the official narrative. From 2021 onward, your brain is the battlefield. Protect it at all costs.
James Lyons-Weiler
May 17
A free full article, as always, full of links to reference material.
Two years before COVID-19, I warned that Pharma would work via our institutions toward mandating psychotropic medicines for the general population. With this article, I am ringing that alarm bell again. This a battle over rights, yes, and our brains are the battlefield.
Foundational knowledge – the basis of our understanding of reality – is not just in decay. It is being destroyed, systematically, by those who profit massively from imposed ignorance via censorship and the thought police. Without freedom of speech, there can be no freedom of thought. That’s one of the points that Benjamin Franklin made, writing as Silence Dogood, when he penned in the New England Courant (1722):
“Without Freedom of Thought, there can be no such Thing as Wisdom; and no such Thing as publick Liberty, without Freedom of Speech; which is the Right of every Man, as far as by it, he does not hurt or controul the Right of another: And this is the only Check it ought to suffer, and the only Bounds it ought to know.
“This sacred Privilege is so essential to free Governments, that the Security of Property, and the Freedom of Speech always go together; and in those wretched Countries where a Man cannot call his Tongue his own, he can scarce call any Thing else his own. Whoever would overthrow the Liberty of a Nation, must begin by subduing the Freeness of Speech; a Thing terrible to Publick Traytors.”
The realities that I, and others, had been reporting on as early as February 2020 are now vividly obvious as fact to nearly any thinking individual. During the past two years, your thought processes – your knowledge – your understanding – of the reality of disinformation campaigns about COVID-19, COVID-19 vaccines, and COVID-19 treatments has become pathologized in the biomedical literature to an extent that is difficult to imagine. This #PopularRationalism article chronicles that gaslighting in detail cataloging and characterizing their various methods of pathologizing dissent.
The number of articles, studies, letters to the editor, and online medium reports that represent thought processes of rational skepticism and critical analysis of clearly fraudulent messaging is stunning.
From early 2020 onward, hundreds of individuals bent on spreading their belief and faith in Fauci’s multifaceted misleading messaging attempted to pathologize (that is, turn into clinical psychiatric disease) vaccine risk awareness. Vaccine risk awareness is one of phrases I offered to counter the label “anti-vaccinism”; it was made popular in 2015 by a mention by Del Bigtree on The Highwire. Vaccine risk awareness is the knowledge of vaccine risk coupled with the knowledge of programs designed to minimize the public’s perception of risk).
There seem to be multiple approaches to the pathologization of vaccine risk awareness – and with it the best tools we have as a society for a rational and scientific basis for a stable future. Based on my deep dive into the issues, these include:
Association of mental illness with vaccine skepticism. The best examples of this include an April 2020 report from the UK’s University of Manchester that claimed that children of mentally ill others are less likely to be vaccinated. The article claimed that since 1/4 of mothers in the UK are mentally ill, 1/4 of the children in the UK could be a risk. The report did not seem to be bothered by their own statistic that 1/4 of mothers in the UK are mentally ill.
Armchair Psychology. This is exemplified by articles that list – and apparenly just make up out of thin air – “facts” about those who understand better than others the risks and lack of benefit of COVID-19 vaccines – such as “The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal” from TheConversation (Sept 29, 2021). Among the “psychological” barriers listed? Mistrust of ingredients. “Crisis of confidence”. “Dependency and conflict avoidance”. “Sense of rejection and exclusion”. “Anxiety and denial”. “Feeling of helplessness”. Read the article and see if you agree with me – these are not psychological barriers. “Sense of rejection and exclusion?” Yes, pretty much if you’re fired from your job or excluded from your community by the majority who vaccinated – and who now still get and spread COVID-19, you’re going to initially feel a sense of rejection and exclusion because that’s what the f- happened to you. Any crisis of confidence is really a problem for those perpetuating the con.
“Studies” attributing vaccine risk awareness directly to mental illness. A good example is the review article “Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy” (May 2021, Irish Journal of Medical Science). The authors write: “The concept of “vaccine hesitancy” is seen by the World Health Organization (WHO) as “one of the top ten threats to global health.” It is wondered whether the COVID-19 outbreak, which can be defined as a global and emergency situation, will solve the vaccine rejection problem that is worrying for public health for the last few decades [3]. Most of the current literature on vaccine hesitancy and resistance focuses on the clear causes individuals exhibit against a particular vaccine or vaccination programs in general [4]. Identifying psychological processes that distinguish vaccine-hesitant and resistant individuals from vaccine-sensitive individuals will be a guiding approach [5]. This approach may also provide the opportunity to adapt public health messages in accordance with the psychological tendencies of these individuals [6]. To date, many psychological structures have been investigated in relation to vaccine hesitancy. For example, altruistic beliefs [7]; personality traits neuroticism and conscientiousness [8]; conspiracy, religious, and paranoid beliefs [9]; distrust of authorized members of society such as government officials, scientists, and healthcare professionals have been associated with negative attitudes towards vaccines [12].” Note the target is “psychological structures”. The authors fail to explore or relay the legitimacy of the basis of any of these factors, notably the well-earned mistrust of what they call “authorized members of society”… the authorities who have been shown to be wrong on just about every knowledge claim they have tried to make. Their mixed bag of alleged vaccine-risk related psychoses themselves are detached from reality: most are examples of confirmation bias based the false presumption of vaccine safety. Another example is the article in BMJ Open that linked “vaccine hesitancy” to childhood trauma. I’ll summarize how I interpret the results first: People who have experienced childhood trauma are less easy to gaslight. No surprise there. Again, the authors suggest perception manipulation, not correcting what’s wrong with the vaccines or the studies hiding early treatment efficacy: “A better understanding of how to increase their trust in health systems and compliance with health guidance is urgently required. Without consideration of how best to engage such individuals, some risk being effectively excluded from population health interventions, remaining at higher risks of infection and posing a potential transmission risk to others.” -BMJ Other examples include those in an entire Special Issue of the MDPI Journal Vaccines to “Psychological Aspects of COVID-19 Vaccine Uptake: Principles and Empirical Strategies”, with Editors Efrat Neter (Israel) and Karen Morgan (UK). Their call for papers reads, in part: “As you are all well aware, developing a vaccine for COVID19 is our best hope for successfully confronting the current global epidemic.However, coming up with an effective vaccine (or several of them) is not enough: People need to actually take the vaccine. To achieve a more extensive understanding of recent scientific knowledge as it applies to possible COVID19-related vaccines (emphasis added), this Special Issue will focus on the critical issues, challenges, successes, and new ways of thinking about uptake of a COVID-19 vaccine.” How about fixing what’s wrong with the vaccines? There is little doubt that the journal would ever publish any paper that reports the facts (a) that the explicit assumption for the justification of the Special Issue has been shown to be false (see c19study.com), (b) the fact that manipulating people into taking a worse-than-useless vaccine moot and is highly unethical and is, indeed reckless – as evidenced by all of the real-world data on negative efficacy, and Dr. Fantini’s results on antibody dependent enhancement. Another example of a “study” that points to psychological factors determining vaccine risk awareness (I’m sorry, I meant “vaccine hesitancy”) is: No psychological vaccination: Vaccine hesitancy is associated with negative psychiatric outcomes among Israelis who received COVID-19 vaccination. The authors claim that their results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. It’s a weird “study” because, well, true vaccine risk awareness is not represented in their sample (the study participants were all vaccinated), and the authors seem to have suspended the law of causality: if people are vaccinated and become “vaccine hesitant” and have new anxiety, new depression, or are suffering from peritraumatic distress, might one reasonably look to the vaccine as a potential contributor to these mental states? The authors’ full conclusions: “The results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. These findings support the notion that holding ambivalent attitudes toward vaccination are related to mental health morbidity (Fusick et al., 2020). Furthermore, it seems that receiving COVID-19 vaccinations does not eliminate the effect of VH on psychiatric morbidity, and that some individuals who report VH continue, despite their decision to receive the vaccine, to demonstrate clinical levels of anxiety, depression, and stress, possibly due to their fears regarding its safety and long-lasting effects (Palamenghi et al., 2020).” What a contortion of logic. Basic, simple logic tells us that when people who are vaccinated are told they will still need to mask; they will still need to vaccinate over and over, after being promised a return to normal – well, many if not most people would feel distressed, put-upon and otherwise gas-lit.
Re-Re-Labeling. Articles describing vaccine resistance various as “vaccine hesitancy” are well known, but do you know of the attempt to shift that terminology to “vaccine anxiety”? Here’s an article from September, 2021, that proposed that “Anti-vaccine protesters fueled by existential anxiety”, citing a psychologist from Acadia University (Joseph Hayes) who also suggest that the best way to convince people protesting COVID-19 vaccine mandates was to “promote the idea that getting vaccinated will help people regain the freedoms they had before the pandemic” and also “‘the personal value or heroic nature’ of getting vaccinated”. Of course, we all now know that COVID-19 vaccines do not stop the spread of SARS-CoV-2, and Hayes does not know about Dr. Fantini’s findings that vaccination against the Wuhan variant could, after Beta, lead to antibody-dependent enhancement. Hayes is a psychologist who studies some interesting aspects of how people respond to threats, but he is none of the following: a vaccinologist, an epidemiologist, a virologist, an evolutionary biologist. This person is willing to speak about things beyond his area of expertise, offering a clearly manipulative manner, holding personal freedom out as bait for self-exposure to risks that were, in Sept 2021, abundantly evident. This move to recast rational skepticism as “anxiety” associates existing (established) clinical anxiety with vaccine refusal. Here’s an article from Ilene Rush, a freelance essayist and fiction writer: “How to Handle Coronavirus Vaccine Anxiety”. She offers “While widespread vaccination offers the best hope to end the COVID-19 pandemic, mental health stressors (call it COVID vaccine anxiety) are making some people less willing to receive a shot.” Rush cites Thea Gallagher, PsyD, assistant professor and director of Outpatient Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety (CTSA) in the Perelman School of Medicine at the University of Pennsylvania thusly: “The best way to combat vaccine hesitancy from anxiety is with reputable data” – in other words, accept the narrative in spite of fraudulent studies allegedly “showing” that ivermectin is not effective; in spite of the fact that the data from Israel, Barnstable County and elsewhere showed negative efficacy, and in spite (again) of Dr. Fantini’s remarkable results that show that ADE has been occurring since December 2020 – right from the start of the vaccine program. Gallagher believes that she has the solution for vaccine anxiety. First, she says cite “reliable sites” for “valid information”… “‘Among reliable sites she recommends for valid information are the Centers for Disease Control, which works to put out clear data as quickly as possible. Or, refer to a trusted infectious disease specialist such as Dr. Anthony Fauci or a vaccine expert such as Paul Offit, MD. Or contact your own doctor or an infectious disease doctor you trust to talk about your fears.” I doubt the fallacy invoked here needs to be explained. She then offers other “tips” to “combat anxiety” over the COVID vaccine, including, literally, per her direction, restricting your thought (of course):
“Check your imagination (emphasis added): COVID vaccine anxiety is often fueled by ‘what-if’s’—imagined scenarios of the many ways events can head south. For example, if you fear getting the vaccine because you might have an allergic reaction, consult the facts: one study of the Pfizer vaccine showed that allergic reactions occurred about 11.1 times per million patients. Know that before you receive a vaccine you must complete a questionnaire on your history of allergic reactions from earlier injections. (emphasis added). In addition, you will be asked to remain at the vaccination center for 15 to 30 minutes to assure a reaction does not occur. (JLW: “Check your imagination” means “do not use the powers of logical inference that we normally use: If it happens to others, it might happen to me”. Regarding allergy, ironically, she is medically negligent per CDC’s Table 4. Under her advice, you will still be vaccinated, with no concern over long-term chronic problems with anaphylaxis that occur in some people following vaccination).
“Run a risk-benefit analysis: Thinking of the vaccine in terms of risk vs. benefits may help reframe your COVID vaccine anxiety since the risks of contracting COVID-19 are much worse than any risk posed by vaccines. “Remember that pregnant women are currently receiving the vaccine because the risks of coronavirus are much worse than taking the shot,” says Gallagher. Here she ignores the fact that any risk-benefit analysis on vaccines and public health requires perfect correspondence between the messaging on risk and the actual risk itself, with all evidence pointing to vaccine risk, injury and death denialism and risk perception minimization as the M.O.s to increase vaccine uptake.
Stay in the moment: In practical terms, Gallagher suggests setting up a clear plan: map how and when you will get to the vaccination center, how you will get the shot, how you will sit afterward to wait for any negative reaction. “Work on what you need to do to follow through with each step and avoid anticipating the worst,” she advises. After telling you to shut down your own forecasting, she then wants to tell you the imagining – the forecasting and planning – you are allowed to do. Incredible. She then recommends therapy, completing the pathologization message (if you don’t agree the the mainstream narrative, there’s something wrong with you and you need clinical help): “If anxiety continues to keep you from getting a shot, or if you’ve researched everything from reliable sources and you’re still too scared to sign up for a vaccine, or if you’ve made an appointment and avoided it, then you might need to see a therapist for help,” she said.
Blaming “Vaccine Anxiety” on “Misinformation”. The Journal of Family Medicine and Primary Care published a Letter to the Editor entitled « Misinformation induced anxieties and fear affecting vaccination programs » by two authors. These authors attribute “vaccine hesitancy” to “high levels of psychological dispositions such as (i) needle/blood sensitivity (anxiety), (ii) need for cognitive closure (lack of tolerance to ambiguity), and (iii) desire for moral purity (feelings of disgust) are related with vaccine misinformation and hesitancy. The people on first two were more susceptible to vaccine misinformation, and the third was less likely to be affected by misinformation. While vaccine refusal or hesitancy may be associated with the mentioned factors, some emotional factors may cause hesitancy, such as choosing to suffer negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated.” and they suggest that “Social psychology can play a significant role in transforming the attitudes and perception of people, reminding them of social norms where people see getting vaccination is a norm and using social psychological theories in altering the behaviour of people.” Again, their solution is to manage the perception of risk, but do nothing to mitigate actual risk. All they have is denialism. And in this one, the act of “suffer(ing the) negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated is portrayed as a risk for spreading COVID-19. If people understand the risks, the cost of the cited “negative consequences of rejection” must be considered to be small compared to the cost of acute and chronic adverse reactions. How can this be so, if the world is blanketed and carpeted with disinformation about vaccine risk?
Conflating Reason and Logic Based on Knowledge of Personal Rights with Affective Thought Processes. The NYTimes and Becker Hospital review both dredged up a 2017 study “Association of moral values with vaccine hesitancy” that reported significant associations of purity and liberty with hesitancy. Rather than applaud parents’ knowledge of their rights to informed consent and the constitutional rights to bodily autonomy, Becker’s Hospital Review reported “It’s about beliefs, not knowledge: Set of psychological traits linked to vaccine skepticism” and the New York Times reported “Vaccine Skepticism Was Viewed as a Knowledge Problem. It’s Actually About Gut Beliefs. Identifying those psychological traits may help health officials convince the sizable minority of Americans who don’t want a coronavirus vaccine. Simply sharing information hasn’t worked.” To consider knowledge of one’s own rights as “deeply held psychological beliefs” is beyond reproach. It’s consistent with the pattern in which one party in an argument attempts to move the discussion to an emotional realm by provoking their opponent. The approach by NYTimes parroted by Becker Hospital Review was subtle: label a person’s knowledge of rights as “moral intuition” – affective, not based on the fact of law – so they might portray them as spurious. From Becker: “In 2018, scientists found similar patterns in a broad sample of vaccine-hesitant people in 24 countries. ‘At the root are these moral intuitions — these gut feelings — and they are very strong,’ said Jeff Huntsinger, PhD, a social psychologist at Loyola University Chicago… ‘It’s very hard to override them with facts and information. You can’t reason with them in that way.’” You mean you can’t fight facts with falsehoods, Jeff? Put simply, the vaccine risk perception manipulation program has failed. Each of the resources cited started with the false premise “Everyone knows COVID-19 vaccines are the best way back to normal” or similar – some even before the vaccines were developed – and then went on to portray as mentally defective anyone who holds any of the following personal understanding of the risk/benefit equation: (a) the relative risk of vaccination is higher than the personal benefit of vaccination, or (b) the risk of vaccination of not sufficiently well-known and/or the potential personal benefit is not sufficiently well known, or (c) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination has been manipulated, and I therefore do not trust any claim of benefit > risk, or (d) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination is based on solid information because I did my due diligence and found other evidence ignored by those who promulgate the official narrative. Anyone with these positions has a perfectly rational argument for refusing COVID-19 vaccines based on knowledge, logic and reason. Where do you fall? Drop a comment below. This Is Part of a Larger Battle Over Our Minds The oligarchs in charge who have replaced Western allopathic medicine with Public Health see the battle to make rational thought and inference a psychological disorder as necessary, otherwise, their beloved vaccination programs will not be able to continue. They act befuddled in the face of the downward spiral in public trust of the CDC. As I’ve explained elsewhere, every injured person, every dead parent or child killed by vaccines awakens more people to the legitimate responsibility of making one’s own health choices based on verified information. The public trust in “authorities” is gone because they have betrayed that trust, time and again; the use of overt propaganda on COVID-19 has largely cemented distrust in the CDC, Pharma and MSM. Their second-to-last-best gambit is “now, if you disagree with the core narratives, you are mentally ill”. Their last-best gambit will be to accuse individuals who decide to not vaccinate of putting other people’s mental health and lives at risk. This is a tactic taken from China’s “first mental health program”, which empowers the CCP to prosecute an individual charged with endangering the mental health of others. Once the pathologization of logic and reason is complete, we’ll see a new society in which people will not be able to go to school, work, get married, have children, etc. unless they can pass the State’s “Normative Belief and Understanding” test. They will be drugged up, subjected to re-education to “normalize” their cognitive processes. The use of psychotropic medicine in the US is off the charts – in 2012, APA reported that one is five, or 20% of adult American citizens are now using at least one form of psychotropic medicines. That estimate has varied every year since then, until 2021 when CDC reported that 1 in 5 adult American citizens are using at least one form of psychotropic medicines “amid COVID-19” (allegedly up 6.5% from previous years). Pharma is not doubt chomping at the bit to find ways to get the rest of us – the 80% not yet on psychotropic medicines – on their consumer list. Meanwhile, the World Health Organization made one of its 30-points about mental health considerations a decree that all should “Ensure availability of essential, generic psychotropic medications at all levels of health care”. The association of rational skepticism with a treatable clinical conditions is just a first step toward clinical enforcement of specific modes of cognition. We’ve seen this in so many sci-fi pieces – from Aldous Huxley’s Brave New World and George Orwell’s 1984, among others. Evidently, the globalists and their allies in Public Health did not get the memo. These dystopian sci-fi stories were offered by their authors as warnings, not as prescriptions. Like what you’ve read? Consider taking full-semester courses with Dr. Lyons-Weiler and other faculty at IPAK-EDU! Registration is open for the summer term and Fall Semesters! You won’t regret it!
Tout d’abord, j’aimerais que tous ces gens cessent de ne publier que des vidéos. Ça me prend un temps insensé pour transcrire leur bavardage avant de le traduire, alors que leur contenu pourrait être utilement résumé en quelques phrases écrites, en y incluant toutes les références utiles. Sauf exception éventuelle, c’est donc ce que je ferai désormais moi-même en commençant par ce clip, en réaction au format conférence Zoom/vidéo avec musique et effets visuels, produits de consommation « alternatifs » qui cultivent activement la maigre capacité d’attention du télespectateur lambda. Verba volant, scripta manent. Je résumerai aussi certaines infos que je n’ai soit pas le temps de développer, soit qui ne nécessitent pas de l’être, dans de futures éditions de « Nouvelles en vrac ».
La vidéo que le Dr Rashid Buttar a publié le 7 mai sur sa chaîne commence par une promo assez tonitruante pour le nouveau documentaire de la série Plandemic – dont ce sera le troisième épisode. J’ai publié à l’époque un lien vers les deux premiers épisodes de la série (sous-titrés en français), avant d’avoir récolté toutes les informations utiles sur Mikki Willis, le créateur de cette série.
Mikki Willis est un agent qui travaille pour le Renseignement – ce que les américains appellent un « spook« . Son rôle est de contrôler l’opposition – j’ai déjà expliqué mille fois ce mécanisme. Son cas est examiné – et à mon sens, réglé – à la page 2 et 3 de ce document déjà référencé dans mon article sur le Dr David Martin. Je ne veux décourager personne de regarder cette série mais je tenais à avertir le lecteur. Le fait que la vidéo du Dr Buttar commence par cette promo est un signal. J’en évoque d’autres tout aussi éloquents en fin d’article.
Après cette promo, le Dr Buttar annonce une nouvelle « crise », dont il dit avoir reçu confirmation par diverses sources, et s’appuie pour valider sa nouvelle révélation sur le fait qu’il aurait prédit avec justesse dès février 2020 tout ce qui s’est passé depuis lors dans la crise Covid. La « deuxième vague » était selon lui un composite des effets des injections et de la perturbation des canaux calciques voltage-dépendants causée par la 5g, qui induit une perméabilité à divers pathogènes, dont certains virus comme le corona, aggravée par les autres éléments découverts dans les flacons, dont fait partie le glyphosate.
Sa nouvelle prédiction est qu’il se trouve dans les injections – outre les nanoparticules, sujet déjà abondamment abordé sur ce blog – un genre de « cellule dormante » qui sera activée, à une date encore indéterminée, par un bombardement d’ondes du réseau 5g, d’une durée d’une minute, dans la gamme qui se situe entre 16 et 18 Ghz, qui libèrera une « charge » [payload] virale de trois pathogènes différents contenus dans les particules lipidiques (ou hydrogel). L’oxyde de graphène et les nano-structures présentes dans le sang des personnes injectées joueront vraisemblablement un rôle dans ce phénomène. La libération d’un de ces trois pathogènes contenus dans cette charge provoquera une fièvre hémorragique connue comme maladie de Marburg. Le taux de mortalité de cette maladie est de 88% mais le Dr Buttar spécule que ce mode de contamination particulier pourrait occasionner un taux de mortalité de 100%. Il estime que les personne non-injectées et dont le système immunitaire est intact seront à l’abri des pires effets de la contagion subséquente. Ces millions de décès créeront un vent de panique dans les populations et permettront une prise d’autorité sans précédent par les gouvernements qui instaureront l’état d’urgence, par l’armée qui prendra le contrôle via loi martiale, et par les institutions nationales et internationales, le CDC (aux Etats-Unis) et l’OMS, qui imposeront globalement des obligations vaccinales. Le Dr Buttar pense que tout ceci pourrait se produire cette année-même, devant la perte de contrôle du narratif infligé aux peuples depuis le début du Covid. D’après le Dr Buttar, l’ensemble de l’opération est dirigé par un noyau de 500 à 600 personnes, relayées par des personnes clé dans les gouvernements et les institutions.
Le Dr Buttar rappelle aussi qu’il a consacré beaucoup de temps et d’énergie à prévenir le public du danger potentiel des injections Covid mais que comme il n’a pas été écouté, il se désolidarise du sort prochain des personnes injectées. Il souligne que le choix de ceux qui ont cédé aux chantages à l’emploi n’a aucun sens, face à la menace sur leur existence même. Je note au passage qu’il ne semble pas faire grand cas des enfants, à qui on a pas laissé le choix, ou qui étaient des proies faciles pour la propagande.
Le Dr Buttar précise toutefois qu’il existerait une méthode permettant de contrer la présence dans le corps humain des éléments précités et donc d’éviter leur activation et ses conséquences. Pour des raisons d’efficacité et de sécurité, il tient toutefois à annoncer publiquement cette méthode lors de son passage à la quatrième édition de la Annual Advanced Medicine Conference (Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe), qui se tiendra les 28, 29 et 30 mai – c’est-à-dire à partir de demain si vous lisez cet article le jour de sa parution.
Quelques remarques:
Une des vidéos du Dr Buttar montre son intervention récente à l’événement Reawaken America, qui est essentiellement un outil de promotion du « clan » Trump – y figurent au nombre de ses invités le général Flynn, Roger Stone et Eric Trump. Faut-il rappeler que le vaccin contre lequel le Dr Buttar sonne depuis deux ans l’alerte maximale est l’oeuvre de Donald J. Trump, qui ne désavoue en rien sa création mais continue à en faire une promotion active?
La quatrième Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe accueillera quelques invités familiers de mes lecteurs et théoriquement dignes de confiance, mais également des personnages comme le Dr David Martin et le Dr Bryan Ardiss, totalement discrédités.
A propos du Dr Bryan Ardis, on peut observer une similitude avec la récente annonce du Dr Buttar: il s’agit d’une révélation fracassante, qui reprend des éléments connus pour en faire une théorie plutôt hardie, et les deux disent avoir été renseignés ou guidés par une tierce personne, dont ils ne révèlent pas l’identité.
A propos de révélation fracassante, dans ce récent article, Reiner Fuellmich chiffre l’objectif de l’ensemble de l’opération Covid/guerre/famine/Grand Reset/etc. à une dépopulation de 80% au niveau mondial. Une analyse – dont je n’ai plus la référence sous la main, sorry – calcule qu’une simple panne d’Internet de deux mois suffirait à éliminer ce même pourcentage de la population. Pourquoi alors avoir mis en place toute cette opération si quelque chose d’aussi simple que l’arrêt d’Internet offrait le même résultat? D’autre part, un taux de décès de 80% de la population mondiale ne pourrait être qu’une étape transitoire, le chaos indescriptible qui en résulterait éliminant probablement la majorité des 20% restant – le taux final se situerait donc plutôt autour de 99%. Penser qu’il serait possible d’établir une quelconque forme de gouvernance ou de loi martiale dans de telles conditions est une absurdité. On serait plutôt dans un scénario apocalyptique du style I am Legend ou The Book of Eli.
Dernière remarque, d’un point de vue purement technique, ce qu’annonce le Dr Buttar semble irréalisable pour la simple raison que de très vastes territoires ne disposent toujours pas de réseau 5g. On pourrait toutefois imaginer que les personnes hors-réseau seraient déplacées sous la contrainte dans des zones desservies par ce réseau, ce qui scellerait leur destin. Un déplacement d’une telle ampleur ne serait toutefois pas évident à mener. Je dirai toutefois qu’il existe une possibilité et un intérêt d’employer la 5g en synergie avec les nanoparticules vaccinales pour cibler certains individus, et que les fameuses adresses Mac des personnes injectées pourraient servir à cet objectif. Je pense d’ailleurs qu’une technologie de cet ordre a été employée au concert de Travis Scott, sur lequel j’avais promis un article, projet que je n’ai ni oublié ni abandonné mais pour lequel je n’ai juste pas encore trouvé le temps.
Quoiqu’il en soit, je ne manquerai pas de visionner l’intervention du Dr Buttar, de la résumer et de la commenter ici, d’autant que mon épouse n’est pas très partante pour m’accompagner au cirque qui s’est établi dans le village voisin.
Je publie ceci pour quelqu’un en particulier et bien entendu pour toutes les personnes qui pourraient en avoir besoin. Je traduirai également les autres guides publiés sur le même site référencés dans le texte, à toutes fins utiles.
Je rappelle aussi l’utilité de lire ce très long témoignage, publié sur ce blog il y a un an, de cette dame très courageuse et tenace qui a fait un Covid long à partir de mars 2020 et qui recensait déjà un nombre impressionnant de contre-mesures au Covid que l’on (re)découvre seulement maintenant.
Posté le 30 novembre 2021, Mis à jour le 3 mai 2022
À propos de ce guide
Ceci est un guide évolutif contenant des informations nouvelles sur la façon d’éliminer de l’organisme les protéines de pointe d’origine virale et vaccinale. Les listes de plantes médicinales et d’autres médicaments et compléments ont été compilées dans le cadre d’une collaboration entre des médecins internationaux, des scientifiques et des praticiens de la médecine holistique.
Les infections à Covid-19, les vaccins Covid-19 et la question des effets nocifs des protéines de pointe étant nouveaux, ce guide s’appuie sur des recherches médicales établies et émergentes ainsi que sur l’expérience clinique de médecins internationaux et de praticiens de la santé holistique ; il évoluera au fur et à mesure de l’apparition de nouvelles preuves.
Les médicaments et les suppléments exempts de brevet inclus dans ce guide peuvent présenter une disponibilité différente dans le monde.
Qui pourrait bénéficier de ces informations?
Si vous avez contracté le Covid-19, si vous avez récemment reçu une injection Covid-19 ou si vous présentez des symptômes qui pourraient être liés à la transmission du vaccin Covid-19 (également appelée excrétion), vous pourriez bénéficier de l’utilisation d’un ou plusieurs éléments de notre liste de médicaments et de suppléments pour réduire la charge en protéine de pointe. La protéine de pointe, qui fait partie du virus Covid-19 et qui est produite dans notre corps après l’inoculation, peut circuler dans notre corps et endommager les cellules, les tissus et les organes.
De nombreuses personnes n’ont pas réussi à trouver de l’aide pour une maladie liée à la protéine de pointe (également appelée « spikopathie ») [NdT. de « spikopathy », intraduisible autrement] auprès des services de santé existants. Ces informations sont pertinentes si vous avez eu des réactions indésirables après une injection, si vous avez été victime de Covid Long ou si vous souffrez du Syndrome Post-Injection Covid (SPIC).
Remarque importante : ce guide est uniquement destiné à des fins éducatives. Si vous êtes malade après la vaccination, veuillez demander l’aide d’un médecin ou d’un praticien de santé holistique. Pour obtenir des informations sur les maladies consécutives à l’injection de Covid, consultez le guide post-injection du WCH.
La protéine de pointe est présente dans tous les variants du SARS-CoV-2. Elle est également produite dans votre organisme lorsque vous recevez une injection de Covid-19. Même si vous n’avez pas eu de symptômes, que vous n’avez pas été testé positif au Covid-19 ou que vous n’avez pas présenté d’effets secondaires après une injection, il se peut que des protéines de pointe persistent dans votre organisme. Afin de les éliminer après une injection ou une infection, les médecins et les praticiens holistiques suggèrent quelques actions simples.
On pense que le fait de débarrasser l’organisme des protéines de pointe (ce qui sera appelé détoxification dans la suite du texte) dès que possible après une infection ou un vaccin peut protéger contre les dommages causés par les protéines de pointe restantes ou en circulation.
Dans ce guide, nous aborderons plusieurs caractéristiques clés de ces affections qui peuvent être ciblées au cours d’une détoxification :
La protéine de pointe
Les récepteurs ACE2
L’interleukine 6 (IL-6)
La furine
La sérine protéase
Informations importantes sur la sécurité avant de commencer une détoxification
N’entreprenez pas une cure de détoxification aux protéines de pointe sans la supervision d’un professionnel de la santé de confiance. Veuillez noter les points suivants:
Le thé aux aiguilles de pin, le neem [margousier], la consoude, l’Andrographis paniculata – Ne doivent PAS être consommés pendant la grossesse.
Magnésium – Un surdosage est possible, et il est plus difficile à détecter lors de la consommation de magnésium liposomal. Par conséquent, envisagez un mélange de magnésium liposomal et conventionnel, ou seulement du magnésium conventionnel.
Zinc – Lorsque vous consommez une multivitamine qui contient déjà du zinc, veillez à ajuster la quantité de zinc consommée dans les autres compléments.
Nattokinase – Ne pas prendre si vous utilisez des anticoagulants, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez.
Tenez toujours compte du dosage – Lorsque vous prenez une multivitamine, n’oubliez pas d’ajuster la quantité de chaque complément en conséquence. (Par exemple, si votre multivitamine contient 15 mg de zinc, vous devez réduire votre supplémentation en zinc de cette quantité).
Millepertuis – Ce médicament interagit avec de nombreux médicaments. Il ne doit pas être pris sans l’avis de votre médecin si vous prenez d’autres médicaments.
Mesures proactives et de soutien
Pratiquement toutes les maladies sont plus faciles à gérer à un stade précoce. Après tout, il est nettement préférable d’éviter complètement une crise de santé que d’y réagir. Comme le dit le proverbe, mieux vaut prévenir que guérir.
Une alimentation saine est essentielle pour soutenir le système immunitaire.
Conseils
Modifiez votre régime alimentaire de manière à réduire la consommation d’aliments pro-inflammatoires. Un régime pauvre en histamine est recommandé. Évitez les aliments transformés et les OGM.
Les aliments figurant dans le tableau 1 peuvent également être intégrés au régime alimentaire quotidien avant de contracter le Covid-19 ou de recevoir une piqûre de Covid-19, si vous choisissez quand même de le faire.
Le jeûne intermittent : La pratique du jeûne intermittent consiste à mettre en place des horaires de repas qui alternent entre des périodes de jeûne volontaire et de non-jeûne. En général, les personnes qui pratiquent le jeûne intermittent consomment toutes leurs calories quotidiennes dans un délai de 6 à 8 heures chaque jour. Cette méthode de régime est utilisée pour induire l’autophagie, qui est essentiellement un processus de recyclage qui a lieu dans les cellules humaines, où les cellules dégradent et recyclent les composants. L’autophagie est utilisée par l’organisme pour éliminer les protéines cellulaires endommagées et peut détruire les virus et les bactéries nuisibles après une infection.
La consommation quotidienne d’une multivitamine est conseillée. Elle fournit un apport de base en vitamine A, vitamine E, iode, sélénium, oligo-éléments et autres, en plus de la vitamine C et de la vitamine D3.
La thérapie thermique, comme les saunas et les bains chauds, est considérée comme un bon moyen de détoxification des protéines de pointe.
Qu’est-ce que la protéine de pointe?
Le virus du SARS-CoV-2 contient une protéine en pointe à sa surface. Si vous avez vu des images du coronavirus, il s’agit des protubérances semblables à celles du soleil que l’on voit souvent à l’extérieur du virus.
Lors d’une infection naturelle, les protéines de pointe jouent un rôle clé en aidant le virus à pénétrer dans les cellules de votre corps. Une région de la protéine, appelée S2, fusionne l’enveloppe virale à votre membrane cellulaire. La région S2 permet également à la protéine de pointe du coronavirus d’être facilement détectée par le système immunitaire, qui produit alors des anticorps pour cibler et se lier au virus.
Les protéines de pointe sont également produites par l’organisme après une injection Covid-19, et leur fonctionnement est similaire: elles sont capables de fusionner avec les membranes cellulaires. En outre, comme elles sont fabriquées dans vos propres cellules, celles-ci sont ensuite ciblées par votre système immunitaire dans le but de détruire la protéine de pointe. Ainsi, la réponse de votre système immunitaire aux protéines de pointe peut endommager les cellules de votre corps.
Pourquoi devrais-je envisager de me détoxifier de la protéine de pointe?
La protéine de pointe provenant d’une infection naturelle ou d’un vaccin Covid endommage les cellules de notre corps. Il est donc important de prendre des mesures pour s’en détoxifier du mieux que l’on peut.
La protéine de pointe est une partie hautement toxique du virus, et la recherche a établi un lien entre la protéine de pointe induite par le vaccin et les effets toxiques. La recherche sur la protéine de pointe se poursuit.
La protéine de pointe du virus a été liée à des effets indésirables, tels que: caillots sanguins, brouillard cérébral, pneumonie organisée et myocardite. Elle est probablement responsable d’un grand nombre des effets secondaires du vaccin Covid-19 discutés dans le guide post-injection du WCH.
Une étude japonaise sur la biodistribution du vaccin Pfizer a révélé que, dans les 48 heures suivant la vaccination, les particules du vaccin avaient voyagé vers divers tissus de l’organisme et n’étaient pas restées au point d’injection, avec des concentrations élevées dans le foie, la moelle osseuse et les ovaires.
Les preuves émergentes sur la spikopathie suggèrent que des effets liés à l’inflammation et à la coagulation peuvent se produire dans tout tissu dans lequel la protéine de pointe s’accumule. En outre, des études évaluées par des pairs sur des souris ont révélé que la protéine de pointe est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Ainsi, chez l’homme, elle pourrait potentiellement entraîner des dommages neurologiques si elle n’est pas éliminée de l’organisme.
Comment réduire votre charge en protéines de pointe
L’aide aux personnes atteintes de Covid Long et de maladies post-vaccinales est un domaine nouveau et émergent de la recherche et de la pratique en matière de santé. Les listes suivantes contiennent des substances qui peuvent être utiles. Cette liste a été compilée par des médecins internationaux et des praticiens holistiques ayant des expériences diverses dans l’aide aux personnes souffrant de Covid-19 et de maladies post-vaccinales.
Heureusement, il existe une multitude de solutions naturelles et facilement accessibles pour réduire la charge protéique de votre corps.
Certains « inhibiteurs de liaison protéique » empêchent la liaison de la protéine de pointe aux cellules humaines, tandis que d’autres neutralisent la protéine de pointe afin qu’elle ne puisse plus causer de dommages aux cellules humaines.
Inhibiteurs de la protéine de pointe: Prunella vulgaris, aiguilles de pin, émodine, neem, extrait de feuille de pissenlit, ivermectine.
Neutralisateurs de protéines de pointe: N-acétylcystéine (NAC), glutathion, thé de fenouil, thé d’anis étoilé, thé d’aiguilles de pin, millepertuis, feuille de consoude, vitamine C.
Plusieurs plantes présentes dans la nature, notamment les aiguilles de pin, le fenouil, l’anis étoilé, le millepertuis et la feuille de consoude, contiennent une substance appelée acide shikimique, qui peut contribuer à neutraliser la protéine de pointe. L’acide shikimique peut aider à réduire plusieurs effets néfastes possibles de la protéine de pointe, et on pense qu’il contrecarre la formation de caillots sanguins.
Des doses orales régulières de vitamine C sont utiles pour neutraliser toute toxine.
Le thé aux aiguilles de pin a de puissants effets antioxydants et contient des concentrations élevées de vitamine C.
La nattokinase (voir tableau 1), une enzyme dérivée du plat de soja japonais « Natto », est une substance naturelle dont les propriétés peuvent contribuer à réduire l’apparition de caillots sanguins.
Qu’est-ce que le récepteur ACE2?
Le récepteur ACE2 est situé dans la paroi cellulaire, dans les parois des poumons et des vaisseaux sanguins, et dans les plaquettes. La protéine de pointe se fixe aux récepteurs ACE2.
Si les protéines de pointe se lient à la paroi cellulaire et restent en place, elles peuvent inciter le système immunitaire à attaquer les cellules saines et éventuellement déclencher une maladie auto-immune.
La protéine de pointe pourrait se fixer aux récepteurs ACE2 situés sur les plaquettes sanguines et les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des saignements ou une coagulation anormale, deux phénomènes liés à la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (TTIV).
Comment détoxifier vos récepteurs ACE2
Substances qui protègent naturellement les récepteurs ACE2:
Ivermectine
Hydroxychloroquine (avec du zinc)
Quercétine (avec du zinc)
Fisétine
Des données suggèrent que la liaison de l’ivermectine au récepteur ACE2 empêche la protéine de pointe de se lier à lui.
Qu’est-ce que l’interleukine 6?
L’interleukine 6, ou IL-6, est une protéine cytokine principalement pro-inflammatoire. Cela signifie qu’elle est naturellement produite par l’organisme en réponse à une infection ou à une lésion tissulaire et qu’elle déclenche la réponse inflammatoire.
Pourquoi cibler l’IL-6?
Certaines substances naturelles aident le processus de détoxification post-injection en ciblant l’interleukine 6.
Des preuves scientifiques montrent que les cytokines telles que l’IL-6 sont présentes à des niveaux beaucoup plus élevés chez les personnes infectées par le Covid que chez les personnes non infectées.
Les cytokines pro-inflammatoires telles que l’IL-6 sont également exprimées après la vaccination, et des études suggèrent qu’elles peuvent atteindre le cerveau.
Les listes suivantes de substances naturelles, dont plusieurs compléments alimentaires anti-inflammatoires de base, peuvent être utilisées pour prévenir les effets indésirables de l’IL-6 en inhibant son action.
Inhibiteurs de l’IL-6 (anti-inflammatoires): Boswellia serrata (encens) et extrait de feuilles de pissenlit.
Autres inhibiteurs de l’IL-6: Cumin noir (Nigella sativa), curcumine, huile de poisson et autres acides gras, cannelle, fisétine (flavonoïde), apigénine, quercétine (flavonoïde), resvératrol, lutéoline, vitamine D3 (avec vitamine K2), zinc, magnésium, thé au jasmin, épices, feuilles de laurier, poivre noir, muscade et sauge.
Plusieurs substances naturelles d’origine végétale sont utilisées dans la thérapie antivirale. Il a été démontré que la quercétine, un pigment végétal, présente un large éventail d’effets anti-inflammatoires et antiviraux.
Les substances qui inhibent naturellement la sérine protéase et peuvent aider à réduire les niveaux de protéines de pointe dans l’organisme:
Thé vert
Tubercules de pomme de terre
Algues bleu-vert
Fèves de soja
N-Acétyl Cystéine (NAC)
Boswellia (encens)
Que prendre? Quelle quantité prendre? D’où provient-il? Où se le procurer?
Tableau 1. Médicaments et compléments qui peuvent être envisagés
Substance
Source(s) naturelle(s)
Où se procurer
Dose recommandée
Ivermectine
Bactéries du sol (avermectine)
Sur ordonnance
0,4mg/kg par semaine pendant 4 semaines, puis par mois *Vérifiez les instructions de l’emballage pour déterminer s’il existe des contre-indications avant l’utilisation.
Hydroxychloroquine
Sur ordonnance
200 mg par semaine pendant 4 semaines *Vérifier les instructions de l’emballage pour déterminer s’il y a des contre-indications avant l’utilisation.
Vitamine C
Agrumes (par exemple, oranges) et légumes (brocoli, chou-fleur, choux de Bruxelles)
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
6 à 12 g par jour (répartis équitablement entre l’ascorbate de sodium (plusieurs grammes), la vitamine C liposomale (3 à 6 g) et le palmitate d’ascorbyle (1 à 3 g).
Prunella Vulgaris (communément appelé auto-guérison)
Plante d’auto-guérison
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
7 onces (207ml) par jour
Aiguilles de pin
Pin
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Consommez du thé 3 fois par jour (consommez également l’huile/résine qui s’accumule dans le thé).
Neem
Arbre margousier
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Selon les instructions de votre praticien ou de votre préparation
Extrait de feuille de pissenlit
Pissenlit
Supplément (thé de pissenlit, café de pissenlit, teinture de feuilles) : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Teinture selon les instructions de votre praticien ou de votre préparation.
N-Acetyl Cysteine (NAC)
Aliments riches en protéines (haricots, lentilles, épinards, bananes, saumon, thon)
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
400mg x 2 par jour
*Vérifier les contradictions
Extrait de chardon-marie
Silymarine
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
200mg x 3 par jour
Soja (biologique)
Fèves de soja
Épiceries, magasins de produits diététiques
La plupart de ces articles sont facilement trouvables dans les épiceries locales ou sous forme de compléments alimentaires dans les magasins d’aliments naturels.
Remarque: Cette liste n’est pas exhaustive et d’autres substances, comme la serrapeptase et l’huile de CBD, ont également été suggérées. Le World Council for Health continuera à mettre à jour ce document à mesure que de nouvelles informations apparaîtront.
Certains praticiens holistiques recommandent également des substances pour nettoyer l’organisme des métaux après la vaccination, comme la zéolite et le charbon actif. Le WCH préparera en temps voulu des conseils sur la façon de se détoxifier des métaux.
Les dix principaux éléments essentiels de la détoxification des protéines de pointe:
Vitamine D
Vitamine C
NAC (N-acétylcystéine)
Ivermectine
Graine de nigelle
Quercétine
Zinc
Magnésium
Curcumine
Extrait de chardon-marie
Pour plus d’informations et des protocoles spécifiques, voici quelques sites web qui peuvent vous intéresser:
Cliquez ici pour télécharger un guide PDF de la Caring Healthcare Workers Coalition.
Texte original
Spike Protein Detox Guide
Posted on November 30, 2021, Updated on May 3, 2022
About this guide
This is an evolving guide with emerging information on how to clear viral and vaccine-induced spike proteins from the body. The lists of herbal and other medicines and supplements have been compiled in a collaboration between international doctors, scientists, and holistic medical practitioners.
As Covid-19 infections, Covid-19 vaccines, and the issue of spike protein harms are new, this guide is informed by established and emerging medical research as well as the clinical experience of international medical doctors and holistic health practitioners; it will evolve as new evidence emerges.
The patent-free medicines and supplements included may have differing availability around the world.
Who might benefit from this information?
If you have had Covid-19, have recently had a Covid-19 injection, or are experiencing symptoms that may be related to Covid-19 vaccine transmission (also called shedding), you may benefit from using one or more items from our list of medicines and supplements to reduce spike protein load. The spike protein, which is both a part of the Covid-19 virus and is produced in our bodies after inoculation, can circulate around our bodies causing damage to cells, tissues, and organs.
Many people have been unable to find help for spike protein related illness (also called spikopathy) through existing healthcare services. This information is relevant if you have experienced adverse reactions after a jab, have Long Covid, or have post Covid-Injection Syndrome (pCoIS).
Important Note: This guide is for education only. If you are ill after vaccination, please seek help from a medical doctor or an holistic health practitioner. For information on post Covid-injection illnesses, see the WCH post-injection guide.
The spike protein can be found in all SARS-CoV-2 variants. It is also produced in your body when you get a Covid-19 injection. Even if you have not had any symptoms, tested positive for Covid-19, or experienced adverse side effects after a jab, there may still be lingering spike proteins inside your body. In order to clear these after the jab or an infection, doctors and holistic practitioners are suggesting a few simple actions.
It is thought that cleansing the body of spike protein (referred to as a detox from here on) as soon as possible after an infection or jab may protect against damage from remaining or circulating spike proteins.
In this guide, we will discuss several key features of these conditions that can be targeted during a detox:
The spike protein
ACE2 receptors
Interleukin 6 (IL-6)
Furin
Serine protease
Important Safety Information Before Beginning a Detox
Please do not undertake a spike protein detox without supervision from your trusted health practitioner. Please note the following:
Pine needle tea, neem, comfrey, Andrographis paniculata – Should NOT be consumed during pregnancy.
Magnesium – Overdosing is possible, and it is more difficult to detect when consuming liposomal magnesium. Therefore, consider a mixture of liposomal and conventional magnesium, or just conventional magnesium.
Zinc – When consuming a multivitamin that already includes zinc, be sure to adjust the quantity of zinc consumed in other supplements.
Nattokinase – Do not take while using blood thinners or if you are pregnant or nursing.
Always consider dosing – When taking a multivitamin, remember to adjust the amount of individual supplements accordingly. (e.g. If your multivitamin contains 15mg of zinc, you should reduce your zinc supplementation by that amount.)
St John’s Wort – This medicine interacts with many pharmaceutical drugs. It should not be taken if you are on other medication without advice from your doctor.
Proactive and supportive measures
Virtually all conditions are more easily managed in their early stages. After all, it is certainly preferable to avert a health crisis entirely than it is to react to one. As the saying goes, an ounce of prevention is worth a pound of cure.
A healthy diet is vital to support a healthy immune system.
Tips
Alter your diet so as to reduce consumption of pro-inflammatory food items. A low histamine diet is recommended. Avoid processed foods and GMOs.
The food items found in Table 1 may also be incorporated into daily diets prior to contracting Covid-19 or receiving a Covid-19 jab, if you still choose to do so.
Intermittent fasting: The practice of intermittent fasting involves implementing meal timing schedules that switch back and forth between periods of voluntary fasting and non-fasting. Commonly, those who practice intermittent fasting consume all of their daily calories within 6-8 hours each day. This method of dieting is used to induce autophagy, which is essentially a recycling process that takes place in human cells, where cells degrade and recycle components. Autophagy is used by the body to eliminate damaged cell proteins and can destroy harmful viruses and bacteria post-infection.
Daily consumption of a multivitamin is advised. It provides a basic supply of vitamin A, vitamin E, iodine, selenium, trace elements, and more in addition to vitamin C and vitamin D3.
Heat therapy, such as taking saunas and hot baths, are considered a good way of detoxing spike protein.
What is the spike protein?
The SARS-CoV-2 virus contains a spike protein on its surface. If you’ve seen images of the coronavirus, it is the sun-like protrusions often pictured on the outside of the virus.
During a natural infection, spike proteins play a key role in helping the virus enter the cells of your body. A region of the protein, known as the S2, fuses the viral envelope to your cell membrane. The S2 region also allows for the coronavirus spike protein to be easily detected by the immune system, which then makes antibodies to target and bind the virus.
Spike proteins are also produced by your body after taking a Covid-19 jab, and they function similarly in that they are able to fuse to cell membranes. In addition, since they are made in your own cells, your cells are then targeted by your immune system in an effort to destroy the spike protein. Thus, your immune system’s response to spike proteins can damage your body’s cells.
Why should I consider detoxing from the spike protein?
The spike protein from a natural infection or a Covid vaccine causes damage to our body’s cells, so it is important to take action to detoxify from it as best as we are able.
The spike protein is a highly toxic part of the virus, and research has linked the vaccine-induced spike protein to toxic effects. Spike protein research is ongoing.
The virus spike protein has been linked to adverse effects, such as: blood clots, brain fog, organising pneumonia, and myocarditis. It is probably responsible for many of the Covid-19 vaccine side effects discussed in the WCH post-injection guide.
A Japanese biodistribution study for the Pfizer vaccine found that, in the 48 hours post-vaccination, vaccine particles had travelled to various tissues throughout the body and did not stay at the injection site, with high concentrations found at the liver, bone marrow, and ovaries.
Emerging evidence on spikopathy suggests that effects related to inflammation and clotting may occur in any tissue in which the spike protein accumulates. In addition, peer-reviewed studies in mice have found that the spike protein is capable of crossing the blood-brain barrier. Thus, in humans it could potentially lead to neurological damage if it is not cleared from the body.
How to reduce your spike protein load
Supporting people with Long Covid and post-vaccine illness is a new and emerging field of health research and practice. The following lists contain substances that may be useful. This list has been compiled by international doctors and holistic practitioners with diverse experiences in helping people recover from Covid-19 and post-injection illness.
Luckily, there are a host of easily attainable, natural solutions to reduce your body’s spike protein load.
Some “Protein Binding Inhibitors” inhibit the binding of the spike protein to human cells, while others neutralize the spike protein so that it can no longer cause damage to human cells.
Spike Protein Inhibitors: Prunella vulgaris, pine needles, emodin, neem, dandelion leaf extract, ivermectin
Spike Protein Neutralizers: N-acetylcysteine (NAC), glutathione, fennel tea, star anise tea, pine needle tea, St. John’s wort, comfrey leaf, vitamin C
Several plants found in nature, including pine needles, fennel, star anise, St. John’s wort, and comfrey leaf, contain a substance called shikimic acid, which may help to neutralize the spike protein. Shikimic acid may help to reduce several possible damaging effects of the spike protein, and is believed to counteract blood clot formation.
Regular oral doses of vitamin C are useful in neutralizing any toxin.
Pine needle tea has powerful antioxidant effects and contain high concentrations of vitamin C.
Nattokinase (see Table 1), an enzyme derived from the Japanese soybean dish ‘Natto’, is a natural substance whose properties may help to reduce the occurrence of blood clots.
What is the ACE2 receptor?
The ACE2 receptor is located in the cell wall, in lung and blood vessel linings, and in platelets. Spike protein attaches to ACE2 receptors.
If spike proteins bind to the cell wall and ‘stay put’, they could trigger the immune system to attack healthy cells and possibly trigger autoimmune disease.
The spike protein could attach to ACE2 receptors located on blood platelets and the endothelial cells lining the blood vessels, which may lead to abnormal bleeding or clotting, both of which are linked to Vaccine-induced Thrombotic Thrombocytopenia (VITT).
How to detox your ACE2 receptors
Substances that naturally protect the ACE2 receptors:
Interleukin 6, or IL-6, is a primarily pro-inflammatory cytokine protein. This means it is naturally produced by the body in response to infection or tissue damage and initiates the inflammatory response.
Why target IL-6?
Some natural substances help the post-jab detoxification process by targeting Interleukin 6.
Scientific evidence shows that cytokines such as IL-6, are found in far higher levels among those infected with Covid when compared to uninfected individuals.
The following lists of natural substances, including several basic anti-inflammatory food supplements, can be used to prevent the adverse effects of IL-6 by inhibiting its action.
IL-6 Inhibitors (anti-inflammatories): Boswellia serrata (frankincense) and dandelion leaf extract
Other IL-6 inhibitors: Black cumin (Nigella sativa), curcumin, fish oil and other fatty acids, cinnamon, fisetin (flavonoid), apigenin, quercetin (flavonoid), resveratrol, luteolin, vitamin D3 (with vitamin K2), zinc, magnesium, jasmine tea, spices, bay leaves, black pepper, nutmeg, and sage
Several natural, plant-based substances are used in antiviral therapy. The plant pigment quercetin has been shown to display a broad range of anti-inflammatory and antiviral effects.
Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online
400mg x 2 daily
*Check for contradictions
Milk Thistle Extract
Silymarin
Supplement; Health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online
200mg x 3 daily
Soybeans (organic)
Soybeans
Grocery store, health food stores
Most of these items are easily accessible in local grocery stores or as nutritional supplements in health food stores.
Note: This list is not comprehensive and other substances, such as serrapeptase and CBD oil, have also been suggested. The World Council for Health will continue to update this document as new information emerges.
Some holistic practitioners also recommend substances to cleanse the body of metals after vaccination, such as zeolite and activated charcoal. The WCH will prepare guidance on how to detox from metals in due course.
Top ten spike protein detox essentials:
Vitamin D
Vitamin C
NAC (N-acetylcysteine)
Ivermectin
Nigella seed
Quercetin
Zinc
Magnesium
Curcumin
Milk thistle extract
For more information and specific protocols, here are a few websites that may be of interest:
Le Dr David Martin est cette figure de la « résistance » très omniprésente, qui déclare lors de ses conférences, où il use et abuse de sa piètre maîtrise de la programmation neuro-linguistique, des choses très surprenantes, par exemple que nous n’avons pas d’ADN ou que tous ceux qui attribuent la corruption du système médical à la famille Rockefeller se sont fait berner – c’est en fait le réseau d’assurance-vie/maladie qui a tout organisé.
Pour ceux qui auraient le temps et la curiosité de s’intéresser à ce leader autoproclamé, à ses qualifications et à ses accointances, une monographie (en anglais) assez édifiante, bien rédigée et sourcée ici, uniquement basée sur ce que Martin a lui-même écrit. Si vous maîtrisez l’anglais, je vous invite à lire ce document en entier tout en sachant que l’auteur (un certain Omar Jordan, qui taille également un costard à Dolores Cahill, le même genre de serpent) défausse – volontairement, je pense – son propos en reprenant un des éléments les plus insidieux de cette opération psychologique: le narratif selon lequel il n’y a pas de virus, donc pas de contagion, donc pas d’épidémie, et qu’un des objectifs de l’opposition contrôlée serait de consolider la théorie virale. J’ai traité ce point dans un article précédent et j’en conclus que Omar Jordan (s’il existe) fait comme David Martin partie de l’opposition contrôlée. Ils jouent probablement aux cartes ensemble le dimanche.
Pour conclure avec le Dr Martin et contrairement à ce qui a été affirmé sur de nombreux sites, il a publié en décembre dernier un projet de mise en accusation, dont vous pouvez lire/télécharger ci-dessous la version originale et la traduction (approximative) en français.
Quelle que soit la valeur juridique de ce document, notez qu’il n’a pas été utilisé pour un dépot de plainte de la part du Dr Martin.
En revanche, ce dernier annonce avoir récemment saisi la justice de l’état de l’Utah, qui permet enfin, selon lui, par une particularité du Code de cet Etat de procéder aux inculpations qu’il aurait tentées par de multiples canaux depuis deux ans. Il annonce viser avant tout Joe Biden, ce qui arrive très opportunément au moment où son éjection de la Maison Blanche est imminente – même le Parti Démocrate fait tout pour s’en débarrasser, c’est dire. Il n’a toutefois pas l’intention de limiter son action au monde politique, qui ne sont que des relais, et compte s’en prendre directement aux instigateurs et bénéficiaires de l’ensemble de l’opération Grand Reset/Covid/Ukraine, les grands acteurs financiers. C’est-à-dire Blackrock et Vanguard.
Pour reprendre une formule plaisante de Bruno Léandri, j’ai confiance dans l’avenir de cette plainte.
Quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité? Entre six mois et un an.
J’ai déjà beaucoup publié d’articles de ce bon Dr Chudov. En général, j’évite de me cantonner à un auteur en particulier mais là, il faut dire qu’il est tellement sur la balle – je pense qu’il épluche en permanence les publications médicales – qu’il devient un des piliers de ce blog.
Si vous ne le saviez pas, non seulement j’épluche moi-même des dizaines d’articles tous les jours – notamment sur Substack, ce qui me met très en retard pour écrire les miens, même cas de figure que Monica Hughes – mais j’épluche aussi les commentaires, dont le nombre peut atteindre plusieurs centaines par article. C’est une source prodigieuse d’informations et d’histoires vécues. Igor Chudov en a rajouté trois à la fin de son article. Vu l’intérêt du problème et l’ampleur de ses conséquences, j’en ai rajouté d’autres (je n’ai pas inclus le texte original, c’est déjà assez long comme ça, mais j’ai mis le lien à chaque fois). Vous voyez à quoi je passe mes soirées…
Rappelons que je publiai il y a un an jour pour jour (le 5 mai 2021) l’extrait d’un webinaire des Drs Christiane Northrup, Larry Palewski, Lee Merritt, Sherry Tenpenny et Carrie Madej qui sonnaient l’alarme précisément au sujet de l’excrétion des vaccins – allez relire le truc, pour mémoire.
Ma propre conclusion est que ce n’est pas de l’excrétion à proprement parler: c’est un vaccin auto-diffusant, sauf que ce n’est pas un vaccin. Vous suivez? Sinon, allez relire ce que j’ai écrit il y a presque un an dans ce conte pour enfants. Vous y verrez peut-être une similarité avec tout ce qui se déroule maintenant – à part les trois dernières phrases.
A part les trois dernières phrases pour l’instant.
Je reviens au plus tôt sur les phases suivantes de cette guerre totale – militaire, énergétique, alimentaire – pour expliquer comment elles fonctionnent au présent, comment elles vont s’articuler ensuite et qui est visé, point que je n’ai encore vu soulevé nulle part.
Une excrétion vaccinale statistiquement significative des parents aux enfants
Igor Chudov
3 mai
Les personnes vaccinées nous transmettent-elles les sous-produits de leurs vaccins? Nous savions parfaitement, avec certitude, que l’excrétion des vaccins n’était pas possible, car les « experts de la santé et les vérificateurs de faits » nous l’avaient dit. Et nous « croyons à la science » et à nos « experts de la santé ». Pas vrai?
Sauf que c’est FAUX et que l’excrétion de ces vaccins vient d’être démontrée scientifiquement!
Même moi, je croyais qu’il n’existait aucun mécanisme plausible pour expliquer l’excrétion de ces vaccins. Je pensais que c’était une théorie du complot sans fondement. Quel benêt! En fait, JE ME TROMPAIS et l’excrétion de ces vaccins est bien réelle et elle est mesurable.
L’évaluation des échantillons ainsi réalisée a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasales chez les parents vaccinés était significativement associé (valeur p = 0,01) à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasales après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer (Fig 1F).
Résultats La prolongation de l’obligation de porter un masque dans les environnements sociaux et professionnels a fourni une occasion unique d’évaluer la possibilité d’expiration d’anticorps aérosolisés provenant de personnes vaccinées. À l’aide d’un essai immunologique multiplex sur microsphères (MMIA) basé sur la cytométrie en flux pour détecter les anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 (Fig. 1A et B) 4,5 et d’une méthode précédemment utilisée pour éluer les anticorps à partir de taches de sang séché (DBS) réhydratées, nous avons identifié des anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 élués à partir de masques chirurgicaux portés par des membres de laboratoire vaccinés et donnés à la fin d’une journée de travail. Conformément aux résultats rapportés par d’autres, nous avons identifié des IgG et des IgA dans la salive des personnes vaccinées (Fig 1C et D). Il n’était donc pas surprenant de détecter à la fois des IgG et des IgA après élution des anticorps des masques faciaux (Fig 1C et D). Au vu de ces observations, nous avons émis l’hypothèse que le transfert d’anticorps par gouttelettes/aérosols pouvait se produire entre individus, tout comme les particules virales par gouttelettes/aérosols peuvent être échangées par la même voie. Pour évaluer cette hypothèse, nous avons obtenu des écouvillons nasaux d’enfants vivant dans des foyers dont les parents ou les membres de la famille présentaient des degrés variables d’immunité spécifique au SARS-CoV2, y compris des enfants non vaccinés, vaccinés et COVID-19+. La comparaison initiale des écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers vaccinés a révélé la présence d’IgG spécifiques du SARS-CoV-2 facilement détectables (Fig 1E), surtout si on les compare à l’absence totale d’anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 détectée dans les quelques écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers non vaccinés. Nous avons ensuite utilisé la variation des niveaux d’IgG intranasales des parents comme base de stratification dans tous les échantillons d’enfants. La transformation logarithmique des données de trente-quatre paires adulte-enfant a permis d’établir des seuils d’anticorps pour les niveaux élevés et faibles d’anticorps intranasaux des parents. L’évaluation des échantillons de cette manière a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasal chez les parents vaccinés était significativement associé (valeur p = 0,01) à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasal après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer (Fig 1F). Cette relation positive significative a été observée en utilisant une analyse paramétrique ou non paramétrique, et les ajustements pour la corrélation au sein du foyer n’ont pas modifié la conclusion. Bien que non statistiquement significative, une tendance similaire d’élévation des IgA a été observée dans les mêmes échantillons.
Je vais vous expliquer. Tout d’abord, ces scientifiques de l’Université du Colorado ont examiné des masques faciaux, portés par des travailleurs de la santé vaccinés. Ils ont constaté que ces travailleurs excrétaient des anticorps générés par la vaccination, et que certains anticorps étaient piégés dans les masques et pouvaient être détectés. Cela signifie que les personnes vaccinées « excrètent » littéralement des anticorps provoqués par la vaccination.
Intéressés par ces résultats, les scientifiques ont poussé plus loin leurs recherches: ils ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés à des enfants également non vaccinés, mais vivant avec des parents vaccinés.
Il s’est révélé que les parents vaccinés excrétaient activement les particules produites par le vaccin sur leurs enfants, de sorte que ces derniers acquéraient une « immunité humorale » après avoir été exposés aux particules excrétées par leurs parents! Non seulement cette constatation était évidente dans les données, mais elle était en fait FORTEMENT significative sur le plan statistique avec une valeur p de 0,01 ! Cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une découverte fortuite.
Il reste à expliquer POURQUOI les enfants ont des IgG intranasales. Les auteurs semblent penser que c’est à cause de l’excrétion d’anticorps via gouttelettes. En d’autres termes, ils semblent avancer que ce qui est transféré est l’IgG elle-même dans les gouttelettes de salive. Ils ont peut-être raison. Cela dit, il est possible que les enfants DÉVELOPPENT des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés.
Cela pourrait même être dû aux nanoparticules d’ARNm lipidiques elles-mêmes excrétées et transférées par la salive, comme un virus. En fait, si l’on considère deux [NdT. trois] réponses à cet article que j’ai citées en bas, l’excrétion de nanoparticules lipidiques d’ARNm est la plus probable. Pourquoi? Parce que les personnes interrogées déclarent avoir subi de FORTES RÉACTIONS IMMUNITAIRES.
De tels sous-produits seraient la CAUSE d’IgG intranasales chez les enfants dans le cadre d’une réaction immunitaire chez les enfants, au lieu que ces IgG soient en substance crachées mécaniquement par les parents sur leurs enfants.
L’article, bien que très intéressant, n’est qu’une première étape dans la recherche sur l’excrétion des vaccins et j’espère que la lumière sera faite sur ce phénomène!
Les auteurs, probablement pour tenter de faire approuver leur article par les censeurs de la science, disent que c’est une bonne chose :
Nos résultats suggèrent que la transmission d’anticorps par aérosol peut également contribuer à la protection de l’hôte et représente un mécanisme entièrement méconnu par lequel la protection immunitaire passive peut être communiquée. La question de savoir si le transfert d’anticorps sert de médiateur à la protection de l’hôte sera fonction de l’exposition, mais il semble raisonnable de suggérer, toutes choses égales par ailleurs, que toute quantité de transfert d’anticorps s’avérerait utile à l’hôte récepteur.
Personnellement, je doute que l’on puisse appeler cela une bonne chose. Des anticorps ou des nanoparticules d’ARNm provenant de vaccins NON approuvés par la FDA pour les enfants sont transférés des parents aux enfants, sans le consentement ou la connaissance des parents ou des enfants. Tout cela est suivi de démentis par les autorités.
Pensez-vous que ce soit une bonne chose?
Merci de partager massivement cet article!
P.S. Quelques commentaires étonnants ajoutés ici:
Je crois que cette excrétion a été la cause de la perte de mon bébé à 22 semaines de gestation. Le dimanche, j’ai serré dans mes bras quelqu’un qui venait de recevoir sa deuxième injection la veille. Le mardi, j’ai remarqué que mon bébé ne bougeait plus. Mercredi, il a été confirmé que son cœur s’était arrêté. Le docteur a regardé l’échographie et a dit que cela ressemblait à une défaillance massive des organes. Ma santé n’a plus été la même depuis. C’est une très grande tragédie pour laquelle beaucoup d’entre nous ne recevront jamais de réponses définitives. Dieu est miséricordieux, mais la bataille est très dure.Ma fille et moi avons connu des irrégularités menstruelles dans les 48 heures suivant la première vaccination de mon père âgé. Nous prenions soin de lui et ma sœur a insisté pour qu’il soit vacciné. Il a développé une légère affection sinusale par la suite, alors que nous avions de graves problèmes. Quelque temps plus tard, il a été placé dans une institution en raison de sa démence sénile et l’automne dernier il a reçu un premier booster et il a eu une crise cardiaque la semaine suivante. La semaine dernière, il a reçu un autre booster et cette semaine il a eu une autre crise cardiaque. L’ignorance et la stupidité des membres de ma propre famille et du personnel médical de l’établissement sont stupéfiantes. Je suis préoccupée par les effets de l’excrétion du vaccin, car il a directement affecté nos hormones et nos utérus.La nuit qui a suivi la deuxième injection de mon partenaire (je sais, je sais… j’étais contre, mais il ne voulait pas écouter), je dormais à côté de lui et je me suis réveillée à 3 heures du matin avec une sensation de froid GLACIAL. C’était en juin, il faisait une chaleur d’enfer et mon corps grelottait tellement que j’ai dû ramper jusqu’à la salle de bain et me mettre sous la douche pour essayer de me « réchauffer ». J’avais déjà eu des frissons de ce genre lorsque j’étais malade, mais là, c’était d’un autre niveau. La crise de frissons a duré 5 minutes et a été la réaction immunitaire la plus intense et la plus bizarre que j’aie jamais connue. J’étais enceinte de quelques semaines à l’époque et j’ai commencé à saigner deux jours plus tard. Heureusement, je n’ai pas fait de fausse couche et j’ai évité de me faire vacciner et je suis restée en bonne santé, mais c’était vraiment bizarre. Je sais que c’est anecdotique, mais depuis, je suis convaincue que l’excrétion est un phénomène réel – c’est intéressant de le voir enfin confirmé! C’est une histoire effrayante, heureux que vous vous en soyez sortie saine et sauve !!! Mais c’est une bonne contribution à l’article, merci de l’avoir partagé.
Addendum (traduction de commentaires à cet article)
Les pédiatres connaissent depuis longtemps les panneaux affichés sur leurs portes concernant l’excrétion, qui demandent aux parents de ne pas entrer dans le cabinet avec leurs enfants récemment vaccinés afin de protéger les enfants immunodéprimés présents dans le cabinet. C’est un historique qui s’applique évidemment ici. Personnellement, j’ai prodigué un massage à un patient qui venait de recevoir son deuxième Moderna et, en l’espace de trois heures, mes yeux ont fait une hémorragie interne et je suis devenue aveugle pendant six semaines. Tout le globe oculaire est devenu brun foncé. J’ai récupéré 80% de ma vision au fil du temps. Aucun médecin n’a voulu envisager cette possibilité, mais c’était indéniable. Ensuite, j’ai développé tous les symptômes d’une insuffisance cardiaque. Je suis maintenant de retour à la normale après 8 mois. En rétrospective, beaucoup de mes patients avaient des réactions indésirables: TVP [thrombose veineuse profonde], crampes, inflammation extrême des articulations, herpès, zona, etc. Beaucoup d’entre eux souffraient désespérément, mais tous leurs médecins ont ignoré leurs plaintes.
J’ai déjà lu des articles sur ce » grelottement « . Puis, un jour, j’ai rencontré un type un peu désemparé, qui venait d’avoir un petit accident de vélo dont il était responsable. Je l’ai aidé à se relever et j’ai engagé la conversation pour voir s’il n’y avait pas un autre problème. Finalement, le Covid, les injections Covid, etc. sont entrés dans la conversation. L’homme avait reçu des injections pour conserver son emploi dans le secteur du transport aérien, et il m’a confié que depuis les injections, il tremblait constamment et ne trouvait aucun moyen de l’arrêter. Je ne suis pas sûr du mécanisme physiologique à l’origine de ce phénomène, mais c’est ainsi. J’écris de Vancouver, au Canada, anciennement un pays libre.
Les 1% ont des moyens qu’ils ne partagent pas avec nous. Ce qui me rappelle, je me souviens avoir vu quelque part que le Docteur privé de Gates a dit qu’il n’a jamais fait vacciner ses enfants pour RIEN… Tous les vaccins sont suspects maintenant à cause du Covid, mais même avant le Covid… Comme beaucoup d’entre vous, je connais beaucoup de personnes blessées ou tuées par les vaccins:
Une infirmière de 30 ans à Stanford, morte un mois après la 2ème dose, 2021.
Mon agent immobilier, AVC après la 2ème dose, 2021.
Un SDF que j’ai rencontré récemment, AVC après la 2ème dose.
Ma compagne a des règles pires que jamais, et se sent plus malade lorsqu’elle fréquente sa colocataire « vaxxée »/ »boostée » (facilitation de l’infection par anticorps/SIDAV), particulièrement aux moment et après les injections.
J’ai moi-même maintenant des éruptions corporelles occasionnelles du type de celles observées initialement chez les bébés injectés.
J’ai parlé avec une femme qui a été vaccinée/boostée pendant sa grossesse, et son enfant a commencé à marcher à 2-3 mois. Et il a toute sa chevelure. Elle sait que c’est le « vax » et me l’a dit sans que je lui demande, parce que ses deux enfants précédents n’étaient pas du tout comme ça. J’imagine que beaucoup d’entre vous ont déjà vu les vidéos de bébés anormalement avancés, malades ou aux yeux noirs… et entendu plus d’histoires de fausses couches que ce qui suffirait à faire passer une bonne journée à Gates.
Je corrobore votre témoignage. J’ai reçu la visite d’un ami vacciné et mes règles ont été perturbées pendant deux mois. De plus, je ne sais pas si c’est dû à l’excrétion ou à Omicron (que je pense avoir eu début janvier 2022; je ne fais pas de test) mais j’ai les doigts violets/blancs de Reynaud maintenant, tous les après-midi, peu importe ce que je fais ( assise, debout, active, bien que l’activité soit préférable).
C’est le bordel, et je trouve ça un peu fort de voir à quel point il est commode pour les aveugles de rejeter les symptômes sur le « stress ». Je suis en super bonne santé et j’ai quand même eu le ‘rona deux fois. Totalement bénin, mais totalement différent d’une grippe « normale ». Je sentais que quoi que ce fût, c’était de la bio-ingénierie.
Je vous remercie pour cet article et les autres excellents articles que vous avez écrits sur Substack. Je voudrais simplement soumettre à votre réflexion un truc » dingue « , compte tenu de ces preuves. Est-il seulement concevable, même de manière lointaine, que les horribles et mystérieux cas d’hépatite pédiatrique observés dans le monde entier puissent être liés à l’excrétion des vaccins? Notez qu’une ou deux études récentes ont discuté de l’effet des vaccins sur le foie. Cette épidémie semble inexplicable et les seuls facteurs au niveau mondial qui coïncident pourraient être le Covid-19 lui-même et les vaccinations massives de Covid-19. Merci.
Oups. C’est ce que je soupçonnais d’après mes recherches préliminaires, mais il est bon d’avoir des preuves scientifiques corroborantes. Savez-vous combien de temps après la dernière injection ces tests ont été effectués? Ceux qui soupçonnaient une excrétion pensaient souvent qu’elle ne se produisait que pendant les deux premières semaines suivant la vaccination, mais des études récentes montrant que la protéine spike est toujours présente dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques pendant au moins 60 jours (https://rwmalonemd.substack.com/p/a-health-public-policy-nightmare) suggèrent que l’excrétion peut se produire indéfiniment, ce qui ferait des personnes injectées une véritable menace à long terme pour les personnes non injectées.
Je pense que l’auteur du Substack « A Midwestern Doctor » a raison de dire que les injections d’anthrax étaient un test pour quelque chose comme les vaccins covid. Dans le livre Vaccine A, l’auteur explique très minutieusement comment les militaires ont systématiquement écarté les vaccins entiers, plus difficiles à fabriquer mais plus efficaces, au profit de vaccins à base de sous-unités protéiques contre l’anthrax. Cela vous semble familier?
Puis, lorsque les sous-unités n’ont pas réussi à produire une réponse immunitaire suffisante, ils ont ajouté des lipides comme le squalène. Cela vous semble familier?
Ensuite, s’ils dosaient trop les lipides, ceux-ci provoquaient d’horribles troubles auto-immuns très agressifs. Mais ce n’était pas grave, car ils ont menti au sujet des tests de tolérance aux doses sur les membres du service et ont couvert le tout par une série de mensonges invraisemblables. Cela vous semble familier?
Maintenant, pour la première fois en 2020 ou 2021, je pense, un adjuvant à base de squalène a été approuvé dans un vaccin contre la grippe par la même société qui a fabriqué l’adjuvant à base de squalène que les médecins militaires testaient sur les militaires! Il s’agit du MF59. Il n’est autorisé aux États-Unis que pour les plus de 65 ans. Je suppose qu’ils pensent que les décès ou les maladies auto-immunes n’auront pas cours dans ce groupe d’âge.
Je suis allée voir une hygiéniste dentaire il y a un an – elle venait de recevoir sa deuxième injection. Elle a travaillé sur mes dents, puis a fait des radios, un polissage, etc. Le lendemain matin, je me suis réveillée avec des caillots de sang qui sortaient de mon nez. Je n’ai jamais rien eu de tel. C’est arrivé une seule fois, mais je l’ai su tout de suite. J’hésite encore à retourner chez l’hygiéniste – je me demande comment trouver une hygiéniste non vaccinée, mais au Canada, ce n’est peut-être même pas possible.
Je suis également originaire du Canada. Ma femme a vécu exactement la même chose. Le lendemain d’une visite chez le dentiste et des soins prodigués par une hygiéniste, elle a eu un important saignement de nez. Nous sommes en couple depuis 1996… jamais un saignement de nez auparavant!
Ce qui veut dire que même ceux d’entre nous qui se considèrent comme non-vaccinés, ne le sont probablement pas. Alors peu importe si c’est une bonne chose ou non, c’est comme ça. La question suivante est: à quelle vitesse notre corps élimine-t-il ces envahisseurs? Probablement en fonction de la force immunitaire.
Ou, est-ce que les résidus de vaccins sont aussi endémiques?
Étant donné qu’il s’agit d’un processus d’extinction… ma seule préoccupation est de ne pas subir une blessure causée par le vaccin qui me ferait souffrir pendant les mois qu’il nous reste à vivre…
J’espère que cette excrétion n’est pas assez importante pour causer une blessure ou la mort.
Si cela signifie simplement que je contribue à la création de l’inévitable Diable Covid… cela ne me dérange pas le moins du monde.
Je veux juste m’assurer que je serai en bonne santé quand le Dernier Acte se déroulera.
Ce sera de loin le plus grand moment de l’histoire de notre espèce… Je ne le manquerais pour rien au monde.
Je pense que l’excrétion est la raison pour laquelle ils étaient si inflexibles sur le fait d’atteindre un pourcentage spécifique de la population. Si la grande majorité est vaccinée, les non-vaccinés seront affectés à un taux plus élevé. J’ai tendance à douter qu’ils aient atteint leur but, vu les mandats anticonstitutionnels.
J’ai travaillé aux côtés de personnes vaccinées et chaque fois qu’elles se faisaient vacciner, j’avais des symptômes. J’ai développé des douleurs arthritiques dans les mains, un zona et des symptômes semblables à ceux du SFC [syndrome de fatigue chronique], le tout en l’espace de deux semaines. Avant cela, j’étais en excellente santé et en pleine forme, j’occupais un emploi physiquement exigeant et mon taux de graisse corporelle était d’environ 10-12%. J’ai dû quitter ce travail en raison de mes douleurs arthritiques, qui s’aggravaient rapidement. Cela fait plus de six mois et je ne suis toujours pas revenu à mon état antérieur.
Ma fiancée a des menstruations semblables à des fausses couches peu après une exposition prolongée à des personnes vaccinées. Cela semble prendre environ 2 à 3 heures de contact avec la personne et la gravité change en fonction de la date à laquelle cette personne a été vaccinée. 4-5 heures plus tard, elle commence à saigner et cela dure plusieurs jours. Ça a commencé lorsque toutes ses amies d’école ont été vaccinées et elle a eu ses règles pendant 5 mois avant que nous entendions parler d’excrétion. Elle a arrêté d’étudier avec ses amies et cela s’est terminé quelques jours plus tard. Fait intéressant, j’ai remarqué que j’avais des maux de tête au même moment si j’étais avec elle lorsqu’elle était exposée. J’avais remarqué une augmentation de la fréquence de mes maux de tête, mais je n’y avais pas prêté attention. Je n’aurais jamais fait le lien si elle n’avait pas eu une réaction plus radicale.
… et encore des dizaines d’autres.
Texte original
Vaccine Shedding Finally Proven!
Statistically Significant Vaccine Shedding from Parents to Children
Igor Chudov
May 3
Do vaccinated people shed their vaccine byproducts to us? We definitely, for sure, knew that vaccine shedding was not a thing, because “health experts and fact checkers” told us so. And we “believe science” and our “health experts”. Right?
Except that it is WRONG and vaccine shedding has just been proven by science!
Even I believed that there was no plausible mechanism for vaccine shedding. I thought that it was a baseless conspiracy theory. Stupid me.It turned out that I WAS WRONG and vaccine shedding is real and can be measured.
Evaluation of samples in this fashion revealed that high intranasal IgG in vaccinated parents was significantly associated (p-value = 0.01) with a 0.38 increase in the log transformed intranasal IgG gMFIs within a child from the same household (Fig 1F).
Let me try to explain it. First, these scientists from the University of Colorado looked at face masks, worn by vaccinated health care workers. They found that those workers shed antibodies generated by vaccination, and some antibodies got trapped in the masks and could be detected. This means that vaccinated people are literally “shedding” vaccine-caused antibodies.
Interested in that, scientists looked further: they compared unvaccinated children living with unvaccinatedparents, to similarly unvaccinated children, but living with vaccinatedparents.
It turned out that vaxxed parents actively shed vaccine-produced particles onto their children so that the kids acquired “humoral immunity” following shedding from their parents! Not only was this finding evident in the data, it actually was STRONGLY statistically significant with p-value of 0.01! This means that this was not a chance finding.
It remains to be explained WHY children have intranasal IgG. The authors seem to think that it is because of antibody shedding via droplets. In other words, they seem to propose that what is transferred is IgG itself in saliva droplets. They may be right. That said, there is a possibility that children DEVELOP intranasal IgG because other vaccine byproducts or exosomes are being shed.
It could even be due to lipid mRNA nanoparticles themselves shed and being transferred via saliva, like a virus. In fact, considering two replies to this article that I quoted at the bottom, mRNA lipid nanoparticle shedding is most likely. Why? Because the responders report experiencing STRONG IMMUNE REACTIONS.
Such byproducts would be CAUSING intranasal IgG in children as an immune reaction in children, rather than those IgGs being essentially mechanically spat from parents onto their children.
The article, while very interesting, is only the first step in researching vaccine shedding and I hope that further light will be shed (pun intended) on this phenomenon!
The authors, possibly in hopes of getting their article approved by science censors, call it a good thing:
Our results suggest that aerosol transmission of antibodies may also contribute to host protection and represent an entirely unrecognized mechanism by which passive immune protection may be communicated. Whether antibody transfer mediates host protection will be a function of exposure, but it seems reasonable to suggest, all things being equal, that any amount of antibody transfer would prove useful to the recipient host.
I am not sure if I can call it a good thing myself. Antibodies or mRNA nanoparticles from vaccines NOT approved by the FDA for children are being shed from parents to children, without consent or knowledge of either parents, or children. All of this is followed by denials by authorities.
Supprimer, nier et détruire: les stratégies chinoises et occidentales visant à effacer l’origine du COVID révélées par une recherche indépendante
par Jonathan Latham, PhD et Allison Wilson, PhD
21 avril 2022
La tâche de toute théorie de l’origine du COVID-19 est d’expliquer une épidémie humaine à Wuhan, en Chine, alors que les plus proches parents sauvages du SARS-CoV-2 sont situés très loin, à 1700 km au sud-ouest.
En public, les virologues ont eu tendance à dire que la proximité de l’épidémie avec l’Institut de Virologie de Wuhan, qui se spécialise dans la collecte, l’étude et l’amélioration des coronavirus liés au SARS, n’est qu’une coïncidence. Ils désignent plutôt le marché de fruits de mer de Huanan, situé à proximité, comme le site probable de la propagation, même s’il est similaire à des milliers d’autres en Chine.
L’origine du marché de Huanan a été officiellement rejetée par les autorités chinoises. Néanmoins, le 25 février, une prépublication rédigée par George Gao, responsable du CDC chinois, et 38 autres virologues chinois est parue, qui semble destinée à régler la question (Gao et al., 2022).
L’article de Gao conclut, sur la base de plusieurs sources de preuves, notamment l’absence de corrélation entre les échantillons de virus positifs et les étals qui vendaient des animaux, que le marché de Huanan était simplement un événement amplificateur. Ces auteurs ne précisent pas comment ils pensent que le virus est apparu pour la première fois, sauf pour noter que les échantillons de virus rapportés dans d’autres pays sont antérieurs de plusieurs mois à leur échantillonnage sur le marché de Huanan. Cette conclusion est conforme aux déclarations du gouvernement chinois selon lesquelles le SARS-CoV-2 provenait de l’extérieur de la Chine.
Seize heures plus tard, le 26 février, deux articles paraissent simultanément et contredisent directement les conclusions de Gao. Les auteurs principaux de ces articles complémentaires sont un ensemble redondant de virologistes très en vue. Aucun n’est originaire de Chine.
L’un de ces prépublications affirme, sur la base de prélèvements de surface et d’autres échantillons environnementaux trouvés sur place, que le marché de Huanan était l' » épicentre sans ambiguïté » de la pandémie (Worobey et al., 2022). Le second affirme que le SARS-CoV-2 a émergé au moins deux fois sur le marché (Pekar et al., 2022). Selon ces derniers auteurs, une contagion zoonotique a créé ce que l’on appelle les virus de la lignée A du SARS-CoV-2 et une seconde contagion a été à l’origine de tous les virus de la lignée B du SARS-CoV-2. Ces deux contagions, disent-ils, contredisent de manière décisive une fuite du laboratoire.
De nombreux génomes du SARS-CoV-2 découverts au début de l’épidémie ont une séquence intermédiaire entre les lignées A et B. Ces intermédiaires étaient auparavant supposés être des virus de la lignée B. Ils ont été identifiés comme des virus de la lignée A. Ces intermédiaires ont été précédemment supposés indiquer une seule contagion, une lignée évoluant vers l’autre (Morel et al., 2021; Pipes et al., 2021). Pekar et al. proposent au contraire que ces intermédiaires sont tous soit des artefacts (principalement des erreurs de séquençage), soit sans rapport avec l’origine. Les deux articles sont cependant évasifs quant au type d’animal impliqué dans les contagions théorisées.
Ces conclusions contradictoires créent une dynamique intéressante. Il est clair que les virologues chinois ne soutiennent pas l’hypothèse du marché. D’autre part, les auteurs principaux de Pekar et al. et de Worobey et al. sont d’éminents virologues occidentaux. Nombre d’entre eux, comme Kristian Andersen, Robert Garry, Ed Holmes et Andrew Rambaut, sont de fervents partisans publics de l’origine zoonotique et sont très proches d’Anthony Fauci, directeur du NIAID.
L’un des aspects de cette dynamique est la division Est/Ouest. Il est clair que les deux factions ne coopèrent pas. L’autre aspect est une différence d’approche. Les chercheurs chinois affirment ce qui, selon eux, ne s’est pas produit. A l’inverse, en formulant une hypothèse explicite (sauf pour ce qui concerne l’animal hôte), les virologues occidentaux ont misé leur crédibilité sur une théorie spécifique. La première approche est peu risquée ; la seconde est très risquée, car toute théorie spécifique est potentiellement vulnérable si de nouveaux éléments viennent la réfuter (comme ce fut le cas dans des cas antérieurs avérés); mais le bénéfice en a été l’attention des médias, du type « La théorie de la fuite du laboratoire est enterrée« .
Une caractéristique importante de cet épisode est la proximité de la date de publication des trois articles. S’il fallait une preuve supplémentaire de non-coopération, il semble évident que les prépublications de Worobey/Pekar étaient une embuscade. Leur apparition a été précisément programmée pour faire les gros titres que l’article du CDC chinois aurait probablement générés en excluant l’origine du marché.
Pekar et Worobey sont-ils convaincants?
En particulier si l’on inclut les nouvelles preuves de Gao et al., il y a déjà de puissantes raisons de douter à la fois de l’origine zoonotique du marché et d’un double effet de contagion. Ces raisons sont largement passées sous silence dans les prépublications de Pekar et Worobey et méritent donc d’être brièvement exposées:
1) Les échantillons du marché ont probablement été prélevés tard dans l’épidémie de Wuhan. La première raison, et la plus simple, est que les échantillons du marché ont été prélevés entre le 1er janvier et le 30 mars 2020. Pourtant, de nombreux éléments, tels que les articles de presse contemporains faisant état d’une épidémie à Wuhan, indiquent que le SARS-CoV-2 circulait déjà largement à Wuhan et au-delà au 1er janvier. Il est donc difficile de s’accorder sur le fait que les échantillons du marché, qui font l’objet d’un débat animé, présentent un intérêt particulier pour la source du virus pandémique lui-même.
Par exemple, selon l’enquête de l’OMS sur l’origine du COVID, il y avait 174 hospitalisations liées au COVID-19 à Wuhan au 31 décembre 2019. Compte tenu du délai normal entre l’infection et l’hospitalisation et du taux important auquel le COVID-19 donne des cas asymptomatiques et bénins, ces hospitalisations ne représentaient probablement que la partie émergée d’une vaste flambée infectieuse en décembre.
L’étude détaillée du cas d’une famille du Guangdong ayant visité Wuhan entre le 29 décembre et le 4 janvier 2020 témoigne également de la propagation précoce du virus à Wuhan. Cinq des six membres de la famille ont contracté le COVID-19 pendant leur séjour à Wuhan, sans avoir visité aucun marché (Chan et al., 2020). Plus loin, un ensemble important de preuves de la séquence du génome et des anticorps suggère que le SARS-CoV-2 était en Europe et dans d’autres pays à l’automne 2019, bien avant que les échantillons du marché de Huanan ne soient prélevés (examiné dans Canuti et al., 2022).
S’il y avait des milliers de cas dans la ville de Wuhan au 1er janvier, alors que le marché était fermé et que 10.000 personnes par jour le visitaient habituellement, comment les échantillons prélevés alors (ou plus tard) constituent-ils des preuves crédibles d’une origine du marché ? Il est fort probable que les vendeurs et les autres personnes présentes sur le marché dont on a découvert qu’ils étaient infectés par le COVID-19 étaient simplement typiques de Wuhan en décembre 2019 (Courtier-Orgogoz et de Assis, 2022). Typiques ou non, les échantillons du marché ont été collectés trop tard pour distinguer une origine du marché de toute autre origine à Wuhan ou à proximité.
2) Les échantillons environnementaux collectés sur le marché sont d’origine humaine et ne proviennent pas d’animaux vendus sur place. L’objectif de l’article du CDC chinois était d’analyser les échantillons environnementaux (écouvillons de surfaces, etc.) prélevés sur le marché de Huanan et dans ses environs après le 1er janvier 2020 (Gao et al., 2022). Ils ont conclu que le marché n’était qu’un événement amplificateur, en partie parce que les échantillons positifs pour le SARS-CoV-2 étaient associés à des étals appartenant à plusieurs types de vendeurs, y compris ceux qui ne vendent pas d’animaux (la prépublication de Worobey soutient qu’il existe une corrélation). Plus convaincant encore, les auteurs du CDC ont constaté que les échantillons prélevés sur le marché, qui, selon Pekar et Worobey, proviennent d’animaux infectés, ne sont mélangés qu’avec du matériel génétique humain et non avec du matériel génétique de chiens viverrins ou d’autres espèces potentiellement vendues sur le marché. La seule conclusion raisonnable est que ces échantillons positifs ne proviennent pas des fèces, de l’urine ou des exhalaisons d’un animal vivant non humain. Peu de résultats indiqueraient mieux que les échantillons de marché positifs au virus proviennent d’humains infectés par opposition à d’autres espèces.
3) Pekar et Worobey s’appuient sur un raisonnement circulaire pour identifier les virus racine. La prépublication de Pekar et al. de 2022 adapte les résultats d’une publication précédente (Pekar et al., 2021) pour générer l’hypothèse nouvelle d’une phylogénie divisée qui fait remonter le SARS-CoV-2 à deux contagions indépendantes, toutes deux survenues sur le marché de Huanan. Ces deux contagions, affirment-ils, sont représentées aujourd’hui par ce que l’on appelle les virus de la lignée A et de la lignée B, qui ne diffèrent que par deux mutations. Cependant, les méthodes phylogénétiques utilisées pour construire les arbres évolutifs et ainsi identifier le virus racine dans les deux articles de Pekar sont très problématiques car elles sont vulnérables à un échantillonnage inégal et biaisé et à des phénomènes génétiques inhabituels, tels que les événements de super propagation (Liu et al., 2020). Un biais clé pertinent ici est que, pour de nombreux cas précoces de COVID-19, le contact avec le marché de Huanan était une condition de diagnostic (Liu et al., 2020). Cela aura tendance à orienter les phylogénies vers le marché. De plus, Pekar et al. utilisent un algorithme basé sur une horloge qui utilise les dates d’échantillonnage pour déduire le virus racine. Cette méthode est conçue pour orienter le choix du virus racine vers les génomes échantillonnés le plus tôt. Si le marché a été l’objet d’un échantillonnage précoce, ce qui a été le cas, alors la méthode de Pekar pour déduire la racine est basée sur deux formes indépendantes de raisonnement circulaire. Ces biais ont encore été amplifiés par les auteurs de Pekar et Worobey, qui ont eux-mêmes décidé, sur la base de peu de preuves, quels cas de patients comptaient dans l’ensemble de données et parfois quelles étaient leurs dates de début de maladie. Cette intervention a eu pour effet d’ajouter encore plus de circularité dans le processus de sélection des virus racine. Pour déterminer de manière satisfaisante quels virus sont les plus proches de la véritable origine, il faut au contraire recourir à une méthode différente, explicitement indépendante des biais de constatation et des décisions subjectives (Liu et al., 2020).
4) Pekar et al. manquent de preuves pour deux événements de contagion. L’une des principales affirmations de la prépublication de Pekar est sa proposition selon laquelle les virus de la lignée A et de la lignée B actuels sont les descendants de deux événements indépendants de contagion du SARS-CoV-2 (Pekar et al., 2022). Pour fonctionner, cette affirmation de double contagion doit expliquer pourquoi il existe de nombreuses séquences génomiques intermédiaires entre la lignée A et la lignée B. Pour surmonter ce défi, Pekar et al. proposent que ces intermédiaires soient tous des artefacts résultant d’erreurs de séquençage ou qu’ils ne soient pas pertinents pour la question de l’origine pour d’autres raisons. Les erreurs de séquençage sont assez courantes, mais Pekar et al. ne les démontrent de manière convaincante que dans une minorité de cas. Par exemple, pour la plupart des artefacts de séquence qu’ils suggèrent, ils s’appuient sur une « communication personnelle » invérifiable d’un seul scientifique (L. Chen) en Chine. Pour démontrer la non-pertinence des autres, ils doivent suggérer, par exemple, que deux génomes échantillonnés en février à Pékin ne sont pas pertinents, comme si les premières séquences ne pouvaient pas s’être répandues ailleurs ou avoir persisté. En fin de compte, leur suggestion audacieuse selon laquelle la phylogénie du SARS-CoV-2 s’explique mieux en le divisant en deux propagations indépendantes est très faiblement étayée par des preuves.
Le grand jeu virologique
Pekar et Worobey ne parviennent pas à faire valoir leurs arguments et il est donc tentant de rejeter leur forte dépendance à l’égard de données faibles, leurs interprétations non parcimonieuses, leur sélection et leur raisonnement circulaire comme étant simplement de la science de mauvaise qualité. Mais, d’après notre expérience, ce serait une erreur. Une science médiocre de la part de scientifiques par ailleurs compétents, et à une telle échelle, a généralement une raison d’être. Et, à la lumière de la réunion, décrite par Katherine Eban de Vanity Fair, entre Jesse Bloom, Kristian Andersen, Anthony Fauci, Francis Collins et d’autres, qui portait sur les séquences supprimées des premiers échantillons de patients, il semble plus clair que jamais quelle est cette raison.
La mauvaise science ordinaire se produit le plus souvent pour des raisons simples et banales. Il se peut qu’un domaine de recherche soit considéré comme un marigot scientifique vers lequel gravitent des chercheurs de second ordre, ou qu’une thèse de recherche ait été mal supervisée ou non achevée. Si tel est le cas, il est presque certain que les résultats paraîtront dans une revue de bas niveau évaluée par des pairs.
L’autre catégorie de mauvaise science correspond à un schéma très différent. Il arrive que les dirigeants qui contrôlent les cordons de la bourse de la science s’engagent dans une théorie ou un programme majeur qui est ensuite contredit par les nouvelles preuves. Si, pour des raisons politiques ou financières, il n’est pas possible de corriger le tir, une rationalisation dans une revue scientifique de premier plan sera nécessaire pour fournir, comme le Vatican pourrait le dire, une « orientation pour les fidèles ».
Ces publications comptent généralement un nombre inutilement élevé d’auteurs, qui seront pour la plupart des chefs de laboratoire et d’autres leaders scientifiques éminents; l’article paraîtra généralement dans une revue de très haute visibilité, comme Nature, Cell ou Science, et les erreurs que contiennent ces articles (les rationalisations) ne sont jamais des erreurs – elles sont intentionnelles et soigneusement calculées. Un classique du genre, que nous avons disséqué en détail, est la réponse du NIH à l’échec du projet de génome humain, qui n’a pas tenu sa promesse d’expliquer les maladies humaines non transmissibles, un problème qui demeure à ce jour (Manolio et al., 2009).
De toute évidence, les théories de fuite de laboratoire sont une préoccupation majeure de la communauté des maladies infectieuses et la coalescence de l’opinion autour d’une hypothèse zoonotique semi-plausible est l’intention plutôt évidente du NIAID de Fauci. Certes, nous ne savons pas encore dans quelles revues Pekar et al., 2022 et Worobey et al., 2022 paraîtront, mais leurs précurseurs (Pekar et al., 2021 et Worobey, 2021) ont tous deux été publiés dans Science. Avant cela, le prototype de tous les efforts futurs était The proximal origin of SARS-CoV-2, publié dans Nature Medicine (Andersen et al., 2020).
Si l’on met tout cela bout à bout, on constate que les virologistes chinois et occidentaux poursuivent la même stratégie générale, dont la première étape consiste à ignorer, discréditer, nier, supprimer, détruire ou dissimuler de toute autre manière les premières séquences et les premiers échantillons (Bloom, 2021; Canuti et al., 2022). Le fait d’effacer, ou de ne pas collecter, les premières informations a pour effet principal de réduire la probabilité de retrouver un jour l’origine véritable. Accessoirement, l’effacement permet également d’imposer plus facilement des conclusions préférées sur les données restantes. Du côté chinois, le fait de supprimer ou de ne pas recueillir les premières preuves d’une épidémie à Wuhan contribue à placer la première apparition documentée du virus en dehors de la Chine. L’objectif occidental a plutôt été de forcer la conclusion d’une contagion du marché en discréditant de préférence les échantillons et les cas survenus avant l’échantillonnage du marché et ceux qui n’ont aucun lien avec le marché (Pekar et al., 2021 et Worobey, 2021).
Ces objectifs stratégiques seraient irréalisables sans la circularité des méthodes phylogénétiques standard discutées ci-dessus, qui sont assez largement comprises par les initiés (Liu et al., 2020; Kumar et al., 2021). Ainsi, la sélection et le choix d’échantillons précoces permettent aux méthodes phylogénétiques basées sur l’horloge, qui sont vulnérables aux biais d’échantillonnage, de livrer un virus racine prédéfini.
La principale complication, visible pour tous après la parution des prépublications contradictoires de Gao, Pekar et Worobey, est qu’un conflit important est apparu en raison des scénarios d’origine divergents auxquels chaque groupe tente d’adapter les faits.
On peut raisonnablement déduire de ce qui précède que les principaux virologues de chaque camp, qui dirigent ces efforts, soupçonnent fortement (ou savent parce qu’ils sont assis sur les preuves) que les premières données ne disculperaient pas la recherche sur le virus à Wuhan, sinon les mêmes personnes rechercheraient les premiers échantillons avec beaucoup d’empressement, ce qui n’est manifestement pas le cas. Et nous pouvons supposer qu’il s’agit d’une fuite du laboratoire qui est dissimulée, car c’est la seule préoccupation que les virologistes chinois et occidentaux pourraient plausiblement partager.
Jusqu’à récemment, la question de l’origine du COVID-19 devait donc se résumer à un simple bras de fer à double sens entre le club Gao à l’Est et le club Fauci à l’Ouest. Mais aucun d’entre eux ne s’attendait à l’émergence d’une nouvelle méthode phylogénétique capable de discréditer leurs calculs minutieux.
Analyse de l’Ordre Mutationnel
Récemment, une méthode différente a été appliquée à la question de l’origine du SARS-CoV-2 (Kumar et al., 2021). Cette méthode est nouvelle en virologie, mais elle est largement utilisée dans la recherche sur le cancer (par exemple, Miura et al., 2018). En l’utilisant, Kumar, Pond et leurs collègues ont pu déduire l’existence de souches virales plus anciennes (c’est-à-dire des ancêtres de) Wuhan-hu-1 (le génome de référence standard du SARS-CoV-2) et des autres séquences du marché par au moins 3 mutations, ce qui est beaucoup.
Leur méthode innovante est appelée Analyse de l’Ordre Mutationnel (AOM) [Mutational Order Analysis – MOA]. L’AOM constitue une avancée importante par rapport aux approches standard, notamment parce qu’elle ne s’appuie pas sur des horloges (c’est-à-dire le temps) pour orienter (c’est-à-dire biaiser) les arbres évolutifs qu’elle produit. Au contraire, elle utilise uniquement les données de la séquence du génome pour déduire le virus progéniteur. Ainsi, l’AOM peut être utilisée pour annuler les biais connus, tels que les horloges, d’autres facteurs de confusion de l’échantillonnage, ou même la destruction systématique des échantillons.
Pour comprendre la différence majeure entre l’AOM et la méthode phylogénétique utilisée par Pekar et al, considérons un individu théorique à Wuhan fin 2019 qui a attrapé un cas très précoce de SARS-CoV-2 et qui s’est ensuite envolé vers un pays lointain. Une fois sur place, il a déclenché une épidémie mineure qui n’a duré que quelques semaines ou quelques mois (un peu comme la famille de Guangdong mentionnée plus haut). Si le génome d’un cas ultérieur de cette épidémie était par hasard séquencé, cette information serait très précieuse. Il s’agirait d’un exemple rare de génome de virus racine (ou très proche de celui-ci). Cet exemple hypothétique nous permet de constater que même les séquences qui apparaissent tardivement dans une épidémie, ou loin d’une origine géographique présumée, peuvent, en principe, préserver des informations essentielles sur cette origine.
D’ordinaire, l’analyse phylogénétique de l’origine (y compris Pekar et al., 2021 et 2022 et Bloom, 2021) tend à se concentrer, parfois entièrement, sur les séquences précoces et celles trouvées à proximité de l’origine de l’épidémie. Les génomes considérés comme ayant une pertinence improbable pour la question de l’origine sont ignorés. Par exemple, Pekar et al. 2022 ont effectué leur analyse sur 787 génomes, avec une date limite fixée au 14 février 2020. L’AOM, en revanche, peut utiliser chaque séquence génomique disponible pour dresser un tableau de la parenté virale, sans faire de discrimination. Si un génome de virus dans l’ensemble des données constitue un lien manquant apparent entre deux virus, il sera inséré dans l’ordre de mutation qui est construit. Parce que l’AOM utilise un très grand ensemble de données, spécifiquement pour capturer des événements idiosyncratiques tels que celui théorisé ci-dessus, elle peut construire un arbre évolutif beaucoup plus précis, beaucoup plus détaillé et beaucoup plus robuste statistiquement que les approches conventionnelles. Mieux encore, elle le fait sans introduire ses propres biais.
Pour ces raisons, l’AOM est clairement une méthode supérieure. Elle est particulièrement utile pour déduire l’origine des épidémies dans les cas où, comme pour le SARS-CoV-2, les premières séquences sont rares et leur collecte est sujette à des biais d’échantillonnage.
L’AOM contredit la théorie de la double contagion du marché de Pekar et Worobey
1) L’AOM n’identifie qu’un seul virus racine. A partir de près de 176.000 génomes complets, l’AOM a pu déchiffrer un ordre mutationnel pour les virus d’origine, avec une confiance statistique très élevée (Kumar et al., 2021). Leurs résultats sont résumés dans la Fig. 1 ci-dessous (tirée de la Fig. 2 de Kumar et al., 2021).
Fig. 1 La phylogénie de la première pandémie, selon Kumar et al., 2021
Dans l’ensemble, trois de ses conclusions contredisent fortement la théorie de la double contagion du marché:
1) Comme le montre la figure 1, contrairement à Pekar et al. (2022), l’AOM identifie un seul virus racine (μ1, en haut à gauche, est son premier mutant). Un seul virus racine signifie que la pandémie a commencé avec une seule contagion initiale. Un seul événement de contagion est une observation cruciale car elle implique fortement une fuite en laboratoire (puisque les scientifiques ont tendance à travailler avec des cultures pures); alors que des preuves équivalentes de contagions multiples et/ou génétiquement diverses auraient impliqué une source naturelle. L’AOM montre également que tous les virus de la lignée B descendent d’un virus de la lignée A.
2) Le virus racine identifié par l’AOM est antérieur à tous les virus racine identifiés par Pekar et Worobey. Le virus identifié par l’AOM comme étant la racine est séparé par de multiples mutations de tous les génomes viraux trouvés sur le marché de Huanan et de Wuhan-hu-1. On en déduit que tous les échantillons connus du marché sont bien en aval du patient zéro. Par conséquent, comme l’ont également conclu Gao et al., les échantillons du marché représentent tout au plus un événement amplificateur.
L’évolution prend du temps. Étant donné que de multiples mutations se sont accumulées avant les premiers cas confirmés, Kumar et al. ont calculé que la contagion initiale (vraisemblablement à Wuhan) a eu lieu vers la fin octobre/début novembre, c’est-à-dire plusieurs mois avant le premier échantillonnage du marché de Wuhan (le 1er janvier 2020). Cette conclusion est donc cohérente avec la présence de génomes de SARS-CoV-2 très éloignés en Europe et ailleurs à l’automne 2019. Elle est également compatible avec une large propagation du virus à Wuhan avant la collecte des échantillons sur le marché.
Très récemment, Kumar et ses collègues ont publié une autre prépublication (Caraballo-Ortiz et al., 2022). Ils utilisent encore plus de données (1 million de génomes) et une méthode améliorée, qu’ils appellent TopHap, pour rendre leurs conclusions encore plus solides. L’ajout de nombreuses séquences génomiques supplémentaires, dont certaines très proches de la racine, confirme les conclusions initiales d’un seul virus racine et que la lignée B a évolué à partir de la lignée A. Il leur a également permis de faire reculer le virus racine d’une mutation supplémentaire, ce qui repousse encore plus loin dans le temps la date prévue d’émergence du SARS-CoV-2 – en septembre 2019.
Cette date de contagion de septembre contredit davantage la date de Pekar et Worobey. Toutefois, elle concorde bien avec un large éventail d’autres analyses phylogénétiques et rend encore plus plausibles les découvertes de virus éloignés en Europe et ailleurs (Mostefai et al., 2021; Schrago et Barzilai, 2021; Song et al., 2021; Xia, 2021).
3) L’analyse des seuls virus trouvés en Chine a déterminé les résultats des articles de Pekar. Dans leurs analyses phylogénétiques, les deux articles de Pekar se distinguent par le choix de seuils géographiques et temporels étroits pour leurs ensembles de données. Bien que ces choix semblent, à première vue, assez raisonnables, comme le soulignent Kumar et al. pour Pekar et al., 2021, ces choix déterminent leurs conclusions finales. L’exclusion des séquences obtenues hors de Chine (et aussi celles échantillonnées plus de 4 mois après décembre) a empêché ces auteurs d’inclure la branche précoce majeure qui a commencé avec v1 (voir Fig. 1). La lignée v a été échantillonnée pour la première fois aux États-Unis, mais elle est nécessaire pour la sélection correcte d’un virus racine (voir également Morel et al., 2021). En fin de compte, l’exclusion complète de la lignée v en raison de l’utilisation de seuils étroits est une raison essentielle pour laquelle les deux approches ont abouti à des conclusions divergentes (Kumar et al., 2021). En bref, la contribution scientifique de Pekar et al. (2021 et 2022) consiste à déployer des fenêtres étroites pour l’acquisition de données afin d’accomplir l’équivalent phylogénétique du p-hacking.
Si Pekar et Worobey ont tort, Gao et al. ont-ils raison?
La méthode AOM n’est que légèrement plus clémente envers les conclusions d’origine de Gao et al.
Bien que la méthode AOM soutienne que le marché est un site secondaire, elle contredit l’idée d’une origine du virus en dehors de la Chine. Gao et al. mettent en évidence des cas très précoces en dehors de la Chine et laissent entendre que l’un d’entre eux était la source ultime. Mais il ressort clairement de l’analyse de Kumar et al. que c’est à Wuhan et en Chine que se trouve la diversité génétique autour de la racine. En d’autres termes, il est peu probable que le virus soit apparu en Italie (ou ailleurs) fin 2019 et qu’il ait ensemencé Wuhan. Il est beaucoup plus probable qu’il se soit répandu à Wuhan et ait ensemencé l’Italie.
Le statut d’une origine zoonotique à la lumière de l’AOM
Nous avons décrit ci-dessus sept défauts majeurs de l’hypothèse de la double contagion du marché. La plupart de ces critiques s’appliquent à n’importe quel scénario de contagion hypothétique sur le marché de Huanan, mais il est remarquable que les résultats de l’AOM de Kumar, Pond et leurs collègues fassent progresser la critique de manière très significative. Leurs deux articles représentent donc des jalons importants dans l’étude de l’origine du COVID-19 (Kumar et al., 2021; Caraballo-Ortiz et al., 2022).
Les points clés méritent d’être rappelés: les nombreuses preuves d’une épidémie à Wuhan bien avant le prélèvement des échantillons du marché de Huanan; le fait que les échantillons du marché contenant le SARS-CoV-2 étaient mélangés à de l’ARN humain et non à de l’ARN animal; le raisonnement circulaire de la méthode phylogénétique de Pekar et al. la supériorité méthodologique de la méthode AOM, qui identifie une racine unique et nettement plus ancienne, et, enfin, la dépendance de l’arbre évolutif de Pekar du rejet des séquences de SARS-CoV-2 prélevées tardivement ou en dehors de la Chine.
Il faut également tenir compte du contexte général. Au cas où il serait nécessaire de le répéter, il n’existe toujours aucune preuve de l’infection d’animaux sauvages ou d’élevage par le SARS-CoV-2 en Chine, que ce soit avant, pendant ou depuis le déclenchement de la pandémie. En outre, les théoriciens de la zoonose ont été très réticents à désigner une espèce animale candidate claire comme hôte intermédiaire. Cela semble être dû au fait qu’il est difficile de construire un bon dossier pour aucune d’entre elles. Troisièmement, il y a la nature peu remarquable, selon les normes chinoises, du marché de Huanan. Pourquoi Wuhan? C’est une question à laquelle les théories sur les zoonoses naturelles ne répondent toujours pas.
En bref, il n’est pas raisonnable de prétendre que le marché de Huanan était « l’épicentre sans ambiguïté » de la pandémie (Worobey et al., 2022). Une telle certitude est scientifiquement injustifiée et ne sert qu’à donner l’apparence d’une opération sous faux drapeau.
Cette impression est renforcée par le fait que ni Gao, ni Pekar, ni Worobey ne discutent jamais de l’existence de l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW) [Wuhan Institute of Virology – WIV] et de l’hypothèse alternative évidente qui en découle. L’IVW se trouve à quelques kilomètres du marché et, selon ses bailleurs de fonds américains et les personnes qui y travaillent, il est spécialisé dans la collecte, l’étude et le renforcement des coronavirus liés au SARS (Latinne et al., 2020). Depuis des décennies, l’un des principaux objectifs de ses recherches est d’identifier ou d’en créer qui soient adaptés à la contagion humaine (par exemple, Li et al., 2019).
L’AOM, une mine d’or d’informations sur l’origine des pandémies
Les deux articles de l’AOM/TopHap fournissent de loin le candidat le plus solide à ce jour pour un virus racine et ils détaillent son évolution ultérieure (Caraballo-Ortiz et al., 2022; Kumar et al., 2021). Par conséquent, ils ont encore plus à nous dire car la détermination précise de la racine est inestimable pour comprendre d’autres aspects clés de l’origine de tout virus.
Une question clé à poser à toute hypothèse d’origine zoonotique est de savoir si le virus racine pourrait infecter des hôtes intermédiaires putatifs, tels que le chien viverrin suggéré par Pekar et Worobey. Pour répondre à cette question, il faut savoir précisément quelles étaient ces premières souches. De tels tests peuvent être très trompeurs s’ils sont réalisés sur des souches virales datant de beaucoup plus tard dans la pandémie, car les variantes du SARS-CoV-2 ont des gammes d’hôtes mammifères distinctes (Montaguteli et al., 2021; Gu et al., 2020). En particulier, les théoriciens de l’origine devraient être troublés par le fait que la seule preuve de l’infection des chiens viverrins par le SARS-CoV-2 provient d’une souche ultérieure (D614G) (Freuling et al., 2021).
Un deuxième avantage de la détermination précise de la racine est probablement le plus important de tous. Il découle du fait que les virus racine peuvent montrer quelles ont été, le cas échéant, les étapes initiales d’adaptation du SARS-CoV-2 à l’homme.
Par exemple, la phylogénie de l’AOM indique (bien que cela ne soit pas visible sur la figure 1) que même les toutes premières souches virales qui ont précédé les échantillons du marché sont restées inchangées pendant une longue période de la pandémie. Il s’agit d’une observation très importante. Elle montre que, malgré les améliorations ultérieures de son aptitude, le SARS-CoV-2 était très bien adapté à l’homme en septembre ou octobre et, pour autant que nous puissions en juger, dès le début.
Cette constatation est corroborée par le fait que les toutes premières souches ne diffèrent que par des mutations synonymes (voir par exemple les mutants μ1-3 sur la figure 1). Les mutations synonymes (par opposition aux mutations non synonymes) sont des changements de nucléotides uniquement, c’est-à-dire qu’elles ne modifient pas la séquence d’acides aminés et n’ont donc généralement aucun effet sur l’aptitude du virus.
(Remarque: pour chaque mutant, la figure 1 montre soit les changements de nucléotides (>), soit les changements d’acides aminés (>). Les nucléotides sont représentés par les lettres A, C, G ou U et les modifications apportées à ceux-ci représentent des mutations synonymes ; les autres lettres représentent le système de notation standard des acides aminés et ces lettres indiquent donc des mutations non synonymes).
À partir de la nature synonyme des mutations les plus anciennes, les auteurs ont conclu que ces virus les plus anciens:
» possédaient déjà le répertoire de séquences protéiques nécessaires pour infecter, se propager et persister dans la population humaine mondiale » (Kumar et al., 2021).
En outre, de nombreux descendants immédiats de ces virus ne contenaient souvent que des mutations synonymes et pourtant ces souches sont trop souvent devenues abondantes. En effet, de tels génomes à peine modifiés ont été trouvés « sur chaque continent échantillonné » (Kumar et al., 2021).
Là encore, cela implique la même conclusion. Quelle que soit la façon dont on examine les preuves, il est évident que même les tout premiers virus étaient non seulement hautement adaptés à l’homme, mais aussi capables, sans être modifiés, de provoquer une pandémie.
C’est un résultat extrêmement instructif. La question de savoir si le SARS-CoV-2 était hautement adapté à l’homme (et donc vraisemblablement préadapté) a fait l’objet d’un vif débat presque dès le début de la pandémie (Zhan et al., 2020). Mais la phylogénie de l’AOM fournit de loin la preuve la plus décisive qu’il l’était effectivement.
Une lecture un peu plus poussée de leur phylogénie confirme encore davantage la préadaptation. Ce n’est qu’à partir de la huitième mutation qu’est apparue une mutation (β2 sur la figure 1) dont on a montré par la suite qu’elle augmentait la capacité d’adaptation du virus chez l’homme (Dearlove et al., 2020; van Dorp et al., 2020). β2 est la mutation bien connue D614G, identifiée pour la première fois à Wuhan fin janvier. À cette époque, la pandémie était déjà bien avancée.
La seule autre mutation de la figure 1 qui est devenue abondante pendant la pandémie est son prédécesseur immédiat, β1. β1 est une mutation synonyme (encore) qui a probablement été prise en auto-stop par D614G (Dearlove et al., 2020). [NdT. un virus peut apparemment faire de l’auto-stop d’un hôte à l’autre en utilisant les particules d’autres virus comme moyen de transport].
La signification de ce schéma est d’indiquer que, même si elles ont donné des changements d’acides aminés, même les mutations non synonymes regroupées à la racine étaient sélectivement neutres. En d’autres termes, elles sont également apparues au hasard et non parce qu’elles conféraient un avantage quelconque au virus. Cela renforce encore une fois l’idée que le virus a subi peu de pression pour s’adapter lors de sa première propagation à Wuhan.
Il n’est pas du tout normal qu’un virus pénètre dans une nouvelle population hôte sans évoluer rapidement pour s’y adapter. Ainsi, le premier coronavirus du SARS (SARS-CoV) a subi des modifications d’acides aminés au cours de sa propagation précoce chez l’homme (Zhan et al., 2020). La norme alternative est que le virus ne s’adapte pas du tout à son nouvel hôte, comme cela s’est produit jusqu’à présent avec chacune des nombreuses introductions chez l’homme du coronavirus MERS (Dudas et al., 2018).
Reconnaissant que le SARS-CoV-2 était préadapté, certains ont affirmé que le SARS-CoV-2 était un virus « généraliste » (Frutos et al., 2020). Il semble y avoir très peu de preuves à cet égard. Le SARS-CoV-2 n’infecte pas la plupart des espèces de mammifères (Kock et Caceres-Escobar, 2022). Il peut être transmis activement par un nombre encore bien plus restreint d’espèces et, lorsque ces quelques espèces transmettent le virus, des mutations adaptatives se produisent (Gu et al., 2021; Sawatzki et al., 2021; Tan et al., 2022). En bref, le SARS-CoV-2 ne s’est révélé préadapté à aucune espèce hôte mammifère testée jusqu’à présent (à l’exception de l’homme) et ne présente donc aucune des caractéristiques d’un virus généraliste.
La préadaptation du SARS-CoV-2 implique une fuite du laboratoire. Mais elle implique également une fuite d’un type spécifique de virus, qui n’est pas simplement adapté aux cellules humaines mais à la transmission entre humains entiers et intacts. Une seule théorie de l’apparition du SARS-CoV-2 correspond à cette description. Il s’agit de la théorie du Passage des Mineurs de Mojiang.
Où en est la recherche sur l’origine?
Les grandes institutions, principalement l’EcoHealth Alliance, le NIH et l’IVW, détiennent de grandes quantités d’informations qui pourraient prouver ou infirmer une fuite de laboratoire. Toutes affirment leur transparence et leur responsabilité, mais, dans la pratique, chacune a refusé de nombreuses demandes de documents et autres données. Si l’on n’écoutait que leurs paroles, on pourrait penser qu’ils veulent trouver les origines du COVID-19, mais leurs actions sont plus éloquentes. Les progrès dépendront donc probablement d’initiatives indépendantes.
Lorsque Jesse Bloom a ingénieusement récupéré dans le Cloud des séquences précoces du SARS-CoV-2 précédemment supprimées et a ainsi récupéré une nouvelle souche virale précoce (Bloom, 2021), le virologue Rasmus Nielsen a déclaré que ces informations étaient:
« les données les plus importantes que nous ayons reçues concernant les origines du COVID-19 depuis plus d’un an ».
Nielsen avait raison puisque la découverte de Bloom a été cruciale pour permettre à Kumar et ses collègues d’améliorer leur identification du virus racine (Caraballo-Ortiz, et al., 2022).
La valeur exceptionnelle de ces premières séquences pour la recherche indique également la référence scientifique appropriée pour juger ceux qui effacent ou retiennent de telles preuves. L’histoire est pleine d’ironies, mais peu d’entre elles dépassent le spectacle de scientifiques éminents, dont les carrières sont financées par des fonds publics sur la promesse d’identifier les causes des maladies infectieuses, qui ne veulent pas que d’autres connaissent la cause de la pandémie de COVID-19. Après tout, pourquoi des institutions publiques comme le NIH, le NIAID, l’USAID, le DOD, qui ont arrosé d’argent EcoHealth Alliance, soi-disant pour prévenir les pandémies, n’ont-elles pas financé les recherches à grande échelle des premières infections par le SARS-CoV-2 au tout début de la pandémie?
Compte tenu de ce blocage, même à cette date tardive, la manière la plus simple et la plus utile de faire avancer la recherche scientifique de l’origine du SARS-CoV-2 serait probablement de localiser et d’analyser davantage d’échantillons provenant du début de l’épidémie, de n’importe quel pays, quel qu’il soit (Basavaraju et al., 2021; Montomoli et al, 2021; Canuti et al., 2022). Les recherches préliminaires suggèrent qu’il existe une pléthore d’échantillons cliniques et environnementaux appropriés dans les collections et les bases de données d’échantillons civils et militaires, et que les recherches de séquences précoces seront probablement fructueuses (Canuti et al. 2022, Paixao et al. 2022, Althoff et al. 2021; Chapleau et al. 2021; Lednicky et al. 2021; Basavaraju et al. 2021; Chen et al. 2020).
L’autre point de référence nécessaire est d’ordre éthique. Le Dr Tedros, de l’OMS, a qualifié l’enquête sur l’origine de la pandémie d' »obligation morale« . Nous irions plus loin. Bien qu’il n’existe aucune loi interdisant d’entraver la recherche sur l’origine, il faudrait néanmoins considérer comme un crime contre l’humanité le fait de rendre plus probable qu’un événement ayant entraîné des millions de morts et une misère indicible se reproduise parce que nous n’en avons jamais trouvé la cause (Relman, 2020).
In public, virologists have tended to say that the proximity of the outbreak to the Wuhan Institute of Virology, which uniquely specialises in collecting, studying, and enhancing, SARS-related coronaviruses, is a coincidence. Instead, they point to the nearby Huanan seafood market as the probable spillover site, even though it is similar to thousands of others in China.
A Huanan market origin has officially been dismissed by the authorities in China. Nevertheless, on February 25th a preprint authored by George Gao, head of China’s CDC, and 38 other Chinese virologists appeared that seems intended to settle the issue (Gao et al., 2022).
The Gao article concludes, based on several lines of evidence, including a lack of correlation between positive virus samples and stalls that sold animals, that the Huanan market was simply an amplifying event. These authors do not specify how they thought the virus did first emerge, except to note that virus samples reported from other countries predate their Huanan market sampling by several months. This conclusion is in line with Chinese government statements that SARS-CoV-2 came from outside China.
Just sixteen hours later, on February 26th, two preprints appeared simultaneously that directly contradict the Gao conclusions. The senior authors of these companion articles are an overlapping set of very high-profile virologists. None are from China.
One of these preprints asserts, based on surface swabs and other environmental samples found there, that the Huanan market was the “unambiguous epicenter” of the pandemic (Worobey et al., 2022). The second argues that SARS-CoV-2 emerged at least twice at the market (Pekar et al., 2022). According to these latter authors, one zoonotic spillover created what are known as the lineage A SARS-CoV-2 viruses and a second spillover was the root of all lineage B SARS-CoV-2 viruses. These two spillovers, they say, decisively contradict a lab leak.
Many SARS-CoV-2 genomes found early in the outbreak are intermediate in sequence between the A and B lineages. These intermediates have previously been assumed to indicate a single spillover with one lineage evolving into the other (Morel et al., 2021; Pipes et al., 2021). Pekar et al. propose instead that such intermediates are all either artifactual (mostly sequencing errors) or are otherwise irrelevant to the origin. Both papers are coy, however, about what type of animal was involved in their theorised spillovers.
These conflicting conclusions set up an interesting dynamic. Clearly, Chinese virologists do not support the market hypothesis. On the other hand, the senior authors of Pekar et al. and Worobey et al. are prominent Western virologists. Many, like Kristian Andersen, Robert Garry, Ed Holmes, and Andrew Rambaut, are vocal public supporters of a zoonotic origin, and very close to Anthony Fauci the director of NIAID.
One aspect of this dynamic is the East/West split. Clearly, the two factions are not co-operating. The other is a difference of approach. The Chinese researchers assert what they think did not happen. In contrast, by formulating an explicit hypothesis (except for the host animal), the Western virologists have staked their credibility on a specific theory. The former approach is low risk; the latter is high risk since any specific theory is potentially vulnerable if new evidence were to come forward that disproves it (as proven earlier cases would); but the reward has been ample media attention of the “The Lab Leak is Dead” type.
A significant feature of this episode is the close timing of the three papers. If more evidence was needed of non-cooperation, it seems obvious that the Worobey/Pekar preprints were an ambush. Their appearance was precisely timed to spike the headlines that the China CDC paper would likely have generated by ruling out a market origin.
Do Pekar and Worobey make their case?
Especially if one includes the new Gao et al. evidence, there are already powerful reasons to doubt both the market-zoonotic origin and a dual-spillover. These reasons are largely glossed over by the Pekar and Worobey preprints so they are worth outlining briefly:
1) The market samples were probably taken late in the Wuhan outbreak. The first reason, and the simplest, is that the market samples were taken between Jan 1st and March 30th, 2020. Yet plentiful evidence, such as contemporaneous newspaper reports of an outbreak in Wuhan, implies that SARS-CoV-2 was circulating widely in Wuhan and beyond by January 1st. Such evidence makes it difficult to agree that the market samples, so hotly discussed, have any special relevance to the source of the pandemic virus itself.
For example, according to the WHO COVID origin investigation, there were 174 COVID-19 hospitalisations in Wuhan by December 31st 2019. Given the normal delay between infection and hospitalisation and the significant rate at which COVID-19 gives asymptomatic and mild cases, these hospitalisations likely represented only the tip of a large infectious outbreak in December.
Early wide spread of the virus in Wuhan is evidenced too by a detailed case study of a family from Guangdong who visited Wuhan between December 29th and January 4th, 2020. Five from a total of six family members contracted COVID-19 while in Wuhan, without them having visited any markets (Chan et al., 2020). Further afield, a significant body of genome sequence and antibody evidence suggests SARS-CoV-2 was in Europe and other countries in the fall of 2019, well before the Huanan market samples were taken (reviewed in Canuti et al., 2022).
If there were thousands of cases in the city of Wuhan by Jan 1st when the market was closed and 10,000 people per day usually visited it, how do samples taken then (or later) constitute credible evidence for a market origin? Quite likely, vendors and others at the market found to have COVID-19 infections were just typical for Wuhan in December 2019 (Courtier-Orgogoz and de Assis, 2022). Typical or not, the market samples were collected too late to distinguish a market origin from any other origin in or near Wuhan.
2) Environmental samples collected at the market are of human origin and did not come from animals sold there. The aim of the Chinese CDC paper was to analyse the environmental samples (swabs from surfaces etc.) that they took in and around the Huanan market after Jan 1st, 2020 (Gao et al., 2022). They concluded that the market was only an amplifying event, in part because SARS-CoV-2-positive samples were associated with stalls belonging to multiple types of vendors, including those not selling animals (the Worobey preprint argues there is a correlation). More compelling, the CDC authors found that the samples collected from the market, which Pekar and Worobey claim are from infected animals, are admixed only with human genetic material and not with genetic material from raccoon dogs or other species potentially sold at the market. The only reasonable inference is that these positive samples did not derive from the faeces or urine or exhalations of a live non-human animal. Few results would better indicate that virus-positive market samples derive from infected humans as opposed to other species.
3) Pekar and Worobey rely on circular reasoning to identify root viruses. The 2022 Pekar et al. preprint adapts the findings of a previous publication (Pekar et al., 2021) to generate the novel hypothesis of a split phylogeny that traces SARS-CoV-2 back to two independent spillovers, both occurring in the Huanan market. These two spillovers, they claim, are represented today by what are known as lineage A and lineage B viruses, which differ by only two mutations. However, the phylogenetic methods used for building evolutionary trees and thus identifying the root virus in both Pekar papers are highly problematic because they are vulnerable to uneven and biased sampling and unusual genetic phenomena, such as superspreading events (Liu et al., 2020). One key bias relevant here is that, for many early COVID-19 cases, contact with the Huanan market was a diagnostic requirement (Liu et al., 2020). This will tend to orient phylogenies towards the market. Further, Pekar et al. use a clock-based algorithm that uses sampling dates to infer the root virus. This method is designed to channel the choice of root virus towards those genomes sampled earliest. If the market was the early focus of sampling, which it was, then the Pekar method of inferring the root is based on two independent forms of circular reasoning. These biases were further amplified by the Pekar and Worobey authors, who themselves decided, based on scant evidence, which patient cases counted towards the dataset and sometimes what were their disease onset dates. The effect of this intervention was to add yet more circularity into the selection process for root viruses. To satisfactorily determine which viruses are closest to the true origin requires instead a different method, one that is explicitly independent of ascertainment biases and subjective decision-making (Liu et al., 2020).
4) Pekar et al., lack the evidence for two spillover events. A key assertion of the Pekar preprint is its proposal that extant lineage A and lineage B viruses represent the descendants of two independent SARS-CoV-2 spillover events (Pekar et al., 2022). To succeed, this double spillover claim must explain why numerous genome sequences exist that are intermediate between lineage A and lineage B. To overcome this challenge, Pekar et al. propose that such intermediates are all either artifacts from sequencing errors or irrelevant to the origin question for other reasons. Sequencing errors are common enough, but Pekar et al. only demonstrate them convincingly in a minority of instances. For example, for most of their suggested sequence artifacts they rely on an unverifiable ‘personal communication’ from a single scientist (L. Chen) in China. To make a case for the irrelevance of others they have to suggest, for example, that two genomes sampled in February in Beijing are irrelevant–as if early sequences cannot have spread elsewhere or persisted. Ultimately, their bold suggestion that the phylogeny of SARS-CoV-2 is best explained by resolving it into two independent spillovers is very poorly supported by evidence.
The Great Virological Game
Pekar and Worobey fail to make their case and hence it is tempting to dismiss their heavy reliance on weak data, their non-parsimonious interpretations, their cherry-picking, and their circular reasoning as simple shoddy science. But, in our experience, this would be an error. Poor science by otherwise competent scientists, and on such a scale, usually happens for a reason. And, in the light of the meeting, described by Katherine Eban of Vanity Fair, between Jesse Bloom, Kristian Andersen, Anthony Fauci, Francis Collins, and others, which revolved around deleted sequences from early patient samples, it seems more clear than ever what that reason is.
Ordinary bad science mostly occurs for reasons that are simple and mundane. Perhaps a research field is considered a scientific backwater to which second-rate researchers have gravitated, or a research thesis was badly supervised or not completed. If so, the results are almost sure to appear in a low-ranking peer-reviewed journal.
The other class of bad science fits a very different pattern. It sometimes occurs that the leaders who control science’s purse-strings commit to a theory or a major programme that is then contradicted by emerging evidence. If, for political or financial reasons, a policy course correction is unavailable, a rationalisation in a prominent scientific journal will be necessary to provide, as the Vatican might put it, “guidance for the faithful”.
Such publications typically have an unnecessarily large number of authors, who will mostly be laboratory heads and other prominent scientific leaders; the article will usually appear in a journal with the very highest visibility, like Nature, Cell, or Science, and the mistakes such papers contain (the rationalisations) are never errors–they are purposeful and carefully calculated. A classic of this genre, which we dissected in detail, was the NIH response to the failure of the human genome project to deliver on its promise of explaining human noncommunicable disease, a problem that remains to this day (Manolio et al., 2009).
Obviously, lab leak theories are a top concern of the infectious disease community and coalescing opinion around a semi-plausible zoonotic hypothesis is the rather obvious intent of Fauci’s NIAID. Granted, we don’t yet know in which journals Pekar et al., 2022 and Worobey et al., 2022 will appear, but their precursors (Pekar et al., 2021 and Worobey, 2021) were both published in Science. Before that, the prototype for all future efforts was The proximal origin of SARS-CoV-2, published in Nature Medicine (Andersen et al., 2020).
Putting this all together, one can see that both Chinese and Western virologists are pursuing the same general strategy, the first step of which is to ignore, discredit,deny, delete, destroy, or otherwise conceal, early sequences and samples (Bloom, 2021; Canuti et al., 2022). Erasing, or failing to collect, early information has the primary effect of lessening the likelihood that a true origin will ever be retrieved. Secondarily, erasure also makes it easier to force preferred conclusions on the data that remain. On the Chinese side, removing or failing to collect early evidence of a Wuhan outbreak helps to place the first documented appearance of the virus outside of China entirely. The Western goal has instead been to force a market spillover conclusion by preferentially discrediting samples and cases that occurred prior to the market sampling and those with no links to the market (Pekar et al., 2021 and Worobey, 2021).
These strategic aims would be unfeasible without the circularity of the standard phylogenetic methods discussed above, which are quite widely understood by insiders (Liu et al., 2020; Kumar et al., 2021). Thus, picking and choosing early samples lets clock-based phylogenetic methods that are vulnerable to sampling biases deliver a foreordained root virus.
The major complication, visible to all after the publication of the conflicting Gao, Pekar, and Worobey preprints, is that a significant conflict has arisen due to the divergent origin scenarios each group is trying to fit the facts to.
It is a reasonable inference from the above that the leading virologists on each side, and who are directing these efforts, strongly suspect (or know because they are sitting on the evidence) that early data would not exonerate virus research in Wuhan, otherwise the same people would be hunting for early samples with great alacrity, which is clearly not happening. And we can surmise it is a lab leak that is being covered up since it is the only concern that both Chinese and Western virologists could plausibly share.
Until recently, the COVID-19 origin question was therefore set to devolve into a simple two-way tug-of-war between the Gao club in the East and the Fauci club in the West. What none of them expected, however, was that a novel phylogenetic method would emerge capable of discrediting their careful calculus.
Mutational Order Analysis
Recently, a different method has been applied to the SARS-CoV-2 origin question (Kumar et al., 2021). This method is new to virology but it is widely used in cancer research (e.g. Miura et al., 2018). Using it, Kumar, Pond, and colleagues were able to infer the existence of viral strains that are older (i.e. ancestors of) Wuhan-hu-1 (the standard SARS-CoV-2 reference genome) and the other market sequences by at least 3 mutations, which is a lot.
Their innovative method is called Mutational Order Analysis (MOA). MOA is an important advance over standard approaches, not least because it doesn’t rely on clocks (i.e. time) to orient (i.e. bias) the evolutionary trees it produces. Rather, it uses genome sequence data alone to deduce the progenitor virus. Thus, MOA can be used to undo known biases, such as clocks, other sampling confounders, or even systematic sample destruction.
To understand the major difference between MOA and the phylogenetic method used by Pekar et al., consider a theoretical individual in Wuhan in late 2019 who caught a very early case of SARS-CoV-2 and who then flew to a distant country. Once there, they seeded a minor outbreak that lasted just a few weeks or months (not unlike the Guangdong family noted earlier). If any genome from a later case in this outbreak were by chance sequenced, this information would be very valuable. It would be a rare example of a root virus genome (or very close to it). From this hypothetical example we can see that even sequences that occur late in an epidemic, or far from a presumed geographic origin, can, in principle, preserve critical information about that origin.
Ordinarily, phylogenetic analysis of the origin (including Pekar et al., 2021 and 2022 and Bloom, 2021) tends to focus, sometimes entirely, on early sequences and those found local to the outbreak origin. Genomes considered of improbable relevance to the origin question are ignored. For instance, Pekar et al. 2022 performed their analysis on 787 genomes, with a cut-off date of February 14th, 2020. MOA, however, can use every available genome sequence to build up a picture of viral relatedness, without discriminating. If any virus genome in the data set constitutes an apparent missing link between two viruses it will be inserted as part of the mutational order that is built up. Because MOA uses a very large data set, specifically to capture idiosyncratic events such as the one theorised above, it can build a far more accurate, far more detailed, and much more statistically robust evolutionary tree than conventional approaches. Best of all, it does so without introducing any biases of its own.
For these reasons, MOA is clearly a superior method. Its value is especially great for inferring outbreak origins in cases where, like SARS-CoV-2, early sequences are scarce and their collection is subject to sampling biases.
MOA contradicts the Pekar and Worobey dual spillover market theory
1) MOA identifies just one root virus. From almost 176,000 full-length genomes, MOA was able to decipher a mutational order for the origin viruses, with very high statistical confidence (Kumar et al., 2021). Their results are summarised in Fig. 1 below (taken from Fig. 2 of Kumar et al., 2021).
Fig. 1 The phylogeny of the early pandemic, according to Kumar et al., 2021
Overall, three of its findings strongly contradict the dual spillover market theory:
1) As is apparent from Fig. 1, unlike Pekar et al. (2022), MOA identifies a single root virus (μ1, top left, is its first mutant). A single root virus means the pandemic began with only one initial spillover. A single spillover event is a crucial observation because it strongly implies a lab leak (since scientists tend to work with pure cultures); whereas equivalent evidence for multiple and/or genetically diverse spillovers would have implied a natural source. MOA also shows that all lineage B viruses are descended from one lineage A virus.
2) The root virus identified by MOA predates all the root viruses identified by Pekar and Worobey. The virus identified by MOA as the root is separated by multiple mutations from any of the viral genomes found at the Huanan market and from Wuhan-hu-1. This infers that all known market samples are well downstream of patient zero. Therefore too, as was also concluded by Gao et al., the market samples represent an amplifying event, at most.
Evolution takes time to occur. Because multiple mutations accumulated before the first confirmed cases, Kumar et al. calculated that the initial spillover (presumably in Wuhan) was around late October/early November, i.e. several months before the Wuhan market was first sampled (on Jan 1st, 2020). This conclusion is hence consistent with the presence of far-flung SARS-CoV-2 genomes in Europe and elsewhere in the fall of 2019. It is also consistent with wide spread of the virus in Wuhan before the market samples were collected.
Very recently, Kumar and colleagues released a further preprint (Caraballo-Ortiz et al., 2022). It uses even more data (1 million genomes) and an improved method, which they call TopHap, to make their findings still more robust. The addition of many more genome sequences, including some very close to the root, affirms the original conclusions of a single root virus and that lineage B evolved from lineage A. It also allowed them to move back the root virus by one further mutation and this pushes back even further in time the predicted date of SARS-CoV-2 emergence–into September, 2019.
This September spillover date further contradicts Pekar and Worobey’s date. However, it agrees well with a broad set of other phylogenetic analyses and makes the farflung virus findings in Europe and elsewhere more plausible still (Mostefai et al., 2021; Schrago and Barzilai, 2021; Song et al., 2021; Xia, 2021).
3) Analysing only viruses found in China determined the results of the Pekar articles. In their phylogenetic analyses, both Pekar papers are noteworthy for selecting narrow geographical and temporal cut-offs for their data sets. Though these choices seem, at first sight, reasonable enough, as Kumar et al. point out for Pekar et al., 2021, the choices determine their ultimate conclusions. The excluding of sequences obtained outside China (and also those sampled more than 4 months after December) prevented these authors from including the major early branch that began with v1 (see Fig. 1). The v lineage was first sampled in the US but is needed for the correct selection of a root virus (see also Morel et al., 2021). Ultimately, the complete exclusion of the v lineage due to use of narrow cut-offs is a key reason why the two approaches reached divergent conclusions (Kumar et al., 2021). In short, the scientific contribution of Pekar et al. (2021 and 2022) is to deploy narrow windows for data acquisition to accomplish the phylogenetic equivalent of p-hacking.
If Pekar and Worobey are wrong, are Gao et al. right?
The MOA method is only somewhat kinder to the Gao et al. origin conclusions.
Although MOA supports the market being a secondary site, it contradicts the idea of a virus origin outside China. Gao at al. point at evidence for very early cases outside of China and imply that one of these was the ultimate source. But, it is clear from the Kumar et al. analysis that Wuhan and China are where the genetic diversity around the root occurs. In other words, the virus is unlikely to have emerged in Italy (or elsewhere) in late 2019 and seeded Wuhan. Far more probably, it spilled over in Wuhan and seeded Italy.
The status of a zoonotic origin in the light of MOA
We described above seven major flaws in the hypothesis of a double market spillover. Most of these criticisms apply to any hypothesised spillover scenario at the Huanan market, but it is notable that the MOA findings of Kumar, Pond, and colleagues advance the critique very significantly. Their two papers thus represent important landmarks in the study of the origin of COVID-19 (Kumar et al., 2021; Caraballo-Ortiz et al., 2022).
The key points are worth recalling: The extensive evidence of an epidemic in Wuhan long before the Huanan market samples were taken; that the market samples containing SARS-CoV-2 were mixed with human RNA and not with animal RNA; the circular reasoning of Pekar et al.’s phylogenetic method; the lack of support for dismissing viruses intermediate between lineages A and B; the methodological superiority of the MOA method, which identifies a single and significantly earlier root; and, last, the dependence of the Pekar evolutionary tree on ignoring SARS-CoV-2 sequences harvested either late or outside of China.
There is also the wider context to consider. In case it needs reiterating, there is still no evidence for wild or farmed animals being infected with SARS-CoV-2 in China, either before, during, or since the pandemic broke out. Moreover, zoonotic theorists have been very reluctant to specify a clear candidate animal species as an intermediate host. This seems to be because it is hard to construct a good case for any of them. Third, there is the unremarkable nature, by Chinese standards, of the Huanan market. Why Wuhan? It is a question still unanswered by natural zoonotic theories.
In short, it is unreasonable to claim that the Huanan market was the “unambiguous epicentre” of the pandemic (Worobey et al., 2022). Such certitude is scientifically unwarranted and only serves to give the appearance of a false flag operation.
This impression is strengthened since neither Gao, Pekar, nor Worobey, ever discuss the existence of the Wuhan Institute of Virology (WIV) and the obvious alternative hypothesis that they know goes along with it. The WIV is just a few miles from the market and, according to its US funders and the people who work there, it specialises in the collection and study and enhancement of SARS-related coronaviruses (Latinne et al., 2020). For decades, a major goal of its research has been to identify or create ones primed for human spillover (e.g. Li et al., 2019).
MOA, a goldmine of pandemic origin information
The two MOA/TopHap papers provide by far the strongest candidate yet for a root virus and they detail its subsequent evolution (Caraballo-Ortiz et al., 2022; Kumar et al., 2021). Consequently, they have even more to tell us because precise rooting is invaluable for understanding additional key aspects of any virus origin.
One key question to ask any zoonotic origin hypothesis is whether the root virus could infect putative intermediate hosts, such as the raccoon dog suggested by Pekar and Worobey. Answering this requires knowing precisely what those early strains were. Such tests can be highly misleading if performed on virus strains from much later in the pandemic since the variants of SARS-CoV-2 have distinct mammalian host ranges (Montaguteli et al., 2021; Gu et al., 2020). In particular, it ought to trouble origin theorists that the only evidence for SARS-CoV-2 infecting raccoon dogs comes from a later (D614G) strain (Freuling et al., 2021).
A second benefit of accurate rooting is probably the most significant of all. It follows from the fact that root viruses can show what, if any, were the initial adaptation steps of SARS-CoV-2 to humans.
For example, the MOA phylogeny indicates (though this can’t be seen in Fig. 1) that even the very early virus strains that predated the market samples, persisted unchanged long into the pandemic. This is a very important observation. It shows that, notwithstanding later improvements in its fitness, SARS-CoV-2 was very well adapted to humans by September or October and, so far as we can tell, from the very start.
Corroborating this, the very earliest strains differ only by synonymous mutations (see e.g. mutants μ1-3 in Fig. 1). Synonymous (as opposed to nonsynonymous) mutations are nucleotide changes only; that is, they do not alter the amino acid sequence and so they usually have zero effect on the fitness of the virus.
(Note: For each mutant, Fig.1 shows either nucleotide changes (>) or amino acid changes (>). Nucleotides are represented by the letters A, C, G, or U and changes to these represent synonymous mutations; other letters represent the standard amino acid notation system and these letters thus indicate nonsynonymous mutations.)
From the synonymous nature of the earliest mutations, the authors concluded that these earliest viruses:
“already possessed the repertoire of protein sequences needed to infect, spread, and persist in the global human population” (Kumar et al., 2021).
Moreover, many immediate descendants of these viruses often also contained only synonymous mutations and yet these strains too often became abundant. Indeed, such barely altered genomes were found “on every sampled continent” (Kumar et al., 2021).
Again, this implies the same conclusion. Whichever way one looks at the evidence, it is evident that even the very earliest viruses were not only highly adapted to humans but able, unaltered, to cause a pandemic.
This is a tremendously informative result. The question of whether SARS-CoV-2 was highly adapted to humans (and thus presumably preadapted) has been in hot dispute almost from the beginning of the pandemic (Zhan et al., 2020). But the MOA phylogeny provides by far the most decisive evidence yet that indeed it was.
Reading into their phylogeny a little further gives even more support for preadaptation. It was not until the eighth mutation did one arise (β2 in Fig. 1) that has subsequently been shown to increase the fitness of the virus in humans (Dearlove et al., 2020; van Dorp et al., 2020). β2 is the well-known D614G mutation, first identified in Wuhan late January. By this time the pandemic was well underway.
The only other mutation in Fig.1 that became abundant during the pandemic was its immediate predecessor, β1. β1 is a synonymous mutation (again) that probably hitch-hiked on D614G (Dearlove et al., 2020).
The significance of this pattern is to indicate that, even though they gave amino acid changes, even the nonsynonumous mutations clustered at the root were selectively neutral. That is, they too arose at random and not because they conferred any advantage on the virus. This again strongly reinforces the idea that the virus was under little pressure to adapt during its early spread in Wuhan.
It is not at all normal for a virus to enter a new host population without also evolving rapidly to adapt to it. Thus the first SARS coronavirus (SARS-CoV) acquired amino acid changes during its early spread in humans (Zhan et al., 2020). The alternative norm is for the virus to fail to adapt to its new host at all, such as has happened so far with every one of the many introductions into humans of the coronavirus MERS (Dudas et al., 2018).
Conceding that SARS-CoV-2 was preadapted, some have argued that SARS-CoV-2 is a ‘generalist’ virus (Frutos et al., 2020). There seems to be very little evidence for this. SARS-CoV-2 does not infect most mammal species (Kock and Caceres-Escobar, 2022). It can be actively transmitted by far fewer species still, and, when those few do transmit the virus, adaptive mutations occur (Gu et al., 2021; Sawatzki et al., 2021; Tan et al., 2022). In short, SARS-CoV-2 has not proven preadapted to any mammalian host species tested so far (except humans) and so it bears none of the hallmarks of a generalist virus.
Preadaptation of SARS-CoV-2 implies a lab leak. But it also implies a leak of a specific kind of virus; one that is not merely adapted to human cells but to transmission between whole, intact, humans. Only one theory of how SARS-CoV-2 arose fits this description. It is the Mojiang Miners Passage theory.
Where now for origin research?
Major institutions, primarily the EcoHealth Alliance, the NIH, and the WIV, hold large troves of information that could prove or disprove a lab leak. All assert their transparency and accountability, but, in practice, each has denied numerous requests for documents and other data. If one only listened to their words, one would think they wanted to find the origins of COVID-19, but their actions speak louder. Progress will therefore likely depend on independent initiatives.
When Jesse Bloom ingeniously retrieved previously deleted early SARS-CoV-2 sequences from the cloud and thereby recovered a novel early virus strain (Bloom, 2021), virologist Rasmus Nielsen said that this information was:
“the most important data that we have received regarding the origins of COVID-19 for more than a year”.
Nielsen was proven correct since Bloom’s discovery has been crucial to the improved rooting of Kumar and colleagues (Caraballo-Ortiz, et al., 2022).
The exceptional research value of these early sequences indicates also the appropriate scientific benchmark for judging those who erase or withold such evidence. History is full of ironies, but not many exceed the spectacle of prominent scientists, whose careers are publicly funded on the promise of identifying causes of infectious diseases, not wanting others to know the cause of the COVID-19 pandemic. Why, after all, did public institutions like NIH, NIAID, USAID, DOD, who have showered money on the EcoHealth Alliance, supposedly to prevent pandemics, not fund widespread searches for early SARS-CoV-2 infections at the very start of the pandemic?
Given this blockade, even at this late date, probably the simplest and most useful way to advance the scientific search for the origin of SARS-CoV-2 would be to locate and analyse more samples from early in the outbreak, from any country, regardless (Basavaraju et al., 2021; Montomoli et al; 2021; Canuti et al., 2022). Preliminary research suggests a plethora of suitable clinical and environmental samples exist in civilian and also military sample collections and databases, and that searches for early sequences are likely to be fruitful (Canuti et al. 2022, Paixao et al. 2022, Althoff et al. 2021; Chapleau et al. 2021; Lednicky et al. 2021; Basavaraju et al. 2021; Chen et al. 2020).
The other necessary benchmark is an ethical one. Dr Tedros of the WHO has called investigating the origin of the pandemic “a moral obligation“. We would go further. Although there is no law against obstructing origin research, it should nevertheless be considered a crime against all humanity to make it more likely that an event that resulted in millions of deaths and untold misery will recur because we never found its cause (Relman, 2020).
Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.
Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.
Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)
Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir
Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme
Monica Hughes, PhD
24 avril
Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.
J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.
Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.
J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:
Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.
C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.
La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.
Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.
Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.
Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.
S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).
Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.
Le monde tourne à l’envers.
Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.
D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.
Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.
Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.
J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.
J’avais tort.
Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.
Quelle idiote j’étais.
Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?
Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.
Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?
Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.
Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.
Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.
Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.
En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.
Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.
Non.
Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.
J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.
J’ai juré de ne plus jamais voter.
En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.
J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.
Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.
Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »
Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].
Sommes-nous en train de jouer leur jeu?
Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de » Nuremberg 2 « , ni de » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]
Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.
Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].
Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.
Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.
Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.
Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.
J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.
Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?
Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.
L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.
Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.
L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.
Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.
Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)
Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].
Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.
Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.
Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».
Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:
Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.
Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.
S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.
Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.
Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.
Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.
Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:
« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »
Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.
L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.
Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.
On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »
Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »
Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.
J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.
Texte original
Our Ancestors Voted for Your Right to Die
Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future
Monica Hughes, PhD
Apr 24
Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.
I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.
His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.
I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:
To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.
Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.
I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.
I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.
I was wrong.
Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.
Silly me.
Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.
I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.
I vowed never to vote again.
In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.
I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.
It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.
Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”
Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.
Are we playing into their hand?
My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.
I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.
It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.
If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.
And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.
I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.
For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.
But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”
Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:
They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.
So just come to terms with it and get ready for it:
That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.
I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.
Royaume-Uni: Le Covid devient CHRONIQUE, comme le SIDA, et va nous terrasser
Adieu, « Immunité vaccinale » et « Immunité hybride ».
Igor Chudov
27 mars
Je voudrais aborder des statistiques très inquiétantes qui nous viennent du Royaume-Uni et qui montrent clairement que le Covid est en train de devenir une maladie chronique, au même titre que le SIDA. Pour de nombreux Britanniques, le Covid est une maladie qui ne se résout pas. Les crises sans fin, les récidives, voire la maladie sans fin, sont désormais la norme et non plus l’exception, et elles mèneront à une catastrophe.
Le Covid, devenu aujourd’hui une « maladie chronique » qui rend les gens malades en permanence ou très fréquemment, est en totale contradiction avec une « maladie endémique« , comme le rhume, qui ne rend les gens malades que quelques jours par an.
Avant d’aller plus loin, permettez-moi de souligner à nouveau que mon intention n’est PAS de dénigrer le splendide Royaume-Uni. C’est un pays merveilleux avec une culture riche, des gens incroyables, et des AGENCES STATISTIQUES EXCEPTIONNELLES. Ce sont ces dernières qui me permettent de montrer le désastre en cours là-bas. Les citoyens du Royaume-Uni sont diversifiés et ne sont pas biologiquement très différents des citoyens d’autres pays. Ce que j’écris sur le Royaume-Uni s’applique à tout autre pays occidental fortement vacciné.
Le Royaume-Uni mesure l' »incidence » du Covid
Le Royaume-Uni réalise un remarquable travail de recensement de ce que l’on appelle « l’incidence » du Covid, qui répond à une question : « Combien de personnes ont un Covid en ce moment?« . L’ONS [Office for National Statistics – Bureau National des Statistiques] publie une Enquête sur les Infections à Coronavirus très révélatrice.
La dernière enquête, en date du 19 mars, montre qu’un Britannique sur 16, ou un Écossais sur 11, présente aujourd’hui une infection active au Covid. Faites une pause pendant une minute, s’il vous plaît, et réfléchissez à cela.
Le pourcentage de personnes qui testent positives au Covid ne cesse d’augmenter en Angleterre, au Pays de Galle et en Ecosse. [Les cas d’Omicron ont atteint un pic ici/ mais le Covid n’a pas diminué et le pic de son incidence est ici]
Ce graphique de l' »incidence », ou « prévalence actuelle », du Covid, qui est aussi élevée que lors du pic de janvier, diverge complètement des « cas », qui ne représentent qu’un tiers du pic:
Comment est-ce possible?
Le Royaume-Uni définit un « cas Covid » comme étant un résultat positif au test Covid chez un individu, sans qu’aucun autre test positif n’ait été enregistré dans les 90 jours précédents. Cela explique la divergence presque triple entre les « cas » et l' »incidence », où les cas sont en baisse de 2/3 (au 19 mars), et l’incidence est au plus haut, tout comme lors du pic d’Omicron en janvier.
Cette divergence s’explique par le fait qu’environ DEUX TIERS des Britanniques actuellement malades présentent une réinfection à court terme ou une infection chronique continue, qui n’est pas comptabilisée comme un « cas ». Ces estimations sont loin d’être précises, mais elles sont probablement assez proches de la réalité.
Je m’attends à ce que de nombreuses personnes objectent que le comptage des cas n’est pas fiable, ce qui est le cas. À ces personnes, je recommande la lecture de mon autre article: « Royaume-Uni – les réinfections à court terme explosent« . [NdT. que j’ai traduit ici]
Une personne malade sur 16 signifie que…
Si, à tout moment de l’année, une personne sur 16 est atteinte de Covid, cela signifie que la personne moyenne sera malade 365/16 = 23 jours par an. Si une maladie Covid typique dure une semaine pour sa partie positive au test, cela signifie trois Covid par an. Pour l’Écosse, où 1 personne sur 11 est actuellement malade et testée positive, cela représente 33 jours par an, soit plus de QUATRE Covids d’une semaine par an pour l’Écossais moyen.
Toutefois, la situation pourrait être encore pire. Ce n’est pas encore une certitude, mais il se pourrait que certaines personnes ne parviennent pas du tout à éliminer le virus et continuent à être testées positives pendant de longues périodes. Les exemples de ce type sont légion. Voici une personne qui continue à être testée positive au 15ème jour « malgré » une triple vaccination et l’utilisation de « Paxlovid ».
Complètement vaccinée. Boostée avec Moderna en décembre. Les symptômes ont commencé le 8 mars. Testé positif au covid le 10 mars avec de la fièvre, des courbatures et une toux sèche. J’ai pris du Paxlovid le jour même – les symptômes ont disparu en 24 heures. Je me suis senti mieux le troisième jour. J’ai fait un test rapide négatif les jours 5, 6, 7 et 8. Jour 8 – j’ai porté un masque, j’ai repris ma vie quotidienne. Je me sentais normal. Jour 11- nez qui coule, je commence à me sentir mal. Test à nouveau positif. Jour 12, 13, 14, 15- Malade à 100% avec une nouvelle série de symptômes. Cette fois, c’est comme un énorme rhume de cerveau, sans fièvre ni douleurs corporelles. Congestion extrême. Jour 14 (qui était aussi le 4e jour de nouveaux symptômes), j’ai perdu mon odorat. Aujourd’hui (jour 15), un membre de ma famille a été testé positif. Je suis toujours positif au test rapide. Tout porte à croire que je suis encore contagieux 12 à 15 jours plus tard. Est-il possible que j’aie attrapé deux souches différentes de covid en deux semaines? Omicron et ensuite BA2? [La poudre de perlimpinpin fonctionnait mieux]
Il se peut que plusieurs réinfections rapprochées au Covid tuent complètement les cellules T immunitaires, si bien qu’elles n’auront pas le temps de se reconstituer entre les infections, et que la personne se retrouvera donc sans aucune défense immunitaire, tout comme les personnes atteintes du SIDA.
Elles deviendraient sensibles non seulement au Covid chronique, mais aussi aux maladies opportunistes chroniques propres aux malades du SIDA, et au cancer. En plus des problèmes immunitaires, la charge constante de la protéine de pointe de Covid sera très délétère pour nos systèmes immunitaires, et ainsi de suite. Imaginez que vous ayez le SIDA avec en plus une destruction cardiovasculaire, des caillots sanguins, un « brouillard cérébral », etc… tout cela pour une maladie qui ne peut être arrêtée.
Si le Covid ponctuel est néfaste, le « Covid chronique » permanent est une tout autre chose, et une chose terrible. Nous en sommes maintenant à la période de plusieurs Covid par an, où de nombreuses personnes l’ont subi deux ou trois fois cet hiver. Il est tout à fait possible que les réinfections à court terme provoquent un Syndrome de Déficit Immunitaire à part entière en raison de la destruction des cellules T.
Les personnes atteintes d’un Covid chronique de ce type devront continuer à vivre parmi nous, à faire leurs courses, à travailler tant qu’elles le peuvent encore et à se mêler aux autres. Contrairement aux personnes infectées par le VIH, qui se transmet par le sang, les personnes atteintes de « Covid chronique » seront constamment infectées par une maladie AÉROSOLISÉE. Comment cela affectera-t-il notre société? Nous ne pouvons que faire des conjectures.
régime administré (44,5 % et 43,0 %, respectivement). Des probabilités comparables de présentation des symptômes et de prise en charge ont été signalées pour les deux infections. Cependant, un taux d’admission en unité de soins intensifs (USI) plus élevé a été observé en cas de réinfection par rapport à la première infection (10 vs 3). Dix décès ont été signalés, l’insuffisance respiratoire étant la cause la plus fréquente de décès (7/10 décès).
Vaccins, SIDAV et réinfections
Bien que je sois opposé aux vaccins Covid, permettez-moi de clarifier une chose: les personnes vaccinées et non vaccinées ont toutes des réinfections AU Covid. Ce qui n’est PAS tout à fait clair, c’est qui en a le plus, pour 100 000 habitants. Cependant, tout porte à croire que ce sont les vaccinés qui sont les plus touchés par les réinfections au Covid et les déficits immunitaires.
Il est urgent que nos gouvernements enquêtent sur les réinfections répétées et déterminent si les vaccinés sont plus susceptibles de contracter des infections à Covid répétées ou chroniques. Il n’est pas surprenant qu’aucun gouvernement au monde n’ait répondu à cette question ou ne se penche même sur la question. Je pense savoir pourquoi.
Bien que nous ne disposions pas de statistiques officielles de haute qualité, nous pouvons glaner quelques informations dans les rapports de vaccination de l’UKHSA.
Les statistiques de l’UKHSA montrent clairement que les personnes vaccinées sont beaucoup plus susceptibles d’avoir un « cas » de covid que les personnes non vaccinées:
Mon autre article traite du phénomène du « VAIDS » de manière plus détaillée, et aborde la relation entre le Covid-19 et le VIH: Covid, Vaccin, VIH et SIDAV – Explication [NdT. ma traduction ici]
Tout ceci suggère, sans être totalement concluant, que ce sont les personnes vaccinées qui sont les plus touchées par les réinfections répétées.
Reddit et Twitter sont remplis de rapports « J’ai eu Covid trois fois », que vous pouvez lire ci-dessous.
Un autre problème est que, comme le Covid « affecte le cerveau« , nous risquons, en tant que société, de perdre la capacité intellectuelle dont nous avons besoin pour traiter cette question intelligemment, dans un an environ, si nos meilleurs esprits vaccinés succombent à des lésions cérébrales dues à des infections répétées.
Bonne chance dans ce cas.
Covid pour la troisième fois. J’en ai tellement marre de tout ça. Je me sens vraiment comme une merde cette fois. Maux de tête, courbatures, congestion, maux de gorge. La dernière fois que j’ai eu le covid, il y a environ 4 mois, j’ai dû avoir 2L d’oxygène en permanence. Mon corps est épuisé. Je suis tout le temps fatiguée maintenant. Je suis toujours aussi essoufflée. Que vais-je devoir subir cette fois-ci? J’ai eu les vaccins et le booster.Mon système immunitaire est juste nul, je suppose. Co-morbidités : polyarthrite rhumatoïde, MPOC ( non-fumeuse ), asthme, et d’autres choses comme l’anxiété, la dépression, les migraines, l’apnée du sommeil.Mon partenaire et moi avons été testés positifs au Covid pour la TROISIÈME fois la semaine dernière […]. Nous sommes tous les deux doublement vaccinés et j’ai eu un booster en décembre […] Cette troisième fois n’a pas été aussi grave que les deux premières (février 20, octobre 20) […] nos systèmes immunitaires sont en ruines […] Ils pourraient ne jamais s’améliorer et nous pourrions être immunodéprimés pour toujours […] nous avons eu une grippe qui a failli nous envoyer à l’hôpital.
I live in the uk- have a massive family – 75 pct vaxxed. Only people I know getting reinfected are vaccinated . Also a lot of first time cases in double/triple vaxxed recently. Only people I know that don’t seem to get it at all are unvaccinated like myself( also no mask ever).
Je vis au Royaume-Uni – j’ai une famille nombreuse – 75 % vaccinée. Les seules personnes que je connais qui sont réinfectées sont vaccinées. Il y a aussi beaucoup de premiers cas de double/triple vaccinés récemment. Les seules personnes que je connais qui n’ont pas l’air de l’attraper sont des personnes non vaccinées comme moi ( jamais de masque non plus).
Yes, like why I have COVID for a THIRD time?! So does my vaxxed and boosted husband.
I would like to discuss very disturbing statistics from the UK, that clearly shows that Covid is becoming a chronic disease, in the same sense as AIDS is a chronic disease. Covid, for many Brits, is an illness that will just not go away. Endless bouts, recurrence, or even never-ending disease, is now the norm and not the exception, and will lead to a catastrophe.
Covid, now a “chronic disease” that makes people ill continuously or very frequently, is completely opposed to “endemic disease”, like colds, that would make people ill for just a few days a year.
Before I go further, let me point out again that I am NOT trying to badmouth the splendid United Kingdom. It is a wonderful country with rich culture, incredible people, and OUTSTANDING STATISTICAL AGENCIES. It is the latter that let me show the disaster unfolding there. People of the UK are diverse, and are not biologically very different from people in other countries. What I write about the UK, applies to any other highly vaccinated Western country.
UK Is Measuring “Incidence” of Covid
A very special effort of the UK is measuring so called “incidence” of Covid, that answers a question: “how many people are having Covid right now?”. ONS publishes a Coronavirus Infection Survey that is very revealing.
The latest survey, as of March 19, shows that one out of every 16 Brits, or one out of every 11 Scots, is having an active Covid infection today. Stop for a minute, please, and think about it.
This graph of “incidence”, or “current prevalence”, of Covid, which is as high as it was during the January peak, completely diverged from “cases”, which are just about one-third of the peak:
How can it be?
The UK defines a “Covid case”, to be a positive Covid test result in an individual, where no other positive test was recorded in the 90 days prior. This explains the almost three-times divergence between “cases” and “incidence”, where cases are down 2/3rds (as of Mar 19), and incidence is at the highest point just as it was when Omicron peaked in January.
This divergence is because about TWO THIRDS of currently ill Brits, are having a short term reinfection, or a continued chronic infection, that is not counted as a “case”. These estimates are far from precise, but likely close to being correct.
I do anticipate that many people will object to case-counting being unreliable, which it is. To those people, I recommend reading my other article: “UK — short term reinfections exploding”.
One out of 16 Sick Means that…
If, at any time in a year, one out of 16 persons is having Covid, it means that the average person would be sick 365/16 = 23 days per year. If a typical Covid illness lasts a week for its test-positive part, it means three Covids a year. For Scotland with 1 out of 11 ill and testing positive now, it amounts to 33 days a year, or over FOUR week-long-Covids for the average Scot per year.
However, it could be worse than this. It is not a certainty yet, but it could be that some people cannot clear the virus at all and keep testing positive for extended periods. There is plenty of such examples. Here’s a person who keeps testing positive on Day 15 “despite” triple vaccination and use of “Paxlovid”.
It may be that several short-term Covid reinfections will kill off immune T cells completely, so that they do not have time to replenish between infections, and thus the person would be left with no immune defenses whatsoever, just like people who are having AIDS.
They would become susceptible not just to chronic Covid, but to chronic opportunistic illnesses common to AIDS patients, and cancer. In addition to immune problems, constant load of Covid’s spike protein will be very deleterious to our immune systems, and so on. Think of having AIDS with extra cardiovascular destruction, blood clots, “brain fog” etc — all this for an illness that cannot be stopped.
While one-time Covid is a bad thing, the all-the-time “Chronic Covid” is a completely different and a terrible thing. We are now in the several-times-a-year territory where many people had two or three Covids this winter. It is totally possible that short term reinfections will cause a full blown Immune Deficit Syndrome due to T cell destruction.
Persons who have such chronic Covid, will need to live among us, they need to go shopping, work while they still can, and mix with other people. Unlike those infected with HIV, which is bloodborne, the “chronic Covid” sufferers will beconstantly infectious with an AIRBORNE illness. How will this affect our society? We can only guess.
Despite being opposed to Covid vaccines, let me make one thing clear: both vaccinated and unvaccinated people have Covid reinfections. What is NOT fully clear is who has more of them, per 100,000 of relevant population. However, all signs point to the vaccinated bearing the brunt of repeat Covid infections and the immune deficits.
We urgently need our governments to investigate repeat reinfections and find out whether the vaccinated are more likely to get repeat or chronic Covid. Not quite surprisingly, no government in the world answered this question or is even looking. I suspect that I know why.
Despite not having high quality official statistics, we can glean some information from UKHSA vaccine reports.
All of this is suggesting, but not fully conclusively, that it is the vaccinated people who bear the brunt of repeat reinfections.
Both Reddit and Twitter are chock full of “I had Covid three times” reports, which you can read below.
An additional issue is that as Covid “affects the brain”, we as a society may lose the intellectual capacity that we need to deal with this smartly, in a year or so, if our vaccinated best minds succumb to brain damage from repeat infections.
Good luck then.
I live in the uk- have a massive family – 75 pct vaxxed. Only people I know getting reinfected are vaccinated . Also a lot of first time cases in double/triple vaxxed recently. Only people I know that don’t seem to get it at all are unvaccinated like myself( also no mask ever).
Royaume-Uni: les réinfections à court terme explosent
Les Britanniques hautement vaccinés sont réinfectés en permanence
Igor Chudov
21 mars
Le Royaume-Uni, comme la plupart des autres bons pays, signale au monde entier les « cas de Covid ». Cependant, ces rapports considèrent les réinfections comme de « nouveaux cas » uniquement s’il existe une période de plus de 90 jours entre les tests positifs. Tout intervalle plus court entre des tests positifs fait que le Royaume-Uni considère qu’il s’agit de la « continuation » d’un cas précédent.
Ainsi, par exemple, une personne qui a eu le Covid le 15 décembre, s’est rétablie en une semaine, puis a eu le Covid à nouveau le 5 mars, ne serait PAS officiellement considérée comme un « nouveau cas de Covid ».
Cependant, le Royaume-Uni dispose également d’une « application ZOE Health tracker », apparemment populaire, qui permet aux gens de signaler leurs symptômes. Cette application considère les réinfections à court terme comme autant de « cas » et établit des statistiques collectives.
Regardez les deux graphiques. D’abord, les données officielles du Royaume-Uni:
Deuxièmement, les données de ZOE. Regardez la ligne bleue, les cas de Covid signalés:
Vous pouvez voir tout de suite que, approximativement jusqu’au pic de début janvier, les deux graphiques se correspondent parfaitement dans leur forme. Cependant, ils divergent totalement après cette date. Veuillez pardonner mes talents de dessinateur de niveau Hunter Biden, mais après le 5e essai, j’ai réussi à dessiner suffisamment bien pour illustrer la différence:
J’ai tracé la ligne BLEUE sur le graphique pour représenter approximativement comment la ligne ZOE diverge des données officielles.
Quelques notes:
Il est compréhensible que les symptômes auto-déclarés à ZOE soient généralement supérieurs aux « cas » officiellement déclarés et confirmés par des tests, car ils utilisent des critères différents.
Mais jusqu’en janvier, la FORME de ces courbes était à peu près égale, l’une suivant l’autre de près.
Cependant, après janvier, la courbe ZOE est montée en flèche par rapport à la courbe officielle.
Alors, que se passe-t-il? Je pense que la réponse est qu’il y a beaucoup plus de réinfections à court terme au Royaume-Uni qu’auparavant, qui apparaissent dans ZOE mais pas dans les statistiques officielles.
En fait, le graphique suggère qu’environ la moitié des personnes actuellement infectées en sont à leur deuxième réinfection à court terme.
Pourcentage de personnes infectées
Le Royaume-Uni enregistre une donnée très utile: le pourcentage de personnes qui sont ACTUELLEMENT INFECTEES. Il ne tient absolument pas compte des « réinfections », il s’en moque tout simplement.
Les chiffres du Covid: « un londonien sur 18 a le virus » alors que le Royaume Uni enregistre 90.349 cas et 126 morts quotidiennement.
Voici un graphique du « pourcentage de personnes actuellement infectées » tiré du Financial Times.
Près de 3,3 millions de personnes ont été infectées par le virus Covid-19 au cours de la semaine se terminant le 12 mars, soit une augmentation de 26 % par rapport à la semaine précédente et le niveau le plus élevé enregistré depuis la mi-février. Les taux d’infection ont augmenté dans toutes les régions du Royaume-Uni, à l’exception de l’Irlande du Nord. L’Écosse a enregistré son plus haut taux d’infection de la pandémie jusqu’à présent, avec une personne sur 14 infectée par le virus au cours de la semaine se terminant à la mi-mars, contre une sur 18 une semaine plus tôt. En Angleterre, une personne sur 20 a été infectée par le coronavirus au cours de la même période, contre une sur 25 une semaine plus tôt.
Ce graphique du « pourcentage de personnes actuellement infectées » correspond beaucoup mieux aux données de ZOE qu’aux cas officiellement déclarés.
On peut voir qu’environ un habitant de l’Angleterre sur 20 est actuellement infecté. Ce pourcentage est, en fait, assez proche du pic de janvier d' »Omicron ». Cela signifie que la pandémie n’est PAS en train de se terminer et qu’elle ressemble davantage à un feu de poubelle qui ne cesserait de brûler et d’émettre de la fumée nocive.
La situation est encore pire pour les personnes âgées, qui ont le plus besoin de protection et qui bénéficient le moins du prétendu « vaccin ».
Selon l’Office National des Statistiques, les infections à coronavirus chez les plus de 70 ans au Royaume-Uni ont atteint un niveau record à la mi-mars, en raison du sous-variant Omicron BA.2, hautement infectieux.
Les réinfections à court terme peuvent être légères – elles n’apparaissent donc pas autant dans les hospitalisations – mais elles ne sont PAS une bonne chose. Cela signifie que les personnes qui en sont atteintes ne sont pas vraiment immunisées contre le Covid après des vaccinations répétées et des cas « breakthrough » de Covid.
Elles n’ont pas de « super immunité hybride ». Au contraire, elles n’ont AUCUNE immunité. J’espère que cela n’inclut pas l’immunité contre d’AUTRES maladies comme la variole ou la varicelle. Le temps nous le dira.
Les rapports récents selon lesquels les infections à Covid détruisent les cellules T immunitaires, comme le VIH, rendent également préoccupants les cas répétés à l’infini.
Cela finira-t-il par transformer les personnes souffrant de Covid à répétition en porteurs continus de la maladie et en usines de protéines de pointe ambulantes? Que va-t-il leur arriver? C’est une tendance très inquiétante.
Les États-Unis ressemblent à bien des égards au Royaume-Uni et la même chose devrait se produire ici, quelques semaines plus tard.
Malheureusement, il n’existe AUCUN rapport séparé par statut vaccinal. Il est clair que la soi-disant « immunité naturelle » ne s’applique plus au Royaume-Uni, qui est fortement vacciné. Certains éléments indiquent toutefois qu’il s’agit d’un phénomène qui touche principalement les personnes vaccinées: L’UKHSA explique les réinfections sans fin des personnes vaccinées [NdT. ma traduction ici]
Permettez-moi de clarifier: le Royaume-Uni n’est pas un pays singulièrement MAUVAIS! Bien au contraire, ses statistiques sont particulièrement BONNES. C’est pourquoi nous pouvons examiner les données et leur donner un sens. J’ai toujours été un grand fan du Royaume-Uni et je souhaite tout le bien possible à ses habitants.
Qu’en pensez-vous?
Texte original
UK: Short-term Reinfections Exploding
Highly-Vaxxed Brits are Reinfected Constantly
Igor Chudov
Mar 21
The UK, like most other good countries, reports “Covid Cases” to the world. These reports, however, consider reinfections to be “new cases” only if there is a period of more than 90 days between positive tests. Any shorter interval between positive tests makes the UK consider that a “continuation” of a previous case.
So, for instance, a person who had Covid on Dec 15, recovered in a week, and then got Covid again on March 5, would NOT officially be considered a “new Covid case”.
However, the UK also has a “ZOE Health tracker app”, which is apparently popular and allows people to report their symptoms. This app considers short term reinfections to be “cases” also and reports collective statistics.
Look at the two graphs. First, official UK data:
Second, ZOE data. Look at the blue line, reported Covid cases:
You can see right away that, approximately until the early January peak, the two graphs perfectly matched each other in their shape. However, they totally diverged after that. Please forgive my Hunter-Biden level drawing skills, but after 5th try I was able to draw well enough to illustrate the difference:
I drew the BLUE line on the graph to roughly represent how the ZOE line has diverged from the official data.
Some notes:
It is understandable that self-reported ZOE symptoms may generally exceed officially-reported, test-confirmed “cases” as they use a different criteria
But up to January the SHAPE of these curves was roughly equal, with one following another closely
However, after January, ZOE curve skyrocketed compared to the official curve
So, what is going on? I believe that the answer is that there is a lot more short term reinfections in the UK, than before, that show up in ZOE but not in the official statistics.
In fact, the graph suggests that about half of the currently infected are on their second, short-term reinfection.
Percent of people who are Infected
The UK is tracking a very helpful metric: what is the percentage of people who are CURRENTLY INFECTED. It does not consider “reinfections” in any way, it just does not care.
This is a graph of “percentage of people currently infected” from Financial Times.
This graph of “percentage of people currently infected” matches the ZOE data much better than the official reported cases.
You can see that roughly one in 20 residents of England, currently, is infected. This percentage is, in fact, fairly close to the January peak of “Omicron”. This means that the pandemic is NOT ending and most closely resembles a dumpster fire that just would not stop burning and emitting noxious smoke.
The situation is even worse for older people, who need protection the most and benefit least from the so called “vaccine”.
Coronavirus infections among over-70s in the UK surged to a record high in mid-March driven by the highly infectious Omicron BA.2 sub-variant, according to the Office for National Statistics.
Short term reinfections may be mild — so they do not show up in hospitalizations as much — but they are NOT a good thing. It means that people having them, are not really immune to Covid after repeated vaccinations and breakthrough Covid cases.
They do not have “hybrid super immunity”. Instead, they lack ANY immunity. I hope that it does not include immunity to OTHER illnesses like smallpox or chickenpox. Time will tell.
The recent reports of Covid infections destroying immune T cells, like HIV, also make endless repeat cases concerning.
Will this eventually make repeat Covid sufferers into continuous carriers of illness and walking spike protein factories? What will happen to them? It is a very worrying trend.
The US is in many ways like the UK and the same thing is expected to happen here — just a few weeks later.
Unfortunately, there is NO separate reporting by vaccination status. Clearly, the so called “natural immunity” no longer applies to the highly-vaccinated UK. There are indications, however, that this is a mostly-vaccinated phenomenon: UKHSA Explains Endless Reinfections of the Vaccinated
Let me clarify: The UK is not a uniquely BAD country! Quite the opposite: it has uniquely GOOD statistics. That’s why we can see the data and make sense of it. I have always been a great fan of the UK and wish their people all the best.
Note: Il y avait une petite cafouille dans l’ordre du texte, que j’ai corrigée. Ceux qui lisent mes articles sur leur boîte mail ont eu la version erronée, donc le mieux est de tout lire sur le blog. Sorry.
Le Sars-Cov-2 tue les cellules T, tout comme le VIH
Il agit également comme le VIH, via les récepteurs LFA-1 des lymphocytes T et la gp120
Igor Chudov
14 mars
Le Sars-Cov-2 est-il un VIH aérosolisé? Il y a deux jours paraissait cet intéressantarticle:
Cet article n’a pas été rédigé par un groupe de scientifiques quelconques, mais par des personnes de l’Institut de Virologie de Wuhan, dont la tristement célèbre batwoman Shi Zheng-Li. Gardez ceci à l’esprit. Cet article a été soumis en septembre 2021 et révisé en janvier 2022. Il ne concerne donc pas Omicron.
L’article dit ce qui suit:
De nombreux patients atteints d’une forme grave de Sars-Cov-2 présentaient une « lymphopénie », c’est-à-dire une déplétion des lymphocytes T, cellules immunitaires très importantes.
Cette déplétion est due au suicide cellulaire (apoptose) des lymphocytes T après l’infection.
Dans des montages expérimentaux impliquant l’infection de lignées cellulaires de laboratoire de cellules T humaines, le virus Sars-Cov-2 a pu pénétrer dans les cellules T et les infecter.
Ce tropisme (attraction vers) les cellules T et cette capacité à les infecter n’étaient PAS LIÉS à la manière habituelle dont le virus Sars-Cov-2 infecte d’autres cellules, telles que les cellules pulmonaires, qui expriment les récepteurs ACE2 et TMPRSS2, car les cellules T ne possèdent pas ces récepteurs.
L’infection des cellules T se fait par le biais de « LFA-1, la protéine [qui] s’exprime exclusivement dans de multiples leucocytes ».
De plus, la protéine gp120 est située dans la protéine de pointe du Sars-Cov-2, et la protéine de pointe est utilisée dans tous les « vaccins Covid ».
Nous avons donc maintenant un nouveau mystère: le Sars-Cov-2 détruit les cellules T immunitaires comme le fait le VIH, le Sars-Cov-2 a un insert VIH gp120 transplanté, et c’est cet insert gp120 spécifique qui permet au VIH de pénétrer dans les lymphocytes via le même récepteur LFA-1!
Les lymphocytes T sont un type de globules blancs appelé lymphocyte. Les lymphocytes protègent l’organisme contre les cellules cancéreuses et les cellules qui ont été infectées par des agents pathogènes, comme les bactéries et les virus. Les lymphocytes T se développent à partir des cellules souches de la moelle osseuse. Ces lymphocytes T immatures migrent vers le thymus via le sang. Le thymus est une glande du système lymphatique dont la fonction principale est de favoriser le développement des cellules T matures. En fait, le « T » de T cell lymphocyte signifie « dérivé du thymus ».
Les lymphocytes T sont nécessaires à l’immunité à médiation cellulaire, qui est une réponse immunitaire impliquant l’activation des cellules immunitaires pour combattre l’infection. Les lymphocytes T ont pour fonction de détruire activement les cellules infectées, ainsi que de signaler à d’autres cellules immunitaires de participer à la réponse immunitaire.
Sur ce graphique tiré de l’article, vous pouvez constater une diminution spectaculaire des cellules T, ainsi qu’une diminution importante des cellules CD4 et CD8 :
Par exemple, l’image ci-dessus montre que les cellules CD4 et CD8 diminuent.
Les auteurs expliquent ensuite comment ils ont effectué des tests génétiques pour s’assurer que les cellules T sont réellement infectées:
Nous avons ensuite analysé la présence d’antigènes viraux du SARS-CoV-2 dans les PBC en utilisant la cytométrie en flux ou par immunofluorescence (IFA). Les résultats ont suggéré que les lymphocytes T étaient infectés et, chez certains patients, les cellules T CD4 + présentaient un taux d’infection élevé (figure supplémentaire S1a). Nous avons également confirmé la présence de l’antigène viral dans les lymphocytes T du sang des patients par analyse d’immunofluorescence (IFA) (Fig. 1c). En outre, nous avons préparé des coupes de poumons post-mortem de patients dont l’infection a été fatale et avons analysé l’infiltration des lymphocytes T et l’infection virale. Nous avons constaté une infiltration de lymphocytes T dans la section pulmonaire, et de nombreux lymphocytes T étaient également positifs pour la coloration NP du SARS-CoV-2, indiquant une infection virale (Fig. 1d). Une observation similaire a également été rapportée.13 Dans l’ensemble, nous avons montré la présence de l’antigène viral du SARS-CoV-2 dans les lymphocytes T, soit dans le sang, soit dans la section pulmonaire des patients COVID-19.
Le VIH et le Sars-Cov-2 utilisent la gp120 pour pénétrer dans les cellules T
Le principal mécanisme du SIDA est la déplétion des cellules CD4. Dans le cas du Sars-Cov-2, nous constatons également une déplétion des cellules CD4 et CD8. La science a depuis longtemps répondu à la question de savoir comment le VIH infecte les cellules T (1991):
Bien que le mécanisme responsable de l’entrée du VIH-1 dans les cellules T CD4+ sensibles soit incomplètement compris, un certain nombre de composants clés sont maintenant connus. Par exemple, le tropisme du VIH-1 pour les cellules exprimant la glycoprotéine membranaire CD4 reflète l’utilisation de cette protéine comme récepteur viral spécifique auquel la protéine d’enveloppe gp120 du VIH-1 se lie avec une grande affinité. Cette liaison entraîne apparemment l’exposition des domaines hydrophobes de la protéine transmembranaire gp41 aux composants de la membrane plasmique, ce qui entraîne la fusion des membranes virale et plasmique l’une avec l’autre et, par conséquent, la libération de l’ARN du VIH-1 dans le cytosol. Cet événement de fusion, qui est nécessaire à l’entrée du virus ainsi qu’à la formation de syncytia associés au VIH-1, se produit de manière indépendante du pH, mais nécessite une activation préalable des lymphocytes T. En l’absence de stimuli des lymphocytes T, l’ARN du VIH-1 est libéré. En l’absence de stimuli des cellules T, les cellules CD4+ au repos sont résistantes à l’entrée du VIH-1, ce qui peut expliquer l’observation selon laquelle, à tout moment, la grande majorité des cellules T CD4+ des patients séropositifs pour le VIH-1 ne sont pas infectées malgré la présence de quantités relativement importantes de virus libre dans le sang de ces patients. Le mécanisme d’entrée du VIH-1 dans d’autres types de cellules CD4+, comme les macrophages et les cellules dendritiques, reste à déterminer.
La nouvelle ici est que le Sars-Cov-2 infecte également les cellules T, et le Sars-Cov-2 a également l’insert gp120: Covid, vaccin, VIH, et SIDAV – Explication [NdT. ma traduction ici]
L’infection des cellules T par le SRAS-CoV-2 est indépendante de l’ACE2 et du TMPRSS2 On pense généralement que l’ACE2 est le récepteur d’entrée du SARS-CoV-2. Cependant, les principales populations cellulaires des PBC expriment des niveaux extrêmement faibles d’ACE2, ce qui soulève la question de savoir si l’ACE2 joue également un rôle de médiateur dans l’entrée du virus SARS-CoV-2 dans les cellules T. Nous avons d’abord vérifié si l’élimination de l’ACE2 pouvait atténuer l’infection des cellules T par le virus du SARS-CoV-2. Les données ont montré que l’ACE2 a été éliminé avec succès par des ARN-shR ACE2 dans les cellules Caco2. Les cellules T Jurkat n’expriment pas d’ACE2 détectable, que ce soit dans des conditions de simulacre ou de neutralisation (Fig. 3a). De même, l’élimination de l’ACE2 a entraîné une diminution spectaculaire de l’infection par le virus SARS-CoV-2 dans les cellules Caco2, mais pas dans les cellules T Jurkat (Fig. 3b). Pour confirmer davantage cette constatation, nous avons procédé à l’élimination de l’ACE2 dans les cellules Caco2 et Jurkat (figure 3c). Comme pour les cellules knock-down ACE2, la charge virale a diminué dans les cellules Caco2-ACE2-KO mais pas dans les cellules Jurkat-ACE2-KO (Fig. 3d). Ces résultats suggèrent que l’infection des cellules T par le SARS-CoV-2 se fait de manière indépendante de l’ACE2.
Alors, comment s’infectent-ils? L’article du WIV [Wuhan Institute of Virology] dont je parle a, comme par hasard, trouvé le mécanisme: il s’agit d’un récepteur dit LFA-1.
pouvait également réduire la charge virale dans les cellules Jurkat (Fig. 5i). Collectivement, nos résultats suggèrent que le LFA-1 devrait être un facteur d’attachement ou une molécule d’entrée potentielle pour le SARS-CoV-2 pendant son infection dans les cellules Jurkat.
La gp120 de l’enveloppe du VIH active le LFA-1 sur les lymphocytes T CD4 et augmente la sensibilité des cellules à la leucotoxine (LtxA) ciblant le LFA-1. Résumé La molécule d’adhésion cellulaire LFA-1 et son ligand ICAM-1 jouent un rôle important dans la promotion de l’infectivité et de la transmission du VIH-1. Ces molécules sont présentes sur l’enveloppe des virions du VIH-1 et font partie intégrante de la synapse virologique du VIH. Cependant, une activation cellulaire est nécessaire pour convertir le LFA-1 en conformation active qui présente une forte affinité de liaison avec l’ICAM-1. Cette étude évalue si une telle activation peut être induite par le VIH lui-même. Les données montrent que la gp120 du VIH-1 était suffisante pour déclencher l’activation du LFA-1 dans les cellules T CD4 naïves entièrement quiescentes, d’une manière CD4-dépendante,
Résumé
D’après les articles cités, nous pouvons voir que
Le Covid-19 provoque une lymphocytopénie (déplétion des lymphocytes) chez des patients réels.
Le VIH provoque également une déplétion des lymphocytes.
Le Sars-Cov-2 et le VIH utilisent tous deux le même récepteur LFA-1 pour pénétrer dans les cellules T.
Le VIH utilise la protéine gp120 pour se lier au récepteur LFA-1.
Le Sars-Cov-2 a également un insert gp120, mystérieusement.
Et, par conséquent, l’effet du Sars-Cov-2 et du VIH sur les lymphocytes est à bien des égards similaire.
Les chauves-souris, installées dans des grottes chinoises à des milliers de kilomètres du WIV, ont manifestement été très intelligentes lorsqu’elles ont décidé d’ajouter la gp120 à leurs coronavirus naturels !
Mise en garde
Avant que nous nous emballions tous, veuillez noter qu’il s’agit d’un travail en cours. Je crois fermement que la plupart des personnes qui ont un Covid léger ne développent PAS de lymphopénie permanente.
Comment le sais-je? Je suis l’une d’entre elles.
Mes propres résultats d’analyse
Très opportunément, j’ai fait des tests sanguins avant, pendant et après mon propre Covid. Mon fournisseur de soins de santé me permet de consulter l’historique de mes résultats d’analyse. Cela m’a été très utile pour rédiger cet article.
Ils montrent, de façon étonnante, que pendant le Covid, j’avais effectivement beaucoup moins de lymphocytes, qui se sont heureusement rétablis. Pendant le Covid, qui était relativement léger, mes lymphocytes ont chuté presque au niveau le plus bas !
Heureusement, 10 mois après l’infection, ils se sont rétablis. Je ne suis PAS vacciné. L’expérience des personnes vaccinées peut différer.
La protéine de pointe du vaccin Covid provoque également une lymphopénie
Ainsi, la protéine de pointe dans le Sars-Cov-2 a la gp120, nous savons qu’elle affecte les lymphocytes, et les « Vaccins Covid » produisent également la protéine de pointe.
Une question se pose: le » vaccin Covid » provoque-t-il aussi une lymphopénie?
Une recherche sur OpenVaers révèle 312 rapports de lymphopénie, répartis sur 26 pages:
Il est évident que le nombre réel de cas de lymphopénie après la vaccination est beaucoup plus élevé que celui indiqué par openVAERS, pour de nombreuses raisons évidentes. Je laisserai quelqu’un d’autre faire des recherches à ce sujet.
Texte original
Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV
It also works like HIV, via LFA-1 T-cell Receptors and gp120
This article was not written by a bunch of random scientists, but instead was written by people from the Wuhan Institute of Virology, including the infamous batwoman Shi Zheng-Li. Just keep this in mind. It was originally submitted in Sep 2021 and revised in January 2022, so it does not involve Omicron.
The article is saying the following:
Many patients who had severe Sars-Cov-2 had “lymphopenia”, that is, depletion of the all important immune T lymphocyte cells
This depletion was caused by cellular suicide (apoptosis) of T cells after infection
In experimental setups involving infecting laboratory cell lines of human T cells, Sars-Cov-2 virus was able to penetrate and infect T cells
This tropism (attraction to) T cells and ability to infect them was UNRELATED to the usual way Sars-Cov-2 infects other cells, such as lung cells, that express ACE2 and TMPRSS2 receptors, because T cells do not have those receptors.
Infection of T cells occurs via “LFA-1, the protein [that] exclusively expresses in multiple leukocytes”
Additionally, gp120 protein is located in the spike protein of Sars-Cov-2, and spike protein is used in all “Covid vaccines”.
So, now we have a full new mystery: Sars-Cov-2 destroys immune T cells just like HIV does, Sars-Cov-2 has a transplanted gp120 HIV insert, and it is that specific gp120 insert that allows HIV to enter lymphocytes via the same LFA-1 receptor!
T cells are a type of white blood cell known as a lymphocyte. Lymphocytes protect the body against cancerous cells and cells that have become infected by pathogens, such as bacteria and viruses. T cell lymphocytes develop from stem cells in bone marrow. These immature T cells migrate to the thymus via the blood. The thymus is a lymphatic system gland that functions mainly to promote the development of mature T cells. In fact, the « T » in T cell lymphocyte stands for thymus derived.
T cell lymphocytes are necessary for cell mediated immunity, which is an immune response that involves the activation of immune cells to fight infection. T cells function to actively destroy infected cells, as well as to signal other immune cells to participate in the immune response.
On this graph from the article, you can see dramatic declines in T cells, and also specific big declines of CD4 and CD8 cells:
For example, the picture above shows that both CD4 and CD8 cells decline.
Then the authors explain how they performed genetic tests to make sure that the T cells actually get infected:
HIV and Sars-Cov-2 Use gp120 to Enter T cells
The primary mechanism of AIDS is depletion of CD4 cells. For Sars-Cov-2, we see depletion of CD4 and CD8 cells as well. Science has long answered how HIV infects T cells (1991):
Covid-19 causes lymphocytopenia (depletion of lymphocytes) in real life patients
HIV causes depletion of lymphocytes also
Both Sars-Cov-2 and HIV use the same receptor LFA-1 to enter T cells
HIV uses gp120 protein to bind to LFA-1 receptor
Sars-Cov-2 also has gp120 insert as well, mysteriously
And, therefore, the effect of Sars-Cov-2 and HIV on lymphocytes is in many ways similar.
The bats, sitting it Chinese caves a thousand miles from WIV, were clearly very smart when they decided to add gp120 to their natural coronaviruses!
Word of Caution
Before we all get overly excited, please note that this is very much work in progress. I believe very strongly that most people who have mild Covid do NOT develop permanent lymphopenia.
How do I know? I am one of them.
My own Test Results
Very conveniently, I had blood tests before, during and after my own Covid. My health care provider lets me see the history of my test results. This became very handy when writing this article.
They show, amazingly, that during Covid I did actually have much reduced lymphocytes, that fortunately recovered. During Covid, which was relatively mild, my lymphocytes dropped almost to the lowest range!
Fortunately, 10 months after infection, they recovered. I am NOT vaccinated. Experience of vaccinated people may vary.
Covid Vaccine Spike Protein Causes Lymphopenia Also
So, spike protein in Sars-Cov-2 has gp120, we know that it affects lymphocytes, and “Covid Vaccines” also make spike protein.
A question arises, does “Covid Vaxx” also cause lymphopenia?
A search on OpenVaers reveals 312 reports of lymphopenia, spanning 26 pages:
Obviously, the real number of instances of lymphopenia after vaccination is much higher that openVAERS entries, for many obvious reasons. I will let someone else research that.