Selon ma triste habitude, je publie un peu dans le désordre – du moins par rapport au programme annoncé. Vous verrez que ce n’est qu’un désordre apparent, le même qui règne sur mon bureau, mon navigateur, dans mes notes et ma vieille cervelle.
Voici non pas un, ni deux, mais trois articles de Elliott Freed en succession rapide, qui se complètent parfaitement. Après ça, décollez les yeux de vos écrans et profitez de ces premières magnifiques et généreuses journées de printemps – généreuses aussi en pollen, ce qu’auront remarqué les allergiques comme mon épouse, de retour de chez le pépiniériste les bras chargés de plants d’oeillet d’Inde (la liste de ses propriétés ici), dont le parfum lui a murmuré « c’est de moi dont tu as besoin, plante-moi dans ton jardin! »
Ce premier article, qui contrebalancera un peu cette très sévère critique de RFK Jr, parle du rôle du Renseignement dans la crise Covid – sujet déjà abordé par Katherine Watt et Sasha Latypova, donc simple rappel pour les lecteurs réguliers qui pourront directement passer à l’article suivant. Quoiqu’il en soit, je vous garantis l’extrême intérêt de ces lectures.
Je reprendrai l’analyse du rôle de RFK Jr et de celui du Dr Malone avec deux articles de Sage Hana et conclurai comme prévu cette série moi-même avec ce qui se passe réellement en coulisses de la grande opération en cours.
Je suivrai bientôt, c’est-à-dire dès que j’en aurai fini la (très longue) traduction, avec un article sur la véritable origine du SARS-CoV-2, qui vous laissera – excuse my French – sur le cul (original ici). La gestion de la « crise » Covid était en effet une opération militaire mais pas le virus.
« Ce qui est étrange dans cette pandémie, c’est l’implication constante de la CIA, des agences de renseignement et de l’armée. Lorsque l’opération Warp Speed a été présentée au comité de la FDA appelé VRBPAC et qu’elle en a remis les organigrammes [NdT. cf. l’article susmentionné de Sasha], classifiés à l’époque, tout le monde a été choqué de voir qu’elle n’était gérée ni par le HHS, ni le CDC, ni le NIH, ni la FDA ni quelque agence de santé publique. Elle était gérée par la NSA, une agence d’espionnage qui a chapeauté et dirigé l’opération Warp Speed.
Les vaccins n’ont été développés ni par Moderna ni par Pfizer. Ils ont été développés par le NIH, qui en détient les brevets, au moins à 50%. Ils n’ont même pas été fabriqués par Pfizer ni par Moderna. Ils ont été fabriqués par des entreprises militaires. En fait, Pfizer et Moderna ont été payés pour apposer leur cachet sur ces vaccins comme s’ils provenaient de l’industrie pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas.
Dès le départ, il s’agissait d’un projet militaire.
J’ai dénombré 20 simulations différentes de coronavirus et de pandémies menées par le gouvernement. Elles ont commencé en 2001. La première a eu lieu juste avant les attaques à l’anthrax. Et chaque année, la CIA les a toutes sponsorisées. La dernière a été l’Événement 201 en octobre 2019. Et l’un des participants était Avril Haines, l’ancienne Directrice adjointe de la CIA, qui a organisé des opérations de dissimulation toute sa vie. Elle s’est occupée de Guantanamo Bay, entre autres. Elle est aujourd’hui Directrice du Renseignement National, ce qui fait d’elle l’officier le plus haut placé de la NSA – qui a géré la pandémie.
C’est donc une espionne qui organise ces simulations de pandémie et, dans chacune de ces simulations depuis 20 ans, ce n’est pas une réponse de santé publique qu’on simule. On ne réfléchit pas à des questions telles que: comment stocker de la vitamine D? Comment inciter les gens à sortir, à perdre du poids, à faire de l’exercice? Comment développer une grille d’information pour les 15 millions de médecins de première ligne dans le monde, afin de leur fournir des informations sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas? Rien de tout cela ne s’est produit. Nous avions une occasion incroyable de gérer une pandémie de manière intelligente, sensible et radicale contre la maladie, mais nous n’avons rien fait de tout cela.
À la place, tout s’est joué sur la façon d’utiliser une pandémie pour imposer la censure. Comment l’utiliser pour imposer le confinement?
À ce propos, tous les documents de préparation à la pandémie adoptés par les principales agences de santé publique, qu’il s’agisse du CDC, de l’OMS, de l’Agence de Santé européenne ou des services de santé nationaux de Grande-Bretagne, stipulaient qu’il ne fallait pas recourir à des confinements, qu’il fallait mettre les malades en quarantaine et protéger les personnes vulnérables. Et laisser tous les autres retourner au travail, car le confinement amplifie en fait l’impact de la maladie. En isolant les gens, on les rend plus vulnérables, on affaiblit leur système immunitaire. En les enfermant à l’intérieur, on propage le virus respiratoire.
Toutes les mesures qu’ils exercent visent à renforcer leur contrôle totalitaire ».
Robert F. Kennedy, Jr.
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C’est en 2008 que j’ai entendu parler pour la première fois du projet de vaccination forcée de tous les habitants de la planète. Les personnes qui m’en ont parlé en avaient connaissance depuis les années 1990. Alex Jones et David Icke en parlent publiquement depuis au moins cette époque, comme d’autres. J’ai découvert par moi-même que l’objectif était l’insertion dans chaque individu de gènes modifiés, brevetés et propriété d’entreprises, afin de coloniser le génome, de s’approprier l’humanité et d’être en mesure de nous exploiter commercialement. La première fois que j’ai publié au sujet de ce programme, c’était sur Facebook en 2015.
Aujourd’hui, la vérité est révélée au monde entier.
On tente de la bloquer avec le projet de loi sénatoriale S686. Il s’agit officiellement du « Restrict Act« . Officieusement, on l’appelle le projet de loi sur l’interdiction de Tiktok. Si vous le lisez, vous constaterez qu’il s’agit du Patriot Act sous stéroïdes, adapté à l’ère numérique. Pour l’instant, le projet de loi n’avance pas très vite dans le processus législatif, mais restez vigilants.
À partir de maintenant, considérez que tout ce que le gouvernement ou les entreprises, y compris la presse corporative, font ou disent fait partie d’une guerre de l’information.
Une chouette petite perle découverte par Sasha. Le Dr Lee Merritt (autre femme intelligente que j’aime beaucoup) avait déjà laché la bombe dans une vidéo (que j’ai la flemme de retrouver): si la « grippe espagnole » était tellement meurtrière, où sont les millions d’histoires familiales qui retiennent la mort du grand-oncle Machin ou de Mémé Truchmuche?
Eh oui… On ment tout le temps, à tout le monde, sur tout.
Sasha rappelle à la fin le conseil que je donne souvent: promenez-vous dans la nature!
Des données intéressantes sur la « grippe espagnole » publiées accidentellement…
Le Département de la Santé de New York a commis une gaffe…
Sasha Latypova
6 mai
… en fournissant des données au New York Times qui a accidentellement publié la vérité! On peut leur pardonner, ce n’était pas leur intention. C’est paru dans un article où le NYT tentait de démontrer que le covid était l’équivalent de la peste, mais en pire, croyez-nous! Ils essayaient de démontrer qu’en 2020, le taux de mortalité à New York avait grimpé en flèche. Apparemment, ils préfèrent ne pas montrer les données d’après 2020, ce qui serait très dommageable pour le discours officiel et renforcerait le sentiment anti-vaccin…
Cependant, ce qui a vraiment attiré mon attention sur ce graphique, c’est la vérité qu’il révèle accidentellement au sujet de la prétendue « grippe espagnole ». La grippe espagnole était censée être la mort noire pire que la mort noire jusqu’à l’arrivée de la mort noire actuelle… Mais il semble qu’en réalité, ce n’était pas grand-chose. Un petit incident, relativement parlant, par rapport aux années 1850.
Que se passait-il vers 1850 à New York? Un grand nombre de gens s’installaient dans une zone relativement restreinte et emmenaient avec eux leurs chevaux. Les déchets humains et équins s’accumulaient dans les rues et s’infiltraient dans les sources d’eau. Ceci a engendré des maladies bactériennes transmises par l’eau, telles que le choléra et la typhoïde (je n’ai trouvé aucun compte rendu fiable d’épidémies de variole à New York). Bien que les maladies bactériennes puissent être traitées par des antibiotiques, ce n’est pas sans inconvénient. La meilleure mesure de prévention consiste donc à disposer de sources d’eau propres et d’une plomberie moderne. Une fois que les voitures ont remplacé les chevaux et que les systèmes d’approvisionnement en eau ont été assainis, il n’y a plus eu de « maladies infectieuses » à proprement parler. Les vaccins n’ont rien à voir avec cette amélioration de la santé publique. Il s’agit d’une pratique barbare et nocive que la société civilisée devrait enfin abandonner pour de bon.
Au fait, quelqu’un peut-il me dire ce que signifie « hygiène mentale »? Cela signifie-t-il qu’il faut jeter sa télévision et son smartphone à la poubelle et aller jouer dehors en plein soleil? Et s’il vous plaît, assurez-vous que vos sources d’eau sont sûres, hygiéniques et protégées de la pollution.
Pas de tableau pour aujourd’hui, il faut que j’en crée de nouveaux 🙂
Quelques photos de printemps pour vous – sortez, c’est un ordre!
Ça fait quelques semaines que plusieurs personnes, notamment Thomas Renz et Todd Calender, tirent la sonnette d’alarme par rapport à l’injection du bétail américain avec des produits à ARNm. J’attendais que quelqu’un de plus sérieux publie quelque chose là-dessus, c’est fait. The Underdog effectue en coulisses un énorme boulot, notamment l’interpellation de diverses figures politiques et scientifiques. J’avais projeté de l’aider mais je suis moi-même débordé, raison de mon absence de ce blog depuis trois semaines.
Le problème de ces injections d’ARMm au bétail concerne surtout les États-Unis pour l’instant, mais au cas où ça devrait se propager en Europe, mieux vaut être prévenus trop tôt que trop tard. Comme par hasard, ce risque émerge à l’heure où on projette de réduire drastiquement la consommation de viande animale…
Notes de traduction: 1) Pour illustrer le problème de traduction d’ARNm déficient, l’auteur a inclus des exemples de « Chinglish », c’est-à-dire d’anglais foireux tel qu’on le trouve dans les pays asiatiques, que je n’ai pas re-traduit en français. 2) Le sous-titre ‘Beef’s what’s for dinner, the power of cheese, and milk does a body good’ provient de slogans publicitaires américains destinés à encourager la consommation de viande et de produits laitiers. Une autre époque…
L’ARNm transporte le code vers les sites de synthèse des protéines (connus sous le nom de ribosomes dans le cytoplasme) afin d’induire la fabrication des protéines. Par conséquent, des erreurs dans l’ARNm entraîneront probablement des erreurs dans la synthèse des protéines.
Pour faire une analogie grossière, considérez l’instabilité de l’ARNm comme ces consignes chinoises mal traduites qui accompagnent un produit et qui n’ont que peu ou pas de sens.
L’organisme s’efforcera d’exécuter ces instructions avec diligence, qu’elles soient logiques ou non. Ce ne sont pas des correcteurs, l’organisme ne s’attend pas à recevoir des instructions erronées de Pfizer, alors pourquoi « corrigerait-il » l’ARNm qui lui parvient ?
Il ne le fait donc pas, et les mauvaises instructions se traduisent par de mauvaises exécutions.
Pourquoi un risque de faible probabilité est très élevé
Si l’on considère le nombre de milliards d’ARNm administrés à chaque injection et le nombre d’ARNm reçus collectivement, la roulette de l’instabilité est lancée sur chacun d’entre eux.
Ainsi, même s’il y a, disons, une chance sur mille milliards que quelqu’un reçoive un ARNm avec des instructions erronées qui codent pour une protéine mal repliée, s’il y a 50 milliards de morceaux d’ARNm par dose, il suffit de 20 injections de doses pour que la chance sur mille milliards soit atteinte. C’est donc beaucoup plus probable qu’on ne le pense.
Pourquoi une synthèse protéique erronée pose problème
Si l’ARNm instable code pour la production d’une protéine mal repliée, ce qui est hautement probable dans les scénarios dits de « faible » probabilité, lorsqu’il s’insère dans le ribosome cytoplasmique, il lui demande de se mettre à fabriquer ces protéines mal repliées.
Une protéine mal repliée porte d’autres noms, dont vous avez peut-être déjà entendu parler:
Prions (maladies à prions, telles que la démence à corps de Lewy et la maladie de Creutzfeldt-Jakob)
Prionoïdes (structures semblables aux prions)
Les prions forment une catégorie spéciale d’agents pathogènes. Ils sont un peu la version « infectieuse » des protéines mal repliées; ils se déplacent pour « recruter » et mal replier d’autres protéines. Considérez-les comme les zombies dans un film, qui transforment d’autres humains en zombies.
Ces prions « construisent » ensuite des structures en forme de plaques sur certains éléments, se collant les uns aux autres et à d’autres parties du corps, comme du chewing-gum usagé sur des sièges d’autobus. Comme ils ne quittent jamais le site auquel ils s’accrochent, le foie ne peut jamais les éliminer.
C’est un peu comme le cholestérol qui s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins et les durcit. Sauf que ces prions s’accumulent dans des endroits comme le cerveau et interfèrent avec les voies de signalisation des neurones.
[NdT. même recommandation que d’habitude, utilisez la traduction automatique de YouTube]
En d’autres termes, ils brûlent, court-circuitent, bloquent et interfèrent avec les circuits électriques de l’organisme. Par exemple, dans le cas de la démence à corps de Lewy, cela peut entraîner des oublis, des problèmes de neurones moteurs (difficultés à mouvoir certaines parties du corps) et des déficits cognitifs (incapacité à raisonner, à faire des choix, etc.).
Autrement dit, on ne sait pas ce qui cause la maladie à prion dans la majorité des cas. Leur meilleure hypothèse est que la maladie « surgit de nulle part ». On considère qu’il s’agit d’une rareté de type « 1 sur un million », donc si elle se produit plus fréquemment que cela, il y a un problème.
Une variante similaire de la protéine est connue sous le nom d' »amyloïde » et conduit à l' »amyloïdose », où la protéine amyloïde forme une structure similaire à une plaque. Une matière amyloïdogène est un élément qui favorise la formation d’amyloïdes.
Pourquoi les injections d’ARNm chez les bovins posent problème
En mémoire des victimes de l’ESB humaine (vMCJ) Pensées éternelles Fondation ESB Humaine
Vous n’êtes peut-être pas au courant de « l’épidémie » d’ESB (encéphalopathie spongiforme bovine) qui s’est déclarée au Royaume-Uni et en Europe. L’ESB est une maladie à prions; vMCJ signifie « variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob », une maladie à prions bien connue.
Directives Tremblante: comment repérer et signaler la maladie Comment repérer la tremblante, que faire en cas de suspicion et quelles sont les mesures à prendre pour empêcher sa propagation.
L’UE lève l’interdiction de nourrir le bétail domestique avec des restes d’animaux L’autorisation d’utiliser des protéines animales transformées dans l’alimentation des porcs et des volailles, interdite depuis la crise de l’ESB, permettra de faire face à la concurrence extracommunautaire, selon la Commission
Cela signifie que la méthodologie utilisée pour briser la chaîne de causalité n’est plus applicable et qu’une fois de plus, le bétail infecté par des prions peut réinfecter d’autres animaux d’élevage dans d’autres secteurs d’activité. Cela signifie également que toute viande exportée par l’UE vers d’autres pays risque d’être contaminée, tout comme les pays importateurs.
Ne peut-on pas simplement traiter la viande par la chaleur?
Le Daily Beagle a étudié les méthodes de traitement possibles de la maladie à prions, mais contrairement aux infections bactériennes ou virales, la chaleur n’a aucun effet sur les prions présents dans les aliments.
[…] en chauffant à 115°C, les prions de l’ESB ont conservé un taux élevé d’infectivité, tandis que les taux d’infectivité d’autres souches de prions ont été inactivés (Langeveld et al. 2021) […]
En d’autres termes, même à des températures extrêmes supérieures au point d’ébullition, l’ESB restait dangereuse. Les lecteurs pourraient se demander ce qui se passerait si l’on faisait cuire l’animal plus longtemps, comme dans un rôti au four.
Une autre étude a montré que le fait de chauffer des souches de prions de l’ESB à 98°C pendant 2 heures ne réduisait que très faiblement, voire pas du tout, l’infectiosité (Marin-Moreno et al. 2019).
Les longues durées de températures élevées n’ont donc aucun impact sur les prions. Qu’en est-il de l’eau bouillante?
[…] Les agents de l’ESB ne sont pas détruits par l’eau bouillante et ne sont pas inactivés par un chauffage à 121°C pendant 15 minutes (Collee, JG. & Bradley, R. 1997).
Ainsi, tous les moyens conventionnels de traitement thermique dont disposent la plupart des particuliers ne détruiront pas les prions présents dans la viande ou d’autres denrées alimentaires de ce type.
Comment résoudre le problème? David remarque que le seul moyen de prévenir les maladies à prions est de retirer purement et simplement les parties contaminées et de les détruire:
C’est pourquoi il existe des contrôles à l’abattoir, tels que l’élimination des parties du bétail les plus susceptibles d’être porteuses de l’ESB, afin de minimiser le risque que les consommateurs reçoivent de la viande contaminée.
Comme nous l’avons constaté, le problème est bien plus grave. Contrairement aux injections de Pfizer, que l’on peut simplement refuser, la contamination par l’ARNm entraînant un mauvais pliage des protéines chez les bovins (et même chez d’autres animaux élevés pour la consommation) n’est pas une chose que l’on peut éviter en refusant simplement une injection.
Si une vache (qui n’est pas vaccinée par l’ARNm) mange les restes d’une autre vache (qui l’est et contracte une maladie à prions), la vache consommatrice sera infectée, ainsi que toute autre personne qui mangera cette vache, en plus de la vache d’origine.
Il en va de même pour les autres animaux. Les prions sont inter-espèces; ils peuvent infecter les moutons, les vaches, les oiseaux et même les humains. Ils n’ont pas besoin de cellules pour infecter, car ils ne font que « recruter » d’autres protéines compatibles, ce qui leur permet de franchir plus facilement la barrière des espèces.
Les prions débarquent également dans le lait et le fromage
Une étude met en évidence le risque d’ESB dans le lait 06-fév-2007, par Chris Mercer Les craintes selon lesquelles les vaches atteintes d’ESB pourraient transmettre la maladie à l’homme par l’intermédiaire des protéines présentes dans leur lait ont été renforcées par une nouvelle étude, qui a encouragé une analyse plus stricte des produits laitiers.
Alors que des « preuves » ont été présentées en 2016 pour tenter de démontrer leur innocuité, un rapport de l’UE publié en 2020 a estimé que ces « preuves » étaient discutables, car elles étaient basées sur des souris et non sur des vaches.
b. La preuve expérimentale de l’innocuité du lait bovin en ce qui concerne le risque d’ESB a été remise en question parce que ces expériences ont été réalisées sur des souris; il a été considéré que ces tests pouvaient avoir sous-estimé tout risque possible en raison de la barrière entre espèces, de la vache à la souris. Il a été noté que le lait avait le potentiel de transmettre des maladies à prions telles que l’ESB parce qu’il contient une part importante de leucocytes.
[…] une petite catégorie de troupeaux très intensifs, avec des rendements laitiers annuels supérieurs à 10 000 kg, était significativement plus à risque que les autres troupeaux.
Au Japon, en 1996, on a découvert que les vaches atteintes d’ESB avaient consommé le même substitut de lait. En effet, l’aliment pour animaux à base de viande et d’os qui a finalement été interdit est un « substitut de lait ».
Les agences qui vous disent que les injections d’ARNm et d’adénovirus génétiquement modifiés sont « sûres et efficaces » en s’appuyant sur des tests frauduleux sont les mêmes qui vous disent que le lait est exempt d’ESB, bien qu’elles ne sachent pas ce qui cause 85% des cas.
Même en dépit des allégations de « sécurité », il était conseillé en 2007 de jeter le lait de toute façon. Tout produit provenant d’un animal malade doit être jeté conformément à la loi de la FDA sur les aliments, les médicaments et les produits cosmétiques (Food, Drug, and Cosmetic Act).
Les règles britanniques interdisent également la vente pour la consommation humaine, mais autorisent le veau à boire ce lait.
La loi britannique stipule que le lait dérivé de bovins atteints d’ESB ou soupçonnés d’être atteints d’ESB ne doit pas être vendu, fourni ou utilisé pour la consommation humaine ou animale, à l’exception de l’alimentation du veau de la vache.
Les moutons atteints de tremblante et de mammite transmettent des prions infectieux par le lait
Cette étude était particulièrement approfondie (contrairement à l’étude sur les souris), car elle congelait quotidiennement des échantillons de lait et appliquait des mesures de biosécurité strictes aux agneaux importés (de Nouvelle-Zélande, pays exempt de tremblante) afin d’éviter toute contamination croisée. Sur les 8 agneaux nourris avec du lait de brebis infectées par la tremblante, au moins 50% ont développé la tremblante:
Sur les 8 agneaux nourris au lait de brebis infectées par le MV/la tremblante [NdT. MV: virus Maëdi-Visnia], 1 a été sacrifié prématurément et 4 ont développé des signes cliniques de tremblante entre 23 et 28 mois p.i. (Tableau 1).
En d’autres termes, si les prions peuvent être transmis par le lait – comme le suggèrent l’étude sur les vaches laitières à haut rendement et l’étude sur la tremblante – le veau (autorisé à être nourri selon les règles britanniques) sera également infecté, ce qui perpétuera la chaîne.
Ces résultats suggèrent que chez l’homme, la souche BASE est une souche d’ESB plus virulente et probablement lymphotrope.
Le terme « lymphotrope » signifie qu’elle a une préférence pour les lymphocytes, cellules présentes dans le lait. Selon une étude:
En dehors des lymphocytes de petite et de grande taille, aucun autre leucocyte n’est habituellement présent dans le lait normal.
Si le lait peut être porteur de prions, cela signifie également que le fromage – fabriqué à partir de lait et contenant donc des protéines laitières – est également à risque, étant donné que ni le traitement thermique ni le temps n’arrêtent la maladie du prion.
Des cas d’ESB au Royaume-Uni donnent lieu à une enquête chez les fermiers
Le bœuf, le lait ou le fromage seront-ils refusés s’ils proviennent de bovins ayant reçu des injections d’ARNm dans le cadre d’une « thérapie génique », l’ARNm étant instable et provoquant une synthèse de protéines mal repliées?
Les injections d’ARNm débarquent chez les bovins
Il convient de garder à l’esprit que des injections d’ARNm sont probablement prévues pour divers animaux considérés comme une source de nourriture, y compris les moutons, les oiseaux (les poulets, par exemple) [les œufs, qui contiennent des protéines d’œuf, sont-ils menacés?] et même les chèvres pour le fromage de chèvre. Le présent article se concentre sur les bovins, mais l’attention du public devrait se porter sur d’autres animaux.
[…] travaille à l’élaboration d’une évaluation factuelle et scientifique des risques associés à cette technologie. […]
En ce qui concerne l’impact des injections d’ARNm.
D’ores et déjà, on voit apparaître des articles de presse qui tentent de devancer les craintes en niant vaguement les risques non pris en compte des problèmes d’instabilité de l’ARNm, comme celui publié par le Cowboy State Daily:
Un vaccin pour le bétail basé sur la technologie du vaccin COVID-19 suscite des inquiétudes, mais un biologiste affirme que ces craintes ne sont pas fondées L’utilisation d’un vaccin pour le bétail utilisant la même technologie que le vaccin COVID-19 n’a pas été approuvée, mais certains législateurs s’apprêtent à mettre en place des règles d’étiquetage pour les aliments provenant d’animaux ayant reçu le vaccin. Un biologiste moléculaire a déclaré que le vaccin ne peut pas se retrouver dans les aliments étiquetés.
À l’heure actuelle, aucun pro-vaccin n’a été en mesure de répondre aux questions du Daily Beagleconcernant l’instabilité de l’ARNm, les pourcentages d’intégrité des vaccins et la manière dont cette instabilité est atténuée, si tant est qu’elle le soit. Les Western Blots frauduleux destinés à simuler la stabilité expliquent le fait qu’il n’y ait pas de réponse.
WASHINGTON (5 avril 2023) – Aujourd’hui, la National Cattlemen’s Beef Association (NCBA) a publié une déclaration concernant les fausses informations qui circulent sur les médias sociaux au sujet de l’utilisation de vaccins à ARNm chez les bovins: « Aucun vaccin à ARNm n’est actuellement autorisé pour une utilisation chez les bovins aux États-Unis. Les agriculteurs et les éleveurs vaccinent le bétail pour traiter et prévenir de nombreuses maladies, mais à l’heure actuelle, aucun de ces vaccins ne fait appel à la technologie de l’ARNm. »
Aucune preuve de leur non-utilisation n’est fournie, ce qui changera probablement à l’avenir, étant donné que les sociétés pharmaceutiques prévoient de substituer la « thérapie génique » de l’ARNm au type actuel de vaccins:
Pfizer présente l’ARNm comme une alternative aux vaccins antigrippaux actuels par Anna Brown, jeudi 20 avril 2023 6:59 am Pfizer affirme que son programme de vaccination contre la grippe à base d’ARNm, en collaboration avec BioNTech, pourrait remplacer les technologies de vaccination actuelles.
Mais soyons clairs: moi, Glenn Elzinga, auteur de cet article, éleveur et propriétaire du ranch Alderspring, je ne souhaite pas manger de produits animaux vaccinés à l’ARNm. Pour le dire simplement, je n’en mangerai pas.
S’agit-il pour autant d’un « vaccin »?
Dans les documents déposés par Moderna auprès de la SEC, qui sont légalement tenus à l’honnêteté, l’ARNm est décrit en tant que « thérapie génique »:
Actuellement, l’ARNm est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA. Contrairement à certaines thérapies géniques qui modifient irréversiblement l’ADN cellulaire et pourraient être à l’origine d’effets secondaires, les médicaments à base d’ARNm sont conçus pour ne pas modifier l’ADN cellulaire de manière irréversible; toutefois, les effets secondaires observés en thérapie génique pourraient avoir un impact négatif sur la perception des médicaments à base d’ARNm, malgré les différences de mécanisme.
De même, BioNTech, fabricant pour Pfizer, admet également que l’ARNm est considéré comme une thérapie génique, ce qui laisse supposer qu’il pourrait être reclassé:
Bien que nous prévoyions de soumettre des BLA [Biologics License Applications, Demandes de licences de produits biologiques] pour nos produits candidats à base d’ARNm aux États-Unis et dans l’Union Européenne, les thérapies à base d’ARNm ont été classées comme des médicaments de thérapie génique, d’autres juridictions pourraient considérer nos produits candidats à base d’ARNm comme de nouveaux médicaments, et non comme des produits biologiques ou des médicaments de thérapie génique, et exiger des demandes de mise sur le marché différentes.
Bien que Glenn Elzinga laisse entendre qu’il n’existe pas de travaux de ce type pour les injections d’ARNm chez les animaux, Tiba Biotech avait déjà conclu, le 28 septembre 2022, un accord pour l’ARNm de la fièvre aphteuse avec le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud, un gouvernement régional d’Australie:
Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech ont signé un accord pour un vaccin à ARNm contre la fièvre aphteuse.
Pall Thordarson, de l’Université de la Nouvelle-Galles du Sud, a déclaré que le but était de permettre à l’Australie de devenir une « puissance mondiale dans l’écosystème de l’ARN ». Je suppose qu’ils ne sont pas au courant des problèmes d’instabilité de l’ARNm?
L’accord conclu entre Tiba Biotech et les agences de recherche animale et de biosécurité de la Nouvelle-Galles du Sud, du Queensland et de l’État fédéral fera progresser notre vision commune, à savoir faire de l’Australie une puissance mondiale dans l’écosystème de l’ARN.
Tiba travaille avec le CEPI, un organisme pro-vaccin, à la prévention de [insérer ici le nom d’une maladie rentable]:
Tiba et la CEPI s’efforcent d’anticiper la prochaine pandémie Tiba Biotech LLC et la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations) ont annoncé le 12 janvier qu’ils allaient s’associer pour évaluer la technologie de la prochaine génération de vaccins à ARN de la compagnie biotechnologique basée à Cambridge, MA, en tant qu’outil de préparation à la prochaine épidémie ou pandémie mondiale – qu’ils ont appelée « maladie X ».
Source du virus: Site de Pirbright Virus: O1 BFS1860 (foyer britannique de 1967) 3 souches utilisées sur le site de Pirbright : IAH1 (v. petites quantités, Institut de Recherche en Santé Animale) IAH2 (v. petites quantités, Institut de Recherche en Santé Animale) MAH (lots de 6 000 litres pour la production de vaccins, Merial Animal Health) L’épidémiologie moléculaire révèle les voies de transmission (Cottam et al, 2008, PLoS Pathogens 4(4): e1000050 )
Si l’aspect « fièvre aphteuse » du développement de Tiba Biotech semble vaguement familier aux lecteurs du Daily Beagle, c’est parce que nous en avons parlé dans notre article intitulé « Les fabricants de vaccins sont à l’origine des épidémies« , à propos de la fièvre aphteuse de 2007 causée par Merial, le laboratoire de recherche sur les vaccins.
MERIAL, qui fait désormais partie de BOEHRINGER INGELHEIM, élargit son portefeuille de vaccins canins avec l’introduction de RECOMBITEK® Oral BordetellaBoehringer Ingelheim obtient un contrat pour une banque de vaccins destinée à protéger le bétail américain contre la fièvre aphteuse
Merial a été absorbé par Boehringer Ingelheim et a vendu des vaccins contre la fièvre aphteuse au gouvernement américain en 2020 – une maladie qu’il avait provoquée.
Dans ce cas, les fabricants de vaccins ont donc provoqué l’épidémie de fièvre aphteuse et vendent maintenant des vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse au gouvernement australien. Pour cela, ils devraient être poursuivis au pénal.
Comment peut-on lutter?
Outre les poursuites pénales?
Le Missouri a examiné le projet de loi 1169 de la Chambre des représentants, dont la description est la suivante:
Crée des dispositions relatives à l’obligation d’information pour certains produits.
Ce projet de loi précise que tout produit qui agit comme une thérapie génique ou qui est exposé à des procédés qui pourraient avoir pour conséquence que le produit agisse potentiellement comme une thérapie génique ou qui pourrait éventuellement avoir un impact, modifier ou introduire du matériel génétique ou un changement génétique chez l’utilisateur du produit ou certaines autres personnes doit être étiqueté de manière visible avec les mots « Produit de thérapie génique potentiel », et des mesures raisonnables doivent être prises pour s’assurer qu’un acheteur ou un utilisateur potentiel est informé de la présence de cette étiquette. Si l’on sait qu’un produit est un produit de thérapie génique, il doit être étiqueté de manière visible avec la mention « Produit de thérapie génique ».
Elle ne semble pas avoir été adoptée. Il n’existe pas de dispositions similaires dans d’autres États, bien que l’étiquetage des OGM soit obligatoire sur les denrées alimentaires et que de nombreux produits alimentaires américains soient désormais étiquetés comme contenant des produits issus de la bio-ingénierie.
Et capejim a posté cette photo [elle a été supprimée depuis]. Nous l’avons recadrée et mise en évidence:
De toute évidence, même avec étiquetage, les aliments issus de la bio-ingénierie sont de plus en plus répandus dans l’alimentation américaine.
Le grand public, dans tous les pays, devra agir pour que les législateurs interdisent la technologie instable de l’ARNm, faute de quoi il ne s’agira bientôt plus seulement de refuser les injections, mais aussi de refuser de s’alimenter.
À propos des « fabriques portables de vaccins », je vous renvoie vers la conférence du Dr Igor Shepherd – pour ceux qui ne la connaissent pas encore par coeur – que j’ai transcrite et (approximativement) traduite ici. Le Dr Malone en parle également ici.
L’arrivée de ces délicats objets confirment donc bien la nature du programme militaire qu’étaient les injections Covid – et de leur suite.
On se posait la question de savoir pourquoi ils avaient foutu la paix – relative, ils ont tout de même fait assassiner trois chefs d’État africains – aux pays émergents, la thèse étant que ces pays étant très peu demandeurs (voir vidéo dans l’article précédent et ici), il n’était économiquement parlant pas nécessaire de les soumettre. Apparemment, c’est exactement le contraire qui se prépare.
Pour info, plusieurs sources officielles annoncent – pas « craignent » ou « prédisent », annoncent – une pandémie de grippe aviaire pour septembre. C’est quelque part dans ma doc, je publie quand je mets la main dessus.
L’OMS, Gro Brundtland, le plan visant à injecter tout le monde avec des vaccins développés en 100 jours, non testés, et la façon dont les fabriques de vaccins portables permettront de vacciner simultanément l’ensemble du cheptel humain – mais avec quoi?
En outre, j’identifie la corruption et l’utilisation abusive du langage par les mondialistes
Meryl Nass
16 avril
Depuis 1969, l’OMS dispose d’un ensemble de règlements sanitaires internationaux (RSI) c’est-à-dire d’un code sanitaire pour faire face aux épidémies de maladies infectieuses qui touchent plusieurs pays. En 2005, sous l’égide de la Directrice générale de l’OMS, Gro Harlen Brundtland, une mise à jour majeure a été adoptée, sous le nom de RSI (2005). Nous ne le savions pas à l’époque, mais Brundtland était une apparatchik mondialiste, une inventrice du développement durable, et elle a travaillé en étroite collaboration avec Fauci sur les questions relatives à la pandémie de COVID, comme le montrent les courriels transmis à la Commission Européenne par le biais de la FOIA.
[Brundtland a été] la première femme Premier Ministre de Norvège, pendant trois mandats (1981, 1986-89, et 1990-96), et a ensuite été Directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS; 1998-2003). Médecin de formation, elle s’est intéressée aux questions de santé publique et d’environnement, ainsi qu’aux droits des femmes…
Alors que Mme Gro fête ses 84 ans cette semaine, elle occupait jusqu’à très récemment un poste clé, celui de coprésidente, avec Sir Jeremy Farrar, du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation, convoqué par l’OMS et la Banque Mondiale pour imposer au monde sa version de la préparation. Gro a également été appelée la Mère du Développement Durable. Peut-être souhaitait-elle réellement un monde meilleur à une époque. Jeremy a été « nommé 12e dans la liste Fortune des 50 plus grands leaders du monde en 2015 ». Deux joueurs habiles.
En tant que coprésidente du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation (Global Preparedness Monitoring Board – GPMB), créé par la Banque Mondiale et l’Organisation Mondiale de la Santé en 2018, j’ai vu de mes propres yeux à quoi ressemble le paysage mondial de la préparation aux pandémies. L’année dernière, nous avons lancé notre rapport annuel inaugural, A World At Risk, en tirant la sonnette d’alarme sur les nombreuses lacunes de notre préparation et en mettant en garde contre le risque important que notre monde pourrait courir en cas d’apparition d’un virus respiratoire hautement infectieux.
Nous nous trouvons aujourd’hui au cœur de la crise dévastatrice des nouveaux coronavirus. Collectivement, nous devons tirer les leçons de cette crise pour définir un plan d’action audacieux et urgent que les pays et notre système multilatéral doivent mettre en œuvre rapidement pour que l’avenir de chacun soit plus sûr.
À l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies de cette année, le GPMB appelle une fois de plus le monde à agir de toute urgence via son nouveau rapport intitulé « Un monde en désordre ». Ce rapport lance de nombreux appels à l’action aux gouvernements, aux parties prenantes multilatérales et aux particuliers – des actions que nous devons tous entreprendre si nous voulons non seulement nous remettre de cette pandémie, mais aussi être plus à même de faire face à la prochaine. Il ne suffit pas d’arrêter cette pandémie qui a fait des ravages non seulement dans nos systèmes de santé, mais aussi dans nos systèmes économiques et sociaux. Nous devons également profiter de ce moment pour mettre en place les systèmes solides, durables et inclusifs que nous souhaitons pour l’avenir, afin d’être prêts à faire face à la prochaine pandémie, lorsqu’elle arrivera sans aucun doute.
La pandémie de SARS-CoV-2 a été montée de toutes pièces et cooptée pour briser les petites entreprises, appauvrir des millions de personnes, convaincre des milliards de personnes que les maladies infectieuses étaient soudainement devenues une menace existentielle – et ainsi justifier la refonte de notre monde sous de nombreux aspects.
Les dirigeants ont acheté les meilleurs experts en relations publiques et n’ont cessé d’affiner le langage qu’ils utilisent pour nous convaincre que nous sommes conduits vers des lendemains meilleurs. Le terme « Nouvel Ordre Mondial » n’avait tout simplement pas les bonnes connotations. L’expression « Reconstruire en mieux » donnait l’impression que la destruction de nos systèmes actuels était peut-être une bonne chose. Mais lorsque les dirigeants du monde entier se sont mis à le prononcer à l’unisson, les gens se sont méfiés et le terme a été abandonné.
La terminologie actuellement privilégiée comprend: durable et inclusif. Et l’équité: pour les dirigeants, cela signifie que nous bénéficions tous de la même justice, que nous sommes tous exposés au même récit et que nous recevons tous du remdesivir, mais pas d’ivermectine ou d’HCQ. Il est intéressant de noter que l’OMS et les mondialistes n’utilisent PAS le mot « égalité », qui est beaucoup mieux compris. L’égalité signifie que nous sommes tous égaux. Les mondialistes ne veulent pas de cela, alors ils ont choisi un mot qui sonne très bien mais qui signifie quelque chose de différent, et ils espèrent que nous penserons qu’il est synonyme d’égalité. Audacieux signifie qu’ils mettront notre monde sens dessus dessous. Urgent signifie que nous n’aurons pas le temps de comprendre ce qu’ils font.
Durable signifie que votre niveau de vie doit baisser parce que, selon les dirigeants, il n’est pas durable. Ce qui est vrai s’ils provoquent des dépressions, des guerres, etc. Inclusif signifie que vous recevez la piqûre (de préférence à l’ARNm), que vous le vouliez ou non. Tout le monde est inclus. Personne n’est autorisé à refuser. C’est la raison pour laquelle les responsables de l’application de la législation sont si fermement opposés aux exemptions de vaccins. (À titre d’exemple éloquent, les Démocrates de la Commission de l’Éducation de l’Assemblée législative du Maine ont voté à l’unisson, le 10 avril, contre six projets de loi qui permettraient aux étudiants de ne pas se faire vacciner).
Personne ne sait ce que contiendront ces futurs vaccins (sans parler de ce que contiennent les vaccins COVID actuels), et lorsque les vaccins promis comme devant être développés en 100 jours apparaîtront pour la prochaine pandémie, personne ne sera en mesure de savoir s’ils fonctionnent ou s’ils sont dangereux, parce qu’ils seront déployés simultanément pour une utilisation de masse, dans le monde entier. C’est pourquoi il est si important pour les mondialistes de disposer de petites usines de vaccins partout en Afrique et en Asie, voir ci-dessous. Ainsi, personne ne peut y échapper et tout le monde se fera piquer avant de savoir à quel point les vaccins sont dangereux.
La personne qui a lancé la promesse de la Coalition on Epidemic Preparedness and Innovation (CEPI) d’un vaccin élaboré en 100 jours est Sir Dr. Jeremy Farrar (alias 007 Permis de Surdoser) qui a joué un rôle central dans la planification et le financement des deux essais de surdosage d’hydroxychloroquine au Royaume-Uni et à l’OMS, qui a joué un rôle central dans la mise en place de la dissimulation des origines du COVID, et qui s’est maintenant vu confier le rôle de scientifique en chef de l’OMS, où il jouera un rôle crucial dans l’adhésion des pays en développement à ce plan visant à imposer à tous des vaccins produits localement et non testés.
À propos, le patron de Farrar, lorsqu’il était président du Wellcome Trust, était la baronne Eliza Manningham-Buller, présidente du conseil d’administration de Wellcome, coprésidente de Chatham House et ancienne Directrice générale du MI5, l’agence d’espionnage britannique.
BioNTech enverra des fabriques de vaccins mobiles aux pays en voie de développement.
La société allemande BioNTech, créatrice de l’un des vaccins COVID-19 utilisés aux États-Unis, a dévoilé un nouvel outil pour augmenter le taux de vaccination COVID dans le monde: des usines modulaires assemblées à partir de conteneurs d’expédition qui produisent le vaccin à ARNm que la société fabrique avec Pfizer.
Dans le courant de l’année, ces usines seront acheminées vers les pays en développement.
Selon Krishna Udayakumar, qui dirige le Global Health Innovation Center de l’université Duke, la bonne nouvelle est que l’offre mondiale de vaccins COVID et la capacité de production s’améliorent.
Environ 60% de la population mondiale a reçu au moins une dose.
« La mauvaise nouvelle, c’est que le déploiement a été incroyablement inéquitable – ainsi, 10% seulement des personnes vivant dans des pays à faible revenu ont reçu une seule dose de vaccin », a-t-il déclaré.
BioNTech a indiqué que ses premiers kits de fabriques seraient envoyés à une poignée de pays africains dans le courant de l’année et qu’ils pourraient produire jusqu’à 50 millions de doses en 12 mois.
Selon M. Udayakumar, c’est un bon début, mais BioNTech devra faire davantage pour aider réellement le continent.
« En assurant le transfert de l’équipement et de la technologie, ils travaillent également à la mise en place d’une main-d’œuvre qualifiée et à la création d’une chaîne d’approvisionnement », a-t-il déclaré…
Addendum 16 avril, 14h20: Comment fabriquer des vaccins en Afrique sans main-d’œuvre qualifiée? Cela ne peut fonctionner que si l’on ne se préoccupe pas de la qualité du produit. Si tout ce dont on a besoin, c’est d’injecter un certain produit (préfabriqué ailleurs?) dans le bras de tous, peu importe que le reste du processus de fabrication du vaccin ne réponde pas aux Bonnes Pratiques de Fabrication (ou à toute autre norme). Si l’objectif est d’obtenir un vaccin sûr et efficace, la qualité de la fabrication est essentielle. Mais si l’objectif est simplement d’utiliser le « vaccin » en tant que système d’administration qui amenera les gens à se faire volontairement injecter quelque chose de particulier, la formation de la main-d’œuvre n’a aucune importance.
Je vous en prie, prenez cela au sérieux. Il s’agit probablement de la question la plus dangereuse sur laquelle j’ai jamais écrit. Pire que la guerre biologique, qui doit se propager d’une personne à l’autre et contre laquelle certains seront immunisés.
Envoyer des usines de vaccins en Afrique sans disposer d’une main-d’œuvre capable de les utiliser en toute sécurité ne peut être qualifié que comme un acte malfaisant. Cela n’a de sens que s’il existe un agenda caché.
Ne négligez pas la CEPI et son projet de vaccin élaboré en 100 jours. Cette organisation est financée et contrôlée par certaines des entités les plus puissantes du monde.
Investisseurs et partenaires
La CEPI a été fondée à Davos par les gouvernements norvégien et indien, la Fondation Bill & Melinda Gates, Wellcome et le Forum Économique Mondial. [NdT. c’est moi qui souligne]
À ce jour, la CEPI a obtenu le soutien financier de l’Allemagne, de l’Arabie Saoudite, de l’Australie, de l’Autriche, de la Belgique, de la Fondation Bill & Melinda Gates, du Canada, du Danemark, de la Commission Européenne, des États-Unis, de l’Éthiopie, de la Finlande, de la Grèce, de la Hongrie, de l’Indonésie, de l’Islande, de l’Italie, du Japon, du Koweït, de la Lituanie, du Luxembourg, de la Malaisie, du Mexique, de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande, du Panama, des Pays-Bas, du Portugal, des Philippines, de la Roumanie, du Royaume-Uni, du Sénégal, de la Serbie, de Singapour, de la Suisse, de la République de Corée et de Wellcome.
La CEPI a également reçu le soutien d’entités du secteur privé ainsi que des contributions publiques par l’intermédiaire du Fonds de Réponse de Solidarité COVID-19 de la Fondation des Nations Unies.
Une collaboration étroite avec nos partenaires est cruciale pour le succès de notre travail.
Voir la liste complète de nos contributions et engagements.
Notre Groupe de Coordination Conjointe est une table ronde d’institutions indépendantes ayant un intérêt à ce que les vaccins du CEPI soient développés et déployés avec succès lors d’une épidémie.
Ces institutions indépendantes jouent un rôle dans divers éléments du cycle de développement des vaccins, depuis la recherche et le développement des vaccins jusqu’à leur déploiement lors d’une épidémie.
Les membres de notre Groupe de Coordination Conjointe se réunissent pour discuter de la manière dont nous pouvons améliorer au mieux nos efforts pour fournir et déployer des vaccins en relevant les défis liés à la recherche et au développement, à la réglementation, au stockage et à la fourniture de ces produits. En particulier, bien que le groupe se concentre sur l’avancement de notre portefeuille de vaccins, son travail informe également le domaine plus large du développement et de la préparation des vaccins.
Les membres ont également un rôle à jouer dans la planification d’une réponse rapide à un agent pathogène prioritaire ou inconnu. Notre Groupe de Coordination Conjointe est composé de 10 à 15 organisations membres, qui désignent à leur tour des personnes pour les représenter lors des réunions.
De temps à autre, le groupe peut décider d’inviter d’autres organisations et experts à participer aux réunions.
Les membres actuels du groupe mixte de coordination sont les suivants
Le Forum Africain de Réglementation des Vaccins (AVAREF)
CEPI
Le Réseau des Fabricants de Vaccins des Pays en Développement (DCVMN)
L’Agence Européenne des Médicaments (EMA)
FIND, l’alliance mondiale pour le diagnostic
Gavi, Alliance pour les vaccins
Le Fonds Mondial
Membre de la Fédération Internationale de l’Industrie du Médicament (FIIM)
La Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR)
Médecins Sans Frontières (MSF)
UNICEF
La Food and Drugs Administration américaine (FDA)
Wellcome Trust
La Banque Mondiale
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)
Alors, soyez prêts, sachez quel est le projet qu’ils préparent pour nous, et travaillons ensemble pour mettre fin à ces plans diaboliques. J’y reviendrai plus tard dans la journée.
On va temporairement boucler cette histoire d’injection avec un auteur connu sur ce blog.
Le plus intéressant ici, c’est que Spartacus a ajouté (en commentaire) un glossaire des termes médicaux employés dans ce bref article (6 minutes), que j’ai traduit à la fin.
Message d’intérêt public – Pourquoi il faut refuser le vaccin
Un guide très résumé sur la dangerosité de ces vaccins
Spartacus
25 février
Si quelqu’un que vous connaissez envisage de se faire vacciner contre le COVID-19, voici pourquoi il devrait s’en abstenir, en quelques mots.
Les vaccins COVID-19, en particulier la plateforme ARNm sur laquelle reposent les vaccins Pfizer et Moderna, ont été développés grâce à des fonds douteux de la DARPA consacrés à la biodéfense et à des financements de capital-risque, dont une grande partie est allée à une société qui, pendant plus de dix ans, n’a sorti aucun produit commercial et dont le PDG travaillait auparavant pour une autre société dont le fondateur a participé à la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan. Ces produits injectables ont été obtenus par nos gouvernements dans le cadre de contrats qui exonèrent leurs fabricants de toute responsabilité pour les lésions qu’ils peuvent causer.
Les nanoparticules lipidiques PEGylées sont des huiles synthétiques hautement inflammatoires conjuguées à du polyéthylène glycol. Ces lipides PEGylés sont connus pour déclencher une anaphylaxie chez quelques personnes malchanceuses.
L’ARN messager contenu dans ces vaccins n’a rien à voir avec l’ARNm normal produit par les noyaux cellulaires. Il est pseudo-uridylé, un isomère de l’uridine étant utilisé à la place de l’uridine normale pour tromper les récepteurs Toll de vos cellules afin qu’ils ne déclenchent pas d’inflammation ou même qu’ils ne la détectent pas. Il est doté d’une coiffe synthétique, ce qui augmente sa stabilité et sa résistance aux ribonucléases. On ne sait absolument pas combien de temps cette substance reste intacte dans l’organisme et combien de temps elle continue à se transformer en protéine. Parce qu’il est modifié par des nucléosides et doté d’une coiffe synthétique, il se comporte moins comme un ARN messager normal que comme de minuscules brins de bioplastique moléculaire non biodégradable.
La pseudo-uridylation favorise la lecture du codon d’arrêt, où les ribosomes lisent le codon d’arrêt et traduisent l’extrémité 3′ UTR normalement non traduite de l’ARNm. Parmi les modifications apportées à l’ARNm synthétique pour améliorer la traduction, on peut citer l’ajout de mtRNR1 à l’UTR 3′. Si cette modification est présente et que le ribosome lit le codon d’arrêt, il produira la protéine de pointe et la protéine mtRNR1 jointes bout à bout, ce qui peut entraîner un dysfonctionnement mitochondrial.
Cet ARNm peut être absorbé par les rétrotransposons LINE-1 et transcrit en sens inverse dans le génome, ce qui pourrait conduire à une production permanente de protéines de pointe par les cellules affectées, aussi longtemps qu’elles seront en vie.
La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine hautement toxique dont les motifs sont prionogènes et amyloïdogènes, neurotoxiques, cardiotoxiques, procoagulants et inflammatoires. Lorsqu’ils sont digérés par l’élastase neutrophile ou la trypsine, les fragments de cette protéine de pointe peuvent former des caillots massifs de fibrine amyloïde, même en l’absence de plaquettes. La protéine de pointe possède également un motif superantigénique, ainsi qu’une région qui lie les lipopolysaccharides bactériens et renforce l’effet inflammatoire des endotoxines bactériennes. La protéine de pointe peut même migrer vers le noyau et interférer avec le gène p53, un gène anticancéreux clé, ce qui pourrait favoriser la tumorigenèse. Les sous-unités S1 de la protéine de pointe peuvent porter atteinte à l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et en augmenter la perméabilité.
En raison de l’optimisation des codons de l’ARNm qui génère la protéine de pointe, il n’existe aucune preuve que la protéine de pointe adopte une conformation semblable à celle du virus. Ce que l’on obtient à la place, c’est un amas géant de protéines inutiles contenant des peptides toxiques et amyloïdogènes sur toute leur longueur, qui sont activés lorsque la protéine est clivée et digérée par les enzymes de l’hôte. Ce phénomène est exacerbé par la pureté extrêmement médiocre de l’ARNm contenu dans ces vaccins, dont la moitié n’est même pas totalement intacte et n’a jamais pu se traduire en une protéine de pointe de pleine longueur.
Lorsque les personnes reçoivent ces vaccins à ARNm, les nanoparticules lipidiques s’écoulent par les veines et les lits capillaires dans le système circulatoire, où elles voyagent dans le corps et transfectent le cœur, le cerveau, la moelle osseuse et le reste des organes vitaux, ainsi que les tissus reproducteurs, ce qui peut entraîner une myocardite et une cicatrice cardiaque permanente, une encéphalite, une stérilité et/ou une lésion auto-immune des cellules progénitrices hématopoïétiques de la moelle, qui pourrait conduire à une lymphopénie et à une immunodéficience durables. Chaque cellule transfectée par les nanoparticules lipidiques produit des protéines de pointe et les affiche à sa surface, ce qui constitue une cible majeure pour le système immunitaire qui vient l’attaquer. S’il s’agit du cerveau, il y aura inflammation cérébrale. S’il s’agit du cœur, il y aura inflammation cardiaque. Concrètement, en utilisant des cellules humaines comme bioréacteurs pour la production d’une protéine étrangère, on appose un énorme panneau « Tapez moi dessus » sur chacune des cellules transfectées.
Pour ajouter l’insulte à la blessure, ces vaccins favorisent un changement de classe d’immunoglobuline G4 qui entraîne une tolérance immunitaire à l’égard de la protéine de pointe, comme s’il ne s’agissait que d’un allergène. Bien que cela puisse réduire superficiellement l’inflammation due au SARS-CoV-2, cela conduit également à une tolérance virale qui peut permettre au virus de se répliquer dans le corps en toute impunité pendant une période prolongée, ce qui conduit à une maladie chronique.
D’innombrables rapports de lésions causées par les vaccins COVID-19 ont été enregistrés dans le VAERS et dans d’autres bases de données de rapports d’événements indésirables. Nous disposons de rapports histopathologiques évalués par des pairs, dans lesquels des autopsies ont été pratiquées sur des personnes décédées des suites du vaccin et des lames de tissus ont été prélevées sur leur corps et examinées, confirmant la présence de la protéine de pointe dans le cerveau, le cœur et d’autres tissus, ainsi que des lésions inflammatoires mortelles. Les tissus ne mentent pas.
Ces vaccins toxiques doivent être immédiatement retirés du marché et des poursuites pénales doivent être engagées contre toutes les personnes impliquées dans leur fabrication et leur distribution, ainsi que contre tous ceux qui les ont rendus obligatoires.
-Spartacus
Glossaire
ARNm = acide ribonucléique messager. Toutes les cellules du corps humain sont en quelque sorte de petites bulles huileuses contenant un tas de structures différentes qui fabriquent des protéines et produisent de l’énergie pour la cellule. Le noyau de la cellule est le tiroir à plans, contenant les chromosomes qui renferment tous les gènes codant pour les différentes protéines du corps. Lorsqu’une cellule décide qu’elle a besoin d’une plus grande quantité d’une certaine protéine, la section de la chromatine codant pour cette protéine est déroulée et transcrite de l’ADN en ARN messager. L’ARN messager quitte le noyau par un pore, puis les ribosomes s’assemblent autour de lui et le lisent comme un ruban adhésif, en faisant correspondre les ARNt aux séquences de codons de 3 lettres sur l’ARN et en déposant leur acide aminé dans la chaîne polypeptidique en croissance s’il y a une correspondance (ou en rebondissant s’il n’y en a pas). Tous les noyaux de nos cellules fabriquent en permanence de l’ARNm à partir de l’ADN, puis nos ribosomes fabriquent des protéines à partir de l’ARNm en les utilisant comme instructions pour relier les acides aminés entre eux dans différents ordres. La séquence des acides aminés détermine la structure et la fonction de la protéine. Les vaccins à ARN messager détournent ce processus en introduisant un ARNm étranger dans une cellule pour forcer les ribosomes de cette cellule à traduire en protéines n’importe quelle séquence arbitraire d’ARNm imaginable. Imaginez que la cellule soit une usine et qu’un homme entre par la porte d’entrée avec une pile de plans dans les bras en criant : « Nous devons ouvrir une nouvelle chaîne de montage pour fabriquer des tonnes de ces produits! C’est ainsi que les vaccins ARNm sont censés fonctionner, en un mot. Il s’agit d’acide nucléique provenant de l’extérieur de la cellule, plutôt que du noyau. Voici une bonne animation de ce à quoi ressemble un ribosome traduisant l’ARN en protéine:
Laboratoire P4 = l’équivalent d’un laboratoire BSL-4 aux États-Unis. Le niveau de biosécurité, ou niveau de protection contre les agents pathogènes, indique le type d’équipement dont dispose un laboratoire pour assurer le confinement des agents pathogènes mortels. Les laboratoires de niveau de biosécurité supérieur disposent généralement d’un système de confinement à pression négative et de systèmes de filtration très performants pour empêcher les agents pathogènes de s’échapper.
Polyéthylène glycol = composé polyéther (supposé biologiquement inerte) utilisé dans les laxatifs, les cosmétiques, les médicaments à base de nanoparticules, etc. Il est obtenu par polymérisation de l’éthylène glycol, principal composant des antigels.
Nanoparticule lipidique = petite bulle huileuse qui ressemble à une paroi cellulaire humaine ou animale et qui peut facilement fusionner avec les cellules et y déposer sa cargaison. Voir également liposomes et micelles.
Anaphylaxie = réaction allergique massive et parfois mortelle, généralement traitée à l’aide d’épinéphrine (comme celle d’un épi-pen).
Pseudouridylation = substitution de l’uridine dans l’ARNm par un pseudouridylyle. L’uridine, un composant moléculaire des brins d’ARN, se présente sous différents isomères, tels que la pseudouridine, dont la structure et la fonction sont similaires à celles de l’uridine. Le pseudouridylyle est comme la pseudouridine, mais avec l’ajout d’un groupe méthyle.
Récepteur de type Toll = un type de récepteur à la surface de nos cellules qui agit un peu comme un détecteur de fumée, détectant les signes de dommages cellulaires et/ou de cancer et déclenchant la production de cytokines inflammatoires qui agissent comme un signal de fumée pour attirer les cellules immunitaires afin qu’elles s’attaquent au problème. L’ARNm étranger a tendance à déclencher l’inflammation en activant les récepteurs de type Toll (Toll-like receptors – TLR).
Lecture du codon d’arrêt = les ribosomes lisent l’ARNm comme un ruban adhésif ou comme les cartes perforées d’un vieil ordinateur. Tous les brins d’ARNm comportent une région qui indique au ribosome « arrêtez de lire ici », ce qui signale que la traduction de la protéine est terminée. On parle de Readthrough lorsque le ribosome n’en tient pas compte et continue à traduire la partie normalement non traduite de la queue de l’ARNm.
3’UTR = l’extrémité distale d’un brin d’ARNm qui n’est normalement pas traduit. Les brins d’ARN ont une coiffe, un UTR 5′, la région codante, un UTR 3′ et une queue poly-A, dans cet ordre. La région codante est la partie qui produit effectivement la protéine.
Rétrotransposons LINE-1 = rétrotransposons à longs éléments nucléaires intercalés. Ils interagissent avec les transcriptases inverses endogènes qui peuvent retransformer l’ARN en ADN et le coller dans le génome. Pensez à la façon dont les rétrovirus comme le VIH s’intègrent dans le génome et deviennent un provirus. Pour ce faire, le VIH possède sa propre transcriptase inverse. Cependant, le corps humain possède également ses propres transcriptases inverses et des régions du génome qui acceptent les gènes transcrits à l’envers. Je simplifie à l’extrême. Une explication plus détaillée peut être trouvée ici:
Prionogène = produit des prions (comme dans la maladie de la vache folle/MCJ).
Amyloïdogène = produit des fibrilles amyloïdes (brins répétitifs de protéines insolubles, comme dans la maladie d’Alzheimer et l’amyloïdose).
Neurotoxique = dommageable pour le cerveau et le tissu nerveux.
Cardiotoxique = dommageable pour le cœur.
Procoagulant = favorise la coagulation du sang.
Élastase des neutrophiles et trypsine = deux enzymes protéolytiques différentes qui coupent d’autres protéines. Différentes enzymes protéolytiques peuvent, au fil du temps, décomposer une protéine en ses acides aminés constitutifs, les recyclant pour les utiliser dans la fabrication de nouvelles protéines.
Caillot amyloïde-fibrine = caillot composé entièrement de protéines, l’amyloïde étant liée à la fibrine. Aucune cellule sanguine ou plaquette n’est nécessaire à sa formation.
Superantigène = également connu sous le nom de SAg. Il s’agit d’antigènes qui activent excessivement le système immunitaire, entraînant une inflammation grave.
Lipopolysaccharides bactériens = également connus sous le nom d’endotoxines, ce sont des composants des bactéries qui déclenchent une inflammation grave.
p53 = gène suppresseur de tumeur essentiel ; sa désactivation est associée à divers cancers.
Protéine de pointe S1 = la sous-unité « tête » de la protéine de pointe. La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est un trimère, ce qui signifie qu’elle contient un faisceau de trois segments répétitifs des sous-unités S1 et S2, regroupés comme un bouquet de fleurs, ce qui lui confère un aspect de caltropie. La fonction de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 sur le virus SARS-CoV-2 proprement dit est de fusionner le virus et la cellule et de faciliter l’entrée dans les cellules de l’hôte. Pour ce faire, il se fixe sur les récepteurs ACE2 présents à la surface des cellules endothéliales vasculaires et des cellules épithéliales des voies respiratoires, ce qui lui permet d’être clivé par des protéases endogènes telles que TMPRSS2, qui activent la protéine de pointe, l’amenant à creuser la membrane cellulaire, puis à se replier sur elle-même et à rapprocher la cellule et le virus, en les fusionnant. Voici à quoi cela ressemble:
Optimisation des codons = modification de la séquence d’un gène pour augmenter le taux de production de protéines.
Conformation = forme que prend un polypeptide lorsqu’il se transforme en protéine. Certaines protéines peuvent subir des changements de conformation dans le cadre de leur fonction, comme de minuscules machines moléculaires.
Myocardite = inflammation du cœur, du type de celle qui produit un vilain tissu cicatriciel. Les cœurs endommagés ne se régénèrent pas facilement et même une myocardite subclinique qui ne produit aucun symptôme peut être fatale après quelques années.
Encéphalite = inflammation du cerveau.
Cellules progénitrices hématopoïétiques = cellules sanguines et immunitaires immatures de la moelle osseuse, qui produisent des globules rouges, des neutrophiles, des macrophages, des lymphocytes, etc. Pour des raisons évidentes, il ne faut surtout pas que le système immunitaire s’attaque à sa propre moelle osseuse, car c’est comme s’il sciait la branche d’arbre sur laquelle il est assis.
Immunoglobuline = en bref, anticorps. Ils se lient aux agents pathogènes et contribuent à les neutraliser.
J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.
Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.
La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.
Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.
C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.
J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.
La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.
La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.
Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.
… et alors, l’économie?
J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.
Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.
Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.
À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.
Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.
Initiales BBB
Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!
Euh, non.
Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.
Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.
C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.
Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.
Nyctereutes procyonoides
… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.
Ach!
À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.
Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…
Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.
Un truc impensable en France.
Coïncidite
Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.
Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:
trois naissances,
quatorze décès.
Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…
QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois
En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:
La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]
Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.
Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]
Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.
Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.
À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.
« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:
« Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
« Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
« Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »
Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.
Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:
Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »
Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »
Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:
Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?
Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.
Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus
Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:
Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».
Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]
La croisière s’amuse
Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.
« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »
Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:
Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.
Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.
Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».
Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?
Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.
Pauvres présidents
Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.
De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.
La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.
Ou le Covid.
Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.
C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.
En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.
Euh, euh, euh…
Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.
Pendant les travaux, la vente continue
Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.
Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.
Sex and drugs and rock’n’roll
Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peususpecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.
Très bien parlons sexe, ça fait vendre.
Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.
Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.
Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.
En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…
Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.
Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.
Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.
Pour conclure…
… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.
Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.
Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:
Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.
J’ai briévement abordé les horreurs de l’élevage intensif, voici le témoignage d’un autre fermier. Et, j’ose à peine l’annoncer, j’ai encore deux autres articles sur la grippe aviaire.
Oui, je sais, j’allais publier sur l’économie et me voilà de nouveau à parler de poule(t)s. Ce n’est pas autant hors sujet qu’il semble, parce que d’une part, les révoltes populaires ont lieu en période de disette, or on me dit que des millions de Français ont recours à des colis alimentaires.
D’autre part, on nous rejoue la comédie du Covid et des « vaccins », cette fois avec la grippe aviaire, ce que nous explique une nouvelle fois ici Meryl Nass.
Enfin, on pourrait peut-être se poser la question, d’une actualité brûlante, de savoir si, comme pour les poule(t)s, c’est le nombre d’êtres humains le problème ou leur concentration.
Comme dirait Igor Chudov: et vous, qu’en pensez-vous?
Alors que la nation souffre d’une nouvelle épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), il est plus important que jamais de remettre en question le discours orthodoxe. À l’heure où l’on crie à la surpopulation et à l’incapacité du monde à se nourrir, nous, les humains, devons certainement trouver le moyen de réduire ce type de pertes.
Les chiffres changent chaque jour, mais au dernier recensement, environ 60 millions de poulets (principalement des poules pondeuses) et de dindes sont morts au cours de l’année écoulée. Il y a un peu plus de dix ans, ce chiffre était de 50 millions. Ces cycles sont-ils inévitables? Les experts qui transmettent les informations au public sont-ils plus dignes de confiance que ceux qui ont contrôlé les communiqués de presse lors de l’épidémie de covid en 2020?
Si ceux qui prennent le temps de réfléchir n’ont appris qu’une seule chose de la pandémie de covid, c’est que les récits officiels des gouvernements sont politiquement orientés et souvent faux. Dans cette nouvelle épidémie d’IAHP, l’écart le plus flagrant par rapport à la vérité est sans doute l’idée que les oiseaux sont morts des suites de la maladie et que l’euthanasie pour les survivants est la meilleure et la seule option.
Tout d’abord, sur les quelque 60 millions d’oiseaux déclarés morts, seuls quelques millions sont effectivement morts de l’IAHP. Les autres ont été tués dans le cadre d’un protocole de stérilisation draconien. L’utilisation du mot « euthanasié » au lieu du mot « exterminé », plus approprié, brouille les pistes. L’euthanasie consiste à mettre fin aux souffrances d’un animal. En d’autres termes, il va mourir, souffre ou est atteint d’une maladie incurable.
Très peu d’oiseaux tués souffrent ou sont même symptomatiquement malades. Si, dans un poulailler d’un million de volailles, un test de dépistage de l’IAHP est positif, le gouvernement fait intervenir toutes les forces de l’ordre dans l’exploitation pour garantir la mort de tous les oiseaux vivants. Rapidement.
On a vu aucune volée où tous les oiseaux sont morts de l’IAHP. Dans chaque volée, il y a des survivants. Certes, la plupart sont exterminés avant que les survivants ne soient identifiés. Mais dans les cas d’extermination tardive, quelques oiseaux semblent immunisés contre la maladie. Certes, l’IAHP est et peut être mortelle, mais elle ne tue jamais tous les animaux.
La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les agriculteurs sélectionnent des systèmes immunitaires sains. C’est ce que nous, agriculteurs, faisons depuis des millénaires. Nous choisissons les spécimens les plus robustes comme matériel génétique à propager, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux ou de microbes.
Mais dans sa sagesse, le Ministère américain de l’Agriculture (USDA-Usduh) n’a aucun intérêt à sélectionner, à protéger et à propager les survivants sains. La politique est claire et simple: tuer tout ce qui est entré en contact avec les oiseaux malades. La deuxième partie de la politique est également simple: trouver un vaccin pour arrêter l’IAHP.
Si un éleveur voulait sauver les survivants et effectuer lui-même un test pour tenter d’élever des oiseaux immunisés contre l’IAHP, des agents du gouvernement armés de fusils le lui interdiraient. La politique de la terre brûlée est la seule option possible, même si elle ne semble pas fonctionner. En fait, les cycles s’accélèrent et semblent toucher davantage d’oiseaux. Quelqu’un devrait s’interroger sur l’efficacité de cette politique.
Certains le font. Lorsque l’influenza aviaire hautement pathogène a touché notre région de Virginie il y a une quinzaine d’années, des vétérinaires fédéraux venus des quatre coins du pays sont venus superviser l’extermination. Deux d’entre eux avaient entendu parler de notre élevage de volailles de pâturage et ont demandé à venir nous rendre visite pendant leur temps libre. Ils n’étaient pas ensemble; ils sont venus à quelques semaines d’intervalle, indépendamment l’un de l’autre. Tous deux m’ont dit qu’ils connaissaient la raison de l’épidémie: trop d’oiseaux, trop densément entassés dans des poulaillers trop proches géographiquement. Mais ils m’ont tous deux dit que s’ils exprimaient publiquement cette idée, ils seraient licenciés le lendemain.
C’est ce qu’on appelle de la censure. Dans son édition du 24 février, le Wall Street Journal titrait « L’Amérique perd la bataille de la grippe aviaire ». Il est intéressant de noter qu’alors que l’article présente la version officielle selon laquelle les oiseaux sauvages propagent la maladie et les agriculteurs la répandent sur leurs chaussures, un agriculteur ose dire que « sa plus grande installation abrite environ 4 millions de poulets élevés en cage, ce qui représente un nombre trop élevé de poulets dans un seul endroit. ‘Nous ne ferons plus jamais cela' », a-t-il déclaré. Les nouvelles installations seront plus petites, abritant environ un million de poulets chacune, a-t-il dit, et plus espacées les unes des autres pour aider à contrecarrer la menace d’une épidémie continue ».
Pourtant, quelques paragraphes plus loin, l’article cite le Dr John Clifford, ancien vétérinaire en chef des États-Unis, qui affirme que « la maladie est partout ». Si c’est le cas, quelle différence cela fait-il de réduire la taille des volées et d’augmenter l’espace entre les maisons? Il est clair que l’agriculteur dont il est question ici a la même intuition que les deux vétérinaires fédéraux que j’ai visités il y a de nombreuses années: trop d’animaux, trop denses, trop proches.
Certes, même les volées de basse-cour sont susceptibles d’être infectés par l’IAHP, mais nombre de ces volées miniatures se trouvent sur des terrains sales et souffrent de conditions d’hygiène déplorables. Néanmoins, il est plus difficile d’assurer le bonheur et l’hygiène d’un million d’oiseaux dans une exploitation d’alimentation animale concentrée (Concentrated Animal Feeding Operation – CAFO) que d’une volée de basse-cour, et les données relatives à la maladie le confirment. L’USDA et l’industrie veulent désespérément rejeter la faute sur les oiseaux sauvages, les volées de basse-cour et les chaussures sales, au lieu de se regarder dans le miroir et de se rendre compte que c’est la façon dont la nature crie « Assez! ».
« Assez d’abus. Assez de manque de respect. Assez de particules fécales créant des abrasions sur mes tendres muqueuses ». Lorsque Joel Arthur Barker a écrit Paradigmes et a fait entrer ce mot dans l’usage courant, l’un de ses axiomes était que les paradigmes finissent toujours par dépasser leur point d’efficacité. L’industrie avicole partait du principe que si 100 volailles dans un poulailler, c’était bien, 200, c’était mieux. Avec l’avènement des antibiotiques et des vaccins, la taille des poulaillers et la densité des oiseaux ont augmenté. Mais la nature a le dernier mot.
Pour mémoire, tout système agricole qui considère la faune et la flore sauvages comme une menace est un modèle intrinsèquement anti-écologique. L’article du WSJ note que « les ouvriers ont installé des filets au-dessus des lagunes et d’autres endroits où les oiseaux sauvages se rassemblent ». Les lagunes sont intrinsèquement anti-écologiques. Ce sont des puits de maladies et d’immondices; la nature ne crée jamais de lagunes de fumier. Dans la nature, les animaux répandent le fumier sur le paysage où il peut être une bénédiction, et non une malédiction comme une lagune. Le vrai coupable est peut-être l’industrie qui crée des lagunes de fumier susceptibles d’infecter les canards sauvages, et non l’inverse. C’est de la culpabilité par association, comme de dire que puisque je vois des camions de pompiers à côté de voitures accidentées, les camions de pompiers doivent être à l’origine des accidents de voiture.
Remarquez l’angle d’attaque de cette phrase du WSJ: « Les buses, les canards sauvages ou les animaux nuisibles qui se faufilent dans les granges peuvent également transmettre le virus de la grippe par le mucus ou la salive. » Cela ne ressemble-t-il pas à une proverbiale conspiration, avec des animaux sauvages qui se faufilent partout? Tout cela ressemble étrangement au virus du covid qui se faufile partout et qu’il faut contenir à l’aide de quarantaines et de masques. Une plume contient suffisamment d’IAHP pour affecter un million d’oiseaux. Il est impossible de verrouiller un poulailler pour empêcher une plume errante ou ses molécules microscopiques d’y pénétrer. C’est absurde.
Si notre politique agricole actuelle est insensée, quelle est la meilleure solution? Ma première suggestion est de sauver les survivants et d’en commencer l’élevage. C’est une évidence. Si un troupeau est atteint par l’IAHP, il faut la laisser suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on pourra discerner les survivants. Gardons-les et intégrons-les dans un programme d’élevage. Ce qu’il y a de bien avec les poulets, c’est qu’ils grandissent et se reproduisent assez vite pour qu’en un an, il soit possible d’avancer de deux générations. C’est relativement rapide. Laissons la survie déterminer le patrimoine génétique de demain.
Deuxièmement, pourquoi ne pas travailler sur les conditions qui améliorent l’hygiène et le bonheur? Oui, j’ai bien dit « bonheur ». Tous les animaux ont des tailles de troupeaux et de volées optimales. Par exemple, on ne voit jamais plus de deux cents dindes sauvages ensemble. Même dans les régions où les populations sont élevées, elles se divisent en petits groupes plutôt que de s’unir en volées de 1 000 individus. D’autres oiseaux se rassemblent en grandes bandes. Pourquoi cette différence?
Personne n’a étudié de manière définitive les raisons de cette différence, mais nous savons qu’il existe des tailles optimales pour une vie sans stress. Pour les poulets, c’est environ 1 000. Un vieux scientifique de l’industrie avicole a visité notre ferme un jour et m’a dit que si les maisons divisaient les poulets en groupes de 1 000 oiseaux, les maladies seraient pratiquement éliminées. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de problème à avoir 10 000 volailles dans un poulailler, à condition qu’elles soient réparties en groupes de 1 000 volailles. De cette manière, leur structure sociale peut fonctionner selon une interaction naturelle. Les animaux ont une hiérarchie de brutes et de timides. Cette structure sociale s’effondre au-delà de la taille optimale.
Chez la plupart des herbivores, la taille est énorme, comme en témoignent les troupeaux du Serengeti et les bisons des plaines américaines. Les abeilles mellifères se divisent lorsque la ruche atteint une certaine taille. Les élans ont des troupeaux de taille optimale. Les chèvres de montagne forment de petits troupeaux. Les cochons sauvages recherchent eux aussi une taille de groupe dépassant rarement 100 individus. La première ligne de défense consiste donc à déterminer où se trouve la zone de tranquillité sans stress et à la respecter.
Enfin, traitez les poulets comme des poulets. En plus d’une taille de volée appropriée, donnez-leur des pâturages frais pour courir et gratter. Pas des cours en terre battue. Pas de petits tabliers autour d’un CAFO. Avec les abris mobiles, dans notre ferme, nous déplaçons les volées tous les jours ou presque vers de nouveaux pâturages. Cela leur permet de rester sur un sol neuf, exempt d’hôtes, pendant une longue période. Ils ne dorment pas, ne mangent pas et ne vivent pas à chaque instant de la journée dans leurs toilettes.
L’American Pastured Poultry Producers Association (APPPA) est une organisation commerciale qui promeut des protocoles pour ce type de modèle de renforcement du système immunitaire. Des milliers de praticiens adhèrent à une infrastructure mobile qui permet à des volées de taille appropriée d’avoir accès à l’air frais, à la lumière du soleil, aux insectes, aux vers et à des matières vertes succulentes. Dans notre ferme, nous utilisons le Millennium Feathernet et l’Eggmobile, accueillant des canards sauvages et des carouges à épaulettes dans les environs, dans le cadre d’un nid écologique symbiotique.
Bien que je ne veuille pas paraître désinvolte et ne pas surestimer la sensibilité à l’IAHP, les taux d’incidents indiquent clairement une vulnérabilité moindre dans les volées élevées en pâturage et bien gérées. La création d’un protocole de renforcement du système immunitaire mérite certainement des recherches, tout autant que le fait de surcharger le système immunitaire avec des vaccins et d’essayer de devancer les mutations et les adaptations de la maladie grâce à l’ingéniosité humaine. Pourquoi ne pas chercher humblement des solutions dans la nature plutôt que de faire preuve d’arrogance?
Les parallèles entre l’orthodoxie des experts de l’IAHP et l’orthodoxie du covid sont trop nombreux pour être mentionnés. La pornographie de la peur est omniprésente dans notre culture. L’inquiétude liée à l’IAHP alimente l’inquiétude liée à l’alimentation, qui pousse les gens à exiger du gouvernement qu’il assure leur sécurité. Les gens acceptent à peu près n’importe quoi s’ils ont peur. Quelqu’un pense-t-il vraiment que l’intelligence humaine va venir à bout des canards migrateurs? Vraiment? Réfléchissons bien et adoptons un remède plus naturel: des volailles de pâturage décentralisées et bien gérées, avec des volées de taille appropriée.
Joel F. Salatin est un agriculteur, conférencier et auteur américain. Salatin élève du bétail dans sa ferme Polyface à Swoope, en Virginie, dans la vallée de Shenandoah. La viande de sa ferme est vendue en direct aux consommateurs et aux restaurants.
Parlons poules, avec cet article où on retrouve notre ami Jeremy Farrar, très inquiet pour notre santé. Voyons, un massacre organisé de malades asymptomatiques sur base d’un seul test PCR: mais où ai-je déjà vu ça?
Il se trouve que je connais un peu, par l’intermédiaire de l’éleveur (bio) de mon village, les pratiques de l’élevage intensif de poules pondeuses. C’est tout simplement atterrant: les poules parquées dans des cages à peine plus grandes qu’elles, sont éclairées 24h/24 pour stimuler la ponte, puis liquidées après une seule saison, dans un état épouvantable (elles n’ont souvent même plus de plumes, évidemment qu’elles tombent facilement malades!): elles ne rapportent plus rien à leur propriétaire (milliardaire, dans cet article)… Ça me rappelle aussi quelque chose.
Ne pensez donc pas un seul instant que je défends ce type d’élevage. J’ai trois poules en semi-liberté (on a un potager à protéger) qui ne tomberont jamais malades et pondent un seul oeuf par jour, largement assez pour elles et pour nous, en échange d’un peu de grains et des parasites dont elles débarrassent le sol du jardin. Comme le bétail de pâture, elles entretiennent des sols qui seraient autrement inexploitables et/ou une charge à entretenir, et nous fournissent en plus des protéines irremplaçables. Je vous recommande à ce propos la lecture de deux articles (ici et ici), en français, écrits par un vegan, sur un site vegan, qui défend la viabilité de l’élevage de bovins par rapport à l’exploitation maraichère et céréalière des sols – un bel exemple d’honnêteté intellectuelle. Contrairement à la plupart des militants « carnivores », je respecte le choix des vegans et franchement, je ne consommerais jamais de viande ni de poisson – et sans doute pas de criquets – si je devais tuer moi-même les animaux que je mange. J’évite par contre tout ce qui provient de l’élevage intensif, une barbarie que j’aimerais voir crever. Quand on prétend lutter pour la liberté et le respect, la moindre des choses est de l’accorder aux plus faibles que soi, animaux ou humains.
Si je relaie cet article, c’est pour dénoncer la manoeuvre des abattages faits pour détruire/décourager les petites exploitations pendant que les méga-élevages ne s’en porteront que mieux, après avoir nettoyé le marché de la concurrence familiale – exactement ce qui s’est déjà passé lors de la crise de la vache folle, et qui ressemble à la manoeuvre actuelle de centralisation dans le secteur bancaire, voir article précédent.
Je suis avec un autre article sur les poules en Europe, de John Paul, au cas où vous penseriez que ceci ne concerne que les États-Unis.
La fausse épizootie de grippe aviaire (H5N1) qui a amené les autorités fédérales à abattre des millions d’oiseaux.
La maladie est presque impossible à transmettre et les symptômes sont bénins. Pourquoi l’abattage? Pour le contrôle alimentaire? Pour semer la panique? Pour promouvoir un vaccin? Pour présager d’un futur virus conçu en laboratoire?
Meryl Nass
17 mars
La grippe aviaire est principalement transmise par les oiseaux sauvages, comme ces oies des neiges à Ruthsberg (Maryland) en janvier 2023. Photo par JIM WATSON/AFP via Getty Images
L’épidémie de grippe aviaire H5N1 qui a débuté en 2021 est devenue la plus importante épidémie de grippe aviaire de l’histoire, tant aux États-Unis que dans le reste du monde. Aux États-Unis, le virus a entraîné la destruction de millions de poulets, de dindes, de canards et d’oies d’élevage commercial et a tué des milliers d’oiseaux sauvages.
Voici comment cette question a été bizarrement traitée. Extrait d’un rapport publié en avril dernier dans le Guardian:
Plus de 22 millions d’oiseaux ont été abattus pour tenter d’endiguer l’épizootie, la plupart dans l’Iowa, le plus grand producteur d’œufs des États-Unis. L’abattage de 5,3 millions de poules à Rembrandt est le plus important jamais réalisé dans un élevage industriel du pays.
L’article poursuit en indiquant que le propriétaire milliardaire de l’usine a licencié la quasi-totalité des travailleurs immédiatement après l’abattage et l’élimination de 5 millions de poules, après qu’une poule [NdT. une!] ait été testée positive au virus H5N1 de la « grippe aviaire ».
Mais il semble que ce n’était que le début de l’abattage, selon un article de janvier 2023 de NBC:
Près de 58 millions d’oiseaux provenant d’élevages commerciaux et de basse-cour ont été éliminés aux États-Unis depuis février dernier, selon le Service d’Inspection de la Santé Animale et Végétale du Département de l’Agriculture des États-Unis…
« À l’heure actuelle, il s’agit de la plus grande urgence animale à laquelle l’USDA ait été confronté dans ce pays », a déclaré Gino Lorenzoni, professeur adjoint de science avicole et de santé aviaire à l’université d’État de Pennsylvanie.
Plus de 40 millions de poules pondeuses ont été abattues rien qu’aux États-Unis, ce qui a fait monter en flèche le prix des œufs dans tout le pays, selon M. Lorenzoni. Quelques mois plus tôt, l’épidémie de grippe aviaire avait fait grimper le prix de la viande de dinde à un niveau record.
D’après un article de STAT datant de décembre 2022, Sir Jeremy cherche à alimenter la peur de la grippe aviaire. On ne sait jamais, le virus H5N1 pourrait muter et commencer à nous tuer, à tout moment:
« Dans une interview accordée à STAT dimanche – sans rapport avec sa nouvelle nomination – [Sir Dr. Jeremy] Farrar a exprimé son inquiétude renouvelée face au virus H5N1 qui, après des années de relative quiescence, s’est répandu dans le monde entier, provoquant des pertes importantes dans les élevages de volailles.
La version actuelle du virus infecte moins fréquemment les personnes que la version qui circulait au milieu et à la fin des années quatre-vingt. Et lorsque des infections humaines se produisent, comme ce fut le cas au Colorado au printemps, la maladie est généralement bénigne. Il a toutefois précisé qu’il ne fallait pas croire que le virus ne pourrait pas redevenir virulent et constituer une menace plus importante pour l’homme ».
Le CDC confirme que la transmission est rare et que le seul cas identifié aux États-Unis était bénin et s’est rapidement résolu:
Une personne a été testée positive au virus de l’influenza aviaire A(H5) (grippe aviaire H5) aux États-Unis, comme l’a signalé le Colorado et comme l’ont confirmé les CDC. Ce cas est survenu chez une personne ayant été directement exposée à des volailles et ayant participé à l’abattage (dépeuplement) de volailles présumées atteintes du virus H5N1 de la grippe aviaire. Le patient a signalé comme seul symptôme une fatigue de quelques jours et s’est rétabli depuis.
Le même article du CDC poursuit en ces termes:
Les CDC ont suivi l’état de santé de plus de 2 500 personnes ayant été exposées à des oiseaux infectés par le virus H5N1 et il s’agit du seul cas découvert à ce jour. D’autres personnes impliquées dans l’opération d’abattage au Colorado ont été testées négativement pour l’infection par le virus H5, mais elles font l’objet d’un nouveau test par excès de prudence.
Il s’agit du deuxième cas humain associé à ce groupe spécifique de virus H5 qui prédomine actuellement, et du premier cas aux États-Unis.
Vous cherchez désespérément le H5N1 chez l’homme, CDC? Et bien sûr, l’article ne nous surprend guère:
Les CDC surveillent également les virus H5N1 pour détecter les changements génétiques qui ont été associés à l’adaptation aux mammifères, ce qui pourrait indiquer que le virus s’adapte pour se propager plus facilement des oiseaux à l’homme. Les CDC prennent des mesures de préparation et de prévention de routine, dont un candidat virus vaccinal existant qui pourrait être utilisé pour fabriquer un vaccin pour l’homme si cela se révélait nécessaire.
Donc, une vaste stratégie d’abattage des oiseaux commerciaux a été élaborée à l’époque où le virus H5N1 était différent et tuait occasionnellement des êtres humains, mais il n’était pas non plus répandu chez les oiseaux sauvages. Il s’agit d’une version du « Track and Trace« , qui peut fonctionner lorsque la maladie n’est pas omniprésente (c’est-à-dire lorsqu’elle se propage au sein de la communauté). Mais aujourd’hui, avec la généralisation des infections chez les oiseaux sauvages, il y a une propagation communautaire. Et, comme dans le cas d’Omicron, la maladie elle-même s’est considérablement atténuée chez l’homme.
La maladie s’est-elle atténuée chez les poules? S’ils ne les abattaient pas, découvririons-nous que ça se limite à un simple rhume chez les poules? Peut-être la maladie ne se propage-t-elle pas à tous les oiseaux, et devrions-nous en fait rechercher les oiseaux qui ont développé une immunité naturelle, et découvrir ce que c’est? Peut-être qu’un médicament ou un vaccin résoudrait le problème? Si la maladie est bénigne chez les poulets, il suffit peut-être de les laisser se rétablir. Le seul poulet testé positif présentait-il des symptômes?
L’APHIS collecte et analyse un grand nombre d’échantillons prélevés sur des oiseaux sauvages dans les voies de migration d’Amérique du Nord. Il n’est pas rare de détecter la grippe aviaire chez les oiseaux sauvages, car les virus de la grippe aviaire circulent librement dans ces populations sans que les oiseaux ne semblent malades.
Pourquoi ne suis-je pas surprise? La grippe aviaire est à présent inscrite à l’ordre du jour de la Biosécurité, et l’USDA enseigne la Biosécurité aux agriculteurs. Cette farce de la grippe aviaire est-elle entretenue pour justifier l’initiative « One Health » [NdT. de l’OMS]? Je n’en doute pas. Maudissez le Programme Mondial de Biosécurité chaque fois que vous achetez une douzaine d’œufs.
Personne dans mon entourage ne semble se souvenir de l’hystérie de la grippe aviaire d’il y a quelques années. L’OMS avait alors proposé une extermination massive de tous les oiseaux migrateurs du monde pour empêcher sa propagation. C’était totalement et complètement fou et, heureusement, cela n’a pas abouti. Il est incroyable que tous ces activistes et institutions de défense de la faune et des droits des animaux n’aient pas exprimé leur indignation. Le silence total. Des millions de poulets et d’oies ont été abattus et des élevages de volailles ont été mis en faillite. Aujourd’hui, le souvenir de cette affaire semble si bien effacé des mémoires qu’ils peuvent la ressortir des tiroirs.
Je n’arrive pas à décider si j’aimerais que mon « homme aux œufs » bien-aimé soit encore en vie ou si je suis contente qu’il soit décédé (en février dernier à l’âge de 97 ans!!) parce qu’il aurait été HORRIFIÉ et livide devant l’abattage des poulets. Cet homme a élevé des volailles toute sa vie et c’était une véritable mine de connaissances. Il a mangé des œufs tous les jours de sa vie, ainsi que beaucoup de viande rouge et d’abats. Il s’insurgeait contre les médecins allopathes (il les appelait les « vendeurs de pilules ») et aimait leur dire qu’il mangeait « tout ce que vous nous dites de ne pas manger ».
On lui a souvent dit, au fil des ans, qu’il devrait cesser d’élever des poulets à cause des « maladies » qu’ils pouvaient lui transmettre (en particulier une maladie pulmonaire due aux squames de leurs plumes, je crois) et il secouait simplement la tête, disant que depuis le temps, il était complètement immunisé contre tout ce qu’il pouvait attraper. Ses œufs me manquent, mais c’est surtout LUI qui me manque.
Si ce n’est fait, lisez l’article précédent, de Spartacus, qui donne quelques pistes sur les aspects futurs bio-machin-truc du « projet ». Considérez celui-ci comme une deuxième partie.
Voici ce qu’en pense Sasha Latypova, qui rejoint d’assez près ce que j’en pense. J’ai un truc à finir de rédiger sur le sujet, une mise à jour de ce que je serine depuis plus de deux ans ici.
Un de nos points communs majeurs est de ne pas être très impressionnés par les instigateurs du projet, de petites frappes incompétentes qui, après avoir pillé (notamment) les fonds de pension, tentent de liquider Mamy en lui injectant du bouillon d’onze heures – et s’il lui venait l’idée d’y survivre, en reculant l’âge de sa retraite. Mes lecteurs français apprécieront…
Sasha me rejoint aussi sur le fait que la majorité des organes de contrôle (connus aux États-Unis sous le terme « alphabet soup« , en référence à leurs acronymes) et des gouvernements sont des mafias; et également sur cet étrange penchant du peuple pour les histoires, belles ou moches, vraies ou fausses, que je fais dans ce cas, comme elle et bien d’autres, mon possible pour démonter, la vérité étant une forme de salut et la nature sa source première.
Yuval Noah Harari est l’un des principaux idéologues du cartel criminel des aspirants à un gouvernement mondial unique et le porte-parole préféré du Forum Économique Mondial. Son message principal semble être que les humains peuvent être capturés, contrôlés et « piratés » ou manipulés par la technologie et ainsi réduits en esclavage pour servir l’uber-classe de contrôle des peuples du FEM et de l’OMS. C’est un lecteur qui m’a signalé cette vidéo. Dans cette conférence Ted de 2015, Harari postule que les humains, par opposition aux animaux, sont uniques dans leur capacité à croire à des histoires fictives, et qu’ils peuvent donc être contrôlés par la narration, par la fiction, tant que tout le monde croit à la même histoire. Selon lui, l’idée que les humains ont une âme et un libre arbitre est « révolue ». Par conséquent, cette méthode permet d’amener les gens à participer à leur propre disparition (y compris en faisant la queue pour se faire injecter du poison) par le biais d’un lavage de cerveau de masse et d’un contrôle du narratif.
Les êtres humains se laissent séduire par des conneries en tout genre et, en fait, ils semblent en raffoler. Nous aimons les bonnes histoires, les histoires imaginatives, les histoires d’ambition, les aventures de héros, les romances, les whodunit (le genre de ce substack), ou les histoires de science-fiction sur les avancées technologiques. Les histoires de science-fiction sont très populaires. Elles sont en fait tellement populaires que le grand public et la plupart des professionnels ne parviennent plus à distinguer la science légitime des récits de science-fiction imaginaires, ce qui est ressorti clairement des années de fausse « pandémie mondiale » actuelle.
En parlant du narratif de la pandémie, nous aimons aussi les histoires qui font peur! Les perspectives imminentes de fausses catastrophes invisibles semblent ne jamais passer de mode. Voici un excellent livre que je recommande sur ce sujet [NdT. moi aussi], écrit par Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace. Je cite:
Il y a quelque temps, je me suis rendu compte que la grande majorité des histoires alarmistes sur l’état présent et futur de la planète, et de l’humanité dans son ensemble, sont basées sur des sujets qui sont soit invisibles, soit extrêmement éloignés, soit les deux à la fois. Ainsi, la grande majorité des gens n’ont aucun moyen d’observer et de vérifier par eux-mêmes la véracité de ces affirmations prédisant ces prétendues catastrophes et menaces dévastatrices. Au lieu de cela, ils doivent s’en remettre aux activistes, aux médias, aux politiciens et aux scientifiques – qui ont tous un très grand intérêt financier et/ou politique dans le sujet – pour leur dire la vérité. Cela ouvre la voie à l’invention de récits tels que l’affirmation selon laquelle « les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles sont à l’origine d’une situation d’urgence climatique ».
Personne ne peut voir ou sentir ce que fait le CO2 car il est invisible, inodore, insipide, silencieux et ne peut être ressenti par le toucher. Par conséquent, il est difficile de réfuter de telles affirmations parce qu’il n’y a rien à pointer du doigt pour démontrer de manière tangible la fausseté de ces affirmations.
Les narratifs surutilisés posent un léger problème. Le narratif sur le changement climatique est de plus en plus difficile à soutenir, car Greta a dépassé sa date de péremption en tant qu’enfant acteur, les ours polaires refusent de coopérer et continuent de se multiplier, et les glaciers ne fondent pas comme Al Gore l’avait promis. Les ovnis et les extraterrestres ne nous mèneront pas non plus bien loin.
De nouveaux narratifs de peur doivent être établis: le narratif de nouveaux virus « émergents » est dans les cartons depuis des années. Des virus invisibles et effrayants qui peuvent surgir de la jungle à tout moment et qui sont à portée d’avion d’infecter la moitié de la planète avec un nouvel agent pathogène mortel! Plus palpitante encore est la perspective que des scientifiques maléfiques fabriquent de nouveaux virus mortels et super propagateurs dans des laboratoires qui peuvent « fuir ».
Merci, Sage Hana, d’avoir réalisé ce mix tape 🙂 qui illustre bien mon propos.
La mafia gouvernementale (HHS, NIH, DOD, DARPA, BARDA, DTRA, etc.) et ses vassaux du monde universitaire, de l’industrie biopharmaceutique et des médias se gavent à l’auge de la « biodéfense » depuis des décennies. Quoi de mieux qu’une menace invisible pour justifier l’impression et la dépense de tonnes d’argent pour des méga-contrats de défense/recherche, tout en prenant l’avion pour participer à des événements champagne-caviar internationaux et se décerner mutuellement des prix scientifiques diversifiés-inclusifs-durables?
Dans son récent article pour le Epoch Times, la journaliste Debbie Lerman souligne le temps et l’argent consacrés par le cartel militaro-industriel à l’escroquerie de la « biodéfense et de la préparation aux pandémies ». Des montants mirobolants sont décrits dans un article du Lancet qu’elle cite en référence: « La recherche sur la biodéfense deux décennies plus tard: l’investissement en valait-il la peine? »
Avant 2001, le financement annuel de la biodéfense aux États-Unis était estimé à 700 millions de dollars. À la suite des incidents de 2001, l’augmentation du financement de la biodéfense dans le monde entier a été largement stimulée par la prise de conscience que de nombreux pays n’étaient pas préparés à des attaques bioterroristes. L’attaque américaine Amerithrax de 2001 a révélé des lacunes dans la disponibilité des contre-mesures médicales via le stock national stratégique (SNS), le système de réseau d’intervention des laboratoires, l’infrastructure de santé publique et la communication. De nombreux programmes de financement ont été associés au gouvernement fédéral américain. Un programme d’un milliard de dollars a été mis en œuvre aux États-Unis en 2002 sous la forme de subventions à la préparation au bioterrorisme, de financement de la recherche en biodéfense et de stockage de contre-mesures médicales au sein du Ministère de la Santé et des Services sociaux. D’autres efforts notables de financement de la biodéfense aux États-Unis après 2001 comprennent le programme Biowatch (2001) du Ministère de la Sécurité Intérieure (DHS), le programme de préparation des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le projet Bioshield (2004) du DHS, la Commission pour la Recherche et le Développement Avancés en Biomédecine (Biomedical Advanced Research and Development Authority – BARDA; 2006), et le Centre National de Bio et d’Agrodéfense (National Bio and Agro Defense Facility; 2014). Ces programmes portent généralement sur des questions autres que la biodéfense, telles que la santé publique, la sécurité nationale et internationale et les soins de santé, ce qui accroît leur impact. Le financement total de la biodéfense aux États-Unis a augmenté de façon spectaculaire, passant de environ 700 millions de dollars en 2001 à environ 4 milliards de dollars en 2002; le pic de financement en 2005 s’élevait à près de 8 milliards de dollars et s’est poursuivi avec des dépenses moyennes régulières d’environ 5 milliards de dollars.
En 2019, le marché mondial de la biodéfense était évalué à 12,2 trillions de dollars et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 5,8% entre 2020 et 2027, pour atteindre une valeur de marché projetée de 19,8 trillions de dollars en 2027. Des facteurs tels que les ressources financières gouvernementales et privées soutenues par la menace imminente du bioterrorisme et l’apparition récente d’épidémies naturelles d’agents pathogènes liés au bioterrorisme, notamment Coxiella burnetii, le virus Ebola (EBOV), SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, la grippe et le virus Lassa, sont probablement les principaux facteurs qui contribuent à l’expansion constante du marché mondial de la biodéfense.
« … l’objectif dans les 20 prochaines années est de passer du « virus au médicament » (« bug to drug ») en moins de 24 heures. Cela permettrait de relever le défi des bioagents issus du génie génétique ».
Au fil du temps, le mastodonte du cartel gouvernement-industrie, qui ne cesse de s’agrandir, a su tirer parti de nombreux événements. Au cours des 20 dernières années, l’élaboration des politiques a de plus en plus visé à mettre en place des réglementations pour maximiser les pouvoirs des autorités en éradiquant simultanément les lois et les contrôles constitutionnels existants afin de les libérer de toute responsabilité et d’instaurer de facto une loi martiale. Chaque politique a été mise en place après de prétendus « événements » qui ont été utilisés pour introduire de nouvelles « lois ». Il est légitime de penser que l’inverse a pu se produire: les événements ont été organisés pour justifier de nouvelles « lois ». Après chaque « attaque », une nouvelle législation plus autoritaire a été élaborée et mise en place pour s’adapter aux objectifs du programme totalitaire.
Le narratif de la biodéfense/biosécurité articulé par Fauci est bien entendu totalement bidon. Les pandémies virales n’existent pas dans la réalité, malgré des décennies de trafic international très dense et très fréquenté (vous avez connu Ryan Air?)
Des sommes colossales d’argent, des investisseurs, des ressources, des projets, des études, des subventions de recherche, des conférences, des tables rondes, des conférences Ted, des comités politiques, des lois du Congrès, beaucoup d’activités juridiques et de lobbying, des exercices de simulation sur table – toute une industrie de 19 milliards de dollars par an est en attente de LA GRANDE FUITE un jour. Les milliers d’adultes qui participent à ce jeu de fiction doivent finir par y croire pleinement afin de surmonter une dissonance cognitive massive et destructrice de l’âme. Ceux qui ne le supportent pas du fait de leur sens moral démissionnent et vont travailler ailleurs. Ce qui n’était au départ qu’un scénario de film de série B (Dustin Hoffman poursuivant un singe échappé avec des chars et des hélicoptères) se transforme, grâce à l’alignement des incitations économiques individuelles et des narratifs, en une idéologie, puis en une religion à part entière. C’est ainsi qu’est née une secte dangereuse: le Culte de l’Église Biosécuritaire de la Pandémie en Attente.
Les nombreux investisseurs étatiques, militaires et privés qui ont soutenu le narratif de la biodéfense, y compris la Fondation Bill & Melinda Gates, parmi des centaines de fonds privés, souverains et à but non lucratif qui ont déversé tout cet argent dans la « biodéfense », attendent le retour sur investissement!
Extrait du même article du Lancet:
Quinze ans plus tard, alors qu’aucune plateforme aussi fantaisiste n’est en vue, la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a publié en 2017 un plan de contre-mesures médicales actualisé intitulé « Supprimer la menace virale: Deux mois pour empêcher la pandémie X de s’installer« . Au lieu des 24 heures de Fauci entre le virus et le médicament, ce projet nous dit que « la DARPA vise à développer une plateforme intégrée de bout en bout qui utilise des séquences d’acide nucléique pour arrêter la propagation des infections virales en soixante jours ou moins. »
Si la Grande Pandémie ne se manifeste pas, la secte va essayer de l' »assister ».
De nombreuses tentatives ont été faites pour déclencher des pandémies à partir de « foyers » locaux: SARS1, MERS, zika, ebola – mais rien ne s’est propagé. Des personnages comme Michael Callahan, un agent de la CIA épidémiologiste du type Indiana Jones, toujours « premier sur les lieux » des « épidémies » exotiques, pourchassant des patients potentiels atteints d’ebola à travers la jungle avec des fléchettes tranquillisantes « vaccins », ne semblent pas suffire à provoquer une pandémie. Même la propagande médiatique de type « fear porn » (pornographie de la peur) s’essouffle. Ils jouent avec des soupes de « virus chimériques » dans des boîtes de Petri financées par des milliards de subventions des NIH, financent de nombreux laboratoires sous contrat en Chine, en Ukraine, au Moyen-Orient, mais rien de simultanément dangereux et hautement transmissible n’en résulte. Pourquoi?
Vous pouvez croire en des milliards d’années d’évolution, mais l’explication que je préfère est que la conception de Dieu est parfaite et ne peut donc pas être améliorée. Toutes les formes de vie, de l’homme aux micro-organismes, sont dans un état d’équilibre dynamique parfait en ce moment, comme le dictent les lois physiques. Les agents biologiques pathogènes sont eux aussi parfaitement optimisés pour cet état, grâce à des milliards d’années de travail ou à la conception géniale de Dieu, selon ce que vous voulez croire. Ils sont soit contagieux (terme flou car la science fournit des explications vagues et contradictoires sur les mécanismes de contagion), soit mortels, auquel cas ils ne se propagent pas beaucoup. Rendre artificiellement un agent biologique pathogène à la fois plus mortel et plus transmissible est impossible, car si c’était possible, ça se serait déjà produit dans la nature, et nous ne serions plus là pour en discuter sur l’internet. Si les techniques de laboratoire le permettaient, elles auraient déjà été déployées avec succès par un État ou un acteur non étatique depuis 1969, date à laquelle la recherche sur les agents pathogènes biologiques a véritablement pris son essor. Il existe aujourd’hui plus d’un millier de laboratoires de « biodéfense » dans le monde, dont beaucoup se trouvent dans des pays du tiers monde où les normes de sécurité sont laxistes ou inexistantes, voire dans des régions déchirées par la guerre comme l’Ukraine, et pourtant rien d’important ne « fuit » nulle part. En tout cas, rien n’a fuité et ne s’est répandu dans le monde avant que l’OMS ne décide que le covid devait le faire.
Les « pathogènes émergents » de laboratoire semblent avoir besoin de beaucoup d’aide pour émerger, c’est-à-dire pour être synthétisés, fabriqués à grande échelle et déployés, et même dans ce cas, ils ne sont pas particulièrement dangereux (sauf en cas d’exposition très importante) et peuvent être traités. Les toxines biologiques sont connues pour être instables, se dénaturer rapidement et être un peu plus persistantes à l’intérieur, mais elles ne constituent pas un danger mortel de masse. Comme toute toxine chimique, elles présentent un danger individuel/localisé. Ces substances ne sont pas des « particules vivantes qui se reproduisent », pas plus que ne l’est le sumac vénéneux – oui, vous pouvez l’attraper par votre chien et le donner aux membres de votre famille, et cette saleté restera sur vos vêtements et il est difficile de s’en débarrasser! Mais le poison du sumac vénéneux n’est pas un virus infectieux qui « saute » du chien à l’homme, c’est une toxine biologique contenue dans des huiles végétales.
À mon avis, l’explosion récente du train dans l’Ohio est beaucoup plus dangereuse pour un plus grand nombre de personnes, sur une zone plus étendue et une période plus longue que n’importe quelle « fuite de laboratoire d’armes biologiques ».
Tous les agents pathogènes biologiques naturels sont déjà parfaitement optimisés et équilibrés et ne peuvent pas être « modifiés », malgré les récits de science-fiction sur le « logiciel de vie » piratable et l’épissage des gènes. Aucune forme de vie complexe ne peut être « modifiée génétiquement » et rester viable, car cette modification perturbera son équilibre vivant et la fera dévier de l’état d’équilibre parfait actuel. Dans les organismes pluricellulaires, il faut modifier toutes les cellules (ce qui n’est pas possible avec une seule injection) et continuer à les modifier toutes à perpétuité. Une fois le liquide « modificateur de gènes » injecté, l’organisme essaie frénétiquement de comprendre ce qui vient de se passer (la FDA parle d' »immunogénicité »), tente d’annuler l’agression en éliminant les cellules endommagées (la FDA parle de « réactogénicité ») et, si l’agression a été suffisamment importante ou en cas d’injections multiples, l’organisme s’autodétruit (le CDC parle de « désinformation »).
Ces narratifs sur la « modification génétique » sont carrément stupides! Tout ce qui peut résulter de ces tentatives, c’est soit que l’organisme vainc et élimine l’assaut du matériel étranger à l’intérieur des cellules, soit qu’il en résulte des dommages locaux/systémiques, conduisant à des lésions ou à la mort. C’est la raison pour laquelle toutes les technologies ARNm/ADN ont échoué malgré plus de 20 ans de tentatives et des milliards de dollars investis par le culte biosécuritaire de l’apocalypse.
Les partisans de la modification génétique réduisent le corps humain à un « seau de gènes séquencés », mais ne peuvent même pas expliquer comment il fonctionne normalement en tant qu’être vivant. Ils excluent la possibilité d’une âme humaine, d’un esprit et d’un libre arbitre, mais ne peuvent ni expliquer ni définir l’état normal de la vie. Pourtant, ils prétendent pouvoir la contrôler et la modifier! Ils ne comprennent pas ce que sont les humains, ce qui constitue une source d’échec majeure lorsqu’ils tentent de « capturer, contrôler et soumettre » les humains, que ce soit par la force brute, comme dans les siècles de guerre précédents, ou par le « contrôle par un narratif fictif » de 5e génération de Harari.
Ne tombez pas dans le piège des cultes apocalyptiques et de leurs faux narratifs. Si nous n’avons pas peur de rechercher la vérité, nous ne pouvons être ni capturés, ni contrôlés, ni asservis. Une fois que vous aurez compris cela, vous verrez Harari non pas comme un technocrate puissant, mais comme ce qu’il est vraiment – un clown à la voix pleurnicharde, qui débite des narratifs ineptes pour le compte de ses maîtres. Ils ont de toute façon déjà échoué, car vous connaissez la vérité.
La quête perpétuelle de la vérité garde les humains dans un équilibre dynamique parfait entre eux et avec la nature – libres, dotés d’une âme, comme l’a voulu notre Créateur.
Je suis toujours là et tout va bien. Je vous expliquerai.
Pour reprendre le fil de mes publications, j’ai choisi un sujet qui parle du futur.
Ce que vous lirez ci-dessous, ce sont des projets. Encore une fois, ne vous laissez pas impressionner ou décourager par les termes scientifiques.
Certains de ces projets relèvent de la pure science-fiction, et servent uniquement à des fumistes en blouse blanche à obtenir des budgets de recherche. D’autres sont des fantasmes qui ne verront jamais le jour, rêvés par des scientifiques au cerveau mou, prisonniers du concept d' »évolution » et qui ne comprennent rien à la biologie. Il y a donc une grande partie de bluff.
Mais d’autres sont déjà prêts à l’emploi.
C’est donc le moment de faire la différence entre les effets d’annonce et les vrais outils du « projet ». C’est ce que j’ai tenté de faire au sujet du Covid, avec l’aide de gens comme, notamment, Sasha Latypova. Ce travail n’est pas terminé. Sasha cadre dans un autre article – que vous lirez bientôt – ce qui était du bluff dans ce qu’on nous a servi depuis trois ans.
Je reviendrai aussi sur l’intelligence artificielle et son rôle dans le nouveau modèle. L’intelligence artificielle n’est effectivement pas intelligente. Tout comme les gens à la manoeuvre, et ceux dont il est question ici, elle n’a pas besoin de l’être. C’est là le problème.
Si vous ne l’avez pas lu, voyez aussi cet article sur ce qu’annonçait C.S. Lewis.
Au fait, un « partenariat public-privé », jusqu’à récemment, était la définition du fascisme. Maintenant, c’est de la technocratie.
Klaus Schwab a récemment fait une déclaration qui a hérissé le poil de beaucoup de monde.
« L’intelligence artificielle, mais pas seulement l’intelligence artificielle, mais aussi le metaverse, les technologies de l’espace proche, et je pourrais en citer beaucoup d’autres – la biologie synthétique. Notre vie dans dix ans sera complètement différente, très impactée, et celui qui maîtrisera ces technologies sera, d’une certaine manière, le maître du monde ».
Le problème, c’est qu’il n’a pas tort. Ça énerve tout le monde d’entendre parler de « maître du monde », parce qu’on imagine qu’il s’agit d’une menace en l’air, d’une simple fanfaronnade de mégalomane. Ce n’est certainement pas le cas. La raison pour laquelle le public ne se rend pas compte du potentiel de cette technologie est, d’une part, qu’il n’est pas affublé d’une imagination débordante, d’autre part, qu’il n’est pas familier de la pensée holistique en matière de systèmes et, enfin, que la biologie synthétique n’a quasiment bénéficié d’aucune couverture médiatique, car si c’était le cas, les gens seraient à juste titre en proie à une crise de panique.
Je vais vous poser une question qui vous semblera peut-être un peu étrange. Qu’est-ce qu’un organe interne? La réponse classique est quelque chose comme: un tissu spécialisé dans le corps qui remplit une fonction spécifique. Et si je vous disais qu’un organe interne peut être ce que l’on veut qu’il soit?
Les travaux en biologie évolutive du développement ont permis de comprendre comment les organes se développent et pourquoi l’évolution a sélectionné certaines structures plutôt que d’autres. Ces progrès dans la compréhension de l’organogenèse, ainsi que les techniques les plus récentes de cultures organotypiques, de bioprinting de tissus et de biologie synthétique, fournissent les outils nécessaires pour hacker les contraintes physiques et génétiques dans le développement des organes, ouvrant ainsi de nouvelles voies de recherche sous la forme d’environnements intégralement construits ou simplement modifiés. Nous proposons ici un cadre unificateur qui relie le concept de morphospace (c’est-à-dire l’espace des structures possibles) à la biologie synthétique et à l’ingénierie tissulaire. Nous visons une synthèse qui intègre notre compréhension des contraintes évolutives et architecturales et qui peut être utilisée comme guide pour explorer des principes de conception alternatifs afin de construire des organes artificiels et des organoïdes. Nous présentons un morphospace tridimensionnel incorporant trois caractéristiques clés associées à la complexité des organes et des organoïdes. Les axes de cet espace comprennent le degré de complexité introduit par les mécanismes de développement requis pour construire la structure, son potentiel de stockage et de réaction à l’information et l’état physique sous-jacent. Nous suggérons qu’une grande partie de cet espace est vide, et que ce vide pourrait offrir des indices sur d’autres façons de concevoir et même d’inventer de nouveaux organes.
Et si les organes que l’on trouve chez les humains et les animaux – reins, rate, foie, cœur, cerveau, etc. – ne représentaient pas toutes les configurations possibles de cellules, mais seulement celles étroitement définies et sélectionnées par l’évolution? Et s’il existait une immense zone vierge encore inexplorée qui pourrait abriter, par exemple, des tissus musculaires intelligents remplis de neurones, ou un foie et un rein tout-en-un (foirein?) juste sous la peau, qui éliminerait les toxines filtrées par la transpiration? Et si nous pouvions fabriquer de toutes pièces des organes entièrement nouveaux, inédits dans la nature, aux fonctions totalement nouvelles? Et si on pouvait avoir de petits cerveaux implantés dans chaque articulation du corps, qui donneraient aux bras et aux jambes un esprit propre, comme un genre de pieuvre?
La science-fiction a déjà souvent exploré cette possibilité. Dans Warhammer 40 000, les Space Marines, surhumains et hautement augmentés, se voient implanter de nombreux organes fabriqués de toutes pièces, et si vous avez déjà lu The Windup Girl de Bacigalupi ou Blood Music du regretté Greg Bear, vous savez très bien à quel point ce genre de choses peut devenir bizarre. Le problème, c’est que ce genre de choses relève de moins en moins du domaine de la science-fiction et qu’il n’existe pratiquement aucun cadre éthique permettant de se prémunir contre des abus effroyables.
Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres des possibilités offertes par la biologie synthétique. Il est également possible de concevoir des enzymes entièrement nouvelles, d’insérer les gènes qui les codent dans des bactéries et de les utiliser comme réactifs pour produire des composés entièrement nouveaux.
Toujours pas convaincu? Si vous allez sur le site web du gouvernement du Canada, là maintenant, voici l’un des articles qu’ils ont mis en ligne. Je vous recommande de l’archiver.
Je me réveille avec la lumière du soleil et l’air salé de la mer Adriatique. Je n’habite pas près de la Méditerranée, mais mon IA, qui est aussi mon conseiller en santé, m’a prescrit une qualité d’air, une odeur et une intensité solaire spécifiques pour gérer mes niveaux d’énergie le matin, et a programmé ma chambre à coucher pour imiter ce climat.
Les draps de lit frais cultivés dans mon immeuble à partir de champignons qui se régénèrent sont meilleurs que je ne l’imaginais; je me sens reposé et prêt à affronter la journée. Je dois vérifier quelques points avant de me lever. J’envoie un message à mon cerveau pour qu’il ouvre l’application qui contrôle mon taux d’insuline et s’assure que mon pancréas est soutenu de manière optimale. Je n’imagine pas m’injecter avec des aiguilles comme le faisait ma mère lorsqu’elle était enfant. Aujourd’hui, c’est une greffe de microbes qui s’ajuste automatiquement et fait un rapport sur mes niveaux.
Tout semble aller bien, alors je consulte l’interface numérique de mon cerveau pour lire les données du rêve qui ont été enregistrées et traitées en temps réel la nuit dernière. Mon application thérapeutique analyse les réponses émotionnelles que j’ai exprimées pendant mon sommeil. Elle me suggère de prendre le temps d’aller dans la nature cette semaine pour réfléchir à mon rêve récurrent où je suis piégé dans une boîte et renforcer l’activité neuronale utile de mon subconscient. Mon IA me recommande une « journée en forêt ». Je réponds « d’accord », et mon IA et mon implant neuronal font le reste.
J’ai abordé ce sujet dans le dernier Spartacast, mais je ne pense pas avoir vraiment réussi à faire passer le message. Les biotechnologies et les technologies de l’information sont complètement imbriquées, et ce depuis des décennies. Quelqu’un se souvient-il de Folding@home, où les gens utilisaient leur PlayStation pour apporter de la puissance de traitement à un réseau de superordinateurs distribués?
C’était en 2007, et le logiciel client lui-même existe depuis 2000. Aujourd’hui, tout se fait sur ordinateur. L’idée derrière les vaccins ARNm est essentiellement de numériser les vaccins en les réduisant à des séquences de gènes synthétiques et en utilisant des cellules humaines comme bioréacteurs pour fabriquer la protéine réelle, en sautant tout un tas d’étapes de fabrication.
D’accord, il y a CRISPR. Il y a les DREADD. Il y a les nanotransducteurs. Il est possible de créer des amyloïdes artificiels, comme les semi-conducteurs amyloïdes d’Ehud Gazit. Il y a même plus que cela. Un de mes amis sur Twitter, C.M. (qui se fait actuellement appeler @CRISPR_Cas69), m’a signalé un article sur la mise en œuvre d’une architecture de von Neumann complète au sein de nanoparticules lipidiques seules:
L’absence d’une architecture informatique évolutive basée sur les nanoparticules limite considérablement le potentiel et l’utilisation des nanoparticules pour la manipulation et le traitement de l’information à l’aide de schémas informatiques moléculaires. Inspirés par l’architecture de von Neumann (AVN) [NdT. voir sur Wiki], dans laquelle de multiples programmes peuvent être exploités sans restructurer l’ordinateur, nous avons réalisé l’AVN à base de nanoparticules (AVNN) sur une puce lipidique pour des exécutions multiples d’opérations logiques moléculaires arbitraires dans une seule puce sans refabrication. Dans ce système, les nanoparticules sur une puce lipidique remplissent la fonction de matériel comprenant la mémoire, des processeurs et des unités de sortie, et les brins d’ADN sont utilisés comme logiciel pour fournir des instructions moléculaires permettant de programmer facilement des circuits logiques. L’AVNN permet à un groupe de nanoparticules de former un réseau neuronal feed-forward, un perceptron, qui met en œuvre des opérations logiques booléennes fonctionnellement complètes, et fournit une architecture informatique et un circuit imprimé programmables, réinitialisables et évolutifs pour former des réseaux neuronaux de nanoparticules et prendre des décisions logiques.
Que se passerait-il si nous intégrions toutes ces idées disparates dans une plateforme unique? Que pourrions-nous créer? Pourrions-nous injecter à quelqu’un une substance qui génère des tissus intelligents manipulés à distance dans le corps d’une personne? Pensez-y. Imaginons que nous utilisions de l’ARNm pour produire des facteurs de Yamanaka dans les cellules d’une personne afin de les transformer en cellules souches in vivo, puis que nous épissions de nouveaux gènes dans ces cellules afin de générer une lignée cellulaire synthétique entièrement nouvelle, dotée de fonctionnalités inédites. Ensuite, imaginons que ces collections de cellules soient amenées à effectuer des tâches spécifiques en manipulant leur potentiel membranaire à l’aide de nanotransducteurs ou en utilisant la chimiogénétique. Et si ces cellules migraient dans tout le corps, se divisaient et formaient des colonies, comme un organisme symbiotique, tout en échappant au système immunitaire en émettant des signaux identiques à ceux des cellules humaines? Et si ces cellules pouvaient être amenées à sécréter des neurotransmetteurs ou des hormones dans l’espace extracellulaire pour manipuler les fonctions des cellules normales du sujet? Et si elles pouvaient être utilisées pour construire des échafaudages tissulaires autour des organes existants du sujet et manipuler ou contrôler leur fonction, grâce au remodelage de la matrice extracellulaire?
Il ne s’agit là que de quelques exemples hypothétiques. Il existe de nombreuses autres possibilités de mise en œuvre, y compris l’utilisation de l’ingénierie tissulaire pour fabriquer des organes « cybernétiques » entièrement nouveaux, imprimés en 3D [NdT. ce qui est triomphalement annoncé par le FEM]. À l’avenir, les soldats pourraient se passer de porter un masque à gaz. Pourquoi se donner cette peine, si on leur a implanté un organe qui sécrète instantanément de l’atropine dès qu’ils sentent une bouffée de VX, ou si leurs récepteurs d’acétylcholine ont été complètement modifiés pour résister à la fixation des organophosphorés? Et si les officiers de renseignement avaient tous un QI de 200 et une mémoire parfaite parce que leur dentelle neuronale [NdT. voir ici] relie leurs cerveaux à des cerveaux imprimés baignant dans des cuves, formant un véritable esprit de ruche?
C’est ce genre de questions, et bien d’autres encore, que se posent les principaux groupes de réflexion militaire aux États-Unis, en Russie et en Chine. Personne ne veut perdre l’effet de surprise stratégique en étant le seul pays à ne pas avoir fabriqué à temps des surhommes pour la Troisième Guerre mondiale. La DARPA sait que les pratiques de la Chine sont extrêmement douteuses en matière d’éthique et qu’il est probable qu’elle se livre à des expérimentations humaines en coulisse. Cela incite nos propres dirigeants à faire de même (et c’est effectivement ce qu’ils font).
Ce ne sont pas là les seules possibilités qu’offre la biologie synthétique. Assassiner sans possibilité d’attribution, débiliter des personnes spécifiques en provoquant des problèmes de santé chroniques, détruire l’agriculture ennemie avec de nouveaux pathogènes végétaux, fabriquer des virus et des bactéries de toutes pièces pour produire des armes biologiques hyperlétales, obtenir l’obéissance et la docilité des gens en modifiant l’équilibre des androgènes et des neurotransmetteurs dans leur corps afin d’atténuer leur agressivité et leur désir de récompense, et la liste est encore longue.
Lorsque Klaus Schwab affirme que ceux qui maîtrisent ces technologies maîtriseront le monde, en fait, il sous-estime la situation. Avec ces technologies, il est possible de reconfigurer toute une espèce – y compris les humains – pour en faire quelque chose de complètement différent.
Je ne saurais trop insister sur ce point. La biologie synthétique et les neurotechnologies doivent faire l’objet d’un débat public dès maintenant, et des politiques doivent être adoptées pour définir strictement des limites internationales et contraignantes à leur utilisation. Dans le cas contraire, les êtres humains de demain seront inévitablement réduits à des produits artificiels.
Les personnes qui se cachent derrière tout cela sont des anti-personnalistes. Ils ne voient aucune valeur dans la personne en tant que telle, la personne elle-même. Seul le bien collectif compte pour eux.
Les personnalistes considèrent la personne (ou « personnalité ») comme la notion fondamentale, celle qui donne un sens à toute la réalité et en constitue la valeur suprême. La personnalité est porteuse d’une dignité inviolable qui mérite un respect inconditionnel. Pour l’essentiel, le personnalisme n’est pas une philosophie théorique de la personne. Bien qu’il défende une compréhension théorique unique de la personne, cette compréhension est en elle-même de nature à soutenir la priorité de la philosophie pratique ou morale, tandis que, dans le même temps, l’expérience morale de la personne est de nature à déterminer de manière décisive la compréhension théorique. Pour les personnalistes, une personne combine subjectivité et objectivité, activité causale et réceptivité, unicité et relation, identité et créativité. Soulignant la nature morale de la personne, ou la personne en tant que sujet et objet d’une activité libre, le personnalisme tend à se concentrer sur l’action pratique et morale et sur les questions éthiques.
Les agents de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) voient les êtres humains comme des êtres avides de ressources, tribaux et agressifs. En somme, une espèce nuisible envahissante. Il suffirait qu’un groupe de bioéthiciens décide: « Mince, la civilisation gagnerait à ce qu’on élimine de l’être humain sa capacité à commettre des crimes, son comportement agressif, son sectarisme et son fanatisme ».
Puis, sans qu’on s’en rende compte, un jour, les gens font la queue pour recevoir leurs « vaccins » et, des années plus tard, ils commencent à avoir des enfants qui tiennent plus de la fourmi charpentière que de l’être humain, totalement incapables de devenir une personne, de vivre l’expérience intrinsèquement bénéfique de devenir un homme ou une femme.
Tout le monde pense encore que le problème se résume à un virus ou à un vaccin. Ce n’est pas le cas. C’est beaucoup, beaucoup plus que ça qui est en jeu. Bien plus que ce que la plupart des gens peuvent imaginer.
Je publie cet article un peu aride uniquement pour les références des études qui y sont mentionnées, à l’usage de ceux qui voudraient creuser le sujet et/ou faire valoir leur droit de refuser les injections Covid-19. Ces études confirment scientifiquement ce qu’on avait déjà appris d’autres observations et études indépendantes, à savoir que:
il n’existe aucune justification pour l’injection aux moins de 25 ans (nonobstant d’autres études similaires sur d’autres tranches d’âge);
l’immunité naturelle est largement supérieure à celle induite par les injections, qui devient rapidement négative, phénomène aggravé par leur répétition;
les produits injectables ne répondent pas aux normes d’exigence de qualité;
ils favorisent l’émergence de variants;
ces variants échappent à l’immunité vaccinale;
la charge virale des personnes injectées est supérieure à celle des personnes non-injectées;
l’attribution au Covid des dommages au système cardio-vasculaire observés mondialement est une imposture, ce sont bien des effets secondaires des injections.
Note: j’ai traduit in extenso le texte qui figure sur le captures d’écran par souci de complétude et laissé de côté la seconde partie purement technique de l’article.
Le séquençage profond des vaccins bivalents Moderna et Pfizer identifie une contamination des vecteurs d’expression conçus pour l’amplification des plasmides dans les bactéries [extrait]
Anandamide
16 février 2023
Introduction
Alors que les universités américaines continuent de rendre obligatoires les injections exemptes de responsabilité (vaccins COVID) pour les étudiants présentant un risque limité de contracter le COVID, il devient impératif que davantage d’informations publiques soient disponibles concernant les ingrédients de ces vaccins expérimentaux. L’EMA et la TGA ont toutes deux pris note de la fragmentation de l’ARN et des tests Western Blot par frottis qui suggèrent que le processus de fabrication du vaccin manque de fidélité et de transparence. Peu après la publication des données de la TGA, Patel et al.(Pfizer) ont publié un article tentant de dissiper ces inquiétudes. Jessica Rose a couvert ce sujet ici.
Le consentement éclairé ne peut être obtenu avec des produits thérapeutiques mal caractérisés.
Nous entrons maintenant dans la troisième année du COVID et il est maintenant de plus en plus clair quels groupes démographiques sont à risque. Il a été démontré à plusieurs reprises que le groupe d’âge des étudiants (moins de 25 ans) présentait un risque très faible de contracter le COVID. Pourtant, les effets indésirables induits par le vaccin chez les étudiants de cette tranche d’âge sont plus élevés que pour tout autre vaccin jamais administré. Krug et al. ont observé un risque de 1:6250 de myo/péricardite chez les jeunes de 16-17 ans (Krug et al).
Mansanguan et al.
Manifestation cardiovasculaire du vaccin COVID-19 à base d’ARNm BNT162b2 chez les adolescents
Résumé
Cette étude porte sur la manifestation cardiovasculaire, en particulier les événements de myocardite et de péricardite, après l’injection du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19 chez des adolescents thaïlandais. Cette étude de cohorte prospective a recruté des étudiants âgés de 13 à 18 ans de deux écoles, qui ont reçu la deuxième dose du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19. Les données comprenant les données démographiques, les symptômes, les signes vitaux, l’ECG, l’échocardiographie et les enzymes cardiaques ont été recueillies au début de l’étude, au jour 3, au jour 7 et au jour 14 (facultatif) à l’aide de formulaires d’enregistrement des cas. Nous avons recruté 314 participants ; parmi eux, 13 ont été perdus de vue, ce qui laisse 301 participants pour l’analyse. Les signes et symptômes cardiovasculaires les plus fréquents étaient la tachycardie (7,64%), l’essoufflement (6,64%), les palpitations (4,32%), les douleurs thoraciques (4,32%) et l’hypertension (3,99%). Un même participant pouvait présenter plus d’un signe et/ou symptôme. Sept participants (2,33%) présentaient au moins un biomarqueur cardiaque élevé ou des évaluations de laboratoire positives. Des manifestations cardiovasculaires ont été constatées chez 29,24 % des patients, allant de la tachycardie ou palpitation à la myopéricardite. La myopéricardite a été confirmée chez un patient après la vaccination. Deux patients ont eu une péricardite suspectée et quatre patients ont eu une myocardite subclinique suspectée. En conclusion, la manifestation cardiovasculaire chez les adolescents après la vaccination BNT162b2 mRNA COVID-19 comprenait la tachycardie, les palpitations et la myopéricardite. La présentation clinique de la myopéricardite après la vaccination était généralement légère et temporaire, tous les cas se rétablissant complètement en 14 jours. Par conséquent, les adolescents recevant des vaccins à ARNm doivent être surveillés pour les effets secondaires cardiovasculaires. Enregistrement de l’essai clinique: NCT05288231.
L’ « étude thaïlandaise » (Mansanguan et al) implique des taux de risque cardiaque encore plus élevés chez les étudiants, où 29,24 % des étudiants (n=301) ont présenté des manifestations cardiovasculaires. Des études incluant 23 millions de patients nordiques ont observé un taux significatif de myocardite dans ce groupe d’âge également. Cette étude, bien que plus importante, n’était pas aussi contrôlée que l’étude thaïlandaise dans la mesure où Mansanguan et al. ont pris des mesures de base des patients et ont exploré d’autres dommages que la myo/péricardite.
Incidence de la myocardite et de la péricardite chez les patients non vaccinés après la vaccination par le COVID-19 – Une vaste étude basée sur la population
Résumé
La myocardite et la péricardite sont des séquelles cardiaques post-aiguës potentielles de l’infection par le COVID-19, résultant de réponses immunitaires adaptatives. Notre objectif était d’étudier l’incidence de la myocardite et de la péricardite post-aiguës liées à l’infection par COVID-19. Étude de cohorte rétrospective de 196 992 adultes après une infection par COVID-19 chez les membres des services de santé Clalit en Israël entre mars 2020 et janvier 2021. Les diagnostics de myocardite et de péricardite des patients hospitalisés ont été récupérés à partir du jour 10 après une PCR positive. Le suivi a été censuré le 28 février 2021, avec une observation minimale de 18 jours. La cohorte de contrôle, composée de 590 976 adultes présentant au moins une PCR négative et aucune PCR positive, était appariée en fonction de l’âge et du sexe. Le programme de vaccination israélien ayant été lancé le 20 décembre 2020, l’appariement temporel de la cohorte de contrôle a été calculé à rebours à partir du 15 décembre 2020. Neuf patients post-COVID-19 ont développé une myocardite (0,0046%), et onze patients ont été diagnostiqués avec une péricardite (0,0056%). Dans la cohorte témoin, 27 patients ont eu une myocardite (0,0046%) et 52 une péricardite (0,0088%). L’âge (rapport de risque ajusté [RRa] 0,96, intervalle de confiance [IC] à 95%; 0,93 à 1,00) et le sexe masculin (RRa 4,42; IC à 95%, 1,64 à 11,96) ont été associés à la myocardite. Le sexe masculin (aHR 1,93 ; IC à 95%, 1,09 à 3,41) et la maladie vasculaire périphérique (aHR 4,20; IC à 95%, 1,50 à 11,72) étaient associés à la péricardite. L’infection post COVID-19 n’a pas été associée à la myocardite (aHR 1,08; IC 95% 0,45 à 2,56) ou à la péricardite (aHR 0,53; IC 95% 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’incidence accrue de péricardite ou de myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection à COVID-19.
Mots clés: COVID-19, myocardite, péricardite
Des résultats similaires sont observés dans Aquaro et al. et Sechi et al. où la myocardite dérivée du C19 n’est pas différente des taux de fond.
Aquaro et al.
Incidence des myocardites et péricardites aiguës pendant la pandémie de coronavirus 2019: comparaison avec la période prépandémique
Résumé
Contexte: Il a été proposé que la myocardite et la péricardite représentent une proportion des lésions cardiaques au cours de l’infection par le SARS-CoV-2. L’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’incidence de cette maladie cardiaque inflammatoire aiguë n’a pas été systématiquement évalué.
Objectif: examiner l’incidence et la prévalence des troubles cardiaques inflammatoires avant et pendant la pandémie de COVID-19.
Méthodes: Nous avons comparé l’incidence et la prévalence des maladies cardiaques inflammatoires aiguës (myocardite, péricardite) dans les provinces de Pise, Lucca et Livourne dans deux intervalles de temps: avant (PRECOVID, du 1er juin 2018 au 31 mai 2019) et pendant la pandémie COVID-19 (COVID, du 1er juin 2020 à mai 2021).
Résultats: Au total, 259 cas de cardiopathie inflammatoire (myocardite et/ou péricardite) sont survenus dans les zones d’intérêt. L’incidence annuelle était de 11,3 cas pour 100 000 habitants. En particulier, 138 cas sont survenus dans la période pré-COVID et 121 dans la période COVID. L’incidence annuelle des cardiopathies inflammatoires n’était pas significativement différente (12,1/100 000 dans la période PRECOVID contre 10,3/100 000 dans la période COVID, P = 0,22). L’incidence annuelle des myocardites était significativement plus élevée dans PRECOVID que dans COVID, respectivement 8,1/100 000/an contre 5,9/100 000/an (P = 0,047), soit une réduction nette de 27% des cas. En particulier, l’incidence de la myocardite était significativement plus faible dans COVID que dans PRECOVID dans la classe d’âge 18-24 ans. Malgré cela, les myocardites de la période COVID présentaient plus d’anomalies du mouvement de la paroi et une plus grande étendue du LGE. En revanche, l’incidence annuelle des péricardites n’était pas significativement différente (4,03/100 000 vs, 4,47/100 000, P = 0,61).
Conclusion: Malgré un rôle étiologique possible du SARS-CoV-2 et une augmentation prévisible de l’incidence de la myocardite et de la péricardite, les données de cette étude préliminaire, avec un échantillon géographiquement limité, suggèrent une diminution de la myocardite aiguë et une incidence stable de la péricardite et de la myopéricardite/périmyocardite.
Cette différence de risque cardiaque entre le vaccin et le virus ne devrait pas être une surprise. L’administration intramusculaire (IM) s’accompagne d’un accès potentiel immédiat au système vasculaire. Des études évaluant des infirmières qualifiées utilisant des techniques d’aspiration ont un taux de risque de 1,9% de toucher une veine ou une artère. Le taux d’injection intraveineuse accidentelle en dentisterie est encore plus élevé, soit 4% avec aspiration. Les vaccins SARs-CoV-2 ne nécessitent même pas d’aspiration et ont probablement un taux d’injection IV accidentelle plus élevé. Marc Girardot a traité ce sujet en détail.
Du côté opposé de cette équation du risque, nous constatons que l’infection par le C19 procure une immunité plus durable que les vaccins axés sur les protéines de pointe. L’immunité naturelle fournit des anticorps muqueux et une reconnaissance par les cellules T du protéome dérivé de l’ensemble du génome viral de 30 kb, alors que les vaccins se concentrent sur une petite région de ~4 kb (1273 acides aminés) du virus.
Cette stratégie vaccinale à épitope étroit produit maintenant des mutants d’échappement documentés où la majorité des mutations de Delta à Omicron sont des variants changeant les acides aminés dans le domaine de protéine de pointe ciblé par le programme de vaccination. Cet enrichissement en variants qui modifient les acides aminés par rapport aux variants synonymes est le signe distinctif de la sélection. Les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et ne parviennent pas à limiter la charge virale du patient, laissent l’horloge évolutive du virus (RdRp polymérase) intacte mais ne font que détourner l’évolution autour de la pagaie que l’on a placée dans la rivière. Chau et al. ont démontré des charges virales plus élevées chez les vaccinés. L’étude a porté sur plusieurs variants, mais d’autres études suggèrent des charges virales égales ou légèrement inférieures chez les vaccinés. Même dans ces cas, la variance est de quelques CTs et de l’ordre de 10^8. Dahdouh et al. ont montré jusqu’à 10 CT de variance dans les prélèvements seuls, ce qui suggère de nombreux facteurs de confusion dans ces études. La petite variation de CT est de l’ordre de 100 millions de molécules et est si élevée à la fois chez les vaccinés et les non-vaccinés qu’une différence de 2 CT n’est pas pertinente étant donné les ordres de grandeur inférieurs requis pour une dose infectieuse minimale (10^6).
Chau et al. ‘étude vietnamienne’
Constatations
Entre le 11 et le 25 juin 2021 (7-8 semaines après la deuxième dose), 69 membres du personnel ont été testés positifs au SARS-CoV-2. 62 ont participé à l’étude. La plupart étaient asymptomatiques ou légèrement symptomatiques et tous se sont rétablis. Vingt-deux séquences génomiques complètes ont été obtenues; tous étaient des variants Delta et étaient phylogénétiquement distincts des virus contemporains obtenus dans la communauté ou chez des patients hospitalisés avant l’épidémie. Les charges virales déduites des valeurs Ct étaient 251 fois plus élevées que chez les cas infectés par la souche originale en mars/avril 2020. Le délai médian entre le diagnostic et la PCR négative était de 21 jours (de 8 à 33). Les anticorps neutralisants (exprimés en pourcentage d’inhibition) mesurés après la deuxième dose de vaccin, ou au moment du diagnostic, étaient plus faibles chez les cas que chez les témoins non infectés et entièrement vaccinés (médiane (IQR): 69,4 (50,7-89,1) contre 91,3 (79,6-94,9), p=0,005 et 59,4 (32,5-73,1) contre 91,1 (77,3-94,2), p=0,002). Il n’y avait pas de corrélation entre les taux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin et les pics de charge virale ou l’apparition de symptômes.
Il est clairement établi que ces vaccins n’arrêtent pas la transmission et des études récentes de la clinique de Cleveland (préimpression) démontrent même une efficacité négative du vaccin avec chaque vaccin supplémentaire. Elles démontrent également un effet dépendant de la dose ou un « gradient biologique », qui est l’un des principes des conditions de causalité de Bradford Hill. Cela implique que les vaccins affaiblissent le système immunitaire des patients et les rendent plus sensibles au C19 et à d’autres infections.
Ainsi, les politiques de vaccination dans les universités semblent violer l’éthique médicale fondamentale car elles demandent aux étudiants d’absorber une intervention médicale à risque/bénéfice négatif pour protéger des professeurs plus âgés. Elles utilisent leurs étudiants comme des boucliers humains tout en omettant d’informer que le bouclier a un coût « roulette russe » pour son utilisateur. Il s’agit d’une coercition non éclairée et non d’un consentement éclairé.
Ceci est particulièrement vrai pour les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et qui, dans plusieurs études, montrent des signes d’efficacité négative du vaccin (Barnstable Mass). L’étude Barnstable Mass menée par le CDC a montré des taux d’infection plus élevés chez les vaccinés. L’Australie est maintenant vaccinée à 96% (16+ 2 doses) et les hôpitaux sont saturés à plus de 96% de patients vaccinés. La surmortalité en Australie est plus élevée après la vaccination que pendant la pandémie qui a précédé la vaccination.
Les rappels bivalents n’ont jamais été étudiés de manière adéquate dans ce groupe d’âge d’étudiants. Paul Offit aurait déclaré que « tout était déjà décidé à l’avance » pour l’approbation de ces vaccins. Au lieu d’effectuer des ECR [études cliniqus randomisées] à grande échelle, on a surtout utilisé des données sur des souris, comme pour l’approbation des boosters bivalents. Même les ECR réalisés sur le BNT162b2 et le mRNA1273 ont été réanalysés par des chercheurs indépendants (Fraiman et al) et ont montré qu’ils ne procuraient aucun avantage (Bardosh et al).
Byram Bridle explique comment la commercialisation sélective du score de réduction du risque relatif de Pfizer constituait une violation de la politique de la FDA. Pourtant, elle a été accueillie par un tonnerre d’applaudissements.
Les premiers vaccins qui ciblaient la protéine de pointe Wuhan-1 n’ont jamais fourni de contrôle de qualité du séquençage de l’ADN lot par lot. Ils n’ont jamais fourni la moindre preuve de la fidélité transcriptionnelle ou traductionnelle de ces pro-médicaments. Ceci est de la plus haute importance car les vaccins incorporent un nucléotide sujet aux erreurs connu sous le nom de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) dont on sait qu’il augmente le taux d’erreurs de transcription à 250-300/Million ou 1 erreur tous les 4 000 nucléotides (Chen et al). Cela se traduit par une erreur dans chaque molécule de vaccin synthétisée et 14-34 trillions sont injectés avec les vaccins Pfizer et Moderna respectivement. Si les essais sur une seule molécule (séquençage de Pacific Biosciences) utilisés pour estimer ce taux d’erreur se manifestent dans des études humaines réelles, il s’agit d’un degré de complexité extraordinaire.
Pour aggraver encore les choses, l’impact de cette base sur la fidélité du ribosome est inconnu, mais les tentatives publiées de modéliser l’impact des pseudouridines (et non du N1-méthyl-pseudoU ou m1Ψ) sur la fidélité ont montré des augmentations substantielles du décalage du cadre ribosomal, de l’ablation des codons d’arrêt et des erreurs de traduction (Fernandez et al). Une étude qui a tenté, sans succès, de remettre en cause ces résultats est présentée ici.
Le laboratoire d’Andrew Fire a séquencé les premiers vaccins mais n’a jamais divulgué les données brutes de séquençage. Ces données sont nécessaires pour répondre aux préoccupations concernant les taux d’erreurs de transcription et les hétéroplasmies.
Pfizer prévoit des ventes importantes pour les 3 prochaines années.
Pfizer forecasting nearly 500 million mRNA COVID doses in 2023-2026, with years 2025 & 2026 being a combo COVID/Flu mRNA. Pfizer’s share, at recent rumored price of $120/dose is $37 billion just for the U.S. They foresee a huge CASH COW. Source: https://t.co/t5bxftauuspic.twitter.com/RfV9pp4w15
Pfizer prévoit près de 500 millions de doses de COVID ARNm en 2023-2026, les années 2025 et 2026 étant un combo COVID/Grippe ARNm. La part de Pfizer, au prix récemment annoncé de 120 $/dose, s’élève à 37 milliards de dollars pour les seuls États-Unis. Ils anticipent une énorme VACHE À LAIT.
Tammy Nichols, Sénatrice de l’Idaho, et Judy Boyle, Représentante de l’Idaho, parrainent le projet de loi et l’ont présenté à la Commission de la Santé et du Bien-être en tant que projet de loi n°154. Tammy Nichols a déclaré que le projet de loi faisait l’objet d’une « procédure accélérée ».
CONCERNANT LES CRIMES; MODIFIANT LE CHAPITRE 9, TITRE 18, CODE DE L’IDAHO, PAR L’AJOUT D’UNE NOUVELLE SECTION 18-926, CODE DE L’IDAHO, AFIN DE PRÉVOIR QUE LA FOURNITURE OU L’ADMINISTRATION D’UN VACCIN ARNM EST UN DÉLIT; ET DÉCLARANT UNE URGENCE ET PRÉVOYANT UNE DATE D’ENTRÉE EN VIGUEUR.
Il est promulgué par la législature de l’État de l’Idaho:
SECTION 1: Que le Chapitre 9, Titre 18, Code de l’Idaho, soit, et le même est par la présente modifié par l’ajout d’une NOUVELLE SECTION, qui sera connue et désignée comme la Section 18-926, Code de l’Idaho, et qui se lit comme suit:
18-926. ADMINISTRATION D’UN VACCIN ARNM.
(1) Nonobstant toute autre disposition de la loi, une personne ne peut fournir ou administrer un vaccin développé en utilisant la technologie de l’acide ribonucléique messager pour une utilisation chez un individu ou tout autre mammifère dans cet État.
(2) Une personne qui enfreint cette section est coupable d’un délit.
SECTION 2. Une urgence existant par conséquent, laquelle urgence est déclarée par la présente, cette loi prendra pleine force et effet à partir du 1er juillet 2023.
Le Dr Ah Kahn Syed écrit des articles très bien documentés et pleins de bon sens. J’en avais traduit un ici, essentiel. En voici un autre. Il date un peu (enfin, trois mois) mais ce n’est pas un problème. Accrochez-vous à vos chaussettes, c’est du lourd et ça devient pire à la fin.
J’ai aussi traduit en fin d’article des commentaires de quelqu’un qui était sur le terrain à l’époque – donc source d’info de première main – et collabore avec Robert F Kennedy Jr. À ce propos, je reproduirai bientôt ici, puisqu’elle m’en donne l’autorisation, un article d’une autre collaboratrice de Kennedy, ma compatriote Senta Depuydt, extrait de son Substack.
J’ai remarqué que ce sont mes articles au titre le plus accrocheur (genre putaclic) qui sont les plus lus. Le titre du présent article ne rentrant clairement pas dans cette catégorie, vous seriez bien aimables d’aider à le diffuser, si vous pensez comme moi qu’il en vaut la peine.
Note: comme d’habitude, vous trouverez la traduction du texte qui figure sur les images et tweets juste en-dessous de ceux-ci, sous forme de citation.
Que s’est-il passé à Samoa en 2019 et pourquoi est-ce si important aujourd’hui?
Dr Ah Kahn Syed
19 novembre 2022
Nous remontons le temps aujourd’hui… pas tout à fait jusqu’à l’époque d’Ingersoll Lockwood [NdT. avocat et écrivain américain (1841-1918) – sur Wiki], juste un peu. En 2019. Juste avant la « pandémie COVID-19 ». L’endroit? Les magnifiques îles de Samoa.
Vous me demanderez: « De quoi parlez-vous? Que s’est-il passé à Samoa? »
Il s’est passé beaucoup de choses. Tout cela en un mois, en novembre 2019 – juste avant que la PANDEMIE™ ne frappe, et vous verrez que les similitudes avec la PANDEMIE™ sont étranges – jusqu’aux mêmes confinements forcés et vaccinations forcées qui n’ont jamais eu pour but que d’imposer le fascisme médical à une population – parce que tous les documents de planification pandémique antérieurs à 2020 disaient qu’ils n’étaient pas utiles pour contenir une épidémie virale.
Passons maintenant aux Samoa (et aux îles Fidji et Tonga voisines) en 2019. Voici la chronologie
Avril 2019 – Le ROR est relancé à Samoa après une pause du programme de vaccination en 2018 suite à deux décès d’enfants liés au vaccin. Le programme de vaccination a été mal accueilli par la population samoane et la prévalence était faible.
1er oct 2019 – L’UNICEF a livré 135 000 doses de vaccins contre la rougeole à Fidji, 110 500 doses de vaccins contre la rougeole à Samoa (ainsi que des fournitures de vitamine A) et 12 000 doses de vaccins contre la rougeole à Tonga.
18 octobre 2019 – Les Samoa déclarent une épidémie de rougeole.
24 oct. 2019 – Les Tonga déclarent une épidémie de rougeole.
7 novembre 2019 – Les Fidji déclarent une épidémie de rougeole (archives ici).
15 Nov 2019 – L’état d’urgence est déclaré à Samoa après 1000 cas et 15 décès (dont 14 enfants de moins de cinq ans).
Immédiatement, la machine de propagande entre en action en faisant croire au monde que le problème est le fait que les Samoa – pour une année seulement – avaient un taux de vaccination inférieur à celui des îles voisines…
L’UNICEF travaille en étroite collaboration avec le Ministère de la Santé et l’OMS à Samoa pour cibler les enfants âgés de 6 mois à 19 ans et les femmes qui ne sont pas enceintes entre 20 et 35 ans.
Toutes les écoles ont également été temporairement fermées à Samoa et le gouvernement a conseillé aux enfants de moins de 17 ans de ne pas assister à des rassemblements publics afin de contenir la propagation de la maladie.
Pour mieux contenir l’épidémie, le gouvernement tongien a annoncé la fermeture temporaire de toutes les écoles primaires publiques du 14 au 25 novembre.
Les Fidji ont une couverture de la rougeole de 94% en 2018, sur la base des estimations de l’OMS et de l’UNICEF de 94% de couverture vaccinale contre la rougeole.
D’autres estimations de la couverture vaccinale dans la région estiment en fait qu’elle est proche de 100% à Fidji et à Tonga et qu’elle a atteint 100% à Samoa en 2013, après quoi elle a commencé à baisser. En d’autres termes, si les vaccins fonctionnaient comme promis, l’immunité collective aurait dû être atteinte des années auparavant. En fait, malgré des taux de vaccination mondiaux supérieurs à 80%, il semble que la promesse d’immunité collective n’ait jamais été tenue pour la rougeole. [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a fait la rougeole trois fois, dont deux fois à l’âge adulte – et elle a été vaccinée enfant]
Figure: Couverture de la première dose de vaccin contre la rougeole (MCV1) et de la deuxième dose de vaccin contre la rougeole (MCV2) à Samoa, 2004-2018. Pas de données pour 2015. Reproduit à partir de données extraites de la base de données de l’OMS.
Cela a été confirmé par le fait que les Fidji et les Tonga ont connu des épidémies de rougeole en dépit de taux de vaccination proches de 100% – les vaccins n’ont donc pas du tout empêché une vague massive d’infections.
A total of 32,743 vaccinations were completed before the Mass Vaccination Campaign.
Since the activation of the Campaign on 20 November 2019, the Ministry has successfully vaccinated 17,088 individuals.
Au total, 32 743 vaccinations ont été réalisées avant la Campagne de Vaccination de Masse.
Depuis l’activation de la Campagne le 20 novembre 2019, le Ministère a vacciné avec succès 17 088 personnes.
Des vaccinations gratuites continuent d’être administrées pour les groupes cibles ci-dessous.
Et en fait, il y avait eu une campagne de vaccination de masse qui avait déjà fourni 32 743 vaccins (principalement des enfants) avant l’épidémie – pour une population de 200 000 personnes, dont environ 20 000 enfants de moins de 5 ans. En d’autres termes, une partie suffisante de la population samoane avait été vaccinée en 2019 pour être « protégée » d’une épidémie mortelle de rougeole.
Alors pourquoi l’épidémie des Samoa était-elle un problème tel qu’elle a été rapportée dans le monde entier alors que les épidémies des Fidji et des Tonga ont été ignorées? Eh bien, des enfants mouraient. En grand nombre. En fait, le taux de mortalité dans l’épidémie de rougeole de Samoa de novembre 2019 était 40 fois supérieur au taux de mortalité habituel pour la rougeole dans les pays développés.
Pardon, quoi? Voici le tableau officiel en date du 8 décembre 2019 provenant du fil twitter du gouvernement samoan alors que la population était « vaccinée à 90% ».
Dans la catégorie des moins de 10 ans, ce chiffre est de 62 décès sur 2898, soit 2,1%1. Le taux de mortalité typique pour la rougeole dans les « économies développées » est de 0,05%. Voici une étude datant de 2009, mais d’autres études similaires ont été réalisées depuis.
J’ai volontairement choisi une revue ancienne, malgré le fait qu’elle ait été financée par l’OMS. Il est difficile de trouver une étude ultérieure qui ne soit pas financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Les auteurs ont conclu qu’il y avait une tendance à la baisse du ratio cas-létalité (case fatality rate, CFR) dans les populations vaccinées, mais que cette tendance n’était pas définitive et que la supplémentation en vitamine A pouvait également présenter un avantage. L’association sous-jacente la plus importante avec les CFR rapportés est en fait le lieu où l’étude a été réalisée, les zones rurales et urbaines présentant des CFR plus élevés du fait qu’ils étaient biaisés vers les zones ayant une incidence plus élevée de flambées de rougeole.
Nous pouvons donc supposer que le véritable CFR de la rougeole devrait être bien inférieur à 1% dans les populations saines, indépendamment de la couverture vaccinale. En fait, la vaccination contre la rougeole est censée prévenir les épidémies (c’est-à-dire l’infection) plutôt que les complications de l’épidémie (par exemple, le décès et la pneumonie). Il est donc intéressant de voir ce qui se passe dans des populations totalement non vaccinées et pourquoi les victimes peuvent mourir – un indice donné dans cette étude.
Cinq (83%) des 6 décès sont survenus chez des femmes, dont 3 avaient des maladies sous-jacentes. Le taux global de létalité était de 1,2%. Le taux de létalité était de 2% chez les femmes, 0,4% chez les hommes (P = 0,22), 1,7% pour les cas primaires et 0,7% pour les cas secondaires dans les ménages (P = 0,67). Un seul des enfants décédés avait reçu des soins médicaux. La rougeole s’est propagée rapidement dans ce groupe, n’épargnant que peu de personnes sensibles. Le manque de soins médicaux et la maladie sous-jacente semblent avoir contribué au taux élevé de létalité dans les communautés religieuses.
L’idée est qu’un aperçu rationnel des taux de mortalité dus à la rougeole devrait évaluer les soins médicaux apportés aux cas de rougeole plutôt que de s’appuyer sur la seule vaccination comme méthode de contrôle des décès dus à la rougeole. Pour étayer ce point, malgré les programmes de vaccination contre la rougeole qui touchent presque toutes les communautés de tous les pays du monde, qu’en est-il des taux de mortalité dus à la rougeole?
Les lecteurs avisés auront déjà deviné ce titre
Plus de 140 000 personnes meurent de la rougeole alors que les cas augmentent dans le monde entier Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus exposés au risque de complications fatales, selon les agences sanitaires.
Oups.
L’épidémie dévastatrice et mortelle de Samoa présente donc deux aspects.
Pourquoi une épidémie de rougeole s’est-elle déclarée dans trois îles voisines au même moment, quelques semaines seulement après la livraison de vaccins de l’UNICEF dans ces mêmes îles?
Pourquoi le taux de mortalité dans l’épidémie des Samoa a-t-il atteint des niveaux si élevés, bien supérieurs à ce que l’on pourrait attendre dans un pays ayant accès aux soins de santé?
En ce qui concerne le premier point, il est clair que le vaccin n’a pas permis de prévenir les épidémies, ce qui signifie que soit les vaccins contre la rougeole ne fonctionnent pas (pas seulement le vaccin actuel, mais aussi ceux des années précédentes qui étaient censés conférer une immunité collective), soit une nouvelle souche de rougeole a été introduite, qui n’était pas couverte par les vaccins.
En ce qui concerne le deuxième point, les rapports sur le terrain montrent clairement qu’il a été très difficile d’obtenir des traitements médicaux pour les personnes touchées. Cela vaut vraiment la peine de regarder cet épisode de The Highwire de décembre 2019 qui donne une vision très différente de la situation que celle rapportée par le gouvernement et l’OMS.
[cliquer sur la photo pour accéder à la vidéo]
Ce qui ressort des rapports de l’époque aux Samoa, c’est que les soins médicaux de base, y compris la vitamine A, la vitamine C et d’autres mesures de soutien, ont été refusés aux enfants des Samoa. C’est presque comme s’il était nécessaire que beaucoup d’enfants meurent pour promouvoir un récit qui exigeait ensuite l’intervention du gouvernement « pour régler le problème ». Pour être clair, ces enfants n’avaient pas à mourir. Ils sont morts parce que le gouvernement avait besoin de convaincre la population qu’il était aux commandes et que la dissidence n’était pas autorisée. Les gouvernements font ce genre de choses. [NdT. le lien est en français]
Quoi qu’il en soit, l’intervention souhaitée a eu lieu rapidement, début décembre.
Absolute overreach of power and violation of freedoms and personal rights. You should be handing out the desperately needed #VitaminA and #VitaminC per WHO measles recommendations not force vaccinating people!!
En réponse à l’épidémie actuelle de rougeole, le @samoagovt entreprendra une « Campagne de vaccination de masse en porte-à-porte » le jeudi 5 et le vendredi 6 décembre 2019 de 7h à 17h sur l’ensemble du territoire. Lire l’avis complet sur https://facebook.com/samoagovt/
Un abus absolu de pouvoir et une violation des libertés et des droits individuels. Vous devriez être en train de distribuer la #VitamineA et la #VitamineC dont on a désespérément besoin, conformément aux recommandations de l’OMS sur la rougeole, et non de forcer les gens à se faire vacciner!
Qu’est-ce que cette « folle théoricienne de la conspiration anti-vaxx » prétend? La vitamine A et la vitamine C traitent la rougeole? C’est dingue, pas vrai?
Non.
La vitamine A pour traiter la rougeole chez les enfants
Pour que les choses soient claires, il est préférable que les enfants n’attrapent pas la rougeole, mais si c’est le cas, des mesures de soutien appropriées (comme dans les pays « développés » où la rougeole sévit toujours malgré des taux de vaccination supérieurs à 95%) réduisent le risque de décès. C’est également ce qu’affirme l’OMS.
Les complications graves de la rougeole peuvent être réduites par des soins de soutien assurant une bonne nutrition, un apport hydrique adéquat et le traitement de la déshydratation avec la solution de réhydratation orale recommandée par l’OMS. Cette solution remplace les liquides et autres éléments essentiels perdus par la diarrhée ou les vomissements. Des antibiotiques doivent être prescrits pour traiter les infections des yeux et des oreilles, ainsi que la pneumonie.
Tous les enfants diagnostiqués comme ayant la rougeole doivent recevoir deux doses de suppléments de vitamine A, administrées à 24 heures d’intervalle. Ce traitement rétablit les faibles taux de vitamine A pendant la rougeole, qui se produisent même chez les enfants bien nourris, et peut aider à prévenir les lésions oculaires et la cécité. Il a également été démontré que les suppléments de vitamine A réduisent le nombre de décès dus à la rougeole.
Bien sûr, la supplémentation en vitamine A est devenue en décembre une « théorie du complot anti-vaxx », malgré le fait que l’UNICEF ait livré des suppléments de vitamine A à Samoa en novembre.
Health & communication staff were sent by @UNICEF to Samoa to boost the govt’s immunization campaign, delivering (as at Tues) 110,500 vaccine doses & 30,000 Vitamin A tablets. Vaccines also sent to to Tonga, Fiji and N… @DFAT#AustralianAid#VaccinesWorkhttps://t.co/2njx7xvkVY
Le personnel de santé et de communication a été envoyé par @UNICEF à Samoa pour stimuler la campagne de vaccination du gouvernement, livrant (jusqu’à mardi) 110 500 doses de vaccin et 30 000 comprimés de vitamine A. Des vaccins ont également été envoyés à Tonga, Fiji et N… @DFAT#AustralianAid #VaccinesWork
Et, comme à l’accoutumée, les mêmes voix sur Twitter, dont le seul but était de supprimer les comptes comme le nôtre qui fournissaient ce genre d’informations supplémentaires (qui pouvaient sauver des vies) à l’époque du COVID, s’y mettaient déjà lors de la catastrophe de Samoa.
All you #AntiVaxxer Karens on Social Media sharing info about #Samoa, #Measles & #VitaminA, have any of you even even been to Samoa, and have any of the serology of those Samoan people you want to give Vitamin A to, to determine that each of them is Vitamin A deficient?
Vous, les pétasses #AntiVaxxer, qui partagez sur les médias sociaux des informations sur #Samoa, #Measles & #VitaminA, est-ce que l’un d’entre vous s’est seulement rendu à Samoa, et a fait la sérologie de ces Samoans à qui vous voulez donner de la vitamine A, pour déterminer que chacun d’entre eux est déficient en vitamine A?
N’est-ce pas le même scénario que celui que nous avons vu ces 3 dernières années?
Une épidémie virale apparaît de façon suspecte
Des médicaments sûrs et réadaptés (y compris des vitamines) sont refusés comme traitement d’appoint à des personnes qui en bénéficieraient probablement sans aucun risque.
Les fabricants de vaccins débarquent pour soi-disant sauver la situation (et probablement l’aggraver, car la vaccination d’une population pendant une épidémie est généralement une très mauvaise idée).
Des groupes de pression sur les médias sociaux passent à l’action pour dénigrer toute personne suggérant autre chose que ce que BigPharma et BigGovt proposent comme solution, et beaucoup plus de gens meurent qu’ils n’auraient dû.
Je profite de cette occasion pour souligner que ces groupes de pression sont insidieux. Ils représentent le côté obscur de la science et de la médecine et tant qu’ils seront autorisés à faire ce qu’ils font, souvent sponsorisés par les gouvernements (comme moyen de contrôle coercitif de la population), les gens continueront à être contraints à des interventions médicales selon des méthodes qui ne sont guère différentes de celles de l’Allemagne nazie. Le résultat a été un niveau excessif de décès dans le monde entier et je tiens à souligner que sans ces fantassins parasites des groupes de pression, plusieurs centaines de milliers de décès auraient pu être évités. J’ai écrit à leur sujet pendant plus d’un an.
Cela vaut vraiment la peine de lire la transcription complète du discours de cette larve. Il est typique de l’élitisme auquel nous sommes confrontés, soutenu par les banques et le FEM. Rappelez-vous que ces gens pensent que vous (le prolétariat) ne devriez pas avoir le droit de vote et que vous êtes des mangeurs inutiles. Par conséquent, votre opinion n’est pas pertinente et ils décideront de ce qui est le mieux pour vous. [NdT. la page en lien n’est plus en ligne]
La situation a empiré à Samoa car, une fois l’épidémie de rougeole atypique et atypiquement mortelle survenue, les choses ont rapidement dégénéré. Qu’a fait le gouvernement samoan? Il a imposé la vaccination contre la rougeole et a fait appel à l’armée chinoise pour l’aider (notez que toute référence à la présence de l’armée chinoise à Samoa a été supprimée de l’internet2). La population a reçu l’ordre de placer un drapeau rouge devant sa maison pour indiquer qu’elle n’était pas vaccinée. Vous voyez maintenant l’image du ghetto de Varsovie?
Samoa: la vaccination contre la rougeole devient obligatoire À partir du mois prochain, chaque enfant samoan devra obligatoirement être vacciné contre la rougeole lorsqu’il aura atteint l’âge requis de six mois.
En fait, c’était tellement affreux qu’il y a eu une campagne de protestation sur Twitter avec le hashtag #NaziSamoa. Bonne chance pour trouver maintenant des tweets dissidents avec cette référence.
Mais alors que le nombre de cas et de décès continue de grimper, les autorités ont pris une mesure supplémentaire pour marquer les maisons des personnes non vaccinées.
« Il est conseillé au public d’attacher un tissu rouge ou un drapeau rouge devant leur maison et près de la route pour indiquer que des membres de leur famille n’ont pas été vaccinés », peut-on lire dans un communiqué du gouvernement publié mardi. « La marque rouge permet aux équipes d’identifier plus facilement les foyers à vacciner ».
Les militants anti-vaccins, quant à eux, protestent contre la campagne de vaccination et ont comparé le gouvernement aux nazis, en utilisant le hashtag #NaziSamoa sur Twitter.
Et bien sûr, pour « pousser » tout dissident samoan à se conformer à la directive gouvernementale, le gouvernement a également confiné le pays en fermant les écoles et en interdisant les rassemblements. Ça vous rappelle quelque chose?
Des drapeaux rouges flotteront au-dessus des maisons des personnes non-vaccinées à Samoa tandis que le gouvernement confine et que le nombre de morts de la rougeole augmente
Est-ce la dernière pièce du puzzle?
Il y a une pièce du puzzle des Samoa qui me taraude. Il s’agit de savoir pourquoi une population relativement vaccinée a pu s’en sortir si mal lors d’une épidémie de rougeole. Pour que cela se produise, il fallait que la souche soit inhabituelle. Or, la ligne officielle était qu’il s’agissait d’une souche D8, et non d’une « souche A liée à la vaccination ».
Ce qui m’a toujours turlupiné, c’est que je n’ai pu trouver aucune confirmation génomique de la souche de rougeole de Samoa dans Genbank. La seule souche documentée en 2019 provient des Samoa occidentales, et non des Samoa. Alors comment savons-nous qu’il s’agissait d’une souche de rougeole « naturelle » ? On ne le sait pas.
Imaginons que les pires psychopathes du monde (c’est-à-dire les virologues à gain de fonction3) créent une chimère entre l’un des virus les plus infectieux connus de l’homme (la rougeole) et le SARS-Cov-2. Et bien, c’est ce qu’ils ont fait, et cela fait un an que je ne cesse de le répéter. C’est ce petit bijou:
Les psychopathes sont souvent fiers de leur travail. C’est pourquoi ils aiment le signer.
C’est exact. Une chimère rougeole-SARS-CoV-2. Le composant rougeole est censé être tiré de cet article et utilise une construction de Roberto Cattaneo (Genbank MH144178) publiée en 2015. Alors, à quoi celle-ci a-t-elle été utilisée?
Un vaccin COVID-19 hautement immunogène et efficace, à base de virus de la rougeole, à action Th1.
La publication est datée de décembre 2020, mais elle a été soumise en juillet 2020 et comprenait des études sur des souris, ce qui prend généralement des mois. Il est donc très possible – et tout à fait conforme au mode opératoire de Baric – que cette construction ait été réalisée avant décembre 2019.
Bon, cette souche est censée être une souche de rougeole A inactive. Le seul problème est que, lorsque nous effectuons un BLAST sur cette souche (ou sur la Chimère), nous obtenons une correspondance assez fidèle avec une souche D8 de rougeole – à l’exception de plusieurs SNP (qui peuvent être induits en laboratoire par des additifs tels que la protéine APOBEC ou le molnupiravir). En d’autres termes, il est tout à fait possible que cette « souche vaccinale » soit la nouvelle souche de rougeole affectant Samoa. Bien sûr, je serais ravi que l’on me prouve que j’ai tort si quelqu’un dispose de la séquence génomique de la souche Samoa pour le prouver (ce n’est pas le cas).
Donc… nous sommes face à un ensemble de circonstances très inhabituelles. Je récapitule:
Une épidémie de rougeole exceptionnellement virulente se déclare dans trois îles voisines du Pacifique après la livraison d’un vaccin par l’UNICEF.
Sur l’une des îles, le taux de mortalité de l’épidémie est exceptionnellement élevé (et de l’ordre de grandeur de la première vague COVID).
L’épidémie est utilisée pour tester la conformité de la population aux mesures de confinement et aux vaccinations forcées. Il y a très peu de résistance.
À peu près au moment de cette épidémie, Ralph Baric – impliqué dans l’origine du SARS-Cov-2 – participe à la construction4 d’une chimère insolite rougeole-coronavirus dans laquelle la composante rougeole est homologue à la souche D8 de la rougeole (la souche déclarée à Samoa).
Lorsque Samoa reçoit sa première vague officielle d’infections par le COVID, il n’y a pas de décès, ce qui suggère une immunité préalable5.
Et qu’est-ce que tout ça prouve?
Rien. Ça ne prouve rien. Mais ce que ça fait, c’est poser cette question:
Les Samoa ont-elles été le terrain d’essai pour la diffusion d’un coronavirus de type SARS en novembre 2019 – via un vaccin parrainé par l’UNICEF – qui a prouvé que la population mondiale pouvait être intimidée et contrainte d’accepter des vaccinations obligatoires?
Étant donné la façon dont l’OMS, l’UNICEF, le FEM et l’ONU se sont comportés au cours des trois dernières années, je pense que nous connaissons tous la réponse, n’est-ce pas?
Si vous étiez aux Samoa en novembre 2019 et que vous avez plus d’informations, merci de laisser un commentaire ci-dessous. En attendant…
Bien que l’implication directe de l’armée chinoise à Samoa ait été effacée de l’Internet, l’implication de la Chine dans le programme de vaccination contre la rougeole dans le Pacifique occidental ne l’a pas été. Notez l’implication de la Banque mondiale. https://archive.ph/wip/IMEW6
Oui, les virologues à gain de fonction sont des psychopathes. Non seulement ils n’en ont rien à faire de savoir si leurs créations s’échappent, mais ils n’ont aucune difficulté à mentir à leur sujet et n’expriment aucune émotion lorsque des personnes en meurent. Les gens qui les couvrent sont tout aussi horribles. Vous savez qui vous êtes.
Je renvoie le lecteur à ce post très important concernant les origines du COVID
Notre grand ami et gourou de la protéomique Daoyu Zhang, sur le groupe Telegram micevmutton, en fournit ici un solide résumé. Il souligne le taux de mortalité exceptionnellement bas dû au COVID à Samoa, enregistré sur ourworldindata ici. En outre, le premier cas de COVID enregistré aux Samoa date de novembre 2020, soit près d’un an après la Chine.
Les Samoa du Pacifique enregistrent leur premier cas de coronavirus
La nation insulaire indique qu’un marin a été testé positif au coronavirus après être revenu d’Europe via la Nouvelle-Zélande.
Commentaires
Robert Kennedy Junior a joué un rôle important dans la mise en place d’une équipe médicale consultative pour tenter de comprendre le taux de mortalité et aider aux protocoles de traitement. J’ai personnellement constaté sur le terrain que, six à sept jours après la vaccination, d’énormes épidémies se produisaient dans les villages où les camionnettes de vaccination étaient passées. Nous étions très attentifs à recueillir des statistiques lorsque nous nous rendions sur place pour essayer d’identifier les tendances. Lorsque nous avons analysé nos chiffres, 98% des personnes qui tombaient malades avaient été systématiquement vaccinées 6 à 7 jours avant la maladie. L’excuse était que le vaccin n’avait pas eu le temps d’être efficace. Cependant, selon un immunologiste de l’équipe qui nous assistait, cette période de 6 à 7 jours correspondait également au temps nécessaire à un vaccin sous-atténué pour rendre le receveur malade. En outre, comme je l’ai mentionné, les tests envoyés en Australie se sont révélés négatifs pour la rougeole de type sauvage dans la majorité des échantillons. Alors, qu’est-ce qui rendait tant de personnes malades? Tout semblait indiquer que le vaccin était contaminé. L’un des médecins de l’équipe consultative m’a demandé de lui envoyer un flacon de vaccin pour qu’il puisse le faire analyser, mais nous n’avons jamais pu le faire. La sécurité autour des vaccins était assez stricte, chaque flacon étant répertorié à sa sortie et le flacon vide à sa rentrée, ce qui, selon le personnel, était inhabituel. Normalement, les flacons vides sont simplement jetés une fois utilisés.
La véritable tragédie est que, malgré la possibilité que nous ayons eu affaire à un vaccin contaminé, les enfants ne seraient jamais morts si les protocoles de traitement que nous préconisions avaient été utilisés. Nous avons affiné un protocole de traitement mis au point par le regretté Dr Archie Kalokerinos, utilisé sur des enfants du Territoire du Nord, en Australie, sur des enfants indigènes, en utilisant des doses élevées de vitamine C et A. Pas une seule vie n’aurait dû être perdue.
L’inefficacité des traitements approuvés par l’ONU/OMS a été démontrée plus tard dans un tribunal par un témoin à charge.
Nous donnions la vitamine C à très haute dose sous forme d’ascorbate de sodium et d’acide ascorbique. 1 gramme toutes les deux heures. L’état des enfants s’améliorait en seulement 6 heures. Une fois qu’ils avaient retrouvé le réflexe de manger, nous donnions de la vitamine A à raison de 200 000 UI par dose en deux fois sur 24 heures, puis nous arrêtions. Pour les cas les plus graves, ceux qui avaient été renvoyés chez eux pour y mourir, ils étaient remis sur pied en 3 jours.
Stérilisation par injection, morts subites, turbo-cancers, euthanasie, inflation, destruction de l’économie et des classes moyennes, monnaies digitales programmables, prix de l’énergie, « réforme des retraites »?
Commentatrice: L’ancien Premier Ministre malaisien, Dr Mahathir Muhammad, a déclaré que l’[Accord] de partenariat transpacifique ou TPPA est une stratégie du Nouvel Ordre Mondial menée par un puissant groupe de personnes dirigé par les États-Unis pour dominer l’économie mondiale. S’exprimant lors de la conférence internationale intitulée « New World Order: A Recipe for Peace or War » [Nouvel Ordre Mondial: Une recette pour la paix ou la guerre] organisée par la Perdana Global Peace Foundation, le Dr Mahathir a déclaré que la mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique.
Dr Mahathir Muhammad: Fondamentalement, il s’agit de la création d’un gouvernement mondial. Nous devrions abolir tous les États, toutes les nations, toutes les frontières et n’avoir qu’un seul gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial devra être dirigé par certaines personnes, les élites, des gens très riches, très intelligents, très puissants à bien des égards. Ce sont eux qui gouverneront le Monde.
Il n’a pas été beaucoup question de démocratie ou de choix des dirigeants. Au lieu de cela, il devait y avoir un gouvernement par ces élites, qui imposeront leurs règles à tous les habitants de ce monde. Et pour ceux qui ne sont pas disposés à s’y soumettre, il y aura des punitions. Et la paix que nous obtiendrons d’eux sera la paix du cimetière.
Car l’intention est aussi de réduire le nombre de personnes dans ce monde. Au moment où le Nouvel Ordre Mondial a été énoncé, la population de ce monde n’était que de trois milliards. L’intention était de la réduire à un milliard. Aujourd’hui, la population mondiale est de sept milliards [NdT. en 2015; huit milliards en 2023]. Il sera nécessaire de tuer plusieurs milliards de personnes, de les faire mourir de faim ou de les empêcher de donner naissance afin de réduire la population de ce monde.
Transcription
Commentator: Malaysia’s former Prime Minister, Dr Mahathir Muhammad said that the Transpacific Partnership [Agreement] or TPPA is a New World Order strategy by a powerful pact of people led by the US to dominate the world economy. Speaking at the international conference titled « New World Order: A Recipe for Peace or War » organized by the Perdana Global Peace Foundation, Dr Mahathir said globalization and borderless trade are being used to establish a one world government.
Dr Mahathir Muhammad: Basically, it is about having a world government. We should abolish all states, all nations, all borders but instead have only one world government. And that world government is to be by certain people, elites, people who are very rich, very intelligent, very powerful in many ways. They are the ones who will govern the World.
There was not much talk about democracy or choice of leaders. Instead, there was to be a government by these elites who will impose their rules on everyone in this world. And for those who are unwilling to submit to them, there will be punishment. And the peace that we will get from them is the peace of the graveyard.
Because the intention also is to reduce the number of people in this world. At the time when the New World Order was enunciated, the population of this world was only three billion. The intention was to reduce it to one billion. Now the population of the world is seven billion. There will be a need to kill many billions of people or to starve them to death or to prevent them from giving birth in order to reduce the population of this world.
Vous vous souvenez du Pr Fukushima? Voici la suite.
Comme vous le lirez ci-dessous, le Pr Fukushima, 75 ans (ses publications et son CV) dirige un centre qui étudie les « mécanismes de la maladie […] pour fournir des médicaments qui facilitent le passage à la vieillesse ». D’un autre côté, on a des gens comme Yusuke Narita, 37 ans, professeur adjoint d’économie à l’école Ivy League, qui aimerait remettre au goût du jour une ancienne tradition, lorsqu’il déclare (ici, ici, ici) lors d’une émission d’information fin 2021:
« J’ai l’impression que la seule solution est assez claire. En fin de compte, n’est-ce pas le suicide de masse et le ‘seppuku’ de masse des personnes âgées? »
Un genre d’Attali japonais, en somme. Personnellement, je préfère la solution du Pr Fukushima.
Note: j’ai traduit le texte figurant sur les captures d’écran en dessous de celles-ci.
Un professeur japonais intente un procès au Ministère de la Santé sur la sécurité et l’efficacité des vaccins
John Smith
6 février
Masanori Fukushima (福島雅典), professeur émérite à l’université de Kyoto au Japon, a intenté un procès contre le Ministère japonais de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS)[i].
La divulgation de toutes les données relatives à la sécurité et à l’efficacité des vaccins covid-19, soumises par Pfizer et Moderna au MSTAS et à la PMDA (agence japonaise de réglementation des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, similaire à la FDA).
La divulgation complète des contrats entre le Japon et les sociétés pharmaceutiques (Pfizer, Moderna, etc.).
L’indemnisation des personnes blessées par les vaccins covid-19.
Le professeur Fukushima a plus de 25 ans d’expérience en tant qu’oncologue. Il est également Directeur et Président du Translational Research Informatics Center [TRI] au Japon, qui est le premier centre universitaire au Japon dédié à la transformation de la recherche médicale fondamentale en pratiques cliniques. Il s’est également impliqué dans la pharmacoépidémiologie (l’étude des interactions entre les médicaments et les populations humaines) depuis 2000.
Dossier | 4 juillet 2017 Du laboratoire à la clinique
Masanori Fukushima, directeur du TRI, affirme que l’étude des mécanismes de la maladie est la clé pour fournir des médicaments qui facilitent le passage à la vieillesse
De telles réalisations sont habituelles au TRI. L’un des plus grands organismes de recherche sous contrat du Japon, le centre basé à Kobe effectue des essais cliniques et des recherches connexes pour des clients universitaires, gouvernementaux et pharmaceutiques. L’institut a été créé en 2002, sur la base de la recherche translationnelle menée précédemment à l’université de Kyoto, afin d’aider la science japonaise à franchir la « vallée de la mort » entre le laboratoire et les applications dans le monde réel.
« Il existe un large fossé entre les modèles animaux et les maladies humaines. Mais si nous avons une compréhension approfondie du mécanisme de la maladie et des modèles de maladie, nous pouvons alors concevoir de meilleurs essais cliniques », explique le directeur du TRI, Masanori Fukushima.
Selon M. Fukushima, c’est une telle compréhension de la science fondamentale qui place la recherche clinique du TRI à un niveau différent des autres. « Notre taux de réussite est très élevé ».
L’objectif à long terme du TRI, déclare M. Fukushima, est de s’attaquer aux principales maladies qui confinent les gens dans les lits d’hôpitaux du monde entier.
« Mon objectif ainsi que celui du TRI est de vaincre les maladies complexes de mon vivant. Je suis optimiste », dit-il.
En novembre 2022, le professeur Fukushima avait déjà organisé une discussion avec d’autres médecins et professeurs, au cours de laquelle il avait condamné le MSTAS japonais pour avoir ignoré les dangers des vaccins covid-19. Le professeur Fukushima avait exigé que des enquêtes soient menées sur toutes les lésions causées par le vaccin covid-19, en procédant à une évaluation approfondie des dossiers médicaux au cas par cas. Il avait également mis en garde contre la production indéfinie de protéines de pointe par les vaccins covid-19, ainsi que contre les effets secondaires dus aux nanoparticules lipidiques.
Puis en décembre 2022, le professeur Fukushima avait déclaré dans une interview son intention de poursuivre le gouvernement japonais en raison de son refus de divulguer des informations vitales concernant l’efficacité des vaccins covid-19.
Ce qui nous amène à la situation actuelle où, le 2 février 2023, le professeur Fukushima a tenu la conférence de presse relative à son action en justice au Tribunal de District de Tokyo.
Outre les demandes de poursuites judiciaires mentionnées précédemment, il a également prévenu que d’autres poursuites pourraient être engagées si le Ministère japonais de la Santé et des Affaires Sociales ne reconnaissait pas un lien de causalité entre le vaccin et les décès associés.
Le professeur Fukushima met en doute le résultat réel des 90 000 milliards de yens dépensés par le gouvernement pour les vaccins covid-19. S’exprimant non seulement en tant que médecin et scientifique, mais aussi en tant que citoyen et contribuable, il considère qu’il est de son devoir, au nom de la nation, de comprendre l’effet réel des vaccins. Il pense que des informations surprenantes seront révélées par la divulgation des documents des entreprises de fabrication de produits pharmaceutiques. Il étudie également les mécanismes pathologiques des vaccins avec d’autres experts ainsi que les directives médicales pour le traitement des lésions dues aux vaccins[ii].
La loi japonaise prévoit déjà l’indemnisation des personnes blessées par les vaccins, aussi le professeur Fukushima soutient-il qu’elle devrait être appliquée dès maintenant. La loi japonaise sur la vaccination décrit l’étendue des prestations comme suit (traduction informatique de leur site web):
Chapitre V Mesures correctives pour les dommages sanitaires causés par les vaccinations de routine, etc.
(Étendue des prestations) Article 16 Les prestations prévues par les dispositions du paragraphe 1 de l’article précédent qui sont servies en cas de maladie, d’invalidité ou de décès résultant des vaccinations de routine, etc. pour les maladies de la catégorie A ou des vaccinations temporaires pour les maladies de la catégorie B, sont énumérées dans les rubriques suivantes et sont servies aux personnes désignées dans chacune de ces rubriques (i) Frais médicaux et allocation médicale: les personnes qui reçoivent un traitement médical pour une maladie causée par le fait d’avoir reçu une immunisation. (ii) Pension de garde d’enfant handicapé: personnes qui prennent en charge une personne de moins de 18 ans qui est handicapée au degré spécifié par un décret ministériel du fait qu’elle a été immunisée. (iii) Pensions d’invalidité: personnes âgées de 18 ans ou plus qui sont handicapées dans une mesure spécifiée par un décret ministériel du fait qu’elles ont été vaccinées. (iv) Paiement forfaitaire en cas de décès: Survivants spécifiés par un décret ministériel de personnes décédées à la suite d’une vaccination. (v) Frais de services funéraires Les personnes qui s’occupent des funérailles d’une personne décédée à la suite d’une vaccination. (2) Les prestations visées au paragraphe 1 de l’article précédent qui doivent être versées en cas de maladie, d’invalidité ou de décès dus à l’immunisation de routine concernant les maladies de la classe B sont énumérées dans les rubriques suivantes et sont versées aux personnes indiquées dans chacune de ces rubriques. (i) Frais médicaux et allocation médicale: les personnes qui reçoivent un traitement médical dans la mesure spécifiée par un arrêté du Cabinet en ce qui concerne une maladie causée par le fait d’avoir reçu une immunisation. (ii) Pensions de garde d’enfants handicapés: personnes qui prennent en charge une personne de moins de 18 ans qui est handicapée au degré spécifié par un décret ministériel du fait qu’elle a été immunisée. (iii) Pensions d’invalidité: personnes âgées de 18 ans ou plus qui sont handicapées dans une mesure spécifiée par un décret ministériel du fait qu’elles ont été vaccinées. (iv) Pension de survivant ou somme forfaitaire de survivant: les survivants désignés par un arrêté ministériel d’une personne décédée à la suite d’une vaccination. (v) Frais de services funéraires: Personne qui effectue des services funéraires pour une personne décédée à la suite d’une vaccination.
Vous trouverez ci-dessous la transcription d’un extrait de la conférence de presse de février 2023 relative à l’action en justice:
1. IT BEGINS!!
Press conference out of Japan
– Investigation into vaccine harms. – Huge number of reports have been released – If Health Ministry refuse to acknowledge, “we will FILE LAWSUITS!”
Professeur Fukushima: Nous avons déjà commencé à étudier les dommages causés par les vaccins, en étroite collaboration avec divers experts. C’est le premier sujet. Nous découvrirons donc par la suite ce qui se passe après la vaccination en tant que mécanisme, c’est-à-dire en tant que processus pathologique et cytologique. Vers le mois d’avril de l’année dernière, les sociétés de pathologie et de médecine légale ont déjà publié des déclarations selon lesquelles, à l’avenir, des autopsies devraient être pratiquées sur les personnes décédées après une vaccination. À l’avenir, nous devons établir de toute urgence des directives sur le type de traitement médical à fournir aux victimes de lésions dues aux vaccins, et nous devons développer des techniques de diagnostic. Compte tenu de la situation, nous nous acquitterons de ces tâches.
Encore une chose. Des autopsies pathologiques ont déjà été réalisées sur des personnes décédées après avoir reçu le vaccin. Cependant, le Ministère de la Santé ne veut toujours pas reconnaître le lien de causalité entre le vaccin et les décès. Si le Ministère de la Santé maintient cette position injustifiée, nous avons l’intention de déposer des plaintes supplémentaires en consultation avec nos avocats. Nous exigeons que le Ministère de la Santé fournisse une compensation appropriée aux victimes sur la base de la loi sur la vaccination. En d’autres termes, l’indemnisation des victimes basée sur la Loi sur la Vaccination est correctement stipulée par la loi japonaise. Il n’est donc pas nécessaire de créer une nouvelle loi pour compenser les lésions causées par les vaccins. Des scientifiques comme nous prennent des mesures responsables à tous égards pour s’assurer que les victimes des vaccins soient indemnisées.
Journaliste: Permettez-moi de vous poser quelques questions. Dans votre éditorial, professeur Fukushima, vous avez écrit deux déclarations fermes à l’intention de tous les travailleurs de la santé: un avertissement sur la sécurité des vaccins et une demande d’arrêt des vaccinations. Par exemple, les sociétés médicales sont inondées de rapports de cas de diverses maladies en plus de la myocardite et du zona dans tout le Japon. Un très grand nombre de rapports de cas, plus de 300 rapports d’experts médicaux, ont été publiés dans tout le Japon. Je considère qu’il s’agit d’une situation extraordinairement préoccupante. Quel est votre message aux professionnels de la santé?
Professeur Fukushima: Je tiens à dire très clairement une chose au Ministère de la Santé, ainsi qu’aux professionnels de la santé. Ils devraient distribuer un Manuel des Victimes de la Vaccination à toutes les personnes qui ont été vaccinées. Le Manuel des Victimes de la Vaccination est comparable au Manuel des Victimes de la Bombe Atomique qui est distribué aux survivants des bombes atomiques. Après avoir distribué le Manuel des Victimes de la Vaccination aux personnes vaccinées, les institutions médicales doivent être encouragées à assurer un suivi adéquat des personnes vaccinées. Il est nécessaire d’examiner s’il existe un lien entre la maladie et le vaccin. Des tests de biopsie devraient être effectués sur les personnes malades suspectées de maladie induite par le vaccin.
Un autre clip avec des sous-titres en anglais est disponible ici:
Mon objectif étant de donner des infos claires et exactes, je rétracte celles que j’ai indûment publiées. Ce n’est pas forcément passionnant mais ça évitera à d’autres de tomber dans le même piège. Voici donc un nouveau démenti, cette fois de l’histoire de la protection des oeufs contre le SARS-CoV-2. Le malentendu vient de cet article de Jessica Rose, qu’elle a publié sans vérifier le contenu de l’étude elle-même – maladresse que j’ai déjà commise et démenti ici.
De nombreux rapports ont été publiés au sujet des œufs, la plupart semblent être des informations erronées ou des erreurs d’interprétation flagrantes.
Modern Discontent
4 février
Les États-Unis sont actuellement confrontés à une grave pénurie d’œufs, qui entraîne une flambée des prix et une limitation des quantités disponibles dans certaines régions du pays.
En réponse à cette pénurie d’œufs, il semble y avoir un déferlement soudain de rapports différents, certains suggérant que les œufs sont accusés de provoquer des caillots sanguins afin de détourner l’attention des vaccins. D’autres rapports suggèrent que le jaune d’œuf présente un avantage réel et attribuent donc la pénurie à une conspiration visant à nous rendre malades.
Il suffira de dire que toutes ces informations présentent de sérieux problèmes.
En particulier, je suis tombé sur cet article bizarre de Yahoo! (provenant à l’origine de USA Today) qui vérifiait une affirmation selon laquelle les œufs seraient responsables de tous les caillots sanguins qui se produisent:
Vérification des faits: Une fausse étude prétend relier la consommation d’œufs à la formation de caillots sanguins.
L’article note que cette affirmation provient d’un site web appelé News Punch, dans lequel l’auteur fait un commentaire selon lequel les œufs sont en quelque sorte utilisés comme bouc émissaire pour les caillots sanguins liés aux vaccins, alors qu’il ne semble pas qu’une telle tentative soit faite par les responsables gouvernementaux (pour autant que je sache):
Des scientifiques avertissent que les œufs sont à l’origine de la formation « soudaine » de caillots sanguins chez des milliers de personnes. Il s’agit là d’un nouvel exemple de l’élite mondiale qui tente de détourner l’attention du public de la cause réelle de la recrudescence des problèmes cardiaques depuis la mise en place des injections.
Le plus étrange, c’est que cette affirmation n’a aucun sens. Pourquoi le gouvernement supprimerait-il les œufs s’ils sont censés provoquer des caillots sanguins? Cela reviendrait à supprimer l’élément incriminé, donc à éliminer le bouc émissaire supposé et à renforcer par procuration la relation entre les vaccins et les caillots sanguins.
Ce qui est également très étrange, c’est que cette information est censée être corroborée par un AUTRE article publié sur Express qui semble être le point de départ des allégations relatives aux caillots sanguins:
Caillots sanguins: un composé présent dans les œufs lié à un risque accru de coagulation sanguine La coagulation sanguine est une réaction normale à une blessure. Parfois, cependant, elle peut entraîner des crampes, des douleurs et des gonflements, et si elle pénètre dans le système circulatoire, elle peut être fatale. Une petite étude a établi un lien entre un aliment populaire du petit-déjeuner et ce problème.
Les articles qui affichent ce genre de titres me posent beaucoup de problèmes. Ils sont de purs appâts à clics et sont conçus dans le but d’effrayer les gens plutôt que de les informer.
Dans le cas présent, on prend un produit courant et quotidien et on le rend super effrayant en l’associant à quelque chose de mortel.
Si vous lisez l’article, vous verrez qu’il fait référence à une étude portant sur un composé appelé choline. Il n’est pas nécessaire de savoir ce qu’est la choline, hormis le fait qu’il s’agit d’un composé essentiel pour notre organisme, que nous l’obtenons en grande partie par notre alimentation et qu’on peut la trouver dans des compléments alimentaires en vente libre.
Dans tous les cas, il s’agit d’un composé courant qui ne se trouve pas uniquement dans les œufs. Pourquoi les œufs seraient-ils les seuls concernés? Encore une fois, les œufs sont un aliment courant dans les ménages, donc peut-être que cela augmente le niveau de peur. En outre, dans ce cas, il semble que l’article ait changé de titre, comme indiqué dans la mise à jour du 26 janvier.
Une version antérieure de l’article [NdT. d’un an plus tôt exactement, à la minute près – très étrange] ne mentionnait que les aliments pour le petit-déjeuner dans le titre:
Caillots sanguins: l’aliment populaire du petit-déjeuner qui pourrait augmenter le risque de coagulation du sang La coagulation sanguine est une réaction normale à une blessure. Parfois, cependant, il peut entraîner des crampes, des douleurs et des gonflements, et s’il pénètre dans le système circulatoire, il peut être fatal. Une petite étude a établi un lien entre un aliment populaire du petit-déjeuner et ce problème.
Il est intéressant de noter que le texte des deux articles fait référence aux « œufs et à la viande » plutôt qu’aux seuls œufs, ce qui rend le changement de titre plutôt étrange. Peut-être que des raisons ponctuelles ont conduit à un changement éditorial pour coïncider avec un problème particulier en cours en ce moment….
En tout cas, l’article sur Express fait référence à un article de 20171 publié dans Circulation qui examine la conversion par les microbes de la choline en un autre composé appelé Trimethylamine-N-Oxide (TMAO). C’est ce composé TMAO qui semble être associé aux maladies cardiovasculaires et à la thrombose, bien que les preuves semblent plutôt corrélatives.
Cette étude a recruté des omnivores ainsi que des végétariens/végétaliens :
Nous avons recruté de manière prospective des végétariens/végétaliens (n=8) et des omnivores (n=10) en bonne santé, sans antécédents (1 mois) d’antibiotiques ou de probiotiques.
L’inclusion de personnes ne mangeant pas de viande aurait dû soulever des critiques quant à la relation de cette étude avec les œufs en particulier – ce qui aurait dû être remarqué.
Le reste de l’étude n’est pas utile à cette discussion, et je laisse les autres lire l’étude pour obtenir des informations supplémentaires (notez qu’il s’agit d’une très petite étude qui ne fournit que des données proximales via les niveaux de plaquettes. En outre, tous les participants ont reçu l’équivalent de 450 mg de choline par jour, soit l’équivalent de 3 œufs, à titre de référence).
Mais ce qui est très frustrant, c’est que tout cela ressemble à un jeu de téléphone, dans lequel les informations ont été relayées sans que personne ne prenne la peine de vérifier la véracité des informations présentées.
Une partie du tableau 2 du NIH est présentée ci-dessus, indiquant certains aliments riches en choline.
On pourrait faire valoir que les œufs sont plus riches en choline compte tenu de la taille de leur portion, mais là encore, il semble que les œufs aient été choisis en particulier en raison du calendrier des vaccins et de la pénurie d’œufs, ce qui n’a aucun sens.
Au lieu de cela, tout ceci ne fait que nourrir l’esprit conspirationniste plus qu’il ne fournit quoi que ce soit de substantiel.
Ne vous laissez pas séduire par des déclarations sans vérifier vous-même les preuves. Un simple coup d’œil aurait dû éveiller des soupçons immédiats sur ces affirmations.
De l’IgY dans le jaune
Cela m’amène à une autre étude qui semble avoir circulé récemment.
J’ai été informé de cette étude2 par un ami, qui lui-même semble l’avoir obtenue par le biais de rumeurs, car on lui a posé des questions sur cette étude.
Les anticorps de jaune d’œuf de poule (IgY) bloquent la liaison de plusieurs variants de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 à l’ACE2 humaine
Au lieu de soutenir qu’il existe une conspiration visant à accuser les œufs de provoquer des caillots sanguins, il semble y avoir dans ce cas une conspiration suggérant que les œufs sont en fait protecteurs, et que le gouvernement nous confisque les œufs pour que nous ne puissions pas nous protéger du COVID.
Le timing des événements serait étrange si c’était vrai, étant donné que le COVID ne sera plus considéré comme une urgence dans les mois à venir, à moins que le gouvernement n’essaie de créer une autre vague de COVID pour ramener l’urgence en bloquant notre capacité à obtenir des œufs. Encore une fois, davantage de conspiration.
Le fait que les œufs étaient toujours disponibles même pendant les confinements n’aide pas non plus, donc cette affirmation ne devrait-elle pas être comparée à des preuves réelles de vagues de COVID qui pourraient ne pas avoir été atténuées par la consommation d’œufs? Quoi qu’il en soit, je m’égare… ou peut-être pas.
Dans le cadre de cette étude, l’argument semble suggérer que les anticorps du jaune d’œuf peuvent en fait empêcher la protéine de pointe de se lier à l’ACEII.
Ce serait formidable si c’était vrai, mais c’est seulement vrai si l’on se contente de lire le titre.
De la même manière que l’esprit critique semble avoir été subverti dans le cas des œufs et des caillots sanguins, il semble que beaucoup d’esprit critique ait manqué dans la diffusion de cette étude.
Lorsqu’on vous présente ces anticorps de jaune d’œuf de poule, demandez-vous ce qui les rend tellement spéciaux plutôt que de leur prêter des pouvoirs magiques et bienveillants.
Car si vous y réfléchissez, vous devriez probablement comprendre que ces anticorps ne devraient pas avoir une capacité de liaison inhérente à un antigène – les anticorps ne fonctionnent pas ainsi. Le système immunitaire doit être mis en présence de quelque chose au préalable afin de créer les anticorps nécessaires pour cibler l’antigène.
Et c’est exactement ce qui s’est passé dans cette étude. Les chercheurs ne se sont pas contentés d’isoler des IgY à partir de jaunes d’œufs de poules choisis au hasard. Au contraire, les œufs provenaient de poules immunisées qui avaient reçu un vaccin contenant la sous-unité S1 de la protéine de pointe:
La protéine S1 recombinante purifiée du SARS-CoV-2 a été mélangée et émulsionnée avec l’adjuvant immunitaire de Freund en volume égal, puis utilisée comme immunogène. Chaque poule a reçu une injection (intramusculaire) de 150 μg de la protéine de pointe recombinante sous les ailes, une fois par semaine pendant 4 semaines, puis les IgY ont été extraites et le titre évalué.
Donc non, ce n’est pas comme si les anticorps tirés du jaune d’œuf avaient une caractéristique inhérente et unique différente de la nôtre. Au contraire, ils fonctionnent de la même manière que nos propres anticorps, les IgY étant comparables aux IgG chez l’homme3.
D’après Müller, et al. La structure entre l’IgY trouvé chez les poules est comparée à l’IgG trouvé chez les humains. Les structures sont comparables, la différence notable étant la région charnière présente dans les anticorps IgG.
Et non, manger un simple jaune d’œuf ne fournira pas d’IgY anti-protéine de pointe magique – encore une fois, la poule devrait avoir été immunisée au préalable (d’après Müller, et al.).
La production d’IgY commence par l’immunisation des poules.
Les IgY sont une forme alternative et peu coûteuse d’anticorps polyclonaux. Pour l’immunisation, les poules ont reçu une injection intramusculaire d’antigènes spécifiques à plusieurs intervalles. Les anticorps sont transférés de la poule à sa progéniture via le stade latent de l’œuf. Le poussin immuno-incompétent est capable de résister à diverses maladies infectieuses grâce au système immunitaire inné transmis par la poule. Le transfert des anticorps IgY du sérum maternel au jaune d’œuf est analogue à la transmission transplacentaire chez les mammifères [12]. Pendant les derniers jours de la phase de développement embryonnaire, les IgY sont transportés à travers la membrane du sac vitellin dans la circulation sanguine de l’embryon [13]. Des études récentes montrent que le transfert des IgY du sérum au jaune d’œuf est un processus médié par les récepteurs qui permet un transfert sélectif des anticorps du sérum maternel [14, 15]. Des recherches ont confirmé qu’une séquence spécifique (His-Glu-Ala-Leu: HEAL) dans la région FC et une région charnière intacte sont nécessaires au transport. Les modifications de cette séquence d’acides aminés inhibent le transport des IgY dans le jaune d’œuf. Environ 4 à 6 jours après l’inoculation, les IgY peuvent être détectées dans le jaune d’œuf [16, 17].
Mais là encore, ne serait-il pas plus facile de manger les poules étant donné que les IgY apparaissent dans le sérum des poules? Je parie que beaucoup de gens ne voudraient pas manger des poules vaccinées de toute façon, étant donné les circonstances.
Et cela n’aurait probablement pas d’importance, car les IgY ne semblent pas survivre à la voie gastrique en raison du faible pH, sans même tenir compte de ce que la cuisson ferait au contenu en IgY avant même qu’il n’atteigne votre bouche.
Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit là encore d’une affirmation largement diffusée, mais qui n’est même pas étayée par la littérature citée.
Je me demande donc combien de personnes ont pris la peine de lire l’étude et ont remarqué qu’il fallait vacciner les poules pour qu’elles produisent des anticorps!
Rien de tout cela n’a de sens, et pour être tout à fait honnête, je suis en fait frustré par le fait que tout cela a retenu autant l’attention.
L’ « équipe des sceptiques » affirme être plus critique et s’intéresser davantage à la littérature, et pourtant des études comme celles-ci continuent à circuler sans aucun scepticisme ou recul sur le contenu réel de ces articles.
Emergence d’une nouvelle maladie de Creutzfeldt-Jakob : 26 cas de la version humaine de la maladie de la vache folle, quelques jours après une injection de COVID-19
Pour ceux qui ne le savent pas, la maladie de Creutzfeldt-Jakob est une maladie à prions débilitante et rapide qui entraîne une perte soudaine de la fonction motrice, de la capacité de parler et, éventuellement, de la fonction des organes, car le cerveau se détériore et ne peut plus envoyer de signaux au reste du corps. En général, la mort peut survenir après qu’une personne atteinte de la MCJ ne puisse plus respirer.
Au dire de tous, la MCJ est littéralement une maladie à une chance sur un million, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles tout rapport sur un seul diagnostic de MCJ excédentaire peut susciter des soupçons quant à sa cause.
Mais la progression de la MCJ est également soudaine. L’espérance de vie d’une personne diagnostiquée avec la MCJ est généralement de quelques mois, ce qui signifie qu’au moment où les symptômes se manifestent, le patient n’a plus beaucoup de temps à vivre.
Du CDC. Le tableau ci-dessus faisait partie d’un tableau plus large énumérant les caractéristiques de la MCJ. Notez que la durée médiane de la maladie est d’environ 4 à 5 mois. [Durée médiane de la maladie: 4-5 mois – 13-14 mois]
Un article du NIH indique également qu’environ 70% des patients atteints de la MCJ meurent dans l’année qui suit leur diagnostic.
Quelle que soit la façon dont on la considère, la MCJ est une maladie rapide et progressive.
C’est pourquoi l’article de ResearchGate dont le lien figure ici soulève de sérieuses questions, puisqu’il mentionne à plusieurs reprises que la MCJ met des décennies à se manifester, plutôt que des mois.
Peut-être ai-je mal lu l’article, mais là où le mot « décennie » est mentionné, aucune citation n’est fournie. Le seul texte qui semble s’approcher de ce que l’on déduit est celui-ci:
Nous résumons également dans les figures 1 à 3 certaines des différences surprenantes entre cette nouvelle forme de maladie de Creutzfeldt-Jakob à développement rapide et la maladie à prions beaucoup plus lente connue auparavant par des symptômes similaires mais se développant non pas en quelques semaines ou évoluant vers un décès en un an environ, mais se développant sur environ une décennie et durant une ou plusieurs décennies supplémentaires.
Encore une fois, peut-être que j’ai mal lu, mais les figures 1 à 3 ne semblent pas fournir de comparaison entre la MCJ et la nouvelle forme supposée apportée par les vaccins, et je reste donc sur ma faim quant à l’origine exacte des preuves qui suggèrent que la MCJ met des décennies à se manifester5.
Cet article est plus une anecdote, mais c’est l’un des nombreux articles que j’ai vus qui ont été cités et utilisés pour faire avancer un argument alors que des questions auraient dû être soulevées quant à l’interprétation qui en est faite.
Dans le cas de l’article de ResearchGate, il est possible que la MCJ soit liée aux vaccins, mais alors pourquoi le tourner de manière à minimiser le moment réel de la manifestation et du décès de la MCJ, si ce n’est pour créer un récit selon lequel la MCJ due aux vaccins est complètement différente des autres formes de MCJ.
Et puis, qu’en est-il de tous ces rapports sur les œufs? Il est clair que l’étude de Wei et al. elle-même mentionne que les poules ont été vaccinées au préalable. En fait, toute personne qui a acquis des connaissances en immunologie au cours des trois dernières années aurait probablement dû supposer que c’était le cas.
S’agit-il d’un cas où les gens n’appliquent pas les connaissances qu’ils ont acquises, ou est-ce que le narratif peut rapidement prendre le pas sur la pensée critique pour coïncider avec la pensée de groupe? Peut-être une dissonance cognitive est-elle en jeu?
Quelle qu’en soit la raison, il n’en reste pas moins que ce problème d’information n’est pas apparu soudainement. Il semble exister depuis l’apparition de COVID et, en toute franchise, il est peut-être simplement révélateur de la façon dont la science est relayée.
Mais cela ne signifie pas qu’il faut s’en contenter. Si nous voulons vraiment faire preuve de diligence raisonnable et nous assurer que des informations exactes sont diffusées, nous devons vérifier nos sources avant d’en faire état.
Plus important encore, nous devrions faire de notre mieux pour corriger les erreurs flagrantes. Permettez-moi d’être clair et de dire que je suis aussi faillible que n’importe qui d’autre, c’est pourquoi je dis que chacun devrait vérifier que mes sources ne contiennent pas d’erreurs.
Et en fait, cela aurait dû être le cas depuis le début. Si nous voulons plaider en faveur de la liberté d’expression, il nous faut plaider en faveur d’un discours ouvert. Au lieu de cela, on a l’impression que n’importe quelle idée peut être lancée sans trop se soucier des preuves, et qu’un public non averti, qui a peut-être placé sa confiance en quelqu’un, n’a aucune idée de la réalité des affirmations faites.
C’est une chose dont j’espère que beaucoup de gens prendront conscience.
Zhu, W., Wang, Z., Tang, W. H. W., & Hazen, S. L. (2017). Gut Microbe-Generated Trimethylamine N-Oxide From Dietary Choline Is Prothrombotic in Subjects.Circulation, 135(17), 1671–1673. https://doi.org/10.1161/CIRCULATIONAHA.116.025338
Perez, jean-claude & Montagnier, Luc. (2023). Emergence of a New Creutzfeldt-Jakob Disease: 26 Cases of the Human Version of Mad-Cow Disease, Days After a COVID-19 Injection. 10.5281/zenodo.7540331.
Pour étayer l’argument, il est possible que les auteurs aient fait référence à une différence dans le mode de développement de la MCJ. La plupart des MCJ surviennent sans explication connue, donc dans ce cas, on peut argumenter qu’il y a des caractéristiques qui semblent être uniques avec les vaccins. L’article fait référence à la région de la protéine de pointe censée former des prions, que beaucoup d’autres ont désignée comme coupable, mais là encore, l’organisation de l’article semble éluder toute comparaison avec la MCJ typique.
Commentaire
J’ai vu cette étude sur les œufs censés protéger contre le covid – j’ai même pensé qu’elle avait probablement été écrite dans le seul but que les « anti-vaxx » la citent pour ensuite leur rétorquer que l’étude ne dit pas ce que ces gens pensent qu’elle dit – ces gens sont des idiots. Quand quelque chose est trop évident et a été financé par big pharma, il faut l’examiner attentivement.
Quelques remarques, ajouts et questions par rapport au contenu publié la semaine dernière.
Note: Je ferai peut-être dorénavant un billet hebdomadaire pour emballer les nouvelles de la semaine écoulée (à lire pour savoir de quoi je parle ci-dessous) et en donner quelques autres que je n’ai pas traitées.
Sasha et Katherine ont raison: toute l’opération implique la défense américaine, et plus spécifiquement, le renseignement. La question à poser ensuite: qui contrôle les deux?
Le raisonnement de Sasha Latypova et de JJ Couey sur la faisabilité d’une vraie pandémie virale est valide, tant qu’on s’en tient au secteur civil. Le problème ici est qu’il s’agit d’une opération militaire. Le Dr Lee Merritt rappelait ici que pour toute arme se pose la question de son déploiement et émettait quelque temps plus tard l’hypothèse d’épandages aériens de spores, ce qui colle assez bien avec mes propres observations en 2020: les lieux, autant que les humains, semblaient des sources de contamination majeures.
Le Dr Steven Quay émettait la même année l’hypothèse que le lieu de contamination initial était la ligne 2 du métro de Wuhan, où transitent quotidiennement un million de personnes (ici, ici, ici). Si quelqu’un voulait diffuser un pathogène, j’imagine que le métro serait l’endroit idéal. Je ne fais pas que l’imaginer, d’ailleurs, puisque le Dr Igor Shepherd explique ici que ça a déjà été utilisé en 1977 dans le métro de St-Petersbourg, occasionnant 70 000 morts.
On en est réduits à un jeu de devinette: la recherche militaire a quarante ans d’avance sur son équivalent civil et dispose vraisemblablement de biotechnologies uniques, de centres dont personne, en dehors d’un cercle très étroit, n’a jamais entendu parler – je doute que Fort Detrick et l’Institut de Virologie de Wuhan soient autre chose que des fausses pistes – et de moyens de déploiement sans équivalent civil.
Quant au débat sur les mille laboratoires où on pratique le gain de fonction, il faut y ajouter maintenant un nouvel élément: celui de laboratoires vivants, au système immunitaire reprogrammé susceptible de générer de nouvelles souches, avec l’aide d’anti-viraux dont on sait maintenant qu’ils sont mutagènes – Paxlovid, Molnupiravir (deux articles dans Nature) et Remdesivir (un article dans Cell). Ces nouveaux laboratoires, il y en a environ quatre milliards.
Le conflit en Ukraine aura permis au complexe militaro-industriel américain de se refaire une santé en liquidant ses stocks, qu’ils factureront à l’Etat, et en mettant leur matériel à l’épreuve du terrain, avec l’aimable participation de l’armée russe. C’est la norme de toutes les guerres menées précédemment par les US hors de son territoire (Vietnam, Irak, etc.). Résultat: contre un armement russe simple, efficace et peu coûteux, il ne tient pas la route. Il est très cher à l’achat, trop sophisitiqué et donc fragile et demande une longue formation et une maintenance maximum, très coûteuses également – en réalité, il tient davantage du produit financier que de l’armement. L’Etat américain accordera donc au complexe militaro-industriel des sommes astronomiques pour la R&D d’une nouvelle génération d’armement, sommes prélevées sur l’argent public, dont le siphonnage au nom de tout et n’importe quoi reste la seule constante en temps de paix ou de guerre.
Même arnaque en Europe où on va se réarmer – face à la « menace russe », je suppose. En président responsable, Macron met le paquet. Pendant ce temps, le conflit en Ukraine ne durera finalement pas jusqu’au dernier Ukrainien vivant, comme il était annoncé par leur président et ses alliés occidentaux. On aura jugé que la phase armée a fait son office, puisqu’il n’est plus maintenant question que de « reconstruction« , qui mettra ce qui reste du pays entre les mains des grands investisseurs. Tout ça sent la collusion à plein nez, y compris côté russe, qui gardera vraisemblablement les territoires conquis. Pauvre Ukraine!..
Pour citer un rejeton du renseignement américain, Frank Zappa, « La guerre est un autre nom pour un échange commercial entre deux pays ». Dans un registre moins rock’n’roll, il y a le bouquin de Smedley Butler, qui n’a rien perdu de son actualité. Extrait:
« J’ai passé trente-trois ans et quatre mois en service actif au sein de la force militaire la plus mobile de notre pays: le corps des Marines. J’ai occupé tous les grades d’officier, de sous-lieutenant à général de division, et, durant cette période, j’ai consacré le plus clair de mon temps à servir le grand capital, Wall Street et les banquiers, comme homme de main de haut vol. En bref, j’ai été un racketteur à la solde du capitalisme. C’est ainsi que j’ai contribué, en 1914, à faire du Mexique, et spécialement de Tampico, un lieu sûr pour les intérêts pétroliers américains. J’ai aidé Haïti et Cuba à devenir des endroits suffisamment respectables pour que les hommes de la National City Bank viennent y gagner de l’argent. En 1909-1912, au Nicaragua, j’ai participé à l’épuration au profit de la banque internationale Brown Brothers. En 1916, j’ai apporté la lumière à la République dominicaine pour le compte des intérêts sucriers américains. En 1913, j’ai fait en sorte que le Honduras soit mûr pour accueillir les compagnies fruitières des États-Unis. En Chine, en 1927, j’ai veillé à ce que la Standard Oil puisse vaquer à ses activités sans être inquiétée. Pendant toutes ces années, comme l’auraient dit les hommes attablés dans l’arrière-salle, les affaires ont superbement marché pour moi. J’ai été récompensé par des honneurs, des décorations, des promotions. Quand je regarde en arrière, j’ai le sentiment que j’aurais pu rendre quelques points à Al Capone. Au mieux, il ne pouvait pratiquer son racket que sur trois arrondissements de la ville, alors que nous, les Marines, opérions sur trois continents. »
Les Etats-Unis brûlent tous les ponts depuis un certain temps, en prenant la tête de l’Opération Covid, en prenant tous les risques avec la « communauté internationale », c’est-à-dire nous (cf. Nordstream 2), en compromettant en interne leur secteur industriel et énergie par le délire du Green New Deal. Catherine Austin Fitts, assez bien placée pour le savoir, rappelle ici que les investisseurs ont retiré leurs billes des Etats-Unis depuis vingt ans. Deux issues possibles: soit ils implosent, et l’Europe avec eux, soit, comme le prévoyait Miles Mathis, le détournement « woke » de la Gauche sociale – celle qui ne jurait que par l’Ukraine tout en jetant à la rue sa propre population – aura été utilisé pour en dégoûter le peuple, qui réclamera un retour à une Droite nationale salvatrice. C’est la seconde tendance qui a l’air de s’annoncer aussi bien chez eux qu’en Europe occidentale (voir ce qui se passe en Italie), dans le même cas de figure. On commence à sentir un rétropédalage sur la politique verte et tout ce genre d’âneries, et repoindre d’autres choix sociétaux traditionnels tels que la formation et le travail. Remettra-t-on aussi la famille au goût du jour? Dans ce domaine, il y a aussi pas mal de « reconstruction » à la clé. Wait and see…
Les Etats-Unis annoncent maintenant ce que j’annonçais ici il y a un an: un conflit avec la Chine en 2025. A cause de Taïwan, bien entendu. Le récent coup du ballon-espion, du niveau « L’île aux enfants« , devrait suffire à comprendre que c’est un nouvel acte dans la même pièce de théâtre: depuis le conflit en Ukraine, le discours officiel (télévision) et alternatif (sur le Net) nous rebat les oreilles d’une possible escalade nucléaire, l’OMS s’en mèle maintenant avec des recommandations sur les dangers d’irradiations. Ça n’aura pas eu lieu avec la Russie, on remet le couvert avec la Chine. Dans les deux cas, comme mes lecteurs le savent, c’est du pipeau. Si guerre cinétique il y a, ce sera avec armes « conventionnelles » et troupes. Vladimir Boukovski écrivait à juste titre que seuls les occidentaux pensent qu’on peut gagner une guerre avec des gadgets (voir plus haut). La Chine dispose d’une armée gigantesque, n’est tenue par aucune convention sur les armements et dispose donc de missiles à (très) longue portée. Si un navire de guerre (porte-avions et/ou lance-missiles) s’aventure un peu trop près de leurs côtes, il sera promptement désintégré. La suite au prochain épisode, et rendez-vous dans deux ans pour le dénouement.
Une réflexion intéressante qu’ont eue deux personnes très intelligentes – mon épouse et John C Dvorak – sans se consulter: nous sommes dans un schéma de violence familiale, où le mari (les Etats-Unis) bat la femme (les gouvernements européens) tandis que les enfants (les peuples) assistent, impuissants, et en font les frais. Chouette petite famille.
Bientôt sur vos écrans
Les oeufs aident à prévenir le Covid. Ce n’est pas une connerie, c’est sur Science Direct. Une des raisons pour les problèmes de production et leur remplacement par des substituts végétaux? Si vous avez un bout de terrain, prenez des poules (trois au minimum)! Ce sont des animaux très agréables et amicaux, de bons compagnons, qui mangent quasiment tout et n’importe quoi, et qui pondent. Si vous vous retrouvez avec trop d’oeufs, comme c’est probable (trois oeufs par jour, ça va vite), vous pouvez télécharger le livre (gratuit) de Mimi Dvorak sur toomanyeggs.com (en anglais, utilisez un traducteur automatique), qui vous donnera 800 recettes pour les accommoder. Ou donnez-en à la famille, aux voisins ou à des sans-abri. Cuits durs, dans ce cas.
Et encore d’autres sujets passionnants en fonction de l’actualité ou de mes trouvailles.
Sasha et Catherine, deux femmes courageuses que j’ai été le premier à publier en français (vous pouvez vérifier). Ceci aborde justement ce que je me préparais à écrire – synchronicité? – et que j’écrirai quand même.
Pour les nouveaux arrivés, vous pouvez trouver les articles de Sasha et Catherine en faisant une recherche dans le Sommaire.
Si j’ai le temps (air connu), je ferai la transcription/traduction de la vidéo.
« La Réinitialisation Directe » expliquée par Catherine Austin Fitts
Sasha Latypova
3 février
On me demande souvent: « Pourquoi le Ministère de la Défense (le gouvernement américain, tous les gouvernements mondialistes occidentaux) agit-il contre le peuple, et tue et blesse-t-il sa propre population » ? La réponse tient en grande partie à la création d’argent. Il ne s’agit pas de savoir combien d’argent quelqu’un a en ce moment précis, mais de savoir qui pourra en gagner davantage à tout moment. Le gouvernement américain et son Ministère de la Défense, en particulier, étaient incapables de rendre compte d’environ 21+ trillions de dollars il y a quelques années (qui sait à combien s’élève ce chiffre aujourd’hui?) [NdT. j’ai publié ceci à ce sujet en 2020], de vastes promesses ont été faites par des politiciens pour acheter le soutien des électeurs, promesses qui ne pourront jamais être tenues (Sécurité Sociale et autres droits), et plus récemment, des trillions de dollars ont été versés à des entreprises copines – maintenant fusionnées avec le gouvernement et impossibles à distinguer de celui-ci.
Je suis une fan de Catherine Austin Fitts – une ancienne initiée du gouvernement, banquière d’investissement et aujourd’hui éditrice à succès. Je recommande vivement sa publication, le Rapport Solari. L’article qui nous intéresse particulièrement aujourd’hui est décrit dans le « 2020 Wrap Up » ici avec John Titus [NdT. John Titus, ici en français], et dans une interview récemment publiée ci-dessous.
Les gouvernements en faillite sont différents des entreprises en faillite parce qu’ils peuvent imprimer de l’argent pour retarder leur faillite (au lieu d’être obligés de se restructurer par un tribunal des faillites). Cependant, cette méthode n’est pas non plus sans limite. À un moment donné, l’impression de monnaie et le vol ne peuvent plus continuer. Il est difficile d’estimer exactement quand ce seuil sera atteint, mais il est toujours atteint. Plusieurs monnaies de réserve et de nombreuses monnaies mineures ont existé et ont disparu au cours de l’Histoire. Lorsque le seuil final est atteint, il est extrêmement rapide et impossible à arrêter. La politique monétaire américaine est devenue « directe » en août 2019, comme Catherine l’explique dans son interview, et la « pandémie » qui avait été planifiée à l’avance (probablement spécifiquement pour cette éventualité) a été déclenchée à la fois pour couvrir cela (temporairement) et permettre de fermer l’économie tout en libérant un tsunami d’argent imprimé pour s’emparer davantage du pouvoir centralisé, des actifs à bas prix, déstabiliser et enlever le pouvoir à toute opposition potentielle.
Il est important de noter que pour les « propriétaires » (de la source d’argent), il s’agit également de restructurer leur bilan déséquilibré, c’est-à-dire leur passif incontrôlé. Il ne s’agit pas seulement des retraités des pays occidentaux qui ont été endormis par des promesses d’utopie socialiste, bien qu’ils constituent évidemment un groupe important de créanciers. Chaque personne, quel que soit son âge, possède une « créance sur actifs » sous la forme d’une utilisation de la provision en dollars (ou de ce qui succédera au dollar). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la pression en faveur de « vaccinations » réduisant l’espérance de vie est si massive en Occident et semble beaucoup moins importante en Afrique (où les gens ne valent pas autant par tête en termes de dollars).
La guerre actuelle contre le peuple fait partie de la restructuration que les « propriétaires » mondialistes (propriétaires des banques centrales) tentent de mettre en place – en passant par la réinitialisation directe et en tentant de créer des MNBC [monnaie numérique de banque centrale]. Il s’agit également lutter pour savoir quel fausse monnaie numérique constituera la « réserve mondiale », et nous voyons donc les États-Unis se battre contre la zone Euro, la Russie et la Chine à différents stades de guerre économique/bioterroriste, en train de prendre le chemin d’une guerre cinétique. Pendant ce temps, la Russie, la Chine et la zone Euro restructurent frénétiquement leurs bilans en assassinant et en terrorisant leurs propres citoyens.
Pour réussir, les propriétaires doivent installer un système mondial de contrôle totalitaire par le biais de divers moyens technologiques de surveillance, réduire la population, appauvrir et terroriser complètement les survivants. Je crois personnellement qu’ils ne réussiront pas parce qu’ils ne disposent pas de la technologie qu’ils revendiquent (ils mentent beaucoup à ce sujet) et qu’ils ne seront pas en mesure de la mettre en place à temps avant que la situation ne se dégrade totalement. Plus nous sommes conscients et éduqués sur ce qui se passe exactement, plus nous avons de chances de survivre à ce chaos. Reconnaître la réalité est la seule façon d’avancer. Malgré l’horreur de ce qui s’est passé, je suis optimiste quant à l’avenir, en partie parce que j’ai rencontré des gens comme Catherine Austin Fitts lors de ce littéral voyage en enfer. [NdT. moi aussi!]
Un court article de Katherine Watt ce soir, qui complète celui d’hier de Sasha Latypova. Pour bien situer le contexte – et pour ceux qui ne l’auraient pas lu – Sasha détaille ici de long en large le fait que c’est le Ministère de la Défense américain qui contrôle toute la « réponse » Covid, au niveau mondial. Katherine a aussi beaucoup écrit sur le sujet, avec énormément de références, c’est un gros boulot de faire le tri pour en retirer les infos essentielles.
Comme je l’écrivais cette semaine, il y a des tonnes de nouvelles en ce moment. J’ai aussi un éclairage à donner sur cette histoire de « fuite de laboratoire », avec quelques éléments à ajouter à l’équation – et peut-être un petit appel à nos amis allemands. C’est vendredi soir, j’ai la flemme d’écrire. Je m’y mets demain.
Des « nouvelles de dernière minute », des « révélations » et des analyses frénétiques pointant de plus en plus Pfizer du doigt sont diffusées pour détourner la colère du public du complexe DOD-HHS [Ministère de la Défense/de la Santé] et l’orienter vers des éléments sacrifiables.
Les dirigeants et les employés de Pfizer sont des criminels coupables de meurtres de masse, c’est entendu, et ils devraient faire l’objet d’une enquête, être poursuivis, jugés, condamnés et punis, tout comme leurs complices du gouvernement.
Mais Pfizer en tant que marque n’est pas indispensable. BioNTech n’est pas indispensable. Moderna, Advanced Technology International (ATI), Analytic Services Inc. (ANSER), Emergent Biosolutions, BioPort, EcoHealth Alliance…
Toutes ces sociétés écrans peuvent être dissoutes autant de fois que nécessaire, et reconstituées sous de nouvelles raisons sociales autant de fois que nécessaire.
Le système de santé publique et militaire américain (DOD+HHS+DHS+DOJ+DOS…) – le gouvernement américain infiltré et partiellement renversé – ne pourra pas être réétiqueté une fois que le peuple aura compris la campagne de meurtres de masse que les imposteurs du service exécutif supérieur (SES) mènent depuis son sein.
Les secrétaires imposteurs du Cabinet, les présidents Biden/Obama/Harris, les banquiers centraux mondialistes [NdT. la BRI, j’y reviendrai] qui tirent les ficelles, et les médias de masse sont tous ensemble à la croisée des chemins.
Ils peuvent:
Poursuivre l’arnaque – en sacrifiant Pfizer et d’autres co-conspirateurs à l’appétit de justice du public si nécessaire – tout en installant progressivement les systèmes de gouvernement mondial par le biais de lois votées et financées par un Congrès Potemkine et ratifiées par l’immobilité silencieuse de tribunaux Potemkine (passeports vaccinaux, MNBC, etc.).
Accélérer l’implosion du gouvernement américain et inviter les fonctionnaires du gouvernement mondial qui se tiennent prêts aux Nations Unies, à Washington DC et dans le reste du pays, à former un gouvernement intérimaire permanent pour l’État américain en déroute.
Se soumettre à leur expulsion par le gouvernement légitime des États-Unis (le reste des membres du Congrès et des juges fédéraux courageux, authentiques, non imposteurs, non traîtres et non sournois); se soumettre aux poursuites et aux procès; puis assister depuis leur prison à la reconstitution laborieuse d’institutions gouvernementales souveraines légitimes à partir des décombres.
Ils préfèrent l’option 1.
Ils tenteront l’option 2 s’ils se sentent poussés par les circonstances.
Je me rends compte que j’ai assez peu relayé Sasha depuis son interview et ceci, ce qui est un comble vu que c’est une des seules voix « alt-Covid » à qui je fais confiance – même remarque pour Katherine Watt. Depuis cette fameuse interview – beaucoup lue, vu que je suis un des seuls à la publier en français et que mes lecteurs ont du goût – Sasha a créé son propre Substack. J’y pêcherai d’autres articles prochainement. Pour ne rien gâcher, elle y joint habituellement une photo de ses magnifiques peintures, comme elle. Une femme d’une beauté stupéfiante, d’une grande intelligence et d’un grand courage – et ukrainienne, ce qui devrait m’éviter, j’espère, la ridicule étiquette « pro-russe ».
Voici un billet très ponctuel – avec un peu de retard, que je rattrape lentement mais sûrement – qui démonte une intox dont j’imagine que tout le monde parle, pas toujours à bon escient. Ponctuel ou non, comme tout ce qu’écrit Sasha, c’est une lecture essentielle. En préambule, pour mieux comprendre la maintenant célèbre notion de « gain de fonction » et ses limites, je vous renvoie à mon article sur JJ Couey.
Un scénario de film où « Contagion » rencontre « Idiocratie »
Sasha Latypova
26 janvier
Un billet en vitesse. On m’a demandé de commenter la vidéo « explosive » publiée par le Projet Veritas, dans laquelle un « cadre supérieur en R&D de Pfizer » fait des déclarations sur « l’évolution dirigée » du virus du covid, que Pfizer envisage de mettre en œuvre.
BREAKING: @Pfizer Exploring "Mutating" COVID-19 Virus For New Vaccines
"Don't tell anyone this…There is a risk…have to be very controlled to make sure this virus you mutate doesn't create something…the way that the virus started in Wuhan, to be honest."#DirectedEvolutionpic.twitter.com/xaRvlD5qTo
D’abord, concernant cette personne. Je ne sais pas qui il est, certaines personnes tentent actuellement de vérifier s’il travaille chez Pfizer. Supposons pour l’instant qu’il travaille chez Pfizer. Son titre est directeur des opérations de R&D et de la planification scientifique. Il faut bien comprendre que ce domaine n’est PAS un domaine scientifique. Il ne travaille pas dans un laboratoire. Il gratte du papier, crée des présentations PowerPoint et d’autres documents et parle aux fournisseurs. Pfizer EXTERNALISE tout le travail scientifique et les essais cliniques. Personne en interne chez Pfizer ne fait quoi que ce soit en rapport avec le produit afin de se dégager de toute responsabilité et de laisser les sous-traitants commettre des fraudes en leur nom (afin que les dirigeants aient toujours une dénégation plausible).
De plus, ce type n’est pas intelligent. Il est ivre, mais il a aussi clairement un QI moyen. C’est exactement ce genre de personne que Pfizer a embauché en masse au cours des dix dernières années ou presque, tout en se débarrassant de personnes intelligentes et expérimentées qui savaient comment concevoir et développer des médicaments, parce qu’elles posaient trop de questions gênantes et ne se seraient pas laissées embobiner si facilement pour implémenter un meurtre de masse sous le nom de « réponse covid ».
Bien sûr, ce type n’a aucune morale.
Il parle de « virus mutant » ou d’ « évolution dirigée » et les décrit de la même manière que Peter Daszak et Ralph Baric dans leurs propositions au NIH – mêmes termes, mêmes plans expérimentaux et mêmes idées, et ce même scénario existe depuis des décennies. Savez-vous comment je le sais? J’ai un livre sur les armes bio-chimiques publié en 1970 en Union Soviétique, et j’en ai aussi un publié par le NIH en 2018. Ils répètent les mêmes choses et les mêmes concepts. Le type de Pfizer a probablement tiré son scénario des mémos de BARDA/DARPA. BARDA finance 50% de la R&D pharmaceutique aujourd’hui. Il ne s’agit cependant que d’un narratif. Il n’y a aucun moyen de « faire muter des virus » en laboratoire comme ils le laissent entendre – pour les rendre artificiellement plus mortels et plus transmissibles à la fois. Il s’agit d’un conte de fées de propagande avec un objectif très précis. Vous devriez être très prudents à l’égard de toute personne (de « leur » côté ou du « nôtre ») qui le répète en prenant un air sérieux.
Bien sûr, les scientifiques peuvent expérimenter avec des soupes d’ADN/ARN et faire se développer des choses dans des boîtes de Pétri. Ils peuvent concevoir des mutations sur ordinateur et essayer diverses concoctions. S’agit-il de « virus » qui peuvent « s’échapper d’un laboratoire » et « infecter le monde »? Non. La preuve en est qu’alors qu’il y a 1000 laboratoires biologiques aux États-Unis et dans le monde occidental qui jouent avec des virus, aucune pandémie ou épidémie n’a résulté de ces activités. Je vous assure que pas un seul laboratoire académique n’a jamais été capable de suivre les procédures opérationnelles standard de base, et s’il existait une chose telle qu’une « fuite de virus dangereux », nous en aurions constamment. Si une telle chose existe réellement et que nous en avons eu constamment, cela signifie que nous sommes tous déjà bien adaptés à ces fuites! Des regroupements locaux de maladies ont été détectés, il s’agit probablement de « tests de déploiement » plutôt que d’une véritable « fuite ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes à chaque fois.
Des souris s’échappent de ces laboratoires tout le temps – où est la pandémie de souris?
The Mouse King [NdT. article de Sasha sur ce sujet, très rigolo et bien écrit – faudra que je traduise?]
L’homme dans la vidéo parle de faire passer les virus d’un animal à l’autre – une technique de longue date dont on sait qu’elle ne donne rien, car les virus ne font que s’atténuer dans ce processus. Et ce, pour autant que l’on puisse reproduire une infection d’un animal à l’autre. C’est impossible. Pfizer s’est rendu célèbre pour son incapacité à infecter les singes avec le virus Sars-Cov-2 dans ses études précliniques pour son « vaccin ». Et dans ces études, ils n’essaient même pas de produire une infection d’animal à animal (parce qu’ils savent que cela ne fonctionne pas), ils pulvérisent les animaux directement dans le nez et la bouche, et généralement la quantité de liquide est suffisante pour atteindre les poumons et leur donner une pneumonie, surtout pour les petites espèces comme les souris.
En parlant de souris, vous vous souvenez de la récente étude tristement célèbre de l’université de Boston où l’on a « muté le virus » pour produire un covid tueur à 80%? [NdT. j’avais naïvement relayé l’histoire avant de la rétracter avec cet article] Aucune souris n’a été infectée par d’autres souris et 8 souris sur 10 qui sont mortes ont été euthanasiées par les chercheurs parce que (elles allaient mourir?). Oui, celui-là. C’est la même histoire de science bidon que cette personne ivre déballe au journaliste du Projet Veritas qui pense avoir un scoop!
Une autre affirmation tout droit sortie de BARDA/DARPA – il s’agit de « prédire les mutations » et de « développer des vaccins de manière proactive ». Un non-sens total. Vendu par des psychopathes titulaires d’un doctorat à un public désespérément crédule et à des politiciens qui acquiescent et accordent des milliards de dollars de financement pour la « préparation à la pandémie ». C’est là que se situe le nœud du problème. Il ne s’agit pas seulement d’un babillage stupide et scientifiquement inepte. Il s’agit en fait d’un récit de propagande militarisée très bien pensé, destiné à faire avancer la chose la plus importante pour les auteurs de ce crime mondial:
Ces criminels ont désespérément besoin, à tout prix, que vous croyiez que « la mutation de virus en laboratoire » aboutit à un résultat terrifiant, qui peut ensuite être « divulgué ». Que tout le monde peut le faire, même un étudiant en doctorat dans son garage*. Que nos ennemis le font et qu’ils vont « libérer » un virus super terrifiant à tout moment, à moins que le gouvernement ne soit « préparé » en constituant un stock de « vaccins prédictifs » qui peuvent être déployés en quelques jours après la détection d’un nouveau virus terrifiant en Chine. Ou à Tombouctou.
(*) [NdT. je suppose qu’il faut que je rétracte aussi ceci et que je remette en question l’intégrité de l’auteur]
Connaissez-vous l’histoire de cette ville italienne au bord de la mer où toutes les vitrines des magasins se faisaient briser, et une fois remplacées, briser à nouveau, et où enfin un couple de gars sympas passait dans chaque magasin et vendait une « protection » aux propriétaires de magasins et où les vitrines restaient intactes tant que la protection était payée chaque mois? Savez-vous qui brisait les vitrines?
C’est la même histoire, mais racontée avec des marionnettes qui coiffent des casquettes de spécialistes des virus. Sauf que les auteurs de l’histoire sont plus intelligents que les frères italiens – ils convainquent tout le monde par la propagande et quelques produits chimiques habilement déployés que des virus terrifiants seront libérés (ou fuiront), puis vendent la « protection » du gouvernement. Cette fois, dans cette phase, ils comptent tuer pour de bon – ils se préparent à orchestrer la panique mondiale en prétendant qu’un terrifiant virus évolutif prédictif muté a effectivement fui d’un laboratoire (et n’a pas sauté d’une chauve-souris sur un marché comme la dernière fois). Ils ont déjà toutes les images vidéo de personnes tombant mortes dans les rues et autres matériels de propagande promotionnelle prêts à l’emploi. Ils l’annonceront dans un endroit reculé, et le traqueur de virus de Johns Hopkins s’emballera et coloriera en rouge le monde entier. Puis, dans les jours qui suivront, ils disposeront du « vaccin qui sauve des vies » et procéderont à la mise en place d’obligations, de quarantaines, d’injections, etc. dans un climat de panique totale, en attribuant toutes leurs morts à l’effrayant virus muté.
S’il vous plaît, NE TOMBEZ PAS DANS LE PANNEAU!
Je n’en suis pas certaine, mais je soupçonne fortement le Projet Veritas d’être ici victime de sa propre blague. Ils se sont fait avoir par les agences de défense qui ont « divulgué » ces informations « super secrètes » (qui sont placardées partout dans leurs documents publics et sur leurs sites Web, il suffit de les lire et le PV a avalé l’hameçon, la ligne et le plomb).
PS. Peu importe si la personne interrogée ici travaille vraiment pour Pfizer et croit vraiment ce qu’elle dit dans cette vidéo. Je suis presque sûr qu’il le croit et qu’il y travaille. C’est là l’essentiel. Du moment où on embauche des personnes d’un poids intellectuel limité et au sens moral non opérationnel (le système universitaire actuel est parfaitement adapté à la production de ce profil), il est facile de les former pour qu’ils répètent les propos voulus avec conviction.
Tout a commencé avant l’épidémie: chronologie du projet de vaccin de BioNTech et de Pfizer
Robert Kogon
30 janvier
Les étranges vidéos de Projet Veritas [NdT. je reviens juste après sur cette nouvelle intox] qui sont devenues ultra-virales sur Twitter ont sans aucun doute semé davantage de confusion dans l’esprit du public. Mais le véritable développeur et propriétaire du vaccin Covid-19 dit « Pfizer » est la société allemande BioNTech. La technologie de l’ARNm sous-jacente appartient à BioNTech et – à supposer que cela se soit produit – si une entreprise a modifié l’ARNm pour coder pour un variant maison du virus, ce doit être BioNTech.
Quoi qu’il en soit, comme nous l’avons vu dans mon dernier article, bien que le PDG de BioNTech, Ugur Sahin, affirme dans le livre The Vaccine que BioNTech a lancé son projet de vaccin Covid-19 le 27 janvier 2020, nous savons que ce n’est pas vrai : un rapport d’étude de BioNTech publié en réponse à une demande de FOIA montre que la société avait en fait déjà commencé les tests précliniques (sur les animaux) le 14 janvier.
C’est déjà assez étonnant, car le 14 janvier 2020 n’était que 2 semaines après le premier rapport des cas de Covid-19 à Wuhan. Ce même jour, d’ailleurs, l’OMS disait qu’il n’y avait pas de « preuve évidente » de transmission interhumaine. (Voir le tweet de l’OMS ici.) Pourquoi BioNTech aurait-elle commencé à travailler sur un vaccin contre le Covid-19 sans preuve évidente de transmission interhumaine?
A ce stade, Pfizer ne faisait pas partie du projet de vaccin C-19 de BioNTech. Comme raconté dans The Vaccine, la petite entreprise allemande, qui n’avait jamais eu de produit sur le marché, n’a réussi à recruter la multinationale américaine comme partenaire que trois mois plus tard (p. 156).
Nous savons donc que BioNTech a commencé les tests précliniques le 14 janvier. Mais, bien sûr, cela signifie que le projet en tant que tel a dû être lancé encore plus tôt. La formulation testée devait d’abord être produite. Dans ce cas, cela signifiait d’abord fabriquer l’ARNm, puis le formuler dans des nanoparticules lipidiques.
Comme évoqué dans mon dernier article, c’était en fait le but de l’étude : tester les performances de l’ARNm BioNTech formulé dans des lipides fabriqués par la société canadienne Acuitas. BioNTech n’était pas encore en mesure de fabriquer de l’ARNm codant pour un élément quelconque du virus SARS-CoV-2 – le génome complet n’avait été publié que la veille – et utilisait plutôt de l’ARNm codant pour un antigène de substitution (luciférase).
Combien de temps fallait-il donc pour que la formulation soit prête à être testée ? Heureusement, le livre de Sahin, coécrit par sa femme Özlem Türeci et le journaliste Joe Miller, fournit des détails techniques et logistiques pertinents. D’après le livre, la fabrication de l’ARNm – un processus comportant « des dizaines de milliers d’étapes » (p. 182) – prend cinq jours (p. 170 et 171).
Cinq jours nous amènent donc au 9 janvier. Mais l’ARNm doit encore être enveloppé dans les lipides, ce qui pose un problème logistique particulier: BioNTech ne peut pas le faire elle-même à son siège de Mayence, en Allemagne.
BioNTech disposait de ses propres lipides, mais ils se sont révélés inadaptés. Pour que l’ARNm soit enveloppé dans les lipides d’Acuitas, il a fallu l’expédier à un sous-traitant autrichien du nom de Polymun, près de Vienne.
L’ARNm a été transporté en voiture – un trajet de 8 heures, selon Sahin et Türeci – puis formulé dans les lipides par Polymun, et enfin la formulation a été ramenée à Mayence. Dans le livre, Sahin et Türeci décrivent un lot d’ARNm destiné à une étude ultérieure sur l’animal, qui a été achevé le 2 mars, expédié à Polymun, puis retourné à Mayence enveloppé dans les lipides le 9 mars (pp. 116 et 123).
Cela ajoute donc 5 jours supplémentaires, ce qui nous amènerait maintenant au 4 janvier. Mais il se trouve que BioNTech n’a pas effectué les tests sur les animaux elle-même. Ces tests ont également été sous-traités et réalisés dans d’autres centres d’essais. Dans The Vaccine, Sahin et Türeci notent que l’étude préclinique ultérieure a commencé le 11 mars, 2 jours après la livraison de l’ARNm encapsulé dans un lipide.
En ajoutant deux jours supplémentaires à notre calendrier, nous arrivons au 2 janvier. Le 2 janvier 2020 n’est pas deux semaines, mais seulement deux jours après le premier signalement de cas de Covid-19 à Wuhan le 31 décembre 2019.
Mais avant de pouvoir être fabriquée, il va sans dire qu’il fallait d’abord concevoir et développer la formulation à tester; et prendre contact avec Polymun et Acuitas pour obtenir les autorisations requises et organiser la collaboration nécessaire. Tout cela prend du temps.
Il est impossible d’éviter la conclusion que le projet de vaccin Covid-19 de BioNTech a en fait dû commencer avant même qu’aucun cas de Covid-19 n’ait été signalé! La question évidente est: comment est-ce possible?
Un amusant petit résumé de la dernière édition du FEM. Amusant mais hélas parfaitement réaliste: ces gens sont évidemment là pour défendre leurs investisseurs et leurs propres comptes en banque – juste à titre d’exemple, la fortune d’Al Gore est passée en vingt ans de 1,7 millions à 330 millions de dollars – mais on a aussi l’impression, à les écouter et à voir leur tronche, qu’ils sont devenus complètement fous.
Et ce sont ces gens qui ont pénétré les cabinets – pour imposer par leur doctrine communiste leur idée d’un partenariat public/privé – qui est comme vous le savez la définition du fascisme. Le meilleur de deux mondes…
Je pense effectivement, comme le président colombien, que nous avons atteint un point de non-retour. Pas celui du « climat », celui du mensonge. Malgré la masse d’ignorants qui n’a toujours rien compris, l’Opération Covid commence à montrer ses limites. Les cadavres deviennent difficiles à cacher par la propagande. « Ils » ont pris un très gros risque, que leur rêve humide de censure aura du mal à mitiger. Leur nouveau mensonge « d’extinction massive » colle d’un peu trop près à leur programme. Entre pandémies, climat, famine et guerre, on commence aussi à voir ces mensonges pour ce qu’ils sont: des menaces de moins en moins voilées. Si, comme ils semblent le penser, la Terre n’est pas assez grande pour eux et pour nous, la question qu’ils se posent à notre sujet pourrait donc bientôt se retourner: qu’est-ce que nous allons bien pouvoir faire de ces (gros) mangeurs inutiles?
Rien d’autre qu’un gouvernement mondialiste non élu qui émerge lentement des coulisses, impatient de faire main basse sur vos droits et de vous dire comment vivre. Vraiment… rien à voir ici.
Quoth the Raven
19 janvier
Parmi les nombreux trucs minables, vaseux et ignobles qui me donnent de plus en plus la nausée à mesure que les jours s’écoulent dans le sablier de ma vie, il y a le Forum Economique Mondial: un collectif d’élites mondiales bien-pensantes qui dispensent des vertus, des valeurs, des leçons, des conférences et des initiatives politiques à nous autres, les petites gens qui vivons de par le monde.
Le « Forum » commence de plus en plus à ressembler à un gouvernement mondialiste, composé de turbo-frappadingues non élus au niveau mondial, qui se sont discrètement regroupés en coulisses sans que personne ne le remarque.
Un moment, vous n’avez jamais entendu parler d’eux – saviez-vous que le FEM existe depuis environ cinq décennies? – l’instant d’après, le « Forum » exerce une influence incroyable, principalement auprès d’idiots bureaucratiques « utiles » de la gauche, trop heureux de recevoir, de la part de quiconque voudra bien les aider et quelle que soit sa motivation, des conseils sur la méthode à suivre pour napalmiser les droits individuels et faire avancer leurs programmes.
Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, donnant ou recevant un « Global Citizen Award » à la con, dont aucune personne normale n’a jamais entendu parler et se fiche éperdument.
J’ai dépassé ce stade – j’en suis arrivé à éprouver un réel dégoût de voir des gens qui ne me représentent en aucune façon, ni moi ni les personnes de mon entourage, jacasser sur ce à quoi ressemblera ou ne ressemblera pas mon avenir et quelles choses que je défends sont « bonnes » ou « mauvaises ».
Le Forum Economique Mondial est une organisation internationale indépendante qui s’engage à améliorer l’état du monde en engageant les entreprises, les politiques, les universitaires et les autres leaders de la société à façonner des programmes mondiaux, régionaux et industriels.
La vérité est que, autant ces invités narcissiques et probablement psychotiques aimeraient parler au nom de millions, voire de milliards de personnes, ils ne parlent en fait que pour eux.
Je n’attends pas de ces personnes qu’elles comprennent les conséquences de politiques à taille unique et je ne pense pas qu’elles s’en soucient. Prenons l’exemple des vaccins Covid. L’idée d’injecter chaque personne sur Terre, indépendamment de son âge, de son état de santé et de son mode de vie (sans même se poser la question de son consentement) n’est-elle pas d’une folle imprudence?
Bien sûr que si. Mais ça n’a pas d’importance – parce que quelqu’un voulait que ce soit fait… et donc, ce fut fait.
Source: NY Times
Dingue, non? Cette mise en œuvre unilatérale des obligations pendant le Covid, sans égard à la volonté de l’individu pour lui-même et pour sa famille, fut pour les crétins qui se réunissent chaque année au Forum Economique Mondial un pur régal autoritaire. Je suis certain que ça a amené de nombreux participants à penser: nous l’avons fait avec les vaccins – nous les avons empêchés de voyager, nous avons mis leur emploi et leurs moyens de subsistance en jeu et nous les avons même arrêtés et emprisonnés – nous pouvons désormais le faire avec n’importe quoi d’autre.
Je n’ai pas besoin d’être à Davos cette semaine pour comprendre que j’ai peu de choses en commun avec les membres du Forum Economique Mondial. Je le sais parce que j’étais récemment à Washington DC lors de la dernière branlette collective réunion mondiale du Fonds Monétaire International.
Ceux qui pensent que ces réunions rassemblent des personnes qui vivent comme eux et les représentent se trompent lourdement: je n’ai jamais vu autant de Rolex, de Bentley, de tenues à cent mille dollars et, surtout, de sécurité armée, que dans un rayon de dix pâtés de maisons autour du FMI cette semaine-là.
C’était un festival d' »ambassadeurs » mondiaux qui ressemblaient collectivement à un amalgame de tous les méchants corrompus qu’on peut voir dans les films de James Bond.
Gardant cela à l’esprit, jetons un coup d’œil aux idées remarquables que le Forum… a proposées cette année pour « façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels ».
Tout le monde sait que la peur est le meilleur moyen d’amener les gens à écouter et à faire ce qu’on leur dit (voir: vaccinations, Covid, Fauci et. al pgs. 1-∞). Ceci étant dit, le Forum s’est ouvert par un joyeux babil, avec notamment la proclamation que « nous sommes maintenant confrontés… à une extinction massive » et que « l’avenir de l’humanité est en danger. »
Putain de merde – pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière de régler ce problème, parce que « extinction massive » ne figure nulle part dans mon agenda de 2023… et j’ai un rendez-vous à ne pas manquer chez le dentiste dans plusieurs semaines.
Un type qui a clairement bien lu le mémorandum sur la « peur » – et qui, à en juger par son emportement, avait en plus des aiguillons à bétail réglés à fond plantés dans le cul – c’est Al Gore.
L’homme qui avait prédit, à tort, que l’Arctique serait aujourd’hui complètement dépourvu de glace a profité du FEM pour faire sa meilleure imitation de Keith Olbermann [NdT. ex-présentateur démocrate des news – le lien renvoie vers une tirade grotesque et insultante envers les anti-vaxx] en hurlant à pleins poumons sans reprendre son souffle sur diverses questions sociales, telles que le changement climatique.
Al nous a également rappelé poliment que nous n’obéissons pas assez vite à son goût:
« Nous devons agir! Donc, pour répondre à votre question, je dirais qu’il nous faut éprouver un sentiment d’urgence beaucoup plus fort que celui que nous avons eu jusqu’à présent… et que nous devons avoir… et que nous devons faire des changements! »
Here's Al Gore talking at the WEF in Davos yesterday about the coming wave of "one billion climate refugees" that will cause Western nations to "lose our capacity for self-governance". He says this as if it's a bad thing and not exactly what globalists like himself want. 👇 pic.twitter.com/olCGeXDO6s
Voici Al Gore qui parlait hier au FEM de Davos de la prochaine vague de « un milliard de réfugiés climatiques » qui causeront aux nations occidentales la « perte de leur capacité à s’auto-gouverner ». Il en parle comme d’un problème, comme si ce n’était pas exactement ce qu’attendent les mondialistes dans son genre.
« Nous continuons à y injecter 162 millions de tonnes [de gaz à effet de serre] chaque jour et la quantité accumulée piège maintenant autant de chaleur supplémentaire que celle qui serait libérée par 600 000 bombes atomiques de classe Hiroshima explosant chaque jour sur la Terre », a-t-il poursuivi. « C’est ce qui fait bouillir les océans, [NdT. il faudra donc annuler vos vacances à la mer] crée ces rivières atmosphériques, et les bombes de pluie, et aspire l’humidité de la terre, et crée les sécheresses, et fait fondre la glace et augmente le niveau de la mer, et cause ces vagues de réfugiés climatiques! »
Putain de merde… des bombes de pluie?! Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière exacte de résoudre cet autre problème.
Pendant ce temps, assis à côté d’Al, juste bien placé pour recevoir ses postillons pendant qu’il hurlait, se trouvait le président colombien Gustavo Francisco Petro Urrego. [NdT. pour l’anecdote, ils sont dans une merde noire en Colombie]
Gusto a creusé profondément la toile complexe de son esprit pour y trouver la suggestion, digne d’un jeu d’échecs 4D, que le capitalisme tel qu’il existe aujourd’hui condamnera irrévocablement l’humanité parce qu’il a créé le changement climatique.
Merde encore. Mais on est vraiment incapables de faire quoi que ce soit de bien?
Par conséquent, sa solution, toute en nuances, consiste à supprimer complètement le capitalisme et, pouf, le problème du réchauffement climatique disparaît avec lui. Son raisonnement est solide comme le roc:
« [Nous] parlons de politique et de discours politiquement corrects alors que nous savons que les statistiques signifient que nous atteignons un point de non-retour? », a-t-il déclaré. « Le capitalisme que nous connaissons aujourd’hui a une force motrice et une logique, qui est d’augmenter nos profits de cette manière, et c’est ainsi que nous parlons de l’histoire pour tout réglementer sans frontières politiques ou sociales. C’est celle que nous avons. Cela a donné lieu à une sorte d’anarchie mondiale. »
« Nous devons mettre un terme à cela si nous voulons vivre sur notre planète. Notre capitalisme peut-il le faire? D’après les données actuelles, nous ne pourrons pas le faire. Par conséquent, nous devrions peut-être mener la réflexion suivante: si le capitalisme en est incapable, soit l’humanité mourra avec lui, soit l’humanité vaincra le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète. »
Colombian Pres. Urrego at #wef23: "Capitalism helped create" global warming and our state of "global anarchy"
Le président colombien Urrego au FEM: « Le capitalisme a engendré » le réchauffement climatique et notre situation « d’anarchie mondiale » « L’humanité doit vaincre le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète » [NdT. avec de nombreuses fautes d’anglais, ce type est un analphabète à la Bourla]
Et puis bien sûr, sur la scène latérale […], il y avait un panel intitulé « Le danger manifeste et immédiat de la désinformation », ironiquement dirigé par un journaliste récemment licencié dont l’émission, aussi ironiquement appelée Reliable Sources [Sources fiables], a été, aussi ironiquement, virée de la télévision par câble pour, je suppose, avoir mortellement cumulé le fait d’avoir presque tout faux et celui d’être généralement nul à chier.
Ce journaliste, Brian Stelter, a interviewé la vice-présidente de la Commission Européenne, Věra Jourová, dont je vous garantis que vous n’avez jamais entendu parler avant de lire son nom aujourd’hui. Ce qui ne l’empêche pas de vous dire que votre liberté d’expression devrait non seulement vous être retirée, mais aussi constituer un délit lorsqu’elle est utilisée pour exprimer des opinions impopulaires.
Elle a dit à Stelter, le moniteur de désinformation: « Nous avons besoin des personnes qui comprennent la langue et la jurisprudence dans le pays, car ce qui est qualifié de discours de haine — un discours de haine illégal, que vous aurez bientôt aussi aux États-Unis… Je pense qu’il existe une raison solide pour que cela soit inscrit dans le droit pénal. »
Portez une attention particulière au regard brûlant d’inquiétude réelle sur le visage de Stelter.
European Commission VP Věra Jourová at the WEF cackling as she announces, Brian Stelter nodding along:
"Illegal hate speech, which you will have soon also in the U.S. I think that we have a strong reason why we have this in the criminal law."
Ce n’est pas nouveau, l’année dernière le thème était le même – « recalibrer » ce que vous pouvez et ne pouvez pas dire. Bien sûr, les directives de discours « approuvées » ne seront pas données par Dieu ni par la constitution de votre pays ou de votre État, mais par une douzaine de marxistes, désireux de suivre la ligne de l’initiative mondialiste par tous les moyens possibles. Après tout, ils sont désormais Dieu. Ils sont désormais la constitution.
Dans un prochain podcast avec Chris DeMuth Jr, je soulève l’idée que, quelle que soit leur idéologie ou leur politique, les gens en général en ont assez d’être involontairement assignés à participer à des causes sociales, quelles qu’elles soient.
Ce n’est pas parce que je travaille pour une certaine entreprise, que j’utilise certains produits ou que j’achète dans certains magasins que je m’aligne sur les politiques et les idéologies de ces personnes, de ces lieux et de ces choses – fin de l’histoire. C’est pourquoi je trouve offensant d’entrer dans un Whole Foods et de voir un panneau qui dit des conneries comme « La haine n’a pas sa place ici » accroché au-dessus de l’entrée principale.
Je suis socialement libéral et je veux que les gens vivent leur vie comme ils l’entendent sans empiéter sur les droits des autres. Je n’ai pas besoin d’un panneau dans une épicerie pour me le dire. En fait, c’est dégradant et insultant.
Dans le même ordre d’idées, je suis un citoyen du monde – mais je n’ai pas besoin d’un forum mondial pour parler en mon nom ou pour m’engager involontairement dans une cause idéologique ou de justice sociale qu’ils jugent importante. Ce qui est le mieux pour une personne n’est pas nécessairement le mieux pour une autre, et l’arrogance d’un « groupe d’êtres humains sélectionnés » qui pense pouvoir parler et agir pour tout le monde sous le prétexte fabriqué de « sauver la planète » et de faire ce qui est le mieux pour chacun révèle tout ce qu’il y a à savoir sur ces sociopathes.
Mais ne dites pas ça à John Kerry – il s’est presque consacré lui-même comme divinité extraterrestre. Ici, on croirait entendre un membre officiel de la Sea Org de Ron Hubbard.
John Kerry says, "we select group of human beings" are talking about "saving the planet" at the World Economic Forum.
John Kerry déclare que « nous, un groupe d’êtres humains sélectionnés » parlent de « sauver la planète » au FEM. « C’est quasiment extra-terrestre », a-t-il ajouté.
Et enfin, vous le savez déjà tous, leur hypocrisie est éblouissante.
Les mêmes personnes qui se plaignent du changement climatique s’y sont rendues en jet privé. Quand ils rentrent chez eux, ils conduisent des véhicules électriques remplis de métaux de batterie extraits par des enfants en Afrique. Ils portent des chaussures, des chemises et des pantalons fabriqués dans des ateliers clandestins. Ils utilisent des iPhones fabriqués par des ouvriers en Chine qui endurent des conditions de travail horribles. Ils utilisent des produits pétroliers tous les jours. Ils se plaignent des inégalités mais soutiennent la suppression des droits individuels, les monnaies numériques traçables, les scores de crédit social et un système bancaire central qui creuse systématiquement le fossé des inégalités.
The private airport at Davos is packed.
Elites park their private jets, then fly their helicopters to the World Economic Forum to talk about climate policy. pic.twitter.com/gjMVgJtWQA
L’aéroport privé à Davos est plein. L’élite y parque ses jets privés, puis se rend au FEM en hélicoptère pour y discuter politique climatique.
Oui, les mêmes personnes qui prétendent travailler à l’amélioration de l’existence des Terriens vivent dans des couches sociales dont vous, moi et nos amis ne ferons jamais partie et dont nous ne voudrions jamais faire partie.
Parce que même si nous utilisons les mêmes iPhones et le même pétrole, nous ne nous plantons pas au milieu de la place en clamant à quel point nous sommes vertueux. Nous essayons de faire les choses que nous savons être justes dans nos coeurs, et nous savons que nous faisons du mieux que nous pouvons avec ce que nous avons. C’est un accomplissement suffisant pour beaucoup d’entre nous. Nous n’avons pas besoin de nous auto-consacrer.
En fin de compte, qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que si le Forum Economique Mondial est vraiment à la recherche d’idées nouvelles, novatrices et originales qui aideront les citoyens de la Terre, il devrait peut-être simplement essayer de nous foutre la paix, bordel.
Je ne sais pas si on en parle même sur le Web francophone mais il y a une info sur laquelle se sont récemment jetés, comme la misère sur le monde, de nombreux toubibs que je lis/relaie sur ce blog: l’IgG4.
C’est-à-dire le fait que la protéine de pointe de l’injection module la réponse immunitaire pour augmenter la proportion de l’immunoglobuline G4, ce qui est (encore) une mauvaise nouvelle. Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.
Typiquement, John Paul écrivait là-dessus il y a plusieurs mois, c’est-à-dire bien avant tout le monde. J’aurais dû relayer l’info à l’époque mais je traduis assez peu ses articles médicaux sachant qu’ils seront, typiquement aussi, assez peu lus. Il faut avouer qu’il est assez pointu sur le sujet, ce qui implique qu’il faut suivre ses analyses au fil de plusieurs articles très denses, sans se faire larguer en route. En voici un plus facilement accessible, d’un auteur néerlandais, pour changer. Je ne vous garantis pas que sa conclusion est scientifiquement exacte – j’ai posé la question à John sans recevoir de réponse – mais le papier a le mérite d’exister et de présenter les données.
Il y a une référence au réchauffement climatique anthropocentrique à la fin, ce qui a le don de m’agacer et devrait vous agacer aussi. Sorry!
Note 27/01: John Paul m’a répondu au sujet du sérieux de cet article (voir ci-dessous). Je publierai ce qu’il a écrit sur le sujet si je trouve le temps.
Bonjour John.
Est-ce que ça tient la route ou est-ce que ce n’est que du sensationnalisme?
Ça ne tient pas tellement la route, ça me semble être beaucoup de sensationnalisme avec des « preuves » tangentiellement liées, d’ailleurs utilisées par la plupart des Alt-Covid pour promouvoir des narratifs spécifiques.
Je suis très méfiant à l’égard de beaucoup de gens maintenant, alors prends les informations que tu vois chez eux et même chez moi, avec précaution, même si j’essaie résolument d’être 100% honnête.
La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante.
Radagast
24 décembre 2022
Faites-moi donc plaisir et servez-vous un verre, vous en aurez besoin à la fin de cet article.
Je vais essayer d’éviter de répéter ce que nous avons déjà abordé dans les deux articles précédents sur ce sujet. Après la vaccination à l’ARNm, la réponse immunitaire contre la protéine de pointe bascule vers les IgG4, ce qui correspond à la façon dont le corps réagit après une exposition répétée à des substances qu’il lui faut tolérer, comme le venin d’abeille, le pollen ou les protéines d’arachide.
Tout d’abord, le tableau général de ce que l’on voudrait observer après une infection par le SARS-COV-2:
À gauche, vous voyez qui effectue la neutralisation, à droite, vous voyez quel pourcentage du total des anticorps ils représentent. Bien qu’ils ne représentent que 3% de votre quantité d’anticorps, les IgG3 effectuent 42,2% de la neutralisation.
L’IgA est occupée à combattre le virus dans le mucus [NdT. particulièrement efficace chez les Japonais, comme le rappelait ici le Dr Fukushima], l’IgM répond à l’infection en réduisant la charge virale, puis l’IgG3 se joint au combat et traque le virus dans ses derniers retranchements, afin que votre organisme ne finisse pas par tolérer ce méchant sarbecovirus en arrière-plan.
Si ce n’était pas encore évident, pour une raison quelconque, notre corps semble tolérer la propagation de ce virus dans notre population. Regardez ce qui arrive à mon pauvre petit pays:
Les niveaux de ce virus dans les eaux usées sont de nouveau à des niveaux records. Il est clair que la population n’apprend pas à reléguer ce virus au second plan.
Le nombre de décès augmente à l’unisson de la charge virale, car la surmortalité n’est pas un produit direct du vaccin [NdT. pas toujours], mais un produit indirect du vaccin qui interfère avec notre réponse à ce virus:
Nous avons eu une grande vague de décès en mars 2020, puis nous avons eu deux hivers meurtriers, donc la surmortalité est maintenant censée être négative. Nous avons déjà « épuisé » les personnes susceptibles de mourir pendant la saison de la grippe. Pourtant, 27% de personnes de plus que prévu sont mortes la semaine dernière. Ce serait censé inquiéter les personnes dont le QI est supérieur à la température ambiante, mais celles-ci se contentent de qualifier ce phénomène d’ « inexpliqué » et tentent de l’ignorer.
Je vous le signale parce que je me suis disputé sur Twitter avec l’un des auteurs de l’étude que nous allons examiner, qui insiste sur le fait que ses résultats, qui correspondent à ceux des autres équipes dont j’ai présenté les résultats dans les deux derniers articles, sont « inattendus », mais « ne sont pas inquiétants ». Honnêtement, je doute un peu qu’il le pense vraiment. Je vais expliquer ici pourquoi les résultats sont inquiétants, alors commençons par examiner leurs résultats et ce qui est réellement nouveau.
Vous connaissez déjà l’histoire: après la deuxième injection, les IgG4 commencent à apparaître. Cela s’aggrave avec les infections perthérapeutiques [breakthrough infections], puis cela s’aggrave encore avec la troisième injection. Nous avons maintenant des résultats actualisés sur les infections perthérapeutiques après la troisième injection. Et ça va vous choquer, mais ça empire encore:
En moyenne, les quatre personnes qui ont contracté une infection après leur booster sont maintenant à 42,45% d’IgG4. L’ensemble de la cohorte est à 19,27%, contre seulement 0,04% auparavant, de sorte que ceux qui n’ont pas encore eu d’infection perthérapeutiques se retrouveront dans une situation similaire: une réponse entièrement dominée par les IgG4.
La seule nouvelle chose utile que ces messieurs dames ont faite est de poser la question évidente: est-ce la norme pour d’autres agents pathogènes auxquels nous sommes couramment exposés? Ils se sont donc penchés sur un autre virus, le virus qui fait souffrir beaucoup d’enfants en ce moment, le VRS. Ils ont vu que nous ne réagissons pas au VRS par une réponse IgG4:
Personne n’a montré cette réponse au VRS et on ne l’observe même pas vraiment après une vaccination constante contre le tétanos.
Une réponse IgG4 à une infection respiratoire n’est tout simplement pas souhaitable. Parmi les IgG, ce sont principalement les IgG3 et quelques IgG1 qui sont souhaitables. L’un des auteurs affirme que le passage aux IgG4 n’a pas d’importance, car les anticorps ne servent pas seulement à déclencher la phagocytose (vos cellules immunitaires qui mangent les particules virales), ils servent aussi à la neutralisation.
Tout ça est bien beau, mais on se heurte à deux problèmes:
Le virus évolue. Il évolue rapidement pour éviter les anticorps les plus neutralisants. Le potentiel de neutralisation contre XBB et BQ.1 a pratiquement disparu.
Les IgG4 ne sont pas vraiment faites pour la neutralisation. Parmi les IgG, l’IgG3 est le meilleur neutralisateur de virus. Ce que font les IgG3 dans le cas du SARS2, c’est que leurs queues se lient ensemble. Cela signifie que sur les quatre sous-classes, l’IgG3 présente une neutralisation 50 fois plus forte contre le SARS2 que les trois autres sous-classes.
Et maintenant, il est temps de boire ce verre, car regardez ce qui arrive aux IgG3 après trois injections:
Il reste quelques IgG3 chez certaines personnes après la deuxième injection, mais au moment où elles reçoivent la troisième injection, elles sont toutes tombées à zéro.
Si vous vous demandez comment on en arrive à ces graphiques bizarres:
Cela a probablement quelque chose à voir avec le fait que nous débarrassons notre corps de l’anticorps IgG le plus compétent contre ce virus, en le remplaçant par un anticorps que nous utilisons pour tolérer des choses comme le pollen, les protéines d’arachide ou le venin d’abeille.
Cela ne s’est jamais produit auparavant. Il y a maintenant les inconnues connues, comme la question de savoir si le corps finit par tolérer des infections persistantes en raison de cette réponse complètement dominée par les IgG4, ainsi que les inconnues inconnues, des questions que nous devrions nous poser et que la plupart des gens n’ont même pas réalisé que nous devions nous poser.
Voici la grande question que je me pose: l’expérience a échoué, on a créé une réponse anticorps à dominante IgG4 chez bientôt des milliards de personnes. La réponse en anticorps IgG4 est homogène, ce sont les mêmes épitopes que tout le monde apprend maintenant à tolérer.
Vous êtes prêts?
Qu’est-ce que cela signifie pour les autres virus?
C’est la grande question qui fait mal. Si vous me disiez que chacun a une réponse immunitaire différente à différentes régions de la protéine de pointe, mais que tout le monde déploie maintenant des anticorps IgG4 contre ces régions, ce serait déjà une mauvaise nouvelle pour notre relation avec le SARS-COV-2.
Mais restez avec moi, je ressors encore une fois ce vieux tableau:
Vous voyez la réponse immunitaire des non vaccinés en A, en bas. Vous voyez qu’elle est assez différente chez tout le monde.
Vous voyez la réponse immunitaire des vaccinés en haut. Vous voyez qu’elle est assez similaire chez tout le monde, avec des régions distinctes qui reçoivent la réponse la plus forte.
Pour certaines de ces régions, le virus est indifférent à notre réponse en anticorps, donc ces régions ont tendance à rester les mêmes. Dans d’autres régions, la réponse des anticorps interfère, et le virus mute pour modifier ces régions. Cela signifie qu’au bout d’un certain temps, la réponse IgG est rappelée pour un sous-ensemble de plus en plus restreint de ces régions, de sorte qu’on obtient une forte réponse IgG4 pour une poignée d’épitopes, MAIS CES EPITOPES SONT LES MÊMES POUR TOUT LE MONDE!
Ce que je tente de dire, c’est qu’il existe désormais certaines chaînes d’acides aminés non-soi [étrangères] que des milliards d’êtres humains dans le monde apprennent soudainement à tolérer. Les virus respiratoires à ARN fonctionnent tous avec des blocs de construction assez similaires.
Certaines de ces chaînes d’acides aminés que nous tolérons maintenant dans le cas du SARS2 sont des chaînes que l’on retrouve également dans d’autres virus respiratoires. Et il y aura des virus respiratoires qui ne possèdent pas encore ces chaînes, mais qui peuvent muter pour les incorporer dans des emplacements où ils doivent actuellement faire face à de puissants anticorps IgG3.
En d’autres termes: une évolution homogène de la population vers les IgG4 pour certains anticorps peut finir par avoir un impact sur notre relation avec les virus respiratoires autres que le SARS2. On pourrait s’attendre, par exemple, à ce que les personnes vaccinées deviennent de meilleurs propagateurs asymptomatiques d’autres virus respiratoires, comme le VRS. Nous constatons l’existence d’anticorps à réaction croisée entre le SARS2 et les virus corona humains. Voulez-vous que ces anticorps passent des IgG3 aux IgG4? Probablement pas.
Il me semble que l’hypothèse plausible qui mérite d’être étudiée est que la recrudescence massive du VRS dans les pays occidentaux serait la conséquence du fait que les adultes vaccinés commencent à tolérer le VRS, ce qui entraîne une augmentation des infections chez les enfants, puisqu’ils y sont exposés plus souvent. Comme les enfants contractent maintenant ces infections auprès d’adultes vaccinés plutôt que d’autres enfants, la dose infectieuse qu’ils reçoivent aura tendance à être plus élevée. Cela pourrait suffire à expliquer la virulence plus élevée observée chez les enfants.
L’atteinte immunitaire des enfants par l’infection par le SARS2 est également une hypothèse qui mérite d’être étudiée, bien sûr, mais une propagation asymptomatique à partir des adultes est également possible.
Il faut garder à l’esprit que le passage complet aux IgG4 ne se produit qu’après des infections perthérapeutiques après le booster. En d’autres termes, les virus non-SARS2 n’ont pas encore eu beaucoup de temps pour évoluer et s’adapter au nouveau monde dans lequel nous vivons, où tout le monde se retrouve avec un étrange sous-ensemble d’anticorps IgG4 pour certains épitopes.
Les anticorps IgG se lient principalement à des régions d’environ 5 à 6 acides aminés, bien que cela varie beaucoup. Si un autre virus, comme le VRS, la grippe ou les virus corona humains, possède une telle région, il risque de s’en trouver très heureux! L’un de ces méchants anticorps IgG3 qui lui rendaient la vie misérable a disparu, remplacé par un anticorps IgG4 qui n’est pas capable de lier sa queue aux autres anticorps IgG4 pour une meilleure neutralisation.
Et s’il ne possède pas encore une telle région, mais qu’il pourrait éventuellement y parvenir après avoir échangé un acide aminé contre un autre, on pourrait se demander, le moment venu, pourquoi on se retrouve soudainement confronté à un gros problème de grippe, de VRS ou d’un autre agent pathogène.
Encore une fois, je suis désolé de ne pas avoir bien compris cela il y a deux ans. Je l’ai compris de manière assez basique. J’ai compris le grand principe important: on ne peut pas homogénéiser la réponse immunitaire de la population à un virus respiratoire, c’est profondément dangereux.
Rappelez-vous ce que j’ai écrit il y a longtemps:
L’un des facteurs nécessaires pour que notre espèce atteigne des densités de population aussi élevées que celles que nous avons atteintes aujourd’hui est la diversité de notre réponse immunitaire d’une personne à l’autre.
Si nous avions des gènes HLA très peu diversifiés, nous aurions tous une réponse immunitaire très similaire aux agents pathogènes. Le manque de diversité dans leurs gènes HLA est l’un des facteurs qui ont rendu les Amérindiens si vulnérables aux virus introduits par les colonisateurs européens: ces virus pouvaient se propager dans un environnement où la réponse immunitaire était homogène, ce qui a permis à ces virus d’évoluer pour tirer le meilleur parti de cet environnement particulier.
Si nous avions des gènes HLA peu diversifiés, les agents pathogènes développeraient des variants permettant de surmonter cette réponse immunitaire particulière. La diversité de notre réponse immunitaire empêche que cela ne se produise: une modification particulière n’est pas d’un grand secours pour un agent pathogène, car chacun réagit à l’agent pathogène d’une manière différente.
Avec les vaccins à base de protéine de pointe, nous avons fait exactement la pire chose que l’on puisse faire: nous avons homogénéisé la réponse immunitaire humaine à un nouveau virus qui devient rapidement plus diversifié génétiquement.
Il s’agit à nouveau du même principe de base que j’ai décrit ci-dessus, mais cette fois-ci, nous nous concentrons sur le passage à la classe IgG4. Je ne m’inquiéterais pas de l’impact sur les autres agents pathogènes si le passage aux IgG4 différait d’une personne à l’autre. Mais tout le monde se retrouve maintenant avec des combinaisons d’acides aminés sélectionnées qui n’existent pas dans notre propre corps (c’est-à-dire des peptides que nous ne tolérerions normalement pas et que nous pourchasserions avec des anticorps s’ils apparaissaient dans notre sang), que tout le monde apprend maintenant à tolérer!
Nous sommes intervenus dans quelque chose que nous ne comprenons pas bien, à l’échelle de milliards de personnes.
Permettez-moi de vous rapporter une anecdote. Il y a longtemps, au 19e siècle, un Suédois du nom d’Arrhenius, parent d’une Suédoise autiste dont vous avez peut-être entendu parler, a réalisé que nous étions en train de modifier l’atmosphère. Les gens ont trouvé cela plutôt bien, car ils supposaient que cela se produirait lentement. Finalement, la plupart des gens ont oublié ce phénomène.
Dans les années 60, nous avons réalisé que nous émettions beaucoup de ce gaz étrange, qui modifiait l’atmosphère. Là encore, les experts ne s’inquiétaient pas. « L’océan s’en chargera probablement », tel était le consensus de personnes très intelligentes, DONT LA SPÉCIALITÉ ÉTAIT D’ÉTUDIER CE TYPE DE CHOSE. Ce n’est que dans les années 1980 que tout le monde a reconnu que nous avions affaire à un véritable problème.
Dans ce contexte, je voudrais que vous jetiez un coup d’œil au scientifique qui a annoncé ses conclusions sur Twitter:
If we believed billions were doomed, we would not have celebrated. It’s an interesting finding, but no need to worry.
Et portons un toast à tout notre travail qui a permis de découvrir quelque chose qui pourrait signifier que des milliards de personnes sont condamnées.
Si nous pensions que des milliards de personnes sont condamnées, noux n’aurions pas fait la fête. C’est une découverte intéressante mais pas de quoi s’inquiéter.
Je suis un anonyme hollandais qui a abandonné ses études avec une prédilection pour d’obscurs produits psychédéliques, il est virologue avec un doctorat. Je comprendrais parfaitement que vous souhaitiez le croire plutôt que moi, c’est la réponse que la plupart des gens semblent avoir.
Mais ce que je vois, c’est un scientifique qui dit « Eh, l’océan s’en chargera ».
C’est un virologue et les choses ne vont pas bien dans le domaine des virus. Trop de gens meurent. Nous avons un sarbecovirus qui persiste. Les hôpitaux du monde occidental ne peuvent plus faire face à la charge des malades.
Et le plus important de tout: les enfants tombent malades.
Peut-être ne faudrait-il pas doter des milliards de personnes d’un répertoire d’anticorps IgG4 au profil similaire ciblant un virus respiratoire à ARN. Peut-être toutes sortes de virus respiratoires et d’autres agents pathogènes peuvent-ils s’en servir comme d’une opportunité.
On a mené une expérience sans précédent sur des milliards de personnes, nos systèmes immunitaires réagissent maintenant d’une manière sans précédent à un pathogène respiratoire et nous voyons maintenant un nombre sans précédent de personnes malades d’infections respiratoires.
Si vous êtes virologue, je crois que c’est le moment où vous êtes censé être inquiet.
Mise à jour 1: Une critique que vous pourriez faire de mon avertissement, à savoir qu’une évolution vers les IgG4 pourrait également avoir un impact sur d’autres agents pathogènes respiratoires, est que la réactivité croisée des anticorps pourrait ne pas être suffisante.
Pourtant, nous savons déjà qu’il doit y avoir une réactivité croisée importante entre le SARS2 et un certain nombre d’autres virus respiratoires à ARN, pour une raison simple: les vaccins antigrippaux sous-unitaires (c’est-à-dire non vivants) ont montré une nette réduction de 89% du risque d’infection grave par le SARS-CoV-2.
Si les anticorps de la grippe ont un impact sur le SARS2, les anticorps du SARS2 ont un impact sur la grippe. Et si les anticorps du SARS2 évoluent vers la tolérance, cela aura un impact sur la grippe. L’impact ne fera que s’accentuer au fil du temps, à mesure que ces autres virus s’adapteront par mutation et sélection naturelle pour tirer le meilleur parti de cette évolution vers les IgG4.
Une analyse du « pic pétrolier », pour complèter le papier précédent. Katherine fait partie des quelques très rares analystes à qui je fais encore confiance à ce stade, avec Sasha Latypova, Catherine Austin Fitts, John Titus, quelques médecins indépendants et bien entendu John Paul. J’avais traité du « pic pétrolier » avec notamment un papier de Gail Tverberg, qui s’appuie abondamment sur les travaux cités dans le présent article, et celui-ci de Eliott Freed, deux analyses que Katherine met ici très bien en perspective.
Vous pouvez commencer par la petite vidéo ci-dessous, très bien produite. Je ne suis pas fan de la chaîne PragerU mais il faut leur reconnaître le mérite d’être très factuels et rigoureux. C’est en anglais mais si vous activez d’abord les sous-titres, puis vous allez dans Règlages>Sous-titres>Traduire automatiquement>Français (de préférence), vous avez un sous-titrage nickel.
Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme.
En plus du Covid-19, des armes biologiques injectables, des banques centrales, des monnaies fiduciaires, des programmes de géo-ingénierie et de changement climatique.
Je me suis intéressée à ces questions à l’origine par le biais de la théorie du « pic pétrolier », en lisant le livre de Richard Heinberg de 2005 intitulé The Party’s Over: Oil, War and the Fate of Industrial Societies [La Fête est finie: Pétrole, guerre et destin des sociétés industrielles], qui exposait les implications des travaux du géologue et géophysicien M. King Hubbert sur les réserves de pétrole et le rendement énergétique de l’énergie investie (Energy Return on Energy Invested – EROEI).
Les travaux de Hubbert étaient liés aux effets des ressources pétrolières limitées sur les systèmes financiers et économiques qui dépendent d’un pétrole bon marché et facilement accessible pour fonctionner correctement.
Les systèmes financiers et économiques basés sur l’endettement, en particulier.
De 2005 à 2020, j’ai considéré le pic pétrolier et l’EROEI comme des problèmes géochimiques et techniques qui nécessitaient une relocalisation des systèmes de prise de décision, d’alimentation, d’eau, de production économique et de distribution, en tant que réponses pratiques à la résolution des problèmes.
J’ai donc travaillé avec le Community Environmental Legal Defense Fund [Fonds de défense juridique de l’environnement communautaire] sur des projets de gouvernement local basés sur les droits, et j’ai créé et/ou soutenu plusieurs petites organisations travaillant sur le développement de systèmes alimentaires locaux, l’acquisition de compétences en homesteading et des campagnes de protection de l’approvisionnement en eau.
J’ai effectué des recherches et écrit sur ces questions dans une série de blogs destinés aux lecteurs de la communauté du New Jersey où j’ai vécu de 2002 à 2008, et de la communauté de Pennsylvanie où je vis depuis 2008. J’ai lancé Bailiwick News en 2016.
C’est dans cette arène que j’ai appris ce qu’est l’État administratif, en regardant les législateurs et les juges élus locaux se faire écraser – sans opposer beaucoup de résistance – par des administrateurs publics professionnels non élus, notamment des directeurs de canton, des avocats de canton et des directeurs de planification et de zonage, en collaboration avec des dirigeants d’entreprises privées et quasi privées, en particulier dans les domaines de l’investissement immobilier, du développement foncier et de l’ingénierie.
Cependant.
Depuis 2020, observant en temps réel la manipulation massive des données Covid pour influencer et contrôler le comportement des groupes et des individus, j’en suis arrivée à la conclusion que le rapport du Club de Rome sur les Limites de la Croissance, le mouvement du pic pétrolier, la panique de la surpopulation, la panique du changement climatique et autres, ont fait partie du même projet multigénérationnel d’opération de manipulation psychologique […] des mondialistes.
Rien que des mensonges.
Tous racontés dans le but d’obscurcir l’intellect, de désorienter, d’effrayer et de contrôler les hommes et les femmes.
Je ne connais pas le véritable état des réserves mondiales de pétrole; je sais seulement ce que l’Agence Internationale de l’Energie (créée en 1974) et d’autres institutions mondialistes capturées disent publiquement à propos des réserves de pétrole.
Il est possible que la surconsommation de ressources, l’endettement et l’effondrement économique soient toujours le lot des civilisations en chute libre, et qu’il s’agisse simplement d’un processus naturel à l’échelle mondiale, manipulé à des fins personnelles par les élites au sommet de la structure de pouvoir de la civilisation actuelle.
Mais il est également possible que cette histoire précise de surconsommation des ressources mondiales, de destruction écologique, de dette et d’effondrement économique soit créée, mise au point et/ou projetée dans l’esprit des gens du monde entier en ce moment même, par ces mêmes élites, non seulement pour leur gain personnel, mais aussi au service de Satan, dans le but de livrer les âmes humaines à la damnation éternelle en détruisant la foi en Dieu.
Aujourd’hui, je penche pour la deuxième interprétation des événements.
Le sujet du pic pétrolier est revenu récemment dans un fil de discussion sur le Substack de Sasha Latypova.
Un lecteur a commenté, adoptant la position selon laquelle les mondialistes « exterminent » les gens pour prévenir d’autres formes de chaos mortel, comme les famines, les crashs économiques et les guerres de ressources, en raison de la pénurie d’énergie fossile liée au pic pétrolier.
Il a cité ce même rapport « Perfect Storm » de 2013 de l’échange de juillet (ci-dessus) comme « le document définitif qui relie tout » et a désigné les sables bitumineux et le forage en eaux profondes comme preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les limites naturelles des réserves de combustibles fossiles sont la motivation de base.
Comme je l’ai écrit en juillet, j’avais l’habitude de penser que le pic pétrolier était la clé, et j’ai travaillé principalement à partir de cette vision du monde de 2005 à 2020.
Je ne trouve plus ce cadre plausible, car je suis trop consciente de l’efficacité avec laquelle les mondialistes et leurs sbires manipulent les données, les informations et la propagande pour se rapprocher de leurs objectifs géopolitiques et autres, et de l’utilité de l’anxiété généralisée concernant le pic pétrolier et le changement climatique dans ce processus de manipulation.
Il est maintenant clair pour moi que la BRI [Banque des Règlements Internationaux] et ses propriétaires, ainsi que leurs pairs institutionnels dans d’autres organisations internationales (comme le Club de Rome/ »Limites à la Croissance« /Donella Meadows) sont en position, depuis très longtemps, de manipuler les données et les analyses produites par M. King Hubbert et d’autres géophysiciens, ainsi que des scientifiques de l’environnement/du climat, de telle sorte que « Limites à la Croissance » n’est pas un modèle basé sur des faits, mais une projection ou un plan basé sur leur intention et leur capacité à manipuler l’accès aux réserves de combustibles fossiles et à manipuler les aspects du climat, afin de soutenir leurs efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle.
Ils ont l’argent et la maîtrise du projet pour forer des kilomètres sous la mer à la recherche de pétrole, extraire du pétrole du sable à la vapeur et lâcher des bombes dans des trous, non pas parce que ce sont les seules sources d’approvisionnement restantes, mais simplement pour perpétuer la fraude.
C’est le même mode d’emploi que celui qu’ils utilisent pour manipuler les informations sur ce qui se passe dans le cadre du programme Covid, tuer et rendre malades des millions de personnes avec des injections d’armes biologiques, et mentir sur ce qu’ils font.
Je suis maintenant d’avis que « l’économie » n’est également qu’une fraude massive, et qu’aucun des chiffres présentés par les banquiers centraux au cours des 100 dernières années – ou plus – n’est digne de confiance ou ne devrait être utilisé pour prendre des décisions sociétales ou personnelles sur ce qu’il faut faire ensuite.
Ce ne sont que des mensonges, du début à la fin, racontés par les banquiers centraux, dans le but de centraliser le contrôle direct et quotidien de 8 milliards de personnes, tout en envoyant 7,5 milliards d’entre vers une mort prématurée à l’aide de mensonges, d’armes biologiques, de pulvérisations chimiques, de famine forcée par le biais de perturbations de l’approvisionnement alimentaire, de perturbations de l’approvisionnement énergétique, de manipulations monétaires et d’autres outils de leur arsenal.
Ils font tout cela et bien plus encore, tout en organisant des exercices de simulation séquentiels et détaillés et en publiant des plans détaillés décrivant ce qu’ils ont l’intention de faire, qui correspondent à ce qu’ils font réellement, dans le but d’humilier rituellement leurs ennemis: nous.
En conséquence, je ne crois plus qu’il existe des limites naturelles à la production et à la distribution de nourriture, ni qu’il existe des limites naturelles à l’approvisionnement en énergie fossile.
Les pénuries et les catastrophes sont orchestrées par les banquiers centraux.
Un autre intervenant dans le fil de discussion a cité d’autres sources de données et a proposé un débat, comparant le scepticisme à l’égard du pic pétrolier au déni de l’existence du 11 septembre ou de Covid-19.
J’ai examiné les données sur le pic pétrolier. Je ne fais plus confiance aux sources de ces données.
Je ne veux donc pas en débattre, car la vraie question n’est pas celle de l’information. La question est de savoir si les sources d’information sont dignes de confiance. Et je ne pense pas que nier le pic pétrolier soit comparable à nier le 11 septembre ou le Covid. Il est cohérent de penser que ces trois événements sont des manipulations, impliquant des informations et des données fabriquées, qui ont néanmoins eu et ont toujours des effets directement observables sur la vie des gens.
Le débat public sur le pic pétrolier (tel qu’il est) n’a pas vraiment d’importance, cependant.
Que vous croyiez que le pic pétrolier s’est produit en 2005 et que la pénurie d’énergie est basée sur des limites géochimiques et techniques réelles de forage, ou que vous croyiez que le pic pétrolier est une campagne de propagande et que les pénuries sont et continueront d’être fabriquées, la décentralisation de la capacité de production des produits de première nécessité, y compris les informations véridiques, et la décentralisation des systèmes de gouvernance pour maintenir l’ordre social, sont des réponses utiles aux deux interprétations des événements passés et actuels.
Même si l’approvisionnement en énergie fossile est encore abondant, les personnes qui organisent depuis longtemps les perturbations des chaînes d’approvisionnement et des systèmes financiers et monétaires seront probablement en mesure de continuer à le faire dans un avenir prévisible.
La seule différence importante entre les deux points de vue est la différence entre le niveau où on place la responsabilité.
Là encore, la déviation et la suppression de la vérité ne servent qu’à masquer le pouvoir et les actes des prédateurs-parasites mondialistes.
Les personnes qui croient à la propagande sur le pic pétrolier et le changement climatique concentrent leurs réactions sur le changement de comportement et la réduction de la liberté de mouvement des gens ordinaires qui essaient de vivre, d’apprendre, de travailler, d’adorer Dieu et d’élever des enfants.
Les personnes qui percent à jour la propagande, jusqu’aux hommes et aux femmes qui se sont positionnés pour contrôler l’accès aux informations véridiques et aux ressources nécessaires à la vie, se concentrent sur l’élargissement de notre accès aux informations véridiques, sur l’élargissement de notre amplitude de mouvement pour produire et obtenir des réserves d’eau, de nourriture et d’énergie adéquates et contrôlées localement, et sur le rétablissement ou la création de systèmes financiers et d’autorités gouvernementales légitimes.
Massacre des Saints Innocents. Peinture de Guido Reni.
Nous venons de vivre quelques semaines intéressantes dans l’arène de la « conspiration COVID™ » (oui, c’est nous, apparemment). Les rapports de luttes intestines abondent – ce qui est bizarre car presque tout ce que nous avons prédit s’est concrétisé, en particulier l’Iatrocide fomenté par les gouvernements avec une combinaison de confinements, de masques et des pires vaccins jamais vus.
iatrocide 1. L’acte de tuer un patient avec un traitement médical
On pourrait donc penser que la « Team Reality » (alias #mousearmy) serait en train de se détendre sur une plage en sirotant des margaritas dans des gobelets « Je vous l’avais bien dit ».
Pas du tout, apparemment. Comme si nous n’avions pas assez souffert ces trois dernières années de fascisme médical et scientifique. Notre margarita de plage ressemble plus à
J’ai donc pensé que c’était le bon moment pour diffuser un petit message. Arrêtez de vous laisser distraire.
Toutes ces querelles internes sont du théâtre Kabuki. Ça l’a toujours été. Et ça n’a pas d’importance. Non, sérieusement, ça n’a pas d’importance.
Que signifie théâtre Kabuki ? Le kabuki est une forme de théâtre classique au Japon, connue pour ses costumes élaborés et son jeu dynamique. Les expressions « théâtre kabuki », « danse kabuki » ou « pièce kabuki » sont parfois utilisées dans le discours politique pour décrire un événement caractérisé davantage par le spectacle que par le contenu.
Ça n’a pas d’importance que JJ Couey ait critiqué son ami Charles Rixey dans son stream, car tous deux ont raison. Charles a raison de dire que la séquence virale présentée comme « l’origine de la pandémie » a été fabriquée. Et JJ a raison de dire qu’un tel virus ne peut pas créer à lui seul une pandémie mortelle [NdT. voir mon article ici].
Ça n’a pas d’importance que Michael Senger ait mal interprété la prise de bec sur son substack et ait déclaré que JJ avait « rejeté l’hypothèse du laboratoire » – parce que c’est faux. Il a simplement dit que ça n’avait pas d’importance parce qu’ils n’auraient jamais pu fabriquer un virus suffisamment transmissible et mortel pour provoquer la « pire pandémie de l’Histoire ». Cela signifie que les coronavirus de ce type, même s’ils peuvent provoquer une épidémie locale, n’ont pas la stabilité génomique nécessaire pour traverser le monde en conservant leur virulence. En tout cas, pas sans le type d’aide que celle dont le MERS a eu besoin pour provoquer de multiples épidémies dans le monde.
Ça n’a pas d’importance que Robert Malone poursuive les Breggin pour avoir osé le mettre en cause… alors qu’ils avaient le droit de le faire. Robert Malone a-t-il raison de faire ça? Peut-être, peut-être pas. Mais ça n’a pas d’importance. C’est un spectacle.
Ça n’a pas d’importance que Maajid Nawaz et Alexandros Marinos se disputent sur Twitter au sujet d’Elon Musk. Alexandros a raison et Maajid a raison. Ils parlent juste à contre-sens. C’est encore un spectacle.
Again, please read my article. It addresses matters that you are avoiding (deliberately or not) in this reply.
Je suis heureux d’avoir une conversation de bonne foi sur tout sujet lié à Elon. Je suis aussi préoccupé que n’importe qui par le fait que la MDBC s’érige autour de nous et j’ai tiré la sonnette d’alarme très tôt et souvent. Encore une fois, veuillez lire mon article. Il aborde des sujets que vous évitez (délibérément ou non) dans cette réponse.
Ça n’a pas d’importance que mon ami Mathew Crawford se soit brouillé avec Steve Kirsch – parce que soit Mathew est un véritable pilier de la statistique, comme je le crois, soit ses nombreuses analyses détaillées seront exposées comme étant incorrectes. Elles ne l’ont pas été. Elles ne le seront pas. Il fournit toujours des justificatifs.
Ça n’a pas d’importance que l’affaire Kassam contre Hazzard ait été « perdue ». Ce qui a de l’importance, c’est que l’affaire a mis en lumière l’échec lamentable des tribunaux qui a conduit le juge Robert Beech-Jones à dire au peuple que « la coercition reste un consentement ». Ce qui a de l’importance c’est que Tony Nikolic ait apporté la preuve que les tribunaux savaient que:
les vaccins ne réduisaient pas la transmission
les taux d’infection étaient plus élevés chez les vaccinés
les preuves justifiant les confinements, les masques et les vaccins n’existaient pas
le principal expert témoin du gouvernement a reçu 65 millions de dollars de subventions gouvernementales et n’a jamais traité un patient atteint du COVID.
The State expert in Australia’s leading case Kassam v Hazard (at the time) had never treated a COVID patient. But Justice Beech Jones found she was “impressive” witness. The many Doctors/experts that did treat were rejected by court. No confidence vote I think!@SenatorRennick
L’expert de l’État dans la principale affaire australienne Kassam contre Hazard (à l’époque) n’avait jamais traité de patient COVID. Mais le juge Beech Jones a estimé qu’elle était un témoin « impressionnant ». Les nombreux médecins/experts qui avaient traité des patients ont été rejetés par la cour. Un vote de défiance, je pense !
Ça n’a pas d’importance que l’ivermectine « fonctionne » ou ne « fonctionne » pas dans le cas du COVID et de toute autre infection virale. Ce qui compte, c’est que les médecins qui utilisaient l’ivermectine – comme Pierre Kory, Brian Tyson, Zev Zelenko et Lynn Fynn – ont réellement pris la peine de traiter le patient sans suivre un protocole anonyme. Ce qui signifie que leurs patients ont également reçu des antibiotiques pour traiter la pneumonie secondaire qui était en fait la cause des décès de personnes âgées.
C’est ce qu’ils ont refusé aux personnes âgées qui ont été diagnostiquées avec une « pneumonie COVID » parce qu’on leur a dit de ne pas la traiter. C’était une pneumonie bactérienne. Elles sont mortes.
Si elles n’avaient pas eu le test, elles auraient eu les comprimés.
Qu’est-ce qui a de l’importance alors?
Ce qui a de l’importance, c’est ce que nous savons.
Déterminez ce que vous savez et le reste n’a pas d’importance, car il y a suffisamment d’éléments pour justifier l’arrestation massive des membres du gouvernement qui ont conspiré à un démocide.
Voici ce que nous savons :
Le nombre de personnes décédées en avril 2020 et en janvier 2021 est supérieur au nombre de personnes qui seraient normalement mortes.
Dans certains pays, le taux de mortalité global était normal pour 2020, ce qui signifie que l’impact de la « pandémie » était soit mineur, soit un effet d’entraînement.
Les laboratoires ont effectué des tests PCR pour détecter un brin d’ARN, qui s’est révélé positif chez certaines personnes.
Ces tests PCR étaient plus susceptibles d’être positifs au moment où il y avait des décès.
Les amorces pour ces tests PCR étaient commerciales (sauf en Nouvelle-Galles du Sud en 2020) et nous ne savons donc pas ce qu’ils testaient.
Les amorces utilisées pour les premiers tests PCR en Chine1 étaient erronées et n’ont donc pas pu détecter le « SARS-CoV-2 » :
NOM DE DIEU. Pourquoi les médecins ont-ils accepté sans hésiter de ne pas traiter les personnes de 80 ans pour une pneumonie post-virale en 2020-2022, alors que c’était la norme de soins auparavant?
Parce qu’on leur a dit de le faire en 2019. Par une institution appelée… [Vous allez adorer ça….]
Si vous êtes une personne âgée atteinte d’une pneumonie post-virale et que l’on vous refuse des antibiotiques, vous mourrez très probablement.
L’écrasante majorité des décès en Chine concernait des patients traités à Wuhan selon les protocoles de Wuhan. La Chine continentale a connu un taux de mortalité quasi nul pour une maladie censément nouvelle et censément originaire de ce pays.
La même maladie en dehors de Wuhan (Hubei) présentait un risque de décès2 7,5 fois inférieur à celui de la maladie survenant à Wuhan (Hubei). Cela n’est pas attribuable au hasard3.
La Chine – l’épicentre supposé du « nouveau coronavirus non traitable » a vu le taux de mortalité par COVID par million d’habitants le plus bas du monde en 2020 et 2021. Ce n’est pas possible au regard de l’histoire présentée.
Nombre de décès par million sur Our World in Data pour 7 pays. La Chine est la ligne plate (indétectable) en bas.
Sur le motif d’une « nouvelle pandémie de coronavirus à fort taux de mortalité », le monde entier (partout sauf la Chine) a été soumis à:
des mesures de confinement (qui n’ont pas fonctionné)
des obligations de port de masque (qui n’ont pas fonctionné)
Sur le motif de la « pandémie » provenant de Chine, qui n’a pas affecté la Chine de manière appréciable, les économies du monde ont été arrêtées et vous vivez toujours avec les conséquences.
Pour certaines personnes, les obligations de vaccination et l’ingérence du gouvernement dans les traitements médicaux ont entraîné la mort. C’est la réalité. La suppression des antibiotiques dans le traitement standard de la pneumonie post-virale s’est faite au même rythme dans le monde entier. Comment cela a-t-il pu se produire? Par MAGIC: Un consortium dirigé par l’Université de Liverpool et l’OMS.
Ces décès dus au COVID n’avaient pas à se produire. Les personnes affiliées à Andrew Owen de MAGIC ont été dénoncées par Tess Lawrie pour avoir admis une influence financière indue dans le rejet de l’ivermectine comme thérapie. Mais l’ivermectine n’était qu’une partie du problème, car les protocoles utilisant l’ivermectine étaient accompagnés d’antibiotiques (doxycycline ou azithromycine) qui prévenaient la pneumonie bactérienne.
Que s’est-il donc réellement passé?
Voici mon évaluation de la situation en tenant compte des faits connus ci-dessus. Vous êtes invités à exprimer votre désaccord et les commentaires sont ouverts. Je vous encourage à tenter de réfuter ces propos.
Il n’y a jamais eu de pandémie d’un quelconque virus mortel. Les séquences fabriquées par Baric, Daszak, Shi et leurs copains dans les laboratoires de virologie du monde entier sont des séquences virales d’ARN, mais elles sont synthétiques. Elles peuvent être distribuées efficacement par le biais de clones4 (production en laboratoire de séquences d’ARN) au lieu de lâcher sur le monde un coronavirus à ARN instable et réel, qui régresserait probablement et échouerait en tant qu’arme biologique. Ce qu’ils ont avancé (un nouveau coronavirus mortel effrayant provoquant une pandémie) est pratiquement impossible, mais la peur était bien réelle.
Afin de persuader les gens de l’existence d’un virus pandémique mortel, le PCC (qui dicte les protocoles médicaux) de Wuhan a autorisé la diffusion d’un clone viral qui provoquait une maladie conduisant à une pneumonie bactérienne. Ensuite, soit ils ont refusé le traitement antibiotique pour les cas de Wuhan seulement (tuant des gens), soit ils n’ont signalé que les cas qui n’avaient pas répondu aux antibiotiques (produisant un biais de sélection dans les rapports). Dans un cas comme dans l’autre, cela a produit un taux de mortalité artificiellement gonflé parmi les cas de Wuhan, qui n’a pas été reproduit dans le reste de la Chine. C’est ainsi qu’est née la peur de la pandémie.
Une fois que des cas d’infection virale (qui auraient pu n’être que des coronavirus en circulation, car les tests PCR n’étaient pas assez spécifiques pour détecter uniquement le « COVID ») ont été observés dans d’autres pays, la propagande a été mobilisée (lancée par le PCC et reprise par l’Occident via Tony Fauci) pour s’assurer que les antibiotiques normalement utilisés dans les pneumonies post-virales ne le soient pas dans les pneumonies « post-COVID ». Il n’y avait aucune raison médicale à cela, seulement une raison politique. Le raisonnement politique consistait à s’assurer que les populations étaient suffisamment terrifiées par ce virus effrayant pour accepter les confinements, les masques et ensuite les vaccins expérimentaux. Aucune de ces mesures n’aurait dû être prise, car elles ne figuraient pas dans les plans de lutte contre la pandémie élaborés avant 2020. N’oubliez pas non plus qu’aucun des confinements chinois n’était réel. Tout cela n’était que de la propagande.
When you take a step back and look at the entire world shutting down, masking up, tossing away human rights in lockstep after China supposedly beat a super-virus with fake videos of residents falling dead by locking down one city, the lockdown fraud looks embarrassingly obvious.
Lorsque l’on prend du recul et que l’on voit le monde entier se fermer, se masquer, rejeter en bloc les droits de l’homme après que la Chine ait soi-disant vaincu un super-virus en confinant une ville, en s’appuyant sur de fausses vidéos montrant des habitants tombant raides morts, l’imposture du confinement apparaît comme une évidence gênante.
Les masques étaient de la propagande destinée à entretenir la peur. Les confinements étaient conçus pour neutraliser les économies non chinoises, de telle sorte que la seule économie à croître en 2020 a été celle de la Chine. Une fois ces deux piliers de la fausse pandémie mis en place, la voie était ouverte pour l’introduction des vaccins « d’urgence », pour lesquels la technologie de thérapie génique à ARNm était prête à être utilisée.
Au lieu de s’opposer à la propagande du PCC, l’Occident a continué à suivre la même fausse piste. Ils ont ignoré le fait que la Chine continentale refusait les vaccins à ARNm. Ils ont mobilisé des personnes telles que Gideon Meyerowitz-Katz, dont le laboratoire est ouvertement affilié au CDC5 chinois, pour promouvoir la propagande du confinement, du masque et du vaccin.
26 février 2020: L’OMS ne recommande pas le port du masque pour les personnes non-soignantes pour empêcher la propagation du Covid19. Pourquoi? Ce que j’ai vu chez ceux qui portent un masque: il se touchent le visage, il se curent le nez, il lèchent leur doigts, etc. 3 décembre 2022: Le meilleur dans ce tweet c’est que tandis que je participais à cette discussion, je prenais aussi la défense des masques auprès de quelqu’un qui pense qu’ils ne servent à rien mais évidemment ce n’est pas suffisant pour les tordus extrémistes.
Ce faisant, le monde s’est aligné sur les dictats mondiaux fournis par les protocoles de l’application MAGIC qui disaient aux médecins de ne pas utiliser d’antibiotiques dans les pneumonies post-COVID. Et en faisant cela, les médecins du monde entier ont collaboré – sciemment ou non – à un Iatrocide mondial qui aurait pu être entièrement évité.
Les protocoles vantés par Zelenko et Kory étaient simples. Hydroxychloroquine ou ivermectine (qui sont des anti-inflammatoires ou des antiviraux dans la phase précoce), zinc (qui est un antiviral) et doxycycline ou azithromycine (qui prévient ou traite la pneumonie secondaire, cause de décès dans la majorité des cas de « COVID »). Des médicaments parmi les plus sûrs de la planète. Pourtant, nous n’étions pas autorisés à les utiliser, parce que l’OMS, Fauci et Andrew Owen le disaient. Et puis le gouvernement est intervenu pour restreindre leur prescription.
L’hydroxychloroquine ou l’ivermectine n’étaient peut-être même pas tellement importantes. Plus probablement, tout ce qui était nécessaire était les « #3comprimés » [#3tablets] d’azithromycine qui représentent un cours de traitement pour la pneumonie acquise en communauté. Moins d’un dollar dans de nombreux pays. Si vous aviez un « test COVID » négatif, on vous donnait ces comprimés. Si le test était positif, on ne vous les donnait pas. Une personne âgée atteinte d’une pneumonie post COVID non traitée était placée sur la chemin de la mort.
Un dollar. 3 comprimés. C’est le prix que l’OMS a jugé trop élevé pour traiter vos parents âgés.
Je suppose que le directeur de l’OMS, Tedros, en dit trop sur cette photo. Mais là encore, il n’en est pas à son premier rodéo démocidaire, ayant été le ministre de la santé qui a supervisé la discrimination systématique en matière de santé mise en évidence dans le rapport 2010 de Human Rights Watch.
Mais bien sûr, tout ce qu’il fait maintenant c’est uniquement pour protéger mamie.
1 dollar. 3 comprimés. Portez un masque. Prenez votre vaccin. Restez à l’intérieur. N’écoutez pas les réactionnaires. Contentez-vous de vous conformer. C’est pour votre sécurité.
Une dernière question… qui sommes-nous censés saluer le bras tendu cette fois-ci?
Voici le document du CDC chinois. N’oubliez pas que seuls les documents approuvés par le PCC sont autorisés à être publiés. Cela signifie que soit le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine, soit le PCC voulait faire croire au monde que le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine. Ça n’a pas d’importance. Cela signifie que des personnes se sont vu refuser un traitement médical pour promouvoir l’idée qu’une effroyable pandémie de coronavirus se préparait. https://arkmedic.substack.com/api/v1/file/4885838c-6c88-4684-86dd-68a37256b46c.pdf
Katherine Watt est une alliée des plus précieuses pour comprendre comment l’état de guerre biosécuritaire a pu légalement et juridiquement se mettre en place aux États-Unis. Ceci concerne également au premier plan les pays européens qui ont passé contrat avec les firmes pharmaceutiques (vous voyez lesquelles), par une astuce légale typiquement américaine qui octroie à ces contrats précédence sur les lois nationales. Je traduis l’article de Katherine Watt à ce sujet, dès que je le retrouve – j’ai compté, j’ai plus de 900 onglets ouverts…
Les deux derniers paragraphes sont humoristiques, mais j’avais pensé sérieusement à ce genre de manoeuvre. Je ne vois pas pourquoi ce seraient toujours les mêmes qui s’amusent.
Pour les lecteurs souhaitant vérifier les citations légales de ce billet, vous pouvez les trouver dans la chronologie du billet épinglé American Domestic Bioterrorism Program. [NdT. dont j’ai traduit la seule conclusion ici, les références juridiques rendant la lecture interminable]
On m’a récemment envoyé un lien vers l’interview de Karen Kingston avec Greg Hunter, publiée le 24 décembre 2022, et on m’a demandé mon avis sur les points qu’elle aborde entre 22:00 et 28:00. Au cours de ce segment, Karen Kingston discute des implications juridiques de l’approbation par la FDA, le 23 août 2021, du Nouveau Médicament Expérimental (Investigational New Drug – IND) du produit Comirnaty de Pfizer, qui est « juridiquement distinct », comme pouvant percer les boucliers de responsabilité civile et pénale de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (Emergency Use Authorization – EUA).
Je comprends son point de vue, mais je ne suis pas d’accord avec son analyse.
Je ne pense pas que les lois d’urgence de l’EUA ou de la santé publique soient contraignantes, en tant que lois de santé publique et de réglementation des médicaments.
Je pense qu’elles ne sont contraignantes que dans le sens où elles transfèrent toutes les utilisations et implications légales des produits des programmes de santé publique au programme d’armes chimiques et biologiques (50 USC 1511 et seq.).
Ainsi, dans le cadre d’un état de guerre, d’un état d’urgence national et/ou d’un état d’urgence de santé publique, tous les Américains sont classés comme ennemis de l’État (le prétexte employé par le gouvernement fédéral du District de Columbia1), comme insurgés, rebelles ou étrangers, et peuvent être légalement ciblés pour être tués, en utilisant toutes les armes que le gouvernement fédéral et ses militaires jugent appropriées, à la discrétion du Président et du Secrétaire à la Défense.
Parmi les nombreux documents utiles que les lecteurs m’ont envoyés au sujet de la prise de pouvoir de l’exécutif et du droit militaire pendant la guerre de Sécession, il existe des preuves à l’appui de l’argument selon lequel le statut de droit militaire n’a jamais été levé lorsque les hostilités sur le champ de bataille ont pris fin en 1865.
Au lieu de cela, de nombreuses générations d’Américains – de toutes les races, classes et ethnies – sont nées, ont vécu et sont mortes sous une occupation militaire fédérale secrète, illégitime et financiarisée.
Sans le savoir.
Depuis le début de la guerre de Sécession en 1861 jusqu’à l’AUMF (autorisation de recours à la force militaire)/Proclamation 7463 de 2001, les banquiers centraux mondialistes ont eu suffisamment de contrôle sur les leviers qu’ils voulaient contrôler pour permettre à certaines dispositions de la séparation des pouvoirs de la Constitution de sembler fonctionner de façon plus ou moins intacte, y compris un certain contrôle du Congrès, un certain contrôle judiciaire et certains droits limités des États, fournissant un certain contrepoids au Président et aux agences exécutives et administratives.
Au fil des décennies, les banquiers centraux planifiaient et se préparaient à prendre davantage de pouvoir, et à mettre en place des mécanismes de transfert discrets, tels que le Federal Reserve Act de 1913, l’Executive Order 6102 et la House Joint Resolution 192 de 1933, ainsi que les accords de Bretton Woods de 1945, tout en construisant l’architecture juridique, financière et scientifique du programme de bioterrorisme.
En 2001, ils voulaient plus de contrôle et étaient prêts à risquer d’être un peu plus visibles pour l’obtenir.
En septembre 2001, sous le couvert de la peur suscitée par le 11 septembre et les attaques à l’anthrax, un autre niveau d’urgence nationale/état de guerre (« Guerre Mondiale contre la Terreur ») a été mis en place, par le biais de l’Autorisation du Congrès pour le Recours à la Force Militaire (AUMF) et la Proclamation 7463 de George W. Bush, Déclaration d’Urgence Nationale en Raison de Certaines Attaques Terroristes, promulguée sous la Loi d’Urgence Nationale de 1975 et renouvelée chaque année depuis.
Ces mesures ont été rapidement suivies de la loi PATRIOT en octobre 2001, de la création du Département de la Sécurité Intérieure en novembre 2002 et de l’expansion des programmes d’état policier biomédical au cours des deux décennies suivantes par le biais de la loi PREP, de la loi Project Bioshield et plus encore.
En 2019, ils voulaient prendre un contrôle encore plus direct, étaient prêts à risquer de s’exposer encore un peu plus, et avaient placé plus de pièces sur l’échiquier pour centraliser plus de pouvoir dans des conditions d’urgence de santé publique.
Ainsi, en 2020, sous la couverture de la peur suscitée par le Covid-19, une autre couche de contrôle est entrée en vigueur, par la détermination en janvier 2020 de l’existence d’une urgence de santé publique (Alex Azar, secrétaire du HHS) et la proclamation 9994 de Donald Trump du 13 mars 2022, Déclaration d’une Urgence Nationale concernant l’Épidémie de Nouveau Coronavirus (COVID-19), également en vertu de la Loi sur les Urgences Nationales de 1975.
Également renouvelée chaque année depuis.
[Et positionnée comme une Guerre Mondiale contre les Humains Susceptibles aux Maladies Communicables: traduction de l’Agenda pour la Sécurité Sanitaire Mondiale intégré dans les règlements et traités de l’Organisation Mondiale de la Santé, et dans les programmes fédéraux américains. Voir la section 5955 du NDAA pour l’année fiscale 2023].
Je pense que la solution pour sortir de ce pétrin est que le peuple, le Congrès, les tribunaux et les gouvernements des États reconnaissent ouvertement la crise constitutionnelle déclenchée pendant la guerre de Sécession et renforcée depuis par les banquiers centraux et la branche exécutive/état administratif.
Ça craint.
Les affaires civiles et pénales introduites entre-temps, dans le cadre des structures pseudo-juridiques actuelles qui ont été conçues par les banquiers centraux pour rendre la Constitution inopérante et, par conséquent, trahir le peuple, peuvent contribuer à préciser quand et comment nos structures juridiques actuelles ont perdu leur légitimité et à indiquer quelques pistes pour revenir au fondement constitutionnel original.
Je pense également – aussi étrange que cela puisse paraître – que certaines des corrections les plus importantes seraient remarquablement simples à mettre en œuvre, une fois que les majorités du Congrès, les juges fédéraux et les gouverneurs des États, les procureurs généraux et les législateurs commenceraient à comprendre la situation de guerre et à changer de camp, passant des banquiers centraux à la Constitution+Peuple.
Les archives de la guerre de Sécession et les événements qui s’en sont suivis appuient fortement l’argument selon lequel le Congrès est une pseudo-institution fictive depuis 1863 environ, occupant les sièges vides du vrai Congrès par un accord mutuel et secret entre les dirigeants conscients – pour participer à l’illusion et la promulguer – et l’ignorance pure et simple par l’ensemble de ses membres du fait qu’il s’agit d’une illusion.
Avec un bon leadership et une forte pression populaire, les hommes et les femmes vivants assis dans ces sièges pourraient ouvertement présenter des résolutions, débattre et voter pour révoquer leur consentement à participer au mensonge, et ainsi réoccuper le vrai Congrès.
Si une telle résolution était adoptée, elle effacerait tous les statuts du Congrès, toutes les agences et réglementations fédérales dérivées, et tous les ordres et proclamations présidentiels, depuis 1861.
Y compris toutes les lois d’urgence nationale et d’urgence de santé publique qui, pour l’instant, semblent protéger les tueurs de toute poursuite pénale pour les atrocités de masse qu’ils ont commises ces trois dernières années.
Une grand reset constitutionnel, en quelque sorte.
À partir de ce retour aux principes fondateurs, le vrai Congrès et les États pourraient commencer à débattre et à adopter des lois conformes à la Constitution, accompagnés par une population beaucoup plus alerte et des tribunaux fonctionnels positionnés pour examiner et annuler les lois inconstitutionnelles.
Pour m’amuser, j’imagine parfois qu’en vertu de la propriété transitive du wokeness, n’importe qui pourrait « s’identifier » à John Roberts, Juge en Chef de la Cour Suprême des États-Unis, entrer et prendre le contrôle de la SCOTUS (Cour suprême des Etats-Unis) et de son registre, et demander à des avocats publics et privés de déposer des dossiers contestant la constitutionnalité des lois d’habilitation du programme américain de bioterrorisme domestique, des décrets, des règlements des agences et de leurs fictions juridiques précurseurs.
Comment les agents de sécurité des tribunaux pourraient-ils refuser de s’incliner devant les noms propres, les identités et les autorités légales que nous préférons?
Adoration du Saint Nom de Jésus. Peinture d’El Greco.
J’ai appris récemment que les événements du 6 janvier se déroulant dans le district de Columbia sont probablement significatifs, en termes de structure corporative du pays et de statut juridique des hommes et des femmes qui ont traversé les 10 miles carrés du district de Columbia, alors qu’une déclaration d’urgence de santé publique/d’urgence nationale était en vigueur.
Je ne me souviens pas s’il y a eu d’autres grandes manifestations politiques à Washington depuis janvier 2020. Si c’est le cas, je ne sais pas comment le Ministère de la Justice rationalise le fait de jeter les prisonniers politiques du 6 janvier en prison mais pas ceux de Black Lives Matter, par exemple, ou même s’ils essaieront de rationaliser ce traitement disparate. Il est probable que les manifestants du 6 janvier et leur allégeance claire à la Constitution avaient le potentiel d’interférer avec la tentative de contrôle des banquiers centraux, alors que les manifestants de BLM ne l’avaient pas.
Quoi qu’il en soit, je pense maintenant que les accusations d’intrusion et d’insurrection sont peut-être davantage liées au fait que les manifestants du 6 janvier sont entrés à Washington, et non dans le bâtiment du Capitole lui-même. Ou, plus précisément, qu’ils ont dû être frauduleusement incités, par des agents du FBI infiltrés, à entrer dans le bâtiment du Capitole, afin de fournir une fausse façade pour les accusations d’intrusion et d’insurrection qui passerait mieux dans les médias propagandistes.
Donc 2023, Année de la Redevabilité? De la Justice?
Comme le répète (plaisamment) Adam Curry, les coupables auront-ils la tête rasée et les fera-t-on défiler sur les avenues? Le Grand Jury de Fuellmich aura-t-il finalement gain de cause?
On verra bien mais j’ai comme un doute.
En attendant, pour sortir des discours – volontairement? – naïfs à la Christian Perrone des « erreurs commises », en voici un autre nettement plus à charge. Les nombreux liens dans le texte renvoient principalement vers des articles de l’auteur (en anglais), c’est donc en plus d’un poéme un récapitulatif serré et cinglant de ces trois dernières années et un genre de catalogue de son Substack, dont des lettres ouvertes à tel ou tel acteur de l’Opération. Je les ai parcourues, elles sont nettement moins féroces que ce que j’écris et ce que je publierai ensuite.
A propos de férocité, le prochain (très court) article parle d’un truc qui va vraiment arriver.
Aucune erreur n’a été commise: un hymne à la justice
Margaret Anna Alice
1er janvier
Le poème qui suit a été inspiré par une conversation avec Mike Yeadon. Nous avons tous deux remarqué, indépendamment l’un de l’autre, l’utilisation croissante de termes comme « bâclé » et « bavure » pour décrire les crimes contre l’humanité perpétrés sous le couvert du COVID. Même les personnes bien intentionnées qui partagent des valeurs et des objectifs similaires tombent parfois dans ce piège tendu par ceux qui préparent leur saut en parachute pour échapper à toute culpabilité.
Cet Hymne à la Justice est ma tentative de décrire succinctement l’intentionnalité calculée qui sous-tend la tyrannie du COVID, et je demande votre aide pour diffuser le message clair que #MistakesWereNOTMade [#AUCUNEErreurNaEteCommise]. S’il vous plaît, partagez ce poème et gardez-le à portée de main pour la prochaine fois que quelqu’un tentera de minimiser par du verbiage les atrocités commises. Faisons de 2023 l’Année de la Redevabilité afin que personne n’ose répéter de tels actes à l’avenir.
Aucune erreur n’a été commise: Un hymne à la justice
par Margaret Anna Alice
Le Génocide Arménien n’était pas une erreur. L’Holodomor n’était pas une erreur. La Solution Finale n’était pas une erreur. Le Grand Bond en avant n’était pas une erreur. Les Champs de la Mort n’étaient pas une erreur.
Quel que soit le génocide, ce n’était pas une erreur. Ça inclut le Grand Démocide des années 2020. Insinuer le contraire, c’est Leur offrir la porte de sortie qu’ils cherchent.
Ce n’était pas bâclé. Ce n’était pas une bavure. Ce n’était pas une gaffe.
En attendant mes propres articles – qui me prennent un temps monstrueux à rédiger, j’ai compris pourquoi et je l’expliquerai – il se passe des choses qu’il serait dommage de louper. Je vous les fais en tir de barrage. Voici la première.
Meryl Nass décrypte ici le rapport de la récente réunion des parasites habituels et en donne une traduction en langage humain, que j’apprécie d’autant mieux pour m’être moi-même goinfré ce genre de littérature – rédigée en « globalien » – à l’époque maudite où je bossais dans les appels d’offres internationaux. Et au cas où vous vous demanderiez – question légitime – si ces clowns croient à leurs propres salades, la plupart sont prêts à croire n’importe quoi. Ils vivent dans un monde de croyances et de doctrines, qui leur tiennent lieu de savoir. Quant aux autres, ils n’en ont juste rien à caler de vous, de personne. Ce sont des gens cyniques et extrêmement dangereux.
J’ai ajouté à la fin quelques commentaires judicieux de lecteurs, qui complètent bien l’article.
Si vous préférez sauter les détails et passer directement aux Thèmes Principaux, faites défiler la page jusqu’au milieu. C’est sous le couvert de ces THÈMES que notre autonomie est censée nous être confisquée.
Mike Benz m’a appris aujourd’hui que le sens du terme « résilience » a été détourné pour y inclure la censure instaurée par le gouvernement américain. Pour ce faire, on a renommé nos cerveaux, nos opinions et notre présence sur les médias sociaux en tant qu' »infrastructure ». C’est en protégeant l’infrastructure contre les dommages (des idées dangereuses) que l’infrastructure (nos esprits) est rendue résiliente. Plutôt astucieux, non ?
L’objectif du Sommet Mondial de la Santé conjoint était de créer des synergies et de combiner les forces pour le développement de la santé mondiale en engageant tous les dirigeants et les parties prenantes de la santé mondiale de tous les secteurs dans toutes les régions du monde.
Le Sommet Mondial de la Santé 2022 a permis de renforcer les échanges, d’encourager les solutions innovantes aux problèmes de santé, d’élever la santé mondiale au rang de question politique clé et de promouvoir le débat sur la santé mondiale dans l’esprit des objectifs de développement durable des Nations Unies.
Aujourd’hui, la santé est « élevée » au rang de question politique clé. J’appelle ça un aveu, celui que la santé sera utilisée pour en tirer des avantages politiques. Côté développement durable, le sommet a encouragé les participants à ne pas prendre l’avion et tous les repas étaient végétariens.
Réduire l’impact climatique
Le changement climatique est l’un des problèmes de santé les plus urgents de notre époque et figure depuis longtemps à l’ordre du jour du Sommet Mondial de la Santé.
Projets de réduction des émissions
Les émissions de carbone estimées pour les vols des intervenants au Sommet Mondial de la Santé ont été entièrement compensées par le soutien d’un projet de réduction des émissions dans l’État de Karnataka, en Inde. Certifié par Gold Standard, le projet Kolar Biogas fournit des unités de biogaz aux ménages ruraux, réduisant ainsi l’utilisation du bois et du kérosène pour la cuisine. Le projet présente également des avantages pour la santé des ménages participants grâce à la réduction de la pollution de l’air intérieur, et est désigné comme apportant une contribution particulière à l’ODD3 ( Bonne Santé et Bien-être). [J’ai fait des recherches sur ce projet et j’ai trouvé très peu d’informations à son sujet. Les bénéficiaires transforment-ils réellement les déjections animales en gaz de cuisson, ou s’agit-il simplement d’un autre système de transfert d’argent et de crédits carbone sans aucun avantage pour l’environnement ou les personnes? – Nass]
Alternatives au transport aérien
Les orateurs et les participants sont encouragés à éviter de prendre l’avion si possible. Des prix spéciaux sont disponibles auprès de la Deutsche Bahn pour les participants au Sommet Mondial de la Santé. [C’est un sommet MONDIAL et ils demandent aux participants d’éviter de prendre l’avion. C’est une blague? Ce qui aurait pu être significatif, c’est d’interdire les avions privés – Nass].
Restauration
Les repas du Sommet Mondial de la Santé sont entièrement végétariens et préparés à partir de produits régionaux et saisonniers provenant principalement de sources locales. [Pas de grillons au menu donc].
« Les parlements jouent un rôle crucial dans la conception, la mise en œuvre et le suivi de la législation, des politiques et des programmes pertinents pour la réalisation du droit de chacun à jouir du meilleur état de santé physique et mentale possible et pour la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) liés à la santé. »
Cette phrase contient des termes en vogue [NdT. buzzwords] à la fois importants et inquiétants.
Qui décide de ce qu’est le meilleur état de santé possible? Cela pourrait-il impliquer une multitude de vaccinations?
De même, qui décide du meilleur niveau de santé mentale possible? Est-ce qu’il nécessite des médicaments? S’agit-il d’un état soporifique? Un état dans lequel on ne pense jamais à défier l’autorité?
Et pourquoi les objectifs de développement durable sont-ils systématiquement invoqués?
Venons-en maintenant aux thèmes centraux de la conférence:
Investir dans la santé et le bien-être
L’urgence d’investir de manière durable et équitable dans la santé et le bien-être s’avère plus importante que jamais compte tenu de l’imbrication des défis mondiaux actuels. Des discussions approfondies ont eu lieu sur la nécessité d’accroître les investissements dans la santé, notamment à la suite de l’impact de la pandémie de COVID19; les institutions financières sont plus engagées et plusieurs nouveaux instruments financiers ont été proposés. Si l’on constate une évolution vers des investissements responsables de la part des investisseurs privés et institutionnels, particulièrement en ce qui concerne l’impact sur le climat, il reste encore beaucoup à faire pour que les grands flux financiers soutiennent la santé, améliorent l’impact des acteurs économiques sur la santé et élargissent l’approche ESG pour y inclure des considérations sanitaires. Les groupes de personnes vulnérables et marginalisées étant particulièrement touchés, les investissements ciblés sur la santé et ses déterminants jouent également un rôle crucial pour l’équité en matière de santé.
Traduction de Nass: Nous vous avons escroqué pour que vous nous donniez des montagnes d’argent afin de prévenir le changement climatique (sans aucun résultat à la clé), alors pourquoi ne ferions-nous pas de même pour la santé, puisque l’OMS n’a pratiquement rien fait pour la santé depuis sa création en 1948, et que vous ne l’avez jamais remarqué?
Changement climatique et santé planétaire
Le changement climatique est la plus grande menace pour la santé planétaire. Des millions de personnes sont victimes des vagues de chaleur, des sécheresses, des inondations et des tempêtes, de la faim et de la propagation des maladies infectieuses, de l’élévation du niveau de la mer et des migrations et de l’instabilité politique qui en résultent. Nous constatons que de nouvelles inégalités sanitaires importantes apparaissent en conséquence. Pour changer de cap, il faut adopter de nouvelles approches audacieuses en matière d’élaboration des politiques, de recherche et de commerce. Un défi sans précédent exige une réponse sans précédent. De nouvelles coalitions se forment entre les défenseurs et les militants de la santé et du climat, et des organisations internationales telles que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont en train d’accumuler des preuves et de créer des alliances pour placer ce programme au centre de l’action sanitaire mondiale. De nouvelles voies de transformation dans le secteur de la santé et au-delà, tant au niveau local que mondial, doivent être développées. L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.
Traduction de Nass: Pendant que nous prenons en charge la santé, n’oublions pas que nous devons encore lutter contre le changement climatique. Fusionnons simplement les deux concepts, appelons le climat le plus grand défi sanitaire mondial, et exigeons des actions sur les deux, toujours.
Architecture pour la préparation aux pandémies
Malgré les efforts considérables investis dans la préparation mondiale à la pandémie au cours des deux dernières décennies, [150 milliards de dollars US dépensés pour rien, si ce n’est davantage de virus à gain de fonction! – Nass] la pandémie de COVID-19 a souligné la nécessité d’être mieux préparé à identifier et à répondre aux nouvelles menaces pandémiques et épidémiques. Plusieurs groupes d’experts et commissions de haut niveau ont recommandé d’améliorer l’architecture mondiale de la santé publique, tandis que le G7 et le G20 ont inscrit la préparation à la pandémie en bonne place dans leur ordre du jour. Un défi majeur, tant au niveau mondial qu’au niveau national, consiste à mettre en place une surveillance plus forte et plus intelligente, notamment pour la détection rapide des agents pathogènes inconnus, associée à des capacités de prise de décision et de réponse efficaces. Une réalité fondamentale est qu’une meilleure intelligence des pandémies et des épidémies exige que tous les pays soient mieux préparés et capables de collaborer efficacement les uns avec les autres. Pour cela, les aspects structurels sont importants, comme les cadres juridiques internationaux, les mécanismes de financement, l’amélioration de la collaboration multisectorielle et le renforcement des organisations mondiales de santé publique existantes, notamment l’Organisation Mondiale de la Santé.
Traduction de Nass: Nos copains de l’industrie de la biodéfense ont dit qu’il fallait développer considérablement leur industrie. Et sous couvert de préparation, nous pourrons usurper l’autorité des pays pour gérer les pandémies, augmenter la surveillance mondiale non seulement des virus mais aussi des personnes, créer de nouveaux traités et règlements exécutoires, et demander beaucoup plus d’argent pour payer tout cela, le tout sous l’égide de l’OMS.
Transformation numérique de la santé
La transformation numérique de la santé progresse à grande vitesse. Aujourd’hui, les technologies numériques représentent une composante essentielle sur la voie de la connaissance de la santé, des systèmes de santé durables et de la couverture sanitaire universelle. Des changements fondamentaux sont actuellement en cours dans le domaine de la santé en ce qui concerne la manière dont les soins médicaux sont dispensés et dont les informations sont obtenues et diffusées. Les stratégies « Digital Health First » se développent rapidement, car de nombreuses grandes entreprises technologiques entrent dans l’arène de la santé. Le rôle des grandes plateformes technologiques en matière d’informations sanitaires fiables a été mis en évidence pendant la pandémie de COVID-19 et les infodémies sont devenues une menace majeure pour la santé. Ces développements ont conduit à de nouvelles formes de coopération entre les organisations internationales et l’industrie technologique au niveau mondial. Cependant, dans de nombreux pays, d’importants investissements dans les infrastructures sanitaires et numériques sont nécessaires et l’environnement réglementaire est faible. L’extraction de données et la perte de souveraineté numérique suscitent des inquiétudes. Les pays ont besoin de stratégies de santé numérique solides qui intègrent le leadership, les ressources financières, organisationnelles, humaines et technologiques, ainsi que le soutien nécessaire pour surmonter les principaux obstacles auxquels ils sont confrontés.
Traduction de Nass: Les dossiers médicaux électroniques ont contribué à ruiner les soins de santé aux États-Unis, mais ont considérablement amélioré les possibilités de chantage et de surveillance. Alors étendons-les au reste du monde. Le contrôle de l’espace numérique nous permettra une plus grande censure. Donnez-nous plus d’argent pour déployer la grille de contrôle numérique.
Systèmes alimentaires et santé
Les systèmes alimentaires nous rendent malades, entraînent des changements climatiques et sapent la santé des écosystèmes. L’alimentation est au cœur de la santé humaine, des écosystèmes et des animaux. Le programme est vaste : nous devons changer notre façon de penser, de produire, de distribuer, de consommer, d’éliminer et de valoriser les aliments, pour obtenir de meilleurs résultats en matière de santé. Il existe cinq voies interconnectées et interdépendantes : les régimes alimentaires malsains et l’insécurité alimentaire; les agents pathogènes zoonotiques et la résistance antimicrobienne; les aliments dangereux et frelatés; la contamination et la dégradation de l’environnement et les risques professionnels. Nous avons besoin d’une transformation des systèmes pour faire évoluer les systèmes alimentaires vers la fourniture de régimes alimentaires sains et durables pour tous. Si les systèmes alimentaires sont transformés, ils peuvent devenir une force motrice puissante pour mettre un terme à la faim, à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition sous toutes ses formes. Le paquet d’actions comprend la taxation des options malsaines et la subvention des options saines, la protection des enfants contre le marketing nuisible des aliments et des boissons, la garantie d’un étiquetage nutritionnel clair et précis, la réduction des niveaux de sel, de sucres et de graisses nocives dans les aliments et les boissons transformés, l’enrichissement des aliments de base en ajoutant des vitamines et des minéraux supplémentaires, la garantie que des aliments nutritifs pour des régimes plus sains sont servis ou vendus dans les écoles, les hôpitaux et autres lieux publics, l’amélioration de la surveillance et de la réponse aux maladies d’origine alimentaire et l’évaluation et le renforcement des systèmes nationaux de contrôle alimentaire.
Traduction de Nass: Pour prendre le contrôle du système alimentaire mondial, nous avions besoin d’un très Gros Mensonge. Nous avons donc associé le changement climatique à l’affirmation selon laquelle la nourriture nous rend malades (ce ne sont finalement pas les additifs ni la malbouffe). C’est vous, les gens, qui avez bousillé la production alimentaire, alors maintenant laissez-nous fournir des grillons sains et durables à tous. Et prétendre réparer toutes ce que nos partenaires Pharma/Big Ag présents à cette conférence ont jusqu’à présent empêché les autorités de régulation de réparer. Et lancer des « systèmes nationaux de contrôle alimentaire ».
Je me souviens du temps où la Rhodésie a mis en place un système de contrôle alimentaire. Les noirs étaient soumis à des régimes de famine pour les empêcher de partager la nourriture avec les guérilleros. Oh oh.
Résilience et équité des systèmes de santé
La résilience des systèmes de santé et l’équité en matière de santé sont deux éléments clés d’une réponse efficace et efficiente à des crises telles que celle du COVID-19. Si un système de santé n’est pas en mesure de résister aux pressions exercées par un choc, il peut cesser de fonctionner ou s’effondrer, laissant en particulier les plus vulnérables en danger. Il est donc urgent de s’engager au niveau mondial et national à progresser durablement vers la couverture sanitaire universelle et la sécurité sanitaire, tout en s’engageant à respecter l’équité. Cela nécessite une approche intégrée pour construire et reconstruire des systèmes de santé qui répondent aux besoins de la population, avant, pendant et après les urgences de santé publique. Il faut s’adapter aux changements à long terme, apprendre en permanence, assurer les fonctions essentielles de santé publique, renforcer la santé primaire, gérer les risques d’urgence de toutes sortes et faire participer l’ensemble de la société. L’OMS a publié sept recommandations de politique générale sur la mise en place de systèmes de santé résilients fondés sur les soins de santé primaires et le suivi des inégalités en matière de santé effectué par l’OMS fournit une base factuelle pour les politiques, programmes et pratiques axés sur l’équité visant à combler les écarts existants.
Traduction de Nass: Définissez résilience, sécurité sanitaire, approche intégrée, ensemble de la société, pratiques axées sur l’équité. De quoi parlez-vous au juste? Puis donnez-moi un seul exemple dans lequel l’OMS a réalisé quoi que ce soit de ce genre, où que ce soit.
La santé mondiale pour la paix
Le monde connaît le plus grand nombre de conflits depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon les Nations Unies, deux milliards de personnes, soit un quart de la population mondiale, vivent aujourd’hui dans des zones touchées par des conflits. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a réagi en lançant l’Initiative Mondiale Santé pour la Paix (Global Health for Peace Initiative – GHPI) qui vise à positionner la santé comme un facteur d’influence de la paix et l’OMS comme un acteur qui aide à soutenir la paix par des interventions sanitaires qui sont sensibles aux conflits et donnent des résultats en matière de paix dans les zones touchées par les conflits. La GHPI encourage et soutient l’élaboration de programmes de santé qui tiennent compte de la dynamique de la paix et des conflits et qui, dans la mesure du possible, contribuent aux résultats de la paix. Sur la base du principe « Do no harm » (ne pas nuire), il vise à concevoir des interventions qui tiennent compte de la dynamique, des moteurs et des acteurs du conflit et cherche des moyens de contribuer aux résultats de la paix tout en poursuivant des objectifs de santé. Elle comprend la santé mentale et le soutien psychosocial, le dialogue communautaire et les initiatives de promotion de la santé inclusives. Les interventions sanitaires peuvent faire une réelle différence, elles peuvent servir de point de départ pour rassembler les gens. Elles contribuent également à permettre et à renforcer le dialogue, la participation, l’inclusion et l’instauration de la confiance.
Traduction de Nass: Nous avons inventé le chiffre de « 2 milliards » de personnes vivant dans des zones de conflit afin de faire croire que nos interventions peuvent avoir un impact beaucoup plus important que ce qui est possible. Puis nous avons inventé un concept: « la paix grâce aux interventions sanitaires ». Cela nous a permis de prétendre qu’on peut demander à une organisation de santé (l’OMS) d’apporter la paix dans les zones de conflit, même si c’est le travail de l’ONU, pas le nôtre. Et nous utiliserons la promotion de la santé pour gagner la confiance des gens. Et peut-être pourrons-nous droguer les combattants et appeler ça santé mentale.
Pour en savoir plus sur cette conférence, vous pouvez consulter toutes les sessions ou vous concentrer sur les discours de Bill Gates, Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS) ou Antonio Guterres (secrétaire général des Nations unies).
L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.
Les systèmes de santé occidentaux, utilisés dans la plupart des hôpitaux publics du monde, sont tous des systèmes à forte émission de carbone et à forte consommation d’énergie. Cette déclaration nous dit simplement qu’ils continueront à détruire les hôpitaux dans le monde entier. Ils ont amorcé le mouvement avec le covid, mais ils avaient déjà préparé le terrain des années auparavant. Ceux qui comprennent les systèmes émetteurs de carbone savent que le « net zéro » est impossible. Ceux qui travaillent dans la médecine occidentale savent à quel point elle est gourmande en énergie. Ils vont littéralement briser les systèmes de santé au nom de la durabilité et de l’équité, ce qui entraînera la mort de millions de personnes. C’est une destruction systématique de toutes les grandes infrastructures sociétales. Banque, santé, défense, juridique, agriculture, et gouvernance.
Il est extrêmement irritant de lire la salade de mots toxiques générée par ces destructeurs. Les leçons apprises de la pandémie nous permettent de traduire leur vision en une description concise des objectifs réels. Ils veulent que les gouvernements financent l’exécution de leur guerre contre toute vie humaine. Rien n’est plus durable et bénéfique pour les riches psychopathes que de générer d’énormes profits dans leur entreprise d’élimination des mangeurs inutiles.
Bon sang, certaines personnes aiment vraiment en contrôler d’autres. Malheureusement, cela semble aller crescendo jusqu’au moment où ces personnes aiment vraiment en tuer d’autres.
Les humains sont du « carbone ». Toute matière vivante est du carbone. C’est une guerre contre la création de Dieu. Il a déjà gagné la guerre, mais l’ennemi de notre âme et ceux qui le servent causeront autant de souffrance que possible en attendant. Tournez-vous vers Jésus pour trouver la paix et l’espoir.
C’est facile à résumer. C’est le Nouveau Manifeste Néo-Communiste et il est en train de se réaliser parce que personne ne comprend le langage qu’ils utilisent.
Raison pour laquelle Meryl et votre serviteur sont heureux de vous en faire la traduction.
Les enfants et les jeunes ciblés par l’exercice de Bill Gates, « Contagion Catastrophique »
Vous vous souvenez de l’Événement 201 en 2019 et de l’exercice de préparation à la variole du singe en 2021?
Igor Chudov
11 décembre
Vous vous souvenez de « l’Événement 201« , un exercice de préparation mettant en scène une pandémie de coronavirus, mené en octobre 2019 sous les auspices du Forum Économique Mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates et impliquant le CDC chinois et d’autres organismes?
Le timing était des plus exquis, et la pandémie de COVID-19 a débuté quelques semaines après l’exercice et s’est poursuivie comme prévu.
Contagion catastrophique
Sachez que Bill Gates vient de réaliser un autre exercice, judicieusement appelé « Contagion Catastrophique » (je ne plaisante PAS), le 23 octobre 2022. Bill y a assisté en personne:
Que prévoyait « Contagion Catastrophique »? Elle planifiait une pandémie grave, pire que le COVID-19, visant les jeunes et les enfants.
Le Centre Johns Hopkins pour la Sécurité Sanitaire, en partenariat avec l’OMS et la Fondation Bill & Melinda Gates, a organisé Contagion Catastrophique, un exercice de simulation de pandémie lors de la réunion annuelle de Grand Challenges à Bruxelles, Belgique, le 23 octobre 2022.
Le groupe extraordinaire de participants était composé de 10 ministres de la santé et hauts responsables de la santé publique, actuels ou anciens, du Sénégal, du Rwanda, du Nigeria, de l’Angola, du Liberia, de Singapour, de l’Inde, de l’Allemagne, ainsi que de Bill Gates, coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates.
L’exercice a simulé une série de réunions du conseil consultatif sanitaire d’urgence de l’OMS portant sur une pandémie fictive se déroulant dans un avenir proche. Les participants se sont demandés comment réagir à une épidémie localisée dans une partie du monde qui se propage ensuite rapidement, devenant une pandémie avec un taux de mortalité plus élevé que celui de COVID-19 et touchant de manière disproportionnée les enfants et les jeunes.
Les participants ont été mis au défi de prendre des décisions politiques urgentes avec des informations limitées et face à l’incertitude. Chaque problème et chaque choix avait de graves ramifications sanitaires, économiques et sociales.
Les « enseignements tirés » tendent fortement vers une position beaucoup plus ferme contre la « désinformation » que pendant la pandémie de Covid. Après tout, les sceptiques du Covid ont gagné, ce qui n’est PAS acceptable pour Bill Gates. Bill Gates prépare donc la prochaine pandémie de contagion catastrophique, qui tuera des personnes plus jeunes, où un contrôle beaucoup plus strict de la désinformation sera entrepris.
Les pays doivent donner la priorité aux efforts visant à accroître la confiance dans le gouvernement et la santé publique, à améliorer les efforts de communication en matière de santé publique, à renforcer la résistance des populations aux informations trompeuses et à réduire la diffusion de fausses informations nuisibles. Lors des futures pandémies, nous devons continuer à nous attendre à des perturbations encore plus importantes dues à la désinformation et à la mésinformation. L’OMS peut constituer une source de confiance mondiale et partager largement les informations scientifiques et de santé publique, mais nous ne devons pas attendre d’elle qu’elle combatte ou mette un terme à la diffusion de ces fausses informations et de cette désinformation. Les pays doivent collaborer pour anticiper cette menace et se préparer à la combattre avec leurs propres lois et procédures. Tout comme de nombreux types de préjudices économiques et sociétaux peuvent être anticipés et pris en compte dans les plans de préparation à une pandémie, il en va de même pour les messages de santé faux ou trompeurs prévisibles. L’exploration concertée des moyens de lutter contre ce phénomène au niveau national avant la prochaine pandémie sera cruciale pour sauver des vies.
C’est logique, non? Bill Gates et ses partenaires réalisent que si les sceptiques de Covid gagnent la bataille et prennent le contrôle de réseaux sociaux entiers, les futures batailles contre la « désinformation » devront impliquer des armes beaucoup plus lourdes.
Voici Bill en train de parler – aucun enregistrement de ce qu’il a dit n’est disponible.
Bill Gates a prédit la pandémie de variole du singe – au mois près
Bill Gates est un homme brillant et un visionnaire. Il est doté d’une étonnante capacité à prévoir les futures pandémies. En plus de se préparer à la pandémie de Covid-19 via l’Événement 201, il a également mené un « exercice de préparation à la variole du singe » en 2021, qui a prédit l’émergence de la variole du singe jusqu’au mois exact de son apparition!
Le timing étonnant de l’investissement de Bill Gates dans BioNTech
El Gato Malo nous a également rappelé que Bill Gates est un brillant investisseur : il a pris une participation dans une startup de biotechnologie à peine connue, BioNTech, deux mois seulement avant le début de la pandémie de Covid-19 et a gagné bien plus d’un milliard de dollars. Rappelons que BioNTech fournit le vaccin Covid de Pfizer – alors qu’elle n’avait jamais travaillé sur des vaccins avant la pandémie.
6 septembre 2019 09:45 AM EDT Mis à jour 10:32 AM Nouvelles en bref
BioNTech s’associe à la Fondation Bill et Melinda Gates et obtient une prise de participation de 55 millions de dollars; BeiGene repousse une brève attaque.
Le timing de son investissement montre sa clairvoyance exemplaire ! On pourrait se poser la question… Que savait Bill?
Je vous recommande donc d’écouter attentivement lorsque Bill Gates prédit une future pandémie. Il sait quelque chose dont nous ne sommes peut-être pas conscients.
Écoutez cette vidéo de 19 secondes où l’on voit Bill dire: « On y prêtera attention la PROCHAINE FOIS »!
Synchronicité? Spartacus a écrit un article très détaillé qui complètera parfaitement le mien.
Addendum15/12:
« L’OMS a annoncé que le Dr Jeremy Farrar deviendra son nouveau Directeur scientifique. Actuellement Directeur du Wellcome Trust, le Dr Farrar rejoindra l’OMS au deuxième trimestre 2023. »
Vous trouverez une mention du Dr Farrar dans l’article ci-dessous, ainsi qu’un aperçu de ses états de service. Apparemment, on est content de lui. La source est sur le site de l’OMS, datée du jour de la publication du présent article. Encore une synchronicité.
Ce n’était pas une fuite de laboratoire, c’était intentionnel
On nous l’a infligé délibérément
Spartacus
12 décembre
Une fausse dichotomie
Actuellement, un débat est en cours entre les Zoonistes [NdT. partisans de l’origine animale] et les Fuitistes [NdT. partisans de la fuite de laboratoire] sur la question de savoir si le SARS-CoV-2 est sorti d’un laboratoire ou d’un pangolin. Ce débat consiste principalement à étudier les preuves génétiques et épidémiologiques pour tenter de déterminer si le virus est d’origine naturelle ou non. De temps à autre, les promoteurs de la théorie de la zoonose font référence à l’un ou l’autre article récent qui affirme que les cas survenus au Marché de Huanan sont le point de départ de la contagion. Les adeptes de la théorie de la fuite de laboratoire ripostent alors en présentant quelque fait obscur sur les attributs génétiques du SARS-CoV-2, indiquant une manipulation en laboratoire. Les deux parties continuent ainsi à lancer des fléchettes sur la cible pour voir celle qui s’y plante.
C’est carrément grotesque. Les événements des deux dernières décennies recèlent une montagne de preuves circonstancielles qui indiquent que le scénario le plus probable est une libération intentionnelle .
La capacité des laboratoires américains BSL-3 et BSL-4 a été massivement augmentée au cours des années 2000 et une grande partie de la recherche de gain de fonction a été menée dans ces laboratoires. La DTRA [Defense Threat Reduction Agency, Agence de réduction des menaces de défense], la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency, Agence pour les projets de recherche avancée de la défense], les NIH [National Institutes of Health, Instituts nationaux de la santé], l’USAID [United States Agency for International Development, Agence des États-Unis pour le développement international] et In-Q-Tel [fonds d’investissement de la CIA] n’ont commencé à sous-traiter ces recherches à des laboratoires étrangersau mépris de toute transparence publique qu’après que les laboratoires locaux aient fait l’objet d’un examen minutieux de la part de groupes de surveillance comme le Sunshine Project d’Ed Hammond et que les demandes de FOIA [Freedom of Information Act, loi d’accès à l’information] aient commencé à affluer. Ils ne sont pas allés en Chine pour espionner les laboratoires chinois. Ils y sont allés pour garder leurs très douteuses recherches de GDF [gain de fonction]/DURC [Dual-use research of concern, recherche à double usage] loin des yeux du public.
Les rhinolophes [chauves-souris] intermédiaires, porteuses du SARS, vivent dans des grottes à 800 miles/1300 kilomètres de Wuhan, dans la province du Yunnan. Le SARS-CoV-2 ou son ancêtre immédiat ne s’est pas téléporté comme par magie à Wuhan, personne n’a chassé les chauves-souris pour leur viande au cœur de l’hiver, lorsqu’elles hibernent, et aucun camion frigorifique ou wagon ferroviaire transportant des chauves-souris n’a parcouru cette distance pour les vendre en faisant une énorme perte.
La collaboration de Ralph Baric et Shi Zhengli constitue essentiellement un transfert de technologie des États-Unis vers la Chine, ce qui est fondamentalement le contraire du travail du renseignement. Pourquoi l’argent de nos impôts et nos méthodes de recherche exclusives de gain de fonction sont-ils partagés avec des puissances rivales?
La DARPA et la DTRA disposent d’inhibiteurs (comme le DRACO) [NdT. ma traduction ici] comme s’il en pleuvait. Ils avaient anticipé quelque chose de ce genre.
Moderna a développé ses vaccins à base d’acide nucléique dans le cadre d’un partenariat de plusieurs années avec la DARPA appelé ADEPT: PROTECT. Ces vaccins utilisent un nouveau mécanisme (d’utilisation de cellules humaines comme bioréacteurs) qui n’a jamais été testé sur des humains dans le cadre d’essais cliniques complets pour l’évaluation des risques sanitaires à long terme.
Les fabricants de vaccins ont été dégagés de toute responsabilité par leurs contrats avec nos gouvernements.
Le directeur de Moderna, Stéphane Bancel, était auparavant le PDG de BioMérieux. Alain Mérieux a participé à la construction du laboratoire P4 au WIV.
Le directeur de Metabiota, Nathan Wolfe, lié à la DARPA, ne faisait pas seulement partie du comité de rédaction d’EcoHealth Alliance, il était aussi un ami de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein, et sa société a reçu des fonds de la société d’investissement de Hunter Biden, Rosemont Seneca. Il est absolument consternant qu’un larbin d’Epstein/Maxwell soit responsable de la sous-traitance de subventions du DOD [Department of Defence, Ministère de la Défense], des NIH et de l’USAID à des laboratoires biologiques étrangers.
Peter Daszak – dont l’EcoHealth Alliance a acheminé des fonds du DOD, des NIH et de l’USAID au WIV – a non seulement travaillé pour la CIA et le DHS, mais il était également un enquêteur de l’OMS sur le terrain à Wuhan, et l’un des principaux responsables de la lettre du Lancet dénonçant la fuite du laboratoire. Il a été cité des années à l’avance, faisant la promotion des contre-mesures médicales.
En 2017, Anthony Fauci a déclaré qu’il y aurait une épidémie surprise.
Il existe de nombreux exercices qui semblent correspondre presque exactement aux événements qui les ont suivis, comme l’Event 201, Lock Step, SPARS 2025-2028, Twin Pillars, l’exercice Monkeypox du NTI, etc. [NdT. il y en a un nouveau que je vous présente dans un article imminent] Nous sommes apparemment censés croire que ces personnes sont clairvoyantes.
Il a été créé un partenariat appelé COVID-19 Healthcare Coalition, dirigé par MITRE [NdT. ici], qui comprenait In-Q-Tel, la monumentalement louche Palantir [NdT. ici] et de nombreuses organisations d’analyse de données d’IA. Ils ont recueilli de nombreuses informations sur les mouvements et les activités des gens.
Il règne une étrange synchronisation entre les différents gouvernements du monde quant aux mesures qu’ils ont prises pour imposer le masquage, le confinement, la censure des médias sociaux, la répression des manifestations, le deplatforming/la mise sur liste noire financière et le suivi des mouvements et du comportement des personnes. De nombreuses entités publiques et privées ont fait des vaccins COVID-19 une exigence pour conserver un emploi. Les gouvernements et les médias ont exercé une coercition et une propagande incessantes. En général, ces mesures semblent viser à établir une tyrannie par le biais de la biosécurité/biosurveillance, de l’expansion du pouvoir et de l’influence du « capitalisme participatif » et des partenariats public-privé, de la destruction des petites entreprises et du transfert de leurs parts de marché à des sociétés oligopolistiques, de l’achat de divers actifs (terres agricoles, etc.) à des prix de liquidation pour se lancer ensuite dans le rentiérisme, de l’effondrement des monnaies pour les remplacer par des MNBC [NdT. voir ici] programmables, de l’expansion de l’État de surveillance et des villes intelligentes, et de l’élimination de la population « excédentaire ». Tout cela est aidé et encouragé par des responsables gouvernementaux complices qui s’engagent dans des actes de malfaisance généralisés et très inquiétants.
La FDA et les CDC font la promotion des vaccins COVID-19 malgré les données alarmantes montrant des taux élevés de lésions vaccinales. Les régulateurs et les fonctionnaires semblent pratiquement en transe, insistant sans cesse sur l’innocuité des vaccins malgré de nombreuses preuves du contraire.
L’industrie pharmaceutique et ses partenaires au sein du gouvernement ont supprimé les thérapies non vaccinales du COVID-19, souvent par le biais d’essais cliniques conçus pour ne trouver aucun avantage. Au moins un de ces essais a été financé par FTX.
Klaus Schwab et le Forum Economique Mondial (FEM) mentionnent à plusieurs reprises que les interfaces cerveau-ordinateur sont un élément clé de leur vision de l’avenir et, en effet, Klaus Schwab mentionne nommément l’initiative BRAIN de la DARPA dans son livre Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. Les personnes affiliées au FEM mentionnent à plusieurs reprises l’Internet des Corps et les outils de biosurveillance implantés. Par ailleurs, le MITRE, la DARPA, la DTRA, les NIH, l’AFOSR, l’ONR et d’autres sont impliqués dans la recherche sur les interfaces cerveau-ordinateur et la neuro-guerre, et certaines des personnes impliquées dans Moderna et l’opération Warp Speed, comme Robert Langer et Moncef Slaoui, sont également liées à des personnes comme Charles Lieber (qui a effectué des recherches sur les interfaces cerveau-ordinateur pour la DARPA) et à des organisations comme Galvani Bioelectronics, qui étudient les thérapies basées sur la neuromodulation. Parallèlement, le Wellcome Trust et le Wellcome Leap de Jeremy Farrar sont impliqués jusqu’au cou dans les origines du virusetla recherche sur l’augmentation de l’être humain.
Le livre COVID-19: The Great Reset de Klaus Schwab et Thierry Malleret était prêt à être publié en juillet 2020, quelques mois seulement après que la pandémie ait commencé à toucher les nations occidentales. On nous a dit que la « Grande Réinitialisation » et « Reconstruire en mieux » étaient des théories du complot, mais les dirigeants mondiaux les ont répétées l’un après l’autre.
Les vaccins COVID-19 extrêmement toxiques à base d’acide nucléique sont essentiellement des produits de biodéfense du DOD. Ce sujet a été largement couvert par Sasha Latypova:
Le gouvernement américain a passé des années à éroder les diverses protections juridiques entourant les vaccins et autres produits pharmaceutiques pour faire une place aux « contre-mesures médicales » du Département de la Défense. Ce sujet a été couvert de manière très détaillée par Katherine Watt:
[NdT. deux articles connexes de Katherine Watt traduits ici et ici]
Au vu de tout cela, nous sommes apparemment censés croire que cette pandémie était soit le produit d’un débordement zoonotique, soit un accident de laboratoire, et qu’un troisième scénario – la libération intentionnelle d’un agent pathogène mortel pour justifier le meurtre de personnes avec des contre-mesures médicales empoisonnées, la restructuration de l’économie et la suppression des libertés civiles – est impensable.
C’est pourtant le seul scénario qui colle à toutes les preuves circonstancielles. Il existe une trace écrite remontant à plusieurs décennies qui démontre l’intention. Il n’est pas nécessaire de disposer de preuves génétiques relatives au virus pour démontrer que tout ceci était intentionnel. Mais lorsqu’on inclut des preuves génétiques, on découvre une souche bizarre du SARS avec un site de clivage de la furine et des motifs semblables à ceux de la gp120 [NdT. une des protéines du VIH], et une correspondance génétique avec un brevet de Moderna.
L’idée qu’un virus se soit échappé d’un laboratoire, puis que des macrostructures politiques massives se soient mises en place dans le monde entier pour supprimer les libertés fondamentales des gens, du jour au lendemain, est absurde. Chaque composante de cette opération a nécessité des années de planification délibérée et de préméditation.
Les gens doivent être prêts à penser l’impensable et à dire l’indicible. Une fois l’origine de laboratoire prouvée, il n’y a aucune raison pour que l’enquête s’arrête là. L’étape suivante consiste à prouver ce que nous savons déjà être vrai, à savoir une libération intentionnelle.
Cette courte absence m’a permis de consacrer beaucoup de temps libre à lire un paquet d’articles. Je reviens avec quelques infos et analyses intéressantes, en commençant par ceci.
On a beaucoup parlé du gain de fonction dans le cadre de la pathogénicité du SARS-CoV-2, sans vraiment définir ce qu’est le gain de fonction. Ce sujet a récemment été abordé par Jonathan Jay Couey, neurobiologiste et membre fondateur de DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Team Investigating Covid-19), qu’il a quitté depuis. Extrait d’un article du Sun du 2 mars 2021:
« DRASTIC est une équipe indépendante de scientifiques, d’analystes et d’enquêteurs qui se sont réunis pour enquêter sur les origines de Covid-19. Leurs travaux ont été cités dans le New York Post, le Washington Post, le Telegraph, le Mail on Sunday et sur Sky News en Australie. Bon nombre de ses membres ont choisi de rester anonymes afin de se protéger d’éventuelles représailles et de pouvoir mener des recherches potentiellement controversées sans que leur carrière en pâtisse. Il s’agirait de spécialistes de l’ingénierie, des mathématiques, de la biologie, du renseignement et des données de sources ouvertes, qui se sont rencontrés sur Twitter. »
Le site web de Couey est ici. Son exposé sur le gain de pureté est ici, suivi d’une analyse de la conférence zoom organisée par Robert F Kennedy Jr, à laquelle il a participé aux côtés de Meryl Nass, Jessica Rose, Tess Lawrie (noms familiers à mes lecteurs) et Robert Malone, dont il décrypte le discours très ambigu – ce que j’ai commencé ici.
Couey rassemble sur son site des interviews qu’il fait de médecins et autres professionnels de la santé et de la recherche, dont le Dr Walter Chestnut (Substack et site web), déjà publié sur ce blog, et Kevin McKernan (Substack), biologiste spécialisé dans la bio-ingénierie, fondateur de Medicinal Genomics, qui étudie rien moins que la génomique du cannabis.
Ceci correspond à l’analyse globale selon laquelle l' »épidémie » et tout ce qui en découle font partie d’une gigantesque fraude.
JJ Couey ne dit pas que la fraude serait le fait que les virus eux-mêmes n’existent pas.
La fraude réside dans le fait que les virus naturels, même s’ils sont manipulés et recombinés en laboratoire par des individus comme Ralph Baric, ne sont pas capables de provoquer des pandémies mondiales, en raison de leur diversité génétique intrinsèque, de la coévolution de nos systèmes immunitaires avec eux et de la manière dont ces deux éléments affectent leur capacité de réplication in vivo.
Les épidémies naturelles s’épuisent trop rapidement, après avoir infecté trop peu de personnes.
Mais les virus synthétiques purifiés en laboratoire, distribués artificiellement et sélectionnés pour leur capacité de réplication, peuvent être présentés au monde comme des virus naturels ou recombinants.
Et cette fraude, dont l’objectif est de créer la peur, pouvait être et a été la justification des masques, des tests, des confinements, des essais cliniques truqués, des campagnes de vaccination de masse par injection létale, des décrets, de la destruction économique, de la centralisation du pouvoir et de la concentration des financements.
[Le tout] partant du principe frauduleux que les pandémies virales constituent une menace véritable pour l’humanité [et] que les gouvernements peuvent et doivent exercer des pouvoirs insensés et investir d’énormes ressources financières dans les entreprises pharmaceutiques – en particulier les produits à base de nanoparticules d’ARNm/lipides – pour tenter de les contrôler.
Continuer de présenter cette fraude au public comme une vérité permet de poursuivre les dissimulations, les campagnes de diversion et autres guerres de l’information.
Pour ce que ça vaut, je vois les Malone (Robert et Jill) d’une manière différente de celle de Crawford. Je pense qu’ils sont des acteurs conscients et volontaires de cette opération criminelle.
Je ne pense pas qu’ils soient des participants réticents pour qui le jeu a soudainement dérapé, et qui cherchent maintenant des moyens de se désengager et de s’expliquer sans violer les termes de leurs autorisations de sécurité du Département de la Défense.
Cependant, ce n’est que mon opinion. Basée sur l’habileté du Dr Malone à éviter de se compromettre, et sur son étrange adhésion à l’image publicitaire de l’Homme-le-plus-intéressant [NdT. ce lien renvoie vers un article de Sage Hana qui taille un costard au Dr Malone, que je rhabillerai pour l’hiver dans un prochain article].
Pour bien comprendre ce qui précède, je vais tenter de résumer succintement quelques points de la présentation susmentionnée de Couey. Comme le fait Katherine Watt ci-dessus, je les replace dans le contexte des événements, ce qui amène logiquement aux questions qu’elle soulève, et aussi à une autre, qu’apparemment personne ne pense à poser.
Juste pour rappel, au début de la « pandémie », certains médecins s’étonnaient de l’étrange distribution de la maladie. Les « viro-sceptiques » y voyaient même la confirmation d’une autre cause, non-virale. Arthur Firstenberg a écrit un bouquin qui donnait comme cause unique du Covid la pollution électromagnétique ambiante générée par la nouvelle génération d’ondes millimétriques – en bref, la 5g. D’autres pointaient l’oxyde de graphène (supposément contenu dans des vaccins anti-grippaux antérieurs), associé à ce même genre d’ondes, comme cause des symptômes du Covid, et comme cause des effets « secondaires » des injections. D’autres enfin, comme le Dr Andrew Kauffman, niaient purement et simplement l’existence du virus, qu’ils identifiaient comme exosomes, et attribuaient les symptômes du Covid à leur hypothèse favorite, la « détoxification ». J’ai déjà traité de ces voies de garage ici.
Ce pseudo-débat a récemment repris un peu d’ampleur sur Substack. De nombreux scientifiques assez pointus, dont je traduis et re-publie ici certains articles, ont assez vite clos le débat par des arguments solides et très documentés sur les divers mécanismes de la pathologie du SARS-CoV-2. L’hypothèse aujourd’hui dominante, longtemps diabolisée, est que le SARS-CoV-2 – la souche dite « de Wuhan » – est issu d’une manipulation en laboratoire, un « gain de fonction » qui l’a rendu plus virulent – et plus mortel – pour l’être humain par rapport à un coronavirus « sauvage ».
Couey pose donc la question: qu’est-ce exactement qu’un gain de fonction? Je résume ce qu’il en dit dans son exposé. Il existe quatre méthodes de gain de fonction, dont trois – passage animal, culture cellulaire, récolte de virus sauvage – sont relativement aléatoires et n’offrent aucune garantie de résultat. La méthode de gain de fonction la plus aboutie est de travailler directement sur le virus. C’est cette méthode qui a vraisemblablement été utilisée pour la fabrication du SARS-CoV-2.
Il est en fait assez facile de créer des copies identiques de virus ARN in silico – appelées « clones » synthétiques – par un procédé employé dans les laboratoires de biologie moléculaire. On utilise pour les répliquer une méthode dite de l’ADN circulaire. Les virus ARN sont d’abord découpés en brins, qui correspondent à des fonctions distinctes du virus et sont conçus pour s’ajuster ensuite comme des pièces de puzzle – la pièce 2 ne s’ajuste qu’avec la pièce 1 et 3, la pièce 3 qu’avec la 2 et 4, etc. On utilise ensuite de l’ADN bactérien pour répliquer ces pièces, qui seront ensuite récoltées par filtration et ré-assemblées par ligation pour former des clones complets. On peut ainsi en fabriquer de grandes quantités et, contrairement à la réplication in vivo, quasiment sans aucune erreur dans le processus, grâce à la stabilité inhérente à l’ADN reproducteur. En plus d’un gain de fonction, on a donc ainsi créé ce que Couey appelle un « gain de pureté ».
Le SARS-CoV-2 est un virus ARN à simple brin qui utilise dans une population humaine l’ADN de l’hôte pour se reproduire. Lors de cette reproduction in vivo, contrairement à ce qui se passe en laboratoire, se produisent de nombreuses erreurs de réplication. Le résultat est qu’un grand nombre devient inapte à causer des symptômes, voire à se répliquer à nouveau – ce sont des virus à réplication défective ou à défaut de réplication. Le résultat est donc une masse de virus dont seule une fraction est identique au modèle de départ. Ils sont désignés par le terme « quasi-espèce » (quasi-species). Lorsqu’ils infectent un hôte, ils constituent un « essaim viral » (swarm), dont seul un petit pourcentage est virulent. C’est donc, pour ainsi dire, un premier mécanisme naturel de contrôle des épidémies.
Un autre mécanisme expliqué par Couey et repris par Katherine Watt ci-dessus, est que les hôtes qui développent une infection létale meurent avant d’avoir pu contaminer d’autres personnes. Qu’il y ait décès ou non, l’état général des infectés est de toute manière suffisamment mauvais pour qu’ils se retirent eux-mêmes très tôt de la circulation – à noter que le Dr Meryl Nass donne plusieurs contre-exemples de ce schéma lors de la susdite conférence zoom. Le virus en circulation s’éteint ensuite purement et simplement, faute d’hôtes. Pour cette raison, les virus à fort taux de létalité sont de très mauvais candidats pour créer une pandémie. Couey cite une fuite de laboratoire antérieure qui a suivi ce schéma (8 000 contaminations, 800 morts, fin de l’épidémie).
Depuis cette présentation, pour une raison qui m’échappe, Couey a succombé à une explication simpliste de la pandémie, rapportée ici avec enthousiasme par Michael Senger, un opposant contrôlé avec un bouquin à vendre sur la culpabilité de la Chine, sujet répété ad nauseam, sur lequel je reviens plus bas avec un point de vue assez différent. Couey pense aujourd’hui qu’il n’y aurait eu aucun nouveau pathogène et que la pandémie ne serait le fait que d’une simple manipulation statistique. Par conséquent, je ne parlerai plus de JJ Couey à l’avenir, pour les mêmes raisons qui me font abandonner tous ceux dont le raisonnement « plafonne » – ou dévie de manière suspecte. Je peux vous assurer avec 100% de certitude, de ma propre expérience et de celle de centaines de personnes dont j’ai lu le témoignage (dont celui-ci) que sa conclusion est fausse. C’est bien un nouveau pathogène, qui provoque un nouveau train de symptômes, aussi étrange qu’épouvantable.
En ce qui concerne la possibilité que ce virus se diffuse et crée une pandémie malgré cet inhérent défaut de réplication, Kevin McKernan donne une réponse – qui ne convainc pas tout le monde – sur cette page ainsi que dans ses commentaires sur cette page:
Mon interprétation de son podcast était qu’un clone infectieux ne durerait pas longtemps dans un essaim…
Je pense qu’il peut durer suffisamment longtemps pour faire le tour du globe comme l’a fait Alpha.
Il est rejoint sur ce point par le Dr Brian Mowrey, autre auteur très prolifique sur Substack, aux publications très fouillées et documentées. En résumé, son angle est de laisser toutes les options sur la table, ce qui donne parfois l’impression qu’il tente de noyer le poisson – c’est quelqu’un d’intéressant mais je lui fais très moyennement confiance. Il retrace une histoire hautement suspecte de la polio, vu ce qu’on en sait maintenant. Il conteste la date d’apparition du VRS, et donc son origine iatrogéne – le vaccin anti-poliomyélitique. Il continue encore aujourd’hui avec obstination à enquêter sur l’origine naturelle ou synthétique du virus. Pour le sujet qui nous intéresse dans cet article, il estime, contrairement à ce que comprend Couey, que la rémanence de certaines souches plaide plutôt en faveur d’un mécanisme de stabilité du génome viral et par conséquent – ça devient intéressant – il ne croit pas beaucoup à l’émergence spontanée de variants (il l’explique ici, ici et ici) et laisse ainsi la porte ouverte à une possibilité de diffusions volontaires et multiples de clones, à commencer par l’original. Pour des raisons techniques qu’il développe en détail, il soupçonne un acteur autre que la Chine ou les Etats-Unis. Il explique à ce propos, qu’il n’y a pas eu de pandémie à proprement parler mais un ensemble de foyers épidémiques distincts, hypothèse partagée par plusieurs autres médecins, notamment le Dr Lee Merritt, qui colle assez bien avec cette distribution étrange.
Voici la question, dont je parlais au début: vu que la souche originale de Wuhan, dont on comprend mieux les différents modes d’action, était manifestement dangereuse, vu que c’est chez les personnes injectées, qui produisent la protéine de pointe de cette souche précise, que l’on voit aujourd’hui des morts subites (SADS, voir ici), vu que les vidéos émanant de Chine début 2020 montraient un genre similaire de mort subite, ces vidéos, jugées frauduleuses, étaient-elles en fait authentiques? Montraient-elles les conséquences d’une diffusion d’arme biologique létale? Dans l’affirmative, ce fait donnerait un tout autre sens à la politique extrême de zéro Covid du PCC. Les Chinois savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas – par exemple, les effets à long terme de la contamination au SARS-CoV-2?
J’ai à publier sur ces effets quelques articles du susmentionné Dr Chestnut, qui montrent que les personnes contaminées par le virus, l’injection et/ou l’excrétion vaccinale de personnes injectées, si on ne trouve aucun traitement adéquat, n’éliminent jamais cette protéine de pointe, qui continue à causer silencieusement des dégâts irréversibles aux organes, au système sanguin et au système immunitaire. Nous verrons donc une dépopulation, d’abord par les morts à court et moyen terme et la stérilisation, suivie par une réduction de l’espérance de vie au niveau global. L’arme parfaite. Le type qui a inventé ça est un génie.
Technocratique ou non, il semble que l’élite compte pour instaurer son système un rétablissement de l’ancien cadre féodal, ou du moins de la notion qu’ils en ont. En recréant l’exode rural par les « villes intelligentes », en recréant la disette alimentaire par la suppression de protéines animales essentielles, le rationnement et la pénurie permanente, en recréant l’indigence avec la ruine économique et l’appauvrissement institutionnel que permettront revenu universel et monnaie digitale programmable des banques centrales, en recréant le sacrifice patriotique par les sanctions contre la Russie, en recréant les anciens cultes par un système de croyances « vertes » et en recréant le spectre des grandes épidémies par une arme biologique destructice de la résistance humaine.
Les médecins sont redevenus de dangereux charlatans, les hôpitaux des mouroirs surchargés. Les gens ont froid, les gens ont faim. La misère et la peur du lendemain sont de retour.
Comme je le lisais récemment dans un commentaire: « ils n’ont plus besoin de l’avortement maintenant qu’ils ont les vaccins. »
Note: humour intraduisible, le « mot en F » dans le langage populaire n’est évidemment pas « fertilité » mais « fuck« . Je suppose que je n’ai pas besoin de traduire.
Neuf mois après la vaccination de masse, 110 000 bébés de moins sont nés. Aux États-Unis, les données sur les naissances sont maigres, et rares sont ceux qui mentionnent le mot en F: Fertilité
Mary Beth Pfeiffer
29 novembre
Cet article fait partie d’une collaboration de publication entre RESCUE et TrialSite News.
En Suisse, les naissances ont fortement diminué après les campagnes de vaccination contre le covid. Les taux de vaccination mensuels sont indiqués en haut, les naissances en bas. La ligne rouge au centre est étiquetée en allemand « 9 Monate », ou 9 mois, indiquant l’intervalle entre les tendances. Un schéma presque identique dans d’autres pays est illustré ci-dessous. (Source: Poursuite contre Swissmedic, 14 novembre 2022).
Il est de plus en plus évident en Europe que beaucoup moins de bébés naissent à la suite des campagnes de vaccination contre le Covid-19, et que cela est circonstanciellement lié à ces campagnes. Ce phénomène généralisé inquiète les médecins, les analystes de données et d’autres personnes qui affirment qu’un changement monumental est en train d’être ignoré.
« Depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes a chuté comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne », peut-on lire dans un rapport urgent des législateurs cantonaux. Une autre étude suisse a fait état d’une baisse de 10% des naissances au cours du premier semestre de 2022 par rapport à la moyenne des trois années précédentes. À l’aide d’une modélisation statistique, elle a trouvé « une corrélation temporelle frappante entre le pic de la première vaccination et le déclin des naissances en Suisse ».
Alors que la célèbre nation alpine neutre est désormais l’épicentre d’une bataille contre l’infertilité liée à la vaccination, plusieurs autres rapports suggèrent que ce problème concerne l’ensemble du continent et devrait faire l’objet d’une couverture médiatique mondiale. Parce que ces rapports clés émergents ne sont pas rédigés en anglais, ils sont pratiquement inconnus aux États-Unis.
Dans ce qui est peut-être la plus grande étude sur cette inquiétante tendance, trois analystes basés en Allemagne ont étudié les données de dix-neuf pays d’Europe. Ils ont constaté une baisse de 7% des naissances, ce qui se traduit par 110 059 naissances de moins au premier semestre 2022 que la moyenne des périodes similaires de 2019 à 2021. (Les données n’ont pas été analysées pour le Royaume-Uni et l’Italie).
Cette vague émergente de recherche européenne – dont la plupart ont eu lieu au cours des quatre derniers mois – est réalisée en dehors des canaux traditionnels et par des chercheurs indépendants: ici, un médecin, un professeur d’université et un législateur ; là, un éducateur de lycée, un pharmacien et un statisticien. Ainsi, un réseau de personnes issues de la base mais compétentes en matière de statistiques comble le vide laissé par les agences gouvernementales et réglementaires qui rejettent la possibilité d’une nocivité des vaccins dans tous les cas, sauf quelques cas isolés.
Rédigée en allemand et traduite également en français [NdT. vous pouvez au moins y consulter les données de votre pays], l’étude européenne fait état d’une baisse des naissances de plus de 10% dans cinq pays. Dans dix autres pays, les naissances ont diminué de 4% à 9,4%. La baisse la plus importante, 18,8%, a été enregistrée en Roumanie.
« Ce signal très alarmant ne peut pas être expliqué par les infections Covid-19 », conclut le rapport du 25 août 2022 qui, comme dans les rapports suisses, voit des parallèles entre les grandes campagnes de vaccination et, neuf mois plus tard, le début de ce qu’un rapport appelle un « baby gap ».
« La corrélation avec la campagne de vaccination et la situation à l’époque suggère que la vaccination a eu des influences physiologiques sur la fertilité des femmes ou des hommes », indique le rapport sur l’Europe, pointant du doigt des preuves d’irrégularités menstruelles et de baisse du nombre de spermatozoïdes après la vaccination.
Cependant, jusqu’à présent, les études suisses et européennes, ainsi que les articles sur l’augmentation de la mortinatalité en Allemagne et la baisse des naissances en Allemagne et en Suède, n’ont pas suscité un grand intérêt au sein des structures réglementaires européennes.
Swissmedic, qui est la version suisse de la Food and Drug Administration américaine, a rejeté tout « lien de causalité » entre les vaccins Covid et la diminution du nombre de bébés.
Ce graphique montre l’évolution des naissances en Suisse. Le déclin des naissances en 2022 n’a été éclipsé qu’une seule fois, lors de la mobilisation pour la Première Guerre mondiale. (Source: Dr. Konstantin Beck)
Les 6 000 manquants
Le 14 novembre, un avocat zurichois a annoncé le lancement d’une action en justice [NdT. en français] contre trois responsables de Swissmedic et cinq du groupe Insel, qui gère un grand centre hospitalier à Berne. La plainte de 300 pages allègue que Swissmedic a violé le code pénal de la nation en approuvant des vaccins inefficaces et mal testés, puis en ignorant des milliers de cas suisses d’invalidité et de décès liés à ces vaccins. Le groupe Insel fait partie, selon la plainte, du « cercle des contrevenants ».
Parmi les nombreux préjudices présumés énumérés dans la plainte, y compris les invalidités et les décès, on trouve ceci: « Effondrement des taux de natalité: plus de 6 000 bébés manquants en 2022 ».
Le Dr Konstantin Beck, économiste en assurances et statisticien de l’Université de Lucerne, a cosigné le principal rapport suisse qui a constaté une baisse « historique » des naissances. La dernière baisse comparable des naissances, de 13 %, m’a-t-il dit, remonte à la mobilisation de l’armée suisse en 1914, au début de la Première Guerre mondiale.
Lors d’un appel Zoom, Beck et son co-auteur, Pietro Vernazza, médecin spécialiste des maladies infectieuses, ont discuté de la « baisse historiquement sans précédent des taux de natalité » qu’ils ont constatée. Comme d’autres chercheurs, ils analysent les données au fur et à mesure qu’elles sont disponibles et mettent à jour leurs conclusions ; ils sont parfaitement conscients de la nécessité de partager rapidement ces tendances dans un monde où les adultes en âge de procréer sont encore poussés à se faire vacciner.
Pour l’instant, Vernazza m’a dit qu’il n’était « pas convaincu » que les vaccins fassent effectivement baisser le nombre de naissances. Mais il doute également des premières assurances officielles, par exemple, que les particules vaccinales ne se déplacent pas dans le corps ; des preuves ont depuis montré qu’elles s’accumulent dans les organes reproducteurs.
» Dans cette situation, en tant que médecin qui veut décider, ou aider à décider, de la prise d’un booster ou d’un vaccin « , a-t-il déclaré lors de notre appel, » j’ai de moins en moins confiance dans le fait que ce vaccin ne peut pas causer de problèmes de fertilité. «
Prévenir les parents potentiels? Absolument pas
Le rapport de trente-neuf pages de Beck et Vernazza, daté du 22 septembre 2022, demande à Swissmedic d’avertir les parents potentiels des éventuels risques de fertilité du vaccin. Au-delà de la baisse documentée des naissances post-vaccinales, ils affirment qu’un trouble de la fertilité causé par la vaccination est « plausible » sur la base des résultats publiés.
« Les données pharmacocinétiques expérimentales de Pfizer montrent une augmentation continue du niveau tissulaire des particules lipidiques d’ARNm dans les ovaires et les testicules des animaux de laboratoire jusqu’à 48 heures après l’injection », écrivent-ils. Les données manquent quant à la durée de ces concentrations, notent-ils.
En outre, et c’est également un élément clé de la fertilité, ils ont cité une étude sur des donneurs de sperme qui a révélé une baisse de 22 % du nombre de spermatozoïdes mobiles trois à quatre mois après la vaccination. Cette baisse était encore de 19 % après cinq mois.
Les chercheurs reconnaissent que ces études, peu nombreuses et incomplètes, « ne sont pas suffisantes pour documenter un mécanisme d’émergence de cette baisse des naissances ».
Elles sont toutefois suffisantes pour suggérer que la vaccination des personnes qui veulent des enfants pourrait être reconsidérée. Compte tenu du faible risque de covid-19 dans cette population, de l’immunité naturelle dont jouissent la plupart des gens et de « l’ampleur inconnue des troubles de la fertilité, nous serions favorables à une recommandation immédiate à la population : les personnes qui veulent encore avoir des enfants devraient être conscientes de la possibilité d’un trouble de la fertilité… et s’abstenir de toute nouvelle vaccination jusqu’à ce que ce lien de causalité encore non élucidé ait été clarifié. »
Swissmedic n’était pas d’accord. Huit jours après la publication du rapport de naissance suisse, l’agence a catégoriquement rejeté ses conclusions dans une lettre adressée à Beck et Vernazza.
« Après avoir examiné attentivement le rapport, Swissmedic arrive à la conclusion que les données présentées et l’analyse ne peuvent pas prouver statistiquement un lien de causalité », peut-on lire.
Pays après pays, l’intervalle de neuf mois qui suit les campagnes de vaccination contre le covid (représenté mensuellement en haut) est suivi d’une baisse des naissances (en bas). L’intervalle est représenté par la ligne rouge entre les graphiques du haut et du bas. Les graphiques, en français, montrent, dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir du haut et de la gauche, la Finlande, le Danemark, les Pays-Bas et l’Allemagne. (Source: « Déclin du taux de natalité en Europe », août 2022).
Neuf mois plus tard
Comme en Suisse, l’étude sur l’Europe, intitulée « Baisse de la natalité en Europe », a lié la baisse du nombre de naissances au déploiement des vaccins. « Un effet des vaccinations Covid 19 est évident au vu de la baisse globale des taux de natalité 9 mois après le début de la campagne de vaccination dans la tranche d’âge 18-49 ans », indique le rapport. « Ce phénomène est évident dans presque tous les pays ».
Raimund Hagemann, professeur de chimie à la retraite en Allemagne, a travaillé avec deux chercheurs partageant les mêmes idées pour assembler le rapport, qui fait partie des preuves dans le procès suisse. L’étude comprend quatre-vingt-neuf pages de compilations statistiques illustrées par des graphiques et annotées de références scientifiques.
Le groupe de Hagemann a indiqué que son analyse a donné une véritable garantie statistique d’exactitude sous la forme de valeurs p de 0,005 ou moins. En d’autres termes, il y avait moins de 1 chance sur 200 que le lien entre la hausse des niveaux de vaccination et la baisse des naissances soit erroné. Cela vaut pour l’analyse de l’Europe dans son ensemble et, individuellement, pour les pays suivants : Finlande, Suisse, Pays-Bas, Lettonie, Autriche, Allemagne et Lituanie.
M. Hagemann m’a dit qu’il avait obtenu des données sur les naissances à partir du système de déclaration statistique de chaque pays, qui était disponible jusqu’en 2022 pour toutes les nations sauf une poignée. Aux États-Unis, en revanche, il est inexplicablement difficile d’obtenir de telles données, même si des rapports anecdotiques font état de problèmes liés à la grossesse (dont je parlerai dans mon prochain article). Les Centers for Disease Control ne publient des données sur les naissances que jusqu’en 2020, tout comme mon État natal de New York. J’ai demandé par courriel au service de presse du CDC si des données plus récentes étaient disponibles, mais je n’ai reçu aucune réponse.
M. Hagemann partage la frustration de traiter avec des gouvernements qui n’ont aucun intérêt à critiquer les programmes de vaccination dont ils ont sans cesse vanté la sécurité, l’efficacité et, même, l’honorabilité. Pensez à ce qui pourrait être fait s’ils prenaient ces signaux au sérieux.
« Si des efforts sérieux étaient faits pour clarifier la situation », indique son rapport, « une coopération étroite entre les cliniques et les médecins spécialistes pourrait fournir des informations précieuses pour la réévaluation nécessaire et urgente de l’évaluation des risques et des avantages. » Or, cela « n’est manifestement pas souhaité sous la grande influence de la politique et de l’industrie pharmaceutique. »
En effet, le rejet par Swissmedic de tout lien entre l’effondrement des naissances et les vaccins était, de son propre aveu, étroitement lié au mouvement vaccinal international, et non à ce qui se passe dans son arrière-cour :
« Les résultats de la coopération internationale de Swissmedic avec d’autres autorités compétentes en matière de médicaments ont montré que dans aucun des pays étudiés, un signal concernant les vaccinations Covid-19 et une baisse de la natalité n’est vu ou évalué. »
Malgré la chute des naissances, l’Office Fédéral de la Santé Publique encourage toujours la vaccination contre le covid pendant la grossesse. (OFSP)
Premiers signes de problèmes
Des études jumelles menées en Allemagne, sur lesquelles j’ai déjà écrit, ont fourni un avertissement précoce des problèmes observés dans les maternités d’Europe. Leurs conclusions rejoignent celles des études plus récentes.
La première, publiée en ligne le 18 août, a établi un lien entre les campagnes de vaccination contre le covid et une autre tendance inquiétante, à savoir l’augmentation du nombre de décès inexpliqués non liés au covid. À l’instar de ce que d’autres chercheurs ont découvert depuis, l’étude a établi un lien étroit avec les injections d’ARNm – quatre vagues de décès en corrélation avec « la forte augmentation du nombre de vaccinations ».
Tout aussi inquiétante, l’étude, réalisée par un actuaire-mathématicien et un psychologue, a constaté une augmentation « soudaine et soutenue » des bébés mort-nés. « Au cours de l’année 2021, à partir du mois d’avril, on observe une surmortalité [mortinatalité] frappante », écrivent-ils.
Une deuxième étude, publiée début septembre par l’Institut Fédéral de Recherche sur la Population (allemand) et l’Université de Stockholm, intitulée » Baisse de la fertilité vers la fin de la pandémie de COVID-19 : Preuves de la baisse des naissances en 2022 en Allemagne et en Suède « , fait état d’une baisse des naissances en Allemagne et en Suède de 14 et 10 % au début de 2022. L’étude a révélé une « forte association entre le début des programmes de vaccination et le déclin de la fertilité neuf mois après ce début ».
De manière significative, l’étude n’a trouvé aucune association statistique avec trois autres facteurs possibles: les infections covid, les décès covid et le chômage.
Malgré ces signaux d’alarme, l’Office Fédéral de la Santé Publique encourage toujours les femmes à se faire vacciner dans des publicités en français, allemand et anglais. Sur une photo de trois bras de femmes avec des pansements en forme de cœur, on peut lire: « OBTENEZ UNE MEILLEURE PROTECTION PENDANT LA GROSSESSE AVEC LE BOOSTER ». M. Beck a précisé que ces publicités paraissent dans les gares et les journaux.
Un article invité par Mary Beth Pfeiffer Je suis une journaliste d’investigation qui est scandalisée par l’échec abject du gouvernement à stopper le COVID-19 en le traitant à un stade précoce. La censure et la cupidité ont alimenté cette pandémie. Mes articles : https://www.thefirstepidemic.com/new-index
J’avais promis une interview complète de Catherine Austin-Fitts, que j’aurai ou non le temps de transcrire/traduire. En voici toujours un court extrait.
Vous vous rappellerez peut-être que c’est exactement ce que je disais dans cet article de janvier.
Je pense donc qu’il y a eu de grandes variations en fonction des lieux et des quartiers et si on observe l’augmentation actuelle de la mortalité toutes causes confondues, on constate que les augmentations de la mortalité toutes causes confondues sont très différentes d’un État à l’autre. Donc si je devais faire une supposition – et je ne fais que supposer – la seule chose que j’ai jamais vue qui pourrait expliquer ce phénomène est un système de quotas implémenté par un embargo sur le commerce et le crédit au niveau mondial, probablement par le biais du système de sécurité nationale, le Conseil de Sécurité Nationale à l’ONU, où chaque pays ou état reçoit un quota de réduction de sa population.
[…]
Si j’examine la situation en tant que banquier d’affaires, je me pose la question de quelle formule pourrait expliquer les schémas auxquels nous sommes confrontés. Ce à quoi nous sommes confrontés, c’est un système de quotas soutenu par l’armée, par des contrôles commerciaux et des contrôles de crédit, et c’est une dépopulation forcée. Voyez les premières indications des conséquences sur la fertilité des femmes et sur leur capacité à concevoir des bébés ou à donner naissance.
J’attendais de voir un médecin piquer une colère appropriée. Cette scène fut une expérience cathartique. Le mec est énervé, dans le genre énervé niveau génocide.
Avant de commencer, permettez-moi d’expliquer une chose relativement méconnue en Occident, à propos de la colère des Orientaux, ces gens incroyablement polis et patients.
Ce qu’il faut en savoir, c’est qu’elle est très difficile à susciter, et impossible à arrêter.
Vous pouvez me croire, je suis à moitié oriental. Très peu de gens m’ont vu en colère mais tous s’en souviennent.
On n’avait jusqu’à présent vu personne faire de vagues depuis cette partie du monde. Comme vous le lirez, ce n’est pas une simple vague, c’est un tsunami et c’est un signe clair que quelque chose est en train de changer – vous pouvez me croire aussi sur ce point.
Je n’ai pas vérifié si quelqu’un s’était déjà tapé le boulot de sous-titrer la vidéo en français mais comme mes lecteurs le savent, vous pouvez faire confiance à ma traduction (voir note ci-dessus). Merci à Naked Emperor pour sa transcription en anglais, qui m’a fait gagner pas mal de temps. Et bien entendu, merci à Super Sally. J’ai également transcrit et traduit un autre extrait de l’allocution du Dr Fukushima, qui figure sous le premier extrait, en addendum.
Taquin, j’ai failli mettre comme titre « Fukushima explose » mais je me suis retenu à temps.
Note:Quelqu’un sur Substack a fait appel à un traducteur professionnel pour corriger la traduction initiale du japonais vers l’anglais. Devant le grand nombre de lecteurs de cet article, j’ai revu et corrigé ma traduction sur cette base le 12/06/24.
Addendum 17/02/23: la suite de cette histoire ici.
Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19
Il s’adresse au monde entier: « ce vaccin a été scientifiquement mal conçu », « les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial », « des milliards de vies pourraient à terme être en danger »
Super Sally
1er décembre 2022
Un Professeur Emérite japonais, que l’on peut le voir sur Twitter, dénonce l’idiotie et la tragédie des vaccins en termes cinglants. Une carence scientifique totale! Le Dr Fukushima est Professeur Émérite à l’Université de Kyoto et Président du Translational Research Informatics Center. Voici 4:49 minutes de son allocution sur Rumble.
NdT. Cliquez sur la photo pour accéder à la vidéo sur Rumble.
Premièrement, le vaccin a été scientifiquement mal conçu. En 2020, j’ai immédiatement traduit les directives chinoises, dès qu’elles sont arrivées de Chine, sur manière la plus appropriée d’utiliser les stéroïdes. Je l’ai ensuite annoncé. Mais personne ne m’a entendu.
Mais les médecins japonais sont compétents, ils ont donc compris que les stéroïdes devaient être utilisés immédiatement et ont publié une directive vers le mois de juin. Le taux de mortalité a alors fortement diminué. C’était avant le vaccin. Donc, pour ce qui est de ce vaccin, les personnes qui en ont ordonné l’utilisation sans les connaissances académiques, cela constitue un péché. Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial.
Dans un article publié récemment, de nombreuses personnes ayant reçu le vaccin ont été considérées comme ayant subi un préjudice généralisé, ce qui représente des milliards de vies qui pourraient être en danger.
Pour les agences de santé, les questions qui ont été présentées doivent être démontrées avec preuves à l’appui, afin que le Ministère de la Santé et du Travail n’ait pas à s’en préoccuper. Ou reconnaître que c’est le cas et agir en conséquence. Ensuite, pour chaque individu, ces informations doivent être largement diffusées, afin que tout le monde soit sur la même longueur d’onde d’un point de vue médical.
Cet article a été traduit et distribué à tout le monde, alors lisez-le attentivement!
Autre chose, après avoir reçu le vaccin, la moitié des décès étaient dus à des effets sur les nerfs et le cœur, parmi les causes de la mort. Vous comprenez, n’est-ce pas? Alpha, gamma, bêta, et faire tous ces trucs débiles en rassemblant des savants incompétents, en ignorant complètement la science et la médecine.
Cela ne peut plus se reproduire. Notre pays est un pays de science et de technologie. Ignorer la science et la médecine, éroder nos soins de santé, c’est un gâchis! Du rêve à la réalité, nous voyons combien de soins urgents nous avons reçus. Toutes les personnes qui ont reçu ce vaccin et dont la tension artérielle a augmenté, c’est à cause de ce vaccin. Près de 2 000 personnes, mais les décès réels sont, je crois, plusieurs fois supérieurs. La plupart ont perdu tout espoir. J’ai dit « perdu tout espoir »! Il se trouve que l’on a procédé à une autopsie et que l’on a soumis un article d’opinion, mais on n’y a pas touché! Qu’est-ce qu’ils font? Il n’y a aucune raison de cacher ces faits.
Les préjudices antérieurs causés par la médecine sont similaires. Il y a eu de grandes souffrances. Quoi qu’il en soit, nous devons éradiquer les souffrances causées par les médicaments. Ce pays a appris sa leçon sur les souffrances induites par les médicaments, et il est devenu ce pays.
Mais nous l’avons délibérément ignoré, pour dépenser des milliers de milliards de yens afin d’importer des vaccins. C’est pourquoi la situation s’est à peine stabilisée. L’année dernière, on pensait que l’utilisation des vaccins se généraliserait et que la pandémie prendrait fin grâce à eux – j’ai eu l’impression que c’était une chimère dans les revues spécialisées. C’est une idée fausse. Nous avons enfin commencé à le comprendre. De même, en ce qui concerne les nanoparticules… et… le danger qu’il y a à les envelopper dans des nanoparticules et à les injecter. Diverses cellules l’absorbent et se transforment. Nous le savons maintenant. Le mécanisme est clair.
Dissolvez immédiatement le Comité d’Evaluation et enquêtez sur tous les cas. Telle est la conclusion. Enquêtez sur tous les cas! Toutes les personnes qui ont reçu le vaccin se sont senties plus mal; que chacun prévienne les institutions médicales. Nous ne pouvons pas traîner les pieds. Les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes, la susceptibilité aux infections, tout cela se répercutera sur le cerveau. Les nanoparticules seront absorbées par le cerveau. Les scientifiques idiots diront: « Elles ne peuvent pas traverser la barrière sanguine, donc c’est bon. » J’ai envie de dire: « Vous devez être stupide. » L’immunité naturelle est supprimée. La raison pour laquelle le virus ne s’est pas propagé au Japon au début est que les Japonais ont des IgA (immunoglobuline A salivaire) dans leur salive et qu’ils ont une résistance au Corona. Cependant, à cause du vaccin, l’immunité naturelle a été supprimée. L’immunité naturelle a été supprimée, c’est pourquoi cela s’est produit. Le phénomène ne s’atténuera pas du tout. Il va se propager de plus en plus.
Avez-vous calculé le nombre de cas d’infection post-vaccinale? La plupart des personnes ont subi une infection post-vaccinale. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui sont infectées. Ce sont les vaccinés qui s’infectent les uns les autres. Le Ministère de la Santé et du Travail a publié des données qui clarifient tout cela. J’en parlerai plus tard.
Il faut que tout le monde réagisse dès demain. Faites-en part aux journaux et à la presse, ainsi qu’aux membres de la Diète. [NdT. La Diète, c’est-à-dire le parlement japonais, est le plus haut organe de l’Etat et le seul à détenir le pouvoir législatif]
Les gens ont montré où ils avaient été vaccinés.
ADDENDUM
Kyoto University Emeritus Professor, Fukushima:
"Stop the bad science and do the right science. You have vaccinated so many people. And yet, only 10% of the members of the Ministry of Health, Labor and Welfare who are leading the vaccine campaign have been vaccinated." https://t.co/pVydtZQXgApic.twitter.com/AxEvOUBT1p
Pr Fukushima: Je dis donc qu’il faut enquêter! Se baser sur un bout de papier n’est pas correct. Il faut examiner les dossiers médicaux et enquêter correctement. Il n’y a aucun doute à ce sujet. Allons-nous faire de la science? Allons-nous essayer d’effacer des preuves? Faites ce qu’il faut, ou vous allez vous retrouver avec un procès criminel sur les bras. Trop c’est trop. Je ne veux pas en entendre parler. Personne ne sera convaincu par cela.
Membre du Ministère de la Santé: Bien sûr, il ne s’agit pas d’une évaluation pure et simple, mais…
Pr Fukushima: Il n’y a aucun moyen d’évaluer! Ce dont vous avez besoin, c’est de consulter correctement les dossiers médicaux – les données – et de les examiner minutieusement au cas par cas. La vie des gens est en jeu.
Membre du Ministère de la Santé: Oui Monsieur! Nous ferons tout notre possible.
Pr Fukushima: Espèce d’idiot! Assez, c’est assez.
Après avoir réuni les membres de l’académie et de la Diète, nous ne pouvons pas répéter ce genre de choses! Dès le départ, nous devons faire la lumière sur cette affaire grâce au pouvoir de la science. Cela signifie que vous devez dissoudre l’organisation stupide qu’est le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins. Créez un comité d’enquête chargé d’examiner tous les cas. Pour ce faire, il faut inclure des statisticiens et des chercheurs compétents. Ensuite, il faut mener les enquêtes. Comme l’a dit le Dr Sano, s’il y a des échantillons de tissus, quel type de procédure allons-nous suivre? Cette question fait déjà l’objet de recherches dans le monde entier. La restauration du Japon est en jeu.
On a vacciné beaucoup de monde. Et pourtant, seuls 10% des membres du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales qui dirigent la campagne de vaccination ont été vaccinés. Mais qu’est-ce que c’est que cette blague? Premièrement, il faut clarifier cette situation, dissoudre immédiatement le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins, et enquêter sur tous les cas. On doit identifier tous les décès et les décès non signalés. Des milliers, des dizaines de milliers de vies sont en jeu.
Encore une chose. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ce vaccin. De nombreuses nanoparticules absorbées par l’organisme produiront sans cesse des protéines de pointe. Les gens se demanderont pourquoi ils se sentent de plus en plus malades. Soudain, la situation s’aggrave. La tension artérielle monte en flèche sans crier gare. De l’eczéma sans crier gare. Lorsque nous enquêtons, nous trouvons des protéines de pointe. Mais à ce stade du diagnostic, la maladie est déjà passée à la phase suivante. Nous devons immédiatement arrêter les vaccinations et prendre soin de la santé de tous ces cas. C’est ce que dit cet article!
On fait appel à des gens incapables de comprendre correctement la science de pointe, et la presse montre aussi ces gens où ils répètent toujours la même chose. C’est de la bêtise! La bêtise en spectacle. Je ne suis pas ici pour le processus, patati et patata. Je suis ici aujourd’hui pour corriger les choses correctement. C’est pour cela que je suis ici.
FIN DE L’ADDENDUM
Cette biographie le présente comme un expert en maladies infectieuses. Il est oncologue et possède plus de 25 ans d’expérience. Il est amplement qualifié pour s’exprimer.
Le Dr Fukushima est Professeur Emérite à l’Université de Kyoto et Directeur et Président du Translational Research Informatics Center (TRI), Japon. Oncologue, il a plus de 25 ans d’expérience dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux au Japon. Le Dr Fukushima contribue activement à la construction de l’infrastructure des essais cliniques, en mettant l’accent sur la recherche translationnelle. Il encourage l’utilisation des normes CDISC dans la recherche universitaire afin de parvenir à une normalisation complète et harmonisée des données. Le Dr Fukushima supervise également les programmes nationaux de promotion de la recherche translationnelle menés par le gouvernement japonais, qui ont conduit à la formation du Conseil des Organisations de Recherche Académique (ARO).
Les Japonais sont généralement considérés comme polis, réservés et discrets. Cela devrait rendre l’appel du Dr Fukushima d’autant plus frappant et convaincant.
Le Japon fait partie des nations les plus fortement vaccinées contre le virus Covid-19 dans le monde.
Cependant, le nombre de cas augmente à nouveau, ainsi que le nombre de décès. Ça n’a pas de sens si les vaccins sont efficaces. Il est clair qu’ils ne le sont pas!
Ensuite, on voit une montée en flèche et l’accélération de la surmortalité toutes causes confondues au Japon! Cela n’aurait pas dû se produire si ces produits étaient sûrs. Il est clair qu’ils ne le sont pas!
La croissance démographique négative antérieure sera aggravée et accélérée par les produits Covid-19.
Le Japon avait déjà une croissance démographique négative avant le Covid-19. Ajoutez à cela les crises cardiaques, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux, la surmortalité, l’infertilité induite par les vaccins et les pertes de grossesse, entre autres événements indésirables. Cela pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le Japon est peut-être en voie d’extinction!
Le nombre de naissances au Japon atteint un nouveau plancher alors que la population diminue et vieillit
Le principal porte-parole du gouvernement japonais a déclaré lundi que le nombre de bébés nés cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière.
Par MARI YAMAGUCHI Associated Press 28 novembre 2022, 11:32 AM
TOKYO — Le nombre de bébés nés au Japon cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière, ce que le porte-parole du gouvernement a décrit comme une « situation critique ».
Le secrétaire en chef du Cabinet, Hirokazu Matsuno, a promis des mesures globales pour encourager les mariages et les naissances.
Le total de 599 636 Japonais nés entre janvier et septembre est inférieur de 4,9 % au chiffre de l’année dernière, ce qui laisse penser que le nombre de naissances pour l’ensemble de l’année 2022 pourrait être inférieur au chiffre plancher de 811 000 bébés enregistré l’année dernière, a-t-il déclaré.
Le Japon est la troisième plus grande économie du monde, mais le coût de la vie est élevé et les augmentations de salaire sont lentes. Le gouvernement conservateur a tardé à rendre la société plus inclusive pour les enfants, les femmes et les minorités.
Jusqu’à présent, les efforts du gouvernement pour encourager les gens à avoir plus de bébés ont eu un impact limité malgré le versement de subventions pour la grossesse, l’accouchement et les soins aux enfants.
« Le rythme est encore plus lent que l’année dernière […]. Je comprends que la situation est critique », a déclaré Matsuno.
De nombreux jeunes Japonais ont hésité à se marier ou à fonder une famille, découragés par les sombres perspectives d’emploi, les trajets pénibles et les cultures d’entreprise incompatibles avec le travail des deux parents.
Le nombre de naissances est en baisse depuis 1973, année où il a culminé à environ 2,1 millions. Il devrait tomber à 740 000 en 2040.
La population du Japon, qui compte plus de 125 millions d’habitants, est en baisse depuis 14 ans et devrait tomber à 86,7 millions en 2060. La diminution et le vieillissement de la population ont d’énormes répercussions sur l’économie et la sécurité nationale, car le pays renforce son armée pour contrer les ambitions territoriales de plus en plus affirmées de la Chine.
Le Dr Fukushima a absolument raison de dénoncer les vaccins et les conséquences de la pandémie, d’être livide! Son gouvernement doit y prêter attention! Nous devons y prêter attention! Tous les gouvernements qui ont forcé leur population à se faire vacciner sont confrontés aux mêmes conséquences et résultats. Ne pas écouter, c’est courir un grave danger!
Je reviens avec une floppée d’articles qui me prennent énormément de temps à compiler. Patience…
En attendant, voici de quoi aborder cette nouvelle manipulation des faits, après la précédente du même personnage. Une bonne partie de mon boulot est de dénoncer l’opposition contrôlée. Ceci en est un bon exemple.
Je l’ai déjà dit et les faits me donnent raison: Stew Peters est un agent.
Si c’est un agent, c’est bien que le Renseignement fait son boulot de contrôle de l’information.
C’est donc qu’il y a bien quelque chose à contrôler.
« Morts Subitement », nouvelle saloperie de Stew Peters
Le même qui nous avait discrédité avec la connerie « Le COVID est causé par du venin de serpent »
Josh Guetzkow
23 novembre
[Cet article a été considérablement révisé. Pour la version non révisée du 24 novembre, voir ici].
Les gens parlent beaucoup du nouveau documentaire « Morts Subitement ». Je l’ai regardé, et il m’a mis en colère. Voici pourquoi.
Ce film contient d’excellentes informations. Des informations qui pourraient – potentiellement – ouvrir les yeux et les esprits des gens. Les entretiens avec les embaumeurs et les entrepreneurs de pompes funèbres sont particulièrement impressionnants. La longue matière fibreuse blanche qu’ils ont trouvée dans les artères et les veines des personnes décédées après le déploiement des vaccins est absolument effrayante. Ce n’est pas nouveau, mais c’est présenté ici de manière très convaincante, en particulier dans la scène où on la voit être retirée d’un cadavre au cours d’une séance d’embaumement.
Le film aurait été bien plus efficace s’il s’était concentré sur cette scène et avait approfondi le sujet. Par exemple, on se demande toujours si les caillots sont à l’origine de la mort des gens ou s’ils se forment post mortem. Il aurait été utile de montrer de quoi ils sont constitués et de prouver qu’ils sont distincts d’un autre type de coagulation post mortem. Bien d’autres choses auraient pu être faites pour étayer le dossier des caillots.
Mais malheureusement, le film entache et ternit les informations sur les caillots ainsi que d’autres informations importantes1 en les saupoudrant d’un tas de conneries. C’est vraiment dommage car ce film contient beaucoup d’informations authentiques et dignes d’intérêt, qui sont à présent entachées par leur association à une masse de fausses informations.
Le montage d’ouverture du film, entrecoupé de séquences relatives à des personnes mourant subitement, présente des images et des séquences relatives à ce qui suit: MK Ultra, la CIA et le projet Mockingbird, Lee Harvey Oswald et l’assassinat de JFK, des écrans verts avec des décapitations d’ISIS et des écrans verts de Zelensky, les mensonges de George W. Bush sur les ADM en Irak, les mots « Conspiracy Theory » (théorie du complot), Alex Jones portant un chapeau en aluminium, le reportage prématuré de la BBC sur l’effondrement du bâtiment 7 du WTC, des (fausses?) images de l’alunissage, des OVNI, Bigfoot et ce qui semble être le monstre du Loch Ness.
Quel était l’intérêt de parsemer le montage de tous ces clichés de théorie du complot? S’agissait-il d’implanter dans l’esprit du spectateur que ce qu’il allait voir était comparable à Bigfoot et au monstre du Loch Ness? Que seul un théoricien de la conspiration coiffé d’un chapeau en aluminium prêterait attention au contenu de ce film? Que tout ceci n’est qu’une théorie du complot comme les autres?
Pour quelle autre raison voudrait-on associer son film à ces éléments, si ce n’est dans le but de le discréditer aux yeux de tous les observateurs qui ne sont pas « branchés » théories du complot? Si le but était de toucher un public plus large, le documentaire se tire une balle dans le pied dans ses trois premières minutes – même si toutes les théories du complot auxquelles il est fait allusion dans ce montage sont réelles. S’ils veulent saboter leur propre film, très bien. Mais ils discréditent aussi tous ceux qui luttent contre le fascisme biomédical, en associant tout ce qui se trouve dans ce film à Bigfoot. Et ça me fout en rogne.
N’oubliez pas que c’est Peters qui nous a présenté le film, aujourd’hui totalement discrédité, qui tentait de démontrer que le COVID était mortel parce qu’il présentait des similitudes avec le venin de serpent et qu’il était diffusé par de l’eau contaminée. Soit lui et son équipe sont incapables de faire un tri dans les informations fiables, soit ils sont engagés dans une campagne délibérée visant à discréditer le mouvement pour la liberté en matière de santé.
Quel est l’intérêt de produire un tel documentaire si ce n’est d’essayer de toucher un public plus large, des personnes peu convaincues mais potentiellement persuadables? Et si c’est là l’intention, associer immédiatement son projet à Bigfoot, etc. est une très mauvaise idée. En outre, il faut faire le maximum pour s’assurer que toutes les informations et tous les faits contenus dans le film ont été soigneusement vérifiés. En le truffant de mensonges faciles à débusquer par les opposants et les vérificateurs de faits, il sera très facile d’ignorer le reste du contenu et de le jeter aux oubliettes.
De nombreuses personnes m’ont dit quelque chose du genre « Ce film fait merveille pour réveiller les gens. Qu’importe s’il n’est pas tout à fait exact ou s’il est sensationnaliste ». Pour être clair, le ton du film ne me pose pas vraiment de problème. Il faut faire preuve de stratégie dans ses messages si on veut toucher un public plus large. Mais c’est une fausse dichotomie. Il est possible d’être 100% véridique et précis tout en insufflant un message stratégique dans un film. Ce sera bien plus efficace et c’est une meilleure stratégie à long terme. Nous ne pouvons pas avoir pour principe que la fin justifie les moyens. C’est la mentalité de ceux que nous combattons. Si nous ne sommes pas meilleurs qu’eux, alors nous avons déjà perdu.
De plus, cet argumentaire ne tient pas compte des dommages que le film a causés à notre cause. Les avantages et les inconvénients potentiels sont assez intangibles et difficiles à évaluer, mais si le calcul est purement utilitaire, il faut au moins essayer de les pondérer les uns par rapport aux autres.
Igor Chudov a récemment traité d’un article réellement publié dans une revue scientifique préconisant d’ « immuniser contre la désinformation sur le COVID-19 » en exposant les gens à des informations délibérément absurdes. Voilà pourquoi il est si important que nous soyons rigoureux.
Il s’avère que l’équipe à l’origine de ce film a commis des erreurs basiques, comme celle d’inclure les images d’un jeune basketteur qui s’est effondré sur le terrain en décembre 2020, avant le lancement du vaccin COVID, et qui n’est même pas mort. Vu la quantité de séquences disponibles, pourquoi choisir celle-là? Et ce n’est pas la seule. Il y a d’autres erreurs fondamentales discutées dans cet article de Steve Kirsch. Steve rejette la faute sur le vérificateur de faits de ne pas avoir mentionné l’essentiel du film (les caillots), mais si les faits sont concrètement faux, c’est la faute des réalisateurs, pas des vérificateurs de faits. Ne tendez pas la perche à ceux qui vivent au fond du trou pour qu’ils s’en emparent!
Voici quatre inexactitudes supplémentaires qui m’ont sauté aux yeux comme le nez au milieu de la figure. Il y en a peut-être d’autres:
La couverture des données DMED (la base de données médicales de l’armée). Matthew Crawford s’est penché sur les données DMED et a découvert que les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. (Les détails sont un peu plus nuancés, mais cela résume l’essentiel de l’erreur). [NdT. désolé, j’ai moi-même relayé cette information en toute bonne foi; considérez donc le présent commentaire comme un démenti de cet article et de celui-ci – j’ai inclus un avertissement sur ces deux pages] Cela signifie que, bien qu’il y ait eu une augmentation de nombreux diagnostics de santé différents, elle était loin d’être aussi importante que ce que ces dénonciateurs pensaient et que Thomas Renz a fait connaître par son témoignage lors de l’audition « Second Opinion » du sénateur Ron Johnson, qui apparaît dans le film. Le plus étrange dans tout cela, c’est qu’aucune des personnes impliquées dans la mise en lumière du scandale DMED n’a manifesté le moindre intérêt à corriger ses erreurs ni ne l’a fait dans le cadre de ce film alors qu’elles avaient été dûment notifiées de leurs erreurs, et que donc ces fausses informations continuent d’être répétées et à présent amplifiées par Stew Peters.
Baisse des taux de natalité en Australie. Oui, les taux de natalité dans la plupart des régions du monde ont diminué de manière significative à la fin de 2021 et surtout en 2022, et dans de nombreux cas, cela peut être lié au déploiement des vaccins COVID, comme je l’explique dans mon article (mis à jour occasionnellement). Cependant, l’un des graphiques du film présente les statistiques de plusieurs pays, dont une baisse MASSIVE des taux de natalité en Australie, qui saute aux yeux. Il s’avère que cette baisse spectaculaire est simplement due à un problème d’information : le nombre de naissances à partir de décembre 2021 est largement sous-estimé lorsque les statistiques officielles sont publiées, et n’est généralement mis à jour que bien plus tard. L’énorme baisse montrée dans le film est donc tout simplement fausse.
Le taux incroyablement élevé de fausses couches dans le rapport de Pfizer à la FDA. La discussion sur le taux élevé de fausses couches rapporté par Pfizer à la FDA (plus de 80%) présente les données de manière complètement erronée. J’ai vu cette erreur répétée à de nombreuses reprises. Le 30 avril 2021, Pfizer a préparé un document d’expérience post-commercialisation à soumettre à la FDA, résumant tous les rapports d’événements indésirables (EI) qui avaient été soumis à Pfizer concernant leur vaccin COVID jusqu’au 28 février 2021. Voici une description (page 5) des sources de données utilisées pour ce document: La base de données de Pfizer sur l’innocuité contient des cas d’EI signalés spontanément à Pfizer, des cas signalés par les autorités sanitaires, des cas publiés dans la littérature médicale, des cas provenant de programmes de marketing parrainés par Pfizer, des études non interventionnelles et des cas d’EI graves signalés dans le cadre d’études cliniques, indépendamment de l’évaluation du lien de causalité. Il faut tenir compte des limites de la déclaration des effets indésirables des médicaments après leur commercialisation lorsqu’on interprète ces données: Les rapports sont soumis volontairement, et l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue. Parmi les facteurs qui peuvent influencer la déclaration d’un événement, citons: le temps écoulé depuis la commercialisation, la part de marché du médicament, la publicité faite autour d’un médicament ou d’un EI, la gravité de la réaction, les mesures réglementaires, la sensibilisation des professionnels de la santé et des consommateurs à la déclaration des événements indésirables liés aux médicaments, et les litiges.Le rapport indique que 270 grossesses uniques ont été signalées, dont 32 ont donné lieu à des résultats. Et parmi celles-ci, 25 ont fait l’objet d’une fausse couche, soit un taux de 78% (et si l’on inclut les mort-nés et les décès néonatals, le taux passe à 87,5%). Terrifiant! Sauf que ce n’est pas l’interprétation correcte de ces chiffres. Cette partie du document (tableau 6, page 12) énumère tous les rapports d’EI où la femme était enceinte. Dans certains cas, la grossesse était liée à l’EI (comme un rapport de fausse couche ou d’ « exposition de la mère pendant la grossesse ») et dans d’autres cas, elle ne l’était pas (douleur ou nausée au site de vaccination). Le plus grand nombre de rapports concernait soit une « exposition de la mère pendant la grossesse », soit une « exposition pendant la grossesse » (140 rapports combinés). Étant donné que le vaccin n’était pas recommandé à l’origine pour les femmes enceintes, le fait de l’administrer à des femmes enceintes pouvait être considéré comme un événement indésirable à signaler, même si rien de grave ne se produisait. Le calcul du taux de fausses couches est totalement dénué de sens car le dénominateur est inconnu. Il faudrait savoir combien de femmes enceintes ont reçu le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse avant la fin du mois de février 2021. Nous n’avons aucune idée de ce que ce nombre était, mais il était certainement beaucoup plus élevé que 32 ou 270. Considérez cela de la manière suivante: nous savons que les systèmes de déclaration volontaire comme le VAERS présentent une sous-déclaration massive. Il en va de même pour les données de sécurité « post-commercialisation » de Pfizer: il s’agit essentiellement de déclarations volontaires à Pfizer, qui peuvent provenir de personnes ou de systèmes de déclaration gouvernementaux basés sur des déclarations de personnes. Quelles sont donc les chances que le fait d’injecter une femme qui s’avère être enceinte soit perçu par quelqu’un comme un événement indésirable, et quelles sont ensuite les chances que cette personne signale cet EI à Pfizer ou à tout autre système qui se retrouve entre les mains de Pfizer? Les chances sont extrêmement faibles, ce qui signifie que les cas sont massivement sous-déclarés. Les chances sont beaucoup plus élevées si la femme est enceinte, qu’elle se fait injecter et qu’elle fait une fausse couche ou qu’elle ait un enfant mort-né peu de temps après (bien que même dans ce cas, il y ait une forte sous-déclaration). D’une manière ou d’une autre, les informations contenues dans le rapport ont été interprétées comme si Pfizer avait suivi ces femmes enceintes, et parmi celles dont l’issue de la grossesse est connue, un pourcentage énorme avait fait une fausse couche. Dans certains cas, j’ai même vu des gens parler de « femmes enceintes de l’essai clinique de Pfizer ». Non! Ce n’est pas ce dont il s’agit. Les données sont générées d’une manière similaire à celle du VAERS, sauf qu’ici on ne peut même pas utiliser le nombre total de personnes (ou de femmes) vaccinées – il faudrait connaître le nombre total de femmes enceintes, et nous ne le savons pas, et Pfizer non plus. L’essentiel est donc que les informations sur les fausses couches contenues dans le rapport Pfizer ont été mal interprétées, que cette erreur d’interprétation a été répétée et amplifiée ad nauseum (y compris dans « Morts Subitement »), et qu’en fait le rapport ne fournit absolument aucune indication sur le taux de fausses couches après la vaccination COVID. Des erreurs similaires ont été répétées concernant une étude du CDC publiée dans le NEJM à l’automne 2021 sur la base des données V-Safe, qui est traitée et corrigée dans cet article. Voir également la discussion basée sur les données actualisées de V-Safe ici:
Le programme de dépopulation. On montre à environ 5 minutes du début du film une conférence Ted Talk de Bill Gates en 2010, où il dit : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Il va passer à environ neuf milliards. Maintenant, si nous réalisons un excellent travail en matière de nouveaux vaccins, de soins de santé, de services de santé reproductive, nous pourrions faire baisser ce chiffre de, peut-être, 10 ou 15%. » Puis, on passe à Chad Whisnat, un entrepreneur de pompes funèbres au franc-parler, qui dit quelque chose comme: « Bill Gates a dit qu’il allait réduire la population avec des vaccins. Je ne vois pas d’autre explication au fait que ces vaccins vont tuer des gens. C’est du simple bon sens. Je n’étais pas un anti-vaccins mais j’en suis un maintenant. » Je suis d’accord que c’est une interprétation de simple bon sens de cette déclaration. Et je suis d’accord sur le fait que les personnes au pouvoir, y compris Bill Gates, parlent publiquement de la nécessité de réduire la population mondiale – il existe en ce sens un programme de l’élite. Et ce programme n’a rien à voir avec l’interprétation de simple bon sens que fait Chad des propos de Bill Gates. Tel que déclaré publiquement, le programme de dépopulation de l’élite est une tentative de réduire la croissance de la population. Et le moyen publiquement déclaré d’y parvenir est de faire baisser le taux de natalité en réduisant la mortalité infantile, en améliorant le niveau de vie et en créant un meilleur accès à la contraception et à l’avortement. Il est bien connu que dans les régions où le taux de mortalité infantile est élevé, les femmes ont davantage d’enfants. Il y a plusieurs raisons à cela que je n’aborderai pas, mais il suffit de dire que lorsque la mortalité infantile diminue, les femmes ont moins de bébés. Il en va de même lorsque le niveau de vie augmente. La réduction du taux de natalité fait plus que compenser le nombre de vies infantiles sauvées, de sorte que, globalement, on obtient une réduction de la croissance démographique au fil du temps. Si les campagnes de vaccination de masse des bébés dans les pays pauvres réduisent la mortalité infantile, alors il est possible (de manière quelque peu contre-intuitive) de réduire la croissance démographique – sans tuer les gens et sans les rendre infertiles. Je ne vais pas m’attarder sur les preuves à l’appui ou à l’encontre de l’affirmation selon laquelle les vaccinations réduisent la mortalité infantile dans les pays pauvres, ni sur la question de savoir si c’est le meilleur moyen d’atteindre cet objectif, principalement parce que mon propos n’est pas de savoir si c’est vrai ou si Gates ou quiconque le croit réellement. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a une autre façon de comprendre ce que Bill Gates a dit dans son Ted Talk et une autre façon de comprendre les objectifs et les moyens de ceux qui parlent de la nécessité de réduire la population mondiale – une façon qui n’inclut pas le meurtre de masse et la stérilisation forcée (bien que certains considèrent l’avortement comme un meurtre de masse). D’emblée, « Morts Subitement » insiste lourdement sur l’idée que Gates et tous ceux qui parlent de réduire la population mondiale veulent nous tuer et nous stériliser. Le problème est qu’ils ne reconnaissent ni n’abordent jamais l’autre façon d’expliquer ce qu’est le programme de dépopulation – celle axée sur la réduction des taux de croissance en diminuant la mortalité infantile. Tout ce qu’ils proposent est l’interprétation du « simple bon sens ». Et même si c’est vrai, cette façon de présenter les preuves factuelles de l’augmentation des décès et de la réduction de la fertilité suite aux injections de COVID-19 est désastreuse. On ne convaincra jamais quelqu’un qui n’est pas convaincu par ces faits s’ils sont formulés sous l’angle que les élites essaient de tuer et de stériliser la population, pour la simple raison que les déclarations publiques de ceux qui soutiennent le programme de réduction de la population autorisent une interprétation différente, plus bienveillante, de leurs actions. Cela ne signifie pas qu’il faille les croire ou prendre leurs déclarations publiques pour argent comptant, mais simplement que, si on veut que les faits présentés dans le film atteignent un public plus large, on se tire une balle dans le pied en présentant les preuves de cette manière. Et s’ils voulaient faire valoir que l’explication des événements actuels tient au simple bon sens d’un programme de dépopulation maléfique, il fallait alors aborder l’interprétation alternative et expliquer pourquoi celle-ci n’a pas de sens ou ne peut constituer la seule explication. Par exemple, ils auraient pu évoquer l’implication de l’OMS dans la campagne de vaccination contre le tétanos au Kenya, qui contenait également un antigène rendant les femmes infertiles, comme le montre ce documentaire. Ils auraient pu apporter des preuves et des arguments démontrant qu’il n’est pas possible d’infléchir la courbe de la croissance démographique en vaccinant ou en réduisant la mortalité infantile. Au lieu de cela, ils proposent une interprétation unilatérale et de simple bon sens du programme des élites en matière de contrôle de la population, qui, même si elle est vraie, constitue un argument facile à rejeter. [Veuillez ne pas interpréter ceci comme une défense de Bill Gates. Je ne prétends pas que ses intentions sont bienveillantes. Je signale simplement l’existence d’un cadre plus général et bienveillant du programme de dépopulation qui peut être invoqué pour interpréter ses déclarations publiques et celles d’autres personnes et qui pourrait discréditer complètement les informations importantes contenues dans ce film. Dans la section des commentaires, Igor Chudov affirme que cette question est quelque peu académique, puisque, vu la conjonction de la surmortalité des jeunes et de la baisse du taux de fécondité, nous connaissons une dépopulation de facto, qu’elle soit intentionnelle ou non. Je suis d’accord].
Je me suis complètement lavé les mains de Stew Peters après le fiasco de son histoire de venin de serpent de « Watch the Water« , et « Morts Subitement » ne lui offre aucune rédemption. Ce n’est pas quelqu’un en qui on peut avoir confiance. En ce qui me concerne, Stew Peters donne de nous une mauvaise image, et que ce soit intentionnel ou non n’a rien à voir avec le sujet, car dans tous les cas, il nuit au mouvement parce qu’au final, il nous discrédite, même s’il a raison sur certains points. À l’avenir, il mérite 100% de notre dérision et 0% de notre attention.
On a dit: tout le monde fait des erreurs et aucun documentaire n’est fidèle aux faits à 100%. Bien sûr, c’est vrai, et j’ai moi-même fait plus d’une erreur de bonne foi. Mais même si toutes les erreurs de ce documentaire peuvent être attribuées à « tout le monde fait des erreurs », cela n’explique pas la tentative de discréditer le film en l’associant à un tas de théories du complot comme Bigfoot et le monstre du Loch Ness. Ma conclusion est donc que ces erreurs n’étaient pas de bonne foi.
Je ne l’ai pas regardé mais il paraît qu’il est rempli d’incohérences, qui seront reprises par le camp pro-vaccin. C’était peut-être le but.Entièrement d’accord, jamais je ne pourrais le montrer à un des moutons, ils ne tiendraient pas 5 minutes.Cruelle déception, sincèrement, ça m’a vraiment foutu en rogne. Ça ne fait que renforcer l’idée que tout ce dont nous souffrons n’est qu’une théorie du complot.C’est l’objectif.
[Post-scriptum: Stew a récemment interviewé un scientifique israélien, le Dr Shmuel Shapira, qui était directeur de l’institut biologique de l’État. Il a été blessé par les vaccins COVID et lorsqu’il a rendu l’affaire publique, sa réputation a été détruite par l’establishment. Voici comment Stew a présenté l’interview:
Israël conclut un ACCORD SECRET avec Pfizer pour exterminer sa population; les Etats-Unis envoient des militaires en Ukraine
Inutile de dire que le Dr Shapira était mortifié. Il avait déjà mis sa réputation en jeu en s’exprimant. Il a dénoncé publiquement l’interview et a exprimé son regret de l’avoir accordée].
(1): Outre les caillots post mortem, je considère que les informations suivantes sont authentiques et importantes: l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues qui ne peut être expliquée par la COVID; le déclin des taux de fécondité; les personnes qui s’évanouissent en direct sur vidéo; de nombreuses personnes, surtout des jeunes, qui meurent soudainement sans raison apparente; et l’augmentation des cancers agressifs.
L’excrétion est 100% réelle. Ma petite amie et un collègue de travail sont non-vaccinés et sont allés faire une « microscopie de sang vivant » qui montre très clairement des nanoparticules lipidiques contenant de l’ARNm dans leur sang. Le nombre de particules est très faible par rapport à celui des personnes ayant reçu un vaccin, bien sûr, mais il devrait être de ZERO!!!!. Le microbiologiste/technicien voit couramment ce phénomène et dit qu’il s’agit très certainement d’une excrétion et qu’il est presque impossible de l’éviter. Les gens reçoivent maintenant cinq injections et en veulent d’autres 🤦♂️🤦♂️🤦♂️🤦♂️. Nous sommes foutus.
État actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19; possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits
Résumé
La campagne massive de vaccination contre le COVID-19 est la première utilisation de vaccins à ARNm à l’échelle mondiale. Les vaccins à ARNm correspondent exactement à la définition de la thérapie génique des agences réglementaires américaines et européennes. La réglementation exige des études d’excrétion de ces médicaments et de leurs produits (les protéines traduites). Ces études n’ont pas été faites pour les vaccins à ARNm (ni pour les vaccins à adénovirus). De nombreux témoignages font état de symptômes et de pathologies identiques aux effets indésirables des vaccins à ARNm chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes fraîchement vaccinées. Il est donc important de faire le point sur l’état des connaissances concernant l’excrétion éventuelle des nanoparticules vaccinales ainsi que de l’ARNm et de son produit, la protéine spike.
Les nanoparticules lipidiques porteuses de l’ARNm du vaccin se répandent après l’injection dans tout le corps selon les études animales disponibles et l’ARNm du vaccin (nu ou dans les nanoparticules ou dans des exosomes naturels) est retrouvé dans la circulation sanguine ainsi que la spike vaccinale sous forme libre ou encapsulée dans des exosomes (démontré dans des études humaines). Il a été démontré que les nanoparticules lipidiques (ou leur équivalent naturel, les exosomes ou vésicules extracellulaires VEs) sont capables d’être excrétées par les fluides corporels (sueur, expectoration, lait maternel) et de passer la barrière transplacentaire. Ces VEs sont également capables de pénétrer par inhalation et à travers la peau (saine ou lésée) ainsi que par voie orale via le lait maternel (et pourquoi pas lors des rapports sexuels via le sperme, car cela n’a pas été étudié). Il est urgent de faire respecter la législation sur la thérapie génique qui s’applique aux vaccins à ARNm et de mener des études sur ce sujet alors que la généralisation des vaccins à ARNm est envisagée.
Mots-clés: Vaccin COVID-19, excrétion vaccinale, effets indésirables du vaccin Covid, nanoparticules lipidiques, LNP, vaccin ARNm, exosome, voie d’excrétion des exosomes, thérapie génique, protéine spike, voies d’excrétion des LNP, pénétration des exosomes.
Hélène Banoun PhD
Pharmacien biologiste
Ancien chercheur Inserm
Membre du Conseil Scientifique Indépendant (France)
*Correspondance: Hélène Banoun, Pharmacien biologiste, Ancien chercheur Inserm, helene.banoun@laposte.net.
L’auteur ne déclare aucun conflit d’intérêt.
Aucun soutien financier n’a été obtenu.
Abréviations
VE: vésicules extracellulaires ou exosomes
LNP: nanoparticule lipidique synthétique
PEG: polyéthylène glycol
siRNA small interfering RNA, miRNA: microRNA, contrôlent expression des gènes
RBD: receptor binding domain (de spike protéine)
Introduction
Pourquoi s’intéresser à cette hypothèse, qui peut paraître conspirationniste?
L’expression « excrétion vaccinale » désigne classiquement l’excrétion éventuelle d’un virus par une personne fraîchement vaccinée contre ce virus; ceci n’est valable que pour les vaccins à virus vivants atténués (ROR, varicelle, rotavirus, grippe par pulvérisation nasale).
Aucun vaccin COVID-19 n’utilise cette formule. Par conséquent, il n’y a aucun risque qu’une personne vaccinée transmette un virus vaccinal. Cependant, les vaccins COVID-19 à base d’ARNm sont les premiers à être utilisés commercialement chez l’homme à l’échelle mondiale et aucune étude n’a été menée concernant l’excrétion éventuelle du vaccin lui-même (nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm) de l’ARNm du vaccin ou du produit du vaccin, la protéine spike traduite par les cellules du vacciné.
La vaccination anti- Covid a débuté en décembre 2020. Le premier témoignage publié d’excrétion vaccinale que j’ai vu date de décembre 2021, celui du Dr Ray Sahelian [1]: il rapportait des cas de collègues médicaux ou scientifiques ayant observé des symptômes proches de ceux des effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées; il proposait une excrétion des produits du vaccin par la peau et les voies respiratoires et demandait des études complémentaires.
Au début, ce type de témoignage ne me paraissait pas très crédible, mais ils se sont accumulés et en octobre 2021 j’ai reçu un témoignage d’un groupe de soignants français : ils ont observé un accident vasculaire cérébral chez un enfant de 7 ans sans facteur de risque et dont les parents avaient été fraîchement vaccinés. Il existe des groupes Telegram répertoriant des témoignages de patients et de médecins. Tous ces témoignages font état de symptômes ou d’affections signalés dans les bases de données d’effets indésirables des vaccins COVD-19 : les effets indésirables des vaccins ARNm contre la COVID-19 sont désormais reconnus par les agences réglementaires (voir les bases de données VAERS et Eudravigilance, ainsi que l’ANSM, France).
Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable de la pathogénicité du SRAS-CoV-2 [2,3,4,5,6]. Par conséquent, dans le cas où le vaccin ou son produit (la spike) passerait du vacciné au non-vacciné, les effets indésirables du vaccin devraient être retrouvés chez certaines personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. L’exploration des pathologies liées au vaccin dans les classes d’âge non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées pourrait donner des indications dans le sens d’une excrétion vaccinale mais elle ne donne pas de résultats significatifs (non publié). Comme il y a plus de 400 pathologies liées aux effets indésirables des vaccins dans les bases de données de déclaration de pharmacovigilance (voir par exemple les données britanniques, les données de notification spontanée pour le vaccin Pfizer en mai 2021 [7]), ce grand nombre dilue les signaux qui pourraient apparaître dans les groupes d’âge non vaccinés.
En revanche, l’analyse des données européennes, israéliennes et américaines montre que pour le groupe d’âge 0-14 ans non vacciné, la plupart des associations entre la mortalité et la vaccination chez l’adulte sont positives : la surmortalité dans les groupes d’âge non vaccinés au début des campagnes de vaccination pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits. Ce schéma de corrélations positives augmente de la semaine de la vaccination à la semaine 18 après la vaccination, puis disparaît. Il indique des effets négatifs indirects de la vaccination des adultes sur la mortalité des enfants âgés de 0 à 14 ans au cours des 18 premières semaines suivant la vaccination. [8]
Quelle est la plausibilité biologique de la transmission du vaccin ou de ses produits du vacciné au non-vacciné?
Pour répondre à cette question, il faut explorer la possibilité et les voies d’excrétion du vaccin ou de ses produits et les voies de leur pénétration éventuelle.
En ce qui concerne le vaccin et ses produits, il peut s’agir de la transmission de spike circulant chez le vacciné (sous forme libre ou incluse dans des exosomes ou vésicules extracellulaires – VE), de la transmission de l’ARNm nu circulant ou encapsulé dans les nanoparticules lipidiques (LNP) complètes.
Il convient donc d’étudier la capacité des LNPs, de l’ARNm et de la spike vaccinale à être excrétés par différentes voies possibles, puis la capacité des mêmes produits à pénétrer par différentes voies dans l’organisme de personnes non vaccinées en contact étroit avec des personnes vaccinées.
L’excrétion des LNPs contenant de l’ARNm, l’excrétion de l’ARNm modifié codant pour la spike, et l’excrétion de la spike produite par les vaccinés n’ont pas été étudiées dans la phase d’essai des vaccins, contrairement aux recommandations des régulateurs concernant les thérapies géniques. Les études pharmacocinétiques des nanoparticules en général n’ont pas exploré l’excrétion des transporteurs ou des molécules transportées. Ce domaine devrait être exploré.
Les documents de Pfizer obtenus par FOIA [9] montrent que seule l’excrétion de certains composants des LNP (ALC-0315 et ALC-0159) a été étudiée dans l’urine et les fèces de rats injectés par voie IM.
Réglementation concernant l’excrétion des thérapies géniques par les organismes de réglementation.
Avant les vaccins à ARNm, il n’existait pas de réglementation des essais cliniques sur l’ARNm, alors que les produits de thérapie génique font l’objet d’une réglementation stricte. Il est difficile de justifier que les vaccins à ARNm ne soient pas considérés de la même manière que les thérapies géniques en ce qui concerne cette réglementation, en effet la seule différence est qu’ils sont censés protéger contre une maladie et non la guérir. Les thérapies géniques sont destinées à un petit nombre de personnes en mauvaise santé, alors que les vaccins sont utilisés à grande échelle sur des personnes en bonne santé: il serait donc judicieux de leur appliquer des règles plus strictes. Toutefois, la description des produits de thérapie génique fournie par les agences de réglementation inclut de fait les vaccins à ARNm et à adénovirus.
Le document de la FDA de 2015 sur les études d’excrétion des produits géniques [10] concerne les thérapies géniques qui sont définies comme « tous les produits qui exercent leurs effets par transcription et/ou traduction de matériel génétique transféré et/ou par intégration dans le génome de l’hôte et qui sont administrés sous forme d’acides nucléiques, de virus ou de micro-organismes génétiquement modifiés », en ce sens les vaccins ARNm sont bien des produits de thérapie génique et auraient dû être soumis à ces études d’excrétion.
Des études d’excrétion doivent être menées pour chaque VBGT (produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries), d’abord chez l’animal mais aussi chez l’homme, surtout lorsqu’il existe un risque de transmission à des personnes non traitées. Selon ce document, les études d’excrétion clinique ne sont pas des études autonomes mais sont intégrées dans la conception d’un essai de sécurité ou d’efficacité.
Le terme « excrétion » fait référence à la libération de produits VBGT par le patient par l’une ou l’ensemble des voies suivantes: matières fécales (fèces) ; sécrétions (urine, salive, fluides nasopharyngés, etc.), ou à travers la peau (pustules, lésions, plaies).
Les directives du NIH [11] fournissent des principes de biosécurité spécifiquement pour les « molécules d’acide nucléique synthétiques, y compris celles qui sont chimiquement ou autrement modifiées mais qui peuvent s’apparier avec des molécules d’acide nucléique naturelles »; il s’agit de molécules de plus de 100 nucléotides ayant le potentiel d’être transcrites ou traduites. Ce document d’avril 2019 porte sur les acides nucléiques synthétiques modifiés et non modifiés. Toute expérience impliquant le transfert délibéré d’un acide nucléique à un humain doit être précédée de l’approbation du comité de biosécurité institutionnel (ce qui est confirmé ici [12]), mais l’approbation n’a pas été donnée en raison de l’autorisation d’urgence accordée aux vaccins à ARNm.
Sur la base d’un document de l’EMA sur l’excrétion des produits génétiques [13], les vaccins à ARNm répondent à la définition des PGMT (médicaments de thérapie génique), mais leur désignation en tant que « vaccin » leur a permis d’échapper aux exigences des essais cliniques pour les produits génétiques qui concernent en particulier le potentiel d’excrétion, la biodistribution, la pharmacodynamique, la génotoxicité, la mutagenèse insertionnelle (page 36: Des études pharmacocinétiques doivent être réalisées lorsqu’une protéine est excrétée dans la circulation sanguine). L’expression de la séquence d’acide nucléique (sa traduction en protéine) doit également être étudiée (page 37). L’excrétion est définie comme la dissémination du vecteur par les sécrétions et/ou les fèces et doit être abordée dans des modèles animaux (page 30).
Ainsi, selon la réglementation des agences américaine et européenne, les vaccins à ARNm correspondent à la définition des produits de thérapie génique et auraient dû faire l’objet d’études d’excrétion par tous les fluides sécrétés (urine, salive, expectoration, fluides nasopharyngés, sperme, lait maternel), les fèces et la peau (saine ou lésée). Ces études auraient dû concerner les nanoparticules contenant l’ARNm, l’ARNm nu et le produit du vaccin après traduction (la protéine spike).
Un exemple d’étude d’excrétion correspondant à cette régulation des produits géniques se trouve dans un rapport soumis à l’EMA pour autoriser un médicament destiné à traiter une maladie orpheline; il s’agit d’un produit à base de LNPs dont la composition est proche de celle des vaccins à ARNm. Ici les LNPs contiennent du siRNA. La réglementation impose des études approfondies pour cette thérapie génique, contrairement à celles des vaccins à ARNm qui sont similaires. Cependant, les études sur l’excrétion de ces LNPs donnent peu d’informations. Chez l’animal, la radioactivité des LNPs se retrouve dans les urines (50%) et dans les fèces (entre 10% et 24%). Chez l’homme, aucune étude avec des LNPs radioactifs n’a été réalisée, mais les composants des LNPs sont retrouvés dans l’urine pour moins de 1% des concentrations plasmatiques. On suppose que l’élimination se fait par les fèces mais cela n’a pas été prouvé. Il n’y a pas eu d’études sur l’excrétion dans le lait ou d’autres fluides corporels[14].
Référence à une éventuelle excrétion du vaccin dans les documents de Pfizer
Le protocole de l’essai de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins à ARNm COVID-19 (qui a débuté en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit étudié par inhalation ou contact cutané et de passage par le sperme d’un homme exposé par inhalation ou contact cutané et de passage par le lait maternel; la possibilité d’une réaction indésirable au vaccin suite à ces expositions est également mentionnée.[15] Les données de Pfizer indiquent clairement qu’une femme enceinte peut être exposée à « l’intervention étudiée en raison d’une exposition environnementale. » L’exposition environnementale peut se produire par « inhalation ou contact avec la peau ». Voici quelques exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse:
Un membre de la famille ou un fournisseur de soins de santé de sexe féminin signale qu’elle est enceinte après avoir été exposée à l’intervention étudiée par inhalation ou par contact cutané.
Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé de sexe masculin qui a été exposé à l’intervention étudiée par inhalation ou contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour de la période de conception. »
Cela signifie clairement que tout contact, y compris le contact sexuel avec une personne ayant reçu les vaccins, expose ceux qui n’ont pas reçu les vaccins à « l’intervention », c’est-à-dire à l’ARNm. L’exposition pendant l’allaitement devait également être immédiatement notifiée pendant l’essai: on suppose que l’investigateur craint qu’une mère qui allaite puisse transmettre l’ARNm expérimental à son bébé si elle a reçu le vaccin directement ou si elle est « exposée à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact avec la peau. »
Structure et fonction des vésicules extracellulaires (VEs) ou exosomes et des nanoparticules lipidiques (LNPs)
Les vésicules extracellulaires naturelles (VE ou exosomes) sont générées par la plupart des cellules vivantes, ce sont des protéolipides bicouches sphériques dont la taille varie de 20 à 4000 nm et elles peuvent contenir diverses molécules (lipides, protéines et acides nucléiques, comme les ARN de signalisation). Les VEs sont des transporteurs naturels dans le corps humain et sont impliquées dans les communications intercellulaires, elles peuvent servir de transporteur pour différentes molécules qui peuvent ainsi passer de cellule en cellule, entraînant une réponse marquée de la part de la cellule cible [16]. Les LNPs synthétiques des vaccins ARNm ont la même structure que les exosomes naturels qu’elles cherchent à imiter [17, 18]. Les exosomes produits naturellement peuvent transporter de l’ARNm du vaccin ou de la spike, comme nous le verrons plus loin. Les LNPs ont la capacité (comme les exosomes naturels) de fusionner avec les membranes cellulaires et de libérer leur chargement dans le cytosol.
Les LNPs utilisés pour les vaccins à ARNm sont des systèmes lipidiques de taille nanométrique (moins de 1 micromètre) composés de 2 ou plusieurs (généralement 4) lipides à des proportions variables. La composition lipidique la plus typique utilisée pour les systèmes ARNm-LNP est constituée d’un lipide cationique/ionisable, d’un « lipide auxiliaire » phospholipidique, de cholestérol et/ou d’un lipide associé au poly(éthylène glycol) (PEG). Les LNPs peuvent être administrés par voie IM, sous-cutanée, intradermique, intratrachéale, orale, ophtalmique et même topique. Les LNPs injectés par toutes ces voies sont capables d’aboutir à la traduction de l’ARNm en protéine pendant plusieurs jours [19]. La taille des LNPs dans les vaccins à ARNm COVID-19 se situerait entre 60 et 100 nm [20]. Le trafic de VEs naturelles est bidirectionnel pendant la grossesse (les VEs traversent la barrière fœto-maternelle et les cellules utérines sécrètent constamment des exosomes) et les VEs peuvent être utilisées pour délivrer des médicaments au fœtus pendant la grossesse [21].
Les VEs présentent un avantage potentiel pour une utilisation dans les thérapies vaccinales car elles sont les transporteurs naturels d’antigènes du corps et peuvent circuler dans les fluides corporels pour distribuer les antigènes même aux organes distaux[16].
On sait peu de choses sur la pharmacocinétique des vaccins à ARNm.
Les nanoparticules chez les animaux
Selon une étude réalisée par des chercheurs indépendants des fabricants de vaccins à ARNm, chez la souris, les LNPs porteuses d’ARNm injectées par voie IM passent du site d’injection aux ganglions lymphatiques puis à la circulation générale, s’accumulant principalement dans le foie et la rate. Les LNPs passent d’abord dans la circulation lymphatique puis dans la circulation sanguine (les LNPs de moins de 200 nm passent directement dans la lymphe tandis que celles de 200 à 500 nm sont transportées dans la lymphe par les cellules dendritiques). Une injection directe involontaire dans un vaisseau sanguin peut également se produire lors d’une injection IM [22].
Les nanoparticules chez l’homme
L’exposition du corps humain aux nanoparticules peut se produire accidentellement par inhalation, contact avec la peau ou ingestion. En cas d’inhalation, les voies de transfert possibles des nanoparticules sont la circulation sanguine (systémique), les vaisseaux lymphatiques, le tractus gastro- intestinal et le système nerveux central et/ou périphérique [23].
L’excrétion des LNPs enrobées de PEG se fait principalement par les fèces et l’urine et principalement par les fèces lorsqu’elles ont un diamètre > 80 nm. Les LNPs peuvent être excrétées par la salive, la sueur et le lait maternel [24].
Les LNPs de taille <5nm sont rapidement excrétées par le rein. Les nanoparticules dont la taille est comprise entre 5 et 200 nm ont tendance à avoir une circulation sanguine étendue. Les LNPs plus grandes ont une circulation sanguine prolongée et une excrétion rénale faible. En raison de la taille des LNPs, l’inhalation est la voie d’entrée la plus directe dans le système pulmonaire. L’exposition peut être intentionnelle, comme dans le cas des nanoparticules de ciblage ou thérapeutiques, ou non intentionnelle, par inhalation ou exposition cutanée, en raison du nombre croissant d’applications industrielles des nanoparticules [25].
L’ARNm
Persistance de l’ARNm viral après une infection virale
L’ARN viral de certains virus persiste longtemps dans le cerveau, les yeux, les testicules : ceci a été démontré pour le virus de la rougeole, le virus Ebola, Zika et Marburg. Le SRAS-CoV-2 persiste dans les voies respiratoires et l’intestin. Des ARN viraux sont également détectés dans les sécrétions, le sang ou les tissus. L’excrétion prolongée de ces ARN dans les voies respiratoires, les selles, la sueur, le liquide conjonctival et l’urine est courante. Des études ont montré que l’ARN viral complet peut persister à long terme. Cet ARN persistant peut être traduit en protéines même si aucun virus viable ne peut être assemblé. Chez les patients qui développent plus tard un COVID long, l’ARN viral est retrouvé dans le sang dans la phase aiguë de la maladie[26].
Sort de l’ARNm du vaccin
Des quantités énormes d’ARNm sont injectées par rapport à la circulation d’un virus lors d’une infection naturelle: jusqu’à 10 à 7 fois plus, selon le professeur Jean-Michel Claverie [27].
L’ARNm du vaccin est présent dès le premier jour et persiste dans la circulation sanguine pendant au moins 2 semaines après l’injection ; sa concentration commence à diminuer après 4 jours. Cette durée de vie est beaucoup plus longue que ne le prétendaient les fabricants sur la base de brèves études menées sur des rats. L’ARNm transporté est encapsulé dans les LNPs mais se retrouve dans le plasma (c’est-à-dire non associé aux globules blancs). Cet ARNm est capable d’être traduit en protéine spike dans les cellules et les tissus sensibles.[28] L’ARNm emballé dans les LNPs est capable de s’en échapper et de former des vésicules extracellulaires qui le transportent vers d’autres cellules: ces vésicules sont sécrétées après l’endocytose des LNPs chargés d’ARNm. Ces VEs protègent l’ARNm pendant le transport et le distribuent intact aux cellules réceptrices, l’ARNm est fonctionnel et peut alors être traduit en la protéine d’intérêt. La réponse inflammatoire est plus faible après une transfection avec des VEs qu’avec des LNPs. Les voies d’absorption des VEs diffèrent de celles des LNPs et ne sont pas susceptibles de déclencher la voie autophagique-lysosomique, car elles libèrent leur contenu dans le cytoplasme sans vraisemblablement subir de piégeage lysosomal. De plus, en raison de leur petite taille, les VEs peuvent échapper à une phagocytose rapide et transporter et délivrer couramment de l’ARN dans la circulation, traversant l’endothélium vasculaire jusqu’aux cellules cibles[29].
La présence de VEs dans tous les biofluides est attestée. Elles peuvent contenir des acides nucléiques. Dans la sueur, on trouve des VEs contenant des acides nucléiques provenant de bactéries, de virus, de champignons de la peau mais aussi de cellules humaines. Ces VEs peuvent également contenir des virus (hépatite C par exemple). On trouve des petits ARNm (20 à 200 pb) dans ces VEs de la sueur, ils sont fonctionnels (peuvent être traduits), les ARN sont protégés des nucléases cutanées dans les Ves [30].
A noter que l’ARN du vaccin comprend 4284 nucléotides (Pfizer) [31]. Il convient donc d’étudier la possibilité que des ARN de cette taille soient excrétés par la sueur.
Les VEs peuvent contenir des molécules « signaux » telles que les miRNA. Il est possible que les VEs contiennent des ARNm complets ; ceux-ci sont des médiateurs clés de la communication intracellulaire. Les analyses d’ARN du sang et de la sueur sont corrélées : les VEs trouvés dans la sueur reflètent la circulation des VEs dans le plasma. Des ARN nus sont également trouvés dans la sueur (non encapsulés dans les VEs). Les miRNA sont sélectivement sélectionnés et enrichis dans les VEs de la sueur à partir du sang et ne circulent pas passivement dans les fractions du sang ou de la sueur[32]. Une augmentation de la transpiration après le vaccin Covid a été constatée [33] et des personnes ayant reçu le vaccin se sont plaintes d’une augmentation de la transpiration, notamment la nuit [34].
La possibilité d’exsudation de VEs à partir de la peau a été démontrée: Les kératinocytes sont capables d’exsuder des VEs capables de transporter des miRNAs. Dans le psoriasis, les VEs excrétées par les kératinocytes passent de cellule en cellule : de kératinocyte à kératinocyte voisin. Chez les patients atteints de lichen planus (éruption inflammatoire), des VEs transportant des miARN sont excrétées dans la salive[35].
Des nanoparticules sont naturellement présentes dans les expectorations [36]: des exosomes contenant des ARN ont été isolés des expectorations de patients asthmatiques légers [37].
Passage de l’ARNm du vaccin dans le lait
De l’ARNm du vaccin est retrouvé dans le lait de 1/10 des femmes étudiées (4/40) la première semaine après la vaccination avec le vaccin à ARNm (que ce soit après la dose 1 ou après la dose 2). Les quantités peuvent atteindre 2ng/ml de lait. [38]. Cette quantité peut sembler faible par rapport aux 30 microgrammes d’ARNm injectés avec le vaccin, mais elle peut suffire à produire une quantité non négligeable de spike. En effet, un nourrisson fait plusieurs tétées par jour, pour environ 240 à 360 ml par jour et un total sur une semaine de 1680 à 2520ml dans la première semaine. Le nouveau-né, pesant entre 2 et 5kg, pourrait donc être exposé à une dose de 5 µg d’ARNm dans sa première semaine. Cela semble disproportionné comparativement aux 10µg injectés à des enfants de 5 à 11 ans qui pèsent respectivement 18 à 35 kg environ [39]. La méthode utilisée dans cette dernière étude est plus sensible que celle de Golan et al. qui n’ont pas trouvé d’ARNm dans le lait [40]. Cette même équipe avait également exploré le passage de l’ARNm vaccinal dans le lait en recherchant indirectement le PEG contenu dans les LNP. Le PEG a été recherché dans le lait de 13 femmes à différents moments après la vaccination: La figure 1 de l’article montre la détection du PEG du vaccin dans le lait entre 24 heures et une semaine après l’injection. Cependant, les auteurs ont conclu sans préciser que ces quantités n’étaient pas significatives [41].
Une autre étude a cherché à savoir si l’ARNm du vaccin COVID-19 pouvait être détecté dans le lait maternel exprimé de personnes allaitantes ayant reçu la vaccination dans les 6 mois suivant l’accouchement. La présence de l’ARNm a été étudiée sous forme libre et encapsulée dans des VEs. Les VEs ont été isolées par centrifugation du lait. L’ARN du vaccin a été trouvé dans les 48 heures suivant la vaccination et à des concentrations plus élevées dans les VEs que dans le lait entier. La plus forte concentration trouvée était de 17 pg/ml dans les VEs et la plus faible était de 1,3 pg/ml dans le lait entier. La présence prioritaire de l’ARNm dans les VE et non dans le lait entier peut expliquer pourquoi Golan et al. ne l’ont pas trouvé [42].
On sait depuis quelques années que l’ARNm encapsulé dans les VEs est protégé des sucs gastriques et peut transfecter les cellules intestinales [43, 44]. Une étude récente de Melnik et Schmitz confirme que les VEs du lait survivent aux conditions extrêmes du tractus gastro-intestinal, sont internalisées par endocytose, sont biodisponibles et peuvent transfecter des cellules intestinales[45].
Passage transplacentaire des nanoparticules?
Chez la souris, des LNPs du même type que celles utilisées dans les vaccins ARNm COVID-19 ont montré leur capacité à transfecter l’ARNm après injection dans une veine fœtale ou in utero [46].
Dans un essai d’immunisation des fœtus contre l’herpès néonatal chez des souris gravides par injection de LNPs chargées d’ARNm à la mère, il n’est pas discuté la possibilité que le passage transplacentaire des LNPs expliquerait aussi bien l’immunisation du fœtus que le passage des Ig induites chez la mère [47]. Des études ont montré qu’il est très possible que des nanoparticules de taille comparable à celles utilisées pour les vaccins à ARNm soient capables de passer par voie transplacentaire chez l’homme [48,49].
L’administration de thérapies à base de LNPs pendant la grossesse présente des risques qui doivent être étudiés. La détection du passage transplacentaire dépend de la sensibilité des méthodes de détection: pour certains types de nanoparticules, une embryotoxicité a été observée alors qu’aucune absorption par le fœtus n’a été observée; cette absorption ne semble pas corrélée avec le type, la taille ou la charge électrique de surface des nanoparticules. La translocation des LNP est susceptible de dépendre des différents stades de la grossesse. Au cours du premier trimestre, la barrière placentaire est très épaisse pour protéger l’embryon en développement et devient mince à terme lorsque de grandes quantités de nutriments sont nécessaires pour soutenir la croissance du fœtus. Cependant, chez les animaux, le transfert placentaire semble être plus élevé en début de grossesse. Il est nécessaire de développer des modèles humains pour les études de transfert placentaire en début de grossesse. La comparaison avec les études animales est essentielle, car le placenta est l’organe le plus spécifique à l’espèce [50,51]. Des LNPs de 240 nm sont capables de traverser la barrière placentaire humaine [52].
Toutes ces publications soulignent la difficulté d’extrapoler les études animales à l’homme concernant le passage transplacentaire des nanoparticules. D’après une revue de 2022 [53], les nanoparticules peuvent transiter par les mécanismes ordinaires de transport transcellulaire placentaire tels que la pinocytose, le transport actif, la diffusion facilitée et la diffusion passive. Les VEs à cargaison d’ARN sont également capables de traverser la barrière placentaire humaine. Les LNPs enrobées de PEG auraient une diffusion moindre à travers la barrière placentaire que les formulations à base de liposomes, mais sont capables de délivrer une partie de leur cargaison au fœtus. [54]
Toutes ces données ne permettent pas d’exclure que les LNPs provenant de vaccins à ARNm soient capables d’atteindre le fœtus d’une mère vaccinée pendant la grossesse.
Excrétion des LNPs dans le sperme?
Je n’ai pas trouvé d’études concernant la possibilité de passage des LNPs dans le sperme ; cependant, l’effet des nanoparticules sur la fertilité et la qualité du sperme a été largement étudié chez l’animal [55]. La toxicité des nanoparticules sur la fonction reproductive masculine est bien établie, il a été démontré que les nanoparticules d’or agissent uniquement en interagissant avec la surface des spermatozoïdes mais ne les pénètrent pas. Aucune donnée n’est disponible sur l’éventuelle pénétration des LNPs dans les spermatozoïdes.
Selon un document confidentiel de Pfizer obtenu par la FOIA [56] concernant des études pharmacocinétiques chez le rat, les LNPs se concentrent dans les ovaires et dans une moindre mesure dans les testicules.
Devenir de la protéine spike après traduction de l’ARNm
Un site d’information sponsorisé par le CDC, consulté le 21 juillet 2021, note que la durée de vie de la protéine spike dans le sang est » inconnue et pourrait être de quelques semaines. « [57].
L’injection de LNPs contenant de l’ARNm modifié par la pseudouridine par voie IM, sous-cutanée et intradermique entraîne la production de protéines au site d’injection, la durée de traduction active est de 6 à 10 jours chez la souris. L’injection intradermique produit une quantité initiale de protéines plus faible mais sur une période de temps plus longue que la voie IM. Par la voie intradermique, la demi-vie de production des protéines est la plus longue par rapport aux autres voies d’injection (IM, sous-cutanée, IV, intrapéritonéale, intra-trachéale). Par voie IM, la majorité de la traduction cesse dans le foie au jour 2 post-injection mais dure jusqu’à 8 jours dans les muscles [58].
Chez l’homme, la protéine spike pourrait persister longtemps chez les vaccinés, la surveillance des effets indésirables du vaccin devrait donc être étendue [59]. La comparaison des concentrations de spike atteintes pendant la maladie et après la vaccination montre que pendant l’infection sévère par COVID-19, la concentration médiane observée est de 50 pg/ml avec des maximums à 1ng/ml. Au cours d’une infection sévère à Covid, des concentrations allant jusqu’à 135 pg/ml de spike S1 peuvent être détectées, le plus souvent entre 6 et 50 pg/ml. Après une vaccination avec un vaccin à ARNm, des concentrations allant jusqu’à 150 pg/ml sont couramment observées, mais peuvent atteindre 10 ng/ml chez les individus présentant une thrombocytopénie induite par le vaccin [60]. La même équipe [61] montre également que la protéine spike persiste longtemps sous forme libre: la spike induite par le vaccin circule dans le plasma dès J1 après la vaccination et jusqu’à 14 jours, le pic étant atteint à J5 avec 68 pg/mL de sous-unité S1 détectée ; la spike entière est détectée jusqu’à J15, avec un pic à 62 pg/mL. Après la deuxième dose, la spike libre n’est plus détectée car elle serait liée aux anticorps; l’étude ne détecte pas de complexes immuns anticorps-spike. Une autre équipe montre également qu’après la vaccination avec l’ARNm, la protéine spike passe dans le sang, persiste pendant plus d’une semaine et est complètement éliminée en 1 mois. L’augmentation de la concentration sanguine de spike après la vaccination est rapide (1 à 3 jours). [62]
Selon une autopsie, la spike vaccinale est retrouvée jusqu’à trois semaines après l’injection dans différents organes (cœur, cerveau, muscles, centres germinaux, …) et notamment dans l’endothélium des capillaires [63].
Exosomes circulants contenant la protéine spike
Après une infection par COVID-19, la spike circule sous forme d’exosomes (ou VEs). Les VEs sont libérés par les cellules dans l’environnement extracellulaire dans des conditions normales et pathologiques. Les VEs sont un outil important pour la communication intercellulaire, car elles servent de navettes pour le transfert de protéines, de lipides et d’ARN biologiquement actifs. Les VEs peuvent incorporer des protéines pathogènes et/ou des fragments d’ARN viral provenant de cellules infectées pour transporter du matériel vers des cellules cibles, un événement qui joue un rôle important dans les réponses aux infections virales. La protéine spike du SARS-CoV-2- ou les fragments dérivés étaient clairement présents dans les VEs des patients COVID-19. Des fragments dérivés de la spike sont présents dans les VEs de tous les patients COVID-19 [64].
La Spike circule également dans les VEs après une vaccination par ARNm chez l’homme. Des auteurs ont proposé qu’après l’internalisation des LNPs et la libération de l’ARNm, le tri et le trafic des antigènes puissent induire la libération de VEs contenant la protéine S. Les événements présentés se produiraient dans les surfaces apicales et/ou basolatérales des cellules polarisées (par exemple, épithéliales). [65] En effet, la spike du vaccin est spontanément enveloppée dans des VEs: La vaccination avec l’ARNm et la traduction de l’ARNm induit la production de VEs portant la spike et circulant dans le sang jusqu’à 4 mois après la vaccination. L’injection de ces VEs à des souris induit la synthèse d’anticorps anti-spike. [66]
La spike du vaccin a été trouvée dans les vésicules de kératinocytes du derme d’un patient présentant des lésions cutanées 3 mois après la vaccination avec le vaccin Pfizer-BioNTech. Ce patient avait une infection par le virus varicelle-zona. Une hypothèse plausible était que la stabilisation de l’ARN par la substitution méthyl-pseudouridine à tous les nucléotides d’uridine du vaccin Pfizer BNT162b2 pourrait entraîner une production à long terme de la spike codée à partir de n’importe quelle cellule, affectant de façon persistante le microenvironnement du système immunitaire protecteur, y compris la peau [67].
Toutes ces données indiquent que les LNPs vaccinales ou les VEs formées naturellement après la vaccination pourraient contenir de l’ARNm ou de la spike et être présentes dans les fluides corporels.
Ces nanoparticules sont-elles capables de passer de ces fluides dans l’organisme de personnes non vaccinées en contact avec des personnes fraîchement vaccinées?
Capacité des LNP ou des vésicules extracellulaires naturelles (VE ou exosomes) et de l’ARNm à pénétrer par différentes voies.
Utilisation de nanoparticules à des fins thérapeutiques par inhalation, voie transdermique, in utero et par voie conjonctivale.
Dans une revue consacrée à la sécurité des nanoparticules dans les applications biomédicales, on apprend que l’exposition aux LNPs peut se faire par ingestion, injection, inhalation et contact cutané. Certaines expositions ne sont pas intentionnelles, comme l’inhalation pulmonaire de NPs présentes dans l’environnement ou sur les sites de fabrication. [68]
Les nanosystèmes sont de plus en plus exploités pour l’administration topique et cutanée, notamment les peptides thérapeutiques, les protéines, les vaccins, les fragments de gènes ou les particules porteuses de médicaments [69]. Il a été démontré que l’administration intradermique d’ARNm codant pour le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF) entraîne l’expression fonctionnelle de la protéine dans la peau, même en l’absence de nanoparticules lipidiques [70]. [70] Selon Palmer et al [71], dans une formulation de nanoparticules lipidiques, les liposomes augmentent le passage transdermique des molécules utilisées pour traiter les maladies de la peau. La pénétration cutanée des siRNA a été démontrée sous la forme de nanocarriers, ces siARNs transfectent les cellules et expriment le gène d’intérêt ciblé. Des nanocarriers ont été testés pour une utilisation en vaccination transdermique [72].
Les VEs sont utilisées pour délivrer des thérapies autres que les vaccins: des études cliniques sont en cours par voie locale (péridontite, ulcères, épidermolyse bulleuse) et par inhalation (essai en cours contre la maladie d’Alzheimer) [73]. Les LNPs avec une bicouche lipidique sont capables de passer la barrière cutanée et de transporter du matériel génétique. Ces particules peuvent pénétrer dans la peau par les follicules pileux ou directement dans les kératinocytes en raison de leur similitude avec les membranes cellulaires [74].
L’administration intranasale, orale, intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs capables de transporter des médicaments a été testée avec succès. L’administration intranasale représente la deuxième voie la plus fréquemment rapportée. Elle est efficace pour transporter des médicaments dans le système nerveux central et les poumons. La plupart des effets protecteurs ont été obtenus de manière similaire pour l’administration intraveineuse et intranasale. L’administration orale a été décrite pour les VEs du lait bovin dans un modèle de souris. Six heures après l’administration, les VEs étaient localisées dans le foie, le cœur, la rate, les poumons et les reins. L’injection intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs dérivées de MSC (cellules souches) a permis de délivrer des VEs dans la rétine dans un modèle de lapin de rétinopathie induite par le diabète. [75]
Les nanovésicules produites naturellement par les plantes sont morphologiquement et fonctionnellement identiques à leurs analogues mammaliens. Une revue sur les nanovésicules végétales rassemble les connaissances sur les mécanismes transdermiques, transmembranaires et de ciblage de ces vésicules. Des expériences sur des souris ont montré qu’il est possible de délivrer de l’ARN dans une tumeur cérébrale via ces nanovésicules introduites par voie intranasale. Ces nanovésicules seraient également capables de transporter efficacement leur chargement à travers la peau et dans les cellules cutanées. [76]
Les LNP sont un vecteur potentiel pour délivrer des molécules dans la chambre postérieure de l’œil: elles ont démontré d’excellentes caractéristiques de perméation oculaire et des capacités d’amélioration de la pénétration, tout en présentant une charge médicamenteuse élevée et des efficacités de piégeage. [77]
Nanoparticules dans les essais de vaccination et de thérapie génique (LNPs contenant des acides nucléiques) par voie respiratoire.
Les nanoparticules cargo d’acides nucléiques sont capables de transfecter les cellules des voies respiratoires chez l’animal et l’homme par administration locale (instillation ou nébulisation). Le projet DEFUSE [78], soumis par Eco Health Alliance en réponse à un appel à propositions de la DARPA, porte sur l’administration transcutanée de vaccins chez l’animal à l’aide de nanoparticules. À des fins thérapeutiques, la formulation des LNPs a été optimisée pour une pénétration pulmonaire par inhalation et il a été vérifié que l’ARNm est efficacement traduit dans le poumon après nébulisation (testé sur des souris) [79].
La voie intranasale a également été étudiée pour la vaccination avec des LNPs cargo d’ARNm ainsi que pour la thérapie génique de la fibrose kystique avec des ARNm encapsulés dans des LNPs par voie intranasale par instillation dans les narines des souris : l’ARNm transfectant les cellules nasales exprime la protéine d’intérêt dans les cellules qui ne l’exprimaient pas à cause d’un défaut génétique. [80]
Chez l’homme, des nanoparticules liposomales contenant de l’ADN administrées localement par nébulisation ont transfecté des cellules des voies respiratoires. Un récent essai de phase 2b sur l’administration de l’ADN du CFTR (cystic fibrosis transmembrane conductance regulator) à l’aide d’un système d’administration liposomal a montré qu’après des nébulisations mensuelles répétées pendant un an, les groupes de patients atteints de mucoviscidose ont connu une stabilisation de la fonction pulmonaire, tandis que le groupe placebo a connu un déclin[81].
Des essais cliniques pour la prévention de la grippe ont montré l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm inhalés: L’ARNm nu ou l’ARNm enveloppé dans des particules lipidiques (notamment à base de PEG comme dans les vaccins ARNm anti-Covid), peut être inhalé sous forme d’aérosol et transfecter les cellules épithéliales pulmonaires [82].L’administration in utero de formulations de nanoparticules lipidiques contenant de l’ARNm peut être appliquée pour délivrer l’ARNm à des fœtus de souris, avec pour conséquence l’expression de la protéine dans le foie, les poumons et les intestins du fœtus [70].
Essai de LNPs pour une vaccination transcutanée
Dans une revue [72] sur la possibilité de vaccination transcutanée par LNPs, on apprend que la peau humaine non endommagée est imperméable aux micro et nanoparticules mais il existe des preuves d’une certaine pénétration cutanée dans les tissus viables (principalement dans le stratum spinosum de la couche épidermique, mais aussi éventuellement dans le derme) pour les très petites particules (moins de 10 nm). Lorsque l’on utilise des protocoles de pénétration de la peau intacte, il n’y a pas de preuve concluante de la pénétration de la peau dans les tissus viables pour les particules d’une taille primaire d’environ 20 nm et plus. Mais il n’y a pas d’informations appropriées pour la peau dont la fonction de barrière est altérée, par exemple la peau atopique ou la peau brûlée par le soleil. Quelques données sont disponibles sur la peau psoriasique. Il existe des preuves que certains effets mécaniques (par exemple, la flexion) sur la peau peuvent avoir un effet sur la pénétration des nanoparticules.
Mais il a été montré que les nanoparticules s’accumulent dans les ouvertures folliculaires, les glandes sébacées ou les plis cutanés. Une suspension aqueuse de nanoparticules ainsi qu’une formulation d’hydrogel de ces particules, appliquée sur la peau d’oreille de porc in vitro, pénétrait profondément dans les follicules pileux. Ces particules peuvent libérer différents composés encapsulés qui pénètrent ensuite dans la peau.
Il existe des preuves dans la littérature que la voie trans-folliculaire peut être utilisée : l’application topique de vecteurs d’expression plasmidiques nus sur la peau intacte de souris a induit des réponses immunitaires spécifiques de l’antigène. Les réponses cellulaires et en anticorps spécifiques de l’Ag HBs ont été induites dans le même ordre de grandeur que celles produites par l’injection i.m. du vaccin polypeptidique recombinant de l’Ag HBs. En revanche, aucune réponse immunitaire n’a pu être induite chez les souris nues :la présence de follicules pileux normaux était une condition préalable à l’induction d’une réponse. Les particules avaient une taille d’environ 150 nm. Les LNPs des vaccins ARNm mesurent entre 100 et 400 nm [22].
Un système qui a fait l’objet de tests cliniques par voie transdermqiue est le patch DermaVir contre le VIH-1/sida. Il contient un vaccin à ADN plasmidique (ADNp) codant pour tous les principaux antigènes du VIH-1 et pour la formation de particules de type viral). L’ADNp est formulé sous la forme de nanoparticules de polyéthylèneimine mannosylées (80-400 nm) semblables à celles des agents pathogènes. Cette étude a porté sur 12 personnes immunisées avec le vaccin: elles ont développé des niveaux plus élevés et plus larges de cellules T CD8+ par rapport au placebo, bien qu’il n’ait eu aucun effet sur le nombre de cellules T CD4+. [72]
L’ARN nu pourrait également être utilisé par passage cutané et par inhalation
Les oligonucléotides ARN peuvent pénétrer la peau intacte et conserver leur activité biologique, la pénétration à travers la peau ne dépend pas de la taille de la molécule étudiée (12,5 à 29,3 kDA) [83]. La faisabilité de l’ARN inhalé pour la transfection passive a également été démontrée dans un certain nombre d’études. L’ARN inhalé peut conduire à la synthèse de protéine spike après transfection et conduit ainsi à l’immunisation de l’individu. [84]
LNPs thérapeutiques et vaccinales dans la COVID-19
Étant donné que les LNPs vaccinales sont des VEs synthétiques, il n’est pas surprenant que des thérapeutiques et des vaccins COVID avec des VEs naturelles servant de vecteurs soient en expérimentation. La nébulisation de VEs pour une thérapie par inhalation a été testée pour la COVID-19. Actuellement, plus de soixante essais cliniques sont en cours pour étudier les effets des CSM (cellules souches mésenchymateuses) et des VEs (contenant ces CSM) chez les patients atteints de COVID-19. Un essai clinique de phase 1 visant à évaluer la sécurité et l’efficacité des VEs inhalées dérivées de CSM adipeuses allogéniques pour le traitement de la pneumonie COVID-19 a été achevé. 3 essais cliniques utilisent l’aérosol comme voie d’administration. En 2022, cette technique a montré son efficacité pour la thérapie par nébulisation chez les patients atteints de COVID-19. [85]
Vaccins à exosomes naturels contre le SARS-CoV-2: voie plantaire ou inhalation
Des vaccins à base de VEs porteuses d’ARNm ont été envisagés contre le SRAS-CoV-2 [86]. Des essais de vaccins injectés sous forme de VEs dans le coussinet plantaire de souris ont montré l’induction d’anticorps contre le spike [87]. Des VEs vectrices du RBD (domaine de liaison) de la spike sont capables de faire pénétrer par nébulisation et inhalation l’antigène dans les cellules pulmonaires de souris et d’induire une réponse immune. Ce sont des particules proches des virus (VLP-Virus Like Particles) obtenues naturellement à partie de cellules de poumon et qui transportent l’ARN de leur cellule mère ainsi que différentes protéines exprimées à leur surface. Par inhalation également, les VEs contenant de l’ARNm de la protéine spike sont capables d’immuniser des souris ou des primates non humains contre le SARS-CoV-2 et les VEs naturelles sont plus efficaces que les VEs synthétiques [89].
Observations réalisées après la campagne massive de vaccination pouvant soutenir l’excrétion du vaccin
Les scientifiques ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés avec des enfants également non vaccinés mais vivant avec des parents vaccinés. Les enfants de parents vaccinés ont des IgG anti-Covid dans le nez et la différence avec les enfants de parents non vaccinés est significative. Les auteurs pensent que cela est dû à l’excrétion d’anticorps par les gouttelettes: ce qui est transféré serait l’anticorps IgG lui-même dans les gouttelettes de salive. Mais il est possible que les enfants développent des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés par leurs parents vaccinés. Cela pourrait être dû aux nanoparticules lipidiques d’ARNm qui pourraient être excrétées et transférées par la salive, par expectoration ou par la peau. Les enfants développeraient une réaction immunitaire aux nanoparticules (ou sous-produits du vaccin) au lieu que les IgG soient transférées directement par les parents aux enfants. Les anticorps recherchés sont les IgG et IgA contre le RBD de la spike et pas contre la nucléocapside du virus, c’est dommage car les auteurs ont développé les 2 types de test [91] : cela ne permet pas de distinguer les enfants qui auraient été infectés naturellement par le virus (et auraient des anticorps anti-RBD et anti-N) des enfants qui auraient développé des anticorps suite à la vaccination de leurs parents (et n’auraient que des anti-RBD et pas d’anti-N car non induits par le vaccin).
Conclusion
Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées. Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits. Il est important de ne pas négliger ces témoignages car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques, qui incluent les vaccins à ARNm selon la définition de ces produits géniques. De plus, le doute sur la possible transmission du vaccin crée un climat malsain de suspicion des non-vaccinés envers les vaccinés: une clarification serait donc la bienvenue. Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2: si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées.
On sait peu de choses sur la pharmacocinétique du vaccin. Les LNPs du vaccin sont très similaires aux VEs naturels ou exosomes, dont les scientifiques ont essayé d’imiter la structure et la fonction le plus fidèlement possible. D’après le peu d’études effectuées par les fabricants et des chercheurs indépendants, les LNPs des vaccins ARNm circulent dans le sang et s’accumulent dans la rate et le foie chez souris (et dans une moindre mesure dans de nombreux organes dont les ovaires et les testicules, la moelle osseuse,…). La traduction en protéine spike persiste 6 à 10 jours chez la souris au site d’injection et 8 jours dans les muscles.
La voie d’excrétion des LNPs varie en fonction de leur taille, dans le cas des LNP de vaccins ARNm l’excrétion devrait se faire principalement par les fèces mais aussi par l’urine. Les résultats quantitatifs de ces études suggèrent que d’autres voies d’excrétion que les fèces et l’urine devraient être explorées. Des études antérieures aux vaccins à ARNm suggèrent que l’excrétion des VEs est possible par la salive, la sueur et le lait maternel.
Des études ont montré qu’il est très possible que des nanoparticules de taille comparable à celles utilisées pour les vaccins à ARNm soient capables de passage transplacentaire chez l’homme. Les nanoparticules (VEs) sont naturellement présentes dans tous les fluides corporels (y compris les expectorations, la salive et la sueur) et dans les kératinocytes et peuvent transporter des acides nucléiques qui sont ainsi protégés des nucléases. Certains types d’ARN (miRNA) sont sélectivement sélectionnés et enrichis dans les VEs de la sueur à partir du sang.
Aucune étude n’a été trouvée concernant la possibilité de passage des LNPs dans le sperme; étant donnée la biodistribution dans tous les organes et fluides, un tel passage est a priori possible et devrait être exploré.
L’ARN viral de nombreux virus est présent dans le sang, les sécrétions et les tissus. L’ARNm des vaccins est injecté en quantités plusieurs fois supérieures à l’ARN viral produit lors de l’infection naturelle. Cet ARNm est retrouvé dans le sang dès le premier jour après l’injection et persiste jusqu’à 15 jours, il est capable de s’échapper des LNPs et d’être encapsulé dans des VEs, il est fonctionnel et peut être traduit en protéine. L’ARNm du vaccin nu ou encapsulé dans les VEs se retrouve dans le lait maternel dès la première semaine après l’injection; il est protégé des sucs gastriques et peut transfecter les cellules néonatales. L’ARN incorporé dans les VEs ou même nu est capable de transfecter des cellules par inhalation ou passage transdermique. L’administration intranasale, orale, transdermique intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs porteuses de médicaments a été testée: Les LNPs peuvent être administrées par voie cutanée, intranasale, intraconjonctivale et par inhalation; des expériences ont montré que l’ARNm inclus dans ces LNPs est capable de transfecter des cellules. Des essais de vaccination contre la COVID par inhalation de VEs contenant de l’ARNm ou de la spike ont donné des résultats positifs chez les souris et les primates non humains. Les VEs naturelles sont plus efficaces que les VEs synthétiques.
La protéine spike traduite à partir de l’ARNm du vaccin persiste pendant des mois en grandes quantités chez les vaccinés; on la trouve sous forme libre dans le plasma et encapsulée dans les VEs qui se forment spontanément à partir des cellules où elle a été produite. Ces VEs peuvent délivrer leur cargaison à différents types de cellules, en particulier aux cellules fœtales des mères vaccinées. La spike peut être trouvé dans les kératinocytes de la peau.
Spécifiquement contre les coronavirus, des essais de thérapie génique et de vaccination (notamment avec des ARNm) ont montré la possibilité de transfecter des cellules par voie transcutanée, nasale et par nébulisation à partir de LNPs et même d’ARNm nus. Des exosomes vecteurs de RBD (domaine de liaison) de la spike ou d’ARNm ont été testés par inhalation chez l’animal pour une immunisation anti-COVID-19.
Toutes ces études montrent que les VEs porteuses d’ARNm et de spike pourraient donc être excrétées par différents fluides corporels et pourraient pénétrer par voie transcutanée ou par inhalation chez des individus non vaccinés (ainsi que par le lait maternel chez les nourrissons et par passage transplacentaire chez les fœtus et pourquoi pas par le sperme). L’ARNm nu pourrait également être excrété et pénétrer.
Les vaccins à ARNm (et adénovirus) correspondent exactement à la définition de la thérapie génique donnée par les agences sanitaires (FDA, NIH et EMA). Selon les réglementations de ces agences, ces produits devraient faire l’objet d’études pharmacocinétiques supplémentaires (en particulier des études d’excrétion) de toute urgence au fur et à mesure que la généralisation de la technologie ARNm semble vouloir s’imposer. En effet, Sanofi lance l’essai clinique du premier candidat vaccin contre la grippe saisonnière à base d’ARNm [92] et Moderna lance l’essai de phase 3 du vaccin contre la grippe à base d’ARNm [93]. Pour ces vaccins anti-grippaux, l’autorisation d’urgence ne devrait pas pouvoir s’appliquer et l’obligation de ces études supplémentaires ne devrait pas être outrepassée.
Le VRS, c’est évidemment le virus respiratoire syncytial ou en anglais RSV, Respiratory Syncytial Virus, contre lequel nos amis de Pfizer mettent au point un, comment dire?.. vaccin, en phase 3 d’essai clinique destiné aux femmes enceintes – pour protéger leur bébé à venir, évidemment.
Je suis certain que nous pouvons leur faire confiance.
Un examen de ses origines à l’heure où il se propage chez les jeunes du monde entier
The Naked Emperor
18 novembre
Le virus respiratoire syncytial (VRS) est actuellement en forte progression dans le monde. Cela pourrait-il être dû à une « dette immunitaire » après les confinements ou au fait que le Covid et/ou la vaccination de masse ont perturbé notre système immunitaire? La majorité des jeunes enfants n’ayant pas été vaccinés contre le Covid, l’effet direct de la vaccination peut donc être écarté.
Le VRS est relativement bénin pour les adultes en bonne santé, mais il peut être plus dangereux pour les jeunes enfants et les personnes âgées. Chaque année, on dénombre dans le monde environ 30 millions de maladies respiratoires aiguës et plus de 60 000 décès d’enfants causés par le VRS.
Mais d’où vient le VRS?
Selon Wikipedia, il a été découvert en 1956 lorsque des chercheurs ont isolé un virus dans une population de chimpanzés souffrant de maladies respiratoires. On s’est rendu compte par la suite que les chimpanzés avaient en fait attrapé l’infection de leurs gardiens.
Il existe cependant une autre version de cette histoire. Comme il est extrêmement improbable que la vérité éclate un jour, c’est à vous de décider quelle version vous semble la plus plausible, l’entrée Wikipedia ci-dessus ou l’alternative ci-dessous. N’hésitez pas à ajouter tout autre détail dans les commentaires ci-dessous.
Bien que Wikipédia ait raison de dire que le VRS a été découvert en 1956, l’histoire commence un an plus tôt, en 1955.
À cette époque, des recherches étaient menées sur la production en masse du vaccin viral contre la polio. Pour mener à bien ces recherches, des virus ont été cultivés dans des cellules rénales de singe. En conséquence, des centaines de milliers de singes ont été expédiés aux États-Unis.
Fin 1955, une troupe de chimpanzés de l’Institut militaire Walter Reed se mit à tousser et à éternuer. Morris et al isolèrent l’agent responsable de la maladie respiratoire chez l’un des chimpanzés et le nommèrent Chimpanzee Coryza Agent Virus (CCA). Les 13 autres chimpanzés développèrent tous des anticorps contre ce virus nouvellement isolé.
Comme le documente Morris, une personne travaillant à l’Institut commença à souffrir d’une infection respiratoire et développa ensuite des anticorps contre le CCA. Une fois ce travailleur infecté, un nouveau nom fut proposé – virus respiratoire syncytial (VRS) – et à partir de ce moment, le terme CCA fut rarement utilisé dans la littérature médicale.
Les chercheurs étaient intéressés par ce nouveau virus et ont donc inoculé le virus CCA par voie intranasale à des chimpanzés sensibles. Après une période d’incubation de trois jours, cette troupe de singes est tombée malade elle aussi.
Un an plus tard, en 1957, Chanock et Finberg firent état de la guérison de nourrissons atteints d’une maladie respiratoire causée par un virus apparenté au CCA. Selon eux, il était clair que leurs résultats montraient que les virus infectant les nourrissons étaient indiscernables du virus de la CCA.
Par la suite, le virus fut retrouvé chez des nourrissons et des jeunes enfants atteints de pneumonie ou de bronchiolite dans le District de Columbia (Maryland).
Au cours de l’hiver 1958, Beem et al isolèrent un virus similaire, avec des similitudes antigéniques, à Chicago.
En 1961, Lewis et al avaient isolé d’autres spécimens qui ressemblaient au CCA.
Avant juillet 1960, les virus de l’influenza et du parainfluenza prédominaient dans les infections respiratoires épidémiques des nourrissons. En juillet 1961, le schéma a changé brusquement avec une augmentation soudaine des bronchiolites et des bronchites, peu fréquentes auparavant. 58% des patients avaient moins de 12 mois, et les patients de moins de 4 ans prédominaient. Les nourrissons atteints de bronchiolite et de bronchite grave ont présenté des RCA [rolling circle amplification; en français, réplication circulaire de l’ADN] non isolés auparavant. Il y eut des décès.
De nombreux articles de recherche affirmaient qu’il était probable que le virus initial du chimpanzé était le résultat d’une infection transmise à la troupe par un humain.
Cependant, dans les cinq années qui ont suivi la découverte de ce virus chez les chimpanzés, les enfants sont passés d’une hospitalisation principalement due à la grippe à une hospitalisation due à une bronchite liée au VRS.
Aujourd’hui, environ la moitié des nourrissons sont infectés par le VRS au cours de leur première année de vie, et presque tous avant l’âge de deux ans. Rien qu’aux États-Unis, l’hospitalisation d’enfants atteints du VRS coûte 300 millions de dollars.
Il existe donc deux théories, l’une selon laquelle le virus serait passé de l’homme au chimpanzé et l’autre selon laquelle il serait passé du chimpanzé à l’homme. Cependant, le fait que ce virus était inconnu chez l’homme avant que le chimpanzé ne tombe malade et qu’en l’espace de cinq ans, la maladie prédominante chez les enfants est passée de la grippe au VRS suggère que la dernière théorie est correcte.
Annexe
Une réponse, dont l’auteur se sert ci-dessus, sur le site du British Medical Journal à cet article.
Réponse rapide: Re: L’éradication de la polio: une finalité complexe
26 août 2012 Dr Viera Scheibner (PhD) Scientifique/auteur à la retraite s/o Blackheath, Australie
Une autre question importante dans les tentatives d’éradication de la poliomyélite par la vaccination est la contamination des vaccins antipoliomyélitiques par le virus du coryza du chimpanzé, rebaptisé virus respiratoire syncytial (VRS).
Morris et al. (1956. Récupération de l’agent cytopathogène chez les chimpanzés atteints de coryza. Proc Soc Exp Biol Med; 92: 544-549) ont décrit l’agent cytopathogène du singe qui produisait une maladie respiratoire aiguë chez les chimpanzés au Walter Reed Army Institute of Research et l’ont nommé chimpanzee coryza virus (CCA).
Chanock et al. (1957. Récupération de nourrissons atteints d’une maladie respiratoire du vius liée à l’agent du coryza des chimpanzés (CCA). I. Am, J Hyg; 66: 281-290) ont écrit sur l’association d’un nouveau type de myxovirus cytopathogène avec le croup infantile.
Chanock et Finberg (1957. Récupération chez des nourrissons atteints d’une maladie respiratoire d’un virus lié à l’agent du coryza des chimpanzés. II. Am J Hyg; 66: 291-300) ont rapporté deux isolations d’agents similaires provenant de nourrissons atteints de maladies respiratoires inférieures graves (bronchopneumonie, bronchiolite et laryngotrachéobronchite). Les deux virus ne se distinguaient pas d’un agent associé à l’épidémie de coryza chez les chimpanzés (virus CCA) étudiée par Morris et al. (1956). Une personne qui travaillait avec les chimpanzés infectés a par la suite souffert d’une infection repiratoire accompagnée d’une augmentation des anticorps CCA pendant sa convalescence. Ils ont proposé un nouveau nom pour cet agent: « virus respiratoire syncytial » (VRS). Le VRS s’est répandu par le biais de vaccins antipoliomyélitiques contaminés comme une traînée de poudre dans le monde entier et continue de provoquer de graves infections des voies respiratoires inférieures chez les nourrissons.
Beem et al. (1960. Association de l’agent du virus du coryza du chimpanzé avec une maladie respiratoire aiguë chez les enfants. NEJM; 263 (11): 523-539) ont isolé le virus chez des patients hospitalisés et des patients externes du Bobs Robert Memorial Hospital for Children (Université de Chicago) pendant l’hiver 1958-1959, en association avec une maladie respiratoire aiguë humaine. Le virus (nommé Randall) avait un effet cytopathique inhabituel caractérisé par des zones syncytiales étendues et des cellules géantes. Rapidement, 48 agents similaires ont été isolés chez 41 patients. Il y avait des similitudes antigéniques entre le RV et les souches Long et Sue du CCA; il a produit des maladies chez l’homme (la tranche d’âge allant de 3 semaines à 35 ans): maladies respiratoires aiguës, croup, bronchiolite, pneumonie et asthme allant du coryza léger à la bronchiolite mortelle. Le taux des isolats (46%) était particulièrement élevé chez les nourrissons de moins de six mois. En Australie, Lewis et al. (1961. Un virus syncytial associé à une maladie épidémique des voies respiratoires inférieures chez les nourrissons et les jeunes enfants. Med J Australia : 932-933) et Forbes (1961. Ibid : 323-325) ont isolé d’autres spécimens viraux identiques à l’ACC.
Avant juillet 1960, les virus de la grippe et du parainfluenza prédominaient dans les infections respiratoires épidémiques des nourrissons; en juillet 1961, le schéma a changé brusquement avec une augmentation soudaine des bronchiolites et des bronchites, peu fréquentes auparavant. 58% des enfants avaient moins de 12 mois, et les patients de moins de 4 ans prédominaient. Les nourrissons atteints de bronchiolite et de bronchite sévère ont donné des RCA, non isolés auparavant. Des décès sont survenus.
Rogers (1959. L’évolution des maladies microbiennes potentiellement mortelles. NEJM; 261 (14): 678-683) a écrit que des infections microbiennes potentiellement mortelles continuaient à se produire malgré les antibiotiques. Les agents microbiens ont également changé en 1957-1958 par rapport à la prédominance des streptocoques en 1938-1940).
Une augmentation « impressionnante » du nombre d’infections entérobactériennes potentiellement mortelles s’est produite. « Pendant l’ère pré-antimicrobienne, la plupart des infections étaient acquises avant l’admission à l’hôpital, alors que dans l’ère post-antimicrobienne, la grande majorité des infections sont apparues à l’hôpital. »
« Les infections mycosiques, notamment à Candida albicans, sont devenues un problème majeur. Des infections clostridiales généralisées graves et inhabituelles sont apparues et les antibiotiques n’ont pas modifié de façon spectaculaire le risque ou la mortalité résultant des infections endogènes » chez les patients malades hospitalisés.
Les observations de Rogers (1959) sur l’inefficacité des antibiotiques, et les nouveaux problèmes graves supplémentaires décrits ci-dessus, sont tombées dans l’oreille d’un sourd.
Levy et al. (1997. Infection par le virus respiratoire syncytial chez les jeunes nourrissons et les jeunes enfants. J Family Practice; 45 (6): 473-481) ont écrit: « Le virus respiratoire syncytial (VRS) est la cause la plus fréquente des infections des voies respiratoires inférieures (IVRI) chez les nourrissons et les jeunes enfants. Les infections par le VRS constituent un problème de santé majeur pendant la petite enfance et les infections primaires par le VRS surviennent le plus souvent entre l’âge de 6 semaines et de 2 ans. Environ la moitié des nourrissons sont infectés par le VRS au cours de leur première année de vie et presque tous les nourrissons à la fin de leur deuxième année de vie… Aux États-Unis, chaque année, environ 100 000 enfants sont hospitalisés pour un coût estimé à 300 millions de dollars. Plus de la moitié des enfants admis pour bronchiolite à VRS sont âgés de 1 à 3 mois. » [Ce qui implique clairement la vaccination.] Et « Aux Etats-Unis, chaque année, environ 100 000 enfants sont hospitalisés pour un coût estimé à 300 millions de dollars. Plus de la moitié des enfants admis pour une bronchiolite due au VRS ont entre 1 et 3 mois ».
Le vaccin contre le VRS développé à la fin des années soixante a clairement échoué. Fulginiti et al. (1969). Immunisation contre les virus respiratoires. I Un essai sur le terrain de deux vaccins inactivés contre le virus respiratoire…Am J Epidemiology; 80 (4): 435-448) et d’autres ont montré que le vaccin était inefficace, induisant une réponse clinique exagérée et altérée… provoquant une maladie due au VRS nécessitant des hospitalisations parmi les vaccinés et une hypersensibilité cutanée retardée.
Simoes (1999. Respiratory syncytial virus infection. Lancet; 354: 847-852) a écrit: « Depuis qu’il a été identifié comme l’agent responsable du coryza des chimpanzés en 1956, et après son isolement ultérieur chez des enfants atteints de maladies pulmonaires à Baltimore, aux États-Unis, le virus respiratoire syncytial (VRS) a été décrit comme le virus le plus important causant des infections aiguës des voies respiratoires chez les enfants. L’OMS estime que sur les 12,2 millions de décès annuels d’enfants de moins de 5 ans, un tiers est dû à des infections aiguës des voies respiratoires inférieures. Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae et le VRS sont les agents pathogènes prédominants… les enfants vaccinés n’étaient pas protégés contre une infection ultérieure par le VRS. En outre, les nourrissons naïfs de VRS qui ont reçu le vaccin VRS inactivé par le formol et qui ont été infectés naturellement par le VRS par la suite ont développé une maladie plus grave dans les voies respiratoires inférieures qu’un groupe témoin immunisé par un vaccin trivalent contre la parainfluenza ».
Les données provenant de dix pays en développement, où la vaccination contre la polio est intense, ont montré que le VRS était la cause la plus fréquente des infections des voies respiratoires inférieures (70% de tous les cas).
Les vaccins contre la polio ne sont pas seulement inefficaces pour prévenir la paralysie, ils comportent un risque de contamination par de nombreux micro-organismes adventices nuisibles, dont seuls certains virus de singe ont fait l’objet de recherches approfondies. De nombreux autres micro-organismes potentiellement dangereux n’ont pas encore été étudiés.
Note: 1) « Globohomo » est un néologisme plaisant pour désigner l’élite globaliste. 2) « Sûr et Efficace » désigne le produit injectable que nous avons tous appris à connaître et à apprécier.
« Ce n’est pas parce que vous êtes paranoïaque qu’ils ne sont pas après vous. »
Kurt Cobain
Ce que je n’arrivais pas à comprendre lorsque l’injection de poison ARNm a été annoncée pour la première fois à un public plein d’espoir et reconnaissant, c’est pourquoi Globohomo ciblait le segment le plus docile de la société pour l’administration de ces injections mortelles. Tuer ses serviteurs et laisser debout la plupart de ses ennemis n’avait aucun sens, à moins que les universitaires des think tanks qui élaborent la stratégie de Globohomo ne soient pas très brillants, que Globohomo veuille faire table rase du passé pour mettre ses ennemis en avant, ou que cette « pandémie » n’ait rien à voir avec un virus et qu’il y ait d’autres intentions. La Grande Réinitialisation n’était-elle qu’une diversion à la James Bond pour cacher ce qui se passait réellement derrière le rideau de Globohomo?
J’ai acquis la conviction que ce qui se passe réellement est la troisième prémisse: les propriétaires du réseau bancaire mondial créent une « transition » afin de pouvoir déplacer l’Occident (et donc entraîner le reste du monde avec lui) et son panier de fausses monnaies défaillantes, pondérées en fonction des échanges commerciaux, vers une nouvelle fausse monnaie qui reste sous leur contrôle, tout comme les anciennes monnaies de singe criblées de dettes (USD, EUD, GBP, JPY). Pendant cette transition fabriquée, le véritable ennemi de Globohomo n’est pas la souveraineté nationale ou les Déplorables, c’est l’hyperinflation qui représente le plus grand risque pour son contrôle systémique sur le panier de fausses monnaies.
L’hyperinflation est la résultante d’une véritable révolution et nationalise la création, l’administration, la distribution et la fixation des prix de la monnaie d’une nation au profit de ses citoyens (voir l’Allemagne de Weimar pour en avoir la preuve). Cette nouvelle monnaie devra être une monnaie numérique, car elle fournit les moyens – en utilisant les prétextes fallacieux du changement climatique – de contrôler la demande et donc de contrecarrer le monstre hyperinflationniste qui suivra cette transition. Ainsi, une fois l’hyperinflation apprivoisée, cela garantit que le réseau bancaire mondial contrôlera la nouvelle fausse monnaie, car M. et Mme Tout-le-monde n’y pourront absolument rien, comme la dernière fois le 15 août 1971 [NdT. fin de Bretton Woods], la fois précédente le 1er mai 1933 [NdT. ici] et la fois précédente le 23 décembre 1913 [NdT. création de la FED].
Pour combattre cette hyperinflation, Globohomo est affecté par la même pensée de groupe qui étrangle l’Occident aujourd’hui et n’est donc plus aussi habile qu’avant, alors que le monde est beaucoup plus complexe. Après avoir donné un coup de pied dans la fourmilière des taux d’intérêt, il ne lui reste plus que deux outils keynésiens [NdT. ici] dans son sac de tours de magie monétaires: 1) détruire la demande en détruisant l’offre et 2) détruire la demande en tuant les consommateurs. Sûr et Efficace était la solution à long terme pour contrôler l’hyperinflation – tuer les consommateurs, réduire leur demande, amortir l’hyperinflation pendant la transition vers la fausse monnaie, et maintenir le contrôle sur la nouvelle fausse monnaie numérique (mondiale?).
La deuxième façon de réduire la demande est de détruire l’offre de biens en utilisant des guerres artificielles. Mais si la guerre avait progressé en premier, la demande des consommateurs subsisterait pour une quantité réduite de marchandises, ce qui aurait été inflationniste et aurait déclenché l’hyperinflation trop tôt dans la transition vers la fausse monnaie. Globohomo a donc dû expérimenter un nouveau moyen de détruire la demande, raison pour laquelle il fallait d’abord vacciner les gens avec ce bon vieux Sûr et Efficace pendant la fausse pandémie, car leur demande devait être détruite avant que les guerres ne détruisent ce qu’ils demandaient. Ainsi, grâce à un mécanisme permettant de contrôler l’hyperinflation, la fausse transition monétaire a pu se dérouler comme prévu.
C’est pourquoi les nations économiquement développées du monde (à l’exception du Japon) [NdT. petite erreur, voir ici] sont les nations les plus vaccinées – ce n’est pas parce qu’elles sont les plus riches, qu’elles ont un accès immédiat aux meilleures technologies ou qu’elles ont les meilleurs systèmes de « soins de santé ». C’est parce que c’est de ces pays que provient la plus grande demande de biens et que, grâce à la création immédiate de crédits, ils ont la capacité de payer tous ces biens.
Ainsi, les nations développées présentent le plus grand risque d’hyperinflation dans le cadre d’un scénario de statu quo de la demande de biens à long terme et, comme il n’était pas possible de détruire d’abord la demande des consommateurs par la guerre, les consommateurs eux-mêmes sont systématiquement détruits. Le Japon, quant à lui, est de toute façon en pleine spirale démographique descendante et pourrait mettre en œuvre une destruction de la demande à long terme sans guerre ni Sûr et Efficace. Bien que l’Afrique et les pays pauvres du Moyen-Orient présentent une forte demande de biens à long terme, ils disposent de peu de moyens pour payer ces biens et ne représentent donc pas un risque appréciable d’hyperinflation, de sorte qu’ils ont largement échappé aux programmes de vaccination de masse.
Taux de financement garanti au jour le jour 2014 – 19
Mais ensuite, le plan de Globohomo s’est pris un coup de poing dans la figure. Ce coup de massue, avec son compte à rebours de 8, remonte à l’événement de singularité financière du 17 septembre 2019, lorsque le SOFR [NdT. Secured Overnight Financing Rate] est passé en une seule journée de 2,20% à 5,25%, gelant la création de crédit mondiale et plongeant la chronologie de Globohomo dans le chaos. À l’insu de M. et Mme Tout-le-monde, de septembre 2019 à juin 2020, Trump et Mnunchin – à l’aide d’un programme REPO [NdT. ici] du Trésor – ont fait apparaître 17,66 trillions de dollars et ont créé de fait ce qui a été le plus grand événement financier de l’histoire du monde. La question est la suivante: s’agissait-il de dollars de la Réserve Fédérale ou de dollars du Trésor américain? Cet acte de vandalisme monétaire représente-t-il une opportunité rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinitialiser notre faux système monétaire à l’équivalent de ce que Kennedy avait tenté de faire en 1963, mais sans l’argent [NdT. métallique]?
Si la vie telle que nous la connaissions le 18 septembre 2019 avait continué comme si de rien n’était avec cette énorme quantité d’argent supplémentaire en circulation, cela aurait créé l’Armageddon de l’hyperinflation, ce qui est le pire cauchemar de Globohomo; il fallait donc faire quelque chose, et quelque chose d’énorme et de rapide. Ainsi, il n’y a aucune coïncidence dans la chronologie rapide révisée – octobre 2019: le virus est libéré pendant les Jeux Militaires Mondiaux à Wuhan en Chine avec son laboratoire BSL4 fournissant une couverture parfaite; novembre 2019: des vidéos chinoises spectaculaires de personnes mourant dans les rues à cause de l’étrange et catastrophique nouveau virus; décembre 2019: l’OMS déclare l’urgence sanitaire mondiale; février 2020: interdiction de voyager dans le monde; mars 2020: début du confinement aux USA; mai 2020: début de l’opération Warp Speed, etc.
(L’histoire entière de la civilisation humaine telle qu’on nous la raconte est censée s’être développée à cette période) Températures historiques dans l’hémisphère nord de la Terre à haute latitude
Le plan initial pour détruire la demande, étouffer l’hyperinflation et commencer la transition vers une fausse monnaie consistait à enfermer tout le monde jusqu’en 2030 en utilisant comme excuse la fausse crise climatique de l’Agenda 2030 de l’ONU. Cela aurait probablement commencé une fois que la plupart des nations occidentales auraient eu des gouvernements de gauche et/ou de faux conservateurs, conformes et contrôlés, fermement en place. Une fois tout le monde enfermé, il n’y aurait plus eu de sorties shopping, les garçons n’auraient jamais rencontré les filles et la reproduction se serait effondrée dans le monde développé. Pas de naissances et beaucoup de morts de désespoir – un démocide bien propret et étincelant.
Globohomo ne pouvait pas se permettre de laisser M. et Mme Tout-le-monde découvrir que l’entièreté du réchauffement de la planète dans l’hémisphère nord a eu lieu il y a 11 600 à 10 000 ans. Et ils ne pouvaient surtout pas apprendre que l’hémisphère nord de la Terre s’est en fait légèrement refroidi au cours des 8 000 dernières années.
Niveaux mondiaux de CO2 et température au cours des temps géologiques
Globohomo ne pouvait pas non plus permettre à M. et Mme Tout-le-monde d’apprendre que la dernière fois que les niveaux de dioxyde de carbone ont été aussi bas, la Terre a connu son déclin permien, au cours duquel 95% des espèces ont disparu. Ils ne pouvaient pas non plus apprendre que les températures mondiales sont en réalité égales à deux minimums historiques antérieurs, à savoir l’Ordovicien et la transition Carbonifère/Permien. Ils ne pouvaient jamais apprendre que la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre plus efficace que le dioxyde de carbone. Et ils ne pouvaient, en aucun cas, apprendre que le principal moteur du réchauffement de la planète est le soleil.
Les scientifiques qui vous apportent la Science
Mais c’est ce qui a failli se passer – au lieu de cela, nous avons eu droit à une politique monétaire déguisée en fausse pandémie et nous nous sommes enfermés pendant que Globohomo attendait que le bon vieux Sûr et Efficace opère sa magie destructrice de la demande. Tous les décès ont été soudainement attribués au virus que, jusqu’à présent, aucun scientifique de la Science n’a réussi à isoler d’un être humain in toto plutôt qu’in silico et beaucoup de M. et Mme Tout-le-monde ont avalé le scénario – peur, espoir, conformité et libération.
Ils ont fait la queue par millions pour obtenir leur produit « Sûr et efficace » afin de pouvoir goûter cette libération, sans même avoir pris la peine d’effectuer une simple recherche Google sur les « vaccins à ARNm » ni cherché à savoir comment tous ces furets s’en étaient tirés après des expériences similaires. Puis sont apparues les variants in silico, maintenant nous avons le SADS [NdT. ici] et la myocardite normalisée chez les enfants de 8 ans, et bientôt nous verrons des milliers de personnes tomber mortes à cause – roulement de tambour – du changement climatique – bruit de cymbale! Attendez-vous donc à ce que le récit du changement climatique soit le signe avant-coureur de la finalité première de ces confinements. Pour sauver mamie du soleil.
La politique monétaire de Donald Trump – Elle ne peut être menée qu’une fois
Mais Trump a-t-il plutôt profité de cette rare mais étroite fenêtre d’opportunité pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre système de fausse monnaie pour lancer une bombe nucléaire financière qui déclencherait l’hyperinflation bien plus tôt que ce que Globohomo avait prévu, lui forçant ainsi la main pour la mise en oeuvre du Plan-B pandémique de destruction de la demande? Globohomo a-t-il dû changer à la hâte sa raison d’être et condenser son calendrier de transition monétaire – ce serait la raison pour laquelle nous nous retrouvons aujourd’hui dans ce merdier mondial absolu? Ce que je n’arrive pas à savoir, c’est qui doit porter le chapeau pour ces 17,66 trillions de dollars imprimés entre septembre 2019 et juin 2020 – c’est comme si cet argent s’était évaporé, avait été « corziné » [NdT. « corzined » signifie en argot américain, confier son argent à une personne importante et découvrir qu’il a mystérieusement disparu].
La Réserve Fédérale ne détient pas tout, car son « bilan » le 16 septembre 2019 s’élevait à 3,84 trillions de dollars et s’élève aujourd’hui à 8,8 trillions de dollars. Où sont les 12,7 trillions de dollars manquants? Si c’est dans l’aile comptable du Pentagone, cet avion a atterri il y a 21 ans [NdT. voir mon article pour les détails]. Si le Trésor détient sa propre dette (c’est-à-dire des bons du Trésor émis en dollars de la Réserve Fédérale), cela signifie-t-il que le gouvernement américain se paie lui-même lorsqu’il paie les intérêts et que nous avons donc effacé la dette américaine lorsque Trump a réhypothéqué la totalité de celle-ci? Est-ce là le grand secret que le public américain ne pourra jamais apprendre (outre les secrets du changement climatique)? La dette fédérale en septembre 2019 s’élevait à environ 16 trillions USD et serait-ce une coïncidence que 17,66 trillions USD aient été imprimés? Pourquoi pas 10 trillions USD, 35 trillions USD, etc. Les esprits curieux veulent savoir.
Le jeu est-il enfin terminé? Ou est-ce que le jeu ne fait que commencer?
Une partie de cet argent manquant a probablement été retiré pour liquider des positions REPO, mais les banques étant des banques, lorsqu’elles ont pris leur argent REPO au lieu de se prêter de l’argent les unes aux autres puis de liquider leurs positions REPO, elles ont utilisé tout cet argent libre pour acheter des actions technologiques et ont ainsi créé une hyperinflation sur le marché boursier qui s’est déversée dans l’immobilier haut de gamme, les crypto-monnaies, les jets privés, les NFT [NdT. non-fungible tokens] et toutes sortes de conneries en papier, en numérique et en « actifs » haut de gamme. Globohomo n’a pas approuvé. Avec des actions maintenant en baisse de 20%, ces banques pourraient faire face à des pertes si elles vendaient leurs avoirs en actions, donc elles ne peuvent pas vendre et ainsi le monstre de l’hyperinflation se réveille sous le lit de Globohomo. Et on commence à voir que « Sûr et Efficace » a peut-être été un peu plus sûr que prévu. Apparemment, les furets sont de mauvais extrapolateurs linéaires pour les humains.
C’est ce que la Fed tente désespérément d’étouffer – elle essaie de forcer les liquidités à sortir du marché boursier pour liquider les positions REPO 2019-20 et rayer de la carte l’argent de Trump, tout comme le Trésor américain de l’après-Kennedy a chassé et retiré de la circulation le moindre billet des États-Unis. Si l’augmentation des taux d’intérêt ne fonctionne pas, Globohomo fera exploser sa bombe antimatière financière avec un REPO inversé, mais les banques devront alors non seulement prendre leur mal en patience avec des pertes d’actions – un scénario où le plus petit perdant est le plus grand gagnant – mais elles se retrouveront ensuite à détenir des bons du Trésor à 0,75% dans un monde à 3,5+%.
Les banques sont dans la merde et quand les banques sont dans la merde, Globohomo est dans la merde jusqu’à ce qu’il reçoive le prochain renflouement (bail-out) des contribuables sous la forme d’un renflouement (bail-in) à la Barney Frank [NdT. j’explique la différence entre les deux sous cet article]. Mais lorsque l’argent du compte en banque de M. et Mme Tout-le-monde s’envole au moment même où les factures médicales s’accumulent et qu’il renaît sous forme d’actions ordinaires de la banque qui se ratatinent immédiatement dans le néant financier, alors de véritables révolutions peuvent se produire. Hyperinflation ou renflouement, Globohomo devra bientôt choisir son poison, mais M. et Mme Tout-le-monde l’ont déjà choisi pour eux. C’est une course contre la montre des morts à venir – Course à la Mort 2023. Tic-tac, tic-tac…
Nous sommes tous dans la même galère.
D’un point de vue historique, ce à quoi nous assistons aujourd’hui en temps réel était autrefois qualifié de sorcellerie – la coercition d’une grande partie de la population pour lui faire accomplir des actions de masse nuisibles à son bien-être, qui sont néanmoins accomplies pour le seul bénéfice d’une petite minorité malveillante. Et la société ne se rend compte de rien tandis que ces actions délétères produisent leurs effets pernicieux. Les gens, vos amis et vos proches, ne savent pas ce qu’ils ont fait. Ils ne veulent pas savoir ce qu’ils ont fait. Ils se jettent dans le feu en riant, la main dans la main.
Et est-ce une coïncidence que – 2019: L’OMS déclare une urgence sanitaire mondiale 1353: fin de la peste noire 2019 – 1353 = 666
Dans la bataille pour le contrôle du monde, il n’y a pas de règles.
Bail-out, bail-in
Bail-out bancaire: Le gouvernement utilise l’argent des contribuables pour racheter des actifs toxiques et injecter des capitaux dans les banques en faillite afin de les empêcher de faire faillite.
Bail-in bancaire: Disposition de la loi Dodd-Frank. Plutôt que d’utiliser l’argent des contribuables pour injecter des capitaux dans les banques, celles-ci peuvent saisir l’argent des déposants, transformant ainsi la dette en capitaux propres pour maintenir la banque à flot.
Une simple mise à jour, pour ainsi dire. Pour être complet, j’inclus à la fin l’article d’août d’Igor auquel il fait référence pour les modalités de calcul.
Avant ça, juste une petite anecdote: il y a environ deux ans, mon épouse me montre un clip sur YouTube, une interview sur une chaine turque d’information, genre journal parlé – ça fait longtemps, je n’ai plus le lien. L’invité explique que oui, il y aura bel et bien un « vaccin » mais qu’il causera un nombre faramineux de cancers et qu’ensuite les grands groupes pharma mettront sur le marché un vaccin contre le cancer qui sera accessible à la population sous condition. Je vérifie le profil du gars, il a travaillé pour le secteur bancaire à très haut niveau- ce qui, en ce qui me concerne, le disqualifie.
Oups, erreur! Octobre 2022, les voici. Avec nos nouvelles amies, les particules nanolipidiques…
L’association entre les vaccins et la SURMORTALITÉ se renforce et est discutée au Parlement britannique
L’association devient étrangement plus forte – et plus inquiétante
Igor Chudov
6 novembre
Bien que nous allons aborder la très mauvaise nouvelle de l’augmentation des taux de mortalité, je suis heureux d’annoncer qu’un membre éminent du Parlement britannique, Andrew Bridgen, a soulevé, devant le Parlement britannique, la relation entre la vaccination et la surmortalité.
Un simple coup d’œil aux données montre qu’il existe une CORRELATION TRÈS FORTE entre la SURMORTALITÉ et le niveau d’utilisation des vaccins dans ce pays. Une enquête devrait certainement être menée. Ce sont des dizaines de milliers de PERSONNES qui MEURENT.
Voir son discours ci-dessous.
UK MP @ABridgen: “even a casual glance at the data shows that there’s a VERY STRONG CORRELATION between excess DEATHS & the level of vaccine uptake in that country. Surely we must have an investigation? These are 10s of thousands of PEOPLE who are DYING..”pic.twitter.com/EBwCV5Mncvhttps://t.co/JocCkR7MTO
(Après ce discours, Andrew a été suspendu du Parlement pendant sept jours pour une supposée « infraction sans rapport »).
D’où Andrew Bridgen a-t-il tiré son idée (correcte)? Je ne suis pas sûr, mais j’ai posté une analyse originale [NdT. voir en dessous de cet article] liant statistiquement la « surmortalité » au taux de vaccination par pays le 30 août 2022.
Je ne prétends évidemment pas qu’il l’a appris par moi – j’espère que de nombreuses autres personnes ont effectué des analyses similaires, et que l’une d’entre elles a été remarquée par M. Bridgen. Plus il y a de gens qui analysent ces données, mieux c’est. J’en suis heureux.
Les nouvelles données semblent encore pires
J’ai décidé de refaire le calcul de la surmortalité par rapport à l’utilisation des vaccins ou des boosters, en utilisant deux mois supplémentaires de données sur la mortalité.
J’utilise exactement la même méthodologie que dans mon article sur la « relation prouvée« . Je vous invite à le lire si vous êtes intéressé par les détails ou si vous souhaitez reproduire mes résultats. Au lieu des semaines 10 à 35, j’analyse maintenant la « surmortalité » des semaines 20 à 44 (pour être précis, la semaine la plus récente disponible à la semaine 44 dans la base de données sur la mortalité à court terme – les données ont un décalage). Tout le reste est resté inchangé. Les données sont ici:
Quelques remarques sur les données ci-dessus:
Le pays le moins vacciné, la Bulgarie, présente une surmortalité NÉGATIVE (la plus faible de toutes).
Le Chili a en réalité reçu plus de boosters qu’il n’a d’habitants, en raison de la multiplication des boosters par personne, et connaît la plus FORTE surmortalité.
La Suède, malheureusement, est passée en territoire de surmortalité positive, même si je suis heureux de dire qu’elle reste faible.
Les questions que je veux étudier sont les suivantes: Existe-t-il une association entre la prise de vaccin ou de booster et la surmortalité dans les semaines 20 à 44? L’association s’est-elle affaiblie ou renforcée par rapport aux semaines 10-35?
Voyons cela.
Surmortalité par rapport au taux de vaccination:
Excès de mortalité par rapport à la prise de booster:
Nous pouvons constater que les taux de vaccination (nombre de personnes entièrement vaccinées pour 100), ainsi que les doses de boosters administrées pour 100 personnes, sont TRES FORTEMENT ASSOCIÉS À LA SURMORTALITÉ. Tous deux ont des valeurs P très faibles, ce qui suggère qu’il est très peu probable que cette association soit le fruit du hasard.
Voici le pire: Au cours des semaines 10 à 35, le taux de vaccination n’explique que 27% de la variation de la surmortalité, et le taux de boosters n’explique que 40% de la surmortalité. (ce qu’on appelle le R-carré). (voir l’article précédent sur ce sujet pour les régressions)
Pendant les semaines 20 à 44, les taux de vaccination et de boosters expliquent PRESQUE LA MOITIÉ de la variation de la surmortalité (49% pour les deux). C’est un pouvoir explicatif beaucoup plus important!
Cela signifie qu’au fil du temps, la force de l’association entre la surmortalité et la vaccination AUGMENTE!
EDIT: Notez également que la PENTE de la ligne, par exemple, pour le taux de vaccination, est passée de 0,0024 dans mon article d’août à 0,0034 deux mois plus tard! Une augmentation de 40% de la pente. Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que l’ampleur de l’effet a également augmenté, et pas seulement le pouvoir explicatif. Les choses se dégradent de manière mesurable.
C’est contre-intuitif et inquiétant!
Je vous invite à consacrer une minute à comprendre que l’augmentation de la force de l’association, à mesure que le temps passe après l’événement à l’origine de l’association (la vaccination), est
très inhabituel
très inquiétant.
Que se passe-t-il? L’horloge tourne; les personnes non vaccinées ne se font plus guère vacciner. Et pourtant, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de décès en excès sont expliqués par le taux de vaccination (49% au cours des semaines 20 à 44, au lieu de 27% 10 semaines auparavant). Le taux de vaccination, pour l’essentiel, se réfère à des vaccinations qui ont eu lieu dans un passé relativement lointain, il y a un an environ. Il se passe quelque chose dans le corps des personnes qui ont été vaccinées il y a plus d’un an qui augmente le degré de cette association entre les vaccins et les décès au fil du temps!
Stop. Ce n’est PAS normal.
Prenons l’exemple d’un poison typique, comme la mort-aux-rats. Disons qu’un cuisinier négligent a accidentellement saupoudré des quantités variables de mort-aux-rats sur les salades des clients du restaurant. Certains en ont reçu plus, d’autres moins, et certains sont donc morts de la mort-aux-rats. Il serait compréhensible que la « visite au restaurant » soit associée à une « surmortalité » des malheureux dans la première ou les deux premières semaines suivant la visite. Un an plus tard, cependant, on ne s’attendrait pas à une telle relation, les effets du poison se dissipant.
Cependant, l’association entre la vaccination (événement passé lointain) et la mortalité (événement présent) augmente au fur et à mesure que le temps passe!
Qu’est-ce qui pourrait l’expliquer? Pour être honnête, je n’en suis pas certain. Je peux proposer deux explications:
La vaccination a un effet différé qui fait augmenter la surmortalité. Les poisons ordinaires ne produisent pas cet effet. Les substances cancérigènes ont exactement cet effet. Ils déclenchent une chaîne de processus biologiques qui entraînent une augmentation de la mortalité à terme.
La vaccination a eu des effets négatifs ET positifs sur la mortalité, et les effets protecteurs s’estompent. Il y a quelque temps, les vaccins contre le Covid offraient une certaine protection contre les décès dus au Covid. Cependant, au fil du temps, cette protection s’est amenuisée. Ainsi, alors que les effets protecteurs s’amenuisent et que les effets négatifs se poursuivent, le pouvoir explicatif des vaccinations pourrait augmenter.
Avertissement: Corrélation contre causalité
La corrélation n’est pas la causalité. Ces régressions linéaires montrent une corrélation et non une causalité. Elles constituent un signal d’alarme qui nécessite une analyse honnête et approfondie.
Voir une corrélation, c’est comme voir de la fumée. Y a-t-il un incendie?
Nous avons besoin de toute urgence d’une enquête, pas d’obstruction ou d’une « amnistie pandémique »
Un dirigeant honnête d’un bon pays, en entendant des nouvelles aussi inquiétantes, embaucherait de nouvelles personnes qui ne sont pas entachées du bagage et de la responsabilité d’avoir imprudemment vacciné des millions de personnes avec une nouvelle technologie non éprouvée connue pour ses échecs, ses problèmes d’infertilité et la mort d’animaux de laboratoire.
Ces nouvelles personnes incluraient des médecins talentueux, des biostatisticiens sophistiqués, des médecins légistes expérimentés, des biologistes, des historiens, des enquêteurs, etc. Ils concevraient un processus public, ouvert et sophistiqué pour examiner la surmortalité au niveau individuel, ainsi que pour comparer les résultats des personnes vaccinées et non vaccinées, etc.
Ils examineraient les corps de centaines de personnes jeunes et en bonne santé qui meurent subitement afin de vraiment comprendre la chaîne d’événements qui a provoqué leur mort soudaine et inattendue. De même, ils essaieraient de comprendre pourquoi les taux de cancer montent en flèche, bien au-delà des niveaux habituels.
Leurs conclusions et les données sous-jacentes seraient accessibles à la communauté afin que les membres intéressés du public puissent apporter leur contribution.
Enfin, une telle enquête pourrait sauver des milliers, voire des millions de vies, si le mécanisme des décès excessifs était correctement compris et si la chaîne des séquelles mortelles était brisée. J’espère que ces décès puissent être évités d’une manière ou d’une autre!
Rien de tout cela ne se produit.
Tout ce que nous avons, c’est une augmentation des décès excessifs, un déni et une dissimulation. Google ne veut PAS que vous recherchiez « surmortalité 2022 » dans la barre de « suggestion de recherche ».
Google est au courant de la « surmortalité 2022 » ; c’est pourquoi il bloque les suggestions de recherche pour ce terme. Mais Google ne veut pas que VOUS le sachiez.
Nous n’avons pas à leur accorder d’amnistie, nous devons découvrir ce qui se passe et pourquoi des gens meurent.
Cher lecteur, dites-moi s’il vous plaît: pourquoi pensez-vous qu’ils font obstruction à toutes les enquêtes et suspendent les membres du Parlement britannique? Quelle en est la raison? Une préoccupation mal placée pour la poursuite de l’utilisation des vaccins? La peur de la responsabilité? Ou quelque chose de pire?
RELATION PROUVÉE: Boosters COVID et surmortalité en 2022
29 pays montrent une forte association entre « l’utilisation des boosters » et « la surmortalité »
Igor Chudov
30 août
Cet article montre qu’il existe une association statistiquement très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters COVID.
Le taux de boosters au 1er juillet explique la surmortalité en 2022, par pays, en utilisant une régression linéaire avec un R^2 = 40% et une valeur P incroyable de 0,0002, ce qui donne à cette relation une signification statistique indiscutable!
De quoi s’agit-il?
On parle beaucoup de la surmortalité et des taux élevés de cancer en 2022. J’ai également écrit à ce sujet récemment (je ne suis pas Gammadion):
NdT. « Snake oil » (l’huile de serpent) est le qualificatif que les américains donnent aux remèdes bidon. Ça se vendait réellement comme médicament à l’époque des pionniers de l’Ouest.
Depuis cet article, j’ai voulu voir si les intuitions des anti-vaccins sur la cause de la surmortalité étaient vraies. J’ai donc entrepris de trouver des données sur la mortalité dans de nombreux pays et de voir si je pouvais les faire correspondre à des données sur la vaccination ou l’utilisation des boosters.
Par bonheur, j’ai trouvé des données pour les deux paramètres. La mortalité pour les dernières années, par semaine, est répertoriée dans la base de données sur la mortalité à court terme. Cette base de données comporte un fichier CSV qui peut être téléchargé. La prise de boosters et de vaccins se trouve dans Our World in Data (OWID) [Notre monde en données], que j’ai déjà téléchargé dans une base de données SQL.
Par ailleurs, j’ai déjà utilisé la base de données OWID pour prouver que les boosters sont fortement associés à la mortalité due au COVID en Europe. (décès dus au Covid)
Bien content d’avoir refusé le « booster »! Les boosters AUGMENTENT maintenant les morts du Covid en Europe.
Mais qu’en est-il de la surmortalité totale, et pas seulement de la mortalité Covid? C’est ce que nous allons examiner aujourd’hui.
Base de données sur la mortalité à court terme
Après avoir téléchargé les données de mortalité à court terme sous forme de fichier CSV, j’ai écrit un script perl pour lire les données et les analyser.
Le script charge les données pour deux périodes: l’année principale, ou 2022, et les trois années de base 2017 à 2019. Les semaines sélectionnées pour l’analyse sont les semaines 10 à 35. Il ajoute, pour chaque pays, le sous-total des décès pour chaque semaine trouvée, et compte le nombre de semaines trouvées également (tous les pays ne déclarent pas exactement le même nombre de semaines). J’ai dû exclure l’Australie, le Luxembourg, la République tchèque et la Corée du Sud, faute de données suffisantes. (La Corée du Sud a un taux de surmortalité faramineux de 50%, renseignez-vous).
Compte tenu de ce que nous avons, nous pouvons comparer les « décès par semaine » (décès divisés par le nombre de semaines) pour la période 2022 (principale), ainsi que pour la période 2017-2019 (base), pour les mêmes semaines des années correspondantes. J’appelle le rapport des « décès par semaine » pour ces périodes, MOINS UN, la surmortalité.
NB : Notez que ce calcul n’est qu’une approximation assez proche de la surmortalité que les statisticiens officiels calculent car ils prennent également en compte les petits changements de population, etc. Bien que ces différences soient importantes pour effectuer des calculs démographiques tout à fait corrects, elles sont suffisamment mineures pour ne pas être prises en compte dans le cadre de mon analyse, à mon avis. Je compare les mêmes semaines de toutes les années, pour tenir compte de la saisonnalité.
Cela nous donne les données de « surmortalité » pour chaque pays donné.
Our World in Data – Taux de boosters et taux de vaccination
Our World in Data peut nous donner le taux de boosters et le taux de vaccination par pays. Je peux interroger ma base de données SQL comme suit:
Ainsi, à partir de ma base de données OWID, j’obtiens des données sur les « boosters pour 100 personnes au 1er juillet 2022 », ainsi que sur le « taux de vaccination au 1er mars 2022 ». Il est à noter que les données initiales sur les boosters dans OWID sont insuffisantes, j’ai donc choisi le taux de boosters au 1er juillet pour avoir des données valides sur lesquelles travailler. Le choix d’une date tardive pour les boosters pour cette période ne compromet en aucun cas l’intégrité de ces résultats. Bien au contraire, l’examen de l’effet du taux de boosters proche de la fin de la période permet de saisir les dommages causés par les boosters donnés pendant ladite période.
Les données compilées se présentent donc comme suit:
(Oui, le Chili administre plus de boosters qu’il n’a de citoyens).
Relation entre les boosters, les vaccins et les décès
J’ai ensuite effectué une « régression linéaire » pour voir s’il existe une relation entre l’utilisation des rappels au 1er juillet 2022 et l’excès de décès en 2022. (Les choses ne changent pas beaucoup si je déplace la date, tant que de bonnes données sont disponibles à cette date).
Le résultat est consternant!
Il montre que l’utilisation des boosters est extrêmement fortement (et positivement) liée à la surmortalité, avec une valeur P de 0,0002. Attention, tout ce dont la valeur P est inférieure à 0,05 est considéré comme statistiquement significatif – donc P=0,0002 est irréfutable.
Comme la plupart de mes lecteurs ne sont pas statisticiens, je m’explique. Le graphique ci-dessus signifie que plus on prend de boosters, plus la surmortalité est importante pour les pays figurant sur le graphique. Le P=0,0002 signifie qu’il est extrêmement improbable que cette association soit une coïncidence aléatoire.
Plus de boosters – plus de décès!
Ce qui est également très intéressant, c’est que l’ordonnée à l’origine est très proche de zéro.
En outre, un seul chiffre par pays – le nombre de rappels à un jour donné, le 1er juillet 2022 – explique 40% de la variation de la surmortalité. Cela signifie que la vaccination et les boosters ont probablement été un facteur extrêmement important en ce qui concerne la surmortalité de chaque pays.
J’ai effectué la même régression pour le taux de vaccination au 1er mars. Le résultat est principalement le même, mais légèrement moins impressionnant que pour les boosters au 1er juillet. La signification statistique reste extrêmement forte, mais le pouvoir explicatif appelé R-carré est légèrement inférieur.
Avertissement, corrélation et causalité
Rien de ce qui précède n’autorise une déclaration simpliste du type « Je viens de prouver que les boosters font crever les gens ». Ce ne serait PAS une interprétation correcte. (bonjour les vérificateurs de faits).
L’interprétation correcte est qu’il existe une RELATION EXTRÊMEMENT PROMINENTE entre les boosters et les décès en 2022. Il s’agit d’un signal d’alarme et d’un sujet de réflexion qui doit être analysé plus avant. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité.
La démographie est une science compliquée et il existe des instituts de démographie dans chaque pays. Je ne suis pas personnellement propriétaire d’un institut de démographie et je fais seulement ce que je peux, avec les compétences dont je dispose. Cependant, personne ne me possède non plus.
Bien que j’aie clairement indiqué que j’ai découvert une corrélation, et non une causalité, je crois personnellement que les boosters SONT une cause de mortalité accrue. Il y a de nombreuses raisons de croire que c’est très probable, mais c’est un sujet pour un autre article.
Données régionales du Royaume-Uni
Notre perspicace lecteur Nova nous a fait remarquer qu’au Royaume-Uni, le même schéma de mortalité en fonction de la région est évident et qu’il est aussi statistiquement très significatif avec P < 0,0001. Je ne l’ai pas vérifié personnellement.
C’est exactement ce que je constate ici au Royaume-Uni en utilisant les données officielles du gouvernement. La vérité se cache au grand jour.
J’ai comparé la surmortalité avec les niveaux de triple vaccination dans chaque région LTLA (Lower Tier Local Authority) en Angleterre pour les 15 semaines les plus récentes et les données donnent un message très clair – il y a plus de surmortalité dans les zones avec des niveaux plus élevés de triple vaccination.
Les données ont une valeur P de <0,0001, ce qui indique une déviation significative par rapport à l’horizontale, comme le montre la ligne de tendance linéaire.
Une analyse plus poussée des données indique que la surmortalité s’élève actuellement à 1180 décès par semaine en Angleterre. Il est évident que ces décès se produisent de manière disproportionnée dans les zones où les niveaux de vaccination sont les plus élevés, ce qui m’amène à conclure que les vaccins jouent un rôle dans les niveaux de décès élevés actuels.
Ma propre hypothèse
Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters?
La légende du premier vaccin est la suivante… Une rumeur circulait parmi les trayeuses selon laquelle l’infection par la vaccine pouvait protéger de la variole. En 1796, prêtant foi à ces histoires, Edward Jenner soumit un garçon de huit ans, James Phipps, à une expérience. Il préleva du pus, qu’il pensait être la vaccine, sur les lésions des mains de la trayeuse Sarah Nelmes et l’appliqua sur James.
L’enfant fut ensuite délibérément exposé à la variole pour tester la propriété protectrice de l’inoculation de la vaccine. Comme le garçon ne contracta pas de variole clinique, Jenner supposa que la vaccination par la vaccine était efficace et offrait une protection à vie contre la variole. Cette procédure fut appelée cowpoxing, puis vaccination.
Vacca est le mot latin pour vache, et c’est de là que vient le terme vaccination. En 1798, Jenner publia un article revendiquant l’immunité à vie contre la variole et faisant la promotion de sa technique. L’humanité vécut heureuse après avoir enfin vaincu la variole.
Est-ce là toute l’histoire? Ou y a-t-il d’autres éléments qui ont été omis? L’histoire s’est déroulée sur une longue période de plus de 200 ans, et elle est donc longue et complexe. Mais elle comporte certaines données que vous ne connaissez peut-être pas.
Edward Jenner a réalisé sa célèbre expérience en utilisant une vache. En fait, il a prélevé du pus sur la main d’une femme infectée par la traite des vaches et l’a gratté sur un garçon.
Edward Jenner pensait en fait que la véritable vaccine provenait des plaies coulantes des talons de chevaux malades. Il s’agissait d’une affection appelée la « graisse », également connue sous le nom de variole du cheval, et il utilisait le pus des plaies de ces chevaux pour approvisionner les vaccinateurs. Jenner pensait également que la variole, la variole du porc, la vaccine et la variole du cheval étaient simplement des variantes de la même maladie. Les gens utilisaient également des chèvres pour se procurer la variole caprine comme source de matériel de vaccination.
Cher Dr Hodge: En réponse à votre demande du 25 août, nous vous informons que le virus du vaccin, ou son principe actif, est un sujet sur lequel on sait très peu de choses. Nous ne sommes en mesure d’écrire que sur les résultats obtenus dans certaines conditions. Le Dr H M Alexander, fondateur de notre établissement, pensait avoir découvert un cas de vaccine spontanée, et nous avons utilisé, comme l’une de nos souches de virus de semence, cette source pendant près de vingt ans. CEPENDANT, IL S’EST AVÉRÉ PAR LA SUITE QUE LE CAS DONT IL EST QUESTION A MANIFESTEMENT ÉTÉ INOCULÉ PAR UN CLOCHARD ATTEINT DE VARIOLE ET QUI DORMAIT DANS L’ÉTABLE. Nous regrettons notre incapacité à vous donner des informations plus précises sur le sujet, mais nous espérons que ce qui précède pourra vous être utile.
De même, les couvertures des personnes décédées de la variole étaient enroulées autour de la tête des vaches pour fabriquer du matériel de vaccination. En outre, certaines vaches étaient directement inoculées avec la variole pour fabriquer du matériel de vaccination contre la variole. Le pis ulcéré d’une vache était ensuite gratté pour obtenir le matériel de vaccination.
Une autre méthode consistait à placer les croûtes de vaccination d’une personne dans un bocal et à le remplir d’eau pour obtenir une pâte. Le mélange ainsi obtenu était utilisé pour vacciner d’autres personnes.
Une fois qu’une personne avait été vaccinée avec un certain type de vaccin (fabriqué à partir du pus d’une plaie sur une vache, un cheval, une chèvre ou un porc, ou de la variole d’un cadavre gratté sur une vache), cette personne était ensuite utilisée pour vacciner la personne suivante selon une méthode appelée vaccination de bras à bras, puis la suivante et la suivante. Des millions de vaccinations ont été effectuées sans que personne ne sache vraiment ce qui était utilisé. Les bras ou l’intérieur des cuisses étaient grattés jusqu’à ce qu’ils soient ensanglantés, et à partir de là, la personne suivante était vaccinée.
Bien qu’il y ait eu de nombreuses idées différentes sur la façon de fabriquer ces concoctions à gratter sur les gens, elles tombaient toutes sous le nom de « vaccin », et de nombreux membres de la profession médicale adoptèrent rapidement l’idée de vaccination de Jenner.
En 1799, peu de temps après que Jenner eut publié son article sur l’utilisation de la vaccine pour obtenir une protection à vie contre la variole, le Dr Drake mena une expérience de vaccination sur trois enfants avec un vaccin obtenu directement d’Edward Jenner. Malheureusement, lorsqu’on leur inocula la variole, les trois enfants vaccinés développèrent la variole. Le vaccin avait échoué.
Chez trois d’entre eux, un garçon de dix-sept ans et deux des enfants Colborne (l’un âgé de quatre ans, l’autre de quinze mois), les vésicules de la variole ont atteint une maturité précoce et ont été recouvertes de croûtes dans les délais habituels. Le garçon a été contaminé par la variole le 20 décembre, soit le huitième jour de sa vaccination, et les deux enfants le 21, soit encore le huitième jour. Ils ont tous développé la variole…1
Au fil des ans, de nombreux cas d’échec de la vaccination ont été signalés. Les gens contractaient la variole après avoir été vaccinés, malgré l’affirmation initiale de protection.
Le Medical Observer de 1810 contient des détails sur 535 cas de variole après vaccination, 97 cas mortels, 150 cas de blessures dues au vaccin…2
Un article paru en 1817 dans le London Medical Repository Monthly Journal and Review montre une fois de plus qu’un grand nombre de personnes qui avaient été vaccinées souffraient encore de la variole.
Aussi douloureux que ce soit, c’est un devoir que nous avons envers le public et la profession de les informer que le nombre de personnes de tous rangs souffrant de la variole, qui ont été vaccinées auparavant par les plus habiles praticiens, est actuellement alarmant. Ce sujet est si sérieux, et implique si profondément les intérêts les plus chers de l’humanité, ainsi que ceux de la médecine, que nous ne manquerons pas d’y accorder notre plus grande attention.3
En 1818, Thomas Brown, un chirurgien ayant 30 ans d’expérience à Musselburgh, en Écosse, décrivait comment personne dans la profession médicale « ne pouvait me surpasser en zèle pour promouvoir la pratique du vaccin ». Mais après avoir vacciné 1 200 personnes et découvert que beaucoup contractaient néanmoins la variole et en mouraient même, sa conscience ne pouvait plus soutenir la vaccination.
Les comptes rendus provenant de tous les coins du monde, partout où la vaccination a été introduite… les cas d’échecs ont maintenant augmenté dans une proportion alarmante….4
En 1829, William Cobbett, agriculteur, journaliste et pamphlétaire anglais, écrivait au sujet de l’échec de la vaccination à protéger les gens contre la variole.
…dans des centaines de cas, des personnes vaccinées par JENNER LUI-MÊME [c’est William Cobbett qui souligne], ont contracté la vraie variole par la suite, et sont soit mortes de cette maladie, soit l’ont échappée belle!5
Et ce n’est pas seulement que les fréquents échecs du vaccin n’empêchaient pas la personne de contracter la variole voire de mourir, mais la vaccination elle-même pouvait causer des dommages importants et même entraîner la mort. Par exemple, le Dr Hopkins a fait le rapport suivant en 1882.
Les autorités de notre ville ont engagé un médecin pour vacciner toutes les personnes qui se présentent à cet effet… Le résultat est effrayant. Presque toutes les personnes vaccinées ont souffert d’érythème ou d’érysipèle [une maladie aiguë et grave de la peau], le bras enflé de l’épaule au poignet, et le point de piqûre [où la personne a été vaccinée] présentant l’apparence d’un ulcère nécrosé [ce qui signifie une séparation des tissus morts des tissus vivants], déchargeant librement du pus séreux [c’est-à-dire du sang et du pus]. Beaucoup de malades ont été confinés au lit, avec une forte fièvre, de cinq à dix jours, nécessitant l’application constante de cataplasmes sur le bras, et l’usage gratuit de morphia [morphine] pour soulager la douleur. Ceux qui l’ont essayé me disent qu’ils préféreraient de loin avoir la variole.6
Les blessures et les décès dus à la vaccination se sont poursuivis jusque dans les années 1900. Par exemple, un article paru en 1968 dans le Yale Journal of Biology and Medicine montre que depuis le dernier décès dû à la variole en 1948, il y a eu 200 à 300 décès dus à la vaccination antivariolique7.
La revendication de Jenner d’une protection à vie fut rapidement mise au rebut et des appels furent lancés en faveur d’une revaccination. Des appels furent lancés en faveur d’une revaccination tous les 10 ans ou même tous les ans.
En 1840, alors que les médecins et les citoyens se rendaient compte que la vaccination n’était pas ce qu’on leur avait promis, les refus de vaccination augmentèrent. En 1855, le Massachusetts adopta un ensemble de lois complètes sur la vaccination.8 Pourtant, malgré ces lois strictes obligeant pratiquement tout le monde à se faire vacciner, il y eut plus de décès (85% de plus) dans les 20 années qui suivirent ces lois strictes que dans les 20 années précédentes.
La dernière épidémie, celle de 1872-1873, ayant été fatale à 1040 personnes, a été la plus grave qu’ait connue Boston depuis l’introduction de la vaccination.9
À la fin de 1868, plus de 95 % des habitants de Chicago avaient été vaccinés. Après le grand incendie de 1871 qui détruisit la ville, la vaccination devint une exigence pour recevoir des secours. Malgré l’adoption de lois strictes sur la vaccination, Chicago fut frappée par une épidémie de variole dévastatrice en 1872. L’idée de vacciner la majeure partie de la population ne protégea pas les habitants du fléau de la variole.
Mais malgré ces mesures, le taux de mortalité augmenta de façon inquiétante à la suite de l’incendie. Plus de deux mille personnes contractèrent la variole en 1872, et plus d’un quart d’entre elles moururent. Le taux de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans fut le plus élevé jamais enregistré10.
Cet article médical de 1900 montre l’échec épique de la vaccination en France, en Allemagne et en Angleterre. Il faut savoir qu’un million de personnes vaccinées sont mortes de la variole en Allemagne en l’espace de 15 ans.
Chaque recrue incorporée dans l’armée française est vaccinée. Pendant la guerre franco-prussienne, 23 469 cas de variole ont été recensés dans cette armée.
Selon le London Lancet du 15 juillet 1871: Sur 9 392 malades de la variole dans les hôpitaux de Londres, 6 854 avaient été vaccinés. 17 ½% des personnes atteintes sont mortes.
Dans tout le pays, plus de 122.000 personnes vaccinées ont souffert de la variole… Les rapports officiels d’Allemagne montrent qu’entre 1870 et 1885, un million de personnes vaccinées sont mortes de la variole11.
En Angleterre, les gouvernements adoptèrent diverses lois pour obliger les gens à se faire vacciner. La vaccination fut rendue obligatoire en Angleterre en 1853, et des lois plus strictes furent adoptées en 1867. Malgré ces lois strictes et des taux de vaccination élevés, l’année 1872 fut dévastatrice pour la population fortement vaccinée. Ainsi, après 74 ans (3/4 de siècle) de vaccination, le nombre de décès dus à la variole restait très élevé.
Malgré tous ces échecs, la plupart des membres de la profession médicale sont restés fermes dans leur soutien à la vaccination. Par une série d’actes juridiques au fil des ans, le gouvernement britannique avait fait du refus de la vaccination antivariolique un crime passible d’amendes ou d’emprisonnement. Le projet était de continuer à vacciner et revacciner, apparemment quoi qu’il arrive.
C’était le 23 mars 1885, et après un hiver long et rigoureux, la ville industrielle de Leicester, en Angleterre, profitait de l’une des premières belles journées de printemps. Des milliers de personnes des environs et des villes voisines se rassemblèrent pour protester contre ce qu’elles considéraient comme des lois injustes imposées par le gouvernement britannique.
L’épidémie de variole de 1871-1872, au cours de laquelle la plupart des gens étaient vaccinés, ébranla la croyance de nombreuses personnes dans les pouvoirs protecteurs de la vaccination. Ils s’étaient lassés des amendes, des emprisonnements, des échecs de la vaccination, des blessures et des décès. Les organisateurs de l’événement estimèrent que le nombre de participants se situait entre 80 000 et 100 000.
…au fil des années, de plus en plus de parents entendirent parler, virent ou subirent une liste croissante de complications attribuées à la vaccination. L’épidémie de variole de 1871-72 donna un exemple frappant aux habitants de la ville, dans la mesure où, bien qu’ils se fussent conformés à la loi, quelque 3 000 cas se déclarèrent et 358 d’entre eux moururent, dont certains avaient été vaccinés conformément à la loi.12
La grande procession de trois kilomètres de long défila dans la ville pendant environ deux heures, recevant des acclamations enthousiastes à différents points du parcours. L’atmosphère était festive, avec de la musique. Des centaines de drapeaux et de bannières étaient exposés.
Les actions des manifestants n’allaient pas tarder à avoir l’effet escompté. En 1885, le gouvernement de Leicester, qui avait fait pression en faveur de la vaccination par le biais d’amendes et de peines de prison, fut remplacé par un nouveau gouvernement qui s’opposait à la vaccination obligatoire. En 1887, le taux de couverture vaccinale était tombé à 10%.
Les partisans de la vaccination pensaient que l’immunité dont jouissait la ville de Leicester était temporaire et que, tôt ou tard, la ville connaîtrait une grande épidémie de variole. Ils étaient convaincus qu’une grande tragédie était inévitable et que d’immenses souffrances attendaient les malheureux qui avaient suivi les dirigeants dans ce qu’ils considéraient comme une aventure malencontreuse. Ils pensaient que cette « expérience gigantesque » entraînerait un terrible « massacre », en particulier chez les enfants « non protégés ».
Sir Duminie Corrigan, M.D., lorsqu’il faisait partie du comité en 1871, sur la loi sur la vaccination, déclara : « Un enfant non vacciné est comme un sac de poudre qui pourrait faire exploser toute l’école, et il ne devrait donc pas être admis dans une école sans être vacciné « 13.
Pourtant, malgré ces prédictions de malheur au regard de la baisse des taux de vaccination, les épidémies de variole annoncées ne se produirent jamais, comme le montre ce graphique. La baisse des niveaux de vaccination n’entraîna pas d’épidémies de variole plus nombreuses et plus importantes.
L’année 1948 marqua la fin de la vaccination obligatoire en Angleterre. À ce moment-là, l’expérience menée à Leicester, qui durait depuis plus de 60 ans, se révéla être un grand succès. En fait, la vaccination contre la variole avait reculé dans toute l’Angleterre sans que des épidémies de variole ne resurgissent.
…à Leicester, au cours des 62 années qui ont suivi l’abandon de la vaccination des nourrissons, il n’y a eu que 53 décès dus à la variole, et au cours des 40 dernières années, seulement deux décès. De plus, l’expérience de Leicester est confirmée, et fortement confirmée, par celle de tout le pays. La vaccination n’a cessé de diminuer depuis l’introduction de la « clause de conscience », jusqu’à ce qu’aujourd’hui près des deux tiers des enfants nés ne soient pas vaccinés. Pourtant, la mortalité due à la variole a également diminué jusqu’à devenir tout à fait négligeable. Au cours des quatorze années 1933-1946, il n’y a eu que 28 décès sur une population de quelque 40 millions d’habitants, et parmi ces 28 décès, il n’y a pas eu un seul décès d’enfant de moins d’un an.14
Que s’est-il donc passé?
Après l’été 1897, le type grave de variole avec son taux de mortalité élevé, à de rares exceptions près, avait entièrement disparu des États-Unis. La variole était passée d’une maladie qui tuait une personne sur cinq à une maladie qui ne tuait qu’une personne sur 50, puis sur 380. Cette maladie pouvait encore tuer, mais étant devenue beaucoup plus bénigne, elle était confondue avec diverses autres infections de la variole ou éruptions cutanées. Elle fut même confondue avec la varicelle.
En 1896, un type très bénin de variole commença à sévir dans le Sud et se répandit ensuite progressivement dans tout le pays. Le taux de mortalité était très faible et la variole était généralement confondue avec la varicelle ou une nouvelle maladie appelée « démangeaison cubaine », « démangeaison de l’éléphant », « rougeole espagnole », « rougeole japonaise », « bosses », « impétigo », « éraflures de Porto Rico », « gale de Manille », « démangeaison de Porto Rico », « démangeaison de l’armée », « démangeaison africaine », « démangeaison du cèdre », « démangeaison de Manille », « démangeaison du haricot », « démangeaison de Dhobie », « démangeaison philippine », « démangeaison du nègre », « démangeaison du kangourou », « démangeaison hongroise », « démangeaison italienne », « urticaire gras », « éruption de la poigne », » variole du haricot », « variole de l’eau » ou « variole du porc ». 15
Ce tableau, tiré des rapports de santé publique de 1940, montre que les cas de variole et les décès ont chuté comme toutes les autres maladies infectieuses de l’époque. La variole, qui tuait autrefois 1 personne sur 5 (soit un taux de létalité de 20), a chuté à partir des années 1800 pour ne plus représenter qu’une petite fraction du taux initial. Entre le pic de 1902 et 1939, le nombre de cas de variole a diminué de 86,5% et le nombre de décès de 98,5%.
À mesure que la variante classique et mortelle de la variole reculait, le taux de vaccination diminuait également. Cette évolution a déclenché l’alarme au sein de la communauté médicale. On craignait que le type de variole le plus bénin ne revienne à un moment donné à sa forme originale, plus mortelle. Cependant, aucune épidémie de variole ne s’est jamais matérialisée malgré la baisse des taux de vaccination.
La variole ne fut pas la seule à voir sa menace diminuer. À partir de la fin des années 1800 et au début des années 1900, le taux de mortalité de toutes les maladies infectieuses a chuté. Au moment où le rapport suivant fut rédigé, en 1946, la variole avait pratiquement disparu d’Angleterre et du monde occidental.
Quelle a été la cause de l’essor et du déclin de la variole? Son déclin dans les dernières décennies du XIXe siècle a été, à une époque, presque universellement attribué à la vaccination, mais on peut douter de la véracité de cette affirmation. La vaccination n’a jamais été pratiquée de manière complète, même chez les nourrissons, et n’a été maintenue à un niveau élevé que pendant quelques décennies. Il y a donc toujours eu une grande partie de la population qui n’a pas été affectée par les lois de vaccination. La revaccination ne touchait qu’une minorité. À l’heure actuelle, la population est en grande partie entièrement non vaccinée. Les membres du service de santé publique se flattent aujourd’hui que la fin des épidémies est le résultat de leurs efforts. Mais est-ce bien le cas?16
En fin de compte, les programmes de Leicester et de la plupart des pays occidentaux qui ont permis d’améliorer considérablement la santé générale ont conduit au déclin de la variole et de toutes ces maladies. Ce fut la grande révolution sanitaire du monde.
Le piège du paradigme microbien
Il est clair que les taux de mortalité des maladies dites infectieuses ont tous massivement diminué bien avant l’apparition des vaccins. Le déclin de ces maladies coïncide également avec de nombreuses innovations modernes qui ont radicalement changé les conditions de vie en matière de précarité et de maladie.
L’amélioration considérable de la nutrition, les lois sur le travail et le travail des enfants, l’électricité, les glacières et plus tard la réfrigération, les systèmes d’égouts, les toilettes à chasse d’eau, l’eau potable, l’abolition des taudis, la réglementation de la manipulation des aliments et bien d’autres changements positifs ont radicalement transformé notre mode de vie. La rougeole, la scarlatine, la typhoïde, la diphtérie, la coqueluche, la tuberculose et la diarrhée (qui était une autre source importante de décès et de souffrance) ont toutes simultanément diminué et essentiellement disparu grâce à ces changements.
Pourtant, plus de 200 ans après qu’Edward Jenner ait réalisé sa célèbre expérience, nous sommes toujours prisonniers de l’idée que les germes sont synonymes de maladie. Pensez-vous que cela ait encore un sens? Ou bien la théorie du terrain, souvent ignorée (c’est-à-dire un corps sain ou malade), en tant que cause réelle de la maladie, est-elle plus logique?
Le Dr Charles Okell, expert de haut niveau en maladies infectieuses, a noté dans un article paru en 1939 dans la revue médicale The Lancet que la vaccination à grande échelle ne serait pas possible sans propagande. Les accidents et les erreurs sont tus et manipulés pour les étouffer, car si l’on disait la vérité, il serait douteux que le public se soumette à la vaccination.
…l’immunisation des masses a été entreprise avec une ferveur presque religieuse. L’enthousiaste s’est rarement arrêté pour se demander où tout cela allait finir ou si les promesses généreuses faites au public sous forme de « propagande » seraient jamais honorées. Sans propagande, il ne peut évidemment pas y avoir d’immunisation à grande échelle, mais combien il est périlleux de confondre propagande et faits scientifiques. Si nous disions carrément [en langage clair ou simple] toute la vérité, il est douteux que le public se soumette à l’immunisation… Les accidents et les erreurs se produisent inévitablement et lorsqu’ils se produisent, ce qui aurait pu être une leçon très instructive est généralement supprimé ou déformé. Ceux qui ont dû prendre connaissance en détail des accidents de vaccination de ces dernières années savent que pour faire la vérité sur ce qui a vraiment mal tourné, il faut généralement faire appel à des ressources comparables à celles des services secrets17 .
Comme nous l’avons vu au cours de l’histoire, les échecs, les blessures et les décès liés aux vaccins ont tous été balayés sous le tapis. Les personnes qui ont souffert et sont mortes à cause d’un vaccin sont effacées de l’histoire et remplacées par le fantasme d’un médecin de campagne faisant une découverte incroyable qui sauve l’humanité. L’intimidation, la pression, les amendes et l’emprisonnement ont également été nécessaires pour assurer que les gens se soumettent à la vaccination.
Aujourd’hui, parce que la plupart des gens sont encore pris au piège de ce paradigme des microbes, comme le notait le Dr Okell en 1938, la vaccination est « entreprise avec une ferveur presque religieuse ».
Comme cela s’est produit tout au long de l’histoire, pour promouvoir un vaccin, beaucoup utilisent encore aujourd’hui les injures, l’intimidation, le ridicule, le blocage de l’éducation et les menaces à l’emploi pour faire avancer leur programme. Des ordres et des lois sont mis en place pour s’assurer que tout le monde se conforme à leur système de croyances. Ironiquement, les adultes enseignent souvent à leurs enfants de ne pas intimider les autres, mais ils font ensuite exactement le contraire.
Comme cela a toujours été le cas, toutes les choses qui améliorent la santé humaine et qui sont apparues dans la littérature scientifique (perte de poids, exercice physique, augmentation des niveaux de vitamine D, réduction du stress, et autres), ainsi que les problèmes liés aux vaccins, sont tous balayés sous le tapis. La mise en œuvre de toutes ces actions positives pour la santé aurait également permis de réduire les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le cancer, mais l’establishment est prisonnier d’une pensée unique.
Il fut un temps où les gens pensaient que la Terre était le centre de l’univers. Ceux qui pensaient différemment étaient considérés comme des hérétiques. Aujourd’hui, nous sommes encore coincés dans un système de santé centré sur les microbes. Combien de temps faudra-t-il avant que nous échappions à ce mode de pensée des années 1800?
(1) Charles Creighton, Jenner and Vaccination, 1889, pp. 95–96.
(2) “Vaccination by Act of Parliament,” Westminster Review, vol. 131, 1889, p. 101.
(3) “Observations on Prevailing Diseases,” The London Medical Repository Monthly Journal and Review, vol. VIII, July–December 1817, p. 95.
(4) Thomas Brown, Surgeon Musselburgh, “On the Present State of Vaccination,” The Edinburgh Medical and Surgical Journal, vol. 15, 1819, p. 67.
(5) William Cobbett, Advice to Young Men and (Incidentally) to Young Women, London, 1829, pp. 224–225.
(6) The Value of Vaccination: A Non-partisan Review of Its History and Results, George William Winterburn, PhD, MD, 1886, p. 51.
(7) The Yale Journal of Biology and Medicine, vol. 41, 1968, p. 10.
(8) Susan Wade Peabody, “Historical Study of Legislation Regarding Public Health in the State of New York and Massachusetts,” The Journal of Infectious Dis-eases, suppl. no. 4, February 1909, pp. 50–51.
(9) “Small-Pox and Revaccination,” Boston Medical and Surgical Journal, vol. CIV, no. 6, February 10, 1881, p. 137.
(10) Thomas Neville Bonner, Medicine in Chicago 1850–1950: A Chapter in the Social and Scientific Development of a City, American History Research Center, Madison, Wisconsin, 1957, p. 182.
(11) G. W. Harman, MD, “A Physician’s Argument Against the Efficacy of Virus Inoculation,” Medical Brief: A Monthly Journal of Scientific Medicine and Surgery, vol. 28, no. 1, 1900, p. 84.
(12) Stuart M. F. Fraser, “Leicester and Smallpox: The Leicester Method,” Medical History, 1980, vol. 24, p. 330.
(13) J. W. Hodge, MD, “How Small-Pox Was Banished from Leicester,” Twentieth Century Magazine, vol. III, no. 16, January 1911, p. 340.
(14) C. Killick Millard, MD, DSc, “The End of Compulsory Vaccination,” British Medical Journal, December 18, 1948, p. 1074.
(15) Charles V. Chapin, “Variation in Type of Infectious Disease as Shown by the History of Smallpox in the United States,” The Journal of Infectious Diseases, vol. 13, no. 2, September 1913, p. 173.
(16) Journal of the Royal Sanitary Institute, vol. 66, 1946, p. 176.
(17) Charles Cyril Okell, “From a Bacteriological Back-Number,” The Lancet, January 1, 1938, pp. 48–49.
La présentation de Roman Bystrianyk sur leur site web:
Roman Bystrianyk effectue des recherches sur l’histoire des maladies et des vaccins depuis 1998. Il possède une vaste expérience dans le domaine de la santé et de la nutrition, ainsi qu’un Bachelor of Science en ingénierie et un Master of Science en informatique.
Je présenterai le Dr Humpfries et son travail dans un autre article. En attendant, je vous recommande vivement leur livre co-écrit dont lien se trouve ci-dessus. A l’heure où on assiste à une discussion parfaitement vaine sur l’existence ou la non-existence des virus, il rappelle la notion quasiment oubliée – si ce n’est pour le taux de vitamine D – de la santé individuelle.
Voici un article en deux parties, simple, clair, concis et assez pondéré, qui fait la synthèse, graphiques à l’appui, de ce qu’il y a à savoir sur l’histoire – ou plutôt la légende – des vaccins.
Je n’ai pas traduit le texte qui figure sur les graphiques, leur explication est suffisamment claire dans leur commentaire.
Ils sont la cause unique de toutes les maladies infectieuses.
C’est la compréhension de base que nous avons tous. C’est un fait indiscutable. C’est quelque chose qui ne peut pas être remis en question. Cela fait partie intégrante de notre conscience collective.
La plupart des gens croient que jadis, à une époque reculée de l’histoire, divers microbes étaient à l’origine de nombreuses maladies mortelles. Puis des scientifiques très brillants ont inventé des médicaments et des vaccins, et aujourd’hui, grâce à eux, nous n’avons plus à nous soucier de ces méchantes maladies. C’est ce que je croyais à une époque, et plusieurs médecins et infirmières que je connais pensaient aussi que c’était vrai.
Jusqu’à ce qu’ils se penchent sur les données historiques et scientifiques.
Alors, qu’est-ce qui a causé le déclin des décès dus à des maladies comme la rougeole et la coqueluche? Que s’est-il réellement passé?
Ce qui suit peut paraître choquant, voire impossible à croire. Mais toutes les preuves ci-après sont fondées sur des dossiers de santé publique et des documents historiques vérifiables. C’est une réalité qui risque de heurter vos convictions les plus solides, mais ce sont des informations que tout le monde peut consulter et vérifier.
La rougeole
Dans les années 1800, la rougeole était une cause majeure de décès. De nombreuses personnes pensent que c’est un vaccin qui a permis de vaincre les décès dus à la rougeole. Mais quand les décès dus à la rougeole ont-ils réellement commencé à diminuer? Quand les vaccins contre la rougeole ont-ils été introduits? Que nous disent l’histoire et les données?
Ce graphique montre le taux de mortalité dû à la rougeole aux États-Unis de 1900 à 1987. Le premier vaccin contre la rougeole, qui était un virus de la rougeole tué, a été introduit en 1963. À ce moment-là, le taux de mortalité avait baissé de 98,7% par rapport à son pic. En 1967, un vaccin à virus vivant contre la rougeole a été introduit pour remplacer le vaccin de 1963. Une ligne de tendance additionnelle montre que le vaccin a eu peu d’impact sur le taux de mortalité déjà fortement réduit.
Ce graphique montre le taux de mortalité dû à la rougeole en Angleterre. Les Anglais ont commencé à enregistrer les statistiques de mortalité bien plus tôt, en 1838. Le nombre de décès dus à la rougeole a chuté à partir de la fin du XIXe siècle, pour atteindre presque zéro dans les années 1950. En 1968, l’Angleterre a commencé à vacciner contre la rougeole, 5 ans plus tard que les États-Unis. À ce moment-là, le taux de mortalité avait diminué de 99,8% par rapport au pic enregistré. Une ligne de tendance additionnelle montre que le vaccin a eu peu d’impact sur le taux de mortalité déjà fortement réduit.
Le déclin massif des décès dus à la rougeole a parfois été mentionné dans des revues scientifiques. Et comme cela a été souligné, c’est l’amélioration de la nutrition des enfants qui a fait toute la différence.
Avant que l’état nutritionnel général des enfants européens n’atteigne le niveau élevé d’aujourd’hui, l’infection par la rougeole était un sujet de crainte. Comme l’ont étudié Morely et ses collègues, la rougeole était responsable de 11% de tous les décès survenus à Glasgow dans les années 1807-1812… Même en l’absence de vaccin, en 1960, la notification de la rougeole infantile en Angleterre et au Pays de Galles n’était que de 2,4% et la mortalité était tombée à 0,030%, soit 1:200 du taux de mortalité de Glasgow en 1908.1
Le scorbut est une carence en vitamine C. Avant que l’alimentation des populations ne s’améliore considérablement, le scorbut était une maladie courante susceptible d’entraîner la mort. Ce graphique montre que le taux de mortalité lié à la carence en vitamine C a diminué, tout comme le nombre de décès dus à la rougeole. La véritable raison de la diminution massive des décès dus à la rougeole est donc l’amélioration de la santé de la population. Et non une intervention médicale comme on le suppose fréquemment.
Ces informations sont-elles nouvelles? Non. Ces données sont disponibles depuis des décennies. Un tableau identique à celui que j’allais créer bien des années plus tard était disponible dans les années 1960 auprès des statistiques vitales des États-Unis. Les informations montrant cette baisse massive des décès avant la mise en œuvre de tout vaccin ont tout simplement été ignorées.
Encore une fois, dans les années 1950, la rougeole n’était pas considérée par la plupart des gens comme un problème grave. Dans cet article de 1959 du British Medical Journal, le Dr John Fry note que sur une période de 10 ans, il y a eu peu de complications et que tous les enfants se sont complètement rétablis. Ce qui est intéressant, c’est le commentaire selon lequel les mères trouvaient que les enfants après un épisode de rougeole semblaient aller « tellement mieux ».
Chez la majorité des enfants, l’épisode se termine bel et bien en une semaine, depuis la phase prodromique jusqu’à la disparition de l’éruption cutanée, et de nombreuses mères ont fait remarquer « combien cette poussée avait fait du bien à leurs enfants », car ils semblaient tellement mieux après la rougeole… Dans cette pratique, la rougeole est considérée comme une affection infantile relativement bénigne et inévitable, à laquelle il est préférable de faire face entre 3 et 7 ans. Au cours des dix dernières années, il y a eu peu de complications graves, quel que soit l’âge, et tous les enfants se sont complètement rétablis. En raison de ce raisonnement, aucune tentative spéciale de prévention n’a été faite, même chez les jeunes enfants chez qui la maladie ne s’est pas révélée particulièrement grave.2
À la même période de l’histoire, le Dr Klenner a simplement utilisé la vitamine C pour aider les enfants à traverser rapidement la rougeole sans incident en quelques jours. Mais, malheureusement, toute cette histoire, et bien plus encore, a été perdue au profit d’un seul système de croyance – la vaccination.
Au printemps 1948, la rougeole prenait des proportions épidémiques dans cette partie du pays. Notre premier geste a donc été de faire jouer nos propres petites filles avec des enfants dont on savait qu’ils étaient dans la « phase contagieuse ». Lorsque le syndrome de la fièvre, de la rougeur des yeux et de la gorge, du catarrhe [inflammation d’une muqueuse], de la toux bronchique spasmodique et des taches de Koplik [taches cutanées de la rougeole] s’est développé et que les enfants étaient manifestement malades, on a commencé à administrer de la vitamine C. Dans cette expérience, on a constaté que 1000 mg toutes les quatre heures, par voie orale, modifiaient la poussée… Lorsque 1000 mg étaient administrés toutes les deux heures, toutes les traces de l’infection disparaissaient en 48 heures… le médicament (la vitamine C) a été administré à raison de 1000 mg toutes les 2 heures 24 heures sur 24 pendant quatre jours… Ces petites filles n’ont pas développé d’éruption de rougeole pendant l’expérience susmentionnée et, bien qu’elles aient été exposées à de nombreuses reprises depuis, elles conservent cette « immunité ».3
Le numéro de disparition des maladies infectieuses
Lorsque la médecine de laboratoire est entrée en scène, les acteurs humanitaires et les réformateurs sociaux du dix-neuvième siècle avaient déjà accompli une grande partie de leur tâche. Lorsque la marée se retire de la plage, il est facile d’avoir l’illusion que l’on peut vider l’océan en enlevant l’eau avec un seau4.
Qu’en est-il du taux de mortalité des autres maladies infectieuses? Quand ont-elles diminué? Quel effet les vaccins ont-ils eu sur leur taux de mortalité? Là encore, que nous disent l’histoire et les données?
Ce graphique montre le taux de mortalité dû à la coqueluche aux États-Unis de 1900 à 1957. Le vaccin contre la coqueluche a commencé à être utilisé à la fin des années 1940. À ce moment-là, le taux de mortalité avait diminué de 92,4% par rapport au pic enregistré.
Ce graphique montre le taux de mortalité dû à la coqueluche en Angleterre. En 1957, l’Angleterre a commencé à vacciner contre la coqueluche à l’échelle nationale. À ce moment-là, le taux de mortalité avait diminué de 99,7% par rapport au pic enregistré.
Le taux de mortalité de la scarlatine, plus meurtrière dans les années 1800 que la rougeole ou la coqueluche, a atteint zéro sans aucun vaccin.
Le taux de mortalité lié à la grippe et à la pneumonie a diminué d’environ 90% entre 1900 et la fin des années 1970, lorsque la vaccination a commencé.
Depuis lors, les niveaux de vaccination des plus de 65 ans sont restés élevés, mais le taux de mortalité ne s’est pas amélioré en quelque 40 ans de vaccination.
En fait, le taux de mortalité de toutes les maladies infectieuses, comme la rougeole, a commencé à chuter à la fin des années 1800, avant tout programme de vaccination ou en l’absence de tout programme de vaccination.
Même dans les années 1930 et 1940, les gens ont constaté que ces maladies infectieuses disparaissaient et devenaient de moindre importance, alors qu’elles avaient été très meurtrières quelques décennies auparavant. Nous étions donc sur la bonne voie pour améliorer la santé et le bien-être.
Toutes les vieilles menaces comme la typhoïde, la variole, la rougeole, la scarlatine, la coqueluche et la diphtérie sont devenues des causes mineures de décès. Il est très peu probable que l’une d’entre elles reprenne un jour une importance suffisante dans les tables de mortalité pour affecter sérieusement le taux de mortalité général5.
Les statistiques vitales des compagnies d’assurance nous apprennent que la vie des enfants dans ce pays a été rendue infiniment plus sûre. Nous avons réduit la mortalité due aux principales maladies contagieuses de l’enfance – la rougeole, la scarlatine, la coqueluche, la diphtérie – de 31% en une seule année, pour atteindre un nouveau record à la baisse, un point qui promet en fait l’éradication complète de ces maladies6!
Mais aujourd’hui, nous avons oublié cette histoire. En conséquence, il y a presque toujours une panique totale dès qu’une prétendue maladie infectieuse fait l’actualité. Au lieu d’apprendre de l’histoire que ces maladies ont toutes été vaincues par une meilleure santé, nous retombons toujours dans la peur et l’utilisation d’outils qui n’ont pas eu l’impact majeur qu’on nous a affirmé.
(1) Clive E. West, PhD, “Vitamin A and Measles,” Nutrition Reviews, vol. 58, no. 2, February 2000, p. S46.
(2) British Medical Journal, February 7, 1959, pp. 380-381.
(3) Fred R. Klenner, MD, “The Use of Vitamin C as an Antibiotic,” Journal of Applied Nutrition, 1953.
(4) René Dubos (1901–1982), Mirage of Health, 1959
(5) Dr. Louis Dublin, “Better Economic Conditions Felt in Fewer Deaths,” Berkley Daily Gazette, December 27, 1935.
(6) 2 Inches Taller . . . 15 Pounds Heavier,” Life, June 2, 1941, p. 71.
On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.
Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.
Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?
Bon, ça c’est fait.
Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:
Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:
Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais). Alors que faire? Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui. On peut le faire sans honte.
Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!
[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».
On nous a dit que de mystérieux vaccins avaient été instantanément « mis au point en deux jours« , à l’aide d’une nouvelle technologie connue pour son échec total, contre un agent pathogène (coronavirus) contre lequel aucun vaccin n’a jamais fonctionné.
On nous a présenté la misère des confinements, des fermetures d’entreprises, de l’imposition de masques aux enfants, etc. comme la « voie à suivre pour se faire vacciner ».
On nous a menti en nous disant que nous devions accepter ces vaccins parce qu’ils « arrêtaient la transmission » et « mettraient fin à la pandémie ».
Je suis sûr que j’oublie de nombreux autres aspects sinistres de l’histoire du Covid-19.
Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.
Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!
Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.
Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.
Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.
Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.
Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.
Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.
« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »
En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »
Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.
Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.
Quel cadre?
Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.
A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.
Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.
Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.
Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.
On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.
Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?
A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.
Alors, pourquoi?
J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.
Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.
Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…
Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.
Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agenda – félicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.
Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?
[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.
Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.
Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.
La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.
Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.
Ok, réfléchissons deux minutes.
Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.
Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.
Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.
Parlons maintenant des hasards.
Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjàlevé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?
Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?
Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?
Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .
Vous nous prenez vraiment pour des gosses!
Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en1997:
[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.
Et on termine en musique.
Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger Je vois que vous êtes très bien nourris Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Le prochain truc que je vous dirai sera vrai Le dernier truc que je vous ai dit était faux Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire
Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Assez parlé!
DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh
Nous avons déjà commencé à rendre sa place à l’Allemagne dans le programme de destruction de l’Europe avec plusieurs articles: un de Robert Kogon, un de Rupert Darwall. N’oublions pas une mention spéciale à notre vieil ami théoricien du Quatrième Reich, Klaus Schwab (ici, ici et ma lettre ouverte ici).
En voici un autre, encore de Robert Kogon. Comme vous le lirez, vous êtes défendus au niveau européen par une bande de clowns – qu’on désignait autre fois par le terme « collabos ». Rappelons que, comme c’est très bien expliqué dans cet article de Katherine Watt et dans la présentation d’Alexandra Latypova, il s’agit d’une action militaire américaine et que les diverses sociétés participantes bénéficient, par contrat, d’une totale impunité. Ce comité est donc juste un spectacle de cirque.
Si j’ai le temps, je me pencherai – avec un peu de retard – sur le cas de Mme von der Leyen.
Où est BioNTech? La farce de « l’audition de Pfizer » du Parlement Européen
par Robert Kogon
29 octobre
Une récente audition d’un comité du Parlement européen a généré de très nombreux clips sonores très percutants qui ont fait le tour de Twitter et ont attiré l’attention, en particulier, sur les méfaits présumés du fabricant de vaccins C-19 le plus connu au monde, Pfizer.
Les membres de ce comité avaient espéré poser des « questions gênantes » – comme l’a dit Virginie Joron, membre française du comité, dans une vidéo publiée sur Twitter – au PDG de Pfizer, Albert Bourla, mais, suite à l’annulation de ce dernier, ils ont dû se contenter de l’infortunée et jusqu’ici inconnue représentante de la société, Janine Small.
Mais ce qui est plus problématique, c’est que si les membres du comité ont effectivement posé des questions gênantes, ils les ont posées à la mauvaise entreprise et, de plus, ce faisant, ils ont dissimulé des questions autrement plus gênantes: avant tout, pour l’UE elle-même.
Les contrats d’achat exorbitants que la Commission Européenne, sous la direction de sa présidente Ursula von der Leyen, a signés au nom de tous les États membres de l’UE étaient au cœur des préoccupations du comité, et des soupçons de corruption ont plané sur les procédures en raison de textos que la Présidente allemande de la Commission est censée avoir échangés avec Bourla, commodément absent.
La question du moment était la suivante: Où est Bourla ? Dans le cadre d’une action coordonnée, des membres du comité critiques à l’égard des vaccins, comme Joron, ont même déployé des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Où est le PDG de Pfizer/la Transparence? » pendant la session.
Virginie Joron, membre française du Parlement Européen, lors de l’audition du comité COVI le 10 octobre
Mais la question la plus pertinente aurait dû être: Où est BioNTech? Car, bien que cela n’apparaisse pas du tout à l’écoute des membres du comité, ces contrats ne sont pas conclus avec Pfizer, mais plutôt avec un consortium composé de Pfizer et de la société allemande BioNTech. De plus, c’est la société allemande BioNTech, et non Pfizer, qui détient l’autorisation de mise sur le marché dans l’UE, comme d’ailleurs sur pratiquement tous les marchés où est vendu ce qui est en fait le vaccin de BioNTech, et non celui de Pfizer.
Détail de la page d’information de l’Agence Européenne des Médicaments sur le vaccin « Comirnaty »
En outre, BioNTech n’est pas n’importe quelle entreprise allemande. C’est une entreprise allemande qui, comme je l’ai expliqué en détail dans mon précédent article sur Brownstone, a été fortement encouragée et subventionnée par le gouvernement allemand tout au long de sa brève histoire. En effet, le gouvernement allemand a parrainé la fondation même de BioNTech dans le cadre d’un programme « Go-Bio » spécialement dédié à la promotion des start-ups biotechnologiques allemandes, qui fournissait non seulement un financement, mais aussi un encadrement gouvernemental, ainsi qu’une assistance pour attirer les investissements privés. (Voir la description du programme [en allemand] ici).
La présidente allemande de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, était elle-même membre des deux gouvernements allemands successifs qui ont fourni des fonds « Go-Bio » aux start-up, en deux séries, d’abord à l’équipe de recherche du PDG de BioNTech, Ugur Sahin, à l’Université de Mayence, à partir de 2007, puis à l’entreprise après sa fondation en 2008. (Voir ici [en allemand].) Von der Leyen a en effet été membre du gouvernement allemand à divers titres pendant pas moins de quatorze ans, le plus récemment comme Ministre de la Défense, avant d’être parachutée directement au poste de présidente de la Commission Européenne – alors qu’elle n’avait même pas été candidate à ce poste!
Pendant plus d’une décennie, malgré le soutien continu du gouvernement allemand, BioNTech est restée, en fait, une start-up permanente, qui n’a jamais enregistré que des pertes et n’a jamais même été proche de mettre un produit sur le marché. Jusqu’à l’avènement du Covid-19, où la société a rapidement réorienté son travail de développement d’une thérapie anticancéreuse à base d’ARNm (qu’elle a curieusement aussi appelée « vaccin ») vers le développement d’un vaccin Covid-19 à base d’ARNm.
Sans surprise, le sponsor étatique de l’entreprise, l’Allemagne, allait également devenir le principal sponsor de son vaccin, en fournissant à l’entreprise une subvention de 375 millions d’euros pour soutenir ses efforts en septembre 2020. Le 17 septembre, deux jours seulement après l’annonce de la subvention, BioNTech a annoncé qu’elle allait acheter l’énorme installation de production de Marbourg [NdT. oui, comme la maladie] qui lui permettrait de devenir – pratiquement du jour au lendemain – un important fabricant de vaccins à part entière et de ne pas dépendre uniquement de titulaires de licences comme Pfizer pour fabriquer en son nom.
(L’installation achetée est, soit dit en passant, le plutôt tristement célèbre Behringwerke, qui, en tant que filiale du bien plus tristement célèbre trust chimique IG Farben, a été impliqué dans l’essai de vaccins expérimentaux sur les détenus du camp de concentration de Buchenwald pendant la Seconde Guerre mondiale. Voir la première entrée ici, par exemple, du musée du Mémorial de Buchenwald. Mais notez que beaucoup plus de personnes sont mortes que les cinq détenus mentionnés).
Mais le gouvernement allemand n’a pas été le seul à soutenir le vaccin de BioNTech, l’UE elle-même l’a également soutenu! En effet, en juin 2020, avant même que l’Allemagne accorde sa subvention de 375 millions d’euros, la Banque Européenne des Investissements (BEI) de l’UE – sous la direction de son président de longue date, l’ancien fonctionnaire du ministère allemand des affaires étrangères Werner Hoyer – avait déjà accordé à la société un financement par emprunt de 100 millions d’euros pour soutenir ses efforts en faveur du vaccin C-19.
C’était le deuxième crédit de ce type que la BEI accordait à BioNTech. À la mi-décembre 2019 – oui, pratiquement en même temps que la première épidémie de Covid-19 signalée à Wuhan, en Chine! – la BEI avait déjà accordé à l’entreprise un financement par emprunt de 50 millions d’euros.
Ce sont précisément ces relations étroitement imbriquées, pour ne pas dire incestueuses, entre BioNTech, le gouvernement allemand et l’UE elle-même qui sont occultées par le « scandale » très médiatisé, mais tout à fait nébuleux, des textos entre von der Leyen et Bourla. L’intérêt d’évoquer ces textos est évidemment de montrer qu’il y a corruption.
Mais le problème n’est pas la corruption. Il s’agit plutôt d’un conflit d’intérêts flagrant qui a été intégré dès le départ dans le processus d’autorisation et de passation de marchés de l’UE, mais qui reste invisible tant que le cas de BioNTech est ignoré. C’est sans doute la raison pour laquelle la société était persona non grata lors de l’audition du comité du Parlement Européen sur le Covid: officiellement connue sous le nom de Comité COVI (sic).
Ceux qui ne connaissent l’audition que par Twitter seront sans doute surpris d’apprendre qu’elle a fait intervenir non seulement Small mais aussi des représentants de pas moins de cinq sociétés pharmaceutiques et qu’il s’agissait de la deuxième de deux sessions de ce type, la première impliquant des représentants de quatre autres sociétés. (La vidéo complète est disponible ici et ici).
Parmi les invités figuraient des représentants de Moderna (le PDG Stéphane Bancel), de la société anglo-suédoise AstraZeneca, dont le vaccin Covid-19 n’a même plus été utilisé dans l’UE depuis plus d’un an, et même de CureVac, le développeur de l’autre candidat vaccin à ARNm d’Allemagne, qui n’a jamais obtenu d’autorisation! Mais, étonnamment, aucune présence de BioNTech – tout simplement le propriétaire et le détenteur de l’autorisation de mise sur le marché de ce qui est de loin le vaccin C-19 le plus utilisé dans l’Union Européenne.
Au lieu de cela, les membres du comité ont effectué une visite privée au siège de BioNTech à Mayence, qui comprenait, selon le programme disponible ici, « une discussion ouverte entre les experts et les scientifiques de BioNTech et la mission du COVI, et un déjeuner: collations et rafraîchissements. » Cela semble en effet très confrontationnel!
Non seulement BioNTech n’était pas présent à l’audition publique, mais la simple prononciation du nom « BioNTech » dans un cadre public semble être tabou pour les membres du comité.
Ainsi, lors de l’ouverture de la dernière session, la présidente du comité, Kathleen Van Brempt, a gentiment réprimandé le patron de Small, Albert Bourla, pour son absence, en soulignant qu’il s’agissait d’une « personne d’intérêt majeur pour le comité » et que la société était, après tout, « le plus grand producteur et fournisseur de vaccins Covid-19 dans l’Union Européenne » – sans aucune mention de BioNTech, comme s’il n’y avait pas de consortium et que la société n’existait pas!
Et ce, bien que les informations relatives à l’approvisionnement en Covid-19 figurant sur le site Web de la Commission Européenne indiquent clairement que la commande gargantuesque de l’UE, qui représente jusqu’à 2,4 milliards de doses de vaccin, a été passée auprès de Pfizer et de BioNTech, et qu’elles donnent même – comme il se doit – la priorité à BioNTech. Alors, pourquoi Ugur Sahin, PDG de BioNTech, n’est-il pas une personne d’intérêt pour le comité?
Plus tard, le député néerlandais Rob Roos s’en est pris à Bourla, absent, parce qu’il ne souhaitait pas témoigner devant le comité, mais s’intéressait plutôt aux « milliards de bénéfices réalisés avec l’argent des impôts des citoyens européens ».
Rob Roos ne sait-il pas que Pfizer partage ses bénéfices à 50-50 avec BioNTech et que, dans l’ensemble, BioNTech a en fait gagné beaucoup plus sur les ventes du vaccin Covid-19 que son partenaire américain (voir mon article antérieur sur Brownstone ici)? A-t-il fait la même remarque aux représentants de BioNTech lors de la « collation » à Mayence?
En outre, le fait que BioNTech paie près d’un tiers de ses énormes bénéfices en impôts sur les sociétés, donnant ainsi au gouvernement allemand lui-même un intérêt direct dans la réussite de l’entreprise, ne soulève-t-il pas des questions plus importantes sur l’intégrité du processus d’approvisionnement que le fait que von der Leyen et Bourla aient échangé des textes?
Sans parler des effets bénéfiques sur la croissance allemande d’une entreprise qui est passée d’un chiffre d’affaires quasi nul à 19 milliards d’euros en une seule année! Plus de 15 milliards d’euros de ces revenus représentaient des bénéfices, ce qui donnait à l’entreprise une marge bénéficiaire de près de 80%. Et Rob Roos et ses collègues ne veulent parler que des bénéfices de Pfizer?
La députée française Michèle Rivasi a poursuivi cette étrange conspiration du silence en soulevant l’importante question de l’instabilité de l’ARNm, c’est-à-dire, en termes simples, le fait qu’une partie de l’ARNm du vaccin est dégradée et ne permet donc pas de produire l’antigène ciblé (la protéine de pointe).
Comme l’a mentionné Rivasi, cette question a été soulevée en tant que sujet de préoccupation par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA). Mais le document pertinent de l’EMA exige que la question soit traitée comme une « OS » – obligation spécifique – par le « TAMM ». Et qu’est-ce que le « TAMM »? [NdT. MAH en anglais] Eh bien, c’est le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché, bien sûr, et le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché est BioNTech. Pourquoi diable Rivasi a-t-elle soulevé la question vis-à-vis de Pfizer et non de BioNTech, comme l’exigent les propres lois de l’UE!
Mais l’exemple le plus ahurissant de la peur des parlementaires de prononcer le mot « BioNTech » a peut-être été fourni par le député roumain Cristian Terhes. Terhes a accusé Pfizer d’avoir commencé les tests de « son » vaccin Covid-19 le 14 janvier 2020, quelques jours seulement après la publication par le gouvernement chinois de la séquence génétique du virus. Il a réitéré cette accusation lors d’une conférence de presse ultérieure, placée sous le signe de l’autosatisfaction.
Il est en effet possible que les tests aient commencé aussi rapidement. C’est probablement le cas, puisque BioNTech n’a jamais caché avoir commencé à développer son vaccin à la mi-janvier 2020, juste après la publication de la séquence génétique. Voir, par exemple, la chronologie du « Project Lightspeed » de BioNTech ici. Mais Pfizer n’a rejoint le projet que deux mois plus tard, en signant son accord de collaboration avec BioNTech.
Donc, Cristian Terhes fait littéralement référence ici à BioNTech et l’appelle « Pfizer »! Pourquoi? Pourquoi cacher l’identité de la partie responsable des tests, qui devait pourtant être clairement indiquée dans le document de l’EMA que cite Terhes?
Même le moment le plus médiatisé de l’audience n’était, en fait, qu’un exercice de grandiloquence: à savoir, le désormais célèbre moment « gotcha » où Rob Roos a prétendument fait « admettre » à Small, manifestement en difficulté, que Pfizer n’avait jamais testé si le vaccin empêchait la transmission du virus. Rob Roos a assurément raison, comme il l’a fait remarquer dans un tweet, de dire que cela remet en cause toute la logique des passeports vaccinaux: « se faire vacciner pour les autres » a en effet toujours été un mensonge.
Mais quel que soit le nombre de fois où ce mensonge a été répété – surtout par des gouvernements et des organisations intergouvernementales comme l’Union Européenne – le fait que les essais cliniques n’étaient pas conçus pour tester la prévention de la transmission était connu dès le départ. Une autorité aussi importante que Tal Zaks, alors médecin en chef de Moderna, l’a reconnu publiquement dès octobre 2020, alors que les essais étaient encore en cours! (Voir les commentaires de Zaks à Peter Doshi dans le British Medical Journalici).
Et en ce qui concerne l’essai dit « Pfizer », soit dit en passant, BioNTech était le sponsor de l’essai, et BioNTech est identifié dans le dossier de l’essai clinique comme la « partie responsable » des informations s’y rapportant. Pfizer est simplement répertorié comme un « collaborateur ».
Voici les noms de certains des membres du Parlement européen les plus critiques ou sceptiques à l’égard des vaccins: Virginie Joron (France), Cristian Terhes (Roumanie), Ivan Sinčić (Croatie), Rob Roos (Pays-Bas), Michèle Rivasi (France) et Christine Anderson (Allemagne). Quand l’un d’entre eux surmontera-t-il sa logophobie et commencera-t-il à parler de BioNTech?
S’ils le font un jour, ils pourraient se poser les questions suivantes, qui ne sont pas des plus agréables: Ursula von der Leyen n’aurait-elle pas dû se récuser des négociations avec une entreprise qui a été si fortement promue par un gouvernement dont elle était elle-même membre moins d’un an auparavant ?
Et que dire de l’Allemagne elle-même, qui a participé directement aux négociations avec son protégé industriel en tant que membre de « l’équipe de négociation conjointe » des sept nations qui a assisté la Commission?
Robert Kogon est le nom de plume d’un journaliste financier largement publié, d’un traducteur et d’un chercheur travaillant en Europe. Suivez-le sur Twitter ici. Il publie sur le site edv1694.substack.com.
Il n’existe rien de tel qu’un consensus scientifique. Si c’est un consensus, ce n’est pas de la science. Si c’est de la science, ce n’est pas un consensus. Point final.
Michael Crichton
Avant d’entamer une série sur le détournement du sens des mots, je me penche sur la notion de « science ». Je vais donc faire un peu d’épistémologie sauvage. Je l’ai déjà dit, je le répète, il n’est pas indispensable d’être un expert pour examiner ces questions. L’angle du simple bon sens et celui de la morale font l’affaire.
Comme on en a eu l’illustration avec le Covid, la science – son financement, sa reconnaissance et sa diffusion – est totalement captive d’un cadre, celui du « consensus »- John Dee l’illustre très bien dans la série sur le climat que j’ai commencé à publier. Le « consensus » du Covid et de ses produits dérivés – protocoles et injections – ont fait et continuent de faire l’objet d’un terrorisme d’un niveau inédit depuis l’ère bolchévique. Ce n’est ni de la science ni du consensus, ni même un consensus scientifique, c’est de la propagande de guerre – tribunaux et ostracisme à l’appui – menée par un réseau de scientifiques gouvernementaux relayés par des officines de pouvoir, et bien entendu par les médias. Petit point d’actualité: notre vieil ami Anthony Fauci et quelques autres personnages doivent répondre de leur rôle actif dans la censure médiatique lors de l’opération Covid.
Dans une ordonnance de 28 pages, le juge Terry Doughty aordonné au directeur du NIAID, Anthony Fauci, à l’ancienne attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, au chirurgien général Vivek Murthy et à d’autres hauts fonctionnaires fédéraux chargés de la réponse au Covid de déposer dans l’affaire Missouri contre Biden, dans laquelle NCLA Legal représente les plaignants, dont Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, contre l’administration Biden pour avoir contraint les sociétés de médias sociaux à violer la liberté d’expression pendant le Covid.
Nous verrons ce que ça donne…
Revenons-en à notre sujet. Dwight B. Larson décrit parfaitement le phénomène du consensus dans la partie épistémologie de son bouquin The Case against the Nuclear Atom, que j’ai déjà cité, où il rappelle que l’atome de Bohr est une théorie, qu’elle fonctionne dans le monde réel jusqu’à un certain point avant de requérir des bibliothèques entières de théories secondaires pour ne pas s’effondrer.
Je vais donc donner un léger coup de pied aux fondations de trois domaines « scientifiques », et voir ce qui reste debout ensuite. Aujourd’hui, la psychologie.
Psychologie
Je suis récemment tombé sur de très vives critiques, notamment de la part de l’insupportable Jon Rappoport, de la théorie de la « Formation de Masse » (Mass Formation) de mon compatriote, le Pr Mattias Desmet (que j’ai publié ici et ici). Ce qui est reproché à ce dernier est que, puisque le mécanisme psychologique dont il parle (consulter les liens ci-avant) est inconscient, sa théorie dispenserait à la fois l’individu et ses manipulateurs de leur responsabilité personnelle. Ce n’est pas tout à fait exact et le Dr Desmet se défend, fort bien à mon sens, de cette critique assez malhonnête dans cet article (en anglais) sur son Substack. Malheureusement, dans ce débat, ni le Pr Desmet, ni ses détracteurs ne prennent la peine de se pencher sur les limites de la psychologie, ni même sur ce que c’est.
D’abord, la psychologie est-elle un science? Apparemment, ça fait encore l’objet d’un débat (tapez la question sur Google juste pour voir), et même d’un bouquin. Wiki tranche sans trop se compromettre (c’est leur métier) en en faisant une discipline qui fait partie des sciences humaines. En fait, ça n’a que peu d’importance puisqu’elle est utilisée comme un science, y compris devant les tribunaux: on se souviendra du traitement infligé au Dr Fourtillan. Il y en a bien d’autres, dont le Dr Meryl Nass (récit de sa comparution devant l’Inquisition médicale ici, en anglais). Je vous recommande aussi vivement cet excellent article du Dr Lyons-Weiler.
Ce qui nous indique que, comme au bon vieux temps de la psychiatrie soviétique – aujourd’hui ressuscitée – on fait faire et dire ce qu’on veut à la psychologie, qui n’est donc qu’une pseudo-science, à géométrie variable. Dictatures communistes, libéralisme consumériste ou Nouveau Normal, elle y trouve sa place puisqu’elle est conçue pour fonctionner dans tous les modèles sociétaux modernes – c’est-à-dire des sociétés sans foi, où l’homme est désacralisé, les lois naturelles niées, la morale relative et la notion de péché oubliée, où la notion de tolérance se substitue à la notion de compassion et la relation du patient avec le thérapeute à celle du fidèle avec l’homme de foi. Bref, les psys sont les nouveaux curés. Leur analyse des mécanismes mentaux n’est pas fausse mais très réductrice, et elle ne va jamais à la source: une vie spirituelle dénuée de sens, conscience ou moralité – et une hygiène de vie malsaine. Leur solution est de pallier aux ravages mentaux ainsi occasionnés par des bricolages sémantiques et surtout de la chimie dangereuse. On en a l’illustration claire dans le modèle américain, où la psychiatrisation des enfants atteint des sommets inimaginables. Depuis les jours du traitement à la Ritaline du TDAH – en fait, un maladie-tiroir inexistante – jusqu’à la campagne médiatique actuelle, qui monte en épingle des parents inquiets de la pénurie d’Aderall (prescrit pour les mêmes symptômes). Pour ceux que ça intéresse, une alimentation qui respecte l’équilibre de la flore intestinale améliore généralement – parfois spectaculairement – l’état de ces enfants. Et surtout, si vous voulez vraiment rendre un gosse complètement dingue et irrécupérable par la psychiatrie, il y a ça. Il suffirait donc de modérer – ou de supprimer – leur exposition à la télévision – et aux jeux vidéos et au smartphone – ce qui irait à l’encontre des moeurs américaines. Donc, médicalisons, médicalisons, il en restera toujours bien quelque chose.
Voilà un des leviers de l’opération Covid, question à laquelle j’ai commencé à répondre ici. Pour suivre, je vous sers (encore!) une de mes anecdotes personnelles.
Quand j’étais gamin, ma mère m’avait casé pour un mois d’été dans une colonie de vacances, située à proximité d’un home pour handicapés physiques et mentaux dans lequel elle avait décroché un boulot temporaire. Cette colonie était située près d’une magnifique rivière belge très sauvage, la Semois, sur la rive de laquelle on nous larguait pour des journées entières.
Un jour que j’étais assis sur une berge en promontoire, un des gosses vint s’asseoir à côté de moi, très près du bord – trop, si bien qu’il finit par perdre l’équilibre et tomber à l’eau. Il m’accusa aussitôt devant les autres de l’avoir poussé. Ses camarades entreprirent donc de le venger et à la première occasion, un groupe attendit que je sois sur la rive pour me pousser dans la rivière.
Ma grand-mère, qui avait eu la gentillesse de venir me rendre visite dans cette colonie et m’y avait trouvé en état de grande détresse, avait intimé à ma mère de m’en extraire. Je passai donc le reste du mois avec les éducateurs du home, tous très sympas avec moi. J’ai croisé plus tard, au hasard de la vie, deux d’entre eux, qui se souvenaient très bien de ce gentil petit garçon. De la vie dans ce home, j’ai gardé des images hallucinantes de gens très diminués physiquement et mentalement, mais où règnait une étrange sérénité, en contraste absolu avec la sournoiserie des enfants « normaux » de la colonie. Avec le confinement de 2020 (j’en parle ici), ce furent les meilleures vacances de ma vie.
Si je vous relate cette histoire lamentable, ce n’est pas pour me plaindre, ou me faire plaindre – ça va très bien pour moi, je vous remercie. Il y a un parallèle à faire avec ce qui se passe aujourd’hui, une morale à en tirer et une leçon à prendre. Pour commencer, d’un point de vue scientifique, je dirais que le concept de formation de masse n’est pas une théorie particulièrement révolutionnaire. L’analyse du Dr Desmet des 30%/40%/30%, évite juste – par clientélisme et pour ne pas grever son fonds de commerce – de formuler le problème de façon moins académique. Les 30% pris d’après lui dans la formation de masse ne sont pas soumis à un mécanisme psychologique inéluctable, ils savent très bien ce qu’ils font. Ce sont les gosses qui, forts de la certitude de leur bon droit et de leur impunité, poussent les autres à l’eau si l’occasion se présente. Les 40% d’indécis sont ceux qui les laissent faire. Quant aux 30% de résistants, après plus de deux ans et demi de cette guerre, je suis un peu sceptique sur leur nombre. La théorie du Dr Desmet ne nous éclaire donc pas tellement. Il suffit de vivre et d’observer que la majorité – enfants et adultes – fonctionne avant tout en groupe (j’y reviendrai quand j’aborderai le mot « vaccin ») et jusqu’où ils sont prêts à aller pour y rester.
C’est aussi par mon vécu que j’ai constaté n’être pas, et de loin, le seul à former un lien prioritaire avec des humains en détresse: handicapés, malades, sans-logis… Ça devrait être la norme chez les médecins – et les éducateurs, les policiers, etc – qui sont théoriquement en première ligne (avant même les psychologues) pour recueillir les appels à l’aide des autres. Ces deux dernières années ont montré que c’est l’exception plutôt que la règle. La morale à en tirer c’est que la majorité des médecins – le groupe – ne valent pas mieux que les gosses qui balancent à la flotte celui qui dérange. J’ai cité le Dr Meryl Nass, je pourrais aussi citer le Dr Peter McCullough, dont le CV commence à la page 208 de ce document et se termine à la page 379. C’est un des médecins le plus publiés de l’Histoire. Vous pouvez chercher ce que j’ai publié d’eux dans la page Sommaire. Ils sont tous deux traduits devant des « conseils de l’ordre » – et pour le Dr McCullough, privé de tous ses postes de responsabilité. Ces « conseils de l’ordre » font partie du groupe responsable des morts et malades de l’injection. Ils obéissent au consensus. Et ils ont des torrents de sang sur les mains.
Il y a aussi et surtout une leçon à prendre. Les Drs Nass, McCullough, et quelques centaines d’autres de cette trempe, savent nager. Ils savent même porter secours à ceux qui se noient, et leur garder la tête hors de l’eau. Le Dr McCullough ne prend plus du tout de gants pour dire ce qu’il pense. Le Dr Nass n’en a jamais mis mais à présent, elle note soigneusement la moindre parole de ses adversaires, qu’elle utilisera, avec son avocat, pour intenter des procès en diffamation. La leçon, c’est qu’il y a des gens qu’il ne vaut mieux ne pas pousser à l’eau.
J’ai dit beaucoup de mal des psychologues, mais pour être tout à fait honnête, j’en ai consulté un, quand j’avais la vingtaine. Ça ne m’a pas servi à grand chose – c’est plutôt la vie qui m’a appris ce que je devais savoir et comprendre – sauf à une chose, très concrète et assez inattendue.
Robert Kennedy expliquait le pourquoi dans cet article du 12 janvier.
Voilà, c’est fait.
Je pensais que le fait de s’en prendre aux enfants pourrait – enfin – réveiller le peuple. Je me trompais.
Comme disent les américains, « The war has just gotten uglier« .
La guerre vient de devenir encore plus horrible.
Le comité de l’ACIP approuve les vaccins à ARNm pour le calendrier de vaccination des enfants par 15 voix contre 0
Nous avions tous prédit que cela arriverait. Cela permet de mettre fin à l’EUA, mais offre une protection immunitaire totale pour toujours aux fabricants du vaccin COVID
Steve Kirsch
20 octobre
Ça vient de se passer il y a quelques minutes. Le comité de l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) a voté jeudi, comme prévu, l’ajout des vaccins COVID au calendrier de vaccination des enfants, de sorte que les fabricants bénéficieront désormais d’une protection totale en matière de responsabilité pour le produit autorisé, et ce pour toujours.
Voici l’article de Reuters qui vient d’être publié:
Les conseillers des CDC américains approuvent l’ajout des vaccins COVID au calendrier vaccinal
Le dernier des commentateurs publics a été interrompu parce qu’il parlait de Nuremberg. Ils demandaient pourquoi il y avait une section de commentaires publics, puisque personne n’écoutait les commentaires.
Le comité de l’ACIP a voté par 15 voix contre 0 pour approuver les vaccins COVID à ARNm pour le calendrier de vaccination des enfants, comme je l’avais prédit, ainsi que d’autres.
L' »urgence » peut maintenant prendre fin. Ils avaient besoin de l’urgence pour pouvoir créer l’approbation de l’autorisation d’utilisation d’urgence qui leur donnait une protection de responsabilité tant que l’urgence était en vigueur. L’urgence n’est plus nécessaire.
Les fabricants de vaccins peuvent maintenant fabriquer des vaccins entièrement « approuvés » et bénéficier d’une protection totale en matière de responsabilité pour toujours.
Le vote de l’ACIP n’est qu’une recommandation. Le CDC doit l’ajouter au calendrier, mais c’est un fait acquis.
A quel point ces gens sont-ils corrompus? Très corrompus.
Ces gens refusent de voir toute donnée qui montre que les vaccins ne sont pas sûrs.
Voilà le niveau de corruption auquel nous avons affaire ici: des « scientifiques » qui se contentent de détourner le regard lorsqu’on leur demande s’ils veulent voir les données de sécurité.
Cela signifie que les injections COVID seront exigées dans certains États.
L’article de Reuters contenait cette déclaration:
« L’ajout du vaccin COVID-19 au calendrier de vaccination recommandé pour les enfants ne constitue pas une obligation pour tout enfant de recevoir ce vaccin », a déclaré le Dr Nirav Shah, membre de l’ACIP et directeur du Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies du Maine.
Ce que le Dr Shah a omis de souligner, c’est qu’il existe de nombreux États qui adoptent l’ensemble du calendrier de vaccination des enfants comme une obligation pour fréquenter l’école publique. Bien sûr, le vote n’oblige personne à le suivre, mais la réalité est qu’il sera obligatoire dans les États qui exigent le calendrier vaccinal complet. Ce point a été commodément omis.
Résumé
Nous savions tous que cela allait arriver. Je ne connais toujours pas un seul enfant en bonne santé qui soit mort du COVID. Nous connaissons des enfants en bonne santé qui meurent à cause du vaccin. C’est de la folie et peu de membres du Congrès ont le courage de s’exprimer à ce sujet.
Petite précision: le CDC américain recommande d’ajouter le vaccin au programme de vaccination infantile mais ne dispose pas de l’autorité pour le faire. C’est l’ACIP qui doit prendre cette décision et il vient de le prendre il y a exactement vingt-cinq minutes au moment où je publie cet article.
Bien que j’aie tendance à éviter les messages qui relèvent du domaine de la propagande, vu que les dégâts causés par le vaccin à ARNm sont si gigantesques, je considère parfois qu’il est utile de s’intéresser à certains d’entre eux. Beaucoup de bodybuilders, de footballeurs et d’autres athlètes tombent raides morts de causes « inconnues ».
Depuis le début de l’année 2022, je garde un œil sur les décès soudains de jeunes adultes et surtout d’adolescents, ils se sont produits régulièrement, mais pas assez fréquemment pour attirer l’attention de la plupart des gens. Il y a quelques jours, un ami m’a envoyé un message pour me dire qu’une enfant du quartier de son école venait de tomber raide morte, non pas en pratiquant un sport, mais en chantant. Si je le voulais, je pourrais ajouter des dizaines d’images comme celle qui suit, mais une seule suffit à me donner la nausée.
La raison majeure pour laquelle j’écris sur ce sujet est triple.
La myocardite subclinique pourrait être plus fréquente qu’on ne le pense. Christian Müller, directeur de l’Institut de Recherche Cardiovasculaire de l’Hôpital Universitaire de Bâle, a récemment prélevé des échantillons de sang sur près de 800 employés d’hôpitaux 3 jours après qu’ils aient reçu un booster COVID-19. Aucun d’entre eux ne remplissait les critères de la myocardite, mais 40 présentaient des taux élevés de troponine, une molécule qui peut indiquer une atteinte du muscle cardiaque. Des problèmes cardiaques chroniques et d’autres conditions préexistantes pourraient être à imputer à 18 cas, mais pour les 22 autres cas – 2,8% des participants, femmes et hommes – M. Müller pense que le vaccin a provoqué une augmentation des taux de troponine. Les résultats, qu’il a présentés lors d’une réunion en août, s’alignent sur ceux d’une étude récemment publiée en Thaïlande.
Un jour seulement après la publication de l’article ci-dessus, cet article rédigé par des scientifiques japonais a été publié. Pourquoi est-ce que j’insiste sur la nationalité? Parce que les chercheurs japonais sont souvent parmi les meilleurs du monde, et qu’ils ont un sens moral très strict. « La vérité, quoi qu’il en coûte » m’a dit un jour un scientifique japonais.
Résultats: Le nombre de décès par myocardite qui répondait aux critères d’inclusion était de 38 cas. Le MMRR (intervalle de confiance à 95 %) était de 4,03 (0,77 à 13,60) dans la vingtaine, 6,69 (2,24 à 16,71) dans la trentaine et 3,89 (1,48 à 8,64) dans la quarantaine, respectivement. Le SMR de la myocardite était de 2,01 (1,44 à 2,80) pour l’ensemble de la population vaccinée, de 1,65 (1,07 à 2,55) pour les personnes âgées de 60 ans ou plus. Les adMMRR et adSMR estimés étaient environ 4 fois plus élevés que les MMRR et SMR. Les MOR regroupés pour la myocardite étaient de 205,60 (133,52 à 311,94). Conclusion: La vaccination contre le SARS-CoV-2 était associée à un risque plus élevé de décès par myocardite, non seulement chez les jeunes adultes mais aussi dans tous les groupes d’âge, y compris les personnes âgées. Si l’on tient compte de l’effet du vaccin sur les personnes en bonne santé, le risque pourrait être quatre fois plus élevé que le risque apparent de décès par myocardite. La sous-déclaration doit également être prise en compte. D’après cette étude, le risque de myocardite après la vaccination contre le SARS-CoV-2 pourrait être plus grave que celui signalé précédemment.
Ce que cela signifie, en termes simples? Le risque de myocardite est sous-diagnostiqué et sous-déclaré, la myocardite subclinique est extrêmement difficile à diagnostiquer, au départ, et beaucoup de gens vivent avec des dommages cardiaques sans le savoir. Non seulement le risque de lésions cardiaques est 4 fois plus élevé, voire plus, que le risque de décès par ces lésions, mais il n’y a pas non plus l’écart qu’on voit souvent mis en avant. Tant les jeunes que les personnes âgées ont un risque statistique de développer une myocardite à cause des vaccins à ARNm.
Si j’écris ceci, ce n’est pas uniquement pour attirer votre attention sur ce point. C’est à cause de ça.
Le CDC vote à 15-0 pour ajouter le vaccin Covid-19 au programme de vaccination infantileSource
L’EMA recommande l’approbation des vaccins Comirnaty et Spikevax COVID-19 pour les enfants à partir de 6 mois
Actualités 19/10/2022
Le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA a recommandé d’étendre l’utilisation de Comirnaty et Spikevax ciblant la souche originale du SARS-CoV-2. Le Comité a recommandé d’inclure l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour Comirnaty et l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 5 ans pour Spikevax. Comirnaty et Spikevax sont déjà autorisés chez les adultes et les enfants âgés de 5 et 6 ans, respectivement.
Par rapport aux doses pour les groupes d’âge déjà autorisés1, les doses des deux vaccins dans ces nouveaux groupes d’âge plus jeunes seront plus faibles. Chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en tant que primovaccination consistant en trois doses (de 3 microgrammes chacune); les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose. Chez les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, Spikevax peut être administré en primovaccination en deux doses (de 25 microgrammes chacune), à quatre semaines d’intervalle. Pour les enfants de ces groupes d’âge, les deux vaccins sont administrés par injection dans les muscles du bras ou de la cuisse.
Pour Comirnaty, une étude principale menée chez des enfants âgés de 6 mois à 4 ans a montré que la réponse immunitaire à la dose inférieure de Comirnaty (3 microgrammes) était comparable à celle observée avec la dose supérieure (30 microgrammes) chez des enfants âgés de 16 à 25 ans. Pour Spikevax, une étude principale menée chez des enfants âgés de 6 mois à 5 ans a montré que la réponse immunitaire à la dose inférieure de Spikevax (25 microgrammes) était comparable à celle observée avec la dose supérieure (100 microgrammes) chez les 18-25 ans. Les deux études ont évalué la réponse immunitaire déclenchée par les vaccins en mesurant le taux d’anticorps contre le SARS-CoV-2.
Je m’efforce de ne pas être alarmiste, de ne pas faire le prophète de malheur ou quoi que ce soit du genre, et je fais de mon mieux pour aider toute personne qui commente, envoie un message ou un courriel, mais je serai franc avec tous mes lecteurs.
Il faut s’y opposer de toutes ses forces. Non seulement beaucoup de bébés et d’enfants vont purement et simplement en mourir d’ici quelques années, mais le nombre d’affections neurologiques et psychiatriques va également monter en flèche à terme, et ils deviendront à juste titre des impasses génétiques. Et là, je fais preuve de pondération, je ne suis ni émotif ni excessif.
Ces derniers jours, je n’ai pas eu beaucoup de temps car j’aide un membre de ma famille à faire face aux dommages causés par les vaccins. Le contenu devrait redevenir normal dans les prochains jours. Au fait, voici le billet qui contient beaucoup d’informations sur la façon de se « guérir » du Covid/vaccin. Je prévois d’en faire une version simplifiée dans les semaines à venir [NdT. que je traduirai et publierai] , mais pour l’instant, la version scientifique devra faire l’affaire.
Spartacus est l’auteur de la (pas assez) célèbre lettre qui porte son nom, que j’ai traduite ici, et de nombreux autres articles indispensables sur son Substack, dont deux autres traduits ici et ici.
Voici ses réponses aux dix questions que Sage Hana avait rédigées à l’intention initiale du Dr Brian Mowrey (qui y a répondu ici, c’est en anglais) et des auteurs les plus pointus sur Substack, dont j’ai publié des articles pour la plupart: Vaccine Sherpa (c’est-à-dire Robert Malone), Arkmedic, Igor Chudov, Steve Kirsch, Dr Jessica Rose, Dr Marc Girardot, Dr Meryl Nass, A Midwestern Doctor, Geert Vanden Bossche, etc.
Avec sa lettre et ses autres articles, ce questionnaire et ses réponses complètent la lettre de Parrhesia que je viens de publier. A leur lecture, il se dégage quelque chose de vraiment intéressant à comprendre dans les événements présents pour le long terme.
Il n’y aura plus de crise énergétique: il y aura bien assez d’énergie pour ceux qui resteront.
Il n’y aura plus de crise du logement: les « villes intelligentes » sont prévues pour parquer ceux qui resteront, comme je l’avais prédit il y a plus de deux ans.
Puisque les « migrants » sont dispensés d’injection, le Grand Remplacement de ceux qui s’accrochent encore maintenant – et couleront – avec le navire en perdition aura bien lieu en Occident. C’est d’ailleurs subtilement annoncé par Ursula dans son discours de l’Etat de l’Union, sur lequel je reviendrai comme promis – brièvement, manque de temps.
Le gouvernement mondial sera ensuite infiniment plus aisé à mettre en place.
Nous sommes tous Spartacus. (Pas vraiment, ce type précis comme un Laser est une exception)
Sage Hana
14 octobre
Première partie: Qui est Spartacus?
Pour ceux d’entre nous qui, il y a un an, parcouraient Twitter à la recherche désespérée d’informations réelles sur le COVID, Spartacus est un personnage important.
C’est l’été dernier que j’ai commencé à me montrer très curieuse de ces nouveaux « vaccins ».
Je m’étais déjà rétablie d’un cas brutal de COVID au printemps 2020. [NdT. un témoignage très bien écrit sur ce qu’a été le Covid long en 2020 ici]
Je connaissais l’immunité naturelle et j’étais déconcertée par l’agressivité avec laquelle les nouvelles injections étaient promues. C’était le début du fascisme. On le sentait.
Après m’être fait les dents sur la folie de la vaccination de masse en cas de pandémie (Geert Vanden Bossche), puis avoir appris ce qu’étaient les signaux de sécurité immédiats et l’utilisation abusive des statistiques des essais (Dr Peter McCullough), j’ai ensuite interrogé un médecin/scientifique qui avait été envoyée à New York pour le déclenchement de la pandémie.
Il s’agissait d’un médecin urgentiste et chercheuse scientifique de la région de Denver.
Elle a traité de charlatan le Célèbre GVB et a fortement suggéré que Robert Malone était un égocentrique en quête d’attention.
Ce qui… 😅
Quoi qu’il en soit, elle a également craché des trucs clairement faux comme « Les vaccins sont efficaces à 94%, mieux que pour la polio! » et a raillé une enseignante en Californie pour avoir transmis le COVID à ses élèves, même si nous savions que les personnes injectées excrétaient également le virus.
Comment cela était-il possible? Que se passait-il dans la communauté médicale et scientifique?
Elle n’avait pas la moindre critique à formuler à l’égard d’Anthony Fauci, mais elle souffrait d’un cas grave de SDT (Syndrome de Diabolisation de Trump).
(Notez que ce Syndrome Fauci/Trump est jumelé de l’autre « côté » par l’univers parallèle Fauci/SHT, ou Syndrome de l’Héroïsation de Trump. L’Homme Orange fait fondre les cerveaux comme personne. 😅)
Quoi qu’il en soit, son SDT était clairement une variable confondante du mystère de ce qui se passe avec ce virus, ces injections, et notre monde qui bascule rapidement dans la folie.
Spartacus a surgi de nulle part et a balancé la vérité en direct dans une lettre ouverte sur tout ce qui concerne le COVID.
Si vous voulez la lire, les liens vers cette lettre sont dans ce billet. [NdT. ma traduction]
Je l’ai interrogé sur cette lettre l’autre jour sur son Stack, lien ci-dessous.
Êtes-vous le vrai Spartacus, celui de la lettre sur le COVID qui a circulé l’année dernière?
Vous êtes quelqu’un de brillant. Vous comprenez ce que peu de gens semblent capables de comprendre. En particulier par rapport à beaucoup de docteurs et de scientifiques garde-barrières qui ont proliféré dans ce marécage pendant des décennies, qu’on voit encore maintenant en train de transiger sur le fait qu’ils côtoyaient des psychopathes.
Ouaip, c’était moi. J’en avais assez de voir tout ce qui se passait, et selon ce que moi et mes correspondants savions, il y avait des preuves accablantes de malversations, du haut en bas de l’échelle. J’ai rédigé la première version de la lettre en cinq jours environ, pendant ma pause au travail, et je l’ai postée sur DocDroid. Cela s’est révélé être une erreur, car DocDroid diffusait d’horribles publicités aux utilisateurs de téléphones portables, et certaines personnes ont donc mis en garde les autres en leur disant « ce lien vous filera un virus! »
Dans un premier temps, je ne me rendais compte de rien, car j’étais sur mon ordinateur de bureau avec un bloqueur de publicité sur mon navigateur. Je l’ai posté sur certains forums et envoyé par e-mail à quelques personnes, dont Robert Malone. Je ne m’attendais pas à ce qu’il le publie sur son Twitter.
Cela a mis en mouvement un certain nombre d’autres choses. Automatic Earth l’a reposté depuis son compte, puis ZeroHedge les a repostés, et à partir de là, plus d’un million de personnes l’ont vu. Quelqu’un s’est plaint de l’absence de citations en ligne. J’ai également remarqué que les gens se demandaient s’il fallait ou non le rediffuser pour des raisons de droits d’auteur. J’ai donc ajouté des citations en ligne, l’ai légèrement développé et l’ai publié sous Creative Commons, ce qui a donné lieu aux versions V2, V3 et V4.
Quelques jours après qu’il soit devenu viral sur ZeroHedge, CNBC a publié cette vidéo.
Soit ils n’ont effectué aucune recherche, soit ils mentent délibérément. En affirmant qu’il est impossible de faire passer une micropuce dans une aiguille de vaccin, ils sous-entendent que les dispositifs dont nous disposons aujourd’hui sont des « puces » à grande échelle visibles à l’œil nu. Ce n’est pas le cas. Elles sont beaucoup, beaucoup plus petites que cela. Plus petites qu’un virus, en fait.
La DARPA a été la force motrice de la technologie des vaccins à ARNm [NdT. voir cet article]. Faites une recherche sur ADEPT (Autonomous Diagnostics to Enable Prevention and Therapeutics) [Diagnostics Autonomes pour Permettre la Prévention et la Thérapeutique]:
For past several years, DARPA has been pioneering a powerful new type of countermeasure against infectious disease called gene-encoded antibodies. They work by providing cells with genetic instructions for producing one or more highly protective antibodies against a given threat. pic.twitter.com/h2gz8fuOXJ
Depuis ces dernières années, la DARPA est à la pointe d’un nouveau genre de contre-mesures contre les maladies infectieuses, appelées anti-corps génétiquement encodés. Leur action est de fournir aux cellules des instructions génétiques qui leur font produire un ou plusieurs anticorps hautement protecteus contre toute menace.
Ce sont également eux qui font pression pour la mise en place de la technologie d’interface cerveau-ordinateur sans fil, par le biais de l’initiative BRAIN et du programme N3. Regina Dugan, ancienne directrice de la DARPA, travaille aujourd’hui à Wellcome Leap, une émanation du Wellcome Trust. Elle a également travaillé chez Google et Facebook.
Qui, selon Andrew Huff, est l’un des bailleurs de fonds de EcoHealth Alliance? Le Wellcome Trust. [NdT. voir cet autre article de Spartacus]
Ils prennent très au sérieux cette affaire d’Internet des Corps, et ils ont passé des années à mettre en place toute l’infrastructure nécessaire. Ils ont également mis beaucoup de leur énergie à empoisonner le puits de la critique des vaccins et de la 5G au cours de la dernière décennie, afin de faire passer pour des excentriques tous ceux qui posent trop de questions pointues. L’establishment médical intimide et fait chanter les médecins en les menaçant de leur retirer leur licence, alors même que les gens tombent comme des mouches à cause des effets secondaires de ces vaccins. Les médias de masse, complètement contrôlés, diffusent des publicités et des messages d’intérêt public sur les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux chez les enfants, comme s’ils avaient tout prévu à l’avance.
Oui, très certainement. La théorie du terrain ne résiste pas vraiment à l’examen scientifique. Les virus ne peuvent pas satisfaire aux postulats de Koch car on ne peut pas en faire une culture purifiée. Contrairement aux bactéries, qui sont très vivantes, les virus ne sont pas vivants, ce sont des instructions flottantes qui entrent dans les cellules vivantes. Ce sont obligatoirement des parasites cellulaires qui ont besoin de cellules vivantes pour se répliquer, c’est pourquoi on introduit généralement des cellules Vero, par exemple, dans les cultures avant de les infecter avec un virus. L’entrée virale et l’infection des cellules peuvent être vérifiées par marquage fluorescent, et les particules virales peuvent être observées en microscopie TEM ou SEM. Les virus sont incroyablement petits. Un globule rouge est 66 fois plus grand qu’un virion du SARS-CoV-2.
Un nouveau coronavirus a-t-il émergé fin 2019, entraînant une pandémie mondiale?
Le SARS-CoV-2 est très similaire au SARS-CoV. Ses seules caractéristiques vraiment nouvelles sont le site de clivage de la Furine sur la protéine de pointe (qui améliore considérablement la transmission en raison de l’ubiquité des protéases Furine humaines qui peuvent la cliver et l’activer; oui, les protéases de l’organisme – comme la Furine et le TMPRSS2 – aident le virus) et quelques autres motifs suspects sur ses protéines. Le fait que la technologie de séquençage d’Illumina soit si largement utilisée pour analyser les échantillons – avec peu d’alternatives – est suspect, mais étant donné les centaines de milliers d’articles qui ont été publiés sur le virus jusqu’à présent, il serait grotesque de supposer que tout ceci n’était qu’un canular. Ayant moi-même contracté le COVID-19 et m’en étant généralement bien remis, je peux dire que cette maladie était assurément différente de la grippe. [NdT. je confirme]
Vous (Brian Mowrey, les questions lui étaient initialement destinées) avez jugé que le péché originel antigénique était faux ou inexact. Qui est/sont les principaux partisans de cette théorie et en quoi se sont-ils égarés?
Le péché originel antigénique (Original Antigenic Sin – OAS) et la facilitation de l’infection par anticorps (Antibody Dependent Enhancement – ADE) sont incontestablement des phénomènes réels. Il suffit de voir ce qui se passe lorsqu’une personne attrape deux souches différentes de la dengue. On parle de facilitation de l’infection par anticorps lorsque les anticorps non-neutralisants de la première infection sont utilisés sur la seconde, et que les virions incomplètement neutralisés sont attirés dans les macrophages par leurs récepteurs Fc [NdT. mécanisme bien détaillé par le Dr Tenpenny ici], infectant les cellules immunitaires avec des virions de dengue vivants. Nous savons que les sarbecovirus et les merbecovirus ont un potentiel d’ADE similaire à celui de la dengue, ce qui fait de la vaccination des personnes avec un vaccin non stérilisant (c’est-à-dire qui permet la transmission de la maladie) et qui encourage l’émergence de variants d’échappement immunitaire, au mieux une course folle, au pire une erreur mortelle. C’est ce que nous constatons avec les vaccins actuels. Ils stimulent d’abord les réponses du système immunitaire inné, mais l’efficacité du système immunitaire adaptatif à repousser le SARS-CoV-2 semble baisser en dessous du seuil de référence après quelques mois. C’est tout sauf bon.
lié au n°3: Se sont-ils égarés en raison d’une erreur de bonne foi, ou de motifs sombres ou personnels?
Je ne peux pas commenter cette question car je ne pense pas du tout qu’ils se soient égarés.
Les vaccins étaient-ils nécessaires pour le nouveau coronavirus appelé SARS-Cov2? (À ne pas prendre en compte si les questions n°1 et 2 la rendent inapplicable).
Non, ils ne l’étaient pas. Au moment où ils ont commencé les campagnes de vaccination de masse, la grande majorité des gens étaient déjà séropositifs et avaient un certain degré d’immunité. Au mieux, ils voulaient juste utiliser des milliards de personnes comme cobayes pour la technologie de transfection de l’ARNm qui serait plus tard utilisée dans les vaccins contre le cancer, les traitements favorisant la longévité, et ainsi de suite. Au pire, ils empoisonnent les gens. Délibérément. Et ils ouvrent probablement la voie à une modification humaine généralisée en modifiant génétiquement et physiquement les cellules des gens afin de les rendre dociles et obéissants.
Lesquels sont les meilleurs: les chimichangas ou les tacos?
Les enchiladas.
Sommes-nous au milieu d’une campagne de dépeuplement (abattage du troupeau), ou n’est-ce qu’une sombre théorie de la conspiration?
Un grand nombre de personnes au pouvoir sont liées au FEM (Forum Economique Mondial), et le FEM est ouvertement néo-malthusien, tout comme le Club de Rome et les Rockefeller. Bill Gates, Yuval Noah Harari, Boris Johnson et des dizaines d’autres membres de la classe dirigeante ont ouvertement exprimé des opinions qui relèvent du contrôle de la population.
Yuval Noah Harari has said out loud how the capitalist elite view most of humanity: as expendable & surplus to requirements. The World Economic Forum adviser said: “We just don’t need the vast majority of the population” in the early 21st century. https://t.co/0aTrwFcEvVpic.twitter.com/hBDtB9NlBt
Yuval Noah Harari a exprimé tout haut la façon dont l’élite capitaliste considère la majeure partie de l’humanité: sacrifiable et excédentaire par rapport aux besoins. Le conseiller du Forum Economique Mondial a déclaré: « Nous n’avons tout simplement pas besoin de la majeure partie de la population » en ce début de XXIème siècle.
Je suis sûr à 90% qu’ils essaient de réduire la population, et les 10% restants sont juste de bonnes vieilles expérimentations sur l’être humain.
Pourquoi pensez-vous que les leaders mondiaux ont tous promu les injections expérimentales d’édition de gènes et l’ont fait de manière draconienne et fasciste?
Parce qu’ils suivent tous exactement le même scénario.
A qui faites-vous confiance dans le monde de la science biomédicale pour opérer avec une pure rigueur scientifique?
Personne. L’édition scientifique est l’une des choses les plus corrompues de la planète, où tout le monde est motivé par l’argent plutôt que par l’exactitude des faits. La seule fois où on sait que quelque chose est un tant soit peu exact, c’est lorsqu’il peut être reproduit dans au moins une douzaine d’autres articles. La psychologie, en tant que domaine, est catastrophique à cet égard [NdT. je traite bientôt ce sujet]. Pratiquement aucun de leurs résultats ne peut être reproduit.
Avez-vous déjà subi des pressions pour fausser les résultats, que ce soit de la part de collègues chercheurs ou de bailleurs de fonds?
Pas moi, personnellement, mais je connais d’autres personnes qui en ont subi.
Question bonus:
Y a-t-il un seul élément de l’opération Injection 19 que nous pouvons considérer comme exact à plus de 99%? (sachant que la science n’est jamais figée)
Un seul élément?
Bonus: Les vaccins à ARNm sont un produit de biodéfense militaire créé avec le financement de la DARPA.
L’intérêt des vaccins à base d’acide nucléique est qu’ils peuvent être produits très rapidement pour contrer les nouveaux agents pathogènes dès leur apparition. La seule raison pour laquelle on pourrait l’envisager, et pour laquelle le Ministère de la Défense le finance, est qu’il anticipe une guerre biologique. S’ils anticipent la guerre biologique, alors qui libère des agents pathogènes (en violation de la Convention sur les Armes Biologiques) et pourquoi? C’est l’éléphant géant dans la pièce dont personne ne parle.
Merci, Spartacus!
Voici le billet de Brian Mowrey qui répond au SH-10:
C’est un vrai bonheur pour moi, et j’espère pour vous, les gars.
Les divergences de points de vue ne me posent aucun problème, comment pourrait-il ne pas y en avoir?
Nous semblons arriver à la pointe de nos connaissances et ceux qui coordonnent l’Opération nous mentent à chaque instant.
C’est ce que je voulais savoir il y a un an.
Il a été très difficile pour une profane de faire le tri entre la politique, le bal des héros, les mensonges et les diverses impulsions de raisonnement motivées par ceux qui émergent du ventre de la bête.
J’ai confiance dans le fait qu’à travers Spartacus et Brian, nous avons maintenant deux réponses inscrites au registre qui visent aussi droit au but qu’ils le peuvent selon leur compréhension de la situation.
Un blogueur qui se plaint des courriels anonymes est un peu comme un pêcheur qui se plaint de la mer. Il est regrettable que très peu de ces courriels soient courtois, bien que cela ne soit guère surprenant, car, en général, seuls les ignorants et les agresseurs injurieux manquent de la conviction nécessaire pour s’identifier.
Les règles ont cependant des exceptions, et une exception à cette règle est arrivée hier soir. Il s’agissait d’une capture d’écran en noir et blanc, écrite, ou du moins publiée, par une personne portant le surnom de Parrhesia. Un terme bien choisi, qui signifie quelque chose comme « audace ou honnêteté du discours » en grec ancien. J’ai lu avec intérêt les treize paragraphes qui accompagnaient le message et qui portaient sur les « vaccins COVID », comme la plupart des courriels du moment.
Il était clair que l’auteur a reçu une bonne formation en biochimie et en biologie moléculaire et qu’il comprend très bien les graves dangers associés à ces médicaments infernaux. J’en ai déduit également que son anonymat n’était pas préservé pour se protéger de moi, mais d’un employeur ou d’une agence gouvernementale, par exemple. En lisant entre les lignes, je sens que cette personne ne dit pas tout ce qu’elle sait.
Le texte s’adresse à des lecteurs dotés de solides connaissances bioscientifiques, mais des non-scientifiques intelligents pourront facilement le suivre jusqu’à ses inquiétantes conclusions logiques. Je pourrais être extrêmement pointilleux et contester certains détails mineurs, mais cela détournerait l’attention du message essentiel. J’ai donc isolé chaque paragraphe (en gras et en italique) et ajouté de brèves notes explicatives là où je pensais qu’elles pourraient être utiles.
Avertissement: Certains lecteurs pourraient trouver ce qui suit perturbant… mais ils devraient quand même le lire.
Les premiers à succomber aux vaccins seront les personnes sujettes aux caillots sanguins. Les protéines de pointe que ces vaccins font produire à l’organisme se fixent aux récepteurs endothéliaux ACE2. Elles agissent comme un agoniste partiel (stimulateur). À leur tour, les mitochondries des cellules accélèrent la production d’ATP [NdT. adénosine triphosphate, voir ici], mais de manière imparfaite. Cela provoque des erreurs dans les réactions impliquées, ce qui entraîne la production de groupes hydroxyle malencontreux au lieu d’ATP. Cela peut tuer la cellule, et c’est généralement le cas. Cela se produit dans tout le corps, entraînant une inflammation cardiovasculaire systémique invisible et non perçue (le système circulatoire n’a pas de nerfs). La coagulation s’ensuit, que ce soit au niveau micro ou macro.
Note: La première phrase est corroborée par des masses de preuves cliniques récentes. À tel point que les termes « caillot » et « attaque » sont aujourd’hui largement utilisés, parfois même avec désinvolture. Le terme « endothélial » désigne la couche unique de cellules qui tapisse la surface intérieure des vaisseaux sanguins.
L’ARNm est absolument transcrit en sens inverse en ADN. Nous savons que cela est potentiellement mortel depuis 1998, lorsque l’Université de Pennsylvanie a tué un enfant en utilisant un adénovirus modifié par le gène d’un chimpanzé pour soigner une maladie rare dans laquelle le corps ne peut pas réduire les niveaux d’ammoniac. L’enfant a été guéri, puis a souffert d’une insuffisance hépatique. Les gènes de chimpanzé insérés dans le vecteur viral ont été transcrits en sens inverse dans les cellules de son foie, et ses cellules immunitaires les ont détruits – le tuant.
Note: Il est maintenant prouvé que le code génétique contenu dans tous les « vaccins COVID » s’incorpore à l’ADN de l’hôte. Ce processus moléculaire est appelé transcription inverse. Ainsi, les cinq milliards de receveurs dans le monde ne sont plus strictement humains mais des organismes génétiquement modifiés (OGM). L’histoire du garçon tué par thérapie génique est authentique et peut être lue à l’adresse suivante: https://www.sciencehistory.org/distillations/the-death-of-jesse-gelsinger-20-years-later
Le mécanisme est celui des rétrotransposons de type LINE 1 [NdT. « long interspersed nuclear elements » ou éléments nucléaires dispersés longs, voir ici]. Il s’agit d’anciens rétrovirus et de déchets génétiques qui sont enroulés et inactifs 99,9 % du temps. L’introduction de l’ARNm viral est un adjuvant qui provoque le déroulement et l’expression de ces gènes, y compris la transcriptase inverse virale. Des études ont depuis confirmé que c’est ce qui se produit avec les vaccins.
Note: Ce paragraphe montre que l’auteur a une excellente compréhension de ce que l’on appelle la transposition génétique – c’est-à-dire des morceaux de matériel génétique qui se copient et se collent d’un site à un autre. (Certaines de mes propres recherches ont porté sur l’analyse des éléments Alu, qui sont également des « gènes sauteurs »). En outre, l’auteur identifie la manière correcte dont le code génétique des « vaccins » est inséré dans le génome humain.
Les rétrotransposons de type LINE 1 sont le fruit du hasard. Parfois, ils effectuent une transcription inverse vers des LINE 1 eux-mêmes, créant ainsi des chimères inutiles qui ne s’expriment pas. Parfois, ils s’inscriront sur des segments d’ADN actifs. Parfois, en faisant cela, ils écraseront un gène nécessaire, tuant la cellule. Parfois, ils écrivent sur de l’ADN actif, et l’ARNm précédent l’exprime comme s’il s’agissait de votre propre gène. Parfois, le système immunitaire va alors tuer ces cellules. Parfois, il ne le fera pas.
Note: Une compréhension aussi profonde de la génétique moléculaire me fait penser que l’auteur a reçu une formation de niveau post-doctoral. En passant, une chimère, en biologie, désigne un organisme dont les gènes proviennent de sources étrangères.
À titre de référence, une injection du vaccin Moderna contient 40 trillions de paquets d’ARNm dans leur enveloppe peg-ylée. Si les rétrotransposons de type LINE 1 réussissent à effectuer une transcription inverse, ne serait-ce que dans 0,05 % des cas, le gène permettant de créer la protéine de pointe du covid sera inséré dans 200 milliards de cellules. Ces cellules produiront alors occasionnellement la protéine de pointe du covid – pour le reste de l’existence du receveur.
Note: Par exemple, un jeune homme de taille et de poids moyens est constitué d’environ 30 trillions de cellules humaines. Une injection contient donc suffisamment d’ARNm pour produire indéfiniment des protéines de pointe mortelles dans chaque cellule. Il n’y a pas de bouton « arrêt ».
L’ARNm du vaccin aboutit en premier lieu dans le thymus, en deuxième lieu dans le foie et en troisième lieu dans les ovaires des femmes. GARDEZ CELA À L’ESPRIT. Ils le savaient. Cela a été révélé dans la plus récente divulgation de documents de Pfizer, et en fait, cela était connu bien avant par ceux d’entre nous qui étaient vigilants. Je reviendrai sur ce point.
Note: Ces informations concordent, plus ou moins, avec les données de biodistribution originales de Pfizer, que j’ai reçues il y a un peu plus d’un an. Il est criminel que les fabricants sachent que leurs nouveaux médicaments présentent des « fuites » mais qu’ils les commercialisent malgré tout dans le monde entier. Dans ce contexte, la « fuite » signifie qu’au lieu que le médicament reste en sûreté au site d’injection (muscle de l’épaule) avant qu’une réponse immunitaire ne soit activée, il est transporté dans tout le corps. Ainsi, la protéine de pointe sera synthétisée dans chaque organe et chaque cellule exprimant cette toxine, qu’il s’agisse d’une cellule du cerveau, du cœur ou autre, sera attaquée par le système immunitaire.
En plus de causer des dommages cardiovasculaires progressifs qu’un receveur ne ressentira jamais et dont il n’aura jamais connaissance parce qu’ils sont indolores et en grande partie asymptomatiques, la protéine de pointe empêche la recombinaison v(d)j. Lorsque vos cellules immunitaires créent de nouveaux anticorps, elles n’ont pas de gène qui code pour cette création. Elles divisent donc leur ADN, en extraient les séquences qui pourraient partiellement créer la séquence nécessaire, les épissent ensemble et les insèrent, puis réparent l’ADN qui a été endommagé au cours de ce processus. C’est la recombinaison v(d)j. Seuls 2 % des lymphocytes T tueurs y parviennent, ce qui explique pourquoi les personnes gravement malades commencent à perdre rapidement du poids. L’organisme a besoin de ressources pour alimenter ce processus très important. Chez les vaccinés, ce processus est encore plus altéré, au point que leur système immunitaire ne peut plus suivre. Les taux de cellules CD4 et CD8 diminuent progressivement, ce qui conduit au SIDA induit par le vaccin. Il faut savoir que cela peut prendre entre 5 et 10 ans pour atteindre le point où les symptômes apparaissent chez les personnes infectées par le VIH.
Note: Cette partie est assez complexe. La recombinaison V(D)J est un mécanisme d’essai et d’erreur par lequel des longueurs d’ADN sont réarrangées de telle sorte que de nouveaux anticorps spécifiques peuvent être synthétisés. Son découvreur, un polymathe japonais appelé Susumu Tonegawa (1939-), a reçu le prix Nobel de Physiologie ou de Médecine en 1987. La référence (valable) au SIDA induit par le vaccin est un sujet que j’ai évoqué dans des articles récents.
Revenons aux ovaires. La recombinaison v(D)j est utilisée par les cellules immunitaires, mais les protéines impliquées – BRCA1 et 53BP1 – sont utilisées dans chaque cellule pour la réparation de routine de l’ADN. BRCA1 élimine les cassures double brin de l’ADN. La 53BP1 agit comme un point de repère, indiquant où la réparation de l’ADN doit avoir lieu. Ces deux protéines doivent leur nom à leur implication dans la recherche sur le cancer. Si l’une ou l’autre de ces protéines n’est pas présente, comme dans le cas des personnes qui n’ont pas de copies fonctionnelles des gènes permettant de créer ces protéines, le risque de cancer augmente de façon exponentielle avec l’âge.
Non seulement les personnes ayant reçu les vaccins présentent un risque accru de tous les types de cancer, mais les femmes commenceront à entrer en ménopause plus tôt et à donner naissance à des enfants présentant davantage de malformations congénitales. Les femmes n’ont qu’un nombre limité d’ovules, et leur exposition à ces vaccins et la suppression des BRCA1 et 53BP1 signifient que les cellules de ces ovules [sic] ne peuvent plus s’engager dans la réparation de routine de l’ADN en raison de l’exposition quotidienne au stress oxydatif. Ces ovules vont soit mourir prématurément, soit donner lieu à une grossesse viable mais avec une progéniture endommagée.
Note: Cette affirmation est malheureusement vraie. Les « vaccins » inhibent la réparation de l’ADN et préservent ainsi les mutations génétiques qui sont à la base de toute maladie néoplasique, qu’elle soit bénigne ou maligne (cancer). Il existe déjà des preuves de l’augmentation de l’incidence de la croissance agressive des tumeurs dans tous les organes du corps – et ce n’est qu’un avant-goût de ce qui est à venir.
Les rétrotransposons de type LINE 1 peuvent et vont transcrire l’ARNm du vaccin dans les cellules somatiques. Les cellules de l’ovule. Cela signifie que les enfants nés de mères vaccinées produiront la protéine de pointe du covid chaque jour de leur vie. Leur expression de BRCA1 et 53BP1 sera inhibée du jour de leur naissance jusqu’à leur mort. La recombinaison v(D)j sera inhibée du jour de leur naissance jusqu’au jour de leur mort. Non seulement ils risquent d’être atteints de cancers précoces et fréquents, mais leur système immunitaire sera compromis et ils ne seront pas en mesure d’organiser des réponses immunitaires adaptatives efficaces contre les agents pathogènes courants. Ils seront malades et leur vie sera courte.
Note: La plus grande tragédie de toutes est peut-être que les effets horribles de ces « vaccins » risquent de se manifester dans de nombreuses générations à venir. Puisse le sang versé à l’avenir rester irrémédiablement sur les mains de tous ceux qui, en connaissance de cause ou par négligence, ont facilité l’injection d’un médicament aussi toxique à des personnes non informées et mal informées.
Quand la communauté médicale ne pourra plus cacher cela, ce sera la fin. L’augmentation des décès, des cancers et de l’épidémie massive de SIDA induite par les vaccins est balayée sous le tapis pour le moment.
Au bout du compte, on ne pourra plus le cacher. Les tentatives de dissimuler les faits aussi longtemps que possible étaient prévues puisque les médecins et les universitaires sont des psychopathes arrogants et bien-pensants dont on peut attendre qu’ils protègent leur réputation à tout prix. Cela ne fera que susciter encore plus de colère.
Note: je me demande combien de temps encore le grand public pourra rester inconscient. Il y aura un point de rupture. Le personnel médical de haut niveau sait ce qu’il en est, mais, à leur plus grande honte, ils restent silencieux.
12 [sic]. Comme c’était le but, les attaques contre les médecins, les médias et le gouvernement entraîneront des guerres civiles dans le monde entier et la destruction des gouvernements nationaux. Seuls 20% de la population humaine survivront.
J’ai inclus une copie de la capture d’écran originale que j’ai tapée mot pour mot (Figure 197.2).
La dernière phrase est consternante. Une telle éventualité ne me surprendrait cependant pas. Après tout, elle correspond à l’opinion du professeur Dolores Cahill – [NdT. en qui j’ai une confiance relative]https://profdolorescahill.com – une immunologiste expérimentée et hautement qualifiée, anciennement du University College de Dublin:
Toute personne ayant reçu une injection d’ARNm mourra dans les trois à cinq ans.
Bien que hautement qualifiée, le professeur Cahill a été censurée, déplateformée et est même traquée par les autorités irlandaises pour avoir osé contredire si audacieusement le faux narratif. Comme l’a dit un jour JFK:
« Une nation qui a peur de laisser son peuple juger du vrai et du faux sur la place publique est une nation qui a peur de son peuple ».
Le surnom de « parrhesia » est approprié. L’auteur parle avec audace, honnêtement et librement, et ce d’un point de vue de connaissance et de compréhension considérables. Le pouvoir en place est terrifié. Ils sont terrifiés par des experts comme le professeur Cahill. Ils sont terrifiés à l’idée que l’émergence de la vérité s’avère imparable. Ils sont terrifiés par la réaction éventuelle du public, lorsque les milliards de personnes injectées réaliseront qu’elles ont reçu une condamnation à mort pharmacologique.
Vu l’importance et la qualité des informations contenues dans cette interview, j’ai mis en attente tous mes articles en préparation pour me consacrer à sa transcription complète (texte ici) et à sa traduction ci-dessous, qui m’ont pris plus de vingt heures. Je remercie évidemment Alexandra Latypova pour son travail précieux et considérable, le Comité Corona pour lui avoir donné la parole, Sage Hana pour l’avoir mentionnée sur son Substack et tout particulièrement mon épouse pour l’incroyable patience dont elle a fait preuve pendant que j’étais accaparé par cette tâche.
Pour plus de clarté, j’ai inclus dans le texte une capture des diapositives PowerPoint présentées lors de l’interview. Je n’ai pas traduit le texte qui y figure puisqu’il est expliqué dans le texte juste en-dessous par Mme Latypova.
Addendum 27/10: le document en fichier pdf est consultable ou téléchargeable ci-dessous.
Je vous remercie de le lire et de bien vouloir le diffuser. Je vous rappelle que je ne suis présent nulle part sur les réseaux sociaux, que je ne fais aucune promotion de ce blog (non-monétisé) et que je dépens entièrement de mes lecteurs pour que ce genre de travail soit utile à d’autres.
NOTE 08/02/23: il y a d’autres articles de Sasha sur ce blog ici, ici et ici.
Source de la vidéo. Source de la session complète.
Viviane Fischer: Nous avons une nouvelle invitée. Il s’agit de Mme Alexandra Latypova. Elle a longtemps travaillé comme cadre dans l’industrie pharmaceutique. Bonjour.
Alexandra Latypova: Bonjour à tous.
Viviane Fischer: Bonjour, ravie de vous recevoir. Ce serait bien que vous vous présentiez un peu. Quelles sont les points les plus importants de votre carrière que vous aimeriez partager avec notre public?
Alexandra Latypova: Mon expérience professionnelle est dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutiques. J’ai travaillé pendant environ 25 ans dans ce secteur, à différents postes. Au début, j’ai fait de l’analyse de données, puis j’ai travaillé dans le domaine des essais cliniques et des technologies qui sont utilisées dans les essais cliniques pour évaluer divers médicaments, comme les technologies d’imagerie, l’électrophysiologie et de nombreuses autres techniques. J’ai cofondé plusieurs organismes de recherche clinique. Ce sont des entreprises sous-traitantes des sociétés pharmaceutiques, qui travaillent dans le domaine des essais cliniques. J’ai ainsi travaillé pour environ 60 sociétés pharmaceutiques dans le monde entier, principalement aux États-Unis et en Europe, mais aussi en Asie. Pfizer a été mon client et a été, en fait, mon investisseur à deux reprises. Nous avons travaillé en collaboration en matière de R&D sur les technologies susceptibles d’être utilisées dans les essais cliniques. J’ai également travaillé directement avec la FDA dans le domaine des évaluations de la sécurité cardiovasculaire et j’ai participé aux consortiums industriels de la FDA sur les méthodologies d’évaluation de la sécurité cardiovasculaire dans la recherche clinique et préclinique. J’ai pris ma retraite de l’industrie il y a quelques années et je ne travaillais plus lorsque l’arnaque Covid est arrivée. Je m’en suis tout de suite inquiétée quand j’ai compris que ça se passait très mal, que les pratiques et les politiques mises en place n’avaient aucun sens. J’ai entrepris d’examiner la situation de plus près. J’ai d’abord analysé les données du VAERS du CDC, parce qu’elles sont accessibles au public, et ensuite, jusqu’à ce jour, j’ai travaillé sur divers documents rendus disponibles par des actions en justice relatives à la liberté d’information. J’examine ces documents et je collabore avec divers groupes pour tenter de leur fournir une expertise et une interprétation du contenu de ces documents afin que diverses actions puissent être entreprises par le public et par les cabinets d’avocats.
Viviane Fischer: Vous avez donc manifestement beaucoup d’expérience dans ce domaine. Ce qui en ressort, c’est que de votre point de vue, toutes les mesures de protection et les réglementations précédemment en vigueur, sur lesquelles le public s’est appuyé pendant des années – et dont il présumait qu’elles continueraient à être mises en œuvre – ont été fondamentalement supprimées. Pourriez-vous peut-être nous en dire plus à ce sujet?
Alexandra Latypova: Voilà le plus gros mensonge sur ces prétendus vaccins. Ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont même pas des produits pharmaceutiques, ce que j’expliquerai dans ma présentation. Voilà le mensonge qui nous a été vendu au niveau mondial, à savoir que c’est un médicament, mais ce n’est pas un médicament. Et lorsqu’on a dit au public qu’il s’agissait d’un médicament, d’un vaccin, tout le monde s’est attendu à ce que toutes les garanties auxquelles nous sommes habitués en matière de médicaments soient en place, mais ça n’a pas été le cas. En fait, ces garanties ne peuvent même pas légalement s’appliquer à ces produits, même si c’est sujet à caution. On ne peut pas passer un contrat pour commettre un crime, or ils ont passé un contrat pour commettre un crime et ils commettent ce crime en ce moment même. Et ils le qualifient de légal mais cela reste à voir – et je l’expliquerai dans ma présentation. J’ai quelques diapositives, si je peux les partager?
Wolfgang Wodarg: Partagez simplement votre écran.
Alexandra Latypova: Ma présentation aujourd’hui traitera de ces injections et plus particulièrement de la fraude en matière de réglementation et de fabrication, problème spécifique sur lequel peu de gens se sont penchés et sur lequel je me suis concentrée. Il n’implique pas seulement la FDA, mais aussi l’AEM (Agence Européenne des Médicaments), toutes ces agences, et surtout le Département d’État américain. Ce programme est entièrement dirigé par le Département d’Etat américain. C’est une action militaire, un programme militaire, qui a effectivement suspendu toutes les règles et réglementations de sécurité dans le monde entier. Et ils sont de connivence avec les fabricants de produits pharmaceutiques pour la diffusion de ces produits mortels dans le monde entier.
Jusqu’à présent, nous disposons d’un résumé de très haut niveau de toutes les preuves concernant les injections Covid 19 actuelles et je pense que la plupart d’entre nous seront d’accord sur ces points. Ils ont été couverts par votre commission d’enquête de manière assez exhaustive.
Tout d’abord, ces produits ont été conçus pour être toxiques. De nombreuses publications en expliquent la raison ainsi que les nombreux mécanismes de dommages incorporés dans ces produits. Ils interfèrent avec les processus génétiques qui ont lieu en permanence dans notre corps. Les fabricants affirment qu’une sorte de protéine utile est exprimée, mais ce n’est pas ainsi que fonctionne le corps humain. Ils ne font que détruire le système immunitaire, ce qui entraîne diverses conséquences catastrophiques. Nous savons maintenant que ces produits ne sont absolument pas sûrs. Le nombre de morts et de blessés dans le monde entier est tout simplement effroyable. Il dépasse tous les chiffres antérieurs les plus élevés repris dans les anciennes bases de données accessibles au public. Pourtant, aucun responsable n’y prête attention ou, lorsque ce point leur est soumis, ils le nient purement et simplement et embrouillent le public. Ce produit n’a aucune efficacité. Je n’ai vu nulle part quelqu’un qui puisse démontrer que ces injections offrent une protection durable. Ce n’est pas vrai. Les gouvernements veulent maintenant que les gens se fassent injecter tous les 3 ou 4 mois. C’est tout à fait grotesque pour un produit désigné sous le nom de vaccin et ces produits n’offrent absolument aucune protection contre la maladie du Covid.
Ma présentation d’aujourd’hui sera principalement axée sur le mode de fabrication, sur la manière dont le cadre en place permet de commettre cette fraude, comment ce cartel s’est formé, qui sont les participants à ce cartel et quel est leur rôle exact. La question de la fabrication déficiente a été très peu évoquée, mais ce produit est totalement non conforme parce qu’il n’a pas à l’être. C’est un prototype, ce n’est pas un produit pharmaceutique, il est donc très peu conforme à son étiquette et il est extrêmement variable. Il n’est pas conforme aux bonnes pratiques de fabrication et on ne voit aucune application des bonnes pratiques de fabrication dans les pays où de telles lois existent. Les gouvernements poursuivent manifestement une politique malfaisante. Nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils dissimulent, qu’ils embrouillent les familles des personnes tuées ou blessées par ces injections. Toutes ces actions font apparaître très, très clairement leur intention de nuire. A ce stade, tout doit être considéré comme intentionnel. Tous les dommages et les décès doivent être considérés comme totalement intentionnels.
Parlons maintenant de la fabrication, pour illustrer ce que sont les bonnes pratiques de fabrication. Aux États-Unis, il s’agit d’un ensemble de lois, de règles et de règlements qui figurent dans le code des règlements fédéraux. C’est un ensemble de lois très complet qui couvre les normes de haute qualité, de cohérence et de pureté pour les médicaments, les vaccins, ainsi que les aliments et les boissons – fabriqués en masse. On s’attend à ce que chaque lot de chaque nouveau produit soit à peu près identique au lot précédent du même produit, qu’il soit conforme à son étiquette, qu’il ne contienne pas d’impuretés ni de substances toxiques. Dans le cas de ces injections Covid 19, on s’attend également à ce qu’elles soient interchangeables entre différentes marques, bien qu’aucun test n’ait été effectué pour le démontrer. Ces règles et réglementations existent dans d’autres pays où elles sont très similaires. Aux États-Unis, elles ont été élaborées entre les années 1900 et 1960 et constituent un ensemble très complet. C’était en réaction au grand nombre de personnes empoisonnées et tuées par des produits mal fabriqués à l’époque et, en fait, c’est un crime grave que d’introduire un produit frelaté, un produit qui n’est pas conforme à ces règles dans le commerce inter-États aux États-Unis ou au niveau international.
Quand je me suis mise à examiner ces injections Covid 19, je voulais comprendre de quoi elles avaient l’air par rapport à quelque chose de plus traditionnellement conforme à nos bonnes pratiques de fabrication. Comme il s’agissait d’un prétendu vaccin, j’ai décidé de le comparer aux vaccins antigrippaux traditionnels et j’ai pris toutes les données de la base de données VAERS qui couvraient les vaccins antigrippaux traditionnels. Je les ai reportées sur ce graphique. Sur l’axe des X, figurent tous les numéros de lot des vaccins contre la grippe. Il s’agit d’une douzaine de fabricants, de différents produits, tous des vaccins antigrippaux injectables, et sur l’axe Y, figurent les événements indésirables graves et les décès. Je n’inclus jamais la somme des événements indésirables, qui peuvent inclure de nombreuses questions administratives et des problèmes potentiellement mineurs, je me concentre donc sur les événements graves et les décès. En ce qui concerne les événements graves et les décès, comme vous pouvez le voir, ce sont des produits très cohérents, ils ne varient jamais beaucoup. La moyenne est d’environ 3 ou 4 événements indésirables graves par lot. Puis, nous trouvons quelques valeurs aberrantes – nous ne trouvons ici que 2 valeurs aberrantes sur de nombreuses années et la plus importante était de 37 rapports par lot. C’est à peu près ce à quoi ressemble un vaccin conforme aux bonnes pratiques de fabrication, et c’est ce à quoi on devrait s’attendre.
Lorsque j’ai examiné les injections Covid 19, le tableau était radicalement différent, ce qui est extrêmement alarmant. Il est tellement catastrophique qu’il aurait dû constituer un signal d’alarme pour tout organisme de réglementation à tous les niveaux – fédéral, étatique et local. Nous disposons tous d’organismes de réglementation établis à tous les niveaux du gouvernement, capables de signaler des problèmes d’anomalies ou des schémas anormaux pour tous les produits relevant de leur juridiction et d’effectuer alors leur rappel. Mais personne ne l’a fait. On observe une énorme variation d’un lot à l’autre pour toutes ces injections Covid 19. J’ai d’ailleurs ici tous les lots vérifiés par le CDC, on dispose de la liste complète des lots émis aux États-Unis avec numéros de lot exacts, dates de fabrication et dates d’expiration. Ces données sont donc toutes valides et pourtant on voit que les variations sont des centaines de milliers de fois plus importantes que celles du vaccin contre la grippe, qui sont toutes sous cette ligne rouge ici, et elles sont toutes beaucoup plus élevées. La fourchette va de 1.500 événements indésirables graves pour un seul lot à certains lots qui en ont très peu et il y a aussi une énorme différence – vous pouvez le constater visuellement – entre les différents fabricants. Nous avons Janssen ici, Moderna ici, et puis Pfizer – regardez ça. C’était extrêmement alarmant et en fait, une alerte a été émise très tôt dans le déploiement par le comté d’Orange, en Californie. Ils ont détecté le 18 janvier 2021, soit quelques semaines seulement après le déploiement massif de ces injections, un lot de Moderna qui, selon eux, a généré un nombre important d’événements indésirables. Cependant, personne d’autre ne s’en est alarmé. L’affaire a fait la une des journaux, mais aucune autre autorité sanitaire n’a reçu la moindre notification. Le fabricant n’a pas arrêté la production de ce lot, ne l’a pas rappelé, personne parmi les autorités sanitaires n’a imposé un rappel et ce lot a continué à être vendu dans tous les États-Unis jusqu’à son épuisement en mars. Il a également généré un millier d’événements indésirables graves et près de 60 décès. Tout cela doit donc être considéré comme intentionnel, car les autorités l’ont signalé, elles ont constaté qu’il générait des effets indésirables anormaux. Personne n’a pourtant fait quoi que ce soit pour l’arrêter et on a continué à l’administrer aux gens.
Viviane Fischer: Dans cette représentation de Pfizer, il semble que lorsqu’il y a un lot toxique, il est très toxique.
Alexandra Latypova: Ceux-là, oui, les chiffres sont extrêmement élevés, ils sont extrêmement toxiques. Ces lots provoquent en général aussi beaucoup de décès, je n’ai pas détaillé les décès ici, mais oui. Ces énormes lots générent beaucoup de décès, mais ce n’est pas toujours le cas. Parfois, même un petit lot peut générer un nombre anormal de décès. Ils varient également au niveau de la létalité, comme vous pouvez le voir. On observe donc d’énormes variations à tous les niveaux.
Wolfgang Wodarg: Vous allez certainement nous parler de la raison de ces variations.
Alexandra Latypova: Oui, nous avons trouvé de nombreuses raisons. Les gens nous ont souvent dit : « Vous êtes des conspirationnistes, c’est juste parce que la taille des lots est différente », mais en fait, elles ne sont pas si différentes. Nous avons reçu récemment des informations dans le cadre d’une demande d’accès à l’information (FOIA) et on nous a fourni la liste de toutes les expéditions de produits Pfizer aux États-Unis par numéro de lot et par nombre de doses. Lorsque je les ai représentés par date de fabrication, ici sur l’axe des X, et qu’on ne compte que les décès – ici, c’est plus facile à voir – en ajustant pour la taille des lots – ici, j’ai ajusté par 1.000 doses – on obtient cette image très étrange. La variabilité est énorme – ceux-ci sont jusqu’à 12 fois supérieurs à ceux-là. Et notez la dispersion, surtout au début de l’année. Cette variabilité a ensuite diminué et la toxicité a diminué mais la variabilité est toujours inacceptable dans cette partie du graphique. C’est juste qu’elle est éclipsée par cette partie du graphique. Rien de tout cela ne devrait se produire. La relation attendue devrait ressembler à une ligne plate, zéro ou aussi proche de zéro que possible. Mais ici nous avons une relation statistique définie, en relation avec la date de fabrication pour Pfizer. Pensez-y, il ne devrait pas y avoir de différence dans la toxicité d’un produit en fonction de sa date de fabrication, et la même relation existe même entre les codes alphanumériques de Pfizer et Moderna. Ils se regroupent également – je ne le montre pas ici – mais ils se regroupent également autour de différents codes alphanumériques. Nous savons aujourd’hui quelles lettres et quels chiffres correspondent à quel niveau de toxicité. Nous pouvons en informer les gens et nous le faisons d’ailleurs sur notre site Internet.
Voilà la situation, absolument alarmante et absolument évidente, évidente depuis le début et qu’aucune autorité sanitaire n’a jamais remarquée. C’est extrêmement inquiétant et encore une fois, cela indique un acte intentionnel.
Viviane Fischer: Je ne sais pas si vous allez y venir, mais j’ai une question, avant que j’oublie. Au début, il y avait les personnes âgées et les malades, des personnes peut-être déjà malades, qui se faisaient vacciner et ensuite les personnes plus jeunes ont été admises. Quand on voit le nombre de réactions jusqu’au 21 avril, se pourrait-il que la variabilité soit due à des réactions plus intenses, en raison du groupe d’âge qui a été vacciné? Reviendrez-vous sur cette question plus tard ?
Alexandra Latypova: Oui, j’ai en fait une diapositive à ce sujet dans mes diapositives de sauvegarde. Cette question a été posée fréquemment et voici la réponse – c’est d’ailleurs mon collègue allemand qui l’a écrite et elle est basée sur des données allemandes. L’âge n’a pas autant d’influence qu’on le pense. La différence entre les lots à faible létalité et les lots à forte létalité était de 12 fois. Il y avait quelques personnes âgées, mais n’oubliez pas qu’au début du déploiement, il y avait aussi des travailleurs de la santé, donc il n’y a pas eu que des personnes âgées. L’âge moyen a toujours été assez bas. Il n’était pas dans les quatre vingt ans, il était beaucoup plus bas. Mais ici, mon collègue allemand a effectué une analyse de l’influence de l’âge sur les décès et les événements indésirables et il s’avère que l’âge n’a qu’un pouvoir explicatif partiel, il n’explique pas tout – il explique en fait très peu. L’âge peut expliquer quelque chose comme 18%, 13% mais il n’explique pas le reste. Et vous pouvez le constater visuellement. Si on soumet à l’examen les lots expédiés en Allemagne qui ont occasionné des événements indésirables graves et des décès, et qu’on les représente ici, on peut voir par exemple ici – on le voit très clairement sur ce graphique – que l’âge est inférieur à 60 ans, peut-être 58 ans, et on voit cette dispersion verticale des résultats des événements indésirables. Cela signifie que pour le même âge, il y a des lots qui étaient moins toxiques et d’autres beaucoup plus toxiques. C’est une dispersion énorme et on la trouve presque constamment, comme vous pouvez le voir. Et comme vous pouvez le voir ici, à 60 ou 70 ans, il y a un lot très peu toxique et un autre à environ 80 ans, très toxique, dispersé un peu partout. Les données regroupées dans ce nuage nous disent simplement que l’âge n’explique pas tout – il explique une toute petite partie.
Viviane Fischer: D’accord, merci beaucoup.
Alexandra Latypova: [Permettez-moi de revenir en arrière.] Il y a aussi d’autres schémas de variabilité étrange, qui restent inexpliqués. Un autre de mes collègues a établi ce graphique pour les États-Unis. On observe des anomalies géographiques très étranges en termes de toxicité de ces produits. Ainsi, lorsqu’on examine les données du VAERS, elles représentent des populations vaccinées à 100%, de sorte que les politiques des gouverneurs locaux ne jouent aucun rôle ici. Tous ceux qui ont été vaccinés sont couverts par ce système. Si on examine le nombre de décès pour cent mille personnes vaccinées dans l’État, on obtient ce tableau assez étrange lui aussi. Par exemple, le Dakota du Sud est le pire État de l’Union en ce moment. Il compte 33 décès pour cent mille personnes vaccinées et l’État suivant est le Kentucky, avec seulement 24 décès pour cent mille personnes vaccinées. Et puis il y a des États comme l’Utah et la Californie, par exemple, avec seulement 1,7 et 1,9, ce qui représente un écart considérable. Encore une fois, il n’y a aucun moyen d’expliquer cela par la démographie normale des États. En fait, la Californie a une piètre démographie si on considère les populations de sans-abri et de toxicomanes, etc. C’est donc inexplicable à ce stade et personne ne semble s’en préoccuper. Mais pour moi, cela signifie simplement que le produit est extrêmement variable et que ce qu’ils envoient à ces différents États l’est aussi.
Etant donné cette variabilité de la fabrication, le fabricant fournit des produits très, très variables et cela crée ces anomalies étranges quelle que soit la façon dont on les considère. Je me suis ensuite penchée sur les documents réglementaires que j’ai pu obtenir et j’ai examiné plusieurs dossiers de ce que l’on appelle des résumés non cliniques. Ils ont été mis à disposition par le biais de la loi sur la liberté d’information et ils concernaient Pfizer et Moderna. Ces résumés contenaient – leurs propres résumés des études sur animaux qu’ils avaient réalisées et que la FDA a ensuite utilisées pour approuver le produit injectable de Pfizer et le Spikevax de Moderna.
Pour des raisons de temps, je parlerai surtout de Moderna, mais les deux sont très similaires. J’ai d’abord examiné Moderna et j’ai découvert quelque chose de très étrange. Moderna a apparemment deux numéros de médicament de recherche, ce qui me semble étrange car, selon les règles, il ne peut y avoir qu’un seul numéro de médicament de recherche pour chaque nouvelle entité moléculaire. Ce numéro permet de soumettre une demande à la FDA et à un processus similaire dans les agences européennes. Ce numéro ouvre une demande et ensuite, en tant que promoteur, vous recueillez toutes les données relatives aux études sur les animaux, puis aux études cliniques, et tous les résultats et tous les ensembles de données sont annexés à ce numéro. C’est un genre de numéro de référence qui constitue ensuite un dossier que l’on présente aux autorités de réglementation pour l’examen et l’approbation du produit. C’est ainsi que cela fonctionne partout dans le monde où ces systèmes sont utilisés, la Conférence Internationale pour l’Harmonisation. Dans le cas de Moderna, j’ai trouvé deux numéros. Je ne comprends toujours pas pourquoi, mais on n’a jamais répondu à ma question. Tout d’abord, cet autre numéro a été ouvert en premier, puis le numéro de Moderna en second. Le premier numéro appartient aux NIH. Ce sont les propriétaires, les National Institutes of Health, et plus précisément la division de la microbiologie et des maladies infectieuses, la DMID, et sur le plan organisationnel, ce groupe dépend d’Anthony Fauci. Ils sont donc propriétaires de ce numéro, ils ont ouvert ce numéro pour Moderna en février 2020 et ils ont également réalisé – c’est peut-être encore le cas – de nombreuses études sur animaux pour Moderna. Parce qu’ils détiennent ces deux numéros, cela signifie qu’ils sont copropriétaires de ce produit et qu’ils détiennent les droits sur les revenus et les bénéfices dérivés de ce produit. Il s’agit d’une situation tout à fait anormale et d’un énorme conflit d’intérêts, car elle va bien au-delà d’une relation idéale plus standard où, disons, un fabricant privé peut obtenir une licence pour un brevet des NIH ou un brevet d’une institution universitaire et leur verser ensuite de petites redevances lorsque cette technologie est utilisée dans des produits ultérieurs sur le marché. Mais ici, c’est différent, c’est le NIH qui obtient des revenus et des bénéfices sur ce produit – ou du moins qui en a les droits – et il faut également noter que, bien sûr, le NIH et Anthony Fauci en particulier sont ceux qui ont imposé tous ces obligations draconiennes et la coercition de la population pour injecter ce produit à tout le monde. Alors comment se fait-il qu’ils en profitent directement? J’ai soulevé cette question à plusieurs reprises. Personne ne l’a jamais abordée, mais je pense qu’il faudrait en parler davantage.
Ensuite, j’ai examiné les dossiers de Pfizer et de Moderna pour ce qui concerne les tests standard d’expériences précliniques ou animales. Pour vous en donner un aperçu, ce sont des essais de très, très haut niveau, chacun de ces encadrés regroupe en fait de nombreuses études. Pour un médicament, un vaccin ou tout autre produit biologique normal, il faut d’abord l’évaluer dans le cadre d’expérimentations animales avant de pouvoir l’administrer aux humains dans le cadre d’un essai clinique hautement contrôlé. Ceci afin d’exclure les risques majeurs et de s’assurer que le produit est suffisamment sûr pour être administré à l’homme en tant que produit expérimental. Les catégories de tests de sécurité précliniques comprennent trois éléments principaux: la pharmacologie, la pharmacologie de sécurité et la pharmacocinétique. La pharmacologie comprend deux domaines. Le premier est la pharmacologie primaire: il faut au minimum essayer de démontrer le mécanisme d’action déclaré pour le produit. Par exemple, si le fabricant prétend que « ce produit va créer une protéine de pointe qui va ensuite créer un antigène », cela doit être démontré dans ces études. Ensuite, tout effet hors cible. Si en faisant cela, il fait autre chose, il faut aussi le montrer ou l’exclure ou au moins avoir une idée des potentiels effets hors cible qui peuvent se produire. Les interactions médicamenteuses sont également très importantes, surtout si le produit est censé être administré à absolument tout le monde. Chez beaucoup de personnes qui prennent déjà plusieurs médicaments, ils peuvent interagir de manière inconnue, donc il faut au moins avoir une idée des interactions potentielles et des contre-indications pour d’autres produits. La catégorie suivante consiste à examiner la façon dont le produit est distribué dans l’organisme lorsqu’il est injecté – c’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique. Dans la pharmacocinétique, on évalue beaucoup de choses, mais les plus importantes sont l’absorption, la distribution, le métabolisme, les études d’excrétion – ce sont les études standard. Ensuite, la toxicologie, qui est très, très importante. La toxicologie signifie que si le produit est détecté dans une certaine zone – disons qu’il pénètre dans le tissu cardio-vasculaire, dans le tissu hépatique, dans le cerveau ou dans d’autres organes – il faut alors faire une étude toxicologique spécifique pour ces organes et déterminer l’exposition maximale, l’exposition dans le temps, quand il disparaît, la dose maximale tolérée et où commence la toxicité, parce que l’objectif est de développer ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, où l’on peut administrer le médicament à un niveau suffisamment élevé pour qu’il provoque une réponse souhaitable, mais aussi suffisamment bas pour qu’il ne franchisse pas le seuil de la toxicité. C’est la partie la plus importante de toutes ces expériences, il s’agit de trouver cet espace. Et cet espace n’a d’ailleurs jamais été trouvé pour ces produits. Un autre domaine est bien sûr la toxicologie de la reproduction, j’en parlerai plus en détail.
Dans le cas de Moderna et de Pfizer, la stratégie utilisée est très similaire. Ils n’ont pas fait d’études ADME (absorption, distribution, métabolisme, excrétion), ils n’ont pas fait de pharmacologie secondaire, puis ils se sont eux-mêmes dispensés de tout ce domaine de la pharmacologie de sécurité en disant aux régulateurs que cela ne s’appliquait pas à eux en raison des directives de l’OMS de 2005 pour les vaccins, ce qui est une affirmation totalement absurde car ces produits ne sont pas des vaccins et, surtout qu’en 2005, ils n’étaient pas considérés comme des vaccins, mais comme des thérapies géniques. Cette affirmation ridicule a été acceptée sans réserve par la FDA et, dans le cas précis de Moderna, j’ai découvert qu’environ 50% de toutes les études incluses dans leur dossier non clinique contenaient des tests pour des produits totalement non-pertinents. Ils ont simplement compilé les données de tout un tas de produits qui avaient échoué auparavant et qui étaient en cours de développement, ils les ont annexés à ce paquet et ils ont dit « Oh, c’est applicable Spikevax ». Ce n’est pas applicable à Spikevax. Tous les tests doivent être effectués avec la formulation exacte qui sera utilisée dans le produit clinique final, c’est-à-dire l’ARNm qui sera incorporé dans Spikevax et la nanoparticule lipidique identique à celle qui sera dans Spikevax. Rien de tout cela n’a été fait. C’était un méli-mélo de différentes études de différentes années. Par exemple, pour la distribution, ils ont inclus une étude de 2017 pour un cytomégalovirus, une concoction de 6 ARNm différents. Aucun d’entre eux n’est l’ARNm présent dans Spikevax. Ensuite, les études de toxicologie n’ont pas été faites. Il n’y a eu qu’une seule étude toxicologique, non-GOP – non conforme aux bonnes pratiques de laboratoire – et elle n’a pas été achevée, même au moment où l’emballage a été rédigé. Et il n’y a eu qu’une seule étude GOP en toxicologie reproductive, j’en parlerai. La génotoxicité et la cancérogénicité n’ont été évaluées que pour un seul composant, le produit chimique SM102, et seulement dans le cadre d’une expérience sur une lignée cellulaire in vitro. C’est totalement inacceptable, mais la FDA, soit dit en passant, n’a pas considéré que cela posait problème, elle l’a accepté sans rechigner. Et ce, tant pour Pfizer que pour Moderna. Pour moi, cela signifie qu’il y a collusion entre le régulateur et ces fabricants, et en fait, je crois que le régulateur, la FDA, leur a ouvert la voie. Ils leur ont dit comment soumettre les documents, parce que c’est une violation complète de toute [directive]. Si on considère les lignes directrices de la FDA, on constate qu’elles sont toutes violées. C’est tellement inacceptable que si un fabricant essayait de faire pareil et que la FDA suivait ses propres règles, rien de tout cela ne passerait. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, on leur déroule le tapis rouge et ils se pointent avec leurs conneries en disant que « Jimmy dit que la FDA leur a dit de faire comme ça ». [NdT. référence à une nouvelle de O. Henry, A Retrieved Reformation]
Moderna a également fait cette affirmation vraiment bizarre – que tous deux font maintenant – et qui est en train de s’inscrire dans la pratique réglementaire en ce moment même. Voici une diapositive de Moderna présentée à la conférence de JP Morgan en 2018. Ils affirmaient que leur produit est une plateforme – soit dit en passant, toutes les startups de tous les secteurs affirment que leur produit est une plateforme, donc cela ne veut absolument rien dire. Ils affirment qu’ils possèdent une plateforme qui leur permet de fabriquer ces nanobulles lipidiques et de mettre l’ARNm qu’ils souhaitent dans cette nanobulle lipidique et que si cela a fonctionné une fois, cela fonctionnera encore et encore. Je ne vais pas m’attarder sur ce point, mais quoi qu’il en soit, il s’agit d’une affirmation très dangereuse. Ils disent essentiellement que leur produit n’a pas besoin d’être testé. Seul le vecteur de distribution doit être testé. Ça revient à dire: « Les camions qui transportent de la nourriture et celui qui transporte des explosifs sont parfaitement identiques. N’y prêtez pas attention. » Parce que cette allégation en elle-même n’aurait jamais passé les pratiques réglementaires normales telles qu’elles sont conçues et les réglementations telles qu’elles sont écrites, ils ont dû fabriquer la crise pour la faire passer par l’autorisation d’utilisation d’urgence, afin qu’ils puissent effectivement mettre ce produit sur le marché – et c’est ce qu’ils ont fait. [Moderna] n’a pas testé le Spikevax et Pfizer n’a pas non plus testé son produit BNT162. Le seul test est celui du vecteur, ainsi que toutes sortes de tests évasifs pour ne pas tester directement cette combinaison de produits. Aujourd’hui, les deux entreprises affirment avoir une plateforme et la FDA les autorise à réaliser une étude sur huit souris et à mettre immédiatement le produit sur le marché. Cela pose bien sûr de nombreux problèmes. Tout d’abord, qui voudrait d’un produit qui a été testé sur huit souris? Je n’en sais rien. Le second est que maintenant la FDA, Pfizer et Moderna forment un cartel. Ils ont établi un cartel où Pfizer et Moderna peuvent faire une étude sur huit souris et rien d’autre. Tous ceux qui souhaitent travailler dans le domaine de l’ARNm, par exemple, toutes les autres start-ups, qui se disent « Oh mon Dieu, la révolution de l’ARNm a eu lieu et nous allons tous devenir riches », devraient y réfléchir à deux fois, car ils doivent désormais se conformer à toutes les réglementations pour faire approuver leurs plateformes. Mais Pfizer et Moderna peuvent se contenter d’études sur huit souris. En agissant de la sorte, ils ont ruiné l’ensemble de l’industrie, la recherche et le développement pharmaceutiques, et ils ont établi un cartel entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique et ont imposé leurs spécifications.
Je voudrais ensuite aborder spécifiquement l’étude de toxicologie reproductive réalisée par Moderna. Il s’agissait d’une petite étude sur une quarantaine de rats et je n’en couvrirai pas la conception. La moitié des rats étaient vaccinés, l’autre moitié non. À propos, on n’a pas vacciné de rats mâles, nous ne savons donc rien de ce qui advient de la reproduction des mâles et personne n’a abordé cette question. Ils n’ont vacciné que les femelles et ont fini par constater un fort transfert d’anticorps de celles-ci au fœtus et de celles-ci au petit – et les niveaux étaient élevés. Ils disent « anticorps » comme si c’était une bonne chose, mais si les anticorps sont transférés, l’ARNm et les protéines de pointe le sont aussi. Nous savons maintenant que les protéines de pointe étaient présentes dans le lait maternel, par exemple, et que l’ARNm spécifiquement était présent dans le lait maternel. Ces éléments, l’ARNm et les protéines de pointe, franchissent toutes sortes de barrières, comme le placenta, le cerveau et le sang, et se retrouvent donc dans le bébé, sans que l’on connaisse bien leurs effets. Nous savons qu’ils sont dangereux et que les bébés ont évidemment un petit corps et qu’ils sont en plein développement. Cela pose donc des risques élevés pour le bébé en développement et rien de tout cela n’a été étudié par qui que ce soit. En outre, les mères ont présenté une toxicité pendant la gestation et cette toxicité coïncidait avec le jour où elles exprimaient les niveaux les plus élevés d’antigènes, ce qui est manifestement lié à la vaccination. On les vaccine, elles présentent une toxicité élevée. Ils ont prétendu que ces effets étaient transitoires et pas si graves, mais les rats ont perdu leur fourrure et ne pouvaient plus utiliser leurs pattes arrière. Mais Moderna a déclaré: « Ne vous inquiétez pas, ils étaient en pleine forme ». Je ne vois pas comment un animal qui perd sa fourrure peut être en pleine forme. Comme je n’ai pas accès aux rapports complets, il ne s’agit que des résumés de Moderna, de leurs propres mots sur leurs études, je ne peux pas vous dire exactement ce qui s’est passé, mais il me semble qu’ils édulcorent beaucoup de choses. Le plus important, c’est qu’ils ont découvert que la progéniture des rats présentait des malformations squelettiques. Voici leur propre langage : « ARNm 1273 » – c’est le Spikevax de Moderna – « les variations liées à l’examen du squelette comprenaient une augmentation statistiquement significative du nombre de rats avec une ou plusieurs côtes ondulées et un ou plusieurs nodules de côtes » – c’est-à-dire des côtes supplémentaires. Il s’agit de malformations squelettiques graves qui ont augmenté de manière statistiquement significative chez les bébés des mères vaccinées. C’est un signal de sécurité aussi clair qu’il est possible, dans le cadre d’études standard pour l’évaluation de la toxicité sur le plan du développement. Il est donc évident que c’est lié au vaccin et que ce produit cause des dommages à la fois aux mères et à leurs bébés en développement.
Cependant, la FDA a directement menti sur l’étiquette et les documents réglementaires au nom de Moderna. La FDA a indiqué dans son résumé de pharmacologie et de toxicologie non cliniques, qui fait partie de l’étiquetage du Spikevax, qu’il n’y avait pas de malformations ou de variations fœtales liées au vaccin. Et cela a été caché, secret, pendant un an – plus d’un an en fait – jusqu’à ce que cela soit rendu public par une ordonnance du tribunal et jusqu’à ce que je le lise. Nous n’aurions jamais su et ils continueraient à vouloir l’injecter aux femmes enceintes dans le monde entier – et ils continuent. Ils étaient au courant, mais ils l’ont sciemment imposé aux femmes enceintes. Rappelez-vous les campagnes omniprésentes: la publicité du CDC, la publicité de la FDA, on aurait dit des vendeurs de produits pharmaceutiques, annonçant que ce produit est totalement sûr pendant la grossesse et les poussant – et même obligeant les femmes enceintes si elles étaient des travailleuses de la santé, des policières ou des enseignantes. Pour moi, c’est un crime, c’est un crime horrible qu’ils ont commis. Et nous savons maintenant qu’il y a énormément d’événements indésirables tels que fausses couches, problèmes chez les bébés, des bébés qui meurent, des bébés allaités qui meurent et tout cela est enregistré dans le VAERS. Et encore une fois, ils le nient et tentent d’embrouiller tout le monde.
J’aimerais ensuite vous parler de la véritable nature de ce produit, de la raison pour laquelle cette variabilité existe à mon avis et de ce que nous avons découvert en effectuant divers tests directs sur des flacons et en examinant de plus près les processus de fabrication. Comme vous le savez, chaque produit a son étiquette et même si Pfizer a essayé de dissimuler cette information pendant un certain temps, elle est maintenant disponible. Nous savons qu’ils déclarent certains ingrédients tels que BNT162b2, c’est leur séquence d’ARNm, et que le reste est constitué de lipides, de nanoparticules lipidiques, ils décrivent la composition des nanoparticules lipidiques, de ces ALC et ainsi de suite, de cholestérol et d’autres produits qui l’équilibrent en produit injectable. Ils déclarent également des quantités très précises de chacun d’entre eux par flacon et par dose – car n’oubliez pas qu’ils sont expédiés dans des flacons multidoses et que chaque dose est préparée manuellement par l’administrateur du vaccin sur le site, de manière totalement incontrôlée et en dehors de toute conformité aux bonnes pratiques de fabrication. Néanmoins, chaque dose est censée contenir 30 microgrammes d’ARNm, par exemple, et d’autres composants également décrits de manière très précise. Mais ce que j’ai découvert en lisant les documents de fabrication de Pfizer soumis à l’AEM, c’est qu’aucun test n’a été conçu pour tester les ingrédients, en particulier au niveau du flacon – et ne parlons même pas du niveau de la dose. Ce qu’ils décrivent comme tests au niveau du flacon est essentiellement le poids du flacon au moment du remplissage et certains paramètres d’intégrité comme la façon dont il est bouché et ainsi de suite. Mais il n’y a aucun test qui stipulait « nous allons prélever un échantillon aléatoire de quelques flacons de chaque lot ou de chaque ligne au fur et à mesure de leur sortie, puis nous allons les ouvrir et nous allons voir s’ils contiennent ou non 225 microgrammes d’ARN ». Rien de tout cela n’a eu lieu. Tous les tests de spécification des ingrédients sont conçus au niveau du lot – et le lot est un produit en vrac, une étape de fabrication en amont. Selon les réglementations gouvernementales actuelles, ces tests doivent exister au niveau de la dose, au niveau de la dose unitaire du médicament lorsqu’il est administré au patient – et ils ne le font pas, je vais en parler plus loin. Jusqu’à présent, nos conclusions sont les suivantes – et il s’agit de tests aléatoires sur des flacons dans le monde entier: nous avons constaté que pas un seul flacon n’est conforme à son étiquette ou à toute autre étiquette des fabricants.
Des tests indépendants des flacons ont été effectués par de nombreuses équipes. Cet article a été récemment publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. Je connais certains des auteurs et je suis en correspondance avec eux. Ces équipes de chercheurs et chercheurs indépendants du monde entier – de 16 pays, je crois – ont eu accès à certains des flacons, principalement Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – mais également à d’autres. Le résumé des conclusions générales est que tous ces produits sont complètement différents, ils diffèrent de leurs étiquettes, mais il y a quelques résultats constants. Par exemple, lorsqu’ils parviennent à isoler et à séquencer l’ARN des flacons, la séquence d’ARN n’est pas conforme à l’étiquette. Nous n’avons toujours pas trouvé une seule concordance avec ce que Pfizer indique dans sa composition. Ensuite, on trouve des quantités énormes d’impuretés d’ADN et de protéines – des quantités gigantesques, je vais vous le montrer. On trouve aussi systématiquement d’autres impuretés en grande quantité et il s’agit de métaux lourds et rares. On ne connaît ni l’origine ni le but de ces matériaux présents dans les flacons. Parmi ces métaux, on trouve des choses comme du cobalt, du chrome et de l’aluminium, qui sont très toxiques pour le corps et neurotoxiques. Des éléments rares comme du thulium, ce qui est étrange, et de l’antimoine ont même été trouvés dans des fioles de Moderna. L’antimoine est un métal utilisé dans la fabrication de semi-conducteurs, il est extrait en Chine. On se demande bien ce qu’il fait dans les flacons de Moderna, qui sont censés être produits dans le Massachusetts. On trouve également des inclusions, des contaminations avec des structures d’origine également inconnue. Elles ressemblent à des taches et à des particules inexplicables et elles sont de grande taille parce qu’on les découvre au microscope optique standard, ce qui signifie qu’elles ne sont pas à l’échelle nanométrique, elles sont plus grandes que ça. Quant aux cristaux, ils sont très caractéristiques: plats et de forme très carrée ou rectangulaire, avec des arêtes vives. Fibres et rubans également très caractéristiques, des rubans plats. Il y a un assemblage, un processus d’auto-assemblage – probablement chimique – dont le mouvement est visible immédiatement à partir de l’état congelé, qui a été filmé dans des vidéos à prise unique, de sorte que ce processus est très bien documenté. Les chercheurs prennent des précautions et des mesures pour exclure toute salissure environnementale sur les lames. Ils effectuent des expériences contrôlées, ce qui permet de réaliser des études de grande qualité. Toutes les études ne sont pas de haute qualité mais certaines études de haute qualité ont révélé toutes ces choses que je suis en train de résumer. Il est possible qu’il y ait différentes formes de graphène dans ces flacons et aussi des choses comme, par exemple, des restes de billes magnétiques. Vous vous souvenez de tous ces gens qui avaient comme des magnets de frigo collés sur leurs bras après l’injection? C’est de cela qu’il s’agit. Les billes magnétiques sont utilisées dans la purification de l’ARN lors de la fabrication. Elles ont été laissées dans les flacons, n’ont pas été retirées et ont ensuite été injectées à des personnes.
Voici un exemple de séquençage de l’ARN d’un flacon de Pfizer. Ici, les chercheurs nous montrent que la première ligne verte est la séquence déclarée par Pfizer et tout ceci, d’ailleurs, est calculé en poids et c’est ainsi que Pfizer procède également, ou plutôt en fonction de la longueur de la molécule. La première séquence est cette séquence BNT, c’est la séquence déclarée par Pfizer, et elle est censée ressembler à cette ligne verte. Les trois autres que l’on voit sont des correspondances possibles, mais aucune d’entre elles ne correspond réellement. Il y a quelques fragments et des éléments supplémentaires à la fin, mais le début est manquant. Voilà ce qui flotte dans cette fiole. Ce qui est très inquiétant, ce sont ces petits fragments d’ARN supplémentaires, et ils ont même été décrits par les régulateurs dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments comme des impuretés liées au processus, et ils s’en sont inquiétés. Et ils ont raison de s’en inquiéter. Je les ai appelés ARN shrapnel, il y a beaucoup de noms pour les décrire, micro ARN, petit ARN interférent, et bien d’autres encore, mais vous pouvez les considérer comme du shrapnel. Quand le verre se casse, il se brise en gros morceaux et en petits morceaux de manière imprévisible – comme ici. Ils ne le nient pas. La FDA les a considérés comme une préoccupation théorique, ce n’est pas une préoccupation théorique. Les micro-ARN ont été spécifiquement désignés comme une catégorie d’arme biologique utilisable parce qu’ils interfèrent avec les processus génétiques normaux. Il n’est pas nécessaire qu’ils codent pour des protéines, ils n’ont pas besoin d’avoir une longueur pour coder pour quoi que ce soit, ils peuvent quand même interférer avec les processus cellulaires de manière spectaculaire et ils peuvent de toute façon détériorer le système immunitaire et le détruire à un tel point qu’avec le temps, il se produira divers types de dysfonctionnements, notamment et spécifiquement des cancers, des maladies neurodégénératives et toutes sortes d’anomalies. Voilà ce qu’il y a dans les flacons. Comme vous pouvez le voir, la proportion de composants contenant de gros morceaux d’ARN qui ne correspondent pas et tous ce shrapnel d’ARN est presque du 50/50.
Les chercheurs ont ensuite examiné plusieurs flacons de Pfizer et Moderna et ils ont trouvé de grandes quantités d’ADN. Et l’ADN est également une impureté liée au processus, il provient du début du processus où l’ARN est transcrit à partir d’une matrice d’ADN. C’est une matière première ou un intrant dans le processus. Cette matrice d’ADN n’est jamais transcrite à 100%, il reste donc une impureté liée à ce processus et il faut l’éliminer. Et ici, il est clair qu’elle n’a pas été éliminée car on a trouvé de l’ADN dans trois flacons de BioNtech et un flacon de Moderna. Dans ce test – et là encore Pfizer utilise un test similaire – vous pouvez voir, à gauche, une bande d’étalonnage des différentes tailles d’ADN possibles, qui correspondent à ce qui se trouve dans le flacon. Vous voyez ces bandes de différentes tailles qui ont été trouvées dans les flacons. Ici, c’est un peu éparpillé entre différentes tailles. Ils ont donc trouvé de l’ADN de différentes tailles dans ces flacons.
Ils ont ensuite calculé le poids de l’ADN et il s’avère qu’il y en a une quantité énorme dans chaque flacon. Pfizer a déclaré que les critères d’acceptation des flacons étaient fixés à hauteur de 10 nanogrammes d’ADN par dose. Mais ce qui a été calculé ici à partir de l’analyse réelle est jusqu’à 2000 [fois] cette quantité. C’est vraiment, vraiment, vraiment inquiétant. J’ai également trouvé ces lots spécifiques dans le VAERS – bien qu’ils proviennent d’Europe et que le VAERS ne soit pas complet pour l’Europe – mais je les ai trouvés dans le VAERS et j’ai trouvé pour ces lots des rapports d’événements indésirables graves et de décès dans le VAERS.
Une autre image a été fournie par mon collègue, Shimon Yanovitz, d’Israël. Ils ont fait des tests et cette image est prise sous un microscope standard. Ils ont examiné les flacons à partir de leur état de congélation totale, puis ont attendu qu’ils dégèlent et ont photographié ce processus. Ce qu’ils ont trouvé, c’est ce que nous voyons sur la ligne du haut, immédiatement à partir de l’état congelé, imagé sous un microscope standard. On peut constater la présence de nombreux types différents d’inclusions et de taches et d’autres particules. Et ce ne sont pas des nanoparticules, car au microscope standard, on voit des structures beaucoup plus grandes. Leur nature n’est pas claire. Puis, 20 à 30 minutes après décongélation, ils ont refait des photos et regardez, elles ont changé de composition. Ça évolue, grandit et s’assemble. Ça s’agglomère en quelque sorte, quelque chose se passe, une sorte de chimie en mouvement constant qui se rassemble et fusionne dans ces autres structures et de nouvelles apparaissent même, comme ces fibres qui apparaissent sur ces images. C’est très étrange, c’est inexplicable et ça n’a pas sa place dans ce type de produit. La question est: pourquoi est-ce là?
Ces structures ne sont pas rares. Un autre collègue m’a fourni cette image et il m’a dit qu’il s’agissait d’une seule goutte du produit Pfizer. Après 72 heures de repos, ils l’ont examinée à un grossissement de 100X, et on y voit la quantité de substance, elle en est littéralement remplie – et c’est juste une goutte. Elle est remplie de ces structures étranges, certaines ressemblent à des particules, d’autres à des morceaux carrés plus grands, et on ne comprend pas bien ce qu’on voit, mais il y en a beaucoup, ça bouillonne littéralement.
Wolfgang Wodarg: Question : Est-ce que ça pourrait être des cristaux de cholestérol ?
Alexandra Latypova: En partie, peut-être, mais ceux qui sont carrés, rectangulaires, ne ressemblent pas à des cristaux. Nous avons par ailleurs observé des images normales de cristaux de cholestérol et ceci ne correspond pas, ils ne ressemblent pas à ça. Ils ressemblent à autre chose et il y a encore davantage de structures beaucoup plus grandes et très bizarres qui ressemblent à des chariots sur roues, c’est difficile à décrire. Il y a aussi des choses circulaires attachées à des choses carrées attachées à un genre de fibre. Si on les compare aux cristaux de sel et aux cristaux de cholestérol, ils ne sont pas pareils. On attend toujours les explications des fabricants, qui restent extrêmement silencieux à ce sujet.
Et nous avons également découvert – ce qui est presque une bonne nouvelle pour les victimes – nous avons découvert que lorsque ce produit est endommagé, il est plus sûr. La diapositive de gauche vient en fait d’Allemagne. Un rapport récent a été publié par l’une de ces équipes de recherche, qui s’appelle le German Working Group. Ils ont effectué un certain nombre de tests, bien menés, sérieux et de grande qualité, sur ces produits. L’un de ces tests portait sur la qualité de la pégylation du produit. Ils disposaient de différents lots Pfizer – chaque point ici représente un lot – et ils ont examiné le degré de polymérisation, l’homogénéité de la polymérisation de ces nanobulles. Le rôle du PEG est de protéger les bulles et de les maintenir séparées. Si les petites molécules sont toutes homogènes, comme une mosaïque, le PEG les protège très bien. En revanche, si ces molécules sont trop petites ou trop grandes, ces nanobulles peuvent se briser. Si elles se brisent, l’ARNm s’échappe, interagit avec l’eau et se dégrade. Les chercheurs ont découvert que ce phénomène est associé au degré d’inhomogénéité. Ainsi, la fréquence à laquelle ces bulles peuvent se briser est associée à moins d’événements indésirables, ce qui est moins dangereux pour la victime. Et puis j’ai découvert précédemment dans mon analyse des documents de Pfizer qu’une fois que l’ARNm s’échappe et se brise, s’il y a plus d’ARNm brisé dans le lot – et c’est aussi le cas pour d’autres lots de Pfizer – il est aussi moins mortel, donc plus sûr. C’est une bonne nouvelle parce qu’il est évident qu’ils ne sont pas en mesure de rendre ce produit stable, ils ne peuvent pas le fabriquer selon leurs propres spécifications et cela se révèle être une bénédiction parce qu’il ne tue pas autant de personnes qu’ils le souhaitaient.
Wolfgang Wodarg: Avez-vous des informations concernant la dépendance à la température de stockage? Parce que j’imagine que si on stocke le produit non congelé pendant une longue période à une température plus élevée, il y a plus de dégradation et la toxicité diminue. Est-ce possible?
Alexandra Latypova: Oui, absolument. Durant le stockage, le transport, ça se détériore à toutes les étapes, même lorsqu’on le secoue. La consigne donnée à l’administrateur est la suivante: « Ne secouez pas le flacon, retournez-le plusieurs fois ». Si on le secoue, bien sûr, il y aura plus de casse. Ça ne rendra pas le produit bénin, mais il sera quand même un peu plus sûr.
Wolfgang Wodarg: Donc si on veut montrer aux gens que ce n’est pas si dangereux, qu’on ne voulait pas qu’ils s’alarment des effets de toxicité, il suffirait de prévoir des températures un peu plus élevées, c’est plus facile. On se sert de cet effet secondaire.
Alexandra Latypova: Oui, dans les documents de Pfizer, ils utilisent également cette méthode pour dégrader l’ARN à des fins de test. C’est très bien documenté. Encore quelques diapositives, c’est assez court, mais en fait nous abordons une partie très intéressante. Nous en avons parlé, nous avons dit que les tests effectués directement à partir des flacons ou directement à partir des lots montrent que ce produit est conçu pour être toxique, conçu pour être mortel parce que c’est l’inverse qui arrive quand il est endommagé et n’est pas conforme à ses spécifications.
Ce que j’ai découvert plus tard… Je me suis mise à réfléchir et à me documenter sur la fabrication de l’ARNm, je n’en savais pas grand-chose au début. J’ai maintenant établi des contacts avec un certain nombre d’experts et je comprends mieux la situation. Je dispose de nombreux documents, notamment de Pfizer, sur la fabrication de ce produit. D’après ce que j’ai appris, je suis franchement d’avis aujourd’hui qu’il est impossible de fabriquer ce produit à l’échelle que ces personnes déclarent. C’est un autre élément du mensonge et de la fraude. Tout d’abord, la fabrication d’ARNm est un véritable défi, même à l’échelle du laboratoire. Si on veut en fabriquer quelques microgrammes, c’est un vrai défi et les gens qui l’ont réalisé me l’ont décrit. Les rendements sont faibles, il y a plusieurs étapes de fabrication et chaque étape donne un rendement inférieur à 100%. Et à chaque étape, on perd en stabilité du produit. Par exemple, un processus en 5 étapes avec un rendement optimiste de 80%, se traduit à la fin par 30% du produit final et 70% d’impuretés à éliminer. Et si le rendement est de 60%, il ne restera que 7% et il faudra éliminer 93% d’impuretés. De plus, il faut évidemment augmenter à l’échelle toutes les matières premières nécessaires pour atteindre une cible donnée, un poids donné du produit. Les ARNm sont très fragiles, surtout ceux qui sont utilisés actuellement dans les injections, ce sont de grandes chaînes. Auparavant, le seul produit approuvé sur le marché qui utilisait de l’ARN en utilisait un très court, appelé petit ARN interférent. Il a une longueur d’environ 100 nucléotides. Celui utilisé par Pfizer et Moderna fait 4.000 et plus de 4.000 nucléotides. Il est donc très long et plus il est long, plus il est fragile. Il n’est pas stable. Il a subi de nombreuses modifications pour le rendre plus stable, c’est pourquoi il n’est pas humain, c’est une séquence étrange, mais qui reste instable. Il doit aussi être encapsulé et avoir une queue et ce sont deux processus distincts. Chacun de ces processus détériore également le produit, donc il n’y a pas de capsulage complet, ni de queue complète. Les PNL dont nous avons déjà parlé, les nanoparticules lipidiques, peuvent également se briser pour diverses raisons, notamment une imperfection de la pégylation, et lorsqu’elles se brisent, l’ARNm se brise également. Comme nous l’avons vu précédemment, il existe un grand nombre d’impuretés liées au processus et d’autres qui peuvent être introduites par de mauvaises pratiques et qui doivent être éliminées. Mais on ne peut rien retirer de manière agressive de ce produit car il est très fragile. On ne peut donc pas utiliser les mêmes techniques de centrifugation, de filtration, de mélange qu’on utilise dans la fabrication de produits chimiques. Les fabricants prétendent maintenant – j’ai des archives qui montrent que ces lots font en moyenne quelque chose comme 200 à 300 litres, ce qui dépasse déjà l’imagination, pour un seul lot. Récemment, j’ai obtenu des documents qui montrent qu’un lot de Pfizer a produit 12.000.000 de doses, ce qui représente environ 900 litres d’ARNm. À ce moment-là, mes collègues ont éclaté de rire et m’ont dit: « Je ne savais même pas que l’on produisait des sacs biologiques de cette taille ». Pourquoi faire ça? Je ne comprends pas ce qui se passe. Est-ce qu’ils diluent trop, est-ce qu’ils mélangent plusieurs lots, est-ce qu’ils étiquettent mal, est-ce qu’ils réactivent simplement un ancien produit? Je ne sais pas. Tout est possible parce que, comme je le développerai bientôt, aucune règle ne s’applique à eux. Lorsque l’on a affaire à une échelle de cette ampleur, la disponibilité des matières premières est sujette à caution. Là encore, mes collègues se demandent s’ils sont en mesure d’obtenir les enzymes à cette échelle, car il faut tout multiplier par les rendements pour atteindre l’objectif final. De plus, ces lots sont produits simultanément à cette échelle et à cette vitesse par de nombreuses entreprises. Je ne sais pas si c’est possible ou non. Pfizer signalait déjà une instabilité chimique même avec 37 litres. Dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments de Pfizer, il est dit que la réaction enzymatique pour fabriquer de l’ARN s’arrêtait déjà à ce niveau parce qu’à de grands volumes, les produits chimiques ne s’équilibrent pas de la même manière qu’à de petits volumes. Maintenant, même si on arrive à produire quelque chose de ce genre en grande quantité, ce qui se passe, c’est que le produit devient super hétérogène. Il y a des problèmes dans les petits lots, mais dans les grands lots, on trouve des lipides dans l’eau. Et les lipides flottent dans un énorme volume, donc ils commencent à se séparer et ont tendance à aller vers le haut et à former des amas. On a donc de l’ARNm en quantité très irrégulière qui flotte dans un grand volume d’autres éléments, dont l’eau. Ensuite, cet énorme volume doit être conditionné dans des récipients de 0,45 millilitre, des flacons, et bien sûr, il y aura une multitude de flacons vierges ou presque vierges qui ne contiendront pas du tout d’ARNm. Il peuvent contenir des contaminations métalliques ou autres et on se retrouve alors avec des injections mortelles d’ARNm super concentrées. Et cela explique le fait que la plupart des gens sont apparemment en forme après ces injections – du moins au début. Ils peuvent développer quelque chose plus tard, ils peuvent avoir le Covid, cela augmente la probabilité d’avoir le Covid. Mais on voit aussi des gens qui meurent dans les minutes qui suivent l’injection. Voilà ce qui se passe, la dure réalité, à cause de l’énorme hétérogénéité des flacons.
Wolfgang Wodarg: Il n’est pas possible de l’homogénéiser ensuite, de le conserver comme le lait, qui est très homogène. Le lait naturel ne l’est pas, il y a la crème en haut et l’eau en bas. Ils ont des procédés techniques pour homogénéiser le tout, mais ils ne peuvent pas le faire sans perturber, sans détruire l’ARN, n’est-ce pas?
Alexandra Latypova: Oui, exactement. Avec le lait, c’est peut-être possible, mais même dans ce cas, si on regarde du lait homogénéisé au microscope, on voit des grumeaux et d’autres éléments. On ne peut pas faire ça avec ce produit parce que ça le brise. Et il se brise tout au long du processus et toutes les impuretés qu’ils ne peuvent pas éliminer y restent en permanence. C’est un énorme gâchis, un gâchis complet. À mon avis, il est impossible de fabriquer ce produit en respectant les bonnes pratiques de fabrication et je soupçonne qu’ils le savaient parce qu’ils ont essayé pendant 20 ans de mettre ce produit sur le marché et qu’ils sont toujours arrivés jusqu’au stade, peut-être, des études humaines précoces, mais c’est tout. Et ils n’ont pas pu aller plus loin à cause des problèmes de sécurité et parce que je soupçonne qu’ils ne parvenaient pas à rendre le produit constant. Ils le savaient et ils ont décidé « Ok, maintenant nous allons le faire passer par cette grosse arnaque ». Je vais vous expliquer comment ils l’ont inscrit dans leur contrat. Je suis pratiquement sûre que ces produits ne peuvent pas être fabriqués conformément à l’étiquette, à l’échelle et à la vitesse prévues, et les fabricants le savent très bien, c’est pourquoi ils ne le font pas.
Examinons la structure de cette organisation, l’organisation globale, la vue d’ensemble. Voici leur organigramme, il est orienté sur le côté mais il s’agit quand même d’un organigramme et il provient de la réunion du Comité Consultatif sur les Vaccins et les Produits Biologiques Associés du 22/10/2020. C’est toute l’opération Warp Speed qui se réunit et décrit sa structure organisationnelle. Remarquez deux ou trois choses. Qui dirige cette opération? C’est le Ministère de la Défense des États-Unis, Chef des Opérations. Qui est le chef scientifique? C’est le HHS et la FDA. Ensuite, évidemment, cette partie du tableau, c’est la partie supérieure et ce sont les personnes en charge: le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et le HHS. Ces autres personnes ne sont pas responsables, mais elles reçoivent d’énormes sommes d’argent, donc elles sont contentes et elles assurent la continuité du projet. En outre, la partie supérieure comprend la fabrication, l’approvisionnement, la production, la distribution et les essais cliniques. De nombreux contrats on été conclus par le Ministère de la Défense et le Ministère de la Santé avec tous ces fabricants de vaccins, et ils révèlent beaucoup de choses sur la structure. Ces contrats sont disponibles par le biais des divulgations de la Commission des valeurs mobilières et des échanges aux actionnaires et j’en ai lu beaucoup. Ils révèlent la structure par laquelle le gouvernement a pris le contrôle de l’industrie pharmaceutique en lui octroyant d’énormes sommes d’argent et en signant ces contrats très restrictifs qui contrôlent tout. Mais le gouvernement conçoit les essais cliniques, le gouvernement conçoit tout et la FDA se contente d’approuver – en fait, la FDA fait partie du gouvernement. Voyons qui fabrique vraiment ces produits.
Voici une autre diapositive Power Point de la même réunion. C’est l’opération Warp Speed/BARDA. BARDA est une agence militaire de développement de produits biologiques et ils déclarent « Bien, voici notre panel de fabrication de vaccins ». Encore une fois, par le biais de ces contrats – et il y a des contrats disponibles pour toutes les entités listées ici – par le biais de ces contrats, il est très clair que ce qu’ils appellent les initiatives de soutien aux vaccins décrivent en réalité qui fabrique effectivement les vaccins. Par exemple, Emergent Biosolutions, que j’ai entouré ici, est l’un des centres de fabrication que le BARDA a mis en place il y a longtemps. Les contrats que j’ai lus remontent à 2012, date à laquelle Emergent a été établi comme fabricant de vaccins, le fabricant de vaccins de la Défense pour les vaccins contre la grippe à l’époque. Ils ont également déclaré « Nous allons construire cette prétendue capacité de pointe », ce qui signifie que d’énormes sommes d’argent ont été versées. Le contrat s’étend de 2012 à 2037, avec différentes options, puis en 2020, ils ont mis en œuvre une option pour les vaccins Covid. Emergent fabriquait les vaccins d’AstraZeneca et de Janssen, dont elle était le fournisseur. Et, soit dit en passant, ils ne respectaient aucune règle de bonnes pratiques de fabrication. Il y a aussi d’autres entités très importantes comme Ology. Aujourd’hui, elle a été convertie en cette nouvelle entité monstrueuse, appelée National Resilience Company, et il s’agit essentiellement pour le Ministère de la Défense d’acheter un ensemble d’usines de fabrication à des sociétés pharmaceutiques et d’établir sa propre structure de fabrication. Ça représente des millions de mètres carrés, ils ont d’énormes sommes d’argent et ils fabriquent ces produits. Texas A&M, également. Celle-ci semble fabriquer des produits comme Novavax, car elle utilise une sorte de lignée d’insectes – je ne sais pas ce que cela signifie. Il y en a beaucoup d’autres. Une fabrication complexe exige – il ne s’agit pas seulement de fabriquer quelque chose – il faut aussi disposer d’un personnel qualifié, de tout l’équipement nécessaire, de fournitures, de produits à usage unique, d’un accès aux matières premières, c’est une infrastructure énorme qu’il faut mettre en place et ce n’était pas possible. Ce n’est pas comme si on pouvait aller voir Ford Motor Company et leur dire : « Voici 10 milliards de dollars, j’ai besoin de 1 million de nouvelles voitures en 6 mois ». Même Ford, dont la production est déjà établie, en est incapable, car il n’est même pas possible d’obtenir les matières premières à temps. Maintenant, imaginez le même scénario si le gouvernement va voir Ford, General Motors et Toyota et leur dit de le faire simultanément. Aucune somme d’argent ne permettra de produire ce miracle en 6 mois. Ça n’a pas été le cas. Ils ont juste donné de l’argent à ces entreprises et leur ont ensuite ordonné de se tourner vers les entreprises qu’ils avaient déjà établies depuis longtemps pour fabriquer le produit. Ce sont elles qui fabriquent le produit et ces personnes ne sont qu’une façade. Ils assurent certains aspects de la fabrication, mais pour l’essentiel, c’est ici que ça se passe. Et tout cela est contrôlé par le Ministère de la Défense. Plus précisément, les contrats ne prévoient aucune exigence en matière de responsabilité – permettez-moi de passer à la page suivante.
La mauvaise nouvelle est qu’il s’agit d’un produit du Ministère de la Défense à part entière. Les gens ne le comprennent pas. On a l’impression que c’est une opération militaire, on le dit partout. Il s’agit en fait d’une opération militaire de A à Z. Ce n’est pas seulement qu’ils ont fait appel à une distribution militaire pour des raisons de rapidité, d’acheminement vers différents États et d’utilisation de la réfrigération. Non, ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Tous ces contrats sont passés avec le Ministère de la Défense. Il y en a des centaines, qui concernent toutes sortes d’entreprises. Tous les contrats sont passés avec le Ministère de la Défense, le Ministère de la Défense est l’acheteur, le Ministère de la Défense leur octroie d’énormes sommes d’argent. Comme je l’ai dit, ils disposent déjà d’une base de fabrication établie. Par exemple, le premier contrat pour Pfizer se montait à 10 milliards de dollars pour livrer 100 millions de doses de vaccin et jusqu’à 500 millions au total, et il était prévu des primes pour une livraison plus rapide, ce qui me fait dire « Pourquoi en produisent-ils 900 litres? Eh bien, parce qu’ils n’ont pas de comptes à rendre et qu’ils reçoivent des primes s’ils livrent toutes ces doses à temps ». C’est l’une des raisons. Et il était impossible de les livrer à temps, sauf en faisant appel aux fournisseurs déjà établis du Ministère de la Défense. Et il n’est question de responsabilité que celle des entreprises de faire des efforts raisonnables, quoi que cela signifie. Mais le contrat prévoit une microgestion extrême à chaque étape des opérations. De même, les essais cliniques sont conçus par le gouvernement, et non par le fabricant de produits pharmaceutiques. Les interactions réglementaires sont complètement prises en charge par le gouvernement. Par exemple, les entreprises pharmaceutiques ne peuvent en aucun cas discuter de manière indépendante avec la FDA. S’ils ont une réunion, il faut que les représentants du Ministère de la Défense y assistent. Pour moi, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une relation sans lien de dépendance, mais d’un contrôle total de leur relation par le Ministère de la Défense.
Autre chose, la distribution du produit. Le produit est expédié au Ministère de la Défense. Toutes les doses de vaccin aux USA sont expédiées au Ministère de la Défense. Elles ne sont pas envoyées à des distributeurs pharmaceutiques indépendants, agréés et réglementés, comme c’est le cas pour tous les produits pharmaceutiques normaux. Elles sont retirées de ce système pour être placées dans cette boîte noire de distribution réservée au Ministère de la Défense. Et en fait, les contrats avec les vaccinateurs stipulent explicitement que ce produit est la propriété du Ministère de la Défense ou du gouvernement américain jusqu’à ce qu’il soit injecté à la personne. Et qu’il est interdit de tester les flacons de manière indépendante, d’obtenir un accès indépendant aux flacons, ce qui est qualifié de détournement de la propriété du gouvernement. Ils interdisent de tester les flacons et comme je l’ai déjà dit, ni les fabricants, ni les régulateurs ne testent les flacons. Personne ne teste les flacons et personne n’est autorisé à le faire. Dans le même contrat, il y a une clause qui les exonère tous de toute responsabilité tant qu’ils suivent leurs ordres et cette même clause décrit le produit comme une application civile et militaire. Il existe aussi des contrats conclus par les États-Unis avec d’autres pays comme l’Union Européenne, le Brésil et l’Albanie. Les contrats de l’Union Européenne sont encore largement expurgés mais j’ai vu un contrat albanais non expurgé et on nous a dit que toutes les clauses du contrat étaient identiques. Ces contrats interdisent explicitement le test des flacons par des gouvernements étrangers ou qui que ce soit sur place. Et en fait, ils indemnisent aussi Pfizer pour absolument tout, et fournissent une immense couverture de responsabilité. Le gouvernement est obligé de renoncer à toutes les règles et réglementations et aux bonnes pratiques de fabrication, aux pratiques de distribution, à tous les contrôles existants, pour garantir l’indemnisation de Pfizer. De plus, ils ne peuvent pas modifier leurs lois nationales pour qu’il en soit autrement. Donc, en signant ce contrat, ils ont abandonné leur souveraineté nationale à une société pharmaceutique. C’est totalement ridicule. C’est ainsi qu’ils évitent toute forme de responsabilité et qu’ils interdisent les tests de lots, les tests de flacons. Mais on peut interdire tout ce qu’on veut. Comme vous l’avez vu, il se déploie une vaste activité secrète de tests et nous avons déjà trouvé toutes ces réponses. Nous avons découvert que ces produits sont corrompus, contaminés, qu’ils ne sont pas du tout conformes à ce que dit l’étiquette, qu’ils sont extrêmement toxiques et qu’ils le sont à dessein. Mais ceci vous explique comment ils peuvent tous s’en tirer et comment ils peuvent tout simplement ignorer toute règle: parce que ces règles ne s’appliquent pas à eux, c’est un produit militaire, fabriqué par l’armée, pour l’armée, distribué par l’armée et injecté aux gens et ce que c’est sous couvert de secret total.
En conclusion, je tiens à souligner que ces injections ne sont absolument pas des produits pharmaceutiques et que les gens devraient cesser de les considérer comme tels. Ils auraient dû cesser de les considérer comme des vaccins depuis longtemps, mais ils devraient cesser de les considérer comme des produits pharmaceutiques, des médicaments ou quoi que ce soit qui ait le moindre rapport avec ceux-ci. Ce ne sont pas des produits pharmaceutiques. La collusion entre le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et l’industrie pharmaceutique a abouti à cette violation de toutes les règles et garanties établies. Ces produits sont mortels de par leur conception, intentionnellement, et il est impossible de les produire selon les bonnes pratiques de fabrication. Ces gens qui prétendent « Nous pouvons recoder vos gènes et guérir n’importe quelle maladie », c’est de la foutaise pure et simple. Personne ne le peut. Toute cette révolution de l’ARNm est, à mon avis, une escroquerie. Il faut les faire cesser immédiatement, mener une enquête approfondie et traduire les responsables en justice, leur demander des comptes. Tant que cela ne sera pas fait, nous ne pourrons pas avancer et je suis tout à fait d’accord avec l’intervenante précédente lorsqu’elle dit « Ce n’est pas que toutes les obligations sont terminées et que maintenant nous allons tous partir en vacances et oublier tout cela ». Non, parce qu’ils continuent de plus belle. Ils convertissent tous les vaccins existants en plateforme ARNm. Et devinez quoi, ils ne se limiteront pas aux vaccins, ils vont commencer à produire toutes sortes de médicaments utilisant cette plateforme parce que maintenant ils le peuvent. Maintenant, ils peuvent se contenter de faire une étude sur huit souris et déclarer que c’est sûr et efficace. C’est la raison pour laquelle nous devons nous focaliser davantage sur ce sujet et nous focaliser en particulier sur les poursuites judiciaires afin de traduire les responsables en justice.
Viviane Fischer: On pourrait naïvement penser que si cette opération est si gigantesque et qu’il est si important pour eux de fournir ces vaccins à tout le monde que […] pour cette tâche logistique gigantesque, il faut impliquer les militaires en raison de leur expérience logistique et de leurs contacts. Pourrait-il y avoir – je suppose que non – mais pourrait-il y avoir une réponse naïve à la question de savoir pourquoi l’armée est impliquée à ce point?
Alexandra Latypova: Oui, c’est une réponse naïve, mais si l’objectif était valable, si l’objectif était innocent et consistait à faire en sorte que les gens guérissent de cette maladie, alors les directives de sécurité devraient être suivies et elles ne le sont pas du tout. On ne peut donc pas dire « parce que c’est un tel désastre, nous devons tout faire de travers et causer davantage de décès au cours du processus, mais ce n’est pas grave ». Ce n’est pas logique selon moi. Cela ne fait que provoquer un énorme gâchis. Je ne vois aucun avantage à procéder de cette façon. Ce n’est pas comme si l’armée avait une sorte de capacité plus miraculeuse que les fabricants privés. Les fabricants privés fabriquent beaucoup de produits, des produits de très haute qualité à des vitesses fulgurantes. Ils possèdent en fait une expérience incroyable dans ce domaine. Le rôle de l’armée n’est pas plus crucial que celui des fabricants privés dans ce domaine.
Wolfgang Wodarg: On dirait que les militaires sont tout simplement aveugles au fait qu’ils aident à tirer sur leur propre peuple.
Alexandra Latypova: Exactement et nous avons beaucoup de courageux dénonciateurs au cœur des opérations militaires, qui ont été harcelés, comme Theresa Long par exemple [NdT. voir ici] , qui a essayé d’arrêter ces agissements. Ils attirent l’attention sur ce problème, ils le signalent et ils disent « Je ne le donnerai pas à mes gens, je ne le donnerai pas aux soldats de ma base ». Ils sont confrontés à de lourdes répercussions, mais ils continuent à prendre la parole et à expliquer que c’est mal et qu’il ne faut pas le faire. Oui, cela porte préjudice à nos forces armées en ce moment même, car ils exercent une pression sur les soldats et surtout sur les pilotes. Cela leur cause du tort et c’est une autre raison pour laquelle cela devrait être arrêté.
Wolfgang Wodarg: Je me demande juste, qu’est-ce qui se passe au niveau de l’OTAN? Vous avez parlé de l’Union Européenne mais l’Union Européenne a juste comme rôle d’obtenir l’argent, de collecter l’argent et de fournir de l’argent à l’industrie. Mais la fonction des militaires qui travaillent ensemble et coopèrent au sein de l’OTAN, il devrait y avoir des recommandations pour les troupes allemandes en Allemagne qui sont membres de l’OTAN. Si c’est une affaire de taille qui émane du Ministère de la Défense et que nous sommes partenaires au sein de l’OTAN, nous avons observé que lorsque tout a commencé, lorsqu’ils ont commencé à distribuer les flacons, c’est l’armée allemande qui s’est rendue dans les institutions et ce sont des médecins de haut niveau qui ont administré les flacons. Il n’y avait pas de médecins normaux mais c’était une action où l’armée allemande était employée pour s’occuper de la distribution, qui était en charge de garder tout ça. Et normalement, quand l’armée allemande fait quelque chose, le Parlement doit décider de tout ce que l’armée fait. Je ne me souviens d’aucune décision du Parlement allemand.
Alexandra Latypova: Exactement. Le Ministère américain de la Défense s’est adressé à l’armée allemande, mais je suis sûre qu’il s’est adressé à toutes les autres armées de l’OTAN et leur a dit: » Voilà, vous allez injecter ça à vos gens. Au fait, vous ne pouvez pas savoir ce qu’il y a dedans ». Comment cela pourrait-il être acceptable? Et c’est bien cela qui se passe et c’est bien le crime qui est commis. Ils ont contracté tout cela, ils ont créé cette structure légale sur papier mais, devinez quoi, il n’est pas légal de contracter pour tuer et blesser des gens. Pour cette raison, il faut enquêter et arrêter ça.
Wolfgang Wodarg: Il est essentiel que tout cela soit dit ouvertement. Il est essentiel que cela soit documenté. C’est essentiel que tout le monde le sache. Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup pour votre travail. C’est remarquable.
Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Tout le monde peut me joindre par votre intermédiaire si quelqu’un a des questions ou souhaite voir les documents originaux. Tout ce que je montre est disponible publiquement. Tout provient de documents accessibles au public.
Viviane Fischer: Il faudrait que nous publiions une liste de tous ces documents. Je pense que ce serait important afin que tout le monde puisse les consulter, ou peut-être avez-vous une source. Je suis en fait assez choquée par le fait que cela montre que tout est lié. Il ne s’agit pas de gens qui se dépêchent pour être les premiers sur le marché et qui font ensuite de petites ou de plus grosses erreurs dans le processus de production. La façon dont vous l’avez présenté ici indique qu’il s’agit d’un effort bien orchestré.
Wolfgang Wodarg: Une opération internationale sous contrôle.
Alexandra Latypova: Une opération internationale sous contrôle, exactement. De plus, les fournisseurs que je vous ai énumérés, les fabricants, sont présents dans le monde entier. Beaucoup d’entre eux sont présents en Allemagne également, mais aussi en Belgique, en Italie et un peu partout, en Inde et en Chine. La Chine participe massivement, je n’ai pas eu le temps d’en parler, mais tout est connecté dans le monde entier.
Viviane Fischer: Quel rôle joue la Russie dans tout cela ?
Alexandra Latypova: Je n’ai pas vu de mention de la Russie dans ces contrats. Ce que j’ai vu, c’est que la Chine, l’Allemagne, les États-Unis sont connectés et investissent dans les mêmes entités, puis le Ministère de la Défense leur donne 10 milliards de dollars, ce qui signifie qu’il a donné dix milliards de dollars à une entité dont le PCC est actionnaire. Ils sont incontestablement en lien. Je n’ai vu aucune mention de la Russie, mais ils ont leurs propres vaccins, ils font la même chose mais en parallèle, ils jouent le même jeu mais dans un bac à sable différent.
Wolfgang Wodarg: C’est une question très intéressante car il y a ce conflit en Ukraine, il y a le conflit sur l’énergie. Je pense que c’est une très, très grande partie d’échecs et que toutes ces puissances essaient d’en tirer le meilleur parti pour elles-mêmes. Il serait donc très intéressant d’en savoir plus sur les projets de la Russie. Ils gagnent beaucoup avec l’énergie, ils viennent de couper une ligne mais ils la vendent de l’autre côté à d’autres nations. C’est un jeu très global très difficile et très compliqué à comprendre. Je pense que si nous continuons à chercher, nous apprendrons beaucoup de choses à ce sujet et nous devons apprendre beaucoup de choses pour que de telles choses ne se reproduisent plus jamais.
Alexandra Latypova: Oui, exactement.
Viviane Fischer: Merci beaucoup. Je pense que nous devons vraiment creuser ce sujet. C’est vraiment choquant et étonnant. Merci beaucoup pour votre travail.
Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Passez une bonne soirée.
Source de la vidéo. Source de la session complète.
Viviane Fischer: We have a new guest. It’s Mrs Alexandra Latypova. She’s a former pharmaceutical industry executive. Hello.
Alexandra Latypova: Hi everybody.
Viviane Fischer: Hello, nice to see you. It would be great if you could maybe introduce yourself a little bit. What’s the most important things that you would like to share about your CV with our audience?
Alexandra Latypova: My experience is in pharmaceutical research and development. I spent about 25 years in the industry in various roles. Early on it was data analysis and later on I started working in clinical trials and in technologies that are used in clinical trials for various drug assessments such as imaging technologies, electrophysiology and many other techniques. I co- founded several clinical research organizations. These are companies that are contractors to pharmas, working in clinical trials. I worked eventually for approximately 60 pharmaceutical companies all over the world, mostly in the US and Europe but also in Asia. And Pfizer was my client and in fact they were my investor twice and we had an R&D collaboration around these technologies that can be used in clinical trials. And I also worked directly with FDA in the areas of cardiovascular safety assessments and participated in FDA industry consortia around methodologies to perform cardiovascular safety assessments in clinical and preclinical research. I retired from the industry a few years back and I wasn’t working when this whole Covid scam started. I became immediately concerned due to my knowledge that things were going very wrong, that the practices and policies that were being put in place just didn’t make any sense. I started looking into the situation more closely. I worked initially by analyzing CDC VAERS data set because it’s publicly available and then later on, now, I work on various documents that become available through freedom of information lawsuits. I review these documents and I collaborate with various groups trying to provide them expertise and interpretation of what’s in these documents so that various actions can be taken by public and also by law firms.
Viviane Fischer: So you have a lot of experience in this field, obviously. What results from all of this is that you think that all safeguards and regulations that were used, that the public relied on for years – and also assumed that they would continue to be in place – are basically abandoned. Could you maybe elaborate on that?
Alexandra Latypova: That’s the biggest lie about these so-called vaccines. They’re not vaccines, they’re not even pharmaceuticals and I will explain [that] in my presentation. But that’s the lie that was sold to everyone globally that this is a medicine but it’s not a medicine. And once the public was told this is a medicine, a vaccine, everybody’s expectation was that all these safeguards that we’re used to for medicines were in place and they were not. And they actually do not even legally apply to these products although that’s a question. You cannot contract for a crime, they have contracted for a crime and they’re committing it as we speak. And they’re calling it legal but it remains to be seen – and I can explain in my presentation. I have some slides if I can share?
Wolfgang Wodarg: Just share your screen.
Alexandra Latypova: The topic of my presentation today is to talk about these injections and specifically about regulatory and manufacturing fraud because not a lot of people have addressed this particular issue and this has been my focus.Through this investigation I realized that there’s a deep collusion between manufacturers, global regulatory agencies. It’s not just FDA, it’s EMA, all of them, and especially with the US Department of State. This entire program is headed by the US Department of State. This is a military action, a military program that has suspended all safety rules and regulations everywhere in the world effectively. And they’re colluding with pharmaceutical manufacturers to drive these deadly products throughout the world.
So far, this is overall a very high level summary of all evidence for these Covid 19 injections that we have today and I think most of us here will agree on these points. They were covered in your investigative committee also quite extensively.
So, first of all these products are toxic by design. There’s been numerous publications explaining how that is and overall the numerous mechanisms of injury designed into these products. They interfere with your genetic processes that are ongoing in your body all the time. While the manufacturers a claiming that there’s some sort of helpful protein that gets expressed, that’s not how the human body works. It really just breaks down the immune system leading to all sorts of catastrophic consequences. We now know that there is no safety of these products. The death and injury toll is simply horrific all over the world. It exceeds all previous high numbers from old publicly available databases. Yet nobody in authority is paying attention to it or when that point is brought up to them, they just plain deny it and gaslight the public. There is no efficacy of this product. I’ve yet to see anywhere that somebody could show a lasting protection from these injections. They don’t. Now the governments want people get injected every 3 to 4 months. That’s just ridiculous for something that’s called a vaccine and there’s absolutely no protection against Covid illness that these products can provide.
Now the focus of my presentation today will be mostly on manufacturing and how this fraud is committed from the framework, how this cartel formed, who are the participants of the cartel and what exactly they are doing. The bad manufacturing, few people have addressed it but this product is completely non-conformant because it doesn’t have to conform. It’s a prototype, it’s not a pharmaceutical so it’s highly non-conforming to its label and it’s extremely variable. It does not conform to good manufacturing practices and there is no enforcement of good manufacturing practices anywhere in the world where such laws exist. There is obviously malignant policy from the governments. We know that they’re lying, we know that they’re covering up, they’re gaslighting the families of killed and injured by these shots. They demonstrated very, very clear intent to harm through all these actions. At this point everything should be deemed intentional. All the injury and death toll should be deemed completely intentional.
Now let’s talk about manufacturing to just bring out the point what is good manufacturing practices. In the US, it’s a set of laws and rules and regulations which is in the code of federal regulations. It’s a very extensive set of laws that covers high quality, consistency, purity standards for drugs, vaccines, also covers food and beverage – mass produced. The expectation is that every batch of every new product is about the same as the previous batch of the same product and that they conform to the label, they don’t have impurities and they don’t have anything toxic. There’s also, in the case of these Covid 19 injections, the expectation that they’re even interchangeable between different brands although no testing have been done to demonstrate that. These rules and regulations exist in other countries and they’re very similar. In the US they were developed somewhere between the 1900’s and 1960’s and there’s a very extensive set of them. It was in response to a lot of people being poisoned and killed by badly produced products at the time and in fact it’s a severe crime to introduce an adulterated product, a product doesn’t comply to these rules into interstate commerce in the US or internationally.
When I first started looking at these Covid 19 injections, I wanted to understand how they look like versus something that was more traditionally compliant with our good manufacturing practices. Because we were talking about an alleged vaccine, I decided to compare it with the traditional flu vaccines and I took all the data from VAERS database that coved traditional flu vaccines. I plotted it on this graph. On the X axis we have all the lot numbers for flu vaccines. This is about a dozen manufacturers, different products, all injectable flu vaccines, and on the Y axis I have serious adverse events and deaths. I never include all adverse events because there’s a lot of administrative issues and maybe minor things so I just want to focus on serious and death. As far as serious and death, as you can see, these are very consistent products are they never vary much. The average is around maybe 3 or 4 serious adverse events per lot. Then we have some outliers – we only have 2 outliers here over many years and the largest was 37 reports per lot. This is approximately how a product in compliance with good manufacturing practices would look like for a vaccine product and that should be the expectation.
When I looked up the Covid 19 injections, the picture was dramatically different and this is extremely alarming. It’s so bad that it should have been a flag right away for any regulator on any level – federal state, local. We all have established regulators at all levels of the government that can flag issues with abnormalities, abnormal patterns with any products in their jurisdiction and then a recall can be issued. But nobody did that. We see this huge variation between lot to lot for all these Covid 19 injections. Here, by the way, I have all the verified lots from CDC, we have a complete list of lots that were issued in the United States with correct lot numbers, manufacture dates and expiration dates. So all of these are valid and yet you can see they are hundreds and thousands of times larger in variation compared to flu vaccine, which is all under this red line here, and all of these are so much higher. We have the range of up to 1 500 serious adverse events and that’s for a lot and then we have some lots that have very few and then we have a huge difference even between – you can visually see it – between different manufacturers. We have Janssen here, Moderna all these here, and then Pfizer – look at this. This was incredibly alarming and in fact there was one flag issued very early on in the rollout by Orange County, California. They detected on 1/18/2021, so just couple of weeks after the mass roll out of these injections, they detected one lot from Moderna that they said generated a substantial number of adverse events. However nobody else was alerted. This was in the news but no other health authorities were issued any communication. The manufacturer did not stop this lot, did not recall it, nobody from the health authorities forced a recall and this lot was continued to be sold all over the United States until it ran out in March. It also generated about a thousand of serious adverse events and close to 60 deaths. So all of those should be deemed intentional because the authorities did flag it, they did find that it was generating abnormal adverse events. Yet nobody did anything to stop it and they continued pushing it into people.
Viviane Fischer: In this Pfizer representation there, it seems if there’s a toxic lot, then it’s very toxic.
Alexandra Latypova: These ones, yes, they’re extremely high and they’re extremely toxic. Usually these ones generate a lot of deaths as well so I didn’t itemize death here but yes. We see these large lots generating a lot of deaths but it’s not always. Sometimes even a small one will generate abnormal number of deaths. They also vary by lethality as you can see. So there’s huge variation all over the place.
Wolfgang Wodarg: So you will for sure tell us something about the reason for those variations.
Alexandra Latypova: Yes, we found many reasons. People often told us, « You guys are conspiracists and that’s all just because of the size of the lots are different » and actually they are not that different. We later received just recently – there was FOIA data request information came out and they provided all the shipments of Pfizer products in the US by lot number and what number of doses. When I plotted them by date of manufacture here on the X axis, and we’re just looking at deaths – here it’s easier to see – so when adjusting for the lot size – here I adjusted by 1000 doses – we see this very strange picture. There is a huge variable – these are up to 12 times different from these. And look at the dispersion especially at the beginning of the year. Then this variability declined and toxicity declined but the variability is still unacceptable in this part of the graph. It’s just that it gets dwarfed by this part of the graph. All of this should not be there. The expected relationship should be like flat line, zero and as close to zero as possible. But here we have a definite statistical relationship, for Pfizer it’s both between the date of manufacture. Think about it, you should not have any difference in toxicity of a product depending on the date it was manufactured and also, the same relationship exists between even the alphanumeric codes for Pfizer and Moderna. They also cluster – I’m not showing it here – but they also cluster around different alphanumeric codes. We know which letters and numbers stand for what level of toxicity today. And we can tell it to people and in fact we have been, on our website.
That’s the situation that absolutely is alarming and absolutely obvious, has been obvious from the start and no health authority ever noticed it. That’s extremely concerning and again that points to intentional act.
Viviane Fischer: I don’t know if you’re going to come to that but I have a question, before I forget. In the beginning there was the elderly and the sick, already sick people maybe, who got vaccinated and then we had the younger people who were admitted. So when you see that until April 21 could it be that this has the variability because of more intense reactions, because of the age group that got vaccinated? Are you going to come to that question later?
Alexandra Latypova: Yeah, I have a slide on this in my backup slides in fact. That question was asked frequently and here is the answer – this is by the way by my German colleague and this is based on German data. Age doesn’t influence this as much as you think. We had 12 times difference which between the low lethality lots and high lethality lots. There were some older people but remember in the early roll out there were also healthcare workers so it was never just old people. The average age has always been fairly low. It’s not in the eighties, it’s much less. But here my colleague from Germany did analysis looking at the influence of age over these effects of death and these adverse events and it turns out age has only partial explanatory power, does not explain all of – it actually explains very little of it. So here we have something like 18, 13 percent explained by the age and the rest is not explained. And you can visually see it. If you did different tests on the lots that were shipped to Germany with the severe adverse events and deaths and you plotted them here, you can see for example here, it very clearly can be seen on this graph, the age here is less than 60, so this is maybe 58 year old, and you can see this vertical dispersion of the results of the adverse events. This means that for the same age they have the lots that were less toxic and far more toxic. This is a huge dispersion and it goes almost everywhere, you can see that. And you can see here 60 or 70 even, so there is this very not toxic and this is around 80 years and very highly toxic and it goes all over the place. So because the data exists in this cloud, it just tells you age doesn’t explain it – it explains a little bit.
Viviane Fischer: Okay, thanks so much.
Alexandra Latypova: [Let me go back.] And there are also other patterns of a strange variability also still unexplained. Another one of my colleagues put together this chart for the US. We have very strange geographic abnormalities in terms of how toxic these products are. So when we look at data in VAERS, that’s all 100 percent vaccinated populations so policies of local governors do not play a role here. Everyone who got vaccinated is covered by this. We look at death per hundred thousand vaccinated people in the state then we see this picture which is also quite strange. For example South Dakota is the worst state in the Union right now. It has 33 deaths per hundred thousand vaccinated people and the next worst state is Kentucky with just 24 per hundred thousand vaccinated people. And then we have states like Utah and California for example with only 1.7 and 1.9 so that’s a huge range. Again, there’s no way to explain this by normal demographics of the states. In fact, California has poor demographics if you think about homeless and drug addicted populations and so forth. So that’s unexplainable right now and nobody seems to be concerned about this. But to me it just says that the product is gigantically variable and whatever they’re shipping to these different states is extremely variable, too.
So given this variability of manufacturing, the manufacturer is producing highly, highly variable products and that creates these strange patterns abnormalities whichever way you look. I started next looking at the regulatory documents that I could get and I reviewed several packages of what’s called non-clinical summaries. They became available through FOIA and these were for Pfizer and for Moderna and those summaries contained – their own summaries of animal studies that they performed and that the FDA then used for approval of Pfizer’s injection product and Moderna’s Spikevax.
I’m going to talk mostly about Moderna for the interest of time but they are very, very similar both of them. First I looked at Moderna and I found a very strange thing about Moderna. Moderna apparently has two investigational new drug numbers which is strange to me because by rules, by regulations, there’s supposed to be only one investigational new drug number for each new molecular entity. And that number opens your application with the FDA and the similar process in European agency. That number opens your application and then you as a sponsor collect all the data for animal studies and then clinical studies and all the results and all the data sets, they get appended to that number. It’s like a case number and then that becomes a dossier that you use with the regulators to review and approve your product. And that works like this everywhere in the world where we use these systems, International Conference for Harmonization. And in Moderna’s case I saw two numbers. I still don’t know how this works but that’s my question that was never addressed. First of all that other number was opened first and then Moderna’s number second. The first number belongs to the NIH. They are the owners, National Institutes of Health and specifically it’s a division of microbiology and infectious diseases, DMID, and organizationally that group reports to Anthony Fauci. So they own this number, they opened this number for Moderna in February 2020 and then they also did – it may be on going – they’re performing a lot of animal studies for Moderna. Because they have these two numbers, that means that they are co-owners of this product and they have the rights for revenues and profits derived from this product. This is highly abnormal and a huge conflict of interest because this is well beyond a more standard ideal relationship where, let’s say, private manufacturer can license a patent from NIH or a patent from an academic institution and then they pay them small royalties when that technology is used in subsequent products on the market. But this is different, this is NIH actually getting revenues and profits from this product – or at least has the rights to – and also we should note that, of course, NIH and Anthony Fauci specifically were in charge of all these draconian mandates, coercion of people into injecting this product into everyone. So how is this that they’re then profiting from it directly? I’ve raised this question many times. This has never been addressed by anyone but I think people need to speak about it more.
Next I reviewed the packages for both Pfizer and Moderna with respect to what the standard testing would be in preclinical or animal experiments. And just to give you an overview, this is very, very high level, each of these boxes contains numerous studies. For a normal drug or vaccine or any product, biological, what you need to do is assess them in animal experiments first before you can give it to humans in a highly controlled clinical trial setting. This is in order to exclude major risks and make sure that the product is safe enough to then be given as experimental product to humans. And the categories of safety testing in preclinical will include three major components: pharmacology, safety pharmacology and pharmacokinetics. Pharmacology includes a couple of areas. One is primary pharmacology: you have to at least try to demonstrate mechanism of action that you declare for your product. For example, if the manufacturer is claiming « This product will create spike protein and then that’ll create an antigen », that needs to be demonstrated in those studies. Then secondary, any off target effects. So if while doing that, it’s doing something else, you also have to show that or exclude it or at least have some idea what potential off-target effects may happen. Then drug interactions also are an important part, especially if the product is supposed to be given to absolutely everyone then a lot of people already taking multiple drugs, they can interact in unknown ways so at least some idea needs to be given to what potential interactions and are there any counter indications for other products. Then the next category is to see how the product gets distributed through the body when you inject it – and that’s called pharmacokinetics. In pharmacokinetics we assess many things but important ones are absorption, distribution, metabolism, excretion studies, those are standard. Then very, very important ones are toxicology. Toxicology means that if your product is detected in a certain area, let’s say, it gets into cardio-vascular tissue or it gets into liver tissue or it gets into the brain, in other organs, you need to then do the toxicology study for those particular organs and figure out what is the maximum exposure, what’s the exposure over time, when does it clear, what’s the maximum tolerated dose, where the toxicity starts because we want to develop what’s called a therapeutic window where you can give the drug high enough so that it elicits desirable response but it’s also low enough so that it doesn’t cross the threshold of toxicity. That’s the most important part of all these experiments, it’s to find that space. And that space was never found for these products, by the way. Also an other area here of course is reproductive toxicology, I’ll talk about it some more.
What happened with both Moderna and Pfizer, they use very similar strategy here. They did not do ADME studies, they did not do any secondary pharmacology, then they waived for themselves this whole area of safety pharmacology and they told the regulators that it doesn’t apply to them because of 2005 WHO guidance for vaccines, which is an absolutely preposterous claim because these products are not vaccines and especially in 2005, they were not considered vaccines, they were gene therapies. That ridiculous claim was accepted wholesale by the FDA and in Moderna’s case specifically, what I found is that about 50 percent of all the studies that they included into this non-clinical package contains tests for completely irrelevant articles. They just compiled a whole bunch of previously failed products that they had in the pipeline, appended them to this and they said « Oh, it applies to Spikevax ». It doesn’t apply to Spikevax. All the tests need to be performed with the exact formulation that you’re going to use in the ultimate clinical product, meaning your mRNA that’s going to go into the Spikevax and the lipid nanoparticle exactly as it going to be in the Spikevax. None of this was done at all. This was a hodgepodge of different studies from different years. For example, bydistribution, they included a study from 2017 for a cytomegalovirus and it was a concoction of 6 different mRNAs. None of them are the mRNA that’s in Spikevax. Then toxicology studies were not done. There was only one non-GOP – non good laboratory practice compliant – toxicology study and it wasn’t completed even at the time that the package was written. And there was only one GOP study in reproductive toxicology, I’ll talk about that. Genotoxicity, carcinogenicity was assessed only for one component, this chemical SM102 and only an in vitro-like cell line experiment. That’s completely unacceptable but the FDA, by the way, did not find any problem with this, completely accepted it. And that was for both Pfizer and Moderna. To me that told that there is a collusion between the regulator and these manufacturers, and in fact I believe the regulator, FDA, drove this road. They told them how to submit the documents because this is in complete violation of any [guidance]. If you look at the FDA guidances, it violates all of them. That is just so bad that if a manufacturer tried to do that and the FDA was following its own rules, none of this would fly. Yet somehow it just gets red carpet and they just waltz in with this garbage and that « Jimmy says the FDA told them to do it this way ».
Moderna also made this really bizarre claim – which now both of them are making – and now it’s being enshrined into regulatory practice as we speak. This is a slide from Moderna from JP Morgan conference in 2018. They were claiming that their product is a platform – which, by the way, every start up in every industry claims that their product is a platform so this means absolutely nothing. They’re claiming they have a platform where they can make these lipid nano bubbles and they can put whatever mRNA they desire into this lipid nano bubble and if it worked once, it will work again and again. I won’t dignify this but anyway, this is a very dangerous claim. They’re saying essentially [that] their product doesn’t need to be tested. Only the delivery vehicle needs to be tested. It’s like saying « Well, the truck that’s carrying food and the truck that’s carrying explosives is completely the same thing. Don’t pay attention. » Because this claim by itself would have never passed through normal regulatory practices as they are designed and regulations as they’re written, what they needed to do is to manufacture the crisis to push it through emergency use authorization, so that they could actually put this on the market – and they did. [Moderna] did not test the Spikevax and Pfizer didn’t test their BNT162 product either. The only test is [of the] delivery vehicle and all kinds of evasive tests not to actually test directly this combination of things. And now they’re both claming « We have a platform » and now FDA is allowing them to do a study in eight mice and then immediately put the product on the market. This has of course many problems. First of all, who wants the product which was tested on eight mice? I don’t know. The second is that now FDA, Pfizer and Moderna are a cartel. They established a cartel where for Pfizer and Moderna, they can do eight mice study and that’s it. For everybody else who even wants to work in mRNA, for example, any other startup – they’re all thinking « Oh my God, this mRNA revolution happened and we’re all going to be rich », they should think again because now they have to comply with all regulations to approve their platforms. But Pfizer and Moderna can only do eight mice study. So they have ruined the entire industry, pharmaceutical research and development by doing this and they have established government-pharma cartel by doing exact these specs.
Next I want to specifically address the reproductive toxicology study that Moderna did. It was a small study in about 40 rats and I’m not going to cover design. They had half of them vaccinated, half of them not vaccinated. By the way, the male rats were never vaccinated so we don’t know what happens with the male reproduction at all and nobody has addressed that. They only vaccinated females and then eventually they found that there was a strong transfer of antibodies from them to fetus and from them to pup – and the levels were high. They’re saying « antibodies » like it’s a good thing but if antibodies transferred, so did mRNA and spike proteins. We now know that spike proteins were found in breast milk, for example, and mRNA specifically was found in breast milk. These things, mRNA and spike proteins, they pass all sorts of barriers such as placenta, such as brain and blood so they will end up in the baby and it’s not clear what it does. We know it’s dangerous and the babies obviously have a small body and it’s developing. So this poses high risks to the developing baby and none of this was studied by anyone. Also, mothers experienced toxicity during gestation and it coincided with the day when they were expressing the highest levels of antigens so obviously this is related to the vaccination. They vaccinate them, they experience high toxicity. They were claiming that these effects were transient and not so bad but rats lost fur and they couldn’t use their hind legs. But Moderna said « Don’t worry, they were thriving ». I’m not sure how the animal is thriving when they’re losing fur. Because I don’t have access to full reports, this is only Moderna’s own summaries, their own words about their studies, I cannot tell you exactly what happened there but it looks to me like they’re whitewashing a lot of stuff. The most important thing was that they found that rats offspring had skeletal malformations. Here’s their own language: « mRNA 1273 » – that’s Moderna Spikevax – « related variations in skeletal examination included statistically significant increase in the number of rats with one or more of wavy ribs and one or more rib nodules » – which is extra ribs. Those are severe skeletal malformations and they were statistically significantly increased in the babies of the vaccinated mothers. That’s as clear safety signal as you get and those are standard studies for assessment of developmental toxicity.They also correlated that with maternal toxicity during the gestation on the same day. So obviously it’s related to the vaccine and obviously this product is causing damage to both mothers and their developing babies.
However FDA directly lied on the label and the regulatory documents on behalf of Moderna. What the FDA put in their summary for non-clinical pharmacology and toxicology which is part of labeling for Spikevax is that there were no vaccine-related fetal malformations or variations. And that was hidden, secret, for a year – more actually than a year – until it was released through court order and until I read it. We would have never known and they would continue pushing this on pregnant women worldwide and they’re continuing. They knew about this but they were knowingly forcing this on pregnant women. Remember the campaigns that were everywhere: CDC advertising, FDA advertising like pharma sales reps, just advertising this is totally safe in pregnancy and pushing everyone – and even forcing pregnant women if they were health care workers or police or school teachers. To me, it’s a crime, it’s a horrible crime what they did. And we know now that there are huge adverse events related to miscarriages to problems with babies, babies dying, lactating babies dying and that’s all recorded in VAERS. And again they’re denying it and gaslighting everyone.
Next I want to talk about what’s really happening with this product, why this variability exists in my opinion and what we’ve found through various now direct testing of vials and examination more closely on the manufacturing processes. So, as you know, each product has its label and even though Pfizer was trying to hide this particular information for a while, now it’s available. We know that they are declaring certain ingredients such as BNT162b2, it’s their mRNA sequence and then the rest of it is lipids, lipid nano, it describes lipid nano bubble composition, these ALC’s and so forth, cholesterol, and then some other products that balance it into injectable product. They’re also declaring quite precise quantities of each on the per vial and per dose level – because remember, they get shipped in multi-dose vials and then each dose gets prepared by the vaccine administrator at the site manually, in completely uncontrolled manner and outside of any good manufacturing practice compliance. Nevertheless each dose is supposed to contain 30 micrograms of mRNA, for example, and then some other components also very precisely described. But what I found by reading manufacturing documents for Pfizer specifically that were submitted to EMA, no tests were designed for testing of the ingredients especially at the vial level – and forget about the dose level. What they were describing as tests at the vial level were basically the vial weight at filling and some integrity parameters like how well it’s capped and so forth. But there were no test that said « We’re going to take random sampling of a few vials from each lot or from each line as it comes off and then we’re going to open them and we’re going to see if it does contain 225 micrograms of RNA or not ». None of that exists. All the ingredients specification tests are designed at the batch level – and the batch is a bulk product, it’s upstream manufacturing step. Per current government regulations, these tests need to exist at the dose level, at the unit dose level as it’s dispensed to the patient – and they’re not doing it, I’ll talk more about this. So far, our findings is that – and this is from random vial testing all over the world – so far we found that not a single vial conforms to this label or any other label of the manufacturers.
So what has been going on is independent testing of vials by many teams. This paper was recently published in the International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. I know some of the authors and I am in correspondence with them and these teams of researchers and independent researchers all over the world – 16 countries, I believe – have gotten access to some of the vials, mostly Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – but there’s some other ones as well. The summary of overall findings is that all these products are completely different, they differ from the labels, but there are some consistent findings. For example, when they’re able to isolate and sequence RNA from the vials, RNA sequence does not conform to the label. We have yet to find a match to what Pfizer says it should be. Then there are huge DNA impurities and protein impurities – gigantic amounts, I’ll show you that. There are also consistently other impurities found in large quantities and they constitute heavy and rare metals. It’s unknown origin or purpose of these materials inside the vials. Metals includes things like cobalt and chromium and aluminum which are very toxic to the body and neurotoxic. Rare things like thulium, which is bizarre, and antimony even was found in Moderna vials. Antimony is a metal used in semiconductor manufacturing, mined in China. It’s not clear what it’s doing in Moderna’s vials which is supposed to be produced in Massachusetts. There are also inclusions found, contaminations with structures of also unknown origin. They look like unexplainable blobs and particles and they’re large because people find them under standard optical microscope which means that they’re not nano scale, they’re larger than that. And crystals, they’re very characteristic: flat and very square and rectangular shapes with sharp edges. Also very characteristic fibers and ribbons, flat ribbons. There is assembly, a self-assembly process – chemical probably – movement visible immediately from the frozen state and this was videoed in single-take videos and so there’s very good documentation of it. Researchers take precautions and steps to exclude environmental dirt on the slides. They do controlled experiments so there are some high quality studies. Not all studies are high quality but some high quality studies found all these things – that’s what I’m summarizing. There is possibly different forms of graphene in these vials and also things like, for example, leftover magnetic beads. Remember though all those people who had like fridge magnets stuck to their arms post injection? That’s what it is. Magnetic beads are used in purification of RNA in manufacturing. They were left in the vials, not removed and then subsequently injected into people.
Here is an example of the RNA sequencing from a Pfizer vial. Here researchers showing the first green line is the declared Pfizer sequence and all of this, by the way, is by weight and that’s how Pfizer does it, too, or rather by length of the molecule. The first sequence is this BNT sequence, that’s Pfizer declared sequence, and it’s supposed to be like this green line. The next three you can see, those a possible matches but none of them actually match.There are some pieces of it and then some extra stuff at the end but the beginning is missing. And that’s what’s floating in that vial. What’s very concerning is these additional small RNA fragments and they were even described by the regulators in European Medicines Agency documents as process-related impurities and they were concerned about it. And they should be concerned about it. I call them shrapnel RNA, there are many, many names for them, microRNA, small interfering RNA, all kinds of things but you can think of it as shrapnel. When the glass breaks, it breaks into large pieces and small pieces and they’re all inpredictable – it’s like this. They’re not denying it. FDA dismissed them as a theoretical concern, it’s not a theoretical concern. MicroRNA’s have been designated specifically as a class of a biological weapon that can be used because they are interfering with the normal genetic processes. They do not have to code for proteins, they do not have to have a a length to code for anything but they can still interfere with the cellular processes dramatically and they can still aggravate the immune system and break it down to such a degree that over time you will have various types of malfunctions including cancer specifically and neurodegenerative diseases and all sorts of abnormalities. So this is in the vials. You can see, it’s almost half and half how much of this component has larger pieces of RNA that don’t match and then all these shrapnel RNA’s.
Then the researchers looked at several Pfizer and Moderna vials and they found large quantities of DNA. And DNA is also a process-related impurity, it comes from the beginning of the process where RNA is transcribed from a DNA matrix. It’s a raw material or input into the process. This DNA matrix is always not 100 percent transcribed, you have remaining impurity from this process and it needs to be removed. And here it clearly wasn’t removed because in three BioNtech vials and one Moderna vial they found DNA. In this test – and again Pfizer uses a similar test – you can see, this is a calibration band on the left of different sizes of DNA that are possible and these are matched with what’s in the vial. You can see that there are these stripes of different sizes that were found in the vials. Here it’s kind of smeared amongst different sizes. So they found DNA and they found it in various sizes in these vials.
And then they calculated the weight of it and it turns out that there’s huge amount of it in each vial. Pfizer themselves declared that acceptance criteria for the vials is such that the DNA can be present there only up to about 10 nanograms per dose. But what’s calculated here from the actual analysis is up to 2000 [times] that amount. That’s really, really, really concerning. Also I found these batches specifically in VAERS – although they come from Europe so VAERS is not complete for Europe – but I found them in VAERS and I found reports for serious adverse events and death for them in VAERS.
Another image was provided by my colleague, Shimon Yanovitz from Israel. They did some testing and this is under standard microscope. They were looking at the vials from completely frozen state and then waiting for them to unfreeze and photographing that process. What they found is, on the top line, here we see immediately from frozen state, this is imaged under standard microscope and you can see how many different types of inclusions and and blobs and some sort of particles are there. And they’re not nanoparticle because under standard microscope we’re seeing much larger structures. It’s not clear what they are. Then after some 20, 30 minutes after unfreezing, they photographed again and look, they changed to all these compositions. That’s what’s evolving and growing and self assembling. They kind of agglomerate, there’s something going on, some kind of chemistry that’s constantly moving and then collecting and coalescing in these other structures and even new ones appearing like these fibers, that one up in these images. It’s very strange, that’s unexplained and that should not be in this type of product. It’s a question, why do we have this?
These structures are not rare. Another colleague provided this image for me and they said that this is just from one drop of Pfizer product. After it sat for 72 hours they examined that at 100X magnification and you can see how much of the stuff, it’s basically just filled – and this is just one drop. It’s filled with this, with these strange structures, some are like particles and some like larger square pieces and it’s not clear what’s going on but there’s a lot of it, it’s kind of steaming with it.
Wolfgang Wodarg: Question: Could this be cholesterol crystals?
Alexandra Latypova: Some of them might be but the ones that are like square, rectangular, they don’t look like crystals. We’re also looking at normal images of cholesterol crystals and they don’t match that, they don’t look like that. They look like something else and there are even more much larger and weird structures that look like carts on wheels, it’s hard to describe. They also have circular things attached to square things attached to some fibers. We’re comparing to salt crystals and cholesterol crystals and, no. Some of it maybe but most of it not.This still remains to be explained by the manufacturers who are keeping extremely silent about it.
And what we also found – and this is almost good news for the victims – we found that when this product is broken, it’s safer. The slide on the left actually came from Germany. A recent report was published by one of these research teams, it’s called the German Working Group. And they did a number of very good, solid and high quality tests for these products. One of these tests was looking out the pegylation quality of the product. They had different Pfizer batches – each dot here is a batch – and they looked at the degree of polymerization, how homogeneous was the polymerization of these nano bubbles. The PEG is there to protect the bubble and to keep them separated. If you have small molecules and they’re all homogeneous, it’s like a mosaic, it protects these really well. When you have smaller and larger ones, that can lead to breakage of these nano bubbles. If it breaks then the mRNA will escape, get interacting with water and will also degrade. What they found is that this associates with degree of inhomogeneity. So how often those bubbles can break is associated with fewer adverse events so it’s safer for the victim. And then I found previously in my analysis of Pfizer documents that once mRNA escapes and breaks, if you have more broken mRNA in your batch – and these are also batches from Pfizer different that these – it’s also less deadly, so it’s safer. That’s just good news because obviously they cannot make this product stable, they cannot make it to their own specification and that turns out to be a saving grace because it doesn’t kill as many people as they were intending to.
Wolfgang Wodarg: Do you have information about the the dependence on storage temperature? Because I can imagine if you store it not frozen for a longer time in a higher temperature that there’s more degradation and that the toxicity will diminish then. Is it possible?
Alexandra Latypova: Yes, absolutely. So, storage, transportation, it breaks in all steps and even shaking. They’re saying to the administrator, the instruction is « Do not shake the vial, you have to invert it a couple of times ». If you shake it, of course, you’re gonna get more broken pieces. They’re not benign but they’re a bit safer.
Wolfgang Wodarg: So if you want to just show the people that is not so dangerous, that you don’t want the people to be alerted by toxicity effects, you just care for a little bit higher temperatures, it’s easier. You use the side effect.
Alexandra Latypova: Yeah, in Pfizer documents they use that method to degrade RNA as well for testing purposes. It’s very well documented. A couple more slides, a short part but actually we’re getting into a very interesting part. We talked about this, we [said] the tests directly from vials or directly from batches show that this product is designed to be toxic, designed to be deadly because it actually is the opposite when it’s broken and doesn’t conform to its specification.
What I found later… I started thinking about and reading more about the manufacturing of mRNA and I didn’t know much about it at the beginning. I now have connected with a number of experts and I understand it better and I have a lot of documents including from Pfizer about how this product is being made. What I learned from it is I frankly have an opinion today that it cannot be made at the scale that these people are claiming. That’s also part of a lie and part of a fraud. First of all, mRNA manufacturing is a challenge even in the lab scale. If you want to make some micrograms of it, it’s a challenge and people who have done it, they’ve described it to me. It has low yields so there are multiple steps of making it and each step creates some sort of not 100 percent yield. And you lose stability of the product at every step. For example, if you have a 5 step process and it has an optimistic yield of 80 percent, then at the end you have 30 percent of the final product and 70 percent of impurities that you need to remove. And if you have a yield of something like 60 percent you only have 7 percent, then you need to remove 93 percent of impurities. Also, of course, you will have to scale up all of your raw materials to achieve some sort of a target that you need, some sort of a weight of the product that you need. mRNA is very fragile, especially the ones that they are using now in these injections, they are large chains. Previously the only approved product on the market that’s using RNA is using a very small one, it’s called small interfering RNA. It’s something like 100 nucleotides in length. The ones that are in Pfizer and Moderna are 4000 and higher than 4000 nucleotides. So it’s very large and the larger it is, the more fragile it is. It’s not stable. They modified it with numerous modifications to make it more stable so that’s why it’s not human it’s just some strange sequence but it still is unstable. Also it needs to be capped and has a tail and those two are separate processes. Each one of them breaks the product as well, so it’s not in complete capping, it’s incomplete tails. LNPs we already discussed, they’re lipid nanoparticles, they can also break because of various things including pegylation imperfection and when they break mRNA also breaks. As we’ve seen before, there are large impurities process-related and some others can be introduced through bad practices and they need to be removed. But you can not aggressively remove anything from this product because it’s very fragile. So you cannot use the same centrifugation, filtration, mixing techniques that they use in chemical manufacturing. Now manufacturers are claiming – I have records that show that on average these batches are something like 200 to 300 liters which already stretches imagination, that’s for batch. Recently I obtained records that showed one batch of Pfizer was manufactured with 12 000 000 doses in it, which means it’s around 900 liters of mRNA. My colleagues at this point started laughing and they said « I don’t even know that there are bio bags that big being produced ». Why are they doing this? I don’t know what’s going on. Are they overdiluting, are they mixing multiple batches, are they mislabeling, are they just reenabling an old product? I don’t know. Any of this can be possible because, as I will discuss shortly, they have no rules that apply to them. When we’re talking about scale like this, the availability of raw materials is questionable. Again my colleagues are questioning « Can they get the enzymes at this scale? » because again you have to have everything multiplied by the yields to reach your final target. Also, these batches are produced simultaneously by numerous companies at the scale and the speed. I don’t know whether this is possible or not. Pfizer was already reporting chemical instability even at 37 liters. That was in the Pfizer European Medicines Agency documents that they said that enzymatic reaction to make RNA was already stopping at that level because at large volumes, chemicals don’t balance the same way as they [do] at small volumes. Now even if you can produce something like this at a large volume, what happens is it the product becomes super heterogeneous. We have problems in the small batch but when the batch is large, you have lipids in water. And lipids are floating in a huge volume so they start separating and they tend to go to the top and they also tend to form into clumps. Now you have the mRNA in very unstraighted quantities floating around in a large volume of other stuff including water. Then that huge volume needs to be filled into 0.45 milliliter containers, vials, and of course you will have a whole bunch of vials that are blanks or near blanks that don’t contain much of the mRNA at all. It may contain metal contaminations or whatever and then you will have some super concentrated mRNA deadly shots. And that explains the reality where we see most people seemingly fine after these injections – at least at the beginning. They may develop something later on, they might get Covid, this increases probability of getting Covid. But then we see also some people drop dead within minutes of injection. That’s what happens, this is the reality of this, because there’s this huge heterogeneity of the vials.
Wolfgang Wodarg: It’s not possible to homogenize it afterwards, to keep it like milk, it’s very homogene. The natural milk is not, you have the cream up and you have the water down. They have technical process to homogenize the whole thing but you cannot do it without disturbing, without destroying the RNA, isn’t it?
Alexandra Latypova: Right, exactly. With milk it’s maybe possible but even then if you look at homogenized milk in a microscope, you’ll see clumps and stuff. These products can not because they will break it. And it continues breaking throughout the whole process and all the impurities that they can’t remove stay continuously. It’s a huge mess, a complete mess. In my opinion, this product can not be made to good manufacturing practices and I suspect that they knew about it because they’ve tried for 20 years to put this on the market and they always ran out to, maybe, early human studies but that’s it. And then they couldn’t get any further because of the safety issues and because I suspect they couldn’t make it consistent. They knew that and then they decided « Okay, well now we have to push it through this big scam ». I’ll explain how they put it in their contract form. I’m pretty sure that these products cannot be made in conformity to the label at the scale and at the speed and the manufacturers are well aware of it and that’s why they’re not doing it.
Let’s look at the structure of this organization, the overall organization, the big picture. This is their organizational chart, it’s turned on the side but it’s still an organizational chart and this is from Vaccines and Related Biologics Advisory Committee meeting from 10/22/2020. This is all the operation Warp Speed meeting together and describing their organizational structure. Notice a couple of things. Who is in charge of this operation? It’s the US Department of Defense, Chief Operating Officer. Who is chief scientific officer? It’s HHS and FDA. Then obviously this part of the chart, it’s the top part and these are people in charge: US government, Department of Defense and HHS. These people are not in charge although they’re getting huge amounts of money so they’re happy and they’re keeping the plans going. Also, the top part includes manufacturing, supply, production, distribution, clinical trials. Now there are many contracts available that were made by the Department of Defense, HHS with all of these vaccine manufacturers and they reveal a lot of things about the structure. The contracts are available through Securities and Exchange commission disclosures to shareholders and I read a lot of them. It does reveal the structure where the government took over pharmaceutical industry by giving them huge amounts of money and signing these very restrictive contracts that control everything. But the government designs the clinical trials, the government designs everything about it and then the FDA just approves it – well, FDA is part of the government. Let’s see who is really making these products.
Here’s from the same meeting, another Power Point slide. This is Operation Warp Speed/BARDA. BARDA is a military biologics development agency and they’re saying « Well, here’s our vaccine manufacturing portfolio ». Again, through these contracts – and there are contracts for all of these entities listed here available – through these contracts it’s very clear that what they’re calling vaccine supporting efforts is in fact what’s manufacturing the vaccines. For example Emergent Biosolutions which I circled here, it’s one of the centers for manufacturing that BARDA set up a long time ago. The contracts that I read go back to 2012 where Emergent was established as a vaccine manufacturer, the Defense vaccine manufacturer extensively for flu vaccines at the time. They also said « We’re going to build this so-called surge capacity » so there were huge amounts of money given. The contract is from 2012 to 2037 in different options and then in 2020 they executed option to do Covid vaccines. Emergent was manufacturing both AstraZeneca’s and Janssen’s vaccines and they were supplier for them. And they were not following any good manufacturing practice rules, by the way. There are also other entities that are very important like Ology. Now it’s been converted into this new monstrous, it’s called National Resilience Company and this is DOD essentially buying a bunch of manufacturing plants from pharma companies and establishing their own manufacturing base. It’s millions of square feet, they have huge amounts of money and they’re manufacturing these products. Texas A&M, also another one. That one seems to be manufacturing for things like Novavax because they use some sort of insect line – I don’t know what that means. You can also see a lot of others. Complex manufacturing requires – it’s not just making something – it’s also having qualified staff, having all the equipment that you need, having supplies, disposables, access to raw materials, it’s a huge infrastructure that you need to have in place and it was not possible. It’s not like you can go to Ford Motor Company and tell them here’s 10 000 000 000 bucks, I need a 1 000 000 new cars in 6 months. Even Ford with already established manufacturing can’t do that because you can’t even secure raw materials in time. Now imagine the same scenario happens when the government goes to Ford, General Motors and Toyota and tells them all simultaneously to do that. No amount of money will produce this miracle in 6 months. It wasn’t. They just gave money to these companies and then directed them to go to these companies that they already established for a long time to produce the product. This is who is making the product and these guys are just a front. They have some aspects of manufacturing but for the most part it’s being done here. And all of this is controlled by the Department of Defense. Specifically the contracts included no accountability – let me go to the next page.
The bad news is that this is a Department of Defense product entirely. People don’t realize it. It seems like it’s a military operation, gets thrown around. It is actually military operation from A to Z. It’s not just that they used some military distribution for just speed and getting it to different states and using refrigeration. No, that’s not how it works. All of these contracts are with DOD. There are hundreds of them with all kinds of companies. All the contracts are with DOD, DOD is the purchaser, DOD gives them huge amounts of money. As I said, they already have established manufacturing base. For example the first contract for Pfizer was for $10 000 000 000 to deliver 100 000 000 doses of vaccine and up to 500 000 000 and there were bonuses for faster delivery which to me says « Why are they making 900 liters of it? Well, because they’re not accountable and they have bonus if they ship all these doses on time ». That’s one of the reasons. And there was no capacity to fulfill them on time except if you use the already established DOD vendors. And there’s no accountability other than the companies to make reasonable efforts, whatever that means. But the contract is extremely micromanaging on every step of operations. Also clinical trials are designed by the government, not by this pharma manufacturer. Regulatory interactions are completely taken over by the government. For example pharma cannot independently talk to the FDA in any way. If they have a meeting, the Department of Defense representatives needs to be in that meeting. That to me says it’s not an arm’s length relationship, it’s a total control of their relationship by the DOD.
Now another thing, the distribution of the product. The product gets shipped to the DOD. All of the vaccine doses in the US get shipped to the Department of Defense. They do not get shipped to independent and licensed and regulated pharmaceutical distributors as all normal pharmaceuticals go to. They’re taken out of that system also into this black box of DOD-only distribution. And in fact the contracts with the vaccinators explicitly state that this product is the Department of Defense property or US government property until it gets injected into the person. And that you can not independently test the vials, you cannot get independent access to the vials and it’s called diversion of government property. They’re prohibiting to test the vials and as I said before, the manufacturers are not testing the vials, neither regulators are testing the vials. Nobody’s testing the vials and you’re not allowed to. In the same contract, there’s a clause that exempts them all from any liability as long as they follow their orders and that same clause describes the product as civilian and military application. There’s also some ex-US contracts with other countries like European Union and Brazil and Albania became available. European Union contracts are still largely redacted but I’ve seen an unredacted Albanian contract and we were told that all the contract clauses were the same. Those contracts explicitly prohibit testing of the vials by foreign governments or anyone there. And in fact they also indemnify Pfizer for anything, provide huge liability cover. The government is forced to waive all the rules and regulations and good manufacturing practices, distribution practices, any controls that exist, in order to indemnify Pfizer. Also, they cannot change their national laws to make it otherwise. So by signing this contract they signed away their national sovereignty to a pharmaceutical company. How ridiculous is that? That’s how they’re avoiding all this liability and they’re prohibiting batch testing, prohibiting vial testing. However you can prohibit all you want. As you’ve seen, there is a large covert testing activity that’s been going on and we’ve found all these answers already. We found that these products are dirty, contaminated, do not conform at all to what the label says and they’re hugely toxic and they’re toxic by design. But this explains to you how they can all get away with it and how they can just not follow any rules: because these rules do not apply to them, this is a military product, made by the military, for the military, distributed by the military and injected into people and it’s a total secret what that is.
So in conclusion what I would like to say is that these injections are definitely not pharmaceuticals and people should stop thinking of them as [such]. They should have stopped thinking about them as vaccines a long time ago but they should stop thinking about them as pharmaceutical or medicine or anything that has to do with that. They are not. US government/DOD/pharma collusion enabled this violation of all established rules and safeguards. These products are deadly by design, intentional, and they cannot be produced according to good manufacturing practices. These people who are claiming « We can recode your genes and cure any disease », it’s total garbage that they’re making. Nobody can do that. That whole mRNA revolution, it’s a scam in my opinion, and they should all be stopped immediately and this should be investigated properly and we should bring those responsible to justice, to accountability. Until that happens, we cannot move on from this and I completely agree with the previous speaker when she said « It’s not that all mandates are over and now let’s all go on vacation and we can forget about it ». No, because they’re doing it more and more. They’re converting all existing vaccines into the mRNA platform. And guess what, this is not going to stop at the vaccines, they’re gonna start producing all kinds of medicines with this platform because now they can. Now they can only do eight mice study and declare it safe and effective. That’s why we have to focus on this more and focus especially on prosecution and bring those responsible to justice.
Viviane Fischer: Naively one could think if this operation is so giant and it’s so important for them to bring these vaccines to everyone that […] for this giant logistical task, we need to get the military involved because they have logistic experience and they have all these contacts. Could there be – I guess not – but could there be a naïve answer to why the military is so much involved?
Alexandra Latypova: Yes, it is a naïve answer but then if the purpose of it was a good purpose, a benign purpose to try to make people heal and cure this disease then the safety guidelines should be followed and they don’t follow a single one of them. So you can’t just say « Well, because it’s such a disaster we have to do everything wrong and produce more death in the process and that’s okay ». It’s not logical in my opinion. It just creates one huge mess. I don’t see any benefit of doing it that way. It’s not like the military has some kind of a more miraculous capability versus private manufacturers. Private manufacturers make lots of products, very high quality products at huge speeds. They have in fact incredible experience in this. The military is not critically required here [more] than the domestic way to do this.
Wolfgang Wodarg: It looks as if the military is just blind that they help shooting their own people.
Alexandra Latypova: Exactly and we do have a lot of very brave whistleblowers inside the military operations, who were stalked, like Theresa Long for example who was trying to stop this. And they’re bringing this up to attention and they’re reporting this and they’re saying « I will not give it to my to my people, I will not give it to the soldiers in my base ». They’re facing huge repercussions but they’re still speaking up and explaining how this is wrong and you shouldn’t do it. Yes, it is damaging our military also as we speak because they’re pushing it on the soldiers and pushing it on the pilots especially. It’s hurting them and that’s another reason why it should be stopped.
Wolfgang Wodarg: I just ask myself, what is it with NATO? You spoke about the European Union but the European Union just has the role to get the money, to collect the money and provide the industry with money. But the function of the military which is working together cooperating in the NATO, there should be some advice for German troops in Germany who are member of the NATO. If it is a big thing coming from the Department of Defense and we are partners in NATO so we had this observation that when the whole thing started, when they started to distribute the the vials, that was the German army going to institutions and there were some higher doctors who applied then the vials. There were no normal doctors but this was an action where the German army was employed to care for the distribution, who was in charge of keeping all this stuff. And normally when the German army does something, the Parliament has to decide on everything the army does. I don’t remember any decision of the German parliament.
Alexandra Latypova: Exactly. The US Department of Defense just went to the German army but I’m sure they went to all other NATO militaries and they said « Here, you will inject it into your people. By the way, you can’t know what’s in it ». How is this okay? And that’s what’s going on and that’s the crime that’s being committed. They’ve contracted all this, they created this legal on paper structure but, guess what, it’s not legal to contract for killing and injuring people. For that reason, this needs to be investigated and stopped.
Wolfgang Wodarg: It is so important that we have all of this outspoken. It’s so important that it’s documented. It’s so important that everyone could know. Thank you very, very, much for your work. It’s great.
Alexandra Latypova: Thank you for inviting me, guys. Anyone can reach me through you if anybody has questions or wants to see the actual documents. All I’m showing is available publicly. It’s from publicly available materials.
Viviane Fischer: We have to we have to publish a list of all these documents. I think that would be important so everyone can really look at that or maybe you have a source. I’m actually pretty shocked because this makes it seem like it’s all connected. It’s not people rushing along for being the first in the market and then maybe doing little mistakes or larger mistakes in the production process. It seems to be well orchestrated kind of effort in the way that you presented here.
Wolfgang Wodarg: International controlled operation.
Alexandra Latypova: International controlled operation, exactly. Also, these suppliers that I was showing, the manufacturers, they’re all over the world. A lot of them are in Germany as well and then in Belgium and Italy and all over, India and China. China is participating in a large way, here I didn’t have time to cover but it’s all connected all over the world.
Viviane Fischer: What role does Russia play in this?
Alexandra Latypova: I haven’t seen that Russia in these contracts. What I’ve seen is definitely China, Germany, US connection and investments into the same entities and then DOD giving them $10 000 000 000, you just gave ten billion dollars to something that where CCP is an equity holder. Those are definitely connected. I have not seen Russia there at all but they have their own vaccines.They’re making the same thing but in parallel – playing the same game but in a different sandbox.
Wolfgang Wodarg: This is a very interesting question because we have this Ukraine conflict, we have the conflict with energy. I think it’s a very, very big chess game and it’s a very big game where all those powers are trying to get the best out of it for themselves. So it would be very interesting to get to know more how are the plans of Russia? They are earning a lot with the energy, they just cut down one line but they sell it on the other side to other nations. It’s a very global play which is very difficult and very complicated to understand. I think if we go on trying to find out, we can learn a lot about this and we have to learn a lot about this so that such thing can never happen again.
Alexandra Latypova: Yeah, exactly.
Viviane Fischer: Well thanks ever so much. I think we have to really dig deep into this. It’s pretty shocking and amazing. Thanks so much for your hard work.
Alexandra Latypova: Thank you for inviting me. Have a good evening.