Gates ou l’Allemagne? Qui « contrôle » la réponse de l’OMS au Covid-19? – par Robert Kogon.

Bonjour chers lecteurs. Je vous invite à vous pencher sur le dossier Covid sous un angle un peu différent de l’habituel: la géographie. Vous aurez lu un peu partout les noms de certains pays – principalement les Etats-Unis et la Chine – cités de façon récurrente. Voici un article qui en met un autre en lumière. Ça tombe bien, j’étais justement en train de faire une brève analyse (qui me prendra quand même un certain temps) du discours de l’Etat de l’Union de Mme von der Leyen.

Et puis nous avons aussi les étranges attentats contre Nord Stream 1 et 2, que j’aborde juste après, alors que des voix s’élèvent en Allemagne pour son ouverture. Hmmm… Tout ça ressemble à un grand puzzle, dont voici une première pièce.

Vous pensiez peut-être que je me repose mais en fait, j’ai vraiment beaucoup de plats sur le feu – donc merci pour votre patience.

Source.


Gates ou l’Allemagne? Qui « contrôle » la réponse de l’OMS au Covid-19?

par Robert Kogon

26 septembre 2022

L’idée que Bill Gates est en quelque sorte la force motrice de la réponse de l’OMS au vaccin Covid-19 est très répandue – du moins sur Twitter. Mais cette notion a récemment bénéficié d’un soutien inattendu de la part d’une source médiatique grand public: Politico, le service d’information en ligne qui a vu le jour à Washington dans les années quatre-vingt, a lancé une édition européenne basée à Bruxelles en partenariat avec le géant allemand des médias Springer en 2015, et a été entièrement racheté par la firme allemande l’année dernière.

Citant des sources anonymes et avançant des chiffres de financement astronomiques, mais en grande partie non documentés, une large et tortueuse « enquête » menée par Politico et le journal allemand phare de Springer, Die Welt, a tenté de démontrer que, comme le soupçonnaient les utilisateurs de Twitter, c’est Bill Gates et son « réseau » d’organisations qui ont en définitive « contrôlé » la réaction du monde entier au Covid-19.

L' »enquête » de Springer/Politico se concentre en particulier sur l’influence présumée de Gates et de son « réseau » sur l’OMS – comme il se doit, puisque l’OMS a, bien sûr, été le principal vecteur de la réponse mondiale coordonnée à la pandémie de Covid-19. Mais le problème est qu’une profusion d’informations publiquement disponibles montre clairement que la force motrice de la réponse de l’OMS à la pandémie de Covid-19 n’est en fait nulle autre que l’Allemagne et que – de façon surprenante au vu de la fureur suscitée par Gates – Gates n’y a joué en réalité qu’un rôle très mineur.

Cela ne devrait surprendre personne, puisque l’OMS elle-même reconnaît depuis longtemps que « l’Allemagne est le principal soutien de la réponse de l’OMS au COVID-19 » (voir ici). Mais puisque cela est apparemment passé largement inaperçu, examinons les détails, en commençant par le graphique ci-dessous. Ce graphique présente les principaux contributeurs au budget de la réponse au COVID-19 de l’OMS pour la première année de la pandémie, en 2020. Le nom officiel du programme est le Plan Stratégique de Préparation et de Réponse (Strategic Preparedness and Response Plan – SPRP) du C19. Le graphique a été généré directement à partir de la base de données de financement du SPRP de l’OMS.

Comme on peut le constater, l’Allemagne est de loin le premier contributeur. Sa contribution de 425 millions de dollars représente plus de 30% du budget effectif total de 1,34 milliard de dollars. Pour mettre cela en perspective, les 80 millions d’habitants de l’Allemagne représentent environ 1% de la population mondiale totale. La Commission Européenne, sous la direction de l’ancienne Ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen, a été le 3ème plus grand contributeur, avec 81 millions de dollars. L’Allemagne et l’UE dominée par l’Allemagne ont donc fourni ensemble 506 millions de dollars, soit plus de 36% du budget d’intervention du C-19 en 2020.

Et où était Bill Gates? Ou, plus exactement, où était la Fondation Bill & Melinda Gates, qui est effectivement un contributeur majeur de l’OMS dans d’autres domaines? Le graphique ci-dessous nous le montre: à la 18e place dans la hiérarchie des financements, deux places derrière le Yémen.

La contribution effective de la Fondation Gates, de 14,5 millions de dollars, représentait environ 1% du budget total. L’Allemagne a fourni un financement environ 30 fois supérieur. L’alliance GAVI, sur laquelle nous reviendrons dans un instant, est encore plus bas dans la liste (à la 30e place avec un peu plus de 7 millions de dollars).

Le graphique suivant montre les principaux contributeurs au budget de l’OMS pour la réponse au Covid-19 en 2021, deuxième année de la pandémie et première de la vaccination de masse. L’histoire est à peu près identique. L’Allemagne est toujours, et de loin, le premier contributeur, et sa part en pourcentage du budget total est devenue encore plus importante.

La contribution allemande de 386 millions de dollars représente près de 40% du budget effectif. Si l’on additionne les contributions de l’Allemagne et de l’UE, on arrive à près de 497 millions de dollars, soit près de la moitié du budget total. Et où se trouve la Fondation Gates? Toujours à la 18ème place, maintenant trois places derrière la Guinée-Bissau! Voir ci-dessous.

La contribution effective de 6 millions de dollars de la Fondation Gates représente à peine 0,5% du budget total! La contribution de l’Allemagne – 386 millions de dollars contre 6 millions de dollars – est rien moins que 64 fois plus importante!

Les chiffres de financement ci-dessus peuvent être consultés sur le site web de l’OMS ici. Notez que le lien aboutit sur l’année de financement actuelle (2022). Vous devez sélectionner l’année de financement souhaitée en haut à gauche pour voir les années précédentes. Sur le graphique de l’année en cours, vous constaterez que l’Allemagne est en passe de rester le premier bailleur de fonds du budget de la riposte Covid, alors que les États-Unis, dont les contributions étaient auparavant relativement maigres, se sont hissés à la 2e place. La Fondation Gates s’est engagée à verser un total de 250 000 dollars. La contribution allemande de 352 millions de dollars est littéralement plus de 100 fois supérieure!

Mais un instant. Les observateurs attentifs auront noté la présence relativement importante de GAVI, qui occupe désormais la 5e place avec une contribution effective de 67 millions de dollars, parmi les principaux contributeurs en 2021, et GAVI reste un contributeur majeur pour 2022. Ainsi, même si l’Allemagne est de loin le premier contributeur et même si la contribution de la Fondation Gates est dérisoire, l’implication de cette dernière reste importante, notamment via GAVI. L' »enquête » de Springer/Politico inclut GAVI dans le « réseau » d’organisations de Gates, après tout, et à toutes fins utiles, Gates est GAVI. N’est-ce pas?

Eh bien, non. Il s’agit d’une autre idée fausse très répandue, et le fait qu’elle soit fréquemment répétée sur Twitter ne la rend pas plus vraie. Quel que soit le rôle joué par Gates dans la création de l’organisation, la majeure partie du financement de GAVI provient aujourd’hui des gouvernements nationaux, et non de sources privées. En particulier, comme le montre le tableau de financement ci-dessous, tiré du propre site web de GAVI, GAVI reçoit actuellement davantage de fonds de l’Allemagne que de la Fondation Gates.

Il est donc de toute évidence faux d’additionner le financement de la Fondation Gates et celui de GAVI et de considérer la somme comme la contribution globale de Gates, comme ont tendance à le faire de nombreux partisans de la théorie du « Gates propriétaire de l’OMS ».

En effet, l' »enquête » de Springer/Politico utilise le même stratagème, en incluant 6 milliards de dollars de financement de GAVI dans les 10 milliards de dollars que son « réseau » de quatre ONG aurait consacrés aux « mesures de lutte contre le Covid-19 » dans leur ensemble. Plus précisément, l’article affirme que:

Depuis le début de la pandémie en 2020, la Fondation Gates, Gavi et le Wellcome Trust ont donné collectivement plus de 1,4 milliard de dollars à l’OMS – un montant nettement supérieur à celui de la plupart des autres États membres officiels, dont les États-Unis et la Commission Européenne, selon les données fournies par l’OMS.

Cela pourrait être vrai si l’on inclut l’année de financement en cours. Mais en quoi cela est-il pertinent étant donné que les principaux bailleurs de fonds de GAVI sont précisément ces mêmes États membres de l’OMS ? (Je laisse de côté le fait que la Commission Européenne n’est pas, bien sûr, un Etat membre de l’OMS. Ses contributions, comme celles de la Fondation Gates, sont entièrement volontaires).

De plus, l’article de Springer/Politico s’abstient discrètement de mentionner que la contribution de l’Allemagne à l’OMS – Allemagne qui, comme on vient de le noter, est aussi un important contributeur à GAVI – est certainement comparable au chiffre cité et le dépasse même probablement.

Selon la base de données des financements publics de l’OMS, la contribution globale de l’Allemagne à l’OMS pour la période de financement 2020-21 s’élève à près de 1,15 milliard de dollars. (Voir ici.) Même en supposant que le chiffre global de Gates + GAVI + Wellcome soit d’une certaine manière pertinent, il est inférieur à ce chiffre, soit environ 1,01 milliard de dollars. (Les chiffres des financements individuels peuvent être consultés sur le site Web de l’OMS ici. Les contributions du Wellcome Trust sont relativement insignifiantes).

Voici, au cas où cela présenterait un intérêt, les 5 principaux bailleurs de fonds de l’OMS pour la période 2020-21, tels que présentés sur le site Web de l’OMS.

Mais ces chiffres de financement global ne sont en fait pas pertinents dans ce cadre. Ce qui est pertinent, ce sont les contributions dédiées au budget de la réponse Covid-19. Étant donné que l’article de Springer/Politico évoque les premiers dans ce contexte, et non les seconds, on peut se demander si les auteurs n’ont pas en fait attribué le financement global de la Fondation Gates à sa prétendue contribution de 1,1 milliard de dollars aux « mesures de lutte contre le Covid-19 ». Si tel est le cas, il s’agit d’une erreur monumentale.

Comme indiqué ci-dessus, les contributions réelles de la Fondation Gates au budget de l’OMS pour la lutte contre le Covid-19 sont relativement mineures. En incluant l’engagement de cette année, elles s’élèvent à un total d’environ 21 millions de dollars. Pas 1,1 milliard de dollars !

La plus grande partie de la contribution de la Fondation Gates au budget de l’OMS n’a absolument rien à voir avec le Covid-19. Cela peut être facilement vérifié en consultant l’organigramme détaillé disponible sur le site de l’OMS ici. Comme on peut le voir dans le détail du graphique ci-dessous, pour la période 2020-21, près de 65% du financement de la Fondation Gates a en fait été alloué à l’éradication de la polio.

Par comparaison, plus de 70% de la contribution allemande de 1,15 milliard de dollars ont été consacrés à la réponse au Covid-19 (à savoir 811 millions de dollars, comme documenté ci-dessus). Et si l’on soustrait les 58 millions de dollars de contributions obligatoires de l’Allemagne de sa contribution totale, ce chiffre atteint presque 75%.

Le prétendu exposé de Politico sur le financement de Gates cite un certain Lawrence Gostin de l’Université de Georgetown, qui fait remarquer: « Je pense que nous devrions nous montrer profondément inquiets. Pour le dire d’une manière très crue, l’argent achète l’influence ». C’est bien possible. Mais pourquoi serait-ce moins le cas de l’argent allemand?

Bien sûr, si l’argent ne consistait qu’en des contributions obligatoires, que le pays paie pour être membre de l’organisation, alors ce serait effectivement moins le cas, voire pas du tout. Mais il est évident que le financement allemand n’était pas uniquement constitué de contributions obligatoires. Comme on vient de le voir, les contributions obligatoires de l’Allemagne pour la période de financement 2020-21 se sont élevées à seulement 58 millions de dollars. En d’autres termes, 95% du financement allemand était tout aussi volontaire que le financement de Gates.

Le graphique circulaire ci-dessous est tiré directement du site Web de l’OMS (ici). La petite tranche vert-jaune représente les contributions obligatoires de l’Allemagne. Tout le reste représente des contributions volontaires.

Il est également à noter qu’aucune des contributions volontaires de l’Allemagne n’est une contribution « de base », c’est-à-dire une contribution au budget général de l’OMS, que l’organisation peut utiliser comme bon lui semble. Elles sont toutes affectées à des fins particulières.

Les discussions sur le financement de l’OMS sur Twitter et même dans des lieux plus sophistiqués souffrent d’une confusion systématique entre contributions volontaires et contributions privées. Comme le montre clairement l’exemple allemand, les contributions volontaires à l’OMS ne proviennent pas nécessairement de sources privées. En effet, la grande majorité d’entre elles proviennent précisément de sources publiques, c’est-à-dire de gouvernements nationaux ou d’organisations intergouvernementales comme l’UE.

Sachant cela, pourquoi devrait-on supposer que les contributions volontaires provenant de sources privées, même de sources caritatives privées, seraient d’une manière ou d’une autre intéressées, alors que les contributions des gouvernements seraient désintéressées?

À la lumière des chiffres de financement cités ci-dessus, il faut poser cette question évidente: pourquoi l’Allemagne est-elle soudainement devenue le premier contributeur de l’OMS avec l’avènement de la pandémie de Covid-19 et pourquoi a-t-elle été de loin le premier contributeur au budget de l’organisation pour la réponse au Covid-19? Était-ce simplement pour sauver le monde? Quel intérêt l’Allemagne aurait-elle pu avoir dans la réponse au Covid-19?

Eh bien, une fois que l’on a réalisé que le prétendu vaccin « Pfizer » qui a été au centre de cette réponse est en fait la propriété de la société allemande BioNTech et que, comme je l’ai documenté dans mon récent article sur Brownstone ici, BioNTech gagne beaucoup plus sur les ventes mondiales du vaccin que Pfizer, alors l’intérêt devient évident.

En 2021, les revenus de BioNTech sont passés d’à peu près zéro à 19 milliards de dollars, ce qui fait de l’entreprise un moteur important de la croissance allemande [NdT. Mme von der Layen a fait « réserver » par l’Union Européenne plus de quatre milliards de vaccins]. BioNTech a réalisé plus de 15 milliards de dollars de bénéfices sur ces 19 milliards de dollars de revenus, ce qui lui confère une marge bénéficiaire avant impôts de près de 80 %! BioNTech a payé près d’un tiers de ces bénéfices sous forme d’impôt sur les sociétés, faisant ainsi du gouvernement fédéral allemand et de la ville de Mayence (où la société paie des impôts locaux) les principales parties prenantes de la société.

En outre, l’Allemagne n’a pas simplement, pour ainsi dire, joué de chance avec BioNTech. Comme je l’ai détaillé dans mon précédent article sur Brownstone consacré à l’histoire de BioNTech et au partenariat BioNTech-Pfizer ici, le gouvernement allemand a été fortement impliqué dans les subventions et la promotion de la société dès sa création.

En fait, même avant sa création! Le gouvernement allemand a parrainé la création même de BioNTech (en 2009) dans le cadre d’un programme de financement « Go-Bio » dont le but explicite était de faire de l’Allemagne un leader dans le domaine des biotechnologies. L’Allemagne a également fourni l’équivalent de 375 millions de dollars de subventions à BioNTech, spécifiquement pour soutenir son vaccin Covid-19.

Voilà le genre de conflits d’intérêts qui feraient rougir un contributeur privé. Mais en tant qu’État membre de l’OMS, l’Allemagne a continué à jouer un rôle de premier plan dans l’élaboration de la réponse de l’OMS au Covid dans des instances dont les contributeurs privés, comme la Fondation Gates, sont exclus.

Ainsi, le comité qui a été mis en place dès la mi-2020 pour évaluer la réponse de l’organisation à la pandémie en cours – officiellement connu sous le nom de Comité d’Examen du Fonctionnement du Règlement Sanitaire International pendant le COVID-19 (Review Committee on the Functioning of the International Health Regulations during COVID-19) – est présidé par nul autre que Lothar Wieler. Wieler occupe en même temps le poste de président en exercice de l’Institut Robert Koch (Robert Koch Institute – RKI), l’autorité allemande de santé publique dont le rôle est à peu près équivalent à celui du CDC américain. Voir, par exemple, la déclaration de Wieler en cette étrange double qualité de président de comité de l’OMS et de président du RKI ici.

Lothar Wieler est sans aucun doute le fonctionnaire allemand le plus étroitement lié à la réponse de l’Allemagne au Covid-19. Pour avoir une idée de l’importance du fait que Wieler préside ce comité clé de l’OMS – tout en continuant à occuper son poste clé au sein du gouvernement allemand! – il suffit d’imaginer, par exemple, Anthony Fauci présidant le même comité tout en restant directeur du NIAID.

Le rôle largement prépondérant de l’Allemagne dans le financement de la réponse de l’OMS au Covid-19 pourrait également contribuer à expliquer certaines décisions majeures, et souvent déroutantes, de l’organisation: comme, par exemple, la décision, en janvier 2020, d’adopter sans attendre le protocole PCR notoirement trop sensible conçu par le virologue allemand Christian Drosten comme norme de référence pour la détection de l’infection par le Covid-19 – garantissant ainsi, de fait, que la maladie obtiendrait le statut de pandémie.

Drosten, qui est membre du « Conseil d’experts » qui conseille le gouvernement allemand sur le Covid-19, a reçu en septembre de la même année la plus haute distinction du pays: l’Ordre du Mérite ou Bundesverdienstkreuz. Il est directeur du département de virologie et coordinateur de la « santé mondiale » à l’hôpital d’enseignement et de recherche Charité de Berlin. L’hôpital Charité abrite actuellement le Centre OMS de Renseignements sur les Pandémies et les Épidémies, qui a récemment été lancé grâce à un financement de 100 millions de dollars du gouvernement allemand.

Coda: la photo au-dessus du présent article montre le président du RKI, M. Wieler, et le directeur général de l’OMS, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, en train de se donner un coup de coude à l’Institut Robert Koch de Berlin après avoir signé le protocole d’accord qui a donné naissance au « Centre Pandémies ».

Auteur

Robert Kogon

Robert Kogon est le nom de plume d’un journaliste financier largement publié, d’un traducteur et d’un chercheur travaillant en Europe. Il publie sur le site edv1694.substack.com.

Les vaccins mettent en moyenne cinq mois pour causer des décès – par Steve Kirsch.

Source.


Traduction

Les vaccins mettent en moyenne cinq mois pour causer des décès

Le CDC a gardé secret le fichier maître des décès établi par la Sécurité Sociale. Je l’ai obtenu d’un lanceur d’alerte. Il montre que les décès surviennent cinq mois après le vaccin. Le lien est donc difficile à détecter.

par Steve Kirsch

1 septembre

Résumé

Nous avons supposé depuis le début que le vaccin tue rapidement (au cours des deux premières semaines) parce que c’est le moment où les gens font le lien et le signalent au VAERS. C’est encore vrai; chez certains, le vaccin tue rapidement.

Cependant, grâce à un lanceur d’alerte du HHS [NdT. Health and Human Services, le département de la santé et des services sociaux américains], on voit maintenant clairement que les décès dus au vaccin surviennent majoritairement en moyenne cinq mois après la dernière dose. Ce délai correspond à la deuxième dose; il peut être plus court en fonction du nombre d’injections, mais il y a des arguments à la fois pour et contre (puisqu’il peut y avoir un biais des survivants) [NdT. explication ici].

Mais c’est la raison pour laquelle les compagnies d’assurance-vie ont observé des pics de mortalité toutes causes confondues chez les personnes de moins de 60 ans aux troisième et quatrième trimestres plutôt que juste après le lancement des vaccins.

Ce délai de cinq mois concorde également avec les rapports de décès de personnes qui développent de nouveaux cancers agressifs et mortels dans un délai de quatre à six mois.

Ce délai de cinq mois avant le décès a également été confirmé sur base des seules données européennes. Cette analyse a été publiée le 11 août, mais je n’en ai pris connaissance qu’après avoir écrit cet article.

Dès lors, lorsqu’un décès par accident vasculaire cérébral, arrêt cardiaque, crise cardiaque, cancer et suicide survient environ cinq mois après la vaccination, il pourrait très bien s’agir d’un décès lié au vaccin.

Les données proviennent du fichier principal des décès de l’administration de la sécurité sociale (18 à 55 ans)

J’ai reçu ce tableau d’un lanceur d’alerte employé au HHS. Il s’agit de données que vous n’êtes pas censés voir. L’augmentation de la mortalité (avec un pic de 60%) est énorme. Une telle augmentation ne peut être causée que par un phénomène nouveau qui touche un grand nombre de personnes.

Il n’y a qu’une seule possibilité qui cadre: le vaccin COVID.

Le pic est au 9 septembre 2021.

Ce graphique, qui n’est pas accessible au public, provient du fichier principal des décès de la sécurité sociale américaine. Il compare les décès de 2021 à ceux de 2020. Une telle augmentation du nombre de décès est impossible à moins qu’une maladie très mortelle ne touche un grand nombre de personnes. Cela explique pourquoi les compagnies d’assurance du monde entier ont constaté des pics de décès massifs aux troisième et quatrième trimestres 2021. Le vaccin prenait en effet en moyenne cinq mois à partir de l’injection la plus récente pour provoquer des décès. Le pic ici est au 9 septembre 2021.

Doses de vaccin administrées quotidiennement aux États-Unis

Le pic est au 12 avril 2021.

Le pic est au 12 avril 2021.

Le rasoir d’Occam

La conclusion la plus évidente est que le vaccin prend en moyenne cinq mois pour causer des décès après la deuxième dose.

Le deuxième pic de décembre 2021 entraînera des pics pour les compagnies d’assurance-vie au premier et au deuxième trimestre 2022.

Voici ce que dit le professeur britannique Norman Fenton

Une autre analyse basée sur les seules données européennes trouve exactement le même délai de cinq mois!

Une analyse sur le site de Chris Martenson trouve le même délai de cinq mois en se basant sur des données de sources différentes! C’est vraiment stupéfiant. Je n’en avais aucune idée lorsque j’ai écrit mon article.

https://stevekirsch.substack.com/p/this-one-graph-tells-you-everything/comment/8768068 [NdT. je traduis l’essentiel ci-dessous]

Une simple analyse observationnelle causale datée du 9 août aboutit à la même conclusion. Elle était basée sur des données européennes.

Edit: comme il faut être membre pour lire le contenu du lien ci-dessus, j’ai pris la liberté de poster le texte ici.

« Voici ma réponse promise à Holden. Commençons par la conclusion basée sur les données de l’UE provenant des ensembles de données utilisés par Holden (voir image).

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Ce que montre la figure, c’est le « coefficient de corrélation » en fonction d’un délai temporel, c’est-à-dire d’un décalage temporel. Un décalage temporel négatif indique que la surmortalité précède le statut vaccinal.

Un décalage positif indique que les doses administrées précèdent la surmortalité.

Le décalage temporel optimal est défini comme le décalage temporel qui maximise le coefficient de Pearson absolu. Nous recherchons la valeur la plus élevée ou la plus basse. La valeur la plus basse se situe autour de -0,3, tandis que la valeur la plus élevée se situe autour de 0,8. Comme la valeur absolue de la valeur la plus élevée, +0,8, est plus grande que la valeur absolue de la valeur la plus faible, +0,3, le décalage optimal est de + 5 mois. Autrement dit, les doses administrées précèdent la surmortalité.

Comme Holden l’a mentionné, nous trouvons également une relation négative lorsqu’il n’y a pas de décalage. Cependant, le pouvoir explicatif de +0,8 est bien plus important que celui de -0,3. La raison pour laquelle j’ai utilisé « causes » au lieu de causes est qu’il existe plusieurs caractéristiques des relations causales. Ce que nous avons testé maintenant est la « préséance temporelle ».

Un autre aspect important de la causalité observationnelle est que la cause doit prédire l’effet mieux que l’effet ne se prédit lui-même. Dans le cas présent, nous constatons effectivement que l’excès de mortalité se prédit mal – bien sûr, pour un délai égal à 0, il se prédit, mais pour tous les autres délais, il n’a que peu ou pas de pouvoir explicatif.

Nous pouvons donc en conclure que, sur la base des ensembles de données utilisés, les doses administrées provoquent effectivement une surmortalité. Bien sûr, nos « brillants experts » sont toujours bloqués au XIXe siècle en matière de méthodes statistiques. Je ne m’attends pas à ce qu’ils soient en mesure d’expliquer la surmortalité avec leurs méthodes actuelles, simplement parce que cinq mois représentent un délai énorme, et parce qu’ils ont généralement peu de connaissances des méthodes causales d’observation.

A propos de la méthode

La méthode utilisée est basée sur les corrélations. Les dernières avancées en la matière sont basées sur la théorie de l’information, mais cela sort trop de l’ordinaire pour les profanes, et même pour les experts, alors mieux vaut ne pas s’y aventurer. Lorsque j’aurai le temps, dans quelques semaines, j’effectuerai peut-être l’analyse causale de la théorie de l’information.

À propos des données

Comme mentionné, nous avons utilisé les ensembles de données provenant des sources de Holden. Nous avons sélectionné uniquement les pays de l’UE, nous n’avons pas fait de distinction entre les sexes et les groupes d’âge. Enfin, nous avons utilisé des données mensuelles en raison de contraintes de temps de mon côté (je n’ai tout simplement pas le temps de rechercher ou de créer des ensembles de données hebdomadaires pour la surmortalité). »

J’encourage tout le monde à lire tous les commentaires.

Autres hypothèses

Si quelqu’un a une meilleure explication pour ces données, je serais ravi de l’entendre.

Si un vérificateur de faits veut me mettre au défi sur ce point, il peut utiliser le formulaire de contact et nous tiendrons une conversation enregistrée.

Le CDC refuse d’en parler. Ils refusent également de nous dire pourquoi ils ne nous montrent pas ces données.

Il est certain que le NY Times et l’ensemble des médias grand public ignoreront cette affaire et ne poseront aucune question. Peut-être que Tucker Carlson en parlera. [NdT. j’en doute, Carlson fait partie de l’opposition contrôlée]

Résumé

Il était faux de supposer que la plupart des décès liés aux vaccins surviennent peu de temps après la vaccination. C’est le cas de certains, mais pas de la majorité. Ces décès ont simplement été plus faciles à remarquer puisqu’il existait une proximité temporelle avec les injections.

Si une de vos connaissances est décédée environ cinq mois après la vaccination, vous devriez absolument réclamer une autopsie en bonne et due forme, comme décrit dans mon précédent entretien avec Ryan Cole.

Merci de partager cette information.


Texte original

Vaccines are taking an average of 5 months to kill people

The CDC has been hiding the Social Security Administration death master file. I got it from a whistleblower. This shows deaths are taking 5 months from the jab to happen. This is why it’s hard to see.

by Steve Kirsch

Sept 1

Executive Summary

We’ve always assumed the vaccine kills you quickly (in the first two weeks) because that’s when people notice the association and report it to VAERS. This is still true; it does kill some people quickly.

However, thanks to an HHS whistleblower, we can now clearly see that most of the deaths from the vaccine are happening an average of 5 months from the last dose. That is for the second dose; it may be getting shorter the more shots you get but there are arguments both ways (since there can be survivor bias).

But this explains why the life insurance companies got off-the-charts all-cause mortality peaks for people under 60 in Q3 and Q4 rather than right after the shots rolled out.

The five month delay is also consistent with death reports where people are developing new aggressive cancers that are killing them over a 4 to 6 month period.

The 5 month death delay was also confirmed using only European data. That analysis was posted Aug 11, but I learned about it after I wrote this post.

So when you hear of a death from stroke, cardiac arrest, heart attack, cancer, and suicide that is happening around 5 months after vaccination, it could very well be a vaccine-related death.

The data from the Social Security Administration death master file (ages 18 to 55)

I got this chart from a whistleblower who works for HHS. This is data you are not supposed to see. The mortality increase (60% at peak) is huge. That sort of increase can only be caused by something novel that affected massive numbers of people.

There is only one possibility that fits that: the COVID vaccine.

The peak is September 9, 2021.

This graph, which is not publicly available, is from the US Social Security death master file. It compares deaths from 2021 to deaths in 2020. You simply cannot get such a rise in deaths like that unless something very deadly is affecting massive numbers of people. This explains why insurance companies all over the world were seeing massive death spikes in Q3 and Q4 of 2021. The vaccine was simply taking an average of 5 months from the most recent injection to kill people. The peak here is September 9, 2021.

Daily vaccine doses administered in the US

The peak is April 12, 2021.

The peak is April 12, 2021.

Occam’s razor

The most obvious conclusion is that the vaccine takes an average of 5 months to kill people after the second dose.

The second peak in December 2021 will result in life insurance companies having spikes in Q1 and Q2 of 2022.

Here’s what UK Professor Norman Fenton said

Another analysis using only European data found the exact same 5 month delay!

Analysis from Chris Martenson’s site found the same 5 month delay using different source data! That is really stunning. I had no idea when I wrote my article.

https://stevekirsch.substack.com/p/this-one-graph-tells-you-everything/comment/8768068

I encourage everyone to read all the comments.

Alternate hypotheses

If someone has a better explanation for this data, I’d love to hear it.

If any fact checker wants to challenge me on this, you can use the Contact Form and let’s have a recorded conversation.

The CDC doesn’t want to talk about this. They also won’t tell us why they aren’t showing us this data.

For sure, the NY Times and rest of the mainstream media will ignore this and won’t ask any questions. Maybe Tucker Carlson will talk about it.

Summary

It was wrong to assume that most of the vaccine-related deaths were happening shortly after vaccination. Some are, but most are not. It’s just that they were easier to notice when there was temporal proximity to the jabs.

If someone you know died around 5 months after vaccination, you should definitely have a proper autopsy done as described in my earlier interview with Ryan Cole.

Please share this info.

Les demandes d’indemnités aux assurances allemandes sont l’indice de millions de lésions vaccinales non déclarées – par Daniel Horowitz.

Voici une récente mise à jour des nombres, par le très actif Dr Horowitz. Les nombres astronomiques qu’il cite sont eux aussi un indice: il s’agit bien d’une guerre, ce que confirme le fait qu’elle soit pilotée par des organisations militaires et que ses acteurs soient exemptés à l’avance de toute responsabilité civile – il n’y a donc aucune base légale pour un Nuremberg 2.0.

Certains éléments récents indiquent aussi qu’il s’agit d’une guerre génétique. Il faudra donc ouvrir le très épais dossier de l’histoire de l’eugénisme, ce que je ferai dès que j’ai le temps.

Vous noterez au passage que pendant que les exécutants médicaux américains (Brix, Fauci, Wolenski) tentent de couvrir leurs arrières en disant maintenant ce qu’on savait depuis le début, ça commence à déballer au niveau juste en-dessous – notamment le nouveau président de la Société Australienne des Professionnels de la Santé, Christopher Neil dont il est question ici.

Certains médecins qui ont insisté pour injecter leurs patients gardent probablement sous leur lit une valise prête, juste au cas où. Ils ont raison.

Source.


Traduction

Les demandes d’indemnités aux assurances allemandes sont l’indice de millions de lésions vaccinales non déclarées

Daniel Horowitz

Et si une personne sur 23 vaccinée avec le produit biologique COVID présentait une réaction indésirable suffisamment forte pour justifier une demande d’indemnisation? Songez que 5,31 milliards de personnes dans le monde ont reçu au moins une injection, et que des centaines de millions en ont reçu trois ou quatre, et vous comprendrez que nous naviguons en eaux inconnues en ce moment de l’histoire de l’humanité.

Selon les données de Techniker Krankenkasse, la plus grande compagnie d’assurance médicale allemande, il y a eu un total de 437 593 demandes d’assurance facturées sous les quatre différents codes de diagnostic de lésions vaccinales en 2021. Pour mettre ces nombres en perspective, le nombre total de facturations relatives à un code de lésion vaccinale au cours des deux années précédentes était de 13 777 et 15 044, respectivement. Comme le note le Daily Skeptic, étant donné que TK assure 11 millions de personnes, cela signifie que 1 personne sur 23, soit 4,3 %, a reçu un traitement médical facturé pour lésion due au vaccin. Et cela en supposant que les 11 millions de personnes ont été vaccinées. Le taux de vaccination de base en Allemagne est de 78%, et comme la plupart des personnes non vaccinées sont des enfants, le taux de lésion par personne vaccinée est probablement encore plus élevé (5,1%).

Si l’on met de côté les facteurs de confusion [NdT. ici], juste pour vous donner une estimation approximative et vous donner une idée de l’ampleur du problème, un taux de 4,3% de lésions au niveau clinique, si on l’extrapole aux 223 millions de personnes vaccinées aux États-Unis, équivaudrait à environ 9,6 millions d’Américains touchés. Si ce chiffre semble déraisonnable, il faut se rappeler que ces données s’harmonisent presque parfaitement avec l’enquête du ministère israélien de la santé, qui a révélé un taux de 4,5% d’effets secondaires neurologiques chez les seules personnes ayant reçu des injections de rappel (et non la totalité des doses, dont le nombre est probablement plus élevé).

Ces données, et leur extrapolation à la population américaine, sont encore plus crédibles si l’on examine les données du VAERS. Le nombre total d’hospitalisations, de visites de soins d’urgence ou de visites chez le médecin signalées au VAERS (uniquement pour les États-Unis) pour les injections de COVID au 5 août est de 337 579.

Un facteur de sous-déclaration d’environ 28 donnerait 9,6 millions de lésions de niveau clinique. Le Dr Jessica Rose, spécialiste du VAERS [Vaccine Adverse Events Reporting System], a estimé, en se basant sur des taux indépendants d’anaphylaxie tirés d’une étude du Mass General, que le facteur de sous-déclaration du VAERS pouvait atteindre 41 pour les événements indésirables graves. [NdT. article connexe de Jessica sur le calcul du taux de sous-déclaration des avortements spontanés]

Il est évident que les codes de facturation des lésions dues aux vaccins, les données du VAERS concernant les visites chez le médecin et l’enquête du ministère israélien de la santé ne portent pas exactement sur les mêmes données, mais elles semblent toutes converger vers un coefficient de pourcentage de lésions bien supérieur à celui des légers symptômes typiques auxquels on peut attendre après une injection. De plus, il est possible de vérifier de manière indépendante et plus précise les données de facturation allemandes en utilisant les mêmes codes de diagnostic de lésions vaccinales utilisés par l’armée américaine. Les quatre codes figurant dans les données de facturation de la TK allemande pour 2021 sont les suivants:

  • T.88.0: Infection consécutive à une vaccination
  • T.88.1: Autres complications après immunisation
  • U.12.9: Effets indésirables après immunisation par Covid-19
  • Y.59.9: Complications dues aux vaccins ou aux substances biologiques

J’ai demandé à une source militaire ayant accès à la base de données épidémiologiques médicales de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) de me fournir des données équivalentes sur les lésions dues aux vaccins. Bien que certains de ces codes n’aient pas donné de résultat, voici les données pour T50.B95, « Effet indésirable d’un autre vaccin viral ». [NdT. pour plus d’infos sur la base DMED, un précédent article du Dr Horowitz ici, un autre de Thomas Renz ici]

Le coefficient multiplicateur est de 11,6, ce qui n’est pas aussi spectaculaire que celui de 30 en Allemagne, mais il ne concerne qu’un seul code. En outre, il est probable que la population militaire présente un taux de base plus élevé d’effets indésirables signalés annuellement par rapport à la population civile, car elle reçoit chaque année beaucoup plus de vaccins individuels.

Lorsque l’on utilise les codes de la CIM [Classification Internationale des Maladies] pour extrapoler l’étendue des lésions dues aux vaccins, il faut garder à l’esprit que ces chiffres sous-estiment probablement de manière substantielle le total des effets indésirables. La plupart des médecins vouent au vaccin une vénération qui tient de la ferveur religieuse, et la mise en cause du vaccin dans une maladie ou une lésion particulière fait l’objet d’une stigmatisation virulente. Le fait que les codes de facturation médicale laissent entrevoir un degré de lésion aussi cataclysmique est donc stupéfiant. De plus, il n’existe pas de codes de facturation pour les décès, qui sont clairement sous-déclarés.

Le fait que les injections soient encore disponibles, et a fortiori imposées au public dans de nombreuses circonstances, représente historiquement la plus grande violation du code de Nuremberg. Le problème n’est même plus le fait qu’il s’agisse d’une expérience sur l’humanité entière. Les données sont disponibles et la dangerosité des injections a été prouvée. Celles-ci ne sont donc même plus expérimentales.

Dans une lettre sans appel, le nouveau président de la Société Australienne des Professionnels de la Santé, Christopher Neil, s’est clairement dressé contre le fait que les médecins australiens soient muselés sitôt qu’ils veulent prendre la parole ou proposer un consentement éclairé. « En effet, après 17 mois et suite à de multiples formes de pression visant à administrer les injectables COVID-19 à diverses catégories d’âge, une quantité colossale de données est maintenant disponible pour informer plus complètement et plus précisément les cliniciens sur ces produits », a écrit le Dr Neil aux Collèges et Associations Australiens de Médecine, de Santé et de Science, ainsi qu’aux membres du Parlement. « Cette littérature comprend plus d’un millier d’études évaluées par des pairs faisant état des préjudices constatés dans le monde entier, jusqu’en décembre 2021. »

Neil ne fait qu’énoncer l’évidence: le nombre de rapports d’événements indésirables est astronomique. « Pour être clair, la TGA [Therapeutic Goods Administration, l’équivalent de la FDA en Australie] a reçu plus de rapports d’événements indésirables entre 2021 et juin 2022 pour les vaccins COVID-19, qu’elle n’en a reçu pour tous les autres vaccins au cours des 50 années précédentes. »

Si on ne retient que les données du VAERS et du système EudraVigilance de l’Agence Européenne des Médicaments, on dénombre au total 76 253 morts et 6 033 218 blessés, à la mi-juillet. Ces chiffres sont en eux-mêmes époustouflants, mais si l’on tient compte d’un facteur de sous-déclaration de 41, on obtient un total de près de 1,9 million de morts et 247 millions de blessés! Ce chiffre incroyable mais également révoltant de 247 millions de lésions équivaudrait à 4,6% de toutes les personnes vivant sur le troisième caillou du système solaire à avoir été injectées, soit presque exactement le taux de lésions extrapolé à partir des données de facturation médicale allemandes!

Certains se demandent si Steve Deace et moi-même n’avons pas dramatisé en qualifiant cette situation de Quatrième Reich et en exigeant un procès de Nuremberg. Mais au fur et à mesure que les jours passent et que se dévoile la profonde horreur de cette affaire, le public voudra savoir pourquoi on n’a pas exigé dès le premier jour de se conformer au Code de Nuremberg.


Texte original

German insurance claims hint at millions of unreported vaccine injuries

Daniel Horowitz

August 15, 2022

What if 1 in 23 individuals jabbed with the COVID bioproduct experienced an adverse reaction strong enough to trigger an insurance claim? Now consider the fact that 5.31 billion people in the world received at least one jab, with hundreds of millions receiving three or four jabs, and you will realize we are in uncharted waters in human history.

According to data from Techniker Krankenkasse, the largest German medical insurance company, there were a total of 437,593 insurance claims billed under the four diagnostic codes for vaccine injury in 2021. To put those numbers in perspective, the total numbers billed for a vaccine injury code in the two preceding years was 13,777 and 15,044, respectively. As the Daily Skeptic notes, given that TK insures 11 million people, that means 1 in 23, or 4.3%, had a medical treatment billed for vaccine injury. And that assumes all 11 million were vaccinated. The background vaccination rate in Germany is 78%, although most of the unvaccinated are children, so the rate of injury per vaccinated person is likely even higher (5.1%).

Putting aside confounding factors, but just to provide a rough estimate to open your mind to the scope of this problem, a 4.3% clinical level injury rate, if extrapolated for the 223 million vaccinated in the United Sates, would equal approximately 9.6 million injured Americans. While that number sounds unconscionable, remember that this data harmonizes almost perfectly with the Israeli health ministry survey that found a 4.5% rate of neurological side effects just from those who received booster shots (not total doses, which is likely more).

However, this data, and the extrapolation for the U.S. population, is even more credible when you look at the VAERS data. The total number of reported hospitalizations, urgent care visits, or doctor’s visits reported to VAERS (just for the U.S.) for the COVID shots as of Aug. 5 is 337,579.

An underreporting factor of roughly 28 would get you 9.6 million clinical-level injuries. Leading VAERS expert Dr. Jessica Rose estimated, using independent rates of anaphylaxis events from a Mass General study, an underreporting factor as high as 41 for serious adverse events in VAERS.

Obviously, vaccine injury billing codes, VAERS data for doctor visits, and the Israeli health ministry survey are not the exact same data point, but they all seem to coalesce around a rate of several percentage points of injury beyond the typical mild symptoms one would expect to experience from the shot. Moreover, we can actually independently verify the German billing data more precisely by using the same diagnostic codes for vaccine injury in the U.S. military. The four codes tabulated in the German TK billing data for 2021 are the following:

  • T.88.0: Infection following immunisation
  • T.88.1: Other complications after immunisation
  • U.12.9: Adverse effects after Covid-19 immunisation
  • Y.59.9: Complications due to vaccines or biological substances

I asked a source in the military with access to the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) system to pull equivalent data on vaccine injury. While some of these codes did not come up, here is the data for T50.B95, “Adverse Effect of Other Viral Vaccine.”

The rate of increase is 11.6-fold, not as dramatic as the 30-fold increase in Germany, but this is just one code. Also, it’s likely that the military population would have a higher baseline background rate of reported adverse effects annually than a civilian population because they receive many more vaccines every year per capita.

When using ICD codes to extrapolate the scope of vaccine injury, keep in mind that these numbers likely substantially understate the total adverse events. Most doctors worship the vaccine with religious fervor, and there is a virulent stigma against implicating the vaccine for a particular malady or injury. So the fact that medical billing codes are hinting at this degree of cataclysmic injury is astounding. Moreover, there are no billing codes for death, which is clearly being underreported.

That the shots are still even being made available, much less coerced upon the public in many circumstances, represents the greatest violation of the Nuremberg Code of all time. It’s not even the fact that they are experimenting on all of humanity. The data is in and the shots have affirmatively been proven dangerous. They are no longer even experimental.

In a shocking letter, the incoming president of the Australian Medical Professionals Society, Christopher Neil, made it clear that Australian doctors must not be gagged in speaking out and offering informed consent. “Indeed, now 17 months later and after numerous forms of pressure to take up the COVID-19 injectables in various age categories, a tremendous amount of data is available to more fully and accurately inform clinicians about these products,” wrote Dr. Neil to the Australian Colleges and Associations of Medicine, Health, and Science, and members of Parliament. “This literature includes over one thousand peer reviewed studies reporting of the harms being seen around the world, up to December 2021.”

Neil observes the obvious – that the degree of adverse event reporting is sky-high. “To be clear, the TGA has received more Adverse Event reports in 2021 through June 2022 for the COVID-19 vaccines, than they have been seen for all other vaccines in the preceding 50-year period.”

If you just take the data from VAERS and the EudraVigilance system of the European Medicines Agency, there were a total of 76,253 dead and 6,033,218 injured, as of mid-July. That in itself is mind-blowing, but if you adjust for an underreporting factor of 41, that would total nearly 1.9 million deaths and 247 million injuries! Amazingly, yet sickeningly, 247 million injuries would equal 4.6% of all the people jabbed on this third rock from the sun – nearly exactly the extrapolated rate of injury from the German medical billing data! Some are asking whether Steve Deace and I were overly dramatic in calling this the Fourth Reich and demanding a Nuremberg trial. But as the days pass and the sheer horror of this becomes apparent, the public will want to know why there was no demand to abide by the Nuremberg Code from day one.

L’histoire de la polio – par Elliott Freed.

Note 23/01/23: OUPS! J’ai détecté une erreur logique, à laquelle j’aimerais une explication. Je ne pose pas la question à l’auteur, qui ne répond pas à ce genre de message (il n’est pas très sympathique). Si le virus n’est pas la cause de la polio, comment le vaccin peut-il la provoquer? Il contient du virus inactivé (dans le cas du vaccin de Cutters Lab, mal inactivé), pas du DDT, que je sache.

Note 30/01/23: j’ai trouvé une monographie (sourcée) qui soutient l’innocuité totale du DDT. Elle est signée J. Gordon Edwards, professeur émérite d’entomologie, et s’intitule « DDT: un cas d’école de fraude scientifique » et démonte le bouquin de Rachel Carson sur lequel s’est érigé l’environnementalisme américain et mondial, « Le Printemps silencieux », à l’origine de l’interdiction du DDT. Il souligne que cette interdiction a empêché l’éradication de la malaria, qui a fait depuis des centaines de millions de victimes. Je traduis au plus tôt cette monographie, et je laisse l’article ci-dessous à fins de comparaison.


Nouvelle manoeuvre pour encore injecter le peuple – enfin, ses éléments les moins fûtés:

La surveillance des eaux usées par le NYSDOH et le NYCDOHMH permet d’identifier la présence de la poliomyélite dans la ville de New York et invite les New-Yorkais non vaccinés à se faire vacciner dès maintenant

Des échantillons d’eaux usées de la ville de New York fournis aux centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont révélé la présence de poliovirus, ce qui indique un risque de transmission communautaire.

La polio peut entraîner une paralysie, voire la mort.

Pour en savoir plus sur la polio et la vaccination, consultez le site health.ny.gov/polio ou le site nyc.gov/health/polio.

12 août 2022 – Le Département de la Santé de l’État de New York (NYSDOH) et le Département de la Santé et de l’Hygiène Mentale de la ville de New York (NYCDOHMH) ont informé aujourd’hui les New-Yorkais de la détection de poliovirus (le virus qui cause la polio paralytique) dans les eaux usées, ce qui suggère une probable circulation locale du virus. La polio peut entraîner une paralysie permanente des bras et des jambes, voire la mort dans certains cas.

Source.

Non.

Encore un pur mensonge.

Elliott Freed vous explique ci-dessous ce qu’il y a à en savoir. J’espère que ça aidera à saboter un peu cette nouvelle manoeuvre. Pas pour certains, qu’on ne sauvera pas parce qu’ils ne veulent pas ếtre sauvés, si la formule vous rappelle quelque chose. Ceux qui tiennent absolument à se faire injecter tout et n’importe quoi, injections Covid, variole du singe, maintenant ceci et celles qui suivront, notamment pour la « maladie de Marburg », apparemment dans les cartons. La loi martiale militaire internationale, également dans les cartons, convaincra les plus rétifs.

En regard de l’excellent travail de l’infatigable Dr Lee Merritt (déjà publiée ici), je vais aussi revenir sur le dossier des autres « épidémies » – notamment celle de 1919 – mais patience, ce sera un gros travail pour tout résumer puisque c’est encore à partir de vidéos. Je me tape quand même le boulot parce que ça permettra de faire un historique de l’eugénisme, dont l’origine se perd dans la nuit des temps, et de rappeler ses opérations majeures, qui ont lieu environ une fois par siècle.

En attendant et pour aider à établir le contexte, vous pouvez relire cet article du Midwestern Doctor et mon papier sur Catherine Austin Fitts, un témoignage sur les coulisses du vrai pouvoir mondial. Et vous pouvez lire ce qui suit.

Note: ma traduction était vraiment foireuse, je l’ai revue et corrigée le 21/11. C’est plus clair et plus lisible.

Source.


Traduction

L’histoire de la polio

Elliott Freed

31 juillet

Lorsqu’on aborde le sujet de la polio, il faut tenir compte de son histoire.

Jusqu’en 1943, elle était très rare. On comptait quelques dizaines de cas par an dans le monde au début des années 1900, puis environ 1 000 par an aux États-Unis en 1942. En 1943, ce nombre tripla et continua à grimper en flèche jusqu’en 1952.

Dès sa première apparition à la fin du XIXe siècle, il a fallu tout un cheminement scientifique pour comprendre ce qu’il en était et ce qu’il fallait faire. Beaucoup de médecins et de scientifiques reconnurent rapidement qu’il s’agissait d’un empoisonnement. Quelques-uns réussirent à le traiter comme tel, en soignant leurs patients avec des vitamines, etc. [NdT. ceci évoque l’affaire de « l’huile frelatée » en 1981 en Espagne, où des médecins avaient déterminé qu’il s’agissait en fait d’une intoxication aux pesticides et avaient sauvé des patients avec une cure de vitamine B]

En même temps, les grandes industries chimiques employaient un cadre croissant de scientifiques. Bien sûr, beaucoup d’entre eux travaillaient sur des applications plus industrielles, mais certains d’entre eux travaillaient dans le domaine de la médecine et de la recherche en santé.

Lorsque des gens commencèrent à souffrir de paralysie après avoir été exposés à ces produits chimiques industriels, les scientifiques de l’industrie durent se défausser de leur responsabilité et se mirent à la recherche d’un agent infectieux. Comme ils ne trouvaient aucune bactérie responsable, ils inventèrent un croquemitaine, le virus.

Qu’est-ce qu’un virus? Personne ne le savait. Ce n’est que dans les années 1940 que l’on disposa de microscopes électroniques permettant de voir à cette échelle, et l’on se contenta de la première chose que l’on trouva comme si elle était manifestement celle que l’on cherchait. Ce n’est qu’au tournant du siècle dernier qu’on a disposé de la technologie d’imagerie permettant de visualiser leur fonctionnement réel. Mais au cours de la première décennie du XXe siècle, les virus furent présentés comme l’agent infectieux à l’origine d’une paralysie comparable à celle résultant d’un empoisonnement et inexplicable par une infection bactérienne. C’était un tour de passe-passe et, depuis, personne dans le milieu académique ne lit ces vieux articles. On les accepte tels quels. Et personne ne tente de reproduire ces expériences. On se foutrait d’eux et on les mettrait à la porte pour avoir agi comme le Dr Frankenstein.

Tout au long du début du XXe siècle, les scientifiques au service des entreprises chimiques continuèrent leur recherche de ce mystérieux agent infectieux. À la lecture de leurs recherches, on se rend compte à quel point ces scientifiques étaient fous, et à quel point leurs expériences et leurs données étaient inutiles. Vous pouvez suivre le parcours de folie scientifique de ces fous en consultant le site Pub Med, en effectuant une recherche sur la polio et en sélectionnant l’option permettant de voir les publications les plus anciennes en premier.

Ils bénéficèrent d’un grand coup de pouce quand Roosevelt tomba malade. Après avoir passé quelques jours d’affilée sans dormir, il était allé nager dans des eaux glaciales en aval d’une zone fortement industrialisée depuis des siècles. Il se réveilla le lendemain matin avec une faiblesse et une paralysie et on lui diagnostiqua une polio. Mais en réalité, il avait été empoisonné alors qu’il était déjà affaibli.

Comme il était ami avec tous les grands industriels et d’autres personnes de ce genre, et que la théorie virale était la plus populaire et la mieux soutenue par la finance, il s’y rallia et, avec l’un de ses amis, créa la Marche des Dix Sous afin de faire d’une maladie rare un grand sujet d’inquiétude pour le public et de récolter des fonds pour la recherche d’un traitement.

Ce qui nous amène à la question: que s’est-il passé en 1943 pour provoquer ce pic de cas de paralysie?

L’agence gouvernementale précurseur du CDC s’était mise à pulvériser du DDT pour tenter d’éradiquer les moustiques et la malaria.

Alors que le nombre de cas de polio montait en flèche, la recherche de la cause et du remède s’intensifia, tout comme le débat au sein de la communauté médicale scientifique. D’un côté, il y avait les médecins qui guérissaient la polio avec de la vitamine C et l’identifiaient comme résultat d’un empoisonnement. De l’autre côté, il y avait ceux qui fournissaient des fonds importants à la recherche pour tenter de valider l’hypothèse virale et de disculper les entreprises chimiques.

Alors que l’hypothèse virale, qui bénéficiait de beaucoup d’argent et du soutien de FDR, puis d’Eisenhower, dominait les médias et le dialogue public, il était évident en 1952 à quiconque comprenait vraiment la question qu’il s’agissait d’un empoisonnement au DDT. Les gens lavaient leurs fruits avec. On installait du papier peint imprégné de DDT dans les chambres des nouveau-nés. On le pulvérisait par camions entiers sur les enfants dans les piscines et les salles de classe, etc. On commença donc à réduire l’utilisation du DDT, sans jamais reconnaître publiquement qu’il en était la cause.

En 1955, le taux de mortalité dû à la paralysie, ou « polio », avait diminué de moitié. C’est à ce moment-là que le vaccin a été introduit. Avec l’introduction du vaccin, le taux de paralysie a de nouveau augmenté, presque exclusivement chez les personnes vaccinées. La photo de la pièce remplie de poumons d’acier est une photo prise lors d’une séance de tournage, et non un véritable service de polio, mais elle est basée sur quelque chose qui s’est réellement produit. Des milliers d’enfants ont été paralysés par le vaccin. On a appelé cet événement l’incident Cutter dans le but d’imputer la nouvelle pandémie de paralysie aux vaccins mal fabriqués par Cutter Labs, plutôt qu’à la vaccination en général.

Dans le but de commercialiser rapidement le produit, un célèbre médecin de santé publique, Alton Oschner, qui avait été à l’origine de la mise au point du vaccin, l’injecta à ses deux petits-enfants sur scène, devant la presse. L’un d’eux mourut le lendemain et l’autre devint horriblement paralysé et décéda quelques années plus tard. Pourtant, le bon docteur continua à promouvoir le vaccin. Il y était fortement investi. Il avait misé toute son importante et influente carrière sur le vaccin.

Après avoir réalisé leur erreur, les CDC modifièrent les critères de diagnostic de la polio, qui avait pratiquement disparu en 1960. Ils choisirent de couvrir leurs arrières, de promouvoir un produit qu’ils savaient mortel et de continuer à tuer et mutiler des enfants au lieu de dire la vérité.

Vous voyez, avant l’introduction du vaccin et l’incident Cutter, qui démontra clairement à quel point le vaccin était dangereux, toute personne présentant une paralysie flasque aiguë pendant vingt-quatre heures recevait un diagnostic de polio. La plupart des gens se rétablissaient en une ou deux semaines.

Après avoir réalisé ce qu’ils avaient fait, les CDC modifièrent le diagnostic en 1956. Pour obtenir un diagnostic de polio, la personne devait rester paralysée pendant deux mois et le CDC devait lui-même trouver le virus de la polio dans les selles du patient.

Qu’est-ce qu’était le virus de la polio? Personne ne le savait vraiment, en raison des limites de la technologie que j’ai décrites plus haut. Salk utilisa simplement trois brins d’ADN trouvés dans les selles de garçons en bonne santé comme base pour son vaccin. Vous en apprendrez plus à ce sujet dans le livre « Fear of the Invisible« .

Si le CDC ne trouvait pas le virus, la personne recevait un autre diagnostic. Parmi les plus courants, citons la paralysie flasque aiguë, la méningite aseptique, la myélite transverse, le syndrome de Guillain Barré, etc. Si on regroupe tous ces nouveaux diagnostics de ce qui était autrefois appelé polio, on constate que les chiffres étaient plus élevés que jamais.

De plus, on a depuis recherché le virus de la polio. Ce qu’on a découvert, c’est que 99,9 % ou plus des personnes chez qui on trouve ces brins d’ADN ne présentent aucun symptôme de maladie. Ces informations figuraient autrefois sur le site Web du CDC. Il y a quelques années, ils ont réduit le nombre de cas publiés sur leur site, mais de nombreuses discussions téléphoniques avec des employés du CDC pour tenter de trouver la preuve de cette modification se sont révélées infructueuses. Parallèlement, chez la plupart des personnes qui présentent les symptômes autrefois connus sous le nom de polio, on ne trouve pas ces brins d’ADN. Si seulement une personne sur mille porteuse du « virus » incriminé est malade, et que la plupart des personnes malades n’ont pas le « virus », ce n’est pas le « virus » qui a causé la maladie.

L’argument selon lequel les vaccins ont éradiqué la polio et sauvé des millions de vies est faux et construit sur des mensonges dont l’objectif est de décharger les bureaucrates gouvernementaux et les scientifiques de l’industrie de la responsabilité des décès qu’ils ont causés, de promouvoir et tirer profit d’un produit qu’ils savaient non seulement inefficace mais aussi mortel, et pour établir dans toute la population une obéissance aux obligations d’injections.

Ce billet date d’il y a plusieurs années. À l’époque, en 2015, j’ai partagé tous les liens et informations pertinents petit à petit sur ma page Facebook au fur et à mesure que je les découvrais. Ceci en était un résumé. Vous pouvez trouver tous les liens utiles ainsi que d’autres informations dans le livre que j’ai publié, qui organise et en résume ces informations. Malheureusement, l’imprimerie à laquelle j’ai recours connaît des problèmes de chaîne d’approvisionnement et de personnel, ce qui rend difficile l’obtention de copies imprimées, et j’ai donc mis à disposition la version PDF. Vous pouvez vous rendre sur le site Web ci-dessous pour l’acheter.

www.vaccineprimer.weebly.com

Merci de vous joindre à moi dans cette conversation,

Sincèrement,

Elliott Freed


Texte original

The History Of Polio

Elliott Freed

Jul 31

Something to consider when thinking about polio is the history of it.

It was very rare until 1943. There were a few dozen cases a year around the world in the early 1900s, rising to about 1,000 a year in the u.s. in 1942. In 1943 that number tripled and continued climbing sharply until 1952.

From its first appearance in the late 1800s there was quite the scientific journey to understand what it was and what to do about it. A lot of doctors and scientists quickly recognized it as poisoning. A few were able to successfully treat it as such, recovering their patients with vitamins, et cetera.

At the same time there was a growing cadre of scientists in the employ of the large chemical industries. Obviously many of them were working on more industrial applications but there were also some working on medicine and health research.

When people started showing up with paralysis after exposure to these industrial chemicals the industrial scientists had to deflect blame so they tried to look for an infectious agent. When they couldn’t find any bacteria responsible for it they made up a bogeyman, the virus.

What was a virus? Nobody knew. It was not until the 1940s that they had electron microscopes through which they could see things that small, and they settled on the first thing they found as if it was obviously what they’d been looking for. It was not until the turn of the latest century that they had the imaging technology to see what those things were actually doing. But in the first decade of the 20th century, viruses were presented as the infectious agent causing the poisoning like paralysis that couldn’t be explained by bacterial infection. It was sleight of hand and nobody within the academy since even reads those old papers. They just assume. Certainly no one attempts to repeat those experiments. They’d be laughed out of their jobs for acting like Dr. Frankenstein.

Throughout the early 20th century scientists in the employ of the chemical corporations continued to look for this mysterious infectious agent. When you read their research you realize just what mad scientists they were, and how absolutely pointless their experiments and useless their data. You can journey with these madmen through their mad science by going to pub med, searching for polio, and selecting the option to see the oldest publications first.

They got a big boost when FDR took ill. He’d been up for a few days straight, and then went swimming in frigid waters down stream from an area that had been heavily industrial for centuries. He awoke the next morning with weakness and paralysis and was given the diagnosis of polio. But really he’d been poisoned while in an already weakened state.

He was friends with all the industrialists and what not, and the viral theory was the popular one, the one backed by all the money, so he went with it and, with a friend of his, started the March of Dimes to turn a rare illness into a huge public scare and raise money to look for a cure.

Which leads us to the question, what happened in 1943 that caused the spike in cases of paralysis?

The government agency that was the precursor to the CDC began spraying DDT in an attempt to eradicate mosquitoes and malaria.

As the number of cases of polio skyrocketed the search for the cause and the cure heated up, and so did the debate within the scientific medical community. On the one hand were the doctors who were curing polio with vitamin C and recognizing it as the result of poisoning. On the other hand were the ones who were bringing in big research money in an attempt to validate the viral hypothesis and exonerate the chemical corporations.

While the viral hypothesis, with all its money and the backing of FDR, and later Eisenhower, dominated the media and the public dialogue, by 1952 it was obvious to anybody who really understood the issue that it was DDT poisoning. People were washing their fruit with it. They were putting up DDT infused wall paper in the bedrooms of their newborn infants. They were spraying it by the truckload on kids in swimming pools and school classrooms, etc. So they began pulling back on the use of DDT, without ever acknowledging publicly that it had been the cause.

By 1955 the death rate from paralysis, aka « polio » had dropped by half. That was when they introduced the vaccine. With the introduction of the vaccine paralysis rates once again jumped, almost exclusively in the vaccinated. The photo of the room full of iron lungs is a photo from a filming session, not an actual polio ward, but the idea is based on something that really happened. There were thousands of children who had been paralyzed by the vaccine. They called the event the Cutter incident in an effort to blame the new paralysis pandemic on vaccines improperly manufactured by Cutter Labs, instead of vaccination generally.

In an attempt to rush the product to market a famous public health doctor who had been at the forefront of the push to develop the shot, Alton Oschner, injected it into his two grandchildren on stage in front of the press. One died the next day and the other became horribly paralyzed and died a few years later. Yet the good doctor still pushed the vaccine. He was heavily invested in it. He had staked his entire, very prominent and influential career on it.

Upon realizing their mistake the CDC tweaked the diagnostic criteria for polio and it pretty much disappeared by 1960. They chose to cover their own asses, promote the product they knew was deadly and continue to kill and maim children instead of coming clean.

You see, before the vaccine was introduced and the Cutter incident made it clear how bad the vaccine was, anybody presenting with acute flaccid paralysis for twenty four hours was given a diagnosis of polio. Most people started recovering within a week or two.

Once they realized what they had done, in 1956 the CDC changed the diagnosis. In order to get a diagnosis of polio the person had to be paralyzed for two months and the CDC themselves had to find the polio virus in the stool of the patient.

What was the polio virus? Nobody really knew for sure, due to the limitations of technology I described above. Salk just used three dna strands he found in the stool of healthy boys as the stock for his vaccine. You can read more about that in the book, « Fear of the Invisible. »

If the CDC did not find the virus the person would be given another diagnosis. Some of the common ones are acute flaccid paralysis, aseptic meningitis, transverse myelitis, Guillain Barre Syndrome and others. Lump all the new diagnoses for what was once called polio together and you find the numbers are as high as ever.

Also, they have since been looking for the polio virus. What they have found is, 99.9% or more of people in whom they find those dna strands have no symptoms of illness. This information used to be on the CDC website. A few years ago, they reduced that number published on their website, but numerous phone discussions with CDC employees trying to find the evidence for this change proved fruitless. At the same time, in most people who have the symptoms once known as polio, they do not find those dna strands. If only one in one thousand people with the offending “virus” are ill, and most of the people who are ill do not have the “virus,” it was never the « virus » causing the disease.

The argument that vaccines eradicated polio and saved millions of lives is false and built on lies told to avoid responsibility for the deaths caused by government bureaucrats and industry scientists, to promote and profit from a product they knew was not only ineffective but also deadly, and to train obedience to mandates to receive injections into the entire population.

This was a post from years ago. Back in 2015, I shared all the relevant links and information bit by bit to my face book page as I uncovered it. This was a summary of all that. If you’d like all the links and other info, you can find it in the book I published organizing and summarizing this info. Sadly, the printing company I use is having supply chain and staffing issues, making it difficult to get printed copies, so I’ve made the PDF version available for purchase. You can go to the website below to purchase it.

www.vaccineprimer.weebly.com

Thank you for joining me in the conversation,

Sincerely,

Elliott Freed

DRACO dans les oubliettes – par Spartacus.

Pour ceux qui se demanderaient ce que prennent contre le Covid les sympathiques personnages qui veulent absolument vous injecter le « vaccin » et qui savent parfaitement que le produit en question est une mauvaise idée, voici une bonne hypothèse et un excellent article de Spartacus.

Pour rappel, Spartacus avait rédigé ce papier assez cinglant et très bien sourcé, et celui-ci non moins intéressant – ainsi que des dizaines d’autres sur son Substack, que je n’ai pas le temps de traduire. Ne vous prenez pas la tête avec les termes médicaux, le principe de base est assez limpide. Comme je l’expliquais dans cet article, vous commencez à avoir l’entraînement. Pour les plus curieux (ou les médecins), j’ai scrupuleusement traduit tous ceux qui ont un équivalent en français (certains n’en ont pas) et donné une brève définition ou un lien pour quelques termes clé. Vous commencez aussi à vous familiariser avec la soupe alphabétique des diverses organisations étatiques médicales et paramilitaires américaines, dont je n’ai traduit le nom que des plus relevantes. Ici c’est principalement le NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) et la DTRA (Agence pour l’atténuation des menaces de défense). Vous trouverez facilement les autres sur le Net.

Source.


Traduction

DRACO dans les oubliettes

Ils avaient un remède il y a plus de dix ans, mais pas pour vous

Spartacus

2 août

Oligomérisateur de la Caspase activée par l’ARN double brin

Le 27 juillet 2011, un article a été publié dans PLOS ONE [NdT. ici] décrivant une nouvelle protéine biologique antivirale. Il s’appelait DRACO, un acronyme pour Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer [Oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin].

PLOS – Thérapies antivirales à large spectre

À l’heure actuelle, il existe relativement peu de thérapies antivirales, et la plupart de celles qui existent sont hautement spécifiques aux agents pathogènes ou présentent d’autres inconvénients. Nous avons développé une nouvelle approche antivirale à large spectre, appelée Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO), qui induit sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb [l’ARN double brin] viral, tuant rapidement les cellules infectées sans nuire aux cellules non infectées. Nous avons créé les DRACOs et démontré qu’ils sont non toxiques dans 11 types de cellules de mammifères et efficaces contre 15 virus différents, dont le flavivirus de la dengue, les arénavirus Amapari et Tacaribe, le bunyavirus Guama et la grippe H1N1. Nous avons également démontré que les DRACOs peuvent sauver des souris atteintes de la grippe H1N1. Les DRACOs ont le potentiel pour devenir des thérapies ou des prophylaxies efficaces pour de nombreux virus cliniques et prioritaires, en raison de la sensibilité à large spectre du domaine de détection de l’ARNdb, de l’activité puissante du domaine d’induction de l’apoptose [NdT. l’apoptose (ou mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal] et du nouveau lien direct entre les deux, que les virus n’ont jamais rencontré.

[…]

Financement: Ce travail est financé par la subvention AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et du New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases (NERCE-BIED), avec un financement antérieur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA), et du Director of Defense Research & Engineering (DDR&E). Les bailleurs de fonds n’ont joué aucun rôle dans la conception de l’étude, la collecte et l’analyse des données, la décision de publier ou la préparation du manuscrit. Les opinions, interprétations, conclusions et recommandations sont celles des auteurs et ne sont pas nécessairement approuvées par le gouvernement des États-Unis.

Cette recherche a été effectuée aux Draper Labs du MIT et a été financée par le NIAID, la DARPA et la DTRA. Le Pentagone était à la recherche d’un antivirus à large spectre capable de guérir n’importe quelle infection virale, au cas où les soldats seraient exposés à un agent pathogène inconnu pour lequel il n’existe aucun vaccin (c’est-à-dire un agent de guerre biologique). La solution du Dr Todd Rider a consisté à créer une protéine chimérique composée d’un domaine de détection de l’ARNdb fusionné bout à bout avec un domaine d’induction de l’apoptose. Ces protéines biologiques ont été produites par cultivation dans un bioréacteur dans des bactéries E. Coli transfectées avec des plasmides pour produire des protéines DRACO, de la même façon que l’insuline recombinante est produite.

Il est possible de formuler différents types de DRACO, comme la protéine kinase R et le facteur d’activation de la protéase apoptotique-1, PKR et FADD, RNaseL et Apaf-1, etc. Les DRACOs ont tous le même mécanisme d’action. Ils tirent parti du fait que de nombreux virus, y compris les coronavirus, produisent de longs brins d’ARNdb lorsqu’ils infectent les cellules et se répliquent. Même les virus dont le génome contient de l’ARN à simple brin, comme le SARS-CoV-2, le font. En revanche, les cellules saines ne contiennent pas du tout de longs brins d’ARNdb.

Voici comment cela fonctionne:

  1. Des protéines DRACO sont injectées dans le sujet.
  2. Les protéines utilisent des peptides pénétrant dans les cellules (comme le TAT du VIH) [NdT. ici] pour traverser les membranes cellulaires et entrer dans les cellules.
  3. Si aucun ARNdb viral n’est présent, la protéine ne fait rien.
  4. Si un ARNdb viral est présent, le domaine de détection de l’ARNdb (comme la PKR) [NdT. protéine kinase R] se lie à l’ARNdb.
  5. Plusieurs DRACOs se lient côte à côte à l’ARNdb viral.
  6. Les domaines exposés d’induction de l’apoptose des DRACOs (comme l’Apaf-1) [NdT. ici] se lient et réticulent les procaspases et forcent la cellule infectée à s’autodétruire.

Les DRACOs sont comme de petites mines limpet [NdT. ici] protéiques qui pénètrent dans les cellules infectées et commandent à ces cellules de subir une apoptose immédiatement si elles trouvent des signes d’infection virale, mais ne sont pas toxiques pour les tissus sains. Cela a été prouvé expérimentalement sur des modèles de souris. Ils ont injecté du DRACO à des souris, puis leur ont injecté de grandes quantités de virus de la grippe. Rien n’est arrivé aux souris traitées au DRACO lorsqu’elles ont été exposées au virus de la grippe. Elles allaient bien. En fait, ils ont disséqué les souris saines traitées au DRACO et ont confirmé que les protéines du DRACO n’étaient pas toxiques pour les cellules non infectées.

Les protéines DRACO ont conféré une protection pratiquement inébranlable contre les virus qui a duré jusqu’à une semaine après l’injection. Tous les virus. Voyez-vous, les virus ont des moyens de supprimer les voies d’apoptose dans les cellules, transformant les cellules infectées en véritables zombies qui n’arrivent pas à s’éliminer avant d’avoir répliqué des tonnes de particules virales. C’est un vrai bordel. Cependant, une protéine qui combine un domaine de détection de l’ARNdb avec un domaine d’induction de l’apoptose contourne complètement les astuces et les failles que les virus ont développées pour empêcher l’apoptose. Les virus ne voient pas venir le DRACO. Il détruit complètement la cellule au moment où la réplication virale commence, arrêtant immédiatement l’infection alors qu’elle ne touche encore qu’une petit nombre de cellules. Si le DRACO est administré tardivement, il y a effectivement plus d’apoptose et plus d’inflammation, en raison de la plus grande population de cellules affectées. S’il est administré de manière prophylactique, avant l’infection, les virus ne peuvent pas du tout se répliquer dans les populations de cellules traitées au DRACO, que ce soit in vitro ou in vivo. Il y met un terme complet.

Maintenant, avec de tels résultats, la chose logique à faire serait de procéder à d’autres tests sur les animaux, de confirmer (ou de réfuter) les effets de façon expérimentale et, éventuellement, de procéder à des essais sur les humains. Après tout, en théorie, le DRACO pourrait être combiné à la surveillance et à la recherche des contacts pour arrêter complètement la propagation d’un agent pathogène avant même qu’il n’ait la chance de devenir une pandémie. S’il fonctionnait, et s’il avait des effets secondaires minimes, il serait devenu un outil inestimable dans la boîte à outils du contrôle des épidémies.

Ce n’est pas ce qui s’est passé.

Un remède mis sur la touche

En 2014, Todd Rider a demandé deux millions de dollars de subventions supplémentaires à la Fondation Templeton pour poursuivre ses travaux. Cependant, lors d’une réorganisation de la Fondation Templeton, la subvention est tombée à l’eau, et il s’est retrouvé sans rien. Ayant désespérément besoin d’argent, il a lancé une paire de campagnes Indiegogo pour financer ses recherches, qui ont également échoué.

Business Insider – La découverte médicale potentiellement énorme de cet homme ne trouve pas de financement, alors il tente quelque chose de désespéré.

Il a lancé une campagne Indiegogo le 13 octobre dernier afin de récolter 100 000 dollars, une somme suffisante pour relancer ses travaux, bien qu’elle ne représente qu’une fraction de ce dont il a réellement besoin. Mais après deux mois, il n’était qu’à mi-chemin, et la campagne a donc été récemment prolongée.

Il est impossible de savoir, à ce stade précoce, si le DRACO est capable de tout ce que Rider espère – s’il sera vraiment capable de rechercher et de détruire une grande variété de virus à l’intérieur d’une personne malade.

Et maintenant, nous ne le saurons peut-être jamais.

À peu près au même moment, Ken Gabriel, un ancien du DARPA et de Google, a pris la tête des Draper Labs du MIT.

PRWeb – Ken Gabriel, ancien cadre de la DARPA et de Google, va diriger le Draper Lab.

Ken Gabriel a été professeur titulaire au Robotics Institute et au Département d’Ingénierie Électrique et Informatique de l’Université Carnegie Mellon. Il a également été directeur de programme et directeur de bureau à la DARPA, où il a conçu et dirigé des projets qui ont fait passer les MEMS [NdT. ici] du laboratoire aux applications pratiques. Au début de sa carrière, il a été professeur invité à l’Université de Tokyo, chercheur au Naval Research Laboratory et chercheur principal chez AT&T Bell Laboratories. Gabriel a notamment été nommé Technology Pioneer par le Forum Economique Mondial de Davos et nommé au Senior Executive Service, et a reçu le prix Carlton Tucker pour son Excellence dans l’Enseignement du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ken Gabriel est titulaire de diplômes SM et ScD en génie électrique et en informatique du MIT.

Ken Gabriel a également des liens avec le Wellcome Trust, qui se trouve juste à côté de Tavistock et a des liens avec Sequoia Capital. Il est le directeur de l’exploitation de Wellcome Leap. [NdT. Wellcome Leap est raccourci en « leap », qui signifie « saut » ou « bond » et est employé plus bas dans ce sens par l’auteur et Whitney Webb]

Wellcome Leap – Wellcome Leap renforce son équipe de direction et annonce la nomination de Ken Gabriel, ancien président-directeur général de Draper, au poste de directeur de l’exploitation.

Wellcome Leap (« Leap »), un projet de pointe à but non lucratif fondé par le Wellcome Trust pour accélérer les innovations au service de la santé humaine mondiale, a annoncé aujourd’hui que l’ancien directeur par intérim de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis, Kaigham « Ken » Gabriel, a été nommé directeur de l’exploitation de l’organisation.

Ken dirigera les opérations de Leap alors que l’organisation entreprend des programmes audacieux et non conventionnels et les finance à grande échelle. Avec un financement initial de 300 millions de dollars, les programmes de Leap cibleront des défis complexes en matière de santé humaine dans le but de parvenir à des solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires d’ici dix ans.

« Le mélange rare d’expérience de Ken à travers les disciplines et les secteurs sera essentiel pour construire Leap à l’échelle mondiale et remplir notre mission », a déclaré Regina E. Dugan, PDG de Wellcome Leap. « Il est dévoué à l’innovation révolutionnaire et je suis ravie de travailler avec lui. »

Whitney Webb a réalisé un reportage détaillé sur Wellcome Leap et ses intentions transhumanistes.

Unlimited Hangout – Un « bond » vers la destruction de l’humanité

Un organisme britannique à but non lucratif lié à la corruption mondiale pendant la crise du COVID-19, et ayant des liens historiques et actuels avec le mouvement eugéniste britannique, a lancé l’année dernière un équivalent du DARPA axé sur la santé mondiale. Cette initiative est passée largement inaperçue dans les médias grand public et indépendants.

Le Wellcome Trust, qui a sans doute été le second après Bill Gates dans sa capacité à influencer les événements pendant la crise du COVID-19 et la campagne de vaccination, a lancé son propre équivalent mondial de l’agence de recherche secrète du Pentagone l’année dernière, officiellement pour lutter contre les « défis sanitaires les plus pressants de notre époque. » Bien qu’elle ait été conçue pour la première fois en 2018, cette initiative particulière du Wellcome Trust a été filialisée en mai dernier avec un financement initial de 300 millions de dollars. Elle a rapidement attiré deux anciens cadres de la DARPA, qui avaient auparavant servi dans les hautes sphères de la Silicon Valley, pour gérer et planifier son portefeuille de projets.

Ce DARPA sur la santé mondiale, connu sous le nom de Wellcome Leap, vise à trouver des « solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires » d’ici à 2030, en mettant l’accent sur les « défis complexes de la santé mondiale ». Le Wellcome Trust est ouvert sur la manière dont Wellcome Leap appliquera les approches de la Silicon Valley et des sociétés de capital-risque au secteur de la santé et des sciences de la vie. Sans surprise, leurs trois programmes actuels sont prêts à développer des technologies médicales incroyablement invasives et axées sur la technologie, et dans certains cas ouvertement transhumanistes, y compris un programme exclusivement axé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), de capteurs mobiles et de technologies portables de cartographie cérébrale pour les enfants de trois ans et moins.

Odysee – Le « Wellcome Leap » [bond] vers le transhumanisme – Whitney Webb sur The Corbett Report

Whitney Webb d’UnlimitedHangout.com nous rejoint une fois de plus, cette fois pour discuter de son dernier article, « Un « bond » vers la destruction de l’humanité ». Même si vous êtes familier avec l’agenda transhumaniste, ce que les anciens de la DARPA et de la Silicon Valley, au sein de la toute nouvelle Wellcome Leap, prévoient de faire dans leur quête pour transformer l’espèce humaine au cours de la prochaine décennie va vous étonner.

Tout est lié au même programme transhumaniste du FEM, du Club de Rome et de Rockefeller: l’augmentation des capacités humaines, le marquage et le suivi des personnes, l’extraction des données de santé de leur corps, l’utilisation des données cérébrales pour la pré-criminalité, la manipulation des personnes à distance, etc.

La Superclasse veut que les gens soient intégrés à l’Internet des Corps, que nous le voulions ou non. La vaccination obligatoire n’est qu’un prétexte. Ce qu’ils veulent vraiment, c’est une marge de manœuvre illimitée pour imposer des injections de n’importe quoi, en utilisant des virus pandémiques comme prétexte.

Il est bon de rappeler aux lecteurs que la DARPA travaille sur une interface cerveau-machine à base de nanoparticules qui pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, et que cette technologie progresse rapidement.

Université Rice – Activation sans fil de circuits cérébraux ciblés en moins d’une seconde

Les chercheurs ont utilisé le génie génétique pour exprimer un canal ionique spécial sensible à la chaleur dans les neurones qui poussent les mouches à déployer partiellement leurs ailes, un geste d’accouplement courant. Les chercheurs ont ensuite injecté des nanoparticules magnétiques qui pouvaient être chauffées par un champ magnétique appliqué. Une caméra aérienne a observé les mouches qui se déplaçaient librement dans une enceinte surmontée d’un électro-aimant. En modifiant le champ magnétique d’une manière spécifique, les chercheurs ont pu chauffer les nanoparticules et activer les neurones. Une analyse de la vidéo des expériences a montré que les mouches ayant subi des modifications génétiques adoptaient la posture de l’aile déployée dans la demi-seconde environ qui suivait le changement de champ magnétique.

M. Robinson a déclaré que la capacité d’activer des cellules génétiquement ciblées à des moments précis pourrait constituer un outil puissant pour l’étude du cerveau, le traitement des maladies et le développement d’une technologie de communication directe cerveau-machine.

On ne peut pas disposer d’une telle technologie sans un cadre juridique et de droits civils qui la prenne en compte, car elle expose le public à des dérives épouvantables.

Les éthiciens sont déjà très préoccupés par les implications de la neurotechnologie. C’est pourquoi Rafael Yuste, le scientifique dont les travaux ont inspiré l’initiative BRAIN de la DARPA, a créé la Fondation des Droits Neuronaux [Neurorights Foundation]:

Fondation des Droits Neuronaux

Jonathan Moreno est très préoccupé par la militarisation de la neurotechnologie. Il a écrit un livre en 2012 intitulé « Guerres de l’esprit: les sciences du cerveau et l’armée au 21e siècle » [Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century]. Il a également écrit un article sur le sujet qui a été republié dans le Bulletin des Scientifiques Atomiques [Bulletin of the Atomic Scientists]:

Bulletin des Scientifiques Atomiques – Quand les neurosciences mènent aux neuroarmes

Le droit international proscrit fermement l’utilisation des neuroarmes, qui ciblent le cerveau et le système nerveux central et peuvent être de nature chimique, biologique ou toxique. La Convention sur les Armes Chimiques (CAC) interdit la production, l’acquisition, le stockage, la conservation et l’utilisation d’armes chimiques. Cette interdiction relativement simple est toutefois affaiblie par la disposition de la convention autorisant l’utilisation d’agents chimiques pour certaines activités de maintien de l’ordre, comme la lutte antiémeute. La Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines (CABT) est plus large dans son interdiction: elle interdit l’utilisation d’agents biologiques ou de toxines comme armes, quels que soient leur mode ou leur méthode de production. Mais contrairement à la Convention sur les Armes Chimiques, la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines ne prévoit aucun mécanisme d’inspection des installations nationales pour déterminer si l’interdiction est respectée.

Les neuro-armes représentent donc un défi à la fois pour la CAC, en raison de sa portée limitée, et pour la CABT, en raison de l’absence de mécanisme d’inspection. À la lumière de ces limitations, il ne serait pas surprenant de voir les gouvernements se tourner vers des agents incapacitants exotiques au cours de la prochaine décennie, afin de renforcer leur capacité à répondre aux menaces non conventionnelles, mobiles ou intégrées aux populations civiles. Certains de ces utilisateurs d’armes neurologiques peuvent être des régimes autocratiques désireux de réprimer la dissidence ou la rébellion, mais comme nous l’avons vu, les armées des nations riches et démocratiques ont également intérêt à utiliser des armes chimiques non létales pour tenter d’affronter des insurgés ou des groupes terroristes.

Tenter de contrer la menace terroriste sans blesser les non-combattants est sans doute une intention bien placée, mais elle ouvre une voie vers l’enfer en menaçant de saper près d’un demi-siècle de travail pour maintenir l’engagement de la communauté mondiale à faire respecter l’interdiction des armes biologiques, et la destruction durement acquise (bien qu’incomplète) des stocks d’armes chimiques dans le monde. Les installations qui peuvent créer des agents biochimiques non létaux ne sont pas très différentes de celles qui peuvent créer des agents létaux – et peuvent être identiques si la seule différence entre une arme létale et non létale est la dose.

Lorsque nous évoquons des choses comme le programme N3, nous parlons de la technologie permettant de priver des milliards de personnes de leur autonomie et de leurs droits fondamentaux du jour au lendemain et de les transformer, sans ironie, en drones Borg.

Non, ce n’est pas une hyperbole ou une exagération comique. Quand je dis drones Borg, je veux dire drones Borg.

Encore une fois, comme je l’ai dit dans des articles précédents sur les progrès récents de la biotechnologie, la Convention sur les Armes Chimiques et la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines n’interdisent pas la recherche sur les neurotechnologies de contrôle mental. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un bioéthicien qui approuvera un projet en déclarant qu’il ne tue ni ne neutralise, et qu’il ne s’agit donc pas d’une toxine ou d’un agent interdit.

Les lois et les traités n’ont pas du tout suivi le rythme des avancées technologiques dans ce domaine.

Le retour de DRACO

Rick Kiessig est le directeur et le PDG de la société néo-zélandaise Kimer Med, une startup dont l’objectif est de faire revivre le concept de DRACO pour les consommateurs. Il pense que les sociétés pharmaceutiques ont évité de développer le DRACO parce qu’il cannibaliserait les ventes de leurs autres produits, plus lucratifs.

Lifespan – Rick Kiessig parle de VTose, un antiviral à large spectre

Le Dr Todd Rider, l’inventeur du DRACO, a constaté que les subventions gouvernementales et les financements de type NIH liés aux produits pharmaceutiques se limitent en grande partie à deux grands domaines: soit la recherche fondamentale, soit l’étape finale de la mise sur le marché d’un nouveau médicament. Cependant, ils n’aiment apparemment pas financer la partie intermédiaire (où nous sommes actuellement), qui implique des essais cliniques.

Il a également estimé que pour obtenir des investissements de la part des entreprises pharmaceutiques, il faudrait démontrer l’efficacité du produit contre des virus commercialement intéressants, comme l’herpès, et c’est pourquoi c’était l’un des objectifs de ses campagnes de crowdfunding 2015/2016.

Mon point de vue est un peu plus cynique. Les entreprises pharmaceutiques disposent d’un certain nombre de médicaments pour traiter les maladies virales (antiviraux et autres). Nombre de ces médicaments nécessitent une utilisation régulière pendant une longue période, car ils ne font pas disparaître le virus, ils ne font qu’éloigner temporairement les symptômes tant que l’on continue à les prendre.

Macabre conclusion

Si vous avez suivi nos articles précédents, vous savez que le NIH, l’USAID et la DTRA sont complices du préjudice causé aux Américains en raison du financement de l’EcoHealth Alliance et de ses recherches sur le gain de fonction qui ont sans aucun doute conduit à la création du SARS-CoV-2. Ils ont également financé le DRACO, mais l’ont mystérieusement abandonné après que son efficacité ait été prouvée.

On ne peut que spéculer, mais de mon point de vue, il semble qu’ils voulaient un antidote à leur future arme biologique basée sur le SARS. Quelque chose que les VIP et les officiels pourraient utiliser en secret, tout en laissant le public pourrir et mourir, souffrant des séquelles à long terme du COVID-19 ou des effets secondaires des vaccins à peine testés, hautement toxiques et induisant une auto-immunité.

Il serait très simple de produire clandestinement du DRACO en quantité suffisante pour que les VIP puissent l’utiliser. Tout ce dont on a besoin, c’est de quelques bioréacteurs, de quelques colonnes de chromatographie, de quelques E. Coli et des plasmides du DRACO à transfecter avant de les cultiver. Il s’agit essentiellement du même équipement de laboratoire nécessaire pour produire de l’insuline recombinante. Cet équipement pourrait être caché dans le coin d’un bunker ou d’un immeuble commercial anodin, n’occupant pas plus de quelques centaines de pieds carrés tout au plus. D’énormes lots, suffisants pour des milliers de personnes, pourraient être fabriqués même dans un laboratoire relativement petit.

Nous savons avec certitude que le DRACO est synthétisé en Chine, où des recherches sont en cours sur son efficacité contre le virus du Syndrome dysgénésique et respiratoire porc (SDRP).

Elsevier – Un criblage à haut débit pour les gènes essentiels à l’infection par le SDRP à l’aide d’un système basé sur le piggyBac

[NdT. Le transposon PiggyBac (PB) est un élément génétique mobile qui se transpose efficacement entre les vecteurs et les chromosomes par un mécanisme de « couper-coller »]

L’oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin [Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer – DRACO] est une protéine synthétique qui comprend trois parties: la protéine kinase R (PKR 1-181), qui peut détecter l’ARNdb; le facteur 11-97 d’activation de la protéase apoptotique (Apaf 11-97), qui peut aider à induire sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb viral; et le domaine 4 de transduction de la protéine (PTD-4), qui peut aider à transporter les protéines dans les cellules (Guo et al., 2015). En bref, DRACO peut tuer rapidement les cellules infectées par le virus, mais n’affecte pas les cellules non infectées. Les éléments d’ADN codant pour DRACO ont été synthétisés par General Biosystems (Anhui, Chine) et clonés dans le vecteur d’expression pET-28a (+). Le plasmide recombinant pET-28a-DRACO a été identifié par PCR, digestion par enzyme de restriction et séquençage. Ensuite, la protéine DRACO a été exprimée et purifiée avec succès in vitro.

Ils avaient le remède bien avant de lâcher sur nous le COVID-19.

Pas une zoonose naturelle. Pas une fuite de laboratoire. Des crimes intentionnels contre l’humanité.

-Spartacus

Cet article est sous licence CC BY-SA 4.0. Pour consulter une copie de cette licence, visitez http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/.


Texte original

DRACO Down the Memory Hole

They had a cure over a decade ago, but not for you

Spartacus

Aug 2

Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer

On July 27th, 2011, a paper was published in PLOS ONE describing a novel protein biologic antiviral. It was called DRACO, an acronym for Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer.

PLOS – Broad-Spectrum Antiviral Therapeutics

Currently there are relatively few antiviral therapeutics, and most which do exist are highly pathogen-specific or have other disadvantages. We have developed a new broad-spectrum antiviral approach, dubbed Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO) that selectively induces apoptosis in cells containing viral dsRNA, rapidly killing infected cells without harming uninfected cells. We have created DRACOs and shown that they are nontoxic in 11 mammalian cell types and effective against 15 different viruses, including dengue flavivirus, Amapari and Tacaribe arenaviruses, Guama bunyavirus, and H1N1 influenza. We have also demonstrated that DRACOs can rescue mice challenged with H1N1 influenza. DRACOs have the potential to be effective therapeutics or prophylactics for numerous clinical and priority viruses, due to the broad-spectrum sensitivity of the dsRNA detection domain, the potent activity of the apoptosis induction domain, and the novel direct linkage between the two which viruses have never encountered.

Funding: This work is funded by grant AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases and the New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases, with previous funding from the Defense Advanced Research Projects Agency, Defense Threat Reduction Agency, and Director of Defense Research & Engineering. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript. Opinions, interpretations, conclusions, and recommendations are those of the authors and are not necessarily endorsed by the United States government.

This research was performed at MIT’s Draper Labs and was funded by NIAID, DARPA, and DTRA. The Pentagon were after a broad-spectrum antivirus that could cure any viral infection, in case soldiers were exposed to an unknown pathogen for which no vaccine existed (i.e. a biowarfare agent). Dr. Todd Rider’s solution was to come up with a chimeric protein consisting of a dsRNA detection domain fused end-to-end with an apoptosis induction domain. These protein biologics were produced by being cultured in a bioreactor in E. Coli bacteria transfected with plasmids to produce DRACO proteins, similar to how recombinant insulin is produced.

It is possible to formulate different types of DRACOs, such as Protein Kinase R and Apoptotic protease activating factor-1, PKR and FADD, RNaseL and Apaf-1, et cetera. DRACOs all have the same mechanism of action. They take advantage of the fact that many viruses, including coronaviruses, produce long strands of dsRNA when they infect cells and replicate. Even viruses with ssRNA genomes like SARS-CoV-2 do this. Healthy cells, on the other hand, don’t have any long strands of dsRNA in them at all.

This is how it works:

  1. DRACO proteins are injected into the subject.
  2. The proteins use cell-penetrating peptides (like HIV TAT) to cross cell membranes and enter cells.
  3. If there is no viral dsRNA present, the protein does nothing.
  4. If there is viral dsRNA present, the dsRNA detection domain (such as PKR) binds to the dsRNA.
  5. Multiple DRACOs bind side-by-side to the viral dsRNA.
  6. The exposed apoptosis induction domains of the DRACOs (such as Apaf-1) bind and crosslink procaspases and force the infected cell to self-destruct.

DRACOs are like little protein limpet mines that enter infected cells and command those cells to undergo apoptosis immediately if they find signs of viral infection, but are non-toxic to healthy tissue. This was proven experimentally in mouse models. They injected mice with DRACO, and then injected them with large quantities of influenza virus. Nothing happened to the DRACO treated mice when they were exposed to influenza. They were fine. In fact, they dissected the healthy DRACO-treated mice and confirmed that the DRACO proteins were non-toxic to uninfected cells.

DRACO proteins conferred practically ironclad protection against viruses that lasted up to a week after injection. All viruses. You see, viruses have ways of suppressing apoptosis pathways in cells, turning infected cells into practical zombies that can’t quite eliminate themselves before they replicate tons of viral particles. It makes a real mess. However, a protein that combines a dsRNA detection domain with an apoptosis induction domain completely bypasses the tricks and loopholes that viruses evolved to prevent apoptosis. Viruses don’t see DRACO coming. It completely destroys the cell the moment viral replication starts, shutting down the infection immediately while it’s still in a small population of cells. If DRACO is administered late, there is indeed more apoptosis and more inflammation, due to the larger population of affected cells. If it is administered prophylactically, before infection, viruses can’t even replicate in DRACO-treated cell populations at all, whether in vitro or in vivo. It puts a complete halt to it.

Now, with results like these, the logical thing to do would be to engage in more animal testing, experimentally confirm (or refute) the effects, and, eventually, proceed to human trials. After all, in theory, DRACO could be combined with surveillance and contact tracing to completely arrest the spread of a pathogen before it even had a chance to become a pandemic. If it worked, and if it had minimal side effects, it would have become an invaluable tool in the epidemic control toolbox.

That wasn’t what happened.

A Sidelined Cure

In 2014, Todd Rider sought $2 million in additional grant funding from the Templeton Foundation to continue his work. However, during a reorganization at the Templeton Foundation, the grant fell through, and he was left with nothing. Desperate for money, he started a pair of Indiegogo campaigns to fund his research that also failed.

Business Insider – This man’s potentially huge medical breakthrough can’t get funding, so he’s trying something desperate

He launched an Indiegogo campaign on October 13 to raise $100,000, enough to restart his work, though just a fraction of what he truly needs. But after two months, he was only halfway there, so the campaign was recently extended.

It’s impossible to know at this early stage if DRACO can do everything that Rider hopes it will — whether it will really be able to seek and destroy a wide variety of viruses inside a sick person.

And now we may never find out.

Around the same time, Ken Gabriel, an ex-DARPA and ex-Google guy, took over as head of MIT’s Draper Labs.

PRWeb – Ken Gabriel, former DARPA, Google Executive, to Lead Draper Laboratory

Gabriel has been a tenured professor in both the Robotics Institute and the Department of Electrical and Computer Engineering at Carnegie Mellon University. He also served as a program manager and office director at DARPA, where he conceived and led projects that took MEMS out of the laboratory into practical applications. Earlier in his career he was a visiting professor at the University of Tokyo, a research scientist at the Naval Research Laboratory and a research principal investigator at AT&T Bell Laboratories. Gabriel’s honors include being named a Technology Pioneer by the World Economic Forum at Davos and named to the Senior Executive Service, and awarded the Carlton Tucker Prize for Excellence in Teaching from the Massachusetts Institute of Technology (MIT). Gabriel holds SM and ScD degrees in Electrical Engineering and Computer Science from the MIT.

Ken Gabriel also has links to the Wellcome Trust, who are right next door to Tavistock and have links to Sequoia Capital. He is the COO of Wellcome Leap.

Wellcome Leap – Wellcome Leap Bolsters Leadership Team, Announces Former President & CEO of Draper Ken Gabriel as Chief Operating Officer

Wellcome Leap (“Leap”), an advanced projects non-profit founded by the Wellcome Trust to accelerate innovations that benefit global human health, today announced that former U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) acting director Kaigham ‘Ken’ Gabriel has been appointed as Chief Operating Officer (COO) of the organization.

Ken will lead operations at Leap as the organization undertakes bold, unconventional programs and funds them at scale.With initial funding of $300 million, Leap’s programs will target complex human health challenges with the goal of achieving breakthrough scientific and technological solutions within a decade.

“Ken’s rare blend of experience across disciplines and sectors will be key to building Leap globally and delivering on our mission,” said Regina E. Dugan, CEO of Wellcome Leap. “He’s devoted to breakthrough innovation and I’m stoked to work with him.”

Whitney Webb has extensive coverage on Wellcome Leap and their transhumanist intentions.

Unlimited Hangout – A “Leap” toward Humanity’s Destruction

A UK nonprofit with ties to global corruption throughout the COVID-19 crisis as well as historical and current ties to the UK eugenics movement launched a global health-focused DARPA equivalent last year. The move went largely unnoticed by both mainstream and independent media.

The Wellcome Trust, which has arguably been second only to Bill Gates in its ability to influence events during the COVID-19 crisis and vaccination campaign, launched its own global equivalent of the Pentagon’s secretive research agency last year, officially to combat the “most pressing health challenges of our time.” Though first conceived of in 2018, this particular Wellcome Trust initiative was spun off from the Trust last May with $300 million in initial funding. It quickly attracted two former DARPA executives, who had previously served in the upper echelons of Silicon Valley, to manage and plan its portfolio of projects. 

This global health DARPA, known as Wellcome Leap, seeks to achieve “breakthrough scientific and technological solutions” by or before 2030, with a focus on “complex global health challenges.” The Wellcome Trust is open about how Wellcome Leap will apply the approaches of Silicon Valley and venture capital firms to the health and life science sector. Unsurprisingly, their three current programs are poised to develop incredibly invasive tech-focused, and in some cases overtly transhumanist, medical technologies, including a program exclusively focused on using artificial intelligence (AI), mobile sensors, and wearable brain-mapping tech for children three years old and younger. 

Odysee – The « Wellcome Leap » into Transhumanism – Whitney Webb on The Corbett Report

Whitney Webb of UnlimitedHangout.com joins us once again, this time to discuss her latest article, « A “Leap” toward Humanity’s Destruction. » Even if you’re familiar with the transhumanist agenda, what the ex-DARPA, ex-Silicon Valley old hands at the newly created Wellcome Leap are planning to do in their quest to transform the human species in the coming decade will blow your mind.

Everything ties right back into the same WEF/Club of Rome/Rockefeller transhumanist agenda; human augmentation, cattle-tagging and tracking people, pulling health data right out of their bodies, using brain data for precrime, manipulating people remotely, et cetera.

The Overclass want people to be brought onto the so-called Internet of Bodies, whether we like it or not. Mandatory vaccination is just an excuse. What they really want is unlimited leeway to mandate injections of anything, using pandemic viruses as a pretense.

It is worth reminding readers that DARPA are working on a nanoparticle-based BCI that could be used for mind control, and that this technology is advancing rapidly.

Rice University – Wireless activation of targeted brain circuits in less than one second

The researchers used genetic engineering to express a special heat-sensitive ion channel in neurons that cause flies to partially spread their wings, a common mating gesture. The researchers then injected magnetic nanoparticles that could be heated with an applied magnetic field. An overhead camera watched flies as they roamed freely about an enclosure atop an electromagnet. By changing the magnet’s field in a specified way, the researchers could heat the nanoparticles and activate the neurons. An analysis of video from the experiments showed flies with the genetic modifications assumed the wing-spread posture within approximately half a second of the magnetic field change.

Robinson said the ability to activate genetically targeted cells at precise times could be a powerful tool for studying the brain, treating disease and developing direct brain-machine communication technology.

You can’t have technology like this without a legal and civil rights framework that accounts for it, because it opens the public up to hideous abuse.

Ethicists are already very deeply concerned about the implications of neurotechnology. That’s why Rafael Yuste, the scientist whose work inspired DARPA’s BRAIN Initiative, started the Neurorights Foundation:

Neurorights Foundation

Jonathan Moreno is very concerned about the weaponization of neurotechnology. He wrote a book in 2012 entitled Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century. He also wrote an article on the matter that was republished in the Bulletin of the Atomic Scientists:

Bulletin of the Atomic Scientists – When neuroscience leads to neuroweapons

International law strongly proscribes the use of neuroweapons, which target the brain and central nervous system and can be chemical, biological, or toxin-producing in nature. The CWC bans the production, acquisition, stockpiling, retention, and use of chemical weapons. This relatively straightforward prohibition is undercut, however, by the convention’s provision allowing chemical agents to be used for certain law enforcement activities, like riot control. The BTWC is more sweeping in its prohibition: It bans biological agents or toxins from being used as weapons, whatever their mode or method of production. But unlike the CWC, the BTWC has no mechanism for inspecting national facilities to determine whether the prohibition is being upheld.

Neuroweapons, thus, present a challenge for both the CWC, because of its limited scope, and the BTWC, because of its lack of an inspection mechanism. In light of these limitations, it would not be surprising to see governments turn to exotic incapacitating agents in the coming decade, in an attempt to strengthen their ability to respond to threats that are unconventional, mobile, or embedded within civilian populations. Some of these neuroweapon users may be autocratic regimes interested in repressing dissent or rebellion, but as we’ve seen, the militaries of rich, democratic nations also have an interest in using nonlethal chemical weapons in attempting to confront insurgents or terrorist groups.

Attempting to counter the threat of terrorism without harming noncombatants is arguably a well-placed intention, but it paves a road to hell by threatening to undermine almost half a century of work to keep the global community engaged in upholding the ban on biological weapons, and the hard-won (if incomplete) destruction of chemical weapons stockpiles around the world. Facilities that can create nonlethal biochemical agents aren’t too different from ones that can create lethal agents—and may be identical if the only difference between a lethal and nonlethal weapon is dose.

When we bring up things like the N3 program, we’re talking about the tech to strip basic autonomy and rights from billions of people overnight and unironically turn them into Borg drones.

No, that’s not hyperbole or comical exaggeration. When I say Borg drones, I mean Borg drones.

Again, as I stated in previous articles on recent advances in biotechnology, the Chemical Weapons Convention and Biological Weapons Convention do not bar research into mind control neurotech. All you need is a bioethicist who will sign off on a project and say that it’s neither killing nor incapacitating, and therefore is not a proscribed toxin or agent.

Laws and treaties have not kept up with the pace of technological advancement in this area at all.

DRACO Returns

Rick Kiessig is the Director and CEO of the New Zealand company Kimer Med, a startup focused on reviving the DRACO concept for consumer use. He believes that pharmaceutical companies have avoided developing DRACO because it would cannibalize sales from their other, more lucrative products.

Lifespan – Rick Kiessig Discusses VTose, a Broad-Spectrum Antiviral

Dr. Todd Rider, the inventor of DRACO, said he found that government grant and NIH-type funding related to pharmaceuticals is largely limited to two broad areas: either basic research or the final step of bringing a new drug to market. However, they apparently don’t like to fund the middle part (where we are now), which involves clinical trials.

He also felt that investment from pharma companies would require showing effectiveness against commercially interesting viruses, such as herpes, which is why that was one of the goals of his 2015/2016 crowdfunding campaigns.

My view is a bit more cynical. Pharma companies have a number of drugs to treat viral illness (antivirals and others). Many of those drugs require regular use for a long period of time, because they don’t make the virus go away, they just temporarily keep the symptoms at bay as long as you continue to take them.

Grim Conclusion

If you’ve been following along with our prior articles, you’d know that NIH, USAID, and DTRA are complicit in harming Americans due to their funding for EcoHealth Alliance and their GOF research which undoubtedly led to the creation of SARS-CoV-2. They also funded DRACO, but mysteriously abandoned it after it was proven to work.

One can only speculate, but from where I stand, it looks like they wanted an antidote to their forthcoming SARS-based bioweapon. Something for VIPs and officials to use in secret, while leaving the public to rot and die, suffering from long-term sequelae from COVID-19 or the side effects from the barely tested, highly toxic, autoimmunity-inducing vaccines.

It would be trivial to clandestinely produce DRACO in sufficient quantities for VIPs to use. All you need is a couple bioreactors, some chromatography columns, some E. Coli, and the DRACO plasmids to transfect into them before culturing. It’s basically all the same lab equipment needed to produce recombinant insulin. This equipment could be hidden in the corner of a bunker or a nondescript commercial building, occupying no more than several hundred square feet at the most. Huge batches sufficient for thousands of people could be manufactured even in a relatively small laboratory.

We know for a fact that DRACO is being synthesized in China, where there is ongoing research into its effectiveness in porcine reproductive and respiratory syndrome virus.

Elsevier – A high-throughput screen for genes essential for PRRSV infection using a piggyBac-based system

Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer (DRACO) is a synthetic protein that includes three parts: protein kinase R (PKR 1–181), which can detect dsRNA; apoptotic protease-activating factor 11–97 (Apaf 11-97), which can help to selectively induce apoptosis in cells containing viral dsRNA; and protein transduction domain 4 (PTD-4), which can help to transport proteins into cells (Guo et al., 2015). In short, DRACO can rapidly kill virus-infected cells but does not affect uninfected cells. The DNA elements encoding DRACO were synthesized by General Biosystems (Anhui, China) and cloned into the expression vector pET-28a (+). The recombinant pET-28a-DRACO plasmid was identified by PCR, restriction enzyme digestion and sequencing. Then, the DRACO protein was successfully expressed and purified in vitro.

They had the cure long before they unleashed COVID-19 on us.

Not natural zoonosis. Not a lab leak. Intentional crimes against humanity.

-Spartacus

This article is licensed under CC BY-SA 4.0. To view a copy of this license, visit http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/

La fraude à la variole du singe est à l’image de la fraude au COVID – par Meryl Nass.

En vitesse – l’article date d’aujourd’hui – pour bien se rappeler que l’opération Covid fait partie d’un ensemble et que ceci en est un élément. Je sais que ça concerne le cadre américain mais rappelez-vous aussi que les Etats-Unis sont le quartier général de l’opération et que leur tir d’artillerie finit par toucher l’Europe d’une manière ou d’une autre, comme on l’a vu avec le Covid – et pour mes lecteurs les moins jeunes, avec la « guerre au terrorisme » post-démolition contrôlée du WTC.

Ici c’est la santé qui est en phase démolition contrôlée, sans relâche depuis deux ans et demi.

Source.


Traduction

La fraude à la variole du singe est à l’image de la fraude au COVID – incroyable

Meryl Nass

11 août

Le vaccin n’empêche pas l’infection

Comme pour les vaccins COVID, il s’avère que dans les expériences sur les animaux, le vaccin Jynneos n’a pas empêché les singes de contracter la variole du singe, mais les a empêchés de mourir. Étant donné que la souche actuelle de la variole du singe est bénigne et que pratiquement personne n’en meurt, voilà une autre raison d’éviter comme la peste ces vaccins dangereux: ils n’empêchent pas l’infection!

Selon le briefing du CDC à son comité consultatif le 23 juin, auquel j’ai assisté, il s’agit généralement d’une maladie bénigne, qui ne nécessite pas de traitement spécifique, et les personnes qui ont été hospitalisées l’ont été pour contrôler leur douleur (par exemple, les lésions périrectales peuvent induire des spasmes sphinctériens douloureux).

Donc, en termes de décès, en 2022, il y a maintenant un total de 5 décès associés à la variole signalés hors d’Afrique, et 4 signalés au Nigeria. Je n’en ai trouvé que deux pour lesquels la cause du décès a été discutée: le Brésilien avait un lymphome (cancer de la lymphe), et la personne au Pérou est morte d’une condition préexistante. Nous ne savons rien de ce qui a tué les sept autres.

Le CDC a caché son étude sur la vaccination de 1600 travailleurs de la santé congolais

Le CDC a lancé une étude sur le vaccin Jynneos en RDC en 2017 et a terminé le recrutement en septembre 2020, selon la notification requise dans ClinicalTrials.gov. L’idée était de vacciner les personnes les plus sensibles à la variole du singe et de voir combien d’entre elles contractaient la variole du singe, et quels étaient les effets secondaires. Le CDC dispose de nombreuses données, et la personne qui a informé le comité consultatif le 23 juin, Brett Peterson, est le chercheur principal de cet essai au Congo. Où est le briefing du CDC sur les résultats de cette étude? Il s’agit de la première étude sur l’efficacité d’un vaccin dans le monde – pourquoi les CDC sont-ils aussi réservés sur les résultats?

Les deux mêmes scientifiques qui ont claironné l’origine naturelle du COVID défendent maintenant l’origine naturelle de la variole du singe

Deux des mêmes scientifiques qui ont claironné l’origine naturelle du COVID tentent maintenant d’expliquer le nombre excessif de mutations dans le variant actuel de la variole du singe, qui semble dériver d’une souche isolée dans des laboratoires de trois pays en 2018-2019. Les virus à ADN double brin ne mutent généralement pas aussi rapidement… puisque nous avons une date de début en 2018, les mutations attendues ont pu être calculées. Une grande partie des mutations pourrait avoir été induite par une enzyme utilisée dans les laboratoires. Voir la mise à jour du 5 juin de DoorlessCarp pour en savoir plus sur les aspects scientifiques.

Les deux personnes concernées sont Andrew Rambaut et Michael Worobey. Rambaut était l’un des cinq auteurs de l’article de Nature Medicine que Tony Fauci a fait rédiger, afin de dissimuler l’origine des laboratoires que Fauci a lui-même financés. Worobey vient de publier un article affirmant – malgré tout – que le COVID est de source naturelle. Ils agissent maintenant de même pour la variole du singe.

https://virological.org/t/initial-observations-about-putative-apobec3-deaminase-editing-driving-short-term-evolution-of-mpxv-since-2017/830

https://www.cnn.com/2022/06/02/health/monkeypox-endemic-silent-spread/index.html

Le gouvernement américain a créé une fausse pénurie de vaccins

Mais bien entendu, c’est ce qu’ils font à chaque fois pour attiser la demande.

Mais c’est bien plus grave que cela. Le gouvernement américain possède déjà 16 millions de doses, stockées congelées au Danemark, et a dépensé bien plus d’un milliard de dollars en vaccins Jynneos avant que la variole du singe ne soit identifiée en Occident. [NdT. il s’agit théoriquement d’achats destinés au stock national permanent]

Bien que l’usine danoise de « remplissage et finition » ait été achevée en 2021 et que le gouvernement américain ait alloué 44 millions de dollars pour la « certification » de cette même usine en janvier 2019, la FDA n’a finalement bouclé son inspection que le 27 juillet 2022.

Cela a prétendument empêché les États-Unis de mettre la main sur une partie de leurs stocks à l’étranger. Hein? Et le gouvernement américain a commandé 1,4 million de doses pas plus tard qu’en 2020, qui n’ont toujours pas été livrées.

Entre-temps, le président Biden a sollicité 7 milliards de dollars supplémentaires pour l’urgence de la variole du $inge. Pas étonnant qu’ils projettent de changer le nom de la variole du singe, prétendument stigmatisant pour les Africains. C’est pour détourner l’attention. C’est pour les politiciens qu’il est stigmatisant.

En raison de la pénurie de vaccins, les vaccins existants bénéficieront d’une exemption de responsabilité

C’est pas mignon, ça?

Le vaccin Jynneos est homologué et utilisé pour l’indication spécifiée sur l’étiquette (prévention de la variole), le fabricant est donc responsable des lésions. Le gouvernement américain pourrait également être responsable s’il vous trompait sur la sécurité ou l’efficacité du vaccin… ou s’il cachait une étude qu’il avait menée, par exemple.

Mais comme il y a une pénurie, le gouvernement américain, dans sa bienveillance et sa sagesse, va le diluer et donner aux receveurs une dose de 20%, administrée par voie intradermique plutôt que sous-cutanée. Mais pour que cela soit kasher (kasher pour qui?), le DHHS et la FDA délivrent au vaccin une autorisation d’utilisation d’urgence, et nous savons tous ce que cela signifie [NdT. DHHS, Departement of Health and Human Services = Ministère de la Santé et des Services Sociaux. J’imagine que tous mes lecteurs savent à présent ce qu’est la FDA]. Vous ne pouvez poursuivre personne en justice même si le vaccin vous tue.

Vous pouvez demander au DHHS de vous verser de petites indemnités dans le cadre de son Countermeasures Injury Compensation Program [Programme de Compensation des Dommages liés aux Contre-mesures], mais vous risquez d’attendre longtemps avant d’obtenir une réponse. Le programme a rejeté environ 95% des demandes, et personne n’a encore reçu d’indemnité pour une lésion due au vaccin COVID.

Cela signifie également qu’un contractant du gouvernement américain s’interposera désormais entre le fabricant danois et le bénéficiaire. Je me demande quel diluant le gouvernement américain leur demandera d’ajouter, ou fournira lui-même, d’ailleurs?


Texte original

How the Monkeypox Scam Mirrors the COVID Scam–unbelievable

Meryl Nass

Aug 11

The vaccine does not prevent infection

Just like the COVID vaccines, turns out that in the animal experiments, Jynneos did not stop monkeys getting monkeypox, but did stop them from dying.  Since the current strain of monkeypox is mild, and virtually no one dies from monkeypox, this is another reason to avoid these dangerous vaccines like the plague—they won’t stop the infection!

According to the CDC ‘s briefing to its advisory committee on June 23, which I attended, this is generally a mild disease, requires no specific treatment, and the people who were hospitalized were hospitalized for pain control. (For example, perirectal lesions can induce painful sphincter spasms.)

So, in terms of deaths, in 2022 there are now a total of 5 deaths that have been associated with Moneypox reported outside Africa, and 4 reported from Nigeria. I found only two for which there was discussion of cause of death: the Brazilian had lymphoma (lymph cancer), and the person from Peru died of a preexisting condition. We know nothing about what killed the other seven.

CDC has been hiding its vaccine study of 1600 Congolese healthcare workers

CDC began a study of the Jynneos vaccine in the DRC in 2017 and finished recruiting by September 2020, according to the required notification in ClinicalTrials.gov. The idea was to vaccinate people most susceptible to monkeypox and see how many got monkeypox, and what the side effects were. CDC has a lot of data, and the person who briefed the advisory committee on June 23, Brett Peterson, is the Principal Investigator of this Congo trial. Where is CDC’s briefing on this study’s results? This was the first study of vaccine efficacy in the world—why is CDC being coy about the results?

The same 2 scientists who hyped COVID’s natural origin now hyping Monkeypox’ natural origin

Two of the same scientists who hyped the natural origin of COVID are now trying to explain the excessive number of mutations in the current Moneypox variant, which appears to be derived from a strain isolated in labs in 3 countries in 2018-9. Double-stranded DNA viruses don’t usually mutate this fast…since we have a 2018 start date, the mutations expected could be calculated. A lot of the mutations could have been induced by an enzyme used in labs. See DoorlessCarp’s June 5 update for more on the science.

The two people are Andrew Rambaut and Michael Worobey. Rambaut was one of the 5 authors of the Nature Medicine article that Tony Fauci caused to be written, to cover up the lab origin that Fauci himself funded. Worobey just published an article claiming—despite everything—that COVID came from nature. Now they are doing the same for Monkeypox.

https://virological.org/t/initial-observations-about-putative-apobec3-deaminase-editing-driving-short-term-evolution-of-mpxv-since-2017/830

https://www.cnn.com/2022/06/02/health/monkeypox-endemic-silent-spread/index.html

US Government has created a fake shortage of vaccine

Well yes, of course, they always do that to fan the flames of demand.

But this is a lot bigger than that. The USG already owns 16 million doses, stored frozen in Denmark, and had spent well over $1 Billion on Jynneos vaccines before Moneypox was identified in the west.

Despite the Denmark factory’s « fill and finish” facility being completed in 2021, and despite the USG allotting $44 million for “qualification” of that same facility in January 2019, the FDA only got around to finishing its inspection on July 27, 2022.  

Supposedly this prevented the US from getting its hands on any of its supply stored overseas. Duh? And the USG ordered 1.4 million doses as recently as 2020, yet to be delivered.

Meantime, President Biden asked for another $7 Billion for the $Moneypox emergency. No wonder they plan to change the name of Moneypox, which is said to be stigmatizing to Africans. They mislead. It is stigmatizing to politicians. 

Because of the vaccine shortage, existing vaccine will get a liability waiver

How sweet is that?

Jynneos is licensed, and is being used for its labelled indication (prevention of Moneypox) so the manufacturer is liable for injuries. The USG might also be liable, if it steered you wrong about the safety or efficacy of the vaccine…or if it hid a study it had conducted, for example.

But since we have a shortage, the USG in its benevolence and wisdom is going to dilute it and give recipients instead a 20% dose, administered intradermally instead of subcutaneously. But in order to make this kosher (kosher for whom?) the DHHS and FDA are issuing the vaccine an emergency use authorization, and we all know what that means. You can’t sue anybody even if the vaccine kills you.

You can apply to DHHS for small benefits from its Countermeasures Injury Compensation Program, but you might be waiting a long time for an answer. The program has denied about 95% of petitioners, and no one has received a payout for a COVID vaccine injury yet.

This also means that a USG contractor will now be inserted between the Danish manufacturer and the recipient. I wonder what diluent the USG will instruct them to add, or supply itself, for that matter?

La crise démographique de la Russie est légèrement inquiétante – par Edward Slavsquat.

C’est l’hécatombe en Russie aussi, mais avec une nuance. Leur économie tourne, ils ont agrandi leur territoire et ils proposent leur aide alimentaire aux pays en difficulté (que certains refusent)…

Source.


Traduction

La crise démographique de la Russie est légèrement inquiétante

La situation était déjà mauvaise. Deux ans de Santé Publique l’ont aggravée.

Edward Slavsquat

2 août

On a besoin de plus de Russes.

Le Service Fédéral des Statistiques de l’Etat russe (Rosstat) a récemment publié un rapport intitulé « Sur la situation socio-économique », qui contient des données plutôt préoccupantes pour la période janvier-mai 2022.

Selon les médias qui citent Rosstat, la situation socio-économique de la Russie n’est pas très bonne:

Chaque mois depuis le début de cette année, la Russie a perdu 86 000 personnes. On n’a jamais vu de telles pertes dans toute l’histoire moderne des statistiques [russes]. Même en 2002, alors qu’il y avait 685 000 Russes de moins, le nombre de citoyens a diminué de 57 000 par mois.

Dans le même temps, le taux de mortalité de janvier à mai a diminué de 36,1 milliers, pour atteindre 878,3 milliers. Mais le taux de natalité a également baissé – de 31,1 mille, à 523,2 mille enfants. La différence entre ces indicateurs se traduit par un déclin naturel de 355 000 personnes. Pour chaque Russe qui naît, il y a 1,7 décès. […]

Depuis le début de 2020, la population de la Russie a diminué de 1,62 million de personnes.

Comme nous l’avons mentionné précédemment, la situation pourrait être décrite comme légèrement inquiétante.

Et ce n’est pas tout.

Les médias russes rapportent que le taux de natalité du pays a chuté à des niveaux jamais vus depuis la Grande Guerre patriotique.

Nous étions très sceptiques quant à cette affirmation lorsque nous l’avons lue pour la première fois – parce que quand on y pense vraiment, c’est terrifiant – mais même les législateurs russes font des déclarations similaires.

Tatyana Butskaya, Première Vice-présidente du Comité de la Douma d’État sur la Famille, les Femmes et les Enfants, a déclaré lors d’une récente interview que le mois d’avril 2022 a vu le taux de natalité le plus bas depuis la Seconde Guerre mondiale.

Malheureusement, il y a pire.

Nakanune.ru vient de publier un aperçu de la crise démographique russe qui donne à réfléchir. Une lecture indispensable, mais aussi très douloureuse.

(source)

En termes de mortalité, la Russie a touché le fond
Les pays les plus pauvres d’Afrique nous devancent

Les profonds bouleversements tectoniques que connaît le monde se reflètent dans la démographie. En 2021, on a enregistré sur la planète le plus grand nombre de décès de toute l’histoire; la croissance démographique absolue est tombée à son plus bas niveau depuis 1962; l’espérance de vie relative à la naissance a nettement diminué pour la première fois depuis la grande famine de 1959-1961, de près de deux ans, ce qui est comparable aux effets de cette famine. Pour la première fois depuis 60 ans, la mortalité de la population en âge de travailler a augmenté de manière significative. Et si chez les personnes âgées, la principale augmentation a eu lieu en 2020, chez les personnes d’âge moyen, elle a eu lieu en 2021, année de la vaccination globale contre le covid.

L’article conclut:

  1. Sur 236 pays, la Russie présente la 15e plus forte augmentation de la mortalité au monde – 38%, soit 675 000 décès supplémentaires.
  2. Toutes les données d’analyse montrent que le COVID n’est responsable que de moins d’un dixième de la surmortalité en Russie.
  3. L’espérance de vie a diminué de 4,5 ans.
  4. Le déclin « naturel » de la population a dépassé le million de personnes, ce qui n’est jamais arrivé dans aucun pays du monde depuis 1950.
  5. En termes de perte totale de population, la Russie occupe la première place dans le monde.
  6. En termes de fécondité par femme, la Russie se classe 193e au monde (1,49 enfant au total) et 30e en Europe (sur 48). En 2015, la Russie était classée au 9e rang en Europe.
  7. La Russie n’a qu’un seul bon indicateur: la baisse de la mortalité infantile. La Russie a le 40e taux de mortalité infantile le plus bas du monde (10e si on ne compte pas les pays d’Europe).

Comme le souligne Nakanune, ce qui distingue la Russie des autres pays, c’est son taux de mortalité outrageusement élevé dans la population en âge de travailler:

En termes de mortalité des moins de 40 ans, la Russie se classe 158e au monde et dernière en Europe – 63 pour 1000 habitants. Autrement dit, 6,3% des citoyens ne vivent pas jusqu’à 40 ans. Ce sont des chiffres inacceptables, indignes d’une grande puissance, surtout à la lumière de nombreuses années de déclarations sur le succès de l’augmentation de l’espérance de vie. Il n’est pas moins frappant que l’Ukraine, qui devance la Russie, ait un taux de mortalité jusqu’à 40 ans inférieur de 30% – 44 décès pour 1 000. La Russie n’est pas seulement la dernière en Europe, mais elle est loin derrière même l’Ukraine.

Le gouvernement russe a mis en place toutes sortes de programmes et d’initiatives visant à inverser cette tendance. Par exemple, un programme destiné à soutenir la population du pays a été lancé fin 2021. Ce plan prévoit un meilleur suivi des soins de santé (du moins en théorie), et étend également les prestations sociales pour les ménages avec enfants.

Comme le rapportait le BNE en novembre:

Le président russe Vladimir Poutine a placé la gestion de la crise démographique de la Russie en tête de son agenda depuis son premier jour au pouvoir. Le Kremlin a réussi à inverser le déclin démographique au cours de la dernière décennie et à stabiliser la taille de la population. Toutefois, plus récemment, la population a recommencé à baisser en raison de la crise démographique provoquée par l’effondrement de l’Union soviétique dans les années 1990.

Les nouvelles politiques s’inscrivent dans la continuité des efforts antérieurs visant à stimuler le taux de natalité et à protéger les nouveau-nés. L’objectif est de réduire la mortalité infantile à 0,45 % d’ici 2024. Le programme accorde également une attention particulière à l’élaboration d’exigences de qualité pour l’accueil des enfants en âge de scolarité dans les jardins d’enfants. Les familles ayant au moins trois enfants doivent recevoir gratuitement un terrain équipé de l’infrastructure technique nécessaire au logement.

Des signes d’amélioration réelle ont été constatés. L’accroissement naturel de la population a commencé à augmenter en 2013, mais il est resté dans le rouge depuis 2017. Et maintenant, il est vraiment, vraiment dans le rouge.

Une diminution naturelle de la population de plus d’un million de personnes en 2021.
(source)

Comment résoudre ce problème? Nous avons besoin de plus d’injections, selon RT. En fait, toute personne qui n’a pas été injectée ne demande qu’à mourir. Et voilà. Crise démographique résolue. Merci, RT.

Question More (source)

Les vaccins étant largement disponibles en Russie, mourir de Covid-19 est devenu facultatif. Alors pourquoi tant de personnes sont-elles déterminées à faire ce choix?

Le bilan de la Russie en matière de pandémie est contradictoire. Elle a l’un des taux de mortalité les plus élevés d’Europe, mais son économie a continué à tourner. Moscou a donné au monde son premier vaccin Covid-19, mais peu d’habitants de la ville sont désireux de le prendre.

Les nouvelles en provenance du pays dressent un tableau mitigé. Certaines sont bonnes, d’autres déchirantes et, prises dans leur ensemble, elles soulèvent des questions troublantes sur l’attitude des Russes et leur relation globale avec l’État.


Texte original

Russia’s demographic crisis is slightly worrying

The situation was already bad. Two years of Public Health has made it worse.

Edward Slavsquat

Aug 2

More Russians needed.

Russia’s Federal State Statistics Service (Rosstat) recently published a report, “On the Socio-economic Situation,” which contains some rather troubling data from January-May 2022.

The socio-economic situation in Russia, according to media reports citing Rosstat, is not so good:

Every month since the beginning of the year, Russia has lost 86,000 people. There have never been such losses in the entire modern history of [Russian] statistics. Even in 2002, when there were 685,000 fewer Russians, the number of citizens decreased by 57,000 per month.

At the same time, the death rate in January-May decreased by 36.1 thousand, to 878.3 thousand. But the birth rate also fell—by 31.1 thousand, to 523.2 thousand children. The difference between these indicators results in a natural decline of 355 thousand people. For every Russian who is born, there are 1.7 deaths. […]

Since the beginning of 2020, the population of Russia has decreased by 1.62 million people.

As we mentioned earlier, the situation could be described as slightly worrying.

And there’s more.

Russian media outlets are reporting that the country’s birth rate has plummeted to levels not seen since the Great Patriotic War.

We were very skeptical of this claim when we first read it—because if you really think about it, it’s terrifying—but even Russian lawmakers are making similar pronouncements.

Tatyana Butskaya, First Deputy Chairman of the State Duma Committee on Family, Women and Children, said in a recent interview that April 2022 saw the lowest birth rate since WW2.

Unfortunately there’s more.

Nakanune.ru has just published a sobering overview of Russia’s demographic crisis. It’s a must-read, but it’s also very painful to read.

(source)

The article concludes:

  1. Out of 236 countries, Russia has the world’s 15th largest increase in mortality—38%, or 675,000 additional deaths.
  2. All analysis data show that COVID accounted for only less than a tenth of excess mortality in Russia.
  3. Life expectancy has fallen by 4.5 years.
  4. The “natural” population decline has exceeded one million people, which has never happened in any country in the world since 1950.
  5. In terms of the total population loss, Russia is first place in the world.
  6. In terms of fertility per woman, Russia ranks 193rd in the world (1.49 children in total) and 30th in Europe (out of 48). In 2015, Russia was ranked 9th in Europe.
  7. Russia has only one good indicator—a decrease in infant mortality. Russia has the 40th lowest infant mortality rate in the world (10th if you don’t count the countries of Europe).

As Nakanune points out, what distinguishes Russia from other countries is its shockingly high mortality rate among the working-age population:

In terms of mortality under 40, Russia ranks 158th in the world and last in Europe—63 per 1000 population. That is, 6.3% of citizens do not live up to 40 years. These are unacceptably large numbers, unworthy of a great power, especially in the light of many years of statements about success in increasing life expectancy. It is no less striking that Ukraine, which is ahead of Russia, has a mortality rate of up to 40 years that is 30% less—44 deaths per 1,000. Russia is not just the last in Europe, but far behind even Ukraine.

The Russian government has all sorts of programs and initiatives aimed at reversing this trend. For example, a program designed to bolster the country’s population was launched at the end of 2021. The plan includes better health care monitoring (at least in theory), and also expands social benefits for households with children.

As BNE reported in November:

Russian President Vladimir Putin has put dealing with Russia’s demographic crisis at the top of his agenda since his first day on the job. The Kremlin successful reversed the demographic decline in the last decade and stabilised the population size. However, more recently as the demographic dent caused by the chaos of the collapse of the Soviet Union in the 1990s hits the curve the population has started to fall again.  

The new policies are a continuation of the former efforts to boost the birth rate and protect newborns. The aim is to reduce infant mortality to 0.45% by 2024. The plan also pays attention to the development of quality requirements for kindergarten care for children under school age. Families with at least three children are to receive free land equipped with the technical infrastructure needed for housing.

There were signs of real improvement. Natural population growth began to increase in 2013, but has stayed in the red since 2017. And now it is very, very red.

A natural population decline of more than 1 million people in 2021.
(source)

How to solve this problem? We need more injections, according to RT. In fact, anyone who hasn’t been injected is basically begging to die. There you go. Demographic crisis solved. Thanks, RT.

Question More (source)

Le chaos à venir, première partie – par John Paul.

Comme promis. La deuxième partie est publiée juste après.

Source.


Traduction

Le chaos à venir

Première partie

John Paul

20 juillet

Les points de données et l’analyse de nombre de mes observations et opinions figurant ici ont été largement couverts dans la plupart des articles intitulés Beyond Mathematical Odds. Je vais écrire un nouvel article de la série Beyond Mathematical Odds qui couvrira une grande partie de ce que je « prévois » et discute ici dans les prochains jours.

Au cas où vous l’ignoreriez, le titre fait référence à l’essai intemporel et génial de Robert Kaplan, The Coming Anarchy.

La démocratie est une bête capricieuse et fragile, soumise aux caprices de la population, et les personnes menacées de pauvreté échangeront la démocratie contre ce que l’adversaire appellera démocratie, qu’il s’agisse d’autocratie ou de « progressisme » (du communisme sous d’autres formes). La majeure partie de la population mondiale n’a pas la capacité cognitive fondamentale de sacrifier ses avantages pour maintenir sa liberté. Plus rares sont ceux qui ont la clairvoyance de penser quelques semaines à l’avance, sans parler des effets de deuxième et troisième ordre, et au-delà. Mais les gens affamés? Ils donneront le pouvoir à quiconque leur fera des promesses vides, car lorsqu’on est affamé, on n’est pas rationnel. La démocratie meurt souvent non pas par idéologie, mais par des estomacs vides.

Les mots « impossible » et « se produire » ont probablement traversé votre esprit et ont été prononcés. Il en est allé de même à d’autres moments de l’histoire. Pour comprendre où je veux en venir, il nous faut d’abord établir quelques repères.

Peu de gens comprennent la complexité en dehors du domaine de la théorie, la complexité est souvent reléguée aux recherches académiques, aussi une partie des objectifs de ce Substack était de rendre progressivement les gens plus attentifs à la façon dont les systèmes complexes fonctionnent, même si vous n’en êtes pas conscient, inconsciemment vous accordez maintenant plus d’attention à l’intrication du système qu’aux événements singuliers. À ce stade, de nombreux lecteurs comprennent comment certains événements peuvent avoir un effet disproportionné sur le système.

Comme dans la nature, où la disparition d’une espèce spécifique d’insecte peut entraîner l’effondrement d’un (petit) écosystème, appelé cascade de coextinction, notre système mondialisé ressemble à un niveau simpliste aux réseaux naturels.

L’un des événements qui a eu un effet disproportionné sur l’ensemble de la planète a été l’interdiction par la Chine des exportations de phosphate, l’un des engrais les plus utilisés sur la planète, à laquelle s’est ajoutée la crainte d’une action similaire de la part de la Russie, qui a également interdit les principales exportations d’engrais l’année dernière, et qui a continué à répondre aux manœuvres géopolitiques occidentales en étendant cette interdiction.

Les gouvernements sont souvent réactifs, et non proactifs, et encore moins capables d’une quelconque forme de prévision. Une planification médiocre, marquée par des modélisations erronées de la part de petites organisations, et des relations incestueuses avec des groupes de réflexion et d’autres organisations, nous ont conduits à la situation actuelle, où les gouvernements, sous l’emprise des entreprises, tentent d’interdire dans la précipitation l’utilisation des engrais. Le gouvernement canadien fait pression dans ce sens depuis des mois, et le gouvernement néerlandais a imposé à la hâte une législation similaire et a récolté en retour la réponse qui convenait. Une révolte populaire.

Accidents, révoltes et soupçons d’écoterrorisme [NdT. ma traduction ici]

Comme je l’ai couvert récemment dans plusieurs articles, de nombreux gouvernements suivant des politiques Vertes et des exigences ESG, que je m’abstiendrai de commenter ici, se sont retrouvés dans des difficultés économiques croissantes, voire se sont même carrément effondrés (Sri Lanka). En l’espace de trois semaines, nous sommes passés de quelques manifestations à près de deux douzaines.

Il n’y a pas si longtemps, le Sri Lanka a reçu l’un des meilleurs scores ESG =)
Des étiquettes antivol allemandes sur le beurre.

La Chine fait face à des paniques bancaires depuis des semaines et lutte contre l’effondrement de son marché immobilier depuis des mois (il s’agit du moteur de la « fausse » économie chinoise, et une grande partie de l’Occident y a fortement investi). L’Europe est maintenant confrontée à une pénurie d’énergie, à des coupures de courant et à la menace d’un hiver rigoureux, ce qui ne devrait pas être un scoop.

Au-delà des probabilités mathématiques – Les ondes de Weimar [Ndt. non traduit]

Dans nombre de mes articles les plus analytiques, j’ai prédit les événements à venir, j’ai dit que l’Europe connaîtrait un rationnement de l’énergie, et peut-être de la nourriture, et cela s’est produit, il y a une grande pénurie d’huile de cuisson dans de nombreux pays, l’inflation se poursuit sans relâche. Et la Russie a complètement arrêté le flux de gaz vers l’Europe pour « maintenance programmée », ce que l’UE considère comme une menace de non-reprise [NdT. il a repris]. En fait, voici un point de référence pour mon argumentaire suivant.

Ça date de début janvier 2022

Les événements de cette semaine ont déjà cimenté le premier et peut-être le deuxième trimestre de l’année. Les effets en cascade sont faciles à suivre rien qu’en lisant ce qui est exposé ici.

D’une part, les difficultés énergétiques de l’Europe, comme nous l’avons souligné précédemment, s’aggravent, et même si l’Europe connaît un hiver plus chaud qui profite à une partie des stocks de GNL [gaz naturel liquide], la pression financière et les politiques de confinement malavisées viennent chercher leur dû.

Les pays européens commencent à décliner sous la lourde pression du sort inévitable de l’EROI [NdT. L’Energy Return On Investment (Eroi) est le ratio entre l’énergie utilisable et celle consommée pour l’obtenir]. Rien ne survit à une énergie coûteuse ou inefficace.

Les événements des quatre dernières semaines ont confirmé ce qui se passera très probablement dans les six à dix prochains mois. À court terme, de nombreux Européens seront confrontés à de nombreuses difficultés, à des pannes d’électricité, à des coupures de courant, à des mesures d’économie d’énergie (euphémisme pour rationnement), l’industrie sera une nouvelle fois touchée, Yara, l’un des plus grands producteurs d’engrais d’Europe, réduira probablement sa production (une nouvelle fois) en raison de la disponibilité et du prix du gaz. La simple exécution du rationnement, qui vise généralement les gros consommateurs (l’industrie), aura un impact important sur l’industrie manufacturière, affectant à la fois l’approvisionnement et d’autres parties de l’industrie elle-même. Le rationnement de l’énergie explique en grande partie pourquoi les problèmes survenus en Chine l’année dernière ont entraîné une cascade d’événements affectant l’industrie mondiale des mois plus tard. Le rationnement en Europe aura un impact similaire, même si ce n’est que pour quelques semaines « seulement ».

Plus tôt cette année, dans mes articles plus longs, j’ai averti que la dynamique non linéaire et les tendances de cette période allaient créer un problème de famine massive dans la région MENA (Middle East Northern Africa – Moyen-Orient et Afrique du Nord), et ce point a été confirmé plus tard par les analyses et les données de l’ONU, et peu après, même des chefs d’État comme Macron ont mis en garde contre cette tendance inquiétante. Aujourd’hui, on attend au moins 20 millions de migrants rien que dans les prochains mois, en raison des politiques désastreuses, des dommages causés par les confinements et des problèmes énergétiques mondiaux.

Dans des circonstances normales, l’Europe serait à peine capable de gérer, d’accueillir et de se permettre 5 millions de migrants, mais sous la pression systémique actuelle, l’Europe ne serait pas capable de gérer 5, et encore moins 20 millions de migrants affamés. Mais 20 millions est une estimation assez prudente, le nombre pourrait être de 50 millions. L’Europe pourrait sombrer dans le chaos le plus total, ou devenir l’otage des pays limitrophes de la région MENA, qui seront eux aussi confrontés à une pénurie de ressources et exigeront des paiements astronomiques sous de nombreuses formes pour ne pas laisser les hordes entrer en Europe. Cela deviendra une question politique mondiale, et c’est une menace continentale, étant donné les circonstances virologiques actuelles…

Il y a maintenant un point de discussion parmi les médias et certaines institutions politiques que « la démocratie est attaquée », précisément à cause de tout ce que j’ai décrit ici, et dans le premier paragraphe de ce texte. La démocratie ne dure que tant que l’on peut se permettre de se nourrir et d’avoir un approvisionnement énergétique suffisant, et à mesure que les perturbations augmentent en intensité et en quantité, les démocraties plient sous leur propre poids bureaucratique. Confrontée à la réalité d’une population privée de nourriture et disposant de peu d’argent, l’UE revient sur certaines de ses sanctions à l’encontre de la Russie, pour tenter d’acheter du carburant et des engrais. Pourtant, les rendements sont déjà compromis (nous en parlerons dans le prochain numéro, ne vous inquiétez pas).

Ai-je mentionné qu’il y a des discussions entre les propriétaires d’usines chinoises qui reçoivent l’ordre du gouvernement de convertir leurs usines pour produire des équipements de guerre? Comme je l’ai dit dans l’article sur les révoltes ci-dessus, la Chine est susceptible d’envahir Taïwan cette année, et tout ce qui précède les points de données dans cet article l’indique, la fuite des données d’identification de plus d’un milliard de personnes ne fait que le confirmer.

Les tendances actuelles du climat, quelle qu’en soit la source, alimentent les discussions sur le « tout climat » dans de nombreux pays, et comme je l’ai couvert plus tôt et superficiellement sur mon Twitter, l’écoterrorisme n’est pas seulement une réalité, mais un problème croissant depuis une décennie, et vous pouvez vous attendre à ce que des incendies plus importants et de très grande ampleur commencent à se produire dans le monde industrialisé au cours des prochains mois lorsque tout sera sec, parmi d’autres formes de perturbation, car des activistes détraqués pensent que les choses n’avancent pas « assez vite ».

Tout cela pour dire qu’à court terme, il n’y aura pas de stabilité, les tendances inflationnistes persistent même avec la destruction de la demande, et les tendances perturbatrices continues ne garantissent qu’un faible répit pour le bon fonctionnement de notre système mondialisé. Si le monde s’arrêtait maintenant, et si les gouvernements devenaient totalement compétents ou cessaient d’exister, les événements se dérouleraient à peu près de la même manière.

La deuxième partie contiendra suffisamment de données et de sources pour que vous compreniez mes opinions et mon analyse/prévision partielle sur ce sujet. Je recommande vivement à mes lecteurs européens d’envisager sérieusement de penser à l’avenir et d’adopter une « mentalité de préparation », dans le seul but d’être prêts lorsque « l’impensable » se produira. Il n’y aura pas assez de nourriture pour nourrir la planète entière, l’inflation alimentaire n’est PAS aussi grave maintenant qu’elle le deviendra, les problèmes énergétiques sont loin d’être terminés, ils font l’objet d’un énorme conflit politique entre différentes factions de la haute société, l’Europe rationne déjà l’énergie et le carburant se fait rare.

Dans une moindre mesure, la même chose s’applique aux Américains, aux Canadiens et aux autres pays, car plus les systèmes complexes commencent inévitablement à tomber en panne, plus ils deviennent chaotiques – pas étonnant que la complexité en tant que domaine universitaire ait commencé avec la « théorie du chaos ». La guerre ukrainienne ne sera pas la dernière guerre que nous verrons, et si certains pays sont suffisamment désespérés, ils pourraient déclencher un conflit pour de multiples raisons, toutes basées sur la seule réponse émotionnelle humaine.

Un certain nombre de mes articles précédents contiennent le cadre nécessaire pour vous permettre de comprendre ce qui va se passer, et comment les choses pourraient (vont) se dérouler. Après avoir lu celui-là, dites-moi, qu’est-ce qui a changé? C’était il y a 4 mois, et si quelque chose, la dynamique actuelle est en passe de rendre les choses bien pires.

Comme je vous en avais averti plus tôt cette année. Il y avait une nuée de cygnes noirs en route, et ils nous bombardent maintenant en piqué.

Au-delà des probabilités mathématiques VIII – Plein pot et vers l’abîme

Vous devriez également prêter une attention toute particulière à mes remarques finales qui figurent ici… [NdT. que je traduis juste sous le lien]

Au-delà de la probabilité mathématique – La guerre hybride

L’Occident tout entier, le Tiers-Monde et l’OTAN, ses alliés, sont incroyablement mal préparés à mener des guerres telles qu’elles sont menées actuellement et depuis 18 mois. Je ne commenterai même pas le chemin actuel et suicidaire que prend l’armée américaine, et je ne parle pas de politique identitaire.

S’il y a un conflit en Ukraine, vous feriez mieux de prier Dieu pour que les Russes ou d’autres acteurs étatiques aient plus de moralité que moi. Compte tenu de la campagne de vaccination actuelle, il est facile, rapide et bon marché d’anéantir toute force active dans un conflit. Il suffit de prendre quelques bidons de… quelque chose. Et ce ne serait pas considéré comme une attaque biologique, car il y a une législation à ce sujet. La guerre du futur n’est-elle pas magnifique?

Je vous laisse avec deux citations.

un « tourbillon de violence », une dévastation surprise et gratuite qui est plus motivée par la rage que par un plan précis.

Vous savez ce qui est cool avec la technologie, la guerre hybride et le monde post-pandémique? Tout le monde peut s’y engager, et les joueurs fantômes sont, littéralement, partout. Décentralisés.

Je vais faire écrouler tout ce putain de temple malade sur ta tête. Ça va être Biblique.

Un très grand merci à tous mes soutiens ici et à ceux qui utilisent KoFi =) !


Texte original

The Coming Chaos

Part 1

John Paul

Jul 20

Data points and analysis of many of my observations and opinions here have been covered extensively in most of the pieces titled Beyond Mathematical Odds. I will write a new Beyond Mathematical Odds that cover much of what I am “forecasting” and discussing here in the next few days.

If by any chance you are not aware, the title is a reference to the timeless, amazing essay The Coming Anarchy by Robert Kaplan.

Democracy is a fickle and fragile beast, at the whims of the population, and people under the threat of poverty will trade democracy, for whatever the adversary labels as democracy, be it autocracy, “progressivism” (communism by other means). Most of the world lacks the basic cognitive capacity to sacrifice amenities to maintain freedom. Fewer even the foresight to think a few weeks ahead, let alone second, third order effects, and beyond. Starving people though ? They will give power to anyone who feeds them empty promises because when you are starving, you are not rational. Democracy often dies not by ideology, but by empty stomachs.


The words impossible and happen probably crossed your mind and were spoken. The same happened other times in history. To understand where I am going, first, we need a few points.

Few people understand complexity outside the realm of theory, complexity is often relegated to academic pursuit, so part of the efforts of this Substack was to slowly make people more observant of how complex systems works, even if you were not aware, subconsciously you now pay more attention to the intricacy of the system, than to singular events. At this point, many of the readers understand how certain events can have a disproportional effect on the system.

Like in nature, where the loss of specific species of insect can lead to the collapse of a (small) ecosystem, named coextinction cascade, our globalized system resembles natural networks at a simplistic level.

One of the events that had a disproportional effect on the whole planet was China’s ban on phosphate exports, one of the most used fertilizers on the planet, compounded by a similar fear from Russia, which also banned major fertilizer exports last year, and kept responding to Western geopolitical moves by extending said ban.

Governments are often reactive, not proactive, let alone attempting any form of foreseeing, poor planning riddled with wrong modeling by small organizations, and incestuous relationships with think tanks and other organizations got us to our current predicament. Where governments, let by corporate capture attempt to rush the ban of fertilizer use. The Canadian government has been pushing this one for months, and the Dutch government rushed similar legislation and got a proper response in return. Popular Revolt.

Accidents, revolts and hints of ecoterror

As I covered recently in quite a few pieces, many governments following Green policies and ESG demands, which I will abstain from commenting on here, found themselves in growing economic difficulties, or outright collapse (Sri Lanka). In the span of 3 weeks, we went from a few protests to almost 2 dozen.

Sri Lanka was given one of the highest ESG scores not long ago =)
German antitheft tags on Butter.

China has been facing bank runs for weeks and fighting the collapse of its real estate market for months (it is the engine of China’s “fake” economy », and a lot of the West is heavily invested in it). Europe is now facing energy shortage, blackouts, and the threat of a severe winter, and this should not be news.

Beyond Mathematical Odds – The Weimar vibes

In many of my more analytical pieces, I forecasted events coming down now, I did say Europe would experience rationing of energy, and possibly of food, and this came to pass, there is a big shortage of cooking oil in many countries, inflation runs unabated. And Russia completely stopped gas flows to Europe for “programmed maintenance”, which the EU sees as a threat of never coming back. In fact, here, is a reference point for my following argument.

From early January, 2022.

Events over the last 4 weeks cemented what will most likely happen in the next 6 to 10 months. In the short-term, many Europeans will be faced with a lot of hardships, brownouts, blackouts, measures to conserve (semantics for rationing) energy, the industry will be affected once again, Yara one of Europe’s biggest fertilizer producers will probably cut production (again) because of gas supply and prices. Merely executing rationing, usually aimed at big consumers (industry) will have a big impact on manufacturing, affecting both supply and other parts of the industry itself. Rationing energy is another big part of why the problems in China last year led to a cascade of events affecting the global industry months later, rationing in Europe will have a similar impact, even if it is for a few weeks “only”.

Earlier this year, in my longer pieces, I warned that the non-linear dynamics and the trends back then would create a massive famine problem in MENA (Middle East Northern Africa), and this point was later confirmed by UN analysis, data, and soon after even head of states such as Macron was warning of this concerning trend. Now they expect at least 20 million migrants in the next months alone because of disastrous policies, damage from lockdowns, and the global energy woes.

Under normal circumstances, Europe would barely be able to deal with, accommodate, and afford 5 million migrants, but under the current systemic pressure, Europe would not be able to deal with 5, let alone 20 million starving migrants. But 20 million is a fairly conservative estimation, the number could be as high as 50 million. Europe could fall into complete chaos, or become a hostage of bordering countries with MENA, as they will too face resource scarcity, and demand astronomical payments in many forms over not letting the hordes get into Europe. This will become a global political issue, and it is a continental threat, given the current virological circumstances…

There is now a talking point among the media and certain political institutions that “democracy is under attack”, precisely because of everything I described here, and in the first paragraph of this text. Democracy only last as long as you can afford food and have a sufficient energy supply, as disruptions grow in intensity and quantity, democracies will buckle under their own bureaucratic weight. Faced with the reality of a population without food, with little money won’t go down easy, the EU is now reverting some of its sanctions on Russia, to attempt to buy fuel and fertilizers. Still, yields are already compromised (will cover in the next one don’t worry).

Did I mention there are talks among Chinese factory owners on orders from the government that they must convert their factories to produce items of war ? As I said in the revolts piece above, China is likely to invade Taiwan this year, and everything before the data points in that piece pointed towards it, the ID leak of over a billion people just solidified it.

Current trends in climate, regardless of where its source is are fueling talks of Climate everything in many countries, and as I covered earlier and superficially on my Twitter, Ecoterrorism is not only a thing, but a decade-old growing problem, and you can expect bigger, massive fires to start happening in the first world the next months when everything gets dry, among other forms of disruption as unhinged activists don’t think things are moving “fast enough”

All this to say, short-term there will be no stability, the inflationary trends persist even with demand destruction, and the continuous disruptive trends do all but guarantee little reprieve of proper functioning of our globalized system. If the world stopped right now, and governments achieved complete competency or ceased to exist, events would pretty much happen in almost the same manner.

Part II will have enough data points, and sources so you understand my opinions and partial analysis/forecast on this one. I highly recommend my European readers to seriously consider thinking way ahead, and adopting a “prepping mindset”, for the sole purpose of being ready when the “unthinkable” happens. There will not be enough food to feed the entire planet, food inflation is NOT as bad as it will get, the energy woes are far from over, are a huge political dispute between different factions of upper society, Europe is already rationing energy and fuel is getting scarce.

To a lesser degree, the same applies to Americans, Canadian, and elsewhere, as complex systems inevitably begin cascading into failure, the more chaotic they become, no wonder Complexity as an academic field started with “Chaos Theory”. The Ukrainian war won’t be the last war we see, and if certain countries get desperate enough, they might instigate conflict for multiple reasons, all based on nothing but human emotional response.

Quite a few of my earlier pieces, have the necessary framework for you to understand what is about to happen, and how things might (will) play out. After reading that one, tell me, what changed ? That was from 4 months ago, if anything the current dynamics are about to make that look good.

As I warned earlier this year. There was a flock of black swans coming, and they are dive bombing us.

Beyond Mathematical Odds VIII – Full-bore and Into the Abyss

You should also play very close attention to my closing remarks here…

Beyond mathematical probability – Hybrid war

A very big thank you to all supporters here and those who use KoFi =) !

Non-essentiels.

[revu et augmenté le 17/08]

Préambule

Je vais écrire sur l’ajustement structurel et sur le retour sur investissement.

Je n’y connais rien, bien sûr. Je ne suis pas un expert, je suis ouvrier. Quoique pour avoir autrefois travaillé sur des projets internationaux j’en sais quand même assez sur l’ajustement structurel pour en être dégoûté.

Contrairement à un mythe qu’il faudrait dissiper, ces domaines ne nécessitent pas de grande expertise. Une fois leur logique comprise, on saisit vite quand un de leurs experts nous mène en bateau. Comme l’expliquait Miles dans l’article juste avant, un peu d’entraînement suffit pour développer un mal de mer salutaire. On réalise vite que c’est en presque en permanence qu’on se paie notre tête.

Quand on vous montre un artefact en métal de l’Egypte ancienne – alors qu’ils ne connaissaient pas la métallurgie – et qu’on vous explique que c’est fabriqué avec des métaux trouvés dans des météorites, un brin de curiosité vous ménera aux écrits d’Anatoly Fomenko – ou sur l’excellent site de Cédric-Michel Leclerc – qui ont fait le boulot, donnent leur méthodologie et le fruit de leur recherche: l’Egypte ancienne n’a jamais existé. Pourtant, il y a des égyptologues. Ce sont des experts.

Quand je repère des trous de forage modernes dans des colonnes ou des blocs à tailler sur des photos de ruines de la Grèce antique, imaginez ma surprise. Un peu de recherche suffit à découvrir que la Grèce antique n’a jamais existé non plus. Pourtant il y a des hélennistes. Ce sont des experts. Il y a également des experts en armes atomiques, ce qui devrait vous faire doucement rigoler après que vous aurez lu l’article suivant.

Des experts, vous avez vu défiler depuis deux ans et demi sur les plateaux de télévision – si vous détenez chez vous ce genre d’arme de destruction massive. Vous aurez eu l’occasion de déterminer si oui ou non on vous prend pour des pommes. Aujourd’hui, place aux experts en géostratégie, qui vont eux aussi vous mener en bateau pour vous vendre le conflit Chine/USA et/ou Russie/Europe. Prévoyez un sac en papier.

En y consacrant assez de temps, on acquiert une certaine expertise en matière de complots. Mais je le répète, méfiez-vous des experts. Prenez un peu de temps pour faire le boulot vous-mêmes – mais pas trop de temps. Investissez aussi dans l’observation de la Nature. Ça ouvre l’esprit, ça permet éventuellement de manger sainement, moyennant un peu d’effort, et ça peut même vous aider à comprendre le sens de la vie et la place de l’Homme sur Terre.

C’est ce qu’on est en train de vous confisquer.

Deux ans de blog

Pour les nouveaux qui voudraient lire mes précédents écrits (ou les anciens qui voudraient les relire) et ne se sentent pas de les rechercher dans deux cent nonante neuf titres, il y a ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci et surtout ceci et ceci et ce témoignage.

Ceci est donc le trois-centième. J’y reviens sur des sujets j’ai relayés ou traités jusqu’à présent et je relie les points. Je n’interviendrai plus désormais sur l’actualité que ponctuellement. L’objectif de l’actualité est de verrouiller l’esprit sur des arcs de pensée très courts et de faire écran, c’est le cas de le dire, à toute perspective historique. Un autre problème est qu’elle est le plus souvent fabriquée: soit un narratif frauduleux qui s’appuie sur des événements tangibles – le Covid en est un cas d’école – soit des événements purement fictifs élaborés dans tel ou tel think tank ou officine du Renseignement. J’ai déjà consacré pas mal de temps à traiter l’actualité au détriment d’articles de fond que je reporte sans cesse. Celui-ci en est un.

Je m’acharnerai aussi moins à publier des articles qui me prennent plus de temps à rédiger ou à traduire (quatre heures en moyenne) qu’il en faut à l’ensemble de mes lecteurs pour les lire. Quelqu’un m’a dit qu’il trouvait dommage que ce blog ne reçoive pas davantage de visites, ce à quoi je lui ai répondu que s’il attirait plus de monde, ça impliquerait que je n’aurais jamais eu besoin de le créer au départ. Le bon peuple qui vit dans l’insouciance ne se met à consommer des informations « alternatives » que dans l’urgence – pour souvent tomber dans le panneau des figures de proue de la « résistance ».

J’ai déjà souvent exposé l’opposition contrôlée, celle payée par le Renseignement pour ce travail. On trouve aussi un grand nombre d’idiots utiles (généralement plus idiots qu’utiles), qui n’ont eux pas besoin d’être contrôlés. Les uns comme les autres se focalisent sur les éternels suspects, de Gates à Soros, sans aller beaucoup plus loin. Leur point commun est de s’adresser au « comment » et au « qui », pas tellement au « pourquoi » – que nous aborderons en fin d’article. Leurs superhéros sont des « media darlings« , qui font partie de l’opération: des cartes joker du Renseignement comme Julian Assange, Edward Snowden et consorts, des personnages politiques sous contrôle, comme Donald Trump, Thierry Baudet et un paquet d’autres, des « patriotes » de droite sélectionnés pour leur innocuité et des gauchistes professionnels recyclés en défenseurs de la liberté. Leur discours s’articule autour des notions de liberté, de crime contre l’humanité, de génocide et d’eugénisme. Certains accusent la Chine (Naomi Wolf), d’autres la défendent (Matthew Ehret), ce qui fournit deux versions du même narratif simpliste, bâti sur la vision binaire du grand public, qui n’a pas conscience qu’il existe un monde au-dessus de leur monde, et qu’il n’y a qu’une élite aux commandes de tout le reste.

Pour maintenir le status quo, la communication est confiée à des animateurs-vedettes du Net surgis de nulle part – aux Etats-Unis des Alex Jones ou des Stew Peters et leurs équipages de faux enquêteurs – qui contrôlent les révélations, leur timing, chaperonnent les quelques professionnels sérieux trop visibles, les discréditent par association à des fantaisistes et enfin polluent l’information par des annonces exotiques ou apocalyptiques en tout genre. Leur incessante complainte est la censure de l’information sur les media mainstream, ce qui est un leurre. Internet est aujourd’hui le media mainstream, ils en sont les stars et leurs vidéos font des millions de vues. La télévision, comme la médecine, a déjà été sacrifiée dans le cadre de l’opération et n’attire plus que des hallucinés qui n’ont aucun poids dans les événements, si ce n’est celui de poids mort. Certains réseaux sociaux font tièdement semblant de censurer mais, pour rappel, Facebook, Twitter et consorts ne sont pas Internet. Au mieux, ils sont des outils d’abrutissement et de surveillance destinés à quart-mondiser la toile, ce qu’ils ont brillamment réussi. L’Internet, la plus grande invention depuis l’aspirateur sans sac, pouvait potentiellement engendrer un gigantesque bond en avant de la connaissance humaine. On attend toujours.

Covid

Les articles sur le Covid et sa version injectable commencent à fatiguer tout le monde – moi le premier. Franchement, à moins que vous débarquiez, passez directement au titre suivant. C’est du rabâché, ressassé, rebattu. J’en ai publié au moins deux cent sur le sujet. Aucune surprise dès lors qu’on a compris le principe, qui va du contrôle à la « dépopulation ». Je fais donc cette courte synthèse, non-exhaustive, basée sur cette interview du Dr Richard Fleming et de son résumé par Joel Smalley, auquel j’ajoute quelques points à partir du n°8.

  1. Le SARS-CoV-2 est une arme biologique fabriquée en laboratoire, financée par le gouvernement américain, qui résulte d’une recherche de gain de fonction sur la protéine de pointe, la rendant plus infectieuse.
  2. Les traitements sûrs et efficaces contre le virus ont été bloqués par les organismes de réglementation sanitaire américains.
  3. La mise en quarantaine des personnes en bonne santé est totalement inefficace.
  4. Les « vaccins » ARNm/ARN produits par Pfizer, Moderna et Janssen sont des armes biologiques qui délivrent la même protéine de pointe toxique que le virus, mais à des charges jusqu’à 5 millions de fois supérieures.
  5. Les vaccinés sont responsables de la sélection par pression des variants (alpha, delta, omicron, etc.), prolongeant ainsi l’épidémie.
  6. Le « vaccin » perturbe le système immunitaire naturel, rendant les vaccinés plus sensibles aux infections et aux maladies. [NdT. dont la flambée de cancers fulgurants observée actuellement]
  7. Le « vaccin » par lui-même endommage les globules rouges et provoque une hyperinflammation et une coagulation qui entraînent la maladie et la mort.
  8. Les « vaccins » déployés ont été déclinés en de nombreuses versions différentes en termes de dosage et de nanotechnologie embarquée.
  9. Les particules nanolipidiques qu’ils contiennent ont également un rôle pathogène.
  10. Outre leurs effets « secondaires », les injections ont comme conséquence de réduire la réponse immunitaire à la protéine de pointe (d’où les formes « moins graves »), qui se multiplie sans limite et fait potentiellement des injectés des super-épandeurs tandis que leurs organes sont attaqués par leur charge de protéine de pointe.
  11. Tous les organes sont touchés mais les dommages au système reproducteur se reflètent dans la chute spectaculaire de la natalité, apparemment temporaire, dans les pays injectés.
  12. Les nombreuses pathologies précitées sont déjà en hausse et attribuées à des causes surréalistes (réchauffement climatique, etc).
  13. Le SARS-CoV-2 et les injections font partie d’une opération militaire, que l’on peut qualifier, en se basant sur ses conséquences, de Guerre Mondiale de cinquième génération – une forme élaborée de « black op« .
  14. Cette guerre n’est manifestement pas le fait d’un pays en particulier mais d’un réseau supranational qui contrôle les gouvernements acteurs du projet et leurs services de Renseignement.
  15. Elle s’adresse en priorité aux économies industrielles ou post-industrielles du Premier Monde, grands consommateurs d’énergie et de matières premières, dont elles dépendent entièrement pour leur survie.
  16. A ce titre, elle fait partie d’un projet de contrôle sociétal, partiellement articulé dans diverses officines du pouvoir mondialiste – de l’Agenda 2030 de l’ONU au Grand Reset du Forum Economique Mondial – et implémenté sous forme « sanitaire » par l’OMS.
  17. La même offensive continue sous forme de nouvelles « crises » organisées destinées à accélérer la faillite du système actuel: conflit en Ukraine, destruction des économies nationales, de l’industrie agro-alimentaire, des réseaux d’approvisionnement et du réseau énergie, et vraisemblablement d’autres à venir.
  18. Les instigateurs et les exécutants de ce projet ont organisé depuis des décennies le cadre législatif pour ne jamais être tenus responsables de leurs actes dans le cadre de ce type d’opération, dont la liste est longue.

Tout ça est très instructif mais il y manque le point le plus important: l’immense majorité de ceux qui se sont fait injecter l’ont fait volontairement.

Energie

L’énergie est la mesure mathématique de l’existence humaine et de l’ensemble de la société. Nous sommes de l’énergie sous forme physique, le Soleil, la Terre et tout le système solaire est connecté comme système d’échange d’énergie émetteur/capaciteur, le premier canalisant la charge cosmique vers le second, et ainsi de suite. Pour les plus curieux, le Thunderbolt Project a ébauché la description de ce mécanisme, que Miles Mathis a continué à brillament théoriser et démontrer dans ses travaux sur la charge. C’est de la vraie science, pour une fois.

Tout comme les mitochondries touchées par le Sars-Cov-2, la société humaine commence à montrer des symptômes d’affaiblissement assez inquiétants. Elle plafonne depuis au moins trente ans tout en continuant à consommer la même quantité d’énergie, qui se dissipe aussitôt sans générer d’évolution ni d’effet sur son organisation interne. De plus, l’apport d’énergie qui alimente le système risque à moyen terme de diminuer ou de se tarir. Cette société atteint donc son point d’entropie, à partir duquel tout tend vers le chaos et la désintégration.

Côté agriculture, l’urbanisation indispensable à la révolution industrielle d’une part, et l’extermination de la classe paysanne lors de la Première Guerre mondiale d’autre part, ont justifié et consolidé la mise en place du modèle agricole de monoculture et celle de son complément, l’élevage intensif. La destruction écologique sans précédent qu’elle engendre par son usage intensif de pesticides et par l’épuisement des sols causé par les engrais chimiques garantissaient son échec dans le long terme. Du point de vue économique, l’agriculture industrielle n’est plus aujourd’hui que le maillon pauvre d’un coûteux réseau d’intermédiaires industriels (transformation) et commerciaux (distribution), et de financiers qui la phagocytent par le biais d’un marché truqué et tuent sa rentabilité. Elle n’est donc plus viable dans sa forme actuelle et, comme dans le secteur de l’énergie, aucune transition réaliste à l’horizon.

Dans le secteur bancaire, les banques commerciales européennes sont en situation de faillite effective depuis 2008, camouflée par des jeux d’écritures totalement illégaux, qui ne peuvent durer encore longtemps. La seule transition prévue est la monnaie digitale des banques centrales, qui n’est pas un système monétaire mais une ligne de crédit auprés de multinationales, dont la vertu annoncée sera l’égalitarisme et l’effacement de la dette, et l’effet concret de court-circuiter le dernier vestige du contrôle étatique de la monnaie et de l’inflation. En clair, la Banque supprime ouvertement un intermédiaire qui n’était déjà plus que symbolique. Au niveau individuel, la dernière liberté accordée au citoyen de choisir son mode de consommation disparaîtra dès lors que son crédit carbone, social, « vert », son statut vaccinal et d’autres critères liés à son portefeuille numérique seront jugés par des entités supranationales.

Les créateurs de ce système connaissaient dès le début sa forte entropie. Après l’avoir ponctionné sous toutes les formes possibles par des outils de manipulation monétaire, financière, sociale, comportementalistes, etc., ils ont aujourd’hui décidé d’accélérer sa destruction et ainsi rester maîtres de son remplacement par le suivant, le « technocratique ».

L’ancien Monde doit disparaître. Pour ce faire, rien de mieux qu’une catastrophe.

La catastrophe

[Pour s’instruire en s’amusant, Raymond Devos parlait en 1979 assez bien de la catastrophe.]

Chaque fois que la doctrine, qu’elle soit « communiste », « capitaliste », « libérale », s’empare de la gestion de la société, elle aménage la machine étatique pour atteindre le niveau de corruption visé que permet l’excès ou le manque de contrôle (régulation/dérégulation), et la catastrophe n’est ensuite plus qu’une question de temps. On peut se rappeler les bienfaits de l’étatisme communiste dans l’Ukraine de 1932-1933 (souvenir collectif sur lequel capitalise l’OTAN dans ses manoeuvres anti-Russes), maintenant que les Etats prétendent proposer des solutions à la sur-industrialisation du secteur agricole, mesures qui auront le même genre d’effet – voir notamment le pur délire qu’on tente de mettre en place aux Pays-Bas et ce qui vient de se produire au Sri Lanka. Si ce dernier pays se retrouve dans une merde noire, c’est pour s’être laissé entraîner dans une course à la conformité au cahier des charges de l’ESG – les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance – qui seront le clou final dans le cercueil de l’industrie et de l’agriculture.

En réalité, l’ESG est le faux nez du problème du rétrécissement du marché de l’énergie, qu’une partie de la « résistance » – les anti-Mathusiens – s’obstine à traiter comme temporaire. Leur discours récurrent est que, quelle que soit la croissance démographique, la créativité et le génie humains trouveront toujours les ressources technologiques et scientifiques nécessaires à assurer la survie et le bien-être de la masse. A ce titre, ils se battent sur le même terrain que les gens qu’ils dénoncent, c’est-à-dire en plaçant les solutions au niveau du système. C’est de la pure doctrine, pas meilleure que les promesses du communisme. Un modèle qui prétend ne pas avoir de limites quant au nombre d’êtres humains qu’il peut gérer est une utopie aussi dangereuse que l’eugénisme auquel il est censé représenter une alternative.

Comme dans l’adage du poisson, l’être humain ne doit pas être géré mais éduqué. Le problème n’est donc pas le nombre d’ếtres humains mais leur capacité individuelle d’autonomie. Encore une fois, c’est un problème de dépense d’énergie par rapport au résultat. Le résultat du système actuel est catastrophique. En l’absence de solution énergétique de rechange, il n’y a rien pour soutenir le mode de vie d’une population entièrement dépendante, qui n’a donc pas d’autre choix que d’apprendre à assurer cette autonomie. La solution n’est pas de changer de système mais de changer de mode de vie.

Pas comme on veut nous l’imposer.

L’ancien Monde

On va faire un pause dans cet article, avant qu’il devienne vraiment chiant. Je ne vais pas vous faire le portrait de l’ancien Monde. Même si 2019 semble aujourd’hui appartenir à la préhistoire, j’ose espérer que vous vous en souvenez encore un peu. Je vais plutôt vous conter une anecdote.

Ma grand-mère maternelle est née en 1920. Enfant, elle habitait avec sa famille dans la commune de St-Nicolas, en province de Liège. La rue des Grands Champs se nommait ainsi parce qu’elle était vraiment entourée de grands champs – à présent disparus, remplacés par des habitations périurbaines sans âme – dans lesquels elle allait, hors période scolaire, jouer des jours entiers avec ses frères et soeurs, leur mère les rappelant uniquement pour le repas du midi et du soir. Rien que cette partie de l’histoire semblera très exotique à la plupart de mes lecteurs les plus jeunes. La suite les fera peut-être réfléchir. J’espère…

Quand un des enfants entendait le premier un bruit de moteur, il ameutait les autres, qui le suivaient tous jusqu’au talus de la rue des Grands Champs. C’était le moteur d’une automobile. Les enfants attendaient le passage de la voiture, comme un événement rare. Les seuls autres véhicules qui passaient par là étaient des charrois agricoles, tirés par des chevaux. Quand ma grand-mère m’a raconté cette histoire, il y a une trentaine d’années, c’était pour me faire comprendre à quel point et à quelle vitesse le monde avait changé. Il ne vient désormais plus à l’idée de personne de contempler le passage d’une automobile. Il y a trente ans, les enfants s’arrêtaient pour voir encore passer une – rare – voiture tirée par des chevaux. Aujourd’hui, les seuls qui passent parfois sur la route sont montés par des cavaliers. Je vis à la campagne et les chevaux – magnifiques – que je vois sont au pré ou dans un manège. Je dois parfois attendre plus d’une minute pour m’engager en scooter dans la rue principale du village, et ce n’est pas toujours à l’heure de pointe. Une minute de circulation, dans les deux sens, ça fait beaucoup de voitures.

Ma grand-mère n’est pas née sous Napoléon. Elle est née il y a un peu plus d’un siècle. Il y avait alors sur Terre 1.811 millions d’êtres humains.

Le nouveau Monde

Le premier grand malentendu est donc qu’il est possible que rien ne change. Le pouvoir cultive cette illusion tant qu’elle lui est utile, tout en contenant l’évolution naturelle de la société – une excellente recette de la catastrophe. Quand il devient inévitable et urgent d’opérer un changement, il met en oeuvre des stratagèmes pour vendre sa propre version de ce changement aux peuples. Le dernier en date s’appelle « Nouveau Normal », « Build Back Better« , « Grand Reset », au choix.

L’autre malentendu est qu’il est possible – voire souhaitable – de tout contrôler. Encore une fois, le pouvoir a inventé cette notion absurde, dans son propre intérêt, en évacuant le fait que quasiment tout dans ce monde – y compris l’être humain – fonctionne seul et sans intervention. C’est ainsi qu’il parvient à vendre ses armes de destruction massive censées contrôler le climat – ou le Covid – à un peuple oublieux du fait que le réchauffement climatique s’appelait autrefois « été » et qu’il existe une chose nommée système immunitaire, qui a l’air de fonctionner plutôt bien, même contre des armes biologiques.

On nous présente la situation actuelle comme problématique mais elle est le résultat de choix opérés par la même caste que ceux qui les dénoncent aujourd’hui. Comme très bien expliqué dans cet article de Gail Tverberg – et comme développé dans mon préambule – le pétrole aurait dû être vendu beaucoup plus cher dès le départ, ce qui aurait temporisé son utilisation intensive, contenu l’explosion de la croissance démographique et de l’urbanisation (43% de la population mondiale), deux excès qu’il faut maintenant affronter.

Sous l’impulsion des familles du pétrole et de la finance, suffisamment influentes pour court-circuiter la régulation politique, fut établi le modèle d’industrialisation de quasiment tout, de l’agriculture à la pharmacopée, malgré que le modèle précédent était suffisant et durable. Le modèle « capitaliste » qui l’a remplacé n’est en fait qu’une étiquette apposée sur le modèle de croissance infinie et du mythe de l’énergie inépuisable, qui alimente un marché financier appuyé sur la dette et ses intérêts. En URSS, zone richissime en matières premières, il fut décidé – par les mêmes – d’organiser la croissance industrielle sous planification d’Etat. Le résultat fut épouvantable, notamment en raison de la profonde corruption de ses gestionnaires. Le XXème siècle fut ainsi le laboratoire du pouvoir grandeur nature et la préparation à l’application de ses méthodes les plus efficaces. Nous entrons maintenant dans un modèle actualisé d’étatisme de façade, téléguidé par les mêmes familles et potentialisé par la technocratie. Il est donc sérieusement temps de s’en inquiéter. L’Occident montre aujourd’hui – notamment – des symptômes de soviétisation, tels que des délais extravagants pour l’obtention d’une automobile, des menaces de pénuries alimentaires, la perte de la propriété privée, etc.

Contrairement à ce qui est annoncé partout, le prochain modèle ne sera pas multipolaire. Le nouveau pôle de pouvoir sera la Russie, associée à la Chine. Pour y parvenir, l’Occident est systématiquement détruit par une élite mondialiste – qui désigne la Russie comme coupable de nos maux – à l’arme sanitaire, alimentaire, énergétique, économique et probablement climatique, pendant que la Russie connaît une récolte de blé historique, que le rouble se stabilise par son rôle de nouvelle monnaie d’échange sur le marché de l’énergie, que le bloc BRICS établit sa propre réserve monétaire, que ces deux pays contrôlent le marché des engrais, etc.

Plusieurs raisons à ce changement de pilotage. D’abord, ce sont des zones où l’Etat a joué un rôle autoritaire sur plusieurs générations, ce qui lui confère le savoir-faire nécessaire pour contenir ou discipliner les « démocraties » à l’occidentale. Ensuite, ce sont des pays où le niveau moyen d’apprentissage est plus élevé qu’en Europe. Le jeune Russe typique, me dit-on, se lève tôt le matin, travaille toute la journée et fréquente ensuite un lieu d’enseignement pour rentrer tard le soir. La comparaison avec l’état du système éducatif en Europe de l’Ouest est vite faite. Les outils de lavage de cerveau tels que l’égalitarisme, la théorie du genre, le changement climatique, etc. ont fait de ce secteur, avec la complicité du monde enseignant, une fabrique de diplômés déboussolés, analphabètes, inemployables, geignards et indisciplinés, une cure permanente d’antidépresseurs et de smartphone dernier cri servant à calmer l’angoisse existentielle de ceux trop inertes pour devenir délinquants. Peu en réchappent. Ils sont l’avenir.

Quant au rôle de pôle industriel de la Chine, comme chacun l’aura constaté, il est déjà plus ou moins effectif (28% de la production mondiale). Les Chinois – les Asiatiques en général – sont réputés, à juste titre, pour leur très haut niveau d’adaptabilité, de détermination et de résilience. Dans l’ensemble de cette redéfinition planétaire, la place de la Chine est depuis le début la volonté de la Banque, qui comprend l’intérêt de ne pas placer ses billes dans un Occident nettement moins opiniâtre et plus rétif à l’obéissance. Ce serait un placement à haut risque, et la Banque ne prend pas ce genre de risque.

La Banque

« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »

Gutle Schnaper Rothschild

C’est évidemment un terme très général, que j’emploie ici pour représenter le réseau qui contrôle les banques commerciales, les banques d’investissement, les bourses, la haute finance et les organismes de régulation bancaires, dont la Banque des Règlements Internationaux est le sommet hiérarchique. Derrière ce réseau agissent depuis des siècles les mêmes familles, qui l’utilisent pour faire et défaire les civilisations et régir la destinée de la société humaine.

La Banque est maîtresse de l’argent qu’on lui confie, a fortiori depuis la dérégulation qui a permis aux banques commerciales de pratiquer l’investissement. L’investissement contrôle la dynamique des économies nationales et oriente l’évolution de la société. Que celle-ci prenne la forme d’une démocratie, d’une dictature, d’une technocratie, d’une dystopie, d’un coup d’état communiste, ou de n’importe quoi d’autre a peu d’importance. En temps de paix, le secteur politique sera soumis aux diktats des investisseurs. Si nécessaire, une guerre fera l’affaire. Ce qui intéresse la Banque, c’est son retour sur investissement. Si la Banque investit dans un secteur, il faut qu’il soit rentable, ou au minimum stable. Pour garantir cette rentabilité/stabilité, il faut contrôler le système social, contrôle que des outils de mesure comme le NAIRU – le taux de chômage non générateur d’inflation – permettent de quantifier. Elle est également maîtresse de l’argent qu’elle crée par le biais des Banques Centrales, émanation du secteur bancaire privé, à qui a été confiée la création monétaire, autre moyen de contrôle de l’inflation à la baisse ou, comme c’est le cas en ce moment, à la hausse. L’inflation est l’outil modulable d’appauvrissement des peuples. Quand le système devient trop instable et ne garantit plus un retour sur investissement à long terme, il y a l’outil de l’ajustement structurel.

L’ajustement structurel est un terme creux pour désigner la refonte d’un système, en général vers un niveau de technicité supérieur. Il peut s’adresser à un réseau de distribution d’eau, à un tissu industriel ou à d’autres sous-systèmes. Aujourd’hui, il s’adresse à l’ensemble du système.

Je prends l’exemple de la distribution d’eau parce que j’ai travaillé sur un projet de ce type. Je vous explique. La qualité de l’eau dans tel pays – traditionnellement pauvre – est médiocre pour cause de vétusté, incompétence, corruption, manque de moyens, etc. Le prix de l’eau est toutefois suffisamment bas pour que les familles les plus humbles y aient accès. Intervient l’ajustement structurel, généreusement financé par une organisation internationale, qui effectue un upgrade du réseau, sous-traîté à diverses compagnies privées après appel d’offres. La qualité de l’eau est améliorée. Les prix aussi, qui sont multipliés par deux, dix, ou vingt. Les familles humbles n’y ont plus accès. Si vous avez suivi ce qui est dans le pipe-line des projets destinés au monde industrialisé, vous aurez noté une certaine similitude, sauf qu’il ne s’agit pas d’améliorer la qualité mais la conformité au cahier des charges ESG (voir plus haut), ou au Green New Deal, ou au Grand Reset, qui mènera à la confiscation de tout pour quasiment tout le monde. Le Grand Reset est un projet d’ajustement structurel qui ne dit pas son nom. Je défie quiconque de me prouver le contraire. C’est le cadre nécessaire pour un investissement dont on attend un retour, rien d’autre.

Dans la sphère du pouvoir, le monde politique ne sert plus que d’interface entre la Banque et les peuples: il accomplit ses directives économiques en les présentant comme doctrine politique, environnementale, sociale, peu importe, à un peuple ignorant des mécanismes financiers. Il se contente de règlementer – ou dérèglementer – le cadre économique et de prendre les mesures qui maintiendront ou non, en fonction des besoins du moment, un semblant de paix sociale ou militaire. Si le politique est insuffisant pour ce rôle, on engage des seconds couteaux tels que Bill Gates ou Klaus Schwab pour vendre la doctrine de la dictature biosécuritaire, pendant que les investisseurs rachètent tout ce qui peut être racheté sous le soleil.

Historiquement, c’est la Banque qui a autrefois financé, grâce au système de réserve fractionnelle, la conquête des colonies et la présence tentaculaire de l’Europe dans le monde, que le développement des transports a fini par rendre obsolète. C’est la Banque qui a ensuite donné les rènes du pouvoir mondial aux Etats-Unis, dont la présence militaire et le contrôle de l’exploitation pétrolière via pétro-dollar lui ont assuré le retour sur investissement dans le système issu de l’or noir. C’est la Banque qui cède aujourd’hui cette place à la Russie. La Russie s’unit avec la Chine, remet à jour ses alliances avec la Syrie, l’Iran, la Turquie et utilise celles de ses satellites « communistes » comme le Vénézuela. Ces alliances formeront le bloc qui remplacera sur la scène internationale la zone d’influence américaine, qui va considérablement rétrécir dans les prochains mois, avant de s’éteindre complètement. La prochaine destitution de l’administration Biden se profile de plus en plus clairement – la divulgation sur 4chan des vidéos compromettantes du fils Hunter est évidemment une opération du Renseignement, sans qui rien ne pourrait jamais filtrer. Le scénario probable est que le Vice-Président Harris ne reprendra pas la fonction, ce qui devrait laisser le champ libre au rétablissement, en 2024 au plus tard, du héros fabriqué du nationalisme, Trump, dont l’image sortira indemne de l’opération Covid, l’intérim programmé de Biden lui ayant permis de préserver son image pendant le massacre sanitaire. Le boulot de Trump sera de démanteler l’influence extérieure des Etats-Unis, au nom de la priorité nationale, thème bien connu de la droite patriote.

Dans un autre registre et pour l’anecdote, le rôle d’Elon Musk est évidemment la destruction organisée de Twitter, mais aussi de Telsa. Outre l’absence d’une politique énergétique de remplacement réaliste, quasiment rien n’est fait pour la mise en place d’un nombre suffisant de stations de rechargement ni pour la production ou le recyclage des batteries électriques. Du mirobolant futur parc de véhicules électriques restera d’ici quelques années un privilège (en leasing, avec services payants) réservé à une petite classe de citoyens conformes, parqués dans des « villes intelligentes », à qui on pourra tout infliger et qui trouveront ça normal – comme dans « Nouveau Normal ». Tout comme pour l’agriculture et l’énergie, il n’y aura aucune transition dans le secteur des transports de masse tels qu’ils existent aujourd’hui. Ceux-là disparaîtront purement et simplement.

Ce ne seront pas les seuls.

Nous sommes tous foutus. La société ne survivra pas à ça. Il faut moins de morts qu’on ne le pense pour que tout s’effondre. Une mortalité de 10% mettrait fin à la bulle de la dette qui alimente ce merdier, et ce n’est pas le seul problème.

On se sera bien amusés le temps que ça aura duré.

We are all screwed. Society will not survive this. It takes fewer deaths for a collapse then one might think. A 10 percent die off would end the debt bubble that props this shit show up, just one issue.

It was fun while it lasted.

https://sagehana.substack.com/p/turbo-cancer-it-feels-like-im-watching/comment/8111050

Pourquoi?

L’élite en est arrivée à la conclusion, tout à fait correcte, qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut et que nous le tolérerons. Et si cette conclusion est correcte, elle est probablement justifiée. Si nous le tolérons, nous le méritons.

The elite have come to the conclusion, correctly so, that they can do anything they want and we will tolerate it. And if it’s correctly so, it’s probably justifiably so. If we will put up with it, we deserve it.

https://off-guardian.org/2022/03/25/two-weeks-to-flatten-the-world/#comment-494956

La majorité des peuples ne tolèrent pas ce que leur inflige le pouvoir, ils le demandent. Ils veulent être guidés, même si c’est jusqu’à l’abattoir. Ils veulent des leaders, dans tous les domaines – que ce soient des usurpateurs est sans importance. Le peuple a depuis longtemps renoncé à la maîtrise de son destin, et même au choix de ses maîtres. Il veut juste qu’on lui raconte une belle histoire. Malheureusement, cette histoire est une imposture complète et c’est tout ce qu’elle peut être. Elle a servi de fondation à tout le reste. C’est ainsi qu’ont pu naître les concepts de nation, de patriotisme, et de cent autres que les peuples défendent même et surtout contre leur propre intérêt. On ment en permanence aux peuples, exactement comme on ment aux enfants, dont on considère qu’ils n’ont pas la maturité pour connaître la vérité. L’ennemi du peuple, c’est le peuple lui-même. Ses maîtres pervers ne sont que le poison qu’il s’inflige à lui-même. Il s’en plaint mais ne commence jamais le travail nécessaire pour s’en passer.

Si j’encourage mes lecteurs à observer la Nature, ce n’est pas pour rien. Au minimum, ça leur permettra d’échapper au spectaculaire effet « mémoire de poisson rouge » et à l’encore plus impressionnant effet de déni de réalité. J’entends des gens du coin se plaindre du climat de plus en plus sec. Ils confondent le climat et le temps qu’il fait et ils ont apparemment déjà oublié les inondations de l’été dernier – je pourrais leur rappeller les 200 tonnes d’eau que j’ai dû pomper de ma cave. Je les entends aussi répéter que les récoltes de cette année sont très mauvaises alors qu’ils passent tous les jours devant des champs de blé et de maïs prêts pour la récolte un bon mois à l’avance. Mais bon, les récoltes sont mauvaises, ils l’ont entendu à la télévision.

Ils ont aussi entendu depuis toujours que la vie sur Terre est le fruit de l’évolution. Depuis l’imposture de Darwin, le fil conducteur de la science est le mépris de l’intelligence, une intelligence qu’il est urgent de défendre, ou de retrouver. D’après moi, la théorie de l’évolution est l’obstacle majeur sur ce chemin. Elle est d’une stupidité tellement anachronique que sa survie est plus que suspecte. Elle aurait dû être abandonnée mille fois, vu les moyens dont on dispose depuis presque un siècle, en particulier depuis la découverte de l’ADN – il y aurait un article entier à écrire sur ce sujet . Si elle est donc maintenue avec autant d’énergie et de duplicité c’est pour une raison: elle a pour effet un genre d’erreur récursive de la pensée, qui pollue tous les domaines de la connaissance. Tant qu’on ne s’en sera pas débarrassés, tous les problèmes humains ne seront résolus que temporairement, et reviendront inévitablement sous une forme ou une autre. Les diverses doctrines politiques ou économiques ne seront d’aucun secours.

C’est une des manières de coincer l’Homme dans sa bulle sociétale et de lui faire perdre son contact avec la Création, tout sens et toute joie de sa simple existence. Il naît pourtant avec en lui le besoin d’obéir à quelque chose de plus grand, avec les facultés de perception nécessaires pour le comprendre et le développer. C’est pour cette raison, et pour aucune autre, que la place vacante du sacré a pu être investie par un gang de faux technocrates – et vrais psychopathes – que leur anathème lié à leur profonde incompétence rend particulièrement dangereux. Ils veulent gérer le peuple, à condition qu’il ne soit pas trop nombreux. Ces gens se prennent littéralement pour des dieux. Pour cela, ils ont renoncé à être des hommes, depuis très longtemps.

Et ils veulent nous emmener avec eux dans cet Enfer.

Conclusion

Je trouve beaucoup de commentaires éclairés sur Substack, souvent plus intéressants que l’article lui-même. J’en ai cité dans cet article, je vous en livre un autre en guise de conclusion, que je trouve au moment de mettre sous presse.

Les gens qui sont contre cette opération et qui observent ce qui se passe ont tendance à ne penser qu’en termes de batailles, de tactiques et de jeux de dames.

Ces psychopathes pensent en termes de guerres séculaires, de stratégie et d’échecs.

C’est pourquoi ils sont toujours gagnants. Ils transmettent leur projet de génération en génération, et ils sont très patients. Ça ne les dérange pas de sacrifier même leurs pièces les plus précieuses. Ça ne les dérange pas de paraître faibles. Ça fait partie de leur stratégie.

Pendant ce temps, la « résistance » à courte vue pense que parce que le château de cartes s’écroule, ça veut dire quelque chose. Mais le château de cartes a été conçu pour s’écrouler. Ça s’appelle un sacrifice.

Les personnes moyennes ne regardent pas au-delà de leur horizon. Ils se contentent d’étudier quelques arbres et pensent avoir compris. Mais ils ne réalisent pas que la forêt est en fait un laboratoire.

Les rituels ne font que commencer.

Mais je conviens que le combat est spirituel. Je ne fais que décrire la partie séculaire.

Au Canada et en Europe, on exige que les gens se fassent injecter pour avoir accès au suicide médicalement assisté.

C’est du vampirisme spirituel. La récolte des âmes.

[…]

Maintenant, faites un zoom arrière et regardez le monde et sa machinerie globale. Pensez aux bribes de nouvelles qui nous parviennent. Songez au peu que nous savons réellement, et pourquoi nous savons si peu, et pourquoi on nous le montre.

Ils ont retourné les vices de l’humanité contre nous. Et globalement, nous sommes devenus plus faibles au fil des générations. Par notre propre volonté. La plupart des gens sont incapables de survivre sans le système. Mais ce n’est pas notre système, c’est le leur. Nous ne le comprenons même pas. Il est trop immense. C’est le système de la bête.

Donc, en fait, ils ne font que ranger leurs propres jouets dans leur boîte à jouets. Ils considèrent que c’est leur droit de renégocier les conditions de service. Tout est dans les clauses en petits caractères.

Ils vont nous laisser nous détruire et nous détruire les uns les autres. Et ils se délecteront de tout ça.

Mais nous n’avons jamais été créés pour faire partie de leur système. C’est pour cette raison que la plupart des gens ne se sentent pas à leur place.

Nous sommes confrontés à des choix difficiles. Le chemin de moindre résistance est généralement un piège. Seul le chemin difficile mène à la victoire.

Ils vont achever la démolition contrôlée de l’économie, pour commencer.

Je dis « contrôlée » parce que les gens au sommet du système pyramidal ne se soucient pas de l’argent. Ce sont eux qui ont tout inventé à la base, et ils possèdent ce qu’ils pensent avoir de la valeur. Seuls leurs sous-fifres ont soif d’argent, et parce que les sous-fifres croient à tort qu’ils sont au courant de tout le projet et qu’ils sont extrêmement avides, ces idiots utiles continueront à jouer leur rôle jusqu’à la fin. Ils sont trop arrogants pour imaginer qu’ils puissent être trompés et jetés comme le seront ceux qu’ils regardent de haut.

Si les banques centrales lancent leurs monnaies numériques, les « super banquiers » ne seront plus nécessaires. Toutes leurs années de malfaisance seront réduites à néant. Leur seul espoir sera de jouer un rôle de concierge ou de relations publiques. Ceux qui ne mourront pas sous le choc ou par injection se suicideront.

Une fois l’économie et les chaînes d’approvisionnement démolies, peu importe ce que nous serons en mesure de prouver.

Je pense qu’il vaut mieux être préparé. Si les gens ne comprennent pas ce qui va se passer et qu’ils acceptent l’aide sociale et le revenu de base universel (pour autant qu’ils survivent aux retombées de l’effondrement, au chaos social, etc), ils se retrouveront complètement asservis. Pour des générations.

[…]

Pensez-vous qu’un bon parent empêche ses enfants d’apprendre? Il y a une leçon inestimable à tirer de tout cela. Lorsque les humains ne subissent pas de conséquences, ils n’apprennent pas. Lorsque les parents empêchent leurs enfants de faire l’expérience des conséquences, ces derniers ne grandissent jamais.

Cela fait partie de notre éducation. Ce n’est pas « mauvais », pas « injuste », c’est merveilleux. Nous comprendrons tout lorsque les écailles tomberont de nos yeux.

[…]

Seul Dieu est réel. L’univers est une pensée dans l’esprit de Dieu. Je suis un personnage dans un roman écrit par Dieu. Dieu connaissait la fin avant le commencement. Nous disposons du libre arbitre. Seul l’amour est réel, mais nous avons été placés dans un monde d’illusion pour que nous puissions découvrir ce que signifie l’amour. L’amour est bon. L’amour est Dieu.

Le mal fait partie de notre éducation. Comme la gravité. La gravité peut paraître oppressante, mais elle nous rend plus forts. Sans gravité, nous n’aurions pas de muscles, pas de densité osseuse, notre système cardiovasculaire ne fonctionnerait pas… Mais si on se jette d’une falaise, on aura l’impression que la gravité veut nous tuer. Ce n’est pas vrai pour autant. C’est une perception.

C’est pourquoi nous avons des traditions spirituelles et des enseignants, et la capacité de dépasser les rouages du monde matériel pour nous rappeler qui nous sommes, ce qui est réel.

L’amour ne disparaît pas en présence de l’illusion ou du mal. L’amour est constant, éternel, omniprésent. Notre défi est de nous en souvenir au cœur de l’illusion, de la douleur et de la souffrance.

Quelle est la durée d’une vie humaine? Toute douleur et toute souffrance sont temporaires. Regardez les grands maîtres spirituels. Ils n’étaient pas coincés ici, ils étaient simplement ici. Mais ils étaient aussi ailleurs.

Lorsque les gens pensent qu’ils ne sont pas traités équitablement, ils souffrent. Quand les gens pensent qu’ils vivent une mauvaise expérience, ils souffrent.

Il est possible de maintenir une connexion et une immersion dans l’amour à travers n’importe quelle épreuve. Il est possible pour le corps d’endurer un grand traumatisme sans que l’esprit ne souffre. Il est possible d’éprouver une grande douleur et de ne pas souffrir.

Je pense que tout ce que nous vivons a un but. L’amour en est le but.

Les enfants comprennent rarement « pourquoi ». Nous sommes des enfants. Mais nous finirons par grandir.

Si nous sommes attachés à ce système contre-nature et maléfique, nous périrons en même temps que lui.

Nous devons le laisser mourir. Les personnes qui ne veulent pas être sauvées ne le seront pas. Ils ne sauteront jamais dans le radeau de sauvetage. Ils pensent qu’ils font partie du navire.

Vous voyez pourquoi il est utile d’avoir le mal de mer.

A bientôt.

« Les mauvais conspirationnistes » – par Miles Mathis.

J’ai un article de Miles Mathis sur le canular nucléaire prêt pour publication. En voici d’abord un autre, qui date de décembre dernier. Je suis retombé sur sa traduction inachevée en parcourant mes brouillons. Il était tellement proche de ce que j’étais en train d’écrire que j’aurais même pu écrire mot pour mot le dernier paragraphe de la première partie. J’ai donc finalisé la traduction, très difficile dans le cas de Miles. Je finirai et publierai ensuite aussi mon article, une mise à jour complète qui inclura ce que nous avons appris et vécu depuis lors. J’avais déjà traité ce sujet il y a des mois, ici, où je prévenais ce bon vieux Klaus de l’avenir très incertain du projet dont il est le porte-parole. Vous pouvez le relire, il est assez rigolo.

Il existe un certain parallèle entre le point de vue de Miles et le mien. Nous avons aussi le même âge, nous pratiquons les Beaux-Arts et nous aimons les chats et je pense qu’il est lui aussi un Logicien. Par contre, il est très pointu sur les dynasties du pouvoir, il a démonté tous les hoaxes imaginables, dont le faux (?) assassinat de JFK et le faux meurtre de Sharon Tate dont il est fait mention ici, et s’est forgé une certaine notoriété – légitime – sur la toile grâce à des papiers scientifiques assez solides, choses que je ne sais pas faire. Je suis plus pointu sur la réalité du terrain, sur laquelle il se plante régulièrement et avec obstination, notamment sur les aspect cliniques du Covid, sur lesquels je collationne ici les infos depuis maintenant deux ans.

Nous pourrions travailler ensemble si nous étions capables d’un minimum d’esprit d’équipe. Mais les « bons » conspirationnistes sont des gens solitaires. A moins que ça soit l’inverse.

Source.


« Les mauvais conspirationnistes »

par Miles Mathis

Lecturi te salutamus

Première publication le 21 décembre 2021

Je commencerai par un brin de divertissement [NdT. en français dans le texte]. Le sous-titre est une citation qui signifie « à ceux qui vont lire, salut ». Vous êtes les derniers représentants d’une race en voie de disparition: les gens lettrés. Vous ne préférez PAS regarder des vidéos, car vous savez – consciemment ou inconsciemment – que la propagande en vidéo est encore plus perfide que la propagande écrite. Au moins, la propagande écrite vous laisse le temps de l’analyser. C’est pourquoi vous préférez lire vos nouvelles et vos autres informations noir sur blanc, ce qui vous permet de les épingler plus facilement. Etalé sous vos yeux, la forme du texte se prête à l’analyse autant que son contenu, et vous vous apercevez qu’on peut apprendre à reconnaître un mensonge au moment où il est proféré, rien qu’à partir de sa forme – rien qu’à son apparence sur la page. Tout comme on reconnait une putain à son maquillage ou à ses chaussures, on reconnait la propagande à ses habits. Après quelques années d’entraînement, vous indentifierez sur la page les menteurs à leurs empreintes de pas et de doigts, et vous reconnaîtrez même le goût particulier de tel ou tel personnage au sein d’un comité. Vous les reconnaîtrez à leur puanteur typique.

C’est très utile, vu que maintenant la plupart des auteurs se cachent. La plupart du temps, il se camouflent derrière des paravents séduisants, et restent tapis, eux et leur odeur, dans les marges. Leur vrai nom et leur vrai visage les trahiraient. L’âge aidant, leur âmes s’impriment sur leurs visages, et le mal s’y incarne. Considérez Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci et Klaus Schwab comme des exemples de personnes qui n’ont pas eu le bon sens d’embaucher des plus jeunes pour représenter leurs opinions et leurs programmes abominables, comme l’ont fait leur plus humbles ou plus politiques collègues cabalistes.

De plus, lire est un acte bien plus volontaire que de regarder une vidéo. Regarder est un acte complétement passif qui me semble révèler un manque de courage et de curiosité. Une vidéo est à la fois plus simple à produire – question contenu – et plus facile à consommer, et n’est en général rien de plus qu’un tas de conneries qui passent d’une tête à une autre. Quand ce n’est pas qu’une envolée toxique, c’est en général quelque chose qui a été scénarisé ailleurs, dans une forteresse lointaine. Ça peut évidemment aussi être le cas pour la chose écrite, mais c’est alors plus difficile à dissimuler. Comme ce qui est ajourd’hui produit à Hollywood, la vidéo sert à cacher la pauvreté du scénario, en l’enrobant d’un visuel aguichant, de phrases à l’emporte-pièce et parfois d’un brin de séduction. Tout ça n’intervient en rien quand j’écris mes articles, c’est le contenu seul qui doit séduire, sans le secours de mon physique, de ma voix ou d’autres artifices. Tout sort de ma plume et de ma tête, et non seulement c’est là ma seule recette, qui confère à ce que j’écris mon style personnel, mais ce travail représente un risque permanent et une plongée dans l’inconnu. Vous me regardez explorer le terrier du lapin [NdT. expression anglaise qui provient de Alice in Wonderland], au moment-même où j’explore le terrier du lapin, en temps réel. Ce n’est donc pas le récit d’une histoire, c’est l’histoire elle-même au moment où elle se déroule. C’est comme d’être assis à côté de Newton, voir la pomme se détacher de la branche au-dessus de lui et lui tomber sur le crâne. C’est là la vraie nature de l’écriture et de la créativité, ce qu’on en ressent n’est comparable à rien d’autre. La vérité ne peut être ni feinte ni copiée, comme vous en viendrez à le comprendre. Le vrai exhale un doux parfum qui n’appartient qu’à lui.

Mais reconnaître ce parfum demande du travail. Il faut aiguiser son odorat. Il faut chercher sans relâche, rester à l’affût du mensonge. Se vautrer sur un canapé en sifflant des sodas toxiques et en bâfrant des chips pendant que les médias s’insinuent insidieusement dans son crâne depuis l’écran qui clignote, ça ne marche pas. Il faut ratisser la page comme un Sherlock Holmes avec sa loupe, à la recherche d’un cheveu ou d’une trace de cendre. Tout doit devenir un indice, une pièce d’un grand ensemble, qui s’y rapportera ou non.

Même chose pour l’apprentissage. Apprendre est un processus actif, qui naît d’une insatiable curiosité et d’un questionnement permanent. C’est peut-être la curiosité qui a tué le chat [NdT. proverbe anglais] mais c’est elle qui a sauvé l’homme. Voilà pourquoi ma courbe d’apprentissage est plus oblique que jamais, alors que j’approche la soixantaine: j’ai gardé ma curiosité d’enfant. Comme un gosse, le monde est pour moi une huitre qu’il faut ouvrir. J’ai besoin d’apprendre, de créer et d’évoluer constamment. Je sais à quel point il est difficile de maintenir cette démarche dans ce monde, qui fait tout pour très tôt nous en empêcher. Ce que le Phéniciens redoutent le plus, ce sont des citoyens qui évoluent en permanence. Ce qu’ils veulent, c’est un petit peuple oppressé et docile qui obéira à leurs ordres sans poser de questions, et ces gens atteignent en général leur apogée dans la vingtaine, sinon avant, pour ensuite s’enfermer dans la case qui leur est assignée, où ils se momifient ou régressent. Pour y parvenir, les Phéniciens font pression sur vous dès le berceau, et vous broient la tête dans leurs divers programmes qu’ils appellent « éducation ». Sans ça, vous parviendriez à l’âge de la maturité comme moi, votre curiosité pleinement intacte et vos principales facultés indemnes. A ce stade, vous représentez pour eux un danger réel.

A ce stade, leurs projets à votre encontre s’intensifieront et se multiplieront, et la pression qu’ils feront peser sur vous deviendra carrément énorme, et vous aurez l’impression de vivre dans une grotte à des milliers de kilomètres de profondeur. Ça deviendra quasiment insupportable jusqu’au moment où vous lèverez les yeux pour comprendre…

que ce n’est que du bluff. Il n’y a aucun toit au-dessus de votre tête ni de véritable pression. La pression n’est qu’un mirage, comme tout le reste. Vous êtes infiniment libre comme au jour de votre naissance, et ces gens ne peuvent rien vous prendre de ce que vous ne leur donnerez.

Aujourd’hui, ils tentent de nous mettre la pression en nous menaçant de nous priver de leur monde si nous n’obéissons pas. Mais pour moi, ça n’a rien d’une menace, je ne veux pas de leur monde. Je n’ai plus le droit d’aller au concert ou au café? Je n’ai plus le droit d’aller à la salle de sport ou au centre commercial? Parfait. Plus vite leur monde s’écroulera, mieux ce sera, leurs menaces ne menacent qu’eux-mêmes. Difficile de menacer un Amish de le priver de son automobile, n’est-ce pas?

Et j’ai autre chose à leur annoncer: menacer des gens déjà privés de tout de les priver du reste, ce n’est pas une menace. Croyez-vous que les gens du Kentucky ou de Virginie occidentale, qui vivent déjà dans une misère noire, séparés les uns des autres et de toute forme de réalité, défoncés à toutes les drogues imaginables, vont s’émouvoir quand on leur annoncera que leur Noël sera foutu si ils n’acceptent pas un vaccin bidon? C’est une menace vide de sens.

Les Phéniciens m’ont déjà tout confisqué de leur monde bien avant 2020, leur petite arnaque du Covid est tombée à plat. Difficile de menacer un moine d’isolation ou d’ostracisme. Mais je ne suis pas tellement différent de la plupart des citoyens du monde, qu’on a déjà ratatiné dans une toute petite boîte. A ce stade, taper sur le couvercle de la boîte en menaçant de les reloger dans une boîte encore plus exigüe est une plaisanterie.

La différence majeure entre moi et les pauvres gens du Kentucky est qu’ils n’ont pas d’emblée tenté de mieux resister. Pour une raison ou l’autre, ils ont consommé des drogues et moi, non. Peut-être parce qu’ils vivaient dans une plus grande misère, difficile à dire. Ça ne me pose aucun problème de vivre et de me distraire seul, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. La plupart des gens sont bien plus sociables et plus manipulables que moi. Si leur monde s’écroule, ils s’écroulent aussi. Ça n’a rien de difficile à comprendre. Je n’en suis peut-être pas si loin moi-même. Mais ce ne sera pas parce que je me mettrai à consommer des drogues, légales ou non, obligatoires ou non, et j’aimerais arriver à convaincre les autres de dire non à toutes les drogues. Ils devraient comprendre que les drogues ne résoudront rien, et qu’elles les détruiront. Et c’est sans doute le but: le suicide sans avoir à appuyer sur une gâchette.

Dans tous les cas de figure, le savoir est toujours utile, raison pour laquelle il nous est nous est refusé avec autant d’acharnement. Si les gens du Kentucky comprenaient qui les attaque et pourquoi, ils pourraient peut-être leur résister. C’est pour ça que je suis là. L’éducation est mon acte de résistance.

A présent venons-en au sujet de ce papier, qui est de traiter d’un nouvel article posté sur Infowars. Pour des raisons que je vous ai déjà exposées, Alex Jones ou ceux qui se cachent derrière lui aiment republier d’anciens écrits de Mises.org, en particulier ceux de Murray Rothbard, ce Phénicien huileux. Celui qu’ils republient aujourd’hui date de 1977, et Infowars n’en reprend qu’une partie. L’article s’intitule « Une théorie conspirationniste de l’Histoire révisée », et si on le lit attentivement, on verra qu’il m’est directement adressé.

Mais avant d’en arriver là, je vous invite à prêter attention à la forme de ce texte: la façon dont il est écrit. Les phrases et les mots. Voici deux des premiers paragraphes:

Il n’est pas étonnant que ces analyses réalistes soient généralement formulées par divers « extrémistes » qui ne font pas partie du consensus de l’establishment. Car il est vital pour le maintien de l’appareil d’État qu’il ait une légitimité et même une sainteté aux yeux du public, et il est vital pour cette sainteté que nos politiciens et bureaucrates soient considérés comme des esprits désincarnés uniquement dévoués au « bien public ».

Une fois qu’on a découvert que ces esprits sont trop souvent ancrés dans la terre ferme de la promotion d’un ensemble d’intérêts économiques par l’utilisation de l’État, la mystique de base du gouvernement commence à s’effondrer.

Plutôt difficile à suivre, non? On saisit ce qu’il tente de dire, puisqu’on sait déjà ce qu’il tente de dire avant de commencer à lire, mais sa formulation est bizarre. Il est vital que nos politiciens soient des « esprits désincarnés »? Quoi? Est-ce que Rothbard vient tout juste d’apprendre l’anglais? On pourrait espérer que nos politiciens soient honnêtes et incorruptibles, mais je ne pense pas que ça fasse d’eux des esprits désincarnés. Et le paragraphe suivant est une vraie catastrophe au niveau de la grammaire et du vocabulaire, à tel point que je doute devoir même en relever les erreurs.

Je suis peut-être bizarre, mais j’y vois le signe que Rothbard est sur le point de nous balancer un gros mensonge, et que son subconscient le lui signale. Car Rothbard commence ensuite à défendre les théoriciens de la conspiration en général, ou semble le faire, mais c’est en réalité pour nous dire qui sont les MAUVAIS théoriciens de la conspiration:

Le mauvais analyste de la conspiration a tendance à faire deux types d’erreurs, qui l’exposent à l’accusation de « paranoïa » de l’Establishment. Premièrement, il s’arrête au cui bono; si la mesure A profite à X et Y, il en conclut simplement que X et Y sont donc responsables. Il ne se rend pas compte qu’il ne s’agit que d’une hypothèse et qu’elle doit être vérifiée en déterminant si X et Y sont réellement responsables ou non. (L’exemple le plus farfelu est peut-être celui du journaliste britannique Douglas Reed qui, voyant que le résultat de la politique d’Hitler a été la destruction de l’Allemagne, en a conclu, sans autre preuve, que Hitler était donc un agent conscient de forces extérieures qui avaient délibérément entrepris de ruiner l’Allemagne). Deuxièmement, le mauvais analyste des conspirations semble avoir la compulsion de regrouper toutes les conspirations, tous les blocs de pouvoir des méchants, en une conspiration géante.

J’imagine que vous voyez maintenant pourquoi j’ai dit que ça s’adressait à moi. Ça s’adresse à mes articles sur Hitler et sur le Putsch de la Brasserie. Rothbard ne s’adressait pas à moi en 1977, évidemment, puisque je n’avais que 13 ans à l’époque. Mais la personne qui l’a sélectionné pour une republication l’a fait à mon intention. Ils ont lu ce passage sur Douglas Reed et ont pensé à moi. Ils se sont dit, « Ah, on va se servir de cet avertissement de Rothbard pour arriver à peut-être dissuader quelque personnes de lire les travaux de Miles! Miles dit ce que dit Reed, que Hitler a été un instrument pour causer délibérément la ruine de l’Allemagne, alors peut-être qu’on pourrait contester ça sans devoir contester directement Miles, ou ses gros travaux de recherches. On pourrait glisser l’idée que Reed et Miles sont le même genre de mauvais conspirationnistes puisqu’ils en arrivent à la même conclusion ».

Vous comprenez ce qu’ils espéraient de cette manoeuvre. Ils s’adressent au lecteur paresseux, qui fera simplement le lien entre Reed et moi, mais n’ira pas voir plus loin, ne comprendra pas que je n’en suis pas arrivé à cette conclusion sans avoir opéré de vérifications ou sans rassembler de preuves. Reed non plus, pour être honnête. Ni Reed ni moi n’avons juste relevé un point de départ et un point d’arrivée puis rempli le milieu selon notre bon vouloir. J’ai développé une argumentation longue et détaillée, ainsi qu’une montagne de preuves, pour vous mener de l’hypothèse à la conclusion. Et je suppose que Reed aussi.

Pourtant, après avoir lu la biographie de Reed, je pense que cette tentative de discrédit agit sur un deuxième plan. Contrairement à moi, Reed était un auteur à succès, publié par un grand éditeur et qui bénéficiait d’une large promotion dans la grande presse à la fin des années 30. De plus, il provenait de la noblesse, son nom complet étant Douglas Lancelot Reed. Cette publication sur Infowars pourrait donc constituer une tentative plutôt tardive de faire un lien entre Reed et moi. Ça ne les aidera pas beaucoup, parce que, vu qu’ils ont déjà sali le nom de Reed, personne n’a jamais entendu parler de lui. Difficile de me discréditer par un lien avec un fantôme dont personne n’a jamais entendu parler. Seuls quelques intellos ont déjà entendu le nom de Reed ou de Rothbard, et ceux-là me détestaient déjà, donc ils prêchent dans le désert. Mais c’est toutefois intéressant à noter. Faire un lien entre moi et Reed, c’est courir le risque que quelques-uns de leurs lecteurs intellos feront une recherche sur son nom, comprendront le niveau de censure dont il a fait l’objet, et se demanderont pourquoi. Pourquoi le bouquin de Reed sur le sionisme a-t-il été jeté au bac pendant vingt ans, n’a-t-il été publié qu’en 1978, et par un petit éditeur? Ça pourrait les mener jusqu’à son livre, dont je pense qu’il en dit déjà beaucoup trop, même en détournant son propos. Difficile à dire sans avoir lu Reed, et je ne l’ai pas lu. Je le lirai ou non, selon ce que m’en diront mes lecteurs. Vous en serez les premiers informés.

Egalement curieux, le fait que Rothbard mentionne Reed en 1977, alors que le bouquin de Reed, La Controverse de Sion n’est sorti qu’en 1978. A croire que Rothbard lui fait sa pub.

Mais Reed n’est pas vraiment le plus important, parce que grâce à Internet, j’ai un bien plus large public qu’il en a jamais eu. Je touche bien plus de gens dans le monde entier que les auteurs à succès bidon, malgré que je ne figure pas sur ces listes et que je ne bénificie pas de leur promo. Raison précise pour laquelle le célèbre site de Jones a été sélectionné pour me répondre aussi subtilement. Ce stratagème pourrait lui aussi être contre-productif vu que même si la majorité de ses lecteurs ne sont ni des fans de Rothbard ni des intellectuels, certains se renseigneront peut-être sur Reed, en retiendront quelque vérité, sans les manipulations. Et en republiant [Rothbard], ils me fournissent l’occasion d’écrire ce démenti, que leurs lecteurs trouveront en faisant une simple recherche. Raison pour laquelle j’ai inclus les noms de Rothbard et Reed au-dessus du titre, pour que les araignées les retrouvent facilement. Ça attirera les lecteurs d’Infowars sur mon site. Une fois qu’ils m’auront trouvé, ils verront que mes articles sur Hitler offrent bien plus de contenu que tout ce que Rothbard a jamais écrit. Si vous lisez n’importe lequel de mes articles sans éprouver d’épiphanie, c’est que vous n’êtes tout simplement pas attentif.

Ce qui revient à dire que ces gens n’on pas encore compris que c’est une erreur de m’attaquer, même de cette manière détournée, puisque je les prends tôt ou tard sur le fait, que je contre-attaque et qu’ils finissent toujours par perdre. Et pourquoi perdent-ils? Par définition: les perdants perdent toujours. Ils répondront, « Nous sommes les Phéniciens, et tout le monde sait que nous avons toujours gagné. Tu l’admets toi-même, Miles ». Oui, mais vous gagnez toujours en trichant, en mentant et en volant, ce qui signifie que vous êtes quand même des perdants. Les véritables gagnants gagnent sans tricher.

On le voit aujourd’hui dans les grands titres, où d’une certaine manière, Pfizer semble remporter une énorme victoire. Ils se font des milliards et contraignent des millions de gens à accepter leurs vaccins mortels. Mais c’est encore une victoire de Phénicien, fondée sur l’achat du silence des agences de régulation et de gouvernement entiers, sur le mensonge permanent fait à tout le monde sur tout dans des médias achetés, et sur le meurtre de millions de gens comptabilisés dans la colonne pertes et profits. Selon toute définition humaine ou divine, ce ne sont pas seulement des perdants, ce sont des criminels. Ce sont littéralement des diables.

Ce qui leur échappe du haut de leurs obscurs donjons, c’est que les diables sont toujours perdants, même quand ils gagnent. Raison pour laquelle ils perdent toujours contre moi. C’est une loi de la Nature des plus fondamentales, qu’ils n’ont jamais apprise parce que pour l’apprendre il faut cesser une seconde de se prosterner devant ses ancêtres malfaisants et écouter la chanson du vent. Ils se targuent d’être en phase avec la Nature, puisqu’elle est faite de proies et de prédateurs. Eux sont les prédateurs et les prédateurs n’ont aucune pitié – je serais donc dans le déni, et pas eux. Mais je rappelle que dans la Nature les prédateurs ne trichent pas. Dans la Nature, le perdant ne ment pas, ne triche pas ou ne vole pas sa place au vainqueur. C’est pourquoi tricher est le plus grave péché contre la Nature. C’est une tentative de corruption de sa hiérarchie, et il n’y a rien qu’elle punisse plus sévèrement.

Vous penserez que ses seules punitions sont « naturelles », comme les fléaux, les famines ou les lignées dégénérées, mais ses punitions sont infligées quotidiennement à tous et à chacun, et elle est passée maîtresse dans l’art de la psychologie. Ce ne sont pas les psychologues qui ont inventé les complexes d’infériorité, les névroses, les psychoses, et toutes les autres formes d’auto-torture. Et ce ne sont pas non plus les Phéniciens, même s’ils en ont fait un usage de pire en pire. La nature elle-même est la source de tout, et elle rend la justice avec une équité étonnante, bien que souvent voilée. Ce qui veut dire que le PDG de Pfizer sait ce qu’il a fait. Comment pourrait-il l’ignorer? Ce savoir sera finalement une punition bien plus grande pour lui que n’importe quelle mort ou maladie qu’il pourrait infliger aux autres. La mort n’est pas une punition, et n’exige aucune expiation, mais Albert Bourla risque de payer jusqu’au dernier centime.

Vous direz qu’Anthony Fauci semble assumer sans aucun inconvénient ses décennies de péchés, en tant que psychopathe presque parfait. Mais il n’existe rien de tel. La psychopathie n’est que le refuge temporaire de l’esprit, et la Nature n’accorde pas de refuge permanent. La chute viendra certainement, si ce n’est pas avant sa mort, alors ce sera après, et elle sera impressionnante, n’ayez aucun doute là-dessus. Car il y a réincarnation et continuité, donc si Fauci pense qu’il peut tromper la Nature avec la mort, il se trompe lourdement. Tromper la Nature avec la mort, c’est comme tromper la CIA avec une mort simulée: c’est la CIA qui a inventé la mort simulée. La Nature a inventé la mort et en sait plus que nous: on ne peut pas l’utiliser contre elle.

Certains diront:  » Comment se fait-il que vous en sachiez autant à ce sujet?  » Je n’en sais pas plus qu’un autre. Nous le savons tous, mais la plupart l’ont appris à leurs dépens, d’une manière ou d’une autre. J’en ai juste un meilleur souvenir. Je n’ai pas vraiment grandi comme tout le monde, je suis resté coincé à un moment donné dans un passé lointain… avant ma naissance. Je n’ai jamais pu m’intégrer dans ce monde et je n’ai jamais vraiment essayé. Je me considère comme un être coincé entre deux mondes et je me demande parfois si je suis pleinement visible. Je suis beaucoup plus à l’aise dans le monde des rêves, et c’est là que je préfère être. Mon lien avec ce monde est très ténu, bien que tout le monde puisse peut-être en dire autant. J’habite un étrange royaume intermédiaire où, d’un côté, je me soucie beaucoup de ce monde et de l’autre, pas du tout. Je pourrais mourir ce soir sans regret, en fait avec un grand soulagement. Mais malgré cela, j’ai un étrange désir de sauver cet endroit, mais pas pour moi. Ma haine du mensonge et de l’injustice est disproportionnée par rapport à mes liens émotionnels réels, et elle semblerait académique si ce n’était la puissance de cette haine et son utilité dans mon travail. Je suppose que c’est aux autres de décider à quel point cela fait de moi quelqu’un de bizarre, puisqu’ils peuvent comparer cela à leurs propres expériences et croyances. Je ne connais que les miennes.


En guise de conclusion, je viens de regarder Idiocracy pour la première fois et j’ai quelques commentaires à faire. L’intrigue repose sur le fait que Joe est emmené 500 ans dans le futur, où tout le monde est devenu idiot. Il finit par être envoyé en prison et, une fois enfermé, on lui fait passer un test de QI. Il obtient le meilleur score, ce qui lui vaut d’être embauché par le Président. Ce qui, bien sûr, contredit toutes les autres hypothèses du film. C’est beaucoup trop logique, et ça dépasse de loin la logique qui règne actuellement. Est-ce que quiconque dans le gouvernement est aujourd’hui engagé sur base de son intelligence? Sont-ils engagés sur base de quelque chose de mesurable, autre que leur ambition et leur réseau de relations? Non. Malheureusement, on peut dire la même chose de tous les autres domaines, y compris la science. Dans la population générale, on pense que les scientifiques sont à tout le moins choisis pour leur intelligence, qu’ils gravissent les échelons et progressent en fonction de leurs accomplissements et de leur mérite. Mais ce n’est pas plus vrai en science qu’en politique, à Hollywood ou ailleurs. Les scientifiques progressent en fonction de leurs relations (familiales) antérieures, de leur ambition et de leur adhésion à la ligne du parti. L’intelligence est en fait exclue dans ce système, car toute personne vraiment intelligente menacerait l’ensemble de l’establishment consanguin, préfabriqué et pré-possédé des carriéristes. Toute nouvelle connaissance ferait immédiatement s’effondrer la structure existante de mensonges, de falsifications, d’équations truquées, et de préférences pour les bébés phéniciens qui occupent les sommets de tous les domaines. Cela détruirait également l’économie de projets fictifs qui drainent actuellement les trésors publics de manière si efficace.

Pour cette raison, je considère Idiocracy comme une fausse piste de plus. Certains ont accusé ses auteurs de vendre de l’eugénisme, ce qui est vrai, mais ce n’est pas son plus grand péché, ni son intention la plus cachée. Il s’agit, comme d’habitude, de vous faire regarder ailleurs que vers les Phéniciens, en vous faisant croire que le plus grand danger du système actuel est la baisse de l’intelligence, alors que ce n’est pas le cas. Oui, l’intelligence moyenne baisse, pour la raison donnée dans le film et pour bien d’autres raisons, mais la solution n’est pas de corseter les femmes stupides et d’élever sélectivement les plus intelligents. Les plus intelligents continueront à se marier entre eux sans qu’on les y pousse, à condition qu’ils ne soient pas activement séparés. Donc l’intelligence moyenne n’a pas d’importance. Les gens moyens ne dirigent pas le monde et ne le dirigeront jamais, donc les gens moyens n’ont pas d’importance de ce point de vue.

Et je ne crois pas que les percentiles supérieurs deviennent moins intelligents. Ils deviennent plus stupides, mais c’est le résultat d’une mauvaise éducation, pas d’une baisse de leur potentiel naturel. Je pense que notre strate supérieure est en fait plus intelligente qu’elle ne l’a jamais été, en termes de possibilités, mais que toutes ces possibilités sont volontairement étouffées. En fait, ce n’est pas une supposition: je sais que c’est le cas, car j’en ai une connaissance et une expérience de première main. J’ai été témoin du gaspillage délibéré des percentiles les plus élevés. J’ai moi-même été gâché volontairement, et je vous ai dit pourquoi.

Pour le comprendre, revenons à ce que j’ai dit sur le fait que les plus intelligents continuent à se marier entre eux sans y être incités, à condition que l’on ne les sépare pas délibérément. Eh bien, le coup de grâce est qu’ils sont délibérément séparés, du moins en dehors des grandes familles. Pourquoi? Parce qu’ils menacent les familles supérieures et parce que, une fois intégrés au prolétariat païen, ils sont considérés comme sacrifiables. À ce stade, ils sont considérés comme des proies et doivent se conformer à cette classification, dans laquelle les sexes des classes inférieures sont séparés et réduits à la misère pour un profit maximum. J’ai été assigné à cette catégorie à la naissance, et nous avons vu qu’aucun accomplissement réel ne pouvait m’en sortir. De même qu’aucun manque d’intelligence ou de réussite ne peut limiter la carrière d’un Phénicien de haut niveau – pensez à George Bush – aucun surcroît d’intelligence ou de réussite ne peut y faire entrer quelqu’un qui n’appartient pas à cette classe. Non seulement les États-Unis ne sont PAS sans classe, mais leurs deux classes principales sont les plus rigides de l’Histoire.

Il en va du sexe et de la reproduction comme de tout le reste: alors que la Nature essaie de nous gérer dans le sens du progrès, les Phéniciens essaient de nous gérer dans le sens de la stase ou de la régression. L’évolution est une menace pour eux, car il n’y a aucun moyen de garantir qu’elle choisira de faire évoluer les Phéniciens en priorité. En fait, nous avons constaté que c’est l’inverse qui se produit, puisque les Phéniciens échouent dans leurs propres rangs de manière flagrante dans leurs programmes de reproduction. Leur corruption interne n’engendre pas le progrès, elle engendre l’inversion, la maladie et la folie. Pensez aux maisons royales européennes, comme preuve la plus évidente de ce fait. Puisqu’ils n’ont pas été capables de gérer leur propre progrès, ils ont dû interférer avec celui de tous les autres.

Le génocide du Covid en est l’exemple le plus récent, puisque nous voyons les Phéniciens déclarer une guerre ouverte à toutes les classes inférieures. Ils peuvent tenter de le justifier à leurs propres yeux en invoquant le contrôle de la population ou d’autres mesures eugénistes nécessaires, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Si c’était le cas, ce serait ciblé sur les centres les plus peuplés d’Afrique et d’Asie, jamais sur l’hémisphère occidental peu peuplé. Non, c’est un geste désespéré pour protéger leur propre hégémonie, non seulement contre nous, mais aussi contre une Nature dont ils savent qu’elle les déteste. Nous savons qu’ils détestent la Nature, mais presque personne ne pose la question de savoir pourquoi. C’est parce que la Nature les déteste, et ils le savent. La Nature est leur plus grand ennemi, un ennemi bien plus puissant que nous ne le serons jamais. La mesure de leur orgueil est qu’ils croient qu’ils peuvent la vaincre. Ils croient qu’ils peuvent la maîtriser. Chaque échec les rend plus vicieux, plus vindicatifs et plus haineux envers eux-mêmes, tout cela à la fois. Ce que nous voyons est l’expression ultime de cette vengeance, tandis que les Phéniciens s’en prennent à tout ce qui les entoure dans leur chute vers l’abîme.

Nous savons que c’est bien de cela qu’il s’agit, car cela explique pourquoi ils attaquent les hommes blancs avec une telle férocité dans le premier monde, en particulier aux États-Unis. S’il s’agissait vraiment de contrôler la population, il n’y aurait aucune raison d’attaquer les hommes blancs, qui sont déjà les personnes les moins fertiles de la planète. Jusqu’à présent, l’attaque contre les hommes blancs a surtout été abordée (par des personnes comme Tucker Carlson) comme une tentative de fabriquer une guerre raciale et une guerre des sexes, ce qui est vrai, mais c’est bien plus que ça. Ils s’attaquent surtout à ceux qui les menacent le plus, à savoir les hommes blancs non phéniciens de grand talent et au taux de testostérone élevé. Nous sommes ceux qui mèneraient naturellement tout renversement, donc nous devons être continuellement attaqués à tous les niveaux, physique et psychologique. Nos spermatozoïdes sont attaqués par les drogues et les pollutions, tandis que nos esprits sont attaqués par la propagande 24h/24 et 7j/7.

La bonne nouvelle, c’est que l’on peut mesurer leur échec à l’aune de leur degré de méchanceté, ce qui signifie qu’ils échouent lourdement en ce moment. Comme je l’ai dit à maintes reprises, ils ont connu beaucoup plus de succès dans les années 1950, car leur propagande était presque totalement invisible et fonctionnait très bien. Satisfaits d’eux-mêmes dans ces années-là, et satisfaits du volume de leurs rapines, ils étaient beaucoup moins vicieux. Mais lorsque leurs stratagèmes ont commencé à échouer, en raison de leurs propres erreurs et de leurs ambitions excessives, leur dégoût d’eux-mêmes a augmenté, et avec lui leur avidité. Embarrassés par leurs échecs, ils ont essayé de se soutenir avec des piles de pièces toujours plus grandes, et le problème a commencé à faire boule de neige. Pris en flagrant délit de fraude, ils sont devenus encore plus vicieux, comme c’est souvent le cas, et plutôt que de reculer, ils ont redoublé d’efforts. L’histoire mondiale de ces cinquante dernières années nous a montré que Phénix s’est consumé à une vitesse croissante sur le bûcher funéraire qu’il avait lui-même créé, alors qu’il aurait pu à tout moment en descendre. Il le pourrait encore, comme je ne cesse de le lui conseiller. Mais le Phénix aime apparemment ses propres flammes et préfère poursuivre la conflagration jusqu’à sa fin amère. Il est comme ce conducteur qui s’approche d’une falaise, qui pourrait tourner le volant ou freiner, mais ne le fait pas. Il est maintenant hypnotisé par le ciel en face de lui, qui l’appelle à sa perte. Ce ciel, c’est la Nature.

Je sais que les Phéniciens eux-mêmes se gaussent, pensant qu’ils m’ont trompé, ainsi que la Nature et tous les autres. Ils pensent que la Nature s’est laissée tromper par leurs divisions et leurs mises à l’écart fabriquées de toutes pièces et par leurs complexes stratégies de conquête, qui se mettent lentement en place. Ils se disent que c’est leur projet de toujours, et qu’il se déroule parfaitement. Ils se disent qu’ils sont plus riches que jamais et qu’ils dirigent le monde entier, en exerçant une domination jamais vue dans l’Histoire. Mais c’est de ça que je parle quand je dis qu’ils sont incapables de sentir d’où vient le vent. Car la Nature n’a pas un pas de guerre de retard sur eux, elle en a toujours trois d’avance, et elle se moque de leur excès de confiance, qui a toujours engendré l’aveuglement. Tout ce qu’ils voient, c’est la vis qui se serre en dessous d’eux, puisque ce sont eux qui la serre. Mais ils sont à jamais inconscients de la vis qui se serre au-dessus d’eux, car ils croient à tort qu’il n’y a pas de « au-dessus d’eux ». Leur esprit est braqué en permanence les tours de vis qu’ils donnent, et non sur le fait que la leur se fait serrer. Ils sont tellement hypnotisés par leurs propres projets malades et tordus qu’ils ne peuvent pas voir plus loin que leurs propres cils, et ne peuvent pas envisager que Lucifer puisse n’être un qu’un mirage: un personnage de bande dessinée créé par les maîtres de l’imposture, par laquelle ils se sont corrompus eux-mêmes.

Après 5000 ans, ils se sont convaincus que leur ascension était ordonnée, et ils ont construit une mythologie entière sur cette ordination, avec leurs signes de la main et leurs symbologie cucul-la-praline. Mais les cyanobactéries de l’ère archéenne ont peut-être pensé la même chose, régnant sur le monde pendant des millions d’années avant de sur-oxygéner l’atmosphère et de mourir de leurs propres exhalaisons toxiques.

Nous savons que les Phéniciens sont aveugles à tout cela, puisqu’ils l’ont toujours été. Rien de nouveau. Leur effondrement n’a pas commencé en 2020 ou 2000, il a commencé avec leur réussite, et n’a cessé de les suivre. Plus ils ont gagné d’argent et plus ils ont accumulé de pouvoir, plus ils se sont avilis. Telle est leur histoire, et elle n’est pas difficile à lire. Pour eux-mêmes, leur empire ne peut pas prendre fin car il n’a jamais vraiment commencé. Un empire digne de ce nom apporterait une transcendance et un bonheur réels à ses dirigeants, mais les Phéniciens ont toujours été misérables. Comme je l’ai dit, les annales ne sont pas difficiles à lire, et ils doivent le savoir. C’est impossible à nier. Quels rois ou nobles ont jamais été royaux ou pleins de noblesse? Qui d’entre eux a jamais été vertueux ou heureux? On ne saurait même commencer la liste. Le modernisme, c’est l’aveu que les Phéniciens ont fait d’eux-mêmes: l’aveu du désert qu’ils avaient créé, de leur propre insatisfaction d’eux-mêmes et des empires qu’ils avaient érigés. Ils ont renoncé à toutes les beautés, admettant qu’ils les trouvaient creuses et fausses. Ils sont aliénés, inauthentiques et dénaturés. Ils ont inventé ces termes pour le milieu, mais ces termes ne s’appliquaient pas à nous ou au monde, mais à eux. Ils ont toujours écrit sur eux-mêmes, puisque personne d’autre n’existe pour eux. Le modernisme a été l’aveu explicite d’un échec, et il n’a cessé de s’effondrer depuis lors.

Leur Nouvel Ordre Mondial et leur Grand Reset ne sont pas des tentatives de Renaissance. Ces gens vivent dans leur propre post-apocalypse, et ils nous ont dit qu’ils ne croyaient pas aux renaissances. Tout cela fait partie d’une inauthenticité pré-moderne qu’ils ne se permettent plus. Pour eux, l’avenir est une revanche sur la Nature et le Monde pour leurs propres échecs. C’est une punition de la Nature pour ne pas avoir fait d’eux des êtres viables, malgré tout. Parce que les lignées qu’ils ont eux-même créées s’étaient crashées et consumées, les projetant dans un 20ème siècle où ils étaient devenus des trolls tordus, ils ont décidé de le reprocher à la Nature, et les deux minutes de la haine qu’ils lui ont consacrées sont devenues une haine éternelle.

Mais pendant qu’ils agissent ainsi et qu’ils l’admettent dans leur art et leur littérature, ils se disent en même temps que c’est exactement ce qu’ils ont toujours voulu, et que cela fait partie de leur grand projet. Vous voyez donc qu’il s’agit bien d’une folie consacrée et rebaptisée en mouvement politique ou en plan de gouvernance.

Le Grand Reset n’est pas un plan de gouvernance, c’est un projet limpide de vengeance, et de poursuite de l’avilissement et de l’effondrement des Phéniciens. Peut-être s’agit-il d’une sorte de suicide phénicien par la police, où ils nous supplient de mettre fin à leur misère.

Vous voyez donc que tout ça ne se terminera pas bien. Mais quelle que soit la manière de voir les choses, ça se terminera encore plus mal pour eux. Et surtout, il n’est pas nécessaire de les condamner à un quelconque enfer, puisqu’ils y ont vécu toute leur vie et tout au long de leur histoire.


Texte original

“Bad Conspiracy Theorists”

by Miles Mathis

Lecturi te salutamus

First published December 21, 2021

I will start with a little divertissement. My undertitle quote means “those who are about to read, we salute you”. You are among the last of a dying breed: the literate person. You DON’T prefer videos, because you know—consciously or unconsciously—that video propaganda is even more slippery than written propaganda. Written propaganda will at least sit still while you analyze it. For that reason, you want your news and other information in black and white, where you can more easily pin it down. Laid out in front of you, the text has a form that can be analyzed along with its content, and you find that you can learn to spot a lie as it is being told, just from its form — from its look on the page. Just as you can tell a hooker from her make-up or choice of footwear, you can tell propaganda from its dress. After years of practice, you will see the footprints and fingerprints of the liars marked on the page, and you may even taste the individuals within the committees. You will know them by their peculiar stench.

This is helpful, since most of the real authors have gone underground. In most cases, they now use attractive fronts to hide behind, and they are crouching in the margins with their odors. Their own names and faces would give them away. As they age, their souls imprint on their visages, and the evil becomes incarnate. See Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, and Klaus Schwab as examples of those who haven’t had the good sense to hire younger persons to front their ghastly opinions and plans, as their more humble or politic cabalists have.

Plus, reading is a far more active event than watching a video. Watching is completely passive, and seems to me to betray a lack of energy and curiosity. The video is both easier to produce—as a matter of content—and easier to consume, and it is usually just garbage that falls out of one head and into another. When it isn’t a spontaneous noxious eruption, it is normally taken from an external script supplied from some dungeons somewhere. Of course that may also happen with the written word, but it is harder to hide in that case. As with Modern Hollywood, the video acts as a cloak for a poor script, dressing it up with sexy visuals and fast patter and perhaps a dose of charm. I can’t make use of any of that when I write my papers, and my content has to be charming itself, with no help from my face or voice or other external props. Everything is created by my single hand and mind, so not only is everything baked right in, giving it a signature quality, everything is a long-running risk, a dive into the unknown. You are watching me go down the rabbit hole, as I go down the rabbit hole in real time. So it is not a report of history, it is history as it happens. It is like sitting in the grass with Newton, watching the apple release from the tree branch above him and fall and hit him in the head. That is what all real writing and creativity is about, and it has a look and feel that is like no other. What is real cannot be faked or replicated, as you will come to understand. The real gives off a sweet aroma that is all its own.

But to smell it, you have to be active. You have to be sniffing. You have to be seeking always, alert for the lie. You cannot be parked on a soft sofa eating chips and sipping on poisoned sodas as the media lofts insidiously into your skull from the blinking monitor. You have to be combing the page like Holmes with a magnifying glass, alert for a stray hair or a hint of ash. For you, everything is a clue, part of a larger whole to which it either fits or does not fit.

It is the same with proper learning. Learning is always active, and it comes from an unquenchable curiosity and questioning. Curiosity may have killed the cat, but it is what saved the man. It is why my learning curve is still as steep as ever, even as I approach 60: I retain a childlike curiosity. Like a kid, I see the world as an oyster to be cracked. I need to be constantly learning and creating and expanding. I know it is hard to keep that up in this world, which sits on you hard from the start. The last thing the Phoenicians want is ever-expanding citizens. They want small, pinched, docile people to do their bidding without question, and these people normally peak in their twenties if not before, soon falling into their assigned slots and ossifying or reverting. To achieve that, the Phoenicians have to apply strong pressure to you from the cradle, crushing you with their various projects disguised as education. If they didn’t, you would reach the age of maturity as I did, with your curiosity still fully intact and your faculties mostly undamaged. At that point, you are nothing but a danger to them.

At that point the schemes against you will be accelerated and multiplied, and the pressure from above will become truly monstrous, like trying to live in a cave thousands of miles underground. It will become almost unbearable until you finally look up and realize. . .

it is all a bluff. There is no roof above you and no real pressure, either. The pressure itself is a phantom, like all the rest. You are infinitely free just as you were at birth, and these people can take nothing from you that you do not give them.

They are now trying to apply pressure by threatening to withhold their world if we don’t comply. But to me that is no threat, because I don’t want their world. I can’t go to concerts or pubs? I can’t go to gyms or malls? Good. The sooner their world crumbles the better, so their threats threaten only them. You cannot threaten an Amish man with the loss of his car, can you?

And I have more news for them: threatening people you have already made miserable with more misery is no threat. Do you think the desperately miserable people of Kentucky and West Virginia, already split from one another and from any conception of reality and strung out on every drug imaginable, are going to look up when you tell them their Christmas is going to be miserable if they don’t take a fake vaccine? It is an empty threat.

The Phoenicians had already taken everything of their world from me before 2020, so the Covid scam had nothing to work on. You cannot threaten a monk with isolation or ostracism. But I am not so different from any average citizen of the world, who has already been crushed into a tiny box. Knocking on the box and threatening relocation to an even smaller box is just a joke at that point.

The main difference between me and the poor people of Kentucky is that they didn’t more strongly resist from the beginning. For whatever reasons, they took the drugs and I didn’t. Perhaps they were more miserable, it is hard to say. I am very good at living alone and entertaining myself, and most people aren’t. Most people are far more social and far more suggestible. If the world around them collapses, they also collapse. It isn’t hard to understand. I may be just one small puff of air away from that myself. But it won’t be because I will start taking drugs, legal or illegal, mandated or unmandated,and I wish I could convince others to refuse all drugs themselves. They must know the drugs will not solve anything, will only bring about the end for them. And that may be the point: suicide without pulling the trigger.

However that may be, knowledge is always useful, which is why it is so assiduously denied us. If the people of Kentucky knew who was attacking them and why, they might be able to resist. Which is why I am here. Education is my act of resistance.

Now, on to the main point of this paper, which is to address a new paper just posted at Infowars. For reasons I have previously uncovered for you, Alex Jones or those behind him like to reprint old articles from Mises.org, especially those by that oily Phoenician Murray Rothbard. The one reprinted today is from 1977, and only a part of it is at Infowars. The paper is called “A Conspiracy Theory of History Revisited”, and if you read it closely you will find it is addressed directly to me.

But before we get to that, I beg you to notice the form of the piece: the way it is written. The actual sentences and words. Here are two early paragraphs:

It is no wonder that usually these realistic analyses are spelled out by various “extremists” who are outside the Establishment consensus. For it is vital to the continued rule of the State apparatus that it have legitimacy and even sanctity in the eyes of the public, and it is vital to that sanctity that our politicians and bureaucrats be deemed to be disembodied spirits solely devoted to the “public good.”

Once let the cat out of the bag that these spirits are all too often grounded in the solid earth of advancing a set of economic interests through use of the State, and the basic mystique of
government begins to collapse.

It’s very hard to follow, isn’t it? We can glean what he is trying to say, since we already have a good idea what he is trying to say going in, but the wording is curious. It is vital that our politicians are “disembodied spirits”? What? Did Rothbard just learn to speak English? We may hope our politicians are honest and incorruptible, but I don’t think that makes them disembodied spirits. And that next paragraph is a disaster in grammar and word choice, so much so that I doubt I have to list the faults.

Call me crazy, but I read that as a sign Rothbard is about dump a big lie on us, and his subconscious is telegraphing it. For Rothbard next begins to defend conspiracy theorists in general, or appear to, but he is really here to tell us which conspiracy theorists are BAD ones:

The bad conspiracy analyst tends to make two kinds of mistakes, which indeed leave him open to the Establishment charge of “paranoia.” First, he stops with the cui bono; if measure A benefits X and Y, he simply concludes that therefore X and Y were responsible. He fails to realize that this is just a hypothesis, and must be verifed by fnding out whether or not X and Y really did so. (Perhaps the wackiest example of this was the British journalist Douglas Reed who, seeing that the result of Hitler’s policies was the destruction of Germany, concluded, without further evidence, that therefore Hitler was a conscious agent of external forces who deliberately set out to ruin Germany.) Secondly, the bad conspiracy analyst seems to have a compulsion to wrap up all the conspiracies, all the bad guy power blocs, into one giant conspiracy.

I guess you can see now why I said this was directed at me. It is directed at my papers on Hitler and the Beer Hall Putsch. Rothbard didn’t direct it at me in 1977, of course, since I was only 13 then. Butwhoever chose this for reprint is directing it at me. They saw that bit about Douglas Reed and thought of me. They thought, “Oho, maybe we can keep a few people off Miles’ research with this warning from Rothbard! Like Reed, Miles is saying Hitler was used by external forces to deliberately ruin Germany, so maybe we can argue against that without really having to argue against Miles, or address his voluminous research. We can imply Reed and Miles are the same sort of bad conspiracy theorists, since they came to the same conclusion”.

You can see how they hoped it would work. They are going for the lazy reader, who will see the simple link between Reed and me, but won’t look more closely, reminding themselves I didn’t come to that conclusion without verification, or without further evidence. Neither did Reed, to be fair. Neither Reed nor I simply noticed a first thing and a last thing and filled in all the other things to suit ourselves. I prepared a long and detailed argument, including huge piles of evidence, to take you from given to conclusion. And I would assume Reed did, too.

However, after reading Reed’s bio, I see that this attempted blackwashing of me may have a second layer. Unlike me, Reed was a bestselling author with a major publisher and big-time mainstream promotion back to the late 1930s. He was also from the families, being named Douglas Lancelot Reed. So this republication at Infowars may be the rather late attempt to tie me to Reed. It won’t help them, because, due to their previous destruction of Reed, no one has ever heard of him. You can’t blackwash me by tying me to a ghost that no one has ever heard of. Only a few eggheads will have heard of either Reed or Rothbard, and they already hated me, so it is preaching to the choir. But it is informative regardless. Tying me to Reed risks the possibility a few of their eggheads will look up Reed, realizing how censored he was, and ask why. Why did Reed’s book on Zionism sit in the garbage for twenty years, not being published until 1978, and then only by a minor publisher? That may take them to his books, which I suspect tell way too much truth, even if they try to spin it. It is hard to say without reading Reed, and I have not done so. I may or may not, after consulting with my readers. You will be the first to know if I do.

Also curious is that Rothbard was mentioning Reed in 1977 there, and Reed’s book The Controversy of Zion came out in 1978. That seems like odd timing to me, almost like Rothbard was plugging it.

Reed doesn’t really matter, because, due to the internet, I have a far greater audience than he ever did. I can and do reach far more people worldwide than the fake bestselling authors, despite not being on their lists or being privy to their promotion. Which is precisely why Jones’ big site was chosen to answer me in this crafty way. That, too, may backfire, because although most of his readers aren’t Rothbard fans or intellectuals, some of them may look up Reed, taking the truth and leaving the spin. Plus, by republishing that, they have given me the opportunity to write this rebuttal, pulling in their people directly on general searches. That is why I put Rothbard’s and Reed’s names above title, so that the spiders can easily find them here. That will act to pull people from Infowars to my site. Once here, they will realize my papers about Hitler have much more content than anything Rothbard ever wrote. If you get to the end of any of my papers without an epiphany, you aren’t paying attention.

Which is just to say these people still haven’t figured out it is always a mistake to attack me, even obliquely like this, since I always catch them at it eventually and counter-attack, and they always lose. And why do they lose? It is definitional: losers always lose. They will answer, “We are the Phoenicians, and everyone knows we have always won. You admit that yourself, Miles”. Yes, but you always win by cheating, lying, and stealing, which means you are still a loser. Real winners win without cheating.

You can see this in today’s headlines, where by one measure, Pfizer seems to be winning big. They are making billions in profits and coercing millions of people to take their deadly vaccines. But it is the usual Phoenician win, one predicated on buying off regulatory agencies and entire governments, lying to everyone about everything through a bought media, and murdering millions of people while writing them off as the cost of doing business. So by any rational definition of men or gods, they are not just losers, they are criminals. They are quite literally devils.

What they fail to comprehend in their dark dungeons is that devils always lose, even when they win. Which is why they always lose against me. This is the deeper law of Nature they have never once become familiar with, because to become familiar with it you have to stop bowing to your evil ancestors for half a second and listen to the real song on the wind. They pretend they are tuned to Nature, because Nature is made of prey and predators. They are the predators, and predators show no mercy—meaning I am the one in denial, not them. But, I point out, in Nature the predators do not cheat. In Nature, those meant to win, win, and those meant to lose, lose. In Nature, the loser never lies or cheats or steals himself into the winner. In that sense, cheating is the ultimate sin against Nature. It is the attempt to undermine her hierarchies, and she punishes nothing more viciously.

You may think her only punishments are “natural”, as in plagues or famines or debased bloodlines, but her punishments are dealt out daily to each and all, and she is a master of psychology. It isn’t the psychologists who invented inferiority complexes, neuroses, psychoses, and every other form of self-torture. And it isn’t the Phoenicians, either, though they have made bad and worse use of them. Nature herself is the source of all, and she metes out justice with an astonishing, though often hidden, fairness. Which is to say the CEO of Pfizer knows what he has done. How could he not? That knowledge will ultimately be a punishment far greater to him than any death or disease he could inflict on others. Death is no punishment, and requires no atonement, but Albert Bourla faces payment down to the last farthing.

You will say that Anthony Fauci seems to be living with his decades of sins with no effect, being a nearly perfect psychopath. But there is no such thing. Psychopathy is only a temporary hiding in the mind, and Nature doesn’t allow a permanent hiding. The crash will assuredly come, if not before death then after, and it will be awe-inspiring, have no doubt. For there is reincarnation and a continuance, so if Fauci thinks he can cheat Nature with death, he is sadly mistaken. Cheating Nature with death is like cheating the CIA with a faked death: the CIA invented the fake death. Nature invented death and knows more about it than you do: you cannot use it against her.

Some will say, “Why do you know so much about it?” I don’t know anymore about it than anyone else. We all know it, but most have had it beaten out of them, one way or the other. I just have a better memory of it. I didn’t really grow up like everyone else, getting stuck at some time in the distant past . . . before I was born. I never fit into this world and never really tried. I think of myself as a being trapped between worlds and sometimes wonder if I am fully visible. I am far more at home in the dream world, and prefer it there. My connection to this world is very tenuous, though maybe everyone else could say the same. I inhabit a strange middle realm of caring for this world a great deal and not at all. I could die tonight with no regrets, in fact with a great deal of relief. But despite that, I have a strange desire to save this place, though not for myself. My hatred for lies and injustice is out of all proportion to my actual emotional ties, and it would seem academic except for the power of the hatred and its usefulness in my work. I guess it is for others to decide how odd that makes me, since
they can compare that to their own experience and beliefs. I know only my own.


As a tack-on, I just watched Idiocracy for the first time and have a few comments. The plot hinges on Joe being taken 500 years into the future, when everyone is an idiot. He ends up getting sent to prison, and upon being booked in, he is given an IQ test. He scores the highest score ever and is hired by the President based on that. Which of course contradicts all the rest of the assumptions in the movie. It is entirely too logical, and far exceeds the logic we currently exhibit. Is anyone in government now hired based on Intelligence? Are they hired based on anything measurable, other than ambition and prior connections? No. Unfortunately that can also be said of all other fields, including science. There is some idea in the general population that at least scientists are chosen for their intelligence: that they work their way up in the field and advance on their accomplishments and on merit. But it isn’t any more true in science than in politics or Hollywood or anywhere else. Scientists advance based on prior (family) connections, on ambition, and on toeing the party line. Intelligence is actually selected
against in that system, since anyone truly intelligent would threaten the entire inbred, prefab, preowned establishment of careerists. Any new knowledge would immediately crash the existing structure of lies, feints, fudged equations, and preferment for the Phoenician babies who inhabit the tops ends of everything. It would also crash the economy of fake projects which currently drain the treasuries so efficiently.

For this reason, I see Idiocracy as just more misdirection. Some have accused its writers of soft-selling eugenics, which is true, but that isn’t its greatest sin, or its most hidden intent. That would be, as usual, to get your eyes off the Phoenicians, by making you think the greatest danger in the present system is falling intelligence, when it isn’t. Yes, the average intelligence is falling, for the reason given in the film and many other reasons, but that won’t be solved by corking stupid women and selectively breeding the smartest. The smartest will continue to marry one another with no prodding, provided they aren’t actively kept apart. So average intelligence doesn’t matter. The average don’t run things and never will, so averages don’t matter in that regard.

And I don’t believe the top percentiles are getting any less intelligent. They are getting stupider, but that is due to a miseducation, not to a fall in native potential. I would guess that our top end is actually smarter than it has ever been, as a matter of possibilities, but all those possibilities are being squashed on purpose. Actually, that is not a guess: I know it is happening, having firsthand knowledge and experience of it. I have witnessed the highest percentiles being wasted on purpose. I myself have been wasted on purpose, and I have told you why.

To understand it, let us return to what I said about the smartest continuing to marry one another with no prodding, provided they aren’t actively kept apart. Well, that’s the turn of the screw, because they are being kept apart on purpose, at least outside the top families. Why? Because they threaten the top families, and because—once lumped into the Gentile proletariat—they are considered expendable. At that point they are considered prey, and must conform to that rubric, in which the sexes in the lower classes are split and made miserable for maximum profit. I was assigned to that category at birth, and we have seen that no real achievement could lift me out of it. Just as no lack of intelligence or achievement can limit the career of a top Phoenician—think George Bush—no surfeit of intelligence or achievement can lift someone not of that class into it. Not only is the US NOT classless, its two main classes are as rigid as any ever known.

As it goes with sex and reproduction, so it goes for everything else: while Nature tries to manage us for progress, the Phoenicians try to manage us for stasis or regression. Evolution is a threat to them, because there is no way to guarantee she will choose to evolve the Phoenicians the most. In fact, we have seen the reverse is the case, with the Phoenicians failing most obviously in their breeding programs in their own ranks. Their internal corruption doesn’t breed progress, it inbreeds inversion, disease, and madness. Think of the European royal houses, for the clearest proof of that. Since they haven’t been able to manage their own progress, they have had to interfere with everyone else’s.

The Covid genocide is the just the latest example of that, as we watch the Phoenicians declare overt war on all underclasses. They may try to explain it to themselves as population control or other necessary eugenics, but that isn’t what it is. If it were, it would be aimed at the highest population centers in Africa and Asia, never at the sparsely populated Western Hemisphere. No, it is a desperate move to protect their own hegemony, not only against us but against a Nature they know hates them. We know they hate Nature, but almost no one asks why. It is because Nature hates them, and they know it. Nature is their greatest enemy, a far more powerful enemy than we will ever be. The measure of their hubris is that they believe they can defeat her. They believe that they can master her. Every failure to do that makes them more vicious and more vengeful and more self-loathing, all at the same time. What we are seeing is the ultimate expression of that vengeance, as the Phoenicians lash out at everything around them as they fall into the abyss.

We know this is what it is about, because it explains why they are attacking white males with such ferocity in the first world, especially in the US. If this were really about population control, there would be no reason attack white males, who are already the least fertile people on the planet. So far, the attack on white males has mostly been addressed (by those such as Tucker Carlson) as being the attempt to manufacture a race war and gender war, which it is, but it is more than that. They are attacking most those who threaten them the most, which is non-Phoenician white males of great talent and high testosterone levels. We are the ones that would naturally lead any overthrow, so we have to be continually attacked on all levels, physical as well as psychological. Our sperm levels have be attacked with their drugs and pollutions, while out minds are attacked with 24/7 propaganda.

The good news is that you can measure their failure by their levels of viciousness, which means they are failing hugely right now. As I have said many times, they were far more successful back in the 1950s, since their propaganda was nearly completely invisible and worked very well. Being very self-satisfied in those years, and content with their levels of theft, they were far less vicious. But as their schemes began to fail, due to their own mistakes and over-reaches, their self-loathing grew, and with it their greed. Embarrassed by their failures, they tried to prop themselves up with ever larger piles of coins, and the problem began to snowball. Caught red-handed in their schemes, they got even more vicious, as people will do, and rather than back away they doubled down. World history of the past 50 years has been an ever steeper acceleration of the Phoenix burning itself up on its own created funereal pyre, though it could easily have stepped off the pyre at any time. It still could, as I keep advising it. But the Phoenix apparently loves its own flames and prefers to see the conflagration to its bitter end. It is like a driver approaching a cliff, who can turn the wheel or hit the brakes, but doesn’t. He has become hypnotized by the sky in front of him, beckoning him on to his doom. That sky is Nature.

I know the Phoenicians themselves are chuckling, thinking they have fooled me and Nature and everyone else. They think Nature has been hoodwinked by their manufactured divisions and self-outings and complex, slowly developing plans of conquest. They tell themselves this was the plan all along, and that it is proceeding perfectly. They tell themselves they have more wealth than ever and that they run the whole world, with a dominance never before seen. But that is what I mean by their inability to smell what is on the wind. For Nature isn’t one step behind them, she is always three steps ahead of them, and she herself chuckles at their overconfidence, for it it has always bred blindness. They can only see the turns of the screw beneath them, since they manufactured those turns. But theyare forever oblivious to the turns above them, because they mistakenly believe there is no “above them”. Their minds are always on the screwing, and not upon how they are being screwed. They are so mesmerized by their own sick and twisted plans, they cannot see beyond their own eyelashes, and cannot process the thought that Lucifer may be a mirage: a comic-book creation by the masters of
fakery, by which they have corrupted themselves.

After 5000 years, they have convinced themselves their ascendance was ordained, and built an entire mythology on that ordination, complete with handsigns and cutesy symbology. But the cyanobacteria of the Archean age may have thought the same, ruling the world for millions of years before they over-oxygenated the atmosphere and died of their own poisonous exhalations.

We know the Phoenicians are blind to all this, since they always have been. It is nothing new. Their collapse didn’t begin in 2020 or 2000, it began with their success, and has tracked it. The more money they made and the more power they gathered, the more debased they became. Such is their history, and it is not hard to read. For themselves, their empire cannot end because it never really began. A proper empire would be one that brought real transcendence and happiness to its rulers, but the Phoenicians have always been miserable. As I say, the record is not hard to read, and they must know it. It would be impossible to deny. What kings or nobles have ever been kingly or noble? Who of them has been virtuous or happy? The list cannot even be begun. Modernism was the Phoenicians finally admitting this of themselves: the admission of the Wasteland they had created, their own dissatisfaction with themselves and the empires they had erected. They gave up on all beauties, admitting they found them
hollow and false. They were alienated and inauthentic and derivative. They coined these terms for the milieu, but the terms applied not to us or to the world, but to them. They have always written about themselves, since no one else exists for them. Modernism was the express admission of failure, and it has continued to bottom out since then.

Their New World Order and Great Reset aren’t the attempts at a Renaissance. These people are living in their own post-apocalypse, and they have told us they don’t believe in renaissances. That is all part of a pre-Modern inauthenticity they no longer allow themselves. For them, the future is a revenge upon Nature and the World for their own failures. It is a punishment of Nature for not making them viable beings, despite everything. Because their own created bloodlines had crashed and burned, spitting them out into a 20th century where they had become twisted trolls, they decided to blame Nature for that, propping her up for a two-minutes hate that has become an everlasting hate.

But while they do that and admit they are doing it in their art and literature, at the same time they tell themselves this is right where they always wanted to be, and that it is part of their great plan. So you see how it is a madness enshrined and relabeled as a political movement or plan of governance.

The Great Reset isn’t a plan of governance, it is transparent recipe for revenge, and for further
Phoenician debasement and collapse. It may be a sort of Phoenician suicide by police, where they beg us to put them out of their misery.

So you see, it can’t end well. But any way you look at it, it ends worst for them. Most of all, you don’t need to damn them to any hell, since they have been living in it all their lives and for all of their recorded history

Les armes biologiques injectables COVID-19 comme étude de cas du bioterrorisme domestique légalisé et géré par le gouvernement, ou pourquoi il n’y aura aucune poursuite civile, ni de dommages compensatoires pour les victimes lésées ou les proches des victimes décédées – par Katherine Watt.

Suite et complément de l’article précédent. Ça s’adresse évidemment à la législation américaine mais on aura compris que les répercussions de ses effets sont mondiales. L’article complet est très exhaustif quant aux sources légales et à leur chronologie mais extraordinairement long et ardu. Je n’en ai traduit ici que la conclusion.

Tous les « opposants » vous ont vendu le fait que ces produits étaient « expérimentaux ». C’est faux. Vous comprendrez pourquoi c’est infiniment pire en lisant ceci.

Source.


Traduction

Les armes biologiques injectables COVID-19 comme étude de cas du bioterrorisme domestique légalisé et géré par le gouvernement. Ou: pourquoi il n’y aura aucune poursuite civile, ni de dommages compensatoires pour les victimes lésées ou les proches des victimes décédées.

Depuis que j’ai pris conscience des implications des nombreuses lois du Congrès et des règlements du Département de la Santé et des Services Sociaux adoptés pour créer et gérer le programme de bioterrorisme, principalement entre 1997 et aujourd’hui, j’ai trouvé par intermittence les citations spécifiques de chaque déclaration lors de mes recherches sur des questions connexes.

Certaines déclarations sont simplement des déductions logiques de la prémisse centrale, corroborées par les actions et inactions observables des responsables de la Food and Drug Administration [FDA] alors que les lésions et les décès observables s’accumulent chez le peuple américain.

D’autres sont spécifiquement inscrites dans les lois, mais je n’ai pas encore les citations car j’ai donné la priorité à mes recherches sur d’autres questions liées au programme de bioterrorisme.

Je publie les informations telles que je les comprends aujourd’hui [9 juin 2022], malgré ces limitations, au cas où elles seraient utiles aux lecteurs qui suivent également les rapports du Comité Consultatif de la FDA sur les Vaccins et les Produits Biologiques Connexes (VRBPAC – Vaccine and Related Biological Products Advisory Committee) de Toby Rogers, Igor Chudov, Steve Kirsch, Jessica Rose et d’autres. [NdT. que j’ai abondamment publiés sur ce blog, voir le sommaire]

Ils continuent, à juste titre, de sensibiliser le public et de l’alarmer sur l’échec continu de la FDA à protéger le public des produits bénéficiant d’une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU).

Mais ils n’abordent pas la raison principale pour laquelle la FDA agit comme elle le fait.

Si la FDA ne retire pas les produits en AUU du marché ou ne met pas fin à la campagne de « vaccination », c’est parce que Xavier Becerra, Secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux, et Robert Califf, Commissaire de la FDA, dirigent le programme de bioterrorisme du gouvernement américain conjointement avec Lloyd Austin, Secrétaire à la Défense, Merrick Garland, Procureur Général du Département de la Justice, Alejandro Majorkas, Secrétaire à la Sécurité Intérieure, Albert Bourla, PDG de Pfizer, Stéphane Bancel, PDG de Moderna, et Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé.

Prémisse centrale

L’utilisation de produits de contre-mesures médicales (CMM) couverts par l’AUU, y compris les masques, les tests PCR, les injections d’ARNm et d’ADN, et d’autres médicaments, dispositifs et produits biologiques, une fois désignés comme tels par le Secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux (10 mars 2020, rétroactif au 4 février 2020) « ne sera pas considérée comme constituant une investigation clinique ». 21 USC 360bbb-3(k). Loi sur l’AUU de la FDA, adoptée en 1997 et modifiée en 2003, 2004, 2005, 2013, 2017.

Cela est vrai quel que soit le degré d’absence d’essais, de surveillance, de dangerosité ou d’inefficacité de ces produits, que leur nocivité pour la santé humaine et leur inutilité pour la lutte contre les infections soient connues avant leur utilisation ou découvertes après coup.

Implications juridiques découlant de la prémisse centrale:

  1. Il n’y a pas de condition d’arrêt.
  2. Les produits en AUU sont exemptés des lois régissant l’utilisation par les chercheurs de médicaments expérimentaux, de dispositifs et de produits biologiques sur des êtres humains.
  3. Les produits en AUU ne sont pas soumis aux lois régissant l’utilisation par les médecins de médicaments, de dispositifs et de produits biologiques approuvés en tant que traitements médicaux pour les patients.
  4. Il n’existe pas de fabricants de produits expérimentaux (les produits en AUU ne font partie d’aucune investigation clinique, et ne sont donc pas expérimentaux).
  5. Il n’existe pas de contrats gouvernementaux ou privés pour l’achat de produits expérimentaux; il n’y a que des contrats pour des « démonstrations de fabrication de vaccins à grande échelle« . [NdT. ma traduction ici]
  6. Il n’existe aucune loi sur l’administration des produits expérimentaux.
  7. Il n’existe pas d’infirmières ou de pharmaciens qui administrent des produits expérimentaux.
  8. Il n’existe pas de sujets humains (d’expériences) ou de patients (de médecins fournissant un traitement) recevant des produits expérimentaux: aucune victime.
  9. Il n’existe pas de partie responsable du bien-être des récipiendaires après l’administration des produits en AUU.
  10. Il n’existe pas de groupe de traitement ni de groupe de contrôle.
  11. Les êtres humains qui administrent des produits en AUU n’ont aucune obligation de consentement éclairé quant à la fourniture d’informations sur les ingrédients, les risques, les avantages, les alternatives ou la possibilité d’accepter ou de refuser les produits. Voir 21 USC 360bbb-3(e)(1)(A)(ii)) sur la renonciation au consentement éclairé pour les produits non approuvés (2004); 21 USC 360bbb-3(e)(2)(A) sur la renonciation au consentement éclairé pour l’utilisation non approuvée d’un produit approuvé (2004); 21 USC 355(i)(4) sur la renonciation au consentement éclairé pour les produits expérimentaux classés par le HHS [Health and Human Services – Département de la Santé et des Services Sociaux] comme médicaments à « risque minimal » (2016); 21 USC 360j(g)(3)(D)(i) sur la renonciation au consentement éclairé pour les dispositifs expérimentaux à « risque minimal » (2016).
  12. Les êtres humains recevant des produits en AUU n’ont aucun droit de consentement éclairé leur permettant de recevoir des informations sur les ingrédients, les risques, les avantages, les alternatives, ou l’option d’accepter ou de refuser les produits. Voir les citations, point ci-dessus.
  13. Aucun comité d’examen institutionnel ne supervise l’administration des produits expérimentaux.
  14. Il n’existe pas de normes de sécurité pour les produits en AUU.
  15. Il n’existe aucune norme d’efficacité pour les produits en AUU. Voir 21 USC 360bbb-3(c)(2)(A), 1997, 2004, concernant l’expression « peut être efficace ».
  16. Il n’y a pas de chercheurs cliniques qui étudient les effets des produits en AUU sur des sujets humains.
  17. Il n’existe pas de médecins, d’infirmières ou d’autres prestataires de soins qui fournissent un traitement expérimental à leurs patients soumis au serment d’Hippocrate (« d’abord ne pas nuire ») en utilisant des produits en AUU.
  18. Il n’existe pas de surveillance coordonnée, publique et fédérale des récipiendaires après administration des produits pour détecter les effets indésirables et les décès.
  19. Il n’existe pas de collecte ou d’analyse de données coordonnées, publiques et fédérales.
  20. Il n’existe pas d’obligation légale de surveillance médicale pendant l’administration du produit.
  21. Il n’existe pas d’obligation légale de surveillance des récipiendaires après l’administration du produit.
  22. Les « preuves du monde réel » – l’administration massive de produits au grand public, suivie de la collecte d’informations privées/propriétaires sur les effets, à partir des systèmes d’assurance maladie, des bases de données gouvernementales (Medicare, Medicaid, Defense Medical Epidemiology Database, Veterans Health Administration) et d’autres bases de données privées – sont autorisées aux fins des décisions réglementaires de la FDA. Voir 21 USC 355g. 2016.
  23. Il n’est pas nécessaire de rédiger des ordonnances individuelles avant de délivrer des produits en AUU, et les produits délivrés sans ordonnance « ne seront pas considérés comme falsifiés ou de mauvaise qualité. » Voir 21 USC 360bbb-3a(d). 2013.
  24. Les fabricants, en tant que contractants, sont considérés comme des employés du HHS à des fins d’immunité juridique en vertu de la Federal Tort Claims Act. Voir 42 USC 247d-6a(d)(2)(A).
  25. Le Département de la Défense est autorisé à passer des contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour mener des expériences  » prototypes  » sur le grand public, et dans le cadre de ces contrats, il est exempté de l’obligation légale de se conformer aux bonnes pratiques cliniques ou à d’autres réglementations de la FDA. Voir 10 USC 2371b (2015), renuméroté 10 USC 4022 (1er janvier 2021, en vigueur le 1er janvier 2022).
  26. L’un des facteurs à prendre en compte par le secrétaire du HHS pour déterminer les produits en AUU (contre-mesures de sécurité qualifiées) et l’utilisation des crédits du Special Reserve Fund/Strategic National Stockpile pour les acquérir est « l’absence d’un marché commercial significatif pour le produit au moment de l’acquisition, autre qu’une contre-mesure de sécurité ». Voir 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii).
  27. Il n’existe pas de normes obligatoires pour le contrôle de la qualité de la fabrication, pas d’inspections des procédures de fabrication, pas d’interdiction de grande variabilité entre les lots, pas d’interdiction de falsification et pas d’obligation de conformité aux bonnes pratiques de fabrication actuelles. Les produits en AUU, même s’ils ne sont ni réglementés ni normalisés, « ne seront pas considérés comme falsifiés ou faussement marqués ». Voir 21 USC 360bbb-3a(c). 2013.
  28. Il n’existe aucune exigence d’étiquetage concernant le contenu ou les ingrédients des produits en AUU. 21 USC 360bbb-3(e)(2)(B)(ii). 2004.
  29. Il n’existe pas de limitation de l’administration des produits en AUU après leur date d’expiration.
  30. Il ne peut y avoir de fraude dans les essais cliniques, car il n’y a pas d’enquêtes cliniques, pas de médicaments expérimentaux, pas d’enquêteurs et pas de sujets humains.
  31. Il n’existe pas de normes de commercialisation.
  32. Il ne peut y avoir de fraude à la consommation, car les seules parties légales aux transactions financières sont le gouvernement américain (Département de la Défense) en tant qu’acheteur; le gouvernement américain (Département de la Santé et des Services Sociaux) en tant que régulateur autorisant des exemptions aux lois de protection des consommateurs qui s’appliquent normalement aux produits médicaux; et les sociétés pharmaceutiques en tant que vendeurs, engagées pour développer et fabriquer les produits. Il n’y a pas de produits pharmaceutiques commerciaux, pas de marché commercial et pas de consommateurs sur le marché commercial.
  33. Il n’existe pas d’accès aux tribunaux pour un contrôle judiciaire des faits ou de la loi concernant les déclarations du secrétaire du Département de la Santé et des Services Sociaux sur les produits en AUU, qui sont laissés à la discrétion de l’agence. Voir 42 USC 247d-6d(b)(7). 2005.
  34. Les plaignants n’ont pas accès aux tribunaux civils pour un examen judiciaire et aucune entité ne peut être tenue responsable des lésions et des décès causés par les contre-mesures couvertes déclarées, à moins que la FDA/HHS et/ou le procureur général/DOJ [Department of Justice – Département de la Justice] n’engagent une action coercitive contre les fabricants et ne prouvent qu’il y a eu une faute intentionnelle proche de la lésion ou du décès, mais le HHS et le DOJ ont géré le programme des produits en AUU avec les fabricants depuis le début et ne poursuivront pas leurs co-conspirateurs. Voir 42 USC 247d-6d. 2005.
  35. Même s’il y avait un accès aux tribunaux pour une révision judiciaire, et qu’un enquêteur trouvait des preuves de préjudices causés par l’administration de produits à des récipiendaires, et même des preuves que ceux qui ont causé les préjudices, en développant, fabriquant, distribuant et/ou administrant les produits en AUU, savaient que les produits en AUU étaient toxiques et savaient que leurs propres actions étaient nuisibles, « suivre simplement les ordres » constitue une défense légale autorisée. Voir 42 USC 247d-6d(c)(4). 2005.

Résumé:

Il n’existe pas d’actions qui peuvent être légalement classées comme des crimes ou des délits civils; il n’existe pas de victimes médicales de coups et blessures ou d’homicides, ou de plaignants; et il n’existe pas d’agresseurs ou de meurtriers médicaux. Parce que légalement, rien n’a été fait, et personne n’a rien fait à personne.

La boucle récursive peut être infinie, car des contre-mesures couvertes sont développées, autorisées et déployées, par le biais de décisions d’AUU du Secrétaire de la Santé et des Services Sociaux, pour traiter les complications des contre-mesures précédentes.

Saint Eustache, patron des chasseurs et de ceux qui font face à l’adversité.

Texte original

COVID-19 injectable bioweapons as case study in legalized, government-operated domestic bioterrorism. Or: why there won’t be any civil suits, or compensatory damages for injured victims or survivors of dead victims.

Since first realizing the implications of the many Congressional statutes and Health and Human Services regulations adopted to create and operate the bioterrorism program, mostly between 1997 and the present, I’ve been intermittently finding the specific citations for each statement while researching related issues. 

Some statements are simply logical deductions from the first premise, corroborated by the observable actions and inactions of Food and Drug Administration officials as the observable injuries and deaths mount up in the American people.

Others are specifically written into the laws, but I don’t yet have the citations because I’ve prioritized my research time investigating other issues related to the bioterrorism program.

I’m posting the information as I understand it today [June 9, 2022], despite those limitations, in case it’s useful for readers who also follow FDA Vaccine and Related Biological Products Advisory Committee (VRBPAC) reporting by Toby RogersIgor ChudovSteve KirschJessica Rose, and others.

They continue to rightly raise public awareness and alarm about FDA’s ongoing failure to protect the public from the Emergency Use Authorized (EUA) products. 

But they don’t address the main reason why FDA is acting as it is.

FDA is not pulling the EUA products from the market or stopping the ‘vaccination’ campaign because Health and Human Services Secretary Xavier Becerra and FDA Commissioner Robert Califf are running the US government’s bioterrorism program jointly with Defense Secretary Lloyd Austin, Department of Justice Attorney General Merrick Garland, Department of Homeland Security Secretary Alejandro Majorkas, Pfizer CEO Albert Bourla, Moderna CEO Stephane Bancel, and World Health Organization Director-General Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Main Premise

Use of EUA-covered medical countermeasure (MCM) products including masks, PCR tests, mRNA and DNA injections, and other drugs, devices and biologics, once designated as such by the Secretary of Health and Human Services (March 10, 2020, retroactive to February 4, 2020) “shall not be considered to constitute a clinical investigation.” 21 USC 360bbb-3(k). FDA EUA law, adopted 1997 and amended 2003, 2004, 2005, 2013, 2017.

This is true no matter how untested, unmonitored, unsafe, or ineffective they are, no matter whether their harmfulness to human health and uselessness for infection-control are known before use, or discovered afterward. 

Legal implications derived from the main premise:

  1. There is no stopping condition.
  2. EUA products are exempt from laws regulating researcher use of investigational, experimental drugs, devices and biologics on human beings.
  3. EUA products are exempt from laws regulating physician use of approved drugs, devices and biologics as medical treatments for patients.
  4. There are no manufacturers of experimental products (EUA products are not part of any clinical investigation, and therefore not experimental.)
  5. There are no government or private contracts for purchase of experimental products; there are only contracts for ‘large scale vaccine manufacturing demonstrations.’
  6. There is no act of administration of any experimental products.
  7. There are no nurses or pharmacists administering experimental products.
  8. There are no human subjects (of experiments) or patients (of physicians providing treatment) receiving experimental products: no victims.
  9. There is no party responsible for the wellbeing of recipients after administration of EUA products.
  10. There is no treatment group and no control group.
  11. Human beings administering EUA products have no informed consent obligations to provide information about ingredients, risks, benefits, alternatives, or the option to accept or refuse the products. See 21 USC 360bbb-3(e)(1)(A)(ii)) waiving informed consent for unapproved products (2004); 21 USC 360bbb-3(e)(2)(A) waiving informed consent for unapproved use of an approved product (2004); 21 USC 355(i)(4) waiving informed consent for experimental products classified by HHS as ‘minimal risk’ drugs (2016); 21 USC 360j(g)(3)(D)(i) waiving informed consent for experimental ‘minimal risk’ devices (2016).
  12. Human beings receiving EUA products have no informed consent rights to receive information about ingredients, risks, benefits, alternatives, or the option to accept or refuse the products. See citations, bullet point above.
  13. There are no Institutional Review Boards supervising administration of the experimental products. 
  14. There are no safety standards for EUA products.
  15. There are no efficacy standard for EUA products. See 21 USC 360bbb-3(c)(2)(A), 1997, 2004, re: ‘may be effective’
  16. There are no clinical investigators studying the effects of EUA products on human subjects.
  17. There are no doctors, nurses, or other treatment providers providing experimental treatment to their patients subject to the Hippocratic Oath (“first do no harm”) using EUA products.
  18. There is no coordinated, public, federal government monitoring of recipients after receiving the products for adverse effects and deaths.
  19. There is no coordinated, public, federal government data collection or analysis.
  20. There is no legal requirement for medical supervision during product administration.
  21. There is no legal requirement for recipient monitoring after product administration. 
  22. ‘Real world evidence’ — mass administration of products to general public, followed by collection of private/proprietary information about the effects, from health insurance systems, government databases (Medicare, Medicaid, Defense Medical Epidemiology Database, Veterans Health Administration) and other private databases — is authorized for the purposes of FDA regulatory decisions. See 21 USC 355g. 2016.
  23. There is no requirement for individual prescriptions to be written prior to dispensing EUA products, and products dispensed without prescriptions “shall not be deemed adulterated or misbranded.” See 21 USC 360bbb-3a(d). 2013.
  24. Manufacturers, as contractors, are considered HHS employees for purposes of legal immunity under Federal Tort Claims Act. See 42 USC 247d-6a(d)(2)(A).
  25. DOD is authorized to contract with pharmaceutical corporations to conduct ‘prototype’ experiments on the general public, and under such contracts, is exempt from legal obligation to comply with Good Clinical Practices or other FDA regulations. See 10 USC 2371b (2015), renumbered 10 USC 4022 (Jan. 1, 2021, effective Jan. 1, 2022)
  26. One of the factors to be considered by HHS secretary in making determinations about EUA products (qualified security countermeasures) and use of Special Reserve Fund/Strategic National Stockpile appropriations to procure them is « whether there is a lack of a significant commercial market for the product at the time of procurement, other than as a security countermeasure. » See 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii)
  27. There are no required standards for quality-control in manufacturing; no inspections of manufacturing procedures; no prohibition on wide variability among lots; no prohibition on adulteration; and no required compliance with Current Good Manufacturing Practices. EUA products, even though unregulated and non-standardized, “shall not be deemed adulterated or misbranded.” See 21 USC 360bbb-3a(c). 2013.
  28. There are no labeling requirements regarding the contents or ingredients in EUA products. 21 USC 360bbb-3(e)(2)(B)(ii). 2004.
  29. There is no limitation of administration of EUA products past their expiration dates.
  30. There cannot be clinical trial fraud, because there are no clinical investigations, no investigational drugs, no investigators and no human subjects.
  31. There are no marketing standards.
  32. There cannot be consumer fraud, because the only legal parties to the financial transactions are the US government (DOD) as buyer; the US government (HHS) as regulator authorizing exemptions from consumer protection laws that otherwise apply to medical products; and the pharmaceutical corporations as sellers, contracted to develop and manufacture the products. There are no commercial pharmaceutical products, no commercial marketplace, and no commercial market consumers.
  33. There is no access to courts for judicial review of the facts or law relating to HHS Secretary declarations of EUA products, which are committed to agency discretion. See 42 USC 247d-6d(b)(7). 2005.
  34. There is no access for plaintiffs, to civil courts for judicial review, and no entity to whom civil liability can attach, for injuries and deaths caused by declared covered countermeasures, unless and until FDA/HHS and/or Attorney General/DOJ file enforcement action against manufacturers and prove willful misconduct proximate to injury or death, but HHS and DOJ have operated the EUA product program together with the manufacturers since inception, and will not prosecute their co-conspirators. See 42 USC 247d-6d. 2005.
  35. Even if there were access to courts for judicial review, and a fact-finder found evidence of harms caused by administration of products to recipients, and even evidence that those who caused the harms, by developing, manufacturing, distributing and/or administering the EUA products, knew the EUA products were toxic and knew their own actions were harmful, “just following orders” is an authorized, legal defense. See 42 USC 247d-6d(c)(4). 2005.

Summary:

There are no actions that can be legally classified as crimes or civil torts; there are no medical battery or homicide victims, or plaintiffs; and there are no medical batterers or murderers. Because legally, nothing has been done, and no one has done anything, to anyone else.

The recursive loop can be infinite, as covered countermeasures are developed, authorized and deployed, through HHS Secretary EUA declarations, as treatments for complications from prior countermeasures.

St. Eustace, patron saint of hunters and those facing adversity.

Implications du 10 USC 2371b du Code américain, la disposition relative aux contrats fédéraux citée par Pfizer – par Katherine Watt.

Comme d’habitude, une information – ici, sur l’historique du cadre légal de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence accordé aux injections – que vous ne trouverez nulle part sur le web francophone, et assez difficilement dans sa version américaine. Je déplore le peu de lecteurs que ce genre d’information attire généralement, alors qu’elle est d’une importance majeure.

Ce premier article sera suivi d’un deuxième du même auteur. Il s’agira d’un extrait, la liste de toutes les implications légales qui découlent de l’élément du Code décrit ci-après, et d’autres.

Les deux défenseurs légaux auto-appointés des peuples, le Dr David Martin et Reiner Fuellmich, après avoir rédigé l’ébauche d’une plainte, expliquent ne pas pouvoir intenter de procès géant à Big Pharma en raison de la corruption des tribunaux, là où il est écrit noir sur blanc dans les textes de loi que tout procès est impossible.

On a la culture qu’on se fait et les défenseurs qu’on mérite.

Note: USC est évidemment l’acronyme de United States Code, le Code Américain. Il est divisé en Titres, Sous-Titres, Parties, Sous-parties, Chapitres, Sous-chapitres et Sections. C’est de l’une de ces sections qu’il est question ici.

Source.


Traduction

Implications du 10 USC 2371b du Code américain, la disposition relative aux contrats fédéraux citée par Pfizer

Des centaines de millions d’Américains et des milliards de personnes dans le monde ont été contraintes de participer à une expérience du Département de la Défense

Katherine Watt

26 mai

Comme annoncé hier, le 22 avril 2022, Pfizer a déposé une demande de rejet de la plainte déposée par le dénonciateur Brook Jackson au titre du False Claims Act [Loi sur les Fausses Allégations].

Dans sa demande de rejet, Pfizer ne prétend pas que les essais cliniques des produits commercialisés par le gouvernement américain sous le nom de « vaccins Covid-19 » n’étaient pas frauduleux.

Au lieu de cela, Pfizer soutient que la société n’a jamais eu l’obligation de mener des essais solides et non frauduleux en vertu de son accord de base avec le gouvernement américain (pièce A de la demande de rejet de Pfizer déposée le 22/04/2022) et du cahier des charges (pièce 10 de la plainte de Jackson déposée le 08/01/2021 et de sa plainte amendée déposée le 22/02/2022).

« En raison des exigences liées à la pandémie, l’accord n’était pas un contrat d’approvisionnement fédéral standard, mais plutôt un accord « prototype » exécuté en vertu de l’article 2371b du 10 U.S.C. […].

Le [cahier des charges du contrat] décrit une ‘démonstration de fabrication de vaccins à grande échelle’ qui n’impose aucune exigence relative aux bonnes pratiques cliniques (‘BPC’) ou aux règlements connexes de la FDA« .

Pfizer a en outre fait valoir ce qui suit:

« Le « comportement réel » du gouvernement est éloquent. La plainte elle-même et le dossier public montrent que le gouvernement était pleinement conscient des allégations du rapporteur [du dénonciateur Jackson] pendant près de deux ans, sans pour autant retirer l’autorisation ou arrêter le paiement du vaccin de Pfizer. »


C’est exact. Jackson a dit à la FDA [Food and Drugs Administration] que les essais étaient menés de manière corrompue et illégale en septembre 2020, et la FDA est allée de l’avant malgré tout.

Jackson l’a dit au Département de la Justice en janvier 2021 lorsqu’elle a déposé sa première plainte en vertu du False Claims Act. Le Département de la Justice lui a interdit de parler publiquement et a refusé de poursuivre Pfizer ou ses sous-traitants.


10 USC 2371b a été renuméroté. Il s’agit désormais de 10 USC 4022 – Autorité du Département de la Défense pour mener à bien certains projets de prototype.

Voici où se situe 10 USC 4022 dans le Titre 10, Droit Militaire :

Titre 10 – Droit militaire

→ Sous-titre A – Droit militaire général

→ →Partie V – Acquisitions

→ → →Sous-partie E – Recherche et ingénierie

→ → → → Chapitre 301 – Recherche et ingénierie en général.

→ → → → → → Sous-chapitre II – Accords

→ → → → → → → Section 4022 – Pouvoir du Département de la Défense de mener à bien certains projets de prototype.


Sous-chapitre II – Accords, comprend:


La première partie de 10 USC 4022 explique :

« [L]e directeur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), le Secrétaire d’un département militaire ou tout autre fonctionnaire désigné par le Secrétaire à la Défense peut, en vertu de l’autorité de la section 4021 de ce titre, réaliser des projets de prototypes qui sont directement liés à l’amélioration de l’efficacité de la mission du personnel militaire et des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux de soutien proposés pour être acquis ou développés par le Département de la Défense, ou à l’amélioration des plates-formes, systèmes, composants ou matériaux utilisés par les forces armées.


C’est ce que sont l’épidémie de SARS-CoV-2 et le programme d’injection Covid-19 : un projet de prototype militaire.

Voir aussi: En 1997, le Congrès américain a fait semblant de mettre un terme aux expérimentations non éthiques du gouvernement américain sur le personnel militaire, tout en élargissant en fait le groupe de sujets humains susceptibles de faire l’objet d’expérimentations de la part du Département de la Défense pour inclure les militaires et le reste de la population américaine, en déplaçant les programmes expérimentaux du Département de la Défense vers la Food and Drug Administration [FDA – Direction des Produits Alimentaires et Pharmaceutiques] du Department of Health and Human Services [HHS – Département de la Santé et des Services Humains], puis en fusionnant le HHS avec le Département de la Défense par une législation ultérieure.

Extrait de la chronologie des lois sur le site du American Domestic Bioterrorism Program [Programme de Bioterrorisme Domestique Américain]:

  • 1997 National Defense Authorization Act for FY98 [NDAA – Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 1997 pour l’année fiscale 1998] – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). La section 1078, « Restrictions sur l’utilisation de sujets humains pour les essais d’agents chimiques ou biologiques », a été abrogé et remplacé une section de 1977 du chapitre 32 du 50 USC, le Programme de Guerre Chimique et Biologique. La disposition de 1977 (50 USC 1520) avait ajouté une exigence selon laquelle le Département de la Défense devait rendre compte au Congrès des programmes d’expérimentation humaine du Département de la Défense. En 1997, le Congrès a remplacé la disposition 1520 par la disposition 1520a, censée interdire au Département de la Défense de mener des expériences sur des soldats sans le consentement éclairé de ces derniers. Cette disposition a été adoptée par le Congrès en réponse à l’indignation publique suscitée par les lésions et les décès causés par les injections obligatoires d’anthrax aux soldats pendant et après la guerre du Golfe de 1991. Toutefois, l’autorisation d’expérimentation du gouvernement fédéral sur des êtres humains non consentants a été maintenue ; le Congrès a simplement transféré le programme dans le Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (voir ci-dessous, adopté trois jours après la NDAA) dans des situations d’urgence déclarées (Emergency Use Authorizations/EUA) [Autorisation d’Utilisation d’Urgence – AUU].
  • 1997 Food and Drug Administration Modernization Act [Loi sur la Modernisation de la Direction des Aliments et des Médicaments] – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Ajout d’une nouvelle section au Federal Food Drug and Cosmetics Act [Loi Fédérale sur les Aliments, les Médicaments et les Cosmétiques] (21 USC 9) pour élargir l’accès aux médicaments et dispositifs expérimentaux dans les situations d’urgence (21 USC 360bbb). C’était le début du cadre d’autorisation d’utilisation d’urgence qui a culminé dans le programme de coercition psychologique, sociale et économique du gouvernement fédéral visant à l’injection universelle de tous les citoyens américains avec des produits commercialisés comme des vaccins Covid-19, opérationnel de la mi-2020 à aujourd’hui.

Il y a beaucoup plus à creuser ici, en commençant par l’histoire des amendements au 10 USC 4022, et les contrats de Pfizer avec les branches militaires du gouvernement américain.

Le Congrès a adopté le 2016 National Defense Authorization Act [Loi d’Autorisation de la Défense Nationale de 2016]. PL 114-92, 129 Stat. 893 le 25/11/2015. La section 815 a ajouté le langage contractuel « prototype » au titre 10, Droit Militaire (10 USC 2371b, renuméroté ultérieurement 10 USC 4021), autorisant le Département de la Défense à passer des contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour mener des expériences médicales autrement illégales sur le public américain et mondial sans avis ni consentement. [Ce paragraphe a été ajouté le 27 mai 2022].


Également lié: L’un des facteurs à prendre en compte par le Secrétaire à la Santé et aux Services Sociaux [HHS] pour déterminer les contre-mesures de sécurité qualifiées à acquérir, en utilisant le Fonds de Réserve Spécial du Département de la Défense, pour stocker le Stock National Stratégique de produits pharmaceutiques, auprès de sociétés pharmaceutiques, est de savoir « s’il existe un manque de marché commercial significatif pour le produit au moment de l’acquisition, autre que comme contre-mesure de sécurité ». 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), tel que révisé par le Congrès en 2004.

En d’autres termes, dans le cas d’un produit qu’aucun consommateur n’achèterait dans des circonstances commerciales normales, mais que les entreprises pharmaceutiques veulent vendre et dont le gouvernement américain veut mener des activités de recherche et de développement sur ses applications militaires, le Secrétaire du HHS le classe comme une contre-mesure de sécurité qualifiée, l’entrepreneur pharmaceutique le fabrique, le gouvernement américain l’achète en gros et le gouvernement américain oblige la population à le prendre.


Note complémentaire: Un lecteur m’a récemment envoyé un lien vers une page contenant les contrats du gouvernement américain relatifs au Covid. Les contrats Pfizer n’y figurent pas, mais deux contrats Moderna y figurent, tous deux émis par ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority) [Secrétaire Adjoint du Département de la Santé et des Services Sociaux pour la Préparation et la Réponse, Autorité de Recherche et de Développement Avancés Biomédicaux]. Tous deux sont lourdement expurgés. Les autres sociétés sous contrat figurant sur cette liste sont American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron et Vyaire.

Ste Véronique

Texte original

Implications of 10 USC 2371b, the federal contracting provision cited by Pfizer

Hundreds of millions of Americans and billions of people around the world were forced into a DOD experiment

Katherine Watt

May 26

As reported yesterday, on April 22, 2022, Pfizer filed a motion to dismiss whistleblower Brook Jackson’s False Claims Act case.

In its motion for dismissal, Pfizer doesn’t argue that the clinical trials, for the products marketed by the US government as ‘Covid-19 vaccines,’ were not fraudulent.

Instead, Pfizer argues that the corporation never had an obligation to conduct sound, non-fraudulent trials under the terms of its Base Agreement with the US government (Exhibit A to Pfizer’s Motion to Dismiss filed 04/22/2022) and the Statement of Work (Exhibit 10 to Jackson’s Complaint filed 01/08/2021 and her Amended Complaint filed 02/22/2022).

“Because of pandemic-related exigencies, the agreement was not a standard federal procurement contract, but rather a ‘prototype’ agreement executed pursuant to 10 U.S.C. § 2371b[.]…

The [contract’s Statement of Work] describes a ‘large scale vaccine manufacturing demonstration’ that imposes no requirements relating to Good Clinical Practices (‘GCP’) or related FDA regulations.”

Pfizer further argued:

“The Government’s ‘actual behavior’ here says it all. Both the complaint itself and the public record show the Government has been fully aware of [whistleblower Jackson’s] Relator’s allegations for nearly two years without withdrawing authorization or stopping payment for Pfizer’s vaccine.”


This is true. Jackson told the FDA the trials were being conducted in corrupt and illegal ways in September 2020, and the FDA moved ahead anyway.

Jackson told the Department of Justice in January 2021 when filing her original False Claims Act complaint. The DOJ gagged her from speaking publicly, and declined to prosecute Pfizer or its subcontractors.


10 USC 2371b has been renumbered. It’s now 10 USC 4022 – Authority of the Department of Defense to carry out certain prototype projects.

Here’s where 10 USC 4022 sits under Title 10, Military Law:

Title 10 – Military Law

→ Subtitle A – General Military Law

→ →Part V – Acquisitions

→ → →Subpart E – Research and Engineering

→ → → → Chapter 301 – Research and Engineering Generally

→ → → → → Subchapter II – Agreements

→ → → → → → Section 4022 – Authority of DOD to carry out certain prototype projects


Subchapter II – Agreements, includes:


The first part of 10 USC 4022 explains:

“[T]he Director of the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), the Secretary of a military department, or any other official designated by the Secretary of Defense may, under the authority of section 4021 of this title, carry out prototype projects that are directly relevant to enhancing the mission effectiveness of military personnel and the supporting platforms, systems, components, or materials proposed to be acquired or developed by the Department of Defense, or to improvement of platforms, systems, components, or materials in use by the armed forces.


That’s what the SARS-CoV-2 epidemic and the Covid-19 injection program are: a military prototype project.

Related: The US Congress in 1997 pretended stop to unethical US government experimentation on military personnel, while actually expanding the pool of human subjects for DOD experiments to include the military and the rest of the American population, by moving the experimental programs from the Department of Defense to the Department of Health and Human Services Food and Drug Administration, and then merging HHS with DOD through subsequent legislation.

From the statutory timeline at the American Domestic Bioterrorism Program post:

  • 1997 National Defense Authorization Act for FY98 – PL 105-85, 111 Stat. 1915 (450 pages). Section 1078, “Restrictions on the use of human subjects for testing of chemical or biological agents,” repealed and replaced a 1977 section of 50 USC Chapter 32, the Chemical and Biological Warfare Program. The 1977 provision (50 USC 1520) had added a requirement that DOD report to Congress about DOD human experimentation programs. In 1997, Congress replaced 1520 with 1520a, purportedly to prohibit DOD conducting experiments on soldiers without the individual soldiers informed consent. It was passed by Congress in response to public outrage over injuries and deaths caused by mandated anthrax injections of soldiers during and after the 1991 Gulf War. However, the authority for federal government experimentation on non-consenting human beings continued; Congress simply transferred the program to the Food Drug and Cosmetics Act, 21 USC 360bbb (see below, passed three days after the NDAA) under declared emergency situations (Emergency Use Authorizations/EUA).
  • 1997 Food and Drug Administration Modernization Act – PL 105-115, 11 Stat. 2296. (86 pages). Added new section to Federal Food Drug and Cosmetics Act (21 USC 9) to expand access to investigational drugs and devices during emergency situations (21 USC 360bbb). This was the beginning of the Emergency Use Authorization framework that culminated in the federal government’s psychological, social and economic coercion program aimed at universal injection of all American citizens with products marketed as Covid-19 vaccines, operational from mid-2020 to the present.

There’s much more to dig into here, starting with the history of amendments to 10 USC 4022, and the Pfizer contracts with US government military branches.

Congress passed 2016 National Defense Authorization Act. PL 114-92, 129 Stat. 893 on 11/25/2015. Section 815 added the ‘prototype’ contracting language to Title 10, Military Law (10 USC 2371b, later renumbered 10 USC 4021), authorizing Department of Defense to contract with pharmaceutical corporations to conduct otherwise illegal medical experiments on the American and global public without notice or consent. [This paragraph was added 05/27/2022]


Also related: One of the factors to be considered by HHS secretary in making determinations about qualified security countermeasures to be purchased, using the DOD Special Reserve Fund, to stock the Strategic National Stockpile of pharmaceuticals, from pharmaceutical corporations is « whether there is a lack of a significant commercial market for the product at the time of procurement, other than as a security countermeasure. » 42 USC 247d-6b (c)(5)(B)(iii), as revised by Congress in 2004.

In other words, if no consumers would buy a product under normal commercial circumstances, but the pharmaceutical companies want to sell it, and the US government wants to conduct research and development on its military applications, the HHS Secretary classifies it as a qualified security countermeasure, the pharmaceutical contractor manufactures it, the US government buys it in bulk, and the US government forces the population to take it.


Side Note: A reader recently sent me a link to a page containing Covid-related US government contracts. The Pfizer contracts aren’t there, but two Moderna contracts are there, both issued by ASPR-BARDA (HHS Assistant Secretary of Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority). Both are heavily redacted. Other contracted corporations in that list include American Blood Center, Genentech, Janssen, Phlow, Protein Sciences, Regeneron and Vyaire.

St. Veronica

Nouvelles données en provenance d’Allemagne: Les naissances et même les avortements sont en baisse! – par Igor Chudov.

Au cas où il subsiterait encore le moindre doute…

Source.


Traduction

Nouvelles données en provenance d’Allemagne: Les naissances et même les avortements sont en baisse!

Les grossesses accidentelles sont un indicateur de fertilité indépendant

igor Chudov

18 juillet

Il y a trois semaines, j’ai écrit un article sur l’Allemagne [NdT. ma traduction ici], mettant en évidence une baisse très importante et constante des naissances depuis janvier de cette année, soit 9 mois après le début de la vaccination des jeunes, jusqu’en mars.

Depuis, j’ai trouvé d’autres données concernant l’Allemagne:

  • Arkmedic a signalé que les naissances d’avril sont disponibles (lisez son article!)
  • J’ai trouvé des données sur les AVORTEMENTS en 2021 en Allemagne, qui montrent également une baisse inhabituellement importante des avortements (grossesses accidentelles). Les données sur les avortements sont une confirmation totalement indépendante de la baisse de la fertilité des Allemands.

Naissances

Nous avons de nouvelles données pour le mois d’avril – les naissances ont chuté de 12% en 2022, par rapport au mois d’avril de 2021.

Avant d’aller plus loin, je dois rappeler à mes lecteurs que les taux de natalité sont toujours saisonniers! La plupart des parents préfèrent faire un « bébé de printemps », ce qui finit souvent par les amener à faire un « bébé d’été », car la conception prend plus de temps que prévu. Par conséquent, ne comparez jamais des mois adjacents car il est garanti qu’ils présentent des changements spectaculaires qui sont simplement liés à la saisonnalité, avec des différences très reproductibles au fil des ans. Ne comparez que les mois d’une année avec les mêmes mois d’une autre année, s’il vous plaît.

Les données proviennent du Bureau Allemand des Statistiques. (si ce lien ne vous amène pas à la page exacte, sélectionnez « population » et descendez jusqu’à « naissances »). Il s’agit de changements d’une année à l’autre. (D’avril à avril, par exemple) Je l’ai résumé pour vous:

Vous pouvez constater que les naissances ont soudainement commencé à chuter en décembre 2021, passant de +5% en novembre à 1% en décembre, puis à -10% en janvier et -13,28% en février. La soudaineté et l’ampleur de cette chute sont sans précédent.

Les données d’avril ont confirmé que la réduction du taux de natalité au cours des trois premiers mois n’est pas un hasard et se poursuit pour le quatrième mois.

Avortements

La question de l’avortement est un sujet très sensible pour beaucoup de personnes. Je comprends. Je vous demande de mettre vos sentiments en suspens pendant un moment et de considérer les avortements comme le ferait un démographe.

Rappelez-vous: les avortements résultent de grossesses non planifiées! Mis à part un nombre relativement faible d’avortements dus à des anomalies du fœtus, la plupart des avortements se produisent parce que la grossesse était inattendue, non désirée et accidentelle.

Cela signifie qu’en l’absence de changements importants dans les lois du pays, les augmentations ou diminutions soudaines du nombre d’avortements ne sont dues qu’à des changements dans la fertilité.

Les naissances vivantes peuvent connaître des augmentations ou des diminutions en raison d’un changement du désir d’avoir des enfants dû à des facteurs sociaux. Dans le cas des avortements, cependant, la grossesse est presque toujours non planifiée au départ, de sorte que les facteurs sociaux comme les attentes économiques ont peu à voir avec la plupart des avortements [NdT. je dirais même que de mauvaises conditions économiques dans les pays riches auraient tendance à faire augmenter le nombre d’avortements]. Ces avortements ne sont que des indications de la fertilité et du désir d’avoir des rapports sexuels non protégés.

Donc… les avortements en 2021 ont diminué de 5,3%!

Quelle est l’ampleur de cet effet ? Entre 1996 et 2021, les avortements ont diminué en moyenne de 1.452 par an. En 2021, les avortements ont diminué de 5.352 ! Les dernières années avant 2021 ont vu peu de changement dans les avortements. Ainsi, la baisse de 5.352 avortements en 2021 est probablement due à un changement de la fécondité des jeunes en Allemagne et montre une forte baisse des grossesses non planifiées et accidentelles. Les avortements ne sont jamais planifiés, rappelez-vous!

N’oubliez pas que les jeunes Allemands de 2021 n’ont pas commencé à se faire vacciner avant le mois de mai environ. Ainsi, si les vaccinations sont la cause de la baisse de la fécondité, leur effet sur les grossesses ne serait pas visible avant la seconde moitié de 2021.

De plus, comme l’avortement est pratiqué après environ un mois de grossesse, on peut ajouter environ un mois et traiter environ 5 mois sur 12 en 2021, les plus touchés par les vaccinations. Ainsi, une baisse de 5 % des avortements pourrait se traduire par une baisse de 12% de la fécondité à partir de juillet environ.

Il s’agit là d’un calcul approximatif qui indique que les données sur l’avortement confirment largement l’hypothèse selon laquelle la baisse des taux de natalité est due à la vaccination et non aux conditions sociales.

L’histoire des avortements n’est pas, en tant que telle, une preuve de causalité: il s’agit d’un élément de preuve qui va dans le sens de mon hypothèse sur la vaccination, et qui s’oppose fortement à la possibilité que les changements de la fécondité soient causés par des facteurs sociaux.

Nous voyons donc que les avortements, ainsi que les données sur les naissances en avril en Allemagne, coïncident et suggèrent que les vaccinations ont provoqué une forte baisse de la fécondité parmi la population allemande.

Voir aussi

Notre astucieuse lectrice Madeleine Love a fait ce commentaire:

Il est très inhabituel de voir les naissances et les avortements diminuer en même temps. Habituellement, ils fonctionnent en miroir – quand il y a beaucoup de vie, il y a plus de conceptions et moins d’avortements, et vice versa. Avec tous les décès, il devrait y avoir beaucoup de vie, et si les naissances et les avortements sont en baisse, c’est inhabituel. Pas étonnant qu’il pleuve des cordes ici en Australie.

Texte original

New Data from Germany: Births and Even Abortions are Down!

Accidental Pregnancies are an Independent Indicator of Fertility

Igor Chudov

Jul 18

Three weeks ago, I wrote an article about Germany, highlighting a very large and consistent drop in births starting January this year, 9 months after vaccination of young people began, until March.

Since then, I found more data regarding Germany:

  • Arkmedic pointed out that April births are available (read his article!)
  • I found data on 2021 ABORTIONS in Germany, also showing an uncharacteristically large decline in abortions (accidental pregnancies). The abortion data is a completely independent confirmation of the declining fertility of Germans.

Births

We have new data for April — births dropped by 12% in 2022, compared to April of 2021.

Before I go further, I have to remind my readers: birth rates are always seasonal! Most parents prefer to make a “spring baby”, which often ends up with them making a “summer baby” because conception takes more time than expected. So, never compare adjacent months as they are guaranteed to have dramatic changes that are simply seasonality-driven, with differences very repeatable over the years. Only compare months of one year with the same months of another year, please.

The data comes from the German Bureau of Statistics. (if this link does not bring you to the exact page, select “population” and drill down to “births”). These are YEAR-ON-YEAR changes. (April to April, for example) I summarized it for you:

You can see that births suddenly started dropping in Dec 2021, (going from +5% yoy in November to 1% in December, down to -10% in January and -13.28% in February. The suddenness and extent of this drop are unprecedented.

The data for April confirmed that the reduction in birth rate over the first three months is not a fluke and is continuing for the fourth month.

Abortions

Many people feel strongly about abortions. I understand. I am asking you to suspend your feelings for a moment and look at abortions like a demographer would.

Remember: abortions result from unplanned pregnancies! Aside from a relatively small amount of abortions happening due to fetal abnormalities, most abortions happen because the pregnancy was unexpected, unwanted, and accidental.

What this means is, absent large changes in the laws of the land, sudden increases or decreases in abortions happen only because of changes in fertility.

Live births may see increases or decreases because of changed desire to have children due to social factors. In the case of abortions, however, the pregnancy is ALMOST ALWAYS unplanned to begin with, so social factors like economic expectations have little to do with most abortions. Those abortions are only indications of fertility and desire to have unprotected sex.

So… abortions in 2021 fell by 5.3%!

How large is this effect? Between 1996 and 2021, abortions fell by an average of 1,452 abortions per year. In the year 2021, abortions fell by 5,352! The recent years prior to 2021 saw little change in abortions. Thus, the decline of 5,352 abortions in the year 2021 likely is due to the changed fertility of young people in Germany and shows a great decline in unplanned, accidental pregnancies. Abortions are never planned, remember!

Please recall that younger Germans in 2021 did not start vaccinations until about May or so. Thus, if vaccinations are the cause of lower fertility, their effect on pregnancies would not be seen until the second half of 2021.

Furthermore, since abortion is done after about a month into the pregnancy, you can add about a month and deal with about 5 months out of 12 in 2021, most affected by vaccinations. Thus, a 5% drop in abortions could roughly mean a 12% decline in fertility starting about July.

This is a rough, back-of-the-envelope calculation that indicates that abortion data largely agrees with the hypothesis that declines in birth rates are caused by vaccination, and not by social conditions.

The abortion story is not, as such, a proof of causation: it is a piece of evidence that agrees with my vaccination hypothesis, and strongly disagrees with the possibility that change in fertility is caused by social factors.

So we see that both abortions, as well as April birth data in Germany, coincide and suggest that vaccinations caused a large drop in fertility among the people of Germany.

See Also

Our astute reader Madeleine Love made this comment:

Insectes comestibles, parasites, microbiome – par John Paul.

Encore un article de John Paul, qui est très éclectique dans le choix de ses sujets pour une bonne raison: ils font tous partie du même système complexe, ce qui est sa spécialité.

Je traduirai d’une traite la première et la deuxième partie – qui paraîtra demain – de son autre article « The coming chaos« . J’ai lu hier un autre article intéressant de notre ami Igor Chudov que j’ai décidé aussi de traduire – j’ai oublié de quoi il parle, c’est dire à quel point je suis moi-même éclectique. Le papier de Miles sur le canular nucléaire est également en cours de traduction, ainsi qu’un papier que je suis en train d’écrire – ça m’arrive – pour un éclairage historique sur l’ensemble du système, de son mécanisme, de son objectif et de sa prochaine phase.

Donc du pain sur la planche, malgré la pénurie de blé. Normal, j’utilise de la farine sans gluten.

Source.


Traduction

Insectes comestibles, parasites, microbiome

Je ne mangerai jamais de ces insectes.

John Paul

21 juin

La deuxième partie du billet d’hier sera publiée demain, car j’ai dû assister à une réunion avec un ami aujourd’hui. Néanmoins, je pense qu’à long terme, ce sujet est assez important.

On sait depuis un certain temps qu’il existe une campagne intensive en faveur d’un changement de régime alimentaire au niveau planétaire, visant à amener la majorité de la population mondiale à passer des protéines animales à différentes formes de protéines synthétiques. L’une d’entre elles, privilégiée par beaucoup de ceux qui soutiennent ce changement dans le cadre de différents projets, est celle à base de plantes. Si quelqu’un vous agace au sujet des protéines d’origine végétale, montrez-lui simplement ceci. Les protéines d’origine végétale n’auront jamais la même valeur nutritionnelle que les protéines animales, quel que soit la quantité d' » additifs  » ou de modifications génétiques.

[NdT. il s’agit d’une étude scientifique publiée par Nature, dont je vous livre la traduction sous l’image ci-dessous. Les résultats de l’analyse sont très intéressants mais moins que les chiffres des revenus générés par cette industrie, qui figurent à la fin de l’extrait. Demandez-vous pourquoi les vaches dans les prés sont soudain devenues une menace existentielle.]

Une comparaison métabolomique de la viande d’origine végétale et de la viande nourrie à l’herbe révèle de grandes différences nutritionnelles malgré des tableaux de valeurs nutritives comparables.

Stephan van Vliet 1, James R. Bain1 , Michael J. Muehlbauer 1 , Frederick D. Provenza2 , Scott L. Kronberg3 , Carl F. Pieper1 & Kim M. Huffman 1

Une nouvelle génération de substituts de viande d’origine végétale – formulés pour imiter le goût et la composition nutritionnelle de la viande rouge – a suscité un intérêt considérable de la part des consommateurs, des chercheurs et des médias. Cela a soulevé la question de savoir si les substituts de viande d’origine végétale représentent des substituts nutritionnels appropriés à la viande animale. L’objectif de notre étude était d’utiliser la métabolomique non ciblée pour fournir une comparaison approfondie des profils métaboliques d’un substitut de viande végétal populaire (n = 18) et du bœuf haché nourri à l’herbe (n = 18) appariés pour la taille de la portion (113 g) et la teneur en matières grasses (14 g). Malgré des similitudes apparentes basées sur les tableaux de valeur nutritive, notre analyse métabolomique a révélé que l’abondance des métabolites entre l’alternative carnée d’origine végétale et le bœuf haché d’origine végétale différait de 90 % (171 métabolites sur 190 métabolites profilés ; taux de fausse découverte ajusté p < 0,05). Plusieurs métabolites ont été trouvés exclusivement (22 métabolites) ou en plus grande quantité dans le bœuf (51 métabolites) (tous, p < 0,05). Des nutriments tels que l’acide docosahexaénoïque (ω-3), la niacinamide (vitamine B3), la glucosamine, l’hydroxyproline et les antioxydants allantoïne, ansérine, cystéamine, spermine et squalène étaient parmi ceux que l’on ne trouve que dans le bœuf. Plusieurs autres métabolites ont été trouvés exclusivement (31 métabolites) ou en plus grande quantité (67 métabolites) dans la viande alternative d’origine végétale (tous, p < 0,05). L’ascorbate (vitamine C), les phytostérols et plusieurs antioxydants phénoliques tels que la loganine, le sulfurol, l’acide syringique, le tyrosol et l’acide vanillique étaient parmi les métabolites uniquement présents dans la viande végétale. De grandes différences dans les métabolites au sein de diverses classes de nutriments (par exemple, les acides aminés, les dipeptides, les vitamines, les phénols, les tocophérols et les acides gras) ayant des rôles physiologiques, anti-inflammatoires et/ou immunomodulateurs indiquent que ces produits ne doivent pas être considérés comme réellement interchangeables sur le plan nutritionnel, mais pourraient être considérés comme complémentaires en termes de nutriments fournis. Les nouvelles informations que nous fournissons sont importantes pour permettre aux consommateurs et aux professionnels de la santé de prendre des décisions éclairées. Nos données ne permettent pas de déterminer si l’une ou l’autre des sources est plus saine à consommer.

D’ici 2050, les systèmes alimentaires mondiaux devront répondre aux besoins alimentaires de près de 10 milliards de personnes. Pour répondre à cette demande de manière saine et durable, il est avancé que les régimes alimentaires bénéficieraient d’une évolution vers la consommation de davantage d’aliments d’origine végétale et de moins de viande, en particulier dans les pays occidentaux1 . On se demande donc si les nouveaux substituts de viande d’origine végétale représentent des alternatives saines et nutritionnellement adéquates à la viande25.

La nouvelle génération d’alternatives à la viande d’origine végétale, telles que Impossible Burger et Beyond Burger, connaît un succès croissant auprès des consommateurs. Leur succès a incité d’autres entreprises alimentaires internationales – y compris des entreprises de viande traditionnelles – à investir dans leurs propres versions de produits6 . Le secteur mondial des substituts de viande d’origine végétale a connu une croissance substantielle et devrait passer de 11,6 milliards de dollars en 2019 à 30,9 milliards de dollars en 2026, avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 15 % (figure 1). En revanche, le secteur de la viande s’attend à un TCAC de 3,9 % pendant cette période et à atteindre une valeur de marché de 1.142,9 milliards de dollars en 20237.

L’autre, que j’ose qualifier de plus malfaisante de mon point de vue, est le tout à base d’insectes. Étant farouchement opposé aux formes synthétiques de protéines, il ne m’est jamais venu à l’esprit de vérifier ce qui suit. Cela a été porté à mon attention par Zack Vorhees, alias Perpetual Maniac, qui est devenu célèbre lorsqu’il a décidé de dénoncer l’ingérence de Google dans de nombreux aspects de la société.

[NdT. traduction sous l’image]

Source

Une évaluation parasitologique des insectes comestibles et de leur rôle dans la transmission des maladies parasitaires aux humains et aux animaux

Remigiusz Gałęcki 1 Rajmund Sokół 2
1 Département de prévention vétérinaire et d’hygiène alimentaire, Faculté de médecine vétérinaire, Université de Warmia et Mazury, Olsztyn, Pologne. 2 Département de parasitologie et des maladies invasives, Faculté de médecine vétérinaire, Université de Warmia et Mazury, Olsztyn, Pologne

Résumé

Depuis le 1er janvier 2018 est entré en vigueur le règlement (UE) 2015/2238 du Parlement Européen et du Conseil du 25 novembre 2015, introduisant le concept de  » nouveaux aliments « , y compris les insectes et leurs parties. L’une des espèces d’insectes les plus utilisées sont: les vers de farine (Tenebrio molitor), les grillons domestiques (Acheta domesticus), les blattes (Blattodea) et les criquets migrateurs (Locusta migrans). Dans ce contexte, la question insondable est le rôle des insectes comestibles dans la transmission de maladies parasitaires susceptibles de poser des pertes significatives lors de leur reproduction et représentent un risque pour les êtres humains et les animaux. L’objectif de cette étude était d’identifier et d’évaluer les formes de développement des parasites colonisant les insectes comestibles dans les élevages domestiques et les animaleries en Europe centrale et de déterminer le risque potentiel d’infections parasitaires pour les humains et les animaux. Le matériel expérimental comprenait des échantillons d’insectes vivants (imagines) provenant de 300 fermes domestiques et animaleries, dont 75 fermes de vers de farine, 75 fermes de grillons domestiques, 75 fermes de cafards siffleurs de Madagascar et 75 fermes de criquets migrateurs. Des parasites ont été détectés dans 244 (81,33%) des 300 (100%) élevages d’insectes examinés. Dans 206 (68,67 %) des cas, les parasites identifiés étaient pathogènes pour les insectes uniquement; dans 106 (35,33 %) des cas, les parasites étaient potentiellement parasitaires pour les animaux; et dans 91 (30,33 %) des cas, les parasites étaient potentiellement pathogènes pour les humains. Les insectes comestibles constituent un réservoir sous-estimé de parasites humains et animaux. Notre recherche indique le rôle important de ces insectes dans l’épidémiologie des parasites pathogènes pour les vertébrés. Les examens parasitologiques menés suggèrent que les insectes comestibles pourraient être le vecteur de parasites le plus important pour les animaux insectivores domestiques. D’après nos études, les recherches futures devraient se concentrer sur la nécessité d’une surveillance constante des élevages d’insectes étudiés pour détecter les agents pathogènes, augmentant ainsi la sécurité de l’alimentation humaine et animale.

Des parasites ont été détectés dans 81% de l’échantillon, dont au moins 30% sont connus pour être potentiellement dangereux pour l’homme. L’article comporte une section entière sur chaque type de parasite présentant un risque pour l’homme. Un grand nombre d’entre eux affectent généralement les poumons et l’intestin. Heureusement que nous n’avons pas connu de pandémie d’un virus respiratoire connu pour attaquer à la fois l’intestin et les poumons.

[NdT. traduction sous l’image]

Source

Insectes comestibles et Toxoplasma gondii: Faut-il s’en inquiéter?

MAURIZIO PERCIPALLE; ANTONIO SALVAGGIO; GIOVANNI M. PITARI; RENATO P. GIUNTA; ALESSANDRA APARO; TIZIANA ALFONZETTI; ANNA MARIA FAUSTA MARINO

J Food Prot (2021) 84 (3) : 437-441.

https://doi.org/10.4315/JFP-20-239

RÉSUMÉ

Les nouveaux aliments, tels que les insectes comestibles et les produits alimentaires à base d’insectes, pourraient jouer un rôle important dans l’alimentation humaine et animale à l’avenir. L’identification des dangers associés à la consommation d’insectes est fondamentale pour garantir la sécurité des consommateurs et des directives réglementaires adéquates pour les opérateurs du secteur alimentaire. Bien que des études antérieures se soient concentrées sur la contamination microbiologique des insectes comestibles frais ou transformés, peu d’informations sont disponibles sur l’occurrence de parasites d’origine alimentaire, tels que Toxoplasma gondii, dont les cycles de vie en font des candidats pour la contamination potentielle des substrats d’élevage d’insectes. Nous avons donc étudié la présence de T. gondii contaminant dans les insectes comestibles d’élevage afin d’écarter ce risque supplémentaire pour les consommateurs. Quatre espèces d’insectes les plus couramment utilisées comme aliments pour la consommation humaine ont été analysées : le ver de farine, le criquet migrateur africain, le grillon domestique et le ver à soie. Les échantillons comprenaient des spécimens vivants mais aussi des insectes comestibles peu transformés (déshydratés) et hautement transformés. Des traces d’ADN de T. gondii ont été détectées dans des échantillons de vers de farine déshydratés. Ces résultats soulignent la nécessité de mettre en œuvre de bonnes pratiques d’élevage et de transformation, en accordant une attention particulière à la sécurité du stockage et de la manipulation des aliments et des substrats utilisés pour les insectes comestibles, afin de réduire le risque que T. gondii entre dans la chaîne alimentaire humaine.

FAITS MARQUANTS

– L’ADN de Toxoplasma gondii a été détecté dans 1 (6,25%) des 16 échantillons d’insectes comestibles.

– Un ver de farine déshydraté a été trouvé contaminé par l’ADN du parasite.

En fait, après que cette question ait été portée à mon attention, il a suffi de passer 30 minutes dans n’importe quel moteur de recherche universitaire pour obtenir une douzaine de résultats remontant à près de 10 ans au sujet des préoccupations concernant la sécurité des insectes comestibles. On va de plus en plus forcer les gens à abandonner leur régime alimentaire normal au profit d’un régime synthétique.

Et compte tenu de ce qui s’est passé ces deux dernières années et à quel point les gouvernements se sont inquiétés des vaccins expérimentaux, pensez-vous vraiment qu’ils s’opposeront à cela ou se préoccuperont le moins du monde de questions de sécurité?

Les parasites ont un effet très distinct et puissant sur l’intestin et le microbiome.

Ces observations suggèrent que les parasites peuvent servir de moteur d’écosystème pour les microbes intestinaux en modifiant le paysage physique dans lequel ils résident. En outre, les données actuelles suggèrent que le type d’effets observés peut différer largement entre les helminthes et les protozoaires parasites. Alors que les helminthes peuvent favoriser la fonction barrière et limiter la translocation bactérienne, les protozoaires parasites virulents peuvent souvent avoir l’effet inverse, en dégradant la fonction barrière et en permettant une interaction plus étroite entre les bactéries et l’épithélium. Ce contraste est illustré par la série d’interactions entre le microbiote et deux types de parasites – les nématodes Trichuris spp. et le parasite protozoaire T. gondii – dont on sait ou pense qu’elles impliquent des modifications de la fonction de barrière épithéliale.

Compte tenu de tout ce que nous savons jusqu’à présent sur le SARS-CoV-2, dites-moi si manger des insectes parasités est une bonne idée? [NdT. comme l’a très bien expliqué John Paul et des centaines d’autres auteurs, le SARS-CoV-2 endommage la fonction épithéliale] Personne ne s’en soucie, et de toute façon, ils nous mettront la pression.

Un très grand merci à tous ceux qui me soutiennent ici et à ceux qui utilisent KoFi =) !


Texte original

Edible insects, parasites, microbiome

I will never eat the bugs.

John Paul

Jun 21

Part II of yesterday’s post is coming tomorrow, had to attend a meeting today with a friend. Nonetheless, I think long-term this is fairly important.

It has been known for quite a while there is a massive push for planetary dietary change, steering the majority of the world’s population from animal protein to different forms of synthetic protein. One favored by many of the ones pushing this change under different agendas is plant-based. If anyone ever annoys you about plant-based protein, just show them this. Plant-based will never have the same nutritional value as animal protein, regardless of how much they “add” or gene edit it.

The other, dare I say more nefarious from my perspective, is bug-based everything. Being vehemently against synthetic forms of protein it never crossed my mind to check for the following. This was brought to my attention my Zack Vorhees, aka Perpetual Maniac, came to fame when he decided to whistleblow Google meddling with many aspects of society.

Parasites were detected in 81% of the sample, and at least 30% are known to be potentially harmful to humans. There is a whole section on each type of parasite that could be harmful to humans in the paper. Quite a few of these usually affect the lungs and the gut. Thankfully we haven’t been through a pandemic with a respiratory virus known to attack both the gut and lungs.

Source

In fact, after this was brought to my attention, merely spending 30 minutes in any academic search engine will get you dozen or so results going back almost 10 years on the concern about the safety of edible insects. There will be an ever-growing push to force people out of normal diets and into synthetic ones.

And given the last two years and how concerned governments were with experimental vaccines, do you really think they will oppose this or have any safety concerns at all ?

Parasites have a very distinct and powerful effect on the gut, and the microbiome.

Together, these observations suggest that parasites can serve as ecosystem engineers for gut microbes by altering the physical landscape in which they reside. Moreover, current evidence suggests that the type of effects observed may broadly differ between parasitic helminths and protozoa. While helminths can promote barrier function and limit bacterial translocation, virulent parasitic protozoa may often have the opposite effect, degrading barrier function and allowing closer interaction between bacteria and the epithelium. This contrast is illustrated by the suite of interactions between the microbiota and two types of parasites—Trichuris spp. nematodes and the protozoan parasite T. gondii—many of which are known or thought to involve changes to epithelial barrier function


Given everything we know so far about SARS-CoV-2, you tell me if eating parasite-ridden bugs is a great idea ? Not that anyone care, they will push it hard anyway.

A very big thank you to all supporters here and those who use KoFi =) !

La nouvelle la plus importante jamais rapportée – par Jeff Childers.

Je vais parfois piocher dans le billet quotidien que Jeff Childers publie sur son Substack. Jeff fait ici du bon boulot – si ce n’est qu’il est dupe de l’arnaque du nucléaire militaire, sujet sur lequel vous lirez bientôt ma traduction de l’article de Miles Mathis déjà mentionné sur ce blog, et qu’il devrait également s’intéresser aux textes de loi américains qui légalisent la guerre biologique contre ses propres citoyens et ceux du monde entier, voir mes deux récents articles ici et ici.

Source.


🔥 L’histoire qui suit pourrait bien être la nouvelle la plus importante que j’ai jamais rapportée, et je ne pense pas exagérer. La nouvelle est que la vice-présidente de la Douma d’État russe (Congrès) Irina Yarovaya a fait le point hier sur l’enquête officielle de la Russie sur les laboratoires microbiologiques américains en Ukraine.

Ce que disent les Russes n’est pas très flatteur. Et ils affirment avoir une montagne de preuves. Jusqu’à présent, les États-Unis n’ont daigné répondre à aucune de ces allégations extrêmement graves.

Rappelez-vous qu’en mai dernier, les Russes ont présenté des preuves au Conseil de Sécurité de l’ONU, arguant que les États-Unis avaient développé – ET TESTÉ – des armes biologiques illégales en Ukraine, accusant notamment les trois dernières administrations Démocrates de travailler avec George Soros, Bill Gates et les grandes entreprises pharmaceutiques pour violer des traités, développer des technologies d’armement illégales, libérer des armes biologiques en Ukraine, tester ces armes sur des soldats et des malades mentaux et, surtout, infecter le peuple et les cultures agricoles russes.

Plus précisément, les Russes ont identifié une étonnante liste d’individus et de groupes clés qui seraient à l’origine de la conspiration:

  • Le *Parti Démocrate National*
  • *Barack Obama*
  • *Hilary Clinton*
  • *Joe Biden*
  • *George Soros*

Je n’invente rien. C’est ce que disent les Russes. Un magnifique diagramme montre tous les acteurs présumés et va bien au-delà de ceux nommés ci-dessus, en y incluant Pfizer, la Fondation Bill et Melinda Gates, et d’autres.

Les Russes accusent les Démocrates de haut niveau d’avoir facilité la recherche illégale à des fins militaires en collaboration avec les grandes entreprises pharmaceutiques, mises à contribution lors de chaque test et de chaque fuite pour mettre au point des traitements lucratifs contre les nouvelles maladies. En retour, ont affirmé les Russes, les grandes entreprises pharmaceutiques ont versé des sommes énormes aux Démocrates en tant que contributions électorales, créant ainsi une boucle de rétroaction virale sinistre et démoniaque.

Les médias grand public américains – qui se sont jetés avec fureur sur l’histoire inventée du Russiagate et qui, pendant des semaines, ont relayé à en perdre haleine des allégations infondées contre Brett Kavenaugh – ont complètement ignoré les accusations incroyablement sérieuses des Russes, les rejetant en bloc en les qualifiant de « désinformation russe », qui ne valent même pas la peine d’être mentionnées. L’administration Biden a même essayé de mettre en place un « conseil de gouvernance de la désinformation » dirigé par un ancien collaborateur de Zelensky, dans le but apparent de verrouiller encore davantage l’information.

La semaine dernière, les Russes ont annoncé qu’ils avaient l’intention de publier prochainement – avant les élections de mi-mandat – un rapport complet sur le programme américain de laboratoires microbiologiques, et hier, comme je l’ai dit, la présidente Yarovaya a fait le point sur la situation devant la Douma, ou assemblée législative russe.

🔥 Yarovaya a entamé ses commentaires hier comme suit:

« Comme preuve aujourd’hui, la commission parlementaire peut déjà présenter des faits selon lesquels les laboratoires biologiques supervisés par le Pentagone sur le territoire de l’Ukraine ne répondaient pas aux critères de sécurité. Dans leur mode d’activité actuel, ils constituaient et constituent encore une menace colossale pour les citoyens ukrainiens et pour le monde entier.

L’installation n’était pas seulement peu sûre. Malgré le fait qu’ils travaillaient avec des virus et des agents pathogènes dangereux, ils connaissaient aussi des fuites. Il est fort probable que cela explique la multiplication des épidémies en Ukraine.

Mais le plus probable, c’est que ceux qui ont créé ces laboratoires tenaient à s’assurer qu'[ils] n’étaient pas suffisamment protégés, non seulement pour des raisons de corruption, mais aussi dans le but de réaliser une expérience grandeur nature; pour de cette manière surveiller quelle serait la réaction de la population, quel serait le taux de mortalité, quelles seraient les conséquences. »

En d’autres termes, les Russes disent que les États-Unis ont été INTENTIONNELLEMENT négligents. L’idée serait que les États-Unis pourraient délibérément laisser échapper des agents pathogènes et se cacher ensuite derrière l’excuse que ce n’était qu’un accident, parce que chacun sait que les laboratoires sont très peu fiables. Un peu comme lorsque votre enfant agite les bras comme un fou et qu’il frappe « accidentellement » son petit frère sur le nez. Désolé, pas désolé!

La théorie des Russes semble ridicule sauf si on examine le cas de Wuhan. Le Département d’État a publié à partir de 2018 une série de rapports sur le fait que le laboratoire de microbiologie de l’Institut de Virologie de Wuhan était très peu sécurisé et mal géré. Et rien n’a été fait à ce sujet. Puis le virus Covid a « accidentellement » fuité et a bouleversé le monde. Ces rapports du Département d’État ont donc été rétrospectivement très utiles, en détournant les soupçons du fait que la fuite du virus était intentionnelle.

C’était juste un accident.

Les Russes ont également allégué que les coupables américains se réfugiaient derrière la « recherche sur les animaux », la greffe génétique de capacités d’infection humaine sur des virus animaux existants leur permettant de revendiquer des origines naturelles pour les microbes nouvellement développés. Comme avec le Covid. Ou la variole du singe.

Si c’est vrai, cela donnerait une explication à tous les laboratoires de « recherche vétérinaire » que les États-Unis ont construits dans tous ces pays du tiers-monde qui manquent de surveillance ou de contrôle efficace et où les régulateurs, quand il y en a, regardent ailleurs lorsque les circonstances le demandent. Et probablement pour pas cher.

Mme Yarovaya a déclaré que le résultat de toute cette négligence intentionnelle a donné lieu à « des situations imprévues dans le monde entier ». Elle a pointé du doigt les États-Unis pour l’épidémie de variole du singe. « Il faudrait faire une recherche dans les tubes à essai des laboratoires américains sur tout ce qui concerne le coronavirus, la variole du singe », a-t-elle déclaré.

Par une coïncidence totalement aléatoire, le même Institut de Virologie de Wuhan où le Covid a été mis au point menait également des expériences sur la variole du singe.

Bon.

🔥 Du fait que les Russes citent des individus spécifiques, on peut penser qu’ils ont l’intention de lancer une plainte pénale internationale de type Nuremberg, conformément aux souhaits de tant d’Américains. Il semble également que les Chinois se rangent du côté des Russes. Les Chinois ont de bonnes raisons de se ranger du côté des Russes.

Un article publié en 2017 dans le Journal of Health Security s’intitule « Taiwan’s Public Health National Laboratory System: Success in Influenza Diagnosis and Surveillance » [Système de laboratoire national de santé publique de Taïwan: une réussite en matière de diagnostic et de surveillance de la grippe]. Il inclut quelques statistiques intéressantes.

Taiwan est à peu près aussi peuplé que l’État de Floride. L’article rapporte que, pour quelque raison, le pays compte « 1.251 laboratoires microbiologiques dans un système à plusieurs niveaux qui répond aux besoins médicaux, agricoles, alimentaires et environnementaux. » Ça fait beaucoup de laboratoires de microbiologie; ça équivaut à 18 laboratoires de microbiologie pour chaque comté de Floride.

Selon l’article, Taiwan a « un laboratoire national BSL-4 dans le nord de Taiwan, affilié au Centre Médical de la Défense Nationale ». En d’autres termes, il est militaire. Il y a également 31 « laboratoires nationaux » qui « servent de centres de référence dans les domaines de la virologie, de la bactériologie, de la parasitologie, de la mycologie et de la biologie des vecteurs ».

La biologie vectorielle est l’étude des porteurs, comme les tiques et les moustiques, qui peuvent transmettre des maladies infectieuses à l’homme.

Les allégations russes, et la justification qu’elles apportent à l’invasion de l’Ukraine, fournissent également une justification parfaite à une invasion chinoise de Taïwan.

Dans son dernier article sur Substack, le Dr Naomi Wolf, qui a dirigé l’effort de crowdsourcing de l’examen du dumping des documents de Pfizer, affirme avoir découvert des informations montrant que Pfizer appartient en partie au Parti Communiste Chinois, ou du moins que le PCC est propriétaire d’un important fabricant du médicament à ARNm.

Selon Wolf, son projet l’a convaincue que nous sommes déjà en guerre, mais que nous ne nous en rendons pas encore compte. Facing the Beast – Outspoken avec le Dr Naomi Wolf. [NdT. flûte, encore un truc à traduire]

🔥 Toutes ces allégations – complètement ignorées par les médias institutionnels – sont incroyablement sérieuses. Les Russes accusent les États-Unis d’une attaque aux armes biologiques de destruction massive. La politique officielle des États-Unis dit depuis longtemps qu’une attaque aux armes biologiques est équivalente à une attaque nucléaire, et justifierait une réponse nucléaire.

Peu importe qu’ils aient ou non raison. Les Russes semblent croire qu’ils disposent d’une justification légale à riposter contre les États-Unis avec des armes de destruction massive. Et ils étayent leurs arguments en s’appuyant sur un grand nombre d’affaires louches auxquelles se livrent les États-Unis et leurs alliés de l’État profond.

Ce serait vraiment le moment pour le gouvernement américain de s’exprimer et de se montrer totalement transparent sur le but légitime de tous ces laboratoires. En supposant qu’il y AIT un but légitime.

Mais les coupables, qui qu’ils soient, préfèreront certainement risquer une guerre nucléaire pour protéger leurs secrets si la moitié seulement de ce que disent les Russes est vrai. Donc, consciemment ou non, nous sommes tous impliqués dans un jeu mortel de poule mouillée nucléaire. [NdT. le jeu de la poule mouillée est un jeu théorique qui décrit généralement deux joueurs se dirigeant l’un vers l’autre. Si les joueurs continuent sur le même chemin, ils se heurtent l’un à l’autre; si l’un fait une embardée et pas l’autre, celui qui fait l’embardée « perd » et est considéré comme la poule mouillée, tandis que le deuxième joueur, implicitement plus courageux, gagne.]

Et notre conducteur est Joe Biden.

Quoi qu’il en soit, il semble de plus en plus probable que Naomi Wolf ait raison, que la Troisième Guerre mondiale ait déjà commencé il y a plus de deux ans, en janvier 2020, avec le Covid. Nous pensions tous que la Troisième Guerre mondiale serait menée sous la forme d’une guerre thermonucléaire mondiale. Mais ce style de guerre est tout simplement trop coûteux, alors la guerre a évidemment évolué, ou muté. L’arsenal de cette guerre mondiale semble en fait être à base d’armes biologiques – et de leurs thérapies obligatoires.

NEJM: le réchauffement climatique provoque des morts-nés, des malformations congénitales et des problèmes cardiaques chez les enfants – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

NEJM: le réchauffement climatique provoque des morts-nés, des malformations congénitales et des problèmes cardiaques chez les enfants

On peut enfin rire un peu

Igor Chudov

28 juin

Bon, assez de tristesse avec ces histoires de taux de natalité, détendons-nous un peu. Il reste un long chemin à parcourir, et on ne peut pas être triste tout le temps, il est donc temps de sourire.

On a des nouvelles du changement climatique.

Rappelez-vous qu’il y a quelques jours, j’ai demandé pourquoi le taux de natalité en Allemagne était en baisse [NdT. ma traduction ici]. Que signifie la baisse de 23% des naissances vivantes à Taïwan? [NdT. ma traduction ici] Pourquoi les naissances chutent-elles de 10% en Suisse cette année? Pourquoi le rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA ne fait-il plus état des naissances vivantes depuis février, date à laquelle il indiquait une baisse de 10% des naissances vivantes d’une année sur l’autre, et rien depuis?

Heureusement, la science nous donne la réponse. Ces problèmes de bébés ont une cause connue. Il s’agit du changement climatique. Voici un article étonnant. Il sort juste à point, au moment du scandale du taux de natalité, ce qui n’est évidemment qu’une coïncidence.

Un examen des recherches montre que le changement climatique commence à nuire aux enfants avant même leur naissance.
Des risques chez les foetus, les jeunes enfants et les enfants, liés au changement climatique…

Cet article fait référence à une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, un prestigieux baromètre de la science médicale et un guide pour tous les médecins du monde.

La combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel) est la principale source de pollution atmosphérique et d’émissions de gaz à effet de serre à l’origine du changement climatique. Le fœtus, le nourrisson et l’enfant sont particulièrement vulnérables à l’exposition à la pollution atmosphérique et au changement climatique, qui ont déjà des répercussions importantes sur la santé physique et mentale des enfants. Étant donné la cooccurrence fréquente de diverses expositions aux combustibles fossiles, leurs interactions et leurs impacts environnementaux cumulatifs sont une préoccupation croissante. Tous les enfants sont exposés, mais ce sont ceux qui sont socialement et économiquement défavorisés qui sont les plus touchés. Pour protéger la santé des enfants, les professionnels de la santé doivent comprendre les multiples effets néfastes du changement climatique et de la pollution atmosphérique sur les enfants et utiliser les stratégies disponibles pour réduire ces effets néfastes.

L’article explique que le réchauffement climatique peut causer de nombreux problèmes chez les enfants en développement et les enfants à naître. « Tous les enfants sont à risque », affirme l’étude. Certains de ces problèmes nous sont très familiers, et je suis heureux que les scientifiques puissent enfin les attribuer au réchauffement climatique.

Permettez-moi de les énumérer, en reprenant mot pour mot l’article du NEJM:

Troubles de la grossesse, Maladies allergiques, Maladies cardiovasculaires, Maladies dermatologiques, Maladies cardiaques, Troubles immunitaires, Infections, Malnutrition et retard de croissance, Troubles de la santé mentale, Maladies métaboliques et rénales, Troubles du développement neurologique, Maladies respiratoires, Traumatismes.

L’article invite en outre les médecins à prendre connaissance du nouveau consensus médical :

La protection de la santé des enfants exige que les professionnels de la santé comprennent les multiples effets néfastes du changement climatique sur les enfants.

Ainsi, si des parents demandent à leur médecin pourquoi leurs enfants ont des problèmes cardiaques, neurologiques, etc., le médecin sera en mesure de citer l’article du NEJM et d’expliquer que ces problèmes sont causés par le changement climatique.

L’un des deux coauteurs de cet article sur le réchauffement climatique, Kari Nadeau, est une scientifique reconnue qui a également publié une étude intéressante expliquant pourquoi l’immunité induite par les vaccins est meilleure que l’immunité naturelle. Cette étude a été, par pure coïncidence, financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Elle contredit également tout ce que nous savons par expérience pratique, bien sûr. À quoi d’autre vous attendiez-vous?

Les vaccins génèrent un large éventail d’anticorps
Chacun des vaccins a généré un large éventail d’anticorps
. Bien que la plupart des anticorps aient ciblé la protéine de pointe du virus Wuhan-Hu-1, d’autres pouvaient également se lier aux protéines de pointe de neuf autres variants viraux, y compris le variant delta qui a provoqué une forte augmentation des hospitalisations et des décès à la fin de l’été et à l’automne 2021 aux États-Unis. En revanche, les patients non vaccinés infectés par le virus Wuhan-Hu-1 ont produit une gamme plus restreinte d’anticorps, dont un moins grand nombre pouvait se lier aux protéines de pointe des variants.
« Nos données indiquent que l’infection par un variant viral particulier provoque une réponse anticorps qui se concentre sur les antigènes de ce variant, et qui n’a pas une aussi grande capacité de liaison à différents variants que la réponse anticorps induite par le vaccin« , a déclaré Boyd. « Ces résultats confirment et étendent les conclusions rapportées pour certaines mutations virales par des études antérieures. »
[…]
Chez les personnes précédemment vaccinées, « il y a moins de biais de la réponse anticorps vers le variant qui vous a infecté », a déclaré Boyd. Cela pourrait signifier que les personnes vaccinées sont mieux préparées que les personnes infectées naturellement à repousser les infections ultérieures par d’autres variants.

Le financement de ces auteurs par la Fondation Bill et Melinda Gates n’a évidemment rien d’inquiétant. Je me demande également d’où vient le fait que Kari Nadeau peut être aussi douée pour écrire sur les questions d’empreinte immunitaire et de vaccinologie que sur des sujets sans aucun rapport, comme le changement climatique. J’ai des doutes.

Mon chien est passé et j’ai essayé de lui expliquer que les complications de la grossesse, les maladies cardiovasculaires, les mort-nés et la baisse du nombre de naissances vivantes en 2022 sont dus au changement climatique.

J’ai finalement demandé à mon chien: « Est-ce que tu crois Kari Nadeau? »

Sa réaction:


Texte original

NEJM: Global Warming Causes Stillbirths, Birth Defects, Infant Heart problems

Finally you can laugh a bit

Igor Chudov

Jun 28

Okay, enough birth rate sadness, let’s lighten up a bit. We have a long road ahead of us, we cannot be sad all the time, so it is time to smile.

We have some climate change news.

Remember that a couple of days ago, I asked, why is the birth rate in Germany dropping? What is going on with a 23% drop in live births in Taiwan? Why are births dropping 10% in Switzerland this year? Why is the UKHSA vaccine surveillance report not reporting live births since February, for which it showed a 10% year-to-year drop in live births, and nothing since?

Fortunately, science has the answer for us. These baby problems have a known cause. It is climate change. Here’s an amazing article. It came out just in time for the birth rate scandal, which is obviously just a coincidence.

This article refers to a study, published in New England Journal of Medicine, a prestigious bellwether of medical science and a guide to all doctors worldwide.

The article explains that global warming may cause many problems in developing and unborn children. “All children are at risk”, says the study. Some of these problems are very familiar to us, and I am glad that scientists finally could attribute them to global warming.

Let me list them, coming verbatim from the NEJM article:

The article, further, admonishes physicians to be aware of the new medical consensus:

Protection of children’s health requires that health professionals understand the multiple harms to children from climate change

So if parents ask their doctor, why are their children having heart problems, neurological issues, etc, the doctor would be able to cite the NEJM article and explain how those problems are caused by climate change.

One of the two coauthors of this global warming article, Kari Nadeau, is a well-published scientist who also published an interesting study explaining why vaccine-induced immunity is better than natural immunity. That study was, purely coincidentally, financed by the Bill and Melinda Gates Foundation. It also contradicts everything that we know from practical experience, of course. What else did you expect?

Financing of such authors by the Bill and Melinda Gates Foundation, obviously, is nothing to worry about. I also wonder, how can Kari Nadeau be equally good at writing on matters of immune imprinting and vaccinology, as well as on totally unrelated matters of climate change? I am not sure.

My dog stopped by and I tried to explain to him that adverse pregnancy outcomes, cardiovascular disease, stillbirths, and declining live birth counts in 2022 are caused by climate change.

I finally asked my dog, do you believe Kari Nadeau?

His reaction:

Dépopulation de Taiwan – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Dépopulation de Taiwan

Le taux de natalité a chuté de 23% en UN AN — et ce n’est PAS le Covid

Igor Chudov

26 juin

Voici la suite de mon billet d’hier sur la chute massive de 13% des naissances en Allemagne. Un tel déclin est un événement de type neuf-sigma [NdT. j’ai déjà expliqué ce terme dans mon article précédent], ce qui signifie qu’il est à ce point improbable qu’il se produise par hasard, qu’il surviendrait de façon naturelle avec un probabilité aussi faible qu’un astéroïde frappant la Terre.

(Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne) [NdT. ma traduction ici]

Mon article a examiné plusieurs autres endroits (Royaume-Uni, Dakota du Nord et Suisse).

Mais aucun autre endroit ne se démarque autant que Taïwan.

Baisse de 23% du taux de natalité à Taïwan

Selon un rapport du gouvernement taïwanais, le taux de natalité a chuté de 23,24% en mai 2022, par rapport à mai 2021.

9 442 bébés sont nés en mai 2022, soit une baisse de 23,24 % par rapport au même mois de l’année précédente. La moyenne a montré qu’un bébé est né environ toutes les 4,7 minutes. Le taux brut annuel de natalité était de 4,79‰.

J’ai entré les données historiques sur les taux de natalité de Macrotrends pour les années 2009-2021, et j’ai ajouté l’année 2022 comme année 2021 ajustée à la baisse de 23,24%. Évidemment, l’année 2022 n’est pas terminée et le nombre de bébés taïwanais qui naîtront cette année (ou au cours des 12 prochains mois) est inconnu. Le graphique ci-dessous est donc une illustration de ce qui se passerait au cours des 12 prochains mois si la baisse de 23,24% reste constante.

Exprimée en « sigmas », unités d’écart-type, la baisse de 23,24 % du taux de natalité à Taïwan est un événement à 26 sigmas!

La probabilité que cela se produise par hasard peut être qualifiée d' »inimaginable ».

L’illustration de Wolfram-Alpha [NdT. voir sur Wiki] de la probabilité par sigma ne va que jusqu’à dix-sigma. Ils ont pensé qu’il serait inutile de représenter plus de sigmas. Sauf qu’une baisse du taux de natalité de 26 sigmas vient de se produire à Taïwan.

Que s’est-il passé à Taïwan?

Les experts de la santé sont prompts à blâmer le Covid pour toutes sortes de problèmes de santé dont souffrent les personnes à qui ils ont conseillé de se faire vacciner. Ce n’est pas le vaccin, disent-ils, c’est le Covid. Nous avons essayé de vous protéger avec le vaccin, insistent-ils à chaque fois. Mais vous avez quand même contracté le Covid, par la faute des méchants antivaxx, et vos problèmes sont dus au Covid – c’est leur explication.

Nous savons cependant avec certitude que la baisse du taux de natalité à Taïwan n’est PAS due au Covid. Oui, Taïwan souffre actuellement d’une terrible pandémie de COVID (bien que le pays soit vacciné à 91%), mais le Covid à Taïwan n’a commencé qu’aux alentours du 21 avril 2022, et ne peut donc pas avoir exercé une forte influence sur le taux de natalité en mai.

Pour voir ce qui peut expliquer cette chute extrême des naissances, il faut remonter 9 mois en arrière, de mai 2022 à septembre 2021.

Taïwan était un modèle de réussite en matière de vaccination. 91% de tous les résidents taïwanais ont reçu une dose de vaccin. Au 1er octobre 2021, 56% de TOUS les habitants de Taïwan avaient reçu le vaccin Covid.

Ils ont reçu un mélange assez typique de vaccins « sûrs et efficaces » d’AstraZeneca, Moderna et Pfizer.

Les Taïwanais se sont fait vacciner, ont reçu l’assurance que le Covid-19 ne toucherait aucune personne vaccinée et ont repris leur vie normale.

Je doute que les habitants de Taïwan aient remarqué quoi que ce soit à la fin du mois de septembre. Ils savaient avec certitude que leurs vaccins étaient sûrs et efficaces et qu’ils n’affecteraient pas leur sperme ou leurs grossesses. Ils ont donc poursuivi leurs projets familiaux comme avant, en tâchant de faire des bébés délibérément, ou en faisant la fête, en s’amusant et en tombant enceinte par accident, comme cela se passe ailleurs.

Sauf que, 9 mois plus tard, ils n’ont donné naissance qu’à 77% du nombre de bébés attendus.

J’espère que les habitants de Taïwan poseront la question à leurs autorités: que nous arrive-t-il?

Une lueur d’espoir

Si vous êtes comme moi, et que vous aimez les bébés, les enfants et les petits-enfants, vous êtes probablement bouleversé à ce stade et vous vous demandez ce qui va nous arriver à tous. Permettez-moi d’évoquer une possibilité qui, bien que peu probable à mon avis, pourrait rendre cette chute des taux de natalité temporaire.

Les vaccins Covid sont connus pour « perturber le cycle menstruel » et faire baisser le nombre de spermatozoïdes [NdT. ma traduction ici]. Il est possible que certaines femmes, pendant une période de plusieurs mois, n’aient pas pu concevoir et tomber enceintes en raison de ces perturbations. Comme toutes les Taïwanaises ont été vaccinées presque en même temps, ces perturbations ont entraîné une chute brutale du taux de natalité.

J’espère, en tant que personne qui aime les gens, que cela se vérifiera. Cependant, à mon avis, nous verrons probablement le contraire, et les réductions des taux de natalité seront permanentes. Pourquoi? Parce que la vaccination des jeunes était un crime. Ce n’était pas une erreur. Permettez-moi de ne pas expliquer pourquoi, dans cet article.

Des crimes comme celui-ci ne sont PAS perpétrés pour obtenir une baisse des taux de natalité pendant seulement deux mois. Les criminels de cette trempe, qui ont administré à des jeunes des vaccins dont ils n’avaient pas besoin, pour des raisons sordides, ne font pas de quartier. Bien sûr, toutes les personnes participant aux campagnes de vaccination n’avaient pas des intentions aussi sinistres. Mais il est possible que certaines personnes au sommet aient eu des motivations criminelles qu’elles n’ont pas révélées.

Encore une fois, j’espère que le paragraphe précédent se révélera infondé. J’étais, et je suis toujours, opposé à tout ce qui se passe, je ne soutiens rien de ce qui se passe à Taïwan, et je suis très inquiet.

Le temps nous le dira.

Ils nous ont dit que c’était sûr

Cette vérification des faits du 5 décembre 2020 indique que le vaccin est sans danger pour la grossesse « car il n’y a pas de preuve qu’il soit dangereux ». Aucun essai spécifique relatif à la grossesse et à la fertilité n’a été mené. Ils nous ont simplement menti en disant que le vaccin était sûr, mais ils n’avaient aucun moyen de le savoir.

Dites-nous ce que vous pensez, dans la section des commentaires!


Texte original

Depopulation of Taiwan

Birth Rate Dropped by 23% in ONE YEAR — And it is NOT Covid

Igor Chudov

Jun 26

This is a continuation of my post from yesterday about a massive 13% decline in births in Germany. Such a decline is a nine-sigma event, meaning that it is so unlikely to occur by chance, that it would naturally happen as rarely as an asteroid striking the Earth.

(Dramatic Decline in Births in Germany)

My article explored several more locales (UK, North Dakota, and Switzerland).

But no other place stands out as much as Taiwan does.

23% Drop in Birth Rate in Taiwan

According to a Taiwan government report, the birth rate dropped by 23.24% in May 2022, compared to May 2021.

I inputted historical birth rate data from Macrotrends for the years 2009-2021, and added the year 2022 as year 2021 adjusted down by 23.24%. Obviously, 2022 is not over and the number of Taiwanese babies to be born this year (or during the next 12 months) is unknown. So the chart below is an illustration of what would happen in the next 12 months if the 23.24% drop stays constant.

When expressed in “sigmas”, units of standard deviation, the 23.24% drop in the birth rate in Taiwan is a 26-sigma event!

This is can be described as “unimaginable” in terms of the likelihood of happening due to random chance.

The Wolfram-Alpha illustration of likelihood by sigma only goes to ten-sigma. They thought that it would be pointless to show more sigmas. Except a 26-sigma drop in birth rate just happened in Taiwan.

What Happened In Taiwan?

Health experts are quick to blame Covid for all sorts of health problems afflicting those they advised to vaccinate. It is not the vaccine, they say, it is Covid. We tried to protect you with the vaccine, they would always insist. But you got Covid anyway, thanks to the evil antivaxxers, and your problems are due to Covid — that’s their explanation.

We know for certain, though, that the drop in birth rate in Taiwan is NOT due to Covid. Yes, Taiwan is suffering from a terrible COVID pandemic right now (despite being 91% vaccinated), however, Covid in Taiwan only started around April 21 of 2022, and could not impact May birth rates much.

To see what could cause the extreme drop in births, go back 9 months from May 2022, so to September 2021.

Taiwan was a poster child for successful vaccination. 91% of all Taiwanese residents received a vaccine dose. By October 1, 2021, 56% of ALL people of Taiwan received Covid vaccines.

They got a fairly usual mix of “safe and effective” AstraZeneca, Moderna, and Pfizer vaccines.

People of Taiwan got their shots, felt assured that Covid-19 stops with every vaccinated person, and moved on with their lives.

I doubt that the people of Taiwan noticed anything at the end of September. They knew for sure that their vaccines were safe and effective and would not affect their sperm or pregnancies. So they proceeded with family plans just as before, trying to make babies on purpose, or partying and having fun and getting pregnant accidentally, just as people do elsewhere.

Except for 9 months later, they only gave birth to 77% of the number of babies expected.

I hope that the people of Taiwan will start asking their authorities: what is happening to us?

A Glimmer of Hope

If you are like me, and you like babies, children, and grandchildren, you are probably upset by now and are wondering what will happen to all of us. Let me mention a possibility that, although unlikely in my opinion, may make this drop in birth rates temporary.

Covid vaccines are known to “disrupt the menstrual cycle” and lower sperm counts. It is possible that some women, for a period of several months, could not conceive and become pregnant due to these disruptions. Because all Taiwanese women were vaccinated at almost the same time, those disruptions created a precipitous drop in birth rates.

My hope, as someone who likes people, is that this will turn out to be the case. However, in my opinion, we will likely see the opposite, and reductions in birth rates will be permanent. Why? Because vaccinating young people was a crime. It was not a mistake. Let me not explain why, in this article.

Crimes like this are NOT perpetrated to achieve a two-month drop in birth rates. Criminals of such nature who gave young people shots that they did not need, for sinister reasons, go for the jugular. Of course, not all people participating in vaccination campaigns were having such sinister intentions. But it is possible that some persons on top had criminal motives that they did not disclose.

Again, I hope that the preceding paragraph will turn out to be unfounded. I was, and am, against any of that happening, do not support anything that is happening in Taiwan, and I am very worried.

Time will tell.

They Told Us it is Safe

This fact check from Dec 5, 2020 says that the vaccine is definitely safe for pregnancy “because there is no evidence that it is unsafe”. No trial specifically for pregnancy and fertility was conducted. They just lied to us that it is safe — but had no way of knowing.

Let us know what you think, in the comments section!

Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne

Ça doit venir de la météo

Igor Chudov

25 juin

On observe en Allemagne une curieuse baisse des naissances au premier trimestre 2022, totalement incompatible avec leur bilan des dernières années.

Baisse sans précédent des naissances au premier trimestre. Les années précédentes, le taux des naissances était tout à fait constant, même les confinements de 2020 n’ont eu aucune conséquence notable. Une explication possible ici.

Bizarre, non?

Heureusement, le gouvernement allemand obsédé par les vaccins, a déjà la réponse: il affirme que les gens ont déjà tellement d’enfants qu’ils n’en veulent plus.

D’un autre côté, on a vu une augmentation siginficative des naissances en 2021, moment auquel de nombreux parents ont concrétisé leur désir d’avoir un enfant. Il n’existe aucune corrélation avec la vaccination Covid, qui n’a été proposée presque exclusivement qu’aux personnes âgées au printemps 2021.

Ça paraît logique, non?

Mais à quel point faut-il être débile pour gober ça?

Étrangement, le gouvernement allemand n’a pas encore accusé le réchauffement climatique. [NdT. ce sera chose faite deux jours après cet article, ce que ce cher Igor couvre dans le quatrième article de cette série]

Les bébés nés au premier trimestre 2022 ont été conçus au deuxième trimestre 2021. Voici un graphique pour la BELGIQUE (pas l’Allemagne) de Our World in Data [Notre Monde en Données]. (Désolé, l’Allemagne ne figure pas dans cet ensemble de données). La flèche montre la vaccination des 18-24 ans et des 25-49 ans.

Les 18-49 ans ont été largement vaccinés au deuxième trimestre (jusqu’à 30 %) et ont continué à l’être rapidement au troisième trimestre. Le gouvernement allemand se montre donc assez flexible par rapport à la vérité.

Dakota du Nord – Même chose, autre lieu

Notre lecteur Biswrest nous a signalé un équivalent très inattendu de l’Allemagne : le Dakota du Nord. Regardez ce qui s’est passé là-bas. Selon les rapports de données provisoires pour 2021-2022:

Royaume-Uni : baisse de 10%

Taiwan: baisse de 23%

Selon le rapport du gouvernement taïwanais sur les ménages.

9 442 bébés sont nés en mai 2022, soit une baisse de 23,24 % par rapport au même mois de l’année précédente. La moyenne a montré qu’un bébé est né environ toutes les 4,7 minutes. Le taux brut annuel de natalité était de 4,79‰.

Suisse

La question la plus importante

Si c’est ce qui arrive au premier trimestre en Allemagne après qu’une MINORITÉ de 18-49 ans ait été vaccinée au deuxième trimestre 2021, que se passera-t-il au cours des trimestres suivants? Le taux de natalité va-t-il encore baisser?


Texte original

Dramatic Decline in Births in Germany

Must be the weather

Igor Chudov

Jun 25

Germany is experiencing a strange decline in births in the first quarter of 2022, totally inconsistent with their experience in recent years.

Strange, right?

Fortunately, the vaccine-crazy German government already has the answer: it says people had so many children already, that they no longer want any.

Makes sense, right?

Just how stupid does one have to be to believe any of this?

Strangely enough, the German government did not yet blame global warming.

Babies born in Q1 2022, were conceived in Q2 or 2021. Here’s a chart for BELGIUM (not Germany) from Our World in Data. (Sorry, Germany is not in that data set). The arrow show vaccination of 18-24 and 25-49 year olds.

18-49 year olds were substantially vaccinated in Q2 (up to 30%) and then continued to be rapidly vaccinated in Q3. So the German govt is a bit liberal with the truth here.

North Dakota — Same Stuff, Different Place

Our reader Biswrest pointed out a most unlikely counterpart to Germany — North Dakota. Look what happened there. Per Provisional Data Reports for 2021-2022:

UK: 10% Decline

Taiwan: 23% Decline

Per taiwan government household report.

Switzerland

Most Important Question

If this is happening in Q1 in Germany after a MINORITY of 18-49 yo were vaccinated in Q2 2021, what will happen in subsequent quarters? Will the birth rate decline even further?

Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile – par El Gato Malo.

Préambule

Cinq articles à la suite (dont trois de Igor Chudov) concernant la fertilité des parents et la santé des enfants, quatre sous l’angle de leur santé physique et un sur le plan éducationnel et mental. Je pourrais y ajouter celui-ci, qui liste un certain nombre de morts « inexpliquées » d’enfants vaccinés – mais j’ai mes limites question temps.

Le premier article ci-dessous est de El Gato Malo, qui expose très bien les faits mais a un peu de mal avec l’intention. Comme je le prédisais au début de la « vaccination », il est plus rentable pour réduire la population de stériliser que d’éliminer, l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre: les bébés qui ont quand même réussi à naître, contre l’avis de Pfizer et des autorités de régulation des médicaments, auront ensuite à affronter, après les hépatites fulgurantes, les infections respiratoires aigües.

L’autre procédé connexe, qui est de pourrir au maximum la vie des candidats parents par la guerre, la pauvreté, la disette/famine, et le grand classique qui consiste à mettre les gens à la rue – ce à quoi s’emploient méthodiquement quelques gouvernements européens, notamment Belgique et France – se montre assez efficace, exception faite des éternels assistés professionnels, qui continuent dans tous les contextes à produire en série des enfants dont ils n’ont ni l’intention ni la compétence de s’en occuper. Ceux-ci iront contribuer à saturer le réseau de placement, plongé aujourd’hui, comme tant d’autres, dans un état de chaos indescriptible, considérablement aggravé par les conséquences des confinements – évidemment.

Tout ceci nous pousse donc inexorablement vers une situation similaire à certains pays du tiers-monde (à titre indicatif, la population totale en Afrique – donc les naissances moins les décès – augmente de un million tous les 23 jours, explosion démographique actuellement impossible à gérer avec les seules ressources du continent). La solution du réseau mondialiste, comme préconisée depuis des décennies par son leader Henry Kissinger, consistera à leur couper l’aide alimentaire, sous le prétexte courant de guerre en Ukraine/mauvaises récoltes/rupture des réseaux d’approvisionnement, et bien entendu, du manque de pétrole, qui sert en ce moment à tout, sur tous les continents, notamment de justification sourde à la grande opération de « dépopulation » en cours. J’ai trouvé à ce sujet des articles qui expliquent calmement que c’est pour nous éviter le pire – guerres civiles et diverses formes de violences post-apocalyptiques hollywoodiennes – qu’on prévoit de nous « réduire » avant la pénurie totale d’énergie. Vous pourrez lire ici qu’il s’agit en fait d’un acte de compassion des maîtres de ce monde envers le troupeau, avant le grand changement tant attendu, dont se félicite ici une dame qui se nomme Christyl Rivers, porteuse d’un Doctorat en Ecopsychologie (?).

A ce propos, je traiterai ensuite brièvement la situation énergétique – avec un article qui ne fait pas la promotion de l’euthanasie planétaire – après quoi je me lance comme promis et assez logiquement dans l’analyse du grand projet de destruction artificielle du climat par géoingénierie, point de bascule programmé de cette civilisation. Pour notre bien, toujours.

Pendant ce temps, comme vous pourrez encore le lire dans les articles de cette (relativement) courte série et dans les nombreux autres que j’ai publiés récemment, la stérilisation va déjà bon train dans les pays riches, selon une stratégie identique à celle employée au Kenya par l’OMS/UNICEF via vaccins anti-tétaniques au βhCG – on ne change pas une équipe qui gagne. Vous pouvez regarder le documentaire sur Children Health Defence. Il n’est qu’en anglais pour le moment mais je suis certain que quelqu’un se dévouera pour le sous-titrer.

Je n’écris pas ce dimanche l’article promis ici – j’ai oublié mes notes au boulot. De toute manière, j’ai assez de mauvaises nouvelles à annoncer pour occuper mon week-end et vous à lire pour tenir la semaine.

Note: les « cygnes noirs » (black swans) désignent en anglais un événement imprévisible ou imprévu, qui a généralement des conséquences extrêmes. C’est assez d’actualité, en effet.

Source.


Traduction

Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile

Encore un cygne noir qui fait office de canari dans une mine de charbon?

El Gato Malo

30 juin

Il y a tellement de « cygnes noirs » ces derniers temps qu’on pourrait se demander si les cygnes blancs ne se sont pas éteints.

Et en voici d’autres, cette fois en provenance d’Australie qui, par une heureuse symétrie métaphorique, est le pays d’où viennent les véritables cygnes noirs.

Hélas, celui-ci semble être d’une race beaucoup, beaucoup plus méchante.

Quelque chose semble se passer très, très mal ICI.

Des « bébés de la pandémie » sans immunité se retrouvent en soins intensifs partout en Australie pour des maladies respiratoires.
Augmentation du nombre de « bébés de la pandémie » non immunisés admis en soins intensifs
Les enfants présentent des « co-infections » au Covid et à d’autres maladies respiratoires.
Le VRS (virus respiratoire syncytial) tue 120.000 jeunes enfants chaque année dans le monde.
Les cas en Nouvelle-Galles du Sud ont explosé, passant de 355 par semaine il y a seulement trois semaines à 3.775 par semaine.
Il n’existe pas de vaccin contre le VRS, mais ses symptômes sont presque identiques à ceux de la grippe et du Covid.

Un nombre inquiétant de « bébés de la pandémie », non immunisés contre les virus respiratoires, se retrouvent gravement malades en soins intensifs.

Les médecins ont révélé que les enfants nés pendant la pandémie de Covid-19 ont besoin de soins intensifs « parce qu’ils sont confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés auparavant », comme la grippe, le VRS et le Covid.

Les enfants sont nés et ont grandi alors qu’il n’y avait pratiquement aucun autre virus en circulation en Australie, à part le Covid-19.

Le Dr Philip Britton, pédiatre spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital pour enfants de Westmead, a déclaré qu’une analyse des admissions dans les unités de soins intensifs montre que les bébés sont testés positifs pour la grippe et le Covid en même temps.

« Au cours du dernier mois ou à peu près, nous avons constaté quatre fois plus d’admissions d’enfants à l’hôpital pour la grippe que pour le Covid », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

5% des bébés qui ont à la fois le Covid et la grippe se retrouvent aux soins intensifs. C’est un chiffre terrifiant.

Et cela aboutit à une explosion de pathologies graves chez des bébés chez lesquels on ne s’attendrait pas à les voir:

Environ la moitié des enfants n’avaient aucun problème de santé préexistant, et le nombre élevé d’admissions met le système hospitalier sous pression.

Certains des « bébés de la pandémie » présentent une inflammation de la poitrine, du cerveau et du cœur causée par la grippe, le Covid et le VRS.

Le VRS – virus respiratoire syncytial – est une cause majeure d’infections pulmonaires chez les enfants et peut entraîner une pneumonie ou une bronchiolite, particulièrement dangereuse chez les jeunes nourrissons.

Dans les cas graves, les bébés et les jeunes enfants, dont les minuscules voies respiratoires ne sont pas encore complètement formées et qui ont du mal à faire face à l’infection, peuvent en mourir.

« Parmi les enfants qui se portaient bien jusqu’à présent… Il ne s’agit pas seulement d’une infection thoracique, certains d’entre eux peuvent être touchés par la grippe au niveau du cœur et du cerveau », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

Une alerte au VRS a été lancée il y a trois semaines alors qu’il n’y avait que 355 cas par semaine en Nouvelle-Galles du Sud, mais trois semaines plus tard, ce chiffre est passé à 3.775 en une semaine.

Environ un cinquième de ces enfants ont développé une bronchiolite potentiellement mortelle, et 40% d’entre eux ont été hospitalisés.

Il est possible, voire plausible, de voir des bébés sur-isolés à la fonction immunitaire affaiblie, mais le fait qu’ils soient colonisés par plusieurs virus à la fois d’une manière différente de tout ce que j’ai jamais observé auparavant (bien que cela soit complexe et peut-être une fonction des tests comme cela A ÉTÉ DISCUTÉ (bien qu’il s’agisse des voies inférieures et non supérieures)) semble plus cohérent avec une suppression immunitaire, et non avec un problème de développement, d’autant plus que ce problème d’isolement n’est ni nouveau ni localisé, contrairement à ces conséquences.

A peu près personne n’a eu la grippe et le Covid en même temps. Le Covid était un facteur de concurrence virale massive.

Et soudain, ces bébés sont infectés par 2 ou 3 virus à la fois (peut-être rares, peut-être pas bien testés auparavant), mais surtout, on observe un pic important du taux de soins intensifs.

Essayer de mettre cela sur le compte du « confinement » est une explication totalement insatisfaisante. Si c’était le cas, pourquoi cela ne s’est pas produit il y a un an?

Hum, que s’est-il passé au moment précis où ces bébés ont été conçus ou au cours de leur premier trimestre [de gestation], qu’aucun autre bébé avant eux n’avait connu?

Pour savoir ce qui a touché les bébés nés au premier et au deuxième trimestre de 2022, examinons la période allant du deuxième trimestre de l’année dernière à aujourd’hui, en nous concentrant sur le troisième trimestre.

(Il s’agit d’une vaccination complète, la première dose a été administrée environ 6 semaines plus tôt, nous sommes donc juste sur la cible pour les naissances actuelles jusqu’aux enfants de 6 mois).

Ce vaccin a été fortement conseillé aux femmes enceintes.

Et il n’a pas vraiment été testé au préalable.

Soyons parfaitement clairs: il s’agit d’une hypothèse et la corrélation ne prouve PAS la causalité (il est également possible que ces données soient exagérées). Mais il ne serait pas sage d’ignorer une telle corrélation, surtout quand on sait déjà que les vaccins Covid présentent une forte affinité avec les ovules et le sperme et qu’ils ont des effets sur la fertilité.

(Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme) [NdT. ma traduction ici]

Nous ne cherchons pas ici à établir des associations au hasard, nous avons une raison a priori de suspecter certains résultats et les affirmations selon lesquelles « ces vaccins sont sans danger pour les femmes enceintes » se sont révélées dangereusement infondées. Nous avons constaté des niveaux élevés de fausses couches qui, comme tant d’autres choses qui ont fini par se produire, étaient qualifiées d' »impossibles ».

Nous assistons également à une chute très inquiétante des taux de natalité mondiaux, particulièrement marquée au premier trimestre 2022, exactement au moment où l’on s’y attendrait s’il s’agissait d’une suppression de la fertilité par les vaccins.

L’association de ces deux problèmes suggère l’existence d’un lien.

Et si les vaccins peuvent affecter les spermatozoïdes, les ovules et les taux de natalité, ils peuvent aussi affecter les bébés.

Les données sont encore circonstancielles et quelque peu disparates, mais elles sont également frappantes. Les confinements n’expliquent pas cela, pas plus que le Covid passé.

C’est un indicateur majeur d’infertilité. Le PREMIER rapport sur le taux de natalité en Allemagne depuis le début du déploiement. Souvenez-vous que les données sur le taux de natalité arrivent avec 9 mois de retard. Si c’est pire au prochain trimestre, on est dans un scénario à la « Children of Men ».

(SOURCE)

Nouveau tableau du taux de natalité. Excepté davantage d’évolution négative en rouge depuis le début de l’année 2022, j’ai ajouté un nouveau tableau pour les pays qui ne publient pas de données mensuelles/trimestrielles mais que certaines régions publient, ce qui permet de faire une estimation.
La Suisse doit être un des pays les plus pollués sur la planète, vu la chute drastique récente de leur taux de natalité.
Les chiffres des naissances vivantes en Suisse, de 2016 à avril 2022. Les lignes graphiques correspond à la prise de produits injectables au cours de 2021, par groupe d’âge. Les barres rouges correspondent aux naissances vivantes jusqu’à ce jour, en 2022. Le décalage par rapport à la période de vaccination maximale est de neuf mois.

Nous avons affaire dans de nombreux endroits à un événement sigma à deux chiffres [NdT. tout événement extrêmement rare, au-delà du sixième écart-type d’une distribution normale, est appelé événement six-sigma; la probabilité qu’un tel événement se produise est d’environ [2* 10^(-9)], soit deux fois sur un milliard] , ce qui est censé être impossible, même une seule fois. Que ça se produise une douzaine de fois, c’est comme réussir un yahtzee 1.000 fois de suite. [NdT. un yahtzee se produit lorsque les cinq dés sont identiques]

Cela implique un facteur externe largement répandu, nous essayons juste d’établir ce qu’il est.

Nous savons que ces vaccins sont immuno-suppresseurs et qu’ils provoquent toutes sortes de problèmes de ce type et de fixation immunitaire chez les personnes vaccinées. Ces mêmes effets pourraient-ils passer de la mère à l’enfant et être à l’origine du phénomène du « bébé de la pandémie »?

Cela semble très possible.

Je n’irais certainement pas jusqu’à dire que c’est prouvé, mais il y a beaucoup de données convaincantes qui émergent de ces deux sources: la biologie et l’expérience sociétale statistique.

Les données du deuxième trimestre devraient nous en apprendre beaucoup plus (il est probable que nous devions également être très sélectifs par rapport au type de vaccin dans le cadre de cette analyse, car je sais que c’est un problème au niveau de l’ARNm, mais je n’en suis pas sûr pour les vaccins à adénovirus comme ceux d’AZ ou de JnJ, et je doute que ce soit un problème pour ceux qui utilisent un virus réel). [Ndt. cet article en anglais désigne pourtant la protéine de pointe comme élément constant des effets secondaires de tous les vaccins]

Un aspect inquiétant de ce problème est que ces types de maladies ont tendance à apparaître d’abord dans l’hémisphère sud. C’est actuellement l’hiver chez eux et leurs variants et leur évolution virale ont tendance à précéder et à se répandre dans le nord à la saison suivante (ce qui est utilisé dans la conception des vaccins contre la grippe).

Ils sont une sorte de canari dans la mine de charbon respiratoire.

Et cet oiseau n’a pas l’air en bonne santé.

Peut-être que c’est idiosyncratique ou mal rapporté, mais regardons les choses en face, les cygnes noirs se multiplient comme des lapins.

Ce qui signifie qu’on est dans une situation lapineuse.

Je n’irais pas jusqu’à dire que nous savons avec certitude de quoi il s’agit, mais cette question mérite une enquête sérieuse et MAINTENANT.

Le fait que ceci ne soit pas considéré comme une urgence absolue par toutes les agences de santé mondiales m’aurait complètement effaré il y a trois ans. Aujourd’hui, cela semble tout à fait normal.

Ce n’est pas une bonne normalité à laquelle on devrait s’acculturer.

C’est le genre de travail qui aurait dû être effectué bien avant de lancer un vaccin (et qui l’aurait toujours été par le passé). Cela est triplement vrai pour un vaccin dont la méthode d’action est aussi nouvelle.

Le fait que la question puisse même se poser est une condamnation sévère de l’ensemble du processus d’approbation et de commercialisation des médicaments (et des confinements).

On continuera à se faire maltraiter jusqu’à ce qu’on arrive à soustraire la politique de la science.

Vous n’en avez pas encore eu assez?


Commentaire de Igor Chudov sur cet article:

Un article génial! Les nouveau-nés ne sont jamais exposés à aucune maladie puisqu’ils viennent de naître. L’explication officielle « c’est à cause des confinements » n’a aucun sens puisque les bébés étaient de toute façon confinés DANS LA MATRICE.

Nous devons donc chercher ailleurs. Par exemple, dans les SYSTEMES IMMUNITAIRES INCAPACITÉS des nouveaux-nés, qui ont été incapacités parce que leurs mères ont été vaccinées et boostées avec le Covid Vaxx.

Le Covid Vaxx n’a jamais été testé sur les femmes enceintes.

Le réchauffement climatique sera-t-il l’explication officielle? Attendez, c’est déjà le cas!

https://igorchudov.substack.com/p/nejm-global-warming-causes-stillbirths [NdT. ma traduction ici]


Texte original

covid vaccines and immune suppression in babies: fertile ground for inquiry

another black swan playing canary in a coal mine?

el gato malo

Jun 30

there have been so many “black swans” lately that one might be forgiven for wondering if the white ones have gone extinct.

and here come some more this time from australia which, in a pleasing metaphoric symmetry, is from whence actual black swans hail.

alas, this one looks to be a much, much nastier breed.

something appears badly, badly wrong HERE

A concerning number of ‘pandemic babies’ with no immunity to respiratory viruses are ending up seriously ill in ICU.

Doctors have revealed children born during the Covid-19 pandemic are requiring intensive care ‘from encountering viruses they haven’t come across before’, such as influenza, RSV and Covid.

The children had been born and raised when there were virtually no other viruses circulating in Australia, other than Covid-19.

The Children’s Hospital at Westmead infectious diseases paediatrician Dr Philip Britton said an analysis of ICU admissions across shows babies are testing positive for influenza and Covid at the same time.

‘Over the last month or so, we have seen four times the admissions to hospital for flu in children as for Covid,’ Dr Britton told The Daily Telegraph.

a full 5% of babies that get both covid and flu are landing in the ICU. that’s a terrifying number.

and it’s exploding into severe pathologies in the sort of babies in which one would not expect to see it:

About half of the children had no pre-existing health conditions, with the elevated number of admissions putting pressure on the hospital system.

Some of the ‘pandemic babies’ are presenting with inflammation of the chest, brain and heart caused by influenza, Covid, and RSV.

RSV – respiratory syncytial virus – is a major cause of lung infections in children and can lead to pneumonia or bronchiolitis, which is particularly dangerous in young infants.

Severe cases can kill babies and toddlers, whose tiny airways have not yet fully formed and who struggle to cope with the infection.

Among that group who are previously well … It’s not just a chest infection, some of these children can be impacted with the flu affecting the heart and the brain,‘ Dr Britton told The Daily Telegraph.

A warning was sounded about RSV three weeks ago when there were just 355 cases a week in NSW, but three weeks later that has rocketed up to 3,775 in a week. 

Around a fifth of those developed the potentially lethal bronchiolitis, with 40 per cent of them ending up in hospital.

over-isolated babies with lower immune function is possible, even plausible, but seeing them get colonized by multiple viruses at once in a manner unlike any i’ve seen before (though this is complex and possibly a function of testing as come HAVE ARGUED (though this is lower not upper tract)) seems more consistent with immune suppression, not failure to develop especially as this isolation issue is neither new nor localized, but this outcome is.

more or less no one got flu and covid at the same time. covid was a massive viral outcompete.

and suddenly, these babies are getting 2 and 3 viruses at once (possibly rare, possibly not well tested for previously) but more importantly, seeing a big spike in ICU rate.

trying to blame this on “lockdown” is a deeply unsatisfying explanation. if this were so, why did it not happen a year ago?

hmm, what was going on right around when these babies were conceived or in their first trimesters that no other babies before had experienced?

to be affecting babies born in q1-2 of 2022, we’re looking at the span from q2 last year to now with special focus on q3.

(this is full vaxx, first dose trended about 6 weeks earlier so we are right over the target here for current births to 6 mo olds)

this was pushed hard on pregnant women.

and it was not really tested beforehand.

let’s be very clear: this is a hypothesis and correlation does NOT prove causality. (it’s also possible this data is exaggerated) but, you’d be unwise to simply ignore a correlation like this, especially when we already know that covid vaccines were showing strong affinity for eggs, sperm, and having fertility effects.

(pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors)

we’re not randomly mining for association here, we have an a priori reason to suspect outcomes and the claims that “these vaccines are safe for pregnant women” have proven dangerously unfounded. we’ve seen high levels of miscarriage that, like so many things that turned out to happen here, were called “impossible.”

we’re also seeing a deeply unsettling drop in global birth rates that is hitting hard in Q1 2022, right where one would expect it if it were vaccine fertility suppression driven.

these two issue arising together are suggestive of linkage.

and if vaccines can affect sperm and eggs and birth rates, they can affect babies too.

the data is still circumstantial and somewhat patchwork, but it’s also stark. lockdowns did not do this and neither did past covid.

(SOURCE)

this is a double digit sigma event in many places. that’s basically supposed to be all but impossible even once. to happen a dozen times is like rolling yahtzee 1,000 times in a row.

it means there is a widespread external driver, we’re just trying to ascertain what it is.

we know these jabs are immuno-suppressive and are causing all manner of issues in the vaxxed along these lines and around immune fixation. could these same effects pass from mother to child and be driving the “pandemic baby” phenomenon?

it seems very possible.

i certainly would not call it proven, but there is quite a lot of provocative data coming from both directions: biology and statistical societal experience.

Q2 data should show us a great deal more. (we likely also need to be highly selective by vaccine type as we look at this as i know this is an issue for mRNA, but am not sure on the adenovirus vaxxes like AZ or JnJ and doubt it’s an issue in any using actual virus.)

a worrying aspect of this is that these sorts of disease issues tend to appear in the southern hemisphere first. it’s currently winter there and their variants and viral evolution tend to lead and spread to the north next season. (this gets used in flu vaxx design)

they are a sort of canary in the respiratory coal mine.

and this bird is not looking healthy.

maybe it’s idiosyncratic or misreported, but let’s face it, black swans are multiplying like rabbits.

and that means something bunny is going on here.

i would not go so far as to say that we know for sure what it is, but this issue warrants serious inquiry and NOW.

the fact that this is not an all hands on deck emergency at every global health agency would have shocked me to the bone 3 years ago. now it just seems par for the course.

that is not a good normal to which to acculturate.

this is the sort of work that should have been done LONG before going wide with a vaccine (and always would have in the past). this is triple true of one with such a novel method of action.

the fact that this is even a question is a nasty indictment of this whole drug approval and marketing process. (and for lockdowns)

the beatings will continue until you get politics out of science.

had enough yet?

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid! – par Igor Chudov.

Encore un article amusant et instructif (comme les jeux de mon enfance) d’Igor Chudov, qui n’est pas médecin comme je l’avais erronément écrit précédemment, mais journaliste – mes excuses. Il commence d’ailleurs à jouir d’une certaine notoriété à cet égard – aux Etats-Unis, je suis à ma connaissance toujours le seul à le publier en français – entièrement méritée à mon avis.

Concernant le contenu de son article: ce bon Dr Fauci a-t-il vraiment reçu quatre injections, a-t-il vraiment contracté le Covid et s’est-il vraiment traité au Paxlovid? No lo sè. Si ce n’est pas le cas, ça serait un coup de relations publiques, dont l’objectif serait soit d’offrir une porte de sortie, loin de la foule déchaînée, à quelqu’un qui a de bonnes raisons de vouloir échapper à l’examen de ses pairs, et des quelques mécontents de l’opération Sars-Cov-2, soit de normaliser l’absurdité du processus vaccin>maladie>boosters>re-maladie>antiviral>re-re-maladie>re-antiviral-etc. – c’est-à-dire de ce que le grand public est censé juger « normal ». De la science, quoi. A ce propos, une petite anecdote: je suis au garage moto cet après-midi et j’entends un vieux monsieur expliquer que sa belle-fille est « prise des bronches » (belgicisme, il me semble) mais que le docteur a dit qu’il est heureux qu’elle soit vaccinée, sinon ça aurait été pire. Voilà le résultat de deux ans et demi de propagande ininterrompue. Ce brave homme, qui n’a vraisemblablement jamais entendu parler ni de Fauci, ni de la FDA, récite fidèlement leur mantra débile – à la dame au comptoir, qui n’avait pas non plus l’air très en forme…

Quoiqu’il en soit, que l’histoire de Fauci soit vraie ou non, ça fait tellement plaisir de voir se défaire un peu la tête de ce monstre glauque qu’il ne faudrait pas bouder son plaisir.

Je suis avec un article du Dr Paul Alexander, un auteur sur Substack habituellement assez indigeste – il se répète quinze fois par article et semble s’adresser à un lectorat d’analphabètes – qui pour une fois se lâche un peu et balance à tout va. Il nous expliquera en quoi vont consister les quelques années à venir… Et il le tient de fonctionnaires de la Santé Publique.

Note: les articles qui figurent en lien dans l’historique sont tous en anglais. Si ça intéresse quelqu’un de les lire traduits, faites signe.

Source.


Traduction

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid!

Il fallait s’y attendre

Igor Chudov

29 juin

Je ne suis pas le premier sur Substack à écrire à ce sujet, mais je voulais en parler vu que j’ai écrit quelques articles sur le Paxlovid.

Le Dr Fauci a reçu deux doses de booster. Ses quatre doses de vaccins sûrs et efficaces ne l’ont bien sûr pas empêché d’attraper le Covid. Confronté à une infection au Covid, il a pris du Paxlovid et a sincèrement cru qu’il s’en sortirait.

Regardez-le se donc vanter du succès de son vaccin et du Paxlovid:

Fauci affirme qu’il a survécu à sa sévère infection Covid uniquement grâce à sa quadruple injection: « Je pense que si ce n’était pas le cas, je ne serais pas en train de vous parler avec une aussi bonne mine. »

Devinez quoi? Le Paxlovid n’aura pas marché pour le Dr Fauci. Après s’être senti bien pendant quelques jours, il subit maintenant un rebond de son infection Covid.

Le Dr Anthony Fauci déclare qu’il a connu un rebond des symptômes du Covid après avoir pris un antiviral de Pfizer, le Paxlovid, dont les études montrent maintenant qu’il n’est PAS efficace pour les personnes vaccinées.
Le Dr Anthony Fauci a déclaré qu’il en était à sa deuxième cure de Paxlovid après avoir été à nouveau testé positif au Covid-19.
Selon les propres données de Pfizer, le médicament est limité dans ses capacités à combattre le Covid-19 chez une personne vaccinée.
En mai 2022, les CDC ont émis un avertissement sur le risque de symptômes de rebond du Covid-19 après la prise de Paxlovid.
L’avertissement a noté qu’aucun des cas de rebond signalés n’a vu les patients souffrir d’un cas grave de Covid-19, bien que Fauci ait décrit ses symptômes comme étant « bien pires ».
Une étude de l’UC de San Diego a révélé que les patients qui présentaient des symptômes de rebond du Covid souffraient du fait que le Paxlovid n’atteignait pas suffisamment de cellules infectées.
Lors de la même conférence où il a annoncé le rebond, Fauci a appelé à une campagne nationale de vaccination « agressive ».

Il se sent  » bien plus mal  » en phase de rebond qu’en phase initiale. Voilà pour ce qui est du fait que le Paxlovid atténue le Covid!

Dans l’annonce de son rebond du Covid, Fauci a déclaré que ses symptômes étaient bien pires après avoir été testé positif pour la deuxième fois.

Et que fait-il maintenant? Il prend ENCORE PLUS de Paxlovid – un deuxième traitement, pour être exact. Et ce, malgré le fait que la FDA, l’agence de son propre gouvernement, fait tout pour discréditer les personnes qui font un rebond sous Paxlovid et ne recommande pas de second traitement. Peu importe, le Dr Fauci est manifestement au-dessus des recommandations de la FDA.

Si nous croyons quoi que ce soit de ces nouvelles, et je comprendrais que certains de mes abonnés s’y refusent, le rebond de Fauci sous Paxlovid indiquerait que

  1. Fauci est réellement vacciné
  2. Fauci ne prend pas d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine, qui n’occasionnent pas de rebond.

Historique de quelques articles sur le Paxlovid

Mon premier article a fait beaucoup de bruit.

Brian Mowrey a expliqué en quoi le Paxlovid est un bouton SNOOZE [NdT. le bouton « veille » sur les réveille-matin] biomoléculaire, et non un bouton STOP.

J’ai allégué que Pfizer savait que le Paxlovid n’était pas efficace chez les personnes vaccinées, car Pfizer a EXCLU les personnes vaccinées de son essai EPIC-SR à mi-parcours.

La FDA a ignoré la souffrance des victimes du Paxlovid telles que le Dr Fauci et a discrédité ceux qui ont souffert d’un rebond, en disant qu’elles ne représentent que 1 à 2% des cas (mais oui, c’est ça).

J’ai dénoncé le Paxlovid comme étant le nouveau modèle commercial frauduleux de Pfizer (qui en vend de plus en plus alors qu’il ne fonctionne pas et fait croire à ces personnes qui répandent le COVID qu’elles vont bien) et j’ai expliqué que la FDA et Pfizer mentaient sur le taux de rebond, qui était plutôt de 12%, même pour les personnes non vaccinées.

Enfin, une étude scientifique réalisée en Israël a montré que le Paxlovid ne fonctionne absolument PAS chez les personnes vaccinées, ce qui explique clairement pourquoi Pfizer ne voulait pas les inclure dans les essais cliniques.

Pfizer a finalement reconnu sa défaite et admis que le Paxlovid ne fonctionne pas chez les patients à risque standard.

Mais, avec l’audace qui le caractérise, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré que la moitié des gens sont « à haut risque », et que Pfizer continuera donc à promouvoir ce médicament de charlatans auprès de patients vaccinés et confiants, qui ne se doutent de rien.

Un deuxième traitement au Paxlovid?

Le Dr Fauci fait quelque chose que la FDA n’a jamais recommandé: prendre un deuxième traitement de Paxlovid. Cela fonctionnera-t-il? Pour répondre à cette question, rappelez-vous que le Paxlovid est un bouton SNOOZE. Tout ce qu’il fait c’est d’empêcher une certaine enzyme « protéase » de cliver les brins d’ARN viraux pendant 5 jours, ce qui interrompt l’infection.

Le Paxlovid a fonctionné chez la plupart des personnes non vaccinées dont le système immunitaire fonctionnait encore et restait capable de monter une réponse appropriée au Sars-Cov-2 en cinq jours, ce qui permettait de neutraliser le rebond dans 88% des cas.

Cependant, les personnes vaccinées ont connu beaucoup plus de rebonds, du fait que leur réponse biologique n’était pas assez rapide pour réagir après la fin du SNOOZE de cinq jours du Paxlovid.

La solution du Dr Fauci est d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « snooze » du Paxlovid, ce qui rapporte 530 dollars de plus à Pfizer. Si son système immunitaire, endommagé par la quadruple vaccination, est incapable de former une réponse dans les cinq jours suivants, il pourrait connaître un DEUXIÈME REBOND. Fauci est en territoire inconnu, car à ma connaissance, deux traitements au Paxlovid avec un rebond entre les deux n’ont jamais été essayés sur personne.

Il faut savoir que le Paxlovid est composé de deux éléments assez toxiques – le ritonavir et le nirmatrelvir – et qu’en prenant un double traitement, Fauci risque une toxicité hépatique, ainsi que d’autres toxicités. A l’âge de 81 ans, deux traitements de Paxlovid pourraient se révéler trop lourds pour lui.

Dans tous les cas, Anthony Fauci a déjà réussi à transformer son infection d’une semaine en une infection de trois semaines, grâce au Paxlovid.

J’espère que Pfizer accordera au moins une remise au Dr Fauci. Ils lui doivent bien ça.


Texte original

Dr Fauci’s Paxlovid Rebound!

It was Expected to Happen

Igor Chudov

Jun 29

I am not the first on Substack to write about this, but I want to discuss it since I wrote a few articles on Paxlovid.

Dr. Fauci is double boosted. The four doses of safe and effective vaccines, of course, did not prevent him from catching Covid. Facing a Covid infection, he took Paxlovid and sincerely believed that he would be alright.

Watch him brag about the success of his vaccine and Paxlovid:

Guess what? Paxlovid did not work for Dr. Fauci. After feeling fine for a few days, he is now having a rebound of his Covid infection.

He is feeling “much worse” during the rebound than he felt in the beginning. So much for saying that Paxlovid makes Covid milder!

And what is he doing now? Taking MORE Paxlovid — a second course, to be exact. This is despite the agency of his own government, FDA, gaslighting Paxlovid rebounders and not recommending a second course. Never mind, Dr. Fauci is obviously above FDA’s recommendations.

If we believe any of this news, and I would understand if some of my subscribers did not, Fauci’s Paxlovid rebound makes it very likely that

  1. Fauci is actually vaccinated
  2. Fauci is not taking Ivermectin or hydroxychloroquine, which do not give rebounds

History of Some Paxlovid Articles

My first article started quite a bit of noise.

Brian Mowrey explained how Paxlovid is a biomolecular SNOOZE button, not a STOP button.

I alleged that Pfizer knew that Paxlovid did not work in vaccinated people, because Pfizer KICKED OUT vaccinated people out of its EPIC-SR trial midstream.

FDA dismissed the suffering of Paxlovid victims like Dr. Fauci and gaslit the rebounders, saying they are only 1-2% of cases (yeah right).

I exposed Paxlovid as a new dishonest business model for Pfizer (selling more and more of it as it fails to work and makes people COVID spreaders thinking they are fine) and explained that FDA and Pfizer were lying about the rebound rate, which was more like 12% even for unvaccinated people.

Finally, a scientific study from Israel illustrated that Paxlovid totally does NOT work in vaccinated people, making it obvious why Pfizer did not want them included in clinical trials.

Pfizer finally admitted defeat and acknowledged that Paxlovid does not work in standard-risk patients.

But, with characteristic chutzpah, Pfizer CEO Albert Bourla declared that half of all people are “high risk”, so Pfizer will still push this snake oil medication onto unsuspecting trusting vaccinated patients.

Second Course of Paxlovid?

Dr. Fauci is doing something that the FDA never recommended — he is taking another course of Paxlovid. Will it work? To answer this question, remember that Paxlovid is a SNOOZE button. It simply stops a certain “protease” enzyme from cleaving viral RNA strands for 5 days, thus suspending infection.

Paxlovid worked in most unvaccinated people whose immune systems still functioned and could mount a proper response to Sars-Cov-2 in five days, thus quashing the rebound in 88% of cases.

However, vaccinated people had many more rebounds, because they did not have a biological response quick enough to respond after the five-day SNOOZE from Paxlovid ended.

So, Dr. Fauci’s solution is to press the Paxlovid snooze button again, giving Pfizer another $530. If his immune system, damaged by quadruple vaccination, is unable to form a response in yet five more days, he may end up having a SECOND REBOUND. Fauci is in uncharted territory, because to my knowledge, two Paxlovid courses with a rebound in between, were never tried on anybody.

Be aware that Paxlovid is made of two somewhat toxic components — ritonavir and nirmatrelvir — and by taking a double course, Fauci risks liver toxicity and other toxicity. Being 81 years old, two courses of Paxlovid may be too much for him.

In any case, Anthony Fauci already managed to turn his one-week infection into a three-week infection, thanks to Paxlovid.

I hope that Pfizer at least gives Dr. Fauci a discount. They owe him one.

Quand vous entendrez BNT162c(2), courez, ne marchez pas, COUREZ – par Jessica Rose.

Note: je n’ai pas trouvé l’acronyme officiel français de l’ARN auto-amplifiant (ou auto-réplicatif), du fait que tous ceux qui publient sur le sujet dans notre langue – comme ce journaliste belge dans cet article – utilisent le terme anglophone. Je le désigne donc empiriquement dans ma traduction par ARNaa. Si vous savez, faites un commentaire, merci.

Je n’ai pas inclus la photo de Jello Biafra de l’article original, vu que c’est une des rares fautes de goût de Jessica que je voulais absolument épargner à mes lecteurs.

Source.


Quand vous entendrez BNT162c(2), courez, ne marchez pas, COUREZ.

Il est déjà en phase « d’essais » cliniques

Jessica Rose

19 juin

Veuillez consulter le document intitulé:  » INVESTIGATOR’S BROCHURE BNT162/PF-07302048  » daté du 12 août 2020.

Il y a environ six mois, je pense, j’étais assise virtuellement en face d’une chercheuse canadienne qui développait une nouvelle technologie appelée ARN auto-amplifié (ARNaa). Si vous voulez, vous pouvez regarder cette interview ici. Mes hôtes sont des gens charmants. À l’époque, j’ai eu du mal à écouter ma co-interviewée parce que a) j’étais elle autrefois et b) je connais les dangers associés à ce qu’elle développe. A mon avis, elle, non.

J’ai revisionné cette interview en écrivant ces lignes et elle est bonne. A quel point suis-je diplomate?

« Pourquoi les meilleures solutions et avancées, sont-elles jetées dans les pires mains possibles? », Jello Biafra. On m’a envoyé une vidéo faite par Jello qui montre qu’il s’est complètement vendu. Comme c’est triste de voir mes héros tomber un par un. Qu’est-il arrivé au punk?

On prétend donc que cet ARN messager auto-amplifiant est génial car il faut en injecter moins. Mais voici le problème: il code pour sa propre enzyme réplicase – elle fabrique des copies de l’ARN (quel qu’il soit) une fois à l’intérieur des cellules. Cela vous semble-t-il problématique? A moi, oui. Et voici pourquoi. Si les autres gènes de l’ARNm codent pour des protéines destructrices (comme l’ARNm modifié de la protéine de pointe du SARS-nCoV-2), alors… d’une part, comment sera-t-il jamais possible d’arrêter ces ARN auto-amplifiants? Les réplicases sont-elles autolimitées ?

Si vous voulez mon avis, les personnes qui développent et promeuvent cette technologie ne se préoccupent que du profit, du « coût » et de la dose initiale. Ils prétendent que l’apparition d’événements indésirables est proportionnelle à la dose initiale d’ARN. Hmm. Anna affirme dans l’interview que les perturbations du cycle menstruel induites par les produits injectables COVID-19 à ARNm sont temporaires et peuvent également être provoquées par des infections virales. Elle affirme également que les personnes vaccinées ne contracteront pas de COVID-19 grave dans le cadre d’une hospitalisation. Vraiment? Ce point m’a échappé dans l’interview. Elle était à peu près sûre de ce fait que puisque vu que la plupart des personnes en Israël ont reçu des injections, cela expliquait pourquoi la majorité des hospitalisations dues au COVID-19 concernaient des injectés. Mais alors, si les injections étaient censées réduire la gravité, pourquoi se retrouveraient-ils à l’hôpital?

Sur l’ARNaa

Comme nous le savons tous maintenant, l’ARN messager contenu dans les produits COVID-19 Pfizer/BioNTech et Moderna est le mode de transmission de l’information permettant aux cellules de notre corps de fabriquer des tas et des tas de protéines de pointe modifiées. C’est ce que ces gens appellent maintenant l’ARNm « conventionnel ».(1) Eh bien! Ça n’aura pas traîné. Maintenant c’est une CONVENTION? Ah ouaaaaaaaaaaaaaaaais, d’accooooooord.

Vous voyez la partie surlignée en vert? C’est le code des gènes nsP1-4 qui suivent la traduction in situ et forment un complexe ARN polymérase dépendant (RdRP), ce qui entraîne l’accumulation d’antigènes dans la cellule. Les protéines non structurelles 1, 2, 3 et 4 (nsP1-4) sont essentielles à l’activité réplicative car elles forment le complexe RdRP.(2) L’ARNm modifié « conventionnel » n’est pas réplicatif car il ne comprend pas de RdRP (les RdRP prennent des morceaux d’ARN et en font des copies). Ces enzymes sont très spécifiques de l’ARN. Les UTRs [untranslated region – région non-traduite] aident à maintenir cette spécificité. Apparemment, aucune RdRP humaine n’en est capable pour les ARN conventionnels. En revanche, les ARNaa se répliquent. Et apparemment, encore une fois, le RdRP qui l’accompagne est le seul à permettre à ce phénomène de se perpétuer. La poule et l’œuf?

Voici quelques sources d’information sur cette technologie.(3) (4) (5) (6) (7) (8) (9)

Revenons au document. Veuillez passer à la page 13.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 13.

Cet ARNaa était donc prévu au programme depuis le début. Ils n’ont même pas anticipé la possibilité que l’ARNm « conventionnel » puisse être un échec, parce que, si c’était le cas, imaginez à quel point cela nuirait au calendrier! Et devinez quoi, il est en train d’être testé en ce moment.

Que voulez-vous parier que les participants à ces essais n’ont AUCUNE idée qu’on leur injecte de l’ARN auto-amplifiant? Cette étude est en cours, avec une date d’achèvement primaire « estimée » à avril 2023 (date finale de collecte des données pour le critère d’évaluation primaire).

  • Le BNT162c2 sera administré selon un schéma Primaire/Boost (P/B). Le vaccin BNT162c2 sera également administré selon un schéma à dose unique (SD).
  • Expérimentation : BNT162c2 (P/B) – Partie A 18-55 ans
  • Niveaux de dose croissants
  • Intervention: Biologique: BNT162c2.
  • Le critère d’évaluation principal se situe 21 jours après l’injection.
  • Inscription réelle (soumise: 12 janvier 2022): 512
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/record/NCT04380701?view=record

Il y a deux choses que je trouve complètement insensées:

  1. Que je n’ai pas entendu parler du fait que les RNAaa sont déjà en cours d’essai et
  2. Qu’on ne trouve aucune mention des ARNm auto-amplifiants dans la fiche technique de l’essai clinique. Il y a cependant une très longue liste de critères d’exclusion et une clause de consentement éclairé qui en fait partie.

Critères d’inclusion: Avoir donné son consentement éclairé en signant le formulaire de consentement éclairé (FCE) avant le début de toute procédure spécifique à l’essai.

Que voulez-vous parier que ce document à signer ne disait rien des ARN auto-amplifiants?

J’ai fait le rapprochement aujourd’hui en ouvrant le document FOIA joint en haut de cet article. Le 9 juin 2022 (il y a 10 jours), j’ai reçu un e-mail adressé à Robert Malone et à moi-même pour savoir ce qu’était le « BNT162c2 ». J’ai répondu à l’expéditeur que je n’en avais jamais entendu parler auparavant et Robert nous a renseigné sur l’essai clinique dont l’identifiant sur ClinicalTrials.gov est: NCT04380701.

Mais je ne savais toujours pas ce que c’était. Peut-être avait-il une NPL différente? Non, pas du tout.

C’est un type de technologie complètement différent. Encore une fois.

Quel est l’antigène codé? On ne vous le dira pas! Mais on va insister pour qu’on vous l’injecte. Sinon, vous êtes privé de soupe.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf Page 18.

Même s’il existe des études évaluées par des pairs sur cette technologie, je ne saurais trop insister sur ce point: NOUS AVONS BESOIN DE DONNÉES À LONG TERME QUAND IL S’AGIT DE NOUVELLES TECHNOLOGIES. Pas 21 jours. Pas 365 jours. Nous avons besoin de plusieurs années. Nous ne sommes PAS dans une situation d’urgence et, par conséquent, nous avons le temps pour étudier attentivement et correctement la sécurité et l’efficacité de la technologie ARNaa. Comme nous aurions dû le faire depuis le début avec notre technologie ARNm devenue « conventionnelle » comme par magie.

Excusez-moi, je dois inclure cette capture d’écran. C’est trop magnifique. C’est tellement sûr. Injectez-moi tout de suite. Hé minute, je ne vois plus rien! Tout est devenu noir! Un peu comme la partie censurée des données de sécurité du produit. (Désolée pour cet humour très noir. Désolée. J’ai pas pu m’empêcher, encore une fois.)

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 62.

Oh, et ils mentionnent dans la section 7.2 Posologie et mode d’administration, que « le vaccin ne doit pas être injecté dans des zones où pourrait se trouver un tronc nerveux important ». Ok. C’est bon à savoir.

Et ceci m’a littéralement fait RIRE AUX ECLATS. Voyez donc.

7.11.2 Résultats non-cliniques à noter

Tous les candidats vaccins non cliniques et cliniques testés étaient immunogènes à hautement immunogènes dans les modèles non cliniques. Les données disponibles démontrent que BNT162b1, BNT162b2, BNT162b3 et BNT162c2 sont capables d’induire des réponses immunitaires robustes chez les souris, (sauf pour BNT162c2) les rats et les primates non humains.

Pourquoi ont-ils inclus BNT162c2 dans cette liste si elle n’y figure pas? Ou bien voulaient-ils dire pour les rats, et non pour les souris?

Donc, lorsque vous commandez un cheeseburger, parce que vous aimez le fromage, et qu’il est livré sans fromage, que vous vous plaignez, qu’on vous hurle que « cheeseburger » n’est qu’un mot et n’a rien à voir avec le fait qu’un hamburger ait du fromage, que faites-vous? Même logique, n’est-ce pas?

Si nous n’avons pas encore appris à ce jour qu’il faut faire preuve de prudence avec les thérapies génétiques, alors, vous savez quoi? Je ne sais même plus quoi dire.

Démence:
le fait de répéter sans cesse les mêmes actes en attendant des résultats différents.
  1. Bloom, K., van den Berg, F. & Arbuthnot, P. Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases. Gene Ther 28, 117–129 (2021). https://doi.org/10.1038/s41434-020-00204-y.
  2. Kääriäinen L, Ahola T. Functions of alphavirus nonstructural proteins in RNA replication. Prog Nucleic Acid Res Mol Biol. 2002;71:187–222.
  3. Maruggi, G., Ulmer, J. B., Rappuoli, R., & Yu, D. (2021). Self-amplifying mRNA-Based Vaccine Technology and Its Mode of Action. Current topics in microbiology and immunology, 10.1007/82_2021_233. Advance online publication. https://doi.org/10.1007/82_2021_233.
  4. Brito, L. A., Kommareddy, S., Maione, D., Uematsu, Y., Giovani, C., Berlanda Scorza, F., Otten, G. R., Yu, D., Mandl, C. W., Mason, P. W., Dormitzer, P. R., Ulmer, J. B., & Geall, A. J. (2015). Self-amplifying mRNA vaccines. Advances in genetics, 89, 179–233. https://doi.org/10.1016.
  5. Geall, A. J., Verma, A., Otten, G. R., Shaw, C. A., Hekele, A., Banerjee, K., Cu, Y., Beard, C. W., Brito, L. A., Krucker, T., O’Hagan, D. T., Singh, M., Mason, P. W., Valiante, N. M., Dormitzer, P. R., Barnett, S. W., Rappuoli, R., Ulmer, J. B., & Mandl, C. W. (2012). Nonviral delivery of self-amplifying RNA vaccines.
  6. McKay, P. F., Hu, K., Blakney, A. K., Samnuan, K., Brown, J. C., Penn, R., Zhou, J., Bouton, C. R., Rogers, P., Polra, K., Lin, P., Barbosa, C., Tam, Y. K., Barclay, W. S., & Shattock, R. J. (2020). Self-amplifying RNA SARS-CoV-2 lipid nanoparticle vaccine candidate induces high neutralizing antibody titers in mice. Nature communications, 11(1), 3523. https://doi.org/10.1038/s41467-020-17409-9. (Notice the conflicts here.)
  7. Ballesteros-Briones, M. C., Silva-Pilipich, N., Herrador-Cañete, G., Vanrell, L., & Smerdou, C. (2020). A new generation of vaccines based on alphavirus self-amplifying RNA. Current opinion in virology, 44, 145–153. https://doi.org/10.1016/j.coviro.2020.08.003.
  8. Blakney, A. K., McKay, P. F., Hu, K., Samnuan, K., Jain, N., Brown, A., Thomas, A., Rogers, P., Polra, K., Sallah, H., Yeow, J., Zhu, Y., Stevens, M. M., Geall, A., & Shattock, R. J. (2021). Polymeric and lipid nanoparticles for delivery of self-amplifying RNA vaccines. Journal of controlled release : official journal of the Controlled Release Society, 338, 201–210. https://doi.org/10.1016/j.jconrel.2021.08.029. (Notice the conflicts here.)
  9. Lundstrom K. (2020). Self-Amplifying RNA Viruses as RNA Vaccines. International journal of molecular sciences, 21(14), 5130. https://doi.org/10.3390/ijms21145130.

When you hear BNT162c(2), run, don’t walk, RUN away.

It’s already in the clinical ‘trials’

Jessica Rose

June 19

Please head to the document entitled: “INVESTIGATOR’S BROCHURE BNT162/PF-07302048” dated August 12, 2020.

About half a year ago, I suppose, I virtually sat across from a Canadian researcher who was developing a new technology called self-amplifying RNA (saRNA). If you want, you can watch that interview here. My hosts are lovely people. At the time, I found it difficult to listen to my co-interviewee because a) I used to be her and b) I know the dangers associated with what she is developing. It is my opinion that she did not.

I revisited this interview whilst writing this and it is good. How frikkin’ diplomatic am I?

“Why do the best solutions and advances, get thrown away into the worst possible hands?” Jello Biafra. I was sent a video made by Jello showing that he has completely sold out. How very sad how my heroes fall one-by-one. What happened to punk?

So the claim is that this self amplifying messenger RNA is awesome because you need to inject less of it. But here’s the thing: it encodes its own replicase enzyme – it makes copies of the RNA (whatever it is) once inside the cells. Does that sound problematic to you? To me, it does. And here’s why. If the other genes in the mRNA encode destructive proteins (like the modified mRNA of the SARS-nCoV-2 spike protein), then… for one, how will it ever be possible to turn off these self-amplifying RNAs? Are the replicases self-limiting?

If you ask me, the people developing and promoting this technology are concerned only about profit, ‘cost’ and initial dose. They claim that adverse event occurrences are proportional to the initial dose of RNA. Hmm. Anna claims in the interview that the menstrual cycle disruptions induced by the COVID-19 mRNA injectable products are temporary, and can also be brought on by viral infections. She also claimed that the vaccinated people won’t get severe COVID-19 in the context of hospitalization. Really? I missed out on that point in the interview. She was pretty sure that since most of the people in Israel had been injected, that this would explains why the majority of COVID-19 hospitalizations were in the context of the injected. But then, if the shots were meant to reduce severity, why would they ending up in the hospital?

On saRNA

So as we all know by now, the messenger RNA in the COVID-19 Pfizer/BioNTech and Moderna products, is the mode of delivery of information for the cells in our bodies to make lots and lots of modified spike proteins. That’s what these folks are now calling ‘conventional’ mRNA.(1) Well now! That was fast. Now it’s a CONVENTION? Aaaaaaaaaaalrightttttttyyyyy thennnn.

So do you see the highlighted bit in green? That’s the code for nsP1-4 genes that following in situ translation that form an RNA-dependent RNA polymerase (RdRP) complex resulting in accumulation of antigen within the cell. The nonstructural proteins 1, 2, 3, and 4 (nsP1-4) are essential for replicon activity as they form the RdRP complex.2 The ‘conventional’ modified mRNA is non-replicative because it does not include an RdRP (RdRPs these take pieces of RNA and make copies of it). These enzymes are very specific to the RNA. The UTRs help to maintain this specificity. Apparently, no human RdRP can do this for the conventional RNAs. The saRNAs do replicate, however. And apparently, again, the RdRP that comes with it, is the only one that will allow this to perpetuate. Chicken and an egg?

Here are a few sources of information about this technology.(3) (4) (5) (6) (7) (8) (9)

Onto the document. Please skip ahead to page 13.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 13.

So this saRNA has been on the schedule the whole time. They didn’t even anticipate the possibility that the ‘conventional’ mRNA would be a failure, because, if it was, imagine how bad that would be for the schedule! And guess what, it’s being trialed now.

What do you want to bet that those trial participants have NO IDEA that they are being injected with self-amplifying RNA? This study is active with ‘estimated’ primary completion dateApril, 2023 (final data collection date for primary outcome measure).

  • BNT162c2 will be administered using a Prime/Boost (P/B) regimen. The vaccine BNT162c2 will also be administered using a Single dose (SD) regimen.
  • Experimental: BNT162c2 (P/B) – Part A 18-55 years of age
  • Escalating dose levels
  • Intervention: Biological: BNT162c2.
  • The primary endpoint is 21 days post injection.
  • Actual Enrollment (submitted: January 12, 2022): 512
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/record/NCT04380701?view=record

I find two things to be insane:

  1. That I haven’t heard that the saRNAs are already being trialed and
  2. That there is no mention of self-amplifying mRNAs in the clinical trial data sheet. There is, however, a very long exclusion criteria list and an informed consent clause as part of it.

Inclusion criteria: Have given informed consent by signing the informed consent form (ICF) before initiation of any trial-specific procedures.

What do you want to bet that this document that required signing said nothing of self-amplifying RNAs?

I put this together today when I opened up the FOIA document attached at the top of this article. I had received an email on June 9th, 2022 (10 days ago) that was addressed to myself and Robert Malone as to what the ‘BNT162c2’ was. I had told the addresser that I hadn’t heard of it before and Robert pointed us both to the clinical trial with ClinicalTrials.gov Identifier: NCT04380701.

But, I still didn’t know what it was. Maybe it had a different LNP? Nope.

It’s a completely different type of technology. Again.

What’s the encoded antigen? We’re not going to tell you! But we are going to insist that you get injected with it. Or, no soup for you.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf Page 18.

Even though there are peer-reviewed studies on this technology, I cannot stress this point enough: WE NEED LONG TERM DATA WHEN IT COMES TO NEW TECH. Not 21 days. Not 365 days. We need years. We are NOT in an emergency and therefore, we have the time to explore the safety and efficacy of saRNA technology carefully and properly. Like we should have been doing the whole time with our now magically ‘conventional’ mRNA tech.

Sorry, I have to include this screenshot. This is just too precious. It’s so safe. Just inject me now. Wait, I can’t see! Everything turned black! Kind of like the safety data redaction for the product. (Sorry for the very dark humor. Sorry. I did it again.)

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 62.

Oh and they mention in section 7.2 Posology and method of administration, that ‘the vaccine should not be injected into areas where there may be a major nerve trunk’. Ok. Good to know.

And this literally made me LAUGH OUT LOUD. Look at this.

7.11.2 Non-clinical findings of note

All tested non-clinical and clinical vaccine candidates were immunogenic to highly immunogenic in non-clinical models. The available data demonstrate that BNT162b1, BNT162b2, BNT162b3, and BNT162c2 are capable of inducing robust immune responses in mice, (except for BNT162c2) rats and NHPs.

Why would they include BNT162c2 in this list if it’s not in the list? Or did they mean for the rats, and not the mice?

So when you order a cheeseburger, because you love cheese, and it comes without cheese on it and you complain, they yell at you that ‘cheeseburger’ is just a word and had nothing to do with a burger having cheese on it, what are you to do? Same logic, yeah?

If we have not learned yet that we need to be cautious with gene-based therapies, then, you know what? I just don’t know what to say.

  1. Bloom, K., van den Berg, F. & Arbuthnot, P. Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases. Gene Ther 28, 117–129 (2021). https://doi.org/10.1038/s41434-020-00204-y.
  2. Kääriäinen L, Ahola T. Functions of alphavirus nonstructural proteins in RNA replication. Prog Nucleic Acid Res Mol Biol. 2002;71:187–222.
  3. Maruggi, G., Ulmer, J. B., Rappuoli, R., & Yu, D. (2021). Self-amplifying mRNA-Based Vaccine Technology and Its Mode of Action. Current topics in microbiology and immunology, 10.1007/82_2021_233. Advance online publication. https://doi.org/10.1007/82_2021_233.
  4. Brito, L. A., Kommareddy, S., Maione, D., Uematsu, Y., Giovani, C., Berlanda Scorza, F., Otten, G. R., Yu, D., Mandl, C. W., Mason, P. W., Dormitzer, P. R., Ulmer, J. B., & Geall, A. J. (2015). Self-amplifying mRNA vaccines. Advances in genetics, 89, 179–233. https://doi.org/10.1016.
  5. Geall, A. J., Verma, A., Otten, G. R., Shaw, C. A., Hekele, A., Banerjee, K., Cu, Y., Beard, C. W., Brito, L. A., Krucker, T., O’Hagan, D. T., Singh, M., Mason, P. W., Valiante, N. M., Dormitzer, P. R., Barnett, S. W., Rappuoli, R., Ulmer, J. B., & Mandl, C. W. (2012). Nonviral delivery of self-amplifying RNA vaccines.
  6. McKay, P. F., Hu, K., Blakney, A. K., Samnuan, K., Brown, J. C., Penn, R., Zhou, J., Bouton, C. R., Rogers, P., Polra, K., Lin, P., Barbosa, C., Tam, Y. K., Barclay, W. S., & Shattock, R. J. (2020). Self-amplifying RNA SARS-CoV-2 lipid nanoparticle vaccine candidate induces high neutralizing antibody titers in mice. Nature communications, 11(1), 3523. https://doi.org/10.1038/s41467-020-17409-9. (Notice the conflicts here.)
  7. Ballesteros-Briones, M. C., Silva-Pilipich, N., Herrador-Cañete, G., Vanrell, L., & Smerdou, C. (2020). A new generation of vaccines based on alphavirus self-amplifying RNA. Current opinion in virology, 44, 145–153. https://doi.org/10.1016/j.coviro.2020.08.003.
  8. Blakney, A. K., McKay, P. F., Hu, K., Samnuan, K., Jain, N., Brown, A., Thomas, A., Rogers, P., Polra, K., Sallah, H., Yeow, J., Zhu, Y., Stevens, M. M., Geall, A., & Shattock, R. J. (2021). Polymeric and lipid nanoparticles for delivery of self-amplifying RNA vaccines. Journal of controlled release : official journal of the Controlled Release Society, 338, 201–210. https://doi.org/10.1016/j.jconrel.2021.08.029. (Notice the conflicts here.)
  9. Lundstrom K. (2020). Self-Amplifying RNA Viruses as RNA Vaccines. International journal of molecular sciences, 21(14), 5130. https://doi.org/10.3390/ijms21145130.

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes – par El Gato Malo.

Un peu de science statistique pour les nuls – dont je fais partie.

Vous connaissez un couple de personnes « vaccinées » qui ont fait un enfant depuis leur injection?

Moi, non.

Source.


Traduction

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes

Les chiffres vraiment intéressants se trouvent peut-être dans les valeurs aberrantes

el gato malo

19 juin

Il s’agit d’un suivi de cet article. [NdT. ma traduction ici]

Merci de lire les deux documents conjointement.

Dans le monde bourdonnant de la recherche, on n’a jamais l’occasion de faire tout ce qui serait pertinent. On passe à côté de certaines choses, puis, une fois qu’on les perçoit, on s’exclame « aha! », lorsque quelqu’un nous les indique et que cela nous donne une nouvelle idée.

C’est pour cette raison qu’il est payant d’avoir des copains perspicaces comme le gatopal™ [NdT. le copain de l’auteur el gato, donc] de longue date et le puits de données israélien Ran Israeli.

Les implications de cette découverte sont assez saisissantes car la médiane et la moyenne peuvent être deux choses TRÈS différentes.

Médiane
– Le prix auquel la moitié des maisons vendues dans toute zone donnée en un mois était inférieur et l’autre moitié supérieur
– Considérée comme la donnée la plus utile dans le domaine des prix
Moyenne
– Somme totale des prix divisée par le nombre de maisons
– Le prix moyen de ces 11 maisons était de 498.000$

J’aimerais amplifier cette idée et l’appliquer à la question qui nous occupe:

Disons que nous avons 10 personnes ayant chacune un TMC de 10.

La moyenne est de 10, tout comme la médiane.

Les deux sont interchangeables dans une population homogène.

Mais considérons maintenant une population avec une valeur aberrante:

9 personnes ont un TMC de 10, une en a un qui tombe à zéro.

La moyenne tombe maintenant à 9 (baisse de 10%).

Mais la médiane est toujours de 10.

Si celle d’une deuxième personne tombe à zéro, la moyenne est maintenant de 8 (baisse de 20%).

La médiane est toujours de 10.

(ce serait à peu près la même ampleur et le même résultat que ce que montre l’étude).

Alors, à laquelle voulez-vous faire confiance pour une étude de résultats médicaux?

La médiane donne l’impression que rien ne s’est passé.

Mais 1 personne sur 5 a vu sa motilité totale tomber à zéro. Elle a été stérilisée.

C’est un facteur de risque un peu trop énorme pour être ignoré.

Aucune des deux mesures, la moyenne ou la médiane, ne peut tout révéler, mais il est bien connu que les médianes ne parviennent pas à donner une représentation des sous-ensembles de valeurs aberrantes. C’est d’ailleurs un peu pour ça qu’on les utilise. Mais ça les rend également inadaptées aux études sur les effets secondaires des médicaments, car tout ce qui affecte moins de la moitié de la cohorte n’est pas pris en compte.

Ce qui fait beaucoup de choses laissées de côté.

Ce dont nous avons vraiment besoin, ce sont des données sur les résultats individuels. Sur la base de cette divergence moyenne/médiane, je parie qu’elles nous montreront une baisse importante chez quelques personnes sans que la majorité soit affectée.

Nous verrons 20 à 40% du groupe subir une suppression profonde et durable, tandis que le reste subira un impact transitoire moins important.

Si un homme sur cinq ou deux sur cinq subissent une baisse importante et durable de leur TMC (baisse de 50 à 100%), on a affaire à un profil d’effets secondaires extrêmement lourd. (4 hommes sur 10 avec une baisse de 50% ont le même effet sur la moyenne que 2 hommes sur 10 avec une baisse de 100%).

Ceci soulève également un certain nombre de questions sur la possibilité et l’ampleur de l’altération d’autres fonctions testiculaires (comme la production de testostérone), qui méritent d’être étudiées.

Ce sont des questions très importantes, surtout s’il s’agit d’un problème auto-immun plutôt que d’une simple toxicité, car il pourrait alors être irréversible ou cumulatif selon le nombre de doses supplémentaires.

Ce sont des informations dont nous avons grandement besoin dans le domaine public pour prendre des décisions judicieuses en matière de santé publique.

En accord avec Ran, j’aimerais demander à ces chercheurs de publier les données complètes afin de nous permettre de faire notre propre évaluation à ce sujet.


Texte original

additional take on the israeli sperm count data

the really interesting issues may be in the outliers

el gato malo

june 19

this is a follow up piece to this one.

please read the 2 in conjunction.

in the swarm-sourced research world, you never get to do all the smart things. you miss stuff and then, once you see it, say “aha!” once someone shows it to you and it spurs you on to new thought.

and this is why it pays to have perceptive pals such as longtime gatopal™ and israeli data-maven ran israeli.

the implications of this finding are quite striking because median and average can be VERY different things.

i’d like to amplify it and apply it to the matter at hand:

let’s say we have 10 people each with a TMC of 10.

the average is 10. so is the median.

the two are interchangeable in a homogeneous population.

but now consider a population with an outlier:

9 have a TMC of 10, one drops to zero.

average now drops to 9 (10% drop).

but median is still 10.

drop a second person to zero, and average is now 8 (20% drop).

median is still 10.

(this would be about the same magnitude and outcome as the study shows)

so which do you want to trust for a medical outcomes study?

  • median makes it look like nothing happened.
  • but 1 in 5 people had their total motility count drop to zero. they were sterilized.
  • that’s a helluva risk factor to ignore.

no measures, avg or median can tell you everything, but medians notoriously fail to capture subsets of outliers. that’s actually kind of why one uses them. but it also makes them inapt for studies of side effects in drugs as anything affecting fewer than half the cohort gets missed.

and that’s an awful lot to leave unexamined.

what we really need to see are the individual outcomes data. based on this avg/media divergence, i will wager it’s going to show us a severe drop in a few people that did not affect most.

we’ll see 20-40% of the group get deeply and durably suppressed while the rest experienced some lesser impact transitorily.

if somewhere on the order of 1 in 5 and 2 in 5 males are seeing severe, durable drops in TMC (50-100% drop), that’s a massive side effect profile. (4 in 10 dropping 50% has the same effect on the avg as 2 in 10 dropping 100%)

it also raises a number of questions about whether and to what extent this could be impairing other testicular function (like testosterone production) and this warrants study.

these are very important questions, especially if this is an autoimmune issue rather than just toxicity as that could well be irreversible and or cumulative with further dosing.

this is information we badly need in the public domain to make sound public health decisions.

in line with ran, i’d like to ask these researchers to release the full data so that we can make an assessment on that.

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme – par El Gato Malo.

« Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels. »

Premier article de deux, par El Gato Malo, qui sera suivi par un article signé Jessica Rose (déjà publiée sur ce blog) sur une nouvelle plateforme, l’ARN auto-amplifiant, qui induit les mêmes effets en pire. L’auteur implique ici que ces effets sont le fruit d’un manque de vigilance. Ni moi, ni la majorité de ses lecteurs – et sans doute des miens – ne le croyons.

C’est entièrement prémédité.

Source.


Traduction

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme

Une étude israélienne révèle des effets durables

el gato malo

19 juin

L’une des grandes méprises initiales concernant les vaccins à ARNm était qu’ils n’auraient pas d’effets généralisés et systématiques, mais resteraient plutôt relativement localisés. Cette idée a rapidement été démentie et les premières études ont montré une pénétration généralisée dans les organes, avec une prédilection particulière et certainement regrettable à se concentrer dans les ovaires et les testicules. (Ceci a été découvert précocement au Japon, puis nié avec véhémence par des armées de « vérificateurs de faits », avant d’être corroboré par les propres documents de Pfizer obtenus par le biais de la FOIA [NdT. Freedom of Information Act – en français, loi d’accès à l’information, voir sur Wiki] et de poursuites judiciaires).

Ces médicaments à ARNm sont largement systémiques et se concentrent (entre autres) dans les organes reproducteurs et leurs effets sur les cycles menstruels sont largement documentés.

A la lumière de ce fait assez inquiétant (en particulier avec un composé à fort enrichissement en guanine-cytosine par rapport au virus réel et aux risques qui en découlent), je suis surpris qu’il n’y ait pas eu davantage d’études sur ce sujet.

Mais quelques-unes commencent à faire surface. Cette étude israélienne a été publiée il y a deux jours:

et les résultats sont, ben, dingues. (désolé) [NdT. « nuts » = testicules; jeu de mots intraduisible]

Il y avait de fortes raisons a priori de suspecter des effets, en particulier à la lumière de la prévalence plus élevée et plus persistante des protéines S induites par le vaccin par rapport à l’infection naturelle et de l’enrichissement en guanine-cytosine mentionné ci-dessus.

Au cours des premiers mois de la pandémie, les données concernant l’impact possible de Covid-19 sur la reproduction humaine étaient insuffisantes. Diverses cellules testiculaires, dont les cellules de Leydig, de Sertoli, les spermatogonies et les spermatozoïdes, expriment l’ACE2 et des protéases connexes résultant de la fusion virale 5, 6. Le dysfonctionnement induit par la tempête de cytokines, la régulation de l’autophagie et la barrière sang-testicule endommagée ont également été suggérés comme mécanisme pathogène possible pour les dommages testiculaires 7. Les rapports cliniques d’orchite, étayés par des résultats histologiques, ont mis en évidence l’implication des testicules 8, 9. Par conséquent, un impact négatif sur la spermatogenèse et la production de testostérone 10 semble être un résultat évident. On a évalué des donneurs de 3 banques de sperme sur une période longitudinale commençant avant le vaccin Pfizer et se poursuivant après.

L’étude a été réalisée et suivie selon la chronologie suivante autour de la vaccination.

  • T0 = base de référence pré-vaccination
  • T1 = 15-45 jours après
  • T2 = 75-120 jours après
  • T3 = 150+ jours après

Et à partir de là, des effets substantiels sur la concentration des spermatozoïdes et le nombre global de mobiles ont été découverts.

Les auteurs en tirent une série de conclusions:

Résultats
Des mesures répétées ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur T2 (CI -25,5 %-3,9 %, p = 0,01) entraînant une réduction du nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 % (CI -35 % – -6,6 %, p = 0,007) par rapport à T0. De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a entraîné des réductions de la concentration et du nombre total de spermatozoïdes mobiles (TMC) à T2 par rapport à T0 – baisse médiane de 12 millions/ml et 31,2 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement (p = 0,02 et 0,002 respectivement) lors de l’évaluation du premier échantillon et baisse médiane de 9,5 × 106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) lors de l’examen de la moyenne des échantillons. L’évaluation T3 a démontré une récupération globale. Le volume du sperme et la motilité des spermatozoïdes n’étaient pas altérés.

Et à partir de là:

Conclusions: La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de la baisse transitoire de la concentration du sperme et du TMC [NdT. total motile count- comptage des spermatozoïdes mobiles]. Le pronostic à long terme reste bon.

Je m’interroge pourtant sur cette affirmations et je crain qu’elle ne constitue un exemple du comportement consistant à « atténuer ou réfuter ses propres résultats dans le résumé afin de pouvoir les publier sans controverse massive« , comportement désormais trop courant dans les revues médicales et scientifiques qui refusent l’examen par les pairs lorsque leurs résultats semblent trop inquiétants s’ils sont énoncés clairement (mais qui permettent la publication de ces données dès lors qu’elles sont enfouies dans les suppléments et les annexes).

Pour cette raison, vous devriez toujours lire ces dépôts de données, car ils racontent souvent une histoire bien différente de celle du résumé.

Voici le tableau 2 de cette même étude. Vous ne remarquez rien?

J’ai du mal à voir comment on peut appeler ça un « rétablissement ».

Après le 150e jour, la concentration de spermatozoïdes était de -15,9 % par rapport à la ligne de base, plus faible encore que dans la période de 75 à 120 jours. Le temps moyen après la vaccination pour le prélèvement de T3 était de 174 +/- 26,8 jours, donc nous parlons de 6 mois après la vaccination sans aucune récupération de la concentration de spermatozoïdes.

Le nombre total de spermatozoïdes mobiles s’est légèrement rétabli par rapport à T2, mais il était encore inférieur de 19,4 % à la valeur de base, ce qui semble compenser quelque peu en volume ce qui est perdu en concentration.

Les deux résultats étaient statistiquement significatifs à un intervalle de confiance de 95% et ils étaient presque aussi significatifs à T3.

Il y a plus de 97% de chances que le chiffre de la TMC soit réel et non aléatoire.

Ce ne sont pas des probabilités à prendre à la légère.

Cela soulève de sérieuses inquiétudes pour un certain nombre de raisons:

  1. De toute évidence, il s’agit d’un impact significatif et imprévu qui a non seulement été loupé au cours des essais cliniques menés à la hâte, mais que les compagnies pharmaceutiques nous ont assuré être fondamentalement impossible et dont elles ont passé la majeure partie de l’année à nier l’existence avec véhémence.
  2. Cet effet semble durable pendant au moins 6 mois et, d’après ces données, on ne sait vraiment pas quand ni même si (ou dans quelle mesure) il s’atténuera.
  3. Le rôle des boosters n’est pas connu, mais il y a tout lieu de penser qu’ils auront des effets similaires et qu’ils prolongeront ou aggraveront cet effet.
  4. Même si cette condition s’atténue et que le TMC retourne à ses niveaux antérieurs avec le temps, cette échelle de temps semble assez longue. Elle est certainement supérieure à 6 mois. Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels.

Lorsqu’on se précipite pour commercialiser des vaccins, en particulier des vaccins utilisant une modalité entièrement nouvelle et mal comprise qui n’a jamais été approuvée ou même utilisée chez l’homme, on s’expose à toutes sortes de mauvaises surprises et celle-ci semble en être une de plus.

Et il est clair qu’elle a été loupée. Elle n’a même pas été mentionnée comme possibilité dans les procédures de la FDA dont j’ai connaissance.

Et c’est pour ÇA que le développement d’un vaccin s’étend généralement sur 5 à 10 ans, et non sur 5 à 7 mois.

Pour autant que je sache, on ne peut même pas encore exclure que ces effets soient permanents.

Et bien entendu, on n’a aucune idée de ce qu’ils peuvent provoquer chez les pré-adolescents ni de leurs impacts possibles sur leur développement sexuel normal et leur fertilité future.

Et pourtant, les États-Unis vont à l’encontre de la tendance de la plupart des pays européens et approuvent ces médicaments non seulement pour les jeunes et les personnes en bonne santé, mais aussi pour les enfants de 6 mois à 5 ans.

Nous n’avons pas non plus la moindre idée de l’effet de ces médicaments sur les ovaires et les ovules, car il est beaucoup plus difficile et invasif de les étudier (ils devront probablement être évalués par autopsie). Il s’agit là d’une autre analyse qui doit absolument être effectuée, car contrairement aux spermatozoïdes, les ovules ne se renouvellent pas, donc si on les endommage, c’est définitif.

Si l’on ajoute à cela les effets sur un développement normal, il faudra peut-être des décennies pour comprendre ce qui s’est passé.

Les gens ont par le passé fait confiance aux vaccins parce que ceux-ci étaient soumis à des tests sérieux et à long terme avant d’être commercialisés. Leur évaluation se mesurait en décennies, pas en mois, et même un nombre infime d’événements indésirables les faisait retirer du marché.

Profiter de cette confiance tout en abandonnant toutes les garanties qui l’ont permise relève du non-sens scientifique et d’une politique de santé publique encore pire.

Combien d’autres exemples de résultats imprévus devons-nous supporter avant que cette simple vérité ne soit acceptée?

Il y a maintenant un article complémentaire à celui-ci.

Vous pouvez le lire ici. [Ndt. ou ma traduction ici]


Texte original

pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors

israeli study shows persistent effects

el gato malo

June 19

one of the great early misapprehensions about mRNA vaccines is that they would not have widespread, systematic effects, instead remaining relatively localized. this was rapidly debunked and early studies showed widespread penetration of organs with a particular and perhaps unfortunate preference for concentration in ovaries and testes. (this was discovered early in japan, then denied vehemently by armies of “fact checkers” only to wind up proven in pfizer’s own documents gained through FOIA and lawsuit.)

these mRNA drugs are broadly systemic and concentrate in (amongst others) reproductive organs and effects on menstrual cycles are widely documented.

in light of this quite worrying fact (especially with a compound carrying high CG enrichment relative to actual virus and the attendant risks thereof) it has been surprising to me that there have no been more studies on this topic.

but a few are starting to emerge. this israeli study was published 2 days ago:

and the results are, well, nuts. (sorry)

there was strong a priori reason to suspect effects, especially in light of the higher and more persistent prevalence of vaccine induced S proteins vs natural infection and the CG enrichment issued mentioned above.

Over the first pandemic months, there was insufficient data regarding the possible impact of Covid-19 on human reproduction. Yet, it was clear it employs the Angiotensin-Converting Enzyme 2 (ACE2) receptor for cellular entry 3, 4.Various testicular cells including Leydig, Sertoli, spermatogonia and spermatozoa express ACE2 and related proteases resulting with viral fusion 5, 6. Cytokine storm-induced dysfunction, autophagy regulation and damaged blood-testis barrier were also suggested as possible pathogenic mechanism for testicular damage 7. Clinical reports of orchitis, supported by histological findings, further emphasized testicular involvement 8, 9. Therefore, detrimental impact on both spermatogenesis and testosterone production 10 seem an obvious outcome they evaluated donors from 3 sperm banks over a longitudinal period commencing before pfizer vaccine and following up after.

the study was performed and followed up according to the following timeline around vaccination.

  • T0 = pre vaxx baseline
  • T1 = 15-45 days post
  • T2 = 75-120 days post
  • T3 = 150+ days post

and from this, substantial effects on sperm concentration and overall motile count were discovered.

the authors draw a set of conclusions from this:

and from this state:

Conclusions: Systemic immune response after BNT162b2 vaccine is a reasonable cause for transient semen concentration and TMC decline. Long-term prognosis remains good

but i am left wondering about these claims and fear they may provide an example of the sort of “nerf or refute your own findings in the abstract so that we can publish this without massive controversy” behavior that has become all too common in medical and scientific journals who withhold peer review from those whose findings look too worrying if stated plainly. (but that will often let such data out if buried deep in supplements and appendixes)

this is why you should always read these data repositories. because they often tell quite a different tale than the abstract.

here’s table two from this same study. notice anything?

i’m struggling to see how one could call this “recovery.”

post day 150, sperm concentration was -15.9% vs baseline, lower even than in the 75-120 day period. average time post vaxx for T3 collection was 174 +/- 26.8 days so we’re talking about 6 months post vaxx with NO recovery in sperm concentration.

total motile count was slightly recovered from T2, but was still down 19.4% vs baseline, seeming to make up somewhat in volume what is lost in concentration.

both results were statistically significant at a 95% confidence interval and nearly so even at T3.

there is a greater than 97% chance that the TMC figure is real and not random.

those are not odds you want to buck.

this raises some serious concerns for a number of reasons:

  1. obviously, this is a significant and unforeseen impact not only missed in the rush-job drug trials, but that the drug makers assured us was basically impossible and spent the better part of a year vehemently denying.
  2. this effect looks durable to at least 6 months and from this data, we really do not know when or even if (or to what extent) it will attenuate.
  3. the role of boosters here is not known, but there is every reason to expect they will have similar effects and either extend or possibly worsen this effect. that seems like a study that should be being performed immediately.
  4. even if this condition does moderate and TMC return to prior levels over time, that timescale looks quite long. it’s certainly more than 6 months. this would seem to imply low motile counts could be near constant in a regimen of annual or bi-annual boosters.

when you rush vaccines to market, especially vaccines using an entirely new and poorly understood modality that has never before been approved or even used in humans, you’re going to get all manner of nasty surprises and this looks to be yet another.

and clearly, it was missed. this was not even mentioned as a possibility in any FDA proceedings of which i am aware.

and THAT is why vaccine development generally takes place over 5-10 years, not 5-7 months.

best i can tell, we cannot even yet rule out that these effects are permanent.

and, of course, we have zero idea what they might do to pre-adolescents and possible impacts on their healthy sexual development and ultimate fertility.

and yet the US is bucking the trend in most of europe and approving these drugs for not just the young and healthy but for kids from 6mo-5 yr. this feels reckless.

we have little idea what this may be doing to ovaries and eggs either as these are much more difficult and invasive to study (and will likely need to be assessed by autopsy). this is another analysis that desperately needs to take place because unlike sperm, eggs to not replenish, so if you damage them, that’s that.

add to this effects on normal development and it could take decades to see what happened.

people have historically trusted vaccines because they underwent serious, long term testing before being pushed wide. assessment was measured in decades, not months and even a tiny number of adverse events would pull them off the market.

to trade upon that trust while abandoning all the safeguards that enabled it is bad science and worse public health policy.

how many more examples of unforeseen outcomes must we endure before this simple truth is accepted?

there is now a companion piece to this one.

you can read it here.

Un haut responsable du renseignement américain qualifie la modification génétique d’arme potentielle de destruction massive – par Antonio Regalado.

Pas la peine de passer son temps à éplucher la littérature conspirationniste puisque tout est clairement annoncé par les autorités. Ici ce n’est rien moins que le Directeur du Renseignement , qui nous expliquait en 2016 ce qui allait/va nous tomber dessus.

Heureusement, les experts réunis à Varsovie cette année-là conclurent que « dans un avenir prévisible, de telles applications ne sont à la portée que des États ». Nous voilà rassurés, nous qui craignions que ça puisse tomber dans de mauvaises mains… Les mêmes experts conclurent à ce sujet que « la menace de groupes terroristes [est] encore lointaine ». Je vous renvoie à cet très instructif article de John Paul, qui dit exactement le contraire: ce n’est pas tellement difficile.

Ceux qui s’émeuvent aujourd’hui des possibles effets génétiques des injections Covid à ARNm (qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation sur ce plan lors des « essais », comme le rappelait ici le Dr Malone) liront utilement mes trois prochains articles. Les deux premiers aborderont le sujet a contrario sous l’angle des effets post-vaccinaux sur les facultés reproductices masculines, puisque après tout, pourquoi se donner du mal à trafiquer l’ADN des futures générations là où la bonne vieille méthode éprouvée de stérilisation forcée donne un résultat immédiat: pas de futures générations, problème réglé.

Le troisième parlera de la prochaine génération de plateforme vaccinale, en cours d’essai jusqu’à avril 2023, c’est-à-dire demain: l’ARN auto-amplifiant. Dont les effets sont potentiellement pires.

Tout va très vite en ce moment, vous ne trouvez pas?

Source.


Un haut responsable du renseignement américain qualifie la modification génétique d’arme potentielle de destruction massive.

Facile à utiliser. Difficile à contrôler. La communauté du renseignement considère désormais CRISPR comme une menace pour la sécurité nationale.

Par Antonio Regalado

9 février 2016

L’édition du génome est une arme de destruction massive.

C’est ce qu’affirme James Clapper, directeur du renseignement national des États-Unis, qui, mardi, dans le rapport annuel d’évaluation des menaces mondiales rédigé par la communauté du renseignement américaine, a ajouté l’édition de gènes à la liste des menaces posées par les « armes de destruction massive et de prolifération ».

L’édition de gènes fait référence à plusieurs façons nouvelles de modifier l’ADN à l’intérieur des cellules vivantes. La méthode la plus populaire, CRISPR, a révolutionné la recherche scientifique en donnant naissance à de nouveaux animaux et à de nouvelles cultures, et elle est susceptible de donner lieu à une nouvelle génération de traitements génétiques pour des maladies graves (voir « Tout ce que vous devez savoir sur l’année faste du CRISPR« ).

Selon cette évaluation, c’est la relative facilité d’utilisation de l’édition de gènes qui inquiète les services de renseignement américains. « Compte tenu de la large diffusion, du faible coût et du rythme de développement accéléré de cette technologie à double usage, son utilisation abusive, délibérée ou non, pourrait avoir des répercussions considérables sur l’économie et la sécurité nationale », indique le rapport.

Le choix du chef de l’espionnage américain de qualifier l’édition de gènes d’arme potentielle de destruction massive (ADM) a surpris certains experts. C’est la seule biotechnologie à figurer dans une liste de six menaces plus conventionnelles, comme la détonation nucléaire présumée de la Corée du Nord le 6 janvier, les armes chimiques non déclarées de la Syrie et les nouveaux missiles de croisière russes, qui pourraient être en violation d’un traité international.

James Clapper, le directeur du renseignement national américain, supervise des agences d’espionnage dont le budget combiné s’élève à plus de 50 milliards de dollars.

Le rapport est une version non confidentielle des  » réflexions collectives  » de la Central Intelligence Agency, de la National Security Agency et d’une demi-douzaine d’autres organes d’espionnage et de collecte de données des États-Unis.

Bien que le rapport ne mentionne pas nommément le CRISPR, il est clair que c’est bien le plus récent et le plus polyvalent des systèmes d’édition de gènes que Clapper avait à l’esprit. Le faible coût et la relative facilité d’utilisation de la technique CRISPR – les ingrédients de base peuvent être achetés en ligne pour 60 dollars – semblent effrayer les agences de renseignement.

« La recherche sur la modification du génome menée par des pays dont les normes réglementaires ou éthiques diffèrent de celles des pays occidentaux augmente probablement le risque de création d’agents ou de produits biologiques potentiellement dangereux », indique le rapport.

L’inquiétude vient du fait que la biotechnologie est une technologie « à double usage » – ce qui signifie que des développements scientifiques normaux pourraient également être utilisés comme armes. Le rapport note que les nouvelles avancées « circulent facilement dans l’économie mondialisée, tout comme le personnel possédant l’expertise scientifique pour les concevoir et les utiliser « .

M. Clapper n’a pas défini de scénarios particuliers impliquant des armes biologiques, mais les scientifiques ont déjà spéculé sur la possibilité d’utiliser le CRISPR pour fabriquer des « moustiques tueurs » [NdT. voir l’article – en anglais – en lien dans cet article sur Gates – que j’ai traduit], des fléaux qui détruisent les cultures essentielles, ou même un virus qui découpe l’ADN des êtres humains.

« La biotechnologie, plus que tout autre domaine, offre un potentiel important en termes de bienfaits pour l’homme, mais elle peut également être utilisée à mauvais escient », déclare Daniel Gerstein, analyste politique principal à la RAND [NdT. voir sur Wiki] et ancien sous-secrétaire au Ministère de la Défense Intérieure. « Notre crainte est que des personnes développent un type d’agent pathogène hautement efficace, mais nous nous inquiétons également d’un risque de mauvaise utilisation. L’édition de gènes pourrait donner lieu à un accident catastrophique, car le génome est l’essence même de la vie. »

Piers Millet, expert en armes biologiques au Woodrow Wilson Center de Washington, D.C., estime que le fait que Clapper ait inscrit l’édition génétique sur la liste des ADM est « surprenant », car la fabrication d’une arme biologique – par exemple, une forme extrêmement virulente d’anthrax – nécessite encore aujourd’hui la maîtrise d’un « large éventail de technologies ».

La mise au point d’armes biologiques est interdite par la Convention sur l’interdiction des Armes Biologiques [NdT. Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction, voir sur Wiki], un traité datant de la guerre froide qui rendait illégaux les programmes de guerre biologique. Les États-Unis, la Chine, la Russie et 172 autres pays l’ont signé. Selon M. Millet, les experts qui se sont réunis à Varsovie en septembre dernier pour discuter du traité ont estimé que la menace de groupes terroristes était encore lointaine, étant donné la complexité de la production d’une arme biologique. Selon M. Millet, le groupe a conclu que « dans un avenir prévisible, de telles applications ne sont à la portée que des États ».

Ce rapport du renseignement souligne en particulier la possibilité d’utiliser CRISPR pour modifier l’ADN d’embryons humains afin de produire des changements génétiques dans la prochaine génération, par exemple pour éliminer les risques de maladie. Elle note que les progrès rapides de l’édition du génome en 2015 ont contraint « des groupes de biologistes américains et européens de haut niveau à s’interroger sur l’édition non réglementée de la lignée germinale humaine (cellules utiles à la reproduction), qui pourrait créer des modifications génétiques héréditaires. »

Jusqu’à présent, le débat sur la modification des gènes de la prochaine génération est resté centré sur l’aspect éthique, et le rapport ne précise pas comment un tel développement pourrait être considéré comme une ADM, bien qu’il soit possible d’imaginer un virus conçu pour tuer ou léser les individus par la modification de leur génome.


Texte original

Top U.S. Intelligence Official Calls Gene Editing a WMD Threat

Easy to use. Hard to control. The intelligence community now sees CRISPR as a threat to national safety.

By Antonio Regalado

February 9, 2016

Genome editing is a weapon of mass destruction.

That’s according to James Clapper, U.S. director of national intelligence, who on Tuesday, in the annual worldwide threat assessment report of the U.S. intelligence community, added gene editing to a list of threats posed by “weapons of mass destruction and proliferation.”

Gene editing refers to several novel ways to alter the DNA inside living cells. The most popular method, CRISPR, has been revolutionizing scientific research, leading to novel animals and crops, and is likely to power a new generation of gene treatments for serious diseases (see “Everything You Need to Know About CRISPR’s Monster Year”).

It is gene editing’s relative ease of use that worries the U.S. intelligence community, according to the assessment. “Given the broad distribution, low cost, and accelerated pace of development of this dual-use technology, its deliberate or unintentional misuse might lead to far-reaching economic and national security implications,” the report said.

The choice by the U.S. spy chief to call out gene editing as a potential weapon of mass destruction, or WMD, surprised some experts. It was the only biotechnology appearing in a tally of six more conventional threats, like North Korea’s suspected nuclear detonation on January 6, Syria’s undeclared chemical weapons, and new Russian cruise missiles that might violate an international treaty.

James Clapper, the U.S. director of national intelligence, oversees spying agencies with a combined budget of more than $50 billion.

Le mystère de l’ARNm de Moderna – par Spartacus.

Vous vous souvenez de la lettre de Spartacus, que j’avais traduite ici en octobre de l’année dernière? Il a depuis créé l’ICENI, l’Institut Non-lucratif de Renseignement autour de l’Emergence des Coronavirus (Institute for Coronavirus Emergence Nonprofit Intelligence) et a très logiquement créé son Substack, très riche en informations et analyses, d’où provient l’article ci-dessous.

J’y reviendrai plus en détail – si, éternel problème, je trouve le temps. En attendant voici de quoi y voir encore un peu plus clair sur le « qui?« 

Qui nous a fait ça?

Source.


Traduction

Le mystère de l’ARNm de Moderna

Il y a des trucs qui ne collent pas

Spartacus

15 juin

Des débuts pas si modestes que ça

Moderna, les producteurs du vaccin mRNA-1273/Spikevax, sont les principaux responsables du développement de la technologie de transfection de l’ARNm actuellement utilisée dans divers vaccins COVID-19.

Le germe de l’idée qui allait donner naissance à Moderna a été planté en 2005, lorsque Derrick Rossi lut un article rédigé par la scientifique hongroise Katalin Karikó sur la façon dont l’ARNm modifié par des nucléosides pouvait être fabriqué pour échapper aux réponses immunitaires humaines des récepteurs de type toll.

L’article en question a été publié dans Cell, en 2005:

Cell – Suppression de la reconnaissance de l’ARN par les récepteurs de type Toll : L’impact de la modification des nucléosides et l’origine évolutive de l’ARN.

Selon cet article, l’utilisation de la pseudouridine à la place de l’uridine permet à l’ARNm étranger d’échapper à la détection par les TLR7/8.

Les récepteurs de type Toll sont un type de PRR, ou récepteur de reconnaissance de motifs [pattern-recognition receptor – PRR], les détecteurs de fumée des cellules immunitaires humaines (et d’autres mammifères). Leur but est de détecter les signes moléculaires de dommages ou de corps étrangers (DAMPs et PAMPs) et d’induire une réponse inflammatoire.

Frontières – Voies de signalisation des récepteurs de type Toll

Le système immunitaire inné utilise des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) codés par la lignée germinale pour la détection initiale des microbes. Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques des microbes, appelées motifs moléculaires associés aux agents pathogènes (pathogen-associated molecular patterns – PAMP), et les molécules dérivées des cellules endommagées, appelées motifs moléculaires associés aux dommages ( damage-associated molecules patterns – DAMP). Les PRR activent des voies de signalisation en aval qui conduisent à l’induction de réponses immunitaires innées par la production de cytokines inflammatoires, d’interféron de type I (IFN) et d’autres médiateurs. Ces processus déclenchent non seulement des réponses défensives immédiates de l’hôte telles que l’inflammation, mais amorcent et orchestrent également des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène (1). Ces réponses sont essentielles à la clairance des microbes infectants et cruciales pour l’instruction conséquente des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène.

Les mammifères possèdent plusieurs classes distinctes de PRR, notamment les récepteurs de type Toll (TLR), les récepteurs de type RIG-I (RLR), les récepteurs de type Nod (NLR), les récepteurs de type AIM2 (ALR), les récepteurs de type lectine C (CLR) et les capteurs d’ADN intracellulaires tels que le cGAS (2, 3).

Normalement, l’ADN ou l’ARN étranger déclenche une réponse immunitaire, et ce à juste titre; sa présence est souvent le signe qu’un agent pathogène s’infiltre dans l’organisme. Toutefois, cela pose un problème aux scientifiques qui souhaitent transfecter des cellules humaines in vivo avec de l’ADN ou de l’ARN étranger à des fins de thérapie génique. Les recherches du Dr Karikó ont suggéré qu’il existait un moyen de « masquer » l’ARNm des TLR en remplaçant les sous-unités nucléosidiques de ces brins d’ARNm par quelque chose d’autre qui ne serait pas reconnu par ces récepteurs comme un constituant de l’ARNm. En d’autres termes, ce qu’elle proposait était de réduire l’immunogénicité des ARNm étrangers en les rendant, du point de vue de l’organisme, chimiquement inertes.

Derrick Rossi s’y est intéressé, percevant immédiatement le potentiel thérapeutique des ARNm modifiés par des nucléosides. En 2010, il sollicite l’aide de Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien et Noubar Afeyan pour créer la société ModeRNA Therapeutics.

En 2011, Noubar Afeyan engage Stéphane Bancel, anciennement PDG de bioMérieux, pour diriger ModeRNA. Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, le fondateur de bioMérieux, Alain Mérieux, est un ami personnel de Xi Jinping et a aidé à la construction du laboratoire P4 à l’Institut de Virologie de Wuhan.

L’étrange saga de l’aide apportée par la France à la construction du laboratoire de virologie de haute sécurité de Wuhan

Le laboratoire de biosécurité de niveau maximal de l’Institut de Virologie de Wuhan a été le premier de ce type à être construit en Chine, et a été au cœur de spéculations colossales depuis le début de la pandémie de Covid-19 qui a pris naissance dans cette ville. Le laboratoire, qui est équipé pour traiter les agents pathogènes de classe 4 (P4), y compris les virus dangereux tels qu’Ebola, a été construit avec l’aide d’experts français et sous la direction de l’homme d’affaires milliardaire français Alain Mérieux, malgré les fortes objections des responsables de la santé et de la défense à Paris. Depuis l’inauguration du laboratoire par le Premier Ministre Bernard Cazeneuve en 2017, cependant, la France n’a joué aucun rôle de supervision dans le fonctionnement de l’installation et la coopération prévue entre les chercheurs français et le laboratoire s’est arrêtée net. Reportage de Karl Laske et Jacques Massey.

[NdT. les lecteurs français auront également reconnu la troisième personne à partir de la gauche]

Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, Robert Langer, expert en nanotechnologies d’administration de médicaments au MIT, était un collègue de Charles Lieber, expert en bionanotechnologie à Harvard, très impliqué dans les recherches financées par la DARPA sur les nanofils de silicium, pouvant même potentiellement servir de base à des interfaces cerveau-ordinateur.

En 2011, ModeRNA avait déjà atteint le statut de licorne, avec une valorisation de plus d’un milliard de dollars, malgré le fait que la société n’ait jamais sorti aucun produit commercial de quelque nature que ce soit.

Cette mystérieuse société biotechnologique de 2 milliards de dollars révèle les secrets de ses nouveaux médicaments et vaccins.

Les espoirs sont considérables. Le fait d’être une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars – une anomalie que les spécialistes du capital-risque appellent « licorne » – soulève des interrogations, et beaucoup se demandent si le portefeuille de produits de Moderna, composé essentiellement de vaccins pour l’instant, va s’élargir pour correspondre à la vision initiale de l’entreprise, qui voyait dans l’ARNm une vaste plateforme de traitement.  » Beaucoup de grandes promesses ont été faites « , déclare Jason Schrum, consultant en biotechnologie à San Francisco et ancien employé de Moderna. « C’est ce à quoi les gens se sont accrochés ; ils veulent que les promesses se réalisent, et ils veulent voir l’investissement se traduire concrètement en quelque chose de sérieux. »

En 2013, ModeRNA et AstraZeneca ont signé un accord de cinq ans pour développer et commercialiser des thérapies à base d’ARNm pour le traitement des maladies cardiovasculaires, métaboliques et rénales, ainsi que du cancer. Dans le cadre de cet accord, AstraZeneca a versé 240 millions de dollars à ModeRNA, bien que ce dernier n’ait, là non plus, aucun produit commercial ni aucun essai de médicament en cours.

Toujours en 2013, ModeRNA a reçu 25 millions de dollars du DARPA pour développer des thérapies basées sur l’ARNm. Étant donné que la DARPA est un groupe de réflexion militaire impliqué dans la biosécurité, la biosurveillance et la biodéfense, il s’agissait là d’une étrange association, étant donné que ModeRNA était, à l’époque, engagé dans la recherche de thérapies contre le cancer et le traitement de maladies chroniques à l’aide d’ARNm, et non de vaccins à ARNm, qui poursuivent un objectif clair de biodéfense (c’est-à-dire la vaccination rapide contre les armes biologiques). ModeRNA est basé à Cambridge, dans le Massachusetts. Il se trouve qu’une grande partie du réseau américain de biodéfense est également située dans les environs de Boston, comme le souligne le livre de Frank L. Smith, American Biodefense.

Edward Hammond a dirigé un groupe de surveillance appelé le Sunshine Project pour enquêter sur les investissements massifs du DOD [Department of Defense] et du HHS [Health and Human Services] dans les laboratoires biologiques dans les années 2000 après Amerithrax [NdT. les attentats à l’anthrax en 2001, voir sur Wiki], ainsi que sur le manque scandaleux de surveillance et de responsabilité dans ces laboratoires. Malheureusement, ce groupe a été contraint de se dissoudre en 2008 en raison d’un manque de financement.

En 2014, Alexion Pharmaceuticals a conclu un accord avec ModeRNA, et lui a versé 100 millions de dollars pour développer des traitements contre des maladies rares, dont le syndrome de Crigler-Najjar. Le programme a été interrompu en 2017 après que des tests sur des animaux ont montré que les thérapies ne se révéleraient jamais assez sûres pour faire l’objet d’essais sur l’homme.

Moderna, richement financé, rencontre des problèmes de sécurité dans sa tentative audacieuse de révolutionner la médecine.

Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifie placer sa thérapie de Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides. Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : Un dosage trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzyme pour agir sur la maladie ; un dosage trop fort rend le médicament trop toxique pour les patients.

Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile. Ils ont donc parcouru la littérature médicale pour trouver des maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme quelqu’un qui avait besoin d’un Ave Maria.

Crigler-Najjar était le fruit le plus facile à cueillir.

Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, selon d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible, et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace avaient des effets problématiques sur le foie dans les études animales.

ModeRNA, sous la direction de Bancel, a connu de nombreux problèmes, dont des démissions très médiatisées dues à la culture d’entreprise sévère entretenue par son PDG. De nombreux employés ont également trouvé que la réorientation de l’entreprise vers la recherche sur les vaccins en 2017 était très discutable d’un point de vue fiscal, étant donné que les vaccins étaient perçus comme une source de pertes.

Ego, ambition et agitation: Au sein de l’une des startups les plus secrètes de la biotechnologie.

Alors qu’il poursuivait une stratégie complexe et risquée pour le développement de médicaments, Bancel a instauré une culture de récrimination chez Moderna, selon d’anciens employés. Les expériences ratées ont donné lieu à des réprimandes et même à des licenciements sur le champ. Ils se souviennent de courriels abusifs, d’humiliations lors de réunions d’entreprise, d’horaires excessivement longs et de licenciements inexpliqués.

Au moins une douzaine de cadres supérieurs ont démissionné au cours des quatre dernières années, notamment des directeurs financiers, technologiques, industriels et scientifiques. Au cours des 12 derniers mois, les responsables respectés des programmes de lutte contre le cancer et les maladies rares de Moderna ont tous deux démissionné, alors que la remarquable collecte de fonds de la société avait mis d’importantes ressources à leur disposition. Chacun d’entre eux travaillait dans l’entreprise depuis moins de 18 mois, et les postes n’ont toujours pas été pourvus.

En 2017, ModeRNA a testé sa technologie ARNm sur des rats Sprague-Dawley et des singes cynomolgus dans les installations des Laboratoires Charles River. Ils ont constaté que l’ARNm se propageait bien au-delà du site d’injection et a été découvert dans le foie, la rate, la moelle osseuse et le cœur.

SAGE – Évaluation de la sécurité de l’ARNm modifié formé par des nanoparticules lipidiques chez le rat Sprague-Dawley et le singe cynomolgus.

La pharmacologie, la pharmacocinétique et la sécurité de l’ARNm modifié formulé dans des nanoparticules lipidiques (NPL) ont été évaluées après perfusion intraveineuse répétée à des rats et des singes. Chez les deux espèces, l’ARNm modifié codant pour la protéine de l’érythropoïétine humaine (hEPO) a eu des effets pharmacologiques et toxicologiques prévisibles et constants. L’analyse pharmacocinétique effectuée après la première dose a montré que les niveaux d’hEPO mesurés étaient maximaux 6 heures après la fin de la perfusion intraveineuse et dépassaient de 100 fois l’exposition efficace anticipée (17,6 ng/ml) à la plus forte dose testée.24 L’hEPO était pharmacologiquement active chez le rat et le singe, comme l’indique une augmentation significative des paramètres de masse des globules rouges. Les principaux résultats liés à la sécurité ont été causés par la pharmacologie exagérée de l’hEPO et comprenaient une augmentation de l’hématopoïèse dans le foie, la rate et la moelle osseuse (rats) et une hémorragie minimale dans le cœur (singes). Les autres résultats primaires liés à la sécurité chez le rat comprenaient une légère augmentation du nombre de globules blancs, des modifications des paramètres de coagulation à toutes les doses, ainsi que des lésions hépatiques et la libération de la protéine 10 inductible par l’interféron γ dans les groupes recevant la dose élevée uniquement. Chez le singe, comme lors de l’administration parentérale de LNP cationiques, une nécrose splénique et une déplétion lymphocytaire ont été observées, accompagnées d’une activation légère et réversible du complément. Ces résultats ont défini un niveau de dose bien toléré, supérieur à la dose efficace prévue. Dans l’ensemble, ces études combinées indiquent que l’ARNm modifié formulé par NPL peut être administré par perfusion intraveineuse chez 2 espèces tests toxicologiquement pertinentes et générer des niveaux suprathérapeutiques de protéine (hEPO) in vivo.

En 2018, ModeRNA s’est rebaptisé Moderna Inc, et a levé 621 millions de dollars grâce à son introduction en bourse à la fin de la même année.

Fin 2019, Moderna avait accumulé, au cours de son histoire, des pertes de 1,5 milliard de dollars.

Paradoxalement, ils continuèrent à enthousiasmer les investisseurs.

Le vaccin COVID-19 de Moderna

Très peu de temps après l’envoi par la Chine de la séquence du 2019-nCoV – qui allait devenir le SARS-CoV-2 – le 11 janvier 2020, Moderna a affirmé avoir développé un vaccin dans les 48 heures suivant la réception de la séquence génétique du virus, le 13 janvier.

Nous avions le vaccin depuis le début

Vous serez peut-être surpris d’apprendre que parmi le trio de vaccins contre le coronavirus tant attendus, le plus prometteur, le mRNA-1273 de Moderna, qui a annoncé un taux d’efficacité de 94,5% le 16 novembre, avait été conçu le 13 janvier. Deux jours seulement après que la séquence génétique ait été rendue publique dans un acte de générosité scientifique et humanitaire qui a valu au Chinois Yong-Zhen Zhang d’être temporairement chassé de son laboratoire. Dans le Massachusetts, la conception du vaccin Moderna n’a pris qu’un week-end. Il a été achevé avant même que la Chine n’ait reconnu que la maladie pouvait se transmettre d’homme à homme, plus d’une semaine avant le premier cas confirmé de coronavirus aux États-Unis. Lorsque le premier décès d’un Américain a été annoncé un mois plus tard, le vaccin avait déjà été fabriqué et expédié au National Institutes of Health pour le début de son essai clinique de phase 1. Il s’agit – comme le pays et le monde entier le célèbrent à juste titre – de la chronologie de développement la plus rapide de l’histoire des vaccins. Cela signifie également que pendant toute la durée de la pandémie dans ce pays, qui a déjà tué plus de 250.000 Américains, nous disposions des outils nécessaires pour la prévenir.

Ce vaccin était basé sur la plateforme technologique ARNm de Moderna, qui consiste en un ARNm modifié par des nucléosides contenu dans des nanoparticules lipidiques PEGylées qui sont injectées dans le corps, transfectent les cellules humaines et amènent les ribosomes de ces cellules à traduire l’ARNm étranger en protéines. L’intérêt de cette technologie est essentiellement d’utiliser les cellules humaines comme bioréacteurs pour obtenir un effet thérapeutique, en « brassant » n’importe quelle protéine imaginable dans l’organisme en utilisant les cellules humaines comme usines à protéines.

Le mode d’action du mRNA-1273/Spikevax, selon Moderna, consiste à introduire la substance dans le muscle deltoïde de l’épaule du sujet, à transfecter les cellules du muscle de l’épaule avec les nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm modifié par des nucléosides, et à traduire l’ARNm en protéines de pointe du SARS-CoV-2, incitant ainsi ces cellules à exprimer cette protéine à leur surface, favorisant une réponse immunitaire et la production d’anticorps contre la protéine de pointe.

L’innovation supposée qui a permis la production d’un vaccin « sûr » à base d’ARNm du SARS-CoV-2 a été le développement de protéines de pointe stabilisées et substituées par de la proline, telles que 2P ou HexaPro.

Science – Conception de protéines de pointe SARS-CoV-2, basée sur leur structure, stabilisées par préfusion

La pandémie de COVID-19 a entraîné une accélération des travaux de développement de thérapies et de vaccins. Une cible clé de ces efforts est la protéine de pointe (S), qui est métastable et difficile à produire de manière recombinante. Ici, nous avons caractérisé 100 conceptions de protéines de pointe basées sur leur structure et identifié 26 substitutions individuelles qui ont augmenté le rendement et la stabilité de la protéine. L’essai de combinaisons de substitutions bénéfiques a abouti à l’identification de HexaPro, une variante avec six substitutions de proline bénéfiques présentant une expression environ 10 fois supérieure à celle de sa construction parentale et la capacité de résister au stress thermique, au stockage à température ambiante et à trois cycles de congélation-décongélation. Une structure cryo-EM de 3,2 Å de résolution d’HexaPro a confirmé qu’il conserve la conformation de la protéine de pointe de préfusion. La production à haut rendement d’une protéine de pointe de préfusion stabilisée accélérera le développement de vaccins et de diagnostics sérologiques pour le SARS-CoV-2.

Ces modifications sont destinées à verrouiller la protéine de pointe dans la conformation de préfusion.

Le petit truc qui se cache derrière les vaccins COVID-19

Comme le dit Norbert Pardi, spécialiste des vaccins à ARNm à l’université de Pennsylvanie, nous avons « beaucoup de chance » que les scientifiques aient mis au point la mutation 2P pour un vaccin contre le MERS avant la pandémie de COVID-19. « Sinon, il n’aurait pas été possible d’aller aussi vite avec le vaccin Moderna ».

D’autres sociétés, dont Johnson & Johnson, Novavax et Pfizer, espèrent que la mutation 2P fonctionnera également pour leurs vaccins COVID-19.

La mutation 2P pourrait littéralement être le petit détail qui pourrait faire ou défaire la première génération de vaccins COVID-19. Il s’agit d’une modification assez facile à ajouter lors des premières étapes de la conception du vaccin. En cas de succès, les vaccins basés sur la mutation 2P pourraient annoncer une nouvelle génération de vaccins dont la composition moléculaire est finement ajustée afin de créer une réponse immunitaire plus sûre et plus forte.

La recherche sur la protéine de pointe 2P était déjà en cours avant l’épidémie de COVID-19, avec d’autres coronavirus; il ne s’agissait pas d’une innovation spécifique aux vaccins COVID-19, elle a simplement été réaffectée à ces derniers.

L’idée était que le vaccin resterait dans l’épaule et ne poserait aucun problème pour les organes du sujet. Cependant, les recherches antérieures de Moderna (et les documents de Pfizer sur la biodistribution qui ont fait l’objet de fuites) nous ont appris que les nanoparticules lipidiques se répandent dans tout le corps, affectant le cœur, le foie, la rate, la moelle osseuse et d’autres tissus essentiels. Par conséquent, l’idée que le vaccin resterait dans le muscle deltoïde du receveur a toujours été une falsification flagrante.

Moderna a pu obtenir un financement considérable du HHS et de BARDA dans le cadre de l’opération Warp Speed, pour développer un vaccin contre le COVID-19. Ils ont fait passer le vaccin par des essais très accélérés avec une méthodologie très discutable. Les gouvernements ont signé des accords d’achat avec ces sociétés qui les exonéraient de leur responsabilité légale en cas de problème.

Dans le cas de Moderna, cette situation est très préoccupante, étant donné que le mRNA-1273 est leur tout premier produit commercial. Imaginez qu’une entreprise automobile soit financée par des investisseurs providentiels et des groupes de réflexion militaires pendant des années et des années, que le gouvernement impose à tous les habitants du pays d’acheter l’une de ces voitures sous peine de perdre leur emploi et d’être ostracisés s’ils refusent, et que l’entreprise qui produit les voitures soit totalement dégagée de toute responsabilité juridique, de sorte que si les roues se détachent, que le véhicule se retourne et que vous vous brisez le cou, vous n’ayez aucun recours pour poursuivre le fabricant. C’est ce que nos gouvernements ont convenu avec Moderna, pour un dangereux médicament de thérapie génique maquillé en vaccin.

Ces soi-disant vaccins posent de très nombreux problèmes en termes de toxicité, d’effets secondaires à long terme et d’ingrédients potentiels non divulgués, comme nous l’avons souligné dans nos précédents articles sur le sujet. Ils n’auraient jamais dû être approuvés par la FDA.

Mécanismes des dommages causés par le vaccin COVID-19 [NdT. article de Spartacus en anglais]

La chronologie de Moderna ne correspond pas aux documents divulgués l’année dernière, qui indiquent que Ralph Baric – un expert du SARS à la University of North Carolina à Chapel Hill et un collègue de Shi Zhengli (Baric était également responsable des tests et de la validation du Remdesivir) – a signé un accord de transfert de matériel confidentiel le 12 décembre 2019, afin de prendre livraison des « candidats vaccins coronavirus à ARNm développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna ». Cet accord est visible à la page 105 de cet ensemble de documents:

Accords confidentiels Moderna

De nombreux résultats de recherche relatifs à Ralph Baric et à son implication dans cette affaire sont censurés par Google.

On pourrait arguer que cela fait référence à un vaccin contre un coronavirus différent. Si tel est le cas, pourquoi envoyer ces documents à Ralph Baric, un expert du SARS ayant des liens avec des chercheurs de l’Institut de Virologie de Wuhan?

Si c’est effectivement l’ARNm-1273 qui fait l’objet de cet accord, alors comment Moderna a-t-elle pu avoir connaissance de l’épidémie à Wuhan ? C’est le 30 décembre 2019 que le Dr Li Wenliang, malheureusement aujourd’hui décédé, a tenté de tirer la sonnette d’alarme sur la propagation d’une nouvelle souche de SARS à Wuhan, avant que le bureau de police de Wuhan ne le bâillonne.

Le 12 décembre 2019, personne ne savait qu’une souche de SARS hautement infectieuse circulait à Wuhan, à l’exception peut-être d’un petit nombre de chercheurs sur les virus et d’initiés du réseau de biodéfense qui auraient pu en avoir connaissance, comme Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak et d’autres personnes liées au Global Virome Project de l’USAID. Ces informations ont pu être transmises à Moderna par des voies détournées.

La preuve irréfutable

À la fin de l’année dernière, un scientifique opérant sous un pseudonyme a publié un article choquant sur son Substack, affirmant que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 contenait une séquence qui avait, comme complément inverse, une correspondance à 100 % avec une séquence génétique trouvée uniquement dans une lignée cellulaire mutante MSH3 brevetée par Moderna.

Comment trouver la vérité sur les origines du COVID-19 grâce au BLAST [NdT. article de Arkmedic en anglais]

Cette information a ensuite été reprise dans cet article paru dans Frontiers:

Frontiers – Homologie de MSH3 et lien potentiel de recombinaison avec le site de clivage de la furine du SARS-CoV-2

Igor Chudov a également réalisé de nombreux travaux d’analyse sur ce sujet:

Où est CTCCTCGGCGGGCACGTAG dans le brevet Moderna? [NdT. article en anglais de Igor Chudov]

Ceci est très inquiétant et pourrait indiquer que le SARS-CoV-2 est né d’une recombinaison dans une lignée cellulaire fournie par Moderna.

Stéphane Bancel a été interrogé sur ce point par Maria Bartiromo:

Il a paru très hésitant à donner une quelconque réponse, et a finalement fourni une non-réponse évasive.

Questions non résolues

La question la plus troublante, ici, est de savoir pourquoi une start-up de biotechnologie a pu recevoir autant d’investissements au cours de la décennie, y compris de la part du réseau américain de biodéfense et des groupes de réflexion du Pentagone, alors qu’elle ne disposait d’aucun produit commercial vendable pour procurer de la valeur à ses investisseurs, puis, soudainement, a basculé dans la recherche et la production de vaccins à la onzième heure.

L’existence et le financement persistant de Moderna, en dépit d’une décennie entière d’échec commercial, n’ont aucun sens. C’est comme si un objectif spécifique de biodéfense pour l’utilisation de produits thérapeutiques à base d’ARNm avait été fixé avant même que la société n’existe, et que la société avait été créée et financée pour poursuivre cet objectif.

L’histoire de Moderna est essentiellement celle d’une société écran du réseau de biodéfense américain qui prétend s’engager dans la recherche exploratoire de thérapies contre le cancer et les maladies rares, et qui ensuite, en usant d’un subterfuge, se met à travailler sur des vaccins pour le DARPA et le BARDA.

Tout ce qui concerne cette société est extrêmement suspect, et ce avant même de prendre en compte les liens de Moderna avec le WIV [NdT. l’Institut de Virologie de Wuhan] par l’intermédiaire de Stéphane Bancel et d’Alain Mérieux, la présence d’une séquence dans le SARS-CoV-2 dont le complément inverse est une séquence brevetée de Moderna, et la collaboration secrète de Moderna avec le NIAID et Ralph Baric pour développer des vaccins à ARNm contre le coronavirus peu avant que l’épidémie de Wuhan ne soit signalée.

Nous, à l’ICENI, pensons que les actions de Moderna peuvent fournir la base d’un énorme procès RICO [NdT. Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act]. Nous pensons également que nous sommes en présence d’un crime d’une ampleur inimaginable, toujours en cours, impliquant des fonctionnaires de haut niveau, des agences de renseignement et leurs pions pharmaceutiques.

L’enquête se poursuit. Les auteurs de cette conspiration criminelle ne sont pas au-dessus de la loi, ni hors de portée de l’examen public.

-Spartacus

Cet article est sous licence CC BY-SA 4.0. Pour consulter une copie de cette licence, visitez http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/


Texte original

Moderna’s mRNA Mystery

Some things don’t add up

Spartacus

Jun 15

Not-So-Humble Beginnings

Moderna, the producers of the mRNA-1273/Spikevax vaccine, are the ones principally responsible for the development of the mRNA transfection tech currently used in various COVID-19 vaccines.

The seed of the idea that would germinate into Moderna was planted in 2005, when Derrick Rossi read a paper written by Hungarian scientist Katalin Karikó on how nucleoside-modified mRNA could be made to evade human immune responses from toll-like receptors.

The paper in question was published in Cell, back in 2005:

Cell – Suppression of RNA Recognition by Toll-like Receptors: The Impact of Nucleoside Modification and the Evolutionary Origin of RNA

According to this paper, using pseudouridine in place of uridine allows foreign mRNA to escape detection by TLR7/8.

Toll-like receptors are a type of PRR, or pattern-recognition receptor, the smoke alarms of human (and other mammalian) immune cells. Their purpose is to detect molecular signs of damage or foreign objects (DAMPs and PAMPs) and induce an inflammatory response.

Frontiers – Toll-like receptor signaling pathways

The innate immune system employs germline-encoded pattern-recognition receptors (PRRs) for the initial detection of microbes. PRRs recognize microbe-specific molecular signatures known as pathogen-associated molecular patterns (PAMPs) and self-derived molecules derived from damaged cells, referred as damage-associated molecules patterns (DAMPs). PRRs activate downstream signaling pathways that lead to the induction of innate immune responses by producing inflammatory cytokines, type I interferon (IFN), and other mediators. These processes not only trigger immediate host defensive responses such as inflammation, but also prime and orchestrate antigen-specific adaptive immune responses (1). These responses are essential for the clearance of infecting microbes as well as crucial for the consequent instruction of antigen-specific adaptive immune responses.

Mammals have several distinct classes of PRRs including Toll-like receptors (TLRs), RIG-I-like receptors (RLRs), Nod-like receptors (NLRs), AIM2-like receptors (ALRs), C-type lectin receptors (CLRs), and intracellular DNA sensors such as cGAS (2, 3).

Normally, foreign DNA or RNA triggers an immune response, and with good reason; its presence is often a sign that a pathogen is infiltrating the body. However, this poses a conundrum for scientists who wish to transfect human cells in vivo with foreign DNA or RNA for the purpose of gene therapy. What Dr. Karikó’s research suggested was that there was a way to “cloak” mRNA from TLRs by substituting nucleoside subunits in those mRNA strands with something else that would not be recognized by those receptors as a constituent of mRNA. In other words, what she proposed was to reduce the immunogenicity of foreign mRNA by rendering them, from the perspective of the body, chemically inert.

Derrick Rossi took an interest in this, immediately seeing the therapeutic potential of nucleoside-modified mRNA. In 2010, he solicited the help of Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien, and Noubar Afeyan to form the company ModeRNA Therapeutics.

In 2011, Noubar Afeyan hired Stéphane Bancel, formerly the CEO of bioMérieux, to head up ModeRNA. As mentioned in our previous articles, the founder of bioMérieux, Alain Mérieux, is a personal friend of Xi Jinping and assisted in the construction of the P4 lab at the Wuhan Institute of Virology.

The strange saga of how France helped build Wuhan’s top-security virus lab

The maximum-level biosafety laboratory at the Wuhan Institute of Virology was the first of its kind to be built in China, and has been the centre of huge speculation since the start of the Covid-19 pandemic which originated in that city. The laboratory, which is equipped to handle Class 4 pathogens (P4) including dangerous viruses such as Ebola, was built with the help of French experts and under the guidance of French billionaire businessman Alain Mérieux, despite strong objections by health and defence officials in Paris. Since the laboratory’s inauguration by prime minister Bernard Cazeneuve in 2017, however, France has had no supervisory role in the running of the facility and planned cooperation between French researchers and the laboratory has come to a grinding halt. Karl Laske and Jacques Massey report.

As mentioned in our previous articles, Robert Langer, an expert in nanotech drug delivery at MIT, was a colleague of Charles Lieber, a Harvard bionanotechnology expert who was deeply involved in DARPA-funded research into silicon nanowires, potentially even as the basis for brain-computer interfaces.

In 2011, ModeRNA had already reached unicorn status, with a valuation of over a billion dollars, despite having produced no commercial products of any kind.

This mysterious $2 billion biotech is revealing the secrets behind its new drugs and vaccines

Expectations are high. Being a startup valued at more than a billion dollars—an anomaly that venture capitalists dub a unicorn—comes with scrutiny, and many wonder whether Moderna’s pipeline, consisting mostly of vaccines for now, will expand to match the company’s original vision of mRNA as a broad treatment platform. « There were a lot of really big promises made, » says Jason Schrum, a biotechnology consultant in San Francisco and a former Moderna employee. « That’s what people latched onto; they want the promises to be true, and they want to see the investment really turn it into something meaningful. »

In 2013, ModeRNA and AstraZeneca signed a five-year agreement to develop and commercialize mRNA-based therapies for cardiovascular, metabolic, and renal diseases, as well as cancer. As part of this agreement, AstraZeneca paid $240 million dollars to ModeRNA, despite them, again, having no commercial products nor ongoing drug trials.

Also in 2013, ModeRNA was awarded $25 million from DARPA to develop mRNA-based therapies. Given that DARPA are a military think tank involved in biosecurity/biosurveillance/biodefense, this was an odd fit, considering that ModeRNA were, at the time, engaged in research for cancer therapies and treating chronic illnesses with mRNA, and not mRNA vaccines, which have a clear biodefense purpose (i.e. rapidly vaccinating against bioweapons). ModeRNA are based in Cambridge, Massachusetts. Incidentally, a large portion of the US biodefense network is also situated in the vicinity of Boston, as outlined in Frank L. Smith’s book, American Biodefense.

Edward Hammond ran a watchdog group called the Sunshine Project to investigate the massive DOD and HHS investment in biolabs in the 2000s after Amerithrax, as well as the shocking lack of oversight and accountability in these labs. Unfortunately, this group was forced to disband in 2008 due to a lack of funding.

In 2014, Alexion Pharmaceuticals struck a deal with ModeRNA, paying them $100 million to develop treatments for rare diseases, including Crigler-Najjar syndrome. The program was terminated in 2017 after animal testing showed that the therapies would never be safe enough to enter human trials.

Lavishly funded Moderna hits safety problems in bold bid to revolutionize medicine

In order to protect mRNA molecules from the body’s natural defenses, drug developers must wrap them in a protective casing. For Moderna, that meant putting its Crigler-Najjar therapy in nanoparticles made of lipids. And for its chemists, those nanoparticles created a daunting challenge: Dose too little, and you don’t get enough enzyme to affect the disease; dose too much, and the drug is too toxic for patients.

From the start, Moderna’s scientists knew that using mRNA to spur protein production would be a tough task, so they scoured the medical literature for diseases that might be treated with just small amounts of additional protein.

“And that list of diseases is very, very short,” said the former employee who described Bancel as needing a Hail Mary.

Crigler-Najjar was the lowest-hanging fruit.

Yet Moderna could not make its therapy work, former employees and collaborators said. The safe dose was too weak, and repeat injections of a dose strong enough to be effective had troubling effects on the liver in animal studies.

ModeRNA under Bancel’s leadership was fraught with issues, including high-profile resignations due to the harsh company culture fostered by its CEO. Many employees also found the company’s pivot to vaccine research in 2017 highly questionable from a fiscal perspective, given the perception of vaccines as a loss-leader.

Ego, ambition, and turmoil: Inside one of biotech’s most secretive startups

As he pursued a complex and risky strategy for drug development, Bancel built a culture of recrimination at Moderna, former employees said. Failed experiments have been met with reprimands and even on-the-spot firings. They recalled abusive emails, dressings down at company meetings, exceedingly long hours, and unexplained terminations.

At least a dozen highly placed executives have quit in the past four years, including heads of finance, technology, manufacturing, and science. In just the past 12 months, respected leaders of Moderna’s cancer and rare disease programs both resigned, even though the company’s remarkable fundraising had put ample resources at their disposal. Each had been at the company less than 18 months, and the positions have yet to be filled.

In 2017, ModeRNA tested their mRNA tech on Sprague-Dawley rats and cynomolgus monkeys at Charles River Laboratories’ facilities. They found that the mRNA spread well beyond the injection site and was discovered in the liver, spleen, bone marrow, and heart.

SAGE – Safety Evaluation of Lipid Nanoparticle–Formulated Modified mRNA in the Sprague-Dawley Rat and Cynomolgus Monkey

The pharmacology, pharmacokinetics, and safety of modified mRNA formulated in lipid nanoparticles (LNPs) were evaluated after repeat intravenous infusion to rats and monkeys. In both species, modified mRNA encoding the protein for human erythropoietin (hEPO) had predictable and consistent pharmacologic and toxicologic effects. Pharmacokinetic analysis conducted following the first dose showed that measured hEPO levels were maximal at 6 hours after the end of intravenous infusion and in excess of 100-fold the anticipated efficacious exposure (17.6 ng/ml) at the highest dose tested.24 hEPO was pharmacologically active in both the rat and the monkey, as indicated by a significant increase in red blood cell mass parameters. The primary safety-related findings were caused by the exaggerated pharmacology of hEPO and included increased hematopoiesis in the liver, spleen, and bone marrow (rats) and minimal hemorrhage in the heart (monkeys). Additional primary safety-related findings in the rat included mildly increased white blood cell counts, changes in the coagulation parameters at all doses, as well as liver injury and release of interferon γ–inducible protein 10 in high-dose groups only. In the monkey, as seen with the parenteral administration of cationic LNPs, splenic necrosis and lymphocyte depletion were observed, accompanied with mild and reversible complement activation. These findings defined a well-tolerated dose level above the anticipated efficacious dose. Overall, these combined studies indicate that LNP-formulated modified mRNA can be administered by intravenous infusion in 2 toxicologically relevant test species and generate supratherapeutic levels of protein (hEPO) in vivo.

In 2018, ModeRNA rebranded themselves as Moderna Inc., and raised $621 million through their IPO by the end of that year.

Through the end of 2019, Moderna had accumulated losses of $1.5 billion dollars over the course of the company’s history.

Paradoxically, they continued to excite investors.

The Moderna COVID-19 Vaccine

Very shortly after China sent the sequence for 2019-nCoV – which would eventually become known as SARS-CoV-2 – on January 11th, 2020, Moderna claimed to have developed a vaccine within 48 hours of receiving the gene sequence for the virus, on January 13th.

We Had the Vaccine the Whole Time

You may be surprised to learn that of the trio of long-awaited coronavirus vaccines, the most promising, Moderna’s mRNA-1273, which reported a 94.5 percent efficacy rate on November 16, had been designed by January 13. This was just two days after the genetic sequence had been made public in an act of scientific and humanitarian generosity that resulted in China’s Yong-Zhen Zhang’s being temporarily forced out of his lab. In Massachusetts, the Moderna vaccine design took all of one weekend. It was completed before China had even acknowledged that the disease could be transmitted from human to human, more than a week before the first confirmed coronavirus case in the United States. By the time the first American death was announced a month later, the vaccine had already been manufactured and shipped to the National Institutes of Health for the beginning of its Phase I clinical trial. This is — as the country and the world are rightly celebrating — the fastest timeline of development in the history of vaccines. It also means that for the entire span of the pandemic in this country, which has already killed more than 250,000 Americans, we had the tools we needed to prevent it.

This vaccine was based on Moderna’s mRNA technology platform, which consists of nucleoside-modified mRNA contained in PEGylated lipid nanoparticles which are injected into the body, transfect human cells, and cause ribosomes in those cells to translate the foreign mRNA into proteins. Essentially, the point of this technology is to use human cells as bioreactors for therapeutic effect, “brewing” any conceivable protein inside the body using human cells as protein factories.

The mode of action of mRNA-1273/Spikevax, according to Moderna, is to introduce the substance into the deltoid muscle in the subject’s shoulder, transfect shoulder muscle cells with the lipid nanoparticles containing nucleoside-modified mRNA, and translate the mRNA into SARS-CoV-2 Spike proteins, thereby inducing those cells to express this protein on their surfaces, promoting an immune response and antibody production against the Spike.

The supposed innovation that enabled a “safe” SARS-CoV-2 mRNA vaccine to be produced was the development of stabilized, proline-substituted Spike proteins, such as 2P or HexaPro.

Science – Structure-based design of prefusion-stabilized SARS-CoV-2 spikes

The COVID-19 pandemic has led to accelerated efforts to develop therapeutics and vaccines. A key target of these efforts is the spike (S) protein, which is metastable and difficult to produce recombinantly. Here, we characterized 100 structure-guided spike designs and identified 26 individual substitutions that increased protein yields and stability. Testing combinations of beneficial substitutions resulted in the identification of HexaPro, a variant with six beneficial proline substitutions exhibiting ~10-fold higher expression than its parental construct and the ability to withstand heat stress, storage at room temperature, and three freeze-thaw cycles. A 3.2 Å-resolution cryo-EM structure of HexaPro confirmed that it retains the prefusion spike conformation. High-yield production of a stabilized prefusion spike protein will accelerate the development of vaccines and serological diagnostics for SARS-CoV-2.

These modifications are intended to lock the Spike in the prefusion conformation.

The tiny tweak behind COVID-19 vaccines

As Norbert Pardi, an mRNA vaccine scientist at the University of Pennsylvania, puts it, we’re “very lucky, actually,” that scientists worked out the 2P mutation for a MERS vaccine before the COVID-19 pandemic. “It wouldn’t be possible to go so fast with the Moderna vaccine otherwise.”

Other companies, including Johnson & Johnson, Novavax, and Pfizer, are hoping the 2P mutation works for their COVID-19 vaccines too.

The 2P mutation might quite literally be the smallest detail that could make or break the first generation of COVID-19 vaccines. It’s an easy enough tweak to add during the early stages of vaccine design. And if successful, 2P-based vaccines may herald a new generation of vaccines whose molecular makeup is fine-tuned to craft a safer, stronger immune response.

Research into 2P Spike existed before the COVID-19 outbreak, with other coronaviruses; it was not an innovation specific to COVID-19 vaccines, but merely repurposed for them.

The conceit here was that the vaccine would stay in the shoulder and would not pose any issues for any of the subject’s organs. However, we know from Moderna’s prior research (and the leaked Pfizer biodistribution documents) that lipid nanoparticles spread all over the body, affecting the heart, liver, spleen, bone marrow, and other key tissues. Therefore, the notion that the vaccine would remain in the deltoid muscle of the recipient was always a blatant falsehood.

Moderna was able to secure considerable funding from HHS and BARDA under Operation Warp Speed, to develop a COVID-19 vaccine. They pushed the vaccine through highly accelerated trials with a very questionable methodology. Governments signed purchase agreements with these companies that waived their legal liability in case anything went wrong.

In Moderna’s case, this is highly alarming, considering that mRNA-1273 is their first-ever commercial product. Imagine if there was a car company that was funded by angel investors and military think tanks for years and years, and the government mandated that everyone in the country must purchase one of these cars on pain of job loss and ostracization if they refuse, and the company producing the cars had no legal liability at all, such that if the wheels fell off and the vehicle flipped over and you broke your neck, you would have no recourse to sue the manufacturer. That’s what our governments agreed on with Moderna, for an unsafe gene therapy drug masquerading as a vaccine.

There are many, many issues with these so-called vaccines, with toxicity, long-term side effects, and potential undisclosed ingredients, as outlined in our prior articles on the matter. They should never have been approved by the FDA.

Mechanisms of COVID-19 Vaccine Injury

Moderna’s timeline does not match up with leaked documents uncovered last year, which indicate that Ralph Baric – a SARS expert at UNC Chapel Hill and a colleague of Shi Zhengli (Baric was also responsible for the testing and validation of Remdesivir) – signed a confidential material transfer agreement on December 12th, 2019, to take delivery of “mRNA coronavirus vaccine candidates developed and jointly-owned by NIAID and Moderna”. This is visible on Page 105 of this set of documents:

Moderna Confidential Agreements

Many search results pertaining to Ralph Baric and his involvement in this are censored from Google.

One might argue that this refers to a vaccine for a different coronavirus. If so, why send these materials to Ralph Baric, a SARS expert with links to researchers at the Wuhan Institute of Virology?

If it is, in fact, mRNA-1273 that is the subject of this agreement, then how did Moderna possess foreknowledge of the outbreak in Wuhan? It was on December 30th, 2019 that the unfortunately now-deceased Dr. Li Wenliang tried sounding the alarm about the spread of a new SARS strain in Wuhan, before the Wuhan Police Bureau gagged him.

On December 12th, 2019, no one knew there was a highly infectious SARS strain circulating in Wuhan, except perhaps for a select few virus researchers and biodefense network insiders who may have possessed foreknowledge, such as Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak, and others connected to USAID’s Global Virome Project. This information may have been passed to Moderna through back channels.

The Smoking Gun

Late last year, a scientist operating under a pseudonym posted a shocking article on their Substack, claiming that SARS-CoV-2 Spike contained a sequence that had, as its reverse complement, a 100% match to a gene sequence found only in a Moderna patented MSH3-mutant cell line.

How to BLAST your way to the truth about the origins of COVID-19

This was later followed up on by this article in Frontiers:

Frontiers – MSH3 Homology and Potential Recombination Link to SARS-CoV-2 Furin Cleavage Site

Igor Chudov has also done a lot of work analyzing this, as well:

Where is CTCCTCGGCGGGCACGTAG in the Moderna Patent

This is very alarming, and may indicate SARS-CoV-2 arose from a recombination event in a cell line supplied by Moderna.

Stéphane Bancel was questioned on this by Maria Bartiromo:

He appeared very hesitant to answer at all, eventually providing an evasive non-answer.

Unresolved Questions

The most troubling question, here, is why a biotech startup received so much investment over the course of decade, including investment from the US biodefense network and Pentagon think tanks, despite having no salable commercial products to provide value to their investors, and then, suddenly, they switched gears to vaccine research and production at the eleventh hour.

The existence and persistent funding of Moderna despite a whole decade of commercial failure behind them doesn’t make sense. It is as if there was a specific biodefense goal for the usage of mRNA-based therapeutics in mind before the company even existed, and the company was created and funded to pursue that goal.

Moderna’s history is essentially one of a US biodefense network front company pretending to engage in exploratory research for cancer and rare disease therapies, and then pulling a bait-and-switch and starting work on vaccines for DARPA and BARDA.

Everything about this company is extremely suspicious, and that’s before one takes into account Moderna’s connections to the WIV through Stéphane Bancel and Alain Mérieux, the presence of a sequence in SARS-CoV-2 the reverse complement of which is a patented Moderna sequence, and Moderna’s secretive collaboration with NIAID and Ralph Baric to develop coronavirus mRNA vaccines shortly before the outbreak in Wuhan was reported.

We at ICENI believe that Moderna’s actions may form the basis for a massive RICO case. We also believe that a crime of unimaginable proportions took place here, and is still ongoing, involving high-level public officials, intelligence agencies, and their pharma pawns.

The investigation continues. The perpetrators of this criminal conspiracy are not above the law, nor are they beyond the reach of public scrutiny.

-Spartacus

This article is licensed under CC BY-SA 4.0. To view a copy of this license, visit http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/

Bonjour Tristesse.

Un extrait de l’article quotidien du 11 juin d’un chroniqueur sur Substack, Jeff Childers, qui frappe juste et bien. Faudra que je m’inspire un peu de son format, assez efficace et très lisible, comme vous verrez.

Tristesse, parce que SAD veut dire triste, et que tout ça est assez triste, en plus d’être bien débile.

Source.


Traduction

💉 Comme si nous n’avions pas déjà assez de raisons de nous ronger les sangs, voici qu’arrive maintenant une AUTRE maladie toute neuve, déroutante, subite et inattendue, qui touche les jeunes et se propage en Occident, en particulier en Australie, pour une raison ou une autre. Cette maladie mystérieuse est TELLEMENT subite et inattendue qu’elle comporte même le MOT « subite » dans son nom: le syndrome de la mort subite de l’adulte, ou – comme il se doit – le SADS (Sudden Adult Death Syndrome).

Je vous JURE que je n’invente rien.

Les morts subites de jeunes gens sont une énigme pour les médecins.
Les médecins australiens mettent en place un nouveau registre national pour tenter de comprendre les décès inattendus du mystérieux syndrome de la mort subite de l’adulte…

Il y a deux jours, un article du Daily Mail britannique titrait: « Des jeunes en bonne santé meurent subitement et de manière inattendue d’un syndrome mystérieux – et les médecins cherchent des réponses par le biais d’un nouveau registre national ».

Haha, « subitement et de manière inattendue ». Ils savent.

Où sont passés tous les brillants experts en maladies qui savaient EXACTEMENT quoi faire à propos du covid-19? Nous avons besoin de leur aide! Les experts! Allô ! C’est quoi ce SADS?? D’où vient-il? Que devons-nous faire? Les experts, s’il vous plaît, aidez-nous encore sur ce coup-là! Allô? Les experts? Il y a quelqu’un? Saletés de téléphones portables…

Mon Dieu, vous allez penser que je fabule, c’est sûr. Devinez quel organe interne est le plus touché par ce mystérieux SADS? Le coeur. Bizarre. Le Daily Mail dit que le gouvernement australien recommande maintenant à toutes les « personnes âgées de moins de 40 ans d’aller passer un bilan cardiaque. »

Les personnes de moins de 40 ans! Je sais, mais ne me provoquez pas. De rien, bande d’ingrats! On vous a sauvés, vous les jeunes, de l’infime risque d’être hospitalisé pour le covid! Alors, qu’est-ce qu’un petit suivi cardiaque à vie peut bien vous faire? Arrêtez de pleurnicher. Vous devriez nous remercier.

Le Royal Australian College of General Practitioners a officialisé cette nouvelle maladie, expliquant que le SADS est un « terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes », utilisé lorsqu’une autopsie ou un examen post-mortem ne permet pas de trouver une cause de décès évidente. Ou… utilisé quand la cause évidente du décès pourrait nuire aux profits des grandes entreprises pharmaceutiques. Vous voyez? Ca marche dans les deux sens.

En d’autres termes, ils ont inventé QUELQUE CHOSE que les coroners puissent écrire sur les certificats de décès plutôt que de griffonner une remarque sarcastique, puisqu’il leur est interdit d’écrire la cause réelle du décès, s’ils savent où se trouve leur intérêt. Il ne faudrait pas verser dans la désinformation. Ce serait dommage de compromettre leur carrière de coroner.

Et devinez quel est l’un des « signes » du SADS? Le Collège Royal dit qu’il existe un risque élevé de passer l’arme à gauche à cause du SADS si QUELQU’UN D’AUTRE DANS VOTRE FAMILLE EST MORT DU SADS. « Le meilleur conseil à donner est le suivant: si vous avez vous-même un parent au premier degré – un parent, un frère ou une sœur, un enfant – qui est décédé de façon inexpliquée, il est extrêmement recommandé de consulter un cardiologue », explique l’expert médical du Mail.

Apparemment, le SADS se manifeste par grappes. Vraiment bizarre! Et vous pouvez être sûrs que les experts ont exclu TOUTES LES AUTRES POSSIBILITÉS de facteurs que les membres de la famille pourraient avoir en commun, comme, disons, je ne sais pas, juste pour prendre un exemple: des médicaments communs. Il est impossible que ce soit ça. C’est la seule chose dont ils sont SÛRS.

Bien que les experts recommandent « vivement » de se faire dépister si un membre de la famille crève du SADS, ils ne parviennent pas à trouver de lien génétique qui justifierait ce genre de conseil. L’expert du Mail explique que, du point de vue de la santé publique, la lutte contre le SADS n’est « pas aussi facile que si tous les Australiens se soumettaient à un dépistage génétique, car les scientifiques ne savent toujours pas à 100% quels sont les gènes responsables ».

Ahurissant! Mais silence. La Science.

L’expert médical du Mail reconnaît que, pour la famille et les amis des victimes, le SADS est une « entité très difficile à appréhender » car c’est un « diagnostic de rien du tout. »

C’est pour ça qu’il est utile, doc.

Le « syndrome de mort subite de l’adulte » est la dernière tactique de dissimulation à la mode dans les médias.
A quel point nous prennent-ils pour des pommes?

Texte original

💉 As if we don’t already have enough to worry about, there’s ANOTHER brand-spanking-new, baffling, sudden and unexpected disease afflicting young people and now spreading around the West — especially Australia, for some reason. The mystery disease is SO sudden and unexpected that it even includes the WORD “sudden” in its name: Sudden Adult Death Syndrome, or — appropriately — SADS.

I PROMISE I am not making that up.

An article two days ago in the UK Daily Mail was headlined, “Healthy Young People Are Dying Suddenly and Unexpectedly From a Mysterious Syndrome – as Doctors Seek Answers Through a New National Register.”

Haha, “suddenly and unexpectedly.” They know.

Where are all the brilliant disease experts who knew EXACTLY what to do about covid-19? We need their help! Experts! Hello! What is this SADS?? Where does it come from? What should we do? Experts, please help us again! Hello? Experts? Is anybody there? Damn these cell phones…

Oh my goodness, you people are going to think I’m making this up, for sure. Guess which internal organ the mysterious SADS disease apparently hurts the most? The heart. Weird. The Daily Mail said the Australian government is now recommending that all “People aged under the age of 40 being urged to go and get their hearts checked.”

People under 40! I know, but don’t you people start with me. You’re welcome, you ungrateful curs! We saved you young people from a minuscule chance of being hospitalized for covid! How much trouble is a little lifelong cardiac monitoring? Stop whining. You should be thanking us.

The Royal Australian College of General Practitioners minted the new disease, explaining that SADS is an “umbrella term to describe unexpected deaths in young people,” used when an autopsy or post-mortem can’t find an obvious cause of death. Or … used when an obvious cause of death might hurt big pharma profits. See? It works both ways.

In other words, they made up SOMETHING for coroners to write on the death certificates instead of scribbling some sarcastic remark, since they’re forbidden from writing down the actual cause of death, if they know what’s good for them. You don’t want to be a disinformer. It would be a shame if something bad happened to your coroner career.

And guess what one of the “signs” of SADS is? The Royal College says you are at elevated risk of kicking the bucket from SADS if SOMEBODY ELSE IN YOUR FAMILY DIES FROM SADS. “The best advice would be, if you yourself have had a first-degree relative – a parent, sibling, child – who’s had an unexplained death, it’s extremely recommended you see a cardiologist,” the Mail’s medical expert advised.

Apparently SADS works in clusters. So weird! And you can rest assured that the experts ruled out ALL OTHER POSSIBILITIES of things family members might have in common, like, say, I don’t know, just for an example: common medications. It can’t possibly be that. That’s the one thing they are SURE about.

Even though experts “extremely” recommend you get screened if your family member croaks from SADS, they can’t find a genetic link that would justify that kind of advice. The Mail’s expert explained that from a public health perspective, combating SADS was “not as easy as everyone in Australia getting genetically screened as scientists [are] still not 100 per cent clear on what genes cause this.”

It’s baffling! But shut up. Science.

The Mail’s medical expert admitted that, for family and friends of victims, SADS is a “very hard entity to grasp” because it’s a “diagnosis of nothing.”

That’s why it’s useful, doc.

Nouvelles en vrac, édition internationale.

Tout va parfaitement bien et ira encore mieux demain, hormis quelques détails mineurs.

Shangaï, c’est fini (et dire que c’était le sujet de mon prochain article).

En fait, non.

Ce n’est pas du tout fini, contrairement à ce que vous aurez lu récemment un peu partout ailleurs, sauf sur l’excellent Covidémence, qui fait le boulot et dont je reparle un peu plus loin (en bien). Même le Substack le plus pointu sur la Chine (l’auteur parle le mandarin) est un peu dans le flou. Heureusement, votre dévoué blogger écoute au boulot dans son lecteur mp3 le meilleur podcast de l’Univers, qui reçoit des rapports de terrain (boots on the ground reports) de ses producteurs/auditeurs, dont l’un réside à Shangaï. Lecture ici, à partir de 2:32:37, du rapport qui figure également dans les shownotes sur cette page (cliquer sur China) et dont voici la traduction:

Voici les dernières nouvelles de Shanghai
(1) À partir du 1er juin 2022, Shanghai a mis en place la règle d’obligation de « se faire tester toutes les 72 heures ». Les résultats étaient prévisibles.
(a) certaines personnes ont été testées positives, le code QR de leur téléphone est devenu rouge – elles ne pouvaient donc entrer dans aucun établissement public, centre commercial, magasin, etc.
(b) nous avons des amis, et connaissons des familles des camarades de classe de ma fille, qui ont été reconfinées, à l’intérieur de leur immeuble ou de leur complexe d’appartements ou de copropriétés, en raison de leur proximité avec QUELQU’UN d’autre qui a été « testé positif ».
(c) pendant les DEUX premiers jours d' »ouverture », les « stations de dépistage » ont été submergées par une forte demande – et par de longues files d’attente (45 à 60 minutes). Cependant, à l’heure actuelle, parce que les gens craignent un risque de « contact Covid » dans la file d’attente, qui ferait passer leur code au ROUGE, un nombre moindre de personnes se présentent aux stations de dépistage publiques (qui sont GRATUITES).
(d) Il existe maintenant un système de dépistage à DEUX niveaux. Les gens qui ont de l’argent vont dans des hôpitaux privés (ils paient 180 RMB, soit environ 25 dollars US, pour un test valable pendant 72 heures), en partant du principe que les « bonnes personnes » ont toujours un test négatif, c’est-à-dire qu’ils courent moins de risques de fréquenter les mauvais « Sneetches » [NdT. personnages issus d’un conte du Dr Seuss]; et dans les complexes plus riches, comme le mien, l’association de logement a passé un contrat avec la ville pour obtenir un centre de dépistage dans notre enceinte, qui est limité à nos résidents.
ET MAINTENANT …
(2) à partir du samedi 11 juin 2022, la ville commence un confinement  » tournant  » – différents quartiers de la ville seront fermés – personne ne pourra entrer ou sortir. Tout le monde sera soumis à un prélèvement (prélèvement de gorge) pendant 3 à 5 jours. C’est la politique du ZERO Covid, appliquée au niveau des sous-districts.
(3) AUCUNE personne de Shanghai n’est autorisée à voyager dans les provinces voisines – et si elle est autorisée à descendre d’un train, elle devra se soumettre à une quarantaine de deux semaines dans l' »hôtel Covid » local.
(Et n’oubliez pas que Shanghai a un taux de vaccination de 90 % (2 injections); et qu’environ 67 % ont fait 3 injections).
D’un autre côté
(4) Les restaurants et la livraison de nourriture à Shanghai ont repris – mais qui sait pour combien de temps.
(5) Les supermarchés ordinaires sont ouverts et reçoivent des livraisons de l’extérieur – les yaourts sont de retour, les fromages et les viandes importés garnissent les rayons. Les produits locaux sont également de retour – depuis des semaines, il n’y avait plus de carottes, de patates douces ou de mangues sur les marchés. TOUT est rentré dans l’ordre.
(6) Les frais de taxi ont augmenté d’environ 50% pour les trajets de plus de 20 minutes.
(7) En gros, TOUT LE MONDE, partout, porte un masque – en faisant du vélo, en conduisant un scooter, seul dans une voiture, en promenant son chien. C’est pitoyable. La folie est générale.

L’expérience chinoise se poursuit donc en grandeur nature, contre toute forme bon sens et de logique – à moins que ce soit de l’humour chinois. Heureusement, quelqu’un a l’explication.

Les Russes arrivent!

C’est officiel… ou alors les Chinois. Ou les deux. C’est le toujours très posé (mode sarcasme) Mike Adams, le fondateur de Brighteon, qui relaye ici l’information tirée d’une interview d’un certain M. Wang – dont on donne pas le prénom mais qui pourrait être Long, les anglophones apprécieront ce gag désopilant.

Résumé des points de l’interview par Mike Adams:

– La Chine finance la guerre de la Russie en Ukraine. (Rien que ce point est déjà très choquant).
– La Chine a utilisé les faux confinements covid pour vider les rues afin de déplacer efficacement les équipements militaires dans les grandes villes chinoises en vue des attaques contre les États-Unis / charger des navires avec du matériel militaire, etc. [NdT. parce que évidemment les Etats-Unis ne disposent pas de personnel qualifié pour analyser les images par satellite]
– Les équipements militaires sont déguisés en équipements d’intervention en cas d’épidémie, tels que des ambulances ou des véhicules de santé publique.
– L’APL utilise des fréquences de communication civiles plutôt que des fréquences militaires afin de déjouer les capacités de surveillance militaire des États-Unis. [NdT. parce que évidemment les Américains sont trop stupides pour espionner les fréquences civiles]
– La Chine prévoit de bloquer Taïwan plutôt que de l’envahir dans un premier temps. Ce blocus empêchera Taïwan de recevoir de la nourriture, du carburant, des médicaments et une aide militaire. Taïwan se rendra plus tard, après la défaite des États-Unis, selon le plan du PCC. [NdT. j’ai un article intéressant de John Paul sur la situation Chine/Taiwan, que je traduirai si j’ai le temps]
– Une fois Taïwan bloquée, la Chine utilisera la « guerre sans restriction » et le « chantage nucléaire » pour tenter d’isoler les États-Unis tout en essayant de contrôler les sphères politiques du Japon, de Taïwan et de la Corée du Sud, en affirmant son contrôle sur leurs exportations et en refusant ainsi ces exportations aux États-Unis. Cette manœuvre, si elle réussissait, ferait s’effondrer l’économie américaine pratiquement du jour au lendemain. La chaîne d’approvisionnement en pièces détachées, en composants électroniques et en biens de consommation serait immédiatement interrompue.
– La « guerre sans restriction » comprend des cyberattaques, des attaques financières telles que la mis au ban du dollar et la vente de toute la dette du Trésor américain, des attaques à l’arme biologique, des attaques de guerre d’information et même des attaques par impulsion électromagnétique visant à désactiver le réseau électrique américain.
– Les meilleures troupes militaires de la Russie n’ont pas été déployées en Ukraine mais sont positionnées pour une guerre contre les États-Unis et le Canada. Cela signifie que la Russie a réservé ses troupes les plus performantes pour la véritable guerre contre les États-Unis.
– La Russie n’a pas encore utilisé ses armes les plus puissantes en Ukraine, qui pourraient être déployées contre les États-Unis: 1) sa flotte de sous-marins à capacité nucléaire, et 2) des missiles balistiques intercontinentaux (MBCI) tels que le système Sarmat-II qui transporte 10 à 15 MIRV (véhicules nucléaires de rentrée) et peut échapper aux capacités anti-MBCI des États-Unis.
– La Chine fabrique des armes pour la Russie dans une usine qui se présente comme « une subdivision de la société Norinco » (China North Industries Corporation). Il s’agit d’un autre moyen pour la puissance économique de la Chine de soutenir les efforts militaires de la Russie.
– Une fois l’appareil d’état américain destitué par les forces d’invasion, le Président Biden sera exposé à la foule dans son plus simple appareil, coiffé d’un entonnoir. C’est Matthew Ehret qui sera nommé Premier Ministre du Canada et Lauren Katlin première Présidente des Etats-Unis.

Ok, j’avoue, c’est moi qui ai ajouté le dernier point.

Outre le côté hautement ridicule de ces révélations, la question serait, pourquoi quiconque se donnerait-il la peine d’envahir les Etats-Unis et l’Europe alors que la manière la plus sûre – et la plus économique – de les détruire serait de les laisser faire. L’Occident n’a aucun besoin de la Chine ou de la Russie pour imploser. VonderLeyen, Macron, Biden, Trudeau et leurs acolytes se débrouillent très bien tout seuls. Enfin, presque. Même si les menaces (article payant) de représailles militaires de Poutine ne se concrétisent pas, vu le volume d’armes de guerres prélevées sur les « dons » à l’Ukraine à vendre sur le Dark Web et le risque beaucoup plus réaliste de se voir couper le gaz russe, le niveau de violence criminelle en Europe pourrait bien grimper assez vite et assez haut. Un peu ce que prévoit Gonzalo Lira, sauf qu’il appelle ça indûment une « guerre civile ».

Gonzalo Lira

J’ai un peu laissé tomber ses vidéos ces derniers temps, avec l’intention de revenir sur certains points sous forme de résumé (voir ma remarque en début de cet article). Je suis d’autant plus allergique au format vidéo que dans son cas, ça signifie se farcir quotidiennement un quart d’heure d’un type très arrogant qui tente de camoufler sa calvitie sous une casquette de d’jeun. Encore un gauchiste qui veut se faire passer pour un homme de droite. Mais bon, Serge de Beketch n’est plus parmi nous, et il n’en reste plus beaucoup pour prendre la relève de sa manière d’appeler un chat un chat.

Après plusieurs semaines de bavardage dans sa cuisine, Gonzalo Lira en arrive plus ou moins à mi-chemin de l’analyse que j’avais faite ici le 23 janvier de cette année, c’est à dire un mois avant le début de l’opération militaire en Ukraine. En résumé, l’OTAN va se désintégrer et l’Europe va souffrir cruellement d’avoir compromis ses relations commerciales avec la Russie. M. Lira évoque le fait – ou plutôt la rumeur – qu’une faction en Europe, qui ne fait pas partie de la majorité actuellement au pouvoir, est en train de négocier l’après-victoire russe, pour tenter de sauver le continent de la misère et du chaos. Il évoque parallèlement la possibilité d’une révolution des ventres vides en Europe dès la fin de cette année, évidemment aggravée par la pénurie d’énergie (programmée) qui privera une partie du peuple du minimum vital, notamment de chauffage – bref, des événements que j’annonce depuis deux ans sur ce blog. Il prévoit aussi une aggravation des mesures désespérées d’une élite qui n’a plus rien à perdre devant le crash imminent du système.

Comme je l’ai maintes fois répété, il n’y aura aucune révolution. Les pitoyables revendications d’un peuple à peine capable d’une vague réaction poujadiste seront aussitôt tuées dans l’oeuf. Pour une analyse très éclairée de l’état mental du peuple français (et d’autres), je vous renvoie vers l’excellent site de Nicolas Bonnal, qui a le bagage culturel nécessaire et trouve encore en lui la ressource de haranguer une plèbe en perdition totale.

M. Lira prévoit aussi qu’en cas d’intégration de la Finlande et de la Suéde à l’OTAN, la Russie s’emparerait militairement de ces deux pays, sans effort et avec beaucoup moins de précautions que celles prises vis-à-vis du peuple ukrainien. L’OTAN soit n’interviendrait pas, soit se ferait immédiatement ratatiner. En ce qui concerne l’Australie, il qualifie de manoeuvre suicidaire sa manoeuvre autoritaire de revendication des Iles Salomon vis-à-vis de la Chine.

Volontairement ou non, M. Lira reste prisonnier de sa lecture binaire des événements et s’en tiendra probablement à sa stance actuelle, d’une Russie légitime contre un Occident pervers et en fin de vie. Il laisse pourtant échapper dans cette vidéo un signe qu’il en sait plus qu’il ne veut bien en dire quand il dit que la Russie n’envahira pas l’Europe, malgré que ce ne serait qu’un retour de l’Histoire (je paraphrase), référence à mon avis à la Nouvelle Chronologie de Fomenko. Dans ce cas, il ne vous dira donc pas non plus ce qu’il sait peut-être aussi, que j’ai dit et que je répète: l’ensemble de l’opération sert à reconstituer la Grande Russie (Finlande incluse), qui a deux ans pour succéder aux Etats-Unis et (re)devenir le pôle central du monde blanc. Il s’agit d’un changement civilisationnel, organisé depuis le niveau au-dessus des « chefs d’Etat », dans lequel ils sont tous complices, de A à Z et à 100%.

Le retour du Dr Buttar

Comme promis, la suite de cette passionnante histoire.

La conférence est terminée depuis deux semaines et impossible de trouver sur le Net le moindre extrait de quelque intervention que ce soit d’aucun des participants, parmi lesquels je reconnais quelques spooks notoires, notamment le Dr David Martin et l’architecte Richard Gage qui avait créé à l’époque Architects & Engineers for 9/11 Truth, un organe majeur d’opposition contrôlée. Pas grand chose non plus sur la propre chaîne du Dr Buttar, si ce n’est une conversation avec Bryan Ardis à propos des révélations grotesques de ce dernier sur la véritable nature du Sars-CoV-2, des vaccins et du Remdesivir – c’est du venin de serpent. Un peu comme ce qu’il raconte.

Rappelons que le Dr Buttar avait promis révéler lors de cette conférence la contre-mesure efficace à l’opération prévue pour cet automne, qui provoquerait la mort de centaines de millions de personnes. On pourrait donc s’attendre à ce qu’il fasse le maximum pour diffuser cette info mais non, apparemment, les seuls qui seront sauvés sont ceux qui auront payé leur place à sa conférence. Quand ce n’est pas le prix d’un ticket d’entrée, ces gens ont toujours quelque chose à vendre: leurs thérapies coûteuses, leurs produits naturopathiques et leurs explications fumeuses. J’ai déjà donné.

L’antidote le plus puissant étant d’en rigoler, je vous rappelle donc que Docteur sur Covidémence fait un excellent travail depuis plus de deux ans et que ses articles sur la ou les diverses varioles (mentales incluses) sont assez bien tournés et sourcés. Je vous en proposerai peut-être d’autres bientôt mais en attendant, il veillera sur votre santé (mentale aussi).

Quelques lectures un peu plus médicales sur le site de l’AIMSIB (un, deux, trois, quatre, cinq) pour comprendre que même en cas de vaccin « sûr et efficace » (il en existe pour les animaux), le problème est la stratégie vaccinale: la vaccination des « cas contacts » aggrave l’épidémie, qui finit par s’éteindre d’elle-même par manque de victimes et grâce aux mesures d’isolation des malades. Beaucoup d’autres articles utiles sur leur site – et ils n’ont rien à vous vendre.

Europa unter alles

Sans même tenir compte de tous les délires réels ou fictifs décrits ci-avant, il est plausible qu’il se prépare une action majeure en Europe, quelle que soit sa forme. Tout concrètes qu’elles soient, les rumeurs de guerre, de famine, de crash financier, d’épidémie – bref, des symptômes typiques de fin de système – jouent un autre rôle. Elles annoncent l’arrivée de quelque chose de moche – programmation prédicitive – ce qui aidera à la faire accepter comme une fatalité et contribuera à détruire le peu de confiance qui pouvait encore subsister dans l’ancien système. Toute l’opération des vaccins Covid repose sur ce seul principe. Ça s’appelle un complot, parce que c’est un complot.

En Europe de l’Ouest et aux Etats-Unis, on vit trop bien et surtout trop longtemps, on a trop de privilèges, on gagne trop d’argent. C’est un mauvais exemple pour le reste du monde, qui pourrait vouloir prétendre à l’équité sur cette base. Il faut donc diaboliser le présent modèle et le rendre concrètement dangereux pour faire la place au modèle suivant, qui amènera sa version de la paix (militaire, sociale, raciale, morale, sanitaire, écologique, climatique, etc.) au prix de la notion de libre choix, de l’espérance de vie et de quelques millions de têtes. Ça s’appelle une guerre, parce c’est une guerre.

Démocratie

Le grand cirque médiatique américain autour du non-événement du 6 janvier 2021, lui-même articulé sur le non-événement des élections présidentielles de 2020 est un spectacle sans intérêt qui camoufle de façon perverse un point très important. Comme dans tous les autres spectacles politiques, on ne cesse de brandir des deux côtés de la frontière du pouvoir le mot « démocratie ». Ici, il s’agit carrément de protéger la démocratie aux Etats-Unis. Une bonne fois pour toutes (enfin, probablement pas), la démocratie est l’antithèse de la république et de ses lois, qui se tiennent au-dessus du pouvoir. D’un point de vue purement légaliste, toute personne qui prétend défendre la démocratie dans une république devrait donc en toute logique être considérée comme traître, voire comme terroriste, et traîtée comme telle. Ça n’arrivera bien entendu jamais mais gardez ça à l’esprit quand vous entendrez les jacassements de l’un ou l’autre, ami ou ennemi.

Sinon…

Il y en aurait encore des tombereaux à écrire, analyser, décortiquer et désarmer, mais ça ira très bien pour cette fois.

Merci pour la patience que mes lecteurs consacrent à lire mes articles. Si ce que j’y rapporte les use autant que moi, une suggestion pour utiliser cette patience à meilleur escient: soyez bons avec les animaux et venez en aide aux sans-abri.

C’est la meilleure façon de faire obstacle à la misère.

Juste un commentaire.

… parmi des milliers d’autres, trouvé sur Substack.

Et vous, qu’en pensez-vous?


shoe, 3 juin

Ce que nous sommes en train de faire relève de la folie pure. Ce n’est pas seulement que nous injectons des gens avec une plateforme complètement nouvelle. En fait, doublement nouvelle, puisque les nanoparticules lipidiques et l’ARNm sont des inconnus complets. Peut-être qu’après 20 ans d’études supplémentaires, ça irait. Mais pas MAINTENANT! C’est de la folie. Nous avons déjà tenté des acrobaties similaires au cours de l’histoire et nous les avons arrêtées parce que ça a TOUJOURS été un énorme désastre.

Alors, je ne comprends pas comment aujourd’hui tant de gens trouvent ça super cool, parce que quoi? Parce qu’on leur a dit que c’était la chose à faire, correcte et NORMALE. Injecter aux gens un vaccin qui n’a pas été testé du tout. Je dis bien pas du tout. Si c’était juste un virus atténué, je ne ferais pas un tel scandale. Non. C’est le genre de nouveauté niveau savant fou. On n’est pas seulement en train de voler à l’aveugle, on ne sait même pas si on vole, ou quoi d’autre encore.

Je suppose que c’est comme à la guerre. L’élite, les politiciens et la presse nous disent que c’est normal que des milliers de personnes meurent chaque jour. C’est normal. C’est la guerre. Ce qui ne serait pas normal, c’est que personne ne meure. C’est alors que nous devrions paniquer. Imaginez qu’il y ait une guerre et que personne ne meure. AHHHHHHHHHHH!

Alors personne ne sourcille. Mais c’est à nouveau l’hystérie si « une seule » personne meurt, si c’est la bonne personne et si la presse veut que nous paniquions. Alors cette mort devient la mort de la nation. Mais un million de morts en Irak ou au Yémen, c’est normal.

Et c’est pourquoi injecter aux gens ces vaccins est NORMAL pour vous aussi.


shoe, 3 juin

It is absolute insanity what we are doing. We don’t just inject people with a completely new platform. Actually doubly new, since lipid nano-particles and mRNA are complete unknowns. Maybe after 20 years more studies. But not NOW! This is insanity. We did similar stunts before in histroy and we stopped doing it because: it was ALWAYS a huge disaster.

So, I cannot understand that now a lot of people are super chill because what? Because they were told it is the right and correct and NORMAL thing to do. Just inject people with a completely untested vaccine. I mean completely. If it were just an attenuated virus, I wouldn’t make such a stink. No. This is, crazy mental scientist kind of new. We are flying not only blind, we don’t even know if we are flying or something else.

I guess it is like war. The elite, politicians and the press tell us, it is normal when thousands of people die every day. That’s normal people. It’s war. What is not normal is, that nobody is dying. Then we should panic. Imagine there is a war and nobody is dying. AHHHHHHHHHH!

So people don’t bat an eye. But it is hysteria again if « just one » person dies if it is the right person and the press wants us to freak out. Then one death is the death of the nation. But 1 million killed in Irak or Yemen is normal.

And that is why injecting people with these vaccines is NORMAL for you as well.

Mythologie du vaccin contre la variole et la variole du singe, aegrescit medendo – par DoorlessCarp.

Voici le fruit d’un monumental travail de recherche et de recoupement d’information sur le sujet. Espérant qu’il sera utile à beaucoup, l’auteur (et le traducteur) compte(nt) sur le lecteur pour le partager. Les termes médicaux employés dans les extraits d’articles sont parfois un peu pointus mais rien n’empêche de les survoler, pour n’en retenir que le principe général – quoique je recommande de faire l’effort. Je suis certain que la partie historique intéressera tout le monde.

Bonne lecture.

PS: « aegrescit medendo » signifie que le remède est pire que la maladie.


Traduction

Mythologie du vaccin contre la variole et la variole du singe, aegrescit medendo

Le remède est pire que la maladie

DoorlessCarp🐭

3 juin

Tous les extraits utilisés dans l’article suivant sont destinés à des fins de recherche et d’éducation non commerciales uniquement et peuvent être soumis aux droits d’auteur de leurs propriétaires respectifs.

Introduction

La première partie de ce Substack retrace l’histoire de la vaccination antivariolique.

La deuxième partie examine la sécurité et l’efficacité d’un candidat vaccin contre la variole du singe et les mécanismes de la cardiomyopathie induite par le vaccin.

La troisième partie conclut sur le thème « L’avenir de la vaccination contre la variole », qui examine des solutions différentes de celle qui est actuellement adoptée.

Première partie: la variole

Si la célèbre découverte d’Edward Jenner a sans aucun doute sauvé de nombreuses vies, elle a également contribué à de nombreux décès pour diverses raisons.

Son effet n’a pas vu la mortalité nette dans la population diminuer au fil du temps, mais au contraire, augmenter (mais où avons-nous déjà vu ça?).

Les principales causes en étaient les suivantes:

  • Les enfants immunodéprimés et mal nourris étaient incapables de produire une réponse immunitaire efficace. Cela revenait à pousser sur une corde.
  • Le virus vivant de la variole bovine pouvait être aussi mortel pour ces personnes que la variole elle-même.
  • Les bonnes pratiques de fabrication (BPF) étaient encore inconnues à l’époque. Les préparations vaccinales variaient en termes de qualité et de variants utilisés, et pouvaient même être contaminées par des spores d’anthrax. En outre, il arrivait souvent que le vaccin provienne de la variole elle-même, et non de la variole bovine…

Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je peux recommander l’excellent « Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History » [Dissiper les illusions : La maladie, les vaccins et l’histoire oubliée] (2013) de Suzanne Humphries MD, dont il convient d’inclure plusieurs citations dans ce Substack.

À bien des égards, nous n’avons pas vraiment progressé depuis l’ère victorienne:

Des vésicules fraîches se sont ensuite formées autour des boutons de vaccination, coalesçant avec eux et provoquant leur propagation. Elles se sont également développées sur le visage, la tête, le corps et dans la bouche, ce qui a empêché l’enfant de téter, et il est mort épuisé le 45e jour après la vaccination.

– Cas d’un enfant sain après la vaccination, 13 mars 1891

Essayez la revaccination – elle ne vous fera jamais de mal,

Car la revaccination a cette grande vertu:

Si elle vous blesse ou vous tue quand vous la recevez,

Nous sommes tous prêts à refuser d’y croire.

– Extrait d’une circulaire signée « The Doctors », 1876.

Et toute immunité acquise, si le vaccin ne vous tuait pas dès la première injection, n’était pas éternelle:

…on observe que tous les enfants non revaccinés âgés de plus d’un an et demi, ou à peu près, et toutes les personnes revaccinées dont la revaccination date de plus de trois ans, c’est-à-dire la grande majorité de la population entière, ne sont pas protégés.{106}

Un autre praticien, le Dr Olesen, a affirmé que la revaccination devait être effectuée chaque année.

Une vaccination récente et réussie constitue une protection absolue contre la variole. La protection dure de six à douze mois et souvent beaucoup plus longtemps. La revaccination est conseillée une fois par an.

Depuis la fin des années 1700, la profession médicale soutient la vaccination, même s’il n’y a jamais eu d’essai où un groupe a été vacciné et comparé à un autre groupe de même taille qui n’a pas été vacciné{109}.

Le CDC admet que, même aujourd’hui, le niveau d’anticorps qui protège contre l’infection par la variole est inconnu.{110} À l’époque où les auteurs de Dissolving Illusions étaient enfants aux États-Unis, on considérait les enfants comme vaccinés et immunisés simplement en révélant la cicatrice de la vaccination des années après l’intervention.

La normalisation et la pureté des vaccins antivarioliques n’étaient pas au rendez-vous, même après l’éradication de la variole aux États-Unis. Les déclarations du Dr Beddow Bayly en 1952 devraient amener chacun à se demander comment un tel vaccin aurait pu être responsable de l’éradication d’une quelconque maladie:

Quand on se rappelle que la lymphe vaccinale est dérivée, en premier lieu, soit d’un cadavre de variole, soit du pis ulcéré d’une vache, soit des plaies coulantes des talons d’un cheval malade, le choix dépendant du pays d’origine et de la firme qui le fabrique, il n’est guère étonnant qu’elle ait des effets néfastes profonds sur la constitution humaine. Il y a quelques années, le Lancet déclarait qu' »aucun praticien ne sait si la lymphe qu’il emploie provient de la variole, de la variole du lapin, de la variole de l’âne ou de la variole de la mule » {117}. Notre propre Ministère de la Santé a longtemps avoué son ignorance complète de la source ultime de sa propre réserve de lymphe; mais l’année dernière, le Dr A. Downie a déclaré dans le British Medical Journal que « la souche du virus de la vaccine utilisée pour la préparation de routine de la lymphe dans ce pays [l’Angleterre] est censée avoir été dérivée d’un cas de variole à Cologne au cours du siècle dernier ». Ceci, bien sûr, détruit toute la théorie de la vaccination avec la variole de la vache.{118}

Lorsque Jenner publia en 1798 son article revendiquant l’immunité à vie contre la variole et promouvant sa technique, de nombreux médecins qui avaient vu la variole succéder à la variole bovine contestèrent sa doctrine lors d’une réunion de la Medico-Convivial Society.

Mais il [Jenner] eut à peine le temps d’en parler qu’ils en rirent. Les docteurs des vaches auraient pu lui citer des centaines de cas où la variole avait suivi la variole bovine…{122}

En 1799, le Dr Drake, un chirurgien de Stroud, en Angleterre, a mené une expérience pour tester la nouvelle préparation préventive de Jenner en utilisant un vaccin obtenu directement d’Edward Jenner. Les enfants furent ensuite soumis à une inoculation de variole pour voir si le procédé de la variole bovine avait été efficace.

Chez trois d’entre eux, un garçon de dix-sept ans et deux des enfants Colborne (l’un âgé de quatre ans, l’autre de quinze mois), les vésicules de la variole atteignirent une maturité précoce et furent croûtées dans les délais habituels. On inocula la variole au jeune homme le 20 décembre, soit le huitième jour de sa vaccination, et aux deux enfants le 21, soit encore le huitième jour. Ils développèrent tous la variole, à la fois les pustules locales et l’éruption générale avec de la fièvre.{123}

Le Dr Hughes, un autre médecin de Stroud, rapporta que les enfants avaient ensuite développé la variole et suggéra que la technique de vaccination avait échoué. Jenner reçut le rapport mais décida d’ignorer les résultats.

Le comportement humain ne varie jamais:

Les chirurgiens et les médecins étaient bien payés pour pratiquer la vaccination et y voyaient une nouvelle source de revenus. Il est donc assez significatif qu’un si grand nombre de médecins aient écrit à des revues médicales pour relater leurs expériences. Cependant, tout comme aujourd’hui, les croyants ont ignoré les voix des dissidents médicaux, ce qui a conduit les gens ordinaires à s’exprimer dans les médias non spécialisés.

Un taux de létalité de 33 % indique une efficacité nulle. Ce n’est peut-être pas surprenant si la variole était la source de la lymphe:

Lors de l’épidémie de variole de 1844, environ un tiers des vaccinés ont contracté une forme bénigne de variole, mais environ 8% des vaccinés sont quand même morts, et près des deux tiers ont eu une maladie grave {131}.

Une lettre adressée à un journal en 1850 affirmait qu’il y avait plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que pendant l’épidémie de variole de 1781, avant le début de la vaccination. L’auteur notait également qu’un tiers des décès dus à la variole concernait des personnes qui avaient été vaccinées auparavant.

L’expérience quotidienne montre malheureusement que la situation a changé : la variole, malgré la vaccination, augmente rapidement… Il y a eu plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que lors de la célèbre épidémie de variole de 1781, avant l’introduction de la vaccination. Je choisirai également les rapports du Registrar de l’un des districts de campagne (Bradford) pour montrer le peu de protection qu’offrait la vaccination au cours du dernier trimestre de cette année 1844: 118 [181 ?] décès dus à la variole ont été enregistrés, dont 60, soit près d’un tiers, avaient été vaccinés.{132}

Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes:

En 1898, le Dr Wilder a également noté que pendant la pandémie de 1871-1872, les vaccinés ont souvent contracté une variole grave plus rapidement que les non-vaccinés.

Jamais, cependant, la foi en la vaccination n’a subi un choc aussi rude que lors de la grande épidémie de variole de 1871 et 1872. Tous les pays d’Europe furent frappés par une épidémie plus grave que celle qui avait été observée au cours des trois siècles précédents. En Angleterre, le nombre de décès dus à la maladie est passé de 2.620 en 1870 à 23.126 en 1871 et 19.064 en 1872, pour retomber à 2.634 en 1873. Sur le continent, en particulier en France et en Allemagne, l’épidémie fut encore plus grave. En Bavière, par exemple, la population vaccinée était plus nombreuse que dans n’importe quel autre pays d’Europe du Nord, à l’exception de la Suède, qui connut la plus grande épidémie jamais connue.

Ce qui est encore plus significatif, c’est que de nombreuses personnes vaccinées dans quasiment toutes les régions ont été attaquées par la variole avant que les personnes non vaccinées ne contractent la maladie.{139}

La résistance à la vaccination s’étant naturellement accrue, des obligations furent promulguées:

En 1840, alors que les médecins et les citoyens se rendaient compte que la vaccination n’était pas ce qu’on leur promettait, les refus de vaccination ont pris de l’ampleur. Les gouvernements ont adopté diverses lois pour obliger les gens à se faire vacciner. En Angleterre, la vaccination a été rendue obligatoire en 1853, et des lois plus strictes ont été adoptées en 1867. Aux États-Unis, le Massachusetts a créé un ensemble de lois générales sur la vaccination en 1855.

Cela a-t-il fonctionné? Pas vraiment.

En fait, plus de personnes sont mortes de la variole dans les 20 ans qui ont suivi les lois strictes d’obligation vaccinale que dans les 20 années précédentes.

…la variole, après avoir presque entièrement disparu de notre communauté pendant les trente ou quarante ans qui ont suivi l’introduction de la vaccination en 1800, a progressivement repris pied à Boston, où elle a continué à sévir presque sans interruption, bien qu’avec une intensité variable, de 1839, lorsque la maladie a pris pour la première fois la forme d’une épidémie distincte, jusqu’en 1873. Pendant cette période de trente-cinq ans, l’évolution de la variole a été marquée par une succession de paroxysmes épidémiques, généralement entrecoupés d’intervalles de plusieurs années, pendant lesquels un nombre variable de cas sporadiques a témoigné de la présence plus ou moins constante de la maladie. La dernière épidémie, celle de 1872-1873, ayant été fatale à 1.040 personnes, est la plus sévère qu’ait connue Boston depuis l’introduction de la vaccination.{142}

Le même schéma d’épidémies plus graves devait se répéter dans les populations fortement vaccinées du monde occidental.

Nombre total de décès en Angleterre et au Pays de Galles dus à la variole et à d’autres effets de la vaccination de 1859 à 1922.
Décès dus à la variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux décès dus à la vaccination antivariolique de 1906 à 1922.

Assainissement et alimentation, comme toujours:

Le taux de mortalité de la variole a diminué après 1872, mais rien ne prouve que la vaccination y soit pour quoi que ce soit. Au début des années 1900, les décès dus à la variole ont pratiquement disparu d’Angleterre (graphique 4.5). Il est intéressant de noter que le schéma des décès dus à la variole reflétait presque parfaitement celui d’une maladie beaucoup plus meurtrière, la scarlatine, une maladie bactérienne à médiation par toxine. Il existait un vaccin contre la scarlatine à base de toxine, qui n’a jamais été utilisé à grande échelle car il avait de graves conséquences pour bon nombre de ses bénéficiaires. Un déclin marqué de la mortalité due à la scarlatine s’est produit bien avant l’utilisation de tout antibiotique.

Taux de mortalité de la variole et de la scarlatine en Angleterre et au Pays de Galles de 1838 à 1922.

En examinant les graphiques, certains pourraient penser que le vaccin a simplement nécessité plus de temps pour produire ses effets. Mais après 1872, les taux de couverture vaccinale, qui atteignaient près de 90%, ont lentement diminué. Les taux de couverture ont chuté à seulement 40% en 1909 (graphique 4.6). Malgré la baisse des taux de vaccination, le nombre de décès dus à la variole est resté faible et a pratiquement disparu après 1906. La vaccination antivariolique a toujours eu une corrélation positive avec les épidémies dans les pays qui ont recueilli des données dans le vain espoir de faire la preuve de la valeur du vaccin.

Taux de mortalité par variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux taux de couverture vaccinale contre la variole de 1872 à 1922.

Tout comme aujourd’hui, de nombreux cas poignants de décès évitables d’enfants. La soumission ne fonctionnait pas et c’est ainsi que la vaccination obligatoire fut abandonnée en Angleterre:

Après la pandémie de 1872, davantage de personnes perdirent confiance dans la vaccination. Ils se demandèrent si l’amélioration de l’assainissement, de l’hygiène, des conditions de logement, de l’alimentation et l’isolement des cas ne constituaient pas le meilleur moyen de lutter contre la variole. Ces idées, qui entraient en conflit avec la profession médicale et les lois gouvernementales, culminèrent dans une grande manifestation en 1885 contre la vaccination obligatoire dans la petite ville industrielle de Leicester, en Angleterre. Les gens en avaient assez. Le vent était sur le point de tourner contre la profession médicale et la loi.

Bien que la vaccination contre la variole ait été utilisée depuis 1800, le gouvernement ne commença pas à l’appliquer avant les premières lois de 1840 et 1853. La loi de 1853 mit en place le dispositif gouvernemental permettant d’exiger que chaque enfant soit vacciné dans les trois mois suivant sa naissance.

Grâce à une série d’actes juridiques au fil des ans, le gouvernement britannique avait, au moment de la manifestation de Leicester, fait du refus de la vaccination antivariolique un crime passible d’amendes ou d’emprisonnement.

Les sanctions frappaient de manière disproportionnée les pauvres qui, s’ils n’avaient pas les moyens de payer l’amende pour non-respect de la loi sur la vaccination, voyaient le montant du règlement récupéré de force par la saisie et la vente de leurs meubles. Extrait du Leicester Mercury, janvier 1884:

Un homme nommé Arthur Ward a eu deux enfants blessés par la vaccination et a refusé d’en soumettre un autre à l’opération. Une amende a été imposée et le 24 novembre, deux officiers de police ont réclamé l’amende ou, à défaut, la contravention des biens. Le mari était parti au marché et la pauvre femme n’avait pas d’argent pour payer. Les biens se trouvant au rez-de-chaussée ont été jugés insuffisants pour couvrir le montant, et les agents ont exigé de monter à l’étage. La femme ayant refusé, une altercation a eu lieu, et les officiers ont tenu des propos très durs, menaçant d’emmener son mari en prison, terrifiant Mme Ward. À cette époque, elle était enceinte, et le choc subi par son organisme, ainsi que la peur, étaient d’une telle nature que les symptômes qui s’ensuivirent conduisirent à un accouchement prématuré, et le 26 décembre, elle donna naissance à un enfant mort-né. Elle ne s’est jamais remise et est décédée la semaine dernière. Le médecin qui a soigné Mme Ward a déclaré que, bien qu’il soit partisan de la vaccination, il ne pense pas qu’il soit du devoir d’un professionnel d’appliquer les lois de la manière scandaleuse et brutale dont elles sont imposées {193}.

Leicester, 23 mars 1885:

En raison des conséquences graves et parfois mortelles de la procédure, et du soutien indéfectible du gouvernement à la vaccination forcée par le biais d’amendes et d’emprisonnements, la population a été incitée à se révolter. En grand nombre, ils sont descendus dans les rues de Leicester pour protester. Au moment de la manifestation, on comptait des milliers de poursuites judiciaires contre des parents qui refusaient de faire vacciner leurs enfants.

L’opposition générale à l’application des clauses obligatoires des lois sur la vaccination qui existe à Leicester a culminé hier dans une grande manifestation, qui a été menée avec grand succès. La prise de position des habitants de la ville à l’égard de cette question est due à des causes diverses. A l’heure actuelle, plus de 5.000 personnes sont convoquées pour avoir refusé de se conformer à la loi…. les convocations émises au cours de l’année 1884 ne dépassaient pas sept, soit un peu plus d’une convocation tous les deux mois, tandis qu’à l’heure actuelle, quarante-cinq convocations sont entendues et réglées chaque semaine. Mais même la disposition de quarante-cinq prévenus chaque semaine ne suffit pas à répondre aux exigences de l’affaire, et le nombre de contrevenants et d’objecteurs augmente plus vite que les affaires ne peuvent être traitées.{194}

La foule qui s’est rassemblée à Leicester venait de plusieurs comtés d’Angleterre et comprenait des personnes de toutes professions.

La manifestation… attira des délégués de toutes les régions du pays, tandis que de nombreuses lettres de sympathie furent reçues non seulement d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, mais aussi de Jersey, de France, de Suisse, de Belgique, d’Allemagne et d’Amérique. La plupart des grandes villes du royaume ont envoyé leurs propres bannières, celles du Yorkshire, d’Irlande et d’Écosse étant très en vue. Les anti-vaccinationnistes de Jersey ont envoyé une bannière très élaborée indiquant que les lois avaient été défaites quatre fois dans cette ville, tandis que la bannière belge portait cette inscription en français : « Ni les amendes ni l’emprisonnement n’empêcheront que le vaccin soit un poison et que les lois sur la vaccination soient une infamie » {195}.

Les organisateurs de la manifestation ont estimé le nombre de participants entre 80.000 et 100.000. M. Butcher, conseiller municipal de Leicester, a présidé et félicité la foule pour ce spectacle magnifique et bien organisé. Il a déclaré:

…la conduite exemplaire des milliers de personnes qui ont participé à la manifestation a montré qu’elles étaient déterminées à n’utiliser que des moyens justes et constitutionnels pour obtenir l’abrogation des lois.{200}

Il s’est ainsi adressé à l’auditoire:

De nombreuses personnes présentes ont été victimes de ces Lois, et tout ce qu’elles demandent, c’est qu’à l’avenir on les laisse tranquilles, elles et leurs enfants. Ils ne sont pas venus au monde pour servir de cobayes à l’éradication d’une maladie particulière. Une grande partie du public, qui ne cesse de croître, est d’avis que le meilleur moyen de se débarrasser de la variole et d’autres maladies semblables est de faire usage de beaucoup d’eau, de manger de bons aliments, de vivre dans des maisons claires et aérées, et de veiller à ce que la Corporation garde les rues propres et les égouts en ordre. Si l’on s’occupait de ces questions, il n’y aurait rien à craindre de la variole ni d’aucune autre maladie du même genre; si on les néglige, ni la vaccination ni aucune autre prescription d’un Acte du Parlement ne pourrait les sauver.{201}

Les habitants de Leicester prévalurent et mirent fin à ce cauchemar pseudo-scientifique, les lois sur la vaccination obligatoire furent finalement abrogées:

Des milliers de personnes courageuses lancèrent une rébellion historique qui permit de contrer avec succès la croyance médicale dominante et le pouvoir autoritaire du gouvernement. La profession médicale proclama que les habitants de Leicester souffriraient grandement de leur décision de se détourner de la vaccination. Ils prévoyaient que cette ville non vaccinée, avec ses « matières hautement inflammables »{206}, souffrirait de la « redoutable maladie »{207} qui se répandrait comme « un feu grégeois dans une prairie »{208} et décimerait la population.

Mais les dirigeants de Leicester restèrent fidèles à ce qu’ils savaient être juste et réussirent à mettre en œuvre leur plan d’assainissement, d’hygiène et d’isolement – plutôt que la vaccination. Leur grande entreprise allait mettre à l’épreuve les notions mêmes de liberté de choix, d’autodétermination et le fondement même d’une croyance médicale erronée.

Pour connaître l’histoire complète et de nombreuses autres études de cas, je vous recommande de lire le livre.

Partie 2: La variole du singe

« Nous avons décidé de devenir une grande firme pharmaceutique. »
« Comme l’a jadis conseillé l’expert en affaires, Willie Sutton, ‘Parce que c’est là qu’on trouve l’argent’. »
« Il faisait référence au cambriolage des banques. » « Oui, et alors? »

Je n’entrerai pas ici dans les méandres de la virologie, car il s’agit pour l’instant d’un exercice de propagande médiatique, de promotion des vaccins et de l’OMS, d’un rien du tout avec un indice R inférieur à 1 et transmis de la même manière que le VIH, en fait une MST spécifique à un genre.

Comme pour le Covid-19, pour la plupart des gens, la clade importée d’Afrique de l’Ouest se présente comme une maladie relativement bénigne, auto-limitante, avec un taux de létalité inférieur à 1, y compris pour les personnes présentant des comorbidités, c’est-à-dire qu’il est en fait assez difficile d’en mourir, et encore plus de la contracter. (1)

Cependant, il existe des preuves de sa création en laboratoire ou d’un potentiel gain de fonction, et il est possible qu’il fonctionne comme une arme binaire, l’autre composant étant l’immunosuppression médiée par les « vaccins » à coronavirus, il faut donc le surveiller du point de vue de son taux de transmission. Pour que cela devienne un problème, il faudrait qu’il se propage par aérosol plutôt que directement de personne à personne.

@Kevin_McKernan:

Il y a quelque chose de suspect dans les séquences de la variole du singe.

50 mutations, c’est beaucoup trop pour un virus ADN de 2018.

On trouve également une délétion qui laisse penser à un passage en série.

https://virological.org/t/discussion-of-on-going-mpxv-genome-sequencing/802

Et ce fil ajouté le 5 juin ’22:

L’EPIDEMIE DE VARIOLE DU SINGE (MPXV22) PROVIENT-ELLE D’UN LABORATOIRE?
La géographie, la transmissibilité, le nombre et le type de mutations le suggèrent fortement.
Avertissement: ceci est une analyse PRELIMINAIRE, un premier coup d’oeil, une invitation à ouvrir le débat! J’espère me trompter. Mais les données…

https://threadreaderapp.com/thread/1532852045614665732.html

Du point de vue des laboratoires pharmaceutiques, les vaccins antivarioliques sont interchangeables avec les vaccins contre la variole du singe.

Les vaccins antivarioliques ont également été associés à des taux très élevés de myocardite:

En 2015, des médecins militaires américains ont décrit une étude portant sur 1 081 jeunes soldats en bonne santé ayant reçu un vaccin antivariolique dans le cadre de leur service militaire. [Le vaccin antivariolique n’est pas utilisé dans la population civile] Il est connu pour provoquer un taux élevé d’effets secondaires, notamment des myo- et péri-cardites, des crises cardiaques et des insuffisances cardiaques.

Ils ont constaté que:

– 5 soldats, soit 0,046% (environ 1 sur 216 personnes vaccinées) ont développé un cas clinique de myo ou de péricardite. C’est plus de 200 fois le taux attendu!

– Mais 31 autres personnes vaccinées ont présenté des taux élevés d’enzymes cardiaques.

En additionnant ces deux groupes (36 sur 1081 soldats), nous constatons qu’un soldat sur 30 a présenté une inflammation cardiaque diagnostiquée en laboratoire. Les 31 autres ne se sont pas plaints de symptômes. Mais dans l’armée, se plaindre n’est jamais payant.

Ils étaient eux aussi exposés à un risque élevé d’arythmie cardiaque et/ou de réduction de la fonction cardiaque, et peut-être même à un risque plus élevé d’infarctus du myocarde.

Nous ne savons pas dans quelle mesure les myo/péricardites légères ou subaiguës sont fréquentes chez les jeunes Américains après l’administration des vaccins Covid, car les agences sanitaires américaines n’ont pas réalisé d’étude similaire, n’ont pas exigé une telle étude des fabricants de vaccins (alors qu’il incombe à la fois à la FDA de la demander et aux fabricants de la réaliser), et la FDA et les CDC ont gardé secrètes les bases de données qui pourraient au moins permettre d’identifier les cas « cliniques », ceux qui se sont plaints et ont demandé des soins médicaux.

Les CDC ou la FDA auraient également pu passer un contrat avec ce groupe de médecins militaires pour réaliser une étude similaire sur les personnes ayant reçu le vaccin Covid.

Le Dr Michael Nelson, deuxième auteur de cette étude, a été nommé membre du comité consultatif de la FDA pour les vaccins Covid. Mais il est resté muet sur les similitudes potentielles entre les effets secondaires du vaccin Covid et ceux du vaccin antivariolique, et n’a pas mentionné publiquement cette étude lorsqu’il s’est exprimé lors des réunions du VRBPAC.

En 2003, un autre groupe de médecins militaires et civils (comprenant au moins 2 fanatiques du vaccin comme coauteurs: Greg Poland et John Grabenstein) a publié une étude sur les soldats américains soumis au vaccin antivariolique, dans laquelle ils n’ont pas soigneusement recherché les cas. Quelle était la fréquence de la myocardite dans leur étude ? Un cas sur 12 818 soldats. Ils ont trouvé 400 fois moins de cas que les auteurs de l’étude de 2015. Le texte complet peut être téléchargé ici en pdf.

Dans quelle mesure les CDC et la FDA recherchent-ils des cas de myo-péricardite liés au vaccin Covid? Nous n’avons entendu parler d’aucune étude prospective lors des réunions du VRBPAC et de l’ACIP (les comités consultatifs des vaccins de la FDA et des CDC) en juin.

Ci-dessous le résumé, et ici le texte complet de l’étude militaire de 2015:

« De nouvelles douleurs thoraciques, une dyspnée et/ou des palpitations sont apparues chez 10,6 % des personnes ayant reçu le vaccin SPX et 2,6 % des personnes ayant reçu le vaccin TIV dans les 30 jours suivant la vaccination (risque relatif (RR) 4,0, IC 95 % : 1,7-9,3). Parmi les 1 081 vaccinés par le SPX ayant fait l’objet d’un suivi complet, 4 hommes caucasiens ont été diagnostiqués avec une myocardite probable et 1 femme avec une péricardite présumée. Cela indique un taux d’incidence post-SPX plus de 200 fois supérieur au taux de surveillance de la myocardite/péricardite de la population de référence avant le SPX (RR 214, IC 95 % 65-558). De plus, 31 personnes ayant reçu le vaccin SPX et ne présentant pas de symptômes cardiaques spécifiques ont vu leur taux de cTnT (>99e percentile) augmenter de plus de 2 fois par rapport à la ligne de base (pré-SPX) pendant la fenêtre de risque de myocardite/péricardite clinique et répondant à une définition de cas proposée pour une possible myocardite subclinique. Ce taux est 60 fois plus élevé que le taux d’incidence des cas cliniques manifestes. Aucun cas clinique ou possible de myocardite subclinique n’a été identifié dans le groupe vacciné par le TIV. »

Si vous pensez qu’un cas sur trente est incroyablement élevé, une étude finlandaise sur des recrues militaires publiée en 1978 a révélé le même taux de 3 % après la vaccination contre la variole et le DTC, sur la base de modifications de l’ECG.

Les vaccins Covid pourraient également être à l’origine de taux élevés similaires d’inflammation cardiaque. Mais aujourd’hui, qui fait le compte?

Et cela a-t-il incité les militaires à cesser de vacciner contre la variole, une maladie éradiquée en 1977? Non. Les vaccinations militaires contre la variole ont continué.

Nass, Meryl MD, Quelle est la fréquence de la myocardite? Cela dépend énormément de la façon de regarder. Pour le vaccin antivariolique chez les recrues militaires, 1 sur 30 présentait une myo ou une péricardite clinique ou subclinique/PLOS One, (mercredi 7 juillet 2021)
https://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/07/how-common-is-myocarditis-it-hugely.html

Considérons maintenant « JYNNEOS », le vaccin contre la variole du singe du moment. Il s’agit d’un vaccin antivariolique vivant, non répliquant, à 2 doses, réaffecté.

Se faire « immuniser » avec ce vaccin est une décision très personnelle, basée sur votre situation et les développements épidémiologiques futurs. Je présente ici les preuves et je conseille personnellement une extrême prudence.

Le mémorandum dénote un parti pris désormais trop familier et manquait de données de sécurité ou d’efficacité immunologique à long terme.

Extraits du mémorandum d’examen clinique de la BLA, une demande de licence biologique (BLA) datée du 25/10/2018 et téléchargeable sur:

https://www.fda.gov/media/131870/download

Jynneos est une tentative de créer un vaccin antivariolique plus sûr (« MVA-BN »). Pour une maladie éradiquée.

Et qui pourraient être ces « bioterroristes » auxquels ils font référence?

La variole est une maladie infectieuse très contagieuse causée par le virus de la variole, dont le taux de mortalité est de 30 à 40 %. La variole a été déclarée officiellement éradiquée en 1980. Après la déclaration officielle d’éradication de la variole, les programmes de vaccination de routine contre la variole ont été interrompus, ce qui a eu pour conséquence qu’une majorité croissante de la population mondiale n’est pas immunisée contre la variole. La dissémination intentionnelle du virus de la variole, un agent reconnu pour son potentiel bioterroriste, pourrait donc avoir des effets dévastateurs. Le seul vaccin antivariolique actuellement homologué, l’ACAM2000, est un vaccin antivariolique vivant, répliquant le virus de la vaccine. L’ACAM2000 est contre-indiqué chez les personnes gravement immunodéprimées dont on ne s’attend pas à ce qu’elles tirent bénéfice du vaccin. L’utilisation de l’ACAM2000 fait également l’objet de restrictions chez les personnes présentant un risque élevé de variole en raison d’effets secondaires graves, tels que la vaccine progressive chez les personnes moins gravement immunodéprimées pour lesquelles le vaccin n’est pas contre-indiqué, l’eczéma vaccinatum chez les personnes atteintes de dermatite atopique, la myopéricardite chez les personnes n’ayant jamais reçu le vaccin antivariolique, la vaccine fœtale chez les femmes enceintes et la propagation du virus vaccinal au-delà du site de vaccination (vaccine généralisée) ou aux contacts des personnes vaccinées. Il existe donc un besoin médical non satisfait pour un vaccin antivariolique présentant un meilleur profil de sécurité.

La variole du singe est une zoonose virale rare dont les symptômes sont similaires à ceux observés chez les patients atteints de variole. Bien qu’elle soit cliniquement moins grave que la variole, elle peut être mortelle. Le taux de létalité dans les épidémies de variole du singe se situe entre 1 et 10 %. Depuis l’éradication de la variole en 1980 et l’arrêt de la vaccination contre la variole, le virus de la variole du singe est devenu le principal orthopoxvirus. La variole du singe survient sporadiquement dans la forêt tropicale humide d’Afrique centrale et occidentale. Une épidémie de variole du singe a été confirmée pour la première fois aux États-Unis en 2003. Il n’existe pas de traitement spécifique ou de vaccin approuvé pour la variole du singe, mais l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommande d’utiliser ACAM2000 pour la prévention de la variole du singe chez les personnes présentant un risque élevé d’exposition (par exemple, les travailleurs de laboratoire qui manipulent le virus de la variole du singe).

BN (également appelé le demandeur dans le document) a proposé une série primaire de deux doses à utiliser chez les personnes n’ayant jamais reçu de vaccin antivariolique et une dose de rappel unique à utiliser chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique (série primaire du vaccin antivariolique réplicatif ou MVA-BN). Ils ont soumis 22 essais cliniques pour étayer l’efficacité et l’innocuité de MVA-BN en vue d’une autorisation de mise sur le marché. Parmi ces 22 essais cliniques, 7 sont considérés comme essentiels par l’équipe de révision pour soutenir l’indication et l’utilisation proposées. Des rapports d’études cliniques complets ont été soumis à la BLA pour ces 7 études:

– POX-MVA-006: Un essai pivot de non-infériorité de phase 3 comparant MVA-BN à ACAM2000 pour étayer l’innocuité et l’efficacité de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais reçu de vaccin.

– POX-MVA-013: Essai de phase 3 contrôlé par placebo sur l’uniformité des lots pour établir l’uniformité de la fabrication de MVA-BN et pour confirmer l’innocuité de MVA-BN.

– POX-MVA-008: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes atteintes de dermatite atopique.

– POX-MVA-011: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes infectées par le VIH.

– POX-MVA-005 et -23: Un essai de phase 2 et son extension, respectivement, pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes ayant déjà été vaccinées.

– POX-MVA-024: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes âgées de 65 ans et plus.

Tout commence donc sur une note positive pour se dégrader ensuite rapidement. L’objectif initial d’efficacité n’est que de 50%. La sécurité et l’efficacité ne sont pas évaluées prioritairement par rapport à un groupe témoin non vacciné mais par rapport à l’ACAM2000, est-ce pour donner l’impression qu’il est plus sûr?

Les anticorps ne sont pas synonymes d’immunité. Ils relèvent qu’il n’existe pas de quantification connue de la réponse des anticorps qui démontrerait l’immunité:

Au cours des discussions sur la voie d’homologation de MVA-BN, nous avons convenu que l’approche la plus appropriée pour l’homologation de MVA-BN serait de démontrer l’efficacité du vaccin par rapport à l’ACAM2000 en utilisant un critère primaire de non infériorité des titres d’anticorps neutralisants spécifiques de la vaccine. La marge de non-infériorité a été fixée au préalable à 0,5. Étant donné que les antigènes du vaccin et la compétence de réplication sont différents pour MVA-BN et ACAM2000, et qu’une réponse d’anticorps neutralisants de la vaccine permettant de prédire la protection contre la variole n’a pas été établie, nous avons considéré que la démonstration de l’efficacité du vaccin dans des modèles animaux montrant une protection contre un défi orthopoxviral pertinent (par exemple la variole du singe chez les PNH) serait essentielle pour soutenir la comparaison de non-infériorité immunologique.

Et il n’est pas nécessaire de l’essayer contre une espèce différente de la variole puisque la variole du singe est suffisamment proche et qu’il a fonctionné sur les singes. Je ne suis pas sûr que ce soit comme ça que ça marche, c’est une conjecture.

L’indication proposée à l’origine par le demandeur ne comprenait pas la variole du singe. Au cours de l’examen de cette demande, nous avons reçu des demandes de renseignements de la part de parties prenantes externes du gouvernement américain, qui souhaitaient savoir si les données disponibles pour MVA-BN permettaient d’étayer une indication pour la prévention de la variole du singe. Nous avons déterminé que les données sur l’immunogénicité de MVA-BN obtenues chez l’homme ainsi que les données sur les primates non humains (PNH) déjà soumises à la BLA 125678/0 appuient l’indication pour la prévention de la variole du singe, puisque les études cliniques et non cliniques ont fourni de multiples pistes de preuves que la réponse immunitaire à MVA-BN fournit une protection contre différents orthopoxvirus, et spécifiquement contre la variole du singe dans le modèle de défi des PNH. Par conséquent, nous avons recommandé d’inclure l’indication de la variole du singe dans l’étiquetage du produit.

Certains participants à l’essai ont été suivis pendant 6 mois, mais la fibrose myocardique peut prendre des années avant de devenir symptomatique et réduit malgré cela l’espérance de vie naturelle. Ces articles méritent d’être lus dans leur intégralité dans le contexte de la myo et de la péricardite médiées par le « vaccin » Covid-19. Les capillaires à petite lumière sont particulièrement susceptibles d’être obstrués et l’infiltration des lymphocytes T aggrave les lésions myocardiques.

Résumé

Les lésions cardiaques dues à diverses causes peuvent aboutir à une finalité commune de remodelage pathologique et de fibrose, favorisant le développement de l’insuffisance cardiaque. La cardiomyopathie dilatée est une cause importante d’insuffisance cardiaque et résulte souvent d’une myocardite déclenchée par un virus. Les monocytes et les cellules de type monocyte représentent un sous-ensemble majeur de cellules infiltrant le cœur au niveau du site de la lésion. Ces cellules issues de la moelle osseuse favorisent non seulement la lésion tissulaire à court terme, mais aussi l’angiogenèse et le dépôt de collagène à long terme. Elles jouent donc un rôle essentiel dans la fibrose tissulaire typique qui se développe dans le ventricule dilaté au cours du processus de remodelage pathologique. Des découvertes récentes suggèrent que les cellules de type monocyte infiltrant le cœur contiennent en effet un pool de progéniteurs, qui représentent la source cellulaire à la fois pour l’accumulation de monocytes différenciés pendant la phase inflammatoire aiguë et pour la fibrose myocardique médiée par le facteur de croissance transformant bêta pendant les stades chroniques ultérieurs de la maladie. Il est évident qu’un équilibre délicat entre les cytokines pro-inflammatoires et profibrotiques dicte le destin des progéniteurs infiltrant le cœur dérivés de la moelle osseuse et influence directement le phénotype morphologique du cœur affecté. Dans la présente brève présentation, nous faisons le point sur ces mécanismes et discutons de leur importance dans le remodelage pathologique et la progression de l’insuffisance cardiaque après une myocardite.

Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi : 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID : 20447565.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20447565/

Le remodelage cardiaque en détail. Il s’agit de la phase post « crise cardiaque » (infarctus du myocarde ou IM) mais elle est applicable dans le contexte des mécanismes partagés de la fibrose myocardique :

Résumé

La mort cellulaire ischémique au cours d’un infarctus du myocarde entraîne une réponse réparatrice multiphase dans laquelle le tissu endommagé est remplacé par une cicatrice fibrotique produite par des fibroblastes et des myofibroblastes. Cela induit également des changements géométriques, biomécaniques et biochimiques dans la paroi ventriculaire indemne, provoquant un processus de remodelage réactif qui inclut une fibrose interstitielle et périvasculaire. Bien que la fibrose réparatrice initiale soit cruciale pour prévenir la rupture de la paroi ventriculaire, une réponse fibrotique exagérée et une fibrose réactive en dehors de la zone lésée sont préjudiciables car elles entraînent une altération progressive de la fonction cardiaque et finalement une insuffisance cardiaque. Dans cette présentation, nous résumons les connaissances actuelles sur les mécanismes de la fibrose cardiaque réparatrice et réactive en réponse à l’infarctus du myocarde, nous discutons de la possibilité d’induire une régénération cardiaque par reprogrammation directe des fibroblastes et des myofibroblastes en cardiomyocytes, et nous passons en revue les stratégies thérapeutiques actuelles et potentielles pour inhiber la fibrose cardiaque.

La réponse fibrotique après un infarctus peut être classée en deux types de fibrose, à savoir la fibrose de remplacement et la fibrose réactive, qui sont toutes deux médiées par les fibroblastes et les myofibroblastes. La fibrose de remplacement, c’est-à-dire la formation de cicatrices, est un processus essentiel pour empêcher la rupture de la paroi ventriculaire après une agression ischémique (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). Cependant, l’augmentation du stress mécanique post-IM, associée à des médiateurs hormonaux et paracrines, induit également l’expansion du tissu conjonctif dans des zones éloignées de l’infarctus. Cette fibrose réactive dans la zone limite de l’infarctus et dans le myocarde non lésé éloigné entraîne une altération de la compliance des chambres et une augmentation de la rigidité ventriculaire, compromettant ainsi le débit cardiaque.

Outre leur effet sur la contractilité cardiaque, il a été démontré que la cicatrice fibreuse et la fibrose interstitielle interfèrent avec la fonction électrique normale du cœur, prédisposant ainsi à l’arythmie (pour une présentation, voir Francis Stuart et al. 2015). La cicatrice compacte peut constituer une zone isolée non excitable qui fixe l’arythmie réentrante et conduit à une tachycardie ventriculaire soutenue (Ripplinger et al. 2009). Dans la fibrose interstitielle, le réseau de collagène fibrillaire non conducteur entre les feuillets de cardiomyocytes pourrait favoriser la tachycardie réentrante en induisant une activité ectopique focale et en ralentissant ou en bloquant la conduction (Francis Stuart et al. 2015). De plus, le couplage électronique des myofibroblastes et des cardiomyocytes pourrait jouer un rôle dans l’arythmogenèse induite par la fibrose (Kohl et Gourdie 2014). Sans surprise, la fibrose cardiaque a été identifiée comme un facteur de risque autonome dans l’insuffisance cardiaque : elle prédispose les patients atteints d’insuffisance cardiaque à la mort cardiaque subite et augmente la mortalité globale indépendamment de la fraction d’éjection (Gulati et al. 2013).

Après la mise en place d’une matrice à base de collagène sur le site de l’infarctus, les facteurs de croissance et les protéines matricellulaires favorisant la survie et l’activité des myofibroblastes sont épuisés (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). En réponse, la majorité des myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, probablement par apoptose. En outre, les cellules vasculaires meurent, et la microvasculature temporaire est désintégrée. On ne sait pas encore si une signalisation inhibitrice active est impliquée dans la suppression de la réponse fibrotique. Pendant la phase de maturation de l’IM, le renouvellement du collagène par les myofibroblastes restants se poursuit, et le collagène de type III est remplacé par du collagène de type I. Le collagène de type I est encore modifié par la réticulation catalysée par la lipoxygénase. L’expression des quatre isoformes de lipoxygénase est accrue dans la zone de l’infarctus et dans la zone limite 3 à 7 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). L’inhibition de la lipoxygénase à l’aide d’un inhibiteur pharmacologique ou d’un anticorps neutralisant réduit l’expansion de l’infarctus et améliore la fonction cardiaque 28 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). La réticulation des fibres de collagène entraîne une augmentation de la résistance à la traction et une contraction de la cicatrice, ce qui modifie la géométrie de la chambre et contribue au remodelage des zones éloignées de la paroi ventriculaire (van den Borne et al. 2010). Dans une réaction normale de cicatrisation, tous les myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, mais dans le cœur, on a constaté qu’ils persistaient dans la cicatrice de l’infarctus même des décennies après l’agression (Willems et al. 1994). La raison de la présence continue de myofibroblastes dans la cicatrice de l’infarctus n’est pas connue, mais il est possible qu’ils soient nécessaires au maintien continu de la matrice extracellulaire dans un environnement en constante contraction (van den Borne et al. 2010).

Fibrose réactive: remodelage du myocarde distant

Le plus souvent, ce n’est pas la perte de cardiomyocytes nécrosés lors d’un infarctus qui provoque l’insuffisance cardiaque, mais le remodelage ultérieur de la paroi ventriculaire gauche non infarcie. Dans le remodelage pathologique, l’expansion de la matrice extracellulaire médiée par les fibroblastes s’accompagne d’une croissance hypertrophique des cardiomyocytes, car les cellules tentent de compenser l’augmentation de la charge de travail en augmentant leur taille afin d’améliorer la fonction cardiaque et de diminuer la tension de la paroi ventriculaire (Heineke et Molkentin 2006). L’augmentation de l’épaisseur causée par l’hypertrophie des cardiomyocytes et la rigidité attribuable à un excès de collagène réticulé et à la contraction tonique du tissu fibreux médiée par les myofibroblastes compromettent la fonction diastolique du cœur (Weber et al. 2013). Ce processus de remodelage est progressif et conduit finalement au développement de l’insuffisance cardiaque.

Les mécanismes exacts et la régulation de la fibrose réactive ne sont pas clairs, et les études systématiques examinant les caractéristiques des fibroblastes dans le myocarde non infarci font défaut (Shinde et Frangogiannis 2014). L’un des facteurs favorisants est le stress mécanique accru dans la paroi ventriculaire gauche non infarcie; ce stress induit également l’activation du TGF-β latent dans le myocarde non infarci. En outre, les myofibroblastes activés qui persistent dans la cicatrice de l’infarctus continuent de sécréter des facteurs pro-fibrotiques qui pourraient traverser les zones éloignées du myocarde en induisant l’activation et la prolifération des fibroblastes locaux et une augmentation du dépôt de collagène dans le compartiment interstitiel (fibrose interstitielle) et dans l’adventice des vaisseaux coronaires (fibrose périvasculaire ; Weber et al. 2013). Les facteurs pro-fibrotiques initiant et entretenant la réponse fibrotique réactive sont décrits dans la section suivante.

Alors que la fibrose interstitielle rigidifie le myocarde et entraîne ainsi une dysfonction diastolique et systolique, la fibrose réactive dans l’adventice des artères et artérioles coronaires (fibrose périvasculaire) peut provoquer un rétrécissement de la lumière du vaisseau et a été associée à une altération du flux sanguin coronaire (Dai et al. 2012). Cela pourrait diminuer l’apport en oxygène au myocarde, compromettant ainsi la survie des cardiomyocytes et les prédisposant à la mort cellulaire ischémique.

Plus:

Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Fibrose cardiaque dans l’infarctus du myocarde – de la réparation et du remodelage à la régénération. Cell and tissue research, 365(3), 563-581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9

Sur l’amyloïdose cardiaque. Ceci est plus pertinent pour l’infiltration des protéines de pointe mais mérite certainement d’être abordé dans le contexte de la transfection Covid-19 (2). Informations diagnostiques utiles également :

Amyloïdose cardiaque à chaînes légères

L’amylose à chaînes légères est la conséquence d’un trouble de la prolifération de plasmocytes clonaux dans lequel des chaînes légères d’immunoglobulines mal repliées se déposent sous forme de fibrilles amyloïdes dans plusieurs organes, y compris le cœur dans environ la moitié des cas. Le dysfonctionnement cardiaque dans l’amylose à chaînes légères résulte d’une infiltration extracellulaire du myocarde, mais il existe souvent aussi des preuves d’un effet cardiotoxique exercé par les agrégats de chaînes légères pré-fibrillaires. La gravité du dysfonctionnement cardiaque est le principal déterminant de la morbidité et de la mortalité (3).

L’amylose à chaînes légères est le type d’amylose cardiaque le plus fréquemment diagnostiqué. Un ou plusieurs systèmes d’organes vitaux peuvent être touchés, généralement les reins, le foie, les systèmes nerveux périphérique et autonome et les tissus mous. Le cœur est fréquemment touché et est le seul organe cliniquement impliqué chez certains patients.

La présentation clinique reflète le dépôt multisystémique variable de l’amyloïde. Les résultats de l’examen peuvent refléter l’infiltration amyloïde dans les tissus mous et les petits vaisseaux et comprennent la macroglossie, le pupura périorbital, l’hypertrophie de la glande submandibulaire et la dystrophie des ongles. La fatigue et la perte de poids sont fréquentes. L’infiltration hépatique ou splénique peut provoquer une organomégalie palpable. Le dysfonctionnement rénal est fréquent, se présentant généralement sous la forme d’une protéinurie à portée néphrotique.

L’amylose cardiaque précoce est un défi diagnostique majeur. Les caractéristiques classiques de l’insuffisance cardiaque congestive « droite » peuvent ne pas être évidentes avant que la maladie cardiaque ne soit très avancée. Une pression veineuse jugulaire élevée, un troisième bruit cardiaque, une hépatomégalie et un œdème périphérique peuvent être très subtils ou absents chez les patients qui ont déjà commencé les diurétiques.

La neuropathie périphérique est relativement fréquente et se manifeste par une paresthésie ou une dysesthésie typiquement répartie en  » gants et chaussettes « . La neuropathie autonome est un indice diagnostique important, se manifestant par une hypotension orthostatique, une alternance de diarrhée et de constipation et un dysfonctionnement érectile.

Les immunoglobulines monoclonales ou les chaînes légères libres peuvent être identifiées dans le sérum et/ou l’urine d’au moins 95% des patients à l’aide de tests sensibles, mais elles passent souvent inaperçues lors d’une électrophorèse sérique de routine. L’absence d’un clone détectable est problématique pour le diagnostic et le suivi de la réponse au traitement.

Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). L’amyloïdose cardiaque. Clinical medicine (Londres, Angleterre), 18(Suppl 2), s30-s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30

Revenons à l’application de Jynneos. Les titres d’anticorps étaient des critères d’évaluation communs dans les essais, même s’il n’y a pas de seuil d’efficacité connu ou d’évaluation de la possibilité de fonctionner réellement contre la variole du singe.

Ils le savent et l’affirment, mais ils ont néanmoins poursuivi les essais, par exemple l’essai POX-MVA-005:

POX-MVA-005 était un essai de phase 2 visant à comparer l’immunogénicité de deux doses de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais été vaccinés et une dose unique de MVA-BN chez des sujets sains ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques il y a plus de 25 ans. Le critère d’évaluation principal était le taux de séroconversion spécifique de la vaccine, calculé à partir des titres d’anticorps spécifiques ELISA deux semaines après la dernière vaccination. L’étude a porté sur 549 sujets n’ayant jamais été vaccinés contre la vaccine et 204 sujets ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques.

Les études POX-MVA-005/023 et POX-MVA-011 ont utilisé un test de séroneutralisation [Plaque Reduction Neutralization Test – PRNT], et les études POX-MVA-008 et POX-MVA-024 ont utilisé un test de séroneutralisation. [Le dosage] du test de séroneutralisation utilisé dans ces études n’était pas suffisamment validé et n’a pas été accepté par les examinateurs du Centre d’Evaluation et de Recherche sur les Produits Biologiques [Center for Biologics Evaluation and Research – CBER]. Le problème du dosage du PRNT nous a empêchés de tirer toute conclusion concernant l’efficacité du vaccin parmi les populations étudiées, y compris pour l’utilisation d’une dose de rappel unique chez les personnes ayant reçu le vaccin antivariolique. De plus, les principaux critères d’évaluation de ces études étaient le taux de séroconversion déterminé par le test ELISA à base de marqueurs MVA [Modified Vaccinia Ankara], qui n’est pas considéré comme cliniquement significatif pour déduire l’efficacité du vaccin. Par conséquent, les données obtenues à partir de ces études n’étaient pas suffisantes pour appuyer l’efficacité vaccinale de deux doses de MVA-BN [Modified Vaccinia Ankara-Bavarian Nordic] spécifiquement chez les personnes infectées par le VIH ou les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, ni pour appuyer l’homologation d’une dose unique (ou pour informer le moment de l’administration d’une dose de rappel unique) chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique. Cependant, il était raisonnable de conclure que le schéma à 2 doses de MVA-BN serait aussi efficace chez les personnes ayant été vaccinées contre la variole que chez les personnes n’ayant jamais été vaccinées contre la variole, de sorte que les personnes ayant été vaccinées contre la variole ont été incluses dans l’indication approuvée pour le schéma à 2 doses. De même, il n’y a pas de raison physiologique de suspecter une diminution de l’efficacité du MVA-BN chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et le rapport bénéfice/risque du MVA-BN peut encore être favorable chez les personnes infectées par le VIH. Par conséquent, il n’y a aucune raison d’exclure spécifiquement les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou infectées par le VIH de l’indication générale d’utilisation de ce vaccin.

C’est ça le secret. Nous inventons tout au fur et à mesure.

Ce qui suit est totalement inacceptable, étant donné qu’une troponine élevée est un indicateur de lésion myocardique, qui peut être asymptomatique pendant des mois ou des années jusqu’à ce qu’elle se manifeste par un arrêt cardiaque ou une maladie cardiaque.

La « pharmacovigilance post-commercialisation » signifie que vous devenez le participant involontaire d’un essai, avec peu de chances que le produit soit retiré, même si le profil de sécurité réalisé est épouvantable:

4.6 Pharmacovigilance

Bien qu’aucun signal de sécurité concernant des événements cardiaques n’ait été identifié dans les études, on a signalé que jusqu’à 18,4 % des sujets de deux des 22 essais cliniques présentaient une élévation anormale et asymptomatique de la troponine I après la vaccination. Ces élévations de troponine-I n’étaient pas accompagnées de modifications cliniquement significatives de l’ECG ou d’autres résultats de l’évaluation cardiologique et leur signification clinique était incertaine. Nous trouvons acceptable le plan proposé par le demandeur pour évaluer les données cardiaques signalées spontanément dans le cadre du plan de pharmacovigilance de routine après la commercialisation.

Lymphadénopathie = gonflement des ganglions lymphatiques, un marqueur d’une immunité supprimée et/ou de troubles auto-immuns (3).

Arthralgie = douleur articulaire, une autre condition associée aux troubles auto-immuns, tout comme la troponine élevée et la péri & myocardite.

Notez les pourcentages de catégorie 3.

Groupe 1 = Jynneos

Groupe 2 = ACAM2000

10,9 % des candidats Jynneos analysés présentaient une induration de catégorie 3, vraisemblablement au niveau du site d’injection, mais ils ne l’expliquent pas davantage. Imaginez un gonflement et une douleur de type « piqûre d’abeille » :

Induration : « Durcissement localisé des tissus mous du corps. La zone devient ferme, mais pas aussi dure qu’un os. »

« Les événements de catégorie 3 sont graves et interfèrent avec la capacité d’une personne à faire des choses basiques comme manger ou s’habiller. Les événements de grade 3 peuvent également nécessiter une intervention médicale.4 »

Aegrescit medendo.

6.1.10.1 Populations inscrites/analysées

Ensemble d’analyse intégral (Full Analysis Set – FAS)

Le FAS a été défini comme l’ensemble des sujets ayant reçu au moins une dose du vaccin de l’essai et pour lesquels on disposait de données sur l’innocuité ou l’immunogénicité après la vaccination.

L’analyse de l’innocuité et les analyses secondaires d’immunogénicité de soutien ont été effectuées sur le FAS.

Diapositives d’une présentation de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) [Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation]. Malgré les données des essais et leur propre évaluation, ils ont réussi à faire supprimer tout risque de péri ou myocardite de la notice:

Conseils cliniques pour l’utilisation de JYNNEOS. Réunion de l’ACIP le 3 novembre 2021

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-11-2-3/02-Orthopoxviruses-Petersen-508.pdf

Virus vaccinal: Virus de la vaccine compétent pour la réplication / Virus de la vaccine déficient pour la réplication,
Vaccinia Ankara Modifié
« Prise »: Une « prise » se produit / Pas de « prise » après la vaccination
Inoculation par inadvertance et auto-inoculation: Risque existant / Aucun risque
Effet indésirable grave: Risque existant / Moins de cas prévus
Effets indésirables cardiaques: Myopéricardite chez 5,7 pour 1.000 primo-vaccinés /
On pense que le risque est plus faible que celui pour ACAM2000
Efficacité: Efficacité évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique et la « prise » au Dryvax* / Évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique à ACAM2000 et par des études animales
Administration: Par voie percutanée par une technique de ponction multiple en une seule dose / Par voie sous-cutanée en 2 doses, à 28 jours d’intervalle
* ACAM2000 et Dryvax sont tous deux dérivés de la souche de vaccine du NYC Board of Health ; ACAM2000 est un vaccin antivariolique de « deuxième génération » dérivé d’un clone de Dryvax, purifié et produit à l’aide d’une technologie moderne de culture cellulaire.

Une fois dans le programme, attendez-vous à être pourchassé pour recevoir des boosters tous les 2 ans au risque de subir des dommages cardiaques cumulatifs:

Recommandations proposées pour JYNNEOS® par rapport à ACAM2000
Population recommandée: Personnes à risque professionnel pour les orthopoxvirus (c’est-à-dire le personnel des laboratoires de recherche, les laboratoires de diagnostic, les membres des équipes d’intervention).
Populations proposées: Personnes qui administrent ACAM2000 ou qui soignent des patients infectés ou vaccinés par un virus capable de se répliquer.
Populations pour lesquelles un rappel est recommandé à des intervalles spécifiques: Les personnes qui présentent un risque continu ou soutenu d’orthopoxvirus [Remarque : les équipes d’intervention ne présentent pas de risque continu et ne recevront des rappels qu’au moment d’un épisode de variole ou de variole du singe].
Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec la variole et la variole du singe: Tous les 3 ans (auparavant tous les ans) / Tous les 2 ans
Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec des orthopoxvirus moins virulents / Au moins tous les 10 ans

Ceux qui en ont le plus besoin sont ceux qui en bénéficient le moins. Bon retour dans l’Angleterre victorienne:

3. Conditions associées à l’immunosuppression
▪ Les conditions comprennent une infection par le virus de l’immunodéficience humaine/syndrome d’immunodéficience acquise, une leucémie, un lymphome, une tumeur maligne généralisée, une transplantation d’organe solide, un traitement par agents alkylants, antimétabolites, radiations, inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale, corticostéroïdes à forte dose, être un receveur avec une greffe de cellules souches hématopoïétiques <24 mois après la greffe ou ≥24 mois mais avec une maladie du greffon contre l’hôte ou une rechute de la maladie, ou avoir une maladie auto-immune avec une immunodéficience comme composante clinique.
▪ Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent avoir une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS en raison de leur statut immunodéprimé.

Alors là, c’est NON:

4. Grossesse
▪ Les données humaines disponibles sur JYNNEOS administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse.
▪ Cependant, les modèles animaux, y compris les rats et les lapins, n’ont montré aucune preuve d’un effet nocif sur un fœtus en développement.
5. Enfants âgés de moins de 1 an
▪ La vaccination des nourrissons âgés de <1 an est contre-indiquée pour ACAM2000.
▪ JYNNEOS n’est pas autorisé pour les personnes <18 ans et n’a pas été rigoureusement évalué dans cette population.
▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage d’administrer ACAM2000 ou JYNNEOS à des enfants et des adolescents âgés de moins de 18 ans.

Tout comme la protéine de pointe exprimant la transfection est déficiente en réplication. Là aussi c’est NON:

6. Allaitement
▪ La sécurité et l’efficacité de JYNNEOS n’ont pas été évaluées chez les femmes qui allaitent.
▪ On ne sait pas si JYNNEOS est excrété dans le lait maternel et on ne dispose pas de données permettant d’évaluer l’impact de JYNNEOS sur la production de lait ou la sécurité de JYNNEOS chez les nourrissons allaités.
▪ Cependant, le vaccin JYNNEOS est déficient en réplication et ne devrait donc pas présenter de risque de transmission aux nourrissons allaités.
▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage l’administration de .
JYNNEOS aux femmes qui allaitent

A partir de l’application jusqu’à 2,1%, c’est-à-dire 1 sur 50, ont présenté un événement indésirable cardiaque d’intérêt particulier (EIIP). C’est plus de 10 fois le taux du placebo. Et 127 autres cas n’ont pas atteint le seuil de 2 fois la limite supérieure de la normale (LSN). Le VIH, la maladie d’Alzheimer et les symptômes associés aux maladies auto-immunes étaient fortement corrélés:

Donc les études de troponine étaient plus sensibles, c’est ça l’explication?

Qui a fait l’évaluation de la péricardite suspectée, pourquoi était-elle « peu probable qu’elle soit liée au vaccin MVA-BN »?

Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 1,3% (95/7.093) des receveurs du MVA-BN et chez 0,2% (3/1.206) des receveurs du placebo qui n’avaient jamais été vaccinés contre la variole. Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 2,1% (16/766) des receveurs du MVA-BN qui avaient déjà reçu le vaccin antivariolique. La proportion plus élevée de receveurs du vaccin MVA-BN ayant subi des EIIP cardiaques provient de 28 cas d’élévation post-vaccination asymptomatique de la troponine-I dans deux études: POX-MVA011, qui a recruté 482 sujets infectés par le VIH et 97 sujets sains, et POX-MVA-008, qui a recruté 350 sujets atteints de dermatite atopique et 282 sujets sains. 127 cas supplémentaires d’élévation asymptomatique post-vaccination de la troponine-I au-dessus de la LSN mais pas au-dessus de 2 fois la LSN ont été documentés chez les receveurs de MVA-BN tout au long du programme de développement clinique, dont 124 dans les études POX-MVA-011 et POX-MVA-008. Les proportions de sujets présentant des élévations de troponine-I (> LSN) étaient similaires entre les sujets sains (13,7%) et les sujets infectés par le VIH (11,5%) dans l’étude POX-MVA-011 et entre les sujets sains (18,9%) et les sujets atteints de dermatite atopique (18,0%) dans l’étude POX-MVA-008.

Dans l’ensemble, le nombre de sujets présentant des EIIP dans ce programme de développement clinique était relativement faible. A l’exception d’un cas de péricardite suspecté qui a été évalué comme n’étant probablement pas lié au MVA-BN et d’augmentations isolées légères à modérées des niveaux de troponine avec une signification clinique inconnue, aucun autre EIIP cardiaque n’a été rapporté. Parmi les 22 études, toutes les études, à l’exception des études POXMVA-008 et POX-MVA-011, comptaient peu de sujets présentant une élévation de la troponine-I après la vaccination. Le demandeur postule que la proportion accrue de sujets présentant une élévation de la troponine I après la vaccination est liée à l’utilisation d’un test de troponine plus sensible. Dans ces deux études, 188 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « conventionnel », et 934 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « haute sensibilité ». Le test de troponine « haute sensibilité » utilisé dans ces deux études n’a pas été approuvé par la FDA. Parmi les 188 sujets dont la troponine-I a été évaluée avec le test de troponine « conventionnel », aucun sujet n’a signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination, tandis que 144 des 934 sujets dont la troponine-I a été évaluée par le test de troponine « haute sensibilité » ont signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination. Tous les sujets présentant des taux élevés de troponine-I ont fait l’objet d’un bilan cardiologique et aucune anomalie cardiaque cliniquement significative n’a été identifiée parmi ces sujets. Comme il n’y avait pas de contrôle par placebo dans ces deux études, la pertinence clinique de la proportion accrue de sujets présentant une troponine-I subclinique, mais anormale, est inconnue.

« Pas détecté de risque accru de myopéricardite », était-ce le même, un peu moindre peut-être? C’est une formulation trompeuse, jusqu’à 18% des groupes VIH, MA et dermatite atopique (eczéma) ayant des niveaux élevés de troponine est une preuve solide d’un risque élevé de péri ou myocardite subclinique ou de future cardiomyopathie induite par la fibrose, en plus des EIIP dans d’autres groupes:

7. Trois facteurs de risque cardiaque majeurs connus ou plus
▪ Les facteurs de risque cardiaque majeurs comprennent l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie, une maladie cardiaque à l’âge de 50 ans chez un parent du premier degré et le tabagisme.
▪ Les études cliniques n’ont pas détecté de risque accru de myopéricardite chez les receveurs de JYNNEOS.
▪ Les personnes présentant une cardiopathie sous-jacente ou ≥3 facteurs de risque cardiaque majeurs doivent être conseillées sur le risque théorique de myopéricardite étant donné l’étiologie incertaine de la myopéricardite associée aux vaccins antivarioliques compétents pour la réplication.

Ici, ils mettent en garde contre la maladie aggravée par la vaccination (vaccine-associated enhanced disease – VAED). Merci.

Conseils pour réduire au minimum le risque d’exposition professionnelle
▪ De nombreuses personnes présentant des contre-indications à la vaccination avec ACAM2000 (par exemple, dermatite atopique, conditions d’immunodépression, allaitement ou grossesse) peuvent recevoir la vaccination avec JYNNEOS.
▪ Cependant, ces personnes peuvent présenter un risque accru de maladie grave si une infection professionnelle survient malgré la vaccination.
▪ Les personnes présentant un état d’immunodépression peuvent être moins susceptibles de présenter une réponse efficace après toute vaccination, y compris après JYNNEOS, même si JYNNEOS peut être administré en toute sécurité à ces personnes.

Il n’existe aucune preuve solide que Jynneos ait un quelconque effet (hormis celui de tuer les cardiomyocytes).

Faites-nous confiance, d’accord, nous sommes des experts:

Test de titre
▪ En tant que vaccin déficient en réplication, JYNNEOS ne produit pas de lésion au site du vaccin (également appelée  » prise « ) qui peut être utilisée comme marqueur de réussite de la vaccination.
▪ Le test de routine de titre n’est pas recommandé après la vaccination avec JYNNEOS pour confirmer l’administration réussie du vaccin étant donné que des taux élevés de séroconversion ont été démontrés dans les essais cliniques.
▪ Cependant, un test de titre pourrait être envisagé au cas par cas après consultation des autorités de santé publique pour certaines personnes présentant des conditions d’immunodépression ou travaillant avec des orthopoxvirus plus virulents (par exemple, le virus de la variole et le virus de la variole du singe) afin de confirmer qu’une réponse immunitaire a été obtenue.

« Faux sentiment de sécurité »:

Test de titre
▪ Un corrélat de protection n’a pas été établi et il n’y a pas de niveau de titre d’anticorps connu qui assure une protection.
▪ Les résultats des tests de titre doivent être interprétés avec prudence dans de tels cas pour éviter de donner un faux sentiment de sécurité.

Il manque quelque chose? Des événements de risque cardiaque que vous estimez de façon peu convaincante « inférieurs » et qui ne sont pas au niveau du placebo?

Notice de JYNNEOS
Mises en garde et précautions

▪ Réactions allergiques sévères
– Un traitement médical approprié doit être disponible pour gérer les éventuelles réactions anaphylactiques après l’administration de JYNNEOS
– Les personnes ayant présenté une réaction allergique sévère à la suite d’une dose précédente de JYNNEOS ou à la suite d’une exposition à l’un des composants de JYNNEOS peuvent présenter un risque accru de réactions allergiques graves après l’administration de JYNNEOS
– Le risque de réaction allergique grave doit être mis en balance avec le risque de maladie due à la variole ou à la variole du singe
▪ Altération de l’immunocompétence
– Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent présenter une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS
▪ Limitations de l’efficacité du vaccin.
– La vaccination par JYNNEOS peut ne pas protéger tous les receveurs.
Quand je lis un article où il manque des mots,
je complète les mots manquants dans ma tête pendant que je lis.

Ainsi, vu l’efficacité non confirmée contre la variole du singe chez l’homme, les titres d’anticorps à des niveaux inconnus à long terme, l’absence d’études sur les lymphocytes T ou les lymphocytes B mémoires et un profil de risque biaisé, sans données de sécurité à long terme, qui incite à n’administrer le produit qu’aux personnes les plus vulnérables (sauf si elles sont immunodéprimées), on pourrait s’attendre à ce que le Jynneos soit retiré du marché ou strictement limité.

Ce n’est pas tout à fait ce qui s’est passé:

Après confirmation que la variole du singe est arrivé aux États-Unis, le gouvernement a commandé des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus.

Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé que les États-Unis avaient passé une commande de 119 millions de dollars, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.

La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.

Bavarian Nordic collabore avec le gouvernement américain depuis 2003 pour développer, fabriquer et fournir des vaccins antivarioliques. À ce jour, l’entreprise a fourni près de 30 millions de doses au Ministère de la Santé et des Services Sociaux.

Les États-Unis ne sont pas le seul pays à constituer des stocks de vaccins. Jeudi, Bavarian Nordic a déclaré qu’un pays européen non identifié avait conclu un contrat pour obtenir le vaccin.

« Bien que les circonstances entourant les cas actuels de variole du singe en Europe restent à élucider, la vitesse à laquelle ils ont évolué, combinée au potentiel d’infections au-delà du cas initial non détecté, exige une approche rapide et coordonnée de la part des autorités sanitaires, et nous sommes heureux de leur apporter notre aide dans cette situation d’urgence », a déclaré Paul Chaplin, président et PDG de Bavarian Nordic dans un communiqué.

Le gouvernement américain passe une commande de 119 millions de dollars pour 13 millions de vaccins lyophilisés contre la variole du singe, (19 mai 2022)

https://fortune.com/2022/05/19/monkeypox-vaccine-purchase-2022-us-government/

BAVARIAN NORDIC FABRIQUERA LES PREMIÈRES DOSES LYOPHILISÉES DE VACCIN ANTIVARIOLIQUE À LA SUITE DE L’EXERCICE D’UNE OPTION CONTRACTUELLE PAR LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN.

– Option de 119 millions USD exercée pour la fabrication de JYNNEOS® lyophilisé en 2023 et 2024.

– Il s’agit de la première série d’options d’une valeur totale de 299 millions USD pour convertir le stock de vaccin actuel, acheté précédemment par BARDA, en environ 13 millions de doses de JYNNEOS® lyophilisées.

https://www.bavarian-nordic.com/investor/news/news.aspx?news=6569

4 juin ’22:

Vaccine et réactivation du VIH latent

L’histoire de la vaccination antivariolique nous réserve une autre surprise.

Ce billet opportun a éveillé mon intérêt:

Hein, quoi? J’ai pu trouver une source pour ce contenu:

[NdT. pas le temps de tout traduire, sorry]

https://www.hivireland.ie/wp-content/uploads/1987_Print_Media_005_May_11th_to_15th-WebSize.pdf

De grands noms sont cités dans ces articles. Que ce soit par la réutilisation d’aiguilles contaminées ou par la réactivation virale (ou les deux?), la théorie du complot devient plausible, voire suffisamment plausible pour parrainer des recherches sur la seconde hypothèse.

Nous verrons pourquoi plus tard.

Le mécanisme clé qui sous-tend l’hypothèse est mis en évidence:

L’objectif principal du projet est d’étudier les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1 et l’hôte; en particulier, les réponses de l’organisme atopique à l’infection par le virus de la vaccine et l’effet du potentiel redox sur la réactivation du VIH-1 latent seront étudiés. La recherche devrait fournir une base pour de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus.

Objectifs de la recherche:

– Développer un modèle de souris d’eczéma vaccinatum chez les souris Nc/Nga ou dans un autre modèle de souris de dermatite atopique, et étudier les réponses immunitaires de l’organisme atopique au virus de la vaccine.

– Tester l’effet antiviral de dérivés sélectionnés de l’acide éthacrynique et d’autres agents ayant un effet anti-poxviral in vivo ; en culture tissulaire, étudier le mécanisme d’action exact des agents, le type de mort cellulaire des cellules infectées de différentes origines embryonnaires et son importance pour l’induction des réponses immunitaires lors de l’infection par le virus de la vaccine.

– Caractériser le mécanisme moléculaire d’action des agents modulateurs d’oxydoréduction sur la réactivation du VIH-1 latent et vérifier les résultats obtenus in vitro dans des cultures de tissus ainsi que dans des lymphocytes périphériques primaires de donneurs sains et de patients VIH+ ex vivo.

Vous trouverez de plus amples informations sur le site www.phenogenomics.cz ou sur le lien suivant

https://biocev.lf1.cuni.cz/

Contenu de la recherche:

Notre principal objectif de recherche est d’étudier les interactions virus-hôte, à savoir les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1. Cette recherche devrait fournir la base de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus et d’autres.

Contrairement à une idée répandue, il est toujours nécessaire de comprendre la pathogenèse de l’infection par les poxvirus et les complications post-vaccinales, ainsi que de développer des vecteurs de vaccination sûrs et/ou des médicaments efficaces contre les poxvirus. Nos recherches portent principalement sur la réponse d’un organisme atopique à la vaccine et à d’autres virus. Nous avons développé notre propre modèle d’eczéma vaccinatum chez des souris atopiques Nc/Nga, nous l’avons utilisé pour caractériser les réponses immunitaires et pour comparer les risques et les efficacités des vaccinations avec la souche WR du virus de la vaccine, le Dryvax et le MVA non répliqué. Dans ce modèle atopique, nous continuons à étudier les réponses immunitaires déréglées vis-à-vis du virus de la vaccine et d’autres virus.

La latence du VIH dans les cellules réservoirs est le principal obstacle à la guérison du VIH/SIDA. Notre objectif est d’identifier, de caractériser et de développer de nouveaux agents pour réactiver le VIH-1 latent. Nous avons décrit un potentiel de réactivation de l’arginate d’hème et nous avons identifié plusieurs autres agents réactivant le VIH-1 in vitro dans des cultures de tissus. Nous nous concentrons actuellement sur la confirmation des résultats dans les lymphocytes périphériques primaires de patients VIH + et dans des modèles de latence primaires. Nous avons l’intention de patienter avec les combinaisons de médicaments sélectionnées et de rechercher un partenaire stratégique pour poursuivre le développement du nouveau traitement contre le VIH.

Potentiel de coopération

Nous sommes ouverts aux nouveaux doctorants et à tout type de collaboration/échange avec des chercheurs intéressés par l’étude des réponses immunitaires d’un organisme atopique vis-à-vis de la vaccine et d’autres virus. Afin de poursuivre le développement de nouveaux agents efficaces pour la réactivation du VIH latent, nous sommes à la recherche d’un investisseur stratégique.

MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Étude des interactions du virus Vaccinia avec l’hôte et réactivation du VIH-1 latent, (Année ?).

https://www.biocev.eu/en/research/cellular-biology-and-virology.4/study-of-vaccinia-virus-interactions-with-the-host-and-reactivation-of-the-latent-hiv-1.52

Sur les vaccins contre le VIH basés sur la variole, comme le montre la dernière coupure de presse, co-écrite par rien de moins que Luc Montagnier:

Résumé

Les séquences codant pour les protéines centrales p55, p25 et p18 du virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1) ont été insérées dans le génome du virus de la vaccine. L’infection de cellules cultivées avec les virus recombinants vivants a conduit à l’expression de protéines qui ont été reconnues par les sérums d’individus séropositifs. L’immunisation de souris avec le virus recombinant exprimant la protéine p25 du VIH et le précurseur p55 a produit des niveaux élevés d’anticorps dirigés contre les antigènes correspondants du VIH. Les données obtenues sont discutées en termes d’utilisation possible de ces virus recombinants vivants dans le développement d’une stratégie vers un vaccin contre le SIDA.

Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. Protéines centrales du VIH-1 exprimées à partir de virus de la vaccine recombinants. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi : 10.1089/aid.1989.5.147. PMID : 2713165.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2713165/

Glutathion peroxydase, réactivation du HERV et Vaccinia, cette fois dans un rôle protecteur:

…Il est démontré que le risque réduit de mélanome dû au BCG et à la vaccine, ainsi qu’à certaines causes communes de maladies infectieuses, est associé à des déterminants antigéniques présentant des homologies de séquence avec l’antigène HERV-K-MEL. Ce dernier est le produit d’un pseudo-gène qui est étroitement associé au gène env du rétrovirus humain endogène K (HERV-K). Une réaction immunitaire suppressive semble inhiber l’expression de gènes rétroviraux endogènes, tels que le gène env du HERV-K, qui pourraient autrement entraîner une transformation maligne des années, voire des décennies plus tard. La protéine env de HERV-K possède des séquences d’acides aminés homologues avec la protéine de liaison à l’élément sensible à l’oxygène (OREBP), un facteur nucléaire humain qui contrôle l’expression de la glutathion peroxydase. La formation de cette enzyme et d’autres enzymes redox, nécessaires au maintien de niveaux appropriés du potentiel redox intracellulaire normal, semble être supprimée par la protéine homologue OREBP. La présente hypothèse est conforme au concept selon lequel la dérégulation immunitaire due à des impacts environnementaux négatifs est un facteur de risque non seulement pour certains troubles auto-immuns, comme décrit précédemment, mais aussi pour certaines malignités telles que le mélanome.

Bernd Krone et al, Protection contre le mélanome par la vaccination avec le Bacille Calmette-Guérin (BCG) et/ou la vaccine : une hypothèse basée sur l’épidémiologie sur la nature d’un facteur de risque de mélanome et son contrôle immunologique, Eur J Cancer, (2005 Jan).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15617995/

Le VIH est très sensible au potentiel REDOX de la cellule (5). La clé ici est que Vaccinia code une glutaredoxine fonctionnelle.

Qu’est-ce que c’est? La réponse courte:

« Les glutaredoxines (également connues sous le nom de Thioltransférase) sont de petites enzymes redox d’environ cent résidus d’acides aminés qui utilisent le glutathion comme cofacteur. Chez l’homme, cette enzyme réparatrice de l’oxydation est également connue pour participer à de nombreuses fonctions cellulaires, notamment la signalisation redox et la régulation du métabolisme du glucose.[4][5] Les glutaredoxines sont oxydées par les substrats et réduites de manière non enzymatique par le glutathion.(6) »

Résumé

Il a été démontré précédemment que le virus Vaccinia (VV) code pour une glutaredoxine fonctionnelle, le produit du gène o2l, qui est synthétisé tard dans l’infection, après le début de la réplication de l’ADN. Nous rapportons ici qu’un cadre de lecture ouvert dans le génome du VV, appelé g4l, code une protéine dont la séquence est similaire à celle des glutaredoxines et qui possède des activités thioltransférase et déhydroascorbate réductase. La protéine G4L peut être détectée dans les cellules infectées dès 4 heures après l’infection et est exprimée de manière constitutive jusqu’à 24 heures après l’infection. Une protéine homologue à G4L et conservant le centre actif prédit de la glutaredoxine est codée par le virus Molluscum Contagiosum (MCV) récemment séquencé, alors que la protéine O2L n’est pas conservée, ce qui suggère que l’activité glutaredoxine de G4L peut être impliquée dans la réplication de tous les poxvirus.

Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Le gène G4L du virus Vaccinia encode une seconde glutaredoxine. Virologie. 1996 Dec 15;226(2):408-11.

doi: 10.1006/viro.1996.0669. PMID: 8955061.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8955061/

Comment la glutarédoxine peut-elle réactiver des virus latents, dont le VIH?

Le premier point à noter est que les voies de signalisation du cancer sont également activées:

Résumé

Bien que l’utilisation d’antioxydants pour le traitement du cancer et du VIH/SIDA ait été proposée depuis des décennies, de nouvelles connaissances issues de la recherche sur l’oxydoréduction ont suggéré un scénario très différent. Ces nouvelles données montrent que les principaux systèmes antioxydants cellulaires, les systèmes de la thiorédoxine (Trx) et du glutathion (GSH), favorisent en fait la croissance du cancer et l’infection par le VIH, tout en supprimant une réponse immunitaire efficace. D’un point de vue mécanique, ces systèmes contrôlent à la fois les voies redox et NO (homéostasie nitroso-redox), qui sous-tendent les défenses immunitaires innées et cellulaires. La double inhibition des systèmes Trx et GSH tue de manière synergique les cellules néoplasiques in vitro et chez la souris et diminue la résistance aux traitements anticancéreux. De même, la population de cellules réservoirs du VIH, qui constitue le principal obstacle à la guérison du SIDA, est extrêmement sensible à l’oxydoréduction et pourrait être ciblée sélectivement par les inhibiteurs de la Trx et du GSH. L’inhibition de la Trx et du GSH peut conduire à une reprogrammation de la réponse immunitaire, faisant pencher la balance entre le système immunitaire et le cancer ou le VIH en faveur du premier, permettant ainsi l’élimination des cellules malades. Ainsi, les thérapies basées sur l’inhibition des voies de la Trx et du GSH représentent une approche prometteuse pour la guérison du cancer et du SIDA et méritent d’être étudiées plus avant.

Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Double ciblage des systèmes de la thiorédoxine et du glutathion dans le cancer et le VIH. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630-1639. (2016)

https://doi.org/10.1172/JCI85339

Ce qui nous ramène à la vaccination contre la variole du singe.

Jynneos est un MVA. Exprime-t-il aussi la glutaredoxine en quantité?

Veuillez me corriger si je lis mal l’article sur le génome, mais la réponse semble être oui.

C’est logique car pour générer une immunité, il faut un haut degré d’homologie, c’est-à-dire l’expression de protéines.

Les virus de la vaccine modifiés pour exprimer des gènes étrangers sont des vecteurs pour la production de protéines recombinantes, le plus courant étant un système d’administration d’antigènes pour les vaccins[3]. Les préoccupations concernant la sécurité du virus de la vaccine ont été prises en compte par le développement de vecteurs basés sur des virus de la vaccine atténués. L’un d’entre eux, le virus Modified vaccinia Ankara (MVA), est une souche hautement atténuée du virus de la vaccine qui a été développée vers la fin de la campagne d’éradication de la variole par Anton Mayr à Munich, en Allemagne. Produite entre 1953 et 1968 par plus de 500 passages en série du virus de la vaccine (à partir d’une souche sauvage découverte par l’Institut turc du vaccin d’Ankara) dans des cellules de poulet[4] (fibroblaste d’embryon de poulet), la MVA a perdu environ 10 % du génome de la vaccine et, avec lui, la capacité de se répliquer efficacement dans les cellules de primates. Un vecteur recombinant à base de MVA pour la vaccination avec différents gènes rapporteurs fluorescents a été développé par Antonio Siccardi, qui indiquent le progrès de la recombinaison génétique avec le transgène d’un antigène (vert, incolore, rouge) [5] [6].

…Par rapport aux virus de la vaccine qui se répliquent, le MVA fournit des niveaux similaires ou supérieurs d’expression de gènes recombinants, même dans les cellules non permissives.

… Le MVA est un virus de la vaccine atténué et ne se réplique pas dans le corps humain aussi efficacement que la vaccine. Cependant, on ignore pour l’instant si le MVA peut induire les mêmes effets secondaires que la vaccine.

Modified vaccinia Ankara

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Modified_vaccinia_Ankara#:~:text=The%20Modified%20Vaccinia%20Ankara%20

G4L est le gène qui exprime la glutaredoxine, et il est conservé dans le MVA et donc dans le Jynneos, avec des implications potentielles pour la santé publique.

Notez la référence à la variole bovine:

Résumé

La séquence complète de l’ADN génomique de la souche vaccinale hautement atténuée modified vaccinia Ankara (MVA) a été déterminée. Le génome de MVA a une longueur de 178 kb, ce qui est significativement plus petit que le génome de la souche vaccinia Copenhagen, qui est de 192 kb. Les 193 cadres de lecture ouverts (open reading frames – ORF) cartographiés dans le génome du MVA correspondent probablement à 177 gènes, dont 25 sont divisés et/ou ont subi des mutations entraînant des protéines tronquées. La région génomique terminale gauche du MVA contient quatre grandes délétions et une grande insertion par rapport à la souche Copenhagen. En outre, de nombreux ORF de cette région sont fragmentés, ne laissant que huit gènes structurellement intacts et donc vraisemblablement fonctionnels. L’ADN inséré code pour un groupe de gènes que l’on trouve également dans la souche vaccinia WR et dans le virus de la variole bovine, et comprend un gène hautement fragmenté homologue au gène de la gamme d’hôtes du virus de la variole bovine, ce qui constitue une preuve supplémentaire qu’un virus semblable à la variole bovine était l’ancêtre de la vaccine. De manière surprenante, la région centrale conservée du génome contient également quelques gènes fragmentés, dont l’ORF F5L, codant pour une protéine membranaire majeure, et les ORF F11L et O1L, codant pour des protéines de 39,7 et 77,6 kDa, respectivement. La région génomique terminale droite porte trois grandes délétions : tous les gènes classiques d’évasion immunitaire poxvirale et tous les gènes de type ankyrine situés dans cette région sont fragmentés, à l’exception de ceux codant pour le récepteur de l’interleukine-1β et la protéine de type ankyrine B18R de 68 kDa. Ainsi, le phénotype atténué du MVA est le résultat de nombreuses mutations, affectant particulièrement les protéines interactives avec l’hôte, dont les gènes ankyrin-like, mais impliquant également certaines protéines structurelles.

Lien vers le pdf:

G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain : Comparaison avec d’autres orthopoxvirus, (1998),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042682298991231

L’infection par le COVID-19 peut-elle être renforcée/réactivée de la même manière? Il semble que non car, contrairement au VIH, il se développe dans un environnement oxydatif.(7)

L’immunisation contre la vaccine peut encore la favoriser indirectement par d’autres voies, comme l’épuisement des cellules T ou la réactivation d’autres virus latents, ce qui affaiblit le système immunitaire. Les défis antigéniques répétés ne sont pas à encourager.

En rapport avec la vaccination Vaccinia, un excellent article sur le renforcement des infections virales par les anticorps, notamment pourquoi les tentatives répétées de créer des vaccins efficaces contre le VIH et les coronavirus continuent d’échouer :

Résumé

Des exemples d’augmentation de la sensibilité à l’infection virale ou de pathogénie virale aberrante induite par un vaccin ont été documentés pour des infections par des membres de différentes familles de virus. Plusieurs mécanismes, dont beaucoup sont encore mal compris, sont à la base de ce phénomène. La mise au point de vaccins contre les infections à lentivirus en général, et contre le VIH/SIDA en particulier, n’a guère été couronnée de succès. Certains vaccins lentiviraux expérimentaux se sont même révélés contre-productifs : ils ont rendu les sujets vaccinés plus sensibles à l’infection au lieu de les protéger. En ce qui concerne l’augmentation de la sensibilité à l’infection par certains virus comme le coronavirus félin, le virus de la dengue et le virus de l’immunodéficience féline, il a été démontré que la facilitation de l’infection par les anticorps (antibody-dependent enhancement – ADE) joue un rôle important. D’autres mécanismes peuvent être impliqués, soit en l’absence de l’ADE, soit en combinaison avec celui-ci. Par conséquent, le renforcement induit par le vaccin a été un obstacle majeur au développement de certains vaccins contre les flavi-, corona-, paramyxo- et lentivirus. De même, les récents échecs dans le développement d’un vaccin contre le VIH peuvent être attribués, au moins en partie, à l’induction d’une susceptibilité accrue à l’infection. Il pourrait bien y avoir un équilibre délicat entre l’induction d’une immunité protectrice d’une part et l’induction d’une susceptibilité accrue d’autre part. Le présent article passe en revue les mécanismes actuellement connus de l’augmentation de la sensibilité à l’infection virale induite par le vaccin ou de la pathogenèse virale aberrante.

Mots clés: Vaccin, Amélioration, ADE, VIH, Lentivirus.

W. Huisman,1 B.E.E. Martina, G.F. Rimmelzwaan, R.A. Gruters, et A.D.M.E. Osterhaus, Renforcement des infections virales par le vaccin, Vaccine. 2009 Jan 22 ; 27(4) : 505-512, publié en ligne le 18 novembre 2008. doi : 10.1016/j.vaccine.2008.10.087

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7131326/#__ffn_sectitle

L’avenir de la vaccination contre la variole du singe

Cette étude de 2011 souligne également les défauts majeurs de l’approche Jynneos et recommande des essais d’efficacité qui pourraient également bénéficier à une population à risque réel, imaginez ça!

Les nouveaux vaccins candidats ont été évalués chez l’homme pour leur immunogénicité, mais depuis l’éradication de la variole, tous les essais d’efficacité ont été réalisés sur des modèles animaux. Par conséquent, aucun des produits récemment développés pour la prévention et le traitement de l’infection par le virus de la variole n’a été testé sur le terrain chez l’homme, et ont été fabriqués et déposés dans le stock de biodéfense sur la base d’études animales et de la présomption qu’ils fonctionneront chez l’homme en cas de crise.

Bien que l’on sache que l’immunité médiée par les cellules T est importante pour éliminer les infections par poxvirus, la protection est fortement associée aux réponses en anticorps. Cela est dû au fait que la complexité et le coût d’un essai vaccinal de phase I sont considérablement plus élevés si la cryoconservation des cellules mononucléaires du sang périphérique (peripheral blood mononuclear cells – PBMC) est nécessaire. Pour les essais de phase I des vaccins candidats contre le poxvirus, le prélèvement de sérum pour la recherche d’anticorps induits par le vaccin serait suffisant.

Il est difficile, long et coûteux de le faire correctement, et l’efficacité visée devrait être de 80% pour que cela en vaille la peine, et non de 50%.

Il est beaucoup plus rapide, plus facile et moins coûteux de sauter toutes ces inepties de sécurité et d’efficacité des phases II et III et de signer l’autorisation de distribution massive:

Passer de la phase I des tests d’innocuité et d’immunogénicité à un essai d’efficacité de phase IIb ou III ajouterait un nouveau niveau de complexité, non seulement en raison de la taille de l’étude, mais aussi parce que le lieu de l’étude passerait de Kinshasa au district de Sankuru, dans la partie centrale de la RDC, où il y a peu d’établissements de soins de santé et peu de routes, ce qui rend l’accès difficile et crée des défis logistiques pour la gestion de la livraison des produits biologiques et des échantillons cliniques. La réalisation d’études épidémiologiques a nécessité un système élaboré de véhicules, de motos, de bicyclettes et de déplacements à pied pour accéder aux populations et transporter les échantillons diagnostiques. Même avec une incidence annuelle proche de 0,2% (chez les enfants de 5 à 19 ans), un essai d’efficacité contrôlé par placebo avec un an de suivi nécessiterait environ 20.000 sujets pour détecter une efficacité du vaccin de 80% avec une puissance de 80%. Il faudrait moins de sujets si la période de suivi pouvait être prolongée, à condition que l’on s’attende à un maintien de l’immunité.

Avantages des essais cliniques du vaccin dans les zones endémiques de la variole du singe (MPX)

La réalisation d’essais cliniques en RDC présenterait un certain nombre d’avantages pour différentes parties prenantes. Tout d’abord, les populations du bassin du fleuve Congo qui sont les plus touchées par la maladie en bénéficieraient. Les études cliniques permettraient d’attirer l’attention sur le problème de la variole du singe, d’améliorer les connaissances générales sur la prévention de la variole du singe et, éventuellement, d’améliorer les connaissances sur d’autres problèmes de santé en renforçant l’infrastructure de la santé publique. Il y aurait également des avantages intangibles qui accompagnent les activités d’essais cliniques, notamment la stimulation des économies locales. Deuxièmement, la population congolaise en général et le système de santé congolais en bénéficieraient car un essai de vaccin interventionnel nécessiterait un investissement dans l’infrastructure réglementaire. En outre, il permettrait d’accroître la capacité de recherche en augmentant le nombre de chercheurs actifs et le personnel. Avec une efficacité de 85% au taux d’incidence actuel, environ une infection par le virus de la variole du singe pourrait être évitée pour 600 personnes vaccinées.

Les développeurs de vaccins antivarioliques alternatifs et les parties prenantes dans le domaine de la biodéfense et des maladies infectieuses émergentes tireraient profit de la possibilité d’évaluer sur le terrain des vaccins antivarioliques candidats contre un orthopoxvirus virulent. Cet avantage ne doit pas être sous-estimé car l’inoculation de la vaccine vivante est le seul vaccin antivariolique dont l’efficacité a été prouvée chez l’homme. Tous les autres vaccins candidats seront provisoirement approuvés en appliquant la Règle des Animaux (20). Le fait de disposer de données sur l’efficacité chez l’homme conférerait un avantage de sélection significatif à un vaccin candidat par rapport à un autre.

En fin de compte, les auteurs se demandent si tout cela vaut la peine? Pourquoi ne pas simplement administrer des antiviraux aux rares cas qui se présentent et éduquer les groupes à risque sur les pratiques sûres? Pourquoi pas, en effet.

C’est la méthode Leicester de réponse à l’incidence et de quarantaine ciblée, mise à jour pour le 21e siècle:

Alternatives à la vaccination antivariolique

Compte tenu des risques d’effets indésirables, du coût et des considérations logistiques associés à la vaccination antivariolique, il convient également d’envisager d’autres stratégies pour lutter contre la variole du singe chez l’homme. Une alternative à la vaccination pourrait être le traitement des cas incidents avec une thérapie antivirale pour réduire la morbidité et la transmission, et en donnant accès aux antibiotiques pour le traitement des infections bactériennes secondaires. Le diagnostic clinique de la variole du singe étant relativement facile, des antiviraux efficaces et des soins cliniques de soutien pourraient être des options plus pratiques que la vaccination à l’heure actuelle.

La réduction de la fréquence de l’infection humaine par la variole du singe pourrait également être obtenue par l’éducation sanitaire sur la manipulation des espèces réservoirs animales potentielles afin de prévenir la transmission de l’animal à l’homme et par la quarantaine ou l’isolement des contacts afin de prévenir la propagation interhumaine. La définition des facteurs sous-jacents à l’augmentation de l’incidence, et leur impact sur la transmission primaire par rapport à la transmission secondaire, est donc une direction cruciale pour les recherches en cours. En outre, une meilleure compréhension de la mortalité et des complications associées à l’infection par la variole du singe doit être évaluée. La poursuite de la surveillance active de la maladie dans les régions endémiques, associée à des études sur les ménages et les contacts avec un suivi à long terme, permettrait de répondre à ces questions importantes.

D’autres études sont également nécessaires pour identifier les hôtes intermédiaires et les réservoirs animaux. La vaccination antivariolique ne modifiera pas le réservoir ni la quantité de virus de la variole du singe trouvés dans les espèces d’amplification. L’introduction de la variole du singe dans les populations humaines dépend du contact avec des espèces infectées. Par conséquent, la vaccination seule ne sera pas efficace pour contrôler la propagation géographique de la variole du singe, car elle est déterminée par les mouvements d’animaux et largement motivée par la perte d’habitat naturel.

Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60-D64.

https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2011.09.004

« Wally, je te nomme responsable des tests de notre nouveau médicament dans un essai clinique randomisé à grande échelle. »
« Certainement. Quel résultat veux-tu que je te fournisse? »
« Tu es limite trop parfait pour ce boulot. » « Merci. »

Et merci de m’avoir lu.

Références:

1: WHO, Monkeypox – United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, (May 18th 2022),

https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON383

2: Norris, J, Misfolded spike protein could explain complicated COVID-19 symptoms, (May 26, 2022),

https://www.medicalnewstoday.com/articles/misfolded-spike-protein-could-explain-complicated-covid-19-symptoms

3: Lymphadenopathy at the crossroad between immunodeficiency and autoinflammation: An intriguing challenge, (2021),

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8374228/#__ffn_sectitle

4: Side Effects in Clinical Trials

https://dipg.org/dipg-research/clinical-trials-for-dipg/side-effects/

5: Bhaskar A, Munshi M, Khan SZ, Fatima S, Arya R, Jameel S, Singh A. Measuring glutathione redox potential of HIV-1-infected macrophages. J Biol Chem. 2015 Jan 9;290(2):1020-38. doi: 10.1074/jbc.M114.588913. Epub 2014 Nov 18. PMID: 25406321; PMCID: PMC4294471.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25406321/

6: Glutaredoxin

https://en.wikipedia.org/wiki/Glutaredoxin#:~:text=Glutaredoxins%20(also%20known%20as%20Thioltransferase,and%20regulation%20of%20glucose%20metabolism.

7: Jaswinder Singha, Rajinder S.Dhindsab, Vikram Misrac, Baljit Singhd, SARS-CoV2 infectivity is potentially modulated by host redox status, (2020),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020304839


Texte original

Smallpox & monkeypox vaccine mythology, aegrescit medendo

The cure is worse than the disease

DoorlessCarp🐭

Jun 3

Any extracts used in the following article are for non commercial research and educational purposes only and may be subject to copyright from their respective owners.

Introduction

This Substack reviews the history of smallpox vaccination in part 1.

The safety & efficacy of a vaccine candidate against monkeypox and mechanisms of vaccine induced cardiomyopathy are reviewed in part 2.

It concludes with “Whither monkeypox vaccination” which discusses different approaches to the currently adopted one.

Part 1: Smallpox

Whilst Edward Jenner’s famous discovery undoubtedly saved many lives, it also contributed to many deaths for various reasons.

The net effect was that at the population level net mortality didn’t fall over time, if anything it went up (where have we seen that before?)

The main causes were:

  • Immunosuppressed, malnourished children were unable to mount an effective immune response. It was like pushing on a string.
  • The live cowpox virus could be as lethal to these individuals as smallpox itself.
  • Good Manufacturing Practice (GMP) was a thing of the future. Vaccine preparations varied in quality and variant used, and could even be contaminated with anthrax spores. It was also often traceable back to smallpox itself, not cowpox…

For those who haven’t read it I can recommend the excellent “Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History” (2013) by Suzanne Humphries MD, and it is appropriate to include several quotes in this Substack.

In many ways we haven’t really progressed from the Victorian era:

Fresh vesicles subsequently formed around the vaccination pocks coalescing with them and causing them to spread. They developed also on the face, head, body, and in the mouth, the later prevented the child from suckling, and it died exhausted on the 45th day after vaccination.

– Case of a healthy child after vaccination, March 13, 1891

Try revaccination—It never will hurt you,

For revaccination has this one great virtue:

Should it injure or kill you whenever you receive it,

We all stand prepared to refuse to believe it.

– From a circular signed “The Doctors,” 1876

And any acquired immunity, if the vax didn’t kill you first time round, wasn’t lifelong:

…it is observed that all un-revaccinated children over one and a-half years of age, or thereabouts, and all revaccinated persons whose revaccinations are more than three years old, i.e., the vast majority of the entire population—are unprotected.{106}

Another practitioner named Dr. Olesen claimed that revaccination should be done annually.

Recent successful vaccination is an absolute protection against smallpox. Protection lasts from six months to twelve months and often much longer. Revaccination is advisable once a year.

Since the late 1700s, the medical profession has supported vaccination, even though there was never a trial where one group was vaccinated and compared to another group of the same size that was not vaccinated.{109}

The CDC admits that, even now, the level of antibody that protects against smallpox infection is unknown.{110} When the authors of Dissolving Illusions were growing up in the United States, children were considered vaccinated and immune simply by revealing the scar of vaccination years after the procedure.

The standardization and purity of smallpox vaccines was lackluster even after the eradication of smallpox from the United States. Dr. Beddow Bayly’s 1952 statements should leave everyone wondering how such a vaccine could have possibly been responsible for eradication of any disease:

When we recall that vaccine lymph is derived, in the first place, either from a smallpox corpse, the ulcerated udder of a cow, or the running sores of a sick horse’s heels, the choice depending upon the country of its origin and the firm which manufactures it, it is hardly to be wondered at that it has far-reaching ill effects on the human constitution. Years ago, the Lancet declared that “no practitioner knows whether the lymph he employs is derived from smallpox, rabbit-pox, ass-pox, or mule-pox.”{117} Our own Ministry of Health has long confessed to complete ignorance of the ultimate source of its own supply of lymph; but last year Dr. A. Downie stated in the British Medical Journal that “the strain of vaccinia virus used for the routine preparation of lymph in this country [England] is believed to have been derived from a case of smallpox in Cologne during the last century.” That, of course, disposes of the whole theory of cow-pox vaccination.{118}

When Jenner published his paper in 1798 claiming lifelong immunity to smallpox and promoting his technique, many doctors who had seen smallpox follow cowpox challenged his doctrine at a meeting of the Medico-Convivial Society.

But he [Jenner] no sooner mentioned it than they laughed at it. The cow doctors could have told him of hundreds of cases where smallpox had followed cow-pox…{122}

In 1799 Dr. Drake, a surgeon from Stroud, England, conducted an experiment to test Jenner’s new preventive using vaccine obtained directly from Edward Jenner. The children were then challenged with a smallpox inoculation to see if the cowpox procedure had been effective.

In three of them, a lad aged seventeen and two of the Colborne children (one four years, the other fifteen months), the cowpox vesicles came to early maturity and were scabbed under the usual time. The lad was inoculated with smallpox on the 20th December, being the eight day from his vaccination, and the two children on the 21st, being again the eight day. They all developed smallpox, both the local pustules and the general eruption with fever.{123}

Dr. Hughes, another doctor from Stroud, reported that the children subsequently developed smallpox and suggested that the vaccination technique failed. Jenner received the report but decided to ignore the results.

Human behaviour never changes:

Surgeons and doctors were paid well to perform vaccination and embraced it as a new form of income. It is therefore quite significant that so many doctors wrote to medical journals about their experiences. However, just like today, the believers ignored the voices of the medical dissenters, which led to ordinary people speaking out in the lay media.

A case fatality rate of 33% indicates zero efficacy. Perhaps not surprising if smallpox was the source of the lymph:

In the 1844 smallpox epidemic, about one-third of the vaccinated contracted a mild form of smallpox, but roughly 8 percent of those vaccinated still died, and nearly two-thirds had severe disease.{131}

A letter to a newspaper in 1850 claimed there were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than during the smallpox epidemic of 1781 before vaccination began. The author also noted that one-third of the deaths from smallpox were in people who had previously been vaccinated.

Daily experience now unhappily shows an altered state of things: small pox, in spite of vaccination, is rapidly on the increase… There were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than in the celebrated smallpox epidemic of 1781 before vaccination was introduced. I shall also select the Registrar’s returns of one of the country districts (Bradford) to show how little protection vaccination afforded in the last quarter of that year, 1844: 118 [181?] deaths from smallpox were recorded, 60, or nearly one-third, of which had been vaccinated.{132}

The more things change, the more they stay the same:

In 1898 Dr. Wilder also noted that during the 1871–1872 pandemic, the vaccinated often contracted severe smallpox more rapidly than the nonvaccinated.

Never, however, did the faith in vaccination receive so rude a shock as in the Great SmallPox Epidemic of 1871 and 1872. Every country in Europe was invaded with a severity greater than had ever been witnessed during the three preceding centuries. In England, the number of deaths from the disease was increased from 2,620 in 1870 to 23,126 in 1871 and 19,064 in 1872, falling again to 2,634 in 1873. Upon the Continent, particularly in France and Germany, the visitation was even more severe. In Bavaria, for example, with a population vaccinated more than any other country of Northern Europe, except Sweden, which experienced the greatest that had ever been known.

What was even more significant, many vaccinated persons in almost every place were attacked by smallpox before any unvaccinated persons took the disease.{139}

As resistance to vaccination understandably grew, mandates were enacted:

In 1840, as doctors and citizens realized that vaccination was not what it was promised to be, vaccine refusals increased. Governments passed various laws to force people to be vaccinated. Vaccination was made compulsory in England in 1853, with stricter laws passed in 1867. In the United States, Massachusetts created a set of comprehensive vaccination laws in 1855.

Did this work? Not exactly.

In fact, more people died from smallpox in the 20 years after the strict compulsory laws than in the 20 years prior.

…smallpox, after having almost wholly disappeared from our community during the thirty or forty years which followed the introduction of vaccination in 1800, gradually regained its foothold in Boston, where it continued to prevail almost uninterruptedly, although with varying intensity, from 1839, when the disease for the first time assumed the form of a distinct epidemic, up to 1873. During this period of thirty-five years the course of smallpox has been marked by a succession of epidemic paroxysms, generally by intervals of several years, during which a varying number of sporadic cases has testified to the more or less constant presence of the disease. The latest epidemic that of 1872-1873, having proved fatal to 1040 persons, was the most severe that has been experienced in Boston since the introduction of vaccination.{142}

The same pattern of more severe epidemics was to be repeated throughout highly vaccinated populations in the Western world.

England and Wales total deaths from cowpox and other effects of vaccination from 1859 to 1922.
England and Wales smallpox deaths vs. smallpox vaccination deaths from 1906 to 1922.

Sanitation and nutrition, every time:

The death rate for smallpox declined after 1872, but there is no evidence that vaccination had anything at all to do with it. In the early 1900s, death from smallpox all but vanished from England (Graph 4.5). Interestingly, the pattern of smallpox deaths mirrored almost perfectly a much bigger killer—scarlet fever, a bacterial toxin-mediated disease. There was a scarlet fever toxin vaccine, which was never widely used because it had severe consequences to many of its recipients. A marked decline in scarlet fever death occurred long before any antibiotic was used.

England and Wales smallpox and scarlet fever mortality rates from 1838 to 1922.

Some may look at the graphs and think that the vaccine just needed longer to have its effect. But after 1872, vaccination coverage rates slowly declined from a high of nearly 90 percent. Coverage rates plummeted to only 40 percent by 1909 (Graph 4.6). Despite declining vaccination rates, smallpox deaths remained low, vanishing to near zero after 1906. Smallpox vaccination has always correlated positively to epidemics in the countries that collected data in the vain hope of proving the vaccine’s worth.

England and Wales smallpox mortality rate vs. smallpox vaccine coverage rates from 1872 to 1922.

Just as now, many harrowing cases of needless child deaths. Being compliant didn’t work and how compulsory vaccination was halted in England:

After the 1872 pandemic, even more people lost confidence in vaccination. They began asking the question as to whether better sanitation, hygiene, improved housing, nutrition, and isolation of cases were the best ways to deal with smallpox. These ideas, which clashed with the medical profession and governmental laws, culminated in a large demonstration in 1885 against compulsory vaccination in the small manufacturing town of Leicester, England. People had had enough. The tide was about to turn against both the medical profession and the law.

Although vaccination for smallpox had been used since the year 1800, the government did not begin to enforce it until the first acts in 1840 and 1853. The 1853 law set the governmental machinery in place to require every child to be vaccinated within three months of birth.

Through a series of legal acts over the years, the British government had, by the time of the protest in Leicester, made refusing smallpox vaccination a crime punishable by fines or imprisonment.

The penalties fell disproportionately on the poor who, if they could not afford to pay the fine for noncompliance with the vaccination law, would have the settlement forcibly offset by seizure and sale of their furniture. From the Leicester Mercury, January 1884:

A man named Arthur Ward had two children injured through vaccination and refused to submit another one to the operation. A fine was imposed and on 24th November two police officers called for the penalty, or in default to ticket the goods. The husband was out at the market, and the poor woman had no money to pay. The goods downstairs were considered insufficient to cover the amount, and the officers demanded to go upstairs. The woman refused to allow this, and an altercation took place, and harsh language was used by the officers, who threatened to take her husband to prison, terrifying Mrs. Ward. At that time she was pregnant, and the shock to the system, and the fright, were of such a character that symptoms ensued which ultimately led to a premature confinement, and on 26th December she gave birth to a still-born child. She never recovered and last week she expired. The doctor who had attended Mrs. Ward said that although he believed in vaccination he did not think it was the duty of any professional man to carry out the laws in the outrageous and brutal manner in which they were enforced.{193}

Leicester, March 23, 1885:

Because of the serious and sometimes fatal results of the procedure, and the government’s steadfast support of forced vaccination through fines and imprisonment, the people were motivated to revolt. In great numbers, they took to the streets of Leicester to protest. At the time of the demonstration, thousands of prosecutions were being brought against parents who refused vaccination for their children.

The widespread opposition to the enforcement of the compulsory clauses of the Vaccination Acts which exists in Leicester culminated yesterday in a great demonstration, which was carried out very successfully. The position which the inhabitants of the town have assumed with regard to this question is due to a variety of causes. At the present moment there are over 5,000 persons being summoned for refusing to comply with the law.… summonses issued in the year 1884 only reached seven, or a little over one summons in every two months, while at the present moment forty-five summonses are being heard and disposed of every week. But even the disposal of forty-five defendants every week is not sufficient to meet the requirements of the case, and the defaulters and the objectors increase faster than the cases can be dealt with.{194}

The crowd gathered in Leicester from a number of different counties in England and included people of all professions.

The demonstration… drew delegates from all parts of the country, while many letters of sympathy were received not only from England, Scotland, and Ireland, but from Jersey, France, Switzerland, Belgium, Germany, and America. Most of the large towns in the kingdom sent special banners, the Yorkshire, Irish, and Scotch being very prominent. The anti-vaccinationists in Jersey sent a very elaborate banner setting forth that the Acts had been four times defeated there, while the Belgium banner had this inscription in French—“Neither fines nor imprisonment will prevent vaccine being a poison nor the vaccination laws an infamy.”{195}

Organizers of the event estimated the number at attendance to have been between 80,000 and 100,000. Mr. Councillor Butcher of Leicester presided and congratulated the crowd on the magnificent and elaborate display. He said:

…the exemplary conduct of the many thousands of people who had attended the demonstration showed that they were determined only to use fair and constitutional means to bring about a repeal of the Acts.{200}

He addressed the audience:

Many present had been sufferers under the Acts, and all they asked was that in the future they and their children might be let alone. They lived for something else in this world than to be experimented upon for the stamping out of a particular disease. A large and increasing portion of the public were of opinion that the best way to get rid of smallpox and similar diseases was to use plenty of water, eat good food, live in light and airy houses, and see that the Corporation kept the streets clean and the drains in order. If such details were attended to, there was no need to fear smallpox, or any of its kindred; and if they were neglected, neither vaccination nor any other prescription by Act of Parliament could save them.{201}

The people of Leicester prevailed and brought this pseudoscientific nightmare to a close, the compulsory vaccination laws were eventually repealed:

Thousands of brave people set off a historical rebellion that successfully countered a prevailing medical belief and heavy-handed government rule. The medical profession proclaimed that the Leicester residents would suffer greatly for their decision to turn their backs on vaccination. They prognosticated that this unvaccinated town with its “highly flammable material”{206} would suffer with the “dread disease”{207} that would spread like “wild-fire on a prairie”{208} and decimate the population.

But the leaders of Leicester held steadfast to what they knew was right and successfully implemented their plan of sanitation, hygiene, and isolation—instead of vaccination. Their grand experiment would test the very notions of freedom of choice, self-determination, and the heart of a flawed medical belief.

For the full story and many other case studies I recommend reading the book.

Part 2: Monkeypox

I won’t be going into great virological depth here as currently it’s something of a media hyped, vaccine/WHO promoting propaganda exercise, a nothingburger with an R number less than 1 and transmitted in a similar fashion to HIV, effectively a gender specific STD.

Just like with Covid-19 for most people the imported West African clade presents as a comparatively mild, self limiting disease with a case fatality ratio of less than 1, including all those with comorbidities, ie its actually quite difficult to die from, let alone catch in the first place.1

However there is evidence of a lab based origin or potential gain of function work, and there is the possibility it could function like a binary weapon, the other component being immunosuppression mediated by Coronavirus “vaccines”, so it’s one to watch for transmission rates. That would require aerosol spread rather than direct person to person to become an issue.

@Kevin_McKernan:

There is something fishy about the monkey pox sequences.

50 mutations is too many for a 2018 DNA virus.

There is also a deletion which hints at serial passaging.

https://virological.org/t/discussion-of-on-going-mpxv-genome-sequencing/802

And this thread added 5th June ‘22:

https://threadreaderapp.com/thread/1532852045614665732.html

From the pharma viewpoint, smallpox vaccines are interchangeable with monkeypox vaccines.

Smallpox vaccines have also been associated with very high rates of myocarditis:

In 2015, US military physicians described a study of 1,081 healthy young soldiers who received a smallpox vaccine as part of their military service.  [Smallpox vaccine is not used in the civilian population.]  It is known to cause a high rate of side effects, including myo- and peri-carditis, heart attacks and heart failure.

They found:

– 5 soldiers or 0.046% (about 1 in 216 vaccine recipients) developed a clinical case of myo or pericarditis.  This is over 200 times the expected rate!

– But an additional 31 vaccine recipients had elevated cardiac enzymes

Adding these 2 groups together (36 out of 1081 soldiers) we find that one in 30 soldiers had lab-diagnosed cardiac inflammation.  The 31 didn’t complain of symptoms.  But in the military, it never pays to complain.  

They too were at elevated risk of a cardiac arrhythmia and/or reduced cardiac function, and may have been at higher risk of a myocardial infarction.

We don’t know how common mild or subacute myo/pericarditis is in young Americans after Covid vaccines, because the US health agencies have neither performed a similar study, demanded such a study from the vaccine manufacturers (while it is the responsibility of both FDA to request and the manufacturers to perform), and the FDA and CDC have kept the databases hidden that might help at least identify the « clinical » cases, the ones who complained and sought medical care.  

The CDC or FDA could also have contracted with this group of military physicians to perform a similar study of Covid vaccine recipients.

Dr. Michael Nelson, this study’s second author, was made a member of the FDA vaccine advisory committee for Covid vaccines.  But he has been mum about the potential similarities between the covid and smallpox vaccine side effects, and didn’t publicly mention this study when he spoke at the VRBPAC meetings.

In 2003, another group of military and civilian physicians (including at least 2 vaccine zealots as coauthors: Greg Poland and John Grabenstein) published a study of US soldiers receiving smallpox vaccine, in which they did not look carefully for cases.  How common was myocarditis in their study?  One case in 12,818 soldiers.  They found 400 times fewer cases than the authors of the 2015 study.  The full text can be downloaded here as a pdf.

How hard are CDC and FDA looking for Covid vaccine myo-pericarditis cases? We heard about no prospective studies at the VRBPAC and ACIP (the FDA and CDC vaccine advisory committees’) meetings in June.

Below is the abstract, and here is the full text of the 2015 military study:

« New onset chest pain, dyspnea, and/or palpitations occurred in 10.6% of SPX-vaccinees and 2.6% of TIV-vaccinees within 30 days of immunization (relative risk (RR) 4.0, 95% CI: 1.7-9.3). Among the 1081 SPX-vaccinees with complete follow-up, 4 Caucasian males were diagnosed with probable myocarditis and 1 female with suspected pericarditis. This indicates a post-SPX incidence rate more than 200-times higher than the pre-SPX background population surveillance rate of myocarditis/pericarditis (RR 214, 95% CI 65-558). Additionally, 31 SPX-vaccinees without specific cardiac symptoms were found to have over 2-fold increases in cTnT (>99th percentile) from baseline (pre-SPX) during the window of risk for clinical myocarditis/pericarditis and meeting a proposed case definition for possible subclinical myocarditis. This rate is 60-times higher than the incidence rate of overt clinical cases. No clinical or possible subclinical myocarditis cases were identified in the TIV-vaccinated group.« 

If you think one in thirty is impossibly high, a Finnish study of military recruits published in 1978 found the same 3% rate after smallpox and DTP vaccination, based on EKG changes. 

Covid vaccines may be causing similar high rates of cardiac inflammation too.  But today, who’s counting?

And did this cause the military to stop vaccinating for smallpox, a disease wiped out in 1977?  No.  Military smallpox vaccinations continued.

Nass, Meryl MD, How common is myocarditis? It hugely depends how hard you look. For smallpox vaccine in military recruits, 1 in 30 had clinical or subclinical myo or pericarditis/PLOS One, (Wednesday, July 7, 2021)
https://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/07/how-common-is-myocarditis-it-hugely.html

Now we consider “JYNNEOS”, the monkeypox vaccine of the hour. It’s a repurposed 2 dose live, non-replicating smallpox vaccine.

To get “immunised” with it is very much a personal decision based on your circumstances and future epidemiological developments. I present the evidence here and personally would advise extreme caution.

The memorandum wreaks of a now all too familiar bias and lacked long term safety or immunological efficacy data.

Extracts from the BLA Clinical Review Memorandum, a Biologics License Application (BLA) dated 10/25/2018 and downloadable from:

https://www.fda.gov/media/131870/download

Jynneos is an attempt at a safer smallpox vaccine (“MVA-BN”). For an eradicated disease.

And who might these “bioterrorists” be they refer to?

Smallpox is a highly contagious infectious disease caused by variola virus with a mortality rate of 30-40%. Smallpox was declared officially eradicated in 1980. Following the official declaration of smallpox eradication, routine vaccination 3 programs against smallpox were discontinued, leading to a growing majority of the world’s population lacking immunity to smallpox. The intentional release of variola virus, a recognized agent of potential bioterrorist intent, could therefore have devastating effects. The only currently licensed smallpox vaccine, ACAM2000, is a live, replicating vaccinia virus based smallpox vaccine. ACAM2000 is contraindicated in severely immunocompromised individuals who are not expected to benefit from the vaccine. ACAM2000 is also limited to use in individuals at high risk of smallpox because of severe side effects, such as progressive vaccinia in less severely immunocompromised individuals for whom the vaccine is not contraindicated, eczema vaccinatum in individuals with atopic dermatitis, myopericarditis in smallpox vaccine naïve individuals, fetal vaccinia in pregnant women, and spread of vaccine virus beyond the vaccination site (generalized vaccinia) or to contacts of vaccinees. Therefore, an unmet medical need exists for a smallpox vaccine with an improved safety profile.

Monkeypox is a rare viral zoonosis with symptoms similar to those seen in smallpox patients. Although it is clinically less severe than smallpox, it can be fatal. Case fatality in monkeypox outbreaks has been between 1% and 10%. With the eradication of smallpox in 1980 and subsequent cessation of smallpox vaccination, monkeypox virus has emerged as the most important orthopoxvirus. Monkeypox occurs sporadically in central and western Africa’s tropical rainforest. A monkeypox outbreak was first confirmed in the U.S. in 2003. There is no specific treatment or approved vaccine for monkeypox although Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommends that ACAM2000 be used for prevention of monkeypox in individuals at high risk of exposure (e.g., lab workers who handle monkeypox virus).

BN (also referred to as the applicant throughout the document) proposed a 2- dose primary series for use in smallpox vaccine naïve individuals and a single booster dose for use in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine (replicating smallpox vaccine or MVA-BN primary series). They submitted 22 clinical trials to support the effectiveness and safety of MVA-BN for licensure. Among these 22 clinical trials, 7 clinical trials are considered essential by the review team to support the proposed indication and usage. Full clinical study reports were submitted to the BLA for these 7 studies:

• POX-MVA-006: A pivotal Phase 3 non-inferiority trial comparing MVA-BN with ACAM2000 to support safety and effectiveness of MVA-BN in vaccinia naïve healthy subjects

• POX-MVA-013: A placebo-controlled Phase 3 lot consistency trial to establish manufacturing consistency of MVA-BN as well as to support safety of MVA-BN

• POX-MVA-008: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals with atopic dermatitis

• POX-MVA-011: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in HIV-infected individuals

• POX-MVA-005 and -23: A Phase 2 trial and its extension trial, respectively, to support use of MVA-BN in vaccinia experienced individuals

• POX-MVA-024: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals 65 years of age and older

So it starts on a high note, but things go downhill fast from there. Starting efficacy target is only 50%. Safety and efficacy isn’t assessed primarily against an unvaccinated control but against ACAM2000, is this to make it look safer?

Antibodies do not equal immunity. They do pick up that there is no known quantified antibody response to demonstrate immunity:

During the discussions of licensure pathway for MVA-BN, we agreed that the most appropriate approach to licensure for MVA-BN would be to demonstrate vaccine effectiveness compared to ACAM2000 using a primary endpoint of noninferior vaccinia specific neutralizing antibody titers. The non-inferiority margin was pre-specified at 0.5. Given that vaccine antigens and replication competence are different for MVA-BN vs. ACAM2000, and that a vaccinia neutralizing antibody response that predicts protection against smallpox has not been established, we considered that demonstrating vaccine efficacy in animal models showing protection against relevant orthopoxvirus challenge (e.g., monkeypox in NHPs) would be critical to support the immunologic non-inferiority comparison.

And no need to actually trial it against a different species to smallpox as monkeypox is close enough and it worked on monkeys. I’m not sure that’s how it works, its conjecture.

The applicant’s original proposed indication did not include monkeypox. During the review of this submission, we received inquiries from external stakeholders in the US government asking whether the available data for MVA-BN would support an indication for prevention of monkeypox. We determined that immunogenicity data for MVA-BN obtained in humans together with the non-human primate (NHP) data already submitted to BLA 125678/0 support the indication for prevention of monkeypox, since the clinical and non-clinical studies provided multiple lines of evidence that the immune response to MVA-BN provided protection against different orthopoxviruses, and specifically monkeypox in the NHP challenge model. Therefore, we recommended including the monkeypox indication in the product labeling.

They followed up some trial participants for 6 months, but myocardial fibrosis can take years to become symptomatic and still shortens your natural lifespan. These papers are worth reading in full in the context of Covid-19 “vaccine” mediated myo and pericarditis. Small lumen capillaries are particularly prone to obstruction and T-cell infiltration mediates further myocardial injury.

Abstract

Heart injury from many causes can end up in a common final pathway of pathologic remodeling and fibrosis, promoting heart failure development. Dilated cardiomyopathy is an important cause of heart failure and often results from virus-triggered myocarditis. Monocytes and monocyte-like cells represent a major subset of heart-infiltrating cells at the injury site. These bone marrow-derived cells promote not only tissue injury in the short term but also angiogenesis and collagen deposition in the long term. Thus, they are critically involved in the typical tissue fibrosis, which evolves in the dilating ventricle during the process of pathologic remodeling. Recent findings suggest that heart-infiltrating monocyte-like cells indeed contain a pool of progenitors, which represent the cellular source both for accumulation of differentiated monocytes during the acute inflammatory phase and for transforming growth factor-beta-mediated myocardial fibrosis during the later chronic stages of disease. Obviously, a delicate balance of proinflammatory and profibrotic cytokines dictates the fate of bone marrow-derived heart-infiltrating progenitors and directly influences the morphologic phenotype of the affected heart. In this minireview, we provide an update on these mechanisms and discuss their significance in pathologic remodeling and heart failure progression after myocarditis.

Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi: 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID: 20447565.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20447565/

Cardiac remodelling in detail. This is post “heart attack” (myocardial infarction or MI) but is applicable in the context of the shared mechanisms of myocardial fibrosis:

Abstract

Ischemic cell death during a myocardial infarction leads to a multiphase reparative response in which the damaged tissue is replaced with a fibrotic scar produced by fibroblasts and myofibroblasts. This also induces geometrical, biomechanical, and biochemical changes in the uninjured ventricular wall eliciting a reactive remodeling process that includes interstitial and perivascular fibrosis. Although the initial reparative fibrosis is crucial for preventing rupture of the ventricular wall, an exaggerated fibrotic response and reactive fibrosis outside the injured area are detrimental as they lead to progressive impairment of cardiac function and eventually to heart failure. In this review, we summarize current knowledge of the mechanisms of both reparative and reactive cardiac fibrosis in response to myocardial infarction, discuss the potential of inducing cardiac regeneration through direct reprogramming of fibroblasts and myofibroblasts into cardiomyocytes, and review the currently available and potential future therapeutic strategies to inhibit cardiac fibrosis.

The fibrotic response after an MI can be classified into two types of fibrosis, namely replacement and reactive fibrosis, both of which are mediated by fibroblasts and myofibroblasts. Replacement fibrosis, i.e. scar formation, is a pivotal process to prevent the rupturing of the ventricular wall after an ischemic insult (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). However, the increased mechanical stress post-MI, together with hormonal and paracrine mediators, also induces the expansion of connective tissue in areas remote to the infarction. This reactive fibrosis in the infarct border zone and in the remote uninjured myocardium leads to altered chamber compliance and increased ventricular stiffness thereby compromising cardiac output.

In addition to its effect on cardiac contractility, both the fibrous scar and interstitial fibrosis have been shown to interfere with the normal electrical function of the heart thus predisposing to arrhythmia (for a review, see Francis Stuart et al. 2015). The compact scar may serve as an insulated non-excitable area that anchors re-entrant arrhythmia leading to sustained ventricular tachycardia (Ripplinger et al. 2009). In interstitial fibrosis, the non-conducting fibrillar collagen network between cardiomyocyte sheets might promote re-entrant tachycardia through inducing focal ectopic activity and through slowing or blocking of conduction (Francis Stuart et al. 2015). Additionally, the electronic coupling of myofibroblasts and cardiomyocytes might play a role in fibrosis-induced arrhythmogenesis (Kohl and Gourdie 2014). Not surprisingly, cardiac fibrosis has been identified as an autonomous risk factor in HF: it predisposes HF patients to sudden cardiac death and increases overall mortality independently of the ejection fraction (Gulati et al. 2013).

Following the establishment of a collagen-based matrix at the infarct site, the growth factors and matricellular proteins promoting the survival and activity of myofibroblasts are depleted (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). In response, the majority of myofibroblasts are removed from the scarred area, possibly through apoptosis. Moreover, the vascular cells die, and the temporary microvasculature is disintegrated. Whether active inhibitory signaling is involved in suppressing the fibrotic response is unclear. During the maturation phase of MI, collagen turnover by the remaining myofibroblasts continues, and type III collagen is replaced with type I collagen. Type I collagen is further modified by LOX-catalyzed cross-linking. The expression of all four LOX isoforms is increased in the infarct area and in the border zone at 3–7 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). This correlates with significant accumulation of mature collagen fibers and extensive remodeling, and LOX inhibition with a pharmacological inhibitor or a neutralizing antibody reduces infarct expansion resulting in improved cardiac function at 28 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). Cross-linking of the collagen fibers leads to increased tensile strength and contraction of the scar, which alters the geometry of the chamber and contributes to remodeling in the remote areas of the ventricular wall (van den Borne et al. 2010). In a normal wound healing response, all myofibroblasts are cleared from the scarred area, but in the heart, they have been found to persist in the infarct scar even decades after the insult (Willems et al. 1994). The reason for the continuous myofibroblast presence in the infarct scar is not known but is possibly necessary for the continuous maintenance of the ECM in the continuously contracting environment (van den Borne et al. 2010).

Reactive fibrosis: remodeling of remote myocardium

Most often it is not the necrotic cardiomyocyte loss during MI that causes heart failure but the subsequent remodeling of the non-infarcted left ventricular wall. In pathological remodeling, the fibroblast-mediated expansion of the ECM is accompanied by the hypertrophic growth of cardiomyocytes as the cells try to compensate for the increased workload by growing in size in order to increase cardiac function and decrease ventricular wall tension (Heineke and Molkentin 2006). The increased thickness caused by cardiomyocyte hypertrophy and stiffness attributable to excessive cross-linked collagen and the tonic contraction of fibrous tissue mediated by myofibroblasts compromise the diastolic function of the heart (Weber et al. 2013). This remodeling process is progressive and eventually leads to the development of heart failure.

The exact mechanisms and regulation of reactive fibrosis are unclear, and systematic studies examining the characteristics of fibroblasts in the non-infarcted myocardium are lacking (Shinde and Frangogiannis 2014). One promoting factor is the increased mechanical stress in the non-infarcted left ventricular wall; this stress also induces the activation of latent TGF-β in the non-infarcted myocardium. In addition, the persisting activated myofibroblasts in the infarct scar continue to secrete pro-fibrotic factors that might traverse to the remote areas of the myocardium inducing activation and proliferation of local fibroblasts and increased collagen deposition in the interstitial compartment (interstitial fibrosis) and in the adventitia of coronary vessels (perivascular fibrosis; Weber et al. 2013). Pro-fibrotic factors initiating and sustaining the reactive fibrotic response are described in the next section.

Whereas interstitial fibrosis stiffens the myocardium and thereby leads to diastolic and systolic dysfunction, reactive fibrosis in the adventitia of the coronary arteries and arterioles (perivascular fibrosis) can cause narrowing of the vessel lumen and has been associated with impaired coronary blood flow (Dai et al. 2012). This might decrease the oxygen supply to the myocardium thereby compromising the survival of cardiomyocytes and predisposing them to ischemic cell death.

More:

Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Cardiac fibrosis in myocardial infarction-from repair and remodeling to regeneration. Cell and tissue research, 365(3), 563–581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9

On cardiac amyloidosis. This is more relevant to spike protein infiltration but certainly worth covering within the context of Covid-19 transfection2. Useful diagnostic information too:

Cardiac AL amyloidosis

Light chain amyloidosis is consequent on a clonal plasma cell proliferative disorder in which misfolded immunoglobulin light chains are deposited as amyloid fibrils in multiple organs, including the heart in about half of cases. Cardiac dysfunction in AL amyloidosis results from extracellular infiltration of the myocardium, but there is often also evidence for a cardiotoxic effect exerted by pre-fibrillar light chain aggregates. The severity of cardiac dysfunction is the major determinant of morbidity and mortality.3

Light chain amyloidosis is the most commonly diagnosed type of cardiac amyloidosis. One or many vital organ systems may be involved, commonly the kidneys, liver, peripheral and autonomic nervous systems and soft tissues. The heart is frequently affected and is the only clinically involved organ in some patients.

Clinical presentation reflects the varying multisystem deposition of amyloid. Examination findings may reflect soft tissue and small vessel amyloid infiltration and include macroglossia, periorbital pupura, submandibular gland enlargement and nail dystrophy. Fatigue and weight loss are common. Hepatic or splenic infiltration may cause palpable organomegaly. Renal dysfunction is common, usually presenting as nephrotic range proteinuria.

Early cardiac amyloidosis is a major diagnostic challenge. The classical features of ‘right-sided’ congestive heart failure may not be evident until cardiac disease is very advanced. Elevated jugular venous pressure, a third heart sound, hepatomegaly and peripheral oedema may be very subtle or absent in patients who have already started diuretics.

Peripheral neuropathy is relatively common, presenting with paraesthesia or dysaesthesia typically in a ‘glove and stocking’ distribution. Autonomic neuropathy is an important diagnostic clue, manifesting as orthostatic hypotension, alternating diarrhoea and constipation and erectile dysfunction.

Monoclonal immunoglobulin or free light chains can be identified in the serum and/or urine of at least 95% of patients using sensitive assays, but are often missed in routine serum electrophoresis. The absence of a detectable clone is problematic for diagnosis and monitoring response to treatment.

Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). Cardiac amyloidosis. Clinical medicine (London, England), 18(Suppl 2), s30–s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30

Back to the Jynneos application. Antibody titres were common endpoints in the trials, even though there is no known threshold of efficacy or assessment of whether they could actually work against monkeypox.

They know this and state this but proceeded nonetheless as per, for example, trial POX-MVA-005:

POX-MVA-005 was a Phase 2 trial to compare immunogenicity of two doses of MVA-BN in vaccinia-naïve healthy subjects and a single dose of MVA-BN in vaccinia-experienced healthy subjects who were vaccinated with the first generation of smallpox vaccines over 25 years ago. The primary endpoint was vaccinia-specific SCR derived from the ELISA specific antibody titers two weeks after the last vaccination. The study enrolled 549 vaccinia-naïve subjects and 204 subjects who were previously vaccinated with the first generation of smallpox vaccines.

Studies POX-MVA-005/023 and POX-MVA-011 used of PRNT, and Studies POX-MVA-008 and POX-MVA-024 used of PRNT. of PRNT used in these studies were insufficiently validated and were not accepted by CBER assay reviewers. The PRNT assay issue precluded us from making any conclusion regarding vaccine effectiveness among the study populations, including for use of a single booster dose in smallpox vaccine experienced individuals. In addition, the primary endpoints for these studies were SCR determined by MVA-based ELISA, which is not considered clinically meaningful for inferring vaccine effectiveness. Therefore, the data obtained from these studies were not sufficient to support vaccine effectiveness of two doses of MVA-BN specifically in HIV-infected individuals or individuals with AD subjects, nor to support licensure of a single dose (or to inform timing of a single booster dose) in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine. However, it was reasonable to conclude that the 2-dose regimen of MVA-BN would be as effective in smallpox vaccine experienced individuals as compared to smallpox vaccine naïve individuals, so smallpox vaccine experienced individuals were included in the approved indication for the 2-dose regimen. Similarly, there is no physiologic reason to suspect decreased effectiveness of MVA-BN in individuals with AD, and benefit-risk of MVA-BN may still be favorable in HIV-infected individuals. Therefore, there is no reason to specifically exclude individuals with AD or infected with HIV from the general indication for use of this vaccine.

The following is totally unacceptable, given that elevated troponin is an indicator of myocardial injury, which may be asymptomatic for months or years until it presents as cardiac arrest or heart disease.

“Post-marketing pharmacovigilance” means that you become the unwitting trial participant, with little chance of the product being pulled regardless of how dreadful the realised safety profile is:

4.6 Pharmacovigilance

Although no safety signal regarding cardiac events has been identified from the studies, up to 18.4% of subjects in two of the 22 clinical trials were reported to have abnormal, asymptomatic troponin-I elevations following vaccination. These troponin-I elevations were not accompanied by clinically significant ECG changes or other findings on cardiology evaluation and were of uncertain clinical significance. We find the applicant’s proposed plan to assess spontaneously reported cardiac data as part of the routine post-marketing pharmacovigilance plan acceptable.

Lymphadenopathy = swollen lymph nodes, a marker of suppressed immunity and/or autoimmune disorders3.

Arthralgia = joint pain, another condition associated with autoimmune disorders, just as elevated troponin and peri & myocarditis is.

Note the grade 3 percentages.

Group 1 = Jynneos

Group 2 = ACAM2000

10.9% of the Jynneos candidates analysed had grade 3 induration, presumably at the injection site but they don’t break it down further. Think “bee sting” sort of swelling and pain:

Induration: “Localized hardening of soft tissue of the body. The area becomes firm, but not as hard as bone.”

“Grade 3 events are serious and interfere with a person’s ability to do basic things like eat or get dressed. Grade 3 events may also require medical intervention.4

Aegrescit medendo.

6.1.10.1 Populations Enrolled/Analyzed

Full Analysis Set (FAS)

FAS was defined as all subjects who had received at least one dose of trial vaccine and for whom any post vaccination safety or immunogenicity data were available.

The safety analysis and secondary supportive immunogenicity analyses were performed on the FAS.

Slides from a presentation by the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Despite the trials data and their own assessment they managed to get any risk of peri or myocarditis removed from the package insert:

Clinical guidance for the use of JYNNEOS. ACIP Meeting November 3 , 2021

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-11-2-3/02-Orthopoxviruses-Petersen-508.pdf

Once on the program, expect to be chased for boosters every 2 years with risk of cumulative cardiac damage:

Those who need it the most benefit the least. Welcome back to Victorian England:

That’s a NO then:

Just like spike protein expressing transfection is replication deficient. That’s also a NO:

From the application up to 2.1%, that’s 1 in 50, had a cardiac adverse event of special interest (AESI). That’s over 10 times the placebo rate. And they had another 127 cases that didn’t meet the threshold of 2 times the upper limit of normal (ULN). HIV, Alzheimer’s Disease and autoimmune associated symptoms were strong correlates:

So the troponin studies were more sensitive, is that the explanation?

Who made the assessment about the suspected pericarditis, why was it “unlikely related to MVA-BN”?

Cardiac AESIs were reported to occur in 1.3% (95/7,093) of MVA-BN recipients and 0.2% (3/1,206) of placebo recipients who were smallpox vaccine-naïve. Cardiac AESIs were reported to occur in 2.1% (16/766) of MVA-BN recipients who were smallpox vaccine-experienced. The higher proportion of MVA-BN recipients who experienced cardiac AESIs was driven by 28 cases of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I in two studies: POX-MVA011, which enrolled 482 HIV-infected subjects and 97 healthy subjects, and POX-MVA-008, which enrolled 350 subjects with atopic dermatitis and 282 healthy subjects. An additional 127 of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I above the ULN but not above 2 times the ULN were documented in MVA-BN recipients throughout the clinical development program, 124 of which occurred in studies POX-MVA-011 and POX-MVA-008. Proportions of subjects with troponin-I elevations (> ULN) were similar between healthy (13.7%) and HIV-infected (11.5%) subjects in POX-MVA-011 and between healthy (18.9%) and atopic dermatitis (18.0%) subjects in POX-MVA-008.

Overall, the number of subjects with AESIs in this clinical development program was relatively low. Except for one case of suspected pericarditis that was assessed as unlikely related to MVA-BN and isolated mild to moderate increases of troponin levels with unknown clinical significance, there were no other reported cardiac AESIs. Among the 22 studies, all the studies except for studies POXMVA-008 and POX-MVA-011 had few subjects with post-vaccination elevation of troponin-I. The applicant postulates that the increased proportion of subjects with post-vaccination elevation of troponin-I is related to the use of a more sensitive troponin assay. Among these two studies, 188 subjects were assessed for troponin-I with a ”conventional” troponin assay, and 934 subjects were assessed for troponin-I with a “high sensitivity” troponin assay. The “high sensitivity” troponin assay used in these two studies was not cleared by FDA. Among the 188 subjects whose troponin-I was assessed with the “conventional” troponin assay, no subject reported post-vaccination elevation of troponin-I, while 144 out of 934 subjects whose troponin-I was assessed by the “high sensitivity” troponin assay reported post-vaccination troponin-I elevation. All subjects with elevated troponin-I levels underwent a cardiologist workup and no clinically meaningful cardiac abnormality was identified among these subjects. Since there was no placebo control in these two studies, the clinical relevance of the increased proportion of subjects with subclinical, yet abnormal troponin-I is unknown.

“Not detected an increased risk of myopericarditis”, was it the same, a bit less maybe? This is misleading wordage, up to 18% of the HIV, AD & atopic dermatitis (eczema) groups having elevated troponin levels is strong evidence of elevated risk of subclinical peri or myocarditis or future fibrosis induced cardiomyopathy, in addition to the AESI’s in other groups:

Here they are warning of vaccine-associated enhanced disease (VAED). Thanks.

There is no strong evidence that Jynneos is actually doing anything (apart from killing cardiomyocytes).

Trust us, OK, we’re experts:

“False sense of security”:

Something missing? Cardiac risk events which you unconvincingly “believe to be lower” and not at placebo levels?

So with unconfirmed efficacy against actual monkeypox in humans, antibody titres at unknown levels long term, with no T or memory B-cell studies and a skewed risk profile with no long term safety data leaning towards administering to only the most vulnerable (apart from if they immunocompromised) then you would expect Jynneos to be withdrawn or strictly restricted.

That’s not quite how it worked out:

Following confirmation that monkeypox has made its way to the U.S., the government ordered millions of doses of a vaccine that protects against the virus.

Bavarian Nordic, the biotech company that makes the vaccine, has announced a $119 million order placed by the U.S., with the option to buy $180 million more if it wants. Should that second option be exercised, it would work out to approximately 13 million doses.

The order will convert existing smallpox vaccines, which are also effective against monkeypox, into freeze-dried versions, which have a longer shelf life. The converted vaccines will be manufactured in 2023 and 2024, the company says.

Bavarian Nordic has worked with the U.S. government since 2003 to develop, manufacture and supply smallpox vaccines. To date, it says, it has supplied nearly 30 million doses to the Department of Health and Human Services.

The U.S. isn’t the only country stocking up on the vaccine. On Thursday, Bavarian Nordic said an unidentified European country had secured a contract to obtain the vaccine.

“While the full circumstances around the current monkeypox cases in Europe remain to be elucidated, the speed of which these have evolved, combined with the potential for infections beyond the initial case going undetected, calls for a rapid and coordinated approach by the health authorities, and we are pleased to assist in this emergency situation,” said Paul Chaplin, president and CEO of Bavarian Nordic in a statement.

U.S. government places $119 million order for 13 million freeze-dried Monkeypox vaccines, (May 19, 2022)

https://fortune.com/2022/05/19/monkeypox-vaccine-purchase-2022-us-government/

BAVARIAN NORDIC TO MANUFACTURE FIRST FREEZE-DRIED DOSES OF SMALLPOX VACCINE UPON EXERCISE OF CONTRACT OPTION BY THE U.S. GOVERNMENT

  • USD 119 million option exercised for the manufacturing of freeze-dried JYNNEOS® in 2023 and 2024
  • This represents the first set of options with a total value of USD 299 million to convert the existing bulk vaccine, previously purchased by BARDA, to approximately 13 million freeze-dried JYNNEOS doses

https://www.bavarian-nordic.com/investor/news/news.aspx?news=6569

4th June ‘22:

Vaccinia and latent HIV reactivation

Smallpox vaccination history has another surprise in store.

This timely post piqued my interest:

Wait, what? I was able to find a source for this and related content:

https://www.hivireland.ie/wp-content/uploads/1987_Print_Media_005_May_11th_to_15th-WebSize.pdf

Some big names quoted in these articles. Whether by contaminated needle reuse or viral reactivation (or both?), the conspiracy theory becomes plausible, indeed plausible enough to sponsor research into the latter.

We see why later.

The key mechanism behind the hypothesis is hi-lighted:

The main focus of the project consists in the studies of interactions of vacccinia virus and HIV-1 with the host; specifically responses of the atopic organism towards infection with vaccinia virus and the effect of redox potential on reactivation of the latent HIV-1 will be studied. The research should provide a basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these viruses.

Research Objectives:

– To develop a mouse model of eczema vaccinatum in Nc/Nga mice or in a different mouse model of atopic dermatitis, and to study immune responses of the atopic organism to vaccinia virus.

– To test the antiviral effect of selected derivatives of the ethacrynic acid and other agents with the anti-poxviral effect in vivo; in tissue culture, to study the exact mechanism of action of the agents, the type of cell death of the infected cells of different embryonic origin and its significance for induction of the immune responses in infection with vaccinia virus

To characterize the molecular mechanism of action of redox-modulating agents on reactivation of the latent HIV-1 and to verify the results obtained in vitro in tissue cultures also in primary peripheral lymphocytes of healthy donors and HIV+ patients ex vivo.

Further information can be found at www.phenogenomics.cz or at the link

https://biocev.lf1.cuni.cz/

Content of the research:

Our primary research focus is to study virus-host interactions, namely interactions between vaccinia virus and HIV-1. The research should provide the basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these and other viruses.

Contrary to a common belief, the need to understand pathogenesis of poxvirus infection and post-vaccination complications as well as to develop safe vaccination vectors and/or drugs effective against poxviruses still remains. The main focus of our research is the response of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. We have developed our own model of eczema vaccinatum in atopic Nc/Nga mice, used it to characterize immune responses and to compare the risks and efficiencies of vaccinations with vaccinia virus strain WR, Dryvax and non-replicating MVA. In this atopic model, we continue to study the disregulated immune responses towards vaccinia and other viruses.

HIV latency in reservoir cells is the main obstacle to cure HIV/AIDS. Our goal is to identify, characterize and develop new agents to reactivate latent HIV-1. We have described a reactivation potential of heme arginate and we identified several other HIV-1-reactivating agents in vitro in tissue cultures. We are currently focusing on confirmation of the results in primary peripheral lymphocytes of HIV + patients and in primary latency models. We intend to patient selected drug combinations and to seek for a strategic partner to further develop the new HIV treatment.

Potential for Cooperation

We are open to new PhD students and to any type of collaboration/exchange with researchers interested in studying the immune responses of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. To further develop new agents effective a reactivation of latent HIV, we are seeking for a strategic investor.

MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Study of Vaccinia Virus Interactions with the Host and Reactivation of the Latent HIV-1, (Year ?).

https://www.biocev.eu/en/research/cellular-biology-and-virology.4/study-of-vaccinia-virus-interactions-with-the-host-and-reactivation-of-the-latent-hiv-1.52

On smallpox based HIV vaccines, as per the last newspaper cutout, co-authored by no less than Luc Montagnier:

Abstract

The sequences encoding the core proteins p55, p25, and p18 of the human immunodeficiency virus (HIV-1) have been inserted into the vaccinia virus genome. Infection of cultured cells with the live recombinant viruses led to the expression of proteins that were recognized by sera from HIV-seropositive individuals. Immunization of mice with the recombinant virus expressing the HIV p25 protein and the p55 precursor yielded high levels of antibodies directed against the corresponding HIV antigens. The data obtained are discussed in terms of the possible use of these live recombinant viruses in the development of a strategy toward an AIDS vaccine.

Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. HIV-1 core proteins expressed from recombinant vaccinia viruses. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi: 10.1089/aid.1989.5.147. PMID: 2713165.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2713165/

Glutathione peroxidase, HERV reactivation and Vaccinia, this time in a protective role:

…The reduced risk of melanoma due to BCG and vaccinia, as well as certain common causes of infectious disease, is shown to be associated with antigenic determinants exhibiting sequence homologies with the HERV-K-MEL-antigen. The latter is a product of a pseudo-gene that is closely associated with the env-gene of the endogenous human retrovirus K (HERV-K). A suppressive immune reaction appears to inhibit the expression of endogenous retroviral genes, such as the HERV-K env-gene, that could otherwise result in malignant transformation years or even decades later. The HERV-K env-protein has homologous amino acid sequences with the human nuclear factor Oxygen Responsive Element Binding Protein (OREBP) that controls the expression of glutathione peroxidase. The formation of this and other redox-enzymes, needed to maintain appropriate levels of the normal intracellular redox potential, seems to be suppressed by the OREBP-homologous protein. The present hypothesis is in accordance with the concept that immune dysregulation due to adverse environmental impacts is a risk factor not only for some autoimmune disorders, as previously described, but also for certain malignancies such as melanoma.

Bernd Krone et al, Protection against melanoma by vaccination with Bacille Calmette-Guerin (BCG) and/or vaccinia: an epidemiology-based hypothesis on the nature of a melanoma risk factor and its immunological control, Eur J Cancer, (2005 Jan).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15617995/

HIV is very sensitive to the REDOX potential of the cell (5). The key here is that Vaccinia encodes a functional glutaredoxin.

What are these? Short answer:

« Glutaredoxins (also known as Thioltransferase) are small redox enzymes of approximately one hundred amino-acid residues that use glutathione as a cofactor. In humans this oxidation repair enzyme is also known to participate in many cellular functions, including redox signaling and regulation of glucose metabolism.[4][5] Glutaredoxins are oxidized by substrates, and reduced non-enzymatically by glutathione.6« 

Abstract
Vaccinia virus (VV) was previously shown to encode a functional glutaredoxin, the product of the o2l gene, which is synthesized late in infection, after the onset of DNA replication. Here we report that an open reading frame in the VV genome designated as g4l encodes a protein that has sequence similarity to glutaredoxins and possesses thioltransferase and dehydroascorbate reductase activities. G4L protein in infected cells can be detected as early as 4 hr after infection and is constitutively expressed up to 24 hr postinfection. A protein homologous to G4L and retaining the predicted glutaredoxin active center is encoded by the recently sequenced Molluscum Contagiosum virus (MCV), whereas O2L protein is not conserved, suggesting that the glutaredoxin activity of G4L may be involved in replication of all poxviruses.

Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Vaccinia virus G4L gene encodes a second glutaredoxin. Virology. 1996 Dec 15;226(2):408-11.

doi: 10.1006/viro.1996.0669. PMID: 8955061.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8955061/

How might glutaredoxin reactivate latent viruses including HIV?

First point of note is the cancer signalling pathways being activated too:

Abstract
Although the use of antioxidants for the treatment of cancer and HIV/AIDS has been proposed for decades, new insights gained from redox research have suggested a very different scenario. These new data show that the major cellular antioxidant systems, the thioredoxin (Trx) and glutathione (GSH) systems, actually promote cancer growth and HIV infection, while suppressing an effective immune response. Mechanistically, these systems control both the redox- and NO-based pathways (nitroso-redox homeostasis), which subserve innate and cellular immune defenses. Dual inhibition of the Trx and GSH systems synergistically kills neoplastic cells in vitro and in mice and decreases resistance to anticancer therapy. Similarly, the population of HIV reservoir cells that constitutes the major barrier to a cure for AIDS is exquisitely redox sensitive and could be selectively targeted by Trx and GSH inhibitors. Trx and GSH inhibition may lead to a reprogramming of the immune response, tilting the balance between the immune system and cancer or HIV in favor of the former, allowing elimination of diseased cells. Thus, therapies based on silencing of the Trx and GSH pathways represent a promising approach for the cure of both cancer and AIDS and warrant further investigation.

Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Dual targeting of the thioredoxin and glutathione systems in cancer and HIV. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630–1639. (2016)

https://doi.org/10.1172/JCI85339

Which brings us back to monkeypox vaccination.

Jynneos is an MVA. Is it expressing glutaredoxin too in quantity?

Please correct me if I’m reading the genome paper incorrectly, but the answer appears to be yes.

It makes sense as in order to generate immunity then you need a high degree of homology, ie protein expression.

Vaccinia viruses re-engineered to express foreign genes are vectors for production of recombinant proteins, the most common being a vaccine delivery system for antigens.[3] Concerns about the safety of the vaccinia virus have been addressed by the development of vectors based on attenuated vaccinia viruses. One of them, the Modified vaccinia Ankara (MVA) virus, is a highly attenuated strain of vaccinia virus that was developed towards the end of the campaign for the eradication of smallpox by Anton Mayr in Munich, Germany. Produced between 1953 and 1968 by more than 500 serial passages of vaccinia virus (from a wild strain discovered by the Turkish vaccine institute of Ankara) in chicken cells[4] (chicken embryo fibroblast), MVA has lost about 10% of the vaccinia genome and with it the ability to replicate efficiently in primate cells. A recombinant MVA-based vector for vaccination with different fluorescent reporter genes was developed by Antonio Siccardi, which indicate the progress of genetic recombination with the transgene of an antigen (green, colorless, red).[5][6]

Compared to replicating vaccinia viruses, MVA provides similar or higher levels of recombinant gene expression even in non-permissive cells.


…MVA is an attenuated vaccinia virus and does not replicate in the human body as efficiently as vaccinia. However, whether or not MVA can induce the same side effects as vaccinia is not known at this time.

Modified vaccinia Ankara

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Modified_vaccinia_Ankara#:~:text=The%20Modified%20Vaccinia%20Ankara%20

G4L is the gene that expresses glutaredoxin, and it’s conserved in MVA and therefore in Jynneos, with potential public health implications.

Note the reference to cowpox:

Abstract

The complete genomic DNA sequence of the highly attenuated vaccinia strain modified vaccinia Ankara (MVA) was determined. The genome of MVA is 178 kb in length, significantly smaller than that of the vaccinia Copenhagen genome, which is 192 kb. The 193 open reading frames (ORFs) mapped in the MVA genome probably correspond to 177 genes, 25 of which are split and/or have suffered mutations resulting in truncated proteins. The left terminal genomic region of MVA contains four large deletions and one large insertion relative to the Copenhagen strain. In addition, many ORFs in this region are fragmented, leaving only eight genes structurally intact and therefore presumably functional. The inserted DNA codes for a cluster of genes that is also found in the vaccinia WR strain and in cowpox virus and includes a highly fragmented gene homologous to the cowpox virus host range gene, providing further evidence that a cowpox-like virus was the ancestor of vaccinia. Surprisingly, the central conserved region of the genome also contains some fragmented genes, including ORF F5L, encoding a major membrane protein, and ORFs F11L and O1L, encoding proteins of 39.7 and 77.6 kDa, respectively. The right terminal genomic region carries three large deletions: all classical poxviral immune evasion genes and all ankyrin-like genes located in this region are fragmented except for those encoding the interleukin-1β receptor and the 68-kDa ankyrin-like protein B18R. Thus, the attenuated phenotype of MVA is the result of numerous mutations, particularly affecting the host interactive proteins, including the ankyrin-like genes, but also involving some structural proteins.

Link to pdf:

G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain: Comparison with Other Orthopoxviruses, (1998),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042682298991231

Can COVID-19 infection be enhanced/reactivated in the same way? It appears not as, unlike HIV it thrives in an oxidative environment.(7)

Vaccinia immunisation may still promote it indirectly via other pathways such as T cell exhaustion or reactivation of other latent viruses, chipping away at your immune system. Repeated antigenic challenge is not to be encouraged.

Related to Vaccinia vaccination, an excellent paper on vaccine mediated antibody dependent enhancement of viral infections, especially why repeated attempts at creating effective HIV & coronavirus vaccines keep failing:

Abstract

Examples of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis have been documented for infections by members of different virus families. Several mechanisms, many of which still are poorly understood, are at the basis of this phenomenon. Vaccine development for lentivirus infections in general, and for HIV/AIDS in particular, has been little successful. Certain experimental lentiviral vaccines even proved to be counterproductive: they rendered vaccinated subjects more susceptible to infection rather than protecting them. For vaccine-induced enhanced susceptibility to infection with certain viruses like feline coronavirus, Dengue virus, and feline immunodeficiency virus, it has been shown that antibody-dependent enhancement (ADE) plays an important role. Other mechanisms may, either in the absence of or in combination with ADE, be involved. Consequently, vaccine-induced enhancement has been a major stumble block in the development of certain flavi-, corona-, paramyxo-, and lentivirus vaccines. Also recent failures in the development of a vaccine against HIV may at least in part be attributed to induction of enhanced susceptibility to infection. There may well be a delicate balance between the induction of protective immunity on the one hand and the induction of enhanced susceptibility on the other. The present paper reviews the currently known mechanisms of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis.

Keywords: Vaccine, Enhancement, ADE, HIV, Lentivirus

W. Huisman,1 B.E.E. Martina, G.F. Rimmelzwaan, R.A. Gruters, and A.D.M.E. Osterhaus,Vaccine-induced enhancement of viral infections, Vaccine. 2009 Jan 22; 27(4): 505–512., Published online 2008 Nov 18. doi: 10.1016/j.vaccine.2008.10.087

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7131326/#__ffn_sectitle

Whither monkeypox vaccination

This study from 2011 also calls out the major flaws in the Jynneos approach and recommends efficacy trials which may also benefit a population at genuine risk, imagine that!

New candidate vaccines have been evaluated in humans for immunogenicity, but since smallpox is eradicated, all efficacy testing has been conducted in animal models. Therefore, none of the products recently developed for the prevention and treatment of variola virus infection have been field-tested in humans, and have been manufactured and deposited into the biodefense stockpile based on animal studies and the presumption they will work in humans in the event of a crisis.

Although T cell-mediated immunity is known to be important for clearing poxvirus infections, protection is strongly associated with antibody responses. This is noted because the complexity and cost of a Phase I vaccine trial is significantly higher if cryopreservation of peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) is required. For Phase I testing of candidate poxvirus vaccines, serum collection for vaccine-induced antibody would be sufficient.

Its difficult, time consuming and expensive to do properly, and their target efficacy would be 80% to make it worthwhile, not 50%.

Its a lot quicker, easier and cheaper to just skip all this Phase II & III safety and efficacy nonsense and just sign it off for mass distribution:

Advancing from Phase I safety and immunogenicity testing to a Phase IIb or Phase III efficacy trial would add a new level of complexity not only because of the size, but because the study location would shift from Kinshasa to the Sankuru District in the central part of DRC where there are few health care facilities and few roads making access difficult and creating logistical challenges for managing the delivery of biological products and clinical samples. Performance of epidemiological studies required an elaborate system of vehicles, motorcycles, bicycles, and foot travel to access populations and transport diagnostic samples. Even with an annual incidence approaching 0.2% (in 5–19 year old children), a placebo-controlled efficacy trial with one year of follow-up would require about 20,000 subjects to detect a vaccine efficacy of 80% with 80% power. Fewer subjects would be needed if the follow-up period could be extended, provided immunity was expected to be maintained.

Benefits of vaccine clinical trials in areas endemic for MPX

Performing clinical trials in the DRC would have a number of benefits for distinct constituencies. First, the people of the Congo River Basin who are primarily affected by the disease would benefit. Clinical studies would call attention to the problem of MPX, improve general knowledge about MPX prevention, and potentially improve knowledge about other health conditions by strengthening the public health infrastructure. There would also be intangible benefits that accompany clinical trial activities including stimulation of local economies. Secondly, Congolese people in general and the Congolese health system would benefit because an interventional vaccine trial would require investment in the regulatory infrastructure. In addition, it would expand research capacity by increasing the number of active investigators and staff. With an efficacy of 85% at the current incidence rate, approximately one MPX infection could be prevented for every 600 persons vaccinated.

Vaccine developers of alternative smallpox vaccines and stakeholders in the area of biodefense and emerging infectious diseases would derive benefit from the opportunity to evaluate candidate smallpox vaccines in the field against a virulent orthopoxvirus. This benefit should not be underestimated because live vaccinia inoculation is the only smallpox vaccination that has proven efficacy in humans. All other candidate vaccines will be provisionally approved by applying The Animal Rule 20. Having human efficacy data would provide a significant selection advantage for one candidate vaccine over another.

In the end the authors ask themselves if its all worthwhile? Why not just administer antivirals to the rare cases that crop up and educate at risk groups about safe practices? Why not indeed.

Its the Leicester Method of incidence response & focused quarantine updated for the 21st Century:

Alternatives to smallpox vaccination

Given the risks of adverse events, cost and logistical considerations associated with smallpox vaccination, alternate strategies should also be considered for control of human MPX. An alternative to vaccination could be treatment of incident cases with antiviral therapy to reduce the morbidity and transmission, and by providing access to antibiotics for treatment of secondary bacterial infections. Clinical diagnosis of MPX is relatively easy, thus effective antivirals and supportive clinical care may be more practical options than vaccination at this time.

Reducing the frequency of human MPX infection could be also be accomplished through health education on handling potential animal reservoir species to prevent animal-to-human transmission and by quarantine or contact isolation to prevent human-to-human spread. Defining the factors underlying increased incidence, and their impact on primary versus secondary transmission, is thus a crucial direction for on-going research. Additionally, a better understanding of the mortality and complications associated with monkeypox infection should be assessed. Continued active disease surveillance in endemic regions coupled with household and contact studies with long term follow up would address these important questions.

Further studies are also needed to identify intermediate hosts and animal reservoirs. Smallpox vaccination will not modify the reservoir nor the amount of MPX virus found in amplification species. Introduction of MPX into human populations is dependent upon contact with infected species, thus vaccination alone will not be effective in controlling the geographic spread of MPX as it is determined by the movement of animals and driven largely by the loss of natural habitat.

Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60–D64.

https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2011.09.004

And thank you for reading.

References:

1: WHO, Monkeypox – United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, (May 18th 2022),

https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON383

2: Norris, J, Misfolded spike protein could explain complicated COVID-19 symptoms, (May 26, 2022),

https://www.medicalnewstoday.com/articles/misfolded-spike-protein-could-explain-complicated-covid-19-symptoms

3: Lymphadenopathy at the crossroad between immunodeficiency and autoinflammation: An intriguing challenge, (2021),

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8374228/#__ffn_sectitle

4: Side Effects in Clinical Trials

https://dipg.org/dipg-research/clinical-trials-for-dipg/side-effects/

5: Bhaskar A, Munshi M, Khan SZ, Fatima S, Arya R, Jameel S, Singh A. Measuring glutathione redox potential of HIV-1-infected macrophages. J Biol Chem. 2015 Jan 9;290(2):1020-38. doi: 10.1074/jbc.M114.588913. Epub 2014 Nov 18. PMID: 25406321; PMCID: PMC4294471.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25406321/

6: Glutaredoxin

https://en.wikipedia.org/wiki/Glutaredoxin#:~:text=Glutaredoxins%20(also%20known%20as%20Thioltransferase,and%20regulation%20of%20glucose%20metabolism.

7: Jaswinder Singha, Rajinder S.Dhindsab, Vikram Misrac, Baljit Singhd, SARS-CoV2 infectivity is potentially modulated by host redox status, (2020),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020304839

La futilité de la « préparation à la pandémie » – par John Paul.

Voici un article d’un gars très intéressant, que je suis depuis longtemps sur Substack mais que je n’avais pas encore traduit en raison de son anglais très moyen. Il est assez fortiche pour analyser les données brutes et en tirer des prévisions – je pense que c’est d’ailleurs son métier. Vu l’actualité de cet article, je fais l’effort et de mon mieux pour rendre ça lisible en français. C’est la suite d’un article paru en janvier, très utile aussi, que je peux traduire si je vois que ça interpelle.

Le gars a aussi fait d’autres trouvailles très instructives sur la variole et toute sa petite famille. Comme il se passe plein de choses très amusantes, je fourre ça avec le reste dans des « Nouvelles en vrac » dès que possible – si on est pas tous morts avant, bien entendu.

Source.


La futilité de la « préparation à la pandémie ».

L’avenir de la guerre – Deuxième partie

John Paul

28 mai

Ceci est une suite non officielle de cet article, sur le (véritable) avenir de la guerre.

Se préparer aux pandémies, quelles que soient les avancées technologiques, est une entreprise futile, une des nombreuses façons de faire du « grant grabbing« , c’est-à-dire obtenir des fonds pour sa « recherche ». L’un des meilleurs exemples de la futilité de ce raisonnement est celui du DARPA lui-même. En 2017, ils prétendaient pouvoir arrêter une pandémie (réelle, dévastatrice, à forte mortalité et à propagation rapide) en deux mois.

Aujourd’hui, ils veulent mettre à profit l’IA pour la « prévention, le traitement » et tout autre objectif inepte qui leur vient à l’esprit. Je me propose de vous démontrer à quel point cet objectif est futile, et je vous inviterai à vous demander à quel point cet objectif est réellement réalisable, sans compter la mise en place d’un État de surveillance mondial qui ferait honte au système du Parti Communiste Chinois.

(Je vous conseille de lire l’intégralité de l’article ci-dessous)

L’IA a proposé 40 000 nouvelles armes chimiques possibles en seulement six heures.

« Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. »

Un instructeur de l’Ecole de Chimie de Fort Leonard Wood, désigné comme manipulateur d’agents, transporte l’agent neurotoxique VX pour contaminer une jeep dans l’une des huit chambres utilisées pour la formation à la défense chimique, le 18 avril 2003 à Fort Leonard Wood, Missouri.

Il a fallu moins de six heures à l’IA spécialisée dans la recherche de médicaments pour inventer 40.000 molécules potentiellement mortelles. Lors d’une conférence sur le contrôle des armes biologiques, les chercheurs ont utilisé l’IA, normalement utilisée pour rechercher des médicaments utiles, en mode « mauvais acteur » pour montrer à quel point il est facile d’en abuser.

Tout ce que les chercheurs ont eu à faire, c’est de modifier leur méthodologie pour rechercher, plutôt que d’éliminer, la toxicité. L’IA a trouvé des dizaines de milliers de nouvelles substances, dont certaines similaires au VX, l’agent neurotoxique le plus puissant jamais mis au point. Ebranlés, ils ont publié leurs conclusions ce mois-ci dans la revue Nature Machine Intelligence.

Deuxièmement, nous avons examiné un grand nombre de structures de ces molécules nouvellement générées. Et beaucoup d’entre elles ressemblaient au VX et à d’autres agents de guerre, et nous en avons même trouvé certaines, générées à partir du modèle, qui étaient de réels agents de guerre chimique. Ceux-ci ont été générés à partir du modèle qui n’avait jamais rencontré ces agents de guerre chimique. Nous savions donc que nous travaillions dans le bon contexte et que le modèle générait des molécules qui avaient un sens, car certaines d’entre elles avaient déjà été fabriquées auparavant.

Pour moi, le problème était de voir à quel point c’était facile à faire. Beaucoup de choses que nous avons utilisées sont disponibles gratuitement. On peut télécharger un ensemble de données sur la toxicité n’importe où. Une personne qui sait coder en Python et qui a des capacités d’apprentissage automatique peut, en un week-end de travail, construire un modèle génératif basé sur des données de toxicité. C’est ce qui nous a fait réfléchir à l’idée de publier cet article; les obstacles à ce type d’utilisation abusive étaient si faibles.

Comme je l’ai expliqué dans le premier article, avec un peu de savoir-faire, il n’est pas difficile de concevoir de nouveaux produits, qu’il s’agisse de toxines comme celle-ci ou d’acides aminés/peptides qui feront littéralement griller votre système nerveux. Et voici quelque chose que j’avais en tête et que j’avais écrit dans mon carnet de notes en cuir en 2020. C’est un article étonnant que j’ai référencé dans Future of War I.

Les armes biologiques du corps humain

Dans le passé, les experts ont ignoré le risque que les biorégulateurs peptidiques puissent être « militarisés », car ces composés ne sont pas volatils et se dégradent rapidement lorsqu’ils sont dispersés dans l’atmosphère, ce qui les rend peu adaptés à une diffusion sur de vastes zones. Mais les progrès récents de la technologie d’administration des médicaments ont modifié cette évaluation. Plus particulièrement, la mise au point de systèmes d’administration de l’insuline (une hormone composée de 51 unités d’acides aminés) sous forme d’aérosol inhalable a rendu possible la diffusion de biorégulateurs peptidiques de cette même manière. Pour empêcher l’utilisation abusive de ces produits chimiques naturels du corps à des fins hostiles, les scientifiques et les analystes de la sécurité nationale doivent comprendre la nature de la menace et élaborer des réponses politiques appropriées.

Dans quelle mesure serait-il « difficile » d’utiliser l’apprentissage automatique et des ensembles de données publiques pour générer de nouvelles toxines? Apparemment, pas trop difficile si on a assez d’imagination et de curiosité. Tellement peu difficile que j’ai demandé à un ami codeur de m’écrire un petit programme, en lui donnant des instructions précises et quelques « trucs mathématiques » spécifiques à y ajouter.

Le résultat a été une séquence peptidique spécifique (mon objectif principal étant les protéines et les acides aminés), qu’il est possible de commander dans le commerce auprès de n’importe quelle grande entreprise de production de peptides sur mesure. C’est ce que j’ai fait, il y a plusieurs semaines, et aucun signal d’alarme majeur ou autre n’a été émis, du simple fait que la séquence n’existe dans aucun ensemble de données ni nulle part ailleurs.

La séquence et ses implications ont été vérifiées par un ami proche, un biochimiste très doué.

Nous avons détruit le programme, annulé la commande, et j’ai détruit toutes les informations.

L’article en question.

Double usage de la découverte de médicaments alimentée par l’intelligence artificielle

Combien de personnes disposent-elles du savoir-faire nécessaire pour déterminer les poches chimiques qui peuvent être remplies par des molécules susceptibles d’être de plusieurs ordres de grandeur plus toxique que le VX? Nous n’avons actuellement pas la réponse à ces questions.
Ceci augmente grandement la taille du public qui devrait porter son attention sur ces questions.

Entre l’application de l’apprentissage automatique et de l’IA à la création d’une nouvelle toxine et la fabrication effective d’une toxine, il y a un écart énorme, mais cet écart se réduit de jour en jour, et l’un des facteurs est la difficulté de la créer, de la synthétiser et de la tester. Je dirais que c’est aussi difficile que de créer la variole dans son petit laboratoire pour 100.000 dollars.

Je sais ce qui vient de vous traverser la tête: « Hein, QUOI? ».

Une entreprise de biotechnologie a intentionnellement créé un virus semblable à celui de la variole. Personne ne semble s’en soucier

En 2017, le virologue David Evans a fait la une des journaux lorsqu’il a utilisé la biologie synthétique pour recréer le virus éteint de la variole du cheval, étroitement lié au virus qui cause la variole, une maladie éradiquée en 1980. Evans et son équipe, qui ont commandé le matériel génétique dont ils avaient besoin par courrier, auraient dépensé 100 000 dollars pour cette recherche, une somme qui semble minime au regard des implications capitales de leurs travaux. « Aucun doute. Si c’est possible avec la variole du cheval, c’est possible avec la variole », a déclaré le virologue allemand Gerd Sutter au magazine Science dans un compte rendu de presse sur les travaux d’Evans. Un certain nombre d’experts en biosécurité et même le comité éditorial du Washington Post se sont joints à lui pour exprimer leurs inquiétudes. Compte tenu de la réaction qu’a rencontrée Evans, on pourrait s’attendre à ce que la nouvelle de la synthèse d’un autre microbe apparenté au virus de la variole déclenche des signaux d’alarme similaires.

Pourtant, lorsque la société américaine de biotechnologie qui a financé les travaux d’Evans sur la variole, Tonix Pharmaceuticals, a annoncé en janvier dernier qu’elle avait réussi à synthétiser un tel microbe, la vaccine, personne n’a semblé en prendre note.

Depuis que l’Organisation Mondiale de la Santé a éradiqué de la nature le virus variolique responsable de la variole, les seuls échantillons connus de ce virus sont conservés dans deux installations de haute sécurité aux États-Unis et en Russie. Mais les progrès de la biologie synthétique, un domaine qui comprend l’art et la science de la construction de génomes viraux, ont rendu possible la création du virus de la variole en laboratoire. Bien que rien ne prouve que quelqu’un l’ait encore fait, comme l’indiquent les travaux de Tonix, les chercheurs s’en approchent de très près. Avant d’être éradiquée, la variole a été responsable de 300 millions de décès au XXe siècle. La réintroduction de cette maladie – par négligence ou par malveillance – serait une catastrophe sanitaire mondiale. Comme je l’ai écrit dans International Security il y a 10 ans, la biosécurité mondiale peut être mise en danger non seulement par la guerre biologique et le bioterrorisme, mais aussi par des accidents de laboratoire avec des agents pathogènes dangereux.

Tonix a annoncé le nouveau virus synthétique de la vaccine sans faire de bruit, en dissimulant la nouvelle dans un communiqué de presse relatif à un poster que la société a présenté à la conférence annuelle sur la science et la politique de biodéfense de l’American Society for Microbiology. L’affiche mettait l’accent sur les progrès réalisés par la société dans les tests du virus synthétique de la variole d’Evans en vue de son utilisation comme vaccin contre la variole, que Tonix appelle TNX-801. Les vaccins actuels contre la variole sont basés sur le virus vivant de la vaccine, cultivé à l’aide d’une technologie de culture cellulaire. L’affiche de Tonix fait également référence à un autre candidat vaccin contre la variole que la société teste, basé sur une version synthétique du virus de la vaccine que Tonix appelle TNX-1200. Bien que les virus de la vaccine et de la variole du cheval ne constituent pas en eux-mêmes des menaces sérieuses pour la santé humaine, il y a plusieurs raisons pour lesquelles ce nouveau progrès de la biologie synthétique est problématique.

Tonix a apparemment ignoré les préoccupations soulevées par de nombreux experts en biosécurité, dont moi-même. Étant donné l’étroite similitude génétique entre les orthopoxvirus comme le virus de la variole du cheval, le virus de la variole et le virus de la vaccine, les techniques de laboratoire qui peuvent être utilisées pour créer l’un d’entre eux peuvent également être utilisées pour produire d’autres virus – le plus inquiétant étant le virus responsable de la variole. C’est d’ailleurs ce qu’a déclaré Evans lui-même, soulignant une fois que ses recherches « démontraient clairement que cela pouvait également être fait avec le virus de la variole ». Le laboratoire d’Evans a utilisé la même technique pour produire le virus synthétique de la vaccine pour Tonix que pour synthétiser le virus de la variole.

Contrairement à d’autres exemples de recherche à double usage sujette à controverse, les risques posés par la synthèse des orthopoxvirus ne sont pas compensés par un avantage significatif.

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les exercices de simulation se concentrent autant sur un petit sous-ensemble d’agents pathogènes pouvant être utilisés comme armes, l’une d’elles étant la négligence et le fait que les scientifiques soviétiques étaient surchargés de travail et mal payés. L’autre raison est la facilité avec laquelle un acteur malveillant pourrait réellement le faire avec peu d’investissement et un petit groupe d’experts. La variole en fait partie.

Je sais ce qui vous passe par la tête en ce moment « Hein, QUOI? Ça ne peut pas être aussi facile. Peut-être que les virus de la variole sont super-simples et plus faciles à faire ». Le lecteur est-il d’accord avec moi pour dire que le SARS-CoV-2 est un agent pathogène très complexe? On pourrait écrire de nombreuses thèses sur le fait qu’il est l’un des virus les plus complexes à ce jour.

Un laboratoire suisse a fabriqué le premier clone synthétique du SARS-CoV-2

Le premier cas de coronavirus en Suisse a été détecté il y a une semaine, mais le virus était dans le pays bien avant, sous la forme d’un échantillon de laboratoire.

Ce contenu a été publié le 3 mars 2020 – 15:00

Trois semaines avant que le premier cas ne soit identifié sur le sol suisse, des scientifiques d’un laboratoire de haute sécurité ont réussi à fabriquer un clone synthétique du coronavirus. Les chercheurs tentent maintenant de déterminer l’importance de ses différents gènes. Leur réussite attire l’attention du monde entier : des laboratoires et des entreprises demandent à travailler sur ce clone.

J’ai commenté dans quelques tweets ici et là qu’Omicron a été conçu à l’aide de l’IA, de modèles mathématiques et d’une sorte de pari d’une équipe de recherche interdisciplinaire pour « mettre fin » à la pandémie. Un virus dont la réponse immunitaire est littéralement opposée d’un point de vue inflammatoire/moléculaire, qui confère une large immunité dans les organes précis que le SARS-CoV-2 attaque le plus (voies respiratoires inférieures, fond des poumons), et dont chacune des séquences les plus inflammatoires a été atténuée (la fameuse séquence SEB étant la plus perceptible, même pour les profanes).

Il est tellement différent qu’il est impossible de fabriquer un vaccin (j’en ai déjà parlé). En d’autres termes, le double usage de la technologie n’est pas à des décennies dans le futur, il est déjà là, et prévenir les « pandémies synthétiques » est tout aussi insensé que d’utiliser la technologie ARNm pour une immunité à long terme contre un virus respiratoire hautement transmissible.

L’ensemble de cet article est conforme à l’orthodoxie de la biologie et de la chimie, ce qui signifie que tout ce qui figure ici a été réalisé à partir de ce que la « science » considère actuellement comme l’avant-garde de la manipulation moléculaire et de l’édition de gènes. Que se passe-t-il lorsqu’une équipe interdisciplinaire aux tendances mercenaires est engagée pour développer de nouvelles armes biologiques et décide d’aller aussi loin que possible, au-delà de l’orthodoxie scientifique actuelle? Cela existe-t-il vraiment?

Des chimistes synthétisent des millions de protéines introuvables dans la nature.

Une nouvelle technologie pourrait conduire au développement de nouveaux médicaments « xénoprotéiques » contre les maladies infectieuses.

Des chimistes du MIT ont mis au point un moyen de synthétiser et de cribler rapidement des millions de nouvelles protéines qui pourraient être utilisées comme médicaments contre le virus Ebola et d’autres virus.

Toutes les protéines produites par les cellules vivantes sont fabriquées à partir des 20 acides aminés programmés par le code génétique. L’équipe du MIT a trouvé un moyen d’assembler des protéines à partir d’acides aminés non utilisés dans la nature, dont beaucoup sont des images miroir d’acides aminés naturels.

Ces protéines, que les chercheurs appellent « xénoprotéines », présentent de nombreux avantages par rapport aux protéines naturelles. Elles sont plus stables, ce qui signifie que, contrairement à la plupart des médicaments protéiques, elles ne nécessitent pas de réfrigération et pourraient ne pas provoquer de réaction immunitaire.

« Aucune autre plateforme technologique ne peut être utilisée pour créer ces xénoprotéines, car on n’a pas encore réussi à utiliser des ensembles d’acides aminés complètement non naturels dans toute la forme de la molécule », explique Brad Pentelute, professeur associé de chimie au MIT et auteur principal de l’article, qui sera publié dans les Proceedings of the National Academy of Sciences la semaine du 21 mai.

Je souhaiterais que le lecteur visionne au moins la vidéo du Dr James Giordano, lise cet article et celui-ci, et me réponde.

Si on fréquente l’université, on a encore plus accès à une myriade d’autres outils, entièrement à sa disposition et personne ne se doutera de ce que l’on y fait. Construire un laboratoire n’est pas très coûteux, tout se commande en ligne, et en faisant de bonnes affaires, on peut construire un laboratoire pour 50.000 dollars.

Comment pourrait-on se préparer à quelque chose qu’un jeune adulte avec un kit CRISPR, une connexion internet et de la curiosité est capable de créer?

Pour les plus anxieux de mes lecteurs, ce n’est pas si facile à faire, cela n’arrivera pas du jour au lendemain, et 99% du temps il est facile de repérer quand quelqu’un a « cuisiné » quelque chose, mais moins facile de repérer où/quand cela a été diffusé. Ce billet vise davantage la prise de conscience que la peur ou le pessimisme.

Le public doit prendre conscience de la facilité avec laquelle il est possible de commettre des actes qui peuvent changer radicalement le destin des nations, voire du monde. On devrait légiférer sur ce sujet dès maintenant, et non sur le changement climatique, entre autres avis plus tranchés de ma part, avec lesquels je ne vais pas ennuyer le lecteur.

(Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi j’ai quitté mon ancien travail, cela m’a rendu la vie beaucoup plus facile, la lecture de Future of War et du premier Beyond Mathematical Odds vous donnera la réponse).

J’espère que vous passerez tous un bon dimanche! Peut-être un petit billet sur les variants d’Omicron et l’immunité (en gros, il faut être réinfecté par les nouveaux pour être protégé contre les prochains).


Texte original

The futility of « pandemic preparedness »

The Future of War Part II

John Paul

May 28

This is an unofficial continuation of this piece, about the (true) Future of War.

Preparing for pandemics, regardless of technological advances is a futile endeavor, another of the many ways you can execute “grant grabbing”, meaning funding for your “research”. One of the biggest examples of how futile this line of thinking is would be DARPA itself. They argued they could stop a (real, devasting, high mortality, fast spreading) pandemic within 2 months in 2017.

Now they want to leverage AI for the “prevention, treatment” and whatever other inane goal they have in mind. I am about to show you how futile this goal is, and I will ask you how feasible, besides a global surveillance state that would put the Chinese Communist Party system to shame, the goal truly is.

(I advise you to read the entire article below btw)

AI suggested 40,000 new possible chemical weapons in just six hours

‘For me, the concern was just how easy it was to do’

An instructor at the Fort Leonard Wood Chemical School, who is designated as an agent handler, carries the VX nerve agent to contaminate a jeep in one of the eight chambers used for training chemical defense on April 18, 2003 at Fort Leonard Wood, Missouri.

It took less than six hours for drug-developing AI to invent 40,000 potentially lethal molecules. Researchers put AI normally used to search for helpful drugs into a kind of “bad actor” mode to show how easily it could be abused at a biological arms control conference.

All the researchers had to do was tweak their methodology to seek out, rather than weed out toxicity. The AI came up with tens of thousands of new substances, some of which are similar to VX, the most potent nerve agent ever developed. Shaken, they published their findings this month in the journal Nature Machine Intelligence.

Second, we actually looked at a lot of the structures of these newly generated molecules. And a lot of them did look like VX and other warfare agents, and we even found some that were generated from the model that were actual chemical warfare agents. These were generated from the model having never seen these chemical warfare agents. So we knew we were sort of in the right space here and that it was generating molecules that made sense because some of them had already been made before.

For me, the concern was just how easy it was to do. A lot of the things we used are out there for free. You can go and download a toxicity dataset from anywhere. If you have somebody who knows how to code in Python and has some machine learning capabilities, then in probably a good weekend of work, they could build something like this generative model driven by toxic datasets. So that was the thing that got us really thinking about putting this paper out there; it was such a low barrier of entry for this type of misuse.

As I covered in the first post, designing novel anything, from toxins like this one to aminoacid/peptides that will literally fry your own nervous system is not hard, if you have a little know-how. And here we have something that I had in my own mind and written in my leather notebook in 2020. Here is an amazing article I referenced in Future of War I.

The Body’s Own Bioweapons
In the past, experts discounted the risk that peptide bioregulators might be “weaponized” because such compounds are non-volatile and degrade rapidly when dispersed in the atmosphere, making them poorly suited for dissemination over large areas. But recent advances in drug delivery technology have changed this assessment. In particular, the development of systems for the delivery of insulin (a hormone made up of 51 amino acid units) as an inhalable aerosol has made it feasible to disseminate peptide bioregulators in the same manner. To prevent the misuse of these natural body chemicals for hostile purposes, scientists and national security analysts must understand the nature of the threat and develop appropriate policy responses.

How “hard” it would be to use machine learning and public datasets to generate novel toxins ? Apparently not that hard if you have the imagination and curiosity for it. So not that hard that I asked I friend who codes to write a little program for me, and gave him precise instructions and a couple of specific “math things” to add “it”.

The result was a specific peptide sequence (my main focus was always proteins and amino acids), that you can commercially order at any of the big custom peptides producing companies. Which I did, weeks ago, and no major red flags or anything else was raised, by the simple fact that the sequence doesn’t exist in any dataset or anywhere else.

The sequence and its implications were checked by a close friend, a very gift biochemist.

We destroyed the program, canceled the order, and I destroyed all the information.

The paper in question.

Dual use of artificial-intelligence-powered drug discovery

Between applying machine learning and AI to create a new toxin, and actually making one there is a huge gap, but the gap is getting smaller by the day, and one argument is how hard it would be to create, synthesize and test it. I would argue as hard as creating smallpox in your small lab for 100.000 dollars.

I know what went to your head “Wait, WHAT ?”

A biotech firm made a smallpox-like virus on purpose. Nobody seems to care

In 2017, the virologist David Evans made headlines when he used synthetic biology to recreate the extinct horsepox virus, which is closely related to the virus that causes smallpox, a disease eradicated in 1980. Evans and his team, ordering the genetic material they needed through the mail, reportedly spent $100,000 on the research, an amount that seems small given the momentous implications of their work. “No question. If it’s possible with horsepox, it’s possible with smallpox,” German virologist Gerd Sutter told Science magazine in a press account of Evans’s work. A number of biosecurity experts and even The Washington Post editorial board joined him in voicing their concerns. Given the reaction Evans met, one might expect the news that yet another microbe related to the smallpox virus had been synthesized to set off similar alarm bells.

Yet when the American biotech company that funded Evans’s horsepox work, Tonix Pharmaceuticals, announced this January that it had successfully synthesized just such a microbe, vaccinia, no one seemed to take note.

Since the World Health Organization eradicated the smallpox-causing variola virus from nature, the only known samples of it have been held in two high-security facilities in the United States and Russia. But developments in synthetic biology, a field which includes the art and science of constructing viral genomes, have made it possible to create the smallpox virus in a lab. While there’s no evidence that anyone has done that yet, as Tonix’s work indicates, researchers are inching incredibly close to that line. Before it was eradicated, smallpox was responsible for 300 million deaths in the 20th century. The re-introduction of the disease—through negligence or malice—would be a global health disaster. As I wrote in International Security 10 years ago, global biosecurity can be endangered not just by biological warfare and bioterrorism, but also by laboratory accidents with dangerous pathogens.

Tonix announced the new synthetic vaccinia virus quietly, burying the news in a press release for a poster that the firm presented at the American Society for Microbiology’s annual biodefense science and policy conference. The poster focused on the progress the company was making in testing Evans’s synthetic horsepox virus for use as a vaccine against smallpox, which Tonix calls TNX-801. Current smallpox vaccines are based on live vaccinia virus that is grown using cell culture technology. Tonix’s poster also references another smallpox vaccine candidate the company is testing, one based on a synthetic version of the vaccinia virus that Tonix is calling TNX-1200.  While the vaccinia and horsepox viruses are not themselves serious threats to human health, there are several reasons why this new development in synthetic biology is problematic.

Tonix has apparently ignored the concerns that many biosecurity experts, including myself, have raised. Given the close genetic similarity among orthopoxviruses like the horsepox, variola, and vaccinia viruses, the laboratory techniques that can be used to create one can also be used to produce others–most worryingly, the smallpox-causing variola virus. Indeed, Evans has said as much himself, once pointing out that his research “was a stark demonstration that this could also be done with variola virus.” Evans’s lab used the same technique to produce the synthetic vaccinia virus for Tonix as it did to synthesize the horsepox virus.

Unlike in other cases of controversial dual-use research, the risks posed by the synthesis of orthopoxviruses are not offset by any significant benefit.

There are a few reasons tablet top exercises focus so much on a small subset of weaponizable pathogens, one was the carelessness and how overworked and low-paid soviet scientists were. The other is how easy it would be for a malicious actor to actually do it with little investment, and a small group of experts. Smallpox is one of them.

I know what it is going to your head right now “Wait, WHAT ? It can’t be that easy. Maybe Poxviruses are super-simple and easier to do ». Would the reader agree with my assertion that SARS-CoV-2 is a very complex pathogen ? One could write many theses on how it is among the most complex viruses to date.

A Swiss lab made the first synthetic clone of SARS-CoV-2

The first case of coronavirus in Switzerland was detected a week ago but the virus was in the country much before that, as a laboratory sample.

This content was published on March 3, 2020 – 15:00March 3, 2020 – 15:00

Three weeks before the first case was identified on Swiss soil scientists at a high security lab managed to make a synthetic clone of the coronavirus. The researchers are now trying to determine the importance of its individual genes. Their accomplishment is getting worldwide attention: labs and companies are requesting the clone to work on.

I have commented in a few tweets here and there that Omicron was engineered using AI, mathematical models, and somewhat of a bet from an interdisciplinary research team to “end” the pandemic. A virus with the literal opposite immune response from an inflammatory/molecular perspective, that gives broad immunity in the exact organs SARS-CoV-2 attacks the most (lower respiratory tract, deep in the lungs), and it had every single one of the most inflammatory sequences attenuated (the famous SEB one being the most perceptible even to laypeople).

It is so different that you can’t make a vaccine (I covered this before). That is to say, the dual use of technology isn’t decades ahead, it is already here, and preventing “synthetic pandemics” is as much a fool’s errand as using mRNA technology for long-term immunity against a highly transmissible respiratory virus.

This entire post is based on biology and chemistry orthodoxy, meaning everything here has been done from what “science” currently believes is the cutting edge of molecular manipulation and gene editing. What happens when an interdisciplinary team with mercenary tendencies is hired to develop novel bioweapons and decides to go as far as possible, beyond current scientific orthodoxy ? Is that even a thing ?

Chemists synthesize millions of proteins not found in nature

New technology could lead to development of novel “xenoprotein” drugs against infectious diseases.

MIT chemists have devised a way to rapidly synthesize and screen millions of novel proteins that could be used as drugs against Ebola and other viruses.

All proteins produced by living cells are made from the 20 amino acids that are programmed by the genetic code. The MIT team came up with a way to assemble proteins from amino acids not used in nature, including many that are mirror images of natural amino acids.

These proteins, which the researchers call “xenoproteins,” offer many advantages over naturally occurring proteins. They are more stable, meaning that unlike most protein drugs, they don’t require refrigeration, and may not provoke an immune response.

“There is no other technological platform that can be used to create these xenoproteins because people haven’t worked through the ability to use completely nonnatural sets of amino acids throughout the entire shape of the molecule,” says Brad Pentelute, an MIT associate professor of chemistry and the senior author of the paper, which appears in the Proceedings of the National Academy of Sciences the week of May 21.

I want the reader to watch the video by Dr. James Giordano at the very least, read that piece and this one, and answer me.

If you attend university, you get even more access to a myriad of other tools, completely at your disposal and nobody is the wiser about whatever you are doing it. Building a lab is not that expensive, you can order everything online, on a stretch, and with good deals, you can build a lab for 50.000 dollars.

How can you prepare for something you a young adult with a CRISPR kit, an internet connection and curiosity can create ?

For the more anxious among my readers, this isn’t that easy to do, this won’t happen overnight, and 99% of the time it is easy to track whenever someone “cooked up” something, but not that easy to track where/when it was released. This post is more about awareness than fear, or doom and gloom.

The population should be aware of how easy it is to do things that can vastly change the fate of nations, sometimes the world. There should be legislation written about this right now, and not about climate change, among other more harsh opinions from me, that I won’t bore the reader with.

(If you ever asked yourself why I left my former job, that made life much easier, reading both Future of War and the first Beyond Mathematical Odds will give you the answer).

I hope you all have a nice Sunday ! Perhaps a small post about Omicron variants and immunity (basically you need to get reinfected with the new ones to be protected against the coming ones).

Patient.

Je passe annuellement une visite médicale « obligatoire » dans mon secteur d’activité. Je m’y soumets de bonne grâce, les tests me permettant de suivre l’état de ma vue et de mon ouïe, excellentes, merci. Vu que je ne vais quasiment plus jamais consulter de médecin, ça me tient aussi lieu de check-up annuel, pas totalement fiable vu le niveau de vigilance assez inégal de la médecine du travail: juste pour l’anecdote, un de mes anciens collègues a été jugé apte quelques semaines avant de succomber à un cancer généralisé. Je trouve aussi assez divertissant de m’entendre donner des conseils de santé par un toubib dans la trentaine qui finirait au sanatorium s’il se tapait une seule semaine de mon boulot, moi qui approche la soixantaine. Soit.

Je passe donc cette visite, mais je refuse – évidemment – la vaccination anti-tétanique que le médecin tente de me faire passer pour « obligatoire ». Je lui signale juste qu’il n’existe en Belgique aucune vaccination « obligatoire », la seule figurant dans les textes de loi (l’anti-poliomyélitique) étant de facto annulée par une jurisprudence de 2013.

Oups, tension. Suis-je un anti-vaccin? Non, pas du tout, c’est juste que quand on m’en propose un, je refuse (poliment). Je ne suis pas certain qu’il saisisse la nuance, que j’expliquerai plus loin.

Toujours sur le même mode de me prendre pour le dernier des cons (il est médecin), il me demande si je sais ce qu’est le tétanos. Oui, je sais très bien ce qu’est le tétanos. J’ai beaucoup lu sur le sujet et je connais même quelqu’un qui a dû vivre la majeure partie de sa vie avec des séquelles très lourdes, après l’avoir contracté en pleine fleur de l’âge – un cas exceptionnel vu que l’âge moyen des personnes qui en souffrent est de 83 (quatre-vingt-trois) ans. Je ne prends toutefois pas la peine de démonter l’arnaque de ce vaccin en particulier, ce qui prendrait moins de 30 secondes chrono si le type en face prenait la peine d’écouter ce que je lui dis au lieu d’aboyer sur un sujet qu’il maîtrise mal.

Un peu agacé de se voir tenir tête par un con ouvrier, il tente de me faire avaler que si, si, la vaccination anti-hépatite B est obligatoire pour les métiers du secteur hospitalier. Non, elle est requise – ce qui est d’ailleurs totalement illégal et tient du chantage à l’emploi – et j’ajoute que je vois ça comme de la justice poétique, ce vaccin étant un des plus dangereux, en plus d’être totalement inefficace. Il ne comprend pas vite mais commence à sentir que sa stratégie est un peu faiblarde et tente de jouer la corde sensible avec le tableau tragique de malheureuses infirmières durement touchées par l’hépatite, etc. Je connais aussi le dossier « hépatite ». Comme je ne manque pas de le signaler dans ce genre de discussion, la différence entre lui et moi, c’est que je lis la littérature médicale.

Ses arguments éculés tombant à plat, on arrive enfin au coeur du sujet. Je souligne que ma stratégie de pousser « l’ennemi » dans ses derniers retranchements a le don de l’énerver (j’ai un certain talent pour ça, comme vous l’aurez compris) et, après lui avoir fait vider son stock de pétards mouillés, de lui faire sortir ses cartouches à éléphants. Et nous rentrons alors dans le domaine de la Santé Publique… Je lui fais remarquer d’emblée que « Santé Publique » est un oxymore, la santé étant par essence individuelle – ce qu’un médecin aurait théoriquement eu l’occasion de vérifier sur le terrain. Et là, sans cligner des yeux, il m’explique qu’en fait la vaccination est un prérequis pour l’accès au système de Santé Publique. Ah, voilà. C’était donc ça. Un contrat. Ça n’a donc strictement rien à voir avec la notion de santé, ce que n’importe qui d’un peu attentif aura eu le loisir d’observer depuis deux ans et demi.

Ce type n’est pourtant pas un mauvais médecin. En fait, c’est un excellent médecin, comme j’en ai eu la preuve dans la suite de notre conversation, où il m’a donné des informations très utiles au sujet d’un souci que je trimballe depuis un certain temps. J’ai les bras qui s’endorment, voyez-vous. Evidemment, mon métier n’aide pas: j’ai toute la journée des outils qui vibrent entre les mains, quand je ne suis pas en train de taper au maillet. J’ai fini par m’y faire mais c’est quand même très gênant, surtout que je me déplace en scooter. J’ai passé tous les tests possibles, sur recommandation de mon épouse, qui a eu de gros problèmes de tendons dans les épaules et dans les coudes et a dû subir deux opérations. J’ai donc passé scanner (avec liquide de contraste, très agréable), electromyogramme, visite chez le physiothérapeute, toute l’artillerie: zéro résultat. Selon moi, j’ai été extrêmement patient et tenace vis-à-vis d’un système qui n’a aucune réponse à une question simple. Je lui explique mon parcours du combattant, et je le sens surpris de voir que quelqu’un d’aussi revêche à sa petite injection puisse être en fait un patient modèle – je dirais même, docile – pour tout le reste.

C’est là qu’il prend la peine et le temps de m’expliquer la chose suivante, que je vous relaye, au cas où ça serait utile à quelqu’un d’autre. En réalité, le lien entre les pathologies du squelette et leurs conséquences (nerfs, tendons, etc.) et ce que révèle l’imagerie médicale n’est pas évident. Il me décrit le cas d’un patient à lui qui souffrait de douleurs épouvantables à la colonne vertébrale, chez qui on ne voyait strictement rien d’anormal au scanner. Il a donc pensé à une autre méthode, le protocole radiologique (en station debout) qu’on employait avant le scanner (en position couchée) pour photographier la colonne, et il a été jusqu’à trouver un vieux radiologue qui savait encore le pratiquer. Et là, surprise: en station debout, un disque intervertébral sort de son logement, à tel point qu’on peut se demander comment le type est encore valide. Bref, ce pauvre homme qui souffrait depuis des années a eu la chance de tomber enfin sur un médecin qui prend son métier au sérieux. Cas typique.

Alors comment un médecin aussi dévoué, expérimenté, intelligent, avec un tel niveau de conscience professionnelle peut-il être aussi obtus sur la question des vaccins? Serait-ce un problème de formation? « Une poignée d’heures entre le 1er et le 2e cycle des études médicales, puis des topo vaccin par vaccin au fil des référentiels de 2e cycle. La formation initiale à la vaccination ne pèse pas lourd dans le cursus. » Intéressant, non?

Allons, Docteur, soyez honnête avec moi et je serai honnête avec vous. Je ne sais pas ce que contiennent ces flacons, vous ne savez pas ce que contiennent ces flacons. Même avant la spectaculaire arnaque des injections Covid, moyennant une simple recherche sur le Net, vous auriez déjà trouvé ce genre de choses dans les « vaccins »: du bouillon d’onze heures.

Mais qu’ils soient bons ou mauvais, ce n’est pas la question. La question est que je n’en veux pas et que c’est moi qui décide. Même pour me sauver la vie, c’est non. Je me fous complètement du tétanos, de la variole du Fox à poil dur ou de la myxomatose. En ce qui me concerne, vos injections sont des rituels et tous ceux qui ont cru judicieux de me faire passer des rituels en ont gardé un très mauvais souvenir. C’est probablement dû à un problème psychologique, qui fait que je refuse ce genre de contrat. Je n’ai pas l’esprit d’équipe. Je travaille en free-lance.

Le vaccin contre la variole que j’ai reçu bébé ne vaut pas signature du contrat de Santé Publique. Je n’ai pas tellement besoin du système de Santé Publique, et d’ailleurs, si on m’en exclut, j’aimerais assez qu’on cesse de me prendre mon pognon pour le financer. Vos visites de routine, scanners, chimiothérapies, et autres gestes magiques, je peux m’en passer. Je garderai mes bras qui s’endorment, ma jambe gauche trop courte, mes futures arthroses et toutes les complications de l’âge qui m’attendent. Je préfère mourir de maladie plutôt que d’un vaccin et chez moi plutôt qu’à l’hôpital. Et tant qu’à faire, de vieillesse plutôt que de Rivotril. C’est moins risqué.

Jusqu’à présent, vous avez eu affaire à des patients dociles, ceux qui vous font confiance, et à d’autres moins dociles mais qui insistent quand même pour qu’on s’occupe d’eux. Puisque j’ai bien compris que vous avez du mal à me situer dans l’une ou l’autre catégorie, je vais vous expliquer, à vous et à tous vos collègues quelque chose qui semble vous échapper.

Contrairement à vous, j’écoute attentivement tout ce que vous me dites, même si je ne vous ai rien demandé d’autre qu’un diagnostic et une prescription. Pour m’avoir aidé, vous avez ma très humble reconnaissance. Pour tout ce que vous savez faire, vous avez mon sincère respect. Pour le reste, c’est une autre histoire. Ok, vous êtes médecin et je suis patient. Seulement jusqu’à un certain point, Docteur.

Voici ce que vous devez savoir sur la dernière variole du fric (« Money Pox ») – par Meryl Nass.

Voici un article du Dr Meryl Nass, figure clé de la résistance à Big Pharma aux Etats-Unis, que je n’avais pas encore publiée. En tant qu’experte de l’affaire du syndrome de la Guerre du Golfe, sur lequel elle a mené une enquête approfondie et intenté des actions contre l’armée américaine, le Dr Nass contribuera son expérience au prochain article du Midwestern Doctor (ce qu’il m’a confirmé personnellement), dont la première partie est ici.

Le Dr Nass commente ici l’affaire de la variole du singe. Vous pouvez franchement lui faire confiance.

Note: Les américains ont vite détourné le nom « monkey pox » (variole du singe) en « money pox » (variole du fric), en plaisantant que le « k » dans « monkey » est muet. Le jeu de mots étant impossible à rendre en français, je l’ai traduit littéralement dans le texte.

Source.

Traduction

Voici ce que vous devez savoir sur la dernière variole du fric (« Money Pox »)

La variole, la variole du fric et les vaccins que l’on essaie de vous persuader de recevoir par la peur.

Meryl Nass

27 mai

L’OMS a publié une déclaration astucieuse pour introduire l’idée d’une vaccination de masse contre la variole du fric auprès du public:

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) maintient que l’épidémie croissante de variole du singe reste « maîtrisable » et qu’il n’y a pas de nécessité immédiate de vaccination de masse contre l’orthopoxvirus; depuis le 7 mai, un total de 131 cas confirmés et 106 cas suspects ont été signalés dans des pays où il ne se propage habituellement pas. (Reuters)

Pas de nécessité immédiate. Laissez cette affirmation fermenter dans votre inconscient. Cette phrase semble anodine, mais elle contient implicitement l’idée qu’il pourrait bientôt être nécessaire de vacciner massivement la population contre la variole du fric, une maladie qui ne s’est encore jamais propagée par simple contact.

Je ne pense pas que nous connaissions le taux de mortalité réel de la variole du fric. Un occidental en est-il déjà mort?

Pourrait-il s’agir de la même variole du fric que celle qui sévit en Afrique? Si c’est le cas, comment a-t-elle pu apparaître soudainement dans tant de pays à la fois? Ce seul fait, son mode de propagation inédit, jamais vu auparavant, devrait nous amener à nous demander s’il ne s’agit pas d’un agent de guerre biologique semé délibérément. Il n’est probablement pas destiné à nous tuer, peut-être même pas à nous nuire gravement. Impossible à dire pour l’instant, d’après les informations minimales fournies par nos estimées agences de santé publique. Peut-être n’est-il là que pour nous inciter à recevoir une autre injection?

Je vous donne ci-dessous les informations de base sur la variole, la variole du singe et les nouveaux vaccins qui arriveront bientôt dans une clinique près de chez vous:

  1. S’il existe un vaccin contre la variole du fric (et la FDA a apparemment approuvé un vaccin que l’armée a contribué à développer), son efficacité n’a pas été testée, car il n’y a pas eu suffisamment de cas humains pour le faire.
    • Pour tester son efficacité, il est indispensable de vacciner des personnes et de voir combien de cas de la maladie surviennent dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo. Si on parvient à vacciner un million de personnes mais que la fréquence de la maladie est telle qu’on ne peut même pas obtenir une poignée de cas, on ne peut pas effectuer de test d’efficacité.
    • Au lieu de cela, pour que les vaccins soient approuvés ou autorisés, on effectue des tests d’anticorps censés démontrer la présence d’une immunité. Mais souvent (comme dans le cas des vaccins COVID ou anthrax), l’anticorps sélectionné à cette fin peut ne pas être un indicateur fiable de l’immunité… comme l’ont admis le personnel et les membres du comité de la FDA lors de la réunion du VRBPAC sur le booster.
  2. On dit que le vaccin antivariolique est efficace à 85 % contre la variole du singe… mais en l’absence de nombreux cas humains de variole du singe, ce chiffre de 85 % ne peut être établi.
  3. Le vaccin antivariolique provoque un nombre considérable de cas de myocardite et d’autres problèmes cardiaques connus, ce qui le rend presque certainement plus dangereux que le risque de contracter la variole du singe. Un receveur sur 220 a développé un cas évident de myocardite dans une étude militaire américaine publiée en 2015, et un sur 30 a contracté un cas subclinique.
    Pourquoi QUICONQUE prendrait-il un tel risque de dommages cardiaques pour éviter un risque minuscule de variole du fric? Uniquement pour avoir été mal informé.
  1. Le vaccin antivariolique, lorsqu’il était utilisé de manière systématique chez les bébés, était considéré comme le vaccin le plus dangereux qui soit. Il entraînait la mort de plusieurs personnes par million d’administrations.
  2. J’ai reçu des vaccins antivarioliques en 1951 et 1972 et je pense avoir eu des réactions insignifiantes. Je pense être totalement immunisée contre la variole. Des tests effectués sur des personnes en 2003 et publiés dans le NEJM [New England Journal of Medicine] suggèrent que l’immunité est permanente.
  3. Le dernier vaccin antivariolique américain utilisé de façon routinière chez les civils était la version du Département de la Santé de New York, et il était fabriqué de façon similaire au vaccin des années 1700. Le liquide infectieux d’un virus orthopox apparenté était gratté sur le ventre d’un veau, puis lorsque de nouvelles vésicules se développaient, la matière était recueillie comme substrat du vaccin, et ne pouvait être que très peu purifiée.
  4. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi le vaccin antivariolique est gratté alors que tous les autres sont injectés ? Parce qu’il était très sale, contaminé par d’autres virus animaux et des matériaux non spécifiés, qui pouvaient provoquer une infection grave s’ils étaient injectés à travers la peau.
  5. On espérait, il y a 20 ou 30 ans, qu’un vaccin plus récent, plus propre et purifié, permettrait d’éviter les nombreux effets secondaires graves. Deux vaccins plus récents (ACAM 2000, purifié à partir du vaccin Dryvax du DOH [Department of Health] de New York et MVA) ont été achetés par les administrations Clinton et Bush pour tous les Américains. Il s’est révélé, malheureusement, que les effets secondaires cardiaques persistaient. Ils étaient dus à l’antigène réel du vaccin, et non à la  » saleté « . Le vaccin MVA (Modified Vaccinia Ankara), qui est moins réactogène mais peut-être moins efficace que l’ACAM2000, a vu son nom américain changé en Jynneos, et a maintenant été désigné comme le vaccin officiel contre la variole du fric.
    En ce qui concerne ACAM2000 et l’homologation de Jynneos, la FDA a déclaré en 2019 (en page 4):

L’ACAM2000 est contre-indiqué chez les personnes atteintes d’immunodéficience sévère dont on ne s’attend pas à ce qu’elles tirent bénéfice du vaccin… En 2003, une épidémie de variole du singe a été confirmée aux États-Unis. C’était la première fois que la variole du singe était signalée en dehors du continent africain. (Faux mais proche de la réalité – Nass) Actuellement, il n’existe pas de traitement approuvé ou de vaccin homologué pour la variole du singe, bien que l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommande l’utilisation d’ACAM2000 pour la prévention de la variole du singe chez les personnes présentant un risque élevé d’exposition (par exemple, les travailleurs de laboratoire qui manipulent le virus de la variole du singe). Il existe donc un besoin non satisfait pour un vaccin contre la variole du singe.

  1. Le gouvernement américain a lancé en 2003 un programme de vaccination contre la variole qui a rapidement échoué – les gens ont refusé d’être vaccinés en raison des taux élevés de crises cardiaques, d’insuffisance cardiaque et de myocardite. Les Académies Nationales des Sciences (National Academies of Science – NAS) ont rédigé une série d’environ 8  » Lettres de rapport  » critiques sur le programme gouvernemental, et le magazine Science a couvert le rapport final ici. Cependant, tant la NAS que Science ont retenu leurs coups, en omettant de souligner clairement les dangers et de refléter le scepticisme généralisé à l’égard du programme, qui utilisait un vaccin dangereux pour une menace inexistante ou du moins non prouvée.
  2. Selon Medpage, le CDC affirme que les vaccins Jynneos et ACAM2000 seront tous deux disponibles pour répondre à l’événement de la variole du fric. Pourtant, même le CDC admet actuellement que le risque de myocardite est énorme (plus d’un sur 200 personnes vaccinées) avec le vaccin ACAM2000, dans un MMWR [Morbidity and Mortality Report – Rapport sur la morbidité et la mortalité] de novembre 2021:

Parce que l’ACAM2000 est compétent pour la réplication, il présente un risque d’effets indésirables graves (par exemple, la vaccine progressive et l’eczéma vaccinatum) ; il provoque également une myopéricardite (taux estimé de 5,7 pour 1 000 primo-vaccinés d’après les données des essais cliniques), mais le mécanisme sous-jacent est inconnu (7,8).

  1. Dans le même article du MMWR, le CDC a peut-être admis par inadvertance qu’il ne disposait d’aucune preuve fiable de l’innocuité ou de l’efficacité du vaccin:

L’efficacité de JYNNEOS a été déduite de l’immunogénicité de JYNNEOS dans les études cliniques et des données d’efficacité des études de test sur les animaux. [Cependant, les humains ne réagissent pas nécessairement de la même manière que les animaux de laboratoire – Nass] On s’attend à ce que l’occurrence d’événements indésirables graves soit minime, car JYNNEOS est un vaccin viral à réplication déficiente. Cependant, comme on pense que le mécanisme de la myopéricardite consécutive à la réception d’ACAM2000 est un phénomène à médiation immunitaire, on ne sait pas si l’antigène ou les antigènes qui précipitent les auto-anticorps [causant la myocardite ou d’autres effets indésirables-Nass] sont également présents dans JYNNEOS.

Plus bas, le CDC admet à nouveau qu’il est complètement dans le vague en ce qui concerne le vaccin Jynneos:

Parce qu’un corrélat de protection n’a pas été établi et que le niveau de titre d’anticorps qui garantit la protection n’est pas connu, les résultats des titres doivent être interprétés avec prudence dans de tels cas pour éviter de donner un faux sentiment de sécurité.

  1. Bien qu’il sache qu’il n’existe pratiquement aucune information fiable sur la façon dont le vaccin pourrait prévenir la variole de l’argent ni sur son innocuité, le gouvernement du Québec a commencé à déployer le vaccin pour la prévention de la variole de l’argent. Selon la CBC [Canadian Broadcasting Corporation]:

…le vaccin contre la variole – qui n’a pas été offert systématiquement au Canada depuis des décennies – sera offert aux personnes à haut risque de contracter la maladie, comme celles qui ont été en contact avec des cas confirmés.

[Le haut responsable de la santé au Québec] M. Boileau, a déclaré que la province a accès à des centaines de doses prêtes à l’emploi, mais que la vaccination n’aura lieu qu’après une recommandation de la santé publique. Elle ne sera pas ouverte au grand public.

  1. La semaine dernière, Whitney Webb a écrit un article [NdT. que votre toujours fiable et dévoué bloggeur a traduit ici] sur deux des bandits du Beltway qui sont sur le point de faire un autre massacre avec la variole du fric, Emergent BioSolutions et SIGA Technologies.

Je compléterai cet article.


Texte original

Here’s what you should know about the latest Money Pox

Smallpox, money pox, and the vaccines they will try to frighten you into getting

Meryl Nass

May 27

The WHO released a clever statement to introduce the idea of mass money pox vaccination to the public:

The World Health Organization (WHO) maintains that the growing monkeypox outbreak remains « containable, » and that there’s no immediate need for mass vaccination against the orthopoxvirus; since May 7, a total of 131 confirmed cases and 106 suspected cases have been reported in countries where it usually does not spread. (Reuters)

No immediate need. Let that statement ferment in your unconscious. It seems like a benign sentence, but implicit in it is the idea that soon there may well be a need to mass vaccinate the population against money pox, a disease that has never before spread due to casual contact.

I don’t think we even know the actual mortality rate for money pox. Has a westerner ever died from it?

Could this possibly be the same money pox that occurs in Africa? If so, how did it suddenly appear in so many countries at once? This fact alone—its novel, never-before-seen pattern of spread, should make us question whether it is a biowarfare agent being seeded deliberately. Probably not meant to kill us, maybe not even to harm us much. We can’t tell yet, based on the minimalist info coming out of our esteemed public health agencies. Perhaps it’s here just to nudge us to get another shot?

Below I give you the basics on smallpox, monkeypox and the newest vaccines coming to a clinic near you:

  1. If there is a money pox vaccine (and FDA has apparently approved one that the army helped develop) it has not been tested for efficacy, because there have not been enough human cases to do so.
    • Efficacy testing requires that you vaccinate people and then see how many cases of the disease occur in the vaccinated versus the placebo group. If you were able to vaccinate a million people but disease frequency was such that you couldn’t even get a handful of cases occuring, you cannot perform an efficacy test.
    • Instead, in order to get vaccines approved or authorized, antibody tests are done that are claimed to demonstrate the presence of immunity. But oft times (as in the COVID or anthrax vaccines) the antibody that is selected for this purpose may not be a reliable indicator of immunity…as admitted at the booster VRBPAC meeting by FDA staff and committee members.
  2. The smallpox vaccine is said to be 85% effective against monkeypox…but without many human monkeypox cases, that 85% number cannot possibly have been established.
  3. The smallpox vaccine causes a huge number of myocarditis cases and other known cardiac problems, making it almost certainly more dangerous than the risk of getting monkeypox. One in 220 recipients developed an obvious case of myocarditis in a US military study published in 2015, and one in 30 got a subclinical case.
    Why would ANYONE take such a high risk of cardiac damage to avoid a miniscule risk of money pox? Only because they were misinformed.
  4. Smallpox vaccine, when used routinely in babies, was considered the most dangerous vaccine available. It led to the deaths of several people per million administrations.
  5. I received smallpox vaccines in 1951 and 1972 and believe I had insignificant reactions.  I expect I am fully immune to smallpox.  Tests done in people in 2003 published in NEJM suggested immunity was lifelong.
  6. The US smallpox vaccine last used routinely in civilians was the NY Department of Health version, and it was made similarly to the vaccine of the 1700s.  Infectious fluid from a related orthopox virus was scratched on the belly of a calf, and then when new vesicles developed the material was collected as the vaccine substrate, and could only be minimally purified.
  7. Ever wonder why the smallpox vaccine is scratched on while all others are injected? Because it was so dirty, contaminated with other animal viruses and unspecified materials, which might cause a serious infection if injected beyond the skin.
  8. It was hoped, 20-30 years ago, that a newer, cleaner, purified vaccine would avoid the many severe side effects. Two newer vaccines (ACAM 2000, purified from the NY DOH Dryvax vaccine and MVA) were purchased by the Clinton and Bush administrations for all Americans.  It turned out, unfortunately, that the cardiac side effects persisted.  They were due to the actual vaccine antigen, not to the ‘junk.’ The MVA (Modified Vaccinia Ankara) vaccine, which is less reactogenic but may be less effective than ACAM2000, had its US name changed to Jynneos, and has now been designated the official MoneyPox vaccine.
    Regarding ACAM2000 and the licensing of Jynneos, FDA said in 2019 (on page 4):

ACAM2000 is contraindicated for use in individuals with severe immunodeficiency who are not expected to benefit from the vaccine… In 2003, a monkeypox
outbreak was confirmed in the U.S. This was the first time human monkeypox was
reported outside of the African continent.
(Not true but close—Nass) Currently, there is no approved treatment
or licensed vaccine for monkeypox, although the Advisory Committee on
Immunization Practices (ACIP) recommends that ACAM2000 be used for prevention of monkeypox in individuals at high risk of exposure (e.g., lab workers who handle monkeypox virus). Thus, there is an unmet need for a monkeypox vaccine.

  1. The US government initiated a smallpox vaccine program in 2003 that rapidly failed—people refused to be vaccinated due to high rates of heart attacks, heart failure and myocarditis. The National Academies of Science (NAS) wrote a series of about 8 critical “Letter Reports” on the government program, and the magazine Science wrote about the final report here. However, both the NAS and Science pulled their punches, failing the fully emphasize the dangers and to reflect the widespread skepticism about the program, which used a dangerous vaccine for a nonexistent or at least unproven threat.
  2. According to Medpage, CDC says both Jynneos and ACAM2000 vaccines will be available to respond to the money pox event. Yet even CDC currently admits that the chance of myocarditis is huge (greater than one in 200 vaccine recipients) from the ACAM2000 vaccine, in an MMWR from November 2021:

Because ACAM2000 is replication-competent, there is a risk for serious adverse events (e.g., progressive vaccinia and eczema vaccinatum) with it; myopericarditis also occurs with ACAM2000 (estimated rate of 5.7 per 1,000 primary vaccinees based on clinical trial data), but the underlying mechanism is unknown (7,8).

  1. From the same MMWR article , the CDC perhaps inadvertently admitted it had no reliable evidence for either safety or efficacy:

The effectiveness of JYNNEOS was inferred from the immunogenicity of JYNNEOS in clinical studies and from efficacy data from animal challenge studies. [But humans do not necessarily respond the same as lab animals—Nass] Occurrences of serious adverse events are expected to be minimal because JYNNEOS is a replication-deficient virus vaccine. However, because the mechanism for myopericarditis following receipt of ACAM2000 is thought to be an immune-mediated phenomenon, it is not known whether the antigen or antigens that precipitate autoantibodies [causing myocarditis or other adverse events—Nass] are present in JYNNEOS as well.

Further down, CDC admits again that it has no idea what it is doing with the Jynneos vaccine:

Because a correlate of protection has not been established and there is no known antibody titer level that will ensure protection, titer results should be interpreted with caution in such cases to avoid providing a false sense of security.

  1. Despite knowing there is virtually no reliable information about how the vaccine might prevent money pox nor how safe it is, the Quebec government has begun rolling out the vaccine for the prevention of money pox. According to CBC:

…the smallpox vaccine — which hasn’t been routinely offered in Canada for decades — will be offered to those at high risk of contracting the disease, such as those who have been in contact with confirmed cases.

[Quebec’s top health officer] Boileau said the province has access to hundreds of doses at the ready, but vaccination will only occur after a recommendation from public health. It will not be open to the general public.

  1. Whitney Webb wrote last week about two of the Beltway Bandits poised to make yet another killing on money pox, Emergent BioSolutions and SIGA Technologies.

I will be adding to this post.

La pathologisation de la raison, de la logique et du savoir mettra fin à la civilisation occidentale – par James Lyons-Weiler.

James Lyons-Weiler est un des premiers médecins à avoir pris la parole en public pour dénoncer les absurdités et dangers de la campagne de mesures sanitaires et vaccinations Covid-19. Je n’avais pas encore publié cet auteur sur ce blog, non par manque d’intérêt mais par manque de temps. Pour faire suite à mon article précédent qui traite du mécanisme bureaucratique de la prise de pouvoir mondiale via cartel Big Pharma, je vous propose aujourd’hui cette intéressante publication, une de celles qui aborde le mieux le sujet des nouvelles « mesures », c’est-à-dire la militarisation de la psychologie en mode communiste, dont l’objectif est d’encadrer et de faire passer en force les mesures « sanitaires » – donc, selon toute définition, la fin de la civilisation occidentale. Je ne saurai trop vous recommander à cet égard la lecture du bouquin de Vladimir Boukovski, « Et le vent reprend ses tours » (lisez au moins l’article en lien!) qui vous donnera une perspective historique sur les méthodes décrites dans cet article – je n’ai pas lu « Cette lancinante douleur de la liberté », du même auteur (cité dans mon article précédent), sûrement aussi intéressant.

Le point de vue du Dr Lyons-Weiler s’articule sur l’éthique de sa profession mais il s’agit en définitive d’une question de décision individuelle. Je suivrai donc cet article avec ma propre conclusion personnelle. A mon avis, un très mauvais exemple à suivre.

Source.


Traduction

La pathologisation de la raison, de la logique et du savoir mettra fin à la civilisation occidentale

Conformément ce qu’on trouve dans le manuel du PCC, selon certains, vous êtes désormais un malade mental si vous remettez en question le récit officiel. À partir de 2021, votre cerveau constitue le champ de bataille. Protégez-le à tout prix.

James Lyons-Weiler

17 mai

Un article complet gratuit, comme toujours, riche en liens vers des documents de référence.

Deux ans avant le COVID-19, j’avais prévenu que Big Pharma allait manœuvrer via nos institutions pour rendre obligatoires les médicaments psychotropes dans la population générale. Avec cet article, je tire à nouveau la sonnette d’alarme. Cette bataille concerne nos droits, oui, et nos cerveaux en constituent le champ de bataille.

Le savoir fondamental – la base de notre compréhension de la réalité – n’est pas seulement en voie de décomposition. Il est détruit, systématiquement, par ceux qui profitent grassement de l’ignorance imposée par la censure et la police de la pensée. Sans liberté d’expression, il ne peut y avoir de liberté de pensée. C’est l’un des arguments que Benjamin Franklin faisait valoir, sous le nom de Silence Dogood, lorsqu’il écrivait dans New England Courant (1722):

« Sans Liberté de Pensée, il ne peut y avoir de Sagesse, ni de Liberté Publique, sans la Liberté de Parole, qui est le Droit de chaque Homme, dans la mesure où par elle, il ne blesse pas ou ne contrarie pas le Droit d’un autre: Et c’est le seul Contrôle qu’elle doit subir, et les seules Limites qu’elle doit connaître.

« Ce Privilège sacré est si essentiel aux Gouvernements libres, que la Sécurité de la Propriété et la Liberté de Parole vont toujours de pair; et dans ces misérables Pays où un Homme ne peut s’approprier sa Langue, il ne peut guère s’approprier autre chose. Quiconque veut renverser la Liberté d’une Nation, doit commencer par soumettre la Liberté de Parole; une Chose terrible pour les Traîtres publics ».

Les réalités dont moi-même, et d’autres, avons fait état dès février 2020, sont aujourd’hui des faits évidents pour presque toute personne réfléchie. Au cours des deux dernières années, vos processus de pensée – votre compréhension – de la réalité des campagnes de désinformation sur le COVID-19, les vaccins COVID-19 et les traitements COVID-19 ont été pathologisés dans la littérature biomédicale dans une mesure difficile à imaginer. Cet article de #PopularRationalism fait la chronique de ce gaslighting [manipulation] en détail, cataloguant et caractérisant leurs diverses méthodes de pathologisation de la dissidence.

Le nombre d’articles, d’études, de lettres à la rédaction et de rapports de médias en ligne qui reflètent des processus de pensée de scepticisme rationnel et d’analyse critique de messages clairement frauduleux est stupéfiant.

Depuis le début de l’année 2020, des centaines de personnes déterminées à propager leur croyance et leur foi dans les messages trompeurs à facettes multiples de Fauci ont tenté de pathologiser (c’est-à-dire de faire passer pour une maladie psychiatrique clinique) la vigilance face au risque vaccinal. La vigilance face au risque vaccinal est l’une des expressions que j’ai proposées pour contrecarrer l’étiquette « anti-vaccinisme »; elle a été popularisée en 2015 par un commentaire de Del Bigtree sur The Highwire. La vigilance face au risque vaccinal correspond à la connaissance du risque vaccinal associée à la connaissance des programmes destinés à minimiser la perception du risque par le public.

Il semble exister de multiples méthodes pour pathologiser la vigilance face au risque vaccinal – et avec celle-ci, la pathologisation des meilleurs outils dont notre société dispose pour établir les bases rationnelles et scientifiques d’un avenir stable. D’après mon examen approfondi de la question, ces méthodes sont les suivantes:

  • L’attribution de signes de maladie mentale au scepticisme à l’égard des vaccins. Parmi les meilleurs exemples, citons un rapport publié en avril 2020 par l’Université de Manchester, au Royaume-Uni, qui affirmait que les enfants de malades mentaux étaient moins susceptibles d’être vaccinés. L’article affirmait qu’étant donné qu’1/4 des mères au Royaume-Uni sont atteintes de maladies mentales, 1/4 des enfants au Royaume-Uni pourraient poser un risque. Le rapport ne semble pas autrement s’alarmer de ses propres statistiques selon lesquelles 1/4 des mères au Royaume-Uni souffriraient de troubles mentaux.
  • La psychologie de salon. Cela est illustré par des articles qui énumèrent – et apparemment inventent de toutes pièces – des « faits » concernant ceux qui comprennent mieux que d’autres les risques et le manque de bénéfices des vaccins COVID-19 – comme « The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal » [Les 9 barrières psychologiques qui conduisent à l’hésitation et au refus du vaccin COVID-19] paru dans The Conversation (29 septembre 2021). Parmi les barrières « psychologiques » énumérées? La méfiance à l’égard des ingrédients. « Crise de confiance ». « Dépendance et évitement des conflits ». « Sentiment de rejet et d’exclusion ». « Anxiété et déni ». « Sentiment d’impuissance ». Lisez l’article et voyez si vous êtes d’accord avec moi – ce ne sont pas des barrières psychologiques. « Sentiment de rejet et d’exclusion? » Oui, en gros, si on se fait virer de son travail ou exclure de sa communauté par la majorité des gens vaccinés, qui maintenant continuent à attraper et à propager le COVID-19, on ressentira en premier un sentiment de rejet et d’exclusion parce que c’est bien ce qui nous arrive. Toute crise de confiance est en réalité un problème pour ceux qui perpétuent l’arnaque.
  • « Études » attribuant directement la vigilance face au risque vaccinal à une maladie mentale. Un bon exemple se trouve dans l’article de synthèse « Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy » [Facteurs psychologiques influant sur l’hésitation à recevoir le vaccin COVID-19] (mai 2021, Irish Journal of Medical Science). Les auteurs écrivent:
    « Le concept d' »hésitation vaccinale » est considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « l’une des dix principales menaces pour la santé mondiale. » On se pose la question de savoir si l’épidémie de COVID-19, qui peut être définie comme une situation d’urgence globale, permettra de résoudre le problème du rejet des vaccins, une préoccupation pour la santé publique depuis quelques décennies [3]. La plupart des publications actuelles sur l’hésitation et la résistance aux vaccins se concentrent sur les causes évidentes exprimées par des individus contre un vaccin particulier ou contre les programmes de vaccination en général [4]. L’identification des processus psychologiques qui distinguent les individus hésitants et résistants aux vaccins des individus réceptifs aux vaccins constituera une approche directrice [5]. Cette approche peut également offrir la possibilité d’adapter les messages de santé publique en fonction des tendances psychologiques de ces individus [6]. À ce jour, de nombreuses structures psychologiques ont été étudiées en rapport avec l’hésitation vaccinale. Par exemple, les croyances altruistes [7]; les traits de personnalité que sont le névrosisme et la conscienciosité [8]; les croyances conspirationnistes, religieuses et paranoïaques [9]; la méfiance à l’égard des membres autorisés de la société tels que les représentants du gouvernement, les scientifiques et les professionnels de la santé ont été associés à des attitudes négatives envers les vaccins [12]. »
    Notez que les cibles désignées sont « les structures psychologiques ». Les auteurs omettent d’explorer ou de relayer la légitimité du fondement de l’un ou l’autre de ces facteurs, notamment la méfiance bien méritée envers ce qu’ils appellent les « membres autorisés de la société »… des autorités dont il a été démontré qu’elles ont tout faux sur pratiquement toutes les connaissances qu’elles ont tenté de revendiquer. Leur panoplie de prétendues psychoses liées au risque vaccinal est elle-même déconnectée de la réalité: la plupart de leurs exemples montrent chez eux un biais de confirmation basé sur une fausse présomption de sécurité des vaccins.
    Un autre exemple est l’article paru dans BMJ Open qui établit un lien entre « l’hésitation vaccinale » et les traumatismes de l’enfance. Je vais d’abord résumer la façon dont j’interprète les résultats: Les personnes qui ont subi un traumatisme dans leur enfance sont moins faciles à manipuler. Ce n’est pas une surprise. Encore une fois, les auteurs préconisent une manipulation de la perception, sans s’attaquer à ce qui fait problème dans les vaccins ou aux études qui occultent l’efficacité des traitements précoces:
    « Il est urgent de mieux comprendre comment accroître leur confiance dans les systèmes de santé et leur respect des recommandations sanitaires. Si l’on ne réfléchit pas à la meilleure façon d’impliquer ces personnes, certaines risquent d’être effectivement exclues des interventions de santé publique, de rester exposées à des risques d’infection plus élevés et de poser un risque potentiel de transmission à d’autres. » –BMJ
    On peut citer d’autres exemples, notamment ceux d’un Numéro Spécial du Journal Vaccines du MDPI, consacré aux “Aspects psychologiques de l’adoption du vaccin COVID-19: Principes et stratégies empiriques« , sous la direction de Efrat Neter (Israël) et Karen Morgan (Royaume-Uni). Leur article stipule, entre autres, que:
    « Comme vous le savez tous, le développement d’un vaccin contre le COVID19 est notre meilleur espoir de lutter efficacement contre l’épidémie mondiale actuelle.
    Cependant, il ne suffit pas de mettre au point un vaccin efficace (ou plusieurs): Encore faut-il que les gens reçoivent réellement le vaccin. Afin de parvenir à une compréhension plus approfondie des connaissances scientifiques récentes qui s’appliquent à d’éventuels vaccins liés au COVID-19 (c’est moi qui souligne), ce numéro spécial se concentrera sur les questions essentielles, les défis, les réussites et les nouvelles façons de considérer la prise d’un vaccin contre le COVID-19.« 
    Pourquoi ne pas plutôt résoudre les problèmes relatifs aux vaccins? Il ne fait guère de doute que la revue ne publiera jamais un article qui rapporte les faits suivants: (a) que l’hypothèse explicite de la justification du Numéro Spécial est frauduleuse (voir c19study.com), (b) le fait de manipuler les gens pour qu’ils acceptent un vaccin pire qu’inutile est discutable et hautement contraire à l’éthique, et en fait irresponsable – comme le prouvent toutes les données du monde réel sur l’efficacité négative, et les résultats du Dr Fantini sur la facilitation de l’infection par anticorps.
    Voici un autre exemple  » d’étude  » qui met en avant des facteurs psychologiques derrière la vigilance face au risque vaccinal (pardon, je veux dire  » l’hésitation vaccinale « ): Pas de vaccination psychologique: L’hésitation vaccinale est associée à des réactions psychiatriques négatives chez les Israéliens ayant reçu le vaccin COVID-19. Les auteurs affirment que leurs résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. C’est une « étude » étrange parce que la véritable vigilance face au risque vaccinal n’est pas représentée dans leur échantillon (les participants à l’étude étaient tous vaccinés), et les auteurs semblent avoir aboli la loi de la causalité: si des personnes vaccinées deviennent « hésitantes face au vaccin » et souffrent d’une anxiété nouvelle, d’une dépression nouvelle ou d’une détresse péritraumatique, ne peut-on pas raisonnablement considérer le vaccin comme un facteur contribuant à ces états mentaux? Les conclusions complètes des auteurs:
    « Les résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. Ces résultats soutiennent l’idée que le fait d’avoir des attitudes ambivalentes à l’égard de la vaccination est lié à la morbidité de la santé mentale (Fusick et al., 2020). En outre, il semble que le fait de recevoir des vaccins COVID-19 n’élimine pas l’effet de l’hésitation vaccinale sur la morbidité psychiatrique, et que certains individus qui déclarent une hésitation vaccinale continuent, malgré leur décision de recevoir le vaccin, à manifester des niveaux cliniques d’anxiété, de dépression et de stress, peut-être en raison de leurs craintes concernant la sécurité et les effets à long terme du vaccin (Palamenghi et al., 2020). »
    Quelle contorsion de la logique. La logique la plus élémentaire et la plus simple nous dit que lorsqu’on annonce à des personnes vaccinées qu’elles continueront à devoir se masquer, qu’elles devront continuer à se faire vacciner encore et encore, après leur avoir promis un retour à la normale, beaucoup, si ce n’est la plupart des gens, se sentiront angoissés, mis au pied du mur et manipulés.
  • Ré-ré-étiquetage. Les articles décrivant la résistance aux vaccins comme une « hésitation vaccinale » sont bien connus, mais saviez-vous qu’on tente de changer cette terminologie en « anxiété vaccinale »?
    Voici un article de septembre 2021 qui suggère que « les manifestants anti-vaccins sont habités par une anxiété existentielle« , citant un psychologue de l’Université Acadia (Joseph Hayes) qui suggère également que la meilleure façon de convaincre les personnes qui protestent contre les obligations vaccinales du COVID-19 est de « promouvoir l’idée que se faire vacciner aidera les gens à retrouver leurs libertés d’avant la pandémie » ainsi que « la valeur personnelle ou le caractère héroïque » de la vaccination. Bien sûr, nous savons tous maintenant que les vaccins COVID-19 n’empêchent pas la propagation du SARS-CoV-2, et Hayes n’est pas au courant des conclusions du Dr Fantini selon lesquelles la vaccination contre le variant de Wuhan pourrait, après Bêta, entraîner la facilitation de l’infection par anticorps. Hayes est un psychologue qui étudie certains aspects intéressants de la façon dont les gens réagissent aux menaces, mais il n’est ni vaccinologue, ni épidémiologiste, ni virologue, ni biologiste de l’évolution. Cette personne entend parler de choses qui dépassent son domaine d’expertise, fait la promotion de la manipulation, et décrit la notion de liberté individuelle comme une incitation à s’exposer à des risques qui étaient, en septembre 2021, tout à fait évidents.
    Cette tendance à rebaptiser le scepticisme rationnel en « anxiété » associe des cas d’anxiété clinique existante (établie) au refus du vaccin. Voici un article d’Ilene Rush, essayiste indépendante et auteur de fiction: « Comment gérer l’anxiété liée au vaccin contre le coronavirus« . Elle écrit que « Alors que la vaccination généralisée offre le meilleur espoir de mettre fin à la pandémie de COVID-19, des facteurs de stress liés à la santé mentale (appelons-les anxiété liée au vaccin COVID) découragent certaines personnes de se faire vacciner. » Rush cite ainsi Thea Gallagher, PsyD, professeur adjoint et directeur de la clinique externe du Centre de Traitement et d’Étude de l’Anxiété (Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety – CTSA) de la Perelman School of Medicine de l’Université de Pennsylvanie : « La meilleure façon de combattre l’hésitation vaccinale causée par l’anxiété est de s’appuyer sur des données fiables » – en d’autres termes, il faut accepter le récit malgré les études frauduleuses qui « montrent » prétendument que l’ivermectine n’est pas efficace; malgré le fait que les données d’Israël, du comté de Barnstable et d’ailleurs ont montré une efficacité négative, et malgré (encore) les résultats remarquables du Dr Fantini qui montrent que la facilitation de l’infection par anticorps se manifeste depuis décembre 2020 – dès le début du programme de vaccination.
    Mme Gallagher pense détenir la solution à l’anxiété vaccinale. D’abord, elle préconise de citer des « sites fiables » pour obtenir des « informations valables »…
    « Parmi les sites fiables qu’elle recommande pour obtenir des informations valables figurent les Centers for Disease Control, qui s’efforcent de publier des données claires aussi rapidement que possible. Vous pouvez également vous référer à un spécialiste des maladies infectieuses de confiance, comme le Dr Anthony Fauci, ou à un expert en vaccins, comme Paul Offit, MD. Ou encore, contactez votre propre médecin ou un spécialiste des maladies infectieuses en qui vous avez confiance pour parler de vos craintes. »
    Je doute que le sophisme invoqué ici ait besoin d’être expliqué.
    Elle propose ensuite d’autres « conseils » pour « combattre l’anxiété » suscitée par le vaccin COVID, notamment, littéralement, selon ses indications, en restreignant votre pensée (bien sûr):
    •  » Freinez votre imagination (c’est moi qui souligne): L’anxiété liée au vaccin COVID est souvent alimentée par des scénarios imaginaires qui envisagent tout ce qui pourrait mal tourner. Par exemple, si vous craignez de vous faire vacciner par crainte d’une réaction allergique, consultez les faits: une étude sur le vaccin Pfizer a montré que des réactions allergiques surviennent environ 11,1 fois par million de patients. Sachez qu’avant de recevoir un vaccin, vous devez remplir un questionnaire sur vos antécédents de réactions allergiques à des injections antérieures. (c’est moi qui souligne). De plus, on vous demandera de demeurer au centre de vaccination pendant 15 à 30 minutes pour s’assurer que aucune réaction ne se produise. « (JLW: « Freinez votre imagination » signifie « n’utilisez pas les pouvoirs d’inférence logique que nous utilisons normalement: Si cela arrive aux autres, cela peut m’arriver à moi ».
      En ce qui concerne l’allergie, il est ironique de constater que cette dame est médicalement négligente si on se réfère au tableau 4 du CDC. Si vous suivez ses conseils, vous serez tout de même vacciné, sans avoir à vous soucier des problèmes chroniques à long terme liés à l’anaphylaxie qui survient chez certaines personnes après la vaccination).
    •  » Faites une analyse risques-avantages: Penser au vaccin en termes de risques par rapport aux avantages peut aider à recadrer votre anxiété liée au vaccin COVID puisque les risques de contracter le COVID-19 sont bien pires que tout risque posé par les vaccins. « Rappelez-vous que les femmes enceintes reçoivent actuellement le vaccin parce que les risques du coronavirus sont bien pires que de se faire vacciner », déclare Mme Gallagher.
      Elle ignore ici le fait que toute analyse risque-bénéfice sur les vaccins et la santé publique exige une correspondance parfaite entre le discours relatif au risque et le risque réel lui-même. Tout indique que le déni du risque, des blessures et des décès liés aux vaccins et la minimisation de la perception du risque sont les modes opératoires utilisés pour accroître l’utilisation des vaccins.
    • Restez dans l’instant présent: En termes pratiques, M. Gallagher suggère d’établir un programme clair : prévoyez comment et quand vous vous rendrez au centre de vaccination, comment vous vous ferez vacciner, comment vous vous assiérez après pour attendre toute réaction négative.  » Travaillez sur ce que vous devez faire pour franchir chaque étape et évitez d’anticiper le pire « , conseille-t-elle.
      Après vous avoir dit de renoncer à vos propres prévisions, elle vous explique ensuite ce que vous êtes autorisé à faire en matière d’imagination, de prévision et de planification. Incroyable.
      Elle recommande ensuite une thérapie, complétant ainsi le message de pathologisation (si vous n’êtes pas d’accord avec le discours dominant, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez vous et vous avez besoin d’une aide clinique):
      « Si l’anxiété continue à vous empêcher de vous faire vacciner, ou si vous avez fait toutes les recherches nécessaires auprès de sources fiables et que vous avez encore trop peur pour vous faire vacciner, ou si vous avez pris un rendez-vous et que vous l’avez évité, alors vous avez peut-être besoin de consulter un thérapeute », dit-elle.
  • Mettre l' »anxiété liée aux vaccins » sur le compte de la « désinformation ». Le Journal of Family Medicine and Primary Care a publié une lettre à la rédaction intitulée  » La désinformation induit des anxiétés et des peurs affectant les programmes de vaccination  » rédigée par deux auteurs. Ces auteurs attribuent « l’hésitation à se faire vacciner » au fait que
    « des niveaux élevés de dispositions psychologiques telles que (i) la sensibilité aux aiguilles et au sang (anxiété), (ii) le besoin de résolution cognitive (manque de tolérance à l’ambiguïté) et (iii) le désir de pureté morale (sentiments de dégoût) sont liés à la désinformation et à l’hésitation vaccinale. Les personnes des deux premiers groupes étaient plus sensibles à la désinformation sur les vaccins, et le troisième groupe était moins susceptible d’être affecté par la désinformation. Si le refus ou l’hésitation à se faire vacciner peuvent être associés aux facteurs mentionnés, certains facteurs émotionnels peuvent être à l’origine de l’hésitation, comme le fait de choisir de subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination. »
    et ils suggèrent que
    « La psychologie sociale peut jouer un rôle important dans la transformation des attitudes et de la perception des gens, en leur rappelant les normes sociales qui définissent que les gens considèrent que se faire vacciner est une norme et en utilisant les théories de la psychologie sociale pour modifier le comportement des gens. »
    Encore une fois, leur solution consiste à gérer la perception du risque, mais ne fait rien pour atténuer le risque réel. Tout ce qu’ils ont à proposer, c’est le négationnisme. Et dans celui-ci, le fait de « subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination  » est présenté comme un risque de propagation du COVID-19. Si les gens comprennent les risques, le coût des « conséquences négatives du rejet » cité doit être considéré comme faible par rapport au coût des effets indésirables aigus et chroniques. Comment cela pourrait-il être le cas, si le monde est entièrement noyé dans la désinformation sur les risques liés aux vaccins?
  • Amalgamer la raison et la logique fondées sur la connaissance des droits personnels avec les processus de pensée affectifs. Le NYTimes et la revue Becker Hospital ont tous deux exhumé une étude de 2017 intitulée « Association of moral values with vaccine hesitancy » (association des valeurs morales avec l’hésitation vaccinale) qui faisait état d’associations significatives entre les notions de pureté et de liberté et l’hésitation. Plutôt que d’applaudir la connaissance des parents de leurs droits au consentement éclairé et des droits constitutionnels à l’autonomie corporelle, Becker’s Hospital Review explique qu’ « Il s’agit de croyances, pas de connaissances: Un ensemble de traits psychologiques lié au scepticisme à l’égard des vaccins » et le New York Times rapporte que « Le scepticisme à l’égard des vaccins était considéré comme un problème de connaissances. Il s’agit en fait de croyances viscérales. L’identification de ces traits psychologiques pourrait aider les responsables de la santé à convaincre la minorité non négligeable d’Américains qui ne veulent pas d’un vaccin contre le coronavirus. Le simple partage de l’information n’a pas fonctionné.« 
    Considérer la connaissance de ses propres droits comme des « croyances psychologiques profondément ancrées » est une considération sans appel. Elle obéit au modèle dans lequel l’une des parties à un débat tente d’orienter la discussion vers le domaine émotionnel en provoquant son adversaire. L’approche du NYTimes reprise par Becker Hospital Review est subtile: qualifier la connaissance des droits d’une personne d' »intuition morale » – affective, non fondée sur le fait de la loi – afin de pouvoir la dépeindre comme fallacieuse.
    Tiré du texte de Becker:
    « En 2018, des scientifiques ont trouvé des schémas similaires dans un large échantillon de personnes hésitant à se faire vacciner dans 24 pays.
    À la base, il y a ces intuitions morales – ces sentiments instinctifs – et elles sont très fortes’, a déclaré Jeff Huntsinger, PhD, un psychologue social à l’Université Loyola de Chicago… ‘Il est très difficile de les neutraliser avec des faits et des informations. On ne peut pas les raisonner de cette façon.' »
    Vous voulez dire que vous ne pouvez pas combattre les faits avec des mensonges, Jeff?
    Pour faire simple, le programme de manipulation de la perception des risques liés aux vaccins a échoué. Chacune des ressources citées partait de la fausse prémisse « Tout le monde sait que les vaccins COVID-19 sont le meilleur moyen de revenir à la normale » ou d’une formule similaire – certaines dataient même d’avant la mise au point des vaccins – pour ensuite dépeindre comme mentalement déficient quiconque montre l’une des compréhensions personnelles suivantes de l’équation risques/bénéfices:
    (a) le risque relatif de la vaccination est plus élevé que le bénéfice personnel de la vaccination, ou
    (b) le risque de la vaccination n’est pas suffisamment connu et/ou le bénéfice personnel potentiel n’est pas suffisamment connu, ou
    (c) ma perception et ma compréhension du risque de la vaccination ou du bénéfice de la vaccination ont été manipulées, et je n’ai donc pas confiance dans les allégations de bénéfice > risque, ou
    (d) ma perception et ma compréhension du risque ou du bénéfice de la vaccination reposent sur des informations solides, car j’ai fait preuve de diligence raisonnable et trouvé d’autres preuves ignorées par ceux qui promulguent le récit officiel.
    Toute personne assumant ces positions dispose d’un argument parfaitement rationnel pour refuser les vaccins COVID-19 en se basant sur des connaissances, la logique et la raison. Où vous situez-vous? Envoyez un commentaire ci-dessous.
    Tout ceci est un élément de la grande bataille pour le contrôle de notre pensée.
    Les oligarques aux commandes qui ont remplacé la médecine allopathique occidentale par le système de Santé Publique considèrent comme nécessaire la bataille visant à faire de la pensée rationnelle et de l’inférence un trouble psychologique, faute de quoi leurs chers programmes de vaccination ne pourront pas se poursuivre. Ils jouent la carte de l’incompréhension face à la spirale descendante de la confiance du public envers le CDC. Comme je l’ai expliqué ailleurs, chaque personne blessée, chaque parent ou enfant tué par des vaccins éveille davantage de personnes à la responsabilité légitime de faire ses propres choix de santé sur la base d’informations vérifiées. La confiance du public dans les « autorités » a disparu parce que celles-ci ont trahi cette confiance, à maintes reprises; l’utilisation de propagande ouverte à propos du COVID-19 a fortement renforcé la méfiance à l’égard des CDC, de l’industrie pharmaceutique et des médias.
    Leur avant-dernière tactique est la suivante: « maintenant, si vous n’êtes pas d’accord avec les récits dominants, vous êtes un malade mental ».
    Leur dernière tactique sera d’accuser les personnes qui décident de ne pas se faire vacciner de mettre en danger la santé mentale et la vie des autres. Il s’agit d’une tactique tirée du « premier programme de santé mentale » de la Chine, qui habilite le PCC à poursuivre un individu accusé de mettre en danger la santé mentale d’autrui.
    Une fois achevée la pathologisation de la logique et de la raison, nous verrons une nouvelle société dans laquelle les gens ne pourront pas aller à l’école, travailler, se marier, avoir des enfants, etc. à moins de passer le test de « croyance et compréhension normatives » de l’État. Ils seront bourrés de psychotropes, soumis à une rééducation visant à « normaliser » leurs processus cognitifs. L’utilisation de médicaments psychotropes aux États-Unis atteint des sommets – en 2012, l’APA a indiqué qu’un citoyen américain adulte sur cinq, soit 20 %, utilise aujourd’hui au moins une forme de médicaments psychotropes. Depuis, cette estimation a fluctué chaque année, jusqu’en 2021, date à laquelle les CDC ont indiqué qu’un Américain adulte sur cinq utilisait au moins une forme de médicament psychotrope « dans le contexte du COVID-19 » (soit une augmentation de 6,5 % par rapport aux années précédentes). Il ne fait aucun doute que l’industrie pharmaceutique est en train de ronger son frein pour trouver des moyens de faire figurer le reste d’entre nous – les 80% qui ne prennent pas encore de médicaments psychotropes – sur leur liste de consommateurs.
    Pendant ce temps, l’Organisation Mondiale de la Santé a fait de l’un de ses 30 points sur les considérations de santé mentale un décret selon lequel tous devraient « Assurer la disponibilité des médicaments psychotropes essentiels et génériques à tous les niveaux de soins de santé« .
    Le fait d’associer le scepticisme rationnel à un état clinique traitable n’est qu’un premier pas vers l’application clinique de modes de cognition spécifiques. C’est ce que nous ont enseigné de nombreuses œuvres de science-fiction, notamment le Brave New World d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell.
    De toute évidence, les mondialistes et leurs alliés de la Santé Publique n’ont pas été notifiés. Ces histoires dystopiques de science-fiction ont été présentées par leurs auteurs comme des avertissements, et non comme des recommandations.
    Vous aimez ce que vous avez lu? Envisagez de suivre des cours d’un semestre complet avec le Dr Lyons-Weiler et d’autres professeurs de l’IPAK-EDU! Les inscriptions sont ouvertes pour le trimestre d’été et les semestres d’automne! Vous ne le regretterez pas!

Texte original

The Pathologization of Reason, Logic and Knowledge Will End Western Civilization

Pulling a page from the CCP playbook, according to some, now you’re mentally ill if you question the official narrative. From 2021 onward, your brain is the battlefield. Protect it at all costs.

James Lyons-Weiler

May 17

A free full article, as always, full of links to reference material.

Two years before COVID-19, I warned that Pharma would work via our institutions toward mandating psychotropic medicines for the general population. With this article, I am ringing that alarm bell again. This a battle over rights, yes, and our brains are the battlefield.

Foundational knowledge – the basis of our understanding of reality – is not just in decay. It is being destroyed, systematically, by those who profit massively from imposed ignorance via censorship and the thought police. Without freedom of speech, there can be no freedom of thought. That’s one of the points that Benjamin Franklin made, writing as Silence Dogood, when he penned in the New England Courant (1722):

“Without Freedom of Thought, there can be no such Thing as Wisdom; and no such Thing as publick Liberty, without Freedom of Speech; which is the Right of every Man, as far as by it, he does not hurt or controul the Right of another: And this is the only Check it ought to suffer, and the only Bounds it ought to know.

“This sacred Privilege is so essential to free Governments, that the Security of Property, and the Freedom of Speech always go together; and in those wretched Countries where a Man cannot call his Tongue his own, he can scarce call any Thing else his own. Whoever would overthrow the Liberty of a Nation, must begin by subduing the Freeness of Speech; a Thing terrible to Publick Traytors.”

The realities that I, and others, had been reporting on as early as February 2020 are now vividly obvious as fact to nearly any thinking individual. During the past two years, your thought processes – your knowledge – your understanding – of the reality of disinformation campaigns about COVID-19, COVID-19 vaccines, and COVID-19 treatments has become pathologized in the biomedical literature to an extent that is difficult to imagine. This #PopularRationalism article chronicles that gaslighting in detail cataloging and characterizing their various methods of pathologizing dissent.

The number of articles, studies, letters to the editor, and online medium reports that represent thought processes of rational skepticism and critical analysis of clearly fraudulent messaging is stunning.

From early 2020 onward, hundreds of individuals bent on spreading their belief and faith in Fauci’s multifaceted misleading messaging attempted to pathologize (that is, turn into clinical psychiatric disease) vaccine risk awareness. Vaccine risk awareness is one of phrases I offered to counter the label “anti-vaccinism”; it was made popular in 2015 by a mention by Del Bigtree on The Highwire. Vaccine risk awareness is the knowledge of vaccine risk coupled with the knowledge of programs designed to minimize the public’s perception of risk).

There seem to be multiple approaches to the pathologization of vaccine risk awareness – and with it the best tools we have as a society for a rational and scientific basis for a stable future. Based on my deep dive into the issues, these include:

  • Association of mental illness with vaccine skepticism. The best examples of this include an April 2020 report from the UK’s University of Manchester that claimed that children of mentally ill others are less likely to be vaccinated. The article claimed that since 1/4 of mothers in the UK are mentally ill, 1/4 of the children in the UK could be a risk. The report did not seem to be bothered by their own statistic that 1/4 of mothers in the UK are mentally ill.
  • Armchair Psychology. This is exemplified by articles that list – and apparenly just make up out of thin air – “facts” about those who understand better than others the risks and lack of benefit of COVID-19 vaccines – such as “The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal” from TheConversation (Sept 29, 2021). Among the “psychological” barriers listed? Mistrust of ingredients. “Crisis of confidence”. “Dependency and conflict avoidance”. “Sense of rejection and exclusion”. “Anxiety and denial”. “Feeling of helplessness”. Read the article and see if you agree with me – these are not psychological barriers. “Sense of rejection and exclusion?” Yes, pretty much if you’re fired from your job or excluded from your community by the majority who vaccinated – and who now still get and spread COVID-19, you’re going to initially feel a sense of rejection and exclusion because that’s what the f- happened to you. Any crisis of confidence is really a problem for those perpetuating the con.
  • “Studies” attributing vaccine risk awareness directly to mental illness.
    A good example is the review article “Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy” (May 2021, Irish Journal of Medical Science). The authors write:
    “The concept of “vaccine hesitancy” is seen by the World Health Organization (WHO) as “one of the top ten threats to global health.” It is wondered whether the COVID-19 outbreak, which can be defined as a global and emergency situation, will solve the vaccine rejection problem that is worrying for public health for the last few decades [3]. Most of the current literature on vaccine hesitancy and resistance focuses on the clear causes individuals exhibit against a particular vaccine or vaccination programs in general [4]. Identifying psychological processes that distinguish vaccine-hesitant and resistant individuals from vaccine-sensitive individuals will be a guiding approach [5]. This approach may also provide the opportunity to adapt public health messages in accordance with the psychological tendencies of these individuals [6]. To date, many psychological structures have been investigated in relation to vaccine hesitancy. For example, altruistic beliefs [7]; personality traits neuroticism and conscientiousness [8]; conspiracy, religious, and paranoid beliefs [9]; distrust of authorized members of society such as government officials, scientists, and healthcare professionals have been associated with negative attitudes towards vaccines [12].”
    Note the target is “psychological structures”. The authors fail to explore or relay the legitimacy of the basis of any of these factors, notably the well-earned mistrust of what they call “authorized members of society”… the authorities who have been shown to be wrong on just about every knowledge claim they have tried to make. Their mixed bag of alleged vaccine-risk related psychoses themselves are detached from reality: most are examples of confirmation bias based the false presumption of vaccine safety.
    Another example is the article in BMJ Open that linked “vaccine hesitancy” to childhood trauma. I’ll summarize how I interpret the results first: People who have experienced childhood trauma are less easy to gaslight. No surprise there. Again, the authors suggest perception manipulation, not correcting what’s wrong with the vaccines or the studies hiding early treatment efficacy:
    “A better understanding of how to increase their trust in health systems and compliance with health guidance is urgently required. Without consideration of how best to engage such individuals, some risk being effectively excluded from population health interventions, remaining at higher risks of infection and posing a potential transmission risk to others.”  -BMJ
    Other examples include those in an entire Special Issue of the MDPI Journal Vaccines to “Psychological Aspects of COVID-19 Vaccine Uptake: Principles and Empirical Strategies”, with Editors Efrat Neter (Israel) and Karen Morgan (UK). Their call for papers reads, in part:
    “As you are all well aware, developing a vaccine for COVID19 is our best hope for successfully confronting the current global epidemic. However, coming up with an effective vaccine (or several of them) is not enough: People need to actually take the vaccine. To achieve a more extensive understanding of recent scientific knowledge as it applies to possible COVID19-related vaccines (emphasis added), this Special Issue will focus on the critical issues, challenges, successes, and new ways of thinking about uptake of a COVID-19 vaccine.”
    How about fixing what’s wrong with the vaccines? There is little doubt that the journal would ever publish any paper that reports the facts (a) that the explicit assumption for the justification of the Special Issue has been shown to be false (see c19study.com), (b) the fact that manipulating people into taking a worse-than-useless vaccine moot and is highly unethical and is, indeed reckless – as evidenced by all of the real-world data on negative efficacy, and Dr. Fantini’s results on antibody dependent enhancement.
    Another example of a “study” that points to psychological factors determining vaccine risk awareness (I’m sorry, I meant “vaccine hesitancy”) is: No psychological vaccination: Vaccine hesitancy is associated with negative psychiatric outcomes among Israelis who received COVID-19 vaccination. The authors claim that their results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. It’s a weird “study” because, well, true vaccine risk awareness is not represented in their sample (the study participants were all vaccinated), and the authors seem to have suspended the law of causality: if people are vaccinated and become “vaccine hesitant” and have new anxiety, new depression, or are suffering from peritraumatic distress, might one reasonably look to the vaccine as a potential contributor to these mental states? The authors’ full conclusions:
    “The results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. These findings support the notion that holding ambivalent attitudes toward vaccination are related to mental health morbidity (Fusick et al., 2020). Furthermore, it seems that receiving COVID-19 vaccinations does not eliminate the effect of VH on psychiatric morbidity, and that some individuals who report VH continue, despite their decision to receive the vaccine, to demonstrate clinical levels of anxiety, depression, and stress, possibly due to their fears regarding its safety and long-lasting effects (Palamenghi et al., 2020).”
    What a contortion of logic. Basic, simple logic tells us that when people who are vaccinated are told they will still need to mask; they will still need to vaccinate over and over, after being promised a return to normal – well, many if not most people would feel distressed, put-upon and otherwise gas-lit.
  • Re-Re-Labeling. Articles describing vaccine resistance various as “vaccine hesitancy” are well known, but do you know of the attempt to shift that terminology to “vaccine anxiety”?
    Here’s an article from September, 2021, that proposed that “Anti-vaccine protesters fueled by existential anxiety”, citing a psychologist from Acadia University (Joseph Hayes) who also suggest that the best way to convince people protesting COVID-19 vaccine mandates was to “promote the idea that getting vaccinated will help people regain the freedoms they had before the pandemic” and also “‘the personal value or heroic nature’ of getting vaccinated”. Of course, we all now know that COVID-19 vaccines do not stop the spread of SARS-CoV-2, and Hayes does not know about Dr. Fantini’s findings that vaccination against the Wuhan variant could, after Beta, lead to antibody-dependent enhancement. Hayes is a psychologist who studies some interesting aspects of how people respond to threats, but he is none of the following: a vaccinologist, an epidemiologist, a virologist, an evolutionary biologist. This person is willing to speak about things beyond his area of expertise, offering a clearly manipulative manner, holding personal freedom out as bait for self-exposure to risks that were, in Sept 2021, abundantly evident.
    This move to recast rational skepticism as “anxiety” associates existing (established) clinical anxiety with vaccine refusal. Here’s an article from Ilene Rush, a freelance essayist and fiction writer: “How to Handle Coronavirus Vaccine Anxiety”. She offers “While widespread vaccination offers the best hope to end the COVID-19 pandemic, mental health stressors (call it COVID vaccine anxiety) are making some people less willing to receive a shot.” Rush cites Thea Gallagher, PsyD, assistant professor and director of Outpatient Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety (CTSA) in the Perelman School of Medicine at the University of Pennsylvania thusly: “The best way to combat vaccine hesitancy from anxiety is with reputable data” – in other words, accept the narrative in spite of fraudulent studies allegedly “showing” that ivermectin is not effective; in spite of the fact that the data from Israel, Barnstable County and elsewhere showed negative efficacy, and in spite (again) of Dr. Fantini’s remarkable results that show that ADE has been occurring since December 2020 – right from the start of the vaccine program.
    Gallagher believes that she has the solution for vaccine anxiety. First, she says cite “reliable sites” for “valid information”…
    “‘Among reliable sites she recommends for valid information are the Centers for Disease Control, which works to put out clear data as quickly as possible. Or, refer to a trusted infectious disease specialist such as Dr. Anthony Fauci or a vaccine expert such as Paul Offit, MD. Or contact your own doctor or an infectious disease doctor you trust to talk about your fears.”
    I doubt the fallacy invoked here needs to be explained.
    She then offers other “tips” to “combat anxiety” over the COVID vaccine, including, literally, per her direction, restricting your thought (of course):
    • “Check your imagination (emphasis added): COVID vaccine anxiety is often fueled by ‘what-if’s’—imagined scenarios of the many ways events can head south. For example, if you fear getting the vaccine because you might have an allergic reaction, consult the facts: one study of the Pfizer vaccine showed that allergic reactions occurred about 11.1 times per million patients. Know that before you receive a vaccine you must complete a questionnaire on your history of allergic reactions from earlier injections. (emphasis added). In addition, you will be asked to remain at the vaccination center for 15 to 30 minutes to assure a reaction does not occur. (JLW: “Check your imagination” means “do not use the powers of logical inference that we normally use: If it happens to others, it might happen to me”. Regarding allergy, ironically, she is medically negligent per CDC’s Table 4.
      Under her advice, you will still be vaccinated, with no concern over long-term chronic problems with anaphylaxis that occur in some people following vaccination).
    • “Run a risk-benefit analysis: Thinking of the vaccine in terms of risk vs. benefits may help reframe your COVID vaccine anxiety since the risks of contracting COVID-19 are much worse than any risk posed by vaccines. “Remember that pregnant women are currently receiving the vaccine because the risks of coronavirus are much worse than taking the shot,” says Gallagher.
      Here she ignores the fact that any risk-benefit analysis on vaccines and public health requires perfect correspondence between the messaging on risk and the actual risk itself, with all evidence pointing to vaccine risk, injury and death denialism and risk perception minimization as the M.O.s to increase vaccine uptake.
    • Stay in the moment: In practical terms, Gallagher suggests setting up a clear plan: map how and when you will get to the vaccination center, how you will get the shot, how you will sit afterward to wait for any negative reaction. “Work on what you need to do to follow through with each step and avoid anticipating the worst,” she advises.
      After telling you to shut down your own forecasting, she then wants to tell you the imagining – the forecasting and planning – you are allowed to do. Incredible.
      She then recommends therapy, completing the pathologization message (if you don’t agree the the mainstream narrative, there’s something wrong with you and you need clinical help):
      “If anxiety continues to keep you from getting a shot, or if you’ve researched everything from reliable sources and you’re still too scared to sign up for a vaccine, or if you’ve made an appointment and avoided it, then you might need to see a therapist for help,” she said.
  • Blaming “Vaccine Anxiety” on “Misinformation”. The Journal of Family Medicine and Primary Care published a Letter to the Editor entitled « Misinformation induced anxieties and fear affecting vaccination programs » by two authors. These authors attribute “vaccine hesitancy” to
    “high levels of psychological dispositions such as (i) needle/blood sensitivity (anxiety), (ii) need for cognitive closure (lack of tolerance to ambiguity), and (iii) desire for moral purity (feelings of disgust) are related with vaccine misinformation and hesitancy. The people on first two were more susceptible to vaccine misinformation, and the third was less likely to be affected by misinformation. While vaccine refusal or hesitancy may be associated with the mentioned factors, some emotional factors may cause hesitancy, such as choosing to suffer negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated.”
    and they suggest that
    “Social psychology can play a significant role in transforming the attitudes and perception of people, reminding them of social norms where people see getting vaccination is a norm and using social psychological theories in altering the behaviour of people.”
    Again, their solution is to manage the perception of risk, but do nothing to mitigate actual risk. All they have is denialism. And in this one, the act of “suffer(ing the) negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated is portrayed as a risk for spreading COVID-19. If people understand the risks, the cost of the cited “negative consequences of rejection” must be considered to be small compared to the cost of acute and chronic adverse reactions. How can this be so, if the world is blanketed and carpeted with disinformation about vaccine risk?
  • Conflating Reason and Logic Based on Knowledge of Personal Rights with Affective Thought Processes. The NYTimes and Becker Hospital review both dredged up a 2017 study “Association of moral values with vaccine hesitancy” that reported significant associations of purity and liberty with hesitancy. Rather than applaud parents’ knowledge of their rights to informed consent and the constitutional rights to bodily autonomy, Becker’s Hospital Review reported “It’s about beliefs, not knowledge: Set of psychological traits linked to vaccine skepticism” and the New York Times reported Vaccine Skepticism Was Viewed as a Knowledge Problem. It’s Actually About Gut Beliefs. Identifying those psychological traits may help health officials convince the sizable minority of Americans who don’t want a coronavirus vaccine. Simply sharing information hasn’t worked.”
    To consider knowledge of one’s own rights as “deeply held psychological beliefs” is beyond reproach. It’s consistent with the pattern in which one party in an argument attempts to move the discussion to an emotional realm by provoking their opponent. The approach by NYTimes parroted by Becker Hospital Review was subtle: label a person’s knowledge of rights as “moral intuition” – affective, not based on the fact of law – so they might portray them as spurious.
    From Becker:
    “In 2018, scientists found similar patterns in a broad sample of vaccine-hesitant people in 24 countries.
    ‘At the root are these moral intuitions — these gut feelings — and they are very strong,’ said Jeff Huntsinger, PhD, a social psychologist at Loyola University Chicago… ‘It’s very hard to override them with facts and information. You can’t reason with them in that way.’”
    You mean you can’t fight facts with falsehoods, Jeff?
    Put simply, the vaccine risk perception manipulation program has failed. Each of the resources cited started with the false premise “Everyone knows COVID-19 vaccines are the best way back to normal” or similar – some even before the vaccines were developed – and then went on to portray as mentally defective anyone who holds any of the following personal understanding of the risk/benefit equation:
    (a) the relative risk of vaccination is higher than the personal benefit of vaccination, or
    (b) the risk of vaccination of not sufficiently well-known and/or the potential personal benefit is not sufficiently well known, or
    (c) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination has been manipulated, and I therefore do not trust any claim of benefit > risk, or
    (d) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination is based on solid information because I did my due diligence and found other evidence ignored by those who promulgate the official narrative.
    Anyone with these positions has a perfectly rational argument for refusing COVID-19 vaccines based on knowledge, logic and reason. Where do you fall? Drop a comment below.
    This Is Part of a Larger Battle Over Our Minds
    The oligarchs in charge who have replaced Western allopathic medicine with Public Health see the battle to make rational thought and inference a psychological disorder as necessary, otherwise, their beloved vaccination programs will not be able to continue. They act befuddled in the face of the downward spiral in public trust of the CDC. As I’ve explained elsewhere, every injured person, every dead parent or child killed by vaccines awakens more people to the legitimate responsibility of making one’s own health choices based on verified information. The public trust in “authorities” is gone because they have betrayed that trust, time and again; the use of overt propaganda on COVID-19 has largely cemented distrust in the CDC, Pharma and MSM.
    Their second-to-last-best gambit is “now, if you disagree with the core narratives, you are mentally ill”.
    Their last-best gambit will be to accuse individuals who decide to not vaccinate of putting other people’s mental health and lives at risk. This is a tactic taken from China’s “first mental health program”, which empowers the CCP to prosecute an individual charged with endangering the mental health of others.
    Once the pathologization of logic and reason is complete, we’ll see a new society in which people will not be able to go to school, work, get married, have children, etc. unless they can pass the State’s “Normative Belief and Understanding” test. They will be drugged up, subjected to re-education to “normalize” their cognitive processes. The use of psychotropic medicine in the US is off the charts – in 2012, APA reported that one is five, or 20% of adult American citizens are now using at least one form of psychotropic medicines. That estimate has varied every year since then, until 2021 when CDC reported that 1 in 5 adult American citizens are using at least one form of psychotropic medicines “amid COVID-19” (allegedly up 6.5% from previous years). Pharma is not doubt chomping at the bit to find ways to get the rest of us – the 80% not yet on psychotropic medicines – on their consumer list.
    Meanwhile, the World Health Organization made one of its 30-points about mental health considerations a decree that all should “Ensure availability of essential, generic psychotropic medications at all levels of health care”.
    The association of rational skepticism with a treatable clinical conditions is just a first step toward clinical enforcement of specific modes of cognition. We’ve seen this in so many sci-fi pieces – from Aldous Huxley’s Brave New World and George Orwell’s 1984, among others.
    Evidently, the globalists and their allies in Public Health did not get the memo. These dystopian sci-fi stories were offered by their authors as warnings, not as prescriptions.
    Like what you’ve read? Consider taking full-semester courses with Dr. Lyons-Weiler and other faculty at IPAK-EDU! Registration is open for the summer term and Fall Semesters! You won’t regret it!

Consolidation des systèmes mondiaux de prévention et de réaction aux menaces biologiques à haut risque – extraits.

« Si la loi exige que chaque paquet de cigarettes porte la mention « Le tabac est nocif pour votre santé », pourquoi ne pas proposer un projet de loi qui rende obligatoire de mentionner sur la couverture de chaque livre marxiste: « L’application de cette théorie a entraîné la mort de plusieurs dizaines de millions d’hommes au cours des derniers soixante ans »? Un tel projet de loi ne serait pas compris, car le marxisme est devenu partie intégrante de la mentalité occidentale. »

Vladimir Boukovski – Cette lancinante douleur de la liberté

Je vous agonis encore de quelques articles sur le dossier « sanitaire ». Pas pour vous torturer – c’est le boulot des médias et des gouvernements – mais parce que je voudrais vraiment passer au chapitre géoingénierie, que j’ai mis en veilleuse depuis plus d’un an. J’ai promis à Nikki Florio de BeeHeroic de faire le boulot pour le public francophone, avec sa précieuse et scientifique collaboration. Protéger la nature est un sujet un peu plus vivant et motivant que la mort et la maladie. En attendant, je fais le tour des dernières nouveautés sur le Covid et bien entendu sur notre nouvel amie, la variole du singe – dont le profil semble tout aussi atypique que le Covid et qui aurait fait l’objet de (Ô surprise!) recherches sur le gain de fonction, info à scrupuleusement vérifier.

On se penche ici sur le compte-rendu de ce désormais célèbre exercice de simulation. J’en avais déjà traduit une bonne partie avant de réaliser à quel point ça allait ennuyer le lecteur, pour le dire poliment. J’ai donc laissé tombé la toute fin du texte (la Quatrième constatation) – si vous y tenez absolument, faites-le moi savoir et je finis le boulot. De toute manière, ce genre de littérature hermétique n’est pas vraiment faite pour être lue de A à Z. Ce que j’ai traduit suffira à établir trois choses, sachant que le plus important est à trouver dans ce qui manque.

Premièrement, on a de nouveau affaire au schéma exercice/événement « réel », le premier précèdant de peu, voire chevauchant, le second. C’est une des signatures de quasiment tous les attentats sous faux drapeau (le plus récent étant évidemment l’Evénement 201/Covid). A ce stade il est prématuré de conclure avec certitude à un (nouvel) attentat sanitaire mais sans chercher plus loin, on voit déjà une énorme campagne de propagande médiatique couplée à une combine d’achat massif de vaccins – voir l’article précédent pour le cui bono.

Deuxièmement, les mesures envisagées ici sont de la même nature que celles du Covid, qui n’ont soit, selon les mêmes institutions qui les avaient initialement recommandées, servi à rien – masques, tests, confinements, distanciation sociale, traçage, interdiction des rassemblements, « aplatir la courbe » – soit à tuer un certain nombre de patients – respirateurs et subséquemment, « vaccins ». Zéro mention des traitements. Pour rappel, en décembre dernier, après avoir demandé à son équipe de calculer le taux de sous-déclaration des « événement indésirables » des injections Covid au VAERS et comparé le résultat avec d’autres recherches (taux probable=44, ce qui donnait un nombre réel de l’ordre de 388.000 décès), notre vieil ami Steve Kirsch a récemment mené une mini-enquête auprès de ses lecteurs pour estimer le nombre de décès post-vaccins toutes causes confondues aux Etats-Unis, ce qui donne la bagatelle de 500.000 décès. On peut émettre un doute sur sa méthodologie mais la progression semble cohérente. A ce stade, l’examen des données empiriques est en tout cas plus réaliste que d’attendre que les états publient honnêtement les chiffres. Pour en revenir au document ci-dessous, le plus beau est qu’on présente ici la recherche « à double usage » [dual-use research], c’est-à-dire la militarisation des pathogènes destinée à « prévenir » une éventuelle future épidémie/attentat sanitaire, comme l’ultime mesure de prévention. Après tout ce qui vient de se produire depuis deux ans et demi, ces gens ne manquent pas de toupet. Le Sars-CoV-2 était censé faire partie de ce type de recherche et on a vu à quel point ça a donné une prévention efficace. Notez aussi le mensonge « Comme on le sait, un certain nombre de pays plus riches, dotés de solides systèmes de santé publique, n’ont pas réagi de manière proactive et opportune et ont donc connu des résultats bien pires que les nations moins riches mais qui ont réagi de manière plus proactive. »

Troisièmement, à aucun endroit dans le texte il n’est question de libre consentement, de choix individuel ou de quoi que ce soit de cet ordre. Cette nouvelle crise surgit au moment opportun où l’OMS tente d’établir son projet de contrôle absolu sur les politiques sanitaires des gouvernements nationaux, qui devront abandonner toute souveraineté en cas « d’urgence », même genre de rouleau compresseur politique qui se met en marche dans le domaine du climat. On « exigera que l’ensemble du gouvernement s’engage rapidement, afin que les obstacles bureaucratiques internes ne causent pas de retards critiques. » Apparemment, question bureaucratie, on est pas encore arrivés au niveau d’inhumanité nécessaire pour le Grand Reset. On parle pourtant ici des mêmes gouvernements qui ont interdit les traitements précoces (hydroxychloroquine, ivermectine, etc.), imposé « l’euthanasie » des vieux en institution, d’abord au Rivotril puis au « vaccin » (encore un exemple récent, assez spectaculaire). Ils continuent donc sur leur lancée, en toute impunité.

En définitive, cet exercice tient plutôt d’une assemblée de propriétaires qui discute de la gestion d’une épidémie dans un cheptel d’animaux d’élevage. Si vous suivez ce qui se passe dans ce domaine, vous aurez constaté que la solution vedette est soit le confinement extrême, soit l’abattage massif – comme pour les humains, mais en moins discret. Vous remarquerez aussi que le scénario « terroriste » correspond assez fidèlement à ce que nous annonçait l’oracle/médecin en chef/devin-plombier Gates dans cet article.

Tant que nous laisserons ces criminels contrôler le réseau sanitaire, ils feront ce qu’ils veulent, comme ils veulent, à qui ils veulent.

« Sans regrets ».

Source.


Traduction (extraits)

Consolidation des systèmes mondiaux de prévention et de réaction aux menaces biologiques à haut risque

Résultats de l’exercice de simulation de 2021 mené en partenariat avec la Conférence de Munich sur la Sécurité

RÉSUMÉ

En mars 2021, la NTI s’est associée à la Conférence de Munich sur la Sécurité pour mener un exercice de simulation sur table sur la réduction des menaces biologiques à haut risque. L’exercice a examiné les lacunes dans les architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies – en étudiant les possibilités d’amélioration des capacités de prévention et de réponse aux événements biologiques à haut risque. Ce rapport résume le scénario de l’exercice, les principales conclusions de la discussion et les recommandations pratiques destinées à la communauté internationale.

[…]

Résumé exécutif

En mars 2021, l’Initiative sur la Menace Nucléaire (Nuclear Threat Initiative – NTI) s’est associée à la Conférence de Munich sur la Sécurité (Munich Security Conference – MSC) pour réaliser un exercice de simulation portant sur la réduction des menaces biologiques à haut risque. Réalisé virtuellement, l’exercice a permis d’examiner les lacunes des architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies et d’explorer les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réponse aux événements biologiques à haut risque. Parmi les participants figuraient 19 hauts responsables et experts venus d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe et possédant des décennies d’expérience combinée dans les domaines de la santé publique, de l’industrie biotechnologique, de la sécurité internationale et de la philanthropie.

Le scénario de l’exercice décrivait une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe, apparue dans la nation fictive de Brinia et qui s’est propagée dans le monde entier en 18 mois. En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène fabriqué dans un laboratoire dont les dispositions en matière de biosécurité et de sûreté biologique étaient inadéquates et dont la surveillance était faible. À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde.

[…]

La discussion a été organisée en trois « mouvements » séquentiels correspondant aux développements du scénario, suivis d’une table ronde sur les questions plus générales de biosécurité et de préparation à la pandémie. L’approche par étapes pour révéler les développements du scénario reflétait les limites des informations dont disposent les décideurs du monde réel, ainsi que l’incertitude qui en résulte, associée à une pandémie d’origine inconnue (voir Figure 1).

Le premier mouvement (qui se produit le 5 juin 2022, selon le calendrier du scénario) commence par une épidémie inhabituelle de variole du singe à Brinia (250 millions d’habitants), avec des rapports faisant état de 1 421 cas et de quatre décès. Il n’y a pas de preuve immédiate d’une propagation internationale, mais l’épidémie a lieu pendant une fête nationale avec de nombreux déplacements nationaux et internationaux des Briniens. La variole du singe n’étant pas naturellement présente à Brinia, les experts locaux et internationaux considèrent cette épidémie comme inhabituelle. Le gouvernement brinien accueille favorablement les enquêtes internationales sur les épidémies et demande l’aide médicale de l’OMS. Le séquençage du génome d’échantillons de patients atteints de variole du singe révèle que la souche présente à Brinia contient des mutations qui la rendent résistante aux vaccins existants.

La discussion qui a suivi a porté sur la manière dont le système international est positionné pour analyser les premiers indicateurs du risque de pandémie et pour communiquer les avertissements appropriés.

Le deuxième mouvement (10 janvier 2023) se produit six mois plus tard. À ce moment-là, le virus s’est propagé dans 83 pays, avec 70 millions de cas signalés, causant plus de 1,3 million de décès. En l’absence de thérapies ou de vaccins efficaces connus, les pays ont dû s’appuyer principalement sur des interventions non pharmaceutiques (INP) pour atténuer les effets de la pandémie. Mettant en évidence des résultats nationaux très différents dans la gestion de la pandémie, certains gouvernements, dont la République fictive de Dranma, ont rapidement adopté des mesures agressives pour ralentir la transmission du virus en interdisant les rassemblements de masse, en imposant des mesures d’éloignement social et en mettant en place des obligations de port de masque. Ces pays ont également mis en place des opérations de dépistage et de recherche des contacts à grande échelle et renforcé leurs systèmes de santé pour faire face à l’augmentation prévue du nombre de cas. En revanche, le scénario dépeint un autre groupe de pays, dont le Cardus fictif, qui ont donné la priorité au maintien de l’ouverture de leur économie, à la mise en place de peu ou pas d’INP et à la minimisation du virus et de ses impacts potentiels. Ces pays ont connu des résultats bien pires en termes de maladie et de mortalité (figure 2) que ceux qui ont réagi rapidement et énergiquement. Comme le montre la figure 3, Dranma a connu beaucoup moins de cas et de décès que Cardus.

La discussion des participants lors du mouvement 2 s’est concentrée sur l’exploration des conditions qui devraient déclencher des actions nationales de réponse à la pandémie et sur la discussion des stratégies et des défis pour la mise à l’échelle des interventions de santé publique.

Le troisième mouvement (10 mai 2023) se déroule 12 mois après l’épidémie initiale, avec plus de 480 millions de cas et 27 millions de décès dans le monde (figure 4). À ce stade, les participants apprennent que la pandémie a été provoquée par une attaque bio-terroriste régionale qui a largement dépassé les objectifs de ses auteurs.

Plus précisément, les services de renseignements briniens révèlent que le virus de la variole du singe a été développé de manière illicite dans le principal institut de virologie du pays fictif d’Arnica. Arnica (75 millions d’habitants) a toujours été en conflit avec son voisin Brinia (voir la carte de la figure 5). Un groupe terroriste arnicain indépendant – la SPA – a travaillé avec des scientifiques de laboratoire sympathisants pour créer un agent pathogène mortel hautement contagieux et le disperser dans les gares bondées de Brinia pendant la fête nationale, alors qu’une grande partie de la population voyageait à l’intérieur du pays et à l’étranger.

La SPA a exploité la faiblesse du gouvernement arnicain en matière de surveillance de ses laboratoires de recherche en sciences biologiques. Des sympathisants de la SPA travaillant dans le principal institut de virologie d’Arnica ont utilisé des publications scientifiques accessibles au public pour guider leurs travaux visant à modifier le virus de la variole du singe afin de le rendre plus transmissible et résistant aux vaccins actuellement disponibles.

La discussion du mouvement 3 a porté sur la gouvernance de la recherche bioscientifique à double usage ainsi que sur les faiblesses actuelles des systèmes de biosécurité et de sûreté biologique qui exacerbent les risques biologiques.

La phase finale de l’exercice a consisté en une table ronde qui a examiné les disparités en matière de préparation à la santé publique dans le monde et la nécessité qui en découle de mettre en place des mécanismes de financement plus efficaces pour accélérer le renforcement des capacités de préparation à la pandémie. Reconnaissant que la préparation à une pandémie nécessite des investissements coûteux que les pays à revenu faible et moyen inférieur ne peuvent se permettre de faire, les participants ont été invités à discuter de stratégies visant à catalyser ces investissements de manière durable.

[…]

Résumé de la discussion et des conclusions de l’exercice

Les discussions qui ont eu lieu tout au long de l’exercice de simulation ont permis de dégager un large éventail d’informations et de conclusions essentielles. En particulier, les participants à l’exercice ont convenu que, malgré les améliorations apportées à la suite de la réponse mondiale au COVID-19, le système international de détection, d’analyse, d’alerte et de réponse aux pandémies est terriblement inadéquat pour relever les défis actuels et futurs.

Les participants à l’exercice s’accordent à dire que les lacunes de l’architecture internationale de biosécurité et de préparation aux pandémies sont importantes et fondamentales, et qu’elles sapent la capacité de la communauté internationale à organiser des réponses efficaces aux futurs événements biologiques – et ils notent qu’une préparation robuste nécessitera une transformation fondamentale sur plusieurs fronts. Compte tenu de la latence inhérente à l’acquisition de données définitives sur les menaces de pandémie (répartition géographique, taux de transmission et létalité) et des conséquences très graves d’un retard dans la réponse à une pandémie, les participants ont observé que le système international et les gouvernements nationaux doivent être transformés pour mettre l’accent sur des actions d’anticipation prédéterminées « sans regrets ». Un tel système nécessite des améliorations significatives de la capacité de la communauté internationale à détecter, évaluer et alerter sur les menaces de pandémie, ainsi qu’à développer des plans de réponse proactifs au niveau national et des organes de décision. Les participants s’accordent à dire que la communauté internationale doit également renforcer son système de gouvernance pour la recherche sur les sciences de la vie à double usage, et ils concluent que les gouvernements du monde entier sous-investissent gravement dans la préparation aux pandémies, en particulier dans les pays à revenu faible et moyen inférieur. Ces résultats consensuels encadrent les conclusions plus détaillées présentées ci-dessous.

Première constatation

La communauté internationale a besoin d’un système de détection, d’évaluation et d’alerte précoce plus robuste et transparent, capable de communiquer rapidement des alertes exploitables sur les risques de pandémie.

Les participants à l’exercice ont constaté que le monde continue de manquer d’un système cohérent de détection et d’évaluation des pandémies qui serait efficace dans toute la gamme des scénarios plausibles. Dans cet exercice, le scénario décrivait sans doute le « meilleur cas » où le pays d’origine signalait ce qu’il savait à l’OMS en temps utile et accueillait favorablement l’enquête internationale. Pourtant, même dans ce cas, les participants à l’exercice se sont inquiétés du fait qu’il serait extrêmement difficile de discerner les signaux d’alerte suffisamment tôt pour contenir ou au moins atténuer les effets de l’épidémie initiale.

Par conséquent, plusieurs participants ont souligné que la communauté internationale avait besoin d’un réseau de biosurveillance international mieux coordonné, qui intègre également le séquençage du génome des agents pathogènes. En examinant le potentiel pandémique des épidémies, les participants à l’exercice ont identifié un certain nombre d’indicateurs clés pour un système efficace d’évaluation des risques basé sur les données de biosurveillance.

Les participants ont souligné que les indicateurs les plus importants pour analyser le potentiel pandémique d’une épidémie sont son épidémiologie et la distribution géographique des cas. Un nouveau virus jugé hautement virulent et transmissible, que ce soit sur la base d’observations épidémiologiques directes ou d’autres prédictions fondées sur des preuves, méritera une attention particulière. L’analyse d’autres caractéristiques du virus sera également importante. Par exemple, le virus change-t-il et/ou est-il différent des variants précédemment détectés ? Un participant a fait remarquer que le nombre de décès ne serait pas une bonne mesure à suivre au début d’une pandémie, car il s’agit d’un indicateur tardif à un moment où la croissance des cas est exponentielle.

Les participants ont également suggéré que la prise en compte du contexte social, politique et économique du pays d’origine ou de la détection initiale pourrait être utile pour l’évaluation des risques. Les facteurs clés comprennent le degré d’ouverture sociétale du pays et l’ampleur des voyages internationaux à travers ses frontières – deux caractéristiques qui pourraient contribuer à une propagation plus rapide. Il convient également de prendre en compte la solidité du système de santé publique du pays et de déterminer si la population réduit le risque de propagation en utilisant des IPN et en évitant les rassemblements de masse.

Dans la séquence d’événements qui suit la détection et l’analyse, l’étape suivante est l’alerte. Tous les participants ont convenu que le principal moyen d’alerte internationale au risque de pandémie actuellement en place – la déclaration par le directeur général de l’OMS d’une Urgence de Santé Publique de Préoccupation Internationale (Public Health Emergency of International Concern – PHEIC) – nécessite une réforme importante. Parmi les lacunes qu’ils ont identifiées dans l’approche actuelle des PHEIC figure le fait qu’il s’agit d’un outil binaire pour un monde où les risques de pandémie sont caractérisés par différents niveaux de risque qui évoluent dans le temps. L’approche actuelle des PHEIC peut regrouper des risques tels qu’une épidémie régionale limitée d’Ebola et un événement biologique catastrophique à l’échelle mondiale. Les deux sont préoccupants, mais à des degrés très différents, et ils justifient des réponses différentes. La nature binaire de l’approche PHEIC crée aussi involontairement des incitations à retarder les alertes. En effet, si les analystes et les décideurs n’ont que deux choix, ils risquent de miser sur la certitude avant d’activer un système d’alerte international.

Les participants ont souligné qu’un système d’alerte pandémique graduel – analogue aux systèmes graduels utilisés pour les ouragans et autres catastrophes naturelles – constituerait sans doute un système plus souple, plus informatif et plus facile à mettre en œuvre pour communiquer les risques. En vertu du Règlement Sanitaire International actuel (RSI 2005), l’OMS pourrait être habilitée à fournir des évaluations de risque plus détaillées aux États membres. Un participant a fait remarquer que le passage formel du PHEIC de l’OMS à un système gradué pourrait nécessiter une modification du RSI, ce qui pourrait poser des défis politiques importants.

Les participants à l’exercice ont observé que, quels que soient les arrangements institutionnels particuliers choisis pour les systèmes internationaux de détection, d’analyse et d’alerte en cas de pandémie, ces systèmes doivent être transparents. En particulier, les délibérations qui se déroulent actuellement à huis clos – le Comité d’Urgence de l’OMS, par exemple – gagneraient à ce que, au minimum, un groupe d’experts extérieur puisse analyser les données et tirer des conclusions en parallèle. On peut penser que cela contribuerait à valider et à conférer un poids indépendant aux conclusions officielles, ou pourrait remettre en question les conclusions si elles sont incompatibles avec les données disponibles.

Évaluation des origines des épidémies

Les participants ont noté que les incidents biologiques d’origine inconnue présentent une lacune dans le système des Nations Unies. L’OMS, comme l’a souligné un participant, est l’équivalent pour les épidémies d’un pompier et non d’un policier; l’organisation est mieux adaptée à la santé publique et à la réponse médicale, et non aux enquêtes de sécurité. Dans les cas où une épidémie est délibérément provoquée, une enquête de sécurité menée par le mécanisme du Secrétaire général des Nations unies (UNSGM) serait appropriée. Cependant, les moyens par lesquels l’OMS et le Secrétaire général des Nations Unies opèrent en parallèle, voire en coordination, ne sont toujours pas clairs. Plus problématiques encore sont les cas où l’origine d’un incident n’est pas claire ou est suspecte. Dans ces cas, les rôles respectifs du Secrétaire Général des Nations Unies et de l’OMS doivent être clairement définis.

Les participants ont discuté d’autres défis politiques internationaux qui pourraient faire obstacle à une enquête efficace sur une épidémie. Premièrement, la communauté internationale exige la coopération et la transparence du pays d’origine présumé. Deuxièmement, bien que le Secrétaire Général ait le pouvoir d’utiliser son mécanisme d’enquête en réponse à une demande de n’importe quel État membre, ce mécanisme n’a jamais été utilisé pour enquêter sur un incident biologique, et les tensions entre les États membres de l’ONU pourraient causer des retards. De même, les objections de l’un des principaux États membres donateurs de l’OMS pourraient nuire à l’efficacité de l’organisation dans la coordination de la détection et de l’évaluation rapides.

Deuxième constatation

Les gouvernements devraient améliorer l’état de préparation en élaborant des plans d’intervention en cas de pandémie au niveau national, fondés sur un système cohérent de  » déclencheurs  » qui incitent à une action anticipée sur une base  » sans regrets « .

Les participants à l’exercice de simulation ont convenu que le scénario de l’exercice et les leçons plus larges tirées de la réponse mondiale au COVID-19 soulignent la nécessité d’établir des plans de réponse nationaux avec une série de  » déclencheurs  » de planification, ou conditions de seuil, qui garantissent des mesures anticipées dès le début d’une pandémie potentielle. Le scénario de l’exercice et la réponse au COVID-19 démontrent que les actions précoces des gouvernements nationaux ont un impact positif significatif sur la gestion de l’impact de la maladie. Étant donné que la nature de la transmission exponentielle de la maladie punit sévèrement les retards, même modestes, les réponses lentes des gouvernements nationaux entraînent une augmentation du nombre de cas, des taux de mortalité plus élevés, voire l’effondrement du système de santé publique et du système médical.

Les avantages d’une action précoce

Un participant a observé que les résultats de l’exercice étaient cohérents avec les performances nationales lors de la réponse au COVID-19; les gouvernements qui ont réagi rapidement et énergiquement aux alertes pandémiques ont beaucoup mieux réussi à protéger leurs populations. Comme on le sait, un certain nombre de pays plus riches, dotés de solides systèmes de santé publique, n’ont pas réagi de manière proactive et opportune et ont donc connu des résultats bien pires que les nations moins riches mais qui ont réagi de manière plus proactive.

Qu’est-ce qu’un élément déclencheur?

Dans les plans nationaux d’intervention en cas de pandémie, des mesures de préparation spécifiques seraient « déclenchées » en fonction de facteurs liés à la gravité potentielle de l’épidémie, aux retards prévus dans la connaissance de la situation et au temps nécessaire pour mettre en œuvre les mesures d’intervention et en voir les résultats.

Les participants ont souligné que les décideurs au niveau national doivent élaborer des plans de déclenchement qui mettent l’accent sur une action précoce  » sans regrets « . Bien qu’il existe inévitablement un risque de fausses alertes, les participants ont estimé que le risque de retard était bien plus dommageable. L’action, selon un participant, doit être la « voie par défaut » car  » nous ne pourrons pas nous permettre le luxe d’attendre une certitude « .

Bien que les actions déclenchées varient en fonction des besoins particuliers du pays, dans la plupart des cas, les objectifs sont les mêmes : ralentir la propagation de la maladie pour gagner du temps et aplanir la courbe épidémiologique, tout en utilisant ce temps pour renforcer les systèmes de santé publique et médicaux afin de faire face à l’augmentation du nombre de cas et de sauver des vies. Les IPN telles que les masques obligatoires et l’arrêt des rassemblements de masse ont été jugées essentielles pour bloquer les chaînes de transmission des maladies. Les participants n’ont généralement pas approuvé les restrictions de voyage telles que la fermeture des frontières, mais les mesures de dépistage de la santé des voyageurs ont été jugées utiles.

Grâce au temps gagné par les IPN, les participants ont plaidé pour le renforcement de diverses capacités. La priorité absolue est de mettre en œuvre des tests à grande échelle et d’accroître la capacité des systèmes de santé en termes d’installations et de personnel. En outre, les pays devraient accélérer la production de l’ensemble des fournitures essentielles qui pourraient autrement provoquer des goulets d’étranglement dans les opérations de réponse, notamment les masques, les équipements de protection individuelle (EPI) pour les agents de santé, les réactifs de test, les réservoirs d’oxygène et les respirateurs.

Les déclencheurs ne doivent pas se limiter aux actions ; ils doivent également porter sur les relations institutionnelles. En effet, un certain nombre de participants ont souligné que le processus décisionnel pangouvernemental pour la réponse à une pandémie au niveau national doit être planifié et exercé le plus tôt possible, avant la prochaine pandémie. Plusieurs participants ont fait valoir que la plupart des gouvernements nationaux ont trop de « silos » de prise de décision qui doivent être rapidement intégrés pour une réponse réussie à la pandémie. Une réponse nationale efficace,  » sans regrets « , exigera que l’ensemble du gouvernement s’engage rapidement, afin que les obstacles bureaucratiques internes ne causent pas de retards critiques.

Renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement en cas de pandémie

Tous les participants ont convenu que le renforcement de la résilience de la chaîne d’approvisionnement serait essentiel dans les futures interventions en cas de pandémie, mais ils ont divergé sur la manière de relever le défi. En particulier, un débat s’est engagé sur la question de savoir si la bonne approche pour assurer la disponibilité des articles critiques consiste à constituer des stocks ou à maintenir une capacité de production « à chaud », ou un mélange des deux. Pour les articles ayant une longue durée de vie, comme les masques et autres EPI, certains participants ont fait valoir qu’il était prudent que les gouvernements nationaux et les institutions internationales constituent des stocks.

D’autres ont fait valoir que les gouvernements et/ou les organisations internationales devraient offrir des incitations pour maintenir ouvertes ou au moins « chaudes » les lignes d’approvisionnement à double usage – ce qui pourrait, par exemple, aider à la production à grande échelle de respirateurs pendant une urgence de santé publique internationale. Une solution scientifique et technique encore plus avancée, lorsque cela est possible, consisterait à développer des technologies de plate-forme, c’est-à-dire des outils permettant de mettre rapidement au point des diagnostics, des vaccins et d’autres contre-mesures médicales pour le large éventail d’agents pathogènes à potentiel pandémique.

Un participant a formulé une recommandation connexe en matière d’approvisionnement en vaccins qui établit un équilibre entre le stockage national et la coordination mondiale : il s’agit de sélectionner et de responsabiliser les gouvernements chefs de file dans chacune des régions du globe. Ce participant a notamment plaidé pour la création d’un réseau mondial de pays à faible population qui seraient chargés de fabriquer des vaccins à grande échelle pour leurs régions respectives. Une telle approche nécessiterait un accord régional et un financement coopératif pour renforcer les capacités des pays sélectionnés.

Troisième constatation

Le système international qui régit la recherche biologique à double usage n’est ni préparé à répondre aux exigences de sécurité actuelles, ni prêt à relever des défis beaucoup plus importants à l’avenir. Il existe des besoins de réduction des risques tout au long du cycle de vie de la recherche et du développement bioscientifiques.

Les participants à l’exercice ont discuté de l’importance de renforcer la biosécurité pour la recherche et le développement bioscientifiques. Les risques biologiques émergents associés aux progrès technologiques rapides ne sont pas nouveaux, mais les participants ont reconnu que la pandémie de COVID-19 a exacerbé ces risques. Ils ont souligné que la communauté internationale doit s’attendre à une expansion rapide des laboratoires à haut niveau de confinement (laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4), car un certain nombre de pays développent leurs capacités de recherche en biosciences et s’engagent dans davantage de recherches à double usage sur le SARS-CoV-2 et d’autres agents pathogènes à potentiel pandémique.

Les participants ont convenu que, bien qu’il soit essentiel d’éviter de restreindre la recherche biologique légitime, il est également crucial d’intégrer des mesures de biosécurité et de sûreté biologique plus strictes dans les processus de recherche et de développement bioscientifiques, depuis la conception et le financement du projet jusqu’à la publication ou la commercialisation de la technologie, en passant par l’exécution de la recherche.

Bailleurs de fonds

Au début du cycle de vie de la recherche et du développement, les bailleurs de fonds gouvernementaux, philanthropiques et industriels peuvent jouer un rôle dans l’examen précoce des projets de recherche proposés, créant ainsi un cadre plus solide pour la biosécurité et la recherche responsable. Les participants ont fait valoir que ces activités devront englober les bailleurs de fonds publics et privés, tout en reconnaissant que l’intégration de ces derniers peut être particulièrement difficile. Au cours de la discussion, plusieurs participants ont fait valoir que les bailleurs de fonds ne peuvent être le seul arbitre et que la mise en œuvre d’un examen de la biosécurité dans le cadre du processus d’évaluation pour le financement de nouveaux projets devra faire partie d’une solution plus globale.

[…]


Texte original (extraits)

Strengthening Global Systems to Prevent and Respond to High-Consequence Biological Threats

Results from the 2021 Tabletop Exercise Conducted in Partnership with the Munich Security Conference

SUMMARY

In March 2021, NTI partnered with the Munich Security Conference to conduct a tabletop exercise on reducing high-consequence biological threats. The exercise examined gaps in national and international biosecurity and pandemic preparedness architectures—exploring opportunities to improve prevention and response capabilities for high-consequence biological events. This report summarizes the exercise scenario, key findings from the discussion, and actionable recommendations for the international community.

[…]

Executive Summary

In March 2021, the Nuclear Threat Initiative (NTI) partnered with the Munich Security Conference (MSC) to conduct a tabletop exercise on reducing high-consequence biological threats. Conducted virtually, the exercise examined gaps in national and international biosecurity and pandemic preparedness architectures and explored opportunities to improve capabilities to prevent and respond to high-consequence biological events. Participants included 19 senior leaders and experts from across Africa, the Americas, Asia, and Europe with decades of combined experience in public health, biotechnology industry, international security, and philanthropy.

The exercise scenario portrayed a deadly, global pandemic involving an unusual strain of monkeypox virus that emerged in the fictional nation of Brinia and spread globally over 18 months. Ultimately, the exercise scenario revealed that the initial outbreak was caused by a terrorist attack using a pathogen engineered in a laboratory with inadequate biosafety and biosecurity provisions and weak oversight. By the end of the exercise, the fictional pandemic resulted in more than three billion cases and 270 million fatalities worldwide.

[…]

The discussion was organized into three sequential “moves” corresponding with scenario developments, followed by a roundtable discussion of broader biosecurity and pandemic preparedness issues. The step-by-step approach to revealing scenario developments reflected the limitations of information available to real-world decision makers, as well as the resulting uncertainty associated with a pandemic of unknown origin (see Figure 1).

Move 1 (occurring on June 5, 2022, in scenario time) starts with an unusual outbreak of monkeypox in Brinia (population 250 million), with reports of 1,421 cases and four fatalities. There is no immediate evidence of international spread, but the outbreak takes place during a national holiday with extensive domestic and international travel by Brinians. Because monkeypox is not naturally found in Brinia, local and international experts consider this outbreak to be unusual. The Brinian government welcomes international outbreak investigations and requests medical support from the WHO. Genome sequencing of monkeypox patient samples reveals that the strain in Brinia contains mutations that make it resistant to existing vaccines.

The discussion that followed considered how the international system is postured to analyze initial indicators of pandemic risk and to communicate appropriate warnings.

Move 2 (January 10, 2023) occurs six months later, at which point the virus has spread to 83 countries with 70 million reported cases, causing more than 1.3 million fatalities. With no known effective therapies or vaccines, countries have had to rely principally on non-pharmaceutical interventions (NPIs) to mitigate the impacts of the pandemic. Highlighting significantly different national outcomes in managing the pandemic, some governments, including the fictional Republic of Dranma, promptly adopted aggressive measures to slow virus transmission by shutting down mass gatherings, imposing social-distancing measures, and implementing mask mandates. These countries have also established large-scale testing and contact-tracing operations and scaled-up their health care systems to support anticipated growing case numbers. By contrast, the scenario depicts another group of countries, including fictional Cardus, that have prioritized keeping their economies open, undertaking little-to-no NPIs, and downplaying the virus and its potential impacts. These countries have experienced much worse outcomes in terms of illness and mortality (Figure 2) than those that responded early and energetically. As Figure 3 shows, Dranma experienced far fewer cases and fatalities than Cardus.

Participant discussion in Move 2 focused on exploring the conditions that should trigger national pandemic response actions and discussing strategies and challenges for scaling public health interventions.

Move 3 (May 10, 2023) occurred 12 months after the initial outbreak, with more than 480 million cases and 27 million fatalities globally (Figure 4). At this stage, participants learn that the pandemic was caused by a regional bio-terror attack that far exceeded the perpetrators’ goals.

Specifically, Brinian intelligence reveals that the engineered monkeypox virus was developed illicitly at the fictional country of Arnica’s leading institute for virology. Arnica (population 75 million) has a history of conflict with neighboring Brinia (see map in Figure 5). An independent Arnican terrorist group—the SPA—had worked with sympathetic laboratory scientists to engineer a highly contagious, deadly pathogen and disperse it at crowded train stations in Brinia during the national holiday, when much of the population was travelling domestically and internationally.

The SPA had exploited the Arnican government’s weak oversight of its bioscience research laboratories. SPA sympathizers working in Arnica’s leading virology institute used publicly available scientific publications to guide their work to modify the monkeypox virus to make it more transmissible and resistant to currently available vaccines.

The discussion in Move 3 focused on governance of dual-use bioscience research as well as current weaknesses in biosafety and biosecurity systems that exacerbate biological risks.

The final phase of the exercise was a roundtable discussion that considered disparities in public health preparedness around the globe and the resulting need for more effective financing mechanisms to accelerate pandemic preparedness capacity building. Recognizing that pandemic preparedness requires costly investments that lower- and lower-middle income countries cannot afford to make, participants were asked to discuss strategies to catalyze these investments in sustainable ways.

[…]

Summary of Exercise Discussion and Findings

The discussions throughout the tabletop exercise generated a wide range of valuable insights and keyfindings. Most significantly, exercise participants agreed that, notwithstanding improvements following the global response to COVID-19, the international system of pandemic detection, analysis, warning, and response is woefully inadequate to address current and anticipated future challenges.

Exercise participants agreed that gaps in the international biosecurity and pandemic preparedness architecture are extensive and fundamental, undermining the ability of the international community to mount effective responses to future biological events—and they noted that robust preparedness will require fundamental transformation across a number of fronts. Given the inherent latency in acquisition of definitive data on pandemic threats—e.g., geographic distribution, transmission rates, and lethality—and the very serious consequences of delay in pandemic response, participants observed that the international system and national governments must be transformed to emphasize pre-determined “no-regrets” anticipatory actions. Such a system requires significant improvements in the international community’s ability to detect, assess, and warn about pandemic threats as well as to develop proactive, national-level response plans and decision-making bodies. They agreed that the international community also must bolster its system of governance for dual-use life-science research, and they concluded that governments globally are severely underinvesting in pandemic preparedness—especially in low- and lower-middle income countries. These consensus findings frame the more detailed conclusions discussed below.

Finding 1

The international community needs a more robust, transparent detection, evaluation, and early warning system that can rapidly communicate actionable warnings about pandemic risks.

Exercise participants found that the world continues to lack a coherent system for pandemic detection and assessment that would be effective across the full range of plausible scenarios. In this exercise, the scenario arguably depicted a “best case” where the country of origin reported what it knew to the WHO in a timely manner and welcomed international investigation. Yet even in this case, exercise participants expressed concern that it would be extremely challenging to discern warning signals early enough to contain or at least mitigate the effects of the initial outbreak.

Consequently, several participants stressed that the international community requires a more coordinated international biosurveillance network, which also incorporates pathogen genome sequencing. In scrutinizing disease outbreaks for pandemic potential, exercise participants identified a number of key indicators for an effective risk assessment system based on biosurveillance data.

Participants stressed that the most important indicators for analyzing the pandemic potential of an outbreak are its epidemiology and the geographic distribution of cases. A novel virus that is assessed to be highly virulent and transmissible—either based on direct epidemiological observations or other evidence-based predictions—will warrant significant attention. Analyzing additional virus characteristics will also be important. For example, is the virus changing and/or is it different from previously detected variants? One participant observed that the number of fatalities would not be a good measure to track in the early period of a pandemic because it is a lagging indicator at a time of exponential growth in cases.

Participants also suggested that considering the social, political, and economic context of the country of origin or initial detection could be valuable for risk assessment. Key factors include the degree of societal openness of the country and the extent of international travel across its borders—both features that could contribute to faster spread. Another consideration is the strength of the country’s public health system and whether the population is reducing the risk of spread by using NPIs and avoiding mass gatherings.

In the sequence of events after detection and analysis, the next step is warning. All participants agreed that the principal means of international pandemic risk warning now in place—the WHO Director General’s declaration of a Public Health Emergency of International Concern (PHEIC)—requires significant reform. Among the shortfalls they identified in the current PHEIC approach is that it is a binary tool for a world where pandemic risks are characterized by different levels of risk that evolve over time. The current PHEIC approach potentially lumps risks like a limited regional Ebola outbreak with a globally catastrophic biological event. Both are concerning, but to very different degrees, and they warrant different responses. The binary nature of the PHEIC also unintentionally creates incentives to delay warnings. In effect, if analysts and decision makers only have two choices, they are likely to err on the side of certainty before activating an international alert system.

Participants stressed that a graded pandemic warning system—analogous to graded systems used for hurricanes and other natural disasters—would arguably provide a more flexible, informative, and actionable system for communicating risk. Under the current International Health Regulations (IHR 2005), the WHO could be empowered to provide more detailed risk assessments to member states. One participant noted that formally shifting the WHO PHEIC to a graded system might require a change to the IHR, which could pose significant political challenges.

Exercise participants observed that regardless of the particular institutional arrangements chosen for international systems of pandemic detection, analysis, and warning, these systems must be transparent. In particular, deliberations that currently occur behind closed doors—the WHO Emergency Committee, for example—would benefit if, at a minimum, an outside expert group could analyze the data and reach conclusions in parallel. Arguably, this would help validate and lend independent weight to official findings, or could challenge findings if they are inconsistent with available evidence.

Evaluating Outbreak Origins

Participants noted that biological incidents of unknown original fall into a gap in the UN system. The WHO, as one participant highlighted, is the outbreak equivalent of a firefighter, not a police officer; the organization is best suited to public health and medical response, not security investigations. In cases where an outbreak is deliberately caused, a security investigation by the UN Secretary-General’s Mechanism (UNSGM) would be appropriate. However, the means by which the WHO and the UN Secretary-General operate in parallel, if not in coordination, are still unclear. More problematic still are those cases where the origin of an incident is unclear or suspicious. In these cases, the respective roles of the UN Secretary-General and WHO must be clearly defined.

Participants discussed additional international political challenges that could pose obstacles to effective investigation of an outbreak. First, the international community requires cooperation and transparency from the putative country of origin. Second, although the Secretary-General has the authority to use its investigative mechanism in response to a request from any member state, the mechanism has never been used to investigate a biological incident, and tensions among UN member states could cause delays. Similarly, objections by any of the WHO principal member state donors could hamper the organization’s effectiveness in coordinating prompt detection and assessment.

Finding 2

Governments should improve preparedness by developing national-level pandemic response plans built upon a coherent system of “triggers” that prompt anticipatory action on a “no-regrets” basis.

Tabletop exercise participants agreed that the exercise scenario and the larger lessons from the global COVID-19 response highlight the need to establish national response plans with a series of planning “triggers,” or threshold conditions, that ensure anticipatory steps early in a potential pandemic. Both the exercise scenario and the COVID-19 response demonstrate that early actions by national governments have significant, positive impacts in managing the impact of the disease. Because the nature of exponential disease transmission severely punishes even modest delays, slow responses by national governments lead to higher caseloads, worse mortality rates, and potentially even the collapse of the public health and medical system.

The Benefits of Early Action

One participant observed that the exercise outcomes were consistent with national performance during the COVID-19 response; governments that responded early and energetically to pandemic warnings were much more successful in protecting their populations. As is widely recognized, a number of wealthier countries with strong public health systems were not proactive and timely in their responses and therefore experienced significantly worse outcomes than those nations that are less wealthy but responded more proactively.

What Is a Trigger?

In national pandemic response plans, specific readiness measures would be “triggered” based on factors related to the potential severity of the outbreak, expected delays in situational awareness, and the time it would take to implement response measures and see results.

Participants stressed that national-level decision makers must build trigger-based plans that emphasize a “no-regrets” bias toward early action. Although there is inevitably a risk of false-alarm responses, participants deemed the risk of delay as far more consequential. Action, one participant argued, must be the “default pathway” because “you will not have the luxury of waiting for certainty.”

Although triggered actions would vary depending upon the particular needs of the country, in most cases the goals are the same: slow the spread of disease to buy time and flatten the epidemiological curve, while using that time to scale up public health and medical systems to keep up with growing caseloads and save lives. NPIs such as mask mandates and ceasing mass gatherings were deemed to be critical for blocking chains of disease transmission. Participants generally did not endorse travel restrictions such as border closures, but travel health screening measures were viewed as valuable.

With the time bought by NPIs, participants argued for scaling up various capacities. The highest priority is implementing testing at scale and increasing health system capacity in terms of facilities and personnel. In addition, nations should ramp up production of the range of critical supplies that could otherwise cause bottlenecks in response operations, including masks, personal protective equipment (PPE) for health workers, testing reagents, oxygen tanks, and ventilators.

The triggers should not be limited just to actions; they should address institutional relationships as well. Indeed, a number of participants stressed that the whole-of-government decision-making process for national-level pandemic response must be planned and exercised as soon as possible, before the next pandemic. Several participants argued that most national governments have too many “silos” of decision making that must be swiftly integrated for a successful pandemic response. An effective, “no-regrets” national response will demand that the whole-of-government engage early, so internal bureaucratic hurdles do not cause critical delays.

Bolstering Pandemic Supply Chain Resilience

All participants agreed that bolstering supply-chain resilience would be critical in future pandemic responses, but they differed on how to address the challenge. In particular, a debate ensued about whether the right approach for ensuring the availability of critical items is stockpiling or maintaining “warm” production capacity, 3 or a mixture of both. For those items with long shelf lives—such as masks and other PPE—some participants argued that it is prudent for national governments and international institutions to stockpile.

Others argued that governments and/or international organizations should provide incentives to keep dual-use supply lines open or at least, “warm”—which could, for example, assist with large-scale ventilator production during an international public health emergency. An even more advanced scientific and engineering solution, where possible, would be to develop platform technologies—tools to rapidly develop diagnostics, vaccines, and other medical countermeasures for the wide range of pathogens with pandemic potential.

One participant offered a related vaccine supply recommendation that strikes a balance between national stockpiling and global coordination: selecting and empowering leading governments in each of the globe’s regions. In particular, this participant argued for the creation of a global network of small-population countries that would be charged with manufacturing at scale for their respective regions. Such an approach would require regional agreement and cooperative financing to build the capabilities in the selected countries.

Finding 3

The international system for governing dual-use biological research is neither prepared to meet today’s security requirements, nor is it ready for significantly expanded challenges in the future. There are risk reduction needs throughout the bioscience research and development life cycle.

Exercise participants discussed the importance of strengthening biosecurity for bioscience research and development. Emerging biological risks associated with rapid technology advances are not new, but participants recognized that the COVID-19 pandemic has exacerbated these risks. They pointed out that the international community should expect to see a rapid expansion of high-containment laboratories (biosafety level 3 and 4 labs) as a number of countries expand their bioscience research capabilities and engage in more dual-use research on SARS-CoV-2 and other pathogens with pandemic potential.

Participants agreed that, although it is essential to avoid restricting legitimate biological research, it also is critically important to incorporate stronger biosafety and biosecurity measures into bioscience research and development processes—from project design and funding, through research execution, and on to publication or technology commercialization.

Funders

At the beginning of the research and development life cycle, government, philanthropic, and industry funders can play a role in early review of proposed research projects, thereby creating a stronger framework for biosecurity and responsible research. Participants argued that these activities will need to encompass both public and private funders, while recognizing that incorporating the latter may be particularly challenging. During this discussion, several participants argued that the funders cannot be the only arbiter and that implementing a biosecurity review as part of the evaluation process for funding new projects will need to be part of a more comprehensive solution.

[…]

Le Dr Buttar a quelque chose à nous dire.

Tout d’abord, j’aimerais que tous ces gens cessent de ne publier que des vidéos. Ça me prend un temps insensé pour transcrire leur bavardage avant de le traduire, alors que leur contenu pourrait être utilement résumé en quelques phrases écrites, en y incluant toutes les références utiles. Sauf exception éventuelle, c’est donc ce que je ferai désormais moi-même en commençant par ce clip, en réaction au format conférence Zoom/vidéo avec musique et effets visuels, produits de consommation « alternatifs » qui cultivent activement la maigre capacité d’attention du télespectateur lambda. Verba volant, scripta manent. Je résumerai aussi certaines infos que je n’ai soit pas le temps de développer, soit qui ne nécessitent pas de l’être, dans de futures éditions de « Nouvelles en vrac ».


La vidéo que le Dr Rashid Buttar a publié le 7 mai sur sa chaîne commence par une promo assez tonitruante pour le nouveau documentaire de la série Plandemic – dont ce sera le troisième épisode. J’ai publié à l’époque un lien vers les deux premiers épisodes de la série (sous-titrés en français), avant d’avoir récolté toutes les informations utiles sur Mikki Willis, le créateur de cette série.

Mikki Willis est un agent qui travaille pour le Renseignement – ce que les américains appellent un « spook« . Son rôle est de contrôler l’opposition – j’ai déjà expliqué mille fois ce mécanisme. Son cas est examiné – et à mon sens, réglé – à la page 2 et 3 de ce document déjà référencé dans mon article sur le Dr David Martin. Je ne veux décourager personne de regarder cette série mais je tenais à avertir le lecteur. Le fait que la vidéo du Dr Buttar commence par cette promo est un signal. J’en évoque d’autres tout aussi éloquents en fin d’article.

Après cette promo, le Dr Buttar annonce une nouvelle « crise », dont il dit avoir reçu confirmation par diverses sources, et s’appuie pour valider sa nouvelle révélation sur le fait qu’il aurait prédit avec justesse dès février 2020 tout ce qui s’est passé depuis lors dans la crise Covid. La « deuxième vague » était selon lui un composite des effets des injections et de la perturbation des canaux calciques voltage-dépendants causée par la 5g, qui induit une perméabilité à divers pathogènes, dont certains virus comme le corona, aggravée par les autres éléments découverts dans les flacons, dont fait partie le glyphosate.

Sa nouvelle prédiction est qu’il se trouve dans les injections – outre les nanoparticules, sujet déjà abondamment abordé sur ce blog – un genre de « cellule dormante » qui sera activée, à une date encore indéterminée, par un bombardement d’ondes du réseau 5g, d’une durée d’une minute, dans la gamme qui se situe entre 16 et 18 Ghz, qui libèrera une « charge » [payload] virale de trois pathogènes différents contenus dans les particules lipidiques (ou hydrogel). L’oxyde de graphène et les nano-structures présentes dans le sang des personnes injectées joueront vraisemblablement un rôle dans ce phénomène. La libération d’un de ces trois pathogènes contenus dans cette charge provoquera une fièvre hémorragique connue comme maladie de Marburg. Le taux de mortalité de cette maladie est de 88% mais le Dr Buttar spécule que ce mode de contamination particulier pourrait occasionner un taux de mortalité de 100%. Il estime que les personne non-injectées et dont le système immunitaire est intact seront à l’abri des pires effets de la contagion subséquente. Ces millions de décès créeront un vent de panique dans les populations et permettront une prise d’autorité sans précédent par les gouvernements qui instaureront l’état d’urgence, par l’armée qui prendra le contrôle via loi martiale, et par les institutions nationales et internationales, le CDC (aux Etats-Unis) et l’OMS, qui imposeront globalement des obligations vaccinales. Le Dr Buttar pense que tout ceci pourrait se produire cette année-même, devant la perte de contrôle du narratif infligé aux peuples depuis le début du Covid. D’après le Dr Buttar, l’ensemble de l’opération est dirigé par un noyau de 500 à 600 personnes, relayées par des personnes clé dans les gouvernements et les institutions.

Le Dr Buttar rappelle aussi qu’il a consacré beaucoup de temps et d’énergie à prévenir le public du danger potentiel des injections Covid mais que comme il n’a pas été écouté, il se désolidarise du sort prochain des personnes injectées. Il souligne que le choix de ceux qui ont cédé aux chantages à l’emploi n’a aucun sens, face à la menace sur leur existence même. Je note au passage qu’il ne semble pas faire grand cas des enfants, à qui on a pas laissé le choix, ou qui étaient des proies faciles pour la propagande.

Le Dr Buttar précise toutefois qu’il existerait une méthode permettant de contrer la présence dans le corps humain des éléments précités et donc d’éviter leur activation et ses conséquences. Pour des raisons d’efficacité et de sécurité, il tient toutefois à annoncer publiquement cette méthode lors de son passage à la quatrième édition de la Annual Advanced Medicine Conference (Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe), qui se tiendra les 28, 29 et 30 mai – c’est-à-dire à partir de demain si vous lisez cet article le jour de sa parution.

Quelques remarques:

Une des vidéos du Dr Buttar montre son intervention récente à l’événement Reawaken America, qui est essentiellement un outil de promotion du « clan » Trump – y figurent au nombre de ses invités le général Flynn, Roger Stone et Eric Trump. Faut-il rappeler que le vaccin contre lequel le Dr Buttar sonne depuis deux ans l’alerte maximale est l’oeuvre de Donald J. Trump, qui ne désavoue en rien sa création mais continue à en faire une promotion active?

La quatrième Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe accueillera quelques invités familiers de mes lecteurs et théoriquement dignes de confiance, mais également des personnages comme le Dr David Martin et le Dr Bryan Ardiss, totalement discrédités.

A propos du Dr Bryan Ardis, on peut observer une similitude avec la récente annonce du Dr Buttar: il s’agit d’une révélation fracassante, qui reprend des éléments connus pour en faire une théorie plutôt hardie, et les deux disent avoir été renseignés ou guidés par une tierce personne, dont ils ne révèlent pas l’identité.

A propos de révélation fracassante, dans ce récent article, Reiner Fuellmich chiffre l’objectif de l’ensemble de l’opération Covid/guerre/famine/Grand Reset/etc. à une dépopulation de 80% au niveau mondial. Une analyse – dont je n’ai plus la référence sous la main, sorry – calcule qu’une simple panne d’Internet de deux mois suffirait à éliminer ce même pourcentage de la population. Pourquoi alors avoir mis en place toute cette opération si quelque chose d’aussi simple que l’arrêt d’Internet offrait le même résultat? D’autre part, un taux de décès de 80% de la population mondiale ne pourrait être qu’une étape transitoire, le chaos indescriptible qui en résulterait éliminant probablement la majorité des 20% restant – le taux final se situerait donc plutôt autour de 99%. Penser qu’il serait possible d’établir une quelconque forme de gouvernance ou de loi martiale dans de telles conditions est une absurdité. On serait plutôt dans un scénario apocalyptique du style I am Legend ou The Book of Eli.

Dernière remarque, d’un point de vue purement technique, ce qu’annonce le Dr Buttar semble irréalisable pour la simple raison que de très vastes territoires ne disposent toujours pas de réseau 5g. On pourrait toutefois imaginer que les personnes hors-réseau seraient déplacées sous la contrainte dans des zones desservies par ce réseau, ce qui scellerait leur destin. Un déplacement d’une telle ampleur ne serait toutefois pas évident à mener. Je dirai toutefois qu’il existe une possibilité et un intérêt d’employer la 5g en synergie avec les nanoparticules vaccinales pour cibler certains individus, et que les fameuses adresses Mac des personnes injectées pourraient servir à cet objectif. Je pense d’ailleurs qu’une technologie de cet ordre a été employée au concert de Travis Scott, sur lequel j’avais promis un article, projet que je n’ai ni oublié ni abandonné mais pour lequel je n’ai juste pas encore trouvé le temps.

Quoiqu’il en soit, je ne manquerai pas de visionner l’intervention du Dr Buttar, de la résumer et de la commenter ici, d’autant que mon épouse n’est pas très partante pour m’accompagner au cirque qui s’est établi dans le village voisin.

La variole du singe est-elle une campagne médiatique subventionnée? – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

La variole du singe est-elle une campagne médiatique subventionnée?

Un seul cas aux États-Unis suscite une énorme attention médiatique

Igor Chudov

19 mai

J’adore lire les nouvelles et je sais que j’ai tendance à être trop alarmiste. Ainsi, la récente polémique sur la variole du singe, qui fait le tour de la presse libérale et de Twitter, a suscité mon intérêt.

Une nouvelle et terrible pandémie se profile-t-elle à l’horizon? Va-t-elle tuer 10% de notre population? Devons-nous faire confiance à la science, comme toujours, et nous faire injecter de toute urgence un « vaccin contre la variole du singe » nouvellement mis au point, qui sera sans aucun doute sûr et efficace? Devons-nous oublier les mensonges et les exactions de la vaccination Covid, les maladies sans fin parmi les personnes boostées, etc., et voir à nouveau les « autorités sanitaires » comme nos sauveurs, en gobant toutes leurs paroles?

Ou, peut-être, n’est-ce que du tapage et que les médias essaient de nous détourner de quelque chose d’autre? Quelqu’un paie-t-il les médias pour nous vendre un nouveau problème et de nouveaux « traitements »?

Examinons la question.

La variole du singe n’est pas endémique chez l’homme et n’est pas nouvelle

Lisez cet excellent article écrit avant 2022, sur la variole du singe. La variole du singe est un virus qui présente des similitudes génétiques avec la variole et dont la présentation est assez semblable à celle de la variole, avec des pustules remplies de pus.

L’homme n’est pas très susceptible d’être infecté par la variole du singe. Il s’agit d’une maladie animale, présente chez les rongeurs et autres animaux africains, qui nécessite généralement un contact étroit entre l’homme et l’animal pour qu’il y ait transmission. Elle est donc généralement confinée à l’Afrique rurale où les gens entrent en contact avec des animaux sauvages ou dépecent de la viande de brousse.

La transmission de la variole du singe se fait généralement par contact direct avec des animaux infectés ou éventuellement par la consommation de viande mal cuite provenant d’un rongeur ou d’un singe infecté. Les lésions cutanées ou muqueuses des animaux infectés sont une source probable de transmission à l’homme, en particulier lorsque la peau de l’homme est abîmée par des morsures, des griffures ou d’autres traumatismes. Le transfert interhumain, probablement par des gouttelettes respiratoires infectées, est possible mais peu documenté. Une étude a suggéré qu’environ 8 à 15 % seulement des infections se produisaient par transmission interhumaine entre membres proches de la famille.

Il y a eu de nombreuses épidémies de variole du singe par le passé, qui n’ont toutes fait l’objet que d’une attention limitée de la part de la presse.

Quelle est la gravité de l’épidémie actuelle de variole du singe aux États-Unis? Au 18 mai 2022, une seule personne avait été diagnostiquée comme ayant la variole du singe aux États-Unis. (Relisez la phrase précédente) Malgré cela, des dizaines d’articles dans la presse d’entreprise ont été consacrés à la variole du singe et à ce seul cas.

La variole du singe n’est toujours pas facilement transmissible

Provoquant l’ire de la communauté LGBTQIA, l’UKHSA a indiqué que la plupart des nombreux cas de variole du singe recensés au Royaume-Uni concernent des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Bien que nous devions nous préoccuper pareillement de tous les citoyens, indépendamment de leurs penchants sexuels, le fait que la variole du singe soit confinée à une communauté sexuelle spécifique suggère que quelque chose dans cette communauté permet la propagation (extrêmement limitée) de la variole du singe, mais en même temps, cela prouve que la variole du singe n’est toujours pas aéroportée et ne se propage pas entre des personnes choisies au hasard.

Qu’est-ce qui pourrait faciliter la propagation de la variole du singe chez les homosexuels? Je l’ignore. Comme la plupart des épidémies passées de variole du singe étaient associées à des rongeurs, nous devons d’abord voir si ces hommes partageaient ou utilisaient des rongeurs ou s’ils en avaient comme animaux de compagnie ou autre.

Les anciennes épidémies de variole du singe n’ont pas fait l’objet d’un battage médiatique

En 2003, 71 personnes ont été infectées par la variole du singe aux États-Unis. Cet incident était également dû à des rongeurs, sa transmission interhumaine était très limitée et la maladie s’est éteinte dès qu’elle a été identifiée et que les rongeurs ont été éliminés.

Cet incident a, à juste titre, été très peu couvert, principalement par la presse locale, et a été oublié dès qu’il a pris fin.

Et alors?

Malgré le fait que rien n’indique que la variole du singe mérite autant d’attention médiatique qu’elle en reçoit, elle pourrait devenir le prochain fléau mondial, tout simplement parce que tout est possible. Bien que je sache que tout est possible, je ne vois rien de concret dans cette discussion sur la variole du singe, si ce n’est une tentative médiatique concertée d’attirer l’attention sur un sujet dont presque personne ne devrait se soucier.

J’ai fait partie des nombreuses autres personnes qui ont réalisé que le Covid-19 serait une catastrophe mondiale en janvier 2020. J’ai acheté de la nourriture, du papier toilette, etc., et j’avais tout mon argent en liquide (à part les actions de Berkshire Hathaway que je ne vends jamais). Le 24 avril 2020, j’ai investi massivement dans des actions, car je pensais que nous allions surmonter le Covid. J’ajoute que j’ai vendu des actions trop tôt à la fin de l’année 2020 en raison de craintes de surévaluation, et je n’ai pas l’habitude de faire du trading « time-to-market ». Je ne suis pas et n’ai jamais été un « market timer » qui négocie en gros plus d’une fois par an. Il s’agissait juste d’une transaction ponctuelle due à la pandémie inhabituelle de Covid que je suivais de près. C’est juste pour dire que j’essaie d’être réaliste et que j’ai de l’argent en jeu.

À ce jour, le 18 mai 2022, je crois que la variole du singe ne deviendra pas la catastrophe mondiale de demain. Si je peux prédire ce qui le sera, ce sera le VAIDS [NdT. ma traduction de cet article ici] et le Covid chronique [NdT. ma traduction de cet article ici] et de nombreux bouleversements économiques et problèmes géopolitiques, et une guerre sans fin. (Je n’essaie pas de prédire les actes de bioterrorisme tels que le Sars-Cov-2 car ils sont imprévisibles). En résumé, des temps difficiles nous attendent, mais la variole du singe restera une note de bas de page historique.

En d’autres termes, bien que les temps qui s’annoncent seront probablement difficiles, l’humanité se rétablira, prospérera et poursuivra son chemin, en connaissant peut-être une réduction de sa population qui ne mettra pas fin à la race humaine.

Pourquoi ce battage médiatique?

Quelle est la raison de cette promotion de la « sensibilisation à la variole du singe »? Je n’en ai aucune idée et je suis prêt à attendre la réponse. Cela pourrait être:

  • Une hystérie médiatique auto-alimentée
  • Bill Gates qui veut promouvoir davantage de vaccins
  • Un moyen de préparer le terrain pour des épidémies de variole
  • Une façon de détourner notre attention des personnes boostées qui meurent du Covid
  • Il est possible que le vaccin Covid ait rendu les homosexuels particulièrement vulnérables à la variole du singe. Si c’est le cas, cela sera dissimulé, mais finira par se savoir.

Mon article n’a pas pour but de justifier une théorie de la conspiration sur la raison pour laquelle la variole du singe occupe une place si importante dans la couverture médiatique. Je veux juste souligner qu’elle ne mérite pas une telle place dans l’actualité.

Qu’en pensez-vous? Qui profite de cette affaire de variole du singe?

Ajout du 20 mai: L’épidémie espagnole a également été retracée à un sauna spécifique, où les gens se sont beaucoup amusés ensemble.

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Texte original

Is Monkeypox Hype a Paid Media Campaign?

One Case in the US Gets Enormous Media Attention

Igor Chudov

May 19

I love reading news and I know that I tend to be too alarmist. Thus, the recent monkeypox talk, that is all over the liberal press and Twitter, piqued my interest.

Is there a new terrible pandemic coming? Will it kill 10% of our population? Do we need to trust science, as always, and urgently inject ourselves with a recently developed “monkeypox vaccine”, that is definitely safe and effective? Should we forget Covid vaccination lies and abuses, endless illness among the boosted, etc, and again look at “health authorities” as our saviors, swallowing every word?

Or, perhaps, this is just noise and the media trying to distract us from something? Is someone paying off the media to sell us a new concern and new “treatments”?

Let’s look.

Monkeypox is Not Endemic to Humans and is Not New

Read this excellent article written before 2022, about monkeypox. Monkeypox is a virus with some genetic similarities to smallpox, that has somewhat similar presentation to smallpox through pus filled pustules.

It is not easy for humans to get infected with monkeypox. It is an animal disease, present among African rodents and other animals, that usually requires close human-animal contact to establish transmission. Thus, it is usually confined to rural Africa where people contact wild animals or butcher bushmeat.

Transmission of monkeypox is usually by direct contact with infected animals or possibly by eating poorly cooked meat from an infected rodent or monkey. Cutaneous or mucosal lesions on the infected animals are a likely source of transmission to humans, especially when the human skin is broken due to bites, scratches, or other trauma — are a likely source for virus infection. Human-to-human transfer, probably by infected respiratory droplets, is possible but is not often documented. One study suggested that only about 8%-15% of infections occurred through human-to-human transmission among close family members.

There were numerous outbreaks of monkeypox in the past, all receiving scant attention from the press.

How bad is the current monkeypox outbreak in the US? Only one person in the US was diagnosed with monkeypox as of May 18, 2022. (Read this again) Despite that, dozens of news articles in the corporate press were devoted to monkeypox and this one case.

Monkeypox is Still not Easily Transmissible

Provoking the ire of the LGBTQIA community, UKHSA reported that most of the several UK cases of monkeypox occur among men who have sex with men. While we should equally care about all citizens regardless of their sexual proclivities, the fact that monkeypox is confined to a specific sexual community suggests that there is something in that community that enables the (extremely limited) spread of monkeypox, but at the same time, it proves that monkeypox is still not airborne and does not spread between randomly chosen persons.

What could facilitate the spread of monkeypox among gay men? I do not know. As most past monkeypox outbreaks were associated with rodents, we first need to see if these men shared or used any rodents or had them as pets or some such.

Past Outbreaks of Monkeypox were Not Hyped Up

In 2003, 71 persons in the US were infected with monkeypox. That incident was also rodent driven, had very limited human-to-human transmission, and fizzled out as soon as it was identified and the rodents were taken care of.

This incident deservedly received very little coverage, mostly in the local press, and was forgotten as soon as it ended.

So what?

Despite literally zero indication that monkeypox deserves as much media attention as it receives, it could somehow become the next global plague just because anything is possible. Despite knowing that anything is possible, I see nothing concrete in this monkeypox talk other than a concerted media attempt at bringing attention to a topic that almost nobody should care about.

I was one of the numerous other people who realized that Covid-19 will be a global disaster in January 2020. I bought food, toilet paper etc, and had all money in cash (other than Berkshire Hathaway I never sell). I majorly shifted money into stocks on April 24, 2020, because I thought that we will get through Covid. To add something, I sold stocks too early in late 2020 due to overpricing concerns, and I do not normally trade to time markets. I am not and never was a market timer who would trade more than once a year or so. It was just a one-time deal due to the unusual Covid pandemic that I started following closely. This is just to say that I am trying to be realistic and have money on the line.

As of this day, May 18, 2022, I believe that monkeypox will not be the global disaster of the future. If I may predict what will, it is VAIDS and Chronic Covid and numerous economic dislocations and geopolitical problems, and endless war. (I do not try to predict bioterrorism such as Sars-Cov-2 because it is unpredictable). The bottom line is, bad times lie ahead, but monkeypox will remain a historical footnote.

To clarify, despite likely seeing bad times ahead, humanity will heal, thrive, and continue on, perhaps experiencing a population reduction that will not end the human race.

Why the Hype?

What is the reason “monkeypox awareness” is now promoted? I have no idea and I am willing to just wait until we find out. It could be:

  • Self fed media hysterics
  • Bill Gates promoting more vaccines
  • Paving a way for smallpox outbreaks
  • A way to distract us from boosted people dying from Covid
  • There is a possibility that Covid vaccination made gay people uniquely susceptible to monkeypox. If that is the case, it will be covered up, but will eventually come out.

My article is not attempting to prove a conspiracy theory about why exactly monkeypox is so elevated in the news coverage. I just want to point out that it does not deserve to be in the news so much.

What do you think? Who benefits from this monkeypox business?

EDIT May 20: The Spain outbreak was also tracked to one specific sauna, where people had a lot of fun together.

Les craintes liées à la variole du singe pourraient sauver des entreprises en péril – par Whitney Webb.

On plonge directement dans le nid de frelons avec cet article signé Whitney Webb.

J’enchaîne avec un bref aperçu de la simulation « variole du singe » de mars 2021 dont il est question dans l’article pour donner ensuite la parole au toujours fiable Dr Igor Chudov, sur le même sujet.

Pour éviter de heurter la sensibilité des lecteurs, je n’ai pas inclus les photos de l’article original.

Source.


Traduction

Les craintes liées à la variole du singe pourraient sauver des entreprises en péril

Il y a quelques semaines à peine, deux sociétés corrompues se trouvaient en territoire financier instable. Aujourd’hui, alors que les médias et les organismes de santé mondiaux s’inquiètent d’une épidémie mondiale de variole du singe, les inquiétudes – et les péchés – de ces deux entreprises semblent avoir été bien vite oubliées.

par Whitney Webb – 20 mai 2022

Ces derniers jours, les médias et les ministères de la santé du monde entier ont fait grand cas de l’apparition d’une épidémie mondiale de variole du singe, une maladie bénigne apparentée à la variole et à la varicelle, et ont même provoqué une réunion d’urgence de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Certains craignent que la variole du singe soit la « prochaine pandémie » potentielle après celle du Covid-19. Pour d’autres, la crainte est que la variole du singe soit utilisée comme un nouveau prétexte pour faire progresser les politiques draconiennes de biosécurité et les prises de pouvoir au niveau mondial.

Quelle que soit l’issue de la crise de la variole du singe, deux entreprises en tirent d’ores et déjà profit. L’inquiétude suscitée par la variole du singe a entraîné une hausse des actions d’Emergent Biosolutions et de SIGA Technologies. Ces deux sociétés détiennent rien moins que le monopole sur le marché américain, ainsi que sur d’autres marchés, pour les vaccins et les traitements contre la variole. Leurs principaux produits de lutte contre la variole sont, comme par hasard, également utilisés pour prévenir ou traiter la variole du singe. En conséquence, les actions d’Emergent Biosolutions ont grimpé de 12% jeudi, tandis que celles de SIGA ont grimpé de 17,1%.

Pour ces entreprises, les craintes liées à la variole du singe représentent une aubaine, en particulier pour SIGA, qui fabrique un traitement contre la variole, connu sous le nom de marque TPOXX. Il s’agit du seul produit de SIGA. Si certains médias ont noté que la hausse de l’évaluation de SIGA Technologies a coïncidé avec les récentes inquiétudes concernant la variole, aucune attention n’a été accordée au fait que la société constitue apparemment la seule pièce de l’empire d’un puissant milliardaire à ne pas être en plein effondrement.

Ce milliardaire, le « pilleur de sociétés » Ron Perelman, entretient des liens profonds et controversés avec la famille Clinton et le Parti Démocrate, ainsi que des liens troubles avec Jeffrey Epstein. En dehors de sa participation majoritaire dans SIGA, Perelman a récemment fait la une des journaux pour avoir liquidé rapidement un grand nombre de ses actifs dans une tentative désespérée de trouver des liquidités.

De même, Emergent Biosolutions a également traversé des moments difficiles. La société, aux liens troubles avec les attaques à l’anthrax de 2001, a été critiquée il y a un peu moins de deux semaines pour avoir « dissimulé » des problèmes de contrôle de la qualité liés à la production de vaccins Covid-19. Une enquête du Congrès a révélé que des problèmes de contrôle de la qualité dans une usine gérée par Emergent ont conduit à la mise au rebut de plus de 400 millions de doses de vaccins Covid-19. L’usine Emergent en question avait été fermée par la FDA en avril 2021. Elle a été autorisée à rouvrir en août dernier, avant que le gouvernement ne mette fin au contrat. Étant donné que la majorité de l’activité de cette entreprise dépend de ses contrats avec le gouvernement américain, de la perte de ce contrat et de la mauvaise publicité qui l’accompagne, la nouvelle que son vaccin antivariolique pourrait bientôt présenter un intérêt international doit probablement être prise comme une véritable aubaine par cette compagnie.

Il est à noter que c’est la deuxième fois en un an que ces deux entreprises bénéficient des craintes de pandémie ou de bioterrorisme propagées par les médias. En novembre dernier, on a assisté à une vague de spéculations sur une réapparition prochaine du virus éradiqué de la variole. Cela a commencé avec les commentaires de Bill Gates sur les perspectives de bioterrorisme lié à la variole lors d’une interview du 4 novembre 2021 [NdT. voir mon article ici] et a été suivi par l’annonce, le 16 novembre, d’une enquête du CDC/FBI sur 15 flacons suspects étiquetés « variole » dans une usine Merck à Philadelphie [NdT. voir mon autre article ici]. Aujourd’hui, environ six mois plus tard, les mêmes craintes se révèlent à nouveau payantes pour les deux mêmes entreprises.

Une entreprise qui tue

Emergent Biosolution était auparavant connue sous le nom de BioPort. La société a été fondée par Fuad el-Hibri, un homme d’affaires libanais, qui a mis à profit ses contacts avec d’anciens responsables militaires et politiques américains très puissants pour prendre le contrôle d’une usine du Michigan en difficulté. C’était la seule usine autorisée à produire un vaccin contre l’anthrax.

On savait que le vaccin contre l’anthrax présentait des problèmes majeurs avant même que BioPort ne l’acquière, et de nombreux chercheurs pensent qu’il est l’une des principales causes du syndrome de la « guerre du Golfe » [NdT. je vous recommande vivement la lecture de ce récent article qui traite le sujet en profondeur et complètera la présente analyse]. Le vaccin lui-même, développé à l’origine à Fort Detrick, n’avait que peu ou pas d’antécédents de sécurité au moment où il a été administré aux troupes américaines lors de la première guerre du Golfe – un problème qui n’a jamais été résolu. Cependant, ses problèmes chroniques de sécurité et son schéma multidose malcommode ont incité BioPort/Emergent Biosolutions à consacrer plusieurs années au développement d’une nouvelle formulation de son vaccin contre l’anthrax.

La création de BioPort a coïncidé avec les tentatives de l’administration Clinton de rendre obligatoire le vaccin contre l’anthrax pour tous les membres des forces armées américaines. En contrôlant la seule source de vaccin contre l’anthrax, BioPort était sur le point de faire un malheur.

Après que la société ait acquis l’usine du Michigan, elle a reçu d’importantes sommes d’argent du gouvernement américain, apparemment pour apporter des améliorations au site. Cependant, la société a refusé d’utiliser ces fonds pour effectuer les réparations nécessaires, préférant consacrer cet argent aux bureaux de ses dirigeants, plutôt qu’à l’usine de vaccins, et à verser des millions de dollars en primes à la « haute direction ». Les auditeurs du Pentagone ont par la suite découvert que des millions de dollars supplémentaires avaient « disparu » et que le personnel de BioPort ignorait le coût de production par dose de vaccin. Malgré cette mauvaise gestion et cette corruption évidentes, BioPort a exigé d’être renfloué par le Pentagone, ce qui fut fait. Entre-temps, l’usine du Michigan a perdu sa licence après qu’une inspection gouvernementale ait révélé de nombreux problèmes de sécurité.

Quoiqu’il en soit, en août 2001, BioPort courait le risque de perdre les contrats du Pentagone, sa seule source de revenus. Le Pentagone a alors entrepris la préparation d’un rapport, qui devait être publié en septembre 2001, et qui exposait en détail un plan de liquidation de BioPort. En raison de l’attaque du 11 septembre 2001 contre le Pentagone, ce rapport n’a jamais été publié. Peu de temps après, les attaques à l’anthrax de 2001 ont commencé.

Quelques mois auparavant, BioPort avait passé un contrat avec le Battelle Memorial Institute pour l’aider à sauver son programme de vaccins en difficulté. L’accord a permis à Battelle d’avoir accès à « une exposition immédiate au vaccin » et celui-ci a été utilisé dans le cadre du programme de gain de fonction de l’anthrax financé par le Pentagone, qui impliquait Ken Alibek et William C. Patrick III, deux experts en armes biologiques ayant des liens étroits avec la CIA. Ce programme était hébergé dans les installations de Battelle à West Jefferson dans l’Ohio. De nombreux enquêteurs pensent que cette installation était la source de l’anthrax utilisé dans les attaques de 2001.

La panique qui a suivi les attaques à l’anthrax a conduit le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (Health and Human Services – HHS) à intervenir. Celui-ci a rendu sa licence à BioPort en janvier 2002, malgré la persistance de problèmes de sécurité dans son usine de production de vaccins du Michigan. BioPort ne s’est cependant pas contentée de voir ses anciens contrats avec le Pentagone rétablis, puisqu’elle a commencé à exercer un lobbying intense pour remporter de nouveaux contrats de vaccins contre l’anthrax destinés aux civils américains, aux postiers et autres. Elle les a obtenus, en grande partie grâce à Jerome Hauer, conseiller en matière de lutte contre le terrorisme à l’époque et bientôt nouveau secrétaire adjoint du Ministère de la Santé. Hauer rejoindra plus tard le conseil d’administration de BioPort, après sa refonte en tant qu’Emergent Biosolutions, en 2004.

De tels exemples de copinage sont monnaie courante chez Emergent Biosolutions. En effet, la société s’est souvent appuyée sur des individus qui ont passé leur carrière à franchir la « porte tournante » entre l’industrie pharmaceutique et le gouvernement, en particulier ceux qui jouent aussi les alarmistes en matière de bioterrorisme.. L’une des principales personnes à avoir joué un rôle essentiel dans le succès de l’entreprise au fil des ans est Robert Kadlec. Kadlec était le principal conseiller en bioterrorisme du Pentagone dans les semaines qui ont précédé les attaques à l’anthrax de 2001. Quelques mois auparavant, il avait participé à la simulation Dark Winter de juin 2001, qui avait « prédit » des aspects majeurs des attaques à l’anthrax qui ont suivi. M. Kadlec a ensuite rédigé une grande partie de la législation qui allait créer la politique de réponse du pays en matière de bioterrorisme et de pandémie, y compris la BARDA [NdT. La Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) est un bureau du département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis (HHS) chargé de l’acquisition et du développement de contre-mesures médicales, principalement contre le bioterrorisme] et le Stock National Stratégique [NdT. Le Strategic National Stockpile (SNS) fait partie de l’infrastructure fédérale d’intervention médicale et peut compléter les contre-mesures médicales dont ont besoin les États, les nations tribales, les territoires et les plus grandes zones métropolitaines en cas d’urgence de santé publique].

Peu après avoir quitté le gouvernement, Robert Kadlec a participé à la création d’une nouvelle entreprise en 2012, appelée « East West Protection« , qui développe et fournit des « systèmes intégrés de préparation et de réponse à tous les risques pour les communautés et les nations souveraines. » D’autre part, la société « conseille les communautés et les pays sur les questions liées à la menace des armes de destruction massive et des pandémies naturelles. »

M. Kadlec a créé cette société avec W. Craig Vanderwagen, le Premier Secrétaire adjoint du HHS chargé de la Préparation et de la Réponse (un poste que M. Kadlec a contribué à faire adopter par voie législative et qu’il occupera plus tard lui-même). L’autre cofondateur d’East West Protection était Fuad El-Hibri, le fondateur de BioPort/Emergent Biosolutions, qui venait de quitter son poste de PDG d’Emergent plus tôt cette année-là.

Kadlec est ensuite devenu consultant. Le cabinet de conseil de Kadlec, RPK Consulting, lui a rapporté 451.000 dollars rien qu’en 2014, où il a directement conseillé Emergent Biosolutions ainsi que d’autres sociétés pharmaceutiques comme Bavarian Nordic. Kadlec a également été consultant pour des entreprises militaires et de renseignement, comme Invincea, une entreprise soutenue par la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency], et Scitor, une entreprise de la NSA [National Security Agency], qui a récemment été rachetée par SAIC [Science Applications International Corp].

Kadlec devait réintégrer le gouvernement en tant qu’ASPR [Secrétaire Adjoint pour la Préparation et la Réponse – Assistant Secretary for Preparedness and Response] au HHS sous Trump, un poste qu’il occupait au moment où la crise Covid-19 a commencé. L’année précédente, en 2019, Kadlec avait mené une simulation de plusieurs mois axée sur une pandémie mondiale originaire de Chine, appelée Crimson Contagion. Une fois que la crise du Covid-19 a commencé pour de bon, il a joué un rôle majeur dans l’obtention de contrats de vaccins Covid-19 pour Emergent Biosolutions, malgré ses conflits d’intérêts, dont certains qu’il avait refusé de divulguer lors de sa nomination au poste d’ASPR.

Le schéma de corruption d’Emergent Biosolutions, initié avec son vaccin contre l’anthrax, persiste dans ses actions récentes relatives à la production des vaccins Covid-19. D’après le récent rapport du Congrès, publié quelques jours avant le récent pic d’inquiétude suscité par la variole du singe, les employés du laboratoire d’Emergent ont « intentionnellement cherché à tromper les inspecteurs du gouvernement sur les problèmes » de son usine de Baltimore et ont également « repoussé » à plusieurs reprises les tentatives d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson d’inspecter leurs installations. « Malgré des signaux d’alarme importants dans son usine de fabrication de vaccins, les dirigeants d’Emergent ont balayé ces problèmes sous le tapis et ont continué à encaisser l’argent des contribuables », a déclaré lors de la publication du rapport Carolyn Maloney (D-NY), Présidente de la Commission de Surveillance et de Réforme de la Chambre des Représentants. Ces « signaux d’alarme majeurs » sont pourtant présents tout au long de l’histoire de la société, pour qui veut bien prendre le temps de regarder.

Quelques jours seulement après la publication du rapport du Congrès, Emergent Biosolutions a annoncé qu’elle allait acquérir les droits exclusifs mondiaux du « premier antiviral oral contre la variole approuvé par la FDA pour tous les âges » auprès de la société Chimerix. Ce médicament, appelé TEMBEXA, est uniquement destiné au traitement de la variole, que la société qualifie de « menace de santé publique hautement prioritaire ». Le communiqué de presse relatif à l’acquisition de TEMBEXA par la société indique que des contrats de plusieurs millions de dollars avec le gouvernement américain sont prévus pour ce produit. La FDA a officiellement approuvé le médicament en juin dernier.

Emergent Biosolutions détient également les droits sur le vaccin antivariolique connu sous le nom d’ACAM2000, qui peut également être utilisé pour traiter la variole du singe. Le vaccin, initialement produit par Sanofi, a été acquis par la société en 2017. Par conséquent, la société dispose d’un véritable monopole sur les vaccins antivarioliques, car ACAM2000 est « le seul vaccin autorisé par la FDA pour l’immunisation active contre la variole chez les personnes déterminées comme étant à haut risque d’infection par la variole. »

Compte tenu de leurs antécédents, il convient de se demander pourquoi Emergent Biosolutions s’est efforcée ces derniers mois d’orienter une grande partie de ses activités vers les traitements antivarioliques. Toutefois, aucune spéculation n’est nécessaire pour constater que les craintes actuelles liées à la variole contribuent à sauver cette entreprise, dont les actions avaient chuté d’environ 26% depuis le début de l’année avant que les inquiétudes liées à la récente épidémie de variole ne prennent de l’ampleur.

Quelle que soit l’issue de l’affaire de la variole du singe, le bilan des décennies d’activité de Emergent Biosolutions est indéniablement marqué par la corruption et le copinage.

Une « armure biologique » pour l’empire commercial chancelant de Ron Perelman

SIGA Technologies, qui compare ses produits à une  » armure biologique humaine « , affiche une citation de Bill Gates en haut de sa page d’accueil. Cette citation se lit comme suit : « […] la prochaine épidémie pourrait naître sur l’écran d’ordinateur d’un terroriste désireux d’utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole […] ». La citation est tirée du discours de Bill Gates à la Conférence de Munich sur la Sécurité de 2017, où il a utilisé la menace spécifique de la variole pour justifier la fusion de la « sécurité sanitaire » et de la « sécurité internationale ». Fait notable, en mars dernier, la Conférence sur la Sécurité de Munich a hébergé une simulation de pandémie mondiale causée par un « virus de la variole du singe génétiquement modifié. » [NdT. je traduirai quelques points de cet édifiant document]

SIGA est le parfait exemple d’une entreprise qui cherche à trouver sa place entre « sécurité sanitaire » et « sécurité internationale ». Elle fournit spécifiquement « des solutions pour des besoins non satisfaits sur le marché de la sécurité sanitaire qui comprennent des contre-mesures médicales contre les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), ainsi que les maladies infectieuses émergentes ». La majorité des contrats relatifs aux contre-mesures médicales CBRN aux États-Unis sont financés par le Pentagone. Bien qu’elle se présente comme une entreprise axée sur les menaces CBRN, SIGA se concentre, pour l’instant, uniquement sur la variole.

En effet, SIGA Technologies n’est actuellement rentable qu’en cas d’épidémie réelle de variole ou d’une maladie connexe, ou lorsque la crainte d’un événement bioterroriste lié à la variole est élevée. C’est précisément cette dernière crainte qui a permis à l’entreprise de remporter des contrats gouvernementaux pour produire du TPOXX pour le Stock National Stratégique (SNS). En effet, le TPOXX est uniquement utilisé pour traiter l’infection active par la variole ou la variole du singe, et non pour la prévenir. Cela signifie qu’il n’est utile que si la variole, la variole du singe ou une maladie apparentée infecte activement des personnes ou s’il existe un risque élevé que l’une de ces maladies infecte bientôt de grands groupes de personnes. Le TPOXX a été approuvé pour la première fois en 2018 par la FDA et a été approuvé par l’Agence Européenne du Médicament (EMA) en janvier dernier. La FDA a approuvé une version intraveineuse du TPOXX pas plus tard que jeudi dernier. Au total, SIGA a reçu plus d’un milliard de dollars du gouvernement américain pour développer le TPOXX.

SIGA travaille actuellement en partenariat avec le BARDA du HHS, le Ministère de la Défense, le CDC et les NIH. Un autre partenaire est la société Lonza, une entreprise européenne de fabrication de produits pharmaceutiques qui est associée à la fois au Forum Economique Mondial et à Moderna. Le PDG de SIGA, Phillip Gomez, est un ancien de PRTM Consulting, où il a dû travailler en étroite collaboration avec Robert Kadlec, puisque les deux hommes se sont côtoyés en tant que directeurs de la société et ont tous deux conseillé des agences gouvernementales sur des questions de santé publique et de biodéfense.

Il faut souligner également que SIGA est probablement la seule entreprise de l’empire commercial du prédateur Ron Perelman qui ne soit pas accablée par des montagnes de dettes. Perelman est l’un des prédateurs d’entreprises les plus connus des années 1980, qu’il a procédé à des rachats d’entreprises financés par des obligations pourries, notamment celles liées à la société Drexel Burnham Lambert de Michael Milken. Les tactiques commerciales de Perelman sont depuis longtemps dictées par son tempérament volcanique et son caractère impitoyable. L’ancien PDG de Salomon Brothers, John Gutfruend, a fait remarquer un jour que « croire que M. Perelman ne nourrit aucune intention hostile revient à croire que la petite souris existe ». [NdT. la petite souris qui échange les dents de lait contre une pièce de monnaie, vous connaissez]

Perelman est également connu comme mécène de longue date de la famille Clinton, même si, plus récemment, il a fait des dons aux campagnes politiques de Donald Trump. Perelman a apparemment commencé à s’intéresser à l’influence des Clinton après avoir épousé Patricia Duff en 1994. Duff était très liée au Parti Démocrate, pour avoir travaillé pour le sondeur Démocrate Pat Cadell, et elle avait également travaillé pour la commission de la Chambre qui a « enquêté » sur les assassinats de John F. Kennedy et de Martin Luther King Jr. Avant d’épouser Perelman, elle avait été mariée au magnat du cinéma Michael Medavoy et avait « présenté Clinton à l’establishment d’Hollywood », selon le Washington Post.

En tant qu’épouse de Perelman, Duff s’est présentée comme l’une des principales collectrices de fonds du Parti Démocrate, le dîner de collecte de fonds de 1995 en étant le symbole. En 1995, Perelman a également assisté à un dîner à 1.000 dollars le couvert à New York pour les Clinton, où Perelman était assis en face du Président, ainsi qu’à un dîner d’État pour le président du Brésil à la Maison Blanche.

La générosité de Perelman envers la machine politique des Clinton lui a valu d’être nommé par ces derniers au conseil d’administration du Kennedy Center en 1995. Il est probable que les Clinton aient eu pour lui d’autres gestes moins publics, car Perelman a offert beaucoup plus à la Première Famille qu’il ne semble avoir reçu en retour. Parmi les faveurs accordées par Perelman à Bill Clinton, la plus notable est sans doute l’offre d’emplois qu’il a faite à des membres de son administration en proie à des scandales, Webster Hubbell et Monica Lewinsky, à la suite de leurs controverses respectives. Cependant, après que ces offres d’emploi aient été rendues publiques, Hubbell et Lewinsky ont tous deux été licenciés, ces offres ayant toutefois ensuite attiré l’attention de l’avocat indépendant Ken Starr. Ce dernier n’a jamais assigné à comparaître ni enquêté sur Perelman ou sur les offres qu’il avait faites à Hubbell ou Lewinsky.

Les embauches controversées avaient été convenues entre Perelman et Vernon Jordan, conseiller de Clinton, qui siégeait au conseil d’administration de Revlon, une société contrôlée par Perelman, tandis que sa femme siégeait au conseil d’administration d’une autre société appartenant à Perelman. Jordan était connu pour être le  » passeur de Clinton vers les hauts et les puissants  » et avait emmené Clinton à la conférence Bilderberg de 1991. Au sujet de la décision d’engager Lewinsky à la suite du scandale, un ancien associé de Perelman a déclaré au Washington Post que « c’est comme dans la mafia, tout fonctionne selon un code », ajoutant que « je peux vous assurer que Ronald a pris la décision de donner le poste à Lewinsky. Et je peux vous assurer qu’il ne voulait pas savoir pourquoi Jordan le demandait. »

En 1995, Perelman a organisé une collecte de fonds pour Clinton dans son manoir, avec comme invités le chanteur Jimmy Buffett, l’acteur de Miami Vice Don Johnson, la femme de l’acteur Michael Douglas à l’époque, Deandra, et le coprésident du DNC Don Fowler [NdT. Le Comité national démocrate (en anglais : Democratic National Committee, abrégé en DNC) est un organisme politique américain chargé de diriger le Parti Démocrate au niveau national]. Parmi les autres invités figuraient A. Paul Prosperi, un copain corrompu de Clinton, et le désormais tristement célèbre Jeffrey Epstein. Clinton a personnellement participé à la collecte de fonds. Selon le Palm Beach Post, les invités avaient donné au moins 100.000 dollars au DNC pour assister au dîner avec le Président. Cela se passait, bien sûr, à l’approche des élections de 1996, et le DNC a fait l’objet d’un examen approfondi pour collecte illégale de fonds. Cette collecte de fonds n’a pas été la seule interaction d’Epstein avec Perelman – Perelman sera plus tard répertorié comme un invité fréquent d’Epstein dans le portrait de Vanity Fair de 2003 écrit par Vicky Ward et figure dans le livre noir des contacts d’Epstein.

Pendant la majeure partie des années 2000, Perelman a régné sur une fortune massive et en croissance constante. Pourtant, depuis 2020, Perelman « s’est débarrassé de ses actifs. De beaucoup d’actifs. Rapidement. » Cela a commencé par la vente de tableaux de valeur chez Sotheby’s et s’est bientôt étendu à la société d’investissement de Perelman, MacAndrews & Forbes, qui a cédé sa participation dans deux sociétés la même année, dont 1 milliard de dollars d’actions de Scientific Games. Selon MoneyWeek, la valeur nette de Perelman a chuté de 19 milliards de dollars en 2018 à 4,2 milliards de dollars à la fin de 2020, « suscitant des conjectures selon lesquelles il serait à court d’argent. » Au cours de l’année dernière, Perelman a continué à « réduire ses effectifs », cherchant à vendre son domaine dans les Hamptons pour 115 millions de dollars, un autre domaine de 57 acres d’une valeur de 180 millions de dollars et deux maisons de ville dans l’Upper East Side de Manhattan pour 60 millions de dollars.

D’autres actifs détenus par la société de Perelman, MacAndrews & Forbes, croulent également sous les dettes. L’un des rares actifs de la société qui n’est pas à ce jour en pleine hémorragie d’argent ou en prise avec des dettes est sa participation dans SIGA Technologies. La société principale de Perelman, MacAndrews & Forbes, a longtemps été l’un des principaux investisseurs de SIGA et reste son principal actionnaire, contrôlant 33% de toutes ses actions.

Depuis que Perelman est impliqué dans SIGA, la compagnie fait l’objet d’accusations de corruption. Par exemple, en mai 2011, SIGA a obtenu un contrat sans appel d’offres d’une valeur d’environ 433 millions de dollars pour développer et produire 1,7 million de doses d’un médicament antiviral contre la variole. À l’époque, rien ne prouvait que le médicament antiviral en question était capable de traiter la maladie et certains membres du personnel du HHS se sont émus du fait que le retour sur investissement de SIGA dans le cadre de ce contrat était « scandaleux. » Le contrat a alors fait l’objet d’une enquête, car on craignait qu’il n’ait été attribué à SIGA précisément parce qu’elle était contrôlée par Perelman, qui avait fait des dons importants à Barack Obama. À l’époque, CNN a noté ce qui suit au sujet des liens de Perelman avec la Maison Blanche d’Obama:

« Ronald Perelman est l’actionnaire majoritaire de Siga Technologies et un militant et collecteur de fonds de longue date du Parti Démocrate. Il est également un gros contributeur des Républicains, mais il est particulièrement ami avec la Maison Blanche d’Obama.

Andy Stern, ancien président du Syndicat International des Employés de Service, qui a eu des relations étroites avec l’administration Obama et qui a soutenu les initiatives du président Barack Obama en matière de soins de santé, fait également partie du conseil d’administration de Siga. »

Du fait de ces préoccupations et du potentiel conflit d’intérêt, une enquête du Congrès a été ouverte. Quelques jours après avoir appris la menace qui pesait sur ce contrat gouvernemental clé, les dirigeants de SIGA ont vendu de grandes quantités d’actions de la société à un prix moyen de 13,46 dollars par action, ce qui a rapporté des millions de dollars à son Directeur Général et à son Directeur Scientifique de l’époque. Un mois plus tard, la société annonçait que son contrat avait été réduit et les actions de la société étaient tombées à moins de 2 dollars en décembre.

Étant donné les précédentes accusations de « pay-to-play » [NdT. en gros, pots-de-vin] entourant le rôle de Perelman dans l’entreprise pendant l’administration Obama, alors que le Président Joe Biden était Vice-Président, que devons-nous penser du récent battage médiatique autour de la variole du singe? Ou des inquiétudes soulevées l’année dernière concernant un événement bioterroriste impliquant la variole?

Il est peut-être plus important de poser d’autres questions: pourquoi le rôle de Perelman dans SIGA a-t-il été largement occulté ou totalement ignoré dans les récents communiqués sur cette entreprise? De même, pourquoi les épouvantables antécédents d’Emergent Biosolutions ont-ils également été exclus des récents communiqués, y compris des principales plaintes déposées par le Congrès contre la société il y a moins de deux semaines? Il semble que la peur générée par la variole du singe ne fait pas que stimuler les actions de ces deux sociétés pourries, elle aide aussi le public à oublier leurs anciens péchés.

Auteur

Whitney Webb

Whitney Webb est une rédactrice, chercheuse et journaliste professionnelle depuis 2016. Elle a écrit pour plusieurs sites web et, de 2017 à 2020, a été rédactrice en chef et journaliste d’investigation principale pour Mint Press News. Elle écrit actuellement pour The Last American Vagabond.


Texte original

Monkeypox Fears May Rescue Endangered Corporations

Two corrupt companies were in rocky financial territory just a few weeks ago. Now, with concerns over a global monkeypox outbreak being hyped by media and global health organizations alike, the worries – and sins – of these two firms are quickly being forgotten.

by Whitney Webb – May 20, 2022

In recent days, concern over a global outbreak of monkeypox, a mild disease related to smallpox and chickenpox, has been hyped in the media and health ministries around the world, even prompting an emergency meeting at the World Health Organization (WHO). For some, fears have centered around monkeypox being the potential “next pandemic” after Covid-19. For others, the fear is that monkeypox will be used as the latest excuse to further advance draconian biosecurity policies and global power grabs.

Regardless of how the monkeypox situation plays out, two companies are already cashing in. As concern over monkeypox has risen, so too have the shares of Emergent Biosolutions and SIGA Technologies. Both companies essentially have monopolies in the US market, and other markets as well, on smallpox vaccines and treatments. Their main smallpox-focused products are, conveniently, also used to protect against or treat monkeypox as well. As a result, the shares of Emergent Biosolutions climbed 12% on Thursday, while those of SIGA soared 17.1%.

For these companies, the monkeypox fears are a godsend, specifically for SIGA, which produces a smallpox treatment, known by its brand name TPOXX. It is SIGA’s only product. While some outlets have noted that the rise in the valuation of SIGA Technologies has coincided with recent concerns about monkeypox, essentially no attention has been given to the fact that the company is apparently the only piece of a powerful billionaire’s empire that isn’t currently crumbling.

That billionaire, “corporate raider” Ron Perelman, has deep and controversial ties to the Clinton family and the Democratic party as well as troubling ties to Jeffery Epstein. Aside from his controlling stake in SIGA, Perelman has recently made headlines for rapidly liquidating many of his assets in a desperate bid for cash. 

Similarly, Emergent Biosolutions has also been in hot water. The company, which has troubling ties to the 2001 Anthrax attacks, came under fire just under two weeks ago for engaging in a “cover up” over quality control issues relating to their production of Covid-19 vaccines. A Congressional investigation found that quality control concerns at an Emergent-run facility led to more than 400 million doses of Covid-19 vaccines being discarded. The Emergent factory in question had been shut down by the FDA in April 2021. They were allowed to reopen last August before the government terminated the contract. Given that the majority of the company’s business is tied to US government contracts, the loss of this contract, and the accompanying poor publicity, the news that its smallpox vaccine may soon be of international interest is likely seen as a godsend by the company. 

Notably, this the second time in a year that both companies have benefitted from pandemic or bioterror fears propagated by the media. Last November, speculation rose that a re-emergence of the eradicated virus that causes smallpox would soon take place. This first began with Bill Gates’ comments on the prospects of smallpox bioterrorism during a November 4th, 2021 interview and was followed by the November 16th announcement of a CDC/FBI investigation into 15 suspicious vials labeled “smallpox” at a Merck facility in Philadelphia. Now, roughly six months later, the same fears are again paying off for the same two companies.

A Killer Enterprise

Emergent Biosolution was previously known as BioPort. The company was founded by Fuad el-Hibri, a Lebanese businessman, who leveraged his contacts with powerful US former military officials and politicians, to take control of a flailing Michigan factory. It was the only factory authorized to produce an anthrax vaccine.

The anthrax vaccine was known to have major problems even before BioPort had acquired it, and is believed by many investigators to be one of the main causes of “Gulf War” syndrome. The vaccine itself, originally developed at Fort Detrick, had little to no safety track record at the time it was administered to US troops in the First Gulf War – a problem that was never remedied. However, its chronic safety issues and its clumsy, multi-dose regimen would later prompt BioPort/Emergent Biosolutions to spend years developing a new formulation of its anthrax vaccine.

The creation of BioPort coincided with the Clinton administration’s efforts to mandate the anthrax vaccine for all members of the US Armed Forces. With control over the only source of anthrax vaccine, BioPort was poised to make a killing.

Once the company acquired the Michigan facility, it took large amounts of US government funds, ostensibly to make improvements at the site. However, the company declined to use the funds to make the necessary repairs, instead spending that money on its executives’ offices, as opposed to the vaccine factory, and millions more on bonuses for “senior management.” Pentagon auditors would later find that still millions more had gone “missing” and BioPort’s staff were unaware of the cost of producing a single dose of the vaccine. Despite the clear mismanagement and corruption, BioPort demanded to be bailed out by the Pentagon, and they were. Meanwhile, the Michigan facility lost its license after a government inspection found numerous safety issues.

However, by August 2001, BioPort stood to lose the Pentagon contracts – its only source of income. The Pentagon began preparing a report, due to be released in September 2001, that would detail a plan for letting BioPort go. Thanks to the September 11, 2001 attack on the Pentagon, that report was never released. Shortly thereafter, the 2001 anthrax attacks began.

Just months before, BioPort had contracted Battelle Memorial Institute to help rescue its flailing vaccine program. The deal gave Battelle “immediate exposure to the vaccine” and it was used in connection with the Pentagon-funded, gain-of-function anthrax program that involved both Ken Alibek and William C. Patrick III, two bioweapons experts with deep ties to the CIA. That program was housed at Battelle’s West Jefferson facility in Ohio. That facility is believed by many investigators to be the source of the anthrax used in the 2001 attacks.

The ensuing panic from the anthrax attacks led the Department of Health and Human Services (HHS) to intervene. They gave BioPort its license back in January 2002 despite persisting safety concerns at its vaccine production facility in Michigan. BioPort was not content to merely see its past contracts with the Pentagon restored, however, as it began lobbying heavily for new contracts for anthrax vaccines intended for American civilians, postal workers and others. They would get them, largely thanks to HHS’ then-counter-terrorism adviser and soon to be HHS’ newest Assistant Secretary — Jerome Hauer. Hauer would later join the board of BioPort, after it reformed as Emergent Biosolutions, in 2004.

Such examples of cronyism are more common than not when it comes to Emergent Biosolutions. Indeed, the company has frequently relied on individuals who spend their careers passing through the “revolving door” between the pharmaceutical industry and government, particularly those who also moonlight as bioterror alarmists. One of the main individuals critical to the company’s success over the years has been Robert Kadlec. Kadlec served as the top bioterror advisor to the Pentagon in the weeks leading up to the 2001 anthrax attacks. Months prior, he had participated in the June 2001 simulation Dark Winter, which “predicted” major aspects of the subsequent anthrax attacks. Kadlec subsequently crafted much of the legislation that would create the country’s subsequent bioterror/pandemic response policy, including BARDA and the Strategic National Stockpile.

Soon after leaving government, Robert Kadlec helped found a new company in 2012 called “East West Protection,” which develops and delivers “integrated all-hazards preparedness and response systems for communities and sovereign nations.” The company also “advises communities and countries on issues related to the threat of weapons of mass destruction and natural pandemics.”

Kadlec formed the company with W. Craig Vanderwagen, the first HHS Assistant Secretary for Preparedness and Response (a position Kadlec had helped write into law and would later hold himself). The other co-founder of East West Protection was Fuad El-Hibri, the founder of BioPort/Emergent Biosolutions, who had just stepped down as Emergent’s CEO earlier that year.

Kadlec then became a consultant. Kadlec’s consultancy firm, RPK Consulting, netted him $451,000 in 2014 alone, where he directly advised Emergent Biosolutions as well as other pharmaceutical companies like Bavarian Nordic. Kadlec was also a consultant to military and intelligence contractors, such as the DARPA-backed firm Invincea and NSA contractor Scitor, which was recently acquired by SAIC.

Kadlec would return to government as HHS ASPR under Trump, a position which he held at the time the Covid-19 crisis began. The year prior, in 2019, Kadlec had conducted a months-long simulation focused on a global pandemic originating in China called Crimson Contagion. Once the Covid-19 crisis began in earnest, he played a major role in securing Covid-19 vaccine contracts for Emergent Biosolutions, despite his conflicts of interest, some of which he had declined to disclose upon being appointed to serve as ASPR.

Emergent Biosolutions’ pattern of corrupt behavior, beginning with its anthrax vaccine, can be seen with its recent actions as it relates to its production of Covid-19 vaccines. Per the recent Congressional report, released just days before the recent spike in concern over monkeypox began, Emergent lab workers “intentionally sought to mislead government inspectors about issues” at its Baltimore-based plant and also repeatedly “rebuffed” efforts by AstraZeneca and Johnson & Johnson to inspect their facilities. “Despite major red flags at its vaccine manufacturing facility, Emergent’s executives swept these problems under the rug and continued to rake in taxpayer dollars,” House Oversight and Reform Committee Chairwoman Carolyn Maloney (D-NY) stated upon the report’s release. Yet such “major red flags” can be found throughout the company’s entire history, for those willing to take the time to look.

Just days after the Congressional report was released, Emergent Biosolutions announced that it would acquire the exclusive worldwide rights to the “first FDA-approved Smallpox Oral Antiviral for all ages” from the company Chimerix. The drug, called TEMBEXA, is only for the treatment of smallpox, which the company refers to as “a high priority public health threat.” The press release on the company’s acquisition of TEMBEXA states that multi-million US government contracts for the product are anticipated. The FDA formally approved the drug last June.

Emergent Biosolutions also has the rights to the smallpox vaccine known as ACAM2000, which can also be used to treat monkeypox. The vaccine, originally produced by Sanofi, was acquired by the company in 2017. As a result, the company has an essential monopoly over smallpox vaccines as ACAM2000 is “the only vaccine licensed by the FDA for active immunization against smallpox disease for people determined to be at high risk of smallpox infection.”

Given their track record, it’s worth asking why Emergent Biosolutions has been working in recent months to pivot much of its business into smallpox treatments. However, there is no speculation needed when observing that the current monkeypox fears and helping rescue the company, whose shares had fallen some 26% year to date before concern over the recent monkeypox outbreak began to grow.

Whatever comes of the monkeypox situation, Emergent Biosolutions’ decades-long track record is undeniably one of corruption and cronyism.

BioArmor” for Ron Perelman’s Flailing Business Empire

SIGA Technologies, which likens its products to “Human BioArmor”, features a quote from Bill Gates at the top of its about page. The quote reads: “[…] the next epidemic could originate on the computer screen of a terrorist intent on using genetic engineering to create a synthetic version of the smallpox virus […]” The quote is from Bill Gates’ speech to the 2017 Munich Security Conference, where he used to the threat specifically of smallpox to argue that “health security” and “international security” be merged. Notably, last March, the Munich Security Conference hosted a simulation of a global pandemic caused by a “genetically engineered monkeypox virus.”

SIGA is one example of a company that seeks to find its niche in the middle of “health security” and “international security.” It specifically provides “solutions for unmet needs in the health security market that comprises medical countermeasures against chemical, biological, radiological, and nuclear (CBRN) threats, as well as emerging infectious diseases.” The majority of contracts for CBRN medical countermeasures in the US are funded by the Pentagon. While it promotes itself as a CBRN threat-focused company, SIGA is, for now, singularly focused on smallpox.

Indeed, SIGA Technologies is only currently profitable in the event of an actual outbreak of smallpox or a related disease, or when fear of a smallpox bioterror event is high. Specifically, concern over the latter has led to the company to win government contracts to produce TPOXX for the Strategic National Stockpile (SNS). This is because TPOXX is only used to treat active smallpox or monkeypox infection, not prevent it. This means that it is only useful if smallpox, monkeypox or a related disease is actively infecting people or if there is a high risk that one of these diseases will soon infect large groups of people. TPOXX was first approved in 2018 by the FDA and was approved by the European Medicine Agency (EMA) this past January. The FDA approved an intravenous version of TPOXX just this past Thursday. Overall, SIGA has received over $1 billion from the US government to develop TPOXX.

SIGA is currently partnered with HHS’ BARDA, the Department of Defense, the CDC and the NIH. Another partner is Lonza, a European pharmaceutical manufacturing firm that is partnered with both the World Economic Forum and Moderna. SIGA’s CEO, Phillip Gomez, is an alumni of PRTM Consulting, where he would have worked closely with Robert Kadlec, as the two men overlapped as directors of the firm and both worked advising government agencies on matters of public health and biodefense.

SIGA is also notable because it is possibly the only company in the business empire of corporate raider Ron Perelman that is not attached to growing mountains of debt. Perelman is one of the notorious corporate raiders from the 1980s who conducted corporate takeovers fueled by junk bonds, particularly those connected to Michael Milken’s Drexel Burnham Lambert. Perelman’s business tactics have long been informed by his volcanic temper and his ruthlessness, with former Salomon Brothers CEO John Gutfruend once remarking that “believing Mr. Perelman has no hostile intentions is like believing the tooth fairy exists.”

Perelman is also known for being a long-time patron of the Clinton family, even though, more recently he donated to Donald Trump’s political campaigns. Perelman apparently first became interested in courting influence with the Clintons after marrying Patricia Duff in 1994. Duff was deeply connected to the Democratic Party, having worked for Democratic pollster Pat Cadell, and she had also worked for the House panel that “investigated” the assassinations of John F. Kennedy and Martin Luther King Jr. Prior to marrying Perelman, she had been married to movie mogul Michael Medavoy and had “introduced Clinton to the Hollywood establishment,” according to the Washington Post. 

As Perelman’s wife, Duff styled herself a leading Democratic fundraiser, with the 1995 fund-raising dinner being emblematic of that. Also, in 1995, Perelman attended a $1,000-a-plate dinner in New York for the Clintons, where Perelman sat across from the President, as well as a state dinner for Brazil’s president at the White House.

For Perelman, his generosity to the Clinton political machine resulted in an appointment by Clinton to the board of trustees of the Kennedy Center in 1995. Other, less public gestures from the Clintons were likely, as Perelman offered much more to the First Family than he appears to have received in return. Perhaps most notable of Perelman’s favors for Bill Clinton was his offering of jobs to scandal-ridden members of his administration, Webster Hubbell and Monica Lewinsky, in the wake of their respective controversies. However, after the job offers were publicly reported, both Hubbell and Lewinsky were let go, though the offers later caught the attention of independent counsel Ken Starr. Starr never subpoenaed or investigated Perelman or the offers he had made to Hubbell or Lewinsky.

The controversial hirings had been arranged between Perelman and Clinton advisor Vernon Jordan, who sat on the board of Revlon, a Perelman-controlled company, while his wife was on the board of another Perelman-owned firm. Jordan was known as Clinton’s “conduit to the high and mighty” and had taken Clinton to the 1991 Bilderberg conference. On the decision to hire Lewinsky following the scandal, a former business associate of Perelman’s told the Washington Post that “It’s like the Mafia, it’s all done in code,” adding that “I can assure you that Ronald made the decision to give Lewinsky the job. And I can assure you he wouldn’t want to know why Jordan was asking.”

In 1995, Perelman held a Clinton fundraiser at his mansion, with guests including singer Jimmy Buffett, Miami Vice actor Don Johnson, actor Michael Douglas’ then-wife Deandra and DNC co-chair Don Fowler. Other guests included A. Paul Prosperi, a corrupt Clinton crony, and the now infamous Jeffrey Epstein. Clinton himself attended the fundraiser. According to the Palm Beach Post, guests had donated at least $100,000 to the DNC to attend the dinner with the President. This was, of course, in the lead up to the 1996 election, and the DNC would later come under heavy scrutiny due to illegal fundraising. This fundraiser was not Epstein’s only interaction with Perelman – Perelman would later be listed as a frequent dinner guest of Epstein’s in the 2003 Vanity Fair profile penned by Vicky Ward and is listed in Epstein’s black book of contacts.

For most of the 2000s, Perelman has sat atop a massive, ever-growing fortune. Yet, since 2020, Perelman has “been unloading assets ‘A lot of them. Rapidly.’” It stated with sales of valuable paintings at Sotheby’s and soon extended to Perelman’s investment company MacAndrews & Forbes, which disposed of its interest in two companies that same year, including $1 billion in shares in Scientific Games. According to MoneyWeek, Perelman’s net worth dropped from $19 billion in 2018 to $4.2 billion in late 2020, “prompting speculation that he’s runnings out of money.” Over the course of last year, Perelman has continued to “downsize”, looking to sell off his estate in the Hamptons for $115 million, another 57-acre estate worth $180 million and two townhouses in Manhattan’s Upper East Side for $60 million. 

Other assets held by Perelman’s company MacAndrews & Forbes are also drowning in debt. One of the few assets of the company that isn’t currently haemorrhaging money or struggling with debt is its shares in SIGA Technologies. Perelman’s main company, MacAndrews & Forbes, has long been one of SIGA’s biggest investors and remains its largest shareholder, controlling 33% of all shares.

Since Perelman got involved with SIGA, accusations of corruption have plagued the company. For instance, in May 2011, SIGA was given a no-bid contract worth about $433 million to develop and produce 1.7 million doses of anti-viral drug for smallpox. At the time there was no evidence the smallpox drug in question was capable of treating the disease and there was alarm among some HHS staffers that SIGA’s return on investment from the contract was “outrageous.” The contract began to be investigated over concerns that the contract had been awarded to SIGA precisely because it was controlled by Perelman, who had donated heavily to Barack Obama. At the time, CNN noted the following about Perelman’s connections to the Obama White House:

Ronald Perelman is controlling shareholder of Siga Technologies and a longtime Democratic Party activist and fundraiser. He’s also a large contributor to Republicans, but has been a particular friend of the Obama White House.

Also on Siga’s board of directors is Andy Stern, former president of the Service Employees International Union, who has had close relations with the Obama administration and who has supported President Barack Obama’s health care initiatives.”

As a result of these concerns and the potential conflict of interest, a congressional investigation began. Days after learning that this key government contract may be in jeopardy, SIGA executives sold off large amounts of company stock at an average price of $13.46 per share, netting its Chief Executive Officer and Chief Scientific Officer at the time millions of dollars. A month later, the company announced that its contract had been downsized and shares in the company fell to under $2 by that December.

Given past “pay-to-play” accusations around Perelman’s role in the firm during the Obama administration, when President Joe Biden served as Vice President, what are we to make of the recent media hype around monkeypox? Or concerns raised last year of a bioterrorism event involving smallpox? 

Perhaps it’s more important to ask other questions – why has Perelman’s role in SIGA been largely obfuscated or totally ignored by recent reporting on the company? Similarly, why has Emergent Biosolutions’ horrific track record also been excluded from recent reports, including the major complaints from Congress made against the company less than two weeks ago? It seems the fear being generated around monkeypox is not only boosting shares for these two rotten companies, it’s helping the public forget their past sins.

Author

Whitney Webb

Whitney Webb has been a professional writer, researcher and journalist since 2016. She has written for several websites and, from 2017 to 2020, was a staff writer and senior investigative reporter for Mint Press News. She currently writes for The Last American Vagabond.

Guide de détoxification des protéines de pointe.

Je publie ceci pour quelqu’un en particulier et bien entendu pour toutes les personnes qui pourraient en avoir besoin. Je traduirai également les autres guides publiés sur le même site référencés dans le texte, à toutes fins utiles.

Je rappelle aussi l’utilité de lire ce très long témoignage, publié sur ce blog il y a un an, de cette dame très courageuse et tenace qui a fait un Covid long à partir de mars 2020 et qui recensait déjà un nombre impressionnant de contre-mesures au Covid que l’on (re)découvre seulement maintenant.

Source.


Guide de détoxification des protéines de pointe

Posté le 30 novembre 2021, Mis à jour le 3 mai 2022

À propos de ce guide

Ceci est un guide évolutif contenant des informations nouvelles sur la façon d’éliminer de l’organisme les protéines de pointe d’origine virale et vaccinale. Les listes de plantes médicinales et d’autres médicaments et compléments ont été compilées dans le cadre d’une collaboration entre des médecins internationaux, des scientifiques et des praticiens de la médecine holistique.

Les infections à Covid-19, les vaccins Covid-19 et la question des effets nocifs des protéines de pointe étant nouveaux, ce guide s’appuie sur des recherches médicales établies et émergentes ainsi que sur l’expérience clinique de médecins internationaux et de praticiens de la santé holistique ; il évoluera au fur et à mesure de l’apparition de nouvelles preuves.

Les médicaments et les suppléments exempts de brevet inclus dans ce guide peuvent présenter une disponibilité différente dans le monde.

Qui pourrait bénéficier de ces informations?

Si vous avez contracté le Covid-19, si vous avez récemment reçu une injection Covid-19 ou si vous présentez des symptômes qui pourraient être liés à la transmission du vaccin Covid-19 (également appelée excrétion), vous pourriez bénéficier de l’utilisation d’un ou plusieurs éléments de notre liste de médicaments et de suppléments pour réduire la charge en protéine de pointe. La protéine de pointe, qui fait partie du virus Covid-19 et qui est produite dans notre corps après l’inoculation, peut circuler dans notre corps et endommager les cellules, les tissus et les organes.

De nombreuses personnes n’ont pas réussi à trouver de l’aide pour une maladie liée à la protéine de pointe (également appelée « spikopathie ») [NdT. de « spikopathy », intraduisible autrement] auprès des services de santé existants. Ces informations sont pertinentes si vous avez eu des réactions indésirables après une injection, si vous avez été victime de Covid Long ou si vous souffrez du Syndrome Post-Injection Covid (SPIC).

Remarque importante : ce guide est uniquement destiné à des fins éducatives. Si vous êtes malade après la vaccination, veuillez demander l’aide d’un médecin ou d’un praticien de santé holistique. Pour obtenir des informations sur les maladies consécutives à l’injection de Covid, consultez le guide post-injection du WCH.

La protéine de pointe est présente dans tous les variants du SARS-CoV-2. Elle est également produite dans votre organisme lorsque vous recevez une injection de Covid-19. Même si vous n’avez pas eu de symptômes, que vous n’avez pas été testé positif au Covid-19 ou que vous n’avez pas présenté d’effets secondaires après une injection, il se peut que des protéines de pointe persistent dans votre organisme. Afin de les éliminer après une injection ou une infection, les médecins et les praticiens holistiques suggèrent quelques actions simples.

On pense que le fait de débarrasser l’organisme des protéines de pointe (ce qui sera appelé détoxification dans la suite du texte) dès que possible après une infection ou un vaccin peut protéger contre les dommages causés par les protéines de pointe restantes ou en circulation.

Dans ce guide, nous aborderons plusieurs caractéristiques clés de ces affections qui peuvent être ciblées au cours d’une détoxification :

  • La protéine de pointe
  • Les récepteurs ACE2
  • L’interleukine 6 (IL-6)
  • La furine
  • La sérine protéase

Informations importantes sur la sécurité avant de commencer une détoxification

N’entreprenez pas une cure de détoxification aux protéines de pointe sans la supervision d’un professionnel de la santé de confiance. Veuillez noter les points suivants:

  • Le thé aux aiguilles de pin, le neem [margousier], la consoude, l’Andrographis paniculata – Ne doivent PAS être consommés pendant la grossesse.
  • Magnésium – Un surdosage est possible, et il est plus difficile à détecter lors de la consommation de magnésium liposomal. Par conséquent, envisagez un mélange de magnésium liposomal et conventionnel, ou seulement du magnésium conventionnel.
  • Zinc – Lorsque vous consommez une multivitamine qui contient déjà du zinc, veillez à ajuster la quantité de zinc consommée dans les autres compléments.
  • Nattokinase – Ne pas prendre si vous utilisez des anticoagulants, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez.
  • Tenez toujours compte du dosage – Lorsque vous prenez une multivitamine, n’oubliez pas d’ajuster la quantité de chaque complément en conséquence. (Par exemple, si votre multivitamine contient 15 mg de zinc, vous devez réduire votre supplémentation en zinc de cette quantité).
  • Millepertuis – Ce médicament interagit avec de nombreux médicaments. Il ne doit pas être pris sans l’avis de votre médecin si vous prenez d’autres médicaments.

Mesures proactives et de soutien

Pratiquement toutes les maladies sont plus faciles à gérer à un stade précoce. Après tout, il est nettement préférable d’éviter complètement une crise de santé que d’y réagir. Comme le dit le proverbe, mieux vaut prévenir que guérir.

Une alimentation saine est essentielle pour soutenir le système immunitaire.

Conseils

  • Modifiez votre régime alimentaire de manière à réduire la consommation d’aliments pro-inflammatoires. Un régime pauvre en histamine est recommandé. Évitez les aliments transformés et les OGM.
  • Les aliments figurant dans le tableau 1 peuvent également être intégrés au régime alimentaire quotidien avant de contracter le Covid-19 ou de recevoir une piqûre de Covid-19, si vous choisissez quand même de le faire.
  • Le jeûne intermittent : La pratique du jeûne intermittent consiste à mettre en place des horaires de repas qui alternent entre des périodes de jeûne volontaire et de non-jeûne. En général, les personnes qui pratiquent le jeûne intermittent consomment toutes leurs calories quotidiennes dans un délai de 6 à 8 heures chaque jour. Cette méthode de régime est utilisée pour induire l’autophagie, qui est essentiellement un processus de recyclage qui a lieu dans les cellules humaines, où les cellules dégradent et recyclent les composants. L’autophagie est utilisée par l’organisme pour éliminer les protéines cellulaires endommagées et peut détruire les virus et les bactéries nuisibles après une infection.
  • La consommation quotidienne d’une multivitamine est conseillée. Elle fournit un apport de base en vitamine A, vitamine E, iode, sélénium, oligo-éléments et autres, en plus de la vitamine C et de la vitamine D3.
  • La thérapie thermique, comme les saunas et les bains chauds, est considérée comme un bon moyen de détoxification des protéines de pointe.

Qu’est-ce que la protéine de pointe?

Le virus du SARS-CoV-2 contient une protéine en pointe à sa surface. Si vous avez vu des images du coronavirus, il s’agit des protubérances semblables à celles du soleil que l’on voit souvent à l’extérieur du virus.

Lors d’une infection naturelle, les protéines de pointe jouent un rôle clé en aidant le virus à pénétrer dans les cellules de votre corps. Une région de la protéine, appelée S2, fusionne l’enveloppe virale à votre membrane cellulaire. La région S2 permet également à la protéine de pointe du coronavirus d’être facilement détectée par le système immunitaire, qui produit alors des anticorps pour cibler et se lier au virus.

Les protéines de pointe sont également produites par l’organisme après une injection Covid-19, et leur fonctionnement est similaire: elles sont capables de fusionner avec les membranes cellulaires. En outre, comme elles sont fabriquées dans vos propres cellules, celles-ci sont ensuite ciblées par votre système immunitaire dans le but de détruire la protéine de pointe. Ainsi, la réponse de votre système immunitaire aux protéines de pointe peut endommager les cellules de votre corps.

De nouvelles preuves montrent également que dans le noyau de nos cellules, la protéine de pointe altère la capacité de nos cellules à réparer l’ADN.

Pourquoi devrais-je envisager de me détoxifier de la protéine de pointe?

La protéine de pointe provenant d’une infection naturelle ou d’un vaccin Covid endommage les cellules de notre corps. Il est donc important de prendre des mesures pour s’en détoxifier du mieux que l’on peut.

La protéine de pointe est une partie hautement toxique du virus, et la recherche a établi un lien entre la protéine de pointe induite par le vaccin et les effets toxiques. La recherche sur la protéine de pointe se poursuit.

La protéine de pointe du virus a été liée à des effets indésirables, tels que: caillots sanguins, brouillard cérébral, pneumonie organisée et myocardite. Elle est probablement responsable d’un grand nombre des effets secondaires du vaccin Covid-19 discutés dans le guide post-injection du WCH.

Une étude japonaise sur la biodistribution du vaccin Pfizer a révélé que, dans les 48 heures suivant la vaccination, les particules du vaccin avaient voyagé vers divers tissus de l’organisme et n’étaient pas restées au point d’injection, avec des concentrations élevées dans le foie, la moelle osseuse et les ovaires.

Les preuves émergentes sur la spikopathie suggèrent que des effets liés à l’inflammation et à la coagulation peuvent se produire dans tout tissu dans lequel la protéine de pointe s’accumule. En outre, des études évaluées par des pairs sur des souris ont révélé que la protéine de pointe est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Ainsi, chez l’homme, elle pourrait potentiellement entraîner des dommages neurologiques si elle n’est pas éliminée de l’organisme.

Comment réduire votre charge en protéines de pointe

L’aide aux personnes atteintes de Covid Long et de maladies post-vaccinales est un domaine nouveau et émergent de la recherche et de la pratique en matière de santé. Les listes suivantes contiennent des substances qui peuvent être utiles. Cette liste a été compilée par des médecins internationaux et des praticiens holistiques ayant des expériences diverses dans l’aide aux personnes souffrant de Covid-19 et de maladies post-vaccinales.

Heureusement, il existe une multitude de solutions naturelles et facilement accessibles pour réduire la charge protéique de votre corps.

Certains « inhibiteurs de liaison protéique » empêchent la liaison de la protéine de pointe aux cellules humaines, tandis que d’autres neutralisent la protéine de pointe afin qu’elle ne puisse plus causer de dommages aux cellules humaines.

Inhibiteurs de la protéine de pointe: Prunella vulgaris, aiguilles de pin, émodine, neem, extrait de feuille de pissenlit, ivermectine.

Neutralisateurs de protéines de pointe: N-acétylcystéine (NAC), glutathion, thé de fenouil, thé d’anis étoilé, thé d’aiguilles de pin, millepertuis, feuille de consoude, vitamine C.

  • Il a été démontré que l’ivermectine se lie à la protéine de pointe, ce qui la rend potentiellement inefficace pour se lier à la membrane cellulaire.
  • Plusieurs plantes présentes dans la nature, notamment les aiguilles de pin, le fenouil, l’anis étoilé, le millepertuis et la feuille de consoude, contiennent une substance appelée acide shikimique, qui peut contribuer à neutraliser la protéine de pointe. L’acide shikimique peut aider à réduire plusieurs effets néfastes possibles de la protéine de pointe, et on pense qu’il contrecarre la formation de caillots sanguins.
  • Des doses orales régulières de vitamine C sont utiles pour neutraliser toute toxine.
  • Le thé aux aiguilles de pin a de puissants effets antioxydants et contient des concentrations élevées de vitamine C.
  • La nattokinase (voir tableau 1), une enzyme dérivée du plat de soja japonais « Natto », est une substance naturelle dont les propriétés peuvent contribuer à réduire l’apparition de caillots sanguins.

Qu’est-ce que le récepteur ACE2?

Le récepteur ACE2 est situé dans la paroi cellulaire, dans les parois des poumons et des vaisseaux sanguins, et dans les plaquettes. La protéine de pointe se fixe aux récepteurs ACE2.

Il a été proposé que de fortes concentrations de protéine de pointe puissent se lier à nos récepteurs ACE2 et y rester, bloquant ainsi le fonctionnement régulier de ces récepteurs dans divers tissus. La perturbation de ces récepteurs a été associée à une multitude d’effets indésirables dus à l’altération du fonctionnement des tissus.

  • Si les protéines de pointe se lient à la paroi cellulaire et restent en place, elles peuvent inciter le système immunitaire à attaquer les cellules saines et éventuellement déclencher une maladie auto-immune.
  • La protéine de pointe pourrait se fixer aux récepteurs ACE2 situés sur les plaquettes sanguines et les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des saignements ou une coagulation anormale, deux phénomènes liés à la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (TTIV).

Comment détoxifier vos récepteurs ACE2

Substances qui protègent naturellement les récepteurs ACE2:

  • Ivermectine
  • Hydroxychloroquine (avec du zinc)
  • Quercétine (avec du zinc)
  • Fisétine

Des données suggèrent que la liaison de l’ivermectine au récepteur ACE2 empêche la protéine de pointe de se lier à lui.

Qu’est-ce que l’interleukine 6?

L’interleukine 6, ou IL-6, est une protéine cytokine principalement pro-inflammatoire. Cela signifie qu’elle est naturellement produite par l’organisme en réponse à une infection ou à une lésion tissulaire et qu’elle déclenche la réponse inflammatoire.

Pourquoi cibler l’IL-6?

Certaines substances naturelles aident le processus de détoxification post-injection en ciblant l’interleukine 6.

Des preuves scientifiques montrent que les cytokines telles que l’IL-6 sont présentes à des niveaux beaucoup plus élevés chez les personnes infectées par le Covid que chez les personnes non infectées.

L’IL-6 a été utilisée comme biomarqueur de la progression du Covid. Des taux accrus d’IL-6 ont été constatés chez des patients souffrant de dysfonctionnement respiratoire. Une méta-analyse a révélé une relation fiable entre les niveaux d’IL-6 et la gravité du Covid. Les niveaux d’IL-6 ont été inversement liés au nombre de cellules T chez les patients en soins intensifs.

Les cytokines pro-inflammatoires telles que l’IL-6 sont également exprimées après la vaccination, et des études suggèrent qu’elles peuvent atteindre le cerveau.

Les inhibiteurs de l’IL-6 ont d’ailleurs été recommandés par l’OMS pour les cas graves de Covid, pour lesquels ils ont été décrits comme pouvant sauver des vies.

Comment se détoxifier de l’IL-6

Les listes suivantes de substances naturelles, dont plusieurs compléments alimentaires anti-inflammatoires de base, peuvent être utilisées pour prévenir les effets indésirables de l’IL-6 en inhibant son action.

Inhibiteurs de l’IL-6 (anti-inflammatoires): Boswellia serrata (encens) et extrait de feuilles de pissenlit.

Autres inhibiteurs de l’IL-6: Cumin noir (Nigella sativa), curcumine, huile de poisson et autres acides gras, cannelle, fisétine (flavonoïde), apigénine, quercétine (flavonoïde), resvératrol, lutéoline, vitamine D3 (avec vitamine K2), zinc, magnésium, thé au jasmin, épices, feuilles de laurier, poivre noir, muscade et sauge.

Qu’est-ce que la furine?

La furine est une enzyme, qui clive les protéines et les rend biologiquement actives.

Pourquoi cibler la furine?

Il a été démontré que la furine sépare la protéine de pointe et permet ainsi au virus de pénétrer dans les cellules humaines.

Un site de clivage de la furine est présent sur la protéine de pointe du Covid, ce qui rendrait le virus plus infectieux et transmissible.

Les inhibiteurs de la furine agissent en empêchant le clivage de la protéine de pointe.

Comment se détoxifier de la furine

Substances qui inhibent naturellement la furine:

  • Rutine
  • Limonène
  • Baicaline
  • Hespéridine

Qu’est-ce que la sérine protéase?

La sérine protéase est une enzyme.

Pourquoi cibler la sérine protéase?

L’inhibition de la sérine protéase peut empêcher l’activation de la protéine de pointe et réduire l’entrée du virus dans les cellules, réduisant ainsi le taux d’infection ainsi que sa gravité.

Comment se détoxifier de la sérine protéase

Les substances qui inhibent naturellement la sérine protéase et peuvent aider à réduire les niveaux de protéines de pointe dans l’organisme:

  • Thé vert
  • Tubercules de pomme de terre
  • Algues bleu-vert
  • Fèves de soja
  • N-Acétyl Cystéine (NAC)
  • Boswellia (encens)

Que prendre? Quelle quantité prendre? D’où provient-il? Où se le procurer?

Tableau 1. Médicaments et compléments qui peuvent être envisagés

SubstanceSource(s) naturelle(s)Où se procurerDose recommandée
IvermectineBactéries du sol (avermectine) Sur ordonnance
0,4mg/kg par semaine pendant 4 semaines, puis par mois
*Vérifiez les instructions de l’emballage pour déterminer s’il existe des contre-indications avant l’utilisation.
HydroxychloroquineSur ordonnance200 mg par semaine pendant 4 semaines
*Vérifier les instructions de l’emballage pour déterminer s’il y a des contre-indications avant l’utilisation.
Vitamine CAgrumes (par exemple, oranges) et légumes (brocoli, chou-fleur, choux de Bruxelles)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne6 à 12 g par jour (répartis équitablement entre l’ascorbate de sodium (plusieurs grammes), la vitamine C liposomale (3 à 6 g) et le palmitate d’ascorbyle (1 à 3 g).
Prunella Vulgaris (communément appelé auto-guérison)Plante d’auto-guérisonSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne7 onces (207ml) par jour
Aiguilles de pin PinSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneConsommez du thé 3 fois par jour (consommez également l’huile/résine qui s’accumule dans le thé).
NeemArbre margousierSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneSelon les instructions de votre praticien ou de votre préparation
Extrait de feuille de pissenlitPissenlitSupplément (thé de pissenlit, café de pissenlit, teinture de feuilles) : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne  Teinture selon les instructions de votre praticien ou de votre préparation.
N-Acetyl Cysteine (NAC)Aliments riches en protéines (haricots, lentilles, épinards, bananes, saumon, thon)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 1200mg par jour (en doses fractionnées)
Thé de fenouilFenouilSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneAucune limite supérieure. Commencez par une tasse et surveillez la réaction de votre corps.
Thé d’anis étoiléArbre à feuilles persistantes de Chine (Illicium verum)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Aucune limite supérieure. Commencez par une tasse et surveillez la réaction de votre corps.
MillepertuisMillepertuis (plante)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Feuille de consoudeSymphytum, genre de planteSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Nattokinase Natto (plat japonais à base de soja)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Boswellia serrata  Arbre Boswellia serrataSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Cumin noir (Nigella Sativa)Famille des plantes à bouton d’orÉpiceries, magasins de produits diététiques 
CurcumineCurcumaÉpiceries, magasins de produits diététiques 
Huile de poissonPoissons gras et huileuxÉpiceries, magasins de produits diététiquesJusqu’à 2000 mg par jour
CannelleGenre d’arbre CinnamomumÉpicerie 
Fisétine (Flavonoïde)Fruits: fraises, pommes, mangues
Légumes: oignons, noix, vin
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 100 mg par jour (à consommer avec des graisses)
ApigénineFruits, légumes et herbes
persil, camomille, épinards, céleri, artichauts, origan
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne50mg par jour  
Quercétine (Flavonoïde)Agrumes, oignons, persil, vin rougeSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJUsqu’à 500mg deux fois par jour, à prendre avec du zinc
ResveratrolCacahuètes, raisins, vin, myrtilles, cacaoSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 1500mg par jour pendant 3 mois maximum
LutéolineLégumes: céleri, persil, feuilles d’oignon
Fruits: peau de pomme, fleurs de chrysanthème
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne100-300mg par jour (Recommandations typiques du fabricant)
Vitamine D3Poissons gras, huiles de foie de poissonSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne5000 – 10,000 IU par jour 
Vitamine KLégumes à feuilles vertesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online90-120mcg par jour (90 pour les femmes, 120 pour les hommes)
ZincViande rouge, volaille, huîtres, céréales complètes, produits laitiers.Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne11-40mg par jour  
MagnesiumLégumes verts, céréales complètes, noixSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 350mg par jour 
Thé au jasminFeuilles de jasmin commun ou de plantes SampaguitaÉpiceries, magasins de produits diététiquesJusqu’à 8 tasses par jour
Epices Épicerie 
Feuilles de laurierPlants de laurierÉpicerie 
Poivre noirPlante Piper nigrumÉpicerie 
Noix de muscadeGraines d’arbre Myristica fragransÉpicerie 
SaugePlants de saugeÉpicerie 
RutineSarrasin, asperges, abricots, cerises, thé noir, thé vert, thé aux fleurs de sureau.Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online500-4000mg par jour  (consulter un professionnel de la santé avant de prendre des doses plus élevées)
LimonèneL’écorce des agrumes tels que les citrons, les oranges et les limes.Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 2000mg par jour
BaicaleineGenre de plante ScutellariaSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne100-2800mg  
HespéridineAgrumesSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 150mg deux fois par jour
Thé vertFeuilles de la plante Camellia sinensisÉpicerieJusqu’à 8 tasses de thé par jour ou selon les indications du supplément. 
Tubercules de pommes de terrePommes de terreÉpicerie 
Algues bleu-vertCyanobactériesSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne1-10 grammes par jour
Andrographis PaniculataPlante chiretta verteSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne400mg x 2 par jour

*Vérifier les contradictions
Extrait de chardon-marieSilymarineSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne200mg x 3 par jour
Soja (biologique)Fèves de sojaÉpiceries, magasins de produits diététiques 

La plupart de ces articles sont facilement trouvables dans les épiceries locales ou sous forme de compléments alimentaires dans les magasins d’aliments naturels.

Remarque: Cette liste n’est pas exhaustive et d’autres substances, comme la serrapeptase et l’huile de CBD, ont également été suggérées. Le World Council for Health continuera à mettre à jour ce document à mesure que de nouvelles informations apparaîtront.

Certains praticiens holistiques recommandent également des substances pour nettoyer l’organisme des métaux après la vaccination, comme la zéolite et le charbon actif. Le WCH préparera en temps voulu des conseils sur la façon de se détoxifier des métaux.

Les dix principaux éléments essentiels de la détoxification des protéines de pointe:

  • Vitamine D
  • Vitamine C
  • NAC (N-acétylcystéine)
  • Ivermectine
  • Graine de nigelle
  • Quercétine
  • Zinc
  • Magnésium
  • Curcumine
  • Extrait de chardon-marie

Pour plus d’informations et des protocoles spécifiques, voici quelques sites web qui peuvent vous intéresser:

Cliquez ici pour télécharger un guide PDF de la Caring Healthcare Workers Coalition.


Texte original

Spike Protein Detox Guide

Posted on November 30, 2021, Updated on May 3, 2022

About this guide

This is an evolving guide with emerging information on how to clear viral and vaccine-induced spike proteins from the body. The lists of herbal and other medicines and supplements have been compiled in a collaboration between international doctors, scientists, and holistic medical practitioners. 

As Covid-19 infections, Covid-19 vaccines, and the issue of spike protein harms are new, this guide is informed by established and emerging medical research as well as the clinical experience of international medical doctors and holistic health practitioners; it will evolve as new evidence emerges.

The patent-free medicines and supplements included may have differing availability around the world. 

Who might benefit from this information?

If you have had Covid-19, have recently had a Covid-19 injection, or are experiencing symptoms that may be related to Covid-19 vaccine transmission (also called shedding), you may benefit from using one or more items from our list of medicines and supplements to reduce spike protein load. The spike protein, which is both a part of the Covid-19 virus and is produced in our bodies after inoculation, can circulate around our bodies causing damage to cells, tissues, and organs. 

Many people have been unable to find help for spike protein related illness (also called spikopathy) through existing healthcare services. This information is relevant if you have experienced adverse reactions after a jab, have Long Covid, or have post Covid-Injection Syndrome (pCoIS).

Important Note: This guide is for education only. If you are ill after vaccination, please seek help from a medical doctor or an holistic health practitioner. For information on post Covid-injection illnesses, see the WCH post-injection guide

The spike protein can be found in all SARS-CoV-2 variants. It is also produced in your body when you get a Covid-19 injection. Even if you have not had any symptoms, tested positive for Covid-19, or experienced adverse side effects after a jab, there may still be lingering spike proteins inside your body. In order to clear these after the jab or an infection, doctors and holistic practitioners are suggesting a few simple actions.  

It is thought that cleansing the body of spike protein (referred to as a detox from here on) as soon as possible after an infection or jab may protect against damage from remaining or circulating spike proteins. 

In this guide, we will discuss several key features of these conditions that can be targeted during a detox: 

  • The spike protein
  • ACE2 receptors
  • Interleukin 6 (IL-6)
  • Furin
  • Serine protease

Important Safety Information Before Beginning a Detox

Please do not undertake a spike protein detox without supervision from your trusted health practitioner. Please note the following: 

  • Pine needle tea, neem, comfrey, Andrographis paniculata –  Should NOT be consumed during pregnancy.
  • Magnesium –  Overdosing is possible, and it is more difficult to detect when consuming liposomal magnesium. Therefore, consider a mixture of liposomal and conventional magnesium, or just conventional magnesium. 
  • Zinc – When consuming a multivitamin that already includes zinc, be sure to adjust the quantity of zinc consumed in other supplements.
  • Nattokinase – Do not take while using blood thinners or if you are pregnant or nursing.
  • Always consider dosing – When taking a multivitamin, remember to adjust the amount of individual supplements accordingly. (e.g. If your multivitamin contains 15mg of zinc, you should reduce your zinc supplementation by that amount.) 
  • St John’s Wort – This medicine interacts with many pharmaceutical drugs. It should not be taken if you are on other medication without advice from your doctor.

Proactive and supportive measures

Virtually all conditions are more easily managed in their early stages. After all, it is certainly preferable to avert a health crisis entirely than it is to react to one. As the saying goes, an ounce of prevention is worth a pound of cure. 

A healthy diet is vital to support a healthy immune system. 

Tips

  • Alter your diet so as to reduce consumption of pro-inflammatory food items. A low histamine diet is recommended. Avoid processed foods and GMOs.
  • The food items found in Table 1 may also be incorporated into daily diets prior to contracting Covid-19 or receiving a Covid-19 jab, if you still choose to do so.
  • Intermittent fasting: The practice of intermittent fasting involves implementing meal timing schedules that switch back and forth between periods of voluntary fasting and non-fasting. Commonly, those who practice intermittent fasting consume all of their daily calories within 6-8 hours each day. This method of dieting is used to induce autophagy, which is essentially a recycling process that takes place in human cells, where cells degrade and recycle components. Autophagy is used by the body to eliminate damaged cell proteins and can destroy harmful viruses and bacteria post-infection. 
  • Daily consumption of a multivitamin is advised. It provides a basic supply of vitamin A, vitamin E, iodine, selenium, trace elements, and more in addition to vitamin C and vitamin D3.
  • Heat therapy, such as taking saunas and hot baths, are considered a good way of detoxing spike protein.

What is the spike protein?

The SARS-CoV-2 virus contains a spike protein on its surface. If you’ve seen images of the coronavirus, it is the sun-like protrusions often pictured on the outside of the virus. 

During a natural infection, spike proteins play a key role in helping the virus enter the cells of your body. A region of the protein, known as the S2, fuses the viral envelope to your cell membrane. The S2 region also allows for the coronavirus spike protein to be easily detected by the immune system, which then makes antibodies to target and bind the virus.

Spike proteins are also produced by your body after taking a Covid-19 jab, and they function similarly in that they are able to fuse to cell membranes. In addition, since they are made in your own cells, your cells are then targeted by your immune system in an effort to destroy the spike protein. Thus, your immune system’s response to spike proteins can damage your body’s cells.

Emerging evidence is also showing that in the nucleus of our cells the spike protein impairs our cells’ ability to repair DNA.

Why should I consider detoxing from the spike protein?

The spike protein from a natural infection or a Covid vaccine causes damage to our body’s cells, so it is important to take action to detoxify from it as best as we are able.

The spike protein is a highly toxic part of the virus, and research has linked the vaccine-induced spike protein to toxic effects. Spike protein research is ongoing.

The virus spike protein has been linked to adverse effects, such as: blood clots, brain fog, organising pneumonia, and myocarditis. It is probably responsible for many of the Covid-19 vaccine side effects discussed in the WCH post-injection guide.

A Japanese biodistribution study for the Pfizer vaccine found that, in the 48 hours post-vaccination, vaccine particles had travelled to various tissues throughout the body and did not stay at the injection site, with high concentrations found at the liver, bone marrow, and ovaries. 

Emerging evidence on spikopathy suggests that effects related to inflammation and clotting may occur in any tissue in which the spike protein accumulates. In addition, peer-reviewed studies in mice have found that the spike protein is capable of crossing the blood-brain barrier. Thus, in humans it could potentially lead to neurological damage if it is not cleared from the body.

How to reduce your spike protein load

Supporting people with Long Covid and post-vaccine illness is a new and emerging field of health research and practice. The following lists contain substances that may be useful. This list has been compiled by international doctors and holistic practitioners with diverse experiences in helping people recover from Covid-19 and post-injection illness. 

Luckily, there are a host of easily attainable, natural solutions to reduce your body’s spike protein load.

Some “Protein Binding Inhibitors” inhibit the binding of the spike protein to human cells, while others neutralize the spike protein so that it can no longer cause damage to human cells.

Spike Protein Inhibitors: Prunella vulgaris, pine needles, emodin, neem, dandelion leaf extract, ivermectin

Spike Protein Neutralizers: N-acetylcysteine (NAC), glutathione, fennel tea, star anise tea, pine needle tea, St. John’s wort, comfrey leaf, vitamin C

  • Ivermectin has been shown to bind to the spike protein, potentially rendering it ineffective in binding to the cell membrane.
  • Several plants found in nature, including pine needles, fennel, star anise, St. John’s wort, and comfrey leaf, contain a substance called shikimic acid, which may help to neutralize the spike protein. Shikimic acid may help to reduce several possible damaging effects of the spike protein, and is believed to counteract blood clot formation
  • Regular oral doses of vitamin C are useful in neutralizing any toxin.
  • Pine needle tea has powerful antioxidant effects and contain high concentrations of vitamin C.
  • Nattokinase (see Table 1), an enzyme derived from the Japanese soybean dish ‘Natto’, is a natural substance whose properties may help to reduce the occurrence of blood clots.

What is the ACE2 receptor?

The ACE2 receptor is located in the cell wall, in lung and blood vessel linings, and in platelets. Spike protein attaches to ACE2 receptors. 

It has been proposed that large concentrations of spike protein may bind to our ACE2 receptors and effectively ‘sit there’, blocking the regular functioning of these receptors in various tissues. The disruption of these receptors has been associated with a multitude of adverse effects through altered tissue functioning

  • If spike proteins bind to the cell wall and ‘stay put’, they could trigger the immune system to attack healthy cells and possibly trigger autoimmune disease. 
  • The spike protein could attach to ACE2 receptors located on blood platelets and the endothelial cells lining the blood vessels, which may lead to abnormal bleeding or clotting, both of which are linked to Vaccine-induced Thrombotic Thrombocytopenia (VITT).

How to detox your ACE2 receptors

Substances that naturally protect the ACE2 receptors:

  • Ivermectin
  • Hydroxychloroquine (with zinc)
  • Quercetin (with zinc)
  • Fisetin 

Evidence suggests the binding of ivermectin to the ACE2 receptor prevents the spike protein from binding with it instead. 

What is Interleukin-6?

Interleukin 6, or IL-6, is a primarily pro-inflammatory cytokine protein. This means it is naturally produced by the body in response to infection or tissue damage and initiates the inflammatory response. 

Why target IL-6?

Some natural substances help the post-jab detoxification process by targeting Interleukin 6.

Scientific evidence shows that cytokines such as IL-6, are found in far higher levels among those infected with Covid when compared to uninfected individuals.

IL-6 has been used as a biomarker for Covid progression. Increased levels of IL-6 have been found in patients with respiratory dysfunction. Meta-analysis has revealed a reliable relationship between IL-6 levels and covid severity. IL-6 levels have been inversely related with T-cell count in ICU patients

Pro-inflammatory cytokines such as IL-6 are also expressed post-vaccination, and studies suggest that they may reach the brain

Il-6 inhibitors have in fact been recommended by the WHO for severe Covid cases, for which they have been described as life-saving. 

How to detox from IL-6

The following lists of natural substances, including several basic anti-inflammatory food supplements, can be used to prevent the adverse effects of IL-6 by inhibiting its action.

IL-6 Inhibitors (anti-inflammatories): Boswellia serrata (frankincense) and dandelion leaf extract 

Other IL-6 inhibitors: Black cumin (Nigella sativa), curcumin, fish oil and other fatty acids, cinnamon, fisetin (flavonoid), apigenin, quercetin (flavonoid), resveratrol, luteolin, vitamin D3 (with vitamin K2), zinc, magnesium, jasmine tea, spices, bay leaves, black pepper, nutmeg, and sage

What is furin?

Furin is an enzyme, which cleaves proteins and makes them biologically activate. 

Why target furin?

Furin has been shown to separate the spike protein and thus allow the virus to enter human cells. 

A furin cleavage site is present on the Covid spike protein, which is thought to make the virus more infectious and transmissible. 

Furin inhibitors work by preventing cleavage of the spike protein

How to detox from furin

Substances that naturally inhibit furin:

  • Rutin
  • Limonene
  • Baicalein
  • Hesperidin

What is serine protease?

Serine protease is an enzyme.

Why target serine protease?

Inhibiting serine protease can prevent spike protein activation and also reduce viral entry to cells, hence reducing infection rate as well as severity

How to detox from serine protease

Substances that naturally inhibit serine protease and may help to reduce spike protein levels in the body:

  • Green tea
  • Potato tubers
  • Blue green algae
  • Soybeans
  • N-Acetyl Cysteine (NAC)
  • Boswellia (frankincense)

What to Take? How much to take? Where does it come from? Where to get it?

Table 1. Medicines and supplements that can be considered
SubstanceNatural Source(s)Where to GetRecommended Dose
IvermectinSoil bacteria (avermectin) On prescription
0.4mg/kg weekly for 4 weeks, then monthly
*Check package instructions to determine if there are contraindications prior to use
HydroxychloroquineOn prescription200mg weekly for 4 weeks *Check package instructions to determine if there are contraindications prior to use
Vitamin CCitrus fruits (e.g. oranges) and vegetables (broccoli, cauliflower, brussel sprouts)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online6-12g daily (divided evenly between sodium ascorbate (several grams), liposomal vitamin C (3-6g) & ascorbyl palmitate (1 – 3g)
Prunella Vulgaris (commonly known as self-heal)Self-heal plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online7 ounces (207ml) daily
Pine Needles Pine treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineConsume tea 3 x daily (consume oil/resin that accumulates in the tea also)
NeemNeem treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs per your practitioner’s or preparation instructions
Dandelion Leaf ExtractDandelion plantSupplement (dandelion tea, dandelion coffee, leaf tincture): natural food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online  Tincture as per your practitioner’s or preparation instructions
N-Acetyl Cysteine (NAC)High-protein foods (beans, lentils, spinach, bananas, salmon, tuna)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 1200mg daily (in divided doses)
Fennel Tea  Fennel plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineNo upper limit. Start with 1 cup and monitor body’s reaction.
Star Anise TeaChinese evergreen tree (Illicium verum)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online
No upper limit. Start with 1 cup and monitor body’s reaction.
St John’s WortSt John’s wort plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Comfrey LeafSymphytum plant genusSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Nattokinase Natto (Japanese soybean dish)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Boswellia serrata  Boswellia serrata treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Black Cumin (Nigella Sativa)Buttercup plant familyGrocery stores, health food stores 
CurcuminTurmericGrocery stores, health food stores 
Fish OilFatty/oily fishGrocery stores, health food storesUp to 2000mg daily
CinnamonCinnamomum tree genusGrocery store 
Fisetin (Flavonoid)Fruits: strawberries, apples, mangoes Vegetables: onions, nuts, wineSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 100mg daily (Consume with fats)
ApigeninFruits, veg & herbs parsley, chamomile, vine-spinach, celery, artichokes, oreganoSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online50mg daily  
Quercetin (Flavonoid)Citrus fruits, onions, parsley, red wineSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 500mg twice daily, Consume with Zinc
ResveratrolPeanuts, grapes, wine, blueberries, cocoaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 1500mg daily for up to 3 months
LuteolinVegetables: celery, parsley, onion leaves
Fruits: apple skins, chrysanthemum flowers
Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online100-300mg daily (Typical manufacturer recommendations)
Vitamin D3Fatty fish, fish liver oilsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online5000 – 10,000 IU daily 
Vitamin KGreen leafy vegetablesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online90-120mcg daily  (90 for women, 120 for men)
ZincRed meat, poultry, oysters, whole grains, milk productsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online11-40mg daily  
MagnesiumGreens, whole grains, nutsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 350mg daily 
Jasmine TeaLeaves of common jasmine or Sampaguita plantsGrocery store, health food storesUp to 8 cups per day
Spices Grocery store 
Bay LeavesBay leaf plantsGrocery store 
Black PepperPiper nigrum plantGrocery store 
NutmegMyristica fragrans tree seedGrocery store 
SageSage plantGrocery store 
RutinBuckwheat, asparagus, apricots, cherries, black tea, green tea, elderflower teaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online500-4000mg daily  (consult healthcare provider before taking higher-end doses)
LimoneneRind of citrus fruits such as lemons, oranges, and limesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 2000mg daily
BaicaleinScutellaria plant genusSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online100-2800mg  
HesperidinCitrus fruitSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 150mg twice daily
Green TeaCamellia sinensis plant leavesGrocery storeUp to 8 cups of tea a day or as directed on supplement 
Potatoes tubersPotatoesGrocery store 
Blue Green AlgaeCyanobacteriaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online1-10 grams daily
Andrographis PaniculataGreen chiretta plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online400mg x 2 daily

*Check for contradictions
Milk Thistle ExtractSilymarinSupplement; Health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online200mg x 3 daily
Soybeans (organic)SoybeansGrocery store, health food stores 

Most of these items are easily accessible in local grocery stores or as nutritional supplements in health food stores.

Note: This list is not comprehensive and other substances, such as serrapeptase and CBD oil, have also been suggested. The World Council for Health will continue to update this document as new information emerges.

Some holistic practitioners also recommend substances to cleanse the body of metals after vaccination, such as zeolite and activated charcoal. The WCH will prepare guidance on how to detox from metals in due course.

Top ten spike protein detox essentials:

  • Vitamin D 
  • Vitamin C
  • NAC (N-acetylcysteine)
  • Ivermectin 
  • Nigella seed
  • Quercetin
  • Zinc 
  • Magnesium 
  • Curcumin
  • Milk thistle extract

For more information and specific protocols, here are a few websites that may be of interest: 

Click here to download a PDF guide from Caring Healthcare Workers Coalition.

Le vaccin militaire contre l’anthrax semble avoir été un test bêta pour le COVID-19 – par A Midwestern Doctor.

Pour ceux qui se demandent pourquoi j’aborde systématiquement la campagne Covid sous l’angle américain, voici la réponse. Si un grand nombre de gouvernements nationaux ont effectivement et activement participé à cette opération, c’est aux Etats-Unis qu’il faut chercher sa source première, en l’occurence dans le secteur militaire comme l’expose cet article.

Vous noterez aussi une forte convergence des faits concernant ce type d’expérimentations avec celles menées sur leur équivalent soviétique, décrites par le Dr Igor Shepherd dans la conférence que j’ai traduite ici il y a plus d’un an.

Source.


Traduction

Le vaccin militaire contre l’anthrax semble avoir été un test bêta pour le COVID-19

Une enquête indépendante a également prouvé qu’il y avait des lots expérimentaux à forte dose

A Midwestern Doctor

19 mars

Si vous souhaitez en savoir plus sur moi, sur la mission de ce substack ou sur la façon dont vous pouvez y contribuer, veuillez lire ce billet d’introduction.

Dans mes précédents billets, j’ai fait allusion à la tendance de l’histoire à se répéter et à la façon dont chaque escroquerie du passé est utilisée comme prototype pour l’escroquerie en cours. À l’origine, j’ai créé ce substack pour attirer l’attention sur le fait que les campagnes de vaccination contre la variole ont été un désastre très similaire à celui des campagnes de vaccination contre le COVID. Il y a plus d’un siècle, ces vaccins mortels ont en fait aggravé la variole, et à mesure que la résistance du public augmentait, les gouvernements ont riposté par des obligations de plus en plus draconiennes, et tout cela ne s’est arrêté que grâce aux protestations massives de la classe ouvrière.

Il existe quelques autres exemples frappants de cas où une situation « d’urgence » a été utilisée pour mettre en œuvre sur une population vulnérable une campagne médicale à la fois cruelle et légalement discutable. Ma familiarité avec ces campagnes et ma défense antérieure de nombreuses victimes oubliées de la médecine occidentale m’ont permis de prédire la situation apparemment impensable dans laquelle nous nous trouvons actuellement. De tous ces événements, c’est la campagne militaire de vaccination contre l’anthrax qui semble avoir les parallèles les plus étroits avec notre situation actuelle, surtout si l’on considère qu’un grand nombre des mêmes parties responsables de cette débâcle ont reproduit le même schéma avec le COVID-19.

L’histoire des campagnes militaires de vaccination contre l’anthrax est horrible et, il y a quelques années encore, il aurait été difficile de croire qu’une telle chose ait pu se produire. Une expérience médicale extrêmement dangereuse a été menée dans le plus grand secret sur de larges pans de l’armée dans le but de mettre sur le marché une nouvelle vague de vaccins très rentables dans lesquels les NIH avaient fortement investi. On a vu des pertes massives (chez ceux qui ont reçu des lots à forte dose), et les militaires ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour étouffer l’affaire.

Finalement, des enquêteurs extérieurs ont obtenu des preuves claires qu’un essai dose-réponse de phase 1 était mené (il s’agit de la partie initiale de l’essai d’un médicament, au cours de laquelle un « petit » nombre de volontaires reçoit un médicament afin d’évaluer son innocuité en vue d’essais ultérieurs). Malgré cela, l’armée a poursuivi cette expérience pendant plus de dix ans et, malgré un grand nombre de victimes, les chiffres étaient suffisamment faibles pour que tout soit passé sous silence. Aujourd’hui, il semble que certaines des technologies utilisées pour l’opération Warp Speed soient les mêmes que celles qui ont été développées dans le cadre de cette expérience.

Une grande partie de cet article est tirée des travaux journalistiques phénoménaux de Gary Matsumoto dans « Vaccine A: The Covert Government Experiment That’s Killing Our Soldiers — and Why GI’s Are Only the First Victims » [Vaccin A: L’expérience secrète du gouvernement qui tue nos soldats – et pourquoi les GI’s ne sont que les premières victimes]. Une version abrégée se trouve également au chapitre 16 de « Vaccine Epidemic: How Corporate Greed, Biased Science, and Coercive Government Threaten Our Human Rights, Our Health, and Our Children » [Épidémie vaccinale: comment la cupidité des entreprises, la science orientée et un gouvernement autoritaire menacent nos droits humains, notre santé et nos enfants.]. Ces deux livres datent d’une dizaine d’années seulement et ont prédit avec précision une grande partie de ce qui allait arriver ensuite.

Je comprends que tous ceux qui travaillent [à contrer] ce projet ont un temps limité. Cependant, je recommande vivement à tous les avocats concernés d’examiner les détails contenus dans Vaccine A, car je pense qu’ils seront cruciaux pour les litiges futurs. J’ai consacré un temps considérable, que je n’ai pas vraiment, à la rédaction de cet article, et j’apprécierais grandement votre aide pour le transmettre aux parties concernées.

Cet article sera divisé en plusieurs sections:

-Lots d’ARNm à forte dose
-Histoire de l’expérimentation humaine non éthique
-Armes biologiques
-Adjuvants lipidiques
-Les vaccins contre l’anthrax

Lots d’ARNm à forte dose:

[NdT. ce qui est désigné en anglais par ‘hot lots »]

Lorsque l’opération Warp Speed a été annoncée, j’avais l’espoir qu’elle donnerait aux traitements que la FDA avait bloqués par le passé une chance de faire leur preuve, et la crainte qu’elle permette à des produits pharmaceutiques dangereux et non testés d’entrer sur le marché. Après que moi-même et d’autres personnes ayons tenté en vain d’obtenir l’autorisation de mener des essais cliniques non commerciaux pour trouver des solutions viables à la pandémie, nous avons tous constaté que les barrières réglementaires qui avaient été levées ne servaient qu’à favoriser le profit pharmaceutique et non à promouvoir la santé publique.

Ce que je n’ai compris que récemment, c’est l’importance de l’implication des militaires dans l’opération Warp Speed. Je n’y avais pas prêté beaucoup d’attention, car je pensais que l’objectif était d’accélérer la production et la distribution de fournitures médicales. Ce que j’ai réalisé récemment, c’est que cela a permis à de nombreuses personnes très malfaisantes au sein de notre gouvernement d’organiser l’opération Warp Speed pour servir leurs propres projets qui, normalement, n’auraient jamais été autorisés à voir le jour.

Tout ce qui concerne le COVID, en particulier les campagnes de relations publiques autour des vaccins, m’a fait comprendre que quelque chose de très grave était en préparation. Beaucoup d’entre nous ont compris que tout était coordonné pour créer l’opportunité historique, étape par étape, de faire passer une variété d’expériences et de pratiques médicales autrement inacceptables. Comme la technologie de l’ARNm représente probablement une source potentielle de revenus de plusieurs milliards de dollars et que l’industrie pharmaceutique est désespérément en quête d’innovations (il devient très difficile de développer de nouveaux médicaments traditionnels), la mise sur le marché de l’ARNm semble un objectif probable de l’opération Warp Speed.

Pendant la phase de développement des vaccins COVID, l’une de mes premières questions était: « Comment vont-ils doser l’ARNm? » En pharmacologie, il existe un concept connu sous le nom de fenêtre thérapeutique. En bref, tous les médicaments sont toxiques à certaines doses, et tous les médicaments ont besoin d’une certaine dose (thérapeutique) pour être efficaces. Certains médicaments ont une dose toxique beaucoup plus élevée que la dose thérapeutique, de sorte que tout le monde peut prendre le médicament chez soi sans se soucier de sa toxicité. D’autres médicaments plus dangereux ont des doses thérapeutiques et toxiques beaucoup plus proches, et doivent donc être administrés dans un cadre contrôlé.

D’après ce que j’ai pu comprendre, l’un des principaux problèmes de la technologie de l’ARNm est que, pour produire suffisamment de protéines chez le receveur, l’ARNm et ses nanoparticules lipidiques doivent être administrés à une dose qui entraîne des effets secondaires importants. Je soupçonnais que cette faible fenêtre thérapeutique était l’une des principales raisons pour lesquelles, malgré des investissements importants, cette technologie n’avait jamais pu être commercialisée.

Dans une certaine mesure, le problème semble maintenant avoir été résolu en augmentant la quantité de protéines produites par chaque ARNm. Cela a été fait en attachant de la pseudouridine à l’ARNm pour qu’il soit décomposé moins rapidement (bien que l’on ait également fait valoir que la raison était de créer une modification unique et donc brevetable) et en optimisant les codons. Ces deux innovations semblent également avoir créé de nouvelles séries de problèmes, et le problème à résoudre par le secteur Recherche et Développement m’a largement rappelé les défis auxquels ont été confrontés les concepteurs du vaccin contre l’anthrax. La pandémie, comme la guerre du Golfe, a créé une opportunité historique de récolte de données et comme l’a dit un de mes collègues, « Le vaccin n’est pas gratuit. Si le gouvernement y consacre autant d’argent, c’est qu’il espère un retour de données énorme.« 

Au début du déploiement, j’ai remarqué que les individus présentaient des réactions très différentes aux vaccins, ce qui semblait suggérer la présence de placebos et de lots plus ou moins toxiques. De même, un de mes collègues (que je considère comme un excellent diagnosticien) m’a dit qu’il était absolument certain que certains de ses patients avaient reçu des placebos. Parallèlement, alors que je commençais à assister à l’émergence effrayante d’événements indésirables graves, j’ai également observé de multiples cas de parents proches qui vivaient ensemble (par exemple, un mari et une femme) présentant la même réaction, parfois fatale.

Si l’on part du principe que 0,1% des vaccinations entraînent la mort, alors les chances sont mathématiquement très proches de zéro que, dans mon échantillon relativement petit (environ 40 décès), je voie des cas du même événement indésirable grave se produire chez deux personnes vivant ensemble (j’ai également vu quelques autres cas non mortels se regrouper de la sorte). Bien qu’il y ait beaucoup de possibilités pour expliquer cette observation, l’hypothèse la mieux adaptée que j’avais était que, comme dans le cas du vaccin contre l’anthrax, il existait des lots dangereux à forte dose que les deux membres du ménage avaient probablement reçus lorsqu’ils avaient été vaccinés ensemble. En lisant de nombreux rapports sur des forums en ligne, j’ai découvert que je n’étais pas la seule personne à avoir recontré ce regroupement d’événements indésirables.

Lorsque j’ai pris conscience de ce fait, j’ai consulté le VAERS et je n’arrivais pas à croire que la plupart des décès et des blessures graves dus au vaccin étaient associés à des lots spécifiques… et que rien n’était fait. Plus tard, lorsque l’on a commencé à enquêter sur cette affaire, on a également découvert que la plupart de ces lots à forte dose semblaient se trouver dans des États rouges [NdT. à majorité de votes pro-républicain], ce qui correspondait au regroupement des événements indésirables dans mon échantillon (ceux-ci étaient concentrés dans l’Ohio). Cependant, je pense qu’il est essentiel de ne pas tirer de conclusions excessives et, après avoir parlé à de nombreux analystes de données à l’époque, bien que certaines données suggèrent cette possibilité, je ne crois pas qu’on trouve suffisamment de données dans le VAERS pour prouver que les États rouges aient été priorisés pour les vaccinations les plus dangereuses.

À peu près au même moment, certains documents d’approbation des médicaments de Pfizer par la FDA européenne (l’EMA) ont été divulgués. L’une des préoccupations réglementaires abordées dans ces documents concernait la stabilité de l’ARNm (qui s’est probablement dégradé, car la plupart des protocoles stricts de réfrigération ne sont souvent pas respectés et l’augmentation de la production de vaccins, du petit nombre nécessaire aux essais cliniques à celui nécessaire à des milliards de personnes, entraîne inévitablement des incidents de production) [NdT. point soulevé par le Dr Vanessa Schmidt-Kruger ici]. Par ailleurs, la FDA a constaté des différences entre les lots provenant de différentes installations. Cela m’a amené à me demander si une partie de la variation de la toxicité entre les lots ne provenait pas de problèmes de fabrication qui auraient été balayés sous le tapis par l’opération Warp Speed, un problème sur lequel les membres de la FDA chargés d’inspecter la production de vaccins avaient exprimé de sérieuses inquiétudes.

Le récent fiasco de fabrication de J&J, où la société Emergent Biosolutions, chargée de produire le vaccin, a été contrainte par la FDA (très indulgente) d’éliminer des millions de doses produites de manière inadéquate, est venu étayer cette théorie. Ce fabricant (précédemment connu sous le nom de Bioport) entretient des liens profonds avec l’armée. La société était également responsable de la production du vaccin militaire contre l’anthrax, et avait été pénalisée et citée à plusieurs reprises par la FDA pour de graves problèmes de qualité de production de ce vaccin.

Bioport, tout comme les fabricants actuels du vaccin COVID-19, a également bénéficié d’une immunité juridique totale pour tout problème lié à son vaccin, ce qui l’a probablement incitée à ignorer les questions de sécurité et de production appropriée du vaccin. Curieusement, le responsable du contrôle de la qualité de l’usine Emergent Biosolutions produisant le vaccin COVID de J&J, selon Whitney Webb, n’avait aucune expérience dans le domaine de la fabrication pharmaceutique ou du contrôle de la qualité, et avait en revanche travaillé comme chef du renseignement militaire en Irak et en Afghanistan.

Alors que je percevais depuis fin 2019 des signes que quelque chose de très néfaste se préparait, j’espérais encore contre toute attente que tout cela n’était que le fruit de ma propre paranoïa. Le moment où la réalité me frappa de plein fouet fut une présentation élaborée par Craig Paardekooper.

Pour ceux qui n’ont pas le temps de le regarder, il a démontré qu’en plus du fait que le VAERS dispose de preuves indiquant de probables lots à forte dose, on trouve également dans le VAERS des données qui suggèrent que Pfizer, J&J et Moderna ont testé en collusion des lots à forte dose avec différents degrés de létalité. Au fil du temps, la toxicité de ces lots s’est précisée et, à un moment donné, Pfizer a mené une étude dose-réponse observable dans les données du VAERS. Vu que cela avait été fait récemment à une grande partie de l’armée avec le vaccin contre l’anthrax, j’étais ouvert à cette possibilité, mais le fait qu’une telle chose puisse réellement se produire était encore très difficile à accepter pour moi.

En ce qui concerne les données du VAERS, je reconnais que l’on pourrait éventuellement faire valoir que l’identification initiale des lots à forte dose était attribuable à une certaine partialité. Cependant, j’ai examiné chacun des contre-arguments au phénomène de grappes de lots à forte dose (Jessica Rose en fait un excellent) et, à ce stade, je pense que les conclusions de Craig soulèvent de sérieuses inquiétudes. J’ai également parlé avec des membres de l’équipe de Craig (ce sont des personnes intelligentes et expérimentées dans ce domaine, qui travaillent de concert) et ils semblent être très attentifs à ne pas tirer de conclusions excessives.

Dans les travaux ultérieurs de Craig, en utilisant les données qu’il a trouvées dans le VAERS et qui suggéraient que Pfizer avait mené une étude dose-réponse, il a pu identifier dans ces lots un code simple en corrélation avec la toxicité. Cela aussi s’était produit auparavant avec les vaccins contre l’anthrax. Il y a quelque temps, j’ai également vu une vidéo dans laquelle une infirmière slovène récemment retraitée faisait une déclaration similaire. À l’époque, je ne savais pas quoi en penser ni même si la vidéo était authentique (ce qui n’a pas été établi jusqu’à présent), mais je m’en suis immédiatement souvenu après avoir vu le travail de Craig.

Récemment, le sujet des lots à forte dose est revenu sur le devant de la scène après que les examinateurs des documents de Pfizer rendus publics selon la loi sur la liberté d’information aient trouvé la preuve que l’ARNm était administré à des doses différentes. Bien que cela soutienne la théorie que j’avance, je pense que cette conclusion spécifique était un exemple de biais de confirmation. Lorsque j’ai examiné le tableau en question, j’ai réalisé qu’il reflétait simplement le fait que Moderna utilise une dose d’ARNm plus élevée que Pfizer, et que des doses de vaccination différentes avec des codes de facturation différents ont été développées en fonction de l’âge du receveur. Cela ne prouve en aucun cas l’existence de lots à forte dose, mais simplement que des données ont été recueillies pour mettre au point des dosages appropriés d’ARNm.

Histoire de l’expérimentation humaine non éthique:

Je me suis souvent demandé si la raison pour laquelle les expériences sur la syphilis menées à Tuskegee [NdT. L’étude de Tuskegee sur la syphilis (1932-1972) est une étude clinique menée à Tuskegee, Alabama par des médecins américains pour mieux connaître l’évolution de la syphilis lorsqu’elle n’est pas traitée, réalisée sans en informer les sujets, sous couvert d’une prise en charge médicale par le gouvernement américainWikipedia] ont fait l’objet d’une telle attention dans la presse n’était pas de détourner l’attention du fait que des expériences encore plus hideuses ont été réalisées sur des populations vulnérables. Certaines de celles réalisées par Fauci (comme l’administration violente de médicaments expérimentaux contre le VIH à des orphelins non consentants à New York, qui les ont fait mourir de manière atroce) ont été portées à l’attention du public grâce à The Real Anthony Fauci [NdT. le livre de Robert F. Kennedy Jr]. Certaines sont discutées dans un article classique de Wikipedia sur le sujet. De nombreuses autres expériences dont j’ai eu connaissance sont à toutes fins utiles inconnues, et je suis sûr qu’il en existe beaucoup d’autres dont je n’ai jamais entendu parler.

Le développement de la science médicale a été pour l’humanité un défi parsemé d’embûches et de désastres pour les personnes impliquées. En même temps, les souffrances collectives que nos ancêtres ont connues, souvent à cause d’interventions médicales odieuses, ont finalement permis d’apporter de profondes améliorations à la qualité de vie de l’espèce humaine. [Ndt. ah bon?]

Le débat est permanent sur le bien fondé de faire progresser la médecine par des expériences barbares.. L’expérimentation animale en est un exemple. Ma propre expérience de vie et celle de beaucoup d’autres personnes nous a montré que la plupart des animaux sont des êtres sensibles, et malgré cela, une grande partie de la recherche médicale implique des expériences barbares et souvent complètement inutiles sur les animaux. Le sujet de l’expérimentation animale a donné naissance au mouvement « anti-vivisection », qui, entre autres choses, soutenait que la médecine développée par le mal allait inévitablement reproduire ce même mal sur ses destinataires, ce qui se vérifie souvent.

Les êtres humains ne semblent capables que d’un nombre limité de relations sociales avec lesquelles ils peuvent entretenir un lien émotionnel. Par conséquent, les individus au sein de petits groupes donnent généralement la priorité à la liberté et au bien-être de ceux qui les entourent. Cependant, chez les personnes qui occupent des postes d’autorité où elles sont responsables d’un grand nombre de personnes apparaît fréquemment un phénomène de déshumanisation où les personnes dont elles sont responsables deviennent des entités abstraites dont le bien collectif devient prioritaire sur les droits de chaque individu. J’ai observé l’ensemble de ce processus de tant de façons que je suis convaincu qu’il s’agit d’un aspect intrinsèque de la nature humaine.

Comme les progrès de la science sont cruciaux pour l’avancement de la civilisation, et que notre science est largement basée sur l’expérimentation biologique, on retrouve un motif récurrent d’expérimentation humaine hautement contraire à l’éthique. En reconnaissance de ce fait, le programme de formation requis aux États-Unis pour mener des recherches sur des sujets humains met l’accent sur l’importance de ne pas mener ces recherches sur des groupes vulnérables privés de la capacité de refuser d’être soumis à des expériences.

Dans le même temps, dans une perspective mettant l’accent sur le « bien collectif », les groupes captifs vulnérables représentent les groupes idéaux sur lequels mener des expériences. Ce groupe expérimental peut être étroitement contrôlé, ce qui permet d’éviter nombre des problèmes courants liés à l’accumulation de données (par exemple, les sujets qui abandonnent l’essai). Ils sont également moins susceptibles de résister à la prise d’un médicament toxique et, en cas de malheur, personne ne leur posera de questions sur ce qui leur est arrivé.

Dans le passé, les prisonniers, les handicapés mentaux, les orphelins placés en famille d’accueil et les personnes confinées indéfiniment dans des établissements médicaux servaient fréquemment de sujet pour des expériences abominables. Jusqu’à il y a environ un demi-siècle, il était courant que des expériences de cette nature soient tolérées par la société et publiées dans des revues médicales de premier plan, et peu d’objections étaient soulevées à l’égard de ces études.

Cependant, au fil du temps, le public s’est mis à protester et les expérimentations sur ces groupes vulnérables ont été, dans une large mesure, finalement arrêtées, ce qui a conduit à une externalisation vers l’Afrique d’une grande partie d’entre elles. Comme cela a réduit le nombre de sujets de recherche nationaux « idéaux », le seul groupe de sujets restant, à savoir les militaires, s’est vu régulièrement utilisé. La culture militaire est basée sur l’obéissance aux ordres des supérieurs, même si ces ordres mettent la vie en danger, et sur le respect de la durée de l’engagement. En bref, les membres de l’armée n’ont souvent pas la possibilité de refuser une intervention médicale, ce dont beaucoup ne demandent qu’à profiter.

Au sein de l’armée, il a toujours été considéré comme acceptable que certains soldats meurent sur le champ de bataille pour remporter une victoire. Cette logique a été étendue à l’acceptation de la mutilation ou de la mort d’un certain nombre de personnes dans le cadre d’expériences dont les résultats sont d’une importance stratégique vitale. Cependant, cette logique se mêle souvent à la corruption, ce qui conduit les profiteurs à mener de nombreuses expériences effroyables, non nécessaires à la sécurité nationale. Le mercantilisme de guerre, qui fait l’objet de mon précédent article, est un pan obscur de notre démocratie qui, lorsqu’il est compris, permet de replacer nombre de ces événements dans leur contexte.

Après le scandale de l’anthrax et sa mise sous enquête par le Sénat, des lois ont été adoptées pour empêcher l’administration forcée de médicaments expérimentaux (non approuvés par la FDA) aux soldats. Les structures juridiques existantes rendent pourtant la chose possible, notamment l’impossibilité pour les soldats d’engager des poursuites contre l’armée en cas de blessures dues à l’administration forcée de médicaments (en raison de la doctrine Feres, sujette à caution), la déclaration de « situations d’urgence » qui l’emporte sur le droit de consentement des soldats, et l’autorisation pour l’armée d’infliger des punitions sévères pour manquement au devoir aux soldats qui refusent les vaccinations. Ces punitions comprennent de lourdes amendes et des peines de prison infligées aux soldats qui refusent la vaccination.

Nous avons tous entendu parler de nombreux cas tragiques liés aux vaccins COVID dans l’armée. Un de mes amis a passé six mois à se battre contre cette obligation et a produit un dossier juridique solide démontrant que la manière spécifique dont le Secrétaire à la Défense Lloyd Austin avait imposé ces vaccins violait à la fois la loi et les décisions des juges fédéraux (il y avait en fait une voie légale qu’Austin aurait pu suivre).

Sa demande d’exemption a finalement été approuvée, puis annulée après qu’un membre de l’armée de très haut rang soit intervenu et ait annulé son exemption, ce qui n’est pas sans rappeler les événements survenus à la base aérienne de Dover. Mon ami, comme beaucoup d’autres militaires, est maintenant handicapé par le vaccin et incapable de remplir ses fonctions. Des événements similaires se sont produits pendant la campagne contre l’anthrax et les deux campagnes de vaccination ont eu un effet dévastateur sur l’état de préparation de nos militaires et sur le moral général d’une profession qui repose sur le moral et le patriotisme des troupes.

De plus, comme le résume très bien The Real Anthony Fauci, Anthony Fauci a joué un rôle clé dans la transformation des NIH et de la FDA en pipelines de production pharmaceutique où de nombreux responsables de la réglementation sont soudoyés pour créer, tester et approuver ces médicaments. Dans le cadre de ce paradigme, les garanties requises pour les sujets humains (la femme de Fauci est en fait la responsable de la bioéthique pour les essais cliniques aux États-Unis) sont fréquemment ignorées ou abandonnées. Un aspect important de la carrière de Fauci a été de travailler main dans la main avec l’armée, à la fois en menant directement des recherches illégales en son nom (c’est-à-dire des recherches sur les gains de fonction) et indirectement en écartant les garanties éthiques relatives aux expériences sur les membres de l’armée.

Les expériences douteuses réalisées sur des soldats sont si nombreuses que je ne tenterai même pas de les résumer (Vaccine A en énumère beaucoup). Par exemple, à l’époque des essais de bombes nucléaires, pour étudier les effets des retombées, les militaires postaient des troupes dans des tranchées près des sites de détonation et les informaient que les retombées étaient sans danger, puis leur donnaient l’ordre de charger après les détonations. L’un de mes patients (un marine) m’a raconté que cela était arrivé à son grand-père, à qui ses supérieurs avaient dit que les retombées étaient sans danger; il est ensuite mort d’un cancer atroce. Cependant, bien que de nombreuses « mauvaises » expériences aient été réalisées, je pense que les vaccins contre l’anthrax et le COVID sont dans une classe à part en raison du nombre de personnes qu’ils ont affectées.

Pour reprendre les mots du capitaine de l’USAF Richard Rovert, aujourd’hui retraité, qui a tenté de protéger les militaires de la base aérienne de Dover contre la vaccination contre l’anthrax:

« J’écris sur ceux des membres les plus vulnérables de la société: nos hommes et nos femmes en uniforme… Malheureusement, ces courageux défenseurs de notre liberté sont sans défense contre l’utilisation obligatoire de vaccins dangereux, comme le vaccin contre l’anthrax. Au cours des soixante-quatre dernières années, l’armée américaine et d’autres agences gouvernementales ont utilisé nos militaires comme sujets de tests, souvent en secret et sans consentement éclairé. De plus, ce n’est pas près de s’arrêter; d’autres vaccins de biodéfense attendent leur tour pour être testés sur nos soldats.

Malheureusement, il ne s’agit pas d’une théorie du complot. Il s’agit d’un fait documenté. En décembre 1994, juste après la première guerre du Golfe, le Sénat des États-Unis a publié un rapport intitulé « La recherche militaire est-elle dangereuse pour la santé des vétérans? ». Ce rapport soulignait l’utilisation contraire à l’éthique de militaires, hommes et femmes, comme sujets de tests. Le rapport a révélé que le Pentagone avait discrètement utilisé des soldats dans des essais cliniques et n’avait pas enregistré les informations qui en résultaient dans leurs dossiers médicaux, empêchant ainsi les soldats de bénéficier d’un suivi approprié. On a tout simplement laissé mourir beaucoup d’entre eux ».

Un poème de l’Holocauste fréquemment cité dit:

Ils sont d’abord venus chercher les socialistes, et je n’ai rien dit – parce que je n’étais pas socialiste.

Puis ils sont venus chercher les syndicalistes, et je n’ai rien dit – parce que je n’étais pas syndicaliste.

Puis ils sont venus chercher les Juifs, et je n’ai rien dit – parce que je n’étais pas juif.

Puis ils sont venus me chercher – et il n’y avait plus personne pour me défendre.

Chaque fois qu’un mal est commis, il est d’abord normalisé au niveau d’un groupe vulnérable, mais en peu de temps, il finit par s’étendre à tous. Ce que Fauci a infligé à la communauté gay pendant l’épidémie de SIDA était horrible, mais peu de gens ont pris leur défense car il s’agissait à l’époque d’une communauté fortement marginalisée. Il a ensuite fait la même chose dans de nombreux autres endroits (par exemple en Afrique avec Ebola), et finalement à l’ensemble du pays. Ce qu’il a fait subir au monde entier ces dernières années n’aurait jamais eu lieu si, en tant que société, nous avions défendu ces personnes oubliées.

Le capitaine Rovert était également conscient de cela et avait prédit le futur proche:

« Je veux que vous graviez ces deux lettres et ces deux chiffres dans votre conscience (MF59) afin que vous vous en souveniez, car le squalène sera ensuite utilisé dans les vaccins civils ».

Le bioterrorisme:

Toutes les grandes puissances ont réalisé des expériences avec des armes chimiques et biologiques, car elles constituent un aspect essentiel de la guerre moderne. Ce phénomène a vraiment pris son essor aux États-Unis après la Seconde Guerre Mondiale, lorsque nous avons amnistié les criminels de guerre japonais et allemands en échange du partage des données issues de leurs expériences. Depuis lors, presque toutes les grandes puissances ont essayé de développer un arsenal d’armes biologiques à la hauteur de leurs adversaires, ce qui a conduit à la fabrication de nombreux produits qui n’auraient jamais dû être développés.

En général, les armes biologiques sont axées sur les maladies infectieuses aiguës, les plus mortelles et faciles à déployer étant classées par ordre de priorité parallèlement à leurs contre-mesures. Dans Vaccine A, j’ai appris que la Russie était à l’avant-garde d’une autre approche, basée sur l’épissage de parties de tissus humains essentiels sur des agents pathogènes communs, de sorte qu’une fois la maladie initiale éliminée, une maladie auto-immune grave est déclenchée (c’est ce qui se produit naturellement dans le rhumatisme articulaire aigu). Les Russes ont cherché à créer une arme biologique à retardement, leur cible tissulaire la plus courante étant la myéline, avec laquelle ils ont réussi à créer de graves troubles neurodégénératifs tels que la sclérose en plaques (SEP).

Cela fait immédiatement penser à deux maladies: le COVID-19 et la maladie de Lyme. Dans le cas de la maladie de Lyme, comme le documente Lab 257, il existe des preuves suggérant qu’il s’est produit une fuite accidentelle d’un laboratoire biologique américain (les fuites sont beaucoup plus fréquentes que le public ne le croit). La maladie de Lyme est couramment associée à la sclérose en plaques et, comme l’ont démontré des auteurs tels que Lida Mattman PhD, des spirochètes sont fréquemment présents dans le liquide céphalo-rachidien des personnes atteintes de sclérose en plaques. Il existe à son tour une homologie entre le spirochète de Lyme et la myéline, bien que je n’aie pas les connaissances nécessaires pour comprendre toutes les implications de cette homologie.

L’une des principales différences entre le SARS-CoV-1 et le SARS-CoV-2 (COVID-19) réside dans la structure de sa protéine de pointe, que beaucoup soupçonnent d’avoir été fabriquée. Un aspect étrange de la protéine de pointe est son extraordinaire degré de mimétisme moléculaire avec un large éventail de tissus humains. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles les auteurs ont recommandé la prudence en ce qui concerne l’approche de la vaccination par l’ARNm de la protéine de pointe, en raison du risque élevé d’auto-immunité (qui, selon les documents de l’EMA qui ont fuité, n’a jamais été testé avant les études sur l’être humain). Les troubles auto-immuns, quant à eux, suivent fréquemment la vaccination et les infections naturelles à COVID-19 (la vaccination semble toutefois être un déclencheur plus courant).

Dans le domaine des maladies aiguës, la capacité de l’anthrax à former des spores le rend bien adapté à un déploiement contre des cibles ennemies. L’anthrax infecte généralement la peau (anthrax cutané), mais dans certains cas, il peut se transformer en anthrax pulmonaire. L’anthrax pulmonaire est une maladie horrible et hautement létale et son acquisition a été une priorité dans presque tous les programmes d’armes biologiques.

De nombreux incidents, tels que les fuites accidentelles d’anthrax pulmonaire en Union Soviétique, qui ont causé de nombreux décès, ont fait du développement d’un vaccin contre cette maladie une priorité de sécurité nationale. L’anthrax est malheureusement un agent pathogène contre lequel il est très difficile de développer un vaccin efficace. En outre, pour autant que je sache, l’anthrax, qui peut souvent être traité avec des antibiotiques, n’a jamais été utilisé sur des soldats américains, de sorte que la nécessité réelle de produire contre cette maladie un vaccin est très discutable.

Au moment du déclenchement de la guerre du Golfe (qui avait pour but d’empêcher Saddam Hussein d’envahir les champs pétrolifères de l’Arabie Saoudite), l’armée américaine surclassait largement l’armée irakienne. Cela a été prouvé pendant la guerre du Golfe, où, avec des pertes quasi nulles, nous avons rapidement massacré l’armée irakienne. La principale préoccupation des planificateurs militaires face à Saddam Hussein était le risque réel qu’il utilise l’anthrax sur les soldats américains, ce contre quoi nous n’avions aucun moyen de nous défendre. Malheureusement, si Hussein n’a jamais utilisé l’anthrax, notre solution à ce problème a fait de la guerre du Golfe l’une des guerres les plus meurtrières de l’histoire des États-Unis. Les estimations exactes varient mais sont généralement supérieures à 100.000; par exemple, le capitaine Rovert de l’USAF a déterminé que 1 sur 4 des 697.000 vétérans de la guerre du Golfe a développé le Syndrome de la Guerre du Golfe.

Adjuvants à base de lipides

Il existe une large gamme de procédés de fabrication de vaccins. Certaines mettent l’accent sur l’utilisation d’un seul antigène (fréquemment produit par génie génétique), tandis que d’autres mettent l’accent sur l’utilisation d’une combinaison de nombreux antigènes différents provenant d’un agent pathogène. Les adjuvants sont souvent nécessaires pour augmenter la réponse immunitaire, en particulier dans les vaccins qui ne contiennent qu’un seul antigène (car ils déclenchent une réponse immunitaire plus faible).

Dans la plupart des cas, l’aluminium (qui crée toute une série de problèmes de santé importants) est utilisé comme adjuvant. Après avoir passé en revue pendant dix ans la littérature sur les vaccins, je pense qu’une approche vaccinale qui utilise des antigènes uniques en combinaison avec des adjuvants présente trois problèmes majeurs:

1) C’est une quasi-garantie de réaction auto-immune (qui a augmenté de manière significative dans le monde entier, parallèlement à la vaccination).

2) La réponse immunitaire qui se développe réduit la flexibilité de l’organisme à mettre en place d’autres réponses immunitaires, ce qui entraîne une susceptibilité accrue à différentes souches de la même maladie ou à d’autres maladies infectieuses.

3) Lorsque ces vaccins fonctionnent, ils favorisent rapidement l’évolution de variants plus pathogènes qui sont résistants à l’antigène contenu dans le vaccin.

Au cours des années 1990, divers vaccins ont été développés sur la base de l’utilisation du génie génétique pour produire une séquence protéique spécifique de la maladie choisie. Par exemple, Fauci, l’armée et les NIH ont fait d’importants investissements dans un vaccin contre le VIH qui utilisait la séquence GP-120 du VIH (un élément dont de nombreux chercheurs ont remarqué la présence sur la protéine de pointe du COVID-19, ce qui a conduit Luc Montagnier à affirmer que cela signifiait que le COVID-19 faisait partie d’un programme de développement de vaccins).

Malgré d’énormes investissements, la plupart de ces vaccins n’ont jamais été commercialisés car ils nécessitaient un adjuvant plus puissant que l’aluminium pour fonctionner (et certaines protéines comme la GP-120 étaient incapables de se fixer à l’aluminium). Les adjuvants à base d’huile (également connus sous le nom de lipides) ont été fréquemment étudiés, car ils produisaient une réponse immunitaire beaucoup plus forte, suffisante pour développer ce nouveau domaine pharmaceutique. Il est intéressant de noter que, alors que nous ingérons régulièrement ces substances sans problème (peut-être en raison de la manière particulière dont les graisses digérées passent dans le sang), lorsqu’elles sont injectées, de minuscules doses d’huile suffisent à susciter des réponses immunitaires très fortes.

Robert Redfield, qui a préconisé cette approche pour son vaccin contre le VIH avec adjuvant lipidique, a ensuite fait l’objet d’une enquête pour fraude dans la recherche et falsification de données afin de faire approuver son vaccin défectueux contre le VIH. Dans ces milieux, toute mauvaise action est récompensée, et Redfield est ensuite devenu directeur du CDC. Il y a joué un rôle clé dans la mise en place de la politique COVID de Fauci et, selon une source, il a conclu un pacte avec Fauci et Birx (qui avait également participé au développement de ce vaccin anti-VIH défectueux) selon lequel ils démissionneraient tous si l’un d’entre eux était licencié.

Malheureusement, comme le montre Vaccine A, les adjuvants à base de lipides (et de cholestérol) ont une toxicité très élevée. Ils provoquent souvent une auto-immunité sévère et présentent une variété d’autres effets secondaires qui recoupent les effets secondaires du vaccin COVID-19, comme la production d’un choc anaphylactique (si vous voulez en savoir plus, tout est abordé dans ce billet sur Novavax). Au début des années 1990, le squalène avait été identifié comme l’adjuvant à base lipidique le plus prometteur, mais il était encore trop toxique pour être mis sur le marché. Ce problème provenait en partie du fait que ces adjuvants créaient une auto-immunité contre des lipides vitaux dans tout l’organisme, de la même manière que le mimétisme moléculaire le fait dans le rhumatisme articulaire aigu.

Le vaccin traditionnel contre l’anthrax présentant de nombreuses lacunes, une approche alternative utilisant un antigène unique mélangé à du squalène fut également étudiée. Cette approche avait l’avantage de fournir la solution nécessaire pour faire face à la menace de l’anthrax de Hussein à temps pour la guerre du Golfe et l’inconvénient d’être trop toxique pour une utilisation humaine. Un mois après l’invasion de Hussein, le chef du Conseil Épidémiologique des Forces Armées écrivit dans une lettre au commandant du Commandement de la Recherche et du Développement Médical de l’Armée des États-Unis: « L’opération Bouclier du Désert présente des opportunités de recherche uniques« , et le reste appartient à l’histoire.

Malgré les graves dommages causés par ces adjuvants, la technologie est restée en usage (Novartis a racheté la société qui produisait le principal adjuvant au squalène). Le MF59, une formulation d’adjuvant au squalène, a par exemple été utilisé dans le vaccin FLUAD de Novartis, qui a connu des problèmes et a notamment été suspendu en 2014 après le décès de 13 personnes âgées italiennes suite à la vaccination. Il a récemment été utilisé dans certaines parties de l’Europe (de nombreux articles de revues scientifiques peuvent être consultés sur les vaccins contenant du MF59). Pendant l’épidémie de COVID-19 en Italie, mes collègues ont reçu des correspondances de médecins locaux. Les médecins italiens ont signalé que leurs patients les plus malades et les moins réactifs au traitement étaient ceux qui avaient déjà reçu un vaccin annuel contre la grippe et je me souviens que de nombreuses discussions avaient pour objet la possible modification de la formulation du vaccin.

L’un des aspects essentiels de l’opération Warp Speed consistait à octroyer un large soutien financier afin de contourner le délai habituel de production des vaccins. L’une des composantes du programme consistait à financer de nombreux vaccins potentiels dans l’espoir qu’au moins l’un d’entre eux réussisse. Curieusement, nombre de ces vaccins candidats utilisaient les mêmes adjuvants à base de squalène que ceux qui avaient posé tant de problèmes lors de la vaccination contre l’anthrax. Beaucoup d’entre vous se souviennent peut-être des reportages qui se demandaient si les vaccins COVID allaient ou non tuer un grand nombre de requins. C’était un sujet de discussion car les requins sont l’une des principales sources de squalène et la demande prévue pour les vaccins nécessitant cet adjuvant était énorme.

Si la toxicité du vaccin COVID est généralement liée à la protéine de pointe qu’il produit, la forte réactogénicité et la cytotoxicité de ses nanoparticules lipidiques ont également été avancées comme un problème de sécurité potentiel. Vaccine A (écrit en 2010) a fourni un travail remarquable qui démontre que la toxicité sévère des lipides injectés était bien connue il y a des décennies et bien pire que ce que le public a été amené à croire.

Considérez les citations suivantes de cet article récent de 2016 où le PDG de Moderna a été interviewé:

« C’est extrêmement risqué. Les grandes entreprises pharmaceutiques avaient tenté des travaux similaires et les avaient abandonnés parce qu’il est excessivement difficile d’introduire de l’ARN dans les cellules sans déclencher des effets secondaires graves. »

« L’administration, c’est-à-dire la pénétration de l’ARN dans les cellules, a longtemps été un problème dans ce domaine. Par elles-mêmes, les molécules d’ARN ont du mal à atteindre leurs cibles. Elles fonctionnent mieux si elles sont enveloppées dans un mécanisme d’acheminement, comme des nanoparticules composées de lipides. Mais ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si le patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années.

« Novartis a abandonné le domaine connexe de l’interférence ARN pour des raisons de toxicité, tout comme Merck et Roche [Merck et Roche comptent parmi les pires criminels pour avoir mis sur le marché des médicaments toxiques mais rentables]. »

« Je dirais que l’ARNm est mieux adapté aux maladies pour lesquelles un traitement de courte durée est suffisamment curatif, de sorte que les toxicités causées par les matériaux de livraison sont moins susceptibles de se produire », a déclaré Katalin Karikó, une pionnière dans le domaine qui occupe le poste de vice-présidente chez BioNTech [qui est le vaccin de Pfizer].

Lorsque j’ai examiné les documents fuités de l’EMA, l’une des choses qui m’a sauté aux yeux est que les nanoparticules lipidiques utilisées pour emballer l’ARNm ont été sélectionnées uniquement pour leur fonctionnalité et qu’aucune mention n’a été faite de l’évaluation de leur sécurité pour déterminer la formulation appropriée. En fait, Pfizer a simplement présumé de l’innocuité du produit et les organismes de réglementation qui l’ont approuvé comme partie intégrante du vaccin l’ont pareillement présumée. Comme ces informations sont souvent difficiles à trouver, je vais citer le paragraphe clé sur les nanoparticules lipidiques des documents de l’EMA:

Parmi les lipides cationiques examinés, l’ALC-0315 présentait des caractéristiques physiques appropriées en termes de taille de particule, d’homogénéité et d’efficacité d’encapsulation de l’ARN. Sur cette base, le prototype ALC-0315/ALC-0159/DSPC/cholestérol a été soumis à un criblage in vivo. Les résultats démontrent une meilleure puissance du prototype ALC-0315 par rapport à une référence interne (ALC-0218). L’ALC-0315 a été identifié comme un lipide cationique très puissant et a été proposé pour un développement ultérieur du produit. Des expériences in vivo après administration IM du LNP final ALC-0315/ALC-0159/DSPC/cholestérol au rapport molaire 47,5/10/40,7/1,8, ont confirmé l’expression de l’ARNm pour cette voie d’administration.

Rapidement pour référence:
-Lors de ma recherche initiale, je n’ai pas pu trouver de données de sécurité sur ALC-0315 (un lipide).
-Lors de ma première recherche, je n’ai pu trouver aucune donnée de sécurité sur l’ALC-0159 (un lipide). L’ALC-0159 a suscité de nombreuses inquiétudes car il contenait du polyéthylène glycol, un allergène connu dans la population..
-Lors de ma recherche initiale, je n’ai pu trouver aucune donnée de sécurité sur le DPSC (Distearoylphosphatidylcholine). Cependant, sur la base des caractéristiques d’autres lipides injectables, il est possible qu’il puisse provoquer le syndrome des antiphospholipides, qui entraîne fréquemment une coagulation du sang.
-Comme l’explique Vaccine A, il a été démontré que de minuscules injections de cholestérol provoquaient de graves réactions auto-immunes et de fréquentes anaphylaxies (discutées et documentées plus en détail dans cet article).

Lors de la mise sur le marché des vaccins, dès le premier jour où ils ont été administrés au personnel de santé en Angleterre, des rapports ont fait état d’incidents inattendus d’anaphylaxie, ce qui a conduit à l’apposition d’un avertissement sur le vaccin. Comme il existait un risque théorique et qu’un essai à grande échelle avait déjà été mené (l’anaphylaxie est l’un des rares effets secondaires des médicaments qui ne sont jamais ignorés), il m’a semblé impossible de croire que cet effet secondaire n’avait pas été détecté et j’ai supposé qu’une sous-déclaration importante avait eu lieu lors des essais cliniques.

Étant donné la rapidité avec laquelle l’anaphylaxie s’est développée dans de nombreux cas (y compris certains que je connais dans mon cercle d’amis), je pense qu’il est peu probable qu’il se soit écoulé suffisamment de temps pour que la protéine de pointe soit produite en interne et déclenche cette allergie. Il restait donc comme coupables possibles les nanoparticules lipidiques d’ARNm et l’ARNm lui-même. Le suspect le plus courant était le PEG de l’ALC-0159. Sachant maintenant que les lipides injectables et le cholestérol ont été fréquemment associés à des problèmes d’auto-immunité et d’anaphylaxie, je ne suis pas d’accord avec la décision des régulateurs de présumer de leur sécurité et je pense que toute cette classe d’injectables doit être traitée avec suspicion.

L’un des principaux défis du déploiement du vaccin COVID a été la difficulté d’évaluer son innocuité. Aucune base de données fonctionnelle permettant d’évaluer les événements indésirables n’a été mise à disposition. De nombreuses bases de données, telles que celles de l’armée, de Medicare et de Pfizer, ne sont devenues accessibles qu’à la suite de dénonciations ou d’une décision judiciaire ordonnant leur publication. L’étalon-or exigé par la loi, le VAERS, est miné par des problèmes qui n’ont pas été corrigés depuis des décennies. Ces problèmes (par exemple, le VAERS ne dispose pas du personnel nécessaire pour traiter la majorité des événements indésirables qui lui sont signalés, ce qui entraîne des mois d’arriérés) ont empêché le VAERS de saisir la majorité des événements indésirables. Pourtant, dans la plupart des cas, lorsqu’on parle du VAERS, les problèmes sur lesquels on se focalise sont ceux qui laissent supposer une surdéclaration.

Par exemple, au début du déploiement du vaccin COVID, lorsqu’une explosion d’événements indésirables s’est produite, les critères mathématiques permettant au VAERS de faire état d’un signal de sécurité ont été arbitrairement modifiés de sorte qu’aucune des augmentations des réactions indésirables ne soit considérée comme signal de sécurité. Une formule a été mise en place pour compter l’augmentation spectaculaire d’une réaction indésirable par rapport aux vaccins précédents à la condition que seule cette réaction augmente, et pour ne pas tenir compte de ce signal en cas d’augmentation de multiples réactions, excluant ainsi des signaux de sécurité les vaccinations systémiquement toxiques.

Les informations nécessaires à l’évaluation de la sécurité des vaccins COVID qui devaient être divulguées ne l’ont pas été « pour protéger des informations exclusives », une approche que l’industrie pharmaceutique a affinée au fil des ans pour éviter de révéler des informations compromettantes. Dans le cadre d’un programme tel que la campagne de vaccination actuelle, appuyée par la force de la loi, on s’attendrait à ce que les vaccins soient régulièrement testés par des organismes indépendants afin de vérifier leur contenu et leur qualité.

Tout au long de la campagne, en raison de sa « disponibilité extrêmement limitée », le produit vaccinal a été conservé sous clé, ce qui a rendu très difficile l’obtention d’échantillons à tester. Je connais de nombreux cas où le produit vaccinal a néanmoins été obtenu, et où les laboratoires ont refusé de le tester par crainte de représailles telles que la perte de leur certification de laboratoire. Je connais actuellement trois exemples où ils ont été testés.

Un collègue médecin avec qui je suis très ami m’a informé qu’à mi-chemin du déploiement, ils ont été contactés par le propriétaire d’un laboratoire de pathologie qui a testé les vaccins lui-même et a trouvé dans leur contenu des résultats inquiétants, qu’il ne pouvait pas rendre publics car cela aurait mis son entreprise en danger. Un institut de pathologie allemand a organisé une conférence qui a révélé la présence d’objets métalliques non identifiés dans les vaccins, visibles au microscope optique (d’autres personnes ont également fait état de résultats similaires) [NdT. il s’agit peut-être de cette session du Comité Corona?]. Enfin, le gouvernement japonais a rappelé un important lot de vaccins Moderna après les avoir inspectés et y avoir trouvé des particules d’acier inoxydable.

Étant donné l’absence totale de tests sur ces vaccins, il est peu probable que nous connaissions un jour sur eux nombre de détails cruciaux, tels que les doses utilisées dans chaque lot ou la présence d’ingrédients supplémentaires (par exemple, des adjuvants lipidiques), dont la détection nécessite des tests beaucoup plus complexes que la microscopie optique.

Les vaccins contre l’anthrax:

Beaucoup connaissent le « syndrome de la Guerre du Golfe », une maladie grave qui a touché de nombreux vétérans de la Guerre du Golfe. Le nombre de blessés a été suffisant pour susciter des demandes d’enquête, mais contrairement au COVID, il n’a pas été suffisant pour que le grand public se mobilise et demande des comptes. À ce jour, la maladie est simplement classée comme un « syndrome » pour lequel aucune cause n’a été établie et de nombreux vétérans oubliés se morfondent dans une invalidité permanente.

En dépit de sa classification nébuleuse, cette affection recoupe largement celle des maladies auto-immunes systémiques graves. Peu de gens savent que seuls les membres des armées qui ont reçu le vaccin contre l’anthrax ont développé le syndrome de la Guerre du Golfe (les Français qui ont servi aux côtés des autres soldats n’en ont pas souffert, ni les civils de la région). De même, de nombreux militaires qui n’ont jamais été déployés en Irak mais qui ont été vaccinés ont également développé la maladie, et des affections ressemblant à ce syndrome ont continué à apparaître dans les forces armées après les campagnes de vaccination contre l’anthrax au cours de la décennie suivante.

Le premier cas de maladie ressemblant au syndrome de la Guerre du Golfe que j’ai rencontré est celui d’un médecin qui avait déclaré aux enquêteurs du Congrès qu’il avait reçu le bras placebo dans un essai antérieur de vaccination contre l’herpès, le placebo reçu étant le squalène, un adjuvant lipidique problématique. Le fait que l’adjuvant d’un vaccin soit également administré au groupe placebo est un moyen courant pour les expérimentateurs de dissimuler les effets indésirables des vaccins (on y fait souvent référence dans le cas du vaccin anti-HPV de Merck).

L’armée, le VA [NdT. acronyme du Department of Veterans Affairs, l’administration américaine qui s’occupe des anciens combattants] et des enquêteurs indépendants ont tenté de relier la maladie à toutes les causes possibles (y compris des causes absurdes), à l’exception des vaccins contre l’anthrax. Bien que j’aie examiné chaque élément suspect et que je pense que certains des autres déclencheurs suggérés ont pu jouer un rôle dans l’aggravation de la maladie de chaque ancien combattant, en fin de compte, essayer d’associer toute autre cause à la maladie n’est rien d’autre que de tenter de noyer le poisson. Le vaccin contre l’anthrax est le seul agent auquel ceux qui ont développé la maladie ont été exposés de manière systématique, et bon nombre des symptômes du syndrome de la Guerre du Golfe étaient des effets secondaires connus de l’adjuvant expérimental au squalène. Ces effets comprenaient une fatigue chronique, de graves douleurs articulaires, un large éventail de problèmes neurologiques, y compris des évanouissements soudains en service, des convulsions, des pertes de mémoire, des éruptions cutanées ou des plaies persistantes et étaient généralement de nature auto-immune.

Lors du déploiement initial du vaccin, celui-ci n’a été administré qu’à certains soldats (plutôt qu’à tous), probablement pour créer un groupe témoin. Certains commandants se souviennent qu’on leur a dit qu’on leur fournissait un « meilleur » vaccin contre la maladie du charbon pour les protéger de cette maladie, mais la plupart des témoins de l’époque ont déclaré que le vaccin était entouré d’un voile de secret. Lors de l’administration du vaccin, aucun document n’a été fourni aux soldats (nombre d’entre eux ont passé des années après la guerre à essayer de mettre la main sur leurs carnets de vaccination introuvables), et une longue enquête a révélé que la seule preuve qu’ils ont reçue était  » Vaccine A  » écrit à la main sur leurs cartes de vaccination (un  » Vaccine B  » pour l’anatoxine botulique a également été testé à l’époque mais n’a pas provoqué d’effets indésirables importants comme le  » Vaccine A « ).

Une longue enquête du Congrès a montré que les branches responsables du gouvernement étaient très réticentes à fournir les informations nécessaires. L’enquête ultérieure du GAO (le seul ministère disposé à enquêter) [NdT. acronyme du Government Accountability Office, le bras juridique du Congrès américain] a confirmé une grande partie de l’histoire et a souligné une réticence inhabituelle du Ministère de la Défense à révéler des informations aux enquêteurs. C’est également le GAO qui, après des années d’accumulation d’événements indésirables, a finalement réussi à convaincre le fabricant Bioport de faire figurer certains des effets secondaires sur son emballage.

Dans les années qui ont suivi la guerre du Golfe, de nombreuses enquêtes ont été menées, sans succès, pour tenter d’établir la cause de la maladie. Cette période est résumée par le capitaine Rovert:

« Les appels à l’aide de nos soldats ont non seulement été ignorés, mais leur propre gouvernement, celui qu’ils ont juré de servir et de protéger, a tenté de les discréditer. Pendant de nombreuses années, les vétérans de la première Guerre du Golfe et leurs familles ont imploré de l’aide et des réponses. Pendant ce temps, dans un effort malavisé visant à tromper le Congrès, la presse et le peuple américain sur l’étendue des dommages causés au personnel pendant le conflit, le Pentagone a lancé l’opération Bronze Anvil, un programme de propagande conçu pour détourner toute enquête sur le lien entre la maladie du Golfe et le vaccin anti-anthrax et pour porter atteinte à la réputation de ceux qui ont parlé de ce lien. Cette entreprise a réussi à faire passer les honorables militaires américains qui se plaignent de réactions au vaccin contre l’anthrax pour des simulateurs, des menteurs, des pleurnicheurs et des mécontents ».

Rhumatologue exerçant en cabinet privé dans le Tennessee, Kevin Asa MD a été l’un des premiers à reconnaître que le syndrome de la Guerre du Golfe était une maladie auto-immune, ce que beaucoup de ses collègues n’avaient pas reconnu (par exemple, il est généralement tellement inhabituel pour de jeunes hommes en bonne santé de développer un lupus que le diagnostic n’était souvent même pas envisagé). Après quelques recherches, lui et sa femme Pam Asa PhD (une immunologiste) ont découvert que chacun de ces patients avait reçu un nouveau vaccin sur lequel ils n’avaient reçu aucune information, comme mentionné dans le paragraphe précédent. Dans chaque cas, ce vaccin semblait être le déclencheur de leurs maladies auto-immunes. Comme les Asas n’étaient pas affiliés à une institution (où, comme aujourd’hui, ce type de recherche est immédiatement supprimé), ils occupaient une position idéale pour révéler ce scandale.

Comme le candidat le plus probable était un nouvel adjuvant expérimental, Pam Asa a identifié, en poursuivant ses recherches, que le coupable le plus probable était le squalène. Elle a contacté l’un des plus grands virologues au monde, le Dr Robert Gary de l’Université de Tulane, qui a pu mettre au point un test pour détecter les anticorps au squalène. Ce test s’est révélé positif chez tous les patients malades qu’elle a vus et qui avaient reçu le  » Vaccine A  » et négatif dans la population générale. Diverses attaques ont alors été menées contre ce test pour le discréditer (attaques que j’ai jugé sans fondement). Des tests ultérieurs sur de nombreux autres vétérans ont donné des résultats similaires, et finalement un groupe de vétérans à qui on avait ordonné contre leur gré de se faire vacciner a fourni des échantillons de sang avant et après vaccination. Leurs résultats, par la suite positifs, ont apporté la preuve définitive que cette vaccination avait déclenché le développement d’anticorps contre le squalène.

Malgré les inquiétudes croissantes à l’égard du vaccin contre l’anthrax, celui-ci a continué à être utilisé à titre expérimental, les cas les plus notables ayant eu lieu à la fin des années 1990 sur des bases militaires du pays, et lors de la deuxième guerre d’Irak. La base aérienne de Dover dans le Delaware (l’État de Biden) a été choisie comme l’un des premiers sites à recevoir le vaccin. En peu de temps, plus de 15 cas de maladies auto-immunes (la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde était les plus courantes) et 30 autres cas de maladies ressemblant étrangement au syndrome de la Guerre du Golfe sont apparus chez les personnes récemment vaccinées, obligeant de nombreux militaires à recourir à des soins médicaux complexes.

Le Commandant d’escadre de la base, le Colonel Felix M. Grieder, a demandé des réponses au Pentagone. Le 5 mai 1999, après s’être entendu dire par leur représentant « Je ne sais pas et je m’en fiche », Grieder a suspendu le programme. Six jours plus tard, des officiers supérieurs de l’armée ont tenu une réunion publique à la base où ils ont invoqué la sécurité et l’efficacité du vaccin et ont menti comme des arracheurs de dents en niant sans équivoque la présence de squalène dans le vaccin (des séquences vidéo de ces événements figurent dans le court documentaire à la fin de cet article). Curieusement, l’un des officiers supérieurs a toutefois brièvement admis que l’armée possédait un vaccin expérimental contre l’anthrax contenant du squalène, mais qu’il n’avait été utilisé sur personne à Dover. Les prenant au mot, Grieder a rétabli le programme. Grieder, un commandant dont on s’attendait à ce qu’il gravisse les échelons jusqu’à un poste supérieur, a vu sa carrière torpillée pour avoir résisté aux mandats de vaccination contre l’anthrax.

La FDA a par la suite testé certains des lots suspects pour détecter la présence de squalène et, en septembre 2000, a révélé qu’il était présent dans cinq lots (dont quatre avaient été envoyés à Dover). Des tests distincts de détection d’anticorps anti-squalène ont permis de prédire avec précision sa présence dans ces lots, et ont également permis d’identifier trois autres lots suspects (dont deux ont été envoyés à Dover) qui n’ont jamais été testés officiellement pour la présence de squalène. Plus tard, lors de la mobilisation pour la seconde guerre d’Irak, un grand nombre de flacons d’anthrax ont été jetés par-dessus bord, probablement par des soldats protestataires, et lorsqu’un journal télévisé les a fait tester par un laboratoire indépendant, la présence de squalène a de nouveau été constatée.

Suite aux tests de la FDA, les militaires ont tacitement admis la présence de squalène mais ont insisté sur sa sécurité (par exemple, les déclarations imprimées sur les sites web militaires qui niaient précédemment sa présence ont changé). Les tests de la FDA (ce rapport pouvait être consulté à l’adresse « http://www.fda.gov/ohrms/dockets/dockets/80n0208/80n-0208-c000037-15-01-vol151.pdf » aussi récemment qu’en 2012, mais ne peut plus être consulté que sous forme de fichier archivé) ont révélé ce qui suit (le code au début est le numéro de lot):

FAV 020 11 parties par milliard de squalène.

FAV 030 10 parties par milliard de squalène

FAV038 27 parties par milliard de squalène

FAV043 40 parties par milliard de squalène

FAV047 83 parties par milliard de squalène

Dans les études dose-réponse de phase 1, une série de dilutions (par exemple 1:2:4:8) est fréquemment utilisée. Étant donné les faibles concentrations utilisées et les diverses marges d’erreur, les experts dans le domaine ont convenu que ces valeurs n’ont pu être obtenues que dans le cadre d’une étude dose-réponse très soigneusement préparée. En outre, il convient de noter que les numéros de lot croissants sont en corrélation avec les concentrations croissantes de squalène. Le principal facteur de confusion à mes yeux est que le squalène sous forme de MF59 est dosé à un niveau beaucoup plus élevé dans le vaccin FLUAD (9,75 mg de squalène par 0,5 ml d’injection) et que ce vaccin, bien qu’associé à certains événements indésirables graves, s’est révélé beaucoup plus sûr que les vaccins contre l’anthrax.

Lorsque Craig Paardekooper a analysé par la suite les données du VAERS sur les lots à forte dose de Pfizer qui présentaient des caractéristiques indiquant qu’ils faisaient partie d’une étude dose-réponse, il disposait de suffisamment de données pour déterminer comment la toxicité du lot était codée dans son numéro de lot (il a depuis publié des ressources supplémentaires sur ce sujet). Comme le vaccin contre l’anthrax, ils suivaient un schéma ascendant simple.

Je reconnais que l’analyse du VAERS est un sujet controversé et qu’il existe un risque d’erreurs diverses. Toutefois, compte tenu de l’ampleur des signaux de préjudice et du fait qu’il existe des cas antérieurs de lots à forte dose, comme aucun système plus performant n’a été mis à disposition, la présence de vaccins dangereux doit être considérée comme une hypothèse provisoire en attendant que des informations supplémentaires soient disponibles. Nous en sommes là parce que les responsables du programme de vaccination refusent obstinément de divulguer les données nécessaires à l’évaluation de ces vaccins, et c’est donc à eux qu’incombe la charge de la preuve de l’innocuité, et non à d’autres la charge de la nocivité.

En conclusion, de nombreuses complications graves sont survenues après la vaccination contre l’anthrax. Parmi ces événements, mon attention s’est portée sur trois d’entre eux (qui ont également été observés après la vaccination contre le COVID): la sclérose en plaques (due à des programmes d’armes biologiques cherchant à provoquer la sclérose en plaques), la sclérose latérale amyotrophique (une maladie rare que j’ai également rencontrée deux fois dans mon petit échantillon de blessures liées aux vaccins) et la perte de la capacité de piloter en plein vol (sachant que cela peut être catastrophique).

On a également assisté à de nombreuses tragédies épouvantables. Comme l’objet de cet article est le contexte général du programme de vaccination contre l’anthrax, je les ai exclues par souci de concision. De nombreuses personnes souffrent encore (y compris les commentateurs de ce billet sur substack) et nous, en tant que pays, en payons maintenant le prix du fait que leur histoire n’a jamais été entendue. Les articles que je publie ici rencontrent un public beaucoup plus large que je ne l’avais prévu, et si quelqu’un qui a été personnellement affecté par les vaccins contre l’anthrax estime que des détails supplémentaires devraient être ajoutés à cette histoire, je l’invite à les mentionner dans les commentaires.

Cela dit, il y a deux histoires qui méritent selon moi d’être partagées:

La première, du capitaine Rovert:

« Je garderai à jamais gravée dans ma mémoire la vision d’une jeune femme enrôlée criant et pleurant alors qu’elle était maintenue de force au sol pendant que l’aiguille délivrant le vaccin contre l’anthrax était enfoncée dans son corps. Je n’oublierai jamais le triste jour où mon cher ami, le Sergent Technicien Clarence Glover, est mort après avoir été vacciné contre l’anthrax. Je me souviens des histoires de ceux dont la peau a littéralement brûlé à cause du syndrome de Stevens-Johnson induit par le vaccin contre l’anthrax et des nourrissons dont j’ai eu la charge et qui sont nés avec de graves malformations après que leur mère enceinte ait été vaccinée contre l’anthrax. »

La seconde a été documentée dans Vaccine A:

Le sergent de l’armée Scott Siefkin, âgé de 37 ans et en excellente santé lorsqu’il a été déployé pour la guerre du Golfe, a souffert d’un malaise qui a mystifié ses médecins pendant près d’un an après son retour. Au début, sa température corporelle augmentait et diminuait sans explication. Au printemps 1993, des éruptions cutanées sont apparues, d’abord de minuscules bosses qui ressemblaient à des éruptions de chaleur. Aucune cause n’a pu être trouvée et les éruptions ont disparu pour ensuite réapparaître. À l’automne, il souffrait à l’intérieur de la bouche de lésions douloureuses qui ressemblaient à des brûlures de cigarettes, une sur le côté de la langue et une autre sur le côté de la joue.

A cause des ulcères dans sa bouche, il avait pratiquement perdu la capacité de manger et, en hiver, il avait perdu 20 kg. Lorsqu’on a essayé le prednisone, un traitement pour les maladies auto-immunes, « son corps a enflé jusqu’à donner l’impression qu’il allait éclater » et les membres de sa famille avaient du mal à le reconnaître.

Il a ensuite développé des plaies sur ses pieds, ce qui lui rendait la marche difficile, et ses bosses rouges se sont transformées en ampoules de la taille d’un demi-dollar qui s’ouvraient au moindre contact, ou comme l’a dit sa plus jeune sœur, « c’était comme si son sang bouillait à la surface de sa peau ».

Il a rapidement montré des signes d’infection et a été admis à l’hôpital où on lui a diagnostiqué un lupus et où il a été transféré dans un service de grands brûlés où sa peau malade (99 %) a été retirée de son corps. Pendant que sa peau guérissait, il a été recouvert d’une greffe de peau de porc. Malheureusement, dès que sa peau a commencé à repousser, elle a aussitôt été perdue.

Scott a été maintenu en vie via une sonde d’alimentation, de la morphine et des antibiotiques.

« Tout au long de cette épreuve, Scott n’a jamais perdu son sens de l’humour, mais même celui-ci devint un fardeau pour lui. Quand il souriait, ses lèvres saignaient. Ses parents, sa femme, ses sœurs et ses amis ne pouvaient ni l’embrasser ni le serrer dans leurs bras; ils ne pouvaient pas poser un doigt sur lui de peur de le faire souffrir ou de lui transmettre une infection mortelle. La vue de son corps sans peau était si hideuse que la famille ne laissait pas les enfants de Scott le voir. Sa souffrance était presque indescriptible, et pourtant, lorsqu’il exprimait son inquiétude, c’était toujours pour sa famille, pas pour lui-même. »

Sept semaines après l’ablation de sa peau, il est décédé, la cause du décès étant un lymphome, une insuffisance rénale et une septicémie.

Meryl Nass MD (la collègue de Robert Malone qui s’est vu retirer sa licence par son conseil médical pour avoir sauvé des vies avec le traitement à l’Ivermectine et s’être exprimée contre le programme de vaccination actuel), a passé des années à se battre pour les vétérans de la Guerre du Golfe blessés par le vaccin contre l’anthrax et, en 2007, a témoigné lors d’une audience du Congrès qui résume succinctement toute cette débâcle. Un lecteur qui avait été en contact avec le Dr Nass s’est entendu dire que, compte tenu de ce qu’elle avait observé au cours des années de litiges dans la défense des vétérans de la Guerre du Golfe, qui n’ont abouti à rien, elle n’est pas convaincue que notre système juridique actuel soit structuré de manière à pouvoir offrir les réparations qu’attendent de nombreuses personnes blessées par les vaccins COVID.

Pour ceux d’entre vous qui souhaiteraient en savoir plus sur ce sujet (ou qui cherchent quelque chose à partager avec des amis qui ne lisent pas d’articles), cet excellent et bref documentaire de 44 minutes couvre un grand nombre des thèmes abordés ici. Il contient des séquences vidéo montrant des hauts gradés de l’armée en train de mentir à répétition aux soldats de la base aérienne de Dover, les sanctions encourues par les soldats qui n’ont pas obtempéré, et de nombreuses histoires personnelles de blessures graves causées par les vaccins qui ont détruit des vies et qu’on a balayées sous le tapis.

Merci encore de lire ce texte et de partager cette histoire où vous le pourrez (car je suis empêché de le faire sur les médias sociaux). J’ai bon espoir qu’ensemble, nous pourrons jouer notre rôle dans l’avènement d’un avenir meilleur.


Texte original

The Military’s Anthrax Vaccine Appears to Have Been a Beta Test for COVID-19

Independent investigation also proved there were experimental hot lots

A Midwestern Doctor

Mar 19

If you would like to know more about me, the mission of this substack, or how you can contribute, please read this introductory post.

In my previous posts, I have alluded to the tendency of history to repeat and how each scam from the past is used as a prototype for the current con.  I originally created this substack to bring awareness to the fact the smallpox vaccine campaigns were a very similar disaster to the COVID vaccine campaigns.  Over a century ago, those deadly vaccines actually made smallpox worse, and as public resistance grew, governments responded increasingly draconian mandates and all of that only stopped because of mass protest by the working class.

There are a few other striking examples of where an “emergency” situation was used to enact cruel and legally questionable medical campaign on a vulnerable demographic.  My familiarity with these campaigns and my previous advocacy for many of the forgotten victims of western medicine made me able to predict the seemingly unthinkable situation we are in now.  Of these events, the military anthrax vaccine campaign appears to have the closest parallels to our current situation, especially considering that many of the exact same parties responsible for that debacle have done the identical thing with COVID-19.

The story of the military anthrax vaccine campaigns is horrific and even a few years ago would have been challenging to believe it could have ever happened.  An extremely dangerous medical experiment was conducted in absolute secret on large segments of the military so that a new wave of highly profitable vaccines the NIH was heavily invested in could be brought to market.  Massive casualties emerged (in those who received hot lots), and the military did everything they could to cover it up. 

Eventually outside investigators obtained clear proof that a phase 1 dose response trial (this is the initial part of testing a drug where “small” numbers of volunteers are given a medication to assess its safety for further testing) was being conducted.  Despite this the military continued this experiment for over a decade, and while there were large numbers of victims, the numbers were small enough to sweep everything under the rug.  Now in the present day, it appears that some of the technologies used for operation Warp Speed are the same ones that were developed during this experiment.

Much of this article is sourced from the phenomenal journalism by Gary Matsumoto within “Vaccine A: The Covert Government Experiment That’s Killing Our Soldiers — and Why GI’s Are Only the First Victims.”  An abridged version can also be found within Chapter 16 of Vaccine Epidemic: How Corporate Greed, Biased Science, and Coercive Government Threaten Our Human Rights, Our Health, and Our Children.  Both books are only a decade old and accurately predicted much of what was soon to come. 

I understand everyone working on this project has limited time.  However, I would strongly urge any attorneys involved to review the details within Vaccine A, as I believe they will prove crucial for future litigation.  I have put an immense amount of time I don’t really have into drafting this, and I would greatly appreciate your assistance in getting it to the appropriate parties. 

This article will be broken into the following sections:

-Hot mRNA Lots
-History of Unethical Human Experimentation
-Bioweapons
-Lipid Adjuvants
-The Anthrax Vaccines

Hot mRNA Lots:

When Operation Warp Speed was announced, I was hopeful it would give therapeutics the FDA had stonewalled in the past a chance to shine, and apprehensive it would allow unsafe, untested pharmaceuticals to enter the market.  After I and others attempted in vain to attain regulatory approval to conduct non-commercial clinical trials for viable solutions for the pandemic, we each saw the regulatory barriers that had been removed were only to support pharmaceutical profiteering and not to promote public health. 

The thing I failed to appreciate until recently was the significance of the military being intimately involved with Operation Warp Speed.  I hadn’t paid much attention to this, as I thought it was done to expedite the production and distribution of medical supplies.  What I’ve realized recently is that this allowed a lot of horrible people in our government to shape Operation Warp Speed around their pet projects that would normally never be permitted to happen.

Everything about COVID, particularly the PR campaigns for the vaccines screamed to me that something very bad was in the works.  Many of us watched as everything was coordinated to create a once in a lifetime opportunity, step by step, to push through a variety of otherwise unacceptable medical experiments and practices.  As mRNA technology likely represents a potential multi-trillion-dollar source of revenue and the pharmaceutical industry is desperate for innovations (it is getting very difficult to develop new traditional drugs), bringing mRNA to market seemed a likely goal of Operation Warp Speed.

When the COVID vaccines were being developed, one of my early questions was “how are they going to dose the mRNA?”  Within pharmacology, a concept known as therapeutic window exists.  Briefly, all medications at certain doses are toxic, and all medications need a certain (therapeutic) dose to work.  Some medications have a much higher toxic dose than therapeutic dose, so anyone can take the medication at home without worrying about toxicity.  Other more dangerous medications have much closer therapeutic and toxic doses, and hence must be given in a controlled setting. 

As best as I could gather, a major problem with mRNA technology had been that to produce enough protein in the recipient, the mRNA and their lipid nanoparticles had to be given at a dose that had significant side effects.  This poor therapeutic window I suspected was a key reason why despite significant investment, this technology had never been able to make it to market. 

To some extent the issue now seems to have been addressed by enhancing the amount of protein each mRNA would produce.  This was done by attaching pseudouridine to the mRNA so it would not be broken down as quickly (although it also has been argued this was done so a unique and therefore patentable modification existed) and codon optimization. These two innovations also appear to have created new sets of problems, and the R&D situation largely reminded me of the challenges the designers of the anthrax vaccine faced.  The pandemic, like the Gulf War, had created a once in a lifetime opportunity for questionable data gathering and as one of my colleagues put it: “The vaccine isn’t free.  If the government is putting this much money into it, they must want a lot of data in return.

As the rollout began, I noticed individuals had very different responses to the vaccinations, which seemed to suggest placebos and more toxic or less toxic lots were present.  Similarly, one of my colleagues (who I consider to be a superb diagnostician) told me he was absolutely certain some of his patients had received placebos.  At the same time, as I began witnessing a horrifying emergence of severe adverse events, I also observed multiple cases of close relatives who lived together (such as a husband and wife) having the same, sometimes fatal reaction. 

If we were to assume 0.1% of vaccinations result in death, then mathematically, the odds are very close to 0 that in my relatively small sample size (roughly 40 deaths) I would be seeing cases of the same severe adverse event happen to two people who lived together (I also saw a few other non-fatal things cluster like this).  While there were a lot of possibilities to explain this observation, the best fit hypothesis I had was, as was the case with the anthrax vaccine, there were dangerous hot lots that both members of the household had likely gotten when they were vaccinated together.  From reading numerous reports from online forums, I have found I am not the only person who had encountered this clustering of adverse events.

Once this dawned on me, I checked VAERS and couldn’t believe most of the deaths and severe injuries from the vaccine were associated with specific lots…and nothing was being done.  Later, as this began to be investigated, it was also discovered most of these hot lots appeared to be in red states, which matched the clustering of adverse events within my sample (these were concentrated in Ohio). However, I believe it is critical to not overstate your conclusions, and having talked to numerous data analysts, at the time, while there is data suggest this may be happening, I do not believe there is sufficient data within VAERS to prove red states are being prioritized for more harmful vaccinations.

Around the same time, some of Pfizer’s drug approval documents from the European FDA (the EMA) were leaked.  One regulatory concern discussed in these documents was the stability of the mRNA product (which has likely gotten worse now as most of the strict refrigeration protocols are often not followed and the scaling production of vaccines up from the small number needed for clinical trials verses that needed for billions of people will inevitably lead to production mishaps).  Another was that the FDA had found differences between lots from different facilities.  These made me wonder if part of the variation in toxicity between the lots was from manufacturing issues that were being swept under the rug by Operation Warp Speed, something members of the FDA responsible for inspecting vaccine production had voiced serious concerns about.

Further support for this theory arose from the recent J&J manufacturing fiasco, where the company they had contracted to produce their vaccine, Emergent Biosolutions was required by the (very lenient) FDA to dispose of millions of improperly produced doses.  This manufacturer (previously known as Bioport) has deep connections to the military.  The company was also responsible for producing the military’s anthrax vaccine, and had also been repeatedly penalized and cited by the FDA for serious production quality issues with that vaccine.

Bioport, like the COVID-19 vaccine manufacturers now, was also given complete legal immunity to any issues from their vaccine which likely incentivized ignoring safety and appropriate production of the vaccine.  Oddly enough, the manager responsible for quality control at the Emergent Biosolutions plant producing J&J’s COVID vaccine, according to Whitney Webb, had no background in pharmaceutical manufacturing or quality control, and rather had served as a head of military intelligence in Iraq and Afghanistan.

While I have been seeing signs of something very nefarious in the works since late 2019, I still hoped against hope this was all simply my own paranoia.  The moment when reality crashed into my face was a presentation put together by Craig Paardekooper. 

For those who do not have time to watch it, he showed that in addition to VAERS having evidence suggestive of hot lots, there is also data in VAERS that suggested Pfizer, J&J, and Moderna had been testing hot lots with various degrees of lethality in collusion with each other.  As time progressed, the toxicity of these lots became more precise, and at one point Pfizer conducted a dose response study that could be observed within VAERS. As this had recently been done to a large segment of the military with the anthrax vaccine, I was open to this possibility, but the fact that something like this could actually be occurring was still very difficult for me to stomach.

With the VAERS data, I acknowledge you could potentially argue the hot lots initially identified arose due to some type of bias.  However, I’ve looked at each of the counter arguments to the clustering of hot lots (Jessica Rose makes a very good one) and at this time I believe Craig’s findings raise serious concerns.  I have also spoken with members of Craig’s team (there are intelligent individuals with a background in this field working together) and they appear to be being very careful to not overstate their conclusions.

In Craig’s subsequent work, using the data he found in VAERS that suggested Pfizer had conducted a dose response study, he was able to identify a simple code from those lots that correlated with toxicity. This had also happened previously with the anthrax vaccines.  A while back I also saw a video where a recently retired Slovenian nurse made a similar claim.  At the time I didn’t know what to make of it or if it was even authentic (which has thus far not been established), but I immediately remembered it after I saw Craig’s work.

Recently, the topic of hot lots has come back into focus after reviewers of the Pfizer FOIA documents found proof that mRNA was being given at different doses.  While this would support the theory I am advancing, I believe this specific conclusion was an example of confirmation bias. When I looked at the table in question, I realized it simply reflected public knowledge of the fact Moderna uses a higher mRNA dose than Pfizer, and different vaccination doses with different billing codes have been developed depending on the age of the recipient.  This does not in any way prove the existence of hot lots, only that data has been gathered to develop appropriate dosing of mRNA.

History of Unethical Human Experimentation:

I have often wondered if the reason the Tuskegee syphilis experiments have received so much attention in the press was to distract from the fact that even more hideous experiments have been performed on vulnerable populations.  Some of those done by Fauci (such as the violent administration of experimental HIV medications to non-consenting orphans in New York that caused them to die in agonizing ways) have been brought the public’s attention because of The Real Anthony Fauci.  Some are discussed in a classic Wikipedia article on the subject.  Many other experiments I have come across are for all purposes unknown, and I am sure there are many more I have never heard of.

The development of medical science has been a struggle of humanity fraught with many mishaps and disasters for those involved.  At the same time, the collective suffering our forefathers experienced, often due to abhorrent medical interventions, eventually made it possible to develop profound improvements in the quality of life for the human species. 

There has hence been a continual debate if it is appropriate to advance medicine through barbaric experimentation.  One example would be animal experimentation.  The life experience of myself and many others has shown us animals are often sentient, and despite this, much of medical research involves barbaric and often completely unnecessary experimentation on animals.  The topic of animal experimentation birthed the “anti-vivisection” movement, which amongst other things, argued that medicine developed through evil would inevitably enact that same evil on its intended recipients, something which often comes true.

Human beings appear to have a limited number of social connections they can maintain an emotional connection to.  As a result, when individuals are in small groups, they typically prioritize the liberty and well-being of those around them.  Yet, when people assume positions of authority where they are responsible for a large number of people, dehumanization frequently occurs and the people they are responsible for become abstract entities whose collective good becomes prioritized over the rights of each individual.  I have observed this entire process in so many ways I am convinced it is an intrinsic aspect of human nature.

As the progression of science is so crucial to the advancement of civilization, and our form of science is largely based on biological experimentation, it is hence a recurring theme that highly unethical human experimentation occurs.  In recognition of this fact, when you complete the training program required in the USA to conduct research on human subjects, the importance of not conducting research on vulnerable groups who lack the ability to refuse to be experimented upon is a key focus of the program. 

At the same time, when viewed from a perspective emphasizing “collective good,” vulnerable captive groups represent the ideal groups to conduct experiments on.  The experimental group can be tightly controlled, preventing many of the common issues with data accumulation (ie. subjects dropping out of the trial).  They also are less likely to resist taking a toxic medication and when something bad happens, they don’t have anyone who will ask questions about what happened to them.

In the past, prisoners, the mentally handicapped, orphans in foster care and those indefinitely confined within medical facilities were frequent targets for horrific experimentation.  Until about half a century ago, it was common to see experiments of this nature be condoned by society and published in leading medical journals and few objections were raised towards those studies.

However, overtime, public protest occurred and eventually experimentation on these vulnerable groups was largely stopped, leading to much of it being outsourced to Africa.  As this reduced the supply of “ideal” domestic research subjects, the only remaining subject pool, the military, was regularly utilized.  Military culture is based around obeying orders from your superiors even if it puts your life in danger and always completing your required period of enlistment.  In short, members of the military often lack the ability to refuse to a medical intervention, something many are all too eager to take advantage of.

Within the military, it has always been considered acceptable for some soldiers to die on the battlefield to achieve a victory.  This logic in turn has been extended towards it being acceptable for a certain number to be maimed or killed in experiments that yield results of vital strategic importance.  However, that often blends with corruption, leading to profiteers conducting numerous ghastly experiments that are not necessary for national security.  War profiteering, the focus on my previous article, is a dark side of our democracy that when understood, helps to place many of these events into context.

After the events of the anthrax scandal happened, and a senate investigation was conducted, laws were passed to prevent the future forced administration of experimental (non-FDA approved) medications on soldiers.  Despite that, existing legal structures still make this feasible to do, such as soldiers being unable to sue the military for injuries from forced medications (due to the questionable Feres Doctrine), the declaration of “emergency situations” overriding soldiers’ right of consent, and the military being allowed to inflict harsh punishments on soldiers for dereliction of duty when they refuse vaccinations.  These punishments included large fines and prison sentences that were levied against soldiers who refused the vaccination.

There are many tragic cases we have all heard in the military with the COVID vaccines.  One of my friends spent 6 months fighting the mandate and produced a strong legal case showing the specific manner in which Secretary of Defense Lloyd Austin had mandated these vaccines violated both the law and rulings from federal judges (there actually was a legal pathway Austin could have followed). 

His exemption request was eventually approved and then rescinded after a very high-ranking member of the military stepped in and overrode his exemption, not unlike the events at Dover Airforce Base.  My friend now, like many others in the military is vaccine injured and unable to perform his duties.  Many similar events played out during the anthrax campaign and both vaccination campaigns had a devastating effect on both our military readiness and general morale in a profession that is built upon troop morale and patriotism.

Additionally, as excellently summarized within The Real Anthony Fauci, Anthony Fauci has played a key role in transforming the NIH and FDA into becoming pharmaceutical production pipelines where many regulatory officials are bribed to create, test and approve these drugs.  Within this paradigm, required safeguards for human subjects (Fauci’s wife is actually the chief bioethics official for clinical trials in the USA) are frequently disregarded or waived.  A significant aspect of Fauci’s career has been to work hand in hand with the military, both through directly conducting illegal research on their behalf (ie. gain of function research) and indirectly by waiving the ethical safeguards for experimentation on members of the military.

There are so many questionable experiments that have been performed on soldiers I cannot even begin to summarize them (Vaccine A lists many).  For example, in the days of nuclear bomb testing, to study the effects of fallout, the military would station troops in trenches near the detonation sites and inform them the fallout was safe, then give orders to charge following detonations.  One of my patients (a marine) told me this happened to his grandfather who was told by his superiors the fallout was safe; he subsequently died from an agonizing cancer.  However, while many “bad” experiments have been done, I believe the anthrax and COVID vaccines are in a class of their own due to how many people they have affected.

In the words of now retired USAF captain Richard Rovert, who tried to protect the servicemen at Dover Airforce Base from anthrax vaccination:

I write about some of the most vulnerable of society’s members: our men and women in uniform…Unfortunately, these brave defenders of our freedom are defenseless against the mandatory use of dangerous vaccines, such as the anthrax vaccine. For the past sixty-four years, the United States military and other government agencies have used our servicemen and women as test subjects, often in secret and without informed consent. Moreover, there is no end in sight; there are additional biodefense vaccines waiting in a pipeline to be tested on our soldiers.

Sadly, this is not a conspiracy theory. This is documented fact. In December 1994, right after the first Gulf War, the United States Senate released a report titled, « Is Military Research Hazardous to a Veteran’s Health? » This report outlined the unethical use of servicemen and women as test subjects. The report revealed that the Pentagon had quietly used soldiers in clinical trials and did not record the resulting information in their medical records, preventing the soldiers from receiving appropriate follow-up care. Many were simply left to die.

A frequently cited poem from the Holocaust states:

First they came for the socialists, and I did not speak out—because I was not a socialist.

Then they came for the trade unionists, and I did not speak out— because I was not a trade unionist.

Then they came for the Jews, and I did not speak out—because I was not a Jew.

Then they came for me—and there was no one left to speak for me.

Each time something bad is done, it is first normalized on a vulnerable group, but before long shows up on your doorstep.  What Fauci did to the gay community during the AIDS epidemic was horrendous, but few spoke out for them because they were a heavily marginalized community at the time.  He subsequently did the same thing in many other places (ie. in Africa with Ebola), and eventually to the entire country.  Much of what he’s done to the world over the last few years would never have happened if as a society, we had stood up for these forgotten people.

Captain Rovert also was aware of this and predicted the near future:

“I want you to burn these two letters and two numbers into your consciousness (MF59) so you will remember them because squalene will next be used in civilian vaccines”

Bioterrorism:

Every major power has experimented with chemical and biological weapons as they are an essential aspect of modern warfare.  This really took off in the United States following World War 2, as we provided amnesty to Japanese and German war criminals in return for them sharing the data they had obtained from their experiments.  Since that time, almost every major power has tried to develop a bioweapons arsenal on par with their adversaries, leading to many things that should never have been developed getting made.

Typically, biological weapons are targeted to acute infectious diseases, with the most lethal and easy to deploy prioritized alongside their countermeasures.  In Vaccine A, I learned Russia pioneered another approach based on splicing parts of essential human tissue onto common pathogens, so once the initial disease was cleared, a severe autoimmune disease is triggered (this is what occurs naturally in Rheumatic fever).  The Russians sought to create a time delayed bioweapon, with their most common tissue target being myelin, with which they successfully created severe neurodegenerative disorders such as Multiple Sclerosis (MS).

This immediately brought two diseases to mind: COVID-19 and Lyme.  In the case of Lyme, as documented in Lab 257, there is evidence to suggest it was accidentally leaked from a US biolab (leaks are much more common than the public realizes).  Lyme disease is commonly associated with MS, and as authors such as Lida Mattman PhD have documented, spirochetes are frequently present in the CSF of individuals with MS.  Homology in turn exists between the lyme spirochete and myelin, although I do not have the background to understand the full implications of that homology.

A key difference between SARS CoV-1 and SARS-CoV-2 (COVID-19) was the structure of its spike protein, which many suspected was engineered.  A curious aspect of the spike protein was its extraordinary degree of molecular mimicry with a wide range of human tissues.  This was a key reason why authors urged caution for the mRNA spike protein approach to vaccination as there was a high risk of autoimmunity (which according to leaked EMA documents appears to have never been tested prior to human studies).  Autoimmune conditions in turn frequently follow both vaccination and natural COVID-19 infections (vaccination however appears to be a more common trigger). 

On the acute front, anthrax’s ability to form spores makes it well suited for deployment against enemy targets. Anthrax typically infects the skin (cutaneous anthrax), but in some cases can become pulmonary anthrax.  Pulmonary anthrax is a horrific, highly lethal disease and has been a priority for acquisition in almost every biological weapons program.

Numerous incidents, such as accidental pulmonary anthrax leaks in the Soviet Union which killed many has made developing a vaccination for it a national security priority.  Anthrax has unfortunately been a very challenging pathogen to develop an effective vaccination against. Additionally, as far as I know, anthrax, which can often be treated with antibiotics has never been used on American soldiers, so the actual necessity of producing a vaccine against it is highly debatable.

At the time the Gulf War started (which was ultimately to prevent Saddam Hussein from invading Saudi Arabia’s oil fields), the US military greatly outclassed the Iraqi army.  This was proven during the Gulf War, where with almost zero casualties we rapidly slaughtered Iraq’s army. Military planners’ primary concern with confronting Saddam Hussein was the real risk he would use anthrax on American soldiers, something we had no way to defend against.  Unfortunately, while Hussein never used anthrax, our solution to this problem resulted in the Gulf War being one of the injurious wars in US history.  Exact estimates vary but are normally over 100,000; for example Captain Rovert of the USAF determined 1 in 4 of the 697,000 Gulf War veterans developed Gulf War Syndrome.

Oil-Based Adjuvants

A variety of approaches exist towards making vaccinations.  Some emphasize utilizing a single antigen (frequently produced through genetic engineering), while others emphasize utilizing a combination of many different antigens from a pathogen.  Adjuvants are often needed to increase the immune response, particularly in vaccines that only have one antigen (as these trigger a weaker immune response).

In most cases aluminum (which creates a variety of significant health problems) is used as an adjuvant.  From my own decade long review of the vaccine literature, I believe that a vaccination approach that utilizes single antigens in combination with adjuvants has three major problems:

1) It is a recipe for autoimmunity (which has significantly risen globally in sync with vaccination).

2) The immune response that is developed reduces the body’s flexibility to mount other immune responses, leading to an increased susceptibility to different strains of the same disease or other infectious diseases.

3) When these vaccines work, they rapidly promote evolution of more pathogenic variants that are resistant to the antigen within the vaccine.

During the 1990s, a variety of vaccines were developed which were based upon using genetic engineering to produce a specific protein sequence of the chosen disease.  For example, Fauci, the military and the NIH made significant investments on a HIV vaccine that utilized the GP-120 sequence of HIV (something numerous researchers noticed also is found on the COVID-19 spike protein, which for example led Luc Montagnier to argue this meant COVID-19 was part of a vaccine development program).

Despite enormous investment, most of these vaccines never made it to market because they required a stronger adjuvant than aluminum to function (and some proteins like GP-120 were unable to attach to aluminum).  One alternative that was frequently looked at were oil-based (also known as lipids based) adjuvants, as they produced a much stronger immune response that was sufficient to enable this new field of pharmaceuticals.  Interestingly, while we regularly ingest these substances without issue (possibly due to the specialized manner digested fats enter the blood stream), when injected, tiny doses of oil are sufficient to elicit very strong immune responses. 

Robert Redfield who advocated for this approach in his lipid adjuvated HIV vaccine, was subsequently investigated for research fraud and doctoring data to get his faulty HIV vaccine approved.  In these circles, no bad deed goes unrewarded, and Redfield later became director of the CDC. There he played a key role in enabling Fauci’s COVID policy, and according to one source had a pact with Fauci and Birx (who also was involved in developing that failed HIV vaccine) that all of them would quit if one was fired.

Unfortunately, as documented in Vaccine A, lipid based (and cholesterol based) adjuvants have a very high toxicity.  They frequently produced severe autoimmunity and had a variety of other side effects that overlie with the COVID-19 vaccine side effects such as producing anaphylactic shock (if you want to know more, its all discussed within this post about Novavax).  By the early 1990s, squalene had been identified as the most promising oil-based adjuvant, but it still was too toxic to bring to the market.  This issue partly arose from the fact that these adjuvants created autoimmunity to vital lipids throughout the body in the same way molecular mimicry does in Rheumatic Fever.

As the traditional anthrax vaccine had many shortcomings, an alternative approach utilizing a single antigen compounded with squalene had also been under investigation.  This approach had the advantage of providing the solution necessary to confront Hussein’s anthrax threat in time for the Gulf War and the disadvantage of being too toxic for human use.  A month after Hussein invaded, the head of the Armed Forces Epidemiological Board wrote in a letter to the commander of United States Army Medical Research and Development Command: “Operation Desert Shield presents unique research opportunities,” and the rest was history.

Despite the severe harm these adjuvants caused, the technology has remained in usage (Novartis bought the company that produced the main Squalene adjuvant).  MF59, a Squalene adjuvant formulation for example have been used in Novartis’s FLUAD vaccine, which has had issues including previously being put on hold in 2014 after 13 elderly Italian individuals died following vaccination.  It has recently come into use in parts of Europe now (numerous scientific journal articles can be viewed on vaccines containing MF59).  During Italy’s COVID-19 outbreak, my colleagues received correspondences from local physicians.  The Italian physicians reported their sickest patients who were least responsive to treatment had previously received an annual influenza vaccination and I recall numerous discussions occurred over whether there had been a change in its formulation.

A key aspect of Operation Warp Speed was providing broad financial support so the typical length of time required for vaccine production could be bypassed.  One component of the program was to fund numerous potential vaccines in the hopes that at least one would succeed.  Curiously, many of these vaccine candidates utilized the same squalene adjuvants which had been so problematic in the anthrax vaccinations.  Many of you may remember the news stories arguing over if the COVID vaccines would or would not kill a massive number of sharks.  This was a topic of discussion because sharks are one of the primary sources of squalene and the projected demand for the vaccinations requiring this adjuvant was enormous.

While COVID vaccine toxicity is typically linked to the spike protein it produces, the high reactogenicity and cytotoxicity of its lipid nanoparticles was also proposed as a potential safety issue.  Vaccine A (written in 2010) does a remarkable job documenting that the severe toxicity of injected lipids was well known decades ago and much worse than the public was led to believe.

Consider the following quotes from this recent 2016 article where Moderna’s CEO was interviewed:

“It’s highly risky. Big pharma companies had tried similar work and abandoned it because it’s exceedingly hard to get RNA into cells without triggering nasty side effects.” 

“Delivery — actually getting RNA into cells — has long bedeviled the whole field. On their own, RNA molecules have a hard time reaching their targets. They work better if they’re wrapped up in a delivery mechanism, such as nanoparticles made of lipids. But those nanoparticles can lead to dangerous side effects, especially if a patient has to take repeated doses over months or years.

Novartis abandoned the related realm of RNA interference over concerns about toxicity, as did Merck and Roche [Merck and Roche are amongst the worst offenders for putting toxic but profitable drugs on the market].” 

I would say that mRNA is better suited for diseases where treatment for short duration is sufficiently curative, so the toxicities caused by delivery materials are less likely to occur,” said Katalin Karikó, a pioneer in the field who serves as a vice president at BioNTech [which is Pfizer’s vaccine].

When I reviewed the EMA leaks, one of the things which jumped out at me was that the lipid nanoparticles used to package the mRNA were selected solely for functionality and no mention was made of assessing safety to determine the appropriate formulation.  Rather…the safety was just assumed on Pfizer’s end and assumed again by the regulators who approved it as part of the vaccine product.  As this information is often difficult to find, I will quote the key paragraph on the lipid nanoparticles from the EMA documents:

Among the screened cationic lipids, ALC-0315 exhibited suitable physical characteristics regarding particle size, homogeneity, and RNA encapsulation efficiency. Based on this, the ALC-0315/ALC-0159/DSPC/cholesterol prototype was submitted for in vivo screening. The results demonstrate improved potency of the ALC-0315 prototype as compared to an internal benchmark (ALC-0218). ALC-0315 was identified as a highly potent cationic lipid and brought forward for further product development.  In vivo experiments after IM administration of the final ALC-0315/ALC-0159/DSPC/cholesterol LNP at molar ratio 47.5/10/40.7/1.8, confirmed expression of mRNA for this route of administration.

Quickly for reference:
-On my initial search, I was unable to locate any safety data on ALC-0315 (a lipid)
-On my initial search, I was unable to locate any safety data on ALC-0159 (a lipid).  ALC-0159 was a concern for many as it contained Polyethylene Glycol, a known allergen within the population.
-On my initial search, I was unable to locate any safety data on DPSC (Distearoylphosphatidylcholine).  However, based on the characteristics of other injectable lipids, there is a potential this could cause Antiphospholipid Syndrome, which creates frequent blood clotting.
-As covered in Vaccine A, minute injections of cholesterol have been shown to provoke severe autoimmune reactions and frequent anaphylaxis (further discussed and documented within this article).

When the vaccines came to market, after the first day they were administered to healthcare workers in England, reports arose of unexpected incidents of anaphylaxis, leading to a warning for this being placed on the vaccine.  As there was both a theoretical risk for this, and a large trial had already been conducted (anaphylaxis is one of the few medication side effects that is never missed), I found it impossible to believe this side effect had not been detected and assumed significant underreporting occurred in the clinical trials.

Given the speed at which anaphylaxis developed in many of the cases (including some I know of within my circle of friends), I think it is unlikely sufficient time had elapsed for the spike protein to have been produced internally and trigger this allergy.  This left the lipid mRNA nanoparticles and the mRNA itself as possible culprits.  The most common suspect was the PEG on ALC-0159.  Knowing now that injectable lipids and cholesterol have been frequently associated with autoimmunity and anaphylaxis, I disagree with the regulators decision to assume their safety and believe this entire class of injectables should be treated with suspicion.

One of the major challenges with the COVID vaccine rollout has been the difficulty in assessing their safety.  No functional database for evaluating adverse events has been made available.  Many databases such as the military’s, Medicare’s, and Pfizer’s only became available following whistleblowers leaking the data or a judge ordering its release.  The legally required gold standard, VAERS, is plagued with issues that have not been corrected for decades.  These issues (ie. VAERS does not have the staff to process most of the adverse events being reported to them now leading to months of backlog) have made VAERS unable to capture the majority of the adverse events. Yet, in most cases when VAERS is discussed, its issues are focused upon to suggest it over-reports. 

For example, at the start of the COVID vaccine rollout, once an explosion of adverse events occurred, the mathematical criteria for VAERS reporting a safety signal was arbitrarily changed so that none of the increases in adverse reactions would constitute safety signals.  A formula was put in to only count the dramatic increase in an adverse reaction compared to previous vaccines if that reaction alone increased, but not to count the signal if multiple reactions increased, thereby exempting systemically toxic immunizations from safety signals.

The information necessary to evaluate the safety of the COVID vaccines that needed to be disclosed has not been “to protect proprietary information,” an approach the pharmaceutical industry has refined over the years to avoid revealing incriminating information.  A basic expectation for a program like the current vaccine campaign backed by the force of law would be for vaccines to be regularly tested by independent organizations to verify their content and quality.

Throughout the rollout, due to its “extremely limited availability,” the vaccine product was kept under lock and key making it very difficult to obtain samples for testing.  I know of numerous cases where vaccine product was nonetheless obtained, and labs refused to test it for fear of reprisal such as losing their laboratory certification.  I presently know of three examples where they were tested.

A physician colleague I am close friends with informed me midway through the rollout they were contacted by the owner of a pathology lab who tested the vaccines himself and found concerning results in the content he could not report publicly as that would put his business in danger.  A German pathology institute hosted a conference that showed concerning unidentified metallic objects within the vaccines that were visible with light microscopy (other individuals have also reported similar findings).  Lastly, the Japanese government recalled a large batch of Moderna vaccines after they inspected them and found stainless steel particles present within.  

Given the extreme lack of testing on these vaccines, it is unlikely we will ever know many crucial details about them, such as the does being utilized in each lot or the presence of additional ingredients (ie. lipid adjuvants), many of which require significantly more complex testing than light microscopy to detect.

The Anthrax Vaccines:

Many are familiar with the condition “Gulf War Syndrome,” a severe disease which afflicted many Gulf War veterans.  Enough were injured to create calls for investigation, but unlike COVID, not enough were injured to mobilize the general public to demand actual accountability.  To this day, it is simply classified as a “syndrome” that no cause has been established for and many forgotten veterans languish in permanent disability. 

In spite of its nebulous classification, the condition largely overlaps with that of severe systemic autoimmune diseases.  Few know that only the members of the armies which received the anthrax vaccine developed Gulf War syndrome (the French who served alongside the other soldiers did not nor did civilians in the area).  Similarly, many members of the military who never deployed to Iraq but were vaccinated also developed the disease, and conditions resembling it continued to appear in the armed forces following anthrax vaccination campaigns over the next decade.  

The earliest case of illness resembling Gulf War Syndrome I have come across occurred in an M.D. who testified to congressional investigators that he had received the placebo arm in an earlier herpes virus vaccination trial, with the placebo he received being the problematic oil adjuvant squalene.  Having a vaccine’s adjuvant also be in the placebo arm is a common way trial investigators conceal the adverse events of vaccinations (this is commonly referenced in regard to Merck’s HPV vaccine).

Attempts have been put forward by the military, the VA and independent investigators to link the disease to every possible cause (including nonsensical ones) except the anthrax vaccinations.  While I have looked at each suspect and believe some of the other suggested triggers may have played a role in worsening the illness each veteran experienced, at the end of the day, trying to associate any other cause with the disease is nothing more than grasping at straws.  The anthrax vaccine is the only agent those who developed the disease were consistently exposed to, and many of the symptoms of gulf war syndrome were known side effects of the experimental adjuvant squalene.  These effects included chronic fatigue, severe joint pain, a wide range of neurological issues including suddenly fainting on the line of duty, seizures, memory loss, persistent rashes or sores and typically were autoimmune in nature.

When the initial deployment of the vaccine occurred, it was only given to certain soldiers (rather than all of them), likely to create a comparison group.  Some commanding officers recall being told they were being provided with a “better” anthrax vaccine to protect them from anthrax, but most witnesses at the time said the vaccine was shrouded in secrecy.  When the vaccine was administered, no documentation was provided to the soldiers (many spent years after the war trying to find their unlocatable vaccination records), and lengthy investigation revealed the only proof they received was “Vaccine A” being hand-written on their vaccine cards (“Vaccine B” for the botulism toxoid was also tested at the time but did not elicit significant adverse effects like “Vaccine A”). 

Lengthy congressional investigation found the responsible branches of government to be highly resistant to providing necessary information.  Subsequent investigation by the GAO (the one department willing to investigate) confirmed much of the story and noted the uncharacteristic evasiveness of the department of defense in revealing any information to investigators.  The GAO was also the agency that, after years of adverse events accumulating, was finally able to get the manufacturer Bioport to list some of the side effects on its package.

In the years following the Gulf War, many unsuccessful investigations occurred to try to establish the cause of illness.  This period of time is synopsized by Captain Rovert:

Our soldiers’ calls for help have not only been ignored, but their own government, the one they swore to serve and protect, has tried to discredit them. For many years, veterans of the first Gulf War and their families have begged for help and answers. Meanwhile, in a misguided effort to mislead Congress, the press, and the American people about the extent of the damage done to personnel during the conflict, the Pentagon launched Operation Bronze Anvil, a propaganda program designed to deflect any inquiries into the Gulf War Illness-anthrax vaccine connection and to harm the reputations of those who spoke out about the connection. This effort has branded honorable U.S. servicemen and women complaining of anthrax vaccine reactions as malingerers, liars, whiners, and malcontents.

A rheumatologist working in private practice in Tennessee, Kevin Asa MD was one of the first to recognize gulf war syndrome was an autoimmune disease, something many of his colleagues in practice had not recognized (for example, it is typically so unusual for healthy young men to develop Lupus, the diagnosis was often not even considered).  After some investigating, he and his wife Pam Asa PhD (an immunologist) eventually discovered each of these patients had been given a new vaccination they, as mentioned in the preceding paragraph, had no information on.  In each case this vaccine appeared to be the trigger for their autoimmune diseases.  As the Asas were not affiliated with an institution (where as now, this type of research is immediately suppressed), they were in the unique position to expose this scandal.

As the most likely candidate was a new experimental adjuvant, with further research Pam Asa identified the most likely culprit was squalene.  She contacted one of world’s leading virologists, Dr. Robert Gary of Tulane University, who was able to develop an assay to test for antibodies to squalene.  This test was positive in each sick patient she saw who had received “Vaccine A” and negative in the general population.  A variety of attacks were then conducted against the assay to discredit it (which I assessed to be baseless).  Subsequent testing on many more veterans provided similar results, and eventually a group of veterans who were ordered against their will to be vaccinated provided their blood before and after the vaccination.  Their subsequently positive results provided definitive proof that this vaccination triggered the development of antibodies to squalene.

Despite mounting concerns against the anthrax vaccine, it was continued to be used on an experimental basis, with the most notable instances being in the late 1990s at military bases around the country, and in the second Iraq war.  Dover Air Force Base in Delaware (Biden’s state) was chosen as one of the initial sites to receive the vaccine.  Before long over 15 cases of autoimmune disease (multiple sclerosis and rheumatoid arthritis were common) and 30 other cases of illness collectively bearing an uncanny resemblance to Gulf War Syndrome had emerged in the recently vaccinated, requiring many servicemen to seek complex medical care.

The Wing Commander of the base Colonel Felix M. Grieder requested answers from the pentagon.  On May 5, 1999 after being told by their representative “I don’t know, and I don’t care,” Grieder suspended the program.  Six days later, senior officers of the military held a town hall at the base where they cited the safety and efficacy of the vaccine and lied through their teeth as they unequivocally denied the presence of squalene within it (video footage of these events is contained within the brief documentary at the end of this article).  Oddly though, one of the senior officers did briefly admit the military possessed an experimental anthrax vaccine with squalene but it had not been used on anyone at Dover.  Taking them at their word, Grieder reinstated the program.  Grieder, a commander previously expected to rise in the ranks to a senior position had his career torpedoed for resisting the anthrax vaccine mandates.

Following the FDA testing, the military tacitly admitted the presence of squalene but insisted on its safety (for example the printed statements on military websites previously denying its presence changed).  The FDA testing (this report could be accessed at “http://www.fda.gov/ohrms/dockets/dockets/80n0208/80n-0208-c000037-15-01-vol151.pdf” as recently as 2012 but now can only be accessed as an archived file) found the following (the code at the start is the lot number):

FAV 020 11 parts per billion of squalene

FAV 030 10 parts per billion of squalene

FAV038 27 parts per billion of squalene

FAV043 40 parts per billion of squalene

FAV047 83 parts per billion of squalene

In phase 1 dose response studies, a dilution series (ie. 1:2:4:8) is frequently used.  Given the small concentrations being worked with and the various margins of errors, experts in the field agreed these values could only have emerged if a very carefully prepared dose response study was being conducted.  Additionally, it should be noted the ascending lot numbers correlated with ascending squalene concentrations. The one major point of confusion for me with this is that Squalene as MF59 is dosed at a much higher level in the FLUAD vaccine (9.75 mg squalene per 0.5 ml injection) and that vaccine, while being associated with some severe adverse events, has proven much safer than the anthrax vaccines.

When Craig Paardekooper subsequently analyzed the VAERS data on Pfizer hot lots that had characteristics suggesting they were part of a dose response study, enough data was available to determine how the lot toxicity was coded for within their lot number (he has since published additional resources on this topic).  Like the anthrax vaccine, they also followed a simple ascending pattern.

I recognize VAERS analysis is a controversial subject and there is the potential for a variety of errors. However, given the magnitude of signals of harm occurring, and that there are past precedents for hot lots existing, as no better system has been made available, the presence of dangerous vaccines must be treated as a tentative hypothesis until additional information becomes available.  We are in this situation because those responsible for the vaccination program are aggressively withholding the data necessary to evaluate these vaccines, and as such the burden of proof falls on them to prove safety, not on others to prove harm.

In conclusion, many severe complication occurred following anthrax vaccination.  Of these events, my attention has focused upon three (that have also been observed following COVID vaccination): MS (due to bioweapons programs seeking to cause MS), ALS (a rare disease I have also come across twice in my small sample of vaccine injuries), and pilots losing the ability to fly mid-flight (as this has the potential to be catastrophic).   

Many horrific tragedies have also occurred.  As the focus of this piece is on the broader context of the anthrax vaccination program, I have excluded them for the sake of brevity.  Many people are still suffering (including commenters on this substack) and we as a country are now paying the price because their story was never heard.  The articles I am posting here are getting a much larger audience than I anticipated, and if anyone who was personally affected by the anthrax vaccines feel additional details need to be added to this story, please mention them in the comments.

That all said, there are 2 stories I felt should be shared:

The first from Captain Rovert:

“I will forever have etched upon my memory the vision of a young enlisted woman screaming and crying as she was forcibly held down while the needle delivering the anthrax vaccine was pushed into her body. I will never forget the sad day when my dear friend, Technical Sergeant Clarence Glover, died after anthrax vaccination. My memory holds the stories of those whose skin literally burned off due to anthrax vaccine-induced Stevens-Johnson syndrome and of the infants under my care who were born with severe birth defects after their pregnant mothers were vaccinated with the anthrax vaccine.”

The second was documented in Vaccine A:

Army Sergeant Scott Siefkin was 37-year-old in excellent health when he deployed for the Gulf War and suffered from an ailment that mystified his doctors for almost a year after his return.  At first his body temperature would rise and fall without explanation.  In  spring of 1993 rashes appeared that were initially tiny bumps that resembled a heat rash.  No cause could be found, and the rashes disappeared before returning, and by fall he had raw painful lesions inside his mouth that looked like cigarette burns, one on the side of his tongue and another on the side of his cheek.

Due to the ulcers in his mouth, he most lost the ability to eat and by winter had lost 40 pounds.  When prednisone, a treatment for autoimmune conditions was tried, “his body swelled until it seemed like he would burst” and his family members had difficulty recognizing him.

He then developed sores on his feet which made it difficult to walk, and his raised red bumps had turned to blisters roughly the size of half dollars that would break open with the slightest degree of contact, or as his youngest sister said “it was as if his blood were boiling to the surface of his skin”.

He soon showed signs of infection and was admitted to the hospital where he was diagnosed with lupus and transferred to a burn unit where his diseased skin (99% of it) was removed from his body.  While his skin healed, he was covered in a graft of pig skin.  Unfortunately, as soon as his skin started to regrow, it was immediately lost. 

Scott was kept alive on a feeding tube, morphine and antibiotics.

“Throughout the ordeal, Scott never lost his sense of humor, but even that became a burden to him.  When he smiled, his lips would bleed.  His parents, his wife, his sisters and his friends couldn’t kiss or hug him; they could not lay a finger on him for fear of causing him pain or giving him a fatal infection.  The sight of him without skin was so hideous that the family would not let Scott’s children see him.  His suffering was almost indescribable, yet when he expressed worry, it was always for his family, not himself.”

Seven weeks after the removal of his skin he died, with his cause of death listed as lymphoma, kidney failure and sepsis.

Meryl Nass MD (Robert Malone’s colleague who had her license revoked by her medical board for saving lives with Ivermectin and speaking out against the current vaccine program), has spent years fighting for Gulf War vets injured by the anthrax vaccine and in 2007 provided testimony at a congressional hearing that succinctly summarizing this entire debacle.  One reader who had been in communication with Dr. Nass was told that based on her experience in observing years of litigation for the gulf war veterans that went nowhere, she is not optimistic our current legal system is structured to be able to provide the remedies many of those injured by the COVID vaccines are expecting.

For those of you who would like to know more on this subject (or want something to share for friends who won’t read articles), this excellent, brief 44 minute documentary covers many of the themes highlighted here. It contains the video footage of senior members of the military repeatedly lying through their teeth to the soldiers at Dover Air Force Base, the penalties soldiers faced for not complying, and many of the personal stories of severe life altering vaccine injuries that were swept under the rug.

Thank you again for reading this and sharing this story where you can (as I am unable to do so on social media). I feel very hopeful together we can all play our part in bringing forward a better future.

Résistance ou condensateur? Dr David Martin.

Le Dr David Martin est cette figure de la « résistance » très omniprésente, qui déclare lors de ses conférences, où il use et abuse de sa piètre maîtrise de la programmation neuro-linguistique, des choses très surprenantes, par exemple que nous n’avons pas d’ADN ou que tous ceux qui attribuent la corruption du système médical à la famille Rockefeller se sont fait berner – c’est en fait le réseau d’assurance-vie/maladie qui a tout organisé.

Pour ceux qui auraient le temps et la curiosité de s’intéresser à ce leader autoproclamé, à ses qualifications et à ses accointances, une monographie (en anglais) assez édifiante, bien rédigée et sourcée ici, uniquement basée sur ce que Martin a lui-même écrit. Si vous maîtrisez l’anglais, je vous invite à lire ce document en entier tout en sachant que l’auteur (un certain Omar Jordan, qui taille également un costard à Dolores Cahill, le même genre de serpent) défausse – volontairement, je pense – son propos en reprenant un des éléments les plus insidieux de cette opération psychologique: le narratif selon lequel il n’y a pas de virus, donc pas de contagion, donc pas d’épidémie, et qu’un des objectifs de l’opposition contrôlée serait de consolider la théorie virale. J’ai traité ce point dans un article précédent et j’en conclus que Omar Jordan (s’il existe) fait comme David Martin partie de l’opposition contrôlée. Ils jouent probablement aux cartes ensemble le dimanche.

Pour conclure avec le Dr Martin et contrairement à ce qui a été affirmé sur de nombreux sites, il a publié en décembre dernier un projet de mise en accusation, dont vous pouvez lire/télécharger ci-dessous la version originale et la traduction (approximative) en français.

Quelle que soit la valeur juridique de ce document, notez qu’il n’a pas été utilisé pour un dépot de plainte de la part du Dr Martin.

En revanche, ce dernier annonce avoir récemment saisi la justice de l’état de l’Utah, qui permet enfin, selon lui, par une particularité du Code de cet Etat de procéder aux inculpations qu’il aurait tentées par de multiples canaux depuis deux ans. Il annonce viser avant tout Joe Biden, ce qui arrive très opportunément au moment où son éjection de la Maison Blanche est imminente – même le Parti Démocrate fait tout pour s’en débarrasser, c’est dire. Il n’a toutefois pas l’intention de limiter son action au monde politique, qui ne sont que des relais, et compte s’en prendre directement aux instigateurs et bénéficiaires de l’ensemble de l’opération Grand Reset/Covid/Ukraine, les grands acteurs financiers. C’est-à-dire Blackrock et Vanguard.

Pour reprendre une formule plaisante de Bruno Léandri, j’ai confiance dans l’avenir de cette plainte.

Augmentation soudaine de lésions hépatiques chez des enfants non vaccinés – ils étaient allaités (par des mères entièrement vaccinées).

Article non signé, à prendre avec un grain de sel.

Source.


Traduction

Augmentation soudaine de lésions hépatiques chez des enfants non vaccinés – ils étaient allaités (par des mères entièrement vaccinées)

28 avril 2022 8:10 par IWB

L’augmentation récente et soudaine des lésions hépatiques et des hépatites chez les enfants semble toucher les enfants âgés de 1 mois à 4 ans.

Ce que l’on ne dit pas au public, c’est que la majorité des cas concernent des enfants de moins de 4 ans qui sont allaités et qui ont été activement allaités (au cours des 12 derniers mois). Les enfants ne sont pas vaccinés, mais les mères qui les allaitent (dans 100 % des cas) ont reçu au moins deux doses de vaccin.

L’incidence de l’hépatite touche également la tranche d’âge des 11-16 ans, la majorité des cas dans ce groupe ayant été vaccinés avec au moins une dose.

www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON376

www.gov.uk/government/news/increase-in-hepatitis-liver-inflammation-cases-in-children-under-investigation

www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/acute-hepatitis-of-unknown-aetiology-the-united-kingdom-of-great-britain-and-northern-ireland

news.sky.com/story/amp/a-3-year-old-girls-fight-for-her-life-after-contracting-hepatitis-and-the-warning-signs-to-look-for-12595733

Les titres des journaux et des principaux médias affirment que des enfants non vaccinés contractent une hépatite et des lésions hépatiques de cause inconnue (ou avancent l’hypothèse d’adénovirus comme cause), mais omettent de mentionner que les données réelles sur les cas montrent que l’OMS classe les enfants concernés par ce problème dans la tranche d’âge de 0 à 16 ans, que la majorité des cas se situent dans la tranche d’âge de 1 mois à 4 ans et que 100 % des cas de cette tranche d’âge sont allaités activement (ou l’ont été au cours des 12 derniers mois) par des mères entièrement vaccinées.

Exemple de mères stupides qui ont reçu le vaccin puis ont allaité plus et plus longtemps:

www.health.harvard.edu/blog/wondering-about-covid-19-vaccines-if-youre-breastfeeding-202109032584

Notez également que les études montrent que les mères allaitantes ont subi des taux d’effets indésirables de 60 %.

www.news-medical.net/news/20210429/Study-of-180-breastfeeding-mothers-after-mRNA-COVID-19-vaccination.aspx

C’est dans les liens de l’OMS. Suivez les citations dans le résumé.

zfs.ecdc.europa.eu/adfs/case-reports/sub/dataset-25-april-2022.html

assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1071198/acute-hepatitis-technical-briefing-1_4_.pdf


Texte original

Sudden rise of unvaccinated children with liver damage, were breastfed (by fully vaccinated mothers)

by IWB

The recent and sudden rise of liver damage and hepatitis in children seems to be affecting those between the ages of 1mo – 4 years of age.

What they arent telling the public is that the majority of the cases are those under 4 years of age who are breastfed and who have been actively breastfed (within the last 12 months). The children are unvaccinated, but the breastfeeding mothers (in 100% of the cases) have been vaccinated with at least 2 doses.

The incidences of hepatitis is also hitting the 11 – 16 year old age group, with the majority of the cases in that group having been vaccinated with at least one dose.

www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON376

www.gov.uk/government/news/increase-in-hepatitis-liver-inflammation-cases-in-children-under-investigation

www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/acute-hepatitis-of-unknown-aetiology—the-united-kingdom-of-great-britain-and-northern-ireland

news.sky.com/story/amp/a-3-year-old-girls-fight-for-her-life-after-contracting-hepatitis-and-the-warning-signs-to-look-for-12595733

News headlines and mainstream media titles are stating that unvaccinated children are getting hepatitis and liver damage from an unknown cause (or speculating adenoviruses as the cause) but fail to mention that actual case data shows that the WHO classifies children involved in this issue fall under the ages of 0 – 16 years of age, that the majority of cases are in the 1 month – 4 year old age group, and that 100% of the cases in that age range are being active breastfed (or have been breastfed within the last 12 months) by fully vaccinated mothers.

Example of dumb moms who got vaxxed then breastfed more and longer:

www.health.harvard.edu/blog/wondering-about-covid-19-vaccines-if-youre-breastfeeding-202109032584

Also note the studies show the breastfeeding mothers suffered adverse reaction rates of 60%

www.news-medical.net/news/20210429/Study-of-180-breastfeeding-mothers-after-mRNA-COVID-19-vaccination.aspx

Its in the WHO links. Follow the citations in the summary.

zfs.ecdc.europa.eu/adfs/case-reports/sub/dataset-25-april-2022.html

assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1071198/acute-hepatitis-technical-briefing-1_4_.pdf

L’excrétion vaccinale enfin prouvée! – par Igor Chudov.

Quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité? Entre six mois et un an.

J’ai déjà beaucoup publié d’articles de ce bon Dr Chudov. En général, j’évite de me cantonner à un auteur en particulier mais là, il faut dire qu’il est tellement sur la balle – je pense qu’il épluche en permanence les publications médicales – qu’il devient un des piliers de ce blog.

Si vous ne le saviez pas, non seulement j’épluche moi-même des dizaines d’articles tous les jours – notamment sur Substack, ce qui me met très en retard pour écrire les miens, même cas de figure que Monica Hughes – mais j’épluche aussi les commentaires, dont le nombre peut atteindre plusieurs centaines par article. C’est une source prodigieuse d’informations et d’histoires vécues. Igor Chudov en a rajouté trois à la fin de son article. Vu l’intérêt du problème et l’ampleur de ses conséquences, j’en ai rajouté d’autres (je n’ai pas inclus le texte original, c’est déjà assez long comme ça, mais j’ai mis le lien à chaque fois). Vous voyez à quoi je passe mes soirées…

Rappelons que je publiai il y a un an jour pour jour (le 5 mai 2021) l’extrait d’un webinaire des Drs Christiane Northrup, Larry Palewski, Lee Merritt, Sherry Tenpenny et Carrie Madej qui sonnaient l’alarme précisément au sujet de l’excrétion des vaccins – allez relire le truc, pour mémoire.

Ma propre conclusion est que ce n’est pas de l’excrétion à proprement parler: c’est un vaccin auto-diffusant, sauf que ce n’est pas un vaccin. Vous suivez? Sinon, allez relire ce que j’ai écrit il y a presque un an dans ce conte pour enfants. Vous y verrez peut-être une similarité avec tout ce qui se déroule maintenant – à part les trois dernières phrases.

A part les trois dernières phrases pour l’instant.

Je reviens au plus tôt sur les phases suivantes de cette guerre totale – militaire, énergétique, alimentaire – pour expliquer comment elles fonctionnent au présent, comment elles vont s’articuler ensuite et qui est visé, point que je n’ai encore vu soulevé nulle part.

Bon courage à tous.

Source.


Traduction

L’excrétion vaccinale enfin prouvée!

Une excrétion vaccinale statistiquement significative des parents aux enfants

Igor Chudov

3 mai

Les personnes vaccinées nous transmettent-elles les sous-produits de leurs vaccins? Nous savions parfaitement, avec certitude, que l’excrétion des vaccins n’était pas possible, car les « experts de la santé et les vérificateurs de faits » nous l’avaient dit. Et nous « croyons à la science » et à nos « experts de la santé ». Pas vrai?

Sauf que c’est FAUX et que l’excrétion de ces vaccins vient d’être démontrée scientifiquement!

Même moi, je croyais qu’il n’existait aucun mécanisme plausible pour expliquer l’excrétion de ces vaccins. Je pensais que c’était une théorie du complot sans fondement. Quel benêt! En fait, JE ME TROMPAIS et l’excrétion de ces vaccins est bien réelle et elle est mesurable.

Une étude intitulée « Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity » vient d’être publiée.

L’évaluation des échantillons ainsi réalisée a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasales chez les parents vaccinés était significativement associé (valeur p = 0,01) à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasales après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer (Fig 1F).

Résultats
La prolongation de l’obligation de porter un masque dans les environnements sociaux et professionnels a fourni une occasion unique d’évaluer la possibilité d’expiration d’anticorps aérosolisés provenant de personnes vaccinées. À l’aide d’un essai immunologique multiplex sur microsphères (MMIA) basé sur la cytométrie en flux pour détecter les anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 (Fig. 1A et B) 4,5 et d’une méthode précédemment utilisée pour éluer les anticorps à partir de taches de sang séché (DBS) réhydratées, nous avons identifié des anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 élués à partir de masques chirurgicaux portés par des membres de laboratoire vaccinés et donnés à la fin d’une journée de travail. Conformément aux résultats rapportés par d’autres, nous avons identifié des IgG et des IgA dans la salive des personnes vaccinées (Fig 1C et D). Il n’était donc pas surprenant de détecter à la fois des IgG et des IgA après élution des anticorps des masques faciaux (Fig 1C et D).
Au vu de ces observations, nous avons émis l’hypothèse que le transfert d’anticorps par gouttelettes/aérosols pouvait se produire entre individus, tout comme les particules virales par gouttelettes/aérosols peuvent être échangées par la même voie. Pour évaluer cette hypothèse, nous avons obtenu des écouvillons nasaux d’enfants vivant dans des foyers dont les parents ou les membres de la famille présentaient des degrés variables d’immunité spécifique au SARS-CoV2, y compris des enfants non vaccinés, vaccinés et COVID-19+. La comparaison initiale des écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers vaccinés a révélé la présence d’IgG spécifiques du SARS-CoV-2 facilement détectables (Fig 1E), surtout si on les compare à l’absence totale d’anticorps spécifiques du SARS-CoV-2 détectée dans les quelques écouvillons nasaux obtenus auprès d’enfants vivant dans des foyers non vaccinés. Nous avons ensuite utilisé la variation des niveaux d’IgG intranasales des parents comme base de stratification dans tous les échantillons d’enfants. La transformation logarithmique des données de trente-quatre paires adulte-enfant a permis d’établir des seuils d’anticorps pour les niveaux élevés et faibles d’anticorps intranasaux des parents. L’évaluation des échantillons de cette manière a révélé qu’un taux élevé d’IgG intranasal chez les parents vaccinés était significativement associé (valeur p = 0,01) à une augmentation de 0,38 des gMFI d’IgG intranasal après transformation logarithmique chez un enfant du même foyer (Fig 1F). Cette relation positive significative a été observée en utilisant une analyse paramétrique ou non paramétrique, et les ajustements pour la corrélation au sein du foyer n’ont pas modifié la conclusion. Bien que non statistiquement significative, une tendance similaire d’élévation des IgA a été observée dans les mêmes échantillons.

Je vais vous expliquer. Tout d’abord, ces scientifiques de l’Université du Colorado ont examiné des masques faciaux, portés par des travailleurs de la santé vaccinés. Ils ont constaté que ces travailleurs excrétaient des anticorps générés par la vaccination, et que certains anticorps étaient piégés dans les masques et pouvaient être détectés. Cela signifie que les personnes vaccinées « excrètent » littéralement des anticorps provoqués par la vaccination.

Intéressés par ces résultats, les scientifiques ont poussé plus loin leurs recherches: ils ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés à des enfants également non vaccinés, mais vivant avec des parents vaccinés.

Il s’est révélé que les parents vaccinés excrétaient activement les particules produites par le vaccin sur leurs enfants, de sorte que ces derniers acquéraient une « immunité humorale » après avoir été exposés aux particules excrétées par leurs parents! Non seulement cette constatation était évidente dans les données, mais elle était en fait FORTEMENT significative sur le plan statistique avec une valeur p de 0,01 ! Cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une découverte fortuite.

Il reste à expliquer POURQUOI les enfants ont des IgG intranasales. Les auteurs semblent penser que c’est à cause de l’excrétion d’anticorps via gouttelettes. En d’autres termes, ils semblent avancer que ce qui est transféré est l’IgG elle-même dans les gouttelettes de salive. Ils ont peut-être raison. Cela dit, il est possible que les enfants DÉVELOPPENT des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés.

Cela pourrait même être dû aux nanoparticules d’ARNm lipidiques elles-mêmes excrétées et transférées par la salive, comme un virus. En fait, si l’on considère deux [NdT. trois] réponses à cet article que j’ai citées en bas, l’excrétion de nanoparticules lipidiques d’ARNm est la plus probable. Pourquoi? Parce que les personnes interrogées déclarent avoir subi de FORTES RÉACTIONS IMMUNITAIRES.

De tels sous-produits seraient la CAUSE d’IgG intranasales chez les enfants dans le cadre d’une réaction immunitaire chez les enfants, au lieu que ces IgG soient en substance crachées mécaniquement par les parents sur leurs enfants.

L’article, bien que très intéressant, n’est qu’une première étape dans la recherche sur l’excrétion des vaccins et j’espère que la lumière sera faite sur ce phénomène!

Les auteurs, probablement pour tenter de faire approuver leur article par les censeurs de la science, disent que c’est une bonne chose :

Nos résultats suggèrent que la transmission d’anticorps par aérosol peut également contribuer à la protection de l’hôte et représente un mécanisme entièrement méconnu par lequel la protection immunitaire passive peut être communiquée. La question de savoir si le transfert d’anticorps sert de médiateur à la protection de l’hôte sera fonction de l’exposition, mais il semble raisonnable de suggérer, toutes choses égales par ailleurs, que toute quantité de transfert d’anticorps s’avérerait utile à l’hôte récepteur.

Personnellement, je doute que l’on puisse appeler cela une bonne chose. Des anticorps ou des nanoparticules d’ARNm provenant de vaccins NON approuvés par la FDA pour les enfants sont transférés des parents aux enfants, sans le consentement ou la connaissance des parents ou des enfants. Tout cela est suivi de démentis par les autorités.

Pensez-vous que ce soit une bonne chose?

Merci de partager massivement cet article!

P.S. Quelques commentaires étonnants ajoutés ici:


Je crois que cette excrétion a été la cause de la perte de mon bébé à 22 semaines de gestation. Le dimanche, j’ai serré dans mes bras quelqu’un qui venait de recevoir sa deuxième injection la veille. Le mardi, j’ai remarqué que mon bébé ne bougeait plus. Mercredi, il a été confirmé que son cœur s’était arrêté. Le docteur a regardé l’échographie et a dit que cela ressemblait à une défaillance massive des organes. Ma santé n’a plus été la même depuis.
C’est une très grande tragédie pour laquelle beaucoup d’entre nous ne recevront jamais de réponses définitives. Dieu est miséricordieux, mais la bataille est très dure.
Ma fille et moi avons connu des irrégularités menstruelles dans les 48 heures suivant la première vaccination de mon père âgé. Nous prenions soin de lui et ma sœur a insisté pour qu’il soit vacciné. Il a développé une légère affection sinusale par la suite, alors que nous avions de graves problèmes. Quelque temps plus tard, il a été placé dans une institution en raison de sa démence sénile et l’automne dernier il a reçu un premier booster et il a eu une crise cardiaque la semaine suivante. La semaine dernière, il a reçu un autre booster et cette semaine il a eu une autre crise cardiaque. L’ignorance et la stupidité des membres de ma propre famille et du personnel médical de l’établissement sont stupéfiantes. Je suis préoccupée par les effets de l’excrétion du vaccin, car il a directement affecté nos hormones et nos utérus.
La nuit qui a suivi la deuxième injection de mon partenaire (je sais, je sais… j’étais contre, mais il ne voulait pas écouter), je dormais à côté de lui et je me suis réveillée à 3 heures du matin avec une sensation de froid GLACIAL. C’était en juin, il faisait une chaleur d’enfer et mon corps grelottait tellement que j’ai dû ramper jusqu’à la salle de bain et me mettre sous la douche pour essayer de me « réchauffer ». J’avais déjà eu des frissons de ce genre lorsque j’étais malade, mais là, c’était d’un autre niveau. La crise de frissons a duré 5 minutes et a été la réaction immunitaire la plus intense et la plus bizarre que j’aie jamais connue. J’étais enceinte de quelques semaines à l’époque et j’ai commencé à saigner deux jours plus tard. Heureusement, je n’ai pas fait de fausse couche et j’ai évité de me faire vacciner et je suis restée en bonne santé, mais c’était vraiment bizarre. Je sais que c’est anecdotique, mais depuis, je suis convaincue que l’excrétion est un phénomène réel – c’est intéressant de le voir enfin confirmé!
C’est une histoire effrayante, heureux que vous vous en soyez sortie saine et sauve !!! Mais c’est une bonne contribution à l’article, merci de l’avoir partagé.

Addendum (traduction de commentaires à cet article)

Debra Robinson (lien)

Les pédiatres connaissent depuis longtemps les panneaux affichés sur leurs portes concernant l’excrétion, qui demandent aux parents de ne pas entrer dans le cabinet avec leurs enfants récemment vaccinés afin de protéger les enfants immunodéprimés présents dans le cabinet. C’est un historique qui s’applique évidemment ici. Personnellement, j’ai prodigué un massage à un patient qui venait de recevoir son deuxième Moderna et, en l’espace de trois heures, mes yeux ont fait une hémorragie interne et je suis devenue aveugle pendant six semaines. Tout le globe oculaire est devenu brun foncé. J’ai récupéré 80% de ma vision au fil du temps. Aucun médecin n’a voulu envisager cette possibilité, mais c’était indéniable. Ensuite, j’ai développé tous les symptômes d’une insuffisance cardiaque. Je suis maintenant de retour à la normale après 8 mois. En rétrospective, beaucoup de mes patients avaient des réactions indésirables: TVP [thrombose veineuse profonde], crampes, inflammation extrême des articulations, herpès, zona, etc. Beaucoup d’entre eux souffraient désespérément, mais tous leurs médecins ont ignoré leurs plaintes.

Peter Smith (lien)

J’ai déjà lu des articles sur ce  » grelottement « . Puis, un jour, j’ai rencontré un type un peu désemparé, qui venait d’avoir un petit accident de vélo dont il était responsable. Je l’ai aidé à se relever et j’ai engagé la conversation pour voir s’il n’y avait pas un autre problème. Finalement, le Covid, les injections Covid, etc. sont entrés dans la conversation. L’homme avait reçu des injections pour conserver son emploi dans le secteur du transport aérien, et il m’a confié que depuis les injections, il tremblait constamment et ne trouvait aucun moyen de l’arrêter. Je ne suis pas sûr du mécanisme physiologique à l’origine de ce phénomène, mais c’est ainsi. J’écris de Vancouver, au Canada, anciennement un pays libre.

Ken (lien)

Les 1% ont des moyens qu’ils ne partagent pas avec nous. Ce qui me rappelle, je me souviens avoir vu quelque part que le Docteur privé de Gates a dit qu’il n’a jamais fait vacciner ses enfants pour RIEN… Tous les vaccins sont suspects maintenant à cause du Covid, mais même avant le Covid… Comme beaucoup d’entre vous, je connais beaucoup de personnes blessées ou tuées par les vaccins:

Une infirmière de 30 ans à Stanford, morte un mois après la 2ème dose, 2021.

Mon agent immobilier, AVC après la 2ème dose, 2021.

Un SDF que j’ai rencontré récemment, AVC après la 2ème dose.

Ma compagne a des règles pires que jamais, et se sent plus malade lorsqu’elle fréquente sa colocataire « vaxxée »/ »boostée » (facilitation de l’infection par anticorps/SIDAV), particulièrement aux moment et après les injections.

J’ai moi-même maintenant des éruptions corporelles occasionnelles du type de celles observées initialement chez les bébés injectés.

J’ai parlé avec une femme qui a été vaccinée/boostée pendant sa grossesse, et son enfant a commencé à marcher à 2-3 mois. Et il a toute sa chevelure. Elle sait que c’est le « vax » et me l’a dit sans que je lui demande, parce que ses deux enfants précédents n’étaient pas du tout comme ça. J’imagine que beaucoup d’entre vous ont déjà vu les vidéos de bébés anormalement avancés, malades ou aux yeux noirs… et entendu plus d’histoires de fausses couches que ce qui suffirait à faire passer une bonne journée à Gates.

Michele (lien)

Je corrobore votre témoignage. J’ai reçu la visite d’un ami vacciné et mes règles ont été perturbées pendant deux mois. De plus, je ne sais pas si c’est dû à l’excrétion ou à Omicron (que je pense avoir eu début janvier 2022; je ne fais pas de test) mais j’ai les doigts violets/blancs de Reynaud maintenant, tous les après-midi, peu importe ce que je fais ( assise, debout, active, bien que l’activité soit préférable).

C’est le bordel, et je trouve ça un peu fort de voir à quel point il est commode pour les aveugles de rejeter les symptômes sur le « stress ». Je suis en super bonne santé et j’ai quand même eu le ‘rona deux fois. Totalement bénin, mais totalement différent d’une grippe « normale ». Je sentais que quoi que ce fût, c’était de la bio-ingénierie.

Alexandria_cmg (lien)

Je vous remercie pour cet article et les autres excellents articles que vous avez écrits sur Substack. Je voudrais simplement soumettre à votre réflexion un truc  » dingue « , compte tenu de ces preuves. Est-il seulement concevable, même de manière lointaine, que les horribles et mystérieux cas d’hépatite pédiatrique observés dans le monde entier puissent être liés à l’excrétion des vaccins? Notez qu’une ou deux études récentes ont discuté de l’effet des vaccins sur le foie. Cette épidémie semble inexplicable et les seuls facteurs au niveau mondial qui coïncident pourraient être le Covid-19 lui-même et les vaccinations massives de Covid-19. Merci.

Margaret Anna Alice (lien)

Oups. C’est ce que je soupçonnais d’après mes recherches préliminaires, mais il est bon d’avoir des preuves scientifiques corroborantes. Savez-vous combien de temps après la dernière injection ces tests ont été effectués? Ceux qui soupçonnaient une excrétion pensaient souvent qu’elle ne se produisait que pendant les deux premières semaines suivant la vaccination, mais des études récentes montrant que la protéine spike est toujours présente dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques pendant au moins 60 jours (https://rwmalonemd.substack.com/p/a-health-public-policy-nightmare) suggèrent que l’excrétion peut se produire indéfiniment, ce qui ferait des personnes injectées une véritable menace à long terme pour les personnes non injectées.

zuFpM5*M (lien)

Je pense que l’auteur du Substack « A Midwestern Doctor » a raison de dire que les injections d’anthrax étaient un test pour quelque chose comme les vaccins covid. Dans le livre Vaccine A, l’auteur explique très minutieusement comment les militaires ont systématiquement écarté les vaccins entiers, plus difficiles à fabriquer mais plus efficaces, au profit de vaccins à base de sous-unités protéiques contre l’anthrax. Cela vous semble familier?

Puis, lorsque les sous-unités n’ont pas réussi à produire une réponse immunitaire suffisante, ils ont ajouté des lipides comme le squalène. Cela vous semble familier?

Ensuite, s’ils dosaient trop les lipides, ceux-ci provoquaient d’horribles troubles auto-immuns très agressifs. Mais ce n’était pas grave, car ils ont menti au sujet des tests de tolérance aux doses sur les membres du service et ont couvert le tout par une série de mensonges invraisemblables. Cela vous semble familier?

Maintenant, pour la première fois en 2020 ou 2021, je pense, un adjuvant à base de squalène a été approuvé dans un vaccin contre la grippe par la même société qui a fabriqué l’adjuvant à base de squalène que les médecins militaires testaient sur les militaires! Il s’agit du MF59. Il n’est autorisé aux États-Unis que pour les plus de 65 ans. Je suppose qu’ils pensent que les décès ou les maladies auto-immunes n’auront pas cours dans ce groupe d’âge.

Pearl (lien)

Je suis allée voir une hygiéniste dentaire il y a un an – elle venait de recevoir sa deuxième injection. Elle a travaillé sur mes dents, puis a fait des radios, un polissage, etc. Le lendemain matin, je me suis réveillée avec des caillots de sang qui sortaient de mon nez. Je n’ai jamais rien eu de tel. C’est arrivé une seule fois, mais je l’ai su tout de suite. J’hésite encore à retourner chez l’hygiéniste – je me demande comment trouver une hygiéniste non vaccinée, mais au Canada, ce n’est peut-être même pas possible.

Peter Smith (lien)

Je suis également originaire du Canada. Ma femme a vécu exactement la même chose. Le lendemain d’une visite chez le dentiste et des soins prodigués par une hygiéniste, elle a eu un important saignement de nez. Nous sommes en couple depuis 1996… jamais un saignement de nez auparavant!

David Watson (lien)

Ce qui veut dire que même ceux d’entre nous qui se considèrent comme non-vaccinés, ne le sont probablement pas. Alors peu importe si c’est une bonne chose ou non, c’est comme ça. La question suivante est: à quelle vitesse notre corps élimine-t-il ces envahisseurs? Probablement en fonction de la force immunitaire.

Ou, est-ce que les résidus de vaccins sont aussi endémiques?

Fast Eddy (lien)

Étant donné qu’il s’agit d’un processus d’extinction… ma seule préoccupation est de ne pas subir une blessure causée par le vaccin qui me ferait souffrir pendant les mois qu’il nous reste à vivre…

J’espère que cette excrétion n’est pas assez importante pour causer une blessure ou la mort.

Si cela signifie simplement que je contribue à la création de l’inévitable Diable Covid… cela ne me dérange pas le moins du monde.

Je veux juste m’assurer que je serai en bonne santé quand le Dernier Acte se déroulera.

Ce sera de loin le plus grand moment de l’histoire de notre espèce… Je ne le manquerais pour rien au monde.

Aqua 60 (lien)

Je pense que l’excrétion est la raison pour laquelle ils étaient si inflexibles sur le fait d’atteindre un pourcentage spécifique de la population. Si la grande majorité est vaccinée, les non-vaccinés seront affectés à un taux plus élevé. J’ai tendance à douter qu’ils aient atteint leur but, vu les mandats anticonstitutionnels.

Wolly (lien)

Je suis perpétuellement malade depuis deux mois et je côtoie les vaccinés tout le temps. Je le savais, bon sang.

Mark (lien)

J’ai travaillé aux côtés de personnes vaccinées et chaque fois qu’elles se faisaient vacciner, j’avais des symptômes. J’ai développé des douleurs arthritiques dans les mains, un zona et des symptômes semblables à ceux du SFC [syndrome de fatigue chronique], le tout en l’espace de deux semaines. Avant cela, j’étais en excellente santé et en pleine forme, j’occupais un emploi physiquement exigeant et mon taux de graisse corporelle était d’environ 10-12%. J’ai dû quitter ce travail en raison de mes douleurs arthritiques, qui s’aggravaient rapidement. Cela fait plus de six mois et je ne suis toujours pas revenu à mon état antérieur.

Wallrat (lien)

Ma fiancée a des menstruations semblables à des fausses couches peu après une exposition prolongée à des personnes vaccinées. Cela semble prendre environ 2 à 3 heures de contact avec la personne et la gravité change en fonction de la date à laquelle cette personne a été vaccinée. 4-5 heures plus tard, elle commence à saigner et cela dure plusieurs jours. Ça a commencé lorsque toutes ses amies d’école ont été vaccinées et elle a eu ses règles pendant 5 mois avant que nous entendions parler d’excrétion. Elle a arrêté d’étudier avec ses amies et cela s’est terminé quelques jours plus tard. Fait intéressant, j’ai remarqué que j’avais des maux de tête au même moment si j’étais avec elle lorsqu’elle était exposée. J’avais remarqué une augmentation de la fréquence de mes maux de tête, mais je n’y avais pas prêté attention. Je n’aurais jamais fait le lien si elle n’avait pas eu une réaction plus radicale.

… et encore des dizaines d’autres.


Texte original

Vaccine Shedding Finally Proven!

Statistically Significant Vaccine Shedding from Parents to Children

Igor Chudov

May 3

Do vaccinated people shed their vaccine byproducts to us? We definitely, for sure, knew that vaccine shedding was not a thing, because “health experts and fact checkers” told us so. And we “believe science” and our “health experts”. Right?

Except that it is WRONG and vaccine shedding has just been proven by science!

Even I believed that there was no plausible mechanism for vaccine shedding. I thought that it was a baseless conspiracy theory. Stupid me. It turned out that I WAS WRONG and vaccine shedding is real and can be measured.

A study “Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity” was just released.

Evaluation of samples in this fashion revealed that high intranasal IgG in vaccinated parents was significantly associated (p-value = 0.01) with a 0.38 increase in the log transformed intranasal IgG gMFIs within a child from the same household (Fig 1F).

Let me try to explain it. First, these scientists from the University of Colorado looked at face masks, worn by vaccinated health care workers. They found that those workers shed antibodies generated by vaccination, and some antibodies got trapped in the masks and could be detected. This means that vaccinated people are literally “shedding” vaccine-caused antibodies.

Interested in that, scientists looked further: they compared unvaccinated children living with unvaccinated parents, to similarly unvaccinated children, but living with vaccinated parents.

It turned out that vaxxed parents actively shed vaccine-produced particles onto their children so that the kids acquired “humoral immunity” following shedding from their parents! Not only was this finding evident in the data, it actually was STRONGLY statistically significant with p-value of 0.01! This means that this was not a chance finding.

It remains to be explained WHY children have intranasal IgG. The authors seem to think that it is because of antibody shedding via droplets. In other words, they seem to propose that what is transferred is IgG itself in saliva droplets. They may be right. That said, there is a possibility that children DEVELOP intranasal IgG because other vaccine byproducts or exosomes are being shed.

It could even be due to lipid mRNA nanoparticles themselves shed and being transferred via saliva, like a virus. In fact, considering two replies to this article that I quoted at the bottom, mRNA lipid nanoparticle shedding is most likely. Why? Because the responders report experiencing STRONG IMMUNE REACTIONS.

Such byproducts would be CAUSING intranasal IgG in children as an immune reaction in children, rather than those IgGs being essentially mechanically spat from parents onto their children.

The article, while very interesting, is only the first step in researching vaccine shedding and I hope that further light will be shed (pun intended) on this phenomenon!

The authors, possibly in hopes of getting their article approved by science censors, call it a good thing:

Our results suggest that aerosol transmission of antibodies may also contribute to host protection and represent an entirely unrecognized mechanism by which passive immune protection may be communicated. Whether antibody transfer mediates host protection will be a function of exposure, but it seems reasonable to suggest, all things being equal, that any amount of antibody transfer would prove useful to the recipient host.

I am not sure if I can call it a good thing myself. Antibodies or mRNA nanoparticles from vaccines NOT approved by the FDA for children are being shed from parents to children, without consent or knowledge of either parents, or children. All of this is followed by denials by authorities.

Do you think that it is a good thing?

Please share this article widely!

P.S. Some amazing comments added here:

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir – par Monica Hughes.

Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.

Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.

Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)

Et voilà.

Source.


Traduction

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir

Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme

Monica Hughes, PhD

24 avril

Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.

J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.

Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.

Un moratoire sur les « vaccins » à ARNm est nécessaire

J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:

Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.

C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.

La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.

Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.

Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.

Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.

S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).

Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.

Le monde tourne à l’envers.

Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.

D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.

Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.

Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.

J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.

J’avais tort.

Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.

Quelle idiote j’étais.

Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?

Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.

Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?

Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.

Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.

Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.

Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.

En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.

Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.

Non.

Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.

J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.

J’ai juré de ne plus jamais voter.

En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.

J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.

Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.

Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »

Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].

Sommes-nous en train de jouer leur jeu?

Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de  » Nuremberg 2 « , ni de  » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]

Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.

Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].

Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.

Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.

Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.

Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.

J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.

Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?

Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.

L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.

Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.

L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.

Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.

Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)

Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].

Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.

Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.

Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».

Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:

Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.

Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.

S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.

https://rumble.com/v11vnhh-trump-on-vaccines-i-think-the-other-side-actually-poisoned-people-on-it.html

Au mieux, ils reformuleront les vaccins et tenteront de  » vendre  » ceux-ci aux gens. Si la « prochaine pandémie », dont ce bon vieux Billy Boy parle sans cesse, est le H5N1, de nombreuses personnes feront effectivement la queue pour les recevoir:

Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.

Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.

Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.

Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:

« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »

Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.

L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.

Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.

On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »

Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »

Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.

J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.


Texte original

Our Ancestors Voted for Your Right to Die

Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future

Monica Hughes, PhD

Apr 24

Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.

I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.

His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.

A Moratorium on mRNA ‘Vaccines’ is Needed

I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:

To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.

Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.

I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.

I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.

I was wrong.

Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.

Silly me.

Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.

I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.

I vowed never to vote again.

In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.

I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.

It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.

Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”

Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.

Are we playing into their hand?

My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.

I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.

It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.

If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.

And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.

I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.

For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.

But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”

Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:

At best, they’ll reformulate the vaccines and attempt to “sell” people on those. If the “next pandemic” that good ole Billy Boy is always talking about is H5N1, then many people will indeed line up for them:

They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.

So just come to terms with it and get ready for it:

That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.

I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.

Responsables.

Le problème du pouvoir est toujours et partout le même: gérer le troupeau. A cet effet, il dispose d’un arsenal d’outils. Economiques, technologiques, médicaux, culturels… On peut y inclure quasiment toutes les disciplines sociétales. Il suffit au pouvoir de savoir s’en servir. C’est leur métier.

Tous ces outils permettent d’opérer in fine l’enjeu profond de toutes les civilisations: l’eugénisme. La pauvreté, la détresse, l’incertitude, la peur, l’ignorance sont extrêmement efficaces pour faire baisser le taux de natalité. Quand ils ne suffisent plus, il y a des moyens plus radicaux.

Injectables.

Ou militaires.

Ces outils, que le pouvoir a confisqués pour assurer sa propre pérennité, appartiennent au peuple. Pour éviter les conséquences tragiques de ce qu’on veut lui imposer de force, la solution serait que le peuple recommence à les mettre en oeuvre lui-même.

L’eugénisme et la génétique ne sont pas l’apanage du Diable, ils sont l’affaire des familles. Quand on choisit la mère ou le père de ses enfants, quand on le/la choisit de sa propre ethnie ou non, on fait de la génétique. Quand on décide du nombre de ses enfants, on fait de l’eugénisme. On les pratique surtout à leur juste mesure. Tout comme la santé, ce sont des affaires individuelles. L’Etat n’a pas à y fourrer son nez. Bill Gates non plus.


Vous aviez le choix en 2017. Les Français avaient à portée de main un candidat humble, bienveillant, politiquement cultivé et parfaitement capable de gérer le pays. Un candidat qui avait sacrifié son petit confort personnel au service de son pays. Il s’appelait François Asselineau.

Aujourd’hui, ce candidat n’a même pas pu se présenter. Comme en 2017, vous avez le choix entre un petit dictateur et une rombière incompétente.

Le premier a fait depuis cinq ans – au moins – la preuve cinglante de sa nocivité et de sa malveillance. Le nombre de victimes des injections est, à dessein, impossible à évaluer mais si on se base sur les chiffres américains, il doit être considérable. La stérilité va devenir un problème majeur pour l’ensemble de la société, pendant que l’obligation vaccinale déjà revue à la hausse avant le Covid continuera à handicaper les enfants – encore une fois, voir les chiffres américains, qui montrent qu’un enfant sur dix est dans la sphère autistique et 54% souffrent de maladie chronique. Voilà le vrai visage de l’eugénisme d’Etat.

On peut également prédire que Macron appliquera, dès la diffusion du prochain mutant de laboratoire – on nous annonce le H1N1, probablement cette année – l’équivalent des mesures de confinement délirantes actuellement en phase d’essai à Shanghaï – sur lesquelles je reviens dans un article en cours de traduction – qui contiendra l’inflation par l’immobilisation de la circulation monétaire, le temps d’offrir à ses supérieurs de la haute finance une nouvelle opportunité de juteuses opérations avant le crash final.

Le même vous promet des tickets de rationnement alimentaire pour soutenir l’effort militaire du front Nazi contre la Russie, voire d’y envoyer des troupes, ce qui, après la destruction économique du pays, laisse augurer sa destruction physique à court terme, le tout justifié par la comédie de son alter ego et condisciple des Young Global Fascists Leaders, acteur cocaïnomane coupable de « purification ethnique » (13.000 morts), subventionnée par les Etats-Unis. Si vous avez le moindre sens de l’Histoire, tout ça devrait vous rappeler quelque chose. Quelque chose qui a coûté la vie à plus de vingt millions de Russes.

Le peuple russe est l’ami du peuple français. Du moins du peuple français dont ils ont gardé le souvenir, celui d’il y a trois générations, qui bossait dur, respectait son pays et votait à droite, parce qu’ils n’avaient pas peur qu’on attende d’eux qu’ils se comportent en Français et en chrétiens. Les russes d’aujourd’hui bossent toujours aussi dur, respectent toujours leur pays et votent à droite plus que jamais. Ce sont des gens intelligents et courageux. On a pas besoin de leur rappeler qu’ils sont russes et orthodoxes. Le fait que ça puisse effrayer un bon nombre de Français en dit long sur la chute libre de leur courage et de leur perception de leur propre identité.

La deuxième candidate est payée pour ne pas dire ce qu’elle sait et ne rien savoir du reste. Comme son père, son boulot est essentiellement d’occuper la chaise qui fait face au vainqueur désigné d’avance et donner l’illusion d’un débat. Un chien avec un chapeau ferait le boulot.

Le RN, anciennement FN, est une plaisanterie. Un faux parti, repoussoir politique mis en selle par la gauche de Mitterand, dont la seule raison d’être est de ne jamais assumer le pouvoir. S’il l’avait voulu, le FN disposait dans ses rangs des deux seules personnalités politiques présidentiables en France depuis trente ans – excepté Asselineau – capables de balayer toutes les autres. Le premier était Bruno Gollnisch, soigneusement évincé par le père Le Pen lors de sa succession et mis sur la voie de garage de la députation européenne. Gollnisch avait le niveau, la culture et la carrure. Je pense encore aujourd’hui qu’il aurait fait un excellent Président, peut-être le meilleur de l’Histoire. Encore aurait-il fallu que le peuple le comprenne.

La deuxième était Marion Auque-LePen. Je la désigne sous le nom auquel elle pourrait prétendre – c’est juste mon avis personnel – parce qu’elle est, avant d’être une Le Pen, la digne fille de son vrai père, un de ceux qui font une différence dans le cours de l’Histoire – les agents secrets. Elle est même plus que ça, en fait.

Marion, c’est Marianne.

Mais voilà, elle n’a pas voulu. On peut la comprendre. Elle aussi a le niveau, la culture et la carrure d’une Présidente. Mais honnêtement, qui voudrait présider à la destinée de 70 millions d’enfants, dont autant se sont égarés sur la route du « progrès »?

Avant de vouloir changer de pouvoir, il faut changer les électeurs. Il doivent commencer par digèrer leur vieux syndrome de Stockholm, et cesser d’imaginer que leur bourreau cessera tôt ou tard d’être ce pour quoi il est payé. « Si on est gentils avec lui, il sera peut-être gentil avec nous. » Non, ça ne marchera pas.

Ce qui pourrait marcher, c’est que le peuple trouve lui-même des solutions. La France a perdu une grande partie de son autonomie, et on ne la lui rendra pas. C’est donc à partir de la base – donc, du citoyen – qu’il faut la réinstaurer. Des coopératives, des potagers familiaux, villageois ou urbains, des sources d’énergie locales, et mille autres choses à créer ou à retrouver. Bref, des initiatives. Tout ce qui aurait dû être fait depuis des décennies – Reiser en parlait il y a quarante ans – et qui est maintenant particulièrement urgent, avant que l’Enfer se déchaîne.

A force que le peuple se retienne du choix difficile de l’autonomie et du travail qu’elle implique, quelqu’un s’est glissé dans le créneau pour vendre sa camelote. Si vous votez pour le Grand Reset, vous aurez leur version de l’autonomie: ne rien posséder, et être heureux. C’est-à-dire possèder un code QR et être obéissants.

Je ne sais pas si mettre à l’Elysée Machin-chose Le Pen changera le cours de l’Histoire. Probablement pas. Elle recevra les mêmes feuilles de route des mêmes treize familles. Ce qui changerait vraiment serait de lui signifier, à elle et à ses commanditaires, que le peuple se chargera de tout, merci bien, et qu’elle s’occuperait utilement à choisir de nouvelles tentures pour les fenêtres de son palais temporaire, à y passer un coup d’aspirateur et un coup de chiffon sur le dessus des portes.

Ou bien c’est trop tard. La tâche est impossible. Le courage n’est plus là. Mieux vaut tout laisser détruire et choisir l’homme de confiance de Davos, dont c’est la mission. Mieux vaut se réfugier dans sa cellule urbaine et le Metaverse, sans rien savoir de la beauté magique de ce magnifique pays.

Je ne sais pas et de toute manière, comme je ne suis pas Français, on ne me demande pas mon avis.

Mais on vous le demande, à vous.

Royaume-Uni: Le Covid devient CHRONIQUE, comme le SIDA, et va nous terrasser – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Royaume-Uni: Le Covid devient CHRONIQUE, comme le SIDA, et va nous terrasser

Adieu, « Immunité vaccinale » et « Immunité hybride ».

Igor Chudov

27 mars

Je voudrais aborder des statistiques très inquiétantes qui nous viennent du Royaume-Uni et qui montrent clairement que le Covid est en train de devenir une maladie chronique, au même titre que le SIDA. Pour de nombreux Britanniques, le Covid est une maladie qui ne se résout pas. Les crises sans fin, les récidives, voire la maladie sans fin, sont désormais la norme et non plus l’exception, et elles mèneront à une catastrophe.

Le Covid, devenu aujourd’hui une « maladie chronique » qui rend les gens malades en permanence ou très fréquemment, est en totale contradiction avec une « maladie endémique« , comme le rhume, qui ne rend les gens malades que quelques jours par an.

Avant d’aller plus loin, permettez-moi de souligner à nouveau que mon intention n’est PAS de dénigrer le splendide Royaume-Uni. C’est un pays merveilleux avec une culture riche, des gens incroyables, et des AGENCES STATISTIQUES EXCEPTIONNELLES. Ce sont ces dernières qui me permettent de montrer le désastre en cours là-bas. Les citoyens du Royaume-Uni sont diversifiés et ne sont pas biologiquement très différents des citoyens d’autres pays. Ce que j’écris sur le Royaume-Uni s’applique à tout autre pays occidental fortement vacciné.

Le Royaume-Uni mesure l' »incidence » du Covid

Le Royaume-Uni réalise un remarquable travail de recensement de ce que l’on appelle « l’incidence » du Covid, qui répond à une question : « Combien de personnes ont un Covid en ce moment?« . L’ONS [Office for National Statistics – Bureau National des Statistiques] publie une Enquête sur les Infections à Coronavirus très révélatrice.

La dernière enquête, en date du 19 mars, montre qu’un Britannique sur 16, ou un Écossais sur 11, présente aujourd’hui une infection active au Covid. Faites une pause pendant une minute, s’il vous plaît, et réfléchissez à cela.

Le pourcentage de personnes qui testent positives au Covid ne cesse d’augmenter en Angleterre, au Pays de Galle et en Ecosse.
[Les cas d’Omicron ont atteint un pic ici/
mais le Covid n’a pas diminué et le pic de son incidence est ici]

Ce graphique de l' »incidence », ou « prévalence actuelle », du Covid, qui est aussi élevée que lors du pic de janvier, diverge complètement des « cas », qui ne représentent qu’un tiers du pic:

Comment est-ce possible?

Le Royaume-Uni définit un « cas Covid » comme étant un résultat positif au test Covid chez un individu, sans qu’aucun autre test positif n’ait été enregistré dans les 90 jours précédents. Cela explique la divergence presque triple entre les « cas » et l' »incidence », où les cas sont en baisse de 2/3 (au 19 mars), et l’incidence est au plus haut, tout comme lors du pic d’Omicron en janvier.

Cette divergence s’explique par le fait qu’environ DEUX TIERS des Britanniques actuellement malades présentent une réinfection à court terme ou une infection chronique continue, qui n’est pas comptabilisée comme un « cas ». Ces estimations sont loin d’être précises, mais elles sont probablement assez proches de la réalité.

Je m’attends à ce que de nombreuses personnes objectent que le comptage des cas n’est pas fiable, ce qui est le cas. À ces personnes, je recommande la lecture de mon autre article: « Royaume-Uni – les réinfections à court terme explosent« . [NdT. que j’ai traduit ici]

Une personne malade sur 16 signifie que…

Si, à tout moment de l’année, une personne sur 16 est atteinte de Covid, cela signifie que la personne moyenne sera malade 365/16 = 23 jours par an. Si une maladie Covid typique dure une semaine pour sa partie positive au test, cela signifie trois Covid par an. Pour l’Écosse, où 1 personne sur 11 est actuellement malade et testée positive, cela représente 33 jours par an, soit plus de QUATRE Covids d’une semaine par an pour l’Écossais moyen.

Toutefois, la situation pourrait être encore pire. Ce n’est pas encore une certitude, mais il se pourrait que certaines personnes ne parviennent pas du tout à éliminer le virus et continuent à être testées positives pendant de longues périodes. Les exemples de ce type sont légion. Voici une personne qui continue à être testée positive au 15ème jour « malgré » une triple vaccination et l’utilisation de « Paxlovid ».

Complètement vaccinée. Boostée avec Moderna en décembre.
Les symptômes ont commencé le 8 mars. Testé positif au covid le 10 mars avec de la fièvre, des courbatures et une toux sèche. J’ai pris du Paxlovid le jour même – les symptômes ont disparu en 24 heures. Je me suis senti mieux le troisième jour. J’ai fait un test rapide négatif les jours 5, 6, 7 et 8.
Jour 8 – j’ai porté un masque, j’ai repris ma vie quotidienne. Je me sentais normal.
Jour 11- nez qui coule, je commence à me sentir mal. Test à nouveau positif.
Jour 12, 13, 14, 15- Malade à 100% avec une nouvelle série de symptômes. Cette fois, c’est comme un énorme rhume de cerveau, sans fièvre ni douleurs corporelles. Congestion extrême. Jour 14 (qui était aussi le 4e jour de nouveaux symptômes), j’ai perdu mon odorat.
Aujourd’hui (jour 15), un membre de ma famille a été testé positif. Je suis toujours positif au test rapide. Tout porte à croire que je suis encore contagieux 12 à 15 jours plus tard.
Est-il possible que j’aie attrapé deux souches différentes de covid en deux semaines? Omicron et ensuite BA2?
[La poudre de perlimpinpin fonctionnait mieux]

Trois Covid par an nous tueront

Le Covid-19 n’est pas un rhume inoffensif. Il détruit les cellules immunitaires T, comme le fait le SIDA: Le Sars-CoV-2 tue les cellules T, tout comme le VIH [NdT. ma traduction ici]

Il se peut que plusieurs réinfections rapprochées au Covid tuent complètement les cellules T immunitaires, si bien qu’elles n’auront pas le temps de se reconstituer entre les infections, et que la personne se retrouvera donc sans aucune défense immunitaire, tout comme les personnes atteintes du SIDA.

Elles deviendraient sensibles non seulement au Covid chronique, mais aussi aux maladies opportunistes chroniques propres aux malades du SIDA, et au cancer. En plus des problèmes immunitaires, la charge constante de la protéine de pointe de Covid sera très délétère pour nos systèmes immunitaires, et ainsi de suite. Imaginez que vous ayez le SIDA avec en plus une destruction cardiovasculaire, des caillots sanguins, un « brouillard cérébral », etc… tout cela pour une maladie qui ne peut être arrêtée.

Si le Covid ponctuel est néfaste, le « Covid chronique » permanent est une tout autre chose, et une chose terrible. Nous en sommes maintenant à la période de plusieurs Covid par an, où de nombreuses personnes l’ont subi deux ou trois fois cet hiver. Il est tout à fait possible que les réinfections à court terme provoquent un Syndrome de Déficit Immunitaire à part entière en raison de la destruction des cellules T.

Les personnes atteintes d’un Covid chronique de ce type devront continuer à vivre parmi nous, à faire leurs courses, à travailler tant qu’elles le peuvent encore et à se mêler aux autres. Contrairement aux personnes infectées par le VIH, qui se transmet par le sang, les personnes atteintes de « Covid chronique » seront constamment infectées par une maladie AÉROSOLISÉE. Comment cela affectera-t-il notre société? Nous ne pouvons que faire des conjectures.

En plus de tuer les cellules T, les réinfections sont souvent pires que les infections initiales:

régime administré (44,5 % et 43,0 %, respectivement). Des probabilités comparables de présentation des symptômes et de prise en charge ont été signalées pour les deux infections. Cependant, un taux d’admission en unité de soins intensifs (USI) plus élevé a été observé en cas de réinfection par rapport à la première infection (10 vs 3). Dix décès ont été signalés, l’insuffisance respiratoire étant la cause la plus fréquente de décès (7/10 décès).

Vaccins, SIDAV et réinfections

Bien que je sois opposé aux vaccins Covid, permettez-moi de clarifier une chose: les personnes vaccinées et non vaccinées ont toutes des réinfections AU Covid. Ce qui n’est PAS tout à fait clair, c’est qui en a le plus, pour 100 000 habitants. Cependant, tout porte à croire que ce sont les vaccinés qui sont les plus touchés par les réinfections au Covid et les déficits immunitaires.

Il est urgent que nos gouvernements enquêtent sur les réinfections répétées et déterminent si les vaccinés sont plus susceptibles de contracter des infections à Covid répétées ou chroniques. Il n’est pas surprenant qu’aucun gouvernement au monde n’ait répondu à cette question ou ne se penche même sur la question. Je pense savoir pourquoi.

Bien que nous ne disposions pas de statistiques officielles de haute qualité, nous pouvons glaner quelques informations dans les rapports de vaccination de l’UKHSA.

Le Royaume-Uni va DISSIMULER les cas et les décès de personnes vaccinées [NdT. ma traduction ici]

Les statistiques de l’UKHSA montrent clairement que les personnes vaccinées sont beaucoup plus susceptibles d’avoir un « cas » de covid que les personnes non vaccinées:

Mon autre article traite du phénomène du « VAIDS » de manière plus détaillée, et aborde la relation entre le Covid-19 et le VIH: Covid, Vaccin, VIH et SIDAV – Explication [NdT. ma traduction ici]

Tout ceci suggère, sans être totalement concluant, que ce sont les personnes vaccinées qui sont les plus touchées par les réinfections répétées.

Reddit et Twitter sont remplis de rapports « J’ai eu Covid trois fois », que vous pouvez lire ci-dessous.

Un autre problème est que, comme le Covid « affecte le cerveau« , nous risquons, en tant que société, de perdre la capacité intellectuelle dont nous avons besoin pour traiter cette question intelligemment, dans un an environ, si nos meilleurs esprits vaccinés succombent à des lésions cérébrales dues à des infections répétées.

Bonne chance dans ce cas.

Covid pour la troisième fois.
J’en ai tellement marre de tout ça. Je me sens vraiment comme une merde cette fois. Maux de tête, courbatures, congestion, maux de gorge. La dernière fois que j’ai eu le covid, il y a environ 4 mois, j’ai dû avoir 2L d’oxygène en permanence. Mon corps est épuisé. Je suis tout le temps fatiguée maintenant. Je suis toujours aussi essoufflée. Que vais-je devoir subir cette fois-ci?
J’ai eu les vaccins et le booster. Mon système immunitaire est juste nul, je suppose.
Co-morbidités : polyarthrite rhumatoïde, MPOC ( non-fumeuse ), asthme, et d’autres choses comme l’anxiété, la dépression, les migraines, l’apnée du sommeil.
Mon partenaire et moi avons été testés positifs au Covid pour la TROISIÈME fois la semaine dernière […].
Nous sommes tous les deux doublement vaccinés et j’ai eu un booster en décembre […]
Cette troisième fois n’a pas été aussi grave que les deux premières (février 20, octobre 20) […]
nos systèmes immunitaires sont en ruines […]
Ils pourraient ne jamais s’améliorer et nous pourrions être immunodéprimés pour toujours […]
nous avons eu une grippe qui a failli nous envoyer à l’hôpital.
Je vis au Royaume-Uni – j’ai une famille nombreuse – 75 % vaccinée. Les seules personnes que je connais qui sont réinfectées sont vaccinées. Il y a aussi beaucoup de premiers cas de double/triple vaccinés récemment. Les seules personnes que je connais qui n’ont pas l’air de l’attraper sont des personnes non vaccinées comme moi ( jamais de masque non plus).
Oui, et pourquoi j’ai le COVID pour la 3ème fois?! Tout comme mon mari qui est vacciné et boosté.
J’ai le Covid – pour la troisième fois. Je suis complètement vaccinée et boostée. Suis-je vraiment spéciale ?

Non, vous n’êtes pas spéciale!


Texte original

UK: Covid Becoming CHRONIC, like AIDS, and Will Take us Down

Bye Bye, « Vaccine Immunity » and « Hybrid Immunity ».

Igor Chudov

Mar 27

I would like to discuss very disturbing statistics from the UK, that clearly shows that Covid is becoming a chronic disease, in the same sense as AIDS is a chronic disease. Covid, for many Brits, is an illness that will just not go away. Endless bouts, recurrence, or even never-ending disease, is now the norm and not the exception, and will lead to a catastrophe.

Covid, now a “chronic disease” that makes people ill continuously or very frequently, is completely opposed to “endemic disease”, like colds, that would make people ill for just a few days a year.

Before I go further, let me point out again that I am NOT trying to badmouth the splendid United Kingdom. It is a wonderful country with rich culture, incredible people, and OUTSTANDING STATISTICAL AGENCIES. It is the latter that let me show the disaster unfolding there. People of the UK are diverse, and are not biologically very different from people in other countries. What I write about the UK, applies to any other highly vaccinated Western country.

UK Is Measuring “Incidence” of Covid

A very special effort of the UK is measuring so called “incidence” of Covid, that answers a question: “how many people are having Covid right now?”. ONS publishes a Coronavirus Infection Survey that is very revealing.

The latest survey, as of March 19, shows that one out of every 16 Brits, or one out of every 11 Scots, is having an active Covid infection today. Stop for a minute, please, and think about it.

This graph of “incidence”, or “current prevalence”, of Covid, which is as high as it was during the January peak, completely diverged from “cases”, which are just about one-third of the peak:

How can it be?

The UK defines a “Covid case”, to be a positive Covid test result in an individual, where no other positive test was recorded in the 90 days prior. This explains the almost three-times divergence between “cases” and “incidence”, where cases are down 2/3rds (as of Mar 19), and incidence is at the highest point just as it was when Omicron peaked in January.

This divergence is because about TWO THIRDS of currently ill Brits, are having a short term reinfection, or a continued chronic infection, that is not counted as a “case”. These estimates are far from precise, but likely close to being correct.

I do anticipate that many people will object to case-counting being unreliable, which it is. To those people, I recommend reading my other article: “UK — short term reinfections exploding”.

One out of 16 Sick Means that…

If, at any time in a year, one out of 16 persons is having Covid, it means that the average person would be sick 365/16 = 23 days per year. If a typical Covid illness lasts a week for its test-positive part, it means three Covids a year. For Scotland with 1 out of 11 ill and testing positive now, it amounts to 33 days a year, or over FOUR week-long-Covids for the average Scot per year.

However, it could be worse than this. It is not a certainty yet, but it could be that some people cannot clear the virus at all and keep testing positive for extended periods. There is plenty of such examples. Here’s a person who keeps testing positive on Day 15 “despite” triple vaccination and use of “Paxlovid”.

Three Covids a Year will Kill Us

Covid-19 is not a harmless cold. It depletes immune T cells, similarly to how AIDS does: Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV

It may be that several short-term Covid reinfections will kill off immune T cells completely, so that they do not have time to replenish between infections, and thus the person would be left with no immune defenses whatsoever, just like people who are having AIDS.

They would become susceptible not just to chronic Covid, but to chronic opportunistic illnesses common to AIDS patients, and cancer. In addition to immune problems, constant load of Covid’s spike protein will be very deleterious to our immune systems, and so on. Think of having AIDS with extra cardiovascular destruction, blood clots, “brain fog” etc — all this for an illness that cannot be stopped.

While one-time Covid is a bad thing, the all-the-time “Chronic Covid” is a completely different and a terrible thing. We are now in the several-times-a-year territory where many people had two or three Covids this winter. It is totally possible that short term reinfections will cause a full blown Immune Deficit Syndrome due to T cell destruction.

Persons who have such chronic Covid, will need to live among us, they need to go shopping, work while they still can, and mix with other people. Unlike those infected with HIV, which is bloodborne, the “chronic Covid” sufferers will be constantly infectious with an AIRBORNE illness. How will this affect our society? We can only guess.

In addition to killing T cells, reinfections are often worse than original infections:

Vaccines, VAIDS and Reinfections

Despite being opposed to Covid vaccines, let me make one thing clear: both vaccinated and unvaccinated people have Covid reinfections. What is NOT fully clear is who has more of them, per 100,000 of relevant population. However, all signs point to the vaccinated bearing the brunt of repeat Covid infections and the immune deficits.

We urgently need our governments to investigate repeat reinfections and find out whether the vaccinated are more likely to get repeat or chronic Covid. Not quite surprisingly, no government in the world answered this question or is even looking. I suspect that I know why.

Despite not having high quality official statistics, we can glean some information from UKHSA vaccine reports.

UK will HIDE Vaccinated Cases and Deaths

UKHSA statistics points squarely at vaccinated people as being far more likely to have a covid “case”, than the unvaccinated:

My other article discusses the “VAIDS” phenomenon in more detail, and touches upon relation of Covid-19 with HIV: Covid, Vaccine, HIV and VAIDS — an Explanation

All of this is suggesting, but not fully conclusively, that it is the vaccinated people who bear the brunt of repeat reinfections.

Both Reddit and Twitter are chock full of “I had Covid three times” reports, which you can read below.

An additional issue is that as Covid “affects the brain”, we as a society may lose the intellectual capacity that we need to deal with this smartly, in a year or so, if our vaccinated best minds succumb to brain damage from repeat infections.

Good luck then.

No you are not!

Royaume-Uni: les réinfections à court terme explosent – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Royaume-Uni: les réinfections à court terme explosent

Les Britanniques hautement vaccinés sont réinfectés en permanence

Igor Chudov

21 mars

Le Royaume-Uni, comme la plupart des autres bons pays, signale au monde entier les « cas de Covid ». Cependant, ces rapports considèrent les réinfections comme de « nouveaux cas » uniquement s’il existe une période de plus de 90 jours entre les tests positifs. Tout intervalle plus court entre des tests positifs fait que le Royaume-Uni considère qu’il s’agit de la « continuation » d’un cas précédent.

Ainsi, par exemple, une personne qui a eu le Covid le 15 décembre, s’est rétablie en une semaine, puis a eu le Covid à nouveau le 5 mars, ne serait PAS officiellement considérée comme un « nouveau cas de Covid ».

Cependant, le Royaume-Uni dispose également d’une « application ZOE Health tracker », apparemment populaire, qui permet aux gens de signaler leurs symptômes. Cette application considère les réinfections à court terme comme autant de « cas » et établit des statistiques collectives.

Regardez les deux graphiques. D’abord, les données officielles du Royaume-Uni:

Deuxièmement, les données de ZOE. Regardez la ligne bleue, les cas de Covid signalés:

Vous pouvez voir tout de suite que, approximativement jusqu’au pic de début janvier, les deux graphiques se correspondent parfaitement dans leur forme. Cependant, ils divergent totalement après cette date. Veuillez pardonner mes talents de dessinateur de niveau Hunter Biden, mais après le 5e essai, j’ai réussi à dessiner suffisamment bien pour illustrer la différence:

J’ai tracé la ligne BLEUE sur le graphique pour représenter approximativement comment la ligne ZOE diverge des données officielles.

Quelques notes:

  • Il est compréhensible que les symptômes auto-déclarés à ZOE soient généralement supérieurs aux « cas » officiellement déclarés et confirmés par des tests, car ils utilisent des critères différents.
  • Mais jusqu’en janvier, la FORME de ces courbes était à peu près égale, l’une suivant l’autre de près.
  • Cependant, après janvier, la courbe ZOE est montée en flèche par rapport à la courbe officielle.

Alors, que se passe-t-il? Je pense que la réponse est qu’il y a beaucoup plus de réinfections à court terme au Royaume-Uni qu’auparavant, qui apparaissent dans ZOE mais pas dans les statistiques officielles.

En fait, le graphique suggère qu’environ la moitié des personnes actuellement infectées en sont à leur deuxième réinfection à court terme.

Pourcentage de personnes infectées

Le Royaume-Uni enregistre une donnée très utile: le pourcentage de personnes qui sont ACTUELLEMENT INFECTEES. Il ne tient absolument pas compte des « réinfections », il s’en moque tout simplement.

Les chiffres du Covid: « un londonien sur 18 a le virus » alors que le Royaume Uni enregistre 90.349 cas et 126 morts quotidiennement.

Voici un graphique du « pourcentage de personnes actuellement infectées » tiré du Financial Times.

Près de 3,3 millions de personnes ont été infectées par le virus Covid-19 au cours de la semaine se terminant le 12 mars, soit une augmentation de 26 % par rapport à la semaine précédente et le niveau le plus élevé enregistré depuis la mi-février.
Les taux d’infection ont augmenté dans toutes les régions du Royaume-Uni, à l’exception de l’Irlande du Nord. L’Écosse a enregistré son plus haut taux d’infection de la pandémie jusqu’à présent, avec une personne sur 14 infectée par le virus au cours de la semaine se terminant à la mi-mars, contre une sur 18 une semaine plus tôt. En Angleterre, une personne sur 20 a été infectée par le coronavirus au cours de la même période, contre une sur 25 une semaine plus tôt.

Ce graphique du « pourcentage de personnes actuellement infectées » correspond beaucoup mieux aux données de ZOE qu’aux cas officiellement déclarés.

On peut voir qu’environ un habitant de l’Angleterre sur 20 est actuellement infecté. Ce pourcentage est, en fait, assez proche du pic de janvier d' »Omicron ». Cela signifie que la pandémie n’est PAS en train de se terminer et qu’elle ressemble davantage à un feu de poubelle qui ne cesserait de brûler et d’émettre de la fumée nocive.

La situation est encore pire pour les personnes âgées, qui ont le plus besoin de protection et qui bénéficient le moins du prétendu « vaccin ».

Selon l’Office National des Statistiques, les infections à coronavirus chez les plus de 70 ans au Royaume-Uni ont atteint un niveau record à la mi-mars, en raison du sous-variant Omicron BA.2, hautement infectieux.

Quelle en est la raison? La voici: Personnes âgées au Royaume-Uni: La double vaccination tue l’immunité.

C’est une mauvaise nouvelle

Les réinfections à court terme peuvent être légères – elles n’apparaissent donc pas autant dans les hospitalisations – mais elles ne sont PAS une bonne chose. Cela signifie que les personnes qui en sont atteintes ne sont pas vraiment immunisées contre le Covid après des vaccinations répétées et des cas « breakthrough » de Covid.

Elles n’ont pas de « super immunité hybride ». Au contraire, elles n’ont AUCUNE immunité. J’espère que cela n’inclut pas l’immunité contre d’AUTRES maladies comme la variole ou la varicelle. Le temps nous le dira.

Les rapports récents selon lesquels les infections à Covid détruisent les cellules T immunitaires, comme le VIH, rendent également préoccupants les cas répétés à l’infini.

Le Sars-Cov-2 tue les cellules T, comme le VIH [NdT. ma traduction ici]

Cela finira-t-il par transformer les personnes souffrant de Covid à répétition en porteurs continus de la maladie et en usines de protéines de pointe ambulantes? Que va-t-il leur arriver? C’est une tendance très inquiétante.

Les États-Unis ressemblent à bien des égards au Royaume-Uni et la même chose devrait se produire ici, quelques semaines plus tard.

Malheureusement, il n’existe AUCUN rapport séparé par statut vaccinal. Il est clair que la soi-disant « immunité naturelle » ne s’applique plus au Royaume-Uni, qui est fortement vacciné. Certains éléments indiquent toutefois qu’il s’agit d’un phénomène qui touche principalement les personnes vaccinées: L’UKHSA explique les réinfections sans fin des personnes vaccinées [NdT. ma traduction ici]

Permettez-moi de clarifier: le Royaume-Uni n’est pas un pays singulièrement MAUVAIS! Bien au contraire, ses statistiques sont particulièrement BONNES. C’est pourquoi nous pouvons examiner les données et leur donner un sens. J’ai toujours été un grand fan du Royaume-Uni et je souhaite tout le bien possible à ses habitants.

Qu’en pensez-vous?


Texte original

UK: Short-term Reinfections Exploding

Highly-Vaxxed Brits are Reinfected Constantly

Igor Chudov

Mar 21

The UK, like most other good countries, reports “Covid Cases” to the world. These reports, however, consider reinfections to be “new cases” only if there is a period of more than 90 days between positive tests. Any shorter interval between positive tests makes the UK consider that a “continuation” of a previous case.

So, for instance, a person who had Covid on Dec 15, recovered in a week, and then got Covid again on March 5, would NOT officially be considered a “new Covid case”.

However, the UK also has a “ZOE Health tracker app”, which is apparently popular and allows people to report their symptoms. This app considers short term reinfections to be “cases” also and reports collective statistics.

Look at the two graphs. First, official UK data:

Second, ZOE data. Look at the blue line, reported Covid cases:

You can see right away that, approximately until the early January peak, the two graphs perfectly matched each other in their shape. However, they totally diverged after that. Please forgive my Hunter-Biden level drawing skills, but after 5th try I was able to draw well enough to illustrate the difference:

I drew the BLUE line on the graph to roughly represent how the ZOE line has diverged from the official data.

Some notes:

  • It is understandable that self-reported ZOE symptoms may generally exceed officially-reported, test-confirmed “cases” as they use a different criteria
  • But up to January the SHAPE of these curves was roughly equal, with one following another closely
  • However, after January, ZOE curve skyrocketed compared to the official curve

So, what is going on? I believe that the answer is that there is a lot more short term reinfections in the UK, than before, that show up in ZOE but not in the official statistics.

In fact, the graph suggests that about half of the currently infected are on their second, short-term reinfection.

Percent of people who are Infected

The UK is tracking a very helpful metric: what is the percentage of people who are CURRENTLY INFECTED. It does not consider “reinfections” in any way, it just does not care.

This is a graph of “percentage of people currently infected” from Financial Times.

This graph of “percentage of people currently infected” matches the ZOE data much better than the official reported cases.

You can see that roughly one in 20 residents of England, currently, is infected. This percentage is, in fact, fairly close to the January peak of “Omicron”. This means that the pandemic is NOT ending and most closely resembles a dumpster fire that just would not stop burning and emitting noxious smoke.

The situation is even worse for older people, who need protection the most and benefit least from the so called “vaccine”.


Coronavirus infections among over-70s in the UK surged to a record high in mid-March driven by the highly infectious Omicron BA.2 sub-variant, according to the Office for National Statistics.

What is the reason? Here it is: UK Elderly: Double Vaccination Kills Immunity.

This is Bad News

Short term reinfections may be mild — so they do not show up in hospitalizations as much — but they are NOT a good thing. It means that people having them, are not really immune to Covid after repeated vaccinations and breakthrough Covid cases.

They do not have “hybrid super immunity”. Instead, they lack ANY immunity. I hope that it does not include immunity to OTHER illnesses like smallpox or chickenpox. Time will tell.

The recent reports of Covid infections destroying immune T cells, like HIV, also make endless repeat cases concerning.

Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV

Will this eventually make repeat Covid sufferers into continuous carriers of illness and walking spike protein factories? What will happen to them? It is a very worrying trend.

The US is in many ways like the UK and the same thing is expected to happen here — just a few weeks later.

Unfortunately, there is NO separate reporting by vaccination status. Clearly, the so called “natural immunity” no longer applies to the highly-vaccinated UK. There are indications, however, that this is a mostly-vaccinated phenomenon: UKHSA Explains Endless Reinfections of the Vaccinated

Let me clarify: The UK is not a uniquely BAD country! Quite the opposite: it has uniquely GOOD statistics. That’s why we can see the data and make sense of it. I have always been a great fan of the UK and wish their people all the best.

What do you think?

Le Sars-Cov-2 tue les cellules T, tout comme le VIH – par Igor Chudov.

Note: Il y avait une petite cafouille dans l’ordre du texte, que j’ai corrigée. Ceux qui lisent mes articles sur leur boîte mail ont eu la version erronée, donc le mieux est de tout lire sur le blog. Sorry.

Source.


Traduction

Le Sars-Cov-2 tue les cellules T, tout comme le VIH

Il agit également comme le VIH, via les récepteurs LFA-1 des lymphocytes T et la gp120

Igor Chudov

14 mars

Le Sars-Cov-2 est-il un VIH aérosolisé? Il y a deux jours paraissait cet intéressant article:

Cet article n’a pas été rédigé par un groupe de scientifiques quelconques, mais par des personnes de l’Institut de Virologie de Wuhan, dont la tristement célèbre batwoman Shi Zheng-Li. Gardez ceci à l’esprit. Cet article a été soumis en septembre 2021 et révisé en janvier 2022. Il ne concerne donc pas Omicron.

L’article dit ce qui suit:

  • De nombreux patients atteints d’une forme grave de Sars-Cov-2 présentaient une « lymphopénie », c’est-à-dire une déplétion des lymphocytes T, cellules immunitaires très importantes.
  • Cette déplétion est due au suicide cellulaire (apoptose) des lymphocytes T après l’infection.
  • Dans des montages expérimentaux impliquant l’infection de lignées cellulaires de laboratoire de cellules T humaines, le virus Sars-Cov-2 a pu pénétrer dans les cellules T et les infecter.
  • Ce tropisme (attraction vers) les cellules T et cette capacité à les infecter n’étaient PAS LIÉS à la manière habituelle dont le virus Sars-Cov-2 infecte d’autres cellules, telles que les cellules pulmonaires, qui expriment les récepteurs ACE2 et TMPRSS2, car les cellules T ne possèdent pas ces récepteurs.
  • L’infection des cellules T se fait par le biais de « LFA-1, la protéine [qui] s’exprime exclusivement dans de multiples leucocytes ».
  • Il s’avère que la protéine gp120 du VIH est celle qui « active le LFA-1 sur les lymphocytes T CD4 et augmente la sensibilité des cellules à la leucotoxine ciblant le LFA-1« .
  • Je voudrais vous rappeler que la protéine gp120 du VIH a également été mystérieusement transplantée dans le Sars-Cov-2.
  • De plus, la protéine gp120 est située dans la protéine de pointe du Sars-Cov-2, et la protéine de pointe est utilisée dans tous les « vaccins Covid ».

Nous avons donc maintenant un nouveau mystère: le Sars-Cov-2 détruit les cellules T immunitaires comme le fait le VIH, le Sars-Cov-2 a un insert VIH gp120 transplanté, et c’est cet insert gp120 spécifique qui permet au VIH de pénétrer dans les lymphocytes via le même récepteur LFA-1!

Examinons cela de plus près :

Lymphopénie

Les lymphocytes T sont des cellules chargées de tuer les cellules infectées ou cancéreuses.

Les lymphocytes T sont un type de globules blancs appelé lymphocyte. Les lymphocytes protègent l’organisme contre les cellules cancéreuses et les cellules qui ont été infectées par des agents pathogènes, comme les bactéries et les virus. Les lymphocytes T se développent à partir des cellules souches de la moelle osseuse. Ces lymphocytes T immatures migrent vers le thymus via le sang. Le thymus est une glande du système lymphatique dont la fonction principale est de favoriser le développement des cellules T matures. En fait, le « T » de T cell lymphocyte signifie « dérivé du thymus ».

Les lymphocytes T sont nécessaires à l’immunité à médiation cellulaire, qui est une réponse immunitaire impliquant l’activation des cellules immunitaires pour combattre l’infection. Les lymphocytes T ont pour fonction de détruire activement les cellules infectées, ainsi que de signaler à d’autres cellules immunitaires de participer à la réponse immunitaire.

Sur ce graphique tiré de l’article, vous pouvez constater une diminution spectaculaire des cellules T, ainsi qu’une diminution importante des cellules CD4 et CD8 :

Par exemple, l’image ci-dessus montre que les cellules CD4 et CD8 diminuent.

Les auteurs expliquent ensuite comment ils ont effectué des tests génétiques pour s’assurer que les cellules T sont réellement infectées:

Nous avons ensuite analysé la présence d’antigènes viraux du SARS-CoV-2 dans les PBC en utilisant la cytométrie en flux ou par immunofluorescence (IFA). Les résultats ont suggéré que les lymphocytes T étaient infectés et, chez certains patients, les cellules T CD4 + présentaient un taux d’infection élevé (figure supplémentaire S1a). Nous avons également confirmé la présence de l’antigène viral dans les lymphocytes T du sang des patients par analyse d’immunofluorescence (IFA) (Fig. 1c). En outre, nous avons préparé des coupes de poumons post-mortem de patients dont l’infection a été fatale et avons analysé l’infiltration des lymphocytes T et l’infection virale. Nous avons constaté une infiltration de lymphocytes T dans la section pulmonaire, et de nombreux lymphocytes T étaient également positifs pour la coloration NP du SARS-CoV-2, indiquant une infection virale (Fig. 1d). Une observation similaire a également été rapportée.13 Dans l’ensemble, nous avons montré la présence de l’antigène viral du SARS-CoV-2 dans les lymphocytes T, soit dans le sang, soit dans la section pulmonaire des patients COVID-19.

Le VIH et le Sars-Cov-2 utilisent la gp120 pour pénétrer dans les cellules T

Le principal mécanisme du SIDA est la déplétion des cellules CD4. Dans le cas du Sars-Cov-2, nous constatons également une déplétion des cellules CD4 et CD8. La science a depuis longtemps répondu à la question de savoir comment le VIH infecte les cellules T (1991):

Bien que le mécanisme responsable de l’entrée du VIH-1 dans les cellules T CD4+ sensibles soit incomplètement compris, un certain nombre de composants clés sont maintenant connus. Par exemple, le tropisme du VIH-1 pour les cellules exprimant la glycoprotéine membranaire CD4 reflète l’utilisation de cette protéine comme récepteur viral spécifique auquel la protéine d’enveloppe gp120 du VIH-1 se lie avec une grande affinité. Cette liaison entraîne apparemment l’exposition des domaines hydrophobes de la protéine transmembranaire gp41 aux composants de la membrane plasmique, ce qui entraîne la fusion des membranes virale et plasmique l’une avec l’autre et, par conséquent, la libération de l’ARN du VIH-1 dans le cytosol. Cet événement de fusion, qui est nécessaire à l’entrée du virus ainsi qu’à la formation de syncytia associés au VIH-1, se produit de manière indépendante du pH, mais nécessite une activation préalable des lymphocytes T. En l’absence de stimuli des lymphocytes T, l’ARN du VIH-1 est libéré. En l’absence de stimuli des cellules T, les cellules CD4+ au repos sont résistantes à l’entrée du VIH-1, ce qui peut expliquer l’observation selon laquelle, à tout moment, la grande majorité des cellules T CD4+ des patients séropositifs pour le VIH-1 ne sont pas infectées malgré la présence de quantités relativement importantes de virus libre dans le sang de ces patients. Le mécanisme d’entrée du VIH-1 dans d’autres types de cellules CD4+, comme les macrophages et les cellules dendritiques, reste à déterminer.

La nouvelle ici est que le Sars-Cov-2 infecte également les cellules T, et le Sars-Cov-2 a également l’insert gp120: Covid, vaccin, VIH, et SIDAV – Explication [NdT. ma traduction ici]

Récepteur LFA-1

Rappelez-vous que ces deux dernières années, nous avons entendu dire que le Sars-Cov-2 infecte les cellules exprimant le récepteur ACE-2 et la protéine TMPRSS2. Devinez quoi, nos cellules T n’ont ni l’un ni l’autre!

L’infection des cellules T par le SRAS-CoV-2 est indépendante de l’ACE2 et du TMPRSS2
On pense généralement que l’ACE2 est le récepteur d’entrée du SARS-CoV-2. Cependant, les principales populations cellulaires des PBC expriment des niveaux extrêmement faibles d’ACE2
, ce qui soulève la question de savoir si l’ACE2 joue également un rôle de médiateur dans l’entrée du virus SARS-CoV-2 dans les cellules T. Nous avons d’abord vérifié si l’élimination de l’ACE2 pouvait atténuer l’infection des cellules T par le virus du SARS-CoV-2. Les données ont montré que l’ACE2 a été éliminé avec succès par des ARN-shR ACE2 dans les cellules Caco2. Les cellules T Jurkat n’expriment pas d’ACE2 détectable, que ce soit dans des conditions de simulacre ou de neutralisation (Fig. 3a). De même, l’élimination de l’ACE2 a entraîné une diminution spectaculaire de l’infection par le virus SARS-CoV-2 dans les cellules Caco2, mais pas dans les cellules T Jurkat (Fig. 3b). Pour confirmer davantage cette constatation, nous avons procédé à l’élimination de l’ACE2 dans les cellules Caco2 et Jurkat (figure 3c). Comme pour les cellules knock-down ACE2, la charge virale a diminué dans les cellules Caco2-ACE2-KO mais pas dans les cellules Jurkat-ACE2-KO (Fig. 3d). Ces résultats suggèrent que l’infection des cellules T par le SARS-CoV-2 se fait de manière indépendante de l’ACE2.

Alors, comment s’infectent-ils? L’article du WIV [Wuhan Institute of Virology] dont je parle a, comme par hasard, trouvé le mécanisme: il s’agit d’un récepteur dit LFA-1.

pouvait également réduire la charge virale dans les cellules Jurkat (Fig. 5i). Collectivement, nos résultats suggèrent que le LFA-1 devrait être un facteur d’attachement ou une molécule d’entrée potentielle pour le SARS-CoV-2 pendant son infection dans les cellules Jurkat.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, si l’on croit encore aux coïncidences, le VIH utilise également le même récepteur LFA-1 pour pénétrer dans les lymphocytes, et utilise la même protéine gp120 pour faciliter cette entrée.

La gp120 de l’enveloppe du VIH active le LFA-1 sur les lymphocytes T CD4 et augmente la sensibilité des cellules à la leucotoxine (LtxA) ciblant le LFA-1.
Résumé
La molécule d’adhésion cellulaire LFA-1 et son ligand ICAM-1 jouent un rôle important dans la promotion de l’infectivité et de la transmission du VIH-1. Ces molécules sont présentes sur l’enveloppe des virions du VIH-1 et font partie intégrante de la synapse virologique du VIH. Cependant, une activation cellulaire est nécessaire pour convertir le LFA-1 en conformation active qui présente une forte affinité de liaison avec l’ICAM-1. Cette étude évalue si une telle activation peut être induite par le VIH lui-même. Les données montrent que la gp120 du VIH-1 était suffisante pour déclencher l’activation du LFA-1 dans les cellules T CD4 naïves entièrement quiescentes, d’une manière CD4-dépendante,

Résumé

D’après les articles cités, nous pouvons voir que

  • Le Covid-19 provoque une lymphocytopénie (déplétion des lymphocytes) chez des patients réels.
  • Le VIH provoque également une déplétion des lymphocytes.
  • Le Sars-Cov-2 et le VIH utilisent tous deux le même récepteur LFA-1 pour pénétrer dans les cellules T.
  • Le VIH utilise la protéine gp120 pour se lier au récepteur LFA-1.
  • Le Sars-Cov-2 a également un insert gp120, mystérieusement.
  • Et, par conséquent, l’effet du Sars-Cov-2 et du VIH sur les lymphocytes est à bien des égards similaire.

Les chauves-souris, installées dans des grottes chinoises à des milliers de kilomètres du WIV, ont manifestement été très intelligentes lorsqu’elles ont décidé d’ajouter la gp120 à leurs coronavirus naturels !

Mise en garde

Avant que nous nous emballions tous, veuillez noter qu’il s’agit d’un travail en cours. Je crois fermement que la plupart des personnes qui ont un Covid léger ne développent PAS de lymphopénie permanente.

Comment le sais-je? Je suis l’une d’entre elles.

Mes propres résultats d’analyse

Très opportunément, j’ai fait des tests sanguins avant, pendant et après mon propre Covid. Mon fournisseur de soins de santé me permet de consulter l’historique de mes résultats d’analyse. Cela m’a été très utile pour rédiger cet article.

Ils montrent, de façon étonnante, que pendant le Covid, j’avais effectivement beaucoup moins de lymphocytes, qui se sont heureusement rétablis. Pendant le Covid, qui était relativement léger, mes lymphocytes ont chuté presque au niveau le plus bas !

Heureusement, 10 mois après l’infection, ils se sont rétablis. Je ne suis PAS vacciné. L’expérience des personnes vaccinées peut différer.

La protéine de pointe du vaccin Covid provoque également une lymphopénie

Ainsi, la protéine de pointe dans le Sars-Cov-2 a la gp120, nous savons qu’elle affecte les lymphocytes, et les « Vaccins Covid » produisent également la protéine de pointe.

Une question se pose: le  » vaccin Covid  » provoque-t-il aussi une lymphopénie?

Une recherche sur OpenVaers révèle 312 rapports de lymphopénie, répartis sur 26 pages:

Il est évident que le nombre réel de cas de lymphopénie après la vaccination est beaucoup plus élevé que celui indiqué par openVAERS, pour de nombreuses raisons évidentes. Je laisserai quelqu’un d’autre faire des recherches à ce sujet.


Texte original

Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV

It also works like HIV, via LFA-1 T-cell Receptors and gp120

Igor Chudov

Mar 14

Is Sars-Cov-2 airborne HIV? Two days ago, an interesting article came out:

This article was not written by a bunch of random scientists, but instead was written by people from the Wuhan Institute of Virology, including the infamous batwoman Shi Zheng-Li. Just keep this in mind. It was originally submitted in Sep 2021 and revised in January 2022, so it does not involve Omicron.

The article is saying the following:

  • Many patients who had severe Sars-Cov-2 had “lymphopenia”, that is, depletion of the all important immune T lymphocyte cells
  • This depletion was caused by cellular suicide (apoptosis) of T cells after infection
  • In experimental setups involving infecting laboratory cell lines of human T cells, Sars-Cov-2 virus was able to penetrate and infect T cells
  • This tropism (attraction to) T cells and ability to infect them was UNRELATED to the usual way Sars-Cov-2 infects other cells, such as lung cells, that express ACE2 and TMPRSS2 receptors, because T cells do not have those receptors.
  • Infection of T cells occurs via “LFA-1, the protein [that] exclusively expresses in multiple leukocytes”
  • It turns out that HIV’s gp120 protein is the one that “Activates LFA-1 on CD4 T-Lymphocytes and Increases Cell Susceptibility to LFA-1-Targeting Leukotoxin
  • I would like to remind you that HIV’s gp120 protein also was mysteriously transplanted into Sars-Cov-2
  • Additionally, gp120 protein is located in the spike protein of Sars-Cov-2, and spike protein is used in all “Covid vaccines”.

So, now we have a full new mystery: Sars-Cov-2 destroys immune T cells just like HIV does, Sars-Cov-2 has a transplanted gp120 HIV insert, and it is that specific gp120 insert that allows HIV to enter lymphocytes via the same LFA-1 receptor!

Let’s look at this more closely:

Lymphopenia

T Lymphocytes are cells that are responsible for killing infected or cancerous cells.

T cells are a type of white blood cell known as a lymphocyte. Lymphocytes protect the body against cancerous cells and cells that have become infected by pathogens, such as bacteria and viruses. T cell lymphocytes develop from stem cells in bone marrow. These immature T cells migrate to the thymus via the blood. The thymus is a lymphatic system gland that functions mainly to promote the development of mature T cells. In fact, the « T  » in T cell lymphocyte stands for thymus derived.

T cell lymphocytes are necessary for cell mediated immunity, which is an immune response that involves the activation of immune cells to fight infection. T cells function to actively destroy infected cells, as well as to signal other immune cells to participate in the immune response.

On this graph from the article, you can see dramatic declines in T cells, and also specific big declines of CD4 and CD8 cells:

For example, the picture above shows that both CD4 and CD8 cells decline.

Then the authors explain how they performed genetic tests to make sure that the T cells actually get infected:

HIV and Sars-Cov-2 Use gp120 to Enter T cells

The primary mechanism of AIDS is depletion of CD4 cells. For Sars-Cov-2, we see depletion of CD4 and CD8 cells as well. Science has long answered how HIV infects T cells (1991):

The news here is that Sars-Cov-2 also infects T cells, and Sars-Cov-2 also has the gp120 insert: Covid, Vaccine, HIV and VAIDS — an Explanation

LFA-1 Receptor

Remember that for the last two years we have heard how Sars-Cov-2 infects cells expressing ACE-2 receptor ad TMPRSS2 protein. Guess what, our T-cells have neither of those!

So, how do they get infected? The WIV article that I am discussing, conveniently, found the mechanism: it is a so called LFA-1 receptor.

Amazingly enough, if you still believe in coincidences, HIV also uses the same LFA-1 receptor to enter lymphocytes, and uses the same gp120 protein to facilitate the entry.

Summary

From the articles cited, we can see that

  • Covid-19 causes lymphocytopenia (depletion of lymphocytes) in real life patients
  • HIV causes depletion of lymphocytes also
  • Both Sars-Cov-2 and HIV use the same receptor LFA-1 to enter T cells
  • HIV uses gp120 protein to bind to LFA-1 receptor
  • Sars-Cov-2 also has gp120 insert as well, mysteriously

And, therefore, the effect of Sars-Cov-2 and HIV on lymphocytes is in many ways similar.

The bats, sitting it Chinese caves a thousand miles from WIV, were clearly very smart when they decided to add gp120 to their natural coronaviruses!

Word of Caution

Before we all get overly excited, please note that this is very much work in progress. I believe very strongly that most people who have mild Covid do NOT develop permanent lymphopenia.

How do I know? I am one of them.

My own Test Results

Very conveniently, I had blood tests before, during and after my own Covid. My health care provider lets me see the history of my test results. This became very handy when writing this article.

They show, amazingly, that during Covid I did actually have much reduced lymphocytes, that fortunately recovered. During Covid, which was relatively mild, my lymphocytes dropped almost to the lowest range!

Fortunately, 10 months after infection, they recovered. I am NOT vaccinated. Experience of vaccinated people may vary.

Covid Vaccine Spike Protein Causes Lymphopenia Also

So, spike protein in Sars-Cov-2 has gp120, we know that it affects lymphocytes, and “Covid Vaccines” also make spike protein.

A question arises, does “Covid Vaxx” also cause lymphopenia?

A search on OpenVaers reveals 312 reports of lymphopenia, spanning 26 pages:

Obviously, the real number of instances of lymphopenia after vaccination is much higher that openVAERS entries, for many obvious reasons. I will let someone else research that.

L’UKHSA explique les réinfections sans fin des vaccinés – par Igor Chudov.

Source.


L’UKHSA explique les réinfections sans fin des vaccinés

Le péché antigénique originel expliqué en termes clairs par l’UKHSA

Igor Chudov

2 février

L’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni (UK’s Health Security Agency – UKHSA) continue de publier des rapports très intéressants.

Un élément du dernier rapport de surveillance des vaccins a attiré mon attention. Il explique, dans un langage simple, que les personnes vaccinées n’acquièrent PAS la « pleine immunité naturelle ». Par conséquent, à mon avis, les personnes vaccinées seront réinfectées sans fin par le Covid. La réinfection est mon sujet favori et je l’ai abordé à plusieurs reprises dans ce dossier.

Jetons un coup d’œil à la page 52:

Les estimations de séropositivité pour l’anticorps S chez les donneurs de sang sont probablement plus élevées que celles attendues dans la population générale, ce qui reflète probablement le fait que les donneurs sont plus susceptibles d’être vaccinés. Les estimations de la séropositivité pour les anticorps N sous-estimeront la proportion de la population précédemment infectée pour les raisons suivantes : (i) les donneurs de sang sont potentiellement moins susceptibles d’être exposés à une infection naturelle que les individus appariés par l’âge dans la population générale, (ii) l’affaiblissement de la réponse des anticorps N au fil du temps et (iii) les observations récentes des données de surveillance de la UK Health Security Agency (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N sont plus faibles chez les individus qui contractent une infection après deux doses de vaccination. Ces réponses plus faibles des anticorps N chez les personnes souffrant d’infections pernicieuses (post-vaccination) par rapport à l’infection primaire reflètent probablement les infections plus courtes et plus bénignes chez ces patients. Les patients atteints d’infections pernicieuses présentent une augmentation significative des taux d’anticorps S, ce qui correspond à un renforcement de leurs taux d’anticorps.

C’est ce qu’on appelle le « péché antigénique originel ». De quoi parle-t-on et qu’est-ce que c’est? Pourquoi est-ce important?

C’est important car cela montre le mécanisme par lequel les vaccinés ne peuvent pas acquérir une immunité à spectre complet.

Lorsque les Britanniques reçoivent un des  » vaccins Covid  » disponibles au Royaume-Uni, les injections forcent leur propre corps à fabriquer une petite partie du virus Covid19, appelée  » protéine de pointe « . Cette petite partie virale crée une réaction immunitaire inflammatoire, qui fait que notre corps reconnaît ces protéines comme étrangères et génère des « anticorps », qui sont de petits objets qui neutralisent la protéine de pointe.

Ainsi, selon la théorie du vaccin, les personnes vaccinées obtiennent une immunité, car leurs anticorps seraient capables de se lier à la protéine de pointe virale et de la neutraliser. Un tel vaccin est appelé vaccin « mono-antigène » et ne présente qu’une seule partie du virus.

En revanche, lorsqu’une personne non vaccinée est confrontée à une véritable infection par le virus Covid-19 et qu’elle la combat, la réponse immunitaire et les anticorps sont dirigés contre tous les types de virus Covid-19: la protéine de pointe, la « nucléocapside » (membrane protéique), etc.

La différence entre l’immunité uniquement vaccinale et l’immunité naturelle apparaît lorsque le virus subit une légère mutation. Les personnes vaccinées n’ont qu’une immunité contre la protéine de pointe et ne s’en sortent pas bien lorsque le virus mute et que la forme de la protéine de pointe change. Les personnes naturellement immunisées s’en sortent beaucoup mieux car leurs différents anticorps reconnaissent d’autres parties du virus.

Comme nous le savons tous, le vaccin a plus ou moins cessé de prévenir la maladie, en raison de la mutation du virus et du changement de sa protéine de pointe. Pas de problème, alors ? La personne vaccinée ne connaîtrait qu’un « léger » Covid19 et acquerrait une immunité naturelle complète! C’est le discours lénifiant que nous tiennent nos « autorités sanitaires », qui nous promettent qu’après l’échec de la vaccination, nous allons en quelque sorte « revenir à la normale », puisque les personnes infectées par le virus deviendront naturellement immunisées.

Malheureusement, il s’avère que, à cause de la vaccination, les vaccinés n’acquièrent PAS une telle immunité à spectre complet et c’est exactement ce que décrit l’UKHSA.

Lorsqu’ils sont soumis à l’épreuve du Covid, les vaccinés produisent « des augmentations significatives des niveaux d’anticorps S (Spike) cohérentes avec le renforcement de leurs niveaux d’anticorps« . Les vaccinés produisent donc plus d’anticorps contre la protéine de pointe originale, même s’ils ont été infectés par le virus qui a contourné ces protéines de pointe en premier lieu! Ce sont les anticorps inutiles qui n’ont même pas protégé les Britanniques des nouveaux variants qui les ont rendus malades!

Mais, selon l’UKHSA, « des observations récentes issues des données de surveillance de l’Agence Britannique de Sécurité Sanitaire (UKHSA) [montrent] que les niveaux d’anticorps N sont plus faibles chez les individus qui contractent l’infection après 2 doses de vaccination. » Ils sont un peu timides à ce sujet, car les niveaux de N ne sont pas seulement « plus faibles », ils sont inexistants: « Les estimations de séropositivité pour les anticorps N sont plus faibles », donc les anticorps N ne sont même pas détectés du tout!

Ce phénomène, qui fait que les vaccinés ne développent pas une immunité totale lors d’une infection breakthrough , est appelé « péché antigénique originel » et est connu depuis les années 1950.

Malheureusement, en l’absence d’une mémoire immunitaire appropriée, cela signifie que les vaccinés seront souvent réinfectés, avec des conséquences probablement très délétères.

Anti-Immunité

Pour obtenir un modèle mental approprié de ce que représente le péché antigénique originel, il est utile de considérer la vaccination comme conférant une « anti-immunité ».

Cela signifie que non seulement les personnes vaccinées sont incapables de s’immuniser naturellement contre le Covid, mais, bien pire, que même les infections breakthrough ne leur permettront JAMAIS d’atteindre une immunité naturelle appropriée comme les personnes non vaccinées.

Je suis vraiment désolé pour ces personnes et j’aimerais que ce ne soit pas le cas, mais c’est malheureusement le cas.

[liens vers deux vidéos explicatives supprimées par Twitter, dont une par Harvey Risch, un des plus célèbres épidémiologistes actuels]

Covid pour la troisième fois.
J’en ai tellement marre de tout ça. Je me sens vraiment comme une merde cette fois. Maux de tête, courbatures, congestion, maux de gorge. La dernière fois que j’ai eu le covid, il y a environ 4 mois, j’ai dû avoir 2L d’oxygène en permanence. Mon corps est épuisé. Je suis tout le temps fatiguée maintenant. Je suis toujours aussi essoufflée. Que vais-je devoir subir cette fois-ci?
J’ai eu les vaccins et le booster. Mon système immunitaire est juste nul, je suppose.
Co-morbidités : polyarthrite rhumatoïde, MPOC ( non-fumeuse ), asthme, et d’autres choses comme l’anxiété, la dépression, les migraines, l’apnée du sommeil.
J’ai 17 ans, j’ai eu le Covid19 et l’Omicron, donc j’ai été infecté par le corona deux fois. De plus, j’ai eu deux vaccins avant d’être infecté par Omicron. Est-ce que j’ai maintenant une forte immunité contre les covid de différents types? Je sais que si un nouveau virus arrive, ce sera différent, mais les anciens?
La dernière chose que je veux faire est de vous effrayer, mais j’ai eu le covid 3 fois maintenant. Novembre 2020 non vacciné, juillet 2021 vacciné et encore le mois dernier. Pour être juste, j’étais coincé sur un bateau pour un déploiement les deux dernières fois. Ceci étant dit, la plupart de mes problèmes respiratoires et gastro-intestinaux n’ont commencé que 3 à 5 semaines plus tard. Je peux vous dire que j’ai appris à mes dépens qu’il ne faut pas les combattre comme un simple rhume, car il semble qu’il s’agisse d’une réponse immunitaire inflammatoire et que des choses comme l’entraînement intensif ou le fait de ne pas s’hydrater et de ne pas se nourrir correctement ont créé un problème en cascade. C’est juste ma propre expérience. Ma recommandation est de traiter les symptômes du mieux que vous pouvez par des moyens naturels! Des choses comme les stéroïdes favorisent la croissance des champignons, les antibiotiques tuent les bonnes bactéries et favorisent les problèmes gastro-intestinaux. Toutes ces choses peuvent aggraver la réaction inflammatoire naturelle de votre corps. Les thés, les vitamines, l’eau, la nutrition et le repos quand il est possible sont vos meilleurs amis ! Bonne chance, je vous souhaite de bien vous porter.

Texte original

UKHSA Explains Endless Reinfections of the Vaccinated

Original Antigenic Sin Plainly Explained by UKHSA

Igor Chudov

Feb 2

UK’s Health Security Agency UKHSA continues to put out very interesting reports.

An item in the latest Vaccine Surveillance Report caught my eye. It explains, in simple language, that the vaccinated do NOT acquire the “full natural immunity”. Therefore, in my opinion, vaccinated persons will be reinfected endlessly with Covid. Reinfection is my favorite topic and I covered it a few times on this substack.

Let’s take a look at page 52:

This is called “Original Antigenic Sin”. What are they talking about and what is this? Why is this important?

It is important because it shows the mechanism through which the vaccinated cannot acquire full spectrum immunity.

When Brits receive any “Covid Vax” available in the UK, the shots trick their own bodies into making a small part of the Covid19 virus, called “Spike Protein”. This small viral part creates an inflammatory immune reaction, which makes our body recognize these proteins as alien and generate “antibodies”, which are small objects that neutralize the spike protein.

Thus, the vaccine theory goes, the vaccinated obtain immunity, as their antibodies would be able to bind to, and neutralize, the viral spike protein. Such a vaccine is called “single-antigen” vaccine and presents only single part of the virus.

In contrast to that, when a vaccine-free person encounters a real Covid-19 infection, and fights it, the immune response and the antibodies would be to all kinds of the Covid19 virus: to the spike protein, to the “nucleocapsid” (protein membrane cover), and so on.

The difference between vaccine-only and natural immunity shows up when the virus mutates slightly. The vaccinated have only Spike immunity and do not do well when the virus mutates and the Spike shape changes. The naturally immune do much better as their various antibodies recognize other parts of the virus.

As we all know, the vaccine more or less stopped preventing illness, due to the virus mutating and changing its spike protein. No problem, right? The vaccinated person would just experience a “mild” Covid19 and acquire full natural immunity! This is the soothing talk we are hearing from our “health authorities”, who promise that after vaccine failure we will somehow “return to normal”, as the breakthrough-infected would become naturally immune.

Unfortunately, it turns out that, because of vaccination, the vaccinated do NOT acquire such a full spectrum immunit,y and this is exactly what UKHSA is describing.

Upon being challenged by Covid, the vaccinated produce “significant increases in S (Spike) antibody levels consistent with boosting of their antibody levels.” So the vaccinated make more original Spike antibodies, even though they were infected by the virus that evaded those spike proteins in the first place! Those are the useless antibodies that did not even protect Brits from new variants they just got sick with!

But, UKHSA says, “recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data [show] that N antibody levels are lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination.” They are a little coy about it, as the N levels are not just “lower”, they are nonexistent: “Seropositivity estimates for N antibody are lower”, so the N antibodies are not even detected at all!

This phenomenon of the vaccinated not developing full immunity upon breakthrough infection, is called “original antigenic sin” and has been known since 1950s.

Unfortunately, without a proper immune memory response, it means that the vaccinated will get reinfected often, with likely very deleterious consequences.

Anti-Immunity

The proper mental model of what OAS represents, it is helpful to think about vaccination as conferringanti-immunity”.

What this means is that not only the vaccinated are unable to become naturally immune to Covid, but far worse, even breakthrough infections will NEVER allow them to reach proper natural immunity like the vaccine-free people.

I am very sorry about these people and I wish that it was not the case, but sadly it is.

[links to two deleted videos banned by Twitter, one of which is by Harvey Risch, one of the most reknown current epidemiologists]

Here are some samples of such persons

Covid, vaccin, VIH et SIDAV – Explication – par Igor Chudov.

Je ne vais pas consacrer trop de temps à démonter l’arnaque pour méméres du Covid=venin, voyez mon article précédent. Si j’ai trop de temps, je publierai d’autres articles à ce sujet mais il y a mieux à faire en attendant.

Un de mes fidèles lecteurs m’ayant envoyé un feedback positif suite à la publication de cet article signé Igor Chudov, j’en fais en priorité passer plusieurs du même (théoriquement quatre, qui forment un ensemble), dont celui-ci, un peu ancien (enfin, deux mois) mais utile pour comprendre les suivants. [Mise à jour 17/04: il y en aura en fait six en tout (pour l’instant) sur le même sujet]

Note:

  1. J’ai entièrement traduit le texte qui figure sur les illustrations et mis en gras ce que l’auteur a souligné. Les témoignages à la fin sont assez émouvants, que ces gens soient dupes des injections n’y change rien. Pauvre Humanité.
  2. Comme je suis apparemment le premier sur le web (pour changer) à me charger de fournir une traduction française du terme VAIDS [Vaccine Acquired (or Aided) Immune Deficiency Syndrome], j’ai choisi le pas très élégant – vous voudrez bien me pardonner – mais littéral SIDAV [Syndrome d’Immunodéficience Acquise (ou Aidée) par les Vaccins].
  3. A propos de premier sur la balle, voici un article où l’habituellement très mal informé Thierry Meyssan finit par dire (une partie de) ce que j’annonçais le 23 janvier à propos des « sanctions » contre la Russie, qui visent en fait l’Europe de l’Ouest. Nous, quoi. Il n’a juste pas compris le niveau de destruction qui frappera aussi les USA. Ce qui suit en fait partie.

Source.


Traduction

Covid, Vaccin, VIH et SIDAV – Explication

« Motifs » du VIH présents dans le Sars-Cov-2, ainsi que dans le « Vaccin Covid « 

Igor Chudov

20 février

Il n’y a aucun lien entre le VIH ou le SIDA et les vaccins COVID-19, disent les vérificateurs de faits.
Eh si!

Nous savons que lorsque les vérificateurs de faits disent quelque chose, c’est souvent pour couvrir autre chose. Mais quoi? Cet article tente d’organiser ce que je sais afin d’éviter les erreurs de langage sur des sujets compliqués.

En général, je n’aime pas éditer mes articles plus d’un jour après leur publication, et mes éditions se limitent à corriger des coquilles, des erreurs de calcul ou à ajouter des clarifications mineures. Je n’édite jamais mes anciens articles, mais ceci est une exception: CE SERA UN DOCUMENT VIVANT PENDANT AU MOINS UNE SEMAINE.

J’aimerais demander à mes lecteurs d’intervenir et de proposer leurs corrections, ajouts et clarifications, s’il vous plaît. J’essaierai de les vérifier et d’ajouter ou de modifier l’article si nécessaire. Je veux qu’il soit une introduction véridique, relativement complète et compréhensible de l’interaction entre le Covid, le VIH, le  » vaccin Covid  » et l’immunité. Je veux également éviter les déclarations non étayées par des preuves ou sans fondement.

L’immunité est un sujet très complexe et je ne chercherai pas à le couvrir entièrement – seulement à apporter un peu de lumière sur les liens mentionnés ci-dessus et pas plus.

Premières clarifications

  • Le VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine) est un virus sanguin à base d’ARN, transmis par voie sexuelle ou par le partage d’aiguilles. Ce virus est associé à une maladie appelée SIDA (Syndrome d’Immunodéficience Acquise). Le système immunitaire des personnes atteintes de ce syndrome est en quelque sorte « désactivé » et elles souffrent d’infections sans fin ou de cancers rares et agressifs qui ne sont dès lors pas combattus par un système immunitaire sain.
  • Le Sars-Cov-2 est un virus à base d’ARN qui cause le Covid-19. Le Sars-Cov-2 n’est PAS le même que le virus du VIH (mais voir ci-dessous).
  • Le SIDAV [NdT. ma traduction de VAIDS, donc] est un terme familier, qui n’est pas encore un terme scientifique accepté par la science officielle, faisant référence aux problèmes immunitaires dus au vaccin Covid, et n’est PAS le même que le SIDA causé par le VIH.

Le Sars-Cov-2 et le VIH

Les origines du Sars-Cov-2 sont obscures. Il semble très probable que le Sars-Cov-2 soit le produit d’un travail de laboratoire. Cet article n’est PAS le lieu pour défendre cette opinion. Je me contenterai d’indiquer qu’il s’agit d’un élément que je trouve hautement probable et j’en resterai là. Si vous voulez que j’écrive un résumé des raisons pour lesquelles je pense que le Sars-Cov-2 est un virus de laboratoire, je serai heureux de le faire. Ce résumé pourrait être aussi long que cet article et serait toujours incomplet.

Quiconque vous dit qu’il sait qui a créé Sars-Cov-2 et dans quel but, est soit un menteur, soit un fou, soit la personne qui l’a fait. Cependant, il existe quelques suppositions valables.

Dan Sirotkin a écrit un long article sur le fait que le Sars-Cov-2 était le résultat du développement d’un vaccin vivant atténué (VVA) pour un pathogène encore inconnu.

Le Sars-Cov-2 contient plusieurs thèmes artificiels qui ne faisaient pas partie des coronavirus naturels auparavant et qui lui ont donné la « capacité » de proliférer dans le monde entier et de tuer tant de personnes.

En laissant de côté les autres ajouts génétiques, permettez-moi de mentionner que le virus Sars-Cov-2 contient ce que l’on appelle des « motifs VIH », c’est-à-dire des séquences génétiques extraites du virus VIH, qui se sont retrouvées dans le virus Sars-Cov-2 d’une manière non naturelle très suspecte.

L’un de ces motifs est appelé « Gp120 ». Il est abordé dans un article intitulé Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag. Cet article faisait clairement référence à des séquences génétiques correctes, mais il a ensuite été retiré sous pression, sans raison claire. (cherchez sur duckduckgo « covid uncanny motifs withdrawn« )

Le Gp120 est une séquence génétique qui est exprimée dans la « protéine de pointe » du virus du Covid.

Pour ceux qui pourraient penser qu’il s’agit d’une occurrence aléatoire, voici une image annotée sur les travaux antérieurs de la sommité de la recherche sur les coronavirus, Ralph Baric, de l’UNC (Université de Caroline du Nord).

Apparemment, même en 2018, Ralph Baric s’amusait à ajouter des séquences du VIH à des dérivés recombinants du virus SARS-Cov-1 (l’ancien SARS) ou de ses protéines de pointe. Ça vous rappelle quelque chose?

L’article est ici. Ralph Baric est un nom à retenir, car il est probablement l’une des figures centrales derrière l’émergence du Sars-Cov-2. Il s’agit d’un scientifique de l’UNC qui a toujours travaillé sur les vaccins vivants atténués et les coronavirus. Notez que la séquence discutée dans cet article n’est peut-être pas la même que celle du Gp120. Néanmoins, cela démontre que de tels travaux d’insertion de séquences du VIH dans des coronavirus ont été réalisés dans le passé par des chercheurs crédibles.

Voici un « fact check » de Reuters qui, s’il est lu de manière critique, va en fait dans le sens de ce que j’ai écrit.

Nous ne savons PAS qui, ou comment, a décidé d’insérer le Gp120 du VIH dans le code de la protéine de pointe du Sars-Cov-2. Ce que je montre, c’est que l’insertion de séquences du VIH dans des coronavirus n’est pas totalement étrangère à la recherche sur les coronavirus, et qu’elle a déjà été réalisée et publiée. Il n’est donc pas du tout exagéré de présumer que l’ajout du Gp120 au Sars-Cov-2 a été fait intentionnellement.

De même, le motif « gp41 » a également été extrait du VIH et inséré dans le Sars-Cov-2.

Motifs génétiques du vaccin Covid et du VIH

Les deux ARNm (Pfizer 162b2 et Moderna 1273) codent exactement pour la protéine de pointe du virus Sars-Cov-2, avec deux mutations mineures de la « proline » pour stabiliser les molécules de protéine S flottantes et empêcher leur clivage.

Si la glycoprotéine S du coronavirus est la cible principale de la conception du vaccin contre le SARS-CoV-2, les principaux candidats-vaccins et les vaccins récemment homologués utilisent une variété de constructions et de stratégies. (6) Par exemple, le mRNA-1273 de Moderna et le BNT162b2 de Pfizer (7) codent tous deux pour la longueur totale de la S avec deux mutations pour stabiliser la conformation de préfusion, (8) et le vaccin viral inactivé CoronaVac de Sinovac présente la S de type sauvage sur la surface virale, (9) bien que la majorité des pics soient dans la conformation de postfusion. (10) L’un des principaux objectifs du développement d’un vaccin contre le SARS-CoV-2 est de susciter une réponse immunitaire robuste contre la protéine de pointe, et plus particulièrement contre le domaine de liaison au récepteur (RBD), où se trouvent de nombreux épitopes neutralisants. (10-15) À cette fin, de nombreux vaccins candidats comportent (deux ou plus) mutations stabilisantes dans la protéine S, de sorte que la protéine conserve la conformation de préfusion et évite l’excrétion de S1. (3)

Ainsi, chaque personne infectée par le Covid, et chaque heureux bénéficiaire de deux doses de « vaccin Covid » et de boosters, est également bénéficiaire des motifs Gp120 et Gp41 du VIH, probablement copiés dans le Sars-Cov-2 par celui qui l’a conçu. Je ne sais pas quel événement – l’infection par Covid ou la vaccination – produit le plus de protéine de pointe, mais je suis sûr que cela est très variable selon la charge virale de Covid et la technique d’injection du vaccin.

Le lecteur avisé Moritz a trouvé quelque chose: « La gamme des concentrations d’antigènes de pointe dans le sang des vaccinés à ce stade précoce recoupe largement la gamme des concentrations d’antigènes de pointe rapportées dans le plasma dans une étude d’infection aiguë. »

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867422000769

Donc le vaccin Covid nous donne à peu près autant de protéine de pointe qu’une infection Covid. Et les personnes vaccinées en ont déjà reçu trois doses! Le pire dans tout ça, c’est que l’infection du Covid disparaît généralement en une semaine, mais que la production de protéine de pointe chez les vaccinés se poursuit pendant 60 jours, ce qui expose les vaccinés à beaucoup plus de dommages liés à la protéine de pointe:

Pendant la pandémie de SARS-CoV-2, des stratégies vaccinales nouvelles et traditionnelles ont été déployées dans le monde entier. Nous avons cherché à savoir si les anticorps stimulés par la vaccination ARNm (BNT162b2), y compris la troisième dose de rappel, diffèrent de ceux générés par l’infection ou les vaccins adénoviraux (ChAdOx1-S et Gam-COVID-Vac) ou viraux inactivés (BBIBP-CorV). Nous avons analysé les ganglions lymphatiques humains après une infection ou une vaccination par ARNm pour trouver les corrélats des différences sérologiques. L’étendue des anticorps contre les variants viraux est plus faible après l’infection par rapport à tous les vaccins évalués mais s’améliore sur plusieurs mois. L’infection par un variant viral provoque la production d’anticorps spécifiques à ce variant, mais la vaccination préalable par ARNm imprime des réponses sérologiques contre le Wuhan-Hu-1 plutôt que contre les antigènes du variant. Contrairement aux centres germinaux (CG) perturbés dans les ganglions lymphatiques pendant l’infection, la vaccination par ARNm stimule des CG robustes contenant l’ARNm du vaccin et l’antigène de pointe jusqu’à 8 semaines après la vaccination dans certains cas. La spécificité, l’étendue et la maturation des anticorps contre le SARS-CoV-2 sont affectées par l’empreinte de l’histoire de l’exposition et par des contextes histologiques et antigéniques distincts lors de l’infection par rapport à la vaccination.

Une autre étude montre que des exosomes d’ARNm ont été trouvés quatre mois après la vaccination. Les deux études n’ont porté que sur 60 jours et quatre mois, respectivement.

Pour moi, l’effet exact de ces deux motifs du VIH, Gp120 et Gp41, sur les CONSÉQUENCES du Sars-Cov-2 ou sur les effets secondaires des vaccins Covid n’est PAS clair, ni comment ils sont liés aux dommages causés par le Covid. J’aimerais avoir plus de réactions à ce sujet de la part de mes lecteurs et je mettrai à jour cette section.

Cependant, j’ai démontré que LE LIEN ENTRE le VIH, le Sars-Cov-2, et les vaccins Covid EXISTE via les motifs du VIH insérés dans le code de la protéine de pointe du Sars-Cov-2.

Explications en vidéo

Certaines personnes aiment le format vidéo, alors en voici une.

Luc Montagnier, découvreur du VIH et lauréat du prix Nobel (décédé mystérieusement ce mois-ci) : « quelqu’un a ajouté des séquences du VIH sur un virus de chauve-souris ».

Effet de la protéine de pointe sur l’immunité

La protéine de pointe du virus Sars-Cov-2 ou des « vaccins Covid » est l’une des substances les plus bioactives et potentiellement les plus nuisibles connues. Elle est connue pour pénétrer la barrière hémato-encéphalique, le noyau cellulaire et affecter la réplication de l’ADN. Elle est très immunogène.

  1. La protéine de pointe semble reprogrammer les systèmes immunitaires d’une manière étrange : Le vaccin à ARNm BNT162b2 contre le SARS-CoV-2 reprogramme les réponses immunitaires adaptatives et innées.
  2. En pénétrant dans les noyaux cellulaires, la protéine spike flottante inhibe la réparation des dommages à l’ADN : SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Les mécanismes décrits ici sont utilisés à la fois dans la formation de la mémoire immunitaire de toute maladie future, et dans la prévention des mutations de l’ADN conduisant au cancer.

J’aimerais en ajouter d’autres, je pense que j’ai oublié quelque chose, alors si vous savez quelque chose, dites-le.

Problèmes du système immunitaire chez les vaccinés

Il est de plus en plus évident que les personnes vaccinées, après avoir été infectées par le Covid, ne développent PAS une large immunité naturelle, mais produisent davantage d’anticorps S contre la protéine de pointe avec laquelle elles ont été vaccinées à l’origine.

Voir:

SIDAV

Je ne suis pas la première personne à avoir remarqué ces problèmes et certainement pas la seule. Les gens ont commencé à faire référence, dans le langage courant, aux problèmes immunitaires des personnes vaccinées en les appelant SIDAV (Syndrome d’Immunodéficience Acquise (ou Assistée) par les Vaccins) [VAIDS – Vaccine Acquired (or Aided) Immune Deficiency Syndrome]. Ce terme est une figure familière du langage courant, pour l’instant, et n’est pas encore utilisé dans les articles scientifiques.

Cependant, les problèmes immunitaires rencontrés par les personnes vaccinées sont réels. Les réinfections aussi.

Voici quelques titres de presse.

Les Britanniques qui souffrent du « pire rhume de leur vie » pourraient avoir contracté le Covid sans s’en rendre compte.
De nombreux Britanniques souffrent actuellement de symptômes intenses semblables à ceux d’un rhume – nez qui coule, mal de gorge, maux de tête, toux et perte d’odorat – qu’il est difficile de faire disparaître, même après plusieurs semaines.
Les régulateurs de l’Union Européenne ont averti que des injections de boosters fréquentes du COVID-19 pourraient avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont peut-être pas réalisables.
Des boosters répétés tous les quatre mois pourraient finir par affaiblir la réponse immunitaire et fatiguer les gens, selon l’Agence Européenne des Médicaments. Les pays devraient plutôt laisser plus de temps entre les programmes de boosters et les faire correspondre au début de la saison froide dans chaque hémisphère, en suivant le plan établi par les stratégies de vaccination contre la grippe, a déclaré l’agence.

Anecdotiquement, je recueille des histoires sur le Covid sur le subreddit /r/COVID19Positive, et il regorge de tristes histoires de réinfections sans fin au Covid chez les vaccinés, qui surviennent parfois même en un ou deux mois.

Covid pour la deuxième fois en un mois. FML.
J’ai été testée positive le18 janvier – les symptômes étaient fièvre/frissons, douleurs corporelles, migraine, problèmes gastro-intestinaux. J’ai été malade pendant environ une semaine, puis je me suis sentie bien. Puis le 8 février, j’ai eu de la fièvre et des frissons, mais cette fois accompagnés de congestion, de brouillard cérébral et de perte du goût et de l’odorat. J’ai fait un test rapide et un test PCR aujourd’hui le 16 février et les deux sont revenus positifs. Mon médecin pense que j’avais l’omicron et que j’ai maintenant le delta. Mon partenaire a également été testé positif aujourd’hui (mais il ne l’a pas été la première fois que je l’ai eu)… est-ce que cela est arrivé à quelqu’un d’autre? J’ai d’abord pensé que j’avais un long Covid ou des allergies et des symptômes résiduels du mois précédent, mais par chance, j’ai pu expérimenter toutes les différentes souches. FML. J’ai été exposée la deuxième fois alors que je rendais visite à ma grand-mère qui se remettait du Covid dans un centre de réadaptation. (Je suis entièrement vaccinée mais pas boostée).
Pas moi, mais une amie proche. Elle a eu un PCR positif à la mi-janvier, accompagné de toux, nez bouché, mal de gorge et fatigue. Les symptômes ont disparu, mais 4 semaines plus tard, les maux de tête, les maux de gorge, la fatigue et les frissons sont revenus, mais plus forts. Ses tests rapides étaient négatifs, les semaines suivantes. Elle a fait un autre test PCR, qui s’est également révélé positif. Elle a fait un autre test antigénique, et cette fois, il est revenu avec deux lignes très évidentes. Le médecin qui l’a examinée a dit qu’elle voyait des épisodes récurrents de covid à des intervalles de plus en plus courts, et qu’il était fort probable que mon amie ait été réinfectée.
Covid pour la troisième fois.
J’en ai tellement marre de tout ça. Je me sens vraiment comme une merde cette fois. Maux de tête, courbatures, congestion, maux de gorge. La dernière fois que j’ai eu le covid, il y a environ 4 mois, j’ai dû avoir 2L d’oxygène en permanence. Mon corps est épuisé. Je suis tout le temps fatiguée maintenant. Je suis toujours aussi essoufflée. Que vais-je devoir subir cette fois-ci?
J’ai eu les vaccins et le booster. Mon système immunitaire est juste nul, je suppose.
Co-morbidités : polyarthrite rhumatoïde, MPOC ( non-fumeuse ), asthme, et d’autres choses comme l’anxiété, la dépression, les migraines, l’apnée du sommeil.
Positive pour la deuxième fois en deux mois…
Je suis vaccinée (Moderna) mais pas boostée, j’ai eu le Covid pour la première fois juste au moment où je devenais éligible pour le booster, et j’avais prévu de recevoir le booster mercredi de cette semaine mais j’ai commencé à me sentir malade vendredi soir dernier. Il y a une semaine, j’ai commencé à me sentir presque normale depuis mon premier Covid. J’hésitais à recevoir le booster alors que je me sentais encore si malpas vraiment pour une question de sécurité, je voulais juste être capable de m’occuper de mon enfant, et je ne pensais pas probable d’attraper à nouveau le Covid, étant donné que je reste la plupart du temps à la maison avec mon fils et que nous portons un masque chaque fois que nous devons quitter la maison. Mais voilà… Je vais me faire booster dès que ma quarantaine sera terminée.
L’infection m’a frappée plus fort et plus rapidement que la précédente, mais j’ai su que c’était le Covid dès que j’ai eu l’impression que ma tête avait été écrasée par un camion. J’ai eu beaucoup plus mal à la gorge cette fois-ci, j’ai eu une forte fièvre et des douleurs corporelles plus persistantes, j’avais des frissons à un moment et j’étais en sueur et j’avais chaud le moment suivant… Je semble actuellement en voie de guérison, mais ma gorge me fait encore très mal, j’ai très peu d’énergie et j’ai parfois des quintes de toux douloureuses.
Je suis surprise de constater que mon deuxième épisode a été encore pire que le premier. Les symptômes sont apparus plus rapidement, mon état s’est détérioré plus vite, j’ai été dans la phase « écrasée par un camion » plus longtemps et j’ai eu plus de symptômes douloureux… le seul point positif semble être que je semble aussi remonter la pente plus rapidement, à condition de ne pas avoir de revers.
Mon pauvre fils a été très malade pendant une journée, il a pratiquement dormi toute la journée de samedi, et il a la voix éraillée, donc je sais qu’il a mal à la gorge… J’ai hâte de pouvoir le faire vacciner, mais il semble que je doive attendre très longtemps pour cela.
J’emmerde le Covid.

Tous ces rapports sont très préoccupants. Même si chaque cas de Covid semble bénin, leurs effets cumulatifs pourraient être très dommageables et ceci est un euphémisme pour éviter tout alarmisme.

Ainsi, bien que le terme SIDAV ne soit pas un terme scientifique, nous devons commencer à nous préoccuper de la santé immunitaire de nos amis et parents vaccinés.

Besoin de commentaires

Il est possible que j’aie commis des erreurs en rédigeant cet article, ou que j’aie omis des faits essentiels. Si tel est le cas, veuillez commenter dans la section des commentaires et faire part de vos préoccupations. Merci


Texte original

Covid, Vaccine, HIV and VAIDS – an Explanation

HIV « Motifs » present in Sars-Cov-2, as well as in « Covid Vaxx »

Igor Chudov

Feb 20

We know that when fact checkers say something, they sometimes are covering something up. But what? This article attempts to organize what I know so that we avoid misspeaking when talking about complicated matters.

I usually do not like editing my articles more than a day after publishing, and my edits would only correct typos, calculation errors or add minor clarifications. I never edit old articles, but this is an exception: THIS WILL BE A LIVING DOCUMENT FOR AT LEAST A WEEK.

I would like to ask my readers to chime in and offer your corrections, additions and clarifications, please. I will try to truth-check them and add or change the article as necessary. I want it to be a truthful, relatively complete and understandable introduction into interplay between Covid, HIV, “Covid Vaxx”, and immunity. I also want to avoid completely unproven or baseless statements.

Immunity is a highly complex topic and I am not trying to cover it fully — only to shed some light on the links mentioned above and no more.

First Clarifications

  • HIV (Human Immunodeficiency virus) is an RNA-based blood borne virus, transmitted via sex or shared needles. This virus is associated with a disease called AIDS (Acquired Immune Deficiency Syndrome). Sufferers of this syndrome have their immune systems “turned off”, in a way, and suffer from never-ending infections or rare and aggressive cancers that are not stopped by a healthy immune system.
  • Sars-Cov-2 is a RNA-based virus that causes Covid-19. Sars-Cov-2 is NOT the same as the HIV virus (but see below).
  • VAIDS is a colloquial term, not yet a scientific term accepted in official science, referring to immune problems due to Covid vaccine, and is NOT the same as AIDS caused by the HIV.

Sars-Cov-2 and HIV

The origins of Sars-Cov-2 are murky. Sars-Cov-2 does seem to be a product of a lab work with a high degree of likelihood. This article is NOT the place to defend this opinion. I will just state it as something I find to be highly likely and leave it at that. If you want me to write a summary of why I believe that Sars-Cov-2 is a lab virus, I will be glad to do so. This summary could be as long as this article and would still be incomplete.

Anyone who tells you that they know who created Sars-Cov-2 and for what purpose, is either a liar, or a fool, or the person who did it. However, there are some good guesses.

Dan Sirotkin wrote a long article about Sars-Cov-2 being a result of development of a Live Attenuated Vaccine (LAV) for a yet-unknown pathogen.

Sars-Cov-2 contains several artificial themes that were not part of natural coronaviruses before and which gave it “fitness” to proliferate around the world and kill so many people.

Leaving other genetic additions aside, let me mention that Sars-Cov-2 contains so called “HIV motifs”, that is, genetic sequences lifted off the HIV virus, that somehow made it into the Sars-Cov-2 virus in a suspiciously unnatural fashion.

One of those motifs is called “Gp120”. It is discussed in an article titled Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag. This article was clearly referring to correct genetic sequences, but was later withdrawn under pressure without a clear reason. (duckduckgo “covid uncanny motifs withdrawn”)

Gp120 is a genetic sequence that is expressed into the “spike protein”of the Covid virus.

To those who might think that this is a random occurrence, here’s an annotated image about earlier work by the luminary of coronavirus research Ralph Baric of UNC.

Apparently, even back in 2018, Ralph Baric was messing around adding HIV sequences to recombinant derivatives of the SARS-Cov-1 (the old SARS) virus or its spikes. Rings a bell?

The article is here. Ralph Baric is a name you should remember, as he is likely one of central figures in emergence of Sars-Cov-2. He is a scientist at UNC who always worked on live attenuated vaccines and coronaviruses. Note that the sequence discussed in that article is may not be the same as Gp120. Nevertheless, it shows that such work of inserting HIV sequences into coronaviruses was done in the past by credible researchers.

Here’s a Reuters “fact check” that, if read critically, actually goes along the lines of what I wrote.

We do NOT know who, or how, decided to insert HIV’s Gp120 into Sars-Cov-2’s spike protein code. What I am showing is that putting HIV sequences into coronaviruses is not completely out of character for coronavirus research and was done previously and published. So it is not at all outlandish to presume that adding Gp120 to Sars-Cov-2 was done intentionally.

Similarly, the “gp41” motif was also lifted off HIV and inserted into Sars-Cov-2.

Covid Vax and HIV Genetic Motifs

Both mRNA (Pfizer 162b2 and Moderna 1273) encode the exact spike protein of the Sars-Cov-2 virus, with two minor “proline” mutations to stabilize free floating S-protein molecules and prevent their cleaving.

Thus, every Covid-infected person, and every lucky recipient of two doses of “Covid vaccine” and booster shots, is also a recipient of HIV motifs Gp120 and Gp41, likely copied into Sars-Cov-2 by whoever designed it. Which event — Covid infection or vaccination — produces more spike protein, is not something I know, but I am sure that this is highly variable depending on Covid viral load and vaccine injection technique.

Astute reader Moritz found something: « The range of spike antigen concentrations in the blood of vaccinees at this early time point largely overlaps with the range of spike antigen concentrations reported in plasma in a study of acute infection. »

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867422000769

So Covid Vax gives us about as much spike protein as a Covid infection. And the vaccinees already had three doses of that! The worst part of this is that Covid infection usually goes away in a week, but spike protein production in vaccinees continues for 60 days, exposing vaccinated people to much more spike protein damage:

Another study shows that mRNA exosomes were found four months after vaccination. Both studies only looked at 60 days and four months, respectively.

It is NOT clear, to me, what exact effect do these two HIV motifs Gp120 and Gp41 have on the OUTCOME of Sars-Cov-2, or the side effects of Covid vaccines, and how are they related to damage from Covid. I would like more feedback on this from my readers and will update this section.

However, I have shown that THE LINK BETWEEN HIV, Sars-Cov-2, and Covid vaccines DOES EXIST via HIV motifs inserted into Sars-Cov-2 spike protein code.

Video Explanations

Some people like video content so here we are.

HIV discoverer and Nobel Prize winner Luc Montagnier (mysteriously died this month): “someone added HIV sequences on top of a bat virus”

Effect of Spike Protein on Immunity

The Spike Protein of the Sars-Cov-2 virus or the “Covid Vaccines”, is one of the most bioactive and potentially damaging substances known. It is known to penetrate the blood-brain barrier, cell nucleus and affect DNA replication. It is very immunogenic.

  1. Spike protein seems to reprogram immune systems in a strange way: The BNT162b2 mRNA vaccine against SARS-CoV-2 reprograms both adaptive and innate immune responses
  2. When penetrating cell nuclei, free floating spike protein inhibits DNA Damage Repair: SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. The mechanisms described here are used both in formation of immune memory of any future illness, as well as preventing DNA mutations leading to cancer.

I would like to add more to this, I think that I forgot something so if you know something, say something.

Immune system problems in the Vaccinated

It is becoming apparent that vaccinated persons, upon breakthrough infection with Covid, do NOT develop broad natural immunity, and instead produce more S antibodies against the spike protein that they were originally vaccinated with.

See:

VAIDS

I am not the first person who noticed these problems and definitely not the only one. People started referring, in common parlance, to the immune problems of vaccinated persons by calling it VAIDSVaccine Acquired (or Aided) Immune Deficiency Syndrome. This term is a colloquial figure of common speech, as of now, and is not yet used in any scientific articles.

However, immune problems encountered by vaccinated people are real. So are reinfections.

Here are some headlines.

Anecdotally, I collect stories about Covid from /r/COVID19Positive subreddit, and it is full of sad stories about endless Covid reinfections in the vaccinated, occurring sometimes even within one or two months.

All of these reports are highly concerning. Even if each instance of Covid seems mild, their cumulative effects could be very damaging and that is to put it mildly to avoid alarmism.

Thus, while VAIDS is not a scientific term, we need to start being concerned about immune health of our vaccinated friends and relatives.

Feedback Needed

It is possible that I made mistakes writing this article, or omitted key facts. If so, please comment in the comment section and bring up your concerns. Thanks