H5N2, et ta soeur?

Le H5N1 vous présente sa frangine mexicaine.

ZeroHedge republie cet article bien pourri de Michael Snyder, un catastrophiste professionnel – qui en fait des bouquins pour nous les gueux. S’il n’est pas déjà salarié par la CIA, je leur envoie une lettre de recommandation. Cette merveille aurait davantage sa place dans The Atlantic ou quelque autre officine du Renseignement mais, en bon rouage de l’opposition contrôlée1,Tyler Durden, (qui écrit pourtant souvent des choses sensées que je traduis sur ce blog), doit probablement de temps à autre polluer le puits s’il veut conserver sa place/son compte en banque/sa vie. Ça ne mérite pas d’être relayé in extenso ici, je vous torche vite fait un résumé (ce qui est entre parenthèses est de ma plume, si j’ose dire):

Un Monsieur mexicain est tombé mort (!) de la grippe avaire mais pas celle qui a frappé trois autres personnes aux États-Unis (le déjà terrifiant H5N1, qui peut faire couler le nez et même rougir les yeux). Non, c’est le H5N2 (sûrement encore plus terrible parce que +1)! Mais attendez, il y a pire. Les américains l’ont attrapé en trayant des vaches qui ont la grippe avaire, parce qu’on leur a fait un test (de même qu’on peut attraper la maladie de la vache folle à la pêche aux canards – ce n’est plus une barrière inter-espèces, c’est une passoire) mais le Monsieur mexicain n’avait pas eu de contact avec des oiseaux ou d’autres animaux donc aurait-il pu l’attraper… d’un autre être humain? Ça fait peur parce que déjà qu’on ne sait pas ce que ferait une pandémie « potentiellement catastrophique » de H5N1 (qui se déclarerait juste maintenant, malgré que le virus circule depuis au moins 146 ans), on sait encore moins ce que ferait une pandémie de H5N2, ce qui fait encore plus peur (selon le principe hautement scientifique: moins on en sait, plus on a peur).

L’OMS, toujours sur la balle, a fait un communiqué sur le Monsieur mexicain: il avait 59 ans, il avait de multiples co-morbidités (ce qui me rappelle confusément quelque chose) et était cloué au lit depuis trois semaines quand soudain (si on peut dire) il s’est mis à souffrir de fièvre, souffle court, diarrhée, nausées et malaises. Et comment sait-on qu’il avait la grippe aviaire H5N2, le Monsieur? On lui a fait un test PCR, évidemment (quelle question!)

L’auteur s’interroge ensuite: oui mais s’il l’a attrapé d’un autre être humain, alors il a aussi pu contaminer (musique) d’autres êtres humains? Des centaines, des milliers? demande-t-il (je rappelle que le mec était cloué au lit).

Pendant ce temps, le H5N1 (vous suivez?) continue « d’alarmer les experts » (un métier particulièrement angoissant, je serais eux je ferais démineur), surtout maintenant qu’on a trouvé (personnes sensibles, s’abstenir) 11 souris contaminées, toujours au Mexique. Ouaip, PCR. Des souris! Elles sont partout! Comme les rats porteurs de la peste bubonique! (je vous jure que j’invente pas)

Les chercheurs, jamais pris en défaut, ont fait une étude qui montre que les souris ont pu attraper le H5N1 en buvant… du lait cru! (que j’ai entendu qualifier sur une radio américaine par un célèbre médecin de l’ère Covid de « raw sewage » – d’eaux d’égoût. La FDA n’aime pas beaucoup le lait cru, elle envoie de temps en temps des unités de policiers – obèses – dans les magasins de produits fermiers.)

L’auteur rappelle que la grippe aviaire a déjà tué des centaines de millions d’oiseaux (ou plus probablement aucun, c’est la magie du PCR) et que maintenant qu’elle a contaminé des vaches laitières, des chats et des souris, les scientifiques pensent (pour nous) que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle déclenche une pandémie chez les humains, et que maintenant que le Monsieur est mort du H5N2, la peur va déferler sur le monde pire qu’avec le Covid. Masques! Confinements! Vaccins!

Enfin, vous avez compris.

Bon, c’est assez gênant pour ZeroHedge mais le meilleur est, comme souvent, dans les commentaires – ce site a les meilleurs lecteurs sur la planète. Florilège:

Mesdames et Messieurs, jeunes gens, nous vous présentons le variant « Élections ».

Oui, les élections auront lieu dans 5 mois.

3 mois de battage médiatique, puis 2 mois pour aplatir la république.

Pour la machine Marxiste Démocrate, le Mexique est l’endroit idéal où lâcher sur la population son nouveau virus créé en laboratoire.

Il sera ensuite importé aux États-Unis par la frontière et se répandra dans tout le pays.

En novembre, ils pourront décréter un confinement et truffer l’élection de faux bulletins « postaux » qu’ils trouveront à 4 heures du matin et qu’ils scanneront 5 fois chacun.

Quelle est la probabilité qu’un type de 59 ans avec co-morbidités et malade depuis trois semaines soit testé pour le H5N2? En plus, au Mexique.

Quelle chance qu’ils aient eu sous la main ces tests PCR fiables à 100% dans ce trou à rats qu’est le Mexique – pour un paysan obèse morbide qui a attrapé un rhume de cerveau et a crevé… sans « aucune exposition à des animaux d’élevage » – bien que le pays tout entier soit un répugnant zoo géant… le simple fait de poser le pied au Mexique vous expose automatiquement à des centaines d’espèces inconnues…

Le CDC recommande de courir dans tous les sens en agitant les deux bras en l’air et en poussant des cris de panique.

Un représentant du gouvernement mexicain a annoncé ce matin, lors de la conférence de presse d’AMLO, que même si l’un des tests effectués sur la personne décédée s’était révélé positif pour le virus, le patient était mort d’autres maladies liées au diabète et à l’insuffisance rénale, et que l’OMS avait fait preuve d’irresponsabilité en déclarant que le décès était dû au virus H5N2.

À 682 cycles, on peut passer au travers de l’ADN/ARN du dinosaure et du poisson marcheur et enfin trouver et amplifier le virus qui l’a tué.

Savez-vous combien de temps il faut à un virus pour évoluer à l’état sauvage sans que des humains le bidouillent?

Environ 700 ANS.

Cela signifie que CHAQUE nouveau virus dont vous entendez parler est FABRIQUÉ PAR L’HOMME. Commencez à vous occuper des salopards qui FABRIQUENT cette merde!

Quand les gens vont-ils se réveiller?

« Quand les gens vont-ils se réveiller? »

… Quand ils seront à genoux, face au fossé peu profond qu’ils viendront de creuser, avec le canon d’un pistolet sur la nuque.

Donc, toujours au même moment.

Nouvelle présidente du Mexique, nouvelle grippe.

Le Mexicain diabétique et obèse de 59 ans qui vit sur la plage de Papagayo meurt et tout le monde panique?

Des analyses de la qualité de l’eau ont révélé que la plage de Papagayo, à Acapulco, était la plus sale du Mexique, avec 198 coliformes fécaux pour 100 millilitres d’eau. Toute valeur supérieure à 200 est considérée comme dangereuse pour la baignade.

Papagayo est la pire des six plages d’Acapulco figurant sur la liste des 10 plages les plus sales établie par Semarnat.

Voilà ce qui arrive quand on laisse des meurtriers s’en tirer une première fois. Ils recommencent.

La prochaine personne qui mourra dans un accident de voiture sera déclarée morte du H5N2.

Les fientes d’oiseaux sur le pare-brise le prouveront.

Euh, non. Bien sûr, les personnes qui sont « à jour » de boosters et qui n’en sont pas encore mortes courront partout en hurlant, les cheveux en feu, mais tous les autres hausseront les épaules et continueront à vivre leur vie pendant que les médias à la solde de Pharma essaieront désespérément d’attiser l’hystérie « nous allons tous mourir! » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il sera divertissant de les voir essayer de faire revenir Fauci, Birx et tous les autres médecins de plateaux télé qui colportent l’idée de « faire confiance à la science ». Nous ne nous laisserons pas berner une nouvelle fois.

Ce sera intéressant d’observer le déroulement de la prochaine PANDEMIE™. Je doute que beaucoup la prennent au sérieux, et une bonne moitié dira carrément aux marionnettistes d’aller se faire voir. Bien sûr, 30 à 40% de la population se conformeront à la loi par réflexe, mais le reste posera problème. L’OMS le sait et fait tout son possible pour prendre le contrôle et être en mesure d’emprisonner et de punir sans limites ceux qui n’acceptent pas de se plier à leurs conneries. Ça va être très amusant!!!

Un simple rhume justifie désormais l’arrêt de la civilisation et une averse signifie que la fin est proche en raison du changement climatique. Idiocratie.

Mince, 65 000 000 de personnes meurent chaque année, soit 178 000 par jour… 1 décès, PANIQUE!

Rappelez-vous que Big Pharma avait atteint son niveau le plus bas juste avant…?

Quelqu’un s’est enrichi suite à cette nouvelle…

Très clairement, le Covid était une escroquerie américaine visant à s’emparer, en partie, des richesses du Royaume-Uni et de l’Europe.

Lorsque votre idéologie a échoué, qu’elle a détruit l’économie et l’âme de votre propre pays et qu’il ne vous reste plus que les armes d’un État militaire fasciste, il est inévitable que vous essayiez de consommer vos alliés. Surtout lorsque vous êtes si faible et incompétent que vous n’êtes plus en mesure de vaincre vos ennemis.

La seule organisation sur la planète disposant de l’infrastructure nécessaire pour mettre en œuvre un plan international aussi vaste que le Covid était la CIA/NSA, l’État sécuritaire américain.

La réponse à la pandémie définit en fait les limites de l’empire américain: plus on est proche du cœur de l’empire, plus le taux de mortalité est élevé et plus les mesures de confinement sont strictes. Les cinq États les plus touchés, à savoir le Royaume-Uni, les États-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada, ont été les plus durement éprouvés, car la CIA contrôle entièrement leurs services de sécurité. En revanche, l’Afrique n’a pratiquement pas été touchée par l’idiotie du Covid.

Ne vous inquiétez pas les gars, je suis sûr à 100% que McDonnie peut accélérer la mise en place d’un autre vaccin… même depuis sa cellule de prison.

Mettez un masque sur votre téléviseur pour éviter la contagion.

Et pour finir, la question la plus importante, que je me posais aussi:

Je ne comprends pas très bien comment il a pu tomber raide mort alors qu’il était déjà alité depuis longtemps, mais bon…

Il s’est affaissé dans son matelas. L’affaissement est considéré comme une chute. C’est de la science.

Je vous quitte, je vais chercher les oeufs de mes poules. Souhaitez-moi bonne chance!


  1. À propos d’opposition contrôlée, Alex Jones Bill Hicks prend sa retraite – prétendument pour cause de saisie de ses biens pour indemniser les parents des enfants victimes de l’attentat de Sandy Hook (pas du tout suspect), suite à un procès bidon organisé par la CIA pour faire peur au mougeon complotiste moyen. À mon avis, vu l’âge (réel) de Hicks, la supercherie « Alex Jones » devenait un peu difficile à maintenir, même à coups de chirurgie, et puis il faut faire taire toute critique réaliste de Trump, pour ne laisser la place qu’à celles, très rigolotes, de son agence publicitaire, le parti Démocrate. Salut, Bill, remets le bonjour à tes collègues de Langley de ma part! ↩︎

La publication d’un nouveau document révèle la fraude, la tromperie et l’idiotie stupéfiantes qui ont entouré l’abandon du nucléaire en Allemagne – par eugyppius.

J’ai traduit cet article très amusant de eugyppius pour mon épouse mais libre à vous d’en profiter. Amusant parce que le niveau d’idiotie ici décrit – encore pire que celui-ci, déjà assez gratiné – est tellement extrême que ça en devient comique.

Les allemands feraient bien de comprendre que l’idéologie, verte ou brune – les deux partageant la même origine, dont on retrouve l’écho dans le Grand Reset de notre ami Klaus – n’est pas leur point fort et qu’entre leur financement de la réponse au Covid, le rôle plutôt suspect de BioNTech dans le même dossier, et l’omniprésence de la très opiniâtre Ursula von der Leyen, on entend beaucoup trop parler de nos voisins teutons ces derniers temps. Et pas en bien.

Source.


La publication d’un nouveau document révèle la fraude, la tromperie et l’idiotie stupéfiantes qui ont entouré l’abandon du nucléaire en Allemagne

eugyppius

25 avril 2024

Tous nos pays sont fous de différentes manières, mais lorsqu’il s’agit de politique énergétique, l’Allemagne est une championne incontestée de la folie

En 2011, un tsunami provoquait la catastrophe nucléaire de Fukushima. Si vous consultez une carte, vous remarquerez que Fukushima se trouve dans un pays appelé Japon, qui se trouve être un pays différent de l’Allemagne. La catastrophe de Fukushima n’avait rien à voir avec la République fédérale, mais la chancelière de l’époque, Angela Merkel, a ressenti le besoin de résoudre le problème de Fukushima en abandonnant progressivement l’énergie nucléaire en Allemagne, même si les tsunamis et les tremblements de terre ne sont pas un problème en Allemagne, parce que l’Allemagne est un pays d’Europe centrale et non une nation insulaire en Asie.

C’est déjà assez fou, mais il y a plus fou encore. Quelques mois avant d’annoncer la sortie du nucléaire, le gouvernement d’Angela Merkel avait adopté une loi sur la transition énergétique afin d’assurer la transition de l’Allemagne vers un avenir sans émissions. En d’autres termes, nous avons décidé de nous débarrasser de notre principale source d’énergie sans émissions, quelques mois seulement après avoir décidé d’opérer une transition énergétique vers une énergie sans émissions. À ce stade, on serait en droit de se demander si l’Allemagne ne souffre pas d’une sorte de phobie culturelle chamanique de l’électricité en général, tant cette décision est folle. Ces choix insensés ont eu pour conséquence à court terme d’accroître notre dépendance à l’égard du gaz naturel russe. À part ça, ils ont fait en sorte que la production d’électricité en Allemagne soit beaucoup plus chère que nécessaire et qu’elle produise beaucoup plus d’émissions de carbone que nécessaire.

Aujourd’hui, la folie exige des explications, et les observateurs ont proposé diverses théories pour expliquer la folie nucléaire climatique allemande. Deux d’entre elles méritent d’être mentionnées ici:

1) La génération de 1968 en Allemagne était caractérisée par un radicalisme inhabituel, aiguisé par l’anxiété morale suscitée par le national-socialisme, et résolue à surpasser tous les autres dans le projet de la vertueuse abnégation de soi. Notre culture a développé un mouvement antinucléaire délirant qui, dans un élan de rigueur typiquement allemand, en est venu à embrasser l’opposition à l’énergie nucléaire. La catastrophe de Tchernobyl a encore davantage radicalisé les antinucléaires à cheveux roses, et ces crétins ont fini comme présentateurs de journaux télévisés, enseignants et auteurs de livres, endoctrinant de fait la génération suivante conformément à leurs délires parareligieux.

2) Après la guerre froide, les hommes politiques allemands – en particulier Gerhard Schröder et Angela Merkel – nourrissaient le désir subtil et pas tout à fait déraisonnable de renforcer les liens avec la Russie, riche en ressources. Ils ont décidé que les antinucléaires et le parti des Verts pouvaient être instrumentalisés à cette fin. La transition énergétique et la sortie du nucléaire ont accru notre dépendance à l’égard du gaz russe, ce qui était un choix plutôt qu’une erreur.

Ces théories se soutiennent mutuellement, mais je ne pense pas que l’une ou l’autre puisse expliquer entièrement le phénomène étrange dont nous sommes témoins. La folie énergétique de l’Allemagne est un problème très profond qui occupera les historiens pendant de nombreuses générations.

En 2022, la Russie a envahi l’Ukraine, et l’Allemagne, sous la direction du successeur de Mme Merkel, le chancelier Olaf Scholz, a décidé, avec le reste de l’Occident libéral, que la Russie était méchante, méchante, méchante et que le terrible Poutine devait être puni par des sanctions, des sanctions, des sanctions auto-flagellantes. Cette nouvelle poussée de moralisme bien-pensant a encore affaibli notre situation énergétique, ouvrant la voie à une crise énergétique que nous avons nous-mêmes entièrement créée. Les Verts, désormais au gouvernement, étaient déterminés à mener à leur terme les dernières étapes de la sortie du nucléaire, même si nos approvisionnements en gaz naturel étaient incertains. Ce n’est que lorsqu’ils se sont retrouvés au bord de l’abîme politique qu’ils ont accepté à contrecœur d’accorder à nos dernières centrales nucléaires un bail de trois mois et demi. Nous, les Allemands, et notre politique énergétique, avions dépassé tous les autres en termes de folie, nous sommes devenus la risée du monde entier, c’est dire à quel point nous étions fous.

Les Verts ont mené des batailles bureaucratiques sans merci pour fermer les dernières centrales nucléaires et, depuis, pour éviter que leurs idioties ne soient révélées au grand jour, ils ont mené des batailles juridiques sans merci pour garder les archives sous scellés. En audience publique, ils ont fait valoir que ces documents devaient rester secrets, car le Sonderweg allemand [NdT. terme désignant une hypothèse ou une interrogation historique quant à une éventuelle particularité du peuple allemand, voir ici] en matière de nucléaire « doit être défendu à l’avenir, tant au niveau national qu’auprès de nos partenaires internationaux et européens » et que « si ces documents devaient être divulgués, les partenaires de négociation du gouvernement fédéral pourraient contrer nos arguments ». Oui, vous avez bien lu: les avocats du Ministère allemand de l’économie se sont présentés devant un juge l’année dernière et l’ont supplié de ne pas divulguer les documents internes relatifs à l’abandon du nucléaire en Allemagne parce que leur contenu était si discréditant qu’il rendrait cette politique impossible à justifier à l’intérieur du pays et à défendre à l’étranger.

Notre gouvernement n’est donc pas seulement fou. Il sait qu’il est fou, il aime sa folie, il veut persister dans sa folie et son seul souci est que personne ne s’aperçoive de sa folie. Il est comme un homme d’âge moyen souffrant d’une addiction invalidante à la pornographie plantaire et craignant que sa femme ne tombe sur son historique de navigation, mais transmué sous la forme d’une grande puissance industrielle européenne.

Heureusement, les journalistes de l’excellent magazine d’information Cicero ont gagné leur bataille judiciaire et ont réussi à forcer la publication des mémos nucléaires extrêmement gênants. Aujourd’hui, Daniel Gräber publie son analyse tant attendue de ces documents, et ce qu’elle révèle est vraiment et réellement épouvantable. Ces documents montrent des hauts fonctionnaires qui falsifient littéralement des rapports d’experts. Ils montrent ces mêmes fonctionnaires occupés à dissimuler des informations à leur patron, le Ministre de l’économie Robert Habeck, de peur que celui-ci ne parvienne malencontreusement aux bonnes conclusions. Et elles montrent un Habeck inconscient et délibérément trompé, caressant toujours le rêve de devenir un jour chancelier et terrifié à l’idée de s’aliéner les antinucléaires enragés de son propre parti.

Avant de passer aux faits marquants, je dois vous présenter notre galerie de personnages. Il s’agit d’un groupe haut en couleur. Au sommet de cette tragicomédie se trouve bien sûr Habeck lui-même, notre vaillant Ministre des affaires économiques. Il est issu de l’aile technocratique, dite « réaliste », du parti des Verts, ce qui signifie qu’il est un Visionnaire Très Sérieux, à la tête dure, et pas seulement un de ces hippies gauchistes fous.

Habeck tel qu’il souhaite être perçu et tel que les médias d’État s’efforcent de le dépeindre: l’homme d’État clairvoyant et profondément intellectuel. En fait, comme nous le verrons, c’est un parfait crétin.

Encore plus stupide, la collègue de Habeck, Annalena Baerbock, a fini comme candidate des Verts à la chancellerie lors des élections de 2021, pour cause de féminisme. Les ambitions frustrées peuvent briser le meilleur des hommes, sans parler des auteurs de livres pour enfants pseudo-intellectuels et mesquins.

Ensuite, il faut faire la connaissance du puissant secrétaire d’État de Habeck, Patrick Graichen. Cet homme odieux, qui a été contraint de démissionner en mai 2023 à la suite d’un scandale de népotisme, a été le tsar de l’énergie de Habeck pendant la crise de 2022. Il est entré au Ministère après avoir passé des années comme lobbyiste à Agora Energiewende, un groupe de réflexion responsable de la conception et de la promotion d’une grande partie de la folie actuelle de l’Allemagne en matière d’énergies renouvelables.

Le troisième est Stefan Tidow, qui évoque ce qui résulterait du croisement entre un requin et un comptable. Il a également un passé chez Agora, où il a travaillé pendant un certain temps sous les ordres de son ami Graichen. Lorsque le gouvernement Scholz est arrivé au pouvoir, M. Tidow est devenu secrétaire d’État au Ministère de l’environnement, chargé de la surveillance nucléaire.

Enfin, il y a le subordonné de Tidow, un avocat fou nommé Gerrit Niehaus. Comme son patron Tidow, Niehaus semble vraiment, pour des raisons insondables, détester l’énergie nucléaire et c’est très regrettable, car le Ministre Vert de l’Environnement l’a placé à la tête du « Département S », la division responsable de la réglementation nucléaire. Je n’ai pas trouvé de bonne photo de Niehaus, alors pour les besoins de ce billet, je vous invite à imaginer le visage masculin déplaisant de votre choix.

Dès que la Russie a envahi l’Ukraine le 24 février 2022, Habeck et son Ministère surent que leurs projets d’abolition de l’énergie nucléaire étaient remis en question. Habeck laissa d’abord entendre qu’il était prêt à retarder la sortie du nucléaire, et ses subordonnés demandèrent à des experts internes d’évaluer si la prolongation de la durée de vie de nos dernières centrales nucléaires renforcerait la sécurité énergétique. Ces fonctionnaires politiquement neutres rédigèrent une note de quatre pages expliquant en détail toutes les raisons pour lesquelles l’arrêt des centrales face à une crise énergétique imminente pourrait être une mauvaise idée, et pourquoi il pourrait être judicieux de les laisser fonctionner pendant l’hiver. Tous les arguments qui allaient émerger à l’automne, au fur et à mesure que la crise énergétique s’aggravait, étaient donc, comme l’explique Gräber, « sur la table dès le départ … bien préparés par des experts fonctionnaires dont le travail consiste à s’occuper du bien-être du pays tout entier plutôt que de celui d’un parti en particulier ».

Fait fascinant, Habeck affirme qu’il n’a jamais vu cette évaluation. Son tsar de l’énergie, Graichen, déterminé à sortir du nucléaire avant la fin de l’année, quitte à mourir de froid dans l’obscurité, semble l’avoir envoyée directement à la poubelle, condamnant son patron à déclarer des choses stupides et erronées à la télévision dans les mois qui suvaient.

Pendant ce temps, l’homologue de Graichen au Ministère de l’environnement, notre requin-comptable Tidow, travaillait tout aussi dur pour déjouer les rapports gênants de son côté. Le 1er mars 2022, son Ministère commanda une évaluation sur les « scénarios compatibles avec la sûreté nucléaire », au cas où les dernières centrales nucléaires seraient autorisées à fonctionner au-delà du 31 décembre. Les auteurs du rapport – dont deux consultants externes – y affirment qu’aucun problème de sécurité ne s’opposait à la prolongation de la durée de vie des centrales « pendant plusieurs années » au-delà de la date prévue pour leur arrêt progressif.

Le subordonné de Tidow au « Département S », Gerrit Niehaus, trouva ce document très gênant et a commença immédiatement à le réécrire. Fait amusant, il remplace chaque occurrence du mot « énergie nucléaire » (« Kernkraft ») par le mot « énergie atomique » (« Atomkraft ») à la sonorité légèrement plus inquiétante. « Ensuite, écrit Gräber, il a entrepris de transformer le message principal du mémo en son contraire. Il lui a fallu deux jours pour y parvenir. Le 3 mars, le nouveau mémo falsifié est prêt. Il ne contient plus les noms des auteurs originaux et ne mentionne plus que le « Département S ». Il affirmait que la prolongation de la durée de vie des dernières centrales nucléaires allemandes, ne serait-ce que de quelques mois, représentait un risque trop important pour être envisagé. Une fois de plus, Habeck fut tenu dans l’ignorance. Le patron de Niehaus, Tidow, ne divulgua pas l’évaluation originale et ne transmit que la version trafiquée de Niehaus à Graichen, au Ministère de l’économie. Elle était accompagnée d’une note: « Ne pas diffuser officiellement, seulement pour vous ».

Il s’ensuivit une étonnante comédie de l’absurde. Doutant apparemment que Habeck ait l’envie de lire même la note trafiquée, Graichen rédigea un document entièrement nouveau, intitulé « Examen de la poursuite de l’exploitation des centrales nucléaires dans le contexte de la guerre en Ukraine ». Bien entendu, il s’agissait encore d’une autre invention bureaucratique qui recommandait de ne pas prolonger la durée de vie des dernières centrales nucléaires allemandes, et ce sur une base pseudo-intellectuelle encore plus flagrante. Graichen transmit rapidement cette dérivation frauduleuse d’un mémo falsifié d’une évaluation authentique à Habeck – qui, bien sûr, l’aima vraiment beaucoup.

C’était un vendredi soir, mais l’orgasme intellectuel de Habeck était si intense qu’il passa la soirée et une bonne partie de la journée suivante à réécrire la farce de Graichen sous la forme d’un long dialogue de questions-réponses. Une fois ce travail d’amour achevé, notre fier écolier le transmit joyeusement à Graichen et à Tidow, expliquant qu’il avait transformé le « merveilleux article » de Graichen en une FAQ, « parce que je pense que cela doit être NARRATIF. Si vous voulez lire cet article, tout le monde voudra le lire aussi ». Habeck suggéra qu’ils envoient cette quatrième dérivation narrative de la reconception frauduleuse par Graichen du mémo falsifié de Niehaus d’une évaluation authentique aux opérateurs de la centrale nucléaire le jour suivant, à midi.

Nos magiciens de la bureaucratie se retrouvèrent face à un problème très délicat. Comme l’expliqua Niehaus, la note de Graichen (dérivation numéro trois) était un désastre complet – « grossièrement erronée en termes juridiques » et erronée à d’autres égards également. Habeck avait, sans le savoir, intégré toute cette ignorance dans son NARRATIF et demandait maintenant que l’on utilise ce monument d’idiotie idéologique pour expliquer aux véritables experts – les exploitants des centrales nucléaires – comment les choses devaient se passer. Il s’ensuivit, comme l’écrit Gräber, « un échange de courriels animé dans lequel les collaborateurs de Habeck se demandaient quoi faire de l’histoire écrite par leur patron, qui était basée sur des faits erronés ». Ils publièrent finalement une version « radicalement raccourcie » et « considérablement réécrite » sur le site web du Ministère le 8 mars.

En fin de compte, les bureaucrates Verts perdirent la bataille, mais ils gagnèrent la guerre. Toutes les fausses raisons inventées pour ne pas laisser les centrales nucléaires fonctionner jusqu’au printemps fondaient à mesure que la crise énergétique s’aggravait et que le gouvernement se retrouvait au bord de l’anéantissement politique. Les centrales furent cependant mises hors service, mais un peu plus tard que ne l’espéraient Graichen, Tidow et Niehaus. Les Verts proclamèrent leur victoire et Habeck rêve encore aujourd’hui de son futur poste de chancelier. Ce qui est resté dans les archives du ministère Habeck, ce sont les restes maladroits de leur radicalisme, de leur ignorance et de leur volonté de tromper, qu’ils n’ont pas réussi, dans ce cas tout au moins, à nous cacher.

L’arnaque des énergies renouvelables, la menace de sécheresses énergétiques hivernales et l’impossibilité de «décarboniser le réseau» – par Jaime Jessop.

Excellent article de Jaime Jessop, qui exprime très bien l’énervement qu’on peut éprouver devant ce genre de tocard. Le fait qu’ils soient considérés comme des interlocuteurs valables est le signe clair qu’on est déjà bien avancés dans la politique du pire. Simple avertissement…

Note: « sécheresse énergétique », voir ici.

Source.


L’arnaque des énergies renouvelables, la menace de sécheresses énergétiques hivernales et l’impossibilité de « décarboniser le réseau »

Jaime Jessop

24 avril 2024

Nouveau jour, nouvel exercice de propagande sur la « décarbonisation du réseau » par l’industrie des énergies renouvelables, alias les Profiteurs du Désastre:

Les combustibles fossiles ont battu un record minimum de 2,4% en part d’électricité en Grande-Bretagne, pendant une heure, plus tôt ce mois-ci. Jusqu’en 2022, cette part n’était jamais tombée en dessous de 5%…

Evans affirme que le fait que les combustibles fossiles aient contribué à un minimum record de 2,4% de l’énergie du réseau pendant une demi-heure le 15 avril 2024 réfuterait les arguments selon lesquels nous ne serons jamais en mesure de décarboniser complètement le réseau! C’est une affirmation ridicule, qui n’est pas étayée par les preuves tangibles. C’est de la pure propagande et Evans est le genre de parfait crétin vert qui fourre ses sales mains dans nos poches. Car plus nous nous efforcerons de décarboniser le réseau, plus l’impossibilité de ce projet deviendra évidente pour tous, mais en même temps, plus le coût sera élevé pour les contribuables et ceux qui paient leurs factures, et plus les fraudeurs qui construisent et investissent dans la technologie « verte » destructrice de l’environnement, qui ne parviendra jamais à atteindre l’utopie durable promise d’un réseau 100% sans carbone, s’enrichiront.

David Turver souligne ce qu’Evans ignore ostensiblement:

Toutefois, les pics de combustibles fossiles restent virtuellement inchangés depuis 2016.

La raison pour laquelle les pics d’utilisation des combustibles fossiles ne changent pas est simple: les bénéfices les plus faciles à obtenir à partir de 2009 ont tous été récoltés et sans stockage à l’échelle du réseau (une technologie qui n’existe pas et qui serait atrocement chère même si elle était technologiquement réalisable par l’utilisation de batteries super efficaces et à très haute capacité et/ou d’hydrogène « vert »), ils ne seront jamais en mesure d’éliminer le besoin en combustible fossile en raison de la variabilité fondamentale du climat naturel, quelle que soit la capacité qu’ils ajoutent. En effet, lorsque le soleil ne brille pas la nuit ou en hiver, on ne peut pas le faire briller et, malgré les affirmations des conspirationnistes de la géo-ingénierie, lorsque le vent ne souffle pas, il ne souffle pas, et c’est tout. Si nous disposions dès à présent de batteries à l’échelle du réseau ou d’un système de stockage d’hydrogène vert, nous aurions probablement déjà, ou très bientôt, un réseau 100% sans carbone, sans qu’il soit nécessaire de construire de nouvelles turbines et de nouveaux panneaux solaires qui détruisent les oiseaux, les baleines, les paysages naturels et les terres agricoles. Mais ils veulent en construire toujours plus, parce que cela enrichit toujours plus leurs copains capitalistes verts, tandis que nous devenons toujours plus pauvres, en faisant miroiter le mensonge selon lequel une plus grande capacité équivaut à une décarbonisation à 100% qui sauvera la planète. Ce n’est pas le cas. Ce ne sera pas le cas. Jamais. Quelques graphiques simples en illustrent la raison. Tout d’abord, la répartition de la production d’énergie pour le 15 avril:

En effet, le charbon et le gaz n’ont fourni que 6,7% de la journée, l’énergie éolienne 54,1% et l’énergie solaire 7,1%. L’hydroélectricité par pompage (PSH) n’a fourni qu’un maigre 1%. Elle ne fournit jamais beaucoup plus que cela, étant essentiellement limitée par la géographie des îles britanniques. Il n’y a même pas de catégorie pour le stockage par batterie, tant il est minuscule, et le stockage par hydrogène n’est encore qu’une promesse de conte de fées. La majeure partie de notre énergie restante provient des interconnexions et de l’énergie nucléaire. À 13h30, le solaire et l’éolien fournissaient 70,8% de l’énergie au réseau et le gaz seulement 1,8%. On se rapproche à grands pas de la décarbonisation du réseau, n’est-ce pas? Non, pas vraiment. Au cours de l’année 2023, on constate que le gaz et le charbon fournissent toujours un tiers de l’énergie du réseau:

L’éolien et le solaire représentent à peine plus: 33.9%. Il serait réaliste de penser qu’en augmentant la capacité, au prix d’énormes sacrifices pour l’environnement et d’un coût économique considérable, nous pourrons atteindre 50% dans les 5 à 10 prochaines années. Mais après cela, à moins que le stockage par batterie ne devienne magiquement beaucoup plus efficace, très bon marché et ne nécessite pas d’énormes ressources minérales extraites dans des pays lointains, nous aurons toujours besoin, en supposant que les réacteurs nucléaires modulaires ne soient pas développés assez rapidement, d’importantes quantités de gaz d’appoint pour maintenir la lumière allumée. Vous noterez également que le vent faiblit pendant les mois d’été et que le gaz prend le relais. Mais même au cœur de l’hiver, le vent peut tomber à zéro et si nous n’avons pas de capacité de production de gaz pendant ces sécheresses énergétiques, les lumières (et le chauffage) s’éteindront, des milliers de personnes mourront de froid et les retraitées suisses qui se plaignent des canicules estivales ne représenteront finalement pas un si grand problème de droits de l’homme. Prenons par exemple la période du 23 au 25 février. Simon Evans et Carbon Brief ne vous parleront pas de ces journées:

Pendant 48 heures, de la fin de l’après-midi du 23 février à la fin de l’après-midi du 25 février, le vent est tombé à presque zéro et le gaz a dû faire le gros du travail pour que les lumières restent allumées. Au plus fort de cette sécheresse énergétique, heureusement de courte durée, le gaz assurait 50% de la production d’électricité, le vent seulement 1,5% et l’énergie solaire rien du tout. De telles journées sans vent pendant l’hiver peuvent se transformer en semaines, cela s’est déjà produit. Le 2 décembre 2023 est un autre jour dont Evans ne vous parlera pas:

Au petit matin, le gaz fournissait près de 70% de notre production d’électricité, l’éolien un peu plus de 5% et le solaire, comme d’habitude, rien du tout. C’était il y a tout juste 5 mois. Alors dites-moi, quand devrions-nous nous attendre à un réseau 100% décarboné? Pas tout de suite. Pas d’ici 2030. Pas d’ici 2050. Probablement pas dans un avenir prévisible.

« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr – par Pete Lincoln.

Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.

Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.

Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.

Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.

Source.


« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr

Révélations sous contrôle

Pete Lincoln

11 déc. 2023

Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.

Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.

Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.

Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:

https://substack.com/@jimhaslam

Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents

La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.

Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.

Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.

Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.

Dans son introduction, il affirme à juste titre:

Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…

Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.

Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.

Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».

L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.

Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.

Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.

et

En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.

Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.

Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.

Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.

Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.

Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.

La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.

Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.

[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.

Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.

Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.

Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.

Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.

L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».

Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.

Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.

Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.

Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.

Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.

Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?

Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.

Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».

L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).

L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.

https://archive.ph/2021.06.01-233329/https://amp.theaustralian.com.au/nation/politics/chinese-military-scientists-discussed-weaponising-sars-coronaviruses/news-story/850ae2d2e2681549cb9d21162c52d4c0

Si vous pensez que c’est ridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.

N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32664879/

Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.

Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.

Leçon apprise.

Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.

Ralph Baric – 2001.

ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX

Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).

Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.

« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.

Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».

2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.

Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.

En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.

Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.

https://journals.asm.org/doi/epub/10.1128/JVI.76.21.11065-11078.2002

2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:

À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.

Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…

La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.

Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.

Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.

https://www.pnas.org/content/100/22/12995

Revenons au Sars-Cov-2.

Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?

Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .

Dani, une immunologiste des chauves-souris de classe mondiale payée par le NIAID, était à l’intérieur du BSL4 de Wuhan.

https://www.bloomberg.com/news/features/2021-06-27/did-covid-come-from-a-lab-scientist-at-wuhan-institute-speaks-out

Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire

Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.

Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.

Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.

Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.

Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.

En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.

Danielle Anderson a travaillé sous la direction de Linfa Wang, professeur et directeur du programme des maladies infectieuses émergentes à l’école de médecine Duke-NUS, à Singapour.

Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.

Duke est un partenaire clé du programme P3 (Pandemic Prevention Platform) de la DARPA. La première étape du programme Duke/DARPA consiste à découvrir des virus potentiellement dangereux et à « développer des méthodes pour favoriser la propagation virale, afin que le virus puisse être utilisé pour des études en aval ».

Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.

L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.

Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.

Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.

https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pioneering-antibody-test-could-pave-way-mass-travel/

Plus d’informations ici.

Retour aux Scénarios Improbables.

Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus

a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.

b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?

L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.

Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.

En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.

Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.

Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.

En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.

31 août 2020

Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.

C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.

Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.

Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?

Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).

Je traite de tout cela ici.

OPERATION COVID

Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.

Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».

Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.

Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?

Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.

Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.

Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.

Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.

Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).

Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).

Encore une coïncidence.

Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].

Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:

Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.

Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.

Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.

Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:

Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.

Il cite ensuite Steven Quay.

En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».

Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.

Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.

« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.

Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin « 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16519916/

Le clivage de la furine n’a pas rendu le coronavirus bovin plus infectieux. Mais dans le cas de SARS-Cov-2, sa perte l’atténue.

https://www.nature.com/articles/s41586-021-03237-4

Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.

Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.

Il décrit ensuite le refus de la DARPA.

La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.

La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.

Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.

Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.

Il pointe ensuite du doigt la Chine.

Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.

Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.

Mais il en donne la raison.

RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.

C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033097/

Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.

Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!

Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.

Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.

On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.

Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.

En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.

À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.

Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.

En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.

… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.

Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]

Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.

La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »

« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »

Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:

« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »

Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.

« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».

La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.

L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.

Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.

La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »

Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.

http://web.archive.org/web/20211006101612/https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/10/05/wuhan-us-scientists-planned-create-new-coronaviruses-funding/

Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?

À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.

Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.

En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».

https://www.technologyreview.com/2021/07/26/1030043/gain-of-function-research-coronavirus-ralph-baric-vaccines

Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.

Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.

Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.

L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.

Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).

L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.

Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.

Made in USA, donc, mais un accident.

Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.

Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.

Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.

Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.

Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).

Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867421009910

RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7211627/

Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.

…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.

Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.

« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »

Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.

Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.

Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.

Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.

https://www.science.org/content/article/close-cousins-sars-cov-2-found-cave-laos-yield-new-clues-about-pandemic-s-origins

Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.

Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.

Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.

RALPH BARIC

RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.

Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.

Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.

https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/05/19/0000211168

Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.

C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.

Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.

Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.

Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).

Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.

Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:

En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.

Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,

Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».

Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.

Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:

Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:

1) hautement pathogènes, -[NON]

2) facilement disponibles, -[OUI]

3) faciles à produire, -[OUI]

4) pouvant être militarisés, -[OUI]

5) stables, -[OUI]

[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]

6) infectieux à faible dose,

7) facilement transmissible,

[et]

8) inspirant la peur – [OUI]

Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.

Article de 2018 de Baric:

« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »

Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois

Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.

Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.

Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.

Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.

Selon Jim Haslam, cette

séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.

Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.

On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].

https://zenodo.org/record/8216373

Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).

L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.

Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).

LE RÉSEAU CREID

En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.

https://www.rti.org/impact/centers-for-research-in-emerging-infectious-diseases-creid-coordinating-center

CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]

DEFUSE

En août 2020

Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).

Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.

https://www.niaid.nih.gov/news-events/niaid-establishes-centers-research-emerging-infectious-diseases

Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.

Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.

Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »

Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.

Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.

Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.

Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.

En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.

« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. « 

http://files.fasab.gov/pdffiles/sffas_56_nr.pdf

Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».

DEFUSE

Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .

L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.

L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.

L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.

Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.

Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».

[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.

Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?

Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.

En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.

Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.

https://www.aphis.usda.gov/aphis/newsroom/stakeholder-info/stakeholder-messages/wildlife-damage-news/deer-sars

Tromperie

Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.

Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.

Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.

Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.

Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.

Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.

En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.

Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.

Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.

Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.

Méthode 1

Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

Méthode 2

Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4936131/

Cet article a été partiellement financé par le NIAID.

Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).

Ensuite…

En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.

Aucune preuve apportée.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt

Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Ensuite…

Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.

Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.

La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.

https://www.utmb.edu/gnl/news/2020/04/16/the-galveston-national-lab-and-wuhan-institute-of-virology

PALANTIR – Avril Haines

Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.

Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.

Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.

Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».

Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.

Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.

Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.

L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.

Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.

Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.

Conclusion

Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.

Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.

Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.

Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.

En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.

Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.

La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.

Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.

Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.

Moyens, opportunités, motivations.

Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.

La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.

Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.

Fin.

Lectures complémentaires

[NdT. trois articles en anglais de Pete]

Mystère de la séquence de l’ossature consensuelle utilisée pour construire le Sars-Cov-2

Le Sars-Cov-2 était-il un vaccin autodiffusant?

La machine de financement auto-reproductible de Fauci – CREID

Chronologie

L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.

2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.

2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.

2017 – Exercice de table SPARS.

2017- Création du CEPI de Gates.

2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).

2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.

2018 – Simulation CLADE X.

2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.

2018 – Création de CISA [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]

2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.

Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).

Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.

2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.

Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.

Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.

Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.

Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.

Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».

Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.

Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.

2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.

Oct 2019 – Événement 201.

Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.

Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.

Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).

Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).

Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.

Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.

Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.

Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.

Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».

Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)

Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.

Confinements annoncé le 15 mars

La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.

Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.

Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed

Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.

Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie – par le Dr Ah Kahn Syed.

J’atermoie (encore) mon propre article pour vous livrer celui-ci, du Dr Ah Kahn Syed, déjà publiée (c’est une dame) ici et ici. C’est assez long mais comme elle le dit elle-même, ça en vaut la peine. Je n’ai pas traduit la première partie. Ceci m’a déjà pris énormément de temps.

Le Dr Seyd est australienne, pays où les mesures coercitives (pandémie et « vaccin ») ont été parmi les plus sévères – mes lecteurs se souviendront que j’avais relayé à l’époque l’appel de détresse des communautés aborigènes devant une violence policière inouïe. C’est aussi là que l’idée de camps d’internement covid avait été poussée le plus loin, avec l’accord de la population générale. Par un curieux hasard, c’est aussi le pays premier consommateur d’anti-dépresseurs par tête de pipe (l’Islande est n°1 du fait que les prescriptions en hôpital y sont y comptées).

Le sujet vous sera familier, mais l’article présente de nouvelles informations, assez récentes, sur les pans futurs du même programme – eugéniste. Prétez une attention particulière au chapitre sur le PAM, qui fait le lien entre les injections covid et le programme de modification génétique…

Le Dr Seyd rappelle aussi le rôle dans ce dossier d’un certain Jeffrey Epstein, au cas où on aurait pas encore compris de quel genre de réseau international les scientifiques impliqués dans cette version actualisée de l’eugénisme sont le rouage.

Je sais que le grand public en a marre des infos sur les vaccins thérapies géniques et se laisse accaparer par les algorithmes des réseaux sociaux qui les bombardent, c’est le cas de le dire, d’histoires de Russie, Troisième Guerre mondiale et tout ce genre de distraction. Ce n’est pas là que se joue l’avenir. Il se joue aujourd’hui dans votre tête, bientôt dans vos gènes – si vous les laissez faire. Aux États-Unis, quelques représentants courageux tentent de faire purement et simplement interdire les « thérapies géniques » de masse au niveau de leur État. C’est un début.

Quelqu’un, qui en a comme moi assez de la folie du monde, m’a demandé si finalement le monde de demain – technocratique – ne serait quand même pas un peu meilleur. Je vous laisse juge.

Note de traduction: je n’ai pas pu remplacer toutes les vidéos incrustées de l’article original, sorry.

Source.


Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie

Le réseau biotechnologique d’un trillion de dollars, qui veut modifier votre génome pour faire de vous une meilleure personne, et nous exclure des médias sociaux

Dr Ah Kahn Syed

30 mars 2024

J’espère que vous avez tous eu l’occasion de lire la partie 1. Dans le cas contraire, elle se trouve ici. Installez-vous confortablement pour la suite, ce n’est pas court, mais ça en vaut la peine.

Pour introduire ce qui va suivre, je vais essayer d’en donner un aperçu, comme l’ont fait quelques mèmes pendant le COVID, en décrivant les affirmations « sûres et efficaces » qui sont rapidement rétractées.

  • Ce n’est qu’un vaccin
  • Il reste dans le bras
  • Il ne dure que quelques jours
  • Il ne s’intègre pas dans le génome
  • Ce n’est pas une thérapie génique
  • Il n’y a pas d’ADN dans le vaccin
  • Il n’entre pas dans le noyau
  • Il est sans danger pendant la grossesse et n’atteint pas le placenta.
  • Il ne reste pas dans le bras, il se diffuse partout, mais c’est une bonne chose.
  • Il y a une contamination par des plasmides, mais seulement à petites doses et il n’y a aucune preuve qu’ils soient nocifs.
  • D’accord, il passe dans le placenta, mais cela signifie que le bébé est également protégé.

-[VOUS ÊTES ICI]-

  • D’accord, il s’agit d’une thérapie génique, mais nous l’utilisons depuis des années et elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La technologie NPL était toute nouvelle et n’avait pas encore été testée, mais elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La même technologie peut être utilisée pour l’édition de gènes CRISPR, qui est maintenant approuvée par la FDA et qui, combinée à la technologie NPL, peut être utilisée pour fournir un vaccin permanent qui n’aura jamais besoin d’être mis à jour avec des rappels et des injections répétées qui font bobo.

Car, comme nous le savons tous, ce sont les deux secondes d’une piqûre d’aiguille qui ont poussé la moitié de la population mondiale à rejeter la nouvelle thérapie jusqu’à ce que les obligations vaccinales entrent en vigueur – rien à voir avec le fait que la plupart des gens auraient rejeté une nouvelle thérapie génique s’ils avaient su de quoi il s’agissait réellement.

Non, Prof. Meghan Murthy, ce n’était pas la peur de l’aiguille. C’est la prise de conscience du fait que vous essayez de taguer le monde avec une thérapie génique pour laquelle personne n’a donné son consentement éclairé.

Et oui, il s’agissait bien de thérapie génique, même si les tribunaux tentent de brouiller les pistes en prétendant que les médecins qui non seulement ont été contraints de recevoir ce produit, mais ont été cooptés pour l’administrer sous de faux prétextes, n’ont pas qualité pour agir, et se retrouvent aujourd’hui visés par une plainte pour manquement à la déontologie. (voir aussi ici)

Et comment savons-nous qu’il s’agit d’une thérapie génique? Parce que la FDA1, Moderna, BioNtech et toutes les autres institutions qui savent de quoi il s’agit le disent. Extrait du document de 2024 de la FDA (copié dans la note de bas de page):

La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La FDA considère généralement que les produits de thérapie génique humaine comprennent tous les produits dont les effets sont obtenus par transcription ou traduction du matériel génétique transféré, ou par modification spécifique des séquences génétiques de l’hôte (humain). Parmi les produits de thérapie génique, on peut citer les acides nucléiques, les micro-organismes génétiquement modifiés (virus, bactéries, champignons, etc.), les nucléases spécifiques utilisées pour l’édition du génome humain et les cellules humaines génétiquement modifiées ex vivo …. https://www.fda.gov/media/76647/download.

Et oui, nous avons déjà discuté de ce sujet, mais l’essentiel est que nous en arrivons bientôt à ce point:

« Oui, [le vaccin COVID] était une thérapie génique, mais personne ne l’a nié et, en tout état de cause, 6 milliards de doses ont été administrées sans aucun effet indésirable. Et maintenant, nous savons que l’édition de gènes est tout aussi sûre ».

Car c’est ce qui se passe depuis le début. Gaslighting 101. Parce que les nouveaux produits pharmaceutiques seront toujours sûrs si on s’assure qu’aucun article de recherche n’est autorisé à parler de leur dangerosité et si on harcèle, intimide et menace les médecins qui publient ces recherches.

(Censure scientifique – leçons NON apprises, article de Jessica Rose) [en anglais]

Maintenant que nous avons établi, au-delà de tout doute raisonnable, que les vaccins de thérapie génique (VTG) sont sûrs et efficaces et qu’aucun document ne montre qu’ils induisent le cancer par mutagénèse insertionnelle ou tout autre problème causant une surmortalité que nous constatons dans le monde réel, nous pouvons tous nous réjouir que l’édition de gènes CRISPR, qui apporte une solution permanente à votre problème génétique, soit le remplacement idéal de ces injections répétées qui font bobo, véritable raison pour laquelle les gens hésitaient à se faire vacciner (à part le racisme institutionnalisé, bien sûr).

Mais c’est quoi, CRISPR?

Rien à voir avec le bacon, les frites, les chips ou le poulet frit, même si son nom est manifestement destiné à susciter une émotion gratifiante sur le moment. Il s’agit d’une technique d’édition des gènes et des génomes.

CRISPR signifie « clustered regularly interspaced short palindromic repeats » (répétitions palindromiques courtes et régulièrement espacées), ce qui renvoie à un modèle spécifique d’ADN, cible de la technique d’édition de gènes qui nécessite également une protéine « Cas », par exemple Cas9. La protéine Cas forme un complexe avec un « ARN guide » pour guider l’endroit où l’ADN est coupé et, une fois coupé, un nouvel ADN peut être ajouté. Comme on faisait autrefois le montage d’une bande vidéo.

Voici une version plus grande du graphique ci-dessus pour l’expliquer, provenant du Genetic Literary Project (sur lequel nous reviendrons plus tard).

  1. La protéine Cas9 forme un complexe avec l’ARN guide dans la cellule
  2. Ce complexe se lie à une séquence d’ADN correspondante adjacente à un espaceur (segment jaune)
  3. Le complexe Cas-9-ArRN coupe le double brin d’ADN
  4. L’ADN programmé peut être inséré à l’endroit de la coupure

Autrefois, CRISPR était réservé à l’édition de gènes dans les cellules en laboratoire, mais avec les progrès de LaScience™, nous avons désormais la capacité de modifier le génome des cellules in vivo. Cela signifie qu’il est possible de modifier le génome d’organismes vivants, y compris les êtres humains.

Et il est évident que c’est totalement sûr et efficace – du moins c’est ce qu’on vous dira – parce qu’on a trouvé un moyen de contrôler toutes ces protéines hors cible (involontaires) qui pourraient survenir en découpant votre génome alors que vous êtes encore en vie. Et bien sûr, tous les problèmes connus associés au CRISPR in vivo auront déjà été résolus, tout comme ils l’ont été pour les vaccins à ARNm. C’est dommage pour les enfants qui sont déjà morts à cause des réactions immunitaires ou de mutagénèse insertionnelle:

Jesse Gelsinger, un jeune homme de 18 ans atteint d’une forme légère de la maladie génétique du déficit en ornithine transcarbamylase (OTC), a participé à un essai clinique qui a délivré un gène OTC non muté dans le foie par une injection dans l’artère hépatique du vecteur adénoviral recombinant hébergeant le gène thérapeutique. Malheureusement, Jesse est décédé quatre jours après le traitement (7). Le vecteur adénoviral a déclenché une réponse immunitaire beaucoup plus forte chez Jesse que chez d’autres patients, provoquant une série de défaillances d’organes multiples qui ont finalement conduit à son décès (8). Au moment de l’essai, les vecteurs adénoviraux étaient considérés comme raisonnablement sûrs. Cependant, au cours du développement préclinique, deux des singes rhésus traités avec la thérapie ont développé un schéma similaire de nécrose hépatocellulaire fatale (9). Peu après, un autre essai de thérapie génique a conduit au développement d’une leucémie chez plusieurs jeunes enfants, induite par l’oncogenèse insertionnelle de la thérapie (10). Ces essais ont été ouverts pour deux formes de SCID (SCID-X1 ou déficit en chaîne ɤ commune) et pour le déficit en adénosine désaminase (ADA). La thérapie a utilisé des vecteurs ɤ-rétroviraux pour délivrer ex vivo des transgènes thérapeutiques à des cellules souches hématopoïétiques CD34+ autologues, qui ont été réintroduites chez les patients (10). Cinq patients ont développé une leucémie secondaire liée à la thérapie, et l’un d’entre eux est décédé des suites de la maladie (11). Un examen plus approfondi a révélé l’intégration du gène thérapeutique dans le locus du proto-oncogène LMO2, ce qui a probablement entraîné le développement d’une leucémie (12). Des analyses ultérieures ont suggéré une fréquence plus élevée d’événements de mutagenèse insertionnelle avec les vecteurs ɤ-rétroviraux par rapport à d’autres vecteurs (13).

Bien sûr, CRISPR est tellement amusant que le laboratoire de Saha a conçu un jeu pour vous faire croire que l’introduire à grande échelle dans la population serait une idée sympa. Comme lâcher des chips chaudes du ciel. Qui n’aime pas les chips chaudes, n’est-ce pas?

Capture d’écran du jeu « CRISPR is fun » (CRISPR est amusant)

Pour citer leur article:

CRISPR – c’est l’une de ces nouvelles technologies scientifiques dont il est amusant de parler, car qui n’aurait pas envie d’imaginer un avenir meilleur rendu possible par la science? Mais quelle version de « meilleur » prévaudrait? Les « et si » rendus possibles par la technologie d’édition de gènes CRISPR font l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique internationale. Comme ces débats affectent déjà les décisions politiques, le public doit prendre en compte les ramifications éthiques de ce que CRISPR pourrait rendre possible.

Vous voyez le coup de coude? Vous vous souvenez de « l’intérêt supérieur » évoqué dans la première partie?

Bien sûr. Pourquoi ne voudrait-on PAS améliorer le patrimoine génétique du monde pour faire de nous de meilleurs humains, au lieu des humains merdiques que nous étions hier, n’est-ce pas?

Et à quel point ce graphique tiré de l’article sur le jeu du laboratoire de Saha ressemble-t-il au problème du chariot évoqué dans la première partie?

Capture d’écran de la « machine morale » du MIT. Il convient de noter la proximité géographique du MIT et de Harvard, qui sont à toutes fins utiles au même endroit.

CRISPR a besoin d’un PAM

Pour en revenir au sujet, pour que CRISPR puisse éditer vos gènes, il faut essentiellement :

(1) un PAM2 et
(2) une séquence de gène ARN correspondant à la zone ciblée du génome.

Le PAM est une minuscule séquence génétique (nGG où « n » est un nucléotide quelconque, par exemple CGG) qui existe à plusieurs endroits du génome. La séquence d’ARN est incluse pour cibler n’importe quelle partie de l’ADN qui vous intéresse, à condition qu’elle se trouve à côté d’un PAM. Il faut donc un PAM et un fragment d’ARN. Le PAM le plus réactif (parmi les quatre options AGG, CGG, TGG et GGG) est CGG.

Pour en savoir plus sur le PAM et son fonctionnement, je vous recommande de consacrer 5 minutes à cette vidéo fascinante qui montre à quel point la nature est intelligente et comment les bactéries ont appris à combattre les virus à l’aide de ce mécanisme de défense génomique antivirale.

[NdT. sorry, pas de traduction automatique sur cette vidéo]

Si vous préférez regarder un graphique, celui-ci montre le PAM et l' »ARN guide » ou ARNg (la séquence que le scientifique utilise pour faire correspondre la séquence de votre ADN qu’il veut couper).

  • Adaptation d’un mécanisme de défense contre un virus ou une bactérie.
  • Cas9 est une enzyme qui utilise l’ARN guide pour couper la séquence d’ADN cible.
  • La séquence génétique souhaitée pourrait être ajoutée au système de réparation de l’ADN personnalisé.

Ainsi, si on veut modifier le génome à un endroit précis, il faut trouver une séquence génétique unique à proximité d’un site PAM.

Vous serez heureux d’apprendre que la majorité de la population mondiale a reçu gratuitement de telles séquences PAM lorsqu’elle a consenti à recevoir un vaccin de thérapie génique recombinante offert par Pfizer, Moderna (et probablement Novavax aussi3).

En effet, ces vaccins contiennent des plasmides qui sont de l’ADN et peuvent facilement s’intégrer dans l’ADN de vos propres cellules, comme l’ont démontré de nombreux auteurs, et plus récemment Kevin McKernan et Hiroshi Arakawa, qui ont confirmé l’intégration de l’ADN plasmidique dans le chromosome 12 et le chromosome 9. J’ai prévenu que c’était probable ici.

La bonne nouvelle concernant cet événement d’intégration est que dans les deux cas présentés ci-dessus, il y a une séquence CRISPR-Cas9 PAM (CGG, AGG, GGG ou TGG) dans la séquence qui a été intégrée dans le génome. C’est une nouvelle fantastique pour ceux qui voudraient ensuite modifier le génome des bénéficiaires de leur médicament à l’endroit précis où ils ont ajouté de l’ADN!

Pour réaliser l’édition génétique d’un sujet à l’aide de CRISPR-Cas9, il faut une séquence génétique spécifique à l’endroit où l’on veut couper le génome, à côté d’une séquence PAM.

Il se trouve que le processus d' »optimisation des codons4 » de la séquence génétique des vaccins COVID (processus par lequel Pfizer, Moderna et Novavax ont décidé de créer une toute nouvelle séquence de 3822 nucléotides différente de la séquence génétique de la protéine de pointe de Wuhan, mais censée produire exactement la même séquence d’acides aminés) a entraîné une augmentation considérable du nombre5 de séquences PAM – en particulier du type CGG, le plus efficace. Quelle heureuse coïncidence!

Ainsi, l’événement d’intégration génomique résultant de ce que vous pensiez être un simple vaccin mais qui s’est révélé être une thérapie génique a commodément fourni les deux facteurs nécessaires à une édition génique ultérieure – de nombreuses séquences PAM et des séquences génomiques spécifiques qui n’étaient pas présentes dans le génome humain auparavant6.

En d’autres termes, 6 milliards de personnes sont potentiellement prêtes à recevoir un processus d’édition de gènes direct qui pourra remplacer votre vieille séquence de vaccin COVID par un nouveau gène rutilant pour n’importe quel prétexte.

Bien sûr, comme les personnes impliquées dans l’industrie de l’édition de gènes sont super sympa, il ne leur viendrait jamais à l’idée de faire ce genre de choses, n’est-ce pas?

Voyons qui ils sont… avant de supposer qu’ils ont tous agi de manière altruiste.

Le mastodonte de l’industrie de l’édition génétique

Il est essentiel de comprendre que l’édition de gènes est très coûteuse – plus d’un million de dollars par personne. Mauvaise nouvelle pour le consommateur, mais excellente nouvelle pour les entreprises qui en sont à l’origine et qui risquent de gagner non pas des milliards, mais des trillions de dollars si elles parviennent à administrer ce produit aux populations, comme elles l’ont fait avec les vaccins COVID.

Et vous savez quoi? Lorsque les vaccins COVID se vendaient comme des petits pains et avant que nous ayons été autorisés à découvrir qu’ils n’étaient pas ce qu’on nous avait promis, le prix des actions des quatre grandes sociétés CRISPR a grimpé en flèche. Il s’est ensuite effondré à la même vitesse lorsque les problèmes liés aux vaccins à ARNm ont commencé à être constatés.

Le cours des actions des quatre grandes sociétés d’édition de gènes – CRSP, EDIT, NTLA, SGMO – a fortement augmenté au milieu de l’année 2021 pour s’effondrer peu après.

Qui sont donc les acteurs qui se cachent derrière ces sociétés CRISPR et les technologies qui les sous-tendent?

La plus importante est Jennifer Doudna, co-inventrice de CRISPR.

Elle parle ici de sa vision utopique du monde, où des scientifiques d’élite comme elle peuvent modifier le génome des vaches pour qu’elles pètent moins, ce qui nous sauvera tous du changement climatique. Non, je ne plaisante pas.

Voici la partie importante dans ce qu’elle dit (à partir de 5:14):

Nous savons que les pays et les populations les plus pauvres sont les plus touchés par le changement climatique, et que c’est un problème créé par les plus riches. Le méthane est un élément important du problème. Il contribue largement à l’augmentation des températures mondiales depuis l’ère préindustrielle. La composition spécifique du microbiome du bétail peut réduire les émissions de méthane jusqu’à 80%. Mais pour y parvenir, il faut aujourd’hui des interventions quotidiennes très coûteuses, qui ne peuvent pas être mises en œuvre à grande échelle. Mais avec l’édition de précision du microbiome, nous avons la possibilité de modifier le microbiome d’un veau à la naissance, limitant ainsi l’impact de cet animal sur le climat tout au long de sa vie…

Notre technologie pourrait donc vraiment faire bouger l’aiguille dans notre lutte contre le changement climatique.

[NdT. Le Dr Sabine Hazan, spécialiste du microbiome, mentionnée plus loin, pourrait vous expliquer à quel point il est dangereux d’y modifier quoi que ce soit – elle a d’ailleurs étudié la question en particulier dans le cadre du SARS-CoV-2]

Jennifer Doudna, l’inventrice de l’ARN et détentrice d’un nombre obscène de brevets d’une valeur potentielle de plusieurs trillions de dollars, souhaite donc modifier le génome d’animaux (et vraisemblablement de « pauvres » humains) pour des causes politiques.

C’est très bien. Qui est le suivant? (Ne vous inquiétez pas, ça devient pire).

Voici un autre groupe de scientifiques impliqués dans la normalisation de l’édition de gènes, qui tentent de le présenter comme un traitement médical comme les autres. Peter Singer a rédigé l’avant-propos du « Handbook of Bioethical Decisions7«  (Manuel des décisions bioéthiques), qui devrait servir de guide aux scientifiques pour ne pas dépasser pas les limites de la manipulation des éléments de base de la vie de l’humanité. Par chance, Peter est également co-auteur de cet article « controversé » défendant l’eugénisme. Oui, vous avez bien lu, il défend l’eugénisme.

Youpi!

Peut-on défendre l’«eugénisme»?

Ces dernières années, le discours bioéthique autour du thème de l' »amélioration génétique » est devenu de plus en plus politisé. Nous craignons que l’accent soit trop mis sur la question sémantique de savoir si nous devrions qualifier d' »eugéniques » des pratiques particulières et des biotechnologies émergentes telles que CRISPR, plutôt que sur la question plus importante de savoir comment nous devrions les considérer du point de vue de l’éthique et de la politique. Nous abordons ici la question de savoir si l' »eugénisme » peut être défendu et comment les partisans et les détracteurs de cette amélioration doivent s’engager les uns envers les autres.

Son co-auteur, Jonathan Anomaly, a écrit un article sur la façon dont on devrait tous être traités comme des « biens publics », ce qui englobe habilement l’éthique totalitaire du « bien commun » avec le concept de l’homme en tant que propriété publique (voir la partie 1).

Résumé

La procréation est le problème ultime en matière de biens publics. Chaque nouvel enfant affecte le bien-être de nombreuses autres personnes, et certains enfants (mais pas tous) produisent une valeur non compensée dont profiteront les générations futures. Cet essai aborde les défis qui se posent lorsque l’on considère la procréation et l’éducation des enfants comme des biens publics. Il s’agit notamment de savoir si les choix individuels sont susceptibles de conduire à un résultat socialement souhaitable et si des changements dans les lois, les normes sociales ou l’accès au génie génétique et à la sélection des embryons pourraient améliorer le résultat global de nos choix en matière de procréation.

Heureusement pour le monde, ce ne sont pas seulement les Doudna, les Anomaly et les Singer du monde scientifique qui sont en charge de nos génomes. Le financement d’une grande partie de cette industrie provient de personnes telles que le tristement célèbre Jeffrey Epstein, qui a littéralement tenté de créer sa propre réserve eugénique.

Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN

On le voit ici en train de rencontrer les eugénistes « améliorateurs génomiques » à Harvard, dont les principaux scientifiques du CRISPR, George Church et Eric Lander (coup de chapeau à Jesse Matchey, qui a été exclu de Twitter pendant deux ans pour avoir dénoncé cette affaire).

Aussi ridicule que cela puisse paraître, Jeffrey Epstein a fondé et financé le sinistre « programme de dynamique évolutive » de Harvard – que la plupart appelleraient plus judicieusement « programme eugénique ». Il a passé beaucoup de temps avec des membres de la « Skeptics Society », que vous aurez vus dénigrer les « Antivaxxers » sur Twitter. Leur objectif est vraisemblablement de soutenir les actions des entreprises de biotechnologie, car si elles avaient autorisé les scientifiques dissidents à s’exprimer librement sur les médias sociaux, leurs actions se seraient effondrées.

Les « Skeptics » comprennent des personnes comme James Randi, qui a participé à une longue fraude par usurpation d’identité finalement poursuivie en justice, et Loren Pankratz qui a frauduleusement revendiqué une expertise afin de défendre des pédophiles devant les tribunaux8. La direction de facto du mouvement Skeptic a été confiée à David Gorski, qui mène aujourd’hui une campagne de haine sur de nombreux blogs contre les personnes qui tentent de dénoncer les conglomérats Epstein-Pharma, ainsi qu’à Richard Dawkins, qui n’a cessé de joyeusement défendre la « pédophilie légère« 9.

Jets privés, fêtes et eugénisme: le monde étrange des scientifiques de Jeffrey Epstein

Le financier milliardaire et délinquant sexuel condamné a fréquenté des présidents, des mannequins et des stars de cinéma. Mais il a également assouvi ses croyances peu orthodoxes en cultivant des scientifiques de haut niveau.

Pour illustrer l’arrogance de ces personnes, Lawrence Krauss, de la Skeptics Society, tient à jour sa page sur The Edge (une organisation médiatique fondée par Jeffrey Epstein10, voir ci-dessous), décrivant fièrement la réunion de 21 physiciens « Skeptics » sur l’île désormais tristement célèbre d’Epstein.

Lawrence Krauss, du groupe The Skeptics, en route vers l’île d’Epstein (Little St James) avec Stephen Hawking
[NdT. Hawking est mort depuis très longtemps (ici et ici), le type sur la photo est un double, pas très réussi]

L’un des principaux acteurs du lucratif mégalithe de CRISPR mentionné ci-dessus est George Church, avec 20 sociétés à son actif – ça illustre à quel point il est altruiste.

George Church est Professeur de Génétique à la Harvard Medical School et Professeur de Sciences et Technologies de la Santé à l’Université de Harvard et à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Son travail de pionnier a contribué au développement des technologies de séquençage de l’ADN et d’édition du génome, ce qui lui a valu de nombreuses récompenses, dont le Bower Award 2011 et le Prize for Achievement In Science du Franklin Institute, ainsi que l’élection à l’Académie Nationale des Sciences et de l’Ingénierie. Il est coauteur de plus de 550 publications, de plus de 150 brevets et d’un livre intitulé « Regenesis: How synthetic biology will reinvent nature and ourselves » (« Régénèse: comment la biologie synthétique va réinventer la nature et nous-mêmes »). Il est également à l’origine du Projet de Génome Personnel et a créé plus de 20 entreprises.

George l’altruiste n’a bien sûr aucun intérêt à vous persuader (vous, le public) d’adopter cette technologie comme base de tous les traitements médicaux, ce qui lui permettrait d’obtenir des royalties pour l’un de ses innombrables brevets, parce qu’il est tellement altruiste.

En fait, il est tellement altruiste qu’il veut que la technologie d’édition de gènes soit accessible à tout le monde, « riche ou pauvre »11. Ce serait bien sûr une nouvelle fantastique pour les actions des sociétés d’édition de gènes, qui ont besoin de leur part de ces trillions de dollars. « Riche ou pauvre » signifie, comme dans le cas des vaccins à ARNm COVID, que les traitements sont « gratuits » (ce qui signifie en fait que vous recevrez ces traitements, obligatoirement ou non, payés par « le gouvernement »). Par « gouvernement », on entend le processus de blanchiment d’argent qui utilise les fonds publics et les détourne sans consultation ni transparence vers les sociétés pharmaceutiques comme celle de George. De manière très, très altruiste bien sûr.

George est également très heureux de vous inciter à faire don de votre génome à Nebula Genomics, l’une de ses nombreuses sociétés, pour un « séquençage du génome entier ». Imaginez ce qu’une telle entreprise pourrait faire de ces informations, défendant pendant ce temps l’idée de vivre éternellement grâce à l’édition du génome, selon cette interview troublante de Stephen Colbert. Dans cette interview, George semble heureux de ressusciter le génome d’un mammouth laineux et de l’insérer dans celui d’un autre animal (ou possiblement d’un être humain), comme dans L’île du Docteur Moreau, l’effrayant roman dystopique chimérique écrit par l’eugéniste HG Wells (également mentionné dans la partie 1).

L’autre personne mentionnée dans la réunion MIT/Epstein est Eric Lander, que certains d’entre vous reconnaîtront peut-être comme le type promu au cabinet présidentiel américain après la débâcle du COVID et avant qu’il trouve le temps de se débarrasser de ses millions de dollars d’actions dans le domaine des vaccins. Je suis sûr que ça n’aura pas du tout influencé l’exigence de vaccins obligatoires aux États-Unis.

Lander a conservé des actions d’un fabricant de vaccins plusieurs mois après son entrée en fonction

Il a finalement vendu les actions dans le délai imparti de 90 jours. Mais selon des fonctionnaires chargés de l’éthique, cela soulève des questions quant à ses activités de conseiller.

Pire encore, Eric Lander dirige également le Broad Institute à Boston, siège d’Editas – l’une des quatre grandes sociétés d’édition du génome qui se livrent depuis une décennie à une bataille de brevets avec l’empire de Jennifer Doudna sur la côte ouest.

Et vous aurez peut-être remarqué que George Church fait partie du « Genetic Literacy Project » (qui aime aussi Eric Lander), ce qui pourrait vous faire penser à une ONG sympa. Vous feriez erreur. Le projet compte des contributeurs tels qu’Eliza Dunn (la célèbre porte-parole médicale de Monsanto-Bayer qui aime nous dire à quel point le RoundUp et la modification génétique sont sans danger et que les agriculteurs indiens ne se sont pas vraiment suicidés en masse à cause de leurs produits). Et Kevin Folta, le « médecin durable qui lutte contre la désinformation », qui aimerait vous voir consommer des cultures d’OGM et fermer vos gueules.

Si vous êtes opposés à la désinformation dans le domaine des technologies de l’agriculture et de l’alimentation, pensez à devenir signataire de la déclaration contre la campagne alarmiste de @AmerAcadPeds contre les cultures biotechnologiques.

Les plus perspicaces d’entre vous remarqueront le lien vers « skepticalinquirer.org« , qui est en effet l’un des principaux journaux de la Skeptics Society, dont les membres comprennent Kevin Folta, Steven Pinker (affilié à Epstein), Steven Novella – Skeptic en chef, Richard Dawkins et David Gorski. On y trouve également Paul Offitt, le soi-disant indépendant mais désormais tristement célèbre membre principal du comité consultatif de la FDA sur les vaccins (VRBPAC), dont le surnom est « for profit » (pour le profit) en raison de ses nombreux conflits d’intérêts.

Ces réseaux vous incitent tous à accepter l’édition de gènes comme étant normale, sûre et sans risque de dommages collatéraux. Pourtant, ce n’est pas vous qui déciderez qui sera édité, ce qui sera édité, ni qui déciderez si l’édition est obligatoire.

Montrez-leur l’argent

Ces réseaux n’impliquent pas seulement les sociétés visibles prêtes à gagner des trillions. Quand autant d’argent est en jeu, les initiés comme moi ne sont qu’une mouche gênante qu’il faut écraser.

Et c’est littéralement ce qu’ils font. Voici un compte Twitter tristement célèbre qui non seulement publie sur Twitter des informations sur les actions de la biotech CRISPR, mais qui manipule ouvertement ces actions avec des phrases codées telles que « haircut coming in 2021 » (« coupe de cheveux à venir en 2021 ») et « send it 📉 » (« envoyez-le 📉 »), ce qui signifie qu’il faut vendre l’action à découvert.

Mais « .” (apparemment le diminutif de « Ryan », « Jason » et d’un tas d’autres pseudonymes) ne se contente pas d’afficher ses paris boursiers sur Twitter. Non, on a également découvert qu’il était l’auteur prolifique de « Community Notes », « Enterprising Desert Raven », qui publie robotiquement des notes sur Twitter pour tenter de saper tout message critique à l’égard des vaccins COVID ou, en fait, de toute thérapie génique ou de tout produit pharmaceutique. Le lien entre le compte anonyme de Ryan/Jason et « Enterprising Desert Raven » a été découvert en février, à l’occasion d’un bug sur Twitter qui faisait que si l’on bloquait un compte, la note communautaire appartenant à ce compte devenait invisible12.

Malheureusement pour Enterprising Desert Raven, cette manipulation incessante des opinions des scientifiques visant à etouffer des problèmes de sécurité d’un produit fabriqué par une société qui pourrait ainsi bénéficier de cette manipulation indue des médias sociaux pourrait raisonnablement être considérée comme une forme de fraude en matière de valeurs mobilières.

Pour enfoncer le clou, voici ses tweets en relation avec le cours de l’action $CRSP. C’est ce que l’on appelle une opération de « pump and dump ».

Le problème de gens qui comme Ryan s’intéressent aux actions biotechnologiques, ce sont bien sûr ces satanées souris qui interfèrent avec leur capacité à pomper et à vendre ou à manipuler le prix des actions des sociétés dont on a découvert qu’elles mentaient au sujet de la validité de leurs produits. Ils doivent donc s’attaquer à ces souris (les scientifiques) et les faire disparaître de Twitter, comme je l’ai montré en 2021.

Et il n’y a pas que moi. Les scientifiques qui ont utilisé leur vrai nom ont été pris pour cible, harcelés et menacés par des personnes ayant des intérêts directs dans la filière « créer une pandémie, créer la solution, gagner des milliards de dollars ».

Départ définitif de Twitter: Harcèlement de Peter Daszak

Chers collègues et amis de Twitter,

J’ai pris la décision difficile de quitter définitivement Twitter. Cette décision est motivée par des événements récents et par mon engagement envers mes patients, à la suite d’une situation complexe impliquant mes interactions récentes avec le Dr Peter Daszak. Nos divergences de vues sur les origines du COVID-19 ont conduit à des violations répétées et flagrantes de nombreuses limites éthiques et professionnelles de sa part. Au lieu de s’engager de bonne foi, il a utilisé sa notoriété et son autorité dans les milieux scientifiques pour attaquer ma personnalité et mes compétences, me menacer de poursuites judiciaires, déformer et dénaturer mes messages et mes commentaires, et inciter ses partisans à attaquer de façon répétée ma personnalité, mon éthique et mes compétences.

Le même réseau a donné lieu à ce post du compte twitter Jikkyleaks qui explique les tentatives de chantage et d’intimidation des réseaux pour réduire au silence les scientifiques qui s’expriment dans l’intérêt du public.

[NdT. je traduis en entier le texte de ce tweet, qui me semble d’intérêt public]

Jikkileaks

2 novembre 2023

Il est temps de suspendre l’activité de ce compte.

La lutte contre des entités corrompues dont je ne soupçonnais pas l’existence à ce point dans les allées du pouvoir a été un chemin difficile. Et contre la propagande incessante qui a apparemment usurpé la majeure partie, sinon la totalité, du monde universitaire et médical.

Ce compte a vu le jour parce que je savais qu’on nous avait menti en février 2020 sur l’origine du COVID et qu’avec l’aide d’autres personnes, nous avons été en mesure de le prouver.

Depuis lors, il y a eu un vrai brasier de mensonges que nous avons dû démêler, tout en montrant que nous étions de ceux qui s’efforçaient de défendre les valeurs de la vraie science, qui s’appuient sur la recherche de la vérité plutôt que la politique et la corruption.

Le moment est venu de me retirer, car deux choses se sont produites.

La première est que le public prend désormais conscience non seulement de ce qui est vrai, mais aussi de la manière de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux. Je pense que c’était ma tâche et qu’une grande partie de ce travail a été accomplie.

Deuxièmement, les menaces proférées à mon encontre par des groupes ayant des liens avérés avec des groupes de pression pharmaceutiques se sont intensifiées. Les personnes impliquées savent qui elles sont et elles tentent de justifier leur activité en fabriquant une histoire de grand méchant loup dirigée contre nous. Mais ce n’est rien d’autre. Lorsque la poussière retombera et que le décompte effroyable des décès sera enfin effectué, les personnes premières responsables seront celles qui ont utilisé leurs ressources illimitées (soutenues par les sociétés pharmaceutiques et les ministères corrompus disposant de fonds et de pouvoirs illimités) pour réduire au silence ceux d’entre nous dont le seul crime était de mettre en évidence auprès du public des dangers scientifiquement prouvés des interventions qui pouvaient – et qui ont effectivement – causé des décès et des invalidités.

Ces groupes – principalement #shotsheard aux États-Unis et #muttoncrew au Royaume-Uni, avec leurs groupies sur les médias sociaux, tous coordonnés à partir d’un point central – ne sont qu’une extension des mêmes groupes qui ont fait exactement la même chose il y a 20 ans à propos du Vioxx (où 30 000 personnes sont mortes parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace) et avant cela de la thalidomide (où 20 000 enfants sont nés sans membres parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace).

Nous nous préoccupons de cette question, mais la majorité du public et le gouvernement ne semblent pas s’en préoccuper. Nous ne disposons d’aucune ressource et le gouvernement – en qui beaucoup d’entre vous avaient confiance – n’a jamais offert ni ressources ni protection à des comptes tels que le nôtre ou aux personnes qui en sont à l’origine. Au contraire, ils ont montré – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, au Canada et en Australie – que ce sont eux qui nous réduiront au silence. Dans certains cas, ils ont menacé de nous emprisonner.

Le public reste silencieux. La colère gronde, mais le gouvernement et les médias veilleront à ce que cette colère soit dirigée contre nous, qui vous ont montré où se trouvaient la corruption et les malversations dans des institutions qui devraient être au-dessus de tout soupçon. Je prédis qu’il n’y aura pas de manifestations publiques pour « protéger les dénonciateurs médicaux » ou « ramener Jikkyleaks ». Il n’y aura par exemple aucune manifestation publique devant la Cour suprême de Victoria où @realMarkHobart se battra pour le droit d’un médecin à protéger le droit fondamental et global à l’autonomie corporelle des patients. Il n’y aura pas de clameur pour que les organisations d’intimidation affiliées à l’industrie pharmaceutique soient poursuivies pour ce qu’elles ont fait au cours des 20 dernières années. Personne n’a été emprisonné pour le Vioxx – ou la thalidomide – parce que le public ne l’a pas exigé.

Les médias ont joué le rôle le plus important. Ils ont universellement dénigré les gens en les qualifiant d' »antivax » qui voulaient simplement conserver leurs droits humains tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration des Nations unies sur les droits de l’homme. Au lieu de cela, ils ont protégé ceux-là mêmes qui ont créé cette pandémie (et, par extension, les pandémies précédentes). Plus important encore, ils n’ont pas donné la parole à ceux d’entre nous qui, grâce à leur expertise scientifique et médicale, ont tenté d’exprimer leurs inquiétudes et de plaider simplement pour le maintien du droit à l’autonomie corporelle.

Au lieu de cela, les médias ont donné une tribune à des personnalités comme David Gorski, Tony Fauci, Albert Bourla et Peter Daszak, comme s’ils étaient des saints et non le visage d’une mafia biomédicale mondiale. Leur groupe de soutien composé de sous-fifres qui menacent les scientifiques et les non-scientifiques, fouillent leurs dossiers personnels et traquent leurs maisons, leurs enfants et leurs employeurs, savent qui ils sont. Moi aussi. Tout est archivé.

Le résultat de cette collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement et les médias (avec des sous-fifres qui agissent en leur nom contre une rémunération dérisoire) est la mort de millions de personnes, sans le moindre soupçon de culpabilité. Ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, mais cette fois-ci, au lieu de 30 000 morts, ils en ont fait 6 millions et ce n’est pas fini. Et le grand public n’a jamais sourcillé à l’heure où il aurait fally critiquer les entreprises biomédicales et les entités gouvernementales et militaires responsables et agissant de concert.

Le résultat restera donc le même. 6 millions de morts cette fois-ci. La prochaine fois, ce sera probablement plus. Et si le public se fie à nouveau aux médias pour le guider sans poser de questions, cela ne s’arrêtera jamais. Il y a trop d’argent à gagner et de pouvoir à obtenir. Pourquoi les personnes impliquées s’arrêteraient-elles alors qu’il n’y a pas eu une seule protestation auprès d’un régulateur, d’un gouvernement ou d’une institution académique, malgré le fait que des décès aient été connus et dissimulés sans aucune transparence de la part des agences gouvernementales – qui auraient dû être prêtes à tout pour publier tous les documents qu’elles possédaient afin de prouver à la population qu’elles étaient au-dessus de tout reproche.

La mise en veille de ce compte n’est que le symptôme d’une maladie si insidieuse qu’elle ne peut rester sans traitement. Une seule personne – ou une seule souris – ne peut pas traiter cette maladie. J’ai fait mon temps ici autant que je le pouvais et je dois maintenant me consacrer à d’autres voies, pour ce qu’elles valent.

Mais sans l’aide du public, nous ne pouvons rien faire de plus. L’apathie nourrit la corruption et seul le public en masse peut cesser de la nourrir.

À ceux qui ont soutenu ce compte, sachez que j’apprécie tout ce que vous avez fait et que des milliers, voire des millions, le font déjà ou le feront à terme.

Pour l’instant, je vais tirer ma révérence. Je continuerai pour l’instant à interagir avec les messages des autres comptes, les réponses et les DM existants. Mais il n’y aura plus de nouveaux messages, de révélations ou de #Gates sur cette plateforme jusqu’à ce que de véritables protections soient mises en place pour les lanceurs d’alerte.

Une seule mise en garde: si les menaces dirigées contre moi ou mon entourage persistent ou refont surface, je n’aurai pas d’autre choix que de revenir.

Je vous souhaite une bonne nuit. Que Dieu vous garde.

Et que la #mousearmy poursuive son combat pour la vérité et contre la corruption dans la science.

Évidemment qu’ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, nous l’avons déjà mentionné. Pourtant, personne n’a été emprisonné pour avoir exploité les régulateurs médicaux en tant que passeurs de drogue, ce qui a entraîné environ 30 000 décès rien qu’avec le Vioxx:

Le tribunal apprend comment le géant pharmaceutique Merck a tenté de « neutraliser » et de « discréditer » les médecins critiques à l’égard du Vioxx.

Le laboratoire pharmaceutique Merck a dressé une liste de médecins et de chercheurs influents qu’il souhaitait « neutraliser » et « discréditer » dans le cadre de la commercialisation du Vioxx (rofecoxib), un médicament contre l’arthrite, selon des témoignages entendus par un tribunal australien cette semaine.

Les détails des projets visant à « neutraliser » les médecins ont fait surface lors d’une action collective contre Merck au nom de centaines d’Australiens ayant subi des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux après avoir pris le médicament, qui a été retiré du marché en 2004 en raison de préoccupations concernant sa sécurité.

Julian Burnside QC, qui représentait les plaignants, a lu des extraits de courriels envoyés entre des membres du personnel de Merck, dans lesquels il était question d’une « liste de médecins ‘à problèmes’ que nous devions, au minimum, neutraliser ». […]

La toile est vaste et profonde

Jusqu’à présent, cet article n’a fait qu’effleurer la surface des réseaux impliqués dans cette gigantesque prise de pouvoir de la mafia biotechnologique, où le prix se mesure en centaines de trillions de dollars.

Les quatre grandes sociétés d’édition de gènes forment un immense cartel qui englobe les principaux centres universitaires situés entre Boston (Harvard, Cambridge MA) sur la côte est et l’UCSF sur la côte ouest. Il s’agit des entreprises suivantes

INTELLIA – Fondée par Jennifer Doudna. Partenaire de Regeneron.
CRISPR – Fondée par Emmanuel Charpentier (partenaire de Jennifer Doudna pour les brevets).
BEAM – Fondée par David Liu et Feng Zhang.
EDITAS – Fondé par Feng Zhang et George Church.

Il s’agit essentiellement d’un monopole de plusieurs trillions de dollars entre les mains de cinq personnes. Il n’y a même pas d’indépendance entre les entités de la côte Est et de la côte Ouest, car Doudna elle-même a déménagé de l’une à l’autre pour créer l’entité de l’UCSF [NdT. Université de Californie à San Francisco, leur site explique que « le futur se joue ici »] connue sous le nom d’Innovative Genomics Institute. Pour confirmer les types de réseaux de manipulation des médias sociaux qui existent, l’inventeur de l’algorithme Community Notes (Jay Baxter) sur Twitter s’est trouvé lié à ce petit compte Twitter qui s’est révélé être un scientifique de l’IGI de Jennifer Doudna.

En d’autres termes, ces personnes sont intégrées dans les réseaux d’influence twitter dont le rôle est de s’assurer que personne n’est autorisé à parler des problèmes liés à leurs produits13 – exactement comme pour le Vioxx.

Harvard – la plaque tournante moderne de la fraude universitaire

Il n’y a pas que Jeffrey Epstein qui laisse une mauvaise odeur à Harvard. Au cours des deux dernières années, Harvard et les entités qui lui sont liées ont fait l’objet d’accusations viables de fraude académique, deux camps s’affrontant pour savoir qui salir le plus.

Outre la fraude impliquant le centre de cancérologie Dana Farber, la suspension de la professeure Francesca Gino sur la base d’une allégation de fraude de données concernant certains de ses articles de psychologie a fait scandale. Ce même scandale a épargné son coauteur masculin, Dan Ariely, qui a participé à la rédaction de ces mêmes articles. Le graphique suivant, impliquant certains des acteurs mentionnés ci-dessus ainsi que la tristement célèbre artiste satanique Marina Abramovic, peut donner une idée de la raison pour laquelle Ariely, mais pas Gino, a échappé à la persécution de Harvard14.

En fait, l’odeur nauséabonde qui règne à Harvard se répand dans les recoins de toutes les organisations qui lui sont affiliées. Rappelons que Brigham and Women’s est à l’origine du scandale Surgisphere, qui a faussement discrédité l’hydroxychloroquine. Il a finalement été démontré que l’hydroxychloroquine réduisait de plus de moitié la mortalité due au COVID, ce qui indique que les actions du cartel de Harvard ont pu entraîner littéralement des millions de décès inutiles. Si vous ne voyez toujours pas les liens entre Harvard, Dana Farber, le Broad Institute et Brigham & Women’s (Surgisphere15), une carte pourrait vous aider – ils sont littéralement à quelques pas les uns des autres.

N’oubliez pas qu’à Harvard, une femme professeur qui n’a jamais écrit pour le magazine de Jeffrey Epstein sera publiquement discréditée pour toute manipulation de données associée à ses articles. Mais si on fait partie du bon club, comme Ariely, on s’en sort apparemment bien.

Pour enfoncer le clou, les quatre auteurs de cette fraude aujourd’hui totalement discréditée et prouvée, qui a très certainement entraîné des décès, s’en sortent également.

D’où la question: Francesca Gino savait-elle quelque chose qui faisait d’elle une cible? C’est peut-être un sujet d’article pour un autre jour, mais Sabine Hazan pense que les souris semblent avoir flairé quelque chose.

sabine hazan md

Eh bien, eh bien, eh bien!! Encore des nouvelles sur les #poogates et #ginogate 🤯. La fausse étude de Surgiphere sur l’HCq avec soi-disant 96 000 patients était dans @TheLancet pour ceux qui ne s’en souviennent pas. Cette étude bidon a tué l’HCQ… Maintenant, il semble qu’il y ait une relation significative entre cette étude et le #Ginogate et le #muttoncrew … 🤯🤯 Le muttoncrew est-il payé pour rétracter des papiers pour tuer l’Hcq et l’IVM? Ça y ressemble certainement… Merci à la ligue des souris pour votre travail acharné à faire éclater la vérité…

Jikkileaks

Non, nous n’avons pas oublié le #GinoGate.

Pourquoi Brigham and Women’s, lié à la #Surgisphère, accueillerait-il une étude COVID fondée par…
Une jeune fille au pair sans aucune qualification scientifique?

Et pourquoi le site http://covid-19.study a-t-il été effacé?

Parce que c’était une mise en scène. Voilà pourquoi.

En attendant, si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire de l’escroquerie de Surgisphere, vous ne pouvez faire mieux que de regarder cet exposé fantastique et instructif de notre très bon ami John Davidson. La réalisation de ce film repose uniquement sur les dons et la bonne volonté, alors n’hésitez pas à envoyer l’un ou l’autre à John à brokentruth.com.

[NdT. excellent documentaire avec de vrais sous-titres français (à sélectionner dans les Paramètres)]

CRIS-PR: la machine à propagande

Tout comme dans le cas du scandale Surgisphere (parfois appelé Lancetgate), une machine de relations publiques est nécessaire pour que les personnes raisonnables (dont la plupart ne veulent pas que leur génome soit modifié par des élites) acceptent la poussée vers le Saint-Graal économique que représente le CRISPR global. Et cette machine est profondément ancrée dans les institutions CRISPR.

Cet « article » de Nature datant de 2015 est le plus grand exemple d’opération de relations publiques déguisées en science que vous verrez jamais. « CRISPR germline engineering – the community speaks«  (« Ingénierie germinale CRISPR – la communauté s’exprime »)

Tous les acteurs sont là, et le meilleur se trouve dans les archives supplémentaires16 dans les notes de bas de page, mais voici quelques perles de personnes qui vous sont peut-être déjà familières:

J. Craig Venter: Je pense que l’ingénierie de la lignée germinale humaine est inévitable et qu’il n’y aura fondamentalement aucun moyen efficace de réglementer ou de contrôler l’utilisation de la technologie d’édition de gènes dans la reproduction humaine.

Jonathan Moreno: Les biologistes des populations ont suggéré il y a 40 ans qu’il serait souhaitable de créer une banque des caractéristiques qui ont été éliminées des populations, juste au cas où elles devraient être réintroduites dans le pool génétique.

Naldini: Le principal risque sociétal actuel est le contrecoup d’une opinion exagérée mais potentiellement répandue selon laquelle les technologies d’édition de gènes conduiront à des scénarios de science-fiction dans lesquels les humains seront reproduits sur mesure, ce qui entraînera toute une série d’effets imprévus.

Zhang: Où tracer la limite entre ce qui est un trait biologique acceptable pour l’édition de la lignée germinale et ce qui ne l’est pas?… À mesure que nous prenons confiance dans la sécurité de l’édition de la lignée germinale, devrions-nous autoriser cette édition pour supprimer les mutations qui ne causent pas de maladie à apparition précoce? Où tracer la limite?

Cohen: Le risque est plus grand si l’on autorise l’évolution vers des programmes discrétionnaires de « gènes sur mesure ». Le cauchemar de science-fiction d’un État totalitaire orwellien ou d’une société hitlérienne recourant au génie génétique pour obtenir uniquement les caractéristiques « souhaitables » pourrait finalement se produire, bien que nous soyons loin de cette capacité aujourd’hui.

Mais je pense – pour des raisons évidentes pour ceux qui suivent ce blog depuis 2021 – que ma citation préférée doit être celle-ci:

Kim: Dans un monde idéal, l’édition du génome germinal serait disponible et abordable pour tous. Aucun parent porteur d’une mutation génétique fatale ne transmettrait son gène défectueux à ses enfants. Dans une société inégalitaire, cependant, l’édition du génome germinal ne sera accessible qu’aux riches, ce qui entraînera une « fracture génétique », comme le prédit le film « GATTACA ».

Bien entendu, lorsque Nature a publié cet article en 2015, « la communauté » ne faisait référence qu’aux personnes déjà haut placées dans la hiérarchie des armes biologiques et de l’édition du génome, qui ont tout intérêt à ne pas laisser les scientifiques de base s’exprimer s’il y a risque de mettre en péril une industrie qui pèse des trillions de dollars.

Quelque huit ans plus tard, Nature a publié un article nous expliquant à quel point CRISPR est « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Bien entendu, la personne interviewée dans l’article se trouve être de l’UCSF, l’institut de Jennifer Doudna. Aucun conflit d’intérêt n’a été déclaré, parce que, enfin, tu vois, quoi.

CRISPR est-il sûr? L’édition du génome fait l’objet d’un premier examen par la FDA

Des conseillers de l’agence américaine de réglementation vont examiner le profil de sécurité d’un traitement de la drépanocytose basé sur le CRISPR.

Heureusement pour nous, et pour le bien commun, l’institut de Doudna peut maintenant fournir cette thérapie « sûre et efficace » de manière ciblée sans ces vecteurs adénoviraux gênants, tout comme les vaccins génétiques à ARNm étaient bien meilleurs que les bidules d’AstraZeneca, vous vous souvenez?

Voyez-vous ce qui se profile à l’horizon?

Livraison non virale ciblée d’éditeurs de génome in vivo

Le fumet du FEM omniprésent

L’une des choses que nous avons apprises au cours des quatre dernières années de biofascisme déguisé en « préparation à la pandémie », c’est que partout où l’on tente d’imposer des traitements médicaux à d’autres, on trouve le Forum Économique Mondial (FEM). Et CRISPR n’est pas différent.

Voici Haoyi Wang, du FEM, qui nous explique comment l’édition de gènes sera utilisée pour effectuer des changements génétiques multiples et permanents.

Et voici notre amie Jennifer Doudna qui vante les mérites de l’une de ses entreprises (Mammoth Biosciences) au nom du Forum Économique Mondial. Je parie que vous ne l’aviez pas vue venir.

Mammoth Biosciences est un innovateur global du Forum Économique Mondial à l’avant-garde de ces développements.
Voici cinq éléments que Trevor Martin, cofondateur et PDG de Mammoth, juge important de connaître sur l’évolution du domaine à l’ère du COVID-19.

Bien entendu, le Forum Économique Mondial, qui semble être à l’origine de tout [ce qui va mal] dans le monde, est « engagé dans l’amélioration de l’état du monde ».

Ils sont les arbitres autoproclamés de ce qui devrait se passer dans le monde et, heureusement, ils sont présents dans le domaine de l’édition du génome avec leur livre blanc ici17 et les articles « How gene editing is changing the world » (Comment l’édition de gènes change le monde) et « 5 things to know about CRISPR in the COVID era » (5 choses à savoir sur CRISPR à l’ère du COVID), avec la vidéo ci-dessus de Jennifer Doudna.

N’oubliez pas non plus qu’il s’agit du même Forum Économique Mondial qui vous a dit que « vous ne posséderez rien et serez heureux » d’ici 2030. Autrement connu sous le nom de fascisme mondial, parce qu’il est clair que quelqu’un possédera tout – c’est juste que ce ne sera pas vous.

[VIDÉO SUR LA PAGE SOURCE]

Ce qui signifie vraisemblablement que vous ne serez pas non plus propriétaire de votre génome.

Et pourquoi le seriez-vous? Vous serez heureux que Klaus Schwab en soit propriétaire, n’est-ce pas? Et Klaus et ses amis, qui suggèrent implicitement qu’ils devraient tout posséder, pourront décider de l’édition du génome qui rendra le monde (c’est-à-dire vous) meilleur.

La section ci-dessous de la vidéo du FEM intitulée « Les technologues partagent leurs visions de notre monde futur » vous l’explique avec des phrases accrocheuses telles que « Nous devons imaginer un nouvel âge », « Améliorer la biologie » et « Écrire un nouveau code pour la vie ».

Super.

Voici le passage sur l’édition de gènes [NdT. c’est au point 3], qui, soit dit en passant, reconnaît nonchalamment que les vaccins COVID-19 font partie de cette amélioration technologique de la population mondiale.

La vidéo parle ensuite de lunettes de réalité diminuée qui « vous permettront d’enlever des choses de votre vue, qu’il s’agisse d’ordures ou d’autres personnes ». Un message subliminal qui dit « les autres = ordures ».

Je suis sûr que ces acteurs du FEM sont des gens charmants dans le cadre d’un dîner – mais ce sont certainement les dernières personnes qu’on aimerait voir en charge de cette technologie.

Et si vous trouvez ça grave, écoutez ce type – Noah Harari, le transhumaniste en chef du Forum Économique Mondial – qui passe à la vitesse supérieure dans sa conférence TED, en nous disant que les droits de l’homme n’existent pas, parce qu’on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les voir. Parce qu’ils ne sont pas une « réalité biologique », cela signifie que les droits de l’homme n’existent pas. Charmant.

Bien sûr, il poursuit en nous disant que Dieu n’existe pas, pas plus que les pays ou l’argent. Ce ne sont « que des histoires ». Il est nécessaire pour le FEM de vous faire avaler tout cela afin que vous abandonniez vos croyances en Dieu, au libre arbitre, aux droits de l’homme, aux États-nations et à la propriété. C’est l’utopie ultime du politburo fasciste-socialiste mondial – dépeinte dans tous les romans dystopiques – et ils l’habillent d’un langage presque raisonnable pour vous faire tomber dans le panneau.

Ne vous y fiez pas. C’est littéralement GATTACA, Brave New World et 1984 réunis, et ils18 sont assis à se marrer en voyant à quel point ils ont trompé la population.

On leur a filé à tous une thérapie génique, en l’appelant un vaccin.

À ce stade, il convient de souligner ce qui, je l’espère, sera la principale conclusion de cette série en deux parties:


La chose la plus importante à retenir de ces deux articles est qu’il n’y a aucune différence fondamentale ou juridique entre l’idée d’imposer un vaccin génétique à la population et celle d’imposer une technologie d’édition génétique à la population.

La loi a déjà été établie, si nous permettons à l’affaire Kassam contre Hazzard de rester incontestée.


Retour à la loi

Ce qui nous ramène au Dr Chris Rudge de la première partie de cette série. Oui, le même Chris Rudge qui a rédigé l’article essentiel pour justifier la décision du juge Beech-Jones de retirer les droits de l’homme à la population australienne.

L’un des experts mondiaux de l’histoire de la famille eugéniste Huxley est l’une des personnes qui s’occupe aujourd’hui de la législation du Commonwealth sur l’édition du génome. Cool.

Points à prendre en compte dans l’élaboration d’une politique nationale en matière d’édition du génome humain

L’article déclare sur un ton plutôt inquiétant:

Sur la base de notre analyse, nous soutenons que l’élaboration de politiques nationales en matière d’édition du génome devrait se concentrer sur cinq thèmes particuliers. Il s’agit (1) d’intégrer l’équité et d’autres valeurs et principes dans la politique d’édition du génome humain; (2) de veiller à ce que la thérapie, l’amélioration et les autres applications soient réglementées de manière appropriée; (3) de décider quels types de recherche sur l’édition du génome humain devraient être autorisés et soutenus, en reconnaissant les différents points de vue sur le statut de l’embryon humain; (4) de se préparer à un avenir où l’édition héréditaire du génome humain pourrait s’avérer sûre et efficace et (5) d’intégrer une participation publique significative dans la gouvernance de l’édition du génome humain.

Je vais répéter cette phrase:

(4) se préparer à un avenir où l’édition du génome humain héritable pourra se révéler sûre et efficace.

Ainsi, maintenant que l’édition héréditaire du génome va être « sûre et efficace » (définie sans aucun doute par les mêmes personnes qui ont déclaré que les vaccins de thérapie génique étaient sûrs et efficaces), rien n’empêche le cercle de justice dont font partie des personnes telles que Robert Beech-Jones, maintenant élevé à la Haute Cour, de déterminer que:

« Les vaccins de thérapie génique ont été jugés sûrs et efficaces par les autorités compétentes et, par conséquent, le droit de l’individu de refuser ces vaccins n’est pas suffisant pour l’emporter sur les exigences de l’ordre de santé publique imposant ces vaccins à tous les travailleurs en Australie »

Parce que personne ne les a empêchés de le faire en 2021. Alors pourquoi diable, après que le précédent a été établi par Beech-Jones et jugé légal en appel, quelqu’un devrait-il les empêcher d’apporter cette modification mineure à la loi désormais établie?

Au cas où vous ne l’auriez pas vu venir, voici à nouveau le juge Robert Beech-Jones prononçant son discours « la technologie usurpe vos droits », présenté dans la partie 1.

[VOIR VIDEO SUR LA PAGE SOURCE]

Et qui défiera ces juges, qui pensent que les droits de l’homme n’existent plus dans le cadre d’une situation fabriquée qui répond à un agenda particulier?

Personne. Parce qu’ils n’ont même pas besoin de répondre au public.

Voici la réponse de ce même juge aux questions du public lors des présentations de la commission royale australienne COVID cette semaine. Le juge Beech-Jones ayant refusé de répondre, la Cour a répondu à sa place. Et quelle a été leur réponse?

Chère Madame Dunstone

Enquête sur une commission royale COVID-19

Je vous écris en réponse à votre lettre du 21 mars 2024 adressée à l’honorable juge Robert Beech-Jones, lui offrant la possibilité de répondre à un « commentaire » fourni à la commission dans le cadre de son enquête. Le juge Beech-Jones ne souhaite pas répondre.

J’attire l’attention de la commission sur le fait que le jugement du juge Beech-Jones dans l’affaire Kassam v Hazard [2021] NSWSC 1320 a été rendu le 15 octobre 2021. L’article universitaire « Covid- 19 Vaccine Mandates: A Coercive but Justified Public Health Necessity » (Mandats de vaccination Covid- 19: une nécessité de santé publique coercitive mais justifiée) a été publié en juillet 2023 dans le volume 26 du University of New South Wales Law Journal, en même temps qu’un certain nombre d’autres articles. Le juge Beech-Jones a rédigé l’avant-propos de ce volume du Law Journal.

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, leur réponse a été de se référer au document écrit par Wilson et Rudge pour défendre les mandats qui ont contraint la population à recevoir des vaccins de thérapie génétique comme condition pour se prévaloir des droits de l’homme déclarés dans l’article 23.1 de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU qui stipule que:

Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Ce même Chris Rudge a reçu le soutien réciproque du juge Beech-Jones lors de son accession à la Haute Cour d’Australie, probablement en raison de son « excellent » travail d’abrogation des droits de l’homme des Australiens (et, par extension, du Commonwealth) qui, selon le Forum Économique Mondial, n’existent pas.

Donc, si vous pensez que le pouvoir judiciaire vous protégera contre l’obligation de prendre un produit de thérapie génique, quel que soit son nom, à l’avenir – pensez-y à deux fois.

La seule façon d’éviter cela est soit de renverser les principes de coercition légalisée validés dans l’affaire Kassam contre Hazzard, soit que les personnes qui s’apprêtent à gagner des trillions de dollars grâce à leurs produits brevetés acquièrent soudain une conscience éthique.

Laquelle de ces deux options est la plus probable, selon vous?

Bienvenue à Gilead GATTACA. Via Harvard.

/Fin


  1. FDA: Thérapie génique humaine: incorporation de l’édition du génome humain, janvier 2024
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/fed7dfdc-b524-47ca-b468-861975cd350b.pdf ↩︎
  2. Un « protospace adjacent motif » https://sg.idtdna.com/pages/Support/FAQs/what-is-a-pam-sequence-and-where-is-it-located ↩︎
  3. Novavax a été commercialisé en tant que « vaccin protéique », mais il est soumis au même problème de contamination par les plasmides que les produits de thérapie génique de Pfizer et de Moderna, car le plasmide ADN qui produit l’ARN à l’origine de la protéine n’a peut-être pas été décontaminé efficacement, et les autorités de réglementation n’ont pas pris la peine de le vérifier. ↩︎
  4. L’optimisation des codons est un processus par lequel les généticiens recréent une protéine (qui est une séquence d’acides aminés) en utilisant une séquence génétique (nucléotide) différente de la séquence génétique originale qui a produit la protéine, mais qui crée la même séquence d’acides aminés. Cela est possible parce qu’il n’y a que 20 acides aminés mais 64 combinaisons des 3 nucléotides qui codent pour chaque acide aminé, ce qui donne une redondance. Par exemple, l’arginine est codée par AGA ou AGG ; la glycine par GGA, GGT, GGC ou GGG. Ainsi, si vous avez une séquence de nucléotides AGAGGG et que vous la changez en AGGGGT, vous obtiendrez toujours les mêmes acides aminés et donc la même protéine (en théorie). Il y a cependant des conséquences à ce genre de bricolage et le résultat n’est pas toujours celui que l’on attend. ↩︎
  5. Un coup de chapeau à OpenVAET pour avoir mené d’une main de maître cette analyse avec moi. J’espère que nous aurons l’occasion de l’approfondir dans un autre article. ↩︎
  6. Vous pouvez le vérifier par vous-même en effectuant une analyse BLAST de la séquence Pfizer, Moderna ou Novavax par rapport au génome humain. Voici le résultat
    ↩︎
  7. Manuel des décisions bioéthiques – avant-propos de Peter Singer. ↩︎
  8. Transcription de la Cour et archives liées ici
    https://t.me/arkmedic/9103 ↩︎
  9. Richard Dawkins défend la pédophilie « légère », encore et encore »: Archivé ↩︎
  10. C’est pourquoi nous conservons des archives. L’article original a été réduit à un seul paragraphe par Buzzfeed News.
    https://archive.is/Gz1xr ↩︎
  11. George Church, pionnier de la génétique, soutient l’édition de gènes humains: tant qu’elle est ouverte à tous, riches ou pauvres: Archivé ↩︎
  12. Nommé #NotesGate et immortalisé dans le substack de Shez ici ↩︎
  13. Ce compte twitter a été au cœur du scandale #CRISPRgate dévoilé sur twitter en janvier dernier. ↩︎
  14. Si vous voulez en savoir plus, je vous suggère de suivre le hashtag #GinoGate sur twitter et surtout de suivre Jurassic Carl. ↩︎
  15. L’adresse officielle de la société Surgisphere est Chicago, mais l’auteur principal de l’article se trouve à Brigham and Women’s. ↩︎
  16. https://www.nature.com/articles/nbt.3227supplément.
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/d2442c61-ccbe-4038-b423-f62d047eeca3.pdf ↩︎
  17. Politique de données génomiques et cadre éthique du FEM à l’horizon 2020
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/93a94c24-a110-44a7-936b-0ec9cbf2367a.pdf ↩︎
  18. Le Forum Économique Mondial, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg et leurs entités apparentées qui contrôlent la masse monétaire mondiale par l’intermédiaire de « think tanks ». ↩︎

Protégez les bébés de l’injection de Beyfortus (anticorps monoclonaux contre le VRS) – par Sasha Latypova et Hélène Banoun.

Pour mes lecteurs français (et leurs bébés) en priorité.

Lectures complémentaires:

Le dernier dans la liste montrerait donc qu’on a donc affaire à une autre maladie « de laboratoire », pour laquelle Big Pharma aurait la solution – chère, inefficace et dangereuse. Comme je l’écris dans mon commentaire à l’article de Sasha, on commence par enquêter sur une fraude après l’autre jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il ne s’agit pas de fraudes, mais d’un modèle d’entreprise.

Après le rachat d’Arena Pharmaceuticals, spécialisée dans les traitements de maladies cardiovasculaires, Pfizer vient d’acheter Seagen, une « une société mondiale de biotechnologie qui découvre, développe et commercialise des médicaments innovants contre le cancer ».

« Le cancer reste l’une des principales causes de décès et une personne sur trois aux États-Unis recevra un diagnostic de cancer au cours de sa vie. Avec l’un des investissements les plus importants de l’histoire de Pfizer, nous nous lançons à corps perdu dans la lutte contre le cancer, avec l’objectif de réaliser des percées qui améliorent radicalement la vie des personnes atteintes de cette maladie », a déclaré le Dr Albert Bourla, président-directeur général de Pfizer. « Grâce à la technologie brevetée et mondialement reconnue des conjugués anticorps-médicaments (ADC) de Seagen, ainsi qu’à l’ampleur et à la force des capacités et de l’expertise de Pfizer, nous sommes prêts à changer le paradigme du traitement du cancer. Nous pensons que l’oncologie sera un moteur de croissance important pour Pfizer et qu’elle contribuera de manière significative à la réalisation de nos objectifs financiers à court et à long terme. »

Devant tant de générosité, on reste pantois. Comme le dit le Dr Tenpenny, les vaccins ne représentent que 5% de leur chiffre d’affaires, mais ils garantissent les autres 95%.

Au fait, si ça intéresse quelqu’un que je traduise l’un ou l’autre article, y’a qu’à demander! C’est gratuit et avec plaisir – et j’aurai moins l’impression de prêcher dans le désert.

Source.


Protégez les bébés de l’injection de Beyfortus (anticorps monoclonaux contre le VRS)

Ceci est un post d’une collègue française, Hélène Banoun

Hélène Banoun est pharmacienne biologiste, ancienne chercheuse à l’INSERM, basée en France.

Elle écrit dans un courriel:

Depuis le 6 décembre, date à laquelle j’ai alerté le public sur l’essai clinique non contrôlé du gouvernement français, Twitter France m’a rendue invisible. En France, l’injection de Beyfortus (nirsevimab, un anticorps monoclonal contre la bronchiolite causée par le VRS) est recommandée pour tous les nouveau-nés dès la maternité. Ce traitement n’a pas été testé sur des nouveau-nés, mais sur des enfants âgés de 3 mois à 2 ans!

Les calculs des lanceurs d’alerte français démontrent l’existence d’une augmentation très importante du nombre de décès de bébés âgés de deux à six jours, deux mois de suite, exactement depuis l’introduction de cette « thérapie monoclonale préventive contre la bronchiolite » (Beyfortus®) qui n’a jamais été réellement testée chez les nouveau-nés.

Il semble que Twitter ait activé la fonction « cacher les tweets d’Hélène Banoun » pour de nombreux abonnés https://twitter.com/BanounHelene

« Les mauvaises surprises des vaccins et des thérapies préventives contre la bronchiolite à VRS ».

par Hélène sur Researchgate ici [NdT. en anglais; le texte original, cité ci-après, en français est ici].

Quelques extraits de l’article [les références numérotées sont dans l’article lié] :

Thérapies préventives aux anticorps monoclonaux?

Un nouveau concept apparaît à l’occasion de la lutte contre la bronchiolite : la thérapie préventive qui consiste à injecter directement des anticorps. Sanofi commercialise en collaboration avec Astra-Zeneca un anticorps monoclonal contre le VRS, le Beyfortus®, destiné à être injecté en prévention chez les nouveau-nés.

Un des essais cliniques [1] montre des effets indésirables graves du produit et 3 décès dans le groupe vacciné contre 0 dans le groupe placebo, et selon la formule rituelle, « les décès ne sont pas attribués au médicament par l’investigateur ».

La FDA a enregistré 15 décès dans l’ensemble des essais de cet anticorps monoclonal: 12 dans les groupes traités (0,32%) et 3 dans les placebo (0,16%). La FDA note donc le déséquilibre en défaveur du traitement [2]: 4 décès cardiaques, 2 gastro-entérites, 2 morts subites, 1 cancer, 1 Covid, 1 fracture, 1 pneumonie, mais aucun décès n’a été relié au traitement. L’EMA [NdT. l’Agence Européenne des Médicaments] enregistre 3 décès dans les groupes placebo et 11 décès dans les groupes traités. Conclusion de l’EMA : la balance bénéfice/risque est positive…[3]

La HAS conclut à un service médical rendu « faible » : elle rappelle que la bronchiolite est en général une maladie bénigne, que le Beyfortus® est suspecté de sélectionner des virus résistants. La HAS souligne également l’absence de donnée étayant un éventuel impact sur la réduction de durée d’hospitalisation ou la mortalité et la HAS note aussi les décès dans les effets indésirables possibles [4].

Souvenons-nous que toute cette campagne de « prévention » de la bronchiolite est censée éviter l’engorgement des hôpitaux par des bébés atteints de cette maladie: si ce produit ne diminue pas significativement les hospitalisations, quel intérêt a-t-il?

L’EMA dans son rapport de septembre 2022 [3] nous rappelle le fiasco des essais de vaccins contre le VRS par le passé: des enfants sont morts de bronchiolite grave dans les groupes vaccinés et aucun dans les groupes témoins. C’est encore une manifestation de l’ADE (Antibody dependent enhancement = facilitation/aggravation de l’infection par les anticorps) qui a été décrit pour la dengue [5]. Cet ADE est dû à l’effet délétère des anticorps qui, au lieu de neutraliser le virus, facilitent son entrée dans la cellule par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines. Et justement les industriels ont jugé bon de modifier cette région Fc du Nirsevimab (nom générique du Beyfortus®) : le Fc de cet anticorps a une plus forte affinité pour le récepteur néonatal du Fc et ceci en vue d’étendre sa durée de vie.

Remarquez – quelle coïncidence! TOUS les fabricants de vaccins covid ont adopté simultanément une approche de conception très similaire: sélectionner le composant le plus toxique du « pathogène » ciblé pour en faire l’élément de conception de leur produit. Il semble que ce soit la nouvelle tendance à la mode dans le développement des médicaments. Rendons-les VRAIMENT dangereux.

L’EMA nous rappelle qu’on ne peut pas exclure le rôle de ce fragment Fc dans la « protection » contre le virus VRS.

Comme je l’ai expliqué [6], différents noms sont donnés à ce même phénomène selon qu’il est considéré comme bénéfique (ADCD, ADNKA, ADCP, ADNP) ou délétère (ADE): c’est toujours une entrée du virus dans la cellule facilitée par le fragment Fc de l’anticorps. Les industriels recherchent les effets bénéfiques de ce phénomène et se méfient des effets délétères, c’est pourquoi ils ont recherché le risque d’ADE avec le Beyfortus® dans des modèles animaux. Ils affirment ne pas l’avoir détecté mais l’EMA souligne, sans s’émouvoir, qu’aucune évaluation histopathologique des rats n’a été conduite après traitement et infection par le VRS: c’est le seul marqueur reconnu de l’ADE. L’EMA nous rassure en affirmant qu’aucun signe d’ADE n’a été observé dans les essais cliniques: vraiment?

Des bronchiolites sont pourtant signalées comme cause de décès de nourrissons dans les groupes traités; ces décès ne sont pas attribués au traitement par l’investigateur.

Pour pouvoir l’affirmer, il aurait fallu autopsier ces pauvres bébés et vérifier qu’il n’y avait pas de phénomène histopathologique dans les poumons: ça n’a pas été fait et l’EMA s’est bien gardée de le demander. On peut craindre donc que cet anticorps monoclonal dont le fragment Fc a été modifié ne provoque ce dangereux effet ADE chez certains nourrissons, ce qui expliquerait le déséquilibre des décès dans le groupe traité par rapport au placebo mais aussi le même déséquilibre en comparaison du groupe traité au Synagis® (palivizumab), l’ancien médicament équivalent qui ne possédait justement pas cette modification du fragment Fc [7]!

Un article paru dans la presse française « Le train Beyfortus a déjà déraillé » montre les sombres statistiques suivantes:

La courbe bleue représente, pour chaque mois (de 2018 à octobre 2023), les taux de mortalité de 2 à 6 jours de vie, des bébés natifs du mois en question.

  • La ligne verte horizontale représente le taux de référence, calculé sur les années 2018-2019. Ce taux est de 0,69 décès pour 1 000 naissances.
  • Les lignes pointillées bleues représentent l' »intervalle de confiance des taux de mortalité à 95% ».
  • Les pointillés rouges représentent l’intervalle de confiance des taux de mortalité à 99,8%.

En septembre 2023, il y a 54 décès de nourrissons entre 2 et 6 jours de vie sur 55 489 naissances, ce qui donne un taux de mortalité de 0,97 décès pour 1 000 naissances.

La Maison Blanche confirme 230 000 doses supplémentaires de vaccin contre le VRS pour les nourrissons le mois prochain.

https://ntd.com/white-house-confirms-230000-additional-rsv-immunization-doses-for-infants-next-month_961799.html…

La France est le terrain d’expérimentation mondial de ce produit, qui sera désormais distribué aux États-Unis! Beyfortus injecté aux nouveau-nés dans les maternités depuis le 15 septembre > augmentation de 50% des décès de nourrissons entre 2 et 6 jours. Principal effet indésirable = bronchiolite = facilitation de l’infection par l’anticorps monoclonal.

Le VRS est une escroquerie:

N’oublions pas non plus que le VRS est un problème de santé totalement inventé. Il s’agit d’un rhume banal rebaptisé qui n’a jamais menacé la vie des bébés. Ne tombez pas dans le panneau. N’injectez pas à vos bébés des préparations biologiques toxiques.

L’escroquerie du VRS (article de Meryl Nass, en anglais)

Le vaccin contre le VRS de Moderna n’a aucune efficacité (et selon moi, aucune efficacité n’est attendue de la transfection de cellules avec le matériel génétique d’un virus respiratoire inventé de toutes pièces):

L’essai Moderna sur l’ARNm du VRS révèle une réduction du risque absolu inférieure à 1% (article de Peter McCullough, en anglais)

La transfection de vos cellules avec des poisons génétiques et autres présente un risque important (à mon avis, la « prévention des cas » est un conte de fées élaboré par des statisticiens très bien payés et formés à l’art de la simulation):

Vaccin ARNm contre le VRS: 81 effets indésirables pour chaque cas de VRS (rhume) évité (article de Igor Chudov, en anglais)

Peinture du jour: Sophia et Moomin, huile sur lin.

Diagnostics.

Bonne année 2024!

L’année de la redevabilité est terminée. Ô surprise, pas de Nuremberg 2.0, juste quelques plaintes comme celle-ci – le Procureur Général du Texas contre Pfizer. En Europe, quelques rats politiques quittent le navire vaccinal en perdition, maintenant que le mal est fait et qu’ils sont autorisés à jouer officiellement les preux chevaliers avec trois ans de retard. Parfaitement minable.

Voyons ce qu’on nous promet pour l’année qui vient: chaos, guerre civile, guerre mondiale, extrême-droite, et autres signes que le foutage de gueule continue. Encore du minable…

Je vois se former deux tendances, pas strictement alignées sur les divisions qu’on nous vend – gauche/droite, noirs/blancs, Russie/Ukraine – actualisée en Israël/Palestine – et bien entendu injectés/non-injectés.

D’un côté les éternels enfants gâtés qui comptent sur d’autres pour faire le boulot – au choix selon leur « camp », l’État, Pfizer, les politiciens, Donald Trump, Jésus Christ, etc. – et traversent la vie sans rien vouloir savoir ni savoir qu’ils ne savent pas. Inutiles à eux-mêmes et aux autres, personne n’en veut – ni vous, ni moi, encore moins leurs maîtres, qui ne savent plus quoi en faire.

D’autre part, ceux qui (re)prennent leur vie en main, même si ce n’est ni facile ni un cadeau – beaucoup de travail pour peu de récompense – mais réalisent que la seule liberté ne se gagne pas à coups de manifs à la con mais par l’autonomie et la responsabilité individuelle.

En voici la version latine sous forme de proverbes pour assiettes – idée piquée à Chaval:

Labor ipse voluptas: le travail est sa propre récompense.

Flecti non frangi: on nous a pliés mais on ne nous a pas cassés.

… et bonne santé!

J’ai:

  • une crise aigüe de goutte (moi qui ne boit jamais),
  • une allodynie, ou un zona, on ne sait toujours pas (médecins incompétents),
  • des apnées du sommeil (86 par heure, dont une mesurée à deux minutes),

mais pas le Covid!

Ces légères indispositions heureusement sans gravité expliquent le léger retard de ce billet.

Je prends donc de la colchicine, de la vitamine B et je me déguise en éléphant toutes les nuits, sur conseil de mon cardiologue, ce qui me prolongera la vie de plusieurs années, merci Docteur – et implique que le monde devra encore supporter ce vieillard acariâtre, en plus de tout le reste.

Et comment vont les autres?

Covid-19

Je coiffe ma casquette marquée Service Public pour une annonce d’intérêt général.

Si vous souffrez des symptômes suivants:

  • toux sèche persistante,
  • courbatures,
  • fièvre modérée,
  • douleur dorsale extrême localisée au niveau du pancréas/estomac, c’est-à-dire au milieu de la colonne vertébrale,
  • très forte diarrhée, système digestif HS,

… c’est probablement le Covid – peut-être le petit dernier, le JN.1. Vous savez quoi faire.

Je range ma casquette, passons à la suite des événements.

En 2020, n’en déplaise aux négationnistes du SARS-CoV-2, le Covid a fait quelque dégât chez les immunodéprimés et certains malchanceux – assez peu – dont certains ont chopé un Covid long. Avance rapide jusque 2024: le système immunitaire des injectés a été maintenant suffisamment « reprogrammé », c’est-à-dire agressé, pollué et déraillé pour qu’on se retrouve dans la situation de 2020 en mille fois pire, où les injectés sont les nouveaux immunodéprimés. C’est-à-dire que la vraie pandémie de Covid pourrait éventuellement commencer et faire des ravages. Lesquels?

Vous avez tous lu ce que j’ai publié sur les « effets secondaires » de cette merveille technologique – environ le tiers des articles de ce blog, qui en compte bientôt cinq cents – notamment la prolifération des IgG4. Mais il y a du nouveau.

Ce papier émet l’hypothèse que l’épidémie de pneumonie (bactérienne) aux « poumons blancs » (si c’est bien la traduction officielle) qui sévit en Chine, et maintenant en Europe et aux US, est en fait une infection secondaire due au Covid. L’article fait une bonne collection et analyse de données mais rien d’autre, le sujet des dégâts vaccinaux étant totalement glissé sous le tapis.

Autre analyse ici, un peu plus détaillée, de la corrélation Covid/pneumonie par mon très patient et persistant compatriote, le Dr Vanden Bossche. Même si j’ai un doute, je reparle de Geert parce qu’il prévoit qu’on va passer maintenant au variant de l’apocalypse qu’il annonce depuis trois ans, qui sera un cousin de JN.1 – il explique tout ça ici et ici. Ça mériterait d’être traduit (j’y pense), dans la mesure où même si le quart de la moitié de son pronostic se réalise, ça risque d’être épique. La bonne nouvelle, c’est que les non-injectés ne risquent quasiment plus rien du Covid. La moins bonne nouvelle c’est que les injectés tomberaient bientôt comme des mouches – question de jours ou de semaines. Comme ils sont plus de cinq milliards, ça pourrait influencer négativement le cours des choses cette année – un peu plus vite que le scénario de Toby…

D’ailleurs, on sent bien un léger malaise là-haut depuis quelque temps. Ils se mettent à carrément camoufler des « morts soudaines » en accidents de voiture (sorry, j’ai perdu le lien), donc l’inverse de ce qu’ils faisaient en 2020 avec le Covid. Si ÇA c’est pas minable…

Steve Connoly a recensé la progression du nombre de « morts soudaines » (cardiaques?) dans les avis mortuaires américains – très parlant, je traduirai.

Cette étude de septembre dernier donne la proportion des injectés avec séquelles cardiaques: quasiment tous. Il va donc falloir publier des études bidon pour détourner le truc. En voici une.

Épidémie de crises cardiaques

Pour ce titre, je pique à Jeff Childers un extrait de son billet du 28 décembre:

Hier, je suis tombé sur une nouvelle étude iScience prépubliée signalant une nouvelle pandémie potentielle, intitulée « Predicted risk of heart failure pandemic due to persistent SARS-CoV-2 infection using a three-dimensional cardiac model«  (Risque prédit de pandémie d’insuffisance cardiaque due à une infection persistante par le SARS-CoV-2 à l’aide d’un modèle cardiaque tridimensionnel). Cette étude présente des données scientifiques covidiennes farfelues, comme je l’expliquerai dans un instant, mais il convient de noter sa prédiction désastreuse: une pandémie d’insuffisance cardiaque à venir. Ouaip.

Les chercheurs partent de la théorie covidienne d’une l’infection persistante par le covid – un type d’infection crypto-covidienne des plus furtifs, qui est non seulement asymptomatique, mais dont les tests sont également négatifs, même en utilisant la PCR – qui a été critiquée pour sa trop grande sensibilité. En fait, le covid persistant est totalement invisible aux tests. Jusqu’à présent.

C’est donc une sorte de croyance religieuse.

Les chercheurs ont notamment prédit une pandémie d’insuffisance cardiaque qui, selon eux, sera attestée par la présence de la protéine de pointe dans les tissus cardiaques. Même s’ils admettent qu’il n’y a pas de preuve concluante d’une infection persistante par le covid jusqu’à présent, ils estiment que la sonnette d’alarme devrait déjà être tirée en ce qui concerne les crises cardiaques:

L’augmentation explosive du nombre de patients infectés par le virus en raison de la pandémie de COVID-19 pourrait avoir entraîné une augmentation considérable du nombre de patients présentant un risque potentiel d’insuffisance cardiaque. Dans les pratiques cliniques, ces patients à haut risque devraient être identifiés en détectant le virus lui-même ou le génome viral dans le tissu de la biopsie endocardique ou en surveillant les niveaux de troponine dans le sang. Ce rapport peut servir d’avertissement quant à la possibilité d’une pandémie d’insuffisance cardiaque dans l’ère post-Covid-19.

L’étude ne montre pas, et n’avait pas pour but de montrer, une infection persistante par le covid. Les chercheurs ont infecté des cellules cardiaques avec le covid dans une boîte de Pétri et ont observé ce qui se passait. Comme il n’y a pas de système immunitaire dans une boîte de Pétri, l’étude n’a pas pu montrer la persistance du virus dans l’organisme. Mais elle a montré ce qui se passe dans les cellules cardiaques lorsque la protéine de pointe y pénètre par le biais d’une infection virale ou d’une transfection de l’ARNm. C’est-à-dire: rien de bon.

J’ai trouvé que l’illustration de l’auteur (ci-dessus) indiquait en quelque sorte le fond de sa pensée. Le panneau supérieur à l’extrême gauche montre l’augmentation de la protéine de pointe sans virus. Il n’y a qu’une chose qui génère de la protéine de pointe sans virus: les injections.

S’ils peuvent en trouver la preuve quelque part, le « covid persistant » – qui sonne beaucoup plus scientifique que le « covid long » – servirait assurément de bonne couverture pour les dommages causés par les injections.

Opposition contrôlée

Cette année, les américains vont voter. Ils auront le choix entre la vieille harpie « Donald » Trump (voir ici et ici) et l’acteur Arthur Roberts – sous un masque en silicone à la Mission Impossible, vous pouvez vérifier – dans le rôle de « Joe Biden », qui est probablement mort. Le commanditaire du « clot shot » et son représentant de commerce pour sauver le pays, voilà le casting pour le rôle de leader du monde libre, auquel on peut ajouter le héros des anti-vax, Robert Kennedy Jr, en qui j’avais, naïveté touchante, une relative confiance jusqu’à ce qu’il publie son bouquin de « limited hangout », dont je publie incessamment (traduction terminée) la revue par Pete Lincoln.

Il est assez distrayant de suivre les gesticulations verbales de chaque « camp » – l’hystérie anti-Trump atteint des sommets d’imbécilité – articulées autour du sauvetage de la « démocratie » américaine, maintenant que le navire États-Unis fait lui aussi eau de toute part. Minablissime.

Apparemment, ça ne va pas tellement mieux en Chine, puisque son leader maximo Xi Jinping serait venu en novembre dernier faire la manche – t’as pas 900 milliards? – auprès d’Arthur, dont les marionnettistes ont déjà bien du mal à faire suivre la planche à billets. Une comédie minable, dont on connaît déjà la fin – les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell.

Du côté des héros de la « résistance » – le Mouvement pour la Liberté Médicale – trois tendances.

La plus délirante est de nier purement et simplement le fait qu’il y ait eu pandémie en 2020, voire l’existence du Sars-CoV-2, représentée entre autres par les statisticiens à la Denis Rancourt, qui ne voient pas de pics dans leurs petites feuilles statistiques, donc il ne s’est rien passé.

D’autre part la tendance Robert Malone, conseiller de RFK Jr, dont l’idée qu’il y a quelque chose à sauver dans les nouvelles technologies médicales, moyennant quelques menues améliorations.

Et la vieille garde incarnée par Peter McCullough, qui s’est maintenant considérablement assagi et parle d’erreurs, de pardon et d’amnisitie. Quelqu’un a passé un coup de téléphone, Peter?

La triste réalité, c’est que le bidouillage génétique des injections a entrouvert les portes de l’Enfer et que ce ne sont pas ces minables qui les refermeront. C’est votre travail.

La fin du pétrole?

Le pétrole est notre ami. Son utilisation nous a affranchi de beaucoup de tâches ingrates, et a permis une croissance démographique gigantesque, qui fait qu’on aurait du mal à s’en passer. Un journaliste estime ici le coût en vies humaines de la fin théorique de l’approvisionnement en produits pétroliers: six milliards de morts en une année. A priori, pas une trop bonne idée.

Il faudrait néanmoins se poser la question de son utilisation. Pas pour une question de CO2, évidemment, qui est le prétexte à une vaste opération financière – le Net Zéro et sa taxe carbone – mais pour ses conséquences réelles sur la vie humaine. L’agriculture industrielle et ses poisons. Le plastique et ses additifs pétrochimiques…

Pour la traduction, vous cliquez sur les sous-titres (CC) et ensuite sur Settings > Auto-translate > Français.

Il y a aussi cette édifiante étude (en anglais) qui montre la présence de microplastiques dans les placentas et les nouveaux-nés humains. Eh oui.

Plus le bordel que ça met au niveau géostratégique, pour permettre à certains de rester maîtres du réseau de distribution énergétique. Par exemple, l’opération de mainmise sur la bande de Gaza, également connue sous le nom de conflit Israël/Hamas.

Israël/Hamas

Voici une citation intéressante de Talal Abu Ghazali, homme d’affaires et homme politique jordano-palestinien:

« Il n’y a aucune raison pour laquelle les Juifs sacrifieraient ne serait-ce qu’une seule personne. Ils ont peur de la mort. La mort est étrange et dégoûtante pour eux. Et nous, nous accueillons la mort. Le Palestinien porte son fils sur ses épaules, et sur le bandeau posé sur le front de l’enfant, il est écrit: « Celui qui cherche le martyre ». L’homme dit: « Je veux que mon fils meure. » La mère palestinienne dit: « J’ai donné naissance à six enfants pour que trois d’entre eux meurent pendant la révolution. J’ai donné naissance à des enfants pour qu’ils deviennent des martyrs. » Cela n’existe pas dans la mentalité sioniste ».

12 octobre 2023, NBN TV

Pour confirmation, le créateur (pas entièrement neutre) de la chaîne Youtube Traveling Israël rappelle ici que 70% des Palestiniens sont d’accord avec le régime du Hamas – attentats inclus.

Vus sous cet angle, considérons la validité de quelques points rapportés dans les médias:

  • le Hamas est une création d’Israël, en particulier de Netanyahu qui s’en est servi pour couper l’herbe sous le pied de l’OLP, nettement moins fanatique;
    • donc une manoeuvre pour marginaliser les Palestiniens?
  • le même Netanyahu a mené la politique la plus proactive d’intégration des arabes dans la société israëlienne, qui représentent 20% de la population;
    • donc une manoeuvre pour intégrer les Palestiniens?
  • c’est toujours Netanyahu qui parlait de « déradicaliser » Gaza;
    • après les avoir radicalisés via le Hamas?
  • les dirigeants du Hamas sont tous milliardaires;
    • donc des membres de l’hyperclasse qui défendraient les droits des pauvres?
  • l’ONU préconise la solution à deux États;
    • donc une idée injouable promue par le noyau dur du mondialisme, également derrière la fraude climatique, qui entrerait dans le cadre de leur agenda, 2030 ou autre?
  • la « faille de sécurité » suscite un sérieux doute chez certains militaires israëliens, la présence de journalistes d’Associated Press, de CNN, du New York Times et de Reuters sur les lieux ne faisant rien pour dissiper ce doute;
    • ce qui signifierait que ce conflit est organisé de A à Z comme le suggère son étiquette de « 11 septembre israëlien »?
  • le peuple Palestinien subit depuis 1945 un génocide de l’autorité israëlienne;
    • ce qui cadrerait comment avec les chiffres de leur démographie galopante?

Bon, on se fout ouvertement de votre gueule. Pour changer. Ce conflit n’est qu’une vitrine.

La vitrine de l’expropriation des « gens qui ne sont rien » c’est-à-dire inutiles au système – vous savez, ceux qui ne possèderont rien et seront heureux (ou morts).

La vitrine d’une lutte des classes fabriquée et entièrement sous contrôle, dans laquelle les Palestiniens incarnent d’un côté la gentille « gauche » victimaire, au culte de mort islamo-marxiste – notamment celle des enfants, comme pour les vaccinés (voir ici et ici) – et de l’autre côté l’armée israëlienne, la « droite » diabolisée qui a l’audace de fermer ses frontières aux pauvres.

En somme, c’est la vitrine du Grand Reset, dans laquelle la bande de Gaza préfigure les villes de 15 minutes, sous perfusion d’argent tombé du ciel (UNRWA, USA, UE, Qatar, etc.) comme bientôt les MNBC sur les nouveaux improductifs occidentaux.

Ça peut sembler caricatural mais le monde est devenu une pure parodie.

Le discours médiatico-politique sur les « crimes de guerre » et sur ses « conventions » est une farce. Les guerres ne sont pas des opérations humanitaires. Elles sont faites pour être « gagnées », donc redistribuer les cartes, à l’international et au national, aux niveaux géostratégique, économique et/ou social en éliminant au passage les gens devenus inutiles ou gênants – hier la paysannerie, aujourd’hui la main d’oeuvre sous-qualifiée. Pour participer au monde technocratique à venir, il deviendra inévitable de faire de bonnes études. Ceci permettrait notamment aux Palestiniens de travailler pour Pfizer, de recevoir un confortable salaire versé par Albert Bourla, la gratitude de Netanyahu et une garantie d’impunité totale pour un bilan bien supérieur à celui du 7 octobre.

Comme l’indiquent les presque deux millions d’arabes intégrés à la société israëlienne, ce conflit n’a que très peu à voir avec la religion, qui n’en est qu’un des instruments militarisés. En avalisant la sauvagerie – réelle ou fictive – du Hamas, les gazaouis fournissent le contre-argument parfait à la solution à deux États. Le message est qu’il n’y a pas assez de place pour la coexistence de la nouvelle hyperclasse et de gueux mal peignés, ni là, ni ailleurs.

Pour les naïfs qui me penseraient partisan, je rappelle le rôle des Black Ops israëliens dans la démolition contrôlée du WTC et le fait qu’aucune figure politique d’aucun bloc n’ait jamais, de près ou de loin, touché ce sujet, ce qui indique une méthode globale de consolidation du pouvoir à laquelle tout le monde participe d’une manière ou d’une autre, au minimum par la loi du silence. En résumé, une entreprise criminelle, avec des conséquences.

À ce sujet, je publierai un de mes articles en retard, la traduction d’une interview de Nadav Yair, instructeur militaire israëlien, très pragmatique, qui soulève la question du « Jour des Comptes ». Il a raison, je pense que 2024 sera « l’année de la facture » et vous aurez compris qui va la payer. Pour l’opération « vaccins », ceux qui ont fait confiance à leur État. La médecine de la classe moyenne – les cabinets privés des médecins – a été écartée pour laisser tout pouvoir au réseau hospitalier sous contrôle étatique, qui a servi de relais au centre mondial de commande financier, bien à l’abri, aux manettes de Big Pharma comme du pouvoir militaire. Ils échapperont ainsi une fois de plus à toute forme de justice, la seule autorisée étant celle qui s’exerce sur les gueux. Les seuls ennemis auxquels le peuple a accès sont soit des hommes de paille, soit ceux de sa propre classe, avec qui il leur faut composer selon leur degré de tolérance, sous menace de conflit familial, social ou national – la guerre civile annoncée.

Comme les injectés, comme les Palestiniens, le destin de ces idiots utiles est de finir dans le grand charnier des poubelles de l’Histoire, tandis que le monde continue son lent chemin de prétendue « prospérité », entre deux guerres fabriquées ou deux « révolutions » programmées.

Je vous laisse avec un chanteur phare de la gauche caviar, dont l’éducation classique lui a sans doute évité d’être dupe de son petit milieu. À l’instar de son mentor à qui il rend hommage, c’est un homme lucide et généreux. Il glisse ici dans la laborieuse présentation télé qu’il faut donner aux enfants le goût des bonnes chansons. Rien n’est plus vrai. Apprenez-leur celle-ci par coeur, ça leur servira.

COP28: le projet mondialiste n’a jamais été aussi flagrant – par Kit Knightly.

« Le langage politique est conçu pour faire paraître les mensonges véridiques et les meurtres respectables, et pour donner une apparence de solidité à du vent ».

George Orwell

Bon, le COP28… J’étais disposé à écrire mon propre article là-dessus mais, bien que je n’aime pas beaucoup Kit Knightly ni OffGuardian, celui-ci fera l’affaire, moyennant le court préambule qui suit.

Comme on le voit depuis quelques mois – curieusement, depuis la sortie des mesures Covid – le langage « climatique » devient exponentiellement délirant. Il est possible que ces gens soient légitimement fous mais c’est difficile à dire: leur médiocrité est telle que ça passerait inaperçu. Non, ce qui motive leur spectaculaire étalage d’idiotie, c’est qu’ils sont pressés. Et il y a une raison.

Pourquoi l’urgence climatique est-elle urgente, à votre avis? L’actuel cycle de réchauffement – qui a fait augmenter naturellement le taux de CO2 atmosphérique – se termine dans deux ans, après quoi les températures vont se mettre à diminuer, ce qui sera suffisamment perceptible d’ici cinq ans pour que le trucage actuel des chiffres, déjà assez pitoyable, devienne infaisable. Il faut donc imprimer et distribuer quelques trillions d’ici là pour que la magie opère.

Comme vous le savez, le CO2 atmosphérique provenant de l’activité humaine (4% de 0,04%) n’a strictement aucun effet mesurable sur le climat global – j’ai encore un truc à publier sur le sujet. C’est l’aménagement des sols – principalement l’artificialisation et l’urbanisation – qui modifie les sous-climats locaux (voir mes traductions de John Dee), variations dont on se sert pour établir analyses fallacieuses et prévisions grotesques – sur base de « modélisations » – dont aucune ne s’est jamais réalisée. L’objectif de cette opération n’a donc absolument rien à voir avec le climat. Alors, avec quoi?

Eh bien, le pétrole.

L’ordre du jour est que le prix du pétrole doit augmenter, la consommation énergétique doit diminuer et l’élevage industriel doit disparaître – ce qui énerve les auteurs comme Knightly et la plupart de leurs lecteurs.

Désolé, mais je suis entièrement d’accord sur tous ces points.

En fait, je pense même qu’ils sont largement insuffisants et surtout, qu’ils interviennent trop tard. Je l’ai écrit, le prix du pétrole aurait dû être beaucoup plus élevé dès le départ, ce qui aurait freiné l’industrialisation démesurée de tout – surtout de secteurs auxquels il ne fallait pas toucher – et empêché la carte économique et énergétique du monde actuel, la pire configuration de l’Histoire, où la Chine fait fabriquer de la camelote par ses esclaves pour alimenter la consommation globale, où l’agriculture intensive organisée au niveau international a privé les régions de leur autonomie, où les intérêts pétroliers et gaziers foutent le bordel permanent dans la géostratégie globale (cf. Israël/Palestine, Arabie Saoudite/Yemen, Irak/Koweit, Russie/Tchétchénie, etc.) et où l’Occident fait encore semblant d’être riche. Excepté les quelques idiots utiles de « Stop Oil » et consorts, qui en seraient les premières victimes, personne dans la classe improductive occidentale (donc l’immense majorité), n’est prêt à abandonner ce « progrès », qui n’est qu’une émanation de la notion de « croissance », elle-même issue de l’usure bancaire. Le monde contemporain est un projet financier, basé sur l’utilisation du pétrole et incapable de fonctionner sans, comme une Cadillac avec une pile 9V, ce qui est une bonne image de la capacité énergétique du « renouvelable ». Malheureusement, la vieille bagnole va droit dans le mur et ceux qui sont à bord ont oublié comment marcher.

Y a-t-il moyen de sortir de cette course en avant, sans faire huit milliards de victimes? La solution de l’élite mondiale est l’établissement d’un régime communiste global, la destruction de la science, la maîtrise totale de la consommation et l’abrutissement généralisé – le Nouveau Normal. Et vraisemblablement la « dépopulation » des zones les plus énergivores, c’est-à-dire nous – le bilan des injections Covid ne devrait laisser aucun doute à ce sujet. C’est ce contre quoi s’insurgent des auteurs comme Kit Knightly, qui revendiquent qu’on subvienne à leurs besoins juste parce qu’ils l’exigent, et qu’on soit généralement gentil avec eux. Bonne chance…

Une autre solution serait de tout arrêter, c’est-à-dire laisser crever ce système et apprendre à faire sans. Ce n’est évidemment pas l’option la plus séduisante, ni la plus reposante, et encore moins la plus sûre. Mais, sauf erreur ou omission de ma part, je pense que c’est la seule.

Source.


COP28: le projet mondialiste n’a jamais été aussi flagrant

Kit Knightly

4 décembre 2023

Ce matin marque le quatrième jour du sommet sur le changement climatique qui se tient à Dubaï depuis deux semaines.

Oui, comme chacun peut le constater pour la millième fois, de véritables flottes de jets privés se sont posées dans le désert pour permettre aux banquiers et aux milliardaires de discuter des mesures à prendre pour nous empêcher de rouler en voiture ou de manger trop de fromage.

Quel est l’ordre du jour? Le mondialisme, et cela n’a jamais été aussi évident.

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva l’a dit en substance:

La planète en a assez des accords sur le climat non respectés. Les gouvernements ne peuvent se soustraire à leurs responsabilités. Aucun pays ne résoudra ses problèmes seul. Nous sommes tous obligés d’agir ensemble au-delà de nos frontières ».

Les discours d’ouverture de jeudi ont été, comme on pouvait s’y attendre, empreints de pessimisme, Son Altesse Royale Charles III et le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, se livrant au traditionnel jeu du bon et du mauvais flic.

Charlie a prévenu que nous nous embarquions dans une « expérience gigantesque et effrayante », demandant « à quel point nous sommes prêts à rendre notre monde dangereux ».

Tony, quant à lui, n’a offert qu’une infime parcelle d’espoir aux dirigeants mondiaux:

Il n’est pas trop tard […] Il est possible d’éviter que la planète s’écrase et brûle [NdT. référence à un crash d’avion]. Nous disposons des technologies nécessaires pour éviter le pire du chaos climatique – si nous agissons maintenant ».

Les deux semaines restantes seront sans doute consacrées aux lobbyistes, aux banquiers, aux membres de la famille royale et aux hommes politiques qui décideront exactement comment ils vont « agir ». Ou, plus précisément, comment ils vont vendre leurs actions déjà convenues à leurs populations de bétail.

Ils nous annoncent littéralement leurs projets, il suffit de les écouter.

Par exemple, les journées de vendredi et samedi ont été consacrées au « Sommet Mondial de l’Action pour le Climat », au cours duquel plus de 170 dirigeants mondiaux se sont engagés à soutenir l’Agenda 2030.

Le site web de la COP28 s’en vante fièrement :

Les 1er et 2 décembre, 176 dirigeants mondiaux se sont réunis pour le Sommet Mondial de l’Action pour le Climat (SMAC), signalant une nouvelle ère d’action climatique d’ici à 2030.

Soit 176 dirigeants mondiaux sur environ 195 pays, ce qui couvre plus de 90% de la planète.

Parmi les accords et les engagements signés au sommet jusqu’à présent figure la « Déclaration des Émirats sur l’agriculture durable, les systèmes alimentaires résilients et l’action climatique ». Selon la BBC, cette déclaration s’engage à:

s’attaquer aux aliments qui réchauffent la planète »

Nous assistons tous à cette comédie depuis assez longtemps pour comprendre ce que cela signifie, non?

Cela signifie plus de viande ni de produits laitiers, et beaucoup plus d’insectes et de cubes de soja OGM.

Ils ne le disent jamais, bien sûr. En fait, ils ne mentionnent jamais d’aliments ou de pratiques spécifiques [vous pouvez lire l’intégralité de la déclaration ici].

Au lieu de cela, ils se contentent d’utiliser des phrases comme « orienter les politiques [pour] réduire les émissions de gaz à effet de serre », ou « passer de pratiques plus émettrices de gaz à effet de serre à des approches de production et de consommation plus durables ».

Maintenir un déni plausible par le biais d’un langage vague fait partie du jeu, mais quiconque prête attention sait exactement de quoi ils parlent.

Et ce n’est pas tout. Les dirigeants mondiaux ont également convenu de créer un « fonds pour les pertes et les dommages », une ressource de 430 millions de dollars destinée aux pays en développement qui ont besoin de se « remettre » après avoir été « endommagés » par le changement climatique.

Ajay Banga, directeur de la Banque Mondiale, cette célèbre organisation caritative, est tout à fait favorable à cette idée et soutiendra le projet en acceptant de « mettre en pause » les remboursements de la dette de tout gouvernement touché par le changement climatique.

On sait comment cela fonctionne, on a vu la même chose dans les amendements du RSI à la suite du Covid – c’est une réserve de pots-de-vin. Celle-ci servira à la fois à appuyer le narratif du changement climatique et à édicter des politiques dans le tiers-monde. Tout gouvernement d’un pays en développement désireux d’obtenir une part de ce gâteau devra parler publiquement de tous les impacts négatifs du changement climatique sur son pays.

Dans le même temps, pour avoir accès à l’argent, ils devront très certainement accepter d’« adopter des politiques respectueuses du climat » et/ou de soumettre leurs politiques climatiques à un « groupe d’experts indépendants » nommé par les Nations Unies.

Le président du Kenya s’est déjà exprimé à ce sujet:

En Afrique de l’Est, des inondations catastrophiques ont suivi la sécheresse la plus grave que la région ait connue depuis plus de 40 ans… La tendance à ignorer les besoins de l’Afrique en matière de développement et d’industrie n’est plus une position tenable… Faire de l’Afrique une centrale verte n’est pas seulement essentiel pour le continent, c’est aussi vital pour l’industrialisation mondiale et la décarbonisation. »

…on peut presque voir les signes de dollars dans ses yeux.

Outre l’engagement en matière d’alimentation et le fonds pour les pertes, il y a l’Engagement Mondial pour les Énergies Renouvelables et l’Efficacité Énergétique, qui vise à accroître la dépendance aux « énergies vertes ». Plus de 120 pays l’ont signé.

Enfin, il y a l’Engagement Mondial sur le Méthane, qui a été signé par 155 gouvernements ainsi que par 50 compagnies pétrolières.

Ces dernières représentent environ la moitié de la production mondiale de pétrole et veulent uniquement aider la planète, elles n’ont aucun intérêt financier dans cette situation [NdT. c’est faux mais je suppose que c’est de l’humour].

Il y a aussi la Déclaration sur le Climat, l’Aide, le Relèvement et la Paix, plus modeste, qui a été signée par seulement 70 pays (et 39 ONG). Cette déclaration souligne le lien entre la guerre et les émissions de carbone et vise à « renforcer le soutien financier en faveur de la résilience climatique dans les régions fragiles et déchirées par la guerre », ce que cela signifie concrètement, je ne sais pas trop.

Et, bien sûr, 124 pays (dont l’UE et la Chine) ont signé l’inévitable « Déclaration sur le Climat et la Santé ».

Elle est financée à hauteur d’un MILLIARD de dollars par des donateurs tels que la Fondation Rockefeller, et vise prétendument à

mieux exploiter les synergies à l’intersection du changement climatique et de la santé pour améliorer l’efficacité et l’efficience des flux financiers ».

… ce qui est sans doute la pire phrase jamais écrite.

J’ai suffisamment écrit sur les objectifs qui sous-tendent l’établissement d’un lien entre le changement climatique et la santé publique pour toute une vie. Vous pouvez lire une analyse plus approfondie du sujet ici, ici et ici… et ici et ici et ici.

Tout cela va culminer dans ce qu’ils appellent le « Global Stocktake ». Il s’agit essentiellement d’un rapport à mi-parcours pour les accords de Paris, qui peut être « utilisé pour accélérer l’ambition dans leur prochain cycle de plans d’action climatique prévu pour 2025 ».

Quelle que soit la signification de l’expression « utilisé pour accélérer l’ambition », vous pouvez être sûrs que tous les gouvernements participants s’y conformeront avec plaisir.

Cela inclut tous les gouvernements de l’OTAN, de l’Union européenne et des BRICS, au fait.

Cela inclut les États-Unis et la Chine. Cela inclut la Russie et l’Ukraine.

Cela inclut Israël… et la Palestine.

Bien sûr, on signale un soupçon d’animosité, certaines délégations ayant quitté avec fracas des réunions avec les Israéliens, mais fondamentalement, même les victimes et les auteurs d’un génocide peuvent apparemment surmonter leurs inconciliables divergences pour accepter de faire semblant que le changement climatique est un vrai problème.

En gros, c’est une nouvelle version du Covid.

Nous savons que, comme pour le Covid, le récit officiel du changement climatique est un mensonge.

Nous savons que, comme pour le Covid, le changement climatique est utilisé comme prétexte pour instaurer un contrôle social massif et une gouvernance mondiale.

Et nous savons que, comme pour le Covid, presque tous les gouvernements mondiaux, des deux côtés de tous les clivages, le soutiennent.

Même s’ils ne sont pas toujours d’accord, même s’ils sont heureux de tuer leurs citoyens respectifs en grand nombre, ils sont tous à bord du même train de la prospérité mondialiste, ils vont tous dans la même direction vers la même destination, et cela n’a jamais été aussi évident.


Bonus:

De l’intérêt de l’aide militaire américaine.

Mitch McConnell est un sénateur Républicain américain. Il est interviewé ici par Margaret Brennan sur CBS. Il explique à quoi sert l’aide militaire à l’Ukraine, pour ceux qui en douteraient encore. C’est moi qui souligne – bien que ce ne soit pas vraiment nécessaire.

Margaret Brennan: Et vous avez dit que vous pensiez qu’il y avait suffisamment de contrôle de l’aide à l’Ukraine. Pourquoi cela n’a-t-il pas convaincu certains membres du groupe républicain?

Mitch McConnell: En ce qui concerne l’aide à l’Ukraine, examinons où va réellement l’argent. Une grande partie est dépensée aux États-Unis, dans 38 États différents, pour remplacer les armes que nous avons envoyées en Ukraine par des armes plus modernes. Nous reconstruisons ainsi notre base industrielle.

Margaret Brennan: C’est ce que le président Biden cherche à faire.

Mitch McConnell: C’est exact. Aucun Américain n’est tué en Ukraine. Nous reconstruisons notre base industrielle. Les Ukrainiens détruisent l’armée de l’un de nos plus grands rivaux. J’ai du mal à trouver quelque chose à redire à cela. Je trouve merveilleux qu’ils se défendent.

Il y a aussi l’idée que les Européens n’en font pas assez. Ils ont débloqué près de 90 milliards de dollars. Ils hébergent un grand nombre de réfugiés qui se sont échappés. Je pense que nos alliés de l’OTAN en Europe ont fait beaucoup.

Traduction en langage non-politicien: l’État confisque des milliards d’argent public pour l’injecter dans le complexe militaro-industriel, qui se fait des burnes en or massif tout en liquidant ses stocks de matériel obsolète sans devoir payer pour leur destruction – et ce sont les Ukrainiens qui vont se faire zigouiller à notre place. Nos vassaux européens sont dans la combine, et nous sommes très contents de leur service. Excellente affaire, donc.

Le changement climatique en chiffres faussés – par Norman Fenton.

Tant qu’on est dans le climat et les chiffres, un petit cours de Norman Fenton. Ça a l’air un peu austère au premier abord, mais c’est en fait assez amusant – surtout le coup de la pièce à deux faces. On pourrait trouver pire comme professeur: Norman Fenton est un mathématicien et statisticien britannique mondialement connu, spécialiste de l’analyse du risque, auteur de nombreux ouvrages et professeur émérite à l’Université Queen Mary – entre autres.

À la longue, vous finirez par devenir assez fortiches en logique/statistiques, le genre de truc qui peut éventuellement servir dans d’autres domaines. Imaginons par exemple (au hasard), qu’on vous annonce qu’un vaccin est efficace à 95%…

Source.


Le changement climatique en chiffres faussés

L’arnaque de « l’origine humaine du réchauffement certaine à au moins 95% »

Norman Fenton

5 juil. 2023

Ce que ce chiffre signifie et ne signifie pas

En 2015, j’ai été l’un des présentateurs du documentaire de la BBC Climate Change by Numbers [Le changement climatique en chiffres]. J’en ai rédigé un résumé ici.

Le « chiffre du changement climatique » que l’on m’a spécifiquement demandé d’expliquer était le chiffre 95: plus précisément, par rapport à l’affirmation faite dans le rapport 2013 du GIEC selon laquelle « il est certain à au moins 95% que plus de la moitié du réchauffement récent est dû à l’homme ».

Le « réchauffement récent » concerne la période 1950-2010. L’affirmation porte donc sur la probabilité que l’homme soit à l’origine de la majeure partie de ce réchauffement.

Avant d’expliquer le problème que pose cette affirmation, nous devons préciser que (bien qu’elle soit superficiellement similaire), elle est très différente d’une autre affirmation plus connue (à ce jour encore promue par la NASA) selon laquelle « 97% des climatologues sont d’accord pour dire que l’homme est à l’origine du réchauffement de la planète et du changement climatique ». Cette affirmation était simplement basée sur une enquête erronée menée auprès d’auteurs d’articles publiés et a été complètement infirmée.

Le degré de certitude de 95% est une affirmation plus sérieuse. Mais les arguments avancés en sa faveur dans le rapport du GIEC sont également fallacieux. Pour expliquer pourquoi, il est utile d’illustrer cette faille à l’aide d’un exemple simple et éloquent.

L’erreur fondamentale: l’exemple du jeu de pile ou face

Imaginons que l’on sache qu’il y a des pièces à double face en circulation. Supposons qu’une pièce soit choisie au hasard et que, sans l’inspecter, on la lance cinq fois. À chaque fois, le résultat est « face ». Quelle est la probabilité que la pièce soit à double face? La plupart des gens pensent intuitivement qu’il est très probable qu’il s’agisse de l’une de ces pièces à deux côtés face. Mais c’est une erreur.

Dans un test d’hypothèse statistique classique, il n’est pas possible de tirer des conclusions directes par rapport à l’hypothèse selon laquelle cette pièce est à double face. Au lieu de cela, l’observation des cinq face consécutifs est utilisée pour accepter ou rejeter l’« hypothèse nulle » (selon laquelle la pièce n’est PAS à double face) à un niveau de signification convenu. Plus précisément, on calcule la probabilité d’observer cinq faces consécutives avec une pièce qui n’est pas à double face. Dans ce cas, la probabilité est de 1/32, soit environ 3%. Il s’agit donc en effet d’une situation très improbable. Généralement, on utilise un niveau de signification de 5% (également appelé valeur p), ce qui signifie que nous « rejetons » l’hypothèse nulle dans ce cas parce que la probabilité est inférieure à 5%.

Notons que nous pouvons conclure de manière équivalente qu’il existe une très forte probabilité (97%) que nous n’aurions pas observé cinq faces consécutives si la pièce n’était pas à double face.

Malheureusement, les gens concluent souvent (à tort, comme nous allons le montrer) que le rejet de l’hypothèse nulle au niveau de signification de 5% signifie qu’il y a moins de 5% de probabilité que la pièce ne soit pas à double face. Ils en concluent également que nous pouvons être sûrs à au moins 95% que la pièce est à double face. Mais c’est une erreur.

Si les cinq « face » consécutifs étayent certainement l’hypothèse selon laquelle la pièce est à double face, ils ne nous apprennent rien sur la probabilité qu’elle soit réellement à double face. La seule façon de tirer une conclusion ferme sur cette probabilité est de connaître la « probabilité préalable » que la pièce soit à double face; dans ce cas, il s’agit de savoir quelle proportion des pièces en circulation sont à double face. Cela fera une grande différence si c’est 1 sur 2, 1 sur 100, 1 sur 1000, 1 sur un million, etc.

Si nous connaissons la proportion de pièces à double face en circulation, le théorème de Bayes peut être utilisé pour calculer la réponse que nous cherchons. Supposons, par exemple, que nous sachions qu’il y a 1 pièce à double face sur 500 en circulation (la probabilité a priori qu’une pièce soit à double face est donc de 1 sur 500, soit 0,2%). Le calcul formel est présenté ci-dessous1, mais on peut donner une explication intuitive sans recourir à la formule de Bayes:

  • Imaginons un sac de 500 pièces dont exactement une est à double face (c’est-à-dire un sac de pièces typique à ce cas de figure). Supposons que nous testions chaque pièce en la lançant cinq fois. Nous sommes alors certains que la (seule) pièce à deux faces donnera 5 faces.
  • Mais une pièce sur 32 parmi les 499 autres pièces normales – c’est-à-dire environ 16 pièces normales – donnera également cinq fois de suite le résultat « face ».
  • Par conséquent, pour 17 pièces enregistrant cinq faces consécutives, il n’y en a qu’une seule qui a deux faces.
  • Par conséquent, si nous savons qu’une pièce a enregistré cinq faces consécutives, nous pouvons conclure qu’il y a une chance sur 17 (soit environ 6%) qu’elle soit à double face, c’est-à-dire qu’il y a environ 94% de chances qu’elle ne soit pas à double face.

Ainsi, s’il est très peu probable d’observer 5 faces consécutives si la pièce n’a pas de double face (probabilité de 3%), il est encore très probable que la pièce ne soit pas à double face (probabilité de 94%).

L’erreur consistant à conclure qu’il n’y avait qu’une faible probabilité que la pièce ne soit pas à double face s’appelle l’erreur du conditionnel transposé (ou « erreur du procureur ») parce que nous avons supposé que:

  • la probabilité d’une affirmation E étant donné une affirmation « pas H »

est la même que

  • la probabilité de « pas H » étant donné E.

Dans ce cas

  • H est l’hypothèse: « la pièce choisie est à deux faces ».
  • E est la preuve: « 5 tirages faces consécutifs »

Nous avons montré que

  • Probabilité de (E donné et non H) = 3%.

alors que

  • probabilité de (« pas H » étant donné E) = 94%.

La faille dans le rapport de synthèse du GIEC

Il s’avère que l’affirmation selon laquelle il y a « au moins 95% de certitude que plus de la moitié du réchauffement récent est dû à l’homme » repose sur la même faille fondamentale que l’hypothèse, dans l’exemple ci-dessus, selon laquelle il y a au moins 95% de chances que la pièce soit à deux faces.

Dans mon article sur le programme, j’ai souligné ce problème comme suit:

La véritable signification probabiliste du chiffre de 95%. En fait, il provient d’un test d’hypothèse classique dans lequel les données observées sont utilisées pour tester la crédibilité de l’« hypothèse nulle ». L’hypothèse nulle est l’affirmation « opposée » à celle que l’on croit vraie, c’est-à-dire « Moins de la moitié du réchauffement des 60 dernières années est d’origine humaine ». Si, comme dans ce cas, il n’y a que 5% de probabilité d’observer les données si l’hypothèse nulle est vraie, les statisticiens assimilent ce chiffre (appelé valeur p) à une confiance de 95% dans le fait que nous pouvons rejeter l’hypothèse nulle. Mais la probabilité est ici une déclaration sur les données compte tenu de l’hypothèse. Elle n’est généralement pas identique à la probabilité de l’hypothèse compte tenu des données (en fait, l’assimilation des deux est souvent appelée « erreur des procureurs », car il s’agit d’une erreur souvent commise par les avocats lorsqu’ils interprètent des preuves statistiques). Voir ici et ici pour en savoir plus sur les limites des valeurs p et des intervalles de confiance.

L’affirmation selon laquelle il existe une probabilité d’au moins 95% que plus de la moitié du réchauffement soit d’origine humaine figure dans la section « Résumé à l’intention des responsables politiques » du rapport 2013 du GIEC.

Il est extrêmement probable que plus de la moitié de l’augmentation observée de la température moyenne à la surface du globe entre 1951 et 2010 soit due à l’augmentation anthropique des concentrations de gaz à effet de serre et à d’autres forçages anthropiques. La meilleure estimation de la contribution anthropique au réchauffement est similaire au réchauffement observé au cours de cette période. {10.3}

(« extrêmement probable » a été défini comme une probabilité d’au moins 95%).

Mais si l’on examine la base de l’affirmation au chapitre 10 du résumé technique détaillé, il ressort clairement des méthodes et des résultats que l’affirmation est fondée sur divers modèles de simulation du changement climatique, qui rejettent l’hypothèse nulle (selon laquelle plus de la moitié du réchauffement n’est pas due à l’homme) au niveau de signification de 5%.

Plus précisément, dans les modèles de simulation, dès lors que l’on postule que l’impact de l’homme est faible, on conclut que la probabilité d’observer le réchauffement observé est inférieure à 5%. En d’autres termes, les modèles ne confirment pas l’hypothèse nulle d’un faible changement climatique d’origine humaine. Le problème est que, même si les modèles étaient exacts (et nous contestons qu’ils le soient), on ne peut pas conclure qu’il y a au moins 95% de chances que plus de la moitié du réchauffement soit d’origine humaine. Car cela revient à commettre l’erreur du conditionnel transposé.

Tout ce que nous pouvons conclure, c’est qu’il y a au moins 95% de chances que nous n’observions pas le réchauffement que nous avons constaté sur la base des simulations des modèles de changement climatique et de leurs multiples hypothèses. Tout comme il y a 96% de chances que nous n’observions pas 5 « face » consécutifs sur une pièce qui n’est pas à deux faces.

L’illusion de confiance dans l’exemple de la pièce de monnaie vient du fait que l’on ignore (la « probabilité préalable ») la rareté des pièces à deux faces. De même, dans le cas du changement climatique, il n’est pas tenu compte de la probabilité préalable d’un changement climatique d’origine humaine; seules les hypothèses des modèles de simulation sont prises en compte, et les autres explications sont absentes. Dans ces deux cas, les statistiques classiques peuvent être utilisées pour vous tromper en vous présentant une illusion de confiance qui n’est pas justifiée.


  1. Calcul du théorème de Bayes pour l’exemple de la pièce à double tête :
    H est l’hypothèse : « la pièce sélectionnée est à double tête »
    E est la preuve : « 5 tirages de face consécutifs »
    Nous supposons que P(H) = 1/500, donc P(pas H) = 499/500
    Nous connaissons P(E | pas H) = 1/32 et P(E | H) =1 ↩︎

Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid – par Sasha Latypova.

Ça fait un moment qu’on a découvert la présence de SV40 dans des fioles de Pfizer. J’attendais que quelqu’un sorte un article bien écrit à ce sujet – et, ô surprise, c’est Sasha. Le voici. À l’origine du #plasmidgate, Kevin Mc Kernan, généticien de très haut niveau, dont Sasha mentionne ici une interview – que je traduirai ensuite.

Dans l’interview en lien de Sasha par Jane Ruby sont soulevées d’autres questions: celle de la présence (démontrée) d’hydrogel dans d’autres produits injectables (notamment les anesthésiants dentaires) et celle encore plus épineuse de la proximité avec les personnes injectées, déjà évoquée ici de façon très tranchée par le Dr Palevski – sur base d’observations empiriques, sans les résultats des analyses menées depuis – le problème que personne n’a encore voulu affronter. Il faudra pourtant bien.

Source.


Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid

La transfection de cellules humaines et de cellules du microbiome avec de l’ADN étranger et d’autres charges utiles

Sasha Latypova

1 septembre 2023

L’analyse et le séquençage par Kevin McKernan de l’ADN des flacons de Pfizer et de Moderna ont révélé une « contamination » (à mon avis, intentionnelle) des flacons avec de très grandes quantités de plasmides ADN, un code ADN circulaire qui encode la molécule d’ARN souhaitée. Les plasmides ADN sont utilisés pour cultiver l’ADN dans des cuves de cellules e.coli, car ces cellules bactériennes captent les plasmides et se répliquent rapidement. L’ADN est ensuite récolté en tuant les e.coli avec des antibiotiques, en « coupant » les plasmides en brins et en purifiant l’ADN. C’est la raison pour laquelle les plasmides contiennent également des gènes de résistance aux antibiotiques, qui permettent à la matrice d’ADN de survivre au lavage antibiotique. Lorsque la fabrication de l’ADN se faisait à l’échelle du nanogramme ou du microgramme, cela ne posait pas de problème majeur, mais lorsque l’ADN est fabriqué par kilogrammes, il ne faut pas s’étonner de la recrudescence de diverses infections graves résistantes aux antibiotiques, qui migrent dans l’écosystème, dans l’eau, dans le sol, chez les animaux, etc. Cette abomination mise à part, après l’étape de purification de l’ADN, l’e.coli et tous les plasmides restants sont censés être retirés du produit. Une fois que l’ARNm est produit par une réaction chimique à partir de la matrice d’ADN, il doit à nouveau être purifié et tout ADN résiduel non traduit doit être éliminé. Il est clair que cela n’est pas le cas dans la fabrication des injections covid.

  • Les contaminants plasmidiques à ADNdb provenant d’e.coli modifiés (~10-100x au-dessus de la limite acceptable):
    • Peuvent transfecter des cellules humaines et des cellules du microbiome
    • Contiennent des gènes résistants aux antibiotiques
    • Promoteur SV40 (objectif – transfection du noyau cellulaire**) – non déclaré dans les documents réglementaires
    • Codé pour la protéine de pointe
  • Délivre une combinaison de:
    • ARNm chimique synthétique + morceaux brisés (miARN)
    • Plasmides ADN – réplication à l’intérieur de cellules humaines/cellules bactériennes du microbiome intestinal
    • Septicémie? Dysbiose? Cancer? Myocardite? Stérilité? Malformations congénitales? D’autres cas de Covid?

En plus d’être extrêmement problématique en raison des grandes quantités d’ADN trouvées dans les flacons, la découverte la plus alarmante a été celle de la présence du promoteur SV40 dans la séquence du plasmide ADN. Cet élément n’a pas été divulgué par Pfizer aux autorités de réglementation. Ils ont donc codé un « gène furtif » dans la séquence! Cela correspond exactement à la définition d’une arme biologique donnée par l’armée de l’air (groupe JASON):

Souligné: « l’utilisation de thérapie génique comme arme »
« cette même technologie pourrait être subvertie pour l’insertion de gènes pathogènes. »

J’ai récemment discuté de ce sujet avec le Dr Jane Ruby.

La vidéo complète est disponible ici. Mon intervention commence à 18 minutes.

Le laboratoire de l’université de Rochester (NY) que j’ai mentionné dans l’interview est celui-ci (laboratoire du Dr Dean). Voici quelques citations tirées de la page de ce laboratoire, c’est moi qui souligne:

Il est clair que sans la translocation de l’ADN plasmidique dans le noyau, aucune expression génétique ou « thérapie génique » ne peut avoir lieu. Mon laboratoire continue d’identifier et de caractériser de nouvelles séquences d’ADN qui favorisent l’importation nucléaire de vecteurs non viraux, à la fois dans des cellules en culture et in vivo, ainsi que des séquences qui favorisent le trafic cytoplasmique et intranucléaire.

Au cours des 15 dernières années, les travaux de notre laboratoire ont porté sur le ciblage nucléaire et l’entrée de l’ADN plasmidique. En utilisant des cellules en culture, nous avons montré que les plasmides sont capables de pénétrer dans les noyaux des cellules en l’absence de division cellulaire et de la rupture de l’enveloppe nucléaire qui l’accompagne.

En outre, nous avons démontré que des portions du promoteur SV40 72 pb sont nécessaires pour l’entrée nucléaire de l’ADN plasmidique dans toutes les cellules eucaryotes testées à ce jour ; les plasmides ne contenant pas cette séquence restent dans le cytoplasme jusqu’à la division cellulaire, tandis que les plasmides contenant le promoteur migrent vers le noyau en l’espace de quelques heures. Ces résultats démontrent que le transport de l’ADN dans le noyau est spécifique à la séquence.

Absolument stupéfiant, n’est-ce pas? En résumé: Pfizer a codé un « gène » non divulgué dans la matrice d’ADN à partir de laquelle l’ARNm est fabriqué pour les injections covid. Ils ont ensuite laissé d’énormes quantités de cette matière première dans le produit final. L’objectif de ce composant non divulgué est de s’assurer que ce à quoi il est attaché est acheminé non seulement dans la cellule, mais aussi dans le noyau de la cellule (où réside l’ADN humain). Rappelons toutefois que l’homme ne dispose pas de l’équivalent d’un ADN central dont la modification se répercuterait sur l’ensemble du corps. Le corps humain est constitué de trillions de cellules, chacune disposant d’un noyau contenant de l’ADN (à l’exception des globules rouges), et la majorité des cellules du corps sont constituées d’une variété de cellules non humaines (microbiome) avec leur propre ADN.

Les cellules microbiennes peuvent se répliquer rapidement, comme l’e.coli qui vit dans nos intestins et qui récupère les plasmides qui y aboutissent et peut ensuite répliquer la protéine de pointe, mourir, l’excréter, etc. En outre, le promoteur SV40 garantit que la « cargaison » sera acheminée jusqu’aux noyaux des cellules qui ne se divisent pas ou se divisent lentement, telles que les neurones, les cellules cardiaques, les cellules musculaires squelettiques et les cellules musculaires lisses. Ces dernières cellules sont celles qui tapissent le tractus gastro-intestinal, tous les vaisseaux sanguins, la vessie et l’utérus. Ces cellules ne se divisent normalement pas, car elles ont atteint le stade de la différenciation terminale, essentiel à la croissance et au fonctionnement normaux de l’organisme. Cependant, les cellules conservent la capacité de se diviser, soit pour des raisons fonctionnelles (cellules utérines pendant une grossesse normale) ou pathologiques (croissance cellulaire anormale menant au cancer). C’est la raison pour laquelle le promoteur SV40 est associé au cancer. Il introduit une cargaison étrangère dans le noyau de cellules qui ne se divisent normalement pas, mais qui peuvent entamer ce processus malin si elles ont été piratées par la cargaison étrangère.

Kevin McKernan a récemment été interviewé par Jan Jekielek du Epoch Times. Je recommande vivement cet entretien approfondi à tous ceux qui s’intéressent à ce sujet.

Voici une autre histoire déchirante impliquant le virus cancérigène SV40, un « contaminant » connu du vaccin contre la polio. Il s’agit ici du virus SV40 dans son intégralité, alors que la version actuelle contenue dans les vaccins antipoliomyélitiques n’en est qu’une partie « promotrice ».

sv40.org

Cette fondation a été créée par Raphaele et Michael Horwin, parents d’Alexander Horwin. Alexander est né le 7 juin 1996. Il a été vacciné contre la polio par voie orale en novembre 1997. Le 10 août 1998, on a diagnostiqué chez Alexander un cancer malin du cerveau, le médulloblastome. Alexander est décédé le 31 janvier 1999.

Quatre laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Chicago, University of Texas Southwestern Medical Center, Temple University) ont utilisé des tests ADN (Polymerase Chain Reaction (PCR)) ou la micro-dissection au laser pour rechercher la présence de SV40 dans la tumeur d’Alexander. Tous les laboratoires ont constaté que le tissu tumoral contenait le virus.

En outre, le sang du cordon ombilical d’Alexander a été conservé et stocké par un laboratoire privé. Le sang du cordon est le sang partagé par Alexander et sa mère au moment de la naissance d’Alexander. Ce sang a été testé pour le SV40 par PCR. Il ne contenait pas de SV40.

Les parents d’Alexander ont été testés pour le SV40 par deux laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Wales) à l’aide de plusieurs tests PCR. Tous les tests ont démontré que les parents n’étaient pas porteurs du virus.

Un site web à la mémoire d’Alexander est disponible à l’adresse suivante: www.ouralexander.org

Enfin, une étude récente menée par des chercheurs italiens a démontré sans l’ombre d’un doute qu’environ 50% des personnes vaccinées produisent la protéine de pointe de façon continue lorsqu’elle est mesurée 6 mois après la dernière injection. Igor Chudov
a écrit un très bon article à ce sujet [NdT. que j’ai traduit ici]. L’équipe italienne affirme également que ce phénomène est probablement dû au fait que 1) certaines cellules humaines sont transfectées et que l’ARN modifié est rétrotranscrit dans les génomes de ces cellules ou que 2) les cellules microbiennes présentes dans le sang absorbent le matériel étranger (il peut s’agir d’ARN ou de plasmides, ou des deux) et deviennent elles aussi des usines génératrices de protéine de pointe. Ou bien les deux se produisent à différents endroits du corps. Ce phénomène ne se produit pas chez les personnes non vaccinées, qu’elles soient ou non positives pour le Covid par PCR, de sorte qu’il ne s’agit absolument pas de ce que l’on désigne comme « infection par le Covid ».

La peinture du jour: Dusty Trail, huile sur panneau, 9×12 in.

Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe – par Igor Chudov.

Je marque une courte pause dans ma série sur le transmaoïsme (que vous devriez lire) pour retrouver ce bon vieil Igor et son style inimitable – avec une question à la fin – et juste après, Sasha, qui a d’encore moins bonnes nouvelles.

Note: les liens renvoient vers des articles et textes non-traduits. Si intérêt, je veux bien faire le travail, il suffit de demander (envoi sous pli discret).

Source.


Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe

Le vaccin Covid, un cadeau QUI DURE

Igor Chudov

1er septembre

Rappelez-vous quand on nous disait que « le vaccin reste dans le bras » et que « la protéine de pointe sans danger n’est produite que pendant quelques jours ». Ils nous disaient qu’ils en étaient sûrs, bien qu’aucune donnée ne vienne confirmer leurs affirmations.

Malheureusement, il apparaît qu’ils nous ont menti. Les données sont maintenant disponibles et elles prouvent que ces affirmations sont fausses!

Une brillante étude scientifique menée par Brogna et al, qui vient d’être publiée, a détecté la présence de la protéine de pointe chez des personnes vaccinées contre le COVID six MOIS après la vaccination – et a exclu la possibilité d’une contamination croisée des données expérimentales avec des infections par le COVID circulant à l’état sauvage.

Détection de la protéine de pointe recombinante dans le sang des personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2: mécanismes moléculaires possibles

Résumé: La pandémie de SARS-CoV-2 a incité au développement et à l’utilisation de vaccins de nouvelle génération. Parmi ceux-ci, les vaccins à base d’ARNm consistent en des solutions injectables d’ARNm codant pour la protéine de pointe recombinante, qui se distingue de la protéine de type sauvage par des variations spécifiques d’acides aminés introduites pour maintenir la protéine à l’état préfusé. Ce travail présente une approche protéomique qui révèle la présence de la protéine de pointe recombinante chez les sujets vaccinés, quel que soit le titre de l’anticorps.
Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.
Résultats: le fragment spécifique de la PP-Spike a été trouvé dans 50% des échantillons biologiques analysés, et sa présence était indépendante du titrage de l’IgG anti-SARS-CoV-2. Les durées minimale et maximale pendant lesquelles la PP-Spike a été détectée après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

Ce qu’ont fait les scientifiques

Les auteurs de l’étude ont utilisé un test sensible, appelé spectrométrie de masse, pour détecter une séquence d’acides aminés spécifique qui n’existe que dans la protéine de pointe induite par le vaccin.

Pour rappel, les vaccins COVID à ARNm contiennent le code génétique nécessaire à la production de la « protéine de pointe », un composant du virus SARS-CoV-2 qui permet au virus de pénétrer et d’infecter les cellules humaines. Au cours du processus de pénétration, appelé « fusion », la protéine de pointe virale change de forme, devenant une sorte de lance qui pénètre la surface de la cellule.

La seule modification apportée par Pfizer et Moderna a consisté à « stabiliser par préfusion » la protéine de pointe codée par le vaccin afin d’éviter qu’elle ne change de forme et qu’elle soit plus stable dans le corps humain. (Pour en savoir plus, cliquez ici).

Les scientifiques ont décidé de rechercher ce composant protéique spécifique, génétiquement modifié.

Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.

Le substitut, qui utilise deux acides aminés proline, est appelé « PP » par les auteurs de l’étude (PP signifie proline-proline). Ils sont italiens et n’ont peut-être pas réalisé que « PP » sonnait mal [NdT. « pipi » en anglais], si bien que dans la plupart des ouvrages en anglais, la séquence est appelée « 2P ». L’humour de niveau maternelle mis à part, les auteurs de l’étude se concentrent sur le composant de la protéine de pointe qui n’existe que dans le vaccin COVID et qui n’est PAS présent dans le virus Sars-Cov-2 existant naturellement.

Pour s’assurer que leur découverte n’est pas fallacieuse, les scientifiques ont inclus un groupe de contrôle composé de personnes n’ayant jamais reçu le vaccin COVID:

Le groupe d’étude, originaire du sud de l’Italie, était composé de 40 sujets, dont 20 avaient été vaccinés avec le cycle complet du vaccin ARNm à partir d’avril 2022, car ils faisaient partie du secteur de la santé, et 20 n’avaient pas été vaccinés et présentaient un test nasopharyngé négatif pour le COVID-19 et aucun titre d’anticorps. Vingt autres personnes non vaccinées ont été ajoutées, qui étaient positives pour le COVID-19.

Les trois groupes ont été examinés.

Il est apparu que seules les personnes du sous-groupe vacciné étaient porteuses de la protéine de pointe dérivée du vaccin. Pire encore, la protéine de pointe du vaccin a été trouvée six mois après la dernière dose!

Le fragment PP-Spike spécifique a été trouvé dans 50% de l’échantillon biologique analysé (figures 1C-E et 2). Cette présence était indépendante du titre des anticorps IgG SARS-CoV-2. Les titres d’anticorps avaient une moyenne géométrique de 629,86 BAU/mL (figure 1E). Le délai minimum de détection de la PP-Spike était de 69 jours après la vaccination, tandis que le délai maximum était de 187 jours. Tous les contrôles (échantillons provenant d’individus non vaccinés) étaient négatifs. Le groupe de contrôle (20 personnes non vaccinées) a également été testé après avoir contracté le COVID-19 et s’est révélé négatif pour la PP-spike.

L’étude n’indique nulle part que la production de la protéine de pointe s’arrête après 187 jours – la limite supérieure du temps après la vaccination était un artefact de la conception de l’étude.

Cette image explique la conception de l’étude et montre l’emplacement de la séquence d’acides aminés de la « protéine de pointe 2P stabilisée »:

Les auteurs expliquent le mécanisme probable de la production persistante de protéines de pointe:

Sur la base des résultats obtenus, des hypothèses peuvent être émises concernant les mécanismes moléculaires possibles de la persistance de « SpikePP ». En particulier, trois hypothèses sont possibles et sont illustrées à la figure 3.

1. Il est possible que l’ARN soit intégré ou re-transcrit dans certaines cellules.

2. Il est possible que les pseudo-uridines à une position de séquence particulière, comme décrit dans l’article, induisent la formation d’une protéine de pointe qui est toujours active de manière constitutive. Mais cela semble très peu probable en tant qu’hypothèse.

3. Il est possible que la particule d’ADN contenant l’ARN soit récupérée par des bactéries normalement présentes au niveau du sang. En fait, l’existence de microbes sanguins chez les individus en bonne santé clinique a été prouvée au cours des 50 dernières années. En effet, des preuves indirectes par des analyses radiométriques ont suggéré l’existence de microbes vivants sous la forme de rhinocytaires [25]. En outre, l’observation du marqueur PP-Spike chez des individus vaccinés plus de 30 jours après le vaccin chez environ 50 % des sujets pourrait s’expliquer par la large biodiversité des microbiotes eucaryotes et procaryotes identifiés dans le sang par les technologies de séquençage de la prochaine génération [25].

En conclusion, la possibilité de détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante ouvre de nouveaux scénarios pour le contrôle de la présence et de la demi-vie de la protéine de pointe vaccinale chez les personnes vaccinées. A l’heure actuelle, ces premières observations se limitent à l’évaluation de la présence de la protéine vaccinale dans le but d’aider à la décision individuelle d’administrer des doses de rappel ou de temporiser.

Notez la possibilité de mauvaise augure: « l’ARNm peut être intégré ou retranscrit ». C’est quoi, ça?

Le vaccin Covid devient une partie de l’ADN humain?

Il convient de noter la phrase ci-dessus: « Il est possible que l’ARNm soit intégré ou retranscrit dans certaines cellules« . Ce qu’on appelle la transcription inverse, c’est-à-dire l’intégration de l’ARNm du vaccin dans le génome de l’ADN humain dans certaines cellules affectées, a été initialement rejetée sans preuve par la « science COVID », jusqu’à ce qu’elle soit démontrée lors d’expériences in vitro: Les pires craintes se réalisent: L’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN.

Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de la protéine de pointe COVID ne s’arrête jamais. A titre d’exemple, le virus VIH, qui cause le SIDA, effectue également une transcription inverse et s’intègre dans l’ADN humain, de sorte que les cellules reprogrammées des malades produisent des copies du VIH à l’infini. C’est pourquoi le VIH ne peut être guéri, mais seulement combattu par des médicaments.

De même, les cellules humaines dans lesquelles le code génétique du vaccin COVID a été rétrotranscrit pourraient produire à l’infini la protéine de pointe tout au long de la vie des personnes concernées.

Cela explique-t-il la tolérance immunitaire associée aux IgG4?

[NdT. pour plus d’infos, j’ai traduit ceci]

La tolérance immunitaire, qui est une tendance de l’organisme à ignorer les agents pathogènes persistants au lieu d’opposer une réaction immunitaire vigoureuse, pourrait expliquer pourquoi les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter des infections répétées et de se débarrasser plus lentement du virus.

La tolérance immunitaire est parfaitement acceptable vis-à-vis des allergènes, des irritants qui ne se répliquent pas et qui existent de manière persistante. Le fait d’ignorer les allergènes, plutôt que de souffrir d’un rhume des foins gênant, explique pourquoi la tolérance immunitaire est une excellente réponse à des irritants environnementaux tels que le pollen ou la poussière.

En revanche, la tolérance immunitaire est mortelle quand il s’agit de résister à des agents pathogènes vivants qui se répliquent!

Un organisme immunotolérant est comparable à une victime de vol tolérante, qui assiste passivement au saccage de sa maison sans opposer de résistance. Le vol peut sembler « bénin », mais les voleurs s’enfuient avec le butin – et ils reviendront encore. Et encore.

Plus d’informations ici: La tolérance immunitaire aux IgG4 provoquée par les boosters explique la surmortalité et le « Covid chronique ».

Le billet susmentionné explique la tolérance immunitaire, pourquoi elle est mauvaise par rapport au Covid-19, et comment elle fonctionne.

Ce que l’article ci-dessus n’a pas entièrement exploré, c’est la raison pour laquelle la vaccination induit une tolérance immunitaire.

L’étude de Brogna et al. dont nous discutons ici nous montre le mécanisme de développement de la tolérance immunitaire à la protéine de pointe. La raison en est que la protéine de pointe, produite indéfiniment, ressemble pour l’organisme vacciné à un « irritant environnemental » au lieu d’être perçue comme un dangereux intrus.

Ils auraient dû faire ces tests avant d’imposer ces vaccins

J’apprécie grandement le travail minutieux et difficile de Brogna et de ses coauteurs, qui ont soigneusement examiné la présence de la protéine de pointe chez les personnes vaccinées, utilisé correctement des sujets témoins pour exclure le COVID-19 en tant que cause alternative, etc.

Je n’apprécie pas la « science Covid », qui a menti sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins COVID. Alors que nous entrons dans notre neuvième vague de Covid et que les personnes vaccinées sont infectées et réinfectées, les vaccins se sont révélés inefficaces. Pire encore, ils se sont révélés dangereux, comme le montrent cette étude et de nombreuses autres.

Malheureusement, les vaccins contre le COVID ne sont pas dotés d’un interrupteur, et il n’existe aucun moyen d’arrêter cette production persistante de protéines de pointe.

Un espoir pour les personnes vaccinées

Je ne voudrais pas terminer ce billet sur une note négative. Je tiens à souligner que l’étude n’a trouvé que la MOITIÉ des personnes vaccinées souffrant de la présence continue de la protéine de pointe vaccinale dans leur sang. L’autre moitié, heureusement, se porte bien.

Par conséquent, toutes les personnes vaccinées peuvent espérer ne pas faire partie des individus souffrant de cette production continue de protéines de pointe. C’est un espoir pour tous ceux d’entre nous qui ont été vaccinés ou dont les proches l’ont été.

Curieusement, de même que la moitié seulement des personnes vaccinées continuent à être testées positives pour la protéine de pointe six mois après la vaccination, la moitié seulement des personnes vaccinées développent une tolérance immunitaire. Un processus peut aller de pair avec l’autre!

Ceci n’est pas un billet anti-science

Certains pourraient m’accuser d’être anti-scientifique simplement parce que j’ai parlé de façon négative des charlatans qui ont fait la promotion des vaccins COVID non éprouvés. Loin de là, j’aime la vraie science et je suis toujours heureux de mettre en lumière des recherches importantes qui sauvent des vies, comme l’étude que j’ai citée.

J’ai bon espoir que cette période d’obscurité que traverse la science, causée par le conformisme, la corruption et les idéologies radicalement anti-humaines, prenne fin et que la recherche se recentre sur l’homme, et s’ouvre à la critique et au progrès.

Pensez-vous que la science sera au service de l’homme à l’avenir?

Mille trillions de dollars pour 0,1 degré de réchauffement en moins – par Christopher Monckton of Brenchley.

Pour info, mille trillions, ça fait un quadrillion, ou un million de milliards – enfin, vous voyez.

1 000 000 000 000 000$ = -0,1°C

L’auteur est Christopher Walter Monckton, 3ème Vicomte Monckton de Brenchley, vieille noblesse anglaise iconoclaste, qui met les pieds dans le plat sur les sujets les plus tabous avec un sens de l’humour british plus vrai que nature – le genre de personnage infréquentable qui appelle les choses par leur nom. Assez typiquement, c’est aussi un homme d’une grande culture et une tête en mathématiques. Ses calculs sont donc fiables – je dis ça pour ceux qui détestent les maths, vous pouvez les survoler.

Il répond notamment ici à des accusations portées par potholer54, un debunker payé pour protéger, entre autres, le mythe du réchauffement climatique anthropocentrique – nous l’avons déjà croisé ici.

Source.


Mille trillions de dollars pour un dixième de degré de réchauffement en moins

Par Christopher Monckton of Brenchley

4 avril 2023

Le sénateur John Kennedy a tenté d’obtenir une estimation du coût du « net zéro » lors d’une récente audition

La Nouvelle Pause s’est allongée à 8 ans et 9 mois. La tendance de régression linéaire des moindres carrés sur l’ensemble des données satellitaires mensuelles de température globale UAH ne montre aucun réchauffement global de juillet 2014 à mars 2023. Comme d’habitude, ce site est à peu près le seul endroit où il est fait état de la défaillance persistante des températures mondiales à faire ce qu’on attend d’elles.

Les dates de début et de fin de la Nouvelle Pause ne sont pas choisies arbitrairement. La date de fin est le présent; la date de début est la date la plus éloignée à laquelle il est possible de remonter pour trouver une tendance nulle. C’est ainsi.

À titre de comparaison, voici l’ensemble des données pour 44 ans et 4 mois depuis décembre 1978. Il montre un taux de réchauffement à long terme pas vraiment terrifiant, équivalent à 1,3 degré/siècle, dont 0,3 K s’est déjà produit depuis janvier 2021, ce qui laisse seulement 1 K à atteindre (sur la base de la tendance actuelle) jusqu’en 2100, date à laquelle les réserves de charbon, de pétrole et de gaz seront en grande partie épuisées.

Le fait qu’au cours du tiers de siècle qui s’est écoulé depuis la publication du rapport du GIEC (1990), le réchauffement de la planète s’avère plus lent que les 0,3 degré/décennie que le GIEC avait alors prédit avec confiance (et qu’il prédit encore aujourd’hui) est pertinent par rapport à une question que le sénateur John Kennedy a posée à deux infortunés représentants de l’actuelle administration incompétente américaine, lorsqu’il les a pris à partie lors d’une récente audition.

Le sénateur a commencé par demander au Dr Robert Litterman, président de la sous-commission des risques de marché liés au climat de la Commodity Futures Trading Commission des États-Unis, depuis combien de temps il étudiait la question du climat. Réponse: 15 ans. Ensuite, au Dr Douglas Holtz-Eakin, président de l’American Action Forum. Réponse: environ 25 ans.

Le sénateur Kennedy: « Dr Litterman, combien cela coûtera-t-il de rendre les États-Unis d’Amérique neutres en carbone d’ici 2050? »

Litterman: « Je ne sais pas, monsieur. »

Le sénateur Kennedy: « Vous préconisez donc que nous fassions ces choses, mais vous ne connaissez pas le coût final? »

Litterman: « Oui, absolument, je ne connais certainement pas le coût final et il est très incertain. Cela dépend des innovations, cela dépend de… »

Le sénateur Kennedy: « J’essaie simplement de poser les bases pour comprendre votre témoignage d’expert. Dr Holtz-Eakin, savez-vous combien il en coûtera pour rendre les États-Unis d’Amérique neutres en carbone d’ici à 2050? »

Holtz-Eakin: « Cela dépend de la manière dont on s’y prend. Si nous faisons tout avec le budget fédéral… »

Le sénateur Kennedy: « Des dollars publics et privés. De toute façon, c’est en fin de compte de l’argent privé. »

Holtz-Eakin: « Je suis d’accord. »

Le sénateur Kennedy: « Alors, combien? »

Holtz-Eakin: « Il faut compter 50 trillions de dollars. »

Le sénateur Kennedy: « 50 trillions de dollars? »

Holtz-Eakin: « Oui. »

Le sénateur Kennedy: « D’accord, merci. Si nous rendons les États-Unis d’Amérique neutres en carbone d’ici 2050, en dépensant 50 trillions de dollars, comme vous le préconisez, j’en déduis que… »

Holtz-Eakin: « Non. »

Le sénateur Kennedy: « D’accord, supprimez la dernière partie. Je me trompe. Vous ne le préconisez pas. Vous préconisez quelque chose. »

Holtz-Eakin: « Quand on fait quelque chose, il faut le faire intelligemment: c’est ce que je préconise. »

Sénateur Kennedy: « Si nous dépensons 50 trillions de dollars pour rendre les États-Unis neutres en carbone d’ici 2050, de combien cela fera-t-il baisser les températures mondiales? » [1]

Holtz-Eakin : « Je ne peux pas le dire, car je ne sais pas ce que la Chine, l’Inde et le reste du monde feront. »

Sénateur Kennedy: « Avez-vous entendu quelqu’un de l’administration Biden dire de combien cela ferait baisser les températures mondiales? » [2]

Holtz-Eakin: « Non. »

Sénateur Kennedy: « Est-ce que quelqu’un sait de combien cela ferait baisser les températures mondiales? [Pause] Non? » [3]

Holtz-Eakin: « Personne ne peut le savoir avec certitude. »

Le sénateur Kennedy: « OK. Dr Litterman, si nous dépensons 50 trillions de dollars, ou le montant qu’il faudra, pour rendre les États-Unis d’Amérique neutres en carbone d’ici 2050, de combien cela fera-t-il baisser les températures mondiales? » [4]

Litterman: « Sénateur, cela dépend du reste du monde. Nous devons travailler avec le reste du monde. Nous sommes dans le même bateau. Nous vivons dans le même monde. Nous ne pouvons pas ériger un mur autour des États-Unis et dire… »

Le sénateur Kennedy: « Et si nous dépensons 50 trillions de dollars, que l’Europe coopère, que la plupart des démocraties occidentales coopèrent, mais que l’Inde et la Chine ne coopèrent pas? De combien nos 50 trillions de dollars feront-ils baisser la température mondiale? » [5]

Litterman: « Nous sommes dans le même bateau, Sénateur. Nous devons faire en sorte que le monde travaille de concert. »

Sénateur Kennedy: « Je comprends. J’ai saisi. De combien cela fera-t-il baisser les températures mondiales?« [6]

Litterman: « Si la Chine et l’Inde ne participent pas? Je ne sais pas. »

Répondons à la question du sénateur Kennedy, six fois posée et six fois sans réponse. C’est l’une des questions centrales du débat sur le climat, mais personne au Parlement de ce côté-ci de I’océan n’aurait eu l’esprit, le courage ou la persévérance de la poser et de continuer à la poser. Je suis toujours aussi impressionné par le calibre de vos hommes d’État par rapport à celui de nos hommes politiques.

Pour répondre à cette question, nous n’utiliserons que des données officielles, moyennes, provenant de sources scientifiques que les « Démocrates » considéreraient comme adéquates.

Premièrement, le taux de croissance quasi linéaire des émissions anthropiques mondiales d’équivalent CO2 depuis le Premier Rapport d’Évaluation du Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat en 1990 est illustré ci-dessus. Il est probable que ce rythme de base se maintiendra, puisque la plupart des pays continuent à augmenter leur consommation de charbon, de pétrole et de gaz.

L’indice annuel mondial des gaz à effet de serre, compilé par la National Oceanographic and Atmospheric Administration des États-Unis, montre que, malgré les mesures coûteuses prises principalement par les pays occidentaux pour réduire leurs émissions, le forçage radiatif induit par les émissions mondiales de gaz à effet de serre a continué d’augmenter depuis 1990 à un rythme presque linéaire de 1/30e d’unité par an. Ainsi, aucun effet des mesures actuelles de réduction des émissions mondiales, dont le coût a été estimé l’an dernier à 5,6 trillions de dollars par an par McKinsey Consulting, n’est encore perceptible.

Deuxièmement, la tendance à la hausse quasi linéaire du forçage anthropique se poursuivra, compte tenu de l’expansion des centrales au charbon dans des pays tels que l’Inde, la Chine (qui construit actuellement 43 nouvelles centrales au charbon et prévoit d’en construire encore plus) et le Pakistan (qui a annoncé début 2023 qu’il quadruplerait sa capacité de production d’électricité à partir du charbon).

Au cours des 27 années 2023-2049, 27/30èmes d’unité supplémentaires (0,9 unité) se produiront si le rythme de base est maintenu. Mais si tous les pays progressaient en ligne droite vers le « net zéro » d’ici 2050, la moitié de ces 0,9 unité – soit 0,45 unité – serait supprimée.

Réponse climatique transitoire (RCT)
Réponse de la température de surface pour le scénario hypothétique dans lequel le dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique augmente de 1% par an-1 depuis l’ère préindustrielle jusqu’au moment du doublement de la concentration de CO2 atmosphérique (année 70).
GIEC (2021, p.2223)
Sur la base de la compréhension du processus, du réchauffement au cours de l’enregistrement instrumental et des contraintes émergentes, la meilleure estimation de la RCT est de 1,8°C.
GIEC (2021, p.93)

Troisièmement, le taux de réchauffement planétaire à moyen terme par unité de forçage anthropique est le rapport entre la réponse climatique transitoire à moyen terme à 2xCO2 de 1,8 C (RCT, ci-dessus) et le forçage effectif à 2xCO2 de 3,93 W m-2 (ERF, ci-dessous) [NdT. ERF = Effective Radiative Forcing – Le forçage effectif quantifie, en unités de W m-2, la variation de l’énergie disponible pour le système climatique causée par un changement dans une ou plusieurs composantes du bilan radiatif de la Terre]: c’est-à-dire 0,458 K W-1 m2.

Forçage radiatif
Le changement dans le flux radiatif net, vers le bas moins vers le haut (exprimé en W m-2), dû à un changement dans un facteur externe de changement climatique, tel qu’un changement dans la concentration de dioxyde de carbone (CO2).
GIEC (2021, p. 2245)
L’ERF évalué pour un doublement du dioxyde de carbone par rapport aux niveaux de 1750 (3,93 ± 0,47 W m-2) est plus important dans le AR5.
GIEC (2021, p. 925)

Quatrièmement, un ajustement est effectué pour tenir compte du fait que le réchauffement planétaire depuis 1990 s’est avéré inférieur à la moitié du taux décennal moyen qui avait été prédit à l’époque – et qui continue d’être prédit aujourd’hui. Le taux de réchauffement global décennal observé depuis 1990, en utilisant l’ensemble des données satellitaires sur la température globale maintenues par l’Université de l’Alabama à Huntsville, n’a été que de 0,136 C décennie-1:

Le GIEC (1990) a prédit le réchauffement de la planète sur la base de quatre scénarios d’émissions A à D, dans l’ordre décroissant des émissions anthropiques prévues. La ligne de tendance du scénario B pour le forçage en équivalent CO2 de 1990 à 2025 (ibid., fig. 2.4B) était identique à la ligne de tendance supposant des émissions annuelles constantes après 1990 (ibid., fig. A.15). En réalité, cependant, en 2023, les émissions avaient augmenté d’environ 53 % par rapport à 1990.

Ainsi, au cours des 33 années qui se sont écoulées depuis 1990, le scénario A s’est avéré beaucoup plus proche de la réalité que les scénarios B à D. Dans le cadre du scénario A (le scénario de maintien du statu quo), le GIEC prévoyait un réchauffement planétaire moyen de 0,3 C par décennie-1, soit 3 C jusqu’en 2100, ainsi qu’un réchauffement final de 3 C en cas de doublement des émissions de CO2.

Sur la base des résultats des modèles actuels, nous prévoyons
– dans le cadre des émissions de gaz à effet de serre du scénario A du GIEC, un taux d’augmentation de la température moyenne mondiale au cours du siècle prochain d’environ 0,3°C par décennie (avec une marge d’incertitude de 0,2°C à 0,5°C par décennie), supérieur à celui observé au cours des 10 000 dernières années. Il en résultera une augmentation probable de la température moyenne mondiale d’environ 1°C par rapport à la valeur actuelle d’ici 2025 et de 3°C avant la fin du siècle prochain. L’augmentation ne sera pas régulière en raison de l’influence d’autres facteurs.
GIEC (1990, p. xi)

Par conséquent, en multipliant par 0,136 / 0,3, soit 0,453, on réduit le réchauffement prévu par unité d’influence anthropique pour qu’il corresponde à l’observation.

Les calculs ci-dessus, basés sur des données courantes, sont ensuite combinés dans une simple équation. La tendance à la hausse de 27/30e de degré de l’influence anthropique au cours des 27 prochaines années est réduite de moitié pour permettre à toutes les nations de progresser en ligne droite jusqu’à l’absence nette de réchauffement d’ici 2050, plutôt que d’atteindre immédiatement l’absence nette de réchauffement. Ce forçage anthropique est ensuite converti en changement de température globale évité, qui est à son tour réduit en fonction de l’écart entre le réchauffement réel à moyen terme par décennie depuis 1990 et le réchauffement global à moyen terme prévu à l’époque. Le réchauffement planétaire évité, même si toutes les nations parvenaient à atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050, ce qui ne sera pas le cas, serait inférieur à un dixième de degré Celsius:

Même si les États-Unis, responsables de 15% des émissions mondiales, parvenaient à atteindre le « net zéro » d’ici à 2050, leur contribution réduirait la température mondiale de moins d’un soixante-dixième de degré. Telle est la réponse à la question du sénateur Kennedy, réponse à laquelle les « experts Démocrates » en climatologie, forts de 15 et 25 ans d’expérience, n’ont pas pu (ou pas voulu) répondre.

Cette réduction infinitésimale de la température globale représente-t-elle un bon rapport qualité-prix? Prenons comme point de départ le coût de 60 trillions de dollars de M. Holtz-Eakin pour le « net zéro » américain. En effet, cela implique que le coût du net zéro mondial s’élèverait à 400 trillions de dollars. Étant donné que McKinsey Consulting estime le coût des investissements à 275 trillions de dollars et que les frais d’exploitation représentent 2 à 3 fois les investissements, le coût total pourrait bien s’élever à 900 trillions de dollars, soit plus du double de l’estimation de M. Holtz-Eakin, faite à l’emporte-pièce.

Dans ce cas, chaque milliard de dollars dépensé dans la tentative futile d’atteindre des émissions nettes nulles empêcherait environ un dix-millionième de degré de réchauffement climatique – le pire rapport qualité-prix de l’histoire.

J’ai exposé ces nouveaux calculs en détail parce qu’une fois qu’ils seront plus largement connus, ils contribueront à mettre un terme à l’absurdité climatique.

Comment tuer son frère en toute légalité – par Sasha Latypova.

J’ai donc traduit cet article de Sasha, qui a donné lieu à une série d’autres, dont je publie la première partie juste après. Il illustre aussi très bien un point de mon prochain article à paraître, le danger que pose la nature très technologique de cette civilisation.

Source.


Comment tuer son frère en toute légalité

En utilisant un essai clinique de « thérapie génique ciblée » expérimentale à un seul participant

Sasha Latypova

8 juin

Tout d’abord, il vous faudra créer une association à but non lucratif travaillant sur les « maladies rares » et les thérapies géniques expérimentales. Ensuite, inscrivez votre frère en tant qu’unique participant à votre essai de « thérapie génique personnalisée ».

Ok, ok! Je participerai à ton essai de thérapie génique!

Caïn et Abel, Peinture de Pietro Novelli, XVIIe siècle.

Malheureusement, je n’invente rien. Voici un rapport détaillant ce qui s’est passé, rédigé par Endpoint News. Non, ils ne voient pas les choses de la même manière que moi, ils en parlent comme s’il s’agissait d’une bonne chose.

Terry [Horgan], un patient de 27 ans atteint de la dystrophie musculaire de Duchenne, est décédé en octobre dernier, huit jours seulement après avoir reçu le traitement dans le cadre d’un essai clinique auquel il était le seul participant. Cette affaire a soulevé des questions sur la sécurité de certaines thérapies géniques et sur ce qu’il adviendrait d’autres programmes de médicaments sous le patronage d’une organisation à but non lucratif créée par [son frère aîné Rich] Horgan et baptisée Cure Rare Disease (guérir les maladies rares).

Le fratricide est l’une des formes les plus rares d’homicide familial et se produit le plus souvent entre deux adultes de sexe masculin. Dans ce cas précis, je ne pense pas que le meurtre ait été intentionnel. Il a été tragiquement causé par l’orgueil incontrôlé de la « modification de l’ADN », à l’incompétence et à l’atrophie du sens de l’éthique de toutes les personnes impliquées, y compris de la victime. Le culte intense de la technologie, combiné à l’absence de bases morales et éthiques solides, fait que la majorité des adultes (y compris les médecins et les scientifiques) sont aujourd’hui incapables de séparer la science-fiction de la science et de la réalité physique. L’illusion qui a conduit à la mort de l’un des frères aux mains de l’autre est découle du phénomène de l’hyperréalité. Je pense que l’adoration idolâtre du Veau d’or de la technologie intervient également ici.

Pas une seule personne impliquée dans cette histoire abracadabrante de suicide assisté par la science n’a semblé s’inquiéter de ce qui est arrivé à Terry. Oh bon, il est mort, mais faites confiance à la science. Cela aurait pu être pire – cela aurait pu « jeter une ombre » sur CRISPR!

D’autres ont craint que la tragédie qui s’en est suivie ne jette le discrédit sur CRISPR, les ciseaux moléculaires expérimentaux largement utilisés pour mettre au point des traitements visant à modifier les gènes. Terry a été le premier à recevoir une thérapie CRISPR adaptée à sa maladie et le premier à être traité avec une forme de CRISPR qui augmente l’expression des gènes plutôt que de les modifier directement.

CRISPR/Cas9 – Clustered Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats – est généralement présenté comme une « technologie d’édition de gènes spécifique, efficace et polyvalente que nous pouvons exploiter pour modifier, supprimer ou corriger des régions précises de notre ADN ». Elle n’est jamais décrite comme des personnes de moins en moins compétentes qui actionnent un ensemble de boutons sans vraiment comprendre ce qu’ils font. Quelqu’un pourrait-il caractériser complètement la normalité génétique, s’il vous plaît, avant de brandir des ciseaux à ADN pour corriger l' »anormal »?

Mais l’autopsie a permis de disculper CRISPR, car Terry est mort avant que la thérapie n’ait eu la possibilité d’agir, comme rapporté la semaine dernière par des chercheurs dans une étude en prépublication. Il semble plutôt qu’il soit mort d’une réaction immunitaire provoquée par une forte dose du vecteur viral qui a transporté la thérapie jusqu’à ses cellules.

Ouf! C’est son système immunitaire qui a « surréagi », pas la thérapie! La thérapie était excellente. C’est le système immunitaire qui était mauvais. Il est hors de question de susciter la moindre hésitation vis-à-vis de CRISPR. Cela me rappelle une blague russe assez sinistre. Le médecin: « Le patient a-t-il transpiré abondamment avant de mourir? » L’infirmière: « Oui ». Le médecin: « Ah, très bien « .

Comme c’est le cas pour toute thérapie génique, celle-ci ne peut jamais être administrée au bon endroit et en quantité suffisante. Tout dépend de processus cellulaires individuels extrêmement variables que personne dans le monde scientifique ne comprend suffisamment pour les manipuler de manière sûre, prévisible et reproductible chez l’homme.

De fortes doses, représentant des centaines de trillions de virus artificiels connus sous le nom d’AAV, sont nécessaires pour faire pénétrer une quantité suffisante de la thérapie dans la partie visée du corps – dans le cas de Terry, dans ses muscles. Or, ces perfusions sont de plus en plus souvent associées à un nombre restreint mais significatif de décès.

Oh. Celui qui a concocté l’infusion CRISPR/AAV mortelle de Terry savait donc que les tentatives précédentes s’étaient soldées par des décès? Y avait-il eu la moindre réussite? Apparemment, zéro. Pourtant, cette connaissance préalable n’a pas arrêté la bande de joyeux drilles des ciseaux à ADN. La mort de Terry n’a pas non plus inquiété la secte de la thérapie génique, qui poursuit son chemin à toute vapeur!

De nombreux experts en thérapie génique ont déclaré à Endpoints qu’ils doutaient que la mort de Terry ralentisse le domaine de la thérapie génique dans son ensemble ou l’engagement des familles dans la mise au point de thérapies expérimentales pour les enfants ou les frères et sœurs atteints de maladies rares. Ce sentiment est partagé par le couple.

« Si cela s’était produit il y a dix ans, tout le secteur aurait été stoppé », a déclaré Angela Lek. « Mais aujourd’hui, personne ne sourcille, parce que la thérapie génique, CRISPR, est toujours en plein essor en raison de la promesse de ce qu’elle peut accomplir ».

Pour être complet, les modes non viraux d’administration des thérapies géniques pour les maladies rares sont également en train de faire faillite. Vu que « la science reste incertaine« .

Il est important de noter qu’il y a de l’argent en jeu. Beaucoup d’argent. Je me demande si Horgan s’est versé un salaire mirobolant pour gérer l’association à but non lucratif dans laquelle il semble avoir attiré d’autres familles.

Malgré la mort de Terry, Horgan a déclaré qu’aucune de ces familles n’avait abandonné le projet. Toutefois, deux familles pour lesquelles Cure Rare Disease supervise les traitements n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

Le coût de la thérapie de Terry s’est élevé à plusieurs millions d’euros, selon M. Horgan, qui n’a pas donné de chiffre précis. Dans l’attente de débouchés plus importants, Cure Rare Disease a déclaré en juillet dernier un chiffre d’affaires annuel de 2,6 millions de dollars et a clôturé l’exercice fiscal avec un actif net de 504 000 dollars.

Je me demande quelles sont les motivations des autres familles membres de l’association qui ont aligné leurs proches en sacrifice à la « science de la thérapie génique », dont il se trouve que les profits financiers proviennent aujourd’hui des thérapies contre les maladies rares.

Pour ceux qui ne connaissent pas ce marché, les maladies rares font aujourd’hui fureur – elles sont approuvées sur la base de très peu de données, dont la plupart fortement manipulées, et une fois approuvées, le remboursement public peut s’élever à des millions pour le traitement d’un seul patient. Ces traitements relèvent du charlatanisme le plus total – ils n’ont aucune valeur médicale significative, mais ils sont extrêmement lucratifs et essentiellement administrés à des patients en phase terminale – donc sans véritable responsabilité pour quiconque est impliqué. Avant l’empoisonnement massif par des injections covid, on estimait en 2019 que le marché des maladies rares atteindrait 262 milliards de dollars d’ici à 2024. Il est probablement beaucoup plus important aujourd’hui, après que les 2/3 de la population ont été génétiquement injectés, et il continuera d’augmenter pendant au moins les quelques générations issues de parents vaccinés covid et encore capables de produire des bébés, qui auront une propension beaucoup plus grande à contracter des « maladies génétiques rares ». Cela se poursuivra au moins jusqu’à ce que ces branches familiales finissent dans un cul-de-sac d’enfants stériles ou atteints de troubles de la reproduction. [NdT. voir mon article ici]

Tout comme les pandémies virales, les « maladies génétiques rares » sont en grande partie des arnaques étiologiques. De nombreuses affections ainsi répertoriées sont le résultat de décennies d’empoisonnement par l’environnement et par des vaccinations dont le calendrier recommandé par les CDC (plus de 70) entraîne la destruction du système immunitaire humain sur plusieurs générations. L’enfumage consistant à faire passer les lésions vaccinales pour des « anomalies génétiques rares » est l’occasion révée de créer des industries de milliards de dollars pour la recherche de remèdes. S’il existe des opportunités commerciales dans la recherche de solutions, il existe des opportunités bien plus lucratives dans le fait de ne jamais résoudre le problème tout en donnant perpétuellement l’impression d’y être presque arrivé (en route vers Mars, ça vous dit? Billets en pré-commande à 100 millions de dollars). L’étude des causes génétiques est le domaine idéal pour exploiter les familles désespérées dont les enfants sont mutilés par l’establishment des soins de santé iatrogènes, l’agriculture industrielle et la pollution. C’est également le domaine dans lequel se déverse la grande majorité des fonds publics consacrés à la recherche, et où les investissements privés et les gigantesques « organisations à but non lucratif » sont légion. Oui, cela inclut les camions remplis d’argent de Bill Gates qui financent la fraude pure et simple des prix Nobel dans les principales institutions académiques de blanchiment de la science. [NdT. lien vers un article non-traduit de Igor Chudov, qui rappelle que Gregg Semenza, prix Nobel de médecine en 2019, a dû rétracter plusieurs articles qui contenaient diverses fraudes photographiques]

Si on prétend que la cause est un gène rare, personne ne peut être tenu pour responsable de ce qui a été fait. C’est juste de la malchance, de mauvais gènes! Comment sont-ils devenus mauvais et pourquoi cela semble-t-il s’aggraver au fil du temps, vu la prolifération des maladies rares? Tais-toi, espèce de plouc, nous travaillons à la recherche d’un remède et nous y sommes presque! Encore une collecte de fonds. Courez, marchez, roulez en fauteuil roulant pour la maladie génétique rare du jour! Peu importe que, malgré des milliards de dollars de financement, les causes génétiques de l’autisme n’expliquent qu’environ 1% de son incidence, et qu’aucune maladie génétique n’ait jamais été guérie ou singnificativement atténuée malgré toutes les machines disponibles pour découper l’ADN avec précision.

L’excellent article de Toby Rogers sur la recherche des causes de l’autisme vous donnera une perspective supplémentaire sur la « $cience » des anomalies génétiques rares. [NdT. lien vers un excellent article de Toby Rogers (non-traduit), où il explique la façon écoeurante dont son analyse prévisionnelle de la prévalence de l’autisme a été censurée pour ne pas compromettre les énormes financements des « chercheurs » sur ses causes génétiques – quasi-inexistantes]

Art du jour: Attente, huile sur panneau 11×14 in

Le mythe d’une planète surchauffée – par Alex Epstein.

L’objectif principal est de soutenir le pétrodollar fiduciaire, et l’empire mondialiste qui s’en nourrit, par tous les moyens, y compris en réduisant l’humanité à un lourd esclavage. Des ennemis invisibles sont nécessaires pour que les gens ne viennent pas brouiller les cartes, car sans une conformité aveugle, tous ces projets n’aboutiraient à rien. Le climat, comme le COVID, est donc un exercice préliminaire de conformité et de rééducation des masses. En substance, le monde naturel est appelé à devenir notre ennemi, dont nous devons être sauvés (par la monétisation et la réglementation). À l’époque où je côtoyais des « costards », le projet était de promouvoir l’agenda vert en sachant pertinemment qu’il ne parviendrait pas à satisfaire les besoins en énergie, idéalement en échouant de manière assez catastrophique pour créer une dépendance totale à l’égard de l’État.

John Dee, 28 juillet

Voici un démenti succint de la plus récente intox médiaclimatique, vue depuis les États-Unis. Désolé, il y est beaucoup question de CO2 (l’ennemi invisible) mais c’est pour une bonne cause.

Pas facile de taper avec des moufles mais je reviens juste après pour parler de dépopulation.

Source.


Le mythe d’une planète surchauffée

Les températures élevées de cette année s’inscrivent dans une lente tendance au réchauffement, sur une planète où le nombre de décès dus au froid est bien plus élevé que celui dû à la chaleur, et où nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger des deux

Alex Epstein

28 juillet

Mythe: les températures élevées de cette année montrent que les combustibles fossiles rendent déjà la Terre invivablement chaude.

Vérité: les températures élevées de cette année s’inscrivent dans une lente tendance au réchauffement sur une planète où les décès dus au froid sont bien plus nombreux que ceux dus à la chaleur, et où nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger des deux.


Le mythe d’une planète surchauffée détruit en quatre points

  1. Les décès liés au froid > les décès liés à la chaleur
  2. La Terre se réchauffe lentement, et moins dans les régions chaudes.
  3. Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses
  4. Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur.

  • Les principaux médias présentent les températures de cet été comme invivablement chaudes et proposent comme solution l’adoption rapide de politiques de lutte contre les combustibles fossiles.

    En réalité, le froid est un problème bien plus important que la chaleur, et les politiques anti-carburants fossiles nous mettront encore plus en danger.1
  • Toute personne qui commente de manière responsable les températures estivales doit reconnaître 4 faits:
  1. Les décès liés au froid > les décès liés à la chaleur
  2. La Terre se réchauffe lentement, et moins dans les régions chaudes.
  3. Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses
  4. Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur.
  1. Décès liés au froid > décès liés à la chaleur
  • Lorsque nos dirigeants discutent du réchauffement de la planète, ils considèrent que le réchauffement est manifestement mauvais. Mais alors qu’ils décrivent la planète comme étant déjà « trop chaude », le fait est que beaucoup plus d’êtres humains meurent du froid que de la chaleur.
  • Étude après étude, on constate que les décès dus au froid sont 5 à 15 fois plus nombreux que ceux dus à la chaleur. Sur tous les continents, le froid est plus dangereux que la chaleur. Même dans de nombreux pays que nous considérons comme particulièrement chauds, comme l’Inde, les décès liés au froid dépassent largement ceux liés à la chaleur.2
  • Le fait que beaucoup plus d’êtres humains meurent de froid que de chaleur signifie que dans un avenir prévisible, même sans tenir compte des avantages des combustibles fossiles en matière de chauffage et de réfrigération, le réchauffement climatique alimenté par les combustibles fossiles sauvera plus de vies par le froid qu’il n’en prendra par la chaleur.3
[NdT. si je sais compter, il y a une erreur: 283 000 moins 116 000 font 167 000 morts de moins.]
  • Tout article sur le réchauffement et la mortalité humaine devrait évidemment mentionner que les décès dus au froid sont la principale source de mortalité liée à la température.

    Or, pratiquement aucun article sur le réchauffement ne le mentionne!

    Ce niveau d’ignorance et/ou de malhonnêteté est intolérable.
  • Une grande partie de la communauté médicale s’est comportée de manière particulièrement honteuse en traitant le réchauffement comme une catastrophe.

    Voyez comment la prestigieuse revue The Lancet [NdT. qui nous avait déjà très bien renseignés sur le danger mortel de l’hydroxychloroquine] a considérablement exagéré la menace des décès dus à la chaleur en présentant chaque décès dû à la chaleur comme 5 fois plus important que chaque décès dû au froid sur ce diagramme à barres!4
  1. La Terre se réchauffe lentement – et moins dans les régions chaudes
  • Jusqu’à présent, nous avons enregistré un réchauffement d’environ 1°C à partir d’un point de départ froid dans l’histoire de la Terre, il y a 150 ans. Le réchauffement futur sera limité par la diminution de « l’effet de serre » – et se concentrera dans les régions les plus froides.5

    Si nous nous rappelons que le froid tue plus que la chaleur, et si nous comparons le réchauffement moyen de ~1° C (~2° F) qui s’est produit au cours des 150 dernières années avec la large gamme de températures auxquelles nous sommes confrontés chaque jour/mois/année, nous ne devrions pas être effrayés du tout.

    Les catastrophistes climatiques ont donc recours à des tromperies pour nous effrayer.6
  • La tromperie de la « compression de l’axe des ordonnées ».

    Pour donner l’impression que le lent réchauffement que nous avons connu est effrayant, les catastrophistes climatiques ont coutume de montrer le réchauffement, non pas sur une échelle de température humaine, mais sur un axe des ordonnées comprimé, où 1°C semble énorme. Cela revient à mesurer une prise de poids sur une échelle où 1 livre semble énorme.
  • La tromperie des « records de chaleur ».

    Nous entendons constamment des affirmations alarmistes selon lesquelles nous vivons ou sommes sur le point de vivre « l’année la plus chaude jamais enregistrée ».

    Mais étant donné que les relevés ont commencé à une époque froide et que nous connaissons un lent réchauffement, il est évident que nous pouvons nous attendre à un nouveau record chaque année. Et alors?7
  • Étant donné que nos relevés de température sont limités, nous alarmer au sujet d’une « année la plus chaude jamais enregistrée » au cours d’une période de réchauffement lent, c’est comme si un médecin avertissait un patient qui a pris 1/10e de livre de muscle qu’il s’agit de son « année la plus lourde jamais enregistrée ».
  • La tromperie de « l’année la plus chaude jamais enregistrée ».

    Les catastrophistes climatiques assimilent souvent de manière absurde un mois ou une année « les plus chauds jamais enregistrés » – ce qui fait référence aux moins de 200 ans pour lesquels nous disposons de relevés de température détaillés – à « les plus chauds jamais enregistrés ».

    Même si la Terre a été 25°F plus chaude pendant des millions d’années!
    8
Le mois de juillet a été le plus chaud jamais enregistré. Je le répète – nous venons de vivre le mois le plus chaud de toute l’histoire de la planète. [NdT. vous avez vu l’astuce? On passe de « jamais enregistré » à « toute l’histoire de la planète ». Sanders étant communiste, réécrire l’histoire ne lui pose aucun problème…]
Je ne veux pas que les générations futures se souviennent de ce moment et se demandent pourquoi nous n’avons pas fait tout ce qui était en notre pouvoir pour lutter contre le changement climatique.
  • La tromperie consistant à « traiter les extrêmes locaux comme des extrêmes mondiaux ».

    Compte tenu de la lenteur du réchauffement climatique, les variations locales de température ont tendance à être beaucoup plus importantes que les variations globales. Pour nous effrayer, les catastrophistes prennent les températures locales les plus chaudes et les présentent comme globales, de sorte que nous pensons qu’il fait très chaud partout.
  • L’attention portée par les médias nationaux au Texas lorsque ce pays a été « anormalement » chaud, sans tenir compte des nombreux endroits qui ont été « anormalement » frais, est un exemple de cette façon de traiter les extrêmes locaux comme s’il s’agissait d’un phénomène mondial.9
Mise à jour des températures météorologiques maximales pour l’été [juin-juillet-août] dans les 48 premiers états des États-Unis:
Légèrement inférieures à la moyenne. [-0.05°F]
53 jours sur 92 inclus dans le calcul.
Profitez-vous de cet été confortable dans la vallée de l’Ohio, le centre du littoral atlantique et les Carolines? 🌡️✅
Cette semaine, nous allons rendre cette carte un peu plus jaune dans l’Iowa et les Grands Lacs, et peut-être effacer ce bleu foncé de Lexington à D.C. 📈
  • Pour avoir une idée plus précise des vagues de chaleur, il suffit de consulter l’indice annuel de vague de chaleur de l’EPA [NdT. Agence de Protection de l’Environnement américaine], qui indique que « les données à plus long terme montrent que les vagues de chaleur des années 1930 restent les plus graves jamais enregistrées dans l’histoire des États-Unis ».
    Les « rapports » d’aujourd’hui ne vous donneront aucune indication sur ce point.10
  • La tromperie consistant à « traiter le réchauffement dû à El Niño comme un réchauffement global ».

    Au réchauffement lent de la planète, nous subissons un réchauffement supplémentaire dû au passage de La Niña à El Niño. Il s’agit d’un phénomène temporaire, et non d’une tendance climatique, mais les catastrophistes l’exploitent pour exagérer le réchauffement climatique.11
  • Jusqu’à présent, le réchauffement a été lent et bénin. Mais le réchauffement futur rendra-t-il le monde incroyablement chaud?

    Non, compte tenu de deux faits presque universellement reconnus par les climatologues: 1) la diminution de l’impact du CO2 sur le réchauffement et 2) la concentration du réchauffement dans les régions plus froides.
  • L’impact du CO2 sur le réchauffement diminue (« logarithmiquement ») à mesure que sa concentration augmente.

    Chaque nouvelle molécule de CO2 que nous ajoutons à l’atmosphère a un effet de réchauffement moindre que la précédente. Le réchauffement diminuera à mesure que les émissions augmenteront – la seule question est de savoir à quel rythme.12

Même les « scénarios » les plus invraisemblables du GIEC anti-carburants fossiles prévoient une diminution du réchauffement et un monde très vivable avec une population croissante.13

  • Le réchauffement climatique se concentre dans les régions les plus froides du monde (comme l’Arctique), aux heures les plus froides de la journée et pendant les saisons les plus froides.

    Cela signifie qu’à l’avenir, le réchauffement se produira davantage dans des situations froides où il permettra de sauver des vies que dans des situations chaudes où il causera des problèmes.14
  • Tous les rapports sur le réchauffement de la Terre devraient préciser non seulement que les êtres humains sont beaucoup plus menacés par le froid que par la chaleur, mais aussi que la Terre se réchauffe lentement – et moins dans les endroits chauds.

    Le fait que pratiquement aucun rapport ne le reconnaisse montre que la plupart des « rapports » sont de la propagande.
  • Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses.

    Non seulement le réchauffement dû aux émissions de CO2 des combustibles fossiles est lent et, à bien des égards, bénéfique, mais l’énergie particulièrement rentable que nous tirons des combustibles fossiles nous protège à la fois du froid et de la chaleur.
  • La présentation du réchauffement des températures comme un énorme danger repose sur le raisonnement fallacieux qui consiste à ne considérer que les effets négatifs d’une chose (dans ce cas, le réchauffement), et non ses avantages.

    Les opposants aux combustibles fossiles se rendent également coupables de ce type de raisonnement en ignorant les avantages des combustibles fossiles en termes de maîtrise de la température.
  • La clé pour se protéger des températures dangereuses est de les maîtriser en produisant différentes formes de protection thermique, telles que l’isolation des bâtiments, le chauffage et l’air conditionné. Toutes ces choses nécessitent de l’énergie, ce qui signifie pour la plupart des gens qu’elles nécessitent des combustibles fossiles.
  • Les combustibles fossiles sont la seule source d’énergie fiable et peu coûteuse qui, dans un avenir prévisible, peut fournir de l’énergie à des milliards de personnes – dans un monde où 3 milliards de personnes utilisent encore aujourd’hui moins d’électricité qu’un réfrigérateur américain typique.15
  • Les pays en développement utilisent massivement les combustibles fossiles parce que c’est de loin le moyen le moins coûteux pour eux d’obtenir une énergie fiable. Le solaire et l’éolien, peu fiables, sont loin de faire le poids. C’est pourquoi la Chine et l’Inde ont des centaines de nouvelles centrales à charbon en cours de développement.16
  • Les « études » qui affirment que le réchauffement futur rendra le monde invivablement chaud omettent la possibilité de maîtrise des températures. Par exemple, une évaluation utilisée par l’EPA suppose de manière absurde que si une ville comme Chicago devenait aussi chaude que certaines villes du Sud aujourd’hui, elle ne s’adapterait pas et souffrirait d’une mortalité massive due à la chaleur!17
  • Les journalistes et les dirigeants devraient avoir le bon sens de considérer que si l’on s’intéresse aux effets secondaires de l’utilisation des combustibles fossiles sur la température, il faut également prendre en compte les énormes avantages qui en découlent en termes de maîtrise de la température.

    Mais ce bon sens n’est presque jamais mis en pratique.
  1. Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur
  • La disponibilité d’une énergie rentable est le principal facteur qui déterminera la sécurité des personnes face au froid et à la chaleur pour les décennies à venir.

    Les politiques anti-carburants fossiles augmenteront le nombre de décès dus au froid et à la chaleur.
  • Sur une planète où les gens meurent beaucoup plus de froid que de chaleur, mais où les deux constituent des menaces majeures, la clé de la sécurité est de rendre l’énergie aussi abordable et abondante que possible afin que le plus grand nombre puisse se payer un chauffage et une climatisation. Dans un avenir prévisible, cela signifie davantage de combustibles fossiles.
  • Bien que des milliards de personnes aient besoin de combustibles fossiles pour se protéger du froid (surtout) et de la chaleur, les médias et les dirigeants actuels prétendent que la chaleur est le seul problème et que la solution consiste à suivre des politiques anti-combustibles fossiles censées refroidir la Terre.

    C’est d’une malhonnêteté stupéfiante.
  • Non seulement les politiques anti-carburants fossiles privent les gens de l’énergie dont ils ont besoin pour se protéger à la fois du froid et de la chaleur, mais ces politiques ne pourront pas refroidir la Terre avant au moins plusieurs décennies [NdT. pour le coût, voir ici, et pour l’impact réel (nul), voir ici], et seulement si le monde entier, y compris la Chine, les suit à la lettre.
  • Même si une énergie net zéro à 100% n’est possible que dans quelques décennies (ce qui est absurde), cela n’aura même pas un impact minime sur le refroidissement tant que les émissions ne seront pas nulles (ou négatives) et que l’énergie du réchauffement actuel ne se dissipera pas.

    Il est malhonnête de présenter les politiques de lutte contre les combustibles fossiles comme ayant un quelconque effet de refroidissement dans un avenir proche.18
  • Les températures dangereusement froides et chaudes sont de loin les plus problématiques pour les pauvres. Ce dont ils ont besoin, c’est de plus d’énergie fossile pour la climatisation et le chauffage, et non d’une politique climatique et énergétique qui empêche la mise en place de véritables solutions à faibles émissions dans le futur et qui rend l’énergie coûteuse aujourd’hui.
  • Quiconque donne des conseils sur la manière de gérer les températures élevées est tenu de donner des conseils qui aideront réellement les êtres humains dans un avenir prévisible. Prétendre que soutenir les politiques anti-carburants fossiles aidera les gens dans un avenir proche en refroidissant la Terre est un mensonge.
  • C’est non seulement un mensonge que de prétendre que les politiques anti-carburants fossiles protégeront les gens dans un avenir proche en refroidissant la Terre, mais c’est aussi un mensonge mortel, car dans la pratique, cela signifie empêcher les gens d’acquérir l’air conditionné dont ils ont besoin pour faire face aux températures chaudes d’aujourd’hui et de demain.
  • Le seul moyen moral et pratique de réduire les émissions de CO2 – un phénomène mondial – est l’innovation qui rend les énergies à faible teneur en carbone compétitives au niveau mondial. Tant que les combustibles fossiles seront l’option la plus compétitive, en particulier dans les pays en développement, ces derniers choisiront (à juste titre) d’émettre du CO2.19
  • Réduire les émissions de CO2 d’une manière humaine et pratique signifie se concentrer sur la libération d’alternatives – en particulier la plus puissante, le nucléaire – pour essayer de réellement surpasser les combustibles fossiles à l’avenir.

    Nous priver de combustibles fossiles aujourd’hui et prétendre que la Chine suivra est immoral et impraticable.
  • En imputant aux « Républicains MAGA » pro-énergie fossile la responsabilité des températures élevées, Hillary Clinton esquive ces questions:
    • le froid est plus dangereux que la chaleur
    • le réchauffement est lent
    • nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger du froid et de la chaleur
    • les politiques anti-carburants fossiles ne refroidiront pas la Terre mais tueront des gens
    • les émissions de CO2 sont mondiales
  • De nombreuses personnes ont considéré, à juste titre, qu’il était inacceptable qu’Hillary accuse ses adversaires politiques d’être à l’origine des fortes chaleurs. Et ils ont raison. En même temps, elle ne fait que régurgiter des mensonges sur le climat qui sont devenus monnaie courante chez nos dirigeants.

    Nous vous invitons à partager ces points de discussion pour réfuter ces mensonges.

  1. NYT – Heat Waves Grip 3 Continents as Climate Change Warms Earth
    WaPo – Floods, fires and deadly heat are the alarm bells of a planet on the brink
    The Atlantic – When Will the Southwest Become Unlivable?
    Guardian – ‘Hell on earth’: Phoenix’s extreme heatwave tests the limits of survival ↩︎
  2. Zhao et al. (2021)
    Bjorn Lomborg: Climate change and deaths from extreme heat and cold
    Bjorn Lomborg on Twitter ↩︎
  3. Bjorn Lomborg – Climate Change Saves More Lives Than You’d Think ↩︎
  4. Masselot et al. (2023) – Excess mortality attributed to heat and cold: a health impact assessment study in 854 cities in Europe
    Bjorn Lomborg on Twitter ↩︎
  5. NASA – GISS Surface Temperature Analysis (GISTEMP v4)
    U.S. National Oceanic and Atmospheric Administration, climate.gov – Climate change rule of thumb: cold « things » warming faster than warm things ↩︎
  6. NASA – GISS Surface Temperature Analysis
    NOAA National Centers for Environmental Information – Daily Summaries Station Details, NY, Central Park
    NASA Climate Change – Vital Signs of the Planet, global temperature ↩︎
  7. Roy Spencer – UAH Global Temperature Update for June, 2023: +0.38 deg. C
    NASA – GISS Surface Temperature Analysis (v4) ↩︎
  8. Bernie Sanders on Twitter
    Westerhold et al. (2020) – An astronomically dated record of Earth’s climate and its predictability over the last 66 million years ↩︎
  9. Ryan Maue on Twitter ↩︎
  10. U.S. EPA – Climate Change Indicators: Heat Waves ↩︎
  11. CarbonBrief – Interactive: How much does El Niño affect global temperature? ↩︎
  12. La sensibilité du climat à l’équilibre est définie comme un réchauffement en °C par doublement des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Le GIEC estime qu’elle se situe entre 2,5°C et 4°C. D’autres analyses suggèrent qu’elle est inférieure à 2°C.
    Climate etc. – Important new paper challenges IPCC’s claims about climate sensitivity
    Alex Epstein – Fossil Future: Why Global Human Flourishing Requires More Oil, Coal, and Natural Gas–Not Less ↩︎
  13. IPCC AR6, WG1 ↩︎
  14. NOAA – Climate change rule of thumb: cold « things » warming faster than warm things ↩︎
  15. Robert Bryce – A Question of Power: Electricity and the Wealth of Nations ↩︎
  16. Global Coal Plant Tracker by Global Energy Monitor ↩︎
  17. Testimony of Oren M. Cass before the House Committee on Science, Space, and Technology, May 16, 2018
    Oren Cass – Doomsday Climate Economics Is a Joke ↩︎
  18. Testimony of Oren M. Cass before the House Committee on Science, Space, and Technology, May 16, 2018 ↩︎
  19. Alex Epstein – A pro-human, pro-freedom policy for CO2 emissions ↩︎

Une brève histoire des banques centrales – la plus grande escroquerie jamais inventée – par Lily.

Mon principal message aujourd’hui est simple: l’âme de l’argent n’appartient ni à une grande entreprise technologique ni à un grand livre de comptes anonyme. L’âme de l’argent, c’est la confiance. La question est donc la suivante: quelle est l’institution la mieux placée pour générer la confiance? Je soutiens que les banques centrales ont été et continuent d’être les institutions les mieux placées pour instaurer la confiance à l’ère numérique.

Agustín Carstens, Directeur général de la BRI, « Les monnaies numériques et l’âme de l’argent », discours au Goethe University’s Institute for Law and Finance, 18 janvier 2022

Je publie ceci comme promis, à l’usage de tous ceux qui ne seraient pas familiers avec le sujet: la création de la monnaie par les banques centrales. L’article est assez simple, bien écrit, très didactique – et pour autant que je sache, exact. Il complète très bien celui-ci. Ça parle surtout de la Réserve Fédérale américaine mais ça fonctionne également pour les autres banques centrales. Vous y retrouverez d’ailleurs des manoeuvres bien d’actualité. Lisez-le si vous voulez comprendre comment on réussit à ruiner un pays aussi riche que la France.

Et si vous voulez être vraiment, vraiment en colère…

Source.


Une brève histoire des banques centrales – la plus grande escroquerie jamais inventée

Un cartel bancaire privé entièrement contrôlé par l’élite a secrètement retiré aux gouvernements – et par conséquent au « peuple » – le pouvoir de créer la monnaie

Lily

22 mars

Quel meilleur moment que maintenant pour parler de l’escroquerie que constituent notre masse monétaire et notre système bancaire? Le public pense que toute la monnaie est émise et contrôlée par le gouvernement, mais c’est faux. L’argent est aujourd’hui entièrement produit par des sociétés privées, c’est-à-dire des banques, à l’exception des pièces de monnaie, qui représentent moins de 0,05% du montant total de l’argent en circulation. Aux États-Unis, la Réserve Fédérale, une institution bancaire commerciale, supervise l’émission des billets, tandis que la Banque d’Angleterre – une institution privée, ce qui paraîtra sans doute étrange à beaucoup – est responsable de la frappe de votre argent au Royaume-Uni.

Chose étonnante, les gouvernements se voient ensuite accorder des prêts de cet argent, qui doivent être remboursés avec des intérêts. En conséquence, c’est là la véritable cause de nos énormes dettes nationales, qui ne cessent de croître, et non l’augmentation des dépenses publiques ou quoi que ce soit d’autre, comme le prétendent malhonnêtement nos gouvernements manipulés. Le seul moyen de rembourser cette dette est que le monopole bancaire imprime (puis prête) une quantité croissante d’argent, avec chaque fois sa propre composante d’intérêt. Tous les impôts que nous payons au gouvernement sont utilisés pour rembourser cette dette aux banquiers, contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire; ils ne sont pas utilisés pour financer les actions du gouvernement ou les services publics. Pour remplir davantage les poches des familles de banquiers d’élite déjà incroyablement riches, y compris la Royauté, fortement soupçonnée d’être l’un des principaux actionnaires de la Banque d’Angleterre, on utilise une part énorme et croissante de nos salaires qui nous sont volés sous la forme d’impôts directs et indirects. Le cycle se poursuit au fil des décennies et des siècles.

« L’intérêt a toujours été le principal instrument du Pouvoir de l’Argent. Il a pris le contrôle de la planète en déclenchant des guerres, en finançant les deux camps et en endettant lourdement les gouvernements. L’intérêt est un transfert de richesse des 80% les plus pauvres vers les 10% les plus riches. Les chiffres globaux ne sont pas connus, mais en Allemagne, un milliard de dollars par jour est payé par les 80% les plus pauvres. Si l’on extrapole à l’échelle mondiale, cela signifie que la ploutocratie draine entre 5 et 10 trillions de dollars par an ».

Les pièces de monnaie et les billets de banque ne représentent toutefois qu’environ 3% de la masse monétaire totale. Les 97% restants sont créés par les banques commerciales sous forme de prêts, aujourd’hui par la saisie astucieuse de chiffres sur un écran d’ordinateur, et historiquement par une comptabilité astucieuse. Toutes ces actions s’accompagnent bien sûr d’une dette intégrée sous la forme d’intérêts à payer.

Lorsqu’une banque accorde un crédit, elle augmente simplement du montant du prêt le solde des dépôts de l’emprunteur à la banque. L’argent n’a pas été précédemment versé à la banque par qui que ce soit, et n’a pas été retiré du dépôt de quelqu’un d’autre. C’est de l’argent tout neuf que la banque a créé pour que l’emprunteur puisse l’utiliser. Les banques commerciales sont leur unique source de financement. Chaque dollar en circulation, qu’il s’agisse d’argent liquide ou de crédit, doit être emprunté. Les banques prospèrent si elles produisent suffisamment de fausse monnaie; dans le cas contraire, elles périssent.

Il ne fait aucun doute que nous ne disposons pas d’un système monétaire fiable. L’effroyable absurdité de notre état d’impuissance est presque incroyable dès lors que l’on comprend parfaitement la situation, mais c’est pourtant bien le cas. C’est le sujet le plus important que toute personne intelligente puisse explorer et étudier.

[…]

« Le capital doit se protéger de toutes les manières possibles, à la fois par association et par législation. Les dettes doivent être recouvrées, les hypothèques saisies aussi rapidement que possible. Lorsque, par le biais de la loi, les gens du peuple perdront leurs maisons, ils deviendront plus dociles et plus faciles à gouverner par la puissance du gouvernement appliquée par un pouvoir central des riches sous l’égide de financiers de premier plan. Ces vérités sont bien connues de nos grands hommes, aujourd’hui engagés dans la formation d’un impérialisme qui gouvernera le monde. En divisant les électeurs grâce au système des partis politiques, nous pouvons les amener à dépenser leur énergie en luttes intestines sur des questions sans importance. C’est ainsi, par une action discrète, que nous pouvons nous assurer ce qui a été si bien planifié et si bien accompli ». – Montagu Norman, gouverneur de la Banque d’Angleterre, s’adressant à l’Association des banquiers des États-Unis, New York, 1924.

EN FAIT, LA BANQUE N’ÉTAIT PAS UNE IDÉE ÉLITISTE

L’histoire de la monnaie moderne commence il y a environ 500 ans, dans l’Europe de la Renaissance. À cette époque, le papier-monnaie n’existait pas et l’essentiel de l’argent liquide était constitué de pièces d’or et d’argent. Les pièces d’or étaient, bien sûr, extrêmement résistantes et avaient une valeur intrinsèque en elles-mêmes (contrairement à la monnaie papier), mais elles étaient également lourdes, difficiles à transporter en grandes quantités et, si elles n’étaient pas stockées correctement, elles étaient susceptibles d’être volées. Les gens se mirent à déposer leurs pièces chez des orfèvres qui disposaient de chambres fortes et de coffres-forts où ils pouvaient les conserver en toute sécurité sans craindre qu’elles soient volées. Ces orfèvres proposaient des reçus en papier qui pouvaient être échangés à tout moment contre la quantité d’or spécifiée. Au fil du temps, ces reçus pratiques finirent par remplacer dans les échanges les monnaies moins pratiques qu’ils représentaient.

Les orfèvres finirent par se rendre compte que seuls 10% environ de ces reçus étaient convertis en or réel à quelque moment que ce soit. Tant qu’ils veillaient à conserver 10% de la valeur de leurs prêts en cours sous forme d’or physique pour répondre à toute demande, ils pouvaient prêter l’or qu’ils avaient en leur possession avec intérêt, encore et encore. C’est ainsi que fut créé le papier-monnaie (billets), qui était en fait un reçu pour un prêt d’or. Désormais, les billets et les prêts pouvaient représenter jusqu’à dix fois la valeur de l’or qu’ils possédaient. Le même or pouvait être donné dix fois à un taux d’intérêt de 20%, soit un rendement annuel de 200% sur un or qui n’existait même pas! Les orfèvres, naturellement soucieux de ne pas se surendetter, s’enrichirent considérablement aux dépens du public sans créer la moindre valeur réelle. Seul le capital était crédité dans la masse monétaire, ce qui entraîna une dette qui dépassa finalement la richesse combinée de la population. Cell-ci dut continuer à emprunter du papier-monnaie pour combler l’écart, ce qui amena la richesse des villes et au final celle de la nation à être canalisée vers les coffres des orfèvres, que l’on désigna alors sous le nom de « banquiers », tandis que la nation s’enfonçait de plus en plus dans la dette.

L’ÉLITE ENTRE EN SCÈNE

La Banque d’Angleterre a été créée en 1694 à la suite d’un coup d’État planifié de longue date par « l’élite », dans le but de s’approprier le processus de création monétaire à l’échelle mondiale. Sa succursale néerlandaise a été la première à établir une banque « centrale » pour faciliter cette escroquerie. En 1609, la Banque d’Amsterdam, la première « banque centrale » au monde, fut créée. Guillaume III, le prince d’Orange, et son épouse Marie (la fille de James), furent assis sur le trône britannique en 1688 après que le roi catholique James II ait été usurpé par les forces de l’élite anglaise travaillant avec leurs homologues hollandais. Cela fut rendu possible par le fait que la force d’invasion de Guillaume débarqua dans le port de Brixham, dans le Devon, au sud-ouest de l’Angleterre, et que des protestants anglais de haut rang, y compris le Parlement, soutinrent ses prétentions au trône. Finalement, Jacques fut contraint de fuir en France, où il resta jusqu’à sa mort en 1701.

Cependant, l’un des mandats de Guillaume, une fois devenu roi d’Angleterre, fut d’instaurer les mêmes conditions économiques précaires que celles qui avaient prévalu en Hollande pendant près d’un siècle. La Banque d’Angleterre fut créée et établie en 1694 suite à la revendication de l’élite bancaire d’avoir la possibilité d’obtenir en Angleterre les mêmes profits scandaleux que ceux dont disposaient les banquiers hollandais. Le mécène de ce plan était le banquier marchand londonien William Paterson, membre de la dynastie mérovingienne et initié à l’Ordre d’Orange. En 1693, il soumit au Parlement une pétition demandant la création d’une société chargée de prêter au gouvernement un million deux cent mille livres à un taux d’intérêt de 8%, ainsi que le pouvoir d’émettre des billets. Cette demande fut dûment autorisée après un « grand débat », et la construction de l’institution qui a contribué plus que toute autre à l’esclavage économique des peuples, non seulement en Grande-Bretagne mais aussi dans le reste du monde, commença après quelques faux départs et quelques contestations vite étouffées. (Nous savons tous que les Britanniques sont en fait les champions du monde de l’esclavage classique et des atrocités contre l’humanité, mais nous en reparlerons un autre jour).

« Je ne me soucie pas de savoir quelle marionnette sera placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique. » Nathan Mayer Rothschild

Quelqu’un pourrait-il m’expliquer pourquoi un gouvernement accepterait de telles conditions et renoncerait ainsi à la possibilité d’émettre de la monnaie à taux zéro, tout en acceptant de payer à une société privée 8% d’intérêts sur un prêt dont il n’aurait même pas eu besoin s’il avait conservé la possibilité d’émettre sa propre monnaie? Il n’y a qu’une seule explication, et celle-ci, à mon avis, en dit long.

« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de passe-passe le plus stupéfiant jamais inventé. Le système bancaire a été conçu dans l’iniquité et est né dans le péché. Les banquiers possèdent la terre. Prenez-la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer de l’argent et, d’un simple trait de plume, ils créeront suffisamment d’argent pour la racheter. Retirez-leur ce grand pouvoir et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront, car ce serait alors un monde meilleur et plus heureux à vivre. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banquiers et à payer le coût de votre propre esclavage, alors laissez les banquiers continuer à créer de l’argent et à contrôler le crédit ». – Sir Josiah Stamp, Président de la Banque d’Angleterre et deuxième homme le plus riche de Grande-Bretagne dans les années 1920.

Merci, Josiah. Dans l’Amérique du XIXe siècle, les banques privées créaient leurs propres billets de banque pour des montants allant jusqu’à dix fois leurs réserves d’or réelles, en adoptant le modèle de la Banque d’Angleterre. Ce type de système bancaire est appelé « réserve fractionnaire », ce qui signifie qu’une partie seulement du total des dépôts gérés par une banque est conservée en réserve pour répondre aux demandes des déposants. Cependant, les « ruées » sur les banques, au cours desquelles les clients exigèrent tous leur or en même temps, conduisirent à la faillite de plusieurs banques et créèrent une instabilité dans le système. La Réserve Fédérale étant une organisation privée, elle a le pouvoir de produire des billets de la Réserve Fédérale et de les prêter au gouvernement américain moyennant un intérêt. En conséquence, le système de billets de banque privé fut intégré en un système de billets de banque national en 1913. Ces billets, intialement imprimés uniquement pour couvrir les coûts, devinrent finalement la base de la monnaie nationale américaine.

La Banque des États-Unis fut une tentative, au début du XIXe siècle, d’établir une banque centrale aux États-Unis avant la création de la Réserve Fédérale. Voici quelques commentaires formulés à ce sujet par le président américain de l’époque.

« Messieurs, j’ai des hommes qui vous observent depuis longtemps et je suis convaincu que vous avez utilisé les fonds de la banque pour spéculer sur les denrées alimentaires du pays. Lorsque vous gagniez, vous vous répartissiez les bénéfices et lorsque vous perdiez, vous les imputiez à la banque. Vous me dites que si je retire les dépôts de la banque et si j’annule sa charte, je ruinerai dix mille familles. C’est peut-être vrai, messieurs, mais c’est votre péché! Si je vous laisse faire, vous ruinerez cinquante mille familles, et ce sera mon péché! Vous êtes un repaire de vipères et de voleurs. J’ai l’intention de vous mettre en déroute, et par le Dieu éternel, je vous mettrai en déroute. Si seulement les gens comprenaient l’abjecte injustice de notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain matin ». – Andrew Jackson, ancien président des États-Unis1

La Loi sur la Réserve Fédérale a été promulguée par le Congrès aux petites heures du 23 décembre 1913, sans aucune opposition car la majorité des membres du Congrès étaient déjà partis pour leurs vacances de Noël. La Loi elle-même était un document volumineux qui n’avait été présenté au Congrès que la veille, ce qui ne laissait guère le temps d’en faire une lecture superficielle, et encore moins un examen approfondi.

« Je suis un homme très malheureux. Sans le vouloir, j’ai ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La croissance de la nation et toutes nos activités sont donc entre les mains d’un petit nombre d’hommes. Nous sommes devenus l’un des gouvernements les plus mal dirigés, l’un des plus complètement contrôlés et dominés du monde civilisé. Ce n’est plus un gouvernement fondé sur la libre opinion, ni sur la conviction et le vote de la majorité, mais un gouvernement fondé sur l’opinion et la contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants ». – L’ancien président des États-Unis, Woodrow Wilson, plusieurs années après avoir signé la création de la Réserve Fédérale2

L’INFLATION EST UN VOL

Le terrible résultat de l’augmentation de la masse monétaire est que les prix augmentent parce qu’il faut perpétuellement imprimer plus d’argent pour payer les intérêts sur l’argent qui existe déjà. Ce n’est ni bon pour les pauvres, ni mauvais pour les riches, et ce n’est pas non plus transitoire. Il s’agit d’un processus continu qui dure depuis des siècles et qui n’est qu’une retombée inutile d’un système profondément répugnant. Plus d’argent en concurrence pour les mêmes produits fait monter les prix, la valeur de la monnaie baisse et les consommateurs perdent la valeur de leur épargne et de leur argent. L’élite financière accuse alors le gouvernement de gonfler la monnaie pour soutenir ses dépenses extravagantes. Les pièces de monnaie sont la seule forme d’argent que les gouvernements émettent réellement. Il s’agit d’un joli petit tour de passe-passe utilisé par les banquiers et leurs caniches médiatiques.

Le dollar au XXème siècle – graphique chronologique du changement de pouvoir d’achat du dollar américain

  • Création de la Réserve Fédérale
  • Première Guerre mondiale
  • Hyper-inflation en Allemagne
  • Krach de 1929
  • Dépression des années ’30
  • Interdiction de la détention d’or aux États-Unis
  • Deuxième Guerre mondiale
  • Guerre de Corée
  • Guerre du Vietnam
  • Découplage du dollar à l’or
  • Détention d’or à nouveau légale
  • Guerre « froide »
  • Opération « Tempête du Désert »
  • Guerre contre le terrorisme

La dette nationale des États-Unis s’élève à 31 trillions de dollars à l’heure où j’écris ces lignes, et elle augmente rapidement. Comment ces fonds seront-ils un jour remboursés? Ils ne pourront jamais l’être, de quelque manière que ce soit, c’est un fait incontestable. Cela donne donc aux banquiers centraux le « droit » de faire pratiquement ce qu’ils veulent de nos vies parce que nous et notre progéniture sommes endettés envers eux et sommes leurs esclaves pour toujours.

Cela peut paraître peu, mais cette liasse contient 1 million de dollars. Elle est en fait suffisamment petite pour que vous puissiez la tenir dans vos mains et l’emporter.

100 millions de dollars, c’est un peu plus respectable, même si 1 million de dollars semble un peu terne. Il tiennent commodément sur une palette classique.

Et puis, 1 milliard de dollars. Vous devriez être en mesure de le transporter en camion.

Voyons maintenant UN TRILLION de dollars. C’est le chiffre qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps. Un million de millions et un millier de milliards font un trillion. Il s’agit d’un 1 suivi de 12 zéros.

Nous en sommes maintenant à 1 000 000 000 000 $. (Les palettes sont empilées en double).

Par conséquent, si vous entendez quelqu’un dire en passant l’expression « un trillion de dollars/livres », il se réfère à ce montant.

Par ailleurs, seriez-vous surpris d’apprendre que la durée de vie moyenne d’un être humain est nettement inférieure à un million d’heures (657 000 heures pour une durée de 75 ans), même si des chiffres d’un million et de beaucoup plus sont couramment évoqués de nos jours? Ou, autrement dit, un peu moins de 40 millions de minutes. Et moins de 0,75 million de jours se sont écoulés depuis la prétendue naissance du Christ, il y a plus de 2000 ans.

Ou encore, mettons-nous dans une cave avec la dette nationale américaine actuelle en billets d’un dollar. On vous dit alors que vous êtes libre de conserver tous les billets que vous signez. Pour faciliter les choses, disons qu’il vous faut une seconde pour signer un billet, que vous ne mangez pas, que vous ne dormez pas et que vous ne faites rien de ce que la nature vous demande de faire. Au bout de 20 minutes, vous avez assez d’argent pour acheter un MacBook Pro haut de gamme. Après 11 jours et 13 heures, vous aurez dépassé votre premier million. Après environ 31 ans, vous êtes milliardaire. Et après 982351 ans (et ce n’est pas une faute de frappe), vous possédez la dette nationale américaine actuelle. Je vous laisse faire le calcul pour savoir de combien elle aura augmenté pendant cette période.

Comme nous l’avons vu maintenant, les banques ne créent pas les intérêts payables sur leurs soi-disant « prêts » au gouvernement, mais seulement le principal sous forme de monnaie. Étant donné que l’on imprime davantage d’argent uniquement pour payer les intérêts dus aux banques, le déficit ne cesse de se creuser. En fait, cela signifie que la masse monétaire doit doubler tous les 14 ans pour faire face aux seuls paiements d’intérêts. Une livre prêtée à 5% devient deux livres en 14 ans. En d’autres termes, tous les 14 ans, les banques volent au gouvernement autant d’argent en paiements d’intérêts qu’il y en avait dans l’ensemble de l’économie au cours des 14 années précédentes! Il s’agit sans doute du plus grand tour de passe-passe jamais joué à une race humaine vulnérable. C’est la véritable cause de l’inflation, ce qui peut expliquer pourquoi une miche de pain qui coûte aujourd’hui environ 1,00 $ ne coûtait que 2 cents en 1911. Pourtant, les gens pensent que c’est normal et que c’est « la façon dont notre monde fonctionne ».

« Les banquiers mondiaux, en actionnant quelques leviers simples qui contrôlent les flux d’argent, peuvent faire ou défaire des économies entières. En contrôlant les communiqués de presse sur les stratégies économiques qui façonnent les tendances nationales, l’élite du pouvoir est en mesure non seulement de resserrer son emprise sur la structure économique de ce pays, mais aussi d’étendre ce contrôle au monde entier. En toute logique, les détenteurs d’un tel pouvoir voudraient rester dans l’ombre, invisibles aux yeux du citoyen moyen. » – Aldous Huxley

La source absolue de la pauvreté et de la servitude économique mondiales qui caractérisent l’état déplorable du globe aujourd’hui est la confiscation de la capacité à produire de l’argent par ces super-criminels. Ces élites sont responsables d’un génocide généralisé puisqu’elles contrôlent les ressources mondiales, tuent des millions de personnes par la famine et la maladie, et exercent un contrôle total sur nous tous. Cette réalité ne peut en aucun cas être niée.

« La Réserve Fédérale a été créée en 1913 pour financer les deux parties des deux guerres mondiales qui ont suivi. En d’autres termes, ces guerres ont été financées par le crédit du contribuable américain. En plus d’en tirer profit, les banquiers illuminati utilisent la guerre pour nous asservir par la dette, provoquer des changements sociaux et consolider leur pouvoir. » – Dr. Henry Makow, chercheur et auteur, 2011

Alors, où sont les manifestations de rue, les intrusions publiques à la Banque d’Angleterre, à la BCE à Francfort, à la Réserve Fédérale de New York, et les appels véhéments à la réforme financière lancés par la presse et le gouvernement? Malheureusement, nous sommes trompés et contrôlés en pensant que tout va bien et que le système actuel est « la seule voie » via un procédé de contrôle de l’esprit connu sous le nom d’éducation publique, la propagande diffusée par les médias et le syndrome d’autosurveillance qui affecte l’ensemble de la population, du haut en bas de l’échelle. Nous sommes conditionnés à penser que nous sommes impuissants et incapables de modifier de manière significative la « façon dont le monde fonctionne », même lorsqu’il devient évident que quelque chose ne va pas. Il n’y a rien à voir, Messieurs, dames. Retournez au travail. Tout est en ordre.

Les banques sont autorisées à créer de l’argent à partir de rien et à percevoir des intérêts pour ce tour de passe-passe, pendant que les masses doivent les gagner. Le droit de créer de l’argent, c’est le droit à l’effet de levier, et c’est ce levier financier qui les hisse au sommet de la pyramide. Sans cet effet de levier, ils ne seraient pas en mesure de créer de telles quantités de richesse et de contrôle. La seule façon de détruire ce système et de créer une monnaie équitable est de sensibiliser les gens. Une fois qu’ils comprennent le « truc », tout le château de cartes commence à s’effondrer.

À tout le moins, et si l’idée de décentraliser la monnaie est trop farfelue pour vous parce que vous aimez quand même que quelqu’un vous gouverne et vous contrôle, les gouvernements doivent récupérer leur autorité légale d’imprimer et d’émettre de l’argent afin de résoudre cette situation. En supprimant le système de réserves fractionnaires, les banques seraient obligées de ne prêter que leurs liquidités disponibles. Les gouvernements pourraient rembourser immédiatement toutes les dettes nationales, les impôts pourraient être réduits, voire supprimés, et des programmes sociaux soutenus par le gouvernement pourraient être mis en place, bénéficiant à l’ensemble de la population plutôt qu’à une petite clique d’élites. Malgré ce que l’on croit généralement, tous nos impôts servent à rembourser la dette des banques, et non à fournir des services au grand public.

Le récit véridique d’une affaire judiciaire importante qui s’est déroulée dans le Minnesota, aux États-Unis, en 1969, mérite d’être raconté. Il n’est guère surprenant que l’affaire First National Bank of Montgomery v. Daly n’ait pas fait l’objet d’une large couverture à l’époque ou par la suite. Pourtant, ce drame judiciaire épique est d’une importance cruciale. L’avocat Jerome Daly, le défendeur, avait déclaré, lorsque la banque avait tenté de saisir son hypothèque de 14 000 dollars, qu’il n’y avait pas eu de « contrepartie » au prêt. La contrepartie est un terme utilisé dans le jargon juridique pour désigner « l’élément échangé » et constitue un élément essentiel de toute transaction juridique. M. Daly avait fait valoir que la banque n’avait fourni aucune contrepartie pour son prêt parce qu’elle avait effectivement « créé » l’argent par la comptabilité, « à partir de rien », et qu’elle n’avait donc pas subi de perte (autre point juridique essentiel) du fait de son refus ou de son incapacité à rembourser l’argent.

Le juge associé William Drexler, qui enregistrait les débats, n’avait accordé aucun crédit à la défense jusqu’à ce que M. Morgan, le président de la banque, vienne témoigner à la barre. Lors du contre-interrogatoire, Morgan a reconnu avec désinvolture que la banque fabriquait fréquemment de l’argent « à partir de rien » pour tous ses prêts et hypothèques, et qu’il s’agissait en fait d’une procédure standard dans toutes les banques, à la grande surprise de Drexler et de toutes les autres personnes présentes. Martin Mahoney, le président du tribunal, déclara: « Pour moi, cela équivaut exactement à de la fraude », ce à quoi les membres du jury acquiescèrent et murmurèrent leur accord. Dans son résumé de l’affaire, le juge Mahoney déclara ce qui suit: « Le plaignant (la banque) a admis avoir créé, avec la Banque de Réserve Fédérale de Minneapolis, la totalité des 14 000,00 $ en argent et en crédit dans ses propres livres, par une écriture comptable. Il s’agit de la contrepartie utilisée pour soutenir la note de crédit datée du 8 mai 1964 et l’hypothèque de la même date. L’argent et le crédit sont apparus pour la première fois lorsqu’ils ont été créés. Morgan a admis qu’il n’existait aucune loi ou statut des États-Unis lui donnant le droit d’agir de la sorte. Une contrepartie légale doit exister et être offerte à l’appui de la note ».

Le défendeur a conservé sa maison après que le tribunal eut rejeté à juste titre la tentative de saisie de la banque. Cette affaire aurait dû avoir des ramifications gigantesques. Une décision déclarant que les prêts des banquiers n’ont aucune valeur aurait pu entraîner l’effondrement des systèmes financiers et bancaires dans le monde entier s’il s’avérait qu’ils accordaient des crédits sans contrepartie plutôt que de les garantir avec de l’argent qu’ils possédaient réellement dans leurs coffres et qu’ils avaient été autorisés à émettre.

Plus tard, Jerome Daly déclara dans un article de presse local: « Cette décision, juridiquement fondée, a pour effet de déclarer nulles et non avenues toutes les hypothèques privées sur les biens immobiliers et personnels, ainsi que toutes les obligations américaines et nationales détenues par la Réserve Fédérale, les banques nationales et les banques d’État. Cela équivaut à une émancipation de cette nation de la dette personnelle, nationale et étatique prétendument due à ce système bancaire. Chaque Américain se doit d’étudier cette décision avec circonspection, car la question de la liberté ou de l’esclavage en dépend ».

Bien que le jugement n’ait jamais été formellement contesté ou annulé, il n’est peut-être pas nécessaire de mentionner qu’il n’a absolument pas influencé la pratique acceptée. Sans surprise, le juge Mahoney est décédé moins de six mois après le procès dans un « accident » très suspect impliquant une sorte d’empoisonnement. Le juge Mahoney avait juré de poursuivre et de dénoncer la banque. Toute personne qui s’oppose à ces individus et à leurs méthodes diaboliques doit être écartée.

Depuis que cette affaire a créé un précédent, de nombreux autres défendeurs ont tenté de faire annuler des prêts et des hypothèques en utilisant la même défense que Daly, mais sans grand succès. En fait, un juge a déclaré officieusement: « Si je vous autorisais à faire cela, vous et tous les autres feriez tomber le système. Je ne vous permettrai pas d’entrer dans la banque par la porte arrière. Nous n’entrerons pas dans cette pièce derrière ce rideau! »

À ce stade de la narration, il est également important de souligner que le fonctionnement de la production monétaire a été conçu de telle sorte que, croyez-le ou non, l’acte de signer une demande d’hypothèque ou de prêt crée en réalité la quantité d’argent demandée. La seule différence réelle est que si la société de financement détermine que le demandeur a une cote de crédit suffisamment élevée pour qu’elle prenne le risque de prêter l’argent qui a été initialement créé par le processus, elle peut également profiter des intérêts qui en résultent. Si la demande est rejetée, il ne reste plus que le capital. C’est pourquoi il n’est pas du tout « immoral » de ne pas rembourser des hypothèques ou des prêts. L’argent n’aurait pas été créé si la demande n’avait jamais été introduite. Pour être clair, c’est la signature du demandeur qui crée l' »argent » à partir de rien.

Maintenant, certains petits malins « éduqués » vous diront: « les banques ne créent pas de l’argent « à partir de rien ». C’est ridicule. Elles le créent à partir d’actifs! Et les actifs, c’est loin d’être rien! » Oui, les actifs qui leur appartiennent et qui ont déjà été payés avec de l’argent qui n’existait pas vraiment sont maintenant utilisés comme quelque chose qui a de la valeur pour justifier la création d’argent. Peu importe la manière de procéder ou de présenter les choses: de l’argent est créé à partir de rien. Et même si l’on considère l’histoire des actifs comme convaincante, l’argent continue d’être créé et le cycle se poursuit.


« Lorsqu’un groupe d’hommes appartenant à une civilisation adopte le pillage comme mode de vie, il finit par construire un cadre juridique qui l’autorise et un code moral qui l’élève. » – François Bastiat (1801-1850)

Certains pensent que les Banques de Réserve Fédérale sont des branches du gouvernement américain. Ce n’est pas le cas. Ce sont des monopoles privés du crédit qui exploitent les citoyens américains au profit de leurs propres prêteurs riches et prédateurs, ainsi que de leurs escrocs nationaux et étrangers. Le plus grand crime de l’histoire a été la mise à sac des États-Unis par la Fed. La Fed a tout fait pour dissimuler son autorité, mais en réalité, elle a détourné le pouvoir exécutif. Elle dirige tout dans ce pays et toutes nos relations internationales. Les gouvernements peuvent être faits ou défaits à volonté.

Pour démasquer ce crime, où sont les légions de législateurs, d’économistes, de spécialistes financiers, d’analystes de la City et d’experts financiers des médias? S’il n’y en a pas, c’est parce que la majorité d’entre eux ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qu’ils se contentent d’accepter le battage publicitaire puissant et persuasif qui leur est servi d’en haut par le moulin à propagande qu’est notre soi-disant système « éducatif » et les médias complices.

Ceux qui en ont déjà entendu parler croient qu’il s’agit d’une stupide théorie du complot avancée par des « fous » ou des « gauchistes tarés » ou des « théoriciens du complot de droite », et le petit nombre de ceux qui sont vraiment au courant se taisent pour ne pas compromettre leur propre position bien rémunérée ou même parce qu’ils craignent pour leur vie et celle de leurs proches. Tel est le fonctionnement réel du système. En tant qu’espèce, nous devons tous nous « réveiller » rapidement.

L’élite a au final utilisé ce faux système monétaire pour créer un environnement idéal pour tromper les gens et les inciter à adopter un matérialisme extrême, une autre épouvantable escroquerie. Et leur prochain chef-d’œuvre est juste au coin de la rue: les MNBC [Monnaie Digitale de Banque Centrale, voir ici]. L’asservissement ultime de chaque être humain.

La Fed a déclaré qu’elle ne renflouerait pas les banques, mais que tous les déposants seraient remboursés. Y compris ceux dont les dépôts de plus de 250 000 dollars sont garantis par la FDIC. Cependant, ma théorie est que ces dépôts seront remboursés par une MNBC américaine.

En conclusion: si vous travaillez pour une banque, je regrette de le dire, vous êtes un criminel – ou du moins complice de l’un des plus grands crimes contre l’humanité.

Le véritable pouvoir de façonner ce monde a toujours été entre vos mains.
Faites le bon choix.


  1. Jackson survécut à une tentative d’assassinat lorsque l’arme de l’assassin potentiel s’enraya peu de temps après avoir fait cette déclaration et l’annulation de la Banque des États-Unis qui s’ensuivit. Personne ne fut arrêté.
  2. Depuis que cette prétendue citation est devenue populaire, les vérificateurs de faits se sont empressés de dire qu’il était faux que Wilson ait jamais dit cela ou que la citation avait été mal interprétée. Je vous laisse décider ce que vous voulez croire, honnêtement je m’en fiche un peu.

Édition du dimanche – spéciale nettoyage de printemps.

Un escalier se balaie en commençant par le haut.

Proverbe roumain

J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.

Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.

Je ne sais pas, moi. Une grève?


À mes amis et lecteurs français

https://www.bobmoran.co.uk/other-work/encore-original-artwork

La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.

Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.

C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.

J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.

La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.

La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.

Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.

… et alors, l’économie?

J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.

Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.

Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.

À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.

Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.

Initiales BBB

Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!

Euh, non.

Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.

Thierry Baudet rappelle ici:

Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.

C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.

Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.

Nyctereutes procyonoides

… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.

Ach!

À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.

Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…

Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.

Un truc impensable en France.

Coïncidite

Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.

Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:

  • trois naissances,
  • quatorze décès.

Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…

QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois

En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:

La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]

Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.

Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]

Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.

Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.

À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.

C’est pas moi, c’est lui

Robert Redfield, l’ex-directeur des CDC américains a déclaré lors d’une audience devant le Select Subcommittee:

« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:

  1. « Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
  2. « Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
  3. « Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »

Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.

Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:

Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »

Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »

Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:

Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?

Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.

Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus

Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:

Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».

Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]

La croisière s’amuse

Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.

Vladimir trouve cette histoire ridicule – on le comprend:

« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »

Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:

Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.

Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.

Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».

Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?

Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.

Pauvres présidents

Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.

De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.

La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.

Ou le Covid.

Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.

C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.

En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.

Euh, euh, euh…

Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.

Pendant les travaux, la vente continue

Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.

Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.

Sex and drugs and rock’n’roll

Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peu suspecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.

Très bien parlons sexe, ça fait vendre.

Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.

Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.

Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.

En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…

Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.

Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.


Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.

Pour conclure…

… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.

Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.

Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:

Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.

Eh oui.

À bientôt et bon courage.

Quelques études de référence.

Je publie cet article un peu aride uniquement pour les références des études qui y sont mentionnées, à l’usage de ceux qui voudraient creuser le sujet et/ou faire valoir leur droit de refuser les injections Covid-19. Ces études confirment scientifiquement ce qu’on avait déjà appris d’autres observations et études indépendantes, à savoir que:

  • il n’existe aucune justification pour l’injection aux moins de 25 ans (nonobstant d’autres études similaires sur d’autres tranches d’âge);
  • l’immunité naturelle est largement supérieure à celle induite par les injections, qui devient rapidement négative, phénomène aggravé par leur répétition;
  • les produits injectables ne répondent pas aux normes d’exigence de qualité;
  • ils favorisent l’émergence de variants;
  • ces variants échappent à l’immunité vaccinale;
  • la charge virale des personnes injectées est supérieure à celle des personnes non-injectées;
  • l’attribution au Covid des dommages au système cardio-vasculaire observés mondialement est une imposture, ce sont bien des effets secondaires des injections.

Note: j’ai traduit in extenso le texte qui figure sur le captures d’écran par souci de complétude et laissé de côté la seconde partie purement technique de l’article.

Source.


Le séquençage profond des vaccins bivalents Moderna et Pfizer identifie une contamination des vecteurs d’expression conçus pour l’amplification des plasmides dans les bactéries [extrait]

Anandamide

16 février 2023

Introduction

Alors que les universités américaines continuent de rendre obligatoires les injections exemptes de responsabilité (vaccins COVID) pour les étudiants présentant un risque limité de contracter le COVID, il devient impératif que davantage d’informations publiques soient disponibles concernant les ingrédients de ces vaccins expérimentaux. L’EMA et la TGA ont toutes deux pris note de la fragmentation de l’ARN et des tests Western Blot par frottis qui suggèrent que le processus de fabrication du vaccin manque de fidélité et de transparence. Peu après la publication des données de la TGA, Patel et al. (Pfizer) ont publié un article tentant de dissiper ces inquiétudes. Jessica Rose a couvert ce sujet ici.

Le consentement éclairé ne peut être obtenu avec des produits thérapeutiques mal caractérisés.

Nous entrons maintenant dans la troisième année du COVID et il est maintenant de plus en plus clair quels groupes démographiques sont à risque. Il a été démontré à plusieurs reprises que le groupe d’âge des étudiants (moins de 25 ans) présentait un risque très faible de contracter le COVID. Pourtant, les effets indésirables induits par le vaccin chez les étudiants de cette tranche d’âge sont plus élevés que pour tout autre vaccin jamais administré. Krug et al. ont observé un risque de 1:6250 de myo/péricardite chez les jeunes de 16-17 ans (Krug et al).

Mansanguan et al.

Manifestation cardiovasculaire du vaccin COVID-19 à base d’ARNm BNT162b2 chez les adolescents

Résumé

Cette étude porte sur la manifestation cardiovasculaire, en particulier les événements de myocardite et de péricardite, après l’injection du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19 chez des adolescents thaïlandais. Cette étude de cohorte prospective a recruté des étudiants âgés de 13 à 18 ans de deux écoles, qui ont reçu la deuxième dose du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19. Les données comprenant les données démographiques, les symptômes, les signes vitaux, l’ECG, l’échocardiographie et les enzymes cardiaques ont été recueillies au début de l’étude, au jour 3, au jour 7 et au jour 14 (facultatif) à l’aide de formulaires d’enregistrement des cas. Nous avons recruté 314 participants ; parmi eux, 13 ont été perdus de vue, ce qui laisse 301 participants pour l’analyse. Les signes et symptômes cardiovasculaires les plus fréquents étaient la tachycardie (7,64%), l’essoufflement (6,64%), les palpitations (4,32%), les douleurs thoraciques (4,32%) et l’hypertension (3,99%). Un même participant pouvait présenter plus d’un signe et/ou symptôme. Sept participants (2,33%) présentaient au moins un biomarqueur cardiaque élevé ou des évaluations de laboratoire positives. Des manifestations cardiovasculaires ont été constatées chez 29,24 % des patients, allant de la tachycardie ou palpitation à la myopéricardite. La myopéricardite a été confirmée chez un patient après la vaccination. Deux patients ont eu une péricardite suspectée et quatre patients ont eu une myocardite subclinique suspectée. En conclusion, la manifestation cardiovasculaire chez les adolescents après la vaccination BNT162b2 mRNA COVID-19 comprenait la tachycardie, les palpitations et la myopéricardite. La présentation clinique de la myopéricardite après la vaccination était généralement légère et temporaire, tous les cas se rétablissant complètement en 14 jours. Par conséquent, les adolescents recevant des vaccins à ARNm doivent être surveillés pour les effets secondaires cardiovasculaires. Enregistrement de l’essai clinique: NCT05288231.

L’ « étude thaïlandaise » (Mansanguan et al) implique des taux de risque cardiaque encore plus élevés chez les étudiants, où 29,24 % des étudiants (n=301) ont présenté des manifestations cardiovasculaires. Des études incluant 23 millions de patients nordiques ont observé un taux significatif de myocardite dans ce groupe d’âge également. Cette étude, bien que plus importante, n’était pas aussi contrôlée que l’étude thaïlandaise dans la mesure où Mansanguan et al. ont pris des mesures de base des patients et ont exploré d’autres dommages que la myo/péricardite.

Ces risques ne sont pas observés suite au C19 lui-même.

Tuvali et al.

Incidence de la myocardite et de la péricardite chez les patients non vaccinés après la vaccination par le COVID-19 – Une vaste étude basée sur la population

Résumé

La myocardite et la péricardite sont des séquelles cardiaques post-aiguës potentielles de l’infection par le COVID-19, résultant de réponses immunitaires adaptatives. Notre objectif était d’étudier l’incidence de la myocardite et de la péricardite post-aiguës liées à l’infection par COVID-19. Étude de cohorte rétrospective de 196 992 adultes après une infection par COVID-19 chez les membres des services de santé Clalit en Israël entre mars 2020 et janvier 2021. Les diagnostics de myocardite et de péricardite des patients hospitalisés ont été récupérés à partir du jour 10 après une PCR positive. Le suivi a été censuré le 28 février 2021, avec une observation minimale de 18 jours. La cohorte de contrôle, composée de 590 976 adultes présentant au moins une PCR négative et aucune PCR positive, était appariée en fonction de l’âge et du sexe. Le programme de vaccination israélien ayant été lancé le 20 décembre 2020, l’appariement temporel de la cohorte de contrôle a été calculé à rebours à partir du 15 décembre 2020. Neuf patients post-COVID-19 ont développé une myocardite (0,0046%), et onze patients ont été diagnostiqués avec une péricardite (0,0056%). Dans la cohorte témoin, 27 patients ont eu une myocardite (0,0046%) et 52 une péricardite (0,0088%). L’âge (rapport de risque ajusté [RRa] 0,96, intervalle de confiance [IC] à 95%; 0,93 à 1,00) et le sexe masculin (RRa 4,42; IC à 95%, 1,64 à 11,96) ont été associés à la myocardite. Le sexe masculin (aHR 1,93 ; IC à 95%, 1,09 à 3,41) et la maladie vasculaire périphérique (aHR 4,20; IC à 95%, 1,50 à 11,72) étaient associés à la péricardite. L’infection post COVID-19 n’a pas été associée à la myocardite (aHR 1,08; IC 95% 0,45 à 2,56) ou à la péricardite (aHR 0,53; IC 95% 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’incidence accrue de péricardite ou de myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection à COVID-19.

Mots clés: COVID-19, myocardite, péricardite

Des résultats similaires sont observés dans Aquaro et al. et Sechi et al. où la myocardite dérivée du C19 n’est pas différente des taux de fond.

Aquaro et al.

Incidence des myocardites et péricardites aiguës pendant la pandémie de coronavirus 2019: comparaison avec la période prépandémique

Résumé

Contexte: Il a été proposé que la myocardite et la péricardite représentent une proportion des lésions cardiaques au cours de l’infection par le SARS-CoV-2. L’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’incidence de cette maladie cardiaque inflammatoire aiguë n’a pas été systématiquement évalué.

Objectif: examiner l’incidence et la prévalence des troubles cardiaques inflammatoires avant et pendant la pandémie de COVID-19.

Méthodes: Nous avons comparé l’incidence et la prévalence des maladies cardiaques inflammatoires aiguës (myocardite, péricardite) dans les provinces de Pise, Lucca et Livourne dans deux intervalles de temps: avant (PRECOVID, du 1er juin 2018 au 31 mai 2019) et pendant la pandémie COVID-19 (COVID, du 1er juin 2020 à mai 2021).

Résultats: Au total, 259 cas de cardiopathie inflammatoire (myocardite et/ou péricardite) sont survenus dans les zones d’intérêt. L’incidence annuelle était de 11,3 cas pour 100 000 habitants. En particulier, 138 cas sont survenus dans la période pré-COVID et 121 dans la période COVID. L’incidence annuelle des cardiopathies inflammatoires n’était pas significativement différente (12,1/100 000 dans la période PRECOVID contre 10,3/100 000 dans la période COVID, P = 0,22). L’incidence annuelle des myocardites était significativement plus élevée dans PRECOVID que dans COVID, respectivement 8,1/100 000/an contre 5,9/100 000/an (P = 0,047), soit une réduction nette de 27% des cas. En particulier, l’incidence de la myocardite était significativement plus faible dans COVID que dans PRECOVID dans la classe d’âge 18-24 ans. Malgré cela, les myocardites de la période COVID présentaient plus d’anomalies du mouvement de la paroi et une plus grande étendue du LGE. En revanche, l’incidence annuelle des péricardites n’était pas significativement différente (4,03/100 000 vs, 4,47/100 000, P = 0,61).

Conclusion: Malgré un rôle étiologique possible du SARS-CoV-2 et une augmentation prévisible de l’incidence de la myocardite et de la péricardite, les données de cette étude préliminaire, avec un échantillon géographiquement limité, suggèrent une diminution de la myocardite aiguë et une incidence stable de la péricardite et de la myopéricardite/périmyocardite.

Une méta-analyse le confirme.

Cette différence de risque cardiaque entre le vaccin et le virus ne devrait pas être une surprise. L’administration intramusculaire (IM) s’accompagne d’un accès potentiel immédiat au système vasculaire. Des études évaluant des infirmières qualifiées utilisant des techniques d’aspiration ont un taux de risque de 1,9% de toucher une veine ou une artère. Le taux d’injection intraveineuse accidentelle en dentisterie est encore plus élevé, soit 4% avec aspiration. Les vaccins SARs-CoV-2 ne nécessitent même pas d’aspiration et ont probablement un taux d’injection IV accidentelle plus élevé. Marc Girardot a traité ce sujet en détail.

Du côté opposé de cette équation du risque, nous constatons que l’infection par le C19 procure une immunité plus durable que les vaccins axés sur les protéines de pointe. L’immunité naturelle fournit des anticorps muqueux et une reconnaissance par les cellules T du protéome dérivé de l’ensemble du génome viral de 30 kb, alors que les vaccins se concentrent sur une petite région de ~4 kb (1273 acides aminés) du virus.

Cette stratégie vaccinale à épitope étroit produit maintenant des mutants d’échappement documentés où la majorité des mutations de Delta à Omicron sont des variants changeant les acides aminés dans le domaine de protéine de pointe ciblé par le programme de vaccination. Cet enrichissement en variants qui modifient les acides aminés par rapport aux variants synonymes est le signe distinctif de la sélection. Les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et ne parviennent pas à limiter la charge virale du patient, laissent l’horloge évolutive du virus (RdRp polymérase) intacte mais ne font que détourner l’évolution autour de la pagaie que l’on a placée dans la rivière. Chau et al. ont démontré des charges virales plus élevées chez les vaccinés. L’étude a porté sur plusieurs variants, mais d’autres études suggèrent des charges virales égales ou légèrement inférieures chez les vaccinés. Même dans ces cas, la variance est de quelques CTs et de l’ordre de 10^8. Dahdouh et al. ont montré jusqu’à 10 CT de variance dans les prélèvements seuls, ce qui suggère de nombreux facteurs de confusion dans ces études. La petite variation de CT est de l’ordre de 100 millions de molécules et est si élevée à la fois chez les vaccinés et les non-vaccinés qu’une différence de 2 CT n’est pas pertinente étant donné les ordres de grandeur inférieurs requis pour une dose infectieuse minimale (10^6).

Chau et al. ‘étude vietnamienne’

Constatations

Entre le 11 et le 25 juin 2021 (7-8 semaines après la deuxième dose), 69 membres du personnel ont été testés positifs au SARS-CoV-2. 62 ont participé à l’étude. La plupart étaient asymptomatiques ou légèrement symptomatiques et tous se sont rétablis. Vingt-deux séquences génomiques complètes ont été obtenues; tous étaient des variants Delta et étaient phylogénétiquement distincts des virus contemporains obtenus dans la communauté ou chez des patients hospitalisés avant l’épidémie. Les charges virales déduites des valeurs Ct étaient 251 fois plus élevées que chez les cas infectés par la souche originale en mars/avril 2020. Le délai médian entre le diagnostic et la PCR négative était de 21 jours (de 8 à 33). Les anticorps neutralisants (exprimés en pourcentage d’inhibition) mesurés après la deuxième dose de vaccin, ou au moment du diagnostic, étaient plus faibles chez les cas que chez les témoins non infectés et entièrement vaccinés (médiane (IQR): 69,4 (50,7-89,1) contre 91,3 (79,6-94,9), p=0,005 et 59,4 (32,5-73,1) contre 91,1 (77,3-94,2), p=0,002). Il n’y avait pas de corrélation entre les taux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin et les pics de charge virale ou l’apparition de symptômes.

Il est clairement établi que ces vaccins n’arrêtent pas la transmission et des études récentes de la clinique de Cleveland (préimpression) démontrent même une efficacité négative du vaccin avec chaque vaccin supplémentaire. Elles démontrent également un effet dépendant de la dose ou un « gradient biologique », qui est l’un des principes des conditions de causalité de Bradford Hill. Cela implique que les vaccins affaiblissent le système immunitaire des patients et les rendent plus sensibles au C19 et à d’autres infections.

Ainsi, les politiques de vaccination dans les universités semblent violer l’éthique médicale fondamentale car elles demandent aux étudiants d’absorber une intervention médicale à risque/bénéfice négatif pour protéger des professeurs plus âgés. Elles utilisent leurs étudiants comme des boucliers humains tout en omettant d’informer que le bouclier a un coût « roulette russe » pour son utilisateur. Il s’agit d’une coercition non éclairée et non d’un consentement éclairé.

Ceci est particulièrement vrai pour les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et qui, dans plusieurs études, montrent des signes d’efficacité négative du vaccin (Barnstable Mass). L’étude Barnstable Mass menée par le CDC a montré des taux d’infection plus élevés chez les vaccinés. L’Australie est maintenant vaccinée à 96% (16+ 2 doses) et les hôpitaux sont saturés à plus de 96% de patients vaccinés. La surmortalité en Australie est plus élevée après la vaccination que pendant la pandémie qui a précédé la vaccination.

Les rappels bivalents n’ont jamais été étudiés de manière adéquate dans ce groupe d’âge d’étudiants. Paul Offit aurait déclaré que « tout était déjà décidé à l’avance » pour l’approbation de ces vaccins. Au lieu d’effectuer des ECR [études cliniqus randomisées] à grande échelle, on a surtout utilisé des données sur des souris, comme pour l’approbation des boosters bivalents. Même les ECR réalisés sur le BNT162b2 et le mRNA1273 ont été réanalysés par des chercheurs indépendants (Fraiman et al) et ont montré qu’ils ne procuraient aucun avantage (Bardosh et al).

Byram Bridle explique comment la commercialisation sélective du score de réduction du risque relatif de Pfizer constituait une violation de la politique de la FDA. Pourtant, elle a été accueillie par un tonnerre d’applaudissements.

Les premiers vaccins qui ciblaient la protéine de pointe Wuhan-1 n’ont jamais fourni de contrôle de qualité du séquençage de l’ADN lot par lot. Ils n’ont jamais fourni la moindre preuve de la fidélité transcriptionnelle ou traductionnelle de ces pro-médicaments. Ceci est de la plus haute importance car les vaccins incorporent un nucléotide sujet aux erreurs connu sous le nom de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) dont on sait qu’il augmente le taux d’erreurs de transcription à 250-300/Million ou 1 erreur tous les 4 000 nucléotides (Chen et al). Cela se traduit par une erreur dans chaque molécule de vaccin synthétisée et 14-34 trillions sont injectés avec les vaccins Pfizer et Moderna respectivement. Si les essais sur une seule molécule (séquençage de Pacific Biosciences) utilisés pour estimer ce taux d’erreur se manifestent dans des études humaines réelles, il s’agit d’un degré de complexité extraordinaire.

Pour aggraver encore les choses, l’impact de cette base sur la fidélité du ribosome est inconnu, mais les tentatives publiées de modéliser l’impact des pseudouridines (et non du N1-méthyl-pseudoU ou m1Ψ) sur la fidélité ont montré des augmentations substantielles du décalage du cadre ribosomal, de l’ablation des codons d’arrêt et des erreurs de traduction (Fernandez et al). Une étude qui a tenté, sans succès, de remettre en cause ces résultats est présentée ici.

Le laboratoire d’Andrew Fire a séquencé les premiers vaccins mais n’a jamais divulgué les données brutes de séquençage. Ces données sont nécessaires pour répondre aux préoccupations concernant les taux d’erreurs de transcription et les hétéroplasmies.

Il n’existe aucune donnée de séquençage publique pour les nouveaux vaccins bivalents administrés aux enfants. Selon les CDC, plus de 50 millions de vaccins bivalents ont été administrés à ce jour.

Pfizer prévoit des ventes importantes pour les 3 prochaines années.

Pfizer prévoit près de 500 millions de doses de COVID ARNm en 2023-2026, les années 2025 et 2026 étant un combo COVID/Grippe ARNm. La part de Pfizer, au prix récemment annoncé de 120 $/dose, s’élève à 37 milliards de dollars pour les seuls États-Unis. Ils anticipent une énorme VACHE À LAIT.

[…]

OH MON DIEU! Pfizer fait muter le COVID!!! – par Sasha Latypova.

Je me rends compte que j’ai assez peu relayé Sasha depuis son interview et ceci, ce qui est un comble vu que c’est une des seules voix « alt-Covid » à qui je fais confiance – même remarque pour Katherine Watt. Depuis cette fameuse interview – beaucoup lue, vu que je suis un des seuls à la publier en français et que mes lecteurs ont du goût – Sasha a créé son propre Substack. J’y pêcherai d’autres articles prochainement. Pour ne rien gâcher, elle y joint habituellement une photo de ses magnifiques peintures, comme elle. Une femme d’une beauté stupéfiante, d’une grande intelligence et d’un grand courage – et ukrainienne, ce qui devrait m’éviter, j’espère, la ridicule étiquette « pro-russe ».

Voici un billet très ponctuel – avec un peu de retard, que je rattrape lentement mais sûrement – qui démonte une intox dont j’imagine que tout le monde parle, pas toujours à bon escient. Ponctuel ou non, comme tout ce qu’écrit Sasha, c’est une lecture essentielle. En préambule, pour mieux comprendre la maintenant célèbre notion de « gain de fonction » et ses limites, je vous renvoie à mon article sur JJ Couey.

Source.


OH MON DIEU! Pfizer fait muter le COVID!!!

Un scénario de film où « Contagion » rencontre « Idiocratie »

Sasha Latypova

26 janvier

Un billet en vitesse. On m’a demandé de commenter la vidéo « explosive » publiée par le Projet Veritas, dans laquelle un « cadre supérieur en R&D de Pfizer » fait des déclarations sur « l’évolution dirigée » du virus du covid, que Pfizer envisage de mettre en œuvre.

D’abord, concernant cette personne. Je ne sais pas qui il est, certaines personnes tentent actuellement de vérifier s’il travaille chez Pfizer. Supposons pour l’instant qu’il travaille chez Pfizer. Son titre est directeur des opérations de R&D et de la planification scientifique. Il faut bien comprendre que ce domaine n’est PAS un domaine scientifique. Il ne travaille pas dans un laboratoire. Il gratte du papier, crée des présentations PowerPoint et d’autres documents et parle aux fournisseurs. Pfizer EXTERNALISE tout le travail scientifique et les essais cliniques. Personne en interne chez Pfizer ne fait quoi que ce soit en rapport avec le produit afin de se dégager de toute responsabilité et de laisser les sous-traitants commettre des fraudes en leur nom (afin que les dirigeants aient toujours une dénégation plausible).

De plus, ce type n’est pas intelligent. Il est ivre, mais il a aussi clairement un QI moyen. C’est exactement ce genre de personne que Pfizer a embauché en masse au cours des dix dernières années ou presque, tout en se débarrassant de personnes intelligentes et expérimentées qui savaient comment concevoir et développer des médicaments, parce qu’elles posaient trop de questions gênantes et ne se seraient pas laissées embobiner si facilement pour implémenter un meurtre de masse sous le nom de « réponse covid ».

Bien sûr, ce type n’a aucune morale.

Il parle de « virus mutant » ou d’ « évolution dirigée » et les décrit de la même manière que Peter Daszak et Ralph Baric dans leurs propositions au NIH – mêmes termes, mêmes plans expérimentaux et mêmes idées, et ce même scénario existe depuis des décennies. Savez-vous comment je le sais? J’ai un livre sur les armes bio-chimiques publié en 1970 en Union Soviétique, et j’en ai aussi un publié par le NIH en 2018. Ils répètent les mêmes choses et les mêmes concepts. Le type de Pfizer a probablement tiré son scénario des mémos de BARDA/DARPA. BARDA finance 50% de la R&D pharmaceutique aujourd’hui. Il ne s’agit cependant que d’un narratif. Il n’y a aucun moyen de « faire muter des virus » en laboratoire comme ils le laissent entendre – pour les rendre artificiellement plus mortels et plus transmissibles à la fois. Il s’agit d’un conte de fées de propagande avec un objectif très précis. Vous devriez être très prudents à l’égard de toute personne (de « leur » côté ou du « nôtre ») qui le répète en prenant un air sérieux.

Bien sûr, les scientifiques peuvent expérimenter avec des soupes d’ADN/ARN et faire se développer des choses dans des boîtes de Pétri. Ils peuvent concevoir des mutations sur ordinateur et essayer diverses concoctions. S’agit-il de « virus » qui peuvent « s’échapper d’un laboratoire » et « infecter le monde »? Non. La preuve en est qu’alors qu’il y a 1000 laboratoires biologiques aux États-Unis et dans le monde occidental qui jouent avec des virus, aucune pandémie ou épidémie n’a résulté de ces activités. Je vous assure que pas un seul laboratoire académique n’a jamais été capable de suivre les procédures opérationnelles standard de base, et s’il existait une chose telle qu’une « fuite de virus dangereux », nous en aurions constamment. Si une telle chose existe réellement et que nous en avons eu constamment, cela signifie que nous sommes tous déjà bien adaptés à ces fuites! Des regroupements locaux de maladies ont été détectés, il s’agit probablement de « tests de déploiement » plutôt que d’une véritable « fuite ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes à chaque fois.

Des souris s’échappent de ces laboratoires tout le temps – où est la pandémie de souris?

The Mouse King [NdT. article de Sasha sur ce sujet, très rigolo et bien écrit – faudra que je traduise?]

L’homme dans la vidéo parle de faire passer les virus d’un animal à l’autre – une technique de longue date dont on sait qu’elle ne donne rien, car les virus ne font que s’atténuer dans ce processus. Et ce, pour autant que l’on puisse reproduire une infection d’un animal à l’autre. C’est impossible. Pfizer s’est rendu célèbre pour son incapacité à infecter les singes avec le virus Sars-Cov-2 dans ses études précliniques pour son « vaccin ». Et dans ces études, ils n’essaient même pas de produire une infection d’animal à animal (parce qu’ils savent que cela ne fonctionne pas), ils pulvérisent les animaux directement dans le nez et la bouche, et généralement la quantité de liquide est suffisante pour atteindre les poumons et leur donner une pneumonie, surtout pour les petites espèces comme les souris.

En parlant de souris, vous vous souvenez de la récente étude tristement célèbre de l’université de Boston où l’on a « muté le virus » pour produire un covid tueur à 80%? [NdT. j’avais naïvement relayé l’histoire avant de la rétracter avec cet article] Aucune souris n’a été infectée par d’autres souris et 8 souris sur 10 qui sont mortes ont été euthanasiées par les chercheurs parce que (elles allaient mourir?). Oui, celui-là. C’est la même histoire de science bidon que cette personne ivre déballe au journaliste du Projet Veritas qui pense avoir un scoop!

Une autre affirmation tout droit sortie de BARDA/DARPA – il s’agit de « prédire les mutations » et de « développer des vaccins de manière proactive ». Un non-sens total. Vendu par des psychopathes titulaires d’un doctorat à un public désespérément crédule et à des politiciens qui acquiescent et accordent des milliards de dollars de financement pour la « préparation à la pandémie ». C’est là que se situe le nœud du problème. Il ne s’agit pas seulement d’un babillage stupide et scientifiquement inepte. Il s’agit en fait d’un récit de propagande militarisée très bien pensé, destiné à faire avancer la chose la plus importante pour les auteurs de ce crime mondial:

Ces criminels ont désespérément besoin, à tout prix, que vous croyiez que « la mutation de virus en laboratoire » aboutit à un résultat terrifiant, qui peut ensuite être « divulgué ». Que tout le monde peut le faire, même un étudiant en doctorat dans son garage*. Que nos ennemis le font et qu’ils vont « libérer » un virus super terrifiant à tout moment, à moins que le gouvernement ne soit « préparé » en constituant un stock de « vaccins prédictifs » qui peuvent être déployés en quelques jours après la détection d’un nouveau virus terrifiant en Chine. Ou à Tombouctou.

(*) [NdT. je suppose qu’il faut que je rétracte aussi ceci et que je remette en question l’intégrité de l’auteur]

Connaissez-vous l’histoire de cette ville italienne au bord de la mer où toutes les vitrines des magasins se faisaient briser, et une fois remplacées, briser à nouveau, et où enfin un couple de gars sympas passait dans chaque magasin et vendait une « protection » aux propriétaires de magasins et où les vitrines restaient intactes tant que la protection était payée chaque mois? Savez-vous qui brisait les vitrines?

C’est la même histoire, mais racontée avec des marionnettes qui coiffent des casquettes de spécialistes des virus. Sauf que les auteurs de l’histoire sont plus intelligents que les frères italiens – ils convainquent tout le monde par la propagande et quelques produits chimiques habilement déployés que des virus terrifiants seront libérés (ou fuiront), puis vendent la « protection » du gouvernement. Cette fois, dans cette phase, ils comptent tuer pour de bon – ils se préparent à orchestrer la panique mondiale en prétendant qu’un terrifiant virus évolutif prédictif muté a effectivement fui d’un laboratoire (et n’a pas sauté d’une chauve-souris sur un marché comme la dernière fois). Ils ont déjà toutes les images vidéo de personnes tombant mortes dans les rues et autres matériels de propagande promotionnelle prêts à l’emploi. Ils l’annonceront dans un endroit reculé, et le traqueur de virus de Johns Hopkins s’emballera et coloriera en rouge le monde entier. Puis, dans les jours qui suivront, ils disposeront du « vaccin qui sauve des vies » et procéderont à la mise en place d’obligations, de quarantaines, d’injections, etc. dans un climat de panique totale, en attribuant toutes leurs morts à l’effrayant virus muté.

S’il vous plaît, NE TOMBEZ PAS DANS LE PANNEAU!

Je n’en suis pas certaine, mais je soupçonne fortement le Projet Veritas d’être ici victime de sa propre blague. Ils se sont fait avoir par les agences de défense qui ont « divulgué » ces informations « super secrètes » (qui sont placardées partout dans leurs documents publics et sur leurs sites Web, il suffit de les lire et le PV a avalé l’hameçon, la ligne et le plomb).

PS. Peu importe si la personne interrogée ici travaille vraiment pour Pfizer et croit vraiment ce qu’elle dit dans cette vidéo. Je suis presque sûr qu’il le croit et qu’il y travaille. C’est là l’essentiel. Du moment où on embauche des personnes d’un poids intellectuel limité et au sens moral non opérationnel (le système universitaire actuel est parfaitement adapté à la production de ce profil), il est facile de les former pour qu’ils répètent les propos voulus avec conviction.

Tout a commencé avant l’épidémie: chronologie du projet de vaccin de BioNTech et de Pfizer – par Robert Kogon.

Encore un article de Robert Kogon, qui complète bien les deux précédents. Je bouclerai le tout avec ma propre synthèse.

Source.


Tout a commencé avant l’épidémie: chronologie du projet de vaccin de BioNTech et de Pfizer

Robert Kogon

30 janvier

Les étranges vidéos de Projet Veritas [NdT. je reviens juste après sur cette nouvelle intox] qui sont devenues ultra-virales sur Twitter ont sans aucun doute semé davantage de confusion dans l’esprit du public. Mais le véritable développeur et propriétaire du vaccin Covid-19 dit « Pfizer » est la société allemande BioNTech. La technologie de l’ARNm sous-jacente appartient à BioNTech et – à supposer que cela se soit produit – si une entreprise a modifié l’ARNm pour coder pour un variant maison du virus, ce doit être BioNTech.

Quoi qu’il en soit, comme nous l’avons vu dans mon dernier article, bien que le PDG de BioNTech, Ugur Sahin, affirme dans le livre The Vaccine que BioNTech a lancé son projet de vaccin Covid-19 le 27 janvier 2020, nous savons que ce n’est pas vrai : un rapport d’étude de BioNTech publié en réponse à une demande de FOIA montre que la société avait en fait déjà commencé les tests précliniques (sur les animaux) le 14 janvier.

C’est déjà assez étonnant, car le 14 janvier 2020 n’était que 2 semaines après le premier rapport des cas de Covid-19 à Wuhan. Ce même jour, d’ailleurs, l’OMS disait qu’il n’y avait pas de « preuve évidente » de transmission interhumaine. (Voir le tweet de l’OMS ici.) Pourquoi BioNTech aurait-elle commencé à travailler sur un vaccin contre le Covid-19 sans preuve évidente de transmission interhumaine?

A ce stade, Pfizer ne faisait pas partie du projet de vaccin C-19 de BioNTech. Comme raconté dans The Vaccine, la petite entreprise allemande, qui n’avait jamais eu de produit sur le marché, n’a réussi à recruter la multinationale américaine comme partenaire que trois mois plus tard (p. 156).

Nous savons donc que BioNTech a commencé les tests précliniques le 14 janvier. Mais, bien sûr, cela signifie que le projet en tant que tel a dû être lancé encore plus tôt. La formulation testée devait d’abord être produite. Dans ce cas, cela signifiait d’abord fabriquer l’ARNm, puis le formuler dans des nanoparticules lipidiques.

Comme évoqué dans mon dernier article, c’était en fait le but de l’étude : tester les performances de l’ARNm BioNTech formulé dans des lipides fabriqués par la société canadienne Acuitas. BioNTech n’était pas encore en mesure de fabriquer de l’ARNm codant pour un élément quelconque du virus SARS-CoV-2 – le génome complet n’avait été publié que la veille – et utilisait plutôt de l’ARNm codant pour un antigène de substitution (luciférase).

Combien de temps fallait-il donc pour que la formulation soit prête à être testée ? Heureusement, le livre de Sahin, coécrit par sa femme Özlem Türeci et le journaliste Joe Miller, fournit des détails techniques et logistiques pertinents. D’après le livre, la fabrication de l’ARNm – un processus comportant « des dizaines de milliers d’étapes » (p. 182) – prend cinq jours (p. 170 et 171).

Cinq jours nous amènent donc au 9 janvier. Mais l’ARNm doit encore être enveloppé dans les lipides, ce qui pose un problème logistique particulier: BioNTech ne peut pas le faire elle-même à son siège de Mayence, en Allemagne.

BioNTech disposait de ses propres lipides, mais ils se sont révélés inadaptés. Pour que l’ARNm soit enveloppé dans les lipides d’Acuitas, il a fallu l’expédier à un sous-traitant autrichien du nom de Polymun, près de Vienne.

L’ARNm a été transporté en voiture – un trajet de 8 heures, selon Sahin et Türeci – puis formulé dans les lipides par Polymun, et enfin la formulation a été ramenée à Mayence. Dans le livre, Sahin et Türeci décrivent un lot d’ARNm destiné à une étude ultérieure sur l’animal, qui a été achevé le 2 mars, expédié à Polymun, puis retourné à Mayence enveloppé dans les lipides le 9 mars (pp. 116 et 123).

Cela ajoute donc 5 jours supplémentaires, ce qui nous amènerait maintenant au 4 janvier. Mais il se trouve que BioNTech n’a pas effectué les tests sur les animaux elle-même. Ces tests ont également été sous-traités et réalisés dans d’autres centres d’essais. Dans The Vaccine, Sahin et Türeci notent que l’étude préclinique ultérieure a commencé le 11 mars, 2 jours après la livraison de l’ARNm encapsulé dans un lipide.

En ajoutant deux jours supplémentaires à notre calendrier, nous arrivons au 2 janvier. Le 2 janvier 2020 n’est pas deux semaines, mais seulement deux jours après le premier signalement de cas de Covid-19 à Wuhan le 31 décembre 2019.

Mais avant de pouvoir être fabriquée, il va sans dire qu’il fallait d’abord concevoir et développer la formulation à tester; et prendre contact avec Polymun et Acuitas pour obtenir les autorisations requises et organiser la collaboration nécessaire. Tout cela prend du temps.

Il est impossible d’éviter la conclusion que le projet de vaccin Covid-19 de BioNTech a en fait dû commencer avant même qu’aucun cas de Covid-19 n’ait été signalé! La question évidente est: comment est-ce possible?

Climat: Témoignage de John R. Christy devant la Chambre des Représentants des États-Unis.

Ce témoignage date de 2016. Il est, selon la formule consacrée, plus que jamais d’actualité, maintenant que nos amis du FEM – et la majorité des gouvernements – ont décidé de tout miser sur « l’urgence climatique », pour passer à la moulinette élevage, alimentation, industrie, énergie, transports et liberté individuelle. Il complète la série de John Dee sur la mesure des températures au Royaume-Uni, que j’avais commencé à traduire et publier puis interrompue vu le manque d’intérêt des lecteurs – dommage. Je vous invite vivement à lire celui-ci, quitte à survoler les passages plus techniques (qui ne sont pas inabordables), et à en retirer le principe général. On y retrouve les méthodes classiques de modélisation frauduleuse, bidouillage des mesures et censure des scientifiques indépendants, mises en oeuvre pour le Covid et ses produits dérivés.

Comme il est question ici de « consensus scientifique », considérez ceci comme le deuxième volet de la série d’articles que j’ai commencée il y a quelque temps.

Les principales abréviations utilisées ici sont:

  • LT: basse troposphère (low troposphere)
  • MT: troposphère moyenne (mid-troposphere)
  • GIEC: Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat
  • UAH: Université d’Alabama à Huntsville
  • NMAT: Température nocturne de l’air marin (Night Marine Air Temperature)
  • NOAA: Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (National Oceanic and Atmospheric Administration)
  • NCEI: Centres nationaux d’information sur l’environnement (National Centers for Environmental Information)
  • APE: Agence pour la Protection de l’Environnement américaine (Environment Protection Agency – EPA)
  • UKMet: Service national britannique de météorologie

Source.


Traduction

Commission des sciences, de l’espace et de la technologie de la Chambre des Représentants des États-Unis

2 février 2016

Témoignage de John R. Christy

Université d’Alabama à Huntsville.

Je m’appelle John R. Christy, Professeur émérite en Sciences de l’Atmosphère, Climatologue d’État de l’Alabama et Directeur du Centre des Sciences du Système Terrestre à l’Université d’Alabama à Huntsville. J’ai été auteur principal, auteur collaborateur et réviseur des évaluations du GIEC des Nations Unies, j’ai reçu la médaille de la NASA pour réalisations scientifiques exceptionnelles et, en 2002, j’ai été élu membre de l’American Meteorological Society.

C’est un privilège pour moi d’offrir mon analyse de la situation actuelle concernant (1) les ensembles de données de température utilisés pour étudier le climat, (2) notre compréhension fondamentale du changement climatique et (3) l’effet que des réglementations, telles que l’accord de Paris, pourraient avoir sur le climat. J’ai également joint un extrait de mon témoignage au Sénat en décembre dernier, dans lequel j’aborde (1) la notion populaire selon laquelle les événements climatiques extrêmes augmentent en raison du changement climatique d’origine humaine (ce n’est pas le cas), et (2) la direction malheureuse prise par la recherche dans ce domaine.

La meilleure façon de décrire mon domaine de recherche est de dire qu’il s’agit de construire des ensembles de données à partir de rien pour mieux comprendre ce que fait le climat et pourquoi il le fait – une activité que j’ai commencée adolescent il y a plus de 50 ans. J’ai utilisé des observations de surface traditionnelles ainsi que des mesures effectuées par des ballons et des satellites pour documenter l’histoire du climat. Un grand nombre de nos ensembles de données UAH sont utilisés pour tester des hypothèses sur la variabilité et le changement climatiques.

(1.1) Données de température de la couche supérieure de l’air provenant de satellites et de ballons

Je commencerai par une discussion qui a été suscitée par une campagne de plus en plus active d’affirmations négatives faites à l’encontre des observations, c’est-à-dire des données, des températures de l’air supérieur. La Figure 1, en particulier, a attiré une attention considérable de la part de ceux qui considèrent que le système climatique subit une transformation rapide, causée par l’homme, vers un climat auquel les gens auront beaucoup de mal à s’adapter. Ce simple graphique montre que la projection moyenne du modèle, sur laquelle se fondent leurs craintes (ou leurs espoirs?), est médiocre en ce qui concerne la mesure fondamentale de la température censée être la plus sensible aux gaz à effet de serre supplémentaires – la température atmosphérique globale de la couche située entre la surface et 15 000 mètres. [La couche représentée est connue sous le nom de troposphère moyenne ou MT et est utilisée parce qu’elle chevauche la région de l’atmosphère tropicale qui présente la plus grande signature anticipée de la réponse à l’effet de serre par masse globale – entre 6 000 et 15 000 mètres]. Le graphique indique que la théorie sur la façon dont les changements climatiques se produisent, et l’impact associé des gaz à effet de serre supplémentaires, n’est pas suffisamment bien comprise pour reproduire le climat passé [voir la partie (2)]. En effet, les modèles surchauffent clairement l’atmosphère. Le problème qui se pose pour le Congrès est que des projections de modèles aussi manifestement déficientes sont utilisées pour élaborer des politiques.

Fig. 1: Valeurs moyennes sur cinq ans de la température globale annuelle moyenne (1979-2015) (appelée « troposphérique moyenne » ou « MT ») telle que représentée par la moyenne des 102 modèles climatiques CMIP5 du GIEC (rouge), la moyenne de 3 ensembles de données satellitaires (vert – UAH, RSS, NOAA) et 4 ensembles de données par ballon (bleu, NOAA, UKMet, RICH, RAOBCORE).

Ce résultat remettant en cause la théorie actuelle du réchauffement par effet de serre de manière relativement directe, plusieurs attaques bien financées ont été lancées contre ceux d’entre nous qui éloaborent et utilisent ces ensembles de données et contre les ensembles de données eux-mêmes. En tant que climatologue, je me suis retrouvé, avec des collègues partageant les mêmes idées, projeté dans un monde plus étroitement associé à la diffamation et à la diversion, que l’on trouve par exemple dans la politique de Washington, plutôt qu’à un discours objectif et dépassionné communément admis dans le domaine scientifique. Les enquêtes menées sur nous par le Congrès et les médias sont motivées par l’idée que quiconque n’est pas d’accord avec le point de vue de l’establishment climatique sur le dangereux changement climatique doit être à la solde d’organisations calomnieuses ou être mentalement déficient.

C’est également dans ce milieu qu’est propagé le matériel promotionnel, c’est-à-dire la propagande, qui tente de discréditer ces données (et les chercheurs) par des allégations qui ne mènent à rien.

Plusieurs de ces allégations contre les données sont apparues il y a quelques semaines sous la forme d’une vidéo bien ficelée. J’aborderai ses principales affirmations avec le matériel suivant, qui, sous une forme similaire, est apparu dans la littérature évaluée par les pairs au fil des ans.

La vidéo en question a été promue par un groupe de pression sur le changement climatique (Yale Climate Connections, http://www.yaleclimateconnections.org/2016/01/over-reliance-on-satellite-data-alone-criticized/) dans laquelle des scientifiques renommés font des affirmations pour la plupart dénuées de sens ou complètement fausses par rapport aux preuves de la Fig. 1. Je souhaite faire quatre remarques concernant cette vidéo et démontrer la tactique de diversion pour laquelle ce genre de vidéos orientées, ainsi que les médias qui les imitent joyeusement, se sont rendus célèbres.

Premièrement, il est affirmé que les satellites ne mesurent pas la température. En réalité, les capteurs des satellites mesurent la température par les radiations émises – la même méthode qu’un médecin utilise pour mesurer la température corporelle avec une grande précision à l’aide d’une sonde auriculaire. L’oxygène atmosphérique émet des micro-ondes, dont l’intensité est directement proportionnelle à la température de l’oxygène, et donc de l’atmosphère. Le fait que les satellites mesurent la température est évident dans le graphique suivant, qui compare les données satellitaires de l’UAH aux températures calculées à partir des thermistances des ballons. Soit dit en passant, la plupart des mesures de la température de surface sont indirectes et utilisent une résistance électronique.

Fig. 2: Variations moyennes de température mesurées dans 59 stations de radiosondage aux États-Unis (fabricant VIZ) et en Australie.

Deuxièmement, les scientifiques affirment que la chute verticale (décroissance orbitale) des satellites due à la friction atmosphérique provoque un refroidissement parasite dans le temps. Cette chute verticale a un impact non mesurable sur la couche (MT) utilisée ici et constitue donc une affirmation dénuée de sens. Dans des versions beaucoup plus anciennes d’un autre produit de couche (LT ou Basse Troposphère), ce problème existait, mais il a été facilement corrigé il y a près de 20 ans. Ainsi, le fait de soulever des problèmes qui affectaient une variable différente qui, de toute façon, a été corrigée il y a de nombreuses années est une manœuvre de diversion évidente qui, à mon avis, démontre la faiblesse de leur position.

Troisièmement, les scientifiques parlent des faux changements de température qui se produisent lorsque les satellites dérivent dans la direction est-ouest, le problème dit de la dérive diurne (que nous avons été les premiers à détecter et à prendre en compte). Ils parlent d’une erreur de signe dans la procédure de correction qui a modifié la tendance. Encore une fois, cette erreur n’était pas un facteur dans la couche MT de la Fig. 1, mais pour la couche LT, qui est différente. Et, encore une fois, cette question a été traitée pour la LT il y a 10 ans.

Enfin, bien que cela ne soit pas spécifiquement mentionné dans cette vidéo, certains de ces scientifiques prétendent que la Fig. 1 ci-dessus est en quelque sorte manipulée, dans le but de cacher leur croyance dans les prouesses et la validité des modèles climatiques. À cela, au contraire, je réponds que nous avons présenté les données de la manière la plus significative possible. Il s’agit ici du taux de réchauffement de l’atmosphère globale, c’est-à-dire de la tendance. Cette mesure nous indique à quelle vitesse la chaleur s’accumule dans l’atmosphère – la mesure fondamentale du réchauffement climatique. Pour représenter visuellement ce phénomène, j’ai ajusté tous les ensembles de données afin qu’ils aient une origine commune. Pensez à cette analogie: j’ai participé à plus de 500 courses au cours des 25 dernières années et, à chaque fois, tous les coureurs partent du même endroit au même moment dans le simple but de déterminer qui est le plus rapide, et de combien, à l’arrivée. Il est évident que la vitesse globale relative des coureurs est déterminée par leur position au moment où ils franchissent la ligne d’arrivée, mais ils doivent tous partir ensemble.

De la même manière, j’ai construit le graphique de façon à ce que la ligne de tendance de toutes les séries chronologiques de température commence au même point en termes d’amplitude et de temps (valeur zéro en 1979) afin que le lecteur puisse voir l’ampleur de l’écart à la ligne d’arrivée (2015). Un aperçu de cette méthode est illustré à la Fig. 3 où je présente ce qui est vu à la Fig. 1, sauf qu’il s’agit uniquement de la ligne de tendance sans les variations qui se produisent chaque année en raison des volcans et autres facteurs. Cela revient à tracer la vitesse moyenne globale d’un coureur le long du parcours, même s’il a probablement couru plus lentement dans les montées et plus vite dans les descentes.

Cette image indique que les modèles, en moyenne, réchauffent cette couche globale environ 2,5 fois plus vite que ce que les observations indiquent. Il s’agit d’une différence significative non expliquée, qui indique que la théorie de l’impact de l’effet de serre sur la température atmosphérique n’est pas suffisamment connue pour même reproduire ce qui s’est déjà produit. Nous ne parlons pas ici de 10 ou 15 ans, mais de 37 ans – bien plus d’un tiers de siècle. Le fait que deux types de systèmes de mesure très indépendants (ballons et satellites) construits par une variété d’institutions (gouvernement, université, privé) montrent tous un taux de réchauffement beaucoup plus lent donne une grande confiance dans leur résultat. Ainsi, les preuves suggèrent fortement que la théorie, telle qu’elle est incarnée dans les modèles, va beaucoup trop loin en forçant l’atmosphère à retenir la chaleur alors qu’en réalité, l’atmosphère a les moyens d’évacuer cette chaleur et se réchauffe donc à un rythme beaucoup plus lent.

Fig. 3: La ligne de tendance linéaire sur la période 1979-2015. Les couleurs représentent les mêmes données sources que dans la Fig. 1.

J’ai montré ici que pour l’atmosphère globale, les modèles surchauffent l’atmosphère d’un facteur d’environ 2,5. Par ailleurs, si on se concentre sur les tropiques, les modèles montrent un réchauffement par effet de serre encore plus important dans cette couche. Cependant, un calcul similaire avec les observations présentées à la Fig. 3 indique que les modèles surchauffent l’atmosphère tropicale d’un facteur d’environ 3, (modèles +0,265, satellites +0,095, ballons +0,073 °C/décennie), ce qui indique à nouveau que la théorie actuelle est en contradiction avec les faits. (voir à nouveau la section 2).

C’est une stratégie téméraire, à mon avis, que de promouvoir activement les résultats des modèles climatiques théoriques tout en attaquant les multiples lignes de preuves issues d’observations. Il convient de noter qu’aucun des ensembles de données d’observation n’est parfait et qu’il est sain de continuer à les examiner, mais lorsque de multiples groupes indépendants génèrent les ensembles de données et que les résultats de deux systèmes totalement indépendants (ballons et satellites) concordent étroitement et sont en désaccord avec les résultats du modèle, on ne peut que se poser des questions sur la décision de lancer une offensive contre les données. Cela n’a d’après moi aucun sens scientifique.

(1.2) Questions relatives à la température de surface

Il existe plusieurs problèmes concernant les ensembles de données sur la température de surface qui sont trop complexes pour être abordés dans ce document. Je me concentrerai sur quelques points qui me sont familiers et sur lesquels j’ai publié.

(1.2.a) La température de surface comme mesure pour détecter l’influence de l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre

L’un de mes nombreux centres d’intérêt en matière de climat est la manière dont les températures de surface sont mesurées et dont elles sont affectées par leur environnement, en particulier au-dessus des terres. Dans plusieurs articles (Christy et al. 2006 J. Climate, Christy et al. 2009 J. Climate, Christy 2013 J. Appl. Meteor. Clim. et Christy et al. 2016 J. Appl. Meteor. Clim.) j’ai examiné de près les stations individuelles dans différentes régions et je suis arrivé à la conclusion que l’ampleur du signal relativement faible que nous recherchons dans le changement climatique d’origine humaine est susceptible d’être faussé par la croissance de l’infrastructure autour des stations thermométriques et la variété des changements que ces stations subissent au fil du temps, ainsi que la variabilité des hauts et des bas naturels du climat. Il est difficile d’ajuster ces facteurs de contamination afin d’extraire un ensemble de données pures pour la détection de l’effet de serre, car souvent, l’influence non climatique se manifeste très progressivement, exactement comme on l’attendrait des réactions à une intensification de l’effet de serre.

En examinant les températures de l’océan (Christy et al. 2001, Geophys. Res. Lett.), j’ai découvert que les tendances de la température de l’eau (1m de profondeur) ne suivent pas bien celles de la température de l’air juste au-dessus de l’eau (3m), même si les deux sont mesurées sur la même bouée pendant 20 ans. Ceci est important pour la discussion ci-dessous où la NOAA a utilisé les températures de l’air marin pour ajuster les mesures de la température de l’eau à partir de navires.

Il existe de nombreux autres facteurs qui rendent les ensembles de données sur la température de surface peu efficaces pour la détection d’un réchauffement accru dû à l’effet de serre, (a) le manque de couverture géographique systématique dans le temps, (b) les méthodes et instruments de mesure non systématiques dans le temps et l’espace, (c) la mesure ponctuelle représente au mieux une zone locale minuscule et (d) est facilement affectée par de légers changements dans l’environnement, qui peuvent se produire par exemple lorsqu’une station se déplace. Des efforts considérables ont été déployés pour essayer d’ajuster les données brutes de surface afin d’obtenir une série chronologique qui représenterait celle d’un environnement vierge, et j’ai dirigé ou participé à certains de ces efforts (par exemple pour la Californie centrale dans Christy et al. 2006 et pour l’Afrique de l’Est dans Christy et al. 2009 et Christy 2013).

Ainsi, fort d’une expérience dans la construction d’ensembles de données de température de surface, par satellite et par ballon, et en tenant compte du signal que nous recherchons pour détecter une intensification de l’effet de serre, il me semble que l’utilisation des mesures atmosphériques globales offre la meilleure opportunité de répondre aux questions sur la réaction du climat à ce changement de composition atmosphérique induit par l’homme. L’atmosphère profonde est beaucoup plus cohérente dans l’espace et dans le temps en termes de variations. Elle n’est pas affectée par le développement humain à la surface. Elle est mesurée systématiquement. Certes, les températures mesurées par satellite et par ballon nécessitent leurs propres ajustements et ne peuvent être considérées comme « parfaites », mais elles offrent une indépendance l’une par rapport à l’autre qui permet des études de comparaison directe. En ce qui concerne la détection de l’intensification de l’effet de serre, il se trouve que la troposphère, comme l’indiquent les modèles, est la région atmosphérique qui réagit le plus, c’est-à-dire qui se réchauffe le plus rapidement, et constitue donc, à mon avis, une mesure qui offre un meilleur moyen de détecter l’influence humaine sur le climat.

(1.2.b) Le nouveau jeu de données sur les températures de surface de la NOAA

Une série d’articles a été publiée l’année dernière (notamment Huang et al. 2015 J. Climate, Karl et al. 2015 Science) décrivant un nouvel ensemble de données sur la température de surface élaboré par la NOAA qui indique un réchauffement un peu plus important au cours des 10 à 25 dernières années que les versions précédentes. Le principal changement concernait les températures de l’eau de mer dans l’ensemble de données désormais connu sous le nom de ERSSTv4. Ce changement a introduit un réchauffement supplémentaire dans les données à partir de 1990 environ. La principale raison de ce nouveau réchauffement, comme le notent les auteurs, est l’ajustement appliqué aux données des bouées, ajoutant environ +0,12 °C aux relevés des bouées. En 1980, seuls 10% environ des rapports de données provenaient de bouées, mais en 2000, 90% environ étaient des données de bouées. Ainsi, étant donné que l’influence des données des bouées a augmenté de manière significative au fil du temps, le simple ajout d’un biais à toutes les bouées dès le début a créé une tendance plus chaude à mesure qu’elles devenaient la principale source d’information.

Un certain contexte est nécessaire. Contrairement aux ensembles de données des satellites et des ballons qui mesurent une quantité systématique (essentiellement la température de l’air atmosphérique), les ensembles de données sur la température de surface sont un mélange de températures de l’air (sur terre) et de l’eau (sur l’océan) mesurées à l’aide d’une gamme considérable d’instruments, d’expositions et de méthodes. Sur terre, les stations météorologiques mesurent la température de l’air dans différents types d’abris pour instruments et par différentes techniques à un niveau d’environ 1,5m au-dessus du sol. Au-dessus de l’océan, cependant, la température utilisée est celle de l’eau elle-même, et non celle de l’air au-dessus, de sorte que les ensembles traditionnels de données sur la surface du globe ne mesurent pas un paramètre physique homogène sur terre et dans l’océan. En outre, la profondeur à laquelle est mesurée la température de l’eau est très variable, de 0,6 à 15 mètres environ, et les méthodes utilisées vont des seaux remontés sur le pont dans lesquels on insère un thermomètre aux températures de l’admission du moteur, beaucoup plus profondes dans l’eau, en passant par les bouées, dérivantes ou amarrées au fond. Le fait que la température varie en fonction de la profondeur est donc un problème à résoudre avant de pouvoir tenter de construire un ensemble de données systématique. De plus, les mesures ne sont pas cohérentes dans l’espace et dans le temps, et de grandes régions, comme l’Afrique et les océans du Sud, ne sont pas mesurées.

N’oubliez pas que même si la tendance de cet ensemble de données de la NOAA est devenue plus positive au cours des 10 à 20 dernières années, elle reste inférieure aux projections des modèles climatiques à long terme. Pour les périodes plus longues, comme la période depuis 1979, date à laquelle les satellites ont commencé à mesurer les températures atmosphériques globales, le nouvel ensemble de données mondiales est similaire à celui du Centre Hadley (1979-2015: NOAA +0,155 °C/décennie, Centre Hadley UKMet, +0,165 °C/décennie). Cependant, des questions subsistent concernant le nouvel ensemble de données sur l’eau de mer de la NOAA, notamment sur la manière dont il indique un réchauffement plus important que les autres au cours des 20 dernières années. La Figure 4 présente les tendances océaniques pour la région 20S à 60N (c’est-à-dire les océans tropicaux et de l’hémisphère nord – il y avait trop peu de données au sud du 20S pour y générer des températures de l’air proche de la surface). Quatre ensembles de données sont représentés: NOAA (NOAA, rouge), Centre Hadley (HadCRUT4, orange), une température préliminaire de l’air proche de la surface sur les océans par mon étudiant diplômé Rob Junod (jaune) et la température de l’air de la couche profonde de l’UAH provenant des satellites (bleu). Les données NOAA et HadCRUT4 sont des températures de l’eau de mer près de la surface, elles devraient donc être identiques.

La NOAA a utilisé une curieuse variable de référence pour calibrer les températures de l’eau mesurées à partir des prises d’eau des navires – la température de l’air marin nocturne (NMAT). C’est curieux car les NMAT elles-mêmes nécessitent des ajustements considérables, c’est-à-dire des corrections pour la hauteur du pont du navire, etc. Quoi qu’il en soit, à partir de là, les données des bouées ont ensuite été ajustées pour correspondre aux données des navires. Il semble donc que le processus d’ajustement fondamental dépende des NMAT pour ajuster les données des navires et ensuite ajuster les données des bouées. Le produit final de la NOAA mélange toutes ces données, et comme la représentation géographique des différents systèmes a changé de façon spectaculaire (comme on l’a noté, d’environ 10% de bouées et 90% de navires en 1980 à 90% de bouées et 10% de navires aujourd’hui – Huang et al. 2015), un ajustement appliqué aux bouées influencera automatiquement la tendance.

Je suis conscient que le Comité a cherché à obtenir des informations sur ce curieux processus et a demandé à la NOAA de générer des ensembles de données basés uniquement sur des systèmes de mesure cohérents, c’est-à-dire des navires seuls, des bouées seules et des NMATs seuls, afin de voir si l’un des systèmes aurait pu influencer les tendances de manière inappropriée en raison des changements de distribution. La NOAA n’a pas été en mesure de répondre à cette demande. En même temps, j’ai demandé à mon étudiant diplômé, Rob Junod, de faire le travail pour le NMAT. Ce qui est présenté ici est préliminaire, mais suit une grande partie des travaux précédents sur les NMAT (développés au National Oceanographic Centre et au Centre Hadley au Royaume-Uni) avec l’avantage supplémentaire d’être mis à jour en 2014. La meilleure couverture géographique des données a été trouvée entre 20°S et 60°N. Cette zone a donc également été appliquée aux autres ensembles de données pour une comparaison entre éléments identiques. Les résultats sont présentés à la Figure 4, dans laquelle toutes les tendances se terminent en 2014 mais couvrent des périodes par tranches de deux ans, de 20 ans à 10 ans.

Figure 4. Tendances décennales (°C/décennie) de quatre ensembles de données de température sur les océans de 20°S à 60°N pour des périodes variables se terminant en 2014. Le rouge et l’orange sont des ensembles de données sur la température de l’eau de mer en surface provenant de la NOAA et du Centre Hadley (HadCRUT4). Le jaune est un ensemble de données de température de l’air proche de la surface (Night Marine Air Temperature) construit par l’UAH (préliminaire). Le bleu est la tendance de la température de l’atmosphère profonde (de la surface à 10 000 mètres ou basse troposphère) à partir des émissions de micro-ondes captées par les satellites (également UAHv6.0b5).

Un certain nombre d’observations sautent aux yeux dans la Fig. 4. (1) En termes de tendance de température, les températures de l’air sont inférieures à celles de l’eau (comme indiqué dans mon étude de 2001 mentionnée ci-dessus.) (2) NOAA réchauffe le plus rapidement dans toutes les périodes. (3) Au cours des 10 à 14 dernières années, les tendances de l’HadCRUT4 concordent mieux avec la série de données sur la température de l’air proche de la surface (étant proche de zéro et soutenant la notion de hiatus) qu’avec les tendances de sa quantité physiquement identique de la NOAA. (4) L’ampleur des tendances des NMAT se situe entre les tendances de l’atmosphère profonde et de l’eau de mer.

Cette figure génère également un certain nombre de questions sur la qualité des données. (1) Si les NMAT ont été utilisées pour calibrer les températures des navires, puis les navires pour calibrer les températures des bouées, pourquoi la série de données de la NOAA diffère-t-elle autant de son point de référence de base – les NMAT? (2) A quoi ressemblent les séries temporelles et quelles sont les tendances de la sous-période pour l’eau de mer lorsque seuls les navires et/ou les bouées sont utilisés pour construire l’ensemble de données pour les 20-25 dernières années? (3) Que montre la série chronologique de la série de données NMAT de la NOAA (c’est-à-dire leur référence)?

Les véritables questions scientifiques ici sont celles qui ont une importance significative pour la compréhension de la façon dont les gaz à effet de serre supplémentaires pourraient affecter le climat, comme le montre la section suivante.

(2) Dans quelle mesure comprenons-nous le changement climatique?

L’un des objectifs scientifiques essentiels de notre époque est de déterminer si les émissions dues aux activités humaines ont un impact sur le climat et, si oui, dans quelle mesure. Cette tâche est d’autant plus difficile que nous savons que le système climatique est déjà soumis à des changements importants sans l’influence de l’homme. Étant donné qu’il n’existe pas de dispositif de mesure qui détermine explicitement la cause des changements climatiques que nous pouvons mesurer, comme la température, notre science doit adopter une approche différente pour chercher à comprendre ce qui cause les changements, c’est-à-dire quelle part est naturelle et quelle part est induite par l’homme. L’approche de base aujourd’hui utilise des modèles climatiques. (Les projections de ces modèles sont également utilisées pour les politiques en matière de carbone).

Il est important de comprendre que les résultats de ces modèles (c’est-à-dire les projections du climat futur et le lien spécifique que l’augmentation du CO2 pourrait avoir sur le climat) sont définis comme des hypothèses ou des affirmations scientifiques – les résultats des modèles ne peuvent être considérés comme une preuve des liens entre les variations climatiques et les gaz à effet de serre. Ces modèles sont des programmes informatiques complexes qui tentent de décrire, à l’aide d’équations mathématiques, le plus grand nombre possible de facteurs affectant le climat et d’estimer ainsi comment le climat pourrait évoluer à l’avenir. On espère que le modèle fournira des réponses précises aux variables climatiques, comme la température, lorsque des gaz à effet de serre supplémentaires sont inclus dans le modèle. Cependant, les équations de presque tous les processus climatiques importants ne sont pas exactes et représentent les meilleures approximations que les modélisateurs peuvent concevoir et que les ordinateurs peuvent gérer à ce stade.

Un aspect fondamental de la méthode scientifique est que si nous affirmons comprendre un système (tel que le système climatique), nous devons être en mesure de prédire son comportement. Si nous sommes incapables de faire des prédictions précises, c’est qu’au moins certains des facteurs du système ne sont pas bien définis ou peut-être même manquants. [Notez toutefois que le fait de reproduire le comportement du système (c’est-à-dire de reproduire « ce » que fait le climat) ne garantit pas que la physique fondamentale est bien connue. En d’autres termes, il est possible d’obtenir la bonne réponse pour les mauvaises raisons, c’est-à-dire obtenir le « quoi » du climat mais manquer le « pourquoi »].

Comprenons-nous comment les gaz à effet de serre affectent le climat, c’est-à-dire le lien entre les émissions et les effets climatiques? Comme indiqué plus haut, une mesure très élémentaire pour les études climatiques est la température de la couche atmosphérique principale appelée troposphère, qui s’étend en gros de la surface à une altitude de 15 000 mètres. Il s’agit de la couche qui, selon les modèles, devrait se réchauffer de manière significative avec l’augmentation du CO2, et même plus rapidement que la surface. Contrairement à la température de surface, cette température globale nous renseigne sur le nœud de la question du réchauffement climatique: quelle quantité de chaleur s’accumule dans l’atmosphère mondiale? Et, selon les modèles, ce réchauffement causé par le CO2 devrait être facilement détectable à l’heure actuelle. Il s’agit d’un bon test de notre compréhension du système climatique, car depuis 1979, nous disposons de deux moyens indépendants pour surveiller cette couche: les satellites depuis le ciel et les ballons équipés de thermomètres lâchés depuis la surface.

J’ai pu accéder à 102 simulations de modèles climatiques CMIP-5 rcp4.5 (representative concentration pathways) des températures atmosphériques pour la couche troposphérique et générer des températures globales à partir des modèles pour une comparaison entre éléments identiques avec les observations des satellites et des ballons. Ces modèles ont été développés dans des institutions du monde entier et utilisés dans l’évaluation scientifique du GIEC AR5 (2013).

Ci-dessus: Variations de la température moyenne mondiale de la troposphère moyenne (moyennes sur 5 ans) pour 32 modèles (lignes) représentant 102 simulations individuelles. Les cercles (ballons) et les carrés (satellites) représentent les observations. Le modèle russe (INM-CM4) était le seul modèle proche des observations.

Les informations contenues dans cette figure montrent clairement que les modèles ont une forte tendance à surchauffer l’atmosphère par rapport aux observations réelles. En moyenne, les modèles réchauffent l’atmosphère mondiale à un rythme 2,5 fois supérieur à celui du monde réel. Il ne s’agit pas d’un épisode à court terme, spécialement sélectionné, mais d’une période de 37 ans, soit plus d’un tiers de siècle. C’est également la période où la concentration de gaz à effet de serre est la plus élevée, et donc celle où la réaction devrait être la plus importante.

Si l’on suit la méthode scientifique consistant à confronter les affirmations aux données, on peut conclure que les modèles ne représentent pas fidèlement au moins certains des processus importants qui influent sur le climat, car ils n’ont pas été en mesure de « prévoir » ce qui s’est déjà produit. En d’autres termes, ces modèles ont échoué au simple test consistant à nous dire « ce qui » s’est déjà produit, et ne seraient donc pas en mesure de nous donner une réponse fiable à la question de savoir « ce qui » pourrait se produire à l’avenir et « pourquoi ». En tant que tels, ils seraient d’une valeur très discutable pour déterminer une politique qui devrait dépendre d’une compréhension très sûre du fonctionnement du système climatique.

Il existe une mesure climatique connexe qui utilise également la température atmosphérique qui, dans les modèles, a une réaction encore plus importante que celle de la moyenne mondiale présentée ci-dessus. Cette mesure constitue donc un test plus solide pour comprendre la performance des modèles en ce qui concerne spécifiquement les gaz à effet de serre. Dans les modèles, l’atmosphère tropicale se réchauffe de manière significative en réponse à l’ajout de gaz à effet de serre – plus que la température atmosphérique moyenne mondiale.

Ci-dessus: Variations de la température moyenne de la troposphère moyenne tropicale (moyennes sur 5 ans) pour 32 modèles (lignes) représentant 102 simulations individuelles. Les cercles (ballons) et les carrés (satellites) représentent les observations.

Dans la comparaison tropicale présentée ici, la disparité entre les modèles et les observations est encore plus grande, les modèles réchauffant en moyenne cette région atmosphérique d’un facteur trois plus important que dans la réalité. Un tel résultat renforce l’implication ci-dessus que les modèles ont encore beaucoup d’améliorations à faire avant que nous puissions avoir confiance qu’ils fourniront des informations sur ce que le climat peut faire dans le futur ou même pourquoi le climat varie comme il le fait. Pour la question qui nous occupe, les estimations de la manière dont la température mondiale pourrait être affectée par les réductions d’émissions prévues par les réglementations seraient exagérées et non fiables.

(3) L’impact climatique des réglementations (c.-à-d. Paris) ne sera pas attribuable ou détectable

Personne ne connaît l’impact climatique des réductions d’émissions de carbone proposées et convenues à Paris. La principale raison en est que les pays disposent d’une grande latitude pour en faire autant ou aussi peu qu’ils le souhaitent. Si l’on examine l’histoire des émissions mondiales de carbone, il est clair que les pays, en particulier les pays en développement, continueront à chercher à développer l’utilisation de l’énergie par la combustion du carbone en raison de son caractère abordable et des avantages considérables qu’il procure à leurs citoyens.

Dans tous les cas, l’impact sur la température mondiale des réductions actuelles et proposées des gaz à effet de serre sera, au mieux, minuscule. Pour le démontrer, supposons, par exemple, que les émissions totales des États-Unis soient réduites à zéro, à partir du 13 mai 2015 dernier (date d’une audience à laquelle j’ai témoigné). En d’autres termes, à partir de ce jour et à l’avenir, il n’y aurait plus d’industrie, plus de voitures, plus de services publics, plus de personnes – c’est-à-dire que les États-Unis cesseraient d’exister à partir de ce jour. Les réglementations, bien sûr, ne réduiront les émissions que dans une faible mesure, mais pour montrer à quel point l’impact de la réglementation sera minuscule, nous allons tout simplement aller au-delà de la réalité et faire disparaître les États-Unis. Nous tenterons ainsi de répondre à la question de l’impact du changement climatique dû à la réduction des émissions.

À l’aide de l’outil d’impact du GIEC de l’ONU connu sous le nom de Modèle d’évaluation des changements climatiques induits par les gaz à effet de serre ou MAGICC [Model for the Assessment of Greenhouse-gas Induced Climate Change], Rob Junod, étudiant diplômé, et moi-même avons réduit la croissance prévue des émissions mondiales totales en fonction de la contribution des émissions américaines à partir de cette date. Nous avons également utilisé la valeur de la sensibilité du climat d’équilibre déterminée par des techniques empiriques, soit 1,8°C. Après 50 ans, l’impact tel que déterminé par ces calculs de modèle ne serait que de 0,05 à 0,08°C – une quantité inférieure à celle de la fluctuation de la température mondiale d’un mois à l’autre. [Ces calculs ont utilisé les scénarios d’émissions A1B-AIM et AIF-MI, les émissions américaines représentant 14% à 17% des émissions mondiales de 2015. Il existe des preuves que la sensibilité du climat est inférieure à 1,8°C, ce qui diminuerait encore ces projections].

Comme indiqué, l’impact sur les émissions mondiales et le climat mondial des récents accords de Paris concernant les émissions mondiales n’est pas exactement quantifiable. Il est pratiquement impossible de prévoir le comportement de chaque pays en matière d’émissions, sans compter qu’il est impossible de savoir comment les systèmes énergétiques eux-mêmes évolueront dans le temps.

Étant donné que l’arrêt des émissions de l’ensemble de notre pays aurait un impact calculé si minime sur le climat mondial, il est évident que des réductions fractionnées des émissions par le biais de la réglementation produiraient des résultats imperceptibles. En d’autres termes, il n’y aurait aucune preuve à l’avenir pour démontrer qu’un impact climatique particulier a été induit par les réglementations proposées et promulguées. Ainsi, les réglementations n’auront aucune conséquence significative ou utile sur le système climatique physique – même si l’on croit que les modèles climatiques sont des outils de prédiction utiles.

Résumé

Le changement climatique est un sujet très vaste qui présente de nombreuses difficultés. Nos connaissances de base sur l’évolution du climat (c’est-à-dire les mesures) sont entachées d’incertitudes. Dans mon témoignage d’aujourd’hui, j’ai montré que la température atmosphérique globale est suffisamment bien mesurée pour démontrer que notre compréhension de la façon dont les gaz à effet de serre affectent le climat est nettement insuffisante pour expliquer le climat depuis 1979. En particulier, le changement réel de la mesure fondamentale de la signature du réchauffement par effet de serre – la température atmosphérique globale où les modèles indiquent que la preuve la plus directe du réchauffement par effet de serre devrait se trouver – est considérablement déformé par les modèles. Bien qu’aucun ensemble de données ne soit parfait, la manière dont les ensembles de données de surface ont été élaborés laisse de nombreuses questions sans réponse, en particulier pour la récente mise à jour de la NOAA qui montre un réchauffement plus important que les autres. Enfin, les réglementations déjà appliquées ou en cours de proposition, telles que celles de l’Accord de Paris, n’auront pratiquement aucun impact sur l’évolution du climat.

Annexe A

Cette annexe est un extrait de mon témoignage écrit présenté lors de l’audience suivante:

Comité du Sénat américain sur le commerce, les sciences et les transports

Sous-comité sur l’espace, la science et la compétitivité

8 déc. 2015

Témoignage de John R. Christy

Université d’Alabama à Huntsville.

Impacts présumés des changements climatiques d’origine humaine concernant les événements extrêmes.

Une grande partie de la préoccupation liée à l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre s’est reportée, au cours de la dernière décennie, des changements de température globale aux changements dans les événements extrêmes, c’est-à-dire les événements qui ont généralement un impact négatif sur l’économie. Ces événements peuvent être des vagues de chaleur, des inondations, des ouragans, etc.

En ce qui concerne les vagues de chaleur, voici le nombre de jours de 100°F observés aux États-Unis à partir d’un ensemble contrôlé de stations météorologiques. Non seulement il est clair que le nombre de jours de chaleur n’a pas augmenté, mais il est intéressant de constater qu’au cours des dernières années, on en a observé une relative rareté.

Ci-dessus: Nombre moyen de jours par station dans chaque année atteignant ou dépassant 100°F dans 982 stations de la base de données USHCN (NOAA/NCEI, préparé par JRChristy).

Les incendies de forêt et les feux de friches sont documentés pour les États-Unis. Les données ci-dessous indiquent qu’il n’y a pas eu de changement dans la fréquence des incendies de forêt. La superficie (non représentée) montre également peu de changement.

Ci-dessus: Nombre d’incendies de forêt aux États-Unis. La gestion de ces événements change, et donc leur nombre également, mais le nombre d’événements depuis 1985 est resté constant. (National Interagency Fire Center https://www.nifc.gov/fireInfo/nfn.htm)

Ci-dessus: Nombre d’incendies de forêt aux États-Unis par an depuis 1965.

Les deux chiffres ci-dessus montrent que la fréquence des incendies n’a pas augmenté aux États-Unis au cours des dernières décennies.

Les affirmations selon lesquelles les sécheresses et les inondations sont en augmentation peuvent également être examinées à la lumière des données d’observation.

Ci-dessus: Étendue surfacique mondiale de cinq niveaux de sécheresse pour 1982-2012 où la sécheresse est indiquée en rangs percentiles avec D0 < 30, D1 < 20, D2 < 10, D3 < 5 et D4 < 2 percentiles de la disponibilité moyenne de l’humidité. (Hao et al. 2014)

Ci-dessus: Fraction surfacique de la zone contiguë des États-Unis dans des conditions très humides (bleu) ou très sèches (rouge). NOAA/NCEI.

Les deux figures ci-dessus montrent que les conditions d’humidité n’ont pas montré de tendance à la baisse (plus de sécheresse) ou à la hausse (plus d’humidité à grande échelle). Ces informations sont rarement consultées lorsqu’il est plus commode de faire des affirmations non fondées selon lesquelles les extrêmes d’humidité, c’est-à-dire les sécheresses et les inondations (qui ont toujours existé), deviennent en quelque sorte encore plus extrêmes. Sur des périodes plus courtes et dans certains endroits, il est prouvé que les précipitations les plus fortes ont tendance à être plus importantes. Il ne s’agit pas d’un phénomène universel et il n’a pas été établi que ces changements puissent être dus à des modifications des concentrations de gaz à effet de serre, comme cela a été démontré précédemment, car les projections des modèles sont incapables de reproduire les mesures les plus simples.

Ci-dessus: Production mondiale de céréales 1961-2012. Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture [FAO – Food and Agriculture Organization].

Il est facile de trouver des documents attestant de l’augmentation constante de la production de céréales. On peut s’interroger sur l’allégation du Conseil Fédéral de la Qualité de l’Environnement selon laquelle le changement climatique induit par l’homme a causé un « préjudice à l’agriculture », car si l’on considère la croissance totale de la production, qui semble s’accélérer, on pourrait supposer qu’aucun « préjudice » n’a été causé pendant une période d’augmentation des gaz à effet de serre.

Au vu des preuves fournies dans les exemples ci-dessus, il est évidemment difficile d’établir les affirmations concernant la détérioration des conditions dues au changement climatique d’origine humaine, ou plus généralement que tout changement pourrait être directement lié à l’augmentation du CO2. Ce point est également lié à la question de la capacité des modèles climatiques mentionnée précédemment. Il est clair que les modèles climatiques ne sont pas à la hauteur sur certaines questions très fondamentales de la variabilité climatique, étant incapables de reproduire « ce qui » s’est passé en matière de température globale, et donc de savoir « pourquoi » cela s’est produit. Il est donc prématuré d’affirmer que l’on connaît les causes des changements de diverses mesures exotiques du temps, telles que l’intensité des précipitations sur de courtes périodes, qui ne sont même pas explicitement générées dans les résultats des modèles climatiques.

Le décevant processus scientifique

J’ai beaucoup écrit, lors de précédentes audiences du Congrès et à d’autres occasions, sur l’incapacité de la communauté scientifique à aborder objectivement l’étude du climat et du changement climatique. (Voir l’annexe) La science du climat est une science obscure comportant de grandes incertitudes sur de nombreux éléments critiques tels que la répartition des nuages et les échanges thermiques de surface. Comme nous l’avons mentionné plus haut, il n’existe pas d’instrumentation objective qui puisse nous dire « pourquoi » les changements se produisent. Cela étant, il ne nous reste que des hypothèses (affirmations) à avancer, puis à tester. Les informations fournies ci-dessus montrent clairement, selon moi, que la compréhension théorique actuelle du « pourquoi » des changements climatiques, telle qu’incarnée dans les modèles (et sur laquelle la politique actuelle est basée), échoue à ces tests. En effet, le point de vue théorique (modèle) tel qu’il est exprimé dans le RE5 du GIEC a dans tous les cas surestimé la réaction de la température atmosphérique tropicale globale aux gaz à effet de serre supplémentaires (voir ci-dessus et la figure 10.SM.1 du matériel supplémentaire du GIEC), ce qui indique que la compréhension théorique de la réaction du climat est trop sensible aux gaz à effet de serre.

L’un des problèmes de notre science est lié au processus de financement des études climatiques, dont la grande majorité est assurée par des agences fédérales. Les décisions de financement sont prises par des personnes, et ces personnes ont des préjugés. Notre science a également connu une évolution vers une science de « consensus », où l' »accord » entre les personnes et les groupes est considéré comme supérieur à une enquête déterminée et objective. La triste progression des événements ici a même conduit à des enquêtes du Congrès destinées à faire taire (avec un certain succès) ceux dont les voix, y compris la mienne, ont contesté les points de vue politiquement corrects sur le climat (c’est-à-dire l’enquête du Congrès par le représentant Grijalva, 22 février 2015, http://www.scribd.com/doc/256811029/Letter-to-UAH-re-John-Christy).

Aujourd’hui, les décisions de financement sont prises par des comités d’examen. Dans ce processus, de nombreuses propositions de financement sont soumises aux agences, mais ces dernières ne disposent que d’une fraction des fonds disponibles pour soutenir les propositions, de sorte que seules quelques propositions peuvent être financées et celles-ci sont sélectionnées par les comités. Dans le domaine du climat, il est clair que les agences sont convaincues de la vision consensuelle d’un changement climatique dangereux, comme l’indiquent leurs diverses déclarations et communiqués de presse sur la question. Par conséquent, lorsqu’une proposition contraire est soumise, qui cherche à découvrir d’autres explications possibles que les gaz à effet de serre pour les petits changements que nous observons actuellement, ou une proposition qui cherche à examiner rigoureusement et objectivement les résultats des modèles climatiques, elle n’a pratiquement aucune chance d’être financée. Cela se produit parce que le comité détermine par un vote majoritaire qui financer, et avec une concurrence serrée, tout parti pris de quelques membres du comité contre une proposition contraire est suffisant pour être rejeté. Bien sûr, les agences prétendront que tout est fait en toute objectivité, mais ce serait précisément la réponse attendue d’une personne faisant déjà partie du « consensus » et dont l’agence a déclaré sa position sur le changement climatique. Ceci m’amène au « consensus scientifique ».

L’expression « consensus scientifique » est souvent invoquée dans les débats sur le changement climatique pour étayer une affirmation. Il s’agit d’une forme d' »argument d’autorité ». Le consensus est toutefois une notion politique, et non une notion scientifique. Comme j’ai témoigné devant l’Inter-Academy Council en juin 2010, comme je l’ai écrit dans Nature la même année (Christy 2010), et comme je l’ai documenté dans mon témoignage écrit pour plusieurs audiences du Congrès (par exemple, House Space, Science and Technology, 31 mars 2011), le GIEC et d’autres évaluations similaires ne représentent pas pour moi un consensus de beaucoup plus que le consensus de ceux qui sont sélectionnés pour être d’accord avec un consensus particulier.

Le contenu de ces rapports sur le climat est en fait sous le contrôle d’un nombre relativement restreint d’individus – je les appelle souvent « l’establishment du climat » – qui, au fil des ans, en sont venus, à mon avis, à agir comme des gardiens de l’opinion et de l’information scientifiques, plutôt que comme des intermédiaires. Les voix de ceux d’entre nous qui s’opposent à certaines déclarations et à certaines emphases dans ces évaluations sont, dans l’ensemble, rejetées plutôt que prises en compte. Cet establishment inclut les mêmes personnes qui deviennent les « experts » appelés à promouvoir les affirmations du GIEC dans les rapports gouvernementaux tels que la conclusion de mise en danger par l’Agence de Protection de l’Environnement.

Comme je l’ai souligné dans mes précédents témoignages, ces « experts » deviennent les auteurs et les évaluateurs de leurs propres recherches par rapport aux recherches qui remettent en cause leur travail. Cela devient un conflit d’intérêt évident. Mais avec le luxe d’avoir le « dernier mot » en tant qu’auteurs « experts » des rapports, les opinions alternatives disparaissent. Ce n’est pas un processus qui fournit les meilleures informations aux représentants du peuple. Le Congrès américain doit disposer de l’ensemble des points de vue sur des questions telles que le changement climatique qui sont (a) caractérisées par une ambiguïté considérable (voir les résultats des modèles) (b) utilisées pour promouvoir des actions réglementaires qui seront économiquement préjudiciables au peuple américain et, le plus ironique, (c) n’auront aucun impact sur ce que fera le climat.

J’ai souvent déclaré que la science du climat est une science « obscure ». Nous ne disposons pas de méthodes de laboratoire pour tester nos hypothèses, contrairement à de nombreuses autres sciences. Par conséquent, ce qui passe pour de la science inclut l’opinion, les arguments d’autorité, les communiqués de presse spectaculaires et les notions floues de consensus générées par des groupes présélectionnés. Ce n’est pas de la science.

Nous savons, grâce aux courriels du Climategate et à de nombreuses autres sources, que le GIEC a eu des problèmes avec ceux qui adoptent des positions sur le changement climatique différentes de celles qu’il promeut. Il existe cependant une autre façon de traiter ce problème. Puisque l’activité du GIEC et la recherche sur le climat en général sont financées par les contribuables américains, je propose que cinq à dix pour cent des fonds soient alloués à un groupe de scientifiques reconnus pour produire une évaluation qui exprime des hypothèses alternatives légitimes qui ont été (à leur avis) marginalisées, déformées ou ignorées dans les rapports précédents du GIEC (et donc dans l’Endangerment Finding de l’APE et les National Climate Assessments).

De telles activités sont souvent appelées rapports « Red Team » [équipes rouges] et sont largement utilisées par le gouvernement et l’industrie. Les décisions relatives au financement des « Red Teams » ne devraient pas être confiées à l' »establishment » actuel, mais à des panels composés de scientifiques accrédités ayant l’expérience de l’examen de ces questions. Certains efforts dans ce sens ont été déployés par le secteur privé (par exemple, le Groupe d’Experts Non-gouvernemental International sur l’Evolution du Climat, à l’adresse http://nipccreport.org/ et Michaels (2012) ADDENDUM: Global Climate Change Impacts in the United States). Je pense que les décideurs politiques, avec l’argent du public, devraient soutenir activement la collecte de toutes les informations essentielles pour aborder cette science trouble et vicieuse, puisque le public paiera en fin de compte le coût de toute législation censée agir sur le climat.

Les sujets à aborder dans cette évaluation de la « Red Team » seraient, par exemple, les suivants : (a) les preuves d’une faible sensibilité du climat à l’augmentation des gaz à effet de serre, (b) le rôle et l’importance de la variabilité naturelle et imprévue, (c) une évaluation rigoureuse et indépendante des résultats des modèles climatiques, (d) une discussion approfondie de l’incertitude, (e) l’accent mis sur les paramètres les plus directement liés au taux d’accumulation de chaleur dans le système climatique, (f) l’analyse des nombreuses conséquences, y compris les avantages, qui résultent de l’augmentation du CO2, et (g) l’importance d’une énergie abordable et accessible pour la santé et le bien-être de l’homme.

L’objectif de cette proposition est de fournir au Congrès et aux autres décideurs une évaluation parallèle, scientifiquement fondée, de l’état de la science du climat, qui aborde des questions qui n’ont pas été ou ont été sous-représentées dans les rapports précédents sur le climat, financés par les contribuables et dirigés par le gouvernement. En d’autres termes, nos décideurs politiques ont besoin de voir l’ensemble des découvertes concernant le changement climatique.

Résumé de l’extrait

Les messages des deux points soulignés dans l’extrait ci-dessus sont les suivants: (1) les affirmations concernant l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements extrêmes ne sont généralement pas étayées par des observations réelles et, (2) les informations officielles sur la science du climat sont largement contrôlées par les agences par le biais (a) des choix de financement de la recherche et (b) de la sélection minutieuse (c’est-à-dire biaisée) des auteurs de rapports tels que l’Endangerment Finding de l’APE et le National Climate Assessment.


Texte original

U.S. House Committee on Science, Space & Technology

2 Feb 2016

Testimony of John R. Christy

University of Alabama in Huntsville.

I am John R. Christy, Distinguished Professor of Atmospheric Science, Alabama’s State Climatologist and Director of the Earth System Science Center at The University of Alabama in Huntsville. I have served as Lead Author, Contributing Author and Reviewer of United Nations IPCC assessments, have been awarded NASA’s Medal for Exceptional Scientific Achievement, and in 2002 was elected a Fellow of the American Meteorological Society.

It is a privilege for me to offer my analysis of the current situation regarding (1) the temperature datasets used to study climate, (2) our basic understanding of climate change and (3) the effect that regulations, such as the Paris agreement, might have on climate. I have also attached an extract from my Senate Testimony last December in which I address (1) the popular notion that extreme climate events are increasing due to human-induced climate change (they are not), and (2) the unfortunate direction research in this area has taken.

My research area might be best described as building datasets from scratch to advance our understanding of what the climate is doing and why – an activity I began as a teenager over 50 years ago. I have used traditional surface observations as well as measurements from balloons and satellites to document the climate story. Many of our UAH datasets are used to test hypotheses of climate variability and change.

(1.1) Upper air temperature data from satellites and balloons

I shall begin with a discussion that was precipitated by an increasingly active campaign of negative assertions made against the observations, i.e. the data, of upper air temperatures. Figure 1 in particular has drawn considerable attention from those who view the climate system as undergoing a rapid, human-caused transformation into a climate to which people would have great difficulty adapting. This simple chart tells the story that the average model projection, on which their fears (or hopes?) are based, does poorly for the fundamental temperature metric that is allegedly the most responsive to extra greenhouse gases – the bulk atmospheric temperature of the layer from the surface to 50,000ft. [The layer shown is known as the mid-troposphere or MT and is used because it overlaps with the region of the tropical atmosphere that has the largest anticipated signature of the greenhouse response by bulk mass – between 20,000 and 50,000 feet.] The chart indicates that the theory of how climate changes occur, and the associated impact of extra greenhouse gases, is not understood well enough to even reproduce the past climate [much more in section (2)]. Indeed, the models clearly over-cook the atmosphere. The issue for congress here is that such demonstrably deficient model projections are being used to make policy.

Fig. 1: Five-year averaged values of annual mean (1979-2015) global bulk (termed “mid-tropospheric” or “MT”) temperature as depicted by the average of 102 IPCC CMIP5 climate models (red), the average of 3 satellite datasets (green – UAH, RSS, NOAA) and 4 balloon datasets (blue, NOAA, UKMet, RICH, RAOBCORE).

Because this result challenges the current theory of greenhouse warming in relatively straightforward fashion, there have been several well-funded attacks on those of us who build and use such datasets and on the datasets themselves. As a climate scientist I’ve found myself, along with fellow like-minded colleagues, tossed into a world more closely associated with character assassination and misdirection, found in Washington politics for example, rather than objective, dispassionate discourse commonly assumed for the scientific endeavor. Investigations of us by congress and the media are spurred by the idea that anyone who disagrees with the climate establishment’s view of dangerous climate change must be on the payroll of scurrilous organizations or otherwise mentally deficient.

Also thrust into this milieu is promotional material, i.e., propaganda, attempting to discredit these data (and researchers) with claims that amount to nothing.

Several of these allegations against the data appeared a few weeks ago in the form of a well-made video. I shall address the main assertions with the following material, which in similar form has appeared in the peer-reviewed literature through the years.

The video of interest was promoted by a climate change pressure group (Yale Climate Connections, http://www.yaleclimateconnections.org/2016/01/over-reliance-on-satellite-data-alone-criticized/) in which well-known scientists make claims that are mostly meaningless or completely wrong relative to the evidence in Fig. 1. I wish to make four points regarding the video and demonstrate the misdirection for which such agendized videos, along with a happily mimicking media, are so famous.

First, the claim is made the satellites do not measure temperature. In reality, the sensors on satellites measure temperature by emitted radiation – the same method that a physician uses to measure your body temperature to high precision using an ear probe. Atmospheric oxygen emits microwaves, the intensity of which is directly proportional to the temperature of the oxygen, and thus the atmosphere. That the satellites measure temperature is evident by the following chart which compares our UAH satellite data with temperatures calculated from balloon thermistors. As an aside, most surface temperature measurements are indirect, using electronic resistance.

Fig. 2: Average temperature variations measured at 59 radiosonde stations in the U.S. (VIZ manufacturer) and Australia.

Secondly, the scientists claim that the vertical drop (orbital decay) of the satellites due to atmospheric friction causes spurious cooling through time. This vertical fall has an immeasurable impact on the layer (MT) used here and so is a meaningless claim. In much earlier versions of another layer product (LT or Lower Troposphere), this was a problem, but was easily corrected almost 20 years ago. Thus, bringing up issues that affected a different variable that, in any case, was fixed many years ago is a clear misdirection that, in my view, demonstrates the weakness of their position.

Thirdly, the scientists speak of the spurious temperature changes that occur as the satellites drift in the east-west direction, the so-called diurnal drift problem (which was first detected and accounted for by us). They speak of a sign error in the correction procedure that changed the trend. Again, this error was not a factor in the MT layer in Fig. 1, but for the different LT layer. And, again, this issue was dealt with for LT 10 years ago.

Finally, though not specifically mentioned in this video, some of these scientists claim Fig. 1 above is somehow manipulated to hide their belief in the prowess and validity of the climate models. To this, on the contrary, I say that we have displayed the data in its most meaningful way. The issue here is the rate of warming of the bulk atmosphere, i.e., the trend. This metric tells us how rapidly heat is accumulating in the atmosphere – the fundamental metric of global warming. To depict this visually, I have adjusted all of the datasets so that they have a common origin. Think of this analogy: I have run over 500 races in the past 25 years, and in each one all of the runners start at the same place at the same time for the simple purpose of determining who is fastest and by how much at the finish line. Obviously, the overall relative speed of the runners is most clearly determined by their placement as they cross the finish line – but they must all start together.

In the same way I constructed the chart so that the trend line of all of the temperature time series starts at the same point in magnitude and time (zero value at 1979) so the viewer may see how wide the spread is at the finish line (2015). One way to look at this is seen in Fig. 3 where I provide what is seen in Fig. 1 except this is only the trend line without the variations that occur from year due to volcanoes and such. This is analogous to plotting the overall average speed of a runner along the course even though they likely ran slower on an uphill, and faster on a downhill.

This image indicates the models, on average, warm this global layer about 2.5 times faster than the observations indicate. This is a significant difference that has not beenexplained and indicates the theory of greenhouse impact on atmospheric temperature is not sufficiently known to even reproduce what has already happened. We are not talking about 10 or 15 years here, but 37 years – well over a third of a century. That two very independent types of measuring systems (balloons and satellites) constructed by a variety of institutions (government, university, private) all showing the much slower rate of warming gives high confidence in its result. Thus, the evidence here strongly suggests the theory, as embodied in models, goes much too far in forcing the atmosphere to retain heat when in reality the atmosphere has a means to relinquish that heat and thus warms at a much slower rate.

Fig. 3: The linear trend line over the period 1979-2015. The colors represent the same source data as in fig. 1.

I’ve shown here that for the global bulk atmosphere, the models overwarm the atmosphere by a factor of about 2.5. As a further note, if one focuses on the tropics, the models show an even stronger greenhouse warming in this layer. However, a similar calculation with observations as shown in Fig. 3 indicates the models over-warm the tropical atmosphere by a factor of approximately 3, (Models +0.265, Satellites +0.095, Balloons +0.073 °C/decade) again indicating the current theory is at odds with the facts. (again, see section 2.)

It is a bold strategy in my view to actively promote the output of theoretical climate models while attacking the multiple lines of evidence from observations. Note that none of the observational datasets are perfect and continued scrutiny is healthy, but when multiple, independent groups generate the datasets and then when the results for two completely independent systems (balloons and satellites) agree closely with each other and disagree with the model output, one is left scratching one’s head at the decision to launch an offensive against the data. This doesn’t make scientific sense to me.

(1.2) Surface temperature issues

There are several issues regarding surface temperature datasets that are too involved to discuss in this material. I shall focus on a few points with which I am familiar and on which I have published.

(1.2.a) Surface temperature as a metric for detecting the influence of the increasing concentrations of greenhouse gases

One of my many climate interests is the way surface temperatures are measured and how surface temperatures, especially over land, are affected by their surroundings. In several papers (Christy et al. 2006 J. Climate, Christy et al. 2009 J. Climate, Christy 2013 J. Appl. Meteor. Clim., Christy et al. 2016 J. Appl. Meteor. Clim.) I closely examined individual stations in different regions and have come to the conclusion that the magnitude of the relatively small signal we seek in human-induced climate change is easily convoluted by the growth of infrastructure around the thermometer stations and the variety of changes these stations undergo through time, as well as the variability of the natural ups and downs of climate. It is difficult to adjust for these contaminating factors to extract a pure dataset for greenhouse detection because often the non-climatic influence comes along very gradually just as is expected of the response to the enhanced greenhouse effect.

In examining ocean temperatures (Christy et al. 2001, Geophys. Res. Lett.) I discovered that the trends of the water temperature (1m depth) do not track well with those of the air temperature just above the water (3m), even if both are measured on the same buoy over 20 years. This is important for the discussion below where NOAA used marine air temperatures to adjust water temperature measurements from ships.

There are many other factors that render surface temperature datasets to be of low effectiveness for the detection of enhanced greenhouse warming, (a) lack of systematic geographical coverage in time, (b) unsystematic measuring methods and instrumentationin time and space, (c) the point measurement represents at best a tiny, local area and (d) is easily impacted by slight changes in the surroundings, which can occur for example when a station moves. There have been huge efforts to try and adjust the raw surface data to give a time series that would represent that of a pristine environment, and I have led or been a part in some of these (e.g. for Central California in Christy et al. 2006 and East Africa in Christy et al. 2009 and Christy 2013).

Thus, having experience in building surface, satellite and balloon temperature datasets, and taking into account the signal we are looking for to detect the enhanced greenhouse effect, the evidence suggests to me that utilizing the bulk atmospheric measurements provides the best opportunity to answer questions about the climate’s response to this human-induced change in atmospheric composition. The deep atmosphere is much more coherent in space and time in terms of its variations. It is not affected by human development at the surface. It is measured systematically. To be sure, satellite and balloon temperatures require their own adjustments and cannot be considered “perfect”, but do offer an independence from one another to allow direct comparison studies. Regarding the detection of the enhanced greenhouse effect, the troposphere, as indicated by models, happens to be the atmospheric region that will respond the most, i.e. warm the fastest, and thus, in my view, is a metric that provides a better way to detect human influence on the climate.

(1.2.b) The new NOAA surface temperature dataset

A series of papers appeared last year (including Huang et al. 2015 J. Climate, Karl et al. 2015 Science) describing a new surface temperature dataset constructed by NOAA which indicated a bit more warming in the past 10 to 25 years than the previous versions. The key change dealt with seawater temperatures in the dataset now known as ERSSTv4. This change introduced an additional warming into the record from about 1990 onward. The main reason for this new warming, as the authors note, was the adjustment applied to buoy data, adding about +0.12 °C to the buoy readings. In 1980, only about 10 percent of the data reports were from buoys, but by 2000 about 90 percent were buoy data. Thus, because the influence of the buoy data grew significantly through time, the simple addition of a bias to all the buoys from the beginning created a warmer trend as they became the dominate source of information.

Some background is necessary. Unlike satellite and balloon datasets which measure a systematic quantity (essentially atmospheric air temperature), surface temperature datasets are a mixture of air (over land) and water (over ocean) temperatures measured over a considerable range of instruments, exposures and methods. Over land, weather stations measure the temperature of the air in varying types of instrument shelters and by varying techniques at a level about 5 ft above the ground. Over the ocean, however, the temperature utilized is that of the water itself, not the air above, so traditional global surface datasets do not measure a homogenous physical parameter over land versus ocean. Further, the depth of the water temperature measurement is quite varied from 2 ft to 50 ft or so, by methods that range from buckets drawn up on deck into which a thermometer is inserted to engine-intake temperatures much deeper in the water and to buoys, drifting or moored to the bottom. So the fact temperature varies by depth is an issue to tackle before the possibility of constructing a systematic dataset may be attempted. Then too, the measurements are not spatially or temporally consistent with large regions, such as Africa and the southern oceans, unmeasured.

Keep in mind that even though the trend of this NOAA dataset became more positive in the past 10 to 20 years, it is still below climate model projections over the longer term. For longer periods, such as the period since 1979 when satellites began measuring bulk atmospheric temperatures, the new global dataset is similar to that of the Hadley Centre (1979-2015: NOAA +0.155 °C/decade, Hadley Centre UKMet, +0.165 °C/decade). However, there are questions that remain concerning the new NOAA seawater dataset, especially how it indicates more warming in the last 20 years than others. Figure 4 displays the ocean trends for the region 20S to 60N (i.e. tropical and northern hemisphere oceans – there was too little data south of 20S for generating near-surface air temperatures there). There are 4 datasets represented, NOAA (NOAA, red), Hadley Centre (HadCRUT4, orange), a preliminary near-surface air temperature over the oceans by my graduate student Rob Junod (yellow) and the UAH deep layer air temperature from satellites (blue). Both NOAA and HadCRUT4 are temperatures of the seawater near the surface, so should be the same.

NOAA used a curious reference variable to calibrate the water temperatures measured from ship intakes – the Night Marine Air Temperature (NMAT). This is curious because there are considerable adjustments required for the NMATs themselves, i.e. corrections for height of ship deck, etc. In any case, from this, the buoy data were then adjusted to match the ship data. It appears, then, that the foundational adjustment process depends on NMATs to adjust the ship data to then adjust the buoy data. The final product from NOAA mixes all of these together, and because the geographic representation of the different systems changed dramatically (as noted, from approximately 10% buoys and 90% ships in 1980 to 90% buoys and 10% ships today – Huang et al. 2015), an adjustment applied to the buoys will automatically influence the trend.

I’m aware that the Committee sought information about this curious process and asked NOAA to generate datasets based only on consistent measuring systems, i.e. ships alone, buoys alone and NMATs alone, to see if one system might have impacted the trends improperly due to distribution changes. NOAA was unable to accommodate this request. At the same time I asked my graduate student, Rob Junod, to do the work for NMAT. What is presented here is preliminary, but follows much of the previous work on NMATs (developed at the National Oceanographic Centre and the Hadley Centre in the UK) with that added advantage of being updated to 2014. The best geographical data coverage was found to be 20°S to 60°N, so this area was also applied to the other datasets for an apples to apples comparison. The results are shown in Fig. 4 in which all trends end in 2014 but cover periods in two-year increments from 20 years to 10 years.

Figure 4. Decadal trends (°C/decade) of four temperature datasets over the oceans from 20°S to 60°N for varying periods ending in 2014. Red and orange are surface seawater temperature datasets from NOAA and the Hadley Centre (HadCRUT4). Yellow is a near-surface air temperature dataset (Night Marine Air Temperature) built by UAH (preliminary). Blue is the temperature trend of the deep atmosphere (surface to 35,000 ft or Lower Troposphere) from microwave emissions captured by satellites (also UAHv6.0b5.)

A number of observations are evident in Fig. 4. (1) In terms of the temperature trend, the air temperatures are less than those of the water (as indicated in my 2001 study mentioned above.) (2) NOAA warms the fastest in all periods. (3) In the past 10-14years, the trends of the HadCRUT4 agree better with the near-surface air temperature dataset (being near zero and supporting the notion of a hiatus) than with the trends from its physically-identical quantity from NOAA. (4) The magnitude of the NMAT trends lies between the trends of the deep atmospheric and sea water.

This figure generates a number of data quality questions too. (1) If NMATs were used to calibrate the ship temperatures and then the ships were used to calibrate the buoy temperatures, why does the NOAA dataset differ so much from its basic reference point – NMATs? (2) What do the time series look like and what are the sub-period trends for seawater under the condition that only ships and/or only buoys are used to build the dataset for the past 20-25 years? (3) What does the time series of NOAA’s NMAT (i.e. their reference) dataset show?

The real science questions here are those which have significant importance to the understanding of how extra greenhouse gases might affect the climate as shown in the following section.

(2) How well do we understand climate change?

A critical scientific goal in our era is to determine whether emissions from human activities impact the climate and if so by how much. This is made especially difficult because we know the climate system already is subject to significant changes without the influence of humans. Because there is no measuring device that explicitly determines the cause of the climate changes we can measure, such as temperature, our science must take a different approach to seek understanding as to what causes the changes, i.e. how much is natural and how much is human induced. The basic approach today utilizes climate models. (The projections of these models are being utilized for carbon policies as well.)

It is important to understand that output from these models, (i.e. projections of the future climate and the specific link that increasing CO2 might have on the climate) are properly defined as scientific hypotheses or claims – model output cannot be considered as providing proof of the links between climate variations and greenhouse gases. These models are complex computer programs which attempt to describe through mathematical equations as many factors that affect the climate as is possible and thus estimate how the climate might change in the future. The model, it is hoped, will provide accurate responses of the climate variables, like temperature, when extra greenhouse gases are included in the model. However, the equations for nearly all of the important climate processes are not exact, representing the best approximations modelers can devise and that computers can handle at this point.

A fundamental aspect of the scientific method is that if we say we understand a system (such as the climate system) then we should be able to predict its behavior. If we are unable to make accurate predictions, then at least some of the factors in the system are not well defined or perhaps even missing. [Note, however, that merely replicating the behavior of the system (i.e. reproducing “what” the climate does) does not guarantee that the fundamental physics are well-known. In other words, it is possible to obtain the right answer for the wrong reasons, i.e. getting the “what” of climate right but missing the “why”.]

Do we understand how greenhouse gases affect the climate, i.e. the link between emissions and climate effects? As noted above, a very basic metric for climate studies is the temperature of the bulk atmospheric layer known as the troposphere, roughly from the surface to 50,000 ft altitude. This is the layer that, according to models, should warm significantly as CO2 increases – even faster than the surface. Unlike the surface temperature, this bulk temperature informs us about the crux of the global warming question – how much heat is accumulating in the global atmosphere? And, this CO2- caused warming should be easily detectible by now, according to models. This provides a good test of how well we understand the climate system because since 1979 we have had two independent means of monitoring this layer – satellites from above and balloons with thermometers released from the surface.

I was able to access 102 CMIP-5 rcp4.5 (representative concentration pathways) climate model simulations of the atmospheric temperatures for the tropospheric layer and generate bulk temperatures from the models for an apples-to-apples comparison with the observations from satellites and balloons. These models were developed in institutions throughout the world and used in the IPCC AR5 Scientific Assessment (2013).

Above: Global average mid-tropospheric temperature variations (5-year averages) for 32 models (lines) representing 102 individual simulations. Circles (balloons) and squares (satellites) depict the observations. The Russian model (INM-CM4) was the only model close to the observations.

The information in this figure provides clear evidence that the models have a strong tendency to over-warm the atmosphere relative to actual observations. On average the models warm the global atmosphere at a rate 2.5 times that of the real world. This is not a short-term, specially-selected episode, but represents the past 37 years, over a third of a century. This is also the period with the highest concentration of greenhouse gases and thus the period in which the response should be of largest magnitude.

Following the scientific method of testing claims against data, we would conclude that the models do not accurately represent at least some of the important processes that impact the climate because they were unable to “predict” what has already occurred. In other words, these models failed at the simple test of telling us “what” has already happened, and thus would not be in a position to give us a confident answer to “what” may happen in the future and “why.” As such, they would be of highly questionable value in determining policy that should depend on a very confident understanding of how the climate system works.

There is a related climate metric that also utilizes atmospheric temperature which in models has an even larger response than that of the global average shown above. This metric, then, provides a stronger test for understanding how well models perform regarding greenhouse gases specifically. In the models, the tropical atmosphere warms significantly in response to the added greenhouse gases – more so than that of the global average atmospheric temperature.

Above: Tropical average mid-tropospheric temperature variations (5-year averages) for 32 models (lines) representing 102 individual simulations. Circles (balloons) and squares (satellites) depict the observations.

In the tropical comparison here, the disparity between models and observations is even greater, with models on average warming this atmospheric region by a factor of three times greater than in reality. Such a result re-enforces the implication above that the models have much improvement to undergo before we may have confidence they will provide information about what the climate may do in the future or even why the climate varies as it does. For the issue at hand, estimates of how the global temperature might be affected by emission reductions from regulations would be exaggerated and not reliable.

(3) Climate Impact of Regulations (i.e. Paris) Will Not Be Attributable or Detectable

No one knows the climate impact of the proposed carbon emission reductions agreed to in Paris. The main reason for this is that there is considerable latitude for countries to do as little or as much as they desire. Examining the history of global carbon emissions, it is clear that countries, especially developing countries, will continue to seek to expand energy use through carbon combustion because of their affordability in providing considerable positive benefits to their citizens.

In any case, impact on global temperature for current and proposed reductions in greenhouse gases will be tiny at best. To demonstrate this, let us assume, for example, that the total emissions from the United States were reduced to zero, as of last May 13th, 2015 (the date of a hearing at which I testified). In other words as of that day and going forward, there would be no industry, no cars, no utilities, no people – i.e. the United States would cease to exist as of that day. Regulations, of course, will only reduce emissions a small amount, but to make the point of how minuscule the regulatory impact will be, we shall simply go way beyond reality and cause the United States to vanish. With this we shall attempt to answer the question of climate change impact due to emissions reductions.

Using the U.N. IPCC impact tool known as Model for the Assessment of Greenhouse-gas Induced Climate Change or MAGICC, graduate student Rob Junod and I reduced the projected growth in total global emissions by U.S. emission contribution starting on this date and continuing on. We also used the value of the equilibrium climate sensitivity as determined from empirical techniques of 1.8 °C. After 50 years, the impact as determined by these model calculations would be only 0.05 to 0.08 °C – an amount less than that which the global temperature fluctuates from month to month. [These calculations used emission scenarios A1B-AIM and AIF-MI with U.S. emissions comprising 14 percent to 17 percent of the 2015 global emissions. There is evidence that the climate sensitivity is less than 1.8 °C, which would further lower these projections.]

As noted, the impact on global emission and global climate of the recent agreements in Paris regarding global emissions is not exactly quantifiable. Knowing how each country will behave regarding their emissions is essentially impossible to predict besides the added issue of not knowing how energy systems themselves will evolve over time.

Because halting the emissions of our entire country would have such a tiny calculated impact on global climate, it is obvious that fractional reductions in emissions through regulation would produce imperceptible results. In other words, there would be no evidence in the future to demonstrate that a particular climate impact was induced by the proposed and enacted regulations. Thus, the regulations will have no meaningful or useful consequence on the physical climate system – even if one believes climate models are useful tools for prediction.

Summary

Climate change is a wide-ranging topic with many difficulties. Our basic knowledge about what the climate is doing (i.e. measurements) is plagued by uncertainties. In my testimony today I have given evidence that the bulk atmospheric temperature is measured well-enough to demonstrate that our understanding of how greenhouse gases affect the climate is significantly inadequate to explain the climate since 1979. In particular, the actual change of the fundamental metric of the greenhouse warming signature – the bulk atmospheric temperature where models indicate the most direct evidence for greenhouse warming should lie – is significantly misrepresented by the models. Though no dataset is perfect, the way in which surface datasets have been constructed leaves many unanswered questions, especially for the recent NOAA update which shows more warming than the others. Finally, regulations already enforced or being proposed, such as those from the Paris Agreement, will have virtually no impact on whatever the climate is going to do.

Appendix A

This appendix is an extract from my written testimony presented at the following Hearing:

U.S. Senate Committee on Commerce, Science, & Transportation

Subcommittee on Space, Science and Competitiveness

8 Dec 2015

Testimony of John R. Christy

University of Alabama in Huntsville.

Alleged impacts of human-induced climate changes regarding extreme events

Much of the alarm related to increasing greenhouse gas concentrations shifted in the past decade from global temperature changes to changes in extreme events, i.e. those events which typically have a negative impact on the economy. These events may be heat waves, floods, hurricanes, etc.

In terms of heat waves, below is the number of 100°F days observed in the U.S. from a controlled set of weather stations. It is not only clear that hot days have not increased, but it is interesting that in the most recent years there has been a relative dearth of them.

Above: Average number of days per-station in each year reaching or exceeding 100°F in 982 stations of the USHCN database (NOAA/NCEI, prepared by JRChristy).

Forest and wild fires are documented for the US. The evidence below indicates there has not been any change in frequency of wildfires. Acreage (not shown) shows little change as well.

Above: Number of U.S. wildfires. As the management of these events changes, and thus the number also changes, but the number of events since 1985 has remained constant. (National Interagency Fire Center https://www.nifc.gov/fireInfo/nfn.htm)

Above: Number of U.S. forest fires per year since 1965.

The two figures above demonstrate that fire events have not increased in frequency in the United States during the past several decades.

The claims that droughts and floods are increasing may be examined by the observational record as well.

Above: Global areal extent of five levels of drought for 1982-2012 where dryness is indicated in percentile rankings with D0 < 30, D1 < 20, D2 < 10, D3 < 5 and D4 < 2 percentile of average moisture availability. (Hao et al. 2014)

Above: Areal fraction of conterminous U.S. under very wet (blue) or very dry (red) conditions. NOAA/NCEI.

The two figures above demonstrate that moisture conditions have not shown a tendency to have decreased (more drought) or increased (more large-scale wetness). Such information is rarely consulted when it is more convenient simply to make unsubstantiated claims that moisture extremes, i.e. droughts and floods (which have always occurred), are somehow becoming even more extreme. Over shorter periods and in certain locations, there is evidence that the heaviest precipitation events are tending to be greater. This is not a universal phenomenon and it has not been established that such changes may be due to changes in greenhouse gas concentrations as demonstrated earlier because the model projections are unable to reproduce the simplest of metrics.

Above: World grain production 1961-2012. U.N. Food and Agriculture Organization.

It is a simple matter to find documentation of the ever-rising production of grains. One wonders about the Federal Council on Environmental Quality’s allegation that there has been “harm to agriculture” from human-induced climate change because when viewing the total growth in production, which appears to be accelerating, one would assume no “harm” has been done during a period of rising greenhouse gases.

With the evidence in these examples above, it is obviously difficult to establish the claims about worsening conditions due to human-caused climate change, or more generally that any change could be directly linked to increasing CO2. This point also relates to the issue of climate model capability noted earlier. It is clear that climate models fall short on some very basic issues of climate variability, being unable to reproduce “what” has happened regarding global temperature, and therefore not knowing “why” any of it happened. It is therefore premature to claim that one knows the causes for changes in various exotic measures of weather, such as rainfall intensity over short periods, which are not even explicitly generated in climate model output.

The Disappointing Scientific Process

I have written much for previous congressional hearings and other venues about the failure of the scientific community to objectively approach the study of climate and climate change. (See Appendix) Climate science is a murky science with large uncertainties on many critical components such as cloud distributions and surface heat exchanges. As mentioned above, there is no objective instrumentation that can tell us “why” changes occur. That being the case, we are left with hypotheses (claims) to put forward and then to test. The information given above, in my view, is clear evidence that the current theoretical understanding of “why” the climate changes, as embodied in models (and on which current policy is based), fails such tests. Indeed, the theoretical (model) view as expressed in the IPCC AR5 in every case overestimated the bulk tropical atmospheric temperature response of extra greenhouse gases (see above and IPCC Supplementary Material Figure 10.SM.1) indicating the theoretical understanding of the climate response is too sensitive to greenhouse gases.

One problem with our science relates to the funding process for climate studies, the vast majority of which is provided through federal agencies. Funding decisions are decided by people, and people have biases. Our science has also seen the move toward “consensus” science where “agreement” between people and groups is elevated above determined, objective investigation. The sad progression of events here has even led to congressional investigations designed to silence (with some success) those whose voices, including my own, have challenged the politically-correct views on climate (i.e. congressional investigation by Rep. Grijalva, 22 Feb 2015, http://www.scribd.com/doc/256811029/Letter-to-UAH-re-John-Christy.)

Today, funding decisions are made by review panels. In this process, many proposals for funding are submitted to the agencies, but the agencies only have a fraction of the funds available to support the proposals, so only a few proposals can be funded and these are selected by panels. In the area of climate, it is clear the agencies are convinced of the consensus view of dangerous climate change as indicated by their various statements and press releases on the issue. Therefore, when a contrarian proposal is submitted that seeks to discover other possible explanations besides greenhouse gases for the small changes we now see, or one that seeks to rigorously and objectively investigate climate model output, there is virtually no chance for funding. This occurs because the panel determines by majority vote whom to fund, and with tight competition, any bias by just a couple of panel members against a contrarian proposal is sufficient for rejection. Of course, the agencies will claim all is done in complete objectivity, but that would be precisely the expected response of someone already within the “consensus” and whose agency has stated its position on climate change. This brings me to “consensus science.”

The term “consensus science” will often be appealed to regarding arguments about climate change to bolster an assertion. This is a form of “argument from authority.” Consensus, however, is a political notion, not a scientific notion. As I testified to the Inter-Academy Council in June 2010, wrote in Nature that same year (Christy 2010), and documented in my written testimony for several congressional hearings (e.g., House Space, Science and Technology, 31 Mar 2011) the IPCC and other similar Assessments do not represent for me a consensus of much more than the consensus of those selected to agree with a particular consensus.

The content of these climate reports is actually under the control of a relatively small number of individuals – I often refer to them as the “climate establishment” – who through the years, in my opinion, came to act as gatekeepers of scientific opinion and information, rather than brokers. The voices of those of us who object to various statements and emphases in these assessments are by-in-large dismissed rather than accommodated. This establishment includes the same individuals who become the “experts” called on to promote IPCC claims in government reports such as the endangerment finding by the Environmental Protection Agency.

As outlined in my previous testimonies, these “experts” become the authors and evaluators of their own research relative to research which challenges their work. This becomes an obvious conflict of interest. But with the luxury of having the “last word” as “expert” authors of the reports, alternative views vanish. This is not a process that provides the best information to the peoples’ representatives. The U.S. Congress must have the full range of views on issues such as climate change which are (a) characterized by considerable ambiguity (see model results) (b) used to promote regulatory actions which will be economically detrimental to the American people and, most ironically, (c) will have no impact on whatever the climate will do.

I’ve often stated that climate science is a “murky” science. We do not have laboratory methods of testing our hypotheses as many other sciences do. As a result what passes for science includes, opinion, arguments-from-authority, dramatic press releases, and fuzzy notions of consensus generated by preselected groups. This is not science.

We know from Climategate emails and many other sources that the IPCC has had problems with those who take different positions on climate change than what the IPCC promotes. There is another way to deal with this however. Since the IPCC activity and climate research in general is funded by U.S. taxpayers, then I propose that five to ten percent of the funds be allocated to a group of well-credentialed scientists to produce an assessment that expresses legitimate, alternative hypotheses that have been (in their view) marginalized, misrepresented or ignored in previous IPCC reports (and thus the EPA Endangerment Finding and National Climate Assessments).

Such activities are often called “Red Team” reports and are widely used in government and industry. Decisions regarding funding for “Red Teams” should not be placed in the hands of the current “establishment” but in panels populated by credentialed scientists who have experience in examining these issues. Some efforts along this line have arisen from the private sector (i.e. The Non-governmental International Panel on Climate Change at http://nipccreport.org/ and Michaels (2012) ADDENDUM:Global Climate Change Impacts in the United States). I believe policymakers, with the public’s purse, should actively support the assembling all of the information that is vital to addressing this murky and wicked science, since the public will ultimately pay the cost of any legislation alleged to deal with climate.

Topics to be addressed in this “Red Team” assessment, for example, would include (a) evidence for a low climate sensitivity to increasing greenhouse gases, (b) the role and importance of natural, unforced variability, (c) a rigorous and independent evaluation of climate model output, (d) a thorough discussion of uncertainty, (e) a focus on metrics that most directly relate to the rate of accumulation of heat in the climate system, (f) analysis of the many consequences, including benefits, that result from CO2 increases, and (g) the importance that affordable and accessible energy has to human health and welfare.

What this proposal seeks is to provide to the Congress and other policymakers a parallel, scientifically-based assessment regarding the state of climate science which addresses issues which here-to-for have been un- or under-represented by previous tax-payer funded, government-directed climate reports. In other words, our policymakers need to see the entire range of findings regarding climate change.

Summary of Extract

The messages of the two points outlined in the extract above are: (1) the claims about increases in frequency and intensity of extreme events are generally not supported by actual observations and, (2) official information about climate science is largely controlled by agencies through (a) funding choices for research and (b) by the carefully-selected (i.e. biased) authorship of reports such as the EPA Endangerment Finding and the National Climate Assessment.

Pourquoi je ne crois pas à l’annonce concernant la fusion – par Miles Mathis.

Note: je publie de façon assez sporadique et désordonnée depuis plus de trois semaines, ce qui continuera jusqu’à ce que j’ai rattrapé mon retard. C’est à cause d’une « grippe » tenace (un mois!) dont je commence à peine à sortir. Mon épouse a fini par retracer l’origine de la contamination à une famille d’injectés qui fait Covid sur Covid, duquel ils sont porteurs à vie (j’y reviens dans un article prochain), et dont le système immunitaire foireux en fait des réservoirs et des bouillons de culture pour d’autres virus tels que celui-ci, les rendant manifestement plus virulents.

Il y a aujourd’hui plus de cinq milliards de ces armes biologiques ambulantes en circulation et une volonté évidente de les utiliser pour détruire la santé de l’autre moitié de l’humanité. J’envisage sérieusement de m’imposer une quarantaine définitive de ces Typhoid Mary d’un nouveau genre, en attendant leur lente mais inéluctable disparition du pool génétique humain. La question est maintenant de savoir si quelqu’un a une meilleure solution à proposer.


Premier réflexe – appelons ça de l’instinct – en entendant cette annonce il y a un mois: encore une arnaque. Comme on pouvait s’en douter, Miles a aussitôt publié un article assez complet où il démonte l’entourloupe scientifique. Il rappelle aussi une des fonctions classiques de ce genre de fable, la ponction de l’argent public. Il en omet d’autres, comme la vieille obsession mystique de l’élite pour le soleil, inspiration derrière leur autre imposture équivalente, la bombe nucléaire. Pour certains de leurs tout premiers fakes, nos amis américains ne se donnaient même pas la peine de faire exploser quoi que ce soit et filmaient… le lever du soleil. On annonce d’ailleurs ici (voir la vidéo ci-dessous) que la fusion contribuera à la force de dissuasion américaine. Quoi?!! Même selon la fable officielle, la fusion est censée être un moyen de production d’électricité en milieu hautement contrôlé et on tente déjà de nous le vendre comme une arme? Tout ça s’adresse à une masse bien dressée à croire n’importe quoi dès qu’il s’agit de la grandeur de leur pays.

Il y a aussi à voir dans ce nouveau gigantesque mensonge un pas de plus vers le point de non-retour qui se profile à grande vitesse: on nous parle maintenant, tout comme pour le passage à l’hydrogène « vert » – qui ne verra non plus jamais le jour – d’une échéance de dix ans avant le développement commercial des centrales à fusion. Ce sont les dix ans nécessaires à la réduction drastique de la production d’énergie par 1) la destruction accélérée du réseau pétrole (j’y reviens juste après), 2) le démantèlement définitif des centrales nucléaires classiques, 3) l’abandon du projet de super centrales européennes (prenez le temps de regarder cette interview de Fabien Bouglé à partir de 25:45), 4) la mise en place de solutions énergétiques « renouvelables », qui garantiront l’instabilité permanente du réseau. Pour un point de la situation vous pouvez relire ceci. Mais que le système soit durable ou non (il ne l’est pas) n’est même pas la question. La question est que le projet a changé, et que les investisseurs ont déjà placé leurs billes dans le suivant, en se faisant un paquet de pognon à détruire celui-ci. N’en doutez pas, après le Covid, l’énergie et son (dé)financement sont les armes de destruction massive choisies pour la mise à mort du système et des peuples.

Addendum 19 janvier: mauvaise source (verbale), mauvaises infos! Le prix de l’électricité a en fait diminué en janvier (ici et ici). L’augmentation (de 300 à 400%) doit être en réalité calculée depuis son début, c’est-à-dire la « guerre en Ukraine ». Et question nucléaire, on en a bien fermé une le 1er janvier mais la fermeture de deux autres centrales est repoussée de dix ans (ici). Je cesse définitivement de me fier à cette source. Sorry. Le reste est juste.

Je ne sais pas comment ça se présente chez vous mais 2023 commence fort ici en Belgique. Le prix de l’électricité est multiplié par dix à partir de ce mois de janvier, y compris pour la consommation domestique. Les contrats à prix fixe sont évidemment tous automatiquement résiliés. Les petits commerces encore ouverts sont vides. Malgré que (ou parce que) ils n’ont rien vendu pour les fêtes, il n’y aura même pas de période de soldes. La grande distribution, qui s’est déjà réorganisée en mode hangar avec personnel minimum, ne verra vraisemblablement pas la fin de l’année. Je rappelle encore une fois qu’il est assez difficile de se procurer de la nourriture dans des magasins fermés. Excepté ceux qui auront eu la prévoyance/l’occasion d’investir dans leur propre infrastructure d’énergie, les autres tentent de mettre de côté pour faire face à leur facture délirante, qui dépasse dans certains cas leurs revenus mensuels. Le point positif est que ça incitera tout ce petit monde à moins gaspiller.

Pour conclure sur un ton plus léger, les conférences de presse autour des diverses autres arnaques offraient déjà un spectacle assez lamentable – voir celle de l’équipe de Curiosity. Celle-ci réunit une troupe de bras cassés d’un autre niveau, dont on peut légitimement douter qu’ils attachent eux-mêmes leurs lacets de chaussures. Un peu comme la faune du FEM à la manoeuvre aux USA, en France et ailleurs – celle qui a pénétré dans les cabinets – soit c’est tout ce qu’ils ont trouvé, soit c’est de l’humour. Détail croustillant à ne pas manquer à 6:43, le drapeau américain s’écroule derrière le gugusse qui sort: « Hopefully that’s not representative. » [J’espère que ce n’est pas annonciateur]

Ok, c’est donc bien de l’humour.

Source.


Traduction

Pourquoi je ne crois pas à l’annonce concernant la fusion

par Miles Mathis

Première publication le 22 décembre 2022

La première raison pour laquelle je n’y crois pas, c’est que je ne crois actuellement à aucune affirmation officielle, dans le domaine scientifique ou autre. Nous vivons une époque de totale et complète corruption, et certains sont prêts à raconter n’importe quoi pour obtenir des fonds. Je vous ai présenté des centaines d’exemples récents de fraudes extravagantes, il faudrait donc être fou pour croire ce qu’on nous dit. L’annonce du gouvernement a été faite par la Secrétaire à l’Énergie Jennifer Granholm, une menteuse notoire. Je ne lui ferais pas confiance pour me donner l’heure exacte.

C’est une goule de premier ordre, avec un visage couvert d’énormes verrues, qu’elle a fait effacer sur cette photo. Juste pour info.

La deuxième raison pour laquelle je n’y crois pas, c’est le timing. Ils ont désespérément besoin de gros titres positifs en ce moment, pour contrebalancer tous les négatifs. La science officielle est en chute libre à cause de cette même corruption et de décennies de mensonges colossaux et de vols du Trésor public. L’aube de 2023 marque la fin d’une longue série d’implosions très apparentes, notamment la fraude Apollo, la fraude de la navette spatiale, la fraude des atterrissages sur Mars, les fraudes de SpaceX, la fraude de Blue Origin, la fraude de Higgs, la fraude de BICEP, la fraude de LIGO et, actuellement, la fraude du cycle solaire, dans laquelle l’Air Force falsifie les données de base du Soleil. Et ce ne sont là que neuf exemples sur des milliers.

La troisième raison pour laquelle je n’y crois pas est que tout ça émane de Lawrence Livermore et du Ministère de l’Énergie, en conjonction avec le Ministère de la Défense. Tous trois sont connus pour être de vastes gouffres à pognon, qui siphonnent des trillions de recettes fiscales pour des projets fantômes. Du néant. Des millions ont été dépensés pour cette recherche sur la fusion et ce financement va désormais exploser dans les années à venir. Comme le programme spatial, le programme nucléaire n’est que de l’argent jeté par les fenêtres. C’est une vaste conjuration, une conspiration criminelle de premier ordre.

La quatrième raison pour laquelle je n’y crois pas est que cela ne fait que dix mois que le JET (Joint European Torus – le plus grand réacteur de fusion du monde) a annoncé une grande avancée dans la fusion, en produisant un processus de cinq secondes et 59MJ. Ils ont créé une température de 150 millions de °C, soit exactement la moitié de la température que les Américains revendiquent maintenant. Alors comment avons-nous pu surclasser le « plus grand réacteur de fusion du monde » en seulement 10 mois? Plus important encore, le JET a admis en février dernier être loin de la surunité, en injectant environ trois fois plus d’énergie qu’il n’en a retiré. Mais l’élément important de cette annonce était la promotion d’ITER, le gigantesque réacteur de fusion français pour lequel ils ont dépensé des milliards et qui, affirme-t-on, produira 10 surunités. C’est le but de tout cela, voyez-vous: encore des projets de pillage du Trésor public, avec des milliards de dollars de vos impôts alloués à ces faux projets où on tire au laser et où on déclare n’importe quoi.

La cinquième raison pour laquelle je n’y crois pas est qu’il est très difficile d’obtenir la moindre information sur le processus employé ici. Toutes les annonces ne sont que du brassage de vent, et je n’ai pas pu trouver de lien vers un seul article. Dans les quelques « explications scientifiques » présentées, tout ce que j’ai pu trouver, c’est qu’ils opéraient une fusion vers de l’hélium5, ce qui est très improbable. Il vous suffit d’aller sur Wikipedia, où vous trouverez qu’ils ont créé de grands isotopes d’hélium depuis longtemps sans jamais aucune revendication d’énergie positive dans leur désintégration. Et, fait révélateur, ils n’ont pas créé d’hélium5. Les héliums 6 et 8 sont les plus courants, et ils ne sont pas vraiment fusionnés, car ils sont constitués d’un halo. Un halo signifie que les baryons supplémentaires ne sont pas pris en sandwich dans le noyau, mais orbitent autour de lui.

La sixième raison pour laquelle je n’y crois pas est qu’il n’y a pratiquement aucun moyen de vérifier cette découverte, puisqu’ils affirment avoir créé une température de 300 millions de degrés Celsius avec des lasers. Très peu d’endroits autres que Lawrence Livermore peuvent créer ces conditions, et tous ces endroits appartiennent également au gouvernement. Il n’y a donc aucun moyen de confirmer cette découverte de manière indépendante. Un autre problème est que, bien qu’ils affirment que la température a recréé les conditions d’une étoile, les étoiles ne sont en réalité pas aussi chaudes. Le centre du Soleil est estimé à 15 millions de degrés, par exemple, et jusqu’à récemment, tous les sites scientifiques admettaient que nous ne pouvions pas créer cette température. Mais nous pouvons tout à coup créer une température 20 fois plus élevée?

La septième raison pour laquelle je n’y crois pas est un petit calcul mathématique. Le gain net d’énergie était à peu près suffisant pour faire bouillir 8 litres d’eau, alors que la source d’énergie était constituée de 192 lasers à haute énergie concentrés sur un « grain de poivre », créant 300 millions de degrés C. Combien de litres d’eau pourrait-on faire bouillir avec toute cette énergie? Je ne sais pas, mais de l’ordre d’un million, je suppose. Donc la production fractionnée était si faible qu’elle serait en dessous des marges d’erreur de mesure. En d’autres termes, tout ceci pourrait n’être que résiduel. Du bruit.

La huitième raison pour laquelle je n’y crois pas est qu’on ne s’attendrait pas à tomber sur une méthode que la Nature n’utilise pas. La Nature étant censée être très efficace, on s’attendrait à ce que nos laboratoires imitent la méthode de la Nature, non à ce qu’ils visent une méthode exotique nécessitant davantage d’apport d’énergie. Les étoiles n’opèrent pas de fusion en commençant par du deutérium et du tritium, bien qu’elles en disposent. Pourquoi pas, si elles peuvent plus facilement parvenir à la fusion de cette manière? On me dira que c’est parce que ça nécessite des températures plus élevées que celles que les étoiles peuvent atteindre, mais cela a-t-il un sens? Cela impliquerait que nous sommes plus puissants et inventifs que les étoiles, n’est-ce pas, il faut vraiment avoir envie d’y croire. Non, si nous pouvons gérer 300 millions de degrés, nous pouvons en gérer 15 millions, alors pourquoi ne pas opérer de fusion comme le fait le Soleil? On me dira que dans le cas du Soleil la pression joue un rôle, mais la densité du Soleil est bien moindre qu’ici. Le Soleil est un plasma, rappelez-vous, une sorte de gaz chaud ou de semi-liquide. Alors comment créerait-il une telle pression supplémentaire? Même en supposant que le noyau solaire soit plus dense, il ne serait pas des millions de fois plus dense. Nous sommes en fait capables de créer des pressions bien supérieures à celles que le noyau solaire est censé avoir, alors pourquoi ne pas le faire? Non, rien de tout ça n’a le moindre sens, comme d’habitude.

La neuvième raison pour laquelle je n’y crois pas est que je ne crois pas que la fusion soit au départ un événement sur-unitaire. Ce qui voudrait dire qu’il est impossible pour nous de fusionner, par définition. La fission est sur-unitaire puisque l’énergie est stockée dans le noyau. Lorsque les étoiles créent des noyaux, elles créent des flux ou des chemins de charge qui enferment les baryons dans une architecture spécifique. Cette architecture est une énergie stockée, de sorte que lorsqu’elle est brisée, l’énergie qui l’a créée est libérée. Mais ce n’est pas le cas de la fusion. La fusion et la fission sont des processus opposés, et on ne peut pas stocker de l’énergie dans les deux sens. C’est une contradiction dans les termes. Lorsque le Soleil opère une fusion, l’énergie « créée » n’est pas libérée d’une architecture stockée. Elle n’est pas « créée » du tout. En bref, le Soleil reçoit une charge provenant du noyau galactique, qu’il recycle à travers son corps en utilisant le spin [rotation], en l’attirant aux pôles et en la libérant à l’équateur. Lorsque cette charge traverse son corps, tout ce qui se trouve dans le Soleil est mis en spin. Pas seulement le Soleil dans son ensemble, mais toutes les particules du Soleil. Au fur et à mesure de leur spin, elles accumulent de nouveaux spins, les photons étant transformés en leptons et en baryons. Ces particules entrent ensuite en collision et s’organisent en d’autres spins, ce qui nous donne tous les éléments. Mais pour ce faire, il faut une perte d’énergie. Une partie de l’énergie du champ de charge est stockée dans ces chemins de charge, de sorte qu’il y a en fait moins d’énergie qui sort du Soleil que ce qu’il y entre. Ou encore, l’énergie est conservée, comme c’est toujours le cas, mais l’énergie de la charge disponible diminue, puisqu’une partie de celle-ci est retenue dans le noyau. Donc, dans ce sens, le Soleil dans son ensemble est un dispositif sous-unitaire. La fusion ne semble être sur-unitaire que parce que nous mesurons l’énorme énergie qui sort du Soleil et ignorons l’énorme énergie qui y entre.

Comme vous pouvez le constater, j’espère, cette analyse détruit totalement la possibilité de la fusion comme producteur d’énergie ici sur Terre, qu’elle soit chaude ou froide. La fusion verrouille nécessairement une partie de l’énergie entrante dans l’architecture nucléaire, ce qui en fait pour nous, par définition, un événement sous-unitaire.

Vous direz: « Non, l’énergie provient de la fission ultérieure, puisque l’hélium5 se décompose spontanément ». Mais ça ne peut pas fonctionner car l’hélium5 se désintègre en hélium4 et en un neutron. Nos blocs de construction étaient le deutérium et le tritium, et le tritium est déjà radioactif ou enclin à se désintégrer, donc son énergie n’est pas bien stockée. Et la désintégration de l’hélium5 ne devrait produire presque aucune énergie elle-même, puisque le neutron n’était pas lié au départ. Aucune énergie n’a été liée dans ce lien. Le neutron n’était pas lié, il était simplement plaqué là temporairement, sans créer de lien. La rupture de la liaison ne devrait donc créer pratiquement aucune énergie. Le résultat de la désintégration de l’hélium4 a beaucoup d’énergie stockée dans ses liaisons, bien plus que le deutérium et le tritium combinés, donc il ne peut y avoir d’énergie ici.

Pour voir cela d’une autre manière, rappelez-vous que le tritium se désintègre également en libérant ce neutron supplémentaire, tout comme l’hélium5. Mais comme le tritium est plus stable que l’hélium5, le neutron est davantage lié au tritium. Autrement dit, il y avait plus d’énergie disponible à partir de la fission du tritium que celle de l’hélium5, donc transformer le tritium en hélium5 ne nous aidera pas, n’est-ce pas? Nous aurions dû obtenir plus d’énergie dans la fission du tritium lors de cette perte de neutron qu’avec l’hélium5.

On me dira que le tritium « se désintègre » en hélium 3, mais ce n’est pas le type de fission spontanée dont je parle. En fait, le terme « désintégration » est mal choisi, n’est-ce pas? Le tritium ne peut pas se désintégrer en hélium, puisque ce serait une chose plus petite qui se désintégrerait en une chose plus grande. Oui, le tritium est susceptible de se transformer en hélium dans notre environnement, mais cela n’a rien à voir avec le type de désintégration que l’on observe avec l’uranium ou le plutonium. L’uranium se désintègre en noyaux plus petits comme le baryum et le krypton. Donc, encore une fois, nous ne devrions pas utiliser le mot désintégration dans les deux sens. C’est très confus, je suppose que c’est volontaire. Le tritium ne se désintègre pas en hélium et ne libère pas d’électrons, puisque cette équation ne s’équilibre pas:

[voir l’équation dans le document original]

Comme je l’ai déjà montré, le tritium ne libère pas d’électron, il est frappé par un positron. Son neutron le plus exposé et le moins lié est frappé par un positron, et dans le choc, les deux particules sont inversées. Le positron devient un électron et retrace le chemin du positron vers l’extérieur, expliquant pourquoi nous avons manqué sa trace. Seul le spin externe du neutron s’inverse, et il devient un proton. Donc, encore une fois, comme pour la désintégration bêta, aucune désintégration n’est impliquée avec le tritium.

Pour obtenir de l’énergie de l’hélium5 en fission, il faudrait que ses liaisons centrales soient rompues et qu’il se désintègre en quelque chose d’encore plus simple que le deutérium et le tritium. Par exemple, si l’on nous disait que l’hélium5 se décompose spontanément en cinq baryons, je pourrais croire cette annonce. Mais en l’état actuel des choses, cette annonce est complètement illogique du simple point de vue de la construction de base.


Texte original

Why I Don’t Believe the Fusion Announcement

by Miles Mathis

First published December 22, 2022

The first reason I don’t believe it is that I don’t believe any claims coming out of the mainstream right now, science or otherwise. We are living through a time of utter and complete corruption, and people will say anything for funding. I have shown you hundreds of recents examples of extravagant fraud, so we would have to be fools to believe anything we are being told. The government announcement was made by Energy Secretary Jennifer Granholm, a notorious liar. I wouldn’t trust her to tell me the correct time.

She is a major ghoul, with a face covered in huge moles, which she had removed from that photo. Just so you know.

The second reason I don’t believe it is the timing. They are desperately in need of positive headlines right now, to counter-balance all the negative ones. Mainstream science is in an absolute freefall due to that very same corruption and decades of huge lies and thefts from the treasury. As we approach 2023, we are at the end of a long line of very conspicuous implosions, including the Apollo fraud, the Space Shuttle Fraud, the Mars landings fraud, the SpaceX frauds, the Blue Origin fraud, the Higgs fraud, the BICEP fraud, the LIGO fraud, and currently the Solar Cycle fraud, in which the Air Force is falsifying basic data from the Sun. And those are just nine examples of literally thousands.

The third reason I don’t believe it is that this is coming out of Lawrence Livermore and the Department of Energy, in conjunction with the Department of Defense. All three are known to be vast money pits, stealing trillions in taxes for phantoms. Nothings. Millions have been spent on this fusion research and now that funding will balloon over the coming years. As with the space program, the nuclear program is all money down the drain. It is a vast conjob, a criminal conspiracy of the first order.

The fourth reason I don’t believe it is that it has only been ten months since JET (Joint European Torus—the world’s largest fusion reactor) announced a big breakthrough in fusion, obtaining a process of five seconds and 59MJ. They created a temperature of 150 million C, exactly half the temperature the Americans are now claiming. So how did we outdo the “world’s largest fusion reactor” in just 10 months? Even more to the point, JET admitted last February that they were nowhere near over-unity, putting roughly three times the energy in as they got out. But the important thing in that announcement was the promotion of ITER, the gigantic French fusion reactor they have spent billions on, which—it is claimed—will produce 10X overunity. That is what this is all about, you see: more suck-from-the-treasury projects, with billions of your taxdollars going to these fake projects where they fire lasers and make wild claims.

The fifth reason I don’t believe it is that it is very difficult to get any information about the process here. All the announcements are just horntooting, and I couldn’t even find a link to a paper. In the few “explanations of the science” involved here, all I was able to find was that they were fusing into Helium5, which is very unlikely. All you have to do is go to Wikipedia, where you will find that they have been creating big isotopes of Helium for a long time without any claim of positive energy out in the decay. And, tellingly, they haven’t been creating Helium5. Helium6 and 8 are the most common, and those aren’t really fused, being made of a halo. A halo means the extra baryons aren’t sandwiched in the nucleus, but are orbiting it.

The sixth reason I don’t believe it is that there is almost no way to check this discovery, since they are claiming they created a temperature of 300 million C with lasers. Very few places other than Lawrence Livermore can create those conditions, and all those places are also government owned. So there is no way to independently confirm any of this. Also a problem is that although they say that temperature recreated conditions in a star, stars are not actually anything like that hot. The center of the Sun is thought to be 15 million degrees, for instance, and until recently all science sites were admitting we couldn’t create that temperature. But suddenly we can create a temperature 20 times hotter?

The seventh reason I don’t believe it is doing a little math. The net gain in energy was about enough to boil 2 gallons of water, while the source of energy was 192 high energy lasers focused on one “peppercorn”, creating 300 million degrees C. How many gallons of water could you boil with all that energy? I don’t know, but on the order of a million, I would guess. So the fractional output was so low it would fall beneath margins of error in measurement. In others words, this could all just be residue. Buzz.

The eighth reason I don’t believe it that you would not expect us to trip on some method Nature wasn’t using. Nature is supposed to be very efficient, so you would expect our labs to mimic Nature’s method, not aim for some exotic method that required more input energy. Stars don’t fuse by starting with deuterium and tritium, though they have it available. Why not, if they can fuse in this way more easily? I will be told that it is because it requires higher temperatures than stars can manage, but does that make any sense? That would imply that we are more powerful and inventive than stars, doesn’t it, which does take some believing. No, if we can manage 300 million degrees, we can manage 15 million, so why not fuse as the Sun does? I will be told that the Sun also uses pressure, but the density of the Sun is much less than here. The Sun is a plasma, remember, a sort of hot gas or semi-liquid. So how does it create all that extra pressure? Even assuming the Solar core is denser, it would not be millions of times denser. We can actually create pressures far above what the Solar core is thought to have, so why not do it? No, none of this makes any sense, as usual.

The ninth reason I don’t believe it is that I don’t believe fusion is an over-unity event to start with. Which would mean it is impossible for us to fuse, by definition. Fission is over-unity since energy isstored in the nucleus. When stars create nuclei, they create charge streams or paths that lock baryons together in a specific architecture. That architecture is stored energy, so that when it is broken, the energy to create it is released. But that isn’t true of fusion. Fusion and fission are opposite processes, and you cannot store energy in both directions. It is a contradiction in terms. When the Sun fuses, the energy “created” isn’t released from some stored architecture. It isn’t “created” at all. In short, the Sun takes in charge coming to it from the Galactic Core, recycling that charge through its body using spin, pulling it in at the poles and releasing it on the equator. As that charge passes through its body, everything in the Sun is spun up. Not just the Sun as a whole, but all particles in the Sun. As they are spun up, they stack on more spins, with photons being spun up into leptons and baryons. Those particles then collide and arrange in further spin-ups, giving us all the elements. But to do that requires an energy loss. Some of the energy of the charge field is stored in those charge paths, so there is actually less energy coming out of the Sun than going in. Or, energy is conserved, as it always is, but available charge energy decreases, since some of it is tied up in the nucleus. So in this sense, the Sun as a whole is an under-unity device. Fusion only seems to be over-unity since we measure the huge energy coming out of the Sun and ignore the huge energy coming in.

As I hope you can see, that analysis totally destroys the possibility of fusion as an energy producer here on Earth, either hot or cold. Fusion necessarily locks some of the incoming energy into the nuclear architecture, making it an under-unity event for us by definition.

You will say, “No, the energy is from the subsequent fission, since Helium5 breaks down spontaneously”. But that can’t work because Helium5 decays into Helium4 and a neutron. Our building blocks were Deuterium and Tritium, and Tritium is already radioactive or prone to decay, so its energy is not well-stored. And the decay of Helium5 should produce almost no energy itself, since the neutron was never bound to start with. No energy was bound in that link. The neutron wasn’t bound, it was just sort of pressed in there temporarily, without creating a bond. So breaking the bond should create almost no energy. The decay result Helium4 has a lot of energy stored in its bonds, far more than Deuterium and Tritium combined, so there can be no energy out here.

To see that in another way, remember that Tritium also decays by releasing that extra neutron, just like Helium5. But since Tritium is more stable than Helium5, the neutron was bound more with Tritium. Meaning, there was more energy available from fission with Tritium than Helium5, so turning Tritium into Helium5 won’t help us, will it? We should have gotten more energy in fission from Tritium in that neutron loss than from Helium5.

I will be told Tritium “decays” into Helium3, but that isn’t the sort of spontaneous fission I am talking about. In fact, “decay” is a misnomer there isn’t it? Tritium can’t decay into Helium, since that would be a smaller thing decaying into a larger thing. Yes, Tritium is prone to become Helium in our environment, but that has nothing to do with the sort of decay we see with Uranium or Plutonium. Uranium decays into smaller nuclei like Barium and Krypton. So, again, we shouldn’t use the word decay in both directions. It is highly confusing, I assume on purpose. Tritium doesn’t decay into Helium and release an electron, since that equation doesn’t balance:

[see equation in original document]

As I have shown before, Tritium doesn’t release an electron, it is hit by a positron. Its most exposedand least bound neutron is hit by a positron, and in the hit both particles are flipped. The positron becomes an electron and retraces the path of the positron out—explaining why we missed its track. Only the outer spin of the neutron flips, and it becomes a proton. So, again, as with beta decay, no decay is involved with Tritium.

To get any energy from Helium 5 in fission, its central bonds would have to be broken, with it decaying into something even simpler than Deuterium and Tritium. For instance, if we were told Helium5 spontaneously decayed into five baryons, I might believe this announcement. But as it is, the announcement is completely illogical just as a matter of basic construction.

Gain de fonction ou gain de pureté?

Cette courte absence m’a permis de consacrer beaucoup de temps libre à lire un paquet d’articles. Je reviens avec quelques infos et analyses intéressantes, en commençant par ceci.

On a beaucoup parlé du gain de fonction dans le cadre de la pathogénicité du SARS-CoV-2, sans vraiment définir ce qu’est le gain de fonction. Ce sujet a récemment été abordé par Jonathan Jay Couey, neurobiologiste et membre fondateur de DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Team Investigating Covid-19), qu’il a quitté depuis. Extrait d’un article du Sun du 2 mars 2021:

« DRASTIC est une équipe indépendante de scientifiques, d’analystes et d’enquêteurs qui se sont réunis pour enquêter sur les origines de Covid-19. Leurs travaux ont été cités dans le New York Post, le Washington Post, le Telegraph, le Mail on Sunday et sur Sky News en Australie. Bon nombre de ses membres ont choisi de rester anonymes afin de se protéger d’éventuelles représailles et de pouvoir mener des recherches potentiellement controversées sans que leur carrière en pâtisse. Il s’agirait de spécialistes de l’ingénierie, des mathématiques, de la biologie, du renseignement et des données de sources ouvertes, qui se sont rencontrés sur Twitter. »

Le site web de Couey est ici. Son exposé sur le gain de pureté est ici, suivi d’une analyse de la conférence zoom organisée par Robert F Kennedy Jr, à laquelle il a participé aux côtés de Meryl Nass, Jessica Rose, Tess Lawrie (noms familiers à mes lecteurs) et Robert Malone, dont il décrypte le discours très ambigu – ce que j’ai commencé ici.

Couey rassemble sur son site des interviews qu’il fait de médecins et autres professionnels de la santé et de la recherche, dont le Dr Walter Chestnut (Substack et site web), déjà publié sur ce blog, et Kevin McKernan (Substack), biologiste spécialisé dans la bio-ingénierie, fondateur de Medicinal Genomics, qui étudie rien moins que la génomique du cannabis.

Katherine Watt (ses articles traduits ici et ici) parle ici de la session zoom entre Couey et Matthew Crawford, que vous connaissez de cet article. C’est moi qui souligne:

Des informations très, très intéressantes.

Ceci correspond à l’analyse globale selon laquelle l' »épidémie » et tout ce qui en découle font partie d’une gigantesque fraude.

JJ Couey ne dit pas que la fraude serait le fait que les virus eux-mêmes n’existent pas.

La fraude réside dans le fait que les virus naturels, même s’ils sont manipulés et recombinés en laboratoire par des individus comme Ralph Baric, ne sont pas capables de provoquer des pandémies mondiales, en raison de leur diversité génétique intrinsèque, de la coévolution de nos systèmes immunitaires avec eux et de la manière dont ces deux éléments affectent leur capacité de réplication in vivo.

Les épidémies naturelles s’épuisent trop rapidement, après avoir infecté trop peu de personnes.

Mais les virus synthétiques purifiés en laboratoire, distribués artificiellement et sélectionnés pour leur capacité de réplication, peuvent être présentés au monde comme des virus naturels ou recombinants.

Et cette fraude, dont l’objectif est de créer la peur, pouvait être et a été la justification des masques, des tests, des confinements, des essais cliniques truqués, des campagnes de vaccination de masse par injection létale, des décrets, de la destruction économique, de la centralisation du pouvoir et de la concentration des financements.

[Le tout] partant du principe frauduleux que les pandémies virales constituent une menace véritable pour l’humanité [et] que les gouvernements peuvent et doivent exercer des pouvoirs insensés et investir d’énormes ressources financières dans les entreprises pharmaceutiques – en particulier les produits à base de nanoparticules d’ARNm/lipides – pour tenter de les contrôler.

Continuer de présenter cette fraude au public comme une vérité permet de poursuivre les dissimulations, les campagnes de diversion et autres guerres de l’information.

Pour ce que ça vaut, je vois les Malone (Robert et Jill) d’une manière différente de celle de Crawford. Je pense qu’ils sont des acteurs conscients et volontaires de cette opération criminelle.

Je ne pense pas qu’ils soient des participants réticents pour qui le jeu a soudainement dérapé, et qui cherchent maintenant des moyens de se désengager et de s’expliquer sans violer les termes de leurs autorisations de sécurité du Département de la Défense.

Cependant, ce n’est que mon opinion. Basée sur l’habileté du Dr Malone à éviter de se compromettre, et sur son étrange adhésion à l’image publicitaire de l’Homme-le-plus-intéressant [NdT. ce lien renvoie vers un article de Sage Hana qui taille un costard au Dr Malone, que je rhabillerai pour l’hiver dans un prochain article].

Pour bien comprendre ce qui précède, je vais tenter de résumer succintement quelques points de la présentation susmentionnée de Couey. Comme le fait Katherine Watt ci-dessus, je les replace dans le contexte des événements, ce qui amène logiquement aux questions qu’elle soulève, et aussi à une autre, qu’apparemment personne ne pense à poser.

Juste pour rappel, au début de la « pandémie », certains médecins s’étonnaient de l’étrange distribution de la maladie. Les « viro-sceptiques » y voyaient même la confirmation d’une autre cause, non-virale. Arthur Firstenberg a écrit un bouquin qui donnait comme cause unique du Covid la pollution électromagnétique ambiante générée par la nouvelle génération d’ondes millimétriques – en bref, la 5g. D’autres pointaient l’oxyde de graphène (supposément contenu dans des vaccins anti-grippaux antérieurs), associé à ce même genre d’ondes, comme cause des symptômes du Covid, et comme cause des effets « secondaires » des injections. D’autres enfin, comme le Dr Andrew Kauffman, niaient purement et simplement l’existence du virus, qu’ils identifiaient comme exosomes, et attribuaient les symptômes du Covid à leur hypothèse favorite, la « détoxification ». J’ai déjà traité de ces voies de garage ici.

Ce pseudo-débat a récemment repris un peu d’ampleur sur Substack. De nombreux scientifiques assez pointus, dont je traduis et re-publie ici certains articles, ont assez vite clos le débat par des arguments solides et très documentés sur les divers mécanismes de la pathologie du SARS-CoV-2. L’hypothèse aujourd’hui dominante, longtemps diabolisée, est que le SARS-CoV-2 – la souche dite « de Wuhan » – est issu d’une manipulation en laboratoire, un « gain de fonction » qui l’a rendu plus virulent – et plus mortel – pour l’être humain par rapport à un coronavirus « sauvage ».

Couey pose donc la question: qu’est-ce exactement qu’un gain de fonction? Je résume ce qu’il en dit dans son exposé. Il existe quatre méthodes de gain de fonction, dont trois – passage animal, culture cellulaire, récolte de virus sauvage – sont relativement aléatoires et n’offrent aucune garantie de résultat. La méthode de gain de fonction la plus aboutie est de travailler directement sur le virus. C’est cette méthode qui a vraisemblablement été utilisée pour la fabrication du SARS-CoV-2.

Il est en fait assez facile de créer des copies identiques de virus ARN in silico – appelées « clones » synthétiques – par un procédé employé dans les laboratoires de biologie moléculaire. On utilise pour les répliquer une méthode dite de l’ADN circulaire. Les virus ARN sont d’abord découpés en brins, qui correspondent à des fonctions distinctes du virus et sont conçus pour s’ajuster ensuite comme des pièces de puzzle – la pièce 2 ne s’ajuste qu’avec la pièce 1 et 3, la pièce 3 qu’avec la 2 et 4, etc. On utilise ensuite de l’ADN bactérien pour répliquer ces pièces, qui seront ensuite récoltées par filtration et ré-assemblées par ligation pour former des clones complets. On peut ainsi en fabriquer de grandes quantités et, contrairement à la réplication in vivo, quasiment sans aucune erreur dans le processus, grâce à la stabilité inhérente à l’ADN reproducteur. En plus d’un gain de fonction, on a donc ainsi créé ce que Couey appelle un « gain de pureté ».

Le SARS-CoV-2 est un virus ARN à simple brin qui utilise dans une population humaine l’ADN de l’hôte pour se reproduire. Lors de cette reproduction in vivo, contrairement à ce qui se passe en laboratoire, se produisent de nombreuses erreurs de réplication. Le résultat est qu’un grand nombre devient inapte à causer des symptômes, voire à se répliquer à nouveau – ce sont des virus à réplication défective ou à défaut de réplication. Le résultat est donc une masse de virus dont seule une fraction est identique au modèle de départ. Ils sont désignés par le terme « quasi-espèce » (quasi-species). Lorsqu’ils infectent un hôte, ils constituent un « essaim viral » (swarm), dont seul un petit pourcentage est virulent. C’est donc, pour ainsi dire, un premier mécanisme naturel de contrôle des épidémies.

Un autre mécanisme expliqué par Couey et repris par Katherine Watt ci-dessus, est que les hôtes qui développent une infection létale meurent avant d’avoir pu contaminer d’autres personnes. Qu’il y ait décès ou non, l’état général des infectés est de toute manière suffisamment mauvais pour qu’ils se retirent eux-mêmes très tôt de la circulation – à noter que le Dr Meryl Nass donne plusieurs contre-exemples de ce schéma lors de la susdite conférence zoom. Le virus en circulation s’éteint ensuite purement et simplement, faute d’hôtes. Pour cette raison, les virus à fort taux de létalité sont de très mauvais candidats pour créer une pandémie. Couey cite une fuite de laboratoire antérieure qui a suivi ce schéma (8 000 contaminations, 800 morts, fin de l’épidémie).

Depuis cette présentation, pour une raison qui m’échappe, Couey a succombé à une explication simpliste de la pandémie, rapportée ici avec enthousiasme par Michael Senger, un opposant contrôlé avec un bouquin à vendre sur la culpabilité de la Chine, sujet répété ad nauseam, sur lequel je reviens plus bas avec un point de vue assez différent. Couey pense aujourd’hui qu’il n’y aurait eu aucun nouveau pathogène et que la pandémie ne serait le fait que d’une simple manipulation statistique. Par conséquent, je ne parlerai plus de JJ Couey à l’avenir, pour les mêmes raisons qui me font abandonner tous ceux dont le raisonnement « plafonne » – ou dévie de manière suspecte. Je peux vous assurer avec 100% de certitude, de ma propre expérience et de celle de centaines de personnes dont j’ai lu le témoignage (dont celui-ci) que sa conclusion est fausse. C’est bien un nouveau pathogène, qui provoque un nouveau train de symptômes, aussi étrange qu’épouvantable.

En ce qui concerne la possibilité que ce virus se diffuse et crée une pandémie malgré cet inhérent défaut de réplication, Kevin McKernan donne une réponse – qui ne convainc pas tout le monde – sur cette page ainsi que dans ses commentaires sur cette page:

Mon interprétation de son podcast était qu’un clone infectieux ne durerait pas longtemps dans un essaim…

Je pense qu’il peut durer suffisamment longtemps pour faire le tour du globe comme l’a fait Alpha.

Il est rejoint sur ce point par le Dr Brian Mowrey, autre auteur très prolifique sur Substack, aux publications très fouillées et documentées. En résumé, son angle est de laisser toutes les options sur la table, ce qui donne parfois l’impression qu’il tente de noyer le poisson – c’est quelqu’un d’intéressant mais je lui fais très moyennement confiance. Il retrace une histoire hautement suspecte de la polio, vu ce qu’on en sait maintenant. Il conteste la date d’apparition du VRS, et donc son origine iatrogéne – le vaccin anti-poliomyélitique. Il continue encore aujourd’hui avec obstination à enquêter sur l’origine naturelle ou synthétique du virus. Pour le sujet qui nous intéresse dans cet article, il estime, contrairement à ce que comprend Couey, que la rémanence de certaines souches plaide plutôt en faveur d’un mécanisme de stabilité du génome viral et par conséquent – ça devient intéressant – il ne croit pas beaucoup à l’émergence spontanée de variants (il l’explique ici, ici et ici) et laisse ainsi la porte ouverte à une possibilité de diffusions volontaires et multiples de clones, à commencer par l’original. Pour des raisons techniques qu’il développe en détail, il soupçonne un acteur autre que la Chine ou les Etats-Unis. Il explique à ce propos, qu’il n’y a pas eu de pandémie à proprement parler mais un ensemble de foyers épidémiques distincts, hypothèse partagée par plusieurs autres médecins, notamment le Dr Lee Merritt, qui colle assez bien avec cette distribution étrange.

Voici la question, dont je parlais au début: vu que la souche originale de Wuhan, dont on comprend mieux les différents modes d’action, était manifestement dangereuse, vu que c’est chez les personnes injectées, qui produisent la protéine de pointe de cette souche précise, que l’on voit aujourd’hui des morts subites (SADS, voir ici), vu que les vidéos émanant de Chine début 2020 montraient un genre similaire de mort subite, ces vidéos, jugées frauduleuses, étaient-elles en fait authentiques? Montraient-elles les conséquences d’une diffusion d’arme biologique létale? Dans l’affirmative, ce fait donnerait un tout autre sens à la politique extrême de zéro Covid du PCC. Les Chinois savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas – par exemple, les effets à long terme de la contamination au SARS-CoV-2?

J’ai à publier sur ces effets quelques articles du susmentionné Dr Chestnut, qui montrent que les personnes contaminées par le virus, l’injection et/ou l’excrétion vaccinale de personnes injectées, si on ne trouve aucun traitement adéquat, n’éliminent jamais cette protéine de pointe, qui continue à causer silencieusement des dégâts irréversibles aux organes, au système sanguin et au système immunitaire. Nous verrons donc une dépopulation, d’abord par les morts à court et moyen terme et la stérilisation, suivie par une réduction de l’espérance de vie au niveau global. L’arme parfaite. Le type qui a inventé ça est un génie.

Technocratique ou non, il semble que l’élite compte pour instaurer son système un rétablissement de l’ancien cadre féodal, ou du moins de la notion qu’ils en ont. En recréant l’exode rural par les « villes intelligentes », en recréant la disette alimentaire par la suppression de protéines animales essentielles, le rationnement et la pénurie permanente, en recréant l’indigence avec la ruine économique et l’appauvrissement institutionnel que permettront revenu universel et monnaie digitale programmable des banques centrales, en recréant le sacrifice patriotique par les sanctions contre la Russie, en recréant les anciens cultes par un système de croyances « vertes » et en recréant le spectre des grandes épidémies par une arme biologique destructice de la résistance humaine.

Les médecins sont redevenus de dangereux charlatans, les hôpitaux des mouroirs surchargés. Les gens ont froid, les gens ont faim. La misère et la peur du lendemain sont de retour.

Le Nouveau Normal n’a vraiment rien de nouveau.

Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent – par le Brownstone Institute.

Je vous propose quelques articles qui passent en revue des personnalités du monde médical, en commençant par le plus tristement célèbre. On trouve quelques répétitions inutiles dans celui-ci, et il oublie de mentionner les millions de morts causés par les « mesures ». Il y a d’autres articles que je publierais (conditionnel) si j’avais plus de temps mais il se passe pas mal de choses en ce moment.

Fauci inaugure une nouvelle tactique après l’amnistie pandémique: l’amnésie pandémique.

Source.


Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent

Brownstone Institute

22 novembre 2022

Aucune transcription n’est encore disponible et aucun journaliste n’a été admis. Mais grâce aux procureurs généraux qui ont intenté le procès, aux plaignants et à leur avocat, ainsi qu’aux autres parties impliquées dans le procès contre l’administration Biden, nous disposons de quelques informations sur la déposition d’Anthony « Je suis la Science » Fauci. Ce dernier a été la figure de proue de la réponse à la pandémie et il est accusé de collusion avec Big Tech pour faire taire la dissidence, en violation du Premier Amendement. 

La question de savoir si la déposition devait être publique a elle-même fait l’objet d’un débat juridiques. Le Ministère de la Justice a fait opposition à la publication de tout enregistrement et de toute information personnelle identifiable par crainte de harcèlement public, et cette exigence a été satisfaite. En conséquence, on ne dispose pas (encore) de transcription et on sent une grande réticence, même de la part des personnes présentes, à révéler l’intégralité des propos tenus. Les grands médias nationaux n’ont montré aucune volonté de s’intéresser à pour cette affaire. 

On dispose néanmoins d’informations par le biais de tweets sans ambigüité et d’un article rédigé par l’un des plaignants. Le fait marquant majeur est que Fauci est atteint d’un sévère cas d’amnésie. Le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, a rapporté que pendant sept heures, Fauci a essentiellement éludé toute question précise, répondant qu’il ne se rappelait pas clairement les détails qui pouvaient mettre en lumière son implication dans la censure de la parole. 

« Wow! Ça a été stupéfiant de passer 7 heures avec le Dr Fauci. L’homme qui, à lui seul, a détruit l’économie américaine en s’appuyant sur ‘la science’. Tout ça pour découvrir qu’il ne se souvient pratiquement de rien concernant sa réponse au Covid! »

Et ce, malgré les centaines de pages et les nombreuses déclarations publiques qui semblent confirmer que la Maison Blanche et de nombreuses agences gouvernementales ont collaboré très étroitement avec Google, Facebook, Twitter et d’autres, pour contrôler le récit durant près de deux ans. Une collaboration qui perdure probablement encore aujourd’hui. 

C’est Eric Schmitt, Procureur Général du Missouri et à présent Sénateur élu, qui a intenté le procès aux côtés du Procureur Général de Louisiane. Schmitt a tweeté « quelques éléments à retenir de la déposition de Fauci: Fauci savait que la théorie de la fuite du laboratoire était fondée, mais comme elle risquait de lui être reprochée, il a immédiatement cherché à la discréditer; il a défendu les mesures de confinement; le commun des mortels n’est pas en mesure de déterminer la meilleure solution pour lui-même. »

Il écrit également: « Au cours de la déposition de Fauci cette semaine, la sténographe a éternué. Fauci a exigé qu’elle porte un masque. Voilà, en novembre 2022, la mentalité de l’homme qui a verrouillé notre pays et détruit un nombre incalculable de vies et de moyens de subsistance. Les experts ont fait pareil. La dissidence a été censurée. En Amérique. Plus jamais ça ».

Le plaignant Aaron Kheritary, Chercheur Principal et Associé de Brownstone, explique ce qui suit:

MISE À JOUR: extrait de la déposition d’hier de Fauci dans l’affaire MO contre Biden. Fauci a confirmé avoir envoyé en février 2020 Clifford Lane, son adjoint au NIAID, en tant que représentant américain pour la délégation de l’OMS en Chine. Lane a convaincu Fauci que nous devrions imiter les mesures de confinement de la Chine. 

Le PCC avait annoncé que la Chine avait maîtrisé le virus grâce à des mesures de confinement draconiennes – une affirmation que l’on sait maintenant mensongère. Compte tenu de l’habitude de la Chine de falsifier les informations, Lane et Fauci auraient dû faire preuve de scepticisme face à cette affirmation. Les confinements constituaient une pratique totalement expérimentale et inédite. 

Comme l’a dit notre avocat, @Leftylockdowns1, Fauci « était apparemment prêt à baser son plaidoyer en faveur du confinement sur les observations d’un seul homme s’appuyant sur les rapports d’un dictateur ». Ce n’est pas exactement le niveau de preuve d’un essai randomisé en double aveugle, ni un quelconque niveau de preuve. 

Quelques jours après le retour de Lane, l’OMS a publié son rapport faisant l’éloge de la stratégie de la Chine: « L’utilisation intransigeante et rigoureuse par la Chine de mesures non pharmaceutiques [confinement] pour contenir la transmission du virus COVID-19 dans de multiples contextes offre des leçons essentielles pour une réponse mondiale ». 

« Cette réponse de santé publique plutôt unique et inédite de la Chine a permis d’inverser la progression des cas », affirme le rapport. Mon collègue @jeffreyatucker du @brownstoneinst a donné un aperçu ironique du rapport ému de l’OMS: « J’ai eu une vision du futur, et c’est Wuhan. » 

Le confinement s’est rapidement diffusé de la Chine vers l’Occident, vu qu’un nombre troublant d’apologistes occidentaux, en plus de l’OMS, se sont également penchés sur la réponse au covid du Parti Communiste Chinois. 

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont emboité le pas au confinement de l’Italie, qui avait suivi la Chine, et tous les pays du monde, hormis une poignée, ont immédiatement suivi notre exemple. Quelques semaines plus tard, le monde entier était confiné. 

Depuis le début, la base factuelle de cette catastrophe politique mondiale était très mince. Nous vivons maintenant les conséquences de cette catastrophe. 

Jim Hoft, de Gateway Pundit, a ajouté des citations directes de Fauci confirmant pleinement le rapport de Brownstone sur le voyage éclair des NIH en Chine en février 2020:

John Sauer, « Et M. Lane, au retour de ce voyage, a dit que la gestion des Chinois était très structurée, organisée; exact?.. Avez-vous discuté avec M. Lane de ses impressions sur ce voyage lorsqu’il est revenu du voyage de l’OMS ? »

Dr Fauci: « La réponse est oui… Le Dr Lane a été très impressionné par la façon dont, du point de vue de la santé publique clinique, les Chinois géraient l’isolement, la recherche des contacts, la construction d’installations pour soigner les gens, et je pense que c’est ce qu’il voulait dire en parlant de [leur] gestion très structurée et organisée. »

Sauer: « Il a donc tiré la conclusion qu’il pourrait être nécessaire de prendre des mesures extrêmes, selon ses termes, pour imposer une distanciation sociale afin de maîtriser l’épidémie; exact? »

Fauci: « C’est ce que cela implique, oui… Il a discuté avec moi du fait que les Chinois avaient adopté une méthode très organisée pour tenter de contenir la propagation à Wuhan et ailleurs. Il n’a pas eu l’occasion d’aller à Wuhan, mais il était à Pékin, et je crois dans d’autres villes – au moins à Pékin – et il a mentionné leur manière très organisée, bien réglée de gérer l’épidémie.

Sauer: « Et donc sa réaction a été plutôt positive. Y a-t-il des leçons à tirer pour les États-Unis dans leur réponse à l’épidémie? »

Fauci: « Je crois que le Dr Lane est arrivé à la conclusion que, lorsqu’on est confronté à une maladie respiratoire fortement répandue, un moyen très courant et efficace de freiner la propagation rapide de la maladie est de mettre en œuvre des mesures de distanciation sociale… Le Dr Lane est un clinicien très avisé, et j’ai toutes les raisons de croire que son évaluation de la situation était précise et correcte. »

Pour être clair, ce que Fauci décrit ici, c’est une réponse politique qui consistait à souder les portes des appartements des gens et à exercer un contrôle totalitaire sur leurs déplacements, comme mise en œuvre « très organisée » et « bien réglée » de « mesures de distanciation sociale ».

Réfléchissez à ça. 

Hoft a fourni en outre les observations les plus détaillées à ce jour. Je cite ici l’intégralité de son rapport: 

  • Fauci est un menteur habile. Comme nous l’avons constaté depuis des mois dans ses commentaires publics, il ment quand il sent qu’il peut s’en tirer ou quand il sent qu’il n’y aura pas de conséquences significatives.
  • Fauci a fréquemment menti, à moins et jusqu’à ce qu’il soit confronté à des faits alternatifs. Par exemple, il a prétendu qu’il ne connaissait pas Ralph Baric (créateur du virus COVID) ou Peter Daszak (qui a négocié la subvention du NIAID de Fauci au laboratoire de biologie chinois de Wuhan), jusqu’à ce qu’il soit confronté à la preuve que son propre chef de cabinet lui a envoyé un courriel mentionnant que Daszak et Baric faisaient partie de l’équipe de Fauci!
  • Fauci a prétendu qu’il n’avait pas connaissance que son équipe de communication ne se coordonnait pas avec les entreprises de médias sociaux pour empêcher la « mal-information et la désinformation » jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il avait effectivement connaissance de certains cas de coordination.
  • Fauci a continué à faire valoir l’affirmation, aujourd’hui démentie, selon laquelle le COVID-19 était un virus d’origine naturelle.
  • Fauci a déclaré que la désinformation et la mal-information (les informations avec lesquelles il n’est pas d’accord) mettent des vies en danger.
  • Fauci a refusé de donner une définition de la recherche sur le « gain de fonction », affirmant que ce terme était trop large pour être défini.
  • FAIT AMUSANT: jusqu’à TRÈS récemment, la fille de Fauci travaillait pour Twitter.
  • FAIT AMUSANT: Fauci est un hypocondriaque. Dans un moment bizarre et surprenant de sa déposition, Fauci a déchargé une partie de sa frustration sur la pauvre sténographe. La sténographe qui transcrivait la déposition a éternué, et Fauci a interrompu la déposition et a réprimandé la sténographe: « C’EST QUOI VOTRE PROBLÈME? Vous souffrez d’une maladie respiratoire parce qu’à l’ère du COVID, je suis inquiet à l’idée d’être près de vous. » Sténographe: « Je ne suis pas malade, j’ai juste des allergies. Mais je peux porter un masque. » Fauci: « Ok. Merci, parce que ce que je ne veux surtout pas, c’est attraper le COVID. » [NdT. ce qui précède semble indiquer/confirmer que Fauci est un véritable psychopathe) (à noter que (1) Fauci lui-même n’a porté de masque à aucun moment de la déposition, et (2) il était apparemment assis à plusieurs mètres de la journaliste judiciaire).
  • FAIT AMUSANT: lors d’un autre spasme d’hypocondrie de Fauci, Fauci a ostensiblement fait une moue répobatrice au procureur général de la Louisiane Jeff Landry après que Landry ait éternué dans la veste de son costume.
  • Stratégie de jeu. Chaque fois qu’il aborde un sujet difficile, il refuse malhonnêtement de définir les termes clés afin d’éviter d’être coincé et de devoir rendre des comptes. Par exemple, lorsqu’il a abordé le sujet de la recherche sur le « gain de fonction », il a refusé de reconnaître la signification de ce terme, objectant qu’il s’agissait d’un terme si large qu’il ne pouvait être défini.
  • Fauci a affirmé à plusieurs reprises qu’il « ne se rappelait pas » ou « n’arrivait pas à se souvenir », et a tenté de soutenir ces déclarations invraisemblables en faisant valoir le grand volume de courriels qu’il recevait ou les questions ou études qui atterrissaient sur son bureau. La quasi-totalité de ces affirmations n’est tout simplement pas crédible, car les incidents en question étaient soit récents, soit survenus au cours des trois dernières années, et ils étaient tous porteurs d’une forte connotation politique.
  • L’autre méthode de mensonge de Fauci consistait simplement à prétendre qu’il ne comprenait pas quelque chose, en espérant que l’avocat qui posait la question ne pourrait pas le prendre en défaut. Par exemple, il a manifestement menti à un moment donné lorsqu’il a prétendu ne pas savoir ce qu’était Meta (société mère de Facebook), jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il savait en fait ce qu’était Meta.
  • Autre tactique de Fauci: lorsqu’il était forcé d’admettre qu’il avait fait une communication ou examiné un document clé à un moment clé, ou qu’il connaissait ou travaillait avec un individu clé, il essayait de minimiser chaque fait négatif en (1) minimisant l’importance de la communication, (2) suggérant que bien qu’il ait examiné le document clé, il ne l’a pas vraiment lu attentivement, ou (3) suggérant, avec une fausse humilité, qu’il n’était pas un expert dans le domaine X et qu’il ne comprenait donc pas pleinement l’étude scientifique en question, ou (4) affirmant que, bien qu’il « connaissait » la personne en question, il ne la connaissait pas vraiment bien car il rencontrait de nombreux médecins et scientifiques dans le cadre de son travail.
  • Autre tactique de tromperie de Fauci: jeter ses subordonnés par-dessus bord. Fauci est un champion de la survie dans le milieu de la bureaucratie. L’une des façons dont il a survécu aussi longtemps est de ne s’attribuer que le mérite des victoires et de rejeter les pertes sur ses infortunés subordonnés. Cette tendance s’est poursuivie lors de sa déposition, dans laquelle il a effrontément affirmé que, bien qu’il soit à la tête du NIAID et de son budget de 6 milliards de dollars, il n’a jamais eu connaissance de ce que ses subordonnés directs faisaient juste sous son nez. Fauci est disposé à rendre des comptes, tant qu’il a un subordonné à sacrifier.
  • Fauci a affirmé que l’hydroxychloroquine était « dangereuse » et avait des effets secondaires « toxiques »… Fauci a affirmé que l’HCQ était inefficace dans le traitement du COVID, mais n’a pas pu citer une seule étude pour étayer son affirmation. Fauci a également rejeté la liste des 371 études sur l’HCQ et son efficacité dans le traitement de la maladie lorsqu’on lui a présenté cette liste.
  • Fauci a admis avoir menti au public. Dans l’un des moments les plus étonnants de sa déposition, Fauci a admis qu’il avait sciemment fait de fausses déclarations de santé publique au début de la pandémie, en déconseillant aux gens d’utiliser des masques afin de les dissuader d’épuiser les stocks de masques.
  • Fauci a admis qu’il tenait ses idées de confinement de la Chine Communiste qui a mis en place ses confinements extrêmes en janvier 2020.

Jenin Younes, avocat des plaignants qui travaille avec la New Civil Liberties Alliance, a écrit sur Twitter: « Une de mes citations préférées de la déposition de Fauci aujourd’hui:  » Mon travail quotidien est très prenant, je dirige un institut de six milliards de dollars. Je n’ai pas le temps de me préoccuper de choses comme la Déclaration de Great Barrington. »

Gardez à l’esprit que nous disposons des archives complètes des courriels, dans lesquels Fauci s’attribue le mérite de s’être « prononcé très fermement et publiquement contre la Déclaration de Great Barrington« . 

En conclusion, nous avons ici un compte rendu révélateur de l’étonnant témoignage de Fauci, qui n’est choquant, pour ceux qui ont suivi cette affaire de près depuis le tout début, que parce qu’il confirme le degré de trahison que nous soupçonnions depuis longtemps d’être à la source de toute cette histoire de confinement aux États-Unis. Nous avons également eu confirmation que l’expression « distanciation sociale » n’est rien d’autre qu’un euphémisme désignant une attaque massive à la chinoise contre tout ce que nous appelions autrefois en Occident la liberté. 

Le Grand Pardon aura-t-il lieu?

On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.

Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.

Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?

Bon, ça c’est fait.

Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:

Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:

Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais).
Alors que faire?
Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui.
On peut le faire sans honte.

Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!

[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».

De Igor:

Nous savons intuitivement que quelque chose s’est très mal passé.

Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.

Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!

Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.

Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.

Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.


Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.

Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.

Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.

« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »

En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »

Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.

Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.

Quel cadre?

Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.

A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.

Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.

Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.

Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.

On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.


Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?

A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.

Alors, pourquoi?

J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.

Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.

Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…


Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.

Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agendafélicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.

Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?

[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.

Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.

Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.

La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.

Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.

Ok, réfléchissons deux minutes.

Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.

Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.

Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.

Parlons maintenant des hasards.

Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjà levé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?

Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?

Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?

Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .

Vous nous prenez vraiment pour des gosses!


Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en 1997:

[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.


Et on termine en musique.

Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain
Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger
Je vois que vous êtes très bien nourris
Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Le prochain truc que je vous dirai sera vrai
Le dernier truc que je vous ai dit était faux
Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire

Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre
Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez
Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter
Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Assez parlé!

DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh

Assez parlé!

Miel, argent et fruits de mer – par Ron Tuohimaa.

Avant de continuer la série sur le climat de John Dee, un court article d’un nouvel auteur sur ce blog, moins didactique mais tout aussi instructif. Merci, Ron.

Source.


Miel, argent et fruits de mer

Ron Tuohimaa

25 octobre

L’image suivante a fait la tournée de Facebook plus que je ne l’ai fait quand j’étais jeune dans les tavernes des diverses municipalités du Nord de l’Ontario.

MALHEUREUSEMENT, 97% DES UTILISATEURS DE FACEBOOK NE REPOSTERONT PAS CECI, MAIS…
7 espèces d’abeilles ont été ajoutées à la liste des espèces menacées. Si les abeilles disparaissent, les fraises, les avocats, le café disparaitront.
Ce problème vous concerne et ceci est votre signal d’alarme.

Je doute fort que beaucoup de participants à Facebook aient effectué des recherches sur sa légitimité avant de la publier. Et bien, je peux vous dire que ce qu’elle dit est vrai – mais, avec ô combien d’omissions et de déductions tendancieuses.

Ceux qui liront cette publication penseront pourtant immédiatement que c’est à coup sûr le changement climatique induit par l’homme qui en est la cause. Ce n’est certainement pas le World Wildlife Fund qui leur expliquera toute l’histoire ou qui y ajoutera les faits ou les détails manquants – ils se contenteront d’agrandir le bouton « Faire un don » sur leur site Web.

En réalité, ces sept espèces d’abeilles sont toutes des abeilles à face jaune et toutes vivent exclusivement à Hawaï. La raison de leur déclin est, en effet, le fait de l’homme – la destruction de leur habitat dû à l’urbanisation, les animaux non indigènes, en particulier le bétail, l’introduction d’espèces végétales étrangères et la transplantation de prédateurs non indigènes.

L’article suivant, dont le lien figure ici, traite de la réduction de la population de crabes des neiges dans les mers de Béring, de Beaufort et des Tchouktches. La saison du crabe des neiges vient tout juste d’être annulée pour la première fois.

Puisque les prophéties et prédictions sur le changement climatique ont toutes lamentablement échoué, les journalistes catastrophistes se sont mis à utiliser des mots plus ambigus comme: probablement, sans doute, vraisemblablement, peut-être ou possiblement. Voilà le genre de vocabulaire auquel on peut désormais s’attendre de la part de ceux qui voudraient rendre le changement climatique responsable du déclin de la population des crabes des neiges ou qui affirment d’autres choses très discutables.

Bien qu’ils mentionnent d’autres facteurs, les médias alarmistes tels que Bloomberg veillent à mettre l’accent sur le fait que le changement climatique est le coupable « le plus probable ». Comme nous le savons, dans les océans du monde entier, à l’exception des phases océaniques naturelles, la prédation est quasiment toujours la cause de la réduction de tous les produits de la mer.

Hypocritement, comme le raconte l’article en lien, un auteur du Anchorage Daily News avait évoqué plus tôt cette année le déclin des crabes des neiges et avait alors cité la surpêche comme en étant la cause, mais il est depuis monté à bord du catamaran du changement climatique.

El Niño et La Niña sont les phases chaudes et froides, respectivement, d’un phénomène naturel récurrent de changement climatique dans l’océan Pacifique. Les tribus indigènes d’il y a plusieurs siècles évaluaient ces conditions et y recouraient pour déterminer où se trouvaient les meilleures zones de pêche, tant en termes de nombre que de taille. Dans l’article en question, les scientifiques mettent en garde contre une exceptionnelle troisième année consécutive de La Niña. Nous pourrions donc avoir droit à une nouvelle histoire de crabe des neiges l’année prochaine, mais cette fois encore, elle sera imputée au changement climatique que provoque le comportement humain irresponsable.

Au milieu de l’année 2020, CNN, grand défenseur du climat, avait publié une histoire similaire à propos du saumon. Cependant, lorsque la nature revient à la normale, on relègue tout simplement ces histoires aux oubliettes et aucune excuse n’est jamais donnée.

Le changement climatique est devenu le coupable tout trouvé de tous les maux et événements naturels. Quoiqu’il se produise dans la nature ou l’environnement, que ce soit vrai ou non, les politiciens de gauche qui les évaluent en attribuent la responsabilité à un changement climatique causé par l’homme.

Comme on peut le constater, la clé de tout le système de mise en oeuvre des politiques progressistes sur les questions liées au changement climatique et de toutes les autres stratégies idéologiques repose avant tout sur des médias complaisants et complices. Après tout, la couverture médiatique est la source principale de toute information publique.

Pannes.

ATTENTION, JE ME SUIS PLANTÉ EN NE LISANT QUE LE RÉSUMÉ DE L’ARTICLE SUR L’OMICRON S QUI FIGURAIT SUR LA PRÉSENTE PAGE!
JE PUBLIE ICI UN ARTICLE QUI CORRIGE CETTE MÉPRISE.

Désolé, j’ai eu une panne d’Internet.

J’ai aussi eu une panne d’inspiration, juste après.

J’ai un paquet de notes pour quelques articles en préparation, qui n’attendent qu’à être rédigés. Avant de m’y mettre, j’ai sorti le chien et j’ai vu la rue principale du village totalement envahie par les voitures des gens qui remplissent les restaurants du coin. J’ai vu leurs têtes, leur regard éteint qui donne sur leur cerveau absent, et je me suis demandé, « A quoi bon? »

J’ai néanmoins passé la soirée et une partie de la nuit à chercher ce qui pourrait bien les réveiller. Mais rien de nouveau, le programme suit tranquillement son cours. Quelques âmes courageuses dénoncent, interpellent, publient, filment, intentent, etc. Je les relaye ici, je tente de séparer le bon grain de l’ivraie et de pointer directement le coeur du sujet, dans le chaos informationnel ambiant.

Mon épouse me dit que ses collègues commencent à s’inquiéter.

Commencent.

Juste parce que leur facture énergie a subitement augmenté.

Je me disais que ce serait donc une idée de faire le point, d’être plus simple et concis, et de m’adresser à ceux qui commencent à s’inquiéter. Pas ceux qui ont déjà compris, les autres. Qu’ils commencent à s’inquiéter de la pénurie énergétique, de la guerre Russie/Ukraine qui n’en finit pas, des effets secondaires des injections, de la pénurie de main d’oeuvre, des problèmes de réseaux de distribution, d’agriculture, d’inflation, de possible guerre civile, de recrudescence de la violence urbaine, de vagues d’immigration démentielles, des dangers de la géoingénierie.

Je pourrais donc faire le point – simple et concis – sur tous ces sujets et emballer le tout en quelques phrases. La crise énergétique sert à parachever la destruction des entreprises. Elle a été fabriquée de toute pièce par la fermeture des centrales nucléaires et par la guerre en Ukraine, volontairement menée de manière à durer le plus longtemps possible, et à démanteler ce pays. L’objectif des injections est de réduire l’espérance de vie de la majorité des populations et d’expérimenter la technologie de l’Internet des Corps. Les réseaux de distribution, volontairement sabotés depuis le Covid, le sont aujourd’hui par les coûts des transports. L’agriculture industrielle, qui se relevait tant bien que mal des mesures Covid est volontairement détruite par la pénurie d’engrais – justifiée par la pénurie énergétique – par la guerre, et la persécution des agriculteurs. L’inflation, entièrement fabriquée pour camoufler le pillage complet de l’argent public, est volontairement aggravée pour détruire ce qui reste de l’économie occidentale, après quoi le seul choix donné sera celui des monnaies digitales des banques centrales. Le chaos sociétal à venir provoquera un niveau de violence impossible à imaginer, que la présence de populations immigrées servira à parachever. Si la modification des couches atmosphériques par géoingénierie se poursuit au rythme actuel, entamé en 2010, toute vie pourrait disparaître sur Terre d’ici cinq ans.

Mais à part le chapitre géoingénierie, que j’aborderai, j’ai déjà expliqué tout ça en long et en large.


Note: j’ai supprimé la fin de l’article, qui contenait l’erreur expliquée ici.

La Grande Démission – par Miles Mathis.

C’est extrait d’un papier sur le fake de Latunski. Miles y taille un costard à la CIA (qui en a vraisemblablement écrit le scénario) et en profite pour rhabiller aussi l’ensemble du narratif. C’est évidemment écrit pour les Etats-Unis mais vous y trouverez des points communs avec l’Europe, où il paraît qu’on manque de main d’oeuvre.

Exceptionnellement, j’ai inclus le texte original à la fin – ce que j’avais dit que je ne ferai plus – juste parce que c’est du Miles, donc bien écrit.

Source.


Traduction

La moitié du pays a déjà quitté son emploi ou est sur le point de le faire, voir la Grande Démission, dont même le TIME a admis l’existence l’été dernier (en 2021) et qui a pris de l’ampleur depuis. Et la plupart de ceux qui travaillent encore ne font que tourner en rond, démissionnant sans démissionner. Intéressant, car c’est ce à quoi j’ai appelé il y a plusieurs années: une grève générale. Tout arrêter. Eh bien, apparemment, les masses m’ont entendu, soit par mon site, soit dans leurs rêves, puisque c’est en train de se produire. Même Wiki admet que les économistes du gouvernement appellent ça une grève générale, et c’était déjà en cours avant que le Covid n’arrive. Le Covid l’a juste accéléré.

Alors comment peuvent-ils continuer à prétendre que le chômage est de 3,7% ? Est-ce que ça a le moindre sens? Non, parce que leur définition du chômage est « à la recherche d’un emploi », ce qui n’inclut donc pas ceux qui ont démissionné et qui sont en grève, consciemment ou non. Ni la Grande Démission ni la grève générale n’apparaissent dans les statistiques du chômage, ce qui est absurde. La définition du chômage devrait être « sans emploi », celle du dictionnaire. Quel est donc le pourcentage de personnes aptes au travail (qui accepteraient un bon emploi dans une société équitable) qui sont au chômage en ce moment? Je dirais au moins un tiers, mais personne ne le sait car personne n’essaie de le calculer. Les économistes veulent vous cacher la réponse, le gouvernement veut vous cacher la réponse, et même la presse alternative veut vous cacher la réponse, puisqu’elle est aussi une façade de la CIA. Ils nous disent qu’environ 159 millions de personnes ont actuellement un emploi, mais ce n’est pas crédible puisqu’ils nous disent que ce chiffre a augmenté de 3% depuis 2019. Il est impossible que ce soit vrai, car si c’était vrai, nous ne serions pas en pleine Grande Démission. Par définition, il ne peut y avoir une Grande Démission et une augmentation de l’emploi en même temps. Sauf si la population augmente rapidement, ce qui n’est pas le cas. Comme on ne nous donne que des chiffres bidon, il est difficile d’estimer quoi que ce soit, mais étant donné qu’environ 63% des Américains ont entre 18 et 65 ans, il est possible d’obtenir un chiffre approximatif. Ce qui nous donne environ 208 millions de personnes sur le marché du travail potentiel, mais à ça il faut soustraire ceux qui ne peuvent pas travailler ou qui n’en ont pas besoin. Ce sont les personnes handicapées et les riches, mais la plupart des riches veulent travailler et ont un emploi. Il y a environ 40 millions de personnes handicapées dans ce groupe, mais seule une partie d’entre elles est empêchée de fournir un travail. Le gouvernement nous dit que seuls 10% des handicapés sont au chômage, mais ça n’a pas de sens non plus, alors on va l’ignorer. Disons qu’un quart d’entre eux le sont, et soustrayons 10 millions de notre nombre, ce qui nous donne 198 millions. Soustrayons encore 4 millions de riches qui ne veulent pas travailler et n’en ont pas besoin, ce qui nous donne 194 millions. Si 150 millions de ceux-ci sont effectivement employés, ça ne nous donne pas un taux de chômage de 3,7 %, mais de 23%. Et même ce chiffre est probablement trop bas, puisqu’on peut supposer qu’il n’y a déjà pas au départ 150 millions de personnes employées. Ce chiffre semble tout aussi truqué que les autres, et on peut supposer que le gouvernement l’a maintenu artificiellement élevé depuis le début, mais surtout au cours des dernières décennies. Tout comme il ne peut pas avoir augmenté depuis 2019, il ne pouvait pas non plus avoir augmenté avant 2019, puisque Wikipedia admet que la Grande Démission représente une tendance depuis 2010 [NdT. sur la version anglaise seulement et pas une tendance mais un potentiel, Miles]. Or, nous sommes censés croire que le nombre de personnes employées en 2010 était d’environ 140 millions. Donc là encore, une Grande Démission en même temps qu’une hausse du nombre des actifs occupés. Impossible. Ils nous disent que nous avons gagné 19 millions d’employés au cours des 12 dernières années, soit une augmentation de 13,5% alors que la population augmentait de 7,5%. Encore une fois, impossible, étant donné la Grande Démission. Donc si l’emploi réel est, disons, de 130 millions, quel est le taux d’emploi actuel? 33%. C’est à peu près ce que j’avais deviné.

Quoi qu’il en soit, nous avons vu que cette grève générale n’a pas épargné l’armée, nous pouvons donc supposer qu’elle n’a pas épargné les communautés du Renseignement. L’armée a été littéralement décimée par les démissions, les retraites et l’absence de recrutement [NdT. et les renvois des rétifs aux injections], ce qui signifie que la CIA l’a probablement été aussi. Aucune personne dotée d’un peu de dignité ne voudrait s’impliquer dans le Nouvel Ordre Mondial, à quelque niveau que ce soit. Personne ne veut travailler pour Sauron ou Palpatine. Ce qui explique pourquoi les nouveaux événements bidon sont si mal foutus. Ils ne tromperaient pas un enfant de dix ans, et les scénaristes se contrefichent qu’ils soient truffés d’incohérences. En fait, ils veulent que vous remarquiez les incohérences, c’est leur façon de torpiller leurs patrons sans que ça soit trop évident. Ils pourront toujours prétendre plus tard qu’ils étaient incompétents. « C’était les vaccins, patron, je n’étais pas fonctionnel à 100%! »

Ce qui indique que la CIA est dans le même état de débâcle que le reste du pays. Il y a longtemps qu’elle tombe en morceaux, mais maintenant elle s’effondre littéralement sous nos yeux, en tentant de nous vendre le pitoyable spectacle de clowns auquel nous sommes habitués chaque fois que nous regardons les informations. Et nous n’avons pas à nous inquiéter qu’une CIA faible soit absorbée par le DHS [NdT. Département de la Sécurité Intérieure], puisque le DHS est encore pire. Comme mon père avait l’habitude de dire, ils ne seraient pas foutus de vider une botte pleine de pisse avec le mode d’emploi écrit sur le talon. Vous n’avez pas à vous inquiéter de la Troisième Guerre mondiale, non seulement parce qu’il n’y a pas d’armes nucléaires [NdT. ici] et que la Russie n’est pas notre ennemi, mais aussi parce que les gouvernements du monde entier sont tous en train de s’effondrer. Ils n’arrivent même pas à gérer cette fausse escarmouche frontalière hollywoodienne en Ukraine, alors une guerre mondiale est hors de question. La Russie est depuis longtemps dans une situation bien pire que la nôtre, rappelez-vous, et même la fausse menace de mobilisation de Poutine a fait fuir des centaines de milliers de jeunes hommes dans les collines et au-delà des frontières. Ce serait encore pire ici, et une mobilisation conduirait immédiatement à une mutinerie de masse. Personne n’a envie de faire la guerre en ce moment, donc tout devrait être réalisé en images de synthèse. Aucun vrai soldat ne se présenterait, que ce soit en Europe, en Russie [NdT. on propose aux détenus de supprimer leur peine moyennant incorporation à l’armée privée Wagner – étrange, non?] ou aux États-Unis. Les producteurs de ce théâtre le savent, c’est pourquoi ils se rabattent sur la seule chose qui leur reste, ou qu’ils pensent leur rester: le fear porn, la pornographie de la peur. Ils essaient de vous mener à la baguette, comme un âne qui refuse de bouger, en vous montrant un barrage constant de champignons atomiques et de vidéos d’un Poutine bluffeur vous assurant qu’il ne bluffe pas. C’est pathétique, et vous savez que tout est faux puisque ça fuse de tous les côtés à la fois, de Tucker Carlson et Alex Jones [NdT. costard taillé à Alex Jones ici et ici] autant que de CNN ou du New York Times. Des champignons atomiques qu’on vous enfonce dans la gorge 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Des alertes de missiles entrants empruntées à WarGames, où Ally Sheedy et Matthew Broderick ont été coupés au montage, mais où l’ordinateur WOPR (whopper) est resté pour être sûr que vous fassiez un arrêt au Burger King.

Ce qui nous rappelle pourquoi ils ont tourné ce film en 1983: non seulement pour vendre des hamburgers, mais aussi pour vendre l’idée d’une guerre nucléaire, et pour maintenir au maximum le niveau de peur des années 50 en 1983 et au-delà, jusqu’à aujourd’hui. Ensuite, ce seront de champignons bidon sur vos cartons de lait, sur les bus municipaux et sur les bâtiments publics. Les pilules d’iode, les messages d’intérêt public sur la façon de se mettre à couvert et les exercices d’alerte à la bombe dans les écoles ne tarderont pas à arriver. Ils ne peuvent pas vous faire subir une vraie guerre, alors ils vous feront subir des exercices permanents, des avertissements et des alertes. Ils n’arrivent plus à gérer le monde réel, alors ils vous plongeront dans un monde factice et vous feront jouer dans leur pièce de théâtre à rallonge, comme ils le font depuis des décennies.


Texte original

Half the country has already quit their jobs or are about to, see the Great Resignation, which even TIME admitted was a real thing last summer (of 2021) and which has gotten bigger since then. And most of those still working are just spinning their wheels, quitting without quitting. Interesting, because I called for this several years ago: a general strike. Shut it down. Well, apparently the masses heard me, either from my site or through their dreams, since it is happening. Even Wiki admits government economists are calling it a general strike, and it was under way before Covid hit. Covid just accelerated it.

So how can they continue to claim unemployment is 3.7%? Does that make any sense? No, because they define unemployed as “looking for work”, so it doesn’t include those who quit and who are striking, either consciously or unconsciously. Neither the Great Resignation nor the general strike show up in unemployment statistics, which is insane. Unemployment should be defined as “not employed”, and according to the dictionary it is. So what percentage of the employable (they would take a good job in a fair society) are unemployed right now? I would guess at least a third, but no one knows because no one is trying to calculate that. Economists don’t want you to know the answer, the government doesn’t want you to know the answer, and even the alternative press doesn’t want you to know the answer, because the alternative press is also a CIA front. They tell us around 159 million people are currently employed, but that isn’t believable since they tell us the number has gone up 3% since 2019. There is no chance that is true, since if it were true we wouldn’t be in the middle of a Great Resignation. You can’t have a Great Resignation and an increase in employment at the same time, by definition. Unless population is rising quickly and it isn’t. Since we are getting nothing but fake numbers, it is hard to estimate anything, but given that about 63% of the US is between 18 and 65, we can get a ballpark number. That gives us about 208 million in the potential workforce, but we have to subtract out those who can’t work or don’t need to. That would be the disabled and rich, but most rich people do want to work and do have jobs. About 40 million people in that group are disabled, but only a portion are prevented from doing all work. The government tells us only 10% of the disabled are unemployed, but that also makes no sense so we will ignore it. Let’s say a quarter are, and subtract 10 million from our number, giving us 198 million. We will subtract another 4 million rich folks who don’t want to work and don’t need to, giving us 194 million. If 150 million of those are actually employed, that gives us not a 3.7% unemployment, it gives us 23% unemployment. And even that is probably too low, since we may assume there aren’t 150 million people employed to start with. That number looks just as fudged as any of the others, and we may assume the government has kept it artificially high all along, but especially in recent decades. Just as it can’t have increased since 2019, it couldn’t have increased before 2019, either, since Wikipedia admits the Great Resignation has been a trend since 2010. And yet we are supposed to believe the number of employed in 2010 was about 140 million. So again, a Great Resignation at the same time as a rise in employed. Impossible. They tell us we have gained 19 million employed in the past 12 years, a 13.5% increase while population was increasing by 7.5%. Again, impossible, given a Great Resignation. So if real employment is 130 million, say, what is the rate of employment now? 33%. Just about what I guessed.

Anyway, we have seen that this general strike has not skipped the military, so we may assume it has not skipped the Intel communities. The military has been decimated by quits, retirements, and failure to recruit, which means CIA probably has, too. No one with any self respect would be involved in the New World Order, on any level. No one wants to work for Sauron or Palpatine. Which explains why the new fake events are so shoddy. They wouldn’t fool a ten-year-old, and the writers don’t care if they are full of holes. They actually want you to see the holes, since it is their way of torpedoing their bosses without being too obvious about it. They can always claim they were just incompetent later. “It was the vaccines, boss—I wasn’t fully functional!”

Which is all indication the CIA is in just as big a disarray as the rest of the country. It has long been coming apart at the seams, but now it is crumbling before our eyes, giving us the clownworld shitshow we have come to expect everytime we turn on the news. And we don’t have to worry about a weak CIA being gobbled up by DHS, since DHS is even worse. As my Dad use to say, they couldn’t poor piss out of a boot with the instructions written on the heel. You don’t have to worry about WWIII, not only because there are no nukes and Russia isn’t our enemy, but because the governments of the world are all in the process of collapse. They can’t even manage this fake Hollywood border skirmish in Ukraine, so a World War is out of the question. Russia has long been far worse off than we are, remember, and even Putin’s fake threat of a call up has sent hundreds of thousands of young men into the hills and over the borders. It would be even worse here, and a mobilization would lead immediately to mass mutiny. No one has any stomach for war right now, so it would all have to be done CGI. No real soldiers anywhere would show up for it, in Europe, Russia, or the US. The theater directors know that, which is why they are falling back on the only thing they still have, or think they have: fear porn. They are trying to get you off dead center, like a donkey refusing to move, by showing you a constant barrage of mushroom clouds and videos of a bluffing Putin assuring you he is not bluffing. It is pathetic, and you know it all fake since it is coming equally from all sides, Tucker Carlson and Alex Jones as much as CNN or the New York Times. Mushroom clouds shoved down your throat 24/7. Incoming missile alerts borrowed from WarGames, with Ally Sheedy and Matthew Broderick edited out, but with the WOPR (whopper) computer left in to be sure you stop by Burger King.

Which reminds us why they made that movie back in 1983: not only to sell burgers, but to sell the whole idea of nuclear war, and to keep 1950s fear levels high into 1983 and beyond, up to the present time. Next it will be fake mushroom clouds on your milk cartons and city busses and public buildings. The iodine pills and duck-and-cover PSAs and school bomb drills are just around the corner. They can’t soak you with a real war, so they will soak you with constant drills and warnings and alerts. They can’t manage a real world anymore, so they will dunk you in a fake one and move you along with a long-term theater project—as they already have been doing for decades

Interview de Alexandra Latypova au Comité Corona (traduction).

Vu l’importance et la qualité des informations contenues dans cette interview, j’ai mis en attente tous mes articles en préparation pour me consacrer à sa transcription complète (texte ici) et à sa traduction ci-dessous, qui m’ont pris plus de vingt heures. Je remercie évidemment Alexandra Latypova pour son travail précieux et considérable, le Comité Corona pour lui avoir donné la parole, Sage Hana pour l’avoir mentionnée sur son Substack et tout particulièrement mon épouse pour l’incroyable patience dont elle a fait preuve pendant que j’étais accaparé par cette tâche.

Pour plus de clarté, j’ai inclus dans le texte une capture des diapositives PowerPoint présentées lors de l’interview. Je n’ai pas traduit le texte qui y figure puisqu’il est expliqué dans le texte juste en-dessous par Mme Latypova.

Addendum 27/10: le document en fichier pdf est consultable ou téléchargeable ci-dessous.

Je vous remercie de le lire et de bien vouloir le diffuser. Je vous rappelle que je ne suis présent nulle part sur les réseaux sociaux, que je ne fais aucune promotion de ce blog (non-monétisé) et que je dépens entièrement de mes lecteurs pour que ce genre de travail soit utile à d’autres.

NOTE 08/02/23: il y a d’autres articles de Sasha sur ce blog ici, ici et ici.

Source de la vidéo. Source de la session complète.


Viviane Fischer: Nous avons une nouvelle invitée. Il s’agit de Mme Alexandra Latypova. Elle a longtemps travaillé comme cadre dans l’industrie pharmaceutique. Bonjour.

Alexandra Latypova: Bonjour à tous.

Viviane Fischer: Bonjour, ravie de vous recevoir. Ce serait bien que vous vous présentiez un peu. Quelles sont les points les plus importants de votre carrière que vous aimeriez partager avec notre public?

Alexandra Latypova: Mon expérience professionnelle est dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutiques. J’ai travaillé pendant environ 25 ans dans ce secteur, à différents postes. Au début, j’ai fait de l’analyse de données, puis j’ai travaillé dans le domaine des essais cliniques et des technologies qui sont utilisées dans les essais cliniques pour évaluer divers médicaments, comme les technologies d’imagerie, l’électrophysiologie et de nombreuses autres techniques. J’ai cofondé plusieurs organismes de recherche clinique. Ce sont des entreprises sous-traitantes des sociétés pharmaceutiques, qui travaillent dans le domaine des essais cliniques. J’ai ainsi travaillé pour environ 60 sociétés pharmaceutiques dans le monde entier, principalement aux États-Unis et en Europe, mais aussi en Asie. Pfizer a été mon client et a été, en fait, mon investisseur à deux reprises. Nous avons travaillé en collaboration en matière de R&D sur les technologies susceptibles d’être utilisées dans les essais cliniques. J’ai également travaillé directement avec la FDA dans le domaine des évaluations de la sécurité cardiovasculaire et j’ai participé aux consortiums industriels de la FDA sur les méthodologies d’évaluation de la sécurité cardiovasculaire dans la recherche clinique et préclinique. J’ai pris ma retraite de l’industrie il y a quelques années et je ne travaillais plus lorsque l’arnaque Covid est arrivée. Je m’en suis tout de suite inquiétée quand j’ai compris que ça se passait très mal, que les pratiques et les politiques mises en place n’avaient aucun sens. J’ai entrepris d’examiner la situation de plus près. J’ai d’abord analysé les données du VAERS du CDC, parce qu’elles sont accessibles au public, et ensuite, jusqu’à ce jour, j’ai travaillé sur divers documents rendus disponibles par des actions en justice relatives à la liberté d’information. J’examine ces documents et je collabore avec divers groupes pour tenter de leur fournir une expertise et une interprétation du contenu de ces documents afin que diverses actions puissent être entreprises par le public et par les cabinets d’avocats.

Viviane Fischer: Vous avez donc manifestement beaucoup d’expérience dans ce domaine. Ce qui en ressort, c’est que de votre point de vue, toutes les mesures de protection et les réglementations précédemment en vigueur, sur lesquelles le public s’est appuyé pendant des années – et dont il présumait qu’elles continueraient à être mises en œuvre – ont été fondamentalement supprimées. Pourriez-vous peut-être nous en dire plus à ce sujet?

Alexandra Latypova: Voilà le plus gros mensonge sur ces prétendus vaccins. Ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont même pas des produits pharmaceutiques, ce que j’expliquerai dans ma présentation. Voilà le mensonge qui nous a été vendu au niveau mondial, à savoir que c’est un médicament, mais ce n’est pas un médicament. Et lorsqu’on a dit au public qu’il s’agissait d’un médicament, d’un vaccin, tout le monde s’est attendu à ce que toutes les garanties auxquelles nous sommes habitués en matière de médicaments soient en place, mais ça n’a pas été le cas. En fait, ces garanties ne peuvent même pas légalement s’appliquer à ces produits, même si c’est sujet à caution. On ne peut pas passer un contrat pour commettre un crime, or ils ont passé un contrat pour commettre un crime et ils commettent ce crime en ce moment même. Et ils le qualifient de légal mais cela reste à voir – et je l’expliquerai dans ma présentation. J’ai quelques diapositives, si je peux les partager?

Wolfgang Wodarg: Partagez simplement votre écran.

Alexandra Latypova: Ma présentation aujourd’hui traitera de ces injections et plus particulièrement de la fraude en matière de réglementation et de fabrication, problème spécifique sur lequel peu de gens se sont penchés et sur lequel je me suis concentrée. Il n’implique pas seulement la FDA, mais aussi l’AEM (Agence Européenne des Médicaments), toutes ces agences, et surtout le Département d’État américain. Ce programme est entièrement dirigé par le Département d’Etat américain. C’est une action militaire, un programme militaire, qui a effectivement suspendu toutes les règles et réglementations de sécurité dans le monde entier. Et ils sont de connivence avec les fabricants de produits pharmaceutiques pour la diffusion de ces produits mortels dans le monde entier.

Jusqu’à présent, nous disposons d’un résumé de très haut niveau de toutes les preuves concernant les injections Covid 19 actuelles et je pense que la plupart d’entre nous seront d’accord sur ces points. Ils ont été couverts par votre commission d’enquête de manière assez exhaustive.

Tout d’abord, ces produits ont été conçus pour être toxiques. De nombreuses publications en expliquent la raison ainsi que les nombreux mécanismes de dommages incorporés dans ces produits. Ils interfèrent avec les processus génétiques qui ont lieu en permanence dans notre corps. Les fabricants affirment qu’une sorte de protéine utile est exprimée, mais ce n’est pas ainsi que fonctionne le corps humain. Ils ne font que détruire le système immunitaire, ce qui entraîne diverses conséquences catastrophiques. Nous savons maintenant que ces produits ne sont absolument pas sûrs. Le nombre de morts et de blessés dans le monde entier est tout simplement effroyable. Il dépasse tous les chiffres antérieurs les plus élevés repris dans les anciennes bases de données accessibles au public. Pourtant, aucun responsable n’y prête attention ou, lorsque ce point leur est soumis, ils le nient purement et simplement et embrouillent le public. Ce produit n’a aucune efficacité. Je n’ai vu nulle part quelqu’un qui puisse démontrer que ces injections offrent une protection durable. Ce n’est pas vrai. Les gouvernements veulent maintenant que les gens se fassent injecter tous les 3 ou 4 mois. C’est tout à fait grotesque pour un produit désigné sous le nom de vaccin et ces produits n’offrent absolument aucune protection contre la maladie du Covid.

Ma présentation d’aujourd’hui sera principalement axée sur le mode de fabrication, sur la manière dont le cadre en place permet de commettre cette fraude, comment ce cartel s’est formé, qui sont les participants à ce cartel et quel est leur rôle exact. La question de la fabrication déficiente a été très peu évoquée, mais ce produit est totalement non conforme parce qu’il n’a pas à l’être. C’est un prototype, ce n’est pas un produit pharmaceutique, il est donc très peu conforme à son étiquette et il est extrêmement variable. Il n’est pas conforme aux bonnes pratiques de fabrication et on ne voit aucune application des bonnes pratiques de fabrication dans les pays où de telles lois existent. Les gouvernements poursuivent manifestement une politique malfaisante. Nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils dissimulent, qu’ils embrouillent les familles des personnes tuées ou blessées par ces injections. Toutes ces actions font apparaître très, très clairement leur intention de nuire. A ce stade, tout doit être considéré comme intentionnel. Tous les dommages et les décès doivent être considérés comme totalement intentionnels.

Parlons maintenant de la fabrication, pour illustrer ce que sont les bonnes pratiques de fabrication. Aux États-Unis, il s’agit d’un ensemble de lois, de règles et de règlements qui figurent dans le code des règlements fédéraux. C’est un ensemble de lois très complet qui couvre les normes de haute qualité, de cohérence et de pureté pour les médicaments, les vaccins, ainsi que les aliments et les boissons – fabriqués en masse. On s’attend à ce que chaque lot de chaque nouveau produit soit à peu près identique au lot précédent du même produit, qu’il soit conforme à son étiquette, qu’il ne contienne pas d’impuretés ni de substances toxiques. Dans le cas de ces injections Covid 19, on s’attend également à ce qu’elles soient interchangeables entre différentes marques, bien qu’aucun test n’ait été effectué pour le démontrer. Ces règles et réglementations existent dans d’autres pays où elles sont très similaires. Aux États-Unis, elles ont été élaborées entre les années 1900 et 1960 et constituent un ensemble très complet. C’était en réaction au grand nombre de personnes empoisonnées et tuées par des produits mal fabriqués à l’époque et, en fait, c’est un crime grave que d’introduire un produit frelaté, un produit qui n’est pas conforme à ces règles dans le commerce inter-États aux États-Unis ou au niveau international.

Quand je me suis mise à examiner ces injections Covid 19, je voulais comprendre de quoi elles avaient l’air par rapport à quelque chose de plus traditionnellement conforme à nos bonnes pratiques de fabrication. Comme il s’agissait d’un prétendu vaccin, j’ai décidé de le comparer aux vaccins antigrippaux traditionnels et j’ai pris toutes les données de la base de données VAERS qui couvraient les vaccins antigrippaux traditionnels. Je les ai reportées sur ce graphique. Sur l’axe des X, figurent tous les numéros de lot des vaccins contre la grippe. Il s’agit d’une douzaine de fabricants, de différents produits, tous des vaccins antigrippaux injectables, et sur l’axe Y, figurent les événements indésirables graves et les décès. Je n’inclus jamais la somme des événements indésirables, qui peuvent inclure de nombreuses questions administratives et des problèmes potentiellement mineurs, je me concentre donc sur les événements graves et les décès. En ce qui concerne les événements graves et les décès, comme vous pouvez le voir, ce sont des produits très cohérents, ils ne varient jamais beaucoup. La moyenne est d’environ 3 ou 4 événements indésirables graves par lot. Puis, nous trouvons quelques valeurs aberrantes – nous ne trouvons ici que 2 valeurs aberrantes sur de nombreuses années et la plus importante était de 37 rapports par lot. C’est à peu près ce à quoi ressemble un vaccin conforme aux bonnes pratiques de fabrication, et c’est ce à quoi on devrait s’attendre.

Lorsque j’ai examiné les injections Covid 19, le tableau était radicalement différent, ce qui est extrêmement alarmant. Il est tellement catastrophique qu’il aurait dû constituer un signal d’alarme pour tout organisme de réglementation à tous les niveaux – fédéral, étatique et local. Nous disposons tous d’organismes de réglementation établis à tous les niveaux du gouvernement, capables de signaler des problèmes d’anomalies ou des schémas anormaux pour tous les produits relevant de leur juridiction et d’effectuer alors leur rappel. Mais personne ne l’a fait. On observe une énorme variation d’un lot à l’autre pour toutes ces injections Covid 19. J’ai d’ailleurs ici tous les lots vérifiés par le CDC, on dispose de la liste complète des lots émis aux États-Unis avec numéros de lot exacts, dates de fabrication et dates d’expiration. Ces données sont donc toutes valides et pourtant on voit que les variations sont des centaines de milliers de fois plus importantes que celles du vaccin contre la grippe, qui sont toutes sous cette ligne rouge ici, et elles sont toutes beaucoup plus élevées. La fourchette va de 1.500 événements indésirables graves pour un seul lot à certains lots qui en ont très peu et il y a aussi une énorme différence – vous pouvez le constater visuellement – entre les différents fabricants. Nous avons Janssen ici, Moderna ici, et puis Pfizer – regardez ça. C’était extrêmement alarmant et en fait, une alerte a été émise très tôt dans le déploiement par le comté d’Orange, en Californie. Ils ont détecté le 18 janvier 2021, soit quelques semaines seulement après le déploiement massif de ces injections, un lot de Moderna qui, selon eux, a généré un nombre important d’événements indésirables. Cependant, personne d’autre ne s’en est alarmé. L’affaire a fait la une des journaux, mais aucune autre autorité sanitaire n’a reçu la moindre notification. Le fabricant n’a pas arrêté la production de ce lot, ne l’a pas rappelé, personne parmi les autorités sanitaires n’a imposé un rappel et ce lot a continué à être vendu dans tous les États-Unis jusqu’à son épuisement en mars. Il a également généré un millier d’événements indésirables graves et près de 60 décès. Tout cela doit donc être considéré comme intentionnel, car les autorités l’ont signalé, elles ont constaté qu’il générait des effets indésirables anormaux. Personne n’a pourtant fait quoi que ce soit pour l’arrêter et on a continué à l’administrer aux gens.

Viviane Fischer: Dans cette représentation de Pfizer, il semble que lorsqu’il y a un lot toxique, il est très toxique.

Alexandra Latypova: Ceux-là, oui, les chiffres sont extrêmement élevés, ils sont extrêmement toxiques. Ces lots provoquent en général aussi beaucoup de décès, je n’ai pas détaillé les décès ici, mais oui. Ces énormes lots générent beaucoup de décès, mais ce n’est pas toujours le cas. Parfois, même un petit lot peut générer un nombre anormal de décès. Ils varient également au niveau de la létalité, comme vous pouvez le voir. On observe donc d’énormes variations à tous les niveaux.

Wolfgang Wodarg: Vous allez certainement nous parler de la raison de ces variations.

Alexandra Latypova: Oui, nous avons trouvé de nombreuses raisons. Les gens nous ont souvent dit : « Vous êtes des conspirationnistes, c’est juste parce que la taille des lots est différente », mais en fait, elles ne sont pas si différentes. Nous avons reçu récemment des informations dans le cadre d’une demande d’accès à l’information (FOIA) et on nous a fourni la liste de toutes les expéditions de produits Pfizer aux États-Unis par numéro de lot et par nombre de doses. Lorsque je les ai représentés par date de fabrication, ici sur l’axe des X, et qu’on ne compte que les décès – ici, c’est plus facile à voir – en ajustant pour la taille des lots – ici, j’ai ajusté par 1.000 doses – on obtient cette image très étrange. La variabilité est énorme – ceux-ci sont jusqu’à 12 fois supérieurs à ceux-là. Et notez la dispersion, surtout au début de l’année. Cette variabilité a ensuite diminué et la toxicité a diminué mais la variabilité est toujours inacceptable dans cette partie du graphique. C’est juste qu’elle est éclipsée par cette partie du graphique. Rien de tout cela ne devrait se produire. La relation attendue devrait ressembler à une ligne plate, zéro ou aussi proche de zéro que possible. Mais ici nous avons une relation statistique définie, en relation avec la date de fabrication pour Pfizer. Pensez-y, il ne devrait pas y avoir de différence dans la toxicité d’un produit en fonction de sa date de fabrication, et la même relation existe même entre les codes alphanumériques de Pfizer et Moderna. Ils se regroupent également – je ne le montre pas ici – mais ils se regroupent également autour de différents codes alphanumériques. Nous savons aujourd’hui quelles lettres et quels chiffres correspondent à quel niveau de toxicité. Nous pouvons en informer les gens et nous le faisons d’ailleurs sur notre site Internet.

Voilà la situation, absolument alarmante et absolument évidente, évidente depuis le début et qu’aucune autorité sanitaire n’a jamais remarquée. C’est extrêmement inquiétant et encore une fois, cela indique un acte intentionnel.

Viviane Fischer: Je ne sais pas si vous allez y venir, mais j’ai une question, avant que j’oublie. Au début, il y avait les personnes âgées et les malades, des personnes peut-être déjà malades, qui se faisaient vacciner et ensuite les personnes plus jeunes ont été admises. Quand on voit le nombre de réactions jusqu’au 21 avril, se pourrait-il que la variabilité soit due à des réactions plus intenses, en raison du groupe d’âge qui a été vacciné? Reviendrez-vous sur cette question plus tard ?

Alexandra Latypova: Oui, j’ai en fait une diapositive à ce sujet dans mes diapositives de sauvegarde. Cette question a été posée fréquemment et voici la réponse – c’est d’ailleurs mon collègue allemand qui l’a écrite et elle est basée sur des données allemandes. L’âge n’a pas autant d’influence qu’on le pense. La différence entre les lots à faible létalité et les lots à forte létalité était de 12 fois. Il y avait quelques personnes âgées, mais n’oubliez pas qu’au début du déploiement, il y avait aussi des travailleurs de la santé, donc il n’y a pas eu que des personnes âgées. L’âge moyen a toujours été assez bas. Il n’était pas dans les quatre vingt ans, il était beaucoup plus bas. Mais ici, mon collègue allemand a effectué une analyse de l’influence de l’âge sur les décès et les événements indésirables et il s’avère que l’âge n’a qu’un pouvoir explicatif partiel, il n’explique pas tout – il explique en fait très peu. L’âge peut expliquer quelque chose comme 18%, 13% mais il n’explique pas le reste. Et vous pouvez le constater visuellement. Si on soumet à l’examen les lots expédiés en Allemagne qui ont occasionné des événements indésirables graves et des décès, et qu’on les représente ici, on peut voir par exemple ici – on le voit très clairement sur ce graphique – que l’âge est inférieur à 60 ans, peut-être 58 ans, et on voit cette dispersion verticale des résultats des événements indésirables. Cela signifie que pour le même âge, il y a des lots qui étaient moins toxiques et d’autres beaucoup plus toxiques. C’est une dispersion énorme et on la trouve presque constamment, comme vous pouvez le voir. Et comme vous pouvez le voir ici, à 60 ou 70 ans, il y a un lot très peu toxique et un autre à environ 80 ans, très toxique, dispersé un peu partout. Les données regroupées dans ce nuage nous disent simplement que l’âge n’explique pas tout – il explique une toute petite partie.

Viviane Fischer: D’accord, merci beaucoup.

Alexandra Latypova: [Permettez-moi de revenir en arrière.] Il y a aussi d’autres schémas de variabilité étrange, qui restent inexpliqués. Un autre de mes collègues a établi ce graphique pour les États-Unis. On observe des anomalies géographiques très étranges en termes de toxicité de ces produits. Ainsi, lorsqu’on examine les données du VAERS, elles représentent des populations vaccinées à 100%, de sorte que les politiques des gouverneurs locaux ne jouent aucun rôle ici. Tous ceux qui ont été vaccinés sont couverts par ce système. Si on examine le nombre de décès pour cent mille personnes vaccinées dans l’État, on obtient ce tableau assez étrange lui aussi. Par exemple, le Dakota du Sud est le pire État de l’Union en ce moment. Il compte 33 décès pour cent mille personnes vaccinées et l’État suivant est le Kentucky, avec seulement 24 décès pour cent mille personnes vaccinées. Et puis il y a des États comme l’Utah et la Californie, par exemple, avec seulement 1,7 et 1,9, ce qui représente un écart considérable. Encore une fois, il n’y a aucun moyen d’expliquer cela par la démographie normale des États. En fait, la Californie a une piètre démographie si on considère les populations de sans-abri et de toxicomanes, etc. C’est donc inexplicable à ce stade et personne ne semble s’en préoccuper. Mais pour moi, cela signifie simplement que le produit est extrêmement variable et que ce qu’ils envoient à ces différents États l’est aussi.

Etant donné cette variabilité de la fabrication, le fabricant fournit des produits très, très variables et cela crée ces anomalies étranges quelle que soit la façon dont on les considère. Je me suis ensuite penchée sur les documents réglementaires que j’ai pu obtenir et j’ai examiné plusieurs dossiers de ce que l’on appelle des résumés non cliniques. Ils ont été mis à disposition par le biais de la loi sur la liberté d’information et ils concernaient Pfizer et Moderna. Ces résumés contenaient – leurs propres résumés des études sur animaux qu’ils avaient réalisées et que la FDA a ensuite utilisées pour approuver le produit injectable de Pfizer et le Spikevax de Moderna.

Pour des raisons de temps, je parlerai surtout de Moderna, mais les deux sont très similaires. J’ai d’abord examiné Moderna et j’ai découvert quelque chose de très étrange. Moderna a apparemment deux numéros de médicament de recherche, ce qui me semble étrange car, selon les règles, il ne peut y avoir qu’un seul numéro de médicament de recherche pour chaque nouvelle entité moléculaire. Ce numéro permet de soumettre une demande à la FDA et à un processus similaire dans les agences européennes. Ce numéro ouvre une demande et ensuite, en tant que promoteur, vous recueillez toutes les données relatives aux études sur les animaux, puis aux études cliniques, et tous les résultats et tous les ensembles de données sont annexés à ce numéro. C’est un genre de numéro de référence qui constitue ensuite un dossier que l’on présente aux autorités de réglementation pour l’examen et l’approbation du produit. C’est ainsi que cela fonctionne partout dans le monde où ces systèmes sont utilisés, la Conférence Internationale pour l’Harmonisation. Dans le cas de Moderna, j’ai trouvé deux numéros. Je ne comprends toujours pas pourquoi, mais on n’a jamais répondu à ma question. Tout d’abord, cet autre numéro a été ouvert en premier, puis le numéro de Moderna en second. Le premier numéro appartient aux NIH. Ce sont les propriétaires, les National Institutes of Health, et plus précisément la division de la microbiologie et des maladies infectieuses, la DMID, et sur le plan organisationnel, ce groupe dépend d’Anthony Fauci. Ils sont donc propriétaires de ce numéro, ils ont ouvert ce numéro pour Moderna en février 2020 et ils ont également réalisé – c’est peut-être encore le cas – de nombreuses études sur animaux pour Moderna. Parce qu’ils détiennent ces deux numéros, cela signifie qu’ils sont copropriétaires de ce produit et qu’ils détiennent les droits sur les revenus et les bénéfices dérivés de ce produit. Il s’agit d’une situation tout à fait anormale et d’un énorme conflit d’intérêts, car elle va bien au-delà d’une relation idéale plus standard où, disons, un fabricant privé peut obtenir une licence pour un brevet des NIH ou un brevet d’une institution universitaire et leur verser ensuite de petites redevances lorsque cette technologie est utilisée dans des produits ultérieurs sur le marché. Mais ici, c’est différent, c’est le NIH qui obtient des revenus et des bénéfices sur ce produit – ou du moins qui en a les droits – et il faut également noter que, bien sûr, le NIH et Anthony Fauci en particulier sont ceux qui ont imposé tous ces obligations draconiennes et la coercition de la population pour injecter ce produit à tout le monde. Alors comment se fait-il qu’ils en profitent directement? J’ai soulevé cette question à plusieurs reprises. Personne ne l’a jamais abordée, mais je pense qu’il faudrait en parler davantage.

Ensuite, j’ai examiné les dossiers de Pfizer et de Moderna pour ce qui concerne les tests standard d’expériences précliniques ou animales. Pour vous en donner un aperçu, ce sont des essais de très, très haut niveau, chacun de ces encadrés regroupe en fait de nombreuses études. Pour un médicament, un vaccin ou tout autre produit biologique normal, il faut d’abord l’évaluer dans le cadre d’expérimentations animales avant de pouvoir l’administrer aux humains dans le cadre d’un essai clinique hautement contrôlé. Ceci afin d’exclure les risques majeurs et de s’assurer que le produit est suffisamment sûr pour être administré à l’homme en tant que produit expérimental. Les catégories de tests de sécurité précliniques comprennent trois éléments principaux: la pharmacologie, la pharmacologie de sécurité et la pharmacocinétique. La pharmacologie comprend deux domaines. Le premier est la pharmacologie primaire: il faut au minimum essayer de démontrer le mécanisme d’action déclaré pour le produit. Par exemple, si le fabricant prétend que « ce produit va créer une protéine de pointe qui va ensuite créer un antigène », cela doit être démontré dans ces études. Ensuite, tout effet hors cible. Si en faisant cela, il fait autre chose, il faut aussi le montrer ou l’exclure ou au moins avoir une idée des potentiels effets hors cible qui peuvent se produire. Les interactions médicamenteuses sont également très importantes, surtout si le produit est censé être administré à absolument tout le monde. Chez beaucoup de personnes qui prennent déjà plusieurs médicaments, ils peuvent interagir de manière inconnue, donc il faut au moins avoir une idée des interactions potentielles et des contre-indications pour d’autres produits. La catégorie suivante consiste à examiner la façon dont le produit est distribué dans l’organisme lorsqu’il est injecté – c’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique. Dans la pharmacocinétique, on évalue beaucoup de choses, mais les plus importantes sont l’absorption, la distribution, le métabolisme, les études d’excrétion – ce sont les études standard. Ensuite, la toxicologie, qui est très, très importante. La toxicologie signifie que si le produit est détecté dans une certaine zone – disons qu’il pénètre dans le tissu cardio-vasculaire, dans le tissu hépatique, dans le cerveau ou dans d’autres organes – il faut alors faire une étude toxicologique spécifique pour ces organes et déterminer l’exposition maximale, l’exposition dans le temps, quand il disparaît, la dose maximale tolérée et où commence la toxicité, parce que l’objectif est de développer ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, où l’on peut administrer le médicament à un niveau suffisamment élevé pour qu’il provoque une réponse souhaitable, mais aussi suffisamment bas pour qu’il ne franchisse pas le seuil de la toxicité. C’est la partie la plus importante de toutes ces expériences, il s’agit de trouver cet espace. Et cet espace n’a d’ailleurs jamais été trouvé pour ces produits. Un autre domaine est bien sûr la toxicologie de la reproduction, j’en parlerai plus en détail.

Dans le cas de Moderna et de Pfizer, la stratégie utilisée est très similaire. Ils n’ont pas fait d’études ADME (absorption, distribution, métabolisme, excrétion), ils n’ont pas fait de pharmacologie secondaire, puis ils se sont eux-mêmes dispensés de tout ce domaine de la pharmacologie de sécurité en disant aux régulateurs que cela ne s’appliquait pas à eux en raison des directives de l’OMS de 2005 pour les vaccins, ce qui est une affirmation totalement absurde car ces produits ne sont pas des vaccins et, surtout qu’en 2005, ils n’étaient pas considérés comme des vaccins, mais comme des thérapies géniques. Cette affirmation ridicule a été acceptée sans réserve par la FDA et, dans le cas précis de Moderna, j’ai découvert qu’environ 50% de toutes les études incluses dans leur dossier non clinique contenaient des tests pour des produits totalement non-pertinents. Ils ont simplement compilé les données de tout un tas de produits qui avaient échoué auparavant et qui étaient en cours de développement, ils les ont annexés à ce paquet et ils ont dit « Oh, c’est applicable Spikevax ». Ce n’est pas applicable à Spikevax. Tous les tests doivent être effectués avec la formulation exacte qui sera utilisée dans le produit clinique final, c’est-à-dire l’ARNm qui sera incorporé dans Spikevax et la nanoparticule lipidique identique à celle qui sera dans Spikevax. Rien de tout cela n’a été fait. C’était un méli-mélo de différentes études de différentes années. Par exemple, pour la distribution, ils ont inclus une étude de 2017 pour un cytomégalovirus, une concoction de 6 ARNm différents. Aucun d’entre eux n’est l’ARNm présent dans Spikevax. Ensuite, les études de toxicologie n’ont pas été faites. Il n’y a eu qu’une seule étude toxicologique, non-GOP – non conforme aux bonnes pratiques de laboratoire – et elle n’a pas été achevée, même au moment où l’emballage a été rédigé. Et il n’y a eu qu’une seule étude GOP en toxicologie reproductive, j’en parlerai. La génotoxicité et la cancérogénicité n’ont été évaluées que pour un seul composant, le produit chimique SM102, et seulement dans le cadre d’une expérience sur une lignée cellulaire in vitro. C’est totalement inacceptable, mais la FDA, soit dit en passant, n’a pas considéré que cela posait problème, elle l’a accepté sans rechigner. Et ce, tant pour Pfizer que pour Moderna. Pour moi, cela signifie qu’il y a collusion entre le régulateur et ces fabricants, et en fait, je crois que le régulateur, la FDA, leur a ouvert la voie. Ils leur ont dit comment soumettre les documents, parce que c’est une violation complète de toute [directive]. Si on considère les lignes directrices de la FDA, on constate qu’elles sont toutes violées. C’est tellement inacceptable que si un fabricant essayait de faire pareil et que la FDA suivait ses propres règles, rien de tout cela ne passerait. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, on leur déroule le tapis rouge et ils se pointent avec leurs conneries en disant que « Jimmy dit que la FDA leur a dit de faire comme ça ». [NdT. référence à une nouvelle de O. Henry, A Retrieved Reformation]

Moderna a également fait cette affirmation vraiment bizarre – que tous deux font maintenant – et qui est en train de s’inscrire dans la pratique réglementaire en ce moment même. Voici une diapositive de Moderna présentée à la conférence de JP Morgan en 2018. Ils affirmaient que leur produit est une plateforme – soit dit en passant, toutes les startups de tous les secteurs affirment que leur produit est une plateforme, donc cela ne veut absolument rien dire. Ils affirment qu’ils possèdent une plateforme qui leur permet de fabriquer ces nanobulles lipidiques et de mettre l’ARNm qu’ils souhaitent dans cette nanobulle lipidique et que si cela a fonctionné une fois, cela fonctionnera encore et encore. Je ne vais pas m’attarder sur ce point, mais quoi qu’il en soit, il s’agit d’une affirmation très dangereuse. Ils disent essentiellement que leur produit n’a pas besoin d’être testé. Seul le vecteur de distribution doit être testé. Ça revient à dire: « Les camions qui transportent de la nourriture et celui qui transporte des explosifs sont parfaitement identiques. N’y prêtez pas attention. » Parce que cette allégation en elle-même n’aurait jamais passé les pratiques réglementaires normales telles qu’elles sont conçues et les réglementations telles qu’elles sont écrites, ils ont dû fabriquer la crise pour la faire passer par l’autorisation d’utilisation d’urgence, afin qu’ils puissent effectivement mettre ce produit sur le marché – et c’est ce qu’ils ont fait. [Moderna] n’a pas testé le Spikevax et Pfizer n’a pas non plus testé son produit BNT162. Le seul test est celui du vecteur, ainsi que toutes sortes de tests évasifs pour ne pas tester directement cette combinaison de produits. Aujourd’hui, les deux entreprises affirment avoir une plateforme et la FDA les autorise à réaliser une étude sur huit souris et à mettre immédiatement le produit sur le marché. Cela pose bien sûr de nombreux problèmes. Tout d’abord, qui voudrait d’un produit qui a été testé sur huit souris? Je n’en sais rien. Le second est que maintenant la FDA, Pfizer et Moderna forment un cartel. Ils ont établi un cartel où Pfizer et Moderna peuvent faire une étude sur huit souris et rien d’autre. Tous ceux qui souhaitent travailler dans le domaine de l’ARNm, par exemple, toutes les autres start-ups, qui se disent « Oh mon Dieu, la révolution de l’ARNm a eu lieu et nous allons tous devenir riches », devraient y réfléchir à deux fois, car ils doivent désormais se conformer à toutes les réglementations pour faire approuver leurs plateformes. Mais Pfizer et Moderna peuvent se contenter d’études sur huit souris. En agissant de la sorte, ils ont ruiné l’ensemble de l’industrie, la recherche et le développement pharmaceutiques, et ils ont établi un cartel entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique et ont imposé leurs spécifications.

Je voudrais ensuite aborder spécifiquement l’étude de toxicologie reproductive réalisée par Moderna. Il s’agissait d’une petite étude sur une quarantaine de rats et je n’en couvrirai pas la conception. La moitié des rats étaient vaccinés, l’autre moitié non. À propos, on n’a pas vacciné de rats mâles, nous ne savons donc rien de ce qui advient de la reproduction des mâles et personne n’a abordé cette question. Ils n’ont vacciné que les femelles et ont fini par constater un fort transfert d’anticorps de celles-ci au fœtus et de celles-ci au petit – et les niveaux étaient élevés. Ils disent « anticorps » comme si c’était une bonne chose, mais si les anticorps sont transférés, l’ARNm et les protéines de pointe le sont aussi. Nous savons maintenant que les protéines de pointe étaient présentes dans le lait maternel, par exemple, et que l’ARNm spécifiquement était présent dans le lait maternel. Ces éléments, l’ARNm et les protéines de pointe, franchissent toutes sortes de barrières, comme le placenta, le cerveau et le sang, et se retrouvent donc dans le bébé, sans que l’on connaisse bien leurs effets. Nous savons qu’ils sont dangereux et que les bébés ont évidemment un petit corps et qu’ils sont en plein développement. Cela pose donc des risques élevés pour le bébé en développement et rien de tout cela n’a été étudié par qui que ce soit. En outre, les mères ont présenté une toxicité pendant la gestation et cette toxicité coïncidait avec le jour où elles exprimaient les niveaux les plus élevés d’antigènes, ce qui est manifestement lié à la vaccination. On les vaccine, elles présentent une toxicité élevée. Ils ont prétendu que ces effets étaient transitoires et pas si graves, mais les rats ont perdu leur fourrure et ne pouvaient plus utiliser leurs pattes arrière. Mais Moderna a déclaré: « Ne vous inquiétez pas, ils étaient en pleine forme ». Je ne vois pas comment un animal qui perd sa fourrure peut être en pleine forme. Comme je n’ai pas accès aux rapports complets, il ne s’agit que des résumés de Moderna, de leurs propres mots sur leurs études, je ne peux pas vous dire exactement ce qui s’est passé, mais il me semble qu’ils édulcorent beaucoup de choses. Le plus important, c’est qu’ils ont découvert que la progéniture des rats présentait des malformations squelettiques. Voici leur propre langage : « ARNm 1273 » – c’est le Spikevax de Moderna – « les variations liées à l’examen du squelette comprenaient une augmentation statistiquement significative du nombre de rats avec une ou plusieurs côtes ondulées et un ou plusieurs nodules de côtes » – c’est-à-dire des côtes supplémentaires. Il s’agit de malformations squelettiques graves qui ont augmenté de manière statistiquement significative chez les bébés des mères vaccinées. C’est un signal de sécurité aussi clair qu’il est possible, dans le cadre d’études standard pour l’évaluation de la toxicité sur le plan du développement. Il est donc évident que c’est lié au vaccin et que ce produit cause des dommages à la fois aux mères et à leurs bébés en développement.

Cependant, la FDA a directement menti sur l’étiquette et les documents réglementaires au nom de Moderna. La FDA a indiqué dans son résumé de pharmacologie et de toxicologie non cliniques, qui fait partie de l’étiquetage du Spikevax, qu’il n’y avait pas de malformations ou de variations fœtales liées au vaccin. Et cela a été caché, secret, pendant un an – plus d’un an en fait – jusqu’à ce que cela soit rendu public par une ordonnance du tribunal et jusqu’à ce que je le lise. Nous n’aurions jamais su et ils continueraient à vouloir l’injecter aux femmes enceintes dans le monde entier – et ils continuent. Ils étaient au courant, mais ils l’ont sciemment imposé aux femmes enceintes. Rappelez-vous les campagnes omniprésentes: la publicité du CDC, la publicité de la FDA, on aurait dit des vendeurs de produits pharmaceutiques, annonçant que ce produit est totalement sûr pendant la grossesse et les poussant – et même obligeant les femmes enceintes si elles étaient des travailleuses de la santé, des policières ou des enseignantes. Pour moi, c’est un crime, c’est un crime horrible qu’ils ont commis. Et nous savons maintenant qu’il y a énormément d’événements indésirables tels que fausses couches, problèmes chez les bébés, des bébés qui meurent, des bébés allaités qui meurent et tout cela est enregistré dans le VAERS. Et encore une fois, ils le nient et tentent d’embrouiller tout le monde.

J’aimerais ensuite vous parler de la véritable nature de ce produit, de la raison pour laquelle cette variabilité existe à mon avis et de ce que nous avons découvert en effectuant divers tests directs sur des flacons et en examinant de plus près les processus de fabrication. Comme vous le savez, chaque produit a son étiquette et même si Pfizer a essayé de dissimuler cette information pendant un certain temps, elle est maintenant disponible. Nous savons qu’ils déclarent certains ingrédients tels que BNT162b2, c’est leur séquence d’ARNm, et que le reste est constitué de lipides, de nanoparticules lipidiques, ils décrivent la composition des nanoparticules lipidiques, de ces ALC et ainsi de suite, de cholestérol et d’autres produits qui l’équilibrent en produit injectable. Ils déclarent également des quantités très précises de chacun d’entre eux par flacon et par dose – car n’oubliez pas qu’ils sont expédiés dans des flacons multidoses et que chaque dose est préparée manuellement par l’administrateur du vaccin sur le site, de manière totalement incontrôlée et en dehors de toute conformité aux bonnes pratiques de fabrication. Néanmoins, chaque dose est censée contenir 30 microgrammes d’ARNm, par exemple, et d’autres composants également décrits de manière très précise. Mais ce que j’ai découvert en lisant les documents de fabrication de Pfizer soumis à l’AEM, c’est qu’aucun test n’a été conçu pour tester les ingrédients, en particulier au niveau du flacon – et ne parlons même pas du niveau de la dose. Ce qu’ils décrivent comme tests au niveau du flacon est essentiellement le poids du flacon au moment du remplissage et certains paramètres d’intégrité comme la façon dont il est bouché et ainsi de suite. Mais il n’y a aucun test qui stipulait « nous allons prélever un échantillon aléatoire de quelques flacons de chaque lot ou de chaque ligne au fur et à mesure de leur sortie, puis nous allons les ouvrir et nous allons voir s’ils contiennent ou non 225 microgrammes d’ARN ». Rien de tout cela n’a eu lieu. Tous les tests de spécification des ingrédients sont conçus au niveau du lot – et le lot est un produit en vrac, une étape de fabrication en amont. Selon les réglementations gouvernementales actuelles, ces tests doivent exister au niveau de la dose, au niveau de la dose unitaire du médicament lorsqu’il est administré au patient – et ils ne le font pas, je vais en parler plus loin. Jusqu’à présent, nos conclusions sont les suivantes – et il s’agit de tests aléatoires sur des flacons dans le monde entier: nous avons constaté que pas un seul flacon n’est conforme à son étiquette ou à toute autre étiquette des fabricants.

Des tests indépendants des flacons ont été effectués par de nombreuses équipes. Cet article a été récemment publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. Je connais certains des auteurs et je suis en correspondance avec eux. Ces équipes de chercheurs et chercheurs indépendants du monde entier – de 16 pays, je crois – ont eu accès à certains des flacons, principalement Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – mais également à d’autres. Le résumé des conclusions générales est que tous ces produits sont complètement différents, ils diffèrent de leurs étiquettes, mais il y a quelques résultats constants. Par exemple, lorsqu’ils parviennent à isoler et à séquencer l’ARN des flacons, la séquence d’ARN n’est pas conforme à l’étiquette. Nous n’avons toujours pas trouvé une seule concordance avec ce que Pfizer indique dans sa composition. Ensuite, on trouve des quantités énormes d’impuretés d’ADN et de protéines – des quantités gigantesques, je vais vous le montrer. On trouve aussi systématiquement d’autres impuretés en grande quantité et il s’agit de métaux lourds et rares. On ne connaît ni l’origine ni le but de ces matériaux présents dans les flacons. Parmi ces métaux, on trouve des choses comme du cobalt, du chrome et de l’aluminium, qui sont très toxiques pour le corps et neurotoxiques. Des éléments rares comme du thulium, ce qui est étrange, et de l’antimoine ont même été trouvés dans des fioles de Moderna. L’antimoine est un métal utilisé dans la fabrication de semi-conducteurs, il est extrait en Chine. On se demande bien ce qu’il fait dans les flacons de Moderna, qui sont censés être produits dans le Massachusetts. On trouve également des inclusions, des contaminations avec des structures d’origine également inconnue. Elles ressemblent à des taches et à des particules inexplicables et elles sont de grande taille parce qu’on les découvre au microscope optique standard, ce qui signifie qu’elles ne sont pas à l’échelle nanométrique, elles sont plus grandes que ça. Quant aux cristaux, ils sont très caractéristiques: plats et de forme très carrée ou rectangulaire, avec des arêtes vives. Fibres et rubans également très caractéristiques, des rubans plats. Il y a un assemblage, un processus d’auto-assemblage – probablement chimique – dont le mouvement est visible immédiatement à partir de l’état congelé, qui a été filmé dans des vidéos à prise unique, de sorte que ce processus est très bien documenté. Les chercheurs prennent des précautions et des mesures pour exclure toute salissure environnementale sur les lames. Ils effectuent des expériences contrôlées, ce qui permet de réaliser des études de grande qualité. Toutes les études ne sont pas de haute qualité mais certaines études de haute qualité ont révélé toutes ces choses que je suis en train de résumer. Il est possible qu’il y ait différentes formes de graphène dans ces flacons et aussi des choses comme, par exemple, des restes de billes magnétiques. Vous vous souvenez de tous ces gens qui avaient comme des magnets de frigo collés sur leurs bras après l’injection? C’est de cela qu’il s’agit. Les billes magnétiques sont utilisées dans la purification de l’ARN lors de la fabrication. Elles ont été laissées dans les flacons, n’ont pas été retirées et ont ensuite été injectées à des personnes.

Voici un exemple de séquençage de l’ARN d’un flacon de Pfizer. Ici, les chercheurs nous montrent que la première ligne verte est la séquence déclarée par Pfizer et tout ceci, d’ailleurs, est calculé en poids et c’est ainsi que Pfizer procède également, ou plutôt en fonction de la longueur de la molécule. La première séquence est cette séquence BNT, c’est la séquence déclarée par Pfizer, et elle est censée ressembler à cette ligne verte. Les trois autres que l’on voit sont des correspondances possibles, mais aucune d’entre elles ne correspond réellement. Il y a quelques fragments et des éléments supplémentaires à la fin, mais le début est manquant. Voilà ce qui flotte dans cette fiole. Ce qui est très inquiétant, ce sont ces petits fragments d’ARN supplémentaires, et ils ont même été décrits par les régulateurs dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments comme des impuretés liées au processus, et ils s’en sont inquiétés. Et ils ont raison de s’en inquiéter. Je les ai appelés ARN shrapnel, il y a beaucoup de noms pour les décrire, micro ARN, petit ARN interférent, et bien d’autres encore, mais vous pouvez les considérer comme du shrapnel. Quand le verre se casse, il se brise en gros morceaux et en petits morceaux de manière imprévisible – comme ici. Ils ne le nient pas. La FDA les a considérés comme une préoccupation théorique, ce n’est pas une préoccupation théorique. Les micro-ARN ont été spécifiquement désignés comme une catégorie d’arme biologique utilisable parce qu’ils interfèrent avec les processus génétiques normaux. Il n’est pas nécessaire qu’ils codent pour des protéines, ils n’ont pas besoin d’avoir une longueur pour coder pour quoi que ce soit, ils peuvent quand même interférer avec les processus cellulaires de manière spectaculaire et ils peuvent de toute façon détériorer le système immunitaire et le détruire à un tel point qu’avec le temps, il se produira divers types de dysfonctionnements, notamment et spécifiquement des cancers, des maladies neurodégénératives et toutes sortes d’anomalies. Voilà ce qu’il y a dans les flacons. Comme vous pouvez le voir, la proportion de composants contenant de gros morceaux d’ARN qui ne correspondent pas et tous ce shrapnel d’ARN est presque du 50/50.

Les chercheurs ont ensuite examiné plusieurs flacons de Pfizer et Moderna et ils ont trouvé de grandes quantités d’ADN. Et l’ADN est également une impureté liée au processus, il provient du début du processus où l’ARN est transcrit à partir d’une matrice d’ADN. C’est une matière première ou un intrant dans le processus. Cette matrice d’ADN n’est jamais transcrite à 100%, il reste donc une impureté liée à ce processus et il faut l’éliminer. Et ici, il est clair qu’elle n’a pas été éliminée car on a trouvé de l’ADN dans trois flacons de BioNtech et un flacon de Moderna. Dans ce test – et là encore Pfizer utilise un test similaire – vous pouvez voir, à gauche, une bande d’étalonnage des différentes tailles d’ADN possibles, qui correspondent à ce qui se trouve dans le flacon. Vous voyez ces bandes de différentes tailles qui ont été trouvées dans les flacons. Ici, c’est un peu éparpillé entre différentes tailles. Ils ont donc trouvé de l’ADN de différentes tailles dans ces flacons.

Ils ont ensuite calculé le poids de l’ADN et il s’avère qu’il y en a une quantité énorme dans chaque flacon. Pfizer a déclaré que les critères d’acceptation des flacons étaient fixés à hauteur de 10 nanogrammes d’ADN par dose. Mais ce qui a été calculé ici à partir de l’analyse réelle est jusqu’à 2000 [fois] cette quantité. C’est vraiment, vraiment, vraiment inquiétant. J’ai également trouvé ces lots spécifiques dans le VAERS – bien qu’ils proviennent d’Europe et que le VAERS ne soit pas complet pour l’Europe – mais je les ai trouvés dans le VAERS et j’ai trouvé pour ces lots des rapports d’événements indésirables graves et de décès dans le VAERS.

Une autre image a été fournie par mon collègue, Shimon Yanovitz, d’Israël. Ils ont fait des tests et cette image est prise sous un microscope standard. Ils ont examiné les flacons à partir de leur état de congélation totale, puis ont attendu qu’ils dégèlent et ont photographié ce processus. Ce qu’ils ont trouvé, c’est ce que nous voyons sur la ligne du haut, immédiatement à partir de l’état congelé, imagé sous un microscope standard. On peut constater la présence de nombreux types différents d’inclusions et de taches et d’autres particules. Et ce ne sont pas des nanoparticules, car au microscope standard, on voit des structures beaucoup plus grandes. Leur nature n’est pas claire. Puis, 20 à 30 minutes après décongélation, ils ont refait des photos et regardez, elles ont changé de composition. Ça évolue, grandit et s’assemble. Ça s’agglomère en quelque sorte, quelque chose se passe, une sorte de chimie en mouvement constant qui se rassemble et fusionne dans ces autres structures et de nouvelles apparaissent même, comme ces fibres qui apparaissent sur ces images. C’est très étrange, c’est inexplicable et ça n’a pas sa place dans ce type de produit. La question est: pourquoi est-ce là?

Ces structures ne sont pas rares. Un autre collègue m’a fourni cette image et il m’a dit qu’il s’agissait d’une seule goutte du produit Pfizer. Après 72 heures de repos, ils l’ont examinée à un grossissement de 100X, et on y voit la quantité de substance, elle en est littéralement remplie – et c’est juste une goutte. Elle est remplie de ces structures étranges, certaines ressemblent à des particules, d’autres à des morceaux carrés plus grands, et on ne comprend pas bien ce qu’on voit, mais il y en a beaucoup, ça bouillonne littéralement.

Wolfgang Wodarg: Question : Est-ce que ça pourrait être des cristaux de cholestérol ?

Alexandra Latypova: En partie, peut-être, mais ceux qui sont carrés, rectangulaires, ne ressemblent pas à des cristaux. Nous avons par ailleurs observé des images normales de cristaux de cholestérol et ceci ne correspond pas, ils ne ressemblent pas à ça. Ils ressemblent à autre chose et il y a encore davantage de structures beaucoup plus grandes et très bizarres qui ressemblent à des chariots sur roues, c’est difficile à décrire. Il y a aussi des choses circulaires attachées à des choses carrées attachées à un genre de fibre. Si on les compare aux cristaux de sel et aux cristaux de cholestérol, ils ne sont pas pareils. On attend toujours les explications des fabricants, qui restent extrêmement silencieux à ce sujet.

Et nous avons également découvert – ce qui est presque une bonne nouvelle pour les victimes – nous avons découvert que lorsque ce produit est endommagé, il est plus sûr. La diapositive de gauche vient en fait d’Allemagne. Un rapport récent a été publié par l’une de ces équipes de recherche, qui s’appelle le German Working Group. Ils ont effectué un certain nombre de tests, bien menés, sérieux et de grande qualité, sur ces produits. L’un de ces tests portait sur la qualité de la pégylation du produit. Ils disposaient de différents lots Pfizer – chaque point ici représente un lot – et ils ont examiné le degré de polymérisation, l’homogénéité de la polymérisation de ces nanobulles. Le rôle du PEG est de protéger les bulles et de les maintenir séparées. Si les petites molécules sont toutes homogènes, comme une mosaïque, le PEG les protège très bien. En revanche, si ces molécules sont trop petites ou trop grandes, ces nanobulles peuvent se briser. Si elles se brisent, l’ARNm s’échappe, interagit avec l’eau et se dégrade. Les chercheurs ont découvert que ce phénomène est associé au degré d’inhomogénéité. Ainsi, la fréquence à laquelle ces bulles peuvent se briser est associée à moins d’événements indésirables, ce qui est moins dangereux pour la victime. Et puis j’ai découvert précédemment dans mon analyse des documents de Pfizer qu’une fois que l’ARNm s’échappe et se brise, s’il y a plus d’ARNm brisé dans le lot – et c’est aussi le cas pour d’autres lots de Pfizer – il est aussi moins mortel, donc plus sûr. C’est une bonne nouvelle parce qu’il est évident qu’ils ne sont pas en mesure de rendre ce produit stable, ils ne peuvent pas le fabriquer selon leurs propres spécifications et cela se révèle être une bénédiction parce qu’il ne tue pas autant de personnes qu’ils le souhaitaient.

Wolfgang Wodarg: Avez-vous des informations concernant la dépendance à la température de stockage? Parce que j’imagine que si on stocke le produit non congelé pendant une longue période à une température plus élevée, il y a plus de dégradation et la toxicité diminue. Est-ce possible?

Alexandra Latypova: Oui, absolument. Durant le stockage, le transport, ça se détériore à toutes les étapes, même lorsqu’on le secoue. La consigne donnée à l’administrateur est la suivante: « Ne secouez pas le flacon, retournez-le plusieurs fois ». Si on le secoue, bien sûr, il y aura plus de casse. Ça ne rendra pas le produit bénin, mais il sera quand même un peu plus sûr.

Wolfgang Wodarg: Donc si on veut montrer aux gens que ce n’est pas si dangereux, qu’on ne voulait pas qu’ils s’alarment des effets de toxicité, il suffirait de prévoir des températures un peu plus élevées, c’est plus facile. On se sert de cet effet secondaire.

Alexandra Latypova: Oui, dans les documents de Pfizer, ils utilisent également cette méthode pour dégrader l’ARN à des fins de test. C’est très bien documenté. Encore quelques diapositives, c’est assez court, mais en fait nous abordons une partie très intéressante. Nous en avons parlé, nous avons dit que les tests effectués directement à partir des flacons ou directement à partir des lots montrent que ce produit est conçu pour être toxique, conçu pour être mortel parce que c’est l’inverse qui arrive quand il est endommagé et n’est pas conforme à ses spécifications.

Ce que j’ai découvert plus tard… Je me suis mise à réfléchir et à me documenter sur la fabrication de l’ARNm, je n’en savais pas grand-chose au début. J’ai maintenant établi des contacts avec un certain nombre d’experts et je comprends mieux la situation. Je dispose de nombreux documents, notamment de Pfizer, sur la fabrication de ce produit. D’après ce que j’ai appris, je suis franchement d’avis aujourd’hui qu’il est impossible de fabriquer ce produit à l’échelle que ces personnes déclarent. C’est un autre élément du mensonge et de la fraude. Tout d’abord, la fabrication d’ARNm est un véritable défi, même à l’échelle du laboratoire. Si on veut en fabriquer quelques microgrammes, c’est un vrai défi et les gens qui l’ont réalisé me l’ont décrit. Les rendements sont faibles, il y a plusieurs étapes de fabrication et chaque étape donne un rendement inférieur à 100%. Et à chaque étape, on perd en stabilité du produit. Par exemple, un processus en 5 étapes avec un rendement optimiste de 80%, se traduit à la fin par 30% du produit final et 70% d’impuretés à éliminer. Et si le rendement est de 60%, il ne restera que 7% et il faudra éliminer 93% d’impuretés. De plus, il faut évidemment augmenter à l’échelle toutes les matières premières nécessaires pour atteindre une cible donnée, un poids donné du produit. Les ARNm sont très fragiles, surtout ceux qui sont utilisés actuellement dans les injections, ce sont de grandes chaînes. Auparavant, le seul produit approuvé sur le marché qui utilisait de l’ARN en utilisait un très court, appelé petit ARN interférent. Il a une longueur d’environ 100 nucléotides. Celui utilisé par Pfizer et Moderna fait 4.000 et plus de 4.000 nucléotides. Il est donc très long et plus il est long, plus il est fragile. Il n’est pas stable. Il a subi de nombreuses modifications pour le rendre plus stable, c’est pourquoi il n’est pas humain, c’est une séquence étrange, mais qui reste instable. Il doit aussi être encapsulé et avoir une queue et ce sont deux processus distincts. Chacun de ces processus détériore également le produit, donc il n’y a pas de capsulage complet, ni de queue complète. Les PNL dont nous avons déjà parlé, les nanoparticules lipidiques, peuvent également se briser pour diverses raisons, notamment une imperfection de la pégylation, et lorsqu’elles se brisent, l’ARNm se brise également. Comme nous l’avons vu précédemment, il existe un grand nombre d’impuretés liées au processus et d’autres qui peuvent être introduites par de mauvaises pratiques et qui doivent être éliminées. Mais on ne peut rien retirer de manière agressive de ce produit car il est très fragile. On ne peut donc pas utiliser les mêmes techniques de centrifugation, de filtration, de mélange qu’on utilise dans la fabrication de produits chimiques. Les fabricants prétendent maintenant – j’ai des archives qui montrent que ces lots font en moyenne quelque chose comme 200 à 300 litres, ce qui dépasse déjà l’imagination, pour un seul lot. Récemment, j’ai obtenu des documents qui montrent qu’un lot de Pfizer a produit 12.000.000 de doses, ce qui représente environ 900 litres d’ARNm. À ce moment-là, mes collègues ont éclaté de rire et m’ont dit: « Je ne savais même pas que l’on produisait des sacs biologiques de cette taille ». Pourquoi faire ça? Je ne comprends pas ce qui se passe. Est-ce qu’ils diluent trop, est-ce qu’ils mélangent plusieurs lots, est-ce qu’ils étiquettent mal, est-ce qu’ils réactivent simplement un ancien produit? Je ne sais pas. Tout est possible parce que, comme je le développerai bientôt, aucune règle ne s’applique à eux. Lorsque l’on a affaire à une échelle de cette ampleur, la disponibilité des matières premières est sujette à caution. Là encore, mes collègues se demandent s’ils sont en mesure d’obtenir les enzymes à cette échelle, car il faut tout multiplier par les rendements pour atteindre l’objectif final. De plus, ces lots sont produits simultanément à cette échelle et à cette vitesse par de nombreuses entreprises. Je ne sais pas si c’est possible ou non. Pfizer signalait déjà une instabilité chimique même avec 37 litres. Dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments de Pfizer, il est dit que la réaction enzymatique pour fabriquer de l’ARN s’arrêtait déjà à ce niveau parce qu’à de grands volumes, les produits chimiques ne s’équilibrent pas de la même manière qu’à de petits volumes. Maintenant, même si on arrive à produire quelque chose de ce genre en grande quantité, ce qui se passe, c’est que le produit devient super hétérogène. Il y a des problèmes dans les petits lots, mais dans les grands lots, on trouve des lipides dans l’eau. Et les lipides flottent dans un énorme volume, donc ils commencent à se séparer et ont tendance à aller vers le haut et à former des amas. On a donc de l’ARNm en quantité très irrégulière qui flotte dans un grand volume d’autres éléments, dont l’eau. Ensuite, cet énorme volume doit être conditionné dans des récipients de 0,45 millilitre, des flacons, et bien sûr, il y aura une multitude de flacons vierges ou presque vierges qui ne contiendront pas du tout d’ARNm. Il peuvent contenir des contaminations métalliques ou autres et on se retrouve alors avec des injections mortelles d’ARNm super concentrées. Et cela explique le fait que la plupart des gens sont apparemment en forme après ces injections – du moins au début. Ils peuvent développer quelque chose plus tard, ils peuvent avoir le Covid, cela augmente la probabilité d’avoir le Covid. Mais on voit aussi des gens qui meurent dans les minutes qui suivent l’injection. Voilà ce qui se passe, la dure réalité, à cause de l’énorme hétérogénéité des flacons.

Wolfgang Wodarg: Il n’est pas possible de l’homogénéiser ensuite, de le conserver comme le lait, qui est très homogène. Le lait naturel ne l’est pas, il y a la crème en haut et l’eau en bas. Ils ont des procédés techniques pour homogénéiser le tout, mais ils ne peuvent pas le faire sans perturber, sans détruire l’ARN, n’est-ce pas?

Alexandra Latypova: Oui, exactement. Avec le lait, c’est peut-être possible, mais même dans ce cas, si on regarde du lait homogénéisé au microscope, on voit des grumeaux et d’autres éléments. On ne peut pas faire ça avec ce produit parce que ça le brise. Et il se brise tout au long du processus et toutes les impuretés qu’ils ne peuvent pas éliminer y restent en permanence. C’est un énorme gâchis, un gâchis complet. À mon avis, il est impossible de fabriquer ce produit en respectant les bonnes pratiques de fabrication et je soupçonne qu’ils le savaient parce qu’ils ont essayé pendant 20 ans de mettre ce produit sur le marché et qu’ils sont toujours arrivés jusqu’au stade, peut-être, des études humaines précoces, mais c’est tout. Et ils n’ont pas pu aller plus loin à cause des problèmes de sécurité et parce que je soupçonne qu’ils ne parvenaient pas à rendre le produit constant. Ils le savaient et ils ont décidé « Ok, maintenant nous allons le faire passer par cette grosse arnaque ». Je vais vous expliquer comment ils l’ont inscrit dans leur contrat. Je suis pratiquement sûre que ces produits ne peuvent pas être fabriqués conformément à l’étiquette, à l’échelle et à la vitesse prévues, et les fabricants le savent très bien, c’est pourquoi ils ne le font pas.

Examinons la structure de cette organisation, l’organisation globale, la vue d’ensemble. Voici leur organigramme, il est orienté sur le côté mais il s’agit quand même d’un organigramme et il provient de la réunion du Comité Consultatif sur les Vaccins et les Produits Biologiques Associés du 22/10/2020. C’est toute l’opération Warp Speed qui se réunit et décrit sa structure organisationnelle. Remarquez deux ou trois choses. Qui dirige cette opération? C’est le Ministère de la Défense des États-Unis, Chef des Opérations. Qui est le chef scientifique? C’est le HHS et la FDA. Ensuite, évidemment, cette partie du tableau, c’est la partie supérieure et ce sont les personnes en charge: le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et le HHS. Ces autres personnes ne sont pas responsables, mais elles reçoivent d’énormes sommes d’argent, donc elles sont contentes et elles assurent la continuité du projet. En outre, la partie supérieure comprend la fabrication, l’approvisionnement, la production, la distribution et les essais cliniques. De nombreux contrats on été conclus par le Ministère de la Défense et le Ministère de la Santé avec tous ces fabricants de vaccins, et ils révèlent beaucoup de choses sur la structure. Ces contrats sont disponibles par le biais des divulgations de la Commission des valeurs mobilières et des échanges aux actionnaires et j’en ai lu beaucoup. Ils révèlent la structure par laquelle le gouvernement a pris le contrôle de l’industrie pharmaceutique en lui octroyant d’énormes sommes d’argent et en signant ces contrats très restrictifs qui contrôlent tout. Mais le gouvernement conçoit les essais cliniques, le gouvernement conçoit tout et la FDA se contente d’approuver – en fait, la FDA fait partie du gouvernement. Voyons qui fabrique vraiment ces produits.

Voici une autre diapositive Power Point de la même réunion. C’est l’opération Warp Speed/BARDA. BARDA est une agence militaire de développement de produits biologiques et ils déclarent « Bien, voici notre panel de fabrication de vaccins ». Encore une fois, par le biais de ces contrats – et il y a des contrats disponibles pour toutes les entités listées ici – par le biais de ces contrats, il est très clair que ce qu’ils appellent les initiatives de soutien aux vaccins décrivent en réalité qui fabrique effectivement les vaccins. Par exemple, Emergent Biosolutions, que j’ai entouré ici, est l’un des centres de fabrication que le BARDA a mis en place il y a longtemps. Les contrats que j’ai lus remontent à 2012, date à laquelle Emergent a été établi comme fabricant de vaccins, le fabricant de vaccins de la Défense pour les vaccins contre la grippe à l’époque. Ils ont également déclaré « Nous allons construire cette prétendue capacité de pointe », ce qui signifie que d’énormes sommes d’argent ont été versées. Le contrat s’étend de 2012 à 2037, avec différentes options, puis en 2020, ils ont mis en œuvre une option pour les vaccins Covid. Emergent fabriquait les vaccins d’AstraZeneca et de Janssen, dont elle était le fournisseur. Et, soit dit en passant, ils ne respectaient aucune règle de bonnes pratiques de fabrication. Il y a aussi d’autres entités très importantes comme Ology. Aujourd’hui, elle a été convertie en cette nouvelle entité monstrueuse, appelée National Resilience Company, et il s’agit essentiellement pour le Ministère de la Défense d’acheter un ensemble d’usines de fabrication à des sociétés pharmaceutiques et d’établir sa propre structure de fabrication. Ça représente des millions de mètres carrés, ils ont d’énormes sommes d’argent et ils fabriquent ces produits. Texas A&M, également. Celle-ci semble fabriquer des produits comme Novavax, car elle utilise une sorte de lignée d’insectes – je ne sais pas ce que cela signifie. Il y en a beaucoup d’autres. Une fabrication complexe exige – il ne s’agit pas seulement de fabriquer quelque chose – il faut aussi disposer d’un personnel qualifié, de tout l’équipement nécessaire, de fournitures, de produits à usage unique, d’un accès aux matières premières, c’est une infrastructure énorme qu’il faut mettre en place et ce n’était pas possible. Ce n’est pas comme si on pouvait aller voir Ford Motor Company et leur dire : « Voici 10 milliards de dollars, j’ai besoin de 1 million de nouvelles voitures en 6 mois ». Même Ford, dont la production est déjà établie, en est incapable, car il n’est même pas possible d’obtenir les matières premières à temps. Maintenant, imaginez le même scénario si le gouvernement va voir Ford, General Motors et Toyota et leur dit de le faire simultanément. Aucune somme d’argent ne permettra de produire ce miracle en 6 mois. Ça n’a pas été le cas. Ils ont juste donné de l’argent à ces entreprises et leur ont ensuite ordonné de se tourner vers les entreprises qu’ils avaient déjà établies depuis longtemps pour fabriquer le produit. Ce sont elles qui fabriquent le produit et ces personnes ne sont qu’une façade. Ils assurent certains aspects de la fabrication, mais pour l’essentiel, c’est ici que ça se passe. Et tout cela est contrôlé par le Ministère de la Défense. Plus précisément, les contrats ne prévoient aucune exigence en matière de responsabilité – permettez-moi de passer à la page suivante.

La mauvaise nouvelle est qu’il s’agit d’un produit du Ministère de la Défense à part entière. Les gens ne le comprennent pas. On a l’impression que c’est une opération militaire, on le dit partout. Il s’agit en fait d’une opération militaire de A à Z. Ce n’est pas seulement qu’ils ont fait appel à une distribution militaire pour des raisons de rapidité, d’acheminement vers différents États et d’utilisation de la réfrigération. Non, ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Tous ces contrats sont passés avec le Ministère de la Défense. Il y en a des centaines, qui concernent toutes sortes d’entreprises. Tous les contrats sont passés avec le Ministère de la Défense, le Ministère de la Défense est l’acheteur, le Ministère de la Défense leur octroie d’énormes sommes d’argent. Comme je l’ai dit, ils disposent déjà d’une base de fabrication établie. Par exemple, le premier contrat pour Pfizer se montait à 10 milliards de dollars pour livrer 100 millions de doses de vaccin et jusqu’à 500 millions au total, et il était prévu des primes pour une livraison plus rapide, ce qui me fait dire « Pourquoi en produisent-ils 900 litres? Eh bien, parce qu’ils n’ont pas de comptes à rendre et qu’ils reçoivent des primes s’ils livrent toutes ces doses à temps ». C’est l’une des raisons. Et il était impossible de les livrer à temps, sauf en faisant appel aux fournisseurs déjà établis du Ministère de la Défense. Et il n’est question de responsabilité que celle des entreprises de faire des efforts raisonnables, quoi que cela signifie. Mais le contrat prévoit une microgestion extrême à chaque étape des opérations. De même, les essais cliniques sont conçus par le gouvernement, et non par le fabricant de produits pharmaceutiques. Les interactions réglementaires sont complètement prises en charge par le gouvernement. Par exemple, les entreprises pharmaceutiques ne peuvent en aucun cas discuter de manière indépendante avec la FDA. S’ils ont une réunion, il faut que les représentants du Ministère de la Défense y assistent. Pour moi, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une relation sans lien de dépendance, mais d’un contrôle total de leur relation par le Ministère de la Défense.

Autre chose, la distribution du produit. Le produit est expédié au Ministère de la Défense. Toutes les doses de vaccin aux USA sont expédiées au Ministère de la Défense. Elles ne sont pas envoyées à des distributeurs pharmaceutiques indépendants, agréés et réglementés, comme c’est le cas pour tous les produits pharmaceutiques normaux. Elles sont retirées de ce système pour être placées dans cette boîte noire de distribution réservée au Ministère de la Défense. Et en fait, les contrats avec les vaccinateurs stipulent explicitement que ce produit est la propriété du Ministère de la Défense ou du gouvernement américain jusqu’à ce qu’il soit injecté à la personne. Et qu’il est interdit de tester les flacons de manière indépendante, d’obtenir un accès indépendant aux flacons, ce qui est qualifié de détournement de la propriété du gouvernement. Ils interdisent de tester les flacons et comme je l’ai déjà dit, ni les fabricants, ni les régulateurs ne testent les flacons. Personne ne teste les flacons et personne n’est autorisé à le faire. Dans le même contrat, il y a une clause qui les exonère tous de toute responsabilité tant qu’ils suivent leurs ordres et cette même clause décrit le produit comme une application civile et militaire. Il existe aussi des contrats conclus par les États-Unis avec d’autres pays comme l’Union Européenne, le Brésil et l’Albanie. Les contrats de l’Union Européenne sont encore largement expurgés mais j’ai vu un contrat albanais non expurgé et on nous a dit que toutes les clauses du contrat étaient identiques. Ces contrats interdisent explicitement le test des flacons par des gouvernements étrangers ou qui que ce soit sur place. Et en fait, ils indemnisent aussi Pfizer pour absolument tout, et fournissent une immense couverture de responsabilité. Le gouvernement est obligé de renoncer à toutes les règles et réglementations et aux bonnes pratiques de fabrication, aux pratiques de distribution, à tous les contrôles existants, pour garantir l’indemnisation de Pfizer. De plus, ils ne peuvent pas modifier leurs lois nationales pour qu’il en soit autrement. Donc, en signant ce contrat, ils ont abandonné leur souveraineté nationale à une société pharmaceutique. C’est totalement ridicule. C’est ainsi qu’ils évitent toute forme de responsabilité et qu’ils interdisent les tests de lots, les tests de flacons. Mais on peut interdire tout ce qu’on veut. Comme vous l’avez vu, il se déploie une vaste activité secrète de tests et nous avons déjà trouvé toutes ces réponses. Nous avons découvert que ces produits sont corrompus, contaminés, qu’ils ne sont pas du tout conformes à ce que dit l’étiquette, qu’ils sont extrêmement toxiques et qu’ils le sont à dessein. Mais ceci vous explique comment ils peuvent tous s’en tirer et comment ils peuvent tout simplement ignorer toute règle: parce que ces règles ne s’appliquent pas à eux, c’est un produit militaire, fabriqué par l’armée, pour l’armée, distribué par l’armée et injecté aux gens et ce que c’est sous couvert de secret total.

En conclusion, je tiens à souligner que ces injections ne sont absolument pas des produits pharmaceutiques et que les gens devraient cesser de les considérer comme tels. Ils auraient dû cesser de les considérer comme des vaccins depuis longtemps, mais ils devraient cesser de les considérer comme des produits pharmaceutiques, des médicaments ou quoi que ce soit qui ait le moindre rapport avec ceux-ci. Ce ne sont pas des produits pharmaceutiques. La collusion entre le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et l’industrie pharmaceutique a abouti à cette violation de toutes les règles et garanties établies. Ces produits sont mortels de par leur conception, intentionnellement, et il est impossible de les produire selon les bonnes pratiques de fabrication. Ces gens qui prétendent « Nous pouvons recoder vos gènes et guérir n’importe quelle maladie », c’est de la foutaise pure et simple. Personne ne le peut. Toute cette révolution de l’ARNm est, à mon avis, une escroquerie. Il faut les faire cesser immédiatement, mener une enquête approfondie et traduire les responsables en justice, leur demander des comptes. Tant que cela ne sera pas fait, nous ne pourrons pas avancer et je suis tout à fait d’accord avec l’intervenante précédente lorsqu’elle dit « Ce n’est pas que toutes les obligations sont terminées et que maintenant nous allons tous partir en vacances et oublier tout cela ». Non, parce qu’ils continuent de plus belle. Ils convertissent tous les vaccins existants en plateforme ARNm. Et devinez quoi, ils ne se limiteront pas aux vaccins, ils vont commencer à produire toutes sortes de médicaments utilisant cette plateforme parce que maintenant ils le peuvent. Maintenant, ils peuvent se contenter de faire une étude sur huit souris et déclarer que c’est sûr et efficace. C’est la raison pour laquelle nous devons nous focaliser davantage sur ce sujet et nous focaliser en particulier sur les poursuites judiciaires afin de traduire les responsables en justice.

Viviane Fischer: On pourrait naïvement penser que si cette opération est si gigantesque et qu’il est si important pour eux de fournir ces vaccins à tout le monde que […] pour cette tâche logistique gigantesque, il faut impliquer les militaires en raison de leur expérience logistique et de leurs contacts. Pourrait-il y avoir – je suppose que non – mais pourrait-il y avoir une réponse naïve à la question de savoir pourquoi l’armée est impliquée à ce point?

Alexandra Latypova: Oui, c’est une réponse naïve, mais si l’objectif était valable, si l’objectif était innocent et consistait à faire en sorte que les gens guérissent de cette maladie, alors les directives de sécurité devraient être suivies et elles ne le sont pas du tout. On ne peut donc pas dire « parce que c’est un tel désastre, nous devons tout faire de travers et causer davantage de décès au cours du processus, mais ce n’est pas grave ». Ce n’est pas logique selon moi. Cela ne fait que provoquer un énorme gâchis. Je ne vois aucun avantage à procéder de cette façon. Ce n’est pas comme si l’armée avait une sorte de capacité plus miraculeuse que les fabricants privés. Les fabricants privés fabriquent beaucoup de produits, des produits de très haute qualité à des vitesses fulgurantes. Ils possèdent en fait une expérience incroyable dans ce domaine. Le rôle de l’armée n’est pas plus crucial que celui des fabricants privés dans ce domaine.

Wolfgang Wodarg: On dirait que les militaires sont tout simplement aveugles au fait qu’ils aident à tirer sur leur propre peuple.

Alexandra Latypova: Exactement et nous avons beaucoup de courageux dénonciateurs au cœur des opérations militaires, qui ont été harcelés, comme Theresa Long par exemple [NdT. voir ici] , qui a essayé d’arrêter ces agissements. Ils attirent l’attention sur ce problème, ils le signalent et ils disent « Je ne le donnerai pas à mes gens, je ne le donnerai pas aux soldats de ma base ». Ils sont confrontés à de lourdes répercussions, mais ils continuent à prendre la parole et à expliquer que c’est mal et qu’il ne faut pas le faire. Oui, cela porte préjudice à nos forces armées en ce moment même, car ils exercent une pression sur les soldats et surtout sur les pilotes. Cela leur cause du tort et c’est une autre raison pour laquelle cela devrait être arrêté.

Wolfgang Wodarg: Je me demande juste, qu’est-ce qui se passe au niveau de l’OTAN? Vous avez parlé de l’Union Européenne mais l’Union Européenne a juste comme rôle d’obtenir l’argent, de collecter l’argent et de fournir de l’argent à l’industrie. Mais la fonction des militaires qui travaillent ensemble et coopèrent au sein de l’OTAN, il devrait y avoir des recommandations pour les troupes allemandes en Allemagne qui sont membres de l’OTAN. Si c’est une affaire de taille qui émane du Ministère de la Défense et que nous sommes partenaires au sein de l’OTAN, nous avons observé que lorsque tout a commencé, lorsqu’ils ont commencé à distribuer les flacons, c’est l’armée allemande qui s’est rendue dans les institutions et ce sont des médecins de haut niveau qui ont administré les flacons. Il n’y avait pas de médecins normaux mais c’était une action où l’armée allemande était employée pour s’occuper de la distribution, qui était en charge de garder tout ça. Et normalement, quand l’armée allemande fait quelque chose, le Parlement doit décider de tout ce que l’armée fait. Je ne me souviens d’aucune décision du Parlement allemand.

Alexandra Latypova: Exactement. Le Ministère américain de la Défense s’est adressé à l’armée allemande, mais je suis sûre qu’il s’est adressé à toutes les autres armées de l’OTAN et leur a dit:  » Voilà, vous allez injecter ça à vos gens. Au fait, vous ne pouvez pas savoir ce qu’il y a dedans ». Comment cela pourrait-il être acceptable? Et c’est bien cela qui se passe et c’est bien le crime qui est commis. Ils ont contracté tout cela, ils ont créé cette structure légale sur papier mais, devinez quoi, il n’est pas légal de contracter pour tuer et blesser des gens. Pour cette raison, il faut enquêter et arrêter ça.

Wolfgang Wodarg: Il est essentiel que tout cela soit dit ouvertement. Il est essentiel que cela soit documenté. C’est essentiel que tout le monde le sache. Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup pour votre travail. C’est remarquable.

Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Tout le monde peut me joindre par votre intermédiaire si quelqu’un a des questions ou souhaite voir les documents originaux. Tout ce que je montre est disponible publiquement. Tout provient de documents accessibles au public.

Viviane Fischer: Il faudrait que nous publiions une liste de tous ces documents. Je pense que ce serait important afin que tout le monde puisse les consulter, ou peut-être avez-vous une source. Je suis en fait assez choquée par le fait que cela montre que tout est lié. Il ne s’agit pas de gens qui se dépêchent pour être les premiers sur le marché et qui font ensuite de petites ou de plus grosses erreurs dans le processus de production. La façon dont vous l’avez présenté ici indique qu’il s’agit d’un effort bien orchestré.

Wolfgang Wodarg: Une opération internationale sous contrôle.

Alexandra Latypova: Une opération internationale sous contrôle, exactement. De plus, les fournisseurs que je vous ai énumérés, les fabricants, sont présents dans le monde entier. Beaucoup d’entre eux sont présents en Allemagne également, mais aussi en Belgique, en Italie et un peu partout, en Inde et en Chine. La Chine participe massivement, je n’ai pas eu le temps d’en parler, mais tout est connecté dans le monde entier.

Viviane Fischer: Quel rôle joue la Russie dans tout cela ?

Alexandra Latypova: Je n’ai pas vu de mention de la Russie dans ces contrats. Ce que j’ai vu, c’est que la Chine, l’Allemagne, les États-Unis sont connectés et investissent dans les mêmes entités, puis le Ministère de la Défense leur donne 10 milliards de dollars, ce qui signifie qu’il a donné dix milliards de dollars à une entité dont le PCC est actionnaire. Ils sont incontestablement en lien. Je n’ai vu aucune mention de la Russie, mais ils ont leurs propres vaccins, ils font la même chose mais en parallèle, ils jouent le même jeu mais dans un bac à sable différent.

Wolfgang Wodarg: C’est une question très intéressante car il y a ce conflit en Ukraine, il y a le conflit sur l’énergie. Je pense que c’est une très, très grande partie d’échecs et que toutes ces puissances essaient d’en tirer le meilleur parti pour elles-mêmes. Il serait donc très intéressant d’en savoir plus sur les projets de la Russie. Ils gagnent beaucoup avec l’énergie, ils viennent de couper une ligne mais ils la vendent de l’autre côté à d’autres nations. C’est un jeu très global très difficile et très compliqué à comprendre. Je pense que si nous continuons à chercher, nous apprendrons beaucoup de choses à ce sujet et nous devons apprendre beaucoup de choses pour que de telles choses ne se reproduisent plus jamais.

Alexandra Latypova: Oui, exactement.

Viviane Fischer: Merci beaucoup. Je pense que nous devons vraiment creuser ce sujet. C’est vraiment choquant et étonnant. Merci beaucoup pour votre travail.

Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Passez une bonne soirée.

Interview de Alexandra Latypova au Comité Corona (transcription complète en anglais).

La traduction française est ici.

Source de la vidéo. Source de la session complète.


Viviane Fischer: We have a new guest. It’s Mrs Alexandra Latypova. She’s a former pharmaceutical industry executive. Hello.

Alexandra Latypova: Hi everybody.

Viviane Fischer: Hello, nice to see you. It would be great if you could maybe introduce yourself a little bit. What’s the most important things that you would like to share about your CV with our audience?

Alexandra Latypova: My experience is in pharmaceutical research and development. I spent about 25 years in the industry in various roles. Early on it was data analysis and later on I started working in clinical trials and in technologies that are used in clinical trials for various drug assessments such as imaging technologies, electrophysiology and many other techniques. I co- founded several clinical research organizations. These are companies that are contractors to pharmas, working in clinical trials. I worked eventually for approximately 60 pharmaceutical companies all over the world, mostly in the US and Europe but also in Asia. And Pfizer was my client and in fact they were my investor twice and we had an R&D collaboration around these technologies that can be used in clinical trials. And I also worked directly with FDA in the areas of cardiovascular safety assessments and participated in FDA industry consortia around methodologies to perform cardiovascular safety assessments in clinical and preclinical research. I retired from the industry a few years back and I wasn’t working when this whole Covid scam started. I became immediately concerned due to my knowledge that things were going very wrong, that the practices and policies that were being put in place just didn’t make any sense. I started looking into the situation more closely. I worked initially by analyzing CDC VAERS data set because it’s publicly available and then later on, now, I work on various documents that become available through freedom of information lawsuits. I review these documents and I collaborate with various groups trying to provide them expertise and interpretation of what’s in these documents so that various actions can be taken by public and also by law firms.

Viviane Fischer: So you have a lot of experience in this field, obviously. What results from all of this is that you think that all safeguards and regulations that were used, that the public relied on for years – and also assumed that they would continue to be in place – are basically abandoned. Could you maybe elaborate on that?

Alexandra Latypova: That’s the biggest lie about these so-called vaccines. They’re not vaccines, they’re not even pharmaceuticals and I will explain [that] in my presentation. But that’s the lie that was sold to everyone globally that this is a medicine but it’s not a medicine. And once the public was told this is a medicine, a vaccine, everybody’s expectation was that all these safeguards that we’re used to for medicines were in place and they were not. And they actually do not even legally apply to these products although that’s a question. You cannot contract for a crime, they have contracted for a crime and they’re committing it as we speak. And they’re calling it legal but it remains to be seen – and I can explain in my presentation. I have some slides if I can share?

Wolfgang Wodarg: Just share your screen.

Alexandra Latypova: The topic of my presentation today is to talk about these injections and specifically about regulatory and manufacturing fraud because not a lot of people have addressed this particular issue and this has been my focus.Through this investigation I realized that there’s a deep collusion between manufacturers, global regulatory agencies. It’s not just FDA, it’s EMA, all of them, and especially with the US Department of State. This entire program is headed by the US Department of State. This is a military action, a military program that has suspended all safety rules and regulations everywhere in the world effectively. And they’re colluding with pharmaceutical manufacturers to drive these deadly products throughout the world.

So far, this is overall a very high level summary of all evidence for these Covid 19 injections that we have today and I think most of us here will agree on these points. They were covered in your investigative committee also quite extensively.

So, first of all these products are toxic by design. There’s been numerous publications explaining how that is and overall the numerous mechanisms of injury designed into these products. They interfere with your genetic processes that are ongoing in your body all the time. While the manufacturers a claiming that there’s some sort of helpful protein that gets expressed, that’s not how the human body works. It really just breaks down the immune system leading to all sorts of catastrophic consequences. We now know that there is no safety of these products. The death and injury toll is simply horrific all over the world. It exceeds all previous high numbers from old publicly available databases. Yet nobody in authority is paying attention to it or when that point is brought up to them, they just plain deny it and gaslight the public. There is no efficacy of this product. I’ve yet to see anywhere that somebody could show a lasting protection from these injections. They don’t. Now the governments want people get injected every 3 to 4 months. That’s just ridiculous for something that’s called a vaccine and there’s absolutely no protection against Covid illness that these products can provide.

Now the focus of my presentation today will be mostly on manufacturing and how this fraud is committed from the framework, how this cartel formed, who are the participants of the cartel and what exactly they are doing. The bad manufacturing, few people have addressed it but this product is completely non-conformant because it doesn’t have to conform. It’s a prototype, it’s not a pharmaceutical so it’s highly non-conforming to its label and it’s extremely variable. It does not conform to good manufacturing practices and there is no enforcement of good manufacturing practices anywhere in the world where such laws exist. There is obviously malignant policy from the governments. We know that they’re lying, we know that they’re covering up, they’re gaslighting the families of killed and injured by these shots. They demonstrated very, very clear intent to harm through all these actions. At this point everything should be deemed intentional. All the injury and death toll should be deemed completely intentional.

Now let’s talk about manufacturing to just bring out the point what is good manufacturing practices. In the US, it’s a set of laws and rules and regulations which is in the code of federal regulations. It’s a very extensive set of laws that covers high quality, consistency, purity standards for drugs, vaccines, also covers food and beverage – mass produced. The expectation is that every batch of every new product is about the same as the previous batch of the same product and that they conform to the label, they don’t have impurities and they don’t have anything toxic. There’s also, in the case of these Covid 19 injections, the expectation that they’re even interchangeable between different brands although no testing have been done to demonstrate that. These rules and regulations exist in other countries and they’re very similar. In the US they were developed somewhere between the 1900’s and 1960’s and there’s a very extensive set of them. It was in response to a lot of people being poisoned and killed by badly produced products at the time and in fact it’s a severe crime to introduce an adulterated product, a product doesn’t comply to these rules into interstate commerce in the US or internationally.

When I first started looking at these Covid 19 injections, I wanted to understand how they look like versus something that was more traditionally compliant with our good manufacturing practices. Because we were talking about an alleged vaccine, I decided to compare it with the traditional flu vaccines and I took all the data from VAERS database that coved traditional flu vaccines. I plotted it on this graph. On the X axis we have all the lot numbers for flu vaccines. This is about a dozen manufacturers, different products, all injectable flu vaccines, and on the Y axis I have serious adverse events and deaths. I never include all adverse events because there’s a lot of administrative issues and maybe minor things so I just want to focus on serious and death. As far as serious and death, as you can see, these are very consistent products are they never vary much. The average is around maybe 3 or 4 serious adverse events per lot. Then we have some outliers – we only have 2 outliers here over many years and the largest was 37 reports per lot. This is approximately how a product in compliance with good manufacturing practices would look like for a vaccine product and that should be the expectation.

When I looked up the Covid 19 injections, the picture was dramatically different and this is extremely alarming. It’s so bad that it should have been a flag right away for any regulator on any level – federal state, local. We all have established regulators at all levels of the government that can flag issues with abnormalities, abnormal patterns with any products in their jurisdiction and then a recall can be issued. But nobody did that. We see this huge variation between lot to lot for all these Covid 19 injections. Here, by the way, I have all the verified lots from CDC, we have a complete list of lots that were issued in the United States with correct lot numbers, manufacture dates and expiration dates. So all of these are valid and yet you can see they are hundreds and thousands of times larger in variation compared to flu vaccine, which is all under this red line here, and all of these are so much higher. We have the range of up to 1 500 serious adverse events and that’s for a lot and then we have some lots that have very few and then we have a huge difference even between – you can visually see it – between different manufacturers. We have Janssen here, Moderna all these here, and then Pfizer – look at this. This was incredibly alarming and in fact there was one flag issued very early on in the rollout by Orange County, California. They detected on 1/18/2021, so just couple of weeks after the mass roll out of these injections, they detected one lot from Moderna that they said generated a substantial number of adverse events. However nobody else was alerted. This was in the news but no other health authorities were issued any communication. The manufacturer did not stop this lot, did not recall it, nobody from the health authorities forced a recall and this lot was continued to be sold all over the United States until it ran out in March. It also generated about a thousand of serious adverse events and close to 60 deaths. So all of those should be deemed intentional because the authorities did flag it, they did find that it was generating abnormal adverse events. Yet nobody did anything to stop it and they continued pushing it into people.

Viviane Fischer: In this Pfizer representation there, it seems if there’s a toxic lot, then it’s very toxic.

Alexandra Latypova: These ones, yes, they’re extremely high and they’re extremely toxic. Usually these ones generate a lot of deaths as well so I didn’t itemize death here but yes. We see these large lots generating a lot of deaths but it’s not always. Sometimes even a small one will generate abnormal number of deaths. They also vary by lethality as you can see. So there’s huge variation all over the place.

Wolfgang Wodarg: So you will for sure tell us something about the reason for those variations.

Alexandra Latypova: Yes, we found many reasons. People often told us, « You guys are conspiracists and that’s all just because of the size of the lots are different » and actually they are not that different. We later received just recently – there was FOIA data request information came out and they provided all the shipments of Pfizer products in the US by lot number and what number of doses. When I plotted them by date of manufacture here on the X axis, and we’re just looking at deaths – here it’s easier to see – so when adjusting for the lot size – here I adjusted by 1000 doses – we see this very strange picture. There is a huge variable – these are up to 12 times different from these. And look at the dispersion especially at the beginning of the year. Then this variability declined and toxicity declined but the variability is still unacceptable in this part of the graph. It’s just that it gets dwarfed by this part of the graph. All of this should not be there. The expected relationship should be like flat line, zero and as close to zero as possible. But here we have a definite statistical relationship, for Pfizer it’s both between the date of manufacture. Think about it, you should not have any difference in toxicity of a product depending on the date it was manufactured and also, the same relationship exists between even the alphanumeric codes for Pfizer and Moderna. They also cluster – I’m not showing it here – but they also cluster around different alphanumeric codes. We know which letters and numbers stand for what level of toxicity today. And we can tell it to people and in fact we have been, on our website.

That’s the situation that absolutely is alarming and absolutely obvious, has been obvious from the start and no health authority ever noticed it. That’s extremely concerning and again that points to intentional act.

Viviane Fischer: I don’t know if you’re going to come to that but I have a question, before I forget. In the beginning there was the elderly and the sick, already sick people maybe, who got vaccinated and then we had the younger people who were admitted. So when you see that until April 21 could it be that this has the variability because of more intense reactions, because of the age group that got vaccinated? Are you going to come to that question later?

Alexandra Latypova: Yeah, I have a slide on this in my backup slides in fact. That question was asked frequently and here is the answer – this is by the way by my German colleague and this is based on German data. Age doesn’t influence this as much as you think. We had 12 times difference which between the low lethality lots and high lethality lots. There were some older people but remember in the early roll out there were also healthcare workers so it was never just old people. The average age has always been fairly low. It’s not in the eighties, it’s much less. But here my colleague from Germany did analysis looking at the influence of age over these effects of death and these adverse events and it turns out age has only partial explanatory power, does not explain all of – it actually explains very little of it. So here we have something like 18, 13 percent explained by the age and the rest is not explained. And you can visually see it. If you did different tests on the lots that were shipped to Germany with the severe adverse events and deaths and you plotted them here, you can see for example here, it very clearly can be seen on this graph, the age here is less than 60, so this is maybe 58 year old, and you can see this vertical dispersion of the results of the adverse events. This means that for the same age they have the lots that were less toxic and far more toxic. This is a huge dispersion and it goes almost everywhere, you can see that. And you can see here 60 or 70 even, so there is this very not toxic and this is around 80 years and very highly toxic and it goes all over the place. So because the data exists in this cloud, it just tells you age doesn’t explain it – it explains a little bit.

Viviane Fischer: Okay, thanks so much.

Alexandra Latypova: [Let me go back.] And there are also other patterns of a strange variability also still unexplained. Another one of my colleagues put together this chart for the US. We have very strange geographic abnormalities in terms of how toxic these products are. So when we look at data in VAERS, that’s all 100 percent vaccinated populations so policies of local governors do not play a role here. Everyone who got vaccinated is covered by this. We look at death per hundred thousand vaccinated people in the state then we see this picture which is also quite strange. For example South Dakota is the worst state in the Union right now. It has 33 deaths per hundred thousand vaccinated people and the next worst state is Kentucky with just 24 per hundred thousand vaccinated people. And then we have states like Utah and California for example with only 1.7 and 1.9 so that’s a huge range. Again, there’s no way to explain this by normal demographics of the states. In fact, California has poor demographics if you think about homeless and drug addicted populations and so forth. So that’s unexplainable right now and nobody seems to be concerned about this. But to me it just says that the product is gigantically variable and whatever they’re shipping to these different states is extremely variable, too.

So given this variability of manufacturing, the manufacturer is producing highly, highly variable products and that creates these strange patterns abnormalities whichever way you look. I started next looking at the regulatory documents that I could get and I reviewed several packages of what’s called non-clinical summaries. They became available through FOIA and these were for Pfizer and for Moderna and those summaries contained – their own summaries of animal studies that they performed and that the FDA then used for approval of Pfizer’s injection product and Moderna’s Spikevax.

I’m going to talk mostly about Moderna for the interest of time but they are very, very similar both of them. First I looked at Moderna and I found a very strange thing about Moderna. Moderna apparently has two investigational new drug numbers which is strange to me because by rules, by regulations, there’s supposed to be only one investigational new drug number for each new molecular entity. And that number opens your application with the FDA and the similar process in European agency. That number opens your application and then you as a sponsor collect all the data for animal studies and then clinical studies and all the results and all the data sets, they get appended to that number. It’s like a case number and then that becomes a dossier that you use with the regulators to review and approve your product. And that works like this everywhere in the world where we use these systems, International Conference for Harmonization. And in Moderna’s case I saw two numbers. I still don’t know how this works but that’s my question that was never addressed. First of all that other number was opened first and then Moderna’s number second. The first number belongs to the NIH. They are the owners, National Institutes of Health and specifically it’s a division of microbiology and infectious diseases, DMID, and organizationally that group reports to Anthony Fauci. So they own this number, they opened this number for Moderna in February 2020 and then they also did – it may be on going – they’re performing a lot of animal studies for Moderna. Because they have these two numbers, that means that they are co-owners of this product and they have the rights for revenues and profits derived from this product. This is highly abnormal and a huge conflict of interest because this is well beyond a more standard ideal relationship where, let’s say, private manufacturer can license a patent from NIH or a patent from an academic institution and then they pay them small royalties when that technology is used in subsequent products on the market. But this is different, this is NIH actually getting revenues and profits from this product – or at least has the rights to – and also we should note that, of course, NIH and Anthony Fauci specifically were in charge of all these draconian mandates, coercion of people into injecting this product into everyone. So how is this that they’re then profiting from it directly? I’ve raised this question many times. This has never been addressed by anyone but I think people need to speak about it more.

Next I reviewed the packages for both Pfizer and Moderna with respect to what the standard testing would be in preclinical or animal experiments. And just to give you an overview, this is very, very high level, each of these boxes contains numerous studies. For a normal drug or vaccine or any product, biological, what you need to do is assess them in animal experiments first before you can give it to humans in a highly controlled clinical trial setting. This is in order to exclude major risks and make sure that the product is safe enough to then be given as experimental product to humans. And the categories of safety testing in preclinical will include three major components: pharmacology, safety pharmacology and pharmacokinetics. Pharmacology includes a couple of areas. One is primary pharmacology: you have to at least try to demonstrate mechanism of action that you declare for your product. For example, if the manufacturer is claiming « This product will create spike protein and then that’ll create an antigen », that needs to be demonstrated in those studies. Then secondary, any off target effects. So if while doing that, it’s doing something else, you also have to show that or exclude it or at least have some idea what potential off-target effects may happen. Then drug interactions also are an important part, especially if the product is supposed to be given to absolutely everyone then a lot of people already taking multiple drugs, they can interact in unknown ways so at least some idea needs to be given to what potential interactions and are there any counter indications for other products. Then the next category is to see how the product gets distributed through the body when you inject it – and that’s called pharmacokinetics. In pharmacokinetics we assess many things but important ones are absorption, distribution, metabolism, excretion studies, those are standard. Then very, very important ones are toxicology. Toxicology means that if your product is detected in a certain area, let’s say, it gets into cardio-vascular tissue or it gets into liver tissue or it gets into the brain, in other organs, you need to then do the toxicology study for those particular organs and figure out what is the maximum exposure, what’s the exposure over time, when does it clear, what’s the maximum tolerated dose, where the toxicity starts because we want to develop what’s called a therapeutic window where you can give the drug high enough so that it elicits desirable response but it’s also low enough so that it doesn’t cross the threshold of toxicity. That’s the most important part of all these experiments, it’s to find that space. And that space was never found for these products, by the way. Also an other area here of course is reproductive toxicology, I’ll talk about it some more.

What happened with both Moderna and Pfizer, they use very similar strategy here. They did not do ADME studies, they did not do any secondary pharmacology, then they waived for themselves this whole area of safety pharmacology and they told the regulators that it doesn’t apply to them because of 2005 WHO guidance for vaccines, which is an absolutely preposterous claim because these products are not vaccines and especially in 2005, they were not considered vaccines, they were gene therapies. That ridiculous claim was accepted wholesale by the FDA and in Moderna’s case specifically, what I found is that about 50 percent of all the studies that they included into this non-clinical package contains tests for completely irrelevant articles. They just compiled a whole bunch of previously failed products that they had in the pipeline, appended them to this and they said « Oh, it applies to Spikevax ». It doesn’t apply to Spikevax. All the tests need to be performed with the exact formulation that you’re going to use in the ultimate clinical product, meaning your mRNA that’s going to go into the Spikevax and the lipid nanoparticle exactly as it going to be in the Spikevax. None of this was done at all. This was a hodgepodge of different studies from different years. For example, bydistribution, they included a study from 2017 for a cytomegalovirus and it was a concoction of 6 different mRNAs. None of them are the mRNA that’s in Spikevax. Then toxicology studies were not done. There was only one non-GOP – non good laboratory practice compliant – toxicology study and it wasn’t completed even at the time that the package was written. And there was only one GOP study in reproductive toxicology, I’ll talk about that. Genotoxicity, carcinogenicity was assessed only for one component, this chemical SM102 and only an in vitro-like cell line experiment. That’s completely unacceptable but the FDA, by the way, did not find any problem with this, completely accepted it. And that was for both Pfizer and Moderna. To me that told that there is a collusion between the regulator and these manufacturers, and in fact I believe the regulator, FDA, drove this road. They told them how to submit the documents because this is in complete violation of any [guidance]. If you look at the FDA guidances, it violates all of them. That is just so bad that if a manufacturer tried to do that and the FDA was following its own rules, none of this would fly. Yet somehow it just gets red carpet and they just waltz in with this garbage and that « Jimmy says the FDA told them to do it this way ».

Moderna also made this really bizarre claim – which now both of them are making – and now it’s being enshrined into regulatory practice as we speak. This is a slide from Moderna from JP Morgan conference in 2018. They were claiming that their product is a platform – which, by the way, every start up in every industry claims that their product is a platform so this means absolutely nothing. They’re claiming they have a platform where they can make these lipid nano bubbles and they can put whatever mRNA they desire into this lipid nano bubble and if it worked once, it will work again and again. I won’t dignify this but anyway, this is a very dangerous claim. They’re saying essentially [that] their product doesn’t need to be tested. Only the delivery vehicle needs to be tested. It’s like saying « Well, the truck that’s carrying food and the truck that’s carrying explosives is completely the same thing. Don’t pay attention. » Because this claim by itself would have never passed through normal regulatory practices as they are designed and regulations as they’re written, what they needed to do is to manufacture the crisis to push it through emergency use authorization, so that they could actually put this on the market – and they did. [Moderna] did not test the Spikevax and Pfizer didn’t test their BNT162 product either. The only test is [of the] delivery vehicle and all kinds of evasive tests not to actually test directly this combination of things. And now they’re both claming « We have a platform » and now FDA is allowing them to do a study in eight mice and then immediately put the product on the market. This has of course many problems. First of all, who wants the product which was tested on eight mice? I don’t know. The second is that now FDA, Pfizer and Moderna are a cartel. They established a cartel where for Pfizer and Moderna, they can do eight mice study and that’s it. For everybody else who even wants to work in mRNA, for example, any other startup – they’re all thinking « Oh my God, this mRNA revolution happened and we’re all going to be rich », they should think again because now they have to comply with all regulations to approve their platforms. But Pfizer and Moderna can only do eight mice study. So they have ruined the entire industry, pharmaceutical research and development by doing this and they have established government-pharma cartel by doing exact these specs.

Next I want to specifically address the reproductive toxicology study that Moderna did. It was a small study in about 40 rats and I’m not going to cover design. They had half of them vaccinated, half of them not vaccinated. By the way, the male rats were never vaccinated so we don’t know what happens with the male reproduction at all and nobody has addressed that. They only vaccinated females and then eventually they found that there was a strong transfer of antibodies from them to fetus and from them to pup – and the levels were high. They’re saying « antibodies » like it’s a good thing but if antibodies transferred, so did mRNA and spike proteins. We now know that spike proteins were found in breast milk, for example, and mRNA specifically was found in breast milk. These things, mRNA and spike proteins, they pass all sorts of barriers such as placenta, such as brain and blood so they will end up in the baby and it’s not clear what it does. We know it’s dangerous and the babies obviously have a small body and it’s developing. So this poses high risks to the developing baby and none of this was studied by anyone. Also, mothers experienced toxicity during gestation and it coincided with the day when they were expressing the highest levels of antigens so obviously this is related to the vaccination. They vaccinate them, they experience high toxicity. They were claiming that these effects were transient and not so bad but rats lost fur and they couldn’t use their hind legs. But Moderna said « Don’t worry, they were thriving ». I’m not sure how the animal is thriving when they’re losing fur. Because I don’t have access to full reports, this is only Moderna’s own summaries, their own words about their studies, I cannot tell you exactly what happened there but it looks to me like they’re whitewashing a lot of stuff. The most important thing was that they found that rats offspring had skeletal malformations. Here’s their own language: « mRNA 1273 » – that’s Moderna Spikevax – « related variations in skeletal examination included statistically significant increase in the number of rats with one or more of wavy ribs and one or more rib nodules » – which is extra ribs. Those are severe skeletal malformations and they were statistically significantly increased in the babies of the vaccinated mothers. That’s as clear safety signal as you get and those are standard studies for assessment of developmental toxicity.They also correlated that with maternal toxicity during the gestation on the same day. So obviously it’s related to the vaccine and obviously this product is causing damage to both mothers and their developing babies.

However FDA directly lied on the label and the regulatory documents on behalf of Moderna. What the FDA put in their summary for non-clinical pharmacology and toxicology which is part of labeling for Spikevax is that there were no vaccine-related fetal malformations or variations. And that was hidden, secret, for a year – more actually than a year – until it was released through court order and until I read it. We would have never known and they would continue pushing this on pregnant women worldwide and they’re continuing. They knew about this but they were knowingly forcing this on pregnant women. Remember the campaigns that were everywhere: CDC advertising, FDA advertising like pharma sales reps, just advertising this is totally safe in pregnancy and pushing everyone – and even forcing pregnant women if they were health care workers or police or school teachers. To me, it’s a crime, it’s a horrible crime what they did. And we know now that there are huge adverse events related to miscarriages to problems with babies, babies dying, lactating babies dying and that’s all recorded in VAERS. And again they’re denying it and gaslighting everyone.

Next I want to talk about what’s really happening with this product, why this variability exists in my opinion and what we’ve found through various now direct testing of vials and examination more closely on the manufacturing processes. So, as you know, each product has its label and even though Pfizer was trying to hide this particular information for a while, now it’s available. We know that they are declaring certain ingredients such as BNT162b2, it’s their mRNA sequence and then the rest of it is lipids, lipid nano, it describes lipid nano bubble composition, these ALC’s and so forth, cholesterol, and then some other products that balance it into injectable product. They’re also declaring quite precise quantities of each on the per vial and per dose level – because remember, they get shipped in multi-dose vials and then each dose gets prepared by the vaccine administrator at the site manually, in completely uncontrolled manner and outside of any good manufacturing practice compliance. Nevertheless each dose is supposed to contain 30 micrograms of mRNA, for example, and then some other components also very precisely described. But what I found by reading manufacturing documents for Pfizer specifically that were submitted to EMA, no tests were designed for testing of the ingredients especially at the vial level – and forget about the dose level. What they were describing as tests at the vial level were basically the vial weight at filling and some integrity parameters like how well it’s capped and so forth. But there were no test that said « We’re going to take random sampling of a few vials from each lot or from each line as it comes off and then we’re going to open them and we’re going to see if it does contain 225 micrograms of RNA or not ». None of that exists. All the ingredients specification tests are designed at the batch level – and the batch is a bulk product, it’s upstream manufacturing step. Per current government regulations, these tests need to exist at the dose level, at the unit dose level as it’s dispensed to the patient – and they’re not doing it, I’ll talk more about this. So far, our findings is that – and this is from random vial testing all over the world – so far we found that not a single vial conforms to this label or any other label of the manufacturers.

So what has been going on is independent testing of vials by many teams. This paper was recently published in the International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. I know some of the authors and I am in correspondence with them and these teams of researchers and independent researchers all over the world – 16 countries, I believe – have gotten access to some of the vials, mostly Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – but there’s some other ones as well. The summary of overall findings is that all these products are completely different, they differ from the labels, but there are some consistent findings. For example, when they’re able to isolate and sequence RNA from the vials, RNA sequence does not conform to the label. We have yet to find a match to what Pfizer says it should be. Then there are huge DNA impurities and protein impurities – gigantic amounts, I’ll show you that. There are also consistently other impurities found in large quantities and they constitute heavy and rare metals. It’s unknown origin or purpose of these materials inside the vials. Metals includes things like cobalt and chromium and aluminum which are very toxic to the body and neurotoxic. Rare things like thulium, which is bizarre, and antimony even was found in Moderna vials. Antimony is a metal used in semiconductor manufacturing, mined in China. It’s not clear what it’s doing in Moderna’s vials which is supposed to be produced in Massachusetts. There are also inclusions found, contaminations with structures of also unknown origin. They look like unexplainable blobs and particles and they’re large because people find them under standard optical microscope which means that they’re not nano scale, they’re larger than that. And crystals, they’re very characteristic: flat and very square and rectangular shapes with sharp edges. Also very characteristic fibers and ribbons, flat ribbons. There is assembly, a self-assembly process – chemical probably – movement visible immediately from the frozen state and this was videoed in single-take videos and so there’s very good documentation of it. Researchers take precautions and steps to exclude environmental dirt on the slides. They do controlled experiments so there are some high quality studies. Not all studies are high quality but some high quality studies found all these things – that’s what I’m summarizing. There is possibly different forms of graphene in these vials and also things like, for example, leftover magnetic beads. Remember though all those people who had like fridge magnets stuck to their arms post injection? That’s what it is. Magnetic beads are used in purification of RNA in manufacturing. They were left in the vials, not removed and then subsequently injected into people.

Here is an example of the RNA sequencing from a Pfizer vial. Here researchers showing the first green line is the declared Pfizer sequence and all of this, by the way, is by weight and that’s how Pfizer does it, too, or rather by length of the molecule. The first sequence is this BNT sequence, that’s Pfizer declared sequence, and it’s supposed to be like this green line. The next three you can see, those a possible matches but none of them actually match.There are some pieces of it and then some extra stuff at the end but the beginning is missing. And that’s what’s floating in that vial. What’s very concerning is these additional small RNA fragments and they were even described by the regulators in European Medicines Agency documents as process-related impurities and they were concerned about it. And they should be concerned about it. I call them shrapnel RNA, there are many, many names for them, microRNA, small interfering RNA, all kinds of things but you can think of it as shrapnel. When the glass breaks, it breaks into large pieces and small pieces and they’re all inpredictable – it’s like this. They’re not denying it. FDA dismissed them as a theoretical concern, it’s not a theoretical concern. MicroRNA’s have been designated specifically as a class of a biological weapon that can be used because they are interfering with the normal genetic processes. They do not have to code for proteins, they do not have to have a a length to code for anything but they can still interfere with the cellular processes dramatically and they can still aggravate the immune system and break it down to such a degree that over time you will have various types of malfunctions including cancer specifically and neurodegenerative diseases and all sorts of abnormalities. So this is in the vials. You can see, it’s almost half and half how much of this component has larger pieces of RNA that don’t match and then all these shrapnel RNA’s.

Then the researchers looked at several Pfizer and Moderna vials and they found large quantities of DNA. And DNA is also a process-related impurity, it comes from the beginning of the process where RNA is transcribed from a DNA matrix. It’s a raw material or input into the process. This DNA matrix is always not 100 percent transcribed, you have remaining impurity from this process and it needs to be removed. And here it clearly wasn’t removed because in three BioNtech vials and one Moderna vial they found DNA. In this test – and again Pfizer uses a similar test – you can see, this is a calibration band on the left of different sizes of DNA that are possible and these are matched with what’s in the vial. You can see that there are these stripes of different sizes that were found in the vials. Here it’s kind of smeared amongst different sizes. So they found DNA and they found it in various sizes in these vials.

And then they calculated the weight of it and it turns out that there’s huge amount of it in each vial. Pfizer themselves declared that acceptance criteria for the vials is such that the DNA can be present there only up to about 10 nanograms per dose. But what’s calculated here from the actual analysis is up to 2000 [times] that amount. That’s really, really, really concerning. Also I found these batches specifically in VAERS – although they come from Europe so VAERS is not complete for Europe – but I found them in VAERS and I found reports for serious adverse events and death for them in VAERS.

Another image was provided by my colleague, Shimon Yanovitz from Israel. They did some testing and this is under standard microscope. They were looking at the vials from completely frozen state and then waiting for them to unfreeze and photographing that process. What they found is, on the top line, here we see immediately from frozen state, this is imaged under standard microscope and you can see how many different types of inclusions and and blobs and some sort of particles are there. And they’re not nanoparticle because under standard microscope we’re seeing much larger structures. It’s not clear what they are. Then after some 20, 30 minutes after unfreezing, they photographed again and look, they changed to all these compositions. That’s what’s evolving and growing and self assembling. They kind of agglomerate, there’s something going on, some kind of chemistry that’s constantly moving and then collecting and coalescing in these other structures and even new ones appearing like these fibers, that one up in these images. It’s very strange, that’s unexplained and that should not be in this type of product. It’s a question, why do we have this?

These structures are not rare. Another colleague provided this image for me and they said that this is just from one drop of Pfizer product. After it sat for 72 hours they examined that at 100X magnification and you can see how much of the stuff, it’s basically just filled – and this is just one drop. It’s filled with this, with these strange structures, some are like particles and some like larger square pieces and it’s not clear what’s going on but there’s a lot of it, it’s kind of steaming with it.

Wolfgang Wodarg: Question: Could this be cholesterol crystals?

Alexandra Latypova: Some of them might be but the ones that are like square, rectangular, they don’t look like crystals. We’re also looking at normal images of cholesterol crystals and they don’t match that, they don’t look like that. They look like something else and there are even more much larger and weird structures that look like carts on wheels, it’s hard to describe. They also have circular things attached to square things attached to some fibers. We’re comparing to salt crystals and cholesterol crystals and, no. Some of it maybe but most of it not.This still remains to be explained by the manufacturers who are keeping extremely silent about it.

And what we also found – and this is almost good news for the victims – we found that when this product is broken, it’s safer. The slide on the left actually came from Germany. A recent report was published by one of these research teams, it’s called the German Working Group. And they did a number of very good, solid and high quality tests for these products. One of these tests was looking out the pegylation quality of the product. They had different Pfizer batches – each dot here is a batch – and they looked at the degree of polymerization, how homogeneous was the polymerization of these nano bubbles. The PEG is there to protect the bubble and to keep them separated. If you have small molecules and they’re all homogeneous, it’s like a mosaic, it protects these really well. When you have smaller and larger ones, that can lead to breakage of these nano bubbles. If it breaks then the mRNA will escape, get interacting with water and will also degrade. What they found is that this associates with degree of inhomogeneity. So how often those bubbles can break is associated with fewer adverse events so it’s safer for the victim. And then I found previously in my analysis of Pfizer documents that once mRNA escapes and breaks, if you have more broken mRNA in your batch – and these are also batches from Pfizer different that these – it’s also less deadly, so it’s safer. That’s just good news because obviously they cannot make this product stable, they cannot make it to their own specification and that turns out to be a saving grace because it doesn’t kill as many people as they were intending to.

Wolfgang Wodarg: Do you have information about the the dependence on storage temperature? Because I can imagine if you store it not frozen for a longer time in a higher temperature that there’s more degradation and that the toxicity will diminish then. Is it possible?

Alexandra Latypova: Yes, absolutely. So, storage, transportation, it breaks in all steps and even shaking. They’re saying to the administrator, the instruction is « Do not shake the vial, you have to invert it a couple of times ». If you shake it, of course, you’re gonna get more broken pieces. They’re not benign but they’re a bit safer.

Wolfgang Wodarg: So if you want to just show the people that is not so dangerous, that you don’t want the people to be alerted by toxicity effects, you just care for a little bit higher temperatures, it’s easier. You use the side effect.

Alexandra Latypova: Yeah, in Pfizer documents they use that method to degrade RNA as well for testing purposes. It’s very well documented. A couple more slides, a short part but actually we’re getting into a very interesting part. We talked about this, we [said] the tests directly from vials or directly from batches show that this product is designed to be toxic, designed to be deadly because it actually is the opposite when it’s broken and doesn’t conform to its specification.

What I found later… I started thinking about and reading more about the manufacturing of mRNA and I didn’t know much about it at the beginning. I now have connected with a number of experts and I understand it better and I have a lot of documents including from Pfizer about how this product is being made. What I learned from it is I frankly have an opinion today that it cannot be made at the scale that these people are claiming. That’s also part of a lie and part of a fraud. First of all, mRNA manufacturing is a challenge even in the lab scale. If you want to make some micrograms of it, it’s a challenge and people who have done it, they’ve described it to me. It has low yields so there are multiple steps of making it and each step creates some sort of not 100 percent yield. And you lose stability of the product at every step. For example, if you have a 5 step process and it has an optimistic yield of 80 percent, then at the end you have 30 percent of the final product and 70 percent of impurities that you need to remove. And if you have a yield of something like 60 percent you only have 7 percent, then you need to remove 93 percent of impurities. Also, of course, you will have to scale up all of your raw materials to achieve some sort of a target that you need, some sort of a weight of the product that you need. mRNA is very fragile, especially the ones that they are using now in these injections, they are large chains. Previously the only approved product on the market that’s using RNA is using a very small one, it’s called small interfering RNA. It’s something like 100 nucleotides in length. The ones that are in Pfizer and Moderna are 4000 and higher than 4000 nucleotides. So it’s very large and the larger it is, the more fragile it is. It’s not stable. They modified it with numerous modifications to make it more stable so that’s why it’s not human it’s just some strange sequence but it still is unstable. Also it needs to be capped and has a tail and those two are separate processes. Each one of them breaks the product as well, so it’s not in complete capping, it’s incomplete tails. LNPs we already discussed, they’re lipid nanoparticles, they can also break because of various things including pegylation imperfection and when they break mRNA also breaks. As we’ve seen before, there are large impurities process-related and some others can be introduced through bad practices and they need to be removed. But you can not aggressively remove anything from this product because it’s very fragile. So you cannot use the same centrifugation, filtration, mixing techniques that they use in chemical manufacturing. Now manufacturers are claiming – I have records that show that on average these batches are something like 200 to 300 liters which already stretches imagination, that’s for batch. Recently I obtained records that showed one batch of Pfizer was manufactured with 12 000 000 doses in it, which means it’s around 900 liters of mRNA. My colleagues at this point started laughing and they said « I don’t even know that there are bio bags that big being produced ». Why are they doing this? I don’t know what’s going on. Are they overdiluting, are they mixing multiple batches, are they mislabeling, are they just reenabling an old product? I don’t know. Any of this can be possible because, as I will discuss shortly, they have no rules that apply to them. When we’re talking about scale like this, the availability of raw materials is questionable. Again my colleagues are questioning « Can they get the enzymes at this scale? » because again you have to have everything multiplied by the yields to reach your final target. Also, these batches are produced simultaneously by numerous companies at the scale and the speed. I don’t know whether this is possible or not. Pfizer was already reporting chemical instability even at 37 liters. That was in the Pfizer European Medicines Agency documents that they said that enzymatic reaction to make RNA was already stopping at that level because at large volumes, chemicals don’t balance the same way as they [do] at small volumes. Now even if you can produce something like this at a large volume, what happens is it the product becomes super heterogeneous. We have problems in the small batch but when the batch is large, you have lipids in water. And lipids are floating in a huge volume so they start separating and they tend to go to the top and they also tend to form into clumps. Now you have the mRNA in very unstraighted quantities floating around in a large volume of other stuff including water. Then that huge volume needs to be filled into 0.45 milliliter containers, vials, and of course you will have a whole bunch of vials that are blanks or near blanks that don’t contain much of the mRNA at all. It may contain metal contaminations or whatever and then you will have some super concentrated mRNA deadly shots. And that explains the reality where we see most people seemingly fine after these injections – at least at the beginning. They may develop something later on, they might get Covid, this increases probability of getting Covid. But then we see also some people drop dead within minutes of injection. That’s what happens, this is the reality of this, because there’s this huge heterogeneity of the vials.

Wolfgang Wodarg: It’s not possible to homogenize it afterwards, to keep it like milk, it’s very homogene. The natural milk is not, you have the cream up and you have the water down. They have technical process to homogenize the whole thing but you cannot do it without disturbing, without destroying the RNA, isn’t it?

Alexandra Latypova: Right, exactly. With milk it’s maybe possible but even then if you look at homogenized milk in a microscope, you’ll see clumps and stuff. These products can not because they will break it. And it continues breaking throughout the whole process and all the impurities that they can’t remove stay continuously. It’s a huge mess, a complete mess. In my opinion, this product can not be made to good manufacturing practices and I suspect that they knew about it because they’ve tried for 20 years to put this on the market and they always ran out to, maybe, early human studies but that’s it. And then they couldn’t get any further because of the safety issues and because I suspect they couldn’t make it consistent. They knew that and then they decided « Okay, well now we have to push it through this big scam ». I’ll explain how they put it in their contract form. I’m pretty sure that these products cannot be made in conformity to the label at the scale and at the speed and the manufacturers are well aware of it and that’s why they’re not doing it.

Let’s look at the structure of this organization, the overall organization, the big picture. This is their organizational chart, it’s turned on the side but it’s still an organizational chart and this is from Vaccines and Related Biologics Advisory Committee meeting from 10/22/2020. This is all the operation Warp Speed meeting together and describing their organizational structure. Notice a couple of things. Who is in charge of this operation? It’s the US Department of Defense, Chief Operating Officer. Who is chief scientific officer? It’s HHS and FDA. Then obviously this part of the chart, it’s the top part and these are people in charge: US government, Department of Defense and HHS. These people are not in charge although they’re getting huge amounts of money so they’re happy and they’re keeping the plans going. Also, the top part includes manufacturing, supply, production, distribution, clinical trials. Now there are many contracts available that were made by the Department of Defense, HHS with all of these vaccine manufacturers and they reveal a lot of things about the structure. The contracts are available through Securities and Exchange commission disclosures to shareholders and I read a lot of them. It does reveal the structure where the government took over pharmaceutical industry by giving them huge amounts of money and signing these very restrictive contracts that control everything. But the government designs the clinical trials, the government designs everything about it and then the FDA just approves it – well, FDA is part of the government. Let’s see who is really making these products.

Here’s from the same meeting, another Power Point slide. This is Operation Warp Speed/BARDA. BARDA is a military biologics development agency and they’re saying « Well, here’s our vaccine manufacturing portfolio ». Again, through these contracts – and there are contracts for all of these entities listed here available – through these contracts it’s very clear that what they’re calling vaccine supporting efforts is in fact what’s manufacturing the vaccines. For example Emergent Biosolutions which I circled here, it’s one of the centers for manufacturing that BARDA set up a long time ago. The contracts that I read go back to 2012 where Emergent was established as a vaccine manufacturer, the Defense vaccine manufacturer extensively for flu vaccines at the time. They also said « We’re going to build this so-called surge capacity » so there were huge amounts of money given. The contract is from 2012 to 2037 in different options and then in 2020 they executed option to do Covid vaccines. Emergent was manufacturing both AstraZeneca’s and Janssen’s vaccines and they were supplier for them. And they were not following any good manufacturing practice rules, by the way. There are also other entities that are very important like Ology. Now it’s been converted into this new monstrous, it’s called National Resilience Company and this is DOD essentially buying a bunch of manufacturing plants from pharma companies and establishing their own manufacturing base. It’s millions of square feet, they have huge amounts of money and they’re manufacturing these products. Texas A&M, also another one. That one seems to be manufacturing for things like Novavax because they use some sort of insect line – I don’t know what that means. You can also see a lot of others. Complex manufacturing requires – it’s not just making something – it’s also having qualified staff, having all the equipment that you need, having supplies, disposables, access to raw materials, it’s a huge infrastructure that you need to have in place and it was not possible. It’s not like you can go to Ford Motor Company and tell them here’s 10 000 000 000 bucks, I need a 1 000 000 new cars in 6 months. Even Ford with already established manufacturing can’t do that because you can’t even secure raw materials in time. Now imagine the same scenario happens when the government goes to Ford, General Motors and Toyota and tells them all simultaneously to do that. No amount of money will produce this miracle in 6 months. It wasn’t. They just gave money to these companies and then directed them to go to these companies that they already established for a long time to produce the product. This is who is making the product and these guys are just a front. They have some aspects of manufacturing but for the most part it’s being done here. And all of this is controlled by the Department of Defense. Specifically the contracts included no accountability – let me go to the next page.

The bad news is that this is a Department of Defense product entirely. People don’t realize it. It seems like it’s a military operation, gets thrown around. It is actually military operation from A to Z. It’s not just that they used some military distribution for just speed and getting it to different states and using refrigeration. No, that’s not how it works. All of these contracts are with DOD. There are hundreds of them with all kinds of companies. All the contracts are with DOD, DOD is the purchaser, DOD gives them huge amounts of money. As I said, they already have established manufacturing base. For example the first contract for Pfizer was for $10 000 000 000 to deliver 100 000 000 doses of vaccine and up to 500 000 000 and there were bonuses for faster delivery which to me says « Why are they making 900 liters of it? Well, because they’re not accountable and they have bonus if they ship all these doses on time ». That’s one of the reasons. And there was no capacity to fulfill them on time except if you use the already established DOD vendors. And there’s no accountability other than the companies to make reasonable efforts, whatever that means. But the contract is extremely micromanaging on every step of operations. Also clinical trials are designed by the government, not by this pharma manufacturer. Regulatory interactions are completely taken over by the government. For example pharma cannot independently talk to the FDA in any way. If they have a meeting, the Department of Defense representatives needs to be in that meeting. That to me says it’s not an arm’s length relationship, it’s a total control of their relationship by the DOD.

Now another thing, the distribution of the product. The product gets shipped to the DOD. All of the vaccine doses in the US get shipped to the Department of Defense. They do not get shipped to independent and licensed and regulated pharmaceutical distributors as all normal pharmaceuticals go to. They’re taken out of that system also into this black box of DOD-only distribution. And in fact the contracts with the vaccinators explicitly state that this product is the Department of Defense property or US government property until it gets injected into the person. And that you can not independently test the vials, you cannot get independent access to the vials and it’s called diversion of government property. They’re prohibiting to test the vials and as I said before, the manufacturers are not testing the vials, neither regulators are testing the vials. Nobody’s testing the vials and you’re not allowed to. In the same contract, there’s a clause that exempts them all from any liability as long as they follow their orders and that same clause describes the product as civilian and military application. There’s also some ex-US contracts with other countries like European Union and Brazil and Albania became available. European Union contracts are still largely redacted but I’ve seen an unredacted Albanian contract and we were told that all the contract clauses were the same. Those contracts explicitly prohibit testing of the vials by foreign governments or anyone there. And in fact they also indemnify Pfizer for anything, provide huge liability cover. The government is forced to waive all the rules and regulations and good manufacturing practices, distribution practices, any controls that exist, in order to indemnify Pfizer. Also, they cannot change their national laws to make it otherwise. So by signing this contract they signed away their national sovereignty to a pharmaceutical company. How ridiculous is that? That’s how they’re avoiding all this liability and they’re prohibiting batch testing, prohibiting vial testing. However you can prohibit all you want. As you’ve seen, there is a large covert testing activity that’s been going on and we’ve found all these answers already. We found that these products are dirty, contaminated, do not conform at all to what the label says and they’re hugely toxic and they’re toxic by design. But this explains to you how they can all get away with it and how they can just not follow any rules: because these rules do not apply to them, this is a military product, made by the military, for the military, distributed by the military and injected into people and it’s a total secret what that is.

So in conclusion what I would like to say is that these injections are definitely not pharmaceuticals and people should stop thinking of them as [such]. They should have stopped thinking about them as vaccines a long time ago but they should stop thinking about them as pharmaceutical or medicine or anything that has to do with that. They are not. US government/DOD/pharma collusion enabled this violation of all established rules and safeguards. These products are deadly by design, intentional, and they cannot be produced according to good manufacturing practices. These people who are claiming « We can recode your genes and cure any disease », it’s total garbage that they’re making. Nobody can do that. That whole mRNA revolution, it’s a scam in my opinion, and they should all be stopped immediately and this should be investigated properly and we should bring those responsible to justice, to accountability. Until that happens, we cannot move on from this and I completely agree with the previous speaker when she said « It’s not that all mandates are over and now let’s all go on vacation and we can forget about it ». No, because they’re doing it more and more. They’re converting all existing vaccines into the mRNA platform. And guess what, this is not going to stop at the vaccines, they’re gonna start producing all kinds of medicines with this platform because now they can. Now they can only do eight mice study and declare it safe and effective. That’s why we have to focus on this more and focus especially on prosecution and bring those responsible to justice.

Viviane Fischer: Naively one could think if this operation is so giant and it’s so important for them to bring these vaccines to everyone that […] for this giant logistical task, we need to get the military involved because they have logistic experience and they have all these contacts. Could there be – I guess not – but could there be a naïve answer to why the military is so much involved?

Alexandra Latypova: Yes, it is a naïve answer but then if the purpose of it was a good purpose, a benign purpose to try to make people heal and cure this disease then the safety guidelines should be followed and they don’t follow a single one of them. So you can’t just say « Well, because it’s such a disaster we have to do everything wrong and produce more death in the process and that’s okay ». It’s not logical in my opinion. It just creates one huge mess. I don’t see any benefit of doing it that way. It’s not like the military has some kind of a more miraculous capability versus private manufacturers. Private manufacturers make lots of products, very high quality products at huge speeds. They have in fact incredible experience in this. The military is not critically required here [more] than the domestic way to do this.

Wolfgang Wodarg: It looks as if the military is just blind that they help shooting their own people.

Alexandra Latypova: Exactly and we do have a lot of very brave whistleblowers inside the military operations, who were stalked, like Theresa Long for example who was trying to stop this. And they’re bringing this up to attention and they’re reporting this and they’re saying « I will not give it to my to my people, I will not give it to the soldiers in my base ». They’re facing huge repercussions but they’re still speaking up and explaining how this is wrong and you shouldn’t do it. Yes, it is damaging our military also as we speak because they’re pushing it on the soldiers and pushing it on the pilots especially. It’s hurting them and that’s another reason why it should be stopped.

Wolfgang Wodarg: I just ask myself, what is it with NATO? You spoke about the European Union but the European Union just has the role to get the money, to collect the money and provide the industry with money. But the function of the military which is working together cooperating in the NATO, there should be some advice for German troops in Germany who are member of the NATO. If it is a big thing coming from the Department of Defense and we are partners in NATO so we had this observation that when the whole thing started, when they started to distribute the the vials, that was the German army going to institutions and there were some higher doctors who applied then the vials. There were no normal doctors but this was an action where the German army was employed to care for the distribution, who was in charge of keeping all this stuff. And normally when the German army does something, the Parliament has to decide on everything the army does. I don’t remember any decision of the German parliament.

Alexandra Latypova: Exactly. The US Department of Defense just went to the German army but I’m sure they went to all other NATO militaries and they said « Here, you will inject it into your people. By the way, you can’t know what’s in it ». How is this okay? And that’s what’s going on and that’s the crime that’s being committed. They’ve contracted all this, they created this legal on paper structure but, guess what, it’s not legal to contract for killing and injuring people. For that reason, this needs to be investigated and stopped.

Wolfgang Wodarg: It is so important that we have all of this outspoken. It’s so important that it’s documented. It’s so important that everyone could know. Thank you very, very, much for your work. It’s great.

Alexandra Latypova: Thank you for inviting me, guys. Anyone can reach me through you if anybody has questions or wants to see the actual documents. All I’m showing is available publicly. It’s from publicly available materials.

Viviane Fischer: We have to we have to publish a list of all these documents. I think that would be important so everyone can really look at that or maybe you have a source. I’m actually pretty shocked because this makes it seem like it’s all connected. It’s not people rushing along for being the first in the market and then maybe doing little mistakes or larger mistakes in the production process. It seems to be well orchestrated kind of effort in the way that you presented here.

Wolfgang Wodarg: International controlled operation.

Alexandra Latypova: International controlled operation, exactly. Also, these suppliers that I was showing, the manufacturers, they’re all over the world. A lot of them are in Germany as well and then in Belgium and Italy and all over, India and China. China is participating in a large way, here I didn’t have time to cover but it’s all connected all over the world.

Viviane Fischer: What role does Russia play in this?

Alexandra Latypova: I haven’t seen that Russia in these contracts. What I’ve seen is definitely China, Germany, US connection and investments into the same entities and then DOD giving them $10 000 000 000, you just gave ten billion dollars to something that where CCP is an equity holder. Those are definitely connected. I have not seen Russia there at all but they have their own vaccines.They’re making the same thing but in parallel – playing the same game but in a different sandbox.

Wolfgang Wodarg: This is a very interesting question because we have this Ukraine conflict, we have the conflict with energy. I think it’s a very, very big chess game and it’s a very big game where all those powers are trying to get the best out of it for themselves. So it would be very interesting to get to know more how are the plans of Russia? They are earning a lot with the energy, they just cut down one line but they sell it on the other side to other nations. It’s a very global play which is very difficult and very complicated to understand. I think if we go on trying to find out, we can learn a lot about this and we have to learn a lot about this so that such thing can never happen again.

Alexandra Latypova: Yeah, exactly.

Viviane Fischer: Well thanks ever so much. I think we have to really dig deep into this. It’s pretty shocking and amazing. Thanks so much for your hard work.

Alexandra Latypova: Thank you for inviting me. Have a good evening.

Pourquoi certaines villes pourraient ne plus être viables – par Charles Hugh Smith.

Je publie deux papiers de Charles Hugh Smith en commençant par celui-ci, qui parle d’hyper-financiarisation. Commençons par nous pencher sur la définition de la financiarisation. Comme d’habitude, le principe de base est vraiment très simple et il n’est pas nécessaire d’être un « expert » pour le comprendre. Celle de Wikipedia et cet article très clair de Julia Posca en donnent un bon résumé. Ce qu’il y manque, c’est son incarnation présente, l’hyper-financiarisation, dont le Grand Reset est un élément clé.

Le problème de la financiarisation se pose que dès que les besoins humains de base sont satisfaits. A cause de sa nature essentiellement prédatrice, la finance doit créer de nouvelles valeurs sur lesquelles appuyer ses produits financiers et pérenniser sa mainmise sur ses valeurs déjà acquises. Une fois phagocytés les secteurs de production à travers leur soumission à l’actionnariat, les secteurs publics et structurels à travers leur privatisation, les fonds publics (pension, sécurité sociale, etc.) à travers leur mise sur les marchés financiers et les économies d’état à travers leur devoir de « rentabilisation », de nouveaux secteurs sont créés, qui n’ont, dans le meilleur des cas, strictement plus rien à voir avec les besoins de la société humaine. C’est l’hyper-financiarisation.

Comme je l’ai écrit ici, le Grand Reset n’est rien d’autre qu’un projet d’ajustement structurel au niveau mondial, dont l’objectif est de créer ce nouveau marché et ces nouvelles valeurs financières par le biais de l’Internet des Objets, de l’Internet des Corps, de la confiscation des systèmes écologiques. L’opération de guerre biologique Covid/injections a servi à accélérer ce processus, relayé et complété par l’opération « réchauffement climatique ». Elles font toutes deux partie d’une manoeuvre vitale pour la finance, qui lui sert non seulement à augmenter et consolider son hégémonie à travers le pouvoir grandissant des grands conglomérats industriels mais surtout à maintenir la structure du système qui garantit son existence même, avec la complicité de la majorité des gouvernements, sujet sur lequel je reviendrai prochainement.

Source.


Pourquoi certaines villes pourraient ne plus être viables

6 septembre 2022

Toute ville dont la survie dépend au final de l’hypermondialisation et de l’hyperfinancialisation finira par ne plus être viable.

La migration humaine des campagnes vers les villes est une caractéristique durable de la civilisation. Les villes concentrent la richesse, la productivité et le pouvoir, et sont donc des aimants pour le talent et le capital, offrant aux nouveaux arrivants les meilleures opportunités.

Les villes sont performantes, car elles concentrent la population, la productivité et la création de richesse dans de petites zones. Les bidonvilles et les ateliers clandestins sont extrêmement rentables, et il est beaucoup plus efficace d’entasser les gens dans des centres de production que de disperser les gens et la production à la campagne.

Les villes sont généralement nées autour de ports côtiers, de rivières navigables ou au confluent de routes commerciales terrestres, car ces centres permettaient un commerce rentable et le transport de marchandises protégées par des barrières défendables.

En somme, les villes offraient des avantages incomparables par rapport aux établissements, au commerce et à la production plus largement disséminés. Compte tenu de leur emplacement généralement stratégique et de leur domination régionale, elles ont tendu à devenir des centres politiques, militaires et culturels ainsi que des poids lourds économiques/financiers.

Mais la nature des villes a changé, tout comme leur viabilité en tant qu’aimants pour les talents et les capitaux. J’ai récemment discuté de ces changements avec mon correspondant de longue date, T.D., qui a résumé succinctement les fondements économiques de la ville de New York – un ensemble de dynamiques qui s’applique d’une manière ou d’une autre à pratiquement toutes les grandes villes du monde: les villes sont des centres de transport/de valeur ajoutée.

« Avec la création du canal Érié, New York est devenue un port et une ville majeurs, un lieu où la main-d’œuvre immigrée bon marché et les précurseurs de toutes sortes de produits pouvaient être immédiatement rassemblés de manière à apporter une valeur ajoutée par leur finition en produit manufacturé, expédié ensuite de manière rentable. »

Ces fondements économiques de longue date ont commencé à changer dans les années 1970. Les bidonvilles et l’industrie manufacturière ont été jugés indésirables pour des raisons environnementales et esthétiques, et la mondialisation a commencé à réduire l’activité manufacturière dans les zones urbaines coûteuses, la production étant délocalisée dans des régions où les coûts sont moindres.

L’autre dynamique fondamentale de ces 40 dernières années, la financiarisation, a remplacé le commerce et les biens à valeur ajoutée par des instruments et des services financiers à valeur ajoutée. Au fur et à mesure que la mondialisation et la financiarisation se transformaient en hypermondialisation et en hyperfinancialisation, les villes sont devenues des aimants pour la spéculation immobilière, le capital mondial à la recherche d’un endroit sûr où placer son argent, les soins de santé et l’enseignement supérieur, la consommation ostentatoire visant à affirmer son statut social et le divertissement, c’est-à-dire la vie agréable autour des diverses attractions culturelles, des quartiers, des lieux de spectacle, des cafés, des bars et de la vie nocturne, qui constituent le fondement du tourisme mondial, désormais principale industrie de nombreuses villes.

Le passage à la finance a alimenté à la fois la spéculation et la consommation. Les villes sont passées de centres de fabrication et de commerce à valeur ajoutée à des transactions financières et à la création d’instruments financiers, des évolutions qui ont permis et développé une série de bulles spéculatives toujours plus grandes.

Les villes ont toujours été plus chères que les campagnes, mais l’hyperfinancialisation a fait grimper les coûts urbains au point que seuls les 10 ou 20% les plus riches peuvent posséder leur propre maison et s’offrir toutes les commodités que la ville a à offrir sans avoir recours à la richesse familiale ou aux gains spéculatifs accumulés en jouant les jeux de l’hyperfinancialisation.

L’une des causes de l’augmentation des coûts est que les villes sont des aimants pour la corruption, les opérations d’initiés et les quasi-monopoles, car l’agrégation de l’argent et du pouvoir rend irrésistibles les récompenses du marché en libre-service des initiés. Toutes ces formes d’écrémage augmentent les coûts sans apporter la moindre valeur ajoutée aux résidents ou aux entreprises.

Pire encore, elles érodent la compétence et la responsabilité, car l’essence du marché en libre-service des initiés est l’élimination de la responsabilité, de sorte que la corruption de faible niveau et l’incompétence ne peuvent être endiguées. Les initiés ont les coudées franches pour exploiter leur accès aux énormes flux d’argent et de pouvoir qui s’écoulent dans toutes les grandes villes.

Comme l’explique T.D., l’industrie à grande échelle est la seule force suffisamment puissante pour exiger des gouvernements municipaux qu’ils soient compétents et responsables. Le contingent actuel de ce qui est considéré comme une « industrie » – tourisme, hôpitaux, universités, musées, etc. – ne peut pas brandir la menace de quitter les lieux, car sa propre existence dépend de la ville. Aucun de ces acteurs ne dispose d’un pouvoir politique suffisant pour mettre un frein à la corruption et à l’incompétence.

Dès lors que les infrastructures d’énergie, d’eau, de gestion des déchets et de transport se sont dégradées au point de ne plus fonctionner, l’industrie aurait pu intervenir et exiger des compétences managériales pour les réparer, car elle aurait eu besoin de ces systèmes pour survivre. Les doléances des industries de services hautement segmentées ne semblent pas jouir du même pouvoir ou de la même urgence.

Quant à la finance, elle est déjà mondiale, et elle adapte son empreinte aux flux de capitaux qui transitent par la ville, ainsi qu’à ses coûts et à ses commodités. Si l’un de ces facteurs ne va pas dans le bon sens, la finance abandonnera la ville en une Minute de New York [NdT. expression américaine inventée au Texas à la fin des années 1960, qui fait référence au rythme effréné des New-Yorkais – un New-Yorkais fait en un instant ce qu’un Texan ferait en une minute entière]

En effet, la mondialisation et la financiarisation ont évidé les fondements économiques traditionnels des villes au profit des services et des loisirs qui dépendent des gains spéculatifs de la financiarisation. Si le flot de richesses généré par l’hyper-financiarisation incessante atteint son zénith et s’effondre, les villes perdront leur source de richesse et de revenus, alors même que leurs compétences en matière de gestion auront été érodées par le succès même de la financiarisation à générer des flux d’argent vertigineux.

Face à un flot d’argent toujours plus important, on pourra se passer de la compétence et de la responsabilité. Si le flux d’argent continue de croître, des simulacres de responsabilité et de compétence feront l’affaire.

Mais lorsque le flot d’argent se tarit et que la ville a besoin de compétences administratives et de responsabilité pour réussir à s’adapter, celles-ci se seront dégradées au point que personne au pouvoir ne possède d’expérience autre que celle d’un flot d’argent en constante augmentation.

En d’autres termes, les « performances » de la ville dépendent désormais de l’expansion permanente de l’hyper-mondialisation et de l’hyper-financiarisation, qui sont toutes deux de plus en plus vulnérables à la dégradation, à la contraction ou à l’effondrement.

Toute ville dont la survie dépend au final de l’hyper-mondialisation et de l’hyper-financiarisation finira par ne plus être viable. La non-viabilité du modèle urbain mondialisé et financiarisé est actuellement considérée comme « impossible ». Rendez-vous aux alentours de 2030 pour rendre compte des effets de second ordre de la disparition de la mondialisation et de la financiarisation. L’un de ces effets pourrait être une inversion de la migration humaine, les gens quittant en masse les zones urbaines, qui ne seront plus viables.

Doug Casey évoque la démolition contrôlée des approvisionnements alimentaires et énergétiques.

Je publie ceci entre deux articles de la série « climat » par John Dee, qui reprend juste après.

Doug Casey est conseiller en investissement. Vous trouverez son pédigrée ci-dessous.

Auteur de best-sellers, spéculateur de renommée mondiale et philosophe libertaire, Doug Casey s’est forgé une réputation bien méritée pour ses réflexions érudites (et souvent controversées) sur la politique, l’économie et les marchés d’investissement.

Doug est largement reconnu comme l’une des autorités les plus éminentes en matière de « spéculation rationnelle », notamment dans le secteur à fort potentiel des ressources naturelles.

Doug a écrit un véritable classique sur la manière de tirer profit des périodes de turbulences économiques: son livre « Crisis Investing » est resté plusieurs semaines en tête de la liste des best-sellers du New York Times et est devenu le livre financier le plus vendu de l’année 1980 avec 438 640 exemplaires vendus, dépassant des auteurs prestigieux comme « Free to Choose » de Milton Friedman, « The Real War » de Richard Nixon et « Cosmos » de Carl Sagan.

Doug a ensuite battu un nouveau record avec son livre suivant, « Strategic Investing », en percevant la plus grosse avance jamais versée pour un livre financier à l’époque. Fait intéressant, le livre de Doug, « The International Man, » a été le livre le plus vendu de l’histoire de la Rhodésie. Ses publications les plus récentes, « Totally Incorrect » et « Right on the Money », poursuivent la même tradition de contestation de l’étatisme et de défense de la liberté et des marchés libres.

Il a été l’invité de centaines d’émissions de radio et de télévision, dont David Letterman, Merv Griffin, Charlie Rose, Phil Donahue, Regis Philbin, Maury Povich, NBC News et CNN; il a fait l’objet de nombreux articles dans des périodiques tels que Time, Forbes, People et le Washington Post; et il est régulièrement invité comme orateur principal au FreedomFest, le plus grand rassemblement mondial d’esprits libres.

Doug a vécu dans 10 pays et en a visité plus de 175. Il passe actuellement le plus clair de son temps en Argentine et en Uruguay, et voyage dans divers trous à rats dysfonctionnels.

Aujourd’hui, vous le trouverez probablement à La Estancia de Cafayate, une oasis nichée dans les hautes montagnes rouges à l’extérieur de Salta, en Argentine. Cafayate rappelle la beauté isolée de Bryce Canyon, dans l’Utah, combinée aux vignobles luxuriants de Napa Valley. Ses habitants jouissent de libertés économiques et sociales que l’on ne trouve pas aux États-Unis et profitent de quelques-uns des meilleurs vins et terrains de golf de la planète.

M. Casey va donc se payer (pas cher) du bon temps en Argentine, pays qui lutte depuis longtemps et très mal contre la misère. Si j’étais mauvais esprit, je ferais la comparaison avec l’époque où les américains un peu fortunés – et les agents du Renseignement – allaient se faire machouiller le cigare par des pauvresses à Cuba, « marché libre » auquel mit fin en 1959 le papa de Justin Trudeau en convertissant ce lupanar en enfer communiste – on pourrait y voir une prédisposition héréditaire.

M. Casey, fidèle à son rôle de conseiller en investissement, analyse et détaille les risques et tendances généraux de la société et recommande à ses clients de la classe moyenne supérieure le moyen de tirer un maximum de profit des « crises ». Si j’étais mauvais esprit, je ferais la comparaison avec le rôle qu’assume Klaus Schwab auprès de ses clients milliardaires, qui ont comme vous le savez énormément profité de l’opération Covid et continuent avec l’opération énergie/agriculture – au détriment des clients de M. Casey, d’ailleurs.

Mais je ne suis pas mauvais esprit et je publie donc les écrits de cet « Homme International » – et de ses confrères, Chris MacIntosh (ici, ici et ici), Catherine Austin Fitts (ici, ici, ici), Charles Hugh Smith (ici, ici, ici, ici, ici et ici) – me servant ainsi de la critique (valide) du système étatique par un de ses opposants, tout comme je me sers de la critique (valide) de l’Occident par un défenseur du système chinois, Matthew Ehret (ici, ici, et ici). En passant, si c’est d’un économiste que vous voulez l’avis, il y a Ernst Wolff (ici, ici, ici et ici). Quel que soit leur divers avis, gardons à l’esprit qu’un système reste un système, qu’il ne sert qu’à lui-même et aux gens pragmatiques qui n’ont aucun scrupule à en tirer profit, au détriment d’autres si nécessaire.

Enfin, je ne suis pas conseiller en investissement mais je vous recommande tout de même (gratuitement) d’investir sans plus tarder dans votre infrastructure énergétique et dans d’autres produits de première nécessité. Celui qui pense encore que l’or ou le franc suisse sont des valeurs refuges vit dans un monde très illusoire où on ne connaît ni la faim ni le froid.

Ou alors il joue au golf en Argentine.

Source.


Doug Casey évoque la démolition contrôlée des approvisionnements alimentaires et énergétiques

International Man: La Russie est l’un des plus grands producteurs d’engrais au monde, et les tensions actuelles avec les États-Unis et l’Union Européenne perturbent leur approvisionnement.

En outre, il semble qu’il existe une volonté délibérée de saboter l’industrie agricole mondiale.

Par exemple, aux Pays-Bas, le gouvernement restreint l’utilisation des engrais azotés sous le prétexte ridicule de lutter contre le « changement climatique ». Les agriculteurs néerlandais ont protesté contre ces mesures car ils estiment qu’elles détruiront leurs moyens de subsistance et provoqueront des pénuries alimentaires.

Au Canada, le gouvernement Trudeau a annoncé une politique similaire. D’autres gouvernements suivront probablement.

Que pensez-vous de tout ceci? S’agit-il d’un projet délibéré visant à perturber l’approvisionnement alimentaire?

Doug Casey: Ce mème circule, ainsi que trois autres mèmes similaires, depuis quelques années.

C’est comme si les gouvernements du monde entier avaient décidé de lâcher les quatre cavaliers de l’Apocalypse (Pestilence, Guerre, Famine et Conquête). On peut assimiler l’hystérie du Covid et la folie du Vaccin qui a suivi à la Pestilence. Il y a de fortes chances que la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine s’aggrave considérablement. La hausse vertigineuse des prix des matières premières causée par l’inflation des banques centrales et les diktats des États provoquera la Famine dans les pays pauvres. Quant au Quatrième Cavalier, la Conquête ? On peut le mieux le qualifier comme le pouvoir de l’État. Celui des rois et des dirigeants, bien sûr, mais il se manifeste aujourd’hui sous la forme de socialisme et d’autoritarisme. Nous sommes dans une période difficile. Les Quatre Cavaliers sont en selle.

Mais penchons-nous sur la Famine. Peu de gens ont conscience qu’avant la Révolution Industrielle, qui n’a commencé qu’au XIXe siècle, le monde vivait en permanence à la limite de la famine collective. Les privations et la faim étaient courantes. Hobbes avait raison lorsqu’il disait que la vie était « solitaire, pauvre, méchante, brutale et courte ». La Révolution Industrielle, alimentée par le charbon puis le pétrole, a changé la nature même de la vie. La nourriture est devenue abondante et se vend aujourd’hui, et de loin, au prix le plus bas de l’histoire.

Tout ça pourrait bien changer. Les prix des produits de base comme le blé, le soja et le maïs ont doublé au cours des deux dernières années, mais pas les revenus. Je doute qu’il s’agisse simplement d’une fluctuation cyclique auto-ajustée. C’est beaucoup plus grave.

Alors que se passe-t-il? Quelle est la cause profonde de tout ça?

La grande hystérie du Covid a été le catalyseur qui a mis en branle le « Grand Reset » du FEM. Même si la grippe elle-même s’est révélée être un grand rien du tout, elle a provoqué un effondrement de l’activité économique. La République Socialiste Démocratique du Sri Lanka, un endroit auquel on pense rarement, a semble t-il ouvert la voie. Ses dirigeants ont décidé d’en faire le pays le plus conforme aux normes ESG au monde au moment même où le tourisme s’effondrait à cause de l’hystérie de la pandémie. Le gouvernement a interdit les engrais importés en 2021, et la production de thé et de riz s’est effondrée de 50%. Le Sri Lanka a fait la une des journaux en raison de l’ampleur de la catastrophe qu’il a lui-même provoquée. Je me demande, puisque le Sri Lanka est une île avec un gouvernement très autoritaire, s’il ne s’agissait pas d’une expérience pour voir ce qui se passe lorsqu’on coupe tout approvisionnement en engrais et qu’on crée une crise agricole dans un pays. Ça semble fou? C’est une vraie question. C’est fou, mais c’est exactement ce qui s’est passé.

Est-il possible que l’élite mondiale ait décidé, entre elle-même, qu’il y a trop de gens dans le monde et que trop d’entre eux sont ce que l’intellectuel de cour du FEM, Yuval Noah Harari, a appelé des « bouches inutiles »? À quelques exceptions près, tous les dirigeants du monde sont membres du Forum Economique Mondial. Ils ont tous des intérêts communs, partagent la même philosophie élitiste/collectiviste, se promeuvent mutuellement et ont une ligne de parti commune.

L’élite est responsable des problèmes que nous connaissons actuellement, le lâcher des Quatre Cavaliers.

Ce n’est pas une théorie de la conspiration. C’est juste la reconnaissance du fait que les gens qui se ressemblent s’assemblent. Et une fois que les membres de l’élite acquièrent une influence internationale ou contrôlent un gouvernement, ils forment une « classe ».

Je déteste parler d’intérêts de classe comme un marxiste, mais c’est vrai. Les personnes qui dirigent la plupart des gouvernements sont beaucoup plus loyales envers leur classe – l’élite internationale – qu’envers leurs électeurs ou leurs compatriotes.

Ils partagent les mêmes idées. Ils ont fréquenté les mêmes écoles, ils sont membres des mêmes clubs, ils lisent les mêmes livres, ils assistent aux mêmes conférences, ils ont la même vision du monde et deviennent les amis les uns des autres. Ils sont influencés par les mêmes personnes. Ce qui se passe en ce moment n’est donc pas un simple accident.

International Man: Le régime Biden a récemment adopté la loi sur la réduction de l’inflation. Il vise à réduire l’inflation en créant davantage d’inflation.

Une grande partie de ce projet de loi de dépenses orwellien comprend un montant astronomique de 369 milliards de dollars pour des gaspillages relatifs au « changement climatique. »

Qu’en pensez-vous?

Doug Casey: Les noms des lois dans le monde orwellien d’aujourd’hui cache exactement le contraire de ce qu’elles prétendent faire.

Les milliers de milliards de dépenses publiques auxquels nous avons assisté ces dernières années sont l’application pratique de la Théorie Monétaire Moderne (TMM). Cette théorie a surgi de nulle part comme un mème il y a quelques années. Mais elle n’a jamais vraiment pris, peut-être parce que la théorie elle-même est trop scandaleuse et radicale.

La « loi sur la réduction de l’inflation » est l’application pratique de la TMM. Qu’est-ce que cela signifie?

Cela signifie que les centaines de milliards de dollars que le régime Biden s’est autorisé à dépenser passeront par le haut de l’entonnoir. Tout ira aux personnes qu’ils favorisent, aux projets qu’ils favorisent, et aux idées qu’ils favorisent. Une énorme quantité d’argent est donnée à l’élite et aux personnes qui suivent la ligne.

Mais comment cet immense cadeau est-il censé réduire l’inflation, en théorie?

Selon la TMM, le gouvernement peut contrer les effets de l’augmentation de la masse monétaire en la retirant de l’économie par le biais de taxes. Mais qui va payer ces impôts? Les éléments de la société qui ne sont pas à leur goût. Des personnes qu’ils considèrent comme inutiles, politiquement peu fiables ou déplorables.

Dans le monde d’aujourd’hui, les impôts sont principalement payés par les membres de la classe moyenne. Les personnes des classes inférieures ne paient pas d’impôts sur le revenu. Les impôts ne concernent pas vraiment les classes supérieures, si ce n’est que ce sont elles qui recevront la majeure partie de l’argent de la TMM. C’est la classe moyenne qui sera taxée afin de prélever l’argent qui arrive par le haut de l’entonnoir.

La théorie est que les 400 milliards de dollars autorisés par le projet de loi aboutiront dans la société là où l’élite le prévoit. Puis 400 milliards seront retirés par le biais des impôts des classes moyennes, grâce à la nomination de 87 000 nouveaux agents de l’IRS [NdT. armés]. Voilà exactement ce qu’ils vont faire, et c’est exactement ce que prévoit la TMM.

L’État met de l’argent en haut de l’échelle, dans des secteurs « judicieux », et il extrait de l’économie l’argent des secteurs et des personnes qu’il ne juge pas dignes d’intérêt. C’est la façon catastrophiquement dangereuse par laquelle le gouvernement capture et manipule totalement l’économie. Voilà ce qu’est en réalité la Loi sur la Réduction de l’Inflation, ainsi nommée de façon perverse.

Et ils le feront sans en avoir l’air. C’est diaboliquement intelligent.

International Man: Le gouvernement américain a considérablement épuisé ses réserves stratégiques de pétrole ces derniers temps. Dans le même temps, l’administration Biden a rendu la tâche difficile aux producteurs de pétrole et de gaz aux États-Unis.

Qu’est-ce qui se passe?

Doug Casey: Tout d’abord, je suis opposé à toute réserve stratégique de pétrole gérée par le gouvernement américain. Outre le fait que cela revient à ce que le gouvernement spécule sur les matières premières, cela donne beaucoup de pouvoir supplémentaire à l’Etat et aux bureaucrates qui le contrôlent. Des réserves pétrolières adéquates sont quelque chose que le marché pourrait faire, devrait faire, et ferait – si nous avions un marché libre sans restriction. Ce qui n’est pas le cas.

Les entrepreneurs, les compagnies pétrolières et les spéculateurs privés sont infiniment plus à même de déterminer si le pétrole sera en pénurie ou en surabondance. La dépréciation du dollar par le gouvernement fait du mal au citoyen moyen, mais le citoyen moyen vote. Et il rejette stupidement la responsabilité de l’inflation sur les producteurs de pétrole – les entreprises mêmes qui luttent contre les effets de l’inflation.

Bien sûr, les Bidenistas [NdT. néologisme bâti sur « Biden » et « sandinista », les commandos marxistes du Nicaragua] souhaitent que le prix du pétrole soit aussi bas que possible avant l’élection. Ils se dépeignent comme les gentils et les producteurs de pétrole comme les méchants. Ils tentent de réduire les effets de l’inflation en rendant le pétrole plus disponible. Mais une fois les réserves épuisées, que se passera-t-il?

L’élite déteste profondément les combustibles fossiles. Ils détestent le charbon, le pétrole, le gaz et l’uranium parce que ceux-ci ont donné du pouvoir à l’homme du peuple depuis le début de la révolution industrielle. Ils ne veulent pas voir plus d’énergie produite, ils veulent voir l’énergie conservée, puis allouée selon des critères idéologiques, pas économiques. Mais c’est le marché libre, et non pas eux, qui devrait décider s’il est judicieux de conserver l’énergie ou non.

Ils détestent l’industrie des combustibles fossiles et veulent diriger les capitaux vers les technologies dites vertes, essentiellement le solaire et les éoliennes.

Comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, il n’y a rien de mal à utiliser ces formes dites alternatives de production d’énergie dans certains endroits et à certains moments. Mais en tant que source de production massive d’énergie, elles n’ont aucun sens. Elles sont un désastre en devenir et totalement inappropriées pour une économie industrielle prospère. Ces idiots jouent avec le feu à l’échelle mondiale.

L’agenda du changement climatique est une autre forme de contrôle psychologique de masse. Plus l’élite crée de la peur et de l’hystérie, plus elle a de contrôle. Le peuple, qui a subi un lavage de cerveau, implorera la venue d’un homme fort qui promettra de tout remettre en ordre.

Le fait est qu’il y a de très nombreuses décennies de pétrole, de gaz, de charbon et d’énergie nucléaire disponibles. Les nouvelles technologies finiront par remplacer la plupart d’entre elles, tout comme le moteur à combustion interne a remplacé le cheval et l’électricité le bois il y a 100 ans. L’âge de pierre n’a pas pris fin parce que nous avons manqué de pierres, et l’âge des combustibles fossiles ne prendra pas fin parce que nous aurons épuisé nos combustibles fossiles. Mais essayer de les imposer pour des raisons politiques et idéologiques risque fort de faire s’effondrer complètement l’économie.

International Man: De même, l’Union Européenne met en place des politiques autodestructrices qui menacent de détruire sa sécurité alimentaire et énergétique.

Il semble que les gouvernements occidentaux sabotent délibérément leurs économies. Que se passe-t-il au juste?

Doug Casey: C’est comme si on assistait à la démolition contrôlée d’un bâtiment sous nos yeux. Ces gens ont déclaré la guerre à la civilisation occidentale. La libération des Quatre Cavaliers pourrait provoquer ce qui équivaut à un nouvel âge des ténèbres.

L’élite mondiale se pense vraiment différente, meilleure et plus sage que la plèbe. Ils sont devenus si audacieux qu’ils expliquent en fait ce qu’ils font. Ils croient en l’autoritarisme parce qu’ils pensent qu’ils sont ceux qui devraient être au sommet. Ils ne comprennent pas l’économie, l’histoire, la science ou la technologie, mais ils aiment être au sommet.

Ils tentent de justifier ce qu’ils font. Pour avoir l’air intelligent, ils disent : « Nous allons traverser des périodes inévitablement difficiles. Nous allons avoir des hivers froids. Nous allons avoir des pénuries alimentaires. » Je présume qu’ils peuvent présenter les choses en leur faveur, afin de paraître sages pour avoir perçu ces choses à l’avance et les avoir prédites – mais il est assez facile de prédire quelque chose que l’on cause.

La question est celle de l’effondrement croissant de la civilisation occidentale, que ces gens considèrent comme maléfique. À ce stade, les États-Unis sont le dernier véritable bastion de la civilisation occidentale. Mais les Jacobins contrôlent maintenant l’appareil d’État aux États-Unis, et ils ne lâcheront pas le pouvoir facilement.

L’Europe occidentale a totalement basculé. Elle est totalement contrôlée par l’idéologie socialiste. Il faut donc s’attendre à davantage de contrôles, de lois et de réglementations à l’approche de la gigantesque crise financière et économique qui s’annonce. Ça n’arrivera plus dans un avenir théorique. C’est une question de quelques semaines ou quelques mois.

International Man: Que peut faire le citoyen moyen pour se protéger – et protéger son argent – des conséquences de ces mesures destructrices?

Doug Casey: Au fur et à mesure que la Grande Dépression s’aggrave, l’homme moyen réclamera à cor et à cri que quelqu’un résolve ses problèmes. Le public exigera davantage de contrôles. Environ la moitié du pays a voté pour les Bidenistas, et dans son récent discours, Biden a pratiquement déclaré la guerre à l’autre moitié du pays. C’est comme si Biden avait décidé qu’il voulait, lui aussi, être un président de guerre, comme le criminellement stupide Baby Bush. Sauf que Biden pourrait finir par être un président de guerre civile.

Que peut-on faire face à cela?

On peut tout simplement ne pas jouer le jeu. Comme Timothy Leary [NdT. le « pape du LSD » qui travaillait en fait pour la CIA] l’a dit dans un autre contexte, « Allumez, écoutez, laissez tomber. » Vous pouvez peut-être suivre l’exemple des Amish, mais je ne pense pas qu’ils laisseront qui que ce soit tranquille; au mieux, vous serez laissé pour compte. Ou peut-être pouvez-vous agir comme Rhett Butler dans « Autant en emporte le vent » et vous écarter du chemin des imbéciles.

Une chose semble certaine: nous sommes confrontés à un tournant majeur de l’histoire mondiale. C’est très grave.

Que va-t-il se passer précisément? Que va faire l’élite, et que va faire le public en retour? C’est un jeu de devinettes complexe, comme de prédire le prochain tour d’un kaléidoscope.

Pour l’instant, je parie sur les matières premières en général. Elles sont très bon marché par rapport à tous les autres actifs financiers. Il y aura des pénuries du fait de ce que les élites accomplissent avec des mesures telles que l’ESG (Environnement, Social et Gouvernance) et la DEI (Diversité, équité et inclusion) et de leur attitude générale envers le commerce, le capital privé et l’esprit d’entreprise.

Achetez de l’or, de l’argent et de l’énergie, tout en cherchant des endroits avisés pour spéculer. Ils existent.

Tenez compte de l’expression française « sauve qui peut », c’est-à-dire que celui qui peut se sauvera lui-même. Telle est la situation alors que nous nous dirigeons vers un chaos économique, financier, politique et social croissant.

L’histoire de la polio – par Elliott Freed.

Note 23/01/23: OUPS! J’ai détecté une erreur logique, à laquelle j’aimerais une explication. Je ne pose pas la question à l’auteur, qui ne répond pas à ce genre de message (il n’est pas très sympathique). Si le virus n’est pas la cause de la polio, comment le vaccin peut-il la provoquer? Il contient du virus inactivé (dans le cas du vaccin de Cutters Lab, mal inactivé), pas du DDT, que je sache.

Note 30/01/23: j’ai trouvé une monographie (sourcée) qui soutient l’innocuité totale du DDT. Elle est signée J. Gordon Edwards, professeur émérite d’entomologie, et s’intitule « DDT: un cas d’école de fraude scientifique » et démonte le bouquin de Rachel Carson sur lequel s’est érigé l’environnementalisme américain et mondial, « Le Printemps silencieux », à l’origine de l’interdiction du DDT. Il souligne que cette interdiction a empêché l’éradication de la malaria, qui a fait depuis des centaines de millions de victimes. Je traduis au plus tôt cette monographie, et je laisse l’article ci-dessous à fins de comparaison.


Nouvelle manoeuvre pour encore injecter le peuple – enfin, ses éléments les moins fûtés:

La surveillance des eaux usées par le NYSDOH et le NYCDOHMH permet d’identifier la présence de la poliomyélite dans la ville de New York et invite les New-Yorkais non vaccinés à se faire vacciner dès maintenant

Des échantillons d’eaux usées de la ville de New York fournis aux centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont révélé la présence de poliovirus, ce qui indique un risque de transmission communautaire.

La polio peut entraîner une paralysie, voire la mort.

Pour en savoir plus sur la polio et la vaccination, consultez le site health.ny.gov/polio ou le site nyc.gov/health/polio.

12 août 2022 – Le Département de la Santé de l’État de New York (NYSDOH) et le Département de la Santé et de l’Hygiène Mentale de la ville de New York (NYCDOHMH) ont informé aujourd’hui les New-Yorkais de la détection de poliovirus (le virus qui cause la polio paralytique) dans les eaux usées, ce qui suggère une probable circulation locale du virus. La polio peut entraîner une paralysie permanente des bras et des jambes, voire la mort dans certains cas.

Source.

Non.

Encore un pur mensonge.

Elliott Freed vous explique ci-dessous ce qu’il y a à en savoir. J’espère que ça aidera à saboter un peu cette nouvelle manoeuvre. Pas pour certains, qu’on ne sauvera pas parce qu’ils ne veulent pas ếtre sauvés, si la formule vous rappelle quelque chose. Ceux qui tiennent absolument à se faire injecter tout et n’importe quoi, injections Covid, variole du singe, maintenant ceci et celles qui suivront, notamment pour la « maladie de Marburg », apparemment dans les cartons. La loi martiale militaire internationale, également dans les cartons, convaincra les plus rétifs.

En regard de l’excellent travail de l’infatigable Dr Lee Merritt (déjà publiée ici), je vais aussi revenir sur le dossier des autres « épidémies » – notamment celle de 1919 – mais patience, ce sera un gros travail pour tout résumer puisque c’est encore à partir de vidéos. Je me tape quand même le boulot parce que ça permettra de faire un historique de l’eugénisme, dont l’origine se perd dans la nuit des temps, et de rappeler ses opérations majeures, qui ont lieu environ une fois par siècle.

En attendant et pour aider à établir le contexte, vous pouvez relire cet article du Midwestern Doctor et mon papier sur Catherine Austin Fitts, un témoignage sur les coulisses du vrai pouvoir mondial. Et vous pouvez lire ce qui suit.

Note: ma traduction était vraiment foireuse, je l’ai revue et corrigée le 21/11. C’est plus clair et plus lisible.

Source.


Traduction

L’histoire de la polio

Elliott Freed

31 juillet

Lorsqu’on aborde le sujet de la polio, il faut tenir compte de son histoire.

Jusqu’en 1943, elle était très rare. On comptait quelques dizaines de cas par an dans le monde au début des années 1900, puis environ 1 000 par an aux États-Unis en 1942. En 1943, ce nombre tripla et continua à grimper en flèche jusqu’en 1952.

Dès sa première apparition à la fin du XIXe siècle, il a fallu tout un cheminement scientifique pour comprendre ce qu’il en était et ce qu’il fallait faire. Beaucoup de médecins et de scientifiques reconnurent rapidement qu’il s’agissait d’un empoisonnement. Quelques-uns réussirent à le traiter comme tel, en soignant leurs patients avec des vitamines, etc. [NdT. ceci évoque l’affaire de « l’huile frelatée » en 1981 en Espagne, où des médecins avaient déterminé qu’il s’agissait en fait d’une intoxication aux pesticides et avaient sauvé des patients avec une cure de vitamine B]

En même temps, les grandes industries chimiques employaient un cadre croissant de scientifiques. Bien sûr, beaucoup d’entre eux travaillaient sur des applications plus industrielles, mais certains d’entre eux travaillaient dans le domaine de la médecine et de la recherche en santé.

Lorsque des gens commencèrent à souffrir de paralysie après avoir été exposés à ces produits chimiques industriels, les scientifiques de l’industrie durent se défausser de leur responsabilité et se mirent à la recherche d’un agent infectieux. Comme ils ne trouvaient aucune bactérie responsable, ils inventèrent un croquemitaine, le virus.

Qu’est-ce qu’un virus? Personne ne le savait. Ce n’est que dans les années 1940 que l’on disposa de microscopes électroniques permettant de voir à cette échelle, et l’on se contenta de la première chose que l’on trouva comme si elle était manifestement celle que l’on cherchait. Ce n’est qu’au tournant du siècle dernier qu’on a disposé de la technologie d’imagerie permettant de visualiser leur fonctionnement réel. Mais au cours de la première décennie du XXe siècle, les virus furent présentés comme l’agent infectieux à l’origine d’une paralysie comparable à celle résultant d’un empoisonnement et inexplicable par une infection bactérienne. C’était un tour de passe-passe et, depuis, personne dans le milieu académique ne lit ces vieux articles. On les accepte tels quels. Et personne ne tente de reproduire ces expériences. On se foutrait d’eux et on les mettrait à la porte pour avoir agi comme le Dr Frankenstein.

Tout au long du début du XXe siècle, les scientifiques au service des entreprises chimiques continuèrent leur recherche de ce mystérieux agent infectieux. À la lecture de leurs recherches, on se rend compte à quel point ces scientifiques étaient fous, et à quel point leurs expériences et leurs données étaient inutiles. Vous pouvez suivre le parcours de folie scientifique de ces fous en consultant le site Pub Med, en effectuant une recherche sur la polio et en sélectionnant l’option permettant de voir les publications les plus anciennes en premier.

Ils bénéficèrent d’un grand coup de pouce quand Roosevelt tomba malade. Après avoir passé quelques jours d’affilée sans dormir, il était allé nager dans des eaux glaciales en aval d’une zone fortement industrialisée depuis des siècles. Il se réveilla le lendemain matin avec une faiblesse et une paralysie et on lui diagnostiqua une polio. Mais en réalité, il avait été empoisonné alors qu’il était déjà affaibli.

Comme il était ami avec tous les grands industriels et d’autres personnes de ce genre, et que la théorie virale était la plus populaire et la mieux soutenue par la finance, il s’y rallia et, avec l’un de ses amis, créa la Marche des Dix Sous afin de faire d’une maladie rare un grand sujet d’inquiétude pour le public et de récolter des fonds pour la recherche d’un traitement.

Ce qui nous amène à la question: que s’est-il passé en 1943 pour provoquer ce pic de cas de paralysie?

L’agence gouvernementale précurseur du CDC s’était mise à pulvériser du DDT pour tenter d’éradiquer les moustiques et la malaria.

Alors que le nombre de cas de polio montait en flèche, la recherche de la cause et du remède s’intensifia, tout comme le débat au sein de la communauté médicale scientifique. D’un côté, il y avait les médecins qui guérissaient la polio avec de la vitamine C et l’identifiaient comme résultat d’un empoisonnement. De l’autre côté, il y avait ceux qui fournissaient des fonds importants à la recherche pour tenter de valider l’hypothèse virale et de disculper les entreprises chimiques.

Alors que l’hypothèse virale, qui bénéficiait de beaucoup d’argent et du soutien de FDR, puis d’Eisenhower, dominait les médias et le dialogue public, il était évident en 1952 à quiconque comprenait vraiment la question qu’il s’agissait d’un empoisonnement au DDT. Les gens lavaient leurs fruits avec. On installait du papier peint imprégné de DDT dans les chambres des nouveau-nés. On le pulvérisait par camions entiers sur les enfants dans les piscines et les salles de classe, etc. On commença donc à réduire l’utilisation du DDT, sans jamais reconnaître publiquement qu’il en était la cause.

En 1955, le taux de mortalité dû à la paralysie, ou « polio », avait diminué de moitié. C’est à ce moment-là que le vaccin a été introduit. Avec l’introduction du vaccin, le taux de paralysie a de nouveau augmenté, presque exclusivement chez les personnes vaccinées. La photo de la pièce remplie de poumons d’acier est une photo prise lors d’une séance de tournage, et non un véritable service de polio, mais elle est basée sur quelque chose qui s’est réellement produit. Des milliers d’enfants ont été paralysés par le vaccin. On a appelé cet événement l’incident Cutter dans le but d’imputer la nouvelle pandémie de paralysie aux vaccins mal fabriqués par Cutter Labs, plutôt qu’à la vaccination en général.

Dans le but de commercialiser rapidement le produit, un célèbre médecin de santé publique, Alton Oschner, qui avait été à l’origine de la mise au point du vaccin, l’injecta à ses deux petits-enfants sur scène, devant la presse. L’un d’eux mourut le lendemain et l’autre devint horriblement paralysé et décéda quelques années plus tard. Pourtant, le bon docteur continua à promouvoir le vaccin. Il y était fortement investi. Il avait misé toute son importante et influente carrière sur le vaccin.

Après avoir réalisé leur erreur, les CDC modifièrent les critères de diagnostic de la polio, qui avait pratiquement disparu en 1960. Ils choisirent de couvrir leurs arrières, de promouvoir un produit qu’ils savaient mortel et de continuer à tuer et mutiler des enfants au lieu de dire la vérité.

Vous voyez, avant l’introduction du vaccin et l’incident Cutter, qui démontra clairement à quel point le vaccin était dangereux, toute personne présentant une paralysie flasque aiguë pendant vingt-quatre heures recevait un diagnostic de polio. La plupart des gens se rétablissaient en une ou deux semaines.

Après avoir réalisé ce qu’ils avaient fait, les CDC modifièrent le diagnostic en 1956. Pour obtenir un diagnostic de polio, la personne devait rester paralysée pendant deux mois et le CDC devait lui-même trouver le virus de la polio dans les selles du patient.

Qu’est-ce qu’était le virus de la polio? Personne ne le savait vraiment, en raison des limites de la technologie que j’ai décrites plus haut. Salk utilisa simplement trois brins d’ADN trouvés dans les selles de garçons en bonne santé comme base pour son vaccin. Vous en apprendrez plus à ce sujet dans le livre « Fear of the Invisible« .

Si le CDC ne trouvait pas le virus, la personne recevait un autre diagnostic. Parmi les plus courants, citons la paralysie flasque aiguë, la méningite aseptique, la myélite transverse, le syndrome de Guillain Barré, etc. Si on regroupe tous ces nouveaux diagnostics de ce qui était autrefois appelé polio, on constate que les chiffres étaient plus élevés que jamais.

De plus, on a depuis recherché le virus de la polio. Ce qu’on a découvert, c’est que 99,9 % ou plus des personnes chez qui on trouve ces brins d’ADN ne présentent aucun symptôme de maladie. Ces informations figuraient autrefois sur le site Web du CDC. Il y a quelques années, ils ont réduit le nombre de cas publiés sur leur site, mais de nombreuses discussions téléphoniques avec des employés du CDC pour tenter de trouver la preuve de cette modification se sont révélées infructueuses. Parallèlement, chez la plupart des personnes qui présentent les symptômes autrefois connus sous le nom de polio, on ne trouve pas ces brins d’ADN. Si seulement une personne sur mille porteuse du « virus » incriminé est malade, et que la plupart des personnes malades n’ont pas le « virus », ce n’est pas le « virus » qui a causé la maladie.

L’argument selon lequel les vaccins ont éradiqué la polio et sauvé des millions de vies est faux et construit sur des mensonges dont l’objectif est de décharger les bureaucrates gouvernementaux et les scientifiques de l’industrie de la responsabilité des décès qu’ils ont causés, de promouvoir et tirer profit d’un produit qu’ils savaient non seulement inefficace mais aussi mortel, et pour établir dans toute la population une obéissance aux obligations d’injections.

Ce billet date d’il y a plusieurs années. À l’époque, en 2015, j’ai partagé tous les liens et informations pertinents petit à petit sur ma page Facebook au fur et à mesure que je les découvrais. Ceci en était un résumé. Vous pouvez trouver tous les liens utiles ainsi que d’autres informations dans le livre que j’ai publié, qui organise et en résume ces informations. Malheureusement, l’imprimerie à laquelle j’ai recours connaît des problèmes de chaîne d’approvisionnement et de personnel, ce qui rend difficile l’obtention de copies imprimées, et j’ai donc mis à disposition la version PDF. Vous pouvez vous rendre sur le site Web ci-dessous pour l’acheter.

www.vaccineprimer.weebly.com

Merci de vous joindre à moi dans cette conversation,

Sincèrement,

Elliott Freed


Texte original

The History Of Polio

Elliott Freed

Jul 31

Something to consider when thinking about polio is the history of it.

It was very rare until 1943. There were a few dozen cases a year around the world in the early 1900s, rising to about 1,000 a year in the u.s. in 1942. In 1943 that number tripled and continued climbing sharply until 1952.

From its first appearance in the late 1800s there was quite the scientific journey to understand what it was and what to do about it. A lot of doctors and scientists quickly recognized it as poisoning. A few were able to successfully treat it as such, recovering their patients with vitamins, et cetera.

At the same time there was a growing cadre of scientists in the employ of the large chemical industries. Obviously many of them were working on more industrial applications but there were also some working on medicine and health research.

When people started showing up with paralysis after exposure to these industrial chemicals the industrial scientists had to deflect blame so they tried to look for an infectious agent. When they couldn’t find any bacteria responsible for it they made up a bogeyman, the virus.

What was a virus? Nobody knew. It was not until the 1940s that they had electron microscopes through which they could see things that small, and they settled on the first thing they found as if it was obviously what they’d been looking for. It was not until the turn of the latest century that they had the imaging technology to see what those things were actually doing. But in the first decade of the 20th century, viruses were presented as the infectious agent causing the poisoning like paralysis that couldn’t be explained by bacterial infection. It was sleight of hand and nobody within the academy since even reads those old papers. They just assume. Certainly no one attempts to repeat those experiments. They’d be laughed out of their jobs for acting like Dr. Frankenstein.

Throughout the early 20th century scientists in the employ of the chemical corporations continued to look for this mysterious infectious agent. When you read their research you realize just what mad scientists they were, and how absolutely pointless their experiments and useless their data. You can journey with these madmen through their mad science by going to pub med, searching for polio, and selecting the option to see the oldest publications first.

They got a big boost when FDR took ill. He’d been up for a few days straight, and then went swimming in frigid waters down stream from an area that had been heavily industrial for centuries. He awoke the next morning with weakness and paralysis and was given the diagnosis of polio. But really he’d been poisoned while in an already weakened state.

He was friends with all the industrialists and what not, and the viral theory was the popular one, the one backed by all the money, so he went with it and, with a friend of his, started the March of Dimes to turn a rare illness into a huge public scare and raise money to look for a cure.

Which leads us to the question, what happened in 1943 that caused the spike in cases of paralysis?

The government agency that was the precursor to the CDC began spraying DDT in an attempt to eradicate mosquitoes and malaria.

As the number of cases of polio skyrocketed the search for the cause and the cure heated up, and so did the debate within the scientific medical community. On the one hand were the doctors who were curing polio with vitamin C and recognizing it as the result of poisoning. On the other hand were the ones who were bringing in big research money in an attempt to validate the viral hypothesis and exonerate the chemical corporations.

While the viral hypothesis, with all its money and the backing of FDR, and later Eisenhower, dominated the media and the public dialogue, by 1952 it was obvious to anybody who really understood the issue that it was DDT poisoning. People were washing their fruit with it. They were putting up DDT infused wall paper in the bedrooms of their newborn infants. They were spraying it by the truckload on kids in swimming pools and school classrooms, etc. So they began pulling back on the use of DDT, without ever acknowledging publicly that it had been the cause.

By 1955 the death rate from paralysis, aka « polio » had dropped by half. That was when they introduced the vaccine. With the introduction of the vaccine paralysis rates once again jumped, almost exclusively in the vaccinated. The photo of the room full of iron lungs is a photo from a filming session, not an actual polio ward, but the idea is based on something that really happened. There were thousands of children who had been paralyzed by the vaccine. They called the event the Cutter incident in an effort to blame the new paralysis pandemic on vaccines improperly manufactured by Cutter Labs, instead of vaccination generally.

In an attempt to rush the product to market a famous public health doctor who had been at the forefront of the push to develop the shot, Alton Oschner, injected it into his two grandchildren on stage in front of the press. One died the next day and the other became horribly paralyzed and died a few years later. Yet the good doctor still pushed the vaccine. He was heavily invested in it. He had staked his entire, very prominent and influential career on it.

Upon realizing their mistake the CDC tweaked the diagnostic criteria for polio and it pretty much disappeared by 1960. They chose to cover their own asses, promote the product they knew was deadly and continue to kill and maim children instead of coming clean.

You see, before the vaccine was introduced and the Cutter incident made it clear how bad the vaccine was, anybody presenting with acute flaccid paralysis for twenty four hours was given a diagnosis of polio. Most people started recovering within a week or two.

Once they realized what they had done, in 1956 the CDC changed the diagnosis. In order to get a diagnosis of polio the person had to be paralyzed for two months and the CDC themselves had to find the polio virus in the stool of the patient.

What was the polio virus? Nobody really knew for sure, due to the limitations of technology I described above. Salk just used three dna strands he found in the stool of healthy boys as the stock for his vaccine. You can read more about that in the book, « Fear of the Invisible. »

If the CDC did not find the virus the person would be given another diagnosis. Some of the common ones are acute flaccid paralysis, aseptic meningitis, transverse myelitis, Guillain Barre Syndrome and others. Lump all the new diagnoses for what was once called polio together and you find the numbers are as high as ever.

Also, they have since been looking for the polio virus. What they have found is, 99.9% or more of people in whom they find those dna strands have no symptoms of illness. This information used to be on the CDC website. A few years ago, they reduced that number published on their website, but numerous phone discussions with CDC employees trying to find the evidence for this change proved fruitless. At the same time, in most people who have the symptoms once known as polio, they do not find those dna strands. If only one in one thousand people with the offending “virus” are ill, and most of the people who are ill do not have the “virus,” it was never the « virus » causing the disease.

The argument that vaccines eradicated polio and saved millions of lives is false and built on lies told to avoid responsibility for the deaths caused by government bureaucrats and industry scientists, to promote and profit from a product they knew was not only ineffective but also deadly, and to train obedience to mandates to receive injections into the entire population.

This was a post from years ago. Back in 2015, I shared all the relevant links and information bit by bit to my face book page as I uncovered it. This was a summary of all that. If you’d like all the links and other info, you can find it in the book I published organizing and summarizing this info. Sadly, the printing company I use is having supply chain and staffing issues, making it difficult to get printed copies, so I’ve made the PDF version available for purchase. You can go to the website below to purchase it.

www.vaccineprimer.weebly.com

Thank you for joining me in the conversation,

Sincerely,

Elliott Freed

La fraude à la variole du singe est à l’image de la fraude au COVID – par Meryl Nass.

En vitesse – l’article date d’aujourd’hui – pour bien se rappeler que l’opération Covid fait partie d’un ensemble et que ceci en est un élément. Je sais que ça concerne le cadre américain mais rappelez-vous aussi que les Etats-Unis sont le quartier général de l’opération et que leur tir d’artillerie finit par toucher l’Europe d’une manière ou d’une autre, comme on l’a vu avec le Covid – et pour mes lecteurs les moins jeunes, avec la « guerre au terrorisme » post-démolition contrôlée du WTC.

Ici c’est la santé qui est en phase démolition contrôlée, sans relâche depuis deux ans et demi.

Source.


Traduction

La fraude à la variole du singe est à l’image de la fraude au COVID – incroyable

Meryl Nass

11 août

Le vaccin n’empêche pas l’infection

Comme pour les vaccins COVID, il s’avère que dans les expériences sur les animaux, le vaccin Jynneos n’a pas empêché les singes de contracter la variole du singe, mais les a empêchés de mourir. Étant donné que la souche actuelle de la variole du singe est bénigne et que pratiquement personne n’en meurt, voilà une autre raison d’éviter comme la peste ces vaccins dangereux: ils n’empêchent pas l’infection!

Selon le briefing du CDC à son comité consultatif le 23 juin, auquel j’ai assisté, il s’agit généralement d’une maladie bénigne, qui ne nécessite pas de traitement spécifique, et les personnes qui ont été hospitalisées l’ont été pour contrôler leur douleur (par exemple, les lésions périrectales peuvent induire des spasmes sphinctériens douloureux).

Donc, en termes de décès, en 2022, il y a maintenant un total de 5 décès associés à la variole signalés hors d’Afrique, et 4 signalés au Nigeria. Je n’en ai trouvé que deux pour lesquels la cause du décès a été discutée: le Brésilien avait un lymphome (cancer de la lymphe), et la personne au Pérou est morte d’une condition préexistante. Nous ne savons rien de ce qui a tué les sept autres.

Le CDC a caché son étude sur la vaccination de 1600 travailleurs de la santé congolais

Le CDC a lancé une étude sur le vaccin Jynneos en RDC en 2017 et a terminé le recrutement en septembre 2020, selon la notification requise dans ClinicalTrials.gov. L’idée était de vacciner les personnes les plus sensibles à la variole du singe et de voir combien d’entre elles contractaient la variole du singe, et quels étaient les effets secondaires. Le CDC dispose de nombreuses données, et la personne qui a informé le comité consultatif le 23 juin, Brett Peterson, est le chercheur principal de cet essai au Congo. Où est le briefing du CDC sur les résultats de cette étude? Il s’agit de la première étude sur l’efficacité d’un vaccin dans le monde – pourquoi les CDC sont-ils aussi réservés sur les résultats?

Les deux mêmes scientifiques qui ont claironné l’origine naturelle du COVID défendent maintenant l’origine naturelle de la variole du singe

Deux des mêmes scientifiques qui ont claironné l’origine naturelle du COVID tentent maintenant d’expliquer le nombre excessif de mutations dans le variant actuel de la variole du singe, qui semble dériver d’une souche isolée dans des laboratoires de trois pays en 2018-2019. Les virus à ADN double brin ne mutent généralement pas aussi rapidement… puisque nous avons une date de début en 2018, les mutations attendues ont pu être calculées. Une grande partie des mutations pourrait avoir été induite par une enzyme utilisée dans les laboratoires. Voir la mise à jour du 5 juin de DoorlessCarp pour en savoir plus sur les aspects scientifiques.

Les deux personnes concernées sont Andrew Rambaut et Michael Worobey. Rambaut était l’un des cinq auteurs de l’article de Nature Medicine que Tony Fauci a fait rédiger, afin de dissimuler l’origine des laboratoires que Fauci a lui-même financés. Worobey vient de publier un article affirmant – malgré tout – que le COVID est de source naturelle. Ils agissent maintenant de même pour la variole du singe.

https://virological.org/t/initial-observations-about-putative-apobec3-deaminase-editing-driving-short-term-evolution-of-mpxv-since-2017/830

https://www.cnn.com/2022/06/02/health/monkeypox-endemic-silent-spread/index.html

Le gouvernement américain a créé une fausse pénurie de vaccins

Mais bien entendu, c’est ce qu’ils font à chaque fois pour attiser la demande.

Mais c’est bien plus grave que cela. Le gouvernement américain possède déjà 16 millions de doses, stockées congelées au Danemark, et a dépensé bien plus d’un milliard de dollars en vaccins Jynneos avant que la variole du singe ne soit identifiée en Occident. [NdT. il s’agit théoriquement d’achats destinés au stock national permanent]

Bien que l’usine danoise de « remplissage et finition » ait été achevée en 2021 et que le gouvernement américain ait alloué 44 millions de dollars pour la « certification » de cette même usine en janvier 2019, la FDA n’a finalement bouclé son inspection que le 27 juillet 2022.

Cela a prétendument empêché les États-Unis de mettre la main sur une partie de leurs stocks à l’étranger. Hein? Et le gouvernement américain a commandé 1,4 million de doses pas plus tard qu’en 2020, qui n’ont toujours pas été livrées.

Entre-temps, le président Biden a sollicité 7 milliards de dollars supplémentaires pour l’urgence de la variole du $inge. Pas étonnant qu’ils projettent de changer le nom de la variole du singe, prétendument stigmatisant pour les Africains. C’est pour détourner l’attention. C’est pour les politiciens qu’il est stigmatisant.

En raison de la pénurie de vaccins, les vaccins existants bénéficieront d’une exemption de responsabilité

C’est pas mignon, ça?

Le vaccin Jynneos est homologué et utilisé pour l’indication spécifiée sur l’étiquette (prévention de la variole), le fabricant est donc responsable des lésions. Le gouvernement américain pourrait également être responsable s’il vous trompait sur la sécurité ou l’efficacité du vaccin… ou s’il cachait une étude qu’il avait menée, par exemple.

Mais comme il y a une pénurie, le gouvernement américain, dans sa bienveillance et sa sagesse, va le diluer et donner aux receveurs une dose de 20%, administrée par voie intradermique plutôt que sous-cutanée. Mais pour que cela soit kasher (kasher pour qui?), le DHHS et la FDA délivrent au vaccin une autorisation d’utilisation d’urgence, et nous savons tous ce que cela signifie [NdT. DHHS, Departement of Health and Human Services = Ministère de la Santé et des Services Sociaux. J’imagine que tous mes lecteurs savent à présent ce qu’est la FDA]. Vous ne pouvez poursuivre personne en justice même si le vaccin vous tue.

Vous pouvez demander au DHHS de vous verser de petites indemnités dans le cadre de son Countermeasures Injury Compensation Program [Programme de Compensation des Dommages liés aux Contre-mesures], mais vous risquez d’attendre longtemps avant d’obtenir une réponse. Le programme a rejeté environ 95% des demandes, et personne n’a encore reçu d’indemnité pour une lésion due au vaccin COVID.

Cela signifie également qu’un contractant du gouvernement américain s’interposera désormais entre le fabricant danois et le bénéficiaire. Je me demande quel diluant le gouvernement américain leur demandera d’ajouter, ou fournira lui-même, d’ailleurs?


Texte original

How the Monkeypox Scam Mirrors the COVID Scam–unbelievable

Meryl Nass

Aug 11

The vaccine does not prevent infection

Just like the COVID vaccines, turns out that in the animal experiments, Jynneos did not stop monkeys getting monkeypox, but did stop them from dying.  Since the current strain of monkeypox is mild, and virtually no one dies from monkeypox, this is another reason to avoid these dangerous vaccines like the plague—they won’t stop the infection!

According to the CDC ‘s briefing to its advisory committee on June 23, which I attended, this is generally a mild disease, requires no specific treatment, and the people who were hospitalized were hospitalized for pain control. (For example, perirectal lesions can induce painful sphincter spasms.)

So, in terms of deaths, in 2022 there are now a total of 5 deaths that have been associated with Moneypox reported outside Africa, and 4 reported from Nigeria. I found only two for which there was discussion of cause of death: the Brazilian had lymphoma (lymph cancer), and the person from Peru died of a preexisting condition. We know nothing about what killed the other seven.

CDC has been hiding its vaccine study of 1600 Congolese healthcare workers

CDC began a study of the Jynneos vaccine in the DRC in 2017 and finished recruiting by September 2020, according to the required notification in ClinicalTrials.gov. The idea was to vaccinate people most susceptible to monkeypox and see how many got monkeypox, and what the side effects were. CDC has a lot of data, and the person who briefed the advisory committee on June 23, Brett Peterson, is the Principal Investigator of this Congo trial. Where is CDC’s briefing on this study’s results? This was the first study of vaccine efficacy in the world—why is CDC being coy about the results?

The same 2 scientists who hyped COVID’s natural origin now hyping Monkeypox’ natural origin

Two of the same scientists who hyped the natural origin of COVID are now trying to explain the excessive number of mutations in the current Moneypox variant, which appears to be derived from a strain isolated in labs in 3 countries in 2018-9. Double-stranded DNA viruses don’t usually mutate this fast…since we have a 2018 start date, the mutations expected could be calculated. A lot of the mutations could have been induced by an enzyme used in labs. See DoorlessCarp’s June 5 update for more on the science.

The two people are Andrew Rambaut and Michael Worobey. Rambaut was one of the 5 authors of the Nature Medicine article that Tony Fauci caused to be written, to cover up the lab origin that Fauci himself funded. Worobey just published an article claiming—despite everything—that COVID came from nature. Now they are doing the same for Monkeypox.

https://virological.org/t/initial-observations-about-putative-apobec3-deaminase-editing-driving-short-term-evolution-of-mpxv-since-2017/830

https://www.cnn.com/2022/06/02/health/monkeypox-endemic-silent-spread/index.html

US Government has created a fake shortage of vaccine

Well yes, of course, they always do that to fan the flames of demand.

But this is a lot bigger than that. The USG already owns 16 million doses, stored frozen in Denmark, and had spent well over $1 Billion on Jynneos vaccines before Moneypox was identified in the west.

Despite the Denmark factory’s « fill and finish” facility being completed in 2021, and despite the USG allotting $44 million for “qualification” of that same facility in January 2019, the FDA only got around to finishing its inspection on July 27, 2022.  

Supposedly this prevented the US from getting its hands on any of its supply stored overseas. Duh? And the USG ordered 1.4 million doses as recently as 2020, yet to be delivered.

Meantime, President Biden asked for another $7 Billion for the $Moneypox emergency. No wonder they plan to change the name of Moneypox, which is said to be stigmatizing to Africans. They mislead. It is stigmatizing to politicians. 

Because of the vaccine shortage, existing vaccine will get a liability waiver

How sweet is that?

Jynneos is licensed, and is being used for its labelled indication (prevention of Moneypox) so the manufacturer is liable for injuries. The USG might also be liable, if it steered you wrong about the safety or efficacy of the vaccine…or if it hid a study it had conducted, for example.

But since we have a shortage, the USG in its benevolence and wisdom is going to dilute it and give recipients instead a 20% dose, administered intradermally instead of subcutaneously. But in order to make this kosher (kosher for whom?) the DHHS and FDA are issuing the vaccine an emergency use authorization, and we all know what that means. You can’t sue anybody even if the vaccine kills you.

You can apply to DHHS for small benefits from its Countermeasures Injury Compensation Program, but you might be waiting a long time for an answer. The program has denied about 95% of petitioners, and no one has received a payout for a COVID vaccine injury yet.

This also means that a USG contractor will now be inserted between the Danish manufacturer and the recipient. I wonder what diluent the USG will instruct them to add, or supply itself, for that matter?

Le canular nucléaire – par Miles Mathis.

Comme promis et puisque je l’ai déjà souvent cité, la traduction de cet article de Miles.

Il existe d’autres articles d’autres auteurs qui expliquent la même chose sous l’angle uniquement scientifique plutôt que par l’analyse des sources graphiques mais j’aime vraiment le côté incisif et amusant de celui-ci. Pour info, il en a écrit un autre, cité ici.

Vous aurez compris que toutes les puissances « nucléaires » se sont mises d’accord pour duper leurs propres peuples avec des programmes militaires – et spatiaux – fictifs, ce qui leur permet de jouer à la fois la carte de la menace d’annihilation et de ponctionner le Trésor public de sommes faramineuses. Il n’y a aucun de ces menteurs pour racheter l’autre.

Nos amis de la recherche militaire ne se sont évidemment pas tourné les pouces depuis 1945. Pendant que le bon peuple vivait dans la crainte diffuse d’une arme mythique, ils mettaient au point des armes vraiment redoutables, à micro-ondes, géoclimatiques, chimiques et, comme on vient d’en avoir un exemple en temps réel, virales – et probablement d’autres dont on n’a jamais entendu parler. Quand le Président de la Fédération Russe brandit une menace de « destruction jamais vue dans l’Histoire », c’est peut-être à ces armes qu’il fait discrètement référence. Donc, n’oubliez pas de vivre dans la terreur.

Source.


Traduction

Le canular nucléaire

par Miles Mathis

Première publication le 24 janvier 2016

Comme d’habitude, il ne s’agit que de mon opinion professionnelle, basée sur des recherches privées.

J’ai déjà écrit un article assez court sur les essais de l’atoll de Bikini, qui présentait des preuves photographiques de trucage. Certains ont mal interprété mes arguments, pensant que je sous-entendais que seuls les essais de Bikini étaient truqués, tandis que les événements de Trinity et du Japon étaient réels. Bien au contraire. Ce n’est pas du tout ce que je sous-entendais. Si j’ai mentionné les essais de Trinity dans cet article, c’était uniquement pour souligner les contradictions entre les histoires de Bikini et de Trinity. Le souffle que l’on nous montre à Trinity n’a semble-t-il pas eu lieu à Bikini.

Quoi qu’il en soit, je pensais que ma conclusion indiquait clairement que je soupçonnais tous les tests et événements d’avoir été truqués. Si ce n’était pas clair, je vais le clarifier maintenant. Je soupçonne que tous les tests et tous les événements ont été et sont truqués. Si on disposait d’événements réels à nous montrer, on n’aurait pas besoin de nous montrer des événements truqués.

Ce que me ramène à ce sujet est un retour fortuit à la page Wikipedia de la Lookout Mountain Air Force Station à Laurel Canyon, station qui joue un rôle important dans mon exposé sur l’événement Tate/Manson. Si vous vous souvenez, il s’agissait d’une petite station militaire cachée dans les collines de Los Angeles, construite en 1941 pour y créer des films gouvernementaux. Elle s’est agrandie en 1947, année de création de la CIA. Elle a produit des milliers de films de propagande, ce qui est admis. On prétend qu’elle a été fermée en 1968, mais nous savons maintenant que c’est un mensonge. Lookout Mountain apparaît au générique du Retour du Jedi en 1983, elle devait donc être encore ouverte à cette époque. On veut nous faire croire qu’elle a été fermée en 1968, afin de nous empêcher de la relier à l’événement Tate/Manson de 1969. Mais la page Wikipedia a en fait été réécrite l’année dernière pour modifier la date de sa fermeture de 1968. Lorsque j’ai écrit mon article sur Tate, j’ai sauvegardé une copie de la page Wiki, et à ce moment-là, la date de fermeture indiquée était 1969, et non 1968. La page Wiki a donc été réécrite en réaction à mon article sur Tate. Ce n’est pas la première fois qu’une page Wiki est réécrite ou épurée en réaction à mes articles. La première fois, c’était il y a plusieurs années, en réaction à mon article sur les marées publié sur mon site scientifique. Cette fois-là, ils ont définitivement supprimé leur page sur la théorie des marées, et ont complètement réécrit la page sur les marées, en expurgeant toutes les mathématiques que je critiquais dans mon article – bien qu’il s’agisse de mathématiques courantes présentes dans de nombreux autres livres et sites web.

Quoi qu’il en soit, je me serais attendu à ce que la page sur Lookout Mountain soit complètement supprimée, mais chose curieuse, elle a été rallongée. La majorité des ajouts sont des manœuvres de diversion, comme le changement de la date de fermeture, mais ces manœuvres ne sont pas toutes judicieuses. Plusieurs photos ont été ajoutées, dont celle-ci:

L’opération Greenhouse désigne la série d’essais nucléaires effectués en 1951 sur l’atoll d’Enewetok. Vous ne trouvez pas étrange que cet événement soit un film avec un scénario? Je peux comprendre que l’on enregistre l’événement, mais le scénariser? Pourquoi faudrait-il scénariser un essai nucléaire? N’oubliez pas que l’on écrit normalement un scénario pour un événement fictif, pas pour un événement réel. Les événements réels n’ont pas besoin de scénario. Une fois de plus, ils nous glissent des indices majeurs sous le nez. Ils auraient dû appeler cette opération « Ouais, raconte-m’en une autre, mon Général ».

Si on va sur la page d’Enewetok, on trouve cette photo:

Cette photo a pour sous-texte:

Des filtres sont retirés d’un drone Boeing B-17 de l’US Air Force après un vol à travers le nuage radioactif.

Quoi? Il est impossible de filtrer les particules radioactives en plaçant un simple drap blanc sur les hublots, ou quoi que ce soit qui apparaisse sur cette photo. Et si l’avion est un drone, pourquoi utiliser des filtres? Le seul motif pour faire voler un drone à travers un nuage radioactif serait de surveiller les niveaux d’ions. Mais si on surveille les niveaux d’ions, pas besoin de filtre, n’est-ce pas? Un filtre ne serait nécessaire que si l’avion était piloté. Je soupçonne que l’avion était piloté. Pourquoi? Parce que je vois l’avion posé là. Selon d’autres histoires de cette époque, les drones n’étaient utilisés que pour des missions « suicide », puisqu’on ne pouvait ni les faire décoller ni les faire atterrir. Il fallait que les pilotes les emmènent en altitude puis les évacuent, après quoi ils pouvaient être pilotés à distance. Mais comme il était impossible de les faire atterrir à distance, il fallait les faire s’écraser volontairement quelque part. En d’autres termes, ils fallait les utiliser comme missiles contre une cible ennemie. C’est ce qu’on nous raconte, rappelez-vous, de la mort de Joseph Kennedy Jr, qui aurait piloté l’un de ces avions-missiles pendant la Seconde Guerre mondiale.* Lui et un autre pilote devaient fait prendre de l’altitude à l’avion puis en sauter. Mais pour une raison quelconque, la charge utile à bord a explosé avant qu’ils aient pu sauter, les tuant tous les deux. J’ai démontré que cette histoire est encore un canular, mais pas parce qu’il était possible de faire décoller et atterrir des drones à l’époque. C’est une fiction parce qu’il est impossible que Kennedy ait été choisi pour cette mission. C’est aussi une fiction flagrante parce que l’avion était suivi par une équipe de tournage. La seule raison pour laquelle une équipe de tournage suivrait une telle mission serait de filmer l’explosion, comme preuve supposée de la mort de Kennedy. Mais le fait que ces avions aient besoin de pilotes pour décoller et atterrir est véridique. Le B-17 nécessitait dans le cockpit même une coordination visuelle et manuelle précise pour réussir un atterrissage.

La raison pour laquelle on vous raconte que ce B-17 était un drone est pour vous empêcher de poser la moindre question sur ce filtre à la con. S’il était admis que l’avion était piloté, vous pourriez vous demander comment on arrive à filtrer la radioactivité dans un cockpit tel que celui-ci. La réponse simple est que ce n’est pas possible. La radioactivité est constituée de très petits ions, les alpha et les bêta. Les bêta sont des électrons à haute énergie. Les électrons sont minuscules, et il est impossible de les filtrer avec des écrans. Les photons aussi. Le cockpit devrait être complètement blindé sur tout son pourtour. Blindé, pas filtré. Mais s’il est blindé, il ne peut pas être piloté, puisque les boucliers empêcheraient toute visibilité. Donc dans les deux cas, l’histoire ne tient pas.

C’est la photo grotesque qui nous est présentée ensuite. Voici le sous-texte:

Le Major Général Leslie Groves et Robert Oppenheimer sur les restes de la tour de tir de Trinity quelques semaines plus tard. Les surchaussures blanches étaient destinées à empêcher les retombées de trinitite de coller à la semelle de leurs chaussures.

Je vous laisse un instant pour cesser de rire. Ils se tiennent au Point Zéro quelques semaines après l’essai, sans aucun vêtement de protection à l’exception de sacs de toile blancs sur leurs chaussures. Une bombe de 20 kilotonnes est censée avoir explosé à 100 pieds [30 mètres] au-dessus du point où ils se trouvent, et pourtant tout ce qu’on voit, c’est un petit tas de terre, même pas brûlé. Regardez le sol. C’est de la terre craquelée. Elle aurait dû être chauffée à des températures extrêmement élevées et transformée en magma ou aérosolisée. On nous dit qu’ils portent des chaussons médicaux pour empêcher la trinitite de coller à leurs chaussures, mais est-ce que vous voyez de la trinitite? La trinitite est censément une sorte de verre, créé par l’exposition de la terre et des roches à des températures extrêmes. Voyez-vous quelque chose qui ressemble à du verre? Moi, non. Ça m’a juste l’air d’être de l’argile craquelée, comme dans n’importe quel désert courant. Et est-ce que le verre colle aux chaussures? Non. Si on portait le sol du désert à des températures extrêmement élevées et qu’on le laissait ensuite refroidir très rapidement, il serait tout le contraire de collant. Il serait très dur et non poreux, encore une fois comme du verre.

On nous dit que le sable du désert était en grande partie composé de silice, mais d’après la photo ci-dessus, on peut voir que ce n’est pas vrai. Ils se tiennent sur de l’argile craquelée, pas sur du sable.

Et pourquoi n’y a-t-il aucun trou? Rappelez-vous, toutes les photos truquées qu’on nous présente de ces événements montrent une colonne et un champignon géants. D’après vous, d’où viennent la colonne et le champignon? On voudrait nous faire croire qu’ils proviennent d’une remontée de sédiments du sol. D’où viendraient-ils sinon? Si une énorme colonne de sédiments du sol est soulevée et projetée vers le ciel, il devrait se former un énorme cratère ou trou. Pourtant, tout ce qu’on voit ici, c’est un minuscule tas de terre.

Vous me direz: « Pourquoi faudrait-il qu’il y ait un cratère? Sais-tu ce que causent en surface les bombes nucléaires qui explosent à 100 pieds d’altitude? » Non, et vous non plus. On pourrait espérer un minimum de cohérence – qu’on ne trouve pas dans ces histoires. Par exemple, on nous dit que la détonation de Baker à Bikini, qui n’était que 13% plus forte que l’explosion de Trinity, a créé un cratère dans l’océan de 2.000 pieds de large et 30 pieds de profondeur. Et ce, avec l’océan comme tampon. Baker a explosé à mi-chemin du fond marin, nous dit-on. Il y avait donc 90 pieds d’eau entre l’explosion et le cratère créé. Mais Trinity n’était qu’à 100 pieds du sol du désert, avec rien d’autre que de l’air entre les deux. Et pourtant, on nous dit que l’explosion a laissé un cratère de 30 pieds de large et de 5 pieds de profondeur. Encore une fois, ça fait 2.000 pieds de large pour Baker contre 30 pieds pour Trinity. Il faut croire qu’ils avaient pas trop envie de creuser un grand trou sur le site de Trinity, alors ils l’ont fait sauter.

Cependant, comme on peut le voir sur la photo ci-dessus, il n’y a pas de cratère du tout, pas même un de cinq pieds de profondeur. Oppenheimer et ses amis sont à la base de la tour de tir, qui était la tour sur laquelle la détonation a eu lieu. Ils fixent l’un des quatre pieds, et les gars derrière eux en fixent un autre.

Vous voyez un cratère entre eux? Moi, non.

Enfin, on veut nous faire croire que ces types se promènent dans une zone hautement radioactive sans vêtements de protection, à un moment où il y aurait encore des retombées radioactives qui descendent du ciel? On me dira que les retombées cessent au bout de deux semaines ou quelque chose dans le genre, et que le sol non plus n’est plus radioactif au bout de quelques semaines. Mais cela contredit toutes les autres histoires qu’on nous a racontées. Comme celle-ci: sur la page de l’atoll de Bikini, on nous dit que les indigènes ont été renvoyés chez eux dix ans après la dernière explosion [en 1968], « sur la base d’avis scientifiques indiquant que les niveaux de radiation étaient suffisamment réduits ». Cependant, en 1982, une équipe française a constaté que les niveaux de radiation n’étaient toujours pas sûrs et les habitants de l’île ont de nouveau été déplacés. Soit 24 ans après la dernière explosion. Et pourtant, on voit Oppenheimer lui-même se tenir au Point Zéro en costard-cravate quelques semaines seulement après le test Trinity!

Voici une autre photo du Point Zéro. Ce n’est pas une photo de vacances en famille, c’est une photo gouvernementale prise peu après le test. C’est l’une des rares photos publiées sur la page Trinity de Wikipedia. Non seulement elle ne concorde pas avec la photo précédente, mais encore une fois, pas de trou, pas de brûlure, pas de verre, pas de preuve d’une explosion de 20 kilotonnes 100 pieds au-dessus. J’ai déjà vu des écoliers causer plus de dégâts en faisant des châteaux de sable sur la plage. Et qui sont ces clowns? On dirait deux clochards. Est-ce le genre de photo que l’on s’attend à trouver sur un site Internet grand public, 70 ans après les faits, comme preuve du test de Trinity? On s’attendrait à voir soit une floppée de généraux 5 étoiles et d’autres gros bonnets, soit des hommes en costume de plomb. On ne s’attend pas à deux types qui ont juste l’air de chercher de vieux pneus. Encore une fois, la plaisanterie est si flagrante qu’on ne peut qu’en rire. On devrait l’appeler l’opération Mais-Oui-C’est-Ça.

Rappelez-vous également que le test Trinity aurait eu lieu le 16 juillet 1945. Hiroshima a eu lieu le 6 août 1945, trois semaines plus tard. Non seulement cela n’a aucun sens en termes de test, mais cela n’a aucun sens compte tenu de l’état d’avancement de la guerre en juillet. Les tests de matériel clé prennent normalement beaucoup plus de temps. Il n’y a rien qu’on teste une seule fois avant de le mettre en service trois semaines plus tard. Même quelque chose d’aussi insignifiant que de nouveaux produits cosmétiques est testé pendant des mois ou des années sur de nombreux sujets, après quoi on prend le temps de surveiller les effets secondaires. On ne se contente pas de frotter la lotion sur un cobaye, de dire « Oh, il n’est pas mort sur le coup » et de mettre la lotion en vente la semaine suivante. Cette hâte à larguer une bombe testée une seule fois devrait donc vous sembler très suspecte. Elle devrait l’être d’autant plus que le Japon était déjà vaincu. Ce n’est pas comme s’ils étaient sur le point d’attaquer le continent américain et que nous devions les faire sauter pour nous protéger. Nous bombardions le Japon depuis début mars, et ils n’ont pas été en mesure de nous arrêter. Selon l’histoire officielle, Tokyo a été bombardée le 9 mars, ce qui a causé 100.000 morts. De mars à juillet, nous avons bombardé 66 autres villes japonaises, causant un autre demi-million de morts. Combien de villes américaines les Japonais ont-ils bombardées pendant cette période ? Voyons voir. . . ah oui, zéro.

On nous dit que les bombes ont été larguées pour éviter davantage de pertes de vies humaines dans notre camp, mais ça aussi c’est une diversion. Les Japonais ne nous attaquaient pas à ce moment-là. Pourquoi l’auraient-ils fait? Mettez-vous à leur place. Si votre pays est bombardé, vous vous repliez et vous consacrez tout ce qu’il vous reste à prévenir d’autres attaques sur votre sol. Vous n’engagez vos forces dans des missions offensives, vous les gardez chez vous en position défensive. La seule possibilité de perdre des hommes à ce moment-là était de les envoyer survoler le Japon ou de les envoyer naviguer près de ses côtes. Si notre objectif était de ne pas perdre d’hommes, il nous suffisait de rester à l’écart. Que l’Empereur se soit « rendu sans condition » ou non n’est pas la question. Le fait est qu’il n’était plus en mesure de nous causer le moindre tort, qu’il se soit rendu ou non. Il était vaincu, et qu’il ait ou non dit « pouce » n’avait aucune importance. Ce n’était certainement pas une excuse pour continuer à le bombarder.

En bref, soyez rassurés, il est absolument impossible que nous ayons largué des bombes nucléaires sur le Japon. Ce n’est tout simplement pas arrivé. Le Japon le sait, la Russie le sait, et les seuls qui ne le savent pas sont les citoyens des États-Unis, à qui on a asséné assez de propagande pour les plonger dans un état d’idiotie collective. Le but premier de la peur du nucléaire n’était pas de calmer les Russes (puisque les Russes non plus n’ont jamais eu d’armes nucléaires). Son but premier était de maintenir les citoyens américains dans un état proche de la panique pendant 70 ans, et de maintenir les dépenses des militaires et du Renseignement à un niveau ridiculement élevé.

Dans le même ordre d’idées, vous devriez trouver très curieux que la bombe testée à Trinity fut une bombe au plutonium, comme la bombe Fat Man prétendument utilisée à Nagasaki. La bombe utilisée en premier à Hiroshima était une bombe à l’uranium, qui n’avait donc jamais été testée. Pourquoi choisir de larguer en premier la bombe non testée, au lieu de la bombe testée? Ça n’a aucun sens. Ceci n’a aucun sens non plus:

Après la fin de la guerre, on ne s’attendait pas à ce que la conception inefficace de Little Boy soit un jour réutilisée, et de nombreux plans et schémas ont été détruits.

Quoi? Savez-vous combien a coûté le projet Manhattan? Environ 25 milliards de dollars [NdT. non ajustés à l’inflation]. Est-il logique qu’ils aient dépensé des milliards pour construire un engin nucléaire fonctionnel et qu’ils en aient ensuite détruit les plans et les schémas? En fait, cette histoire me rappelle celle qu’on a racontée il y a quelques années, lorsque des enquêteurs retraités de la NASA étaient à la recherche des images originales de la NASA sur l’alunissage. On leur a dit que la NASA les avait perdues. Il s’est révélé que la NASA avait en fait effacé et réutilisé les bandes dans les années 1980. Je ne rigole pas. En guise d’explication, on nous dit que la NASA était confrontée à l’époque à une importante pénurie de bandes enregistreuses. Oh ben alors, c’est pas grave. Nous n’avons dépensé qu’environ 100 milliards pour le projet Apollo, alors qui voudrait en conserver une trace permanente? Le bouche à oreille est bien suffisant. De plus, ils avaient probablement besoin de ces bandes pour enregistrer des épisodes de Battlestar Galatica.

Mais il y a mieux. Concernant le non-essai du premier engin nucléaire prétendument utilisé comme arme de guerre, on nous dit:

Il y avait plusieurs raisons de ne pas tester un dispositif de type Little Boy. Tout d’abord, on disposait de peu d’uranium 235 par rapport à la quantité relativement importante de plutonium qui, selon les prévisions, pourrait être produite par les réacteurs du site de Hanford[14]. En outre, la conception de l’arme était suffisamment simple pour qu’il ne soit jugé nécessaire que de réaliser des tests en laboratoire avec l’assemblage de type canon. Contrairement au concept d’implosion, qui nécessitait une coordination sophistiquée des charges explosives formées, on considérait que le concept de type canon fonctionnerait presque à coup sûr.

Les choses qu’ils tentent de vous faire avaler! Veuillez lire attentivement les deux dernières phrases, car la seconde contredit la première. Dans la première phrase, la conception de l’arme est simple, et la seule chose qui doit être testée est l’assemblage de type canon. Dans la deuxième phrase, remarquez que cela s’inverse: l’assemblage de type canon fonctionnera à coup sûr, il est donc sous-entendu qu’il n’a pas besoin d’être testé. Mais la conception de l’implosion est maintenant sophistiquée. On vous touille le cerveau! En vérité, aucune de ces deux affirmations n’est pertinente. Cette arme était censée être la première de son genre, comme nous le savons. Elle était censée être la première explosion nucléaire inventée et la première à être utilisée. Elle a coûté d’énormes sommes d’argent et aurait nécessité la coordination des meilleurs physiciens de l’Ouest, dont plusieurs subtilisés à l’Allemagne. Alors comment la conception de l’arme pouvait-elle être simple? Elle ne nécessitait pas seulement une « coordination des charges explosives », mais aussi la première explosion de fission en chaîne, qui n’était jusqu’alors que théorique. L’idée que cela ne serait jamais testé sur le terrain est ridicule.

De plus, si ces engins n’avaient pas besoin d’être testés avant leur première utilisation en temps de guerre, pourquoi les bombes ultérieures ont-elles dû être testées par centaines, en foutant le bordel dans de vastes régions du monde? Comme d’habitude, aucune cohérence dans l’histoire qui nous est racontée.

Ensuite, il y a la grande différence entre le Gadget et le Fat Man. Le Gadget est celui qui a explosé à Trinity. Fat Man a explosé à Nagasaki 24 jours plus tard.

Incroyable, non, qu’ils aient réussi à affiner à ce point leur technologie en seulement trois semaines? On me dira que la deuxième photo ne représente que la coque de la bombe, mais comme son diamètre n’est que de 60 pouces, le Gadget que l’on voit sur la première photo ne pourrait pas s’y loger. Le Gadget à l’intérieur de Fat Man devrait être plus petit et plus simple, tout en fournissant le même rendement. Cela soulève une question: si Fat Man était déjà construit et était plus petit et plus simple, pourquoi le Gadget était-il si grand et complexe? Ils ont été construits en même temps. Bien que l’on nous dise qu’ils y travaillaient depuis des années, en réalité, ils n’y travaillaient que depuis un an. La première livraison d’uranium enrichi à Los Alamos n’a eu lieu qu’en juin 1944. On ne peut pas construire une bombe à l’uranium sans uranium. De plus, tout cela contredit ce qu’on nous dit sur la page Trinity à propos de la construction de Jumbo. Jumbo était le conteneur construit au cas où le gadget Trinity ne parviendrait pas à exploser correctement, afin de pouvoir récupérer le plutonium. Ils n’en avaient pas assez pour un second test, voyez-vous. Alors comment en ont-ils eu assez pour Fat Man?

On me dira qu’en juillet, ils en avaient assez pour une deuxième détonation. Mais voici ce que dit Wikipedia à ce sujet:

Au moment où il [Jumbo] est arrivé, les réacteurs de Hanford produisaient du plutonium en quantité, et Oppenheimer était convaincu qu’il y en aurait assez pour un deuxième essai.

Voilà l’explication du fait que Jumbo n’a pas été utilisé à Trinity. Mais cela indique qu’au moment du test Trinity, ils n’étaient pas sûrs que le nouveau plutonium serait utilisé dans un second test, ou dans une bombe destinée au Japon. Ils n’étaient pas non plus sûrs que la quantité de plutonium serait suffisante. Le fait qu’Oppenheimer ait dû affirmé qu’il était confiant indique la présence d’un grand point d’interrogation. Quoi qu’il en soit, cela indique avec certitude que Fat Man n’avait pas encore été fabriqué à ce moment-là. Devons-nous supposer qu’il avait déjà été construit vide, juste au cas où le test Trinity serait réussi et que Truman ordonnerait un largage immédiat sur le Japon? Même s’ils avaient obtenu suffisamment de plutonium de Hanford pour remplir Fat Man, ils leur fallait encore expédier le plutonium, remplir Fat Man, le calibrer, le charger, et ainsi de suite, en moins de trois semaines. En fait, on nous dit qu’ils l’ont fait en neuf jours environ, puisque Fat Man a quitté Kirtland le 26 juillet. Il est difficile de croire que tout cela ait été effectué de manière aussi précipitée, car 1) il est insensé de travailler de manière précipitée sur un tel dispositif – il est même extrêmement dangereux de travailler de manière précipitée sur un dispositif aussi important, 2) il n’y avait aucune urgence. Le Japon avait déjà été vaincu et il n’y avait aucune raison de le bombarder, et encore moins de le bombarder avec les premiers engins nucléaires.

Comme preuve supplémentaire, peut-être ne savez-vous pas qu’avant le test Trinity, une « répétition » avait été organisée deux mois auparavant. Lors de cette répétition, on a fait exploser 108 tonnes d’explosifs puissants sur le même site. Curieusement, cette explosion conventionnelle a été renforcée par des isotopes radioactifs et des producteurs de rayons gamma, ce qui est admis.

Voilà donc l’empilement de ces explosifs conventionnels. On peut se demander en quoi une explosion conventionnelle est une « répétition » d’une explosion nucléaire. Puisque les explosions nucléaires nous sont vendues comme étant de nature complètement différente des explosions conventionnelles, ces dernières ne peuvent pas être une répétition des premières. Est-ce que vous répétez un kilomètre de natation en courant un kilomètre? Non. On ne peut rien apprendre d’une explosion nucléaire en effectuant une explosion conventionnelle. La seule façon de procéder à la répétition d’une grande explosion nucléaire est de procéder à une explosion nucléaire plus petite.

Le renforcement avec des isotopes radioactifs est un autre indice évident, puisqu’on essaie de donner à l’explosion conventionnelle l’apparence d’une explosion nucléaire. Mais qui pourraient-ils tromper ainsi? Ils ne peuvent pas se tromper eux-mêmes, car ce sont eux qui ont dopé le punch [NdT. jeu de mots intraduisible]. Ils ne peuvent tromper que vous.

Faites la comparaison avec leur manie d’organiser des exercices de préparation pour les événements truqués les plus récents. Vous vous rappelez que des exercices de toutes sortes ont eu lieu le jour du 11 septembre, en même temps que l’événement réel? Même chose pour les événements du 7 juillet à Londres, où des exercices identiques ont eu lieu le même jour. Même chose avec Sandy Hook et la plupart des autres « tragédies » qu’on vous a vendues récemment. Il y a toujours des « répétitions » juste avant ou pendant les événements eux-mêmes. On observe la même chose avec le test Trinity, dont l’étrange répétition a eu lieu deux mois plus tôt, avec une explosion conventionnelle maquillée en explosion nucléaire. Pourquoi? Eh bien, lorsque vous voyez des photos de l’essai Trinity, avez-vous un moyen de savoir si elles proviennent de l’événement de juillet ou de celui de mai? Non. Elles ne sont pas horodatées, n’est-ce pas? Faites-vous la différence entre une explosion nucléaire et une grande explosion conventionnelle, de visu? Non. Personne ne peut le faire, car les explosions nucléaires n’existent pas. Il y a les grandes explosions conventionnelles et les fausses explosions nucléaires, qui sont des collages réalisés dans des laboratoires de photographie ou simulées dans de grands studios de cinéma comme Lookout Mountain.

Ils admettent que le panache de l’explosion de la répétition était visible à 60 miles de distance, et le Major Shields a dit qu’il était « magnifique ». Pourquoi n’en existe-t-il pas de photos? Pourquoi ne pouvons-nous pas comparer les deux? En fait, une des raisons est que cette répétition a eu lieu de nuit, à 4h37 du matin. Mais pourquoi de nuit? Pourquoi vouloir tâtonner dans l’obscurité dans tout ce barda, au milieu du désert? Voir plus bas.

[Addendum: Je viens de tomber sur le nombre 108 ci-dessus. Pourquoi 108 tonnes longues, plutôt que 100, 109, 110, ou tout autre nombre? Parce que ce nombre est encore un marqueur de numérologie. Il apparaît dans plusieurs de mes articles, tant sur mon site scientifique que sur mon site artistique. Dans les accélérateurs, le proton a une limite d’augmentation de masse de 108 fois. Je suis le premier à avoir montré pourquoi. Lorsque j’ai découvert cela, mon partenaire de l’époque – qui étudiait les religions orientales – m’a dit: « Oh, c’est bizarre. Ce nombre est très important dans l’hindouisme ». Shiva a 108 noms. Il y a 108 Mukhya Shivaganas. Les chapelets bouddhistes ont 108 perles. Ce nombre est également important dans le judaïsme, ce qui est peut-être plus pertinent ici. Le nombre 18 est associé au Chai, et 108 est un faible multiple de ce nombre, soit 6 x 18. 108 est également important dans les arts martiaux. C’est un nombre tétranacci. C’est l’hyperfacteur de 3. Comme Oppenheimer était juif et impliqué dans l’étude ou du moins la citation des religions orientales, je suppose que le nombre 108 n’était pas un accident. Juste après la prétendue explosion, il a cité la Bhagavad Gita:

Si l’éclat de mille soleils éclatait en même temps dans le ciel, ce serait comme la splendeur du puissant.

Le nombre 108 est aussi un as et un huit, la main de l’homme mort. C’est aussi Chai.]

[NdT. une courte page qui fait le tour de l’importance du nombre 108 – en anglais, sorry]

Voici un autre collage:

Il provient de l’explosion d’Enewetok, pendant l’opération Sandstone. Mais c’est un faux patent, car il y a des lignes partout. Voyez la longue ligne verticale dans la moitié inférieure, à votre droite. Pire encore, le reflet dans l’eau n’est pas au bon endroit. Vous voyez comment le reflet penche vers votre gauche? C’est impossible, à moins que l’océan lui-même soit incliné. Le reflet doit se trouver directement entre l’image et le photographe. En d’autres termes, les deux points lumineux doivent être alignés verticalement. Autre problème, ils ont une fois de plus oublié de simuler une montée des eaux. Je vous ai montré ce problème dans mon analyse des photos de Bikini. Il devrait y avoir un grand raz-de-marée circulaire autour de l’explosion, mais ce n’est pas le cas. Nous voyons beaucoup d’eau monter, mais pas d’eau se propager horizontalement. Vous me direz qu’on voit un raz-de-marée partiel, mais ce n’est pas un raz-de-marée, c’est l’atoll lui-même.

Autre problème: ces petits nuages qui ne bougent pas et ne réagissent pas du tout à l’explosion. Vous me direz que l’explosion est limitée à ce moment-là au champignon atomique, mais ce n’est pas vrai. L’explosion se propagerait assez rapidement dans l’air, bien plus vite que la colonne d’eau ne pourrait se former. Le temps que la trombe d’eau se forme à ce point, l’onde de choc dans l’air aurait dû atteindre les nuages les plus proches et les souffler ou du moins les étirer, de sorte qu’ils pointent vers l’événement.

C’est également ce que l’on peut lire dans le compte-rendu officiel :

Les observateurs qui regardaient depuis des bateaux dans le lagon ont vu un flash brillant et ont senti la chaleur rayonnante.

S’ils ont ressenti la chaleur rayonnante, ils ont également reçu une dose de rayonnement, puisque les deux se déplacent ensemble. On ne nous montre pas ce que ces observateurs portaient, mais sur les photos publicitaires de Bikini, l’un des marins était torse nu. Les choses qu’ils veulent vous faire croire!

Et de quel lagon parlent-ils? Dans le même atoll? Sûrement pas. On nous dit que le son a mis 45 secondes à les atteindre, donc ils étaient à environ 15 km, ou 9 miles. Comme l’atoll a un diamètre d’environ 15 miles, ils étaient dans un lagon du même atoll! Revenons donc à l’image de l’explosion, ci-dessus. Les observateurs étaient à l’intérieur de ce cercle.

Lors de l’essai de Trinity, les soldats étaient encore plus près, l’observant à seulement six miles de distance. Nous savons que ces soldats n’étaient pas protégés, puisque nous en avons vu les photos. Ils sont en treillis. Si l’une ou l’autre de ces explosions avait été réelle, cela aurait été une très mauvaise idée. Et ils auraient dû tirer la leçon de Trinity en 1945, pour ne pas la répéter à Enewetok en 1948.

Voici encore la photo de Trinity. Il y a tellement de choses qui clochent dans celle-ci. Pour commencer, l’explosion est assez pathétique comparée à la façon dont ils ont truqué les autres. Trinity était d’environ 20kt, alors que Able et Baker dans l’atoll de Bikini étaient à peine plus gros avec 23kt. Et pourtant les photos trafiquées de Baker nous montrent ça.

Quelle différence pour seulement 3 kt, hein?

Mais cette photo de Trinity pose d’encore plus gros problèmes. Regardez attentivement les soldats. Pourquoi les soldats les plus proches portent-ils une ombre noire, alors que ceux qui se trouvent juste devant eux portent une ombre gris clair? Cela n’a aucun sens. Le soleil ne projette pas une ombre sélective. Elle est soit noire, soit grise, mais pas les deux. C’est un mauvais collage, pour faire croire à la présence de nombreux soldats alors que ça n’est pas le cas.

Celle-ci présente un problème similaire, puisque cette photo est un faux évident. Non seulement ces clowns se trouvent beaucoup plus près de l’explosion, sans vêtements de protection ni même de lunettes de protection, mais, là encore, les ombres n’ont aucun sens. L’explosion est fortement éclairée par la droite, mais les personnages du premier plan ne sont que faiblement éclairés par la droite. De plus, ces personnes sont censées être des photographes professionnels. Ils auraient voulu obtenir la meilleure photo possible de l’explosion, c’est-à-dire avec le soleil derrière eux, et non à leur droite. Ils auraient su que le soleil se lève à l’est, et ne se seraient pas positionnés au sud. Le milieu de la photo n’a pas non plus de sens, ce qui indique que nous n’avons ici qu’un premier plan de studio et un arrière-plan factice.

Je voudrais revenir un instant sur ce que j’ai dit à propos des lunettes, puisque je ne l’ai pas souligné auparavant. Si ces événements avaient été réels, ils auraient émis une dose de rayons gamma, qui sont très dangereux pour les yeux. Et la distance fait moins de différence dans le cas des rayons gamma que celui des autres particules, puisque les rayons gamma sont des photons. Ils se déplacent à la vitesse de la lumière, c, ce qui signifie qu’ils parcourraient la distance jusqu’à ces imbéciles de photographes en environ 0,00001 seconde. Dans ce laps de temps, ils ne perdraient pas d’énergie, donc le fait se tenir à quelques kilomètres de distance ne sert à rien. Les rayons gamma ont une énergie si élevée que la plupart des lunettes de protection ne sont d’aucune utilité. Fermer les yeux ne sert à rien, car les rayons traversent les paupières comme si elles n’existaient pas. Les photographes devraient regarder à travers des jumelles à double ou triple blindage, comme le type sur la plate-forme en forme de tour sur la photo ci-dessous. Au lieu de cela, nous sommes censés croire qu’ils se tiennent là, les yeux ouverts.

C’est la seule photo couleur de l’événement, qui aurait été prise par le physicien de l’environnement Jack Aeby. Elle est censée avoir été prise à f4. Puisqu’il était à 5h30 du matin, pourquoi n’a-t-il pas ouvert l’objectif à fond, à f2.8, par exemple? Il voulait être certain que la photo serait merdique? On dirait que l’objectif était à 1600 ISO, au lieu de 100, sinon pourquoi serait-il si granuleux? Sa vitesse d’obturation était de 100. Quoi, il n’avait jamais entendu parler d’un trépied? Et pourquoi fallait-il que le gouvernement américain obtienne sa seule photo couleur d’un amateur? Ils ne pouvaient pas se permettre d’engager des professionnels maîtrisant les films couleur et les trépieds? Allez, cette histoire est une foutaise évidente. Opération Arrête-Tes-Conneries.

On nous dit,

Le groupe de photographes a utilisé une cinquantaine d’appareils différents, pour prendre des photos et des vidéos. Des appareils Fastax spéciaux prenant 10.000 images par seconde enregistraient les moindres détails de l’explosion.

Si c’est le cas, alors pourquoi toutes les images de Trinity sont-elles du même genre merdique que celles que nous avons vues: granuleuses, floues, prises de loin et avec 7/8 d’ombre? Pourquoi la pathétique photo d’Aeby est-elle encore utilisée? Pourquoi les films sont-ils de cette qualité? C’est un film à 24 images par seconde, pas à 10.000. Ou de cette qualité? On nous dit ici que la caméra était capable de prendre 15 millions d’images par seconde. Si c’est le cas, pourquoi ces films sont-ils toujours aussi merdiques que des prises de vue en ballon remontées en laboratoire? Si ce dernier lien ne vous fait pas rire, c’est que vous n’avez vraiment pas compris la blague.

Rappelez-vous, nous avons eu droit au même genre de manipulation avec les alunissages qui ont suivi et l’assassinat de Kennedy. Pour l’alunissage, nous avons dû regarder des images granuleuses et fantomatiques de deuxième génération, filmées sur des moniteurs clignotants. Pour ce qui est de l’assassinat de Kennedy, nous avons dû étudier le film merdique de Zapruder, tourné avec un Zoomatic de Bell et Howell, bien que nous sachions maintenant que des cameramen professionnels se tenaient sur le trottoir pendant toute la durée de l’événement.

Pourquoi ces types filment-ils cette famille allongée sur le sol alors que Kennedy passe en voiture? Serait-ce là le retour de la Sainte Famille en train de jouer dans l’herbe, pour que les cameramen ignorent totalement le Président qui passe en voiture et se fait tirer dessus, etc.

Sur la page Lookout Mountain, on trouve ceci:

Ce n’est pas comme si les militaires manquaient de technologie. Ils n’avaient pas besoin de dépendre de cameramen amateurs placés à 80 km de distance. Si on vous présente ces photos pourries, c’est parce qu’elles permettent de dissimuler les choses. Ces photos ridicules à basse résolution sont plus difficiles à analyser, donc toute analyse est ainsi empêchée.

On rencontre d’autres problèmes quant à l’heure présumée du test Trinity. On nous dit qu’il était initialement prévu pour 4h du matin. Comme nous étions toujours à l’heure de guerre sous Roosevelt en juillet 1945, le lever du soleil au centre du Nouveau-Mexique le 16 juillet aurait eu lieu vers 6h07. Pourquoi programmer un test important au milieu de la nuit? Et si le test était prévu pour 4h du matin, pourquoi tous ces cameramen étaient-ils là? Ils n’auraient pu obtenir aucune image, hormis le flash initial. Mais la question est d’autant plus importante que l’on nous dit que la détonation a eu lieu à 5h29 du matin. Il reste donc 38 minutes avant le lever du soleil local. Il suffit de vérifier les tableaux. Alors comment ont-ils obtenu toutes les photos en lumière du jour ci-dessus?

Vous voulez me faire croire que tout ça a lieu 38 minutes avant le lever du soleil? Dis donc, la Lune de l’époque devait être vraiment brillante, avant que les astronautes n’y aillent pour la peindre en noir. Voyez les ombres spectaculaires que la Lune projetait à l’époque!

On me dira que 5h29 équivaut à l’aube, car il ne fait pas nuit noire jusqu’au lever officiel du soleil, bien sûr. Mais nous sommes censés être ici au moins 38 minutes avant le lever du soleil, et ce ne serait même pas légal de tirer un cerf à cette heure-là. Et si les yeux humains n’aiment pas la lumière du crépuscule, les caméras l’aiment encore moins. Avec aussi peu de lumière, il est impossible de photographier à 100 et f4, par exemple, comme Jack Aeby est censé l’avoir fait. De plus, ces appareils auraient dû être équipés de filtres, pour protéger la pellicule des radiations. Ce qui atténue encore plus la lumière, bien sûr. Donc aucune des histoires qu’on nous a vendues n’a le moindre sens.

On me dira que ces types sont éclairés par l’explosion, pas par le soleil, mais on voit que ce n’est pas vrai non plus. S’ils étaient éclairés par l’explosion, leurs ombres seraient juste derrière eux. Mais on voit que les ombres sont à gauche. De plus, la détonation a seulement « éclairé les montagnes pendant une ou deux secondes ». Là, on est quelques minutes plus tard.

La longueur des ombres prouve en fait que ce n’est pas pris au moment du lever du soleil, et encore moins avant le lever du soleil. Le soldat assis au milieu de la photo ci-dessus mesure environ ½ pouce sur mon écran. Son ombre fait 1,5 pouces, ce qui représente une multiplication par 3. Ce qui signifie que le soleil est à environ 18 degrés au-dessus de l’horizon. Cela indique une heure d’environ 8 heures du matin. Nous pourrions appeler cette opération « Ma-montre-s’est-arrêtée ».

William Laurence, l’espion du New York Times sur le terrain à Trinity, a écrit ceci sur l’événement:

Un grand cri remplit l’air. Les petits groupes qui jusqu’alors étaient restés enracinés dans la terre comme des plantes du désert se mirent à danser, au rythme de la danse de l’homme primitif lors de l’une de ses fêtes du feu à l’arrivée du printemps.

Ce grand cri aurait pu être celui de centaines d’idiots dont les yeux auraient été rendus définitivement aveugles par des rayons gamma et la fertilité de leurs testicules définitivement compromise. Comme par hasard, cela ne s’est pas produit.

Ce qui est également étrange, c’est que dans les films du pré-événement, on voit de nombreux écriteaux intimant aux soldats de ne rien révéler de ce qu’ils sont sur le point de voir. Pourquoi? Le test n’était pas secret. Comment aurait-il pu l’être? Il a été visible à des centaines de kilomètres, dans presque tout le Nouveau-Mexique. Il a été publié dans les journaux occidentaux le jour-même, et bien sûr, ils s’en sont vantés au bout de quelques semaines. Hiroshima a eu lieu seulement 21 jours plus tard, et la nature complète du test a été rendue publique à ce moment-là. Alors pourquoi tous ces panneaux d’avertissement aux soldats sur le terrain? Je pense qu’on leur a ordonné de garder le silence sur le trucage. Beaucoup savaient probablement ou avaient l’intuition que cette explosion n’était pas une explosion nucléaire, et c’est cela qui devait être gardé secret. Cela explique aussi pourquoi tous ces soldats ne voyaient aucun inconvénient à se promener à proximité de cette explosion sans vêtements de protection. Ils savaient qu’il n’était pas nécessaire de porter des vêtements de protection près d’une explosion conventionnelle. Une fois que l’on sait ce qui s’est réellement passé, les films de l’événement prennent tout leur sens.

Pour étayer l’histoire de Trinity, on nous dit que certaines retombées ont atteint l’Indiana et y ont détruit des pellicules Kodak. Il est intéressant de noter que des films ont été détruits en Indiana des semaines plus tard, mais que les appareils photo situés à quelques kilomètres de là n’ont pas été touchés. En d’autres termes, les retombées ont détruit les films à des milliers de kilomètres, mais les rayons gamma ont épargné tous les appareils photo locaux. Un vrai miracle. Rebaptisons cette opération « Gros-Tas-de-Conneries ».

Voici une histoire amusante que je tire directement de la page Wikipedia:

Je regardais droit devant moi, mon œil gauche ouvert recouvert d’un verre de soudeur et mon œil droit restant ouvert et découvert. Soudain, mon œil droit a été aveuglé par une lumière qui est apparue instantanément dans tous les sens sans montée en intensité. Mon œil gauche a pu voir la boule de feu se former comme une énorme bulle ou un champignon en forme de bouton. J’ai laissé tomber le verre de mon œil gauche presque immédiatement et j’ai regardé la lumière monter vers le haut. L’intensité de la lumière a baissé rapidement, ce qui n’a pas aveuglé mon œil gauche, mais elle était encore étonnamment brillante.

La chute rapide de l’intensité n’a rien à voir avec le phénomène. Soit vos yeux sont détruits dans les deux premières secondes, soit ils ne le sont pas. Mais demandez-vous si à part ça cette histoire a le moindre sens. Ce type emmène un verre de soudeur mais ne se couvre qu’un œil? A quel point sommes-nous censés croire à sa débilité? Il était avocat, pas soudeur, et s’il a pris la peine de trouver et d’apporter avec lui un verre de soudeur, pourquoi ne l’aurait-il utilisé que sur un seul œil? Si on est disposé à croire quoi que ce soit de cette histoire, on doit supposer que les scientifiques lui ont conseillé d’acheter ce verre et de l’utiliser. Donc, soit il l’a fait, soit il ne l’a pas fait. En aucun cas, il ne l’utiliserait sur un seul œil, car cela reviendrait à se porter candidat pour une dose de souffrance extrême et une cécité permanente. La seule façon de décoder cette histoire bidon est de comprendre qu’il veut rendre compte à la fois de la lumière intense et de la bulle. Il invente donc cette histoire à la noix qui lui permet de faire les deux, en voyant l’un d’un œil et l’autre de l’autre.

Je pourrais continuer indéfiniment à démonter ces essais nucléaires, mais je m’en lasse rapidement. Comme tout le reste, c’est vraiment trop facile et ça devient ennuyeux au bout de quelques pages. Je reviendrai peut-être sur le sujet plus tard, mais pour l’instant, il faut que je me consacre à autre chose.

*En fait, c’est le B-17 qui a été utilisé dans ces missions. Voir Opération Aphrodite. Certains lecteurs m’ont déjà écrit pour me dire qu’on pouvait faire décoller et atterrir ces avions par télécommande, mais si c’est le cas, pourquoi aurait-on utilisé des pilotes pour le décollage? Pourquoi Kennedy devait-il amener cet avion en altitude alors que cela pouvait se faire sans lui? Notez également qu’il est admis que l’opération Aphrodite a été un échec total, aucun avion n’ayant atteint sa cible.


Texte original

The Nuclear Hoax

by Miles Mathis

First published January 24, 2016

As usual, this is just my professional opinion, based on private research.

I have already written a shortish paper on the Bikini Atoll tests, showing photographic evidence they were faked. Some have misread my arguments there, thinking I was implying that only the Bikini tests were faked, while the Trinity and Japan events were real. On the contrary. I never meant to imply that. I mentioned the Trinity tests in that paper only to show that the Bikini and Trinity stories contradicted one another. The wind we are shown at Trinity apparently didn’t exist at Bikini.

At any rate, I thought my conclusion there made it clear I suspected all tests and events to have been faked. If that wasn’t clear, I will clarify it here. I suspect all tests and events were and are faked. If they had any real events to show us, they wouldn’t need to show us faked events.

What got me back into this topic was a chance return to the Wikipedia page for the Lookout Mountain Air Force Station in Laurel Canyon, which station played a prominent role in my exposé of the Tate/Manson event. If you remember, that was a small military station hidden away in the hills of Los Angeles, which was built in 1941 to create government films. It expanded in 1947, year one of the CIA. It produced thousands of propaganda films, and this is admitted. It was said to have been closed in 1968, but we now know that was a lie. Lookout Mountain is thanked in the credits to Return of the Jedi in 1983, so it must have still been open then. They want you to think it was closed in 1968, so that you can’t connect it to the Tate/Manson event in 1969. But the Wikipedia page has actually been rewritten in the past year to change the date of closing to 1968. When I was writing my Tate paper, I saved a copy of the Wiki page, and at that time the date of closing was listed as 1969, not 1968. So they have rewritten the Wiki page in response to my Tate paper. It is not the first time a Wiki page has been rewritten or scrubbed in response to my papers. The first instance happened many years ago, in response to my paper on tides on my science site. In that case, they permanently deleted their page on Tidal Theory, and completely rewrote the page on Tides, deleting all the math I critiqued in my paper—although it is mainstream math and can be found in many other books and websites.

Anyway, I would have expected the Lookout Mountain page to have been completely deleted, but curiously it has expanded. Most of that expansion is misdirection, as with the changing of the date of closing, but not all the misdirection is successful. Several photos have been added, including this one:

Operation Greenhouse was the nuclear test series from 1951 at Enewetak Atoll. Don’t you find it strange that this event is a motion picture with a script? I can understand recording the event, but scripting it? Why would you need to script a nuclear test? Remember, you normally script a fictional event, not a real one. Real events don’t need scripts. Once again, we see them placing prominent clues right in front of your nose. They should call this Operation Yeah Tell Me Another One, General.

If we go to the page for Enewetok, we find this photo:

That photo has the subtext:

Filters are being removed from a US Air Force Boeing B-17 drone after a flight through the radioactive cloud.

What? You can’t filter radioactive particles with some white sheet placed over the windows, or whatever is going on there. And if the plane is a drone, why use filters at all? The only reason to fly a drone through a radioactive cloud is to monitor the ion levels. But if you are monitoring ion levels, you don’t need a filter, do you? You would need a filter only if the plane were manned. I suspect the plane was manned. Why? Because I see it sitting there. According to other stories at the time, drones were used only for “suicide” missions, since they couldn’t be taken off or landed successfully. Pilots had to take them to altitude and then bail out, after which they could be flown by remote control. But since they couldn’t be landed by remote control, they had to be crashed somewhere on purpose. In other words, used as a missile against an enemy target. This is the story we get from the death of Joseph Kennedy, Jr., remember, who is said to have piloted one of these missile planes in WW2.* He and another pilot were to have taken the plane to altitude and then bailed. But the payload onboard exploded for some reason before they were able to bail, killing them both. I have shown that story is another hoax, but not because they could take off and land drones back then. It is a fiction because there is no way Kennedy would be chosen for that mission. It is also an obvious fiction because the plane was followed by a film crew. There would be no reason for a film crew to follow such a mission, unless they were there to film the explosion, as alleged proof of Kennedy’s death. But the part about these planes requiring pilots for take off and landing is true. The B-17 required precise eye and hand coordination in the cockpit for a successful landing.

The reason they are telling you this B-17 was a drone is so you don’t ask questions about that stupid filter. If they admitted the plane was manned, you might start to ask how radioactivity can be filtered in a cockpit like that. The short answer is, it can’t. Radioactivity is very small ions, like alphas and betas. Betas are high energy electrons. Electrons are tiny, and cannot be fltered by screens. Neither can photons. The cockpit would have to be completely shielded all around. Shielded, not filtered. But if it is shielded, it can’t be flown, since the shields would prevent all visibility. So the story fails both ways.

That is the next ridiculous photo we find. Here is the subtext:

Major General Leslie Groves and Robert Oppenheimer at the Trinity shot tower remains a few weeks later. The white overshoes were to prevent the trinitite fallout from sticking to the soles of their shoes.

I will give you a few moments to stop laughing. They are standing at ground zero a few weeks after the test, with no protective clothing except white canvas bags over their shoes. A 20kt bomb is supposed to have exploded just 100 ft above that point they are standing, and yet all we see is a little pile of dirt, not even scorched. Look at the ground. It is just cracked dirt. It should have been heated to extremely high temperatures and turned to magma or aerosoled. We are told they are wearing the medical booties to prevent trinitite from sticking to their shoes, but do you see any trinitite? Trinitite is supposed to be a kind of glass, created by taking the dirt and rocks to high temperatures. Do you see anything that resembles glass there? I don’t. It just looks like cracked clay, as in any normal desert. And does glass stick to your shoes? No. If you brought the desert floor to extremely high temperatures and then allowed it to cool very fast, it would be the opposite of sticky. It would be very hard and non-porous, again like glass.

We are told the desert sand was largely made of silica, but from the photo above, we can see that isn’t true. They are standing on cracked clay, not sand.

And why no hole? Remember, all the faked photos we see of these events include a giant column and mushroom. Where do you think the column and mushroom come from? We are led to believe they come from an uplift of sediment on the ground. Where else would they come from? Well, if you uplift a huge column of sediment on the ground and broadcast it into the sky, then there will have to be a huge blast crater or hole. Instead, we see just a miniscule pile of dirt here.

You will say, “Why expect a crater? Do you know what nuclear bombs detonated 100 ft. up do to the surface below them?” No, and neither do you. All we can ask for is consistency—which we aren’t getting with these stories. For example, in the Baker detonation at Bikini, which was only about 13% stronger than the Trinity blast, we are told it created a crater in the ocean foor 2000 ft. wide and 30 ft. deep. And that was with the ocean as a buffer. Baker was detonated halfway down to the sea foor, we are told. So there was 90 ft. of water between the explosion and the created crater. But Trinity was only 100 ft. off the desert foor, with nothing but air between. And yet we are told it left a crater 30 ft. wide and 5 ft. deep. Again, that’s 2000 ft. wide for Baker versus 30 ft. for Trinity. It looks to me like they just didn’t want to dig a big hole at the Trinity site, so they blew it off.

However, as we can see from the photo above, there isn’t a crater at all, not even one five feet deep. Oppenheimer and his pals are at the base of the shot tower, which was the tower on which the detonation took place. They are staring at one of the four legs, and the guys behind them are staring at another.

Do you see any crater between them? I don’t.

Finally, we are expected to believe these guys are just hanging out in a highly radioactive area with no protective clothing, at a time when there would still be fallout from the sky? I will be told the fallout ends after two weeks or something, and that the ground is also not radioactive after a few weeks. But that contradicts all the other stories we have been fed. Like this one: on the Bikini Atoll page, we saw the natives being taken back ten years after the last blast [in 1968], “based on scientifc advice that the radiation levels were suffciently reduced”. However, in 1982, a French team found that radiation levels were still not safe and the islanders were again removed. That’s 24 years after the last blast. And yet we see Oppenheimer himself standing at ground zero in a suit and tie just a few weeks after the Trinity test!

Here’s another picture of ground zero. That isn’t from some family’s vacation, that is a government photo from soon after the test. It is one of a few published on the Trinity page at Wikipedia. Not only does it not match the previous photo, but again, there is no hole, no scorching, no glass, no evidence of a 20kt explosion 100 ft above that. I have seen more damage at the beach caused by schoolchildren making sand castles. And who are these bozos? They look like a couple of bums. Is that the sort of photo you would expect to stand as proof of the Trinity test on a huge mainstream website 70 years after the fact? You would expect either a fleet of 5-star generals and other bigwigs, or a cadre of men in lead suits. You would not expect a couple of guys who appear to be looking for old tires. Again, the joke is so in-your-face you just have to laugh. We can all this one Operation Sure-It-Did.

Also remember that the Trinity test was said to have been on July 16, 1945. Hiroshima was August 6, 1945, three weeks later. Not only does that make no sense as a matter of testing, it makes no sense given the state of the war in July. The testing of important devices normally takes much longer than that. You don’t just test something once and then put it into use three weeks later. Even with something as relatively insignificant as new cosmetics, they test them over months or years on many subjects, and then wait to monitor after-effects. They don’t just rub the lotion on one guinea pig, go “Oh, he didn’t die immediately,” and put the lotion on the shelves the next week. So this rush to drop a bomb tested only once should look very suspicious to you. It should look even more suspicious given that Japan was already beaten. It is not like they were about to attack the mainland US and we had to blast them as protection. We had been blasting the Japanese mainland since early March, and they were not able to stop us. According to the mainstream story, Tokyo was firebombed March 9, killing 100,000 people. From March to July, we firebombed 66 other Japanese cities, causing another half million deaths. How many US cities did the Japanese bomb in that period? Less see. . . oh that’s right, zero.

We are told the bombs were dropped to prevent more loss of life on our side, but that is just more misdirection. The Japanese weren’t attacking us at that point. Why would they? Put yourself in their shoes. If your homeland is being bombed to pieces, you are going to pull back and put everything you have left on preventing more attacks at home. You aren’t going to send your forces out on offensive missions, you are going to keep them at home in a defensive posture. The only way we were going to lose men at that point was by flying them over Japan or sailing them near her. If we didn’t want to lose men, all we had to do was stay away. Whether or not the Emperor “unconditionally surrendered” is beside the point. The point is he wasn’t capable of doing us any harm, surrender or no surrender. He was beaten, and whether or not he said “Uncle” was meaningless. It was certainly no justification for continuing to bomb him.

In short, you can rest easier on this matter, because there is no chance we dropped any nuclear bombs on Japan. It simply didn’t happen. Japan knows that, Russia knows that, and the only ones who don’t know that are the citizens of the US, who have been propagandized into a state of mass idiocy. The whole nuclear scare wasn’t used mainly to keep the Russians at bay (since the Russians also never had any nukes). It was used mainly to keep US citizens in a state just short of panic for 70 years, and to keep military and Intelligence expenditures absurdly high.

In this same line, you should find it very curious that the bomb tested at Trinity was a plutonium device, like Fat Man allegedly used at Nagasaki. The bomb used first at Hiroshima was a uranium bomb, so it was never tested. Why would you choose to first drop the bomb you haven’t tested, instead of the bomb you have tested? It makes no sense. This also makes no sense:

After the war ended, it was not expected that the inefficient Little Boy design would ever again be required, and many plans and diagrams were destroyed.

What? Do you know how much the Manhattan project cost? Around 25 billion dollars. Does it make any sense that they would spend billions to build a successful nuclear device and then destroy the plans and diagrams? Actually, this story reminds me of the story they told a few years ago, when some retired NASA investigators were looking for the original NASA footage of the Moon landing. They were told that NASA had lost it. As it turns out, NASA had actually erased and reused the tapes in the 1980s. I am not joking. To explain it, we are told NASA was facing a major tape shortage at the time. Oh, well, I guess that makes it OK. We only spent around 100 billion on the Apollo project, so who expects to have any permanent record of it? Word of mouth is good enough. Besides, they probably needed the tape space to record Battlestar Galatica episodes.

But there is more. Concerning the failure to test the first nuclear device allegedly used in war, we are told:

There were several reasons for not testing a Little Boy type of device. Primarily, there was little uranium-235 as compared with the relatively large amount of plutonium which, it was expected, could be produced by the Hanford Site reactors.[14] Additionally, the weapon design was simple enough that it was only deemed necessary to do laboratory tests with the gun-type assembly. Unlike the implosion design, which required sophisticated coordination of shaped explosive charges, the gun-type design was considered almost certain to work.

The things they expect you to swallow! Please read the last two sentences closely, since the second contradicts the first. In the first sentence, the weapon design is simple, and the only thing that needs to be tested is the gun-type assembly. In the second sentence, notice that this reverses: the gun-type assembly is certain to work, so it is implied it doesn’t need to be tested. But the implosion design is now sophisticated. Your brain is being stirred! In truth, neither statement is to the point. This weapon was alleged to be a first of its kind, as we know. It was alleged to be the first nuclear explosion invented and the first to be used. It cost huge amounts of money and allegedly required the coordination of the top physicists in the West, including several stolen from Germany. So how could the weapon design be simple? It didn’t just require “coordination of explosive charges”, it required the first chain-reaction fission explosion, which up to then was just theoretical. The idea that this would never be tested in the field is ludicrous.

Plus, if these things didn’t need to be tested before the first use in war, why did the later bombs need to be tested by the hundreds, blowing the shit out of large parts of the world? As usual, there is no coherence in the story being told us.

Then there is the big difference between the Gadget and Fat Man. The Gadget is what was exploded at Trinity. Fat Man exploded at Nagasaki 24 days later.

Amazing, isn’t it, that they could refine their tech that much in just three weeks? I will be told that second picture is just the bombshell, but since the diameter of it is only 60 inches, the Gadget we see in the first picture wouldn’t fit inside it. The gadget inside Fat Man would have to be smaller and simpler, while supplying the same output. Well, that begs the question: if Fat Man was already built and was smaller and simpler, why was the Gadget so large and complex? They were built at the same time. Although we are told they had been working on this for years, in truth they had been working on it for only one year. The first enriched uranium didn’t arrive at Los Alamos until June of 1944. You can’t work on a uranium bomb without any uranium. Plus, all this contradicts what we are told on the Trinity page about the building of Jumbo. Jumbo was the container built in case the Trinity Gadget failed to detonate properly, so that the plutonium could be saved. They didn’t have enough for a second test, you see. So how did they have enough for the Fat Man?

I will be told that by July they did have enough for a second detonation. But here is what it says at Wikipedia concerning that:

By the time it [Jumbo] arrived, the reactors at Hanford produced plutonium in quantity, and Oppenheimer was confident that there would be enough for a second test.

This is the explanation for why Jumbo wasn’t used at Trinity. But this indicates that at the time of the Trinity test, they weren’t sure whether the new plutonium would be used in a second test, or in a bomb headed for Japan. They also weren’t sure the amount of plutonium was sufficient. Oppenheimer having to say he was confident indicates there was a big question mark there. Regardless, this certainly indicates that Fat Man had not been filled at that time. Are we to assume it had been already been built empty, just in case the Trinity test was successful and Truman ordered an immediate delivery to Japan? Even if they had enough plutonium from Hanford to fill Fat Man, they would have to ship the plutonium in, fill the Fat Man, calibrate it, load it, and so on, in less than three weeks. In fact, we are told they did it in about nine days, since Fat Man left Kirtland on July 26. It strains belief that all this would be so rushed, since 1) it makes no sense to rush work on such a device—it should be extremely dangerous to rush work on such an important device, 2) there was no rush. Japan had already been defeated and there was no reason to bomb them at all, much less to bomb them with the first nuclear devices.

As more evidence in this direction, you may not know that before the Trinity test was run, a “rehearsal” was run two months earlier. In this rehearsal, 108 long tons of high explosive were detonated in the same place. Curiously, this conventional explosion was spiked with radioactive isotopes and gamma producers, and they admit that.

That is the conventional stack of explosives. You may want to ask yourself how a conventional explosion is a “rehearsal” for a nuclear explosion. Since nuclear explosions are sold to us as completely different in kind from conventional explosions, the latter cannot be a rehearsal for the former. Do you rehearse a mile swim by running a mile? No. You cannot learn anything about a nuclear explosion by running another conventional explosion. The only way to rehearse a large nuclear explosion is by running a smaller nuclear explosion.

The spiking with radioactive isotopes is another obvious clue, since they are trying to make the conventional explosion look like a nuclear one. But who would they be fooling with that? They can’t fool themselves, because they are the ones who spiked the punch. They can only be fooling you.

Compare it to the way they now run drills for the newer faked events. Remember how there were all sorts of drills occurring on 911, simultaneous with the actual event? Same thing with the 7/7 events in London, where identical drills were happening on the same day. Same thing with Sandy Hook and most of the other “tragedies” you have been sold recently. There are always “rehearsals” just before or during the events themselves. We see the same thing with the Trinity test, which has this strange rehearsal two months earlier, with a conventional blast made to look like a nuclear blast. Why? Well, when you see pictures of the Trinity test, do you have any way to know whether they are from the event in July or the event in May? No. They are not time-stamped, are they? Do you know the difference between a nuclear blast and a large conventional blast, on sight? No. No one does, because there is no such thing as a nuclear blast. There are large conventional blasts and then there are faked nuclear blasts, pasted up in photo labs or faked in large flm studios like Lookout Mountain.

They admit the plume from the rehearsal blast was visible 60 miles away, and Major Shields said it looked “beautiful”. Why no photos of it? Why can’t we compare the two? Well, one reason is that they ran this rehearsal at night, at 4:37am. Why would they do that? Why would you want to be fumbling around with this stuff in the dark, out in the middle of the desert? See more below.

[Added later: I just tripped over the number 108 above. Why 108 long tons, rather than 100, 109, 110, or any other number? Because this number is another numerology marker. It has come up in several of my papers, both on my science site and on my art site. In accelerators, the proton has a mass increase limit of 108 times. I am the first to have shown why. When I discovered that, my partner at the time—who was studying Eastern religions—said to me “Oh, that is weird. That number is very important in Hinduism”. Shiva has 108 names. There are 108 Mukhya Shivaganas. Buddhist rosaries have 108 beads. The number is also important in Judaism, which may be more to the point here. The number 18 is associated with Chai, and 108 is a low multiple of that, being 6 x 18. 108 is also important in the martial arts. It is a tetranacci number. It is the hyperfactiorial of 3. Since Oppenheimer was Jewish and involved in studying or at least quoting Eastern religions, I take it that the number 108 was not an accident. Right after the alleged blast, he quoted from the Bhagavad Gita:

If the radiance of a thousand suns were to burst at once into the sky, that would be like the splendor of the mighty one.

The number 108 is also aces and eights, dead man’s hand. It is also Chai.]

Here is another paste-up:

That is from the Enewetok blast, during Operation Sandstone. But it is an obvious fake, since it has lines all over it. Look at the long vertical line in the lower half, to your right. Even worse is that the refection in the water isn’t in the right place. See how the reflection is leaning to your left? That is impossible, unless the ocean itself is tilted. The reflection should be directly between the image and the photographer. In other words, the two bright spots should line up vertically. Another problem is that they once again failed to fake a surge in the sea. I showed you this problem in my analysis of the Bikini photos. There should be a big circular tidal wave around the explosion, but there isn’t. We see a lot of water moving up, but no water moving out. You will say there seems to be a partial surge, but that isn’t a surge, that is the atoll itself.

Another problem is again those little clouds hanging around, not responding to the blast at all. You will say the blast is limited at that point to the mushroom cloud, but that isn’t true. The explosion would travel quite fast through the air, much faster than the water spout could form. By the time the water spout formed to that extent, the shockwave in the air should have reached those nearest clouds and blown them away or at least stretched them, so they pointed at the event.

We also get this from the mainstream account:

Observers watching from ships in the lagoon saw a brilliant flash and felt the radiant heat.

If they felt the radiant heat, they also got a dose of radiation, since the two would travel together. We aren’t shown what these observers were wearing, but in the Bikini publicity photos, one of the sailors was shirtless. The things they expect you to believe!

And what lagoon are they talking about? In the same atoll? Surely not. We are told the sound took 45 seconds to reach them, so they were about 15 km away, or 9 miles. Since the atoll is about 15 miles in diameter, they were in a lagoon in the same atoll! So go back to the explosion picture, above. The observers were inside that circle.

At the Trinity test, the soldiers were even closer, watching from only six miles away. We know those soldiers were unprotected, since we have seen the photos. They are in fatigues. If either of these blasts had been real, that would have been a very bad idea. And they should have learned their lesson from Trinity in 1945, not repeating it at Enewetok in 1948.

That’s the Trinity photo again. So many things wrong there. To start with, the explosion is pretty pathetic compared the way they faked the later ones. Trinity was about 20kt, while Able and Baker in the Bikini Atoll were only slightly bigger at 23kt. And yet Baker is faked to look like this.

What a difference 3 kt makes, eh?

But there are even bigger problems with that photo from Trinity. Look closely at the soldiers. Why are the nearest soldiers in black shadow, while the ones just in front of them are shadowed in light gray? It makes no sense. The sun doesn’t cast a selective shadow. It is either black or gray, but not both. It’s a poor paste-up, to make it look like a lot of soldiers are there when they aren’t.

We have a similar problem here, since this photo is an obvious fake. Not only are these bozos much much closer to the blast, still with no protective clothing or even goggles, but again the shadows make no sense. The blast is brightly lit from the right, but the foreground characters are only dimly lit from the right. Besides, these are supposed to be professional photographers. They would have wanted the best picture of the blast, which would have been with the sun behind them, not to their right. They would have known that the sun rises in the east, and would not have positioned themselves to the south. The middle ground in the photo also makes no sense, indicating what we have here is only a studio foreground and a fake background.

I want to pause on what I said about goggles for a moment, since I haven’t stressed it before. If these events had been real, they would have emitted a dose of gamma rays, which are a terror on the eyes. And distance makes less of a difference with gamma rays than with other particles, since gamma rays are photons. They travel the speed of light, c, which means they would travel the distance to these stupid photographers in about .00001 second. In that time, they would lose no energy, so standing back a few miles doesn’t help. Gamma rays have such a high energy that most goggles wouldn’t help. Closing your eyes wouldn’t help, since the rays would go right through your eyelids like they weren’t there. The photographers should be looking through double and triple shielded binoculars, like the guy on the turreted rig in the photo below. Instead, we are supposed to believe they are just standing there with their eyes open.

That’s the only color photo of the event, said to have been taken by environmental physicist Jack Aeby. It is supposed to have been taken at f4. Since this was at 5:30 in morning, why didn’t he open the lens up all the way, to f2.8, say? He wanted to be sure the shot was garbage? It looks like the film was ISO 1600, instead of 100, since why else would it be so grainy? His shutter speed was 100. What, he had never heard of a tripod? And why did the US government have to get its only color photo from an amateur? They couldn’t afford to hire any professionals who knew how to use color film and tripods? C’mon, this story is such obvious bullshit. Operation Get-Outta-My-Face.

We are told,

The photography group employed some fifty different cameras, taking motion and still photographs. Special Fastax cameras taking 10,000 frames per second would record the minute details of the explosion.

If so, then why are all the images from Trinity the sort of garbage we have seen: grainy, blurry, shot from a distance, and in 7/8 shadow? Why is Aeby’s pathetic photo still trotted out? Why are the films of this quality? That film is 24 frames per second, not 10,000. Or this quality? There we are told the camera was capable of 15 million pictures per second. If so, why are the films still crap, looking like balloon sequences pieced together in a lab? If that last link doesn’t make you laugh, you really aren’t getting the joke.

Remember, we saw precisely this same sort of misdirection with the later Moon landings and the Kennedy assassination. With the Moon landing, we had to watch grainy, ghosted second-generation images, filmed from flickering monitors. With the Kennedy assassination, we had to study Zapruder’s shite film shot with a Bell and Howell Zoomatic, although we now know professional cameramen were standing curbside during all the action.

Why are those guys flming this family on the ground as Kennedy drives by? Is that the second coming of the Holy Family playing in the grass, that the cameramen should utterly ignore the President driving by and being shot, etc.?

At the Lookout Mountain page, we find this:

So it is not like the military didn’t have any tech. They didn’t need to be relying on amateur cameramen positioned 50 miles away. They feed you these garbage photos because it helps them hide. These ridiculous low resolution photos are harder to analyze, so they prevent analysis.

We find more problems with the alleged time of the Trinity test. We are told it was originally scheduled for 4 MWT. Since we were still on Roosevelt’s war time in July, 1945, sunrise in central New Mexico on July 16 would have been at about 6:07am. Why would you schedule an important test in the middle of the night? And if the test was scheduled for 4am, why were all these cameramen there? They couldn’t have gotten any images, beyond the initial fash. But this is even more important, since we are told the detonation went off at 5:29 MWT. That’s is still 38 minutes before local sunrise. Just check the charts. So how did they get all the daylight images above?

Are you telling me that is 38 minutes before sunrise? Wow, the Moon must have been really bright back then, before the astronauts landed and painted it black. Look at those amazing shadows the Moon used to cast in the old days!

I will be told 5:29 would be twilight, since it isn’t fully dark right up until official sunrise, of course. But we are supposed to be a full 38 minutes before sunrise here, and it wouldn’t even be legal to shoot a deer then. And if human eyes don’t like twilight, cameras like it even less. With that little light, there is no way you could shoot at 100 and f4, for instance, as Jack Aeby was said to have done. Plus, these cameras should have had filters on them, to protect the film from radiation. That dims the light even more, of course. So none of the story we have been sold makes any sense.

I will be told these guys are being lit by the explosion, not by the sun, but we can see that isn’t true, either. If they were lit by the explosion, their shadows would be right behind them. But we can see the shadows are to the left. Plus, the detonation only “lit the mountains for one or two seconds”. This is minutes after that.

The length of the shadows actually proves this is not at sunrise, much less before sunrise. The seated soldier in the middle of the photo above is about ½ inch tall on my screen. His shadow is 1.5”, giving us an increase of 3 times. Which means the sun is about 18 degrees above the horizon. That indicates a time of about 8am. We can call this Operation My Watch Has Stopped.

William Laurence, the New York Times‘ spook on the ground at Trinity, wrote of the event this way:

A loud cry filled the air. The little groups that hitherto had stood rooted to the earth like desert plants broke into dance, the rhythm of primitive man dancing at one of his fire festivals at the coming of Spring.

That loud cry should have been the cry of hundreds of idiots having their eyes blasted into permanent blindness by gamma rays and the fertility in their testicles permanently blighted. Conveniently, that didn’t happen.

Also strange is that in the movies of the pre-event, we see many signs telling the soldiers to keep quiet about what they are about to see. Why? The test was not a secret. How could it be? It could be seen for hundreds of miles, over most of New Mexico. It was in the newspapers in the west later the same day, and of course they were bragging about it within a matter of weeks. Hiroshima was only 21 days later, and the full nature of the test was made public at that time. So why all the warning signs to the soldiers on the ground? I suggest they were being ordered to keep quiet about the fake. Many probably knew or intuited this explosion wasn’t a nuclear explosion, and that is what needed to be kept secret. This also explains why all these soldiers had no problem hanging out near the event with no protective clothing. They knew you didn’t need protective clothing around a conventional blast. Once you know what was really going on, the films from the event begin to make sense.

As back-up for the Trinity story, we are told some fallout reached as far away as Indiana, ruining Kodak film there. Interesting that film was ruined in Indiana weeks later, but cameras only a few miles away were unaffected. In other words, fallout ruined film thousands of miles away, but gamma rays spared all the local cameras. A miracle really. Let’s call it Operation Horse Hockey.

Here’s a funny story that I take straight from the Wikipedia page:

I was staring straight ahead with my open left eye covered by a welder’s glass and my right eye remaining open and uncovered. Suddenly, my right eye was blinded by a light which appeared instantaneously all about without any build up of intensity. My left eye could see the ball of fire start up like a tremendous bubble or nob-like mushroom. I dropped the glass from my left eye almost immediately and watched the light climb upward. The light intensity fell rapidly hence did not blind my left eye but it was still amazingly bright.

The intensity falling rapidly would have nothing to do with it. Your eyes would either be destroyed in the first two seconds or they wouldn’t. But just ask yourself if the story makes any sense beyond that. This guy takes a welder’s glass but only covers one eye? How stupid are we supposed to think he is? He was a lawyer, not a welder, so if he took the trouble to find and bring with him the welder’s glass, why would he use it on only one eye? If we are prone to believe anything about this story, we must assume he was advised by the scientists to buy the glass and use it. So he either would do that or would not. In no case would he use it on one eye only, since that would just be asking for a dose of extreme pain and permanent blindness. The only way to decode this fake story is to see that he wants to give you accounts of both the intense light and the bubble. He therefore makes up an asinine story that will allow him to do both, seeing one with one eye and one with the other.

I could go on indefinitely exposing these nuclear tests, but I am quickly tiring of it. Like the rest, it is really too easy and gets boring after a few pages. I may come back to the subject later, but for now I need to switch to something else.

*In fact, it was the B-17 that was used in these missions. See Operation Aphrodite. Some readers have already written in to tell me these planes could be taken off and landed by remote control, but if so, why would pilots have been used for take-off? Why have Kennedy fly this plane to altitude when it could be done without him? Also notice that it is admitted Operation Aphrodite was completely unsuccessful, with no planes hitting their targets.

Non-essentiels.

[revu et augmenté le 17/08]

Préambule

Je vais écrire sur l’ajustement structurel et sur le retour sur investissement.

Je n’y connais rien, bien sûr. Je ne suis pas un expert, je suis ouvrier. Quoique pour avoir autrefois travaillé sur des projets internationaux j’en sais quand même assez sur l’ajustement structurel pour en être dégoûté.

Contrairement à un mythe qu’il faudrait dissiper, ces domaines ne nécessitent pas de grande expertise. Une fois leur logique comprise, on saisit vite quand un de leurs experts nous mène en bateau. Comme l’expliquait Miles dans l’article juste avant, un peu d’entraînement suffit pour développer un mal de mer salutaire. On réalise vite que c’est en presque en permanence qu’on se paie notre tête.

Quand on vous montre un artefact en métal de l’Egypte ancienne – alors qu’ils ne connaissaient pas la métallurgie – et qu’on vous explique que c’est fabriqué avec des métaux trouvés dans des météorites, un brin de curiosité vous ménera aux écrits d’Anatoly Fomenko – ou sur l’excellent site de Cédric-Michel Leclerc – qui ont fait le boulot, donnent leur méthodologie et le fruit de leur recherche: l’Egypte ancienne n’a jamais existé. Pourtant, il y a des égyptologues. Ce sont des experts.

Quand je repère des trous de forage modernes dans des colonnes ou des blocs à tailler sur des photos de ruines de la Grèce antique, imaginez ma surprise. Un peu de recherche suffit à découvrir que la Grèce antique n’a jamais existé non plus. Pourtant il y a des hélennistes. Ce sont des experts. Il y a également des experts en armes atomiques, ce qui devrait vous faire doucement rigoler après que vous aurez lu l’article suivant.

Des experts, vous avez vu défiler depuis deux ans et demi sur les plateaux de télévision – si vous détenez chez vous ce genre d’arme de destruction massive. Vous aurez eu l’occasion de déterminer si oui ou non on vous prend pour des pommes. Aujourd’hui, place aux experts en géostratégie, qui vont eux aussi vous mener en bateau pour vous vendre le conflit Chine/USA et/ou Russie/Europe. Prévoyez un sac en papier.

En y consacrant assez de temps, on acquiert une certaine expertise en matière de complots. Mais je le répète, méfiez-vous des experts. Prenez un peu de temps pour faire le boulot vous-mêmes – mais pas trop de temps. Investissez aussi dans l’observation de la Nature. Ça ouvre l’esprit, ça permet éventuellement de manger sainement, moyennant un peu d’effort, et ça peut même vous aider à comprendre le sens de la vie et la place de l’Homme sur Terre.

C’est ce qu’on est en train de vous confisquer.

Deux ans de blog

Pour les nouveaux qui voudraient lire mes précédents écrits (ou les anciens qui voudraient les relire) et ne se sentent pas de les rechercher dans deux cent nonante neuf titres, il y a ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci et surtout ceci et ceci et ce témoignage.

Ceci est donc le trois-centième. J’y reviens sur des sujets j’ai relayés ou traités jusqu’à présent et je relie les points. Je n’interviendrai plus désormais sur l’actualité que ponctuellement. L’objectif de l’actualité est de verrouiller l’esprit sur des arcs de pensée très courts et de faire écran, c’est le cas de le dire, à toute perspective historique. Un autre problème est qu’elle est le plus souvent fabriquée: soit un narratif frauduleux qui s’appuie sur des événements tangibles – le Covid en est un cas d’école – soit des événements purement fictifs élaborés dans tel ou tel think tank ou officine du Renseignement. J’ai déjà consacré pas mal de temps à traiter l’actualité au détriment d’articles de fond que je reporte sans cesse. Celui-ci en est un.

Je m’acharnerai aussi moins à publier des articles qui me prennent plus de temps à rédiger ou à traduire (quatre heures en moyenne) qu’il en faut à l’ensemble de mes lecteurs pour les lire. Quelqu’un m’a dit qu’il trouvait dommage que ce blog ne reçoive pas davantage de visites, ce à quoi je lui ai répondu que s’il attirait plus de monde, ça impliquerait que je n’aurais jamais eu besoin de le créer au départ. Le bon peuple qui vit dans l’insouciance ne se met à consommer des informations « alternatives » que dans l’urgence – pour souvent tomber dans le panneau des figures de proue de la « résistance ».

J’ai déjà souvent exposé l’opposition contrôlée, celle payée par le Renseignement pour ce travail. On trouve aussi un grand nombre d’idiots utiles (généralement plus idiots qu’utiles), qui n’ont eux pas besoin d’être contrôlés. Les uns comme les autres se focalisent sur les éternels suspects, de Gates à Soros, sans aller beaucoup plus loin. Leur point commun est de s’adresser au « comment » et au « qui », pas tellement au « pourquoi » – que nous aborderons en fin d’article. Leurs superhéros sont des « media darlings« , qui font partie de l’opération: des cartes joker du Renseignement comme Julian Assange, Edward Snowden et consorts, des personnages politiques sous contrôle, comme Donald Trump, Thierry Baudet et un paquet d’autres, des « patriotes » de droite sélectionnés pour leur innocuité et des gauchistes professionnels recyclés en défenseurs de la liberté. Leur discours s’articule autour des notions de liberté, de crime contre l’humanité, de génocide et d’eugénisme. Certains accusent la Chine (Naomi Wolf), d’autres la défendent (Matthew Ehret), ce qui fournit deux versions du même narratif simpliste, bâti sur la vision binaire du grand public, qui n’a pas conscience qu’il existe un monde au-dessus de leur monde, et qu’il n’y a qu’une élite aux commandes de tout le reste.

Pour maintenir le status quo, la communication est confiée à des animateurs-vedettes du Net surgis de nulle part – aux Etats-Unis des Alex Jones ou des Stew Peters et leurs équipages de faux enquêteurs – qui contrôlent les révélations, leur timing, chaperonnent les quelques professionnels sérieux trop visibles, les discréditent par association à des fantaisistes et enfin polluent l’information par des annonces exotiques ou apocalyptiques en tout genre. Leur incessante complainte est la censure de l’information sur les media mainstream, ce qui est un leurre. Internet est aujourd’hui le media mainstream, ils en sont les stars et leurs vidéos font des millions de vues. La télévision, comme la médecine, a déjà été sacrifiée dans le cadre de l’opération et n’attire plus que des hallucinés qui n’ont aucun poids dans les événements, si ce n’est celui de poids mort. Certains réseaux sociaux font tièdement semblant de censurer mais, pour rappel, Facebook, Twitter et consorts ne sont pas Internet. Au mieux, ils sont des outils d’abrutissement et de surveillance destinés à quart-mondiser la toile, ce qu’ils ont brillamment réussi. L’Internet, la plus grande invention depuis l’aspirateur sans sac, pouvait potentiellement engendrer un gigantesque bond en avant de la connaissance humaine. On attend toujours.

Covid

Les articles sur le Covid et sa version injectable commencent à fatiguer tout le monde – moi le premier. Franchement, à moins que vous débarquiez, passez directement au titre suivant. C’est du rabâché, ressassé, rebattu. J’en ai publié au moins deux cent sur le sujet. Aucune surprise dès lors qu’on a compris le principe, qui va du contrôle à la « dépopulation ». Je fais donc cette courte synthèse, non-exhaustive, basée sur cette interview du Dr Richard Fleming et de son résumé par Joel Smalley, auquel j’ajoute quelques points à partir du n°8.

  1. Le SARS-CoV-2 est une arme biologique fabriquée en laboratoire, financée par le gouvernement américain, qui résulte d’une recherche de gain de fonction sur la protéine de pointe, la rendant plus infectieuse.
  2. Les traitements sûrs et efficaces contre le virus ont été bloqués par les organismes de réglementation sanitaire américains.
  3. La mise en quarantaine des personnes en bonne santé est totalement inefficace.
  4. Les « vaccins » ARNm/ARN produits par Pfizer, Moderna et Janssen sont des armes biologiques qui délivrent la même protéine de pointe toxique que le virus, mais à des charges jusqu’à 5 millions de fois supérieures.
  5. Les vaccinés sont responsables de la sélection par pression des variants (alpha, delta, omicron, etc.), prolongeant ainsi l’épidémie.
  6. Le « vaccin » perturbe le système immunitaire naturel, rendant les vaccinés plus sensibles aux infections et aux maladies. [NdT. dont la flambée de cancers fulgurants observée actuellement]
  7. Le « vaccin » par lui-même endommage les globules rouges et provoque une hyperinflammation et une coagulation qui entraînent la maladie et la mort.
  8. Les « vaccins » déployés ont été déclinés en de nombreuses versions différentes en termes de dosage et de nanotechnologie embarquée.
  9. Les particules nanolipidiques qu’ils contiennent ont également un rôle pathogène.
  10. Outre leurs effets « secondaires », les injections ont comme conséquence de réduire la réponse immunitaire à la protéine de pointe (d’où les formes « moins graves »), qui se multiplie sans limite et fait potentiellement des injectés des super-épandeurs tandis que leurs organes sont attaqués par leur charge de protéine de pointe.
  11. Tous les organes sont touchés mais les dommages au système reproducteur se reflètent dans la chute spectaculaire de la natalité, apparemment temporaire, dans les pays injectés.
  12. Les nombreuses pathologies précitées sont déjà en hausse et attribuées à des causes surréalistes (réchauffement climatique, etc).
  13. Le SARS-CoV-2 et les injections font partie d’une opération militaire, que l’on peut qualifier, en se basant sur ses conséquences, de Guerre Mondiale de cinquième génération – une forme élaborée de « black op« .
  14. Cette guerre n’est manifestement pas le fait d’un pays en particulier mais d’un réseau supranational qui contrôle les gouvernements acteurs du projet et leurs services de Renseignement.
  15. Elle s’adresse en priorité aux économies industrielles ou post-industrielles du Premier Monde, grands consommateurs d’énergie et de matières premières, dont elles dépendent entièrement pour leur survie.
  16. A ce titre, elle fait partie d’un projet de contrôle sociétal, partiellement articulé dans diverses officines du pouvoir mondialiste – de l’Agenda 2030 de l’ONU au Grand Reset du Forum Economique Mondial – et implémenté sous forme « sanitaire » par l’OMS.
  17. La même offensive continue sous forme de nouvelles « crises » organisées destinées à accélérer la faillite du système actuel: conflit en Ukraine, destruction des économies nationales, de l’industrie agro-alimentaire, des réseaux d’approvisionnement et du réseau énergie, et vraisemblablement d’autres à venir.
  18. Les instigateurs et les exécutants de ce projet ont organisé depuis des décennies le cadre législatif pour ne jamais être tenus responsables de leurs actes dans le cadre de ce type d’opération, dont la liste est longue.

Tout ça est très instructif mais il y manque le point le plus important: l’immense majorité de ceux qui se sont fait injecter l’ont fait volontairement.

Energie

L’énergie est la mesure mathématique de l’existence humaine et de l’ensemble de la société. Nous sommes de l’énergie sous forme physique, le Soleil, la Terre et tout le système solaire est connecté comme système d’échange d’énergie émetteur/capaciteur, le premier canalisant la charge cosmique vers le second, et ainsi de suite. Pour les plus curieux, le Thunderbolt Project a ébauché la description de ce mécanisme, que Miles Mathis a continué à brillament théoriser et démontrer dans ses travaux sur la charge. C’est de la vraie science, pour une fois.

Tout comme les mitochondries touchées par le Sars-Cov-2, la société humaine commence à montrer des symptômes d’affaiblissement assez inquiétants. Elle plafonne depuis au moins trente ans tout en continuant à consommer la même quantité d’énergie, qui se dissipe aussitôt sans générer d’évolution ni d’effet sur son organisation interne. De plus, l’apport d’énergie qui alimente le système risque à moyen terme de diminuer ou de se tarir. Cette société atteint donc son point d’entropie, à partir duquel tout tend vers le chaos et la désintégration.

Côté agriculture, l’urbanisation indispensable à la révolution industrielle d’une part, et l’extermination de la classe paysanne lors de la Première Guerre mondiale d’autre part, ont justifié et consolidé la mise en place du modèle agricole de monoculture et celle de son complément, l’élevage intensif. La destruction écologique sans précédent qu’elle engendre par son usage intensif de pesticides et par l’épuisement des sols causé par les engrais chimiques garantissaient son échec dans le long terme. Du point de vue économique, l’agriculture industrielle n’est plus aujourd’hui que le maillon pauvre d’un coûteux réseau d’intermédiaires industriels (transformation) et commerciaux (distribution), et de financiers qui la phagocytent par le biais d’un marché truqué et tuent sa rentabilité. Elle n’est donc plus viable dans sa forme actuelle et, comme dans le secteur de l’énergie, aucune transition réaliste à l’horizon.

Dans le secteur bancaire, les banques commerciales européennes sont en situation de faillite effective depuis 2008, camouflée par des jeux d’écritures totalement illégaux, qui ne peuvent durer encore longtemps. La seule transition prévue est la monnaie digitale des banques centrales, qui n’est pas un système monétaire mais une ligne de crédit auprés de multinationales, dont la vertu annoncée sera l’égalitarisme et l’effacement de la dette, et l’effet concret de court-circuiter le dernier vestige du contrôle étatique de la monnaie et de l’inflation. En clair, la Banque supprime ouvertement un intermédiaire qui n’était déjà plus que symbolique. Au niveau individuel, la dernière liberté accordée au citoyen de choisir son mode de consommation disparaîtra dès lors que son crédit carbone, social, « vert », son statut vaccinal et d’autres critères liés à son portefeuille numérique seront jugés par des entités supranationales.

Les créateurs de ce système connaissaient dès le début sa forte entropie. Après l’avoir ponctionné sous toutes les formes possibles par des outils de manipulation monétaire, financière, sociale, comportementalistes, etc., ils ont aujourd’hui décidé d’accélérer sa destruction et ainsi rester maîtres de son remplacement par le suivant, le « technocratique ».

L’ancien Monde doit disparaître. Pour ce faire, rien de mieux qu’une catastrophe.

La catastrophe

[Pour s’instruire en s’amusant, Raymond Devos parlait en 1979 assez bien de la catastrophe.]

Chaque fois que la doctrine, qu’elle soit « communiste », « capitaliste », « libérale », s’empare de la gestion de la société, elle aménage la machine étatique pour atteindre le niveau de corruption visé que permet l’excès ou le manque de contrôle (régulation/dérégulation), et la catastrophe n’est ensuite plus qu’une question de temps. On peut se rappeler les bienfaits de l’étatisme communiste dans l’Ukraine de 1932-1933 (souvenir collectif sur lequel capitalise l’OTAN dans ses manoeuvres anti-Russes), maintenant que les Etats prétendent proposer des solutions à la sur-industrialisation du secteur agricole, mesures qui auront le même genre d’effet – voir notamment le pur délire qu’on tente de mettre en place aux Pays-Bas et ce qui vient de se produire au Sri Lanka. Si ce dernier pays se retrouve dans une merde noire, c’est pour s’être laissé entraîner dans une course à la conformité au cahier des charges de l’ESG – les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance – qui seront le clou final dans le cercueil de l’industrie et de l’agriculture.

En réalité, l’ESG est le faux nez du problème du rétrécissement du marché de l’énergie, qu’une partie de la « résistance » – les anti-Mathusiens – s’obstine à traiter comme temporaire. Leur discours récurrent est que, quelle que soit la croissance démographique, la créativité et le génie humains trouveront toujours les ressources technologiques et scientifiques nécessaires à assurer la survie et le bien-être de la masse. A ce titre, ils se battent sur le même terrain que les gens qu’ils dénoncent, c’est-à-dire en plaçant les solutions au niveau du système. C’est de la pure doctrine, pas meilleure que les promesses du communisme. Un modèle qui prétend ne pas avoir de limites quant au nombre d’êtres humains qu’il peut gérer est une utopie aussi dangereuse que l’eugénisme auquel il est censé représenter une alternative.

Comme dans l’adage du poisson, l’être humain ne doit pas être géré mais éduqué. Le problème n’est donc pas le nombre d’ếtres humains mais leur capacité individuelle d’autonomie. Encore une fois, c’est un problème de dépense d’énergie par rapport au résultat. Le résultat du système actuel est catastrophique. En l’absence de solution énergétique de rechange, il n’y a rien pour soutenir le mode de vie d’une population entièrement dépendante, qui n’a donc pas d’autre choix que d’apprendre à assurer cette autonomie. La solution n’est pas de changer de système mais de changer de mode de vie.

Pas comme on veut nous l’imposer.

L’ancien Monde

On va faire un pause dans cet article, avant qu’il devienne vraiment chiant. Je ne vais pas vous faire le portrait de l’ancien Monde. Même si 2019 semble aujourd’hui appartenir à la préhistoire, j’ose espérer que vous vous en souvenez encore un peu. Je vais plutôt vous conter une anecdote.

Ma grand-mère maternelle est née en 1920. Enfant, elle habitait avec sa famille dans la commune de St-Nicolas, en province de Liège. La rue des Grands Champs se nommait ainsi parce qu’elle était vraiment entourée de grands champs – à présent disparus, remplacés par des habitations périurbaines sans âme – dans lesquels elle allait, hors période scolaire, jouer des jours entiers avec ses frères et soeurs, leur mère les rappelant uniquement pour le repas du midi et du soir. Rien que cette partie de l’histoire semblera très exotique à la plupart de mes lecteurs les plus jeunes. La suite les fera peut-être réfléchir. J’espère…

Quand un des enfants entendait le premier un bruit de moteur, il ameutait les autres, qui le suivaient tous jusqu’au talus de la rue des Grands Champs. C’était le moteur d’une automobile. Les enfants attendaient le passage de la voiture, comme un événement rare. Les seuls autres véhicules qui passaient par là étaient des charrois agricoles, tirés par des chevaux. Quand ma grand-mère m’a raconté cette histoire, il y a une trentaine d’années, c’était pour me faire comprendre à quel point et à quelle vitesse le monde avait changé. Il ne vient désormais plus à l’idée de personne de contempler le passage d’une automobile. Il y a trente ans, les enfants s’arrêtaient pour voir encore passer une – rare – voiture tirée par des chevaux. Aujourd’hui, les seuls qui passent parfois sur la route sont montés par des cavaliers. Je vis à la campagne et les chevaux – magnifiques – que je vois sont au pré ou dans un manège. Je dois parfois attendre plus d’une minute pour m’engager en scooter dans la rue principale du village, et ce n’est pas toujours à l’heure de pointe. Une minute de circulation, dans les deux sens, ça fait beaucoup de voitures.

Ma grand-mère n’est pas née sous Napoléon. Elle est née il y a un peu plus d’un siècle. Il y avait alors sur Terre 1.811 millions d’êtres humains.

Le nouveau Monde

Le premier grand malentendu est donc qu’il est possible que rien ne change. Le pouvoir cultive cette illusion tant qu’elle lui est utile, tout en contenant l’évolution naturelle de la société – une excellente recette de la catastrophe. Quand il devient inévitable et urgent d’opérer un changement, il met en oeuvre des stratagèmes pour vendre sa propre version de ce changement aux peuples. Le dernier en date s’appelle « Nouveau Normal », « Build Back Better« , « Grand Reset », au choix.

L’autre malentendu est qu’il est possible – voire souhaitable – de tout contrôler. Encore une fois, le pouvoir a inventé cette notion absurde, dans son propre intérêt, en évacuant le fait que quasiment tout dans ce monde – y compris l’être humain – fonctionne seul et sans intervention. C’est ainsi qu’il parvient à vendre ses armes de destruction massive censées contrôler le climat – ou le Covid – à un peuple oublieux du fait que le réchauffement climatique s’appelait autrefois « été » et qu’il existe une chose nommée système immunitaire, qui a l’air de fonctionner plutôt bien, même contre des armes biologiques.

On nous présente la situation actuelle comme problématique mais elle est le résultat de choix opérés par la même caste que ceux qui les dénoncent aujourd’hui. Comme très bien expliqué dans cet article de Gail Tverberg – et comme développé dans mon préambule – le pétrole aurait dû être vendu beaucoup plus cher dès le départ, ce qui aurait temporisé son utilisation intensive, contenu l’explosion de la croissance démographique et de l’urbanisation (43% de la population mondiale), deux excès qu’il faut maintenant affronter.

Sous l’impulsion des familles du pétrole et de la finance, suffisamment influentes pour court-circuiter la régulation politique, fut établi le modèle d’industrialisation de quasiment tout, de l’agriculture à la pharmacopée, malgré que le modèle précédent était suffisant et durable. Le modèle « capitaliste » qui l’a remplacé n’est en fait qu’une étiquette apposée sur le modèle de croissance infinie et du mythe de l’énergie inépuisable, qui alimente un marché financier appuyé sur la dette et ses intérêts. En URSS, zone richissime en matières premières, il fut décidé – par les mêmes – d’organiser la croissance industrielle sous planification d’Etat. Le résultat fut épouvantable, notamment en raison de la profonde corruption de ses gestionnaires. Le XXème siècle fut ainsi le laboratoire du pouvoir grandeur nature et la préparation à l’application de ses méthodes les plus efficaces. Nous entrons maintenant dans un modèle actualisé d’étatisme de façade, téléguidé par les mêmes familles et potentialisé par la technocratie. Il est donc sérieusement temps de s’en inquiéter. L’Occident montre aujourd’hui – notamment – des symptômes de soviétisation, tels que des délais extravagants pour l’obtention d’une automobile, des menaces de pénuries alimentaires, la perte de la propriété privée, etc.

Contrairement à ce qui est annoncé partout, le prochain modèle ne sera pas multipolaire. Le nouveau pôle de pouvoir sera la Russie, associée à la Chine. Pour y parvenir, l’Occident est systématiquement détruit par une élite mondialiste – qui désigne la Russie comme coupable de nos maux – à l’arme sanitaire, alimentaire, énergétique, économique et probablement climatique, pendant que la Russie connaît une récolte de blé historique, que le rouble se stabilise par son rôle de nouvelle monnaie d’échange sur le marché de l’énergie, que le bloc BRICS établit sa propre réserve monétaire, que ces deux pays contrôlent le marché des engrais, etc.

Plusieurs raisons à ce changement de pilotage. D’abord, ce sont des zones où l’Etat a joué un rôle autoritaire sur plusieurs générations, ce qui lui confère le savoir-faire nécessaire pour contenir ou discipliner les « démocraties » à l’occidentale. Ensuite, ce sont des pays où le niveau moyen d’apprentissage est plus élevé qu’en Europe. Le jeune Russe typique, me dit-on, se lève tôt le matin, travaille toute la journée et fréquente ensuite un lieu d’enseignement pour rentrer tard le soir. La comparaison avec l’état du système éducatif en Europe de l’Ouest est vite faite. Les outils de lavage de cerveau tels que l’égalitarisme, la théorie du genre, le changement climatique, etc. ont fait de ce secteur, avec la complicité du monde enseignant, une fabrique de diplômés déboussolés, analphabètes, inemployables, geignards et indisciplinés, une cure permanente d’antidépresseurs et de smartphone dernier cri servant à calmer l’angoisse existentielle de ceux trop inertes pour devenir délinquants. Peu en réchappent. Ils sont l’avenir.

Quant au rôle de pôle industriel de la Chine, comme chacun l’aura constaté, il est déjà plus ou moins effectif (28% de la production mondiale). Les Chinois – les Asiatiques en général – sont réputés, à juste titre, pour leur très haut niveau d’adaptabilité, de détermination et de résilience. Dans l’ensemble de cette redéfinition planétaire, la place de la Chine est depuis le début la volonté de la Banque, qui comprend l’intérêt de ne pas placer ses billes dans un Occident nettement moins opiniâtre et plus rétif à l’obéissance. Ce serait un placement à haut risque, et la Banque ne prend pas ce genre de risque.

La Banque

« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »

Gutle Schnaper Rothschild

C’est évidemment un terme très général, que j’emploie ici pour représenter le réseau qui contrôle les banques commerciales, les banques d’investissement, les bourses, la haute finance et les organismes de régulation bancaires, dont la Banque des Règlements Internationaux est le sommet hiérarchique. Derrière ce réseau agissent depuis des siècles les mêmes familles, qui l’utilisent pour faire et défaire les civilisations et régir la destinée de la société humaine.

La Banque est maîtresse de l’argent qu’on lui confie, a fortiori depuis la dérégulation qui a permis aux banques commerciales de pratiquer l’investissement. L’investissement contrôle la dynamique des économies nationales et oriente l’évolution de la société. Que celle-ci prenne la forme d’une démocratie, d’une dictature, d’une technocratie, d’une dystopie, d’un coup d’état communiste, ou de n’importe quoi d’autre a peu d’importance. En temps de paix, le secteur politique sera soumis aux diktats des investisseurs. Si nécessaire, une guerre fera l’affaire. Ce qui intéresse la Banque, c’est son retour sur investissement. Si la Banque investit dans un secteur, il faut qu’il soit rentable, ou au minimum stable. Pour garantir cette rentabilité/stabilité, il faut contrôler le système social, contrôle que des outils de mesure comme le NAIRU – le taux de chômage non générateur d’inflation – permettent de quantifier. Elle est également maîtresse de l’argent qu’elle crée par le biais des Banques Centrales, émanation du secteur bancaire privé, à qui a été confiée la création monétaire, autre moyen de contrôle de l’inflation à la baisse ou, comme c’est le cas en ce moment, à la hausse. L’inflation est l’outil modulable d’appauvrissement des peuples. Quand le système devient trop instable et ne garantit plus un retour sur investissement à long terme, il y a l’outil de l’ajustement structurel.

L’ajustement structurel est un terme creux pour désigner la refonte d’un système, en général vers un niveau de technicité supérieur. Il peut s’adresser à un réseau de distribution d’eau, à un tissu industriel ou à d’autres sous-systèmes. Aujourd’hui, il s’adresse à l’ensemble du système.

Je prends l’exemple de la distribution d’eau parce que j’ai travaillé sur un projet de ce type. Je vous explique. La qualité de l’eau dans tel pays – traditionnellement pauvre – est médiocre pour cause de vétusté, incompétence, corruption, manque de moyens, etc. Le prix de l’eau est toutefois suffisamment bas pour que les familles les plus humbles y aient accès. Intervient l’ajustement structurel, généreusement financé par une organisation internationale, qui effectue un upgrade du réseau, sous-traîté à diverses compagnies privées après appel d’offres. La qualité de l’eau est améliorée. Les prix aussi, qui sont multipliés par deux, dix, ou vingt. Les familles humbles n’y ont plus accès. Si vous avez suivi ce qui est dans le pipe-line des projets destinés au monde industrialisé, vous aurez noté une certaine similitude, sauf qu’il ne s’agit pas d’améliorer la qualité mais la conformité au cahier des charges ESG (voir plus haut), ou au Green New Deal, ou au Grand Reset, qui mènera à la confiscation de tout pour quasiment tout le monde. Le Grand Reset est un projet d’ajustement structurel qui ne dit pas son nom. Je défie quiconque de me prouver le contraire. C’est le cadre nécessaire pour un investissement dont on attend un retour, rien d’autre.

Dans la sphère du pouvoir, le monde politique ne sert plus que d’interface entre la Banque et les peuples: il accomplit ses directives économiques en les présentant comme doctrine politique, environnementale, sociale, peu importe, à un peuple ignorant des mécanismes financiers. Il se contente de règlementer – ou dérèglementer – le cadre économique et de prendre les mesures qui maintiendront ou non, en fonction des besoins du moment, un semblant de paix sociale ou militaire. Si le politique est insuffisant pour ce rôle, on engage des seconds couteaux tels que Bill Gates ou Klaus Schwab pour vendre la doctrine de la dictature biosécuritaire, pendant que les investisseurs rachètent tout ce qui peut être racheté sous le soleil.

Historiquement, c’est la Banque qui a autrefois financé, grâce au système de réserve fractionnelle, la conquête des colonies et la présence tentaculaire de l’Europe dans le monde, que le développement des transports a fini par rendre obsolète. C’est la Banque qui a ensuite donné les rènes du pouvoir mondial aux Etats-Unis, dont la présence militaire et le contrôle de l’exploitation pétrolière via pétro-dollar lui ont assuré le retour sur investissement dans le système issu de l’or noir. C’est la Banque qui cède aujourd’hui cette place à la Russie. La Russie s’unit avec la Chine, remet à jour ses alliances avec la Syrie, l’Iran, la Turquie et utilise celles de ses satellites « communistes » comme le Vénézuela. Ces alliances formeront le bloc qui remplacera sur la scène internationale la zone d’influence américaine, qui va considérablement rétrécir dans les prochains mois, avant de s’éteindre complètement. La prochaine destitution de l’administration Biden se profile de plus en plus clairement – la divulgation sur 4chan des vidéos compromettantes du fils Hunter est évidemment une opération du Renseignement, sans qui rien ne pourrait jamais filtrer. Le scénario probable est que le Vice-Président Harris ne reprendra pas la fonction, ce qui devrait laisser le champ libre au rétablissement, en 2024 au plus tard, du héros fabriqué du nationalisme, Trump, dont l’image sortira indemne de l’opération Covid, l’intérim programmé de Biden lui ayant permis de préserver son image pendant le massacre sanitaire. Le boulot de Trump sera de démanteler l’influence extérieure des Etats-Unis, au nom de la priorité nationale, thème bien connu de la droite patriote.

Dans un autre registre et pour l’anecdote, le rôle d’Elon Musk est évidemment la destruction organisée de Twitter, mais aussi de Telsa. Outre l’absence d’une politique énergétique de remplacement réaliste, quasiment rien n’est fait pour la mise en place d’un nombre suffisant de stations de rechargement ni pour la production ou le recyclage des batteries électriques. Du mirobolant futur parc de véhicules électriques restera d’ici quelques années un privilège (en leasing, avec services payants) réservé à une petite classe de citoyens conformes, parqués dans des « villes intelligentes », à qui on pourra tout infliger et qui trouveront ça normal – comme dans « Nouveau Normal ». Tout comme pour l’agriculture et l’énergie, il n’y aura aucune transition dans le secteur des transports de masse tels qu’ils existent aujourd’hui. Ceux-là disparaîtront purement et simplement.

Ce ne seront pas les seuls.

Nous sommes tous foutus. La société ne survivra pas à ça. Il faut moins de morts qu’on ne le pense pour que tout s’effondre. Une mortalité de 10% mettrait fin à la bulle de la dette qui alimente ce merdier, et ce n’est pas le seul problème.

On se sera bien amusés le temps que ça aura duré.

We are all screwed. Society will not survive this. It takes fewer deaths for a collapse then one might think. A 10 percent die off would end the debt bubble that props this shit show up, just one issue.

It was fun while it lasted.

https://sagehana.substack.com/p/turbo-cancer-it-feels-like-im-watching/comment/8111050

Pourquoi?

L’élite en est arrivée à la conclusion, tout à fait correcte, qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut et que nous le tolérerons. Et si cette conclusion est correcte, elle est probablement justifiée. Si nous le tolérons, nous le méritons.

The elite have come to the conclusion, correctly so, that they can do anything they want and we will tolerate it. And if it’s correctly so, it’s probably justifiably so. If we will put up with it, we deserve it.

https://off-guardian.org/2022/03/25/two-weeks-to-flatten-the-world/#comment-494956

La majorité des peuples ne tolèrent pas ce que leur inflige le pouvoir, ils le demandent. Ils veulent être guidés, même si c’est jusqu’à l’abattoir. Ils veulent des leaders, dans tous les domaines – que ce soient des usurpateurs est sans importance. Le peuple a depuis longtemps renoncé à la maîtrise de son destin, et même au choix de ses maîtres. Il veut juste qu’on lui raconte une belle histoire. Malheureusement, cette histoire est une imposture complète et c’est tout ce qu’elle peut être. Elle a servi de fondation à tout le reste. C’est ainsi qu’ont pu naître les concepts de nation, de patriotisme, et de cent autres que les peuples défendent même et surtout contre leur propre intérêt. On ment en permanence aux peuples, exactement comme on ment aux enfants, dont on considère qu’ils n’ont pas la maturité pour connaître la vérité. L’ennemi du peuple, c’est le peuple lui-même. Ses maîtres pervers ne sont que le poison qu’il s’inflige à lui-même. Il s’en plaint mais ne commence jamais le travail nécessaire pour s’en passer.

Si j’encourage mes lecteurs à observer la Nature, ce n’est pas pour rien. Au minimum, ça leur permettra d’échapper au spectaculaire effet « mémoire de poisson rouge » et à l’encore plus impressionnant effet de déni de réalité. J’entends des gens du coin se plaindre du climat de plus en plus sec. Ils confondent le climat et le temps qu’il fait et ils ont apparemment déjà oublié les inondations de l’été dernier – je pourrais leur rappeller les 200 tonnes d’eau que j’ai dû pomper de ma cave. Je les entends aussi répéter que les récoltes de cette année sont très mauvaises alors qu’ils passent tous les jours devant des champs de blé et de maïs prêts pour la récolte un bon mois à l’avance. Mais bon, les récoltes sont mauvaises, ils l’ont entendu à la télévision.

Ils ont aussi entendu depuis toujours que la vie sur Terre est le fruit de l’évolution. Depuis l’imposture de Darwin, le fil conducteur de la science est le mépris de l’intelligence, une intelligence qu’il est urgent de défendre, ou de retrouver. D’après moi, la théorie de l’évolution est l’obstacle majeur sur ce chemin. Elle est d’une stupidité tellement anachronique que sa survie est plus que suspecte. Elle aurait dû être abandonnée mille fois, vu les moyens dont on dispose depuis presque un siècle, en particulier depuis la découverte de l’ADN – il y aurait un article entier à écrire sur ce sujet . Si elle est donc maintenue avec autant d’énergie et de duplicité c’est pour une raison: elle a pour effet un genre d’erreur récursive de la pensée, qui pollue tous les domaines de la connaissance. Tant qu’on ne s’en sera pas débarrassés, tous les problèmes humains ne seront résolus que temporairement, et reviendront inévitablement sous une forme ou une autre. Les diverses doctrines politiques ou économiques ne seront d’aucun secours.

C’est une des manières de coincer l’Homme dans sa bulle sociétale et de lui faire perdre son contact avec la Création, tout sens et toute joie de sa simple existence. Il naît pourtant avec en lui le besoin d’obéir à quelque chose de plus grand, avec les facultés de perception nécessaires pour le comprendre et le développer. C’est pour cette raison, et pour aucune autre, que la place vacante du sacré a pu être investie par un gang de faux technocrates – et vrais psychopathes – que leur anathème lié à leur profonde incompétence rend particulièrement dangereux. Ils veulent gérer le peuple, à condition qu’il ne soit pas trop nombreux. Ces gens se prennent littéralement pour des dieux. Pour cela, ils ont renoncé à être des hommes, depuis très longtemps.

Et ils veulent nous emmener avec eux dans cet Enfer.

Conclusion

Je trouve beaucoup de commentaires éclairés sur Substack, souvent plus intéressants que l’article lui-même. J’en ai cité dans cet article, je vous en livre un autre en guise de conclusion, que je trouve au moment de mettre sous presse.

Les gens qui sont contre cette opération et qui observent ce qui se passe ont tendance à ne penser qu’en termes de batailles, de tactiques et de jeux de dames.

Ces psychopathes pensent en termes de guerres séculaires, de stratégie et d’échecs.

C’est pourquoi ils sont toujours gagnants. Ils transmettent leur projet de génération en génération, et ils sont très patients. Ça ne les dérange pas de sacrifier même leurs pièces les plus précieuses. Ça ne les dérange pas de paraître faibles. Ça fait partie de leur stratégie.

Pendant ce temps, la « résistance » à courte vue pense que parce que le château de cartes s’écroule, ça veut dire quelque chose. Mais le château de cartes a été conçu pour s’écrouler. Ça s’appelle un sacrifice.

Les personnes moyennes ne regardent pas au-delà de leur horizon. Ils se contentent d’étudier quelques arbres et pensent avoir compris. Mais ils ne réalisent pas que la forêt est en fait un laboratoire.

Les rituels ne font que commencer.

Mais je conviens que le combat est spirituel. Je ne fais que décrire la partie séculaire.

Au Canada et en Europe, on exige que les gens se fassent injecter pour avoir accès au suicide médicalement assisté.

C’est du vampirisme spirituel. La récolte des âmes.

[…]

Maintenant, faites un zoom arrière et regardez le monde et sa machinerie globale. Pensez aux bribes de nouvelles qui nous parviennent. Songez au peu que nous savons réellement, et pourquoi nous savons si peu, et pourquoi on nous le montre.

Ils ont retourné les vices de l’humanité contre nous. Et globalement, nous sommes devenus plus faibles au fil des générations. Par notre propre volonté. La plupart des gens sont incapables de survivre sans le système. Mais ce n’est pas notre système, c’est le leur. Nous ne le comprenons même pas. Il est trop immense. C’est le système de la bête.

Donc, en fait, ils ne font que ranger leurs propres jouets dans leur boîte à jouets. Ils considèrent que c’est leur droit de renégocier les conditions de service. Tout est dans les clauses en petits caractères.

Ils vont nous laisser nous détruire et nous détruire les uns les autres. Et ils se délecteront de tout ça.

Mais nous n’avons jamais été créés pour faire partie de leur système. C’est pour cette raison que la plupart des gens ne se sentent pas à leur place.

Nous sommes confrontés à des choix difficiles. Le chemin de moindre résistance est généralement un piège. Seul le chemin difficile mène à la victoire.

Ils vont achever la démolition contrôlée de l’économie, pour commencer.

Je dis « contrôlée » parce que les gens au sommet du système pyramidal ne se soucient pas de l’argent. Ce sont eux qui ont tout inventé à la base, et ils possèdent ce qu’ils pensent avoir de la valeur. Seuls leurs sous-fifres ont soif d’argent, et parce que les sous-fifres croient à tort qu’ils sont au courant de tout le projet et qu’ils sont extrêmement avides, ces idiots utiles continueront à jouer leur rôle jusqu’à la fin. Ils sont trop arrogants pour imaginer qu’ils puissent être trompés et jetés comme le seront ceux qu’ils regardent de haut.

Si les banques centrales lancent leurs monnaies numériques, les « super banquiers » ne seront plus nécessaires. Toutes leurs années de malfaisance seront réduites à néant. Leur seul espoir sera de jouer un rôle de concierge ou de relations publiques. Ceux qui ne mourront pas sous le choc ou par injection se suicideront.

Une fois l’économie et les chaînes d’approvisionnement démolies, peu importe ce que nous serons en mesure de prouver.

Je pense qu’il vaut mieux être préparé. Si les gens ne comprennent pas ce qui va se passer et qu’ils acceptent l’aide sociale et le revenu de base universel (pour autant qu’ils survivent aux retombées de l’effondrement, au chaos social, etc), ils se retrouveront complètement asservis. Pour des générations.

[…]

Pensez-vous qu’un bon parent empêche ses enfants d’apprendre? Il y a une leçon inestimable à tirer de tout cela. Lorsque les humains ne subissent pas de conséquences, ils n’apprennent pas. Lorsque les parents empêchent leurs enfants de faire l’expérience des conséquences, ces derniers ne grandissent jamais.

Cela fait partie de notre éducation. Ce n’est pas « mauvais », pas « injuste », c’est merveilleux. Nous comprendrons tout lorsque les écailles tomberont de nos yeux.

[…]

Seul Dieu est réel. L’univers est une pensée dans l’esprit de Dieu. Je suis un personnage dans un roman écrit par Dieu. Dieu connaissait la fin avant le commencement. Nous disposons du libre arbitre. Seul l’amour est réel, mais nous avons été placés dans un monde d’illusion pour que nous puissions découvrir ce que signifie l’amour. L’amour est bon. L’amour est Dieu.

Le mal fait partie de notre éducation. Comme la gravité. La gravité peut paraître oppressante, mais elle nous rend plus forts. Sans gravité, nous n’aurions pas de muscles, pas de densité osseuse, notre système cardiovasculaire ne fonctionnerait pas… Mais si on se jette d’une falaise, on aura l’impression que la gravité veut nous tuer. Ce n’est pas vrai pour autant. C’est une perception.

C’est pourquoi nous avons des traditions spirituelles et des enseignants, et la capacité de dépasser les rouages du monde matériel pour nous rappeler qui nous sommes, ce qui est réel.

L’amour ne disparaît pas en présence de l’illusion ou du mal. L’amour est constant, éternel, omniprésent. Notre défi est de nous en souvenir au cœur de l’illusion, de la douleur et de la souffrance.

Quelle est la durée d’une vie humaine? Toute douleur et toute souffrance sont temporaires. Regardez les grands maîtres spirituels. Ils n’étaient pas coincés ici, ils étaient simplement ici. Mais ils étaient aussi ailleurs.

Lorsque les gens pensent qu’ils ne sont pas traités équitablement, ils souffrent. Quand les gens pensent qu’ils vivent une mauvaise expérience, ils souffrent.

Il est possible de maintenir une connexion et une immersion dans l’amour à travers n’importe quelle épreuve. Il est possible pour le corps d’endurer un grand traumatisme sans que l’esprit ne souffre. Il est possible d’éprouver une grande douleur et de ne pas souffrir.

Je pense que tout ce que nous vivons a un but. L’amour en est le but.

Les enfants comprennent rarement « pourquoi ». Nous sommes des enfants. Mais nous finirons par grandir.

Si nous sommes attachés à ce système contre-nature et maléfique, nous périrons en même temps que lui.

Nous devons le laisser mourir. Les personnes qui ne veulent pas être sauvées ne le seront pas. Ils ne sauteront jamais dans le radeau de sauvetage. Ils pensent qu’ils font partie du navire.

Vous voyez pourquoi il est utile d’avoir le mal de mer.

A bientôt.

L’élection française et l’étonnante disparition des votes – par Esprit de Voltaire.

Vous voudrez bien excuser ce léger retard mais je tombe seulement maintenant sur ce très intéressant article sur les euh… comment dirai-je, élections présidentielles françaises. Vu que mon lectorat est principalement centré sur ce beau pays, je le publie à leur intention et à toutes fins utiles. C’est écrit par un américain – comme souvent sur ce blog – pays qui a récemment accumulé quelque expérience question fraude électorale.

Source.


Traduction

L’élection française et l’étonnante disparition des votes

Esprit de Voltaire

27 avril

Le peuple français a parlé et a réélu le président Emmanuel Macron pour 5 ans. Mais a-t-il parlé et l’a-t-il réélu? Pour un observateur étranger, l’une des choses les plus étranges et les plus troublantes des élections présidentielles françaises est que les résultats officiels sont annoncés dès la fermeture des bureaux de vote, sur la seule base des sondages de sortie, c’est-à-dire avant même que le décompte des voix ait commencé! Cela dure depuis des décennies et ce n’était pas différent dimanche soir.

Ainsi, à 20h précises, la chaîne de télévision publique française France2 a annoncé qu’Emmanuel Macron avait été réélu avec une estimation de 58,2% des voix contre 41,8% pour Marine Le Pen. Cette estimation allait peu après être révisée à 58,5 % contre 41,5 %. Cependant, un peu plus d’une heure plus tard, l’émission de France2 s’est essayée à une couverture plus américaine des élections en montrant le décompte réel des voix, qui, comme l’a noté le présentateur, a été fourni directement à France2 par le Ministère français de l’Intérieur. Et, à environ 21h10, il s’avère que Marine Le Pen était en fait en tête avec 13.899.494 voix contre 13.697.236 pour Emmanuel Macron. Voyez la capture d’écran ci-dessous et notez l’étrange contraste avec l’estimation visible dans le coin inférieur droit.

Le présentateur s’est empressé de souligner que la tendance pouvait s’inverser au cours de la soirée, puisque, dit-il, les circonscriptions rurales, plus favorables à Marine Le Pen, s’étaient déclarées en premier. Quelques minutes plus tard, cependant, plus d’un million de voix étaient ajoutées au décompte à l’écran et, loin de voir la tendance s’inverser, Mme Le Pen avait accru son avance, avec 14.603.774 voix contre 14.388.938 pour M. Macron. Voir la capture d’écran ci-dessous.

France2 n’a pas pris la peine de fournir le pourcentage de bureaux de vote ayant communiqué leurs résultats. Mais si nous comparons le nombre total de votes dans ce décompte (28.992.712) au nombre total de votes dans le décompte final du Ministère de l’Intérieur (32.077.401), nous pouvons voir que plus de 90% des votes avaient déjà été rapportés! Et pourtant, d’une manière ou d’une autre, le décompte final du Ministère de l’Intérieur, qui figure ci-dessous, a réussi à correspondre exactement à l’estimation de 58,5% à 41,5%. Il s’agit en fait d’une impossibilité mathématique. À moins que Marine Le Pen n’ait perdu des voix. Et ô miracle, elle en a perdu! Le décompte final du Ministère de l’Intérieur indique 13.297.760 voix pour Marine Le Pen: plus d’un million de voix de moins que son décompte à l’écran à environ 21h15 le soir de l’élection.

La retransmission intégrale de la soirée électorale par France2 est disponible ici.

Le décompte final du Ministère de l’Intérieur est ici.

France2 affirme maintenant que les chiffres indiqués dans le décompte des votes en direct étaient erronés et résultaient d’une « erreur logicielle ».


Texte original

The French Election and the Amazing Vanishing Votes

Esprit de Voltaire

Apr 27

The French people have spoken and re-elected President Emmanuel Macron for another 5 years. Or have they and did they? For a foreign observer, one of the oddest and most disturbing things about French presidential elections is that the ostensible results are announced the moment the polls close based only on exit polls, i.e. before the vote count has even begun! This has been going on for decades and Sunday evening was no different.

Thus, at 8pm sharp, the French public television channel France2 announced that Emmanuel Macron had been reelected with an estimated 58.2% of the vote as compared to 41.8% for Marine Le Pen. This estimate would shortly thereafter be revised to 58.5% to 41.5%. A little over one hour later, however, France2’s broadcast would try its hand at more American-style election coverage by showing the actual vote count, which, as the presenter noted, was being directly provided to France2 by the French Ministry of the Interior. And, at roughly 9:10pm, it turns out that Marine Le Pen was in fact ahead with 13,899,494 votes to Emmanuel Macron’s 13,697,236. See the screen cap below and note the strange contrast to the estimate visible in the lower right corner.

The presenter was quick to point out that the trend could be reversed over the course of the evening, since, he said, rural precincts, which are more favorable to Marine Le Pen, were reporting first. Just a couple of minutes later, however, more than a million votes has been added to the on-screen count and far from the trend being reversed, Le Pen had expanded her lead, now having 14,603,774 votes to Macron’s 14,388,938. See the below screencap.

France2 did not bother to provide the percentage of precincts reporting. But if we compare the total number of votes in this vote tally (28,992,712) to the total number of votes in the Ministry of the Interior’s final tally (32,077,401), we can see that over 90% of the votes had already been reported! And yet somehow the Ministry of Interior’s final tally, which is shown below, managed exactly to match the 58.5% to 41.5% estimate. This is in fact a mathematical impossibility. Unless somehow Marine Le Pen lost votes. And, lo and behold, she did! The Ministry of the Interior’s final tally shows 13,297,760 votes for Marine Le Pen: more than a million votes less than her on-screen tally at roughly 9:15pm on election night.

France2’s full election night broadcast is available here.

The Ministry of Interior’s final tally is here.

France2 now claims that the numbers shown in the live vote tally were erroneous and the result of a “software error.”

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid! – par Igor Chudov.

Encore un article amusant et instructif (comme les jeux de mon enfance) d’Igor Chudov, qui n’est pas médecin comme je l’avais erronément écrit précédemment, mais journaliste – mes excuses. Il commence d’ailleurs à jouir d’une certaine notoriété à cet égard – aux Etats-Unis, je suis à ma connaissance toujours le seul à le publier en français – entièrement méritée à mon avis.

Concernant le contenu de son article: ce bon Dr Fauci a-t-il vraiment reçu quatre injections, a-t-il vraiment contracté le Covid et s’est-il vraiment traité au Paxlovid? No lo sè. Si ce n’est pas le cas, ça serait un coup de relations publiques, dont l’objectif serait soit d’offrir une porte de sortie, loin de la foule déchaînée, à quelqu’un qui a de bonnes raisons de vouloir échapper à l’examen de ses pairs, et des quelques mécontents de l’opération Sars-Cov-2, soit de normaliser l’absurdité du processus vaccin>maladie>boosters>re-maladie>antiviral>re-re-maladie>re-antiviral-etc. – c’est-à-dire de ce que le grand public est censé juger « normal ». De la science, quoi. A ce propos, une petite anecdote: je suis au garage moto cet après-midi et j’entends un vieux monsieur expliquer que sa belle-fille est « prise des bronches » (belgicisme, il me semble) mais que le docteur a dit qu’il est heureux qu’elle soit vaccinée, sinon ça aurait été pire. Voilà le résultat de deux ans et demi de propagande ininterrompue. Ce brave homme, qui n’a vraisemblablement jamais entendu parler ni de Fauci, ni de la FDA, récite fidèlement leur mantra débile – à la dame au comptoir, qui n’avait pas non plus l’air très en forme…

Quoiqu’il en soit, que l’histoire de Fauci soit vraie ou non, ça fait tellement plaisir de voir se défaire un peu la tête de ce monstre glauque qu’il ne faudrait pas bouder son plaisir.

Je suis avec un article du Dr Paul Alexander, un auteur sur Substack habituellement assez indigeste – il se répète quinze fois par article et semble s’adresser à un lectorat d’analphabètes – qui pour une fois se lâche un peu et balance à tout va. Il nous expliquera en quoi vont consister les quelques années à venir… Et il le tient de fonctionnaires de la Santé Publique.

Note: les articles qui figurent en lien dans l’historique sont tous en anglais. Si ça intéresse quelqu’un de les lire traduits, faites signe.

Source.


Traduction

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid!

Il fallait s’y attendre

Igor Chudov

29 juin

Je ne suis pas le premier sur Substack à écrire à ce sujet, mais je voulais en parler vu que j’ai écrit quelques articles sur le Paxlovid.

Le Dr Fauci a reçu deux doses de booster. Ses quatre doses de vaccins sûrs et efficaces ne l’ont bien sûr pas empêché d’attraper le Covid. Confronté à une infection au Covid, il a pris du Paxlovid et a sincèrement cru qu’il s’en sortirait.

Regardez-le se donc vanter du succès de son vaccin et du Paxlovid:

Fauci affirme qu’il a survécu à sa sévère infection Covid uniquement grâce à sa quadruple injection: « Je pense que si ce n’était pas le cas, je ne serais pas en train de vous parler avec une aussi bonne mine. »

Devinez quoi? Le Paxlovid n’aura pas marché pour le Dr Fauci. Après s’être senti bien pendant quelques jours, il subit maintenant un rebond de son infection Covid.

Le Dr Anthony Fauci déclare qu’il a connu un rebond des symptômes du Covid après avoir pris un antiviral de Pfizer, le Paxlovid, dont les études montrent maintenant qu’il n’est PAS efficace pour les personnes vaccinées.
Le Dr Anthony Fauci a déclaré qu’il en était à sa deuxième cure de Paxlovid après avoir été à nouveau testé positif au Covid-19.
Selon les propres données de Pfizer, le médicament est limité dans ses capacités à combattre le Covid-19 chez une personne vaccinée.
En mai 2022, les CDC ont émis un avertissement sur le risque de symptômes de rebond du Covid-19 après la prise de Paxlovid.
L’avertissement a noté qu’aucun des cas de rebond signalés n’a vu les patients souffrir d’un cas grave de Covid-19, bien que Fauci ait décrit ses symptômes comme étant « bien pires ».
Une étude de l’UC de San Diego a révélé que les patients qui présentaient des symptômes de rebond du Covid souffraient du fait que le Paxlovid n’atteignait pas suffisamment de cellules infectées.
Lors de la même conférence où il a annoncé le rebond, Fauci a appelé à une campagne nationale de vaccination « agressive ».

Il se sent  » bien plus mal  » en phase de rebond qu’en phase initiale. Voilà pour ce qui est du fait que le Paxlovid atténue le Covid!

Dans l’annonce de son rebond du Covid, Fauci a déclaré que ses symptômes étaient bien pires après avoir été testé positif pour la deuxième fois.

Et que fait-il maintenant? Il prend ENCORE PLUS de Paxlovid – un deuxième traitement, pour être exact. Et ce, malgré le fait que la FDA, l’agence de son propre gouvernement, fait tout pour discréditer les personnes qui font un rebond sous Paxlovid et ne recommande pas de second traitement. Peu importe, le Dr Fauci est manifestement au-dessus des recommandations de la FDA.

Si nous croyons quoi que ce soit de ces nouvelles, et je comprendrais que certains de mes abonnés s’y refusent, le rebond de Fauci sous Paxlovid indiquerait que

  1. Fauci est réellement vacciné
  2. Fauci ne prend pas d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine, qui n’occasionnent pas de rebond.

Historique de quelques articles sur le Paxlovid

Mon premier article a fait beaucoup de bruit.

Brian Mowrey a expliqué en quoi le Paxlovid est un bouton SNOOZE [NdT. le bouton « veille » sur les réveille-matin] biomoléculaire, et non un bouton STOP.

J’ai allégué que Pfizer savait que le Paxlovid n’était pas efficace chez les personnes vaccinées, car Pfizer a EXCLU les personnes vaccinées de son essai EPIC-SR à mi-parcours.

La FDA a ignoré la souffrance des victimes du Paxlovid telles que le Dr Fauci et a discrédité ceux qui ont souffert d’un rebond, en disant qu’elles ne représentent que 1 à 2% des cas (mais oui, c’est ça).

J’ai dénoncé le Paxlovid comme étant le nouveau modèle commercial frauduleux de Pfizer (qui en vend de plus en plus alors qu’il ne fonctionne pas et fait croire à ces personnes qui répandent le COVID qu’elles vont bien) et j’ai expliqué que la FDA et Pfizer mentaient sur le taux de rebond, qui était plutôt de 12%, même pour les personnes non vaccinées.

Enfin, une étude scientifique réalisée en Israël a montré que le Paxlovid ne fonctionne absolument PAS chez les personnes vaccinées, ce qui explique clairement pourquoi Pfizer ne voulait pas les inclure dans les essais cliniques.

Pfizer a finalement reconnu sa défaite et admis que le Paxlovid ne fonctionne pas chez les patients à risque standard.

Mais, avec l’audace qui le caractérise, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré que la moitié des gens sont « à haut risque », et que Pfizer continuera donc à promouvoir ce médicament de charlatans auprès de patients vaccinés et confiants, qui ne se doutent de rien.

Un deuxième traitement au Paxlovid?

Le Dr Fauci fait quelque chose que la FDA n’a jamais recommandé: prendre un deuxième traitement de Paxlovid. Cela fonctionnera-t-il? Pour répondre à cette question, rappelez-vous que le Paxlovid est un bouton SNOOZE. Tout ce qu’il fait c’est d’empêcher une certaine enzyme « protéase » de cliver les brins d’ARN viraux pendant 5 jours, ce qui interrompt l’infection.

Le Paxlovid a fonctionné chez la plupart des personnes non vaccinées dont le système immunitaire fonctionnait encore et restait capable de monter une réponse appropriée au Sars-Cov-2 en cinq jours, ce qui permettait de neutraliser le rebond dans 88% des cas.

Cependant, les personnes vaccinées ont connu beaucoup plus de rebonds, du fait que leur réponse biologique n’était pas assez rapide pour réagir après la fin du SNOOZE de cinq jours du Paxlovid.

La solution du Dr Fauci est d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « snooze » du Paxlovid, ce qui rapporte 530 dollars de plus à Pfizer. Si son système immunitaire, endommagé par la quadruple vaccination, est incapable de former une réponse dans les cinq jours suivants, il pourrait connaître un DEUXIÈME REBOND. Fauci est en territoire inconnu, car à ma connaissance, deux traitements au Paxlovid avec un rebond entre les deux n’ont jamais été essayés sur personne.

Il faut savoir que le Paxlovid est composé de deux éléments assez toxiques – le ritonavir et le nirmatrelvir – et qu’en prenant un double traitement, Fauci risque une toxicité hépatique, ainsi que d’autres toxicités. A l’âge de 81 ans, deux traitements de Paxlovid pourraient se révéler trop lourds pour lui.

Dans tous les cas, Anthony Fauci a déjà réussi à transformer son infection d’une semaine en une infection de trois semaines, grâce au Paxlovid.

J’espère que Pfizer accordera au moins une remise au Dr Fauci. Ils lui doivent bien ça.


Texte original

Dr Fauci’s Paxlovid Rebound!

It was Expected to Happen

Igor Chudov

Jun 29

I am not the first on Substack to write about this, but I want to discuss it since I wrote a few articles on Paxlovid.

Dr. Fauci is double boosted. The four doses of safe and effective vaccines, of course, did not prevent him from catching Covid. Facing a Covid infection, he took Paxlovid and sincerely believed that he would be alright.

Watch him brag about the success of his vaccine and Paxlovid:

Guess what? Paxlovid did not work for Dr. Fauci. After feeling fine for a few days, he is now having a rebound of his Covid infection.

He is feeling “much worse” during the rebound than he felt in the beginning. So much for saying that Paxlovid makes Covid milder!

And what is he doing now? Taking MORE Paxlovid — a second course, to be exact. This is despite the agency of his own government, FDA, gaslighting Paxlovid rebounders and not recommending a second course. Never mind, Dr. Fauci is obviously above FDA’s recommendations.

If we believe any of this news, and I would understand if some of my subscribers did not, Fauci’s Paxlovid rebound makes it very likely that

  1. Fauci is actually vaccinated
  2. Fauci is not taking Ivermectin or hydroxychloroquine, which do not give rebounds

History of Some Paxlovid Articles

My first article started quite a bit of noise.

Brian Mowrey explained how Paxlovid is a biomolecular SNOOZE button, not a STOP button.

I alleged that Pfizer knew that Paxlovid did not work in vaccinated people, because Pfizer KICKED OUT vaccinated people out of its EPIC-SR trial midstream.

FDA dismissed the suffering of Paxlovid victims like Dr. Fauci and gaslit the rebounders, saying they are only 1-2% of cases (yeah right).

I exposed Paxlovid as a new dishonest business model for Pfizer (selling more and more of it as it fails to work and makes people COVID spreaders thinking they are fine) and explained that FDA and Pfizer were lying about the rebound rate, which was more like 12% even for unvaccinated people.

Finally, a scientific study from Israel illustrated that Paxlovid totally does NOT work in vaccinated people, making it obvious why Pfizer did not want them included in clinical trials.

Pfizer finally admitted defeat and acknowledged that Paxlovid does not work in standard-risk patients.

But, with characteristic chutzpah, Pfizer CEO Albert Bourla declared that half of all people are “high risk”, so Pfizer will still push this snake oil medication onto unsuspecting trusting vaccinated patients.

Second Course of Paxlovid?

Dr. Fauci is doing something that the FDA never recommended — he is taking another course of Paxlovid. Will it work? To answer this question, remember that Paxlovid is a SNOOZE button. It simply stops a certain “protease” enzyme from cleaving viral RNA strands for 5 days, thus suspending infection.

Paxlovid worked in most unvaccinated people whose immune systems still functioned and could mount a proper response to Sars-Cov-2 in five days, thus quashing the rebound in 88% of cases.

However, vaccinated people had many more rebounds, because they did not have a biological response quick enough to respond after the five-day SNOOZE from Paxlovid ended.

So, Dr. Fauci’s solution is to press the Paxlovid snooze button again, giving Pfizer another $530. If his immune system, damaged by quadruple vaccination, is unable to form a response in yet five more days, he may end up having a SECOND REBOUND. Fauci is in uncharted territory, because to my knowledge, two Paxlovid courses with a rebound in between, were never tried on anybody.

Be aware that Paxlovid is made of two somewhat toxic components — ritonavir and nirmatrelvir — and by taking a double course, Fauci risks liver toxicity and other toxicity. Being 81 years old, two courses of Paxlovid may be too much for him.

In any case, Anthony Fauci already managed to turn his one-week infection into a three-week infection, thanks to Paxlovid.

I hope that Pfizer at least gives Dr. Fauci a discount. They owe him one.

Les craintes liées à la variole du singe pourraient sauver des entreprises en péril – par Whitney Webb.

On plonge directement dans le nid de frelons avec cet article signé Whitney Webb.

J’enchaîne avec un bref aperçu de la simulation « variole du singe » de mars 2021 dont il est question dans l’article pour donner ensuite la parole au toujours fiable Dr Igor Chudov, sur le même sujet.

Pour éviter de heurter la sensibilité des lecteurs, je n’ai pas inclus les photos de l’article original.

Source.


Traduction

Les craintes liées à la variole du singe pourraient sauver des entreprises en péril

Il y a quelques semaines à peine, deux sociétés corrompues se trouvaient en territoire financier instable. Aujourd’hui, alors que les médias et les organismes de santé mondiaux s’inquiètent d’une épidémie mondiale de variole du singe, les inquiétudes – et les péchés – de ces deux entreprises semblent avoir été bien vite oubliées.

par Whitney Webb – 20 mai 2022

Ces derniers jours, les médias et les ministères de la santé du monde entier ont fait grand cas de l’apparition d’une épidémie mondiale de variole du singe, une maladie bénigne apparentée à la variole et à la varicelle, et ont même provoqué une réunion d’urgence de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Certains craignent que la variole du singe soit la « prochaine pandémie » potentielle après celle du Covid-19. Pour d’autres, la crainte est que la variole du singe soit utilisée comme un nouveau prétexte pour faire progresser les politiques draconiennes de biosécurité et les prises de pouvoir au niveau mondial.

Quelle que soit l’issue de la crise de la variole du singe, deux entreprises en tirent d’ores et déjà profit. L’inquiétude suscitée par la variole du singe a entraîné une hausse des actions d’Emergent Biosolutions et de SIGA Technologies. Ces deux sociétés détiennent rien moins que le monopole sur le marché américain, ainsi que sur d’autres marchés, pour les vaccins et les traitements contre la variole. Leurs principaux produits de lutte contre la variole sont, comme par hasard, également utilisés pour prévenir ou traiter la variole du singe. En conséquence, les actions d’Emergent Biosolutions ont grimpé de 12% jeudi, tandis que celles de SIGA ont grimpé de 17,1%.

Pour ces entreprises, les craintes liées à la variole du singe représentent une aubaine, en particulier pour SIGA, qui fabrique un traitement contre la variole, connu sous le nom de marque TPOXX. Il s’agit du seul produit de SIGA. Si certains médias ont noté que la hausse de l’évaluation de SIGA Technologies a coïncidé avec les récentes inquiétudes concernant la variole, aucune attention n’a été accordée au fait que la société constitue apparemment la seule pièce de l’empire d’un puissant milliardaire à ne pas être en plein effondrement.

Ce milliardaire, le « pilleur de sociétés » Ron Perelman, entretient des liens profonds et controversés avec la famille Clinton et le Parti Démocrate, ainsi que des liens troubles avec Jeffrey Epstein. En dehors de sa participation majoritaire dans SIGA, Perelman a récemment fait la une des journaux pour avoir liquidé rapidement un grand nombre de ses actifs dans une tentative désespérée de trouver des liquidités.

De même, Emergent Biosolutions a également traversé des moments difficiles. La société, aux liens troubles avec les attaques à l’anthrax de 2001, a été critiquée il y a un peu moins de deux semaines pour avoir « dissimulé » des problèmes de contrôle de la qualité liés à la production de vaccins Covid-19. Une enquête du Congrès a révélé que des problèmes de contrôle de la qualité dans une usine gérée par Emergent ont conduit à la mise au rebut de plus de 400 millions de doses de vaccins Covid-19. L’usine Emergent en question avait été fermée par la FDA en avril 2021. Elle a été autorisée à rouvrir en août dernier, avant que le gouvernement ne mette fin au contrat. Étant donné que la majorité de l’activité de cette entreprise dépend de ses contrats avec le gouvernement américain, de la perte de ce contrat et de la mauvaise publicité qui l’accompagne, la nouvelle que son vaccin antivariolique pourrait bientôt présenter un intérêt international doit probablement être prise comme une véritable aubaine par cette compagnie.

Il est à noter que c’est la deuxième fois en un an que ces deux entreprises bénéficient des craintes de pandémie ou de bioterrorisme propagées par les médias. En novembre dernier, on a assisté à une vague de spéculations sur une réapparition prochaine du virus éradiqué de la variole. Cela a commencé avec les commentaires de Bill Gates sur les perspectives de bioterrorisme lié à la variole lors d’une interview du 4 novembre 2021 [NdT. voir mon article ici] et a été suivi par l’annonce, le 16 novembre, d’une enquête du CDC/FBI sur 15 flacons suspects étiquetés « variole » dans une usine Merck à Philadelphie [NdT. voir mon autre article ici]. Aujourd’hui, environ six mois plus tard, les mêmes craintes se révèlent à nouveau payantes pour les deux mêmes entreprises.

Une entreprise qui tue

Emergent Biosolution était auparavant connue sous le nom de BioPort. La société a été fondée par Fuad el-Hibri, un homme d’affaires libanais, qui a mis à profit ses contacts avec d’anciens responsables militaires et politiques américains très puissants pour prendre le contrôle d’une usine du Michigan en difficulté. C’était la seule usine autorisée à produire un vaccin contre l’anthrax.

On savait que le vaccin contre l’anthrax présentait des problèmes majeurs avant même que BioPort ne l’acquière, et de nombreux chercheurs pensent qu’il est l’une des principales causes du syndrome de la « guerre du Golfe » [NdT. je vous recommande vivement la lecture de ce récent article qui traite le sujet en profondeur et complètera la présente analyse]. Le vaccin lui-même, développé à l’origine à Fort Detrick, n’avait que peu ou pas d’antécédents de sécurité au moment où il a été administré aux troupes américaines lors de la première guerre du Golfe – un problème qui n’a jamais été résolu. Cependant, ses problèmes chroniques de sécurité et son schéma multidose malcommode ont incité BioPort/Emergent Biosolutions à consacrer plusieurs années au développement d’une nouvelle formulation de son vaccin contre l’anthrax.

La création de BioPort a coïncidé avec les tentatives de l’administration Clinton de rendre obligatoire le vaccin contre l’anthrax pour tous les membres des forces armées américaines. En contrôlant la seule source de vaccin contre l’anthrax, BioPort était sur le point de faire un malheur.

Après que la société ait acquis l’usine du Michigan, elle a reçu d’importantes sommes d’argent du gouvernement américain, apparemment pour apporter des améliorations au site. Cependant, la société a refusé d’utiliser ces fonds pour effectuer les réparations nécessaires, préférant consacrer cet argent aux bureaux de ses dirigeants, plutôt qu’à l’usine de vaccins, et à verser des millions de dollars en primes à la « haute direction ». Les auditeurs du Pentagone ont par la suite découvert que des millions de dollars supplémentaires avaient « disparu » et que le personnel de BioPort ignorait le coût de production par dose de vaccin. Malgré cette mauvaise gestion et cette corruption évidentes, BioPort a exigé d’être renfloué par le Pentagone, ce qui fut fait. Entre-temps, l’usine du Michigan a perdu sa licence après qu’une inspection gouvernementale ait révélé de nombreux problèmes de sécurité.

Quoiqu’il en soit, en août 2001, BioPort courait le risque de perdre les contrats du Pentagone, sa seule source de revenus. Le Pentagone a alors entrepris la préparation d’un rapport, qui devait être publié en septembre 2001, et qui exposait en détail un plan de liquidation de BioPort. En raison de l’attaque du 11 septembre 2001 contre le Pentagone, ce rapport n’a jamais été publié. Peu de temps après, les attaques à l’anthrax de 2001 ont commencé.

Quelques mois auparavant, BioPort avait passé un contrat avec le Battelle Memorial Institute pour l’aider à sauver son programme de vaccins en difficulté. L’accord a permis à Battelle d’avoir accès à « une exposition immédiate au vaccin » et celui-ci a été utilisé dans le cadre du programme de gain de fonction de l’anthrax financé par le Pentagone, qui impliquait Ken Alibek et William C. Patrick III, deux experts en armes biologiques ayant des liens étroits avec la CIA. Ce programme était hébergé dans les installations de Battelle à West Jefferson dans l’Ohio. De nombreux enquêteurs pensent que cette installation était la source de l’anthrax utilisé dans les attaques de 2001.

La panique qui a suivi les attaques à l’anthrax a conduit le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (Health and Human Services – HHS) à intervenir. Celui-ci a rendu sa licence à BioPort en janvier 2002, malgré la persistance de problèmes de sécurité dans son usine de production de vaccins du Michigan. BioPort ne s’est cependant pas contentée de voir ses anciens contrats avec le Pentagone rétablis, puisqu’elle a commencé à exercer un lobbying intense pour remporter de nouveaux contrats de vaccins contre l’anthrax destinés aux civils américains, aux postiers et autres. Elle les a obtenus, en grande partie grâce à Jerome Hauer, conseiller en matière de lutte contre le terrorisme à l’époque et bientôt nouveau secrétaire adjoint du Ministère de la Santé. Hauer rejoindra plus tard le conseil d’administration de BioPort, après sa refonte en tant qu’Emergent Biosolutions, en 2004.

De tels exemples de copinage sont monnaie courante chez Emergent Biosolutions. En effet, la société s’est souvent appuyée sur des individus qui ont passé leur carrière à franchir la « porte tournante » entre l’industrie pharmaceutique et le gouvernement, en particulier ceux qui jouent aussi les alarmistes en matière de bioterrorisme.. L’une des principales personnes à avoir joué un rôle essentiel dans le succès de l’entreprise au fil des ans est Robert Kadlec. Kadlec était le principal conseiller en bioterrorisme du Pentagone dans les semaines qui ont précédé les attaques à l’anthrax de 2001. Quelques mois auparavant, il avait participé à la simulation Dark Winter de juin 2001, qui avait « prédit » des aspects majeurs des attaques à l’anthrax qui ont suivi. M. Kadlec a ensuite rédigé une grande partie de la législation qui allait créer la politique de réponse du pays en matière de bioterrorisme et de pandémie, y compris la BARDA [NdT. La Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) est un bureau du département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis (HHS) chargé de l’acquisition et du développement de contre-mesures médicales, principalement contre le bioterrorisme] et le Stock National Stratégique [NdT. Le Strategic National Stockpile (SNS) fait partie de l’infrastructure fédérale d’intervention médicale et peut compléter les contre-mesures médicales dont ont besoin les États, les nations tribales, les territoires et les plus grandes zones métropolitaines en cas d’urgence de santé publique].

Peu après avoir quitté le gouvernement, Robert Kadlec a participé à la création d’une nouvelle entreprise en 2012, appelée « East West Protection« , qui développe et fournit des « systèmes intégrés de préparation et de réponse à tous les risques pour les communautés et les nations souveraines. » D’autre part, la société « conseille les communautés et les pays sur les questions liées à la menace des armes de destruction massive et des pandémies naturelles. »

M. Kadlec a créé cette société avec W. Craig Vanderwagen, le Premier Secrétaire adjoint du HHS chargé de la Préparation et de la Réponse (un poste que M. Kadlec a contribué à faire adopter par voie législative et qu’il occupera plus tard lui-même). L’autre cofondateur d’East West Protection était Fuad El-Hibri, le fondateur de BioPort/Emergent Biosolutions, qui venait de quitter son poste de PDG d’Emergent plus tôt cette année-là.

Kadlec est ensuite devenu consultant. Le cabinet de conseil de Kadlec, RPK Consulting, lui a rapporté 451.000 dollars rien qu’en 2014, où il a directement conseillé Emergent Biosolutions ainsi que d’autres sociétés pharmaceutiques comme Bavarian Nordic. Kadlec a également été consultant pour des entreprises militaires et de renseignement, comme Invincea, une entreprise soutenue par la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency], et Scitor, une entreprise de la NSA [National Security Agency], qui a récemment été rachetée par SAIC [Science Applications International Corp].

Kadlec devait réintégrer le gouvernement en tant qu’ASPR [Secrétaire Adjoint pour la Préparation et la Réponse – Assistant Secretary for Preparedness and Response] au HHS sous Trump, un poste qu’il occupait au moment où la crise Covid-19 a commencé. L’année précédente, en 2019, Kadlec avait mené une simulation de plusieurs mois axée sur une pandémie mondiale originaire de Chine, appelée Crimson Contagion. Une fois que la crise du Covid-19 a commencé pour de bon, il a joué un rôle majeur dans l’obtention de contrats de vaccins Covid-19 pour Emergent Biosolutions, malgré ses conflits d’intérêts, dont certains qu’il avait refusé de divulguer lors de sa nomination au poste d’ASPR.

Le schéma de corruption d’Emergent Biosolutions, initié avec son vaccin contre l’anthrax, persiste dans ses actions récentes relatives à la production des vaccins Covid-19. D’après le récent rapport du Congrès, publié quelques jours avant le récent pic d’inquiétude suscité par la variole du singe, les employés du laboratoire d’Emergent ont « intentionnellement cherché à tromper les inspecteurs du gouvernement sur les problèmes » de son usine de Baltimore et ont également « repoussé » à plusieurs reprises les tentatives d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson d’inspecter leurs installations. « Malgré des signaux d’alarme importants dans son usine de fabrication de vaccins, les dirigeants d’Emergent ont balayé ces problèmes sous le tapis et ont continué à encaisser l’argent des contribuables », a déclaré lors de la publication du rapport Carolyn Maloney (D-NY), Présidente de la Commission de Surveillance et de Réforme de la Chambre des Représentants. Ces « signaux d’alarme majeurs » sont pourtant présents tout au long de l’histoire de la société, pour qui veut bien prendre le temps de regarder.

Quelques jours seulement après la publication du rapport du Congrès, Emergent Biosolutions a annoncé qu’elle allait acquérir les droits exclusifs mondiaux du « premier antiviral oral contre la variole approuvé par la FDA pour tous les âges » auprès de la société Chimerix. Ce médicament, appelé TEMBEXA, est uniquement destiné au traitement de la variole, que la société qualifie de « menace de santé publique hautement prioritaire ». Le communiqué de presse relatif à l’acquisition de TEMBEXA par la société indique que des contrats de plusieurs millions de dollars avec le gouvernement américain sont prévus pour ce produit. La FDA a officiellement approuvé le médicament en juin dernier.

Emergent Biosolutions détient également les droits sur le vaccin antivariolique connu sous le nom d’ACAM2000, qui peut également être utilisé pour traiter la variole du singe. Le vaccin, initialement produit par Sanofi, a été acquis par la société en 2017. Par conséquent, la société dispose d’un véritable monopole sur les vaccins antivarioliques, car ACAM2000 est « le seul vaccin autorisé par la FDA pour l’immunisation active contre la variole chez les personnes déterminées comme étant à haut risque d’infection par la variole. »

Compte tenu de leurs antécédents, il convient de se demander pourquoi Emergent Biosolutions s’est efforcée ces derniers mois d’orienter une grande partie de ses activités vers les traitements antivarioliques. Toutefois, aucune spéculation n’est nécessaire pour constater que les craintes actuelles liées à la variole contribuent à sauver cette entreprise, dont les actions avaient chuté d’environ 26% depuis le début de l’année avant que les inquiétudes liées à la récente épidémie de variole ne prennent de l’ampleur.

Quelle que soit l’issue de l’affaire de la variole du singe, le bilan des décennies d’activité de Emergent Biosolutions est indéniablement marqué par la corruption et le copinage.

Une « armure biologique » pour l’empire commercial chancelant de Ron Perelman

SIGA Technologies, qui compare ses produits à une  » armure biologique humaine « , affiche une citation de Bill Gates en haut de sa page d’accueil. Cette citation se lit comme suit : « […] la prochaine épidémie pourrait naître sur l’écran d’ordinateur d’un terroriste désireux d’utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole […] ». La citation est tirée du discours de Bill Gates à la Conférence de Munich sur la Sécurité de 2017, où il a utilisé la menace spécifique de la variole pour justifier la fusion de la « sécurité sanitaire » et de la « sécurité internationale ». Fait notable, en mars dernier, la Conférence sur la Sécurité de Munich a hébergé une simulation de pandémie mondiale causée par un « virus de la variole du singe génétiquement modifié. » [NdT. je traduirai quelques points de cet édifiant document]

SIGA est le parfait exemple d’une entreprise qui cherche à trouver sa place entre « sécurité sanitaire » et « sécurité internationale ». Elle fournit spécifiquement « des solutions pour des besoins non satisfaits sur le marché de la sécurité sanitaire qui comprennent des contre-mesures médicales contre les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), ainsi que les maladies infectieuses émergentes ». La majorité des contrats relatifs aux contre-mesures médicales CBRN aux États-Unis sont financés par le Pentagone. Bien qu’elle se présente comme une entreprise axée sur les menaces CBRN, SIGA se concentre, pour l’instant, uniquement sur la variole.

En effet, SIGA Technologies n’est actuellement rentable qu’en cas d’épidémie réelle de variole ou d’une maladie connexe, ou lorsque la crainte d’un événement bioterroriste lié à la variole est élevée. C’est précisément cette dernière crainte qui a permis à l’entreprise de remporter des contrats gouvernementaux pour produire du TPOXX pour le Stock National Stratégique (SNS). En effet, le TPOXX est uniquement utilisé pour traiter l’infection active par la variole ou la variole du singe, et non pour la prévenir. Cela signifie qu’il n’est utile que si la variole, la variole du singe ou une maladie apparentée infecte activement des personnes ou s’il existe un risque élevé que l’une de ces maladies infecte bientôt de grands groupes de personnes. Le TPOXX a été approuvé pour la première fois en 2018 par la FDA et a été approuvé par l’Agence Européenne du Médicament (EMA) en janvier dernier. La FDA a approuvé une version intraveineuse du TPOXX pas plus tard que jeudi dernier. Au total, SIGA a reçu plus d’un milliard de dollars du gouvernement américain pour développer le TPOXX.

SIGA travaille actuellement en partenariat avec le BARDA du HHS, le Ministère de la Défense, le CDC et les NIH. Un autre partenaire est la société Lonza, une entreprise européenne de fabrication de produits pharmaceutiques qui est associée à la fois au Forum Economique Mondial et à Moderna. Le PDG de SIGA, Phillip Gomez, est un ancien de PRTM Consulting, où il a dû travailler en étroite collaboration avec Robert Kadlec, puisque les deux hommes se sont côtoyés en tant que directeurs de la société et ont tous deux conseillé des agences gouvernementales sur des questions de santé publique et de biodéfense.

Il faut souligner également que SIGA est probablement la seule entreprise de l’empire commercial du prédateur Ron Perelman qui ne soit pas accablée par des montagnes de dettes. Perelman est l’un des prédateurs d’entreprises les plus connus des années 1980, qu’il a procédé à des rachats d’entreprises financés par des obligations pourries, notamment celles liées à la société Drexel Burnham Lambert de Michael Milken. Les tactiques commerciales de Perelman sont depuis longtemps dictées par son tempérament volcanique et son caractère impitoyable. L’ancien PDG de Salomon Brothers, John Gutfruend, a fait remarquer un jour que « croire que M. Perelman ne nourrit aucune intention hostile revient à croire que la petite souris existe ». [NdT. la petite souris qui échange les dents de lait contre une pièce de monnaie, vous connaissez]

Perelman est également connu comme mécène de longue date de la famille Clinton, même si, plus récemment, il a fait des dons aux campagnes politiques de Donald Trump. Perelman a apparemment commencé à s’intéresser à l’influence des Clinton après avoir épousé Patricia Duff en 1994. Duff était très liée au Parti Démocrate, pour avoir travaillé pour le sondeur Démocrate Pat Cadell, et elle avait également travaillé pour la commission de la Chambre qui a « enquêté » sur les assassinats de John F. Kennedy et de Martin Luther King Jr. Avant d’épouser Perelman, elle avait été mariée au magnat du cinéma Michael Medavoy et avait « présenté Clinton à l’establishment d’Hollywood », selon le Washington Post.

En tant qu’épouse de Perelman, Duff s’est présentée comme l’une des principales collectrices de fonds du Parti Démocrate, le dîner de collecte de fonds de 1995 en étant le symbole. En 1995, Perelman a également assisté à un dîner à 1.000 dollars le couvert à New York pour les Clinton, où Perelman était assis en face du Président, ainsi qu’à un dîner d’État pour le président du Brésil à la Maison Blanche.

La générosité de Perelman envers la machine politique des Clinton lui a valu d’être nommé par ces derniers au conseil d’administration du Kennedy Center en 1995. Il est probable que les Clinton aient eu pour lui d’autres gestes moins publics, car Perelman a offert beaucoup plus à la Première Famille qu’il ne semble avoir reçu en retour. Parmi les faveurs accordées par Perelman à Bill Clinton, la plus notable est sans doute l’offre d’emplois qu’il a faite à des membres de son administration en proie à des scandales, Webster Hubbell et Monica Lewinsky, à la suite de leurs controverses respectives. Cependant, après que ces offres d’emploi aient été rendues publiques, Hubbell et Lewinsky ont tous deux été licenciés, ces offres ayant toutefois ensuite attiré l’attention de l’avocat indépendant Ken Starr. Ce dernier n’a jamais assigné à comparaître ni enquêté sur Perelman ou sur les offres qu’il avait faites à Hubbell ou Lewinsky.

Les embauches controversées avaient été convenues entre Perelman et Vernon Jordan, conseiller de Clinton, qui siégeait au conseil d’administration de Revlon, une société contrôlée par Perelman, tandis que sa femme siégeait au conseil d’administration d’une autre société appartenant à Perelman. Jordan était connu pour être le  » passeur de Clinton vers les hauts et les puissants  » et avait emmené Clinton à la conférence Bilderberg de 1991. Au sujet de la décision d’engager Lewinsky à la suite du scandale, un ancien associé de Perelman a déclaré au Washington Post que « c’est comme dans la mafia, tout fonctionne selon un code », ajoutant que « je peux vous assurer que Ronald a pris la décision de donner le poste à Lewinsky. Et je peux vous assurer qu’il ne voulait pas savoir pourquoi Jordan le demandait. »

En 1995, Perelman a organisé une collecte de fonds pour Clinton dans son manoir, avec comme invités le chanteur Jimmy Buffett, l’acteur de Miami Vice Don Johnson, la femme de l’acteur Michael Douglas à l’époque, Deandra, et le coprésident du DNC Don Fowler [NdT. Le Comité national démocrate (en anglais : Democratic National Committee, abrégé en DNC) est un organisme politique américain chargé de diriger le Parti Démocrate au niveau national]. Parmi les autres invités figuraient A. Paul Prosperi, un copain corrompu de Clinton, et le désormais tristement célèbre Jeffrey Epstein. Clinton a personnellement participé à la collecte de fonds. Selon le Palm Beach Post, les invités avaient donné au moins 100.000 dollars au DNC pour assister au dîner avec le Président. Cela se passait, bien sûr, à l’approche des élections de 1996, et le DNC a fait l’objet d’un examen approfondi pour collecte illégale de fonds. Cette collecte de fonds n’a pas été la seule interaction d’Epstein avec Perelman – Perelman sera plus tard répertorié comme un invité fréquent d’Epstein dans le portrait de Vanity Fair de 2003 écrit par Vicky Ward et figure dans le livre noir des contacts d’Epstein.

Pendant la majeure partie des années 2000, Perelman a régné sur une fortune massive et en croissance constante. Pourtant, depuis 2020, Perelman « s’est débarrassé de ses actifs. De beaucoup d’actifs. Rapidement. » Cela a commencé par la vente de tableaux de valeur chez Sotheby’s et s’est bientôt étendu à la société d’investissement de Perelman, MacAndrews & Forbes, qui a cédé sa participation dans deux sociétés la même année, dont 1 milliard de dollars d’actions de Scientific Games. Selon MoneyWeek, la valeur nette de Perelman a chuté de 19 milliards de dollars en 2018 à 4,2 milliards de dollars à la fin de 2020, « suscitant des conjectures selon lesquelles il serait à court d’argent. » Au cours de l’année dernière, Perelman a continué à « réduire ses effectifs », cherchant à vendre son domaine dans les Hamptons pour 115 millions de dollars, un autre domaine de 57 acres d’une valeur de 180 millions de dollars et deux maisons de ville dans l’Upper East Side de Manhattan pour 60 millions de dollars.

D’autres actifs détenus par la société de Perelman, MacAndrews & Forbes, croulent également sous les dettes. L’un des rares actifs de la société qui n’est pas à ce jour en pleine hémorragie d’argent ou en prise avec des dettes est sa participation dans SIGA Technologies. La société principale de Perelman, MacAndrews & Forbes, a longtemps été l’un des principaux investisseurs de SIGA et reste son principal actionnaire, contrôlant 33% de toutes ses actions.

Depuis que Perelman est impliqué dans SIGA, la compagnie fait l’objet d’accusations de corruption. Par exemple, en mai 2011, SIGA a obtenu un contrat sans appel d’offres d’une valeur d’environ 433 millions de dollars pour développer et produire 1,7 million de doses d’un médicament antiviral contre la variole. À l’époque, rien ne prouvait que le médicament antiviral en question était capable de traiter la maladie et certains membres du personnel du HHS se sont émus du fait que le retour sur investissement de SIGA dans le cadre de ce contrat était « scandaleux. » Le contrat a alors fait l’objet d’une enquête, car on craignait qu’il n’ait été attribué à SIGA précisément parce qu’elle était contrôlée par Perelman, qui avait fait des dons importants à Barack Obama. À l’époque, CNN a noté ce qui suit au sujet des liens de Perelman avec la Maison Blanche d’Obama:

« Ronald Perelman est l’actionnaire majoritaire de Siga Technologies et un militant et collecteur de fonds de longue date du Parti Démocrate. Il est également un gros contributeur des Républicains, mais il est particulièrement ami avec la Maison Blanche d’Obama.

Andy Stern, ancien président du Syndicat International des Employés de Service, qui a eu des relations étroites avec l’administration Obama et qui a soutenu les initiatives du président Barack Obama en matière de soins de santé, fait également partie du conseil d’administration de Siga. »

Du fait de ces préoccupations et du potentiel conflit d’intérêt, une enquête du Congrès a été ouverte. Quelques jours après avoir appris la menace qui pesait sur ce contrat gouvernemental clé, les dirigeants de SIGA ont vendu de grandes quantités d’actions de la société à un prix moyen de 13,46 dollars par action, ce qui a rapporté des millions de dollars à son Directeur Général et à son Directeur Scientifique de l’époque. Un mois plus tard, la société annonçait que son contrat avait été réduit et les actions de la société étaient tombées à moins de 2 dollars en décembre.

Étant donné les précédentes accusations de « pay-to-play » [NdT. en gros, pots-de-vin] entourant le rôle de Perelman dans l’entreprise pendant l’administration Obama, alors que le Président Joe Biden était Vice-Président, que devons-nous penser du récent battage médiatique autour de la variole du singe? Ou des inquiétudes soulevées l’année dernière concernant un événement bioterroriste impliquant la variole?

Il est peut-être plus important de poser d’autres questions: pourquoi le rôle de Perelman dans SIGA a-t-il été largement occulté ou totalement ignoré dans les récents communiqués sur cette entreprise? De même, pourquoi les épouvantables antécédents d’Emergent Biosolutions ont-ils également été exclus des récents communiqués, y compris des principales plaintes déposées par le Congrès contre la société il y a moins de deux semaines? Il semble que la peur générée par la variole du singe ne fait pas que stimuler les actions de ces deux sociétés pourries, elle aide aussi le public à oublier leurs anciens péchés.

Auteur

Whitney Webb

Whitney Webb est une rédactrice, chercheuse et journaliste professionnelle depuis 2016. Elle a écrit pour plusieurs sites web et, de 2017 à 2020, a été rédactrice en chef et journaliste d’investigation principale pour Mint Press News. Elle écrit actuellement pour The Last American Vagabond.


Texte original

Monkeypox Fears May Rescue Endangered Corporations

Two corrupt companies were in rocky financial territory just a few weeks ago. Now, with concerns over a global monkeypox outbreak being hyped by media and global health organizations alike, the worries – and sins – of these two firms are quickly being forgotten.

by Whitney Webb – May 20, 2022

In recent days, concern over a global outbreak of monkeypox, a mild disease related to smallpox and chickenpox, has been hyped in the media and health ministries around the world, even prompting an emergency meeting at the World Health Organization (WHO). For some, fears have centered around monkeypox being the potential “next pandemic” after Covid-19. For others, the fear is that monkeypox will be used as the latest excuse to further advance draconian biosecurity policies and global power grabs.

Regardless of how the monkeypox situation plays out, two companies are already cashing in. As concern over monkeypox has risen, so too have the shares of Emergent Biosolutions and SIGA Technologies. Both companies essentially have monopolies in the US market, and other markets as well, on smallpox vaccines and treatments. Their main smallpox-focused products are, conveniently, also used to protect against or treat monkeypox as well. As a result, the shares of Emergent Biosolutions climbed 12% on Thursday, while those of SIGA soared 17.1%.

For these companies, the monkeypox fears are a godsend, specifically for SIGA, which produces a smallpox treatment, known by its brand name TPOXX. It is SIGA’s only product. While some outlets have noted that the rise in the valuation of SIGA Technologies has coincided with recent concerns about monkeypox, essentially no attention has been given to the fact that the company is apparently the only piece of a powerful billionaire’s empire that isn’t currently crumbling.

That billionaire, “corporate raider” Ron Perelman, has deep and controversial ties to the Clinton family and the Democratic party as well as troubling ties to Jeffery Epstein. Aside from his controlling stake in SIGA, Perelman has recently made headlines for rapidly liquidating many of his assets in a desperate bid for cash. 

Similarly, Emergent Biosolutions has also been in hot water. The company, which has troubling ties to the 2001 Anthrax attacks, came under fire just under two weeks ago for engaging in a “cover up” over quality control issues relating to their production of Covid-19 vaccines. A Congressional investigation found that quality control concerns at an Emergent-run facility led to more than 400 million doses of Covid-19 vaccines being discarded. The Emergent factory in question had been shut down by the FDA in April 2021. They were allowed to reopen last August before the government terminated the contract. Given that the majority of the company’s business is tied to US government contracts, the loss of this contract, and the accompanying poor publicity, the news that its smallpox vaccine may soon be of international interest is likely seen as a godsend by the company. 

Notably, this the second time in a year that both companies have benefitted from pandemic or bioterror fears propagated by the media. Last November, speculation rose that a re-emergence of the eradicated virus that causes smallpox would soon take place. This first began with Bill Gates’ comments on the prospects of smallpox bioterrorism during a November 4th, 2021 interview and was followed by the November 16th announcement of a CDC/FBI investigation into 15 suspicious vials labeled “smallpox” at a Merck facility in Philadelphia. Now, roughly six months later, the same fears are again paying off for the same two companies.

A Killer Enterprise

Emergent Biosolution was previously known as BioPort. The company was founded by Fuad el-Hibri, a Lebanese businessman, who leveraged his contacts with powerful US former military officials and politicians, to take control of a flailing Michigan factory. It was the only factory authorized to produce an anthrax vaccine.

The anthrax vaccine was known to have major problems even before BioPort had acquired it, and is believed by many investigators to be one of the main causes of “Gulf War” syndrome. The vaccine itself, originally developed at Fort Detrick, had little to no safety track record at the time it was administered to US troops in the First Gulf War – a problem that was never remedied. However, its chronic safety issues and its clumsy, multi-dose regimen would later prompt BioPort/Emergent Biosolutions to spend years developing a new formulation of its anthrax vaccine.

The creation of BioPort coincided with the Clinton administration’s efforts to mandate the anthrax vaccine for all members of the US Armed Forces. With control over the only source of anthrax vaccine, BioPort was poised to make a killing.

Once the company acquired the Michigan facility, it took large amounts of US government funds, ostensibly to make improvements at the site. However, the company declined to use the funds to make the necessary repairs, instead spending that money on its executives’ offices, as opposed to the vaccine factory, and millions more on bonuses for “senior management.” Pentagon auditors would later find that still millions more had gone “missing” and BioPort’s staff were unaware of the cost of producing a single dose of the vaccine. Despite the clear mismanagement and corruption, BioPort demanded to be bailed out by the Pentagon, and they were. Meanwhile, the Michigan facility lost its license after a government inspection found numerous safety issues.

However, by August 2001, BioPort stood to lose the Pentagon contracts – its only source of income. The Pentagon began preparing a report, due to be released in September 2001, that would detail a plan for letting BioPort go. Thanks to the September 11, 2001 attack on the Pentagon, that report was never released. Shortly thereafter, the 2001 anthrax attacks began.

Just months before, BioPort had contracted Battelle Memorial Institute to help rescue its flailing vaccine program. The deal gave Battelle “immediate exposure to the vaccine” and it was used in connection with the Pentagon-funded, gain-of-function anthrax program that involved both Ken Alibek and William C. Patrick III, two bioweapons experts with deep ties to the CIA. That program was housed at Battelle’s West Jefferson facility in Ohio. That facility is believed by many investigators to be the source of the anthrax used in the 2001 attacks.

The ensuing panic from the anthrax attacks led the Department of Health and Human Services (HHS) to intervene. They gave BioPort its license back in January 2002 despite persisting safety concerns at its vaccine production facility in Michigan. BioPort was not content to merely see its past contracts with the Pentagon restored, however, as it began lobbying heavily for new contracts for anthrax vaccines intended for American civilians, postal workers and others. They would get them, largely thanks to HHS’ then-counter-terrorism adviser and soon to be HHS’ newest Assistant Secretary — Jerome Hauer. Hauer would later join the board of BioPort, after it reformed as Emergent Biosolutions, in 2004.

Such examples of cronyism are more common than not when it comes to Emergent Biosolutions. Indeed, the company has frequently relied on individuals who spend their careers passing through the “revolving door” between the pharmaceutical industry and government, particularly those who also moonlight as bioterror alarmists. One of the main individuals critical to the company’s success over the years has been Robert Kadlec. Kadlec served as the top bioterror advisor to the Pentagon in the weeks leading up to the 2001 anthrax attacks. Months prior, he had participated in the June 2001 simulation Dark Winter, which “predicted” major aspects of the subsequent anthrax attacks. Kadlec subsequently crafted much of the legislation that would create the country’s subsequent bioterror/pandemic response policy, including BARDA and the Strategic National Stockpile.

Soon after leaving government, Robert Kadlec helped found a new company in 2012 called “East West Protection,” which develops and delivers “integrated all-hazards preparedness and response systems for communities and sovereign nations.” The company also “advises communities and countries on issues related to the threat of weapons of mass destruction and natural pandemics.”

Kadlec formed the company with W. Craig Vanderwagen, the first HHS Assistant Secretary for Preparedness and Response (a position Kadlec had helped write into law and would later hold himself). The other co-founder of East West Protection was Fuad El-Hibri, the founder of BioPort/Emergent Biosolutions, who had just stepped down as Emergent’s CEO earlier that year.

Kadlec then became a consultant. Kadlec’s consultancy firm, RPK Consulting, netted him $451,000 in 2014 alone, where he directly advised Emergent Biosolutions as well as other pharmaceutical companies like Bavarian Nordic. Kadlec was also a consultant to military and intelligence contractors, such as the DARPA-backed firm Invincea and NSA contractor Scitor, which was recently acquired by SAIC.

Kadlec would return to government as HHS ASPR under Trump, a position which he held at the time the Covid-19 crisis began. The year prior, in 2019, Kadlec had conducted a months-long simulation focused on a global pandemic originating in China called Crimson Contagion. Once the Covid-19 crisis began in earnest, he played a major role in securing Covid-19 vaccine contracts for Emergent Biosolutions, despite his conflicts of interest, some of which he had declined to disclose upon being appointed to serve as ASPR.

Emergent Biosolutions’ pattern of corrupt behavior, beginning with its anthrax vaccine, can be seen with its recent actions as it relates to its production of Covid-19 vaccines. Per the recent Congressional report, released just days before the recent spike in concern over monkeypox began, Emergent lab workers “intentionally sought to mislead government inspectors about issues” at its Baltimore-based plant and also repeatedly “rebuffed” efforts by AstraZeneca and Johnson & Johnson to inspect their facilities. “Despite major red flags at its vaccine manufacturing facility, Emergent’s executives swept these problems under the rug and continued to rake in taxpayer dollars,” House Oversight and Reform Committee Chairwoman Carolyn Maloney (D-NY) stated upon the report’s release. Yet such “major red flags” can be found throughout the company’s entire history, for those willing to take the time to look.

Just days after the Congressional report was released, Emergent Biosolutions announced that it would acquire the exclusive worldwide rights to the “first FDA-approved Smallpox Oral Antiviral for all ages” from the company Chimerix. The drug, called TEMBEXA, is only for the treatment of smallpox, which the company refers to as “a high priority public health threat.” The press release on the company’s acquisition of TEMBEXA states that multi-million US government contracts for the product are anticipated. The FDA formally approved the drug last June.

Emergent Biosolutions also has the rights to the smallpox vaccine known as ACAM2000, which can also be used to treat monkeypox. The vaccine, originally produced by Sanofi, was acquired by the company in 2017. As a result, the company has an essential monopoly over smallpox vaccines as ACAM2000 is “the only vaccine licensed by the FDA for active immunization against smallpox disease for people determined to be at high risk of smallpox infection.”

Given their track record, it’s worth asking why Emergent Biosolutions has been working in recent months to pivot much of its business into smallpox treatments. However, there is no speculation needed when observing that the current monkeypox fears and helping rescue the company, whose shares had fallen some 26% year to date before concern over the recent monkeypox outbreak began to grow.

Whatever comes of the monkeypox situation, Emergent Biosolutions’ decades-long track record is undeniably one of corruption and cronyism.

BioArmor” for Ron Perelman’s Flailing Business Empire

SIGA Technologies, which likens its products to “Human BioArmor”, features a quote from Bill Gates at the top of its about page. The quote reads: “[…] the next epidemic could originate on the computer screen of a terrorist intent on using genetic engineering to create a synthetic version of the smallpox virus […]” The quote is from Bill Gates’ speech to the 2017 Munich Security Conference, where he used to the threat specifically of smallpox to argue that “health security” and “international security” be merged. Notably, last March, the Munich Security Conference hosted a simulation of a global pandemic caused by a “genetically engineered monkeypox virus.”

SIGA is one example of a company that seeks to find its niche in the middle of “health security” and “international security.” It specifically provides “solutions for unmet needs in the health security market that comprises medical countermeasures against chemical, biological, radiological, and nuclear (CBRN) threats, as well as emerging infectious diseases.” The majority of contracts for CBRN medical countermeasures in the US are funded by the Pentagon. While it promotes itself as a CBRN threat-focused company, SIGA is, for now, singularly focused on smallpox.

Indeed, SIGA Technologies is only currently profitable in the event of an actual outbreak of smallpox or a related disease, or when fear of a smallpox bioterror event is high. Specifically, concern over the latter has led to the company to win government contracts to produce TPOXX for the Strategic National Stockpile (SNS). This is because TPOXX is only used to treat active smallpox or monkeypox infection, not prevent it. This means that it is only useful if smallpox, monkeypox or a related disease is actively infecting people or if there is a high risk that one of these diseases will soon infect large groups of people. TPOXX was first approved in 2018 by the FDA and was approved by the European Medicine Agency (EMA) this past January. The FDA approved an intravenous version of TPOXX just this past Thursday. Overall, SIGA has received over $1 billion from the US government to develop TPOXX.

SIGA is currently partnered with HHS’ BARDA, the Department of Defense, the CDC and the NIH. Another partner is Lonza, a European pharmaceutical manufacturing firm that is partnered with both the World Economic Forum and Moderna. SIGA’s CEO, Phillip Gomez, is an alumni of PRTM Consulting, where he would have worked closely with Robert Kadlec, as the two men overlapped as directors of the firm and both worked advising government agencies on matters of public health and biodefense.

SIGA is also notable because it is possibly the only company in the business empire of corporate raider Ron Perelman that is not attached to growing mountains of debt. Perelman is one of the notorious corporate raiders from the 1980s who conducted corporate takeovers fueled by junk bonds, particularly those connected to Michael Milken’s Drexel Burnham Lambert. Perelman’s business tactics have long been informed by his volcanic temper and his ruthlessness, with former Salomon Brothers CEO John Gutfruend once remarking that “believing Mr. Perelman has no hostile intentions is like believing the tooth fairy exists.”

Perelman is also known for being a long-time patron of the Clinton family, even though, more recently he donated to Donald Trump’s political campaigns. Perelman apparently first became interested in courting influence with the Clintons after marrying Patricia Duff in 1994. Duff was deeply connected to the Democratic Party, having worked for Democratic pollster Pat Cadell, and she had also worked for the House panel that “investigated” the assassinations of John F. Kennedy and Martin Luther King Jr. Prior to marrying Perelman, she had been married to movie mogul Michael Medavoy and had “introduced Clinton to the Hollywood establishment,” according to the Washington Post. 

As Perelman’s wife, Duff styled herself a leading Democratic fundraiser, with the 1995 fund-raising dinner being emblematic of that. Also, in 1995, Perelman attended a $1,000-a-plate dinner in New York for the Clintons, where Perelman sat across from the President, as well as a state dinner for Brazil’s president at the White House.

For Perelman, his generosity to the Clinton political machine resulted in an appointment by Clinton to the board of trustees of the Kennedy Center in 1995. Other, less public gestures from the Clintons were likely, as Perelman offered much more to the First Family than he appears to have received in return. Perhaps most notable of Perelman’s favors for Bill Clinton was his offering of jobs to scandal-ridden members of his administration, Webster Hubbell and Monica Lewinsky, in the wake of their respective controversies. However, after the job offers were publicly reported, both Hubbell and Lewinsky were let go, though the offers later caught the attention of independent counsel Ken Starr. Starr never subpoenaed or investigated Perelman or the offers he had made to Hubbell or Lewinsky.

The controversial hirings had been arranged between Perelman and Clinton advisor Vernon Jordan, who sat on the board of Revlon, a Perelman-controlled company, while his wife was on the board of another Perelman-owned firm. Jordan was known as Clinton’s “conduit to the high and mighty” and had taken Clinton to the 1991 Bilderberg conference. On the decision to hire Lewinsky following the scandal, a former business associate of Perelman’s told the Washington Post that “It’s like the Mafia, it’s all done in code,” adding that “I can assure you that Ronald made the decision to give Lewinsky the job. And I can assure you he wouldn’t want to know why Jordan was asking.”

In 1995, Perelman held a Clinton fundraiser at his mansion, with guests including singer Jimmy Buffett, Miami Vice actor Don Johnson, actor Michael Douglas’ then-wife Deandra and DNC co-chair Don Fowler. Other guests included A. Paul Prosperi, a corrupt Clinton crony, and the now infamous Jeffrey Epstein. Clinton himself attended the fundraiser. According to the Palm Beach Post, guests had donated at least $100,000 to the DNC to attend the dinner with the President. This was, of course, in the lead up to the 1996 election, and the DNC would later come under heavy scrutiny due to illegal fundraising. This fundraiser was not Epstein’s only interaction with Perelman – Perelman would later be listed as a frequent dinner guest of Epstein’s in the 2003 Vanity Fair profile penned by Vicky Ward and is listed in Epstein’s black book of contacts.

For most of the 2000s, Perelman has sat atop a massive, ever-growing fortune. Yet, since 2020, Perelman has “been unloading assets ‘A lot of them. Rapidly.’” It stated with sales of valuable paintings at Sotheby’s and soon extended to Perelman’s investment company MacAndrews & Forbes, which disposed of its interest in two companies that same year, including $1 billion in shares in Scientific Games. According to MoneyWeek, Perelman’s net worth dropped from $19 billion in 2018 to $4.2 billion in late 2020, “prompting speculation that he’s runnings out of money.” Over the course of last year, Perelman has continued to “downsize”, looking to sell off his estate in the Hamptons for $115 million, another 57-acre estate worth $180 million and two townhouses in Manhattan’s Upper East Side for $60 million. 

Other assets held by Perelman’s company MacAndrews & Forbes are also drowning in debt. One of the few assets of the company that isn’t currently haemorrhaging money or struggling with debt is its shares in SIGA Technologies. Perelman’s main company, MacAndrews & Forbes, has long been one of SIGA’s biggest investors and remains its largest shareholder, controlling 33% of all shares.

Since Perelman got involved with SIGA, accusations of corruption have plagued the company. For instance, in May 2011, SIGA was given a no-bid contract worth about $433 million to develop and produce 1.7 million doses of anti-viral drug for smallpox. At the time there was no evidence the smallpox drug in question was capable of treating the disease and there was alarm among some HHS staffers that SIGA’s return on investment from the contract was “outrageous.” The contract began to be investigated over concerns that the contract had been awarded to SIGA precisely because it was controlled by Perelman, who had donated heavily to Barack Obama. At the time, CNN noted the following about Perelman’s connections to the Obama White House:

Ronald Perelman is controlling shareholder of Siga Technologies and a longtime Democratic Party activist and fundraiser. He’s also a large contributor to Republicans, but has been a particular friend of the Obama White House.

Also on Siga’s board of directors is Andy Stern, former president of the Service Employees International Union, who has had close relations with the Obama administration and who has supported President Barack Obama’s health care initiatives.”

As a result of these concerns and the potential conflict of interest, a congressional investigation began. Days after learning that this key government contract may be in jeopardy, SIGA executives sold off large amounts of company stock at an average price of $13.46 per share, netting its Chief Executive Officer and Chief Scientific Officer at the time millions of dollars. A month later, the company announced that its contract had been downsized and shares in the company fell to under $2 by that December.

Given past “pay-to-play” accusations around Perelman’s role in the firm during the Obama administration, when President Joe Biden served as Vice President, what are we to make of the recent media hype around monkeypox? Or concerns raised last year of a bioterrorism event involving smallpox? 

Perhaps it’s more important to ask other questions – why has Perelman’s role in SIGA been largely obfuscated or totally ignored by recent reporting on the company? Similarly, why has Emergent Biosolutions’ horrific track record also been excluded from recent reports, including the major complaints from Congress made against the company less than two weeks ago? It seems the fear being generated around monkeypox is not only boosting shares for these two rotten companies, it’s helping the public forget their past sins.

Author

Whitney Webb

Whitney Webb has been a professional writer, researcher and journalist since 2016. She has written for several websites and, from 2017 to 2020, was a staff writer and senior investigative reporter for Mint Press News. She currently writes for The Last American Vagabond.

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir – par Monica Hughes.

Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.

Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.

Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)

Et voilà.

Source.


Traduction

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir

Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme

Monica Hughes, PhD

24 avril

Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.

J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.

Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.

Un moratoire sur les « vaccins » à ARNm est nécessaire

J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:

Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.

C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.

La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.

Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.

Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.

Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.

S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).

Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.

Le monde tourne à l’envers.

Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.

D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.

Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.

Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.

J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.

J’avais tort.

Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.

Quelle idiote j’étais.

Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?

Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.

Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?

Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.

Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.

Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.

Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.

En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.

Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.

Non.

Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.

J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.

J’ai juré de ne plus jamais voter.

En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.

J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.

Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.

Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »

Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].

Sommes-nous en train de jouer leur jeu?

Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de  » Nuremberg 2 « , ni de  » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]

Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.

Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].

Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.

Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.

Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.

Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.

J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.

Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?

Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.

L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.

Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.

L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.

Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.

Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)

Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].

Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.

Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.

Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».

Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:

Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.

Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.

S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.

https://rumble.com/v11vnhh-trump-on-vaccines-i-think-the-other-side-actually-poisoned-people-on-it.html

Au mieux, ils reformuleront les vaccins et tenteront de  » vendre  » ceux-ci aux gens. Si la « prochaine pandémie », dont ce bon vieux Billy Boy parle sans cesse, est le H5N1, de nombreuses personnes feront effectivement la queue pour les recevoir:

Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.

Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.

Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.

Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:

« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »

Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.

L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.

Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.

On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »

Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »

Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.

J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.


Texte original

Our Ancestors Voted for Your Right to Die

Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future

Monica Hughes, PhD

Apr 24

Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.

I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.

His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.

A Moratorium on mRNA ‘Vaccines’ is Needed

I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:

To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.

Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.

I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.

I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.

I was wrong.

Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.

Silly me.

Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.

I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.

I vowed never to vote again.

In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.

I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.

It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.

Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”

Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.

Are we playing into their hand?

My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.

I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.

It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.

If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.

And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.

I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.

For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.

But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”

Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:

At best, they’ll reformulate the vaccines and attempt to “sell” people on those. If the “next pandemic” that good ole Billy Boy is always talking about is H5N1, then many people will indeed line up for them:

They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.

So just come to terms with it and get ready for it:

That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.

I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.

Responsables.

Le problème du pouvoir est toujours et partout le même: gérer le troupeau. A cet effet, il dispose d’un arsenal d’outils. Economiques, technologiques, médicaux, culturels… On peut y inclure quasiment toutes les disciplines sociétales. Il suffit au pouvoir de savoir s’en servir. C’est leur métier.

Tous ces outils permettent d’opérer in fine l’enjeu profond de toutes les civilisations: l’eugénisme. La pauvreté, la détresse, l’incertitude, la peur, l’ignorance sont extrêmement efficaces pour faire baisser le taux de natalité. Quand ils ne suffisent plus, il y a des moyens plus radicaux.

Injectables.

Ou militaires.

Ces outils, que le pouvoir a confisqués pour assurer sa propre pérennité, appartiennent au peuple. Pour éviter les conséquences tragiques de ce qu’on veut lui imposer de force, la solution serait que le peuple recommence à les mettre en oeuvre lui-même.

L’eugénisme et la génétique ne sont pas l’apanage du Diable, ils sont l’affaire des familles. Quand on choisit la mère ou le père de ses enfants, quand on le/la choisit de sa propre ethnie ou non, on fait de la génétique. Quand on décide du nombre de ses enfants, on fait de l’eugénisme. On les pratique surtout à leur juste mesure. Tout comme la santé, ce sont des affaires individuelles. L’Etat n’a pas à y fourrer son nez. Bill Gates non plus.


Vous aviez le choix en 2017. Les Français avaient à portée de main un candidat humble, bienveillant, politiquement cultivé et parfaitement capable de gérer le pays. Un candidat qui avait sacrifié son petit confort personnel au service de son pays. Il s’appelait François Asselineau.

Aujourd’hui, ce candidat n’a même pas pu se présenter. Comme en 2017, vous avez le choix entre un petit dictateur et une rombière incompétente.

Le premier a fait depuis cinq ans – au moins – la preuve cinglante de sa nocivité et de sa malveillance. Le nombre de victimes des injections est, à dessein, impossible à évaluer mais si on se base sur les chiffres américains, il doit être considérable. La stérilité va devenir un problème majeur pour l’ensemble de la société, pendant que l’obligation vaccinale déjà revue à la hausse avant le Covid continuera à handicaper les enfants – encore une fois, voir les chiffres américains, qui montrent qu’un enfant sur dix est dans la sphère autistique et 54% souffrent de maladie chronique. Voilà le vrai visage de l’eugénisme d’Etat.

On peut également prédire que Macron appliquera, dès la diffusion du prochain mutant de laboratoire – on nous annonce le H1N1, probablement cette année – l’équivalent des mesures de confinement délirantes actuellement en phase d’essai à Shanghaï – sur lesquelles je reviens dans un article en cours de traduction – qui contiendra l’inflation par l’immobilisation de la circulation monétaire, le temps d’offrir à ses supérieurs de la haute finance une nouvelle opportunité de juteuses opérations avant le crash final.

Le même vous promet des tickets de rationnement alimentaire pour soutenir l’effort militaire du front Nazi contre la Russie, voire d’y envoyer des troupes, ce qui, après la destruction économique du pays, laisse augurer sa destruction physique à court terme, le tout justifié par la comédie de son alter ego et condisciple des Young Global Fascists Leaders, acteur cocaïnomane coupable de « purification ethnique » (13.000 morts), subventionnée par les Etats-Unis. Si vous avez le moindre sens de l’Histoire, tout ça devrait vous rappeler quelque chose. Quelque chose qui a coûté la vie à plus de vingt millions de Russes.

Le peuple russe est l’ami du peuple français. Du moins du peuple français dont ils ont gardé le souvenir, celui d’il y a trois générations, qui bossait dur, respectait son pays et votait à droite, parce qu’ils n’avaient pas peur qu’on attende d’eux qu’ils se comportent en Français et en chrétiens. Les russes d’aujourd’hui bossent toujours aussi dur, respectent toujours leur pays et votent à droite plus que jamais. Ce sont des gens intelligents et courageux. On a pas besoin de leur rappeler qu’ils sont russes et orthodoxes. Le fait que ça puisse effrayer un bon nombre de Français en dit long sur la chute libre de leur courage et de leur perception de leur propre identité.

La deuxième candidate est payée pour ne pas dire ce qu’elle sait et ne rien savoir du reste. Comme son père, son boulot est essentiellement d’occuper la chaise qui fait face au vainqueur désigné d’avance et donner l’illusion d’un débat. Un chien avec un chapeau ferait le boulot.

Le RN, anciennement FN, est une plaisanterie. Un faux parti, repoussoir politique mis en selle par la gauche de Mitterand, dont la seule raison d’être est de ne jamais assumer le pouvoir. S’il l’avait voulu, le FN disposait dans ses rangs des deux seules personnalités politiques présidentiables en France depuis trente ans – excepté Asselineau – capables de balayer toutes les autres. Le premier était Bruno Gollnisch, soigneusement évincé par le père Le Pen lors de sa succession et mis sur la voie de garage de la députation européenne. Gollnisch avait le niveau, la culture et la carrure. Je pense encore aujourd’hui qu’il aurait fait un excellent Président, peut-être le meilleur de l’Histoire. Encore aurait-il fallu que le peuple le comprenne.

La deuxième était Marion Auque-LePen. Je la désigne sous le nom auquel elle pourrait prétendre – c’est juste mon avis personnel – parce qu’elle est, avant d’être une Le Pen, la digne fille de son vrai père, un de ceux qui font une différence dans le cours de l’Histoire – les agents secrets. Elle est même plus que ça, en fait.

Marion, c’est Marianne.

Mais voilà, elle n’a pas voulu. On peut la comprendre. Elle aussi a le niveau, la culture et la carrure d’une Présidente. Mais honnêtement, qui voudrait présider à la destinée de 70 millions d’enfants, dont autant se sont égarés sur la route du « progrès »?

Avant de vouloir changer de pouvoir, il faut changer les électeurs. Il doivent commencer par digèrer leur vieux syndrome de Stockholm, et cesser d’imaginer que leur bourreau cessera tôt ou tard d’être ce pour quoi il est payé. « Si on est gentils avec lui, il sera peut-être gentil avec nous. » Non, ça ne marchera pas.

Ce qui pourrait marcher, c’est que le peuple trouve lui-même des solutions. La France a perdu une grande partie de son autonomie, et on ne la lui rendra pas. C’est donc à partir de la base – donc, du citoyen – qu’il faut la réinstaurer. Des coopératives, des potagers familiaux, villageois ou urbains, des sources d’énergie locales, et mille autres choses à créer ou à retrouver. Bref, des initiatives. Tout ce qui aurait dû être fait depuis des décennies – Reiser en parlait il y a quarante ans – et qui est maintenant particulièrement urgent, avant que l’Enfer se déchaîne.

A force que le peuple se retienne du choix difficile de l’autonomie et du travail qu’elle implique, quelqu’un s’est glissé dans le créneau pour vendre sa camelote. Si vous votez pour le Grand Reset, vous aurez leur version de l’autonomie: ne rien posséder, et être heureux. C’est-à-dire possèder un code QR et être obéissants.

Je ne sais pas si mettre à l’Elysée Machin-chose Le Pen changera le cours de l’Histoire. Probablement pas. Elle recevra les mêmes feuilles de route des mêmes treize familles. Ce qui changerait vraiment serait de lui signifier, à elle et à ses commanditaires, que le peuple se chargera de tout, merci bien, et qu’elle s’occuperait utilement à choisir de nouvelles tentures pour les fenêtres de son palais temporaire, à y passer un coup d’aspirateur et un coup de chiffon sur le dessus des portes.

Ou bien c’est trop tard. La tâche est impossible. Le courage n’est plus là. Mieux vaut tout laisser détruire et choisir l’homme de confiance de Davos, dont c’est la mission. Mieux vaut se réfugier dans sa cellule urbaine et le Metaverse, sans rien savoir de la beauté magique de ce magnifique pays.

Je ne sais pas et de toute manière, comme je ne suis pas Français, on ne me demande pas mon avis.

Mais on vous le demande, à vous.

Rupert Darwall évoque les sombres origines de l’environnementalisme.

En plus d’être auteur de deux bouquins, The Age of Global Warming: A History (2013) et Green Tyranny: Exposing the Totalitarian Roots of the Climate Industrial Complex (2017) dont il est question ici, Rupert Darwall est consultant en stratégie pour diverses organisations et analyste politique. Il a écrit de nombreux articles pour des journaux comme The Spectator, le Wall Street Journal, National Review, le Daily Telegraph, le New York Post, Prospect, et Financial Times. Il fait partie de la CO² Coalition, dont l’objectif est d' »éduquer les leaders d’opinion, les décideurs et le public sur l’importante contribution du dioxyde de carbone et des combustibles fossiles à nos vies et à l’économie. »

Son point de vue est un peu biaisé lorsqu’il s’agit de défendre le modèle du tout-pétrole: je doute que le fracking soit plus qu’un dernier recours ou qu’il soit écologiquement anodin. Je publierai à ce sujet l’analyse très différente de Elliott Freed sur le sujet du pétrole et de l’énergie [Addendum 24/04: la peste soit de mon incroyable distraction, je l’ai déjà publié]. Je publie ici Rupert Darwall pour son historique du mouvement « vert » ou, comme il le désigne, du complexe industriel du climat. Je n’ai pas lu le bouquin mais il ne mentionne pas dans l’interview la motivation première de l’Allemagne, d’ordre plus pratique qu’idéologique, puisqu’ils ne disposent évidemment d’aucune ressource pétrolière nationale et que leur agriculture et leur élevage sont largement insuffisants pour leur permettre l’autonomie – excellente raison pour vouloir annexer la France.

Voici une interview, qui date de début 2018, avant qu’on ne parle (plus que) du Forum Economique Mondial, du Grand Reset et du Green New Deal – et avant la présente redistribution des cartes sous formes de « sanctions économiques ». Il y fait le lien entre la célèbre doctrine eugéniste et l’environnementalisme ainsi qu’un bref historique de ses incarnations politiques ultérieures.

On comprendra en (re)lisant cet article sur le greenwashing que si leurs successeurs actuels s’inscrivent également dans la tradition eugéniste, il est aussi judicieux de leur confier la préservation de la Nature que de confier ses enfants à Michel Fourniret ou pire, la France à Emmanuel Macron – qui veut, notez au passage, un premier ministre « écologique ».

On fera aussi et surtout un lien utile entre le suicide énergétique occidental voulu par ses élites et leur vieille ambition malthusienne de dépopulation – en bon français, de génocide.

Source.


Traduction

Rupert Darwall évoque les origines inquiétantes de l’environnementalisme

RENCONTRES PRIVÉES: ÉPISODE II

Par Ben Weingarten | 31 janvier 2018

Rupert Darwall présente son nouveau livre, Green Tyranny : Exposing the Totalitarian Roots of the Climate Industrial Complex [La tyrannie verte : les racines totalitaires du complexe industriel du climat dénoncées], à Ben Weingarten. Vous pouvez regarder leur interview ci-dessous et lire la transcription complète de leur discussion, légèrement modifiée pour plus de clarté.

Ben Weingarten: Rupert, dans Green Tyranny, vous écrivez « Pratiquement tous les thèmes du mouvement environnemental moderne sont préfigurés » dans le soutien des nazis à l’énergie éolienne dans les années 1930. Expliquez-nous cela.

Rupert Darwall: Si on examine les actions des nazis dans les années 1930 et leur politique environnementale, on constate que pratiquement tous les thèmes que l’on retrouve dans le mouvement environnemental moderne sont ceux des nazis. Il se trouve que, historiquement, les nazis ont été le premier parti politique au monde à avoir un programme d’énergie éolienne. Il se trouve également qu’ils étaient contre la consommation de viande [NdT. à propos] et qu’ils considéraient comme un énorme gaspillage le fait que tant de céréales servaient à nourrir le bétail plutôt qu’à faire du pain. Il se trouve aussi qu’ils avaient l’équivalent de règles d’économie de carburant parce que leur essence était la plus chère d’Europe et que très peu de gens conduisaient des voitures… Le fait le plus remarquable que j’ai trouvé est cette citation d’Adolf Hitler, qui a dit un jour à un assistant: « La politique ne m’intéresse pas. Ce qui m’intéresse, c’est de changer le mode de vie des gens. » Ça pourrait être… C’est extraordinairement contemporain. Ça résume le mouvement environnemental moderne. Il s’agit de changer le mode de vie des gens.

Ben Weingarten: Le sous-titre de votre livre est « Les racines totalitaires du complexe industriel du climat dénoncées ». Vous parlez des pratiques nazies axées sur l’environnementalisme, et vous étudiez comment les socialistes se sont mêlés au fil du temps à ces anciens nazis. Expliquez-nous le lien entre le nazisme et le communisme, et le parcours depuis cette union [initiale] jusqu’au mouvement climatique actuel.

Rupert Darwall: Ce lien est profondément ancré dans l’histoire de l’Allemagne, dans l’histoire de l’Allemagne d’après-guerre, parce que au cours des 30 premières années après 1945, l’Allemagne… l’Allemagne de l’Ouest, en fait, était un modèle de démocratie occidentale. Je cite dans le livre un écrivain de gauche qui se plaint que le SPD (Parti Social Démocrate d’Allemagne), le parti de gauche, l’équivalent des Démocrates, a délaissé la lutte des classes pour adopter le mode de vie américain. L’Allemagne est devenue  » une Amérique intégrée à l’Europe « . Cela s’est mis à changer dans les années 1970. Dans aucun autre pays d’Europe occidentale ni en Amérique, on n’a vu un tel afflux de radicaux d’extrême gauche – la Nouvelle Gauche, l’Ecole de Francfort – accéder au pouvoir dans les années 1980 et 1990. Ce qui est très significatif, c’est la façon dont la Nouvelle Gauche, ces radicaux extrémistes, ont embrassé les prises de position environnementales des nazis.

Ben Weingarten: Expliquez-nous la logique tordue et perverse qui mène de l’anticapitalisme à l’environnementalisme. Où ces points de vue se croisent-ils?

Rupert Darwall : Ben, vous avez mis le doigt dessus… l’anticapitalisme est le trait d’union, de même que l’anti-liberté individuelle. Et que l’on désigne ces idéologies comme étant d’extrême gauche ou d’extrême droite, ce sont ces éléments qui les unissent. Pour l’extrême droite, les catégories de base sont liées à la biologie et à la race. Pour l’extrême gauche, c’était autrefois les classes sociales. Mais l’extrême gauche a abandonné la classe ouvrière, lorsque celle-ci ne s’est pas révoltée comme Marx et Engels l’avaient prédit. Elle a en fait abandonné la rationalité et la classe ouvrière, et a déclaré : « La classe ouvrière a été ensorcelée par le consumérisme », etc. [NdT. voir mon petit article sur Reiser – j’insiste] Elle a ensuite adhéré à la politique irrationnelle que pratiquait l’extrême droite. Ce fut donc l’une des façons dont l’extrême-gauche se tourna vers… les attitudes antirationnelles et nihilistes des nazis.

Ben Weingarten: C’est fascinant. Dans votre livre, vous passez en revue diverses idéologies et vous montrez qu’elles construisent une coalition autour de plusieurs facteurs, l’anticapitalisme en tant que tel… et aussi l’environnementalisme et le mouvement anti-guerre. Et pourtant, lorsqu’il est question de changement climatique, il s’agit théoriquement de science, et non d’idéologie politique. N’est-ce pas là par définition un point critique?

Rupert Darwall: Ce qu’il faut comprendre et ce que j’ai appris, en fait, en écrivant ce livre, c’est qu’il faut regarder les actes plutôt que les paroles. Face au changement climatique, nous sommes censés recourir à l’énergie éolienne et solaire. Mais lorsqu’on donne le choix aux Allemands entre la réduction des émissions de carbone et l’abandon de l’énergie nucléaire, ils choisissent d’abandonner l’énergie nucléaire. De tous les pays d’Europe occidentale, l’Allemagne est traditionnellement la plus hostile à l’énergie nucléaire. Le mouvement pacifiste des années 1970 est en fait né d’une manifestation anti-nucléaire – le nucléaire civil. Et il s’est très vite mué en mouvement – lorsque Reagan [a été élu] et [a encouragé] le développement des armements et ainsi de suite, les Pershing et les missiles de croisière – il est passé de l’anti-nucléaire civil à l’anti-développement des armements occidentaux en réponse aux [missiles] SS-20 soviétiques. Tous ces éléments se rejoignent donc. Mais comme je le dis dans mon livre, le réchauffement climatique sert de prétexte à un programme environnemental radical. Leur objectif premier n’est pas là… Il faut le chercher ailleurs.

Ben Weingarten: Vous écrivez, et c’est très pertinent, « Le passage au vert de l’Europe a été le prix payé par l’Occident pour avoir remporté la guerre froide. » Serait-il juste de dire que le mouvement écologiste d’aujourd’hui est en fait une nouvelle phase de la guerre froide?

Rupert Darwall: L’Allemagne de l’Ouest était la cheville ouvrière de l’Alliance Atlantique en Europe. Le Kremlin a décidé d’installer ces SS-20 et a menacé de couper l’Alliance Atlantique en deux, car ces missiles étaient en mesure de frapper l’Europe mais pas les États-Unis. Il y avait donc une grande asymétrie. Et c’est Helmut Schmidt, le leader ouest-allemand du SPD, qui a été le premier à s’en inquiéter en déclarant que cela menaçait l’avenir de l’Alliance Atlantique, [et] que l’OTAN devait se rééquilibrer. Un dirigeant allemand a donc déclaré que nous devions installer des missiles nucléaires à moyenne portée en Allemagne de l’Ouest. Cela a provoqué une énorme réaction négative en Allemagne de l’Ouest, que l’extrême gauche et l’Union Soviétique ont exploitée. Cela a vraiment complètement déstabilisé la politique allemande. Cela l’a fait basculer à gauche. Le SPD ne s’en est jamais remis. Cela a conduit à la montée des Verts, et les Verts, fondés en 1980, sont très rapidement devenus un mouvement pacifiste. Et un grand nombre de personnes dans le mouvement pacifiste étaient aussi des Verts. Tous ces courants se sont donc regroupés.

Ce qui est intéressant, c’est que la guerre froide fut gagnée à la fin des années 80. Qui en est sorti vainqueur? Ce sont les Verts. On connaît la phrase célèbre… « la longue marche à travers les institutions » [NdT. slogan inventé par le militant étudiant communiste Rudi Dutschke vers 1967 pour décrire sa stratégie pour établir les conditions de la révolution]. C’est ce qu’ils ont fait, et ils ont abouti en 1998, à la première coalition  » rouge-vert  » à Berlin. Ils ont pris le contrôle de toutes les institutions, puis ils ont pris le contrôle du gouvernement fédéral grâce à la coalition rouge-vert.

Ben Weingarten: L’influence allemande est essentielle dans votre livre, mais vous soulignez également l’influence de la Suède. On ne pense pas traditionnellement à la Suède comme à une puissance dominante, pourtant vous soulignez qu’elle est critique en matière d’environnementalisme, et vous vous concentrez également sur la personne et l’impact, en particulier, d’Olof Palme. Expliquez-nous en quoi consiste le « soft power » de la Suède en matière d’environnement.

Rupert Darwall: Oui, lorsqu’il s’agit d’exposer les racines totalitaires de ceci [le « complexe industriel climatique »], celles des allemands, des nazis, si vous voulez, sont évidentes. Qu’en est-il de la Suède? La Suède est-elle totalitaire? En fait, la Suède connaît une forme de totalitarisme mou. Ils ont eu un gouvernement social-démocrate. Ça a été le plus long gouvernement à parti unique, qui a duré des années 1920 aux années 1970, donc [il a eu] un impact extraordinaire, extraordinaire sur la Suède. C’est ce parti qui a créé la Suède moderne. Les sociaux-démocrates suédois peuvent revendiquer une descendance en ligne directe de Marx et Engels. Et ils croient en l’ingénierie sociale. Ils ont pratiqué l’ingénierie sociale dans la Suède moderne, et ils ont utilisé des outils de contrôle social pour changer la façon dont les gens pensent, pour changer la façon dont les gens se comportent. Il y a une citation dans le livre d’Olof Palme qui disait alors qu’il était ministre de l’éducation : « Nous n’enseignons pas aux gens l’individualité, nous leur apprenons à être membres d’un groupe. » Et un fonctionnaire de l’éducation a déclaré: « Nous croyons en la liberté de renoncer à la liberté. » Ce n’est pas comme les régimes de l’ancien bloc de l’Est, c’est un régime très… Je pense qu’on l’appelle à juste titre un régime totalitaire mou.

Vous [mentionnez] l’impact de la Suède sur la politique environnementale… [il est] largement sous-estimé. Ce pays de 12 millions d’habitants a donné le coup d’envoi du [mouvement] environnemental moderne, au niveau mondial – ce n’est pas Rachel Carson ni la Journée de la Terre, c’est la Suède qui a lancé la politique de l’environnement à l’échelle mondiale. Elle a convoqué la première conférence des Nations Unies sur l’Environnement en 1972 à Stockholm, celle qui a inauguré la série de conférences des Nations Unies sur le climat, en passant par Rio, Kyoto, Paris, etc. Ils ont également introduit la thématique des pluies acides à l’échelle mondiale. Ils ont lancé la guerre contre le charbon… Dans un premier temps, par rapport aux pluies acides, ils souhaitaient mettre en place un vaste programme d’énergie nucléaire, et ils ont cherché à diaboliser le charbon. Sans énergie nucléaire, il faut du charbon, or le charbon est sale et détruit les forêts et les lacs. Et d’ailleurs, il provoque le changement climatique. La Suède a été le premier pays à parler du changement climatique. Olof Palme parlait déjà de changement climatique en 1974, en novembre 1974. A l’époque, Al Gore était encore étudiant en droit. Sur le sujet du changement climatique, ils ont donc devancé tout le monde.

Ben Weingarten: Vous qualifiez le mouvement des pluies acides de répétition générale du mouvement actuel de réchauffement global et de changement climatique. Quelles sont les implications de cette histoire de pluies acides?

Rupert Darwall: L’histoire des pluies acides est méconnue et elle mérite d’être racontée. Il s’agit d’un véritable scandale scientifique. Ses parallèles avec le réchauffement climatique sont très intéressants. Les pluies acides et le réchauffement climatique ont tous deux été exploités par les Suédois dans le cadre de la guerre contre le charbon. Les deux ont majoritairement impliqué les mêmes personnes. Le premier président du GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] était suédois, c’était un proche d’Olof Palme et c’est lui qui a rédigé le premier rapport gouvernemental sur les pluies acides. Les académies scientifiques nationales d’Amérique du Nord et d’Europe occidentale ont unanimement déclaré:  » Les données scientifiques sur les pluies acides sont plus certaines que celles sur le changement climatique « . Il est intéressant de noter que cette affirmation était erronée… Les sols, les forêts, les lacs et les cours d’eau n’étaient pas acidifiés par des pluies acides causées par les émissions des centrales électriques, elles ont été causées par les changements dans la gestion des terres. Si on prend l’exemple des Adirondacks, on voit à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle l’industrie du bois faire son apparition. On a abattu beaucoup d’arbres. On a brûlé les souches. Cela a modifié le sol, qui était auparavant très acide et qui acidifiait les lacs. Ça les a modifiés. Ça a réduit leur acidité. On trouvait à l’époque du poisson sauvage, du saumon. Lorsque le [Président William] McKinley a été assassiné, Theodore Roosevelt passait ses vacances à y pêcher. On y attrapait du poisson.

Puis les écologistes sont intervenus pour dire:  » Il faut laisser ces arbres.  » Le sol s’est ré-acidifié. La réalité scientifique était que l’acidification était causée par la formation des sols et les changements dans les modes de gestion des terres. Le plus intéressant, le vrai scandale, c’est que l’EPA [Agence de Protection de l’Environnement américaine] savait que ces données scientifiques étaient fausses et supprimait ces données au moment où les Clean Air Act Amendments [NdT. lois contre les pluies acides] étaient adoptés. Ils ont ensuite, ce qui est une honte, dénigré le principal scientifique qui avait formulé cette critique. Ils l’ont accusé de ne pas être un véritable scientifique. Ils ont fait machine arrière quand il a menacé de les attaquer en diffamation et de les traîner en justice. Ils lui ont envoyé des excuses par FedEx. Ils ont ensuite continué à mentir en disant: « En fait, ce n’est pas parce qu’il aurait pu se tromper sur le plan scientifique, mais parce que nous n’étions pas d’accord avec ses conclusions, c’est ça qui lui a déplu. » En privé, ils étaient en fait d’accord avec ses conclusions et pourtant, à ce jour, sur le site web de l’EPA, ils soutiennent que ce sont les pluies acides qui provoquent l’acidification des lacs.

Ben Weingarten: Le changement climatique est-il une fraude?

Rupert Darwall: Je n’utiliserais pas le mot fraude. Ma critique est de deux ordres. Tout d’abord, il a été politisé dès le départ, comme le montre très clairement le livre. Le réchauffement climatique a été instrumentalisé – il a en quelque sorte été créé. Ses fondements scientifiques ont été dégagés pour des raisons politiques. Ensuite, il y a la manière dont la science est présentée. Elle est présentée de manière systématiquement biaisée. Les incertitudes, les hypothèses et les professions de foi ne font l’objet d’aucune critique. Il en résulte une vision très unilatérale de la science, ce qui est une piètre version de la science. Le manque d’ouverture à la critique, le fait que les personnes qui remettent les choses en question, les prévisions et ainsi de suite, soient délégitimées et qu’on leur dise qu’elles sont des négationnistes du climat est fondamentalement anti-scientifique. Je n’utiliserais donc pas le mot « fraude ». Ma première critique serait qu’il a toujours été politique. Il a été développé dans un but politique. Ma deuxième critique concerne la façon dont la science est présentée. Dans les chapitres consacrés à la création du GIEC [Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Changement Climatique], il est très clair que [pour obtenir] les politiques visées, [les politiciens favorables au changement climatique] devaient prouver qu’il y aurait une catastrophe, ce qu’ils nomment une « transformation », une sorte de transformation écologique, pour justifier la réduction des émissions. Ils ont donc procédé à une rétro-ingénierie qui remonte de cette conclusion jusqu’à la théorie scientifique, et ainsi de suite.

Ben Weingarten: La théorie du changement climatique, telle qu’elle est communément admise, ressemble à ceci: le climat est en train de changer. En tant qu’êtres humains, nous contribuons à ce changement, qui pourrait se traduire par une hausse des températures. Et nous devons restreindre notre activité afin de contrer tous ces effets potentiellement catastrophiques », ce qui aboutit au final à une redistribution massive des richesses du Premier Monde vers le reste du monde. Comment cette opinion a-t-elle pu s’imposer aux élites du monde universitaire, à la culture populaire et aux médias? L’attribuez-vous aux actions du « complexe industriel du climat », comme vous l’appelez?

Rupert Darwall : Quand on parle du complexe industriel du climat… tout d’abord, on parle de fondations américaines multimilliardaires. On parle des différents fonds Rockefeller, de Pew, de MacArthur. De toutes ces fondations gigantesques qui financent ce genre de choses depuis l’époque où la fondation Rockefeller a financé l’Ecole de Francfort. Lorsque l’Ecole de Francfort, ces universitaires post-marxistes d’extrême-gauche allemands, ont fui l’Allemagne nazie, ils sont venus en Amérique. Leur séjour dans ce pays a été en partie financé par ces fondations. Leur retour a été financé par l’une des fondations Rockefeller. Ils sont impliqués dans ce jeu depuis très longtemps, et à cela s’ajoutent tous les climatologues et les milliards de dollars de financement de la recherche sur le climat. [Les climatologues] dépendent de cet afflux. Ils doivent poursuivre dans cette voie s’ils veulent continuer à recevoir des subventions. Et ensuite, il y a les [mouvements] éoliens et solaires. Et ce ne sont pas des milliards, mais des centaines de milliards [de dollars qui soutiennent les organisations concernées]. C’est colossal.

Et en première ligne, il y a ce que j’appelle les « troupes de choc » du complexe industriel du climat: les ONG. Il [ne] s’agit [pas seulement] des gens du World Resources Institute – qui incarne le côté intellectuel le plus respectable – il y a aussi les gens de terrain, comme Greenpeace et Friends of the Earth, les Bill McKibben de ce monde. Là encore, quand on voit d’où vient leur argent, c’est en grande partie de ces grandes fondations, celles de la côte ouest. Il vient aussi des milliardaires de la Silicon Valley. On a donc affaire à quelque chose de très grand, de très puissant et d’extrêmement bien financé.

Ben Weingarten: Ce complexe industriel du climat a fait adopter des politiques d’énergie verte dans toute l’Europe. Quel en a été l’impact?

Rupert Darwall: L’impact concret a été une énorme augmentation des coûts de l’énergie. Il y a un graphique dans [le livre] que j’appelle le « bâton de hockey des énergies renouvelables » [NdT. la croissance en bâton de hockey est une croissance soudaine et extrêmement rapide après une longue période de croissance linéaire] parce qu’il montre qu’à partir d’un certain niveau, les coûts énergétiques ne cessent d’augmenter. Ainsi, les Allemands et les Danois paient le kilowatt/heure environ 30 centimes d’euro, qui correspondent plus ou moins aux centimes américains. Alors qu’aux États-Unis, le prix est de 10 à 12 cents américains par kilowatt/heure. Lorsque le ministre allemand de l’énergie verte a déclaré que les fournisseurs d’énergie allaient passer à l’énergie éolienne et solaire, il a ajouté que cela ne coûterait pas plus que l’équivalent d’une boule de glace sur la facture mensuelle d’électricité. Cette boule de glace coûtera 1 trillion d’euros jusqu’en 2030. C’est la boule de glace la plus chère de l’Histoire.

Ben Weingarten: Une autre boule de glace très coûteuse nous vient de l’Accord de Paris sur le Climat. Vous écrivez que le débat autour de cet accord est un « combat pour l’âme de l’Amérique ». Expliquez-nous ce que vous entendez par là.

Rupert Darwall: Oui. Il y a deux raisons à cela. La première raison est que pour faire aboutir l’accord de Paris et le mettre en œuvre, Barack Obama a dû fondamentalement subvertir l’esprit de la Constitution des États-Unis. L’Accord de Paris est un traité qui n’a pas été soumis au Sénat, il a été ostensiblement conçu de manière à ce qu’il n’ait pas besoin d’être soumis au Sénat. Dans le même ordre d’idées, le Clean Power Plan a été élaboré par l’EPA. Il n’a été soumis à aucune des deux chambres du Congrès. Alors que lorsqu’il s’agissait des pluies acides, les Amendements à la Loi sur la Pureté de l’Air sont passés par les deux chambres du Congrès. Une question comme celle des pluies acides a donc été traitée correctement, par voie législative, alors qu’avec le dioxyde de carbone et le réchauffement climatique – qui est un problème économique beaucoup plus important – le Congrès a été ignoré. Voilà la première raison.

La deuxième raison est liée au comportement du complexe industriel du climat et à la stratégie qu’il emploie pour gagner la bataille, qui consiste à fermer le débat, à délégitimer la dissidence et à réduire les gens au silence. L’avant-dernier chapitre du livre s’intitule « La spirale du silence ». Il s’agit de la notion qui dit que lorsque les gens n’entendent pas d’arguments s’exprimer sur la place publique, ils cessent de les formuler eux-mêmes. Ils cessent même de savoir ce qu’ils croient… Donc il est possible de supprimer le débat, de supprimer les arguments, non pas en présentant un argument, mais en s’assurant simplement qu’il n’y en a aucun. Et je pense que… en fin de compte, la Constitution des États-Unis s’articule autour du Premier Amendement, le droit à la liberté d’expression, mais c’est là un principe formel. La vraie question est l’essence même de la capacité à s’exprimer librement, et c’est ce qui est en danger.

Selon ma perception, il existe une autre dimension, c’est de tenter de rendre l’Amérique plus semblable à l’Europe. L’Europe est un continent de lassitude. C’est un continent en déclin. C’est un continent où on pense que l’énergie doit être rationnée, que les choses doivent être préservées. L’Amérique, c’est le dynamisme, c’est un avenir meilleur, et cet avenir meilleur – il n’y a rien qui illustre mieux cet avenir meilleur que la révolution du fracking. C’est ce qui s’est produit de plus extraordinaire dans le domaine de l’énergie depuis des décennies, car on nous disait que le pétrole s’épuisait, que nous avions atteint le « pic pétrolier », que la production allait diminuer. Ce pétrole a toujours été là, mais jusqu’à l’arrivée de la fracturation horizontale, il ne pouvait pas être commercialisé. Et regardez ce qui s’est passé, ça a transformé… Il y a une abondance d’énergie. Et l’Amérique dans ce qu’elle a de meilleur est un pays d’abondance. Et les écologistes nous disent: « Non, vous n’avez pas le droit. Vous devez le laisser dans le sol. Vous devez être pauvres. Vos lendemains seront moins riches que votre présent. » Pour moi, c’est fondamentalement anti-américain.

Ben Weingarten: Dans la même veine, il y a la croyance et la tradition américaines profondément ancrées dans le capitalisme de libre marché, en tant que facteur essentiel de l’exploitation de ressources limitées et de la création d’abondance à partir de celles-ci. Il y a une citation dans votre livre que j’aimerais que vous développiez et qui a trait à ce point. Vous écrivez: « Le changement climatique est une éthique pour les riches: Il légitime les grandes accumulations de richesses. En s’engageant à le combattre, les chefs d’entreprise et les milliardaires respectueux du climat ne sont pas considérés comme faisant partie du dixième des 1% les plus riches. Cela signifie un changement profond dans la nature et la moralité du capitalisme. » Pouvez-vous nous donner plus de détails à ce sujet?

Rupert Darwall: Oui. Pour reprendre le dernier point, Adam Smith a dit que ce n’est pas par charité que le boulanger […] produit du pain, c’est en raison de son intérêt personnel – que dans une société de marché capitaliste, les gens font des choses les uns pour les autres, non pas en vertu de bons sentiments, mais parce qu’il est dans leur intérêt de le faire. Lorsque on entend des capitalistes dire: « Je vais faire quelque chose, même si cela me coûte », cela nous interroge. Pourquoi les milliardaires de la Silicon Valley soutiennent-ils l’énergie verte alors que nous savons que cette énergie coûte cher? Ils sont fabuleusement riches, non? Ils sont incroyablement riches et ils sont incroyablement puissants. Comment défendre cette richesse contre les prédateurs? Il suffit de dire, « Nous sommes là pour sauver la planète. Nous combattons ces méchants capitalistes qui détruisent la planète, qui rendent votre air et celui de vos petits-enfants irrespirable… Nous combattons ces gens. Nous sommes du côté du bien et du sauvetage de la planète. » Je pense que leur motivation est en grande partie liée à la préservation de leur richesse et du pouvoir qu’ils ont acquis.

Ben Weingarten: Face à la situation politique dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui, où il y a un ethos dominant, encore une fois, parmi les élites et les universitaires, dans le gouvernement et la culture, sur le changement climatique, où ils perpétuent et propagent cette perspective en permanence, quels sont les talons d’Achille qui peuvent être exploités pour rivaliser dans cette bataille d’idées?

Rupert Darwall: Le coût le plus élevé pour les partis de gauche, c’est que les partis de gauche étaient censés être les défenseurs des travailleurs. Ils étaient censés dire, « Les intérêts de la classe ouvrière… Nous représentons les intérêts des travailleurs. Ce sont là les intérêts que nous allons défendre. » En fait, ils se sont vendus aux milliardaires verts. Les milliardaires verts ont acheté le Parti Démocrate. Il existe une grande divergence entre ceux qui ont l’argent, les dirigeants, les politiciens, les élites et la base des démocrates. Et c’est là que se situe notre principale opportunité. C’est la principale opportunité au niveau politique. L’opportunité du point de vue économique est simplement que tout ça coûte très cher. Les énergies renouvelables sont incroyablement chères. Les gens veulent-ils payer plus cher leur électricité ou moins cher? C’est clair, ils veulent payer moins.

Tout parti politique… digne de ce nom peut s’attaquer à cela. La gauche est là, assise, en attendant d’être totalement détruite parce qu’elle s’est vendue aux écologistes, qui n’ont nullement à cœur les intérêts des travailleurs. Qui en fait méprisent les travailleurs. Ils méprisent leur goût, ils méprisent leur désir d’une vie meilleure, ils méprisent leur désir de consommation.

BEN WEINGARTEN est Chargé de Recherche au London Center for Policy Research, Collaborateur Principal au Federalist et Fondateur et PDG de ChangeUp Media LLC, une société de conseil en médias et de production dédiée à la promotion des principes conservateurs. Vous pouvez trouver son travail sur benweingarten.com, et le suivre sur Facebook et Twitter.


Texte original

Rupert Darwall on the Alarming Roots of Environmentalism

CLOSE ENCOUNTERS: EPISODE II

By Ben Weingarten | January 31, 2018

Rupert Darwall discussed his new book, Green Tyranny: Exposing the Totalitarian Roots of the Climate Industrial Complex, with our own Ben Weingarten. Watch their interview below along with a full transcript of their discussion, slightly modified for clarity.

Ben Weingarten: Rupert, in Green Tyranny you write “Virtually all the themes of the modern environmental movement are pre-figured” in the Nazi’s support of wind power in the 1930s. Explain this.

Rupert Darwall: If you look at what the Nazis were doing in the 1930s, in their environmental policies, virtually every theme you see in the modern environmental movement, the Nazis were doing. It happens to be historical fact that the Nazis were the first political party in the world to have a wind power program. It also happens to be a fact that they were against meat eating, and they considered…it…terribly wasteful that so much grain went to feed livestock rather than to make bread. It’s also the case that they had the equivalent of fuel economy rules because they had the most expensive gasoline in Europe and so they basically had very few people driving cars…I think actually the most extraordinary thing that I came across was this quote from Adolf Hitler where he told an aide once, “I’m not interested in politics. I’m interested in changing people’s lifestyles.” Well, that could be…That’s extraordinarily contemporary. That is what the modern environmental movement is all about. It’s about changing people’s lifestyles.

Ben Weingarten: And the subtitle of your book is “Exposing the Totalitarian Roots of the Climate Industrial Complex.” You have Nazi practices that are focused on environmentalism, and you explore how the socialists have thrown in over time with those former Nazis. Explain the link between Nazism and Communism, and the trajectory from that [initial] union to today’s climate movement.

Rupert Darwall: It’s really embedded in German history, in post-war German history because in the first 30 years after 1945, Germany…West Germany, that is, was a model Western democracy. There’s a left wing writer I quote in the book who complains that the SPD (Social Democratic Party of Germany), the left of center party, the equivalent of the Democrats, gave up the class war and embraced the American way of life. And Germany was like “America embedded in Europe.” That began to change in the 1970s. There is no other country in Western Europe and America that had such an influx of far left radicals — the New Left, the Frankfurt school — rising to power through the 1980s and 1990s. And what is very significant is how the New Left, these extremist radicals, embraced the environmental positions of the Nazis.

Ben Weingarten: Explain the twisted and perverse logic that takes us from anti-capitalism to environmentalism. Where do those views intersect?

Rupert Darwall: Well Ben you absolutely put your finger on it…anti-capitalism is the uniting thing, and anti-freedom of the individual. And whether you care to call it extreme left or extreme right, those are the things that unite those ideologies. Now with…if you like, the extreme right, the basic categories are to do with biology and race. And with the extreme left, it used to be class. But what you had is the extreme left give up on the working class, when the working class didn’t revolt as Marx and Engels predicted. They essentially gave up on rationality, and they gave up on the working class, and they said, “The working class have been bewitched by consumerism,” and so forth. And so they therefore bought into the irrational politics of what had been, if you like, the far right. So that’s another kind of way that the far left twisted itself into…the anti-rational, the nihilistic positions of the Nazis.

Ben Weingarten: And it’s fascinating. In your book, you walk through various ideologies and show them building a coalition around several factors, anti-capitalism in and of itself…environmentalism and the anti-war movement as well. And yet when we talk about climate change, we’re theoretically talking about science, not political ideology. Isn’t that a critical point in and of itself?

Rupert Darwall: The thing to understand and the thing I learned, in fact, in writing this book, is you have to look at what people actually do rather than what they say. With climate change, we are meant to have wind and solar. But when Germans are given a choice…whether they want to cut carbon emissions, or whether they want to close down nuclear power, they choose to close down nuclear power. And of all the countries in Western Europe, Germany has had this tradition of being most hostile to nuclear power. The peace movement of the 1970s actually arose from…an anti-nuclear power — civil nuclear power — protest. And it very quickly morphed into anti – when Reagan [was elected] and [spurred] the arms build-up and so forth, the Pershing and the cruise missiles – it turned from anti-civil nuclear power to anti-the Western arms build-up in response to the Soviet SS-20s [missiles]. So all these things come together. But as I put it in the book, global warming is a pretext for a radical environmental agenda. It is not the primary cause that they’re seeking…You have to look for that elsewhere.

Ben Weingarten: And you write, and this is so pertinent, “The greening of Europe was the price the West paid for winning the Cold War.” Would it be fair to say that the environmentalist movement today is in effect another phase of the Cold War?

Rupert Darwall: West Germany was the linchpin of the Atlantic Alliance in Europe. The Kremlin decided to put in those SS-20s and it threatened to cut the Atlantic Alliance in two, because these missiles could hit Europe but they couldn’t hit the United States. So there was a big asymmetry. And it was Helmut Schmidt, the SPD West German leader, who first raised the concern about this when he said this threatens the future of the Atlantic Alliance, [and] NATO must rebalance. And so you had a German leader saying we need to put these medium range nuclear missiles into West Germany. Now that provoked a tremendous backlash in West Germany which the far left exploited, and which the Soviet Union exploited. And it led to…It really completely destabilized German politics. It took it to the left. The SPD have really never recovered from that. It led to the rise of The Greens, and The Greens, founded in 1980, very quickly became the peace movement. And a huge proportion of people in the peace movement were also greens. So all these strands came together.

Now the interesting thing is…the Cold War is won at the end of the 1980s. Who are the people who came out on top? It was people like The Greens. And there’s the famous phrase…about the “long march through the institutions.” That is what they did, and they ended up in 1998, with the first “red-green” coalition in Berlin. They took over all the institutions, and then they took over the federal government in the red-green coalition.

Ben Weingarten: Now the German influence is critical to your book, but you also emphasize the influence of Sweden. We…don’t traditionally think of Sweden as a dominant power, yet you emphasize that they are critical when it comes to environmentalism, and you also focus on the figure and impact, in particular, of Olof Palme. Walk us through Sweden’s “soft power” when it comes to the environment.

Rupert Darwall: Yeah, when we talk about exposing the totalitarian roots of this [the “climate industrial complex”], the German, the Nazi one, if you like, explains itself. What about Sweden? Is Sweden totalitarian? Well, it’s a form of soft totalitarianism [in Sweden]. They’ve had a social democratic government. It was the longest one-party rule from about the 1920s into the 1970s, so [it had an] extraordinary, extraordinary impact on Sweden. This is the party that created modern Sweden. The Swedish Social Democrats can claim direct lineal descent from Marx and Engels. And they believe in social engineering. They have socially engineered modern Sweden, and they used tools of social control to change the way people think, to change the way people behave. There’s a quote in the book from Olof Palme when he was education minister saying, “We don’t teach people individuality, we teach them to be members of a group.” And then there’s an education bureaucrat who says, “We believe in the freedom to give up freedom.” So this is…It’s not like the regimes of the former Eastern Bloc but it’s a very…It’s I think rightly called a soft totalitarian regime.

Now you…[mention] the impact of Sweden on environmental politics…[it is] enormously underestimated. This country of 12 million people, it kicked off the modern environmental [movement], at a global level — not Rachel Carson and Earth Day, but the global politics of the environment was started by Sweden. They called for the first UN Environment Conference in 1972 in Stockholm, which started the string of UN climate conferences going through Rio, Kyoto, Paris and so forth. They also put acid rain on the world. They launched the war on coal…First of all with acid rain, they wanted to have a huge nuclear power program, and they wanted to raise the specter of coals. If you don’t have nukes you have to have coal, and coal is dirty and it destroys the forests and lakes. And by the way, it causes climate change. And so, Sweden is the first country to talk about climate change. Olof Palme was talking about climate change in 1974, in November 1974. That’s when Al Gore was still at law school. This way predates anyone else on climate change.

Ben Weingarten: You characterize the acid rain movement as being the dry run in effect for today’s global warming and climate change movement. What are the implications of the history of acid rain?

Rupert Darwall: The acid rain history is not well known and it needs to be told. It is a genuine scientific scandal. There are very interesting parallels with global warming. Acid rain and global warming were both used by the Swedes for the war on coal. They both involved many of the same people. The first chair of the IPCC happened to…He was a Swede, he was close to Olof Palme and he wrote the first government report on acid rain. The national scientific academies in North America and in Western Europe all said, “The science of acid rain is more certain than any other form of…More certain than climate change.” And the interesting thing is it turned out to be wrong…Soils and forests and lakes and streams weren’t being acidified by acid rain caused by power station emissions, it was to do with changes in land use. So if you take the Adirondacks for example, what had happened there was that in the late 19th century, early 20th century, the lumber industry came along. It cut a lot of trees. It burned the stumps. And that changed the soil from being a very acidic soil where the lakes were acidified. It changed them. It reduced the acidity. So you had game fish, you had salmon. So when [President William] McKinley was assassinated, Theodore Roosevelt was actually on a fishing holiday up there. You could catch fish.

Then the conservationists came and said, “You gotta leave those trees.” The soil re-acidified. The actual science was about acidification being caused by soil creation and changes in land use. Now the truth of this became known just as the Clean Air Act Amendments were being passed by the Congress in the U.S. And what’s really interesting, here’s the real scandal, is the science was known to be untrue by the EPA, as these anti-acid rain laws were being passed and the EPA suppressed the science. They then, quite disgracefully, blackened the name of the leading scientist who developed this critique. They accused him of not being a proper scientist. They backed down when he threatened to libel them, said he’d take them to court. They FedExed an apology to him. They then further lied when they said, “Well actually, he might have got the science wrong, but we disagreed with his conclusions, that was wrong.” In private, they actually agreed with his conclusions and yet to this day you go to the EPA website and they say acid rain causes lakes to acidify.

Ben Weingarten: Is climate change a fraud?

Rupert Darwall: I wouldn’t use the word fraud. What my criticism is, is two-fold. First of all, it was politicized right from the word “go,” as is very clear from the book. Global warming was used — it was kind of created. The science of it was unearthed for political reasons. Secondly is the way that the science is being presented. And the science is being presented in a systematically biased way. There is not criticism of the uncertainties, of the assumptions, of leaps of faith involved. So one’s getting a very one-sided view of the science, and that is bad science. The lack of openness to criticism, the fact that people who question the things, the forecasts and so forth, are delegitimized and told that they’re climate deniers is fundamentally anti-scientific. So I wouldn’t use the word fraud. My criticisms would be, first of all, it has always been political. It has been developed with a political purpose. And secondly, is the way that the science is being presented. And in the chapters on the creation of the IPCC [Intergovernmental Panel on Climate Change], that is very clear, that they had to…[to achieve] the policies they wanted, [climate change-backing politicians] needed to show that there’ll be a catastrophe, what they call a “transformation,” some kind of ecological transformation, to justify emissions cuts. So they back-engineered from that conclusion to the science, and so forth.

Ben Weingarten: Now the theory of climate change as it’s popularly held, goes something like this: The climate is changing. We as human beings are contributing to this change, potentially with temperatures rising. And we have to curb that activity in order to counter all of these potentially catastrophic effects,” ultimately culminating in the mass redistribution of wealth from the First World to the rest of the world. How did that come to be the prevailing opinion held by the elites in academia, pop culture, and media? And do you attribute it to the efforts of the “climate industrial complex” as you term it?

Rupert Darwall: When we’re talking about the climate industrial complex…first of all you’re talking about multi-billion [dollar] American foundations. We’re talking about the various Rockefeller funds, you’re talking about Pew, MacArthur. These huge, huge foundations who’ve been funding some of this stuff really since, well, the Rockefeller Foundation’s been funding [since] the [influx of the] Frankfurt School. When the Frankfurt School, these far-leftist, post-Marxist academics from Germany fled Nazi Germany, they came to America. Part of their time here was financed by these foundations. Their return was financed by one of the Rockefeller Foundations. They’ve been in this game for a very long time, and in addition to which, you then have all the climate scientists and the billions of dollars of climate funding research. They depend on that stream. They’ve got to keep this going to keep the grants coming. And then you’ve got the wind and solar [movements]. And that’s not billions, that’s hundreds of billions [of dollars supporting the relevant organizations]. It’s enormous.

And then out in front of those, you’ve got what I call the “shock troops” of the climate industrial complex: The NGOs. [These include] [n]ot just the people at the World Resources Institute, if you like — they’re the more respectable kind of intellectual end of it — but you’ve got the people who go out there, like Greenpeace and Friends of the Earth, the Bill McKibbens of this world. And again, when you look where they get their money, it comes a lot from these large foundations, West Coast foundations. And it comes from Silicon Valley billionaires. So we are talking about something that is very large, very powerful and extremely well financed.

Ben Weingarten: This climate industrial complex has pushed green energy policies throughout Europe. What’s been the impact?

Rupert Darwall: The actual impact has been a huge increase in energy costs. And there’s a chart in [the book]…which I call…the “Renewable Hockey Stick” because it shows that once you go up above a certain level basically…energy costs just go up and up and up. So if you’re looking at the Germans and Danes, they’re paying around 30 euro cents, which is more or less the same as U.S. cents per kilowatt hour. Whereas in the U.S., you’re paying around 10 to 12 U.S. cents per kilowatt hour. When the German green energy minister said that they were going to have the energy vendor, the transition to wind and solar, he said it would cost no more than the equivalent of a scoop of ice cream on your monthly electricity bill. That scoop of ice cream has turned out to cost 1 trillion euros to the 2030s. It is the most expensive scoop of ice cream you’ll ever see.

Ben Weingarten: Another expensive scoop of ice cream comes in the form of the Paris climate accord. You write that the argument over the accord is a “fight for America’s soul.” Explain what you mean by that.

Rupert Darwall: Yeah. It is for two reasons. The first reason is that to get the Paris agreement done and to have it implemented required Barack Obama essentially to subvert the spirit of the United States Constitution. The Paris Agreement is a treaty which didn’t go to the senate, so it was constructed in a way so ostensibly it didn’t need to go to the senate. Similarly, the Clean Power Plan was constructed by the EPA. It didn’t touch either house of congress. Whereas when they were dealing with acid rain, the Clean Air Act Amendments, they passed through both houses of congress. So something like acid rain was dealt with properly, in a legislative way, whereas with carbon dioxide and global warming — which is economically a much much bigger deal — congress was ignored. That’s the first thing.

But the second thing is to do with the way the climate industrial complex behaves, and how they seek to win the argument, and that is to close down debate; it is to delegitimize dissent; it is to cull people into silence. And the penultimate chapter in the book is called, “The Spiral of Silence,” which is this notion that when people don’t hear arguments in the public square, they cease making those arguments themselves. They stop even knowing what they believe…So you can suppress debate, you can suppress the arguments, not by having an argument but just making sure you don’t have an argument. And I think that…ultimately the United States Constitution depends on the First Amendment, the right to free speech, but that’s a formality. The real thing is the essence of being able to speak freely, and that is what is at risk.

And I think there’s a further dimension to it, in the way I see this is, that this is about trying to make America more like Europe. Europe is a continent of lassitude. It’s a continent in decline. It’s a continent where we believe energy needs to be rationed, we need to preserve things. America is about dynamism, it’s about a better future, and that better future — there’s nothing that shows that better future than the fracking revolution. It is the most extraordinary thing to have happened in energy for decades because we were told the oil was running out, we’d reached “peak oil,” production was going to diminish. This oil was always there, but until fracking, horizontal fracturing came along, it couldn’t be commercial. And look what’s happened, it has transformed…There is energy abundance. And America at its best is a country of abundance. And what the environmentalists are saying is, “No you can’t have it. You have to leave it in the ground. You have to be poor. Your tomorrows will be less rich than your todays.” That to me is fundamentally anti-American.

Ben Weingarten: Relating to that point is the deeply held American belief in and tradition of free market capitalism as essential to leveraging finite resources and creating abundance out of them. And there’s a quote in your book that I’d like you to elaborate on that ties into this point. You write, “Climate change is ethics for the wealthy: It legitimizes great accumulations of wealth. Pledging to combat it immunizes climate-friendly corporate leaders and billionaires from being targeted as members of the top one-tenth of the top one percent. This signifies a profound shift in the nature and morality of capitalism.” Elaborate on that for us?

Rupert Darwall: Yeah. To take the last point, Adam Smith said it isn’t through the charity of the baker or whatever, the [production of] bread, it’s because of their self-interest — that in a capitalist market society people do things for each other, not out of, because of good feelings, but because it’s in their self-interest to do it. When you have capitalists saying, “I’m gonna do something that even if it costs me,” that raises a question mark. Why are the Silicon Valley Billionaires behind green energy when we know green energy costs a lot? Well, they’re fabulously rich, aren’t they? They are unbelievably rich and they are incredibly powerful. How to defend that wealth from predators? Well you’re going to say, “We’re in the business of saving the planet. We’re fighting these evil capitalists who are destroying the planet, making the air you and your grandchildren are gonna breathe…We fight these people. We’re on the side of good and saving the planet.” I think a big part of the motivation is simply preservation of their wealth and preservation of the power they’ve accreted.

Ben Weingarten: When faced with the political situation in which we find ourselves today, where there’s a prevailing ethos, again, among the elites and academia, in government and culture, on climate change, and they’re perpetuating and propagating that perspective perpetually, what are the Achilles heels that can be targeted to compete in this battle of ideas?

Rupert Darwall: Well, the big cost to that and the parties of the left, is the parties of the left were meant to be the champions of working people. They were meant to say, “The interests of the working class…We represent the interests of working people. They’re the interest we’re gonna uphold.” What has actually happened is they’ve sold out to the green billionaires. The green billionaires have bought the Democratic Party. There’s a big divergence between where the money is, where the leadership is, where the politicians are, where the elites are, and the Democrats’ base. And that is the big opportunity. That’s the big political opportunity. The economic one is simply, this stuff is very expensive. Renewables are incredibly expensive. Do people want to have to pay more for electricity or less? Clearly, they want to pay less.

Any political party…worth its name can go after this. The left is there sitting, waiting to be absolutely destroyed because they’ve sold themselves out to environmentalists who do not have the interests of working people at heart. In fact, they actually despise working people. They despise their taste, they despise their desire for a better life, they despise their desire for consumption.

Mordu par un serpent? L’hypothèse des Serpentards – par Mathew Crawford.

Comme promis, j’ai regardé « Watch the water« .

Oh, bon sang…

Quelle épouvantable et toxique ratatouille!

Je posais ici la question de savoir si Stew Peters était un outil de l’opposition contrôlée. On a maintenant la réponse. Ses scénaristes ont même poussé le vice jusqu’à mettre en scène une prétendue descente du SWAT à son domicile, histoire de vendre l’idée que sa vie est menacée pour ses « révélations » (il vend la même idée à propos d’Ardis). La réponse qu’il a diffusée à ce sujet est d’ailleurs très informative: on le montre en pleine action dans sa carrière précédente, qui consistait à arrêter des gens recherchés, pistolet à la main – contre récompense, j’imagine. Un chasseur de primes, en somme, qui s’est trouvé un nouveau métier. Sa chaîne diffuse depuis la première dudit documentaire un chapelet de vidéos triomphalistes qui annoncent la défaite du Mal amenée par cette explosive révélation. Rien que ça.

En ce qui concerne le Dr Ardis, contrairement à certains de ses critiques, je ne le soupçonne pas de maladresse ou de naïveté. Il n’est certes pas médecin mais il a paraît-il passé quatre mois à préparer sa « théorie », là où j’ai mis beaucoup moins longtemps à en voir les trous béants – et je suis ouvrier. Il sait donc très bien ce qu’il fait.

Le côté sournois de ce genre de traître professionel me dégoûtant encore plus que les crapules à la Fauci, je laisse la parole à quelques auteurs sur Substack qui vous expliqueront la mécanique de l’arnaque aussi bien que moi, et surtout de façon plus courtoise. Je risquerais de devenir malpoli, voire désagréable.

Je commence par la critique la moins sévère. Comme je ne fais moi-même aucune promotion de ce blog nulle part, je compte un peu sur mes lecteurs pour diffuser cette article.

Il faut tuer cette histoire dans l’oeuf. C’est de la légitime défense.

Source.


Traduction

Mordu par un serpent? L’hypothèse des Serpentards

La guerre des vaccins Partie XXXIV

Mathew Crawford

15 avril

« Nous, Serpentards, sommes courageux, oui, mais pas stupides. Par exemple, si on nous donne le choix, nous choisirons toujours de sauver notre propre peau. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)

Je ne vous en voudrais pas si vous sautiez la lecture de cet article.

Lorsque Steve Kirsch m’a invité à une réunion avec le Dr Bryan Ardis sur le thème de l’empoisonnement de l’approvisionnement en eau comme origine réelle de la pandémie, j’étais très sceptique et pas particulièrement enthousiaste à l’idée de consacrer du temps à cette rencontre. J’ai néanmoins apprécié la prise de position publique d’Ardis à propos du remdesivir – un médicament coûteux dont l’effet secondaire est de provoquer une insuffisance rénale et qui est utilisé tardivement au cours de l’hospitalisation (généralement trop tard pour qu’un antiviral puisse agir sur un virus qui cesse généralement de se répliquer avant l’hospitalisation), pour enrayer une maladie dont le coefficient de mortalité est extrêmement élevé chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale.

Mais à chaque fois que je le vois parler, j’ai l’impression de regarder une publicité. Est-ce qu’il se prépare chez lui à débiter son texte? Pourquoi ai-je l’impression que c’est ce que je suis en train de regarder? Est-ce que je suis le seul?

J’aurais bien consacré du temps à en discuter en gardant une certaine ouverture d’esprit, ne serait-ce qu’à titre d’exercice, histoire de voir ce qu’il pourrait être nécessaire de mieux comprendre pour faire la différence entre une preuve corrélative et une théorie simpliste. Peut-être m’aurait-il convaincu. À l’époque, je ne savais pas encore que le venin de serpent serait l’aspect le plus intéressant de la discussion.


Qu’est-ce que « Watch the Water » et pourquoi?

Comme je n’ai jamais suivi de près QAnon, je n’avais pas fait le lien, mais…

« Watch the Water » est une phrase de Q et elle est donc utilisée intentionnellement pour permettre à des groupes comme « Right wing watch » de discréditer quiconque la partage ou l’approuve. Mais il se trouvera un contenu véridique, noyé dans le brouhaha, qui se verra discrédité par la même occasion.

Oh là là. Que commence la lutte pour une discussion objective ou au moins éducative au milieu des états mentaux-émotionnels de notre époque! Que nous disent les vérificateurs de faits?

Q N’A PAS PRÉDIT LE BLOCAGE DU CANAL DE SUEZ
Depuis plus de trois ans, les adeptes du tentaculaire réseau conspirationniste QAnon parcourent les publications anonymes sur le web d’un personnage nommé « Q » (qui prétend être un initié du gouvernement avec une habilitation de sécurité top secret) et analysent les déclarations de l’ancien président américain Donald Trump, qui, selon eux, combat secrètement une cabale de prédateurs sexuels d’enfants qui comprendrait des démocrates de premier plan, des élites hollywoodiennes et des alliés de l' »État profond » (ici).
Les utilisateurs des médias sociaux affirmant que Q a prédit la crise du canal de Suez soulignent que Q avait déclaré  » look at the water  » et  » watch the water « , une référence à un message posté par Q le 15 février 2018 (archivé ici).

J’espère sincèrement que le titre du documentaire d’Ardis n’a pas été choisi pour raviver les souvenirs d’un post QAnon extrêmement vague et vieux de plusieurs années. Je crains toutefois que ce soit le cas. Mais, indépendamment de nos préjugés, examinons les sujets dont il est question. Après tout, il s’agit d’un virus présentant des signes manifestes de manipulation génétique [d’éléments dangereux], qui a ensuite été converti en produits biologiques injectables qui furent distribués à des milliards de personnes sans tenir compte de la nécessité de dépasser les normes ordinaires de preuve d’efficacité.

Bien, c’est vraiment intéressant.
Est-ce que #WatchTheWater était une tentative de discréditer la présence de peptides de  » venin de serpent  » dans la protéine de pointe?
Pourquoi? Quelle est l’histoire qu’ils essaient d’enterrer?

Qu’est-ce qui, dans l’histoire d’Ardis, chiffonnerait un observateur au point de penser qu’il s’agit d’une opération psychologique? Combien de personnes le pensent? Ou se posent au minimum la question?

Source: Brian Mowrey

Le documentaire

Suggestion: sautez les dix premières minutes de la vidéo ci-dessous, qui est un composite de musique dramatique et de Stew Peters en train de récapituler sa vision du pandémonium. Mettez à profit ces dix minutes supplémentaires pour effectuer une recherche Internet sur les bibliothèques et les bases de données de toxines. Si ce niveau de difficulté vous rebute, choisissez un moment au hasard dans le documentaire et regardez-le pendant quelques minutes à demi vitesse. Je vous expliquerai plus tard.

https://rumble.com/v10mnew-live-world-premiere-watch-the-water.html

Vous pouvez lire la réaction première de Steve Kirsch ici.

Ma toute première pensée a été: « Pourquoi un examen des liens potentiels entre le venin de serpent (ou d’autres toxines) doit-il nécessairement être associé à une hypothèse sur la façon dont l’approvisionnement en eau a été empoisonné? » Ou bien sont-elles indissociables? S’il existe une raison impérieuse de ne pas distinguer les deux discussions, je ne l’ai pas saisie. Je les aborderai comme deux hypothèses distinctes: (1) l’hypothèse du venin de serpent (HVS) et (2) l’hypothèse de l’empoisonnement de l’eau (HEP). Bien que je ne pense pas que les preuves aient été présentées de manière cohérente, je pense que la HVS est de loin la plus intéressante des deux, ce qui signifie que je présume que j’ai plus de chances d’apprendre quelque chose de valable en l’examinant.

Note: J’ai créé une entrée dans le campfire.wiki pour l’hypothèse de l’empoisonnement par venin.


Toxines, neurotoxines, venins et peptides

Je voudrais commencer par dire que je ne suis pas du tout familier de ces sujets. J’ai juste assez de connaissances pour lire les recherches récentes, en tirer quelques enseignements, et en retirer de nombreuses questions car il y a des éléments que je ne comprends pas. Et au final, j’ai peu de temps libre. Heureusement pour moi, ma femme est biochimiste et elle a travaillé dans le domaine de la défense contre le bioterrorisme. J’ai donc trouvé chez elle des réponses à quelques questions qui m’ont permis de me sentir un peu moins dépassé par ces sujets. Soyons reconnaissants pour ces petites victoires.

Les venins de serpent sont des toxines, et les toxines elles-mêmes constituent un domaine de recherche intéressant et parfois fertile en biologie, précisément parce que chacune perturbe un ou plusieurs systèmes biologiques. Certaines recherches pharmacologiques démarrent par des recherches dans des bases de données moléculaires de toxines telles que la Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Même si nous n’avons qu’une compréhension embryonnaire de nombreuses interactions biochimiques, nous réussissons parfois à trouver le moyen de faire vibrer les bonnes cordes biologiques pour produire une résonance. L’une des applications les plus connues est le ciblage des tumeurs par des toxines (chimiothérapies).

Je vais citer Mowrey une dernière fois avant de poursuivre:

Ardis est sur la bonne voie lorsqu’il propose que la justification la plus cohérente du choix du venin de serpent (« l’arme biologique originale ») pour le Covid-19 et/ou SARS-CoV-2 et pour les transfections d’ARNm serait essentiellement symbolique. Ainsi, pour ceux qui sont enclins à penser que le virus ou sa protéine de pointe ont été conçus en laboratoire, l’argument d’Ardis reste intéressant, même si l’on ne croit pas les parties concernant l’eau du robinet ou le Remdesivir.

Cependant, Ardis n’offre pas beaucoup de preuves convaincantes de l’aspect « venin » de la protéine de pointe. En outre, ce n’est pas une théorie très utile, si ce n’est pour spéculer sur l’état d’esprit de ceux qui ont conçu le virus. Peut-être la protéine de pointe contient-elle des éléments de venin de serpent. Mais le venin de serpent est un ensemble de peptides qui interagissent avec les molécules de l’hôte, ce qui est également la définition d’une protéine virale.

Le venin de serpent à sonnettes contient un parent de sPLA2-II, qui est exprimé dans tous les tissus humains. Snider et al. ont constaté que les infections par le SARS-CoV-2 provoquaient des sécrétions extrêmes de sPLA2-II dans ces mêmes tissus, imitant ainsi l’empoisonnement par le venin. Les infections bactériennes incontrôlées menant à la septicémie favorisent également des sécrétions extrêmes de sPLA2-II, imitant l’empoisonnement par venin.

Addendum: C’est le moment idéal pour mentionner l’excellent fil de discussion de Kevin McKernan sur la toxine de cobra proposée par Geneticism.

Des Venomics à Snakes On a Plane.
Huile de serpent ou venin?
Ce sujet est peut-être toxique, mais il est en grande partie dû à une mauvaise communication scientifique et au fait qu’il faut s’en tenir aux bonnes définitions.

Présentation problématique

Les dix premières minutes du documentaire sont incroyablement pénibles. Je les décrirais comme un test de loyauté pharmacopartisan (même si tout ou presque est correct), qui sert à faire fuir un certain public tout en caressant l’ego d’un autre. Ce n’est pas de cette manière que l’on conquiert les cœurs et les esprits de ceux qui se situent entre les deux, et prêcher à la chorale au sujet d’une hypothèse non vérifiée fait courir le risque que des milliers de personnes qui acceptent trop rapidement les hypothèses comme une vérité (peut-être en raison de l’opinion positive qu’elles ont d’Ardis et de Peters) se retrouvent dans la zone de combat impitoyable de l’Internet, sans être préparées aux critiques et au scepticisme raisonnables auxquels elles seront exposées (sans parler des inévitables étiquettes et insultes mesquines).

Pour le plaisir, allez là où la conversation débute et écoutez à demi vitesse. C’est ce que je fais lorsque je retranscris des vidéos, et le résultat est ici parfois DÉSOPILANT. On a l’impression que presque tout le monde est ivre ou défoncé. Ce genre de moment. C’est moi qui souligne.

Rien de ce que j’ai apporté à Stew n’a pour but de créer la peur et la panique… Dr Pierre Kory, vous aviez raison. Dr. Paul Marik, vous aviez raison. Dr Ben Marble et Zev Zelenko, vous aviez raison. Simone Gold, vous aviez raison. Sherry Tenpenny, vous aviez raison… Le Dr Ryan Cole pourra enfin conclure pourquoi ce qui est observé sous les lames, sous le microscope, est à ce point maléfique…

Entamer la discussion d’une histoire qui devrait être présentée comme une hypothèse de travail plutôt que « la vérité » (il n’y a clairement aucune preuve tangible, et beaucoup de détails à régler), puis créer une corrélation entre cette histoire et le milieu des célébrités du COVID revient à maquiller en chef-d’œuvre achevé un dossier incomplet. Cette étape est la première d’une lente et douloureuse progression vers le point focal de la conversation, qui comprend également la formulation de liens religieux et spirituels parmi ceux qui luttent pour la vérité. Commencer ou terminer par une prière qui ne servirait pas à remplir le milieu du documentaire, où on attend avec suspense de découvrir la révélation, serait plus respectueux d’un public qui a déjà collectivement passé plus d’un million d’heures à regarder ce documentaire cette semaine.

Mais je ne jugerai pas les preuves sur cette base, bien sûr. Je vous suggère toutefois d’écouter la séquence à 21 minutes à demi vitesse, car il s’agit de deux ou trois minutes qui illustrent bien ma critique de la proportion dramaturgie/contenu de cette émission.

Ardis: N’est-ce pas un virus? Est-ce un venin? C’est ce que je veux savoir. Est-ce que COVID est un venin et est-ce la raison pour laquelle ils ne veulent pas que l’on utilise des anticorps monoclonaux.

Peters: Ça semble complètement fou. Comme théorie.

Ardis: C’est complètement fou.

Peters: Je veux dire, comment… comment les populations seraient-elles infectées par des morsures de serpent?

Ardis: Ouais. Laissez-moi vous poser une question. Puis-je vous poser une question?

Peters: Bien sûr.

Ardis: Croyez-vous que les médias sont contrôlés?

Peters: Bien sûr.

Ardis: Et vous le croyez vraiment?..

Peters: Oui.

Ardis: Vous croyez donc que tout ce qui est diffusé dans les médias est orchestré et contrôlé.

Peters: Bien sûr.

Ardis: Dans tous les domaines?

Peters: Dans tous les domaines.

Ils semblent ici vouloir flatter le public pour son intuition et sa perception évidentes que les médias ont tort. Moi, je me sens flatté. Vous sentez-vous flatté? Moi, je me sens flatté. Passons à autre chose.

Non-A n’implique pas B.

Je préférerais en arriver à une conclusion (où que ceci nous mène) par l’intermédiaire d’une étude plus rigoureuse, qui montrerait qu’une version ou qu’un élément de la HSV est correct. Et s’il existe quelque chose dans cette histoire qui vaut la peine d’être découvert (et il pourrait y avoir une telle chose, que cette présentation soit ou non entièrement correcte), j’aimerais me concentrer sur les cinq minutes d’information que j’ai pu retirer de ce documentaire de 60 minutes, qui n’aurait jamais dû être aussi long. Il suffirait de me fournir une page avec les liens des études disponibles, et le jour où ces informations arriveront en tête de ma liste de priorités, je les lirai. Il aurait été préférable de les envoyer par e-mail à un grand nombre de chercheurs pour recueillir leurs réactions avant de produire ce documentaire.

Source : handsforhealthandfreedom.org

Je n’ai rien contre les théories du complot, car je crois fermement que des complots sont bien en cours. Mais cette image n’inspire pas confiance en termes d’objectivité. C’est un petit tour de force visant à créer un spectacle sans intérêt. C’est le même problème que celui dont souffrait le documentaire Plandemic, mais amplifié. Et ce qu’il faut absolument éviter, c’est de renoncer à toute précieuse parcelle de vérité susceptible de résister à un examen approfondi, juste parce qu’elle aurait été un jour présentée dans le cadre d’un exposé non rigoureux brandi comme vérité dans un documentaire prématuré.


Cohérence et faits

J’aurais peur d’invoquer le meurtre de Bing [NdT. Bing Liu, chercheur sino-américain sur le point de publier une recherche sur l’origine du Covid, trouvé mort en 2020, prétendument assassiné par un rival romantique] en tant qu’alibi spirituel pour déterminer la validité d’une hypothèse spéculative. Non pas que je déteste les hypothèses spéculatives. Il nous faut en explorer un grand nombre pour nous rapprocher de la vérité, et il nous faut nous montrer plus conciliants avec les personnes qui le font, car c’est de là que proviennent beaucoup de vérités dérangeantes. C’est exactement la raison pour laquelle j’ai passé du temps à examiner différents aspects des hypothèses de l’omicron (sur lesquelles Igor Chudov a entrepris d’écrire [NdT. que j’ai publié ici], en incluant certaines informations qui allaient figurer dans mes futurs articles, et d’autres que je ne connaissais pas encore). Revenons à Bing: je n’aime pas la révélation dramatisée du biscuit chinois [NdT. Ardis présente comme synchronicité divine le fait qu’un « fortune cookie » qu’il aurait ouvert mentionnait les termes « Bing » et « Liu« ]. Si c’est vrai, il aurait mieux valu la garder pour une date ultérieure – après que l’hypothèse ait été correctement testée et après une enquête correcte sur le meurtre de Bing (qui n’a jamais eu lieu). L’aborder d’emblée donne l’impression qu’il utilise la mort de quelqu’un pour attirer davantage l’attention du public. Cela pourrait aussi avoir comme conséquences d’inhiber le désir d’un public partisan de l’enquête nécessaire à se forger une conclusion, et de faire en sorte que l’autre « équipe » partisane se moque que l’affaire soit suivie jusqu’au bout. Pour moi, cela franchit les limites de la décence, et je crains que cela provoque dans le public une grande déception si et quand l’hypothèse se révélera fausse, ou même partiellement fausse, ce qui entraînera des attaques de la part des consommateurs vengeurs de Crusted News Notworks [NdT. la chaîne CNN, dont l’auteur démonte la stratégie d’enfumage dans cet article très amusant et très matheux].

L’utilisation du venin de serpent est si courante dans la recherche pharmaceutique qu’il faut chercher bien au-delà de ce point de départ pour établir une corrélation. La recherche identifiant l’homologue de la toxine du venin de serpent dans le domaine de liaison du récepteur (receptor binding domain – RBD) du SARS-CoV-2 est réelle (Farsalinos et al, 2020). Et si le SARS-CoV-2 a été génétiquement modifié (ce dont je suis fermement convaincu), il se peut très bien qu’une telle toxine ait été insérée dans le génome du SARS-CoV-2 (et donc dans les quasi-vaccins) pour nuire aux gens. Et oui, cette recherche note l’interaction de cette toxine spécifique avec les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine. Mais c’est quelque chose que les chercheurs, y compris ceux qui s’intéressent au débat entre Génétiquement Modifié et Zoonoses/Autres, savaient déjà. Et oui, les chercheurs comme Dmitry Kats qui en ont parlé ont été bannis des médias sociaux.

J’ai lu l’article dont Ardis parle au début de la partie substantielle du documentaire, qui souligne la similitude entre les génomes du SARS-CoV-2 et du CoV du serpent (Wei Ji et al, 2020). J’ai l’impression qu’Ardis laisse de côté certains aspects importants de cet article (c’est moi qui souligne):

Les études sur le biais d’utilisation relative des codons synonymes (RSCU) entre les virus et leurs hôtes suggèrent que les virus ont tendance à évoluer vers un biais d’utilisation des codons comparable à celui de leurs hôtes. 10, 11 Les résultats de notre analyse suggèrent que le 2019-nCoV possède les informations génétiques les plus similaires à celles du coronovirus de la chauve-souris et le biais d’utilisation des codons le plus similaire à celui du serpent.

Ainsi, par nucléotide, la génétique est plus similaire à celle des CoVs de chauve-souris.

Comme nous le voyons, cette similarité est particulièrement élevée pour le clade A, issu des chauves-souris de Nanjing, en Chine. Il est difficile de regarder ce graphique sans penser  » naturel, naturel, naturel, PAS NATUREL, naturel… « , ce qui signifie que je crois que le SARS-CoV-2 a été conçu à partir d’un CoV naturel, très probablement trouvé à l’origine chez une chauve-souris.

Qu’est-ce que signifie que le biais d’utilisation des codons ressemble davantage à celui des serpents?

Le biais d’utilisation des codons est lié au fait que chaque acide aminé peut être généré par différentes séquences de trois nucléotides. Je vais commencer par reprendre un de mes articles précédents:

Il y a une barrière linguistique à franchir ici, alors voici une leçon de génétique de base:

Remarque: il existe 4x4x4 = 64 codons, dont trois sont des « codons de terminaison » qui signalent la fin du processus de synthèse d’une protéine. C’est là que se termine la chaîne d’acides aminés qui constitue une protéine. Chacun des 61 autres codons code pour l’un des 20 acides aminés possibles. Il y a plus de codons que d’acides aminés car un acide aminé peut être généré en utilisant plus d’une séquence de codons. La plupart des acides aminés peuvent être produits par 2 ou 4 codons distincts.

Naïvement, on pourrait penser que toute mutation serait désastreuse pour ce qui concerne le processus de production de la bonne séquence d’acides aminés pour créer une protéine. Cependant, les différents codons qui produisent un acide aminé particulier sont souvent suffisamment similaires pour que la modification d’un (ou même de deux) des nucléotides donne lieu à un codon synonyme (qui code pour le même acide aminé exact). Dans d’autres cas, les mutations de codons non synonymes qui modifient un acide aminé n’affectent pas beaucoup la forme ou la fonction globale de la protéine produite.

Étant donné que plusieurs séquences de codons distinctes peuvent produire chaque acide aminé, il est logique d’étudier si l’un ou l’autre codon est plus fréquent dans un génome, puis d’en examiner les raisons et ce que cela implique. Pour rappel, ma compréhension de ce domaine de la génétique n’est que basique. J’ai donc plus de questions que de réponses. Mais il pourrait y avoir quelque chose dans le processus de génie génétique qui change certains codons, y compris la disponibilité de l’ARNt (Yulong Wei et al, 2019) (considérez cette suggestion comme spéculative). Cela pourrait ou non impliquer l’insertion intentionnelle de peptides ou de protéines de venin de serpent.

J’ai eu la chance de poser la question à Ardis et à son ami le Dr Tau Braun lors d’un appel auquel ils ont eu la gentillesse de participer hier, mais ils ont passé les 40 premières minutes à répéter en grande partie les informations du documentaire à grande vitesse, il était donc impossible d’entrer dans les détails, et j’ai dû quitter la conversation au moment où ce qui faisait penser chez eux à un accès psychotique a marqué une pause (j’avais un engagement antérieur auquel j’étais déjà en retard).

Je vais donc atterrir ici, pour l’instant, mais j’ai trop de choses sur ma liste de priorités pour considérer que cela vaille la peine de rédiger un autre article sur ce sujet. Mais il faut s’attendre à ce que d’autres le fassent, et je soupçonne que cela impliquera le décortiquage des différents éléments, car je n’ai actuellement aucune confiance dans la capacité d’Ardis et de Braun à interpréter les recherches et à formuler des questions sur ce qu’ils ne comprennent pas encore. J’aimerais ne pas avoir à le dire aussi durement, mais les Terriens ont déjà consacré quelques millions d’heures à une histoire qui semble mal développée et peut-être même manipulée. Et si je perds un ami ou deux pour l’avoir dit, qu’il en soit ainsi. C’est mon impression. Mais je demanderais au moins à ces personnes de prendre le temps de regarder d’abord le documentaire à demi vitesse.

Je n’ai pas eu le temps de vérifier. Je trouve qu’Ardis aurait dû fournir des liens. Jusqu’à ce que je tombe sur une histoire plus intéressante, j’ai d’autres priorités. Mais j’aimerais savoir si quelqu’un a vérifié la liste. Au moins, cela me donne une liste d’antivenins potentiels si jamais je suis dans le pétrin.

La parcimonie et la théorie du complot

J’éprouve une aversion face au rejet désinvolte de la théorie du complot. Ce rejet est le fait de personnes qui savent pertinemment que le monde fonctionne sur base de complots, et aussi d’individus peu informés qui ne sont pas capables de mieux, mais qui n’hésitent pas à faire preuve de mesquinerie envers ceux qui s’efforcent de découvrir des vérités cachées. Mais pour N théories du complot, il y en aura une qui se situera dans une fourchette de vérité raisonnable. Et la plupart du temps, celles qui se situent dans cette fourchette de vérité, une fois affinées, passent avec succès le test du principe de parcimonie [NdT. voir Rasoir d’Ockam, ici] auprès d’au moins une partie substantielle des experts honnêtes qui travaillent assidûment à cette tâche.

Un complot qui exige que de nombreuses personnes partout dans le monde introduisent des peptides dans les réserves d’eau est donné sans preuve, comme si le reste de l’histoire requérait cette pièce pour fonctionner. Un documentaire hypnotique truffé de messages partisans a peut-être donné cette impression à certains téléspectateurs, mais je ne vois aucune raison logique pour laquelle ce serait le cas. La HEP me semble être une affirmation purement gratuite, fournie sans aucune tentative de justification des schémas de données, qui sont nombreux. Il faudrait qu’un grand nombre de personnes soient impliquées, et s’attendre à ce que ces personnes réussissent à concevoir des courbes de Gompertz [NdT. modèle de Gompertz, loi de Gompertz] semblables à celles du SIRS [NdT. explication en français] que nous voyons dans les données du monde entier est un obstacle majeur dans le test du principe de parcimonie.

Pourquoi avons-nous besoin d’une HEP alors que le SARS-CoV-2 semble lui-même porteur d’une protéine de pointe toxique également incluse dans les quasi-vaccins? L’absence de besoin ne rend pas la HEP fausse, mais lui confère le caractère d’une allégation extraordinaire qui nécessiterait un élément de preuve tangible pour être prise au sérieux.

Qu’en est-il du sentiment étrange que j’ai chaque fois que je regarde Ardis parler et que mon instinct me dit qu’il s’y est soigneusement préparé?

Je vous laisse méditer de votre côté sur cette idée.


Texte original

Snake Bit? The Slytherin Hypothesis

The Vaccine Wars Part XXXIV

Mathew Crawford

Apr 15

« We Slytherins are brave, yes, but not stupid. For instance, given the choice, we will always choose to save our own necks. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)

I wouldn’t blame you if you skipped reading this article.

When Steve Kirsch invited me to a meeting with Dr. Bryan Ardis regarding poisoning of the water supply as the true source of the pandemic, I was highly skeptical, and not particularly excited about the time spent. But I have appreciated Ardis’s public stance regarding remdesivir—an expensive drug with the side effect of renal failure, being used late during hospitalization (generally too late for an antiviral to work on a virus that usually ceases the replication process prior to hospitalization), to stop a disease with an extremely high mortality coefficient for those who experience renal failure.

Then again, every time I see him speak, I feel like I’m watching a commercial. Does he sit at home and practice delivering lines? Why do I feel like that’s what I’m watching? Is it just me?

I would have given time to the discussion and kept an open mind, perhaps just as an exercise in seeing what we all might need to further learn en route to distinguishing correlating evidence from a tight theory. But perhaps he would convince me. At the time, I was not yet aware that snake venom would be the most interesting aspect of the discussion.


What is « Watch the Water » and Why?

Since I was not a close follower of QAnon, I hadn’t made the connection, but…

Oh boy. Let the fight for objective or at least educational discussion amidst the mental-emotional states of our era commence! What do the fact checkers tell us?

I dearly hope that the name of the Ardis documentary was not chosen to stoke the memories of an extremely vague and several year old QAnon post. I do worry that it might have been. But let us, regardless of our biases, give some thought to the topics at hand. After all, we are talking about a virus with significant signs of genetic engineering [of dangerous elements] which were then engineered into biological injectable products that have been delivered to billions of people without regard for the plain need to surpass ordinary standards of evidence of efficacy.

What would make an observer feel uncomfortable with Ardis’s story to the level of thinking it’s a psy-op? How many people are thinking that? Or are at least wondering?

Source: Brian Mowrey

The Documentary

Suggestion: skip the first ten minutes of the video below, which is a combination of dramatic music and Stew Peters summarizing his view of the pandemonium. Maybe use that extra ten minutes to perform an internet search on toxin libraries and databases. If you’re not up for that level of difficult reading, picking a random point in the documentary and watch for a couple of minutes on 0.5x speed. I’ll explain later.

https://rumble.com/v10mnew-live-world-premiere-watch-the-water.html

You can read Steve Kirsch’s initial take here.

My very first thought was, « Why does an examination of potential links between snake venom (or other toxins) have to come joined with a hypothesis about how the water supply was poisoned? » Or are they joined? If there was a particularly good reason not to separate the two as distinct discussions, I did not catch it. I will treat these as two hypotheses: (1) the snake venom hypothesis (SVH) and (2) the water poisoning hypothesis (WPH). While I don’t think that the evidence was presented coherently, I think the SVH is by far the more interesting of the two, meaning that I suspect that I am more likely to learn something valuable while examining it.

Note: I have created an entry in the campfire.wiki for the venom poisoning hypothesis.


Toxins, Neurotoxins, Venoms, and Peptides

I would like to begin by saying that I am out of my depth in these topics. I have just enough knowledge to read recent research, learn some from it, then have a lot of questions because there are parts that I don’t understand. And ultimately, my spare time is a bit on the thin side. Fortunately for me, my wife is a biochemist with experience in bioterrorism defense, so I was able to get a few questions answered from home that allowed me to reach the point where I’m slightly less out of my depth in these topics. Hoorah for small victories.

Snake venoms are toxins, and toxins themselves are an interesting and sometimes fruitful area of research in biology precisely because each one perturbs some biological system(s). Some pharmacological investigations begin with searches of molecular databases of toxins such as the Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Even as we have nascent understanding of many biochemical interactions, we can sometimes figure out how to strum the right biological strings to produce resonance. One of the more well known applications is the targeting of tumors with toxins (chemotherapeutics).

I’ll quote Mowrey one more time before moving onward:

Ardis is on the right track when he proposes that the most coherent rationale for choosing snake venom (“the original bioweapon”) for Covid-19 and/or SARS-CoV-2 and for the mRNA transfections would be essentially symbolic. So, if you are inclined to think that the virus or its spike protein was designed in a lab, Ardis’ argument remains interesting, even if you don’t buy the parts about the tap water or Remdesivir.

However, Ardis doesn’t actually offer a lot of compelling evidence for the “venom”-ness of the spike protein. Beyond that, it’s not a very useful theory beyond speculating about the state of mind of those who may have designed the virus. Maybe the spike protein has bits of snake venom. But snake venom is a grab-bag of peptides that interact with host molecules; which is already the definition of a viral protein as well.

Rattlesnake venom contains a relative of sPLA2-II, which is expressed in all human tissues. SARS-CoV-2 infections were found by Snider, et al. to prompt extreme secretions of sPLA2-II by these same tissues, mimicking venom-poisoning. Out-of-control bacterial infections leading to sepsis also promote extreme secretions of sPLA2-II, mimicking venom-poisoning.

Addendum: This is a good spot to drop Geneticism Kevin McKernan’s excellent thread with respect to the proposed cobra toxin.

Problematic Presentation

The first 10 minutes of the documentary were absolutely painful. I would describe them as pharmacopartisan loyalty testing (even if most or all of it is correct), which is a way of turning off one audience while stroking the ego of another. That’s not the way to win hearts and minds in the middle, and preaching to the choir about an untested hypothesis runs the risk of sending thousands of people who too quickly accept the hypotheses as the truth (perhaps based on their positive views of Ardis and Peters) out into the vicious internet combat zone unprepared for the rightly reasonable grilling and skepticism they would be showered with (not to mention the inevitable mean-spirited labeling and insult hurling).

For kicks, just to around where the conversation begins and listen on 0.5x speed. That’s what I do to transcribe videos, and I’ve found it HI-LARIOUS at times. Almost everyone sounds drunk or high. This is one of those times. Emphasis mine.

There’s no part of me who brought this information to Stew, and started any of this research to create fear and panic…Dr. Pierre Kory, you were right. Dr. Paul Marik, you were right. Dr. Ben Marble and Zev Zelenko, you were right. Simone Gold, you were correct. Sherry Tenpenny, you were right…Dr. Ryan Cole will be able to finally conclude why the findings under the slides—under the microscope—have become so monumentally evil…

Beginning discussion of a tale that should be presented as a working hypothesis rather than « the truth » (there is certainly no smoking gun, and a lot of details to work out), then engineering association with the field of COVID celebrities comes off as dressing up an incomplete case to look more like a finished masterpiece. This is part of a slow and painful ramping into the meat of the conversation that also involves expressing religious and spiritual bonds among those fighting for truth. Beginning or ending with a prayer that does not fill the middle of the documentary where we’re waiting with suspense to experience the reveal would be more respectful of the audience that collectively spent more than a million hours viewing the documentary already this week.

But I won’t judge the evidence on that basis, of course. I will however give the 21:00 mark a suggested listen at 0.5x because it’s a good couple of minutes for my complaint over the drama-to-signal ratio.

Ardis: Is it not a virus? Is it a venom? Like this is what I want to know. Is COVID a venom and this is why they don’t want you using monoclonal antibodies.

Peters: I mean, that sounds completely insane. As a theory.

Ardis: It is completely insane.

Peters: I mean, How…how would the masses be infected by snake bites.

Ardis: Yeah. Let me ask you a question. May I ask you a question?

Peters: Sure.

Ardis: Do you believe the mass media is controlled?

Peters: Of course.

Ardis: And you actually do…believe that?

Peters: Yes.

Ardis: So you believe that whatever is being pumped out in the media is being orchestrated and controlled.

Peters: Of course.

Ardis: Like across all of it.

Peters: Across all of it.

They seem to be patting the audience on the back for the obvious intuition and perception that the media is wrong. I’m flattered. Are you flattered? I’m flattered. Let’s move on.

Not A does not imply B.

I’d rather get there (wherever we’re going with all this) through more rigorous study of some version or piece of the SVH is true. And if there is something to this story that is worth discovering (and there might be, whether or not this presentation is fully correct), I’d like to focus in on that five minutes of information that I can evaluate in this 60 minute documentary that never should have been stretched out that long. Just give me a page with the study links handy, and when it rises to the top of my priority list, I’ll read em. Better would have been to email them out to a wide group of researchers for feedback prior to producing the documentary.

Source: handsforhealthandfreedom.org

I’m fine entertaining conspiracy theory because I fully believe some conspiracies are at play. But this image does not inspire confidence in objectivity. It’s a minor tour de force in creating an unnecessary spectacle. It’s the same problem that the Plandemic documentary suffered from, but magnified. And the last thing you want to do is give up whatever gem of truth might survive the gauntlet of examination because it came in the form of a non-rigorous examination declared as truth in a premature documentary.


Consistency and Facts

It gives me the willies to invoke Bing’s murder as a spiritual connection to whether or not a speculative hypothesis is true. That’s not because I dislike speculative hypotheses. We need to explore many of them to get closer to the truth, and we need to be friendlier to the people who do because a lot of difficult truths begin there. That’s exactly why I spent time examining different aspects of the omicron hypotheses (which Igor Chudov took up writing about, including some information that was going in my future articles, and some information I did not yet know). Back to Bing: I dislike the dramatic reveal of the fortune cookie. If it’s true, it’s better saved for a later date—after the hypothesis has been properly put to the test—and after Bing’s murder has been properly investigated (something that never took place). Leading with it on day 1 feels like using a death to draw in more audience emotionally. I could also come with the consequences of inhibiting the desire for one partisan audience to need an investigation to form a conclusion, and cause the other partisan « team » not to want the case followed to completion. That pushes beyond my boundaries of taste, and I worry that it sets the audience up for greater disappointment if and when the hypothesis turns out to be wrong or even partially wrong—either of which will result in attacks by the cudgel-wielding consumers of the Crusted News Notworks.

The use of snake venom is so common in pharmaceutical research, that we need to go substantially beyond that starting point to establish correlation. The research identifying the snake venom toxin homolog in the SARS-CoV-2 receptor binding domain (RBD) is real (Farsalinos et al, 2020). And if SARS-CoV-2 was genetically engineered (which I do believe fairly strongly), then it may very well be that such a toxin was in fact inserted into the SARS-CoV-2 genome (and thus the quasi-vaccines) to harm people. And yes, that research does note the interaction of that specific toxin with nicotinic acetylcholine receptors. But this is something that researchers, including many paying attention to the Engineered vs. Zoonosis/Other debate already knew. And yes, researchers like Dmitry Kats who talked about it were banned from social media.

I read the paper that Ardis talked about early during the substantive portion of the documentary pointing to the similarity between the SARS-CoV-2 and snake CoV genomes (Wei Ji et al, 2020). I feel like Ardis is leaving out some important aspects of this paper (emphasis mine):

Studies of relative synonymous codon usage (RSCU) bias between viruses and their hosts suggested that viruses tends to evolve codon usage bias that is comparable to their hosts.10, 11 Results from our analysis suggest that 2019-nCoV has most similar genetic information with bat coronovirus and has most similar codon usage bias with snake.

So, per nucleotide, the genetics are more similar with bat CoVs. 

As we see, that similarity is particularly high for Clade A, derived from bats in Nanjing, China. And it’s hard to look at this graph and not think « nature, nature, nature, NOT NATURE, nature… », which is to say that I do believe that SARS-CoV-2 was engineered from a CoV taken from nature, and most likely originally found in a bat.

What does it even mean that there is more similar codon usage bias with snakes?

Codon usage bias relates to the fact that each amino acid can be generated by different three-nucleotide sequences. I’ll start by stealing from one of my own prior articles:

There is a lingo barrier to overcome here, so here is a basic genetics lesson:

Note: There are 4*4*4 = 64 codons, three of which are « stop codons » that signal for termination of a protein synthesis process. That’s where the amino acid chain that makes up a protein ends. Each of the other 61 codons encodes for one of 20 possible amino acids. There are more codons than amino acids because an amino acid can be generated using more than one codon sequence. Most amino acids can be produced by 2 or 4 distinct codons.

Naively, you might think that any mutation would be disastrous with respect to the process of producing the right amino acid sequence to create a protein. However, the several codons that produce a particular amino acid are often similar enough that changing one (or even two) of the nucleotides results in a synonymous codon (one that encodes for the same exact amino acid). Other times, non-synonymous codon mutations that do change an amino acid still don’t greatly affect the overall shape or function of the generated protein.

Since several distinct codon sequences can produce each amino acid, it makes sense to study whether one or another codon is more common in a genome, and then to examine the reasons why, and what that entails. For the record, my understanding of that area of genetics is merely basic. So, I have more questions than answers. But there could be something about the genetic engineering process that switches some codons, including tRNA availability (Yulong Wei et al, 2019) (consider the suggestion speculative). This might or might not involve the intentional insertion of snake venom peptides or proteins.

I had the chance to ask Ardis and his friend Dr. Tau Braun on a call where they were good enough to join in yesterday, but they spent the first 40 minutes largely just repeating the information in the documentary at rapid speed, so it was impossible to get into details, and I had to jump off the call by the time what felt like a manic episode took a pause (I had a prior engagement I was already late to).

I’ll begin landing my plane here, for now, but I have too many priorities to think this will be worth me writing another article about. But you can expect that others will, and I suspect that will involve picking pieces apart as I currently do not have confidence in the ability of Ardis and Braun to interpret the research and formulate questions about what they do not yet understand. I wish I didn’t have to say it that harshly, but Earthlings have already spent a few million hours on a story that feels poorly developed and maybe even manipulatively delivered. And if I lose a friend or two for saying so, so be it. That’s my impression. But I would at least ask those people to go back and watch the documentary on 0.5x first.

I haven’t had time to check. I feel like Ardis should have provided links. Until I see a more interesting story, I have higher priorities. But I’d like to know if somebody does check the list. At the very least, it gives me a list of potential antivenoms if I’m ever in a pinch.

Parsimony and Conspiracy Theory

I have a distaste for the casual dismissal of conspiracy theory. This is done by people who know full well that the world runs on conspiracies, and also the information impoverished individuals who don’t know any better, but are willing to aim mean-spiritedness at those working at uncovering hidden truths. But there are N conspiracy theories for every 1 that is in a reasonable ballpark of truth. And for the most part, those in the ballpark of truth, as refined, pass tests of parsimony for at least a substantial portion of the honest experts diligently working on the task.

A conspiracy that requires many people around the world to introduce peptides into water supplies is delivered without evidence, as if the rest of the story requires for that piece to fit. A hypnotic documentary filled with partisan moments may have made it feel that way to some viewers, but I see no logical reason why that would be the case. The WPH strikes me as a purely naked assertion, and with no attempt to explain data patterns, of which there are many. A great many people would need to be involved, and to expect those people to successfully engineer SIRS-like Gompertz curves that we see in data all over the world is an extreme hurdle in the test of parsimony.

Why do we need a WPH at all when SARS-CoV-2 itself looks to carry a toxic spike protein that is also included in the quasi-vaccines? The lack of need doesn’t make the WPH false, but makes it look like an extraordinary claim that needs something close to a smoking gun to take seriously.

How does that make me feel about my eerie feeling that every time I watch Ardis speak, my gut tells me he is well rehearsed?

I’ll just let you chew on that thought on your own.

Un peu de maths – par Miles Mathis.

Voici donc l’analyse de Miles de la situation actuelle, et sa stratégie pour en sortir – qui est quasiment une prédiction. Après ça, je vous livre la version de Elliott Freed, très différente.

Et je conclurai la trilogie avec ma propre analyse – et, en quelque sorte, mes propres prédictions – avant de retourner au dossier « Covid », encore.

Source.


Traduction

Un peu de maths

par Miles Mathis

Première publication le 8 mars 2022

Voici le petit calcul que personne ne fait. Les scénaristes de Biden nous disent que si les prix de l’essence sont si élevés, c’est à cause de Poutine. Mais minute, la Russie ne nous fournit que 4% de notre pétrole, et les prix ont augmenté de 90% depuis la prise de fonction de Biden. On dirait donc qu’il y a un léger décalage. C’est même pire que ça, car les prix ont augmenté de 90% avant que les livraisons de pétrole russe ne soient interrompues. Nous ne nous sommes pas encore officiellement coupés du pétrole russe, donc nous pourrons peut-être imputer la prochaine hausse de 4% à cette mesure une fois celle-ci mise en place. Mais nous ne pourrons pas lui imputer l’augmentation précédente de 90%.

J’imagine donc que les personnes qui vous racontent ça, y compris Biden, Psaki et tous les autres proxénètes et salopards salariés de la télévision et d’Internet, vous tiennent pour un crétin incapable de maîtriser les mathématiques ou la logique de niveau primaire. Ils vous croient incapable de distinguer le passé du présent, et pensent que vous goberez que 4=90. C’est exactement ce qu’ils pensent de vous. Ils ne font que vous cracher à la figure. Vous allez encaisser ça pendant encore longtemps?

Vous pouvez y mettre fin à tout moment. Tout peut s’arrêter. Les vaccins mortels, les fausses guerres, les fausses nouvelles, la promotion démentielle de l’homosexualité et de la transsexualité, la destruction du sexe, la destruction des relations entre les races, la destruction de la famille, la destruction de la jeunesse, la destruction de la santé, la destruction de la nourriture, la destruction du sens: tout cela pourrait cesser demain. DITES SIMPLEMENT NON! Arrêtez de courber l’échine et d’encaisser. Il faut que les classes moyennes et inférieures de tous les pays se révoltent et renversent ces gens. Les camionneurs ont déjà commencé à agir, alors rejoignez-les. Mais ne ciblez pas seulement Washington et les capitales des États. Ciblez les grandes entreprises médiatiques qui vous infligent ce faux narratif. Ciblez les bases militaires et les centres de renseignement qui fabriquent ces narratifs. Ciblez les milliardaires et les trillionnaires qui financent cet enfer et rédigent le scénario directeur.

Oui, nous sommes à la fin des temps. Leur fin. Ils s’effondrent et il faut continuer à les pousser. Ils vous poussent très brutalement, mais c’est du bluff, alors poussez-les deux fois plus fort.

N’oubliez pas qu’ils vous mentent également au sujet de la scission. Ils veulent vous faire croire que ce n’est que la moitié du pays qui est contre eux. Ils veulent vous faire croire que la majorité des démocrates les soutiennent. Ils veulent que vous pensiez que la cote de popularité de Biden est toujours de 37% ou quelque chose du genre. Mais rien de tout cela n’est vrai. Il est impossible que la cote de popularité de Biden soit supérieure à 5%. Quelle sorte de crétin absolu pourrait-il être satisfait de l’année écoulée, ou penser que Biden fait du bon travail? La vérité c’est que PERSONNE NE LE PENSE. Aucune personne réelle ne pense que les choses se sont améliorées au cours de l’année écoulée.

On me dit que tout le monde soutient la guerre contre la Russie. Mais qui est ce « tout le monde »? Les abrutis qui sont payés pour poser sur Tiktok avec leurs drapeaux? Les agents du gouvernement sur Facebook et Youtube? Les crapules de The View ou de CNN ou d’une autre émission de télévision que personne ne regarde? Les membres du Congrès, dont le taux d’approbation est de l’ordre de 9%? Aucune de ces personnes n’est réelle, pas plus que ces connards d’Antifa. Comme tous ces gens qui plaident en faveur de la Théorie Critique de la Race ou de l’éducation sexuelle pour les enfants de cinq ans ou de quoi que ce soit d’autre, ces gens à la télévision et sur Internet ne sont même pas réels. Ce sont des agents payés, engagés pour incarner un soutien au dernier truc bidon et vous faire fuir les rues. On essaie désespérément d’étouffer cette révolution dans l’œuf, et voici comment on s’y prend: on vous fait croire que la moitié du pays est contre vous. On vous fait croire que ces politiques jouissent d’un certain soutien, et on engage quelques Colbert, Whoopi Goldberg et Cynthia Nixon pour les promouvoir, mais personne en dehors de Washington ou d’Hollywood ne les soutient vraiment. Le Nouvel Ordre Mondial et la Grande Réinitialisation n’ont pratiquement aucun soutien réel. Tout au plus 2% de soutien, de la part des personnes déjà très riches. Ce n’est donc pas vous qui devez être ignorés, ce sont eux. Si les 98% se décident à agir contre eux, toutes les armées du monde ne leur serviront à rien. Après quelques escarmouches initiales (que, oui, vous pouvez perdre), les soldats se joindront à vous. Alors arrêtez de vous laisser bluffer en pensant que vous ne pouvez pas gagner.

Vous pouvez gagner, et vous gagnerez, mais vous feriez bien de vous y mettre. Si vous continuez à attendre, ils vous auront rendu débiles au point de ne plus pouvoir agir. Ils sont en ce moment même en train de faire de vos enfants des limaces incapables de se révolter contre un camion de crème glacée. Mais souvenez-vous de ceci: eux et leurs enfants sont encore pires. Ce qu’ils vous ont fait, ils se le sont fait à eux-mêmes, mais chaussés de talons et en dansant à reculons [NdT. figure de style ou référence à Zelensky?]. Autrement dit, leur malédiction contre vous s’est retournée contre eux, comme toutes les malédictions, en double. Plus ils deviennent malfaisants, plus ils s’affaiblissent, ce qui signifie qu’ils sont extrêmement faibles en ce moment. Ils sont comme des cafards qui se sont eux-mêmes aspergés de Raid, et qui courent maintenant en rond. Piétinez-les tant que c’est possible.

Un autre de leurs bluffs est que si nous les renversons, nous ne serons pas en mesure de diriger le monde. C’est trop complexe pour nous. Foutaises. Le gérant de votre restaurant local dirigerait le monde mieux que ces salauds. Qu’est-ce qu’ils ont fait de bien jusqu’à présent? Ils ont transformé cette planète en un véritable enfer pour la plupart des gens et des animaux, au point que pratiquement n’importe quoi d’autre serait préférable.

Mais bien sûr, ce n’est pas en tirant sur tout ce qui bouge et en faisant tout sauter que vous gagnerez. Comme les camionneurs, vous devez vous ORGANISER. Notre Constitution n’est pas parfaite, mais elle vous donne des moyens pour agir en toute légalité, sans commettre de trahison ou de sédition. Ce pays est né de la révolution, il peut donc difficilement interdire une révolution positive. La trahison consisterait à essayer de renverser notre démocratie et notre République, en mettant au rebut la Constitution et en essayant de lui substituer une autre forme de gouvernement, comme, disons, une corporatocratie. C’est exactement ce que font les gouverneurs. Ça, c’est une trahison. Notre action n’est pas une trahison, puisque nous tentons de nous débarrasser de tyrans établis, qui ont tenté de se placer au-dessus et au-delà de la loi et du peuple. Nous essayons surtout de débarrasser le gouvernement des entités extra-gouvernementales qui agissent en dehors de la loi: des entités comme le FEM [Forum Economique Mondial], Bilderberg, l’Aspen Institute, le Cato Institute, la Commission Trilatérale, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, le CFR, la Réserve Fédérale, GoldmanSachs et leurs outils à la CIA, à la NSA, au FBI, au DHS, aux renseignements militaires et dans les médias (y compris Hollywood). Toutes ces organisations devraient être totalement interdites, car elles constituent l’outil des super riches pour s’attaquer à nous tous par le biais de pillages souterrains, de propagande 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et du continuel enfumage des esprits. Ce n’est pas une trahison d’appeler à leur fin, puisqu’ils sont eux-mêmes des traîtres. En fait, chaque personne impliquée dans ces organisations (et des centaines d’autres) devrait être accusée de trahison et punie dans toute la mesure de la loi. Et cela inclut tous les acteurs et réalisateurs mensongers qui ont déformé nos esprits pendant des décennies.

C’est pourquoi ces gens nous accusent maintenant de trahison. Ils accusent toujours les autres de ce qu’ils font eux-mêmes. Ils ont sapé la Constitution à dessein, ce qui est un acte de trahison, et maintenant ils accusent en retour leurs accusateurs de trahison. C’est un principe de base du débat. Mentir pour ensuite accuser l’autre partie de mentir quand on est pris sur le fait. C’est un signe évident de désespoir, et ces menteurs sont particulièrement désespérés en ce moment, puisqu’ils ont perdu le contrôle de l’ensemble du narratif. Leur édifice de mensonges est en train de s’effondrer autour d’eux, et chaque nouveau mensonge ne fait qu’empirer les choses. Ils vivent sur le fil du rasoir depuis 2001, en gardant à peine la tête hors de l’eau et hors de la guillotine, mais avec le crime contre l’humanité du Covid et du vaccin, ils sont allés beaucoup trop loin, et aucune fausse guerre avec la Russie ne pourra le faire oublier.

Voici la nouvelle que l’on ne vous dit pas: la révolution est déjà en marche. La résistance est déjà forte et elle grandit. La fausse guerre en Ukraine ne l’arrêtera pas, elle ne fera qu’accroître la colère des gens dès qu’ils se rendront compte qu’il s’agit d’un nouveau stratagème. Le gouvernement essaie de sauver sa peau, mais il ne fait que creuser plus profondément sa tombe. Le gouvernement avait des solutions pour s’en sortir avant le Covid, mais il a décidé de doubler la mise et il a scellé sa propre perte. La fausse guerre en Ukraine est une nouvelle tentative de doubler la mise après le crime contre l’humanité du Covid, mais elle ne marchera pas. Elle échoue en ce moment même. Elle ne détournera l’attention qu’à court terme, et les gens s’en rendent déjà compte. Des millions de personnes ont déjà quitté leur emploi en signe de protestation, ce qui équivaut à une révolte fiscale puisque sans revenu, on ne peut pas s’attendre à ce que vous payiez des impôts. Des millions d’autres quitteront leur emploi dans les mois à venir. On nous dit que de nouveaux emplois sont créés, mais ce sont des conneries. Il s’agit des emplois libérés par les millions de départs, ce qui ne compte pas vraiment comme création d’emplois, je me trompe? « Tout le monde dans le pays vient de quitter son emploi dans le cadre d’une révolte fiscale, donc nous venons de créer 100 millions d’emplois, et voilà! »

Voici donc un autre calcul que j’ai fait dans ma tête: leur seul espoir de sauver leur peau sera lors des prochaines élections de mi-mandat. Ils avaient prévu de faire appel au parti Républicain pour sauver la situation, mais à ce stade, cela ne suffira pas à réprimer la rébellion. Les événements récents ont largement rendu caduque ce scénario, qui ne trompera plus personne. Lorsque je fais les comptes, je vois que leur seule chance d’éviter un vrai soulèvement populaire est de mettre en scène leur propre fausse rébellion, une sorte de 1776 bis, où une bande de patriotes photogéniques fait un grand ménage, et efface tous les personnages du moment, tels que Mitt Romney, Keith Olbermann, Sean Penn, Whoopi Goldberg, Liz Cheney, Nancy Pelosi, Tony Fauci, Bill Gates, et toute la clique. En d’autres termes, donner aux Républicains une majorité dans les deux chambres ne résoudra rien. L’ensemble du corps législatif doit être poursuivi pour corruption et de nouvelles élections doivent être organisées selon de nouvelles lois électorales très sévères – et toutes les machines et ordinateurs électoraux doivent être jetés à la ferraille. Il en va de même pour l’ensemble du pouvoir exécutif et du pouvoir judiciaire, bien sûr. L’armée et les services de renseignements devraient également être purgés, mais purgés des personnes à l’opposé de celles dont ils viennent d’être purgés. L’armée et les services de renseignements devraient être considérablement réduits ou réaffectés à des projets positifs, comme l’arrestation de toutes les personnes impliquées dans le crime contre l’humanité actuel. Les médias devraient également être contrôlés, et tous les liens entre le gouvernement et les médias devraient être coupés. La Réserve Fédérale devrait être supprimée et remplacée par une véritable Banque Nationale détenue par le peuple, non pas comme compromis avec le communisme mais comme protection contre le vol. En outre, la banque en tant qu’entreprise à but lucratif devrait être totalement interdite. Une Convention Constitutionnelle devrait être convoquée et la Constitution devrait être réécrite et mise à jour: renforcée considérablement pour répondre aux préoccupations modernes. En l’état actuel des choses, la Constitution n’est qu’une énorme passoire, totalement inadaptée à limiter le pouvoir des super riches.

En d’autres termes, selon moi, le seul espoir de ne pas avoir à recourir à la violence contre les super riches est que ces derniers nous rendent notre dû sans violence. C’est aussi simple que cela. Ils doivent renoncer à leur rôle de Grinch et redescendre de la montagne avec le traîneau de jouets, ou ils seront jetés dans l’abîme [NdT. référence au conte populaire du Grinch]. Ce qu’ils ont oublié, c’est que les lois et les Constitutions ne nous protègent pas seulement d’eux, elles les protègent de nous. Elles empêchent les choses d’aller tellement loin qu’il nous faille les renverser.

Vous me direz que j’ai démontré que toutes les révolutions du passé étaient bidon, alors pourquoi crois-je que celle-ci est réelle, ou qu’elle pourrait réussir? Parce que le chaos actuel n’a rien à voir avec les précédents. Il fait partie d’une tout autre catégorie, et il est par conséquent bien plus dangereux pour les dirigeants. Tout d’abord, ils tentent d’exercer une pure tyrannie sur d’immenses populations occidentales, depuis longtemps éduquées à la liberté et à la démocratie. C’est inédit dans l’histoire. Non seulement ce sont d’énormes populations, mais elles disposent également d’énormes ressources. Non seulement elles ont des armes, des véhicules et des moyens de communication, mais elles ont un savoir-faire et un accès à toutes les entreprises. Nous travaillons dans tous les secteurs et c’est notre savoir qui fait fonctionner les choses, pas le leur. Eux se contentent de rester assis, d’acheter des choses et de mettre au point leurs stratégies de fraude. Cela non plus ne s’est jamais vu dans l’histoire, ou alors pas à ce point. Autrefois, l’information était extrêmement limitée, et la plupart des gens n’avaient aucune idée de ce qui se passait. Les compétences étaient également limitées, puisqu’il n’y avait pas de classe moyenne. Les paysans ne pensaient généralement pas à se rebeller contre la tyrannie, puisqu’ils étaient nés dedans et ne connaissaient rien d’autre. Mais la nouvelle tyrannie nous paraît étrange et inconnue, elle est survenue pour l’essentiel depuis 2001 et n’a cessé de s’accélérer depuis. Elle est en contradiction flagrante avec tout ce qu’on nous a appris. Nous n’avions pas de véritable République avant 2001, mais nous en avions une assez bonne imitation, dans laquelle le vol et la corruption étaient assez bien dissimulés. Pendant la majeure partie du XXème siècle, nous avions une classe moyenne prospère et une classe supérieure qui présentait au moins l’apparence extérieure de la modération. Mais tout cela a complètement disparu, la classe supérieure a totalement perdu la tête en se livrant ouvertement à des actes de rapine effrénée.

Un autre signe précurseur de la chute imminente de la classe supérieure est qu’elle s’est créée de nombreux et puissants ennemis dans ses propres rangs. Ils ont essayé de nous diviser et de nous conquérir tout en ignorant leurs propres divisions. La classe supérieure, tout comme le secteur corporatiste, s’est en fait contractée. Ce qui signifie que, alors que le total de leurs actifs a augmenté, le total de leurs effectifs a diminué. Comme les sociétés avalent les sociétés, des gens riches sont éjectés, et beaucoup d’entre eux sont furieux. Comme les entreprises s’attaquent les unes aux autres, les milliardaires s’attaquent les uns aux autres. De moins en moins de familles et de moins en moins de personnes possèdent de plus en plus de richesses. Mais ceux qui ont été éjectés restent des multimillionnaires avec des contacts et du pouvoir, et nous les voyons mener la rébellion. L’une de leurs façons de procéder est de nous transmettre des informations. Cela non plus n’est jamais arrivé dans l’histoire, ou pas à cette échelle. Avant Internet, ces gens n’auraient pas pu nous instruire aussi facilement, voyez-vous. C’est un très grave danger pour les trillionnaires, qui sont obligés de se retrancher de plus en plus dans leurs forteresses. Ce qu’ils craignent le plus, c’est qu’une coalition de ces millionnaires s’empare d’une force aérienne, stade à partir duquel plus aucune forteresse ne les protègera. C’est le rôle de toutes ces agences d’espionnage, au fait. Elles ne sont pas là pour nous espionner, vous et moi. Elles espionnent les gens puissants juste en dessous de leur niveau.

Pour cette raison, le présent ne ressemble en rien au passé. Nous sommes en territoire vierge, et tout peut arriver. Et vu que les super riches semblent avoir complètement perdu la tête, c’est probablement ce qui arrivera. Je ne crains pas une guerre nucléaire, mais nous pourrions très bien voir le Phoenix s’embraser très bientôt. S’ils organisent leur propre conflagration, ils pourront peut-être limiter quelque peu les dégâts, sinon les dégâts seront pratiquement illimités. Mais encore une fois, n’ayez pas peur: vous et moi avons très peu à perdre. Tout ce qu’il y a à perdre est de leur côté. Plus on possède, plus on est possédé, et ces gens sont littéralement possédés.


Texte original

A Little Math

by Miles Mathis

First published March 8, 2022

Here’s a little math no one is doing. The Biden scriptwriters are telling us gasoline prices are so high because of Putin. But wait, Russia only supplies 4% of our oil, but prices have gone up by 90% since Biden took office. So we seem to have a little mismatch there. But it is even worse than that, because the prices went up by 90% before we cut off delivery of Russia’s oil. We haven’t yet officially cut of Russian oil yet, so we might be able to blame the next 4% rise on that after we do. We can’t blame the 90% rise in the past on that.

So I guess these people telling you this, including Biden, Psaki, and all the other paid pimps and creeps on TV and online must think you are an idiot, one who can’t even follow first-grade math or logic. They think you can’t tell past from present, and think you may believe 4=90. That’s what they really think of you. They are just spitting in your face. How long are you going to keep taking it?

You could end this any time. It can all stop. The deadly vaccines, the fake wars, the fake news, the mad promotion of homosexuality and transsexuality, the destruction of sex, the destruction of race relations, the destruction of family, the destruction of youth, the destruction of health, the destruction of food, the destruction of sense: it could all end tomorrow. JUST SAY NO! Quit bending over and taking it. The middle and lower classes need to revolt worldwide and pull these people down. It has already started with the truckers, so join them. But don’t just target DC and the state capitals. Target the big media companies pushing this fake narrative on you. Target the military bases and Intel centers creating these narratives. Target the billionaires and trillionaires funding this hell and creating the central script.

Yes, we are in end times. Their end. They are collapsing and you need to keep pushing them. They are pushing you hard, but it is all a bluff, so push back twice as hard.

Remember, they are lying to you about the split as well. They want you to think that only half the country is against them. They want you to think that most Democrats support them. They want you to think Biden’s approval rating is still at 37% or something. But none of that is true. Biden’s approval rating can’t be above 5%. What sort of absolute moron could approve of the past year, or think Biden is doing a good job? The truth: NO ONE DOES. No real person thinks things have gotten better in the past year.

I am told everyone supports the war against Russia. But who is this everyone? The paid Tiktok jerks posing with their flags? The government agents on Facebook and Youtube? The creeps on The View or CNN or some other TV show no one watches? The people in Congress, who collectively have an approval rating of something like 9%? Like the Antifa aholes, none of those people are real. Like all those people arguing in favor of Critical Race Theory or sex education for five year olds or whatever, these people on TV and online aren’t even real. They are paid agents, hired to create support for the latest fake and scare you off the streets. They are desperately trying to nip this revolution in the bud, and this is how they do it: they make you think half the country is against you. They make you think these policies have some support, by hiring a few Colberts and Whoopi Goldbergs and Cynthia Nixons to promote them, but no one outside of DC or Hollywood really does support them. The New World Order and Great Reset have almost zero real support. Maybe 2% support, from the already very wealthy. So it isn’t you that can be ignored, it is them. If the 98% decide to move against them, all the militaries of the world will not help them. After a few initial skirmishes (which, yes, you may lose), the soldiers will join you. So quit being bluffed into thinking you can’t win.

You can win, and you will, but you better get after it. If you wait much longer, they will have debilitated you past the point of all action. They are even now turning your children into slugs that couldn’t revolt against an ice cream truck. But just remember this: they and their children are even worse. What they have done to you they have also done to themselves, but in heels and dancing backwards. Meaning, their curse against you has reflected back upon them, as curses always do, doubling in the return. The more evil they get, the weaker they become, which means they are extremely weak right now. They are like roaches that have sprayed themselves with Raid, and they are now running around in circles. Step on them while the stepping is good.

Another bluff is that if we pull them down we won’t be able to run the world. It is too complex for us. Bull. Your average restaurant manager could run the world better than these bastards. What are they currently doing right? They have turned this planet into a literal hell for most people and most animals, and almost anything would be better.

But of course you won’t win by driving around shooting at things and blowing things up. Like the truckers, you have to ORGANIZE. Our Constitution is not perfect, but it gives you avenues for doing this all legally, without committing treason or sedition. This is a country born of revolution, so it can hardly outlaw positive revolution. Treason would be trying to overthrow our democracy and Republic, by scrapping the Constitution and trying to install another form of government, such as—oh, I don’t know—corporatocracy. Exactly what the governors are doing. That is treason. What we are doing is not treason, since we are trying to rid ourselves of embedded tyrants, who have tried to place themselves above and beyond the law and the people. Mainly we are trying to rid government of extra-governmental entities that are acting outside the law: entities like WEF, Bilderberg, the Aspen Institute, the Cato Institute, the Trilateral Commission, the Gates Foundation, the Rockefeller Foundation, the CFR, the Federal Reserve, GoldmanSachs and their tools in CIA, NSA, FBI, DHS, military intelligence and media (including Hollywood). All such organizations should be strictly outlawed, since they are just a way for the superwealthy to prey on the rest of us via covert rapine and 24/7 propaganda and gaslighting. There is nothing treasonous about calling for their ends, since they are treasonous themselves. In fact, every single person involved in those organizations (and hundreds of others) should be brought up on charges of treason and punished to the full extent of the law. And that includes all the lying actors and directors that have been twisting our minds for decades.

This is why these people are now accusing us of treason. They always accuse others of what they are doing themselves. They undermined the Constitution on purpose, which is treason, so they turn and accuse their accusers of treason. It is debate 101. Lie and then accuse the other side of lying when they catch you at it. It is the surest sign of desperation, and these liars are especially desperate right now, since they have lost control of the whole narrative. Their web of lies is even now unwinding on them, and every new lie just makes it worse. They have been existing on a knife-edge since 2001, just barely keeping their heads above water and out of the guillotine, but with the Covid and vaccine crime against humanity they went way too far, and no fake war with Russia is going to erase that.

Here is the news you aren’t being told: the revolution is already under way. Resistance is already strong and it is growing. The fake war in Ukraine will not stop it, it will only add to the anger aspeople realize it is another gaslighting. The government is trying to save itself, but it is just digging its hole deeper. There were ways for the government to reverse out of this before Covid, but it decided to keep doubling down and it has sealed its own doom. The fake Ukraine war is the attempt to double down again after the Covid crime against humanity, but it won’t work. It is failing even as we speak. It will divert attention only in the short term, but people are already seeing through it. Millions of people have already quit their jobs in protest, which is as good as a tax revolt since if you have no income you can’t be expected to pay income taxes. Millions more will quit in the upcoming months. They tell us new jobs are being created, but that is bull. Those are the jobs now open from millions quitting, so that doesn’t really count as job creation, does it? “Everyone in the country just quit their jobs in a tax revolt, so we just created 100 million jobs, yeah!”

So here is a little more math I did in my head: Their only remaining hope of saving their necks is in the upcoming mid-term elections. They had planned to have the Republican party ride in to save the day, but at this point that won’t be enough to quell the rebellion. Things have spun out far beyond that script, which won’t fool anyone. As I run the numbers, I see their only chance of avoiding a real grassroots rebellion is to stage their own fake one, a sort of 1776 redux, whereby some band of photogenic patriots does a thorough housecleaning, disappearing the entire current cast of characters to oblivion, including Mitt Romney, Keith Olbermann, Sean Penn, Whoopi Goldberg, Liz Cheney, Nancy Pelosi, Tony Fauci, Bill Gates, and all the rest. In other words, giving the Reds a majority in both houses won’t solve anything. The whole legislative lot need to be prosecuted for corruption and new elections called with new strict election laws—all the election machines and computers being thrown into a scrap heap. Same for the entire executive branch and judicial branch, of course. The military and Intel would also have to be purged, but of the opposite people it has just been purged of. Both the military and Intel would have to be vastly downsized or re-assigned to positive projects—like arresting all those involved in the current crime against humanity. Media would also have to be reined in, and all ties between government and media would have to be cut. The Federal Reserve would have to killed and replaced by a real National Bank owned by the people—not as a nod to Communism but as a safeguard against theft. Not only that, but banking as a profit-making enterprise should be banned altogether. A Constitutional Convention should be called and the Constitution should be rewritten and updated: beefed up considerably to address modern concerns. As it now stands, the Constitution is just one big loophole, utterly failing to limit the power of the superrich.

In other words, as I see it the only hope of proceeding without major violence against the superrich is for the superrich to give us our due without violence. It is that simple. They need to de-Grinch and ride down from the mountain with the sled of toys, or they are going to be thrown from it into the abyss. What they have forgotten is that laws and Constitutions not only protect us from them, they protect them from us. They prevent things from getting so bad we have nothing left to do but pull them down.

You will say I have shown all the revolutions of the past were fake, so why do I think this one is real, or may succeed? Because the current mess is nothing like any previous one. It is categorically different, and therefore far more dangerous to the rulers. For one thing, they are attempting naked tyranny on huge populations in the west long-schooled on freedom and democracy. That has never before been seen in history. These populations are not only huge, they have huge resources. Not only do they have weapons and vehicles and means of communication, they have know-how and access to all companies. We work everywhere and it is our knowledge that actually keeps things running, not theirs. They just sit around and buy things and come up with schemes of fraud. That also has never been true in history, or not to this extent. In the past, information was extremely limited, and most people didn’t have a clue what was going on. Skills were also limited, since there was no middle class. Peasants mostly wouldn’t think of rebelling against tyranny, since they were born into it and knew nothing else. But the new tyranny is strange and alien to us, arising mostly since 2001 and accelerating sharply. It conflicts grossly with all we were taught. We had no real Republic before 2001, but we had a pretty good pretense of one, with the theft and graft fairly well hidden. For most of the 20th century we had a prosperous middle class and an upper class with at least the outward appearance of restraint. But that has all gone out the window, with the upper class now absolutely losing its mind in a frenzy of open rapine.

Another sign the upper class is due for a big fall is that they have made many powerful enemies in their own ranks. They have tried to divide and conquer us while ignoring their own divisions. The upperclass, like the corporations, has actually been contracting. Meaning, while their total assets have been rising, their total numbers have been going down. As companies swallow companies, rich people are jettisoned, and many of them are pissed. As companies prey on one another, billionaires prey on one another. Fewer and fewer families and fewer and fewer people own more and more. But those jettisoned remain multi-millionaires with contacts and power, and we are seeing them lead the rebellion. One way they do that is to feed information to the rest of us. That, too, has never before happened in history, or not on this scale. Before the internet, those people would not have been able to educate us so easily, you see. That is a very great danger to the trillionaires, who are forced to retreat further and further into their fortresses. What they most fear is a coalition of these millionaires seizing an air force, at which point no fortress will suffice. That is what all these spy agencies are about, you know. They aren’t spying on you and me. They are spying on the powerful people just below them, you know.

For that reason, the present is nothing like any past. We are in virgin territory, and anything could happen. Since the superrich appear to have utterly lost their minds, it probably will happen. I do not fear a nuclear war, but we could very well see the Phoenix go up in flames very soon. If they stage their own conflagration, they may be able to limit the damage somewhat; if they don’t, the damage is pretty much limitless. But again, don’t be afraid: you and I have very little to lose. Everything to lose is on their side. The more you possess, the more you are possessed, and these people are literally possessed.

Nos dirigeants ont conclu un pacte avec le Diable, et le Diable vient maintenant réclamer son dû – Charles Hugh Smith.

Deuxième (nouvel) article de Charles Hugh Smith. Pour faire la trilogie, je conclurai juste après par une analyse cinglante de Miles Mathis sur le même sujet et sur la manoeuvre Ukraine.

Vous aurez compris que même si c’est des Etats-Unis qu’il est question, ça concerne l’Europe au premier plan.

Source.


Traduction

Nos dirigeants ont conclu un pacte avec le Diable, et le Diable vient maintenant réclamer son dû

Charles Hugh Smith

21 février 2022

À l’insu de la plupart des gens, les dirigeants américains ont conclu un pacte avec le Diable: plutôt que d’affronter directement les contraintes et les injustices de notre système économico-financier, ce qui exigeait des choix difficiles et des sacrifices de la part des élites politico-financières au pouvoir, nos dirigeants ont choisi de pactiser avec le Diable: en substituant à une prospérité généralisée la création d’une « richesse » sous forme de bulle d’actifs entre les mains d’une minorité.

La promesse du Diable: qu’un mince filet des trillions de dollars accordés à une minorité finirait comme par magie par dégouliner sur le plus grand nombre. Une promesse aussi manifestement ridicule que celle de l’immortalité sur Terre, mais nos dirigeants, lâches et avides, se sont empressés de conclure le marché avec le Diable et ont ensuite prestement gonflé la plus grande bulle de crédit de l’histoire de l’humanité.

Plutôt que de vendre leur âme, les dirigeants américains ont vendu la sécurité et la stabilité futures de la nation. En refusant de s’attaquer aux vrais problèmes tels que révélés par l’effondrement des escroqueries financières en 2008-2009, nos dirigeants – tant la Réserve Fédérale non élue que le « meilleur gouvernement que l’argent puisse acheter » élu – ont choisi de renflouer les escrocs qui leur avaient si généreusement graissé la patte et sacrifié la prospérité du plus grand nombre pour y parvenir.

Cela équivaut plus ou moins à sacrifier des innocents sur l’autel des dieux pour assurer la pérennité du pouvoir des dirigeants.

Le Diable était ravi de procurer à nos dirigeants corrompus et cupides l’illusion de pouvoirs divins. L’accord semblait mutuellement profitable: nous enrichissons les quelques pour cent les plus riches et nous nous déchargeons des coûts et des sacrifices sur la multitude impuissante, à qui l’on a dit qu’elle bénéficierait du filet d’argent qui s’échapperait des poches pleines à craquer des super riches.

Mais aujourd’hui, le Diable réclame son dû: les bulles sans précédent, issues du crédit, des actions, des obligations et de l’immobilier sont en train d’éclater, et tout ce qui reste aux dirigeants corrompus de l’Amérique est de balbutier et débiter des excuses et des promesses vides. Ce qui revient à supplier le Diable de renégocier l’accord, car maintenant, les effets négatifs ne sont pas seulement visibles mais inévitables. Désolé, chers dirigeants américains, le Diable ne répond ni aux supplications ni aux menaces. Désolé, l’accord reste valide comme convenu. Tous vos gains et pouvoirs fictifs vont s’évaporer, et là, la vraie destruction commencera.

Comment tout cela va-t-il finir? Par la ruine, bien sûr. Les lâches et les égoïstes qui nous dirigent peuvent bien se lamenter et dire que c’est le Diable qui les a contraints, mais c’est faux: ils se sont rués pour vendre la stabilité et la sécurité futures de la nation en échange des richesses faciles des bulles et de la corruption.

Coucou, qui c’est?

Texte original

Our Leaders Made a Pact with the Devil, and Now the Devil Wants His Due

Charles Hugh Smith

Feb 22, 2022

Unbeknownst to most people, America’s leadership made a pact with the Devil: rather than face the constraints and injustices of our economic-financial system directly, a reckoning that would require difficult choices and some sacrifice by the ruling financial-political elites, our leaders chose the Devil’s Pact: substitute the creation of asset-bubble « wealth » in the hands of the few for widespread prosperity.

The Devil’s promise: that some thin trickle of the trillions of dollars bestowed on the few would magically trickle down to the many. This was as visibly foolish as the promise of immortality on Planet Earth, but our craven, greedy leadership quickly sealed the deal with the Devil and promptly inflated the greatest credit-asset bubble in human history.

Rather than trade away one’s soul, America’s leaders traded away the future security and stability of the nation. By refusing to deal with the real problems exposed by the collapsing financial scams in 2008-09, our leaders–both the unelected Federal Reserve and the elected « best government money can buy »–chose to bail out the scammers who had greased their palms so generously and sacrificed the prosperity of the many to do so.

This is more or less the equivalent of sacrificing innocents at the altar of the gods to ensure the leaders’ rule will continue to be successful.

The Devil was delighted to serve up the illusion of godlike powers to our corrupt, greedy leaders. The deal looked oh-so win-win: we enrich the top few percent and offload the costs and sacrifices on the powerless many, who were told that they would benefit from the trickle of cash leaking out of the super-wealthy’s bulging pockets.

But now the Devil is demanding his due: the unprecedented credit-fueled bubbles in stocks, bonds and real estate are popping, and America’s corrupt leaders can only stammer and spew excuses and empty promises. All this amounts to begging the Devil to renegotiate the deal because now the downside is not just visible but inevitable. So sorry, America’s leadership–the Devil doesn’t respond to pleas or threats. Sorry about that; the deal stands as agreed. All your bogus gains and powers will evaporate, and then the destruction really begins.

How does all this end? In ruin, of course. Our craven, self-serving leadership may well bleat, « the Devil made us do it! » but that is not true: they fell all over themselves to sell the future stability and security of the nation for the quick-fix riches of bubbles and corruption.

Nouveau vaccin, vieille arnaque.

Je retire ce que j’ai dit à propos de mon médecin. Il a très bien fait son boulot et je suis un ingrat. Je n’étais pas dans un état aussi pitoyable faute de traitement mais à cause d’un autre problème, en plus de ma pneumonie, que l’analyse sanguine a finalement révélé.

J’ai la mononucléose.

A mon âge c’est un peu ridicule (c’est la « maladie du baiser« ) et évidemment on se fout de moi. Je continue à publier, comme vous voyez, parce que même si je suis très vite épuisé, j’ai beaucoup de temps libre. J’en consacre une grande partie à lire et à rassembler un maximum d’infos. Et je tombe sur l’article dont vous pouvez lire un extrait ci-dessous…

Mon médecin me jure ses grands dieux que c’est moi qui ai chopé ce truc et qui l’ai filé ensuite à mon épouse, et non pas l’inverse comme il serait logique, vu qu’elle travaille dans une institution pour enfants et que je n’ai essentiellement aucun contact avec personne, jamais. Vu la teneur du nouveau « projet », il serait donc très utile de savoir si ça fait partie d’une tendance. Je vais donc faire ce que je n’ai encore jamais fait: un appel à témoins. Si vous connaissez d’autres cas de mononucléose, disons, inattendus ou atypiques, merci de le mentionner dans les commentaires ou de m’envoyer un message par la page Contact.

Je publie juste après ceci un deuxième article de Elliott Freed, qui résume parfaitement la situation sanitaire à ce jour, et les questions qui vont se poser demain. Si on y ajoute cette potentielle nouvelle « crise », les réponses à ces questions risquent d’être assez tragiques.

J’ajoute enfin que le coup du rôle de tel ou tel virus comme promoteur de telle ou telle maladie n’est pas une nouveauté: on nous a déjà fait le coup avec le HPV, et c’était pour vendre un vaccin extrêmement dangereux.

Source (point 1).


Traduction

Epstein Barr – la prochaine grande campagne de vaccination?

Epstein-Barr est le virus qui provoque la fièvre glandulaire (la mono, pour nos lecteurs américains) [NdT. et pour les lecteurs francophones]. C’est l’un des virus les plus courants au monde, il n’est presque jamais mortel et la grande majorité des infections sont asymptomatiques.

Pourtant, on veut vacciner contre ce virus.

Un article du Guardian datant de ce matin pose la question suivante: « Peut-on se vacciner contre Epstein-Barr, le virus que vous ne saviez pas que vous aviez?« 

A aucun moment, ils ne se demandent pourquoi il faudrait se faire vacciner contre un virus dont on ignorait même la présence.

Cela fait des décennies qu’ils travaillent sur des vaccins contre le VEB [Virus Epstein-Barr], mais aujourd’hui – selon l’article – la nouvelle technologie ARNm mise au point pour les vaccins Covid va enfin rendre la chose possible. Trois d’entre eux en sont déjà aux premiers stades de production.

Pour revenir à ma question précédente, pourquoi faudrait-il vacciner contre un virus dont la plupart des gens ne se rendent même pas compte qu’ils l’ont?

Eh bien, pas parce qu’il cause une maladie dangereuse – ce n’est pas le cas – mais parce qu’il est « associé » à des maladies mortelles.

Apparemment, plus de 200.000 types de cancer ont été « associés » à une infection par le VEB, tout comme la sclérose en plaques et le syndrome de fatigue chronique. Ce sont ces « associations » qui rendent le virus  » inquiétant « , ce qui implique que nous avons besoin d’un vaccin.

Ce qu’ils oublient de dire, c’est à quel point ce virus est répandu. Un article publié il y a quelques années affirme que jusqu’à 90% des humains sur la planète ont été infectés par le VEB à un moment donné de leur vie.

Ce qui, naturellement, signifie que 90% des patients atteints de cancer, de sclérose en plaques et des personnes qui meurent de n’importe quelle cause ont été exposés au VEB.

Manipulation statistique et jeux sur les mots pour pousser un vaccin? On a déjà vu le film.


Texte original

Epstein Barr – the next big vaccine push?

Epstein-Barr is the virus which causes glandular fever (mono, for our American readers). It is one of the most common viruses in the world, almost never fatal, and the vast majority of infections are asymptomatic.

Nevertheless, they want to vaccinate against it.

A Guardian article from just this morning asks “Can we vaccinate against Epstein-Barr, the virus you didn’t know you had?”

They don’t stop and ask why you would need to vaccinated against a virus you don’t even know you had.

They’ve been working on EBV vaccines for decades, but now – the article claims – the new mRNA technology developed for Covid vaccines will finally make it possible. There are already three in early stages of production.

So, returning to my earlier question, why do they need to vaccinate against a virus most people never even realise they have?

Well, not because it’s a dangerous disease – it specifically isn’t – but because it is “associated” with deadly diseases.

Apparently, over 200,000 types of cancer have been “associated” with EBV infection, as have multiple sclerosis and chronic fatigue syndrome. It’s these “associations” which make the virus “scary”, and that means we need the vaccine.

Now, what they don’t tell you is just how common this virus is. A paper from a couple of years ago claims up to 90% of all humans on the planet have been infected with EBV at some point in their lives.

Which, naturally, means 90% of cancer patients, and MS sufferers and people who die of literally anything have been exposed o EBV.

Statistical manipulation and wordplay to push a vaccine? We’ve seen this movie before.

Nouvelles en vrac, et autres futilités.

De votre correspondant de guerre en peignoir.

Bulletin de santé

Juste pour me plaindre et dire des choses désagréables – les lecteurs avisés passeront directement au paragraphe suivant. Je souffre de deux choses: une mauvaise pneumonie au Chlamydia et un mauvais médecin. J’ai juste moins de fièvre et je tousse moins mais je dors quasiment non-stop et je tiens à coups d’Aspirine après dix jours d’antibiotiques. C’est pas possible de laisser les gens chez eux dans un état pareil et c’est une mauvaise idée de les envoyer à l’hôpital, qui est essentiellement devenu un abattoir. Alors que faire?

On pourrait essayer la transparence. Par exemple, un avertissement de ce genre:

Attention! Malgré mon titre officiel, je ne suis pas compétent pour la fonction qui m’est assignée. L’exigence de savoir-faire et d’expérience pour l’accès à ma profession a été systématiquement revue à la baisse et l’ensemble de mon secteur d’activité est miné par une corruption rampante. La confiance que vous m’accorderez représente pour vous un risque qui peut devenir existentiel, pour lequel je suis par avance déchargé de toute responsabilité.

On pourrait exiger que l’affichage visible de cet avertissement soit une obligation pour l’exercice de nombreux métiers.

Président, par exemple.


Une crise chasse l’autre

Avez-vous remarqué comme une similitude? Virus=Poutine, tempête cytokinique=sanctions. C’est ce que je tentais d’expliquer à mon toubib, qui ne comprend rien du tout à la « crise » – ni à grand chose d’autre, d’ailleurs. Ça n’a pas marché: il ne sait pas ce qu’est une tempête cytokinique. CQFD.


Ach! Guerre Gross Malheur

Robert Malone, Joyce Kamen, et d’autres sont virés de ma liste d’auteurs à suivre. Définitivement. Ils ont oublié d’appliquer le principe de précaution, qui veut qu’on ne fasse pas pire que le mal. Dans ce cas-ci, pire c’est pousser des cris d’orfraie pour le peuple ukrainien martyr, que le gouvernement US ainsi que quelques suiveurs assez vicelards veulent armer, c’est-à-dire envoyer au suicide.

Si les « résistants » américains que je publie (ou d’autres) veulent absolument nous la jouer indignés, qu’ils gardent leurs vociférations pour les pauvres du Yémen qui se font incinérer par les bombes qu’ils ont eux-mêmes (les américains) financées avec leurs impôts.


Ce n’est pas une guerre

C’est une opération militaire.

C’est le Kremlin qui le dit. C’est assez logique de leur point de vue: une opération militaire ponctuelle et ciblée, avec une date de fin déjà prévue – je dirais avant juillet – qui serait respectée si la cabale habituelle ne faisait pas tout pour faire durer le conflit, ce qui est bon pour ses industries militaires, et faire gonfler les pertes, ce qui n’est pas strictement nécessaire mais tellement amusant, pas vrai Madeleine?

Une opération qui mériterait tout au plus trois phrases et demi dans la presse écrite. Je vous fais le pitch:

Cette opération militaire s’apparente tactiquement à une opération de police, ce qui cadre avec son objectif de démantèlement de la mainmise du réseau de grande délinquance internationale sur le gouvernement Ukrainien. Une mission des services secrets aurait pu seule suffire à cet égard sauf l’existence d’une garde prétorienne – bataillon Azov et « Ukronazis » – dédiée à protéger la junte au pouvoir. Une fois l’opération accomplie, un nouveau réseau de contrôle pro-russe sera mis en place pour éviter toute tentative de récidive en matière de menace géostratégique furtive.

Nous renvoyons nos lecteurs intéressés aux enjeux économiques de cette intervention militaire à notre rubrique hebdomadaire destinée aux investisseurs.

Bien entendu, je n’y connais rien en matière militaire alors comment pourrais-je juger, moi, du fait que ce serait une opération plutôt qu’une guerre? Je ne juge de rien du tout, je lis des témoignages de mercenaires expérimentés qui sont allés au front (notamment ici et ici). Leur message est clair: on a connu des guerres mais là c’est une opération hyper-coordonnée, vous n’avez aucune chance, ce truc va être plié en moins de deux, n’allez pas vous faire tuer pour rien, restez chez vous, merci, bonsoir.

Pour une analyse plus générale, je vous envoie – encore – vers la chaîne de Xavier Moreau, pas plus mal informé que d’autres sur ce type de sujet même s’il est très naïf sur l’essentiel.


La vraie guerre est ailleurs

Ce nouvel épisode est là pour nous le rappeler: tout s’articule sur l’économie, ou plus précisément sur les crimes qui viennent se greffer sur celle-ci et qu’elle sert à « justifier » – depuis les death panels de Obama aux famines organisées (on attend la prochaine de pied ferme) en passant par les coups d’Etat dans les pays riches en matières premières.

Côté bourse, les « sanctions » serviront à vendre l’énorme opération financière qui se joue en coulisses. Après avoir spéculé pendant des décennies sur le productivisme et le gaspillage insensé, les « parties prenantes » du système moribond spéculent sur la rareté et le contrôle de la consommation, qu’elles annoncent clairement comme objectifs majeurs de leur Grand Reset. Si vous trouviez déjà que les « mesures » Covid avaient servi à un hold-up planétaire, attendez de voir ce qui nous sera confisqué au nom desdites sanctions et ira atterrir dans leurs poches. A ce stade-ci, ce n’est même plus de l’argent qui s’envole mais le compteur du flipper gobal qui s’emballe. Same player shoots again.

Côté institutionnel, on en profitera pour se débarasser de l’OTAN, qui fait en ce moment absolument tout pour se discréditer, et de l’Union Européenne, même remarque, les deux devenant un peu étroits et obsolètes pour le projet final de gouvernance planétaire, celui où tout le monde ferme sa gueule sur tout – et plutôt deux fois qu’une – sous peine d’être désigné ennemi de la paix mondiale.

Je parie une sucette à l’anis sur une intégration totale de l’OMS, de l’ONU, du FMI et d’autres institutions de l’alphabet-soup, sous supervision légale des banques centrales et de la BRI et la guidance idéologique du FEM, d’ici 2025, date butoir 2030. Le truc est programmé, les indices sont déjà en place et les peuples sont assez ignorants pour ne pas comprendre ce qu’il leur arrive et surtout assez lâches pour le rester.


Les nouveaux parasites

Je vous parle d’un temps, etc.

Les vieux cons comme moi se souviendront que, lorsqu’ils étaient jeunes et beaux, les gouvernements du moment étaient essentiellement composés de vieux cons – la roue tourne. L’Europe (je parle surtout de la France et de la Belgique) était depuis les années 50 un cloaque de centre-mou, bâti autour d’antiques réflexes autoritaires et du légitime mépris du peuple qui séyait au petit milieu du pouvoir d’alors: la vieille droite à pognon, réactionnaire et raciste, qui maîtrisait parfaitement les petits truands arrivistes de la gauche de l’époque.

Puis les vieux cons devinrent de plus en plus vieux et de plus en plus cons, les petits truands en question s’organisèrent mieux, jusqu’à se frayer un chemin jusque-z-en haut de la guépière de Marianne, d’où ils purent la violer au grand jour et aux yeux de tous, indiquant ainsi la voie à suivre aux petites frappes à la Sarkozy, qui rampèrent bientôt de dessous l’ombre d’un Chirac – paroxysme du rien-à-foutre de la France – jusqu’au fauteuil du calife d’où leurs petits pieds ne touchaient pas le sol.

A cette courte ère de mafieux ostentatoires de tous bords succède aujourd’hui le non-règne de l’anti-gouvernance, incarnée par la version série télé américaine de l’homosexuel cocaïnomane à tête-à-claques, le modèle Trudeau/Zelenski/Macron. Ces nouveaux insectes coprophages, dont les larves ont éclos sous les semelles d’un Schwab ou d’un Attali, qui, en pragmatistes éclairés, ne les ont pas écrasés d’emblée, représentent aujourd’hui un danger mortel pour ce qui reste de l’Occident. En dépit du fait qu’ils n’aient strictement aucune bribe de pouvoir politique, leur simple présence médiatique acte la tolérance – voire la soumission – des peuples à ce niveau de dégénérescence. Un genre de défaite morale absolue, qui ne signifie pas seulement la fin de l’Empire occidental mais le début d’un engrenage purement diabolique dans lequel les nouveaux vieux cons doivent passer par leurs propres créatures pour vendre leur programme d’extermination.

Les coulisses du pouvoir, qui autrefois laissaient percevoir un léger relent de couche Confiance faisandée, dégagent désormais un remugle de capote usagée et de déodorant pas cher, jeunisme oblige. Même le père fondateur de l’UPR, tentative de revival du régime des vieux cons et seul présidentiable sérieux, a fini par flancher à force de regarder la nuque de son chauffeur – ce qui lui vaut le doux sobriquet de « Assholineau ».

Tout fout l’camp, même les vieux cons.

NB: Miles Mathis est d’avis qu’on fait tout pour discréditer tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la gauche ou du progressisme, en confiant systématiquement ce discours à des losers professionnels. Je constate la même chose, et parallèlement un très haut niveau dans tout ce qui joue le rôle de droite réactionnaire. Miles pense que l’intention est de nous vendre un genre de « nouvelle » droite mais qu’une révolution interviendra avant. Je pense qu’il n’y aura aucune révolution nulle part sur cette planète tant qu’il y aura des écrans de télévision ou de téléphone et que le sort de l’humanité est définitivement scellé, point final. Mais je vous traduirai quand même le papier de Miles, au cas où il aurait raison.


Camarade!

Matthew Ehret publie ceci, où j’apprends avec stupéfaction que la famine de 1932-1933 en Ukraine (l’Holodomor), sur laquelle j’avais publié ceci, n’est pas le fait du régime soviétique mais la conséquence d’un phénomène naturel.

Je ne vous cache pas que je suis un peu déçu du Communisme, que je croyais détenteur de toutes les solutions aux problèmes de la société humaine, y compris face aux phénomènes naturels.

Je me demande si je ne vais pas renvoyer ma carte au Comité Central.


Les armes nucléaires n’existent pas

Sur le site de Anders Björkmann.

Un très long article de Miles Mathis.

Vidéos assez rigolotes ici, ici, ici, ici, ici et ici, le tout en anglais, du même auteur. La dernière contient des extraits d’un reportage français où l’on voit des généraux s’époumonner à vous montrer leurs jouets. C’est assez pathétique.

Il y a des centaines d’autres sources mais la plupart sont volontairement polluées (antisémitisme rampant, Terre plate, aliens, ce genre de conneries). Croyez-moi, j’ai fait le tour du sujet.

Pour ceux qui voudraient explorer davantage la théorie de l’atome, il y a cet excellent ouvrage de Dewey B. Larson, « The case against the nuclear atom« , qui vaut une lecture attentive rien que pour sa longue analyse épistémologique. Il y a aussi ce nouveau paradigme très intéressant, qui maintient une théorie du noyau atomique mais revoit son organisation selon les solides pythagoriens, ce qui a comme effet de « décoincer » les incohérences de la théorie de l’atome de Bohr.


Qui est Vladimir Poutine?

Déjà, comme vous venez de le lire, un type qui ment à travers ses dents lorsqu’il brandit la menace nucléaire. Vous en faites ce que vous voulez, mais quel que soit le palmarès du bonhomme, c’est assez pour que je lui retire toute forme de confiance.

Je ne vous la fais pas à la « Faits & Documents », ni à la Miles Mathis. Je résume.

Vladimir Poutine n’est pas un nostalgique de l’Union Soviétique. Il fait partie de la dynastie royale russe et a été désigné par elle pour rétablir sur le territoire l’ordre de la Russie tsariste. Ce dont les autres familles se servent pour foutre le bordel dans l’économie mondiale, comme dans toutes les guerres (pardon, opérations militaires). Classique.

Tous les empires, toutes les guerres, toutes les colonisations, toutes les révolutions – y compris celles qui ont semblé les écarter du pouvoir – sont le fait des mêmes familles depuis plus de cinq siècles.

Alex Thompson parle ici d’un noyau central de treize familles et cite qui est au-dessus de ces familles.

Eh oui, qui?

Rétropédalage du CDC américain.

Joyce Kamen est la fille du Dr Jack Kamen, le docteur qui a mis au point le système d’obturation des canules pour trachéotomie qui porte son nom. Ce petit médecin des familles aura ainsi sauvé un nombre incalculable de vies. Joyce en parle ici. En digne héritière de son papa, elle a aussi publié un article sur la trahison du Dr Andrew Hill, d’un niveau de malfaisance qui fait froid dans le dos. Je traduirai et publierai les deux sur ce blog (même si je n’ai pas le temps).

Joyce nous explique dans l’article ci-dessous comment, après avoir imposé un protocole de soins conçu pour tuer des centaines de milliers de gens, le CDC retourne sa veste, en recommandant maintenant le traitement précoce du Covid. En anglais, on appelle ça « adding insult to injury »: ajouter l’insulte à la blessure. Sauf que tout ça est évidemment plus grave que des « blessures ».

Je vous l’avais annoncé ici, et c’est exactement ce qui est en train de se produire. Ils retournent tous leur veste, et en plus ils se foutent de nos gueules.

L’Imperial College, où sévit Neil Ferguson, qui avait promis 500.000 morts rien qu’au Royaume-Uni dans l’étude qui a servi d’alibi à tous les gouvernements pour imposer deux ans de mesures totalement inutiles à autre chose qu’à la destruction de leurs économies nationales, publie maintenant des études qui montrent que les masques ne servent absolument à rien, ce qu’on sait depuis des décennies et ce que rappellent tous les scientifiques sérieux depuis le début de l’épidémie.

Une étude de Johns Hopkins (ceux qui ont co-organisé le Event 201 censé prévoir toutes les mesures nécessaires en cas d’épidémie) annonce que les mesures prises par les gouvernements, qui ont engendré des dégâts humains incalculables, n’auront finalement réduit la mortalité que de 0,2%.

Ecoutez Scott Gottlieb, l’ancien de la FDA recyclé chez Pfizer, qui explique que le CDC n’était malheureusement pas équipé pour indiquer la marche à suivre – après avoir interdit aux médecins de soigner les malades – et que tout est donc de la faute de ceux qui les ont écoutés. Le CDC est donc innocent.

Présentatrice: Les lignes directrices du CDC ont semé la confusion, elles ont été déconcertantes, elles ont semblé définir la  » science telle que nous la connaissons  » à certains égards, mais je suppose que c’est la réalité et que c’est probablement la raison pour laquelle ils ont modifié ces lignes directrices pour refléter exactement ce que nous voyons actuellement. Enfin, je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas dit cela à l’époque, mais sachant que nous allons avoir, disons, un pour cent de la population infectée, 10 % infectés à un moment donné, comme nous l’avons vu ces dernières semaines, est-ce que c’est ce que le CDC a vu et savait? C’est pour cela que nous avons reçu ce genre de conseils insensés?

Gottlieb: Je pense que les directives du CDC reflètent la réalité: une grande partie de la propagation actuelle est le fait de personnes qui sont légèrement symptomatiques ou asymptomatiques et qui ne transmettent pas leurs infections; imposer toutes les réglementations et les restrictions sur le petit pourcentage de personnes qui se font diagnostiquer et s’isolent ne va pas permettre de contrôler cette épidémie. Tout comme nous ne faisons pas de recherche de contacts en ce moment. Beaucoup d’écoles ne recommandent pas la mise en quarantaine des élèves lorsqu’il y a un cas dans la classe, parce qu’il y a tellement d’infections et qu’il est impossible de contrôler l’épidémie par les infections que l’on transmet. Je pense qu’en ce qui concerne les conseils du CDC de manière plus générale, la réalité est que le CDC n’est pas une agence habituée à parler au public. Ils émettent généralement leurs recommandations aux prestataires par le biais des agences de santé publique. Dans le cas de cette épidémie, ils ont été mis dans une position où ils ont dû émettre des recommandations aux consommateurs. Ce n’est pas quelque chose qu’ils font habituellement. Je pense que nous avons commis une erreur ces deux dernières années en nous tournant vers le CDC pour savoir comment vivre notre vie. Nous aurions vraiment dû nous tourner vers les autorités locales pour ce genre de conseils. Je crois qu’en fin de compte, il faut réformer le CDC. Nous avons besoin d’une sorte d’agence fédérale de santé publique capable de faire ça. Mais le CDC n’était pas cette agence et il est très difficile pour une agence de s’auto-organiser, de se réformer dans le cadre d’une crise. Le CDC a été incapable de le faire.

Host: The CDC guidelines have been confusing, they’ve been befuddling, they have seemed to define « science as we know it » in some ways but I guess this is the reality and this is probably why they changed those guidelines to reflect exactly what we were seeing right now. I mean, I don’t understand why they didn’t say that at the time but knowing that you’re going to have, what do you say, one percent of the population being infected, having 10% infected at any point in time as we’ve been moving through the last several weeks, is that what the CDC saw and knew? Is that why we’ve gotten this kind of crazy guidance?

Gottlieb: I think the CDC guidelines reflect the reality that a lot of the spread right now is being done by people who are mildly or asymptomatic and aren’t turning over their infections and sort of impose all the regulations and restrictions on the small percentage of people are actually getting diagnosed and self isolating isn’t going to control this epidemic. Just like we’re not doing contact tracing right now. A lot of schools aren’t making recommendations to quarantine students when there’s a case in the class because there’s just so much infection that you’re not going to be driving this epidemic by the infections that you’re turning over. I think with respect to the CDC guidance more generally, the reality is that the CDC is not an agency accustomed to talking to the public. They usually issue their recommendations through public health agencies to providers. In this epidemic they were thrust into a position of having to issue by and large recommendations to consumers. It’s not something they do. I think we made a mistake all along for the last two years looking to the CDC for guidance on how we were going to live our lives. We really should have been looking to more local authorities for that kind of guidance. I mean, ultimately you need to reform the CDC. We need some kind of federal public health agency capable of doing this. But CDC was not that agency and it’s very hard for an agency to self-organize, to reform itself in the setting of a crisis. CDC has been unable to do that.

Le CDC est avant tout une bureaucratie, ce qui permet de diluer les responsabilités jusqu’au point où elles ne signifient plus rien. Mais ne vous y trompez pas, ces gens sont responsables.

Et coupables.

Que ce soit aux Etats-Unis, en France ou ailleurs ce sont toujours les mêmes procédés. Partout, tout le temps. Et ils s’en tirent toujours à bon compte. Mais les organismes de régulation, les gouvernements, les politiciens, les administrations, les médecins complices et les médias sont coupables.

Tous!

Source.


Traduction

Il n’aura fallu que 30 minutes à LinkedIn pour supprimer mon message. Mais vous méritez de le voir quand même.

Il n’y a pas de rideau assez grand pour occulter l’aube qui se lève sur ce crime.

Joyce Kamen

13 février

Mon message sur LinkedIn – imprimé dans son intégralité ci-dessous – a été retiré de la plateforme en 30 minutes à peine. Il faut leur reconnaître le mérite d’avoir été très rapides à la détente. Une simple pression et PAN! Disparu.

Ce qu’ils (et d’autres géants des médias sociaux) ne veulent pas que vous voyiez ou sachiez est dans ce post. Mais ce que les chercheurs de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) et de nombreux autres experts médicaux de renom dans le monde crient depuis deux ans ne parvient que maintenant aux oreilles des agences de santé publique américaines. Deux ans trop tard. Ils veulent à présent vous faire croire qu’ils sont de votre côté depuis le début. Mais est-ce vrai?

A vous de décider.

Posté le 12 février sur LinkedIn à 18h30. Retiré à 19h00.

OH MON DIEU.

Avec deux ans de retard pour les centaines de milliers de personnes qui ont péri – le plus souvent inutilement – le CDC dit enfin aux citoyens de suivre un TRAITEMENT PRÉCOCE contre le COVID. Sans s’excuser ni exprimer le moindre remords, ils ont publié hier le graphique et le lien ci-dessous et ont conseillé de « consulter votre prestataire de soins pour obtenir un traitement précoce ».

Les médecins/experts en COVID du FLCCC crient sur tous les toits depuis DEUX ANS qu’un traitement combiné précoce est essentiel pour arrêter la progression de la maladie. Ils ont présenté les alternatives. Mais le CDC ne recommande un traitement précoce que maintenant, parce que Merck et Pfizer ont mis sur le marché deux nouveaux antiviraux – tous deux difficiles à obtenir, inabordables pour beaucoup, pour lesquels les données d’études sont insuffisantes et qui peuvent présenter des problèmes de sécurité importants. [NdT. j’ai publié ça et ça sur ces deux médicaments]

Le problème est le suivant: si le traitement précoce du COVID est essentiel MAINTENANT comme le dit le CDC, pourquoi n’était-il pas essentiel ces deux dernières années, alors que certains des experts américains en soins intensifs les plus renommés et les plus publiés demandaient à être entendus sur l’importance du traitement précoce? Ces experts désignaient les composants extrêmement sûrs qui pouvaient assurer la sécurité des personnes, et ils étaient à ce titre censurés et menacés de perdre leur gagne-pain par les responsables de la santé publique et les grands médias. [NdT. voir les innombrables articles sur ce blog (sommaire ici), notamment l’interview de Peter McCullough]

MAINTENANT, CDC? Vous recommandez maintenant un traitement précoce? Alors que près d’un million d’Américains sont morts ces deux dernières années de souches plus virulentes que celle d’Omicron – qui est maintenant en déclin?? Maintenant seulement, alors que Big Pharma a jeté ses chiens dans la bataille?

MAINTENANT, vous lancez un appel aux gens pour qu’ils demandent un traitement précoce, comme pour laisser entendre que vous vous souciez, ou éprouvez de la compassion pour ceux qui en auraient vraiment eu besoin il y a deux ans?

Pour ma part, je n’ai pas besoin d’attendre que l’histoire de la gestion de cette pandémie par les responsables américains soit écrite pour connaître le premier paragraphe de ce récit tragique. Il se lira comme suit :

« Le COVID-19 a toujours été une maladie traitable – si elle est traitée à temps. Dès le début, les meilleurs experts en soins américains ont supplié les autorités de santé publique de les écouter et d’agir. Mais jusqu’à ce que cela devienne rentable, les responsables américains ont décidé de laisser plutôt les gens mourir. Et c’est ainsi qu’ils sont morts… par dizaines de milliers. »


Le CDC a publié cette information sur son site Web en janvier.

Ils ont publié le graphique ci-dessous le 11 février 2022.

Graphique du CDC publié sur Twitter le 11 février 2022 – deux ans après que de nombreux experts médicaux, y compris des médecins du FLCCC, leur aient dit qu’un traitement précoce était essentiel pour réduire les hospitalisations et les décès.

C’était beaucoup trop tard pour beaucoup trop de gens.


Texte original

It Only Took LinkedIn 30 Minutes to Remove My Post. But You Deserve to See it Anyway.

There isn’t a blackout shade big enough to block out the daylight that’s dawning on this crime.

Joyce Kamen

Feb 13

My LinkedIn post —printed in its entirety below —was yanked off of the platform in a scant 30 minutes. Gotta give them credit for being so quick on the trigger. One good squeeze and KABOOM! Off it went.

What they (and other social media giants) don’t want you to see or know is in this post. But what the scholars of the Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) and many other highly regarded medical experts around the world have been screaming for two years is just now making it to the ears of America’s public health agencies. Two years too late. They just want you to think that they’ve been on your side all along. But have they?

You decide.

Posted on February 12 on LinkedIn at 6:30 PM. Taken down at 7:00 PM.

OMG.

Two years too late for the hundreds of thousands who have perished —mostly unnecessarily—the CDC is finally telling citizens to TREAT EARLY for COVID. With no apologies or expressions of remorse, they posted the graphic and link below just yesterday and advised “see your healthcare provider about getting early treatment.”

The physician/ COVID experts of the FLCCC have been shouting to the rooftops for TWO YEARS that early combination treatment is essential to stop the progression of disease. They laid out the options. But the CDC is only recommending early treatment now because Merck and Pfizer have introduced two new anti-viral$ to the market —both of which are not easily obtainable, are unaffordable for many, have insufficient study data and may have significant safety issues.

The point is this: If getting early treatment for COVID is essential NOW as the CDC says, why wasn’t it essential for the past two years when some of America’s most renowned and highly published critical care experts were begging to be heard on the importance of early treatment? The experts were naming the highly safe components that could keep people safe, and being censored and threatened with the loss of their livelihoods by public health officials and major media for doing it.

NOW CDC? Now you’re recommending early treatment? When nearly a million Americans died from more virulent strains in the last two years than Omicron —which is now waning?? Only now when Big Pharma has put its designer dogs in the fight?

NOW you emerge with a plea for people to get early treatment as if to imply that you care or have compassion for those who really could have used it two years ago?

I, for one, do not have to wait until the history of how American officials managed this pandemic is written to know the first paragraph in the tragic tale. It will read as follows:

“COVID-19 was always a treatable disease —if treated early. From the very beginning, America’s top care experts begged public health authorities to listen to them and act. But until it became profitable, American officials determined that people had to die instead. And so they did die…by the tens of thousands.”


The CDC posted this information on their website in January.

They posted the graphic below on February 11, 2022.

CDC graphic posted on Twitter, February 11, 2022—two years after numerous medical experts, including FLCCC physicians, told them that early treatment was essential to lower hospitalizations and deaths