Mordu par un serpent? L’hypothèse des Serpentards – par Mathew Crawford.

Comme promis, j’ai regardé « Watch the water« .

Oh, bon sang…

Quelle épouvantable et toxique ratatouille!

Je posais ici la question de savoir si Stew Peters était un outil de l’opposition contrôlée. On a maintenant la réponse. Ses scénaristes ont même poussé le vice jusqu’à mettre en scène une prétendue descente du SWAT à son domicile, histoire de vendre l’idée que sa vie est menacée pour ses « révélations » (il vend la même idée à propos d’Ardis). La réponse qu’il a diffusée à ce sujet est d’ailleurs très informative: on le montre en pleine action dans sa carrière précédente, qui consistait à arrêter des gens recherchés, pistolet à la main – contre récompense, j’imagine. Un chasseur de primes, en somme, qui s’est trouvé un nouveau métier. Sa chaîne diffuse depuis la première dudit documentaire un chapelet de vidéos triomphalistes qui annoncent la défaite du Mal amenée par cette explosive révélation. Rien que ça.

En ce qui concerne le Dr Ardis, contrairement à certains de ses critiques, je ne le soupçonne pas de maladresse ou de naïveté. Il n’est certes pas médecin mais il a paraît-il passé quatre mois à préparer sa « théorie », là où j’ai mis beaucoup moins longtemps à en voir les trous béants – et je suis ouvrier. Il sait donc très bien ce qu’il fait.

Le côté sournois de ce genre de traître professionel me dégoûtant encore plus que les crapules à la Fauci, je laisse la parole à quelques auteurs sur Substack qui vous expliqueront la mécanique de l’arnaque aussi bien que moi, et surtout de façon plus courtoise. Je risquerais de devenir malpoli, voire désagréable.

Je commence par la critique la moins sévère. Comme je ne fais moi-même aucune promotion de ce blog nulle part, je compte un peu sur mes lecteurs pour diffuser cette article.

Il faut tuer cette histoire dans l’oeuf. C’est de la légitime défense.

Source.


Traduction

Mordu par un serpent? L’hypothèse des Serpentards

La guerre des vaccins Partie XXXIV

Mathew Crawford

15 avril

« Nous, Serpentards, sommes courageux, oui, mais pas stupides. Par exemple, si on nous donne le choix, nous choisirons toujours de sauver notre propre peau. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)

Je ne vous en voudrais pas si vous sautiez la lecture de cet article.

Lorsque Steve Kirsch m’a invité à une réunion avec le Dr Bryan Ardis sur le thème de l’empoisonnement de l’approvisionnement en eau comme origine réelle de la pandémie, j’étais très sceptique et pas particulièrement enthousiaste à l’idée de consacrer du temps à cette rencontre. J’ai néanmoins apprécié la prise de position publique d’Ardis à propos du remdesivir – un médicament coûteux dont l’effet secondaire est de provoquer une insuffisance rénale et qui est utilisé tardivement au cours de l’hospitalisation (généralement trop tard pour qu’un antiviral puisse agir sur un virus qui cesse généralement de se répliquer avant l’hospitalisation), pour enrayer une maladie dont le coefficient de mortalité est extrêmement élevé chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale.

Mais à chaque fois que je le vois parler, j’ai l’impression de regarder une publicité. Est-ce qu’il se prépare chez lui à débiter son texte? Pourquoi ai-je l’impression que c’est ce que je suis en train de regarder? Est-ce que je suis le seul?

J’aurais bien consacré du temps à en discuter en gardant une certaine ouverture d’esprit, ne serait-ce qu’à titre d’exercice, histoire de voir ce qu’il pourrait être nécessaire de mieux comprendre pour faire la différence entre une preuve corrélative et une théorie simpliste. Peut-être m’aurait-il convaincu. À l’époque, je ne savais pas encore que le venin de serpent serait l’aspect le plus intéressant de la discussion.


Qu’est-ce que « Watch the Water » et pourquoi?

Comme je n’ai jamais suivi de près QAnon, je n’avais pas fait le lien, mais…

« Watch the Water » est une phrase de Q et elle est donc utilisée intentionnellement pour permettre à des groupes comme « Right wing watch » de discréditer quiconque la partage ou l’approuve. Mais il se trouvera un contenu véridique, noyé dans le brouhaha, qui se verra discrédité par la même occasion.

Oh là là. Que commence la lutte pour une discussion objective ou au moins éducative au milieu des états mentaux-émotionnels de notre époque! Que nous disent les vérificateurs de faits?

Q N’A PAS PRÉDIT LE BLOCAGE DU CANAL DE SUEZ
Depuis plus de trois ans, les adeptes du tentaculaire réseau conspirationniste QAnon parcourent les publications anonymes sur le web d’un personnage nommé « Q » (qui prétend être un initié du gouvernement avec une habilitation de sécurité top secret) et analysent les déclarations de l’ancien président américain Donald Trump, qui, selon eux, combat secrètement une cabale de prédateurs sexuels d’enfants qui comprendrait des démocrates de premier plan, des élites hollywoodiennes et des alliés de l' »État profond » (ici).
Les utilisateurs des médias sociaux affirmant que Q a prédit la crise du canal de Suez soulignent que Q avait déclaré  » look at the water  » et  » watch the water « , une référence à un message posté par Q le 15 février 2018 (archivé ici).

J’espère sincèrement que le titre du documentaire d’Ardis n’a pas été choisi pour raviver les souvenirs d’un post QAnon extrêmement vague et vieux de plusieurs années. Je crains toutefois que ce soit le cas. Mais, indépendamment de nos préjugés, examinons les sujets dont il est question. Après tout, il s’agit d’un virus présentant des signes manifestes de manipulation génétique [d’éléments dangereux], qui a ensuite été converti en produits biologiques injectables qui furent distribués à des milliards de personnes sans tenir compte de la nécessité de dépasser les normes ordinaires de preuve d’efficacité.

Bien, c’est vraiment intéressant.
Est-ce que #WatchTheWater était une tentative de discréditer la présence de peptides de  » venin de serpent  » dans la protéine de pointe?
Pourquoi? Quelle est l’histoire qu’ils essaient d’enterrer?

Qu’est-ce qui, dans l’histoire d’Ardis, chiffonnerait un observateur au point de penser qu’il s’agit d’une opération psychologique? Combien de personnes le pensent? Ou se posent au minimum la question?

Source: Brian Mowrey

Le documentaire

Suggestion: sautez les dix premières minutes de la vidéo ci-dessous, qui est un composite de musique dramatique et de Stew Peters en train de récapituler sa vision du pandémonium. Mettez à profit ces dix minutes supplémentaires pour effectuer une recherche Internet sur les bibliothèques et les bases de données de toxines. Si ce niveau de difficulté vous rebute, choisissez un moment au hasard dans le documentaire et regardez-le pendant quelques minutes à demi vitesse. Je vous expliquerai plus tard.

https://rumble.com/v10mnew-live-world-premiere-watch-the-water.html

Vous pouvez lire la réaction première de Steve Kirsch ici.

Ma toute première pensée a été: « Pourquoi un examen des liens potentiels entre le venin de serpent (ou d’autres toxines) doit-il nécessairement être associé à une hypothèse sur la façon dont l’approvisionnement en eau a été empoisonné? » Ou bien sont-elles indissociables? S’il existe une raison impérieuse de ne pas distinguer les deux discussions, je ne l’ai pas saisie. Je les aborderai comme deux hypothèses distinctes: (1) l’hypothèse du venin de serpent (HVS) et (2) l’hypothèse de l’empoisonnement de l’eau (HEP). Bien que je ne pense pas que les preuves aient été présentées de manière cohérente, je pense que la HVS est de loin la plus intéressante des deux, ce qui signifie que je présume que j’ai plus de chances d’apprendre quelque chose de valable en l’examinant.

Note: J’ai créé une entrée dans le campfire.wiki pour l’hypothèse de l’empoisonnement par venin.


Toxines, neurotoxines, venins et peptides

Je voudrais commencer par dire que je ne suis pas du tout familier de ces sujets. J’ai juste assez de connaissances pour lire les recherches récentes, en tirer quelques enseignements, et en retirer de nombreuses questions car il y a des éléments que je ne comprends pas. Et au final, j’ai peu de temps libre. Heureusement pour moi, ma femme est biochimiste et elle a travaillé dans le domaine de la défense contre le bioterrorisme. J’ai donc trouvé chez elle des réponses à quelques questions qui m’ont permis de me sentir un peu moins dépassé par ces sujets. Soyons reconnaissants pour ces petites victoires.

Les venins de serpent sont des toxines, et les toxines elles-mêmes constituent un domaine de recherche intéressant et parfois fertile en biologie, précisément parce que chacune perturbe un ou plusieurs systèmes biologiques. Certaines recherches pharmacologiques démarrent par des recherches dans des bases de données moléculaires de toxines telles que la Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Même si nous n’avons qu’une compréhension embryonnaire de nombreuses interactions biochimiques, nous réussissons parfois à trouver le moyen de faire vibrer les bonnes cordes biologiques pour produire une résonance. L’une des applications les plus connues est le ciblage des tumeurs par des toxines (chimiothérapies).

Je vais citer Mowrey une dernière fois avant de poursuivre:

Ardis est sur la bonne voie lorsqu’il propose que la justification la plus cohérente du choix du venin de serpent (« l’arme biologique originale ») pour le Covid-19 et/ou SARS-CoV-2 et pour les transfections d’ARNm serait essentiellement symbolique. Ainsi, pour ceux qui sont enclins à penser que le virus ou sa protéine de pointe ont été conçus en laboratoire, l’argument d’Ardis reste intéressant, même si l’on ne croit pas les parties concernant l’eau du robinet ou le Remdesivir.

Cependant, Ardis n’offre pas beaucoup de preuves convaincantes de l’aspect « venin » de la protéine de pointe. En outre, ce n’est pas une théorie très utile, si ce n’est pour spéculer sur l’état d’esprit de ceux qui ont conçu le virus. Peut-être la protéine de pointe contient-elle des éléments de venin de serpent. Mais le venin de serpent est un ensemble de peptides qui interagissent avec les molécules de l’hôte, ce qui est également la définition d’une protéine virale.

Le venin de serpent à sonnettes contient un parent de sPLA2-II, qui est exprimé dans tous les tissus humains. Snider et al. ont constaté que les infections par le SARS-CoV-2 provoquaient des sécrétions extrêmes de sPLA2-II dans ces mêmes tissus, imitant ainsi l’empoisonnement par le venin. Les infections bactériennes incontrôlées menant à la septicémie favorisent également des sécrétions extrêmes de sPLA2-II, imitant l’empoisonnement par venin.

Addendum: C’est le moment idéal pour mentionner l’excellent fil de discussion de Kevin McKernan sur la toxine de cobra proposée par Geneticism.

Des Venomics à Snakes On a Plane.
Huile de serpent ou venin?
Ce sujet est peut-être toxique, mais il est en grande partie dû à une mauvaise communication scientifique et au fait qu’il faut s’en tenir aux bonnes définitions.

Présentation problématique

Les dix premières minutes du documentaire sont incroyablement pénibles. Je les décrirais comme un test de loyauté pharmacopartisan (même si tout ou presque est correct), qui sert à faire fuir un certain public tout en caressant l’ego d’un autre. Ce n’est pas de cette manière que l’on conquiert les cœurs et les esprits de ceux qui se situent entre les deux, et prêcher à la chorale au sujet d’une hypothèse non vérifiée fait courir le risque que des milliers de personnes qui acceptent trop rapidement les hypothèses comme une vérité (peut-être en raison de l’opinion positive qu’elles ont d’Ardis et de Peters) se retrouvent dans la zone de combat impitoyable de l’Internet, sans être préparées aux critiques et au scepticisme raisonnables auxquels elles seront exposées (sans parler des inévitables étiquettes et insultes mesquines).

Pour le plaisir, allez là où la conversation débute et écoutez à demi vitesse. C’est ce que je fais lorsque je retranscris des vidéos, et le résultat est ici parfois DÉSOPILANT. On a l’impression que presque tout le monde est ivre ou défoncé. Ce genre de moment. C’est moi qui souligne.

Rien de ce que j’ai apporté à Stew n’a pour but de créer la peur et la panique… Dr Pierre Kory, vous aviez raison. Dr. Paul Marik, vous aviez raison. Dr Ben Marble et Zev Zelenko, vous aviez raison. Simone Gold, vous aviez raison. Sherry Tenpenny, vous aviez raison… Le Dr Ryan Cole pourra enfin conclure pourquoi ce qui est observé sous les lames, sous le microscope, est à ce point maléfique…

Entamer la discussion d’une histoire qui devrait être présentée comme une hypothèse de travail plutôt que « la vérité » (il n’y a clairement aucune preuve tangible, et beaucoup de détails à régler), puis créer une corrélation entre cette histoire et le milieu des célébrités du COVID revient à maquiller en chef-d’œuvre achevé un dossier incomplet. Cette étape est la première d’une lente et douloureuse progression vers le point focal de la conversation, qui comprend également la formulation de liens religieux et spirituels parmi ceux qui luttent pour la vérité. Commencer ou terminer par une prière qui ne servirait pas à remplir le milieu du documentaire, où on attend avec suspense de découvrir la révélation, serait plus respectueux d’un public qui a déjà collectivement passé plus d’un million d’heures à regarder ce documentaire cette semaine.

Mais je ne jugerai pas les preuves sur cette base, bien sûr. Je vous suggère toutefois d’écouter la séquence à 21 minutes à demi vitesse, car il s’agit de deux ou trois minutes qui illustrent bien ma critique de la proportion dramaturgie/contenu de cette émission.

Ardis: N’est-ce pas un virus? Est-ce un venin? C’est ce que je veux savoir. Est-ce que COVID est un venin et est-ce la raison pour laquelle ils ne veulent pas que l’on utilise des anticorps monoclonaux.

Peters: Ça semble complètement fou. Comme théorie.

Ardis: C’est complètement fou.

Peters: Je veux dire, comment… comment les populations seraient-elles infectées par des morsures de serpent?

Ardis: Ouais. Laissez-moi vous poser une question. Puis-je vous poser une question?

Peters: Bien sûr.

Ardis: Croyez-vous que les médias sont contrôlés?

Peters: Bien sûr.

Ardis: Et vous le croyez vraiment?..

Peters: Oui.

Ardis: Vous croyez donc que tout ce qui est diffusé dans les médias est orchestré et contrôlé.

Peters: Bien sûr.

Ardis: Dans tous les domaines?

Peters: Dans tous les domaines.

Ils semblent ici vouloir flatter le public pour son intuition et sa perception évidentes que les médias ont tort. Moi, je me sens flatté. Vous sentez-vous flatté? Moi, je me sens flatté. Passons à autre chose.

Non-A n’implique pas B.

Je préférerais en arriver à une conclusion (où que ceci nous mène) par l’intermédiaire d’une étude plus rigoureuse, qui montrerait qu’une version ou qu’un élément de la HSV est correct. Et s’il existe quelque chose dans cette histoire qui vaut la peine d’être découvert (et il pourrait y avoir une telle chose, que cette présentation soit ou non entièrement correcte), j’aimerais me concentrer sur les cinq minutes d’information que j’ai pu retirer de ce documentaire de 60 minutes, qui n’aurait jamais dû être aussi long. Il suffirait de me fournir une page avec les liens des études disponibles, et le jour où ces informations arriveront en tête de ma liste de priorités, je les lirai. Il aurait été préférable de les envoyer par e-mail à un grand nombre de chercheurs pour recueillir leurs réactions avant de produire ce documentaire.

Source : handsforhealthandfreedom.org

Je n’ai rien contre les théories du complot, car je crois fermement que des complots sont bien en cours. Mais cette image n’inspire pas confiance en termes d’objectivité. C’est un petit tour de force visant à créer un spectacle sans intérêt. C’est le même problème que celui dont souffrait le documentaire Plandemic, mais amplifié. Et ce qu’il faut absolument éviter, c’est de renoncer à toute précieuse parcelle de vérité susceptible de résister à un examen approfondi, juste parce qu’elle aurait été un jour présentée dans le cadre d’un exposé non rigoureux brandi comme vérité dans un documentaire prématuré.


Cohérence et faits

J’aurais peur d’invoquer le meurtre de Bing [NdT. Bing Liu, chercheur sino-américain sur le point de publier une recherche sur l’origine du Covid, trouvé mort en 2020, prétendument assassiné par un rival romantique] en tant qu’alibi spirituel pour déterminer la validité d’une hypothèse spéculative. Non pas que je déteste les hypothèses spéculatives. Il nous faut en explorer un grand nombre pour nous rapprocher de la vérité, et il nous faut nous montrer plus conciliants avec les personnes qui le font, car c’est de là que proviennent beaucoup de vérités dérangeantes. C’est exactement la raison pour laquelle j’ai passé du temps à examiner différents aspects des hypothèses de l’omicron (sur lesquelles Igor Chudov a entrepris d’écrire [NdT. que j’ai publié ici], en incluant certaines informations qui allaient figurer dans mes futurs articles, et d’autres que je ne connaissais pas encore). Revenons à Bing: je n’aime pas la révélation dramatisée du biscuit chinois [NdT. Ardis présente comme synchronicité divine le fait qu’un « fortune cookie » qu’il aurait ouvert mentionnait les termes « Bing » et « Liu« ]. Si c’est vrai, il aurait mieux valu la garder pour une date ultérieure – après que l’hypothèse ait été correctement testée et après une enquête correcte sur le meurtre de Bing (qui n’a jamais eu lieu). L’aborder d’emblée donne l’impression qu’il utilise la mort de quelqu’un pour attirer davantage l’attention du public. Cela pourrait aussi avoir comme conséquences d’inhiber le désir d’un public partisan de l’enquête nécessaire à se forger une conclusion, et de faire en sorte que l’autre « équipe » partisane se moque que l’affaire soit suivie jusqu’au bout. Pour moi, cela franchit les limites de la décence, et je crains que cela provoque dans le public une grande déception si et quand l’hypothèse se révélera fausse, ou même partiellement fausse, ce qui entraînera des attaques de la part des consommateurs vengeurs de Crusted News Notworks [NdT. la chaîne CNN, dont l’auteur démonte la stratégie d’enfumage dans cet article très amusant et très matheux].

L’utilisation du venin de serpent est si courante dans la recherche pharmaceutique qu’il faut chercher bien au-delà de ce point de départ pour établir une corrélation. La recherche identifiant l’homologue de la toxine du venin de serpent dans le domaine de liaison du récepteur (receptor binding domain – RBD) du SARS-CoV-2 est réelle (Farsalinos et al, 2020). Et si le SARS-CoV-2 a été génétiquement modifié (ce dont je suis fermement convaincu), il se peut très bien qu’une telle toxine ait été insérée dans le génome du SARS-CoV-2 (et donc dans les quasi-vaccins) pour nuire aux gens. Et oui, cette recherche note l’interaction de cette toxine spécifique avec les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine. Mais c’est quelque chose que les chercheurs, y compris ceux qui s’intéressent au débat entre Génétiquement Modifié et Zoonoses/Autres, savaient déjà. Et oui, les chercheurs comme Dmitry Kats qui en ont parlé ont été bannis des médias sociaux.

J’ai lu l’article dont Ardis parle au début de la partie substantielle du documentaire, qui souligne la similitude entre les génomes du SARS-CoV-2 et du CoV du serpent (Wei Ji et al, 2020). J’ai l’impression qu’Ardis laisse de côté certains aspects importants de cet article (c’est moi qui souligne):

Les études sur le biais d’utilisation relative des codons synonymes (RSCU) entre les virus et leurs hôtes suggèrent que les virus ont tendance à évoluer vers un biais d’utilisation des codons comparable à celui de leurs hôtes. 10, 11 Les résultats de notre analyse suggèrent que le 2019-nCoV possède les informations génétiques les plus similaires à celles du coronovirus de la chauve-souris et le biais d’utilisation des codons le plus similaire à celui du serpent.

Ainsi, par nucléotide, la génétique est plus similaire à celle des CoVs de chauve-souris.

Comme nous le voyons, cette similarité est particulièrement élevée pour le clade A, issu des chauves-souris de Nanjing, en Chine. Il est difficile de regarder ce graphique sans penser  » naturel, naturel, naturel, PAS NATUREL, naturel… « , ce qui signifie que je crois que le SARS-CoV-2 a été conçu à partir d’un CoV naturel, très probablement trouvé à l’origine chez une chauve-souris.

Qu’est-ce que signifie que le biais d’utilisation des codons ressemble davantage à celui des serpents?

Le biais d’utilisation des codons est lié au fait que chaque acide aminé peut être généré par différentes séquences de trois nucléotides. Je vais commencer par reprendre un de mes articles précédents:

Il y a une barrière linguistique à franchir ici, alors voici une leçon de génétique de base:

Remarque: il existe 4x4x4 = 64 codons, dont trois sont des « codons de terminaison » qui signalent la fin du processus de synthèse d’une protéine. C’est là que se termine la chaîne d’acides aminés qui constitue une protéine. Chacun des 61 autres codons code pour l’un des 20 acides aminés possibles. Il y a plus de codons que d’acides aminés car un acide aminé peut être généré en utilisant plus d’une séquence de codons. La plupart des acides aminés peuvent être produits par 2 ou 4 codons distincts.

Naïvement, on pourrait penser que toute mutation serait désastreuse pour ce qui concerne le processus de production de la bonne séquence d’acides aminés pour créer une protéine. Cependant, les différents codons qui produisent un acide aminé particulier sont souvent suffisamment similaires pour que la modification d’un (ou même de deux) des nucléotides donne lieu à un codon synonyme (qui code pour le même acide aminé exact). Dans d’autres cas, les mutations de codons non synonymes qui modifient un acide aminé n’affectent pas beaucoup la forme ou la fonction globale de la protéine produite.

Étant donné que plusieurs séquences de codons distinctes peuvent produire chaque acide aminé, il est logique d’étudier si l’un ou l’autre codon est plus fréquent dans un génome, puis d’en examiner les raisons et ce que cela implique. Pour rappel, ma compréhension de ce domaine de la génétique n’est que basique. J’ai donc plus de questions que de réponses. Mais il pourrait y avoir quelque chose dans le processus de génie génétique qui change certains codons, y compris la disponibilité de l’ARNt (Yulong Wei et al, 2019) (considérez cette suggestion comme spéculative). Cela pourrait ou non impliquer l’insertion intentionnelle de peptides ou de protéines de venin de serpent.

J’ai eu la chance de poser la question à Ardis et à son ami le Dr Tau Braun lors d’un appel auquel ils ont eu la gentillesse de participer hier, mais ils ont passé les 40 premières minutes à répéter en grande partie les informations du documentaire à grande vitesse, il était donc impossible d’entrer dans les détails, et j’ai dû quitter la conversation au moment où ce qui faisait penser chez eux à un accès psychotique a marqué une pause (j’avais un engagement antérieur auquel j’étais déjà en retard).

Je vais donc atterrir ici, pour l’instant, mais j’ai trop de choses sur ma liste de priorités pour considérer que cela vaille la peine de rédiger un autre article sur ce sujet. Mais il faut s’attendre à ce que d’autres le fassent, et je soupçonne que cela impliquera le décortiquage des différents éléments, car je n’ai actuellement aucune confiance dans la capacité d’Ardis et de Braun à interpréter les recherches et à formuler des questions sur ce qu’ils ne comprennent pas encore. J’aimerais ne pas avoir à le dire aussi durement, mais les Terriens ont déjà consacré quelques millions d’heures à une histoire qui semble mal développée et peut-être même manipulée. Et si je perds un ami ou deux pour l’avoir dit, qu’il en soit ainsi. C’est mon impression. Mais je demanderais au moins à ces personnes de prendre le temps de regarder d’abord le documentaire à demi vitesse.

Je n’ai pas eu le temps de vérifier. Je trouve qu’Ardis aurait dû fournir des liens. Jusqu’à ce que je tombe sur une histoire plus intéressante, j’ai d’autres priorités. Mais j’aimerais savoir si quelqu’un a vérifié la liste. Au moins, cela me donne une liste d’antivenins potentiels si jamais je suis dans le pétrin.

La parcimonie et la théorie du complot

J’éprouve une aversion face au rejet désinvolte de la théorie du complot. Ce rejet est le fait de personnes qui savent pertinemment que le monde fonctionne sur base de complots, et aussi d’individus peu informés qui ne sont pas capables de mieux, mais qui n’hésitent pas à faire preuve de mesquinerie envers ceux qui s’efforcent de découvrir des vérités cachées. Mais pour N théories du complot, il y en aura une qui se situera dans une fourchette de vérité raisonnable. Et la plupart du temps, celles qui se situent dans cette fourchette de vérité, une fois affinées, passent avec succès le test du principe de parcimonie [NdT. voir Rasoir d’Ockam, ici] auprès d’au moins une partie substantielle des experts honnêtes qui travaillent assidûment à cette tâche.

Un complot qui exige que de nombreuses personnes partout dans le monde introduisent des peptides dans les réserves d’eau est donné sans preuve, comme si le reste de l’histoire requérait cette pièce pour fonctionner. Un documentaire hypnotique truffé de messages partisans a peut-être donné cette impression à certains téléspectateurs, mais je ne vois aucune raison logique pour laquelle ce serait le cas. La HEP me semble être une affirmation purement gratuite, fournie sans aucune tentative de justification des schémas de données, qui sont nombreux. Il faudrait qu’un grand nombre de personnes soient impliquées, et s’attendre à ce que ces personnes réussissent à concevoir des courbes de Gompertz [NdT. modèle de Gompertz, loi de Gompertz] semblables à celles du SIRS [NdT. explication en français] que nous voyons dans les données du monde entier est un obstacle majeur dans le test du principe de parcimonie.

Pourquoi avons-nous besoin d’une HEP alors que le SARS-CoV-2 semble lui-même porteur d’une protéine de pointe toxique également incluse dans les quasi-vaccins? L’absence de besoin ne rend pas la HEP fausse, mais lui confère le caractère d’une allégation extraordinaire qui nécessiterait un élément de preuve tangible pour être prise au sérieux.

Qu’en est-il du sentiment étrange que j’ai chaque fois que je regarde Ardis parler et que mon instinct me dit qu’il s’y est soigneusement préparé?

Je vous laisse méditer de votre côté sur cette idée.


Texte original

Snake Bit? The Slytherin Hypothesis

The Vaccine Wars Part XXXIV

Mathew Crawford

Apr 15

« We Slytherins are brave, yes, but not stupid. For instance, given the choice, we will always choose to save our own necks. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)

I wouldn’t blame you if you skipped reading this article.

When Steve Kirsch invited me to a meeting with Dr. Bryan Ardis regarding poisoning of the water supply as the true source of the pandemic, I was highly skeptical, and not particularly excited about the time spent. But I have appreciated Ardis’s public stance regarding remdesivir—an expensive drug with the side effect of renal failure, being used late during hospitalization (generally too late for an antiviral to work on a virus that usually ceases the replication process prior to hospitalization), to stop a disease with an extremely high mortality coefficient for those who experience renal failure.

Then again, every time I see him speak, I feel like I’m watching a commercial. Does he sit at home and practice delivering lines? Why do I feel like that’s what I’m watching? Is it just me?

I would have given time to the discussion and kept an open mind, perhaps just as an exercise in seeing what we all might need to further learn en route to distinguishing correlating evidence from a tight theory. But perhaps he would convince me. At the time, I was not yet aware that snake venom would be the most interesting aspect of the discussion.


What is « Watch the Water » and Why?

Since I was not a close follower of QAnon, I hadn’t made the connection, but…

Oh boy. Let the fight for objective or at least educational discussion amidst the mental-emotional states of our era commence! What do the fact checkers tell us?

I dearly hope that the name of the Ardis documentary was not chosen to stoke the memories of an extremely vague and several year old QAnon post. I do worry that it might have been. But let us, regardless of our biases, give some thought to the topics at hand. After all, we are talking about a virus with significant signs of genetic engineering [of dangerous elements] which were then engineered into biological injectable products that have been delivered to billions of people without regard for the plain need to surpass ordinary standards of evidence of efficacy.

What would make an observer feel uncomfortable with Ardis’s story to the level of thinking it’s a psy-op? How many people are thinking that? Or are at least wondering?

Source: Brian Mowrey

The Documentary

Suggestion: skip the first ten minutes of the video below, which is a combination of dramatic music and Stew Peters summarizing his view of the pandemonium. Maybe use that extra ten minutes to perform an internet search on toxin libraries and databases. If you’re not up for that level of difficult reading, picking a random point in the documentary and watch for a couple of minutes on 0.5x speed. I’ll explain later.

https://rumble.com/v10mnew-live-world-premiere-watch-the-water.html

You can read Steve Kirsch’s initial take here.

My very first thought was, « Why does an examination of potential links between snake venom (or other toxins) have to come joined with a hypothesis about how the water supply was poisoned? » Or are they joined? If there was a particularly good reason not to separate the two as distinct discussions, I did not catch it. I will treat these as two hypotheses: (1) the snake venom hypothesis (SVH) and (2) the water poisoning hypothesis (WPH). While I don’t think that the evidence was presented coherently, I think the SVH is by far the more interesting of the two, meaning that I suspect that I am more likely to learn something valuable while examining it.

Note: I have created an entry in the campfire.wiki for the venom poisoning hypothesis.


Toxins, Neurotoxins, Venoms, and Peptides

I would like to begin by saying that I am out of my depth in these topics. I have just enough knowledge to read recent research, learn some from it, then have a lot of questions because there are parts that I don’t understand. And ultimately, my spare time is a bit on the thin side. Fortunately for me, my wife is a biochemist with experience in bioterrorism defense, so I was able to get a few questions answered from home that allowed me to reach the point where I’m slightly less out of my depth in these topics. Hoorah for small victories.

Snake venoms are toxins, and toxins themselves are an interesting and sometimes fruitful area of research in biology precisely because each one perturbs some biological system(s). Some pharmacological investigations begin with searches of molecular databases of toxins such as the Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Even as we have nascent understanding of many biochemical interactions, we can sometimes figure out how to strum the right biological strings to produce resonance. One of the more well known applications is the targeting of tumors with toxins (chemotherapeutics).

I’ll quote Mowrey one more time before moving onward:

Ardis is on the right track when he proposes that the most coherent rationale for choosing snake venom (“the original bioweapon”) for Covid-19 and/or SARS-CoV-2 and for the mRNA transfections would be essentially symbolic. So, if you are inclined to think that the virus or its spike protein was designed in a lab, Ardis’ argument remains interesting, even if you don’t buy the parts about the tap water or Remdesivir.

However, Ardis doesn’t actually offer a lot of compelling evidence for the “venom”-ness of the spike protein. Beyond that, it’s not a very useful theory beyond speculating about the state of mind of those who may have designed the virus. Maybe the spike protein has bits of snake venom. But snake venom is a grab-bag of peptides that interact with host molecules; which is already the definition of a viral protein as well.

Rattlesnake venom contains a relative of sPLA2-II, which is expressed in all human tissues. SARS-CoV-2 infections were found by Snider, et al. to prompt extreme secretions of sPLA2-II by these same tissues, mimicking venom-poisoning. Out-of-control bacterial infections leading to sepsis also promote extreme secretions of sPLA2-II, mimicking venom-poisoning.

Addendum: This is a good spot to drop Geneticism Kevin McKernan’s excellent thread with respect to the proposed cobra toxin.

Problematic Presentation

The first 10 minutes of the documentary were absolutely painful. I would describe them as pharmacopartisan loyalty testing (even if most or all of it is correct), which is a way of turning off one audience while stroking the ego of another. That’s not the way to win hearts and minds in the middle, and preaching to the choir about an untested hypothesis runs the risk of sending thousands of people who too quickly accept the hypotheses as the truth (perhaps based on their positive views of Ardis and Peters) out into the vicious internet combat zone unprepared for the rightly reasonable grilling and skepticism they would be showered with (not to mention the inevitable mean-spirited labeling and insult hurling).

For kicks, just to around where the conversation begins and listen on 0.5x speed. That’s what I do to transcribe videos, and I’ve found it HI-LARIOUS at times. Almost everyone sounds drunk or high. This is one of those times. Emphasis mine.

There’s no part of me who brought this information to Stew, and started any of this research to create fear and panic…Dr. Pierre Kory, you were right. Dr. Paul Marik, you were right. Dr. Ben Marble and Zev Zelenko, you were right. Simone Gold, you were correct. Sherry Tenpenny, you were right…Dr. Ryan Cole will be able to finally conclude why the findings under the slides—under the microscope—have become so monumentally evil…

Beginning discussion of a tale that should be presented as a working hypothesis rather than « the truth » (there is certainly no smoking gun, and a lot of details to work out), then engineering association with the field of COVID celebrities comes off as dressing up an incomplete case to look more like a finished masterpiece. This is part of a slow and painful ramping into the meat of the conversation that also involves expressing religious and spiritual bonds among those fighting for truth. Beginning or ending with a prayer that does not fill the middle of the documentary where we’re waiting with suspense to experience the reveal would be more respectful of the audience that collectively spent more than a million hours viewing the documentary already this week.

But I won’t judge the evidence on that basis, of course. I will however give the 21:00 mark a suggested listen at 0.5x because it’s a good couple of minutes for my complaint over the drama-to-signal ratio.

Ardis: Is it not a virus? Is it a venom? Like this is what I want to know. Is COVID a venom and this is why they don’t want you using monoclonal antibodies.

Peters: I mean, that sounds completely insane. As a theory.

Ardis: It is completely insane.

Peters: I mean, How…how would the masses be infected by snake bites.

Ardis: Yeah. Let me ask you a question. May I ask you a question?

Peters: Sure.

Ardis: Do you believe the mass media is controlled?

Peters: Of course.

Ardis: And you actually do…believe that?

Peters: Yes.

Ardis: So you believe that whatever is being pumped out in the media is being orchestrated and controlled.

Peters: Of course.

Ardis: Like across all of it.

Peters: Across all of it.

They seem to be patting the audience on the back for the obvious intuition and perception that the media is wrong. I’m flattered. Are you flattered? I’m flattered. Let’s move on.

Not A does not imply B.

I’d rather get there (wherever we’re going with all this) through more rigorous study of some version or piece of the SVH is true. And if there is something to this story that is worth discovering (and there might be, whether or not this presentation is fully correct), I’d like to focus in on that five minutes of information that I can evaluate in this 60 minute documentary that never should have been stretched out that long. Just give me a page with the study links handy, and when it rises to the top of my priority list, I’ll read em. Better would have been to email them out to a wide group of researchers for feedback prior to producing the documentary.

Source: handsforhealthandfreedom.org

I’m fine entertaining conspiracy theory because I fully believe some conspiracies are at play. But this image does not inspire confidence in objectivity. It’s a minor tour de force in creating an unnecessary spectacle. It’s the same problem that the Plandemic documentary suffered from, but magnified. And the last thing you want to do is give up whatever gem of truth might survive the gauntlet of examination because it came in the form of a non-rigorous examination declared as truth in a premature documentary.


Consistency and Facts

It gives me the willies to invoke Bing’s murder as a spiritual connection to whether or not a speculative hypothesis is true. That’s not because I dislike speculative hypotheses. We need to explore many of them to get closer to the truth, and we need to be friendlier to the people who do because a lot of difficult truths begin there. That’s exactly why I spent time examining different aspects of the omicron hypotheses (which Igor Chudov took up writing about, including some information that was going in my future articles, and some information I did not yet know). Back to Bing: I dislike the dramatic reveal of the fortune cookie. If it’s true, it’s better saved for a later date—after the hypothesis has been properly put to the test—and after Bing’s murder has been properly investigated (something that never took place). Leading with it on day 1 feels like using a death to draw in more audience emotionally. I could also come with the consequences of inhibiting the desire for one partisan audience to need an investigation to form a conclusion, and cause the other partisan « team » not to want the case followed to completion. That pushes beyond my boundaries of taste, and I worry that it sets the audience up for greater disappointment if and when the hypothesis turns out to be wrong or even partially wrong—either of which will result in attacks by the cudgel-wielding consumers of the Crusted News Notworks.

The use of snake venom is so common in pharmaceutical research, that we need to go substantially beyond that starting point to establish correlation. The research identifying the snake venom toxin homolog in the SARS-CoV-2 receptor binding domain (RBD) is real (Farsalinos et al, 2020). And if SARS-CoV-2 was genetically engineered (which I do believe fairly strongly), then it may very well be that such a toxin was in fact inserted into the SARS-CoV-2 genome (and thus the quasi-vaccines) to harm people. And yes, that research does note the interaction of that specific toxin with nicotinic acetylcholine receptors. But this is something that researchers, including many paying attention to the Engineered vs. Zoonosis/Other debate already knew. And yes, researchers like Dmitry Kats who talked about it were banned from social media.

I read the paper that Ardis talked about early during the substantive portion of the documentary pointing to the similarity between the SARS-CoV-2 and snake CoV genomes (Wei Ji et al, 2020). I feel like Ardis is leaving out some important aspects of this paper (emphasis mine):

Studies of relative synonymous codon usage (RSCU) bias between viruses and their hosts suggested that viruses tends to evolve codon usage bias that is comparable to their hosts.10, 11 Results from our analysis suggest that 2019-nCoV has most similar genetic information with bat coronovirus and has most similar codon usage bias with snake.

So, per nucleotide, the genetics are more similar with bat CoVs. 

As we see, that similarity is particularly high for Clade A, derived from bats in Nanjing, China. And it’s hard to look at this graph and not think « nature, nature, nature, NOT NATURE, nature… », which is to say that I do believe that SARS-CoV-2 was engineered from a CoV taken from nature, and most likely originally found in a bat.

What does it even mean that there is more similar codon usage bias with snakes?

Codon usage bias relates to the fact that each amino acid can be generated by different three-nucleotide sequences. I’ll start by stealing from one of my own prior articles:

There is a lingo barrier to overcome here, so here is a basic genetics lesson:

Note: There are 4*4*4 = 64 codons, three of which are « stop codons » that signal for termination of a protein synthesis process. That’s where the amino acid chain that makes up a protein ends. Each of the other 61 codons encodes for one of 20 possible amino acids. There are more codons than amino acids because an amino acid can be generated using more than one codon sequence. Most amino acids can be produced by 2 or 4 distinct codons.

Naively, you might think that any mutation would be disastrous with respect to the process of producing the right amino acid sequence to create a protein. However, the several codons that produce a particular amino acid are often similar enough that changing one (or even two) of the nucleotides results in a synonymous codon (one that encodes for the same exact amino acid). Other times, non-synonymous codon mutations that do change an amino acid still don’t greatly affect the overall shape or function of the generated protein.

Since several distinct codon sequences can produce each amino acid, it makes sense to study whether one or another codon is more common in a genome, and then to examine the reasons why, and what that entails. For the record, my understanding of that area of genetics is merely basic. So, I have more questions than answers. But there could be something about the genetic engineering process that switches some codons, including tRNA availability (Yulong Wei et al, 2019) (consider the suggestion speculative). This might or might not involve the intentional insertion of snake venom peptides or proteins.

I had the chance to ask Ardis and his friend Dr. Tau Braun on a call where they were good enough to join in yesterday, but they spent the first 40 minutes largely just repeating the information in the documentary at rapid speed, so it was impossible to get into details, and I had to jump off the call by the time what felt like a manic episode took a pause (I had a prior engagement I was already late to).

I’ll begin landing my plane here, for now, but I have too many priorities to think this will be worth me writing another article about. But you can expect that others will, and I suspect that will involve picking pieces apart as I currently do not have confidence in the ability of Ardis and Braun to interpret the research and formulate questions about what they do not yet understand. I wish I didn’t have to say it that harshly, but Earthlings have already spent a few million hours on a story that feels poorly developed and maybe even manipulatively delivered. And if I lose a friend or two for saying so, so be it. That’s my impression. But I would at least ask those people to go back and watch the documentary on 0.5x first.

I haven’t had time to check. I feel like Ardis should have provided links. Until I see a more interesting story, I have higher priorities. But I’d like to know if somebody does check the list. At the very least, it gives me a list of potential antivenoms if I’m ever in a pinch.

Parsimony and Conspiracy Theory

I have a distaste for the casual dismissal of conspiracy theory. This is done by people who know full well that the world runs on conspiracies, and also the information impoverished individuals who don’t know any better, but are willing to aim mean-spiritedness at those working at uncovering hidden truths. But there are N conspiracy theories for every 1 that is in a reasonable ballpark of truth. And for the most part, those in the ballpark of truth, as refined, pass tests of parsimony for at least a substantial portion of the honest experts diligently working on the task.

A conspiracy that requires many people around the world to introduce peptides into water supplies is delivered without evidence, as if the rest of the story requires for that piece to fit. A hypnotic documentary filled with partisan moments may have made it feel that way to some viewers, but I see no logical reason why that would be the case. The WPH strikes me as a purely naked assertion, and with no attempt to explain data patterns, of which there are many. A great many people would need to be involved, and to expect those people to successfully engineer SIRS-like Gompertz curves that we see in data all over the world is an extreme hurdle in the test of parsimony.

Why do we need a WPH at all when SARS-CoV-2 itself looks to carry a toxic spike protein that is also included in the quasi-vaccines? The lack of need doesn’t make the WPH false, but makes it look like an extraordinary claim that needs something close to a smoking gun to take seriously.

How does that make me feel about my eerie feeling that every time I watch Ardis speak, my gut tells me he is well rehearsed?

I’ll just let you chew on that thought on your own.

Un nouveau type de cancer: le mariage de l’oncogenèse et de la prionopathie – par Walter M Chestnut.

Source.


Traduction

UN NOUVEAU TYPE DE CANCER: LE MARIAGE DE L’ONCOGENÈSE ET DE LA PRIONOPATHIE

LA DESTRUCTION PROGRESSIVE DES TISSUS ET DES ORGANES PAR LES PROPRIÉTÉS AMYLOIDOGÉNIQUES ET OLIGOMÈRES DE LA PROTÉINE DE POINTE DU SARS-CoV-2

Walter M Chestnut

4 avril

Il a été proposé que la maladie d’Alzheimer est un problème qui touche l’ensemble du corps, car la bêta-amyloïde peut se déplacer, à la manière d’un cancer, vers le cerveau à partir d’autres parties du corps.

Des souris normales qui avaient été unies (par la circulation sanguine) à des partenaires génétiquement modifiés pendant un an ont « contracté » la maladie d’Alzheimer. Selon le chercheur Song, la bêta-amyloïde a voyagé des souris génétiquement modifiées vers le cerveau de leurs partenaires normaux, où elle s’est accumulée et a commencé à causer des dommages.

Les souris normales ont non seulement développé des plaques, mais aussi une pathologie similaire aux « TANGLES » – des brins de protéines tordus qui se forment à l’intérieur des cellules cérébrales (veuillez noter que, selon l’image, c’est PRÉCISÉMENT ce que la protéine de pointe induit), perturbant leur fonction et finissant par les tuer de l’intérieur. D’autres signes de dommages semblables à ceux de la maladie d’Alzheimer comprennent la dégénérescence des cellules cérébrales, l’inflammation et les micro-saignements. En outre, la capacité à transmettre les signaux électriques impliqués dans l’apprentissage et la mémoire – un signe d’un cerveau sain – était altérée, même chez les souris qui avaient été jointes pendant seulement quatre mois.

Outre le cerveau, la bêta-amyloïde est produite dans les plaquettes sanguines, les vaisseaux sanguins et les muscles, et sa protéine précurseur est présente dans plusieurs autres organes. Mais jusqu’à ces expériences, on ignorait si la bêta-amyloïde provenant de l’extérieur du cerveau pouvait contribuer à la maladie d’Alzheimer.

Ce qui nous amène aux fibrilles que la protéine de pointe induit.

Des études de biopsies nerveuses ou d’autopsies cardiaques de patients atteints d’amyloses ATTR et AL [NdT. amylose ATTR, voir ici, amylose AL, voir ici] montrent une atrophie des cellules à proximité des agrégats de fibrilles amyloïdes. En plus du stress ou de la toxicité attribuable aux fibrilles amyloïdes elles-mêmes, la toxicité des états non fibrillaires des protéines amyloïdogènes, PARTICULIÈREMENT LES OLIGOMÈRES, peut également participer aux mécanismes de dommages tissulaires.

Au fait. Qui a découvert cela? Le Département de Neurologie et le Centre de Neurosciences Cliniques, Hôpital de Daping, TROISIÈME UNIVERSITÉ MÉDICALE MILITAIRE, Chongqing, Chine.

Les thérapies proposées pour traiter cette pathologie semblent assez familières: (1) réduire ou empêcher la production des protéines responsables; (2) empêcher les protéines responsables de participer au processus de formation des fibrilles amyloïdes; et/ou (3) éliminer les fibrilles amyloïdes déjà déposées.

Et c’est ce qui est LE PLUS ALARMANT et qui devrait amener le monde à ARRÊTER IMMÉDIATEMENT TOUTES LES THÉRAPIES AUX PROTÉINES DE POINTE. SVP RELISEZ (1)!

(1) RÉDUIRE OU EMPÊCHER LA PRODUCTION DE PROTÉINES CAUSALES.

Nous devons nous soigner, avant de nous rendre encore plus malades.

Documents référencés/relatifs:

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8347239/

https://www.sciencedaily.com/releases/2017/10/171031084808.htm’

https://www.nature.com/articles/mp2017204

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.16.472920v1.full

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7092807/


Texte original

A NEW KIND OF CANCER: THE MARRIAGE OF ONCOGENESIS AND PRIONOPATHY

THE PROGRESSIVE DESTRUCTION OF TISSUE AND ORGANS BY THE AMYLOIDOGENIC AND OLIGOMERIC PROPERTIES OF THE SARS-CoV-2 SPIKE PROTEIN

Walter M Chestnut

Apr 4

It has been proposed that Alzheimer’s disease might be a ‘whole body’ problem, as amyloid-beta can travel, cancer-like, to brain from other parts of body.

Normal mice that had been joined (via bloodstreams) to genetically modified partners for a year « contracted » Alzheimer’s disease. The researcher Song says the amyloid-beta traveled from the genetically-modified mice to the brains of their normal partners, where it accumulated and began to inflict damage.

Not only did the normal mice develop plaques, but also a pathology similar to « TANGLES » — twisted protein strands that form inside brain cells (please note, per image, this is PRECISELY what the Spike Protein induces), disrupting their function and eventually killing them from the inside-out. Other signs of Alzheimer’s-like damage included brain cell degeneration, inflammation and microbleeds. In addition, the ability to transmit electrical signals involved in learning and memory — a sign of a healthy brain — was impaired, even in mice that had been joined for just four months.

Besides the brain, amyloid-beta is produced in blood platelets, blood vessels and muscles, and its precursor protein is found in several other organs. But until these experiments, it was unclear if amyloid-beta from outside the brain could contribute to Alzheimer’s disease.

Which brings us to the Fibrils that the Spike Protein is inducing.

Studies of nerve biopsy or cardiac autopsy specimens from patients with ATTR and AL amyloidoses show atrophy of cells near amyloid fibril aggregates. In addition to the stress or toxicity attributable to amyloid fibrils themselves, the toxicity of non-fibrillar states of amyloidogenic proteins, PARTICULARLY OLIGOMERS, may also participate in the mechanisms of tissue damage.

By the way. Who discovered this? Department of Neurology and Centre for Clinical Neuroscience, Daping Hospital, THIRD MILITARY MEDICAL UNIVERSITY, Chongqing, China.

The proposed therapeutics to deal with this pathology sound quite familiar: (1) reducing or preventing the production of causative proteins; (2) preventing the causative proteins from participating in the process of amyloid fibril formation; and/or (3) eliminating already-deposited amyloid fibrils.

And this is what is MOST ALARMING and should cause the world to go FULL IMMEDIATE STOP ON ALL SPIKE PROTEIN THERAPIES. PLEASE READ (1) AGAIN!

(1)    REDUCING OR PREVENTING THE PRODUCTION OF CAUSITIVE PROTEINS.

We need to make ourselves well, before we make ourselves ever more ill.

Referenced/Related Papers:

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8347239/

https://www.sciencedaily.com/releases/2017/10/171031084808.htm’

https://www.nature.com/articles/mp2017204

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.16.472920v1.full

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7092807/

Un alzheimer du coeur – par Walter M Chestnut.

Désolé de vous infliger encore ce genre de littérature mais ça me paraît assez important. Contrairement à la majorité des « antivax » sur le net, qui ont tendance à minimiser, voire à nier – ce qui est totalement contradictoire, je reviens brièvement sur ce fait dans un prochain article – la réalité du Covid, je dis depuis le début que cette maladie est vraiment très dangereuse. A titre d’exemple, j’avais traduit le très long témoignage d’une dame qui avait souffert d’un Covid long de juin à novembre 2020. J’ai vu quelqu’un de proche se taper un Covid sévère: pour résumer, tous les systèmes du corps foirent en même temps. Comme les lecteurs de longue date de ce blog le savent, je relaye les interviews et écrits de professionnels qui mettent en garde contre les injections, selon le principe que la maladie est grave et que les injections sont encore pires puisqu’elles introduisent avec violence la protéine de pointe dans l’organisme.

L’article ci-dessous est assez hermétique pour les profanes – même remarque que pour l’article précédent, à voir éventuellement avec une personne de formation médicale – mais je le publie pour introduire celui qui lui fait suite, un peu plus accessible. J’ai ajouté quelques références explicatives (en français!) dans le texte sans toutefois traduire le texte qui figure sur les illustrations. Je suivrai bientôt avec un article de Igor Chudov qui pose l’hypothèse que le Covid, après sa phase épidémique, n’est pas devenu endémique mais chronique. Ô joie.

Pour l’anecdote, je ne suis pas remis de ma mono et après deux jours de reprise du boulot, je suis obligé de prolonger à cause de fatigue extrême, d’essoufflement et de problèmes cardiaques (j’attends pour passer un ECG), les deux étant liés ou non. Sur base de mon analyse sanguine, je suis négatif au Covid mais celle de la personne qui a fait le Covid sévère montre la même chose. Vu ce qui figure dans cet article:

  • soit ce résultat est exact et mes problèmes cardiaques sont le fait d’une coïncidence,
  • soit il est faux parce que
    • l’analyse a été mal faite,
    • l’analyse a été bien faite mais les anticorps ont disparu,
    • l’analyse a été bien faite mais elle n’est pas adéquate pour le Covid.

Ou alors je suis vieux, ce qui est incurable aussi.

Source.


Traduction

UN ALZHEIMER DU CŒUR

CARDIOMYOPATHIE FULMINANTE ET AMYLOÏDOSE INDUITE PAR LA PROTÉINE DE POINTE

Walter M Chestnut

4 avril

Un article [NdT. ici] publié en ligne jeudi contredit directement les affirmations selon lesquelles « l’infection par COVID est plus susceptible de provoquer une myocardite ». Veuillez lire la découverte clé de l’article:

Dans le cas de la grippe, la liaison virale aux cellules hôtes induit une réponse d’interférons de type I et III [NdT. voir ici], y compris des cytokines inflammatoires (IL-6, TNF-α) [NdT. IL-6, voir ici; TNF-α, voir ici] et des chimiokines [NdT. voir ici]. La liaison des IFN [interférons] de type I et III à leurs récepteurs entraîne l’activation de la voie [de signalisation] JAK/STAT [NdT. voir ici, ici et ici] pour l’induction d’ISG [NdT. interferon-stimulated genes ou gènes stimulés par l’interféron, voir ici et ici ou ici en anglais] tels que l’IFI [NdT. gamma-interferon-inducible protein, voir ici p. 8]. Cela peut conduire à une myocardite aiguë, une complication courante de l’infection grippale. Contrairement à l’infection grippale, l’induction de ces voies dans le COVID-19 est faible, une caractéristique soutenue par de récentes études d’autopsie dans lesquelles le virus n’a pas été détecté comme cause de myocardite.

Si l’on se réfère aux recherches de l’année dernière, on constate que le SARS-CoV-2 réduit la contractilité des cardiomyocytes [NdT. voir ici] par la rupture des sarcomères [NdT. voir ici] et la mort cellulaire des cardiomyocytes.

Mais de quoi s’agit-il? C’est exactement le même processus que celui qui se produit dans l’amylose cardiaque [NdT. voir ici], et il peut se produire très rapidement.

Une question fondamentale dans les pathologies liées aux agrégats de protéines dans de multiples systèmes organiques est de savoir si les agrégats de protéines sont « bons » ou « mauvais » (Cox et al., 2018). Lorsqu’ils sont considérés comme faisant partie du modèle statique du sarcomère, les agrégats de protéines ont toujours été considérés comme une entité pathologique, potentiellement toxique (Henning et Brundel, 2017). En effet, à l’instar de la pathologie observée dans les maladies neurodégénératives, les oligomères [NdT. voir ici] pré-amyloïdes (Del Monte et Agnetti, 2014) et les agrégats de protéines, constitués d’une combinaison de protéines sarcomériques normales avec ou sans protéines mutées, se sont vus attribuer des rôles toxiques. Cette notion est renforcée par des études qui montrent que l’accumulation intracytoplasmique [NdT. à l’intérieur du cytoplasme] de ces oligomères pré-amyloïdes, de ces agrégats ou de leurs constituants « toxiques », récapitule la cardiotoxicité (Sanbe et al., 2004 ; Pattison et al., 2008, 2011); ce qui s’apparente au rôle toxique des oligomères pré-amyloïdes Aβ postulé comme mécanisme pathogène dans la maladie d’Alzheimer.

Un autre résultat de l’article de jeudi, intitulé Transcriptomic profiling of cardiac tissues from SARS-CoV-2 patients identifies DNA damage, montre une réponse aux dommages de l’ADN parallèle à celle de la maladie d’Alzheimer. Le plus intéressant dans tout cela? LA MÊME VOIE PATHOGÈNE DE RÉPARATION DE L’ADN ALTÉRÉE S’APPLIQUE AUX OBÈSES!

Les cassures double brin (CDB) non réparées de l’ADN sont mortelles. Les caractéristiques pathologiques typiques de la maladie d’Alzheimer comprennent l’accumulation de β-amyloïde, l’hyperphosphorylation de tau, les dommages synaptiques et la mort cellulaire. Néanmoins, l’hétérogénéité des populations atteintes de la maladie d’Alzheimer et l’échec des essais de médicaments ciblant la β-amyloïde soulignent la nécessité d’étudier d’autres voies ciblées qui pourraient se situer en amont du processus pathologique. Plusieurs nouvelles sources de données indiquent une relation bidirectionnelle entre ces changements pathologiques communs observés dans la maladie d’Alzheimer et les dommages à l’ADN.

L’article de jeudi a également montré une altération de la transcriptomique [NdT. voir ici] avec des gènes associés au choc thermique – une autre caractéristique de l’amylose cardiaque. Une classe de protéines de choc thermique [NdT. voir ici] existe dans les systèmes bactériens, fongiques et végétaux, à savoir les désagrégats Hsp110 AAA + ATPase qui peuvent désassembler les agrégats amyloïdes et protéiques (Torrente et Shorter, 2013). Des études récentes indiquent que des protéines ayant une fonction de désagrégation (certaines avec une homologie avec les protéines de choc thermique) existent dans le règne animal mais leur rôle ne semble pas clair. La dysrégulation de ces protéines engendre l’apparition et la progression rapides de l’amylose cardiaque.

Et cela correspond précisément à ce que nous observons, y compris des cœurs qui pèsent plus de 500g. Le dépôt d’amyloïde cardiaque est le plus fréquent dans le myocarde, mais on l’observe également dans les oreillettes, le péricarde, l’endocarde et le système vasculaire. Le myocarde devient épais (poids moyen de 500 g) et a une consistance caoutchouteuse. Une infiltration de haut niveau (>50%) du myocarde est plus fréquente dans la variété AL [NdT. amylose AL, voir ici], et 90% des cas ont une implication vasculaire. Les vaisseaux épicardiques sont généralement épargnés, mais l’atteinte microvasculaire est fréquente, entraînant une ischémie [NdT. voir ici] et un infarctus [NdT. voir ici] des tissus. La fibrose myocardique qui en résulte s’ajoute au dysfonctionnement du myocarde, provoquant une insuffisance cardiaque et des arythmies cardiaques.

Je pense que cela constitue une preuve supplémentaire que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est peut-être l’agent pathogène le plus dangereux jamais apparu sur la planète. Et pourtant, aucun responsable de la santé publique à quelque niveau que ce soit ne semble vouloir réagir.

Documents référencés/relatifs

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fphys.2020.00586/full

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2452302X21000127

https://emedicine.medscape.com/article/1967220-overview#a3

https://www.nature.com/articles/s41598-018-23644-4

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.03.24.22272732v1


Texte original

AN ALZHEIMER’S OF THE HEART

FULMINANT CARDIOMYOPATHY AND SPIKE PROTEIN INDUCED AMYLOIDOSIS

Walter M Chestnut

Apr 4

A paper published online Thursday directly contradicts claims that “COVID infection is more likely to cause Myocarditis.” Please read this key finding in the paper:

In influenza, viral binding to host cells induces a type I and III interferon response, including inflammatory cytokines (IL-6, TNF-α) and chemokines. The binding of the type I and III IFNs to their receptors results in activation of the JAK/STAT pathways for the induction of ISGs such as IFI. This can lead to acute myocarditis, a common complication of influenza infection63. In contrast to influenza infection, induction of these pathways in COVID-19 is low, a feature supported by recent autopsy studies in which virus was not detected as a cause of myocarditis.

If we look to research from last year, we find that SARS-CoV-2 reduces cardiomyocyte contractility through sarcomere breakdown and cardiomyocyte cell death.

But what is this? This is exactly the same process that occurs in Cardiac Amyloidosis – and it can happen very quickly.

A fundamental question in protein aggregate pathologies across multiple organ systems is whether protein aggregates are “good” or “bad” (Cox et al., 2018). When viewed as part of the static sarcomere model, protein aggregates have always been regarded as a pathologic, potentially toxic entity (Henning and Brundel, 2017). Indeed, akin to the pathology observed in neurodegenerative diseases, both pre-amyloid oligomers (Del Monte and Agnetti, 2014) and protein aggregates, consisting of a combination of normal sarcomeric proteins with or without mutated proteins, have been ascribed toxic roles. This notion is reinforced by studies that show that intracytoplasmic accumulation of these pre-amyloid oligomers, aggregates or their “toxic” constituents, recapitulates cardiotoxicity (Sanbe et al., 2004; Pattison et al., 2008, 2011); akin to a toxic role for pre-amyloid Aβ oligomers postulated as a pathogenic mechanism in Alzheimer’s disease.

Another finding of the paper from Thursday, Transcriptomic profiling of cardiac tissues from SARS-CoV-2 patients identifies DNA damage, shows a DNA damage response parallel to the DNA damage response of Alzheimer’s. What is most interesting about this? THE SAME ALTERED DNA REPAIR PATHOGENIC PATHWAY APPLIES TO THE OBESE!

Unrepaired DNA double-strand breaks (DSBs) are lethal. The typical pathological hallmarks of Alzheimer’s disease include accumulation of β-amyloid, tau hyperphosphorylation, synaptic damage, and cell death. Nevertheless, heterogeneity in Alzheimer’s populations, and failure of β-amyloid-targeted drug trials signal a need to investigate alternative targetable-pathways that may occur upstream in the disease process. Several new lines of evidence indicate a bidirectional relationship between these common pathological changes observed in Alzheimer’s disease, and DNA damage.

The Thursday paper also showed altered transcriptomics with genes associated with heat shock – another hallmark in Cardiac Amyloidosis. A class of heat shock proteins exist in bacterial, fungal and plant systems, i.e., the Hsp110 AAA + ATPase disaggregases that can disassemble amyloid and protein aggregates (Torrente and Shorter, 2013). Recent studies indicate that proteins with disaggregase function (some with Hsp homology) exist in the animal kingdom but their role appears to be unclear. The dysregulation of these proteins allows for the rapid onset and progression of Cardiac Amyloidosis.

And this ties into precisely what we are seeing, including hearts that weigh over 500g. Cardiac amyloid deposition is most common in the myocardium but is also seen in the atria, pericardium, endocardium, and vasculature. The myocardium becomes thick (mean weight 500 g) with a rubbery consistency. High-grade infiltration (>50%) of myocardium is most common in the AL variety, and 90% of cases have vascular involvement. Epicardial vessels are typically spared, but microvascular involvement is common, resulting in tissue ischemia and infarction. Resultant myocardial fibrosis adds to the myocardial dysfunction, causing heart failure and cardiac arrhythmias.

I believe this offers further evidence that the Spike Protein of SARS-CoV-2 is perhaps the most dangerous pathogen to ever appear on the planet. And yet, nobody with any control over public health is willing to do anything about it.

Referenced/Related Papers

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fphys.2020.00586/full

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2452302X21000127

https://emedicine.medscape.com/article/1967220-overview#a3

https://www.nature.com/articles/s41598-018-23644-4

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.03.24.22272732v1

Superantigène de la protéine de pointe, myocardite et mortalité – par Walter M Chestnut.

Encore de bonnes nouvelles.

Les articles de Walter M Chestnut sont assez pointus médicalement mais je ferai mon possible pour en traduire d’autres, en y incluant les références nécessaires pour les rendre accessibles. Avec Igor Chudov, que j’ai publié juste avant, il est le seul que j’ai lu jusqu’à présent à tirer les conséquences des nombreuses découvertes récentes sur le Covid et les injections.

« L’accélérateur de la protéine de pointe » dont il est question ici est évidemment le « vaccin ». Si vous en avez l’occasion, soumettez cet article à une personne de formation médicale.

Addendum: je viens juste de découvrir ses deux derniers articles, publiés pendant que je traduisais celui-ci, et ses conclusions dépassent en gravité tout ce que j’ai pu lire jusqu’à présent.

Source.


Traduction

SUPERANTIGÈNE DE LA PROTÉINE DE POINTE, MYOCARDITE ET MORTALITÉ

Les médecins doivent maintenant s’opposer à ce que l’accélérateur de la protéine de pointe soit jeté sur le feu du SARS-CoV-2

Walter M Chestnut

8 mars

Je suis choqué et consterné que la communauté médicale n’ait pas abordé l’énorme éléphant (parmi tant d’autres) dans la pièce concernant l’apparition de la myocardite. Comme je l’ai déjà dit, je crois que l’incidence de la myocardite est très élevée chez les personnes exposées à la protéine de pointe du SARS-CoV-2.

Un élément majeur de cette pathologie est le fait que la protéine de pointe est un superantigène. Il a été démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 contient des motifs de séquence et de structure très similaires à ceux d’un superantigène bactérien et qu’elle peut se lier directement aux récepteurs des lymphocytes T [NdT. voir ici].

Mais qu’est-ce que cela signifie par rapport à la myocardite? Tout.

Un parallèle peut être trouvé dans le virus coxsackie B [NdT. voir ici], un autre virus avec un superantigène. Une réponse immunitaire médiée par un superantigène est impliquée dans les maladies cardiaques humaines. Le virus coxsackie B 3 peut déclencher directement ou indirectement cette réponse, ce qui suggère un lien mécanistique possible entre l’infection par le virus coxsackie B et le développement de la myocardite évoluant vers la cardiomyopathie dilatée idiopathique [NdT. voir ici ou ici et ici, en anglais].

Très franchement, lorsqu’on vous dit que la myocardite est « bénigne », on vous ment effrontément. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

Voyons ce qui se passe RÉELLEMENT lorsque la myocardite est causée par un superantigène.

La myocardite présente un large éventail de manifestations cliniques, allant d’une inflammation transitoire essentiellement asymptomatique à une insuffisance cardiaque congestive grave, des dysrythmies et la mort. Le pronostic global de la myocardite chez l’enfant reste mauvais. Dans une étude exhaustive, seuls 7 des 34 patients (21%) ont vu leur maladie se résorber. Malgré un traitement intensif, la mortalité globale était de 62%. En outre, la myocardite est une cause majeure de mort soudaine et inattendue chez les adultes <40 ans, ≈20% de ces individus décédant de cette maladie. Il existe des preuves substantielles que la myocardite virale et/ou inflammatoire peut évoluer vers une cardiomyopathie dilatée idiopathique, qui, après la cardiopathie ischémique, est l’indication la plus fréquente de transplantation cardiaque.

Nous devons autopsier toutes les morts cardiaques soudaines chez les jeunes en utilisant la technologie de l’imagerie nucléaire, car c’est la seule façon d’identifier les dommages microvasculaires causés par la protéine de pointe qui conduisent à la myocardite.

Le lien devrait être évident: le caractère superantigénique d’un insert unique à la protéine de pointe du SARS-CoV-2, soutenu par un répertoire des récepteurs des cellules T [NdT. voir ici] faussé chez les patients souffrant d’hyperinflammation. Et le parallèle avec le virus coxsackie B: la capacité des lysats de cellules Vero infectées par le virus coxsackie B3 à stimuler in vitro les cellules T de donneurs sains portant les mêmes 3 familles de récepteurs des cellules T Vβ que nous avons trouvées asymétriques in vivo (c’est-à-dire Vβ3, 7 et 13.1) [NdT. voir ici pour tous les types de lymphocytes T] confirme l’hypothèse d’une réponse immunitaire induite par un superantigène.

La seule voie à suivre est que les médecins s’unissent et mettent fin à l’utilisation de l’accélérateur de la protéine de pointe sur le feu du SARS-CoV-2. Malheureusement, ce n’est qu’une première étape. S’attaquer à un virus contre lequel aucune immunité durable ne peut être générée pourrait en effet être une très mauvaise nouvelle pour la race humaine.

Articles référencés/relatifs

https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/01.cir.98.8.777

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2010722117


Texte original

THE SPIKE PROTEIN SUPERANTIGEN, MYOCARDITIS AND MORTALITY

DOCTORS MUST NOW PROTEST THE SPIKE PROTEIN ACCELERANT BEING THROWN ON THE SARS-CoV-2 FIRE

Walter M Chestnut

Mar 8

I am shocked and dismayed that the medical community has not addressed the massive elephant (among many) in the room regarding the appearance of Myocarditis. As I have previously stated, I believe that the incidence of Myocarditis is widespread in those exposed to the Spike Protein of SARS-CoV-2.

A major component of this pathology is the fact that the Spike Protein is a Superantigen. It has been shown that the SARS-CoV-2 spike contains sequence and structure motifs highly similar to those of a bacterial superantigen and may directly bind T cell receptors.

But what does this mean for Myocarditis? Everything.

A parallel may be found in Coxsackievirus B, another virus with a Superantigen. A superantigen-mediated immune response is involved in human heart disease. CVB3 may directly or indirectly trigger this response, suggesting a possible mechanistic link between CVB infection and myocarditis development progressing to IDC.

Quite frankly, when you are told that Myocarditis is “mild” you are being told a boldfaced lie. Nothing could be farther from the truth.

Let us look at what ACTUALLY happens when Myocarditis is caused by a Superantigen.

Myocarditis exhibits a wide spectrum of clinical manifestations, ranging from essentially asymptomatic, transient inflammation to severe congestive heart failure, dysrhythmias, and death. The overall prognosis of myocarditis in children remains poor. In a comprehensive study, only 7 of 34 patients (21%) had resolution of their illness. Despite intensive support, the overall mortality was 62%. Furthermore, myocarditis is a major cause of sudden, unexpected death in adults <40 years old, with ≈20% of such individuals dying of this disease. There is substantial evidence that viral and/or inflammatory myocarditis can progress to IDC,3 which, second to ischemic heart disease, is the most common indication for heart transplantation.

We must autopsy all sudden cardiac deaths in the young using nuclear imaging technology as only this will fine the microvascular damage the Spike Protein has caused leading to Myocarditis.

The connection should be obvious: Superantigenic character of an insert unique to SARS-CoV-2 spike supported by skewed TCR repertoire in patients with hyperinflammation. And the parallel with Coxsackievirus B: The ability of lysates from CVB3-infected Vero cells to stimulate in vitro T cells from healthy donors carrying the same 3 TCR Vβ families we have found skewed in vivo (ie, Vβ3, 7, and 13.1) further supports the hypothesis of a superantigen-driven immune response.

The only path forward is for doctors to unite and stop the use of the Spike Protein Accelerant on the SARS-CoV-2 fire. Unfortunately, that is only a first step. Dealing with a virus to which no lasting immunity can be generated may indeed be very bad news for the human race.

Referenced/Related Papers

https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/01.cir.98.8.777

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2010722117

Le chemin à parcourir – par Elliott Freed.

Elliott Freed me devance avec cet article paru ce matin. Je le traduis et le publie, et je complèterai avec le mien un peu plus tard.

Source.


Traduction

Le chemin à parcourir

Où allons-nous maintenant?

Elliott Freed

3 avril

Ce papier est plus personnel que la majorité de ceux que j’ai partagés sur substack. Je me livre à un peu d’introspection. Je me pose des questions à propos de ce qui se passe dans le monde, de mon rapport avec celui-ci, de ce que je peux faire pour y remédier et des limites de ma capacité d’action.

C’est en 2005 que j’ai pris conscience des problèmes liés aux vaccins. J’ai travaillé brièvement avec deux médecins qui soignaient des enfants autistes. Ils m’ont raconté que tous leurs patients partageaient la même histoire. Leur autisme était causé par les vaccins. À cette époque, un collègue m’a donné un exemplaire du livre « The Sanctity of Human Blood » [Le caractère sacré du sang humain] du Dr Tim O’Shea. Une version actualisée a depuis été publiée sous le nouveau nom de « Vaccination Is Not Immunization » [La vaccination n’est pas l’immunisation]. Le bon docteur couvre les éléments de base que connaissent toutes les personnes familiarisées avec les vaccins, réfutant le mensonge selon lequel les vaccins sont sûrs ou efficaces. À l’époque, je ne m’occupais pas des vaccins, mais c’était une bonne chose d’être au courant.

En 2008, j’étudiais le droit commercial international avec un groupe d’étude. Il était de notoriété publique au sein de ce groupe, et dans les cercles qu’il fréquentait, qu’un projet pour vacciner de force tous les habitants de la planète était en préparation.

Après avoir étudié la génétique et la biologie du développement humain à l’université au début des années 90, et les limites de l’approvisionnement en pétrole en 2004-5, j’ai additionné deux et deux et deux et deux et obtenu six. Le système financier avait besoin de nouvelles régions à coloniser. La planète entière était déjà conquis. Tout le pétrole était déjà conquis. Que restait-il? Quelle était la grande classe d’actifs suivante qui pourrait soutenir un système financier qui non seulement nécessitait une expansion constante, mais était également devenu le vecteur de toutes nos vies et de toute notre subsistance, et même de notre sens et de nos objectifs personnels. Les deux seules options envisageables étaient l’espace et le génome. Évidemment, après avoir investi des trillions de dollars dans la recherche génétique au cours des quarante dernières années, ils veulent maintenant en tirer profit. Ils veulent un retour sur cet investissement.

En 2015, je suis me suis retrouvé à écrire sur les vaccins sans l’avoir prévu. J’avais du temps libre, ça me semblait important à l’époque, et j’avais des connaissances dans ce domaine. J’ai consacré une grande partie de cette année à des recherches sur le sujet et à partager mes découvertes sur face book. J’ai ainsi acquis des milliers d' »amis » sur Face Book. Les gens voulaient connaître la vérité. Ce n’est pas si compliqué, ni même si secret ou si difficile à trouver, dès lors que l’on sait qu’il faut se donner la peine de chercher.

Vers la fin de l’année, j’ai réalisé que j’avais acquis suffisamment de connaissances pour écrire un petit livre qui résumerait la question. Il existait déjà de nombreux ouvrages de qualité sur le sujet, et la lecture de n’importe lequel d’entre eux devrait suffire à dissuader à jamais toute personne intelligente de recourir aux vaccins. Ils n’ont jamais empêché, et encore moins éradiqué, aucune maladie et ils sont très dangereux. Leur concept a été réfuté à maintes reprises. Mais j’ai constaté une carence sur le marché. Aussi excellents que soient ces livres, ils étaient souvent longs, denses et chargés d’informations. Pour les aborder, il fallait une connaissance approfondie du sujet et un réel désir d’apprendre. Je voulais donc proposer un ouvrage d’initiation. Un livre court et succinct qui pourrait encadrer la discussion de manière à la rendre plus accessible aux personnes vaguement curieuses, mais pas encore disposées à investir des heures et des heures pendant des mois et des années pour découvrir la vérité. C’est ce que j’ai fait en écrivant un petit livre, que j’ai publié en janvier 2016.

J’ai passé les quelques années suivantes à promouvoir ce livre et à continuer mes recherches plus approfondies sur la question, en partageant mes découvertes et mes réflexions sur face book. En 2019, je me demandais quelle serait la prochaine étape et j’ai décidé d’étudier les blessures causées par les vaccins, leur nature et les moyens d’y remédier. Beaucoup de choses ont déjà été faites dans ce domaine, et chaque jour, de plus en plus de personnes se mettent à la recherche de ces informations. J’avais l’espoir de les rassembler et de les présenter de manière à les rendre accessibles aux personnes dont les enfants avaient été récemment blessés et qui cherchent des explications et des conseils. Comme j’ai passé ma carrière médicale à me spécialiser dans les cas difficiles, j’espérais aussi comprendre pourquoi certains enfants ne guérissaient pas et de quelles autres options ils disposaient. Donc, au milieu de l’année 2019, j’ai lancé le  » Healing Vaccine Injuries Project  » [Projet de guérison des blessures dues aux vaccins].

Puis est arrivé le covid.

J’ai tout de suite su que c’était un stratagème pour introduire dans les populations des gènes fabriqués, brevetés et détenus par des corporations. Ce n’était même pas un secret. Tout de suite, les porte-parole des corporations au sein des gouvernements et du monde du spectacle (souvent considérés à tort comme celui des informations et du journalisme) ont annoncé qu’un vaccin à ARNm allait nous sauver, malgré toutes les preuves évidentes du contraire. Le fait qu’ils organisaient des conférences de presse quotidiennes pour créer de la peur montrait clairement qu’ils ne prenaient pas le covid au sérieux, mais qu’ils poursuivaient un objectif pour lequel il était nécessaire que les gens aient peur. Aucun éleveur ne veut effrayer le troupeau, mais il faut faire du bruit d’un côté pour les inciter à aller de l’autre. Je me suis donc mis au travail pour partager les faits, les vraies informations. Mon audience a doublé l’année suivante, car les gens étaient sceptiques et voulaient savoir ce que leurs éleveurs industriels ne leur disaient pas.

Bien sûr, comme on pouvait s’y attendre, tous nos efforts ont eu peu ou pas d’effet sur le raz-de-marée de destruction. Ils ont imposé leurs verrouillages. Ils ont fait jouer les tambours de guerre. Ils ont joué du pipeau et conduit leur bétail aveugle et confiant dans des enclos pour les marquer de leur empreinte corporatiste. Ils ont raconté leurs mensonges dans leurs médias et la grande majorité des gens se sont conformés et ont suivi le mouvement comme ils avaient été entraînés à le faire depuis le jardin d’enfants. Le type qui conduit la vache à l’abattoir ne dit pas « Je vais te tuer, conasse de génisse ». Il roucoule: « Tout va bien se passer, ma chérie ». Il doit le faire dans son propre intérêt. Comme l’a dit le gars du panel de la FDA qui a approuvé le vaccin pour les enfants, nous ne saurons pas combien d’enfants ce vaccin va tuer tant qu’il ne les aura pas tués. Puis il l’a approuvé.

Combien de personnes, adultes et enfants, ont-ils tuées au cours des deux dernières années? Nous ne disposerons peut-être jamais de données fiables, mais il est clair qu’elles se comptent en millions, surtout si l’on tient compte de toutes les personnes qui se sont suicidées à cause de la pression croissante des confinements et de celles qui ont été tuées par les respirateurs et les autres fautes professionnelles.

Qui plus est, leurs nouveaux moyens de contrôle sont maintenant mis en place.

Comme nous l’avions tous vu avec le onze septembre, le Patriot Act et les guerres qui ont suivi, tout était bâti sur des mensonges. Même si nous acceptons l’histoire du gouvernement selon laquelle les tours ont été détruites par des terroristes saoudiens, que diable faisions-nous en Afghanistan et en Irak? Ils n’avaient rien à voir avec l’événement lui-même, même selon le récit officiel du gouvernement, et la vérité était disponible à l’époque pour quiconque se souciait de la trouver. Ce n’était pas si difficile. Elle était dans les magazines et à la radio. Mais des mensonges patents ont été racontés, les tambours de guerre ont été battus, la soif du sang a gagné, le monde a agi, et les innocents ont été assassinés en masse. Et l’État sécuritaire mis en place à la suite du Patriot Act et d’autres lois similaires n’a pas été démantelé. En fait, l’un de ses principaux architectes est maintenant président de la république.

La vérité sur le covid était déjà disponible au début de ces deux dernières années. Elle réfutait clairement le narratif destiné au public et le ridiculisait totalement. Tous ceux qui étaient au courant de la vérité ne pouvaient s’empêcher de rire à gorge déployée des absurdités que les gens débitaient à la télévision et auxquelles ils croyaient, assis dans leurs fauteuils. Il y eut une poignée de personnes qui furent les premières à se lever et à en prendre conscience, et qui depuis ont rejoint les rangs des gens informés, quittant les rangs de ceux qui se divertissent sans réfléchir. Pourtant, même si notre nombre était multiplié par dix, nous ne serions qu’une minorité insignifiante, incapable d’influencer l’opinion publique, et encore moins les politiques publiques.

La prise de pouvoir est terminée, du moins à ce stade. Ils ont obtenu ce qu’ils voulaient. Peut-être pas tout, mais des progrès significatifs ont été réalisés vers l’objectif final, le gouvernement mondial transhumaniste de biosécurité, objectif clairement énoncé publiquement par le Forum Economique Mondial. Ils n’ont pas obtenu tout ce qu’ils voulaient, mais c’est un processus à long terme. Ils sont probablement satisfaits des progrès qu’ils ont réalisés au cours des deux dernières années. Les principes ont été établis.

Les guerriers des médias sociaux dont la faculté d’attention est courte se sont peut-être lassés de parler du covid, les briefings quotidiens de la Maison Blanche appartiennent depuis longtemps au passé, les entreprises qui manipulent par la magie noire la conscience du peuple parlent maintenant d’autres choses. Et le système de contrôle continue à faire ce qu’il a projeté depuis toutes ces années, sans réelle opposition. Dans de nombreux pays, les restrictions restent en place. Dans d’autres, il y a eu un certain assouplissement. Les gens continuent de faire la queue pour recevoir leurs boosters, bien que leur nombre soit en baisse. Les cliniques de cardiologie pédiatrique ont fait leur apparition. L’industrie pharmaceutique propose des catégories entières de nouveaux médicaments pour traiter les dommages causés par les injections. Les joueurs de football continuent de s’effondrer sur le terrain, victimes de crises cardiaques. Quinze joueurs ont dû abandonner le tournoi de tennis du Miami Open récemment, un exemple parmi des milliers d’autres. Les récits de décès continuent d’affluer. Une petite poignée de gens font le lien dans leur esprit et réalisent que les vaccins en sont la cause. Les rangs des sceptiques du vaccin grandissent lentement tandis que le nombre de morts augmente rapidement.

Tandis que la mort et la destruction progressent, je me sens envahi d’une paix étrange. Je n’irai pas jusqu’à dire que je suis en paix avec tout ce qui se passe. C’est plutôt que le monde me semble distant, au bout d’un long tunnel, ou comme un rêve dont je me souviens à peine en me frottant les yeux à mon révéil. C’est devenu tellement surréaliste que je ne sais plus quoi dire, quoi penser, comment me connecter à un monde dans lequel je ne sais pas qui sera le prochain à tomber.

J’ai beau imaginer ce que pourrait accomplir un groupe de gens comme nous pour orienter l’avenir de l’humanité dans une autre direction que celle d’un gouvernement mondial transhumaniste et biosécuritaire ou d’un scénario à la Mad Max, je n’ai aucun moyen de réunir un tel groupe, et encore moins de les amener à agir dans ce sens.

D’un point de vue plus personnel, je pense avoir fait ce que je pouvais pour avertir les gens. Ma portée était faible, juste quelques milliers d’amis et de membres sur FaceBook. Des types comme Kennedy, Malone et Bigtree ont touché des millions de personnes à chaque tweet, chaque émission ou chaque interview.

Dans quelle mesure la vérité va-t-elle continuer à se propager? Quel impact aura-t-elle? Dans quelle mesure pourrons nous prendre ensemble des décisions conscientes concernant le devenir de notre société collective et dans quelle mesure devrons-nous simplement attendre que les institutions existantes s’effondrent? Ou bien s’adapteront-elles et survivront-elles pour continuer à nous tourmenter et à nous assassiner? L’énergie des habitudes est tenace. En tant que médecin, je l’ai vue tuer de nombreuses personnes qui, autrement, auraient pu apporter les changements nécessaires à leur vie pour la prolonger de plusieurs décennies. Dans quelle mesure l’énergie de l’habitude est-elle encore plus ancrée dans l’ensemble de la société, et combien de personnes emportera-t-elle avec elle?

Les réponses à ces questions se jouent au moment où nous écrivons ces lignes. Le fait que là où auparavant, trois pour cent des enfants américains étaient scolarisés à domicile, ce chiffre est récemment passé à vingt pour cent est un changement prometteur. Il y a donc de l’espoir et une évolution positive.

Quelles que soient les réponses finales, pour moi, il est temps de passer à autre chose. Je ressens le besoin de commencer à contribuer de manière positive et créative au nouveau monde que nous sentons tous naître, que nous savons tous devoir créer.

Pourtant, j’ai du mal à me trouver une nouvelle direction. Peut-être ma plus profonde incertitude est-elle celle de la profondeur de la destruction. Quelle proportion de la société sera détruite dans les années à venir du fait des futurs décès. Est-ce que cela se terminera dans le courant de cette année avec seulement quelques millions de personnes dans le monde qui mourront suite à leurs injections. Les décès se poursuivront-ils dans les années à venir, pour se chiffrer en milliards. Combien d’entre eux disparaîtront. Combien de temps cela prendra-t-il. Combien de temps encore se feront-ils injecter. Combien seront gravement mutilés et estropiés même s’ils parviennent à survivre quelques années ou décennies de plus.

Aux États-Unis, le taux de mortalité des personnes en âge de travailler a déjà augmenté d’au moins quarante pour cent selon certains calculs, et de quatre-vingt-quatre pour cent dans certains groupes d’âge selon une analyse des données gouvernementales. Dans le même temps, nous constatons d’importantes pénuries de personnel dans tous les secteurs et toutes les régions. De nombreux facteurs entrent en jeu dans ces pénuries, et je ne veux pas en rejeter toute la responsabilité sur les injections, mais au minimum, dans un marché tendu, elles resserrent encore plus la vis. Jusqu’à quel point la serreront-elles lorsque les réponses aux questions du paragraphe précédent seront connues? Quelles industries et quelles entreprises survivront à un tel tsunami de mortalité?

Et qu’en est-il des autres changements, dont je vous ai déjà parlé en partie?

D’une certaine manière, je suppose que cela n’a pas d’importance. Pour créer, il suffit d’aller de l’avant, en relevant les défis qui se présentent. Je tourne donc mon attention vers cette nouvelle aube, ce nouveau jour qui se lève pour l’humanité. À quels rêves nous raccrocherons-nous pour échapper à cette nuit noire de l’âme, alors que nous ouvrons les yeux sur les possibilités qui nous attendent? Quelles sont ces possibilités? Quelles sont les transformations spirituelles que nous vivons? Quels nouveaux mythes sont-ils en train de naître, comme pourrait le demander Joseph Campbell ? Quel sera le matériau de ce nouveau monde? Construirons-nous avec de la boue et de l’argile, avec de l’acier, avec du chanvre? Utiliserons-nous nos mains ou des imprimantes tridimensionnelles? Quelles ressources seront disponibles? Quelles ressources pouvons-nous cultiver?

Je ne veux pas paraître trop utopiste, mais au moins pouvons-nous nous demander ce que nous aimerions apporter au monde, et faire ce que nous pouvons dès maintenant pour l’apporter.

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Merci de vous joindre à moi dans cette conversation,

Sincèrement,

Elliott Freed


Texte original

The Path Ahead

Where do we go now?

Elliott Freed

April 3

This piece is more personal than most of what I have been sharing on substack. I am doing some soul searching. Asking myself some questions about what is going on in the world, what my relationship to it is, what I can do about any of it, and what are the limitations of my ability to do anything about it.

In 2005 I was made aware of the problems with vaccines. I worked briefly with two doctors who were curing autistic kids. They told me of how all their patients had the same story. Their autism was caused by vaccines. Around that time, a colleague gave me a copy of the book, “The Sanctity of Human Blood” by Dr. Tim O’Shea. An updated version has since been issued with the new name, “Vaccination Is Not Immunization.” The good doctor covers the basics that all vaccine literate people know, disproving the lie that vaccines are either safe or effective. At the time, vaccines were not something I was dealing with, but it was good to be aware.

In 2008, I was studying international commercial law with a study group. It was common knowledge in that group, and the circles they ran in, that there was a plan afoot to force vaccinate everybody on the planet.

Having studied genetics and the biology of human development in college in the early nineties, and the limits of the oil supply in 2004-5, I put two and two and two together and got six. The financial system needed new regions to colonize. The whole planet was already in. All the oil was already in. What was next? What was the next big asset class that could sustain a financial system that not only required constant expansion, but had also become the means by which all of our lives and all of our sustenance, even our personal meanings and purposes were provided. The only two options I could see were space and the genome. Sure enough, after investing trillions of dollars in genetic research over the past forty years, they are now coming for the payoff. They want the return on that investment.

In 2015, I inadvertently fell into writing about vaccines. I had some time on my hands, it seemed important at the time, and I had some relevant knowledge. I spent much of that year researching them and sharing my findings on face book. I attracted thousands of face book “friends” via this route. People wanted to know the truth. It is not that complicated, or even that hidden or difficult to find, once you know to bother looking.

By late in the year, I realized I had enough knowledge to write a short book summarizing the issue. There were already lots of great books on the subject, and reading any one of them should be enough to turn any intelligent person off of vaccines forever. They have never prevented, let alone eradicated any disease and they are very dangerous. The concept has been roundly disproved time and again. But I found a gap in the market. As great as those books were, they were often long, dense, and packed with information. One had to approach them with an already established diligence on the matter, and a real desire to learn. I wanted to offer a primer. A short, succinct book that could frame the discussion in such a way as to make it more accessible to people who were vaguely curious, but not yet interested in investing hours and hours over months and years to uncover the truth. I wrote a short book doing just that, and published it in January, 2016.

I spent the next few years promoting the book and continuing to research the issue deeper, sharing my findings and thoughts on face book. In 2019, I was looking for the next step and settled on the study of vaccine injuries, what they were and what to do about them. Already, much has been done in that field, and every day, more and more people are seeking out that information. My hope was to gather it and present it in a way that it would be accessible to those whose children had recently been injured, and who were looking for understanding and guidance. Having spent my medical career specializing in difficult cases, I was also hoping to understand why some kids were not healing and what other options were available to them. So, in mid 2019, I started the “Healing Vaccine Injuries Project.”

Then the ‘vid hit.

I knew right away it was a ploy to get engineered, patented, corporate owned genes into people. It was not even a secret. Right away, the corporate mouthpieces in governments and entertainment (often mistakenly thought of as news and journalism) were talking about how an mRNA vaccine was going to save us, despite all the obvious proof to the contrary. That they were holding daily press conferences to drum up the fear made it clear they were not serious about the covid, but did have an agenda for which they needed people to be afraid. No rancher wants to spook the herd, but they do want to make some noise over here to get them to go over there. So, I set to work sharing the straight dope, the real information. My audience doubled in the following year as people were skeptical, and looking for what the corporate ranch hands were not telling them.

Of course, as was to be expected, all our efforts had little to no effect on the tidal wave of destruction. They imposed their lock downs. They beat the war drums. They pied their pipe and led their blind and trusting cattle into the pens to brand them with their corporate marks. They told their lies in their media outlets and the vast majority of the people lined right up and marched as they’d been trained to since kindergarten. The guy leading the cow into the slaughter house does not say I’m gonna kill you you fucking heifer. He coos its gonna be alright sweetheart. He has to for his own sake. As that guy on the FDA panel approving the shot for kids said, we won’t know how many kids it is going to kill until it has killed them. Then he approved it.

How many people, adults and children, have they killed in the past two years? We may never have good data, but it is clearly into the millions by now, especially if we include all the people who killed themselves as the pressures of the lock downs mounted and the ones killed by ventilators and other malpractice.

What is more, now they’ve got their new controls in place.

As we all saw with nine eleven and the patriot act and subsequent wars, it was all built on lies. Even if we accept the government’s story that the towers were taken down by Saudi terrorists, what the fuck were we doing in Afghanistan and Iraq? They had nothing to do with the event itself, even in the government’s official narrative, and the truth was available at the time for anybody who cared to find it. It wasn’t that hard. It was in magazines and on the radio. But the obvious lies got told, the war drums got beat, the blood lust rose, the world moved, the innocents were murdered en masse. And the security state put in place as a result via the patriot act and similar legislation has not been dismantled. In fact, one of its prime architects is now president of the republic.

Over the past two years, the truth about covid was available all along. It clearly disproved the popular story, made a total mockery of it. Anybody privy to the truth could not help but laugh maniacally at the nonsense people were spewing on the televisions, and believing from their armchairs. There were a handful of people who sat up and took notice for the first time, and have since joined the ranks of the informed, leaving the ranks of the mindlessly entertained. Yet our numbers could increase ten fold and still remain an insignificant minority, unable to sway the popular mind, let alone public policy.

The power grab is complete, or at least this stage of it. They got what they wanted. Maybe not all of it, but significant progress was made towards the end goal of the transhumanist biosecurity one world government, a goal most clearly enunciated publicly by the World Economic Forum. They did not get everything they wanted, but theirs is a long game. They must be happy with the progress they made in the past two years. The principles have been established.

The short attention span social media warriors may have grown weary of talking about covid, the daily white house briefings are long a thing of the past, the corporate black magic manipulators of the popular mind are talking about other things. And the control system continues to do what it has planned all these years with no real opposition. In many countries, the restrictions remain in place. In others there has been some loosening. People are still lining up for their boosters, though their numbers are declining. Pediatric cardiology clinics are now a thing. Pharma is trotting out whole categories of new drugs to treat the damage done by the shots. Futbol players continue to collapse on the pitch, dying of heart attacks. Fifteen players had to drop out the Miami Open tennis tournament recently, as one example among thousands. The stories of death continue to roll in. A small handful make the connection in their minds, realizing the vaccines did it. The ranks of the vax suspicious grow slowly while the death toll mounts rapidly.

As the death and destruction continue, I feel a strange peace flowing through me. I would not say I am at peace with what is happening. It is more like the world is at a distance, down a long tunnel, or a dream I can barely remember as I rub the sleep from my eyes. It has become so surreal that I no longer know what to say, what to think, how to connect to a world in which I do not know who is going to drop next.

As much as I can imagine things that a large group of us could do to guide the future of humanity in some direction other than the transhumanist biosecurity one world government or a mad max like scenario, I have no way of getting such a large group together, let alone getting them to act in such a way.

On a more personal level, I feel I have done what I can to warn people. My reach was small, just a few thousand friends and followers on face book. Guys like Kennedy and Malone and Bigtree reached millions with each tweet or each show or each interview.

How much further will the truth spread? How much affect will it have? How much will we gather to make conscious decisions about the nature of our collective society going forward and how much will we just have to wait for the existing institutions to collapse? Or will they adapt and survive to continue tormenting and murdering us? Habit energy is strong. As a physician I’ve watched it kill many people who otherwise could have made the necessary changes in their lives to extend them by decades. How much more entrenched is the habit energy of society as a whole, and how much and how many will it take down with it?

The answers to these questions are being played out as we write. One hopeful change is that, where before, three percent of kids in the u.s. were home schooled, that number recently hit twenty percent. So, there is hope and positive progress.

Whatever the final answers end up being, for me, it is time to move on. I feel an urge to begin contributing in some positive, creative way to the new world we all feel being birthed, we all know we must create.

Yet I struggle with a new direction. Maybe my most pressing uncertainty is how deeply the destruction will cut. How much of society will be destroyed in the coming years as a result of further deaths. Will it end later this year with just a few million worldwide having died from the shots. Will the deaths continue for years to come, reaching into the billions. How many will go down. How much longer will it take. How much longer will they still be getting their shots. How many will be severely maimed and crippled even though they may survive a few years or decades longer.

Already in the u.s. the death rate among working age people has gone up by at least forty percent by some calculations, as much as eighty four percent in some age groups by an analysis of government data. At the same time, we are seeing major staffing shortages across industries and regions. There are many factors at play in those shortages, so I do not want to lay all the blame at the feet of the shots, but at the least, in a tight market they are turning the screws that much tighter. How much tighter will they turn them as the answers to the questions of the previous paragraph make themselves known? Which industries and companies will survive such a tsunami of death?

And what of the other changes, some of which I’ve already begun to write about?

In a way, I suppose it does not matter. To create, we simply move forward, dealing with whatever challenges arise. So I turn my attention to this new dawn, this breaking of the new day for humanity. What dreams will we hold on to from this dark night of the soul as we open our eyes to the possibilities ahead? What are those possibilities? What spiritual transformations are we going through? What new myths are being born, as Joseph Campbell might ask. What will be the material of this new world? Will we be building with mud and clay, with steel, with hemp? Will we be using our hands or three dimensional printers? What resources will be at hand? What resources can we cultivate?

I do not want to appear too utopian, but we can at the least ask what we would like to bring forth into the world, and do what we can now to bring it.

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Thank you for joining me in the conversation,

Sincerely,

Elliott Freed

Votre guide de la Guerre de Cinquième Génération – par James Corbett.

J’ai mentionné James Corbett dans l’intro de mon article précédent, et j’ai aussi publié un de ses récents articles ici (enfin récent, c’était en novembre dernier).

James arrive un peu en retard sur le champ de bataille – la Guerre de Cinquième Génération, le Dr Lee Merritt en parlait ici en janvier de l’année dernière – mais c’est un bon auteur et un bon orateur, qui travaille ses sujets avec rigueur – ses vidéos sont bien produites et faciles à suivre. Je publie donc en dernière minute, avant ma propre analyse, cet article paru hier soir. Il résume assez bien la perception de la plupart des auteurs « alternatifs », un peu anars de gauche (comme Miles Mathis et Ernst Wolff que j’ai déjà abondamment publiés ici) ainsi que les solutions qu’ils proposent. Comme vous le lirez bientôt ici, les miennes sont légèrement différentes.


Traduction

Votre guide de la Guerre de Cinquième Génération

The Corbett Report

27 mars

par James Corbett
corbettreport.com
27 mars 2022

Nous sommes en ce moment au cœur d’une guerre qui changera le monde.

Oh, je ne parle pas de la guerre en Ukraine, celle sur laquelle tous les médias vous demandent de porter votre attention. Oui, ce conflit ne cesse de s’intensifier. Et chaque jour, il y a de nouvelles histoires de provocations et de menaces qui pourraient mener à un échange nucléaire… mais ce n’est pas la guerre à laquelle je fais référence.

Et je ne parle pas de la guerre au Yémen ou des autres conflits militaires que les médias ignorent complètement. Oui, ces guerres sont tout aussi sanglantes, horribles et dévastatrices que l’invasion russe de l’Ukraine (si ce n’est plus) et elles risquent également de dégénérer en une crise géopolitique et géoéconomique plus large… mais ce ne sont pas les guerres auxquelles je fais référence non plus.

Non, la guerre dont je parle est une guerre encore plus vaste. Une guerre qui se livre sur toute la planète, au moment même où je rédige ces lignes, et qui implique pratiquement tous les habitants de la planète, jeunes et vieux, hommes et femmes, militaires et civils. C’est la guerre de chaque gouvernement contre sa propre population et de chaque institution internationale contre l’humanité libre.

Mais ce n’est pas une guerre ordinaire. La plupart des victimes de cette guerre ne sont même pas en mesure de l’identifier comme une guerre, et ne comprennent pas qu’elles y sont combattantes.

Il s’agit de la guerre de cinquième génération, et je vais vous en parler.

C’EST QUOI, LA GUERRE DE CINQUIÈME GÉNÉRATION?

C’est quoi la guerre de cinquième génération, d’ailleurs? Et, à la réflexion, c’étaient quoi les quatre premières générations de guerre?

Bonnes questions. Pour une réponse approfondie à la dernière question, vous pourrez lire « The Changing Face of War: Into the Fourth Generation«  – un article de 1989 de la Marine Corps Gazette co-écrit par William S. Lind – et vous pourrez regarder « William S. Lind & Philip Giraldi – Fourth Generation Warfare & The Deep State« , en particulier la présentation de Lind à partir de la 13ème minute.

En résumé, la thèse de Lind et al. est que l’« âge moderne » de la guerre a commencé avec le traité de Westphalie en 1648, qui, selon Lind, « a donné à l’État le monopole de la guerre ». À partir de ce moment, la guerre moderne a connu trois générations, à savoir:

  • La guerre de première génération: la tactique de la ligne et de la colonne, développée à l’époque du mousquet à âme lisse;
  • La guerre de deuxième génération: les tactiques de tir indirect et de mouvement de masse, développées à l’époque du mousquet rayé, des chargeurs par la culasse, du fil barbelé et de la mitrailleuse; et
  • La guerre de troisième génération: les tactiques de mouvement non linéaire, y compris la manœuvre et l’infiltration, développées en réponse à l’augmentation de la puissance de feu sur le champ de bataille lors de la Première Guerre mondiale.

Selon Lind et ses co-auteurs, cela a perduré jusqu’à la fin du XXème siècle, lorsque l’État-nation a commencé à perdre son monopole sur la guerre et que le combat militaire est revenu à une forme décentralisée. Dans cette ère – l’ère de la guerre de quatrième génération – les lignes entre « civil » et « militaire » deviennent floues, les armées ont tendance à s’engager dans des opérations de contre-insurrection plutôt que dans des batailles militaires, et les ennemis sont souvent motivés par l’idéologie et la religion, ce qui rend les opérations psychologiques plus importantes que jamais.

Mais, selon certains, nous sommes maintenant entrés dans une nouvelle ère de la guerre, à savoir la guerre de cinquième génération. La définition de la guerre de cinquième génération, la façon de déterminer si on y est engagé, ou même si elle existe (Lind, pour sa part, rejette le concept) fait encore l’objet de nombreux débats. Plusieurs universitaires ont tenté de définir la guerre de cinquième génération [5th Generation Warfare – 5GW], comme le Dr Waseem Ahmad Qureshi, qui l’identifie comme « la bataille des perceptions et de l’information », ou Qiao Liang et Wang Xiangsui, de l’Armée Populaire de Libération, qui parlent d’une ère de « Guerre sans Restriction » dans laquelle « une réduction relative de la violence militaire » a conduit à « une augmentation de la violence politique, économique et technologique ».

Si les débats académiques sur la nature changeante de la guerre vous intéressent, vous pouvez lire de nombreux ouvrages sur le sujet, du « Handbook of 5GW: A Fifth Generation of War? » à une multitude d’articles universitaires.

Mais pour les besoins de cet éditorial, je ne m’intéresserai pas à ce débat. En fait, nous allons utiliser comme point de départ une définition résolument non académique de la guerre de cinquième génération, tirée d’un article d’Al Jazeera: « L’idée de base derrière ce terme [guerre de cinquième génération] est qu’à l’ère moderne, les guerres ne sont pas menées par des armées ou des guérillas, mais dans l’esprit des citoyens ordinaires. »

Il y a deux choses importantes à noter dans cette définition. La première est que la guerre de cinquième génération n’est pas menée contre les armées permanentes des États-nations ou les insurgés de la guérilla, mais contre des citoyens ordinaires. La deuxième est que cette guerre ne se déroule pas quelque part sur un champ de bataille, mais dans l’esprit.

J’élargirai quelque peu la définition pour inclure le fait que cette guerre se déroule à tous les niveaux, pas seulement au niveau mental. L’essentiel étant ceci: la guerre de cinquième génération est une guerre totale menée contre nous tous par nos gouvernements et les organisations internationales auxquelles ils appartiennent. Elle est menée contre chacun d’entre nous en ce moment même, et c’est une bataille pour la domination de tous les aspects de notre vie: nos mouvements et interactions, nos transactions, et même nos pensées, sentiments et désirs les plus intimes. Les gouvernements du monde entier collaborent avec les entreprises pour exploiter la technologie qui permettra de nous contrôler jusqu’au niveau génomique, et ils ne s’arrêteront pas tant que chaque personne qui leur résiste ne sera pas soumise ou éliminée.

Le plus incroyable dans tout cela, c’est que très peu de gens savent que cette guerre a lieu, et encore moins qu’ils en sont les combattants.

La meilleure façon de comprendre cette guerre est d’examiner certaines des façons dont elle est menée contre nous.

GUERRE DE L’INFORMATION

Arrêtez-moi si vous avez déjà entendu ça quelque part, mais il s’agit d’une « infoguerre » [NdT. je traduis ainsi « infowar » de l’anglais, explication du terme au paragraphe suivant], et les pouvoirs (il)légitimes en place sont engagés dans « une guerre pour notre esprit ».

Bien sûr, tout qui fréquente l’espace médiatique alternatif depuis un certain temps a entendu parler d’« Infowars » [NdT. tête de gondole de l’opposition contrôlée aux Etats-Unis, menée par « Alex Jones », personnage fictif interprété par un comédien nommé Bill Hicks]. Et pour cause: la guerre de l’information est un élément absolument essentiel de la guerre contre tous, qui définit la guerre de cinquième génération.

La façon la plus évidente de le comprendre est de constater que les forces militaires actuelles se livrent à des opérations psychologiques contre leurs propres citoyens. Vous vous souviendrez, par exemple, qu’il y a moins de deux ans, les Forces Armées Canadiennes avaient lancé leur audacieuse opération psychologique de fausse invasion de loups sur le public canadien [NdT. des membres des Forces Armées Canadiennes avaient distribué des toutes-boîtes prévenant que des loups gris avaient été lâchés dans la province de la Nouvelle-Ecosse], déclarant que la fausse pandémie leur offrait une « occasion unique de tester des techniques de propagande sur les Canadiens ». Ou peut-être vous souvenez-vous qu’il y a dix ans, l’armée américaine avait déployé une unité d’opérations d’information contre le Sénat américain pour « manipuler les sénateurs américains en visite afin qu’ils fournissent davantage de troupes et de fonds pour la guerre ».

Mais cette infoguerre de cinquième génération ne se limite pas aux opérations militaires menées par des soldats en tenue de camouflage. Dans la guerre contre tous, l’establishment utilise tous les moyens à sa disposition pour manipuler la perception du public.

Ainsi, Richard Stengel – l’ancien rédacteur en chef du Time qui a attribué l'(e dés)honneur du titre de personne de l’année à Vous! en 2006 – a été ravi de présider une conversation du Council on Foreign Relations dans laquelle il défend l’utilisation de la propagande par le gouvernement américain contre ses propres citoyens. Ou bien Hill & Knowlton – le cabinet de relations publiques engagé par le gouvernement koweïtien pour créer la tromperie de Nayirah lors de la première guerre du Golfe – a été engagé par l’OMS en 2020 pour identifier des « influenceurs » célèbres susceptibles d’être utilisés pour amplifier le message de la fausse pandémie. Ou encore, le Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviours du gouvernement britannique a ouvertement admis qu’il utilise des techniques psychologiques pour manipuler le public et l’amener à craindre la fausse pandémie, une démarche que certains membres du groupe ont qualifiée de « totalitaire »… ce qui ne fait sourciller personne.

L’aspect le plus insidieux de l’infoguerre de cinquième génération est peut-être qu’elle s’est tellement normalisée que tout le monde sait qu’elle existe, mais personne ne la considère comme une guerre. Bien sûr que tout est « publicité » et « propagande ». Et bien sûr que c’est utilisé pour manipuler notre comportement. Mais c’est ainsi que va le monde, non?

Mais nous ignorons la véritable nature de l’infoguerre à nos risques et périls. Après tout, j’ai souvent fait remarquer qu’il s’agit d’une guerre pour notre esprit et que l’espace de combat le plus disputé au monde est celui qui se trouve entre nos oreilles. Vous pensiez peut-être que je parlais métaphoriquement, mais en fait je le pense littéralement. Ce qui nous amène à…

LA GUERRE NEUROLOGIQUE

Si on écoute parler le Dr James Giordano sans prêter attention à ce qu’il dit, on a l’impression qu’il n’est qu’un scientifique éloquent, bien informé et passionné par ses recherches. Cependant, si on écoute ce qu’il dit – ou même si on regarde simplement ses diapositives PowerPoint, comme la diapositive « NeuroS/T for NSID » ci-dessus – on réalisere qu’on a affaire au Dr Folamour. Ou, si pas au Dr Folamour lui-même, au moins à son porte-parole.

Mais ce qui motive Giordano n’est pas l’armageddon nucléaire mais ce qu’il appelle les « armes de perturbation massive » – les diverses technologies d’intervention neurologique que l’armée américaine et les armées du monde entier sont en train de développer. Il s’agit notamment (selon la formule bien rodée de Giordano) des « médicaments, insectes, toxines et dispositifs » qui peuvent soit améliorer soit perturber les fonctions cognitives de leur cible, comme les nanoparticules à « forte agrégation dans le SNC » [système nerveux central] qui, selon Giordano, « s’agglutinent dans le cerveau ou dans le système vasculaire » et « créent essentiellement ce qui ressemble à une diathèse hémorragique ». Même si cela semble de la science-fiction, il insiste sur le fait que ces nanoparticules (et bien d’autres armes neurologiques épouvantables) font déjà l’objet de travaux:

En fait, cela fait partie des choses qui ont été envisagées et examinées dans une certaine mesure par mes collègues de l’OTAN et [par] ceux qui travaillent sur la pire utilisation des sciences neurobiologiques pour créer une perturbation dans les populations. [Ils] sont très, très inquiets de la possibilité que ces agents nanoparticulaires soient des agents d’agrégation dans le SNC et provoquent des perturbations neurales, soit en tant que perturbateurs hémorragiques et vasculaires, soit en tant que perturbateurs réels du réseau neuronal, parce qu’ils interfèrent avec les propriétés de réseau de divers nœuds et systèmes neuraux dans le cerveau.

Et au cas où vous n’auriez pas compris, vous remarquerez qu’il illustre sa diapositive par l’image d’un cerveau humain dans la ligne de mire de l’une de ces armes neurologiques. Il n’y a rien de difficile à comprendre dans le tableau ici dépeint: nous sommes en guerre contre un ennemi qui cible littéralement nos cerveaux.

Mais une fois de plus, ce n’est pas seulement l’utilisation littérale d’armes neurologiques par des militaires conventionnels dans des contextes de guerre conventionnelle qui doit nous inquiéter, nous, les combattants largement involontaires de la guerre de cinquième génération contre tous. Comme mes auditeurs le savent déjà, le technocrate avoué Elon Musk essaie de vendre sa technologie de puce cérébrale Neuralink à la foule des branchés comme un moyen cool et sexy d’améliorer ses facultés cognitives… ou pour que la future divinité de l’IA ait pitié de nous. Ou quelque chose comme ça. Quoi qu’il en soit, il faut absolument nous implanter le Neuralink dans la tête dès que possible! Et surtout ne poser aucune question sur la raison pour laquelle 15 des 23 singes macaques que Neuralink utilisait comme animaux de test dans son expérience d’« interface cerveau-machine » sont morts.

Pour quiconque n’est pas encore victime de l’opération de guerre de l’information destinée à préparer l’humanité à la dystopie transhumaine à venir, tout cela semble insensé. Mais pour ceux qui se sont laissés prendre au piège de l’ennemi par l’opération psychologique d’infoguerre, ces types de technologies de modification de l’esprit sont exactement ce qui est annoncé: des opportunités exaltantes d’« améliorer » le piètre matériel biologique que nous appelons notre cerveau.

Pour ceux qui penseraient qu’on peut échapper à l’aspect biologique de la guerre de cinquième génération simplement en évitant la puce cérébrale, pas de chance. Il va aussi devoir faire face à…

LA GUERRE BIOLOGIQUE

Le narratif de la guerre biologique est, à juste titre, revenu au premier plan de la conscience publique ces dernières années, non seulement à cause de la fausse pandémie, mais aussi en raison des questions soulevées à propos des laboratoires biologiques ukrainiens soutenus par les États-Unis et du rôle qu’ils peuvent ou non jouer aux portes de la Russie.

L’image ci-dessus, par exemple, provient directement de Army.mil, qui n’était que trop heureux de se vanter, pas plus tard qu’en juillet dernier, que les soldats américains menaient « une formation pratique et des exercices d’entraînement sur le terrain avec les troupes ukrainiennes dans des environnements de laboratoire et de terrain », notamment pour assurer la préparation des « laboratoires mobiles déployables ». Rien à voir ici, les amis. (La seule chose surprenante est sans doute qu’ils n’ont pas retiré cet article de leur site web… pour l’instant).

Pourtant, une fois de plus, si on ne pense à la guerre biologique qu’en termes militaires conventionnels, on néglige l’opération beaucoup, beaucoup plus vaste de manipulation, de contrôle et de militarisation de tous les aspects de notre environnement, de notre approvisionnement alimentaire et même de notre génome lui-même au bénéfice des oligarques au pouvoir. Cette guerre biologique de cinquième génération menée contre nous comprend:

  • L’ARNm, l’ADN et les « vaccins » à vecteur adénovirus génétiquement modifiés qui ont été « normalisés » au cours des deux dernières années et qui, comme aiment à s’en vanter les entreprises miraculeusement « chanceuses » qui ont tout misé sur cette technologie, reprogramment le « logiciel de la vie ».
  • Les organismes génétiquement modifiés, qu’il s’agisse de cultures ou d’animaux génétiquement modifiés, sont maintenant lâchés sur le monde dans le cadre d’une expérience incontrôlée qui met en péril notre santé et l’avenir même de la biosphère.
  • La promotion de la « nourriture » synthétique, produite en laboratoire, financée par les milliardaires eugénistes habituels, menace de couper l’humanité de l’abondance naturelle de la terre, de nous rendre dépendants d’un nombre de plus en plus réduit d’entreprises pour notre approvisionnement alimentaire et, en fin de compte, de nous conduire vers un avenir de type Soylent Green.

Je suis sûr qu’on peut complèter la liste avec une myriade d’autres exemples d’attaques contre l’air, l’eau et le biome de la planète qui constituent cette guerre biologique sans limite de cinquième génération menée contre nous.

Quand et si on rassemble les pièces de ce puzzle et qu’on cherche à avertir la masse des gens qu’ils sont attaqués, leur capacité à résister à ce programme dépendra de leur capacité à utiliser leurs ressources accumulées (leur richesse) pour soutenir les communautés de résistance. Mais ne vous inquiétez pas, l’ennemi s’occupe aussi de ce domaine. . .

GUERRE ÉCONOMIQUE

Au vu des événements de ces dernières semaines, même les plus endormis des endormis réalisent maintenant que nous sommes dans une période de guerre économique.

Cette guerre, elle aussi, a ses aspects conventionnels. Sur le tableau 2D, nous avons vu l’empire de l’OTAN lancer ses Armes de Destruction Financière sur la Russie ces dernières semaines et, exactement comme prévu, cela a abouti à la consolidation d’un bloc de croquemitaine géopolitique bien commode et à une gigantesque perte de confiance dans le système monétaire international lui-même. Et, toujours comme prévu, cela a fourni le « problème » et la « réaction » nécessaires aux technocrates pour présenter leur « solution » prédéterminée des Monnaies Numériques des Banques Centrales (Central Bank Digital Currencies – CBDC). Il suffit de demander à Larry Fink, PDG de BlackRock:

« La guerre va inciter les pays à réévaluer leurs dépendances monétaires. Même avant la guerre, plusieurs gouvernements cherchaient à jouer un rôle plus actif dans les monnaies numériques et à définir les cadres réglementaires dans lesquels elles opèrent. »

Il ne s’agit pas simplement d’une bataille entre États-nations ou même entre blocs de pouvoir concurrents. Il s’agit d’une bataille menée par chaque structure de pouvoir autoritaire et chaque gouvernement (mais je me répète) contre leurs propres citoyens pour le contrôle de la ressource la plus importante de toutes: leur portefeuille.

Oui, nous assistons au début d’un moment véritablement historique: l’effondrement de la Pax Americana, la mort du système de réserve du dollar, et le début d’un paradigme monétaire entièrement nouveau, le système de monnaie programmable de « Monnaie Numérique des Banques Centrales » qui sera capable de contrôler algorithmiquement quand, comment et si vous êtes autorisé à effectuer des transactions dans l’économie. Il suffit de regarder les récents événements au Canada pour comprendre à quoi cela ressemblera.

Ce contrôle parfait de l’humanité qui va jusqu’à la capacité d’assister et, en fin de compte, d’autoriser ou d’interdire toute transaction entre individus à tout moment, représente l’apothéose de la technocratie et l’un des objectifs clés de la guerre de cinquième génération elle-même. Alors que ce cauchemar se rapproche de plus en plus de la réalité, tout semble désespéré.

Mais là encore, c’est exactement le but recherché. . .

LA VRAIE GUERRE

Je pourrais continuer. Et encore, et encore, et encore. Mais j’espère que vous avez maintenant compris l’essentiel: une guerre mondiale est en cours en ce moment même. C’est une guerre de cinquième génération (ou quel que soit le nom qu’on lui donne). Elle se déroule simultanément dans tous les domaines. C’est une guerre pour la domination intégrale de chaque champ de bataille et de chaque terrain, des confins du globe (et au-delà) aux espaces intérieurs de votre corps et même à vos pensées les plus intimes. Et c’est une guerre contre vous.

Sachant cela, la tâche qui nous attend semble presque insurmontable. Comment pouvons-nous riposter dans une guerre dont la majorité des gens ne connaissent même pas l’existence? Comment riposter contre un ennemi qui a passé des décennies à affiner ses armes de contrôle économique, militaire, technologique et biologique? Comment riposter dans une guerre qui ne se déroule pas sur deux fronts ou même trois fronts, mais dans tous les domaines et espaces de combat simultanément?

Vues sous cet angle, nos perspectives semblent en effet désespérées. Mais c’est là que réside la clé: notre perception qu’il est de notre devoir de « riposter » à l’ennemi dans sa guerre sur son champ de bataille et selon ses conditions d’engagement est elle-même une trame narrative. Et ce récit est lui-même une arme qui est utilisée contre nous dans la bataille pour nos esprits.

Vous me permettrez ici de me citer longuement, car c’est un point que j’ai déjà soulevé à de nombreuses reprises, notamment dans la conversation sur « L’anatomie du nouvel ordre mondial » que j’ai eue avec Julian Charles sur le podcast The Mind Renewed il y a neuf ans:

Je suis intrigué par l’idée que l’on nous a donné de faux modèles à suivre pour résoudre nos problèmes, l’un d’entre eux étant de « combattre nos ennemis » – des modèles qui nous sont fournis par le biais de quantité de conditionnement social et des médias. L’idée est ici que nous devons trouver le cœur ou la tête de l’organisation et, d’une manière ou d’une autre, tuer cette personne ou ce groupe, ou quoi que ce soit d’autre; éliminons-le, et tout s’améliorera comme par magie!

De manière générale, ce faux modèle apparaît dans pratiquement toutes les dystopies de science-fiction que vous avez pu voir: si tout se passe bien à la fin, c’est uniquement parce qu’ils ont réussi à décapiter la tête de la bête, qu’il s’agisse du Seigneur des Anneaux ou de Tron, ou de tout autre film de ce genre. Je pense que cette façon de voir les choses est fondamentalement et complètement erronée, parce qu’au bout du compte, les individus qui détiennent ou non l’« Anneau de pouvoir » sont remplaçables. En effet, il y a de très nombreuses personnes qui seraient prêtes à tout pour accéder à cette position de pouvoir si la vieille garde devait être balayée pour une raison quelconque.

Je pense que ce qu’il faut, c’est une révolution plus fondamentale: non pas le renversement d’une instanciation spécifique de cette idée, mais le renversement de l’idée tout court. Et cela ne peut venir, je pense, que de la construction d’un système alternatif auquel les gens veulent réellement se consacrer. Je pense que nous devons nous détacher de ce système dans lequel nous avons été intégrés. Malheureusement, c’est probablement aussi difficile à faire que cette analogie le laisse entendre, car nous sommes à ce point intégrés dans le tissu de la société qu’il est difficile d’imaginer nous extraire de tous ces processus.

Nous dépendons pour tant de nos besoins quotidiens de ce vaste et rigide système corporatif lui-même lié à ces mêmes organisations qui tirent les ficelles des institutions gouvernementales, que cela peut sembler insurmontable. Comment un seul individu pourrait-il influencer tout cela? Mais je pense que nous devons nous mettre à la recherche de tous les aspects possibles qui nous permettront de nous affranchir de ces systèmes de contrôle et de commencer à rétablir une certaine indépendance. Il peut s’agir de tout petits gestes, comme par exemple: au lieu d’acheter vos produits à l’épicerie, achetez-les dans un marché de producteurs, ou du moins une partie de vos produits. Ou peut-être pourriez-vous les faire pousser vous-même dans un potager. Une telle initiative est minuscule à l’échelle individuelle, mais je pense que c’est le seul moyen de parvenir, à long terme, au type de société que nous souhaitons mettre en place. Encore une fois, je pense que ce sont ces petits gestes, si nous nous appliquons avec diligence et persévérance, qui permettront de renverser la situation. Mais hélas, comme je l’ai dit, nous sommes à l’aube de cette révolution scientifique qui permet la mise en place d’une dictature scientifique, et malheureusement, nous n’avons pas nécessairement devant nous le temps de plusieurs générations. Cela nous donne une perspective temporelle – je ne dirai pas que c’est une bombe à retardement – mais vous comprenez l’idée. Nous n’avons pas beaucoup de temps à perdre.

Nous avons le choix. Soit nous restons engagés dans cette matrice technologique et corporative – qui implique même des choses comme l’achat de la prochaine génération d’iPhone, dont on dit déjà qu’elle aura sa propre technologie de scan d’empreintes digitales, et tous ces éléments corporatifs, militaires et de Big Brother auxquels nous adhérons volontairement chaque jour de notre vie, et pour lesquels nous dépensons de l’argent – soit nous commençons à créer des structures alternatives qui ne dépendent pas de ce système. C’est un choix que nous devons faire dans nos vies, je dirais plus rapidement qu’à n’importe quel autre moment de l’histoire humaine.

Mes lecteurs réguliers comprendront ce que je propose ici: la création d’une société parallèle. Nous n’y parviendrons pas en quémandant davantage de miettes à la table des maîtres, ni en nous conformant gentiment à un enfermement dans des enclos technologiques toujours plus étroits, ni en pensant que nous pouvons gagner cette guerre en engageant l’ennemi dans son domaine contrôlé. Nous ne pouvons y parvenir qu’en créant notre propre table, notre propre économie et nos propres communautés d’intérêts. Cela nécessitera la longue et difficile tâche d’accroître notre indépendance vis-à-vis des systèmes autoritaires dans tous les domaines: le domaine de l’information, le domaine de l’alimentation, le domaine de la santé, le domaine monétaire, le domaine mental et tous les autres espaces de combat en jeu dans cette guerre totale de cinquième génération.

Plus facile à dire qu’à faire, bien sûr. Mais il n’y a pas d’alternative.

Certains diront « Mais ne vont-ils pas s’en prendre à cette société parallèle? » comme si c’était une réfutation de ce que j’ai exposé ici. Le fait est que vous êtes déjà la cible de l’ennemi dans une guerre dont la plupart des gens ne comprennent que vaguement l’existence. Oui, l’ennemi s’en prendra à vous. Mais il vous domine déjà à bien des égards, plus que personne ne peut le comprendre. Cette domination ne cessera pas uniquement parce que vous accepterez de vous plier à leurs exigences ou de participer à leur système.

Nous devons cesser de jouer leur jeu. Nous devons cesser de participer à leur guerre. Nous devons cesser de consacrer notre pouvoir, notre autorité, notre temps, notre attention, notre énergie et nos ressources à engager l’ennemi dans ses propres termes, sur son champ de bataille.

Nous devons créer notre propre société parallèle, selon nos propres termes.

Et ainsi nous redécouvrons une sagesse ancienne. Pour paraphraser: « La guerre de cinquième génération est un jeu étrange. Le seul coup gagnant est de ne pas jouer. »

La guerre est terminée… si nous le voulons.

Cet éditorial hebdomadaire fait partie de la lettre d’information The Corbett Report Subscriber.

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Texte original

Your Guide to Fifth-Generation Warfare

The Corbett Report

Mar 27

by James Corbett
corbettreport.com
March 27, 2022

We’re in the middle of a world-changing war right now.

Oh, I don’t mean the war in Ukraine, the one that all the media are asking you to focus your attention on. Yes, that conflict continues to escalate. and every day there are new stories about provocations and threats that could lead to a nuclear exchange . . . but that’s not the war I’m referring to.

And I don’t mean the war in Yemen or the other military conflicts that the media are ignoring entirely. Yes, these wars are every bit as bloody, gruesome and devastating as the Russian invasion of Ukraine (if not more so). and they also risk an escalation into a broader geopolitical and geoeconomic crisis . . . but they’re not the wars I’m referring to, either.

No, the war I’m talking about is an even broader war. A war that is taking place everywhere on the globe, even as I write, and that involves virtually everyone on the planet, young and old, male and female, military and civilian. It is the war of every government against its own population and every international institution against free humanity.

This is no ordinary war, however. Most of the victims of this warfare aren’t even able to identify it as war, nor do they understand that they are combatants in it.

It’s called fifth-generation warfare, and I’m here to tell you all about it.

WHAT IS FIFTH-GENERATION WARFARE?

What is fifth-generation warfare, anyway? And, come to think of it, what were the first four generations of warfare?

Good questions. For an in-depth answer to the latter question, you’ll want to read « The Changing Face of War: Into the Fourth Generation« —a 1989 article from the Marine Corps Gazette co-authored by William S. Lind—and you’ll want to watch « William S. Lind & Philip Giraldi – Fourth Generation Warfare & The Deep State, » especially the presentation by Lind from 13 minutes onward.

In a nutshell, Lind et al.’s thesis is that the « modern age » of warfare began with the Treaty of Westphalia in 1648, which, Lind opines, « gave the state a monopoly on war. » From that point on, modern warfare went through three generations, namely:

  • First-generation warfare: the tactics of line and column, developed in the era of the smoothbore musket;
  • Second-generation warfare: the tactics of indirect fire and mass movement, developed in the era of the rifled musket, breechloaders, barbed wire and the machine gun; and
  • Third-generation warfare: the tactics of nonlinear movement, including maneuver and infiltration, developed in response to the increase in battlefield firepower in WWI.

This, according to Lind and his co-authors, brought us to the late-20th century, when the nation-state began to lose its monopoly on war and military combat returned to a decentralized form. In this era—the era of fourth-generation warfare—the lines between « civilian » and « military » become blurred, armies tend to engage in counter-insurgency operations rather than military battles, and enemies are often motivated by ideology and religion, making psychological operations more important than ever.

But, some argue, we have now entered a new era of warfare, namely fifth-generation warfare. There is still much debate about what defines fifth-generation warfare, how we know we are engaged in it, or even if it exists at all (Lind, for one, rejects the concept). Various scholars have made their own attempts at defining fifth-generation warfare (5GW), like Dr. Waseem Ahmad Qureshi, who identifies it as « the battle of perceptions and information, » or Qiao Liang and Wang Xiangsui of the People’s Liberation Army, who write of the era of « Unrestricted Warfare » in which « a relative reduction in military violence » has led to « an increase in political, economic, and technological violence. »

If academic debates about the changing nature of warfare are your thing, then there’s plenty of reading for you to do on the subject, from The Handbook of 5GW: A Fifth Generation of War? to a slew of academic articles.

But for the purposes of this editorial, I’m not interested in that debate. In fact, we’re going to use a decidedly non-academic definition of fifth-generation warfare from an Al Jazeera article as our starting point: « The basic idea behind this term [fifth-generation warfare] is that in the modern era, wars are not fought by armies or guerrillas, but in the minds of common citizens. »

There are two important things to note about this definition. The first is that fifth-generation warfare is not waged against either standing armies of nation-states or guerrilla insurgents but against everyday citizens. The second is that this war is not being fought in a battlefield somewhere, but in the mind.

I will expand the definition somewhat to include the fact that this war is being waged at all levels, not just the mental. The gist of it is this: Fifth-generation warfare is an all-out war that is being waged against all of us by our governments and the international organizations to which they belong. It is being waged against each and every one of us right now, and it is a battle for full-spectrum dominance over every single aspect of your life: your movements and interactions, your transactions, even your innermost thoughts and feelings and desires. Governments the world over are working with corporations to leverage technology to control you down to the genomic level, and they will not stop until each and every person who resists them is subdued or eliminated.

The most incredible part of all of this is that so few know that the war is even taking place, let alone that they are a combatant in it.

The best way to understand this war is to look at some of the ways that it is being waged against us.

INFORMATION WARFARE

Stop me if you’ve heard this before, but this is an infowar and the powers-that-shouldn’t-be are engaged in « a war for your mind. »

Of course, you have heard of « Infowars » if you’ve been in the alternative media space for any length of time. And for good reason: information warfare is an absolutely essential part of the war on everyone that defines fifth-generation warfare.

The most obvious way to understand this is to look at the actual military forces that are engaging in psychological operations against their own citizens. You’ll remember, for instance, less than two years ago, when the Canadian Armed Forces launched their brazen fake wolves psyop on the Canadian public, declaring that the scamdemic presented them with a « unique opportunity to test propaganda techniques on Canadians. » Or you might recall a decade ago when the US Army deployed an Information Operations unit against the US Senate to « manipulate visiting American senators into providing more troops and funding for the war. »

But it’s not just out-and-out military operations by soldiers dressed up in camo fatigues that are part of this fifth-generation infowar. In the war on everyone, the establishment uses every means at its disposal to manipulate the public’s perception.

Thus, Richard Stengel—the former editor of Time who bestowed Time‘s person of the year (dis)honour on You! back in 2006—is happy to chair a Council on Foreign Relations conversation in which he defends the US government’s use of propaganda against its own citizens. Or Hill & Knowlton—the PR firm hired by the Kuwaiti government to create the Nayirah deception in the First Gulf War—is retained by the WHO in 2020 to identify celebrity « influencers » who could be used to amplify the scamdemic messaging. Or the UK government’s Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviours outright admits that they use psychological techniques to manipulate the public into fearing the scamdemic, a move that some of the panel members called « totalitarian » . . . and no one bats an eyelid.

Perhaps the most insidious part of the fifth-generation infowar is that it has become so normalized that everyone knows it is happening, but no one thinks of it as warfare. Of course everything is « advertising » and « propaganda. » And of course it’s being used to manipulate our behaviour. That’s just how the world works, isn’t it?

But we ignore the real nature of the infowar at our own peril. After all, I have often observed that this is a war for your mind and that the most contested battlespace in the world is the space between your ears. You might have thought I meant that metaphorically, but actually I mean it quite literally. Which brings us to . . .

NEUROLOGICAL WARFARE

If you listen to Dr. James Giordano speak without listening to what he’s saying, you get the impression he is merely an articulate, well-informed scientist who is passionate about his research. When you do listen to what he’s saying, however—or even just look at his PowerPoint slides, like the « NeuroS/T for NSID » slide above—you realize that he is Dr. Strangelove. Or, if not Dr. Strangelove himself, then at least Dr. Strangelove’s spokesman.

But it’s not nuclear armageddon that motivates Giordano, it’s what he calls « weapons of mass disruption »—the various technologies for neurological intervention that the US military and militaries around the world are developing. These include (in Giordano’s well-rehearsed patter) the « drugs, bugs, toxins and devices » that can either enhance or disrupt the cognitive functions of their target, like the « high CNS aggregation » nanoparticulates that, according to Giordano, « clump in the brain or in the vasculature » and « create essentially what looks like a hemorrhagic diathesis. » As sci-fi as this sounds, he insists these nanoparticulates (and many, many other horrific neurological weapons) are already being worked on:

In fact, this is one of the things that has been entertained and examined to some extent by my colleagues in NATO and [by] those who are working on the worst use of neurobiological sciences to create populational disruption. [They’re] very, very worried about the potential for these nanoparticulate agents to be CNS aggregating agents to cause neural disruption, either as hemorrhagic and vascular disruptors or as actual neural network disruptors, because they interfere with the network properties of various neural nodes and systems within the brain.

And just in case you didn’t get the point, you’ll notice he illustrates his slide with an image of a human brain in the crosshairs of one of these neurological weapons. There’s nothing hard to understand about the picture that is being painted here: we are at war with an enemy who is literally targeting our brains.

But yet again, it isn’t just the literal use of neurological weapons by conventional militaries in conventional warfare settings that we—the largely unwitting combatants of the fifth-generation war on everyone—have to worry about. As my listeners already know, avowed technocrat Elon Musk is trying to sell his Neuralink brain chip technology to the hipster crowd as a cool and sexy way to upgrade your cognition . . . or so that the coming AI godhead will have mercy on us. Or something like that. Anyway, you should totally stick the Neuralink in your head at your earliest opportunity! And definitely don’t ask any questions about why 15 of the 23 macaque monkeys that Neuralink was using as test animals in their « brain-machine interface » experiment have dropped dead.

To anyone not yet a victim of the information warfare operation designed to prepare humanity for the coming transhuman dystopia, all of this sounds insane. But for those who have fallen for the infowars psyop of the enemy enemy, these types of mind-altering technologies are exactly as advertised: exciting opportunities to « upgrade » the feeble biological wetware we call our brain.

But if you think you can avoid the biological aspect of the fifth-generation war by simply avoiding the brain chip, you’re out of luck. You’re also going to have to deal with . . .

BIOLOGICAL WARFARE

The biowarfare narrative is, understandably, back at the forefront of the public consciousness in recent years, not just because of the scamdemic but also because of the questions being raised about the US-backed Ukrainian biolabs and whatever work they may or may not be doing on Russia’s doorstep.

The picture above, for example, comes straight from Army.mil, which was only too happy to brag as recently as last July that US soldiers were conducting « hands-on training and field training exercises with Ukrainian troops in laboratory and field environments » that included ensuring the readiness of « deployable mobile laboratories. » Nothing to see here, folks. (Perhaps the only surprising thing about the article is that they haven’t scrubbed it from their website . . . yet.)

Yet, once again, if we are only thinking of biowarfare in conventional military terms, we neglect the much, much wider operation to manipulate, control and weaponize all aspects of our environment, our food supply and even our genome itself for the purposes of the ruling oligarchs. This fifth-generation biological warfare being waged against us includes:

  • The mRNA and DNA and genetically-modified adenovirus vector « vaccines » that have been « normalized » over the past two years and which, as the miraculously « lucky » companies that bet it all on this technology like to brag, is re-programming the « software of life. »
  • The genetically-modified organisms—both gmo crops and gmo animals—that are now being unleashed upon the world in an uncontrolled experiment that puts our health and the very future of the biosphere in jeopardy.
  • The push toward synthetic, lab-based « food » that is being funded by the usual eugenicist billionaires and which threatens to sever humanity from the natural abundance of the earth, make us dependent on an increasingly shrinking number of companies for our food supply, and, ultimately, to drive us toward a Soylent Green-style future.

I’m sure you can fill in the blanks with myriad other examples of the attacks upon the world’s air, water and biome that constitute this unconstrained fifth-generation biological war being waged against us.

When and if you do put the pieces of this puzzle together and seek to warn people en masse that they are under attack, your ability to resist this agenda will be predicated on your ability to use your accumulated resources (your wealth) to foster communities of resistance. Don’t worry, though; the enemy has that domain covered, too. . . .

ECONOMIC WARFARE

Given the events of recent weeks, even the sleepiest of the sleepy now realize that we are in a period of economic warfare.

This war, too, has its conventional aspects. On the 2D board, we’ve seen the NATO empire launch its Weapons of Financial Destruction at Russia in recent weeks, and, exactly as predicted, it has resulted in the consolidation of a convenient geopolitical bogeyman bloc and a gigantic loss of faith in the international monetary system itself. And, also as predicted, it has supplied the « Problem » and « Reaction » needed for the technocrats to present their pre-determined « Solution » of Central Bank Digital Currencies (CBDCs). Just ask Larry Fink, CEO of BlackRock:

“The war will prompt countries to re-evaluate their currency dependencies. Even before the war, several governments were looking to play a more active role in digital currencies and define the regulatory frameworks under which they operate. »

This is not merely a battle between nation states or even competing power blocs. This is a battle being waged by every authoritarian power structure and every government (but I repeat myself) against their own citizens for control of the most important resource of all: their wallets.

Yes, we are seeing the beginning of a truly world-historic moment: the collapse of Pax Americana, the death of the dollar reserve system, and the beginning of an entirely new monetary paradigm, the « Central Bank Digital Currency » system of programmable money that will be able to algorithmically control when, how and if you are allowed to transact in the economy at all. We only have to look to recent events in Canada to understand what this will look like.

This perfect control of humanity down to the level of being able to witness and, ultimately, to allow or disallow any transaction between any individuals at any time, represents the apotheosis of technocracy and one of the key objectives of the fifth-generation war itself. As this nightmare comes closer and closer to reality, all seems hopeless.

But then again, that’s exactly the point. . . .

THE REAL WAR

I could go on. And on and on and on. But hopefully you get the point by now: There is a world war happening right now. It is a fifth-generation war (or whatever you want to call it). It is being waged across every domain simultaneously. It is a war for full-spectrum dominance of every battlefield and every terrain, from the farthest reaches of the globe (and beyond) to the inner spaces of your body and even to your innermost thoughts. And it is a war on you.

Recognizing this, the task we face seems nearly insurmountable. How are we to fight back in a war that the majority of people don’t even recognize is taking place? How do we fight back against an enemy that has spent decades refining its weapons of economic and military and technological and biological control? How do we fight back in a war that is not taking place on two fronts or even three fronts, but in every domain and battlespace simultaneously?

Framed like this, our prospects do indeed appear hopeless. But therein lies the key: our perception that it is our duty to « fight back » against the enemy in their war on their battlefield on their terms of engagement is itself a narrative frame. And that narrative itself is a weapon that is being wielded against us in the battle for our minds.

You’ll allow me space here to quote myself at length because this is a point I have made many times before, perhaps most notably in my conversation on « The Anatomy of the New World Order » that I had with Julian Charles on The Mind Renewed podcast nine years ago:

I’m intrigued by the idea that we’ve been given false templates to follow in terms of solving our problems—one being to « fight our enemies »—templates provided for us through so much social conditioning and the media. Here, the idea is that we must find the heart or the head of the organization and somehow kill that person or that group, or whatever it is; eliminate that, and everything will magically turn to the better!

Thinking in broad terms, that false template appears in virtually every science fiction dystopia you’ve ever seen: if it turns out well in the end, it’s only because they have managed to decapitate the Head of the Beast, whether it be The Lord of the Rings or Tron, or any such movie. I think that’s fundamentally and completely the wrong way to look at it, because at the end of the day the particular individuals who may or may not be holding the ‘Ring of Power’ are replaceable. Indeed, there are very many people who would be chomping at the bit to get into that position of power should that old guard be swept away for whatever reason.

I think what’s needed is a more fundamental revolution: not of overthrowing a specific instantiation of this idea, but of overthrowing the idea altogether. And that can only come, I think, from building up an alternative system to which people actually want to apply themselves. I think we have to detach ourselves from this system that we’ve been woven into. Unfortunately that’s probably as difficult to do as that analogy would make it sound, because we are so woven into the fabric of society that it’s difficult to imagine extricating ourselves from all these processes.

We rely for so many of our daily needs on this vast, unwieldy corporate system that ties into these very organizations that pull the strings of governmental institutions, that it can seem quite overwhelming. How can a single individual affect this? But I think we have to look for any and every possible point at which we can start to detach ourselves from those systems of control, and to start to reassert some kind of independence. That can be an extremely small thing like, just for example: instead of buying groceries at the grocery store, perhaps buy them at a farmers’ market, or at least some of your groceries. Or perhaps you could grow them yourself in a vegetable garden. Something of that sort is a tiny thing on the individual level, but I think it’s the only thing in the long run that can lead to the type of society we want to bring to fruition. Again, I think it’s small things like that, if we start to apply ourselves with diligence and perseverance, that will eventually be able to overthrow this. But, unfortunately, as I say, we are on the cusp of this scientific revolution which makes scientific dictatorship possible, so unfortunately we don’t necessarily have generations of time. That gives a time perspective to all this—I won’t say it’s a time bomb—but you get the idea. We don’t have a lot of time to waste.

We have a choice. Either we continue going into this technological, corporate matrix—which involves even things like buying the next generation of iPhone, which they’re already saying is going to have its own fingerprint scanning technology, and all of these corporate, military, Big Brother elements to it that we’re willingly signing up to every day of our lives, and actually paying money for—or we start to create alternative structures which don’t rely on that system. It’s a choice that we have to make in our lives, I would say more quickly than has been apparent at any other time in human history.

My regular readers will understand what I am proposing here: the creation of a parallel society. We will not achieve this by asking for more scraps from the masters table, or by gently complying as we are herded into ever more constrictive technological pens, or by thinking that we can win this war by engaging the enemy in their controlled domain. We can only achieve this by creating our own table, our own economy and our own communities of interest. This will require the long and difficult task of increasing our independence from the authoritarian systems in every domain: the information domain, the food domain, the health domain, the monetary domain, the mental domain and every other contested battlespace in this all-out, fifth-generation war.

Easier said than done, of course. But there is no alternative.

Some will say « But won’t they come after that parallel society? » as if that is a rebuttal to what I have laid out here. The point is that you are already the target of the enemy in a war that most people but dimly understand is happening. Yes, the enemy will come after you. But they are already dominating you in more ways than any one person can fully understand. That does not stop just because you comply with their demands or take part in their system.

We must stop playing their game. We must stop fighting their war. We must stop ceding our power, our authority, our time, our attention, our energy and our resources to engaging the enemy in their terms in their battlefield.

We must create our own parallel society on our own terms.

And so we rediscover an old piece of wisdom. To paraphrase: « Fifth-generation warfare is a strange game. The only winning move is not to play. »

War is over . . . if we want it.

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Le projet – par Elliott Freed.

Voici donc l’analyse bien documentée de la situation actuelle selon Elliott Freed, sur base de données techniquement concrètes, telles que l’énergie disponible, le fonctionnement de la finance et le lien qui les unit. Il pose ensuite la question du brevetage du génome humain, que James Corbett abordait déjà en juillet 2020 ici. On peut juste regretter qu’Elliott Freed n’aborde pas la profonde corruption de la finance que constituent ses produits dérivés, qui représentent plus d’un quadrillion de dollars en investissements virtuels et potentiellement toxiques, tumeur cancéreuse qui se développe sur un produit global brut – censé chiffrer l’économie « réelle »- de 80 trillions de dollars et qui l’a donc dépassé d’au moins un ordre de grandeur.

En tant que simple observateur, n’ayant ni l’esprit révolutionnaire d’un Miles Mathis (voir son analyse ici), ni la vision globale d’un analyste comme Elliott Freed, j’évoquerai prochainement dans ma propre analyse un autre élément, pourtant flagrant, que ni l’un ni l’autre ne semblent considèrer comme majeur.

Source.


Le projet

Qu’est-ce qu’ils préparent?

Elliott Freed

15 mars

J’ai entendu parler de ce projet pour la première fois en 2008. Les personnes qui m’en ont parlé prétendaient le connaître depuis 1996. J’ai pris conscience de la nécessité d’un projet pour la première fois en 2004.

Comment cela s’est-il traduit pour moi?

En 2004, j’ai réalisé que non seulement l’approvisionnement en pétrole avait une limite, mais que cette limite surviendrait bien avant la fin du pétrole. La limite était le point médian, le pic, comme on dit. Une fois la moitié du pétrole extraite, l’extraction décline progressivement. Cela s’est déjà vérifié pour des champs et des régions spécifiques, et cela se vérifiera pour la planète dans son ensemble.

Il n’y a qu’une quantité X de pétrole dans le sol. Bien que j’admette que nous ne sachions pas à quoi correspond X, nous pouvons chercher des indicateurs pour savoir où nous nous situons dans la courbe de l’essor et du déclin de l’ère du pétrole. Par exemple, nous savons que nous avons atteint le pic du brut léger et non corrosif entre 2004 et 2006. C’est-à-dire que la moitié du pétrole brut léger et non corrosif, le pétrole facile à trouver, à extraire et à raffiner, avait été utilisé. De plus, la quantité de pétrole que nous pouvons extraire du sol chaque année a diminué. Déjà à l’époque où j’ai commencé à m’intéresser à la question, on comblait ce déficit avec des liquides de gaz naturel et des sables bitumineux. Depuis lors, on a accéléré l’extraction et l’utilisation de ces sources et on y a ajouté le pétrole de schiste, le brut lourd, le pétrole obtenu par fracturation hydraulique et d’autres sources. Tous ces produits sont beaucoup plus difficiles à extraire et leur raffinage est complexe et consomme beaucoup d’énergie. Nous utilisons ce pétrole difficile à utiliser uniquement parce qu’il n’y a plus assez de pétrole facile à utiliser.

Quelle quantité totale de pétrole reste-t-il? Sommes-nous proches du pic? L’avons-nous dépassé? Des estimations prudentes et bien informées de la situation suggèrent que le pic total pourrait déja avoir été atteint en 2016, voire en 2018. Des estimations plus libérales et optimistes indiquent que le pic sera atteint au milieu de cette décennie, peut-être en 2024, et que la quantité de pétrole que nous pouvons extraire diminuera ensuite chaque année jusqu’à ce que nous n’en utilisions plus du tout. Quelle que soit la date exacte, nous voyons autour de nous des signes de tension entre l’offre et la demande.

Quand on considére cette situation d’un point de vue purement matériel, on réalise qu’il y a un défi majeur à relever. Notre principale source d’énergie pour le secteur du transport est limitée, et le devient chaque année davantage. Nous pouvons en voir les résultats en termes de prix du pétrole et du gaz, ainsi que toutes les autres hausse de prix dont nous sommes témoins en ce début d’année 2022. Tous ces biens et services incluent le prix du transport et des autres utilisations d’hydrocarbures dans les prix de détail que nous payons. Bien que d’autres forces soient également en jeu, le resserrement de l’offre de pétrole et d’essence est une force majeure qui échappe au contrôle humain.

Beaucoup de gens pointeront du doigt les restrictions mises en place par le président actuel comme cause de l’augmentation actuelle des prix. Là encore, elles ont un certain effet, mais il ne faut pas oublier que, même si la phase IV de l’oléoduc Keystone aurait pu rendre le transport du pétrole plus pratique, tout ce pétrole provenant des sables bitumineux canadiens et des gisements de schiste de Bakken est quand même extrait et utilisé. Le reste de l’oléoduc est en service. Le pétrole que le président actuel a déclaré hors limites pourrait atténuer la hausse actuelle des prix, mais pas de beaucoup. Qui plus est, cela ne modifierait pas la courbe globale de la hausse et de la baisse de façon appréciable. Les personnes qui établissent des prévisions sur cinquante ou cent ans reconnaissent qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour modifier la courbe de cette hausse et de cette baisse, si ce n’est un peu de bricolage politique. Je ne puis aborder tous les mensonges racontés au sujet de l’approvisionnement en pétrole par les investisseurs précoces qui espèrent écouler leur investissement sur des personnes sans méfiance. Si vous croyez que les États-Unis ont des centaines d’années de réserves de pétrole, tout ce que je peux dire, c’est caveat emptor. Vous n’avez rien appris sur la façon dont les médias manipulent les gens à la demande de leurs riches propriétaires.

Si on considére la question de l’approvisionnement en pétrole d’un point de vue financier, on voit une image plus complexe. Il n’est pas technologiquement complexe de remplacer le pétrole et le gaz par d’autres formes d’énergie. Nous disposons d’autres sources d’énergie et de la technologie pour les exploiter. Il y a bien quelques obstacles, mais les ingénieurs sont créatifs et les étudient en permanence, et améliorent et étendent les possibilités.

Ce qui est beaucoup plus problématique, c’est l’ordre social et les institutions sociales qui ont vu le jour pendant l’ère du pétrole. Je ne prétends pas qu’ils ont été exactement conçus pour l’ère du pétrole, mais d’une certaine manière, c’est le cas. Au minimum, ils se sont développés parallèlement au pétrole et sont intimement liés à celui-ci. Il est facile de les critiquer pour les nombreux défauts qu’ils présentent d’un point de vue humain. Quelle que soit notre opinion sur la moralité d’un tel ordre social, il constitue la manière dont nous avons organisé notre société pendant des siècles. Or, ce qui a soutenu cet ordre social disparaît à un rythme croissant. Nous pouvons imaginer deux lignes sur un graphique, notre ordre social et le pétrole qui l’alimente. De 1859 à 2006, elles ont progressé en parallèle. De 2006 à aujourd’hui, elles se sont mises à diverger. Alors que la ligne représentant l’ordre social continue de grimper, la ligne représentant l’approvisionnement en pétrole s’est aplatie. D’un jour à l’autre, elle se mettra à descendre. C’est peut-être déjà chose faite.

Quel est cet ordre social? De toute évidence, il est très complexe. Pour tenter d’en faire ressortir la forme, je vais en décrire ici une structure majeure, celle qui, selon moi, joue un rôle central dans ce qui se passe dans le monde actuellement, la finance.

L’origine de notre système financier mondial actuel remonte au début du XVIIe siècle. La première banque moderne était la Banque d’Amsterdam. Alors que les explorations outre-mer se multipliaient, les marchands et les investisseurs devaient trouver le moyen de générer la fluidité nécessaire pour financer la colonisation européenne du reste du monde, la création de l’empire euro-américain moderne. Fondée sur des principes bancaires plus anciens, établis au cours des cinq mille ans d’histoire de la monnaie, affrétée par des banques dont l’histoire remonte au moins au début de la Renaissance et dont les origines se perdent dans la nuit des temps pour tous ceux qui n’ont pas accès à leurs anciens coffres, la Banque d’Amsterdam a jeté les bases de l’expansion européenne, et nous pouvons constater tout autour de nous à quel point ce système a réussi.

Le problème auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est que ce système nécessite une croissance continue du total des actifs. Il a été conçu très intentionnellement dans ce but. Alors qu’un individu peut vivre d’argent liquide, ou au moins de dépôts positifs sur son compte, le système dans son ensemble nécessite d’emprunter continuellement, et cet emprunt doit se faire contre un actif. C’est-à-dire qu’il doit y avoir une sorte de richesse tangible offerte à la banque pour que celle-ci génère de l’argent, et cet argent doit être remboursé avec des intérêts. Cela signifie que chaque année, de nouveaux actifs doivent être ajoutés afin que le système dans son ensemble dispose d’une quantité suffisante d’argent frais pour assurer le service des dettes existantes et stimuler l’économie. Dans ce système, il y aura toujours plus de dette totale que d’argent et cet écart ne cessera de croître.

Mis en place à l’origine pour faciliter la colonisation et la construction d’empire, le système a reçu un coup de pouce énorme et inattendu. L’ère du pétrole, dont le coup d’envoi a été donné officiellement en 1859 en Pennsylvanie, a fourni une source inimaginable de nouveaux actifs, à savoir l’énergie elle-même ainsi que tout ce qui pouvait être fait avec cette énergie. Cette vaste richesse énergétique a permis une explosion démographique qui, à son tour, est devenue un autre atout.

En 1950, il était clair pour quiconque se trouvait à ces échelons que l’approvisionnement en pétrole était limité. Le roi Abdullah ibn Saud, fondateur de l’Arabie Saoudite, était bien conscient de ces limites lorsqu’il a déclaré: « J’ai chevauché un chameau. Mes enfants volent en avion à réaction. Leurs enfants voleront dans des avions à réaction. Leurs enfants chevaucheront des chameaux. » Ses petits-enfants sont vieux et leurs enfants prennent maintenant le contrôle du pays.

Bien qu’aucun commentaire public et officiel n’ait été fait par les personnes occupant ces échelons, nous pouvons supposer qu’elles n’ont pas simplement fermé les yeux sur les menaces pesant sur leur richesse et leur hégémonie. Sans avoir connaissance des conversations qu’ils ont eues, nous pouvons imaginer que ces conversations ont eu lieu et qu’il est probable qu’ils aient élaboré un projet pour faire face à la situation. Si les entreprises de bois d’œuvre plantent des forêts qu’elles savent qu’elles ne récolteront pas avant soixante ans, nous pouvons imaginer que d’autres types d’entreprises font également des projets à long terme.

Quels sont ces projets? Encore une fois, je n’ai pas de connaissances privilégiées. Pour des raisons que je ne conçois pas, je n’ai pas été invité à ces réunions. Je dois donc observer les actions des personnes qui élaborent ces projets pour voir comment elles les mettent en œuvre. Je dois également formuler des hypothèses. Si j’étais invité à de telles réunions, que suggérerait-on? De quoi discuterions-nous?

L’un de mes exemples préférés d’une telle réunion et des projets qui en ont découlé sont les réunions que le nouveau vice-président, Dick Cheney, a tenues à la Maison Blanche peu après son entrée en fonction, à l’hiver 2001. Au milieu des années 90, Haliburton, une société avec laquelle il a entretenu des liens étroits, s’était rendue en Afghanistan pour négocier le tracé d’un gazoduc qui traverserait la région jusqu’à l’océan Indien pour être acheminé dans le monde entier vers des raffineries. Lorsque les talibans ont pris le contrôle du pays, ils ont mis un terme à ces négociations et ont chassé les sociétés du pays. En réponse, Cheney et d’autres personnes qui deviendraient plus tard des figures centrales de l’administration Bush ont fondé le Project for a New American Century en 1996. À l’époque, leur site Web appelait ouvertement à une opération sous faux drapeau qui susciterait le soutien du public aux guerres en Afghanistan et en Irak. Après avoir été élu vice-président, Cheney a invité les chefs de toutes les grandes sociétés pétrolières à des réunions secrètes à huis clos à la Maison Blanche. Nous pouvions voir qui y entrait et qui en sortait. Nous pouvons voir ce qui s’est passé ensuite. Mais nous ne pouvons qu’émettre des hypothèses sur ce qui a été réellement discuté et décidé dans la pièce elle-même.

Encore une fois, indépendamment de ces réunions particulières, nous devons supposer que les personnes qui dirigent des sociétés de plusieurs milliards de dollars dans des industries de plusieurs trillions de dollars savent ce que nous savons sur leurs propres industries, et planifient en conséquence.

Quels sont ces projets? Qu’est-ce que les sociétés bancaires prévoient d’utiliser comme nouveaux actifs lorsque le pétrole se tarira? Que prévoient-elles d’utiliser comme énergie?

À l’université, au début des années 1990, j’ai étudié la génétique. Lorsque j’ai étudié la finance et le droit commercial en 2008, j’ai fait le rapprochement entre deux et deux. Ce n’était pas difficile. La somme est égale à quatre. C’était évident. La prochaine frontière de la colonisation était le génome, la vie elle-même. L’espace est envisagé, mais la capacité de coloniser l’espace est trop éloignée. En attendant, ils avaient besoin de quelque chose de plus accessible. Il y a beaucoup de petites classes d’actifs, mais quelle sera la prochaine colonisation mondiale, le prochain âge du pétrole? Quelle est la prochaine grande classe d’actifs qui permettra au système de rester en vie pendant des générations, voire des siècles?

Comme l’a dit récemment le PDG de Bayer lors d’un discours public, le covid leur a fourni l’opportunité dont ils avaient besoin. Si on avait demandé aux gens avant le covid s’ils voulaient qu’on leur injecte des gènes fabriqués, brevetés et appartenant à des entreprises, 95% d’entre eux auraient été horrifiés. Maintenant, ils font la queue et se considèrent comme des héros, et veulent exiler ceux qui ne participent pas.

Encore une fois, je n’étais pas dans le secret des réunions privées de planification, mais nous pouvons voir ce qui a été fait et voir comment cela s’aligne sur ce qui est logique du point de vue des besoins purement mécaniques du système. Et nous pouvons lire les documents et écouter les discours des personnes impliquées [NdT. cf. la critique du bouquin de Klaus Schwab ici].

Pour que le système financier tel que nous le connaissons survive, ils ont besoin des gènes. Ils ne peuvent pas s’approprier les gènes naturels, ils doivent donc les remplacer par des gènes fabriqués et brevetés qui sont la propriété des entreprises. C’est pourquoi il est important d’injecter ces gènes aux gens à une échelle massive. Ce que nous avons vu avec le covid n’est que le début. C’est la première étape, la première expérience publique à grande échelle.

Du point de vue d’un manifestant ou d’un défenseur de la liberté de la santé, il peut sembler que nous sommes en train de gagner, car la vérité éclate et les gens réagissent selon leur nature. D’un point de vue plus large, nous devons réaliser qu’ils ne peuvent pas s’arrêter. S’ils le font, le système financier s’effondre. Il ne s’agit pas seulement de savoir si les personnes en position d’autorité apparente veulent s’arrêter ou non. S’arrêter ou continuer est une question existentielle pour l’ensemble du système financier et pour toute la société dont il constitue le cadre spirituel et à travers lequel nous organisons notre subsistance matérielle (voir mon essai sur la façon dont le système financier constitue le cadre spirituel de la société moderne).

Plus la pression sur le système augmente et plus il devient intenable et inhumain, plus les personnes humaines seront évincées et remplacées par des personnes inhumaines capables de faire l’inimaginable. Nous observons déjà ce schéma, et il ne fera que s’intensifier au fil du temps, alors que la pression et l’inhumanité augmentent. Nous pouvons déjà voir comment ce qu’ils font, en essayant de remplacer notre génome naturel par leur génome breveté et en essayant de nous forcer à nous y conformer en utilisant des mesures effroyables et traumatisantes qui ont brutalisé une génération d’enfants et causé d’innombrables autres dommages, est un mal qui dépasse ce que la plupart des humains peuvent imaginer. Déjà, un grand nombre de personnes ont suivi le mouvement, soit en soutenant et en mettant en œuvre cette horreur de manière véhémente et vigoureuse, soit en s’y conformant discrètement afin de ne pas causer de problèmes pour elles-mêmes.

Jusqu’à quel point la situation va-t-elle empirer avant de s’effondrer complètement? Combien d’inhumanité l’humanité peut-elle supporter?

Existe-t-il une autre voie?


Texte original

The Plan

What are they up to?

Elliott Freed

Mar 15

I first heard about the plan in 2008. The people who told me of it claimed to have known since 1996. I first realized the need for a plan in 2004.

How did this come about for me?

In 2004, I realized that not only was the oil supply limited, but that the limit was far closer than the end of oil. The limit was the mid point, the peak, as they say. Once half the oil is taken out, extraction will begin to decline. This has already proven true for individual fields and regions, and will prove true for the planet as a whole.

There is only X amount of oil in the ground. While I will concede that we do not know what X is, we can look for indicators of where we are within the rise and fall of the age of oil. For example, we know we hit the light, sweet crude peak between 2004 and 2006. That is, half the light, sweet crude, the easy to find, extract and refine oil, had been used. Forever more, the amount we can get out of the ground each year has declined. Already at the time that I began looking into the issue, they were making up the shortfall with natural gas liquids and tar sands. Since then, they have ramped up extraction and use of those sources and added the shale oil, heavy crude, the oil they get from hydraulic fracturing, aka fracking, and other sources. All of this is much more difficult to extract and complex and energy intensive to refine. We are only using the difficult to use oil because there is no longer enough of the easy to use stuff.

How much total oil remains? How close are we to the peak? Have we gone over it? Well informed, conservative estimates of the situation suggest that the total peak could have been as early as 2016, possibly as late as 2018. More liberal, optimistic estimates point towards the middle of this decade, possibly 2024 as the moment that we will hit that peak and the amount of oil we can extract will decline every year after that until we no longer use any at all. Whatever the exact date, we can see all around us the proof that supply and demand are tight.

If we consider this from a purely material perspective, we realize we have a major challenge on our hands. Our primary source of transportation energy is limited, and is becoming more severely limited each year. We can see the results of that in terms of oil and gas prices, as well as all the other rising prices we are witnessing here in early 2022. All those goods and services include the price of transportation and other hydrocarbon use in the retail prices we pay. While there are other forces also at play, the tightening oil and gasoline supply are major ones that are beyond the scope of human control.

Many people will point to restrictions put in place by the current president as the cause of the current price increases. Again, they do have some effect, but we have to remember, while phase IV of the Keystone pipeline would have made shipping the oil more convenient, all that oil from the Canadian tar sands and the Bakken shale fields is still being extracted and used. The rest of the pipeline is in use. The oil that has been declared off limits by the current president may take the edge off the current price increases, but not by much. What is more, it will not change the overall shape of the rise and fall by any appreciable amount. People making fifty to hundred year plans recognize that not much can be done to change the shape of that rise and fall beyond a little political tinkering. I cannot address all the lies being told about the oil supply by early investors who are hoping to dump their investment on the unsuspecting. If you believe the U.S. has hundreds of years worth of oil, all I can say is, caveat emptor. You have learned nothing about how the media manipulates people at the behest of their wealthy owners.

If we consider the issue of the oil supply from the financial perspective, we see a more complex picture. To make the simple, material shift to replace oil and gas with other forms of energy is not technologically complex. We have other sources of energy and the technology to harvest them. There are some hurdles, but the engineers are creative, and are constantly addressing them, and improving and expanding the possibilities.

What is far more problematic is the social order and the social institutions that have arisen during the age of oil. I do not want to say they were exactly designed for the age of oil, but in a way they have been. At the least, they have grown up alongside of and intertwined with oil. It is easy to criticize them for their many faults from a humane standpoint. However we feel about the morality of such a social order, it is how we have organized our society for centuries. Now, that which sustained that social order is disappearing at an increasing rate. We can imagine two lines on a graph, our social order and the oil that fuels it. From 1859 to 2006, they rose alongside each other. From 2006 until now, they have begun to diverge. As the line representing the social order continues to climb, the line representing the oil supply has flattened out. Any day now, it will begin to descend. It may already have.

What is that social order? Obviously, it is very complex. In an attempt to bring its shape into greater relief, I will outline a major structure of it here, one that I feel plays a central role in what is happening in the world now, finance.

Our current worldwide financial system can be traced to the early seventeenth century. The first modern bank was the Bank of Amsterdam. As overseas exploration was increasing, merchants and investors had to figure out how to generate the fluidity necessary to finance European colonization of the rest of the world, the creation of the modern Euro American empire. Based on older banking principles established over the previous five thousand year history of money, chartered by banks whose history goes back at least to the early renaissance, and whose origins are lost in the mists of time to all who do not have access to their ancient vaults, the Bank of Amsterdam laid the groundwork for European expansion, and we can see all around us just how successful that system has been.

The issue we are facing now is, that system requires continual growth in total assets. It was designed very intentionally for that purpose. While any one individual can live on cash, or at least positive deposits in their account, the system as a whole requires continual borrowing, and that borrowing has to be against an asset. That is, there has to be some kind of tangible wealth offered to the bank in order for the bank to generate the money, and that money has to be paid back with interest. This means that each year more assets have to be added so that within the system as a whole, there is sufficient new money to service the existing debts and lubricate the economy. In this system, there will always be more total debt than money and that gap will always grow.

Originally put in place to facilitate colonization and empire building, the system got a huge, unexpected boost. The age of oil, officially kicking off in 1859 in Pennsylvania, provided a previously unimaginable source of new assets, namely, the energy itself as well as all that could be done with that energy. That vast wealth of energy allowed for an exploding population which in turn became another asset.

By 1950, it was clear to anybody in those echelons that the oil supply was limited. King Abdullah ibn Saud, the founder of Saudi Arabia, was well aware of its limitations when he said, “I rode a camel. My children fly in jets. Their children will fly in jets. Their children will ride camels.” His grandchildren are old and their children are now taking over the country.

While no public, official noise has been made by the people in such echelons, we can assume that they did not just turn a blind eye to the threats to their wealth and hegemony. Without any specific knowledge of the conversations they’ve had, we can imagine they had some, and it seems likely they came up with some kind of plan to address the situation. If lumber corporations plant forests they know they will not harvest for sixty years, we can imagine that other types of corporations also make long term plans.

Un peu de maths – par Miles Mathis.

Voici donc l’analyse de Miles de la situation actuelle, et sa stratégie pour en sortir – qui est quasiment une prédiction. Après ça, je vous livre la version de Elliott Freed, très différente.

Et je conclurai la trilogie avec ma propre analyse – et, en quelque sorte, mes propres prédictions – avant de retourner au dossier « Covid », encore.

Source.


Traduction

Un peu de maths

par Miles Mathis

Première publication le 8 mars 2022

Voici le petit calcul que personne ne fait. Les scénaristes de Biden nous disent que si les prix de l’essence sont si élevés, c’est à cause de Poutine. Mais minute, la Russie ne nous fournit que 4% de notre pétrole, et les prix ont augmenté de 90% depuis la prise de fonction de Biden. On dirait donc qu’il y a un léger décalage. C’est même pire que ça, car les prix ont augmenté de 90% avant que les livraisons de pétrole russe ne soient interrompues. Nous ne nous sommes pas encore officiellement coupés du pétrole russe, donc nous pourrons peut-être imputer la prochaine hausse de 4% à cette mesure une fois celle-ci mise en place. Mais nous ne pourrons pas lui imputer l’augmentation précédente de 90%.

J’imagine donc que les personnes qui vous racontent ça, y compris Biden, Psaki et tous les autres proxénètes et salopards salariés de la télévision et d’Internet, vous tiennent pour un crétin incapable de maîtriser les mathématiques ou la logique de niveau primaire. Ils vous croient incapable de distinguer le passé du présent, et pensent que vous goberez que 4=90. C’est exactement ce qu’ils pensent de vous. Ils ne font que vous cracher à la figure. Vous allez encaisser ça pendant encore longtemps?

Vous pouvez y mettre fin à tout moment. Tout peut s’arrêter. Les vaccins mortels, les fausses guerres, les fausses nouvelles, la promotion démentielle de l’homosexualité et de la transsexualité, la destruction du sexe, la destruction des relations entre les races, la destruction de la famille, la destruction de la jeunesse, la destruction de la santé, la destruction de la nourriture, la destruction du sens: tout cela pourrait cesser demain. DITES SIMPLEMENT NON! Arrêtez de courber l’échine et d’encaisser. Il faut que les classes moyennes et inférieures de tous les pays se révoltent et renversent ces gens. Les camionneurs ont déjà commencé à agir, alors rejoignez-les. Mais ne ciblez pas seulement Washington et les capitales des États. Ciblez les grandes entreprises médiatiques qui vous infligent ce faux narratif. Ciblez les bases militaires et les centres de renseignement qui fabriquent ces narratifs. Ciblez les milliardaires et les trillionnaires qui financent cet enfer et rédigent le scénario directeur.

Oui, nous sommes à la fin des temps. Leur fin. Ils s’effondrent et il faut continuer à les pousser. Ils vous poussent très brutalement, mais c’est du bluff, alors poussez-les deux fois plus fort.

N’oubliez pas qu’ils vous mentent également au sujet de la scission. Ils veulent vous faire croire que ce n’est que la moitié du pays qui est contre eux. Ils veulent vous faire croire que la majorité des démocrates les soutiennent. Ils veulent que vous pensiez que la cote de popularité de Biden est toujours de 37% ou quelque chose du genre. Mais rien de tout cela n’est vrai. Il est impossible que la cote de popularité de Biden soit supérieure à 5%. Quelle sorte de crétin absolu pourrait-il être satisfait de l’année écoulée, ou penser que Biden fait du bon travail? La vérité c’est que PERSONNE NE LE PENSE. Aucune personne réelle ne pense que les choses se sont améliorées au cours de l’année écoulée.

On me dit que tout le monde soutient la guerre contre la Russie. Mais qui est ce « tout le monde »? Les abrutis qui sont payés pour poser sur Tiktok avec leurs drapeaux? Les agents du gouvernement sur Facebook et Youtube? Les crapules de The View ou de CNN ou d’une autre émission de télévision que personne ne regarde? Les membres du Congrès, dont le taux d’approbation est de l’ordre de 9%? Aucune de ces personnes n’est réelle, pas plus que ces connards d’Antifa. Comme tous ces gens qui plaident en faveur de la Théorie Critique de la Race ou de l’éducation sexuelle pour les enfants de cinq ans ou de quoi que ce soit d’autre, ces gens à la télévision et sur Internet ne sont même pas réels. Ce sont des agents payés, engagés pour incarner un soutien au dernier truc bidon et vous faire fuir les rues. On essaie désespérément d’étouffer cette révolution dans l’œuf, et voici comment on s’y prend: on vous fait croire que la moitié du pays est contre vous. On vous fait croire que ces politiques jouissent d’un certain soutien, et on engage quelques Colbert, Whoopi Goldberg et Cynthia Nixon pour les promouvoir, mais personne en dehors de Washington ou d’Hollywood ne les soutient vraiment. Le Nouvel Ordre Mondial et la Grande Réinitialisation n’ont pratiquement aucun soutien réel. Tout au plus 2% de soutien, de la part des personnes déjà très riches. Ce n’est donc pas vous qui devez être ignorés, ce sont eux. Si les 98% se décident à agir contre eux, toutes les armées du monde ne leur serviront à rien. Après quelques escarmouches initiales (que, oui, vous pouvez perdre), les soldats se joindront à vous. Alors arrêtez de vous laisser bluffer en pensant que vous ne pouvez pas gagner.

Vous pouvez gagner, et vous gagnerez, mais vous feriez bien de vous y mettre. Si vous continuez à attendre, ils vous auront rendu débiles au point de ne plus pouvoir agir. Ils sont en ce moment même en train de faire de vos enfants des limaces incapables de se révolter contre un camion de crème glacée. Mais souvenez-vous de ceci: eux et leurs enfants sont encore pires. Ce qu’ils vous ont fait, ils se le sont fait à eux-mêmes, mais chaussés de talons et en dansant à reculons [NdT. figure de style ou référence à Zelensky?]. Autrement dit, leur malédiction contre vous s’est retournée contre eux, comme toutes les malédictions, en double. Plus ils deviennent malfaisants, plus ils s’affaiblissent, ce qui signifie qu’ils sont extrêmement faibles en ce moment. Ils sont comme des cafards qui se sont eux-mêmes aspergés de Raid, et qui courent maintenant en rond. Piétinez-les tant que c’est possible.

Un autre de leurs bluffs est que si nous les renversons, nous ne serons pas en mesure de diriger le monde. C’est trop complexe pour nous. Foutaises. Le gérant de votre restaurant local dirigerait le monde mieux que ces salauds. Qu’est-ce qu’ils ont fait de bien jusqu’à présent? Ils ont transformé cette planète en un véritable enfer pour la plupart des gens et des animaux, au point que pratiquement n’importe quoi d’autre serait préférable.

Mais bien sûr, ce n’est pas en tirant sur tout ce qui bouge et en faisant tout sauter que vous gagnerez. Comme les camionneurs, vous devez vous ORGANISER. Notre Constitution n’est pas parfaite, mais elle vous donne des moyens pour agir en toute légalité, sans commettre de trahison ou de sédition. Ce pays est né de la révolution, il peut donc difficilement interdire une révolution positive. La trahison consisterait à essayer de renverser notre démocratie et notre République, en mettant au rebut la Constitution et en essayant de lui substituer une autre forme de gouvernement, comme, disons, une corporatocratie. C’est exactement ce que font les gouverneurs. Ça, c’est une trahison. Notre action n’est pas une trahison, puisque nous tentons de nous débarrasser de tyrans établis, qui ont tenté de se placer au-dessus et au-delà de la loi et du peuple. Nous essayons surtout de débarrasser le gouvernement des entités extra-gouvernementales qui agissent en dehors de la loi: des entités comme le FEM [Forum Economique Mondial], Bilderberg, l’Aspen Institute, le Cato Institute, la Commission Trilatérale, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, le CFR, la Réserve Fédérale, GoldmanSachs et leurs outils à la CIA, à la NSA, au FBI, au DHS, aux renseignements militaires et dans les médias (y compris Hollywood). Toutes ces organisations devraient être totalement interdites, car elles constituent l’outil des super riches pour s’attaquer à nous tous par le biais de pillages souterrains, de propagande 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et du continuel enfumage des esprits. Ce n’est pas une trahison d’appeler à leur fin, puisqu’ils sont eux-mêmes des traîtres. En fait, chaque personne impliquée dans ces organisations (et des centaines d’autres) devrait être accusée de trahison et punie dans toute la mesure de la loi. Et cela inclut tous les acteurs et réalisateurs mensongers qui ont déformé nos esprits pendant des décennies.

C’est pourquoi ces gens nous accusent maintenant de trahison. Ils accusent toujours les autres de ce qu’ils font eux-mêmes. Ils ont sapé la Constitution à dessein, ce qui est un acte de trahison, et maintenant ils accusent en retour leurs accusateurs de trahison. C’est un principe de base du débat. Mentir pour ensuite accuser l’autre partie de mentir quand on est pris sur le fait. C’est un signe évident de désespoir, et ces menteurs sont particulièrement désespérés en ce moment, puisqu’ils ont perdu le contrôle de l’ensemble du narratif. Leur édifice de mensonges est en train de s’effondrer autour d’eux, et chaque nouveau mensonge ne fait qu’empirer les choses. Ils vivent sur le fil du rasoir depuis 2001, en gardant à peine la tête hors de l’eau et hors de la guillotine, mais avec le crime contre l’humanité du Covid et du vaccin, ils sont allés beaucoup trop loin, et aucune fausse guerre avec la Russie ne pourra le faire oublier.

Voici la nouvelle que l’on ne vous dit pas: la révolution est déjà en marche. La résistance est déjà forte et elle grandit. La fausse guerre en Ukraine ne l’arrêtera pas, elle ne fera qu’accroître la colère des gens dès qu’ils se rendront compte qu’il s’agit d’un nouveau stratagème. Le gouvernement essaie de sauver sa peau, mais il ne fait que creuser plus profondément sa tombe. Le gouvernement avait des solutions pour s’en sortir avant le Covid, mais il a décidé de doubler la mise et il a scellé sa propre perte. La fausse guerre en Ukraine est une nouvelle tentative de doubler la mise après le crime contre l’humanité du Covid, mais elle ne marchera pas. Elle échoue en ce moment même. Elle ne détournera l’attention qu’à court terme, et les gens s’en rendent déjà compte. Des millions de personnes ont déjà quitté leur emploi en signe de protestation, ce qui équivaut à une révolte fiscale puisque sans revenu, on ne peut pas s’attendre à ce que vous payiez des impôts. Des millions d’autres quitteront leur emploi dans les mois à venir. On nous dit que de nouveaux emplois sont créés, mais ce sont des conneries. Il s’agit des emplois libérés par les millions de départs, ce qui ne compte pas vraiment comme création d’emplois, je me trompe? « Tout le monde dans le pays vient de quitter son emploi dans le cadre d’une révolte fiscale, donc nous venons de créer 100 millions d’emplois, et voilà! »

Voici donc un autre calcul que j’ai fait dans ma tête: leur seul espoir de sauver leur peau sera lors des prochaines élections de mi-mandat. Ils avaient prévu de faire appel au parti Républicain pour sauver la situation, mais à ce stade, cela ne suffira pas à réprimer la rébellion. Les événements récents ont largement rendu caduque ce scénario, qui ne trompera plus personne. Lorsque je fais les comptes, je vois que leur seule chance d’éviter un vrai soulèvement populaire est de mettre en scène leur propre fausse rébellion, une sorte de 1776 bis, où une bande de patriotes photogéniques fait un grand ménage, et efface tous les personnages du moment, tels que Mitt Romney, Keith Olbermann, Sean Penn, Whoopi Goldberg, Liz Cheney, Nancy Pelosi, Tony Fauci, Bill Gates, et toute la clique. En d’autres termes, donner aux Républicains une majorité dans les deux chambres ne résoudra rien. L’ensemble du corps législatif doit être poursuivi pour corruption et de nouvelles élections doivent être organisées selon de nouvelles lois électorales très sévères – et toutes les machines et ordinateurs électoraux doivent être jetés à la ferraille. Il en va de même pour l’ensemble du pouvoir exécutif et du pouvoir judiciaire, bien sûr. L’armée et les services de renseignements devraient également être purgés, mais purgés des personnes à l’opposé de celles dont ils viennent d’être purgés. L’armée et les services de renseignements devraient être considérablement réduits ou réaffectés à des projets positifs, comme l’arrestation de toutes les personnes impliquées dans le crime contre l’humanité actuel. Les médias devraient également être contrôlés, et tous les liens entre le gouvernement et les médias devraient être coupés. La Réserve Fédérale devrait être supprimée et remplacée par une véritable Banque Nationale détenue par le peuple, non pas comme compromis avec le communisme mais comme protection contre le vol. En outre, la banque en tant qu’entreprise à but lucratif devrait être totalement interdite. Une Convention Constitutionnelle devrait être convoquée et la Constitution devrait être réécrite et mise à jour: renforcée considérablement pour répondre aux préoccupations modernes. En l’état actuel des choses, la Constitution n’est qu’une énorme passoire, totalement inadaptée à limiter le pouvoir des super riches.

En d’autres termes, selon moi, le seul espoir de ne pas avoir à recourir à la violence contre les super riches est que ces derniers nous rendent notre dû sans violence. C’est aussi simple que cela. Ils doivent renoncer à leur rôle de Grinch et redescendre de la montagne avec le traîneau de jouets, ou ils seront jetés dans l’abîme [NdT. référence au conte populaire du Grinch]. Ce qu’ils ont oublié, c’est que les lois et les Constitutions ne nous protègent pas seulement d’eux, elles les protègent de nous. Elles empêchent les choses d’aller tellement loin qu’il nous faille les renverser.

Vous me direz que j’ai démontré que toutes les révolutions du passé étaient bidon, alors pourquoi crois-je que celle-ci est réelle, ou qu’elle pourrait réussir? Parce que le chaos actuel n’a rien à voir avec les précédents. Il fait partie d’une tout autre catégorie, et il est par conséquent bien plus dangereux pour les dirigeants. Tout d’abord, ils tentent d’exercer une pure tyrannie sur d’immenses populations occidentales, depuis longtemps éduquées à la liberté et à la démocratie. C’est inédit dans l’histoire. Non seulement ce sont d’énormes populations, mais elles disposent également d’énormes ressources. Non seulement elles ont des armes, des véhicules et des moyens de communication, mais elles ont un savoir-faire et un accès à toutes les entreprises. Nous travaillons dans tous les secteurs et c’est notre savoir qui fait fonctionner les choses, pas le leur. Eux se contentent de rester assis, d’acheter des choses et de mettre au point leurs stratégies de fraude. Cela non plus ne s’est jamais vu dans l’histoire, ou alors pas à ce point. Autrefois, l’information était extrêmement limitée, et la plupart des gens n’avaient aucune idée de ce qui se passait. Les compétences étaient également limitées, puisqu’il n’y avait pas de classe moyenne. Les paysans ne pensaient généralement pas à se rebeller contre la tyrannie, puisqu’ils étaient nés dedans et ne connaissaient rien d’autre. Mais la nouvelle tyrannie nous paraît étrange et inconnue, elle est survenue pour l’essentiel depuis 2001 et n’a cessé de s’accélérer depuis. Elle est en contradiction flagrante avec tout ce qu’on nous a appris. Nous n’avions pas de véritable République avant 2001, mais nous en avions une assez bonne imitation, dans laquelle le vol et la corruption étaient assez bien dissimulés. Pendant la majeure partie du XXème siècle, nous avions une classe moyenne prospère et une classe supérieure qui présentait au moins l’apparence extérieure de la modération. Mais tout cela a complètement disparu, la classe supérieure a totalement perdu la tête en se livrant ouvertement à des actes de rapine effrénée.

Un autre signe précurseur de la chute imminente de la classe supérieure est qu’elle s’est créée de nombreux et puissants ennemis dans ses propres rangs. Ils ont essayé de nous diviser et de nous conquérir tout en ignorant leurs propres divisions. La classe supérieure, tout comme le secteur corporatiste, s’est en fait contractée. Ce qui signifie que, alors que le total de leurs actifs a augmenté, le total de leurs effectifs a diminué. Comme les sociétés avalent les sociétés, des gens riches sont éjectés, et beaucoup d’entre eux sont furieux. Comme les entreprises s’attaquent les unes aux autres, les milliardaires s’attaquent les uns aux autres. De moins en moins de familles et de moins en moins de personnes possèdent de plus en plus de richesses. Mais ceux qui ont été éjectés restent des multimillionnaires avec des contacts et du pouvoir, et nous les voyons mener la rébellion. L’une de leurs façons de procéder est de nous transmettre des informations. Cela non plus n’est jamais arrivé dans l’histoire, ou pas à cette échelle. Avant Internet, ces gens n’auraient pas pu nous instruire aussi facilement, voyez-vous. C’est un très grave danger pour les trillionnaires, qui sont obligés de se retrancher de plus en plus dans leurs forteresses. Ce qu’ils craignent le plus, c’est qu’une coalition de ces millionnaires s’empare d’une force aérienne, stade à partir duquel plus aucune forteresse ne les protègera. C’est le rôle de toutes ces agences d’espionnage, au fait. Elles ne sont pas là pour nous espionner, vous et moi. Elles espionnent les gens puissants juste en dessous de leur niveau.

Pour cette raison, le présent ne ressemble en rien au passé. Nous sommes en territoire vierge, et tout peut arriver. Et vu que les super riches semblent avoir complètement perdu la tête, c’est probablement ce qui arrivera. Je ne crains pas une guerre nucléaire, mais nous pourrions très bien voir le Phoenix s’embraser très bientôt. S’ils organisent leur propre conflagration, ils pourront peut-être limiter quelque peu les dégâts, sinon les dégâts seront pratiquement illimités. Mais encore une fois, n’ayez pas peur: vous et moi avons très peu à perdre. Tout ce qu’il y a à perdre est de leur côté. Plus on possède, plus on est possédé, et ces gens sont littéralement possédés.


Texte original

A Little Math

by Miles Mathis

First published March 8, 2022

Here’s a little math no one is doing. The Biden scriptwriters are telling us gasoline prices are so high because of Putin. But wait, Russia only supplies 4% of our oil, but prices have gone up by 90% since Biden took office. So we seem to have a little mismatch there. But it is even worse than that, because the prices went up by 90% before we cut off delivery of Russia’s oil. We haven’t yet officially cut of Russian oil yet, so we might be able to blame the next 4% rise on that after we do. We can’t blame the 90% rise in the past on that.

So I guess these people telling you this, including Biden, Psaki, and all the other paid pimps and creeps on TV and online must think you are an idiot, one who can’t even follow first-grade math or logic. They think you can’t tell past from present, and think you may believe 4=90. That’s what they really think of you. They are just spitting in your face. How long are you going to keep taking it?

You could end this any time. It can all stop. The deadly vaccines, the fake wars, the fake news, the mad promotion of homosexuality and transsexuality, the destruction of sex, the destruction of race relations, the destruction of family, the destruction of youth, the destruction of health, the destruction of food, the destruction of sense: it could all end tomorrow. JUST SAY NO! Quit bending over and taking it. The middle and lower classes need to revolt worldwide and pull these people down. It has already started with the truckers, so join them. But don’t just target DC and the state capitals. Target the big media companies pushing this fake narrative on you. Target the military bases and Intel centers creating these narratives. Target the billionaires and trillionaires funding this hell and creating the central script.

Yes, we are in end times. Their end. They are collapsing and you need to keep pushing them. They are pushing you hard, but it is all a bluff, so push back twice as hard.

Remember, they are lying to you about the split as well. They want you to think that only half the country is against them. They want you to think that most Democrats support them. They want you to think Biden’s approval rating is still at 37% or something. But none of that is true. Biden’s approval rating can’t be above 5%. What sort of absolute moron could approve of the past year, or think Biden is doing a good job? The truth: NO ONE DOES. No real person thinks things have gotten better in the past year.

I am told everyone supports the war against Russia. But who is this everyone? The paid Tiktok jerks posing with their flags? The government agents on Facebook and Youtube? The creeps on The View or CNN or some other TV show no one watches? The people in Congress, who collectively have an approval rating of something like 9%? Like the Antifa aholes, none of those people are real. Like all those people arguing in favor of Critical Race Theory or sex education for five year olds or whatever, these people on TV and online aren’t even real. They are paid agents, hired to create support for the latest fake and scare you off the streets. They are desperately trying to nip this revolution in the bud, and this is how they do it: they make you think half the country is against you. They make you think these policies have some support, by hiring a few Colberts and Whoopi Goldbergs and Cynthia Nixons to promote them, but no one outside of DC or Hollywood really does support them. The New World Order and Great Reset have almost zero real support. Maybe 2% support, from the already very wealthy. So it isn’t you that can be ignored, it is them. If the 98% decide to move against them, all the militaries of the world will not help them. After a few initial skirmishes (which, yes, you may lose), the soldiers will join you. So quit being bluffed into thinking you can’t win.

You can win, and you will, but you better get after it. If you wait much longer, they will have debilitated you past the point of all action. They are even now turning your children into slugs that couldn’t revolt against an ice cream truck. But just remember this: they and their children are even worse. What they have done to you they have also done to themselves, but in heels and dancing backwards. Meaning, their curse against you has reflected back upon them, as curses always do, doubling in the return. The more evil they get, the weaker they become, which means they are extremely weak right now. They are like roaches that have sprayed themselves with Raid, and they are now running around in circles. Step on them while the stepping is good.

Another bluff is that if we pull them down we won’t be able to run the world. It is too complex for us. Bull. Your average restaurant manager could run the world better than these bastards. What are they currently doing right? They have turned this planet into a literal hell for most people and most animals, and almost anything would be better.

But of course you won’t win by driving around shooting at things and blowing things up. Like the truckers, you have to ORGANIZE. Our Constitution is not perfect, but it gives you avenues for doing this all legally, without committing treason or sedition. This is a country born of revolution, so it can hardly outlaw positive revolution. Treason would be trying to overthrow our democracy and Republic, by scrapping the Constitution and trying to install another form of government, such as—oh, I don’t know—corporatocracy. Exactly what the governors are doing. That is treason. What we are doing is not treason, since we are trying to rid ourselves of embedded tyrants, who have tried to place themselves above and beyond the law and the people. Mainly we are trying to rid government of extra-governmental entities that are acting outside the law: entities like WEF, Bilderberg, the Aspen Institute, the Cato Institute, the Trilateral Commission, the Gates Foundation, the Rockefeller Foundation, the CFR, the Federal Reserve, GoldmanSachs and their tools in CIA, NSA, FBI, DHS, military intelligence and media (including Hollywood). All such organizations should be strictly outlawed, since they are just a way for the superwealthy to prey on the rest of us via covert rapine and 24/7 propaganda and gaslighting. There is nothing treasonous about calling for their ends, since they are treasonous themselves. In fact, every single person involved in those organizations (and hundreds of others) should be brought up on charges of treason and punished to the full extent of the law. And that includes all the lying actors and directors that have been twisting our minds for decades.

This is why these people are now accusing us of treason. They always accuse others of what they are doing themselves. They undermined the Constitution on purpose, which is treason, so they turn and accuse their accusers of treason. It is debate 101. Lie and then accuse the other side of lying when they catch you at it. It is the surest sign of desperation, and these liars are especially desperate right now, since they have lost control of the whole narrative. Their web of lies is even now unwinding on them, and every new lie just makes it worse. They have been existing on a knife-edge since 2001, just barely keeping their heads above water and out of the guillotine, but with the Covid and vaccine crime against humanity they went way too far, and no fake war with Russia is going to erase that.

Here is the news you aren’t being told: the revolution is already under way. Resistance is already strong and it is growing. The fake war in Ukraine will not stop it, it will only add to the anger aspeople realize it is another gaslighting. The government is trying to save itself, but it is just digging its hole deeper. There were ways for the government to reverse out of this before Covid, but it decided to keep doubling down and it has sealed its own doom. The fake Ukraine war is the attempt to double down again after the Covid crime against humanity, but it won’t work. It is failing even as we speak. It will divert attention only in the short term, but people are already seeing through it. Millions of people have already quit their jobs in protest, which is as good as a tax revolt since if you have no income you can’t be expected to pay income taxes. Millions more will quit in the upcoming months. They tell us new jobs are being created, but that is bull. Those are the jobs now open from millions quitting, so that doesn’t really count as job creation, does it? “Everyone in the country just quit their jobs in a tax revolt, so we just created 100 million jobs, yeah!”

So here is a little more math I did in my head: Their only remaining hope of saving their necks is in the upcoming mid-term elections. They had planned to have the Republican party ride in to save the day, but at this point that won’t be enough to quell the rebellion. Things have spun out far beyond that script, which won’t fool anyone. As I run the numbers, I see their only chance of avoiding a real grassroots rebellion is to stage their own fake one, a sort of 1776 redux, whereby some band of photogenic patriots does a thorough housecleaning, disappearing the entire current cast of characters to oblivion, including Mitt Romney, Keith Olbermann, Sean Penn, Whoopi Goldberg, Liz Cheney, Nancy Pelosi, Tony Fauci, Bill Gates, and all the rest. In other words, giving the Reds a majority in both houses won’t solve anything. The whole legislative lot need to be prosecuted for corruption and new elections called with new strict election laws—all the election machines and computers being thrown into a scrap heap. Same for the entire executive branch and judicial branch, of course. The military and Intel would also have to be purged, but of the opposite people it has just been purged of. Both the military and Intel would have to be vastly downsized or re-assigned to positive projects—like arresting all those involved in the current crime against humanity. Media would also have to be reined in, and all ties between government and media would have to be cut. The Federal Reserve would have to killed and replaced by a real National Bank owned by the people—not as a nod to Communism but as a safeguard against theft. Not only that, but banking as a profit-making enterprise should be banned altogether. A Constitutional Convention should be called and the Constitution should be rewritten and updated: beefed up considerably to address modern concerns. As it now stands, the Constitution is just one big loophole, utterly failing to limit the power of the superrich.

In other words, as I see it the only hope of proceeding without major violence against the superrich is for the superrich to give us our due without violence. It is that simple. They need to de-Grinch and ride down from the mountain with the sled of toys, or they are going to be thrown from it into the abyss. What they have forgotten is that laws and Constitutions not only protect us from them, they protect them from us. They prevent things from getting so bad we have nothing left to do but pull them down.

You will say I have shown all the revolutions of the past were fake, so why do I think this one is real, or may succeed? Because the current mess is nothing like any previous one. It is categorically different, and therefore far more dangerous to the rulers. For one thing, they are attempting naked tyranny on huge populations in the west long-schooled on freedom and democracy. That has never before been seen in history. These populations are not only huge, they have huge resources. Not only do they have weapons and vehicles and means of communication, they have know-how and access to all companies. We work everywhere and it is our knowledge that actually keeps things running, not theirs. They just sit around and buy things and come up with schemes of fraud. That also has never been true in history, or not to this extent. In the past, information was extremely limited, and most people didn’t have a clue what was going on. Skills were also limited, since there was no middle class. Peasants mostly wouldn’t think of rebelling against tyranny, since they were born into it and knew nothing else. But the new tyranny is strange and alien to us, arising mostly since 2001 and accelerating sharply. It conflicts grossly with all we were taught. We had no real Republic before 2001, but we had a pretty good pretense of one, with the theft and graft fairly well hidden. For most of the 20th century we had a prosperous middle class and an upper class with at least the outward appearance of restraint. But that has all gone out the window, with the upper class now absolutely losing its mind in a frenzy of open rapine.

Another sign the upper class is due for a big fall is that they have made many powerful enemies in their own ranks. They have tried to divide and conquer us while ignoring their own divisions. The upperclass, like the corporations, has actually been contracting. Meaning, while their total assets have been rising, their total numbers have been going down. As companies swallow companies, rich people are jettisoned, and many of them are pissed. As companies prey on one another, billionaires prey on one another. Fewer and fewer families and fewer and fewer people own more and more. But those jettisoned remain multi-millionaires with contacts and power, and we are seeing them lead the rebellion. One way they do that is to feed information to the rest of us. That, too, has never before happened in history, or not on this scale. Before the internet, those people would not have been able to educate us so easily, you see. That is a very great danger to the trillionaires, who are forced to retreat further and further into their fortresses. What they most fear is a coalition of these millionaires seizing an air force, at which point no fortress will suffice. That is what all these spy agencies are about, you know. They aren’t spying on you and me. They are spying on the powerful people just below them, you know.

For that reason, the present is nothing like any past. We are in virgin territory, and anything could happen. Since the superrich appear to have utterly lost their minds, it probably will happen. I do not fear a nuclear war, but we could very well see the Phoenix go up in flames very soon. If they stage their own conflagration, they may be able to limit the damage somewhat; if they don’t, the damage is pretty much limitless. But again, don’t be afraid: you and I have very little to lose. Everything to lose is on their side. The more you possess, the more you are possessed, and these people are literally possessed.

Augmentation des décès – par Elliott Freed.

Source.


Augmentation des décès

Augmentation de 84% des décès dans certains groupes d’âge

Elliott Freed

24 mars

Le taux de mortalité monte en flèche aux États-Unis et le carnage semble bien parti pour durer.

Le CDC indique une augmentation de quatre-vingt-quatre pour cent des décès dans certains groupes d’âge moyen. J’ai vu des données provenant de diverses agences d’assurance-vie montrant des augmentations allant de dix-neuf à cinquante-sept pour cent des demandes d’indemnisation chez les personnes en âge de travailler. Les cliniques de cardiologie pédiatrique sont désormais une réalité. Et la liste des preuves de la montée en flèche des décès et des maladies graves ne cesse de s’allonger.

Et nous devons supposer que cela ne s’arrêtera pas là. Tout d’abord, on continue à distribuer les vaccins comme des bonbons. On peut parier que les personnes qui ne se sont pas encore fait vacciner ne le feront pas. Mais beaucoup continueront à recevoir des boosters, et à chaque injection supplémentaire, les chances de mourir ou d’être gravement blessé augmentent de façon spectaculaire. Un petit ensemble de données concernant des adolescents britanniques a révélé que le taux de mortalité était 52 fois plus élevé chez les garçons qui avaient reçu la troisième injection que chez ceux qui n’en avaient pas reçu. Ce qui représentait une augmentation de cinq fois le taux de mortalité parmi ceux qui n’en avaient reçu que deux. Lors de mes recherches sur les vaccins à l’époque, j’ai constaté que ce schéma était courant. Le taux d’augmentation des risques de blessures augmentait à chaque injection supplémentaire, comme dans une courbe mathématique. A quelle distance sommes-nous maintenant de la verticale? J’estime que personne ne peut survivre à huit injections. Ou du moins, à huit vraies injections. Les placebos de solution saline ne devraient pas poser trop de problèmes.

La deuxième chose à prendre en compte est que, comme l’a fait remarquer l’un des principaux bailleurs de fonds de l’Organisation Mondiale de la Santé, nous ne connaîtrons les effets à long terme des injections que lorsque nous aurons atteint le long terme. Après moins d’un an et demi, nous voyons déjà une mortalité et une destruction de niveau génocidaire. Mais les injections n’ont pas dit leur dernier mot. Une grande partie de la substance contenue dans ces flacons est toujours présente chez toutes ces personnes, et elle continue à circuler et à faire des dégâts dans leurs corps.

Si nous pensons en termes de vague, nous voyons que la vague continue de rassembler sa puissance et sa masse. Le décompte final se limitera-t-il à quelques centaines de milliers de morts? Selon une estimation raisonnable, le total serait déjà de l’ordre de cent cinquante mille pour les seuls États-Unis. Un ami a rapporté hier d’Allemagne qu’une grande clinique pédiatrique a fini par prendre la parole, car elle reçoit des centaines, des CENTAINES, d’appels de nouveaux patients chaque jour. Et ce n’est qu’une seule clinique dans une seule ville.

Est-ce que ce sera, comme certains l’ont estimé, des dizaines de millions? Des centaines de millions? Si une seule clinique dans une seule ville dans un seul pays reçoit des centaines de nouveaux patients par jour pour des blessures pour lesquelles il n’existe pas de traitement conventionnel, combien de décès pouvons-nous attendre dans les prochaines années? Combien de ces trois cents personnes qui ont appelé pour un rendez-vous hier seront mortes dans un an? Dans deux ans? Qu’en est-il des mille cinq cents nouveaux patients cardiaques chaque semaine, dans une seule clinique?

Et qu’en est-il de ceux qui survivront aux prochaines années mais ne retrouveront jamais leur santé ou leur capacité à fonctionner, à travailler et à contribuer matériellement à la société? De combien d’invalides devrons-nous nous occuper? De combien leur vie sera-t-elle écourtée? Surtout après que toutes les ressources nécessaires à leur prise en charge auront été épuisées?

Tous ces chiffres sont en constante évolution. Dans un avenir proche, du moins, ils vont augmenter. Ce n’est qu’une fois le carnage terminé qu’ils baisseront.

Quelle sera l’ampleur de ce carnage? Outre les personnes qui sont mortes, meurent et mourront, que deviendra la société dans son ensemble?

Il y a quelques années, un responsable de la FEMA [NdT. Federal Emergency Management Agency] a mis au point l’indice Waffle House. Waffle House est une grande chaîne de restaurants du sud-est des États-Unis. Elle est généralement ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre, trois cent soixante-cinq jours par an. C’est un motif de fierté pour l’entreprise. Cet homme intelligent a réalisé qu’il pouvait évaluer la gravité d’une catastrophe en fonction du nombre de restaurants Waffle House qui doivent fermer et être évacués. Lors d’un récent passage dans la région, j’ai constaté que nombre d’entre eux n’étaient ouverts qu’à des heures très réduites en raison d’un manque de personnel. Selon l’indice Waffle House de la FEMA , cela indique une catastrophe majeure.

Nous constatons des pénuries de personnel similaires dans tous les États-Unis. Dans quelle mesure cela est-il dû au fait que les personnes en âge de travailler sont handicapées et meurent en nombres bibliques? Dans quelle mesure la situation va-t-elle empirer à mesure que ces chiffres continuent d’augmenter? À quel moment n’y aura-t-il tout simplement plus assez de personnel pour le département des véhicules à moteur, le bureau d’admission des universités, le syndicat des plombiers, la marine marchande, les mines et les fermes? J’écris et publie des livres pour gagner ma vie. Mon imprimeur de livres ne peut plus répondre à mes besoins parce qu’il manque de personnel et que je passe de petites commandes. C’est un petit problème, apparemment insignifiant. Additionnez tous ces petits cas et vous obtenez quoi?

Quelle sera l’importance de ce changement? Jusqu’où affectera-t-il l’ensemble des structures sociales établies? Comment ces structures sociales s’adapteront-elles?

Comme vous pouvez le constater, à ce stade, j’ai plus de questions que de réponses. Le temps nous le dira.


Texte original

Rising Deaths

84% Increase in deaths among some age groups

Elliott Freed

March 24

The death rate is skyrocketing in the U.S. and it looks like the carnage could keep going for a while.

The CDC is showing an eighty four percent increase in deaths in some middle age groups. I’ve seen data from a variety of life insurance agencies showing between a nineteen and fifty seven percent increase in claims among working age people. Pediatric cardiology clinics are now a thing. And the list of proof of skyrocketing deaths and severe illnesses goes on.

We must assume that it will not stop here. First of all, they are still handing out the shots like candy. If people have not already had them, it is a fair bet that they will not. But many will continue to get boosted, and with each additional shot, the odds of dying or being severely injured rise dramatically. One small data set coming out of the U.K. for teen boys found a fifty two fold increase in the death rate for boys who’d received the third shot over the unshot. That was a five fold increase over the death rate among those who’d had just two. In my research into vaccines back in the day, I found this to be the common pattern. The rate of increase of the odds of injury went up with each additional shot, like a calculus curve. How close are we to the vertical? My estimate is that nobody will survive eight shots. Or at least, eight real shots. Saline placebos shouldn’t be much of a problem.

The second thing to consider is, as one of the leading funders of the world health organization once pointed out, we don’t know the long term effects of the shots until we reach the long term. Not even a year and a half in, we are already seeing genocide level death and destruction. But the shots are not done. Much of that stuff that was in those vials is still in all those people, and it is still running around their bodies doing damage.

If we think in terms of a wave, we see that the wave is still gathering power and mass. Will it be a few hundred thousand who die in the final count? One reasonable estimate puts the total at already in the range of one hundred fifty thousand in the u.s. alone. A friend reported yesterday from Germany that one large pediatric clinic is finally speaking out, as they are receiving hundreds, HUNDREDS, of calls from new patients each day. And that is just one clinic in one city.

Will it be, as some people have estimated, tens of millions? Hundreds of millions? If one clinic in one city in one country is getting hundreds of new patients a day for injuries for which there is no conventional treatment, how many deaths can we expect in the next few years? How many of those three hundred people who called for an appointment yesterday will be dead in a year? In two years? What about the fifteen hundred new cardiac patients each week, at one clinic?

And what about those who survive the next few years but never recover their health or their ability to function and work and contribute materially to society? How many invalids will we be taking care of? How much shorter will their lives be? Especially after all the resources needed to care for them have been used up?

All these are constantly moving numbers. For the near future at least, they are going up. It is only after the carnage is over that they will go down.

How extensive will that carnage be? Aside from the people who have died, are dying and will die, what will become of society as a whole?

Years ago, a FEMA manager came up with the Waffle House Index. Waffle House is a large restaurant chain in the southeastern U.S. They are typically open twenty four hours a day, three hundred sixty five days a year. It is a point of pride for the company. This clever fellow realized that he could figure the severity of a catastrophe by the number of Waffle House restaurants that had to shut down and be evacuated. On a recent swing through the region, I found many of them were open for greatly reduced hours due to staffing shortages. On the FEMA Waffle House Index, this indicates a major catastrophe.

We are seeing similar staffing shortages all over the u.s. How much of this is due to the fact that working age people are disabled and dying in biblical numbers? How much worse will it get as those numbers continue to rise? At what point will there simply not be enough people to staff the department of motor vehicles, or the college admissions office, or the plumber’s union, or the merchant marines, or the mines and farms? I write and publish books for a living. My book printer can no longer meet my needs because they are understaffed and I place small orders. That is one small, seemingly insignificant issue. Add up all these small instances and what do we have?

How significant will this change be? How deeply will it reach into all the established social structures? How will these social structures adapt?

As you can see, I have more questions than answers at this point. Time will tell.

Nouveau vaccin, vieille arnaque.

Je retire ce que j’ai dit à propos de mon médecin. Il a très bien fait son boulot et je suis un ingrat. Je n’étais pas dans un état aussi pitoyable faute de traitement mais à cause d’un autre problème, en plus de ma pneumonie, que l’analyse sanguine a finalement révélé.

J’ai la mononucléose.

A mon âge c’est un peu ridicule (c’est la « maladie du baiser« ) et évidemment on se fout de moi. Je continue à publier, comme vous voyez, parce que même si je suis très vite épuisé, j’ai beaucoup de temps libre. J’en consacre une grande partie à lire et à rassembler un maximum d’infos. Et je tombe sur l’article dont vous pouvez lire un extrait ci-dessous…

Mon médecin me jure ses grands dieux que c’est moi qui ai chopé ce truc et qui l’ai filé ensuite à mon épouse, et non pas l’inverse comme il serait logique, vu qu’elle travaille dans une institution pour enfants et que je n’ai essentiellement aucun contact avec personne, jamais. Vu la teneur du nouveau « projet », il serait donc très utile de savoir si ça fait partie d’une tendance. Je vais donc faire ce que je n’ai encore jamais fait: un appel à témoins. Si vous connaissez d’autres cas de mononucléose, disons, inattendus ou atypiques, merci de le mentionner dans les commentaires ou de m’envoyer un message par la page Contact.

Je publie juste après ceci un deuxième article de Elliott Freed, qui résume parfaitement la situation sanitaire à ce jour, et les questions qui vont se poser demain. Si on y ajoute cette potentielle nouvelle « crise », les réponses à ces questions risquent d’être assez tragiques.

J’ajoute enfin que le coup du rôle de tel ou tel virus comme promoteur de telle ou telle maladie n’est pas une nouveauté: on nous a déjà fait le coup avec le HPV, et c’était pour vendre un vaccin extrêmement dangereux.

Source (point 1).


Traduction

Epstein Barr – la prochaine grande campagne de vaccination?

Epstein-Barr est le virus qui provoque la fièvre glandulaire (la mono, pour nos lecteurs américains) [NdT. et pour les lecteurs francophones]. C’est l’un des virus les plus courants au monde, il n’est presque jamais mortel et la grande majorité des infections sont asymptomatiques.

Pourtant, on veut vacciner contre ce virus.

Un article du Guardian datant de ce matin pose la question suivante: « Peut-on se vacciner contre Epstein-Barr, le virus que vous ne saviez pas que vous aviez?« 

A aucun moment, ils ne se demandent pourquoi il faudrait se faire vacciner contre un virus dont on ignorait même la présence.

Cela fait des décennies qu’ils travaillent sur des vaccins contre le VEB [Virus Epstein-Barr], mais aujourd’hui – selon l’article – la nouvelle technologie ARNm mise au point pour les vaccins Covid va enfin rendre la chose possible. Trois d’entre eux en sont déjà aux premiers stades de production.

Pour revenir à ma question précédente, pourquoi faudrait-il vacciner contre un virus dont la plupart des gens ne se rendent même pas compte qu’ils l’ont?

Eh bien, pas parce qu’il cause une maladie dangereuse – ce n’est pas le cas – mais parce qu’il est « associé » à des maladies mortelles.

Apparemment, plus de 200.000 types de cancer ont été « associés » à une infection par le VEB, tout comme la sclérose en plaques et le syndrome de fatigue chronique. Ce sont ces « associations » qui rendent le virus  » inquiétant « , ce qui implique que nous avons besoin d’un vaccin.

Ce qu’ils oublient de dire, c’est à quel point ce virus est répandu. Un article publié il y a quelques années affirme que jusqu’à 90% des humains sur la planète ont été infectés par le VEB à un moment donné de leur vie.

Ce qui, naturellement, signifie que 90% des patients atteints de cancer, de sclérose en plaques et des personnes qui meurent de n’importe quelle cause ont été exposés au VEB.

Manipulation statistique et jeux sur les mots pour pousser un vaccin? On a déjà vu le film.


Texte original

Epstein Barr – the next big vaccine push?

Epstein-Barr is the virus which causes glandular fever (mono, for our American readers). It is one of the most common viruses in the world, almost never fatal, and the vast majority of infections are asymptomatic.

Nevertheless, they want to vaccinate against it.

A Guardian article from just this morning asks “Can we vaccinate against Epstein-Barr, the virus you didn’t know you had?”

They don’t stop and ask why you would need to vaccinated against a virus you don’t even know you had.

They’ve been working on EBV vaccines for decades, but now – the article claims – the new mRNA technology developed for Covid vaccines will finally make it possible. There are already three in early stages of production.

So, returning to my earlier question, why do they need to vaccinate against a virus most people never even realise they have?

Well, not because it’s a dangerous disease – it specifically isn’t – but because it is “associated” with deadly diseases.

Apparently, over 200,000 types of cancer have been “associated” with EBV infection, as have multiple sclerosis and chronic fatigue syndrome. It’s these “associations” which make the virus “scary”, and that means we need the vaccine.

Now, what they don’t tell you is just how common this virus is. A paper from a couple of years ago claims up to 90% of all humans on the planet have been infected with EBV at some point in their lives.

Which, naturally, means 90% of cancer patients, and MS sufferers and people who die of literally anything have been exposed o EBV.

Statistical manipulation and wordplay to push a vaccine? We’ve seen this movie before.

Quelques mots de la Directrice des CDC américains.

Je peux vous dire où j’étais quand CNN a annoncé qu’il était efficace à 95%, le vaccin. Beaucoup d’entre nous voulaient espérer, beaucoup d’entre nous voulaient dire, ok, c’est notre ticket de sortie, n’est-ce pas, maintenant c’est terminé. Je pense donc que nous avons peut-être montré trop peu de prudence et trop d’optimisme pour ce qui pouvait arriver de bien. Je le pense vraiment. Je pense que nous voulions tous que ça se termine.
Personne n’a parlé de perte d’efficacité, quand, quand, vous savez, oh ce vaccin va marcher. Oh, eh bien, peut-être qu’il marchera – (rires) il perdra de son efficacité.
Personne n’a dit que si le prochain variant ne, il ne, il n’est pas aussi puissant contre le prochain variant.

Rochelle Wolenski, Directrice des Centers for Disease Control

C’est bien, merci Rochelle.

On te sent un peu stressée quand même. Ce boulot n’est pas fait pour tout le monde, tu sais. Un Anthony Fauci s’en sort très bien, sans se mélanger dans ses mots, mais il a quarante ans de pratique derrière lui.

Toi, il serait peut-être temps que tu te taises.

Je veux dire, pour de bon. Physiologiquement, c’est assez simple: quand tu expires de l’air, tu ne t’en sers pas pour faire vibrer tes cordes vocales, surtout quand c’est pour sortir connerie sur connerie. Là, tu continues à t’exposer, alors qu’on va vite remplacer les CDC par une nouvelle institution pour faire ce genre de boulot.

Quel boulot?

Les différents calculs du facteur de sous-évaluation de la base de données VAERS donnent une estimation d’entre cent cinquante mille et trois cent quatre-vingt mille morts, plus de quatre cent mille avortements spontanés et plusieurs millions d’effets secondaires graves, rien qu’aux Etats-Unis. Et bien entendu, c’est sans compter les vieux exécutés à la seringue dans les maisons de repos, les hospitalisés achevés au Remdesivir ou au respirateur, et ceux qu’on a laissé crever chez eux, le tout sur « recommandation » des CDC.

Bref, quelques millions de morts au total – c’est vraiment difficile de faire un compte exact tant on a brouillé les pistes, ce qui faisait partie de la mission de l’organisation que tu gères si bien.

Mais c’est pas grave, on a l’habitude. Après tout, on est le troupeau, c’est pas à nous de décider de combien de têtes on nous réduit. D’ailleurs ce n’est techniquement pas un meurtre, puisque l’injection était sur base volontaire. C’est donc un suicide collectif. Pas pour les enfants, bien sûr, à qui on a pas laissé le choix mais ton collègue Ezekiel Emmanuel – tu sais, le conseiller de ton Président – nous a déjà bien expliqué que la mort d’un enfant n’était pas si grave que ça. Comme celle des vieux, en fait.

Franchement, tu as tort de t’énerver. Demande à ton collègue Anthony ou à un autre vétéran de l’eugénisme pratique, Henry Kissinger, le mentor de Klaus Schwab: nous sommes des bouches à nourrir. Quelques millions de plus ou de moins, on est de toute façon trop nombreux. Et si on est près de huit milliards, c’est grâce aux engrais agricoles. Comme ceux-ci vont manquer – parce qu’il faut lutter pour la liberté – je pense que les choses vont enfin rentrer dans l’ordre.

Et si ça ne suffit toujours pas – si le troupeau s’obstine à vouloir survivre contre l’avis de ses maîtres – quelques « cyber-attaques » bien placées devraient règler la question.

En attendant, ne t’obstine donc pas à te justifier. Tu as fait du bon boulot, comme disait un ex-Ministre responsable mais pas coupable, qui savait de quoi il parlait.

Tu peux goûter un repos bien mérité.

Et surtout, te taire.

Malheureusement.

Munich Security Conference, 18 février 2022.

Source (6min 49s – 8min 40s).

Note: pour plus d’infos sur les (ricanements) de Gates, voir cet article.

Traduction

Journaliste: Je voulais commencer par entendre M. Gates nous donner un aperçu de la situation, car je sais que c’est un sujet dont vous avez parlé à maintes reprises. Vous étiez en avance sur la courbe avant le début de cette pandémie. Comment évaluez-vous la situation actuelle en matière de lutte contre le Covid-19?

Bill Gates: Eh bien, le… vous savez, malheureusement, le virus lui-même, en particulier le variant appelé Omicron, est un type de vaccin, c’est-à-dire qu’il crée une immunité à la fois des cellules B et des cellules T, et il a mieux réussi à toucher la population mondiale que les vaccins que nous avons utilisés. Si vous faites des enquêtes dans les pays africains, vous obtenez bien plus de 80 % des gens qui ont été exposés soit au vaccin, soit à différents variants. Et donc, vous savez, cela signifie que le risque de maladie grave, qui est principalement associé au fait d’être âgé et d’avoir de l’obésité ou du diabète, est maintenant considérablement réduit grâce à cette exposition à l’infection. Et, vous savez, c’est triste que nous n’ayons pas fait du bon travail en matière de (ricanement) thérapeutique, vous savez, ce n’est que maintenant, deux ans après, que nous avons une bonne thérapeutique. Les vaccins, il nous a fallu deux ans pour être en surproduction. Aujourd’hui, il y a plus de vaccins qu’il n’y a de demande de vaccins. Et, vous savez, ce n’était pas vrai et la prochaine fois, nous devrions essayer de (ricanement) faire en sorte qu’au lieu de deux ans, ce soit plutôt six mois. Et certainement, vous savez, certaines des approches de la plate-forme standardisée, y compris l’ARNm, nous permettraient de le faire. Donc, vous savez, cela nous a pris beaucoup plus de temps cette fois-ci que cela aurait dû.


Transcription originale

Journalist: But I wanted to kick off actually and get a bit of a scene setter from Mr Gates because this is, I know, a topic that you’ve spoken on again and again. You were ahead of the curve prior to the beginning of this pandemic. Where would you assess where we are today in beating Covid-19?

Bill Gates: Well, the… you know sadly, the virus itself, particularly the variant called Omicron is a type of vaccine, that is, it creates both B-cell and T-cell immunity and it’s done a better job of getting out to the world population than we have with vaccines. If you do surveys in African countries, you get well over 80 percent of people have been exposed either to the vaccine or to various variants. And so, you know, what that does is, it means the chance of severe disease which is mainly associated with being elderly and having obesity or diabetes, those risks are now dramatically reduced because of that infection exposure. And, you know, it’s sad we didn’t do a great job on (snicker) therapeutics, you know, only here, two years in do we have a good therapeutic. Vaccines, it took us two years to be in oversupply. Today there are more vaccines than there is demand for vaccines. And, you know, that wasn’t true and next time we should try and (snicker) make it instead of two years, we should make it more like six months. Which certainly, you know, some of the standardized platform approaches including mRNA would allow us to do that. So, you know, it took us a lot longer this time than it should have.

Armes à énergie dirigée? – par Jessica Rose.

Source.


Armes à énergie dirigée?

Ont-elles été utilisées sur des civils australiens?

Jessica Rose

17 février

Qu’est-ce qu’une arme à énergie dirigée ?

Une arme à énergie dirigée (AED) est une arme à distance qui endommage sa cible au moyen d’une énergie hautement concentrée, notamment sous forme de lasers, de micro-ondes, de faisceaux de particules et de faisceaux sonores. Les applications potentielles de cette technologie comprennent des armes qui ciblent le personnel, les missiles, les véhicules et les dispositifs optiques (Wiki).

Ces armes sont actuellement développées/utilisées par les États-Unis, la Russie, la Chine, l’Inde, le Royaume-Uni, l’Iran et la Turquie. On estime qu’elles sont géniales parce qu’elles sont « discrètes » puisque « les radiations ne génèrent pas de son et sont invisibles si elles se situent en dehors du spectre visible ». Elles peuvent également être utilisées dans l’espace et sont bon marché! Youpi! Des armes bon marché! Dans la définition ci-dessus, je ne vois rien concernant l’utilisation de cette technologie perfide et dangereuse sur des civils qui manifestent pacifiquement. C’est marrant, ça! Voilà à quoi elles peuvent ressembler.

Avec l’aimable autorisation de l’Australian Free Independent Press Network

Récemment, en raison de la flamme allumée au sein de la communauté mondiale par les formidables camionneurs canadiens, une très grande foule s’est rassemblée au Parlement de Canberra pour protester contre les obligations imposées par le gouvernement.

Il semblerait que la police fédérale australienne [AFP] ait utilisé des AED sur ces mêmes personnes afin de contrôler ces agitateurs tapageurs, antipatriotiques et porteurs de drapeaux.

Je pensais qu’il s’agissait d’une de ces nombreuses « histoires » infondées qui circulent dans le cybermonde. Mais j’ai ensuite trouvé une vidéo qui, pour moi, est une preuve manifeste de la vérité. Vous pouvez ne pas être de mon avis, mais ne pas dire la vérité, pour moi c’est mentir. Éviter de donner réponse à une question simple et directe, c’est me mentir. Et cet homme, le commissaire Kershaw de l’AFP, ne dit manifestement pas la vérité en refusant de répondre à la question posée par le sénateur à laquelle, à mon avis, il connaît aussi très clairement la réponse. Peut-être ne fait-il que « suivre les ordres ». Cliquez sur la photo ci-dessous pour voir la vidéo.

Je ne sais pas si ces types d’armes ont déjà été utilisés en ma présence et je ne peux donc pas attester de leurs effets, mais il y a aussi des photos qui circulent sur l’interweb (que les auteurs sont d’accord de publier) montrant des traces de « brûlures » sur certaines personnes présentes qui affirment avoir été affectées par ces armes à énergie dirigée. De nombreux témoignages de personnes présentes à la manifestation font état de « symptômes » étranges.

Parmi les effets de l’exposition aux AED figurent des maux de tête, des maux d’oreille et des brûlures au visage. La plupart des Australiens sont conscients des dangers d’une exposition à des quantités excessives de rayons U.V. solaires et portent donc des protections physiques telles que des chapeaux et des crèmes au zinc. La personne sur cette photo portait un chapeau. Les brûlures ne s’expliquent donc pas uniquement, à mon avis, par une exposition excessive aux U.V.

Je trouve ça très inquiétant étant donné que trudo tente actuellement avec acharnement depuis sa cachette d’imposer des mesures tyranniques aux honnêtes citoyens canadiens qui travaillent dur et respectent la loi. Peut-être a-t-il dû choisir ce moyen parce qu’il a consacré tout son argent à l’achat d’injections au lieu de constituer sa propre réserve d’armes énergétiques. Je n’en sais rien. Mais soyez-en certains, nos nations libres sont attaquées. C’est TRÈS clair. Il semble qu’il n’y ait pas de mesures qui leur soient interdites. Ils ne se soucient pas du peuple. Des civils. Du fondement de chaque communauté, cité, ville, état, province et pays.

Je ne cesse de me demander si c’est vraiment en train de se produire. Tout ça. C’est déjà arrivé, mais nous sommes aujourd’hui, après tout. Il suffit pourtant de REGARDER le Canada et l’Australie avec les yeux d’un enfant de deux ans et de comparer. Personne n’aurait pu imaginer l’état merdique de notre situation présente. Il a été si facile de faire rapidement tomber des nations entières avec des discours alarmistes, des mensonges et des obligations et sanctions imposées par le gouvernement. Injecter des thérapies génétiques incorrectement testées qui ont prouvé leur inefficacité et leur dangerosité, être exposé à des micro-ondes imposées par le gouvernement pour avoir dit « Je n’aime pas ce que vous faites à moi et à mon pays »… Mais QUAND EST-CE QUE ÇA S’ARRÊTERA?

ÇA S’ARRÊTERA QUAND NOUS DIRONS QUE ÇA S’ARRÊTERA. Dites-le à vos amis.


Texte original

Directed-energy anyone?

Were these used on Australian civilians?

Jessica Rose

Feb 17

What is a directed-energy weapon?

A directed-energy weapon (DEW) is a ranged weapon that damages its target with highly focused energy, including lasers, microwaves, particle beams, and sound beams. Potential applications of this technology include weapons that target personnel, missiles, vehicles, and optical devices. (Wiki)

These weapons are currently being developed/used by the U.S., Russia, China, India, the U.K., Iran and Turkey. The claim is that they are awesome because they are ‘discreet’ since “radiation does not generate sound and is invisible if outside the visible spectrum”. They can also be used in space and are cheap! Yay! Cheap weapons! In the above definition, I don’t see anything about using this vicious dangerous technology on civilians who are peacefully protesting. Funny that. This is what they may look like.

Recently, due to the flame lit inside the global community by amazing Canadian Truckers, a very large crowd gathered at the Canberra Parliament to protest government-imposed mandates.

It appears as though in order to control these rowdy, unpatriotic, flag flying rabble-rousers, DEWs were used by the Australian Federal Police on these very people.

I thought this might be one of those many ‘stories’ that circulate the inter-world that isn’t really rooted in evidence. But then I found video that, to me, is clear evidence of the truth. You may disagree with me, but not telling the truth is lying to me. Avoiding providing an answer to a simple, direct question is lying to me. And this man, AFP Commissioner Kershaw, is clearly not telling the truth by refusing to answer the question posed by the Senator that, in my opinion, he also very clearly knows the answer to. Maybe he is ‘just following orders’. Click on the photo below to see video footage.

I am not aware if these types of weapons have ever been used in my proximity so I cannot attest to their effects but there are also some photos circulating the interweb (the people are ok with it) of the effects of the ‘burns’ on some of the people who were there and claim to have been affected by these directed energy weapons. There are many reports from people who were at the protest of strange ‘symptoms’.

Some of the effects of being exposed to DEWs include headaches, earaches and burns to the face. Most Aussies know the dangers of exposure to excessive amounts of U.V. light from the sun and thus wear physical protection such as hats and zinc creams. The person in this photo was wearing a hat. So the burns are not explained, in my opinion, by excessive U.V. exposure alone.

I find this highly disturbing considering that trudo is currently trying really hard to impose tyrannical actions against good, hard-working, law-abiding Canadian citizens from his hidey-hole. Maybe he had to go this route because he used all his money to buy injections instead of his own stash of energy weapons. I don’t know. But rest assured people, our free nations are under assault. This is VERY clear. It seems there are no measures that are off limits to them. They DO NOT care about the people. The civilians. The bread and butter of every single community, city, town, state, province and country.

I find myself constantly asking myself if this could possibly be happening. All of this. It has before, but this is now, after all. But, all you have to do is LOOK at Canada and Australia from 2 year old eyes and compare. No one could have imagined the shit state of things. It’s been so easy to quickly bring down entire nations with fear mongering, lies and government-imposed mandates and sanctions. Injected with improperly-tested gene therapies that have proven not to work and to be effectively dangerous, exposed to government-imposed microwaves for saying ‘I don’t like what you are doing to me and my country’… I mean WHEN DOES IT STOP?

IT STOPS WHEN WE SAY IT DOES. Tell your friends.

Les milliardaires ont engagé les millionnaires pour écrire une nouvelle version de Das Kapital – par Toby Rogers.

Dimanche. La tradition veut que pendant que les femmes font la cuisine en parlant layettes, les hommes débattent politique dans le salon. Pour alimenter la conversation, voici un premier article, écrit par Toby Rogers. Sa seule faiblesse est de considérer les dégâts sociétaux actuels comme une conséquence et non comme un objectif – j’y reviendrai.

Toby, de par sa formation, son expérience professionnelle et sa brillante intelligence est un des auteurs les plus pointus sur Substack, plateforme qui relaye la voix de gens comme Steve Kirsch, Jessica Rose, Robert Malone, Ashmedai et d’autres que je publie ici, assez éclairés, compétents et courageux – notion sur laquelle je reviens aussi dans un court article prochain – pour décrypter la guerre en cours. Par sa très grande résilience, le modèle américain est une cible majeure de cette guerre – ce dont ne se cachent d’ailleurs absolument pas les instigateurs du basculement civilisationnel, ceux qui veulent « reconstruire en mieux ». Le Canada est au moins autant dans le viseur, et bien entendu la France, qui en est le pendant européen, d’où le haut niveau de violence – économique, sanitaire et répressif – auxquels sont confrontés ces peuples. Notre vieil ami Klaus Schwab en revendique ici la responsabilité.

Toby propose ici une solution, incidemment la même que j’évoquais il y a plus d’un an et demi.

Bon courage à tous.

Source.


Traduction

Les milliardaires ont engagé les millionnaires pour écrire une nouvelle version de Das Kapital.

Oh bon sang, tout ça va mal finir.

Toby Rogers

20 février

Lire cet article, c’est comme écouter quelqu’un décrire des projets de création d’un Jurassic Park. Je suppose que c’est possible, mais tout le monde sait que ça finira mal.

Qu’est-ce qui peut remplacer les marchés libres? Des groupes consacrent 41 millions de dollars à cette question.

Deux fondations se sont engagées à financer des recherches économiques et politiques centrées sur des alternatives à la pensée économique traditionnelle.

Examinons les faits, après quoi j’expliquerai pourquoi je pense que c’est une mauvaise idée.

La Fondation William et Flora Hewlett et le Réseau Omidyar ont annoncé mercredi qu’ils consacreraient plus de 41 millions de dollars à la recherche économique et politique centrée sur les alternatives [à l’économie néolibérale].

« Le néolibéralisme est mort, mais nous n’avons pas encore élaboré de solution pour le remplacer », a déclaré Larry Kramer, président de la Fondation Hewlett.

Les premiers bénéficiaires de subventions pour la mise en place de programmes de recherche sont la Kennedy School de la Harvard University, la Howard University, la Johns Hopkins University, le Massachusetts Institute of Technology et le Santa Fe Institute.

La Fondation Ford et les Open Society Foundations ont promis de se joindre à ce programme et d’accorder des subventions dans le courant de l’année à des centres de recherche à l’étranger, a déclaré M. Kramer.

Il est vrai que nous avons désespérément besoin d’alternatives à l’économie néolibérale – fait que j’ai souligné à plusieurs reprises sur mon Substack. Mais ces institutions ne sont pas les plus compétentes pour développer ces nouvelles approches.

Le monde est actuellement dirigé par des technocrates – le Forum Economique Mondial, Davos, la Fondation Gates, l’Organisation Mondiale de la Santé, et les partis Verts/Démocrates/Libéraux/Travaillistes agissent tous en fonction d’une croyance qui veut qu’une classe dirigeante d’élites hautement qualifiées est en droit de gouverner puisque ce sont elles qui prendront les meilleures décisions. Et ils ont complètement foiré. Le monde est aujourd’hui confronté à des inégalités exponentiellement croissantes, à la corruption et à la confiscation, à la polarisation politique, aux maladies chroniques, aux pandémies et à la mort, ainsi qu’à une tendance de toutes les économies développées à imiter la Chine en matière de surveillance numérique, de censure et de contrôle étatique totalitaire. Toutes ces conséquences désastreuses sont le résultat direct de la prise de pouvoir par des technocrates incapables de cerner la philosophie politique et les besoins/intérêts des citoyens.

Ce qui sortira de ce nouveau projet de 41 millions de dollars sera un Das Kapital pour Technocrates. Et nous en voyons déjà des signes dans la façon dont ces institutions abordent la question de la recherche. Par exemple:

Le projet du M.I.T. étudiera les défis auxquels sont confrontés les travailleurs qui ne disposent pas de quatre ans de formation universitaire – qui représentent près des deux tiers de la main-d’œuvre nationale – et les mesures qui pourraient améliorer leurs emplois ou les faire accéder à des professions mieux rémunérées.

Le groupe du M.I.T. étudiera également les politiques et les incitations visant à orienter le développement technologique de manière à améliorer la productivité des travailleurs plutôt qu’à les remplacer.

Ok, donc le MIT va recevoir 8 millions de dollars pour recommander davantage de formation professionnelle!? Sérieusement? C’est la même vieille idée, brandie depuis le mandat de Bill Clinton par le Parti Démocrate (comme prétexte à instaurer encore plus de mondialisation). Absolument personne, à l’exception des bougiecrates [NdT. néologisme et jeu de mots sur « bougie cats« , pour décrire les technocrates issus d’une classe de nantis, désignés par le terme d’argot « bougie« ], ne croit que ça puisse constituer une solution aux problèmes de la société.

J’irai droit au but. Ces institutions – les bailleurs de fonds: la William and Flora Hewlett Foundation, Le Réseau Omidyar, la Fondation Ford, les Open Society Foundations, et les universitaires: la Harvard Kennedy School, la Howard University (qui a accepté l’argent du sang pour participer à la dernière version de l’expérience Tuskegee) [NdT. voir ici, la version dont parle Toby est évidemment la gestion du Corona par les gouvernements], Johns Hopkins, le MIT, et le Santa Fe Institute (fondé par des physiciens qui ont participé aux recherches sur les armes nucléaires à Los Alamos) sont tous si profondément ancrés dans la mentalité technocrate et la bulle d’information technocrate qu’ils sont totalement incapables de comprendre le problème et n’ont aucune idée des alternatives possibles.

Ce projet confie aux renards la tâche de réaménager le poulailler dans le but de réduire les inégalités entre les poules.

Ce dont nous avons désespérément besoin, c’est d’une révolution à même de pulvériser la technocratie. C’est ce que les bougiecrates craignent plus que tout (raison pour laquelle Trudeau utilise des stormtroopers pour écrabouiller les camionneurs pour le compte de ses patrons du Forum Economique Mondial). Ceux qui se soucient réellement du fait que le monde est sur la mauvaise voie pourraient y remédier en libérant 8 milliards de personnes, en les laissant s’exprimer, en leur laissant le champ libre et en leur permettant d’être créatifs selon leurs propres sens intuitifs du merveilleux et du devoir. Le remède aux problèmes auxquels le monde est actuellement confronté impliquerait de laisser 8 milliards de personnes mettre en oeuvre leur propre capacité d’action. Et ce que ces technocrates proposent à la place, c’est de microgérer la population mondiale par le biais de l’économie comportementale et du bio-fascisme.

J’irai même un peu plus loin. On veut dégager un trillion de dollars par an pour stimuler l’économie mondiale? Alors il faut abandonner immédiatement et définitivement le programme de vaccination, dans le monde entier. Par le biais des programmes de vaccination, l’industrie pharmaceutique occasionne des lésions iatrogènes qui coûtent au niveau global un trillion de dollars par an. L’industrie pharmaceutique perçoit des centaines de milliards de dollars pour ses vaccins toxiques et 5 à 10 fois plus pour les traitements brevetés des maladies chroniques causées par ces vaccins. C’est le modèle commercial le plus corrompu depuis le Passage du milieu [NdT. voir ici]. Lorsque les gouvernements du monde entier tomberont à court d’argent dans les années à venir et qu’ils ne pourront plus en imprimer sans déclencher une hyperinflation (comme c’est déjà le cas aux États-Unis), l’abandon du programme de vaccination sera le SEUL moyen d’injecter un stimulus économique dans l’économie.

Certains ne sont pas encore prêts à l’entendre. Mais au fur et à mesure que nos systèmes économiques et politiques s’effondreront dans les années à venir sous le poids du fascisme pharmaceutique, ce que je viens de décrire finira par devenir une évidence.

Bénédictions aux guerriers! 🙌

Prières pour les camionneurs! 🙏

Renversez les bougiecrates! ✊

Faites-moi savoir dans les commentaires: si vous aviez un souhait pour le monde, dont vous sauriez qu’il serait exaucé, quel serait-il ?


Texte original

The billionaires have hired the millionaires to write a new version of Das Kapital

Oh dear, this does not end well

Toby Rogers

Feb 20

Reading this article felt like hearing someone describe plans to create a Jurassic Park. I suppose ya could but everyone knows that this does not end well.

What Can Replace Free Markets? Groups Pledge $41 Million to Find Out.

Two foundations committed funding for economic and policy research focused on alternatives to traditional economic thinking.

Let’s walk through the facts and then I’ll explain why I think that this is a bad idea.

The William and Flora Hewlett Foundation and Omidyar Network announced on Wednesday that they were committing more than $41 million to economic and policy research focused on alternatives [to neoliberal economics].

“Neoliberalism is dead, but we haven’t developed a replacement,” said Larry Kramer, president of the Hewlett Foundation.

The initial recipients of grants to set up research programs are Harvard University’s Kennedy School, Howard University, Johns Hopkins University, the Massachusetts Institute of Technology and the Santa Fe Institute.

The Ford Foundation and the Open Society Foundations have pledged to join the initiative and make grants later this year for research centers abroad, Mr. Kramer said.

It is true that we desperately need alternatives to neoliberal economics — something I have pointed out repeatedly on my Substack. But these are not the proper institutions to foster these new ideas.

The world right now is run by technocrats — the World Economic Forum, Davos, the Gates Foundation, W.H.O., and Greens/Democrats/Liberal/Labor Parties all operate from the belief that a ruling class of highly educated elites is entitled to govern because they will make the best decisions. And they have made a total mess of things. The world is now beset with skyrocketing inequality; corruption and capture; political polarization; chronic illness, pandemics, and death; and a move by all developed economies to emulate China with digital surveillance, censorship, and totalitarian state control. All of these horrible outcomes are a direct result of the technocrats taking power and not understanding either political philosophy nor the needs/interests of citizens.

What we will get from this new $41 million project is Das Kapital for Technocrats. And we already see hints of this in the descriptions of how these institutions will approach the research question. For example:

The M.I.T. project will research the challenges faced by workers without four-year college degrees — nearly two-thirds of the nation’s work force — and steps that could improve their jobs or lift them into higher-paying occupations.

The M.I.T. group will also explore policies and incentives to steer technological development in ways that enhance the productivity of workers instead of replace them.

Okay so MIT is going to get $8 million to recommend more job training!? Really!? This is the same idea that Democrats have been flogging (as a cover to push for more globalization) since Bill Clinton. Literally no one believes that this is the remedy for what is ailing society — except the bougiecrats.

I’ll cut to the chase. These institutions — the funders: the William and Flora Hewlett Foundation, Omidyar Nework, Ford Foundation, the Open Society Foundations, and the academics: Harvard Kennedy School, Howard University (that accepted blood money to participate in the latest version of the Tuskegee experiment), Johns Hopkins, MIT, and the Santa Fe Institute (founded by physicists who did nuclear weapons research at Los Alamos) are all so deeply ensconced in the technocrat mindset and the technocrat information bubble that they are completely incapable of understanding the problem and have no idea what the alternatives might be.

This project is asking the foxes to redesign the hen house in the name of reducing inequality amongst chickens.

What we desperately need is a revolution to smash the technocracy into dust. The bougiecrats fear this more than anything else (which is why Trudeau is using storm troopers to crush the truckers on behalf of his bosses at the World Economic Forum). If one cares about the fact that the world is on the wrong track, the remedy is to set 8 billion people free, let them use their voice, get out of their way, and let them create from their own intuitive sense of wonder and purpose. The remedy for the problems the world is facing right now is to allow 8 billion people to experience their own personal sense of agency. And what these technocrats will propose instead is to micromanage the global population through behavioral economics and bio-fascism.

I’ll even go one step further. You want a trillion dollars a year in global economic stimulus? Abandon the vaccine program worldwide immediately and permanently. Pharma is inflicting a trillion dollars a year in iatrogenic injury worldwide via vaccine programs. Pharma gets paid hundreds of billions of dollars for toxic vaccines and 5x to 10x more for patented treatments for the chronic conditions caused by vaccines. It’s the most corrupt business model since the Middle Passage. As governments around the world run out of money in the coming years and cannot print more without triggering hyperinflation (as is already happening in the U.S.), abandoning the vaccine program will be the ONLY way of injecting economic stimulus into the economy.

Some people are not able to hear this yet. But as our economic and political systems collapse over the coming years under the weight of Pharma fascism, what I’ve just described will eventually become common sense.


Blessings to the warriors! 🙌

Prayers for the truckers! 🙏

Overthrow the bougiecrats! ✊

In the comments, please let me know — if you had one wish for the world, that you knew would be granted, what would it be?

Tentative de dissimulation des données DMED par le Pentagone – par Thomas Renz.

Note du 27/11: attention, le contenu de cet article a depuis été démenti par Matthew Crawford ici (en anglais). Comme je le relaye dans ce récent article, « les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. »


Suite de cet article, au sujet des données de facturation médicale fuitées du Ministère de la Défense américain.

Le Pentagone réagit à cette publication en expliquant le plus sérieusement du monde que les données de base (2016-2020) utilisées pour la comparasion avec l’année 2021 étaient faussées par un problème [glitch] informatique. Mes anciens lecteurs se souviendront que ce genre d’excuse surréaliste a déja été employée pour expliquer depuis 2001 la disparition pure et simple de 21 trillions de dollars du budget de l’armée. On se souviendra aussi de la tendance à utiliser les forces armées comme cobaye pour ensuite en nier les conséquences, notamment lors de la guerre du Golfe, où les effets secondaires du vaccin contre l’anthrax avaient été rebaptisés Gulf War Syndrome.

Première remarque, on nous prend vraiment pour des cons, ce qui n’est pas un scoop. On a encore droit au niveau mensonge de gosse – encore plus énorme que le coup du passeport du terroriste intact après le 11 septembre. Deuxièmement, ce n’est pas ici Pfizer qui ment sur la qualité de son produit, ni une vaseuse histoire d’espion chinois ou de hackers russes qui auraient compromis/falsifié des données informatiques, c’est le Pentagone lui-même qui camoufle des informations cruciales pour la sécurité nationale des Etats-Unis.

Petite mise à jour sur la situation Russie-Ukraine: l’armée russe vient de déplacer 5.200 wagons de matériel militaire. Pour donner une idée, c’est le double du record précédent de 2.600 wagons. Si les analystes non-alignés, qui nous expliquent que c’est juste un exercice, ont raison – et donc qu’il n’y aura pas d’invasion – c’est une démonstration de force assez inédite, qui suffirait peut-être à détruire toute notion de supériorité tactique de l’OTAN.

Dans le cas contraire, le moment pour une intervention militaire ne serait pas tellement mal choisi. Non seulement la menace de sanctions économiques n’a strictement aucun poids mais on peut imaginer en se basant sur les données de l’article ci-dessous, que l’armée US se trouve dans un état épouvantable (détaillé dans le rapport du Lieutenant Colonel Theresa Long), situation qui n’est pas sans rappeler ce qu’avait théorisé le Dr Merritt il y a un an à propos du virus: une guerre de cinquième génération, avec la nuance que ce n’est pas l’ennemi qui déploie l’arme furtive sur la cible mais sa propre autorité militaire. Ça ferait donc partie du processus de démantèlement des Etats-Unis, organisé de l’intérieur. C’est ce que constate Jim Stone dans cet article et ce que confirme Catherine Austin-Fitts dans celui-ci.

La suite des événements nous éclairera à ce sujet.

Pendant ce temps, on a droit aux deux narratifs d’usage, les pro- et les anti-, dont l’objectif est de nous vendre une opposition entièrement fabriquée entre peuples essentiellement similaires, qui auraient tout pour vivre en paix s’ils n’étaient pas manipulés depuis le sommet, un peu comme les Français et les Allemands lors des deux précédentes « guerres mondiales », voulues et financées des deux côtés par la Banque.

Source.


Traduction

Les données DMED des lanceurs d’alerte de Renz révèlent des pics incroyablement inquiétants de lésions dues aux vaccins dans tous les domaines.

Augmentation de 279% des fausses couches
Augmentation de 487% des cas de cancers du sein
Augmentation de 1048% des cas de lésions du système nerveux
Augmentation de 155 % des cas de malformations congénitales
Augmentation de 350% des cas d’infertilité masculine
Augmentation de 369% des cas de cancer du testicule
Augmentation de 2181% des cas d’hypertension artérielle
Augmentation de 664% des cas de tumeurs malignes
Augmentation de 680% des cas de sclérose en plaques
Augmentation de 551 % des cas de syndrome de Guillain-Barré
Augmentation de 468% des cas d’embolie pulmonaire
Augmentation de 302% des cas de tachycardie
Augmentation de 452% des cas de migraine
Augmentation de 471% des cas d’infertilité féminine
Augmentation de 437% des cas de troubles de la fonction ovarienne
Augmentation de 269% des cas d’infarctus du myocarde
Augmentation de 291% des cas de paralysie de Bell
Augmentation de 467% des cas d’embolie pulmonaire

Lors du panel organisé par le Sénateur Ron Johnson intitulé Covid-19 : A Second Opinion, l’avocat Tom Renz a révélé des informations provenant de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) qui montrent une augmentation radicale des lésions du personnel militaire depuis que les injections du vaccin Covid-19 ont été imposées à l’armée américaine. Regardez l’intégralité du panel du Sénateur Johnson ici

L’avocat Tom Renz déclare : « Les données des lanceurs d’alerte, cette base de données DMED, ont fourni un genre de groupe de contrôle. Il s’agit de dossiers militaires remontant à plusieurs années qui attribuent des codes médicaux pour divers problèmes médicaux auxquels nos militaires sont confrontés, comme des cancers, des fausses couches, des troubles neurologiques, etc. Ces dossiers fournis par trois médecins militaires, des héros à mes yeux, constituent un historique de ce qu’était la santé des militaires américains avant 2021, année de la sortie du vaccin Covid. Ce que nous voyons est assez troublant. De 2016 à 2020, toutes les fluctuations des conditions médicales restent cohérentes. Mais en 2021, lorsque la variable du vaccin est imposée, le nombre de cancers, de fausses couches, d’infertilité, etc. augmente de plusieurs centaines à plusieurs milliers de pour cent. Permettez-moi d’être très clair. Ces vaccins blessent et parfois même tuent nos militaires, et ceux qui, dans le public, se laissent convaincre par le slogan « sûr et efficace ». Ces chiffres le prouvent sans l’ombre d’un doute ».

Depuis les révélations de Renz au panel du Sénateur Johnson, plusieurs médias ont relayé ces données accablantes.

Horowitz: Des dénonciateurs partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent grand le débat sur la sécurité des vaccins – TheBlaze

L’avocat Thomas Renz: les fausses couches et les cancers ont augmenté de 300%, les problèmes neurologiques de 1000% au cours de l’année écoulée ‘ American Greatness (amgreatness.com)

Choc: RENZ DÉVOILE D’AUTRES DONNÉES DES LANCEURS D’ALERTE A PROPOS DES EFFETS DU VACCIN SUR OAN-TV AVEC DAN BALL (rumble.com)

Nous avons vu l’aiguille et les dégâts causés – American Thinker

DMED change la donne en matière de sécurité des vaccins – Ricochet

L’avocat Thomas Renz: les fausses couches et les cancers ont augmenté de 300 %, les problèmes neurologiques de 1000% l’année dernière – The Ohio Star

Une semaine plus tard, une fois la vérité accablante révélée, le DOD et la Trusted News Initiative, ainsi que les organisations de fact checking ont décidé de tenter de manipuler les chiffres pour dissimuler la vérité: les vaccins sont mortels et causent des lésions graves à des taux alarmants. L’avocat Renz déclare: « Pour croire ces tout nouveaux chiffres du DOD, il faut croire que le DOD a sous-déclaré tous les cas dans cette base de données militaire d’environ 20 millions de cas par an, pendant 5 ans. Ils, le DOD, prétendent maintenant qu’ils ont sous-déclaré les cas de 1000% pendant 5 ans. » Renz ajoute « Oui, mes amis, c’est à cela que ressemble une dissimulation. »

Horowitz: Un porte-parole militaire affirme que 5 années aléatoires du système de surveillance médicale du DOD ont été affectées par un énorme glitch – TheBlaze

Politifact qualifie de ‘fausses’ les données médicales chocs du DoD en raison d’un ‘problème dans la base de données’ ‘ American Greatness (amgreatness.com)

Les tentatives de dissimulation des fact checkers

PolitiFact: Les chiffres étaient basés sur des données erronées, selon un porte-parole de l’armée.

Fact check: Le Pentagone affirme que les chiffres des lésions causées par le vaccin COVID n’étaient pas basés sur des données exactes.

Vous trouverez ci-dessous une comparaison côte à côte des chiffres fournis par nos lanceurs d’alerte à l’avocat Tom Renz, et des nouveaux chiffres mis à jour par le DOD.

Les graphiques datés du 19 janvier 2022 [à gauche], qui montrent d’énormes pics de lésions en 2021, sont les données originales authentiques des lanceurs d’alerte.

Les graphiques datés du 31 janvier 2022 [à droite] sont les nouveaux chiffres créés par le Ministère de la Défense qui ont modifié 5 années de données pour cacher la vérité.

Par exemple :


Texte original

Renz Whistleblowers DMED DATA Reveals Incredibly Disturbing Spikes in Vaccine Injuries Across the Board

279% SPIKE in Miscarriages
487% SPIKE in Breast Cancer
1048% SPIKE in the Nervous System
155% SPIKE in Birth Defects
350% SPIKE in Male Infertility
369% SPIKE in Testicular Cancer
2181% SPIKE in Hypertension
664% SPIKE in Malignant Neoplasms
680% SPIKE in Multiple Sclerosis
551% SPIKE in Guillain-Barre Syndrome
468% SPIKE in Pulmonary Embolism
302% SPIKE in Tachycardia
452% SPIKE in Migraines
471% SPIKE in Female Infertility
437% SPIKE in Ovarian Dysfunction
269% SPIKE in Myocardial infarction
291% SPIKE in Bell’s palsy
467% SPIKE in Pulmonary Embolism

At Senator Ron Johnson’s panel Covid-19: A Second OpinionAttorney Tom Renz revealed Whistleblower information from the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) which showed a radical increase in injury to military personnel since the Covid-19 vaccine injections were demanded of the U.S. Military.  Watch Entire Sen. Johnson Panel Here

Attorney Tom Renz says “The Whistleblower data, this DMED database, has provided a control group of sorts. It’s military records dating back several years that supply medical codes for various medical issues that our military face such as cancers, miscarriages, neurological disorders etc. These records provided by three military doctors, heroes in my world, show a historical baseline of what the health of the American military was like before 2021, the year the Covid vaccine was released. What you see is quite disturbing. From 2016 to 2020 all variations of medical conditions stay consistent. But in 2021, when the variable of the vaccine is mandated, the spike in cancers, miscarriages, infertility, you name it, jumps by factors of hundreds to thousands of percent. Let me be crystal clear. These vaccines are injuring and sometimes even killing our military, and those in the public that are buying the ‘safe and effective’ marketing. These numbers prove it beyond a shadow of a doubt.”

Since Renz revelations at Senator Johnson panel, several news outlets have been reporting this damning data.

Horowitz: Whistleblowers share DOD medical data that blows vaccine safety debate wide open – TheBlaze

Lawyer Thomas Renz: Miscarriages and Cancers Up 300%, Neurological Problems Up 1000% in Past Year › American Greatness (amgreatness.com)

Shocking: RENZ UNLOADS MORE VACCINE INJURY WHISTLEBLOWER DATA ON OAN-TV WITH DAN BALL (rumble.com)

We’ve seen the needle and the damage done – American Thinker

DMED Is a Game-changer on Vaccine Safety – Ricochet

Lawyer Thomas Renz: Miscarriages and Cancers Up 300 Percent, Neurological Problems Up 1000 Percent in Past Year – The Ohio Star

A week later, once the damning truth was revealed, the DOD and the Trusted News Initiative, as well as Fact Check organizations decided to attempt to manipulate the numbers to cover-up the truth; the vaccines are deadly and cause severe injury at alarming rates. Attorney Renz says “To believe these brand-new DOD numbers you have to believe that the DOD under-reported all cases on this military database by around 20 million per year, for 5 years. They, the DOD, are now claiming that they have been underreporting cases by 1000% for 5 years.”
Renz adds “Yes, my friends, this is what a cover-up looks like.”

Horowitz: Military spokesman claims 5 random years of DOD medical surveillance system were plagued by a giant glitch – TheBlaze

Politifact Rates Shocking DoD Medical Data as ‘False’ Because of a ‘Glitch in the Database’ › American Greatness (amgreatness.com)

The Cover-up Stories from the Fact Checkers

PolitiFact | Numbers were based on faulty data, military spokesperson says
Fact Check: DOD Whistleblowers’ ‘Mind Blowing COVID Vaccine Injury Numbers’ Were NOT Based On Accurate Data, Pentagon Says | Lead Stories

Below you will find a side-by-side comparison of the numbers our Whistleblowers gave Attorney Tom Renz, and the new updated numbers the DOD created.
The graphs dated 1/19/2022 which show huge spikes in injuries in 2021 are the original Whistleblower authentic data.

The graphs dated 1/31/2022 are the new DOD creative numbers which changed 5 years’ worth of data to hide the truth.

 For Example:

Nouvelles en vrac, troisième édition.

Plutôt que l’amour, que l’argent, que la gloire, donnez-moi la vérité. – Henry David Thoreau

Décès du Pr Luc Montagnier

C’est France-Soir qui l’a annoncé mercredi. Nous perdons un courageux scientifique.

Matthew Ehret – un brillant auteur qui travaille un peu trop pour la Chine à mon goût – a publié cet excellent article sur la recherche menée par le Professeur, ses découvertes et leurs implications. Je vais tenter de trouver le temps de le traduire. Si vous parlez la langue, n’hésitez pas à aller le lire. Vous pouvez éventuellement utiliser ce traducteur automatique.

GoFuckYourself

Long article du 5 février sur ZeroHedge, mis à jour, que je tente de résumer.

La plateforme GoFundMe avait récolté 9 millions de dollars de dons pour le Freedom Convoy canadien, somme qui leur permettrait de tenir le siège pendant quatre ans. Après avoir refusé d’obtempérer aux ordres du gouvernement canadien qui leur demandait de bloquer cette somme, GoFundMe en a initialement distribué un million aux bénéficiaires, les camionneurs, dont la revendication unique – contrairement à ce qui est relaté dans les médias – est la fin de l’obligation vaccinale, pour ensuite revenir sur sa décision.

Après le blocage de la ville d’Ottawa, de nombreuse villes canadiennes sont aujourd’hui paralysées. Exemple:

GoFundMe a ensuite aimablement proposé aux donateurs de réclamer un remboursement, faute de quoi les dons seraient distribués à des « oeuvres » de leur choix, possiblement des organes tels que BlackLivesMatter ou Antifa, pour qui ils ont déjà levé des fonds sans rechigner. Devant le risque de se voir réclamer 15$ par remboursement, GoFundMe a finalement procédé à un remboursement automatique.

Au moins deux nouvelles levées de fonds ont été faites depuis, une via GiveSendGo, qui a levé plus de neuf millions de dollars et via la plateforme Tallycoin, qui avait déjà levé 700.000$ le lendemain de l’annonce de GoFundMe – et plus de 900.000$ à l’heure ou j’écris ces lignes.

La police d’Ottawa menace de représailles en justice les participants au Freedom Convoy et les donateurs, décrits comme des agitateurs violents d’extrême-droite dans des médias qui font semblant de ne pas comprendre le sens réel des croix gammées taguées sur les bâtiments gouvernementaux.

Un Freedom Convoy (ou Convoi de la Liberté) européen se déroule en ce moment à Paris, où la police et l’armée ont été déployés. La police a d’ores et déjà exercé des violences sur la foule.

Pour plus d’infos, vous pouvez suivre ce fil sur Twitter. J’ai passé la soirée à le parcourir, ainsi que les fils connexes qui renvoient vers d’autres Convois et soulèvements populaires dans de nombreux autres pays. Ce convoi se rendra lundi à Bruxelles.

Nous vivons des moments historiques.

Mise à jour 27/02: un nouveau convoi parcourt les Etats-Unis et se dirige vers Washington, ici, ici et ici. En Europe, plus rien pour l’instant. On est trop occupés à avoir peur de la Russie, apparemment.

Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. – JFK

Athlètes morts: mise à jour

Selon l’article mentionné sur cette page publiée le 27 décembre, les chiffres des arrêts cardiaques et des morts soudaines chez les sportifs injectés étaient alors respectivement de 383 et 220. Ils sont aujourd’hui de 642 et 398. Ils ont donc presque doublé en un mois et demi.

Gary Dempsey: Je suis joueur professionnel depuis presque 20 ans. Depuis 1996 [alors ça fait 25 ans, non?]. J’ai joué près de 500 matches. Dans des clubs et en international. Je n’y ai absolument jamais vu d’arrêt cardiaque. Ni dans le public, ni chez les joueurs. C’est vraiment très inquiétant.

A propos de ces chiffres, le Washington Post – donc la CIA – vous expliquera ceci:

« L’histoire d’athlètes morts à cause de vaccins contre le coronavirus trouve son origine dans de mystérieux sites Internet autrichiens liés au parti populiste d’extrême droite de ce pays, le Parti de la Liberté. »

Je suppose qu’il faut donc aussi considérer ce simple montage vidéo comme un pamphlet néo-nazi.

Récapitulons.

Vous êtes contre l’obligation vaccinale? Vous êtes d’extrême-droite.

Vous comptez les athlètes morts? Vous êtes d’extrême-droite.

Il fut un temps où il fallait au moins afficher une vague tendance politique – par exemple, ne pas être complètement de gauche – pour mériter cette étiquette. C’est désormais superflu, même si vous êtes de gauche: il suffit de vouloir rester en vie. Les seuls gauchistes autorisés sont ceux qui souhaitent la mort des non-injectés.

Attendez, il y a mieux.

Terroristes

La Maison Blanche lance un assaut sans précédent contre la liberté d’expression en Amérique. Elle ne se contente plus de contraindre les entreprises de médias sociaux à effacer les opinions dissidentes. Elle semble préparer le terrain pour recourir aux pouvoirs de la police fédérale.

Comment lire autrement le « National Terrorism Advisory System Bulletin » publié mardi par le Département de la Sécurité Intérieure? Sa première phrase:

SYNTHÈSE DE LA MENACE TERRORISTE POUR LES ÉTATS-UNIS: Les États-Unis demeurent dans un environnement de menace accrue alimenté par plusieurs facteurs, notamment un environnement en ligne qui abonde en récits faux ou trompeurs et en théories du complot… [c’est moi qui souligne]

Vous avez bien lu.

Le gouvernement affirme maintenant que les « récits trompeurs » sont le vecteur le plus dangereux du terrorisme contre les États-Unis.

La phrase suivante du bulletin:

Ces acteurs de la menace visent à exacerber les frictions sociétales dans le but de semer la discorde et de saper la confiance du public dans les institutions gouvernementales afin d’encourager une agitation qui pourrait potentiellement inspirer des actes de violence. [c’est moi qui souligne]

Vous avez encore bien lu.

Une agence fédérale déclare que le fait de « saper la confiance du public dans les institutions gouvernementales » est désormais considéré comme terrorisme. Le propos ne doit même pas inciter à la rébellion ou à la violence en général, et encore moins contre quelqu’un en particulier. Il doit juste « potentiellement inspirer » la violence.

Merci à Alex Berenson pour cet extrait de son article.

Psychopathes

Pour un point de vue intéressant sur ce genre de folie furieuse, voir également cet article.

Kylie Whiting: Quel est le meilleur endroit pour faire vacciner une enfant de 8 ans effrayée? J’aimerais qu’ils en fassent un événement important. Elle m’a vu m’effondrer après ma deuxième dose et elle a peur.

Cass Duncan: J’ai vécu la même situation et mes trois enfants (8 ans, 6 ans et 4 ans) ont vu qu’on a dû m’emmener en ambulance aux urgences après la deuxième dose. Je les ai emmenés à la clinique pour enfants Your GP Crace. C’était fantastique, des ballons et des sucettes et pas d’attente donc pas de risque d’anxiété.

Merci à Toby Rogers pour cette info complètement surréaliste, et pour ce qui suit.

Victoire!

Pfizer est contraint de retirer sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence d’injections destinées aux enfants de moins de 5 ans devant la vive réaction de l’opinion publique.

Wow! Première page, au-dessus du pli, du NY Times:

Revirement, la FDA retarde sa décision sur les vaccins pour les enfants de moins de 5 ans.

« L’agence et Pfizer-BioNTech ont déclaré qu’ils attendraient des données sur l’efficacité de trois doses du vaccin Covid de la société dans ce groupe d’âge avant de décider si l’on autorise un vaccin à deux doses. »

Que ce soit bien clair – C’EST GRACE A NOUS !!!

Grâce à mon Substack, j’ai lancé le premier appel à l’action pour s’opposer à la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence de Pfizer pour les enfants de moins de 5 ans – dans les 24 heures suivant son annonce.

Tous les grands groupes de défense des libertés médicales ont rapidement suivi le mouvement.

Notre message était simple: « La FDA ne doit pas approuver pour les enfants un médicament qui a échoué lors de l’essai clinique ».

Nous avons envoyé des dizaines de milliers de courriels, d’appels, de télécopies et de lettres aux responsables de la FDA. Nous avons soumis des milliers de commentaires officiels via le site web de la FDA. Notre campagne était en train de toucher le grand public et la position de la FDA était scientifiquement indéfendable. Pfizer et la FDA ont donc été contraints de retirer cette demande illégale.

NOTRE APPEL À L’ACTION A FONCTIONNÉ !!!!!!!!!

L’article complet est ici.

Crises cardiaques

La science progresse à grands pas, comme on l’a vu ces derniers mois. Le montage ci-dessus nous informe de quelques facteurs de risque de crise cardiaque nouvellement découverts:

Nous avons aussi:

Et le meilleur pour la fin:

Les NHS (National Health Services) anglais ont donc lancé une campagne nationale pour inciter les gens à appeler les services d’urgence dès les premiers signes – c’est délicat de leur part.

Curieusement – excepté celui sur les fans de foot – tous ces articles datent de fin 2021, début 2022. Ils ont pourtant omis un facteur de risque dans cette liste.

Vous voyez lequel?

Ukraine, avant, après et au-delà

J’ai déjà fait le tour de la question mais j’y reviens néanmoins parce que ce que je lis sur le sujet est d’un niveau atterrant – et c’est écrit par des spécialistes.

La question est: Poutine va-t-il envahir l’Ukraine?

Si on ouvre un livre d’Histoire – ou si on fait appel à sa mémoire – il y a un lien à faire avec un autre pays intialement anéanti économiquement, qui s’est ensuite redressé sous l’influence d’un chef d’Etat déterminé, par une politique nationaliste et un investissement massif dans son arsenal militaire, et qui, face à une pression économique et militaire organisée au niveau international et à une menace directe sur la vie de ses concitoyens isolés derrière la frontière d’un pays voisin – tracée en dépit du sens commun – décida l’invasion dudit pays voisin.

C’était en 1939, ce pays était l’Allemagne et la question était: Hitler va-t-il envahir la Pologne?

Combien de fois faudra-t-il que ce scénario soit rejoué avant d’être dénoncé pour ce qu’il est? Une redistribution des cartes planifiée, avec des gagnants et des perdants connus à l’avance. Et dont nous serons encore les perdants.

L’Europe dévastée fut colonisée dès 1945 par le nouveau pôle de domination: les Etats-Unis, qui disposaient de la capacité de production nécessaire à travers leur empire mondial et de leur force militaire nationale pour imposer leur modèle économique et leur monnaie, consolidée par les accords de Bretton Woods. Comme l’écrivait Thomas Friedmann,

« McDonald’s ne pourrait pas prospérer sans McDonnell Douglas ».

Le nouveau paradigme global fera cette fois de la Chine la nouvelle zone de production (ce qu’elle est déjà de facto) et de la Russie la nouvelle force de dissuasion militaire. Alexandre Dougine, l’intellectuel russe va-t-en-guerre remplit ici le rôle des neocons américains. Tout ça est assez transparent.

A l’attention des lecteurs obtus, je ne compare pas la personne de Poutine à celle de « Hitler », à savoir, l’agent dépéché par la finance internationale, Adolf Jacob Hiller, dont la mission fut la mise à genoux de l’Europe suivie par celle de l’Allemagne après sa défaite programmée. Je trouve en fait la gouvernance de Poutine assez convaincante, et je pense exactement la même chose de celle de Trump – et en passant, j’apprécie aussi beaucoup leur sens de l’humour. Là n’est pas la question.

La question est que tous ces gens nous maintiennent en état de subjugation en nous mentant en permanence sur beaucoup trop de sujets et surtout sur le seul sujet essentiel: nous n’avons pas besoin d’eux. Nous n’avons besoin ni de leur protection, ni de leur autorisation et encore moins de leur libération. Le seul pouvoir qu’ils détiennent est celui que nous leur accordons, et nous leur en avons accordé beaucoup trop.

Nous sommes, et nous avons toujours été libres. C’est ce moment dans l’Histoire où il est urgent pour tous d’avoir le courage de le voir, pour qu’au moins nos enfants le soient.

Des hommes et des femmes qui conduisent des camions l’ont vu.

La désobéissance est le véritable fondement de la liberté. Les obéissants seront esclaves. – Henry David Thoreau

Brock Hobb
Katie Hepburn
Nabil Yaghi
Odia Jean-Pierre
Randy
Sébastien Fortin

Go Canada – par Miles Mathis.

Ça fait un moment que j’observe un changement de ton chez les mouthpieces (les porte-voix) de la grande opération Corona: certains tournent leur veste à la dernière minute – comme si on allait tout oublier, tout pardonner – ou se raccrochent au branches – genre, on vient seulement de comprendre – tandis que les plus téméraires durcissent le ton, totalement inconscients qu’ils continuent à canarder pour le compte de maîtres qui plient bagage pour aller se planquer dans leurs bunkers en Nouvelle-Zélande et qui ne seront plus là pour les sauver quand ça va mal tourner pour eux. Ce qui est en train de nettement se profiler à l’horizon.

Miles démonte un de ces imprévoyants crétins dans l’article ci-dessous et en profite pour faire le point sur la situation au Canada et bientôt, sans doute, chez nous – ça va dépendre un peu de nous tous. Il est temps de dire les choses clairement et d’aller à l’essentiel, donc je suis content de retrouver Miles dans sa prose la plus incisive. Ses laborieuses analyses généalogiques me gonflent un peu, tout comme les interminables papiers de Whitney Webb sur Unlimited Hangout, très informatifs mais qui auraient davantage leur place devant un tribunal que sur un blog – enfin, c’est juste mon avis et j’en traduirai bien un un jour ou l’autre, quand j’aurai un peu rattrapé mon retard dans mes publications.

A propos de tribunal, celui mis en place par Reiner Fuellmich vient enfin de commencer à siéger. Vous trouverez une vidéo – non sous-titrée – du premier jour de déposition sur Rumble, ici.

Et maintenant, en route pour la révolution des camions.

Merci d’avance à ceux qui diffuseront.

Source.


Traduction

GO CANADA

Comment on sait que le Convoi de la Liberté au Canada est réel

par Miles Mathis

Première publication le 3 février 2022
J’ai écrit 16 articles en janvier, si vous avez fait le compte.

Ça se voit au degré de haine que lui vouent les services secrets américains. Le principal porte-voix des services de renseignement américains est le Washington Post, alors voyons ce que le Post pense du Freedom Convoy. Dans cet article de David Moscrop, nous assistons à des niveaux de mensonge rarement atteints par les médias grand public, ce qui n’est pas peu dire. Il entame le gros mensonge par ceci:

Les estimations de la taille du convoi varient. Je ne ferai pas d’estimation. Plus grand qu’une corbeille à pain, plus petit que le mur d’Hadrien. Des centaines de camions et de véhicules personnels, selon certaines estimations.

Des centaines, selon certaines estimations. Hmmm. Qui a fait une estimation de quelques centaines? Tu peux nous le dire Davy Boy, espèce de remora suceur de merde collé au cul de Pfizer? Absolument personne n’a estimé ce nombre à plusieurs centaines, vu que ça reviendrait à omettre environ trois zéros. Le chiffre réel est plus proche de 100.000 véhicules au total, et même ça, à la date d’aujourd’hui, est peut-être encore une sous-estimation.

Ensuite, Davy Dampshorts [NdT. un petit surnom plaisant qui donnerait en français « caleçon humide »] compare le Convoi à la manifestation du 6 janvier: une « insurrection » violente, sommes-nous censés penser, plus effrayante que le 11 septembre ou Pearl Harbor! Sauf que, tout comme ces précédents événements, le 6 janvier est aussi une pure fabrication de ses copains d’Intel [NdT. les services de renseignement]. Tout le monde est maintenant au courant, Davy, donc la seule personne que tu trompes, c’est ton éditeur, qui reste apparemment persuadé que tu sais écrire. Le 6 janvier a été provoqué par l’Air Force, la CIA et le FBI, ce que certains médias grand public ont déjà bien compris – voir Tucker Carlson. Ensuite, il écrit,

A chaque fois, nous tirons une leçon, ou du moins nous y sommes confrontés, qui nous enseigne qu’il n’est pas possible de faire entendre raison à ces anti-gouvernementaux enragés.

Ah, donc Davy nous prépare à une réponse à la Reagan, comme en 1969 à Berkeley, où la Garde Nationale a été envoyée pour tirer sur des hippies pacifiques qui prononçaient des discours anti-guerre dans un bête jardin. Je vous rappelle ce que Reagan a dit quelques mois après Kent State [NdT. en bédé ici], et je cite : « S’il faut un bain de sang, finissons-en. Plus d’apaisement ». C’est ainsi que le gouvernement considère les vrais manifestants, voyez-vous. Il autorise les faux manifestants BLM et Antifa à provoquer des émeutes, mais les gens du peuple qui refusent les injonctions de vaccins mortels, « on ne peut pas leur faire entendre raison ». Heureux de savoir que tu vois les choses de cette façon, Davy, ça pourrait servir dans des procès à venir. Le tien.

L’erreur de calcul est ici palpable, car il y a zéro possibilité que la majorité des Américains gobe ce discours de Moscrop, du Post ou de qui que ce soit d’autre, pas après les événements de ces deux dernières années. Au cas où Moscrop ne l’aurait pas remarqué, le soutien au gouvernement n’a jamais été aussi bas. Selon des sondages récents, seuls 10% environ ont déclaré faire confiance aux médias, et ces 10% sont probablement des téléspectateurs de Tucker, pas des amis du Post. Personne n’aime les petits fouineurs du genre Moscrop, ni ne sont prêts à le suivre, et des articles comme celui-ci ne font que renforcer notre mépris à son égard.

Ces écrivains et rédacteurs en chef du Post et d’autres journaux de ce genre ne semblent pas avoir compris le message. Ils semblent penser qu’ils peuvent encore obtenir l’assentiment du public en recourant aux mêmes vieux stratagèmes éculés, mais ça n’est pas le cas. Nous ne sommes plus dans les années 60. A l’époque, ils avaient encore Cronkite pour les représenter. Maintenant ils ont Joe Scarborough et Brian Stelter et Joy Reed. Dans les années 60, les gens faisaient encore confiance aux infos. En majorité, ils faisaient confiance au gouvernement. Maintenant, c’est fini. Quasiment plus personne ne lit le Post, et des articles comme celui-ci ne feront que faire fuir les quelques lecteurs qu’il leur reste en dehors de Langley [NdT. là où se trouve le siège de la CIA].

Ensuite, Davy écrit ceci

Le convoi est, en grande partie, un groupe marginal – une minorité malheureuse au sein de laquelle se cache une autre minorité d’extrémistes insidieux.

« Extrémistes insidieux ». Laisse-moi rire. Les seuls extrémistes insidieux, à ma connaissance, sont les milliardaires et leurs laquais, prêts à faire n’importe quoi et à commettre n’importe quel crime pour de l’argent. Mais c’est le discours que les services de renseignement du monde entier ont décidé de tenir, je présume, puisque Trudeau dit exactement la même chose dans les mêmes termes depuis son petit bunker, où il est retranché avec sa garde prétorienne, son ours en peluche et ses anciens numéros de Playgirl. Il ne manque plus que l’étiquette « sponsorisé par Pfizer ». Depuis que Moscrop a écrit ces lignes il y a quelques jours, ce « groupe marginal » s’est révélé être composé de la majorité des Canadiens, qui ont rejoint la révolution par millions. Ils se massent le long des autoroutes du Canada pour encourager les camionneurs, alors qu’on est en plein hiver et que les températures peuvent descendre jusqu’à -30°. Et vous savez quoi, cette révolution est en passe de débarquer dans une ville près de chez vous, puisque des convois similaires sont attendus prochainement aux États-Unis, en Australie et en Europe. Vous et vos amis du renseignement, Davy, feriez mieux de commencer à vous trouver des refuges dès maintenant et à rassembler vos objets de valeur – vos collections de vis à ailettes, d’oiseaux morts et de bustiers XXL. Vous ne voudriez pas vous retrouver dans votre bureau en train de taper à la machine lorsque le convoi encerclera le Post et les quartiers généraux de la CIA. On s’est toujours demandé quel serait le tocsin de cette révolution, et il semble que ce soit les camionneurs. Ensuite, nous avons cette menace:

Quoi qu’il en soit, il ne faut ni les ignorer ni les apaiser. Au contraire, le convoi et ses partisans doivent être confrontés à un contre-mouvement qui refuse de leur céder le moindre terrain et qui, au contraire, concentrera les efforts nationaux, sous-nationaux et locaux sur les véritables menaces à la liberté, qui existent bel et bien.

La réponse du Canada au convoi devrait être une ligne de résistance stricte qui renforce ou, dans certains cas, instaure au moins un soutien à la résistance contre la haine, aux mesures de lutte contre les pandémies, aux mandats de vaccination et à une politique médiatique qui refuse de présenter, d’humaniser ou, Dieu nous en préserve, de glorifier le convoi et ses membres au-delà de la simple nécessité de parler de leur existence et de définir un programme de riposte.

On sait ce que ça signifie. La réponse aux protestations contre la tyrannie et la censure, c’est un appel à en rajouter – une double dose. Et quand ça échouera inévitablement, ça voudra dire que ces gens, finalement pris en flagrant délit de leurs crimes, ont l’intention de faire appel à l’armée pour les sauver. Mais ça ne marchera pas non plus, parce qu’ils n’ont pas encore assez purgé leur armée. Pour être honnête, la purge de l’armée ne pouvait pas réussir, car pour purger l’armée jusqu’à y garder leurs seuls partisans, il leur aurait fallu le faire jusqu’à ce qu’il ne reste qu’une centaine de soldats. Personne dans le peuple ne les soutient, donc je pense que nous allons voir les gardes nationaux et les troupes fédérales se ranger de notre côté dans la révolution. Que restera-il aux Phéniciens? Comme je l’ai dit, je ne pense pas qu’ils y aient bien réfléchi.

Je les avertis depuis des années qu’ils allaient trop loin, mais ont-ils écouté ? Non. [NdT. je les ai également avertis]

En 1969, les gens ne savaient pas ce qu’ils savent maintenant de leur gouvernement et de leurs gouverneurs. Donc quand la Garde Nationale se mit à tirer sur les hippies, la plupart des gens détournèrent le regard. Ça ne marchera pas cette fois. Je vais vous donner un exemple. Au Canada, ils essaient de remorquer les camions, mais tous les remorqueurs prétendent avoir le Covid et refusent de se présenter. Ou alors ils se joignent au convoi. Aujourd’hui, des agriculteurs locaux ont rejoint le convoi. La police locale refuse de suivre les ordres des fédéraux. Les shérifs locaux refusent d’agir. Ils tentent d’affamer les camionneurs, mais les gens du coin leur apportent de la nourriture. Grâce aux dons, les camionneurs ont assez de fonds pour rester là pendant quatre ans. Ils ont des sources de revenus plus importantes que des comtés entiers: déjà 8 millions de dollars sur GoFundMe. Le conseil municipal d’Ottawa demande la saisie de ces fonds, mais ces tyrans ne font que sceller leur propre perte. Leurs carrières sont désormais terminées.

Et si le gouvernement du Canada se met à tirer sur les camionneurs – ce qui est possible – la situation deviendra encore pire pour les gouverneurs. Cela peut tourner en une véritable révolution, avec des têtes qui tombent. Une fois que l’armée change de camp, tout est possible, y compris les pendaisons ou les pelotons d’exécution. Rappelez-vous il y a quelques années, lorsqu’un Bush a été pris sur le vif en train de dire que si les gens savaient ce qui se passait, ils finiraient tous pendus à des lampadaires? Eh bien, on pourrait en arriver là. Alors vas-y et continue de doubler la mise, Davy. Je suis impatient de voir ça.

Ensuite, Davy se rabat sur ce vieux mensonge :

Par exemple, nous savons depuis un certain temps que l’extrémisme de droite en ligne est en hausse au Canada et que les crimes de haine continuent d’augmenter.

Le mensonge du SPLC [NdT. Le Southern Poverty Law Center (SPLC) est une association américaine qui se consacre à la promotion et à la pédagogie de la tolérance et à la surveillance de l’extrême droite]. Sauf que, là encore, nous savons tous que ce n’est pas vrai. Tout cet extrémisme de droite est également truqué. Comme le faux événement du 6 janvier, tous ces extrémistes de droite sont des agents de la CIA en costume, qui créent la division en la fabriquant dans leurs services théâtre, avec des acteurs de crise et du faux sang. Nous les avons surpris en train de le faire des milliers de fois, depuis des siècles. Voir par exemple des gens comme George Lincoln Rockwell, qui a créé le Parti Nazi Américain directement depuis les services secrets de la Marine.

Ils entretiennent la division depuis des décennies, des siècles et des millénaires, pour que nous continuions à nous battre les uns contre les autres au lieu de nous attaquer à eux. Noir contre blanc, homme contre femme, gauche contre droite. C’est de cela qu’il s’agit quand on parle de BLM, de #Metoo, de CRT et de tout le reste. Rien de tout ça n’est naturel. Tout a été conçu dans les donjons du gouvernement, des monstres fictifs qu’ils y ont élevés pour vous empêcher de voir les vrais monstres. La tyrannie actuelle n’a absolument rien à voir avec la suprématie blanche, le racisme, le sexisme ou l’extrémisme de gauche ou de droite. Elle est le fait de gens extrêmement riches qui s’attaquent à vous à des fins lucratives par le biais d’une cacophonie de mensonges fantastiques, comme ils l’ont fait tout au long de l’Histoire. Mais cette fois, ils y ont ajouté une fausse pandémie et un vrai vaccin mortel, en tirant profit non seulement de la confusion mais aussi d’un véritable meurtre prémédité à grande échelle.

Bill Gates, par exemple, n’est pas seulement un milliardaire philanthrope niais qui aime agiter ses bras de fillette. C’est un dangereux psychopathe qui a des lacs de sang sur les mains. Tony Fauci n’est pas seulement un perfide vendeur de vaccins qui ment au Congrès, c’est un monstre maléfique responsable de millions de morts. Ces gens existent, et ce ne sont pas des personnages de fiction comme Hannibal Lecter, alors vous feriez mieux de vous réveiller. Je le répète, ils tuent vos enfants, vos parents, vos maris, vos femmes et vos animaux domestiques, et ils le font de sang-froid, avec préméditation, à une échelle massive. Il y a une véritable guerre des mondes en ce moment, et ces gens et beaucoup de leurs semblables ont déclaré une guerre ouverte contre vous et les vôtres. Alors s’accroupir dans un coin et répéter « ce n’est pas possible » ne servira à rien.

Comme je ne cesse de le répéter, il faut choisir un camp, et je vous assure que David Moscrop et le Post ne sont pas du bon côté. Si vous en doutez, le langage de son article devrait suffire à vous en convaincre. Un bon psychologue qui débarquerait d’une autre planète, sans rien savoir de cette discussion ou de ce qui se passe ici sur Terre, identifierait immédiatement Moscrop comme un menteur, rien que par la forme de son langage. Tout ce qui sort de sa plume est de la propagande noire. Si ça ne vous saute pas aux yeux, je vous recommande de l’imprimer et de l’étudier la semaine prochaine, comme un devoir d’université. Si vous ne parvenez pas à voir en moins de dix secondes que Moscrop est un menteur, vous manquez de perspicacité.


Texte original

GO CANADA

How you can Tell the Freedom Convoy in Canada is Real

by Miles Mathis

First published February 3, 2022
I wrote 16 papers in January, if you are keeping score.

You can tell by how much US Intelligence hates it. The primary mouthpiece of US Intelligence is the Washington Post, so let’s see what the Post thinks of the Freedom Convoy. In this article from David Moscrop, we see levels of lying rarely touched by mainstream media, which is saying a lot. He starts off the big lie with this:

Estimates of the size of the convoy vary. I won’t estimate. Bigger than a breadbasket, smaller than Hadrian’s Wall. Hundreds of trucks and personal vehicles, by some estimates.

Hundreds, by some estimates. Hmmm. Who has estimated in the 100s? Can you tell us that Davy Boy, you scum-sucking remora on the butt of Pfizer? Precisely no one has estimated in the hundreds, since that would be leaving off about three zeroes. The real number is closer to 100,000 total vehicles, and even that may be a low estimate as of today.

Next, Davy Dampshorts compares the Convoy to the January 6 protest: a violent “insurrection” we are supposed to think, more frightening than 911 or Pearl Harbor! Except that, like those previous events, January 6 was also manufactured by his pals in Intel. Everybody knows that by now, Davy, so the only person you are fooling is your editor, who is apparently still under the impression you can write. January 6 was provocateured by Air Force, CIA, and FBI, and that has already been figured out by some mainstream outlets—see Tucker Carlson. Next he says,

Time and time again we learn the lesson, or at least come across it, that teaches us that rage-soaked antigovernment types can’t be reasoned with.

Ah, so Davy is prepping us for the Reagan response, a la 1969, Berkeley, where the National Guard is sent in to fire on peaceful hippies giving anti-war speeches in an actual garden. I remind you what Reagan said just a few months later after Kent State, and I quote: “If it takes bloodbath, let’s get it over with. No more appeasement”. That’s what the government thinks of real protestors, you know. It allows fake BLM and Antifa protestors to riot, but real people refusing deadly vaccine orders “can’t be reasoned with”. Good to know that is how you think, Davy, since it may come up in trials later. Yours.

The miscalculation here is palpable, since there is no chance the majority of Americans will be buying this line of talk from Moscrop or the Post or anyone else, not after the events of the past two years. In case Moscrop hasn’t noticed, pro-government sentiment is at an all-time low. In recent polls, only around 10% said they trusted the media, and those one-in-ten must be Tucker viewers—not friends of the Post. Nobody likes these weasley little guys like Moscrop, toting for the man, and articles like this only confirm our low opinion of him.

These writers and editors of the Post and places like that apparently aren’t getting the message. They seem to think they can still manufacture public sentiment in their favor with the old feints, but they can’t. This isn’t the 1960s. Back then they still had Cronkite fronting for them. Now they’ve got Joe Scarborough and Brian Stelter and Joy Reed. Back in the 1960s, people still trusted the news. For the most part, they trusted the government. Now they don’t. Almost no one is reading the Post, and articles like this will just drive off the few remaining readers they have outside Langley.

Next Davy says this

The convoy is, by and large, a fringe group — an unfortunate minority in which a further minority of insidious extremists lurk.

“Insidious extremists”. You have to laugh. The only insidious extremists I know are the billionaires and their lackies, willing to do anything and commit any crime for a buck. But that’s what worldwide Intel decided to go with, I guess, since Trudeau is saying exactly the same thing in the same words from his little bunker—where he is hunkered down with his Praetorian Guard, his teddy bear, and his back-issues of Playgirl. Now all we need is the tag “brought to you by Pfizer”. Since Moscrop wrote that a few days ago, this “fringe group” has turned out to consist of a majority of Canadians, who are joining the revolution by the millions. They are lining the highways of Canada to cheer the truckers on, even in the middle of the winter in temperatures down to -30. And guess what, this revolution is coming to a town near you, since similar convoys are coming soon in the US, Australia, and Europe. You and your pals in Intel, Davy, better start scoping out safehouses now and gathering together your valuables—your collections of thumbscrews, dead birds, and XXL a-cup bustiers. You don’t want to be caught in the office on the typewriter when the convoy surrounds the Post and CIA headquarters. We always wondered what the tocsin of this revolution would be, and it is looking like it is the truckers. Next we get this threat:

Either way, we shouldn’t ignore or placate them. Rather, the convoy and its supporters must be met with a counter-movement that refuses to give them an inch but, instead, focuses national, sub-national and local efforts on true threats to liberty, which do exist.

Canada’s response to the convoy should be a strict line of resistance that doubles down on, or in certain cases at least introduces, commitments to anti-hate resistance, pandemic supports, vaccine mandates and a media policy of refusing to platform, humanize, or, God forbid, glorify the convoy and its members beyond the bare necessity of speaking to their existence and outlining a program for pushing back.

We know what that means. In response to complaints of tyranny and censorship, it is a call for more of them—a doubled dose. And when that inevitably fails, it means these people, caught in their crimes at last, intend to call in the military to save them. But that also isn’t going to work, since they haven’t done quite enough purging yet. But to admit the truth, purging of the military was never going to work, since to purge the military down only to their supporters, they would have to purge down to about 100 people. No real people support them, so what I think we are going to see is National Guards and Federal troops coming over to our side in the revolution. Where will that leave the Phoenicians? As I said, I really don’t think they have thought this through.

I warned them years ago that they were taking this too far, but did they listen? No.

In 1969, the people didn’t know what they know now about their government and their governors. So when the National Guard started firing on hippies, most people looked away. It won’t work like that this time. I’ll give you an example. In Canada they are trying to tow away the trucks, but all the tow drivers are claiming to have Covid and refusing to show up. Either that or they are joining the convoy. Today local farmers joined the convoy. Local police are refusing to follow orders from the Feds. Local sheriffs are refusing to act. They are trying to starve out the truckers, but local people are bringing them food. Through donations, the truckers have enough funds to sit there for four years. They have bigger revenue streams than entire counties: already $8 million in GoFundMe. The city council of Ottawa is calling for seizing these funds, but those tyrants are just sealing their own dooms. Their careers are over from this point on.

And if the government of Canada starts firing on truckers—and they may—this will get even worse for the governors. This has the ability to blow up into a full-blown revolution, with heads actually rolling. Once the military switches sides, anything is possible, including hangings or firing squads. Remember a few years ago, when a Bush was caught on hot mike saying that if people knew what was going on they would all be hanging from lampposts? Well, it may come to that. So go ahead and keep doubling down, Davy. I look forward to it.

Next Davy falls back on this old lie:

For instance, we’ve known for some time that online right-wing extremism is on the rise in Canada as hate crimes continue to grow.

The SPLC lie. Except that, again, we all know it isn’t true. All this right-wing extremism is faked as well. Like the January 6 pretend event, all these right-wing extremists are CIA agents in costume, creating division by manufacturing it in their theater departments, with crisis actors and fake blood. We have caught them at it thousands of times, going back many centuries. See people like George Lincoln Rockwell, who started the American Nazi Party right out of Naval Intelligence.

They have been manufacturing division for decades and centuries and millennia, to keep us warring against each other instead of going after them. Black against white, man against woman, left against right. That is what BLM and #Metoo and CRT and the rest of this stuff is about. None of it arose naturally. All were birthed in government dungeons, raised as fictional monsters to keep your eyes off the real monsters. The current tyranny has absolutely nothing to do with white supremacy, racism, sexism, or extremism on the left or right. It has to do with obscenely rich people preying on you for profit through a cacophony of fantastic lies—as they have throughout recorded history. But this time they have added a fake pandemic and a real deadly vaccine, profiting not just from confusion but from actual pre-meditated murder on a mass scale.

Bill Gates, as one example, isn’t just a goofy billionaire philanthropist who likes to wave his girly arms around. He is a dangerous psychopath with lakes of blood on his hands. Tony Fauci isn’t just an oily vaccine salesman lying to Congress, he is a vicious monster responsible for millions of deaths. These people exist, and they aren’t fictional characters like Hannibal Lecter, so you had better wake up. I repeat, they are killing your children and parents and husbands and wives and pets, and doing it in cold blood, premeditated, on a mass scale. There is a real War of the Worlds going on right now, and these people and many others like them have declared open war on you and yours. So crouching in the corner and repeating “this isn’t happening” isn’t going to work.

As I keep saying, you have to pick a side, and I assure you that David Moscrop and the Post are not on the right side. If you ever doubted that, the language of his article should tell you that by itself. A good psychologist would be able to land here from another planet without knowing anything about the given argument or anything else going on here on Earth, and immediately peg Moscrop as a liar, from the form of the language alone. It is literally dripping with black spin. If you can’t see that, I recommend you print it out and study it over the next week, like a college assignment. If you can’t spot Moscrop as a liar in under ten seconds, you are deficient in acumen.

Calcul du facteur de sous-déclaration pour les fausses couches en utilisant le DMED comme ensemble de données de base – par Jessica Rose.

Voici l’article de Jessica Rose dont il est question ici.

Source.


Traduction

Calcul du facteur de sous-déclaration pour les fausses couches en utilisant le DMED comme ensemble de données de base.

Jessica Rose

28 janvier

Bon, j’ai reçu beaucoup de questions et de « remarques » à ce sujet, alors je mets à jour ce document pour répondre aux commentaires.1

Je commencerai par un fait. Le taux de base des avortements spontanés selon le Dr Nathan T. Thomas (certifié en obstétrique et gynécologie) est de 1/5 des femmes ayant une grossesse reconnue.

Quinze à 20% des grossesses reconnues se terminent par un avortement spontané. Le risque de fausse couche augmente avec l’âge de la femme et environ 80 % de toutes les fausses couches se produisent au cours du premier trimestre.

Je tiens d’un autre gynécologue oncologue que ce taux est plus proche de 1/20 après 6 semaines, une fois qu’une échographie confirme une grossesse viable. J’opterais pour cette dernière affirmation, car je connais cette personne et je sais qu’elle est très douée pour les chiffres.

Cet article traite du calcul du facteur de sous-déclaration (FSD) à l’aide de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED). Elle a été rendue publique récemment lors d’une audition au Sénat par l’avocat Thomas Renz [NdT. article ici). Cet ensemble de données est particulier car il contient des données actualisées pour chaque individu de l’armée américaine en fonction de ses maladies existantes, de ses antécédents médicaux et de ses données personnelles2.

Il s’agit d’un ensemble de données hautement contrôlé et verrouillé: seul le personnel du Département de la Défense (Department of Defense – DOD) figure dans ce système et seuls les prestataires médicaux peuvent y introduire des données. Pour tous ceux qui dénigrent le VAERS en raison de ses limites, cet ensemble de données est fait pour eux. L’armée américaine ne plaisante pas.

Selon les données, le nombre total d’avortements spontanés (fausses couches) chaque année au cours des 5 dernières années (2016-2020) était de 1.499. Selon les données du VAERS, en 2021, le nombre de rapports d’avortements spontanés était de 3.527 4.

Calculons le taux de base des avortements spontanés à l’aide des données du DMED. Le nombre total de femmes enrôlées et en service actif dans l’armée américaine en 2020 était de 226.417 (cela représente les 17,2% de la population féminine enrôlée + active en 2020 (N = 1.333.822)). Par conséquent, le taux de base tiré des données DMED avant le déploiement de l’injection COVID est de 662 avortements spontanés pour 100.000 femmes (~1/151). Ce chiffre inclut toutes les femmes, y compris les femmes de 41 ans et plus5.

Le nombre de femmes en âge de procréer (CDC: les femmes âgées de 12 à 49 ans) auxquelles on a injecté aux États-Unis au moins une dose de produit COVID-19 est de 63.384.802 selon les CDC.6 Compte tenu des 3.527 rapports d’avortements spontanés au VAERS en 2021, le taux de déclaration des avortements spontanés au VAERS est de 5,6/100.000 femmes.

Pour obtenir le taux estimé dans le DMED, nous devons multiplier notre taux VAERS par 118. Cela signifie que le FSD pour l’avortement spontané dans VAERS est de 118. Lorsque nous appliquons ce FSD, nous obtenons 416.186 avortements spontanés.

Si vous cherchez un article sur cette histoire, voyez ici. [NdT. rappel, ma traduction ici]

D’autres contributions sont les bienvenues. Toutes mes excuses pour l’erreur sur le N selon les données DMED. Restez à l’écoute. Je vais surfer.


  1. https:// dallas-obgyn.com/obstetrics/spontaneous-abortion-rate-and-common-causes/
  2. Je tiens à ajouter un avertissement ici. Je n’ai pas accès à l’ensemble des données DMED. Il faut être militaire pour pouvoir se connecter et obtenir un accès complet. J’ai effectué ce calcul sur la base d’informations fournies sous serment au Sénat américain par un avocat. Je suis convaincu qu’il s’agit de données viables. Si quelqu’un a accès aux données brutes, j’aimerais beaucoup qu’il confirme ou infirme ces calculs. Au fait, ceci est un blog. Pas un article revu par les pairs.
  3. N.B. Ceci est une modification de la version précédente – j’avais mal lu que N=1,499 concernait chaque année et non la période de 5 ans. Ainsi, le nombre d’avortements spontanés par an est de 1.499 et non de 300. Merci au commentateur de l’avoir signalé.
  4. OpenVAERS cite 3.786, donc le calcul peut être ajusté pour utiliser ce N également.
  5. Si nous excluons les femmes de plus de 41 ans (~25% de la liste des engagés et des réservistes), notre dénominateur devient 56.604. Le taux est donc de 2.648 pour 100.000 femmes (~1/38). Ce taux est logique puisqu’il est inférieur au taux de base et que les femmes dans l’armée peuvent être moins enclines à tomber enceintes. Je pense que les femmes de plus de 41 ans peuvent être enceintes et le sont effectivement, c’est pourquoi j’utilise l’autre taux pour mes calculs.
  6. https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination

Texte original

Calculating the URF for miscarriages using the DMED as a base data set.

Jessica Rose

Jan 28

Alright, I got a lot questions and ‘remarks’ about this so I am updating it to address the comments.1

I will lead with a fact. The background rate of spontaneous abortions according to Dr. Nathan T. Thomas (Board Certified in Obstetrics and Gynecology) is 1/5 women with a recognized pregnancy.

Fifteen to 20 percent of recognized pregnancies end in spontaneous abortion, and the risk of miscarriage increases as a woman ages and approximately 80 percent of all miscarriages occur during the first trimester.

I have it on good authority from another Gynecological Oncologist that this rate is closer to 1/20 after 6 weeks once an ultrasound confirms a viable pregnancy. I would go with the latter for quoting since I know the latter individual and also know they are very good with numbers.

This article is about calculating the URF using the Defense Medical Epidemiology Database (DMED). It was made public recently during a senate hearing by lawyer Thomas Renz. This data set is special because it contains up-to-date data for every individual in the U.S. military as per their existing diseases, medical history and personal data.2

It is a highly controlled and closed data set: only Department of Defense (DOD) personnel are in this system and only medical providers can input data into this system. For anyone trash-talking VAERS due to its limitations, this is the data set for you. The U.S. military don’t screw around.

According to the data, the total number of spontaneous abortions (miscarriages) each year for the past 5 years (2016-2020) was 1,499.3 According to VAERS data, in 2021 the number of reports of spontaneous abortions was 3,527.4

Let’s calculate the background rate of spontaneous abortions using the DMED data. The total number of women enlisted and on active duty in the U.S. military in 2020 was 226,417 (this represents the 17.2% female population enrolled + active in 2020 (N = 1,333,822)). Therefore, the background rate based on the pre-COVID injection roll-out DMED data is 662 spontaneous abortions per 100,000 women (~1/151). This includes all women including women 41 years and older.5

The number of females of child-bearing age (CDC: women ages 12-49) injected in the U.S. with at least one dose of COVID-19 product is 63,384,802 according to the CDC.6 Considering the 3,527 reports of spontaneous abortions to VAERS in 2021, the rate of reporting of spontaneous abortions in VAERS is 5.6/100,000 women.

To get to the estimated rate in the DMED, we need to multiply our VAERS rate by 118. This means, the URF for spontaneous abortion in VAERS is 118. When we apply this URF we get 416,186 spontaneous abortions.

If you are looking for a write-up on this story, go here.

I welcome more input. Apologies for the mistake on the N as per the DMED data. Stay tuned. I’m going surfing.


  1. https:// dallas-obgyn.com/obstetrics/spontaneous-abortion-rate-and-common-causes/
  2. I want to add a disclaimer here. I do not have access to the DMED data set. You must be military to be able to sign in to gain full access. I have done this calculation based on information provided by a lawyer to the U.S. senate under oath. I trust that it is viable data. If anyone has access to the raw data, I would love to have it confirm or deny these calculations. By the way, this is a blog. Not a peer-reviewed article.
  3. N.B. This is an edit to the previous version – I had misread that N=1,499 was for each year and not for the 5 year period. Thus the number of spontaneous abortions per year is 1,499 not 300. Thank you to the commenter for pointing this out.
  4. OpenVAERS quotes 3,786, so the calculation can be adjusted to use this N as well.
  5. If we exclude the women over 41, (~25% of the enlisted and reserve list), our denominator becomes 56,604. This makes the rate 2,648 per 100,000 women (~1/38). This is logical since it is lower than the background rate and women in the military may be less inclined to get pregnant. I think women over 41 can and do get pregnant so I use the other rate for my calculations.
  6. https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination-demographic

Vaccins COVID et grossesse: >416.186 avortements spontanés dus au vaccin – par Steve Kirsch.

Voici (encore) un article de Steve Kirsch qui présente de manière simple celui de Jessica Rose (traduit ici), dont je prépare la publication d’un autre article qui analyse la toxicité des lots, en contradiction avec celui de Craig Paardekooper (analysé ici) mais laisse ouverte la place à la discussion – j’y joindrai donc une partie des commentaires de ses lecteurs.

Ça fait beaucoup de chiffres et de calculs, dont aucun n’est très joyeux. Pour vous changer les idées et vous regonfler le moral, je vous suggère un petit tour du Web sur l’énorme événement en cours au Canada, qui, me dit-on, arrive dans quelques jours en France et en Belgique, événement sur lequel je n’ai pas pris le temps d’écrire vu que beaucoup d’autres l’ont très bien fait ailleurs.

Source.


Traduction

Vaccins COVID et grossesse: >416.186 avortements spontanés dus au vaccin

Une nouvelle analyse du Dr Jessica Rose estime le nombre d’avortements spontanés causés par les vaccins COVID. Ce nombre s’élève à plus de 416.186 à ce jour. J’en ai informé le CDC, mais je ne m’attends pas à recevoir de réponse.

Steve Kirsch

28 janvier

Voici l’article de Jessica sur les avortements spontanés (AS) post-vaccination. [NdT. traduit ici]

Fondamentalement, en utilisant les données de taux récemment publiées par le Ministère de la Défense, elle calcule que le facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS pour les avortements spontanés est de 118. Vu qu’il y a 3.527 rapports d’AS aux États-Unis en 2021, cela représente 416.186 événements réels. Seul un petit nombre d’entre eux n’ont pas été causés par le vaccin, environ 1%.

En se basant sur les données de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED), la moyenne sur cinq ans était de 1.499 codes par an pour les fausses couches. Pendant les 10 premiers mois de 2021, elle était de 4.182. Cela représente donc 3,4 fois le taux de référence (lorsqu’il est étendu à un taux annuel).

Tests de validité probants

Effectuons maintenant un test de validité « approximatif » sur les chiffres du VAERS. Dans le DMED, les SA après vaccination étaient 3,4 fois supérieurs au taux de base. Aux États-Unis, il y a environ 750.000 fausses couches par an. Donc, si nous multiplions ce chiffre par 3,4 et supposons que 20% des femmes ont été vaccinées au cours du premier ou du deuxième trimestre (où l’effet est le plus important), nous obtenons 510.000, ce qui n’est pas loin de notre recalcul des chiffres du VAERS à 416.000.

Notre deuxième test de validité porte sur le FSD de 118. Nous avons précédemment déterminé un FSD de 41 pour les événements indésirables les plus graves. Pour les événements moins graves, en particulier ceux dont personne ne pense qu’ils sont causés par le vaccin et qui surviennent souvent plusieurs mois après la vaccination, il est facilement trois fois plus élevé. Ce qui est également logique.

J’en ai informé le CDC, mais je ne m’attends pas à ce qu’ils révisent pour autant leur politique de recommandation du vaccin aux femmes enceintes.

Notez également que les femmes enceintes n’ont PAS été incluses dans les essais du vaccin. Recommander les vaccins aux femmes enceintes est une faute professionnelle médicale grave. Le CDC a déclaré à plusieurs reprises qu’ils étaient sans danger pour les femmes enceintes sans disposer de données complètes.

Je ne m’attends pas à ce que les grands médias remettent en question le CDC sur ce point. Je suis certain qu’ils fermeront les yeux.

Preuves à l’appui dans le VAERS

Le VAERS contient de nombreuses preuves du fait que le vaccin affecte les organes reproducteurs de la femme, comme nous l’avions prédit à partir des données de biodistribution (qui ciblaient les ovaires).

Vous pouvez consulter les données de biodistribution et les données sur les effets indésirables sur les menstruations dans cet article analysant des données du VAERS que j’ai rédigé en novembre 2022.

Voir aussi cet article sur les cliniques de FIV, sur ce qui s’est passé à Singapour et sur la syncytine-1.

Pour les autres, puis-je suggérer, si vous contestez ces propos, de nous indiquer une erreur dans les données ou la méthodologie ?


Texte original

COVID vaccines and pregnancy: >416,186 spontaneous abortions due to the vaccine

A new analysis by Dr. Jessica Rose estimates the number of spontaneous abortions caused by the COVID vaccines. It’s over 416,186 to date. I’ve notified the CDC, but I don’t expect to hear back.

Steve Kirsch

Jan 28

Here’s Jessica’s article on spontaneous abortions (SA) post-vaccination.

Basically, using rate data recently released from the Department of Defense, she computes an under reporting factor (URF) for VAERS for spontaneous abortions is 118. Since there are 3,527 reports of SA in the US in 2021, this represents 416,186 actual events. But a small number of those were not caused by the vaccine, somewhere around 1%.

Using the DMED data, the five-year average was 1,499 codes for miscarriages per year. During the first 10 months of 2021, it was 4,182. So that’s 3.4X the baseline rate (when extended to an annual rate).

The sanity checks both pass

Now, let’s do a “ballpark” sanity check on the VAERS numbers. In DMED, SAs after vax were 3.4X the baseline rate. In the US there are around 750K miscarriages per year. So if we multiply that by 3.4 and assume that 20% of the women were vaccinated within the first or second trimester (where the effect is largest), we get 510K which is not far from our VAERS estimate of 416K.

Our second sanity check is the URF of 118. We’ve determined before a URF for the most serious adverse events at 41. For less serious events, especially ones that nobody thinks is caused by the vaccine and is often many months from vaccination is easily 3X higher. So that makes sense as well.

I’ve notified the CDC of this, but I don’t expect them to change their policy of recommending the vaccine to pregnant women.

Also note that pregnant women were NOT included in the vaccine trials. It is medical malpractice to recommend the vaccines to pregnant women. The CDC repeatedly declared them safe for pregnant women without complete data.

I don’t expect the mainstream media to question the CDC on this at all. I’m sure they will all ignore it.

Supporting evidence in VAERS

Plenty of evidence in VAERS showing the vaccine messes with a woman’s reproductive organs just as we predicted from the biodistribution data (which targeted the ovaries).

You can view both the biodistribution data and the menstrual adverse effect data in this VAERS analysis article I wrote in November, 2022.

See also this article about IVF clinics and what happened in Singapore and syncytin-1.

For others, may I suggest if you disagree with this that you show us an error in the data or methodology?

Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent en grand le débat sur la sécurité des vaccins – par le Dr Daniel Horowitz.

Note du 27/11: attention, le contenu de cet article a depuis été dementi par Matthew Crawford ici (en anglais). Comme je le relaye dans ce récent article, « les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. »


Le Dr Horowitz, dont il est question dans l’article précédent, est depuis le début de la pandémie un des auteurs les plus prolifiques, publié notamment par TheBlaze, sur le Covid et les « vaccins ». Voici un de ses articles les plus récents, d’une actualité brûlante, à propos de données éloquentes de la base de données de la médecine militaire américaine, qui mentionnent une augmentation spectaculaire des avortements spontanés, chiffres dont s’est également servie Jessica Rose (article ici) pour calculer le nombre réel d’avortements spontanés post-vaccinaux dans la population générale – sujet déjà abordé ici, ici et (un peu) ici.

Source.

Traduction

Horowitz: Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent en grand le débat sur la sécurité des vaccins.

Daniel Horowitz – 26 janvier 2022

Données, transparence et surveillance. Voilà ce qui, tout au long de cette pandémie, a manqué à la plus grande expérience jamais menée sur des êtres humains. Aujourd’hui, des lanceurs d’alerte du secteur médical militaire présentent ce qu’ils affirment être l’ensemble de données sans doute le plus précis et le plus révélateur qu’on puisse trouver sur la sécurité des vaccins.

Les politiciens et les médias pro-pharma affirment que l’outil de pharmacovigilance du CDC, le VAERS, n’est pas assez performant pour motiver des enquêtes sur les vaccins, car n’importe qui peut censément soumettre un événement indésirable lié à un vaccin. Ainsi, tous les signaux de sécurité alarmants émis par le VAERS sont ignorés, alors même que ce système a été mis en place en guise de lot de consolation pour le grand public, face à l’exemption de responsabilité accordée aux fabricants de vaccins. Aujourd’hui, des militaires lanceurs d’alerte viennent présenter des données qui, si elles sont vérifiées, indiqueraient des problèmes extrêmement inquiétants de sécurité du vaccin, à côté desquels les données du VAERS ne sont que des pécadilles.

Lundi, au cours de l’audience de cinq heures organisée par le Sénateur Ron Johnson, intitulée « COVID-19: Deuxième avis« , l’avocat de l’Ohio Thomas Renz, qui représente en justice des clients attaquant les obligations vaccinales, a présenté des données de facturation médicale du Ministère de la Défense provenant de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) qui brossent un tableau effroyablement inquiétant de la santé de nos militaires en 2021.

Selon l’armée, DMED est l’outil Web de la Direction de la Surveillance de la Santé des Forces Armées (Armed Forces Health Surveillance Branch – AFHSB) qui permet d’interroger à distance les données désidentifiées des événements médicaux et personnels des composants actifs contenus dans le Système de Surveillance Médicale de la Défense (Defense Medical Surveillance System – DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code CIM (Classification Internationale des Maladies) de facturation médicale pour tout diagnostic médical dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Trois médecins militaires ont présenté à Renz des données téléchargées qui montrent un pic impressionnant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les lésions courantes liées aux vaccins en 2021.

Dans une déclaration sous serment que Renz prévoit d’utiliser devant un tribunal fédéral, les docteurs Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long [NdT. dont j’ai publié la déclaration écrite ici] – trois médecins militaires – ont révélé une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour les fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne des cinq années [précédentes]. La moyenne des fausses couches sur cinq ans était de 1.499 codes par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4.182. Comme Renz me l’a expliqué dans une interview pour TheBlaze, ces médecins ont enquêté sur les chiffres de centaines de codes de 2016 à 2020 pour établir une moyenne de base sur cinq ans. Ces codes concernaient généralement des affections et des lésions établis dans la littérature médicale comme effets indésirables potentiels des vaccins.

Renz m’a dit que les chiffres avaient tendance à demeurer remarquablement similaires au cours de toutes les années précédentes, y compris en 2020, première année de la pandémie mais période antérieure à la distribution des vaccins. Mais en 2021, les chiffres sont montés en flèche, alors que les données de 2021 ne comprennent même pas les mois de novembre et décembre. Par exemple, certains responsables de la santé publique estiment que le COVID lui-même expose les femmes à un risque accru de fausses couches. Mais le nombre de codes de fausses couches enregistrés en 2020 était en fait légèrement inférieur à la moyenne sur cinq ans (1.477). Cependant, dans aucune catégorie les chiffres n’étaient radicalement inférieurs à la moyenne au point que l’on pourrait suggérer qu’il s’agirait d’une diminution des consultations médicales liée aux confinements, qui aurait en quelque sorte conduit à une augmentation des diagnostics en 2021.

La base de données contient tous les codes CIM pour les visites à l’hôpital militaire et les visites ambulatoires. Les données présentées par Renz jusqu’à présent proviennent toutes de l’interrogation des données de diagnostic ambulatoire.

Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300% des diagnostics de cancer (qui passent d’une moyenne de 38.700 par an sur cinq ans à 114.645 au cours des 11 premiers mois de 2021). On voit également une augmentation de 1.000% des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82.000 à 863.000!

Voici d’autres chiffres qu’il n’a pas mentionnés lors de l’audition mais qu’il m’a donnés lors de l’interview:

  • infarctus du myocarde – 269% d’augmentation
  • paralysie de Bell – 291% d’augmentation
  • malformations congénitales (pour les enfants de militaires) – 156% d’augmentation
  • infertilité féminine – 471% d’augmentation
  • embolies pulmonaires – 467% d’augmentation.

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que sont établis la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz dit que les augmentations touchaient aussi les patients hospitalisés. J’ai vu une des déclarations sous serment d’un des médecins militaires, qui dit ceci: « Il est de mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Selon Renz, c’est la réalité de la pratique clinique des trois médecins cités et de plusieurs médecins anonymes qui les a conduits à enquêter sur DMED, et leurs découvertes reflètent leur vécu du traitement de patients atteints de maladies extrêmement inhabituelles chez de jeunes soldats en bonne santé depuis le lancement des vaccins.

J’ai parlé à l’un des lanceurs d’alerte qui me confirme son extrême préoccupation du fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques fulgurants, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé nombre d’entre eux à interrompre leur participation à divers programmes de formation. « Ces médecins ont été motivés à explorer les données DMED suite à l’augmentation du nombre de cas qu’ils constataient de manière empirique », explique le lanceur d’alerte, qui a servi dans l’armée pendant de nombreuses années. « Certains médecins au sein de l’armée (toutes branches confondues) ont été menacés par leurs commandements, qui les ont dissuadés d’effectuer la gamme complète des tests et de se conformer à la réglementation, qui prescrit implicitement des bilans complets pour les effets indésirables des vaccins en autorisation d’utilisation d’urgence. Il est nécessaire que d’autres médecins militaires interviennent pour partager leur propre expérience afin de vérifier la portée gigantesque de ces allégations et de susciter une enquête approfondie. »

Renz affirme qu’il dispose d’une vidéo tournée en présence de deux témoins montrant tout le processus de téléchargement de ces données à partir de la base de données et qu’il est prêt à la présenter devant un tribunal. Il m’a également dit que ça ne constituait que « la partie émergée de l’iceberg », car le nombre de codes a augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics. Renz précise que sa feuille de calcul, qui comprend plus de 100 catégories de diagnostics médicaux, a été communiquée au Sénateur Johnson et à son équipe avant l’audience de lundi.

Il est important de noter que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes diagnostiquées pour diverses affections, mais bien le nombre de codes de diagnostics effectués dans leur totalité à un moment donné. Par exemple, une personne victime d’un accident vasculaire cérébral accumulera évidemment de nombreux codes CIM neurologiques au cours d’une année, avec de multiples visites ambulatoires et hospitalières. Toutefois, la comparaison des données équivalentes des cinq années précédentes montre clairement un pic incontestable des affections.

Si ces chiffres sont confirmés dans le cadre des procès à venir, alors, en l’absence de fraude massive à l’assurance militaire ou d’anomalie étrange dans le système, ils brossent un tableau alarmant des problèmes de sécurité des vaccins, indiquant que non seulement les signaux de sécurité du VAERS auraient dû faire l’objet d’un suivi immédiat, mais aussi qu’ils sont affligés d’un grave facteur de sous-déclaration. L’armée est une population définie, limitée, étroitement contrôlée et surveillée. Ce sont également des personnes très majoritairement jeunes et en bonne santé. Si les allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins sont avérées, l’armée serait l’endroit le plus propice à leur découverte, et ses données les plus fiables et les plus incontestables.

Le DMED est littéralement un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but exprès de détecter les pics de maladies et de lésions afin de s’assurer que l’armée est prête au combat. C’est une question de sécurité nationale encore plus que de santé publique. Pourquoi l’armée n’aurait-elle pas tiré la sonnette d’alarme et prévenu immédiatement le CDC au vu de ces données? Sur le site Web du système de santé militaire, la Division de Surveillance de la Santé des Forces Armées (Armed Forces Health Surveillance Division – AFHSD) est décrite comme « la ressource épidémiologique centrale pour les forces armées des États-Unis, chargée de la surveillance médicale pour la protection de ceux qui portent l’uniforme au service de notre nation et des alliés essentiels à nos intérêts de sécurité nationale ».

Comment l’Agence Sanitaire de la Défense (Defense Health Agency – DHA) a-t-elle pu ignorer des signaux de surveillance aussi criants et flagrants et aussi inhabituels, et comment cela n’a-t-il pas été communiqué au grand public? La question est de savoir pourquoi les analystes de la santé publique militaire n’ont pas débattu des pics alarmants de diagnostics de cette année avec les médecins militaires et pourquoi ils n’ont pas publié d’analyse pour les expliquer.

De son côté, le sénateur Ron Johnson a déclaré lors de l’audience de lundi qu’il avait mis le Ministère de la Défense en demeure de ne pas supprimer ces données. « Le Ministère de la Défense et l’administration Biden sont avertis qu’ils sont tenus préserver ces dossiers et que des enquêtes doivent être menées », a déclaré Johnson. Renz a témoigné lors de l’audience que certaines des données relatives à la myocardite ont été révisées à la baisse depuis que les médecins les ont téléchargées l’année dernière.

Même si, d’une manière ou d’une autre, ces augmentations spectaculaires n’ont rien à voir avec les vaccins, ne serait-il pas nécessaire que notre gouvernement enquête sur ce qui semble constituer un déclin catastrophique de la santé de nos forces de combat en service actif ? Après tout, les données du DMED ont été conçues dans ce but précis. « Il est possible de réaliser un travail de recherche sur la base de ces seules données », a déclaré l’un des lanceurs d’alerte à qui j’ai parlé. « Elles ont été conçues dans ce but précis. La quantité de points de données analysables est quasiment illimitée. »

Le point essentiel, selon Renz, est que la charge de la preuve incombe au gouvernement, et non aux militaires et aux citoyens contraints de recevoir ces injections. Si les fabricants sont exonérés de toute responsabilité lorsque le gouvernement ordonne l’utilisation de leur produit et que les seules données de sécurité pharmacologique disponibles sont totalement ignorées, quel est le recours des citoyens qui souhaitent pallier aux problèmes de sécurité? Selon l’avocat de l’Ohio, si les injections sont sûres et efficaces, alors le Pentagone ne devrait avoir aucun problème à expliquer la source de ces gargantuesques augmentations de cas de nombreuses maladies. La transparence est le remède le plus efficace contre une pandémie de secrets.


Texte original

Horowitz: Whistleblowers share DOD medical data that blows vaccine safety debate wide open

Daniel Horowitz – January 26, 2022

Data, transparency, and surveillance. That is what has been missing from the greatest experiment on humans of all time throughout this pandemic. Now, military medical whistleblowers have come forward with what they claim is perhaps the most accurate and revealing data set on vaccine safety one could possibly find.

The pro-pharma politicians and media claim the CDC’s pharmacosurveillance tool “VAERS” is not good enough to trigger investigations into the shots because anyone can supposedly submit a vaccine adverse event entry. Thus, all the concerning safety signals from VAERS are being ignored, even though that system was put in place as a consolation to the public for absolving vaccine manufacturers of liability. Well, now some military whistleblowers are coming forward to present data that, if verified, would signal extremely disturbing safety concerns about the vaccine that make the VAERS data look like child’s play.

On Monday, during Sen. Ron Johnson’s five-hour hearing on a “COVID-19: Second Opinion,” Ohio attorney Thomas Renz, who has been representing clients suing the vaccine mandates, presented DOD medical billing data from the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) that paints a shockingly disturbing picture of the health of our service members in 2021.

According to the military, DMED is the Armed Forces Health Surveillance Branch’s (AFHSB) “web-based tool to remotely query de-identified active component personnel and medical event data contained within the Defense Medical Surveillance System (DMSS).” In other words, it contains every ICD medical billing code for any medical diagnosis in the military submitted for medical insurance billing during any given period of time. Three military doctors have presented queried data to Renz that shows a shocking and sudden spike in nearly every ICD code for common vaccine injuries in 2021.

In a declaration under penalty of perjury that Renz plans to use in federal court, Drs. Samuel Sigoloff, Peter Chambers, and Theresa Long — three military doctors — revealed that there has been a 300% increase in DMED codes registered for miscarriages in the military in 2021 over the five-year average. The five-year average was 1,499 codes for miscarriages per year. During the first 10 months of 2021, it was 4,182. As Renz explained to me in an interview with TheBlaze, these doctors queried the numbers for hundreds of codes from 2016 through 2020 to establish a baseline five-year average. These codes were generally for ailments and injuries that medical literature has established as being potential adverse effects of the vaccines.

Renz told me the numbers tended to be remarkably similar in all those preceding years, including in 2020, which was the first year of the pandemic but before the vaccines were distributed. But then in 2021, the numbers skyrocketed, and the 2021 data doesn’t even include the months of November and December. For example, some public health officials speculate that COVID itself places women at higher risk for miscarriages. But the number of miscarriage codes recorded in 2020 was actually slightly below the five-year average (1,477). However, they were not drastically below the average on any one category in a way that one can suggest it reflects lockdown-related decreases in doctor’s visits, which somehow led to an increase in 2021 diagnoses.

The database has all the ICD codes for both military hospital visits and ambulatory visits. The data presented by Renz so far is all from the query of ambulatory diagnosis data.

Aside from the spike in miscarriage diagnoses (ICD code O03 for spontaneous abortions), there was an almost 300% increase in cancer diagnoses (from a five-year average of 38,700 per year to 114,645 in the first 11 months of 2021). There was also a 1,000% increase in diagnosis codes for neurological issues, which increased from a baseline average of 82,000 to 863,000!

Some other numbers he did not mention at the hearing but gave to me in the interview are the following:

  • myocardial infarction –269% increase
  • Bell’s palsy – 291% increase
  • congenital malformations (for children of military personnel) – 156% increase
  • female infertility – 471% increase
  • pulmonary embolisms – 467% increase

All these numbers are among the ambulatory visits because those are where the vast number of diagnoses in the military occur. However, Renz did say the increases were indicated in the hospitalized patients as well. I have seen one of the sworn declarations from one of the military doctors, and it states as follows, “It is my professional opinion that the major increases incidences of the above discussed instances of miscarriages, cancers, and disease were due to COVID-19 ‘vaccinations.' »

According to Renz, it was the actual clinical experience of the three named doctors and several unnamed doctors that led them to investigate DMED, and their discoveries reflected their experience treating patients with ailments extremely unusual to healthy, young soldiers since the rollout of the vaccines.

I have spoken to one of the whistleblowers who attests to being gravely concerned with seeing young soldiers with sudden metastatic cancers, auto-immune diseases, and heart and circulatory disorders that have caused many soldiers to drop out of various training programs. “These doctors were motivated to explore DMED data due to the numbers of case increases they were seeing empirically,” said the whistleblower, who served in the military for many years. “Some physicians throughout the force (all branches) have been intimidated by commands not to perform the full spectrum of testing and adhere to the regulations, which implicitly direct full workups for EUA vaccination adverse reactions. It will require other military physicians to step forward and share experiences to fully ascertain the enormity of these allegations and engender an investigation to the fullest extent.”

Renz claims he has a video with two witnesses showing the entire process of downloading this data from the database and is prepared to present it in court. He also told me that this is just “the tip of the iceberg,” as the codes have increased exponentially in numerous other diagnosis categories. Renz said his spreadsheet, which includes over 100 medical diagnosis categories, was shared with Senator Johnson and his staff before the Monday hearing.

It’s important to note that these numbers do not represent the number of individual people diagnosed with various ailments, but number of diagnoses codes used in totality at a given time. For example, someone who has a stroke is obviously going to rack up numerous neurological ICD codes over the course of a year with multiple ambulatory and hospital visits. However, the apples-to-apples comparison from the previous five years clearly shows an unmistakable spike in ailments.

If these numbers are verified in the upcoming court cases, then absent some massive military insurance fraud or bizarre glitch in the system, it potentially paints a shocking picture of vaccine safety concerns that would indicate that not only were the VAERS safety signals something that should immediately have been followed up on, but they are plagued by woeful underreporting. The military is a defined, finite, and closely controlled and monitored population. They are also overwhelmingly young and healthy. If allegations of neurological, cardio, and cancer concerns surrounding the vaccines are indeed true, the military would be the most revealing place to discover it, and their data is the most reliable and undisputable.

DMED is quite literally an epidemiological surveillance program designed for the express purpose of detecting surges in illness and injury to make sure the military is combat-ready. It’s about national security even more than public health. Why would the military not have blown the whistle and warned the CDC right away about this data? On the military health system website, the Armed Forces Health Surveillance Division (AFHSD) is described as “the central epidemiologic resource for the U.S. Armed Forces, conducting medical surveillance to protect those who serve our nation in uniform and allies who are critical to our national security interests.”

How could the blaring and glaring surveillance signals of a lifetime be ignored by the Defense Health Agency (DHA), and how was this not conveyed to the general public? The question is why the military public health analysts have not been communicating with military doctors about the shocking spikes in diagnoses this year and why they have not put out any analysis explaining it.

For his part, Sen. Ron Johnson said at the Monday hearing that he put DOD on notice that it better not delete any of the data. “The Department of Defense, the Biden administration is on notice they must preserve these records and this must be investigated,” said Johnson. Renz testified at the hearing that some of the myocarditis data was slid backwards since the doctors originally downloaded it last year.

Even if somehow these earth-shattering increases have nothing to do with the vaccines, isn’t it important that our government investigate what appears to be a catastrophic decline in the health of our active-duty fighting force? After all, the DMED data was designed for this very purpose. “A person can do a research paper just on this data alone,” said one of the whistleblowers I spoke to. “It was designed for this very purpose. The amount of data points you could query is nearly unlimited.”

The bottom line according to Renz is that the onus of proof is on the government, not on the military personnel and citizens being forced to take the shots. If the manufacturers are exempt from liability for government coercion to use their product, and the only pharmacological safety data we have is completely ignored, then where is the recourse of the people to redress safety concerns? In the opinion of the Ohio attorney, if the shots are safe and effective, then the Pentagon should have no problem explaining the source of these gargantuan increases in instances of numerous illnesses. Transparency is the most potent cure of a pandemic of secrecy.

Vaccins et fertilité – par Ashmedai.

En guise d’introduction – d’autres articles suivent – un premier point sur les problèmes de fertilité, par Ashmedai, qui a aussi écrit ceci. Mes fidèles lecteurs auront depuis plus d’un an trouvé sur ce blog les infos qui figurent ci-dessous, notamment dans des articles plus scientifiquement plus pointus. Celui-ci a le mérite de les synthétiser et de les situer dans le paysage de cette « crise ».

Source.


Le Dr Berman à propos des vaccins et de la fertilité

Affirmation: « Il n’existe même pas de théorie biologique plausible pour expliquer la possibilité » que les vaccins affectent la fertilité.

Ashmedai

17 janvier

Cet article fait partie d’une série visant à mettre en évidence l’ineptie et l’analphabétisme pur et simple des experts auxquels ma communauté s’est fiée pour ses recommandations médicales sur le covid. Je n’utilise que des arguments qui peuvent être tirés des données/études et autres informations disponibles au moment où l’affirmation a été faite.


Affirmation: « Il n’existe même aucune théorie biologique plausible pour expliquer [ la ] possibilité » que les vaccins puissent affecter la fertilité.

Source: On the Covid Vaccinations, publié le 21/06/21

Contexte: L’establishment tentait encore de faire croire que les nombreuses déclarations de problèmes menstruels étaient fausses.


Les faits:

Pour être très clair, le Dr Berman a affirmé qu’il n’existait pas de documentation abondante attestant d’une quantité massive – intégrant un large éventail – d’effets secondaires. Il a en outre affirmé – de façon stupéfiante – qu’il n’existait ni de base ni même de théorie biologique plausible pour étayer la légitime suspicion que les vaccins pourraient causer des problèmes de fertilité. Bien que je ne doute pas que le Dr Berman croie sincèrement à ses affirmations, celles-ci laissent une nette impression de l’arrogance indue, typique des scientifiques, ce qui est une description adéquate de la personne à l’origine de ces affirmations. Nous allons démontrer qu’il existe de multiples possibilités mécanistiques viables susceptibles de provoquer un vaste assortiment d’effets indésirables graves, dont l’infertilité.

Nouveaux composants biologiques des vaccins Covid

Au moins deux entités biologiques étrangères, non utilisées jusqu’à présent, sont introduites dans le corps humain par les vaccins covid (une dans le cas de J&J) – la nanoparticule lipidique et la protéine spike. Le simple bon sens nous indique qu’une nouvelle substance biologique étrangère introduite dans le corps humain pourrait perturber les fonctions biologiques normales. Ceci dépasse déjà en soi la limite minimale de la « plausibilité ». Cependant, une analyse de ces deux substances révèle qu’elles ne sont pas seulement « plausibles » mais qu’il est très possible (probable?) qu’elles causent des dommages à grande échelle sur le plan de la reproduction.

Les nanoparticules lipidiques (NPL) sont reconnues depuis longtemps comme étant hautement réactogènes et présentant une variété de caractéristiques toxicologiques dans diverses configurations, une considération primordiale pour déterminer – c’est-à-dire limiter – le dosage des vaccins. L’un des premiers obstacles (après la découverte révolutionnaire du remplacement de l’uridine par la N1-Méthyl-Pseudouridine, qui a rendu l’ARNm essentiellement « utilisable ») qui a entravé la recherche sur l’ARNm a été la mise au point d’une structure moléculaire pour les NPL qui ne soit pas [mortellement] toxique. (De nombreux animaux ont en définitive donné leur vie dans la poursuite de cette réussite).

Les partisans des vaccins ont affirmé que les NPL resteraient autour du site d’injection, que les protéines de pointe ne s’échapperaient pas des cellules qui les produisent et qu’elles n’étaient en aucun cas pathogènes. Comme on pouvait s’y attendre, aucune de ces affirmations n’est vraie.

L’étude préclinique de Pfizer sur la biodistribution chez les animaux vaccinés (rendue publique par le gouvernement japonais) a révélé que de grandes quantités de NPL s’accumulaient dans divers organes et tissus, notamment les ovaires et l’utérus, et que l’accumulation était largement disproportionnée dans les ovaires par rapport à la plupart des autres organes (le foie (non illustré) et la rate étaient encore plus perméables aux NPL):

(Pour mémoire, ce résultat a été obtenu en utilisant le test de sensibilité le plus faible, ce sur quoi nous reviendrons plus tard).

L’accumulation d’une quantité importante d’un agent biologique hautement réactogène (imaginez quelque chose qui « offense » et « déclenche » le système immunitaire) dans un système organique est évidemment préoccupante. Outre leur puissante réactogénicité, cela suggère une possibilité discrète que de l’ARNm ait pu être introduit dans des cellules de tissus organiques – qui produiraient alors des protéines de pointe conformément à la conception du vaccin. Ces cellules présenteraient ensuite des protéines Spike antigéniques, ce qui déclencherait une attaque directe du système immunitaire sur certains des tissus organiques.

Il va sans dire qu’une quantité importante d’un agent biologique hautement réactogène s’accumulant dans les ovaires ne fournit pas seulement une plausibilité mécaniste pour de possibles complications de la fertilité, elle prédit carrément la survenue de telles atteintes. Il est également inutile de préciser que l’idée que, par exemple, des cellules du muscle cardiaque ou des cellules rénales produisent des protéines de pointe est un scénario effrayant dont la simple évocation ne nécessite aucune explication supplémentaire.

Un deuxième mécanisme plausible pour les effets secondaires des vaccins, y compris les lésions de fertilité, est la protéine spike elle-même. Une étude récente menée à Oxford a révélé que la protéine spike circulait dans le plasma de 11/13 individus vaccinés étudiés, y compris des sous-unités détachées de la protéine spike S1 chez certains.

Bien qu’il ne s’agisse pas d’une exigence technique pour l’approbation d’un vaccin, les études de biodistribution sont considérées comme de rigueur et, compte tenu de la nouvelle architecture des vaccins contre le covid, la décision de ne pas en réaliser une est très suspecte. (Comme l’a expliqué le Dr Robert Malone, une étude de biodistribution correcte implique nécessairement la dissection complète des animaux vaccinés afin d’extraire des échantillons de tissus de l’ensemble de leur anatomie, et non pas les tests de bioluminescence à la Luciferase notoirement inadéquats qu’ils ont effectués pour la FDA). Cette observation a été formulée dans le BMJ par l’un de ses rédacteurs en chef.

(Parmi les autres décisions extraordinairement insolites prises dans le cadre des essais de vaccins, citons l’exclusion de tous les groupes démographiques présentant un risque important de contracter le covid, ainsi que la levée de l’aveugle et la suppression du contrôle des études en vaccinant les groupes témoins (!!!), ce qui exclut la possibilité (lire: la menace) de voir apparaître des données de sécurité à long terme très significatives. A jamais).

Ceci démontre pourquoi on ne doit pas se fier aux affirmations d' »implausibilité » des scientifiques – trop souvent englués dans une pensée sans imagination et un égoïsme exacerbé – et ceci est clairement démontré par le fait que la modification de leur  » ancre  » n’a pas réussi, de manière  » inattendue « , à empêcher l’exode massif à partir de leurs cellules progénitrices. Quoi qu’il en soit, il est indéniablement et éminemment plausible que les protéines spike circulent en quantités significatives chez de nombreuses personnes vaccinées.

De même, il a été fermement établi que la protéine S native possède de véritables caractéristiques pathogènes qui, en l’absence d’évaluation toxicologique, sont présumées n’être inhibées par aucune des nouvelles modifications de l’adaptation du vaccin. Les nombreuses propriétés toxiques des protéines de pointe ont été documentées de manière approfondie (liste partielle des études, qui me viennent à l’esprit, décrivant clairement la toxicité d’une protéine de pointe dans leur titre) :

Dans La protéine de pointe du SARS-CoV-2 altère la fonction endothéliale par la régulation négative de l’ACE 2 [SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2], les auteurs ont trouvé exactement ce que le titre suggère, à savoir que le simple fait de se lier aux récepteurs ACE2 sans exécuter aucune autre fonction pathogène perturbe de nombreux processus biologiques. (Il s’agissait d’une expérience ingénieusement conçue, dans laquelle les chercheurs ont greffé des protéines S sur une plateforme de pseudo-virus et ont infecté de mignons hamsters syriens avec leur pseudo-virus Frankenstein, dont le seul attribut potentiellement pathogène était la capacité de se lier à des protéines de surface cellulaires).

La protéine S1 du SARS-CoV-2 traverse la barrière hémato-encéphalique chez la souris [The S1 protein of SARS-CoV-2 crosses the blood–brain barrier in mice]: une étude a révélé que les animaux de laboratoire auxquels on avait injecté la protéine spike dans leur sang développaient des problèmes cardiovasculaires. Plus effrayant encore, ils ont également découvert que les sous-unités S1 peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE), déclenchant potentiellement toutes sortes d’effets indésirables neurologiques comme ceux du large éventail trouvé dans les diverses bases de données de pharmacovigilance.

Il est important de noter qu’aucun des fabricants de vaccins n’a démontré que les versions de la protéine spike contenues dans le vaccin étaient débarrassées de leur toxicité ou de leur pathogénicité (rappelez-vous que le but d’un vaccin est de vous injecter un virus mort ou inerte ou une partie du virus, et non le principe actif du virus sous une forme entièrement fonctionnelle). Il n’y a qu’un petit pas à franchir, et non un pas de géant, pour supposer que les protéines de pointe nomades voyageant vers d’autres systèmes organiques, y compris les organes reproducteurs, peuvent se lier aux récepteurs ACE2 omniprésents dans presque tous les systèmes organiques du corps, y compris les organes reproducteurs.

En outre, des protéines de pointe incroyablement immunogènes pourraient induire une puissante réponse immunitaire là où elles s’accumulent, entraînant une inflammation ou d’autres effets néfastes dans des tissus (auparavant) sains (ou déclenchant un autre processus biologique inconnu et imprévu qui exerçait un impact nuisible)… Cela aussi dépasse facilement le seuil de plausibilité, surtout si l’on considère que les lipides – dont certains peuvent encore contenir de l’ARNm – semblent se déposer dans les ovaires. Oups!

Étant donné que le caractère effrayant des révélations divulguées ci-dessus constitue un obstacle rédhibitoire pour la plupart des gens qui, jusqu’à présent, n’ont entendu que des affirmations largement diffusées sur la sécurité dûment déterminée par la FDA et d’autres organismes de réglementation, il est donc nécessaire de présenter les lacunes spécifiques de la FDA dans l’approbation de ces vaccins.

En guise d’introduction, il est instructif de constater que le calendrier de leur élaboration a été sévèrement tronqué sous l’effet de pressions morales, sociales et politiques sans précédent. Un profane peut facilement déduire de ce simple fait, avec le bon sens qui découle de toute l’histoire de l’humanité, un appel à la prudence face à une prise de décision hâtive qui ne tient pas suffisamment compte de nombreuses considérations, dont beaucoup sont loin d’être évidentes, surtout pour un esprit stressé et surchargé. Il est axiomatique dans la nature humaine que, parallèlement à l’urgence croissante dans un contexte de dévastation en marche, on observe une tolérance de plus en plus grande à l’égard des risques et des compromis, car une analyse rationnelle des risques et des avantages conclut à juste titre que « les situations désespérées appellent des mesures désespérées ». Une conséquence systématique de ces circonstances est la prédilection pour le maintien d’un tel état d’esprit, même en l’absence ultérieure des conditions qui l’ont précipité. Cette tendance est amplifiée lorsque des décisions antérieures semblent rétrospectivement injustifiées, et elle est encore plus probable lorsque les décisions antérieures ont créé une faille systémique toujours présente qui nécessiterait non seulement l’admission embarrassante d’une erreur, mais qui pourrait aussi vicier des progrès significatifs vers un objectif non atteint, tel que le développement d’un vaccin contre le covid. Prétendre le contraire, c’est rester volontairement et illusoirement dans l’ignorance, ce qui est bien sûr la position (mal) réfléchie de la communauté médicale. Nous allons donner quelques exemples de décisions spécifiques manifestement défaillantes.

Pour cela, je me contenterai de paraphraser Robert Malone, la première personne à avoir synthétisé un ARNm qui a réussi à s’infiltrer dans une cellule. Ce qui suit est tiré d’une interview de Daniel Horowitz (la première):

La FDA n’a impliqué que ses vaccinologues, en laissant de côté les experts en thérapie génique. Le résultat prévisible fut qu’étant donné que les vaccins traditionnels ne sont pas soumis à une évaluation visant à caractériser la durée, la distribution ou les niveaux d’expression de tout composant, ni à une évaluation de la toxicologie de la reproduction ou de la génotoxicité, les vaccins covid ont été dispensés de tels tests bien qu’il s’agisse de thérapies géniques pour lesquelles de telles enquêtes sont indispensables à la détermination de leur profil de sécurité. Ainsi, la FDA n’a jamais exigé des concepteurs de vaccins qu’ils caractérisent rigoureusement le niveau, la durée ou la distribution de la fabrication des protéines de pointe, ou la distribution et la toxicologie des nouveaux composés lipidiques utilisés pour construire le vecteur NPL. La piètre étude de biodistribution sur les animaux menée par Pfizer a utilisé le mécanisme d’essai le moins sensible. Pour évaluer la biodistribution, ils ont codé la Luciferase dans l’ARNm, une protéine bioluminescente responsable de la lueur de la queue de la luciole. Pour analyser la biodistribution des protéines luminescentes, ils ont utilisé des tubes multiplicateurs de photons sur des animaux entiers, la méthode de test la moins sensible, car les tissus biologiques dévient ou réfractent les photons, favorisant de préférence les zones de concentration extrêmement élevée qui sont proches de la surface. Sans surprise, le site d’injection représentait la grande majorité de la luminescence détectée. Le protocole approprié – sur lequel on aurait insisté si des experts en thérapie génique avaient été consultés – prévoit de disséquer les animaux, de prélever des échantillons de l’ensemble de l’anatomie, qui sont ensuite placés dans des tubes avec un tampon, puis de lyser (ouvrir) les cellules et d’obtenir un échantillon qui est testé pour détecter la luminescence. Cette méthode permettrait d’indiquer avec précision la quantité de protéine codée par l’ARNm synthétisée dans chaque échantillon anatomique. Le fait que la FDA et ses collaborateurs aient accepté le test de sensibilité le plus faible révèle qu’ils sont incapables d’établir des normes adéquates pour l’évaluation de ces vaccins.

En outre, la protéine spike n’est pas le seul antigène cible potentiel du vaccin, et pourrait même ne pas être le meilleur. La protéine spike elle-même possède de nombreux mécanismes qui pourraient être ciblés en plus de la RBD [Receptor binding domain, domaine d’une protéine ou d’une lipoprotéine lui permettant de se lier au récepteur ciblé] « qui aurait pu être laissée dans une structure native » [c’est-à-dire une « conformation fermée », en d’autres termes, ils ont choisi de verrouiller le S1 dans une « conformation ouverte », ce qui maintiendrait la RBD exposée, mais augmenterait également l’affinité de liaison de l’ACE2]. Le Covid contient d’autres protéines qui provoquent l’apparition de lymphocytes T cytotoxiques [ce sont les lymphocytes T assassins qui détruisent les cellules infectées]. La prise de décision hâtive pour le développement d’un vaccin a conduit à la décision irréfléchie et précipitée de cibler le candidat le plus facile sans tenir compte des autres implications.

Pfizer a explicitement reconnu dans ses protocoles cliniques que la toxicité pour la reproduction n’a pas été étudiée dans ses essais sur les animaux.

En ce qui concerne les NPL, les nouveaux composés comportent des risques intrinsèques plausibles qui ne peuvent être écartés que par des essais appropriés conçus dans ce but précis, ce qui est manifestement absent des protocoles d’essai.

La FDA et les fabricants de vaccins ont manifestement pris des raccourcis dans le développement et les essais de ces vaccins.

D’autres théories mécanistes concernant les lésions induites par les vaccins – y compris la fertilité – sont examinées en profondeur dans le document « Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19 » [Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19] (dont le lien original semble avoir disparu… mince, je me demande pourquoi…) [NdT. heureusement j’ai traduit en entier et publié cette étude ici], dont voici le résumé:

Nous passerons ensuite en revue les composants et la réponse biologique prévue de ces vaccins, y compris la production de la protéine spike elle-même, ainsi que leur relation potentielle avec un large éventail de pathologies induites aiguës et à long terme, telles que les troubles sanguins, les maladies neurodégénératives et les maladies auto-immunes. Parmi ces pathologies potentielles induites, nous discuterons de la pertinence des séquences d’acides aminés liées à la protéine prion dans la protéine spike.

N’oubliez pas que c’est aux fabricants de vaccins de prouver que leur produit est sûr, même face à des dangers hautement spéculatifs.

Je pense qu’une dernière remarque s’impose concernant l’affirmation du Dr Berman selon laquelle il n’existe  » aucune théorie biologique plausible  » selon laquelle ces vaccins peuvent affecter la fertilité. Franchement, une telle affirmation n’a pas de fondement, même si elle n’est pas contestée par des preuves contradictoires. Si l’incapacité des scientifiques à concevoir un mécanisme plausible pour des préjudices spéculatifs constituait une norme viable pour statuer sur les problèmes de sécurité, la FDA pourrait être en grande partie mise à la retraite, ce qui rendrait inutile le régime de tests rigoureux auquel sont soumis toutes les nouvelles thérapies et tous les agents biologiques face aux affirmations d’experts convaincus de l’absence de plausibilité d’effets indésirables inattendus. Ces affirmations sont examinées d’un œil critique précisément parce que nous accordons (à juste titre) la déférence nécessaire à l’éternel fardeau de l’humanité qui est de ne pas savoir ce que nous ne savons pas. Malheureusement, les experts reconnaissent rarement les limites de leur expertise et, en ce qui concerne le covid, semblent ignorer qu’il en existe. Le Dr Berman ne fait pas exception.


Pour plus d’informations sur la fertilité, lire Existe-t-il une base plausible pour les problèmes de fertilité? [NdT. Is There A Plausible Basis for Fertility Concerns, que je traduis dès que j’ai le temps]


Texte original

Dr. Berman on Vaccines & Fertility

Claim: “There is not even a plausible biologic theory to account for [the] possibility” of the vaccines affecting fertility.

Ashmedai

Jan 17

This is part of a series to highlight the ineptitude and sheer illiteracy of the experts my community has relied upon for covid medical advice. I am only employing arguments that can be made from the data/studies and other information available at the time the claim was made.


Claim: “There is not even a plausible biologic theory to account for [the] possibility” of the vaccines affecting fertility.

Source: On the Covid Vaccinations, published 6/21/21

Background: The establishment was still trying to pretend that the widespread reports of menstrual problems were false.


The Facts:

To be very clear, Dr. Berman claimed that there wasn’t widespread documentation of a massive quantity – incorporating a wide array – of side effects. He further – astoundingly – claimed that there is neither a basis nor even a plausible biologic theory to sustain legitimate skepticism that the vaccines may cause fertility problems. While I don’t doubt that Dr. Berman sincerely believes his assertions, they do give a distinct impression of the typical unwarranted hubris endemic to scientists, which is an apt description for whomever is ultimately the provenance of these assertions. We shall demonstrate that there are multiple viable mechanistic options for causing a vast assortment of severe adverse effects, including infertility.

Novel Biological Components of the Covid Vaccines

At least two foreign, hitherto-undeployed biological entities are introduced to the human body by the covid vaccines (1 in the case of J&J) – the lipid nanoparticle and the spike protein. Common sense cautions that a novel foreign biological substance inserted into the human body may disrupt normal biological functions. This by itself already exceeds the low bar of ‘plausibility’. An analysis of both however will indicate that they are not only ‘plausible’ but very possibly (likely?) to cause widespread reproductive damage.

Lipid nanoparticles (LNP’s) have long been recognized as highly reactogenic and possessing a variety of toxicological characteristics across various configurations, which was a primary consideration when determining – that is to say, limiting – vaccine dosage. An early hurdle (after the breakthrough discovery of replacing uridine with N1-Methyl-Pseudouridine made the mRNA essentially “usable”) that stymied mRNA research was arranging a molecular structure for the LNP that was not [lethally] toxic. (Many animals ultimately gave their lives in pursuit of this achievement.)

Vaccine proponents claimed that the LNP’s would remain around the injection site, that the spike proteins wouldn’t escape the cells producing them, and that they lacked pathogenicity in any event. Unsurprisingly, none of these claims are true.

Pfizer’s pre-clinical bio-distribution study on the vaccinated animals (released by the Japanese government) found that high quantities of LNP’s accumulated in various organs and tissues, including the ovaries and uterus, and accumulation was vastly disproportionate in the ovaries compared to most other organs (the liver (not shown) and spleen were even more LPN-friendly):

(For the record, this result was derived using the lowest sensitivity test, which we shall return to later.)

A sizeable quantity of a highly reactogenic (picture something that ‘offends’ and ‘triggers’ the immune system) biological agent amassing in any organ system is obviously troubling. Besides for their potent reactogenicity, this suggests a discrete possibility that mRNA may have been intruded into organ tissue cells – which would then produce spike proteins per the vaccine’s design. These cells would subsequently present antigenic Spike proteins, precipitating an immune system attack upon some of the organ tissue directly.

Needless to say, a sizeable quantity of a highly reactogenic biological agent amassing in the ovaries doesn’t merely provide mechanistic plausibility for alleged fertility complications, it frankly predicts such injuries to occur. Also needless to say, the thought of, say, heart muscle cells or kidney cells producing spike proteins is a shuddering prospect whose mere utterance requires no supplementary explanation.

A second plausible mechanism for vaccine side effects, including fertility injuries, is the spike protein itself. A recent Oxford study found spike protein circulating in the plasma in 11/13 vaccinated individuals studied, including detached S1 spike protein subunits in some.

Although not a technical requirement for vaccine approval, bio-distribution studies are considered de regueur, and considering the novel architecture of the covid vaccines, the decision to forgo conducting one is highly suspect. (As spelled out by Dr. Robert Malone, proper bio-distribution study necessarily entails fully dissecting vaccinated animals to extract tissue samples from its entire anatomy, not the notoriously inadequate Luciferase bioluminescence assays they performed for the FDA.) This observation was articulated in the BMJ by one of their senior editors.

(Other extraordinarily unusual decisions made running the vaccine trials include excluding all demographics at substantial risk from covid and unblinding and de-controlling the studies by vaccinating the control arms(!!!), a move that forecloses the possibility (read: threat) of high-powered long-term safety data emerging. Ever.)

This demonstrates why we don’t rely on scientists claims of “implausibility” – they are too often encumbered by unimaginative thinking and inflated egoism – and this is clearly demonstrated through their ‘anchor’ modification, which ‘unexpectedly’ failed to prevent the mass exodus from their progenitor cells. Regardless, it is undeniably eminently plausible that spike proteins are circulating in significant quantities in many vaccinated people.

Native S-protein has likewise been firmly established to possess genuine pathogenic traits, which lacking toxicological assessment are presumed to be uninhibited by any of the novel modifications of the vaccine’s adaptation. The many toxic properties of spike proteins have been thoroughly documented (partial list of studies off the top of my head that clearly describe a spike protein toxicity in their title):

In SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2, the authors found exactly what the title suggests, namely that merely binding to ACE2 receptors without executing any further pathogenic function disrupted numerous biological processes. (This was an ingeniously crafted experiment, where the researchers grafted S-proteins onto a pseudo-virion platform and infected cute Syrian hamsters with their Frankenstein pseudo-virus, whose sole potentially pathogenic attribute was the ability to bind with cellular surface proteins.)

The S1 protein of SARS-CoV-2 crosses the blood–brain barrier in mice study found that lab animals injected with spike protein into their bloodstream developed cardiovascular problems. More horrifyingly, they also discovered that S1 subunits can cross the blood-brain barrier (BBB), potential triggering all sorts of neurological adverse effects like the large assortment found in the various pharmacovigilance databases.

Critically, none of the vaccine makers actually demonstrated that the vaccine’s versions of the spike protein was cured of toxicity or pathogenicity (remember, the point of a vaccine is that you get injected with a dead or inert virus/part of the virus, not the virus’ active ingredient in a fully functional form). It is a small step, not a giant leap, to conjecture that nomadic spike proteins journeying to other organ systems, including reproductive organs, may bind with the ACE2 receptors ubiquitous throughout almost every organ system in the body, again including reproductive organs.

Furthermore, incredibly immunogenic spike proteins could conceivably induce a potent immune response wherever they accumulate, leading to inflammation or other detrimental effects in (previously) healthy tissue (or trigger another unknown and unanticipated biological process exerting a detrimental impact)… This, too, easily eclipses the low hurdle of plausibility, especially considering that the lipids -including some still possibly carrying mRNA – seem to drain into the ovaries. Uh-oh, anyone?

As the shocking nature of the revelations just divulged poses a formidable obstacle to most people who have until now only heard widespread claims of properly determined safety by the FDA and other regulatory bodies, it is necessary to provide the specific failures of the FDA in approving these vaccines.

It is instructive by way of introduction that the development timeline was severely truncated while under unprecedented moral, social, and political pressures. A layman readily intuits from this simple fact with common sense derived from all of human history a cautionary signal of hasty decision making inadequately accounting for numerous considerations, of which many are far from obvious, especially to a stressed and burdened mind. It is axiomatic to human nature that commensurate with increasing urgency amid ongoing devastation is an increasing tolerance of risk and corner-cutting, because a rational risk/benefit analysis properly concludes that “desperate times call for desperate measures”. A consistent outgrowth of such circumstances is the predilection to allow such a mindset to persist even in the subsequent absence of its precipitating conditions. This possibility is amplified where previous decisions in hindsight seem unjustified; and becomes probable where previous decisions created a systemic flaw still present which would require not only the embarrassing admission of error but potentially vitiating significant progress towards an unachieved objective, such as the development of a covid vaccine. To pretend otherwise is to be willfully and delusionally ignorant, which is of course the (ill-) considered position of the medical community. We shall provide a few examples of specific decisions that are manifestly defective.

For this, I will simply paraphrase Robert Malone, the first person to synthesize mRNA that successfully infiltrated a cell. The following comes from an interview with Daniel Horowitz (the first one):

The FDA involved only their vaccinologists, leaving out the gene therapy experts. The predictable result was that since traditional vaccines don’t undergo assessment to characterize the duration, distribution, or levels of expression of any component, nor do they undergo reproductive toxicology or genotoxicity, the covid vaccines were spared such testing despite being gene therapies where such enquiries are germane to their safety profile. Thus, the FDA never required that vaccine developers rigorously characterize level, duration, or distribution of manufacturing of spike proteins, or the distribution and toxicology of novel lipid compounds used to construct the LNP delivery vehicle. The meager animal bio-distribution study that was conducted by Pfizer used the least-sensitive testing mechanism. To assess bio-distribution, they coded for Luciferase in the mRNA, a bioluminescent protein responsible for the glow of a firefly’s tail. To analyze the biodistribution of luminescent proteins, they used photon multiplier tubes on whole animals, the least sensitive way of testing, since biological tissues deflect or refract photons, preferentially favoring extremely high concentration areas that are close to the surface. Unsurprisingly, the injection site accounted for the vast majority of the detected luminescence. Proper protocol – which would have been insisted upon had gene therapy experts been consulted – calls for dissecting the animals, extracting samples from the entire anatomy, which are then put in tubes with a buffer, followed by lysing (popping open) the cells and obtaining a sample which is tested for luminescence. This would indicate accurately how much of the mRNA-encoded protein was synthesized in each anatomical sample. That the FDA et al accepted the lowest sensitivity test, reveals their cluelessness in assigning inadequate standards for assessing these vaccines.

Furthermore, the spike protein isn’t the only potential vaccine target antigen, and may not even be the best one. Spike protein itself has many mechanisms that could be targeted besides for the RBD “which could’ve been left in a native structure” [ie, “closed conformation”, in other words, they chose to lock the S1 in an ‘open conformation’, which would keep the RBD exposed, but also enhances ACE2 binding affinity]. Covid contains other proteins that elicit cytotoxic T-Cell lymphocytes [those are the assassin T-Cells that destroy infected cells]. Hasty decision making for vaccine development led to ill-considered and harried decisions to target the easiest candidate without considering other implications.

Pfizer explicitly acknowledged in their clinical protocols that reproductive toxicity wasn’t studied in their animal trials.

As far as the LNP’s are concerned, new compounds contain inherently plausible risk that can be retired only through proper trials designed for that specific purpose, something manifestly absent from the trial protocols.  

The FDA and vaccine manufacturer’s obviously cut corners in the development and trials of these vaccines.

Other mechanistic theories for vaccine induced injuries -including fertility – is explored in great depth in Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19 (whose original link seems to have gone offline… gee, I wonder why…), whose abstract includes:

We then review both components of and the intended biological response to these vaccines, including production of the spike protein itself, and their potential relationship to a wide range of both acute and long-term induced pathologies, such as blood disorders, neurodegenerative diseases and autoimmune diseases. Among these potential induced pathologies, we discuss the relevance of prion-protein-related amino acid sequences within the spike protein.

Remember, it’s on vaccine manufacturers to prove that their product is safe, even from highly speculative dangers.

I think a final point is in order concerning Dr. Berman’s claim that there is “no plausible biologic theory” that these vaccines can affect fertility. Frankly, such a claim does not possess legs to stand upon even unchallenged by contra-indicating evidence. Were scientist’s inability to conceive of a plausible mechanism for speculative harms a viable standard to adjudicate safety concerns, the FDA could be largely retired, what with little need for the robust testing regiment all novel therapies and biological agents are subjected to in the face of staunch expert claims of lack of plausibility for unexpected adverse effects to occur. Such proclamations are critically examined precisely because we (properly) accord due deference to humanity’s eternal burden of not knowing what we don’t know. Regrettably, experts seldom recognize the limits of their expertise, and vis-à-vis covid seem unaware that any exist altogether. Dr. Berman is no exception.



For more on fertility, see Is There A Plausible Basis for Fertility Concerns

La renaissance contemporaine de Moloch – par Ashmedai.

Voici un article que j’aurais aimé trouver plus tôt. Je ne suis pas certain qu’il aurait mieux convaincu les parents de réfléchir avant de faire injecter leurs enfants que les articles précédents que j’ai récemment publiés (ici, ici, ici et vous pouvez aussi consulter le sommaire), vu qu’on a affaire à ce qui est clairement décrit ici: un culte.

Qui plus est, un culte de mort.

Ceci donne un éclairage bien plus essentiel que l’analyse du Dr Desmet (ici et ici) du mal qui s’est emparé d’une partie de l’humanité, analyse très intéressante d’un point de vue purement médical mais à laquelle il manque la dimension sacrée. C’est en effet sous cet angle qu’on cerne comment l’ignorance et la folie, deux des conséquences essentielles de la perte du sacré, se rejoignent à nouveau pour donner le pire dont l’âme humaine est capable: la superstition. Sur ce sujet, j’ai encore à terminer un article sur le « vaccin » en tant que rituel d’initiation et un article sur les enfants morts au concert de Travis Scott. Patience.

Je publie celui-ci maintenant puisque même si la contagion est apparemment en fin de course, Pfizer a demandé à la FDA une autorisation de mise sur le marché de son injection pour les moins de cinq ans, qui pourrait être accordée le mois prochain.

Source.


Traduction

La renaissance contemporaine de Moloch

La vaccination des enfants est indissociable des anciens rites d’adoration de Moloch

Ashmedai

10 novembre 2021

Le culte idolâtre aujourd’hui disparu de Moloch est probablement le paradigme par excellence de ce fléau barbare qu’est le sacrifice d’enfants au nom d’une idéologie maléfique, perverse et irrationnelle. Malheureusement, malgré la disparition de ce culte en particulier, sa pathologie sous-jacente survit dans les recoins les plus sombres de la nature humaine, comme nous allons le voir.

La nature du culte de Moloch:

On trouve dans les sources juives anciennes un désaccord fondamental sur la nature exacte du culte de Moloch. Pour certains, le principal acte d’adoration consistait à faire passer l’enfant à travers ou entre de multiples feux ardents, de telle sorte que la mort s’ensuivait souvent (les détails exacts de cette pratique font également l’objet d’un débat, et il est possible qu’elle ait été pratiquée différemment selon l’époque et le lieu, de sorte que le taux de mortalité n’est pas clair). En d’autres termes, l’acte de vénération consistait à exposer l’enfant à un péril physique évident en guise d’offrande à la divinité Moloch.

Selon un autre avis, le passage de l’enfant dans le feu était symbolique et n’exposait pas l’enfant au péril du feu lui-même. L’un des partisans de cette opinion était Maïmonide, qui a écrit (traduction) :

« Nous devons également souligner que les promoteurs de principes faux, sans fondement et vains élaborent des plans et des projets pour consolider leur foi; ils disent à leurs semblables qu’un certain fléau s’abattra sur ceux qui n’accompliront pas l’acte par lequel cette foi est étayée et confirmée pour toujours; ce fléau peut un jour frapper accidentellement une personne, qui portera alors son attention sur l’accomplissement de cet acte, et choisira l’idolâtrie.

[…]

Comme il est bien connu que ce que les gens craignent et redoutent naturellement le plus est la perte de leurs biens et de leurs enfants, les adorateurs du feu ont propagé le conte, que si quelqu’un ne faisait pas passer son fils et sa fille par le feu, il perdrait ses enfants par la mort. Il n’y a pas de doute qu’à cause de cette menace absurde tout le monde obéissait immédiatement, par pitié et par sympathie pour l’enfant; d’autant plus que c’était une chose insignifiante et légère que l’on demandait, en passant l’enfant par le feu. »

Comparaison de Moloch et de la vaccination des enfants:

Les caractéristiques marquantes qui définissent l’idolâtrie odieuse de Moloch sont les suivantes:

  1. Les gens étaient confrontés à un ou plusieurs problèmes importants dans leur vie, qui touchaient l’individu ou la communauté (tels qu’une famine, une invasion, la peste, ou au niveau individuel la maladie ou la pauvreté).
  2. La menace qui servait de catalyseur au besoin de recourir à l’idolâtrie comme planche de salut était elle-même souvent une fable élaborée de toutes pièces.
  3. Les gens subissaient un lavage de cerveau qui les amenait à croire que le salut ne résidait que dans la déclaration et la mise en pratique de la fidélité et de la dévotion à une abstraction – dans ce cas, la divinité Moloch.
  4. La preuve de fidélité ne pouvait être donnée qu’en se servant de ses propres enfants (et parfois il était possible, si on n’en avait pas et si on disposait de moyens suffisants, de littéralement acheter un enfant).
  5. Les réfractaires étaient désignés coupables si le sacrifice ne donnait pas les résultats escomptés.
  6. Tout malheur qui se produisait, même s’il n’avait manifestement aucun rapport avec le ou les problèmes qui justifiaient le culte de Moloch, pouvait être attribué aux réfractaires, y compris parmi les fidèles de Moloch, même s’ils étaient peu nombreux.
  7. Il n’y avait aucun lien intrinsèque ou rationnel entre l’acte de sacrifice d’enfants et l’objectif visé.
  8. Cela restait vrai même lorsque le danger que les gens tentaient d’éviter par le culte de Moloch était la mort des enfants eux-mêmes (ceci n’est valable que selon la deuxième interprétation).
  9. Une fois que les gens avaient accordé leur adhésion dogmatique et leur soumission – en particulier en prenant part à des actions idolâtres absurdes ou barbares – ils étaient essentiellement affligés de manière incurable, mentalement et émotionnellement, par la croyance que le culte de Moloch était la seule réponse pour tout type de problème (dont la définition ne cessait de croître) attribué à Moloch.
  10. Le sacrifice de ses propres enfants, allant jusqu’à une mort inhumaine par torture, était exigé et accepté par le peuple.

La vaccination des enfants contre le covid, en particulier avec les vaccins actuellement disponibles, présente toutes les caractéristiques décrites ci-dessus:

  1. Le covid est, dans l’esprit de la majorité, un problème majeur prégnant, tant au niveau collectif qu’individuel.
  2. Le covid est en grande partie hautement surévalué, à tel point qu’il constitue dans une large mesure une conjecture délirante émanant de la version moderne des faux prophètes, des responsables de la « Santé Publique » et de leurs acolytes politiques/sociaux.
  3. On a fait subir un lavage de cerveau à de nombreuses personnes en leur faisant croire que seuls les vaccins offrent le salut. De nombreuses personnes ont en outre été conditionnées à l’idée que ce n’est qu’en vaccinant tous les enfants – la dernière grande cohorte de non-vaccinés – que nous serons libérés du fléau de la peste covidée.
  4. C’est une évidence manifeste: ce n’est qu’en étant vacciné que l’on devient un membre acceptable de la société. Ce principe s’étendra à la vaccination de vos enfants aussitôt que les vaccins seront logistiquement disponibles pour tous les enfants.
  5. Même si la majorité écrasante d’une population est vaccinée, la petite minorité des non-vaccinés est tenue responsable de l’échec des vaccins à atteindre leur objectif déclaré d’éliminer le covid.
  6. Tous les problèmes de fond de la société, tels que le chaos dans la chaîne d’approvisionnement ou la surcharge des hôpitaux par des problèmes de santé non-liés au covid, sont imputés aux non-vaccinés, malgré l’absurdité de cette proposition.
  7. Il n’y a aucun lien rationnel entre la vaccination d’une cohorte de personnes qui ne courent aucun risque significatif de contracter le covid et qui ne propagent pas le covid en nombre statistiquement significatif et l’élimination ou la résolution du covid. Ceci est particulièrement vrai si l’on considère que les vaccins n’empêchent pas la contraction ou la transmission du covid (comme l’admet elle-même la grande prêtresse de l’idolâtrie du covid, la directrice du CDC en personne). Vacciner les enfants ne sert en rien à protéger ceux qui sont réellement à risque de contracter le covid.
  8. Ceci est particulièrement vrai dans le cas des enfants, pour lesquels il n’y a aucun problème à résoudre, puisqu’ils ne sont pas affectés par le covid de quelque manière que ce soit (les enfants présentant des comorbidités sévères constituent un minuscule sous-ensemble qui doit faire l’objet d’une discussion distincte, ce qui est un tout autre sujet).
  9. Les croyants ne montrent aucun signe de fléchissement de leur foi malgré l’implosion de pratiquement tous les éléments fondateurs de l’édifice intellectuel et de la base du culte du covid.
  10. Soumettre vos enfants aux morts effroyables et aux autres effets secondaires graves de ces vaccins est une exigence (et probablement bientôt une obligation dans de larges pans des États-Unis).

Et il existe certainement encore beaucoup d’autres aspects que j’ai oubliés.

Vacciner les enfants contre le covid est l’une des abominations sociétales les plus odieuses jamais conçues, ce qui, compte tenu de l’effondrement moral complet de notre société, n’est pas peu dire.


Texte original

The Contemporary Renaissance of Moloch

Vaccinating children is indistinguishable from the ancient rites of Moloch worship

Ashmedai

Nov 10, 2021

The extinct idolatrous cult of Moloch is probably the paradigmatic embodiment of the barbaric scourge of child sacrifice in the name of an evil, perverse and irrational ideology. Unfortunately, despite the disappearance of that specific cult, its underlying pathology persists in the darker recesses of human nature, as we shall see.

The Nature of Moloch Worship:

There is a basic dispute amongst ancient Jewish sources regarding what precisely was the nature of Moloch worship. One view held that the primary act of worship was passing the child through or between multiple blazing fires in such a manner that death often occurred (the granular details of this are similarly the subject of dispute, and may well have been practiced differently depending on the time/place, so the mortality rate is unclear). In other words, the act of worship was the exposing of the child to a clear physical peril as an offering to the deity Moloch.

The other view held that the act of passing the child through a fire was symbolic and did not expose the child to the peril of the fire itself. One proponent of this view was Maimonides, who wrote (translation):

“We must also point out that originators of false, baseless, and useless principles scheme and plan for the firm establishment of their faith; and tell their fellow-men that a certain plague will befall those who will not perform the act by which that faith is supported and confirmed for ever; this plague may one day accidentally befall a person, who will then direct his attention to the performance of that act, and adopt idolatry.

[…]

It being well known that people are naturally most in fear and dread of the loss of their property and their children, the worshippers of fire spread the tale, that if any one did not pass his son and daughter through the fire, he will lose his children by death. There is no doubt that on account of this absurd menace everyone at once obeyed, out of pity and sympathy for the child; especially as it was a trifling and a light thing that was demanded, in passing the child over the fire.”

Comparison of Moloch to Child Vaccination:

The salient characteristics which define the abhorrent idolatry of Moloch include the following:

  1. People faced a significant issue or issues in their lives, whether individual or communal (such as a famine, invasion, plague, or at an individual level illness or poverty).
  2. The threat which served as the catalyst for people to feel the need to turn to idolatry for salvation to escape from was itself often a concocted fairytale.
  3. People are brainwashed into believing that salvation lies only in declaring and manifesting in practice fealty and devotion to an abstraction – in this case the deity Moloch.
  4. Demonstration of fealty was only possible through using one’s children (and sometimes you could literally purchase a child if you lacked one and had sufficient means).
  5. Holdouts could be blamed should the sacrifice fail to achieve the desired objective.
  6. Any and all mishaps that occurred, even those obviously unrelated to the issue/s that were the stated justification for Moloch worship and even amongst the Moloch faithful, could be attributed to the holdouts regardless of how few there were.
  7. There was no intrinsic or otherwise rational connection between the act of child sacrifice and the desired objective.
  8. This is true even when the danger people were attempting to avoid through Moloch worship was the death of the children themselves (this is only per the second view).
  9. Once people formed a dogmatic adherence and attachment – especially one cemented by partaking in absurd or barbaric idolatrous actions – they were essentially incurably afflicted mentally and emotionally with the belief in Moloch worship as the only answer to whatever (continually burgeoning) assortment of life issues were ascribed to Moloch.
  10. Sacrificing one’s children, even to an inhumanly torturous death, was required of and embraced by the people.

Vaccinating children against covid, and especially with the currently available vaccines, manifests all of the above characteristics:

  1. Covid is in the minds of most people a presently significant issue on both a communal and individual level.
  2. Covid is largely itself massively overexaggerated to the point of being in large part a delusional conjecture of the modern version of false prophets, “Public Health” officials and their political/social acolytes.
  3. Many people have been brainwashed that only the vaccines offer salvation. Many people have been further conditioned that only by vaccinating all children – the last remaining large cohort of the unvaccinated – will we be freed from the scourge of the covid pestilence.
  4. This one is patently obvious, that only by being vaccinated is one an acceptable member of society. This will extend to vaccinating your children as soon as the vaccines are made available logistically for all children.
  5. Regardless of how overwhelming a majority of any jurisdiction is vaccinated, the slim minority of the unvaccinated are blamed for the failure of the vaccines to achieve their stated objective of eliminating covid.
  6. All of the major problems in society, such as the supply line mess or hospitals being overburdened by non-covid health issues, are being blamed on the unvaccinated despite the absurdity of the proposition.
  7. There is no rational connection between vaccinating a cohort of people that has zero meaningful risk from covid and does not spread covid in statistically significant numbers and eliminating or solving covid. This is especially true considering that the vaccines do not stop the contraction or transmission of covid (as admitted by even the High Priestess of the Covid Idolatry, the CDC Director herself). Vaccinating children does not do anything to help those who are actually at risk for covid.
  8. This is especially true regarding children, for whom there is no problem to solve, as they are not afflicted by covid whatsoever (children with severe comorbidities are a tiny subset that is a separate discussion, which is another topic entirely).
  9. The believers show no signs of faltering faith despite the implosion of almost every single foundational element of the covid cult’s intellectual edifice and basis.
  10. Subjecting your children to the horrible deaths and other severe side effects of these vaccines is required (and probably soon to be mandated in wide swaths of the US).

And I’m sure that there are plenty of other characteristics that I left out.

Vaccinating children against covid is one of the most abhorrent societal abominations ever conceived, which considering the contemporaneous complete moral collapse of society is saying something.

Par ici la sortie.

Note du 21/02: suite de cet article ici.

Le cirque Corona replie la tente.

L’orchestre joue encore une dernière ritournelle, tandis que le public est gentiment dirigé vers la sortie. On range les chaises. On compte la recette.

Et les morts.

Ils ont fait le bilan de cette guerre-spectacle et comme dans toutes les guerres, ils ont examiné le chiffres des « pertes acceptables ». Pas les pertes acceptables maximum. Comme pour tout ce qu’ils ont dit, il faut en comprendre l’inverse: les pertes acceptables minimum. Voir notamment les chiffres publiés ici. Il faudra aussi y ajouter les vieux et les handicapés exécutés dans leurs homes, à la seringue, dont on entend plus beaucoup parler, ceux qui sont morts chez eux, ceux qu’on a tués dans les hôpitaux à coup de protocole inutile et dangereux et les effets retard encore à venir des injections (ici), dont la stérilité n’est pas le moindre. Et comment compter le nombre d’enfants qui ne naîtront jamais?

Ils ont dû juger que cette phase de l’opération avait donné tout ce qu’on pouvait en attendre. Quelqu’un a diffusé « omicron », qui n’est rien d’autre qu’un vaccin transmissible, et il n’est pas impossible que ce soit eux, pour clore cet épisode de leur guerre. Ils gardent comme outil la génération suivante de tests, dans lesquels ils ont déjà déplacé leurs pions. Ils commencent maintenant à revenir subrepticement sur leur discours pour se calquer sur ce que les « dissidents » clament depuis deux ans: les chiffres ne sont pas totalement exacts, les tests PCR ne sont finalement pas fiables, les « vaccins » ne sont pas tellement efficaces, les « boosters » ne doivent pas forcément être administrés aux enfants, etc. Puisqu’ils ont tous les droits, ils ont aussi celui de défaire officiellement l’édifice de mensonges qui leur a servi à mettre en place leur artillerie sanitaire, à éliminer leurs cibles et à persécuter les bonnes volontés. Comme ils l’ont toujours fait dans la dernière phase de toutes leurs guerres, ils se posent en sauveurs, tout en continuant à infliger le maximum de dégâts tout au long de leur manoeuvre de repli.

Si nous ne prenons pas les choses en main, il n’y aura pas de tribunal, pas de procès, pas de jugement, pas de sentence, comme cela leur a été promis par quelqu’un de vraisemblablement très haut placé. Si nous ne prenons pas les choses en main, ils passeront à l’étape suivante du programme, la cyberpandémie, qui leur permettra de parachever le camouflage du plus grand vol de l’Histoire et de nous mettre en esclavage.

Mais nous allons faire mieux que reprendre les choses en main.

Nous allons reprendre en main notre destin.

Et ils n’en font pas partie.

« A quel point mon lot est-il dangereux? » – par Robert Malone.

Cet article reprend des infos que vous avez déjà.

Mise à jour 31/01: Jessica Rose réfute catégoriquement le calcul de Craig Paardekoper, mentionné dans cet article, qui établit que 5% des lots sont responsables de 90% des effets adverses.

Source.

Traduction

« A quel point mon lot est-il dangereux? »

L’histoire de mes lésions vaccinales

Robert W Malone, MD MS

13 janvier

En fait, j’ai une vie privée. Mon épouse depuis 42 ans et moi sommes en fait assez réservés. Je ne partage pas mon histoire personnelle tous les jours. Cependant, comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai reçu deux fois le vaccin Moderna et j’ai souffert d’un dommage vaccinal assez sérieux. C’était au tout début du déploiement des vaccins. C’était bien avant le FOIA [NdT. Le Freedom of Information Act (FOIA) des États-Unis permet au public d’obtenir des copies des dossiers détenus par les agences fédérales] des données japonaises sur les essais précliniques, qui présentaient de nombreux signaux d’alertes et irrégularités, bien avant que nous soyions au courant de tous les problèmes liés aux essais cliniques, et bien avant que le VAERS et leurs événements indésirables soient connus.

Pour l’écrire, je n’ai jamais été un « anti-vax ». J’ai passé ma carrière à travailler sur des vaccins. Je sais aussi que certains vaccins sont « chauds » [virulents], et qu’ils sont moins sûrs. Habituellement, ces types de vaccins sont réservés à des virus extrêmement dangereux comme Ebola ou la fièvre jaune. Lorsque l’objectif est de rendre le vaccin efficace à 100%. D’autres vaccins, ceux largement distribués, comme les vaccins contre la grippe, doivent être très sûrs. La contrepartie est qu’ils sont moins efficaces. La conception de vaccins qui permettent de répondre de manière équilibrée à la « menace » relève à la fois de la science et de l’art. Par conséquent, je sais qu’il faut lire la documentation, faire preuve de diligence raisonnable, etc. avant de recourir à un produit expérimental ou à un vaccin. C’est ce que je croyais avoir fait. Le gouvernement nous avait assuré que ces vaccins étaient très sûrs. Jamais je n’aurais imaginé que les données cliniques seraient corrompues et même falsifiées – comme nous avons maintenant appris qu’elles l’étaient.

Bref, revenons à mon histoire. Au début du mois d’avril 2021, je savais que je devais voyager à l’étranger et que l’Union Européenne s’apprêtait à exiger une vaccination complète pour l’accès à tous les pays de l’UE avant l’été (ce qui n’est jamais arrivé, d’ailleurs). Je savais qu’un protocole de vaccination complet nécessitait plusieurs semaines – et que je ferais mieux de m’y mettre! De plus, on entendait beaucoup parler du fait que la vaccination pouvait aider à surmonter le « COVID long ». J’avais déjà eu le COVID, et je n’arrivais pas à me débarrasser d’un certain nombre de problèmes chroniques que j’avais développés après avoir contracté la maladie. Franchement, j’aurais dû faire plus de recherches à ce sujet, car cette idée ne tenait vraiment pas la route.

Quoi qu’il en soit, en avril 2021, je me suis fait vacciner. C’était assez tôt dans le calendrier et je n’ai pas eu d’autre choix que de prendre le vaccin Moderna, puisqu’il était le seul disponible dans ma région. Le vaccin était administré dans un collège local, et les réservistes de l’armée étaient chargés d’exécuter le programme.

La première injection s’est bien passée. Aucun problème.

La deuxième injection a failli me tuer. Autrement dit, j’ai failli mourir.

Après l’injection, j’ai ressenti la fatigue habituelle, des douleurs musculaires, puis les palpitations ont commencé, ainsi que l’essoufflement. Quelques jours plus tard, la situation s’est aggravée. Je ne suis pas du genre à aller facilement voir le médecin, mais heureusement pour moi, j’avais un rendez-vous de routine avec mon médecin. Elle a pris ma tension et ma tension artérielle systolique dépassait la cote d’alerte. Comme elle est également cardiologue, elle m’a fait passer d’autres tests, m’a fait prendre des médicaments contre l’hypertension et a réussi à la garder sous contrôle. J’ai l’impression que je lui dois la vie. Je tiens à exprimer ma gratitude au fantastique Dr C. Bove.

Avance rapide jusqu’à aujourd’hui.

L’une des personnes qui commentent mes articles sur Substack m’a indiqué ce site Web :

https://www.howbadismybatch.com/

Ce site compare les codes de lots de vaccins avec les informations du système VAERS, qui est le système de signalement des événements géré par le CDC. Ce site fait un parallèle entre les lots de vaccins et les effets indésirables des médicaments, les décès, les invalidités et les maladies potentiellement mortelles recensés par le système VAERS.

Selon le site web ci-dessus, les données signalées dans le VAERS, reproduites sur le site, montrent que les événements indésirables déclenchés par les lots de Moderna sont très variables.

  • 5 % des lots semblent avoir produit 90 % des effets indésirables.
  • Certains lots de Moderna sont associés à 50 fois plus de décès et d’invalidités que d’autres lots.

Fort de cette connaissance, j’ai entré mon code de lot dans le champ de recherche. La première injection n’a été associée à presque aucun effet indésirable significatif. Concernant la deuxième injection, j’ai carrément eu un choc.

Voici les résultats :

Maintenant, je ne sais pas combien de doses il y a dans chaque lot. Mais je sais que mon lot était très certainement dans les 5% incriminés. Donc, rétrospectivement, ce n’est pas vraiment une surprise que j’aie subi une série d’effets indésirables aussi graves.

Je pense encore que j’ai eu beaucoup de chance d’aller ce jour-là voir mon médecin, et qu’elle soit également cardiologue (elle est mon interniste – je ne la voyais donc pas pour cette spécialité).

Mais pensez-y: notre gouvernement disposait de ces données depuis longtemps dans le système VAERS – déjà l’été dernier. Ces données sont totalement probantes et pourtant… que dalle. Combien de personnes auraient-ils pu aider en publiant ces données? Des gens comme moi, qui, si je n’étais pas médecin et si je n’avais pas consulté mon médecin, aurais pu facilement tomber raide mort.

Mais quel est le problème de notre gouvernement pour qu’un site comme celui-ci ne soit pas disponible auprès du CDC ou de la FDA?

Si quiconque a le moindre doute sur les effets indésirables de ces vaccins, il n’a qu’à jeter un coup d’œil à quelques-unes des recherches évaluées par des pairs ou à consulter les données du VAERS concernant les décès de jeunes adultes et d’enfants.

Les gens ont le droit à un consentement éclairé sur les risques et les avantages de toute procédure médicale. Il n’y a pas consentement éclairé si les risques sont cachés.

LÀ OÙ IL Y A UN RISQUE, IL DOIT Y AVOIR UN CHOIX


Texte original

« How Bad is my Batch »

The story of my vaccine injury

Robert W Malone, MD MS

Jan 13

In fact, I do have a personal life. My wife of of 42 years and I are actually pretty private. Sharing personal history is not something I do everyday. However, as many of you know – I was vaccinated with Moderna twice and had a pretty significant vaccine injury. This was pretty early in the roll-out of the vaccines. It was long before the FOIA Japanese pre-clinical trial data that had so many red-flags and irregularities, long before we learned of all the issues with the clinical trials, and long before the VAERs and adverse events began to be known.

To write it, I have never been an “anti-vax” person. I have spent my career working with vaccines. I also know that some vaccines are “hot,” and are less safe. Usually these types of vaccines are reserved for extremely dangerous viruses like Ebola or Yellow fever. Where the goal is to make the vaccine 100% effective. Other vaccines, that are distributed widely, like the flu vaccines need to be very safe. The trade-off being that they are less effective. There is a whole science and art to crafting vaccines to appropriately respond to the “threat.” So, I know to read the literature, do my own due- diligence, etc before taking an experimental product or any vaccine. That is what I thought I did. The government assured us that these vaccines were very safe. I could never imagine that clinical data would be corrupted and even falsified – as we now know it was.

Anyway, back to my story. I knew in the beginning of April, 2021, that I had to travel overseas and the word on the street was that the European Union was going to require full vaccination before entering any EU country by summer (that actually never happened BTW). I knew that a full vaccination protocol was a process of weeks – and that i had better get started! Furthermore, there was a lot of buzz around the idea that vaccination would help with “long-COVID.” I had already had COVID, and just couldn’t shake a number of chronic issues that I had developed after getting the disease. Frankly, I should have done more homework on that one- because this idea really didn’t hold up to scrutiny.

Be that as it may, in April, 2021, I got vaccinated. It was early enough in the cycle, that I had no choice but to take the Moderna vaccine, as that was available in my area The vaccine was distributed at a local college, with the Army Reserves administering the program.

The first shot was fine. No issues.

The second shot almost did me in. As in I almost died.

After the injection, I had the usual fatigue, muscle-ache and then the palpitations started, as well as shortness of breath. Within a couple days, it got worse – I am not someone who goes to the doctor easily, but luckily for me, I happened to have a routine appointment with my physician. She cuffed me and my systolic blood pressure was through the roof. As she is also a cardiologist, she had more tests run, started me on high blood pressure meds and we got it under control. I kind of feel like I owe her my life. A call out to the fantastic Dr. C. Bove.

Fast forward to today.

One of the people who comments on my Substack articles, pointed me to this website:

https://www.howbadismybatch.com/

This site matches up vaccine batch codes with information from the VAERS system, which is the event reporting system run by the CDC. This site matches the vaccine batches to adverse drug reactions, death, disability and life threatening illnesses from the VAERS system

According to the website above, the data reported in VAERS, reproduced on the site, show that adverse events triggered by Moderna batches have varied widely.

  • 5% of the batches appear to have produced 90% of the adverse reactions
  • Some Moderna batches are associated with 50 x the number of deaths and disabilities compared to other batches.

With that knowledge, I entered my batch code in the search box. The first injection had almost no significant adverse events associated with it. The second jab, frankly shocked me

Here are the results:

Now, I don’t know how many doses are in each batch. But I do know my batch was most definitely in the top 5%. So, not really a surprise in retrospect that I had such a serious adverse event profile.

I always felt I was lucky that I happened to be going to my physician that day, who is also a cardiologist (she is my internist – so I wasn’t seeing her for that specialty).

But just think- our government had this data way back when in the VAERs system -even last summer. This data is so compelling and yet…crickets. How many people could they have helped by releasing this data? People like me, who if I wasn’t a physician and hadn’t gone to my physician could have easily dropped dead.

What is wrong with our government that a site like this are not available from the CDC or the FDA?

If anyone has any doubts about adverse events from these vaccines, take a look at some of the peer reviewed research or look at the VAERS data for deaths in young adults and children.

People have the right to be given informed consent of risks and benefits of a medical procedure. Informed consent is not given, if the risks are hidden.

WHERE THERE IS RISK, THERE MUST BE CHOICE

2021: Augmentation des décès dus au COVID, disparition des décès dus à la grippe, plus de 400.000 décès supplémentaires au total par rapport à 2020 – par par Brian Shilhavy.

J’avais publié ici l’estimation de Steve Kirsch du facteur de sous-déclaration des décès à la base de données américaine VAERS, facteur calculé par Jessica Rose, mentionné dans l’article ci-dessous. Je rappelle aussi que j’avais publié le 15 juillet – c’est-à-dire six mois plus tôt – une étude préalable de ce même facteur ici, calculé par un lecteur de Miles Mathis.

Côté Europe, je publie régulièrement les chiffres officiels des décès signalés à la base de données européenne, Eudravigilance, qui étaient en septembre 2021 de 23.252 décès 2.189.537 dommages physiques et s’élèvent au 1 janvier 2022 – un peu plus de trois mois plus tard – à 36.257 décès et 3.244.052 dommages physiques – vous trouverez le détail ici (en anglais). Pour rappel, ces chiffres émanent uniquement des pays membres de l’Union Européenne, c’est-à-dire 27 pays, et ne tiennent compte d’aucun facteur de sous-déclaration.

Il n’existe d’ailleurs, à ma connaissance, aucun calcul du facteur de sous-déclaration pour ces chiffres. Je pense néanmoins que, après lecture de l’article qui suit, vous pouvez déjà vous faire une idée approximative du chiffre réel.

Source.

Traduction

2021: Augmentation des décès dus au COVID, disparition des décès dus à la grippe, plus de 400.000 décès supplémentaires au total par rapport à 2020.

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Fin 2020, nous expliquions comment le CDC avait été pris en flagrant délit de manipulation des statistiques de décès pour faire apparaître les « décès par COVID » comme beaucoup plus élevés qu’ils ne l’étaient en réalité.

En novembre 2020, nous avions publié un article reprenant le graphique ci-dessus, qui montrait que, sur base des propres statistiques du CDC de janvier à septembre 2020, le total des décès projetés pour l’année était en passe d’être à peu près le même que celui des trois années précédentes, 2017 – 2019. Voir :

Les statistiques montrent que le nombre de personnes décédées aux États-Unis en 2020 sera le MEME que les années précédentes, malgré le COVID.

Lorsqu’on a fait passer le message que la saison grippale semblait avoir disparu en 2020, le CDC a décidé d’arrêter de suivre les statistiques sur la grippe.

Voici une capture d’écran du site web du CDC de la page qui l’annonçait, mais je ne crois pas que cette page figure encore sur le site du CDC:

Caractères en rouge: En raison de la pandémie de Covid-19 en cours, ce système suspendra la collecte de données pour la saison grippale 2020-21. Les données des saisons précédentes sont disponibles sur FluView Interactive.

Voir :

Le CDC, selon une décision sans précédent, cesse de suivre la grippe pour la saison 2020-21.

Le 3 février 2021, nous avions publié un article qui présentait une étude publiée dans la revue Science, Public Health Policy & the Law, selon laquelle le CDC aurait violé la loi fédérale en gonflant les statistiques de mortalité du COVID-19.

L’étude est intitulée « COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law : A Historical Retrospective » [« Collecte des données Covid, comorbidité et droit fédéral: une rétrospective historique »].

Dans ce même article, nous avions publié une capture d’écran d’une page qui figurait sur le site du CDC le 30 décembre 2020 et qui indiquait que le nombre total de décès aux États-Unis, toutes causes confondues, au 30 décembre 2020, était de 2.902.664 décès. Voir :

Étude : Les CDC ont enfreint la loi fédérale en manipulant les statistiques de décès du COVID.

Cependant, au début de l’année 2021, cette page a disparu du site web du CDC et une toute nouvelle section a été mise en place sur le site web du CDC pour suivre les décès, et le nombre total de décès pour 2020 a été révisé à 3.389.094, soit une différence de 486.430 décès.

Aujourd’hui, un an plus tard, il apparaît que ces décès supplémentaires attribués à l’année 2020 ont simplement été pré-ajoutés pour dissimuler les décès qui seraient causés par les « vaccins » expérimentaux COVID-19 pour 2021.

Voici ce que déclare le CDC aujourd’hui, au moment de la publication de cet article:

Comme vous pouvez le constater, selon le CDC, les décès dus à la grippe ont pratiquement disparu, puisqu’ils sont passés de leur nombre déjà historiquement bas de 8.785 en 2020, à seulement 932 en 2021.

Et malgré le fait que des centaines de millions d’Américains aient reçu des injections de thérapie génique expérimentale COVID-19 en 2021, les décès dus au COVID, selon le CDC, sont passés de 385.443 en 2020 à 444.951 en 2021.

Et si on prend le nombre de décès total du CDC pour 2020, le 30 décembre 2020, avant qu’ils ne révisent leurs chiffres, on obtient une augmentation du nombre total de décès aux États-Unis en 2021 qui représente plus de 400.000 décès supplémentaires par rapport à 2020.

Et nous devons conclure que la majorité d’entre eux étaient des décès dus à des lésions provoquées par le vaccin COVID-19.

Selon le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des CDC, si l’on exclut les rapports étrangers, le VAERS indique 9.778 décès signalés suite à des injections COVID-19 en 2021. (Source.)

Le Dr Jessica Rose, PhD, a déterminé que le facteur de sous-déclaration au VAERS pour les rapports sur le vaccin COVID-19 est de 41X. Voir:

Détermination du facteur de sous-déclaration au VAERS

Lorsqu’on multiplie par 41 les 9.778 décès signalés suite à des injections COVID-19 pour 2021, on obtient 400.898 décès suite à des injections COVID-19.

Bingo!

Cette preuve est par ailleurs corroborée par la récente admission que les taux de décès observés dans les demandes d’indemnisation d’assurance-vie ont connu une hausse sans précédent de 40% chez les personnes âgées de 18 à 64 ans en 2021. Voir :

Crise en Amérique: Les décès augmentent de 40% chez les personnes âgées de 18 à 64 ans selon les demandes d’indemnisation de l’assurance-vie pour 2021, après le lancement du vaccin COVID-19.

Nous assistons à une réduction de la population mondiale, sous nos yeux, et la masse continue de penser que c’est juste une « théorie du complot ».


Texte original

2021: COVID Deaths Increase, Flu Deaths Disappear, 400,000+ More Total Deaths than 2020

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

At the end of 2020, we reported how the CDC was caught manipulating the death statistics to make “COVID deaths” appear to be much higher than they actually were.

In November of 2020, we published an article with the above chart showing that based on the CDC’s own statistics from January through September of 2020, the total projected deaths for the year were on pace to be about the same as the previous three years, 2017 – 2019. See:

Statistics Show that the Number of People who Died in the U.S. in 2020 will be the SAME as Previous Years, in Spite of COVID

When word got out that the flu season seemed to vanish in 2020, the CDC proceeded to stop tracking influenza statistics.

Here is a screenshot from the CDC website of the page that announced this, but I do not believe this page is found on the CDC website anymore:

See:

In Unprecedented Move CDC Stops Tracking Influenza for 2020-21 Flu Season

On February 3, 2021, we published an article highlighting a study published in the journal Science, Public Health Policy & the Law that claimed the CDC violated federal law by inflating COVID-19 fatality statistics.

The study is titled “COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law: A Historical Retrospective.”

In that same article that we published, we published a screenshot of a page that existed on the CDC website on December 30, 2020 that showed the total deaths in the U.S.  from all causes as of December 30, 2020, as being 2,902,664 deaths. See:

Study: CDC Broke Federal Law by Manipulating COVID Death Statistics

Just after the first of the year in 2021, however, this page disappeared from the CDC website, and an entirely new section was put up on the CDC’s website that tracked deaths, and the total deaths for 2020 were revised to be 3,389,094, a difference of 486,430 deaths.

Now, one year later, it appears that those additional deaths attributed to 2020 were basically being pre-added to cover up the deaths that were going to be caused by the experimental COVID-19 “vaccines” for 2021.

Here is what the CDC is currently reporting today, at the time of publication of this article:

As you can see, according to the CDC, flu deaths have all but disappeared, as they dropped from their already record low number of 8,785 in 2020, to only 932 in 2021.

And in spite of the fact that hundreds of millions of the American population were injected with the experimental gene-therapy shots for COVID-19 in 2021, COVID deaths, according to the CDC, increased from 385,443 in 2020 to 444,951 in 2021.

And if we use the CDC’s number of total deaths for 2020 on December 30, 2020 before they revised their numbers, we have an increase in total deaths in the U.S. in 2021 that is an increase of over 400,000 deaths that occurred in 2020.

And we have to conclude that the majority of those were COVID-19 vaccine injury deaths.

According to the CDC’s Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), if we exclude the foreign reports, VAERS shows 9,778 reported deaths following COVID-19 injections in 2021. (Source.)

Dr. Jessica Rose, PhD. has determined that the VAERS under-reporting multiplier for COVID-19 vaccine reports is 41X. See:

Determining the VAERS Under-Reporting Multiplier

When we multiply the reported 9,778 deaths following COVID-19 injections for 2021 by 41, we get 400,898 deaths following COVID-19 shots.

Bingo!

This evidence is further corroborated by the recent admission that life insurance claims death rates skyrocketed an unprecedented 40% among those between the ages of 18 and 64 in 2021. See:

Crisis in America: Deaths Up 40% Among Those Aged 18-64 Based on Life Insurance Claims for 2021 After COVID-19 Vaccine Roll Outs

We are watching the world’s population be reduced right in front of our eyes, while the masses continue to think it is all a “conspiracy theory.”

Pourquoi veulent-ils « vacciner » les enfants? – Robert F. Kennedy Jr (interview).

Voici la transcription/traduction d’une interview récente (c’est en fait un extrait) de RFK Jr. Dans la première partie, il aborde la raison pour laquelle les enfants sont ciblés par les compagnies pharmaceutiques dans leurs campagnes de vaccination. Dans la deuxième partie, il aborde la question des risques posés par l’aluminium comme adjuvant.

Il existe des enjeux supplémentaires derrière ces deux questions, notamment la toxicité des épandanges atmosphériques de nanoparticules d’aluminium pour lutter contre le « changement climatique », que j’aborderai dans de futurs articles.

Source.


Traduction

Que pensez-vous du fait d’administrer ce vaccin Covid aux enfants? Je suis canadienne et je pense que c’est maintenant une obligation pour aller à l’école au Canada.

Ils doivent l’administer aux enfants parce qu’ils ne peuvent pas commercialiser ce vaccin sans bouclier de protection légale. Je poursuis en justice les compagnies pharmaceutiques, c’est mon métier. Et je suis au courant de beaucoup d’activités criminelles de Pfizer, et de Moderna. S’ils allaient de l’avant et commercialisaient un vaccin qui finirait par tuer ou par causer des lésions aux gens et que je puisse les poursuivre en justice, ils seraient foutus. Ils ne commercialiseront donc jamais un vaccin, ne permettront jamais aux gens de recevoir un vaccin – un vaccin approuvé – sans exemption préalable en matière de responsabilité. Les vaccins autorisés en cas d’urgence bénéficient d’une protection en matière de responsabilité en vertu de la loi PREP et de la loi CARES. Si on accepte un vaccin autorisé pour utilisation d’urgence, on ne peut pas les poursuivre en justice. Une fois qu’ils sont approuvés, on peut les poursuivre à moins qu’ils ne parviennent à le faire recommander pour les enfants.

Quoi?

Parce que tous les vaccins recommandés, officiellement recommandés, pour les enfants bénéficient d’une exemption de responsabilité même si c’est un adulte qui reçoit ce vaccin. C’est pourquoi ils ciblent les enfants. Ils savent qu’il tuera et causera des lésions à un grand nombre d’enfants, mais ils doivent le faire pour bénéficier de cette exemption de responsabilité. Et ils savent qu’il causera du tort aux enfants. Lors de l’étude de Pfizer, ils ne l’ont testé que sur 1.300 enfants. Et l’une d’entre eux, nous le savons maintenant, était une jeune fille nommée Maddie Garay. Nous ne le savons que parce qu’elle et sa famille se sont manifestées et ont raconté ce qui s’est passé. Maddie Garay a reçu le vaccin et a immédiatement été victime de crises d’épilepsie, elle est maintenant en fauteuil roulant à vie et a besoin d’une sonde d’alimentation pour se nourrir. Comme Pfizer n’a testé le vaccin que sur 1.300 enfants, ils ne peuvent procéder que par extrapolation. Un enfant sur 1.300 subira ce type de lésions – des lésions pires que la mort. Pfizer n’a pas signalé ces lésions. Au lieu de cela, ils ont dit qu’elle avait mal au ventre. C’est ce qu’ils ont déclaré à la FDA. Ils ont menti.

Et ils le savent… Voici ce que l’étude du Lancet a révélé. L’étude du Lancet a révélé que les chercheurs n’ont pas pu trouver un seul enfant dans le monde qui soit mort, un enfant en bonne santé, qui soit mort du Covid. La plupart des enfants qui sont morts, pas beaucoup – je pense que le Royaume-Uni n’a eu que 25 décès d’enfants dus au Covid confirmés par PCR, dans notre pays, nous en avons eu moins de 400 – tous ces enfants présentaient de graves comorbidités, la plupart d’entre eux étaient vraiment extrêmement obèses et souffraient de diabète ainsi que de beaucoup d’autres comorbidités. Les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid. Alors pourquoi leur faire subir une intervention dont on sait qu’elle peut les tuer, qui provoque des myocardites et des décès chez les enfants dans le monde entier? Nous le savons. Pourquoi vouloir faire subir cette intervention à un enfant? Ce n’est pas pour l’enfant. Il n’y a pas la moindre justification de protection pour l’enfant. Ils disent « Nous le lui administrons pour qu’il ne tombe pas malade », mais il n’y a aucune preuve. Les enfants ont tendance à intérioriser cette maladie, ils ne toussent pas et n’éternuent pas. Ils ont tendance à l’intérioriser. Il n’y a aucune preuve qu’ils la transmettent à qui que ce soit et de toute façon, il se pose un gros problème éthique si on parle de tuer un enfant ou de mettre un enfant en danger pour sauver une personne âgée. Il y a là un dilemme éthique qui doit être abordé.

Mais il n’y a aucun argument pour justifier le fait de l’administrer à un enfant pour sa propre santé – la véritable raison, pour moi, est évidente. Je ne peux pas lire dans les pensées mais, après avoir écrit ce livre et étudié l’industrie pharmaceutique depuis 18 ans, il est évident que la raison pour laquelle ils adminstrent ce médicament aux enfants vient de leur besoin de protection en matière de responsabilité, qui ne peut être obtenue qu’en rendant [ce vaccin] obligatoire pour les enfants. Pfizer a obtenu une autorisation, une homologation, pour vendre son vaccin aux États-Unis, mais c’est une ruse. Ils ont créé un nouveau vaccin à partir du même vaccin. Ils ont pris le même flacon et y ont apposé une étiquette différente et l’ont appelé Cominarty. Celui qui a été approuvé est celui avec l’étiquette Cominarty bien qu’il soit identique au vaccin BioNTech que nous recevons tous, qui est approuvé pour une autorisation d’utilisation d’urgence. Ils ne mettront pas le Cominarty à disposition des Américains. Pourquoi? Pour qu’on ne puisse pas les poursuivre en justice. C’est le seul approuvé et ils ne le vendront pas ici parce que nous pourrions les poursuivre en justice. Ils attendent qu’il soit approuvé pour les enfants et dès qu’il sera mandaté pour les enfants, ils obtiendront une exemption de responsabilité, ils le donneront à tout le monde et nous ne pourrons pas les poursuivre en justice.

Et de quel vaccin s’agit-il?

Ce sont les vaccins Pfizer. Il y a une version approuvée et une version pour utilisation d’urgence et elles sont identiques.

Je vois, ok.

L’un d’entre eux a une étiquette différente et celui qui a cette étiquette est le seul approuvé mais il n’est pas disponible dans notre pays, ils ne permettront à aucun Américain de le recevoir parce que si c’était le cas, on pourrait les poursuivre en justice.

Est-il disponible dans d’autres pays ?

Je pense qu’il est disponible en Europe, ils ont là-bas un système d’exemption de responsabilité que je ne connais pas bien.

Vous avez déclaré que les vaccins qui vous semblaient les plus dangereux étaient ceux qui contenaient de l’aluminium. Premièrement, pourquoi y a-t-il de l’aluminium dans ces vaccins? Et deuxièmement, quel genre de danger cela représente-t-il?

Dans l’histoire de la vaccinologie, les vaccins étaient à l’origine tous des vaccins à virus vivants. Le vaccin contre la polio était un virus vivant et celui contre la variole était un virus vivant. Ce que l’on a découvert, c’est que si on donne à quelqu’un… un vaccin à virus vivant est une mutation du virus qui le rend moins mortel. Donc on l’administre aux gens, on les rend un peu malades et ils acquièrent une immunité à vie. Ça c’était la théorie. Le problème, c’est que les virus mutaient souvent à l’intérieur de la personne et se retrouvaient ensuite dans ses selles. La version mutée devenait plus pathogène et plus virulente et se propageait. Aujourd’hui, 70% des cas de polio dans le monde proviennent de souches vaccinales. Elles proviennent d’individus vaccinés. Les personnes vaccinées peuvent excréter le virus et infecter d’autres personnes.

Les organismes de réglementation ont donc très tôt exprimé leur préférence pour les vaccins à virus inactivés. Le problème est que les vaccins à virus inactivés ne provoquent pas la même réponse robuste et durable en anticorps. En vaccinologie, pour obtenir une homologation, il faut montrer que la protection du vaccin dure un certain temps et qu’il suscite une réponse robuste chez les personnes concernées. Les vaccinologues ont donc découvert très tôt que s’ils ajoutent au vaccin un ingrédient extrêmement toxique, le corps associe cette substance toxique à l’antigène viral et à la prochaine apparition de cet antigène, il déclenchera une réponse immunitaire robuste. Il existe un dicton, un mantra en vaccinologie selon lequel plus l’adjuvant est toxique, plus la réponse est robuste. Les vaccinologues et les virologues du monde entier se sont donc mis à la recherche des éléments les plus toxiques de l’univers à ajouter aux vaccins pour provoquer ces réponses. L’aluminium et le mercure étaient des ajouts très, très répandus. Ils en ont ajouté, ils ont dit que c’était un conservateur sauf qu’il n’était pas utilisé comme conservateur, il était en réalité utilisé comme adjuvant, ce que le NIH a admis. Le mercure est l’élément non radioactif le plus toxique de l’univers connu. Il est 1.000 fois plus neurotoxique que le plomb. Pourquoi injecter du plomb à votre enfant si on peut lui injecter quelque chose de 1.000 fois pire que le plomb?

Le mercure a été retiré de la plupart des vaccins américains, à l’exception du vaccin contre la grippe, en 2003. Il fallait trouver quelque chose d’horriblement toxique pour remplacer le mercure, alors on a utilisé l’aluminium. Le problème des vaccinologues est qu’ils ne s’intéressent pas aux maladies chroniques et qu’ils ne connaissent rien à la toxicologie. Et ils n’aiment pas les toxicologues parce que ceux-ci leur diraient: « D’accord, l’aluminium prolonge la durée d’efficacité du vaccin, les anticorps produits par le vaccin durent plus longtemps, mais qu’advient-il de l’aluminium dans le corps? Quel est son sort? Est-il excrété ou atteint-il les organes, en particulier le cerveau? » Et il s’avère que c’est exactement ce qui se produit. Il se retrouve dans le cerveau, y reste pendant des décennies et y provoque une inflammation.

Nous le savons par une série d’études menées par le NIH dans les années 80 et par l’une d’entre elles, en particulier celle de Thomas Burbacher, mais il y a beaucoup, beaucoup d’autres études qui montrent que l’aluminium… Chris Shaw et Chris Exley, qui sont en quelque sorte les experts mondiaux en matière de toxicité de l’aluminium, ont étudié les cerveaux d’enfants atteints d’autisme et d’autres maladies neurologiques et ont découvert qu’ils étaient chargés de mercure – pardon, d’aluminium – et que l’aluminium y était présent à des niveaux que l’on retrouve chez un adulte atteint de la maladie d’Alzheimer et sur le cadavre d’un adulte atteint de la maladie d’Alzheimer. Shaw a examiné, je pense, 10 cadavres d’enfants et a fait ce constat.

Il y a quelque chose que tout le monde devrait savoir, c’est que l’aluminium provoque une réponse allergique et c’est pourquoi il est utile. En associant de l’aluminium à l’antigène viral, le corps produit une réponse allergique à cet antigène viral, qu’il s’agisse de la polio, de l’hépatite B ou du VPH ou autre. Mais ce que nous savons aujourd’hui, ce que la science nous apprend, c’est que l’aluminium induit également des réponses allergiques à tout ce qui se trouve dans l’environnement ambiant. Si on utilise de l’huile d’arachide dans l’excipient du vaccin et que l’on y ajoute de l’aluminium, on risque de développer une allergie à vie aux arachides. S’il y a une efflorescence de fléole des prés la semaine où on reçoit ce vaccin à l’aluminium, on risque ensuite d’avoir une allergie à vie à la fléole des prés et c’est pourquoi probablement… Il existe deux études de Mosen et Cowings [NdT. pas trouvé la référence] qui montrent que les enfants qui reçoivent des vaccins à l’aluminium ont un taux de rhinite allergique 30 fois plus élevé que les enfants qui ne reçoivent pas ces vaccins.

Toutes ces épidémies d’allergies alimentaires datent de l’époque où nous avons commencé à administrer cet aluminium à ces enfants. Comme mes enfants souffrent de ces allergies, je suis l’un des fondateurs du Food Allergy Network, le plus grand groupe de recherche sur les allergies alimentaires. Ce groupe rassemble des scientifiques du monde entier, qui induisent des allergies alimentaires chez les rats et cherchent ensuite à les traiter. Comment induisent-ils une allergie chez le rat? Ils prennent l’adjuvant d’aluminium du vaccin contre l’hépatite B, ajoutent une molécule de latex et ce rat aura ensuite une allergie permanente au latex; ils ajoutent une molécule d’arachide et ce rat aura ensuite une allergie permanente à l’arachide; ils ajoutent une molécule de produits laitiers et ce rat aura ensuite une allergie permanente aux produits laitiers. Vous vous demandez pourquoi toute cette génération d’enfants est allergique à toutes sortes de choses? C’est parce qu’on les a rendus allergiques en leur injectant de l’aluminium.

C’est fou, c’est fou. Merci beaucoup, beaucoup d’être venu.

Oui. J’espère que vous ne couperez pas mes meilleurs arguments au montage.

Je ne couperai rien du tout. Tout ça sera publié.

Je suis curieux de voir ce qu’ils vous réservent. Merci beaucoup, Miguela.

Merci beaucoup de votre présence. Au revoir.


Transcription originale

Okay, so what are your views on giving this Covid vaccine that they’ve made to kids? You know, I’m from Canada and I think that they’re implementing that in order to go to school in Canada.

Well they have to give it to kids because – here’s why. They cannot market this vaccine without having immunity shield. I mean, I sue pharmaceutical companies for a living. And I have enough criminal activity I know about Pfizer at this point, and Moderna. If they went ahead and marketed a vaccine where they end up killing people or injuring them and I can sue them, they’d be through. So they’re never going to market a vaccine, allow people access to a vaccine – an approved vaccine – without getting liability protection. Now the emergency use authorization vaccines have liability protection under the PREP Act and under the CARES act. So as long as you take an emergency use, you can’t sue them. Once they get approved, now you can sue them unless they can get it recommended for children.

What?

Because all vaccines that are recommended, officially recommended, for children get liability protection even if an adult gets that vaccine. That’s why they’re going after kids. They know this is going to kill and injure a huge number of children but they need to do it for the liability protection. And here’s how they know that it’s going to hurt the kids. During the Pfizer study, they only tested it on 1,300 children. And one of those we now know was a girl called Maddie Garay. And we only know about this because she and her family came forward and told us what happened. Maddie Garay got the vaccine, she immediately went into seizures, she is now in a wheelchair for life and she needs a feeding tube to eat. Because Pfizer only tested it on 1,300 kids, it is stuck with the extrapolation. One out of every 1,300 kids is going to be injured like that – an injury worse than death. Pfizer did not report her injury. Instead it said she had a stomach ache. So that’s what they reported to the FDA. They lied.

And they know that… Here’s what the Lancet study showed. The Lancet study show that the researchers could not find a single child in the world who died, a healthy child who died from Covid. Many children who died, you know, not a lot – I think the UK had only like 25 PCR-confirmed Covid deaths in children, we, in this country, we had under 400 – but all those children had severe comorbidities, most of them were really extremely obese and had diabetes as well as a lot of other comorbidities. Healthy kids do not die from Covid. So why would you give them an intervention that we know can kill them, that is causing myocarditis and death in children all over the world right now? We know that. Why would you ever give a child that intervention? You’re not doing it for the child. There’s no pretense it’s going to help that child. What they’ll say is « We’re giving it to him so he doesn’t get granny sick » but there’s no evidence. Children tend to internalize this disease, they’re not coughing and sneezing with it. They tend internalize it. There’s no evidence that they’re passing it to anybody and anyway there’s a big ethical problem of of killing a kid or putting a child at risk to save every old person. There is an ethical dilemma there that people need to be talking about.

But there’s no argument that you’re giving this to the child for his own health, you’re giving it to the child – I mean the real reason, you know, to me is obvious. I can’t read minds, you know, but having written this book and having studied the pharmaceutical industry for 18 years, it’s pretty evident that their rationale for giving it to kids is they need the liability protection and you can only get that if you mandate it for children. You know, Pfizer did get an authorization, a license to sell its vaccine in the United States but what it did is a trick. It created a new vaccine out of the same vaccine. The same vial, they put a different label on it and called it the Cominarty. And the one that got approved is the one with the Cominarty label although it’s identical to the BioNTech vaccine that we’re all taking which is emergency use authorization. The Cominarty, they will not make it available to Americans. Why? So you can’t sue them. And so it is the only one approved and they will not sell it here because we can sue them. What they’re waiting for is it’s approved for children and as soon as it gets mandated for children they’ll have liability protection and they’ll give it to the rest of us and we won’t be able to sue them.

And which vaccine is that?

They’re Pfizer vaccines. There’s an approved version and there’s an emergency use version and they’re identical.

I see, okay.

One of them has a different label and that one with that label is the only one that is approved but you cannot get it in our country, they’re not gonna allow any American to get it because if you get it you can sue them.

Can you get it in other countries?

I think you can get it in Europe, they have other liability protection over there which I’m not familiar with.

So you mentioned that the vaccines you thought were the most dangerous were the ones with aluminum in them. One, why is there aluminum in there in the first place? An two, what kind of danger with that pose to people?

In the history of vaccinology, vaccines originally were all live virus vaccines. The polio vaccine was a live virus and the smallpox was a live virus. What they found is that if you give somebody… a live virus vaccine is a mutation of virus that is less deadly. So you give the people, you make them a little bit sick and they get a lifetime immunity. That was the theory. The problem is that viruses were oftentimes mutating inside of the person and then they would, you know, end up in their feaces. The mutated version would develop more pathogenicity and more virulence and would spread. So today 70 percent of the polio cases in the world are vaccine strain. They’re coming from vaccinated individuals. Vaccinated individuals can shed the virus and infect other people.

So the regulatory agencies early on expressed a preference for dead virus vaccines. The problem is that dead virus vaccines do not provoke the same robust durable antibody response. In vaccinology, in order to get a license you need to show that the vaccine lasts a certain amount of time and that it is, you know, that it has a powerful anybody response. So vaccinologists discovered early on that if they add an ingredient to the vaccine that is horrendously toxic, that the body associates that toxic material with the viral antigen and the next time it sees that antigen, it will mount a robust immune response. And there is a saying, a mantra in vaccinology that the more toxic the adjuvant, the more robust the response. So there was a surge among vaccinologists and virologists around the globe for the most toxic elements in the universe to add to vaccines and to provoke these responses. And, you know, aluminum, I mean mercury was a very, very ubiquitous addition. They put it in, they say it is a preservative but it didn’t act as a preservative, it was really there as an adjuvant and the NIH admitted that to us. The mercury is the most toxic element in the universe known to man that is not radioactive. It’s 1,000 times more neurotoxic than lead. Why would you ever dream of injecting your child with lead while you’re injecting him with something that is 1,000 times worse than lead.

And mercury was removed from most American vaccines except for the flu vaccine in 2003. And they needed to replace another, you know, the mercury with something else that was horribly toxic so they used aluminum. The problem is with vaccinologists, they don’t look at chronic disease and they don’t know anything about toxicology. And they don’t like toxicologists because the toxicologists would come in and say, « Yes, that aluminum is making the vaccine last longer, you know, the antibody effected with vaccine lasts longer but what’s happening to the aluminum in your body? You know, what is the fate of it? Is it being excreted or is it going to your organs, particularly to your brain? » And as it turns out, that’s exactly what it’s doing. It’s going your brain and it’s staying in your brain for decades and causing inflammation.

We know this because there is a series of studies that NIH did during the 80’s and one of them particularly by Thomas Burbacher but there’s many, many other studies that show that the aluminum… There’s studies by Chris Shaw, Chris Exley, who are kind of the world’s experts on aluminum toxicity, they’re looking at the brains of children who have autism and other neurological diseases and they’re finding that they are loaded with mercury – with aluminum – and that the aluminum is, you know, at levels you see in an adult with Alzheimer’s and the cadaver of an adult with Alzheimer’s. Shaw looked at, I think, 10 kids cadavers and found this.

Here’s something that people should know, it’s that aluminum provokes an allergic response and that’s why it’s valuable. So if you put the aluminum in with the viral antigen, your body now mounts an allergic response to that viral antigen whether it’s polio or hepatitis B or, you know, HPV or whatever. But what we now know, the science suggests, is that the aluminum also creates allergic responses to anything that’s in the ambient environment. So if you have a peanut oil excipient in that vaccine and you put aluminum in it, now you could have a lifetime allergy to peanuts. If there’s a Timothy weed outbreak the week that you get that aluminum vaccine, you now may have a lifetime allergy to Timothy weed and that’s why probably… You know, there’s two studies by Mosen and Cowings (?) which show that children who are vaccinated with aluminum vaccines have 30 times the rate of allergic rhinitis as kids who don’t.

And, you know, all of these food allergy epidemics date to the time that we started giving these kids this aluminum. And because my kids have these allergies, I’m one of the founders of the Food Allergy Network which is the biggest food allergy research group. That group has scientists from all over the world who are giving food allergies to rats and then figuring out how to treat them. How do they give the allergy to the rat? They take the aluminum adjuvant from the hepatitis B vaccine, add a latex molecule and now that rat has a permanent latex allergy, you add a peanut molecule and now that rat has a permanent peanut allergy, you add a dairy every molecule and now it has a permanent dairy allergy. You wonder why this whole generation of children is allergic to stuff. It’s because we’ve been inducing allergies by pumping them full of aluminum.

That’s crazy, it’s crazy, yeah. Thank you very, very much for coming on.

Yeah. I hope you won’t edit out my best arguments.

I won’t edit anything. This entire thing is going up.

Well, I want to see what they do to you. Thank you very much Miguela.

Thank you very much for coming on. Bye.

La toxicité des lots de vaccins varie systématiquement et ils sont distribués à des Américains sans méfiance par trois entreprises, affirme un chercheur – par le Dr James Hill.

Note: Il y a quelques vidéos supprimées dans les liens, malgré que l’article soit récent et mis à jour. J’ai traduit intégralement dans le texte les deux documents écrits mis en lien.

Mise à jour 31/01: Jessica Rose réfute catégoriquement le calcul de Craig Paardekoper, mentionné dans cet article, qui établit que 5% des lots sont responsables de 90% des effets adverses.

Source.


Traduction

La toxicité des lots de vaccins varie systématiquement et ils sont distribués à des Américains sans méfiance par trois entreprises, affirme un chercheur.

Une entreprise aurait effectué une étude de détermination des doses toxiques sans consentement des patients (Mis à jour le 9 janvier 2009).

James Hill, Docteur en Médecine

6 décembre 2021

Le chercheur Craig Paardekooper (Université de Kingston, Londres) affirme que les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) américain montrent que les lots de vaccins sont séquentiellement identifiés en fonction de leur toxicité.

Vous trouverez ici des informations sur son site de suivi des lots, howbad.info.

Paardekooper affirme:

  • Le VAERS montre qu’environ 1 lot de vaccins sur 200 (~ 0,5 %) est « hautement toxique », c’est-à-dire qu’il présente un nombre élevé (1.000 à 5.000 fois le taux de référence) d’effets indésirables graves – y compris l’hospitalisation, l’invalidité et le décès – à court terme, c’est-à-dire dans les quelques jours ou semaines suivant l’injection.
  • 70 % n’ont qu’un seul effet indésirable à court terme signalé.
  • 80 % n’ont qu’un ou deux effets indésirables à court terme signalés.
  • Les lots toxiques sont distribués dans les 50 États américains.

Les données du VAERS sur la toxicité des lots peuvent être consultées sur le site http://howbad.info, du moins jusqu’à ce le système de numérotation des lots soit modifié pour en occulter les lots toxiques.

Michael Yeadon, PhD, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer:

Etude de détermination des doses à l’issue létale.

Il y a 4 à 5 séries différentes de lots … aux États-Unis qui montrent cet effet DRF [dose range finding].

Pire encore, on observe une période de latence entre chacun des lots létaux, dont le but est clairement d’établir une valeur de référence.

(TRADUCTION DU TEXTE CI-DESSUS)

Robin Monotti + Dr Mike Yeadon + Cory Morningstar

DÉPOPULATION: ÉTUDE DE POTENTIEL PAR INJECTION?
Preuve d’une ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES DOSES pour l’obtention de résultats létaux:

Vous devez savoir que l’un de nos chercheurs assidus a remarqué il y a peu que les événements indésirables ne se produisent pas de manière aléatoire dans tous les lots et toutes les séries de vaccins produits par un fabricant donné.

Au contraire, il apparaît que seulement 5 % des lots sont associés à presque tous les décès.

Compte tenu des exigences strictes de cohérence imposées à un produit autorisé, il est absolument impossible qu’il s’agisse d’un événement fortuit.

Non: il s’agit, j’ai le regret de le dire, d’une preuve non équivoque de malfaisance.

Les nouvelles (pour moi) observations contenues dans ce document sont absolument inouïes et renversantes.

En bref, on a découvert des preuves flagrantes de ce qu’on appelle une ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES DOSES à l’issue létale.

Il y a 4 à 5 groupes de lots/séries différents du vaccin Pfizer, déployé aux Etats-Unis, qui montrent cet effet DRF [dose range finding].

Pire encore, on observe une période de latence entre chacun des lots mortels, dont l’objectif est clairement l’établissement d’une VALEUR DE RÉFÉRENCE.

Pas besoin d’une imagination débordante pour comprendre pourquoi ce travail a été effectué.

Si vous gardiez encore le moindre doute sur l’existence ou non d’un programme de dépeuplement, cette présentation l’anéantit.

La dernière observation, qui donne froid dans le dos, est que ces trois sociétés réalisent les mêmes études macabres.

Elles opèrent de manière à ne pas se chevaucher. Lorsque la société A déploie des lots mortels, les sociétés B et C ne déploient que des lots inoffensifs.

Je vous souhaite bonne chance.

Mike

Dr Mike Yeadon

VIDEO: https://brandnewtube.com/watch/patterns-in-the-deployment-of-toxic-covid-vaccine-batches_x3LiCNOENb23dnk.html

DOCUMENT: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

Source: https://t.me/robinmg/12207

(TRADUCTION DU TEXTE DONT LIEN CI-DESSUS)

Déploiement systématique de Pfizer aux États-Unis

Par Craig Paardekooper

Si les différentes entreprises distribuaient systématiquement des lots à haute toxicité, les schémas de déploiement apparaîtraient confus et obscurcis si on mélange les données de toutes les entreprises.

Ainsi, au lieu de combiner toutes les données VAERS de Moderna et de Pfizer, j’ai décidé de les séparer.

Voici le résultat complet pour Pfizer seulement – qui montre les effets indésirables pour chaque lot séquentiel.

Pfizer a distribué environ 9.500 lots aux USA.

Dans le premier groupe, on trouve 12 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans une gamme définie de 2.000 à 3.000 x la toxicité de base.

Dans le deuxième groupe, on trouve 3 lots hautement toxiques, apparaissant en étroite proximité temporelle, dans la gamme de 2.000 à 2.500 x la toxicité de base.

Dans le troisième groupe, on trouve 27 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans la gamme définie de 1000-2000 x la toxicité de base.

Dans le quatrième groupe, on trouve 21 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans la gamme définie de 100-1500 x la toxicité de base.

Si la production de lots toxiques était accidentelle, on s’attendrait à ce que leur apparition temporelle soit aléatoire et plus dispersée. La production d’un grand nombre de lots toxiques en étroite proximité temporelle montre que de tels « accidents » sont répétés des dizaines de fois, de manière séquentielle!

De plus, ces groupes de lots toxiques sont séparés par des périodes claires de lots inoffensifs – suivies par l’apparition soudaine d’un autre cluster.

Les lots toxiques sont également regroupés dans une gamme étroite de toxicité, au lieu de présenter une répartition aléatoire de la toxicité – ce qui est étrange si ces lots étaient accidentels.

Enfin, la toxicité de ces clusters diminue par étapes, linéairement au fil du temps – encore une fois, contrairement à ce qu’on pourrait attendre de la production accidentelle de lots toxiques.

Ces lots pourraient être des lots toxiques [Hot Lots] produits à dessein.

(VOIR LE GRAPHIQUE DANS LE DOCUMENT ORIGINAL)

Source: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

Si Paardekooper a raison, les implications sont profondes: nous pourrions être confrontés au meurtre de masse des Américains, pour qu’ils jouent sous la contrainte à la roulette russe en se faisant vacciner.

Cela justifie une enquête du Congrès, du Département de la Justice et des procureurs généraux des États.

L’analyse du VAERS de Craig Paardekooper se doit d’être reproduite ou réfutée par d’autres, y compris par des enquêteurs gouvernementaux, le plus tôt possible.

Voici la présentation vidéo de Craig Paardekooper recommandée par le Dr Yeadon:

Pardekooper: Modèles de déploiement des lots de vaccins toxiques Covid:

Paardekooper sur les codes de lot et la toxicité :

https://www.bitchute.com/video/3RtUTid1XCqi/SUPPRIMÉE

Citation :

On constate un changement frappant dans les numéros de lot utilisés dans la distribution [des vaccins] de Moderna lorsque la toxicité dépasse 1780 x. Le numéro de lot change et se termine par 20A. En dessous de cet gamme, presque tous les lots dans la gamme de toxicité de 100-1780 x ont des numéros de lot se terminant par 21A.

Comment télécharger les données VAERS vers Excel pour analyser la toxicité des lots et vérifier les conclusions de Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/EPQPrWBQzi6d/SUPPRIMÉE

Paardekooper :

Il semble que les effets indésirables ne soient pas aléatoires, mais qu’ils soient plutôt le produit de tests de dosage dans diverses plages de toxicité, chacune étant désignée par un code séquentiel alphanumérique particulier.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/371

Moderna se sert de l’alphabet pour étiqueter les vaccins de toxicité variable, affirme Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/vImdZ7WsV9iW/SUPPRIMÉE

La vidéo de Paardekooper (7/12/21) affirme que les données du VAERS montrent que les décès varient selon les lots.

https://www.bitchute.com/video/OG1NLvZQ4JFu/- SUPPRIMÉE

Selon lui, les décès diminuent « de manière linéaire à mesure que la désignation alphabétique [du lot] augmente. Les lots peuvent causer de 1x [à] 7x le nombre de décès, selon leur désignation alphabétique. »

Citation:

Dans cette vidéo, je montre comment le nombre de décès par lot diminue également à mesure que la désignation alphabétique monte.

Cette vidéo démontre que –

1. Il y a différentes gammes de toxicité pour différents lots.

2. Ces gammes de toxicité sont distinctes les unes des autres.

3. Ces gammes de toxicité sont chacune étiquetées par une lettre différente de l’alphabet.

4. La toxicité diminue de façon linéaire au fur et à mesure que l’on monte dans l’alphabet.

Par conséquent, les lots peuvent causer 1x, 2x, 3x, 4x, 5x, 6x ou 7x le nombre de décès, en fonction de leur désignation alphabétique.

Moderna a étiqueté ses lots de vaccins en fonction de leur toxicité [y compris les décès].

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/377

La vidéo de Paardekooper (10/12/21) affirme que les données VAERS montrent que les handicaps varient selon les lots.

https://www.bitchute.com/video/C4UJNsiH82sR/SUPPRIMÉE

Citation:

La différence entre les effets indésirables d’un lot à l’autre va de 5.000 à 100, soit une différence de 50 fois. Il existe également une différence de 50x dans les taux de décès, d’invalidité et de maladie mortelle quand on compare les lots les moins nocifs aux lots les plus nocifs. Il est difficile d’attribuer une telle différence à une réduction de débit. [NdT. traduction au pif de « throttling »]

À première vue, il semble que la toxicité des lots varie considérablement.

Et le constat que chaque niveau intermédiaire de toxicité est représenté par une lettre différente de l’alphabet ne fait que renforcer les soupçons.

Le Dr Jessica Rose souligne que la séquence de numérotation des lots correspond à la date de fabrication du vaccin, et non à celle de son injection aux personnes.. Il s’agit d’une observation importante qui pourrait invalider l’hypothèse du Dr Yeadon selon laquelle « il existe une période de latence entre chacun des lots mortels ».

Néanmoins, cela n’invalide pas les conclusions de Paardekooper sur la numérotation des lots en fonction du degré de toxicité du vaccin.

L’article de Rose n’infirme pas les conclusions de Paardekooper sur la toxicité systématique des lots de vaccins.

Dans son article de décembre 2021 intitulé « Is someone staggering the more ‘toxic’ Vax Lots? » [Est-ce que quelqu’un échelonne les lots de vaccins les plus  » toxiques »?], le Dr Jessica Rose souligne, à propos des conclusions de Craig Paardekooper sur les lots toxiques du vaccin Covid, que les dates de production des lots ne correspondent pas nécessairement aux dates d’administration (injection). […]

Source.

Une équipe internationale de chercheurs indépendants affirme avoir confirmé une toxicité très variable entre les lots de vaccins américains.

Post sur Telegram de Paardekooper (12/18/21) :

Les lots qui causent le plus de problèmes chez les enfants sont les lots Pfizer de la série EW, représentés en vert ci-dessus. La série EW a une toxicité de 1.200 à 2.500. Les dossiers antérieurs montrent qu’un grand nombre de lots EW présentent cette toxicité. Pourtant les régulateurs n’ont pas mené d’enquête.

Ils détruisent la vie de ces enfants. Injecter ces toxines aux enfants leur infligera une souffrance à laquelle ils ne pourront échapper. Leurs blessures et dommages internes les feront pleurer presque continuellement et endurer une douleur permanente… piégés dans un corps devenu un enfer.

Il nous faut prendre des mesures immédiates contre ceux qui leur administrent ce fléau.

Source : https://t.me/CovidScienceLibrary/418

Selon Paardekooper, les données du VAERS indiquent que la série L de lots toxiques Moderna, déployée en janvier 2021 principalement auprès de personnes âgées prioritaires, a fait l’objet de 2.700 rapports d’événements indésirables, dont 33 décès et 27 invalidités.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/409


Texte original

Vaccine batches vary systematically in toxicity and are distributed to unsuspecting Americans by three companies: researcher

James Hill, MD

Dec 6, 2021

Researcher Craig Paardekooper (Kingston University, London) claims US Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) data show vaccine batches are sequentially marked by varying toxicity.

Read here about his batch lookup site, howbad.info.

Paardekooper claims:

  • VAERS shows about 1 in 200 vaccine batches (~ 0.5%) are “highly toxic,” having a high number (1000-5000 times the baseline rate) of severe adverse reactions — including hospitalization, disability, and death — in the short term, i.e., within a few days or weeks of injection.
  • 70% have only one short-term adverse event reported.
  • 80% have only one or two short-term adverse events reported.
  • The toxic batches are distributed among all 50 US states.
  • You can look up VAERS data on batch toxicity at http://howbad.info, at least unless and until they change the batch numbering system to conceal toxic batches.

Ex-Pfizer VP and Chief Scientific Officer Michael Yeadon, PhD:

Dose range finding for lethal outcomes

There are 4-5 different sets of lots … in the US showing this DRF [dose range finding] effect.

Worse, there is a quiet period between each of the lethal batches, the purpose of which is clearly baseline establishment.

Source: https://t.me/robinmg/12207

The final, chilling observation is all three companies are doing similar, sinister studies.

They’re operating so as to not run over each other. When company A is deploying lethal batches, companies B & C are deploying only harmless batches.

Source: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

If Paardekooper is correct, the implications are profound: we could be facing mass murder through coercion of Americans to play Russian roulette by vaccination.

This warrants investigation by Congress, the Department of Justice, and state attorneys general.

Paardekooper‘s VAERS analysis should be replicated or refuted by others, including government investigators, as soon as possible.

Here is the video presentation by Craig Paardekooper recommended by Dr. Yeadon:

Pardekooper: Patterns of Deployment of Toxic Covid Vaccine Batches::

Paardekooper on batch codes and toxicity:

https://www.bitchute.com/video/3RtUTid1XCqi/DELETED

Quote:

There is a striking change in batch numbers for the Moderna deployment once toxicity exceeds 1780 x. The batch number changes to ending with 20A. Below this range, almost all the batches in the toxicity range of 100-1780 x have batch numbers ending with 21A.

How to download VAERS data to Excel for analyzing batch toxicity and verifying Paardekooper’s findings:

https://www.bitchute.com/video/EPQPrWBQzi6d/DELETED

Paardekooper:

It appears adverse effects are not random, but are rather the product of dosage testing within various toxic ranges, each denoted by a particular alphanumeric sequential code.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/371

Moderna used the alphabet to label vaccines of varying toxicity, claims Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/vImdZ7WsV9iW/DELETED

Paardekooper video (12/7/21) claims VAERS data show deaths vary by batch.

https://www.bitchute.com/video/OG1NLvZQ4JFu/DELETED

He says deaths decrease “in a linear fashion as the alphabetic [batch] designation ascends. Batches can cause 1x [to] 7x the number of deaths, depending on their alphabetic designation.”

Quote:

In this video I show how number of deaths per batch also decreases as the alphabetic designation ascends.

This video demonstrates that –

1. There are different ranges of toxicity for different batches.
2. These ranges of toxicity are distinct from each other.
3. These ranges of toxicity are each labelled with a different letter of the alphabet
4. Toxicity decreases in a linear fashion as the alphabetic designation ascends

As a result, batches can cause 1x, 2x, 3x, 4x, 5x, 6x, or 7x the number of deaths, depending on their alphabetic designation.

Moderna has labelled their vaccine batches in accordance with their toxicity [including deaths].

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/377

Paardekooper video (12/10/21) claims VAERS data show disabilities vary by batch.

https://www.bitchute.com/video/C4UJNsiH82sR/DELETED

Quote:

The difference in adverse reactions between batches ranges from 5000 to 100, so we have a 50x difference. There is also a 50x difference in rates of death, disability, and life-threatening illness when we compare the least harmful batches to the most harmful. It is hard to attribute such a large difference to throttling.

On the face of it , it appears that the batches vary greatly in toxicity.

And the discovery that each intermediate level of toxicity is represented by a different letter of the alphabet, only raises more suspicions.

Dr. Jessica Rose points out the batch numbering sequence corresponds to date of vaccine manufacture, not of injection into people. This is an important observation that could nullify Dr. Yeadon’s assumption that “there is a quiet [time] period between each of the lethal batches.”

Nevertheless, this does not invalidate Paardekooper’s findings on batch numbering by degree of vaccine toxicity.

Rose article does not negate Paardekooper’s finding of systematic vaccine batch toxicity

Dr. Jessica Rose’s December 2021 article Is someone staggering the more ‘toxic’ Vax Lots? makes the important point about Craig Paardekooper’s findings on toxic Covid vaccine lots (batches) that batch production dates don’t necessarily correspond to administration (injection) dates. […]

Source.

An international team of independent researchers claims to have confirmed widely varying toxicity among US vaccine lots.

Paardekooper Telegram post (12/18/21):

The batches causing most problems in children are the Pfizer batches in the EW series, shown in green above. The EW series has a toxicity of 1200 to 2500. Historical records show a large number of EW batches having this toxicity. Yet the regulators failed to investigate.

They are destroying these childrens lives. Injecting these toxins into children will cause them suffering that they cannot escape from. Internal injuries and damage will leave them  crying almost continually in constant pain…trapped in a hell body.

We need to take direct action against those administering this evil.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/418

Paardekooper says VAERS data indicate the Moderna L hot batch series, deployed in January 2021 primarily to prioritized older people, had 2,700 adverse event reports, including 33 deaths and 27 disabilities.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/409

Klaus Schwab et sa Grande Réinitialisation fasciste – par Winter Oak.

2021 est passé très vite.

Il y a un an – presque hier – paraissait cet excellent article. Où en est le programme annoncé?

Depuis sont venues les injections et leurs divers effets, très documentés sur ce blog et ailleurs. La colère gronde chez les peuples, et pas qu’un peu, dans une proportion plus significative que celle mensongèrement rapportée par la propagande officielle. Cette colère était prévue par les instigateurs du coup d’Etat mondial – lire ci-dessous et dans le document publié en 2010 par la Fondation Rockefeller – mais peut-être pas son ampleur. Je m’étais à ce sujet adressé à Klaus, qui a malgré tout commis l’erreur de ne pas en tenir compte et s’en est pris aux enfants. Comme je l’explique ici, c’est très risqué.

C’est à mon avis la conséquence d’un point rarement évoqué sur la toile – sauf par Lucien Cerise ici et par Chris MacIntosh ici – qui est la profonde incompétence de cette pseudo-élite. J’en ai un peu assez de lire ou entendre encore et encore à quel point ces gens sont d’une intelligence diabolique. Diabolique, certes mais intelligents? Certainement pas. Ces gens sont d’une médiocrité profonde et leur projet d’une vulgarité repoussante. Les gens intelligents font autre chose de leur vie que de tenter de s’approprier celle des autres. Leur seul atout, quand ils arrivent à leurs fins, est d’avoir affaire à une population hallucinée par sa propre ignorance. Chaque lecteur que je gagne est un point de moins pour eux.

Autre point qui demande, à mon avis, un léger recadrage: le recours à une forme de bureaucratie, digitale dans ce cas, apparente davantage ces milliardaires aux vieilles badernes communistes qu’aux fringants assassins fascistes. Je devine que l’auteur est probablement « d’une sensibilité de gauche », ce qui expliquerait son réflexe, archi-classique, de qualifier tout ce qui lui déplaît de « fasciste » – je reviens sur ce sujet dans mon prochain article – à commencer par l’éternel malentendu autour du fait que le NSDAP était réellement un parti d’extrême-gauche. L’ouvrage qu’il critique ici n’est pourtant rien moins qu’un manifeste de normalisation du nouveau mode de pouvoir, même s’il s’exerce dans une économie de marché – plus pour longtemps, d’ailleurs, et j’y reviens aussi prochainement.

Au-delà des couleurs politiques, en définitive très circonstancielles, les chrétiens les plus acharnés voient dans les événements actuels la réalisation d’une prophétie, qui dit qu’à la Fin des Temps, celui-ci s’accélère – un peu comme l’année écoulée – et que le Mal n’aura pas le temps matériel de tuer tout le monde. Enfin une bonne nouvelle.

Si c’est le cas, une des options les plus raisonnables du cartel serait alors de cesser les menaces, de plier boutique et de venir chercher leur poulain Manu et son vieux mari, avant qu’un peuple passablement irrité et peu enclin à la réthorique, à la politique ou au manichéisme biblique leur fasse un mauvais sort en leur infligeant leur propre version d’une grande réinitialisation: un Ceaușescu 2.0.

Note: Il existe une autre traduction de cet article ici, je vous propose ici la mienne. Je n’ai pas reproduit les photos, que vous pouvez voir dans l’article source. Les références bibliographiques figurent à la fin du texte original sur cette page. J’ai fait de mon mieux pour conserver toute la poésie de la prose de Schwab, parce que c’est beau comme du Attali.

Source.


Traduction

Klaus Schwab et sa Grande Réinitialisation fasciste

winter oak, il y a un an

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisation et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur la vision glaçante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer d’en faire une réalité, non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire, comme ses propres termes le confirment encore et encore, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste retorse, qui fusionnera les humains avec les machines dans de « curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui contaminera nos corps par de la « poussière intelligente » et dans laquelle la police sera apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise du Covid-19 pour court-circuiter toute redevabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur agenda et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation« .

Bien entendu, Schwab n’est pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004 [bien qu’étrangement, en octobre 2021, toute référence à Schwab semblait avoir été supprimée du site web du prix Dan David].

Mais le fascisme du XXIe siècle s’est trouvé d’autres voies politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet central de remodelage de l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens ouvertement autoritaires.

Ce nouveau fascisme apparaît aujourd’hui sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, du « Nouveau normal », du « Nouveau Pacte pour la Nature » et de la « Quatrième Révolution Industrielle ».

Schwab, fondateur octogénaire et président exécutif du Forum Economique Mondial, trône au milieu de cette matrice, telle une araignée sur une toile géante.

Le projet fasciste initial, en Italie et en Allemagne, consistait à fusionner l’État et les entreprises.

Alors que le communisme prévoit la prise de contrôle des entreprises et de l’industrie par le gouvernement, qui – théoriquement! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme a pour but d’utiliser l’État pour protéger et promouvoir les intérêts de son élite fortunée.

Schwab perpétuait cette approche dans le contexte dénazifié de l’après-guerre, lorsqu’il fondait en 1971 l’European Management Forum, qui tenait ses réunions annuelles à Davos, en Suisse.

Il y promeut son idéologie du « capitalisme partenaire », dans lequel les entreprises sont amenées à coopérer plus étroitement avec les gouvernements.

Le magazine économique Forbes décrit le « capitalisme partenaire » comme « la notion selon laquelle une entreprise s’attache à répondre aux besoins de toutes ses parties prenantes: clients, employés, associés, communauté et société dans son ensemble ».

Même dans le cas d’une entreprise spécifique, il s’agit invariablement d’une étiquette dénuée de sens. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie seulement que « les entreprises peuvent continuer à distribuer de l’argent à la pelle à leurs actionnaires et à leurs dirigeants, tout en maintenant une image publique d’exquise sensibilité sociale et d’altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de capitalisme partenaire apparaît encore plus néfaste, car il écarte toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, au profit d’un gouvernement axé sur les intérêts des entreprises.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab définit ce programme dès 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne des entreprises dans l’ingénierie mécanique), où son utilisation du terme « parties prenantes » (die Interessenten) redéfinit concrètement les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres de communautés, mais comme des participants secondaires à une entreprise commerciale de masse.

Chacun doit avoir comme projet de vie « d’assurer croissance et prospérité à long terme » à cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Le tout devient encore plus explicite en 1987, lorsque Schwab rebaptise son European Management Forum en World Economic Forum.

Le WEF se décrit sur son propre site web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé », ses admirateurs décrivant comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres leaders de la société pour ‘définir, discuter et faire avancer les questions clés de l’agenda mondialiste' ».

Les « partenariats » que le WEF établit visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial composé d’individus triés sur le volet et non élus, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais d’imposer la règle des 1% à ce public avec le moins d’interférence possible de la part du reste de la société.

Dans les livres que Schwab écrit pour le grand public, il s’exprime en recourant aux clichés à double sens de la propagande d’entreprise et de l’écoblanchiment.

Ce sont toujours les mêmes termes creux qui reviennent. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des parties prenantes et la distribution des bénéfices » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous vers un « avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière cette esbroufe, la véritable motivation de son « capitalisme partenaire », qu’il promouvait encore avec acharnement lors de la conférence du WEF à Davos de 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son ouvrage de 2016 intitulé The Fourth Industrial Revolution, Schwab évoque l’Uberisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, notamment les start-ups à croissance rapide de l’économie numérique: « Comme les plateformes de nuages humains classent les travailleurs dans la catégorie des indépendants, ils sont – pour le moment – libérés de l’obligation de payer le salaire minimum, les taxes patronales et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude à l’égard des personnes qui arrivent en fin de vie active et qui ont besoin d’un repos bien mérité: « Le vieillissement est un défi économique car, à moins que l’on ne relève radicalement l’âge de la retraite pour que les membres les plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage de personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde se réduit à des défis économiques, des impératifs économiques et des avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du Progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies conçues pour nous exploiter et nous contrôler et Schwab en joue lorsqu’il déclare que « la Quatrième Révolution Industrielle représente une source d’espoir significative pour poursuivre l’ascension du développement humain qui s’est traduit par des augmentations spectaculaires de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme : « La Quatrième Révolution Industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, au même titre que les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et une fois de plus, elle est guidée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas idéologiquement neutre, comme certains aiment à le prétendre. Selon lui, les technologies et les sociétés se façonnent mutuellement. « Après tout, les technologies sont liées à notre façon de comprendre les choses, de prendre des décisions et de réfléchir sur nous-mêmes et sur les autres. Elles sont liées à nos identités, à nos visions du monde et à nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course à l’espace, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation « développée » repose implicitement sur l’adoption de technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui en sont à l’origine, n’a jamais été une question de bien social, mais purement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa Quatrième Révolution Industrielle.

Il explique: « Les technologies de la Quatrième Révolution Industrielle sont véritablement perturbatrices – elles bouleversent les méthodes existantes de détection, de calcul, d’organisation, d’action et de livraison. Elles représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où le sens de « créer de la valeur » ne serait pas clair, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employés à coûts réduits qui travaillent parmi nous et effectuent des tâches qui nécessitaient autrefois l’intervention de personnes réelles » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus intelligents accroît rapidement la productivité des employés – par exemple, dans l’utilisation de bots de chat pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) l’assistance par chat en direct dans les interactions avec les clients ». (9)

Dans son ouvrage The Fourth Industrial Revolution, Schwab décrit en détail les merveilles de son meilleur des mondes qui permettent de réduire les coûts et d’augmenter les profits.

Il explique: « Plus tôt que ne le prévoient la plupart des gens, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les souscripteurs d’assurance ou les bibliothécaires pourrait être partiellement ou totalement automatisé… ».

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération automatique de récits, prévoit que d’ici le milieu des années 2020, 90% des nouvelles pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune sorte d’intervention humaine (à part la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui explique l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et entrons en relation les uns avec les autres ». (11)

Schwab s’exprime avec lyrisme sur la 4RI, qui, selon lui, « ne ressemble à rien de ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il s’extasie: « Pensez aux possibilités illimitées offertes par des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, à des capacités de stockage et à un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante des percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’internet des objets (IoT), les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage de l’énergie et l’informatique quantique, pour n’en citer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations n’en sont qu’à leurs débuts, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement, car elles s’appuient les unes sur les autres et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique. » (13)

Il envisage également une augmentation de l’enseignement en ligne, impliquant « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires » (14), des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et les accessoires, les villes, les réseaux de transport et d’énergie » (15) et des villes intelligentes, avec leurs indispensables « plateformes de données ». (16)

« Toutes les choses seront intelligentes et connectées à l’internet », affirme Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « les capteurs câblés dans le bétail pourront communiquer entre eux grâce à un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il aime l’idée des « usines cellulaires intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies de big data ». (19)

Ces dernières, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer à ce que les entreprises profitent de l’exploitation et de la vente d’informations relatives à chaque aspect de notre vie personnelle.

 » Il sera vital d’établir la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions « , insiste Schwab. « Les craintes des citoyens en matière de vie privée et l’établissement du principe de responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements dans les modes de pensée ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette exaltation pour la technologie tourne purement autour du profit, ou de la « valeur » comme Schwab aime la nommer dans son newspeak d’entreprise du XXIe siècle.

Ainsi, la fabuleuse technologie blockchain provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie du Grand Livre partagé, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui pourront rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

D’une manière générale, l’intérêt de la 4RI pour l’élite dirigeante du monde des affaires est qu’elle permettra de « créer des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donner naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer dans une mentalité ancrée dans la Troisième Révolution Industrielle ». (25)

Les technologies de la 4RI, déployées via la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab: « Les outils de la Quatrième Révolution Industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec une certaine délectation comment ces technologies « peuvent s’immiscer dans l’espace jusqu’ici privé de nos esprits, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit: « Au fur et à mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, les organismes chargés de l’application de la loi et les tribunaux seront de plus en plus tentés d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement extraire des souvenirs directement du cerveau des gens. Même le passage d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il arrive que le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un futur de science-fiction dans lequel « les voyages humains dans l’espace sur de longues distances et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et dans lequel « le prochain modèle commercial à la mode » pourrait impliquer qu’une personne « échange l’accès à ses pensées contre la possibilité de gagner du temps en tapant un message sur les médias sociaux par la seule pensée ». (31)

Evoquer le « tourisme spatial » sous le titre « La Quatrième Révolution Industrielle et la dernière frontière » (32) est presque comique, tout comme sa suggestion qu' »un monde plein de drones ouvre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde dépeint dans les livres de Schwab, moins tout cela semble comique.

La vérité est que cette personnalité très influente, qui occupe une place centrale dans le nouvel ordre mondial en cours d’établissement, est un transhumaniste pur et dur qui rêve de la fin d’une vie humaine et d’une communauté saine et naturelle.

Schwab répète ce message constamment, comme pour s’assurer que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la Quatrième Révolution Industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir remettra en question notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: « Les technologies de la Quatrième Révolution Industrielle ne se limiteront pas à faire partie intégrante du monde physique qui nous entoure – elles deviendront partie intégrante de nous. En effet, certains d’entre nous ont déjà l’impression que leurs smartphones sont devenus une extension de leur personne. Les dispositifs externes d’aujourd’hui – des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle – deviendront presque certainement implantables dans nos corps et nos cerveaux. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous serons mieux à même de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces évolutions soulèvent de profondes questions: où se situe la limite entre l’homme et la machine? Qu’est-ce qu’être humain signifie » (37)

Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l’être humain ». Il s’y extasie devant « la capacité des nouvelles technologies à faire littéralement partie de nous » et évoque un avenir cyborg impliquant « de curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit: « Le fonctionnement de ces technologies sera intégré à notre propre biologie et changeront la façon dont nous interagissons avec le monde. Elles sont capables de franchir les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même « . (39)

Aucune transgression ne semble excessive pour Schwab, qui rêve de « puces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages intelligents », d' »informatique biologique » et d' »organismes conçus sur mesure ». (40)

Il est enchanté d’annoncer que « des capteurs, des interrupteurs de mémoire et des circuits peuvent être encodés dans des bactéries intestinales humaines communes » (41), que « les poussières intelligentes, des réseaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peuvent maintenant s’auto-organiser à l’intérieur du corps » [NdT. technologies dont il est beaucoup question par rapport aux « vaccins »] et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement par un smartphone « intégré », et des pensées ou humeurs potentiellement inexprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

« La biologie synthétique » est à l’horizon du monde de la 4RI de Schwab, donnant aux dirigeants capitalistes technocrates du monde « la capacité de personnaliser les organismes en écrivant l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des mémoires entièrement artificielles implantées dans le cerveau, suffit à donner la nausée à certains d’entre nous, tout comme « la perspective de connecter nos cerveaux à la réalité virtuelle par des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

C’est une maigre consolation d’apprendre que tout cela est – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste puisque cela « augure de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer des systèmes de valeur entièrement nouveaux dans la Quatrième Révolution Industrielle ». (45)

Et que dire de « la bio-impression de tissus organiques » (46) ou de la suggestion que « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Quelqu’un aurait-il des objections éthiques à formuler?

Tout cela ne pose manifestement aucun problème à Schwab, qui annoncer avec satisfaction: « Le jour où les vaches seront modifiées pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles sont dépourvus, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier le génome de porcs dans le but de produire des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Il y a plus inquiétant encore. Depuis la mise en œuvre du sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans laquelle Schwab est né, cette science a été jugée inacceptable par la société humaine.

Mais aujourd’hui, il pense manifestement que l’eugénisme a droit à un renouveau, annonçant à propos de l’édition génétique: « Le fait qu’il soit désormais beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain au sein d’embryons viables signifie que nous sommes susceptibles d’assister à l’avenir à l’avènement de bébés sur mesure qui possèderont des traits particuliers ou qui seront résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans le célèbre traité transhumaniste de 2002, I, Cyborg, Kevin Warwick prédit : « Les humains seront capables d’évoluer grâce à la maîtrise de la super-intelligence et des capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en s’unissant à elles. Tout ceci laisse présager le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de « cyborgs ». Cela ne signifie pas que tout le monde doive devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre statut d’humain, vous pourrez rester tel que vous êtes. Mais attention, tout comme les humains se sont séparés de leurs cousins chimpanzés il y a bien des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui resteront des humains deviendront probablement une sous-espèce. Ils seront, en fait, les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine « supérieure » artificiellement améliorée, se démarquant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution: « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui exige des êtres humains une adaptation permanente. En conséquence, nous pourrions assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement contre ceux qui y résistent. »

« Cela engendre une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite précédemment. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens du terme. Les gagnants pourront même bénéficier d’une forme d’amélioration humaine radicale, générée par certains segments de la Quatrième Révolution Industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements tels que jamais vus auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une grande « transformation » en 2016 (52) et il est clairement déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour faire advenir son monde transhumaniste d’inspiration eugéniste, fait d’artifices, de surveillance, de contrôle et de profits exponentiels.

Mais, comme le révèle sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il s’inquiète clairement de la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et des possibilités d’aller de l’avant « si les technologies rencontrent une grande résistance de la part du public. » (54)

Les rencontres annuelles du WEF de Schwab à Davos ont depuis longtemps été accueillies par des maniifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité d’une nouvelle opposition, peut-être plus massive, à son projet, et des risques de « ressentiment, de peur et de retour de bâton politique ». (55)

Dans son livre le plus récent, il aborde la question dans un contexte historique, notant que « l’antimondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins forte pendant les années 1920, mais elle s’est ravivée dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression ». (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le retour de bâton politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer », (57) affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue dans le monde entier au cours des deux dernières années, citant notamment les Gilets Jaunes en France, et évoque le « sombre scénario » qui verrait « la même chose se reproduire ». (58)

Alors, comment un honnête technocrate est-il censé vendre l’avenir qu’il espère pour le monde sans l’accord de l’opinion publique mondiale? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous?

Une des réponses se trouve dans la propagande incessante de lavage de cerveau diffusée par les médias et les universités aux mains des 1% de l’élite – ce qu’ils se plaisent à appeler « un narratif ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à monter à bord de son express 4RI illustre la tragédie du fait que « le monde manque d’un narratif cohérent, positif et commun qui souligne les opportunités et les défis de la Quatrième Révolution Industrielle, un narratif essentiel si nous voulons responsabiliser un large éventail d’individus et de communautés et éviter un retour de bâton populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute: « Il est donc essentiel que nous consacrions de l’attention et de l’énergie à la coopération multipartite au-delà des frontières universitaires, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des narratifs positifs, communs et remplis d’espoir, qui permettront aux individus et aux groupes de toutes les parties du monde de participer aux transformations en cours et d’en tirer profit ». (60)

L’un de ces « narratifs » tente de justifier les raisons pour lesquelles la technologie 4RI doit être installée partout dans le monde le plus rapidement possible.

Schwab est frustré par le fait que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – n’a toujours pas accès à Internet » (61), 85% de la population des pays en développement demeurant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans les pays développés.

L’objectif réel de la 4RI est d’exploiter ces populations à des fins lucratives par le biais d’un techno-impérialisme mondial, mais on ne peut évidemment pas le mentionner dans le « narratif » de propagande nécessaire pour vendre le projet.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme Schwab le fait lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, les opportunités et la liberté à toutes les parties prenantes ». (62)

Il se pose en pieux gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant: « Penser de manière inclusive va au-delà de la simple considération de la pauvreté ou des communautés marginalisées comme une simple aberration – un problème que nous pouvons résoudre. Elle nous oblige à réaliser que ‘nos privilèges sont inscrits sur la même page que leur souffrance’. Cela va au-delà des revenus et des droits, même si ceux-ci restent importants. Au contraire, l’inclusion des parties prenantes et la distribution des bénéfices étendent les libertés de tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « narratif » conçu pour tromper les citoyens de bonne volonté pour obtenir leur soutien à un projet capitaliste impérialiste, a été largement utilisée dans le domaine du changement climatique.

Schwab est un grand fan de Greta Thunberg, bien sûr, qui, à peine relevée du trottoir après sa manifestation en solo à Stockholm, fut expédiée au WEF à Davos pour y prendre la parole.

Il est également partisan de la proposition de Nouveau Pacte Mondial pour la Nature, en particulier via Voice for the Planet, lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de conditionnement des jeunes créée par Schwab en 2011 et décrite avec justesse par le journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « un étalage grotesque de malfaisance corporative déguisée en bienfait ».

Dans son livre de 2020, Schwab relate en fait la manière dont ce faux « activisme des jeunes » est instrumentalisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une étonnante franchise: « Le militantisme des jeunes est en hausse dans le monde entier, révolutionné par les médias sociaux qui renforcent la mobilisation dans une mesure auparavant impossible. Il prend de multiples formes, de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits LGBTQ. La jeune génération est résolument à l’avant-garde du changement social. Il ne fait guère de doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’élan critique à la Grande Réinitialisation ». (64)

En fait, évidemment, le futur ultra-industriel proposé par Schwab est tout sauf vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à l’investissement dans les marchés verts et sociaux de pointe ». (65)

La pollution est synonyme de profit et la crise environnementale n’est qu’une nouvelle opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution: « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone passe du statut de polluant à effet de serre à celui d’actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone passe du statut de coût pour diminuer la pollution à celui d’installations rentables de capture et de production intégrant l’utilisation du carbone. Plus important encore, cela aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à une prise de conscience et à un engagement dans des stratégies visant à régénérer activement le capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et donner de l’espace à la biodiversité pour leur permettre de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages poignants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel signifient davantage du même poison, en pire.

La géo-ingénierie est un de ses projets favoris: « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’épandage chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Il ajoute: « De nouvelles approches sont actuellement conçues qui combineront des technologies de la Quatrième Révolution Industrielle, telles que les nanoparticules et autres matériaux de pointe ». (68)

Comme toutes les entreprises et les ONG pro-capitalistes qui soutiennent l’abominable Nouveau Pacte pour la Nature, Schwab est totalement et profondément anti-nature.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’une énergie « propre » et « durable » inclut la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter les plus de 4 milliards de personnes qui n’ont toujours pas accès à Internet ». (70)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab englobera le monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le déclare à plusieurs reprises.

L’avenir qu’il chérit « ne se réalisera que par une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une forme efficace de gouvernance mondiale » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un supposé « déficit de l’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant de façon improbable que l’Organisation Mondiale de la Santé « est accablée par des ressources limitées et décroissantes ». (75)

Ce qu’il veut réellement dire, c’est que sa société 4RI/Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle est imposée simultanément partout sur la planète, sinon « nous serons paralysés dans nos tentatives d’aborder et de répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet: « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres problématiques ». (77)

Cet empire ubiquitaire voit d’un très mauvais œil l’idée qu’une population donnée puisse décider démocratiquement de suivre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui ferait de ces nations les retardataires de la nouvelle économie numérique », (78) avertit Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance locale est considéré comme une menace dans la perspective impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4RI.

Il écrit: « Les individus ont longtemps défini leur vie en fonction d’un lieu précis, d’un groupe ethnique, d’une culture particulière ou même d’une langue. L’avènement de la participation en ligne et l’exposition accrue aux idées d’autres cultures signifient que les identités sont désormais plus fongibles qu’auparavant… Grâce à la combinaison des modèles de migration historiques et de la connectivité à faible coût, les structures familiales sont en passe d’être redéfinies ». (79)

Pour Schwab, la démocratie authentique relève essentiellement de la même catégorie. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas de leur plein gré des projets qui visent à détruire leur vie et à les asservir à un système d’exploitation techno-fasciste mondial, de sorte que leur donner la parole n’est tout simplement pas envisageable.

C’est pourquoi le concept de « partie prenante » revêt une telle importance dans le projet de Schwab. Comme nous l’avons vu plus haut, il s’agit de la négation de la démocratie, l’accent étant mis sur « la réalisation de solutions par les groupes de parties prenantes ». (80)

Si le public, les gens, sont inclus dans ce processus, c’est seulement à un niveau superficiel. L’agenda est déjà prédéterminé et les décisions sont prises en coulisses.

Schwab l’admet d’ailleurs lorsqu’il écrit: « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les parties prenantes afin de garantir une compréhension mutuelle qui permette d’instaurer une culture de la confiance entre les régulateurs, les organisations non-gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer à la mise en forme démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être pris en compte, après coup. Il n’est même pas directement consulté, juste « pris en compte »! Et le rôle du peuple, du demos, sera simplement de « participer » à la « mise en forme » des développements biotechnologiques. La possibilité que le public rejette en fait l’idée même des développements biotechnologiques est totalement écartée, en vertu des hypothèses délibérément intégrées dans la formule des parties prenantes.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de Schwab à Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: « Ce que vous pouvez faire pour façonner la Quatrième Révolution Industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être ni contestée ni arrêtée, mais simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme « leadership systémique » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont les 1% nous imposent à tous leur programme, sans nous donner la possibilité de dire « non ».

Il écrit: « Le leadership systémique consiste à cultiver une vision commune du changement – en travaillant avec toutes les parties prenantes de la société mondiale – puis à agir en fonction de celle-ci pour changer la manière dont le système fournit ses avantages, et à qui. Le leadership systémique requiert l’action de toutes les parties prenantes, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs politiques ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant d’un bout à l’autre du spectre de « gestion systémique de l’existence humaine » (84), bien que d’autres puissent préférer le terme « totalitarisme ».

L’un des traits distinctifs du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience devant les contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » dans le langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela devait être balayé pour permettre une Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons ressurgir ce même état d’esprit dans les appels de Schwab en faveur d’une « gouvernance agile », dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent inadéquats les cycles et processus d’élaboration des politiques antérieurs ». (85)

Il écrit: « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à correspondre à l’agilité, la fluidité, la flexibilité et la capacité d’adaptation des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » donne vraiment le ton ici. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées afin de répondre aux exigences du capitalisme et de ses technologies d’accroissement du profit.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de laboratoires politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite pour expérimenter de nouvelles méthodes de développement politique en utilisant des principes agiles » – et « encouragerait les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des « bacs à sable de développement » et des « bancs d’essai expérimentaux » pour développer des réglementations en utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire avancer les objectifs capitalistes, et non de les soumettre à une quelconque forme d’examen. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État dans la prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins enthousiaste à l’égard de sa fonction de réglementation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans les mains du secteur privé, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab aborde le problème des réglementations encombrantes et la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la vie privée.

Il avance la suggestion d' »accords de partage de données public-privé qui « brisent le verre en cas d’urgence ». Ces accords n’entrent en jeu que dans des circonstances d’urgence convenues à l’avance (comme une pandémie) et peuvent contribuer à réduire les délais et à améliorer la coordination des premiers intervenants, en autorisant temporairement un partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence convenues à l’avance » sont devenues une réalité.

Cela ne devrait pas être une trop grande surprise pour Schwab, puisque son WEF avait co-organisé la tristement célèbre conférence Event 201 en octobre 2019, qui modélisait une pandémie fictive de coronavirus.

Et il n’a pas perdu de temps pour sortir un nouveau livre, Covid-19: The Great Reset, coécrit avec Thierry Malleret, qui dirige ce qu’on appelle le Baromètre Mensuel, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait, et devrait, peut-être, ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que le Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2.000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du Covid-19 en termes de santé et de mortalité seront légères par rapport aux pandémies précédentes ». (92)

Ils ajoutent: « [La pandémie] ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, de façon incroyable, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme prétexte d’un changement social sans précédent sous la bannière de la « Grande Réinitialisation »!

Et bien qu’ils affirment explicitement que le Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs emploient à plusieurs reprises ce même vocable pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret situent le Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs de nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale: « La Seconde Guerre mondiale a été la quintessence de la guerre transformationnelle, déclenchant non seulement des changements fondamentaux de l’ordre mondial et de l’économie mondiale, mais entraînant également des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des politiques et des dispositions du contrat social radicalement nouvelles (comme le fait que les femmes ont rejoint la population active avant de devenir électrices). Il existe évidemment des dissemblances fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Toutes deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions jusqu’alors inimaginables ». (94)

Ils rejoignent également de nombreux « théoriciens du complot » contemporains en établissant une comparaison directe entre le Covid-19 et le 11 septembre: « C’est ce qui se produisit après les attaques terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité, telles que l’utilisation généralisée de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des entrées et sorties des employés ou des visiteurs, sont devenues la norme. À l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme ‘normales' ». (95)

Lorsqu’un tyran s’arroge le droit de régner sur une population sans tenir compte de ses opinions, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement habilité à le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la tyrannie appuyée sur le Covid, la Grande Réinitialisation de Schwab, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant: « Certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à la pointe de la lutte contre le changement climatique voudront peut-être profiter du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus vastes. Ils feront ainsi un « bon usage » de la pandémie en ne laissant pas la crise se perdre ». (96)

L’élite dirigeante capitaliste mondiale a certainement fait de son mieux pour « tirer parti du choc infligé par la panique », en nous assurant à tous, depuis les tout premiers jours de l’épidémie, que, pour une raison insondable, rien ne serait plus jamais pareil dans nos vies.

Schwab et Malleret, inévitablement, s’en donnent à cœur joie dans leur recours au concept du Nouveau Normal, même s’ils admettent que le virus n’a jamais été que « léger ».

« C’est notre moment décisif », claironnent-ils. « Beaucoup de choses vont changer pour toujours ». « Un nouveau monde va émerger ». « Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent: « Des changements radicaux sont à venir, d’une telle portée que certains experts ont parlé d’une ère « avant coronavirus » (BC) et « après coronavirus » (AC). Nous ne cesserons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements. Au fur et à mesure qu’ils s’imbriqueront les uns dans les autres, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront un « nouveau normal » radicalement différent de celui que nous abandonnerons progressivement. Nombre de nos croyances et de nos postulats sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler s’effondreront dans le processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait déjà « de nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prédisait : « L’ampleur et la portée de la révolution technologique en cours entraîneront des changements économiques, sociaux et culturels d’une ampleur si phénoménale qu’il est presque impossible de les envisager ». (101)

L’un des moyens par lesquels il avait espéré faire avancer son programme technocratique était, comme nous l’avons noté, les « solutions » bidon au changement climatique proposées par de pseudo-capitalistes verts.

Sous le titre « réinitialisation environnementale », Schwab et Malleret affirment: « À première vue, la pandémie et l’environnement pourraient sembler n’être que des cousins éloignés; mais ils sont beaucoup plus proches et imbriqués que nous le pensons ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatique et virale ont été utilisées par le WEF et ses semblables pour la promotion de leur programme de gouvernance mondiale. Comme le disent Schwab et son co-auteur, « elles sont mondiales par nature et ne peuvent donc être correctement traitées que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la manière dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) génèrent des profits massifs pour la plupart des mêmes secteurs des grandes entreprises.

Le Covid-19 fut manifestement une excellente nouvelle pour les capitalistes désireux de tirer profit de la destruction de l’environnement, comme le rapportent Schwab et Malleret: « La conviction que les stratégies ESG [Environnementales, Sociales et de Gouvernance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du prétendu « secteur de la durabilité » se frottent joyeusement les mains à l’idée de tout l’argent qu’ils vont gagner grâce à la Grande Réinitialisation fasciste sous prétexte de Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leurs profits hypocrites.

Schwab et Malleret notent: « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum Economique Mondial estime que la mise en place d’une économie positive pour la nature pourrait représenter plus de 10.000 milliards de dollars par an d’ici 2030… La remise à niveau de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Étant donné l’imbrication des crises climatiques et du Covid présentée par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation vers le Nouveau Normal sur le dos de la crise climatique.

Mais de toute évidence, toute la publicité faite autour de Greta Thunberg et de Extinction Rebellion, soutenue par les grandes entreprises, n’a pas suscité une panique publique suffisante pour justifier de telles mesures.

Le projet Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer l’ensemble du processus et de le faire passer sans examen préalable.

« Cette différence cruciale entre les horizons temporels respectifs d’une pandémie et ceux du changement climatique et de la dégradation de la nature implique qu’un risque de pandémie exige une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la dégradation de la nature exigent également une action immédiate, mais le résultat (ou ‘récompense future’, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, le Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils souhaitent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent: « La pandémie exacerbe et accélère clairement les tendances géopolitiques déjà apparentes avant l’éclatement de la crise ». (109)

« La pandémie marquera un tournant en accélérant cette transition. Elle a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils dissimulent à peine leur joie devant la direction que prend désormais la société: « La pandémie accélérera encore plus l’innovation, catalysant les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et « turbochargeant » toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la ‘transformation numérique’ à laquelle tant d’analystes font référence depuis des années, sans être exactement sûrs de ce qu’elle signifie, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur des confinements sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente.

« En avril 2020, plusieurs leaders de la tech ont observé avec quelle rapidité et quelle radicalité les nécessités créées par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois seulement, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption des technologies, ont a fait un bond en avant de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit manifestement à Klaus Schwab, car cette crise du Covid-19 a miraculeusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects du programme qu’il promeut depuis des décennies.

Ainsi, lui et Malleret rapportent avec satisfaction que « la pandémie va accélérer l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de davantage de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements survenus dans le monde entier ont, il va sans dire, donné un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent: « Les consommateurs ont besoin de produits et, s’ils ne peuvent pas faire de shopping, ils auront inévitablement recours à l’achat en ligne. Au fur et à mesure que l’habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais fait d’achats en ligne auparavant deviennent plus confiantes, tandis que les personnes qui faisaient déjà des achats en ligne occasionnels s’y fient vraisemblablement davantage. Ce phénomène a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché à eux deux 250.000 travailleurs pour faire face à l’augmentation de la demande et ont élaboré une infrastructure massive pour assurer les livraisons en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du secteur de la vente au détail en ligne sont susceptibles de sortir de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient dans l’ère pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent: « À mesure que des biens et des services de plus en plus nombreux et divers nous sont offerts via nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises de secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront. Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont apparues comme des ‘gagnants’ des confinements ». (115)

En guise de corollaire, nous pourrions suggérer que ce n’est « pas par hasard » que les gouvernements capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des organisations comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

Les bonnes nouvelles amenées par le Covid ne cessent de s’accumuler pour tous les secteurs d’activité susceptibles de bénéficier de la Quatrième Répression Industrielle.

« La pandémie pourrait s’avérer être une aubaine pour l’enseignement en ligne », rapportent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation bien plus élevée des entreprises d’éducation en ligne et davantage de capitaux disponibles pour les start-ups ‘ed-tech’… À l’été 2020, le sens de la tendance semble clair: le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur essor: « Pendant un temps, la distanciation sociale pourrait empêcher la pratique de certains sports, ce qui profitera en retour à l’expansion toujours plus puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Les nouvelles sont similaires dans le secteur bancaire: « Les interactions bancaires en ligne sont passées de 10 % à 90 % pendant la crise, sans baisse de qualité et avec une augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré par le Covid profite évidemment à Big Tech, qui tire d’énormes profits de la crise, comme le décrivent les auteurs: « La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a atteint record sur record pendant les confinements, dépassant même les niveaux d’avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de sitôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises concernées, qui ne doivent plus payer d’êtres humains pour travailler à leur service. L’automatisation est, et a toujours été, un moyen de réduire les coûts et donc d’augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture du Nouveau Normal fasciste fournira également des retombées lucratives pour des secteurs d’activité particuliers, comme l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie intensifiera certainement notre préoccupation pour l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher les produits que nous achetons. Des plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront mal vus et pourraient même devenir obsolètes ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique orienté profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent: « Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique sont susceptibles de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’activité d’accélérer l’automatisation. Au bout d’un certain temps, les inquiétudes persistantes concernant le chômage technologique s’estomperont à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à réduire au minimum les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre crainte persistante et peut-être durable d’être infecté par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera donc la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus susceptibles d’être automatisés ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab est depuis longtemps frustré par toutes les réglementations fastidieuses qui empêchent les capitalistes de faire autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise du Covid a fourni l’excuse parfaite pour se débarrasser d’une grande partie de ces obstacles démodés à la prospérité et à la croissance.

La santé est l’un des domaines dans lesquels la bureaucratie envahissante est abandonnée. Pourquoi une partie prenante saine d’esprit imaginerait-elle qu’une obligation particulière de soin et de diligence puisse empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité spécifique?

Schwab et Malleret se réjouissent de constater que la télémédecine va « bénéficier considérablement » de l’urgence du Covid: « La nécessité de faire face à la pandémie avec tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les travailleurs de la santé en leur permettant de travailler à distance) a levé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

La suppression des réglementations est un phénomène général dans le cadre du régime mondial du Nouveau Normal, comme l’expliquent Schwab et Malleret:

« Jusqu’à présent, les gouvernements ont souvent freiné le rythme d’adoption des nouvelles technologies en prenant le temps de réfléchir à un cadre réglementaire idéal, mais, comme le montre l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire née de la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-mondial des réglementations auparavant dans le chemin du progrès dans des domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de meilleur choix ou d’autre choix possible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… Les nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent: « L’impératif actuel de propulser, coûte que coûte, l' »économie sans contact » et la volonté subséquente des régulateurs de l’accélérer signifient que tous les coups sont permis ». (124)

« Tous les coups sont permis ». Ne vous y trompez pas: c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne ses prétentions à la démocratie libérale et passe en mode fasciste intégral.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces dernières, sous-tend leur Grande Réinitialisation.

Des sommes phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bien remplies des 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent: « En avril 2020, au moment où la pandémie commençait à envahir le monde, les gouvernements du monde entier avaient annoncé des programmes de relance de plusieurs milliers de milliards de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent: « Le COVID-19 a réécrit bon nombre des règles du jeu entre les secteurs public et privé. … Une plus grande ingérence, bienveillante (ou non), des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra de chaque pays et de son industrie, et prendra donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier, les gouvernements essayant d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique.

« De plus en plus, on demandera au gouvernement d’agir en tant que ‘payeur de dernier recours’ pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destruction d’entreprises déclenchée par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du ‘jeu’ de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son co-auteur se réjouissent à la perspective de voir les pouvoirs accrus de l’État être utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent: « L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante: les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison qu’il en soit autrement avec la pandémie de COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent: « En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais à des degrés d’intensité différents, qu’il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître de façon permanente leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu est, une fois de plus, très réminiscente du langage fasciste, tout comme, bien sûr, l’idée d’accroître de façon permanente le rôle de l’État en aidant le secteur privé.

En effet, il est intéressant de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui répondit à la crise économique de 1931 en lançant un organe spécial d’urgence, l’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il déclara que c’était « un moyen de conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privées, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les nourrir ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la Grande Réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures d’État policier déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » Covid.

La force brute qui n’est jamais loin de la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible lorsqu’il entre dans sa phase fasciste, ce qui est tout à fait évident dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est utilisé à maintes reprises dans le contexte du Covid-19. Parfois, dans un contexte commercial, comme dans les déclarations selon lesquelles  » le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique désormais acquise  » ou que  » la micro-réinitialisation va forcer toutes les entreprises de tous les secteurs à expérimenter de nouvelles façons de faire des affaires, de travailler et de fonctionner « . (131)

Mais parfois, elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables se plaisent à nous considérer.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs, auparavant réticents à accorder une trop grande confiance aux applications et services numériques, ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain: regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en personne, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller à la salle de sport, etc…

« Nombre des comportements technologiques que nous avons été contraints d’adopter pendant le confinement nous deviendront plus familiers donc plus naturels. À mesure que la distance sociale et physique persiste, le fait de s’appuyer davantage sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va, petit à petit, gagner du terrain sur les habitudes autrefois ancrées. » (132)

Dans un système fasciste, les individus n’ont pas le choix de se conformer ou non à ses exigences, comme Schwab et Malleret l’expliquent très clairement à propos de ce qu’on appelle le traçage des contacts: « Aucune application de traçage des contacts volontaire ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc refuse de fournir des informations sur une éventuelle infection, ses mouvements et ses contacts), tout le monde en pâtira ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale et son utilisation potentielle pour imposer leur Nouveau Normal: « Alors que dans le cas d’une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront à des politiques contraignantes dans le cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », que nous sommes tous censés accepter, impliqueront bien sûr des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent: « L’évolution des entreprises ira dans le sens d’une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises observeront et parfois enregistreront ce que fait leur personnel. Cette tendance pourrait prendre de nombreuses formes différentes, de la mesure de la température corporelle à l’aide de caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés se conforment à la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives sous une forme ou une autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à accepter les vaccins Covid actuellement en attente.

Schwab est profondément lié à ce monde, puisqu’il « tutoie » Bill Gates et qu’il a été salué par le pilier de Big Pharma, Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble ».

Il n’est donc pas surprenant qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu' »un retour complet à la ‘normale’ ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible ». (136)

Il ajoute: « Le prochain obstacle est le défi politique consistant à vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers ». (137)

 » Les « anti-vaxxers » figurent donc dans la liste des menaces de Schwab pour son projet, au même titre que les manifestants altermondialistes et anticapitalistes, les Gilets Jaunes et tous ceux qui sont engagés dans les « conflits de classe », la « résistance sociétale » et le « retour de bâton politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative articulée sur les parties prenantes, sa « gouvernance agile », sa « gestion systémique de l’existence humaine » totalitaire.

Mais comment envisage-t-il de gérer le « sombre scénario » d’un soulèvement des populations contre sa grande réinitialisation néo-normaliste et sa Quatrième Révolution Industrielle transhumaniste?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour garantir l’avènement de son nouvel âge technocratique?

La question fait froid dans le dos, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

Le Nouveau Normal Nazi d’Hitler était censé durer mille ans, mais il s’est effondré 988 ans plus tôt que prévu.

Ce n’est pas parce que Hitler a dit, avec toute la confiance que confère le pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, que ce fut le cas.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab, Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons dans la Quatrième Révolution Industrielle et que notre monde va changer pour toujours, que ce sera le cas.

Nous ne sommes pas tenus d’accepter leur Nouveau Normal. Nous ne sommes pas tenus de suivre leurs discours alarmistes. Nous ne sommes pas tenus de recevoir leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou modifier notre ADN. Nous ne sommes pas tenus de marcher, muselés et soumis, tout droit dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges! Exposer leur programme! Refuser leur récit! Rejeter leur idéologie toxique! Résister à leur fascisme!


Texte original

Klaus Schwab and his great fascist reset

winter oak, one year ago

Born in Ravensburg in 1938, Klaus Schwab is a child of Adolf Hitler’s Germany, a police-state regime built on fear and violence, on brainwashing and control, on propaganda and lies, on industrialism and eugenics, on dehumanisation and “disinfection”, on a chilling and grandiose vision of a “new order” that would last a thousand years.

Schwab seems to have dedicated his life to reinventing that nightmare and to trying to turn it into a reality not just for Germany but for the whole world.

Worse still, as his own words confirm time and time again, his technocratic fascist vision is also a twisted transhumanist one, which will merge humans with machines in “curious mixes of digital-and-analog life”, which will infect our bodies with “Smart Dust” and in which the police will apparently be able to read our brains.

And, as we will see, he and his accomplices are using the Covid-19 crisis to bypass democratic accountability, to override opposition, to accelerate their agenda and to impose it on the rest of humankind against our will in what he terms a “Great Reset“.

Schwab is not, of course, a Nazi in the classic sense, being neither a nationalist nor an anti-semite, as testified by the $1 million Dan David Prize he was awarded by Israel in 2004 [although strangely by October 2021 all reference to Schwab appeared to have been removed from the Dan David Prize website!].

But 21st century fascism has found different political forms through which to continue its core project of reshaping humanity to suit capitalism through blatantly authoritarian means.

This new fascism is today being advanced in the guise of global governance, biosecurity, the “New Normal”, the “New Deal for Nature” and the “Fourth Industrial Revolution”.

Schwab, the octogenarian founder and executive chairman of the World Economic Forum, sits at the centre of this matrix like a spider on a giant web.

The original fascist project, in Italy and Germany, was all about a merger of state and business.

While communism envisages the take-over of business and industry by the government, which – theoretically! – acts in the interests of the people, fascism was all about using the state to protect and advance the interests of the wealthy elite.

Schwab was continuing this approach in a denazified post-WW2 context, when in 1971 he founded the European Management Forum, which held annual meetings at Davos in Switzerland.

Here he promoted his ideology of “stakeholder” capitalism in which businesses were brought into closer co-operation with government.

“Stakeholder capitalism” is described by Forbes business magazine as “the notion that a firm focuses on meeting the needs of all its stakeholders: customers, employees, partners, the community, and society as a whole”.

Even in the context of a particular business, it is invariably an empty label. As the Forbes article notes, it actually only means that “firms can go on privately shoveling money to their shareholders and executives, while maintaining a public front of exquisite social sensitivity and exemplary altruism”.

But in a general social context, the stakeholder concept is even more nefarious, discarding any idea of democracy, rule by the people, in favour of rule by corporate interests.

Society is no longer regarded as a living community but as a business, whose profitability is the sole valid aim of human activity.

Schwab set out this agenda back in 1971, in his book Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering), where his use of the term “stakeholders” (die Interessenten) effectively redefined human beings not as citizens, free individuals or members of communities, but as secondary participants in a massive commercial enterprise.

The aim of each and every person’s life was “to achieve long-term growth and prosperity” for this enterprise – in other words, to protect and increase the wealth of the capitalist elite.

This all became even clearer in 1987, when Schwab renamed his European Management Forum the World Economic Forum.

The WEF describes itself on its own website as “the global platform for public-private cooperation”, with admirers describing how it creates “partnerships between businessmen, politicians, intellectuals and other leaders of society to ‘define, discuss and advance key issues on the global agenda’.”

The “partnerships” which the WEF creates are aimed at replacing democracy with a global leadership of hand-picked and unelected individuals whose duty is not to serve the public, but to impose the rule of the 1% on that public with as little interference from the rest of us as possible.

In the books Schwab writes for public consumption, he expresses himself in the two-faced clichés of corporate spin and greenwashing.

The same empty terms are dished up time and time again. In Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: A Guide to Building a Better World Schwab talks of “the inclusion of stakeholders and the distribution of benefits” and of “sustainable and inclusive partnerships” which will lead us all to an “inclusive, sustainable and prosperous future”! (1)

Behind this bluster, the real motivation driving his “stakeholder capitalism”, which he was still relentlessly promoting at the WEF’s 2020 Davos conference, is profit and exploitation.

For instance, in his 2016 book The Fourth Industrial Revolution, Schwab writes about the Uberisation of work and the consequent advantages for companies, particularly fast-growing start-ups in the digital economy: “As human cloud platforms classify workers as self-employed, they are—for the moment—free of the requirement to pay minimum wages, employer taxes and social benefits”. (2)

The same capitalist callousness shines through in his attitude towards people nearing the end of their working lives and in need of a well-deserved rest: “Aging is an economic challenge because unless retirement ages are drastically increased so that older members of society can continue to contribute to the workforce (an economic imperative that has many economic benefits), the working-age population falls at the same time as the percentage of dependent elders increases”. (3)

Everything in this world is reduced to economic challenges, economic imperatives and economic benefits for the ruling capitalist class.

The myth of Progress has long been used by the 1% to persuade people to accept the technologies designed to exploit and control us and Schwab plays on this when he declares that “the Fourth Industrial Revolution represents a significant source of hope for continuing the climb in human development that has resulted in dramatic increases in quality of life for billions of people since 1800”. (4)

He enthuses: “While it may not feel momentous to those of us experiencing a series of small but significant adjustments to life on a daily basis, it is not a minor change—the Fourth Industrial Revolution is a new chapter in human development, on a par with the first, second and third Industrial Revolutions, and once again driven by the increasing availability and interaction of a set of extraordinary technologies”. (5)

But he is well aware that technology is not ideologically neutral, as some like to claim. Technologies and societies shape each other, he says. “After all, technologies are tied up in how we know things, how we make decisions, and how we think about ourselves and each other. They are connected to our identities, worldviews and potential futures. From nuclear technologies to the space race, smartphones, social media, cars, medicine and infrastructure—the meaning of technologies makes them political. Even the concept of a ‘developed’ nation implicitly rests on the adoption of technologies and what they mean for us, economically and socially”. (6)

Technology, for the capitalists behind it, has never been about social good but purely about profit, and Schwab makes it quite clear that the same remains true of his Fourth Industrial Revolution.

He explains: “Fourth Industrial Revolution technologies are truly disruptive—they upend existing ways of sensing, calculating, organizing, acting and delivering. They represent entirely new ways of creating value for organizations and citizens”. (7)

In case the meaning of “creating value” was not clear, he gives some examples: “Drones represent a new type of cost-cutting employee working among us and performing jobs that once involved real people” (8) and “the use of ever-smarter algorithms is rapidly extending employee productivity—for example, in the use of chat bots to augment (and, increasingly, replace) ‘live chat’ support for customer interactions”. (9)

Schwab goes into some detail about the cost-cutting, profit-boosting marvels of his brave new world in The Fourth Industrial Revolution.

He explains: “Sooner than most anticipate, the work of professions as different as lawyers, financial analysts, doctors, journalists, accountants, insurance underwriters or librarians may be partly or completely automated…

“The technology is progressing so fast that Kristian Hammond, cofounder of Narrative Science, a company specializing in automated narrative generation, forecasts that by the mid-2020s, 90% of news could be generated by an algorithm, most of it without any kind of human intervention (apart from the design of the algorithm, of course)”. (10)

It is this economic imperative that informs Schwab’s enthusiasm for “a revolution that is fundamentally changing the way we live, work, and relate to one another”. (11)

Schwab waxes lyrical about the 4IR, which he insists is “unlike anything humankind has experienced before”. (12)

He gushes: “Consider the unlimited possibilities of having billions of people connected by mobile devices, giving rise to unprecedented processing power, storage capabilities and knowledge access. Or think about the staggering confluence of emerging technology breakthroughs, covering wide-ranging fields such as artificial intelligence (AI), robotics, the internet of things (IoT), autonomous vehicles, 3D printing, nanotechnology, biotechnology, materials science, energy storage and quantum computing, to name a few. Many of these innovations are in their infancy, but they are already reaching an inflection point in their development as they build on and amplify each other in a fusion of technologies across the physical, digital and biological worlds”. (13)

He also looks forward to more online education, involving “the use of virtual and augmented reality” to “dramatically improve educational outcomes” (14), to sensors “installed in homes, clothes and accessories, cities, transport and energy networks” (15) and to smart cities, with their all-important “data platforms”. (16)

“All things will be smart and connected to the internet”, says Schwab, and this will extend to animals, as “sensors wired in cattle can communicate to each other through a mobile phone network”. (17)

He loves the idea of “smart cell factories” which could enable “the accelerated generation of vaccines” (18) and “big-data technologies”. (19)

These, he assures us, will “deliver new and innovative ways to service citizens and customers” (20) and we will have to stop objecting to businesses profiting from harnessing and selling information about every aspect of our personal lives.

“Establishing trust in the data and algorithms used to make decisions will be vital,” insists Schwab. “Citizen concerns over privacy and establishing accountability in business and legal structures will require adjustments in thinking”. (21)

At the end of the day it is clear that all this technological excitement revolves purely around profit, or “value” as Schwab prefers to term it in his 21st century corporate newspeak.

Thus blockchain technology will be fantastic and provoke “an explosion in tradable assets, as all kinds of value exchange can be hosted on the blockchain”. (22)

The use of distributed ledger technology, adds Schwab, “could be the driving force behind massive flows of value in digital products and services, providing secure digital identities that can make new markets accessible to anyone connected to the internet”. (23)

In general, the interest of the 4IR for the ruling business elite is that it will “create entirely new sources of value” (24) and “give rise to ecosystems of value creation that are impossible to imagine with a mindset stuck in the third Industrial Revolution”. (25)

The technologies of the 4IR, rolled out via 5G, pose unprecedented threats to our freedom, as Schwab concedes: “The tools of the fourth industrial revolution enable new forms of surveillance and other means of control that run counter to healthy, open societies”. (26)

But this does not stop him presenting them in a positive light, as when he declares that “public crime is likely to decrease due to the convergence of sensors, cameras, AI and facial recognition software”. (27)

He describes with some relish how these technologies “can intrude into the hitherto private space of our minds, reading our thoughts and influencing our behavior”. (28)

Schwab predicts: “As capabilities in this area improve, the temptation for law enforcement agencies and courts to use techniques to determine the likelihood of criminal activity, assess guilt or even possibly retrieve memories directly from people’s brains will increase. Even crossing a national border might one day involve a detailed brain scan to assess an individual’s security risk”. (29)

There are times when the WEF chief gets carried away by his passion for a sci-fi future in which “long-distance human space travel and nuclear fusion are commonplace” (30) and in which “the next trending business model” might involve someone “trading access to his or her thoughts for the time-saving option of typing a social media post by thought alone”. (31)

Talk of “space tourism” under the title “The Fourth Industrial Revolution and the final frontier” (32) is almost funny, as is his suggestion that “a world full of drones offers a world full of possibilities”. (33)

But the further the reader progresses into the world depicted in Schwab’s books, the less of a laughing matter it all seems.

The truth is that this highly influential figure, at the centre of the new global order currently being established, is an out-and-out transhumanist who dreams of an end to natural healthy human life and community.

Schwab repeats this message time and time again, as if to be sure we have been duly warned.

“The mind-boggling innovations triggered by the fourth industrial revolution, from biotechnology to AI, are redefining what it means to be human,” (34) he writes.

“The future will challenge our understanding of what it means to be human, from both a biological and a social standpoint”. (35)

“Already, advances in neurotechnologies and biotechnologies are forcing us to question what it means to be human”. (36)

He spells it out in more detail in Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: “Fourth Industrial Revolution technologies will not stop at becoming part of the physical world around us—they will become part of us. Indeed, some of us already feel that our smartphones have become an extension of ourselves. Today’s external devices—from wearable computers to virtual reality headsets—will almost certainly become implantable in our bodies and brains. Exoskeletons and prosthetics will increase our physical power, while advances in neurotechnology enhance our cognitive abilities. We will become better able to manipulate our own genes, and those of our children. These developments raise profound questions: Where do we draw the line between human and machine? What does it mean to be human?” (37)

A whole section of this book is devoted to the theme “Altering the Human Being”. Here he drools over “the ability of new technologies to literally become part of us” and invokes a cyborg future involving “curious mixes of digital-and-analog life that will redefine our very natures”. (38)

He writes: “These technologies will operate within our own biology and change how we interface with the world. They are capable of crossing the boundaries of body and mind, enhancing our physical abilities, and even having a lasting impact on life itself “. (39)

No violation seems to go too far for Schwab, who dreams of “active implantable microchips that break the skin barrier of our bodies”, “smart tattoos”, “biological computing” and “custom-designed organisms”. (40)

He is delighted to report that “sensors, memory switches and circuits can be encoded in common human gut bacteria”, (41) that “Smart Dust, arrays of full computers with antennas, each much smaller than a grain of sand, can now organize themselves inside the body” and that “implanted devices will likely also help to communicate thoughts normally expressed verbally through a ‘built-in’ smartphone, and potentially unexpressed thoughts or moods by reading brain waves and other signals”. (42)

“Synthetic biology” is on the horizon in Schwab’s 4IR world, giving the technocratic capitalist rulers of the world “the ability to customize organisms by writing DNA”. (43)

The idea of neurotechnologies, in which humans will have fully artificial memories implanted in the brain, is enough to make some of us feel faintly sick, as is “the prospect of connecting our brains to VR through cortical modems, implants or nanobots”. (44)

It is of little comfort to learn that this is all – of course! – in the greater interests of capitalist profiteering since it “heralds new industries and systems for value creation” and “represents an opportunity to create entire new systems of value in the Fourth Industrial Revolution”. (45)

And what about “the bioprinting of organic tissues” (46) or the suggestion that “animals could potentially be engineered to produce pharmaceuticals and other forms of treatment”? (47)

Ethical objections, anyone?

It’s all evidently good for Schwab, who is happy to announce: “The day when cows are engineered to produce in its [sic] milk a blood-clotting element, which hemophiliacs lack, is not far off. Researchers have already started to engineer the genomes of pigs with the goal of growing organs suitable for human transplantation”. (48)

It gets even more disturbing. Ever since the sinister eugenics programme of the Nazi Germany into which Schwab was born, this science has been deemed beyond the pale by human society.

But now, however, he evidently feels eugenics is due a revival, announcing with regard to genetic editing: “That it is now far easier to manipulate with precision the human genome within viable embryos means that we are likely to see the advent of designer babies in the future who possess particular traits or who are resistant to a specific disease”. (49)

In the notorious 2002 transhumanist treatise I, Cyborg, Kevin Warwick predicts: “Humans will be able to evolve by harnessing the super-intelligence and extra abilities offered by the machines of the future, by joining with them. All this points to the development of a new human species, known in the science-fiction world as ‘cyborgs’. It doesn’t mean that everyone has to become a cyborg. If you are happy with your state as a human then so be it, you can remain as you are. But be warned – just as we humans split from our chimpanzee cousins years ago, so cyborgs will split from humans. Those who remain as humans are likely to become a sub-species. They will, effectively, be the chimpanzees of the future”. (50)

Schwab seems to be hinting at the same future of a “superior” enhanced artificial transhuman elite separating from the natural-born rabble, in this particularly damning passage from The Fourth Industrial Revolution: “We are at the threshold of a radical systemic change that requires human beings to adapt continuously. As a result, we may witness an increasing degree of polarization in the world, marked by those who embrace change versus those who resist it.

“This gives rise to an inequality that goes beyond the societal one described earlier. This ontological inequality will separate those who adapt from those who resist—the material winners and losers in all senses of the words. The winners may even benefit from some form of radical human improvement generated by certain segments of the fourth industrial revolution (such as genetic engineering) from which the losers will be deprived. This risks creating class conflicts and other clashes unlike anything we have seen before”. (51)

Schwab was already talking about a great “transformation” back in 2016 (52) and is clearly determined to do everything in his not inconsiderable power to bring about his eugenics-inspired transhumanist world of artifice, surveillance, control and exponential profit.

But, as revealed by his reference above to “class conflicts”, he is clearly worried by the possibility of “societal resistance” (53) and how to advance “if technologies receive a great deal of resistance from the public”. (54)

Schwab’s annual WEF shindigs at Davos have long been met by anti-capitalist protests and, despite the current paralysis of the radical left, he is well aware of the possibility of renewed and perhaps broader opposition to his project, with the risk of “resentment, fear and political backlash”. (55)

In his most recent book he provides a historical context, noting that “antiglobalization was strong in the run-up to 1914 and up to 1918, then less so during the 1920s, but it reignited in the 1930s as a result of the Great Depression”. (56)

He notes that in the early 2000s “the political and societal backlash against globalization relentlessly gained strength”, (57) says that “social unrest” has been widespread across the world in the past two years, citing the Gilets Jaunes in France among other movements, and invokes the “sombre scenario” that “the same could happen again”. (58)

So how is an honest technocrat supposed to roll out his preferred future for the world without the agreement of the global public? How can Schwab and his billionaire friends impose their favoured society on the rest of us?

One answer is relentless brainwashing propaganda churned out by the mass media and academia owned by the 1% elite – what they like to call “a narrative”.

For Schwab, the reluctance of the majority of humankind to leap aboard his 4IR express reflects the tragedy that “the world lacks a consistent, positive and common narrative that outlines the opportunities and challenges of the fourth industrial revolution, a narrative that is essential if we are to empower a diverse set of individuals and communities and avoid a popular backlash against the fundamental changes under way”. (59)

He adds: “It is, therefore, critical that we invest attention and energy in multistakeholder cooperation across academic, social, political, national and industry boundaries. These interactions and collaborations are needed to create positive, common and hope-filled narratives, enabling individuals and groups from all parts of the world to participate in, and benefit from, the ongoing transformations”. (60)

One of these “narratives” whitewashes the reasons for which 4IR technology needs to be installed everywhere in the world as soon as possible.

Schwab is frustrated that “more than half of the world’s population—around 3.9 billion people—still cannot access the internet”, (61) with 85% of the population of developing countries remaining offline and therefore out of reach, as compared to 22% in the developed world.

The actual aim of the 4IR is to exploit these populations for profit via global techno-imperialism, but of course that cannot be stated in the propaganda “narrative” required to sell the plan.

Instead, their mission has to be presented, as Schwab himself does, as a bid to “develop technologies and systems that serve to distribute economic and social values such as income, opportunity and liberty to all stakeholders”. (62)

He piously postures as a guardian of woke liberal values, declaring: “Thinking inclusively goes beyond thinking about poverty or marginalized communities simply as an aberration—something that we can solve. It forces us to realize that ‘our privileges are located on the same map as their suffering’. It moves beyond income and entitlements, though these remain important. Instead, the inclusion of stakeholders and the distribution of benefits expand freedoms for all”. (63)

The same technique, of a fake “narrative” designed to fool good-thinking citizens into supporting an imperialist capitalist scheme, has been used extensively with regard to climate change.

Schwab is a great fan of Greta Thunberg, of course, who had barely stood up from the pavement after her one-girl protest in Stockholm before being whisked off to address the WEF at Davos.

He is also a supporter of the proposed global New Deal for Nature, particularly via Voice for the Planet, which was launched at the WEF in Davos in 2019 by the Global Shapers, a youth-grooming organisation created by Schwab in 2011 and aptly described by investigative journalist Cory Morningstar as “a grotesque display of corporate malfeasance disguised as good”.

In his 2020 book, Schwab actually lays out the way that fake “youth activism” is being used to advance his capitalist aims.

He writes, in a remarkably frank passage: “Youth activism is increasing worldwide, being revolutionized by social media that increases mobilization to an extent that would have been impossible before. It takes many different forms, ranging from non-institutionalized political participation to demonstrations and protests, and addresses issues as diverse as climate change, economic reforms, gender equality and LGBTQ rights. The young generation is firmly at the vanguard of social change. There is little doubt that it will be the catalyst for change and a source of critical momentum for the Great Reset”. (64)

In fact, of course, the ultra-industrial future proposed by Schwab is anything other than green. It’s not nature he’s interested in, but “natural capital” and “incentivizing investment in green and social frontier markets”. (65)

Pollution means profit and environmental crisis is just another business opportunity, as he details in The Fourth Industrial Revolution: “In this revolutionary new industrial system, carbon dioxide turns from a greenhouse pollutant into an asset, and the economics of carbon capture and storage move from being cost as well as pollution sinks to becoming profitable carbon-capture and use-production facilities. Even more important, it will help companies, governments and citizens become more aware of and engaged with strategies to actively regenerate natural capital, allowing intelligent and regenerative uses of natural capital to guide sustainable production and consumption and give space for biodiversity to recover in threatened areas”. (66)

Schwab’s “solutions” to the heart-breaking damage inflicted on our natural world by industrial capitalism involve more of the same poison, except worse.

Geoengineering is one of his favourites: “Proposals include installing giant mirrors in the stratosphere to deflect the sun’s rays, chemically seeding the atmosphere to increase rainfall and the deployment of large machines to remove carbon dioxide from the air”. (67)

And he adds: “New approaches are currently being imagined through the combination of Fourth Industrial Revolution technologies, such as nanoparticles and other advanced materials”. (68)

Like all the businesses and pro-capitalist NGOs backing the horrendous New Deal for Nature, Schwab is utterly and profoundly ungreen.

For him, the “ultimate possibility” of “clean” and “sustainable” energy includes nuclear fusion (69) and he looks forward to the day when satellites will “blanket the planet with communications pathways that could help connect the more than 4 billion people still lacking online access”. (70)

Schwab also very much regrets all that red tape preventing the unhindered onward march of GM food, warning that “global food security will only be achieved, however, if regulations on genetically modified foods are adapted to reflect the reality that gene editing offers a precise, efficient and safe method of improving crops”. (71)

The new order envisaged by Schwab will embrace the entire world and so global governance is required in order to impose it, as he repeatedly states.

His preferred future “will only come about through improved global governance” (72) he insists. “Some form of effective global governance” (73) is needed.

The problem we have today is that of a possible “global order deficit”, (74) he claims, adding improbably that the World Health Organization “is saddled with limited and dwindling resources”. (75)

What he is really saying is that his 4IR/great reset society will only function if imposed simultaneously everywhere on the planet, otherwise “we will become paralysed in our attempts to address and respond to global challenges”. (76)

He admits: “In a nutshell, global governance is at the nexus of all these other issues”. (77)

This all-englobing empire very much frowns on the idea of any particular population democratically deciding to take another path. These “risk becoming isolated from global norms, putting these nations at risk of becoming the laggards of the new digital economy”, (78) warns Schwab.

Any sense of autonomy and grassroots belonging is regarded as a threat from Schwab’s imperialist perspective and is due to be eradicated under the 4IR.

He writes: “Individuals used to identify their lives most closely with a place, an ethnic group, a particular culture or even a language. The advent of online engagement and increased exposure to ideas from other cultures means that identities are now more fungible than previously… Thanks to the combination of historical migration patterns and low-cost connectivity, family structures are being redefined”. (79)

Genuine democracy essentially falls into the same category for Schwab. He knows that most people will not willingly go along with plans to destroy their lives and enslave them to a global techno-fascist system of exploitation, so giving them a say in the matter is simply not an option.

This is why the “stakeholder” concept has been so important for Schwab’s project. As discussed above, this is the negation of democracy, with its emphasis instead on “reaching out across stakeholder groups for solution building”. (80)

If the public, the people, are included in this process it is only at a superficial level. The agenda has already been pre-supposed and the decisions pre-made behind the scenes.

Schwab effectively admits as much when he writes: “We must re-establish a dialogue among all stakeholders to ensure mutual understanding that further builds a culture of trust among regulators, non-governmental organizations, professionals and scientists. The public must also be considered, because it must participate in the democratic shaping of biotechnological developments that affect society, individuals and cultures”. (81)

So the public must “also” be considered, as an afterthought. Not even directly consulted, just “considered”! And the role of the people, the demos, will merely be to “participate” in the “shaping” of biotechnological developments. The possibility of the public actually rejecting the very idea of biotechnological developments has been entirely removed, thanks to the deliberately in-built assumptions of the stakeholder formula.

The same message is implied in the heading of Schwab’s conclusion to Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: “What You Can Do to Shape the Fourth Industrial Revolution”. (82) The techno-tyranny cannot be challenged or stopped, merely “shaped”.

Schwab uses the term “systems leadership” to describe the profoundly anti-democratic way in which the 1% imposes its agenda on us all, without giving us the chance to say ‘no’.

He writes: “Systems leadership is about cultivating a shared vision for change—working together with all stakeholders of global society—and then acting on it to change how the system delivers its benefits, and to whom. Systems leadership requires action from all stakeholders, including individuals, business executives, social influencers and policy-makers”. (83)

He refers to this full-spectrum top-down control as “the system management of human existence” (84) although others might prefer the term “totalitarianism”.

One of the distinguishing features of historical fascism in Italy and Germany was its impatience with the inconvenient restraints imposed on the ruling class (“the Nation” in fascist language) by democracy and political liberalism.

All of this had to be swept out of the way to allow a Blitzkrieg of accelerated “modernisation”.

We see the same spirit resurging in Schwab’s calls for “agile governance” in which he claims that “the pace of technological development and a number of characteristics of technologies render previous policy-making cycles and processes inadequate”. (85)

He writes: “The idea of reforming governance models to cope with new technologies is not new, but the urgency of doing so is far greater in light of the power of today’s emerging technologies… the concept of agile governance seeks to match the nimbleness, fluidity, flexibility and adaptiveness of the technologies themselves and the private-sector actors adopting them”. (86)

The phrase “reforming governance models to cope with new technologies” really gives the game away here. As under fascism, social structures must be reinvented so as to accommodate the requirements of capitalism and its profit-increasing technologies.

Schwab explains that his “agile governance” would involve creating so-called policy labs – “protected spaces within government with an explicit mandate to experiment with new methods of policy development by using agile principles” – and “encouraging collaborations between governments and businesses to create ‘developtory sandboxes’ and ‘experimental testbeds’ to develop regulations using iterative, cross-sectoral and flexible approaches”. (87)

For Schwab, the role of the state is to advance capitalist aims, not to hold them up to any form of scrutiny. While he is all in favour of the state’s role in enabling a corporate take-over of our lives, he is less keen about its regulatory function, which might slow down the inflow of profit into private hands, and so he envisages “the development of ecosystems of private regulators, competing in markets”. (88)

In his 2018 book, Schwab discusses the problem of pesky regulations and how best to “overcome these limits” in the context of data and privacy.

He comes up with the suggestion of “public-private data-sharing agreements that ‘break glass in case of emergency’. These come into play only under pre-agreed emergency circumstances (such as a pandemic) and can help reduce delays and improve the coordination of first responders, temporarily allowing data sharing that would be illegal under normal circumstances”. (89)

Funnily enough, two years later there was indeed a “pandemic” and these “pre-agreed emergency circumstances” became a reality.

This shouldn’t have been too much of a surprise for Schwab, since his WEF had co-hosted the infamous Event 201 conference in October 2019, which modelled a fictional coronavirus pandemic.

And he wasted little time in bringing out a new book, Covid-19: The Great Reset, co-authored with Thierry Malleret, who runs something called the Monthly Barometer, “a succinct predictive analysis provided to private investors, global CEOs and opinion- and decision-makers”. (90)

Published in July 2020, the book sets out to advance “conjectures and ideas about what the post-pandemic world might, and perhaps should, look like”. (91)

Schwab and Malleret admit that Covid-19 is “one of the least deadly pandemics the world has experienced over the last 2000 years”, adding that “the consequences of COVID-19 in terms of health and mortality will be mild compared to previous pandemics”. (92)

They add: “It does not constitute an existential threat, or a shock that will leave its imprint on the world’s population for decades”. (93)

Yet, incredibly, this “mild” illness is simultaneously presented as the excuse for unprecedented social change under the banner of “The Great Reset”!

And although they explicitly declare that Covid-19 does not constitute a major “shock”, the authors repeatedly deploy the same term to describe the broader impact of the crisis.

Schwab and Malleret place Covid-19 in a long tradition of events which have facilitated sudden and significant changes to our societies.

They specifically invoke the Second World War: “World War II was the quintessential transformational war, triggering not only fundamental changes to the global order and the global economy, but also entailing radical shifts in social attitudes and beliefs that eventually paved the way for radically new policies and social contract provisions (like women joining the workforce before becoming voters). There are obviously fundamental dissimilarities between a pandemic and a war (that we will consider in some detail in the following pages), but the magnitude of their transformative power is comparable. Both have the potential to be a transformative crisis of previously unimaginable proportions”. (94)

They also join many contemporary “conspiracy theorists” in making a direct comparison between Covid-19 and 9/11: “This is what happened after the terrorist attacks of 11 September 2001. All around the world, new security measures like employing widespread cameras, requiring electronic ID cards and logging employees or visitors in and out became the norm. At that time, these measures were deemed extreme, but today they are used everywhere and considered ‘normal’”. (95)

When any tyrant declares the right to rule over a population without taking their views into account, they like to justify their dictatorship with the claim that they are morally entitled to do so because they are “enlightened”.

The same is true of the Covid-fuelled tyranny of Schwab’s great reset, which the book categorises as “enlightened leadership”, adding: “Some leaders and decision-makers who were already at the forefront of the fight against climate change may want to take advantage of the shock inflicted by the pandemic to implement long-lasting and wider environmental changes. They will, in effect, make ‘good use’ of the pandemic by not letting the crisis go to waste”. (96)

The global capitalist ruling elite have certainly been doing their best to “take advantage of the shock inflicted by the panic”, assuring us all since the very earliest days of the outbreak that, for some unfathomable reason, nothing in our lives could ever be the same again.

Schwab and Malleret are, inevitably, enthusiastic in their use of the New Normal framing, despite their admission that the virus was only ever “mild”.

“It is our defining moment”, they crow. “Many things will change forever”. “A new world will emerge”. “The societal upheaval unleashed by COVID-19 will last for years, and possibly generations”. “Many of us are pondering when things will return to normal. The short response is: never”. (97)

They even go as far as proposing a new historical separation between “the pre-pandemic era” and “the post-pandemic world”. (98)

They write: “Radical changes of such consequence are coming that some pundits have referred to a ‘before coronavirus’ (BC) and ‘after coronavirus’ (AC) era. We will continue to be surprised by both the rapidity and unexpected nature of these changes – as they conflate with each other, they will provoke second-, third-, fourth- and more-order consequences, cascading effects and unforeseen outcomes. In so doing, they will shape a ‘new normal’ radically different from the one we will be progressively leaving behind. Many of our beliefs and assumptions about what the world could or should look like will be shattered in the process”. (99)

Back in 2016, Schwab was looking ahead to “new ways of using technology to change behavior” (100) and predicting: “The scale and breadth of the unfolding technological revolution will usher in economic, social and cultural changes of such phenomenal proportions that they are almost impossible to envisage”. (101)

One way in which he had hoped his technocratic agenda would be advanced was, as we have noted, through the phoney “solutions” to climate change proposed by fake green capitalists.

Under the title “environmental reset”, Schwab and Malleret state: “At first glance, the pandemic and the environment might seem to be only distantly related cousins; but they are much closer and more intertwined than we think”. (102)

One of the connections is that both the climate and virus “crises” have been used by the WEF and their like to push their agenda of global governance. As Schwab and his co-author put it, “they are global in nature and therefore can only be properly addressed in a globally coordinated fashion”. (103)

Another link is the way that the “the post-pandemic economy” and “the green economy” (104) involve massive profits for largely the same sectors of big business.

Covid-19 has evidently been great news for those capitalists hoping to cash in on environmental destruction, with Schwab and Malleret reporting: “The conviction that ESG strategies benefited from the pandemic and are most likely to benefit further is corroborated by various surveys and reports. Early data shows that the sustainability sector outperformed conventional funds during the first quarter of 2020”. (105)

The capitalist sharks of the so-called “sustainability sector” are rubbing their hands together with glee at the prospect of all the money they stand to make from the Covid-pretexted great fascist reset, in which the state is instrumentalised to fund their hypocritical profiteering.

Note Schwab and Malleret: “The key to crowding private capital into new sources of nature-positive economic value will be to shift key policy levers and public finance incentives as part of a wider economic reset”. (106)

“A policy paper prepared by Systemiq in collaboration with the World Economic Forum estimates that building the nature-positive economy could represent more than $10 trillion per year by 2030… Resetting the environment should not be seen as a cost, but rather as an investment that will generate economic activity and employment opportunities”. (107)

Given the intertwining of climate and Covid crises set out by Schwab, we might speculate that the original plan was to push through the New Normal reset on the back of the climate crisis.

But evidently, all that publicity for Greta Thunberg and big business-backed Extinction Rebellion did not whip up enough public panic to justify such measures.

Covid-19 serves Schwab’s purposes perfectly, as the immediate urgency it presents allows the whole process to be speeded up and rushed through without due scrutiny.

“This crucial difference between the respective time-horizons of a pandemic and that of climate change and nature loss means that a pandemic risk requires immediate action that will be followed by a rapid result, while climate change and nature loss also require immediate action, but the result (or ‘future reward’, in the jargon of economists) will only follow with a certain time lag”. (108)

For Schwab and his friends, Covid-19 is the great accelerator of everything they have been wanting to foist upon us for years.

As he and Malleret say: “The pandemic is clearly exacerbating and accelerating geopolitical trends that were already apparent before the crisis erupted”. (109)

“The pandemic will mark a turning point by accelerating this transition. It has crystallized the issue and made a return to the pre-pandemic status quo impossible”. (110)

They can barely conceal their delight at the direction society is now taking: “The pandemic will accelerate innovation even more, catalysing technological changes already under way (comparable to the exacerbation effect it has had on other underlying global and domestic issues) and ‘turbocharging’ any digital business or the digital dimension of any business”. (111)

“With the pandemic, the ‘digital transformation’ that so many analysts have been referring to for years, without being exactly sure what it meant, has found its catalyst. One major effect of confinement will be the expansion and progression of the digital world in a decisive and often permanent manner.

“In April 2020, several tech leaders observed how quickly and radically the necessities created by the health crisis had precipitated the adoption of a wide range of technologies. In the space of just one month, it appeared that many companies in terms of tech take-up fast-forwarded by several years”. (112)

Fate is obviously smiling on Klaus Schwab as this Covid-19 crisis has, happily, succeeded in advancing pretty much every aspect of the agenda he has been promoting over the decades.

Thus he and Malleret report with satisfaction that “the pandemic will fast-forward the adoption of automation in the workplace and the introduction of more robots in our personal and professional lives”. (113)

Lockdowns across the world have, needless to say, provided a big financial boost to those businesses offering online shopping.

The authors recount: “Consumers need products and, if they can’t shop, they will inevitably resort to purchasing them online. As the habit kicks in, people who had never shopped online before will become comfortable with doing so, while people who were part-time online shoppers before will presumably rely on it more. This was made evident during the lockdowns. In the US, Amazon and Walmart hired a combined 250,000 workers to keep up with the increase in demand and built massive infrastructure to deliver online. This accelerating growth of e-commerce means that the giants of the online retail industry are likely to emerge from the crisis even stronger than they were in the pre-pandemic era”. (114)

They add: “As more and diverse things and services are brought to us via our mobiles and computers, companies in sectors as disparate as e-commerce, contactless operations, digital content, robots and drone deliveries (to name just a few) will thrive. It is not by accident that firms like Alibaba, Amazon, Netflix or Zoom emerged as ‘winners’ from the lockdowns”. (115)

By way of corollary, we might suggest that it is “not by accident” that governments which have been captured and controlled by big business, thanks to the likes of the WEF, have imposed a “new reality” under which big businesses are the “winners”…

The Covid-inspired good news never stops for all the business sectors which stand to benefit from the Fourth Industrial Repression.

“The pandemic may prove to be a boon for online education,” Schwab and Malleret report. “In Asia, the shift to online education has been particularly notable, with a sharp increase in students’ digital enrolments, much higher valuation for online education businesses and more capital available for ‘ed-tech’ start-ups… In the summer of 2020, the direction of the trend seems clear: the world of education, like for so many other industries, will become partly virtual”. (116)

Online sports have also taken off: “For a while, social distancing may constrain the practice of certain sports, which will in turn benefit the ever-more powerful expansion of e-sports. Tech and digital are never far away!”. (117)

There is similar news from the banking sector: “Online banking interactions have risen to 90 percent during the crisis, from 10 percent, with no drop-off in quality and an increase in compliance”. (118)

The Covid-inspired move into online activity obviously benefits Big Tech, who are making enormous profits out of the crisis, as the authors describe: “The combined market value of the leading tech companies hit record after record during the lockdowns, even rising back above levels before the outbreak started… this phenomenon is unlikely to abate any time soon, quite the opposite”. (119)

But it is also good news for all the businesses involved, who no longer have to pay human beings to work for them. Automation is, and has always been, about saving costs and thus boosting profits for the capitalist elite.

The culture of the fascist New Normal will also provide lucrative spin-off benefits for particular business sectors, such as the packaging industry, explain Schwab and Malleret.

“The pandemic will certainly heighten our focus on hygiene. A new obsession with cleanliness will particularly entail the creation of new forms of packaging. We will be encouraged not to touch the products we buy. Simple pleasures like smelling a melon or squeezing a fruit will be frowned upon and may even become a thing of the past”. (120)

The authors also describe what sounds very much like a technocratic profit-related agenda behind the “social distancing” which has been such a key element of the Covid “reset”.

They write: “In one form or another, social- and physical-distancing measures are likely to persist after the pandemic itself subsides, justifying the decision in many companies from different industries to accelerate automation. After a while, the enduring concerns about technological unemployment will recede as societies emphasize the need to restructure the workplace in a way that minimizes close human contact. Indeed, automation technologies are particularly well suited to a world in which human beings can’t get too close to each other or are willing to reduce their interactions. Our lingering and possibly lasting fear of being infected with a virus (COVID-19 or another) will thus speed the relentless march of automation, particularly in the fields most susceptible to automation”. (121)

As previously mentioned, Schwab has long been frustrated by all those tiresome regulations which stop capitalists from making as much money as they would like to, by focusing on economically irrelevant concerns such as the safety and well being of human beings.

But – hooray! – the Covid crisis has provided the perfect excuse for doing away with great swathes of these outmoded impediments to prosperity and growth.

One area in which meddlesome red tape is being abandoned is health. Why would any right-minded stakeholder imagine that any particular obligation for care and diligence should be allowed to impinge on the profitability of this particular business sector?

Schwab and Malleret are overjoyed to note that telemedicine will “benefit considerably” from the Covid emergency: “The necessity to address the pandemic with any means available (plus, during the outbreak, the need to protect health workers by allowing them to work remotely) removed some of the regulatory and legislative impediments related to the adoption of telemedicine”. (122)

The ditching of regulations is a general phenomenon under the New Normal global regime, as Schwab and Malleret relate:

“To date governments have often slowed the pace of adoption of new technologies by lengthy ponderings about what the best regulatory framework should look like but, as the example of telemedicine and drone delivery is now showing, a dramatic acceleration forced by necessity is possible. During the lockdowns, a quasi-global relaxation of regulations that had previously hampered progress in domains where the technology had been available for years suddenly happened because there was no better or other choice available. What was until recently unthinkable suddenly became possible… New regulations will stay in place”. (123)

They add: “The current imperative to propel, no matter what, the ‘contactless economy’ and the subsequent willingness of regulators to speed it up means that there are no holds barred”. (124)

“No holds barred”. Make no mistake: this is the language adopted by capitalism when it abandons its pretence at liberal democracy and switches into full-on fascist mode.

It is clear from Schwab and Malleret’s work that a fascistic merging of state and business, to the advantage of the latter, underpins their great reset.

Phenomenal sums of money have been transferred from the public purse into the bulging pockets of the 1% since the very start of the Covid crisis, as they acknowledge: “In April 2020, just as the pandemic began to engulf the world, governments across the globe had announced stimulus programmes amounting to several trillion dollars, as if eight or nine Marshall Plans had been put into place almost simultaneously”. (125)

They continue: “COVID-19 has rewritten many of the rules of the game between the public and private sectors. … The benevolent (or otherwise) greater intrusion of governments in the life of companies and the conduct of their business will be country- and industry-dependent, therefore taking many different guises”. (126)

“Measures that would have seemed inconceivable prior to the pandemic may well become standard around the world as governments try to prevent the economic recession from turning into a catastrophic depression.

“Increasingly, there will be calls for government to act as a ‘payer of last resort’ to prevent or stem the spate of mass layoffs and business destruction triggered by the pandemic. All these changes are altering the rules of the economic and monetary policy ‘game’.” (127)

Schwab and his fellow author welcome the prospect of increased state powers being used to prop up big business profiteering.

They write: “One of the great lessons of the past five centuries in Europe and America is this: acute crises contribute to boosting the power of the state. It’s always been the case and there is no reason why it should be different with the COVID-19 pandemic”. (128)

And they add: “Looking to the future, governments will most likely, but with different degrees of intensity, decide that it’s in the best interest of society to rewrite some of the rules of the game and permanently increase their role”. (129)

The idea of rewriting the rules of the game is, again, very reminiscent of fascist language, as of course is the idea of permanently increasing the role of the state in helping the private sector.

Indeed, it is worth comparing Schwab’s position on this issue with that of Italian fascist dictator Benito Mussolini, who responded to economic crisis in 1931 by launching a special emergency body, L’Istituto mobiliare italiano, to aid businesses.

He declared this was “a means of energetically driving the Italian economy towards its corporative phase, which is to say a system which fundamentally respects private property and initiative, but ties them tightly to the State, which alone can protect, control and nourish them”. (130)

Suspicions about the fascistic nature of Schwab’s great reset are confirmed, of course, by the police-state measures that have been rolled out across the world to ensure compliance with “emergency” Covid measures.

The sheer brute force that never lies far beneath the surface of the capitalist system becomes increasingly visible when it enters its fascist stage and this is very much in evidence in Schwab and Malleret’s book.

The word “force” is deployed time and time again in the context of Covid-19. Sometimes this is in a business context, as with the statements that “COVID-19 has forced all the banks to accelerate a digital transformation that is now here to stay” or that “the micro reset will force every company in every industry to experiment new ways of doing business, working and operating”. (131)

But sometimes it is applied directly to human beings, or “consumers” as Schwab and his ilk prefer to think of us.

“During the lockdowns, many consumers previously reluctant to rely too heavily on digital applications and services were forced to change their habits almost overnight: watching movies online instead of going to the cinema, having meals delivered instead of going out to restaurants, talking to friends remotely instead of meeting them in the flesh, talking to colleagues on a screen instead of chit-chatting at the coffee machine, exercising online instead of going to the gym, and so on…

“Many of the tech behaviours that we were forced to adopt during confinement will through familiarity become more natural. As social and physical distancing persist, relying more on digital platforms to communicate, or work, or seek advice, or order something will, little by little, gain ground on formerly ingrained habits”. (132)

Under a fascist system, individuals are not offered the choice as to whether they want to comply with its demands or not, as Schwab and Malleret make quite clear regarding so-called contact-tracing: “No voluntary contact-tracing app will work if people are unwilling to provide their own personal data to the governmental agency that monitors the system; if any individual refuses to download the app (and therefore to withhold information about a possible infection, movements and contacts), everyone will be adversely affected”. (133)

This, they reflect, is another great advantage of the Covid crisis over the environmental one which might have been used to impose their New Normal: “While for a pandemic, a majority of citizens will tend to agree with the necessity to impose coercive measures, they will resist constraining policies in the case of environmental risks where the evidence can be disputed”. (134)

These “coercive measures”, which we are all expected to go along with, will of course involve unimaginable levels of fascistic surveillance of our lives, particularly in our role as wage slaves.

Write Schwab and Malleret: “The corporate move will be towards greater surveillance; for better or for worse, companies will be watching and sometimes recording what their workforce does. The trend could take many different forms, from measuring body temperatures with thermal cameras to monitoring via an app how employees comply with social distancing”. (135)

Coercive measures of one kind or another are also likely to be used to force people to take the Covid vaccines currently being lined up.

Schwab is deeply connected to that world, being on a “first-name basis” with Bill Gates and having been hailed by Big Pharma mainstay Henry McKinnell, chairman and CEO of Pfizer Inc, as “a person truly dedicated to a truly noble cause”.

So it is not surprising that he insists, with Malleret, that “a full return to ‘normal’ cannot be envisaged before a vaccine is available”. (136)

He adds: “The next hurdle is the political challenge of vaccinating enough people worldwide (we are collectively as strong as the weakest link) with a high enough compliance rate despite the rise of anti-vaxxers”. (137)

“Anti-vaxxers” thus join Schwab’s list of threats to his project, along with anti-globalization and anti-capitalist protesters, Gilets Jaunes and all those engaged in “class conflicts”, “societal resistance” and “political backlash”.

The majority of the world’s population have already been excluded from decision-making processes by the lack of democracy which Schwab wants to accentuate through his stakeholderist corporate domination, his “agile governance”, his totalitarian “system management of human existence”.

But how does he envisage dealing with the “sombre scenario” of people rising up against his great newnormalist reset and his transhumanist Fourth Industrial Revolution?

What degree of “force” and “coercive measures” would he be prepared to accept in order to ensure the dawning of his technocratic new age?

The question is a chilling one, but we should also bear in mind the historical example of the 20th century regime into which Schwab was born.

Hitler’s new Nazi normal was meant to last for a thousand years, but came crashing down 988 years ahead of target.

Just because Hitler said, with all the confidence of power, that his Reich would last for a millennium, this didn’t mean that it was so.

Just because Klaus Schwab and Thierry Malleret and their friends say that we are now entering the Fourth Industrial Revolution and our world will be changed for ever, this doesn’t mean that it is so.

We don’t have to accept their New Normal. We don’t have to go along with their fearmongering. We don’t have to take their vaccines. We don’t have to let them implant us with smartphones or edit our DNA. We don’t have to walk, muzzled and submissive, straight into their transhumanist hell.

We can denounce their lies! Expose their agenda! Refuse their narrative! Reject their toxic ideology! Resist their fascism!

Klaus Schwab is not a god, but a human being. Just one elderly man. And those he works with, the global capitalist elite, are few in number. Their aims are not the aims of the vast majority of humankind. Their transhumanist vision is repulsive to nearly everyone outside of their little circle and they do not have consent for the technocratic dictatorship they are trying to impose on us.

That, after all, is why they have had to go to such lengths to force it upon us under the false flag of fighting a virus. They understood that without the “emergency” justification, we were never going to go along with their warped scheme.

They are scared of our potential power because they know that if we stand up, we will defeat them. We can bring their project crashing down before it has even properly started.

We are the people, we are the 99%, and together we can grab back our freedom from the deadly jaws of the fascist machine!

RESOURCE

We don’t want their Great Fascist Reset! Printable A4 leaflet

FURTHER READING

Ronald Cohen, impact capitalism and the Great Reset

Shapers of slavery: the plan

Shapers of slavery: the leadership

Shapers of slavery: the empire

Shapers of slavery: the virus

Shapers of slavery: the awakening

Resist the Fourth Industrial Repression!

Fascism, newnormalism and the left

Liberalism: the two-faced tyranny of wealth

Organic radicalism: bringing down the fascist machine

The Great Reset

NOTES

(All references are from e-books, which do not have numbered pages. We have now provided % references.)

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution: A Guide to Building a Better World (Geneva: WEF, 2018), e-book. 20%, 19%, 3%
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Geneva: WEF, 2016), e-book. 28%
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 18%
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 3%
5. Ibid. 3%
6. Ibid. 13%
7. Ibid. 1%
8. Ibid. 54%
9. Ibid. 9%
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 22%, 24%
11. Ibid. 3%
12. Ibid. 3%
13. Ibid. 3%
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 20%
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 12%
16. Ibid. 79%
17. Ibid. 76%
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 56%
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 79%
20. Ibid. 79%
21. Ibid. 80%
22. Ibid. 85%
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 6%
24. Ibid. 8%
25. Ibid. 9%
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 56%
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 35% 
28. Ibid. 6%
29. Ibid. 61%
30. Ibid. 49%
31. Ibid. 59%
32. Ibid. 74-75%
33. Ibid. 54%
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 57%
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 55%
36. Ibid. 2%
37. Ibid. 9%
38. Ibid. 27%
39. Ibid. 27%
40. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution, 30%, Schwab, The Fourth Industrial Revolution, 68%, Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 30%, 30%
41. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 30%
42. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 68%.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 8%, 14%
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 63%
45. Ibid. 59%
46. Ibid. 51%
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 14%
48. Ibid. 14%
49. Ibid. 15%
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London: Century, 2002), p. 4. See also Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex: Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 57%
52. Ibid. 3%
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 17%
54. Ibid. 17%
55. Ibid. 24%
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19: The Great Reset (Geneva: WEF, 2020), e-book. Edition 1.0. 39%
57. Ibid. 37%
58. Ibid. 30%, 39%
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 7%
60. Ibid. 5%
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 20%
62. Ibid. 20%
63. Ibid. 20%
64. Schwab, Malleret, Covid-19: The Great Reset. 36%
65. Ibid. 54%, 22%
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 39%
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 71%
68. Ibid. 72%
69. Ibid. 69%
70. Ibid. 75%
71. Ibid. 56%
72. Schwab, Malleret, Covid-19: The Great Reset. 40%
73. Ibid. 40%
74. Ibid. 37%
75. Ibid. 42%
76. Ibid. 41%
77. Ibid. 41%
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 44%
79. Ibid. 48%
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution. 84%
81. Ibid. 57%
82. Ibid. 78%
83. Ibid. 79%
84. Ibid. 60%
85. Ibid. 82%
86. Ibid. 82%
87. Ibid. 82%
88. Ibid. 82%
89. Ibid. 83%
90. Schwab, Malleret, Covid-19: The Great Reset. 1%
91. Ibid. 1%
92. Ibid. 89%
93. Ibid. 90%
94. Ibid. 5%
95. Ibid. 60%
96. Ibid. 52%
97. Ibid. 2%, 26%, 2%
98. Ibid. 89%, 90%
99. Ibid. 3%
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution. 3%
101. Ibid. 17%
102. Schwab, Malleret, Covid-19: The Great Reset. 48%
103. Ibid. 48%
104. Ibid. 21%
105. Ibid. 67%
106. Ibid. 54%
107. Ibid. 54%
108. Ibid. 48%
109. Ibid. 36%
110. Ibid. 34%
111. Ibid. 55%
112. Ibid. 55%
113. Ibid. 57%
114. Ibid. 64%
115. Ibid. 63%
116. Ibid. 73%
117. Ibid. 74%
118. Ibid. 64%
119. Ibid. 73%
120. Ibid. 71%
121. Ibid. 55%
122. Ibid. 64%
123. Ibid. 56%
124. Ibid. 56%
125. Ibid. 32%
126. Ibid. 65%
127. Ibid. 23%
128. Ibid. 31%
129. Ibid. 33%
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris: Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19: The Great Reset. 75%, 76%
132. Ibid. 55%
133. Ibid. 59%
134. Ibid. 49%
135. Ibid. 59%
136. Ibid. 16%
137. Ibid. 16%

Reposts and translations of this article on other websites:

Wrong Kind of Green

Off-Guardian

325

Deutsch

Italiano

Español

Slovenščina

Français

Brevet US11107588B2 (extraits).

Bonjour chers super-propagateurs,

vous aurez remarqué à quel point on nous veut du bien. Mais pour ça, il faut se donner les moyens. Voici un des nombreux brevets déposés en 2020. C’est incroyablement chiant à lire (je vous dis pas à traduire) mais ça donne quand même une petite idée de ce qu’on nous prépare.

Le tout en protégeant notre vie privée, bien entendu.

What could possibly go wrong?

Source.


Traduction

Méthodes et systèmes permettant de donner la priorité aux traitements, aux vaccinations, aux tests et/ou aux activités tout en protégeant la vie privée des personnes.

Abstract

Système et méthodes pour sélectionner de manière anonyme des sujets pour un traitement contre une maladie infectieuse causée par un agent pathogène. Le système comprend une pluralité de dispositifs électroniques comprenant des instructions pour générer un identifiant et, lorsqu’ils sont à proximité d’un autre dispositif électronique de ce type, un ou les deux dispositifs électroniques transmettent/reçoivent l’identifiant vers/depuis l’autre dispositif électronique. Ensuite, un score est généré sur la base d’une pluralité de ces identifiants reçus. De plus, sur la base des informations reçues d’un serveur, des instructions de traitement pertinentes s’affichent pour les sujets en fonction des informations reçues et du score. Le serveur comprend des instructions pour envoyer à la pluralité de dispositifs électroniques les informations à afficher avec les instructions de traitement pertinentes, de plus le serveur et/ou les dispositifs électroniques comprennent des instructions pour générer une prédiction de la probabilité qu’un sujet transmette l’agent pathogène, sur la base du score du sujet.

[…]

Classification exemplaire du super-propagateur

La figure 1 montre une représentation schématique d’une définition de super-propagateur, selon certains modes de réalisation de l’invention. En plus de la notion qu’un super-propagateur peut être identifié comme une personne qui excrète un nombre d’agents pathogènes supérieur à la normale pendant la période où elle est infectieuse, un super-propagateur est une personne qui peut excréter un nombre normal (ou faible) d’agents pathogènes pendant la période où elle est infectieuse, mais cette personne est potentiellement et/ou effectivement en contact avec un grand nombre de personnes, infectant donc potentiellement le même nombre de personnes ou plus qu’une personne qui excrète un nombre d’agents pathogènes supérieur à la normale, comme le montre par exemple la figure 1. Suivant cette logique, selon certains modes de réalisation de l’invention, un super-propagateur est en outre identifié en fonction du nombre de personnes avec lesquelles il peut potentiellement être en contact, avec lesquelles il est prévu ou estimé être en contact (par exemple, sur la base du nombre de personnes avec lesquelles il a été en contact), quel que soit le niveau d’excrétion de ladite personne.

Score de potentiel de super-propagation

Conformément à certains modes de réalisation de l’invention, il existe des méthodes et des systèmes permettant de fournir aux sujets d’une population un « score de super-propagation », qui aidera à fournir l’ordre dans lequel les sujets, éventuellement dans des groupes de sujets, recevront des traitements. Dans certains modes de réalisation, plus le score est élevé, plus le potentiel de chaque individu à propager la maladie est élevé. Dans certains modes de réalisation, plus le score est élevé, plus l’individu doit recevoir les traitements tôt. Dans certains modes de réalisation, un avantage potentiel de la vaccination/du traitement d’individus ayant le score de super-propagation le plus élevé est de bloquer les intersections potentielles où un nombre plus élevé d’individus pourrait être infecté par les super-propagateurs potentiels, et ceci est réalisé en vaccinant des individus ayant potentiellement et/ou réellement plus de chances de rencontrer d’autres personnes, et éventuellement aussi par rapport à d’autres individus (par exemple par normalisation des données). Dans certains modes de réalisation, un avantage potentiel de cette méthode est qu’une population peut atteindre plus rapidement un état d’immunité collective, au fur et à mesure que la fourniture de traitements se poursuit.

[…]

Exemples de facteurs influençant le score

Dans certains modes de réalisation, le score est généré en utilisant un ou plusieurs facteurs et/ou composants, chacun influençant le score final en l’augmentant ou en le diminuant. Dans certains modes de réalisation, le ou les facteurs peuvent influencer le score de manière linéaire (en augmentant/diminuant le score de manière linéaire, par exemple +1 au score ou -2 au score) et/ou un ou plusieurs facteurs peuvent affecter le score de manière pondérée, comme cela sera expliqué plus en détail ci-dessous. Des exemples de facteurs et/ou de composants sont un ou plusieurs des éléments suivants :

Profession enregistrée de l’individu

Dans certains modes de réalisation, la profession de l’individu est corrélée avec le nombre potentiel de personnes avec lesquelles la personne peut être en contact au cours d’une journée normale de travail. Dans certains modes de réalisation, les individus qui doivent potentiellement rencontrer de nombreuses personnes en raison de leur profession recevront un score élevé. Par exemple, les caissières de supermarché, les vendeurs sur les marchés, les chauffeurs de bus, les livreurs, les techniciens, les bibliothécaires, etc. Dans certains modes de réalisation de l’invention, les informations sur la profession sont utilisées pour estimer un score de qualité de contact, par exemple, les médecins étant plus attentifs aux EPI [NdT. équipement de protection individuelle] que les enseignants. Selon une caractéristique particulière de certains modes de réalisation de l’invention, les différences au sein d’un tel groupe, par exemple entre différents médecins, sont déterminées. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score d’un sujet est modifié en fonction de la profession, par exemple, pour compenser la criticité du sujet et/ou le manque de contrôle du sujet (par exemple, un chauffeur de bus) sur le nombre de contacts.

Dans certains modes de réalisation de l’invention, un sujet fournit des informations sur sa profession ou d’autres informations utilisées pour ajuster le score en scannant un code-barres (ou un autre élément lisible par machine tel qu’un code-barres ou une carte d’identité à puce RFID) qui est éventuellement signé numériquement avec ces informations. En option, cela permet au dispositif de connaître les informations sur la profession, mais peut ne pas permettre au dispositif et/ou au fournisseur d’informations de lier la demande de données à un individu particulier. Ainsi, la confidentialité est potentiellement préservée.

Caractéristiques de la population susceptible de se rencontrer

Dans certains modes de réalisation, le type de population qu’un certain sujet peut potentiellement rencontrer augmentera ou diminuera le score. Par exemple, les enseignants qui rencontrent de nombreux enfants obtiendront un score plus élevé, si et une fois que les enfants sont infectés par l’enseignant, les enfants rentrent chez eux et infectent potentiellement leurs familles. Par contre, un médecin qui travaille dans une prison pourrait recevoir un score plus faible, car les personnes incarcérées dans la prison ne sortent pas et n’infecteront probablement personne d’autre (l’infection est contenue dans la prison uniquement).

Autre exemple, si un certain sujet ne rencontre qu’un certain nombre d’individus, et principalement ces individus, par exemple un sujet dans une communauté proche, alors ce sujet recevra un score plus faible.

Caractéristiques de la population qu’un sujet a effectivement rencontrée

Dans certains modes de réalisation, si un sujet donné rencontre des personnes identifiées comme des « super-propagateurs », cela influencera son score en l’augmentant, même par rapport aux sujets qui ne rencontrent pas de super-propagateurs et/ou de personnes ordinaires. Dans certains modes de réalisation, les informations relatives à la rencontre d’un super-propagateur sont transmises entre les dispositifs mobiles de manière anonyme, par exemple, comme cela sera expliqué plus en détail ci-dessous.

La nature des lieux

Dans certains modes de réalisation, la nature d’un emplacement signifie qu’il s’agit d’un lieu fermé, d’un espace ouvert, d’un intérieur ou d’un extérieur, de la qualité de la ventilation ou de toute combinaison de ces éléments. Dans certains modes de réalisation, la nature des lieux peut changer radicalement le score attribué à un sujet. Il a été démontré que la probabilité qu’un sujet transmette un agent pathogène augmente d’un facteur compris entre environ 10 fois et environ 100 fois lorsque le lieu se trouve à l’intérieur et/ou dans un espace fermé. En effet, le risque d’infection est accru en raison de l’accumulation possible de gouttelettes porteuses d’agents pathogènes dans l’air, de la stabilité probablement plus élevée de l’agent pathogène dans l’air intérieur et/ou d’une plus grande densité de personnes.

Dans certains modes de réalisation, si l’endroit se trouve à l’intérieur ou dans un lieu fermé, le score attribué au sujet pour un contact augmente.

Dans certains modes de réalisation, d’autres facteurs qui influencent l’augmentation ou la réduction de la probabilité qu’un sujet transmette un agent pathogène à l’intérieur sont un ou plusieurs des éléments suivants : taux de ventilation, utilisation de la ventilation naturelle, évitement de la recirculation de l’air et utilisation de filtres à air.

Dans certains modes de réalisation, le système comprendra des informations sur les lieux intérieurs liées au taux de ventilation, à l’utilisation de la ventilation naturelle, à l’évitement de la recirculation de l’air et à l’utilisation de filtres à air. Dans certains modes de réalisation, un lieu intérieur présentant un score élevé de taux de ventilation fournira un score inférieur à l’individu par rapport à un lieu présentant un score faible de taux de ventilation.

Le type d’endroits habituellement visités par le sujet

Dans certains modes de réalisation, les sujets qui ont tendance à fréquenter des événements religieux ou laïques, comme une synagogue, une église, une mosquée ou un dancing, où les gens sont très proches les uns des autres et parlent, prient, chantent et/ou respirent profondément et/ou se mêlent davantage, recevront un score plus élevé (par exemple, pour un tel événement de contact) que ceux qui ne fréquentent pas les événements religieux. Dans certains modes de réalisation, de manière similaire à ce qui précède, les sujets qui sont enclins à fréquenter des événements sportifs recevront également un score plus élevé. Dans certains modes de réalisation, les lieux qui sont fréquentés régulièrement par une grande quantité d’individus (y compris les transports publics, détectables par exemple par géolocalisation et/ou par un mouvement régulier de démarrage et d’arrêt qui correspond à un profil de transport public et/ou à une activité de paiement de don de base utilisant le dispositif électronique de suivi) seront marqués comme des points d’intérêt pour la propagation potentielle de la maladie infectieuse/du virus/de l’agent pathogène, et les sujets qui fréquentent ces lieux recevront un score plus élevé.

La durée de la présence sur les lieux

Dans certains cas, la durée du séjour d’un sujet à un endroit donné contribue à la détermination de la probabilité d’infecter d’autres personnes et/ou d’être infecté par d’autres personnes. Par exemple, un sujet qui visite de nombreux endroits mais qui n’y reste qu’une minute ou deux peut recevoir un score plus faible (par exemple, pour un événement de contact) qu’une personne qui reste plus longtemps dans quelques endroits, puisque le fait de rester plus longtemps à un endroit augmente potentiellement les chances d’infecter et/ou d’être infecté.

Données historiques de géolocalisation de l’individu

Dans certains modes de réalisation, les données historiques de la localisation d’un individu sont utilisées pour évaluer l’activité potentielle de géolocalisation de cet individu spécifique. Par exemple, les données de Google Maps® enregistrées dans des serveurs, les données de Waze® enregistrées dans des serveurs, et d’autres applications de géolocalisation configurées pour enregistrer les données d’activité de géolocalisation. Dans certains modes de réalisation, les individus ayant un volume élevé de données de mouvement (et/ou une utilisation élevée des transports publics) dans leurs données historiques de géolocalisation recevront un score élevé. Dans certains modes de réalisation, les données historiques sont utilisées pour évaluer plus avant la fiabilité du changement de comportement d’un sujet, par exemple pour déterminer s’il faut augmenter le score dans les cas où les données de géolocalisation réelles changent radicalement (par exemple s’il existe un risque qu’un sujet souhaite obtenir un score plus élevé pour recevoir le vaccin et augmente ses déplacements pour y parvenir).

Données de géolocalisation réelles de l’individu

Dans certains modes de réalisation, les données de géolocalisation réelles mesurées de chaque individu sont surveillées pour évaluer leur potentiel de rencontre avec d’autres personnes. Dans certains modes de réalisation, les personnes qui montrent un nombre élevé de mouvements pendant la journée dans des zones où se trouvent d’autres personnes recevront un score élevé. Dans certains modes de réalisation, les données de géolocalisation réelles de chaque individu sont surveillées à l’aide d’un ou plusieurs des éléments suivants :

  1. Des dispositifs électroniques, par exemple la localisation fournie par le GPS de leur propre téléphone portable ;
  2. L’utilisation d’une technologie de reconnaissance faciale basée sur un ou plusieurs des éléments suivants : a) les données de vidéosurveillance reçues des sources disponibles, par exemple les caméras de rue, les guichets automatiques, les caméras de surveillance privées dans les magasins, les bâtiments et les maisons, etc. b) les médias sociaux
  3. Activité numérique, par exemple utilisation d’une carte de crédit, adresse IP utilisée lors de l’utilisation d’un ordinateur ou d’un appareil électronique, antennes qui reçoivent des données lors d’un appel téléphonique.

De manière facultative ou supplémentaire, ces données de géolocalisation réelles sont utilisées à la place ou en plus de l’identification réelle du contact entre les personnes.

Données médicales historiques de l’individu

Dans certains modes de réalisation, les données médicales historiques de chaque individu sont évaluées pour fournir un score. Par exemple, comme mentionné ci-dessus, les personnes souffrant de toux chronique recevront un score élevé car elles ont potentiellement plus de chances de transmettre la maladie infectieuse/le virus/l’agent pathogène. Dans certains cas, les personnes dont les antécédents augmentent les chances de transmettre la maladie recevront un score élevé.

Données médicales réelles de l’individu

Dans certains cas, pendant la pandémie, toutes les nouvelles données médicales concernant chaque individu sont surveillées afin d’évaluer si ces nouvelles données indiquent un changement dans le statut médical de l’individu en ce qui concerne son potentiel d’infection. En utilisant l’exemple ci-dessus, si une personne est diagnostiquée avec une toux chronique, cela augmentera son score (par exemple, en général et/ou par contact).

Informations de tiers concernant l’individu

Dans certains modes de réalisation, les informations de tiers provenant d’individus qui informent sur d’autres personnes seront évaluées pour décider si ces informations doivent affecter le score. Par exemple, si un tiers informe qu’une personne qui a montré des données de mouvement faibles et a reçu un score faible effectue en fait de nombreux mouvements, une fois l’information vérifiée, le score sera modifié en conséquence. Le contraire est également valable, par exemple, si un tiers informe qu’une personne qui a montré des données de mouvement élevées et a reçu un score élevé reste en fait à la maison, une fois l’information vérifiée, le score peut changer en conséquence.

Application dédiée obligatoire

Dans certains modes de réalisation, en regard de la pandémie, le gouvernement peut ordonner aux citoyens d’installer une application dédiée sur leurs smartphones (ou autres dispositifs intelligents tels que tablettes, montres intelligentes, lunettes intelligentes, etc.) pour aider le gouvernement dans la logistique des procédures de vaccination. Dans certains modes de réalisation, le gouvernement (ou un autre organisme) fournit au public de tels dispositifs intelligents dédiés. Dans certains modes de réalisation, l’application et/ou le dispositif intelligent est configuré pour informer sur l’emplacement de l’utilisateur à tout moment et pour communiquer avec les dispositifs intelligents adjacents (via Bluetooth par exemple) pour évaluer les interactions entre les utilisateurs, par exemple le voisinage entre les utilisateurs, le mouvement des utilisateurs, etc.) Dans certains modes de réalisation de l’invention, un logiciel déjà existant peut être utilisé, par exemple, les téléphones cellulaires basés sur Android et IS ont un logiciel (par exemple, en tant que service du système d’exploitation) qui peut détecter la proximité d’autres personnes et ce logiciel peut être utilisé ou amélioré pour fournir la fonctionnalité décrite ici.

Dans certains modes de réalisation, une telle application peut être utilisée pour fournir des informations concernant le nombre de personnes uniques rencontrées par l’utilisateur. Par exemple, un certain utilisateur peut rencontrer beaucoup de personnes mais ce sont toujours les mêmes personnes. Alors qu’un autre utilisateur peut rencontrer moins de personnes mais chacune d’entre elles est un individu différent. Dans certains modes de réalisation, le deuxième utilisateur peut potentiellement recevoir un score plus élevé et donc recevoir le traitement en premier. Dans certains modes de réalisation, ces applications et/ou dispositifs intelligents sont également utilisés pour évaluer la progression des procédures de vaccination et l’efficacité de la procédure de vaccination. Dans certains modes de réalisation, les données individuelles provenant de chaque utilisateur sont couplées à leurs informations de santé (malade, vacciné, rétabli, etc.) pour évaluer plus précisément la progression des procédures de vaccination et l’efficacité de la procédure de vaccination. En option, si les personnes rencontrées par un utilisateur sont vaccinées ou déterminées comme étant immunisées, ces contacts peuvent ne pas compter et/ou être pondérés à la baisse.

Dans certains modes de réalisation, l’application sera également utilisée pour envoyer des communications personnalisées aux utilisateurs, par exemple pour leur demander de venir se faire vacciner. Dans certains modes de réalisation, au vu des informations reçues de l’application, des actions spécifiques sont entreprises, par exemple, l’envoi d’une communication à l’utilisateur pour le sensibiliser aux règles de comportement en cas de pandémie, pour qu’il vienne se faire vacciner, pour qu’il évite certains endroits présentant un risque élevé de contagion.

Application dédiée volontaire

Dans certains modes de réalisation, en vue de la pandémie, la population est encouragée à installer une application dédiée, où ceux qui installent l’application sont récompensés. Dans certains cas, la récompense est la priorité pour recevoir un traitement.

Surveillance du comportement du sujet

Dans certains modes de réalisation, le comportement du sujet est surveillé en fonction des mesures de sécurité qu’il exécute, par exemple, le port d’un masque (par exemple, en analysant les images prises pendant les appels ou en regardant l’écran d’un téléphone portable), le lavage des mains (par exemple, en analysant les sons de l’eau qui coule ou le mouvement d’une smartwatch), le maintien d’une distance sociale (par exemple, sur la base des niveaux de puissance Bluetooth et/ou de la détection NFC), les déplacements entre plusieurs endroits, etc. Dans certains modes de réalisation, ceux-ci sont surveillés à l’aide des mêmes dispositifs/méthodes que ceux divulgués ci-dessus.

Méthode de notation exemplaire

Dans certains modes de réalisation, chaque individu d’une population (par exemple, plus de 100, 1.000, 10.000 et/ou 100.000 individus) reçoit un score définissant le niveau potentiel de super propagation de chaque individu. Dans certains modes de réalisation, les scores sont définis en nombre de contacts (voir ici), et le nombre de contacts qui sont comptés est d’environ 10 à environ 100, éventuellement d’environ 100 à environ 1.000, éventuellement d’environ 1.000 à environ 10.000, par exemple 100, 400, 1.000, 2.000, 10.000 ou des nombres intermédiaires ou supérieurs. Dans certains modes de réalisation, un score élevé définit un potentiel élevé de propagation à grande échelle, tandis qu’un score faible définit un potentiel faible de propagation à grande échelle. Afin de faciliter les explications de l’invention, une échelle de notation de 0 à 100 sera utilisée. Il est entendu que d’autres échelles peuvent être utilisées, comme les cartes thermiques, les échelles d’ordre décimal, etc. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est ouvert. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est normalisé, par exemple, par rapport à d’autres scores. La normalisation ne doit pas nécessairement être linéaire. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est une échelle. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est multidimensionnel, incluant par exemple une dimension de potentiel de super-propagation et une dimension de variabilité du comportement.)

[…]

Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est mis à jour pour et/ou après chaque événement de contact. Dans certains modes de réalisation de l’invention, la mise à jour a lieu à la fin de la journée, ce qui peut permettre d’agréger plusieurs réunions avec une même personne. De manière facultative ou supplémentaire, le score est mis à jour pour un ensemble d’événements de contact. Dans certains modes de réalisation de l’invention, le score est calculé après que tous les événements de contact ont été collectés, par exemple, sur la base d’une analyse d’un réseau de contacts pour identifier les individus qui, s’ils sont vaccinés, stopperont le mieux l’infection. Cette analyse peut être effectuée en simulant le réseau de contacts et en essayant divers schémas de vaccination et/ou d’élimination de divers individus et/ou ensembles d’individus.

Du score au traitement

Dans certains modes de réalisation, une fois que le score de chaque individu est atteint, ou éventuellement le score d’un grand nombre d’individus de la population, une liste est créée avec l’ordre dans lequel chaque individu recevra le traitement. Dans certains modes de réalisation, la liste est éventuellement divisée en groupes, par exemple, tous les individus qui ont obtenu un score entre 100 et 90 sont regroupés dans le groupe A, qui recevra en premier les traitements. Ensuite, tous les individus ayant obtenu un score compris entre 90 et 80 sont regroupés dans le groupe B, qui recevra les seconds traitements, et ainsi de suite.

Information du public

Dans certains modes de réalisation, une fois la liste établie, les personnes sont informées de la date et du lieu où elles doivent se rendre pour recevoir les traitements, par exemple par le biais d’e-mails, d’applications dédiées sur leur téléphone portable, des médias, etc.


Texte original

Methods and systems of prioritizing treatments, vaccination, testing and/or activities while protecting the privacy of individuals

Abstract

System and methods for anonymously selecting subjects for treatment against an infectious disease caused by a pathogen. The system comprises a plurality of electronic devices comprising instructions to generate an ID and, when in proximity of another such electronic device, one or both electronic devices transmit/receive the ID to/from the other electronic device. Then, a score is generated based on a plurality of such received IDs. Additionally, based on information received from a server, relevant treatment instructions are displayed to the subjects based on the received information and the score. The server comprises instructions for sending to the plurality of electronic devices the information to be displayed with the relevant treatment instructions, additionally the server and/or the electronic devices comprise instructions to generate a prediction of likelihood of a subject transmitting the pathogen, based on the score of the subject.

[…]

Exemplary Classification of Superspreader

Referring now to FIG. 1, showing a schematic representation of a definition of superspreader, according to some embodiments of the invention. In addition to the notion that a superspreader might be identified as a person who excretes a higher than normal number of pathogens during the time they are infectious, a superspreader is a person who may excrete a normal (or low) number of pathogens during the time they are infectious but this person is potentially and/or effectively in contact with a high number of people, therefore potentially infecting the same or more number of people as a person who excretes a higher than normal number of pathogens, as schematically shown for example in FIG. 1. Following this logic, according to some embodiments of the invention, a superspreader is further identified according to the number of people he/she can potentially be in contact with, is expected or estimated to be in contact with (e.g., based on number he has been in contact with), no matter the level of excretion of said person.

Super-Spreading Potential Score

In accordance with some embodiments of the invention, there are provided methods and systems of providing subjects in a population with a “superspreading score”, which will help to provide the order in which the subjects, optionally in groups of subjects, will receive treatments. In some embodiments, the higher the score the higher the potential of each individual to spread the disease. In some embodiments, the higher the score, the earlier the individual should receive the treatments. In some embodiments, a potential advantage of vaccinating/treating individuals having the higher superspreading score is to block potential intersections where a higher number of individuals might be infected by the potential superspreaders, and this is done by vaccinating individuals with potentially and/or actual higher chances to meet other people, and optionally also in relation to other individuals (for example by normalization of the data). In some embodiments, a potential advantage of this method is that a population will potentially reach faster a state of herd immunity, as the provision of treatments continues.

[…]

Exemplary Factors Influencing the Score

In some embodiments, the score is generated utilizing one or more factors and/or components, each influencing the final score by either adding or subtracting from the score. In some embodiments, the one or more factors can influence the score in a linear matter (increasing/decreasing the score linearly, for example +1 to the score or −2 to the score) and/or one or more factor can affect the score in a weighted matter, as will be further explained below. Exemplary factors and/or components are one or more of the following:

Profession in Record of the Individual

In some embodiments, the profession of the individual is correlated with a potential number of people the person might be in contact with during a regular day of operation. In some embodiments, individuals that potentially must meet many people due to their profession will receive a high score. For example, cashiers at the supermarket, vendors in markets, bus drivers, delivery people, technicians, librarians, etc. In some embodiments of the invention, the profession information is used to estimate a contact quality score, for example, doctors being more careful with PPE than teachers. It is a particular feature of some embodiments of the invention, that differences within such a group, such as between different doctors, are determined. In some embodiments of the invention, a subject’s score is modified according to the profession, for example, to compensate for criticality of the subject and/or to lack of control of the subject (e.g., a bus driver) over number of contacts.

In some embodiments of the invention, a subject provides profession information or other information used to adjust scoring by scanning a barcode (or other machine-readable item such as a barcode or RFID chip identity card) which is optionally digitally signed with such information. Optionally, this allows the device to know the profession information, but may not allow the device and/or the information provider to link the request for data to a particular individual. Thus potentially maintaining privacy.

Characteristics of Population Potentially to Meet

In some embodiments, the kind of population that a certain subject can potentially meet will either increase or decrease the score. For example, teachers that meet many children will be provided with a higher score, since if and once the children are infected by the teacher, the children return home and potentially infect their families. While for example, a doctor that works at a prison would potentially receive a lower score since the incarcerated people in the prison are not leaving and probably will not infect anyone else (the infection is contained to the prison alone).

Another example, if a certain subject meets only a certain number of individuals, and mainly only those individuals, for example a subject in a close community, then that subject will receive a lower score.

Characteristics of Population that a Subject Actually Met

In some embodiments, if a certain subject meets people that were identified as superspreaders, this will influence the score by increasing their score, also when compared to subjects that do not meet superspreaders and/or regular people. In some embodiments, the information regarding meeting a superspreader is performed between the mobile devices in an anonymous matter, for example, as will be further explained below.

The Nature of the Locations

In some embodiments, the nature of a location means if it is in a closed place, if it is in an open space, if it is indoors, if it is outdoors, quality of ventilation or any combination thereof. In some embodiments, the nature of the locations can drastically change the score given to a subject. It has been shown that a likelihood of a subject transmitting a pathogen increases by a factor of between about 10 times to about 100 times when the location is indoors and/or in a closed space. This is because the risk of infection is increased due to the possible buildup of the airborne pathogen-carrying droplets, the pathogen likely higher stability in indoor air, and/or a larger density of people.
In some embodiments, if the location is indoors or in a closed location, then the score given to the subject for a contact will increase.

In some embodiments, other factors that influence the increment or reduction of the likelihood of a subject transmitting a pathogen indoors are one or more of ventilation rate, use of natural ventilation, avoidance of air recirculation and use of air filters.
In some embodiments, the system will comprise information on indoor locations related to the ventilation rate, use of natural ventilation, avoidance of air recirculation and use of air filters. In some embodiments, an indoor place comprising a high ventilation rate score will provide a lower score to the individual when compared to a place having a low ventilation rate score.

The Kind of Places Usually Visited by the Subject

In some embodiments, subjects that are prone to frequent religious or secular events, like in a synagogue, a church or a mosque or a dancing venue, where the people are in close proximity to each other, and talk, pray, sing and/or breathe deeply and/or mingle more, will receive a higher score (e.g., for such a contact event) than those who do not frequent religious events. In some embodiments, similarly to above, also subject that are prone to frequent sports events will receive a higher score. In some embodiments, places that are frequented regularly by a large quantity of individuals (including public transportation, detectable for example, by geolocation and/or regular start-stop movement that matches a public transportation profile and/or base don payment activity using the tracking electronic device) will be marked as points on interest for the potential spreading of the infectious disease/virus/pathogen, and subjects that frequent those places will receive a higher score.

The Length of Time at the Locations

In some embodiments, the length that a subject stays in one place will contribute to the determination of the probability to infect others and/or to be infected by others. For example, a subject that visits many places but stays there just for a minute or two might receive a lower score (e.g., for a contact event) than a person that stays for longer in a few places, since staying longer at one place potentially increases the chances to infect and/or be infected.

Historical Geolocation Data of the Individual

In some embodiments, historical data of the location of an individual is used to assess the potential geolocation activity of that specific individual. For example, Google Maps® data saved in servers, Waze® data saved in servers, and other geolocation applications configured to save geolocation activity data. In some embodiments, individuals having a high volume of movement data (and/or high usage of public transportation) in their historical geolocation data will receive a high score. In some embodiments, the historical data is used to further assess a reliability of change in behavior of a subject, for example to determine if to increase score in cases where the actual geolocation data changes drastically (for example if there is a risk that a subject wants a higher score to receive the vaccine and increases his movements to achieve so).

Actual Geolocation Data of the Individual

In some embodiments, actual measured geolocation data of each individual is monitored to assess their potential to meet other people. In some embodiments, people which show high number movements during the day in areas where other people are located will receive a high score. In some embodiments, actual geolocation data of each individual is monitored using one or more of:

  1. Electronic devices, for example the location provided by the GPS of their own cellphones;
  2. Using face recognition technology based on one or more of: a) video surveillance data received from available sources, for example street cameras, ATM’s, private surveillance cameras in stores, buildings and houses, etc.; b) social media.
  3. Digital activity, for example credit card usage, IP address used while using a computer or an electronic device, antennas that receive data while performing a phone call.

Optionally or additionally, such actual geolocation data is used instead of or in addition to actually identifying contact between people.

Historical Medical Data of the Individual

In some embodiments, historical medical data of each individual is assessed to provide a score. For example, as mentioned above, individuals with chronic coughing will receive a high score since they have potentially a higher chance to transmit the infectious disease/virus/pathogen. In some embodiments, individuals having a background condition that enhances the chances of transmitting the disease will receive a high score.

Actual Medical Data of the Individual

In some embodiments, during the pandemic, every new medical data concerning each individual is monitored to assess if the new data indicates a change in the medical status of the individual regarding their potential to infect others. Using the example above, if a person is diagnosed with chronic coughing it will increase their score (e.g., in general and/or per contact).

Third Party Information Regarding the Individual

In some embodiments, third party information from individuals informing on others will be assessed to decide if the information needs to affect the score. For example, if a third party informs that a person that showed low movement data and received a low score is actually performing many movements, once the information is verified, the score will change accordingly. The contrary is also valid, for example, a third party informed that a person that showed high movement data and received a high score is actually staying at home, once the information is verified, the score may change accordingly.

In some embodiments, in view of the pandemic, the government may order the citizens to install a dedicated application on their smartphones (or other smart devices like tablets, smart watches, smart glasses, etc.) to help the government with the logistics of the vaccination procedures. In some embodiments, the government (or other body) provides the public with such dedicated smart devices. In some embodiments, the app and/or the smart device is configured to inform on the user’s location at all times and to communicate with adjacent smart devices (via Bluetooth for example) to assess the interactions between users, for example vicinity between users, movement of users, etc.). In some embodiments of the invention, already existing software may be used, for example, both android and is based cellphones have software (e.g., as an operating system service) which can detect proximity of others and such software may be used or improved to provide functionality as described herein.

In some embodiments, such app can be used to provide information regarding how many unique people the user meets. For example, a certain user can meet many people but they are all the same people all the time. While another user can meet fewer people but each one is a different individual. In some embodiments, the second user may potentially receive a higher score and therefore receive treatment first. In some embodiments, such app and/or smart devices are also used to assess the progression of the vaccination procedures and the efficacy of the vaccination procedure. In some embodiments, individual data arriving from each user is coupled with their health information (sick, vaccinated, recovered, etc.) to further assess the progression of the vaccination procedures and the efficacy of the vaccination procedure. Optionally, if the persons met by a user are vaccinated or otherwise determined to be immune, such contacts may not count and/or be weighted lower.

In some embodiments, the app will be also used to send personalized communication to the users, for example, to come and be vaccinated. In some embodiments, in view of the information received from the app, specific actions are taken, for example, send a communication to the user to enhance his awareness to behavioral rules during pandemic, to come and be vaccinated, to avoid certain locations, which are at high risk of contagion.

Dedicated Voluntary App

In some embodiments, in view of the pandemic, the population is encouraged to install a dedicated app, where those that do install the app are rewarded. In some embodiments, the reward is priority to receive treatment.

Monitoring Behavior of Subject

In some embodiments, the behavior of the subject is monitored in relation to safety features performed by the subject, for example, wearing a mask (e.g., analyzing images taken during calls or other looking at screen of cellphone), washing his hands (e.g., analyzing sounds of water running or movement by a smartwatch), keeping social distancing (e.g., based on Bluetooth power levels and/or NFC detection), moving between multiple locations, etc. In some embodiments, these are monitored using the same devices/methods as disclosed above.

Exemplary Scoring Method

In some embodiments, each individual in a population (e.g., above 100, 1000, 10000 and/or 100000 individuals) is provided with a score defining the potential level of superspreading of each individual. In some embodiments, scores are defined as number of contacts (see herein), and the number of contacts that are counted are from about 10 to about 100, optionally from about 100 to about 1000, optionally from about 1000 to about 10000, for example 100, 400, 1000, 2000, 10000 or intermediate or greater numbers. In some embodiments, a high score defines a high potential of superspreading, while a low score defines a low potential of superspreading. In order to facilitate the explanations of the invention, a scoring scale from 0 to 100 will be used. It should be understood that other scales can be used, like heat-map scoring, decimal order scales, etc., all of which are included in the scope of the invention. In some embodiments of the invention, the score is open ended. In some embodiments of the invention, the score is normalized, for example, to other scores. The normalization need not be linear. In some embodiments of the invention, the score is a scalar. In some embodiments of the invention, the score is multi-dimensional, for example, including a superspreader potential dimension and a variability in behavior dimension)

[…]

In some embodiments of the invention, the score is updated for and/or after each contact event. In some embodiments of the invention, update is at end of the day, which may allow aggregating multiple meetings with a same person. Optionally or additionally, the score is updated per a set of contact events. In some embodiments of the invention, the score is calculated after all contact events are collected, for example, based on an analysis of a contact-network to identify individuals, which, if vaccinated, will best stop infection. Such analysis may be carried out by simulating the contact network and trying out various vaccination schemes and/or removal of various individuals and/or sets of individuals.

From Score to Treatment

In some embodiments, once the scoring of each individual is achieved, or optionally the scoring of a high number of individuals of the population, a list is created having the order in which each individual will receive the treatment. In some embodiments, the list is optionally divided by groups, for example, all the individuals that scored between 100 and 90 are grouped in group A, which will receive first the treatments. Then all the individuals that scored between 90 and 80 are grouped in group B, which will receive second the treatments, and so on.

Informing the Public

In some embodiments, once the list is made, individuals will be informed on when and where to go and receive the treatments, for example, by means of emails, dedicated apps in their cellphones, over the media, etc.

Parents.

« Nous sommes, en somme,
« Femmes, enfants et hommes,
« Nous sommes, en somme,
« Les sauveurs du matin. »

Guy Béart – « Qui suis-je? » (nouveau couplet)

Australie

June Mills, la dame aborigène mentionnée dans cet article, lance un nouvel appel à l’aide. Elle dit ceci dans cette vidéo:

« Nous sommes en état d’urgence, vraiment. On est en situation de crise. Nous faisons face à une tyrannie et à un acte de guerre contre notre peuple. […] Je suis submergée d’appels de la communauté et je reçois des mises à jour en ce moment même. Des enfants sont maintenus et vaccinés contre leur gré. »

« We’re in a state of emergency, really. This is a crisis situation here. It’s a tyranny and an act of war against our people. […] I’m getting inundated with calls from the community and getting updates as we speak. Children are being held and vaccinated against their will. »

Canada

Autre pays membre des Five Eyes, le Canada.

Voici une question de Rick Nicholls, Membre du Parlement Provincial de l’Ontario, au Ministre de la Santé, Christine Elliot:

Rick Nicholls : À la fin de l’année dernière, ma fille attendait son premier enfant. Au départ, les médecins avaient recommandé aux femmes enceintes de ne pas se faire vacciner. Comme tout père se devait de le faire, je lui ai dit de ne pas se faire vacciner et elle a obtempéré. Heureusement, le jour de la Saint-Valentin, elle a donné naissance à une petite fille en bonne santé, Shayla. J’ai versé des larmes de joie.

« Mais quelques mois plus tard, les médecins ont déclaré qu’il était permis de se faire vacciner pendant la grossesse. Quels tests avaient été effectués pour garantir la sécurité de la mère et de son bébé à naître?

« Mais aujourd’hui, Madame la Ministre, je verse des larmes de chagrin. Dans la région de Waterloo, 86 naissances d’enfants mort-nés ont eu lieu entre janvier et juillet. Normalement, le taux est d’environ une mortinatalité tous les deux mois. Mais voici le hic, les mères des bébés mort-nés étaient entièrement vaccinées, et vous avez clairement affirmé à de nombreuses reprises que les vaccins sont sûrs.

« Que dites-vous aux médecins qui ont dit aux femmes enceintes qu’elles pouvaient se faire vacciner? Et que devraient-ils dire aux mères qui accouchent d’un bébé mort-né? »

Christine Elliot : Tout d’abord, félicitations à vous, pour la naissance de votre petit enfant. C’est une merveilleuse nouvelle, mais c’est également sûr. Il a été testé, nous recommandons que les femmes enceintes reçoivent le vaccin pour leur propre protection et celle de leur bébé. Et cela a été prouvé, cela a été accepté par Santé Canada, par l’Organisation Mondiale de la Santé, par la FDA. Et c’est quelque chose que nous voulons nous assurer que nous pouvons protéger tout le monde. Les femmes qui sont enceintes, il est tout à fait sûr et recommandé qu’elles reçoivent le vaccin pour elles-mêmes, pour la sécurité de leurs proches et pour la sécurité de leur communauté. »

Rick Nicholls : Late last year, my daughter was expecting her first child. Initially doctors had recommended against expecting women to get vaccinated. As any dad should do, I told her not to get the vaccine and she complied. Thankfully on Valentine’s Day, she gave birth to a healthy baby girl, Shayla. I shed tears of joy.

« But a few months later, doctors said it’s okay to get the vaccine while pregnant. What testing had been done to ensure the safety of both the mother and her unborn baby?

« But now Minister, I shed tears of sorrow. In the Waterloo area, 86 stillbirths have occurred from January to July. Normally it’s roughly one stillbirth every two months. But here’s the kicker, mothers of stillbirth babies were fully vaccinated, and you have clearly said on numerous occasions that the vaccines are safe.

« What do you say to the doctors who told expecting women it was okay to get fully vaccinated? And what should they tell the mothers who deliver a stillborn baby?”

Christine Elliot : First of all, congratulations to you, for the birth of your grandchild. That is wonderful news but it is also safe. It’s been tested, we are recommending that women who are pregnant do receive the vaccine for the protection of themselves, protection of their baby as well. And that has been proven, it has been accepted by Health Canada, by the World Health Organisation, by the FDA. And this is something that we wanna make sure that we can protect everyone. Women who are pregnant, it’s entirely safe and recommended for them to receive the vaccine for themselves, the safety of their loved ones and the safety of their community.”

La vidéo originale figure également sur Health Impact News et sur The Covid World, où on trouve également ceci:

« Mon petit fils est mort-né à l’hôpital de Vancouver à 8 mois et demi de grossesse. Ma fille a reçu ce foutu poison il y a un mois parce qu’elle ne pouvait plus aller au restaurant et parce que les gens pétaient les plombs parce qu’elle n’était pas vaccinée. Je veux trainer le gouvernement en justice… »

Voici ce qu’en dit le Dr Hodkinson dans cette interview (10’36 – 12’11):

« Il se passe des choses extrêmement graves. Et bien sûr, par rapport aux enfants, une de mes plus grandes motivations en ce moment. C’est l’agression menée contre les enfants. Je le formule ainsi, en fixant le politicien droit dans les yeux:

« En est-on vraiment arrivés là? En est-on vraiment arrivé là? Vous proposez de sacrifier les enfants pour apaiser les nouveaux dieux dont vous prétendez faire partie. En est-on vraiment arrivé là? Parce que, je vais vous dire quelque chose, Monsieur le Ministre, ça n’a pas marché pour les Aztèques qui voulaient faire tomber la pluie, et ce n’est pas en sacrifiant des enfants que vous protégerez Mamie dans sa maison de retraite. Comment osez-vous sacrifier nos enfants? Ils ne courent aucun danger. S’ils l’attrapent, ça ne sera qu’un simple rhume et vous proposez de leur injecter une toxine dont on sait qu’elle tuera un certain nombre d’entre eux. Comment osez-vous faire ça et comment osez-vous organiser des cliniques d’injection, injection, injection dans les écoles où il n’y a aucune possibilité de consentement éclairé et où les parents sont mis sur la touche? Comment osez-vous faire ça?

« Ce n’est rien de moins qu’un meurtre sanctionné par l’État et vous en serez tenus responsables. Faites attention, nous viendrons vous chercher. Vous n’êtes pas à l’abri de poursuites judiciaires. Il y aura du sang dans le caniveau quand nous en aurons fini avec vous. Faites attention. »

« The most offensive things are happening. Also of course, with children, which is one of my biggest motivators right now. It’s the attack on the children. I phrase it like this, looking straight in the politician’s face:

« Has it really come to this? Has it really come to this? You’re proposing child sacrifice to appease the new gods of which you claim to be one. Has it really come to this? Because let me tell you something Mr Minister, it didn’t work for the Aztecs to make the rain fall, and sacrificing kids will not protect Granny in the nursing home. How dare you sacrifice our kids? They’re not at risk. If they get it, it’s like a trivial cold and you propose to inject them with a toxin that is known to kill a certain number of them. How dare you do that and how dare you have these jab, jab, jab, jab, jab clinics in the schools where there’s no possiblity of informed consent and the parents are sidelined? How dare you do that?

« It’s state-sanctioned murder and you will be held responsible. Watch out, we are coming for you. You are not immune from prosecution. There will be blood in the gutter when we’re done with you. Watch out. »

Le Dr Hodkinson est un brave homme, un peu naïf. Il attend le salut d’un certain Donald Trump, celui qui s’est chargé de vendre l’opération Warp Speed de production de « vaccins », et se joint maintenant à son « adversaire » Joe Biden pour faire la promotion de ceux-ci. Le Dr Hodkinson compte aussi sur les tribunaux pour règler cette affaire, tout comme cette grand-mère dont le gouvernement et les firmes pharmaceutiques ont tué le petit-fils dans le ventre de sa fille et qui veut pour ça les assigner en justice. Comme vous le lirez dans un prochain article, Maître Fuellmich vous dira que c’est totalement inutile.

Quant à la Ministre Christine Elliott, qui perd soudainement l’usage de sa langue natale, elle ne fait pas que mentir sur absolument tout ce qu’elle dit, elle fait comme si aucune question n’avait été posée. Selon les mathématiques de ses maîtres:

86 = 0.

Et 3.010 = 0.

Et 34.337 = 0.

Et 388.000 = 0.

Et 8.000.000.000 = 0.

Pour ses maîtres, morts-nés, myocardites, etc. sont de simples variables d’ajustement. Ils ne reconnaissent que leurs chiffres – leur seul langage tout au long de cette « crise », brandis comme des sortilèges de leur Kabbalisme et de leur numérologie. Nous sommes les dommages collatéraux à leur équation.

Nous avons toujours été, nous sommes et nous resterons, zéro.


On cite beaucoup « 1984 » d’Orwell mais il a écrit un ouvrage, « Hommage à la Catalogne », dont certains passages méritent tout autant d’être cités. Mon exemplaire ayant été détruit dans l’inondation, je cite de mémoire un passage qui m’avait marqué. Orwell fait le récit de la capture de soldats ennemis – du camp fasciste – et souligne le peu de différence qu’il voit entre eux et ceux de son camp. Ce sont généralement des gens simples, pour ne pas dire des pauvres types, incapables de dire pour quoi et surtout pour qui ils combattent. C’est tout le problème qui se pose maintenant et qui va se poser avec encore plus d’urgence dans l’avenir proche: la division et le mélange des factions au sein des pays, des communautés et même des familles. C’est le grand piège.

Les pourcentages des effectifs de cette guerre sont à peu près ce que le Pr Desmet donne dans son explication (ici et ici): 30/40/30. A la louche, trente pour cent de petits soldats hypnotisés, quarante pour cent d’indécis entre collaboration et résistance et trente pour cent de résistants. Comme l’indique Orwell, il existe très peu de différences entre ces trois factions. On entend des récits où deux ou trois de ces factions sont présentes au sein de familles, voire de couples, sans que ça engendre de conflit majeur.

La question se pose donc de déterminer sur quel front devrait ou pourrait se mener une lutte décisive, ce qui rend cette guerre très compliquée et l’équation très complexe – volontairement. Pour être opérable, il faudrait la simplifier. Le facteur de simplification pourrait bien être les enfants. Les concepteurs de cette guerre le savent, c’est pourquoi ils mettent en place des facteurs de mitigation ou selon l’expression anglaise, du damage control: notamment une campagne d' » information  » sur la fréquence des crises cardiaques et autres accidents vasculaires dans cette tranche d’âge (virtuellement inexistants avant 2021).

Ils savent: il vaut mieux ne jamais s’en prendre aux enfants. C’est la faute qui n’est jamais pardonnée. Celui qui s’en prend aux enfants a déjà perdu la guerre. Celui qui s’en prend aux enfants aura affaire à leurs parents. C’est une loi naturelle. Les millions qui défilent dans la rue, partout, sont des parents. Ceux de leurs enfants, et les enfants des leurs. Les élites comptent sur leurs armées pour les arrêter: armées nationales – toujours aux ordres pour l’instant mais pour combien de temps? – armée de l’ONU, services de sécurité de l’OTAN et des institutions européennes et bien entendu les omniprésents services secrets, cités comme rouages présumés d’un gigantesque et tentaculaire réseau global d’enlèvement d’enfants qui alimente le réseau de trafic d’organes, d’esclavage sexuel et de sacrifices rituels – outils de pression sur le pouvoir politique, garants du bien-être et source de distraction pour le petit cercle des VIP’s de l’élite. Bref, l’armée idéale.

Si le présent niveau de cynisme et de violence institutionnelle ne suffit pas à nous subjuguer, après la diffusion de la protéine de pointe militarisée, les injections comme mécanisme de surveillance et leurs effets « secondaires » (résurgence de maladies latentes, pathologies sanguines, stérilisation, etc., voir les multiples publications sur ce blog et une liste notamment ici et ici), ils comptent nous arrêter avec leurs catastrophes climatiques à l’arme de géoingénierie (article en préparation), les pénuries, la misère et la famine, en s’amusant probablement – selon leur sens de l’humour très particulier – à l’idée que nous finirons peut-être par manger nos propres enfants. Et si ça ne suffit toujours pas, ils comptent sur la variole.

Ils comptent sur tout ça pour nous arrêter, mais ce ne sont pas eux qui nous arrêtent.

Les seuls qui nous arrêtent, c’est nous.

Si les injections de rappel durent encore deux ans – par Edward Slavsquat.

J’ai trouvé un nouvel auteur très intéressant, et pour une fois, en Russie. Il s’appelle Riley Waggaman, et signe ses articles sur Substack du nom de Edward Slavsquat. En voici un, de circonstance. Il y en aura d’autres.

Source.

Bonne et heureuse année 2024!


Si les injections de rappel durent encore deux ans.

Un conte fantasque sur le Nouvel An moscovite

Edward Slavsquat

24 décembre

24 décembre 2021. MOSCOU – Depuis mon enfance, j’ai pris l’habitude de disparaître de temps à autre, et de me ressourcer en me plongeant dans d’autres mondes. Mes amis me recherchent et, au bout d’un certain temps, me considérent comme disparu.

Et maintenant, une fois de plus, j’avais disparu pendant un bon moment. Le présent avait pour moi perdu de son charme après presque deux ans de « quatorze jours pour aplanir la courbe » et je m’éclipsai pour changer un peu d’air. Je quittai ce plan de l’existence pour aller vivre dans un autre plan. Je passai quelque temps dans des zones reculées du passé, traversai des nations et des époques sans trouver satisfaction, observai les habituelles crucifixions, intrigues et périodes de progrès sur terre, puis je me retirai pour un temps dans le royaume cosmique.

Lorsque je revins, on était le 24 décembre 2023. Je fus déçu de voir les nations du monde toujours sous l’emprise d’une stupidité impressionnante.

En revanche, de grands progrès avaient été réalisés en matière d’égalité. Tous les pays se ressemblaient; même les divergences entre blocs rivaux avaient pratiquement disparu.

À l’échelle mondiale, on voyait une forte défiance devant tout déclin des tests PCR positifs, qui pourrait ne pas durer éternellement. Comme on n’avait pas encore établi de position assez solide en matière de santé publique, les gouvernements du monde entier s’étaient fermement résolus à maintenir un moratoire sur la vie.

Repéré au VDNH de Moscou.

Je retrouvai ma maison dans la banlieue de Moscou, en partie détruite par des pillards, mais encore en assez bon état pour y dormir. Cependant, il y faisait froid et inconfortable, les gravats sur le sol et la moisissure sur les murs étaient déprimants, et bientôt je sortis faire une promenade.

Le faubourg avait beaucoup changé. Il n’y avait plus de magasins et les rues étaient désertes. Très vite, un robot humanoïde équipé d’un écran plat affichant le visage d’Herman Gref [NdT. Herman Gref est le PDG de la banque Sber, qui a financé et fait la promotion du « vaccin » SputnikV] s’approcha de moi et se mit à aboyer en allemand.

La machine exigea de savoir ce que je faisais. Je répondis que je me promenais.

GrefBot: « Vous avez un permis? »

Je ne compris pas, une altercation verbale s’ensuivit, et la chose m’ordonna de la suivre. Le robot me conduit à un bâtiment arborant une pancarte géante où l’on pouvait lire: « Station SberSanté n°754314. »

À l’intérieur se trouvaient les locaux officiels habituels, d’où se dégageait une odeur de désinfectant pour les mains, de bureaucratie et de désespoir. Après diverses demandes de renseignements, on m’emmena dans la salle 72 pour un interrogatoire.

Le fonctionnaire assis derrière le bureau était la première personne que je voyais depuis mon retour de mes voyages cosmiques. Je me précipitai vers lui – un être humain! – et je m’approchai pour l’embrasser.

Il s’écarta aussitôt. « 1,5 mètre, s’il vous plaît! Vous ne pouvez pas respecter la distance sociale? » me réprimanda-t-il. Je lui répondis : « Non ». « Pourquoi pas ? » répondit-il . « Parce que je n’ai jamais appris comment », répondis-je timidement.

« De toute façon, » dit-il, « vous vous promeniez sans Certificat de Booster Sputnik pour Promenade. Vous l’admettez? »

« Oui », dis-je. « Ca semble exact. Je ne savais pas. Voyez-vous, j’ai été absent pendant un certain temps… »

Il me fit taire d’un geste de la main. « La sanction: il vous est interdit de porter des chaussures pendant trois jours. Enlevez vos chaussures! »

J’enlevai mes chaussures.

« Bon Dieu, mon gars! » Le fonctionnaire faillit tomber de sa chaise. « Des chaussures en cuir! Où les avez-vous trouvées? Vous avez complètement perdu la tête? »

« Je ne suis peut-être pas tout à fait normal, mentalement, je ne peux pas en juger moi-même. J’ai acheté ces chaussures il y a quelques années. »

« Ne savez-vous pas que le port, la consommation et l’utilisation générale de tous les produits d’origine animale, sous quelque forme que ce soit, par les SberClients sont strictement interdits? Vos chaussures sont confisquées! Et maintenant, voyons votre code QR, que je puisse vous fournir une paire de SberSandales à base de pâte de soja déshydratée. »

Dieu merci, je n’avais aucune identification numérique d’aucune sorte!

Peskov veut votre viande.
La Russie a autorisé l’introduction d’une taxe sur la viande.
[…] Selon le fonctionnaire, en raison du réchauffement climatique, combiné à une transition énergétique révolutionnaire, les autorités vont commencer à réviser les politiques visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. L’un des secteurs dans lesquels des restrictions pourraient apparaître sera celui de l’agriculture.

« Incroyable! », gémit le fonctionnaire. « Je n’ai rien vu de tel depuis plus d’un an! » Il fit appel à un GrefBot. « Emmenez cet homme au bureau 67, chambre 8c! »

On me fit marcher pieds nus dans plusieurs rues abandonnées. Nous entrâmes dans un autre bâtiment officiel, passâmes par une machine SberVérificationDeTemperature, respirâmes l’odeur stérile d’un monde sans âme; puis on me poussa dans une pièce et je fus interrogé par un autre fonctionnaire. Celui-ci était en uniforme.

« Vous avez été ramassé dans la rue sans code QR. Vous êtes condamné à une amende de deux mille SberPièces. Je vais débiter votre SberPortefeuille immédiatement. »

« Je vous demande pardon, » hésitai-je. « Je n’ai pas d’argent sur moi. Ne pourriez-vous pas plutôt m’enfermer quelque temps? »

Il rit bruyamment.

« Vous enfermer? Mon cher ami, quelle charmante idée! Vous voulez qu’on vous nourrisse aussi? Non, mon ami, si vous ne pouvez pas payer l’amende, je vais devoir imposer notre plus lourde sanction: le retrait temporaire de votre certificat d’existence Sputnik! Veuillez me remettre votre passeport d’existence. »

Je n’en avais pas.

Pour la Santé Publique.
Dans les écoles de Voronezh, la compagnie Sber Ecosystem va installer des détecteurs de métaux avec une caméra thermique.

Le fonctionnaire resta sans voix et entra dans un état d’inconfort physique qui ressemblait visuellement à un AVC. Il fit appel à deux GrefBots, ceux-là armés de missiles S-900 de type surface-non-vaxx. Ils discutèrent à voix basse, en faisant des signes répétés dans ma direction et en me regardant avec horreur et stupéfaction.

Puis le fonctionnaire me fit emmener dans une salle de détention, en attendant la délibération sur mon cas.

Là, plusieurs personnes étaient assises en silence; un GrefBot montait la garde devant la porte en acier renforcé. Je remarquai qu’à part mon absence de chaussures, j’étais de loin le mieux habillé et celui qui avait l’air le plus sain – ce qui est étrange, compte tenu du grand bond en avant qui avait été fait pour préserver la santé de chaque Russe.

Un petit homme nerveux s’approcha de moi, se pencha et me chuchota à l’oreille : « J’ai une magnifique affaire à vous proposer. J’ai une betterave chez moi, dans ma cave. Une betterave entière en parfait état, avec seulement un petit bout rongé par les souris. Elle est à vous si vous le souhaitez. Qu’est-ce que vous offrez? »

Il approcha son oreille de ma bouche, et je chuchotai.

« Faites une offre. Combien en demandez-vous? »

Il murmura doucement en retour: « Disons, 150 SberPièces! »

Je secouai la tête et détournai le regard. Très vite, je me plongeais dans mes pensées.

SberVie.

Après quelques heures, ils vinrent me chercher. On m’emmena au bureau 285, chambre 19f. Cette fois, le GrefBot bien armé resta avec moi et se plaça entre moi et le fonctionnaire.

« Vous vous êtes mis vous-même dans une situation très désagréable », commença le fonctionnaire. « Vous avez vécu dans la banlieue de Moscou sans passeport d’existence. Vous savez sans doute que les sanctions les plus lourdes sont en vigueur. »

Je me penchai légèrement.

« Si vous le voulez bien », interrompis-je. « Je n’ai qu’une seule requête. Je commence à me rendre compte maintenant de ce qui s’est passé en mon absence et que ma situation ne peut qu’empirer et se dégrader. Ne pourriez-vous pas me condamner à mort? Je vous en serais très reconnaissant. »

Le fonctionnaire me regarda dans les yeux avec gentillesse.

« Je comprends », dit-il aimablement. « Mais alors n’importe qui va venir ici et demander ça! Dans tous les cas, il vous faudrait une carte de mise à mort. Vous avez les moyens d’en acheter une? Elles coûtent 4.000 Sberpièces. »

C’est déjà fait.
Le vaccin COVID-19 est désormais obligatoire pour être euthanasié en Allemagne
« La proximité humaine, cependant, est une condition préalable et un terrain propice à la transmission du coronavirus », a déclaré l’organisation.

« Non, je n’ai pas autant d’argent. Mais je donnerais tout ce que j’ai. J’ai un désir immense de mourir. »

Il eut un sourire étrange.

« Je vous crois, vous n’êtes pas le seul. Mais mourir n’est pas si simple. C’est une question de santé publique. Je devrais signaler votre mort aux autorités, et très vite, elles me harcèleraient – ‘était-ce lié au COVID?’. Ma station SberSanté pourrait perdre son financement si votre cadavre se révélait positif. Vous devez sûrement le savoir. »

Il vit que je ne le savais pas. Il fit une courte pause avant de poursuivre.

« Au fait, je vois que vous êtes enregistré sous le nom de Slavsquat, Edward. Ne seriez-vous pas Slavsquat, le blogueur? »

« C’est moi ! »

« Oh, je suis si content. Je peux peut-être faire quelque chose pour vous? GrefBot 5542, vous êtes congédié. »

La machine quitta la pièce, le fonctionnaire enleva son gant en plastique jetable et me serra la main.

« J’ai lu votre blog avec grand intérêt », dit-il sur un ton amical. « Margarita Simonyan est vraiment une insupportable schizoïde [NdT. en plus d’être une schizoïde et une crapule, Margarita Simonovna Simonyan est rédactrice en chef des publications en langue anglaise, de la télévision, et du réseau d’actualités RT, et de l’agence gouvernementale d’informations Rossia Segodnia]. Au fait, saviez-vous qu’elle est maintenant Premier Ministre? Quoi qu’il en soit, je ferai de mon mieux pour vous aider. Mais bon Dieu, comment vous êtes-vous mis dans cet incroyable pétrin? »

« Ennemis du peuple »: RT attaque les militants russes qui s’opposent à la vaccination obligatoire

« Ennemis du peuple »: c’est le nom de la courageuse enquête de RT sur les militants russes qui émettent des réserves sur la vaccination obligatoire COVID.

Nous avons rencontré certains de ces « ennemis du peuple » et ils sont en fait tout à fait charmants et réfléchis.

« Eh bien, voyez-vous, j’ai été absent pendant un certain temps. Pendant plusieurs années, j’ai disparu dans l’éther, comme la Souche de Moscou, et franchement, j’avais plutôt espéré que le monde serait revenu à la raison à mon retour. Mais dites-moi, pouvez-vous m’obtenir une carte de mise à mort? Je vous en serais très reconnaissant. »

« Ça pourrait être possible. Mais d’abord, il vous faut un booster d’existence. Il est clair que sans ça, on ne peut rien faire. Je vais vous donner une note pour le bureau 13. Sur ma recommandation, ils vous délivreront un code QR temporaire pour que vous puissiez prendre rendez-vous pour un booster. Mais il ne sera valable que 45 minutes. »

J’étais ravi. Nous nous serrâmes la main une nouvelle fois.

« Encore une chose », dis-je doucement. « Puis-je vous poser une question? Vous devez vous rendre compte que je sais très peu de choses sur ce qui s’est passé ces deux dernières années. »

 » Allez-y. « 

« Eh bien, voici ce que j’aimerais savoir: comment peut-on continuer à vivre dans ces conditions? Comment les gens peuvent-ils supporter ça ? »

« Oh, ils ne sont pas si mal lotis. Votre situation est exceptionnelle: un NonBoosté et sans passeport d’existence! Il reste très peu de SberClients non boostés. La plupart reçoivent leur allocation mensuelle de 20 SberPièces et en sont reconnaissants. Bon nombre d’entre eux est réellement heureux. Petit à petit, on s’habitue à la misère et aux pénuries de nourriture organisées. Quand les bug-burgers [NdT. burgers à base d’insectes] ont disparu, nous sommes passés à la bouillie de sciure de bois – ils l’assaisonnent avec du goudron maintenant, c’est étonnamment savoureux. Nous pensions tous que ce serait insupportable, mais nous nous y sommes habitués. Et c’est pareil pour tout le reste ».

Une tendance globale.
La viande et le pain à base de protéines d’insectes feront leur apparition en Russie.

« Je vois », répondis-je. « Ce n’est pas tellement surprenant. Mais il y a une chose que je ne comprends toujours pas. Dites-moi: pourquoi le monde entier consent-il ces efforts colossaux? Pourquoi tolère-t-il de telles privations, toutes ces lois, ces milliers de médecins hygiénistes et de petits technocrates? »

Le fonctionnaire me regarda avec étonnement.

« Quelle question! » s’écria-t-il en secouant la tête. « Saviez-vous que seulement 94% des SberClients sont complètement boostés? L’immunité globale contre le Variant Triple Oméga est estimée à seulement 86%! Nos zones rouges de septicémie pourraient être submergées à tout moment! Et si votre propre mère mourait d’une surinfection transmise par l’hôpital, que diriez-vous alors? »

Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas une dangereuse escroquerie.
(1): Gunzburg espére que le SputnikV confèrera une immunité à vie.
(2): Gunzburg déclare que le SputnikV peut être réinjecté à l’infini.

« Oui », dis-je lentement. » Vous avez mis le doigt dessus. Le vaccin, en d’autres termes, est un trésor qui doit être préservé à tout prix. Oui, mais – je sais que c’est une question étrange – pourquoi attachez-vous une telle importance au vaccin? A-t-il tant de valeur? Est-ce vraiment un trésor? »

Le fonctionnaire me lança un véritable regard de pitié.

« Mon cher Monsieur Slavsquat. Vous avez perdu contact avec le monde. Sortez dans la rue, parlez aux gens, si vous en trouvez, puis faites un léger effort mental et demandez-vous: que nous reste-t-il? Quelle est l’essence de notre vie? Une seule réponse possible: le vaccin est tout ce qui nous reste! Le plaisir et le profit personnel, l’ambition sociale, la cupidité, l’amour, l’activité culturelle, tout ça a disparu. S’il reste encore un tant soit peu de loi, d’ordre ou de pensée dans le monde, c’est au vaccin que nous le devons. Vous comprenez maintenant? »

On ne fait que suivre la science.
« l’interdiction d’organiser des événements publics dans les écoles est prolongée jusqu’en 2024 »

Je compris. Je remerciai le fonctionnaire et pris congé.

Je me sentais extrêmement mal. Dehors, je fis de mon impression temporaire de code QR une boule de papier que je jetai sur une sentinelle GrefBot. Le robot me tira dessus de son lance-missiles S-900 de type surface-non-vaxxé, me vaporisant immédiatement.

L’histoire vraie ci-dessus est basée sur une autre histoire vraie de Hermann Hesse, intitulée: Si la guerre continue encore deux ans – fin 1917.


Texte original

If the booster shots go on another two years

A whimsical Moscow New Year tale

Edward Slavsquat

Dec 24

December 24, 2021. MOSCOW—Ever since I was a boy I have been in the habit of disappearing now and then, to restore myself by immersion in other worlds. My friends would look for me and after a time write me off as missing.

So now, once again, I vanished for a time. The present had lost its charm for me after nearly two years of “fourteen days to flatten the curve” and I slipped away to breathe different air. I left the plane on which we live and went to live on another plane. I spent some time in remote regions of the past, raced through nations and epochs without finding contentment, observed the usual crucifixions, intrigues, and moments of progress on earth, and then withdrew for a while into the cosmic realm.

When I returned, it was December 24, 2023. I was disappointed to find that the nations of the world were still under the spell of awe-inspiring stupidity.

On the other hand, great progress had been made towards equality. All countries looked the same; even the differences between rival blocs had virtually disappeared.

Globally, there was a strong sentiment against any ebb in positive PCR tests that might not last forever. Since unimpregnable public health had not yet been achieved, the governments of the world were resolutely committed to maintaining a moratorium on living.

Spotted at Moscow’s VDNH

I found my home in the outskirts of Moscow partly destroyed by looters but still more or less fit to sleep in. However, it was cold and uncomfortable, the rubble on the floor and the mold on the walls were distressing, and I soon went out for a walk.

A great change had come over the suburb. There were no shops to be seen and the streets were lifeless. Before long a humanoid robot with a flat-panel display showing Herman Gref’s face came up to me and began barking in German.

The machine demanded to know what I was doing. I said I was taking a walk.

GrefBot: “have you got a permit?”

I didn’t understand, a verbal altercation ensued, and the thing ordered me to follow it. The robot marched me to a building with a giant placard that read: “SberHealth Station No. 754314.”

Inside were the usual official premises, smelling of hand sanitizer, bureaucracy, and hopelessness. After various inquiries I was taken to Room 72 for interrogation.

The official sitting behind the desk was the first person I had laid eyes on since returning from my cosmic travels. I rushed up to him—a human being!—and reached out to embrace him.

He pulled away instantly. “1.5 meters, please! Can’t you social-distance?” he scolded me. “No,” I said. “Why not?” he replied. “Because I never learned how,” I said timidly.

“In any case,” he said, “you were taking a walk without a Sputnik Walking Booster Certificate. Do you admit that?”

“Yes,” I said. “That seems to be true. I didn’t know. You see, I’ve been away for quite some time…”

He silenced me with a wave of his hand. “The penalty: you are forbidden to wear shoes for three days. Take off your shoes!”

I took off my shoes.

“Good God, man!” The official nearly fell out of his chair. “Leather shoes! Where did you get them? Are you completely out of your mind?”

“I may not be quite normal, mentally, I myself can’t judge. I bought the shoes a few years ago.”

“Don’t you know that the wearing, eating and the general use of all animal products in any shape or form by SberClients is strictly prohibited? Your shoes are confiscated! And now let’s see your QR code so I can issue you a pair of SberSandals made from dehydrated soybean paste.”

Merciful heavens, I had no digital identification of any kind!

Peskov wants your meat.

“Incredible!” the official groaned. “I haven’t seen anything like it in over a year!” He called in a GrefBot. “Take this man to Office 67, Room 8c!”

I was frog-marched barefoot through several abandoned streets. We went into another official building, passed through a SberTemperatureCheck machine, breathed the smell of sterile soullessness; then I was pushed into a room and questioned by another official. This one was in uniform.

“You were picked up on the street without a QR code. You are fined two thousand Sbercoin. I will charge your SberWallet immediately.”

“I beg your pardon,” I faltered. “I haven’t any money on me. Couldn’t you lock me up for a while instead?”

He laughed aloud.

“Lock you up? My dear fellow, what a lovely idea! Do you expect us to feed you in the bargain? No, my friend, if you can’t pay the fine, I shall have to impose our heaviest penalty—temporary withdrawal of your Sputnik Existence Booster Certificate! Kindly hand over your existence passport.”

I had none.

For public health.

The official was speechless and entered a stroke-like state of visual physical discomfort. He called in two GrefBots—these ones armed with S-900 surface-to-unvaxxed missiles. They conferred in whispers, repeatedly motioning in my direction and looking at me with abject horror and amazement.

Then the official had me led away to a detention room, pending deliberation on my case.

There several persons were sitting in silence; a GrefBot stood guard at the reinforced steel door. I noticed that apart from my lack of shoes I was by far the best dressed and most healthy looking—odd, considering the great leap forward that had been made to safeguard the health of every Russian.

A squirrely little man sidled up to me, bent down, and whispered in my ear: “I’ve got a magnificent bargain for you. I have a beetroot at home in my cellar. A whole beetroot in near perfect condition—only one small corner gnawed away by mice. Yours for the asking. What do you offer?”

He moved his ear close to my mouth, and I whispered.

“You make an offer. How much do you want?”

He whispered softly back: “Let’s say 150 Sbercoin!”

I shook my head and looked away. Soon I was deep in thought.

SberLife

After a few hours they came for me. I was taken to Office 285, Room 19f. This time the well-armed GrefBot stayed with me and stationed itself between me and the official.

“You’ve put yourself in a very nasty position,” the official began. “You have been living in the suburbs of Moscow without an existence passport. You are aware no doubt that the heaviest penalties are in order.”

I bowed slightly.

“If you please,” I interrupted. “I have only one request. I’m starting to realize now what has happened in my absence and that my position can only get worse and worse. Couldn’t you condemn me to death? I should be very grateful.”

The official looked gently into my eyes.

“I understand,” he said amiably. “But anybody could come in here asking for that! In any case, you’d need a demise card. Can you afford one? They cost four thousand Sbercoin.”

It’s already happening.

“No, I haven’t got that much money. But I’d give all I have. I have an enormous desire to die.”

He smiled strangely.

“I can believe that, you’re not the only one. But dying isn’t so simple. This is a matter of public health. I would have to report your death to the authorities, and soon enough they would be breathing down my neck—‘was it COVID-related?’ My SberHealth station could lose funding if your corpse later tests positive. Surely you must know that.”

He saw that I did not know that. He paused for a moment, then continued.

“By the way—I see you’re registered under the name of Slavsquat, Edward. Could you be Slavsquat, the blogger?”

“That’s me!”

“Oh I’m so glad. Maybe I can do something for you? GrefBot 5542, you are dismissed.”

The machine left the room, the official took off his disposable plastic glove and shook my hand.

“I’ve read your blog with great interest,” he said in a friendly tone. “Margarita Simonyan really is an insufferable schizoid. By the way, did you know she is now prime minister? Anyway, I’ll do my best to help you. But good God, how did you get into this incredible mess?”

« Enemies of the people »: RT attacks Russian activists who oppose compulsory vaccination

“Enemies of the people”: this is the name of RT’s brave investigation into Russian activists who have reservations about compulsory COVID vaccination.

We’ve met some of these “enemies of the people” and actually they are quite charming and thoughtful.

“Well, you see, I was away for a while. For several years I vanished into the ether—like the Moscow Strain—and frankly I had rather hoped the world would have come to its senses by the time I got back. But tell me, can you get me a demise card? I’d be ever so grateful.”

“It may be possible. But first you need an existence booster. Obviously, nothing can be done without that. I’ll give you a note to Office 13. On my recommendation, they’ll issue you a temporary QR code so you can make a booster appointment. But it will only be valid for 45 minutes.”

I was overjoyed. We shook hands once again.

“One more thing,” I said softly. “May I ask you a question? You must realize how little I know about what’s been going on these past two years.”

“Go right ahead.”

“Well, here’s what I’d like to know: how can life go on under these conditions? How can people stand it?”

“Oh, they’re not so badly off. Your situation is exceptional: an Unboostered—and without an existence passport! There are very few unboostered SberClients left. Most get their monthly allowance of 20 Sbercoin and are grateful. A good many are genuinely happy. Little by little one gets used to the misery and organized food shortages. When the bug-burgers gave out we switched to sawdust gruel—they season it with tar now, it’s surprisingly tasty. We all thought it would be unbearable but then we got used to it. And the same with everything else.”

A global trend.

“I see,” I replied. “It’s really not so surprising. But there’s one thing I still don’t understand. Tell me: why is the whole world making these enormous efforts? Putting up with such hardships, with all these laws, these thousands of sanitary doctors and petty technocrats—what is all this meant to preserve and safeguard?”

The official looked at me in amazement.

“What a question!” he cried, shaking his head. “Did you know only 94% of SberClients are fully boostered? Global immunity against the Triple Omega Variant is calculated at a measly 86%! Our sepsis-filled red zones could be overwhelmed at any moment! What if your own mother died of a hospital-transmitted superinfection—what would you say then?”

Don’t worry, it’s not a dangerous scam.

“Yes,” I said slowly. “You’ve got something there. The vaccine, in other words, is a treasure that must be preserved at any cost. Yes, but—I know it’s an odd question—why do you value the vaccine so highly? Is it worth so much? Is it really a treasure?”

The official gave me a look of genuine pity.

“My dear Mr. Slavsquat. You’ve lost contact with the world. Go out into the streets, talk to people, if you can find them: then make a slight mental effort and ask yourself: what have we got left? What is the substance of our lives? Only one answer is possible: the vaccine is all we have left! Pleasure and personal profit, social ambition, greed, love, cultural activity—all of that has gone out of existence. If there is still any law, order, or thought left in the world, we have the vaccine to thank for it. Now do you understand?”

Just following the science.

I understood. I thanked the official and left.

I felt extremely ill. Outside, I crumpled my temporary QR code printout into a paper ball and threw it at a GrefBot sentry. The robot fired its S-900 surface-to-unvaxxed missile launcher, vaporizing me immediately.

The above true story is based on another true story by Hermann Hesse, titled: If The War Goes On Another Two Years—End of 1917.

L’histoire de Jésus prend une tournure différente après les événements de ces deux dernières années – par Toby Rogers.

Je comptais développer deux thèmes dans mes prochains articles, dont celui du Massacre des Innocents, en revenant notamment sur le sacrifice rituel d’enfants organisé lors du concert de Travis Scott le 5 novembre dernier – article encore en préparation. Mon article ici est également sur ce thème.

Toby Rogers (que je publie abondamment) aborde ici le sujet sous l’angle biblique, qu’il maîtrise très bien, ce qui l’introduit bien mieux que je ne pourrais le faire.


Traduction

L’histoire de Jésus prend une tournure différente après les événements de ces deux dernières années

Fauci est un roi Hérode des temps modernes qui massacre les innocents pour s’accrocher au pouvoir

Toby Rogers

17 décembre

Quelles que soient vos croyances religieuses, l’histoire biblique de Jésus est remarquablement contemporaine. Dans l’Évangile de Matthieu, un simple décret gouvernemental (un recensement!) se transforme rapidement en infanticide, car un roi corrompu craint d’être renversé par les paysans. Enfant, en entendant cette histoire, j’ai pensé qu’elle était extrême, désuète et sans équivalent. Aujourd’hui, j’ai l’impression que cette histoire a été écrite hier et qu’elle décrit notre gouvernement actuel. J’en suis venu à considérer l’histoire de Jésus comme une méditation sur la condition humaine et un avertissement sur les faiblesses humaines universelles – la soif de pouvoir, la tendance à la corruption et le penchant pour la violence. Ceci n’est pas un article religieux en soi. Il porte plutôt sur la façon dont les perspectives peuvent évoluer avec le temps et l’expérience.

Mon père était un pasteur presbytérien ordonné et un professeur de théologie dans un séminaire protestant. Chaque veille de Noël, avant que nous n’ouvrions les cadeaux, il nous lisait trois histoires – le récit biblique de la naissance de Jésus (généralement l’Évangile de Luc), The Second Coming de William Butler Yeats, et For the Time Being de W. H. Auden.

Mon père est décédé en 2016, alors je suis resté en Australie pour Noël, à travailler sur ma thèse de doctorat sur L’Economie Politique de l’Autisme. À mon retour aux États-Unis en 2018, la question s’est posée de savoir qui allait lire les trois histoires à Noël. Le moment venu, mes frères et moi nous les sommes réparties et j’ai eu droit au poème de Yeats. Mais je n’ai pas pu le lire jusqu’au bout, j’en savais alors beaucoup trop sur le fonctionnement du monde et chaque ligne de ce poème (qui avait été écrit au lendemain de la Première Guerre mondiale) résonnait en moi.

Ce Noël, après deux ans de pandémocide mondial commandité par l’État, je n’ai réussi à lire aucune des histoires à voix haute. L’histoire de Jésus en particulier m’a complètement anéanti, car j’ai l’impression que nous vivons cette histoire au quotidien.

En ce temps-là, César Auguste avait décrété qu’il fallait recenser l’ensemble du monde romain. (Luc 2:1)

Oh cool, un recensement ! Mais qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner?

Joseph aussi monta de la ville de Nazareth en Galilée pour se rendre en Judée, à Bethléem, la ville de David, car il appartenait à la maison et à la lignée de David. Il s’y rendit pour se faire inscrire en compagnie de Marie, qui s’était engagée à l’épouser et qui attendait un enfant. Tandis qu’ils étaient là, l’heure de la naissance arriva et Marie donna naissance à son premier-né, un fils. Elle l’enveloppa dans des langes et le plaça dans une crèche, car il n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge (Luc 2:4-7).

Pourquoi le gouvernement oblige-t-il une femme très enceinte à voyager juste pour être comptée? Ça fait penser à une manoeuvre faite à la hâte. Une culture entière bâtie sur la notion d’hospitalité et personne à l’auberge n’était prêt à faire une place à cette femme très enceinte!?

(Je passe maintenant au récit de Matthieu 2:13-18 qui documente les actions du roi Hérode).

La fuite en Égypte

Lorsque les mages furent partis, un ange du Seigneur apparut en rêve à Joseph. « Lève-toi, lui dit-il, prends l’enfant et sa mère et fuis en Égypte. Reste-y jusqu’à ce que je te le dise, car Hérode va chercher l’enfant pour le tuer. »

Il se leva donc, prit l’enfant et sa mère pendant la nuit et partit pour l’Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode. Ainsi s’accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète : « J’ai appelé mon fils hors d’Égypte. »

Lorsque Hérode se rendit compte qu’il avait été trompé par les mages, il devint furieux et donna l’ordre de tuer tous les garçons de Bethléem et des environs qui avaient deux ans ou moins, conformément à la date qu’il avait apprise des mages.

Ainsi, deux jours après que Marie a donné naissance à Jésus dans une étable, toute la famille doit fuir au milieu de la nuit pour échapper à un infanticide d’État. Et trois jours après la naissance de Jésus, le roi Hérode se déchaîne et massacre tous les garçons de moins de deux ans de Bethléem et de ses environs.

Lorsque l’État de Californie a proposé la loi SB 277 en 2015 pour supprimer l’exemption de croyance personnelle au calendrier vaccinal pléthorique des CDC, les parents ont averti que cela entraînerait une augmentation du taux d’autisme et ferait fuir les familles de l’État. Les démocrates ont répondu qu’ils s’en fichaient, ont adopté le projet de loi de toute façon, et les deux catastrophes se sont produites exactement comme nous l’avions prédit (les taux d’autisme sont montés en flèche et il y a eu un exode des familles de Californie).

Lorsque l’État de Californie a proposé le SB 276 en 2019, pour supprimer toutes les exemptions médicales au calendrier vaccinal pléthorique des CDC, nous avons expliqué que le projet de loi violait le code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki, la Constitution des États-Unis, le serment d’Hippocrate et les normes standard de la science et de la médecine. Les démocrates ont répondu qu’ils s’en fichaient et l’ont quand même adopté. L’industrie pharmaceutique a présenté des projets de loi similaires dans les 50 États américains.

Il était clair que le génocide battait son plein – Pharma essayant de vacciner 100% de la population pour éliminer le groupe de contrôle et ainsi cacher les preuves de leurs crimes contre l’humanité.

Je connais au moins dix familles qui ont dû fuir la Californie pour échapper à cet infanticide parrainé par l’État. En vertu des obligations vaccinales COVID, les familles fuient la tyrannie du gouvernement dans tous les États bleus et s’installent dans les États rouges.

Les actions d’Hérode il y a 2000 ans semblent insensées. Pourquoi un roi assassinerait-il tous les garçons de moins de deux ans de la région? Comment les enfants pouvaient-ils être considérés comme une menace pour le pouvoir?

Maintenant, après avoir observé Fauci agir pendant les 37 dernières années et avoir vu la société bourgeoise occulter le génocide des enfants (en particulier des garçons) à partir de la loi de 1986, je constate que le génocide/infanticide/démocide ne sont que quelques-unes des méthodes que pratiquent les gouvernements corrompus afin de rester au pouvoir. Ils semblent savoir que le peuple les hait et qu’ils méritent d’être renversés. Ils recourent donc à une violence extrême, soutenue par l’État, pour s’accrocher au pouvoir – dans l’espoir de gagner la course contre le temps et de mourir avant d’être traduits en justice.

L’une des plus grandes leçons de toute cette pandémie a été pour moi de comprendre que l’État n’est pas notre ami. Il ne se « soucie » pas de nous. L’État existe pour se reproduire et reproduire les hiérarchies existantes dans la société. Il en a toujours été ainsi. L’État est apparemment prêt à tout pour rester au pouvoir. La différence entre le roi Hérode et Fauci est que Fauci a considérablement plus de pouvoir et que Fauci a tué beaucoup plus de gens au cours de ses 37 ans de règne de terreur.

Sous cet angle, l’histoire de Jésus semble d’autant plus remarquable et instructive. Un homme sans argent, rejeté par la société – tous ses amis sont des marginaux – fait trembler les gouvernements (encore aujourd’hui) parce qu’il a l’audace de dire la vérité. Nous pouvons nous inspirer du fait que de dire la vérité suffit à renverser les empires mondiaux les plus puissants. Je pense qu’il est grand temps pour nous de commencer à renverser les tables des grands prêtres en blouse blanche corrompus de notre époque.

Bénédictions à tous les guerriers de la vérité ! 🙏


Texte original

The Jesus story hits different after the events of the last two years

Fauci is a modern-day King Herod massacring the innocents in order to hold onto power.

Toby Rogers

Dec 27


Regardless of your religious beliefs, the Biblical story of Jesus is remarkably contemporary. In the Gospel of Matthew, a simple government mandate (a census!) quickly descends into infanticide as a corrupt King fears overthrow by the peasants. Hearing the story as a child I thought it was over the top, antiquated, and unique. Now it feels like the story was written yesterday and is describing our current government. I’ve come to see the Jesus story as a meditation on the human condition and a warning about universal human flaws — a lust for power, a tendency for corruption, and a penchant for violence. This is not a religious post per se. Rather it’s about how perspectives change with time and experience.


My dad was an ordained Presbyterian minister and a professor of theology at a Protestant seminary. Every Christmas eve, before we opened presents, he would read to us three stories — the Biblical account of the birth of Jesus (usually the Gospel of Luke), The Second Coming by William Butler Yeats, and For the Time Being by W. H. Auden.

My dad passed away in 2016 so I just stayed in Australia for Christmas working on my doctoral thesis on The Political Economy of Autism. Upon returning to the U.S. in 2018, the question became who would read the three stories at Christmas? When the time came, my brothers and I divided them up and I got the poem by Yeats. But I couldn’t get through it, I knew too much about how the world worked by then and felt every line in that poem (that was written in the aftermath of World War I).

This Christmas, after two years of global state-sponsored pandemocide, I could not read any of the stories out loud. The Jesus story in particular just wrecked me because it feels like we are now living that story every day.


In those days Caesar Augustus issued a decree that a census should be taken of the entire Roman world. (Luke 2:1)

Oh cool, a census! What could possibly go wrong?

So Joseph also went up from the town of Nazareth in Galilee to Judea, to Bethlehem the town of David, because he belonged to the house and line of David. He went there to register with Mary, who was pledged to be married to him and was expecting a child. While they were there, the time came for the baby to be born, and she gave birth to her firstborn, a son. She wrapped him in cloths and placed him in a manger, because there was no room available for them at the inn.(Luke 2:4-7).

Why is government forcing a very pregnant woman to travel just to be counted? It appears to be on short notice. An entire culture built around hospitality and no one at the inn was willing to make room for the very pregnant lady!?

[Now I’ll switch to the account in Matthew 2:13-18 which documents King Herod’s actions.]

The Escape to Egypt

When the Magi had gone, an angel of the Lord appeared to Joseph in a dream. “Get up,” he said, “take the child and his mother and escape to Egypt. Stay there until I tell you, for Herod is going to search for the child to kill him.”

So he got up, took the child and his mother during the night and left for Egypt, where he stayed until the death of Herod. And so was fulfilled what the Lord had said through the prophet: “Out of Egypt I called my son.”

When Herod realized that he had been outwitted by the Magi, he was furious, and he gave orders to kill all the boys in Bethlehem and its vicinity who were two years old and under, in accordance with the time he had learned from the Magi.

So two days after Mary gives birth to Jesus in a stable, the whole family has to flee in the middle of the night to escape state-sponsored infanticide. And three days after the birth of Jesus, King Herod goes on a rampage and massacres all of the boys up to age two in Bethlehem and its vicinity.

When the state of California proposed SB 277 in 2015 to remove the personal belief exemption to the bloated CDC vaccine schedule, parents warned that it would lead to an increase in the autism rate and cause families to flee the state. Democrats said they didn’t care, passed the bill anyway, and both disasters happened exactly as we predicted (autism rates skyrocketed and there was an exodus of families from California).

When the state of California proposed SB 276 in 2019, to remove all medical exemptions to the bloated CDC vaccine schedule, we explained that the bill violates the Nuremberg Code, the Declaration of Helsinki, the U.S. Constitution, the Hippocratic Oath, and standard norms of science and medicine. Democrats said they did not care and passed it anyway. Pharma moved similar bills in all 50 states.

It was clear that the genocide was now in full swing — with Pharma trying to vaccinate 100% of the population to eliminate the control group and thus hide the evidence of their crimes against humanity.

I know at least ten families who have had to flee California in order to escape this state-sponsored infanticide. Under COVID “vaccine” mandates, families are fleeing government tyranny across all blue states and moving to red states.

Herod’s actions 2000 years ago appeared insane. Why would a King murder all of the boys under two in the region? How could children ever be seen as a threat to power?

Now after watching Fauci operate for the last 37 years and seeing bourgeois society cover up the genocide of children (particularly boys) starting with the 1986 Act, I see that genocide/infanticide/democide are just some of the things that corrupt governments do to stay in power. They seem to know that the people hate them and that they deserve to be overthrown. So they engage in extreme state-sponsored violence in order cling to power — in the hopes of running out the clock and dying before they are brought to justice.

One of the greatest lessons of this whole pandemic for me has been that the state is not your friend. It does not “care”. The state exists to reproduce itself and the existing hierarchies in society. Always has. The state apparently will do just about anything to stay in power. The difference between King Herod and Fauci is that Fauci has considerably more power and Fauci has killed far more people during his 37-year reign of terror.

In this light, the Jesus story becomes all the more remarkable and instructive. A guy with no money, rejected by mainstream society — all his friends are misfits — causes governments to quake with fear (to this day) because he has the audacity to tell the truth. We can draw inspiration from the fact that the simple act of speaking truth is enough to topple the most powerful global empires. I think it’s well nigh time for us to start flipping the tables of the corrupt white coat high priests of our current era.

Blessings to all of the warriors for truth! 🙏

Les autres chiffres, en bref.

Europe: 3.120.439 effets secondaires dont 1.470.537 graves, 34.337 morts au 18 décembre.

La nouvelle mouture de l’analyse des chiffres de EudraVigilance, faite par un lecteur de HealthImpactNews, qui la publie. Je ne traduis pas tout, les tableaux sont sur la page source. Pour rappel, il y a aussi un facteur de sous-déclaration, non déterminé (cf. les deux articles précédents, ici et ici), à cette base de données.

Source.

Extrait:

La base de données européenne (pays de l’EEE et pays non membres de l’EEE – Espace Economique Européen) des rapports de réactions médicamenteuses suspectes est EudraVigilance, vérifiée par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA), et elle rapporte actuellement 32.649 décès et 3.003.296 effets secondaires suite à l’administration des quatre injections expérimentales COVID-19.

[…]

Les totaux pourraient être beaucoup plus élevés en fonction du pourcentage d’effets indésirables signalés. Certains de ces rapports peuvent également être transmis aux bases de données des effets indésirables de chaque pays, comme la base de données VAERS des États-Unis et le système Yellow Card du Royaume-Uni. Les décès sont regroupés par symptômes, et certains décès peuvent être dus à plusieurs symptômes.


Morts-nés aux Etats-Unis: 3.010 bébés morts au 24 décembre.

Toujours publié sur le site de Brian Shilhavy, Health Impact News. Même remarque concernant le facteur de sous-déclaration.

Source.

Une génération entière de femmes en âge de procréer devient stérile.

Suite à la mise à jour du VAERS aujourd’hui (24/12/21), nous comptons à présent 3.010 morts fœtales suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes et en âge de procréer au cours de l’année dernière. (Source.)

En revanche, en utilisant exactement les mêmes paramètres de recherche dans le VAERS, mais en excluant les injections COVID-19, nous avons trouvé 2.172 morts fœtales suite à tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années. (Source.)

Cela représente une moyenne de 72 décès fœtaux par an après l’administration de tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années, contre 3.010 décès fœtaux en un an après l’administration des injections COVID-19.

– Vaccins approuvés par la FDA: 72 morts fœtales par an
– Vaccins COVID-19 en autorisation d’utilisation d’urgence: 3.010 morts fœtales par an

Cela représente une augmentation de 4.080% des décès fœtaux enregistrés dans le VAERS après les injections COVID-19. Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander ces injections en autorisation d’utilisation d’urgence aux femmes enceintes et aux mères allaitantes.


Sportifs professionnels, chiffre global: 383 effets graves et crises cardiaques, 220 morts au 25 décembre.

Un article qui établit une liste chronologique, avec les noms, dates et sources dans les médias. Trop long à traduire donc allez consulter la page source, qui est régulièrement mise à jour.

Source.

Extrait:

Il n’est absolument pas normal que de jeunes athlètes souffrent d’arrêts cardiaques ou meurent en pratiquant leur sport, mais cette année, c’est ce qui se passe. Tous ces problèmes cardiaques et ces décès surviennent peu de temps après qu’ils aient reçu le vaccin COVID. Bien qu’il soit possible que cela arrive à des personnes non vaccinées contre le COVID, les chiffres indiquent clairement la seule cause évidente.

Les soi-disant professionnels de la santé qui dirigent les programmes de vaccination COVID dans le monde entier ne cessent de répéter que « le vaccin COVID est un vaccin normal, sûr et efficace ».

Donc, en réponse à leur déclaration, voici une liste non exhaustive et en constante augmentation d’athlètes jeunes pour la plupart qui ont souffert de problèmes médicaux majeurs en 2021 après avoir reçu un ou plusieurs vaccins COVID. Au départ, beaucoup de ces cas n’ont pas été signalés. Nous savons que de nombreuses personnes ont reçu l’ordre de ne parler à personne de leurs effets indésirables et que les médias ne les relayaient pas. Ces effets ont commencé à se produire après les premières vaccinations COVID. Les grands médias continuent à ne pas couvrir la majorité d’entre eux, mais les informations sportives ne peuvent ignorer le fait que des joueurs de football et d’autres stars s’effondrent en plein match à la suite d’une crise cardiaque. Beaucoup d’entre eux meurent – plus de 50 %.

Une autre étude indépendante confirme que plus de 150.000 Américains ont été tués par les vaccins COVID – par Steve Kirsch.

Kirsch cite une autre étude qui trouve un facteur de sous-déclaration de 20x.

Source.


Traduction

Une autre étude indépendante confirme que plus de 150.000 Américains ont été tués par les vaccins COVID.

Je disposais de 8 façons indépendantes de le démontrer jusqu’à présent. Maintenant, il y en a 9. Et personne ne propose un chiffre défendable <150.000. Le CDC prétend toujours qu’il n’y a eu aucun décès, mais ne peut expliquer comment Schirmacher et d’autres ont fait une erreur.

Steve Kirsch

25 décembre

Une nouvelle étude indépendante basée sur l’analyse des décès excédentaires a montré que notre estimation du nombre de décès excédentaires était cohérente avec leurs résultats.

Voici quelques citations de l’article :

  1. Les résultats des pentes de régression ajustées (p<0,05 PRA corrigé) suggèrent un TMV (taux de mortalité induit par la vaccination) moyen national américain de 0,04% et un TMV plus élevé avec l’âge (VFR=0,004% chez les 0-17 ans augmentant à 0,06% chez les >75 ans), et 146K à 187K décès américains associés à la vaccination entre février et août 2021.
  2. La comparaison de notre estimation avec le TMV rapporté par les CDC (0,002 %) suggère que les décès répertoriés sur le VAERS sont sous-déclarés par un facteur de 20, ce qui est cohérent avec le biais de sous-estimation connu du VAERS.
  3. La comparaison de nos TMV stratifiés par âge avec les taux de létalité des infections à coronavirus (TLI) stratifiés par âge publiés suggère que les risques des vaccins COVID et des boosters l’emportent sur les bénéfices chez les enfants, les jeunes adultes et les adultes plus âgés présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus.
  4. Il est intéressant de noter que nos estimations de 133.000 à 187.000 décès liés aux vaccins sont très similaires aux estimations récentes et indépendantes basées sur les données du VAERS américain jusqu’au 28 août 2021 par Rose et Crawford (11).

En d’autres termes, ces chercheurs ont trouvé des chiffres similaires aux nôtres, dans une proportion de 2. Ils conviennent que plus de 150.000 personnes ont été tuées par les vaccins jusqu’à présent. C’est plus de 3 fois le nombre de personnes tuées au combat pendant la guerre du Vietnam, une guerre qui a duré près de 20 ans.

Pendant ce temps, des détracteurs comme mon bon « ami » Jeffrey Morris admettent qu’ils n’ont pas la moindre idée du nombre de personnes qui sont mortes et qu’ils sont incapables de trouver le moindre moyen de l’estimer. C’est stupéfiant. Il pense toujours qu’il n’y a pas de preuve de causalité.

Voici une 10ème méthode qui trouve >200 000 décès dus au vaccin

Avec l’aimable autorisation de SidDavis sur substack :

(1) En utilisant les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes pendant les 6 années allant de janvier 2014 à janvier 2020, j’ai identifié et mesuré les oscillations dans cet ensemble de données afin d’établir le schéma hebdomadaire normal et l’ampleur des décès auxquels nous devons nous attendre en 2020, 2021 et au-delà.

(2) J’ai comparé les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes, du 18 janvier 2020 au 14 décembre 2020. Le 14 décembre 2020 correspond au début des vaccinations. Le total des décès excédentaires par rapport à la norme attendue était de 369,857, soit une moyenne hebdomadaire de 7.705,366.

(3) J’ai comparé les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes, du 14 décembre 2020 au 13 novembre 2021. Le rapport du 13 novembre 2021 était le plus récent dont les données étaient matériellement correctes. Le total des décès excédentaires par rapport à la norme attendue pendant cette période était de 487.905, soit une moyenne hebdomadaire de 10.039,680.

(4) L’augmentation moyenne du nombre de décès excédentaires après le début de la vaccination a été de 2.334,314 par semaine, soit 112.047 décès au total qui peuvent être attribués aux vaccins. Sur la base de ces calculs, une estimation raisonnable jusqu’à la fin de 2021 est de 200.000 décès.

L’estimation des décès attribués aux vaccins calculée selon cette logique est très basse. La profession médicale a amélioré ses méthodes de traitement, ce qui aurait dû entraîner une diminution des décès au fil du temps, mais le taux a plutôt augmenté. Les personnes les plus vulnérables devraient être les premières touchées, de sorte que le taux de mortalité aurait dû diminuer au fil du temps, mais il a au contraire augmenté. Cela signifie que les décès causés par le vaccin auraient été légèrement supérieurs à mon estimation calculée.

Preuve de causalité

Il existe de nombreuses façons de montrer que les vaccins causent des décès.

  1. Vaccin COVID-19 : Association étroite avec les décès d’origine cardiovasculaire, en particulier les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques et les thromboses veineuses : le rapport de cotes de mortalité (RCM) >2 et est hautement significatif sur le plan statistique pour une variété d’événements indésirables. Cela ne peut pas être le fruit du hasard.
  2. Sur les vaccins COVID: pourquoi ils ne peuvent pas fonctionner, et preuve irréfutable de leur rôle causal dans les décès après vaccination.
  3. Les travaux d’autopsie du Dr Peter Schirmacher en Allemagne.
  4. L’analyse par Jessica Rose des données du VAERS montrant la dépendance à la dose (les graphiques sont censés être identiques à la dose 1 et à la dose 2 si les vaccins ne tuent pas).
  5. Les 8 autres analyses énumérées dans ce document.

Toujours pas de critère de suspension; personne au Congrès ou au CDC ne veut en fixer un.

Cependant, il n’y a pas de critère de suspension pour ces vaccins et aucun membre du Congrès ou du CDC n’est prêt à tracer une ligne de démarcation et à dire : « Le gouvernement américain devrait arrêter les vaccins après que X Américains aient été tués. »

Un critère de suspension raisonnable est de 32 personnes. En 1976, nous avons arrêté le vaccin H1N1 après seulement 32 décès.

Aujourd’hui, le nombre de décès admissibles est illimité. Et il n’existe aucune responsabilité pour les fabricants. Et il n’y a eu aucune indemnisation pour les centaines de milliers de personnes lésées par le vaccin. Zéro. Zip. Nada.

Personne au Congrès (ou dans les grands médias) ne semble préoccupé par le fait que les vaccins tuent plus de personnes qu’ils n’en sauvent. L’essai de phase 3 de Pfizer a sauvé une vie du COVID pour chaque tranche de 22.000 personnes vaccinées. Donc, pour 220 millions de personnes entièrement vaccinées, cela représente 10.000 vies sauvées, mais 150.000 personnes ou plus tuées. Donc nous tuons 15 personnes pour en sauver une. Et nous rendons le vaccin obligatoire, par-dessus le marché.

Peut-être un jour trouverons-nous un membre du Congrès qui prêtera attention à ce que disent les données et dira ces trois mots : « Je m’oppose ».

J’ai besoin de votre aide pour arrêter le vaccin. Personne au Congrès n’a le courage de fixer une clause de suspension.

Peut-être un des 100.000 lecteurs de cet article pourrait-il avoir une discussion avec son représentant.

J’ai essayé. Aucune des personnes du Congrès que j’ai soutenues au fil des ans ne veut plus me parler. Même leur personnel ne veut pas lire ce que j’ai écrit parce que cela ne correspond pas à ce que prétend le CDC.

En attendant le jour où nous trouverons un membre du Congrès qui écoutera, je continuerai à écrire et à espérer que d’autres réussiront là où j’ai échoué.


Texte original

Yet another independent study confirms over 150K Americans killed by the COVID vaccines

I had 8 independent ways to show this before. And now there are 9. And nobody has a defensible number < 150,000. The CDC still claims no deaths, yet cannot explain how Schirmacher and others goofed.

Steve Kirsch

Dec 25

A new independent study using analysis of excess deaths showed that our estimate of the number of excess deaths was consistent with what they found.

Here are some quotes from the paper:

  1. Results from fitted regression slopes (p<0.05 FDR corrected) suggest a US national average VFR of 0.04% and higher VFR with age (VFR=0.004% in ages 0-17 increasing to 0.06% in ages >75 years), and 146K to 187K vaccine-associated US deaths between February and August, 2021.
  2. Comparing our estimate with the CDC-reported VFR (0.002%) suggests VAERS deaths are underreported by a factor of 20, consistent with known VAERS under-ascertainment bias
  3. Comparing our age-stratified VFRs with published age-stratified coronavirus infection fatality rates (IFR) suggests the risks of COVID vaccines and boosters outweigh the benefits in children, young adults and older adults with low occupational risk or previous coronavirus exposure.
  4. Interestingly, our estimates of 133K to 187K vaccine-related deaths are very similar to recent, independent estimates based off of US VAERS data through August 28th, 2021 by Rose and Crawford (11).

In other words, these researchers found numbers similar to what we found, within a factor of 2. They agree that over 150,000 people have been killed by the vaccines so far. This is more than 3 times the number killed in combat in the Vietnam war; a war which lasted for nearly 20 years.

Meanwhile, critics like my good “friend” Jeffrey Morris admit they haven’t got a clue as to how many people have died and can’t figure out even a single way to estimate it. Stunning. He still thinks there is no proof of causality.

Here’s a 10th method that finds > 200,000 deaths from the vaccine

Courtesy of SidDavis on substack:

(1) Using weekly CDC reports of Deaths from All Causes during the 6 years from January, 2014 to January, 2020, I identified and measured oscillations in that data set to establish the normal weekly pattern and magnitude of deaths we should expect in 2020, 2021 and beyond.

(2) i compared CDC weekly reports of Deaths from All Causes, January 18, 2020 through December 14, 2020. December 14, 2020 was when vaccinations began. The total of deaths in excess of the expected norm was 369,857 or a weekly average of 7,705.366.

(3) I compared CDC weekly reports of Deaths from All Causes, December 14, 2020 through November 13, 2021. The November 13, 2921 report was the most recent with materially correct data. The total of deaths in excess of the expected norm during this period was 487,905 or a weekly average of 10,039.680.

(4) The average increase in excess deaths after vaccines began was 2,334.314 per week or 112,047 deaths in total which can be attributed to the vaccines. Based on these calculations, a reasonable estimate through the end of 2021 is 200,000 deaths.

The estimate of deaths attributed to the vaccines calculated with this logic is if anything low. The medical profession has improved their treatment methods so that should have caused a decrease in deaths as time passed, but the rate instead increased. The most vulnerable should be the first to so as time passed the death rate should have decreased, but the rate instead increased. This means that the vaccine caused deaths would have been slightly higher than my calculated estimate.

Proof of causality

There are so many ways to show the vaccines cause death.

  1. COVID-19 vaccine: Strong association with cardiovascular death, especially hemorrhagic stroke and venous thrombosis shows the mortality odds ratio (MOR) >2 and is highly statistically significant for a variety of adverse events. That can’t happen by chance.
  2. On COVID vaccines: why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination
  3. The autopsy work of Dr. Peter Schirmacher in Germany
  4. Jessica Rose’s analysis of the VAERS data showing dose dependency (the graphs are supposed to look the same on Dose 1 and Dose 2 if the vaccines don’t kill people)
  5. The other 8 other analyses listed in this paper

Still no stopping condition; nobody in Congress or at the CDC will set one

However, there is no stopping condition for these vaccines and no member of Congress or the CDC is willing to draw a line in the sand and say, “The US government should halt the vaccines after X number of Americans have been killed.”

A reasonable stopping condition is 32 people. In 1976 we stopped the H1N1 vaccine after just 32 deaths.

Today, the number of deaths allowed is unlimited. And there is no liability for the manufacturers. And there have been no payouts at all to the hundreds of thousands of vaccine injured. Zero. Zip. Nada.

Nobody in Congress (or the mainstream media) seems troubled by the fact that the vaccines kill more people than they save. The Pfizer Phase 3 trial saved 1 life from COVID for every 22,000 people vaccinated. So for 220M fully vaccinated, it’s 10,000 lives saved, but150,000 or more people killed. So we kill 15 people to save 1. And we mandate it to boot.

Maybe someday, we’ll find one member of Congress who will actually pay attention to what the data says and say two words, “I object.”

I need your help to stop the vaccine. Nobody in Congress has the courage to set a stopping condition.

Perhaps one of the 100,000 readers of this article could have a discussion with their representative.

I’ve tried. None of the people in Congress I’ve supported over the years will talk to me anymore. Even their staffs won’t even read what I wrote because it doesn’t agree with what the CDC claims.

Until that day when we find a member of Congress who will listen, I’ll keep writing and hoping that others will succeed where I have failed.

Dernière estimation des données du VAERS: 388.000 Américains tués par les vaccins COVID – par Steve Kirsch.

Steve Kirsch et son équipe ont effectué une nouvelle évaluation mathématique du facteur de sous-déclaration des décès à la base de données américaine. Il arrive à un facteur de 44. Un lecteur de Miles Mathis avait déjà fait le boulot en juillet, et arrivait, en se basant sur le rapport du nombre de chocs anaphylactiques réels/déclarés (même méthode que la première estimation de Kirsch), à un facteur compris entre 50 et 125, je l’avais aussitôt traduit et publié ici. En juin, le Dr McCullough parlait d’un facteur de 10, ici.

L’article suivant est la suite de celui-ci.

Source.


Traduction

Dernière estimation des données du VAERS: 388.000 Américains tués par les vaccins COVID.

Une détermination indépendante du facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS basé sur les données de décès des CMS permet de déduire un FSD de 44,64, ce qui permet une estimation de 388.000 décès excédentaires.

Steve Kirsch

15 décembre

Mon estimation du facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS, soit 41, était fondée sur les taux d’anaphylaxie mentionnés dans l’article de Blumenthal publié dans le JAMA.

J’ai soutenu que le taux d’anaphylaxie est un chiffre approprié à utiliser pour (sous-)estimer les décès, car je pensais que les décès seraient moins signalés que l’anaphylaxie au VAERS pour deux raisons : 1) la proximité temporelle de la vaccination fait généralement défaut, 2) la personne qui constate le décès peut ne pas connaître le statut vaccinal de la victime et peut ne pas être techniquement tenue de signaler le décès.

Certaines personnes ont contesté cette hypothèse, notamment mon ami le professeur John Ioannidis, qui a fait valoir que rien ne prouve que ce soit le cas et que ce pourrait être l’inverse. J’ai répondu à John qu’il ne s’agissait que d’une estimation et que je serais heureux de la modifier lorsque nous disposerions de plus de données.

Ce jour est arrivé grâce à Wayne de VAERS Analysis.

Pour tous les observateurs attentifs, il est désormais largement reconnu que le VAERS sous-déclare de manière significative les données relatives aux événements indésirables. Cependant, la question à un million qui se pose est toujours : « Quel est le facteur exact de sous-déclaration ? ».

Wayne a fait un calcul du FDS en utilisant les données de décès du CMS [Centers for Medicare & Medicaid Services]. Cela permet de surmonter toute objection quant à la validité de l’utilisation des taux d’anaphylaxie comme alternative aux taux de mortalité.

Le FSD au VAERS qu’il a calculé était de 44,64.

Cela me semble raisonnable. Il n’est vraiment pas loin des 41 que j’ai calculés.

De plus, Wayne a ensuite examiné les chiffres pour 9 états. La valeur moyenne était de 40, pas loin des 41 que j’ai calculés en me basant sur l’anaphylaxie.

J’ai demandé à deux membres de l’équipe (Albert Benavides et Jessica Rose) de vérifier ses chiffres. Pas d’erreur.

Maintenant, voyons ce que cela signifie.

Au 14 décembre 2021, 9.136 décès ont été signalés au VAERS pour les décès survenus dans le pays (si vous utilisez OpenVAERS, cliquez sur le bouton en haut de la page pour afficher les décès survenus aux États-Unis uniquement). Si l’on soustrait plus du double du nombre total de décès signalés au cours d’une année précédente (pour être très prudent dans l’estimation des décès de fond):

Notre nouvelle meilleure estimation du nombre de « décès excédentaires » causés par le vaccin est donc de 388.000. Étant donné qu’il n’existe pas de mécanisme plausible de décès excédentaires autre que le vaccin (notre CDC « toujours vigilant » n’a certainement jamais suggéré de cause alternative), le processus d’élimination nous amène à conclure à l’évidence: que ces décès excédentaires ont été, en fait, causés par le vaccin.

Cela ne devrait pas vraiment être une surprise pour quiconque prête attention aux essais cliniques.

Par exemple, dans l’essai Pfizer, le risque de mourir était beaucoup plus élevé si l’on recevait le vaccin que si l’on recevait le placebo. Ils ont simplement oublié de le mentionner dans le résumé de l’article (et ils ont également été incapables de compter avec précision le nombre de décès dans chaque groupe). En bref, le vaccin est une machine à tuer.

Comme l’a montré l’essai clinique, il est plus susceptible de vous tuer que de vous sauver. L’Amérique refuse toujours de reconnaître ce fait.

388.000 Américains morts, c’est absolument ahurissant.

Aujourd’hui, notre meilleure estimation des décès dus aux vaccins, basée sur les données du VAERS, est que le gouvernement américain est responsable de la mort de 388.000 Américains précédemment en bonne santé. Sans raison ni bénéfice pour la société. Sous prétexte de les sauver.

Et ce n’est pas fini. Ces enfants atteints de myocardite? La moitié d’entre eux pourraient mourir dans les 5 ans. On ne sait pas. Les maladies à prions… on ne sait pas. Les maladies auto-immunes… on ne sait pas. Problèmes de reproduction… inconnu. Péché antigénique originel ? C’est possible. Vous voyez le genre.

En comparaison, la guerre du Vietnam a été une longue lutte mortelle qui s’est déroulée de 1954 à 1975 entre le Nord-Vietnam et le Sud-Vietnam. Les archives nationales américaines indiquent que 58.220 soldats américains ont péri au cours de ces 21 années. Ici, nous avons tué plus de 6 fois plus de personnes en une fraction de ce temps… seulement 11 mois.

Personne dans les médias traditionnels n’osera en parler. Ils ne poseront même pas la question. Pas un seul journaliste.

Personne au Congrès ne veut en parler non plus. J’ai essayé de porter cette information à l’attention du personnel du Congrès, mais ils ont ignoré mes demandes.

Bien sûr, la FDA et le CDC n’ont aucun commentaire à faire, si ce n’est qu’ils sont « en désaccord » avec moi. Ils ne veulent pas dire pourquoi. Wow. Nous avons une divergence de 388 000 Américains morts et ils ne veulent même pas dire pourquoi je me suis trompé.

Je suppose qu’ils ne peuvent pas dire pourquoi parce que j’ai utilisé leurs chiffres (ils gèrent le VAERS et le CMS) et leur méthodologie et qu’il n’y avait pas d’erreurs de calcul. Leur seul argument est donc de balayer tout ça de la main en disant « nous ne sommes pas d’accord », puisqu’ils ne peuvent ni s’appuyer sur des faits, ni sur des preuves, ni sur des données ni sur des erreurs de méthodologie.

Quant à tous les arguments bidon concernant le VAERS et la causalité utilisés par les « soi-disant fact-checkers » pour attaquer mon travail, je les démonte minutieusement dans mon article de 63 pages. C’est la raison pour laquelle personne à la FDA ou du CDC ne veut me parler officiellement: parce que je sais comment démonter leurs excuses bidon pour justifier leur indifférence. Ils refusent également de parler à aucun de mes associés. Ils ne veulent tout simplement rien entendre.

Faites-moi savoir dans les commentaires si vous trouvez une erreur.

Enfin, je sais que certains d’entre vous ne sont toujours pas convaincus par toutes les données, y compris les données assez stupéfiantes concernant les athlètes [cf. l’article sur cette page]. Je comprends tout à fait. J’ai juste une demande à formuler. Pensez à partager cet article avec votre réseau social avant de recevoir votre booster. D’accord?


Texte original

Latest VAERS estimate: 388,000 Americans killed by the COVID vaccines

An independent derivation of the VAERS URF using the CMS death data leads to a URF of 44.64 which then leads to a 388K excess death estimate.

Steve Kirsch

Dec 15

My estimate of the VAERS under-reporting factor (URF) at 41 was based on anaphylaxis rates reported in the Blumenthal paper published in JAMA.

I have argued that the anaphylaxis rate is an appropriate number to use to (under) estimate deaths because I believed that deaths would be less reported than anaphylaxis to VAERS for two reasons: 1) usually lacks the time proximity to vaccination, 2) the person seeing the death may not know the vaccination status of the victim and may not technically be required to report the death.

Some people have quibbled with that assumption, including my friend Professor John Ioannidis, who argued that there is no evidence that that is true and it could be the other way around. It’s a fair point and I told John it’s only an estimate and I’m happy to modify it when we have more data.

That day has arrived courtesy of Wayne at VAERS Analysis.

Wayne did a URF computation using death data in CMS. This overcomes any objections about the validity of using anaphylaxis rates as a proxy for death rates.

The VAERS URF he computed was 44.64.

This seems reasonable to me. It’s really not far from the 41 I calculated.

Also, Wayne subsequently looked at the numbers for 9 states. The average value was 40, not far from the 41 I calculated from anaphylaxis.

I had two team members (Albert Benavides and Jessica Rose) double check his numbers. No mistake.

Now, let’s see what that means.

As of Dec 14, 2021, there are 9,136 deaths reported into VAERS for domestic deaths (if you are using OpenVAERS, flip the switch at the top to see the US only deaths). If we subtract out more than twice the total number of deaths reported in any previous year (to be super conservative about estimating background deaths):

So our new best estimate of the number of “excess deaths” caused by the vaccine is 388,000. Because there isn’t a plausible mechanism of excess death other than the vaccine (certainly our “always vigilant” CDC has never suggested an alternate cause), the process of elimination leads us to conclude the obvious: that these excess deaths were, in fact, caused by the vaccine.

This should really be a surprise to anyone paying attention to the clinical trials.

For example, in the Pfizer trial, you were much more likely to die if you got the vaccine than if you got the placebo. They simply forgot to mention that in the abstract of the paper (and they were incapable of accurately counting the number of deaths in each group as well). In short, the vaccine is a killing machine.

As the clinical trial showed, it was more likely to kill you than to save you. America still refuses to actually acknowledge that fact.

388,000 dead Americans is simply stunning

Today, our best estimate of vaccine fatalities using the VAERS data is that the US Government is responsible for killing 388,000 formerly healthy Americans. For no reason or societal benefit. Under the guise of saving them.

And we’re not done yet. Those kids with myocarditis? Half of them could die in 5 years. We just don’t know. Prion diseases… we don’t know. Autoimmune diseases… we don’t know. Reproductive issues… unknown. Original antigenic sin? Possibly. You get the idea.

By contrast, the Vietnam War was a long, deadly struggle that took place from 1954 to 1975 between North Vietnam and South Vietnam. The U.S. National Archives shows that 58,220 U.S. soldiers perished over the 21 years. Here, we’ve killed more than 6 times as many people in a fraction of the time… just 11 months.

No one in mainstream media will dare talk about this. They won’t even ask the question. Not a single reporter.

Nobody in Congress will discuss it either. I tried to bring this information to the attention of Congressional staff, but they have ignored my requests.

Of course the FDA and CDC have no comment other than they “disagree” with me. They won’t say why. Wow. We have a discrepancy of 388,000 Americans dead and they won’t even say why I got it wrong.

I’m guessing that they can’t say why because I used their numbers (they maintain VAERS and CMS) and their methodology and there were no math errors. So they have to go with the “hand waving” argument that “we disagree” since they can’t go with facts, evidence, data, or methodology errors.

As for all the bogus arguments about VAERS and causality that are used by the “so-called fact-checkers” to attack my work, I thoroughly dismantle those in my 63-page article. That is why none of the people at the FDA or CDC are willing to talk on the record to me: because I know how to dismantle their bogus excuses for looking the other way. They won’t talk to any of my associates either. They just don’t want to hear it.

Let me know in the comments if you find an error.

Finally, I know some of you are still unconvinced by all the data including the stunning athlete data. I’m OK with that. I just have one request. Please consider sharing this article with your social network before you get your booster. OK?

Un rapport du gouvernement britannique admet que 23,5 millions de personnes en Angleterre n’ont PAS reçu une seule dose du vaccin Covid-19.

Je commence ici une série de quatre articles orientés chiffres. Depuis le début de cette guerre, la distorsion des chiffres et une tactique prévalente. Il y a une raison à ça, autre que la simple manipulation, sur laquelle je reviendrai dans l’article qui viendra après les trois suivants.

On parle dans l’article ci-dessous des chiffres bidouillés du nombre de vaccinés au Royaume-Uni. Comme souvent sur The Exposé, l’auteur manque un peu de rigueur puisque le nombre de personnes éligibles au « vaccin » est en fait de 15,3 millions – c’est d’ailleurs dit dans l’article. Quoiqu’il en soit, la manoeuvre ici consiste à faire passer les non-injectés pour une minorité dangereuse alors que c’est l’inverse qui est vrai. Nous sommes très nombreux et nous représentons une forme de salut pour l’ensemble de la communauté. Ne perdons jamais ça de vue.

Dernière minute, à confirmer: on me signale qu’un document fuité démontre une manoeuvre identique en France. On peut imaginer que c’est le cas dans d’autre pays – notamment les Etats-Unis, où la réalité du terrain, notamment dans les emplois du secteur médical, ne colle pas aux chiffres annoncés. Toujours en France et dans le secteur médical également, on me dit que – tenez-vous bien – le personnel injecté n’a pas droit au congé maladie en cas de Covid. Encore un exemple de la « logique » prévalente: les injectés n’ont pas le Covid même quand ils ont le Covid et les non-injectés ont le Covid même quand ils n’ont pas le Covid. Jusqu’où descendront-ils? Ils descendront aussi bas que nous les laisserons descendre: on parle maintenant d’isolation de tous les non-vaccinés en France.

Source.


Traduction

Un rapport du gouvernement britannique admet que 23,5 millions de personnes en Angleterre n’ont PAS reçu une seule dose du vaccin Covid-19.

The Exposé, 17 décembre 2021

Pendant des mois, le public britannique a été trompé par des récits selon lesquels il n’y aurait que 5 millions de personnes au Royaume-Uni qui auraient refusé d’accepter l’offre du vaccin Covid-19. Mais aujourd’hui, nous pouvons révéler que c’est un mensonge.

En effet, un rapport officiel du gouvernement britannique prouve que rien qu’en Angleterre, il y a environ 23,5 millions de personnes qui n’ont pas reçu une seule dose de vaccin Covid-19.

C’est en septembre dernier que le public britannique a appris que 5 millions de Britanniques avaient jusqu’à présent refusé les vaccins expérimentaux. Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni et ancien président de GlaxoSmithKline, a annoncé lors d’un briefing télévisé sur le Covid-19 qu' »il y a plus ou moins cinq millions de personnes éligibles aux vaccins actuellement et qui n’ont pas été vaccinées ».

Il s’avère que ces « plus ou moins » représentent environ 10,3 millions de personnes supplémentaires rien qu’en Angleterre à la date du 17 décembre 2021, ce qui porte le total des personnes éligibles au vaccin Covid-19 à 15,3 millions, et à 23,5 millions si l’on inclut tous les enfants de moins de 12 ans.

La population de l’Angleterre est d’environ 56 millions d’habitants, et selon « Statista », les chiffres de 2020 montrent qu’environ 3,23 millions d’entre eux sont âgés de 4 ans et moins, et 3,54 millions sont âgés de 5 à 9 ans.

Le site Statista indique également un chiffre d’environ 3,44 millions d’enfants âgés de 10 à 14 ans. Si l’on divise ce chiffre par cinq et qu’on le multiplie par deux, on peut calculer le nombre d’enfants de 10 et 11 ans [NdT. calcul très approximatif] et partant, la population totale de l’Angleterre éligible à une injection Covid-19, c’est-à-dire tous les enfants de plus de 12 ans.

Cette équation donne un total de 1,38 million, donc en Angleterre, il y a environ 8,2 millions d’enfants de moins de 12 ans, et 47,8 millions de personnes éligibles à la vaccination Covid-19.

Ce qui nous amène au rapport de surveillance des vaccins de la semaine 50 de l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA – UK Health Security Agency).

L’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni a récemment remplacé Public Health England et est parrainée par le Département de la Santé et des Soins Sociaux et dirigée par le Dr Jenny Harries.

Dans son Rapport de Surveillance des Vaccins hebdomadaire, elle publie une section sur « l’impact sur la population » des vaccins Covid-19, et il est intéressant de noter qu’au 12 décembre 2021, la prise vaccinale globale en Angleterre pour la dose 1 était de 67,9% et pour la dose 2 de 62,2%.

Le rapport indique aussi clairement que le taux de prise de la dose 3 était de 31,4 %.

L’impact du programme de vaccination sur la population est évalué en tenant compte de la couverture vaccinale, des preuves de l’efficacité du vaccin et des derniers indicateurs de surveillance de la maladie Covid-19.
La couverture vaccinale nous renseigne sur la proportion de la population qui a reçu 1, 2 et 3 doses de vaccins Covid-19. En décembre 2021, la prise vaccinale globale en Angleterre pour la dose 1 était de 67,9% et pour la dose 2 de 62,2%. La prise globale du vaccin en Angleterre chez les personnes ayant reçu au moins 3 doses était de 31,4%. Conformément au déploiement du programme, la couverture est la plus élevée dans les groupes d’âge les plus âgés.
Source – Page 3

Voici comment ces pourcentages se traduisent en termes de population réelle de l’Angleterre –

Comme nous pouvons le voir ci-dessus, selon le rapport de l’Agence Britannique de Sécurité Sanitaire, 32,4 millions de personnes ont reçu une seule dose, 29,7 millions de personnes ont reçu une deuxième dose, et 15 millions de personnes ont reçu une troisième dose au 12 décembre 2021.

Cela signifie qu’il y a 23,5 millions de personnes [NdT. en fait, 15,3 millions] qui ont refusé de participer à la plus grande expérience grandeur nature jamais réalisée, et non pas seulement 5 millions comme on l’a prétendu pendant des mois et comme on l’a invoqué dans des articles discriminatoires tels que celui du journaliste Andrew Neil.

Il est temps de punir les cinq millions de réfractaires au vaccin au Royaume-Uni: ils nous font courir le risque de nouvelles restrictions, dit Andrew Neil. Alors pourquoi ne restreindrait-on pas leurs libertés?

« Il y a encore 5 millions d’adultes britanniques non vaccinés, qui par peur, ignorance, irresponsabilité ou pure stupidité refusent de se faire injecter. En agissant ainsi, ils ne se mettent pas seulement en danger, mais ils mettent aussi en danger tous les autres », écrivait Andrew Neil pour le Daily Mail.

« S’ils contractent le Covid, ce sont eux qui mettront le plus de pression sur le NHS [Système de Santé Publique – National Health Service], en privant ceux d’entre nous qui souffrons d’affections graves non liées au Covid du traitement auquel nous avons droit. Nous payons tous un lourd tribut à ce noyau dur de non-vaccinés ».

Non seulement Andrew Neil colporte le mensonge selon lequel il n’y aurait que 5 millions de Britanniques non vaccinés, mais il colporte également le mensonge selon lequel ce sont eux qui mettent le plus de pression sur le NHS.

Parce que les données officielles trouvées dans plusieurs rapports de surveillance des vaccins de l’UKHSA montrent que c’est la population vaccinée qui représente la majorité des hospitalisations liées au Covid-19 depuis au moins le 16 août 21.

Selon les rapports suivants –

Entre le 16 août et le 5 décembre, la population non vaccinée a été à l’origine de 11.767 hospitalisations dues au virus Covid-19. Mais la population vaccinée a représenté près du double, avec 19.730 hospitalisations, dont 18.406 dans la population vaccinée par la 2e dose/3. Cela signifie que la population vaccinée a été à l’origine de 63% des hospitalisations liées au Covid-19 depuis août 2021.

La situation est encore pire pour la population vaccinée en ce qui concerne les décès.

Entre le 16 août 21 et le 5 décembre 21, 3.070 décès dus au virus du Covid-19 ont été enregistrés dans la population non vaccinée en Angleterre, contre 12.058 décès dans la population vaccinée au cours de la même période. Cela représente une différence de 293%.

Le public est gavé de mensonges, et encore de mensonges, et encore de mensonges.


Texte original

UK Government report admits there are 23.5 Million people in England who have NOT had a single dose of a Covid-19 Vaccine

The Exposé, December 17, 2021

For months the British public have been deceived with tales that there are just 5 million people in the United Kingdom who have refused to take up the offer of a Covid-19 vaccine. But today we can reveal that this is a lie.

It is a complete fabrication that has no doubt been used to make those who have refused the jab feel as if they are part of a minority, because an official UK Government report proves that in England alone there are approximately 23.5 million people who have not had a single dose of a Covid-19 vaccine.

It was back in September that the British public were told there were 5 million Brits who had so far refused the experimental jabs. Sir Patrick Vallance, the UK’s Chief Scientific Advisor and former president of GlaxoSmithKline, announced in a televised Covid-19 briefing that “There are five million or so people who are eligible for vaccines now who haven’t been vaccinated,”.

Well it turns out the “or so” make up approximately another 10.3 million people in England alone as of December 17th 2021, bringing the grand total of people eligible to have the Covid-19 jab to 15.3 million, and 23.5 million when including all children under the age of 12.

The population of England is approximately 56 million, and according to ‘Statista’ the 2020 figures show that approximately 3.23 million of those are aged 4 and under, and a further 3.54 million are aged between 5 and 9.

The Statists site also states that approximately 3.44 million are between the ages of 10 and 14, so if we divide that number equally by five and then times by two we can roughly work out the number of 10 and 11 year old children and work out the total population of England eligible for a Covid-19 injection, which is of course everyone over the age 12.

That equation totals 1.38 million, therefore in England, there are approximately 8.2 million children under the age of 12, and 47.8 million eligible for Covid-19 vaccination.

Which brings us to the UK Health Security Agency Week 50 Vaccine Surveillance Report.

The UK Health Security Agency recently replaced Public Health England and is sponsored by the Department for Health and Social Care and headed by Dr Jenny Harries.

Within their weekly Vaccine Surveillance Report they publish a section on ‘Population impact’ of the Covid-19 vaccines, and it interestingly states that ‘by 12th December 2021, the overall vaccine uptake in England for dose 1 was 67.9% and for dose 2 was 62.2%.’

The report also clearly states that uptake for dose 3 was 31.4%.

As we can see from the above according to the UK Health Security Agency report, 32.4 million people have had a single dose, 29.7 million people have had a second dose, and 15 million people have had a third dose as of December 12th 2021.

This means there are 23.5 million people who have refused to partake in the largest real-world experiment ever conducted, not just 5 million that has been claimed for months and used to write discrimatory articles such as this one from journalist Andrew Neil –

“There are still 5 million unvaccinated British adults, who through fear, ignorance, irresponsibility or sheer stupidity refuse to be jabbed. In doing so they endanger not just themselves but the rest of us.” wrote Andrew Neil for the Daily Mail.

“If they contract Covid, it is they who will put the biggest strain on the NHS, denying the rest of us with serious non-Covid ailments the treatment that is our right. We are all paying a heavy price for this hard core of the unvaccinated”.

Not only is Andrew Neil peddling the lie that there are just 5 million unvaccinated Brits, he’s also peddling the lie that they are putting the biggest strain on the NHS.

Because official data found within several UKHSA Vaccine Surveillance reports shows that it is the vaccinated population who have accounted for the majority of Covid-19 hospitalisations since at least 16 Aug 21.

According to the following reports –

Between Aug 16 and Dec 05, the unvaccinated population accounted for 11,767 Covid-19 hospitalisations. But the vaccinated population accounted for nearly double the amount, recording 19,730 hospitalisations, with 18,406 of those being among the 2/3 dose vaccinated population. This means the vaccinated population have accounted for 63% of Covid-19 hospitalisations since August 2021.

It gets even worse for the vacinated population when it comes to deaths though.

Between 16 Aug 21 and 05 Dec 21 there were 3,070 Covid-19 deaths among the unvaccinated population in England, compared to 12,058 deaths among the vaccinated population during the same time frame. That is a 293% difference.

The public are being fed lie, after lie, after lie.

URGENT: Avant que votre enfant ne reçoive une injection, regardez la déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins COVID pour enfants.

Page source (video incluse).

URGENT: Avant que votre enfant ne reçoive une injection, regardez la déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins COVID pour enfants.

The COVID World date de publication : 14 décembre 2021

Avant de faire vacciner votre enfant, opération irréversible et potentiellement dommageable de manière permanente, apprenez pourquoi 15.000 médecins et scientifiques médicaux du monde entier ont signé une déclaration proclamant publiquement que les enfants en bonne santé ne doivent PAS être vaccinés contre le COVID-19.

Au nom de ces médecins et titulaires de doctorat, le Dr Robert Malone, qui a consacré sa carrière au développement de vaccins, présente aux parents une déclaration claire qui décrit les faits scientifiques à l’origine de cette décision.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone (vidéo ci-dessous)

Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas pour habitude de lire un discours préparé, mais cette question est à ce point importante que je voulais veiller à ce que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts.

Je me porte garant de cette déclaration de par ma carrière consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le COVID et je suis généralement pro-vaccination. J’ai dédié toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Je publierai ensuite le texte de cette déclaration pour vous permettre de la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne soumettiez votre enfant à cette injection – une décision qui sera irréversible – je voulais vous informer des faits scientifiques relatifs à ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois notions que les parents se doivent de comprendre :

Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène contraint le corps de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines causent fréquemment des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  • leur cerveau et leur système nerveux;
  • leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris la formation de caillots sanguins;
  • leur système reproductif;
  • et ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire.

Le fait le plus alarmant est qu’une fois que ces dommages sont survenus, ils sont irréparables.

  • Il est impossible de réparer les lésions au cerveau;
  • il est impossible de réparer les cicatrices du tissu cardiaque;
  • il est impossible de réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé; et
  • ce vaccin peut causer des dommages au système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  • Il faut compter au moins 5 ans de tests/recherches avant de pouvoir réellement comprendre les risques.
  • Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments n’apparaissent souvent que bien des années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point: la raison qui vous est donnée pour justifier la vaccination de votre enfant est un mensonge.

  • Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents.
  • C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir fait le COVID, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

En résumé: il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les faire vacciner contre les risques minimes du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse bénéfice/risques est sans appel.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.


Texte original

URGENT: Before Your Child Is Injected, Watch Dr. Robert Malone’s Statement On Child COVID Vaccinations

The COVID World post date: December 14th, 2021

Before you vaccinate your child, which is irreversible and potentially permanently damaging, find out why 15,000 physicians and medical scientists around the world signed a declaration publicly declaring that healthy children should NOT be vaccinated for COVID-19.

On behalf of these MDs and PhDs, Dr. Robert Malone, who has devoted his career to vaccine development, provides parents with a clear statement outlining the scientific facts behind this decision.

Full Text of Malone’s Statement (Video below)

My name is Robert Malone, and I am speaking to you as a parent, grandparent, physician and scientist. I don’t usually read from a prepared speech, but this is so important that I wanted to make sure that I get every single word and scientific fact correct.

I stand by this statement with a career dedicated to vaccine research and development. I’m vaccinated for COVID and I’m generally pro-vaccination. I have devoted my entire career to developing safe and effective ways to prevent and treat infectious diseases.

After this, I will be posting the text of this statement so you can share it with your friends and family.

Before you inject your child – a decision that is irreversible – I wanted to let you know the scientific facts about this genetic vaccine, which is based on the mRNA vaccine technology I created.

There are three issues parents need to understand:

The first is that a viral gene will be injected into your children’s cells. This gene forces your child’s body to make toxic spike proteins. These proteins often cause permanent damage in children’s critical organs, including:

  • Their brain and nervous system
  • Their heart and blood vessels, including blood clots
  • Their reproductive system
  • And this vaccine can trigger fundamental changes to their immune system

The most alarming point about this is that once these damages have occurred, they are irreparable.

  • You can’t fix the lesions within their brain
  • You can’t repair heart tissue scarring
  • You can’t repair a genetically reset immune system, and
  • This vaccine can cause reproductive damage that could affect future generations of your family

The second thing you need to know about is the fact that this novel technology has not been adequately tested.

  • We need at least 5 years of testing/research before we can really understand the risks
  • Harms and risks from new medicines often become revealed many years later

Ask yourself if you want your own child to be part of the most radical medical experiment in human history

One final point: the reason they’re giving you to vaccinate your child is a lie.

  • Your children represent no danger to their parents or grandparents
  • It’s actually the opposite. Their immunity, after getting COVID, is critical to save your family if not the world from this disease

In summary: there is no benefit for your children or your family to be vaccinating your children against the small risks of the virus, given the known health risks of the vaccine that as a parent, you and your children may have to live with for the rest of their lives.

The risk/benefit analysis isn’t even close.

As a parent and grandparent, my recommendation to you is to resist and fight to protect your children

J’ai déjà vu ça quelque part, ou l’épigénétique – par Michael Clarage.

Michael Clarage est un grand scientifique. C’est même un des plus grands scientifiques de notre temps. Je publierai d’autres articles de lui dans ce domaine. J’en avais publié un ici, à propos d’autre chose.

C’est aussi un esprit brillant. J’apprends toujours quelque chose en le lisant. J’avais perdu la trace de cet article, je suis heureux de l’avoir retrouvé et de le partager avec vous. Il date du mois d’août mais n’a évidemment rien perdu de son actualité. J’espère que vous aurez autant de plaisir que moi à le lire et je suis certain que vous apprendrez quelque chose.

J’y reviens dans mon article suivant, qui est presque terminé.

Source.

Traduction

J’ai déjà vu ça quelque part, ou l’épigénétique.

Cet essai s’adresse à ceux qui voient quelque chose d’étrangement familier dans les événements mondiaux actuels. J’ai récemment appris qu’il n’existe pas de distinction claire entre la mémoire physique et la mémoire psychologique. Si les événements qui se produisent dans le monde entier semblent familiers à certains d’entre nous, c’est peut-être en raison d’un souvenir transmis par des ancêtres qui ont vécu quelque chose de similaire.

Nous savons que si une génération fait face à la famine ou à des menaces effroyables, les générations suivantes en seront changées. Leur ADN n’en sera pas nécessairement modifié, mais la façon dont il s’exprime le sera certainement. Il existe de nombreuses et magnifiques études publiées à ce sujet. Je vais en citer deux parmi mes préférées.

Les mouches à fruits acquièrent des pointes lorsqu’elles sont terrorisées.

Si on terrorise une génération de mouches à fruits, des épines poussent sur leur exosquelette rigide [1]. Je trouve miraculeux le fait que quelque part dans l’ADN des mouches à fruits se trouve la recette pour fabriquer des épines sur leur peau. Ce fut une surprise encore plus vive de voir les 2ème et 3ème générations également produire des pointes sur leurs exosquelettes. Le message était passé: « Nous vivons dans un monde dangereux, fabriquez des pointes ». Cette mémoire réside dans le monde de l’épigénétique. Les instructions pour la fabrication des « protéines de pointes » [NdT. l’occasion était trop belle pour l’auteur de faire ce petit clin d’oeil] se situent dans l’ADN, mais ne sont sollicitées que lorsque les mouches sont menacées. Il y a plusieurs niveaux de contrôle qui se trouvent au-dessus, en dehors, « épi », de l’ADN. Ce monde de l' »épi » aide à contrôler quels bits de l’ADN sont exprimés. Dans ce cas, la couche « epi » a été stimulée pour que les 2ème et 3ème générations de mouches naissent avec des pointes.

Les mouches de la première génération étaient capables de se « souvenir » de la façon de réagir à une menace par la formation de pointes sur leur peau. Ensuite, une  » mémoire  » a été transmise aux descendants qui sont nés dotés de pointes. Dans une étude, la 3ème génération a aussi formé des pointes à l’âge adulte. Mais si les 2ème et 3ème générations ne sont pas confrontées à des menaces, la 4ème génération naît à nouveau sans pointes.

La famine qui frappe une génération provoque des maladies « génétiques » chez les petits-enfants

La famine de 1944-45 en Europe du Nord [2] [3] nous a permis d’observer les petits-enfants de ces personnes et de faire des statistiques pour déterminer quels effets la famine chez la mère et/ou le père a sur les expressions génétiques des générations suivantes. Depuis lors, ce phénomène a fait l’objet d’une étude approfondie dans le cadre d’essais sur des animaux [4] [5] [6]. Nous ne savons pas si la famine affecte l’ADN des générations suivantes, mais nous pouvons vérifier que la façon dont les gènes sont exprimés peut être modifiée et se transmettre sur au moins trois générations. [Ce qui fait un peu penser au passage de l’Ancien Testament où les péchés du père sont transmis jusqu’à la 3ème génération]. Par exemple, la troisième génération qui suit la famine possède toujours l’ADN nécessaire à la production d’insuline, mais la couche épigénétique qui détermine quand et comment l’insuline est produite sera défectueuse. C’est pourquoi les petits-enfants des victimes de famine ont un taux plus élevé de diabète.

Mémoire physique et psychologique

Lorsque la pandémie a été annoncée début 2020, certains d’entre nous ont eu l’impression de quelque chose de très familier. Ce qui nous était familier, ce n’était pas la maladie. Ce qui nous était familier, c’était les changements que nous voyions se produire dans la société autour de nous. Nous avions déjà vu tout ça auparavant: le contrôle collectif exercé du haut vers le bas, la peur, la peur, la peur diffusée sur tous les médias. La détermination des « bonnes » et des « mauvaises » personnes. Ou mieux, « les gens qui sont bien, qui font partie de la tribu » et « les gens qui ne font pas partie de la tribu et qui doivent être craints ».

Au début de tout cela, je me souviens très bien avoir eu des conversations avec quelques amis où nous disions des choses comme « tout ceci est curieusement familier » et « j’ai déjà vu ça quelque part. » Pourquoi employions-nous de telles phrases?

Les mémoires épigénétiques peuvent projeter dans le temps des messages relatifs à certains événements. Ces messages peuvent affecter les organismes de la 2ème et 3ème génération. C’est un fait connu. Mais pourquoi cela se limiterait-il au physique? Pourquoi ne pas y inclure les souvenirs psychologiques qui pourraient également être transmis aux 2ème et 3ème générations? Si ma grand-mère a été témoin d’un meurtre de masse dans des conditions politiques très précises, ne pensez-vous pas que cela l’affecterait tout autant que la famine? Et pourquoi cela ne serait-il pas transmis par une forme de mémoire, qu’elle soit physique ou psychologique?

Pensez à ces petits-enfants drosophiles, ceux qui sont nés avec des pointes sur tout le corps. Elles devaient aussi avoir une certaine disposition intérieure qui correspondait à leurs pointes. Croyez-vous vraiment que ces petits-enfants mouches étaient du genre : « Ignorez mes pointes, elles ne signifient rien. » Quand on parle des humains, on parle de psychologie et d’expérience intérieure. Quand on parle des animaux, on parle de comportement et d’instinct. Pourtant, les animaux ont une vie intérieure. Vous croyez que les humains sont seuls à avoir une vie intérieure? C’est absurde. Quiconque fait la comparaison entre le frelon et le bourdon sait que ces deux créatures ont des vies intérieures différentes. Il en va de même pour la souris et le faucon. Les avez-vous déjà observés? Pensez-vous sérieusement qu’ils n’ont pas des vies intérieures très différentes?

Si une génération fait l’expérience à la fois de la famine et de la folie totalitaire, je soutiens que les générations suivantes présenteront des marqueurs épigénétiques qui témoignent des deux expériences. Ces deux événements resteront dans les mémoires. Lequel est le plus facile à mémoriser, la famine ou le génocide? Je dirais que les deux sont tout autant mémorisés. Si vous prétendez le contraire, quelles sont vos données? Je dispose de données sur les deux aspects. Ce qui se passe actuellement dans le monde m’est très familier, ainsi qu’à d’autres. Nous avons déjà vu tout cela auparavant. Pas les questions de santé, je fais référence aux questions de société :

  • la surveillance
  • la séparation des gens en deux catégories : ceux qui sont bien et ceux qui ne le sont pas
  • le contrôle de l’État sur à peu près tout
  • la censure de tout ce qui n’est pas conforme au discours unique
  • la diffamation de toute personne qui s’exprime en dehors du discours unique
  • des phrases toutes faites qui remplacent la réflexion
  • la conviction que si seulement « ces autres gens » n’étaient pas là, tout irait bien
  • les fixations sur la propreté et la contagion

Non, je n’ai pas été témoin de tout cela personnellement par le passé, mais quelque chose de très profond en moi l’a déjà vu avant. Je l’ai vu avant parce que mes ancêtres l’ont vu avant. Je représente ces 42 % de petits-enfants suédois dont la réponse insulinique anticipait une nouvelle famine. Ces 42 % n’avaient pas tort, c’est juste qu’ils se souvenaient de ce qu’il fallait faire si les mêmes événements se reproduisaient. Ma mémoire ancestrale porte sur le conflit qui oppose l’État à l’individu et qui se joue en permanence à la surface de la Terre. Je ne me trompe pas – je me souviens simplement des fois où ça s’est produit par le passé. Quelque chose cherche à prendre le contrôle de l’individu. C’est arrivé de nombreuses fois auparavant. La Constitution américaine explique comment éviter que ça se produise. Lisez la Constitution et la Déclaration des Droits et vous verrez qu’elles énoncent un peu partout les limites du gouvernement. L’État est expressément limité, car l’individu est primordial, tandis que l’État est secondaire. Ce qui se passe aujourd’hui dans le monde est un changement fondamental dans la direction opposée – le collectif devient primordial.

Alors quand on me demande de suivre le mouvement, de modifier mes gènes, de faire surveiller mes déplacements, mes conversations et mes finances 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, tout cela au profit de l’État, j’ai un tout autre souvenir de ce qui se passe. Quel est votre souvenir? Comment tout cela s’est-il passé la dernière fois?

Beaucoup de gens se rabattent sur « Le Dr F____ a dit… », et « Le CDC a dit… ». Je dis, « montrez-moi les études sur lesquelles ils se basent. » La plupart des gens n’ont pas lu ces études. Moi, je les ai lues. Et bien souvent, le Dr F. et le CDC suggèrent des choses qui sont TRÈS différentes de ce que les études médicales ont trouvé. Abdiquer son opinion à l’autorité est anti-scientifique. Ouaip. Je le crains. C’est l’une des batailles que la science a menées contre l’Église. Certains ont dit que c’était LA bataille de la science contre l’église. L’autorité, c’est les péquenauds. Beaucoup refusent d’imaginer qu’à une époque comme la nôtre, nos dirigeants puissent nous donner de mauvais conseils. Le manque d’imagination n’est pas un argument scientifique.

Je ne peux pas valider personnellement tous les médicaments et traitements qui arrivent sur le marché, mais lorsqu’il s’agit de modifier mes gènes et ceux de mes enfants, je préfère lire quelques études, quelques brevets, quelques rapports d’entreprise pour savoir qui va profiter de ces thérapies de modification génétique. Pouvez-vous me regarder droit dans les yeux et me dire que vous ne devriez pas faire de même?

Références

[1] C’est exaspérant. Je ne trouve pas les études. J’ai fait un exposé complet sur ce sujet il y a 15 ans.

[2] – [6] suivez les liens

Posté le 14 août par Michael Clarage


Texte original

I have seen this before, aka, epigenetics

   This essay is for those who find something eerily familiar about current global events. I recently learned that there is no clear distinction between physical memory and psychological memory. If the events occurring all around the world seem familiar to some of us, it might be because a memory has been passed down from ancestors who went through something similar. 

   We know that if one generation experiences famine, or terrifying threats, then subsequent generations will be changed. Their DNA is not necessarily changed, but certainly how the DNA is expressed is changed. There are many wonderful published studies on this. I will quote my two favorite. 

Fruit flies grow spikes when they are terrorized

   If you terrorize one generation of fruit flies they will grow spikey thorns on their hard exoskeletons [1]. I find it miraculous that somewhere buried in the fruit fly DNA is the recipe for making thorns on their skin. The further surprise came when the 2nd and 3rd generations also produced the spikes on their exoskeletons. The message was passed along « we live in a dangerous world, make spikes ». This memory lives in the world of epigenetics. The instructions for « spike proteins » is in the DNA, but will only be called upon when the flies are being threatened. There are several layers of control that live above, outside, « epi », to the DNA. This world of the « epi » helps control what bits of the DNA are expressed. In this case, the « epi » layer was stimulated to make the 2nd and 3rd generation of flies with spikes at birth. 

   The flies in the 1st generation were able to « remember » how to respond to a threat by forming spikes on their skin. Then a « memory » was passed to the children who came ready-made with spikes. In one study the 3rd generation also became adults with spikes. But if the 2nd and 3rd generations did not face threats, then the 4th generation were born again with no spikes.

Famine in one generation causes « genetic » diseases in grandchildren

   The 1944-45 famine in Northern Europe [2] [3] has allowed us to watch the grandchildren of those people, and do statistics to see what effects famine in the mother and/or father has on the genetic expressions of the subsequent generations. The phenomena has since been a hot topic of study in animal trials [4] [5] [6].  We do not know if the famine affects the DNA of the various generations, but we can verify that how the genes are expressed can be modified and passed along for at least three generations. [Kind of makes you think of the passage in the Old Testament where the sins of the father are passed along to the 3rd generation.] For example, the 3rd generation after the famine still has the DNA for making insulin, but the epigenetic layer that determines when and how insulin is produced will be faulty. Hence grandchildren of the famine sufferers have a higher rate of diabetes. 

Physical and Psychological Memory

   When the pandemic was announced early 2020, some of us felt that something was very familiar. The familiar part was not the illness. The familiar part was the changes we saw happening in the society around us. We had seen it before: the collective top-down control; the fear, fear, fear being broadcast on all media. The assigning of « good » and « bad » people. Or better, « the people who are OK, part of the tribe » and « the people who are not part of the tribe and must be feared. »

   Early on in all this, I vividly recall having conversations with some friends with phrases like « this is eerily familiar » and « I have seen this before. » Why were we using phrases like that? 

   Epigenetics memories can send messages forward in time about events. These messages can affect the bodies of the 2nd and 3rd generation. This is known. Why draw the line at physical? Why not include psychological memories also being passed to the 2nd and 3rd generations? If my grandmother witnessed mass murder under very specific political conditions, don’t you think this would affect her just as much as famine? And why wouldn’t this be passed along in some kind of a memory, be it physical or psychological.
   Think of those grandchildren fruit flies, the ones born with spikes all over their bodies. They must have also had some inner disposition that corresponded to their spikes. Do you really believe that those grand-children flies were like, « ignore my spikes, they mean nothing. »  When we talk about humans we say psychology and inner experience. When we talk about animals we call it behavior and instinct. Yet animals do have an inner life. Do you say that only humans have an inner life? How absurd is that. Anyone who has compared the hornet to the bumblebee knows that these two creatures have different inner lives. Same with the mouse and the hawk. Have you experienced both? Are you serious that they do not have vastly different inner lives?

   If a generation experiences both famine and totalitarian madness, I say that subsequent generations will have epigenetic markers that speak to both experiences. Both events will be remembered. Which is easier to remember, famine or genocide? I say both are equally remembered. If you say otherwise, where is your data? I have data on both sides. What is happening now around the world is very familiar to me and to others. We have seen this before. Not the health issues, I am referring to the society issues: 

  • surveillance
  • splitting of people into OK and not-OK
  • state control of just about everything
  • censoring anything outside the one narrative
  • vilifying anyone who speaks outside the one narrative
  • pat phrases which substitute for thinking
  • the conviction that if only « those other people » were not here all would be good
  • the cleanliness and contagion fixations

   No, I have not personally seen this all before, but something very deep inside me has seen it all before. I have seen it before because my ancestors have seen it before. I am those 42% of Swedish grandchildren whose insulin response was still expecting a famine. Those 42% were not wrong, they were only primed with the memory of what to do if the same events happened again. My inherited memory is about the state-vs-individual drama always playing out on the surface of the Earth. I am not wrong – I have simply remembered when it happened before. Something is seeking to take control of the individual. This has happened many times before. The US Constitution is an explanation about how to NOT have that happen. Read the Constitution and Bill of Rights and you will see they often spell out the limits of government. The state is expressly limited, because the individual is primary, while the state is secondary. What is happening now around the world is a massive shift in the other direction – making the collective primary.

   So when you ask me to just go along, modify my genes, have my movements and conversations and finances tracked 24×7, all for the benefit of the state, I have a different memory. What is your memory? How did all that go last time?

   Many people fall back upon, « Dr F____ said … », and « The CDC said … » I say, « show me the studies that was based upon. » Most people have not read the studies. I have. And many times Dr F and the CDC are suggesting things that are VERY different from what the medical studies have found. Abdicating your opinion to authority is anti-scientific. Yup. ‘fraid so. This is one of the battles Science fought against the Church. Some have said this is THE battle of science against the church. Authority means bumpkis. Many cannot imagine that in such a time as this our leaders would be giving us bad advice. Lack of imagination is not a scientific argument.

   I cannot personally verify every drug and treatment that comes down the pipeline, but when it comes to modifying my genes and the genes of my children, I am going to read a few studies, read a few patents, read a few corporate reports to see who is going to profit from these genetic modification therapies. How could you look me in the eye and say you should not also do that?

References

[1] this is maddening. I cannot find the studies. I gave a whole talk on this 15 years ago. 

[2] – [6] follow the links 

Posted 14th August by Michael Clarage

Les géographies du génocide pharmaceutique – par Toby Rogers.

Autre article de Toby Rogers, dont la deuxième partie est consacrée au Dr Mattias Desmet. J’ai déjà publié (ici et ici) ce que mon compatriote décrypte des événements actuels, ce sera donc une redite pour ceux qui l’ont déjà lu. J’ai laissé cette partie de l’article pour les autres.

Dans la première partie, Toby Rogers part du postulat que l’opération en cours est le fait de Big Pharma. Il en décrit très bien la mécanique mais n’en évoque pas du tout les commanditaires. Il faudra donc faire le travail de relier soi-même les points, notamment avec le secteur financier – voir l’interview récente de Ernst Wolff.

A propos de relier les points, on trouve déjà dans ce que j’ai publié ici quelques ingrédients – médicaux, économiques, politiques, psychologiques et même militaires – pour recomposer la recette du Grand Reset. Comme annoncé précédemment, il en manque encore au moins deux essentiels, que je n’ai abordés que briévement: l’écologique et le spirituel. Les vacances approchent, vous les aurez pour Noël.


Traduction

Les géographies du génocide pharmaceutique

Toby Rogers

9 décembre

J’ai cherché la métaphore ou l’analogie parfaite pour décrire les événements en cours. Mais je me suis rendu compte que, même s’il existe des similitudes avec des périodes historiques antérieures, les événements en cours sont à bien des égards sans précédent. La tâche qui nous attend est donc d’identifier les caractéristiques de ce génocide, son fonctionnement, ses similitudes et ses différences avec le passé, afin de trouver les leviers permettant de renverser le système.

Principes d’orientation

Tout d’abord, quelques principes d’orientation pour guider la conversation :

Les meilleures preuves disponibles suggèrent que le SARS-CoV-2 est un virus chimère à gain de fonction fabriqué par l’homme qui s’est échappé d’un laboratoire d’armes biologiques. Des chercheurs américains et chinois spécialisés dans les armes biologiques sont impliqués.

Les vaccins contre les coronavirus n’empêchent pas l’infection, la transmission ou les conséquences délétères pour la santé, y compris la mort. Après près de 500 millions de doses aux États-Unis, la mortalité toutes causes confondues et les décès dus au COVID-19 ont augmenté. Doubler la vaccination, avec trois, quatre, ou une infinité de doses, voire des doses reformulées, n’arrêtera pas la pandémie. Ce virus a toujours été un mauvais candidat pour un vaccin et les ARNm et les vecteurs adénoviraux ne sont ni une grande avancée, ni une panacée.

L’industrie pharmaceutique sait tout ce qui précède. La CIA, la NSA, les NIH et les hauts responsables du Pentagone le savent aussi.

Les idiots utiles du gouvernement ne comprennent pas nécessairement ce qui précède, même si ce sont eux qui exécutent les ordres. Seule une poignée d’élus le comprend.

Si les vaccins causent des dommages en chiffres nets, qu’ils sont déployés dans le monde entier et que chaque échec d’un vaccin ne fait qu’entraîner davantage de vaccinations, alors cette situation doit être considérée comme un génocide.

Fauci, la FDA, les CDC, les NIH et l’AMA bloquent tous l’accès à des traitements sûrs et efficaces. C’est un crime contre l’humanité et une preuve évidente d’intention génocidaire. Toutes les études relatives à tous les traitements en vente libre sont répertoriées (ici).

L’industrie pharmaceutique a pris le contrôle des médias et du système politique et met en œuvre les politiques antiscientifiques les plus draconiennes depuis le Troisième Reich. Le totalitarisme est la forme de gouvernement préférée de Pharma, qui travaille d’arrache-pied pour créer un système de gouvernance totalitaire mondial sous son contrôle.

Géographie du génocide pharmaceutique

Que savons-nous des contours du génocide de Pharma jusqu’à présent ?

Il s’agit du premier génocide auto-infligé de l’histoire de l’humanité. Oui, les gens à Masada et Jonestown se sont suicidés [NdT. petite erreur classique de l’auteur, il s’agissait en fait de deux « psyops« ] plutôt que de se rendre à un adversaire plus puissant. Mais il s’agissait de groupes beaucoup plus petits (moins de 1.000 personnes dans chaque cas). Il y a aujourd’hui des éléments de comportement sectaire, mais les personnes qui participent joyeusement à leur propre disparition ne se considèrent pas comme possédées par une ferveur idéologique. Certes, les accusés du procès-spectacle de Moscou ont participé à leurs propres confessions scénarisées, mais cela concernait moins de 100 personnes et faisait probablement partie d’un accord visant à épargner l’exécution de leurs familles. Ce qui rend ce génocide unique et sans précédent, c’est la participation enthousiaste des victimes elles-mêmes.

C’est le premier génocide mondial simultané. Les génocides précédents étaient dirigés du centre (Europe et États-Unis) vers la périphérie (Afrique, Amérique latine et Asie). Puis, au XXe siècle, les génocides étaient dirigés vers des groupes ciblés à l’intérieur d’un pays – les Juifs, les LGBT [NdT. re-petite erreur, l’appellation est très récente et englobe les trans, qui n’existaient pas à l’époque], les communistes, les Tsiganes et les Roms en Allemagne; et les Juifs et les adversaires politiques en Union Soviétique. Ce génocide est inhabituel parce que nous assistons à l’autodestruction volontaire de la bourgeoisie dans le monde développé.

C’est le premier exemple de totalitarisme sans nationalisme. Le totalitarisme et le nationalisme ont toujours fait bon ménage – l’Allemagne, l’Union Soviétique, la Chine, le Cambodge et la Corée du Nord en sont quelques exemples. Mais les États-nations n’existent plus (sauf en tant que récit fantaisiste destiné à distraire les gueux). Fauci a développé cette arme biologique en collaboration avec les Chinois, censément notre plus grand adversaire militaire. Les forces du totalitarisme ne sont pas confinées à un pays en particulier, elles résident en fait dans chaque pays. Ce sont les élites contre tous les autres, dans le monde entier, simultanément. En l’absence d’États-nations, il est difficile de savoir vers qui se tourner pour chercher des alliés puissants susceptibles de contrer l’industrie pharmaceutique.

Cette fois, le génocide est privatisé – dirigé par des consultants en gestion et des entrepreneurs privés. Ce n’est donc pas exactement le modèle fasciste classique où l’État et le secteur privé se comportent comme un seul homme. C’est plutôt le secteur corporatif qui tient le haut du pavé et qui dirige l’État comme une marionnette.

Cette fois, le génocide est monétisé. L’industrie pharmaceutique vous extorquera jusqu’au dernier dollar, à vous et à votre famille, avant de vous laisser mourir. Les nazis ont installé des usines de munitions et de caoutchouc dans les camps de concentration afin de tirer parti du travail des esclaves. Mais l’objectif de Pharma dans ce génocide est de drainer la richesse de chaque personne du monde développé, et ce sans qu’elle ait à quitter son domicile.

Cette fois, le génocide est décentralisé. Les confinements transforment chaque domicile en un mini ghetto de facto. Certes, les Australiens ont mis en place des camps d’internement. Mais ils sont chers et hautement visibles – donc difficiles à appliquer à l’échelle d’une population entière. Je doute qu’il y ait des trains cette fois-ci. Les fascistes vont plutôt faire en sorte que les gens se rendent en voiture dans des centres d’empoisonnement décentralisés.

Cette fois, le génocide sera lent. Les fascistes ont appris leur leçon après la Seconde Guerre mondiale et ne se battront plus jamais sur deux fronts. En lieu et place, il semble que l’industrie pharmaceutique soit satisfaite d’augmenter la mortalité toutes causes confondues de 5% à 15% chaque année et de maintenir cette tendance pendant des décennies jusqu’à ce qu’elle atteigne son objectif de contrôle total d’une population beaucoup plus réduite.

Cette fois, le génocide est silencieux. Il n’y aura pas de parades militaires, pas de soldats dans les rues, et pas de guerre visible s’ils peuvent l’éviter. La vie semblera normale et sous cette surface placide, les gens mourront à un rythme accéléré (c’est déjà le cas).

Formation de masses

Dans les années 1950 et 1960, le médecin néerlandais Joost Meerloo a réalisé un travail extraordinaire sur les origines du totalitarisme. Beaucoup d’entre vous ont déjà visionné cette brillante vidéo de vingt minutes de l’Académie des Idées,  » Psychose de masse : comment une population entière devient mentalement malade « , qui résume certains des travaux de Meerloo:

Mattias Desmet, Professeur de Psychologie Clinique à l’Université de Gand, produit l’un des meilleurs travaux sur la montée actuelle du totalitarisme. Le Dr Desmet étudie ce que l’on appelle la « formation de masses », c’est-à-dire les conditions nécessaires pour générer des illusions collectives et une participation volontaire aux systèmes totalitaires. Il fournit un bon résumé de ses réflexions dans les quinze premières minutes de cette vidéo:

Le Dr Desmet soutient que « la formation de masses est un phénomène spécifique qui émerge dès lors que certaines conditions sont réunies » :

Ces conditions sont :

  1. Un manque de liens sociaux ;
  2. Un manque de sens ;
  3. Une anxiété ambiante (qui n’est liée à aucune représentation mentale) ; et
  4. La frustration et l’agressivité ambiantes.

(Il est évident que notre société moderne réunissait toutes ces conditions avant le COVID).

Puis il affirme qu' »un récit est diffusé par les médias de masse qui concentre l’anxiété et l’agressivité sur un certain objet » (dans ce cas, un virus).

« Lorsque les gens prennent part à la stratégie visant à traiter l’objet de l’anxiété, un nouveau type de lien social et un nouveau type de construction de sens émergent. » Desmet désigne ainsi un « nouveau type de solidarité ».

Ce nouveau récit invente un combat héroïque contre l’objet de l’anxiété, ce qui conduit à une « ivresse mentale de la connexité » et à des sentiments (apaisants) d’ordre et de contrôle.

Plus le récit est absurde, plus il fonctionne comme un rituel, car il montre que les participants appartiennent à un groupe.

Et grâce à ce processus, les gens en viennent à participer, à soutenir et à s’identifier aux systèmes totalitaires.

Je trouve cette analyse du Dr Desmet brillante et elle explique une grande partie de ce que nous vivons actuellement.

Voici le problème que cela me pose. Le journaliste demande au Dr. Desmet « Que peut-on faire? » Et il répond que les systèmes totalitaires dépassent toujours leurs limites et s’autodétruisent, donc implicitement, nous devons juste rester en retrait, survivre et attendre que ça se produise.

Il y a là un fond de vérité, mais ça laisse de côté beaucoup de choses. Bien sûr, les systèmes totalitaires sont insoutenables à long terme. Mais des millions de personnes meurent dans l’intervalle.

En outre, les nazis ne se sont pas autodétruits – l’armée américaine, l’armée de l’air britannique et l’armée russe ont détruit les nazis au prix de millions de vies.

Il a fallu 80 ans à l’URSS pour « s’autodétruire » + une opposition massive très sophistiquée qui a développé ses compétences pendant des décennies.

La Corée du Nord ne s’est toujours pas autodétruite.

Et la Chine s’est transformée en un État capitaliste totalitaire moderne que de nombreux barons de la technologie semblent vouloir exporter dans le monde entier.

Je pense que l’antidote doit correspondre aux quatre conditions que Desmet décrit au début. Notre alternative doit être :

  1. Plus de connectivité sociale ;
  2. Plus de création de sens (par la spiritualité, le travail honnête, le temps passé avec la famille et les amis, et l’expérience de la nature) ;
  3. Identifier correctement la source de notre anxiété comme étant notre culture de la précipitation et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle ; et
  4. Identifier correctement la source de notre frustration et de notre agressivité comme étant le système prédateur du capitalisme monopolistique et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle basée sur le respect mutuel.

Une dernière pensée pour l’instant… ce que la pandémie m’a révélé, c’est que la tendance au totalitarisme fait partie de la condition humaine. Adam Curtis, dans sa série documentaire en trois parties intitulée The Living Dead, affirme que le monde a tiré les mauvaises leçons des procès de Nuremberg. Je pense que Curtis a raison lorsqu’il affirme que c’était une erreur de dire que seuls les nazis étaient mauvais – la leçon de la Seconde Guerre mondiale aurait plutôt dû être que l’ombre du mal réside dans le cœur de tous les hommes.

C’est donc à ça que nous sommes confrontés. Ça donne à réfléchir. Mais je pense que la cartographie précise de ce que nous combattons est essentielle pour construire la résistance et travailler au démantèlement du régime génocidaire de Pharma.

Bénédictions à tous les guerriers. 🙏✊


Texte original

The geographies of the Pharma genocide

Toby Rogers

Dec 9

I’ve been searching for the perfect metaphor or analogy to describe what’s going on. But then I realized that while there are some similarities to prior historical periods, in many ways what’s happening now is unprecedented. So the task before us is to identify the features of this genocide, how it works, and how it’s similar to or different from the past — so that we can look for points of leverage to overthrow the system.

This is the first simultaneous global genocide. Prior genocides were directed from the core (Europe and the United States) to the periphery (Africa, Latin America, and Asia). Then in the 20th century, genocides were directed toward targeted groups within a country — Jews, LGBT, communists, Gypsies, and Roma in Germany; and Jews and political adversaries in the Soviet Union. This genocide is unusual because we are witnessing the bourgeoisie across the developed world willingly destroying itself.

This is the first example of totalitarianism without nationalism. Totalitarianism and nationalism have always gone hand in hand — Germany, the Soviet Union, China, Cambodia, and North Korea are some examples. But nation states do not exist anymore (except as a fanciful narrative to distract the peasants). Fauci developed this bioweapon in collaboration with the Chinese, supposedly our biggest military adversary. The forces of totalitarianism are not confined to any one particular country, rather they reside within every country. This is the elites vs. everyone else, across the whole world, simultaneously. In the absence of nation states it’s difficult to know where to turn to look for powerful allies to push back against Pharma.

The genocide this time is privatized — directed by management consultants and private contractors. So it is not exactly the classic fascist model of the state and the corporate sector behaving as one. Rather the corporate sector has the upper hand and is directing the state like a marionette.

The genocide this time is monetized. Pharma will squeeze every last dollar from you and your family before letting you expire. The Nazis stationed munitions and rubber factories at concentration camps to make use of slave labor. But Pharma’s goal in this genocide is to drain the wealth from every person in the developed world, from the comfort of your own home.

The genocide this time is decentralized. Lockdowns turn your house into a mini de facto ghetto. Yes the Australians have internment camps. But they are expensive and highly visible — thus difficult to scale up to a whole population. I doubt there will be trains this time. Rather the fascists will get people to drive themselves to decentralizing poisoning centers.

The genocide this time is slow. The fascists learned their lesson after World War II and will never fight a two front war again. Instead it seems that Pharma is happy to increase all cause mortality by 5% to 15% every year and keep it going for decades until they reach their goal of total control over a much smaller population.

The genocide this time is silent. There will be no military parades, no soldiers in the streets, and no visible war if they can help it. Life will look normal and underneath the placid surface people will die at an accelerated rate (this is already happening).

Mass Formation

In the 1950s and 1960s Dutch doctor Joost Meerloo did extraordinary work on the origins of totalitarianism. Many of you have seen this brilliant twenty-minute Academy of Ideas video, “Mass Psychosis: How an entire population becomes mentally ill” that summarizes some of Meerloo’s work:

Mattias Desmet, Professor of Clinical Psychology at Ghent University is doing some of the best work on the current rise of totalitarianism. Dr. Desmet studies what’s called “Mass Formation” — the conditions that produce collective delusions and willing participation in totalitarian systems. He provides a good summary of his views in the first fifteen minutes of this video:

Dr. Desmet argues that “mass formation is a specific phenomenon that emerges if certain conditions are met”:

The conditions are:

  1. A lack of social connectedness;
  2. A lack of meaning;
  3. Free-floating anxiety (that is unconnected to any mental representation); and
  4. Free-floating frustration and aggression.

(Obviously our modern society met all of these conditions prior to COVID.)

And then he argues that “a narrative is distributed via mass media that focuses anxiety and aggression on a certain object” (in this case a virus).

“When people start to participate in the strategy to deal with the object of anxiety a new kind of social bond and a new kind of meaning-making emerges.” Desmet calls it a “new kind of solidarity.”

This new narrative creates a heroic battle with the object of anxiety which leads to a “mental intoxication of connectedness” and (calming) feelings of order and control.

The more absurd the narrative the better it functions as a ritual because it shows that the participants belong to a group.

And through this process, people come to participate in, support, and identify with totalitarian systems.

I think Dr. Desmet’s analysis is brilliant and it explains so much of what we are experiencing right now.

Here’s the problem I have. The interviewer asked Dr. Desmet what “what can be done?” And he answers that totalitarian systems always overreach and destroy themselves, so by implication we just have to stand back, survive, and wait for that to happen.

That has a kernel of truth but it leaves out a lot. Sure, totalitarian systems are unsustainable in the long term. But millions of people die in the meantime.

Furthermore, the Nazis did not destroy themselves — the U.S. Army, the British Air Force, and the Russian Army destroyed the Nazis at the cost of millions of lives.

It took the USSR 80 years to “destroy itself” + a massive very sophisticated opposition that developed their skills over decades.

North Korea still has not destroyed itself.

And China has morphed into a modern capitalist totalitarian state that many tech robber barons seem to want to export to the whole world.

I think the antidote needs to match the four conditions that Desmet describes in the beginning. Our alternative must be:

  1. More social connectedness;
  2. More meaning-making (through spirituality, honest work, time with family & friends, and experiencing nature);
  3. Properly identifying the source of our anxiety as our hurry up culture and helping people take the off-ramp to a parallel economy; and
  4. Properly identifying the source of our frustration and aggression as the predatory system of monopoly capitalism and helping people take the off-ramp into a parallel economy based on mutual respect.

One last thought for now… what the pandemic has revealed to me is that the tendency toward totalitarianism is part of the human condition. Adam Curtis in his three-part documentary series The Living Dead argues that the world drew the wrong lessons from the Nuremberg trials. I think Curtis is correct when he asserts that it was a mistake to argue that the Nazis were uniquely evil — rather the lesson of World War II should have been that the shadow of evil resides in the hearts of all men.

So that’s what we’re up against. It’s sobering af. But I think a clear map of what we are dealing with is essential as we build the resistance and work to dismantle the genocidal Pharma regime.

Blessings to all of the warriors. 🙏✊

Féodalisme génocidaire high-tech au niveau mondial – par Toby Rogers.

En attendant un nouveau florilège d’infos et d’autres articles actuellement en préparation, voici une récente intervention de Robert Kennedy Jr. Après la publication de son bouquin, « The Real Anthony Fauci » – qu’il serait difficile de résumer ici mais faites une petite recherche, on en parle sur le Net – RFK Jr continue sa tournée mondiale. J’avais à l’époque transcrit, traduit et publié son discours du 28 août 2020 à Berlin, voici celui du 13 novembre de cette année à Milan – en mode typiquement constitutionaliste américain, très orienté « liberté » – que Toby Rogers a publié sur son Substack, assorti d’une courte introduction. Vous aurez reconnu la dame qui « chauffe la salle » au début, c’est Catherine Austin-Fitts (publiée ici, ici, ici et ici).

Je publie ensuite un autre article récent de Toby Rogers.

Source.


Féodalisme génocidaire high-tech au niveau mondial

Le récent discours de RFK Jr. à Milan jette une nouvelle lumière sur le rôle de la CIA dans la planification des pandémies.

Toby Rogers

27 novembre

Il y a encore un élément de cette débâcle qui, selon moi, ne tient pas debout. La recherche sur le gain de fonction n’est qu’un euphémisme pour désigner la recherche sur les armes biologiques. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais engendré un produit pharmaceutique utile pour le grand public, mais elle a engendré de nombreuses armes biologiques. La recherche sur les armes biologiques est en cours depuis la Première Guerre Mondiale – tous les grands pays industrialisés disposent d’un programme d’armes biologiques (voir Bitten : The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons).

Pendant la Guerre Froide, le programme américain d’armes biologiques était destiné à vaincre les Soviétiques et à contrer toute attaque contre les Américains. Mais sous la houlette de Fauci, les États-Unis et la Chine coopèrent dans le domaine de la recherche sur les armes biologiques. A première vue, ça n’a aucun sens. La Chine n’est-elle pas notre adversaire militaire le plus puissant? Si oui, pourquoi mettons-nous au point des armes biologiques en collaboration? Et si la Chine est en fait une alliée dans la mise au point d’armes biologiques, qui est alors au juste l’ennemi ciblé?

Il me semble que l’on peut affirmer que les États-nations n’existent plus (ou que les États-nations n’existent que sous forme de récit officiel destiné à garder le contrôle sur les gueux dans chaque pays). Sous le capitalisme monopoliste mondial, il n’y a que deux classes: les élites et tous les autres (nous). Les élites du monde entier ont plus de points communs entre elles qu’avec les citoyens lambda de leur pays de naissance (les milliardaires sont des milliardaires – peu importe qu’ils aient gagné leur argent via des monopoles d’État en Chine ou des monopoles illégaux aux États-Unis). Et c’est apparemment nous qui sommes visés par les armes biologiques. La seule menace pour les milliardaires serait que des milliards de personnes se révoltent et leur confisquent leurs biens. Mais les gueux ne peuvent pas se rebeller s’ils sont malades chroniques et dépendent du cartel pour leur survie.

Tout cela a fait tilt en lisant la transcription du récent discours de RFK Jr. à Milan, en Italie. Il y met en lumière le rôle de la CIA dans la planification des pandémies au cours des 20 dernières années. Il explique que la CIA ne s’occupe pas de santé publique, elle renverse les gouvernements, et le gouvernement qu’elle renverse en ce moment, c’est Nous le Peuple.

Transcription du discours de Milan de RFK, Jr:

TRANSCRIPTION

Aucun gouvernement dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir. Le pouvoir qu’ils nous ont pris au cours des 20 derniers mois, ils ne nous le rendront jamais. Ils ont supprimé notre liberté d’expression, ils ont fermé les églises, ils ont supprimé les procès par jury contre les entreprises, quelle que soit leur négligence, quelle que soit leur imprudence, quelle que soit la gravité de vos préjudices, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits à la propriété aux États-Unis. Ils ont fermé un million d’entreprises pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière. Ils ont supprimé notre droit à ne pas subir de perquisitions, de saisies et de surveillance sans mandat de la part du gouvernement. Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des Droits de la Constitution des États-Unis. Et parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des lois.

Ainsi, lorsque le gouvernement veut adopter une loi, il doit la publier, la proposer, en expliquer les fondements scientifiques, faire l’analyse coûts-avantages de cette loi et l’expliquer au public, puis recueillir des commentaires, auxquels tout le public peut contribuer, et enfin tenir une audience au cours de laquelle les opposants à la loi, comme moi, présentent leurs propres scientifiques, experts et études scientifiques, le tout dans la transparence. Tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est ce qu’un homme dit qu’elle est, le plus grand médecin des États-Unis, Anthony Fauci.

Au mois de mars 2020, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne fonctionnent pas, qu’ils sont scientifiquement sans valeur, et deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de porter un masque. Il ne nous a pas présenté les études scientifiques qui l’auraient fait changer d’avis, il nous a simplement dit, c’est la nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit.

Tous ces droits pour lesquels les fondateurs de notre pays sont morts, ont sacrifié leurs biens, leurs moyens de subsistance, pour nous donner la Déclaration des Droits, tous ces droits ont été oblitérés en 20 mois, enlevés au peuple américain – mais pas seulement au peuple américain. C’est un coup d’état global contre les démocraties libérales à travers la planète.

Et tous ces droits qui nous ont été retirés, ces gouvernements ont dit que ce n’était qu’à titre temporaire. Ils ont dit que ça ne durerait que deux semaines. En vérité, vous voyez tous ce qui se passe: ils ne les rendront jamais à moins que nous les y contraignions.

Le Passeport Vert est leur coup d’état. Le Passeport Vert est leur moyen de consolider leur pouvoir sur vos vies. Le Passeport Vert n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire de vos transports, de votre compte bancaire, de vos déplacements, de tous les aspects de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle. C’est la même idée que celle utilisée en Allemagne en 1937. Ils ont émis un laissez-passer pour les gens qu’ils voulaient contrôler. Et quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus basique qu’il ait faite? Il a émis un Passeport Vert.

Je veux que vous demandiez à tous les gens, les journalistes et la presse qui sont ici aujourd’hui: si le passeport vert est une question de santé publique, pourquoi n’est-il pas délivré par le Ministère de la Santé? Il est émis par le Ministère des Finances. Est-ce qu’ils nous prennent pour des demeurés?

Parce que c’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous aurez ce passeport vert et qu’ils auront créé la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il pourra faire en sorte que votre argent ne permette pas d’acheter de la pizza dans une pizzeria. Ils pourront contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils nous disent que nous avons besoin d’un Passeport Vert pour garantir que tout le monde se fasse vacciner. Mais ils l’admettent: le vaccin n’empêche pas la transmission, le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie, le vaccin n’arrête pas la pandémie. Alors pourquoi devons-nous nous faire vacciner si le vaccin n’empêche pas la transmission?

Je vais vous en parler deux minutes – je vais parler des vaccins. Les gens disent que je suis contre les vaccins. Je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des États-Unis.

Pfizer est la société dont le vaccin est approuvé aux États-Unis. Et Pfizer était censé mener une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous ceux du groupe de contrôle. Pourquoi ont-ils fait ça? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après six mois? Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en six mois et que le vaccin n’offre plus de protection. Ils ont donc dû mettre fin à l’étude au bout de six mois. Ils n’ont pas pu faire ce qu’ils avaient prévu (trois ans). Ils ont rassemblé tous leurs dossiers relatifs à ces six mois et les ont remis à la FDA. Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné, combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de six mois. Ce tableau est appelé « s4 ». Vous pouvez tous le consulter.

Voici ce que disent les chiffres. Il y avait 22.000 personnes dans le groupe vacciné. En six mois, une personne est morte du COVID. Dans le groupe placebo, le groupe témoin, il y avait 22.000 personnes, deux sont mortes du COVID en six mois. Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100% parce que deux est 100% de plus qu’un.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est « efficace à 100% », pensent que s’ils prennent le vaccin, ils auront 100 % de chances de ne pas mourir du COVID. Ce n’est pas ce que cela signifie. Cela signifie qu’il faut administrer 22.000 vaccins pour protéger une seule personne de mourir du COVID. Cela signifie qu’ils ont intérêt à s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une seule personne, car s’il en tue une, ça annule tout le bénéfice.

Et voici le plus important. Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en six mois, de toutes causes, soit 20 personnes sur 22.000. Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22.000. Cela signifie que si vous recevez le vaccin, vous avez 48 % plus de risques de mourir au cours des six mois suivants que si vous ne le recevez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens. Voici comment les gens sont morts. Dans le groupe témoin, une personne est décédée d’une crise cardiaque au cours des six mois. Dans le groupe vacciné, cinq personnes sont mortes d’une crise cardiaque au cours des six mois. Cela signifie que si vous recevez le vaccin, vous courez un risque supplémentaire de 500% de mourir d’une crise cardiaque dans les six mois. Cela signifie également que pour chaque personne qui est sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue quatre personnes par crise cardiaque.

Tout ça ne constitue pas une bonne politique de santé publique. La santé publique est censée sauver des vies. Mais il s’agit de contrôle, de contrôle de notre société et de contrôle de nos enfants. Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire et qu’ils soutiennent encore le vaccin est la manipulation par la peur.

Ce sont des calculs mathématiques simples. Tout le monde peut les vérifier. Si vous le vérifiez, vous aurez plus peur de ce vaccin que du COVID.

Mais le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens afin de les empêcher de faire des calculs simples. Ce procédé est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous pousse à croire que faire simplement ce qu’on nous dit est le seul moyen de sauver nos vies.

C’est ce qu’on appelle le syndrome de Stockholm. Les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens leur sont reconnaissants et pensent que la seule garantie de s’en sortir vivants est une obéissance absolue.

J’ai une dernière remarque à faire, la voici. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Evénement 201?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le regarder sur Youtube. L’Evénement 201 était une simulation d’une pandémie de coronavirus qui s’est tenue à New York en octobre 2019. Nous savons maintenant que le COVID circulait à Wuhan le 12 septembre 2019, donc un mois plus tard, une simulation de pandémie de coronavirus a lieu à New York.

Les gens qui ont participé à cet événement venaient des grandes entreprises de médias sociaux, des entreprises de médias, de Johnson & Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, et il était organisé par trois personnes: 1) Bill Gates, 2) George Fu Gao, le directeur du CDC chinois, et 3) Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Avril Haines est aujourd’hui l’espionne numéro un des États-Unis, elle est à la tête de l’Agence de Sécurité Nationale de Joe Biden, elle est donc passée de l’Evénement 201 à la fonction d’espionne numéro un de notre pays.

Qui savait que la CIA est une agence de santé publique? Ce fut une surprise pour moi.

Parce que la CIA ne travaille pas dans le domaine de la santé publique. La CIA fait des coups d’états. Entre 1947 et 2000, la CIA a participé à 73 coups d’État, la plupart contre des démocraties, soit un tiers des pays du monde. Si vous regardez l’Evénement 201, il n’y a eu aucune discussion sur la santé publique. Personne ne s’est demandé comment fournir de la vitamine D à tout le monde? Comment aider les gens à perdre du poids? Comment faire en sorte qu’ils mangent bien? Comment réaffecter les médicaments pour soigner les gens? Comment mettre les malades en quarantaine? Comment préserver les droits constitutionnels? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au lieu de cela, ils ont discuté de la manière d’utiliser la pandémie comme prétexte pour mettre en place des contrôles totalitaires et déconstruire la démocratie. Ils ont passé un quart de la journée à discuter de la manière de s’assurer que personne ne soit autorisé à diffuser la rumeur selon laquelle la pandémie de coronavirus aurait été générée en laboratoire.

Nous étions en octobre 2019! Et ils parlaient de comment verrouiller la population, comment la forcer à accepter des vaccins expérimentaux, comment s’assurer qu’il ne viendrait pas à l’idée des Noirs de résister. Parce que dans notre pays, les Noirs se méfient beaucoup de l’establishment médical, et ils étaient profondément inquiets de cette résistance.

En faisant des recherches pour mon livre, j’ai appris que cet événement, l’Evénement 201, n’était pas un événement unique. Nous avons trouvé vingt simulations distinctes de pandémie à partir de 2000. Elles avaient une chose en commun – dans la plupart d’entre elles, Bill Gates était impliqué, Tony Fauci était impliqué – mais dans chacune d’entre elles, la CIA était impliquée. La CIA en a écrit le scénario, des responsables de haut niveau de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Et elles ont impliqué des centaines de milliers de personnes. Elles ont été menées secrètement. Elles faisaient appel à des travailleurs de première ligne, elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada, en Australie, tous en même temps, pour réagir à une pandémie, mais il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie à d’autres fins.

Ils se sont donc entraînés encore et encore et encore: comment utiliser la pandémie comme prétexte à l’imposition de contrôles totalitaires et à l’anéantissement de la démocratie libérale sur toute la planète.

L’une des expériences qu’ils ont utilisées s’appelle l’expérience de Milgram – c’était une expérience de la CIA en 1967 – et ce que la CIA a découvert, c’est que si un responsable médical autoritaire ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens obéiront à l’autorité plutôt qu’à leurs valeurs. Et 67% des gens seront hypnotisés par la peur et obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité. Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes ces 33%.

Et notre tâche aujourd’hui est de quitter cet endroit et d’aller tendre la main à nos frères et sœurs, les personnes encore hypnotisées, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes pour cette liberté. En quittant cet endroit aujourd’hui, nous devons tendre la main à tous nos frères et sœurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire que leur amour de la liberté doit être plus fort que la peur d’un microbe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort. Et ils ont mis leurs vies en danger, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des 20 derniers mois.

Et maintenant c’est notre travail, c’est le travail de chacun dans cette foule, de sortir et de se battre, de résister, résister, résister, résister, et de récupérer notre gouvernement, récupérer nos vies, récupérer notre liberté, pour nos enfants, pour notre pays, et pour toutes les générations futures.

Et je peux vous dire ceci: je me tiendrai à vos côtés, et si je dois mourir pour ça, je mourrai bottes aux pieds.

J’adore RFK Jr. et ce discours est absolument génial. Il a invariablement eu raison pour tout ce qui concerne la pandémie depuis deux ans et tout ce qui concerne l’autisme depuis vingt ans. Je crois qu’il ferait un grand Président, au vu de sa perspicacité et de ses réussites. Mais j’avoue que je n’aime pas la chute de son discours. Oui, nous sommes tous prêts à mourir les bottes aux pieds. Mais je préfère vivre et vaincre et profiter des fruits de notre travail. Alors trouvons un moyen d’y parvenir.

Mise à jour: Il y a une vidéo du discours!

Coup de chapeau à Susan Carlson pour la transcription et le lien vers la vidéo!!!


Texte original

High tech global genocidal feudalism

RFK Jr.’s recent speech in Milan shines a new light on the role of the CIA in pandemic planning

Toby Rogers

Nov 27

There is still a piece of this whole debacle that does not make sense to me. Gain of function research is just a euphemism for bioweapons research. Gain of function research has never produced a useful consumer pharmaceutical product but it has produced a lot of bioweapons. Bioweapons research has been going on since the first World War — every major industrialized nation has a bioweapons program (check out Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons).

During the Cold War the U.S. bioweapons program was designed to defeat the Soviets and counteract any attack on Americans. But under Fauci, the U.S. and China are collaborating on bioweapons research. At first this makes no sense. Isn’t China our biggest military adversary? If so why are we developing bioweapons together with them? And if China is our ally in developing bioweapons then who exactly is the enemy they are targeting?

I think a strong case can be made that nation-states no longer exist (or nation-states only exist as an official narrative to keep the peasants in line in each country). Under global monopoly capitalism there are just two classes — the elites and everyone else (us). Elites around the world have more in common with each other than they do with the average citizens in their country of birth (billionaires are billionaires — it does not matter whether they made their money from state monopolies in China or illegal monopolies in the U.S.). And the bioweapons apparently are targeting us. The only threat to the billionaires is if billions of people rise up and seize their assets. But the peasants cannot rebel if they are chronically ill and dependent on the cartel for survival.

It all clicked when reading the transcript of RFK Jr.’s recent speech in Milan, Italy. He shines a light on the role of the CIA in pandemic planning over the last 20 years. He explains that the CIA does not do public health, they overthrow governments, and the government they are overthrowing right now is We the People.

RFK, Jr transcript from Milan speech:

TRANSCRIPT

No government in the history of mankind has ever relinquished power voluntarily. The power that they have taken away from us over the past 20 months they will never give back. They have taken away our freedom of speech, they have closed the churches, they have taken away jury trials against companies, no matter how negligent they, no matter how reckless they are, no matter how grievous your injury, you cannot sue that company.

They have taken away our property rights in the United States. They closed a million businesses for a year with no just compensation and no due process. They have taken away our right to be free of warrantless searches and seizures and surveillance by the government. In the United States all of those rights are enumerated in our Bill of Rights of the United States Constitution. And among the most important of those rights, after the right to free expression, which is gone, is the right to be able to participate in rule-making.

So, when the government wants to pass a law, it has to publish the law, propose the law, it has to explain the scientific basis for that law, it has to do a cost-benefit analysis of that law and explain it to the public, and then we have comments, that all the public can participate in, and then we have a hearing where people oppose the law, like myself, and bring in our own scientists and experts and scientific studies and it’s all transparent. All of those safeguards have been obliterated. Today, the law is what one man says it is, the top doctor in the United States, Anthony Fauci.

In one month, in March of 2020, Tony Fauci told the world masks don’t work, they’re scientifically worthless, two months later he ordered every American to put on a mask. He didn’t give us any scientific studies that made him change his mind, he simply told us, that’s the new law, do what you’re told.

All of these rights that the Founders of our country died for, sacrificed their properties, their livelihoods, to give us the Bill of Rights, and all of these rights over 20 months have been obliterated, taken from the American people — but not just the American people. This is a global coup d’état against liberal democracies across the planet.

And all of these rights that were taken away from us, these governments said it was only temporary. They said it would only be two weeks. In truth, you can all see what is happening: They will never give them back unless we make them.

And the Green Pass is their coup d’état. The Green Pass is how they consolidate their power over your lives. The Green Pass is not a public health measure. It is a tool for totalitarian control of your transportation, your bank account, your movement, every aspect of your life.

And this is not a new idea. This is the same idea they used in Germany in 1937. They issued a pass for people they wanted to control. And when the South African apartheid government wanted to control the black population of South Africa, what was the most important thing they did? They issued a green pass.

I want you to ask all of people and journalists and press who are here today. If the Green Pass is about public health, why is it not issued by the health ministry? It’s being issued by the financial ministry. Do they think that we are stupid?

Because this is a way to control your money, Once you have that Green Pass and they have the digital currency, if somebody tells you, Do not leave Milan, and you go on a trip to Bologna, your money won’t work in Bologna. If the government tells you not to buy pizza, they can make it so that your money won’t buy pizza at a pizza store. They can control every aspect of your life.

They tell you that we need a Green Pass to make sure everybody gets vaccinated. But they admit it: the vaccine does not prevent transmission, the vaccine does not prevent you from getting the disease, the vaccine doesn’t stop the pandemic. So why do we need to get vaccinated if the vaccine doesn’t stop transmission?

I’m gonna tell you for two minutes — I’m going to talk about the vaccines. People say I’m against vaccines. I’m not against vaccines. I’m only against bad vaccines.

I’m not going to tell you what Robert Kennedy thinks. I’m going to tell you what Pfizer told the United States FDA.

Pfizer is the company that has an approved vaccine in the United States. And Pfizer was supposed to have a three-year-study, but they cut it to 6 months. And then they gave vaccinations to all of the controls. Why did they do that? Why did they end the study in 6 months? Because they learned that the antibodies disappear in 6 months and the vaccine no longer provides protection. So they had to end it in 6 months. They could not do what they planned (3 years). They took all of their records for that 6 months and they gave them to FDA. The most important table is the table that tells you All Cause Mortality. How many people died in the vaccine group, how many died in the placebo group during that 6-month period. That table is called “s4.” You can all look it up.

Here’s what the numbers say. There were 22,000 in the vaccine group. Over 6 months, one died from COVID. In the placebo group, the control group, there were 22,000 people, two died from COVID in six months. That allowed Pfizer to tell the American public that the vaccine is 100% effective because two is 100% of one.

Most Americans and most Italians when they hear that the vaccine is « 100% effective », what they think is that if they take the vaccine, I have 100% of not dying from COVID. That’s not what it means. What it means is they have give 22,000 vaccines to protect one person from dying of COVID. That means they better make sure that the vaccine itself does not kill one person even, because if it kills one person then you cancel out the entire benefit.

Here’s the important thing. In the vaccine group, 20 people died over 6 months from all causes — 20 people of the 22,000. In the control group, only 14 people died of 22,000. That means that if you take the vaccine, you are 48% more likely to die over the next 6 months than if you don’t.

These are Pfizer’s numbers, not mine. Here’s how the people died. In the control group, one person died of a heart attack over the 6 months. In the vaccine group, 5 people died of heart attacks over the 6 months. That means if you get the vaccine you have a 500% risk of a fatal heart attack within 6 months. It also means that for every one person who is saved from dying of COVID, the vaccine is killing 4 people from heart attacks.

This is not a good public health policy. Public health is supposed to save lives. But this is about control and controlling our society and controlling our children. And the only reason that people don’t understand what I just said and that people still support the vaccine is one reason: the manipulation of fear.

This is simple mathematics. Anybody can look it up. If you look it up you will be more scared of that vaccine than you are of COVID.

But the government and the pharmaceutical companies have a method for turning off people’s brains so that they can no longer do simple mathematics. That device is fear. Fear stops us from exercising critical thinking. It allows us to believe that if we just do what we’re told then that that is the only way to save our lives.

It’s called the Stockholm Syndrome. And the captors, they lock down a whole country for a year, and people become grateful to their captors and think the only way we can leave here alive is if we have absolute obedience.

I’m going to make one more point and that’s this. How many people here have heard of Event 201?

If you haven’t heard of it, you should go look at it on Youtube. Event 201 was a simulation of a corona virus pandemic that occurred in New York City in October 2019. We now know that COVID was circulating in Wuhan on September 12, 2019, so a month later, there is a simulated corona virus pandemic in New York.

The people who came to that were the big social media companies, the media companies, Johnson & Johnson, the biggest vaccine company, and it was hosted by three people: 1) Bill Gates, 2) George Fu Gao who’s the head of the Chinese CDC, and 3) Avril Haines, the deputy director of the CIA.

Avril Haines is today the top number one spy in the United States, She is the head of Joe Biden’s National Security Agency, so she went from Event 201 to becoming the top spy in our country.

Who knew that the CIA is a public health agency? It came as a surprise to me.

Because the CIA does not do public health. The CIA does coup d’états. Between 1947 and the year 2000, the CIA was engaged in 73 coup d’états, most of them against democracies, one-third of the countries in the world. If you look at Event 201, there was no discussion of public health. Nobody was talking about how do we get Vitamin D to all the people? How do we get people to lose weight? How do we make sure they eat good food? How do we repurpose medicines to treat people? How do we quarantine the sick? How do we preserve Constitutional rights? Not a word was said about public health.

Instead, what they were talking about is how do we use the pandemic as a pretext to clamp down totalitarian controls and to deconstruct democracy. They spent one-quarter of the day talking about how to make sure nobody’s allowed to spread the rumor that the coronavirus pandemic is laboratory-generated.

This is October 2019! And they talk about how to lock down the population, how to force them to take experimental vaccines, how to make sure that Black people don’t start resisting. Because in our country, Blacks are very suspicious of the medical establishment, and they were deeply concerned about that resistance.

When I researched my book, what I learned was that this event, Event 201, was not a one-time occurrence. We found 20 separate pandemic simulations beginning in 2000. One thing they had in common — most of them Bill Gates was involved in, Tony Fauci was involved in — but every one of them the CIA was involved in. The CIA wrote the script, high-level CIA officials participated in every one of those pandemic simulations.

And they involved hundreds of thousands of people. They were conducted secretly. They used frontline workers, they were training police, and hospital systems and utilities in Europe, in Italy, in Germany, in Canada, in Australia, all at the same time, to do a response to a pandemic, but it was not a public health response. It was a response to use the pandemic for something else.

So they practiced again and again and again: How to use the pandemic as a pretext for imposing totalitarian controls and for obliterating liberal democracy across the planet.

One of the experiments that they used, they found, is called the Milgram experiment — it was a CIA experiment in 1967 — and what the CIA found is that if a powerful medical official orders people to do something wrong, something that violates their conscience, that violates their basic values, 67% of people will obey authority over their values. And 67% of the people will be hypnotized by fear into obeying a position of authority, a figure of authority. But 33% of the people will not obey. And you are the 33%.

And our job is to go out from here today and reach out to our brothers and sisters, the people who are still hypnotized, and tell them that we are going to fight for their freedom until they are able to fight for it themselves. We need to reach out when we leave here today to all of our brothers and sisters, the 67% who are still hypnotized, and we have to tell them that you need to love your freedom more than you are scared of a germ.

This year we saw the destruction of the American Constitution. That Constitution was written by a group of people who understood that there are worse things than dying. And they put their lives on the front line, their property, their careers, their livelihoods, to fight for freedom, and to fight for those rights that we have lost in the previous 20 months.

And now it’s our job now, it is the job of everybody in this crowd, to go out and fight back, to resist, resist, resist, resist, and to reclaim our government, to reclaim our lives, to reclaim our liberty, for our children, for our country, and for all future generations.

And I can tell you this. I will stand side by side with you, and if I have to die for this, I’m going to die with my boots on.

I adore RFK Jr. and this speech is absolute genius. He has been consistently correct about the pandemic for two years and correct about autism for 20 years. I believe he would make a great President based on this record of insight and achievement. But I confess, I don’t love this dismount. Yes, we are all prepared to die with our boots on. However I want to live and I want to win and enjoy the fruits of our labors. So let’s find a way to make that happen.

Update: There’s video of the speech!

Hat tip to Susan Carlson for the transcript and link to the video!!!

Le Dr Robert Malone : « C’est la plus grande expérience jamais réalisée sur des êtres humains dans l’histoire du monde. » – Traduction (français)

Le Dr Robert Malone, un des inventeurs de la technologie à ARNm appliquée aux vaccins, a accordé cette interview à The New American le 9 novembre. J’ai entrepris le très long et fastidieux travail de la transcrire et de la traduire il y a une semaine, raison pour laquelle je n’ai rien publié depuis. Vous jugerez si l’attente en valait la peine.

Comme le Dr McCullough aux Etats-Unis et le Pr Perrone en France, qui ont tous deux supervisé les programmes d’évaluation des vaccins au niveau national, le Dr Malone est par son travail de chercheur et d’inventeur ce qu’on appelle en anglais un « insider », c’est-à-dire quelqu’un qui fait partie du système – à un niveau assez élevé, d’ailleurs. Ce statut lui donne une vue d’ensemble et un accès à des informations de premier ordre, notamment par les gens avec et pour qui il travaille. Il ne dévoile ici rien de vraiment confidentiel mais les informations qu’il donne à la fin de l’interview vous laisseront – excuse my French – sur le cul…

Il est aussi intéressant aussi de lire son parcours de prise de conscience de la corruption du système dans lequel il évolue. Par contre, on en apprendra ici relativement peu sur lesdits « vaccins » et leurs effets délétères, sujet pour lequel je vous renvoie vers les très nombreuses monographies scientifiques traduites et publiées précédemment sur ce blog.

Source de la page et de la vidéo.

La transcription originale en anglais est ici.

La version audio :


Traduction

Introduction

Dans un entretien exclusif et explosif d’une heure avec Veronika Kyrylenko du New American, le Dr Robert Malone, pionnier de la recherche sur l’ARNm, explique le fonctionnement extrêmement corrompu des organismes de réglementation gouvernementaux qui ont fait preuve d’une mauvaise gestion de la pandémie, évoque les problèmes du programme de vaccination et fait des révélations potentiellement explosives et susceptibles de changer la donne sur les origines obscures de la pandémie de Covid-19 à Wuhan, en Chine.

Qui est le Dr Robert Malone? Alors qu’il travaille au Salk Institute en 1988, le Dr Malone réalise d’importantes découvertes sur la transfection de l’ARN in-vivo et in-vitro. Il poursuit ses travaux sur cette technologie un an plus tard dans la start-up biopharmaceutique Vical, où il mène des expériences complémentaires. Selon sa biographie, « l’ARNm, les structures et les réactifs ont été développés par le Dr Malone à l’institut Salk et chez Vical ». Ses recherches englobent également d’importants travaux sur les vaccins à ADN. En plus de son œuvre fondamentale de développement de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN, le Dr Malone est aussi médecin. Selon sa biographie, le Dr Malone « a reçu sa formation médicale à la Northwestern University (MD) et à la Harvard University (Clinical Research Post Graduate), ainsi qu’en pathologie à l’UC Davis ».

Peu de personnes sont aussi qualifiées que le Dr Malone pour commenter l’évolution de la pandémie de COVID et la campagne de vaccination de masse. Dans cette importante interview, il partage ses idées intimes et réfléchies sur des questions d’importance nationale et internationale.

Source de la bio : https://www.rwmalonemd.com/about-us


Interview

Dr Robert Malone : Nous savons que pour la quasi totalité des personnes qui regardent cette vidéo, le risque de décès ou d’hospitalisation est une fraction d’une fraction d’un pour cent. Pour la plupart d’entre vous, il n’y a aucun risque d’en mourir. En revanche, vous développerez votre immunité naturelle.

Veronika Kyrylenko : En 1986, la pire catastrophe technogène de l’Histoire se produisit lorsqu’un réacteur nucléaire de la centrale de Tchernobyl explosa. En conséquence, des centaines de milliers de personnes furent touchées par des radiations mortelles. Certaines d’entre elles moururent rapidement. Les autres souffrirent de divers cancers, de dommages neurologiques et reproductifs et de nombreuses autres conséquences. Tout comme en Union Soviétique, la santé des gens est sauvagement mise à mal ici en Amérique, en ce moment même. Et tout comme le Parti Communiste, notre establishment politique dit qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter. La vaccination de masse contre le Covid, une maladie dont le taux de mortalité est négligeable pour la plupart des individus en bonne santé, est devenue presque universelle et souvent obligatoire. Mais elle a déjà entraîné de graves répercussions sur la santé des personnes, voire leur mort. Pourtant, le gouvernement semble étrangement peu intéressé par l’analyse de ses propres données relatives aux effets secondaires des vaccins. Au lieu de procéder à une réelle analyse des données, il recourt aux pires tactiques autoritaires à l’encontre des personnes courageuses qui expriment la vérité et tentent de prévenir leurs concitoyens des risques associés aux vaccins.

Aujourd’hui, nous avons le privilège de nous entretenir avec l’une de ces personnes extraordinaires, le Dr Robert Malone, un des inventeurs de la technologie ARNm. L’un des professionnels les plus qualifiés et aussi les plus méprisés au monde, qui partage des informations scientifiques sur le Covid, les risques des vaccins, les traitements précoces et les personnes qui élaborent la stratégie de lutte contre la pandémie. Dr Malone, merci beaucoup de nous accueillir aujourd’hui. C’est un plaisir.

Dr Robert Malone : Merci d’être venue et de passer la journée avec nous.

Veronika Kyrylenko : Docteur, si vous le voulez bien, j’aimerais commencer par quelques notions de base. La campagne de vaccination de masse contre le Covid a commencé en mars de cette année et, bien sûr, la plupart des gens n’avaient aucune idée de ce que sont ces vaccins et de ce qu’est la technologie ARNm. Ils se sont donc naturellement tournés vers les sources officielles pour obtenir des informations. Les sites web des CDC décrivent la technologie comme suit : l’ARNm pénètre dans le muscle de l’épaule, y reste et instruit nos cellules sur la manière de produire une partie du virus, qu’ils qualifient de particule inoffensive, à savoir une protéine de pointe du virus qui déclenche la réponse immunitaire. Ensuite, nos cellules décomposent l’ARNm et s’en débarrassent quelques jours après la vaccination. Puisque nous savons que vous n’avez pas participé au développement des vaccins Covid, est-ce une description correcte de la technologie dont vous êtes le pionnier?

Dr Robert Malone : Dans l’ensemble, c’est assez bien dit, c’est une évaluation assez précise sous une forme très simplifiée. Je ne suis pas sûr de la durée de vie de l’ARN. Dans cette déclaration, si c’est bien ce qu’ils affirment, il n’y a pas de données pour étayer cette affirmation, à savoir combien de temps l’ARN reste présent. Il y a un certain nombre [d’affirmations fausses], évidemment la proposition selon laquelle la protéine de pointe est inoffensive est également fausse, démontrablement fausse. C’est un mensonge, encore un de ces pieux mensonges. L’idée qu’elle se contente de rester dans le muscle du bras est aussi clairement un mensonge. Quiconque a examiné le dossier réglementaire des autres produits Pfizer sait que ce n’est pas vrai. Donc, si nous leur accordions le bénéfice du doute, nous pourrions dire qu’il s’agit d’un autre exemple de la politique des pieux mensonges anodins, c’est-à-dire que l’on ne dévoile pas tous les faits au public, on leur raconte une histoire simplifiée, structurée de manière à ce que tout semble rassurant.

Veronika Kyrylenko : Vous dites donc que l’ARNm ne reste pas dans le muscle. Il se propage au-delà. Il voyage vers d’autres organes, dans tout le corps et ce fait est connu – et nous savons d’une étude de 2017 publiée dans Modern Publication [NdT. sorry, pas retrouvé l’étude] que le vaccin antigrippal à nanoparticules liquides, basé sur la technologie ARNm, circulait en fait dans tout le corps. Par ailleurs, le gouvernement japonais a mené une étude sur la biodistribution des vaccins Pfizer, qui montre que la protéine de pointe a été identifiée dans d’autres organes du corps humain. Cette étude mentionne les ovaires, la rate et le foie. N’était-ce pas là le signal pour arrêter immédiatement la campagne de vaccination?

Dr Robert Malone : Ok, je vais revenir un peu sur ce que vous venez de dire parce qu’il est important de bien préciser les détails. Et ce à quoi vous faites référence, je crois, est ce que l’on appelle le document technique commun [CTD – common technical document]. Il s’agit d’un dossier d’information soumis par Pfizer à diverses autorités gouvernementales de réglementation. Ce n’est donc pas le gouvernement japonais qui a réalisé une étude, mais plutôt l’autorité de réglementation japonaise qui a divulgué un document de Pfizer. Et la nuance qu’il est important de comprendre est que nos politiques ici aux États-Unis concernant la FDA et celle de l’Agence Européenne des Médicaments est que ces documents qui sont soumis par le développeur du produit…

Veronika Kyrylenko : Je crois que c’est l’étude menée par ces autorités gouvernementales de réglementation qui a trouvé…

Dr Robert Malone : Il s’agissait d’une étude Pfizer soumise aux autorités de réglementation, puis obtenue par Byram Bridle et d’autres. J’ai été parmi les premiers à l’analyser.

Veronika Kyrylenko : Bien, merci d’avoir apporté cette précision. C’est très important.

Dr Robert Malone : Le fait qu’il s’agisse de Pfizer est important. Et ce que ça a révélé, c’est que les autorités de réglementation partout dans le monde ont laissé Pfizer soumettre un document grossièrement incomplet pour justifier les études cliniques en cours concernant ce que nous appelons maintenant le Comirnaty – ou Comirnaty, je ne sais pas comment le prononcer, le produit BioNTech. Dans cette série d’études, ce qui m’a choqué, et ce qui a choqué beaucoup d’autres personnes qui les ont examinées – encore une fois, il s’agit d’un document soumis par Pfizer qui a servi de base pour autoriser l’utilisation de ce produit dans le monde entier – c’est que les autorités de réglementation ont permis à Pfizer de reprendre des données qui n’avaient pas été établies dans le cadre de ce vaccin, qui avaient été établies à d’autres fins. Elles ne répondaient pas aux exigences réglementaires standard en matière de rigueur, de soin apporté aux études. Ils n’ont pas respecté les normes visant à garantir que les études étaient menées de manière bien contrôlée, ce qui est systématiquement requis pour les essais cliniques, et ils ont permis à Pfizer d’utiliser des données qui avaient été établies avec d’autres ARN à d’autres fins, dans d’autres formulations – il ne s’agit pas de la formulation finale du produit – et de les soumettre, au lieu de fournir le travail exigé, qui a toujours été requis pour les vaccins depuis le début de ma carrière et pour lequel le monde entier s’accorde à dire que c’est la manière dont les études sont censées être menées. Les autorités de réglementation du monde entier ont pour ainsi dire accordé à Pfizer l’autorisation de soumettre, disons-le, des données de merde qui ne se rapportaient pas au vaccin proprement dit et de les utiliser pour justifier la poursuite des études sur l’être humain.

Ensuite, en ce qui concerne les études de biodistribution, auxquelles vous faites allusion en particulier, elles n’ont pas été réalisées correctement et elles ont été menées avec d’autres ARN, y compris l’ARN codant la protéine qui fait briller la queue de la luciole, sujet sur lequel beaucoup de gens se sont emballés, le nom de cette protéine étant luciférase. Alors oui, cela fait référence au Diable d’une certaine manière, mais en fait, c’est une protéine dont j’ai été le pionnier de l’utilisation chez les animaux dans les années 80, lorsque je travaillais chez Salk, et c’est juste ça, la protéine qui fait briller la queue de la luciole, qui produit de la lumière, ce qui est facile à détecter. Mais ce n’est pas l’ARN du vaccin.

Ce qu’ils ont fait dans les études auxquelles vous faites référence, c’est qu’ils ont examiné la distribution des lipides. Il y a des lipides qui entourent l’ARN et qui lui permettent de se glisser dans les cellules. Ces lipides sont synthétiques, ils sont produits en laboratoire, ce ne sont pas des produits naturels, ce ne sont pas des produits que le corps rencontrerait en temps normal. Il s’agit d’une « nouvelle entité chimique », pour employer les termes officiels. En règle générale, lorsqu’il s’agit d’une nouvelle entité chimique que l’on entend injecter à des milliards de personnes, des études rigoureuses sont menées sur sa sécurité, sa biodistribution, sa durée de vie et la possibilité qu’elle endommage l’ADN (génotoxicité) ou la capacité des animaux à se reproduire (toxicologie de la reproduction). C’est ce qui devrait normalement être exigé.

Ce qu’ils ont en fait réalisé, ce sont des expériences très superficielles et mal contrôlées. Elles ne répondaient pas aux normes en vigueur et ne portaient pas sur le produit pharmaceutique lui-même. Ce que les études ont montré chez les rongeurs, c’est que lorsqu’elles sont injectées dans un muscle chez ces rongeurs, les particules se propagent dans tout le corps, elles ne restent pas en place, certaines oui mais beaucoup d’entre elles se diffusent à d’autres endroits, et ils ont cherché à [détecter] la protéine produite par l’ARN – qui serait similaire à l’antigène – mais ils n’ont pas recherché la protéine de pointe parce qu’ils n’utilisaient pas l’ARNm de la protéine de pointe, ils utilisaient la luciférase de l’ARN lumineux de la luciole, ils recherchaient donc une production de lumière dans les différents organes et ils ont également cherché à savoir où la partie lipidique se diffusait. Les lipides vont dans l’ovaire et c’est l’une des choses qui a fait dire à beaucoup de gens « Il faut que cela soit suivi, il faut des tests plus rigoureux », ce qui n’a pas été fait. Apparemment, on ne les a jamais contraints à le faire.

Singulièrement, dans le cas de l’utilisation de la protéine luciférase, il existe de nombreuses façons différentes de détecter cette protéine. Et pour la détecter de manière très sensible, si on veut vraiment déterminer où la protéine est exprimée, il faut disséquer – après avoir sacrifié l’animal – tous les différents tissus et faire un test en tube à essai très sensible. On peut ainsi détecter exactement la quantité de protéines fabriquées dans tous les différents tissus du corps – le cerveau, les gonades, etc. Ce n’est pas ce qu’ils ont fait. Ils ont utilisé le test le moins sensible, c’est-à-dire qu’ils ont pris l’animal entier, ils ont injecté le substrat dans l’animal, puis ils ont observé la quantité de lumière qui traverse les tissus de l’animal en plaçant une caméra au-dessus de l’animal. Et vous comprendrez que ce sont des photons – vous avez une certaine formation scientifique, vous parliez de radiations. Les photons sont donc diffractés et la lumière détectée par la caméra au-dessus de l’animal ne provient que des zones qui présentent des niveaux élevés d’expression de la luciférase. Ils ont donc biaisé les résultats en utilisant le test le moins sensible. C’est en fait un tour de passe-passe qu’on utilise pour réussir à se faire publier, à avoir sa photo en couverture d’un magazine scientifique, mais ce n’est pas une méthode quantitative.

Je trouve incroyable et scandaleux de voir ce qui a été autorisé à passer, et je suis perplexe. Le fait que les organismes de réglementation du monde entier se soient laissés berner par les données de Pfizer est profondément décourageant, car cela signifie que les contrôleurs censés veiller à ce que vous et moi soyons protégés, à ce que votre santé reproductive soit protégée, à ce que la santé de nos enfants soit protégée, n’ont pas fait leur boulot. On ne peut pas le dire autrement.

Veronika Kyrylenko : Docteur, mais nous dépensons je ne sais combien de millions par an pour payer leurs salaires à la FDA et au CDC. Les meilleurs experts du monde, j’imagine, y travaillent. Et ils ont dû examiner ces données et y constater toutes ces irrégularités, ils ont dû voir qu’elles étaient grossièrement incomplètes et ils les ont quand même laissé passer?

Dr Robert Malone : Rappelez-vous que ce n’était pas seulement la FDA et le CDC. Il y avait aussi l’Agence Européenne des Médicaments, les autorités de réglementation japonaises. Mais il y a – encore une fois, pardonnez-moi de vous corriger – mais il y a certaines hypothèses dans ce que vous avez dit, vous avez dit les meilleurs experts du monde. Et ce n’est plus ce qu’on trouve dans ces agences de réglementation.

Veronika Kyrylenko : Oui, on pourrait le penser.

Dr Robert Malone : On pourrait l’espérer, n’est-ce pas? On pourrait espérer pouvoir compter sur eux ou que, si quelqu’un comme moi appelle Peter Marks au CBER, la branche qui contrôle l’homologation des vaccins, pour discuter avec lui de cette découverte et de ce qui a été observé concernant ce produit, Peter Marx se dise « Je ferais peut-être mieux d’écouter ce type, il a peut-être quelque chose à dire. Et je devrais y prêter attention parce que c’est lui qui a mis au point cette technologie et qu’il a peut-être un avis à donner. » J’ai donc passé cet appel, j’ai eu cette conversation téléphonique et Peter m’a assuré que tout serait réglé, qu’il n’y avait aucun signal de sécurité à redouter et que je devais juste lui accorder le temps de laisser le processus normal suivre son cours. Ils ont donc complètement… et j’ai d’autres amis à la FDA que j’avais alertés sur les risques potentiels de la protéine de pointe et cette information en provenance de ces personnes de second rang, qui sont de solides scientifiques que je respecte, a remonté la chaîne de commandement et la FDA en a été pleinement informée. Et ils ont estimé que ce que je leur indiquais n’était pas un signal significatif et qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter.

J’ai donc fait mon travail en disant « Hé les gars, soyez attentifs à ces questions, s’il vous plaît » et la réponse que j’ai reçue a été en gros « Dégage, nous savons ce que nous faisons ». Mais la vérité est qu’ils ne disposent pas d’experts dans ce type de technologie et que tout ce dont ils disposent, ce sont des check-lists. Vous présumez – par exemple, parlons un peu de la FDA – vous présumez qu’il y a là un niveau de compétence élevé. La vérité est qu’ils sont payés environ 80% du salaire moyen. Et les personnes qui travaillent à la FDA à Rockville font partie d’un marché de l’emploi très bien payé. On se retrouve donc avec des gens qui sont pour la plupart de second ordre. S’ils pouvaient gagner beaucoup d’argent en travaillant pour Pfizer, ils le feraient. Et beaucoup d’entre eux le font quand ils partent, comme l’ancien commissaire de la FDA, Gottlieb.

Veronika Kyrylenko : C’est exact.

Dr Robert Malone : Il y a là une véritable porte tournante, et le jour où ils partent, ils s’en servent. Mais la plupart des gens opérationnels, ceux qui examinent ces documents, ne sont pas des scientifiques de haut niveau. Ce sont souvent des diplômés étrangers, pas formés aux États-Unis. Je ne veux pas être péjoratif à l’égard des scientifiques d’autres cultures, mais ils sont là et l’anglais n’est pas leur première langue. Et la manière dont la FDA travaille est la suivante : elle dispose de check-lists et elle a appliqué la check-list des vaccins en partant du principe qu’il s’agit d’un produit plus traditionnel – une protéine purifiée injectée avec un adjuvant. Elle n’a pas appliqué la check-list de la thérapie génique, alors qu’il s’agit en fait d’une technologie de thérapie génique appliquée à la formulation de vaccins. Les mesures qu’ils auraient dû normalement prendre pour toute technologie de thérapie génique n’ont pas été prises parce qu’ils se sont dit « Oh, c’est un vaccin ».

Nous présumons donc qu’il y aurait là une connaissance approfondie et nous imaginons des scientifiques se penchant sur ces questions difficiles. En réalité, ce sont plutôt des personnes opérationnelles. Vous avez parlé de la Russie et vous savez ce qu’est une bureaucratie, et c’est ce à quoi nous avons affaire, c’est un environnement bureaucratique guidé par des check-lists et une administration qui les pousse au derrière. Il s’est produit une fracture quand la FDA a perdu son indépendance. Une autre de vos hypothèses de base est que c’est nous qui payons les gens qui procèdent à ces contrôles. Ce n’est plus vrai. Ils travaillent pour l’industrie pharmaceutique. Ils sont payés par l’industrie pharmaceutique. C’est pour elle qu’ils travaillent. C’est de là que vient leur argent.

Comment en est-on arrivés là? Les lobbyistes de l’industrie pharmaceutique ont convaincu le Congrès qu’ils ne devaient plus faire payer les évaluations de la FDA par les contribuables américains. Ils devaient faire supporter tous ces frais à l’industrie. L’industrie a été très heureuse de payer, car aujourd’hui la FDA travaille pour l’industrie. Je vous remercie donc pour vos commentaires. Vos commentaires sont révélateurs de certaines croyances très répandues chez la plupart des gens sur le fonctionnement de ce processus, mais la réalité est tout autre. C’est ce que nous avons laissé se produire aux États-Unis – et le monde, comme vous l’avez dit, croit, a cru jusqu’à aujourd’hui que la FDA et le CDC représentent le summum de l’intégrité dans les domaines des réglementations et de la surveillance de la recherche sur les produits cliniques.

Je vais vous raconter une histoire. Il y a quelques semaines, j’étais au Portugal dans le cadre d’un colloque réunissant des scientifiques, des médecins, des politiciens et des leaders d’opinion. Nous avons organisé une table ronde. Nous avons pris les questions et réponses du public, environ 50 personnes sélectionnées. Une dame au premier rang m’a dit : « Nous avons toujours cru, nous autres Portugais, que la FDA et le CDC constituaient la référence en matière de recherche, d’intégrité et de science. Et nous avons finalement compris qu’ils sont bel et bien corrompus. » Et quand elle m’a dit ça, ça a fait tilt. Je ne l’avais jamais envisagé sous cet angle et parfois, comme vous le savez, la véritable sagesse vient des gens ordinaires. Quand elle a dit ça, j’ai compris ce qui s’était passé. Qu’en fait, elle a tout à fait raison et que ce que nous avons permis de se dérouler ici aux États-Unis est un processus. Nous le décrivons par le terme « capture réglementaire ». Mais ça banalise le phénomène. Nous avons permis à l’industrie, par le biais de multiples organismes de réglementation, de contrôler l’ensemble du processus décisionnel. Il y a des exemples, que tout le monde comprendra, comme celui du Département Américain de l’Agriculture. Le Département Américain de l’Agriculture est sous la coupe d’anciens dirigeants de Monsanto depuis plus d’une décennie et ce sous plusieurs administrations. Parce que le Département Américain de l’Agriculture a deux missions : réglementer l’agriculture et promouvoir l’agriculture, et c’est la promotion de l’agriculture qui est devenue la mission prioritaire. La promotion de Big Ag.

Un autre exemple que tout le monde comprendra : vous vous souvenez du 737 Max? Quel fiasco. Des gens sont morts, c’était clairement un système dysfonctionnel. L’administration fédérale de l’aviation, dont nous pensions qu’elle nous protégeait et assurait notre sécurité, a subi une capture réglementaire par Boeing. Parce qu’elle a la responsabilité de réguler l’aviation et de promouvoir l’aviation et les voyages.

Venons-en maintenant au CDC. Le CDC a deux missions principales relatives aux vaccins : la promotion de la prise de vaccin et la supervision de la sécurité des vaccins. Et la plupart de l’argent qu’ils perçoivent dans le cadre de cette épidémie sert à promouvoir les vaccins, de sorte que les personnes censées surveiller la sécurité sont sous-financées. Il n’est donc pas surprenant qu’ils ne disposent ni du personnel, ni du temps, ni des effectifs, ni des capacités nécessaires pour analyser les signaux de sécurité. Mais les responsables de la promotion sont omniprésents dans les médias et interviennent sur CNN et dans tous les autres médias.

Ensuite, venons-en à la FDA. Comme je viens de le dire, l’industrie a convaincu la législature américaine de faire supporter les coûts de la réglementation des médicaments par l’industrie pharmaceutique. Ce qui me rappelle, je ne sais pas si vous connaissez l’histoire de Frère Lapin et du carré de bruyère. C’est une histoire classique du Sud américain. Frère Lapin est un personnage qui se fait capturer et qui va être mangé par le loup. Il dit au loup : « Ne me jette pas dans ce carré de bruyère, ce serait horrible ». Et en fait, c’est là que vit Frère Lapin, dans le carré de bruyère. C’est pareil pour l’industrie pharmaceutique qui dit, « Ne nous faites pas payer » et qui fait main basse sur la FDA. C’est à peu près la situation dans laquelle nous nous trouvons et franchement, nous les avons laissés faire. La question est de savoir ce que nous pouvons faire maintenant et je ne le sais pas.

Veronika Kyrylenko : En fait, c’était ma question suivante. Quand et comment devons-nous intervenir, car il est clair, comme vous le dites, que le gouvernement, le CDC et la FDA sont si profondément corrompus qu’ils sont prêts à s’engager avec ce vaccin dans ce qui est en fait une expérimentation humaine.

Dr Robert Malone : Vous avez tout à fait raison. Il s’agit de la plus grande expérience menée sur les êtres humains dans l’histoire du monde et elle est menée par, elle est soutenue par une structure de réglementation qui n’est pas conçue pour nous protéger. Elle est conçue pour protéger l’industrie pharmaceutique et promouvoir l’industrie pharmaceutique. Et cette industrie pharmaceutique aux États-Unis, qui nous facture beaucoup plus d’argent qu’à la plupart des autres nations – le coût de nos médicaments est énorme par rapport à celui pratiqué dans la majorité des nations – elle génère tous ces revenus et les utilise comme une arme pour contrôler notre législature et nos organismes de réglementation.

Que faisons-nous à partir de là? Il y a une réponse à court terme et une réponse à long terme. Permettez moi d’élaborer ma pensée sur ce sujet. A court terme, nous sommes tous confrontés à ce problème. Nous sommes contrôlés par la peur. C’est un autre élément de contrôle, les médias sont maintenant tous achetés, les médias traditionnels. Nous sommes bombardés en permanence par des messages de CNN, du New York Times, du Washington Post et de tous les médias classiques qui nous disent à quel point ce virus est horrible et que nous allons tous mourir si nous sommes infectés.

Quand je fus infecté à la fin du mois de février 2020, alors que je travaillais sur les données et que je savais exactement ce qui se passait en Chine, je croyais que j’allais mourir. Mais le temps a passé. Nous disposons maintenant des statistiques. Nous savons que pour la quasi totalité des personnes qui regardent cette vidéo, le risque de décès ou d’hospitalisation est une fraction d’une fraction d’un pour cent. Pour la plupart d’entre vous, il n’y a aucun risque d’en mourir. En revanche, vous développerez votre immunité naturelle. Nous devons donc combattre cette peur. Et concernant nos enfants, si vos enfants sont par ailleurs en bonne santé, ils ont pratiquement zéro pour cent de risque d’être hospitalisés ou de mourir de ce virus. Leur système immunitaire est très robuste. Nous devons donc lutter contre cette peur et en réalité, nous allons voir le Delta Plus se répandre dans la population mondiale cet hiver.

Veronika Kyrylenko : Le Delta Plus?

Dr Robert Malone : Le Delta Plus. Je reviens tout juste d’Hawaï et pour illustrer mon propos, il y a deux cocktails d’anticorps monoclonaux disponibles aux États-Unis à l’heure actuelle comme traitement précoce. L’un d’eux est produit par Regeneron, l’autre par d’autres sociétés. Le gouvernement fédéral a informé le Service de Santé Publique d’Hawaï qu’il n’autoriserait plus l’importation de l’autre préparation d’anticorps monoclonaux à Hawaï parce qu’elle n’est pas active contre le Delta Plus et que plus de cinq pour cent des cas hawaïens sont maintenant des Delta Plus. Ils n’autorisent l’État de Hawaï qu’à acheter le cocktail Regeneron, car l’autre n’est plus efficace. Pourquoi? Parce que le virus a évolué pour échapper à ces anticorps, tout comme il a évolué pour échapper à ces vaccins. Ces vaccins sont destinés à un virus qui ne circule plus. Ils sont ce qu’on appelle mal assortis.

Donc le fait est que ce virus évolue rapidement, Delta Plus arrive, il va se répandre dans nos populations, qu’allons-nous faire? Parce que c’est là qu’on en est. Ce qui arrive à présent est en quelque sorte un combat de rue et comment protéger vos enfants? Comment protéger mes petits-enfants? Comment protéger nos aînés en particulier? Les personnes à haut risque. La seule réponse que je puisse apporter, ce n’est pas par la prise d’un vaccin, ce n’est pas par la prise d’une troisième injection qui a toute une… Chaque fois qu’on reçoit une nouvelle injection, on court tous les risques associés à cette injection, avec en plus le risque de supprimer la réponse immunitaire. Il existe une suppression à court terme et une suppression à long terme. Le problème n’est pas aussi simple qu’on nous le dit.

Donc nous devons nous unir et trouver les solutions qui nous protégeront au cours des prochains mois. Je pense qu’il existe des moyens d’y parvenir, mais ils doivent être ancrés dans la communauté. Les gens doivent recevoir des informations et vous y contribuez, avec ce que vous faites. Mais ils peuvent consulter les différents sites Web consacrés au traitement précoce et trouver ces informations. Il existe des médicaments en vente libre qui, si on les prend à temps, permettent d’éviter l’hospitalisation. Ce qui doit être fait, c’est d’empêcher les gens de se retrouver à l’hôpital. Et il y a de nombreux médecins – le Dr Zelenko a beaucoup de mérite pour avoir été l’un des premiers – il y a deux médecins dans l’Imperial Valley en Californie, ils sont tous deux âgés, ils travaillent bien au-delà de ce que… Ils devraient tous deux être à la retraite à présent. Et ils ont sauvé des milliers et des milliers de personnes dans l’Imperial Valley en Californie, en grande partie des pauvres, en grande partie des ouvriers agricoles – ça n’en fera pas des hommes riches – en mettant à disposition des protocoles de traitement précoce, il y a de très bons protocoles de traitement précoce par étapes.

Nous devons mettre en place des réseaux qui nous permettent d’appeler les gens de notre communauté et de nous assurer qu’ils vont bien. Parce que l’une des grandes tragédies, c’est de voir des personnes âgées affaiblies, sans accès à l’information, à Internet. Elles tombent malades, elles tentent de se faire hospitaliser et l’hôpital leur répond « Vous n’êtes pas encore assez malade, rentrez chez vous et attendez d’être encore plus malade ». Méditez donc là-dessus. « Rentrez chez vous et tombez encore plus malade, puis revenez quand votre corps sera vraiment endommagé et là, nous vous admettrons. En attendant, bonne chance, démerdez-vous. Tenez-nous au courant. » Et ces personnes âgées rentrent chez elles. Elles sont seules, elles sont socialement isolées et elles meurent seules. C’est une véritable tragédie. Trouvons donc les moyens de garder le contact avec ces personnes, de les suivre, de nous assurer qu’elles sont appelées, qu’elles ont accès à certains de ces médicaments d’intervention précoce, que tout le monde est informé – et nous ne pouvons pas compter sur le système actuel des grands médias pour fournir ces informations. Ils nous ont complètement lâchés.

Mais il y a certaines choses à faire. Premièrement, ne pas avoir peur. Deuxièmement, s’informer, trouver les informations. Troisièmement, s’organiser localement pour assurer un soutien à sa communauté afin que ces personnes ne se retrouvent pas seules. Je pense que si nous y parvenons, nous pourrons surmonter la prochaine vague.

Mais à long terme, la seule solution est de nature politique et juridique. Le gouvernement est maintenant hors la loi. Ils commettent des actes contraires à la loi et ils s’en moquent. Ils croient que… Je ne sais pas ce qu’ils croient mais forcer les gens à accepter un produit médical expérimental est illégal. C’est dans la loi fédérale, nous appelons ça la règle commune, ce n’est pas légal. Forcer les militaires à recevoir un produit non homologué et le ré-étiqueter, en le désignant comme un produit homologué – […] les militaires viennent me voir pour me dire que c’est ce qu’ils voient. Il existe une loi selon laquelle l’armée ne peut administrer de vaccins non homologués à son personnel. Cette loi découle de ce qui s’est passé lors de l’opération Tempête du Désert et des injections de vaccin contre l’anthrax, qui ont causé des dommages à de nombreux militaires. Ils ne sont pas autorisés à administrer des produits non homologués. Le Président leur ordonne donc de vacciner les troupes avec un produit non homologué.

Il y a maintenant un colonel au Pentagone – qui va bientôt prendre sa retraite, donc il est tranquille, c’est pour cela qu’ils l’ont choisi – ils ont demandé à un colonel d’écrire une série d’ordres complètement illégaux selon lesquels tout le personnel militaire doit être vacciné avec un vaccin non homologué, ce qui est illégal. En fait, ils disent au personnel militaire « Nous vous donnons le vaccin autorisé, le Comirnaty », mais ce vaccin n’existe pas. Et l’autre méthode consiste à prendre le vaccin Pfizer et à l’étiqueter en l’appelant Comirnaty – ce qui est d’ailleurs un crime. Ils s’en fichent. La loi n’est plus pertinente. Notre gouvernement est totalement incontrôlable.

Et le problème est que – les avocats se battent contre ça […] comme contre toutes ces obligations dans l’industrie et l’université que le gouvernement les force à appliquer en leur disant « Bon, si vous ne vaccinez pas votre personnel – imaginons que vous êtes directeur d’hôpital – si vous ne vaccinez pas les personnes qui travaillent dans votre hôpital, nous cesserons de vous indemniser pour Medicare et Medicaid. Nous vous mettrons en faillite financièrement. » Si vous êtes un leader académique, si vous êtes le président de l’université, on vous dit : « Si vous n’obligez pas tous vos enfants, vos étudiants, à se faire vacciner, nous vous retirerons vos subventions et vos contrats fédéraux. » Une nouvelle politique a été mise en place par le NIH, selon laquelle si vous voulez bénéficier d’une subvention ou d’un contrat fédéral, vous êtes tenu de faire vacciner tout le monde. C’est comme ça qu’ils s’y prennent. Ils le font par la coercition financière. Et ils le font à tous les niveaux.

Et le problème auquel tous ces universitaires et ces entreprises vont être confrontés est que dans toute cette chaîne, les fabricants de vaccins ont été exemptés, le gouvernement est protégé, ils ne porteront aucune responsabilité financière. Les gens vont subir des dommages et des préjudices. Cela ne manquera pas d’arriver. Et ils ont très peu de recours pour obtenir une compensation pour leurs dommages, pour une hospitalisation ou autre. Qui vont-ils poursuivre? Le seul groupe dans cette chaîne qui ne soit pas exempté est celui des présidents d’université et des dirigeants d’entreprise, etc. L’expression utilisée, dans le milieu de Wall Street, est « Qui portera le sac ? » Ce sont ces personnes qui vont devoir assumer la responsabilité légale et je peux vous dire que les avocats sont sur les rangs. Ce sera une véritable ruée vers l’or pour les avocats. Je prédis qu’à un moment donné, nous verrons des publicités sur CNN où à la place de « Prenez votre livre sur le mésothéliome »[NdT. le cancer du poumon prétendument causé par l’amiante, qui a donné lieu à des procès et des compensations énormes], on dira « Prenez votre livre sur les dommages causés par le Covid ». Les avocats vont s’en donner à cœur joie. Le problème est qu’une fois que ces précédents légaux seront établis, il faudra un an ou deux. Cela montera jusqu’à la Cour Suprême et ces grandes organisations devront faire face à des recours collectifs en masse.

Par ailleurs, il semble qu’il y ait un processus clair de suppression des options de traitement précoce de la part de membres du gouvernement, ce qui m’apparaît très clairement vu les personnes avec qui je traite et les informations auxquelles j’ai accès. Et nous savons que pour ces différents médicaments, l’hydroxychloroquine, l’ivermectine et d’autres, il a été élaboré une stratégie pour les délégitimer, comme nous l’avons constaté. Cela s’est manifesté de la manière la plus évidente dans l’affaire de l’ivermectine décrite comme un médicament pour chevaux, cette énorme campagne médiatique. Et rappelez-vous qu’elle a été finalisée sur les médias sociaux de la FDA par un tweet rédigé dans un langage péjoratif typiquement Sudiste : « Vous ne savez pas que l’ivermectine est un médicament pour les chevaux, les gars? », voilà en gros ce qu’ils ont écrit. C’était vraiment dégradant pour les gens de mon entourage, ici en Virginie et dans le Sud. C’était totalement déplacé. Dans un courriel, Janet Woodcock félicite la personne qui a écrit ce tweet, ce qui a déclenché toute une tempête médiatique relayée par Rachel Maddow [NdT. présentatrice hystériquement pro-démocrate et en ligne avec le gouvernement] et d’autres, qui ont propagé ce narratif grossièrement faux selon lequel l’ivermectine est un médicament pour les chevaux.

Comme je me plais à le dire dans les rassemblements et autres, je vais le dire à votre audience. Il existe un autre médicament dont des articles récents ont clairement démontré l’efficacité lorsqu’il est administré pour traiter le Covid à un stade précoce. Et c’est un médicament pour chevaux, c’est un autre médicament pour chevaux. Il est utilisé par les vétérinaires pour les chevaux et pour les chiens. Il s’agit de l’aspirine.

Veronika Kyrylenko : Voilà qui est surprenant.

Dr Robert Malone : Je suis sûr qu’on va voir l’aspirine disparaître des rayons, mais nous savons tous que l’aspirine est très efficace pour aider à lutter contre la coagulation du sang. Et l’un des problèmes de ce vaccin est qu’il déclenche des caillots sanguins. Tout comme la maladie elle-même. Et il s’avère que l’aspirine est efficace. Le médicament dont j’ai été le pionnier, le médicament contre l’acidité de l’estomac vendu sous le nom de Pepcid est tout aussi efficace. Le nom scientifique est famotidine, c’est son nom chimique, et nous avons maintenant démarré des essais cliniques, financés par le Département de la Défense, des essais cliniques massifs pour la combinaison du Pepcid et du Celebrex. Le Celebrex est un médicament contre l’arthrite, également appelé celecoxib, et il existe de bonnes bases scientifiques pour justifier l’utilisation de ces deux médicaments en tandem pour traiter cette maladie, à la fois en consultation externe et en hospitalisation. Et la FDA nous a donné son feu vert. Le Département de la Défense insiste sur le fait que tout ce qui concerne la réaffectation des médicaments doit être fait dans les règles. Nous avons donc suivi leur ligne, il nous a fallu un an et demi pour y arriver, mais nous sommes en phase de lancement [des essais].

Ce à quoi je veux en venir, c’est qu’il existe un certain nombre de ces médicaments réaffectés et que nous avons assisté à une attaque coordonnée des médias grand public, soutenue par l’industrie pharmaceutique et validée par la FDA, le CDC et le NIH, pour éliminer ces médicaments réaffectés qui sont hors brevet, incroyablement bon marché, mais qui sont en concurrence avec les médicaments que Tony Fauci met en avant et qui sont développés en grande partie avec l’argent des contribuables par Pfizer et Merck. Et vous remarquerez l’absence de promotion de la part du gouvernement fédéral pour les cocktails d’anticorps monoclonaux. Fait fascinant, Ron DeSantis s’en est fait le défenseur, comme vous vous en souvenez, et qu’a fait le gouvernement en réponse à ses résultats positifs en Floride? Ils ont dit « Nous allons vous restreindre la disponibilité de ces monoclonaux » Wow! Ça n’a aucun sens! Comme je l’ai dit, il y a une myriades de preuves de corruption profonde. Mais il y a des traitements précoces disponibles, ils sont bon marché, ils sont efficaces, mais il faut les impliquer le plus tôt possible.

Dernier point essentiel à souligner : il n’y a aucune raison de vacciner les enfants. Aucune. Il n’y a aucun avantage pour les enfants. À l’exception de ceux qui ont une maladie préexistante sévère, il y a environ 400 enfants qui sont morts avec le Covid, ce qui ne veut pas dire qu’ils sont morts du Covid, depuis le début de l’épidémie. Chacun d’entre eux présentait des problèmes médicaux préexistants sévères. Pour les enfants normaux et en bonne santé, qui ne sont pas atteints d’obésité morbide, de mucoviscidose ou d’autres maladies préexistantes, le risque d’être hospitalisé ou de mourir de cette maladie est, comme je l’ai dit, nul. Mais leur risque d’avoir des dommages cardiaques est environ six fois plus élevé que le risque lié au virus lui-même. C’est encore minime, ne vous effrayez pas, mais ça arrive. Et les dommages cardiaques ne disparaissent pas. Ils ne guérissent pas. Il y a des lésions. Pourquoi faut-il s’en soucier? Le coeur garde des cicatrices. Ces cicatrices créent des petites zones dans le coeur. Elles conduisent l’électricité différemment. Ce qui se traduit en langage courant par un risque accru d’arythmies cardiaques. Les arythmies cardiaques provoquent la fibrillation auriculaire et la fibrillation ventriculaire. Elles peuvent entraîner une mort soudaine, car le cœur cesse de fonctionner du fait qu’il ne bat pas de manière uniforme. Nous savons qu’il existe un risque de cicatrisation du cœur. Donc quand vous entendez le CDC raconter « Oh, c’est une myocardite légère qui est passée par l’hôpital », une myocardite légère chez un enfant, ça n’existe pas. Ça n’arrive jamais. Ça n’arrive qu’après ces vaccins et dans une certaine mesure après le virus lui-même. Donc il n’y a aucune raison de vacciner les enfants. Ne le faites pas.

Veronika Kyrylenko : Hier, la FDA a approuvé les vaccins Pfizer pour les enfants à partir de 5 ans.

Dr Robert Malone : D’un comité infiltré, dont 7 des 11, ou 12 au total, ne s’abstiendront pas, 7 d’entre eux avaient des liens démontrables avec Pfizer. Le système est profondément corrompu.

Veronika Kyrylenko : Une autre preuve que le système est corrompu, avant même que la FDA ne se réunisse, l’administration Biden avait annoncé officiellement la semaine dernière qu’elle avait acquis 28 millions de doses de vaccins Pfizer pour enfants avant même qu’ils ne soient approuvés. Avant même que le comité ne soit saisi.

Dr Robert Malone : C’est un tribunal fantoche. Vous nous avez parlé de votre passé en Ukraine et en Union Soviétique, c’est ce qui vous a amenée ici. Et en tant qu’individu, vous avez vécu personnellement dans ce genre de système. Et j’écoute parler les gens qui ont vécu dans l’ancienne Union Soviétique ou au Portugal, c’était fascinant de séjourner là-bas parce qu’ils ont connu un autre régime autoritaire, celui de Salazar. […] Ce régime n’a pris fin que dans les années 70, donc beaucoup d’adultes et de personnes âgées au Portugal se souviennent de ce qu’est l’autoritarisme…

Veronika Kyrylenko : C’est pourquoi il est très effrayant de voir ça arriver ici.

Dr Robert Malone : Je viens de témoigner devant les juifs hassidiques. Ils ont une mémoire culturelle issue de l’Holocauste. Et tous ces gens disent « Regardez, réveillez-vous. Ce sont les signes. Ce sont les signes d’un contrôle autoritaire insidieux. Soyez attentifs. Ce n’est pas normal, ce n’est pas acceptable. » Je vous rends hommage pour avoir pris la parole, pour l’avoir identifié et pour avoir tenté d’avertir les autres. Je ne sais pas ce qui est arrivé à notre gouvernement. La presse a longtemps répété que la menace de l’autoritarisme viendrait de la droite. Mais ce n’est pas ce qui s’est produit. C’est essentiel à comprendre. Culturellement, nous n’aimons pas parler de ce qui est arrivé en Allemagne dans les années 30. Mais le Parti Socialiste était un parti de gauche qui a pris le pouvoir en Allemagne. Supposer que l’autoritarisme ne viendra que de la droite est insensé et naïf. Nous le voyons aujourd’hui.

Et étonnamment, ce qui semble s’être produit, c’est que nous avons permis au Forum Economique Mondial, à Bill Gates et à l’atelier de la CIA situé à Johns Hopkins de mener une série de jeux de guerre pendant des années et des années, d’élaborer un plan de bataille sur la façon de répondre à une véritable pandémie hautement létale, ce qui, pour une raison obscure, a toujours abouti à des mesures autoritaires. Rassemblez un groupe de personnes issues de cette communauté et voilà ce que vous obtenez. Ils ont élaboré un plan de bataille, c’est-à-dire une stratégie de riposte, et ils sont en train de l’appliquer. Ils ont également formé des leaders mondiaux tels que le gouverneur de Californie, Justin Trudeau, des membres du Parti Communiste Chinois, des leaders mondiaux, la femme qui gère une grande partie de la réponse à la pandémie en Australie avec des balles en caoutchouc, tous ces gens ont été formés lors de ces jeux de guerre organisés à Hopkins. Et ce ne sont pas les colosses intellectuels du monde. Ce sont des bureaucrates et des fonctionnaires à qui on a enseigné ce processus : voilà ce que nous devons faire.

Normalement, toute personne formée à la guerre, à l’art de la guerre, sait que le plan de bataille n’est bon que jusqu’à la première rencontre avec l’ennemi et qu’il faut alors l’adapter. Ces gens n’ont jamais changé leur plan de bataille en fonction de la réalité de ce que représente ce virus. Ce n’est pas un virus hautement mortel et nous ne disposons pas d’un vaccin hautement efficace. Ils s’en moquent. Ils ont leur petit programme, c’est comme à la FDA, ils ont leur check-list, « Voilà ce qu’on fait après, voilà ce qu’on fait après ». Et au fait, un tas de dirigeants des médias ont été impliqués dans tous ces jeux de guerre. Ce sont les gens que nous écoutons sur CNN, ce sont les gens qui écrivent pour le New York Times. Ils ont tous été endoctrinés sur le fait que c’est ce qu’ils doivent faire, c’est ainsi qu’ils doivent contrôler la population, c’est ainsi que nous sortirons de la pandémie.

Mais la réalité est tout autre et c’est pourquoi vous et tant d’autres personnes regardent alentour et disent « Mais, mais, mais ce vaccin ne fonctionne pas, il ne nous protège pas de l’infection. Pourquoi sommes-nous tous obligés de le recevoir sur notre lieu de travail alors qu’il ne garantit pas la sécurité de notre lieu de travail? Pourquoi les enfants sont-ils obligés de le recevoir? »

Veronika Kyrylenko : Les femmes enceintes.

Dr Robert Malone : Ça, c’est encore une toute autre boîte de Pandore. C’est totalement injustifié. Nous ne disposons pas de données qui prouvent la sûreté du produit chez la femme enceinte. Donc les gens ordinaires – normaux, mais je préfère dire ordinaires – dans le monde sont tous les mêmes. Certes, j’ai reçu une formation spécialisée, vous avez reçu une formation spécialisée, elles sont simplement différentes. Et j’ai consacré un temps fou à ma formation. Donc je sais des choses et je fais des choses. Elles sont différentes des vôtres mais ça ne nous rend pas différents, ça ne fait pas de moi quelqu’un de spécial par rapport à vous et ça ne veut pas dire que je suis doté d’un super pouvoir cérébral.

Les gens sont capables de discerner la vérité. Ils la connaissent. Ils la connaissent au plus profond d’eux-mêmes. Ils sentent qu’il y a quelque chose qui cloche. Souvent, ils n’ont pas le cadre, les mots pour y réfléchir parce que ce n’est pas leur métier. Ils conduisent un bus ou font d’autres choses, ils sont policiers, ils sont pilotes de ligne. Mais ils savent qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond parce que le mode de gestion qui émane du sommet ne correspond pas à ce qu’ils savent être la réalité du terrain. Et ça, je pense, c’est la grande, grande question. Pourquoi? Qu’est-ce qui se cache derrière tout ça?

Veronika Kyrylenko : Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière tout ça? Vous dites qu’ils ne sont pas flexibles, qu’ils s’en tiennent à leur scénario. Pensez-vous que c’est simplement parce qu’ils sont des bureaucrates très peu adaptables? Est-ce à cause de leur mode de pensée très conservateur, dans le mauvais sens du terme? Ou est-ce parce qu’ils sont tout simplement ivres de pouvoir et qu’ils aiment vraiment occuper une position où ils peuvent décider de la vie et de la mort de millions de personnes?

Dr Robert Malone : Ou ils se sentent piégés. Je ne connais pas la réponse, je ne suis pas psychologue et je ne peux pas entrer dans la tête de Tony Fauci ou de Bill Gates. Je suis convaincu que ces deux personnes ont une vision déformée du monde. Ils ne sont pas en contact avec la majorité. Ils vivent dans leur propre sphère privilégiée de pouvoir et de protection. Ils sont entourés de flagorneurs qui leur disent tout ce qu’ils veulent entendre. Ils parcourent les espaces internationaux en jet privé avec des gens qui leur ressemblent, mais ils n’ont pas vraiment affaire à des gens comme vous et moi, qui œuvrent dans le monde. Et maintenant, leur autorité est menacée. Ils ne sont pas menacés par moi, je le garantis, et ils ne sont pas menacés par vous. Ils sont menacés par les faits. Et les faits sont gênants. Quelle est leur réaction? « Nous allons supprimer les faits parce qu’ils sont gênants, parce qu’ils nous discréditent, pas parce que… » Ce à quoi nous sommes confrontés, ce sont des gens – je ne pense pas que cela puisse être nié, nous ne sommes pas confrontés à des gens dévoués à la santé publique, à la protection de chacun d’entre nous – nous sommes face à des gens déterminés à défendre leurs propres privilèges, leurs propres avantages et leur propre statut. Et tout tourne autour d’eux. Comment peut-on voir Tony Fauci et ne pas comprendre que tout tourne autour de lui?

Veronika Kyrylenko : Oh, oui.

Dr Robert Malone : Tout tourne autour de Tony. Et il passe continuellement dans les médias, il a de multiples… Ce type est le directeur de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses. Pourquoi a-t-il besoin de 30 personnes dans son équipe de communication? C’est fou. Pourquoi, de tous les scientifiques du NIH, est-il la seule personne autorisée à parler? Parce que tout tourne autour de Tony. Il est parvenu à amasser un pouvoir énorme, et puis il y a Bill Gates qui a pratiquement acheté l’Organisation Mondiale de la Santé par une série de circonstances. Et au-dessus de tout ça, il y a ces quatre grandes sociétés d’investissement qui se possèdent les unes les autres, comme Blackrock et Vanguard. Et toutes ces sociétés qui diffusent ce message dans le monde entier, les sociétés de médias, les sociétés informatiques, les sociétés pharmaceutiques, toute cette matrice qui est maintenant intégrée horizontalement est en fait composée de divisions d’une seule et même société.

Ce dont nous sommes témoins, ce sont les conséquences de la consolidation de la finance, de l’argent et du pouvoir au niveau mondial. Nous avions la loi anti-trust Sherman ici aux États-Unis pour briser le pouvoir de ces grands blocs de capitaux. Mais ce qui arrive aujourd’hui, c’est que le capital n’est plus contraint par l’état nation. Ces blocs de capitaux sont indépendants des pays. Ils sont plus puissants que les pays. Ils disent au Trésor américain ce qu’il doit faire. Ils disent à la Réserve Fédérale américaine ce qu’elle doit faire. Ce n’est plus l’inverse. Ils contrôlent les économies. Ils peuvent vous faire ou vous défaire, vous et moi et tout le monde qui nous entoure, par une simple décision financière. Et ils sont amoraux. Ils n’opèrent pas dans un monde où la moralité leur importe. Ils opèrent dans un monde où tout ce qui les intéresse est le retour sur investissement dans lequel nous sommes devenus de simples pions. Nous devenons simplement – la méthaphore est courante, je n’en connais pas de meilleure – nous sommes considérés comme du bétail. Nous ne sommes que des unités économiques susceptibles d’être déplacées comme bon leur semble. Ils sont constamment en quête du meilleur retour sur investissement. S’ils peuvent obtenir un meilleur retour sur investissement en réalisant une opération – fabriquer du sucre ou des chaussures ou que sais-je encore, en délocalisant en Europe de l’Est, au Vietnam, en Chine ou ailleurs – c’est là où ira l’argent.

L’argent vient du boulot de gens comme vous et moi – ça semble un peu marxiste mais c’est pourtant fondamental – c’est nous qui créons de la valeur. Et ce sont eux qui exploitent cette valeur pour se constituer d’énormes portefeuilles financiers et c’est là que réside, à mon avis, le véritable enjeu. Leur outil a été cette série de jeux de guerre, qu’ils ont financés, où ils ont formé les politiciens à leur application. Mon attitude par rapport à tout ça a été de résister fortement à cette manière de voir les choses. Beaucoup de gens me présentaient des informations sur Klaus Schwab et la Grande Réinitialisation et tout le reste, et je ne voulais pas y croire. Je ne voulais tout simplement pas y penser, ce n’était pas possible. Puis j’ai lu le livre de Bobby Kennedy et je l’ai révisé deux fois. Il m’a demandé de lui apporter mon aide. Et quand j’ai terminé ce livre, je me suis enfin rendu compte des rouages de notre gouvernement. Je je me suis enfin rendu compte des rouages du NIH, et de Tony Fauci.

La première fois que j’ai lu ce livre, j’ai fait une dépression pendant deux semaines. J’ai soudain compris à quel point tout avait été dévoyé. Et ça, ajouté au commentaire de cette Portugaise, a chamboulé mon univers. J’ai pris conscience que tout ce que j’avais présumé du fonctionnement des choses, de la formation que j’avais reçue et du monde, la croyance en ces choses, le fait qu’il y avait des règles, que nous obéissions tous à ces règles, que ces règles étaient conçues pour assurer notre sécurité et notre protection et pour garantir l’équité et une manière correcte de procéder, je me suis rendu compte que tout cela était profondément naïf. Et aujourd’hui, intellectuellement, je me retrouve à un stade où je ne sais rien des pratiques de la partie adverse. Je ne sais plus quelles sont les règles. Il ne semble pas y avoir de règles. C’est ce que disent les gens au pouvoir qui prévaut. Et vous avez vécu sous ce système, vous savez de quoi il en retourne et vous savez où cela mène.

Le problème, c’est que tout ça serait parfait si nous étions dans la République de Platon, où nous aurions un dictateur bienveillant, infiniment conscient de tout, sage et réfléchi. Malheureusement, nous n’avons pas encore trouvé ce genre de personne. Ce que nous constatons, c’est que les personnes qui occupent le sommet de ces structures autoritaires sont corrompues. Ils ne sont pas sages, ils ne sont pas pleinement informés et ils finissent par servir leurs propres intérêts et ceux de leur entourage, et cela se reproduit sans cesse. Nous connaissons tous cette expression « Le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument. » Et je ne sais pas…

Ce que j’ai découvert en parcourant le monde, en voyageant et en parlant aux gens, en Amérique latine, en Europe, en Asie, c’est que beaucoup de gens sont désormais très méfiants. Beaucoup de gens sont désormais très méfiants vis-à-vis de l’autorité centralisée. Et ils sont en quête de nouveaux modèles. De nouveaux modèles organisationnels, et ils ne veulent pas du communisme – nous savons que ça ne fonctionne pas. Mais ils n’aiment pas du tout ce genre d’autoritarisme de Commandement Centralisé et ce collectivisme de type  » Nous savons tout  » que nous voyons se mettre en place, qui arrive à grands pas… Le terme, qui fait référence à la Révolution française, de Jacobins, est approprié. C’est un des termes politiques sophistiqués auxquels on peut faire référence. Beaucoup de dirigeants français actuels se considèrent comme des Jacobins. Avec cette idée qu’ils savent ce qui est bon pour nous tous.

Veronika Kyrylenko : Le bien commun.

Dr Robert Malone : … et ils veulent l’appliquer, que cela nous plaise ou non. Nous assistons, à mon avis, à la conséquence de ce genre de pensée jacobine. L’idée qu’il y a une élite et qu’ils savent ce qui est bon pour nous et qu’ils nous l’imposeront de force. Je ne veux pas vivre dans ce monde et je pense que vous non plus, sinon vous ne seriez pas ici…

Veronika Kyrylenko : Non, merci.

Dr Robert Malone : … comme tant d’autres personnes, je pense. Mais le problème est qu’ils, ces forces qui tentent de mettre en œuvre ce genre de stratégie, sont hautement coordonnés. Ils l’ont planifiée depuis des décennies. Et les autres sont doucement en train de se réveiller en se demandant « Hé, mais que se passe-t-il? Je ne comprends pas, comment ça a pu arriver? » Comment se fait-il que nous nous retrouvions face à une censure si coordonnée des médias – j’aime répéter et je l’ai dit lors d’un rassemblement à O’ahu la semaine dernière – j’ai dit « Vous vous souvenez du temps où nous nous apitoyions tous sur le sort des Chinois parce que leur gouvernement contrôlait leur accès à l’information, leur gouvernement contrôlait leur Internet, leur gouvernement contrôlait ce qu’ils pouvaient faire, où ils pouvaient se déplacer, leur gouvernement les contraignait à disposer de passeports internes? Vous vous souvenez de l’époque où nous étions tous apitoyés sur le sort des Chinois? Réveillez-vous, car nous y sommes. »

Veronika Kyrylenko : Ne pensez-vous pas que le Covid-19 est survenu à un moment très opportun et quelle est votre opinion sur l’origine du SarsCoV-2?

Dr Robert Malone : Je suis de plus en plus persuadé que les données indiquent, que les données de séquençage indiquent qu’il s’agissait d’un virus fabriqué. A-t-il été modifié par la sélection naturelle et par le passage chez des animaux et des modèles animaux modifiés ou par des mécanismes moléculaires comme le système CRISPR cas9? Mais il a été modifié. C’est ce qui apparaît. J’ai un éclairage unique sur ce sujet – je dirais, assez unique, je l’ai déjà exprimé précédemment.

Veronika Kyrylenko : Est-ce confidentiel?

Dr Robert Malone : Non, ce n’est pas classé secret. Je l’ai d’abord présenté au groupe de Reiner Fuellmich lorsqu’ils m’ont demandé de témoigner en Allemagne. Un officier de la CIA m’a appelé le 4 janvier, il était à Wuhan et m’a dit que je devrais mobiliser mon groupe car ce virus représentait une menace majeure. Il était là sous couvert de sa mission pour l’école de médecine de Harvard. Il était à Wuhan lors du quatrième trimestre de 2019. Son nom est Michael Callahan. C’est un officier de la CIA. Il est l’un de nos meilleurs experts en guerre biologique. Il a dirigé des programmes de recherche sur le gain de fonction. Il a occupé un poste de direction au sein de la DARPA. Il était à Wuhan à l’époque et il était très au courant de cette histoire de virus. Un mois plus tard, il m’a confié : « Nous avons examiné ce virus et il ne présente aucune marque génétique d’une quelconque manipulation de laboratoire. »

Puis, il y a environ un mois et demi, un de mes collègues de très haut rang, classé GS 15, c’est-à-dire très haut, c’est l’équivalent civil d’un général de brigade, qui travaille pour le DOD, m’a appelé. Et je connais ce type depuis qu’il est post-doctorant. Il m’a appelé et m’a dit « Robert, je veux que tu arrêtes de parler de Mike Callahan. Il n’était pas en Chine, il a menti, nous n’avions aucun personnel là-bas à ce moment-là. » Pour moi, c’est un signal d’alarme, ça veut dire que ce haut fonctionnaire d’une agence de réduction des menaces de défense avec qui j’ai travaillé pendant des décennies me dit directement de me taire et que ce que j’ai entendu de mes propres oreilles et vu de mes propres yeux n’est pas vrai.

Le problème, c’est que Michael s’est confié au magazine Science et qu’il existe tout un article sur la famotidine dans lequel il dit avoir été à Wuhan à cette époque. Je sais que Michael s’est échappé de Wuhan, alors que la quarantaine était levée, par bateau, parce que sa présence n’était pas autorisée par le Parti Communiste. Et qu’ont-ils fait de lui après l’avoir récupéré sur le bateau? Il a ensuite géré l’épidémie du Diamond Princess, puis il est revenu et a travaillé pour Bob Kadlec à l’ASPR et au HHS, où il supervisait BARDA. Avons-nous été impliqués dans tout ça? Les documents montrent assez clairement que la recherche sur le gain de fonction dans ce laboratoire de Wuhan a été financée par le NIH et par la DARPA – pardon, la DETRA, Defense Threat Reduction Agency – des personnes avec lesquelles je travaille étroitement.

La recherche sur le gain de fonction est désignée par l’expression « recherche à double objectif ». La recherche à double objectif est classée secret défense par sa nature même, car elle peut être utilisée – pourquoi est-elle appelée recherche à double objectif? – elle peut être utilisée pour la biodéfense, la protection et la recherche, mais elle peut aussi être utilisée pour la guerre biologique. Il y a un autre aspect que j’ai mentionné aux Allemands et que personne n’a vraiment identifié. Il y a un vide dans le traité sur la guerre biologique que tout le monde aurait intérêt à connaître. Le traité de guerre biologique signé avec l’Union Soviétique par le gouvernement des États-Unis, en conséquence du développement par notre pays d’agents de guerre biologique hautement létaux qui auraient permis d’arrêter les commandants de chars de l’Union Soviétique en pleine guerre éclair avant qu’ils n’atteignent la Manche, c’est d’ailleurs à cette fin que nous l’avons développé, ce traité interdit les agents létaux. Il n’interdit pas les agents incapacitants. Les agents incapacitants ne sont pas interdits. Les gens avec qui je travaille savent que les agents incapacitants représentent une menace de premier ordre. Et l’inverse est également vrai.

Veronika Kyrylenko : Pourriez-vous nous expliquer cela? Quels sont ces agents et comment fonctionnent-ils?

Dr Robert Malone : On peut citer comme exemple classique les virus de l’encéphalite équine. Ils sont faciles à aérosoliser. Ils peuvent être inhalés. Nous développons des vaccins et des médicaments contre ces virus qui peuvent être déployés dans une zone limitée. Si on les inhale et qu’on est infecté, on attrape une encéphalite, une infection du cerveau. En général, ça ne tue pas, mais ça rend tellement malade qu’on n’est pas en mesure de livrer bataille. La nouvelle guerre, le Nouveau Monde, ce sont les opérations spéciales. Ce sont de petites équipes d’intervention. Nous connaissons les SEALS et nous avons déjà entendu ces termes. Voilà où en est la guerre moderne, de petites équipes d’intervention soutenues par des drones.

C’est une nouvelle forme de guerre. Ce ne sont plus les gros tanks et les armées et les explosions. Ça, c’est du passé. Ce sont de petites forces de frappe hyper compétentes, qui peuvent être engagées pour éliminer une cible tactique dans une région tactique ou pour accomplir une tâche spécifique, et qui sont soutenues par des drones de différents modèles – il en existe un large éventail. Je discutais avec un expert en sécurité chargé de la sécurité de personnes très, très riches – des chefs d’entreprise, etc. Ce qui le préoccupait le plus, c’était l’utilisation de drones civils pour commettre des assassinats.

Voilà le nouveau monde dans lequel nous entrons, et ces sortes d’agents incapacitants peuvent être stratégiquement déployés par des drones pour éliminer les menaces dans une région donnée, après quoi il est possible de positionner des unités d’intervention pour réaliser les actions souhaitées.

L’autre menace dont notre gouvernement est très conscient est qu’en analysant la génétique des différentes populations ou races, il est théoriquement possible de créer des agents pathogènes qui cibleront sélectivement différents groupes ethniques. Voilà le nouvel horizon, la nouvelle réalité, et nous devons tous nous mettre au diapason : nous avons affaire à un monde totalement différent dans lequel les agents biologiques, les drones et autres, ainsi que la manipulation des médias, la propagande, le contrôle et la censure sont tous intégrés pour parvenir à un pouvoir mondial.

Si on examine les contrats de Pfizer […] et j’ai des amis avocats qui ont examiné ces contrats et ont dit  » Grands dieux, je ne m’imagine pas pouvoir un jour obtenir des termes comme ceux-là. Je suis vraiment un bon-à-rien. Regardez ce que Pfizer a réussi à faire, c’est incroyable. Ils manipulent les gouvernements! » Et si on prend du recul, qu’on regarde ça d’en haut, qu’est-ce qui se passe? C’est une nouvelle OPEP. L’accès à ces technologies de développement de vaccins à réponse rapide est exploité pour des avantages géopolitiques. C’est un nouveau moyen d’exercer un pouvoir économique et politique au niveau mondial.

Et les pays en développement et le Moyen-Orient le savent. Ils savent qu’ils se font avoir par les nations occidentales. La Chine le sait. D’ailleurs, la Chine est occupée à essayer de conclure un accord avec Pfizer en ce moment même. Le problème de la technologie ARN n’est pas ces vaccins. Ces vaccins ne sont que le point d’entrée. La technologie de l’ARN permet de fabriquer rapidement des vaccins sur mesure, à partir d’informations génétiques. Et l’ensemble du processus de fabrication est normalisé, alors qu’avec les vaccins ordinaires et les produits biologiques ordinaires, il faut beaucoup, beaucoup de temps pour mettre au point un processus de fabrication, une mise sur le marché, des tests et tout le tralala pour un nouveau produit. Avec la technologie ARN, il suffit de changer la séquence à l’intérieur de l’ARN et tout le reste de la formulation reste chimiquement identique. Cela permet de fabriquer ces produits très rapidement et à petite échelle. C’est une révolution. C’est une révolution dans la médecine individualisée, dans la lutte contre le cancer, mais cela permet aussi de fabriquer des vaccins individualisés à court terme. Ils peuvent être déployés sur de petites populations. Si on pense que les méchants – métaphoriquement parlant – ont mis au point de nouveaux agents pathogènes et les utilisent dans telle ou telle zone géographique, cela implique qu’une fois obtenu un échantillon de cet agent pathogène, il est possible de le séquencer, de générer un vaccin correspondant, de vacciner les forces spéciales, de les envoyer sur le terrain, de les déployer et d’éliminer le groupe qui a mis au point ce nouvel agent. Ça, c’est une des versions de cette histoire.

Une autre version de cette même histoire est que si on veut concevoir un nouvel agent incapacitant militarisé, il devient très facile de fabriquer un nouveau vaccin pour protéger le personnel qui le déploiera stratégiquement dans la zone « Une-telle ». Notre gouvernement serait-il capable de faire ça? On peut l’imaginer. La CIA a-t-elle déjà assassiné des dirigeants dûment élus dans d’autres pays? Je ne pense pas avoir assez de doigts pour les compter. Voilà donc la réalité qui se cache derrière tout ça. Nous devons nous réveiller.

C’était une longue tirade!

Veronika Kyrylenko : Oui. Wow, ça fait peur rien que d’y penser et pourtant, cette réalité, comme vous l’avez dit, se déploie sous nos yeux. Mais, comme vous l’avez dit, il y a des stratégies que tout le monde peut adopter pour tenter de résister. Je sais que les ennemis sont puissants, bien organisés et bien financés. Mais il y a une opportunité, comme vous l’avez dit, d’organiser et d’informer les gens d’une menace dont ils ne sont peut-être même pas conscients. C’est très important. Et je crois que notre conversation d’aujourd’hui était un pas dans cette direction.

Dr Robert Malone : Je l’espère.

Veronika Kyrylenko : Oui, je l’espère vraiment. Alors merci beaucoup, Monsieur, de nous accueillir ici en cette belle journée dans votre belle ferme et merci pour vos arguments sincères et très percutants. Nous vous en sommes reconnaissants.

Dr Robert Malone : Je vous en prie. Je pense que la connaissance et l’information sont les deux éléments auxquels je peux contribuer. Je ne vais pas jouer le rôle de leader. Je ne suis pas un leader de grand mouvement de protestation ou de mouvement social. Mais j’apprécie votre volonté de me donner l’opportunité de partager ce que je sais, votre intérêt pour le sujet, votre leadership et le fait que vous soyez une figure des médias alternatifs qui veut et peut fournir des informations au public et les laisser prendre leurs propres décisions.

Veronika Kyrylenko : Merci beaucoup, Dr Malone, pour cette passionnante conversation. C’était Veronika Kyrylenko pour The New American.


Le Dr Robert Malone : « C’est la plus grande expérience jamais réalisée sur des êtres humains dans l’histoire du monde. » – Transcription originale (anglais)

Source de la page et de la vidéo.

La traduction en français est ici.


Introduction

In an exclusive and explosive one-hour interview with Veronika Kyrylenko of The New American, pioneering mRNA scientist Dr. Robert Malone explains the intensely corrupt workings of the government regulatory bodies that have mismanaged the pandemic, discusses the problems with the vaccine program and delves into potentially explosive and game-changing revelations about the shady origins of the Covid-19 pandemic in Wuhan, China.

Who is Dr. Robert Malone? While working at the Salk Institute in 1988, Dr. Malone discovered important findings about in-vivo and in-vitro RNA transfection. He continued his work on the technology a year later at the biopharma start-up Vical where he conducted additional experiments. According to his bio, “The mRNA, constructs, reagents were developed at the Salk institute and Vical by Dr. Malone.” His research has also included important work on DNA vaccines. In addition to his fundamental work developing mRNA and DNA vaccine technology, Malone is also a medical doctor. According to his bio, Dr. Malone “received his medical training at Northwestern University (MD) and Harvard University (Clinical Research Post Graduate) medical school, and in Pathology at UC Davis.”

Few people are as qualified to comment on the course of the COVID pandemic and the mass vaccination campaign as Dr. Malone. In this important interview he shares his unique and deep insights on matters of critical national and international importance.

Bio source: https://www.rwmalonemd.com/about-us

Transcription originale

Interview

Dr Robert Malone: We know that for almost everybody watching this your risk of death or hospitalization is a fraction of a fraction of one percent. You’re not gonna… for most of you there’s no way you’re going to die from this. What you will do is develop natural immunity.

Veronika Kyrylenko : In 1986, the world’s worst technogenic disaster happened when a nuclear reactor of the Chernobyl power plant exploded. As a result, hundreds of thousands of people were affected by deadly radiation. Some of them died quickly. The others suffered from various cancers, neurological and reproductive damage and so much more. Much like in the Soviet Union, people’s health is being savagely damaged here in America, right now. And much like the Communist Party, our political establishment says there is nothing to worry about. The mass vaccination against Covid, the disease that has a negligible death rate for most healthy individuals, has become nearly universal and often times mandatory. But it’s already cost people severe health implications and even death. Yet the government seems disturbingly uninterested in analyzing its own data on vaccines side effects. Instead of honest analysis of the data, it tries to employ the worst authoritarian tactics against those brave people who speak the truth and tried to warn their fellow citizens of the risks associated with the vaccines.

Today we have the privilege to get to speak with one of such outstanding people, Dr Robert Malone, an inventor of mRNA technology. One of the world’s most qualified and also the most despised professionals who shares scientific information about Covid, vaccines risks, early treatments and people who shape the pandemic response. Dr Malone, thank you very much for hosting us today. It’s a pleasure.

Dr Robert Malone : Thank you for coming and sharing the day with us.

Veronika Kyrylenko : Doctor, if you don’t mind I would like to start with some basics. So the mass vaccination campaign against Covid started in March of this year and of course most people had no idea what these vaccines are and what is the mRNA technology. So naturally they turned to official sources to find some information. So the CDC websites describes the technology like that, so it says that mRNA goes to you shoulder muscle, it stays there, it teaches our cells how to produce a part of the virus, they call it s a harmless particle, namely a spike protein of the virus that triggers the immune response. And then our cells break down mRNA and get rid of mRNA within a few days after the vaccination. And since we know that you did not participate in the development of the Covid vaccines, is it a correct description of the technology that you pioneered?

Dr Robert Malone : In general that’s pretty good, that’s a pretty accurate assessment in a very simplified way. I’m not sure about how long the RNA stays. In that statement, if that’s what they actually say, there’s no data to back that up, how long the RNA sticks around. There’s a number, obviously the statement that the spike protein is harmless is also false, demonstrably false. It’s a lie, it’s another one of the noble lies. The idea that it just stays in the arm muscle is also clearly a lie. Anybody that’s looked at the regulatory dossier for the Pfizer other products knows that this is not true. So if we were to give the benefit of the doubt, we could we could say that this is another example of kind of the logic of the benign noble lie, that we don’t tell people the full story, we tell them the simplified story that is structured in a way that makes everything sound non-threatening.

Veronika Kyrylenko : So you say that mRNA actually does not stay in the muscle. It travels further. It travels to other organs throughout the body and it has been known – and we know that a 2017 study published by the Modern Publication show that liquid nanoparticle influenza vaccine that used mRNA technology actually traveled through the body. And then the Japanese government conducted a study on Pfizer shots biodistribution and it shows that the spike protein was found in other organs in the human body. It said that included ovaries, spleen, liver. Was it not the signal for the vaccination campaign just to stop right away?

Dr Robert Malone : Okay, so I’m gonna backtrack a little bit on what you just said because it’s important that we get the details right. And what you’re referring to, I believe, is what’s called the common technical document. This is a dossier of information that is submitted to various government regulatory authorities by Pfizer. So it wasn’t the Japanese government performing a study but rather it was the Japanese regulatory authority which disclosed a Pfizer document. And the nuance there that’s important to understand is that our policies here in the United States with the FDA and with the European Medicines Agency is that those documents that are submitted by the developer of the product…

Veronika Kyrylenko : I believe that it was the study conducted by that regulatory government that found…

Dr Robert Malone : It was a Pfizer study that was submitted to the regulatory authorities and then was obtained by Byram Bridle and others. I was among the first to analyze it.

Veronika Kyrylenko : Well, thank you for clarifying that. This is very important.

Dr Robert Malone : So it’s important that it’s actually Pfizer. And what it revealed was that the regulatory authorities across the world allowed Pfizer to submit a grossly incomplete document in support of initiated clinical studies concerning the, what we call now, Comirnaty – or Comirnaty, I’m not sure how to pronounce it, the BioNTech product. So in that set of studies, what was shocking to me and many others that reviewed them – again this is a Pfizer-submitted document that became the basis for authorizing this thing to be used all over the world – is the regulatory authorities allowed Pfizer to take data the wasn’t actually developed with this vaccine, that they developed for other purposes. They didn’t meet the standard regulatory requirements for rigor, for how carefully the studies were done. It didn’t meet the norms for ensuring that the studies were done in a well-controlled fashion, which is always required for clinical trials, and they allowed Pfizer to use data that had been developed with other RNA’s in other purposes, in other formulations – it isn’t the final formulation of the product – and submit that in lieu of actually doing the work that they needed to do and that’s always been required for vaccines as far as my whole career and that the world has all agreed that these are the way studies are supposed to be done. The regulatory authorities across the world basically allowed Pfizer to submit, I’m just gonna say it, junk data that wasn’t related to the actual vaccine and use that to justify going forward in humans.

Now in terms of the biodistribution studies, which is what you’re talking about in particular, those were not done well and they were done with other RNA’s including the RNA that encodes the protein that makes the firefly tail glow, which many people have gotten excited about the name of that protein which is luciferase. So yes, it refers to the Devil in some ways but in fact this is a protein that I pioneered its use in animals back in the eighties when I was at the Salk and that’s all it is, it’s the protein that makes the firefly tail glow, which causes light to be produced, which is easy thing to detect. But it is not the vaccine RNA.

So what they did in those studies that you’re referring to is they did look at the distribution of the fat part. There’s fats that are put around the RNA that allows the RNA to slip in the cells and those fats include things that are synthetic, they are made in a test tube, they’re not a natural product, they’re not something that your body would normally encounter. They are a « new chemical entity » is the formal words. So typically with a new chemical entity that we’re gonna inject to billions of people, there would be rigorous studies done about their safety, the biodistribution, how long that thing lasts and whether it might cause damage to the DNA – genotoxicity – or the ability of animals to reproduce – reproductive toxicology – so birth defects and other things. Normally that would be required.

What they did was very superficial experiments that were not well controlled. They didn’t meet the normal standards, they didn’t actually involve the actual drug product. What the studies that they did do show in rodents was that when they injected into a muscle in these rodents, the particles distribute all over the body, they don’t stay put, some of them do, many of them go to other places and they looked at whether the protein produced by the RNA – so this would be akin to the antigen – but they didn’t look for spike protein. Because they weren’t using spike protein mRNA, they were using firefly glowing RNA luciferase, and so they were looking for a light production from the various organs and then they also looked for where the lipid part went. The lipids go to the ovary and that was one of the things that caused a lot of people to say « This needs to be followed up, this needs to have more rigorous testing » which wasn’t done. They never forced them to do that apparently.

And oddly for the using the luciferase protein, there’s a lot of different ways you can detect that protein. And to detect it very sensitively, if you really want to ask the question, where is the protein expressed, what you do is dissect – when you sacrifice the animal – you dissect all the different tissues and you do a test tube assay that’s super sensitive. And you can detect exactly how much protein is made in all the different tissues in the body – the brain, gonads, whatever. They didn’t do that. They used the assay that is least sensitive, which is they take the whole animal, and they inject the substrate into the animal and then they look at how much light comes through the tissue of the animal by putting a camera above the animal. And you can appreciate that, these are photons, these are little – you know, you have some scientific background, you were talking about radiation. So the photons get diffracted and basically the light that’s detected by the camera above the animal is only from the areas that have the strong, strong levels of luciferase expression. So they biassed the results by using the least sensitive assay. It’s basically a parlor trick to get your publications, your picture on the front of science magazine but it’s just not a quantitative way.

And I find the whole thing amazing and shocking about what was allowed to get through, and perplexing. That regulators the world over allowed themselves to be fooled by Pfizer with this data package is profoundly discouraging because it means that the gate keepers that are supposed to ensure that you and I are protected, that your reproductive health is protected, that our children’s health is protected, they didn’t do their job. There’s no other way to put it.

Veronika Kyrylenko : Doctor, but we spend I don’t know how many millions a year to actually pay their salaries at the FDA and at the CDC, the world’s top experts, I assume, work there. And they would need to look at that data and see all these irregularities and they would see that it is grossly incomplete and they would still let it through?

Dr Robert Malone : Remember it wasn’t just the FDA and the CDC. It was also the European Medicines Agency, Japanese regulatory authorities. But there’s – again, forgive me for correcting you – but there are some assumptions of what you said, you said the world’s top experts. And that’s not what we have anymore in these regulatory agencies.

Veronika Kyrylenko : We would expect that.

Dr Robert Malone : We would hope that, right? We would hope that that would need to be protected or if not, that if people like me would have called Peter Marks at CBER, the branch that controls vaccine licensure and have a discussion with him about this finding and what was observed with this package, that Peter Marx would say « Maybe I got to listen to this guy, maybe it’s got something to say. And I ought to pay attention to it because he was the guy that came up with this technology and maybe he has some insights. » So I made that call, I had that telephone conference and Peter assured me that this would all be taken care of, that there was no safety signal to be worried about and that I should give him time to just let the regular process work through. So they completely… and I have other friends at the FDA that I had alerted about the potential risks with spike protein and that information from those lower level people, who are good solid scientist that I respect, was sent up the chain of command and the FDA was fully informed of that. And they believed that what I was alerting them to was not an important signal and there was no cause for concern.

So I did do my job of of saying « Hey my friends, please pay attention to these things » and the response I got was basically « Go away, we know what we’re doing. » But the truth is that they don’t have experts that are deep in this kind of technology and what they do do is they have checklists. So now you’re assuming – for instance let’s talk about the FDA just for a moment – you’re assuming there’s a deep level of competency there. The truth is that they pay about 80 percent of market value. And the people that work at the FDA up in Rockville are in a very expensive real estate market. So what you end up with is people that are kind of largely second grade. If they could make big money working for Pfizer, they would. And many of them do when they leave, right, like the former FDA commissioner Gottlieb, right.

Veronika Kyrylenko : That’s right.

Dr Robert Malone : There’s this revolving door and then they go out and do that. But most of the folks that are operational, that are reviewing these documents, they’re not the top tier scientists. They’re often foreign graduates, not US-trained. I don’t mean to be pejorative about scientists from other cultures but they’re here and English is not their first language. And the way that the FDA has come to work is, they have checklists and they apply the vaccines checklist which assumes that it is a more traditional product – a purified protein that’s injected with an adjuvant – and they didn’t apply the gene therapy checklist but in fact this is gene therapy technology applied to the indication of vaccines. And so the things that they would normally do for any gene therapy technology, they didn’t do because they said « Oh this is a vaccine. »

And so we assume that there is a deep knowledge and we imagine that there’s scientists pondering these difficult questions. In truth they’re kind of operational. And you spoke about Russia and you understand bureaucracies and that’s what we’re dealing with, it’s a bureaucratic environment driven by checklists and an administration pushing those people. I mean, one of the breakdowns that’s happened is the independence of the FDA no longer exists. Another one of your core assumptions is that we are paying for these people that are doing this review. That’s no longer true. They work for the pharmaceutical industry. They’re paid by the pharmaceutical industry. That’s who they work for. That’s where their money comes from.

How did that happen? Pharmaceutical industry lobbyists convinced Congress that they should stop having to have the American taxpayers pay for FDA review. They should put all those charges on to the industry. The industry was very glad to do that because now the FDA works for the industry. So thank you for your comments. Your comments kind of reveal some common assumptions that most people have about the way things are but they aren’t that way. What we have allowed to happen in the United States – and the world, as you said, believes, has believed up till now that the FDA and the CDC represent the pinnacle of integrity in regulatory affairs and research oversight for clinical products.

Let me tell you a story. I was in a group of scientists and physicians and politicians and thought leaders in Portugal a few weeks ago, when I was in Portugal. We did a round table. We took Q&A from the audience, about 50 people, selected people. One of the women in the front row said to me « We have always believed, we Portuguese, that the FDA and the CDC were the gold standard for research, for integrity and science. And what we have now come to realize is that they’re corrupt. » And when she said that to me, it hit me like that. I hadn’t ever thought about it that way and sometimes, you know, from average people comes true wisdom. And she said this and I realized what has happened. That in fact she is absolutely right and what we’ve allowed to happen here in the United States is a process. We use this word, regulatory capture. But it trivializes what’s happened. We’ve allowed industry across multiple regulatory bodies to control the whole decision making process. And examples that everybody will understand include the US Department of Agriculture. And the US Department of Agriculture has been headed up by former Monsanto leadership now for well over a decade across multiple administrations. Because the US Department of Agriculture has two jobs: it’s to regulate agriculture, it’s to promote agriculture. And the promotion of agriculture has become the more important job. The promotion of Big Ag.

Another example that we’ll all understand: you remember 737 Max? What a fiasco. People died, it was clearly a broken system. The federal aviation administration that we have believed in was protecting us and our safety has undergone regulatory capture by Boeing. Because it has the responsibility to both regulate aviation and to promote aviation and travel.

Now we go to the CDC. The CDC has two core missions that relate to vaccines: promotion of vaccine uptake and oversight of vaccine safety. And most of the money that they’re getting in this outbreak is to promote vaccines and so the people that are supposed to be monitoring safety are underfunded. No surprise then they don’t have the personnel and the time and the staffing and the capabilities to analyze the safety signals. But the promotion people are all over the media talking to CNN and everything else.

And then we come to the FDA. As I just said the industry has convinced the US legislature to shift the costs of regulating drugs to the pharmaceutical industry. This reminds me, I don’t know if you know the story of Br’er Rabbit and the Briar Patch. This is a common American Southern story. Br’er Rabbit is a character and he gets caught and he’s gonna get eaten by the wolf and he tells the wolf « Don’t throw me in that Briar patch, that would be horrible. » And in fact that’s where Br’er Rabbit lives, it’s in the Briar Patch. It’s like the pharmaceutical industry saying « Don’t make us pay » and then they own the FDA. So that’s kind of the situation we’re in and frankly we let it happen. The question is what can we do about it now and I’m not sure.

Veronika Kyrylenko : That was actually my next question. When and how do we step in because clearly, you say, the government and the CDC and FDA are so profoundly corrupt that they have this willingness to engage in what is actually human experimentation with this vaccine.

Dr Robert Malone : You’re dead on. This is the largest experiment performed on human beings in the history of the world and it’s being driven by, it’s being enabled by a regulatory structure that is not designed to protect us. It’s designed to protect the pharmaceutical industry and promote the pharmaceutical industry. And that pharmaceutical industry in the United States which charges much more money to us than it does to most other nations – our cost for our drugs is huge compared to most nations – they generate all this revenue and they use that revenue, it’s weaponized to control our legislature and to control our regulatory bodies.

And where do we go from here? There’s a short term answer and a long term answer. And forgive me but I’m gonna riff on this. Over the short term we all face this problem. We’re being controlled through fear. That’s another thing that’s controlled, it’s the media’s now all owned, the legacy media. We’re constantly bombarded by messages from CNN and The New York Times and The Washington Post and all of the standard outlets about how horrible this virus is and we’re all gonna die if we get infected from this.

And when I got infected in late February of 2020 and I was deep in the data and I knew exactly what was going on in China, I was afraid I was going to die. But this is way later. Now we know the statistics. We know that for almost everybody watching this, your risk of death or hospitalization is a fraction of a fraction of one percent. You’re not gonna… for most of you there’s no way you’re going to die from this. What you will do is develop natural immunity. So we got to fight that whole fear thing. And for our children, if your children are otherwise healthy, they have virtually a zero percent chance of getting hospitalized or dying from this virus. They have some really strong immune systems. So we got to fight that and then the truth is that we’re looking at Delta Plus moving into the population throughout the world this winter

Veronika Kyrylenko : Delta Plus?

Dr Robert Malone : Delta Plus. I just come back from Hawaii and just to illustrate the point, there are two monoclonal antibody cocktails available in the United States right now for early treatment. One of them is produced by Regeneron, the other is produced by some other companies. And the federal government notified Hawaiian Public Health that they would no longer allow importation of the other monoclonal antibody preparation into Hawaii because it was not active against Delta Plus and over five percent of the Hawaiian cases are now Delta Plus. And so they would only allow Hawaii as a state to buy the Regeneron cocktail because the other one’s no longer effective. Why? Because the virus has evolved to escape those antibodies just as it’s evovled to escape these vaccines. These vaccines are for a virus that is no longer circulating. They are what we call mismatched.

So the point is that this virus is evolving rapidly, Delta Plus is coming, it will sweep through our populations, what are we gonna do about it? Because that’s we’re at. It’s kind of a street fight right now and how do you protect your children? How do I protect my grandchildren? How do we protect our elders in particular? The people that are at high risk. And the only answer I can come up with, it’s not a vaccine, it’s not taking the third jab that’s got a whole… Every time you take another shot, you have all of those risks associated with that shot yet again plus the risk of actually suppressing your immune response. There’s a short term suppression and there’s a long term suppression. It’s not as simple as we’re being told.

So we have to come together and find solutions that are gonna protect us over the next few months. And I think there’s ways that we can do this but it has to be community-based. People have to be provided with information and you’re helping with that, with what you’re doing. But they can go on the various websites for early treatment and find information. There are over the counter drugs that if you take them early they can keep you out of the hospital. That’s we have to do is keep people out of the hospital, okay. And many doctors, Dr Zelenko gets a lot of credit for being one of the first, there’s two physicians in the Imperial Valley in California, they’re both older, they’re working way beyond what… They should both be retired at this point. And they’ve saved thousands and thousands of people in the Imperial Valley of California, largely the poor, largely farm workers – they’re not getting rich on this – by making available early treatment protocols, there’s very good staged early treatment protocols.

We need to set up networks so that we can call on people in our community and make sure they’re okay. Because one of the tragedies is we have old people who are feeble. They don’t have very good access to information the Internet. And they get sick, they try to go to the hospital, the hospital says « You’re not sick enough yet, go home and get sicker. » Think about this. « Go home and get sicker and then come back when your body is really damaged and we’ll admit you. In the meantime, good luck, you’re on your own. Let us know. » And these old people go to their home. They’re alone, they’re socially isolated and they die alone. It is such a tragedy. So let’s find ways to be able to connect to those people, follow up with them, make sure they’re getting contacted, make sure they have access to some of these early intervention medicines, make sure that everybody has information – and we can’t rely on the system right now in the main media to provide that information. They’re completely failing us.

But there are things we can do. Number one, don’t be afraid. Number two, get informed, get information. Number three, organize locally to make sure that you can help support your community so these people are not alone. And I think if we do that, we can get through this next wave.

Now the long term, the only solution is political and legal. The government is now lawless. They are doing things that are against the law and they don’t care. They believe that… I don’t know what they believe but forcing people to take an experimental medical product is illegal. It is in federal law, we call it the common rule, it is not legal. Forcing the military to take an unlicensed product and then re-labeling it, calling it the license product – […] military people are coming to me and telling me this is what they’re doing. Because there’s a law that the military cannot administer unlicensed vaccines to its personnel. This is a law that came out of what happened with the Desert Storm and the anthrax vaccine shots where a lot of military personnel were damaged. And they’re not allowed to give unlicensed products. So the President commands them to vaccinate the troops with an unlicensed product.

There’s a Colonel now in the Pentagon – who will retire soon so you don’t have to worry anymore, that’s why they picked him – they got a Colonel to write a set of orders that are clearly illegal that all military personnel have to be vaccinated with the vaccine that’s not licensed, which is illegal. And what they’re doing is they’re telling the military personnel « We’re giving you the licensed vaccine Comirnaty » but that vaccine doesn’t exist. And so the other thing they’re doing is they’re taking the Pfizer vaccine and they’re putting labels on it calling it Comirnaty – which is by the way a felony. They don’t care. The law is no longer relevant. We have a government that is out of control.

And the problem is – the lawyers are fighting this, I mean the lawyers are – like with all these mandates in the industry and academia which the government is forcing them to do by saying « Well, if you don’t vaccinate your people – like, if you’re a hospital manager – if you don’t vaccinate the people that work in your hospital, we’re no longer going to compensate you for Medicare, Medicaid. We’re gonna put you out of business financially. » If you’re an academic leader, you’re President of the university, you’re being told « If you don’t force all your kids, your students, to get vaccinated then we’re going to take away your federal grants and contracts. » There’s been a new policy put in place by NIH that if you want to have a federal grant or contract, you have to have everybody vaccinated. So that’s how they’re doing it. They’re doing it through financial coercion. And they’re doing it across the board.

And the problem that all these academics and these companies are going to face is that in this whole chain, the vaccine companies have been indemnified, the government is protected, they’re not gonna have financial liability. People are gonna get damaged and harmed. That will happen. And they have very little recourse for getting compensated for their damages, for hospitalization or whatever. Who are they gonna sue? The one group that is in this food chain that is not indemnified is the university presidents and the corporate leadership, etc. The phrase that’s used, you know, in Wall Street is « Who’s gonna be the bag holder? » It’s those guys and gals that are going to have to take the legal liability and I can tell you that the lawyers are lining up. This is like a gold rush for lawyers, you know. We’re going to be, I predict we’re going to be seeing little adverts on CNN at some point that instead of saying « Get your mesothelioma book », it’s going to be « Get your Civid damages book. » You know, the lawyers are going to have a heyday with this. The problem is that once these legal precedents get set it’s going to take about a year or two. It will go to the Supreme Court and these large organizations are gonna face massive class action suits.

The other one that’s happened – that’s really clear to me because of who I deal with, the information I get access to – there appears to be a clear pattern of suppression of early treatment options by people in the government. And we know these various drugs hydroxychloroquin, ivermectin and others, there has been a strategy to delegitimize this and we’ve seen it. It is most obvious in the ivermectin-as-a-horse-drug thing, that huge media push. And recall that was capped off by somebody in social media at FDA posting a tweet using the pejorative southern language « Don’t you know that ivermectin is a horse drug, y’all? » basically is what they said. It was really demeaning for people around me here in Virginia and in the South. It was totally inappropriate. There’s a email of Janet Woodcock congratulating the person that wrote that tweet for having done that and it set off this whole media storm on Rachel Maddow et cetera, pushing this grossly false narrative that ivermectin is a horse drug.

I love to say this in rallies and things so I’m gonna say it to your audience. There’s another drug that recent papers have clearly demonstrated is effective when administered for Covid disease early on. And it’s a horse drug, it’s another horse drug. It’s used by horses in veterinarians and in dogs. It’s called aspirin.

Veronika Kyrylenko : That’s unexpected.

Dr Robert Malone : So I’m sure we’re gonna find aspirin coming off the shelves but we all know that aspirin is really good for helping with blood clotting. And one of the problems with this vaccine is it triggers blood clots. So does the disease itself. And aspirin, it turns out, is effective. The drug that I pioneered, the stomach acid drug that’s sold as Pepcid is also effective. The scientific name is famotidine, that’s the chemical name, and we now have clinical trials starting, funded by Department of Defense, major clinical trials for the combination of Pepcid and Celebrex. Celebrex is an arthritis drug otherwise called celecoxib and there’s good scientific-backed basis for why these two drugs are used together to treat this disease both in the outpatient and the inpatient environments. And we’ve been given full clearance by FDA. DOD insists that everything for us, for repurposing drugs, everything is got to be done by the books. And so we’ve been through it, it’s taken a year and a half to get to this point but we’re now launching those.

So my point is only that there are a number of these repurposed drugs available and we’ve seen this coordinated attack by the mainstream media backed by Pharma and enabled by the FDA and the CDC and the NIH to take down these repurposed drugs that are off patent, incredibly cheap but compete with the drugs that Tony Fauci is now pushing that are being developed largely with your taxpayer money by Pfizer and Merck. And you’ll notice the absence of advocacy on the part of the federal government about the monoclonal antibody cocktails. Fascinating note, Ron DeSantis championed that as you’ll recall and what did the government do in response to his success down in Florida? They said « We’re gonna restrict your availability on these monoclonal » and woah! how does that make any sense? As I say, there’s just so many signs of deep corruption. But there are early treatments available, they are cheap, they’re effective but you have to get them on board early.

The last key point to hit: there is no rationale for vaccinating the children. None. There is no benefit to the children. With the exception of those that have significant pre-existing disease, there is about 400 children that have died with Covid, it doesn’t mean they died of Covid, since the beginning of the outbreak. Every single one of those had major pre-existing medical conditions. For healthy normal children that aren’t morbidly obese and don’t have cystic fibrosis or some other major pre-existing conditions, their chance of getting hospitalized or dying from this is, like I said, zero. But their chance of having damage to their heart is about six times their risk from the virus itself. It’s still small, don’t get alarmed, but it happens. And the damage that’s caused to the heart doesn’t go away. It doesn’t heal. It scars, okay? So who cares? So the hearts scars. Those scars create little areas in your heart. They conduct electricity differently. What that translates to in common language is an increased risk of cardiac arythmias. What cardiac arythmias incur is atrial fibrillation, ventricular fibrillation. These are things that cause you to die suddenly because your heart stops working because it doesn’t beat in a uniform way. We know that’s a risk of scarring in the heart. So when you hear these stories from the CDC « Oh, it’s mild myocarditis that’s going to the hospital », there’s no such thing as mild myocarditis in a child. And it doesn’t happen. It’s only happening after these vaccines and to some extent after the virus itself. So there’s no reason to vaccinate the children. Don’t do it.

Veronika Kyrylenko : So just yesterday FDA approved that Pfizer shots for children as young as five.

Dr Robert Malone : From a stacked committee, 7 of the 11 of which, or 12 total, won’t abstain, 7 of them had demonstrable ties to Pfizer. I mean the system is deeply corrupt.

Veronika Kyrylenko : Hence as another proof of the system being corrupt, even before the FDA met, the Biden administration last week, they officially announced that they have acquired 28.000.000 doses of Pfizer vaccines for children even before if it got approved. Even before it got to the commitee.

Dr Robert Malone : It’s a kangaroo court. I mean, you spoke of your background in Ukraine and the Soviet Union, that was your lead here. And as an individual you’ve experienced that personally, that kind of system. And I hear from folks that have been in the former Soviet Union or in Portugal, it was fascinating being there because they were under another authoritarian regime, Salazar. And the people that, you know… That only ended in the seventies so a lot of the adults and older people in Portugal they remember what authoritarianism is about just like, you know…

Veronika Kyrylenko : This is why it is so scary to see it happening here.

Dr Robert Malone : And then I was just giving testimony to the hassidic Jews. They have cultural memory coming from the Holocaust. And all of these people are saying « Look, wake up. These are the signs. These are the signs of creeping authoritarianism control. Pay attention. This is not normal, this is not okay. » And so I honor you for speaking out and in recognizing this and trying to warn people. I don’t know what has happened to our government. And the press has said for a long time that the threat of authoritarianism was gonna come from the right. But it hasn’t. It’s important to recognize. We culturally don’t like to talk about what happened in Germany in the 1930’s. But the Socialist Party was a left wing party in Germany that took over. To assume that authoritarianism is only going to come from the right is foolish, it’s naive. And we’re seeing it now.

And what amazingly we seem to have had happened is we’ve allowed the World Economic Forum, Bill Gates and the CIA shop basically located at Johns Hopkins to run a series of war games over years and years and years, come up with the battle plan of how to respond to a true highly lethal pandemic that for some reason has always ended up with authoritarian measures. You know, you put together a bunch of folks coming from that community and that’s what you get. And they’ve developed a battle plan, basically a response plan and they are implementing it. And what they’ve done is they have trained world leaders like the governor of California, like Justin Trudeau, like people from the central Communist Party in China, world leaders, the woman that is managing a lot of the pandemic response in Australia with rubber bullets, these are all people that have been trained in these war games that have been run at Hopkins. And they are not the intellectual giants of the world. They’re a bunch of bureaucrats and functionaries and they’ve been taught this process, this is what we’re gonna do.

Normally anybody trained in war, in the art of war, knows that your battle plan is only as good until your first encounter the enemy and then you have to adapt it. These people have never changed their battle plan based on the reality of what this virus represents. It is not a highly lethal virus and we do not have a highly effective vaccine. They don’t care. They got their little plan, it’s just like the FDA, they got their check list, « This is what we do next, this is what we do next ». And by the way a bunch of media leadership have been involved in all of those war games. Those are the people that we’re listening to on CNN, those are the people that are writing for The New York Times. They’ve all been indoctrinated that this is what we have to do, this is how we have to control the population, this is how we get out of the pandemic.

But the reality is completely different and that’s why you and so many others are looking around and saying « But, but, but this vaccine doesn’t work, it doesn’t protect us from infection. Why are we all being forced to take it in our workplace when it’s not going to ensure that our workplace is safe? Why are children being forced to take it? »

Veronika Kyrylenko : Pregnant women.

Dr Robert Malone : Oh, that’s a whole other can of worms. That is totally unjustified. We don’t have the data to show safety in pregnancy. So the common – you know, normal, I do wanna say common – people in the world, you know, we’re really all the same. Yeah I’ve had speciality training, you’ve had speciality training, they’re just different. And I committed a stupid long time to my training. But so I know things and I do things. It’s different from what you do but that doesn’t make us different, that doesn’t make me more special than you and it doesn’t mean that I have some super brain power.

People can see truth. They know it. They know it in their bones. They can sense that there’s something wrong here. Often they don’t have the framework, the words to think about it because this isn’t what they do for a living. They drive a bus or do other things, they’re policemen, they’re airline pilots. But they know that there’s something wrong here because the management that’s coming from the top on this doesn’t fit with what they know to be the ground truth. And that, I think, is the big, big question. Why? What is behind this?

Veronika Kyrylenko : What is behind this really? You say that they’re not flexible, they’re sticking to that scenario. Do you think it is because they are just being so very unadaptive bureaucrats? Is it because of their very conservative, in the bad sense of words, type of thinking? Or is it because they just simply got drunk on power and they really like this position when they can decide on life and death of millions of people?

Dr Robert Malone : Or they feel like they’re locked in. So I don’t know the answer, I’m not a psychologist and I can’t get inside of Tony Fauci’s head or Bill Gates head. I’m convinced that both of those people have distorted views of the world. They are not in touch with most people. They live in their own special reality of power and protection. They’re surrounded by sycophants that are telling them whatever they want to hear. They travel in international spaces on private jets with people that are like them and they don’t really deal with people like you and me that are out in the world doing things. And so now their authority is being threatened. They’re not threatened by me, I guarantee, and they’re not threatened by you. They’re threatened by facts. And the facts are inconvenient. And so what is their reaction? « We’re going to suppress the facts because they’re inconvenient, because they make us look bad not because… » What we’re encountering is people, I don’t think you could deny, we’re not encountering people who are committed to public health, to protecting you and me. We’re encountering people that are committed to defending their own privilege and their own perks and their own status. And it’s very much about them. I mean, how can you look at Tony Fauci and not realize it’s all about Tony.

Veronika Kyrylenko : Oh, yeah.

Dr Robert Malone : It’s all about Tony. And he’s constantly on the media, he has multiple… I mean, the guy is the director of the National Institute of Allergy and Infectious Disease. What does he need 30 media people for? This is crazy. Why is he personally the only one allowed to speak of all the scientists at the NIH? Because it’s all about Tony. He’s been able to amass this massive amount of power and then you’ve got Bill Gates who has virtually bought the World Health Organization because of a series of circumstances. And then above all of that, you’ve got these four major investment firms that own all each other, like Blackrock and Vanguard. And all of these companies that are giving this messaging all over the world, the media companies, the IT companies, the pharmaceutical companies, all of this matrix that’s now horizontally integrated is really all divisions of one company.

What we’re seeing is the consequences of of consolidation of finances, of money and power globally. And that’s – we had the Sherman anti-trust act here in the United States to break up the power of these big blocks of capital. But what’s happened now is the capital is no longer constrained by nation state. These blocks of money are independent of countries. They’re more powerful than countries. They tell the US treasury what to do. They tell the US Federal Reserve what to do. It’s not the other way around anymore. They control economies. They can make or break you and I like that and everybody around us by making a financial decision. And they are amoral. They don’t operate in a world where they care about morality. They operate in a world in which all they care about is return on investment and we become pawns. We become just – the methaphor is being used, I don’t know of a better one – we’re like cattle. We are just economic units that can be moved about in whatever way to suit them. And they’re constantly looking for best return on investment. If they can get a better return on investment by doing something – manufacturing sugar or shoes or whatever, by going to Eastern Europe or to Vietnam or to China or wherever – that’s where the money will go.

The money is coming from what you do and I do – this sounds kind of Marxist but it’s fundamental – we’re the ones that are creating value. And they’re the ones that are drawing that value off in building their own huge economic portfolios and that’s what – in my mind – what’s really behind it. And the tool that they’ve used has been this series of war games, that they funded, and trained politicians on how to implement. And I gotta say, my thinking on all this was really, I resisted so strongly thinking about things in this way and I had many people coming to me and pointing out information about Klaus Schwab and the Great Reset and all this and I resisted that. I just didn’t want to think about that, it wasn’t possible. Then I read Bobby Kennedy’s book and I edited it twice. He asked me to help him with that. And when I finished that book I thought I understood what was going on in our government. I thought I understood what was going on in the NIH, with Tony Fauci.

The first time I read that book I was depressed for two weeks. Just realized how profoundly distorted everything has become. And that together with this comment from this Portuguese woman rocked my world. I was left aware that everything that I had assumed about the way things work and all the training I had received and the world, the way that I believed things were, that there were rules, that we all obey these rules, that these rules were designed to keep us safe and protect us and to ensure that there was equity and proper way of doing things, I realized that that was just grossly naive. And now intellectually I’m in a position where I don’t know what things look like on the other side. I don’t know what the rules are anymore. There don’t seem to be a any rules. It’s whatever those in power say is what goes. And you’ve lived under this system, you know what we’re talking about and you know where this goes.

Problem is, this would be great in Plato’s Republic where we have a benign benevolent dictator that is infinitely aware of everything and wise and profound. Unfortunately, we’ve yet to see that person. What we find is that people at the top of these authoritarian structures become corrupted. They’re not wise, they’re not fully informed and they end up serving their own interests and those around them and it happens again and again. We all know this expression « Power corrupts and absolute power corrupts absolutely. » And I don’t know…

What I encountered in moving about in the world, if you’re doing all this travel and talking to people, Latin America, Europe, Asia. Many people have become very distrustful of centralized authority. And they’re seeking other ways. Some other way to organize ourselves and they don’t like communism – we’ve proven that doesn’t work. But they sure don’t like this kind of Central Command authoritarianism and kind of we-know-best collectivism that we’re now seeing play out, that’s coming, I mean… The term, after the French Revolution, of Jacobins, applies. This is kind of sophisticated political language you’re talking about. Many of current French leadership think of themselves as Jacobins. This idea that they know what’s good for all of us…

Veronika Kyrylenko : Greater good.

Dr Robert Malone : … and they’re going to implement it whether we like it or not. We’re seeing, in my opinion, the consequence of that kind of Jacobin thinking. That there’s an elite and they know what’s best for us and they’re gonna give it to us good and hard. I don’t wanna live in that world and I suspect you don’t or you wouldn’t be here…

Veronika Kyrylenko : No, thank you.

Dr Robert Malone : … and I think a lot of other people. But the problem is that they, these forces that are trying to implement this kind of strategy are highly coordinated. They’ve been planning this for decades. And the rest of us are kind of waking up slowly going « Whoa, what happened? I don’t get it, how did this all happen? » How do we end up with the media that was so coordinated censoring – I like to say and said in a rally in O’ahu last week – I said « Do you remember the time when we all felt sorry for the Chinese because their government was controlling their access to information, their government was controlling their Internet, their government was controlling what they could do, where they can move, their government was forcing them to have internal passports? Remember when we all felt sorry for the Chinese? Wake up because here we are. »

Veronika Kyrylenko : Don’t you think Covid-19 happened very conveniently and what’s your opinion on SarsCoV-2 origin?

Dr Robert Malone : I am increasingly convinced that the data are showing, and the sequenced data indicate that this was an engineered virus. Was it engineered through natural selection and passaging in animals and animal models that were engineered or was it engineered through molecular mechanisms like the CRISPR cas9 system? But it was engineered. And that’s the appearance. I have some unique insight into this – I think, a little bit unique, I’ve shared it before.

Veronika Kyrylenko : Is it confidential?

Dr Robert Malone : No, it’s not classified. I first shared it with Reiner Fuellmich group when they were asking me to testify in Germany. I was called by a CIA officer on January 4, who was in Wuhan, telling me I needed to get my group spun out because this virus was a major threat. He was there under cover of his Harvard Medical School appointment. He was in Wuhan in the fourth quarter of 2019. His name is Michael Callahan. He is a CIA officer. He is one of our top experts in biowarfare. He has directed programs on gain of function research. He has held a senior position with DARPA. He was in Wuhan at the time and he was very familiar with what was happening with this virus. A month later he told me « We have looked at this virus and it has no genetic hallmarks of any kind of laboratory manipulation. »

Then about a month and a half ago, a very senior colleague of mine who is a GS 15, that’s a very high, that’s the civilian equivalent of a brigadier general, who works for DOD, called me. And I’ve known this guy since he was a postdoctor (?). He called me and he said « Robert, I want you to stop talking about Mike Callahan. He was not in China, he lied, we had no personnel there at that time. Now for me that’s a red flag, that’s basically saying, this is a high level government official in a defense threat reduction agency that I’ve worked with for decades telling me straight out to shut up and what I know from my own ears and eyes isn’t true.

Now the problem with that is that Michael went on the record with Science magazine and there’s a whole article about famotidine in which Michael talks about having been in Wuhan at that time. I know Michael escaped Wuhan, as the quarantine was dropping, by boat because he wasn’t authorized to be there by the Communist Party. And what did they do with him after they picked him up off the boat? He then managed the Diamond Princess outbreak and then he came back and worked for Bob Kadlec at ASPR and HHS overseeing BARDA. Were we involved in that? The documents are pretty clearly showing that that gain of function research in that Wuhan lab was funded by the NIH and was funded by DARPA – I mean, sorry DETRA, Defense Threat Reduction Agency – people that I work closely with.

And the thing about gain of function research, it’s called dual-purpose research. Dual-purpose research is classified by its very nature because it can be used – why is it called dual purpose research? – it can be used for biodefense, protection and knowledge but it can also be used for biowarfare. There’s another aspect to this that I mentioned to the Germans and people haven’t really recognized. There’s a hole in the biowarfare treaty, everybody needs to know this globally. The biowarfare treaty that was signed with the Soviet Union, by the United States government as a consequence of us developing highly lethal biowarfare agents that would stop tank commanders from the Soviet Union on a blitzkrieg before they got to the English Channel – that’s why we developed it. That treaty prohibits lethal agents. It does not prohibit incapacitating agents. And incapacitating agents are not blocked. The people that I work with know that incapacitating agents represent a major threat. And the converse is also true.

Veronika Kyrylenko : Would you explain that? What are those agents and how do they work?

Dr Robert Malone : Classic examples are the equine encephalitis viruses. They are readily aerosolized. You can inhale them. We’re developing vaccines and drugs against them and they can be deployed into a local area. And if you inhale them and get infected you get encephalitis, you get a brain infection. It typically doesn’t kill you but it makes you so sick that you’re not going to fight. So the new warfare, the New World is all about special ops. It’s about small strike teams. We’ve seen that SEALS and we hear these words. That’s where modern warfare is, it’s small strike teams backed by drones.

This is a new warfare. It’s not big tanks and armies and boom, boom. That’s yesterday. It’s small, highly competent strike forces that are able to be inserted to take out a tactical target in a tactical region or do whatever the task is and backed by drones of various types – there’s a whole spectrum of drones. I was with a security expert that does security for very, very wealthy people – you know, business leaders and stuff like that. The thing he’s most worried about is consumer drones as assassination tools.

That’s the new world we’re in and these kinds of incapacitating agents can be deployed by drone strategically to knock out threats within a region and then one can insert your strike forces to go do whatever it is they want to do.

The other threat that our government is very aware of is that by understanding the genetics of different populations or the races, it’s possible theoretically to engineer pathogens that will selectively target different ethnic groups. That’s the new horizon, that’s the new reality and we kind of got all get attuned to that’s what we’re dealing with is a totally different world in which biologic agents drones and other things and media manipulation, propaganda, control, censorship is all integrated to enable global power.

I mean, if you look at the Pfizer contracts […] and I’ve had lawyer friends that looked at those that went « Good Heavens, I can’t imagine that I would ever get terms like that, you know. I’m a slacker. Look at what Pfizer’s done, this is amazing. They’re leveraging governments! » What if you step back from that, look at it from above. What’s going on? It’s a new OPEC. Access to these technologies of rapid response vaccine development is being leveraged for geopolitical benefit. It is a new vehicle for exerting global economic and political power.

And the developing countries and the Middle East know it. They know they’re being had by the western nations. China knows it. China is busy trying to do a deal with Pfizer right now, by the way. The thing about the RNA tech is not these vaccines. These vaccines are just the entry point. The RNA tech makes it possible to make customized vaccines fast, based on genetic information. And the whole manufacturing process is standardised whereas with regular vaccines and regular biologics it takes a long, long time to develop a manufacturing process and release and testing and blah blah blah for a new product. With the RNA tech, basically just change the sequence inside the RNA and the whole rest of the formulation chemically, it stays the same. And that makes it possible to make these things really fast and it’s small scale. That is transformational. It’s transformational for personalized medicine, cancer but it also makes it possible to make customized vaccines on short notice. They can be deployed into small populations. If you think that the bad guys – metaphorically speaking – have come up with some new pathogens and they’re working on in this geographic area, it means that once you get a sample of that pathogen you can sequence it, you can generate a vaccine for it, you can vaccinate your special forces, they can go in and deploy and take out whatever that group is that’s building this new thing. That’s one version of that story.

Another version of that story is, if you want to come up with the new weaponized incapacitating agent then it’s really easy to make a new vaccine to protect the people that are going to deploy that strategically in to « fill in the blank » area. Now would our government ever do that? I can imagine. Has the CIA ever assassinated duly elected leaders in other countries? I don’t think I have enough fingers to count. So this is the reality that’s behind all this. And we need to wake up.

That was a riff.

Veronika Kyrylenko : Yes. Wow this is actually even scary to think about and yet, this reality, like you said, it’s unfolding before our eyes. But, like you said, there are strategies that people can use to try to resist. I know that the enemies are powerful and well organized and well funded. But there is a chance, like you said, organizing and informing people of a threat that they may be not even aware of. This is very important. And I believe that our conversation today was a step in that direction.

Dr Robert Malone : I hope so.

Veronika Kyrylenko : Yes, I really do. So thank you very much, Sir, for hosting us here in this beautiful day in your beautiful farm and thank for your candid and very strong arguments. We do appreciate it.

Dr Robert Malone : My pleasure. I think knowledge and information is the one thing I can help with. And I’m not gonna go lead. I’m not a leader of major protests and social movements. But I appreciate your willingness to provide an opportunity to share what I know and your interest in the topic and your leadership and as somebody in alternative media that is willing and able to provide information to people and let them make their own decisions.

Veronika Kyrylenko : Thank you very much, Dr Malone for this amazing conversation. This is Veronika Kyrylenko for the New American.

Nouvelles en vrac, deuxième.

Vieillissement prématuré

Quelques commentaires trouvés sur la même page que cet article :

Une dame âgée de mon immeuble était encore très agile il y a environ dix-huit mois. Il y a six mois, j’ai remarqué qu’elle se traînait avec un déambulateur. Il y a deux mois, je l’ai vue se déplacer à petits pas jusqu’à sa voiture. Elle se traînait à une vitesse glaciale. J’ai eu l’occasion de lui parler : … Elle souffrait d’une forme légère de SEP. Aujourd’hui, elle devrait être en maison de retraite et ne devrait certainement pas conduire. Cela m’a laissé perplexe. Pourquoi cette rapide et impressionnante détérioration? Puis, ça m’a frappé: je parie qu’elle a reçu l’injection. Le timing est clairement suspect. De plus, elle a beaucoup de mal à effectuer les mouvements physiques de base (s’étirer/se pencher/etc.) Très pénible à regarder.

L’autre jour, j’ai parlé avec un type dans notre immeuble. Je ne l’avais pas vu depuis quelques mois. C’est étrange, ai-je pensé. Il a l’air beaucoup plus vieux. Un vieillissement manifeste. Aujourd’hui, je l’ai vu promener son chien. Même de loin, son vieillissement était perceptible. Après avoir lu la remarque de Truthbird sur le « vieillissement accéléré », je me demande si cet homme a aussi reçu la toxine du diable? C’est fort probable. Les gens de ma région semblent être assez dociles. En toute honnêteté, peut-être qu’il a été contraint (ou peut-être que je me trompe au sujet de ces deux personnes). Quoi qu’il en soit, ce poison fait d’énormes dégâts, et les personnes malveillantes qui le poussent sont implacables. Cette « pandémie » frauduleuse est hautement organisée. Les politiciens invoquent constamment le terme bidon de « racisme systémique ». En fait, il s’agit d’un mal systémique mondial, à tous les niveaux du gouvernement. Mars 2020 a été un pas de géant vers un gouvernement totalitaire mondial.

– Il me semble que ce vaccin précipite les problèmes sous-jacents…

– En exacerbant les problèmes de santé antérieurs, oui. Mais il accélère aussi le vieillissement. Je le constate chez tous ceux que je connais qui ont été vaccinés – c’est-à-dire tout le monde, hélas. Nous avons tous l’air d’avoir dix à vingt ans de plus qu’il y a quelques mois. Nous avons tous eu des événements indésirables, bien que je sois la seule à réaliser que c’est le vaccin qui a provoqué ma catastrophe sanitaire. Ils nient que leurs nouveaux problèmes ou leurs crises de santé soient liés au vaccin.

– Nous avons remarqué la même chose. Les personnes vaccinées vieillissent rapidement. C’est triste à voir…

– En quoi ont-ils l’air plus âgés ?

– De diverses manières. Par exemple, nous nous déplaçons tous plus lentement qu’auparavant; la plupart d’entre nous ont pris un peu de poids; certains semblent avoir vu leur posture se détériorer de façon spectaculaire; telle personne a l’air hagarde et malade, a perdu beaucoup de poids et boite très visiblement lorsqu’elle promène son chien; tous ont beaucoup plus de cheveux gris qu’auparavant (bien que certains aient peut-être renoncé à les teindre ou ne consacrent tout simplement plus autant de temps et d’énergie à le faire); beaucoup plus de personnes âgées marchent maintenant avec des cannes ou des bâtons de randonnée (le genre que les personnes plus athlétiques utilisent pour les randonnées en montagne, mais ce sont des personnes âgées qui les utilisent simplement pour leur permettre de faire lentement le tour du pâté de maisons); beaucoup d’autres personnes âgées utilisent maintenant des déambulateurs pour se promener dehors: je n’ai jamais vu autant de personnes âgées avoir apparemment toutes besoin d’une forme d’assistance pour faire une simple promenade! L’une de mes voisines âgées est décédée récemment – je ne sais pas si sa mort est liée à l’une des injections Covid, mais je suppose que c’est le cas, car à ce stade, je considère tout décès dont je suis informée comme lié au vaccin, jusqu’à preuve du contraire.

Surveillance

Deux anecdotes pour illustrer le sujet: il y a quelques mois, j’explique à mon épouse un truc que j’ai vu sur YouTube, il y a plusieurs années. En Sibérie par grand froid, on voit quelqu’un lancer en l’air le contenu d’une casserole d’eau bouillante, qui gèle instantanément et retombe sous forme de glaçons. Le lendemain du jour où j’en ai parlé (en présence d’un smartphone), j’ai dans mes vidéos suggérées par YouTube une autre vidéo d’un type qui fait la même expérience…

La semaine dernière, un collègue me demande si je vais bientôt recevoir mon nouveau scooter. Entre parenthèses, je l’ai acheté suite à un accident qui laisse mon scooter actuel en attente de réparation jusqu’au mois de janvier. La dame qui s’est engagée sur la file de gauche et m’a percuté alors que j’effectuais une manoeuvre de dépassement parfaitement menée ne m’a tout simplement pas vu. Il paraît que ce serait un problème d’angle mort – donc pas forcément un « vaccident ». Quoiqu’il en soit, soyez extrêmement prudents sur la route comme je vous l’ai recommandé dans les nouvelles précédentes et considérez les autres usagers de la route comme susceptibles de comportements inattendus. La chute de l’histoire, c’est que le collègue précité a reçu sur son Facebook une publicité pour exactement le même scooter que celui que j’ai commandé, alors qu’il n’a aucune intention d’en acheter un, qu’il n’en a fait aucune recherche sur le Net (donc zéro cookie sur le sujet) et que ce modèle se vend très peu en Belgique.

Nous sommes surveillés à un point difficilement imaginable et ce depuis très longtemps – dans mon cas, ce n’est vraiment pas la peine, il suffit de lire mon blog. Le « capitalisme de surveillance » – annoncé notamment ici – est déjà bien en place. C’est une vieille tactique: prévenir d’un danger imminent seulement quand il est trop tard pour l’empêcher.

Mayday, mayday!

Le lieutenant-colonel Theresa Long a rédigé ce rapport, dans le but d’alerter sa hiérarchie des dangers inhérents aux vols militaires depuis que les pilotes montrent des signaux alarmants d’atteintes neurologiques, cardiaques et circulatoires suite à leurs injections. Enfin, alarmants pour elle, vu qu’on l’a essentiellement empêchée d’examiner les pilotes qui montrent ce genre de signes – je dois encore transcrire/traduire son témoignage devant le Sénateur texan Ron Johnson, un type assez courageux – mais j’ai cinquante trucs sur le feu et je procède par priorités.

Ça n’aura pas traîné: apparemment, il y a déjà eu deux événements liés à des crises cardiaques dans l’aviation civile. Un pilote et un co-pilote sont morts en plein vol. Heureusement, pas le même vol.

Rafles en Australie

Rappelons en préambule qu’une partie du don fait en mai 2020 de cinq millions de doses d’hydroxychloroquine par le millionnaire Clive Palmer a été détruit en avril de cette année parce que le gouvernement australien l’a refusé, après en avoir accepté 22 millions de doses, toujours détenues dans son stock sans intention de les distribuer. Leur date de péremption est en 2023.

Concernant les « mesures » actuellement en place, un extrait traduit de cet article sur The Covid World:

« Un internaute anonyme décrit en détail son vécu dans un camp de quarantaine australien. Cette personne affirme avoir été confinée après avoir pris un vol pour l’Australie depuis Singapour.

Bien qu’il soit vacciné et qu’il ait passé trois tests au cours de son voyage, tous négatifs, il a été contraint de séjourner dans le camp.

Dans son message, l’auteur raconte qu’il a été contraint de monter dans un bus aux vitres occultées par des gardes armés pour un trajet de deux heures jusqu’au camp de quarantaine. Les détenus seraient contraints de se faire vacciner, mais aussi de subir des tests réguliers et sont surveillés par des caméras et des gardes armés. Les détenus doivent payer 2 500 dollars pour leur séjour involontaire d’une durée de deux semaines.

Bien que les détenus disposent d’Internet, qui est vraisemblablement surveillé, le GPS est bloqué, ce qui les empêche de déterminer exactement où ils se trouvent. Cependant, d’autres internautes ont suggéré qu’il était emprisonné au « National Resilience Center » de Howard Springs. »


Un autre extrait traduit de cet article sur Natural News:

« Le gouvernement australien des Territoires du Nord-Ouest a désormais recours à des soldats et à des camions de l’armée pour rassembler de force les autochtones qui ont simplement côtoyé une personne dont le test de dépistage du covid est « positif ». Maintenant que les familles sont séparées sous la menace des armes, l’une des prédictions les plus horribles que nous avions faites s’est réalisée: la loi martiale militaire/médicale qui permet de rassembler des civils innocents sous la menace d’une arme et de les emmener dans ce qui est essentiellement un camp de concentration de covidés.

Ces victimes sont relogées de force dans le camp de quarantaine de Howard Springs à Darwin, en Australie. Michael Gunner, le chef du territoire, admet l’enlèvement par l’armée et la relocalisation forcée des indigènes australiens, au mépris de leurs structures familiales et en suggérant que ce sont des sauvages puisque de nombreux membres de la communauté interagissent entre eux comme des membres d’une même famille. »

Au cas où vous penseriez que l’auteur emploie ce vocabulaire superlatif pour exagèrer la gravité des événements, voici des liens vers des vidéos:

  • celle-ci, où on montre un autre campement à Queensland (vide pour l’instant), qui rappelera des installations similaires dans l’Histoire récente;
  • celle-ci, où on voit l’enlèvement par l’armée d’un vieillard aborigène;
  • celle-ci, où on voit un appel à l’aide très poignant d’une vieille aborigène qui n’a plus de nouvelles de ses proches enlevés;
  • celle-ci, où on voit le témoignage d’un soldat qui explique qu’on les entraîne à faire la tournée des maisons pour injecter tout le monde de force et à poursuivre les fugitifs;
  • celle-ci, où on voit le susnommé Gunner, physique d’assassin, regard et comportement de psychopathe.

Le parallèle avec le nazisme – ou les dictatures communistes, ou les invasions coloniales – est évident et il n’est pas accidentel de la part de ceux qui le mettent en place. Derrick Jensen explique très bien dans cet article pourquoi cette civilisation (la nôtre, donc) doit anéantir les peuples indigènes: pour bien vous convaincre qu’il n’y a pas de porte de sortie.

C’est faux, il y en a une.

Avantages et inconvénients d’une catastrophe

Comme je dois le faire depuis plusieurs mois, je vous parle de l’inondation qui a frappé notre région et de ce qui s’est passé dans notre village. Il y aurait des pages à écrire, je vous fais un très bref résumé. La rivière a débordé à un niveau que les plus vieux du canton n’avaient jamais vu de leur vie. Nous avons eu de l’eau jusqu’à la taille dans notre rue (qui est à une centaine de mètres du rivage) et nous sommes loin d’être les plus touchés. Dans certaines communes, l’eau est montée à plus de trois mètres dans les habitations et n’a commencé à redescendre que vingt-quatre heures plus tard. Dans les endroits pentus l’eau est arrivée en torrents, ce qui a été charrié a causé des dommages irréparables. Des centaines de maisons sont encore inhabitables et beaucoup seront démolies. Des centaines de personnes se sont retrouvées avec ce qu’elles avaient sur le dos, tout le reste a été détruit. Grâce à la diligence de notre bourgmestre (intérimaire, l’autre était en vacances), on a pu évacuer tout ce qui était irrécupérable – et malheureusement d’autres choses qui auraient pu être sauvées. Mon épouse et moi-même avons passé des centaines d’heures (toutes nos vacances et au-delà) à trier, nettoyer, sècher, refaire entièrement les murs de la cave, tout ranger. Les containers se sont succédés pendant une semaine et ont déversé leurs contenus sur une route désaffectée, ce qui a créé un tas de huit kilomètres de long.

La leçon majeure à en tirer est l’incroyable solidarité qui s’est créée instantanément, souvent entre des gens qui se parlaient à peine auparavant. J’ai aidé des personnes que je ne connaissais pas et ils nous ont aidés aussi. Maintenant relisez cette simple phrase dans la capsule précédente :

 » [L]e chef du territoire [suggère] que ce sont des sauvages puisque de nombreux membres de la communauté interagissent entre eux comme des membres d’une même famille. »

Ce que nous avons vu, c’est que nous sommes capables d’interagir entre nous comme des membres d’une même famille. Et nous allons devoir le faire. Si on décide de nous couper vivres, gaz, essence, électricité et – pire! – Internet, il faudra trouver mieux que de crever de faim chacun de son côté, en grelottant dans nos maisons éteintes.

Voilà pour les conséquences. En ce qui concerne les causes de cette inondation, nous y reviendrons en détail avec la conférence de Nikki Florio, grâce à laquelle vous comprendrez qu’il est très facile de créer des catastrophes climatiques. Evidemment, vous n’en entendrez jamais parler dans les médias. Selon ceux-ci, la cause majeure serait l’inanité de la gestion des barrages en aval des cours d’eau qui ont débordé en amont: seulement deux vannes sur sept ouvertes, et encore, seulement à un tiers, alors que les autorités ont incessamment exigé qu’elles soient ouvertes. Incompétence? Si on était complotistes, on pourrait penser qu’il s’agit de malveillance organisée, de façon à aggraver l’ampleur des dégâts. Il paraît qu’il y aura une enquête sur les responsabilités. Si ça se déroule comme la commission parlementaire sur l’affaire Dutroux, ça promet d’être une nouvelle farce dans une longue série de farces. D’ailleurs, à ce propos…

Plainte contre Bill Gates

« La Haute Cour de l’Inde saisie de l’affaire du premier meurtre commis à l’aide d’un vaccin contre Bill Gates et Adar Poonawalla. » Article ici. Pour davantage de détails sur ce M. Poonwalla et ses liens avec Gates, j’avais publié ceci sur ce blog. Entretemps, l’Inde a réhabilité l’ivermectine et l’épidémie est essentiellement terminée chez eux.

Donc, une action en justice contre Gates. J’ai pleinement confiance dans l’avenir de cette plainte. A ce niveau, ces personnages ne sont jamais inquiétés et les rares exceptions à cette règle sont de complètes mises en scène. Mais si quelqu’un veut tenter sa chance, bon courage.

De toute manière, ça n’a guère d’importance. Les Gates, Soros, Bezos, Zuckerberg, Musk et autres têtes de gondole servent avant tout de supports pour effets d’annonce dans les médias d’une part, et d’os à mâcher pour l’opposition contrôlée d’autre part, couvrant ainsi tout le spectre du récit pour les naïfs qui gobent l’une ou l’autre version de ce spectacle de guignols. Les méchants précités sont essentiellement des photos avec un chiffre à côté, celui de leurs prétendues centaines de milliards, qu’ils sont manifestement incapables d’avoir gagnés tout seuls au vu de leur têtes d’abrutis congénitaux. Quand on fait autant de bruit autour de l’une ou l’autre de ces entités, ça doit déclencher votre système d’alarme: c’est trop facile. Les meneurs du jeu sont bien mieux cachés que ça. Dans la liste de ces faux-semblants, on pourrait aussi citer Trump, créature des banques et traître par excellence, engagé pour discréditer toute idée de nationalisme tout en développant la phase finale du double programme injections/5g après avoir joué la comédie de l’anti-vax pendant sa campagne de 2016.

Ces gens sont généralement les arrière-cousins un peu lents des grandes familles, qui leur confient un rôle à leur mesure dans le jeu de Monopoly qu’est l’économie mondiale, jeu dont ils possèdent déjà toutes les cartes et les dés truqués et dans lequel l’argent, créé par leurs ancètres dans ce seul but, ne représente qu’une fiction utile à leur pouvoir séculaire.

Le grand hold-up actuel est imputé à des pantins milliardaires pour occulter le fait que le but de l’opération n’est pas de les enrichir mais de vous priver officiellement des moyens qu’ils vous ont déjà pillés depuis longtemps. Si l’analyse du narratif qui leur est confié n’est pas inutile, il est parfaitement vain de se focaliser sur l’une ou l’autre de ces entités. Je ne cherche ici à les affranchir de rien. Ce sont des crapules. Mais ils sont de simples rouages et seront remplacés par d’autres rouages. C’est le système qui est pourri. Le seul enjeu serait d’en créer un plus sain que le précédent et que celui destiné à le remplacer, systèmes amoraux dans lesquels tout le monde exploite ceux d’en-dessous, voir figure 1.

Ceci conclut notre édition du dimanche.

Mythe et réalité de la Russie du COVID – par Riley Waggaman.

Un petit article rigolo sur ce qui se passe en Russie. Après ça, j’en traduis un sur la Lithuanie (si j’ai le temps!)

Je ne me foule pas pour l’intro: j’ai trouvé ce qu’il faut dans les commentaires sous l’article.

Source.

« Il n’y a pas de camp rouge ou bleu, ni de menace russe ou chinoise.

Il n’y a qu’un seul réseau commercial mondial interconnecté d’anciennes familles d’élite marchandes qui agissent sous couvert (véritable sens du mot occulte), qui volent et escroquent les classes inférieures. Ils veulent vous empêcher de réaliser qu’ils dirigent la civilisation depuis le début, en tant que marchands, banquiers, affréteurs et forgerons. Ils ne veulent pas que vous réalisiez qu’ils possèdent tout et qu’ils ont toujours tout possédé.

Cela ne cadre pas avec la notion de démocratie qu’ils nous vendent depuis des centaines d’années.

Ce n’est pas un hasard s’ils sont TOUS apparentés à de grandes familles de la pairie, qui jouent leur rôle sur la scène mondiale. »

« There is no red/blue team, and no Russian or Chinese threat. 

There is only one interconnected global business network of ancient covert (true meaning of occult) merchant elite families stealing from & scamming the lower classes. They don’t want you realizing they have been ruling civilization from the beginning, as merchants, bankers, shippers and smiths. They don’t want you realizing they own everything and always have.

It doesn’t fit the notion of democracy they have been selling for hundreds of years.

Its no accident they are ALL related top families from the peerage, playing the part on the world stage. »


Traduction

Mythe et réalité de la Russie du COVID

Il est temps de dire adieu aux contes de fées qui apaisent les consciences.

Riley Waggaman

Le Sputnik V est sûr! » ; « Poutine ne fait que ‘jouer le jeu’ du COVID en attendant que le pétrodollar s’effondre! » ; « La Russie est le dernier bastion de la liberté! ».

Les médias alternatifs ont créé une réalité alternative de la Russie.

Le Kremlin a adopté exactement les mêmes « mesures de santé publique » violeuses d’âmes que celles qui terrorisent actuellement le monde occidental – et les gens sont soit dans le déni, soit à la recherche d’excuses.

La Russie Internet (à gauche) est légèrement différente de la Russie réelle (à droite).

« Il n’y a pas de vaccination obligatoire en Russie! »

Les 85 sujets fédéraux de la Fédération de Russie ont maintenant imposé des obligations vaccinales, ainsi que des règles exigeant des certificats de « santé » numériques pour accéder à certaines entreprises, lieux et institutions publiques. De nombreuses régions refusent les soins médicaux de routine à ceux qui ne possèdent pas de code QR.

Au niveau fédéral, le Kremlin a exprimé son soutien à « toute mesure » qui « encourage » les Russes à se faire vacciner, tout en insistant sur le fait que la vaccination reste totalement volontaire.

Un échantillon des versions régionales de la vaccination « volontaire » en Russie :

  • Dans la région de Novgorod, les enfants dont les parents n’ont pas été vaccinés sont interdits d’accès aux clubs parascolaires et autres activités extrascolaires.
  • Des passeports numériques de vaccination seront nécessaires pour utiliser les transports publics au Tatarstan. La nouvelle réglementation s’applique à tous les résidents âgés de plus de 18 ans sans exemption médicale.
  • À Saint-Pétersbourg, un test PCR négatif ne peut être utilisé pour obtenir un code QR. Cela signifie que les théâtres, les musées et les restaurants de la deuxième plus grande ville de Russie sont réservés exclusivement aux personnes vaccinées et à celles qui ont la preuve d’une infection antérieure.
  • Les Moscovites âgés de plus de 60 ans ont reçu l’ordre de s’auto-isoler jusqu’à la fin du mois de février. Les personnes vaccinées ou présentant une preuve d’infection antérieure sont exemptées de cette règle.

Vous avez probablement dû lire quelque part que Vladimir Poutine a interdit la vaccination obligatoire dans le cadre de son plan stratégique visant à détruire le système bancaire à réserves fractionnaires et à apporter la paix et l’harmonie au monde. Quelqu’un vous a menti. Désolé.

« …Mais Sputnik V est sûr ! »

Est-ce que le Kremlin a accès à un vortex temporel? Parce que nous ne cessons de lire des déclarations tapageuses sur les résultats inexistants des essais de sécurité et d’efficacité « à long terme » (ha-ha) de Spoutnik V – qui doivent se terminer le 31 décembre 2022.

Comme d’autres vaccins COVID, Sputnik V a passé en trombe les essais cliniques, avec un rapport « intérimaire » composé de six mois de données utilisées comme preuve de sa sécurité et de son efficacité inattaquables à long terme. Le fait que cet ensemble de données déjà limité ait fait l’objet de controverses (ainsi que d’un manque de transparence alarmant) n’a pas arrangé les choses.

Les essais de phase III sur les vaccins nécessitent généralement au moins cinq ans d’observation attentive. Par exemple, l’étude de l’innocuité à long terme du vaccin contre le virus Ebola de J&J – qui utilise la même plateforme de vecteur viral Ad26 que Sputnik V – a commencé en 2016 et ne se terminera pas avant 2023.

Sputnik V : un coup de zapping pour éviter toute paperasserie inutile.

Alexander Redko, président de l’Association Professionnelle des Travailleurs Médicaux de Saint-Pétersbourg, a noté en juillet que déclarer Sputnik V « sûr » sans même attendre la fin d’essais cliniques effectués à une vitesse délirante est à peu près aussi scientifique que de lire les cartes de tarot. A-t-il tort? Le gouvernement russe le pense clairement.

En décembre 2020, le Ministère russe de la Santé a annoncé qu’il mettait prématurément fin aux inscriptions aux essais de Sputnik V, arguant qu’il serait contraire à l’éthique d’administrer des injections placebo alors qu’un vaccin éprouvé et salvateur était déjà disponible pour le public.

« Tout a maintenant été prouvé, alors que la pandémie est en cours« , a expliqué Alexander Gintsburg, directeur du Centre Gamaleya – qui a développé Sputnik V – quatre mois seulement après le début des essais de phase III.

Les négateurs de la science affirment qu’il est irresponsable de contraindre des dizaines de millions de personnes à se faire injecter un médicament non testé, mais ce que ces théoriciens du complot ne comprennent pas, c’est que tout problème à long terme serait apparu au bout de quatre mois.

De plus, la Russie a mis en place un système solide et transparent pour signaler les effets secondaires.

Le gouvernement russe ne dispose pas d’une base de données de type VAERS pour signaler et surveiller les effets indésirables présumés, et les médecins qui mettent en doute la sécurité ou l’efficacité du vaccin sont menacés d’amendes exorbitantes et de peines de prison.

« Le fait est que rien ne fait l’objet d’un signalement en Russie. Par conséquent, il est très difficile de saisir le nombre de complications graves existantes. Il y a beaucoup de cas, et on peut dire qu’ils sont liés au vaccin. Il y aurait beaucoup à dire. Ou bien on peut faire l’autruche et dire qu’il n’y a rien du tout« , a déclaré Pavel Vorobyov, président de la Société Scientifique des Médecins de Moscou, lors d’une récente interview, faisant de lui un criminel de la haine anti-science aux yeux du gouvernement russe.

Le Ministère argentin de la Santé est également coupable de Hauts Crimes contre Sputnik V. En octobre, l’État sud-américain a révélé que le vaccin phare de la Russie était le leader du pays en matière de réactions indésirables, battant Sinopharm et AstraZeneca par des marges significatives (le rapport complet peut être lu ici) :

Pourquoi l’Argentine déteste-t-elle la science ?

On assiste même à des crimes de la pensée commis par les représentants élus de la Russie. Le député de la Douma Mikhaïl Delyagin a soutenu dans une tribune libre du mois d’août que les propres données du gouvernement suggéraient que la vaccination obligatoire de masse n’avait pas d’effet neutralisant évident et qu’elle aggravait la situation.

Pendant des mois, le gouvernement russe a soutenu qu’il était pratiquement impossible d’être hospitalisé pour cause de COVID si l’on était complètement vacciné. Lorsqu’il est devenu évident qu’il s’agissait d’une légère exagération, le directeur de Gamaleya a affirmé que 80 % des Russes vaccinés tombant malades avaient acheté de faux certificats et mentaient sur leur statut vaccinal.

L’histoire de Gintsburg a suscité des commentaires colorés dans les médias russes. Comme le dit un média :

Au début, ils ont dit qu’il suffisait de se faire vacciner une fois tous les deux ans pour ne pas tomber malade, puis une fois par an, puis une fois tous les six mois. Il s’avère aujourd’hui que la vaccination ne protège même pas vraiment contre les soins intensifs ou la mort. Et quelle est la solution? Certes, le Ministre de la Santé, M. Murashko, affirme toujours qu’il n’y a pas de décès parmi les citoyens qui ont reçu le vaccin. Mais les gens ne vivent pas sur Mars, ils sont, hélas, confrontés à ces décès de vaccinés dans la vie courante… Et là, les relations publiques cessent évidemment de fonctionner.

Il est douteux que les relations publiques aient jamais fonctionné. Le mois dernier, le Vice-Président de la Douma d’État Pyotr Tolstoy a admis que le gouvernement avait complètement échoué à convaincre le public que Sputnik V était sûr et efficace.

« Il y a peu de réponses aux questions de savoir pourquoi ceux qui sont vaccinés sont malades, pourquoi ceux qui sont vaccinés meurent, pourquoi il y a des problèmes et des complications après les vaccinations elles-mêmes« , a déclaré ce législateur de haut rang.

Le manque total de transparence a suscité la création de bases de données informelles et de canaux Telegram permettant de suivre les événements indésirables. Au lieu de redoubler d’efforts pour répondre aux préoccupations en matière de sécurité, le gouvernement russe a comparé les citoyens inquiets à des terroristes.

Le Kremlin et ses crédules supporters maintiennent qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter de la sécurité à long terme, car Sputnik V est basé sur la plate-forme de diffusion à vecteur viral du Centre Gamaleya, qui a fait ses preuves. Par exemple, Kirill Dmitriev, l’ex-banquier de Goldman Sachs diplômé de Harvard qui dirige le Fonds Russe d’Investissement Direct (qui fournit le financement de Sputnik V), a affirmé dans un éditorial publié par RT:

La Russie a bénéficié de la modification pour le COVID-19 d’une plateforme vaccinale existante à deux vecteurs développée en 2015 pour la fièvre Ebola, qui a traversé toutes les phases des essais cliniques et a été utilisée pour aider à vaincre l’épidémie d’Ebola en Afrique en 2017.

Mais sur le site de Sputnik V, on apprend:

Environ 2 000 personnes en Guinée ont reçu des injections de vaccin contre la fièvre Ebola en 2017-18 dans le cadre d’un essai clinique de phase 3.

Dmitriev suggère-t-il vraiment qu’un essai de phase III tenu en 2017-18 a aidé la Guinée à vaincre Ebola?

C’est une affirmation assez audacieuse, sachant que la Guinée a été déclarée exempte d’Ebola en juin 2016 après une épidémie deux ans plus tôt. Au moment où la bouillie magique Ebola de Gamaleya est arrivée en Guinée (dans le cadre d’un essai clinique), il n’y avait plus d’Ebola à combattre. En février de cette année, la Guinée a signalé son premier décès dû à Ebola depuis 2016.

Dmitriev ou RT peuvent-ils apporter des précisions à ce sujet? Envoyez vos questions au Russia Desk de RT, réputé pour son intrépidité et son objectivité.

Au fait: pourquoi Dmitriev (et le propre site web de Sputnik V) se vanterait-il d’avoir injecté 2.000 Africains dans le cadre d’un essai clinique organisé un an après que la Guinée ait été déclarée exempte d’Ebola? Eh bien, parce que c’est en fait le plus grand triomphe de Gamaleya – avant d’inventer Sputnik V en un temps record.

Alexander Gintsburg, largement reconnu pour avoir mis fin à l’effroyable épidémie d’Ebola de 2017 en Guinée.

Sputnik V est le premier vaccin « à vecteur viral » du Centre Gamaleya à recevoir une autorisation d’utilisation d’urgence en dehors de la Russie. M. Gintsburg – qui dirige le Centre Gamaleya depuis 1997 – n’a pas encore réussi à mettre sur le marché un vaccin entièrement approuvé, malgré de multiples tentatives.

En fait, le premier vaccin à vecteur adénovirus de Gintsburg, AdeVac-Flu, a donné lieu à un scandale de détournement de fonds de plusieurs millions de dollars.

« Les scientifiques [de Gamaleya] ont « copié-collé » [Sputnik V] de leurs recherches antérieures, que la communauté scientifique a rejetées. Dans leur mémoire génétique – une affaire criminelle, le scepticisme de l’OMS et zéro médicament introduit sur le marché ».

…peut-on lire dans l’accroche d’une enquête publiée par fontanka.ru en juillet 2020.

Avec un bilan aussi impressionnant, il n’est guère surprenant que le Centre Gamaleya se présente comme « la première institution de recherche au monde. » Le centre dispose également d’installations de premier ordre. Sérieusement, admirez ces installations à la pointe du progrès :

Beaucoup de Russes sont également très impressionnés par le fait que le plus grand supporter de Sputnik V (et l’un des premiers investisseurs du programme) est un sympathique banquier qui tente d’introduire en Russie un système de paiement basé sur le code QR, et qui développe également une monnaie numérique en partenariat avec JP Morgan.

Lorsque votre analyste géopolitique préféré de WordPress s’exclame « Sputnik V est sûr! « , la réponse appropriée est : comment pouvez-vous le savoir, et pourquoi le gouvernement russe ne veut-il pas le savoir ?

« …Mais le gouvernement russe ne tromperait jamais son propre peuple ! ».

En juin, l’émergence d’une « souche moscovite » hautement mortelle – jugée plus tard comme un « phénomène hypothétique » – a contraint les autorités à introduire la première obligation vaccinale de Russie dans la capitale. D’autres régions ont suivi.

Oui, les gens ont râlé – mais les « cas » de COVID ont immédiatement commencé à chuter! Les « décès » dus au COVID ont atteint un plateau! C’était un véritable miracle.

L’élection de la Douma a été un événement de super-contamination ou quoi?

Puis quelque chose de vraiment étrange s’est produit: les politiques coercitives du COVID, étonnamment efficaces (mais très impopulaires), ont soudainement cessé de fonctionner immédiatement après les élections de la Douma, fin septembre.

Quelle étrange coïncidence. De toute évidence, le parti au pouvoir, Russie Unie – qui venait de s’assurer un nouveau mandat de cinq ans au Parlement après une victoire électorale inattendue et décisive – a été contraint d’imposer des politiques COVID encore plus coercitives. Si les Russes n’aiment pas ça, ils pourront toujours exprimer leur mécontentement dans les urnes, en 2026.

La descente de la Russie vers la vaccination obligatoire est une étude de cas sur le mensonge à l’échelle industrielle et la duplicité du gouvernement. C’est une histoire très intéressante.

« …Mais… mais… Poutine ! »

En janvier, le président russe a prononcé un discours liminaire au Forum Economique Mondial – son premier discours devant cet estimable organisme international depuis 2009.

Commençant son discours par un « cher Klaus » très amical et intime, M. Poutine a rappelé comment il avait rencontré M. Schwab pour la première fois en 1992 et comment, depuis, il avait régulièrement assisté aux événements organisés par le visionnaire de la Quatrième Révolution Industrielle.

M. Poutine a profité de ce discours très important pour appeler à « élargir la portée des tests et des vaccinations » dans le monde entier, décrivant le COVID comme une menace existentielle qui nécessite une étroite coopération internationale. L’ensemble de l’économie mondiale devra être reconstruite à partir de zéro par les banques centrales, car le virus est tellement mortel et destructeur :

[La] question clé aujourd’hui est de savoir comment élaborer un programme d’actions afin non seulement de rétablir rapidement les économies mondiales et nationales touchées par la pandémie, mais aussi de s’assurer que cette reprise est durable à long terme, qu’elle s’appuie sur une structure de qualité et qu’elle aide à surmonter le poids des déséquilibres sociaux. De toute évidence, compte tenu des restrictions et de la politique macroéconomique susmentionnées, la croissance économique reposera en grande partie sur des incitations fiscales, les budgets des États, les banques centrales jouant un rôle clé.

C’est comme ça qu’on dit « Reconstruire en Mieux » [Build Back Better] en russe?

Nous sommes tous piégés dans le même panpoopticon contrôlé par les oligarques. Il est peut-être temps de l’accepter, au lieu de faire comme si certains geôliers étaient plus « cool » que d’autres?

Nous vivons une époque de dingues. Bonne chance à tous.

Riley Waggaman est votre humble correspondant à Moscou. Il a travaillé pour RT, Press TV, Russia Insider, blablabla. Dans sa jeunesse, il a assisté à une fête sur la pelouse de la Maison Blanche où il a demandé à Barack Obama si le dénonciateur emprisonné Bradley Manning (Chelsea était encore un garçon à l’époque)  » avait passé de bonnes Pâques « . Le bon temps, le bon temps. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter.


Texte original

Myth vs. reality in COVID Russia

It’s time to part ways with the conscience-soothing fairytales

Riley Waggaman

Sputnik V is safe!”; “Putin is just ‘playing along’ with the COVID narrative until the petrodollar collapses!”; “Russia is the last bastion of freedom!”

Alternative media has created an alternative reality about Russia.

The Kremlin has embraced all the same soul-raping “public health measures” currently terrorizing the Western world—and people are either in denial or making excuses.

Internet Russia (left) is slightly different from Actual Russia (right)

“There is no compulsory vaccination in Russia!”

All 85 federal subjects of the Russian Federation now have vaccine mandates, as well as rules requiring digital “health” certificates for entry to certain businesses, venues, and public institutions. Many regions are denying routine medical care to those without QR codes.

At the federal level, the Kremlin has voiced support for “any measures” that “encourage” Russians to get jabbed—while insisting vaccination remains completely voluntary.

A sample of regional flavors of “voluntary” vaccination in Russia:

  • In the Novgorod region, children whose parents have not been vaccinated are banned from afterschool clubs and other extracurricular activities.
  • Digital vaccine passports will be required to use public transport in Tatarstan. The new regulation applies to all residents over the age of 18 without a medical exemption.
  • In St. Petersburg, a negative PCR test cannot be used to obtain a QR code. This means theaters, museums and restaurants in Russia’s second-largest city are reserved exclusively for the vaccinated and those with proof of prior infection.
  • Muscovites over the age of 60 have been ordered to self-isolate until the end of February. Those who have been vaccinated or have proof of prior infection are exempt from the rule.

Probably you read somewhere that Vladimir Putin outlawed compulsory vaccination as part of his master plan to destroy the fractional reserve banking system and bring peace and harmony to the world. Someone lied to you. Sorry about that.

“…But Sputnik V is safe!”

Does the Kremlin have access to a time-bending wormhole? Because we keep reading boastful claims about the non-existent results of Sputnik V’s “long-term” (ha-ha) safety and efficacy trials—which are scheduled to end on December 31, 2022.

Like other COVID vaccines, Sputnik V has zoomed through clinical trials, with an “interim” report consisting of six months’ worth of data used as proof of its unassailable long-term safety and efficacy. It didn’t help that this already limited dataset was plagued by controversy (as well as an alarming lack of transparency).

Phase III vaccine trials typically require at least five years of careful observation. For example, the long-term safety study for J&J’s Ebola vaccine—which uses the same Ad26 viral vector platform as Sputnik V—began in 2016 and won’t end until 2023.

Sputnik V: zooming past all the unnecessary red tape

Alexander Redko, chairman of the St. Petersburg Professional Association of Medical Workers, noted in July that declaring Sputnik V “safe” without even waiting for ludicrous-speed clinical trials to end is about as scientific as reading tarot cards. Is he wrong? The Russian government clearly thinks so.

In December 2020, Russia’s health ministry announced it was prematurely ending enrollment for Sputnik V trials, arguing that it would be unethical to administer placebo shots when a proven, life-saving vaccine was already available to the public.

“Everything has now been proven, while the pandemic is ongoing,” Alexander Gintsburg, director of the Gamaleya Center—which developed Sputnik V—explained, just four months after Phase III trials had begun.

Science-deniers claim it’s irresponsible to coerce tens of millions of people to get injected with an untested drug, but what these conspiracy theorists don’t understand is that any long-term issues would have become apparent within four months.

Furthermore, Russia has a robust and transparent system in place for flagging side effects.

The Russian government does not have a VAERS-like database for reporting and monitoring suspected adverse reactions, and doctors who question the vaccine’s safety or efficacy are being threatened with exorbitant fines and prison time.

“The fact is that nothing is registered in Russia at all. Therefore, it is very difficult to understand how many serious complications there are. There are many cases, and we can say that they are related to the vaccine. There is a lot to say. Or you can stick your head in the sand and say that there is nothing at all,” Pavel Vorobyov, Chairman of the Moscow Scientific Society of Physicians, said in a recent interview, making him an anti-science hate speech criminal in the eyes of the Russian government.

Argentina’s health ministry is similarly guilty of High Crimes Against Sputnik V. In October, the South American state revealed that Russia’s flagship vaccine was the nation’s leader when it came to causing adverse reactions, beating Sinopharm and AstraZeneca by significant margins (the full report can be read here):

Why does Argentina hate science?

There are even thought crimes being carried out by Russia’s elected representatives. Duma Deputy Mikhail Delyagin argued in an August op-ed that the government’s own data suggested that mass compulsory vaccination had no clear neutralizing effect and was making things worse.

For months, the Russian government maintained it was basically impossible to be hospitalized with COVID if you were fully vaccinated. When it became obvious that this was a slight exaggeration, Gamaleya’s director claimed 80% of jabbed Russians falling ill with the virus had purchased fake certificates and were lying about their vaccination status.

Gintsburg’s tall tale inspired some colorful commentary in Russian media. As one outlet opined:

At first they said that it was enough to get vaccinated once every two years so as not to get sick at all, then once a year, then once every six months. Now it turns out that vaccination does not even really protect against getting into intensive care or death. And what is the solution? True, the Minister of Health, Mr. Murashko, still claims that there are no deaths among citizens who have received the vaccine. But people do not live on Mars, they, alas, face these deaths of the vaccinated in life…And then the PR naturally stops working.

It’s doubtful if the PR ever worked. Last month, Deputy Speaker of the State Duma Pyotr Tolstoy conceded that the government had completely failed to convince the public that Sputnik V was safe and effective.

“There are few answers to the questions why those who are vaccinated are ill, why those who are vaccinated die, why there are problems and complications after the vaccinations themselves,” the high-ranking lawmaker said.

The total lack of transparency has spurred the creation of informal databases and Telegram channels where adverse events can be tracked. Instead of stepping up efforts to address safety concerns, the Russian government has compared concerned citizens to terrorists.

The Kremlin and its credulous cheerleaders maintain that there’s no need to worry about long-term safety because Sputnik V is based on the Gamaleya Center’s proven, time-tested viral vector-based delivery platform. For example, Kirill Dmitriev, the Harvard-educated ex-Goldman Sachs banker who heads the Russian Direct Investment Fund (which provides financing for Sputnik V), claimed in an op-ed published by RT:

Russia has benefitted from modifying for COVID-19 an existing two-vector vaccine platform developed in 2015 for Ebola fever, which went through all phases of clinical trials and was used to help defeat the Ebola epidemic in Africa in 2017.

But on Sputnik V’s website, we learn:

About 2,000 people in Guinea received injections of Ebola vaccine in 2017-18 as part of Phase 3 clinical trial.

Is Dmitriev really suggesting that a Phase III trial held in 2017-18 helped Guinea defeat Ebola?

That’s quite a brave claim, considering Guinea was declared Ebola-free in June 2016 following an outbreak two years earlier. By the time Gamaleya’s magic Ebola slurry arrived in Guinea (as part of a clinical trial), there was no Ebola left to fight. In February of this year, Guinea reported its first Ebola death since 2016.

Can Dmitriev or RT offer some clarification here? Send your questions to RT’s famously fearless and objective Russia Desk.

By the way: why would Dmitriev (and Sputnik V’s own website) brag about injecting 2,000 Africans as part of a clinical trial held a year after Guinea was declared Ebola-free? Well, because that’s basically Gamaleya’s greatest triumph — before inventing Sputnik V in record-time.

Alexander Gintsburg, widely credited with ending Guinea’s horrific 2017 Ebola epidemic

Sputnik V is the Gamaleya Center’s first “viral vector-based” vaccine to receive emergency use authorization outside of Russia. Gintsburg—who has been the director of Gamaleya since 1997—has yet to bring a fully approved vaccine to market, despite multiple attempts.

In fact, Gintsburg’s first vector adenovirus vaccine, AdeVac-Flu, resulted in a multimillion-dollar embezzlement scandal.

“[Gamaleya’s] scientists have ‘copy-pasted’ [Sputnik V] from their previous, not accepted by the scientific community, research. In their genetic memory—a criminal case, WHO skepticism and zero drugs introduced into the market,”

…read the teaser of an investigation published by fontanka.ru in July 2020.

With such an impressive track record, it’s hardly surprising that the Gamaleya Center refers to itself as “the world’s leading research institution.” The Center also has world-leading facilities. Seriously, feast your eyes upon these cutting-edge facilities:

A lot of Russians are also very impressed by the fact that Sputnik V’s #1 fan (and one of the drug’s original investors) is a friendly banker who is trying to introduce a QR code-based payment system in Russia, and is also developing a digital currency in partnership with JP Morgan.

When your favorite WordPress geopolitical analyst exclaims “Sputnik V is safe!” the appropriate response is: how could you possibly know, and why does the Russian government not want to know?

“…But the Russian government would never deceive its own people!”

In June, the emergence of a highly deadly “Moscow strain”—later deemed a “hypothetical phenomenon” — forced authorities to introduce Russia’s first vaccine mandate in the capital. Other regions followed suit.

Yes, the people grumbled — but COVID “cases” immediately began to plummet! COVID “deaths” plateaued! It was a true miracle.

Duma election was a super-spreader event or something?

Then something really strange happened: the amazingly effective (but highly unpopular) coercive COVID policies suddenly stopped working immediately after Duma elections in late September.

What a weird coincidence. Obviously, the ruling United Russia party—which had just secured parliament for another five years after an unexpectedly decisive electoral victory—was forced to impose even more coercive COVID policies. If Russians don’t like it, they can express their dissatisfaction at the polls, in 2026.

Russia’s descent into compulsory vaccination is a case study in industrial-scale lying and government duplicity. It’s a very interesting story.

“…But…but…Putin!”

In January, Russia’s president presented a keynote address at the World Economic Forum—his first speech before the esteemed international body since 2009.

Beginning his address with a very friendly and intimate “dear Klaus,” Putin recalled how he first met Mr. Schwab in 1992 and since then had regularly attended events organized by the Fourth Industrial Revolution visionary.

Putin used this very important speech to call for “expanding the scale of testing and vaccinations” around the world, describing COVID as an existential threat that required close international cooperation. The entire global economy will need to be rebuilt from the ground up by central banks, because the virus is just so deadly and destructive:

[T]he key question today is how to build a program of actions in order to not only quickly restore the global and national economies affected by the pandemic, but to ensure that this recovery is sustainable in the long run, relies on a high-quality structure and helps overcome the burden of social imbalances. Clearly, with the above restrictions and macroeconomic policy in mind, economic growth will largely rely on fiscal incentives with state budgets and central banks playing the key role.

Is that how you say “Build Back Better” in Russian?

We’re all trapped in the same oligarch-controlled panpoopticon. Maybe it’s time to accept that, instead of pretending that some jailers are more “based” than others?

Crazy times. Good luck to all.

Riley Waggaman is your humble Moscow correspondent. He worked for RT, Press TV, Russia Insider, yadda yadda. In his youth, he attended a White House lawn party where he asked Barack Obama if imprisoned whistleblower Bradley Manning (Chelsea was still a boy back then) “had a good Easter.” Good times good times. You can subscribe to his Substack here, or follow him on twitter.

Les injections COVID visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des « milliards de personnes », affirme un médecin sud-africain – par Patrick Delaney.

Ce sera un simple rappel (si on peut dire) pour mes lecteurs fidèles, vu que les trois-quarts de ce qui est publié ici l’explique déjà avec force détail. Tout ceux qui devaient comprendre auront à présent compris et je pense qu’il n’y a absolument plus rien à faire pour les autres… On aura essayé.

On va donc pouvoir passer aux sujets connexes : énergie, économie, politique (briévement) et climat – et quelques articles pour connecter le tout et comprendre les enjeux plus profonds.

Courage!

Source.

Traduction

Les injections COVID visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des « milliards de personnes », affirme un médecin sud-africain

Les décès qui sont destinés à survenir après les vaccinations ne pourront jamais être imputés au poison. Ils seront trop divers, trop nombreux et se produiront dans un laps de temps trop long pour que nous nous rendions compte que nous avons été empoisonnés », affirme le Dr Shankara Chetty.

Patrick Delaney

Mar 23 nov. 2021 – 7:56 am EST

PORT EDWARD, Afrique du Sud (LifeSiteNews) – Un éminent médecin à qui l’on doit d’avoir contribué au développement de traitements précoces contre le COVID-19 a déclaré que, selon lui, le but de la pandémie et des campagnes de vaccination, est de « contrôler et tuer une grande partie de notre population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés ».

Le Dr Shankara Chetty, médecin de famille en Afrique du Sud qui, selon son site Internet, a « traité 7000 patients atteints du COVID-19 sans une seule hospitalisation ou un seul décès », a combiné ses connaissances médicales avec ses observations des dictats gouvernementaux et de la censure des médias pour étayer ses conclusions.

Alors qu’il participait à une réunion Zoom de personnes apparemment médecins, M. Chetty a préfacé ses propos en posant une question : « Je pense que la perspective sur ce qui se passe est d’une importance vitale. Nous devons comprendre l’objectif. Tout le monde sait qu’il y a des incohérences, qu’il y a de la coercition, mais nous devons comprendre pourquoi. Pourquoi cette situation? »

Il a ensuite désigné l’élément « le plus important » de réponse à ces questions, à savoir « l’agent pathogène qui causait tous les décès dans la maladie du COVID », la protéine spike véhiculée par le virus et que le vaccin est censé produire dans l’organisme du receveur.

« Si je devais vous donner mon avis sur ce qui se passe à l’échelle mondiale, a-t-il déclaré, la protéine spike est l’une des toxines ou l’un des poisons les plus sophistiqués que l’homme ait jamais fabriqués. Et le but de cette toxine est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. »

Le médecin, largement reconnu pour avoir mis au point la « thérapie du 8e jour pour le COVID-19 » pour les patients parvenus au stade inflammatoire le plus dangereux de la maladie, a ensuite déclaré que « ce qui semble avoir transpiré ici, [c’est] qu’ils ont conçu un virus et l’ont doté d’un emballage de type militaire appelé « protéine de pointe » ».

Avec la libération initiale de cette « toxine conçue de manière très élaborée », les réactions allergiques attendues se produisent chez un petit pourcentage de personnes, ce qui fait que beaucoup tombent très malades et meurent lorsque la réaction se produit. Selon Chetty, cela se produit normalement au huitième jour des symptômes.

Le médecin a déclaré qu’en raison des 14 jours initiaux de verrouillage mondial, les personnes infectées par le COVID-19 qui ont eu des réactions allergiques sont arrivées tardivement dans les hôpitaux, et ces institutions ont appliqué des protocoles obligatoires « pour provoquer la mort et les dommages [afin] d’attiser toutes les peurs. »

« Mais le jeu qu’ils ont mené grâce à ce virus artificiel était de justifier la vaccination de la planète », a-t-il poursuivi.

Chetty a ajouté que ces injections sont destinées à « nous exposer à la protéine spike pendant une période plus longue ».

Ce praticien de 18 ans d’expérience, souvent interviewé sur Internet par des confrères, et qui a fait des apparitions avec d’autres novateurs bien connus dans le domaine des traitements précoces, comme les docteurs Pierre Kory, Ryan Cole et Richard Urso, a expliqué comment, après les décès par réaction allergique au cours des deux premières semaines, des dangers pour la santé à plus long terme commencent à apparaître.

« [Nous commençons] à voir les lésions endothéliales [paroi des vaisseaux sanguins] que ce vaccin provoque avec sa protéine spike, par son influence sur les récepteurs ACE2. Ce sont ces décès qui sont destinés à suivre. Et ils ne pourront jamais être attribués à la protéine spike, une toxine très bien conçue », a-t-il déclaré.

« La protéine spike est aussi une protéine membranaire. Donc, l’ARNm va la distribuer dans tout notre corps. Elle sera fabriquée dans les différents tissus de notre corps. Elle sera incorporée dans ces membranes partout dans notre corps, et dans des tissus spécifiques. »

« Ces tissus seront identifiés comme étrangers et déclencheront une multitude de réponses auto-immunes. Ainsi, les décès qui sont destinés à suivre les vaccinations ne pourront jamais être imputés au poison! Ils seront trop divers, ils seront trop nombreux, et ils se produiront dans un laps de temps trop long pour que nous puissions comprendre que nous avons été empoisonnés », a-t-il poursuivi.

« Or cette toxine, à long terme, va faire que les personnes affligées de maladies préexistantes vont voir ces maladies s’aggraver », a expliqué le médecin.

À cause de certaines substances toxiques, y compris des « morceaux de protéines du VIH » dans cette protéine de pointe « délibérément fabriquée », Chetty affirme que « les personnes atteintes de cancers vont voir leurs cancers s’aggraver, et on dira qu’elles sont mortes du cancer ».

« Les personnes souffrant de lésions ou de prédispositions vasculaires, comme les diabétiques et les hypertendus, auront des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et autres à des moments différents, et nous les attribuerons à leurs pathologies préexistantes », a-t-il ajouté.

« Les gens vont développer, avec le temps, des maladies auto-immunes, trop diverses pour être traitées par une quelconque intervention pharmaceutique, car elles sont beaucoup trop spécifiques. »

« Mais je pense que si les gens comprennent l’intention, alors ils comprendront pourquoi ce qui est arrivé est arrivé. Le manque de logique, la coercition, la suppression, sont tous fondés si on comprend qu’on est confrontés à un plus vaste projet. Ce projet consiste à s’assurer la possibilité de contrôler et de tuer une grande partie de la population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés », a déclaré le médecin du COVID.

« Et donc, je pense que la justification de tout ce que nous voyons apparaît lors de la compréhension du but final », a-t-il conclu.

« Je pense qu’il y a un gigantesque scénario en jeu ; [sinon] les vaccins n’ont absolument aucun sens. On nous a vendu le vaccin comme notre sauveur dès le départ, et si nous étudions la science, la science ne colle pas. »

Cohérence avec les autres experts : une « catastrophe mondiale sans équivalent ».

D’autres experts ont indiqué la possibilité de scénarios similaires depuis un certain temps.

En mars dernier, un ancien haut responsable de la Fondation Bill et Melinda Gates, Geert Vanden Bossch, a attiré l’attention en publiant une lettre ouverte et une vidéo mettant en garde contre une « catastrophe mondiale sans équivalent » due aux programmes expérimentaux de vaccination COVID-19. [NdT. j’ai publié sa lettre ici, et vu que les variants deviennent ajourd’hui de plus en plus inoffensifs, ça ne tient pas la route]

Dans sa lettre, l’ancien gestionnaire principal de programme pour l’Alliance Mondiale pour les Vaccins et la Vaccination (GAVI), écrit « qu’il est de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences du vaste « programme de vaccins par transfert de gènes » ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. »

« On ne peut imaginer que très peu d’autres stratégies permettant d’atteindre le même niveau d’efficacité pour transformer un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive », a-t-il ajouté.

En outre, le Dr Peter McCullough, expert du COVID-19 et médecin très publié, a affirmé : « Nous avons sur les bras la plus grande catastrophe biologique de l’histoire de l’humanité… et personne ne sait comment l’arrêter » (Vidéo : 13:00). [NdT. plusieurs articles de Peter McCullough publiés ici, ici et ici]

Tirant par ailleurs la même conclusion que le Dr Chetty, McCullough, auteur de plus de 650 publications dans la littérature médicale évaluée par des pairs, a déclaré : « Je crois que nous sommes confrontés à l’application d’une forme de bioterrorisme à l’échelle mondiale, [et] qui semble avoir été préparée depuis de nombreuses années. »

D’autres experts, dont America’s Frontline Doctors (AFLDS), ont depuis longtemps mis en garde contre la possibilité d’une réaction généralisée aux vaccins, l’augmentation de la facilitation de l’infection par les anticorps (ADE), une condition qui peut assurément être fatale.

Dans un livre blanc publié en janvier, l’AFLDS explique que « la facilitation de l’infection par les anticorps est particulièrement retorse car il s’agit d’une réaction retardée. Au départ, tout semble aller bien. La personne semble avoir une excellente réponse immunitaire, mais ensuite [cette vulnérabilité apportée par le vaccin] devient mortelle lorsque la personne est exposée au virus sauvage. »

« Le vaccin amplifie l’infection au lieu de prévenir les dommages », poursuit l’AFLDS.

« Il se peut qu’on ne l’observe qu’après des mois ou des années d’utilisation dans les populations du monde entier. »

L’AFLDS a en outre averti que les réactions de facilitation de l’infection par les anticorps « sont difficiles à prouver », car elles sont souvent interprétées comme une infection par « un virus plus dangereux », ou, éventuellement, un variant plus dangereux.

Le Dr Sherri Tenpenny a lancé un avertissement similaire en février dernier, prédisant une généralisation des maladies et des décès dus à la facilitation de l’infection par les anticorps après ces injections. Elle tablait sur une augmentation du nombre de personnes ayant des difficultés respiratoires, qui seraient alors déclarées porteuses d’un « virus mutant » (c’est-à-dire d’un « variant dangereux »), ce qui pourrait servir à faire croire que davantage de vaccinations sont nécessaires, alors que « ce que ces personnes subissent en réalité est causé par l’anticorps créé par le vaccin [initial] ». [NdT. publication du Dr Tenpenny ici]

Un autre expert à avoir exprimé des préoccupations similaires est le Dr Dolores Cahill, un médecin biomédical irlandais et expert en immunologie. Dans une présentation faite en janvier, elle a déclaré qu’en raison du risque élevé de survenue de la facilitation de l’infection par les anticorps, les personnes qui envisageraient de recevoir ces « vaccins » devraient comprendre que, pour le reste de leur vie, elles auraient un « risque de décès beaucoup plus élevé » causé par la vaccination.

Mme Cahill s’attend en outre à un nombre important de décès dus à la facilitation de l’infection par les anticorps dans les semaines, les mois et les années qui suivent les campagnes de vaccination et s’inquiète du fait qu’ils seraient classés comme résultant de l’infection par le COVID-19 alors qu’en fait ils pourraient bien être le résultat de la vaccination.

Depuis lors, une corrélation dramatique entre la mise en œuvre de campagnes de « vaccination » dans des pays du monde entier et une forte augmentation des décès attribués au COVID-19 est devenue la norme.

Dans une interview réalisée en mars, le Dr Michael Yeadon, ancien Vice-Président et Scientifique en Chef de la division Allergie et Respiratoire de Pfizer, a tiré des conclusions similaires à celles de Chetty, en déclarant : « Si quelqu’un souhaite léser ou tuer une proportion significative de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront ». [NdT. Dr Mike Yeadon publié ici]

« Je considère qu’il est tout à fait possible que ce [système de vaccination généralisée par transfert de gènes] soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle », a-t-il ajouté.

En outre, lorsqu’il a publié la vidéo du Dr Chetty ci-dessus sur Telegram, Yeadon a explicitement confirmé l’argument du médecin sud-africain en déclarant : « C’est une opinion intéressante qui a autant de sens que les autres.

« Les obligations en matière de vaccination sont illogiques et effrayantes, car la plupart des gens ne courent pas un grand risque de contracter le virus et les vaccins ne préviennent ni les infections ni la transmission. Ils ne présentent donc aucun avantage pour la société, mais seulement un avantage individuel potentiel », a-t-il déclaré.

« Nous ne forcerions JAMAIS les gens à faire quelque chose qui présente UNIQUEMENT un avantage pour eux, et si on le faisait, ce serait dans des circonstances peu probables. C’est insensé. Refusez », conseille M. Yeadon.


Texte original

COVID shots intended to reduce world’s population by poisoning ‘billions’: South African doctor

‘The deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison. They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,’ said Dr. Shankara Chetty.

Tue Nov 23, 2021 – 7:56 am EST

PORT EDWARD, South Africa (LifeSiteNews) – A prominent doctor credited with advancing the development of early treatments for COVID-19 has stated that, in his judgment, the purpose of the pandemic and vaccine campaigns, is to “control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned.” 

Dr. Shankara Chetty, a family doctor in South Africa who, according to his website, has “treated 7000 Covid-19 patients without a single hospitalization or death,” combined insights from his medical knowledge along with his observations of government dictates and media censorship to support his conclusions. 

While participating in a Zoom meeting of people who appeared to be physicians, Chetty prefaced his remarks by posing a question: “I think the perspective around what is happening is vitally important. We need to understand what the aim is. Everyone knows that there’s inconsistencies, that there’s coercion, but we need to understand why. Why is it there?” 

He went on to identify, as “the most important” aspect for answering these questions, the “pathogen that was causing all the death in COVID illness,” the spike protein which is carried by the virus and is what the vaccine is designed to produce in a recipient’s body. 

“If I had to give you my opinion, as to what is happening on a global scale,” he said, “[the] spike protein is one of the most contrived toxins or poisons that man has ever made. And the aim of this toxin is to kill billions without anyone noticing it. So, it’s a poison with an agenda.” 

The physician, broadly recognized for developing the “8th Day Therapy for COVID-19” for patients who have entered the more dangerous inflammatory stage of the disease, then stated that “what looks like transpired here, [is] they’ve engineered a virus and put this weapons-grade package onto it called ‘spike protein.’” 

With the initial release of this “most elaborately engineered toxin,” expected allergic reactions happen in a small percentage of people, causing many to fall very ill and die when the reaction occurs. According to Chetty, this is normally on the eighth day of symptoms. 

The physician said that because of the initial 14-day global lockdowns, those infected with COVID-19 who had allergic reactions arrived at the hospitals late, and these institutions implement mandated protocols “to engineer death and damage [in order] to stir all the fear.” 

“But the game that they played with this engineered virus was to justify the vaccination of the planet,” he continued. 

Chetty added that these injections are meant to “expose us to [the] spike protein for a longer period.” 

The 18-year veteran practitioner, who has often been interviewed across the internet by fellow doctors, and has made appearances with other well-known early treatment innovators such as Drs. Pierre Kory, Ryan Cole, and Richard Urso, explained how, following the allergic reaction deaths in the first two weeks, more long-range health dangers begin to emerge.  

“[We begin] to see the endothelial [blood vessel lining] injuries that this vaccine causes with its spike protein, with its influence on its ACE2 receptors. Those are the deaths that are meant to follow. And they will never be pinned onto [the] spike protein, a very well-engineered toxin,” he said. 

“Now spike protein is also a membrane protein. So, the mRNA will distribute this throughout our body. It will be made in various tissues around our body. It will be incorporated into those membranes around our body, and those specific tissues.”  

“Those tissues will be recognized as foreign and will trigger a host of autoimmune responses. So, the deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison! They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,” he continued. 

“Now this toxin in the long term is going to get people with pre-existing illness to have those illnesses exasperated,” the doctor explained.  

With certain toxic substances, including “bits of HIV protein” within this “definitely engineered” spike protein, Chetty states “people with cancers are going to have their cancers flareup, and they will say they died of the cancer.”  

“People with vessel injuries or predisposition like our diabetics and [those with] hypertension are going to have strokes and heart attacks and the rest at varying times, and we’ll attribute those to their preexisting conditions,” he said. 

“People are going to develop, over time, autoimmune conditions, the diversity of which will never be addressed by any pharmaceutical intervention because they’re far too targeted.” 

“But I think if people understand what the intention is, then they’ll understand why what’s happened has happened. The ill logic, the coercion, the suppression, is all warranted if you understand that there is a bigger plan. This plan is to make sure that we can control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned,” the COVID physician said. 

“And so, I think the justification for everything we see is warranted in understanding the endgame,” he concluded.  

“I think there’s a huge picture at play; [otherwise] the vaccines make absolutely no sense. We were sold the vaccine as our savior from the start, and if we look at the science, the science does not play out.” 

Chetty added that these injections are meant to “expose us to [the] spike protein for a longer period.” 

The 18-year veteran practitioner, who has often been interviewed across the internet by fellow doctors, and has made appearances with other well-known early treatment innovators such as Drs. Pierre Kory, Ryan Cole, and Richard Urso, explained how, following the allergic reaction deaths in the first two weeks, more long-range health dangers begin to emerge.  

“[We begin] to see the endothelial [blood vessel lining] injuries that this vaccine causes with its spike protein, with its influence on its ACE2 receptors. Those are the deaths that are meant to follow. And they will never be pinned onto [the] spike protein, a very well-engineered toxin,” he said. 

“Now spike protein is also a membrane protein. So, the mRNA will distribute this throughout our body. It will be made in various tissues around our body. It will be incorporated into those membranes around our body, and those specific tissues.”  

“Those tissues will be recognized as foreign and will trigger a host of autoimmune responses. So, the deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison! They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,” he continued. 

“Now this toxin in the long term is going to get people with pre-existing illness to have those illnesses exasperated,” the doctor explained.  

With certain toxic substances, including “bits of HIV protein” within this “definitely engineered” spike protein, Chetty states “people with cancers are going to have their cancers flareup, and they will say they died of the cancer.”  

“People with vessel injuries or predisposition like our diabetics and [those with] hypertension are going to have strokes and heart attacks and the rest at varying times, and we’ll attribute those to their preexisting conditions,” he said. 

“People are going to develop, over time, autoimmune conditions, the diversity of which will never be addressed by any pharmaceutical intervention because they’re far too targeted.” 

“But I think if people understand what the intention is, then they’ll understand why what’s happened has happened. The ill logic, the coercion, the suppression, is all warranted if you understand that there is a bigger plan. This plan is to make sure that we can control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned,” the COVID physician said. 

“And so, I think the justification for everything we see is warranted in understanding the endgame,” he concluded.  

“I think there’s a huge picture at play; [otherwise] the vaccines make absolutely no sense. We were sold the vaccine as our savior from the start, and if we look at the science, the science does not play out.” 

Consistency with other experts: a ‘global catastrophe without equal’ 

Other experts have indicated the possibility of similar scenarios for quite some time. 

Last March a former senior officer of the Bill & Melinda Gates Foundation, Geert Vanden Bossch, drew significant attention when he issued an open letter and video warning of a “global catastrophe without equal” due to experimental COVID-19 vaccination programs.  

In his letter, the previous senior program manager for the Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI), wrote “it’s becoming increasingly difficult to imagine how the consequences of the extensive” gene-transfer vaccine program is “not going to wipe out large parts of our human population.” 

“One could only think of very few other strategies to achieve the same level of efficiency in turning a relatively harmless virus into a bioweapon of mass destruction,” he said. 

In addition, COVID-19 expert and highly published physician Dr. Peter McCullough affirmed, “We have the biggest biological catastrophe on our hands in human history… and no one knows how to stop it” (Video: 13:00). 

Drawing the same conclusion as Dr. Chetty elsewhere, McCullough, who has authored over 650 publications in peer-reviewed medical literature, stated “I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism that’s worldwide, [and] that appears to have been many years in the planning.” 

Other experts, including America’s Frontline Doctors (AFLDS) have for quite some time warned against the possibility of widespread Antibody Dependent Enhancement (ADE) as a reaction to the vaccines, a condition which can certainly be fatal. 

In a white paper issued in January, AFLDS explained “ADE is especially tricky because it is a delayed reaction. Initially all seems well. The person seems to have a great immune response, but then [this vulnerability brought about by the vaccine] becomes deadly when the person is exposed to the virus in the wild.” 

“The vaccine amplifies the infection rather than preventing damage,” AFLDS continues. 

“It may only be seen after months or years of use in populations around the world.” 

AFLDS further warned that ADE reactions “are difficult to prove,” as they are often interpreted as infection with “a worse virus,” or, perhaps, a more dangerous variant. 

Dr. Sherri Tenpenny gave a similar warning last February predicting widespread illness and fatality from ADE following these injections. She expected an increase in people having difficulty breathing, who would then be declared as having a “mutant virus” (i.e., “dangerous variant”) which could be used to push a narrative that more vaccinations are needed, when “what these people are actually experiencing is the antibody created by the [original] vaccine.” 

Another expert who expressed similar concerns is Dr. Dolores Cahill, an Irish biomedical doctor and expert in immunology. She stated in a January presentation that, due to the high potential for ADE occurring, those who would consider reception of these “vaccines” should understand that for the rest of their lives they would have a “much higher risk of death” due to the vaccination. 

Cahill further expected significant numbers of deaths due to ADE in the weeks, months, and years following vaccination campaigns and expressed concern they will be classified as resulting from COVID-19 when in fact they may well be the result of the vaccination. 

Since then, a dramatic correlation between implementation of “vaccine” campaigns in nations across the globe and sharp increases in COVID-19 attributed deaths have become the norm. 

In a March interview, a former Pfizer Vice President & Chief Scientist for Allergy & Respiratory, Dr. Michael Yeadon, drew conclusions similar to Chetty’s, stating, “If someone wished to harm or kill a significant proportion of the world’s population over the next few years, the systems being put in place right now will enable it.” 

“It’s my considered view that it is entirely possible that this [system of widespread gene-transfer vaccination] will be used for massive-scale depopulation,” he said. 

In addition, when posting the video of Dr. Chetty above on telegram, Yeadon explicitly affirmed the argument of the South African physician stating, “This is an interesting opinion that makes as much sense as any. 

“The vaccine mandates are illogical & frightening, since most aren’t at great risk from the virus in the first place & the vaccines don’t prevent infection or transmission. So, they don’t provide a societal benefit, only a potential individual benefit,” he said. 

“We’d NEVER force people to do something which ONLY benefits them & even then, under unlikely circumstances. It’s nuts. Decline,” Yeadon advised. 

Des milliers de personnes déclarent avoir développé des tumeurs anormales à la suite des injections COVID – par Celeste McGovern.

Source.


Traduction

Des milliers de personnes déclarent avoir développé des tumeurs anormales à la suite des injections COVID

Il n’existe aucune étude sur la cancérogénicité des vaccins COVID, tout comme il n’existe aucune étude sur les effets de la plupart des vaccins infantiles sur le cancer.

Celeste McGovern

Lun 1 nov. 2021 – 11:38 am EDT

Un homme de 63 ans, jusque-là en bonne santé, originaire du Michigan, a développé une excroissance tumorale de sept centimètres après avoir reçu l’injection COVID-19 de Johnson & Johnson/Janssen, ce qui a provoqué chez lui une insuffisance respiratoire et un choc cardiogénique mettant sa vie en danger, son cœur étant incapable de pomper suffisamment de sang vers ses organes vitaux.

Le lendemain de son injection de J&J, cet homme a souffert de « nausées incontrôlables », de vomissements, d’un essoufflement, d’une diarrhée aqueuse, de frissons, de sueurs et de douleurs thoraciques intenses, alors qu’il ne présentait aucun symptôme avant de recevoir le vaccin COVID et n’avait pas d’antécédents médicaux significatifs, selon un rapport de cas récemment publié intitulé  » La vaccination contre le COVID-19 de Johnson & Johnson déclenche une crise multisystémique du phéochromocytome « .

À l’hôpital St. Joseph Mercy Oakland de Pontiac, l’homme souffrait de fortes fièvres persistantes, d’une insuffisance respiratoire, d’un faible débit sanguin et d’une cardiomyopathie – une maladie du muscle cardiaque.

Une masse non cancéreuse de près d’un centimètre a été détectée par échographie dans sa glande surrénale droite (qui se trouve au-dessus du rein) et les tests ont confirmé le diagnostic de phéochromocytome – un type rare de tumeur non cancéreuse qui libère des hormones pouvant, selon la clinique Mayo, provoquer de l’hypertension, des maux de tête, des sueurs et des symptômes de crise de panique, et pouvant entraîner des dommages graves ou mortels à d’autres systèmes de l’organisme si elle n’est pas retirée chirurgicalement.

Des milliers de rapports

Des milliers de cas similaires ont été signalés. VigiAccess, une base de données de l’Organisation Mondiale de la Santé qui recueille les rapports sur les effets secondaires du vaccin COVID-19, fait actuellement état de 3 709 cas de « néoplasmes » ou de nouvelles tumeurs, notamment des cancers du sein, du poumon et du cerveau, ainsi que de nombreuses excroissances non cancéreuses après vaccination COVID.

Au Royaume-Uni, le système de notification des effets indésirables Yellow Card a répertorié 731 rapports de néoplasmes (dont 454 liés au vaccin COVID d’AstraZeneca, fabriqué au Royaume-Uni, et 248 liés à l’injection de Pfizer/BioNTech).

L’éléphant dans la pièce

Ces rapports ne donnent aucune description des événements, mais le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis contient des centaines de rapports plus détaillés décrivant l’apparition soudaine de tumeurs cérébrales, de cancers du sein, de tumeurs buccales, de tumeurs cutanées et de cancers du côlon après injection COVID.

On y trouve des comptes rendus d’augmentation des marqueurs tumoraux, d’aggravation soudaine d’un cancer auparavant inoffensif et de cas où l’état du patient s’est rapidement détérioré et où il est décédé. Les médecins décrivent des tumeurs qui « explosent » et dont la taille augmente rapidement après la vaccination COVID. Ils décrivent également des cas où la maladie s’est soudainement aggravée. Il y a des récits de tumeurs s’ulcérant et de nouveaux symptômes apparaissant, ou de métastases inattendues d’anciens cancers. Les patients atteints de cancer décrivent comment « tout s’est dégradé » après les injections, et les médecins se demandent si la vaccination a compromis le système immunitaire pour que le cancer puisse entraîner une mort aussi rapide. Dans un rapport sur le déclin précipité d’une femme atteinte d’un cancer, un médecin a fait remarquer que « l’éléphant dans la pièce était le vaccin ».

Voici un échantillon des rapports VAERS liés à la vaccination contre COVID :

  • Un Floridien de 21 ans qui a développé des sueurs nocturnes, de la toux et des fièvres après avoir reçu le deuxième vaccin COVID-19 de Pfizer et qui a reçu un diagnostic de leucémie aiguë.
  • Une femme de 26 ans ne s’est pas présentée à son poste de nuit, quatre jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer en mars. Sa famille l’a trouvée en arrêt cardio-respiratoire. L’autopsie a révélé une hémorragie cérébrale et une « suspicion de tumeur cérébrale« , selon le médecin qui a rempli le rapport VAERS.
  • Un homme de 60 ans, originaire de Pennsylvanie, a remarqué que deux bosses se développaient sur son cou le jour où il a reçu une première dose du vaccin expérimental de Pfizer en mai. Après une deuxième injection, il a été hospitalisé le lendemain en raison d’un taux d’hémoglobine en chute libre et on lui a finalement diagnostiqué un lymphome après la découverte d’une tumeur au cerveau. En juillet, sept tumeurs ont été découvertes dans son cerveau, une dans son œil droit et de « nombreuses autres » dans tout son corps. Il est décédé le 19 août.
  • Un Californien de 46 ans a commencé à ressentir des symptômes le jour où il a reçu sa deuxième dose d’injection Moderna et on lui a diagnostiqué un glioblastome (tumeur au cerveau) agressif peu après.
  • Un jeune homme de 22 ans qui avait reçu des injections COVID-19 de Pfizer en mai et juin a reçu un diagnostic de cancer des testicules début septembre.
  • Une étudiante de 29 ans décrite comme « l’image même de la santé et de la forme physique » qui ne voulait pas du vaccin COVID-19 mais qui a été « intimidée, menacée et forcée de le recevoir » pour aller à l’école. Elle a reçu le vaccin de Johnson & Johnson le 30 avril et a rapidement ressenti de la fatigue, des courbatures, des douleurs musculaires, un rythme cardiaque irrégulier, des ecchymoses, des douleurs thoraciques et des difficultés à respirer dans les 24 heures suivant l’injection. On lui a ensuite diagnostiqué une tumeur cérébrale hypophysaire, un nouveau souffle, un problème de thyroïde et elle a cessé d’avoir ses règles pendant cinq mois.
  • Une femme de 27 ans ayant des antécédents de cancer de l’ovaire est tombée malade dans les 24 heures qui ont suivi l’injection d’une deuxième dose de COVID-19 de Pfizer. Elle a développé une douleur aiguë à l’épaule, des ballonnements et des mictions fréquentes ; les scanners ont révélé une tumeur de 13 centimètres dans son ovaire gauche, nécessitant une intervention chirurgicale d’urgence. Selon le rapport du VAERS : « La patiente a déclaré qu’elle ne pensait pas que le vaccin lui avait donné le cancer, mais qu’elle pensait qu’il avait affecté ses hormones, en particulier l’œstrogène, ce qui a provoqué une croissance exponentielle de la tumeur… Veuillez examiner les changements hormonaux provoqués par ce vaccin. Je ne suis pas la seule personne à avoir remarqué cela ».
  • « L’état de mon père s’est rapidement détérioré, et il est mort le 18/3/21. Le jour où il a été vacciné, juste avant, il transportait du bois, pelletait de la neige, menait une vie normale et se sentait bien », a rapporté la fille d’un homme de 70 ans du Michigan dont le cancer du foie était « stable depuis un an… Le lendemain de son injection, il pouvait à peine sortir du lit tellement il était faible, et il est finalement mort 16 jours plus tard ».
  • Un homme de 61 ans du Texas a développé un essoufflement après une injection de Moderna. On lui a diagnostiqué une péricardite. Au cours d’une intervention chirurgicale visant à déterminer la source de l’hémorragie interne, « le chirurgien a noté une masse qui ressemblait à un champignon sur le cœur », selon le rapport du VAERS. La femme du patient a fait remarquer : « Les médecins trouvent cela très inhabituel. Avant cela, mon mari était en très bonne santé et ne présentait aucun symptôme. Cela pourrait-il être causé par le vaccin ? »
  • Une femme enceinte de 35 ans, vaccinée avec une deuxième dose de l’ARNm expérimental COVID-19 de Pfizer le 6 mars, a accouché d’un bébé mort-né au cours de sa 33e semaine de grossesse le 12 juin. Le bébé était malformé avec une tête élargie et les tests génétiques ont révélé qu’il était atteint d’un syndrome génétique rare appelé syndrome tumoral de l’hamartome PTEN, qui prédispose à de multiples cancers.

Aucune autre information

Il est remarquable que la plupart de ces cas se terminent par les déclarations suivantes : « Aucune tentative de suivi n’est possible » ou « Aucune autre information n’est attendue. » Dans la plupart des cas, il n’y a pas d’enquête, ni d’autopsie. Dans le cas exceptionnel où une autopsie est pratiquée, le lien avec le vaccin est souvent « impossible à évaluer ».

Quelques médecins se sont exprimés sur les pics de cancers qu’ils ont constatés. « Depuis le 1er janvier, en laboratoire, je vois une augmentation de 20 fois des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle », a déclaré le pathologiste et immunologiste/virologue Ryan Cole à Health Freedom Idaho. Je n’exagère pas du tout, car je regarde mes chiffres d’une année sur l’autre et je me dis : « Mon Dieu, je n’ai jamais vu autant de cancers de l’endomètre ». Cole a ajouté qu’il voit les mélanomes invasifs chez les jeunes « monter en flèche ». [NdT. j’ai publié un extrait de son interview ici]

« J’ai vu trois personnes développer des cancers du pancréas dans les semaines qui ont suivi l’administration des vaccins », a déclaré à LifeSiteNews un médecin d’une ville universitaire américaine qui souhaite rester anonyme. Il a également vu un cas de cancer de la prostate devenu rapidement agressif et un cancer du sein devenu soudainement si gros qu’il remplissait un quart de la paroi thoracique d’une femme. « Ils sont tellement agressifs qu’ils sont impossibles à traiter », a-t-il dit.  » Je me souviens peut-être d’un cas comme celui-ci, ce sont des événements exceptionnels « , mais il a ajouté qu’il avait entendu d’autres médecins parler de cas similaires récents, eux aussi.

Mécanisme possible

Les mécanismes qui sous-tendent les tumeurs malignes induites par les vaccins sont inconnus, mais pas invraisemblables.

« Nous modifions le système immunitaire pour l’affaiblir », a déclaré M. Cole lors de son entretien avec Health Freedom Idaho, citant des recherches non publiées qui ont montré que le vaccin de Pfizer avait l’effet involontaire de moduler le système immunitaire pour favoriser les molécules inflammatoires.

« Les mécanismes des données rapportées sur les vaccins covid-19 associés au diagnostic d’une tumeur rapide ou d’une croissance cancéreuse sont probablement similaires aux observations que nous avons rapportées dans les années 1980 », a déclaré Mahin Khatami, ancien directeur de programme aux National Institutes of Health, National Cancer Institute, biologiste moléculaire et immunologiste, en référence à des études où un antigène (élément étranger capable de stimuler le système immunitaire pour provoquer potentiellement la synthèse d’anticorps spécifiques) mélangé à des agents promoteurs de tumeurs (APT) a modifié la croissance des tumeurs à des échéances plus rapprochées (dans les 6 mois, au lieu de 12 à 30 mois).

« Ces études suggèrent une activation accrue des kinases [enzymes] et des médiateurs de croissance associés dans l’induction rapide de la croissance tumorale », a déclaré Khatami, auteur de Inflammation, Aging and Cancer, à LifeSite News. .

Khatami a ajouté qu’à son avis, « les vaccins COVID pourraient favoriser davantage l’inflammation chronique (non résolue) » qui pourrait déclencher une cascade d’activités biologiques favorisant la croissance des tissus. « Les vaccins COVID pourraient induire une exacerbation de l’expression de cytokines favorisant la croissance, qui modifient le cycle de croissance lente des tissus pour engendrer plus rapidement des tumeurs bénignes ou des métastases cancéreuses. »

Aucune étude

Il n’existe aucune étude sur la cancérogénicité des vaccins COVID, tout comme la plupart des vaccins infantiles n’ont fait l’objet d’aucune étude sur leurs effets sur le cancer. Chacun des essais de vaccins à ARNm a été interrompu brusquement après avoir recueilli des données sur six mois et le groupe « placebo » a également reçu le vaccin – de sorte que tout effet à long terme, comme les cancers, sera impossible à détecter puisqu’il n’y a pas de groupe témoin à étudier.

Pfizer, Moderna et Johnson&Johnson n’ont pas répondu aux questions concernant les cas de tumeurs signalés à la suite de l’administration de leurs vaccins, et ils n’ont fourni aucune donnée sur les essais effectués sur des animaux ou des humains démontrant que leurs nouveaux vaccins n’induisent pas de croissance tumorale ou n’affectent pas les cancers.

Si les déclarations au VAERS ne confirment pas l’existence d’un lien entre un vaccin et l’événement qui s’ensuit, une étude de Harvard-Pilgrim [NdT. citée dans de nombreux articles sur ce blog] a révélé que seul un pour cent des problèmes qui auraient dû être signalés au VAERS l’ont été, ce qui signifie que la grande majorité des cas n’ont pas été signalés.

Note de l’éditeur : Cet article a été mis à jour avec les commentaires de Ryan Cole et Mahin Khatami.


Texte original

Thousands report developing abnormal tumors following COVID shots

There are no studies of the carcinogenicity of COVID vaccines, just as most childhood vaccines have no studies of their effects on cancer.

Mon Nov 1, 2021 – 11:38 am EDT

A 63-year-old previously healthy Michigan man developed a seven-centimeter tumorous growth after receiving Johnson & Johnson/Janssen’s shot against COVID-19, which caused him to go into respiratory failure and life-threatening cardiogenic shock where his heart was unable to pump enough blood to his vital organs.

One day after receiving the J&J shot, the man developed “intractable nausea,” vomiting, shortness of breath, watery diarrhea, chills, sweats, and heavy chest pain, though he had no symptoms prior to getting the COVID vaccine and no significant past medical history, according to a recently published case report titled “Johnson and Johnson COVID-19 Vaccination Triggering Pheochromocytoma Multisystem Crisis.”

At St. Joseph Mercy Oakland Hospital in Pontiac, the man had persistent high fevers, respiratory failure, low blood flow, and cardiomyopathy — a disease of the heart muscle.

A nearly three-inch noncancerous mass was detected by ultrasound in his right adrenal gland (which sits atop the kidney), and tests confirmed a diagnosis of a pheochromocytoma — a rare type of noncancerous tumor that releases hormones which may, according to the Mayo Clinic, cause high blood pressure, headache, sweating and symptoms of a panic attack, and may lead to severe or life-threatening damage to other body systems if not surgically removed.

Thousands of reports

Thousands of similar cases have been reported. VigiAccess, a World Health Organization database that collects COVID-19 vaccine side-effects currently reports 3,709 cases of “neoplasms” or new tumors which include breast, lung and brain cancers plus numerous noncancerous growths following COVID vaccination.

The Yellow Card adverse event reporting system in the United Kingdom has recorded indexed 731 reports of neoplasms (including 454 related to the U.K.-made AstraZeneca COVID vaccine, and 248 related to the Pfizer/BioNTech shot).

Elephant in the room’

These reports offer no description of events, but the U.S. Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) contains hundreds of more detailed reports describing sudden appearances of brain tumors, breast cancer, mouth tumors, skin tumors and colon cancer after COVID shots.

There are accounts of tumor markers increasing, previously innocuous cancer abruptly worsening and cases where the patient rapidly deteriorated and died. Doctors describe tumors “exploding” and rapidly increasing in size after COVID vaccination and of disease being suddenly aggravated. There are accounts of tumors ulcerating and new symptoms appearing, or unexpected metastasis of old cancers. Cancer patients describe how “everything went downhill” after the shots, and doctors speculate if the vaccination compromised the immune system so cancer could lead to such rapid demise. In one report of woman’s precipitous decline with cancer, a doctor remarked that “the elephant in the room was the vaccine.”

A sampling of VAERS reports related to vaccination against COVID includes:

  • A 21-year-old Floridian who developed night sweats, coughing, and fevers after he received the second Pfizer COVID-19 vaccination and was diagnosed with acute leukemia.
  • A 26-year-old woman didn’t show up for a night shift, four days after getting Pfizer’s shot in March. Her family found her in cardiopulmonary arrest. An autopsy showed evidence of bleeding in the brain and “suspicion of a brain tumor,” according to the doctor who filed the VAERS report.
  • A 60-year-old Pennsylvania man noticed two lumps grow on his neck on the day he received a first dose of Pfizer’s experimental vaccine in May. After a second shot, he was hospitalized the next day with plunging hemoglobin levels and was eventually diagnosed with lymphoma after a brain tumor was discovered. By July, seven tumors were discovered in his brain, one in his right eye, and “numerous” throughout his body. He died August 19.
  • A 46-year-old California man began to experience symptoms on the day he received his second dose of Moderna’s shot and he was diagnosed with an aggressive Glioblastoma (brain tumor) shortly afterwards.
  • A 22-year-old who got Pfizer’s COVID-19 shots in May and June was diagnosed with testicular cancer in early September.
  • A 29-year-old student described as a “picture of health and fitness” who didn’t want a COVID-19 vaccine but was “bullied, threatened and coerced into getting it” to attend school. She received Johnson & Johnson’s shot on April 30 and experienced rapid onset of fatigue, body aches, muscle pain, erratic heart rate, bruising, chest pain and difficulty breathing within 24 hours of the injection and was subsequently diagnosed with a pituitary brain tumor, new onset murmur, a thyroid condition and she stopped menstruating for five months.
  • A 27-year-old with a history of ovarian cancer became ill within 24 hours of taking a second dose of Pfizer’s COVID-19 shot. She developed a sharp pain in her shoulder, bloating and frequent urination; scans revealed a 13-centimeter tumor in her left ovary requiring emergency surgery. According to the VAERS report: “Patient stated she does not believe the vaccine gave her cancer but she does believe it affected her hormones, specifically estrogen, which caused the tumor to grow at an exponential rate … Please look into the hormonal changes from this vaccine. I’m not the only person who has noticed this.”
  • “My father deteriorated rapidly, and died on 3/18/21. The day he got the shot just prior, he was hauling wood, shoveling snow and living a normal life feeling good,” reported the daughter of a 70-year-old Michigan man whose liver cancer had been “stable for a year … The day after the shot he could barely get out of bed he was so weak, until he finally died 16 days later.”
  • A 61-year-old Texas man developed shortness of breath following a Moderna shot. He was diagnosed with pericarditis. During a surgery to determine the source of internal bleeding, “the surgeon noted a mass that appeared to look like a fungus on the heart,” according to the VAERS report. The patient’s wife remarked, “The doctors are finding this very unusual. My husband was very healthy prior to this with no symptoms. Could this be caused by the vaccine?”
  • A 35-year-old pregnant woman vaccinated with a second dose of Pfizer’s experimental mRNA COVID-19 shot on March 6, delivered a stillborn baby in her 33rd week of pregnancy on June 12. The baby was malformed with an enlarged head and genetic testing revealed it had the rare genetic syndrome called PTEN Hamartoma tumor syndrome which predisposes to multiple cancers.

No further information’

Remarkably, most of these cases conclude with the statements, “No follow-up attempts are possible,” or, “No further information is expected.” For most, there is no investigation, including autopsy. In the exceptional case where an autopsy is performed, the relationship to the vaccine frequently “cannot be evaluated.”

A few doctors have spoken out about the spikes in cancer they have seen. “Since January 1, in the laboratory, I’m seeing a 20-times increase of endometrial cancers over what I see on an annual basis,” pathologist and immunologist/virologist Ryan Cole told Health Freedom Idaho. “I’m not exaggerating at all because I look at my numbers year over year, and I’m like ‘Gosh, I’ve never seen this many endometrial cancers before.’” Cole said he’s seeing invasive melanomas in young people “skyrocketing.”

“I’ve seen three people who developed pancreatic cancers within weeks of vaccines,” a doctor in an American college town who wishes to remain anonymous told LifeSiteNews. He has also seen a case of prostate cancer that rapidly became aggressive and a breast cancer that suddenly became so big it filled a quarter of a woman’s chest wall. “They’re so aggressive, they’re untreatable,” he said. “I might recall one case like this, these are once in a blue moon events,” but he added that he has heard other doctors speak of seeing similar cases recently, as well.

Possible mechanism

Mechanisms underpinning vaccine-induced malignancies are unknown, but not implausible. 

“We are modifying the immune system to a weakened state,” Cole said in his interview with Health Freedom Idaho, citing unpublished research that showed that Pfizer’s vaccine had the unintended effect of modulating the immune system to promote inflammatory molecules. 

 “The mechanisms of reported data on covid-19 vaccines associated with diagnosis of rapid tumor or cancer growth are likely similar to the observations we reported in 1980’s,” former program director at the National Institutes of Health, National Cancer Institute, molecular biologist and immunologist Mahin Khatami, referring to studies where an antigen (a foreign element that is capable of stimulating the immune system to potentially cause synthesis of specific antibodies) was mixed with tumor promoting agents (TPAs) shifted the growth of tumors to earlier time-frames (within 6 months, instead of 12 to 30 months). 

 “These studies suggested enhanced activation of kinases [enzymes] and related growth promoting mediators in rapid induction of tumor growth,” Khatami, author of Inflammation, Aging and Cancer told LifeSite News.  .  

Khatami added that in her opinion, “COVID vaccines could further promote chronic (unresolved) inflammation” that could set of a cascade of biological activities promoting tissue growth. “Covid vaccines could induce exacerbation of expression of growth-promoting cytokines that shift the time-frame of slow tissue growth to rapidly induce benign tumors or cancer metastasis.” 

No studies

There are no studies of the carcinogenicity of COVID vaccines, just as most childhood vaccines have no studies of their effects on cancer. Each of the mRNA vaccine trials were ended abruptly with six months’ worth of data and the “placebo” group was given the vaccine as well — so any long-term effects like cancers will be impossible to detect since there is no control group to study.

Pfizer, Moderna and Johnson& Johnson did not reply to questions about the reported incidents of tumors following their shots, and they provided no data on animal or human trials demonstrating their new vaccines do not induce tumor growth or affect cancers.

While reports to VAERS do not confirm a link between a vaccine and an event that follows, a Harvard-Pilgrim study found that only one percent of conditions that should have been, were in fact reported to VAERS, meaning the vast majority of cases went unreported.

Editor’s note: This article has been updated with comments from Ryan Cole and Mahin Khatami.

Criminels.

C’est Albert Bourla, le PDG de Pfizer, qui le dit, dans un anglais à peine compréhensible digne d’un parrain mafieux analphabète, dont je vous donne un aperçu dans la traduction:

« Mais il y a une toute petite partie des professionnels qu’ils circulent exprès de la désinformation de façon à ce qu’ils égareront ceux qu’ils ont des inquiétudes. Ces [incompréhensible], ils ne sont pas des gens mauvais, ils sont des criminels parce qu’ils ont littéralement coûtéré des millions de vies. »

« But there is a very small part of professionals which they circulate on purpose misinformation so that they will mislead those that they have concerns. Those [incomprehensible] are criminals, they’re not bad people, they’re criminals because they litteraly costed millions of lives. »

Rappelons ici et ici et ici le nombre de morts – qui a évidemment augmenté depuis, je ferai la mise à jour – sans parler de ceux qu’on a pas encore comptés, de ceux qui vont suivre – impossible à estimer à ce stade – des centaines de milliers de fausses couches et de morts nés (ici et ici), et de tous les handicapés à vie de l’injection Covid, fabriquée notamment par la firme qu’il dirige, tellement intègre qu’elle a déjà été condamnée à 4.660.896.333 de dollars de « réparations » en vingt ans.

Mais d’après M. Bourla, ce sont des gens comme le Dr Peter McCullough ou le Dr Vladimir Zelenko les criminels.

Johnson & Johnson, l’autre fabricant de « vaccins » au-dessus de tout soupçon : 5 milliards de dollars de réparation pour leur participation à l’épidémie d’overdoses aux opioïdes.

Merck, fabricant du Molnupiravir, dont nous reparlerons très bientôt:

L’enquête fédérale aux États-Unis permet de démontrer rapidement que l’accroissement notable de la mortalité cardio-vasculaire sous Vioxx© avait été repérée par les expérimenteurs de Merck dès les premières études épidémiologiques, mais que sur ordre ces résultats ont été manipulés afin de ne pas nuire à la carrière prometteuse du produit.

En 2011 le groupe Merck Pharmaceuticals reconnait officiellement (selon un communiqué de presse du Département américain de la Justice) avoir eu connaissance de ces effets et avoir illégalement omis de préciser une partie des effets secondaires de l’anti-douleur (Vioxx)9.

Des chercheurs et des responsables de l’entreprise ont de manière complice caché les preuves du fait que ce médicament avait, lors de ses essais cliniques, provoqué un nombre alarmant de crises cardiaques10.

Les dirigeants, employés, chercheurs ou médecins de Merck n’ont pas été traduits en justice11. En échange, Merck a plaidé coupable et a payé une amende pour avoir violé la loi sur les produits alimentaires, cosmétiques et de santé dans le cadre de sa mise sur le marché du Vioxx11. Le directeur général de Merck (Raymond Gilmartin), responsable du dossier Vioxx, a néanmoins reçu un salaire de près de quarante millions de dollars lors de sa dernière année d’emploi dans le groupe12, après quoi, Gilmartin n’a pas été poursuivi ni emprisonné mais accueilli à la Harvard Business School pour y donner des cours sur la responsabilité sociale des entreprises13.

Et cætera.

Les fabricants de « vaccins » sont payés mille dollars par seconde pour commettre ce qui n’est pas un génocide mais un pandémocide, avec la complicité des institutions de santé (ici et ici, notamment), des gouvernements achetés et de ceux qui les servent.

Mort, destruction, vol, mensonge, l’arrogance et les insultes en plus, apparemment ils n’en auront jamais assez.

Et vous?

Un directeur de pompes funèbres britannique : 10X plus de décès de nouveau-nés après les injections COVID – des réfrigérateurs remplis de bébés morts.

Source.

Traduction

Je m’appelle Wesley, je suis directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans. J’ai donc quelques notions sur ce qui se passait avant le début de cette pandémie et sur ce qui se passe actuellement. Il y a eu un pic en mars, avril de l’année dernière et après ça, ça s’est considérablement calmé. Tout était gonflé d’après ce que je voyais. Et on a fermé ces unités de stockage supplémentaires qui étaient là durant l’été et on ne les a jamais rouvertes.

Les ont-ils utilisés avant?

Oui, mais je ne pense pas que… Je ne saurais pas vous dire combien de corps ils contenaient, mais on a vite fait de les refermer. Elles n’ont été ouvertes que pendant deux mois.

Donc la seule fois où vous avez observé un pic, c’était au début de cette histoire, et depuis, il n’y a presque rien eu?

Eh bien, à l’automne, c’était probablement l’une des périodes les plus calmes jamais enregistrées – et les autres directeurs de pompes funèbres vous le diront dans la mesure où ils peuvent s’exprimer. Mais en janvier, les chiffres ont crevé le plafond. À ce moment-là, les unités de stockage supplémentaires étaient planquées, à l’écart. Et cela depuis que les gens ont été vaccinés. Donc cette année, au fur et à mesure des vaccinations, j’ai vu des tendances dans les différents groupes d’âge. Évidemment, le fait qu’ils soient vaccinés n’est pas signalé, mais c’est le plus grand nombre d’enterrements que nous ayons jamais vu en deux semaines et ils sont tous âgés de 30, 40 ans, pas plus.

Et c’est ce que vous voyez maintenant?

C’est ce que j’ai vu plus tôt dans l’année quand cette tranche d’âge a été vaccinée.

Et quelle était la proportion par rapport à la proportion habituelle?

Eh bien, on procède habituellement avec tous les groupes d’âge, mais comme je le disais, les personnes âgées qui devaient probablement mourir dans l’année ou l’année et demie à venir, sont déjà mortes. Il y a donc un grand vide. Nous ne voyions plus ces décès. Et les plus jeunes sont maintenant vaccinés – et j’en ai eu environ 12 en une seule fois.

Combien en recevez-vous en général?

Très peu, très peu, mais nous avons eu des taux de suicide élevés, surtout chez les jeunes hommes. C’était surtout pendant l’été et l’automne derniers.

Mais pouvez-vous donner aux gens une idée de la proportion? Vous en avez eu 12 en un court laps de temps. Combien en recevriez-vous habituellement dans ce laps de temps? 1 ou peut-être 50% de probabilité?

Nous avons normalement 4 ou 5 funérailles en cours, pas 12 – 11, 12. Et pas tous de cette tranche d’âge. Il y a souvent des personnes âgées parmi eux. Maintenant, c’est calme et j’ai vu beaucoup de nouveau-nés dans les frigos des morgues.

Voulez-vous nous parler du nombre de nouveau-nés que vous avez vu dans les morgues?

Oh, ils sont vraiment nombreux. Il y en a plus de trente dans un seul hôpital.

Et combien en ont-ils habituellement?

Ils ont des frigos qui peuvent en contenir 6 à 10 maximum. Ils ne sont jamais pleins en temps normal. Mais maintenant ils sont tous dans la section adulte.

Donc il y a peut-être 10 fois plus de cas que d’habitude?

Oui, et manifestement, ce sont soit des fausses couches, soit des naissances à terme, des mort-nés. Mais on n’en parle pas beaucoup.

Wow. Et qu’avez-vous vu d’autre? Avez-vous vu une autre augmentation, peut-être chez les jeunes récemment?

Pas chez les moins de 20 ans. Pas dans la vingtaine, à vrai dire. Mais au-dessus, oui. Au début de l’été, quand ils sont tous allés se faire vacciner. Voyez-vous, ce qui va se passer, c’est qu’on va avoir ceux qui déclenchent quelque chose en eux, ou qui ne sont pas en très bonne santé, ou qui ne le savent pas, donc ceux-là vont passer en premier. Et ensuite, on en verra probablement beaucoup plus.

Et qu’est-ce que vous voyez sur les certificats de décès?

Il y a beaucoup de myocardites, d’infarctus du myocarde. Tout ce qui est lié au sang, au cœur, à la pneumonie. Mais pour le Covid, je n’en ai eu qu’un seul cette année, un seul décès par Covid depuis janvier.

Sur combien?

Je ne peux pas vous dire combien nous en avons eu, mais si c’était une pandémie, il devrait y en avoir plus. Mais c’est comme s’ils ne s’en souciaient plus, ils peuvent juste manipuler leurs chiffres et faire comme bon leur semble.

Donc vous en recevez des centaines par an ou peut-être une centaine?

Oui, oui. Mais vous voyez, l’année dernière ils ont étiqueté tout le monde avec cette maladie. Ils mouraient d’autres choses, ils les testaient et les étiquetaient comme Covid. Mais maintenant, depuis que les vaccinations ont commencé, ils ne le font plus.

Vous pensez que c’est parce qu’ils sont sûrs que ces injections fonctionnent sur les gens, qu’elles ne les tuent pas?

Oui, oui, ils font juste peur aux gens à la télé.

Donc c’est un truc psychologique.

Oui, oui, faites-vous vacciner. Ce qu’on va faire à partir de maintenant, je ne sais pas, quand de plus en plus de gens commenceront à mourir de ce vaccin. On a eu les premières réactions, mais que va-t-il se passer ensuite?

Et puis-je vous demander, en ce qui concerne l’année dernière, l’étiquetage des personnes comme mortes de Covid. Combien… dans quelles proportions pensez-vous qu’elles ont été faussement attribuées?

Oh, une forte proportion parce qu’ils testaient tout le monde. Donc si vous étiez testé positif et que cela n’avait rien à voir, enfin, j’ai rencontré une personne vraiment bouleversée par cela. La personne était en train de mourir d’autre chose, je pense que c’était un cancer à l’époque, et ils ont marqué que c’était un décès dû au Covid. Elle n’avait jamais eu de Covid. Mais elle a été testée positive.

Et est-ce que vous avez vu… donc vous avez vu d’autres exemples de ça, de personnes mourant de diverses autres causes et ensuite…

Oui, oui, oui, oui. Et maintenant on voit qu’il n’y a pas de mention de qui a été vacciné et de qui ne l’a pas été sur les certificats. Et il devrait y en avoir.

Et est-ce que vous travaillez avec les familles?

Pas vraiment, non.

Donc vous n’avez pas l’occasion de leur parler et de leur poser des questions pour savoir s’ils ont eu l’injection ou pas?

Non, c’est un peu difficile à faire à moins qu’ils ne soient eux-mêmes intéressés par le sujet, car c’est une question assez privée pour eux.

Mais qu’avez-vous remarqué d’autre récemment? Vous avez remarqué une augmentation massive de décès de bébés, je peux vous demander quel âge avaient ces bébés? Étaient-ils des nouveau-nés?

Oui, des nouveau-nés ou des fausses couches. Je n’en sais pas plus, je les vois juste dans les frigos. Même sans prénom, « bébé de » et ensuite le nom des parents.

Wow.

Oui, c’est choquant et je suis sûr qu’il y a beaucoup d’autres personnes qui le remarquent aussi. Voyez-vous, nous ne nous occupons pas des nouveaux-nés, donc je ne sais pas trop ce qui leur est arrivé. Mais je les vois dans les frigos des morgues.

Et y a-t-il autre chose que vous aimeriez me dire maintenant et que je ne vous ai peut-être pas demandé?

Je ne vois rien d’autre. Juste que les décès d’adultes sont en baisse en ce moment. Comme je l’ai dit, il y a eu des vagues de personnes affectées par les vaccins. Non pas qu’il soit écrit qu’ils sont morts à cause des vaccins. Mais c’est évident et le Covid est inexistant.

Puis-je vous demander quel est votre message à toutes les personnes qui envisagent de s’exprimer ou à tous les entrepreneurs de pompes funèbres?

Je dis faites-le, faites-le. Le problème, c’est que pour beaucoup de croque-morts qui travaillent pour de grandes entreprises, il n’est pas permis de s’exprimer. Si vous voyez ce qui se passe, vous devez le dire. Je veux dire que c’est évident, c’est clair comme le jour. Personne d’autre ne voit ces certificats de décès à part le personnel du crématorium. Et tout est visible.

Merci beaucoup.

Je vous en prie.


Transcription

My name’s Wesley, I’ve been a funeral director for over three years. So I have a bit of knowledge about what was going on before this pandemic started and what’s going on right now. So there was a spike back in March, April last year and after that, it considerably calmed down. It was all hyped from what I was seeing. And they shut down these extra storage units that they had in the summer and they never open them up again.

Did they use them in the first place?

Yes, but I don’t think that… I couldn’t tell you how many bodies were in there but they soon went back down. They were only up for a couple of months.

So the only time you saw a spike was right at the start of this whole thing and since then there’s been next to nothing?

Well, come Autumn it was probably one of the quietest in record – and other funeral directors will tell you that where they can speak out. But come January the numbers were going through the roof. By this time the extra storage units were hidden, they were out of the way. And that’s since people were being vaccinated. So this year as the vaccinations have gone on I’ve seen trends through the age groups. Obviously it’s not marked down that they’re vaccinated but it’s the most funerals that you’ve ever done in 2 weeks and they’re all aged 30, 40, no older.

And that’s what you’re seeing now?

That’s what I saw earlier in the year when that age group got vaccinated.

And what sort of proportion was that compared to the proportion that you usually do with?

Well, you usually do with all different age groups but as I was saying the elderly that were probably gonna go in the next year or year and a half or whatever, they’ve already gone. So there’s a big gap there. So we weren’t having those deaths anymore. And with younger people, they are now vaccinated – and I had about 12 in one go.

How many would you usually get?

Very few, very few but I mean we’ve had high suicide rates, especially in young men. That was mainly last summer into the Autumn.

But could you give people a sense of proportion? You got 12 in a short space of time. How many would you get in that space of time? 1 or maybe like a 50 percent chance?

We normally have about 4 or 5 funerals going, not 12 – 11,12. And not all of that age group. There would be old people in there. So, and then now it’s quiet and what I’ve seen is a lot of newborn babies in the fridges in the mortuaries.

So do you want to talk about the number of newborn babies that you’ve seen in the mortuaries?

Oh, they’re really high. They’re up above thirty in one hospital.

And how many would they usually have?

They have fridges that’ll hold about 6 to 10 maximum. They’re never normally full. But now they’re all in the adult section.

So there’s about maybe 10 times the rate of what they would usually have?

Yeah, and obviously they’re either miscarried our full term birth, stillbirth. But not a lot is being said about it.

Wow. And what else have you seen? Have you seen another uptake, perhaps in younger people recently?

Not in people under 20. Not in their twenties, really. But above that, yes. Earlier in the summer when they all first went out and got vaxed. You see, what’s going to happen is you’re gonna get the ones that triggers something in them or they haven’t very good health or maybe don’t know about, so they will go first. And then down the line you’re probably gonna see a lot more.

And what do you see being put down on the death certificates?

There’s a lot of myocarditis, myocardial infractions. You know it’s all blood-, heart-based, pneumonia. But Covid, I’ve only had one this year, one Covid death written down since January.

Of how many?

I can’t tell you how many we’ve done but if it’s the same as a pandemic going on there should be more than that. But it’s like they’re not that bothered of it anymore, they can just twist their figures and do whatever.

So would that be hundreds that you do in a year or maybe a hundred?

Yeah, yeah. But you see last year they were marking anybody and everybody down with it. They died of other things, they were testing them and they were marking them down as Covid. But now since the vaccinations have been going, they’re not doing that.

So do you think it’s because they feel confident that these injections are working on people, that they’re not putting people down?

Yeah, yeah, they just scaring people on TV.

So it’s a psychological thing.

Yeah, yeah, get your vaccination. What we’re gonna do now, I don’t know, when more and more people start dying of this vaccination. I mean, you’ve had the initial reactions but what’s gonna happen down the line?

And can I ask you in terms of last year, marking people down as Covid death. How many… what sort of proportions do you think were falsely attributed?

Oh, a high proportion ’cause they were testing everybody. So if you tested positive and that wasn’t anything to do with it, I mean, I had one person really upset about it. The person was dying of something else, I think it was cancer at the time, and they marked it down as a Covid death. She’d never had Covid. But tested positive.

And were you seeing… so you’re seeing other examples of this, of people dying of multiple different things and then it…

Yeah, yeah, yeah, yeah. And now you see there’s no record of who’s been vaccinated and of who hasn’t that’s going down on the certificates. And it should be.

And do you work with the families at all?

Not really, no.

So you don’t get to speak to them and ask them any questions about whether they’ve had the injection or not?

No, it’s a bit of a tricky thing to do unless they’re on the subject because it’s quite private to them, so.

But what else have you noticed recently? You’ve noticed a massive uptick in babies and I can I ask how old were these babies? Were they newborns?

Yeah, newborns or miscarried. I don’t know anymore than that, I just see them in the fridges. Even without names, « baby of » and then the parents name.

Wow.

Yeah, it’s shocking and I’m sure there’s many more people noticing it, too. You see, we don’t we don’t deal with newborn babies so I don’t get to see what goes on with them. But I see them in the fridges in the mortuaries.

And is there anything else that you’d like to tell me now that maybe I haven’t asked you?

Can’t think of anything. Just that the deaths of adults are down right now. As I say, you’ve had the waves of people affected by the vaccines. Not that it’s written down that they’ve died of vaccines. But it’s there and Covid’s just nonexistent.

And can I ask what is your message to any of the people who are thinking of speaking out or any of the undertakers?

I say do it, do it. Problem is, with a lot of undertaker who are, you know, working for big companies, you’re not allowed to speak out. If you’re seeing this you need to speak out. I mean it’s there, it’s clear as day. Nobody else sees these death certificates apart from those in the crematorium staff. So, it’s all there.

Thank you very much.

Pleasure.

2 620 bébés morts signalés au VAERS après l’injection COVID – Plus de décès fœtaux en 11 mois que pour les 30 dernières années après administration de TOUS les vaccins, et début d’une enquête en Écosse – par par Brian Shilhavy.

La transcription et la traduction de la vidéo en fin d’article est ici.

Source.

2 620 bébés morts signalés au VAERS après l’injection COVID – Plus de décès fœtaux en 11 mois que pour les 30 dernières années après administration de TOUS les vaccins, et début d’une enquête en Écosse

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Les décès fœtaux consécutifs à l’injection de vaccins COVID-19 à des femmes enceintes continuent d’augmenter, avec maintenant 2 620 décès fœtaux signalés au VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System).

Si l’on effectue exactement la même recherche dans le VAERS en excluant les injections COVID-19, on trouve 2 225 décès fœtaux suite à TOUS les vaccins injectés aux femmes enceintes au cours des 30 dernières années. (Source.)

Nous sommes actuellement en passe de parvenir à un total sur un an de 2 838 décès fœtaux signalés consécutifs aux injections COVID-19, alors que la moyenne annuelle des décès fœtaux signalés à la suite de la vaccination de femmes enceintes au cours des 30 dernières années a été de 74 décès fœtaux par an.

Le mois dernier (octobre 2021), le New England Journal of Medicine a admis que l’étude originale utilisée pour justifier la recommandation des CDC et de la FDA de vacciner les femmes enceintes était biaisée. (Source.)

Depuis, des chercheurs de Nouvelle-Zélande ont mené une nouvelle étude sur les données originales et ont conclu :

Une nouvelle analyse de ces chiffres indique une incidence cumulée d’avortement spontané allant de 82% (104/127) à 91% (104/114), soit 7 à 8 fois plus que les résultats des auteurs originaux. (Source.)

Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander les injections aux femmes enceintes, même si une analyse correcte des données originales montre que 82% à 91% des femmes enceintes feront des fausses couches si leur enfant à naître a moins de 20 semaines. (Source.)

Et pourtant, le CDC et la FDA continuent de recommander les injections de COVID-19, qui comprennent maintenant aussi des injections de rappel [booster shots] de Pfizer et Moderna, ce qui signifie qu’une femme enceinte peut à présent recevoir 3 injections COVID-19 au cours de sa grossesse (si celle-ci dure suffisamment longtemps).

Sur les 2 620 décès fœtaux signalés au VAERS à la suite d’injections COVID-19, 2 015 de ces décès fœtaux sont consécutifs aux injections de Pfizer, et 689 aux injections de Moderna. (Source.)

Le VAERS est un système passif qui connaît une grave sous-déclaration. Les CDC et la FDA n’ont jamais mené d’étude pour déterminer ce facteur de sous-déclaration, mais des scientifiques indépendants l’ont fait, et nous avons déjà publié l’analyse menée par le Dr Jessica Rose, qui a déterminé qu’un facteur de sous-déclaration prudent serait X41. Voir :

ETUDE : Les propres données du gouvernement révèlent qu’au moins 150 000 personnes sont probablement mortes aux Etats-Unis après avoir reçu le vaccin COVID-19.

Cela signifie qu’il y a probablement eu jusqu’à présent au moins 107 420 décès fœtaux suite aux injections COVID-19. Et combien de ces femmes pourront à nouveau être enceintes?

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux? Même dans les médias alternatifs, pour autant que je sache, je suis le seul à révéler ces morts fœtales qui figurent dans les données du gouvernement relatives aux injections COVID-19 et à les publier.

Et à présent, on apprend qu’en Écosse, on reconnaît ce pic de décès chez les nouveau-nés, et on a lancé une enquête pour essayer de comprendre pourquoi tant de nouveau-nés meurent.

The Hearld en Ecosse relate :

Une enquête a été lancée sur un pic de décès chez les nouveau-nés en Écosse.

Les limites de contrôle et d’alerte sont conçues pour signaler aux équipes de santé publique les cas de décès néonatals, de mortinatalité ou d’autres décès de nourrissons à des niveaux anormalement élevés ou bas qui pourraient ne pas être le fait du hasard.

Bien que le taux fluctue d’un mois à l’autre, le chiffre pour le mois de septembre – 4,9 pour 1000 naissances vivantes – est comparable aux niveaux observés pour la dernière fois à la fin des années 1980.

Public Health Scotland (PHS), qui est l’un des organismes qui enquêtent actuellement sur ce pic, a déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il y a une plus forte probabilité que des facteurs autres que la variation aléatoire aient pu contribuer au nombre de décès qui se sont produits ». (Article complet.)

Pensez-vous que ces responsables de la santé publique au Royaume-Uni vont considérer les injections de COVID-19 faites aux femmes enceintes comme une cause potentielle?

J’en doute sérieusement, mais les injections d’ARNm de Pfizer et Moderna sont également utilisées au Royaume-Uni, ainsi que l’injection d’AstraZeneca, et c’est pure folie de ne pas considérer ces injections expérimentales comme étant liées à ces décès de nourrissons, et cela aurait dû se faire depuis des mois!

Voici une dénonciation d’un directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni expliquant l’augmentation du nombre de décès de nouveau-nés constatés actuellement. Ce reportage est sur notre chaîne Bitchute. [NdT. la transcription/traduction de cette vidéo est ici]

Voici un reportage vidéo que nous avons réalisé le mois dernier et qui présente des exemples effroyables et déplorables de ce que ces injections font aux bébés à naître.


Texte original

2,620 Dead Babies in VAERS After COVID Shots – More Fetal Deaths in 11 Months than Past 30 Years Following ALL Vaccines as Scotland Begins Investigation

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

Fetal deaths following COVID-19 shots injected into pregnant women continue to increase, as there are now 2,620 fetal deaths reported in VAERS (the Vaccine Adverse Events Reporting System).

When we run the exact same search in VAERS and exclude the COVID-19 shots, we find 2,225 fetal deaths following ALL vaccines injected into pregnant women for the past 30+ years. (Source.)

We are currently on pace to see a yearly total of 2,838 recorded fetal deaths following COVID-19 shots, while the yearly average of recorded fetal deaths following the vaccination of pregnant women for the past 30 years has been an average of 74 fetal deaths per year.

Last month (October, 2021) the New England Journal of Medicine admitted that the original study used to justify the CDC and the FDA in recommending the shots to pregnant women was flawed. (Source.)

Since then, researchers in New Zealand have conducted a new study on the original data, and concluded:

A re-analysis of these figures indicates a cumulative incidence of spontaneous abortion ranging from 82% (104/127) to 91% (104/114), 7–8 times higher than the original authors’ results. (Source.)

And yet, the CDC and FDA still continue to recommend the shots for pregnant women, even though a correct analysis on the original data shows that 82% to 91% of pregnant women will suffer miscarriages if their unborn child is less than 20 weeks old. (Source.)

And yet the CDC and FDA continue to recommend the COVID-19 shots, which now also include booster shots from Pfizer and Moderna meaning a pregnant woman can now be injected with 3 COVID-19 shots during her pregnancy (if it lasts long enough).

Of the 2,620 fetal deaths in VAERS following COVID-19 shots, 2,015 of these fetal deaths follow Pfizer injections, and 689 of them follow the Moderna injections. (Source.)

VAERS is a passive system that is severely under reported. The CDC and FDA have never conducted a study to determine what this under-reported factor is, but independent scientists have, and we have previously published the analysis conducted by Dr. Jessica Rose, who has determined that a conservative under-reported factor would be X41. See:

STUDY: Government’s Own Data Reveals that at Least 150,000 Probably DEAD in U.S. Following COVID-19 Vaccines

This means that there have probably been at least 107,420 fetal deaths following COVID-19 injections so far. And how many of these women will be able to get pregnant again?

How is this not headline news?? Even in the Alternative Media, as far as I know I am the only one digging out these fetal deaths contained in the government’s own data following COVID-19 injections and publishing them.

And now it is being reported in Scotland that they are recognizing this spike in deaths in newborn babies, and they have launched an investigation to try to figure out why so many newborn babies are dying.

The Hearld in Scotland reports:

An investigation has been launched into a spike in deaths among newborn babies in Scotland.

Control and warning limits are designed to flag up to public health teams when neonatal, stillbirth or other infant deaths are occurring at unexpectedly high or low levels which may not be due to chance.

Although the rate fluctuates month to month, the figure for September – at 4.9 per 1000 live births – is on a par with levels that were last typically seen in the late 1980s.

Public Health Scotland (PHS), which is one of the bodies currently investigating the spike, said the fact that the upper control limit has been exceeded “indicates there is a higher likelihood that there are factors beyond random variation that may have contributed to the number of deaths that occurred.” (Full article.)

Do you think these public health officials in the UK will look at the COVID-19 shots being injected into pregnant women as a potential cause?

I seriously doubt it, but the Pfizer and Moderna mRNA shots are also being used in the UK, along with the AstraZeneca shot, and it is pure insanity not to consider these experimental injections as being linked to these infant deaths, and this should have happened months ago!

Here is a Funeral Director whistleblower in the UK explaining the increase in dead newborn babies they are now seeing. This is on our Bitchute channel.

Here is a video report we made last month with some very unfortunate gruesome examples of what these shots are doing to unborn babies

La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu’à l’année 2076 pour divulguer intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19 – par Aaron Siri.

Source.

Traduction

La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu’à l’année 2076 pour divulguer intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19

Le gouvernement fédéral affranchit Pfizer de toute responsabilité. Il lui donne des milliards de dollars. Il oblige les Américains à recevoir ses produits. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant sa sécurité et son efficacité. Pour qui le gouvernement travaille-t-il?

Aaron Siri

17 novembre

La FDA a demandé à un juge fédéral de faire patienter le public jusqu’en 2076 pour révéler toutes les données et informations sur lesquelles elle s’est appuyée pour homologuer le vaccin COVID-19 de Pfizer. Ce n’est pas une faute de frappe. Elle demande 55 ans pour fournir ces informations au public.

Comme expliqué dans un article précédent, la FDA a promis à plusieurs reprises une « transparence totale » en ce qui concerne les vaccins COVID-19, notamment en réaffirmant « l’engagement de la FDA en matière de transparence » lors de l’homologation du vaccin COVID-19 de Pfizer.

Cette promesse en tête, en août et dans la foulée de l’approbation du vaccin, plus de 30 universitaires, professeurs et scientifiques des plus prestigieuses universités du pays ont demandé les données et informations soumises à la FDA par Pfizer pour l’homologation de son vaccin COVID-19.

La réponse de la FDA? Elle n’a rien présenté. Par conséquent, en septembre, mon cabinet a intenté une action en justice au nom de ce groupe contre la FDA pour exiger ces informations. A ce jour, presque trois mois après avoir homologué le vaccin de Pfizer, la FDA n’a toujours pas publié une seule page. Pas une seule.

En revanche, il y a deux jours, la FDA a demandé à un juge fédéral de lui accorder jusqu’en 2076 pour produire toutes ces informations. La FDA a demandé au juge de lui permettre de présenter les plus de 329 000 pages de documents fournis par Pfizer à la FDA pour l’homologation de son vaccin au rythme de 500 pages par mois, ce qui signifie que la présentation ne sera pas terminée avant 2076. La promesse de transparence de la FDA est, pour le dire gentiment, un ramassis d’illusions.

Il a fallu à la FDA exactement 108 jours entre le moment où Pfizer a commencé à présenter les dossiers pour l’homologation (le 7 mai 2021) et celui où la FDA a homologué le vaccin de Pfizer (le 23 août 2021). Si l’on prend la FDA au mot, elle a procédé à un examen et à une analyse intenses, solides, approfondis et complets de ces documents afin de s’assurer que le vaccin de Pfizer était sûr et efficace pour son homologation. Alors qu’elle peut effectuer cet examen intense des documents de Pfizer en 108 jours, elle demande maintenant plus de 20 000 jours pour mettre ces documents à la disposition du public.

Donc, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral affranchit Pfizer de toute responsabilité. Lui donne des milliards de dollars. Oblige les Américains à recevoir ses produits. Mais ne vous laissera pas accéder aux données prouvant la sécurité et l’efficacité de son produit. Pour qui le gouvernement travaille-t-il?

La leçon à retenir, une fois de plus, est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Tous ceux qui veulent se faire vacciner et booster devraient être libres de le faire. Mais personne ne devrait être contraint par le gouvernement à prendre part à une procédure médicale. Et certainement pas une procédure pour laquelle le gouvernement veut cacher jusqu’en 2076 l’ensemble des informations sur lesquelles repose son autorisation de mise sur le marché!


Texte original

FDA Asks Federal Judge to Grant it Until the Year 2076 to Fully Release Pfizer’s COVID-19 Vaccine Data

The fed gov’t shields Pfizer from liability. Gives it billions of dollars. Makes Americans take its product. But won’t let you see the data supporting its safety/efficacy. Who does the gov’t work for?

Aaron Siri

Nov 17

The FDA has asked a federal judge to make the public wait until the year 2076 to disclose all of the data and information it relied upon to license Pfizer’s COVID-19 vaccine.   That is not a typo.   It wants 55 years to produce this information to the public. 

As explained in a prior article, the FDA repeatedly promised “full transparency” with regard to Covid-19 vaccines, including reaffirming “the FDA’s commitment to transparency” when licensing Pfizer’s COVID-19 vaccine. 

With that promise in mind, in August and immediately following approval of the vaccine, more than 30 academics, professors, and scientists from this country’s most prestigious universities requested the data and information submitted to the FDA by Pfizer to license its COVID-19 vaccine. 

The FDA’s response?  It produced nothing.  So, in September, my firm filed a lawsuit against the FDA on behalf of this group to demand this information.  To date, almost three months after it licensed Pfizer’s vaccine, the FDA still has not released a single page.  Not one.

Instead, two days ago, the FDA asked a federal judge to give it until 2076 to fully produce this information.  The FDA asked the judge to let it produce the 329,000+ pages of documents Pfizer provided to the FDA to license its vaccine at the rate of 500 pages per month, which means its production would not be completed earlier than 2076.  The FDA’s promise of transparency is, to put it mildly, a pile of illusions. 

It took the FDA precisely 108 days from when Pfizer started producing the records for licensure (on May 7, 2021) to when the FDA licensed the Pfizer vaccine (on August 23, 2021).   Taking the FDA at its word, it conducted an intense, robust, thorough, and complete review and analysis of those documents in order to assure that the Pfizer vaccine was safe and effective for licensure. While it can conduct that intense review of Pfizer’s documents in 108 days, it now asks for over 20,000 days to make these documents available to the public. 

So, let’s get this straight. The federal government shields Pfizer from liability.  Gives it billions of dollars.  Makes Americans take its product.  But won’t let you see the data supporting its product’s safety and efficacy.  Who does the government work for? 

The lesson yet again is that civil and individual rights should never be contingent upon a medical procedure.  Everyone who wants to get vaccinated and boosted should be free to do so.  But nobody should be coerced by the government to partake in any medical procedure.  Certainly not one where the government wants to hide the full information relied upon for its licensure until the year 2076!