Et voilà… J’étais prêt à passer une journée bien tranquille – soleil, nature, promenade – et il faut que ce truc sorte juste aujourd’hui? Bon, on va faire court et direct. Je complèterai plus tard si nécessaire. Première salve, si j’ose dire.
[19/07: Vous pouvez lire le reste de l’article mais ce n’est même plus la peine. Dans son récent discours, le principal intéressé vient de faire s’écrouler toute l’opération en une seule phrase:
« Lorsque j’ai entendu un sifflement sonore et que j’ai senti quelque chose me frapper très, très fort à l’oreille droite, je me suis dit: « Ouah, qu’est-ce que c’était? Ce ne peut être qu’une balle. » J’ai porté ma main droite à mon oreille et l’ai abaissée. Ma main était couverte de sang, du sang partout ».
Vous pouvez passer en revue toutes les photos et les vidéos de ce moment précis, il n’y a pas une goutte de sang sur sa main.
Merci « Donald », et bonne et heureuse présidence!]
[16/07: Miles a finalement publié un papier sur le truc, qui dit essentiellement la même chose que moi, avec quelques détails supplémentaires sur des aspects techniques, que je vais rajouter ici, plutôt que de traduire le tout]
Première question que je pose toujours, est-ce que ça s’est vraiment passé? Est-ce qu’un tireur isolé a vraiment fait feu sur Trump? Je vous balance l’information brute, on fera le tri ensuite.
Photos de l’intéressé:
Photo prise par un ancien membre du corps de presse de la Maison Blanche, Doug Mills, donc rien de suspect. Ce qui est entouré au-dessus de l’épaule de Trump est censé être… la trajectoire d’une balle de fusil. La photo du siècle?
[16:07: (Miles) Ensuite, il y a cette photo miraculeuse de la balle qui passe à côté de Trump.
On vous prend vraiment pour des cons si vous est censés gober cette photo photoshoppée. Cette photo aurait été prise par un photographe du NYT. Ça tombe plutôt bien. Quelle était donc sa vitesse d’obturation? Eh bien, ils ont vu venir la question, car on nous dit qu’il utilisait un Sony A1 à 1/8000s. Étant donné que Trump n’est pas connu pour se déplacer à une vitesse de 1000 pieds par seconde, on ne voit pas bien pourquoi le photographe utiliserait cette vitesse d’obturation. Mais admettons que ce soit vrai. À cette vitesse d’obturation, quelle serait la distance parcourue par la balle? Comme il s’agit d’un AR15, la balle aurait ralenti à environ 2000 pieds par seconde. Il suffit donc de faire une multiplication. La trajectoire de la balle devrait être de ¼ de pied, soit 3 pouces. Non, elle est d’environ un pied, ce qui est quatre fois trop long. Il est évident que la balle devrait se déplacer à l’équivalent de 8000 images/seconde pour créer une trace d’un pied de long sur une pellicule ouverte à 1/8000s. Tout le monde peut faire ce calcul. 8000/8000 = 1.
Ensuite, il y a la réaction de la foule derrière Trump, alors que huit balles sifflent autour d’elle. Ils restent plantés là comme des idiots, la plupart d’entre eux ne courant pas et ne se baissant même pas. C’est parce qu’ils savent que les coups de feu ne sont que des balles à blanc.]
Ah non, celle-ci est mieux.Celle-là, pas terrible.
[16/07: (Miles) Ensuite, on a ce travail de grimage foireux, où une maquilleuse cachée derrière l’estrade a étalé du faux sang sur Trump lorsqu’il s’est agenouillé. Ce n’est pas du tout convaincant, car les traces de sang ont l’air d’avoir été tracées au marqueur rouge. À part ça, elle a étalé une substance rouge sur son oreille, qu’elle n’a pas non plus eu le temps de rendre réaliste. Tout ce qu’elle a fait, c’est colorer son oreille en rouge. Et où est l’impact de la balle? Il semble qu’il manque un impact de balle. Si une balle avait emporté ne serait-ce qu’un centimètre du bord de l’oreille, celle-ci saignerait abondamment et on verrait du sang ruisseler du lobe de l’oreille sur sa chemise et sa veste. Il m’est arrivé de gratter des croûtes sur mon oreille qui saignaient plus que ça, et ça a dû probablement vous arriver aussi.]
Celle-là est parfaite pour les veaux la postérité. Vous n’avez pas fini de la voir, on en fait déjà des T-shirts (authentique). Précisons qu’en cas de vraie fusillade, les Services Secrets ne laissent jamais dépasser la tête de la cible avant de l’avoir évacuée.
[16/07: je rajoute celle ci-dessous puisque ça fait partie de l’enfumage général auquel on peu s’attendre dans ce genre d’opération. La première est celle qui circule sur les réseaux sociaux (« Un autre impact de balle! Il portait un gilet pare-balles, ça lui a sauvé la vie! »). La deuxième est la photo originale, où on voit que c’est juste une ombre sur la veste du garde du corps.]
Photos des lieux:
Le bâtiment où le tireur est censé s’être posté est le seulalentour mais il était « hors du périmètre de sécurité »… à 140 mètres de la scène où se tenait Trump, c’est-à-dire à portée de tir. Rien de suspect.
Le tireur « présumé » est traîné hors du toit. Enfin, son cadavre.
Le type dans le public avec un chapeau ridicule est Vincent Fusca, un type vraiment très bizarre.
Ce qu’en dit la presse (enfin, juste après le direct à la télé)
CNN explique qu’il y a eu des bruits, que Trump est tombé, qu’on l’a relevé, qu’il gueulait et que les Services Secrets l’ont évacuéL’AP ne parle que des bruits
USA Today: il y a eu des bruits, il a eu peur
WashPo: bruits, évacuation NB: en fait, ce ne sont pas des gaffes, les journalistes ont reçu en premier lieu l’ordre de ne pas parler de coups de feu, pour ne pas énerver les électeurs de Trump qui risqueraient de foutre le feu au pays – contrairement aux Antifa et à BLM, toujours d’une exquise courtoisie comme on le sait. Ils ont ensuite reçu l’ordre dans un deuxième mémo de pas s’étendre sur le sujet. Bref, juste de quoi bien enfoncer le clou des « médias fake news » ennemis de Trump.
Bon, résumons. C’était un meeting électoral à Butler, Pennsylvanie. Les deux témoins ci-dessus (qui ne sont pas des « acteurs de crise ») ont tenté en vain pendant cinq minutes de prévenir la police de la présence d’un type armé d’un fusil d’assaut sur le toit. Le gars aurait fait feu cinq fois, touché l’oreille de Trump dont l’opportun mouvement de tête l’a sauvé du pire, les autres tirs ont tué une personne et blessé deux autres avant que les snipers l’abattent (je n’ai pas mis la photo, assez glauque).
[16/07: (Miles) Vous me direz que l’une de ces personnes a été tuée. Corey Comperatore. Malheureusement, son histoire ne colle pas non plus. On nous dit qu’il était un ancien chef des pompiers du canton de Buffalo. Mais son profil LinkedIN ne mentionne pas qu’il était pompier. Il y est indiqué qu’il travaillait chez JSP à Butler depuis 30 ans.]
Le tireur isolé a été identifié: un petit gars du nom de Thomas Crooks, électeur Républicain enregistré – avec aussitôt une « théorie du complot » à l’usage des nationalistes qui surgit sur les réseaux sociaux que ce seraient en fait des Antifa qui ont fait le coup, histoire de bien noyer le poisson. Comme vous l’apprendrez dans cette très intéressante vidéo, la profession de son père est, par un pur hasard, « comportementaliste » et, autre hasard, le gamin apparaît comme figurant dans une publicité pour un fonds de pension de Blackrock pour enseignants, filmée il y a un an dans le collège de Bethel où il menait ses études. Le gamin était donc repéré depuis longtemps.
Pauvre gosse.
Tout ça sent le MK-Ultra à plein nez – qui permet de faire faire ce qu’on veut, à qui on veut, quand on veut, n’en doutez pas. Tout ce dont vous entendez parler aujourd’hui dans le domaine du contrôle neurologique était déjà au point il y a des décennies. La technologie des « voix dans la tête » était opérationnelle il y a septante (c’est soixante-dix, amis français) ans – j’ai dans mes fichiers une longue conférence de Gregg Lien, fils d’un des militaires responsables techniques de ce machin, qui en parle un instant, je retrouverai l’extrait en question (si j’ai le temps).
[16/07: (Miles a une autre théorie, dont je doute un peu – le gamin n’a pas le profil d’un agent, plutôt celui du pion sacrifiable – mais je vous la donne quand même) Il s’agit du tireur présumé, Thomas Matthew Crooks, dans une publicité de Blackrock datant de l’année dernière. Pour une raison non précisée, Blackrock a tourné sa publicité à l’école secondaire de Bethel Park, où Crooks était élève. Blackrock a maintenant admis qu’il s’agissait bien de lui, et a retiré la publicité de toute diffusion future. Ce fait est présenté comme une coïncidence extraordinaire, mais ce n’est pas le cas. Tout étudiant apparaissant dans cette publicité aurait été trié sur le volet par les réalisateurs. Ils ne tournent pas au hasard pour demander ensuite aux étudiants de signer une décharge. Je pense que Crooks est lié à quelqu’un de haut placé à Blackrock, et que c’était là son premier pied à l’étrier pour sa future carrière. Quelle carrière? La CIA, bien sûr. Sa fausse mort dans le cadre de cet événement sera son entrée idéale dans la CIA, puisqu’il a maintenant une couverture. La meilleure couverture qui soit: une fausse mort.]
Quant à la « faille de sécurité », elle est tout simplement impossible. Le narratif est que Trump a demandé un renforcement de la sécurité au DHS, qui lui a refusé – mais ça ne tient pas debout, il n’y avait quasiment rien à surveiller dans ce meeting. [16/07: (Miles) Si vous n’avez pas lu la version officielle des faits, celle-ci admet que les services secrets avaient déjà qualifié de dangereux le toit sur lequel le tireur était perché, de sorte qu’il aurait dû non seulement être interdit d’accès, mais aussi qu’un agent aurait dû s’y trouver physiquement. Les tireurs d’élite des bâtiments adjacents pouvaient le voir et l’avaient déjà repéré, mais ils n’auraient prétendument pas été autorisés à tirer en premier. Si vous croyez ça, vous croirez n’importe quoi. C’est la raison première de la présence des tireurs d’élite: empêcher un premier tir sur un ancien président. Des personnes dans la foule avaient également vu le tireur et prévenu les services secrets, mais ont été ignorées.] De plus, les sociétés de sécurité privées sont à la hauteur de ce genre de boulot, au moins autant que les services d’État. La technologie dont ils disposent est saisissante. [15/07: Ainsi que le pognon dont dispose Trump. Et quelques drones à $200/pièce peuvent faire la différence.] Pour l’anecdote, j’ai lu le témoignage (perdu le lien, sorry) d’un ancien Marine qui a renoncé à fuir les États-Unis parce qu’il n’existe plus aucun endroit sur la planète qui ne puisse être surveillé – même en pleine nature. Avec ça, on a loupé pendant cinq minutes un type posté sur un toit avec un fusil d’assaut, à cent quarante mètres du futur Président? [16/07: Le plus beau, c’est qu’il y avait une échelle très opportunément laissée à côté du bâtiment, pour donner accès au toit où le prétendu tireur s’est posté, comme si ça avait pu échapper aux agents des Services Secrets qui ratissent les lieux avant l’événement] Il n’y a jamais de « faille de sécurité ». Il n’y en a pas eu le 11 septembre, ni le 7 octobre, ni ici. Il y a juste un scénario et des ordres de « stand down », ne pas intervenir.
Cet attentat sous faux drapeau [15/07: sorry, ce hoax], prévu et annoncé depuis longue date, notamment par Tucker Carlson (CIA), comme tout le bruit qu’on fait autour de Trump depuis quatre ans, est de la programmation prédictive et de la publicité. Les procès contre lui sont tous du théatre (voir ici, ici, ici et ici, merci Miles). Les présidents américains sont tous sélectionnés et mis en place par le Renseignement. Tous, y compris JFK, qui n’a jamais été assassiné. Désolé.
La mise en scène du « débat présidentiel » avait elle aussi comme objectif de justifier le retour de Trump – et discréditer « Joe Biden » – tout comme le délire absolu des Démocrates devait pousser même les plus rétifs dans les bras de la « droite ». Le type qui jouait le rôle de Biden en version sénile – à moins qu’on ait pour l’occasion sorti le vrai, s’il est encore en vie – est un acteur, comme déjà signalé dans un article précédent. Donald Trump est lui aussi – en plus de sa fonction de blanchisseur d’argent pour la Mafia new-yorkaise – un acteur professionnel, qui fait ici son come-back, en pourfendeur intrépide – il risque sa vie pour nous! – des méchants marxistes. Le pire, c’est que ça fonctionne assez bien: je lis sur Substack des commentaires quasi-messianiques de la part de gens qui se battent farouchement contre les injections Covid et viennent soudainement d’oublier la signature de Trump sur l’Opération Warp Speed, qui fait au bas mot vingt et un millions de morts et porté le coup fatal aux économies occidentales pour la plus grande joie de Blackrock, justement. Certains parlent de miracle. Hallucinant. Vous me connaissez, je les ai allumés.
C’est bien là tout le problème du peuple. Si on ne lui sert plus que du spectacle, c’est parce qu’il ne fait maintenant plus la différence avec la politique. Un chouette récit qui lui évite de voir que sous l’étiquette « droite » ou « gauche », il n’y a plus que divers étatistes chargés de maintenir un semblant de paix sociale en lui mentant entre leurs dents, totalement inféodés à la dette. Aucun n’aura jamais le courage d’annoncer la mauvaise nouvelle dont parlait ici le Colonel: leur pays n’existe plus, ils devront le reconstruire entièrement, eux-mêmes. Personne ne viendra le sauver.
Comme je l’annonce depuis trois ans, le véritable pouvoir – financier – a besoin de Trump comme devanture d’une politique économique « nationaliste » garante de leur investissement dans la zone US, c’est-à-dire de centre droit pour l’industrie et de centre gauche pour le social, hyper-interventionniste (il n’y a plus vraiment le choix) mais moins ouvertement communiste que la « gauche » – donc « d’extrême-droite ». Comme le RN…
Comme je l’annonce aussi depuis trois ans, les US vont très intelligemment effectuer le repli stratégique économique et militaire qui sauvera (temporairement) leur dollar, laissant l’Europe, totalement verrouillée par la bureaucratie de l’UE encaisser le choc dans ces deux domaines, face à une coalition BRICS qui représente aujourd’hui le meilleur investissement dans tous les secteurs traditionnels et ceux d’avenir, avec comme partenaire Israël dans les technologies de cybersécurité et espionnage industriel et surtout hors du carcan mortel du marxisme vert. Allez jeter un oeil sur le site d’information des BRICS et dites-moi ce que la vieille Europe aura à leur opposer. Son dernier espoir est de se rabibocher avec la Russie, dont elle pourrait à ce stade difficilement se passer, comme tente de le faire désespérément Viktor Orban, dernier chef d’État européen digne de ce nom.
Pour résumer, l’Europe va se retrouver à poil, ou pire. Aujourd’hui, contrairement à Donald Trump, elle vaut plus morte que vivante. On reparle dans mon prochain article de ce qui va lui arriver.
ZeroHedge republie cet article bien pourri de Michael Snyder, un catastrophiste professionnel – qui en fait des bouquins pour nous les gueux. S’il n’est pas déjà salarié par la CIA, je leur envoie une lettre de recommandation. Cette merveille aurait davantage sa place dans The Atlantic ou quelque autre officine du Renseignement mais, en bon rouage de l’opposition contrôlée1,Tyler Durden, (qui écrit pourtant souvent des choses sensées que je traduis sur ce blog), doit probablement de temps à autre polluer le puits s’il veut conserver sa place/son compte en banque/sa vie. Ça ne mérite pas d’être relayé in extenso ici, je vous torche vite fait un résumé (ce qui est entre parenthèses est de ma plume, si j’ose dire):
Un Monsieur mexicain est tombé mort (!) de la grippe avaire mais pas celle qui a frappé trois autres personnes aux États-Unis (le déjà terrifiant H5N1, qui peut faire couler le nez et même rougir les yeux). Non, c’est le H5N2 (sûrement encore plus terrible parce que +1)! Mais attendez, il y a pire. Les américains l’ont attrapé en trayant des vaches qui ont la grippe avaire, parce qu’on leur a fait un test (de même qu’on peut attraper la maladie de la vache folle à la pêche aux canards – ce n’est plus une barrière inter-espèces, c’est une passoire) mais le Monsieur mexicain n’avait pas eu de contact avec des oiseaux ou d’autres animaux donc aurait-il pu l’attraper… d’un autre être humain? Ça fait peur parce que déjà qu’on ne sait pas ce que ferait une pandémie « potentiellement catastrophique » de H5N1 (qui se déclarerait juste maintenant, malgré que le virus circule depuis au moins 146 ans), on sait encore moins ce que ferait une pandémie de H5N2, ce qui fait encore plus peur (selon le principe hautement scientifique: moins on en sait, plus on a peur).
L’OMS, toujours sur la balle, a fait un communiqué sur le Monsieur mexicain: il avait 59 ans, il avait de multiples co-morbidités (ce qui me rappelle confusément quelque chose) et était cloué au lit depuis trois semaines quand soudain (si on peut dire) il s’est mis à souffrir de fièvre, souffle court, diarrhée, nausées et malaises. Et comment sait-on qu’il avait la grippe aviaire H5N2, le Monsieur? On lui a fait un test PCR, évidemment (quelle question!)
L’auteur s’interroge ensuite: oui mais s’il l’a attrapé d’un autre être humain, alors il a aussi pu contaminer (musique) d’autres êtres humains? Des centaines, des milliers? demande-t-il (je rappelle que le mec était cloué au lit).
Pendant ce temps, le H5N1 (vous suivez?) continue « d’alarmer les experts » (un métier particulièrement angoissant, je serais eux je ferais démineur), surtout maintenant qu’on a trouvé (personnes sensibles, s’abstenir) 11 souris contaminées, toujours au Mexique. Ouaip, PCR. Des souris! Elles sont partout! Comme les rats porteurs de la peste bubonique! (je vous jure que j’invente pas)
Les chercheurs, jamais pris en défaut, ont fait une étude qui montre que les souris ont pu attraper le H5N1 en buvant… du lait cru! (que j’ai entendu qualifier sur une radio américaine par un célèbre médecin de l’ère Covid de « raw sewage » – d’eaux d’égoût. La FDA n’aime pas beaucoup le lait cru, elle envoie de temps en temps des unités de policiers – obèses – dans les magasins de produits fermiers.)
L’auteur rappelle que la grippe aviaire a déjà tué des centaines de millions d’oiseaux (ou plus probablement aucun, c’est la magie du PCR) et que maintenant qu’elle a contaminé des vaches laitières, des chats et des souris, les scientifiques pensent (pour nous) que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle déclenche une pandémie chez les humains, et que maintenant que le Monsieur est mort du H5N2, la peur va déferler sur le monde pire qu’avec le Covid. Masques! Confinements! Vaccins!
Enfin, vous avez compris.
Bon, c’est assez gênant pour ZeroHedge mais le meilleur est, comme souvent, dans les commentaires – ce site a les meilleurs lecteurs sur la planète. Florilège:
Mesdames et Messieurs, jeunes gens, nous vous présentons le variant « Élections ».
Oui, les élections auront lieu dans 5 mois.
3 mois de battage médiatique, puis 2 mois pour aplatir la république.
Pour la machine Marxiste Démocrate, le Mexique est l’endroit idéal où lâcher sur la population son nouveau virus créé en laboratoire.
Il sera ensuite importé aux États-Unis par la frontière et se répandra dans tout le pays.
En novembre, ils pourront décréter un confinement et truffer l’élection de faux bulletins « postaux » qu’ils trouveront à 4 heures du matin et qu’ils scanneront 5 fois chacun.
Quelle est la probabilité qu’un type de 59 ans avec co-morbidités et malade depuis trois semaines soit testé pour le H5N2? En plus, au Mexique.
Quelle chance qu’ils aient eu sous la main ces tests PCR fiables à 100% dans ce trou à rats qu’est le Mexique – pour un paysan obèse morbide qui a attrapé un rhume de cerveau et a crevé… sans « aucune exposition à des animaux d’élevage » – bien que le pays tout entier soit un répugnant zoo géant… le simple fait de poser le pied au Mexique vous expose automatiquement à des centaines d’espèces inconnues…
Le CDC recommande de courir dans tous les sens en agitant les deux bras en l’air et en poussant des cris de panique.
Un représentant du gouvernement mexicain a annoncé ce matin, lors de la conférence de presse d’AMLO, que même si l’un des tests effectués sur la personne décédée s’était révélé positif pour le virus, le patient était mort d’autres maladies liées au diabète et à l’insuffisance rénale, et que l’OMS avait fait preuve d’irresponsabilité en déclarant que le décès était dû au virus H5N2.
À 682 cycles, on peut passer au travers de l’ADN/ARN du dinosaure et du poisson marcheur et enfin trouver et amplifier le virus qui l’a tué.
Savez-vous combien de temps il faut à un virus pour évoluer à l’état sauvage sans que des humains le bidouillent?
Environ 700 ANS.
Cela signifie que CHAQUE nouveau virus dont vous entendez parler est FABRIQUÉ PAR L’HOMME. Commencez à vous occuper des salopards qui FABRIQUENT cette merde!
Quand les gens vont-ils se réveiller?
« Quand les gens vont-ils se réveiller? »
… Quand ils seront à genoux, face au fossé peu profond qu’ils viendront de creuser, avec le canon d’un pistolet sur la nuque.
Donc, toujours au même moment.
Nouvelle présidente du Mexique, nouvelle grippe.
Le Mexicain diabétique et obèse de 59 ans qui vit sur la plage de Papagayo meurt et tout le monde panique?
Des analyses de la qualité de l’eau ont révélé que la plage de Papagayo, à Acapulco, était la plus sale du Mexique, avec 198 coliformes fécaux pour 100 millilitres d’eau. Toute valeur supérieure à 200 est considérée comme dangereuse pour la baignade.
Papagayo est la pire des six plages d’Acapulco figurant sur la liste des 10 plages les plus sales établie par Semarnat.
Voilà ce qui arrive quand on laisse des meurtriers s’en tirer une première fois. Ils recommencent.
La prochaine personne qui mourra dans un accident de voiture sera déclarée morte du H5N2.
Les fientes d’oiseaux sur le pare-brise le prouveront.
Euh, non. Bien sûr, les personnes qui sont « à jour » de boosters et qui n’en sont pas encore mortes courront partout en hurlant, les cheveux en feu, mais tous les autres hausseront les épaules et continueront à vivre leur vie pendant que les médias à la solde de Pharma essaieront désespérément d’attiser l’hystérie « nous allons tous mourir! » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il sera divertissant de les voir essayer de faire revenir Fauci, Birx et tous les autres médecins de plateaux télé qui colportent l’idée de « faire confiance à la science ». Nous ne nous laisserons pas berner une nouvelle fois.
Ce sera intéressant d’observer le déroulement de la prochaine PANDEMIE™. Je doute que beaucoup la prennent au sérieux, et une bonne moitié dira carrément aux marionnettistes d’aller se faire voir. Bien sûr, 30 à 40% de la population se conformeront à la loi par réflexe, mais le reste posera problème. L’OMS le sait et fait tout son possible pour prendre le contrôle et être en mesure d’emprisonner et de punir sans limites ceux qui n’acceptent pas de se plier à leurs conneries. Ça va être très amusant!!!
Un simple rhume justifie désormais l’arrêt de la civilisation et une averse signifie que la fin est proche en raison du changement climatique. Idiocratie.
Mince, 65 000 000 de personnes meurent chaque année, soit 178 000 par jour… 1 décès, PANIQUE!
Rappelez-vous que Big Pharma avait atteint son niveau le plus bas juste avant…?
Quelqu’un s’est enrichi suite à cette nouvelle…
Très clairement, le Covid était une escroquerie américaine visant à s’emparer, en partie, des richesses du Royaume-Uni et de l’Europe.
Lorsque votre idéologie a échoué, qu’elle a détruit l’économie et l’âme de votre propre pays et qu’il ne vous reste plus que les armes d’un État militaire fasciste, il est inévitable que vous essayiez de consommer vos alliés. Surtout lorsque vous êtes si faible et incompétent que vous n’êtes plus en mesure de vaincre vos ennemis.
La seule organisation sur la planète disposant de l’infrastructure nécessaire pour mettre en œuvre un plan international aussi vaste que le Covid était la CIA/NSA, l’État sécuritaire américain.
La réponse à la pandémie définit en fait les limites de l’empire américain: plus on est proche du cœur de l’empire, plus le taux de mortalité est élevé et plus les mesures de confinement sont strictes. Les cinq États les plus touchés, à savoir le Royaume-Uni, les États-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada, ont été les plus durement éprouvés, car la CIA contrôle entièrement leurs services de sécurité. En revanche, l’Afrique n’a pratiquement pas été touchée par l’idiotie du Covid.
Ne vous inquiétez pas les gars, je suis sûr à 100% que McDonnie peut accélérer la mise en place d’un autre vaccin… même depuis sa cellule de prison.
Mettez un masque sur votre téléviseur pour éviter la contagion.
Et pour finir, la question la plus importante, que je me posais aussi:
Je ne comprends pas très bien comment il a pu tomber raide mort alors qu’il était déjà alité depuis longtemps, mais bon…
Il s’est affaissé dans son matelas. L’affaissement est considéré comme une chute. C’est de la science.
Je vous quitte, je vais chercher les oeufs de mes poules. Souhaitez-moi bonne chance!
À propos d’opposition contrôlée, Alex JonesBill Hicks prend sa retraite – prétendument pour cause de saisie de ses biens pour indemniser les parents des enfants victimes de l’attentat de Sandy Hook (pas du tout suspect), suite à un procès bidon organisé par la CIA pour faire peur au mougeon complotiste moyen. À mon avis, vu l’âge (réel) de Hicks, la supercherie « Alex Jones » devenait un peu difficile à maintenir, même à coups de chirurgie, et puis il faut faire taire toute critique réaliste de Trump, pour ne laisser la place qu’à celles, très rigolotes, de son agence publicitaire, le parti Démocrate. Salut, Bill, remets le bonjour à tes collègues de Langley de ma part! ↩︎
Pour faire de l’audience, on va faire dans la « Troisième Guerre mondiale » [rires préenregistrés].
D’après Victor David Hanson, la riposte de l’Iran du 13 avril a été militairement lamentable.
Même si le lancement des missiles balistiques iraniens a réussi pour la moitié d’entre eux, il semble que seuls quelques-uns se soient approchés de leur cible, ce qui contraste fortement avec l’attaque réussie d’Israël contre les batteries de missiles iraniens. Est-il donc concevable qu’un missile iranien à tête nucléaire lancé vers Israël puisse constituer une menace aussi grande pour l’Iran lui-même ou ses voisins que pour Israël?
Le running gag de la menace nucléaire iranienne – ils vont avoir « l’arme » dans deux semaines, depuis vingt ans – finit donc en eau de boudin, la saynète du conflit Iran/Israël, arbitrée par les États-Unis, continuera donc à n’aller nulle part, pendant que se poursuivra l’opération militaire sur la bande de Gaza, c’est-à-dire l’expropriation des palestiniens dont personne, à commencer par l’Iran, n’a rien à caler et qui viendront donc, surprise, grossir les rangs des migrants vers l’Europe.
J’avais traduit cet article de Miriam qui laisse entendre que le bloc Iran/Russie/Chine va vaincre le bloc occidental, envahir l’Europe et imposer une théocratie. Ce serait assez douteux et de plus, inutile. L’Occident peut fort bien passer de la « démocratie » à une forme high-tec de communisme sans passer par la case théocratie. Nous sommes déjà censés être soumis à l’endoctrinement, à la peur et aux milliardaires qui viennent nous sauver de nos péchés – virus, CO2, genre, etc. – au prix de notre « liberté ». Méthode différente, résultat identique.
Miriam, comme Cygnus X-1 et d’autres voix conservatrices à la Lara Logan aux US, reprend ici le narratif de l’invasion sournoise par des « hommes d’âge militaire » sous couvert de migration, là où je pense qu’ils sont importés pour pénétrer le marché du travail et casser les salaires minimum – mesure de lutte contre « l’inflation » – en tant qu’esclaves prêts à tout accepter en échange de peu, face aux peuples autochtones – en phase d’ubérisation – jugés trop coûteux, incompétents et pusillanimes pour un système occidental écrasé par une dette ingérable. La tendance est mondiale, des États-Unis à la Chine, dont l’économie n’est pas non plus au beau fixe et qui importe également des esclaves Nord-Coréens. Je recommande au passage ce documentaire (en anglais) assez éloquent sur la Corée du Nord, ou tout autre en français sur le sujet, qui donne la mesure de ce qu’est capable d’accomplir le communisme en termes de contrôle des peuples.
Le communisme est une invention de milliardaires soucieux de garantir leurs investissements, dans lequel l’argent, propriété de la banque centrale, est utilisé comme outil de contrôle social, permettant de confisquer à un peuple dont on estime qu’il gère mal son budget – ce qui est un peu vrai, à mon avis – propriété, épargne (pour « reconstruire l’industrie« ) et tant qu’on y est liberté, parole, alimentation, agriculture, santé, enfants et avenir, avec comme promesse de lendemains qui chantent le bonheur du Forum Économique Mondial, le goulag digital ou le suicide assisté (voir article suivant).
Plusieurs pays occidentaux ont d’ores et déjà cessé leur livraisons d’armes à Israël. Sauf si la comédie du conflit avec la Russie évolue vers une escalade, la Troisième Guerre mondiale cinétique n’est donc à mon sens pas pour tout de suite. Nous aurons à la place la mort lente et douloureuse du modèle occidental (j’y reviens incessament), qui donnera exactement le même résultat à moindre frais. Mais je peux me tromper et Miriam a peut-être raison. Wait and see…
Précisons que Tucker Carlson, ex-présentateur de FoxNews, est un agent de la CIA (ici, ici, ici), qui a interviewé (outre Vladimir Vladimirovitch) l’agent Andrew Tate, également cité ici. Comme Miles l’a fait remarquer, Tate est manifestement homosexuel, à mon avis volontairement utilisé ici à contre-emploi total pour donner l’image la plus caricaturale possible de l’hyper-macho – et le chiffre de son « audience » est probablement proche de zéro.
Tout complotiste est aujourd’hui confronté à un problème – enfin, à part celui de subir les railleries de la société entière, le harcèlement tyrannique de l’État et le risque persistant de tomber à court de papier d’aluminium [NdT. référence au « tinfoil hat », dont seraient coiffés les complotistes] – celui de ne pas pouvoir prendre un seul jour de congé sans littéralement tomber sur la Troisième Guerre mondiale à son retour…
Samedi, j’ai entrepris une excursion d’un jour dans la ville voisine de York, très agréable (excepté les coûts de stationnement révoltants, scandaleux et qui tiennent du braquage en plein jour – on comprend pourquoi Guy Fawkes, un natif de cette ville, ressentait ce qu’il ressentait à l’égard du gouvernement), mais une fois rentrée chez moi, j’ai appris qu’un événement majeur avait eu lieu au Moyen-Orient, qui laissait entendre que l’ultime conflit dont on nous rebat les oreilles, la Troisième Guerre mondiale, était sur le point de faire son entrée sur la scène mondiale.
Cela fait des mois que l’on nous prévient que « si » (quand) l’Iran intervenait (interviendra) dans le conflit israélo-palestinien, ce sera(it) le coup de torche qui mettrait le feu à la poudrière de la tension et déclenchera(it) une guerre mondiale.
L’Iran a maintenant attaqué Israël, mais – comme il faut s’y attendre pour ce genre d’événements coordonnés et mis en scène – il s’agissait d’une tentative d’« attaque » très particulière, puisque personne n’a été blessé et que l’attaque a été de très courte durée.
Un Israélien d’origine, très sceptique à l’égard de son gouvernement, a déclaré sur Twitter au lendemain de l’assaut:
« Je ne pense pas que quelqu’un ait été blessé en Israël.
Je pense en fait que c’était une grande propagande médiatique… pour instiller la peur dans le public.
Je ne dis pas que cette attaque n’a pas eu lieu, mais la nuit dernière, tout les pays du Moyen-Orient, y compris Israël, la Jordanie, l’Égypte, la Syrie, le Liban et l’Irak, ont fermé leur espace aérien.
Et devinez quoi?Ce matin, ils l’ont tous rouvert.
…Si Israël n’avait pas su qu’il n’y aurait plus d’attaques, il n’aurait jamais rouvert son espace aérien.
Je ne sais pas pour vous, mais tout ça m’a l’air d’un grand spectacle, d’un cirque, d’un monde de clowns« .
Ce qui cadre avec le scénario de cette opération psychologique mise en scène: depuis le début, elle a été méticuleusement planifiée et organisée pour fournir une « justification » aux classes dirigeantes pour leur projet de toujours, mais pour lequel il leur manquait encore l’aval du public.
Les attentats du 7 octobre ont été mis en scène par le Hamas, financé par Israël, offrant à ce dernier un prétexte pour riposter et attaquer la Palestine (ce qu’Israël voulait faire de toute façon, mais n’aurait benéficié pour ce faire, sans événement préliminaire pour le disculper à l’avance, d’aucun soutien de l’opinion publique).
Idem pour la mise en scène de cette dernière « attaque » iranienne. Israël veut attaquer l’Iran et a maintenant l’excuse et le soutien pour passer à l’acte.
Et lorsque je dis qu’une attaque est « mise en scène », je ne veux pas dire qu’elle n’a pas réellement eu lieu, ou que personne n’a été blessé – des gens sont réellement blessés sur les plateaux de cinéma (voir le récent scandale Alec Baldwin, où ce dernier a « accidentellement » tiré et tué la directrice de la photographie Halyna Hutchins sur le plateau de tournage d’un film).
Ce que je veux dire, c’est que, comme dans un film, tout cela est scénarisé et pré-produit bien à l’avance. Par conséquent, Israël savait que l’attaque iranienne allait se produire et l’a autorisée, mais a déjà rouvert son espace aérien sachant qu’il n’y aura plus d’attaques surprises, car rien dans ce conflit n’est une surprise – tout a été planifié.
On « prédit » depuis des décennies une immense guerre mondiale finale, opposant l’Est à l’Ouest, et la raison derrière ces prédictions et le fait qu’elles se vérifient, c’est qu’il s’agit en fait d’un scénario, et non de prédictions.
Si les scénaristes de votre série préférée vous expliquent ce qui se passera la saison prochaine, vous ne pensez pas que c’est parce qu’ils ont un extraordinaire pouvoir de prophétie – c’est plutôt qu’ils savent ce qui va se passer parce que ce sont eux qui l’ont écrit. La scène mondiale fonctionne pareillement (raison pour laquelle des émissions télévisées comme Les Simpson sont capables de « prédire » des événements majeurs à venir – le créateur des Simpson est un architecte social de haut niveau qui a vu les plans et connaît les schémas).
Maintenant que l’Iran a attaqué Israël, le décor est planté pour la grandiose et explosive épopée de la Troisième Guerre mondiale, car si Israël riposte – ce qui, bien sûr, arrivera – les dirigeants iraniens ont déjà promis de frapper plus fort, en avertissant les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne de cesser de soutenir Israël [NdT. c’est donc chose faite].
L’agence de presse officielle iranienne IRNA rapporte les propos du général de brigade Abolfazl Shekarchi:
Nous rappelons aux chefs d’État des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne qu’ils doivent cesser de soutenir le régime terroriste israélien déclinant et assassin d’enfants. La République islamique d’Iran a prouvé qu’elle n’était pas belliciste et qu’elle ne cherchait pas à étendre la guerre. Si le régime se livre à des actes d’agression plus graves, la réponse se fera plus forte .
Pendant ce temps, Joe Biden, aux États-Unis, a réaffirmé le soutien « indéfectible » des États-Unis à Israël, alors que des avions américains auraient abattu des drones iraniens dans le nord de la Syrie. La réponse du Royaume-Uni est tout aussi ferme, le Premier ministre Rishi Sunak déclarant qu’Israël bénéficie du soutien total du Royaume-Uni.
Si Biden et Sunak se sont contentés d’évoquer l’idée de retenue et de désescalade de part et d’autre, il ne fait aucun doute que leur réaction sera la même si (quand) l’Iran attaque(ra) à nouveau.
À ce moment-là, les lignes de combat seront bel et bien tracées, l’Occident – Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres pays européens – s’attaquant à l’Orient: l’Iran, la Syrie, la Russie et la Chine.
Il n’y a absolument aucun doute dans mon esprit quant à savoir qui gagnerait dans un tel conflit et, en fait, qui est programmé pour gagner.
Nous sommes à la fin d’un cycle sociologique ici en Occident, les tendances libérales et progressistes apparues au lendemain de la Seconde Guerre mondiale ayant atteint leur apogée – et assez rapidement, leur apogée de folie – et n’ayant plus d’autre option que de s’effondrer.
L’Occident est devenu beaucoup trop incohérent sur le plan idéologique pour représenter un défi durable face aux régimes beaucoup plus ordonnés et disciplinés de l’Est, sans parler de la capacité militaire supérieure de ceux-ci. Les forces armées britanniques, par exemple, sont actuellement confrontées à une « crise« , les derniers chiffres du Ministère de la Défense montrant que l’année dernière, il y a eu un déficit de 5 800 personnes entre celles qui ont quitté les forces armées et celles qui les ont rejointes, et que l’armée britannique épuiserait ses capacités après seulement deux mois de guerre.
L’armée iranienne, en revanche, est considérée comme l’une des plus puissantes d’Asie occidentale, avec environ 580 000 militaires en service actif et 200 000 réservistes entraînés.
La situation présente également un autre aspect, souvent négligé mais très important. Aussi inquiétante et décourageante que soit la puissance militaire de pays comme l’Iran, au moins est-elle limitée à l’Iran pour le moment, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de hordes de troupes iraniennes stationnées dans notre pays, attendant des ordres.
… n’est-ce pas?
Il y a actuellement des dizaines de milliers d’hommes célibataires en âge de servir dans l’armée, originaires de l’étranger, stratégiquement placés le pays, y compris dans des bases militaires, et l’un des principaux pays d’origine de ces hommes est l’Iran. Parmi les autres pays fortement représentés figurent la Syrie, un allié iranien, et son voisin immédiat, l’Afghanistan.
Les hommes composant cette cohorte sont appelés « demandeurs d’asile » en dépit du fait qu’ils ne correspondent en rien à ce terme. Traditionnellement, et pour des raisons évidentes, ce sont les jeunes hommes forts qui restent dans les pays en proie à des conflits, et ce sont les plus vulnérables et ceux qui sont incapables se battre – les femmes, les enfants et les personnes âgées – qui demandent l’asile dans des pays sûrs.
Un pays déchiré par la guerre qui renvoie des hordes d’hommes en âge de se battre n’aurait pas beaucoup de chances de gagner la guerre, après tout, n’est-ce pas? À moins qu’il ne les envoie envahir un autre pays où la guerre est sur le point de s’étendre.
Franchement, il faudrait être complètement idiot (ou lecteur de la presse traditionnelle, mais je me répète) pour croire que ces hommes sont en fait des « demandeurs d’asile », pour les raisons exposées ci-dessus, et aussi à voir de la manière dont le gouvernement les traite – en les logeant dans le luxe, sans ménager ses dépenses, et en passant outre les objectifs rationnels des conseils locaux, qui ont proposé au gouvernement des solutions beaucoup plus adaptées et économiques à de véritables demandeurs d’asile. Rejetant totalement ces propositions, le gouvernement a choisi d’écarter ces conseils (en les traînant parfois pour cela devant les tribunaux) et d’augmenter considérablement le montant (déjà exorbitant) de ses dépenses.
Comment interpréter cela? Le gouvernement britannique ignore et opprime systématiquement et impitoyablement les plus vulnérables de ses citoyens, y compris des enfants, les laissant vivre dans une pauvreté désespérée et dans des environnements mortellement dangereux, mais nous sommes censés croire qu’il se soucie tellement de ressortissants étrangers lambda qu’il dépense des millions de livres par jour pour les loger dans le luxe, simplement par bonté d’âme?
Il n’y a qu’une seule chose pour laquelle le gouvernement britannique, ou tout autre gouvernement, dispose d’un budget aussi somptueux et apparemment illimité: la guerre.
Dans ma ville, Huddersfield, les habitants et les conseillers municipaux ont été stupéfaits de voir, en août dernier, des étudiants censés être bientôt hébergés dans un grand complexe de luxe à Chapel Hill apprendre, quelques jours avant leur emménagement, qu’ils ne pourraient finalement pas y emménager, car le Ministère de l’Intérieur avait réquisitionné ces logements pour des « demandeurs d’asile ».
Notez qu’il ne s’agit pas de résidences universitaires ordinaires. Il s’agit d’un complexe flambant neuf, d’une grande opulence, avec sa propre salle de sport et son propre cinéma, capable d’accueillir un nombre stupéfiant de 670 pensionnaires. À partir du mois prochain, selon le journal local, il sera entièrement habité par des hommes célibataires « demandeurs d’asile ».
Huddersfield n’est pas immense – ce n’est même pas une ville – et pour mettre en contexte le nombre d’hommes qu’il accueillera, j’ai filmé l’énorme monolithe dans lequel ils emménageront, voir ci-dessous:
Dans quelques semaines, cette structure gargantuesque sera remplie d’hommes célibataires en âge de servir dans l’armée, dont beaucoup viendront d’Iran et de pays qui soutiennent l’Iran, au moment même où le Royaume-Uni est sur le point d’entrer en guerre avec l’Iran et où sa propre armée est exceptionnellement faible.
Imaginez un instant qu’en 1939, le gouvernement britannique ait fait venir d’Allemagne des dizaines de milliers de jeunes hommes en bonne santé, les ait logés dans des bases militaires et d’autres installations dotées des ressources nécessaires pour leur permettre de rester physiquement aptes au combat (notez que ces hommes sont régulièrement installés dans des résidences dotées de salles de sport), puis ait dit à la population qu’il ne s’agissait pas de soldats envoyés par Hitler pour conquérir le Royaume-Uni, mais de pauvres et vulnérables « demandeurs d’asile » et que toute objection à leur présence n’était rien d’autre que du racisme brutal fondé sur des préjugés…
Il y a très peu de différence entre ce scénario imaginaire et ce qui se passe concrètement aujourd’hui, sauf qu’aujourd’hui, les contrôleurs sociaux et les médias grand public sont capables d’asséner des accusations de racisme et de xénophobie de manière beaucoup plus agressive et efficace qu’ils n’auraient pu le faire en 1939. Aujourd’hui, nos concitoyens – les soi-disant « bonnes gens » – sont bien trop terrifiés pour souligner l’évidence (que des hommes célibataires en âge de se battre, stationnés dans des bases militaires au bord d’une guerre mondiale, sont probablement des soldats), de peur d’être accusés d’-isme et de -phobie.
Ils se contentent donc d’accepter tout ça docilement, allant même jusqu’à organiser des manifestations ostentatoires pour accueillir ces envahisseurs au sein de leurs communautés. Imaginez que ça se soit produit en 1939. Ça n’aurait bien sûr pas été possible; nous sommes aujourd’hui donc bien plus faibles et bien plus mûrs pour une invasion que nous ne l’étions à l’époque.
On pourrait se demander pourquoi le gouvernement britannique autoriserait et coordonnerait tout ça, l’hébergement étendu et coûteux de ces hommes iraniens en âge de se battre, alors qu’il est ostensiblement un ennemi de l’Iran. La raison en est que tout ça – la notion de « camps » clairement définis dans le cadre d’un conflit mondial – n’est qu’une façade: en réalité, le concept de souveraineté nationale et de pays maîtres de leur propre destin n’est qu’un vernis. Au plus haut niveau, les pays sont tous contrôlés par les mêmes personnes, avec les mêmes allégeances et les mêmes objectifs. Ces personnes souhaitent depuis longtemps un troisième conflit mondial et la décimation de l’Occident, et c’est ce qu’elles sont en train de préparer.
Par « décimation », je ne suggère pas nécessairement un nombre considérable de victimes civiles – si, après tout, ils prévoyaient de nous anéantir tous au cours d’une guerre, pourquoi se donner la peine de dépenser une telle quantité d’argent pour des vaccins destinés à la stérilisation et à la dépopulation?
Le problème que posent les armes à feu et les bombes conventionnelles en tant qu’outil de dépopulation est qu’elles sont trop destructrices pour l’infrastructure des pays, que les classes dirigeantes doivent ensuite reconstruire à grands frais, de sorte que pour le contrôle de la population, la guerre biologique est de loin leur méthode préférée, tandis que la guerre conventionnelle sert davantage à invoquer la peur et à imposer par la force le respect du nouveau régime.
Je ne pense donc pas qu’il faille s’inquiéter d’être bombardés à mort dans un avenir proche, mais il faut prêter attention aux raisons idéologiques de ce conflit et à ce que les architectes sociaux veulent introduire par la suite.
Nous avons discuté à de nombreuses reprises sur ce site de l’inévitabilité d’un retour de mouvement vers un régime plus conservateur, après des décennies d’un libéralisme qui est allé beaucoup trop loin: l’heure du conte des drag-queens, des enfants qui s’identifient à des chats (et ainsi de suite).
Eh bien, l’Orient profondément religieux et orthodoxe est bien loin de tout ça, et nous, en Occident, sommes préparés par la montée croissante de voix conservatrices telles que Tucker Carlson, Candace Owens, Jordan Peterson et autres, à ce que la dégénérescence de la culture occidentale prenne un virage dramatique (et inévitablement violent) dans la direction opposée.
Il y a une raison pour laquelle The Handmaid’s Tale constitue un sujet de discussion si important ces dernières années: c’est parce que ce qui est dépeint dans cette série, le soulèvement violent d’une faction conservatrice extrémiste renversant l’Occident libéral et libertin, est exactement ce qui est censé se produire.
Non pas par le biais d’une version tordue du christianisme, mais par l’intermédiaire de l’islam.
Comme je l’ai fait remarquer à plusieurs reprises, ce n’est pas une coïncidence si l’un des hommes les plus célèbres et les plus influents du monde occidental, aimé des jeunes et en particulier des adolescents, est un musulman fondamentaliste.
Andrew Tate est célèbre pour s’être « converti » à l’islam, non pas celui, modéré et occidentalisé, qui nous semble acceptable, mais le plus extrémiste. Il a non seulement déclaré que « les vrais musulmans, c’est ISIS« , mais il possède également ce qu’il décrit comme un « harem de femmes » qui lui ont donné « au moins dix » enfants (en fait, dans une récente diatribe particulièrement virulente, il a déclaré que la race blanche allait s’éteindre parce que « vous, les garçons blancs, avez perdu le contrôle de vos femmes et maintenant elles n’acceptent plus que vous ayez plusieurs épouses…30 enfants minimum« ).
Tate ne cesse de vanter à ses millions de fidèles les bienfaits de l’Islam et l’interprétation extrémiste qu’il en fait. Ainsi, si un choc culturel devait avoir lieu et que l’Iran islamique et ses alliés triomphaient de l’Occident, Tate qualifierait forcément de positif un tel événement, qui rendrait à un Royaume-Uni dégénéré et en déliquescence de vraies valeurs et un sens moral, etc. Parmi ses légions de disciples, nombreux seraient ceux qui le croiraient, comme c’est d’ailleurs clairement déjà le cas, vu la popularité de sa marque.
La perspective d’une telle révolution au Royaume-Uni pourrait sembler farfelue et impossible, mais c’est aussi ce que pensaient de nombreux citoyens iraniens, pas plus tard que dans les années 1970, lorsque s’est produite une révolution religieuse extrémiste qui a plongé le pays, autrefois relativement libéral et progressiste, dans le sinistre état d’oppression dans lequel il se trouve encore aujourd’hui.
Les femmes iraniennes, par exemple, qui dans les années 1970 pouvaient librement travailler, étudier et s’habiller comme elles le souhaitaient, vivent depuis la révolution dans une dystopie à la Handmaid’s Tale, où elles sont non seulement obligées de se voiler, mais aussi de voyager à l’arrière des bus, d’obtenir la permission de leur mari pour se rendre à l’étranger et se voient interdire toute une série d’activités quotidiennes, comme assister à des rencontres sportives, chanter et danser en public, et même rouler à bicyclette.
En outre, l’une des premières mesures prises par le chef de la révolution, l’ayatollah Khomeini, lorsqu’il a pris le pouvoir en 1979, a été de revenir sur les droits des femmes en matière de mariage, de garde d’enfants et de divorce. Il a notamment abaissé l’âge légal du mariage pour les femmes de 18 à 9 ans, et des jeunes filles de cet âge peuvent encore aujourd’hui être mariées en Iran.
Toute personne tentée de se réjouir des attaques de l’Iran contre Israël et de se déclarer « solidaire de l’Iran » lorsque ce conflit s’aggravera inévitablement, devrait donc peut-être reconsidérer sa position…
Il convient également de noter que la révolution iranienne impliquait notamment le renversement de la monarchie et, comme nous l’avons déjà évoqué ici, il semblerait que notre propre monarchie soit sur le point d’être démantelée.
Une invasion hostile soutenue par l’Iran, la Russie et la Chine (des pays qui se sont débarrassés de leurs propres monarchies) pourrait-elle être le coup décisif qui mettrait fin à notre monarchie pour de bon?
Les forces révolutionnaires qui prônent l’idéal d’un « gouvernement mondial » ont toujours été opposées aux monarchies pour la simple raison que, en tant qu’obstacle évident aux objectifs d’un gouvernement mondial tout-puissant, elles sont à terme vouées au couperet, tout comme la religion qui constitue un autre obstacle global dont les seigneurs suprêmes s’efforcent avec diligence de se débarrasser.
« Mais minute », pourriez-vous raisonnablement objecter. « Vous ne venez pas de suggérer que nous allions subir une révolution islamique et être plongés dans l’archi-religiosité? »
Si, mais je crois qu’il ne s’agit que d’une étape stratégique, et relativement courte, d’un « tremplin ».
Les classes dirigeantes veulent se débarrasser des religions – parce que, comme les monarchies, elles sont un obstacle aux gouvernements tout-puissants – et les ingénieurs sociaux ont réussi à saper et à neutraliser le christianisme, en particulier dans les pays occidentaux, le Royaume-Uni n’étant officiellement plus un pays chrétien.
Jusqu’à présent, ils n’ont pas réussi leur coup avec l’islam. Alors comment pourraient-ils y parvenir? En imposant aux gens une interprétation ultra-extrémiste de la religion, comme la République de Gilead le fait avec le christianisme dans The Handmaid’s Tale, les poussant inévitablement à la rébellion et à réclamer à cor et à cri qu’une autorité laïque prenne le relais?
Nous savons que l’objectif ultime de la dystopie « globale » est l’absence de pays, de possessions et de religions (voir le projet « Imagine » de John Lennon), mais pour l’instant, l’islam est une force mondiale trop puissante, de sorte que seul une opération mondiale de grande envergure pourrait l’affaiblir définitivement et retourner les gens contre celui-ci, une bonne fois pour toutes.
C’est déjà le cas en Iran, où l’« écrasante majorité » de la population rejette la dure théocratie de la république et souhaite un gouvernement laïque.
Je pense que ça a toujours été la finalité de la révolution de 1979: un schéma classique problème-réaction-solution pour amener le public à réclamer ce que les classes dirigeantes veulent obtenir au final – et je pense que ces classes dirigeantes ont très probablement l’intention d’utiliser les mêmes stratégies en Occident.
La raison pour laquelle Andrew Tate, la tête d’affiche de l’islamisme extrémiste en Occident, est à ce point ridicule et démesuré dans son prosélytisme, c’est de présenter au public une caricature ridiculement exagérée contre laquelle ce dernier finira par se retourner. Tout comme dans The Handmaid’s Tale où les « chrétiens » pratiquent une interprétation absurde, déformée et extrémiste de la religion qui pousse les gens à rejeter le christianisme dans son intégralité et à exiger la laïcité, Andrew Tate et d’autres « extrémistes islamiques » sont tous conçus pour ce même objectif.
Les factions extrémistes islamiques comme le Hamas et ISIS prennent toutes invariablement leurs racines dans les agences de renseignement occidentales, principalement le Mossad, le MI6 et la CIA. Elles ne sont que des auxiliaires de la classe dirigeante, chargées de susciter certaines réactions dans la population, comme par exemple le Hamas a été utilisé pour obtenir le soutien de l’opinion publique à une attaque israélienne contre la Palestine ou ISIS est utilisé pour justifier ailleurs une nouvelle agression militaire; l’effet global de tous ces groupes de « terrorisme islamique » est de monter de plus en plus de gens contre l’Islam, objectif ultime de la classe dirigeante – comme c’est le cas pour toutes les autres religions.
Mais pour en arriver là, je pense qu’il faudra passer par quelque chose de plus immersif et dramatique que quelques « attaques terroristes » isolées, ce qui semble être la prochaine étape.
Notez que la fausse pandémie a préparé le terrain à bien des égards, en habituant la population britannique à, notamment, la fermeture des pubs.
L’alcool est haram (interdit) dans l’Islam, et le secteur britannique des pubs s’effondre en conséquence directe (et prévisible) des mesures sévères déployées dans le cadre de la « pandémie ». C’est de la démolition contrôlée, qui ouvre la voie à un Royaume-Uni sans alcool, à l’instar des pays islamiques.
Le Covid a également permis de conditionner de nombreuses personnes à accepter de l’État des directives extraordinairement draconiennes sur les moindres détails de leur vie, comme c’est le cas dans les théocraties austères telles que l’Iran. Si le fait que le gouvernement interdise aux femmes de faire du vélo, comme le fait le gouvernement iranien, peut sembler un acte insensé et ultra-autoritaire, n’oubliez pas que notre propre gouvernement nous a interdit de prendre un café dans les parcs avec un ami; on a donc déjà procédé à un test bêta visant à déterminer si la population britannique accepterait des niveaux de tyrannie et d’oppression similaires à ceux imposés par les régimes ultra-religieux, et la réponse, en général, semble être « oui ». La plupart des gens ont accepté les mesures Covid.
De même, de nombreux citoyens britanniques ostensiblement libéraux qui se disent scandalisés par le fait que les femmes des pays islamiques soient obligées de se couvrir le visage pour sortir de chez elles n’ont été que trop prompts à se conformer lorsque leur propre gouvernement a exigé d’eux la même chose.
Ce que je dépeins comme un scénario futur possible n’est donc pas tellement tiré par les cheveux, ni invraisemblable, ni sans précédent historique. Des révolutions spectaculaires et des changements de régime, impliquant souvent une guerre et une religion, se produisent, et toutes les caractéristiques de l’époque actuelle suggèrent que nous sommes sur le point d’en connaître une. Je ne fais pas ces prédictions pour alarmer qui que ce soit, mais plutôt pour prévenir, car être prévenu, c’est être préparé et augmenter ses chances de relever les défis qui se présenteront.
Cela dit, je ne pense pas que je me risquerai de sitôt à d’autres excursions d’un jour, car je n’ose pas imaginer ce qui m’attendrait au retour la prochaine fois…
Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.
Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.
Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.
Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.
Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.
Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.
Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.
Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:
Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents
La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.
Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.
Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.
Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.
Dans son introduction, il affirme à juste titre:
Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…
Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.
Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.
Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».
L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.
Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.
Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.
et
En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.
Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.
Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.
Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.
Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.
Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.
La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.
Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.
[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.
Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.
Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.
Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.
Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.
L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».
Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.
Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.
Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.
Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.
Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.
Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?
Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.
Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».
L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).
L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.
Si vous pensez que c’estridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.
N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).
Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.
Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.
Leçon apprise.
Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.
Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.
Ralph Baric – 2001.
ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX
Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).
Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.
« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.
Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».
2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.
Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.
En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.
Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.
2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:
À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.
Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…
La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.
Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.
Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.
Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?
Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .
Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire
Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.
Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.
Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.
Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.
Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.
En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.
Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.
Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.
L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.
Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.
Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.
Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus
a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.
b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.
En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.
En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».
On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?
L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.
Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!
Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.
En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.
Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.
Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.
En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.
31 août 2020
Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.
C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.
Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.
Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?
Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).
Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.
Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».
Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.
Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?
Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.
Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.
Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.
Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.
Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).
Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).
Encore une coïncidence.
Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].
Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:
Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.
Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.
Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.
Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:
Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.
Il cite ensuite Steven Quay.
En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».
Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.
Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.
« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.
Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin «
Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.
Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.
Il décrit ensuite le refus de la DARPA.
La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.
La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.
Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.
Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.
Il pointe ensuite du doigt la Chine.
Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.
Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.
Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.
Mais il en donne la raison.
RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.
C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.
Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.
Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!
Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.
Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.
On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.
Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.
En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.
À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.
Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.
En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.
… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.
Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]
Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.
La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »
« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »
Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:
« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »
Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.
« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».
La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.
L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.
Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.
La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »
Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.
Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?
À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.
Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.
En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».
Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.
Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.
Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.
L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.
Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).
L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.
Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.
Made in USA, donc, mais un accident.
Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.
Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.
Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.
Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.
Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).
Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).
RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.
Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.
…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.
Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.
« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »
Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.
Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.
Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.
Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.
Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.
Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.
Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.
RALPH BARIC
RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.
Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.
Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.
Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.
C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.
Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.
Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.
Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).
Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.
Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:
En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.
Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,
Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».
Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.
Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:
Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:
1) hautement pathogènes, -[NON]
2) facilement disponibles, -[OUI]
3) faciles à produire, -[OUI]
4) pouvant être militarisés, -[OUI]
5) stables, -[OUI]
[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]
6) infectieux à faible dose,
7) facilement transmissible,
[et]
8) inspirant la peur – [OUI]
Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.
Article de 2018 de Baric:
« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »
Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois
Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.
Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.
Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.
Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.
Selon Jim Haslam, cette
… séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.
Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.
On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].
Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).
L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.
Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).
LE RÉSEAU CREID
En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.
CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]
DEFUSE
En août 2020
Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).
Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.
Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.
Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.
Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »
Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.
Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.
Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.
Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.
En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.
« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. «
Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».
DEFUSE
Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .
L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.
L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.
L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.
Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.
Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».
[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.
Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?
Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.
En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.
Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.
Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.
Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.
Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.
Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.
Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.
Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.
En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.
Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.
Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.
Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.
Méthode 1
Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].
Méthode 2
Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].
Cet article a été partiellement financé par le NIAID.
Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).
Ensuite…
En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.
Aucune preuve apportée.
En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.
En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».
Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt
Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!
Ensuite…
Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.
Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.
La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.
Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.
Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.
Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.
Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».
Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.
Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.
Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.
L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.
Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.
Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.
Conclusion
Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.
Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.
Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.
Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.
En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.
Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.
La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.
Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.
Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.
Moyens, opportunités, motivations.
Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.
La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.
Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.
L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.
2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.
2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.
2017 – Exercice de table SPARS.
2017- Création du CEPI de Gates.
2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).
2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.
2018 – Simulation CLADE X.
2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.
2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.
Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).
Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.
2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.
Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.
Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.
Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.
Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.
Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».
Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.
Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.
2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.
Oct 2019 – Événement 201.
Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.
Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.
Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).
Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).
Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.
Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.
Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.
Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.
Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».
Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)
Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.
Confinements annoncé le 15 mars
La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.
Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.
Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed
Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.
L’année de la redevabilité est terminée. Ô surprise, pas de Nuremberg 2.0, juste quelques plaintes comme celle-ci – le Procureur Général du Texas contre Pfizer. En Europe, quelques rats politiques quittent le navire vaccinal en perdition, maintenant que le mal est fait et qu’ils sont autorisés à jouer officiellement les preux chevaliers avec trois ans de retard. Parfaitement minable.
Voyons ce qu’on nous promet pour l’année qui vient: chaos, guerre civile, guerre mondiale, extrême-droite, et autres signes que le foutage de gueule continue. Encore du minable…
Je vois se former deux tendances, pas strictement alignées sur les divisions qu’on nous vend – gauche/droite, noirs/blancs, Russie/Ukraine – actualisée en Israël/Palestine – et bien entendu injectés/non-injectés.
D’un côté les éternels enfants gâtés qui comptent sur d’autres pour faire le boulot – au choix selon leur « camp », l’État, Pfizer, les politiciens, Donald Trump, Jésus Christ, etc. – et traversent la vie sans rien vouloir savoir ni savoir qu’ils ne savent pas. Inutiles à eux-mêmes et aux autres, personne n’en veut – ni vous, ni moi, encore moins leurs maîtres, qui ne savent plus quoi en faire.
D’autre part, ceux qui (re)prennent leur vie en main, même si ce n’est ni facile ni un cadeau – beaucoup de travail pour peu de récompense – mais réalisent que la seule liberté ne se gagne pas à coups de manifs à la con mais par l’autonomie et la responsabilité individuelle.
En voici la version latine sous forme de proverbes pour assiettes – idée piquée à Chaval:
Labor ipse voluptas: le travail est sa propre récompense.
Flecti non frangi: on nous a pliés mais on ne nous a pas cassés.
… et bonne santé!
J’ai:
une crise aigüe de goutte (moi qui ne boit jamais),
une allodynie, ou un zona, on ne sait toujours pas (médecins incompétents),
des apnées du sommeil (86 par heure, dont une mesurée à deux minutes),
… mais pas le Covid!
Ces légères indispositions heureusement sans gravité expliquent le léger retard de ce billet.
Je prends donc de la colchicine, de la vitamine B et je me déguise en éléphant toutes les nuits, sur conseil de mon cardiologue, ce qui me prolongera la vie de plusieurs années, merci Docteur – et implique que le monde devra encore supporter ce vieillard acariâtre, en plus de tout le reste.
Et comment vont les autres?
Covid-19
Je coiffe ma casquette marquée Service Public pour une annonce d’intérêt général.
Si vous souffrez des symptômes suivants:
toux sèche persistante,
courbatures,
fièvre modérée,
douleur dorsale extrême localisée au niveau du pancréas/estomac, c’est-à-dire au milieu de la colonne vertébrale,
très forte diarrhée, système digestif HS,
… c’est probablement le Covid – peut-être le petit dernier, le JN.1. Vous savez quoi faire.
Je range ma casquette, passons à la suite des événements.
En 2020, n’en déplaise aux négationnistes du SARS-CoV-2, le Covid a fait quelque dégât chez les immunodéprimés et certains malchanceux – assez peu – dont certains ont chopé un Covid long. Avance rapide jusque 2024: le système immunitaire des injectés a été maintenant suffisamment « reprogrammé », c’est-à-dire agressé, pollué et déraillé pour qu’on se retrouve dans la situation de 2020 en mille fois pire, où les injectés sont les nouveaux immunodéprimés. C’est-à-dire que la vraie pandémie de Covid pourrait éventuellement commencer et faire des ravages. Lesquels?
Vous avez tous lu ce que j’ai publié sur les « effets secondaires » de cette merveille technologique – environ le tiers des articles de ce blog, qui en compte bientôt cinq cents – notamment la prolifération des IgG4. Mais il y a du nouveau.
Ce papier émet l’hypothèse que l’épidémie de pneumonie (bactérienne) aux « poumons blancs » (si c’est bien la traduction officielle) qui sévit en Chine, et maintenant en Europe et aux US, est en fait une infection secondaire due au Covid. L’article fait une bonne collection et analyse de données mais rien d’autre, le sujet des dégâts vaccinaux étant totalement glissé sous le tapis.
Autre analyse ici, un peu plus détaillée, de la corrélation Covid/pneumonie par mon très patient et persistant compatriote, le Dr Vanden Bossche. Même si j’ai un doute, je reparle de Geert parce qu’il prévoit qu’on va passer maintenant au variant de l’apocalypse qu’il annonce depuis trois ans, qui sera un cousin de JN.1 – il explique tout ça ici et ici. Ça mériterait d’être traduit (j’y pense), dans la mesure où même si le quart de la moitié de son pronostic se réalise, ça risque d’être épique. La bonne nouvelle, c’est que les non-injectés ne risquent quasiment plus rien du Covid. La moins bonne nouvelle c’est que les injectés tomberaient bientôt comme des mouches – question de jours ou de semaines. Comme ils sont plus de cinq milliards, ça pourrait influencer négativement le cours des choses cette année – un peu plus vite que le scénario de Toby…
D’ailleurs, on sent bien un léger malaise là-haut depuis quelque temps. Ils se mettent à carrément camoufler des « morts soudaines » en accidents de voiture (sorry, j’ai perdu le lien), donc l’inverse de ce qu’ils faisaient en 2020 avec le Covid. Si ÇA c’est pas minable…
Steve Connoly a recensé la progression du nombre de « morts soudaines » (cardiaques?) dans les avis mortuaires américains – très parlant, je traduirai.
Cette étude de septembre dernier donne la proportion des injectés avec séquelles cardiaques: quasiment tous. Il va donc falloir publier des études bidon pour détourner le truc. En voici une.
Épidémie de crises cardiaques
Pour ce titre, je pique à Jeff Childers un extrait de son billet du 28 décembre:
Hier, je suis tombé sur une nouvelle étude iScience prépubliée signalant une nouvelle pandémie potentielle, intitulée « Predicted risk of heart failure pandemic due to persistent SARS-CoV-2 infection using a three-dimensional cardiac model« (Risque prédit de pandémie d’insuffisance cardiaque due à une infection persistante par le SARS-CoV-2 à l’aide d’un modèle cardiaque tridimensionnel). Cette étude présente des données scientifiques covidiennes farfelues, comme je l’expliquerai dans un instant, mais il convient de noter sa prédiction désastreuse: une pandémie d’insuffisance cardiaque à venir. Ouaip.
Les chercheurs partent de la théorie covidienne d’une l’infection persistante par le covid – un type d’infection crypto-covidienne des plus furtifs, qui est non seulement asymptomatique, mais dont les tests sont également négatifs, même en utilisant la PCR – qui a été critiquée pour sa trop grande sensibilité. En fait, le covid persistant est totalement invisible aux tests. Jusqu’à présent.
C’est donc une sorte de croyance religieuse.
Les chercheurs ont notamment prédit une pandémie d’insuffisance cardiaque qui, selon eux, sera attestée par la présence de la protéine de pointe dans les tissus cardiaques. Même s’ils admettent qu’il n’y a pas de preuve concluante d’une infection persistante par le covid jusqu’à présent, ils estiment que la sonnette d’alarme devrait déjà être tirée en ce qui concerne les crises cardiaques:
L’augmentation explosive du nombre de patients infectés par le virus en raison de la pandémie de COVID-19 pourrait avoir entraîné une augmentation considérable du nombre de patients présentant un risque potentiel d’insuffisance cardiaque. Dans les pratiques cliniques, ces patients à haut risque devraient être identifiés en détectant le virus lui-même ou le génome viral dans le tissu de la biopsie endocardique ou en surveillant les niveaux de troponine dans le sang. Ce rapport peut servir d’avertissement quant à la possibilité d’une pandémie d’insuffisance cardiaque dans l’ère post-Covid-19.
L’étude ne montre pas, et n’avait pas pour but de montrer, une infection persistante par le covid. Les chercheurs ont infecté des cellules cardiaques avec le covid dans une boîte de Pétri et ont observé ce qui se passait. Comme il n’y a pas de système immunitaire dans une boîte de Pétri, l’étude n’a pas pu montrer la persistance du virus dans l’organisme. Mais elle a montré ce qui se passe dans les cellules cardiaques lorsque la protéine de pointe y pénètre par le biais d’une infection virale ou d’une transfection de l’ARNm. C’est-à-dire: rien de bon.
J’ai trouvé que l’illustration de l’auteur (ci-dessus) indiquait en quelque sorte le fond de sa pensée. Le panneau supérieur à l’extrême gauche montre l’augmentation de la protéine de pointe sans virus. Il n’y a qu’une chose qui génère de la protéine de pointe sans virus: les injections.
S’ils peuvent en trouver la preuve quelque part, le « covid persistant » – qui sonne beaucoup plus scientifique que le « covid long » – servirait assurément de bonne couverture pour les dommages causés par les injections.
Opposition contrôlée
Cette année, les américains vont voter. Ils auront le choix entre la vieille harpie « Donald » Trump (voir ici et ici) et l’acteur Arthur Roberts – sous un masque en silicone à la Mission Impossible, vous pouvez vérifier – dans le rôle de « Joe Biden », qui est probablement mort. Le commanditaire du « clot shot » et son représentant de commerce pour sauver le pays, voilà le casting pour le rôle de leader du monde libre, auquel on peut ajouter le héros des anti-vax, Robert Kennedy Jr, en qui j’avais, naïveté touchante, une relative confiance jusqu’à ce qu’il publie son bouquin de « limited hangout », dont je publie incessamment (traduction terminée) la revue par Pete Lincoln.
Il est assez distrayant de suivre les gesticulations verbales de chaque « camp » – l’hystérie anti-Trump atteint des sommets d’imbécilité – articulées autour du sauvetage de la « démocratie » américaine, maintenant que le navire États-Unis fait lui aussi eau de toute part. Minablissime.
Apparemment, ça ne va pas tellement mieux en Chine, puisque son leader maximo Xi Jinping serait venu en novembre dernier faire la manche – t’as pas 900 milliards? – auprès d’Arthur, dont les marionnettistes ont déjà bien du mal à faire suivre la planche à billets. Une comédie minable, dont on connaît déjà la fin – les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell.
Du côté des héros de la « résistance » – le Mouvement pour la Liberté Médicale – trois tendances.
La plus délirante est de nier purement et simplement le fait qu’il y ait eu pandémie en 2020, voire l’existence du Sars-CoV-2, représentée entre autres par les statisticiens à la Denis Rancourt, qui ne voient pas de pics dans leurs petites feuilles statistiques, donc il ne s’est rien passé.
D’autre part la tendance Robert Malone, conseiller de RFK Jr, dont l’idée qu’il y a quelque chose à sauver dans les nouvelles technologies médicales, moyennant quelques menues améliorations.
Et la vieille garde incarnée par Peter McCullough, qui s’est maintenant considérablement assagi et parle d’erreurs, de pardon et d’amnisitie. Quelqu’un a passé un coup de téléphone, Peter?
La triste réalité, c’est que le bidouillage génétique des injections a entrouvert les portes de l’Enfer et que ce ne sont pas ces minables qui les refermeront. C’est votre travail.
La fin du pétrole?
Le pétrole est notre ami. Son utilisation nous a affranchi de beaucoup de tâches ingrates, et a permis une croissance démographique gigantesque, qui fait qu’on aurait du mal à s’en passer. Un journaliste estime ici le coût en vies humaines de la fin théorique de l’approvisionnement en produits pétroliers: six milliards de morts en une année. A priori, pas une trop bonne idée.
Il faudrait néanmoins se poser la question de son utilisation. Pas pour une question de CO2, évidemment, qui est le prétexte à une vaste opération financière – le Net Zéro et sa taxe carbone – mais pour ses conséquences réelles sur la vie humaine. L’agriculture industrielle et ses poisons. Le plastique et ses additifs pétrochimiques…
Pour la traduction, vous cliquez sur les sous-titres (CC) et ensuite sur Settings > Auto-translate > Français.
Il y a aussi cette édifiante étude (en anglais) qui montre la présence de microplastiques dans les placentas et les nouveaux-nés humains. Eh oui.
Plus le bordel que ça met au niveau géostratégique, pour permettre à certains de rester maîtres du réseau de distribution énergétique. Par exemple, l’opération de mainmise sur la bande de Gaza, également connue sous le nom de conflit Israël/Hamas.
Israël/Hamas
Voici une citation intéressante de Talal Abu Ghazali, homme d’affaires et homme politique jordano-palestinien:
« Il n’y a aucune raison pour laquelle les Juifs sacrifieraient ne serait-ce qu’une seule personne. Ils ont peur de la mort. La mort est étrange et dégoûtante pour eux. Et nous, nous accueillons la mort. Le Palestinien porte son fils sur ses épaules, et sur le bandeau posé sur le front de l’enfant, il est écrit: « Celui qui cherche le martyre ». L’homme dit: « Je veux que mon fils meure. » La mère palestinienne dit: « J’ai donné naissance à six enfants pour que trois d’entre eux meurent pendant la révolution. J’ai donné naissance à des enfants pour qu’ils deviennent des martyrs. » Cela n’existe pas dans la mentalité sioniste ».
12 octobre 2023, NBN TV
Pour confirmation, le créateur (pas entièrement neutre) de la chaîne Youtube Traveling Israëlrappelle ici que 70% des Palestiniens sont d’accord avec le régime du Hamas – attentats inclus.
Vus sous cet angle, considérons la validité de quelques points rapportés dans les médias:
le Hamas est une création d’Israël, en particulier de Netanyahu qui s’en est servi pour couper l’herbe sous le pied de l’OLP, nettement moins fanatique;
donc une manoeuvre pour marginaliser les Palestiniens?
le même Netanyahu a mené la politique la plus proactive d’intégration des arabes dans la société israëlienne, qui représentent 20% de la population;
donc une manoeuvre pour intégrer les Palestiniens?
c’est toujours Netanyahu qui parlait de « déradicaliser » Gaza;
après les avoir radicalisés via le Hamas?
les dirigeants du Hamas sont tous milliardaires;
donc des membres de l’hyperclasse qui défendraient les droits des pauvres?
l’ONU préconise la solution à deux États;
donc une idée injouable promue par le noyau dur du mondialisme, également derrière la fraude climatique, qui entrerait dans le cadre de leur agenda, 2030 ou autre?
la « faille de sécurité » suscite un sérieuxdoute chez certains militaires israëliens, la présence de journalistes d’Associated Press, de CNN, du New York Times et de Reuters sur les lieux ne faisant rien pour dissiper ce doute;
ce qui signifierait que ce conflit est organisé de A à Z comme le suggère son étiquette de « 11 septembre israëlien »?
le peuple Palestinien subit depuis 1945 un génocide de l’autorité israëlienne;
ce qui cadrerait comment avec les chiffres de leur démographie galopante?
Bon, on se fout ouvertement de votre gueule. Pour changer. Ce conflit n’est qu’une vitrine.
La vitrine de l’expropriation des « gens qui ne sont rien » c’est-à-dire inutiles au système – vous savez, ceux qui ne possèderont rien et seront heureux (ou morts).
La vitrine d’une lutte des classes fabriquée et entièrement sous contrôle, dans laquelle les Palestiniens incarnent d’un côté la gentille « gauche » victimaire, au culte de mort islamo-marxiste – notamment celle des enfants, comme pour les vaccinés (voir ici et ici) – et de l’autre côté l’armée israëlienne, la « droite » diabolisée qui a l’audace de fermer ses frontières aux pauvres.
En somme, c’est la vitrine du Grand Reset, dans laquelle la bande de Gaza préfigure les villes de 15 minutes, sous perfusion d’argent tombé du ciel (UNRWA, USA, UE, Qatar, etc.) comme bientôt les MNBC sur les nouveaux improductifs occidentaux.
Ça peut sembler caricatural mais le monde est devenu une pure parodie.
Le discours médiatico-politique sur les « crimes de guerre » et sur ses « conventions » est une farce. Les guerres ne sont pas des opérations humanitaires. Elles sont faites pour être « gagnées », donc redistribuer les cartes, à l’international et au national, aux niveaux géostratégique, économique et/ou social en éliminant au passage les gens devenus inutiles ou gênants – hier la paysannerie, aujourd’hui la main d’oeuvre sous-qualifiée. Pour participer au monde technocratique à venir, il deviendra inévitable de faire de bonnes études. Ceci permettrait notamment aux Palestiniens de travailler pour Pfizer, de recevoir un confortable salaire versé par Albert Bourla, la gratitude de Netanyahu et une garantie d’impunité totale pour un bilan bien supérieur à celui du 7 octobre.
Comme l’indiquent les presque deux millions d’arabes intégrés à la société israëlienne, ce conflit n’a que très peu à voir avec la religion, qui n’en est qu’un des instruments militarisés. En avalisant la sauvagerie – réelle ou fictive – du Hamas, les gazaouis fournissent le contre-argument parfait à la solution à deux États. Le message est qu’il n’y a pas assez de place pour la coexistence de la nouvelle hyperclasse et de gueux mal peignés, ni là, ni ailleurs.
Pour les naïfs qui me penseraient partisan, je rappelle le rôle des Black Ops israëliens dans la démolition contrôlée du WTC et le fait qu’aucune figure politique d’aucun bloc n’ait jamais, de près ou de loin, touché ce sujet, ce qui indique une méthode globale de consolidation du pouvoir à laquelle tout le monde participe d’une manière ou d’une autre, au minimum par la loi du silence. En résumé, une entreprise criminelle, avec des conséquences.
À ce sujet, je publierai un de mes articles en retard, la traduction d’une interview de Nadav Yair, instructeur militaire israëlien, très pragmatique, qui soulève la question du « Jour des Comptes ». Il a raison, je pense que 2024 sera « l’année de la facture » et vous aurez compris qui va la payer. Pour l’opération « vaccins », ceux qui ont fait confiance à leur État. La médecine de la classe moyenne – les cabinets privés des médecins – a été écartée pour laisser tout pouvoir au réseau hospitalier sous contrôle étatique, qui a servi de relais au centre mondial de commande financier, bien à l’abri, aux manettes de Big Pharma comme du pouvoir militaire. Ils échapperont ainsi une fois de plus à toute forme de justice, la seule autorisée étant celle qui s’exerce sur les gueux. Les seuls ennemis auxquels le peuple a accès sont soit des hommes de paille, soit ceux de sa propre classe, avec qui il leur faut composer selon leur degré de tolérance, sous menace de conflit familial, social ou national – la guerre civile annoncée.
Comme les injectés, comme les Palestiniens, le destin de ces idiots utiles est de finir dans le grand charnier des poubelles de l’Histoire, tandis que le monde continue son lent chemin de prétendue « prospérité », entre deux guerres fabriquées ou deux « révolutions » programmées.
Je vous laisse avec un chanteur phare de la gauche caviar, dont l’éducation classique lui a sans doute évité d’être dupe de son petit milieu. À l’instar de son mentor à qui il rend hommage, c’est un homme lucide et généreux. Il glisse ici dans la laborieuse présentation télé qu’il faut donner aux enfants le goût des bonnes chansons. Rien n’est plus vrai. Apprenez-leur celle-ci par coeur, ça leur servira.
Ce billet de Tyler Durden donne la raison pour laquelle j’ai supprimé de ce blog l’article précédent de Scott Ritter. Aussi rigoureuses soient ses analyses militaires, sa vision politique reflète surtout celle de la Fédération de Russie, son nouvel employeur, qui n’est pas forcément dans l’intérêt du bloc d’en face – et énerve considérablement M. Weitman.
Le problème de ce conflit est précisément sa récupération politique, conçue pour diaboliser la vieille droite – le fauteur de guerre – au profit de la gauche – source de paix. Le court historique de Durden servira ici à rappeler de quel genre de paix il s’agit, et quel est son prix.
Les mouvements gauchistes utilisent la question palestinienne comme vecteur de révolution culturelle
par Tyler Durden
Vendredi 1er décembre 2023
Au cours des premières années de la Révolution Culturelle, Mao et les communistes purs et durs furent confrontés au déclin croissant de leur influence sur la société chinoise, car leurs opposants politiques souhaitaient des marchés plus libres et des changements dans la structure du pouvoir du PCC. Afin de rétablir sa domination, Mao exploita la naïveté et l’impulsivité des jeunes en âge d’aller à l’université et recourut à la propagande pour éveiller leurs penchants naturels à la rébellion et évoquer ainsi un cri de ralliement en faveur du renouveau communiste. Après avoir suscité la ferveur idéologique, c’est la peur qui allait devenir l’arme ultime de Mao.
C’est ainsi que débuta la Révolution Culturelle, une guerre contre les valeurs concurrentes et les ennemis politiques de Mao, déguisée en « activisme de la jeunesse ». La foule devint l’armée itinérante de l’establishment, terrorisant la population en ciblant les symboles de ce qu’elle appelait les « Quatre Vieilleries » [NdT. ici]:
Les vieilles cultures, les vieilles idées, les vieilles coutumes et les vieilles habitudes. En d’autres termes, tout ce qui était susceptible de faire obstacle au culte communiste dans l’esprit du public. Aucune idée n’était autorisée en dehors des idées d’extrême gauche.
Les musées furent contestés, saccagés et détruits. Des centres d’apprentissage furent fermés. Des statues, des œuvres d’art et des symboles de l’histoire de la Chine furent démolis. Des propriétaires d’entreprises et de biens immobiliers furent harcelés, battus ou tués. Des séances de lutte [NdT. ici] étaient organisées régulièrement, les foules traînant les accusés devant des tribunaux fantoches et les forçant à confesser le péché de ne pas être assez communistes.
Finalement, le meurtre et le génocide furent rationalisés en tant que tactique pour l’avancement de la révolution. Tant que les activistes tuaient les ennemis potentiels de Mao et maintenaient la population sous contrôle, ils n’étaient pas inquiétés. La Garde Rouge avait pour ordre de ne pas intervenir et de permettre aux activistes de faire ce qu’ils voulaient. Il n’y avait aucun espoir pour les personnes désignées par la foule; personne ne viendrait les sauver. Il fallait faire quotidiennement étalage [NdT. « virtue signal », ici] de sa loyauté envers la menace rouge et Mao, et même dans ce cas, on n’était pas sûr d’être en sécurité.
Si tout cela vous semble familier, c’est parce que ces mêmes tactiques sont utilisées aujourd’hui par l’establishment et la gauche politique en Amérique et en Europe. Nous n’en sommes pas encore au stade des massacres au nom de la « diversité, de l’équité et de l’inclusion », mais avec un peu de temps, c’est probablement ce vers quoi se dirige la civilisation occidentale.
L’hystérie Black Lives Matter est désormais en perte de vitesse [NdT. un des fondateurs de BLM a affirmé son soutien à Donald Trump le mois dernier sur Fox News] le public est de plus en plus lassé par la propagande militante des homosexuels et des transgenres, le battage médiatique entourant le 6 janvier ne parvient pas à dresser le public contre les conservateurs comme l’espéraient les médias, et plus personne ne se soucie de l’alarmisme sur le changement climatique – la gauche politique se retrouve sur une trajectoire de perte de crédibilité à mesure que tous ses sujets d’actualité préférés passent à l’arrière-plan. Elle a besoin d’un nouveau conflit à coopter.
La guerre entre le Hamas et Israël est subitement devenue la préoccupation majeure des gauchistes occidentaux. La plupart d’entre eux n’ont jamais voyagé dans la région, n’ont aucun lien génétique ou culturel avec elle, n’ont reçu aucune éducation historique sur les origines de cette division et beaucoup d’entre eux pensent réellement que la culture musulmane est compatible avec les idéaux progressistes.
C’est manifestement très étrange. Il n’y a pas si longtemps, ces mêmes militants défendaient avec acharnement Israël et des organisations comme l’ADL, accusant ses critiques conservateurs d' »antisémitisme ». Aujourd’hui, ils scandent des slogans tels que « de la rivière à la mer », un mantra appelant à éradiquer Israël.
Pourquoi les gauchistes prennent-ils parti sur la question d’Israël? Parce que c’est politiquement commode. Ils se moquent bien du sort des Palestiniens ou des Israéliens, ils ne s’intéressent qu’aux mouvements de pouvoir social et à l’utilisation de ces causes pour satisfaire leurs objectifs. Pendant un certain temps, la cause israélienne/juive leur a été utile. L’ADL et d’autres organisations similaires servaient d’amplificateur à l’activisme woke et les conservateurs pouvaient être diabolisés en tant que racistes s’ils dénonçaient les opérations de l’ADL. Les deux groupes travaillaient en équipe.
Aujourd’hui, Israël est plus utile à la gauche en tant que monstre à abattre, car celle-ci a des vues sur ce qu’elle considère comme une ressource inexploitée parmi les migrants musulmans, qui majoritairement haïssent aussi l’Occident. L’appel à la « décolonisation » est le thème récurrent; qu’il s’agisse d’Israël, des États-Unis ou de l’Europe, la finalité est la déconstruction de toutes les idées qui ne relèvent pas de l’idéologie « woke« . La décolonisation n’est rien d’autre qu’un prétexte – une façon de dissimuler une déclaration de guerre derrière le masque vertueux de l’activisme. Et tout comme lors de la Révolution Culturelle en Chine, les forces de l’ordre censées contrôler les actes d’intimidation sont visiblement absentes ou réduites à l’impuissance. C’est comme si elles avaient reçu l’ordre de limiter leur intervention au minimum.
Teacher forced to hide in a locked room while a mob of students riot after they learned she attended a pro-Israel rally. This happened at a high school in Queens, NY. pic.twitter.com/BtGrQoup0S
Une enseignante est contrainte de se cacher dans une pièce fermée à clé pendant qu’une foule d’élèves se déchaîne après avoir appris qu’elle avait assisté à un rassemblement pro-israélien. Cela s’est passé dans un lycée du Queens, à New York.
L’objectif de cette révolution est de démanteler les « Quatre Vieilleries » de l’Occident, et les gauchistes espèrent que les migrants musulmans seront la force de frappe qui les aidera à achever le travail.
Ils tentent de consolider un large éventail de causes incompatibles entre elles dans un cadre qu’ils seront capables de contrôler, mais il est difficile de voir exactement comment leur organisation pourrait fonctionner. Les progressistes peuvent-ils conjuguer les causes du féminisme, socialisme, athéisme et endoctrinement LGBT avec la culture musulmane de la charia, qui cherche à toutes les abolir? On peut en douter, mais les deux groupes semblent se considérer comme mutuellement bénéfiques pour l’instant.
Lorsque les musulmans auront joué leur rôle, les progressistes les jetteront également dans la fosse aux déplorables [NdT. l’appellation des électeurs de Trump aux US], tout comme ils se sont retournés contre leurs anciens alliés d’Israël. En attendant, on continuera à voir des vagues successives de mouvements de foule aux États-Unis et en Europe, où des slogans musulmans et du Hamas côtoieront des pancartes de protestation BLM, Antifa, féministes et LGBT. C’est une révolution culturelle; son objectif est de détruire l’ancienne culture par tous les moyens nécessaires et de régler le reste plus tard.
L’inénarrable Amir Weitmann – qui va défaire l’Armée Rouge avec son pistolet à bouchon – nous revient avec une nouvelle et brillante idée1. Cette idée est articulée dans un document de l’Institut pour la Sécurité Nationale et la Stratégie Sioniste. L’original étant en hébreu, je ne dispose que de quelques passages traduits dans des articles pro-Palestiniens (ici, ici et ici), c’est-à-dire de l’opposition contrôlée de gauche – mais qui n’est pas contrôlé de nos jours?
M. Weitmann propose de reloger les 2,3 millions d’habitants de Gaza dans les nouvelles villes satellites construites autour du Caire, ce qui, selon lui, coûterait entre 5 et 8 milliards de dollars.
« En stimulant immédiatement l’économie égyptienne, le régime du président égyptien Abdel Fattah El-Sisi en tirerait un avantage considérable et immédiat », écrit-il.
M. Weitmann a ajouté qu’il n’était pas certain qu’une telle occasion fortuite de reconquérir Gaza se représenterait un jour; par conséquent, « c’est maintenant qu’il faut agir ».
« Il s’agit d’une solution innovante, peu coûteuse et durable », indique le rapport. « Au fil du temps, il s’agit en fait d’un investissement très rentable pour Israël… Gaza fournirait des logements de haute qualité à de nombreux citoyens israéliens ».
Nous voici donc plongés d’emblée dans le monde des affaires. Ça nous donnera un peu de hauteur de vue sur les événements tragiques actuels, qui ne seront pas perdus pour tout le monde. Les investisseurs qui avaient été priés de patienter dans les starting-blocks pendant que se déroulait l’opération de concassage de l’Ukraine peuvent ici se mettre à chiffrer dès maintenant la rentabilité de leur prochain investissement à Gaza, avant même que l’endroit soit rasé et débarrassé de ses indigènes2. On notera qu’entre l’expropriation des paysans hollandais, les quartiers détruits par BLM aux États-Unis, le malencontreux incendie à Maui et maintenant le « nettoyage ethnique », le Build Back Better et le « durable » sont décidément des secteurs très rentables, financièrement parlant, ce qui n’a pas échappé à M. Weitmann dont on ne peut que reconnaître le mérite d’une certaine clarté dans ses priorités.
J’imagine que les « logements de haute qualité » seront destinés à une classe aisée qui viendrait y chercher le calme (avec vue sur la Méditérannée) mais quitte à ce qu’ils soient prêts à souffrir un afflux de touristes, j’ai moi-même quelques idées pour en réduire le coût, idées que je mets gratuitement à disposition de M. Weitmann:
création d’un mémorial du 7 octobre (entrée payante), avec visite en réalité virtuelle des événements de la journée, cartes postales, souvenirs;
vente de jeux vidéos (un soldat de l’IDF traque en FPS les membres du Hamas dans les souterrains de Gaza);
monument aux martyrs entouré d’établissements de restauration, commerces, garderies…
Vous trouvez ça de mauvais goût? Attendez seulement la suite.
Le projet de M. Weitmann n’est pas le seul:
Le quotidien israélien Calcalist a fait état d’une proposition élaborée par la Ministre israélienne du Renseignement, Gila Gamliel, qui recommandait au cabinet le transfert des habitants de Gaza vers le Sinaï, en Égypte, à l’issue de la guerre.
Le document vu par Calcalist comporterait le logo du ministre du Renseignement et aurait été distribué dans les ministères pour consultation. Il a été divulgué à un mouvement de colons connu sous le nom de « Settlement Headquarters – Gaza Strip », qui fait campagne pour le rétablissement des colonies dans le territoire. Israël a retiré ses colons de Gaza en 2005.
Le quotidien israélien a noté qu’en fin de compte, le document n’affecterait peut-être pas la politique du gouvernement, mais qu’il était possible qu’il ait été rédigé pour « soutenir » le « mouvement extrémiste des colons ».
Le rapport Gamliel indique que la meilleure issue possible à la guerre d’Israël « qui produira des résultats stratégiques positifs et à long terme » est le transfert des Palestiniens de Gaza vers la péninsule du Sinaï.
Ce transfert se ferait en trois étapes. L’établissement de villes de tentes dans le Sinaï au sud-ouest de la bande de Gaza, la création d’un « corridor humanitaire » par lequel les Palestiniens seraient autorisés à fuir, puis la construction de villes dans le nord du Sinaï.
Enfin, Israël établirait un no man’s land de plusieurs kilomètres de profondeur à l’intérieur du territoire égyptien afin de s’assurer que les Palestiniens ne puissent pas revenir.
Le document appelle également à une coopération entre Israël, les pays arabes et les pays européens pour accueillir les Palestiniens déplacés.
Voilà qui ne plaîrait guère aux pays arabes, qui ne veulent pas de Palestiniens chez eux, ni aux pays européens, déjà très sollicités question migrants, écueil que le projet de M. Weitmann évite habilement:
Le document affirme avoir conçu un plan « durable et économiquement réalisable » pour expulser la population de Gaza, qui s’aligne également sur les « intérêts géopolitiques » d’Israël, de l’Égypte, de l’Arabie saoudite et des États-Unis.
Le document suggère que les Palestiniens soient logés dans les deux plus grandes villes satellites du Caire, le 6 octobre et le 10 ramadan. Ces deux villes portent le nom de la guerre de 1973 contre Israël, dont le 30e anniversaire a été célébré la veille de l’attaque palestinienne.
Selon le rapport, il y a suffisamment d’appartements pour loger six millions de personnes, mais ils sont en grande partie vides parce que les Égyptiens ordinaires n’ont pas les moyens de se les offrir.
De nombreux appartements de la nouvelle cité du 6 octobre en Égypte restent vides (documentation promotionnelle de la présidence égyptienne).
Chaque unité de logement coûtant environ 19 000 dollars, le rapport estime que le coût du logement des Palestiniens de Gaza dans la banlieue du Caire s’élèverait à 8 milliards de dollars.
Cette somme représente 1,5% du PIB israélien et peut être « facilement financée » par l’État, ajoute le rapport.
Le rapport affirme que l’état désastreux de l’économie égyptienne pourrait convaincre Le Caire d’examiner l’offre. Si nécessaire, Israël pourrait même envisager de lever jusqu’à 32 milliards de dollars pour convaincre l’Égypte d’accepter le projet.
[…]
L' »investissement » d’Israël en Égypte servirait également l’Europe en stabilisant l’économie du pays et en contribuant à endiguer la marée migratoire, selon le rapport.
L’Arabie saoudite pourrait également bénéficier de cette proposition, ajoute le rapport.
Tout d’abord, étant donné que les actions israéliennes à Gaza attisent régulièrement les tensions dans le monde arabe, le retrait des Palestiniens permettrait de « promouvoir la paix avec Israël sans l’interférence incessante de l’opinion publique locale ».
Deuxièmement, le rapport note que la population de Gaza pourrait être embauchée par l’Arabie saoudite comme main-d’œuvre bon marché pour travailler sur des projets de construction dans tout le pays, y compris la construction du projet phare de Neom.
De plus,
Le nettoyage ethnique de Gaza signifierait la fin des « combats incessants et répétés qui attisent les feux de la haine contre Israël ». En outre, « le règlement de la question de Gaza garantira un approvisionnement stable et accru de l’Égypte en gaz israélien et sa liquéfaction », à partir des vastes réserves saisies par Israël près des côtes de Gaza.
Que demander de plus?
une relocalisation tout frais payés par Israël, plus un joli bakchich et de l’énergie à la clé;
pas de migrants supplémentaires en Europe;
la fin des critiques envers Israël du traitement infligé aux Palestiniens;
et pour les Palestiniens, des cités coquettes, toutes neuves – pas tellement plus sinistres que les buildings de Gaza – en guise de logement social et un travail (mal payé) assuré, c’est-à-dire le traitement standard des migrants de par le monde.
D’autant que la situation semble se dégrader de jour en jour, ce qui inviterait une réaction immédiate:
Alors que le monde se concentre sur les horreurs de Gaza, les soldats et les colons israéliens ont tué plus de 100 Palestiniens et en ont blessé près de 2 000 autres dans la Cisjordanie illégalement occupée, où les colons juifs menacent de déclencher une « grande Nakba » si les résidents arabes ne font pas leurs valises et ne quittent pas définitivement leurs maisons et leurs fermes pour fuir vers la Jordanie voisine.
« Courez en Jordanie avant que nous ne tuions nos ennemis et que nous ne vous expulsions de notre Terre sainte, qui nous a été promise par Dieu », peut-on lire sur un tract distribué par des colons à Salfit.
La journaliste canadienne d’Al Jazeera, Sana Saeed, a averti qu' »une deuxième Nakba est en train de se construire sous nos yeux ».
Jeudi, près de Marjat, des colons ont laissé des poupées couvertes de sang ou d’une substance censée l’imiter sur le sol ou suspendues devant l’entrée d’une école.
Vendredi, des colons en tenue militaire ont envahi Marjat, accrochant des drapeaux israéliens à une maison proche de l’école où les poupées ensanglantées ont été trouvées.
Malheureusement, ce n’est pas si simple.
Le roi Abdallah de Jordanie a déclaré la semaine dernière que le déplacement forcé de Palestiniens dans son pays constituerait un crime de guerre.
Au début du mois, [le président égyptien Abdel Fatah] El-Sisi a également rejeté avec véhémence l’idée d’une réinstallation forcée des Palestiniens dans le Sinaï.
« Transférer les réfugiés de la bande de Gaza vers le Sinaï reviendrait simplement à déplacer leur résistance », a déclaré le président dans un discours télévisé le 18 octobre, « transformant le Sinaï en rampe de lancement pour des opérations contre Israël et accordant à ce dernier le droit de se défendre et de défendre sa sécurité nationale en menant des frappes sur le territoire égyptien en guise de représailles ».
Les dirigeants égyptiens s’insurgent contre les suggestions occidentales d’accueillir des réfugiés palestiniens. Un haut diplomate du Caire aurait ainsi déclaré à un homologue de l’Union européenne [NdT. il s’agirait de mon compatriote Charles Michel] en début de semaine: « Vous voulez que nous accueillions un million de réfugiés palestiniens? Eh bien, je vais les envoyer en Europe. Vous vous souciez tellement des droits de l’homme – eh bien, accueillez-les ».
Les Palestiniens, tout le monde les plaint mais personne n’en veut chez soi.
Un peu comme les juifs dans les années ’30.
Cet aide de camp du Premier Ministre est décidément très actif en ce moment, à croire qu’il voudrait devenir calife à la place du calife. ↩︎
… qui, selon la définition d’Ambrose Bierce, sont des « gens de peu de valeur, encombrant le sol des contrées nouvellement découvertes » – statut malgré tout plus enviable que celui des Palestiniens, qui, nous dit-on, sont des « animaux », le résultat restant le même: « Bientôt, ils ne l’encombrent plus, ils le fertilisent ». ↩︎
J’ai déjà indiqué le lien vers le papier de Miles dans mon précédent article sur le sujet. Je ne suis pas entièrement convaincu. Voyons maintenant ce qu’en disent deux autres personnalités. Seymour Hersh en premier, qui commence son article (payant), « Netanyahu est fini », avec ceci:
Il y a plusieurs dizaines d’années, j’ai passé trois ans à écrire The Samson Option (1991), un exposé sur la politique non déclarée des présidents américains, depuis Dwight Eisenhower, qui consistait à détourner le regard alors qu’Israël entamait le processus de construction d’une bombe atomique.
Okey-dokey, c’est « l’heure du conte » pour les petits enfants. Israël n’a pas de bombe atomique, parce que personne n’a de bombe atomique. L’auteur est donc soit un naïf, soit un agent. À votre avis? On va tout de même continuer à parcourir ses arguments, pour comprendre avec quoi on veut nous enfumer, ce qui est au moins aussi intéressant que la réalité…
Juste comme ça, au passage, puisque Israël n’a rien pour jouer la carte du chantage atomique, pourquoi les pays arabes – qui lui sont supposément tellement hostiles et militairement supérieurs – se sont-ils finalement accommodés de sa présence à leur porte? La vente de leur pétrole, peut-être? Une « aide »?
On continue avec les révélations de « l’initié » (Hersh semble connaître beaucoup d’initiés):
La chose la plus importante que je devais comprendre, m’a dit l’initié israélien, c’est que le Premier Ministre Benjamin Netanyahu
« est fini. C’est un mort-vivant. Il ne restera en fonction que jusqu’à ce que les tirs cessent… peut-être encore un mois ou deux ».
Il a été premier ministre de 1996 à 1999, puis de 2009 à 2021 en tant que chef du parti de droite Likoud, avant de revenir pour un troisième mandat à la fin de l’année 2022. « Bibi a toujours été opposé aux accords d’Oslo de 1993, qui donnaient initialement à l’Autorité palestinienne le contrôle nominal de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. Lorsqu’il est revenu au pouvoir en 2009, « Bibi a choisi de soutenir le Hamas » comme alternative à l’Autorité palestinienne, « il leur a donné de l’argent et les a installés à Gaza ».
Un accord a été conclu avec le Qatar, qui a commencé à envoyer des centaines de millions de dollars aux dirigeants du Hamas avec l’approbation d’Israël. L’initié m’a dit que « Bibi était convaincu qu’il aurait plus de contrôle sur le Hamas avec l’argent du Qatar » – leur permettant de tirer occasionnellement des roquettes sur le sud d’Israël et d’avoir accès à des emplois à l’intérieur d’Israël – qu’il n’en aurait avec l’Autorité palestinienne. Il a pris ce risque.
« Ce qui s’est passé cette semaine », a déclaré l’initié,
« est le résultat de la doctrine de Bibi selon laquelle il est possible de créer un Frankenstein et d’en avoir le contrôle. »
L’attaque du Hamas était le résultat direct d’une décision prise par Bibi, malgré les protestations des commandants militaires locaux, « d’autoriser un groupe de colons orthodoxes à célébrer Souccot en Cisjordanie ».
Souccot est une fête annuelle d’automne qui commémore le voyage ancestral des Juifs dans les profondeurs du désert. Il s’agit d’un festival d’une semaine célébré par la construction d’une structure extérieure temporaire, connue sous le nom de soukka, dans laquelle tous peuvent partager la nourriture de leurs prédécesseurs et se connecter viscéralement à la saison des récoltes.
Cette demande est intervenue à un moment de tension extrême à la suite d’un autre incident en Cisjordanie, au cours duquel des colons juifs, selon l’Associated Press, « se sont déchaînés dans une ville emblématique » le 6 octobre et ont tué un jeune homme arabe de 19 ans. La mort du jeune homme, ajoute l’AP, « est la dernière en date d’une recrudescence des affrontements israélo-palestiniens qui, jusqu’à présent, ont tué près de 200 Palestiniens cette année, soit le bilan annuel le plus élevé depuis une vingtaine d’années ».
Les autorités militaires israéliennes locales, avec l’approbation de M. Netanyahu, ont ordonné à deux des trois bataillons de l’armée, comptant chacun environ 800 soldats, qui protégeaient la frontière avec Gaza, de se concentrer sur la fête de Souccot.
« Il ne restait donc plus que 800 soldats, m’a dit l’initié,
« pour garder les 51 kilomètres de frontière entre la bande de Gaza et le sud d’Israël. Cela signifie que les citoyens israéliens du sud ont été laissés sans présence militaire israélienne pendant dix à douze heures. Ils ont été livrés à eux-mêmes. Et c’est pourquoi Bibi est fini. Cela prendra peut-être quelques mois, mais il est fini ».
L’initié a qualifié l’attaque dans le sud d’Israël de « plus grand échec militaire de l’histoire israélienne » et a souligné que « seuls des soldats ont été tués lors de la guerre de 73 » – l’attaque surprise du Yom Kippour au cours de laquelle Israël a été brièvement envahi par les troupes égyptiennes et syriennes.
« Samedi dernier, vingt-deux colonies du sud ont été contrôlées par le Hamas pendant des heures, et ils sont allés de maison en maison, massacrant femmes et enfants. »
Il y aura une réponse militaire, a déclaré l’initié, notant que 360 000 réservistes ont été appelés.
Ok, on a bien compris. Netanyahu est de droite, il est copain avec les orthodoxes pour qui il a compromis la sécurité des kibboutzs, tout est de sa faute, il est fini politiquement. Voilà qui est simple à comprendre, pas d’autre niveau de lecture. Et surtout, pas d’autre suspect.
On va maintenant ajouter un peu de contexte. D’abord, Netanyahu était depuis des mois dans la ligne de mire d’un mouvement de protestation contre la réforme légale de la Cour Suprême israëlienne – France24 vous explique:
La Cour suprême israélienne a commencé, mardi 12 septembre, à examiner des recours déposés contre la réforme judiciaire, un projet très controversé du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Les 15 juges de la plus haute juridiction israélienne sont réunis pour entendre les arguments contre une disposition visant à annuler la possibilité pour le pouvoir judiciaire de se prononcer sur le « caractère raisonnable » des décisions du gouvernement.
Cette disposition a été adoptée par le Parlement en première lecture en juillet dernier. Elle restreint les pouvoirs de la Cour suprême pour réviser ou invalider une loi ou une décision du gouvernement.
Les détracteurs de cette mesure estiment qu’il s’agit d’une façon pour le gouvernement d’affaiblir le pouvoir judiciaire et de marquer ainsi un tournant autoritaire.
Depuis son annonce en janvier, ce projet est contesté massivement dans la rue et il est même à l’origine d’un des plus importants mouvements de mobilisation populaire de l’histoire du pays.
Voilà donc un mouvement de protestation très idéologique – libertaire, LGBTQWERTY+++, et tout ce genre de choses – contre un leader de droite nationaliste et conservateur (traduction de « autoritaire »), si ça vous rappelle quelque chose. Pour vous aider, Netanyahu est assez pote avec Trump, à qui on le compare parfois – plus ou moins à juste titre.
Bon, on ne va pas tourner autour du pot, ces contestataires sont les idiots utiles des globalistes. Quand ce genre de boîte à outils est composée de jeunes dégénérés, ça ne pose pas de risque majeur – excepté pour les tableaux de maîtres. Quand elle contrôle des gens entraînés, armés, à qui on confie les clés de la sécurité nationale, c’est une autre histoire.
L’idée n’est pas de moi: c’est Adam Curry qui a levé ce lièvre dans le dernier numéro en date de NoAgenda (n°1599). En fait ça lui a été signalé par un « initié », probablement vraiment initié puisque ce podcast est écouté par un million d’auditeurs (pardon, de producteurs), dont beaucoup travaillent dans la communauté du Renseignement – et contrairement à l’agent Hersh, Adam n’a jamais caché que toute sa famille ascendante a travaillé pour la CIA.
Premier lièvre de Adam (enfin, hase, c’est une dame): Shikma Bressler. Voici sa tête:
Extraits de cette même page Wiki (ma traduction, j’ai supprimé les liens):
Mme Bressler est physicienne à l’Institut Weizmann des sciences. Elle a obtenu son baccalauréat, avec distinction, en physique et en mathématiques au Technion, où elle a également obtenu un master en physique en 2006 et un doctorat en 2011. En 2012, elle a rejoint la faculté de l’Institut Weizmann.
[…] Bressler dirige un groupe de recherche en physique au sein du département de physique des particules et d’astrophysique de l’Institut Weizmann et s’occupe de la recherche sur le boson de Higgs.
Ok, donc en un mot, rien. Si vous lisez les papiers de Miles sur la physique des particules, vous saurez que le boson de Higgs fait partie des nombreuses arnaques pseudo-scientifiques qui permettent de pomper des milliards dans le Trésor public. Cette dame commence déjà à m’énerver. Continuons. C’est moi qui souligne et qui fait des commentaires simplistes (les lecteurs adorent ça).
En mars 2020, Mme Bressler a fondé et dirigé les « manifestations du drapeau noir », avec deux de ses frères, Yarden et Eyal, et deux amis de la famille.
[…] et la troisième revendication était l’adoption d’un amendement à la loi fondamentale relative à la formation du gouvernement et à la réglementation des pouvoirs du gouvernement afin qu’à l’avenir, une personne inculpée au pénal ne puisse pas se présenter au poste de Premier ministre. Le mouvement de protestation s’est étendu à tout le pays et a été connu sous le nom de « Protestation du drapeau noir ».
= Trump.
Le 23 mars 2023, Mme Bressler a été arrêtée par la police lors de l’une des nombreuses manifestations de la « Journée de la perturbation » organisées dans tout Israël dans le cadre des manifestations israéliennes de 2023 contre la réforme judiciaire. Elle a ensuite été relâchée. L’ancien Premier ministre et leader des manifestations, Ehud Barak, a tweeté que l’arrestation de Mme Bressler était « une dictature en action ». Merav Michaeli, membre de la Knesset et chef du parti travailliste, a déclaré que « dans un pays normal, Shikma Bressler recevrait le prix Israël. Dans l’État de Netanyahu et de Ben-Gvir, elle est arrêtée comme une criminelle de droit commun ».
Ehud Barak = Biden. Ça commence à sentir la recette.
Ok, maintenant écoutons sa réthorique (Adam, merci pour les clips). C’est moi qui souligne et ce n’est pas ma traduction qui est foireuse, c’est son anglais qui est nullissime.
Animatrice: Alors, Shikma, je vous pose la question: qu’est-ce qui compte maintenant?
Bressler: Cela peut sembler un peu dramatique, mais ce qui importe maintenant, c’est de sauver la démocratie israélienne, de sauver l’État et la nation d’Israël.
Dans le cadre de mes fonctions et de mon travail à Weizmann, et en tant que membre d’une énorme collaboration internationale, je parle à de nombreuses personnes de l’étranger. Et ce qui est clair pour moi, c’est que les gens ne sont pas conscients des choses dramatiques qui se passent ces jours-ci en Israël. Et le fait que si nous en discutons dans un mois, nous pourrions déjà avoir dépassé le point de non-retour.
Ce que les gens doivent retenir de cette conversation, sans attendre la fin, c’est qu’ils doivent comprendre que nous sommes aujourd’hui confrontés à un véritable coup d’État, en ce sens que si nous ne sommes pas capables d’arrêter ce qui se passe en ce moment, dans quelques semaines, quelques jours, peut-être, Israël ne sera plus une démocratie.
Et une fois le point de non-retour passé, il faudra des décennies pour revenir en arrière. Et peut-être même que ce ne sera pas possible.
Je sais que cela semble dramatique, mais c’est dramatique. Mais ce sont les circonstances. C’est ce qui compte aujourd’hui.
Je pense que les gens ne digèrent pas vraiment, pleinement, ce qui se passe. Et c’est dramatique. Et cela se passe maintenant.
Intéressant, n’est-ce pas? Des personnes de l’étranger? Et il faut agir vite? On continue.
Animatrice: Comment pourriez-vous, juste pour faire l’avocat du diable, comment pourriez-vous gagner? La coalition gouvernementale adoptera les projets de loi de réforme parce qu’elle le peut, elle est au pouvoir, elle le fera. Qu’est-ce qui serait une victoire pour vous?
Bressler: Tout d’abord, dans une certaine mesure, nous sommes déjà en train de gagner. Nous gagnons peut-être une bataille, mais pas toute la guerre. Mais il faut comprendre qu’ils essaient. Si on regarde les changements qu’Orbán a opérés en Hongrie au cours de la dernière décennie et qu’on les compare à ce qui se fait ici, ils essaient de faire en deux mois ce qu’Orbán a fait en dix ans en Hongrie.
Comme je l’ai dit, ce n’est pas une seule loi qu’ils essaient de faire passer, mais plus de 120 lois qui sont en train de nous être imposées. Et cela ne se passera probablement pas comme ils le souhaitent. Ils pensaient qu’ils allaient adopter cette législation et qu’ils en auraient terminé en un rien de temps, sans opposition. Et maintenant, ils ont besoin de changer cela. Ils reviennent donc sur une grande partie de leurs projets et se concentrent uniquement sur cette commission pour l’élection des juges, qui est l’élément central. Si on revient à la Hongrie, vous verrez que c’est ainsi qu’Orbán a commencé à prendre le contrôle du système judiciaire, des tribunaux et des juges. Ils se concentrent donc sur ce point.
Évidemment, Orbán est le Mal, il est lui aussi nationaliste. Imaginez un peu: il s’est opposé aux obligations vaccinales, à l’achat des fioles de Pfizer par l’UE et – crime abominable – à l’invasion migratoire. Il tente apparemment de sauver son pays et bénéficie d’un soutien populaire énorme. Mais où va le monde? Il sera encore question d’Orbán dans la vidéo plus loin.
Je pense donc que si, comme je l’ai dit, ces lois sont adoptées, par définition, le système judiciaire israélien sera soumis au système politique, le gouvernement, par définition, ce ne sera plus une démocratie. Et alors nous devrons, nous nous réveillerons un jour avec quelque chose de complètement différent de ce à quoi nous étions habitués.
Je pense que ce que nous verrons alors, c’est que les conditions du pays s’effondrent, vous savez, s’effondrent rapidement. Nous avons entendu hier des groupes importants de l’unité de réserve de l’armée dire que si cela arrivait, ils ne serviraient pas une dictature.
Nous sommes ici, nous avons tous prêté serment pour protéger un pays démocratique, un pays juif démocratique et non un dictateur.
Je pense que nous le voyons déjà, nous serons affectés économiquement de manière très dramatique, nous serons affectés dans tous les domaines. Cela ne se produira peut-être pas en un jour, mais encore une fois, si vous regardez les pays qui se sont engagés dans cette voie, leur situation, et puis ce sera une énorme et longue bataille, qui, vous savez, nous perdrons tous, mais ce sera terrible.
Pour info, les « pays qui se sont engagés dans cette voie » vont un peu moins mal que les autres, merci, pendant que les fiefs Démocrates américains sont devenus un cauchemar – la France, je te dis pas – mais on ne va pas s’embêter avec des faits.
Outre qu’on peut mesurer ici la vacuité intersidérale du cerveau de cette dame, qui bafouille parce qu’elle n’a en fait rien à dire (effet secondaire de la « gauche »), il est intéressant de retenir les déclarations de « groupes importants de l’unité de réserve de l’armée ». Étant nous-mêmes démocrates dans l’âme, nous allons maintenant leur laisser l’occasion de s’exprimer.
Pas d’inquiétude, je traduis le tout ci-dessous. Adam en a passé un court extrait, je vous fais la vidéo complète. C’est un peu long mais c’est du lourd. Je n’ai pas cherché le nom de l’animatrice, nous l’appellerons donc ainsi.
Animatrice: Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu se rend aux Etats-Unis avec l’intention de rencontrer le Président Biden à l’Assemblée générale des Nations Unies cette semaine, alors que son pays est confronté à ce qui est peut-être la pire crise intérieure qu’il ait jamais connue. Et il ne s’agit pas du conflit palestinien. Il s’agit d’Israéliens qui se battent contre des Israéliens.
Des foules massives sont descendues dans la rue pour protester contre la coalition Netanyahu, le gouvernement israélien le plus à droite de son histoire, et contre sa décision d’affaiblir le système judiciaire. La réforme du système judiciaire est considérée comme tellement radicale que le président Biden a exhorté M. Netanyahu à s’en écarter, en lui disant au téléphone de respecter « nos valeurs démocratiques communes ». (L’histoire se poursuivra dans un instant).
C’est ce que font jusqu’à 200 000 Israéliens à travers le pays chaque samedi soir depuis plus de huit mois. Cette manifestation massive se déroule à Tel Aviv. Certaines nuits ont tourné à la violence, avec des affrontements avec la police, des contre-manifestations et des voitures fonçant dans la foule. On a l’impression que le pays est en train de s’effondrer.
Les manifestations ont été déclenchées par l’initiative judiciaire du gouvernement visant à priver la Cour suprême d’une grande partie de ses pouvoirs. Une grande majorité du pays considère l’affaiblissement de la Cour comme une prise de pouvoir, car elle est le seul organe de contrôle du gouvernement en Israël. Des personnes qui n’avaient jamais manifesté de leur vie sont descendues dans la rue, comme Eyal Neveh. Il dirige un groupe de dizaines de milliers de réservistes militaires qui sont à l’avant-garde de ce mouvement démocratique. Ils s’appellent eux-mêmes « Frères et Sœurs d’armes », comme l’indique leur tee-shirt. Ils sont pilotes, combattants, officiers de renseignement. Certains sont des héros de guerre. Nombre d’entre eux effectuent encore des missions dangereuses.
Scherf: Et maintenant, le danger vient de l’intérieur.
Animatrice: Plus que les ennemis de l’extérieur.
Scherf: Plus, beaucoup plus. Il s’agit d’une menace existentielle pour Israël.
Animatrice: Nous avons parlé à trois d’entre eux. Shira Etting.
Etting: J’étais pilote d’hélicoptère de combat.
Animatrice: Ron Scherf.
Scherf: Commandant des forces spéciales.
Animatrice: Et Omri Ronan.
Ronan: Je suis un ancien officier d’une unité de commandement d’élite.
Scherf: Lorsqu’un régime, un gouvernement, veut obtenir un pouvoir illimité, les gens ont peur. Et les gens dans les rues aujourd’hui ont peur que le gouvernement obtienne un pouvoir illimité sans contrôle judiciaire.
Animatrice: Ils ont tous servi sous les gouvernements précédents de Netanyahu sans hésitation, mais ils craignent celui-ci, une coalition de colons extrémistes et d’ultra-orthodoxes. Le chef de la sécurité nationale a été condamné à plusieurs reprises, notamment pour son soutien au terrorisme contre les Arabes. Le ministre des finances est un homophobe fasciste qui se décrit lui-même comme tel. Quant à M. Netanyahu, il fait l’objet de trois procès distincts pour corruption.
Les manifestants affirment que les lois introduites par son gouvernement, plus de 200, non seulement affaibliraient les tribunaux, mais contrôleraient la presse et réduiraient les droits individuels. C’est ainsi que des démocraties comme la Hongrie sont devenues autocratiques.
Ronan: Ce qui s’est passé en Hongrie et en Pologne ne se produira pas ici.
Animatrice: Il y a une tendance et elle va à votre encontre.
Ronan: Oui.
Animatrice: Partout dans le monde.
Etting: Nous serons les premiers à l’arrêter.
Animatrice: Vous êtes tous déterminés.
Ronan: Nous ne plaisantons pas. Nous essayons vraiment de l’arrêter et nous y parviendrons.
Animatrice: L’une de leurs grandes préoccupations est que sans une Cour suprême forte, le bloc ultra-orthodoxe et le gouvernement pourraient transformer Israël en une théocratie où les lois bibliques prévaudraient.
Ronan: Notre Cour suprême est notre dernière ligne de défense. C’est notre dernier garde-fou. Nous avons besoin qu’elle soit habilitée. Nous avons besoin qu’elle soit indépendante. C’est pour cela que nous nous battons.
Animatrice: Quels sont les enjeux pour les femmes, Shira?
Etting: Nous serons assises à l’arrière de l’autobus.
Animatrice: Littéralement?
Etting: Littéralement.
Animatrice: Êtes-vous mariée ?
Etting: Je suis mariée à une femme, un médecin. Nous avons une fille. Elle a un an et huit mois.
Animatrice: Sa crainte d’une attaque contre les droits des femmes et des homosexuels est bien fondée. Un membre du gouvernement a déclaré que la communauté homosexuelle est plus dangereuse que l’ISIS et le Hezbollah. Une autre plainte majeure est que les ultra-orthodoxes ne paient pratiquement pas d’impôts et n’ont pas à servir dans l’armée, ce qui est obligatoire pour tous les autres Israéliens juifs. La Cour suprême a jugé cette situation injuste. Mais, défiant la Cour, les orthodoxes prévoient de faire passer une loi à la Knesset, le parlement israélien, qui transformerait leur exemption militaire officieuse en une loi inflexible.
Neveh: Ils veulent une loi qui les empêche d’aller à l’armée. Mon fils de 15 ans, dans trois ans, ira à l’armée. Je ne pourrai pas dormir pendant ces trois ans. Et l’autre père, le père ultra-orthodoxe, dormira tout le temps.
Animatrice: Eyal Neveh, père de six enfants, est tellement passionné par cette question qu’il travaille 24 heures sur 24 chez Frères et Sœurs d’armes. Ron et lui servent ensemble dans l’unité commando la plus célèbre d’Israël, semblable aux Bérets verts, appelée Seyarat Matkal. Ils utilisent leurs compétences militaires pour mener une campagne de désobéissance civile et de harcèlement, y compris au domicile des membres de la Knesset, afin de faire pression sur eux pour qu’ils votent contre la réforme judiciaire.
Etting: Il faut faire comprendre aux élus que ce qu’ils font est mal. Il faut les réveiller et les secouer. Et ce n’est pas en étant gentil qu’on y parvient.
Animatrice: Cela signifie former des chaînes humaines devant le Ministère de la Défense. Ils bloquent les principales artères de circulation. Leur barricade devant la Knesset a fait sortir les canons à eau de la police. Des membres, dont Ron, ont été arrêtés et interrogés. Ici, ils encerclent la voiture du Ministre de la justice et Vice-Premier Ministre Yairiv Levine, l’architecte de la refonte controversée du système judiciaire. Ils sèment la pagaille devant son domicile en brûlant des pneus et en dérangeant ses voisins. Il dit qu’il respecte leur droit de protester, mais qu’il ne faut pas oublier que c’est son gouvernement qui a gagné les élections.
Levine: Aucune démocratie ne peut accepter que le gouvernement, le gouvernement élu, qui dispose d’une majorité au parlement, ne soit pas en mesure d’adopter un projet de loi et de faire quoi que ce soit parce qu’il y a des protestations, parce qu’il y a des gens qui s’y opposent.
Animatrice: Vous dites que les personnes qui craignent qu’il n’y ait pas d’égalité des droits pour tous se trompent complètement et que leurs accusations sont sans fondement. Cependant, vous faites partie du gouvernement le plus à droite qu’Israël ait jamais eu.
Levine: Je suis fier de faire partie de ce gouvernement et je pense que c’est ce que les Israéliens voulaient voir.
Animatrice: Mais vous avez dans votre cabinet des personnes qui ont fait des déclarations ouvertement racistes et homophobes et qui sont ministres.
Levine: Je peux vous assurer que la grande majorité des membres du Parlement qui appuient ce gouvernement soutiennent fermement les principes démocratiques et libéraux.
Animatrice: Mais selon vos règles, si elles sont toutes adoptées, le gouvernement pourrait annuler la décision de la Cour. Ai-je tort?
Levine: Ce n’est pas ce que je propose. La situation en Israël est que la Cour suprême est au-dessus du gouvernement, du parlement et même de la volonté du peuple. Ce que je veux faire, c’est l’équilibrer.
Animatrice: Il dit que la Cour est un bastion de l’élite qui prend trop souvent le pas sur les législateurs choisis par le peuple. La bataille autour de la Cour a plongé le pays dans une guerre civile froide. En juillet, la première étape de la réforme judiciaire de M. Levine a été adoptée, limitant considérablement le pouvoir de la Cour d’annuler les décisions du gouvernement.
Quelque 10 000 réservistes militaires ont été tellement bouleversés qu’ils se sont engagés à ne plus se présenter au service. Certains alliés de Netanyahou ont suggéré qu’ils soient jugés, voire exécutés.
Etting: Si on veut que les pilotes puissent voler et tirer des bombes et des missiles sur des maisons en sachant qu’ils risquent de tuer des enfants, il faut qu’ils aient la plus grande confiance dans les personnes qui prennent ces décisions.
Scherf: Dans leurs valeurs morales.
Etting: Exactement.
Animatrice: Lorsqu’ils ont pris leur décision, de nombreux Frères et Sœurs d’armes ont fondu en larmes.
Neveh: C’était une chose très difficile à faire. Quand on est dans son ADN, un soldat, c’est ça que je fais. 25 ans, c’est dans mon sang. C’est comme se couper une main.
Animatrice: Savez-vous ce qu’on dit de vous, de votre groupe ? Que vous n’êtes pas patriotes et que vous êtes des traîtres.
Neveh: Ils peuvent dire ce qu’ils veulent. Je suis une patriote. Chaque année, je vais dans la réserve et je sers. Je quitte la maison, je quitte mes enfants, je quitte ma femme, je quitte tout le monde pour servir. Mes amis sont morts pour ce pays.
Animatrice: L’armée a prévenu que la perte d’un si grand nombre de pilotes et de réservistes de haut rang pourrait compromettre l’état de préparation et nuire à la sécurité nationale. Mais plusieurs anciens chefs de l’armée et du Mossad appuient la protestation et reprochent au gouvernement d’avoir laissé la situation en arriver là.
Animatrice: Si vous découvriez qu’Israël est en danger à cause du départ de tant de réservistes, feriez-vous marche arrière et retireriez-vous vos propositions ?
Levine: Quel est le prix de la démocratie? Que me suggérez-vous de faire? Nous dirons aux citoyens israéliens: OK, n’allez pas voter. Il n’est pas nécessaire d’organiser des élections. Nous irons voir ces ex-militaristes et nous leur demanderons ce que nous sommes autorisés à faire ou non?
Animatrice: Une question rarement mentionnée par les Frères et Sœurs d’armes est l’occupation israélienne de la Cisjordanie.
Animatrice: Si vous n’incluez pas les droits des Palestiniens dans votre lutte, comment pouvez-vous dire que vous luttez pour la démocratie?
Etting: De nombreux Israéliens ont des opinions différentes sur le conflit palestinien et c’est une question qui divise beaucoup.
Animatrice: Votre coalition se diviserait donc? La coalition de protestation?
Etting: Si on veut pouvoir résoudre l’occupation un jour, et je pense que tout le monde ici le veut, la seule façon de l’arrêter et de la résoudre est de s’assurer qu’Israël reste une démocratie.
Animatrice: La semaine dernière, la Cour suprême a tenu une audience pour décider de révoquer ou non la première étape de l’ensemble des mesures judiciaires de M. Levine. Si la Cour le fait, Netanyahou ne dira pas s’il se conformera à cette décision. S’il ne le fait pas, une crise sans précédent s’ensuivra, laissant à l’armée, à la police et aux citoyens le soin de décider qui, des tribunaux ou des élus, doit suivre les ordres.
Frères et Sœurs d’armes affirme que l’avenir d’Israël est en état d’alerte rouge, la démocratie étant en jeu.
Animatrice: Mais, vous savez, en termes de démocratie, vous ne pouvez pas ignorer qu’il s’agit d’un gouvernement qui a été élu par le peuple d’Israël. Et c’est cela la démocratie.
Etting: Toutes les démocraties qui se sont transformées en dictatures ont été élues de manière démocratique. C’est ainsi que les démocraties se transforment en dictatures.
Scherf: Et ce n’est pas comme de se réveiller un jour et de dire, OK, maintenant nous sommes en dictature. De petites choses changeront le visage d’Israël. Les gens ont tendance à se dire : « Wow, dans mon pays, ça peut arriver? Non, non, ce ne sont que ces types qui crient. Mais c’est pourtant ce qui est en train d’arriver.
Comme vous voyez, même discours à la con que Biden, « menace existentielle », « droit des femmes et des homosexuels », et la droite, c’est le Mal, la version woke de ¡No pasarán!
Sinon, ces gens sont des patriotes. Pas de problème, je suis prêt à les croire. Je doute fort que ce soient eux derrière la « brêche de sécurité » – ça vient de beaucoup plus haut. Et je pense qu’ils sont vraiment aussi neuneu qu’ils en ont l’air. C’est comme ça: les moins de soixante ans ont la cervelle confite – et comme le montre la mémére qui frétille d’aise à faire sa BA anti-fasciste, beaucoup de vieux aussi, hélas. Je ne pensais quand même pas voir un jour des tueurs professionnels lutter pour le droit des trans.
La question serait, qui serait encore plus de gauche que patriote? Vous savez, la gauche qui a sur les mains le sang de soixante millions de Russes ou de quatre-vingt millions de Chinois. La gauche qui passe à l’action. Dans ce cas précis, avec un nouveau massacre de civils pour déboulonner le croque-mitaine et sauver la « démocratie ».
Y a-t-il une révolution colorée en Israël? Quelqu’un aurait-il jugé opportun de craquer une allumette dans cette poudrière? Un petit génie qui aurait trouvé intelligent de faire péter à Bibi son bébé Hamas dans la face, l’obligeant ainsi, pour ne pas casser son image, à réagir de la pire manière qui soit – militairement – créant ainsi le prétexte parfait à l’attaque du dernier maillon des Wesley Clark Seven (l’Iran), ce qui permettra de faire grimper le prix du pétrole, d’imprimer quelques trillions de dollars de plus et de foutre le bordel dans l’économie mondiale – ce qu’on nous a d’ores et déjà promis – bref, la relève parfaite de l’Ukraine? Et si c’est le cas, les démocrates de Tsahal reprendront-ils le rôle des Sturmtruppen d’Azov dans la nouvelle boucherie du Bien contre le Mal? Juste comme ça, ce serait intéressant de regarder les mouvements de Wall Street dans les prochains jours.
De toute manière, les dès sont jetés, exactement comme pour le Covid, si vous me permettez cette comparaison. Le terrain est contaminé (l’attentat), le corps surréagit avec une tempête de cytokine (la militarisation du conflit) et il y a un intérêt financier à ne pas soigner le malade.
La question est: était-ce une fuite ou quelqu’un a-t-il libéré le virus?
Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le Sars-CoV-2
Mauvaise nouvelle, on en finira pas.
Il est là pour toujours. Il a été conçu pour ça.
Et ce ne sera pas la première maladie artificielle à circuler dans la société humaine – pensez VIH et maladie de Lyme.
Vous aurez bientôt – la traduction me prend un temps considérable – un article qui semble indiquer que le Sars-CoV-2 original était un vaccin vivant pour chauves-souris et que c’était bien une fuite de laboratoire, probablement accidentelle, ce dernier point étant celui sur lequel on n’aura jamais de réponse claire et définitive. Le Covid serait donc l’effet secondaire de ce vaccin. On a donc vacciné contre un vaccin (ça s’appelle en rajouter une couche), avec un produit injectable présentant les mêmes effets secondaires en pire, vu son mode d’action, sa fabrication foireuse et ses additifs plus que suspects, produit qui a accessoirement créé, en modifiant leur défenses immunitaires, des milliards de cultures ambulantes de variants.
Quoiqu’il en soit, vaccin vivant, virus, exosome ou arme biologique, le Sars-CoV-2 est un vecteur d’information plus ou moins dangereux selon – comme dans toutes les maladies – l’état immunitaire du sujet, le facteur déterminant de cette proto-pandémie, celui qui a déterminé la létalité de la première vague. D’après moi, ce vecteur a fait le tour des populations, a contaminé un grand nombre de personnes en tuant les plus fragiles – exactement comme un vaccin – pour ensuite assez vite dégénérer. Le fait que cet incident ait été qualifié de pandémie tient uniquement au fait de son énorme amplification dans les médias de masse.
De son côté, la « résistance » minimise systématiquement le fait que la première vague du Covid était effectivement meurtrière – s’appuyant sur le fait que la mortalité annoncée alors dans les médias est quasi invisible dans les statistiques – ce qui était déjà le cas de la « grippe espagnole ». Au coeur de ce chaos informationnel, je pratique le simple bon sens et je me fie en premier à mes observations personnelles. J’ai reçu à l’époque (début 2020) le témoignage direct de quelques cas foudroyants, des décès trois jours après les premiers symptômes, comparables à certains décès post-injection. Et non, ce n’était pas une question de protocole hospitalier puisqu’il n’y avait justement aucun protocole à l’époque.
Ensuite, le terme « génocide » est un peu excessif, la létalité des injections – si on ne compte pas la réduction d’espérance de vie – étant pour l’instant de un pour mille. On pourrait parler au pire d’un meurtre de masse, mais ce ne sera pas non plus considéré comme tel. Selon le cadre légal, c’est une mesure d’urgence sous forme de décrets et contrats gouvernementaux avec des compagnies pharmaceutiques qui ont fait ce qu’elles font d’habitude: mettre sur le marché un produit après avoir évalué la balance bénéfice/risque pour elles. Selon le cadre militaire, c’est une opération, avec un pourcentage de pertes acceptables – ils ont donc aussi fait ce qu’ils font d’habitude.Selon le cadre du réseau des assurances, le fait d’accepter l’injection est assimilé à un suicide. Elles ont donc également fait ce qu’elles font d’habitude, couvrir leurs arrières sur base de prévisions très pragmatiques.
Prémédité ou non, le Covid était surtout l’occasion de faire passer l’adoption universelle de la plateforme ARNm, que les maladies émergentes, réelles ou fictives, aideront – sous l’égide de l’OMS – à consolider, adaptant ainsi le troupeau humain aux nouvelles technologies « vaccinales » avec, comme lors de toute révolution technologique, des dommages collatéraux, inchiffrables à ce stade.
Enfin, l’aspect surveillance. On assiste à un grand déballage d’arguments et à une confrontation entre la « résistance », les think tanks globalistes (dont le FEM est la tête de rayon) et les autorités politiques, autour du risque totalitaire que posent les nouvelles possibilités de surveillance sanitaire (passeport sanitaire, pouvoirs de l’OMS, etc.) C’est un faux débat. D’une part, de façon très typique on met sur la place publique une question déjà résolue: le niveau de surveillance actuel est en effet infiniment supérieur à ce qui est admis. D’autre part, même s’il était encore plusieurs fois supérieur au niveau actuel, ce serait encore insuffisant pour maintenir – c’est là la vraie question – un système devenu ingérable, qui ne peut survivre que par le contrôle total des populations – opérations psychologiques, propagande des médias de masse, endoctrinement scolaire, drogues, et bien entendu l’IA, dont la menace qu’elle pose pour la « démocratie » est un autre faux débat, la démocratie étant un genre de légende urbaine – ce qui ne devrait aujourd’hui plus faire aucun doute.
Les événements de ces trois dernières années ne révèlent finalement rien de tellement nouveau sur le pouvoir, qui a fait ce qu’il fait d’habitude, c’est-à-dire beaucoup de théatre. Ce qu’ils révèlent, c’est un état de santé épouvantable chez les peuples des pays riches, leur niveau d’ignorance crasse et leur dangereuse naïveté devant le spectacle qu’on leur propose.
« L’illusion de la liberté durera aussi longtemps qu’il sera rentable de la maintenir. Lorsque l’illusion deviendra trop coûteuse à entretenir, ils enlèveront le décor, ouvriront les rideaux, rangeront les tables et les chaises et on verra le mur de briques au fond du théâtre ».
Le cas Malone n’intéressera peut-être pas tout le monde. Ce serait dommage parce que c’est l’occasion de comprendre une manoeuvre très importante: la mitigation de l’information par le Renseignement, ce qu’on désigne en anglais par « limited hangout« . Jill Malone, l’épouse, y joue vraisemblablement un rôle, ce que soupçonnent beaucoup de commentateurs sur Substack (voir en fin d’article).
Je reviendrai sur Malone (et RFK Jr) avec mon propre article, qui tentera de cerner les rouages de l’Opération, dont ces personnages ne sont que la partie visible.
En 54 jours, à l’automne 2021, la rhétorique du Dr Robert Malone concernant les vaccins expérimentaux a radicalement changé. Que s’est-il passé?
En octobre, lors du tournage du CHD à Hawaï, Robert Malone marche sur la corde raide et ménage ses mots. En décembre, il lance un avertissement sans équivoque. La science a-t-elle changé à ce point en huit semaines?
Sage Hana
19 mai 2023
J’ai plus ou moins isolé la fenêtre de huit semaines à la fin de l’année 2021 au cours de laquelle Robert Malone a opéré un virage rhétorique assez brutal pour se transformer en Héros Guerrier de la Résistance aux Dangereuses Injections.
Rappelons qu’en janvier 2022, Robert Malone prétendait avoir subi des dommages au point de frôler la mort suite aux injections expérimentales d’avril-mai 2021.
Ce détail incroyablement important n’a pas été mentionné dans le Dark Horse Podcast de Bret Weinstein en juin 2021, dans le tournage de « Talk Story » du CHD à Hawaii en octobre 2021, ou dans The Joe Rogan Experience le dernier jour de décembre 2021.
Reprenons maintenant cette chronologie une nouvelle fois, et je fournirai des liens à chaque étape.
Quoi qu’il en soit, en avril 2021, je me suis fait vacciner. C’était assez tôt dans le calendrier et je n’ai pas eu d’autre choix que de prendre le vaccin Moderna, puisqu’il était le seul disponible dans ma région. Le vaccin était administré dans un collège local, et les réservistes de l’armée étaient chargés d’exécuter le programme.
La première injection s’est bien passée. Aucun problème.
La deuxième injection a failli me tuer. Autrement dit, j’ai failli mourir.
Après l’injection, j’ai ressenti la fatigue habituelle, des douleurs musculaires, puis les palpitations ont commencé, ainsi que l’essoufflement. Quelques jours plus tard, la situation s’est aggravée. Je ne suis pas du genre à aller facilement voir le médecin, mais heureusement pour moi, j’avais un rendez-vous de routine avec mon médecin. Elle a pris ma tension et ma tension artérielle systolique dépassait la cote d’alerte. Comme elle est également cardiologue, elle m’a fait passer d’autres tests, m’a fait prendre des médicaments contre l’hypertension et a réussi à la garder sous contrôle. J’ai l’impression que je lui dois la vie. Je tiens à exprimer ma gratitude au fantastique Dr C. Bove.
Robert Malone a donc reçu deux injections et a failli mourir à cause de la deuxième en avril-mai 2021.
Malone a ensuite été dévoilé en grande pompe au grand public lors de son apparition sur le Dark Horse Podcast avec Steve Kirsch et Bret Weinstein en juin 2021.
Il n’y mentionne pas le fait qu’il a failli mourir à cause de la seconde injection de Moderna quelques semaines auparavant.
Question évidente.
Pourquoi?
Ce podcast est entièrement consacré aux injections expérimentales. Le fait qu’il ait frôlé la mort à la suite d’une lésion vaccinale aurait certainement été un élément pertinent, ne pensez-vous pas?
En septembre, 2021 Malone apparaît en succession rapide au Sommet de San Juan à Porto Rico, qui semble être le moment où la dream team de la résistance (Defeat the Mandates [Vaincre les Obligations vaccinales], les auditions de Ron Johnson) est « mise sur pied » (par qui?); puis à Hawaï en octobre pour un tournage sophistiqué et professionnellement produit par CHD (Children’s Health Defense, l’organisation du candidat à la présidence Robert F. Kennedy) avec des enfants photogéniques posant des questions apparemment scénarisées au sujet des vaccins expérimentaux.
La conférence de Porto Rico a été organisée par le « Global Covid Summit« , une organisation liée au Decentralized Medical Network (DeMed), qui lui-même est lié à l’Équipe de la Table Ronde.
Le Global Covid Summit réapparaît un peu plus bas. Si vous cliquez sur les images ou les liens ci-dessous, vous pourrez commencer à identifier l’équipe, qui semble être dirigée par l’ancien enfant acteur et « leader d’opinion politique indépendant » Brock Pierce, ainsi que par quelques types du monde de la crypto-monnaie.
Brock Pierce est un leader d’opinion politique indépendant, un pionnier des crypto-monnaies et de la technologie blockchain, un investisseur en capital-risque, un philanthrope et un ancien enfant acteur de Disney acclamé par la critique, dont l’influence mondiale a ouvert des perspectives à des millions de personnes. Pierce est le président de la Bitcoin Foundation et le cofondateur de Block.one, Blockchain Capital, Tether et Mastercoin. Pierce a été accrédité pour avoir créé des places de marché pour la monnaie numérique qui ont prodigué opportunités et richesse à des millions de personnes à travers le monde. Pierce a donné des conférences dans certaines des institutions les plus prestigieuses du pays, la Milken Institute Global Conference, l’International World Congress, et a fait l’objet d’articles dans le New York Times, le Wall Street Journal et Fortune. Pierce a figuré sur la toute première liste Forbes des « personnes les plus riches en crypto-monnaies » et a été candidat du Parti Indépendant à la présidence des États-Unis. Pierce a joué dans des films tels que « The Mighty Ducks » et « First Kid ».
Mais pour les besoins de ce billet, poursuivons notre chronologie.
Septembre 2021
Après San Juan, la campagne itinérante se déplace à Hawaï.
À Hawaï, Robert Malone ne mentionne pas aux enfants qui y sont rassemblés qu’il a failli mourir des suites des contre-mesures militaires expérimentales qu’il était précisément venu leur expliquer.
Il conseille la prudence, mais il atténue ses propos et n’offre par moments que des platitudes creuses. Il ne semble pas animé du sentiment d’urgence de quelqu’un qui a failli mourir et qui saisit les dangers du moment.
18 octobre 2021
Bob: « Y a-t-il d’autres choses qui vous effraient? »Jeune fille: « J’ai un peu peur de me faire vacciner ».
À ce stade, Bob lui explique comment se débarrasser de sa peur et lui dit de s’informer auprès de sa famille et de son médecin.
N’est-il pas là pour les informer? En tant qu’expert de renommée mondiale?
Soit dit en passant, lors de son séjour à Hawaï, Robert Malone se voit présenter la Doctrine Malone par un ancien de Black Rock, Edward Dowd, qui fait maintenant partie de l’équipe de campagne présidentielle de RFK Jr.
La Doctrine Malone
Une déclaration d’indépendance par rapport aux décisions des institutions qui manquent d’intégrité
Nous, les soussignés:
Exigeons que toutes les données sous-jacentes qui contribuent à un corpus de travail en cours d’examen soient mises à disposition et restent accessibles à des fins d’analyse.
Proclamons que la valeur de la connaissance pour la société n’est pas déterminée par un créateur d’information donné. Au contraire, ce sont les bénéficiaires de la connaissance qui attribuent une valeur à une proposition uniquement par le biais d’une critique approfondie et d’un examen minutieux.
Instaurons l’échange libre et ouvert d’informations et définissons comme un devoir le fait que l’autorité soit la gardienne de toutes les données qui constituent la base de nos décisions.
Exigeons la divulgation complète de toutes les sources de financement pour toute citation ou référence faite en rapport avec toute question à l’étude.
Nous engageons à faire preuve d’impartialité dans l’examen de toutes les informations et données analytiques qui nous sont présentées et attendons la même chose de tous les autres.
Favorisons un débat ouvert et rigoureux ainsi qu’un examen minutieux de toute question qui nous préoccupe.
Ferons rapidement connaître à tous la découverte de toute malhonnêteté intellectuelle ou irresponsabilité professionnelle.
Assurerons la santé, le bien-être et la sécurité de tout dénonciateur qui met en avant et/ou rend publique une abrogation des croyances défendues ici.
Nous opposons à la censure et n’accepterons pas les représentations de parties portant en elles des valeurs contraires aux principes de la liberté d’expression.
Ne refusons à personne le droit de contester, de débattre, de pétitionner, de redresser, d’examiner ou de protester par des faits et des preuves toute décision de cet organe.
Quelque chose bascule.
Quelque chose de dramatique se produit, et ce rapidement.
Huit semaines plus tard, 54 jours pour être exact, Robert Malone tire la sonnette d’alarme.
Il utilise désormais la rhétorique et le ton sévère qui auraient dû être de mise lors du tournage de CHD Hawaii et du podcast de Dark Horse.
Une rhétorique stridente qui siérait à celle d’un être humain décent qui tente de mettre en garde d’autres êtres humains vulnérables contre une intervention médicale dangereuse qui aurait failli le tuer.
En décembre 2021, il utilise des arguments et des points logiques que beaucoup d’entre nous, profanes, avions déjà repérés et reliés bien avant, par de simples recherches superficielles et en une sincère curiosité pour cette nouvelle technologie.
Pourquoi tout cela n’avait-il pas été présenté sur Dark Horse et à Hawaï?
(En fait, Jill Glasspool Malone, épouse et associée de Malone, avait vanté les mérites de cette technologie juste avant Dark Horse et déploré que Bob ne reçoive pas le crédit qui lui est dû. Coup de fouet [NdT. « whiplash » = le résultat émotionnel ou psychologique d’un soudain revirement d’opinion de la part de quelqu’un].
Lors d’une interview du Global Covid Summit/Unity Project en décembre, Malone actualise sa rhétorique de façon spectaculaire par un brutal et véhément avertissement.
12 décembre 2021
Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas pour habitude de lire un discours préparé, mais cette question est à ce point importante que je voulais veiller à ce que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts.
Je me porte garant de cette déclaration de par ma carrière consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le COVID et je suis généralement pro-vaccination. J’ai dédié toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.
Je publierai ensuite le texte de cette déclaration pour vous permettre de la partager avec vos amis et votre famille.
Avant que vous ne soumettiez votre enfant à cette injection – une décision qui sera irréversible – je voulais vous informer des faits scientifiques relatifs à ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.
Il y a trois notions que les parents se doivent de comprendre:
Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène contraint le corps de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines causent fréquemment des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment:
leur cerveau et leur système nerveux;
leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris la formation de caillots sanguins;
leur système reproductif; et
ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire.
Le fait le plus alarmant est qu’une fois que ces dommages sont survenus, ils sont irréparables.
Il est impossible de réparer les lésions au cerveau;
il est impossible de réparer les cicatrices du tissu cardiaque;
il est impossible de réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé; et
ce vaccin peut causer des dommages au système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.
La deuxième chose que vous devez savoir est que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.
Il faut compter au moins 5 ans de tests/recherches avant de pouvoir réellement comprendre les risques.
Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments n’apparaissent souvent que bien des années plus tard.
Demandez-vous si vous voulez que votre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.
Un dernier point: la raison qui vous est donnée pour justifier la vaccination de votre enfant est un mensonge.
Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents.
C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir fait le COVID, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.
En résumé: il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les faire vacciner contre les risques minimes du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.
L’analyse bénéfice/risques est sans appel.
En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.
Cela n’a aucun sens. A-t-il vécu un moment de lucidité?
A-t-il regretté de ne pas s’être exprimé plus tôt sur Dark Horse en juin, ou de ne pas avoir averti plus directement les enfants à Hawaï en octobre lors du tournage mis en scène du CHD?
Dix-neuf jours après ce livestream, le Dr Robert Malone participera à l’émission de Joe Rogan.
31 décembre 2021
J’ai regardé, littéralement subjugué, son passage chez Joe Rogan. J’ai remarqué que Robert Malone était manifestement très satisfait et fier de ses relations avec les services de sécurité et de ses antécédents.
Quatorze jours après avoir participé à l’émission de Joe Rogan, le Dr Robert Malone se souviendra qu’il a failli mourir des suites des injections d’ARNm expérimental.
Il s’est passé quelque chose au cours des 54 jours qui se sont écoulés entre le tournage du CHD à Hawaï et l’avertissement grave et solennel du Sommet Mondial du Covid.
Qu’est-ce qui s’est passé?
Quoi qu’il en soit, Robert Malone a immédiatement été propulsé à chaque tournant de la vie de chacun depuis près d’un an et demi maintenant.
Voici une version potentielle de ce qui a pu se passer pendant cette période de frénésie fasciste vaccinale.
Il est possible que Bob, ou*l’équipe de Bob, ait tâté le terrain et tenté de faire la part des choses entre ce qui était réel et qui se passait réellement dans le cadre de l’opération COVID, et ce que le public et les « grands médias » voulaient bien admettre.
C’est le Malone de décembre que l’on aurait voulu entendre depuis le début, à l’image des premiers avertissements du Dr Mike Yeadon ou du Dr Sucharit Bhakdi.
Quoi qu’il en soit, en septembre ou octobre 2022, avec la montée en puissance de la Courageuse Sasha et de la Courageuse Katherine qui ont relié les points au Centre de Commandement Central du FEM/Ministère de la Défense, Bob s’est rapidement retrouvé dans une impasse.
Il pouvait jeter quelques miettes depuis le « ventre de la bête », mais ne pouvait pas aller beaucoup plus loin sans mettre en péril l’ensemble du modèle fasciste de Sécurité contre les Armes Biologiques planifié de longue date par le Réseau du Pouvoir des Rockefeller.
Ok, les amis – en regardant vers l’avenir, de quoi avons-nous besoin si nous disposons de protocoles acceptés pour le traitement ambulatoire précoce?
Le CDC doit se ressaisir
Nous avons besoin de surveillance, de traçage et de tests très actifs.
Nous devons être en mesure de faire des tests (idéalement des autotests) pour l’infection par le SARS-CoV-2.
Il ne pouvait pas non plus aller plus loin sans révéler des choses sur sa carrière qui allaient de toute façon être dévoilées.
Et c’est là que les choses ont commencé à déraper et à se gâter.
Il poursuit en justice les Breggin et le Dr. Jane Ruby. George Webb le poursuit en justice.
Qui finance les procès, les voyages dans le monde entier et les interminables sommets où l’on s’agite vainement en pointant du doigt Pfizer ou Fauci tout en clamant: « Nous avons réussi » dans des salles vides du Congrès et de l’Union Européenne?
Pour terminer.
Voici une autre version de l’histoire des « lésions causées par les vaccins », beaucoup plus modeste, telle que rapportée par un média-sous-contrôle-dans-la-ligne-covidienne.
Malone est entièrement vacciné – il a reçu les deux injections du vaccin COVID-19 de Moderna au printemps de l’année dernière, après que celui-ci ait été autorisé par la FDA en décembre 2020.
Il espérait que la vaccination l’aiderait à soulager certains des symptômes de COVID-19 qu’il présentait à l’époque, mais cela n’a pas été le cas. À l’époque, des rapports anecdotiques dispersés dans les médias laissaient entrevoir cette promesse, mais l’idée s’est largement estompée à mesure que de plus en plus de personnes se sont fait vacciner et que davantage de temps s’est écoulé depuis leur vaccination.
Le docteur Bruce Patterson, qui dirige un centre de traitement du COVID-19 long, a déclaré lors d’une conférence ce mois-ci que nombre de ses patients atteints du COVID-19 long « qui allaient mieux, après une semaine ou deux, revenaient à la situation antérieure ».
Malone a déclaré que les effets secondaires de sa première injection n’avaient rien de remarquable, mais après sa deuxième, il a commencé à se plaindre d’hypertension artérielle, à dire qu’il avait reçu un « mauvais lot » et à soulever des inquiétudes infondées selon lesquelles les protocoles habituels n’étaient pas respectés par la Food and Drug Administration – l’agence fédérale qui est censée considérer les nouveaux médicaments, traitements et vaccins comme « coupables jusqu’à preuve du contraire », comme il le répète souvent.
La vérité est comme un lion.
Commentaires
Je pense que Bob est un cas d’école d’homme de paille sélectionné, cultivé et guidé dans sa position à chaque étape du processus. Il a l’air d’un type qui croit vraiment faire partie des bons élèves bien informés, alors qu’il n’a JAMAIS fait partie du club. C’était un cadavre ambulant dès le premier jour. Ils l’ont vu venir à des kilomètres, et il était PARFAIT.
Parce que, dans l’endoctrinement MK Ultra 2.0, tout est question de casting. Les espions aiment se vanter d’avoir fait évoluer et d’avoir affiné leurs protocoles au cours des 50 dernières années, au point qu’aujourd’hui, la majorité de leurs « actifs » n’ont aucune idée qu’ils sont des marionnettes. Ils n’ont même pas besoin de les payer (du moins directement), c’est là toute la beauté du contrôle du MK 2.0 – le déni plausible y est intégré. Les programmes d’endoctrinement sont davantage axés sur la « planification » verticale et la stratégie, et moins sur la dissimulation. Bien sûr, on continue à sélectionner et à cultiver quelques acteurs conscients et contrôlés qui peuvent être intégrés çà et là dans le processus: les Weinstein, les [Alex Jones], les Rogan et autres, mais on les entoure d’un champ opératoire composé d’acteurs de longue haleine formés depuis des années, les Rhodes Scholars, les Weffies [NdT. issus du Forum Économique Mondial], les anciens du Santa Fe Institute et les protégés de Lifeboat, les militants pour le climat, les professeurs publiés, les chercheurs scientifiques, etc., tous ces gens brillants et pleins d’avenir qui, comme par magie, obtiennent des subventions, des contrats pour des livres importants, des passages chez Oprah et Rogan, des bourses, des financements pour des films documentaires, de l’argent et des prix pour être ce qu’ils sont. Comme Bob.
Et puis, quand le récit a besoin d’être ajusté, comme c’est toujours le cas, on peut retirer des actifs selon les besoins, en sacrifiant un pion ici et là si nécessaire – certains devront simplement s’effacer, ou dans le pire des cas seront vite éliminés s’il le faut (suicide, accident de voiture, turbo-cancer, crise cardiaque, bla bla bla) et parfois, soit selon un plan à long terme, soit dans le feu de l’action, on remplit le coffre d’une Pinto [NdT. la Ford Pinto, célèbre pour ses incendies spontanés, est passée dans le langage courant américain pour désigner un danger majeur pour son utilisateur] d’un tas de linge sale et on balance les clefs à l’un d’entre eux. Comme Oswald. Ou peut-être Bob.
Si RFK Jr. est élu… qui va-t-il nommer à la tête de la FDA, des NIH, des CDC? Les candidats tout désignés ne sont-ils pas assez évidents? Mon sentiment est que, comme toujours, des promesses ont été faites et que le pouvoir est, eh bien… une motivation, parfois en tant que gain personnel, et parfois en tant que mouvement sur l’échiquier. Je m’attends à ce que Malone soit le choix de RFK pour la FDA ou le NIH, et que Nass soit son choix pour le CDC. Quant à Kirsch, il serait nommé pour conseiller le président sur tout ce qui touche à la technologie.
Je trouve assez amusant que les gens soient tellement en quête d’un héros qu’ils ignorent que la politique reste la politique, et que RFK n’est pas à l’abri du système. Tout comme le système qui nous a apporté le COVID, il existe d’autres systèmes au sein de notre gouvernement/société qui sont également capturés et/ou corrompus… et les 10 dernières années ont démontré à quel point notre système politique est détraqué. Simple remarque.
C’est vraiment frappant de voir à quel point Jill se comporte comme un « handler » [NdT. « handler » décrit l’agent du Renseignement qui contrôle un homme de paille].
Elle articule les mots pendant qu’il parle et s’interpose pour le « corriger ». Elle défend sa cause et son dossier, corrige la communication dont il est l’objet.
Comme mes lecteurs le savent, je tente de dénoncer systématiquement l’opposition contrôlée. Ils savent aussi que, contrairement à Miles Mathis, autre pourfendeur de spooks (agents), je me sers quand même de certaines de leur publications – Whitney Webb, Matthew Ehret, Robert Malone, etc. – selon le principe des 80/20 (80% de faits, 20% d’enfumage ou en plus imagé, bullshit). C’est donc dans les 80% que je puise et je stoppe net quand je vois poindre les autres 20%.
Question « vaccins », RFK Jr a fourni un énorme boulot, et donné une tribune à pas mal de gens intéressants – notamment Sasha Latypova, Catherine Austin Fitts et JJ Couey – sur sa plateforme de Children’s Health Defense. Je l’ai publié plusieurs fois, transcrit et traduit ses discours, ce que je ne regrette aucunement. Mais…
Il se présente maintenant aux élections présidentielles américaines de 2024 et certains pensent qu’il pourrait bien les gagner. RFK Jr a commencé sa carrière comme avocat « environnementaliste », premier « drapeau rouge » majeur brièvement abordé ci-dessous. J’avais prédit un retour des Républicains (Trump ou un autre, DeSantis) pour achever le repli américain de la scène internationale, mais la réthorique de RFK Jr sur la « Paix » ferait aussi bien le boulot, tout en mettant officiellement le pays sous tutelle « environnementaliste » financière, un business qui représente des centaines de trillions de dollars – et la faillite assurée. Voir l’Allemagne…
Je publierai sur le bonhomme un deuxième article également (très) à charge, de Sage Hana, ainsi qu’un autre du même auteur (qui est en fait un mec) sur Robert Malone (qui envisage également de se lancer en politique), ainsi qu’un à moi – si j’arrive à le boucler – qui devrait rhabiller tout ce petit monde pour l’hiver. Me voilà donc tenu de continuer ce blog.
Et pour que ce soit bien clair, je boycotte à la fois les entreprises « neutres en carbone » et l’agriculture industrielle – en résumé, je boycotte à peu près tout. J’y reviendrai.
Je me suis réveillé ce matin avec une alerte de découvert de ma banque: 295$ de paiement automatique pour ma facture d’électricité de Central Hudson. Nous remboursons lentement la facture de 1 000 dollars que nous avons reçue en février 2022. Et nous avons été parmi les plus chanceux. De nombreux habitants de la région de la vallée du Mid-Hudson à New York ont reçu des factures de plus de 5 000 dollars. Central Hudson a systématiquement cité la fermeture de la centrale nucléaire d’Indian Point comme l’une des principales raisons de la montée en flèche de nos factures d’électricité.
Les factures d’énergie élevées semblent être le nouveau normal pour les New-Yorkais. Dans un communiqué de presse datant d’octobre 2022, Central Hudson a énuméré « plusieurs facteurs internationaux, nationaux et régionaux » contribuant à l’augmentation des factures d’électricité:
Au niveau local, la fermeture d’Indian Point l’année dernière a accru la dépendance de la région à l’égard du gaz naturel pour la production d’électricité.
Les contraintes liées à l’approvisionnement et aux gazoducs de transport dans le nord-est continuent de faire grimper les prix en période de forte demande.
Les troubles en Europe de l’Est continuent d’avoir un impact significatif sur les marchés de l’énergie dans le monde entier.
Alors que les pays occidentaux de l’OTAN continuent de mener une guerre par procuration contre la Russie en Ukraine, l’Américain moyen est contraint de payer la facture. Non seulement Biden donne des millions de dollars [NdT. des dizaines de milliards d’argent « blanchi »] de nos impôts durement gagnés aux néo-nazis ukrainiens, mais les sanctions, les troubles et la destruction manifeste des infrastructures des gazoducs [NdT. ma traduction ici] ont créé un scénario de fausse pénurie et, en conséquence, une hausse des prix des carburants et de l’électricité. Il devient moins risqué pour les voix traditionnelles de s’opposer au conflit et d’appeler à la paix. L’une de ces voix est celle de Robert Kennedy Jr. qui vient d’annoncer sa candidature à la 47e présidence des États-Unis.
Robert F. Kennedy renouera avec un courant perdu de la politique étrangère américaine, celui défendu par son oncle, John F. Kennedy, qui, au cours de ses 1000 jours au pouvoir, était devenu un anti-impérialiste convaincu… Il voulait faire revivre l’impulsion de Roosevelt de dissoudre l’empire britannique plutôt que de s’en emparer.
[…]
Notre priorité ne sera rien de moins que de restaurer notre leadership moral. Nous donnerons l’exemple. Lorsqu’une nation impériale belliqueuse désarme de son propre chef, elle établit un modèle pour la paix partout dans le monde. Il n’est pas trop tard pour que nous abandonnions volontairement l’empire et que nous servions la paix, en tant que nation forte et saine.
C’est ça le type de politique qu’un véritable dirigeant américain devrait mettre en avant et, à juste titre, Kennedy gagne rapidement un grand soutien populaire. Malgré cela, j’ai toujours très, très peur de ce à quoi ressemblerait une présidence de Robert Kennedy Jr. RFK n’a jamais exercé de fonction, mais son influence est indéniable. Ses actions, ses plaidoyers et sa rhétorique, ainsi que leurs résultats, méritent d’être réexaminés.
Zélote de l’environnement
RFK Jr. a joué un rôle majeur dans la fermeture du complexe nucléaire d’Indian Point.
« Personne n’a été plus important pour Riverkeeper que Bobby Kennedy », a déclaré Paul Gallay, président de Riverkeeper. En 2017, Spectrum News rapportait que « Kennedy a joué un rôle influent dans le travail visant à fermer Indian Point d’ici 2021″.
« L’accord sur la fermeture d’Indian Point est en quelque sorte le point culminant de sa carrière ici à Riverkeeper », a déclaré Gallay. « Il a déployé des efforts considérables pour fermer Indian Point et soutenir Riverkeeper. Je pense qu’après avoir obtenu ce résultat, il s’est dit que c’était peut-être le bon moment pour se concentrer sur d’autres sujets ».
M. Kennedy a déclaré que la fermeture d’Indian Point constituait une étape importante dans sa carrière. Les responsables de Riverkeeper ont déclaré qu’ils poursuivraient leur travail et feraient de leur mieux pour aller de l’avant sans M. Kennedy.
Pendant plus de 30 ans, M. Kennedy a servi le Natural Resources Defense Council (NRDC) et Hudson Riverkeeper en tant qu’avocat principal et membre du conseil d’administration. Ces organisations sont connues pour être deux des organisations environnementales les plus procédurières et les plus destructrices sur le plan industriel de tout le pays. En 1999, Kennedy a fondé sa propre ONG, Waterkeeper Alliance, et Keeper Springs, une société d’embouteillage d’eau dont les bénéfices sont reversés à Riverkeeper et à ses organisations affiliées.
Kennedy, qui s’est rendu tristement célèbre par ses coups de gueule, a déclaré à plusieurs reprises que les « négationnistes du climat » et les « climato-sceptiques » devraient être envoyés en prison.
En 2014, il a abordé et défendu ses déclarations controversées dans un article pour EcoWatch intitulé Jailing Climate Deniers (emprisonner les négationnistes du climat), dans lequel il a clarifié les choses, affirmant qu’il pensait que les entreprises, et non les individus, devaient être punies, « la peine de mort pour les entreprises » comme il l’appelle:
Je soutiens le Premier Amendement, qui permet à tout citoyen de proférer, même sciemment, des mensonges bien plus ignobles sans conséquence juridique.
Je pense toutefois que les entreprises qui soutiennent délibérément, intentionnellement, malicieusement et systématiquement les mensonges sur le climat devraient être condamnées à la peine de mort. Cela peut se faire par le biais d’une procédure juridique existante connue sous le nom de « révocation de la charte ». Les procureurs généraux des États peuvent invoquer ce recours chaque fois qu’une entreprise fait passer ses profits avant le « bien-être public ».
Cela donne un tour beaucoup plus noble à sa rhétorique, mais que se passerait-il si nous appliquions cette notion de punition aux entités qui promeuvent des « mensonges climatiques »? Dans le communiqué de presse de 2017 qui annonçait la fin de la bataille de plusieurs décennies pour la fermeture d’Indian Point, Paul Gallay, président de Riverkeeper, déclarait: « Une fois Indian Point fermé, nous n’aurons plus besoin de compter sur les combustibles fossiles pour compenser son énergie. » Le communiqué indiquait également que les réacteurs devaient cesser leurs activités dans les quatre ans à venir. Quatre ans plus tard, en 2021, le New York Times titrait sans ambages: « Indian Point ferme. Cela signifie davantage de combustibles fossiles« . Aux yeux de M. Kennedy, s’agit-il d’un « mensonge climatique » passible d’une mort organisationnelle?
Curriculum vitae politique
Bien que RFK Jr. n’ait jamais exercé de fonctions officielles, il n’est pas étranger à la machine politique. En 1999, avec Lawrence Rockefeller [Ndt. !!!], Kennedy a soutenu Al Gore pour sa candidature à l’élection présidentielle de 2000. « Il est notre dernière chance de sauver la planète », a déclaré Kennedy.
Kennedy a également entretenu des relations étroites avec le gouverneur de l’État de New York, Andrew Cuomo [NdT. responsable de la contamination au Covid de milliers de résidents de maisons de repos dans son État], tout au long de la procédure de fermeture d’Indian Point. Theresa Knickerbocker, maire de Buchanan, dans l’État de New York, a parlé de « trois hommes dans une pièce » lors d’un entretien avec Robert Bryce.
« Trois personnes ont pris la décision de fermer Indian Point: le gouverneur Cuomo, Riverkeeper et Entergy. L’ancien gouverneur Andrew Cuomo a été marié pendant 15 ans à Kerry, la sœur de Kennedy, ce qui signifie qu’ils étaient beaux-frères. Cette relation étroite explique également pourquoi M. Kennedy a fait partie de la commission de M. Cuomo sur la fracturation, ce qui a conduit à l’interdiction de la fracturation dans l’État de New York en 2013, et pourquoi il a décidé de ne pas se présenter contre son beau-frère en 2005 pour le poste de Procureur général de l’État de New York.
En 2008, le président élu Barack Obama a inscrit M. Kennedy sur sa liste de candidats présélectionnés pour diriger l’Agence de Protection de l’Environnement. Il n’a finalement pas été retenu, probablement en raison de ses déclarations controversées, de son casier judiciaire pour possession d’héroïne et de sa position hypocrite de « NIMBY » des énergies renouvelables [NdT. NIMBY, également orthographié Nimby, en anglais Not in My Backyard, une expression familière signifiant l’opposition d’une personne à l’implantation d’un objet considéré comme indésirable dans son quartier]. M. Kennedy s’est autrefois opposé à la construction d’un parc éolien au large de la côte de Cape Cod, qui aurait gâché la vue depuis sa maison de vacances.
Programme environnemental malthusien
En 2021, sur les conseils de l’écologiste indienne Vandana Shiva, le Sri Lanka a interdit tous les engrais chimiques au profit de méthodes « biologiques », avec des résultats désastreux. Le faible rendement des récoltes a entraîné une hausse des prix et des pressions économiques qui se sont traduites par un « effondrement » et des manifestations. Shiva est régulièrement qualifiée de vendeuse de pseudo-science et de rabatteuse d’ONG. Elle qualifie les engrais pétrochimiques de « poison ».
Le #SriLanka a déjà banni tous les produits chimiques et annoncé une transition vers un Sri Lanka 100% biologique. Joignons-nous au Sri Lanka, à la Suisse et à toutes les communautés qui prennent des mesures en faveur d’un monde sans poison et sans cartel du poison, pour notre santé et celle de la planète.
« C’est mon héroïne, Vandana Shiva, que je connais depuis de très nombreuses années et qui a été un modèle pour moi, vraiment », dit Kennedy en présentant Shiva en tant que toute première invitée de son podcast en 2021. Shiva a participé trois fois au podcast de Kennedy depuis sa création, et chaque épisode fait référence à la longue et étroite amitié que les deux entretiennent. En effet, Kennedy soutient la croisade de Shiva pour une « agriculture sans poison et sans énergie fossile », et a participé à un panel lors d’un événement portant ce titre en 2019.
Capture d’écran d’un livre hébergé sur le site de l’organisation de Shiva, Navdanya International.
Si l’on examine de plus près la politique environnementale sur le site Internet de la campagne présidentielle actuelle de Kennedy, on peut lire ce qui suit:
Tout d’abord, nous modifierons les subventions agricoles afin d’encourager les pratiques régénératrices. Aujourd’hui, une nouvelle génération d’agriculteurs et d’éleveurs reconstitue les sols, réalimente les nappes phréatiques et détoxifie les terres, tout en produisant autant de nourriture que les agriculteurs traditionnels et en gagnant décemment leur vie.
Soit M. Kennedy n’a pas lu les nouvelles concernant le Sri Lanka, soit il est conscient de l’effet des méthodes agricoles biologiques, anti-scientifiques et à faible rendement de Shiva, et il soutient ces méthodes délibérément pour leurs faibles résultats.
Pour en savoir plus sur l'importance des combustibles fossiles pour l'agriculture, écoutez notre dernier entretien podcast avec Jusper Machogu, ingénieur agronome et agriculteur au Kenya - épisode 031 Africa Needs Fossil Fuel.
Bien que Kennedy n’ait jamais parlé ouvertement de la surpopulation, il ne faut pas chercher bien loin pour trouver dans son camp des personnes puissantes qui sont des malthusiens. Fred Stanback Jr, héritier de l’entreprise d’aspirine de son père et de son oncle, a eu la chance d’investir très tôt dans Berkshire Hathaway parce qu’il était le colocataire de Warren Buffett à Harvard. Stanback a utilisé sa fortune pour faire des dons à des organisations de contrôle de la population telles que Population Connection – l’organisation anciennement connue sous le nom de « Zero Population Growth » fondée en 1968 par Paul Ehrlich, néo-malthusien tristement célèbre et auteur de The Population Bomb (La bombe démographique). Stanback a donné des millions de dollars à la Waterkeeper Alliance de Kennedy, ce qui fait de lui l’un des principaux donateurs de l’organisation, si ce n’est le plus important.
Les rapports annuels de la Waterkeeper Alliance de 2012 à 2022 mentionnent Stanback comme donateur dans la fourchette de 499 999 à 200 000 dollars en 2012, 500 000 dollars et plus en 2013, 1 000 000 dollars et plus en 2014 et 2015. Chaque année depuis 2016, la Foundation for the Carolines figure dans la catégorie supérieure des 1 000 000 $ et plus. La Foundation for the Carolines est bien connue en tant que fondation de passage pour les dons philanthropiques de Fred Stanback, Jr.
Anti-impérialiste ou impérialiste vert?
Kennedy diffuse un message anti-impérialiste. Il est clairement contre la guerre chaude. Mais représente-t-il réellement l’impérialisme vert du soft power? À la suite de la fermeture par l’Allemagne de ses dernières centrales nucléaires, il semble que les esprits les plus sains au sein du mouvement écologiste commencent à réaliser à quel point le fanatisme antinucléaire a été un faux pas. La fermeture d’Indian Point a rendu le réseau énergétique de New York moins fiable, plus carboné et plus coûteux. Il s’agit clairement d’une politique désastreuse aux répercussions extrêmement négatives, dont les New-Yorkais paient aujourd’hui le prix.
Si Kennedy a des remords au sujet d’Indian Point, il ne les a pas encore exprimés. L’Amérique a-t-elle la marge nécessaire pour absorber d’autres bévues industrielles de cette ampleur? Et il ne s’agit pas seulement d’erreurs passées, Kennedy semble porter en haute estime une femme qui porte une grande part de responsabilité dans l’effondrement du Sri Lanka du fait d’une politique agricole pseudo-scientifique.
Ou bien tout cela est-il délibéré? Faut-il examiner de plus près les penchants malthusiens de l’un des principaux bailleurs de fonds de Kennedy? Y a-t-il un agenda caché derrière la personnalité sincère et véridique de Kennedy? Je suis heureux qu’un message anti-impérialiste, anti-guerre et pro-souveraineté soit porté sur la plus haute scène politique du pays à ce moment de l’histoire. Mettre fin à la guerre en Ukraine et désamorcer la menace d’une troisième guerre mondiale nucléaire est la question la plus importante à laquelle nous sommes confrontés en ce moment en tant que communauté mondiale [NdT. pas vraiment]. Mais nous devons nous méfier de ceux qui essaient d’échanger une guerre militaire chaude contre une guerre économique éco-malthusienne contre les nations les plus pauvres, les plus affamées et les moins développées.
Il faut interrompre les expériences géantes en matière d’IA: Lettre ouverte
Nous demandons à tous les laboratoires d’IA d’interrompre immédiatement, pour une durée d’au moins six mois, la formation de systèmes d’IA plus puissants que le GPT-4
Les systèmes d’IA dotés d’une intelligence rivalisant avec celle de l’homme représentent des risques profonds pour la société et l’humanité, comme le montrent des recherches avancées[1] et comme le reconnaissent les principaux laboratoires d’IA[2]. Comme l’indiquent les principes d’Asilomar sur l’IA, universellement reconnus, l’IA avancée pourrait représenter un changement profond dans l’histoire de la vie sur Terre, et devrait être planifiée et gérée avec le soin et les ressources nécessaires. Malheureusement, ce niveau de planification et de gestion est absente, alors que les laboratoires d’IA se sont lancés ces derniers mois dans une course incontrôlée pour développer et déployer des intelligences numériques de plus en plus puissantes que personne – pas même leurs créateurs – ne parvient à comprendre, à prédire ou à contrôler de manière fiable.
Les systèmes d’IA contemporains rivalisent à présent avec les humains dans la réalisation de tâches courantes[3], et nous devons nous poser la question suivante: allons-nous laisser les machines inonder nos canaux d’information de propagande et de mensonges? Allons-nous automatiser tous les emplois, y compris ceux qui sont valorisants? Allons-nous développer des esprits non humains qui pourraient un jour nous surpasser en nombre, en intelligence, nous rendre obsolètes et nous remplacer? Allons-nous prendre le risque de perdre le contrôle de notre civilisation? Ces décisions ne doivent pas être déléguées à des leaders technologiques non élus. Nous ne devrions développer des systèmes d’IA performants que lorsque nous sommes convaincus que leurs effets seront positifs et que leurs risques seront gérables. Cette confiance doit être solidement justifiée et elle doit être proportionnelle à l’ampleur des effets potentiels d’un système. La récente déclaration de l’OpenAI concernant l’intelligence artificielle générale indique qu' »à un moment donné, il pourrait être important de faire appel à des experts indépendants avant de commencer à former les futurs systèmes, et pour les travaux les plus avancés, d’accepter de limiter le taux de croissance du calcul utilisé pour créer de nouveaux modèles ». Nous sommes d’accord. C’est maintenant qu’il faut agir.
C’est pourquoi nous demandons à tous les laboratoires d’IA d’interrompre immédiatement, pendant au moins six mois, la formation de systèmes d’IA plus puissants que le GPT-4. Cette pause devrait être visible et vérifiable, et inclure tous les acteurs clés. Si une telle pause ne peut être mise en place rapidement, les gouvernements doivent intervenir et instaurer un moratoire.
Les laboratoires d’IA et les experts indépendants devraient profiter de cette pause pour élaborer et mettre en œuvre conjointement un ensemble de protocoles de sécurité communs pour la conception et le développement de l’IA avancée, rigoureusement contrôlés et supervisés par des experts externes indépendants. Ces protocoles devraient garantir la sûreté des systèmes qui y adhèrent au-delà de tout doute raisonnable[4], ce qui ne signifie pas une pause dans le développement de l’IA en général, mais simplement un recul par rapport à la course dangereuse vers des modèles de boîte noire de plus en plus grands et imprévisibles, dotés de capacités émergentes.
La recherche et le développement dans le domaine de l’IA devraient être recentrés sur l’amélioration de la précision, de la sécurité, de l’interprétabilité, de la transparence, de la robustesse, de l’alignement, de la fiabilité et de la loyauté des systèmes puissants et à la pointe de la technologie d’aujourd’hui.
Parallèlement, les développeurs d’IA doivent collaborer avec les décideurs politiques pour accélérer considérablement le développement de systèmes robustes de gouvernance de l’IA. Ceux-ci devraient au minimum comprendre: de nouvelles autorités réglementaires compétentes dédiées à l’IA; la surveillance et le suivi des systèmes d’IA hautement performants et des grands pools de capacité de calcul; des systèmes de traçabilité et de filigrane pour aider à distinguer le réel du synthétique et à repérer les fuites de modèles; un écosystème robuste d’audit et de certification; un régime de responsabilité pour les dommages causés par l’IA; un financement public robuste pour la recherche technique sur la sécurité de l’IA; et des institutions dotées de ressources suffisantes pour faire face aux perturbations économiques et politiques dramatiques (en particulier pour la démocratie) que l’IA provoquera.
L’humanité pourrait connaître un avenir florissant grâce à l’IA. Après être parvenus à créer des systèmes d’IA puissants, nous pouvons maintenant profiter d’un « été de l’IA » au cours duquel nous récolterons les fruits de nos efforts, nous concevrons ces systèmes pour le plus grand bénéfice de tous et nous donnerons à la société une chance de s’adapter. La société a mis en pause d’autres technologies aux effets potentiellement catastrophiques pour elle[5], et nous pouvons faire de même ici. Profitons d’un long été de l’IA et ne nous précipitons pas sans préparation vers l’automne.
C’est signé par un collectif de 1 300 professionnels, enseignants et experts dans le domaine. Après ces trois dernières années, voir des « parties prenantes » d’une nouvelle technologie émettre des soucis en matière d’éthique a de quoi surprendre, d’autant qu’on trouve dans la liste des signataires des personnages tels que Elon Musk, dont le projet Neurolink est de connecter votre cerveau au réseau – un des axes du transhumanisme – et dans la même veine, Yuval Noah Harari, l’Igor du FEM qui nous explique que les humains non transformés seront les nouveaux chimpanzés. Alors, qu’y a-t-il derrière ce soudain accès de bienveillance de ces pseudo-Frankenstein digitaux?
Pour ne pas changer, c’est de la normalisation. Un des objectifs est de vendre l’IA comme nécessaire et inévitable. Nous allons voir qu’il n’en est rien.
Décortiquons quelques passages:
« [des IA] que personne – pas même leurs créateurs – ne parvient à comprendre, à prédire ou à contrôler de manière fiable »
Autrement dit, c’est de la camelote, ils le savent et doivent ajuster leur stratégie.
« […] allons-nous laisser les machines inonder nos canaux d’information de propagande et de mensonges? »
L’IA puisant ses sources sur le Net, la propagande et les mensonges sont déjà bien établis, l’IA ne fera que les régurgiter.
« Allons-nous automatiser tous les emplois, y compris ceux qui sont valorisants? »
Faux problème et fausse question, les emplois n’ont fait que « s’automatiser » depuis l’invention des premiers outils. La vraie question est le choix politique et économique de création future de nouveaux secteurs d’activités utiles. Sur ce plan, les projets du FEM et du Green New Deal sont totalement déconnectés du réel. Ce sont des opérations autoritaires et dangereuses de mainmise et de contrôle financier, et ce sont les premiers promoteurs de l’IA.
« Allons-nous prendre le risque de perdre le contrôle de notre civilisation? »
Je l’ai déjà écrit, cette civilisation était condamnée depuis son dérapage vers une modèle de croissance infinie à base de monnaie créée par l’endettement, sous contrainte souterraine du monde anglo-saxon protestant et plus ouvertement, des entreprises militaires États-Uniennes appuyées sur la Fed (la phrase est trop longue, sorry). La dette n’étant pas remboursable, on crée une nouvelle fuite en avant, technocratique, sur le même schéma, confondre le moyen avec l’objectif, qui donnera le même résultat: la faillite. On ne fait que remplacer de l’artificiel monétaire par de l’artificiel virtuel, comme pour les monnaies digitales. Ça fonctionnera jusqu’à ce que ça ne fonctionne plus.
L’Occident, jugé incapable de rembourser son crédit, jouera officiellement le rôle de nouveau Tiers-Monde dans le prochain modèle choisi par la Banque, où domineront la Russie et la Chine, qui disposent d’un Parti qui élabore différentes politiques là où l’Occident dispose de différents partis qui élaborent tous la même politique – désastreuse. Si l’Occident veut échapper à ce triste destin, leurs peuples doivent commencer par s’affranchir de leurs élites monomaniaques – financières et politiques – et revenir à leur vocation première de pôle de civilisation aux valeurs chrétiennes. Comment, j’y reviens en fin d’article.
« Nous ne devrions développer des systèmes d’IA performants que lorsque nous sommes convaincus que leurs effets seront positifs et que leurs risques seront gérables. »
L’IA n’est qu’un outil de plus dans le système, une pièce rapportée qui ne changera rien au problème de fond que je viens de décrire.
Cerise sur le gâteau:
« L’humanité pourrait connaître un avenir florissant grâce à l’IA. »
Nous voici de retour au fantasme futuriste de la voiture volante et des vacances sur Mars, remis au goût du jour pour les naïfs. Les lendemains qui chantent grâce à l’IA ne sont rien d’autre que la version high-tech de la doctrine du « bien commun », du communisme déguisé en futurisme – et aucun des deux ne fonctionne. On est juste passés de la politique-fiction à la science-fiction.
À propos de science-fiction, je vous recommande une très amusante nouvelle sur le sujet, écrite par Robert Sheckley en 1971, « Cruelles équations » (« Cruel equations »), qui met en scène un malheureux cosmonaute face à un robot-gardien particulièrement obtus. J’ai aussi publié ceci, qui donne une image réaliste de ce qu’est vraiment l’IA aujourd’hui. Les deux démontrent que, comme tout système, l’IA n’est jamais aussi bonne que ce qu’on y met. Or, la version publique de l’IA qu’on tente de nous fourguer est essentiellement une machine à calculer qui agence et régurgite les « informations » de la pire source imaginable: Internet. Une version adulte de ceci:
Je plains les pauvres gosses, dont je fais partie, qui ont dû se coltiner cette daube.
La version militarisée servira dans le domaine civil à gérer les zetabytes de données récoltées via smartphones, réseaux sociaux et Internet – un outil de surveillance et de contrôle du troupeau, sous tous ses aspects – biologiques, commerciaux, sociaux… Je rappelle qu’en anglais, intelligence désigne aussi les services de Renseignement. Prétendre que l’IA supplantera l’être humain dans le domaine de l’intelligence est un fantasme, une fable, et accessoirement une projection de l’ego de ses concepteurs et de ses commanditaires, qui brandissent un peu tôt des scénarios à la Terminator ou Robocop alors qu’on en est même pas à HAL 9000.
Alors pourquoi recommandent-ils de « nous asseoir calmement, prendre une pilule contre le stress et réfléchir à tout cela? » La froide réalité du terrain, c’est que le réseau de surveillance à base de 5g (et bientôt de 6g?) qui fera de nous tous des esclaves™ demandera un apport d’énergie irréalisable maintenant – on est encore loin de l’Internet des Corps, même si Amazon fait un test de réseau grandeur nature. C’est là une des vraies raison de la promotion tout azimut de la construction de centrales nucléaires. Le très servile Oliver Stone s’est d’ailleurs fendu d’un documentaire à ce sujet, sous alibi « climatique » évidemment. L’autre solution sera de nous priver d’énergie autant que possible et de nous parquer, histoire aussi de nous avoir sous la main, dans des « villes de 15 minutes », version actualisée du Projet Vénus, ce que je rappelais ici il y a bientôt trois ans. Je rappelle aussi qu’avant que les technocrates s’emparent du concept, ce genre de structure existait sous forme durable et portait un nom: un village.
L’autre froide réalité est que la majorité des start-ups de recherche ne parviendront pas à rentabiliser leurs investissements. Elles seront absorbées par quelques méga-sociétés de commerce et traitement des données, qui forment déjà un partenariat privé/gouvernements, sur le même modèle que Big Pharma/Ministère de la Défense. La faillite de la Silicon Valley Bank en était peut-être l’événement annonciateur.
24/04: j’ajoute à ce sujet ce courrier d’un auditeur de NoAgenda n°1549:
Salut Adam, je voulais juste te donner un aperçu des raisons pour lesquelles tout le monde croit à l’IA en tant que bouleversement de la technologie et du travail. S’il te plaît, ne mentionne pas mon nom si tu décides de lire ceci dans l’émission.
En bref, ils sont obligés d’y croire.
Toutes ces entreprises technologiques ont été gavées d’argent frais pendant la période du COVID, elles ont trop embauché et le regain d’activité de courte durée qu’elles ont connu pendant cette période est en train de se tarir.
Elles ont vu les vents contraires de l’économie et se sont accrochées à tout ce qui semblait être une solution. Tous ces nouveaux outils d’IA ont été lancés au moment précis où tout le monde cherchait une solution.
Aujourd’hui, le secteur est rempli de cadres intermédiaires qui n’ont jamais utilisé ces outils pour accomplir quoi que ce soit, mais qui croient au boniment parce que leur avenir financier en dépend. Ils pensent que cela permettra de décupler la productivité parce qu’ils ont besoin de quelque chose pour décupler la productivité de leurs employés.
Ce qui m’a fait prendre conscience de cette réalité, c’est qu’au cours d’une récente réunion au sein de mon entreprise, on a demandé au PDG à quoi lui servaient les outils d’IA. Il n’avait pas de réponse. En bref, il a joué avec ces outils en posant le même genre de questions inutiles que tout le monde, mais rien n’a été intégré dans son travail quotidien.
Nous avons ensuite eu une autre réunion dirigée par l’un des chefs de division, à qui l’on a demandé quelles étaient ses suggestions pour que les employés intègrent les outils dans leur travail. Il n’avait pas grand-chose à suggérer, si ce n’est de les utiliser pour reformuler des documents ou de s’en servir comme d’une sorte de filtre d’assurance qualité lors des interactions avec les clients.
En réalité, ces outils ne sont pas très utiles, surtout pour les employés compétents qui rédigent mieux que la moyenne. Du moins, je n’ai pas vu de preuve qu’ils le soient.
Vu tous les efforts déployés pour essayer de les intégrer dans notre travail, je suis sûr qu’il y aura des applications. Mais elles ne se traduiront jamais par les augmentations de productivité par 10 que tant de gens croient possibles.
Tout cela signifie-t-il qu’il faut lutter contre toute forme de surveillance, au nom de la « liberté »?
Pas du tout.
Désolé de contredire à peu près tous mes collègues anti-NOM mais à moins de la décentraliser complètement, cette société ne peut pas fonctionner sans un niveau élevé de surveillance. En réalité, aucun groupe humain ne peut s’en passer. Dans une tribu de taille naturelle (environ cinquante personne) cette surveillance fait partie intégrante du mode de vie: tout le monde connaît tout le monde – encore une fois, comme dans un village. La vraie question est de savoir qui surveille qui, et dans quel but. Comme je l’ai déjà maintes fois répété, la strate supérieure du pouvoir est majoritairement occupée par des paranoïaques incompétents, dont l’idée maîtresse est de maintenir au plus bas le niveau de maturité politique et économique du petit peuple.
Le véritable enjeu n’est donc pas l’intelligence de la machine mais, et ce n’est pas nouveau, l’idiotie humaine1, le manque d’autonomie et la servilité qui en résultent inevitablement. Si on veut revenir à la simplicité qui rendrait ce monde vivable, il faut se passer de ceux qui créent de faux problèmes pour nous fourguer leurs solutions: pandémie/vaccins, inflation/monnaies digitales, « urgence climatique »/privations, guerre/changement géopolitique, etc. Pour y arriver, il faut cesser de les aider, ce qui veut dire stopper la machine. Ne plus participer. C’est bien ce qui se profile en France et ailleurs en Europe mais comme le disait ce célèbre philosophe français, « On gueulait ‘Ce n’est qu’un début, continuons le combat!’ mais en fait, ce n’était qu’un combat, il fallait continuer le début. »
Son contemporain Gébé avait articulé autrement cette très bonne idée: on arrête tout et on réfléchit. Un moratoire de six mois? Ok, mais un moratoire de tout ce bordel, le temps de faire le tri.
Et de redevenir, nous, intelligents.
(1): J’ai à ce sujet deux études à traduire – à l’usage d’une éducatrice mais dont je vous ferai profiter – qui décrivent un danger bien concret, que Taiwan a d’ailleurs tenté de règlementer en 2015: les jeunes enfants développent des symptômes du spectre autiste lorsqu’ils sont trop exposés à des écrans. Eh oui, comme pour les « vaccins ».
J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.
Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.
La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.
Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.
C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.
J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.
La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.
La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.
Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.
… et alors, l’économie?
J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.
Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.
Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.
À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.
Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.
Initiales BBB
Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!
Euh, non.
Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.
Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.
C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.
Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.
Nyctereutes procyonoides
… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.
Ach!
À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.
Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…
Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.
Un truc impensable en France.
Coïncidite
Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.
Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:
trois naissances,
quatorze décès.
Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…
QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois
En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:
La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]
Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.
Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]
Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.
Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.
À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.
« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:
« Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
« Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
« Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »
Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.
Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:
Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »
Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »
Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:
Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?
Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.
Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus
Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:
Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».
Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]
La croisière s’amuse
Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.
« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »
Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:
Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.
Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.
Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».
Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?
Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.
Pauvres présidents
Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.
De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.
La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.
Ou le Covid.
Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.
C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.
En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.
Euh, euh, euh…
Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.
Pendant les travaux, la vente continue
Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.
Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.
Sex and drugs and rock’n’roll
Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peususpecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.
Très bien parlons sexe, ça fait vendre.
Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.
Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.
Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.
En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…
Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.
Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.
Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.
Pour conclure…
… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.
Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.
Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:
Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.
Je veux bien entendu parler de l’article de Seymour Hersh.
Je m’attendais à un raz-de-marée de lecteurs, vu que l’histoire fait le buzz, mais non, quatre en deux jours, dont mon épouse qui l’a lu sur son outil de surveillance téléphone en m’attendant sur un parking. À propos de surveillance, j’ai encore de temps en temps la visite de fonctionnaires de l’Armée Populaire de Libération – qui font monter mes statistiques, merci – et m’ont également hacké la boîte mail lié à ce blog (depuis une adresse IP de Hong-Kong).
Passons…
Je conçois que la majorité de mon lectorat a en ce moment autre chose à faire que de lire des histoires d’espionnage/sabotage. Mes lecteurs français fidèles ont une réforme des retraites à casser, et sortent par millions dans la rue. Ils ont raison, mieux vaut être dans la rue un jour par semaine que définitivement. Mon épouse française suit ça sur Le Média, excellente chaîne.
Pour ceux qui ont un peu le temps, j’avais promis un commentaire sur le papier de Hersh.
Nous apprenons donc ce qu’on savait déjà: ce sont les États-Unis qui ont fait sauté les gazoducs russes, histoire de faire passer à l’Allemagne le goût du gaz pas cher. Encore un acte de violence conjugale, comme l’avait très bien relevé deux observateurs au nez fin – ou plus prosaïquement, encore un souteneur qui bat sa vieille putain, qui avait pourtant consciencieusement filé la chtouille génétique (et ici) à la moitié du monde et, fidèle à ses principes aryens, financé la nouvelle Kommandantur planétaire.
Après la révélation de cet acte de guerre, Lulu la Péniche l’Allemagne n’a plus le choix que de la déclarer officiellement aux US et débarquer sur leur sol pour semer mort et destruction, munie de qui reste de son stock de 312 chars Leopard (avec kit de dépannage et autocollants « Deutschland über alles« ) qu’elle aurait finalement mieux fait de garder entier plutôt que de risquer d’égratigner les quinze mille chars russes de son ancien ennemi/ami/fournisseur (biffer les mentions inutiles), qui pourrait bien le redevenir.
On doit donc cette heureuse résolution à notre ami Seymour, héroïque journaliste maintes fois récompensé, notamment par le prix Pulitzer pour avoir exposé le massacre de Mỹ Lai par des soldats américains lors de la guerre au Vietnam, ce qui a plus ou moins mis un terme à celle-ci. Je ne serais pas autrement surpris que son récent papier ait un effet similaire sur la guerre en Ukraine, ce qui viendrait juste à point maintenant que les contrats de reconstruction sont signés par les « parties prenantes ». Excellent timing, vous ne trouvez pas?
Maintenant que le prix du gaz a grimpé et permettra:
aux États-Unis de faire un malheur sur le marché européen,
à la Russie – qui a, comme vous le savez, continué de verser à l’Ukraine sa redevance pour le gazoduc Brotherhood, le nom est bien trouvé – de le vendre à un prix plus juste à ses nouveaux clients et
de maintenir un prix de l’énergie surévalué en Europe de l’Ouest,
et maintenant que le complexe militaro-industriel américain va pouvoir décrocher de juteux contrats pour renouveler stocks nationaux et européens, à quoi sert encore la guerre en Ukraine? Business is business.
À propos de business, vous vous souvenez de ces professionnels de l’énergie qui s’étonnaient de l’absence de brume de méthane au-dessus des eaux bouillonnantes de la mer Baltique et allaient jusqu’à douter (voir en fin d’article) que le sabotage ait vraiment eu lieu? C’est rentré dans l’ordre: les photos publiées depuis montrent une brume très visible. C’était donc bien un attentat.
Je vous laisse avec cette histoire – réelle – dont je ne peux malheureusement plus vous fournir la source, le magazine qui la mentionnait ayant été détruit dans l’inondation de juillet 2020. Il faudra me croire sur parole mais vous pouvez me faire confiance, je ne suis pas médecin.
Ça se passe dans un pays africain (je ne suis plus certain duquel) dans les années 1980. Le pays est en pleine turbulence politique, comme c’est souvent le cas là-bas, des guerrilleros/terroristes commettent des attentats un peu partout, notamment sur les voies ferrées qu’ils font sauter à la dynamite. Ça leur coûte cher, ça emmerde les pauvres cheminots, bref ce n’est pas la bonne solution. Ils concluent donc l’accord suivant: les trains s’immobiliseront aux endroits que leur indiquera la guerrilla, le nombre de jours qu’il aurait fallu pour réparer la voie si on y avait détoné une charge. Résultat: économie d’explosifs, de matériel, d’efforts et de temps pour tout le monde et les trains sont pareillement immobilisés.
Je vous laisse méditer là-dessus.
La nouvelle vraiment importante de la semaine: ma belle-soeur a recueilli un petit chien abandonné dans un carrefour. Il est adorable, l’air un peu perdu mais de l’amour et des soins devraient arranger ça. Je n’ai pas de mot pour les gens qui l’ont abandonné. En France, il n’y a pas que le Président qui maltraite les petits.
Bientôt sur vos écrans
Vous pensez que j’ai fini de dire du mal de l’Allemagne? Je ne fais que commencer. Et des États-Unis. Et de la Russie. Et de tout ce qui a un gouvernement. C’est parce qu’on ne m’a pas aimé quand j’étais petit.
Peut-être arriverai-je à boucler les deux articles que je prépare depuis des semaines, « Faux procès » et « Le Grand Bluff »?
Pour le reste, on verra selon mon humeur: un peu de climat, un peu d’agriculture, un peu de Covid, un peu de psyops, un peu de tout, que j’assaisonnerai d’un brin de philosophie et d’un grain de sel pour faire passer. En bref, un peu de tout ce qui pourrait faire douter de l’humanité, le but ultime de toute cette merde.
Un court article de Katherine Watt ce soir, qui complète celui d’hier de Sasha Latypova. Pour bien situer le contexte – et pour ceux qui ne l’auraient pas lu – Sasha détaille ici de long en large le fait que c’est le Ministère de la Défense américain qui contrôle toute la « réponse » Covid, au niveau mondial. Katherine a aussi beaucoup écrit sur le sujet, avec énormément de références, c’est un gros boulot de faire le tri pour en retirer les infos essentielles.
Comme je l’écrivais cette semaine, il y a des tonnes de nouvelles en ce moment. J’ai aussi un éclairage à donner sur cette histoire de « fuite de laboratoire », avec quelques éléments à ajouter à l’équation – et peut-être un petit appel à nos amis allemands. C’est vendredi soir, j’ai la flemme d’écrire. Je m’y mets demain.
Des « nouvelles de dernière minute », des « révélations » et des analyses frénétiques pointant de plus en plus Pfizer du doigt sont diffusées pour détourner la colère du public du complexe DOD-HHS [Ministère de la Défense/de la Santé] et l’orienter vers des éléments sacrifiables.
Les dirigeants et les employés de Pfizer sont des criminels coupables de meurtres de masse, c’est entendu, et ils devraient faire l’objet d’une enquête, être poursuivis, jugés, condamnés et punis, tout comme leurs complices du gouvernement.
Mais Pfizer en tant que marque n’est pas indispensable. BioNTech n’est pas indispensable. Moderna, Advanced Technology International (ATI), Analytic Services Inc. (ANSER), Emergent Biosolutions, BioPort, EcoHealth Alliance…
Toutes ces sociétés écrans peuvent être dissoutes autant de fois que nécessaire, et reconstituées sous de nouvelles raisons sociales autant de fois que nécessaire.
Le système de santé publique et militaire américain (DOD+HHS+DHS+DOJ+DOS…) – le gouvernement américain infiltré et partiellement renversé – ne pourra pas être réétiqueté une fois que le peuple aura compris la campagne de meurtres de masse que les imposteurs du service exécutif supérieur (SES) mènent depuis son sein.
Les secrétaires imposteurs du Cabinet, les présidents Biden/Obama/Harris, les banquiers centraux mondialistes [NdT. la BRI, j’y reviendrai] qui tirent les ficelles, et les médias de masse sont tous ensemble à la croisée des chemins.
Ils peuvent:
Poursuivre l’arnaque – en sacrifiant Pfizer et d’autres co-conspirateurs à l’appétit de justice du public si nécessaire – tout en installant progressivement les systèmes de gouvernement mondial par le biais de lois votées et financées par un Congrès Potemkine et ratifiées par l’immobilité silencieuse de tribunaux Potemkine (passeports vaccinaux, MNBC, etc.).
Accélérer l’implosion du gouvernement américain et inviter les fonctionnaires du gouvernement mondial qui se tiennent prêts aux Nations Unies, à Washington DC et dans le reste du pays, à former un gouvernement intérimaire permanent pour l’État américain en déroute.
Se soumettre à leur expulsion par le gouvernement légitime des États-Unis (le reste des membres du Congrès et des juges fédéraux courageux, authentiques, non imposteurs, non traîtres et non sournois); se soumettre aux poursuites et aux procès; puis assister depuis leur prison à la reconstitution laborieuse d’institutions gouvernementales souveraines légitimes à partir des décombres.
Ils préfèrent l’option 1.
Ils tenteront l’option 2 s’ils se sentent poussés par les circonstances.
Je me rends compte que j’ai assez peu relayé Sasha depuis son interview et ceci, ce qui est un comble vu que c’est une des seules voix « alt-Covid » à qui je fais confiance – même remarque pour Katherine Watt. Depuis cette fameuse interview – beaucoup lue, vu que je suis un des seuls à la publier en français et que mes lecteurs ont du goût – Sasha a créé son propre Substack. J’y pêcherai d’autres articles prochainement. Pour ne rien gâcher, elle y joint habituellement une photo de ses magnifiques peintures, comme elle. Une femme d’une beauté stupéfiante, d’une grande intelligence et d’un grand courage – et ukrainienne, ce qui devrait m’éviter, j’espère, la ridicule étiquette « pro-russe ».
Voici un billet très ponctuel – avec un peu de retard, que je rattrape lentement mais sûrement – qui démonte une intox dont j’imagine que tout le monde parle, pas toujours à bon escient. Ponctuel ou non, comme tout ce qu’écrit Sasha, c’est une lecture essentielle. En préambule, pour mieux comprendre la maintenant célèbre notion de « gain de fonction » et ses limites, je vous renvoie à mon article sur JJ Couey.
Un scénario de film où « Contagion » rencontre « Idiocratie »
Sasha Latypova
26 janvier
Un billet en vitesse. On m’a demandé de commenter la vidéo « explosive » publiée par le Projet Veritas, dans laquelle un « cadre supérieur en R&D de Pfizer » fait des déclarations sur « l’évolution dirigée » du virus du covid, que Pfizer envisage de mettre en œuvre.
BREAKING: @Pfizer Exploring "Mutating" COVID-19 Virus For New Vaccines
"Don't tell anyone this…There is a risk…have to be very controlled to make sure this virus you mutate doesn't create something…the way that the virus started in Wuhan, to be honest."#DirectedEvolutionpic.twitter.com/xaRvlD5qTo
D’abord, concernant cette personne. Je ne sais pas qui il est, certaines personnes tentent actuellement de vérifier s’il travaille chez Pfizer. Supposons pour l’instant qu’il travaille chez Pfizer. Son titre est directeur des opérations de R&D et de la planification scientifique. Il faut bien comprendre que ce domaine n’est PAS un domaine scientifique. Il ne travaille pas dans un laboratoire. Il gratte du papier, crée des présentations PowerPoint et d’autres documents et parle aux fournisseurs. Pfizer EXTERNALISE tout le travail scientifique et les essais cliniques. Personne en interne chez Pfizer ne fait quoi que ce soit en rapport avec le produit afin de se dégager de toute responsabilité et de laisser les sous-traitants commettre des fraudes en leur nom (afin que les dirigeants aient toujours une dénégation plausible).
De plus, ce type n’est pas intelligent. Il est ivre, mais il a aussi clairement un QI moyen. C’est exactement ce genre de personne que Pfizer a embauché en masse au cours des dix dernières années ou presque, tout en se débarrassant de personnes intelligentes et expérimentées qui savaient comment concevoir et développer des médicaments, parce qu’elles posaient trop de questions gênantes et ne se seraient pas laissées embobiner si facilement pour implémenter un meurtre de masse sous le nom de « réponse covid ».
Bien sûr, ce type n’a aucune morale.
Il parle de « virus mutant » ou d’ « évolution dirigée » et les décrit de la même manière que Peter Daszak et Ralph Baric dans leurs propositions au NIH – mêmes termes, mêmes plans expérimentaux et mêmes idées, et ce même scénario existe depuis des décennies. Savez-vous comment je le sais? J’ai un livre sur les armes bio-chimiques publié en 1970 en Union Soviétique, et j’en ai aussi un publié par le NIH en 2018. Ils répètent les mêmes choses et les mêmes concepts. Le type de Pfizer a probablement tiré son scénario des mémos de BARDA/DARPA. BARDA finance 50% de la R&D pharmaceutique aujourd’hui. Il ne s’agit cependant que d’un narratif. Il n’y a aucun moyen de « faire muter des virus » en laboratoire comme ils le laissent entendre – pour les rendre artificiellement plus mortels et plus transmissibles à la fois. Il s’agit d’un conte de fées de propagande avec un objectif très précis. Vous devriez être très prudents à l’égard de toute personne (de « leur » côté ou du « nôtre ») qui le répète en prenant un air sérieux.
Bien sûr, les scientifiques peuvent expérimenter avec des soupes d’ADN/ARN et faire se développer des choses dans des boîtes de Pétri. Ils peuvent concevoir des mutations sur ordinateur et essayer diverses concoctions. S’agit-il de « virus » qui peuvent « s’échapper d’un laboratoire » et « infecter le monde »? Non. La preuve en est qu’alors qu’il y a 1000 laboratoires biologiques aux États-Unis et dans le monde occidental qui jouent avec des virus, aucune pandémie ou épidémie n’a résulté de ces activités. Je vous assure que pas un seul laboratoire académique n’a jamais été capable de suivre les procédures opérationnelles standard de base, et s’il existait une chose telle qu’une « fuite de virus dangereux », nous en aurions constamment. Si une telle chose existe réellement et que nous en avons eu constamment, cela signifie que nous sommes tous déjà bien adaptés à ces fuites! Des regroupements locaux de maladies ont été détectés, il s’agit probablement de « tests de déploiement » plutôt que d’une véritable « fuite ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes à chaque fois.
Des souris s’échappent de ces laboratoires tout le temps – où est la pandémie de souris?
The Mouse King [NdT. article de Sasha sur ce sujet, très rigolo et bien écrit – faudra que je traduise?]
L’homme dans la vidéo parle de faire passer les virus d’un animal à l’autre – une technique de longue date dont on sait qu’elle ne donne rien, car les virus ne font que s’atténuer dans ce processus. Et ce, pour autant que l’on puisse reproduire une infection d’un animal à l’autre. C’est impossible. Pfizer s’est rendu célèbre pour son incapacité à infecter les singes avec le virus Sars-Cov-2 dans ses études précliniques pour son « vaccin ». Et dans ces études, ils n’essaient même pas de produire une infection d’animal à animal (parce qu’ils savent que cela ne fonctionne pas), ils pulvérisent les animaux directement dans le nez et la bouche, et généralement la quantité de liquide est suffisante pour atteindre les poumons et leur donner une pneumonie, surtout pour les petites espèces comme les souris.
En parlant de souris, vous vous souvenez de la récente étude tristement célèbre de l’université de Boston où l’on a « muté le virus » pour produire un covid tueur à 80%? [NdT. j’avais naïvement relayé l’histoire avant de la rétracter avec cet article] Aucune souris n’a été infectée par d’autres souris et 8 souris sur 10 qui sont mortes ont été euthanasiées par les chercheurs parce que (elles allaient mourir?). Oui, celui-là. C’est la même histoire de science bidon que cette personne ivre déballe au journaliste du Projet Veritas qui pense avoir un scoop!
Une autre affirmation tout droit sortie de BARDA/DARPA – il s’agit de « prédire les mutations » et de « développer des vaccins de manière proactive ». Un non-sens total. Vendu par des psychopathes titulaires d’un doctorat à un public désespérément crédule et à des politiciens qui acquiescent et accordent des milliards de dollars de financement pour la « préparation à la pandémie ». C’est là que se situe le nœud du problème. Il ne s’agit pas seulement d’un babillage stupide et scientifiquement inepte. Il s’agit en fait d’un récit de propagande militarisée très bien pensé, destiné à faire avancer la chose la plus importante pour les auteurs de ce crime mondial:
Ces criminels ont désespérément besoin, à tout prix, que vous croyiez que « la mutation de virus en laboratoire » aboutit à un résultat terrifiant, qui peut ensuite être « divulgué ». Que tout le monde peut le faire, même un étudiant en doctorat dans son garage*. Que nos ennemis le font et qu’ils vont « libérer » un virus super terrifiant à tout moment, à moins que le gouvernement ne soit « préparé » en constituant un stock de « vaccins prédictifs » qui peuvent être déployés en quelques jours après la détection d’un nouveau virus terrifiant en Chine. Ou à Tombouctou.
(*) [NdT. je suppose qu’il faut que je rétracte aussi ceci et que je remette en question l’intégrité de l’auteur]
Connaissez-vous l’histoire de cette ville italienne au bord de la mer où toutes les vitrines des magasins se faisaient briser, et une fois remplacées, briser à nouveau, et où enfin un couple de gars sympas passait dans chaque magasin et vendait une « protection » aux propriétaires de magasins et où les vitrines restaient intactes tant que la protection était payée chaque mois? Savez-vous qui brisait les vitrines?
C’est la même histoire, mais racontée avec des marionnettes qui coiffent des casquettes de spécialistes des virus. Sauf que les auteurs de l’histoire sont plus intelligents que les frères italiens – ils convainquent tout le monde par la propagande et quelques produits chimiques habilement déployés que des virus terrifiants seront libérés (ou fuiront), puis vendent la « protection » du gouvernement. Cette fois, dans cette phase, ils comptent tuer pour de bon – ils se préparent à orchestrer la panique mondiale en prétendant qu’un terrifiant virus évolutif prédictif muté a effectivement fui d’un laboratoire (et n’a pas sauté d’une chauve-souris sur un marché comme la dernière fois). Ils ont déjà toutes les images vidéo de personnes tombant mortes dans les rues et autres matériels de propagande promotionnelle prêts à l’emploi. Ils l’annonceront dans un endroit reculé, et le traqueur de virus de Johns Hopkins s’emballera et coloriera en rouge le monde entier. Puis, dans les jours qui suivront, ils disposeront du « vaccin qui sauve des vies » et procéderont à la mise en place d’obligations, de quarantaines, d’injections, etc. dans un climat de panique totale, en attribuant toutes leurs morts à l’effrayant virus muté.
S’il vous plaît, NE TOMBEZ PAS DANS LE PANNEAU!
Je n’en suis pas certaine, mais je soupçonne fortement le Projet Veritas d’être ici victime de sa propre blague. Ils se sont fait avoir par les agences de défense qui ont « divulgué » ces informations « super secrètes » (qui sont placardées partout dans leurs documents publics et sur leurs sites Web, il suffit de les lire et le PV a avalé l’hameçon, la ligne et le plomb).
PS. Peu importe si la personne interrogée ici travaille vraiment pour Pfizer et croit vraiment ce qu’elle dit dans cette vidéo. Je suis presque sûr qu’il le croit et qu’il y travaille. C’est là l’essentiel. Du moment où on embauche des personnes d’un poids intellectuel limité et au sens moral non opérationnel (le système universitaire actuel est parfaitement adapté à la production de ce profil), il est facile de les former pour qu’ils répètent les propos voulus avec conviction.
Cette courte absence m’a permis de consacrer beaucoup de temps libre à lire un paquet d’articles. Je reviens avec quelques infos et analyses intéressantes, en commençant par ceci.
On a beaucoup parlé du gain de fonction dans le cadre de la pathogénicité du SARS-CoV-2, sans vraiment définir ce qu’est le gain de fonction. Ce sujet a récemment été abordé par Jonathan Jay Couey, neurobiologiste et membre fondateur de DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Team Investigating Covid-19), qu’il a quitté depuis. Extrait d’un article du Sun du 2 mars 2021:
« DRASTIC est une équipe indépendante de scientifiques, d’analystes et d’enquêteurs qui se sont réunis pour enquêter sur les origines de Covid-19. Leurs travaux ont été cités dans le New York Post, le Washington Post, le Telegraph, le Mail on Sunday et sur Sky News en Australie. Bon nombre de ses membres ont choisi de rester anonymes afin de se protéger d’éventuelles représailles et de pouvoir mener des recherches potentiellement controversées sans que leur carrière en pâtisse. Il s’agirait de spécialistes de l’ingénierie, des mathématiques, de la biologie, du renseignement et des données de sources ouvertes, qui se sont rencontrés sur Twitter. »
Le site web de Couey est ici. Son exposé sur le gain de pureté est ici, suivi d’une analyse de la conférence zoom organisée par Robert F Kennedy Jr, à laquelle il a participé aux côtés de Meryl Nass, Jessica Rose, Tess Lawrie (noms familiers à mes lecteurs) et Robert Malone, dont il décrypte le discours très ambigu – ce que j’ai commencé ici.
Couey rassemble sur son site des interviews qu’il fait de médecins et autres professionnels de la santé et de la recherche, dont le Dr Walter Chestnut (Substack et site web), déjà publié sur ce blog, et Kevin McKernan (Substack), biologiste spécialisé dans la bio-ingénierie, fondateur de Medicinal Genomics, qui étudie rien moins que la génomique du cannabis.
Ceci correspond à l’analyse globale selon laquelle l' »épidémie » et tout ce qui en découle font partie d’une gigantesque fraude.
JJ Couey ne dit pas que la fraude serait le fait que les virus eux-mêmes n’existent pas.
La fraude réside dans le fait que les virus naturels, même s’ils sont manipulés et recombinés en laboratoire par des individus comme Ralph Baric, ne sont pas capables de provoquer des pandémies mondiales, en raison de leur diversité génétique intrinsèque, de la coévolution de nos systèmes immunitaires avec eux et de la manière dont ces deux éléments affectent leur capacité de réplication in vivo.
Les épidémies naturelles s’épuisent trop rapidement, après avoir infecté trop peu de personnes.
Mais les virus synthétiques purifiés en laboratoire, distribués artificiellement et sélectionnés pour leur capacité de réplication, peuvent être présentés au monde comme des virus naturels ou recombinants.
Et cette fraude, dont l’objectif est de créer la peur, pouvait être et a été la justification des masques, des tests, des confinements, des essais cliniques truqués, des campagnes de vaccination de masse par injection létale, des décrets, de la destruction économique, de la centralisation du pouvoir et de la concentration des financements.
[Le tout] partant du principe frauduleux que les pandémies virales constituent une menace véritable pour l’humanité [et] que les gouvernements peuvent et doivent exercer des pouvoirs insensés et investir d’énormes ressources financières dans les entreprises pharmaceutiques – en particulier les produits à base de nanoparticules d’ARNm/lipides – pour tenter de les contrôler.
Continuer de présenter cette fraude au public comme une vérité permet de poursuivre les dissimulations, les campagnes de diversion et autres guerres de l’information.
Pour ce que ça vaut, je vois les Malone (Robert et Jill) d’une manière différente de celle de Crawford. Je pense qu’ils sont des acteurs conscients et volontaires de cette opération criminelle.
Je ne pense pas qu’ils soient des participants réticents pour qui le jeu a soudainement dérapé, et qui cherchent maintenant des moyens de se désengager et de s’expliquer sans violer les termes de leurs autorisations de sécurité du Département de la Défense.
Cependant, ce n’est que mon opinion. Basée sur l’habileté du Dr Malone à éviter de se compromettre, et sur son étrange adhésion à l’image publicitaire de l’Homme-le-plus-intéressant [NdT. ce lien renvoie vers un article de Sage Hana qui taille un costard au Dr Malone, que je rhabillerai pour l’hiver dans un prochain article].
Pour bien comprendre ce qui précède, je vais tenter de résumer succintement quelques points de la présentation susmentionnée de Couey. Comme le fait Katherine Watt ci-dessus, je les replace dans le contexte des événements, ce qui amène logiquement aux questions qu’elle soulève, et aussi à une autre, qu’apparemment personne ne pense à poser.
Juste pour rappel, au début de la « pandémie », certains médecins s’étonnaient de l’étrange distribution de la maladie. Les « viro-sceptiques » y voyaient même la confirmation d’une autre cause, non-virale. Arthur Firstenberg a écrit un bouquin qui donnait comme cause unique du Covid la pollution électromagnétique ambiante générée par la nouvelle génération d’ondes millimétriques – en bref, la 5g. D’autres pointaient l’oxyde de graphène (supposément contenu dans des vaccins anti-grippaux antérieurs), associé à ce même genre d’ondes, comme cause des symptômes du Covid, et comme cause des effets « secondaires » des injections. D’autres enfin, comme le Dr Andrew Kauffman, niaient purement et simplement l’existence du virus, qu’ils identifiaient comme exosomes, et attribuaient les symptômes du Covid à leur hypothèse favorite, la « détoxification ». J’ai déjà traité de ces voies de garage ici.
Ce pseudo-débat a récemment repris un peu d’ampleur sur Substack. De nombreux scientifiques assez pointus, dont je traduis et re-publie ici certains articles, ont assez vite clos le débat par des arguments solides et très documentés sur les divers mécanismes de la pathologie du SARS-CoV-2. L’hypothèse aujourd’hui dominante, longtemps diabolisée, est que le SARS-CoV-2 – la souche dite « de Wuhan » – est issu d’une manipulation en laboratoire, un « gain de fonction » qui l’a rendu plus virulent – et plus mortel – pour l’être humain par rapport à un coronavirus « sauvage ».
Couey pose donc la question: qu’est-ce exactement qu’un gain de fonction? Je résume ce qu’il en dit dans son exposé. Il existe quatre méthodes de gain de fonction, dont trois – passage animal, culture cellulaire, récolte de virus sauvage – sont relativement aléatoires et n’offrent aucune garantie de résultat. La méthode de gain de fonction la plus aboutie est de travailler directement sur le virus. C’est cette méthode qui a vraisemblablement été utilisée pour la fabrication du SARS-CoV-2.
Il est en fait assez facile de créer des copies identiques de virus ARN in silico – appelées « clones » synthétiques – par un procédé employé dans les laboratoires de biologie moléculaire. On utilise pour les répliquer une méthode dite de l’ADN circulaire. Les virus ARN sont d’abord découpés en brins, qui correspondent à des fonctions distinctes du virus et sont conçus pour s’ajuster ensuite comme des pièces de puzzle – la pièce 2 ne s’ajuste qu’avec la pièce 1 et 3, la pièce 3 qu’avec la 2 et 4, etc. On utilise ensuite de l’ADN bactérien pour répliquer ces pièces, qui seront ensuite récoltées par filtration et ré-assemblées par ligation pour former des clones complets. On peut ainsi en fabriquer de grandes quantités et, contrairement à la réplication in vivo, quasiment sans aucune erreur dans le processus, grâce à la stabilité inhérente à l’ADN reproducteur. En plus d’un gain de fonction, on a donc ainsi créé ce que Couey appelle un « gain de pureté ».
Le SARS-CoV-2 est un virus ARN à simple brin qui utilise dans une population humaine l’ADN de l’hôte pour se reproduire. Lors de cette reproduction in vivo, contrairement à ce qui se passe en laboratoire, se produisent de nombreuses erreurs de réplication. Le résultat est qu’un grand nombre devient inapte à causer des symptômes, voire à se répliquer à nouveau – ce sont des virus à réplication défective ou à défaut de réplication. Le résultat est donc une masse de virus dont seule une fraction est identique au modèle de départ. Ils sont désignés par le terme « quasi-espèce » (quasi-species). Lorsqu’ils infectent un hôte, ils constituent un « essaim viral » (swarm), dont seul un petit pourcentage est virulent. C’est donc, pour ainsi dire, un premier mécanisme naturel de contrôle des épidémies.
Un autre mécanisme expliqué par Couey et repris par Katherine Watt ci-dessus, est que les hôtes qui développent une infection létale meurent avant d’avoir pu contaminer d’autres personnes. Qu’il y ait décès ou non, l’état général des infectés est de toute manière suffisamment mauvais pour qu’ils se retirent eux-mêmes très tôt de la circulation – à noter que le Dr Meryl Nass donne plusieurs contre-exemples de ce schéma lors de la susdite conférence zoom. Le virus en circulation s’éteint ensuite purement et simplement, faute d’hôtes. Pour cette raison, les virus à fort taux de létalité sont de très mauvais candidats pour créer une pandémie. Couey cite une fuite de laboratoire antérieure qui a suivi ce schéma (8 000 contaminations, 800 morts, fin de l’épidémie).
Depuis cette présentation, pour une raison qui m’échappe, Couey a succombé à une explication simpliste de la pandémie, rapportée ici avec enthousiasme par Michael Senger, un opposant contrôlé avec un bouquin à vendre sur la culpabilité de la Chine, sujet répété ad nauseam, sur lequel je reviens plus bas avec un point de vue assez différent. Couey pense aujourd’hui qu’il n’y aurait eu aucun nouveau pathogène et que la pandémie ne serait le fait que d’une simple manipulation statistique. Par conséquent, je ne parlerai plus de JJ Couey à l’avenir, pour les mêmes raisons qui me font abandonner tous ceux dont le raisonnement « plafonne » – ou dévie de manière suspecte. Je peux vous assurer avec 100% de certitude, de ma propre expérience et de celle de centaines de personnes dont j’ai lu le témoignage (dont celui-ci) que sa conclusion est fausse. C’est bien un nouveau pathogène, qui provoque un nouveau train de symptômes, aussi étrange qu’épouvantable.
En ce qui concerne la possibilité que ce virus se diffuse et crée une pandémie malgré cet inhérent défaut de réplication, Kevin McKernan donne une réponse – qui ne convainc pas tout le monde – sur cette page ainsi que dans ses commentaires sur cette page:
Mon interprétation de son podcast était qu’un clone infectieux ne durerait pas longtemps dans un essaim…
Je pense qu’il peut durer suffisamment longtemps pour faire le tour du globe comme l’a fait Alpha.
Il est rejoint sur ce point par le Dr Brian Mowrey, autre auteur très prolifique sur Substack, aux publications très fouillées et documentées. En résumé, son angle est de laisser toutes les options sur la table, ce qui donne parfois l’impression qu’il tente de noyer le poisson – c’est quelqu’un d’intéressant mais je lui fais très moyennement confiance. Il retrace une histoire hautement suspecte de la polio, vu ce qu’on en sait maintenant. Il conteste la date d’apparition du VRS, et donc son origine iatrogéne – le vaccin anti-poliomyélitique. Il continue encore aujourd’hui avec obstination à enquêter sur l’origine naturelle ou synthétique du virus. Pour le sujet qui nous intéresse dans cet article, il estime, contrairement à ce que comprend Couey, que la rémanence de certaines souches plaide plutôt en faveur d’un mécanisme de stabilité du génome viral et par conséquent – ça devient intéressant – il ne croit pas beaucoup à l’émergence spontanée de variants (il l’explique ici, ici et ici) et laisse ainsi la porte ouverte à une possibilité de diffusions volontaires et multiples de clones, à commencer par l’original. Pour des raisons techniques qu’il développe en détail, il soupçonne un acteur autre que la Chine ou les Etats-Unis. Il explique à ce propos, qu’il n’y a pas eu de pandémie à proprement parler mais un ensemble de foyers épidémiques distincts, hypothèse partagée par plusieurs autres médecins, notamment le Dr Lee Merritt, qui colle assez bien avec cette distribution étrange.
Voici la question, dont je parlais au début: vu que la souche originale de Wuhan, dont on comprend mieux les différents modes d’action, était manifestement dangereuse, vu que c’est chez les personnes injectées, qui produisent la protéine de pointe de cette souche précise, que l’on voit aujourd’hui des morts subites (SADS, voir ici), vu que les vidéos émanant de Chine début 2020 montraient un genre similaire de mort subite, ces vidéos, jugées frauduleuses, étaient-elles en fait authentiques? Montraient-elles les conséquences d’une diffusion d’arme biologique létale? Dans l’affirmative, ce fait donnerait un tout autre sens à la politique extrême de zéro Covid du PCC. Les Chinois savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas – par exemple, les effets à long terme de la contamination au SARS-CoV-2?
J’ai à publier sur ces effets quelques articles du susmentionné Dr Chestnut, qui montrent que les personnes contaminées par le virus, l’injection et/ou l’excrétion vaccinale de personnes injectées, si on ne trouve aucun traitement adéquat, n’éliminent jamais cette protéine de pointe, qui continue à causer silencieusement des dégâts irréversibles aux organes, au système sanguin et au système immunitaire. Nous verrons donc une dépopulation, d’abord par les morts à court et moyen terme et la stérilisation, suivie par une réduction de l’espérance de vie au niveau global. L’arme parfaite. Le type qui a inventé ça est un génie.
Technocratique ou non, il semble que l’élite compte pour instaurer son système un rétablissement de l’ancien cadre féodal, ou du moins de la notion qu’ils en ont. En recréant l’exode rural par les « villes intelligentes », en recréant la disette alimentaire par la suppression de protéines animales essentielles, le rationnement et la pénurie permanente, en recréant l’indigence avec la ruine économique et l’appauvrissement institutionnel que permettront revenu universel et monnaie digitale programmable des banques centrales, en recréant le sacrifice patriotique par les sanctions contre la Russie, en recréant les anciens cultes par un système de croyances « vertes » et en recréant le spectre des grandes épidémies par une arme biologique destructice de la résistance humaine.
Les médecins sont redevenus de dangereux charlatans, les hôpitaux des mouroirs surchargés. Les gens ont froid, les gens ont faim. La misère et la peur du lendemain sont de retour.
Je reviens avec une floppée d’articles qui me prennent énormément de temps à compiler. Patience…
En attendant, voici de quoi aborder cette nouvelle manipulation des faits, après la précédente du même personnage. Une bonne partie de mon boulot est de dénoncer l’opposition contrôlée. Ceci en est un bon exemple.
Je l’ai déjà dit et les faits me donnent raison: Stew Peters est un agent.
Si c’est un agent, c’est bien que le Renseignement fait son boulot de contrôle de l’information.
C’est donc qu’il y a bien quelque chose à contrôler.
« Morts Subitement », nouvelle saloperie de Stew Peters
Le même qui nous avait discrédité avec la connerie « Le COVID est causé par du venin de serpent »
Josh Guetzkow
23 novembre
[Cet article a été considérablement révisé. Pour la version non révisée du 24 novembre, voir ici].
Les gens parlent beaucoup du nouveau documentaire « Morts Subitement ». Je l’ai regardé, et il m’a mis en colère. Voici pourquoi.
Ce film contient d’excellentes informations. Des informations qui pourraient – potentiellement – ouvrir les yeux et les esprits des gens. Les entretiens avec les embaumeurs et les entrepreneurs de pompes funèbres sont particulièrement impressionnants. La longue matière fibreuse blanche qu’ils ont trouvée dans les artères et les veines des personnes décédées après le déploiement des vaccins est absolument effrayante. Ce n’est pas nouveau, mais c’est présenté ici de manière très convaincante, en particulier dans la scène où on la voit être retirée d’un cadavre au cours d’une séance d’embaumement.
Le film aurait été bien plus efficace s’il s’était concentré sur cette scène et avait approfondi le sujet. Par exemple, on se demande toujours si les caillots sont à l’origine de la mort des gens ou s’ils se forment post mortem. Il aurait été utile de montrer de quoi ils sont constitués et de prouver qu’ils sont distincts d’un autre type de coagulation post mortem. Bien d’autres choses auraient pu être faites pour étayer le dossier des caillots.
Mais malheureusement, le film entache et ternit les informations sur les caillots ainsi que d’autres informations importantes1 en les saupoudrant d’un tas de conneries. C’est vraiment dommage car ce film contient beaucoup d’informations authentiques et dignes d’intérêt, qui sont à présent entachées par leur association à une masse de fausses informations.
Le montage d’ouverture du film, entrecoupé de séquences relatives à des personnes mourant subitement, présente des images et des séquences relatives à ce qui suit: MK Ultra, la CIA et le projet Mockingbird, Lee Harvey Oswald et l’assassinat de JFK, des écrans verts avec des décapitations d’ISIS et des écrans verts de Zelensky, les mensonges de George W. Bush sur les ADM en Irak, les mots « Conspiracy Theory » (théorie du complot), Alex Jones portant un chapeau en aluminium, le reportage prématuré de la BBC sur l’effondrement du bâtiment 7 du WTC, des (fausses?) images de l’alunissage, des OVNI, Bigfoot et ce qui semble être le monstre du Loch Ness.
Quel était l’intérêt de parsemer le montage de tous ces clichés de théorie du complot? S’agissait-il d’implanter dans l’esprit du spectateur que ce qu’il allait voir était comparable à Bigfoot et au monstre du Loch Ness? Que seul un théoricien de la conspiration coiffé d’un chapeau en aluminium prêterait attention au contenu de ce film? Que tout ceci n’est qu’une théorie du complot comme les autres?
Pour quelle autre raison voudrait-on associer son film à ces éléments, si ce n’est dans le but de le discréditer aux yeux de tous les observateurs qui ne sont pas « branchés » théories du complot? Si le but était de toucher un public plus large, le documentaire se tire une balle dans le pied dans ses trois premières minutes – même si toutes les théories du complot auxquelles il est fait allusion dans ce montage sont réelles. S’ils veulent saboter leur propre film, très bien. Mais ils discréditent aussi tous ceux qui luttent contre le fascisme biomédical, en associant tout ce qui se trouve dans ce film à Bigfoot. Et ça me fout en rogne.
N’oubliez pas que c’est Peters qui nous a présenté le film, aujourd’hui totalement discrédité, qui tentait de démontrer que le COVID était mortel parce qu’il présentait des similitudes avec le venin de serpent et qu’il était diffusé par de l’eau contaminée. Soit lui et son équipe sont incapables de faire un tri dans les informations fiables, soit ils sont engagés dans une campagne délibérée visant à discréditer le mouvement pour la liberté en matière de santé.
Quel est l’intérêt de produire un tel documentaire si ce n’est d’essayer de toucher un public plus large, des personnes peu convaincues mais potentiellement persuadables? Et si c’est là l’intention, associer immédiatement son projet à Bigfoot, etc. est une très mauvaise idée. En outre, il faut faire le maximum pour s’assurer que toutes les informations et tous les faits contenus dans le film ont été soigneusement vérifiés. En le truffant de mensonges faciles à débusquer par les opposants et les vérificateurs de faits, il sera très facile d’ignorer le reste du contenu et de le jeter aux oubliettes.
De nombreuses personnes m’ont dit quelque chose du genre « Ce film fait merveille pour réveiller les gens. Qu’importe s’il n’est pas tout à fait exact ou s’il est sensationnaliste ». Pour être clair, le ton du film ne me pose pas vraiment de problème. Il faut faire preuve de stratégie dans ses messages si on veut toucher un public plus large. Mais c’est une fausse dichotomie. Il est possible d’être 100% véridique et précis tout en insufflant un message stratégique dans un film. Ce sera bien plus efficace et c’est une meilleure stratégie à long terme. Nous ne pouvons pas avoir pour principe que la fin justifie les moyens. C’est la mentalité de ceux que nous combattons. Si nous ne sommes pas meilleurs qu’eux, alors nous avons déjà perdu.
De plus, cet argumentaire ne tient pas compte des dommages que le film a causés à notre cause. Les avantages et les inconvénients potentiels sont assez intangibles et difficiles à évaluer, mais si le calcul est purement utilitaire, il faut au moins essayer de les pondérer les uns par rapport aux autres.
Igor Chudov a récemment traité d’un article réellement publié dans une revue scientifique préconisant d’ « immuniser contre la désinformation sur le COVID-19 » en exposant les gens à des informations délibérément absurdes. Voilà pourquoi il est si important que nous soyons rigoureux.
Il s’avère que l’équipe à l’origine de ce film a commis des erreurs basiques, comme celle d’inclure les images d’un jeune basketteur qui s’est effondré sur le terrain en décembre 2020, avant le lancement du vaccin COVID, et qui n’est même pas mort. Vu la quantité de séquences disponibles, pourquoi choisir celle-là? Et ce n’est pas la seule. Il y a d’autres erreurs fondamentales discutées dans cet article de Steve Kirsch. Steve rejette la faute sur le vérificateur de faits de ne pas avoir mentionné l’essentiel du film (les caillots), mais si les faits sont concrètement faux, c’est la faute des réalisateurs, pas des vérificateurs de faits. Ne tendez pas la perche à ceux qui vivent au fond du trou pour qu’ils s’en emparent!
Voici quatre inexactitudes supplémentaires qui m’ont sauté aux yeux comme le nez au milieu de la figure. Il y en a peut-être d’autres:
La couverture des données DMED (la base de données médicales de l’armée). Matthew Crawford s’est penché sur les données DMED et a découvert que les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. (Les détails sont un peu plus nuancés, mais cela résume l’essentiel de l’erreur). [NdT. désolé, j’ai moi-même relayé cette information en toute bonne foi; considérez donc le présent commentaire comme un démenti de cet article et de celui-ci – j’ai inclus un avertissement sur ces deux pages] Cela signifie que, bien qu’il y ait eu une augmentation de nombreux diagnostics de santé différents, elle était loin d’être aussi importante que ce que ces dénonciateurs pensaient et que Thomas Renz a fait connaître par son témoignage lors de l’audition « Second Opinion » du sénateur Ron Johnson, qui apparaît dans le film. Le plus étrange dans tout cela, c’est qu’aucune des personnes impliquées dans la mise en lumière du scandale DMED n’a manifesté le moindre intérêt à corriger ses erreurs ni ne l’a fait dans le cadre de ce film alors qu’elles avaient été dûment notifiées de leurs erreurs, et que donc ces fausses informations continuent d’être répétées et à présent amplifiées par Stew Peters.
Baisse des taux de natalité en Australie. Oui, les taux de natalité dans la plupart des régions du monde ont diminué de manière significative à la fin de 2021 et surtout en 2022, et dans de nombreux cas, cela peut être lié au déploiement des vaccins COVID, comme je l’explique dans mon article (mis à jour occasionnellement). Cependant, l’un des graphiques du film présente les statistiques de plusieurs pays, dont une baisse MASSIVE des taux de natalité en Australie, qui saute aux yeux. Il s’avère que cette baisse spectaculaire est simplement due à un problème d’information : le nombre de naissances à partir de décembre 2021 est largement sous-estimé lorsque les statistiques officielles sont publiées, et n’est généralement mis à jour que bien plus tard. L’énorme baisse montrée dans le film est donc tout simplement fausse.
Le taux incroyablement élevé de fausses couches dans le rapport de Pfizer à la FDA. La discussion sur le taux élevé de fausses couches rapporté par Pfizer à la FDA (plus de 80%) présente les données de manière complètement erronée. J’ai vu cette erreur répétée à de nombreuses reprises. Le 30 avril 2021, Pfizer a préparé un document d’expérience post-commercialisation à soumettre à la FDA, résumant tous les rapports d’événements indésirables (EI) qui avaient été soumis à Pfizer concernant leur vaccin COVID jusqu’au 28 février 2021. Voici une description (page 5) des sources de données utilisées pour ce document: La base de données de Pfizer sur l’innocuité contient des cas d’EI signalés spontanément à Pfizer, des cas signalés par les autorités sanitaires, des cas publiés dans la littérature médicale, des cas provenant de programmes de marketing parrainés par Pfizer, des études non interventionnelles et des cas d’EI graves signalés dans le cadre d’études cliniques, indépendamment de l’évaluation du lien de causalité. Il faut tenir compte des limites de la déclaration des effets indésirables des médicaments après leur commercialisation lorsqu’on interprète ces données: Les rapports sont soumis volontairement, et l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue. Parmi les facteurs qui peuvent influencer la déclaration d’un événement, citons: le temps écoulé depuis la commercialisation, la part de marché du médicament, la publicité faite autour d’un médicament ou d’un EI, la gravité de la réaction, les mesures réglementaires, la sensibilisation des professionnels de la santé et des consommateurs à la déclaration des événements indésirables liés aux médicaments, et les litiges.Le rapport indique que 270 grossesses uniques ont été signalées, dont 32 ont donné lieu à des résultats. Et parmi celles-ci, 25 ont fait l’objet d’une fausse couche, soit un taux de 78% (et si l’on inclut les mort-nés et les décès néonatals, le taux passe à 87,5%). Terrifiant! Sauf que ce n’est pas l’interprétation correcte de ces chiffres. Cette partie du document (tableau 6, page 12) énumère tous les rapports d’EI où la femme était enceinte. Dans certains cas, la grossesse était liée à l’EI (comme un rapport de fausse couche ou d’ « exposition de la mère pendant la grossesse ») et dans d’autres cas, elle ne l’était pas (douleur ou nausée au site de vaccination). Le plus grand nombre de rapports concernait soit une « exposition de la mère pendant la grossesse », soit une « exposition pendant la grossesse » (140 rapports combinés). Étant donné que le vaccin n’était pas recommandé à l’origine pour les femmes enceintes, le fait de l’administrer à des femmes enceintes pouvait être considéré comme un événement indésirable à signaler, même si rien de grave ne se produisait. Le calcul du taux de fausses couches est totalement dénué de sens car le dénominateur est inconnu. Il faudrait savoir combien de femmes enceintes ont reçu le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse avant la fin du mois de février 2021. Nous n’avons aucune idée de ce que ce nombre était, mais il était certainement beaucoup plus élevé que 32 ou 270. Considérez cela de la manière suivante: nous savons que les systèmes de déclaration volontaire comme le VAERS présentent une sous-déclaration massive. Il en va de même pour les données de sécurité « post-commercialisation » de Pfizer: il s’agit essentiellement de déclarations volontaires à Pfizer, qui peuvent provenir de personnes ou de systèmes de déclaration gouvernementaux basés sur des déclarations de personnes. Quelles sont donc les chances que le fait d’injecter une femme qui s’avère être enceinte soit perçu par quelqu’un comme un événement indésirable, et quelles sont ensuite les chances que cette personne signale cet EI à Pfizer ou à tout autre système qui se retrouve entre les mains de Pfizer? Les chances sont extrêmement faibles, ce qui signifie que les cas sont massivement sous-déclarés. Les chances sont beaucoup plus élevées si la femme est enceinte, qu’elle se fait injecter et qu’elle fait une fausse couche ou qu’elle ait un enfant mort-né peu de temps après (bien que même dans ce cas, il y ait une forte sous-déclaration). D’une manière ou d’une autre, les informations contenues dans le rapport ont été interprétées comme si Pfizer avait suivi ces femmes enceintes, et parmi celles dont l’issue de la grossesse est connue, un pourcentage énorme avait fait une fausse couche. Dans certains cas, j’ai même vu des gens parler de « femmes enceintes de l’essai clinique de Pfizer ». Non! Ce n’est pas ce dont il s’agit. Les données sont générées d’une manière similaire à celle du VAERS, sauf qu’ici on ne peut même pas utiliser le nombre total de personnes (ou de femmes) vaccinées – il faudrait connaître le nombre total de femmes enceintes, et nous ne le savons pas, et Pfizer non plus. L’essentiel est donc que les informations sur les fausses couches contenues dans le rapport Pfizer ont été mal interprétées, que cette erreur d’interprétation a été répétée et amplifiée ad nauseum (y compris dans « Morts Subitement »), et qu’en fait le rapport ne fournit absolument aucune indication sur le taux de fausses couches après la vaccination COVID. Des erreurs similaires ont été répétées concernant une étude du CDC publiée dans le NEJM à l’automne 2021 sur la base des données V-Safe, qui est traitée et corrigée dans cet article. Voir également la discussion basée sur les données actualisées de V-Safe ici:
Le programme de dépopulation. On montre à environ 5 minutes du début du film une conférence Ted Talk de Bill Gates en 2010, où il dit : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Il va passer à environ neuf milliards. Maintenant, si nous réalisons un excellent travail en matière de nouveaux vaccins, de soins de santé, de services de santé reproductive, nous pourrions faire baisser ce chiffre de, peut-être, 10 ou 15%. » Puis, on passe à Chad Whisnat, un entrepreneur de pompes funèbres au franc-parler, qui dit quelque chose comme: « Bill Gates a dit qu’il allait réduire la population avec des vaccins. Je ne vois pas d’autre explication au fait que ces vaccins vont tuer des gens. C’est du simple bon sens. Je n’étais pas un anti-vaccins mais j’en suis un maintenant. » Je suis d’accord que c’est une interprétation de simple bon sens de cette déclaration. Et je suis d’accord sur le fait que les personnes au pouvoir, y compris Bill Gates, parlent publiquement de la nécessité de réduire la population mondiale – il existe en ce sens un programme de l’élite. Et ce programme n’a rien à voir avec l’interprétation de simple bon sens que fait Chad des propos de Bill Gates. Tel que déclaré publiquement, le programme de dépopulation de l’élite est une tentative de réduire la croissance de la population. Et le moyen publiquement déclaré d’y parvenir est de faire baisser le taux de natalité en réduisant la mortalité infantile, en améliorant le niveau de vie et en créant un meilleur accès à la contraception et à l’avortement. Il est bien connu que dans les régions où le taux de mortalité infantile est élevé, les femmes ont davantage d’enfants. Il y a plusieurs raisons à cela que je n’aborderai pas, mais il suffit de dire que lorsque la mortalité infantile diminue, les femmes ont moins de bébés. Il en va de même lorsque le niveau de vie augmente. La réduction du taux de natalité fait plus que compenser le nombre de vies infantiles sauvées, de sorte que, globalement, on obtient une réduction de la croissance démographique au fil du temps. Si les campagnes de vaccination de masse des bébés dans les pays pauvres réduisent la mortalité infantile, alors il est possible (de manière quelque peu contre-intuitive) de réduire la croissance démographique – sans tuer les gens et sans les rendre infertiles. Je ne vais pas m’attarder sur les preuves à l’appui ou à l’encontre de l’affirmation selon laquelle les vaccinations réduisent la mortalité infantile dans les pays pauvres, ni sur la question de savoir si c’est le meilleur moyen d’atteindre cet objectif, principalement parce que mon propos n’est pas de savoir si c’est vrai ou si Gates ou quiconque le croit réellement. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a une autre façon de comprendre ce que Bill Gates a dit dans son Ted Talk et une autre façon de comprendre les objectifs et les moyens de ceux qui parlent de la nécessité de réduire la population mondiale – une façon qui n’inclut pas le meurtre de masse et la stérilisation forcée (bien que certains considèrent l’avortement comme un meurtre de masse). D’emblée, « Morts Subitement » insiste lourdement sur l’idée que Gates et tous ceux qui parlent de réduire la population mondiale veulent nous tuer et nous stériliser. Le problème est qu’ils ne reconnaissent ni n’abordent jamais l’autre façon d’expliquer ce qu’est le programme de dépopulation – celle axée sur la réduction des taux de croissance en diminuant la mortalité infantile. Tout ce qu’ils proposent est l’interprétation du « simple bon sens ». Et même si c’est vrai, cette façon de présenter les preuves factuelles de l’augmentation des décès et de la réduction de la fertilité suite aux injections de COVID-19 est désastreuse. On ne convaincra jamais quelqu’un qui n’est pas convaincu par ces faits s’ils sont formulés sous l’angle que les élites essaient de tuer et de stériliser la population, pour la simple raison que les déclarations publiques de ceux qui soutiennent le programme de réduction de la population autorisent une interprétation différente, plus bienveillante, de leurs actions. Cela ne signifie pas qu’il faille les croire ou prendre leurs déclarations publiques pour argent comptant, mais simplement que, si on veut que les faits présentés dans le film atteignent un public plus large, on se tire une balle dans le pied en présentant les preuves de cette manière. Et s’ils voulaient faire valoir que l’explication des événements actuels tient au simple bon sens d’un programme de dépopulation maléfique, il fallait alors aborder l’interprétation alternative et expliquer pourquoi celle-ci n’a pas de sens ou ne peut constituer la seule explication. Par exemple, ils auraient pu évoquer l’implication de l’OMS dans la campagne de vaccination contre le tétanos au Kenya, qui contenait également un antigène rendant les femmes infertiles, comme le montre ce documentaire. Ils auraient pu apporter des preuves et des arguments démontrant qu’il n’est pas possible d’infléchir la courbe de la croissance démographique en vaccinant ou en réduisant la mortalité infantile. Au lieu de cela, ils proposent une interprétation unilatérale et de simple bon sens du programme des élites en matière de contrôle de la population, qui, même si elle est vraie, constitue un argument facile à rejeter. [Veuillez ne pas interpréter ceci comme une défense de Bill Gates. Je ne prétends pas que ses intentions sont bienveillantes. Je signale simplement l’existence d’un cadre plus général et bienveillant du programme de dépopulation qui peut être invoqué pour interpréter ses déclarations publiques et celles d’autres personnes et qui pourrait discréditer complètement les informations importantes contenues dans ce film. Dans la section des commentaires, Igor Chudov affirme que cette question est quelque peu académique, puisque, vu la conjonction de la surmortalité des jeunes et de la baisse du taux de fécondité, nous connaissons une dépopulation de facto, qu’elle soit intentionnelle ou non. Je suis d’accord].
Je me suis complètement lavé les mains de Stew Peters après le fiasco de son histoire de venin de serpent de « Watch the Water« , et « Morts Subitement » ne lui offre aucune rédemption. Ce n’est pas quelqu’un en qui on peut avoir confiance. En ce qui me concerne, Stew Peters donne de nous une mauvaise image, et que ce soit intentionnel ou non n’a rien à voir avec le sujet, car dans tous les cas, il nuit au mouvement parce qu’au final, il nous discrédite, même s’il a raison sur certains points. À l’avenir, il mérite 100% de notre dérision et 0% de notre attention.
On a dit: tout le monde fait des erreurs et aucun documentaire n’est fidèle aux faits à 100%. Bien sûr, c’est vrai, et j’ai moi-même fait plus d’une erreur de bonne foi. Mais même si toutes les erreurs de ce documentaire peuvent être attribuées à « tout le monde fait des erreurs », cela n’explique pas la tentative de discréditer le film en l’associant à un tas de théories du complot comme Bigfoot et le monstre du Loch Ness. Ma conclusion est donc que ces erreurs n’étaient pas de bonne foi.
Je ne l’ai pas regardé mais il paraît qu’il est rempli d’incohérences, qui seront reprises par le camp pro-vaccin. C’était peut-être le but.Entièrement d’accord, jamais je ne pourrais le montrer à un des moutons, ils ne tiendraient pas 5 minutes.Cruelle déception, sincèrement, ça m’a vraiment foutu en rogne. Ça ne fait que renforcer l’idée que tout ce dont nous souffrons n’est qu’une théorie du complot.C’est l’objectif.
[Post-scriptum: Stew a récemment interviewé un scientifique israélien, le Dr Shmuel Shapira, qui était directeur de l’institut biologique de l’État. Il a été blessé par les vaccins COVID et lorsqu’il a rendu l’affaire publique, sa réputation a été détruite par l’establishment. Voici comment Stew a présenté l’interview:
Israël conclut un ACCORD SECRET avec Pfizer pour exterminer sa population; les Etats-Unis envoient des militaires en Ukraine
Inutile de dire que le Dr Shapira était mortifié. Il avait déjà mis sa réputation en jeu en s’exprimant. Il a dénoncé publiquement l’interview et a exprimé son regret de l’avoir accordée].
(1): Outre les caillots post mortem, je considère que les informations suivantes sont authentiques et importantes: l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues qui ne peut être expliquée par la COVID; le déclin des taux de fécondité; les personnes qui s’évanouissent en direct sur vidéo; de nombreuses personnes, surtout des jeunes, qui meurent soudainement sans raison apparente; et l’augmentation des cancers agressifs.
On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.
Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.
Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?
Bon, ça c’est fait.
Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:
Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:
Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais). Alors que faire? Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui. On peut le faire sans honte.
Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!
[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».
On nous a dit que de mystérieux vaccins avaient été instantanément « mis au point en deux jours« , à l’aide d’une nouvelle technologie connue pour son échec total, contre un agent pathogène (coronavirus) contre lequel aucun vaccin n’a jamais fonctionné.
On nous a présenté la misère des confinements, des fermetures d’entreprises, de l’imposition de masques aux enfants, etc. comme la « voie à suivre pour se faire vacciner ».
On nous a menti en nous disant que nous devions accepter ces vaccins parce qu’ils « arrêtaient la transmission » et « mettraient fin à la pandémie ».
Je suis sûr que j’oublie de nombreux autres aspects sinistres de l’histoire du Covid-19.
Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.
Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!
Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.
Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.
Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.
Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.
Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.
Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.
« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »
En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »
Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.
Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.
Quel cadre?
Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.
A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.
Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.
Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.
Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.
On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.
Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?
A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.
Alors, pourquoi?
J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.
Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.
Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…
Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.
Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agenda – félicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.
Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?
[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.
Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.
Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.
La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.
Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.
Ok, réfléchissons deux minutes.
Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.
Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.
Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.
Parlons maintenant des hasards.
Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjàlevé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?
Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?
Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?
Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .
Vous nous prenez vraiment pour des gosses!
Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en1997:
[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.
Et on termine en musique.
Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger Je vois que vous êtes très bien nourris Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Le prochain truc que je vous dirai sera vrai Le dernier truc que je vous ai dit était faux Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire
Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder
Assez parlé! Assez parlé!
Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous
Prenez tous les leaders du monde entier Mettez-les ensemble sur un grand ring Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi
Ramassez les morceaux quand le combat est terminé Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante
Assez parlé!
DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh
Nous avons déjà commencé à rendre sa place à l’Allemagne dans le programme de destruction de l’Europe avec plusieurs articles: un de Robert Kogon, un de Rupert Darwall. N’oublions pas une mention spéciale à notre vieil ami théoricien du Quatrième Reich, Klaus Schwab (ici, ici et ma lettre ouverte ici).
En voici un autre, encore de Robert Kogon. Comme vous le lirez, vous êtes défendus au niveau européen par une bande de clowns – qu’on désignait autre fois par le terme « collabos ». Rappelons que, comme c’est très bien expliqué dans cet article de Katherine Watt et dans la présentation d’Alexandra Latypova, il s’agit d’une action militaire américaine et que les diverses sociétés participantes bénéficient, par contrat, d’une totale impunité. Ce comité est donc juste un spectacle de cirque.
Si j’ai le temps, je me pencherai – avec un peu de retard – sur le cas de Mme von der Leyen.
Où est BioNTech? La farce de « l’audition de Pfizer » du Parlement Européen
par Robert Kogon
29 octobre
Une récente audition d’un comité du Parlement européen a généré de très nombreux clips sonores très percutants qui ont fait le tour de Twitter et ont attiré l’attention, en particulier, sur les méfaits présumés du fabricant de vaccins C-19 le plus connu au monde, Pfizer.
Les membres de ce comité avaient espéré poser des « questions gênantes » – comme l’a dit Virginie Joron, membre française du comité, dans une vidéo publiée sur Twitter – au PDG de Pfizer, Albert Bourla, mais, suite à l’annulation de ce dernier, ils ont dû se contenter de l’infortunée et jusqu’ici inconnue représentante de la société, Janine Small.
Mais ce qui est plus problématique, c’est que si les membres du comité ont effectivement posé des questions gênantes, ils les ont posées à la mauvaise entreprise et, de plus, ce faisant, ils ont dissimulé des questions autrement plus gênantes: avant tout, pour l’UE elle-même.
Les contrats d’achat exorbitants que la Commission Européenne, sous la direction de sa présidente Ursula von der Leyen, a signés au nom de tous les États membres de l’UE étaient au cœur des préoccupations du comité, et des soupçons de corruption ont plané sur les procédures en raison de textos que la Présidente allemande de la Commission est censée avoir échangés avec Bourla, commodément absent.
La question du moment était la suivante: Où est Bourla ? Dans le cadre d’une action coordonnée, des membres du comité critiques à l’égard des vaccins, comme Joron, ont même déployé des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Où est le PDG de Pfizer/la Transparence? » pendant la session.
Virginie Joron, membre française du Parlement Européen, lors de l’audition du comité COVI le 10 octobre
Mais la question la plus pertinente aurait dû être: Où est BioNTech? Car, bien que cela n’apparaisse pas du tout à l’écoute des membres du comité, ces contrats ne sont pas conclus avec Pfizer, mais plutôt avec un consortium composé de Pfizer et de la société allemande BioNTech. De plus, c’est la société allemande BioNTech, et non Pfizer, qui détient l’autorisation de mise sur le marché dans l’UE, comme d’ailleurs sur pratiquement tous les marchés où est vendu ce qui est en fait le vaccin de BioNTech, et non celui de Pfizer.
Détail de la page d’information de l’Agence Européenne des Médicaments sur le vaccin « Comirnaty »
En outre, BioNTech n’est pas n’importe quelle entreprise allemande. C’est une entreprise allemande qui, comme je l’ai expliqué en détail dans mon précédent article sur Brownstone, a été fortement encouragée et subventionnée par le gouvernement allemand tout au long de sa brève histoire. En effet, le gouvernement allemand a parrainé la fondation même de BioNTech dans le cadre d’un programme « Go-Bio » spécialement dédié à la promotion des start-ups biotechnologiques allemandes, qui fournissait non seulement un financement, mais aussi un encadrement gouvernemental, ainsi qu’une assistance pour attirer les investissements privés. (Voir la description du programme [en allemand] ici).
La présidente allemande de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, était elle-même membre des deux gouvernements allemands successifs qui ont fourni des fonds « Go-Bio » aux start-up, en deux séries, d’abord à l’équipe de recherche du PDG de BioNTech, Ugur Sahin, à l’Université de Mayence, à partir de 2007, puis à l’entreprise après sa fondation en 2008. (Voir ici [en allemand].) Von der Leyen a en effet été membre du gouvernement allemand à divers titres pendant pas moins de quatorze ans, le plus récemment comme Ministre de la Défense, avant d’être parachutée directement au poste de présidente de la Commission Européenne – alors qu’elle n’avait même pas été candidate à ce poste!
Pendant plus d’une décennie, malgré le soutien continu du gouvernement allemand, BioNTech est restée, en fait, une start-up permanente, qui n’a jamais enregistré que des pertes et n’a jamais même été proche de mettre un produit sur le marché. Jusqu’à l’avènement du Covid-19, où la société a rapidement réorienté son travail de développement d’une thérapie anticancéreuse à base d’ARNm (qu’elle a curieusement aussi appelée « vaccin ») vers le développement d’un vaccin Covid-19 à base d’ARNm.
Sans surprise, le sponsor étatique de l’entreprise, l’Allemagne, allait également devenir le principal sponsor de son vaccin, en fournissant à l’entreprise une subvention de 375 millions d’euros pour soutenir ses efforts en septembre 2020. Le 17 septembre, deux jours seulement après l’annonce de la subvention, BioNTech a annoncé qu’elle allait acheter l’énorme installation de production de Marbourg [NdT. oui, comme la maladie] qui lui permettrait de devenir – pratiquement du jour au lendemain – un important fabricant de vaccins à part entière et de ne pas dépendre uniquement de titulaires de licences comme Pfizer pour fabriquer en son nom.
(L’installation achetée est, soit dit en passant, le plutôt tristement célèbre Behringwerke, qui, en tant que filiale du bien plus tristement célèbre trust chimique IG Farben, a été impliqué dans l’essai de vaccins expérimentaux sur les détenus du camp de concentration de Buchenwald pendant la Seconde Guerre mondiale. Voir la première entrée ici, par exemple, du musée du Mémorial de Buchenwald. Mais notez que beaucoup plus de personnes sont mortes que les cinq détenus mentionnés).
Mais le gouvernement allemand n’a pas été le seul à soutenir le vaccin de BioNTech, l’UE elle-même l’a également soutenu! En effet, en juin 2020, avant même que l’Allemagne accorde sa subvention de 375 millions d’euros, la Banque Européenne des Investissements (BEI) de l’UE – sous la direction de son président de longue date, l’ancien fonctionnaire du ministère allemand des affaires étrangères Werner Hoyer – avait déjà accordé à la société un financement par emprunt de 100 millions d’euros pour soutenir ses efforts en faveur du vaccin C-19.
C’était le deuxième crédit de ce type que la BEI accordait à BioNTech. À la mi-décembre 2019 – oui, pratiquement en même temps que la première épidémie de Covid-19 signalée à Wuhan, en Chine! – la BEI avait déjà accordé à l’entreprise un financement par emprunt de 50 millions d’euros.
Ce sont précisément ces relations étroitement imbriquées, pour ne pas dire incestueuses, entre BioNTech, le gouvernement allemand et l’UE elle-même qui sont occultées par le « scandale » très médiatisé, mais tout à fait nébuleux, des textos entre von der Leyen et Bourla. L’intérêt d’évoquer ces textos est évidemment de montrer qu’il y a corruption.
Mais le problème n’est pas la corruption. Il s’agit plutôt d’un conflit d’intérêts flagrant qui a été intégré dès le départ dans le processus d’autorisation et de passation de marchés de l’UE, mais qui reste invisible tant que le cas de BioNTech est ignoré. C’est sans doute la raison pour laquelle la société était persona non grata lors de l’audition du comité du Parlement Européen sur le Covid: officiellement connue sous le nom de Comité COVI (sic).
Ceux qui ne connaissent l’audition que par Twitter seront sans doute surpris d’apprendre qu’elle a fait intervenir non seulement Small mais aussi des représentants de pas moins de cinq sociétés pharmaceutiques et qu’il s’agissait de la deuxième de deux sessions de ce type, la première impliquant des représentants de quatre autres sociétés. (La vidéo complète est disponible ici et ici).
Parmi les invités figuraient des représentants de Moderna (le PDG Stéphane Bancel), de la société anglo-suédoise AstraZeneca, dont le vaccin Covid-19 n’a même plus été utilisé dans l’UE depuis plus d’un an, et même de CureVac, le développeur de l’autre candidat vaccin à ARNm d’Allemagne, qui n’a jamais obtenu d’autorisation! Mais, étonnamment, aucune présence de BioNTech – tout simplement le propriétaire et le détenteur de l’autorisation de mise sur le marché de ce qui est de loin le vaccin C-19 le plus utilisé dans l’Union Européenne.
Au lieu de cela, les membres du comité ont effectué une visite privée au siège de BioNTech à Mayence, qui comprenait, selon le programme disponible ici, « une discussion ouverte entre les experts et les scientifiques de BioNTech et la mission du COVI, et un déjeuner: collations et rafraîchissements. » Cela semble en effet très confrontationnel!
Non seulement BioNTech n’était pas présent à l’audition publique, mais la simple prononciation du nom « BioNTech » dans un cadre public semble être tabou pour les membres du comité.
Ainsi, lors de l’ouverture de la dernière session, la présidente du comité, Kathleen Van Brempt, a gentiment réprimandé le patron de Small, Albert Bourla, pour son absence, en soulignant qu’il s’agissait d’une « personne d’intérêt majeur pour le comité » et que la société était, après tout, « le plus grand producteur et fournisseur de vaccins Covid-19 dans l’Union Européenne » – sans aucune mention de BioNTech, comme s’il n’y avait pas de consortium et que la société n’existait pas!
Et ce, bien que les informations relatives à l’approvisionnement en Covid-19 figurant sur le site Web de la Commission Européenne indiquent clairement que la commande gargantuesque de l’UE, qui représente jusqu’à 2,4 milliards de doses de vaccin, a été passée auprès de Pfizer et de BioNTech, et qu’elles donnent même – comme il se doit – la priorité à BioNTech. Alors, pourquoi Ugur Sahin, PDG de BioNTech, n’est-il pas une personne d’intérêt pour le comité?
Plus tard, le député néerlandais Rob Roos s’en est pris à Bourla, absent, parce qu’il ne souhaitait pas témoigner devant le comité, mais s’intéressait plutôt aux « milliards de bénéfices réalisés avec l’argent des impôts des citoyens européens ».
Rob Roos ne sait-il pas que Pfizer partage ses bénéfices à 50-50 avec BioNTech et que, dans l’ensemble, BioNTech a en fait gagné beaucoup plus sur les ventes du vaccin Covid-19 que son partenaire américain (voir mon article antérieur sur Brownstone ici)? A-t-il fait la même remarque aux représentants de BioNTech lors de la « collation » à Mayence?
En outre, le fait que BioNTech paie près d’un tiers de ses énormes bénéfices en impôts sur les sociétés, donnant ainsi au gouvernement allemand lui-même un intérêt direct dans la réussite de l’entreprise, ne soulève-t-il pas des questions plus importantes sur l’intégrité du processus d’approvisionnement que le fait que von der Leyen et Bourla aient échangé des textes?
Sans parler des effets bénéfiques sur la croissance allemande d’une entreprise qui est passée d’un chiffre d’affaires quasi nul à 19 milliards d’euros en une seule année! Plus de 15 milliards d’euros de ces revenus représentaient des bénéfices, ce qui donnait à l’entreprise une marge bénéficiaire de près de 80%. Et Rob Roos et ses collègues ne veulent parler que des bénéfices de Pfizer?
La députée française Michèle Rivasi a poursuivi cette étrange conspiration du silence en soulevant l’importante question de l’instabilité de l’ARNm, c’est-à-dire, en termes simples, le fait qu’une partie de l’ARNm du vaccin est dégradée et ne permet donc pas de produire l’antigène ciblé (la protéine de pointe).
Comme l’a mentionné Rivasi, cette question a été soulevée en tant que sujet de préoccupation par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA). Mais le document pertinent de l’EMA exige que la question soit traitée comme une « OS » – obligation spécifique – par le « TAMM ». Et qu’est-ce que le « TAMM »? [NdT. MAH en anglais] Eh bien, c’est le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché, bien sûr, et le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché est BioNTech. Pourquoi diable Rivasi a-t-elle soulevé la question vis-à-vis de Pfizer et non de BioNTech, comme l’exigent les propres lois de l’UE!
Mais l’exemple le plus ahurissant de la peur des parlementaires de prononcer le mot « BioNTech » a peut-être été fourni par le député roumain Cristian Terhes. Terhes a accusé Pfizer d’avoir commencé les tests de « son » vaccin Covid-19 le 14 janvier 2020, quelques jours seulement après la publication par le gouvernement chinois de la séquence génétique du virus. Il a réitéré cette accusation lors d’une conférence de presse ultérieure, placée sous le signe de l’autosatisfaction.
Il est en effet possible que les tests aient commencé aussi rapidement. C’est probablement le cas, puisque BioNTech n’a jamais caché avoir commencé à développer son vaccin à la mi-janvier 2020, juste après la publication de la séquence génétique. Voir, par exemple, la chronologie du « Project Lightspeed » de BioNTech ici. Mais Pfizer n’a rejoint le projet que deux mois plus tard, en signant son accord de collaboration avec BioNTech.
Donc, Cristian Terhes fait littéralement référence ici à BioNTech et l’appelle « Pfizer »! Pourquoi? Pourquoi cacher l’identité de la partie responsable des tests, qui devait pourtant être clairement indiquée dans le document de l’EMA que cite Terhes?
Même le moment le plus médiatisé de l’audience n’était, en fait, qu’un exercice de grandiloquence: à savoir, le désormais célèbre moment « gotcha » où Rob Roos a prétendument fait « admettre » à Small, manifestement en difficulté, que Pfizer n’avait jamais testé si le vaccin empêchait la transmission du virus. Rob Roos a assurément raison, comme il l’a fait remarquer dans un tweet, de dire que cela remet en cause toute la logique des passeports vaccinaux: « se faire vacciner pour les autres » a en effet toujours été un mensonge.
Mais quel que soit le nombre de fois où ce mensonge a été répété – surtout par des gouvernements et des organisations intergouvernementales comme l’Union Européenne – le fait que les essais cliniques n’étaient pas conçus pour tester la prévention de la transmission était connu dès le départ. Une autorité aussi importante que Tal Zaks, alors médecin en chef de Moderna, l’a reconnu publiquement dès octobre 2020, alors que les essais étaient encore en cours! (Voir les commentaires de Zaks à Peter Doshi dans le British Medical Journalici).
Et en ce qui concerne l’essai dit « Pfizer », soit dit en passant, BioNTech était le sponsor de l’essai, et BioNTech est identifié dans le dossier de l’essai clinique comme la « partie responsable » des informations s’y rapportant. Pfizer est simplement répertorié comme un « collaborateur ».
Voici les noms de certains des membres du Parlement européen les plus critiques ou sceptiques à l’égard des vaccins: Virginie Joron (France), Cristian Terhes (Roumanie), Ivan Sinčić (Croatie), Rob Roos (Pays-Bas), Michèle Rivasi (France) et Christine Anderson (Allemagne). Quand l’un d’entre eux surmontera-t-il sa logophobie et commencera-t-il à parler de BioNTech?
S’ils le font un jour, ils pourraient se poser les questions suivantes, qui ne sont pas des plus agréables: Ursula von der Leyen n’aurait-elle pas dû se récuser des négociations avec une entreprise qui a été si fortement promue par un gouvernement dont elle était elle-même membre moins d’un an auparavant ?
Et que dire de l’Allemagne elle-même, qui a participé directement aux négociations avec son protégé industriel en tant que membre de « l’équipe de négociation conjointe » des sept nations qui a assisté la Commission?
Robert Kogon est le nom de plume d’un journaliste financier largement publié, d’un traducteur et d’un chercheur travaillant en Europe. Suivez-le sur Twitter ici. Il publie sur le site edv1694.substack.com.
Bon, me voilà encore captif de l’actualité. Mais, vous allez voir, on va vite s’en débarrasser.
Vous serez peut-être tombés sur la vidéo de l’interview du Dr David Nixon par Maria Zee (ici en version mal sous-titrée), où il montre l’auto-assemblage de « nanorobots » dans des gouttes du produit de Pfizer, et/ou l’interview de Karen Kingston par Stew Peters (non sous-titrée) où il/elle explique à peu près la même chose, brevets à l’appui. Comme, après m’être fait passé pour un idiot pour m’être rué sur cette histoire de gain de fonction de l’Omicron, explication ici, je deviens de plus en plus prudent avec ce genre de « révélations », j’ai attendu que quelqu’un de manifestement qualifié en fasse l’analyse. Comme chez le médecin, un deuxième avis.
Ce deuxième avis vient de quelqu’un de très qualifié. J’ai lu tout son Substack, le gars est vraiment très pointu – c’est ce qu’on appelle communément « une tête ». C’est Sage Hana – que j’aime vraiment beaucoup et dont je tente de traduire l’humour le mieux possible – qui, après avoir fait un article autour de la vidéo de Nixon et demandé l’avis de ses lecteurs, publie la réponse de Science Analyst, un point de vue assez intéressant concernant cette histoire de nanotechnologie, à garder en mémoire aussi quand on lit la présentation de Mme Latypova.
Notes: 1. les enchiladas, tacos et autres plats mexicains sont un running gag de Sage Hana; 2. le Dr Aseem Malhotra est un celèbre cardiologue britannique; 3. méfiez-vous de Karen Kingston comme de la peste et de Stew Peters comme du choléra en temps de pénurie de papier toilette; 4. vous savez tous que CEM est l’abréviation de « champs électromagnétiques ».
Science Analyst propose une explication alternative à l’hypothèse de l’assemblage de la nanotechnologie par CEM
Sage Hana
29 octobre
Compte-rendu du Fonds pour la Statue du Dr Aseem Malhotra:
Les enchiladas demeurent une force sous-estimée, qu’il faut craindre dans l’actuel Classement des Aliments Mexicains.
Le mystère à résoudre: les injections expérimentales d’ARNm destinées à éliminer le troupeau contiennent-elles des nanoparticules d’oxyde de graphène qui s’assemblent dans l’organisme en réponse aux fréquences électromagnétiques (CEM)?
C’est une théorie que j’entends défendre depuis quelque temps déjà.
Récemment, Maria Zee a diffusé une interview du Dr David Nixon dévoilant des images vidéo d’un prétendu assemblage de nanotechnologies sous un microscope. Nixon suggère que ce processus d’assemblage semble dépendre de, ou être lié à, l’exposition aux CEM.
Mon bref article et l’intégralité de la vidéo source sont ici.
Je l’ai présenté à fin de discussion et réfutation.
J’en ai eu.
Ce qui est excellent.
Je veux savoir ce qui est vrai. Je veux savoir ce qui est vrai.
Science Analyst a gracieusement offert son expertise et des explications contradictoires, que je publie maintenant dans leur intégralité.
Merci, Analyst!
Science Analyst
Désolé pour la longueur de cette réponse, mais voici ma description complète. Ce truc est un poison, mais pour des raisons bien différentes de ce qui est dit dans la vidéo. Cette personne est clairement un débutant dans l’analyse au microscope. Je ne veux pas l’insulter, mais l’encourager à étudier davantage les faits.
Je vois une courte vidéo de cristaux en mouvement. Selon Nixon, c’est de la nanotechnologie (parce que ça bouge?). Et plus tard, il parle du réseau 5G. Un sujet que je connais bien. J’ai conçu des puces et la 5G nécessite une puce à 1M de transistors, une énorme antenne et un système de batterie. Très facile à voir, même à l’œil nu, et très visible au microscope. Donc techniquement, il n’y a aucune raison de penser qu’un cristal en mouvement puisse faire ça. Il est clair que c’est autre chose qui se passe. Mais permettez-moi de l’expliquer encore plus en détail:
On voit des mouvements comme celui-ci dans la plupart des lames de microscope, parce que le chauffage des lampes sous le microscope provoque un mouvement des fluides. Et peut provoquer la croissance ou la dissolution de cristaux. Ces réactions sont très dépendantes de la température, et tous les chimistes le savent. Parfois, on trouve même de la vie biologique sur les lames. Solution: faire appel à de vrais experts plutôt qu’à des débutants. On peut aussi regarder des vidéos sur YouTube sur la croissance des cristaux et s’informer à ce sujet. Il existe de nombreux cristaux différents. Certains se ressemblent vraiment beaucoup. Avez-vous déjà vu un cristal de neige se former? Ça ressemble aussi à un circuit.
Observez les cristaux de cholestérol. Ils sont carrés et ressemblent à un circuit. Il s’agit probablement d’une variante de ce produit chimique (le lipide des NPL?). Vous trouverez ces cristaux sur Google. Il existe probablement des experts en la matière qui pourront vous éclairer. Il y a aussi des experts en chimie qui savent quels cristaux se forment sous un microscope et sont capables de reconnaître de quels matériaux il s’agit.
À propos de la nanotechnologie. -> Je peux vous garantir qu’il n’y a absolument aucune nano-technologie avancée dans les diapositives montrées. Aucune. Pour toutes les raisons suivantes: (1) La nano-technologie n’est pas capable de s’auto-assembler, elle nécessite une machine de la taille d’une maison pour simplement parvenir à la précision nécessaire. Dans une salle blanche stérile, avec des matériaux purs à 100% et des contrôles de qualité minutieux. Donc pas dans un corps vivant dans un environnement pollué. (2) La nanotechnologie nécessite de nombreux fils et circuits pour exécuter la fonction la plus simple. Et de l’énergie. Et un système de contrôle. Il n’y en a rien de tout ça ici. Et dans le cas de la 5G (ou du Bluetooth), il en faut même des millions et une énorme antenne. (3) Les nanotechnologies, telles qu’elles sont présentées dans les conférences et les brevets, ne sont que de la science-fiction destinée à recueillir des fonds. En pratique, elles ne permettent d’accomplir que des tâches extrêmement simples moyennant un contrôle minutieux en laboratoire. C’est facile à vérifier en suivant les liens vers des démonstrations dans le monde réel. Les chercheurs y déplacent une spirale dans le corps à l’aide d’énormes champs magnétiques. C’est un peu comme faire bouger une marionnette en plaçant sa main à l’intérieur. Cela rend-il la marionnette intelligente ou vivante? Non, ça reste la même bête marionnette. (4) Les circuits doivent être parfaitement corrects, à 100%. Et pour remplir leurs fonctions, ils ont des millions de fils et de transistors. Une petite erreur et le circuit est totalement foutu.
On injecte au gens des objets artificiels dangereux, qui ressemblent à des virus et qui causent des ravages à long terme dans le corps. Associés à toutes sortes d’autres ingrédients toxiques pour les conserver (comme de l’antigel). Et des produits chimiques qui « activent » le système immunitaire ou l’endommagent carrément. Il ne devrait pas non plus se trouver de composants solides dans les injections. Tout cela constitue un mélange toxique, mais il n’y a aucune nanotechnologie dans aucune de ces vidéos (et j’ai vu 90% d’entre elles).
Conclusion: Il est absolument impossible que quelque chose de ce genre puisse s’auto-assembler dans le corps. Il faut de grosses machines pour projeter des circuits sur différentes couches chimiques au cours de centaines de processus chimiques purs à 100%. Si quelque chose s’auto-assemble, il ne peut s’agir que d’un processus chimique ou biologique de base.
Sur une note positive: je suis curieux de voir exactement quels processus chimiques et biologiques sont en jeu, mais il ne s’agit pas de « nanotechnologies auto-assemblées ». Et de telles théories facilitent beaucoup trop la tâche de Pfizer et de Gates.
Nous devrions peut-être tous partager des vidéos et des images des choses similaires. Cela pourrait nous aider à comprendre ce que nous regardons.
Voir aussi ici. [NdT. c’est un article en anglais de Science Analyst, que je n’ai pas tellement de temps pour traduire. Essayez mon article précédent du Pr Martin Pall.]
Postscriptum de Sage
C’était excellent et très convaincant. Merci à Science Analyst.
Je m’intéresse également aux réfutations des réfutations, aux théories alternatives et aux explications qui brisent le paradigme du « Pourquoi pas les deux? »
Oui, c’est compliqué.
Oui, les gens s’énervent.
Oui, les gens suivent la voie de l’ingénierie sociale « Arrêtez de chercher partout ».
*Remarque: je n’arrêterai pas de chercher partout. Pour ça, comptez sur moi.
C’est comme ça.
Ce n’est pas comme si la Science et les Experts n’avaient pas des points de vue radicalement divergents et semblaient être largement incapables d’admettre qu’ils se sont trompés.
(Ou qu’ils ont été cooptés, ou qu’ils ont été allègrement poussés à coups de pied dans l’Opération, parce que… quelque chose).
C’est extrait d’un papier sur le fake de Latunski. Miles y taille un costard à la CIA (qui en a vraisemblablement écrit le scénario) et en profite pour rhabiller aussi l’ensemble du narratif. C’est évidemment écrit pour les Etats-Unis mais vous y trouverez des points communs avec l’Europe, où il paraît qu’on manque de main d’oeuvre.
Exceptionnellement, j’ai inclus le texte original à la fin – ce que j’avais dit que je ne ferai plus – juste parce que c’est du Miles, donc bien écrit.
La moitié du pays a déjà quitté son emploi ou est sur le point de le faire, voir la Grande Démission, dont même le TIME a admis l’existence l’été dernier (en 2021) et qui a pris de l’ampleur depuis. Et la plupart de ceux qui travaillent encore ne font que tourner en rond, démissionnant sans démissionner. Intéressant, car c’est ce à quoi j’ai appelé il y a plusieurs années: une grève générale. Tout arrêter. Eh bien, apparemment, les masses m’ont entendu, soit par mon site, soit dans leurs rêves, puisque c’est en train de se produire. Même Wiki admet que les économistes du gouvernement appellent ça une grève générale, et c’était déjà en cours avant que le Covid n’arrive. Le Covid l’a juste accéléré.
Alors comment peuvent-ils continuer à prétendre que le chômage est de 3,7% ? Est-ce que ça a le moindre sens? Non, parce que leur définition du chômage est « à la recherche d’un emploi », ce qui n’inclut donc pas ceux qui ont démissionné et qui sont en grève, consciemment ou non. Ni la Grande Démission ni la grève générale n’apparaissent dans les statistiques du chômage, ce qui est absurde. La définition du chômage devrait être « sans emploi », celle du dictionnaire. Quel est donc le pourcentage de personnes aptes au travail (qui accepteraient un bon emploi dans une société équitable) qui sont au chômage en ce moment? Je dirais au moins un tiers, mais personne ne le sait car personne n’essaie de le calculer. Les économistes veulent vous cacher la réponse, le gouvernement veut vous cacher la réponse, et même la presse alternative veut vous cacher la réponse, puisqu’elle est aussi une façade de la CIA. Ils nous disent qu’environ 159 millions de personnes ont actuellement un emploi, mais ce n’est pas crédible puisqu’ils nous disent que ce chiffre a augmenté de 3% depuis 2019. Il est impossible que ce soit vrai, car si c’était vrai, nous ne serions pas en pleine Grande Démission. Par définition, il ne peut y avoir une Grande Démission et une augmentation de l’emploi en même temps. Sauf si la population augmente rapidement, ce qui n’est pas le cas. Comme on ne nous donne que des chiffres bidon, il est difficile d’estimer quoi que ce soit, mais étant donné qu’environ 63% des Américains ont entre 18 et 65 ans, il est possible d’obtenir un chiffre approximatif. Ce qui nous donne environ 208 millions de personnes sur le marché du travail potentiel, mais à ça il faut soustraire ceux qui ne peuvent pas travailler ou qui n’en ont pas besoin. Ce sont les personnes handicapées et les riches, mais la plupart des riches veulent travailler et ont un emploi. Il y a environ 40 millions de personnes handicapées dans ce groupe, mais seule une partie d’entre elles est empêchée de fournir un travail. Le gouvernement nous dit que seuls 10% des handicapés sont au chômage, mais ça n’a pas de sens non plus, alors on va l’ignorer. Disons qu’un quart d’entre eux le sont, et soustrayons 10 millions de notre nombre, ce qui nous donne 198 millions. Soustrayons encore 4 millions de riches qui ne veulent pas travailler et n’en ont pas besoin, ce qui nous donne 194 millions. Si 150 millions de ceux-ci sont effectivement employés, ça ne nous donne pas un taux de chômage de 3,7 %, mais de 23%. Et même ce chiffre est probablement trop bas, puisqu’on peut supposer qu’il n’y a déjà pas au départ 150 millions de personnes employées. Ce chiffre semble tout aussi truqué que les autres, et on peut supposer que le gouvernement l’a maintenu artificiellement élevé depuis le début, mais surtout au cours des dernières décennies. Tout comme il ne peut pas avoir augmenté depuis 2019, il ne pouvait pas non plus avoir augmenté avant 2019, puisque Wikipedia admet que la Grande Démission représente une tendance depuis 2010 [NdT. sur la version anglaise seulement et pas une tendance mais un potentiel, Miles]. Or, nous sommes censés croire que le nombre de personnes employées en 2010 était d’environ 140 millions. Donc là encore, une Grande Démission en même temps qu’une hausse du nombre des actifs occupés. Impossible. Ils nous disent que nous avons gagné 19 millions d’employés au cours des 12 dernières années, soit une augmentation de 13,5% alors que la population augmentait de 7,5%. Encore une fois, impossible, étant donné la Grande Démission. Donc si l’emploi réel est, disons, de 130 millions, quel est le taux d’emploi actuel? 33%. C’est à peu près ce que j’avais deviné.
Quoi qu’il en soit, nous avons vu que cette grève générale n’a pas épargné l’armée, nous pouvons donc supposer qu’elle n’a pas épargné les communautés du Renseignement. L’armée a été littéralement décimée par les démissions, les retraites et l’absence de recrutement [NdT. et les renvois des rétifs aux injections], ce qui signifie que la CIA l’a probablement été aussi. Aucune personne dotée d’un peu de dignité ne voudrait s’impliquer dans le Nouvel Ordre Mondial, à quelque niveau que ce soit. Personne ne veut travailler pour Sauron ou Palpatine. Ce qui explique pourquoi les nouveaux événements bidon sont si mal foutus. Ils ne tromperaient pas un enfant de dix ans, et les scénaristes se contrefichent qu’ils soient truffés d’incohérences. En fait, ils veulent que vous remarquiez les incohérences, c’est leur façon de torpiller leurs patrons sans que ça soit trop évident. Ils pourront toujours prétendre plus tard qu’ils étaient incompétents. « C’était les vaccins, patron, je n’étais pas fonctionnel à 100%! »
Ce qui indique que la CIA est dans le même état de débâcle que le reste du pays. Il y a longtemps qu’elle tombe en morceaux, mais maintenant elle s’effondre littéralement sous nos yeux, en tentant de nous vendre le pitoyable spectacle de clowns auquel nous sommes habitués chaque fois que nous regardons les informations. Et nous n’avons pas à nous inquiéter qu’une CIA faible soit absorbée par le DHS [NdT. Département de la Sécurité Intérieure], puisque le DHS est encore pire. Comme mon père avait l’habitude de dire, ils ne seraient pas foutus de vider une botte pleine de pisse avec le mode d’emploi écrit sur le talon. Vous n’avez pas à vous inquiéter de la Troisième Guerre mondiale, non seulement parce qu’il n’y a pas d’armes nucléaires [NdT. ici] et que la Russie n’est pas notre ennemi, mais aussi parce que les gouvernements du monde entier sont tous en train de s’effondrer. Ils n’arrivent même pas à gérer cette fausse escarmouche frontalière hollywoodienne en Ukraine, alors une guerre mondiale est hors de question. La Russie est depuis longtemps dans une situation bien pire que la nôtre, rappelez-vous, et même la fausse menace de mobilisation de Poutine a fait fuir des centaines de milliers de jeunes hommes dans les collines et au-delà des frontières. Ce serait encore pire ici, et une mobilisation conduirait immédiatement à une mutinerie de masse. Personne n’a envie de faire la guerre en ce moment, donc tout devrait être réalisé en images de synthèse. Aucun vrai soldat ne se présenterait, que ce soit en Europe, en Russie [NdT. on propose aux détenus de supprimer leur peine moyennant incorporation à l’armée privée Wagner – étrange, non?] ou aux États-Unis. Les producteurs de ce théâtre le savent, c’est pourquoi ils se rabattent sur la seule chose qui leur reste, ou qu’ils pensent leur rester: le fear porn, la pornographie de la peur. Ils essaient de vous mener à la baguette, comme un âne qui refuse de bouger, en vous montrant un barrage constant de champignons atomiques et de vidéos d’un Poutine bluffeur vous assurant qu’il ne bluffe pas. C’est pathétique, et vous savez que tout est faux puisque ça fuse de tous les côtés à la fois, de Tucker Carlson et Alex Jones [NdT. costard taillé à Alex Jones ici et ici] autant que de CNN ou du New York Times. Des champignons atomiques qu’on vous enfonce dans la gorge 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Des alertes de missiles entrants empruntées à WarGames, où Ally Sheedy et Matthew Broderick ont été coupés au montage, mais où l’ordinateur WOPR (whopper) est resté pour être sûr que vous fassiez un arrêt au Burger King.
Ce qui nous rappelle pourquoi ils ont tourné ce film en 1983: non seulement pour vendre des hamburgers, mais aussi pour vendre l’idée d’une guerre nucléaire, et pour maintenir au maximum le niveau de peur des années 50 en 1983 et au-delà, jusqu’à aujourd’hui. Ensuite, ce seront de champignons bidon sur vos cartons de lait, sur les bus municipaux et sur les bâtiments publics. Les pilules d’iode, les messages d’intérêt public sur la façon de se mettre à couvert et les exercices d’alerte à la bombe dans les écoles ne tarderont pas à arriver. Ils ne peuvent pas vous faire subir une vraie guerre, alors ils vous feront subir des exercices permanents, des avertissements et des alertes. Ils n’arrivent plus à gérer le monde réel, alors ils vous plongeront dans un monde factice et vous feront jouer dans leur pièce de théâtre à rallonge, comme ils le font depuis des décennies.
Texte original
Half the country has already quit their jobs or are about to, see the Great Resignation, which even TIME admitted was a real thing last summer (of 2021) and which has gotten bigger since then. And most of those still working are just spinning their wheels, quitting without quitting. Interesting, because I called for this several years ago: a general strike. Shut it down. Well, apparently the masses heard me, either from my site or through their dreams, since it is happening. Even Wiki admits government economists are calling it a general strike, and it was under way before Covid hit. Covid just accelerated it.
So how can they continue to claim unemployment is 3.7%? Does that make any sense? No, because they define unemployed as “looking for work”, so it doesn’t include those who quit and who are striking, either consciously or unconsciously. Neither the Great Resignation nor the general strike show up in unemployment statistics, which is insane. Unemployment should be defined as “not employed”, and according to the dictionary it is. So what percentage of the employable (they would take a good job in a fair society) are unemployed right now? I would guess at least a third, but no one knows because no one is trying to calculate that. Economists don’t want you to know the answer, the government doesn’t want you to know the answer, and even the alternative press doesn’t want you to know the answer, because the alternative press is also a CIA front. They tell us around 159 million people are currently employed, but that isn’t believable since they tell us the number has gone up 3% since 2019. There is no chance that is true, since if it were true we wouldn’t be in the middle of a Great Resignation. You can’t have a Great Resignation and an increase in employment at the same time, by definition. Unless population is rising quickly and it isn’t. Since we are getting nothing but fake numbers, it is hard to estimate anything, but given that about 63% of the US is between 18 and 65, we can get a ballpark number. That gives us about 208 million in the potential workforce, but we have to subtract out those who can’t work or don’t need to. That would be the disabled and rich, but most rich people do want to work and do have jobs. About 40 million people in that group are disabled, but only a portion are prevented from doing all work. The government tells us only 10% of the disabled are unemployed, but that also makes no sense so we will ignore it. Let’s say a quarter are, and subtract 10 million from our number, giving us 198 million. We will subtract another 4 million rich folks who don’t want to work and don’t need to, giving us 194 million. If 150 million of those are actually employed, that gives us not a 3.7% unemployment, it gives us 23% unemployment. And even that is probably too low, since we may assume there aren’t 150 million people employed to start with. That number looks just as fudged as any of the others, and we may assume the government has kept it artificially high all along, but especially in recent decades. Just as it can’t have increased since 2019, it couldn’t have increased before 2019, either, since Wikipedia admits the Great Resignation has been a trend since 2010. And yet we are supposed to believe the number of employed in 2010 was about 140 million. So again, a Great Resignation at the same time as a rise in employed. Impossible. They tell us we have gained 19 million employed in the past 12 years, a 13.5% increase while population was increasing by 7.5%. Again, impossible, given a Great Resignation. So if real employment is 130 million, say, what is the rate of employment now? 33%. Just about what I guessed.
Anyway, we have seen that this general strike has not skipped the military, so we may assume it has not skipped the Intel communities. The military has been decimated by quits, retirements, and failure to recruit, which means CIA probably has, too. No one with any self respect would be involved in the New World Order, on any level. No one wants to work for Sauron or Palpatine. Which explains why the new fake events are so shoddy. They wouldn’t fool a ten-year-old, and the writers don’t care if they are full of holes. They actually want you to see the holes, since it is their way of torpedoing their bosses without being too obvious about it. They can always claim they were just incompetent later. “It was the vaccines, boss—I wasn’t fully functional!”
Which is all indication the CIA is in just as big a disarray as the rest of the country. It has long been coming apart at the seams, but now it is crumbling before our eyes, giving us the clownworld shitshow we have come to expect everytime we turn on the news. And we don’t have to worry about a weak CIA being gobbled up by DHS, since DHS is even worse. As my Dad use to say, they couldn’t poor piss out of a boot with the instructions written on the heel. You don’t have to worry about WWIII, not only because there are no nukes and Russia isn’t our enemy, but because the governments of the world are all in the process of collapse. They can’t even manage this fake Hollywood border skirmish in Ukraine, so a World War is out of the question. Russia has long been far worse off than we are, remember, and even Putin’s fake threat of a call up has sent hundreds of thousands of young men into the hills and over the borders. It would be even worse here, and a mobilization would lead immediately to mass mutiny. No one has any stomach for war right now, so it would all have to be done CGI. No real soldiers anywhere would show up for it, in Europe, Russia, or the US. The theater directors know that, which is why they are falling back on the only thing they still have, or think they have: fear porn. They are trying to get you off dead center, like a donkey refusing to move, by showing you a constant barrage of mushroom clouds and videos of a bluffing Putin assuring you he is not bluffing. It is pathetic, and you know it all fake since it is coming equally from all sides, Tucker Carlson and Alex Jones as much as CNN or the New York Times. Mushroom clouds shoved down your throat 24/7. Incoming missile alerts borrowed from WarGames, with Ally Sheedy and Matthew Broderick edited out, but with the WOPR (whopper) computer left in to be sure you stop by Burger King.
Which reminds us why they made that movie back in 1983: not only to sell burgers, but to sell the whole idea of nuclear war, and to keep 1950s fear levels high into 1983 and beyond, up to the present time. Next it will be fake mushroom clouds on your milk cartons and city busses and public buildings. The iodine pills and duck-and-cover PSAs and school bomb drills are just around the corner. They can’t soak you with a real war, so they will soak you with constant drills and warnings and alerts. They can’t manage a real world anymore, so they will dunk you in a fake one and move you along with a long-term theater project—as they already have been doing for decades
Je vais écrire sur l’ajustement structurel et sur le retour sur investissement.
Je n’y connais rien, bien sûr. Je ne suis pas un expert, je suis ouvrier. Quoique pour avoir autrefois travaillé sur des projets internationaux j’en sais quand même assez sur l’ajustement structurel pour en être dégoûté.
Contrairement à un mythe qu’il faudrait dissiper, ces domaines ne nécessitent pas de grande expertise. Une fois leur logique comprise, on saisit vite quand un de leurs experts nous mène en bateau. Comme l’expliquait Miles dans l’article juste avant, un peu d’entraînement suffit pour développer un mal de mer salutaire. On réalise vite que c’est en presque en permanence qu’on se paie notre tête.
Quand on vous montre un artefact en métal de l’Egypte ancienne – alors qu’ils ne connaissaient pas la métallurgie – et qu’on vous explique que c’est fabriqué avec des métaux trouvés dans des météorites, un brin de curiosité vous ménera aux écrits d’Anatoly Fomenko – ou sur l’excellent site de Cédric-Michel Leclerc – qui ont fait le boulot, donnent leur méthodologie et le fruit de leur recherche: l’Egypte ancienne n’a jamais existé. Pourtant, il y a des égyptologues. Ce sont des experts.
Quand je repère des trous de forage modernes dans des colonnes ou des blocs à tailler sur des photos de ruines de la Grèce antique, imaginez ma surprise. Un peu de recherche suffit à découvrir que la Grèce antique n’a jamais existé non plus. Pourtant il y a des hélennistes. Ce sont des experts. Il y a également des experts en armes atomiques, ce qui devrait vous faire doucement rigoler après que vous aurez lu l’article suivant.
Des experts, vous avez vu défiler depuis deux ans et demi sur les plateaux de télévision – si vous détenez chez vous ce genre d’arme de destruction massive. Vous aurez eu l’occasion de déterminer si oui ou non on vous prend pour des pommes. Aujourd’hui, place aux experts en géostratégie, qui vont eux aussi vous mener en bateau pour vous vendre le conflit Chine/USA et/ou Russie/Europe. Prévoyez un sac en papier.
En y consacrant assez de temps, on acquiert une certaine expertise en matière de complots. Mais je le répète, méfiez-vous des experts. Prenez un peu de temps pour faire le boulot vous-mêmes – mais pas trop de temps. Investissez aussi dans l’observation de la Nature. Ça ouvre l’esprit, ça permet éventuellement de manger sainement, moyennant un peu d’effort, et ça peut même vous aider à comprendre le sens de la vie et la place de l’Homme sur Terre.
C’est ce qu’on est en train de vous confisquer.
Deux ans de blog
Pour les nouveaux qui voudraient lire mes précédents écrits (ou les anciens qui voudraient les relire) et ne se sentent pas de les rechercher dans deux cent nonante neuf titres, il y a ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci, ceci et surtout ceci et ceci et ce témoignage.
Ceci est donc le trois-centième. J’y reviens sur des sujets j’ai relayés ou traités jusqu’à présent et je relie les points. Je n’interviendrai plus désormais sur l’actualité que ponctuellement. L’objectif de l’actualité est de verrouiller l’esprit sur des arcs de pensée très courts et de faire écran, c’est le cas de le dire, à toute perspective historique. Un autre problème est qu’elle est le plus souvent fabriquée: soit un narratif frauduleux qui s’appuie sur des événements tangibles – le Covid en est un cas d’école – soit des événements purement fictifs élaborés dans tel ou tel think tank ou officine du Renseignement. J’ai déjà consacré pas mal de temps à traiter l’actualité au détriment d’articles de fond que je reporte sans cesse. Celui-ci en est un.
Je m’acharnerai aussi moins à publier des articles qui me prennent plus de temps à rédiger ou à traduire (quatre heures en moyenne) qu’il en faut à l’ensemble de mes lecteurs pour les lire. Quelqu’un m’a dit qu’il trouvait dommage que ce blog ne reçoive pas davantage de visites, ce à quoi je lui ai répondu que s’il attirait plus de monde, ça impliquerait que je n’aurais jamais eu besoin de le créer au départ. Le bon peuple qui vit dans l’insouciance ne se met à consommer des informations « alternatives » que dans l’urgence – pour souvent tomber dans le panneau des figures de proue de la « résistance ».
J’ai déjà souvent exposé l’opposition contrôlée, celle payée par le Renseignement pour ce travail. On trouve aussi un grand nombre d’idiots utiles (généralement plus idiots qu’utiles), qui n’ont eux pas besoin d’être contrôlés. Les uns comme les autres se focalisent sur les éternels suspects, de Gates à Soros, sans aller beaucoup plus loin. Leur point commun est de s’adresser au « comment » et au « qui », pas tellement au « pourquoi » – que nous aborderons en fin d’article. Leurs superhéros sont des « media darlings« , qui font partie de l’opération: des cartes joker du Renseignement comme Julian Assange, Edward Snowden et consorts, des personnages politiques sous contrôle, comme Donald Trump, Thierry Baudet et un paquet d’autres, des « patriotes » de droite sélectionnés pour leur innocuité et des gauchistes professionnels recyclés en défenseurs de la liberté. Leur discours s’articule autour des notions de liberté, de crime contre l’humanité, de génocide et d’eugénisme. Certains accusent la Chine (Naomi Wolf), d’autres la défendent (Matthew Ehret), ce qui fournit deux versions du même narratif simpliste, bâti sur la vision binaire du grand public, qui n’a pas conscience qu’il existe un monde au-dessus de leur monde, et qu’il n’y a qu’une élite aux commandes de tout le reste.
Pour maintenir le status quo, la communication est confiée à des animateurs-vedettes du Net surgis de nulle part – aux Etats-Unis des Alex Jones ou des Stew Peters et leurs équipages de faux enquêteurs – qui contrôlent les révélations, leur timing, chaperonnent les quelques professionnels sérieux trop visibles, les discréditent par association à des fantaisistes et enfin polluent l’information par des annonces exotiques ou apocalyptiques en tout genre. Leur incessante complainte est la censure de l’information sur les media mainstream, ce qui est un leurre. Internet est aujourd’hui le media mainstream, ils en sont les stars et leurs vidéos font des millions de vues. La télévision, comme la médecine, a déjà été sacrifiée dans le cadre de l’opération et n’attire plus que des hallucinés qui n’ont aucun poids dans les événements, si ce n’est celui de poids mort. Certains réseaux sociaux font tièdement semblant de censurer mais, pour rappel, Facebook, Twitter et consorts ne sont pas Internet. Au mieux, ils sont des outils d’abrutissement et de surveillance destinés à quart-mondiser la toile, ce qu’ils ont brillamment réussi. L’Internet, la plus grande invention depuis l’aspirateur sans sac, pouvait potentiellement engendrer un gigantesque bond en avant de la connaissance humaine. On attend toujours.
Covid
Les articles sur le Covid et sa version injectable commencent à fatiguer tout le monde – moi le premier. Franchement, à moins que vous débarquiez, passez directement au titre suivant. C’est du rabâché, ressassé, rebattu. J’en ai publié au moins deux cent sur le sujet. Aucune surprise dès lors qu’on a compris le principe, qui va du contrôle à la « dépopulation ». Je fais donc cette courte synthèse, non-exhaustive, basée sur cette interview du Dr Richard Fleming et de son résumé par Joel Smalley, auquel j’ajoute quelques points à partir du n°8.
Le SARS-CoV-2 est une arme biologique fabriquée en laboratoire, financée par le gouvernement américain, qui résulte d’une recherche de gain de fonction sur la protéine de pointe, la rendant plus infectieuse.
Les traitements sûrs et efficaces contre le virus ont été bloqués par les organismes de réglementation sanitaire américains.
La mise en quarantaine des personnes en bonne santé est totalement inefficace.
Les « vaccins » ARNm/ARN produits par Pfizer, Moderna et Janssen sont des armes biologiques qui délivrent la même protéine de pointe toxique que le virus, mais à des charges jusqu’à 5 millions de fois supérieures.
Les vaccinés sont responsables de la sélection par pression des variants (alpha, delta, omicron, etc.), prolongeant ainsi l’épidémie.
Le « vaccin » perturbe le système immunitaire naturel, rendant les vaccinés plus sensibles aux infections et aux maladies. [NdT. dont la flambée de cancers fulgurants observée actuellement]
Le « vaccin » par lui-même endommage les globules rouges et provoque une hyperinflammation et une coagulation qui entraînent la maladie et la mort.
Les « vaccins » déployés ont été déclinés en de nombreuses versions différentes en termes de dosage et de nanotechnologie embarquée.
Les particules nanolipidiques qu’ils contiennent ont également un rôle pathogène.
Outre leurs effets « secondaires », les injections ont comme conséquence de réduire la réponse immunitaire à la protéine de pointe (d’où les formes « moins graves »), qui se multiplie sans limite et fait potentiellement des injectés des super-épandeurs tandis que leurs organes sont attaqués par leur charge de protéine de pointe.
Tous les organes sont touchés mais les dommages au système reproducteur se reflètent dans la chute spectaculaire de la natalité, apparemment temporaire, dans les pays injectés.
Les nombreuses pathologies précitées sont déjà en hausse et attribuées à des causes surréalistes (réchauffement climatique, etc).
Le SARS-CoV-2 et les injections font partie d’une opération militaire, que l’on peut qualifier, en se basant sur ses conséquences, de Guerre Mondiale de cinquième génération – une forme élaborée de « black op« .
Cette guerre n’est manifestement pas le fait d’un pays en particulier mais d’un réseau supranational qui contrôle les gouvernements acteurs du projet et leurs services de Renseignement.
Elle s’adresse en priorité aux économies industrielles ou post-industrielles du Premier Monde, grands consommateurs d’énergie et de matières premières, dont elles dépendent entièrement pour leur survie.
A ce titre, elle fait partie d’un projet de contrôle sociétal, partiellement articulé dans diverses officines du pouvoir mondialiste – de l’Agenda 2030 de l’ONU au Grand Reset du Forum Economique Mondial – et implémenté sous forme « sanitaire » par l’OMS.
La même offensive continue sous forme de nouvelles « crises » organisées destinées à accélérer la faillite du système actuel: conflit en Ukraine, destruction des économies nationales, de l’industrie agro-alimentaire, des réseaux d’approvisionnement et du réseau énergie, et vraisemblablement d’autres à venir.
Les instigateurs et les exécutants de ce projet ont organisé depuis des décennies le cadre législatif pour ne jamais être tenus responsables de leurs actes dans le cadre de ce type d’opération, dont la liste est longue.
Tout ça est très instructif mais il y manque le point le plus important: l’immense majorité de ceux qui se sont fait injecter l’ont fait volontairement.
Energie
L’énergie est la mesure mathématique de l’existence humaine et de l’ensemble de la société. Nous sommes de l’énergie sous forme physique, le Soleil, la Terre et tout le système solaire est connecté comme système d’échange d’énergie émetteur/capaciteur, le premier canalisant la charge cosmique vers le second, et ainsi de suite. Pour les plus curieux, le Thunderbolt Project a ébauché la description de ce mécanisme, que Miles Mathis a continué à brillament théoriser et démontrer dans ses travaux sur la charge. C’est de la vraie science, pour une fois.
Tout comme les mitochondries touchées par le Sars-Cov-2, la société humaine commence à montrer des symptômes d’affaiblissement assez inquiétants. Elle plafonne depuis au moins trente ans tout en continuant à consommer la même quantité d’énergie, qui se dissipe aussitôt sans générer d’évolution ni d’effet sur son organisation interne. De plus, l’apport d’énergie qui alimente le système risque à moyen terme de diminuer ou de se tarir. Cette société atteint donc son point d’entropie, à partir duquel tout tend vers le chaos et la désintégration.
Côté agriculture, l’urbanisation indispensable à la révolution industrielle d’une part, et l’extermination de la classe paysanne lors de la Première Guerre mondiale d’autre part, ont justifié et consolidé la mise en place du modèle agricole de monoculture et celle de son complément, l’élevage intensif. La destruction écologique sans précédent qu’elle engendre par son usage intensif de pesticides et par l’épuisement des sols causé par les engrais chimiques garantissaient son échec dans le long terme. Du point de vue économique, l’agriculture industrielle n’est plus aujourd’hui que le maillon pauvre d’un coûteux réseau d’intermédiaires industriels (transformation) et commerciaux (distribution), et de financiers qui la phagocytent par le biais d’un marché truqué et tuent sa rentabilité. Elle n’est donc plus viable dans sa forme actuelle et, comme dans le secteur de l’énergie, aucune transition réaliste à l’horizon.
Dans le secteur bancaire, les banques commerciales européennes sont en situation de faillite effective depuis 2008, camouflée par des jeux d’écritures totalement illégaux, qui ne peuvent durer encore longtemps. La seule transition prévue est la monnaie digitale des banques centrales, qui n’est pas un système monétaire mais une ligne de crédit auprés de multinationales, dont la vertu annoncée sera l’égalitarisme et l’effacement de la dette, et l’effet concret de court-circuiter le dernier vestige du contrôle étatique de la monnaie et de l’inflation. En clair, la Banque supprime ouvertement un intermédiaire qui n’était déjà plus que symbolique. Au niveau individuel, la dernière liberté accordée au citoyen de choisir son mode de consommation disparaîtra dès lors que son crédit carbone, social, « vert », son statut vaccinal et d’autres critères liés à son portefeuille numérique seront jugés par des entités supranationales.
Les créateurs de ce système connaissaient dès le début sa forte entropie. Après l’avoir ponctionné sous toutes les formes possibles par des outils de manipulation monétaire, financière, sociale, comportementalistes, etc., ils ont aujourd’hui décidé d’accélérer sa destruction et ainsi rester maîtres de son remplacement par le suivant, le « technocratique ».
L’ancien Monde doit disparaître. Pour ce faire, rien de mieux qu’une catastrophe.
La catastrophe
[Pour s’instruire en s’amusant, Raymond Devos parlait en 1979 assez bien de la catastrophe.]
Chaque fois que la doctrine, qu’elle soit « communiste », « capitaliste », « libérale », s’empare de la gestion de la société, elle aménage la machine étatique pour atteindre le niveau de corruption visé que permet l’excès ou le manque de contrôle (régulation/dérégulation), et la catastrophe n’est ensuite plus qu’une question de temps. On peut se rappeler les bienfaits de l’étatisme communiste dans l’Ukraine de 1932-1933 (souvenir collectif sur lequel capitalise l’OTAN dans ses manoeuvres anti-Russes), maintenant que les Etats prétendent proposer des solutions à la sur-industrialisation du secteur agricole, mesures qui auront le même genre d’effet – voir notamment le pur délire qu’on tente de mettre en place aux Pays-Bas et ce qui vient de se produire au Sri Lanka. Si ce dernier pays se retrouve dans une merde noire, c’est pour s’être laissé entraîner dans une course à la conformité au cahier des charges de l’ESG – les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance – qui seront le clou final dans le cercueil de l’industrie et de l’agriculture.
En réalité, l’ESG est le faux nez du problème du rétrécissement du marché de l’énergie, qu’une partie de la « résistance » – les anti-Mathusiens – s’obstine à traiter comme temporaire. Leur discours récurrent est que, quelle que soit la croissance démographique, la créativité et le génie humains trouveront toujours les ressources technologiques et scientifiques nécessaires à assurer la survie et le bien-être de la masse. A ce titre, ils se battent sur le même terrain que les gens qu’ils dénoncent, c’est-à-dire en plaçant les solutions au niveau du système. C’est de la pure doctrine, pas meilleure que les promesses du communisme. Un modèle qui prétend ne pas avoir de limites quant au nombre d’êtres humains qu’il peut gérer est une utopie aussi dangereuse que l’eugénisme auquel il est censé représenter une alternative.
Comme dans l’adage du poisson, l’être humain ne doit pas être géré mais éduqué. Le problème n’est donc pas le nombre d’ếtres humains mais leur capacité individuelle d’autonomie. Encore une fois, c’est un problème de dépense d’énergie par rapport au résultat. Le résultat du système actuel est catastrophique. En l’absence de solution énergétique de rechange, il n’y a rien pour soutenir le mode de vie d’une population entièrement dépendante, qui n’a donc pas d’autre choix que d’apprendre à assurer cette autonomie. La solution n’est pas de changer de système mais de changer de mode de vie.
Pas comme on veut nous l’imposer.
L’ancien Monde
On va faire un pause dans cet article, avant qu’il devienne vraiment chiant. Je ne vais pas vous faire le portrait de l’ancien Monde. Même si 2019 semble aujourd’hui appartenir à la préhistoire, j’ose espérer que vous vous en souvenez encore un peu. Je vais plutôt vous conter une anecdote.
Ma grand-mère maternelle est née en 1920. Enfant, elle habitait avec sa famille dans la commune de St-Nicolas, en province de Liège. La rue des Grands Champs se nommait ainsi parce qu’elle était vraiment entourée de grands champs – à présent disparus, remplacés par des habitations périurbaines sans âme – dans lesquels elle allait, hors période scolaire, jouer des jours entiers avec ses frères et soeurs, leur mère les rappelant uniquement pour le repas du midi et du soir. Rien que cette partie de l’histoire semblera très exotique à la plupart de mes lecteurs les plus jeunes. La suite les fera peut-être réfléchir. J’espère…
Quand un des enfants entendait le premier un bruit de moteur, il ameutait les autres, qui le suivaient tous jusqu’au talus de la rue des Grands Champs. C’était le moteur d’une automobile. Les enfants attendaient le passage de la voiture, comme un événement rare. Les seuls autres véhicules qui passaient par là étaient des charrois agricoles, tirés par des chevaux. Quand ma grand-mère m’a raconté cette histoire, il y a une trentaine d’années, c’était pour me faire comprendre à quel point et à quelle vitesse le monde avait changé. Il ne vient désormais plus à l’idée de personne de contempler le passage d’une automobile. Il y a trente ans, les enfants s’arrêtaient pour voir encore passer une – rare – voiture tirée par des chevaux. Aujourd’hui, les seuls qui passent parfois sur la route sont montés par des cavaliers. Je vis à la campagne et les chevaux – magnifiques – que je vois sont au pré ou dans un manège. Je dois parfois attendre plus d’une minute pour m’engager en scooter dans la rue principale du village, et ce n’est pas toujours à l’heure de pointe. Une minute de circulation, dans les deux sens, ça fait beaucoup de voitures.
Ma grand-mère n’est pas née sous Napoléon. Elle est née il y a un peu plus d’un siècle. Il y avait alors sur Terre 1.811 millions d’êtres humains.
Le nouveau Monde
Le premier grand malentendu est donc qu’il est possible que rien ne change. Le pouvoir cultive cette illusion tant qu’elle lui est utile, tout en contenant l’évolution naturelle de la société – une excellente recette de la catastrophe. Quand il devient inévitable et urgent d’opérer un changement, il met en oeuvre des stratagèmes pour vendre sa propre version de ce changement aux peuples. Le dernier en date s’appelle « Nouveau Normal », « Build Back Better« , « Grand Reset », au choix.
L’autre malentendu est qu’il est possible – voire souhaitable – de tout contrôler. Encore une fois, le pouvoir a inventé cette notion absurde, dans son propre intérêt, en évacuant le fait que quasiment tout dans ce monde – y compris l’être humain – fonctionne seul et sans intervention. C’est ainsi qu’il parvient à vendre ses armes de destruction massive censées contrôler le climat – ou le Covid – à un peuple oublieux du fait que le réchauffement climatique s’appelait autrefois « été » et qu’il existe une chose nommée système immunitaire, qui a l’air de fonctionner plutôt bien, même contre des armes biologiques.
On nous présente la situation actuelle comme problématique mais elle est le résultat de choix opérés par la même caste que ceux qui les dénoncent aujourd’hui. Comme très bien expliqué dans cet article de Gail Tverberg – et comme développé dans mon préambule – le pétrole aurait dû être vendu beaucoup plus cher dès le départ, ce qui aurait temporisé son utilisation intensive, contenu l’explosion de la croissance démographique et de l’urbanisation (43% de la population mondiale), deux excès qu’il faut maintenant affronter.
Sous l’impulsion des familles du pétrole et de la finance, suffisamment influentes pour court-circuiter la régulation politique, fut établi le modèle d’industrialisation de quasiment tout, de l’agriculture à la pharmacopée, malgré que le modèle précédent était suffisant et durable. Le modèle « capitaliste » qui l’a remplacé n’est en fait qu’une étiquette apposée sur le modèle de croissance infinie et du mythe de l’énergie inépuisable, qui alimente un marché financier appuyé sur la dette et ses intérêts. En URSS, zone richissime en matières premières, il fut décidé – par les mêmes – d’organiser la croissance industrielle sous planification d’Etat. Le résultat fut épouvantable, notamment en raison de la profonde corruption de ses gestionnaires. Le XXème siècle fut ainsi le laboratoire du pouvoir grandeur nature et la préparation à l’application de ses méthodes les plus efficaces. Nous entrons maintenant dans un modèle actualisé d’étatisme de façade, téléguidé par les mêmes familles et potentialisé par la technocratie. Il est donc sérieusement temps de s’en inquiéter. L’Occident montre aujourd’hui – notamment – des symptômes de soviétisation, tels que des délais extravagants pour l’obtention d’une automobile, des menaces de pénuries alimentaires, la perte de la propriété privée, etc.
Contrairement à ce qui est annoncé partout, le prochain modèle ne sera pas multipolaire. Le nouveau pôle de pouvoir sera la Russie, associée à la Chine. Pour y parvenir, l’Occident est systématiquement détruit par une élite mondialiste – qui désigne la Russie comme coupable de nos maux – à l’arme sanitaire, alimentaire, énergétique, économique et probablement climatique, pendant que la Russie connaît une récolte de blé historique, que le rouble se stabilise par son rôle de nouvelle monnaie d’échange sur le marché de l’énergie, que le bloc BRICS établit sa propre réserve monétaire, que ces deux pays contrôlent le marché des engrais, etc.
Plusieurs raisons à ce changement de pilotage. D’abord, ce sont des zones où l’Etat a joué un rôle autoritaire sur plusieurs générations, ce qui lui confère le savoir-faire nécessaire pour contenir ou discipliner les « démocraties » à l’occidentale. Ensuite, ce sont des pays où le niveau moyen d’apprentissage est plus élevé qu’en Europe. Le jeune Russe typique, me dit-on, se lève tôt le matin, travaille toute la journée et fréquente ensuite un lieu d’enseignement pour rentrer tard le soir. La comparaison avec l’état du système éducatif en Europe de l’Ouest est vite faite. Les outils de lavage de cerveau tels que l’égalitarisme, la théorie du genre, le changement climatique, etc. ont fait de ce secteur, avec la complicité du monde enseignant, une fabrique de diplômés déboussolés, analphabètes, inemployables, geignards et indisciplinés, une cure permanente d’antidépresseurs et de smartphone dernier cri servant à calmer l’angoisse existentielle de ceux trop inertes pour devenir délinquants. Peu en réchappent. Ils sont l’avenir.
Quant au rôle de pôle industriel de la Chine, comme chacun l’aura constaté, il est déjà plus ou moins effectif (28% de la production mondiale). Les Chinois – les Asiatiques en général – sont réputés, à juste titre, pour leur très haut niveau d’adaptabilité, de détermination et de résilience. Dans l’ensemble de cette redéfinition planétaire, la place de la Chine est depuis le début la volonté de la Banque, qui comprend l’intérêt de ne pas placer ses billes dans un Occident nettement moins opiniâtre et plus rétif à l’obéissance. Ce serait un placement à haut risque, et la Banque ne prend pas ce genre de risque.
La Banque
« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »
Gutle Schnaper Rothschild
C’est évidemment un terme très général, que j’emploie ici pour représenter le réseau qui contrôle les banques commerciales, les banques d’investissement, les bourses, la haute finance et les organismes de régulation bancaires, dont la Banque des Règlements Internationaux est le sommet hiérarchique. Derrière ce réseau agissent depuis des siècles les mêmes familles, qui l’utilisent pour faire et défaire les civilisations et régir la destinée de la société humaine.
La Banque est maîtresse de l’argent qu’on lui confie, a fortiori depuis la dérégulation qui a permis aux banques commerciales de pratiquer l’investissement. L’investissement contrôle la dynamique des économies nationales et oriente l’évolution de la société. Que celle-ci prenne la forme d’une démocratie, d’une dictature, d’une technocratie, d’une dystopie, d’un coup d’état communiste, ou de n’importe quoi d’autre a peu d’importance. En temps de paix, le secteur politique sera soumis aux diktats des investisseurs. Si nécessaire, une guerre fera l’affaire. Ce qui intéresse la Banque, c’est son retour sur investissement. Si la Banque investit dans un secteur, il faut qu’il soit rentable, ou au minimum stable. Pour garantir cette rentabilité/stabilité, il faut contrôler le système social, contrôle que des outils de mesure comme le NAIRU – le taux de chômage non générateur d’inflation – permettent de quantifier. Elle est également maîtresse de l’argent qu’elle crée par le biais des Banques Centrales, émanation du secteur bancaire privé, à qui a été confiée la création monétaire, autre moyen de contrôle de l’inflation à la baisse ou, comme c’est le cas en ce moment, à la hausse. L’inflation est l’outil modulable d’appauvrissement des peuples. Quand le système devient trop instable et ne garantit plus un retour sur investissement à long terme, il y a l’outil de l’ajustement structurel.
L’ajustement structurel est un terme creux pour désigner la refonte d’un système, en général vers un niveau de technicité supérieur. Il peut s’adresser à un réseau de distribution d’eau, à un tissu industriel ou à d’autres sous-systèmes. Aujourd’hui, il s’adresse à l’ensemble du système.
Je prends l’exemple de la distribution d’eau parce que j’ai travaillé sur un projet de ce type. Je vous explique. La qualité de l’eau dans tel pays – traditionnellement pauvre – est médiocre pour cause de vétusté, incompétence, corruption, manque de moyens, etc. Le prix de l’eau est toutefois suffisamment bas pour que les familles les plus humbles y aient accès. Intervient l’ajustement structurel, généreusement financé par une organisation internationale, qui effectue un upgrade du réseau, sous-traîté à diverses compagnies privées après appel d’offres. La qualité de l’eau est améliorée. Les prix aussi, qui sont multipliés par deux, dix, ou vingt. Les familles humbles n’y ont plus accès. Si vous avez suivi ce qui est dans le pipe-line des projets destinés au monde industrialisé, vous aurez noté une certaine similitude, sauf qu’il ne s’agit pas d’améliorer la qualité mais la conformité au cahier des charges ESG (voir plus haut), ou au Green New Deal, ou au Grand Reset, qui mènera à la confiscation de tout pour quasiment tout le monde. Le Grand Reset est un projet d’ajustement structurel qui ne dit pas son nom. Je défie quiconque de me prouver le contraire. C’est le cadre nécessaire pour un investissement dont on attend un retour, rien d’autre.
Dans la sphère du pouvoir, le monde politique ne sert plus que d’interface entre la Banque et les peuples: il accomplit ses directives économiques en les présentant comme doctrine politique, environnementale, sociale, peu importe, à un peuple ignorant des mécanismes financiers. Il se contente de règlementer – ou dérèglementer – le cadre économique et de prendre les mesures qui maintiendront ou non, en fonction des besoins du moment, un semblant de paix sociale ou militaire. Si le politique est insuffisant pour ce rôle, on engage des seconds couteaux tels que Bill Gates ou Klaus Schwab pour vendre la doctrine de la dictature biosécuritaire, pendant que les investisseurs rachètent tout ce qui peut être racheté sous le soleil.
Historiquement, c’est la Banque qui a autrefois financé, grâce au système de réserve fractionnelle, la conquête des colonies et la présence tentaculaire de l’Europe dans le monde, que le développement des transports a fini par rendre obsolète. C’est la Banque qui a ensuite donné les rènes du pouvoir mondial aux Etats-Unis, dont la présence militaire et le contrôle de l’exploitation pétrolière via pétro-dollar lui ont assuré le retour sur investissement dans le système issu de l’or noir. C’est la Banque qui cède aujourd’hui cette place à la Russie. La Russie s’unit avec la Chine, remet à jour ses alliances avec la Syrie, l’Iran, la Turquie et utilise celles de ses satellites « communistes » comme le Vénézuela. Ces alliances formeront le bloc qui remplacera sur la scène internationale la zone d’influence américaine, qui va considérablement rétrécir dans les prochains mois, avant de s’éteindre complètement. La prochaine destitution de l’administration Biden se profile de plus en plus clairement – la divulgation sur 4chan des vidéos compromettantes du fils Hunter est évidemment une opération du Renseignement, sans qui rien ne pourrait jamais filtrer. Le scénario probable est que le Vice-Président Harris ne reprendra pas la fonction, ce qui devrait laisser le champ libre au rétablissement, en 2024 au plus tard, du héros fabriqué du nationalisme, Trump, dont l’image sortira indemne de l’opération Covid, l’intérim programmé de Biden lui ayant permis de préserver son image pendant le massacre sanitaire. Le boulot de Trump sera de démanteler l’influence extérieure des Etats-Unis, au nom de la priorité nationale, thème bien connu de la droite patriote.
Dans un autre registre et pour l’anecdote, le rôle d’Elon Musk est évidemment la destruction organisée de Twitter, mais aussi de Telsa. Outre l’absence d’une politique énergétique de remplacement réaliste, quasiment rien n’est fait pour la mise en place d’un nombre suffisant de stations de rechargement ni pour la production ou le recyclage des batteries électriques. Du mirobolant futur parc de véhicules électriques restera d’ici quelques années un privilège (en leasing, avec services payants) réservé à une petite classe de citoyens conformes, parqués dans des « villes intelligentes », à qui on pourra tout infliger et qui trouveront ça normal – comme dans « Nouveau Normal ». Tout comme pour l’agriculture et l’énergie, il n’y aura aucune transition dans le secteur des transports de masse tels qu’ils existent aujourd’hui. Ceux-là disparaîtront purement et simplement.
Ce ne seront pas les seuls.
Nous sommes tous foutus. La société ne survivra pas à ça. Il faut moins de morts qu’on ne le pense pour que tout s’effondre. Une mortalité de 10% mettrait fin à la bulle de la dette qui alimente ce merdier, et ce n’est pas le seul problème.
On se sera bien amusés le temps que ça aura duré.
We are all screwed. Society will not survive this. It takes fewer deaths for a collapse then one might think. A 10 percent die off would end the debt bubble that props this shit show up, just one issue.
L’élite en est arrivée à la conclusion, tout à fait correcte, qu’elle peut faire tout ce qu’elle veut et que nous le tolérerons. Et si cette conclusion est correcte, elle est probablement justifiée. Si nous le tolérons, nous le méritons.
The elite have come to the conclusion, correctly so, that they can do anything they want and we will tolerate it. And if it’s correctly so, it’s probably justifiably so. If we will put up with it, we deserve it.
La majorité des peuples ne tolèrent pas ce que leur inflige le pouvoir, ils le demandent. Ils veulent être guidés, même si c’est jusqu’à l’abattoir. Ils veulent des leaders, dans tous les domaines – que ce soient des usurpateurs est sans importance. Le peuple a depuis longtemps renoncé à la maîtrise de son destin, et même au choix de ses maîtres. Il veut juste qu’on lui raconte une belle histoire. Malheureusement, cette histoire est une imposture complète et c’est tout ce qu’elle peut être. Elle a servi de fondation à tout le reste. C’est ainsi qu’ont pu naître les concepts de nation, de patriotisme, et de cent autres que les peuples défendent même et surtout contre leur propre intérêt. On ment en permanence aux peuples, exactement comme on ment aux enfants, dont on considère qu’ils n’ont pas la maturité pour connaître la vérité. L’ennemi du peuple, c’est le peuple lui-même. Ses maîtres pervers ne sont que le poison qu’il s’inflige à lui-même. Il s’en plaint mais ne commence jamais le travail nécessaire pour s’en passer.
Si j’encourage mes lecteurs à observer la Nature, ce n’est pas pour rien. Au minimum, ça leur permettra d’échapper au spectaculaire effet « mémoire de poisson rouge » et à l’encore plus impressionnant effet de déni de réalité. J’entends des gens du coin se plaindre du climat de plus en plus sec. Ils confondent le climat et le temps qu’il fait et ils ont apparemment déjà oublié les inondations de l’été dernier – je pourrais leur rappeller les 200 tonnes d’eau que j’ai dû pomper de ma cave. Je les entends aussi répéter que les récoltes de cette année sont très mauvaises alors qu’ils passent tous les jours devant des champs de blé et de maïs prêts pour la récolte un bon mois à l’avance. Mais bon, les récoltes sont mauvaises, ils l’ont entendu à la télévision.
Ils ont aussi entendu depuis toujours que la vie sur Terre est le fruit de l’évolution. Depuis l’imposture de Darwin, le fil conducteur de la science est le mépris de l’intelligence, une intelligence qu’il est urgent de défendre, ou de retrouver. D’après moi, la théorie de l’évolution est l’obstacle majeur sur ce chemin. Elle est d’une stupidité tellement anachronique que sa survie est plus que suspecte. Elle aurait dû être abandonnée mille fois, vu les moyens dont on dispose depuis presque un siècle, en particulier depuis la découverte de l’ADN – il y aurait un article entier à écrire sur ce sujet . Si elle est donc maintenue avec autant d’énergie et de duplicité c’est pour une raison: elle a pour effet un genre d’erreur récursive de la pensée, qui pollue tous les domaines de la connaissance. Tant qu’on ne s’en sera pas débarrassés, tous les problèmes humains ne seront résolus que temporairement, et reviendront inévitablement sous une forme ou une autre. Les diverses doctrines politiques ou économiques ne seront d’aucun secours.
C’est une des manières de coincer l’Homme dans sa bulle sociétale et de lui faire perdre son contact avec la Création, tout sens et toute joie de sa simple existence. Il naît pourtant avec en lui le besoin d’obéir à quelque chose de plus grand, avec les facultés de perception nécessaires pour le comprendre et le développer. C’est pour cette raison, et pour aucune autre, que la place vacante du sacré a pu être investie par un gang de faux technocrates – et vrais psychopathes – que leur anathème lié à leur profonde incompétence rend particulièrement dangereux. Ils veulent gérer le peuple, à condition qu’il ne soit pas trop nombreux. Ces gens se prennent littéralement pour des dieux. Pour cela, ils ont renoncé à être des hommes, depuis très longtemps.
Et ils veulent nous emmener avec eux dans cet Enfer.
Conclusion
Je trouve beaucoup de commentaires éclairés sur Substack, souvent plus intéressants que l’article lui-même. J’en ai cité dans cet article, je vous en livre un autre en guise de conclusion, que je trouve au moment de mettre sous presse.
Les gens qui sont contre cette opération et qui observent ce qui se passe ont tendance à ne penser qu’en termes de batailles, de tactiques et de jeux de dames.
Ces psychopathes pensent en termes de guerres séculaires, de stratégie et d’échecs.
C’est pourquoi ils sont toujours gagnants. Ils transmettent leur projet de génération en génération, et ils sont très patients. Ça ne les dérange pas de sacrifier même leurs pièces les plus précieuses. Ça ne les dérange pas de paraître faibles. Ça fait partie de leur stratégie.
Pendant ce temps, la « résistance » à courte vue pense que parce que le château de cartes s’écroule, ça veut dire quelque chose. Mais le château de cartes a été conçu pour s’écrouler. Ça s’appelle un sacrifice.
Les personnes moyennes ne regardent pas au-delà de leur horizon. Ils se contentent d’étudier quelques arbres et pensent avoir compris. Mais ils ne réalisent pas que la forêt est en fait un laboratoire.
Les rituels ne font que commencer.
Mais je conviens que le combat est spirituel. Je ne fais que décrire la partie séculaire.
Au Canada et en Europe, on exige que les gens se fassent injecter pour avoir accès au suicide médicalement assisté.
C’est du vampirisme spirituel. La récolte des âmes.
[…]
Maintenant, faites un zoom arrière et regardez le monde et sa machinerie globale. Pensez aux bribes de nouvelles qui nous parviennent. Songez au peu que nous savons réellement, et pourquoi nous savons si peu, et pourquoi on nous le montre.
Ils ont retourné les vices de l’humanité contre nous. Et globalement, nous sommes devenus plus faibles au fil des générations. Par notre propre volonté. La plupart des gens sont incapables de survivre sans le système. Mais ce n’est pas notre système, c’est le leur. Nous ne le comprenons même pas. Il est trop immense. C’est le système de la bête.
Donc, en fait, ils ne font que ranger leurs propres jouets dans leur boîte à jouets. Ils considèrent que c’est leur droit de renégocier les conditions de service. Tout est dans les clauses en petits caractères.
Ils vont nous laisser nous détruire et nous détruire les uns les autres. Et ils se délecteront de tout ça.
Mais nous n’avons jamais été créés pour faire partie de leur système. C’est pour cette raison que la plupart des gens ne se sentent pas à leur place.
Nous sommes confrontés à des choix difficiles. Le chemin de moindre résistance est généralement un piège. Seul le chemin difficile mène à la victoire.
Ils vont achever la démolition contrôlée de l’économie, pour commencer.
Je dis « contrôlée » parce que les gens au sommet du système pyramidal ne se soucient pas de l’argent. Ce sont eux qui ont tout inventé à la base, et ils possèdent ce qu’ils pensent avoir de la valeur. Seuls leurs sous-fifres ont soif d’argent, et parce que les sous-fifres croient à tort qu’ils sont au courant de tout le projet et qu’ils sont extrêmement avides, ces idiots utiles continueront à jouer leur rôle jusqu’à la fin. Ils sont trop arrogants pour imaginer qu’ils puissent être trompés et jetés comme le seront ceux qu’ils regardent de haut.
Si les banques centrales lancent leurs monnaies numériques, les « super banquiers » ne seront plus nécessaires. Toutes leurs années de malfaisance seront réduites à néant. Leur seul espoir sera de jouer un rôle de concierge ou de relations publiques. Ceux qui ne mourront pas sous le choc ou par injection se suicideront.
Une fois l’économie et les chaînes d’approvisionnement démolies, peu importe ce que nous serons en mesure de prouver.
Je pense qu’il vaut mieux être préparé. Si les gens ne comprennent pas ce qui va se passer et qu’ils acceptent l’aide sociale et le revenu de base universel (pour autant qu’ils survivent aux retombées de l’effondrement, au chaos social, etc), ils se retrouveront complètement asservis. Pour des générations.
[…]
Pensez-vous qu’un bon parent empêche ses enfants d’apprendre? Il y a une leçon inestimable à tirer de tout cela. Lorsque les humains ne subissent pas de conséquences, ils n’apprennent pas. Lorsque les parents empêchent leurs enfants de faire l’expérience des conséquences, ces derniers ne grandissent jamais.
Cela fait partie de notre éducation. Ce n’est pas « mauvais », pas « injuste », c’est merveilleux. Nous comprendrons tout lorsque les écailles tomberont de nos yeux.
[…]
Seul Dieu est réel. L’univers est une pensée dans l’esprit de Dieu. Je suis un personnage dans un roman écrit par Dieu. Dieu connaissait la fin avant le commencement. Nous disposons du libre arbitre. Seul l’amour est réel, mais nous avons été placés dans un monde d’illusion pour que nous puissions découvrir ce que signifie l’amour. L’amour est bon. L’amour est Dieu.
Le mal fait partie de notre éducation. Comme la gravité. La gravité peut paraître oppressante, mais elle nous rend plus forts. Sans gravité, nous n’aurions pas de muscles, pas de densité osseuse, notre système cardiovasculaire ne fonctionnerait pas… Mais si on se jette d’une falaise, on aura l’impression que la gravité veut nous tuer. Ce n’est pas vrai pour autant. C’est une perception.
C’est pourquoi nous avons des traditions spirituelles et des enseignants, et la capacité de dépasser les rouages du monde matériel pour nous rappeler qui nous sommes, ce qui est réel.
L’amour ne disparaît pas en présence de l’illusion ou du mal. L’amour est constant, éternel, omniprésent. Notre défi est de nous en souvenir au cœur de l’illusion, de la douleur et de la souffrance.
Quelle est la durée d’une vie humaine? Toute douleur et toute souffrance sont temporaires. Regardez les grands maîtres spirituels. Ils n’étaient pas coincés ici, ils étaient simplement ici. Mais ils étaient aussi ailleurs.
Lorsque les gens pensent qu’ils ne sont pas traités équitablement, ils souffrent. Quand les gens pensent qu’ils vivent une mauvaise expérience, ils souffrent.
Il est possible de maintenir une connexion et une immersion dans l’amour à travers n’importe quelle épreuve. Il est possible pour le corps d’endurer un grand traumatisme sans que l’esprit ne souffre. Il est possible d’éprouver une grande douleur et de ne pas souffrir.
Je pense que tout ce que nous vivons a un but. L’amour en est le but.
Les enfants comprennent rarement « pourquoi ». Nous sommes des enfants. Mais nous finirons par grandir.
Si nous sommes attachés à ce système contre-nature et maléfique, nous périrons en même temps que lui.
Nous devons le laisser mourir. Les personnes qui ne veulent pas être sauvées ne le seront pas. Ils ne sauteront jamais dans le radeau de sauvetage. Ils pensent qu’ils font partie du navire.
Vous voyez pourquoi il est utile d’avoir le mal de mer.
J’ai un article de Miles Mathis sur le canular nucléaire prêt pour publication. En voici d’abord un autre, qui date de décembre dernier. Je suis retombé sur sa traduction inachevée en parcourant mes brouillons. Il était tellement proche de ce que j’étais en train d’écrire que j’aurais même pu écrire mot pour mot le dernier paragraphe de la première partie. J’ai donc finalisé la traduction, très difficile dans le cas de Miles. Je finirai et publierai ensuite aussi mon article, une mise à jour complète qui inclura ce que nous avons appris et vécu depuis lors. J’avais déjà traité ce sujet il y a des mois, ici, où je prévenais ce bon vieux Klaus de l’avenir très incertain du projet dont il est le porte-parole. Vous pouvez le relire, il est assez rigolo.
Il existe un certain parallèle entre le point de vue de Miles et le mien. Nous avons aussi le même âge, nous pratiquons les Beaux-Arts et nous aimons les chats et je pense qu’il est lui aussi un Logicien. Par contre, il est très pointu sur les dynasties du pouvoir, il a démonté tous les hoaxes imaginables, dont le faux (?) assassinat de JFK et le faux meurtre de Sharon Tate dont il est fait mention ici, et s’est forgé une certaine notoriété – légitime – sur la toile grâce à des papiers scientifiques assez solides, choses que je ne sais pas faire. Je suis plus pointu sur la réalité du terrain, sur laquelle il se plante régulièrement et avec obstination, notamment sur les aspect cliniques du Covid, sur lesquels je collationne ici les infos depuis maintenant deux ans.
Nous pourrions travailler ensemble si nous étions capables d’un minimum d’esprit d’équipe. Mais les « bons » conspirationnistes sont des gens solitaires. A moins que ça soit l’inverse.
Je commencerai par un brin de divertissement [NdT. en français dans le texte]. Le sous-titre est une citation qui signifie « à ceux qui vont lire, salut ». Vous êtes les derniers représentants d’une race en voie de disparition: les gens lettrés. Vous ne préférez PAS regarder des vidéos, car vous savez – consciemment ou inconsciemment – que la propagande en vidéo est encore plus perfide que la propagande écrite. Au moins, la propagande écrite vous laisse le temps de l’analyser. C’est pourquoi vous préférez lire vos nouvelles et vos autres informations noir sur blanc, ce qui vous permet de les épingler plus facilement. Etalé sous vos yeux, la forme du texte se prête à l’analyse autant que son contenu, et vous vous apercevez qu’on peut apprendre à reconnaître un mensonge au moment où il est proféré, rien qu’à partir de sa forme – rien qu’à son apparence sur la page. Tout comme on reconnait une putain à son maquillage ou à ses chaussures, on reconnait la propagande à ses habits. Après quelques années d’entraînement, vous indentifierez sur la page les menteurs à leurs empreintes de pas et de doigts, et vous reconnaîtrez même le goût particulier de tel ou tel personnage au sein d’un comité. Vous les reconnaîtrez à leur puanteur typique.
C’est très utile, vu que maintenant la plupart des auteurs se cachent. La plupart du temps, il se camouflent derrière des paravents séduisants, et restent tapis, eux et leur odeur, dans les marges. Leur vrai nom et leur vrai visage les trahiraient. L’âge aidant, leur âmes s’impriment sur leurs visages, et le mal s’y incarne. Considérez Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci et Klaus Schwab comme des exemples de personnes qui n’ont pas eu le bon sens d’embaucher des plus jeunes pour représenter leurs opinions et leurs programmes abominables, comme l’ont fait leur plus humbles ou plus politiques collègues cabalistes.
De plus, lire est un acte bien plus volontaire que de regarder une vidéo. Regarder est un acte complétement passif qui me semble révèler un manque de courage et de curiosité. Une vidéo est à la fois plus simple à produire – question contenu – et plus facile à consommer, et n’est en général rien de plus qu’un tas de conneries qui passent d’une tête à une autre. Quand ce n’est pas qu’une envolée toxique, c’est en général quelque chose qui a été scénarisé ailleurs, dans une forteresse lointaine. Ça peut évidemment aussi être le cas pour la chose écrite, mais c’est alors plus difficile à dissimuler. Comme ce qui est ajourd’hui produit à Hollywood, la vidéo sert à cacher la pauvreté du scénario, en l’enrobant d’un visuel aguichant, de phrases à l’emporte-pièce et parfois d’un brin de séduction. Tout ça n’intervient en rien quand j’écris mes articles, c’est le contenu seul qui doit séduire, sans le secours de mon physique, de ma voix ou d’autres artifices. Tout sort de ma plume et de ma tête, et non seulement c’est là ma seule recette, qui confère à ce que j’écris mon style personnel, mais ce travail représente un risque permanent et une plongée dans l’inconnu. Vous me regardez explorer le terrier du lapin [NdT. expression anglaise qui provient de Alice in Wonderland], au moment-même où j’explore le terrier du lapin, en temps réel. Ce n’est donc pas le récit d’une histoire, c’est l’histoire elle-même au moment où elle se déroule. C’est comme d’être assis à côté de Newton, voir la pomme se détacher de la branche au-dessus de lui et lui tomber sur le crâne. C’est là la vraie nature de l’écriture et de la créativité, ce qu’on en ressent n’est comparable à rien d’autre. La vérité ne peut être ni feinte ni copiée, comme vous en viendrez à le comprendre. Le vrai exhale un doux parfum qui n’appartient qu’à lui.
Mais reconnaître ce parfum demande du travail. Il faut aiguiser son odorat. Il faut chercher sans relâche, rester à l’affût du mensonge. Se vautrer sur un canapé en sifflant des sodas toxiques et en bâfrant des chips pendant que les médias s’insinuent insidieusement dans son crâne depuis l’écran qui clignote, ça ne marche pas. Il faut ratisser la page comme un Sherlock Holmes avec sa loupe, à la recherche d’un cheveu ou d’une trace de cendre. Tout doit devenir un indice, une pièce d’un grand ensemble, qui s’y rapportera ou non.
Même chose pour l’apprentissage. Apprendre est un processus actif, qui naît d’une insatiable curiosité et d’un questionnement permanent. C’est peut-être la curiosité qui a tué le chat [NdT. proverbe anglais] mais c’est elle qui a sauvé l’homme. Voilà pourquoi ma courbe d’apprentissage est plus oblique que jamais, alors que j’approche la soixantaine: j’ai gardé ma curiosité d’enfant. Comme un gosse, le monde est pour moi une huitre qu’il faut ouvrir. J’ai besoin d’apprendre, de créer et d’évoluer constamment. Je sais à quel point il est difficile de maintenir cette démarche dans ce monde, qui fait tout pour très tôt nous en empêcher. Ce que le Phéniciens redoutent le plus, ce sont des citoyens qui évoluent en permanence. Ce qu’ils veulent, c’est un petit peuple oppressé et docile qui obéira à leurs ordres sans poser de questions, et ces gens atteignent en général leur apogée dans la vingtaine, sinon avant, pour ensuite s’enfermer dans la case qui leur est assignée, où ils se momifient ou régressent. Pour y parvenir, les Phéniciens font pression sur vous dès le berceau, et vous broient la tête dans leurs divers programmes qu’ils appellent « éducation ». Sans ça, vous parviendriez à l’âge de la maturité comme moi, votre curiosité pleinement intacte et vos principales facultés indemnes. A ce stade, vous représentez pour eux un danger réel.
A ce stade, leurs projets à votre encontre s’intensifieront et se multiplieront, et la pression qu’ils feront peser sur vous deviendra carrément énorme, et vous aurez l’impression de vivre dans une grotte à des milliers de kilomètres de profondeur. Ça deviendra quasiment insupportable jusqu’au moment où vous lèverez les yeux pour comprendre…
que ce n’est que du bluff. Il n’y a aucun toit au-dessus de votre tête ni de véritable pression. La pression n’est qu’un mirage, comme tout le reste. Vous êtes infiniment libre comme au jour de votre naissance, et ces gens ne peuvent rien vous prendre de ce que vous ne leur donnerez.
Aujourd’hui, ils tentent de nous mettre la pression en nous menaçant de nous priver de leur monde si nous n’obéissons pas. Mais pour moi, ça n’a rien d’une menace, je ne veux pas de leur monde. Je n’ai plus le droit d’aller au concert ou au café? Je n’ai plus le droit d’aller à la salle de sport ou au centre commercial? Parfait. Plus vite leur monde s’écroulera, mieux ce sera, leurs menaces ne menacent qu’eux-mêmes. Difficile de menacer un Amish de le priver de son automobile, n’est-ce pas?
Et j’ai autre chose à leur annoncer: menacer des gens déjà privés de tout de les priver du reste, ce n’est pas une menace. Croyez-vous que les gens du Kentucky ou de Virginie occidentale, qui vivent déjà dans une misère noire, séparés les uns des autres et de toute forme de réalité, défoncés à toutes les drogues imaginables, vont s’émouvoir quand on leur annoncera que leur Noël sera foutu si ils n’acceptent pas un vaccin bidon? C’est une menace vide de sens.
Les Phéniciens m’ont déjà tout confisqué de leur monde bien avant 2020, leur petite arnaque du Covid est tombée à plat. Difficile de menacer un moine d’isolation ou d’ostracisme. Mais je ne suis pas tellement différent de la plupart des citoyens du monde, qu’on a déjà ratatiné dans une toute petite boîte. A ce stade, taper sur le couvercle de la boîte en menaçant de les reloger dans une boîte encore plus exigüe est une plaisanterie.
La différence majeure entre moi et les pauvres gens du Kentucky est qu’ils n’ont pas d’emblée tenté de mieux resister. Pour une raison ou l’autre, ils ont consommé des drogues et moi, non. Peut-être parce qu’ils vivaient dans une plus grande misère, difficile à dire. Ça ne me pose aucun problème de vivre et de me distraire seul, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. La plupart des gens sont bien plus sociables et plus manipulables que moi. Si leur monde s’écroule, ils s’écroulent aussi. Ça n’a rien de difficile à comprendre. Je n’en suis peut-être pas si loin moi-même. Mais ce ne sera pas parce que je me mettrai à consommer des drogues, légales ou non, obligatoires ou non, et j’aimerais arriver à convaincre les autres de dire non à toutes les drogues. Ils devraient comprendre que les drogues ne résoudront rien, et qu’elles les détruiront. Et c’est sans doute le but: le suicide sans avoir à appuyer sur une gâchette.
Dans tous les cas de figure, le savoir est toujours utile, raison pour laquelle il nous est nous est refusé avec autant d’acharnement. Si les gens du Kentucky comprenaient qui les attaque et pourquoi, ils pourraient peut-être leur résister. C’est pour ça que je suis là. L’éducation est mon acte de résistance.
A présent venons-en au sujet de ce papier, qui est de traiter d’un nouvel article posté sur Infowars. Pour des raisons que je vous ai déjà exposées, Alex Jones ou ceux qui se cachent derrière lui aiment republier d’anciens écrits de Mises.org, en particulier ceux de Murray Rothbard, ce Phénicien huileux. Celui qu’ils republient aujourd’hui date de 1977, et Infowars n’en reprend qu’une partie. L’article s’intitule « Une théorie conspirationniste de l’Histoire révisée », et si on le lit attentivement, on verra qu’il m’est directement adressé.
Mais avant d’en arriver là, je vous invite à prêter attention à la forme de ce texte: la façon dont il est écrit. Les phrases et les mots. Voici deux des premiers paragraphes:
Il n’est pas étonnant que ces analyses réalistes soient généralement formulées par divers « extrémistes » qui ne font pas partie du consensus de l’establishment. Car il est vital pour le maintien de l’appareil d’État qu’il ait une légitimité et même une sainteté aux yeux du public, et il est vital pour cette sainteté que nos politiciens et bureaucrates soient considérés comme des esprits désincarnés uniquement dévoués au « bien public ».
Une fois qu’on a découvert que ces esprits sont trop souvent ancrés dans la terre ferme de la promotion d’un ensemble d’intérêts économiques par l’utilisation de l’État, la mystique de base du gouvernement commence à s’effondrer.
Plutôt difficile à suivre, non? On saisit ce qu’il tente de dire, puisqu’on sait déjà ce qu’il tente de dire avant de commencer à lire, mais sa formulation est bizarre. Il est vital que nos politiciens soient des « esprits désincarnés »? Quoi? Est-ce que Rothbard vient tout juste d’apprendre l’anglais? On pourrait espérer que nos politiciens soient honnêtes et incorruptibles, mais je ne pense pas que ça fasse d’eux des esprits désincarnés. Et le paragraphe suivant est une vraie catastrophe au niveau de la grammaire et du vocabulaire, à tel point que je doute devoir même en relever les erreurs.
Je suis peut-être bizarre, mais j’y vois le signe que Rothbard est sur le point de nous balancer un gros mensonge, et que son subconscient le lui signale. Car Rothbard commence ensuite à défendre les théoriciens de la conspiration en général, ou semble le faire, mais c’est en réalité pour nous dire qui sont les MAUVAIS théoriciens de la conspiration:
Le mauvais analyste de la conspiration a tendance à faire deux types d’erreurs, qui l’exposent à l’accusation de « paranoïa » de l’Establishment. Premièrement, il s’arrête au cui bono; si la mesure A profite à X et Y, il en conclut simplement que X et Y sont donc responsables. Il ne se rend pas compte qu’il ne s’agit que d’une hypothèse et qu’elle doit être vérifiée en déterminant si X et Y sont réellement responsables ou non. (L’exemple le plus farfelu est peut-être celui du journaliste britannique Douglas Reed qui, voyant que le résultat de la politique d’Hitler a été la destruction de l’Allemagne, en a conclu, sans autre preuve, que Hitler était donc un agent conscient de forces extérieures qui avaient délibérément entrepris de ruiner l’Allemagne). Deuxièmement, le mauvais analyste des conspirations semble avoir la compulsion de regrouper toutes les conspirations, tous les blocs de pouvoir des méchants, en une conspiration géante.
J’imagine que vous voyez maintenant pourquoi j’ai dit que ça s’adressait à moi. Ça s’adresse à mes articles sur Hitler et sur le Putsch de la Brasserie. Rothbard ne s’adressait pas à moi en 1977, évidemment, puisque je n’avais que 13 ans à l’époque. Mais la personne qui l’a sélectionné pour une republication l’a fait à mon intention. Ils ont lu ce passage sur Douglas Reed et ont pensé à moi. Ils se sont dit, « Ah, on va se servir de cet avertissement de Rothbard pour arriver à peut-être dissuader quelque personnes de lire les travaux de Miles! Miles dit ce que dit Reed, que Hitler a été un instrument pour causer délibérément la ruine de l’Allemagne, alors peut-être qu’on pourrait contester ça sans devoir contester directement Miles, ou ses gros travaux de recherches. On pourrait glisser l’idée que Reed et Miles sont le même genre de mauvais conspirationnistes puisqu’ils en arrivent à la même conclusion ».
Vous comprenez ce qu’ils espéraient de cette manoeuvre. Ils s’adressent au lecteur paresseux, qui fera simplement le lien entre Reed et moi, mais n’ira pas voir plus loin, ne comprendra pas que je n’en suis pas arrivé à cette conclusion sans avoir opéré de vérifications ou sans rassembler de preuves. Reed non plus, pour être honnête. Ni Reed ni moi n’avons juste relevé un point de départ et un point d’arrivée puis rempli le milieu selon notre bon vouloir. J’ai développé une argumentation longue et détaillée, ainsi qu’une montagne de preuves, pour vous mener de l’hypothèse à la conclusion. Et je suppose que Reed aussi.
Pourtant, après avoir lu la biographie de Reed, je pense que cette tentative de discrédit agit sur un deuxième plan. Contrairement à moi, Reed était un auteur à succès, publié par un grand éditeur et qui bénéficiait d’une large promotion dans la grande presse à la fin des années 30. De plus, il provenait de la noblesse, son nom complet étant Douglas Lancelot Reed. Cette publication sur Infowars pourrait donc constituer une tentative plutôt tardive de faire un lien entre Reed et moi. Ça ne les aidera pas beaucoup, parce que, vu qu’ils ont déjà sali le nom de Reed, personne n’a jamais entendu parler de lui. Difficile de me discréditer par un lien avec un fantôme dont personne n’a jamais entendu parler. Seuls quelques intellos ont déjà entendu le nom de Reed ou de Rothbard, et ceux-là me détestaient déjà, donc ils prêchent dans le désert. Mais c’est toutefois intéressant à noter. Faire un lien entre moi et Reed, c’est courir le risque que quelques-uns de leurs lecteurs intellos feront une recherche sur son nom, comprendront le niveau de censure dont il a fait l’objet, et se demanderont pourquoi. Pourquoi le bouquin de Reed sur le sionisme a-t-il été jeté au bac pendant vingt ans, n’a-t-il été publié qu’en 1978, et par un petit éditeur? Ça pourrait les mener jusqu’à son livre, dont je pense qu’il en dit déjà beaucoup trop, même en détournant son propos. Difficile à dire sans avoir lu Reed, et je ne l’ai pas lu. Je le lirai ou non, selon ce que m’en diront mes lecteurs. Vous en serez les premiers informés.
Egalement curieux, le fait que Rothbard mentionne Reed en 1977, alors que le bouquin de Reed, La Controverse de Sion n’est sorti qu’en 1978. A croire que Rothbard lui fait sa pub.
Mais Reed n’est pas vraiment le plus important, parce que grâce à Internet, j’ai un bien plus large public qu’il en a jamais eu. Je touche bien plus de gens dans le monde entier que les auteurs à succès bidon, malgré que je ne figure pas sur ces listes et que je ne bénificie pas de leur promo. Raison précise pour laquelle le célèbre site de Jones a été sélectionné pour me répondre aussi subtilement. Ce stratagème pourrait lui aussi être contre-productif vu que même si la majorité de ses lecteurs ne sont ni des fans de Rothbard ni des intellectuels, certains se renseigneront peut-être sur Reed, en retiendront quelque vérité, sans les manipulations. Et en republiant [Rothbard], ils me fournissent l’occasion d’écrire ce démenti, que leurs lecteurs trouveront en faisant une simple recherche. Raison pour laquelle j’ai inclus les noms de Rothbard et Reed au-dessus du titre, pour que les araignées les retrouvent facilement. Ça attirera les lecteurs d’Infowars sur mon site. Une fois qu’ils m’auront trouvé, ils verront que mes articles sur Hitler offrent bien plus de contenu que tout ce que Rothbard a jamais écrit. Si vous lisez n’importe lequel de mes articles sans éprouver d’épiphanie, c’est que vous n’êtes tout simplement pas attentif.
Ce qui revient à dire que ces gens n’on pas encore compris que c’est une erreur de m’attaquer, même de cette manière détournée, puisque je les prends tôt ou tard sur le fait, que je contre-attaque et qu’ils finissent toujours par perdre. Et pourquoi perdent-ils? Par définition: les perdants perdent toujours. Ils répondront, « Nous sommes les Phéniciens, et tout le monde sait que nous avons toujours gagné. Tu l’admets toi-même, Miles ». Oui, mais vous gagnez toujours en trichant, en mentant et en volant, ce qui signifie que vous êtes quand même des perdants. Les véritables gagnants gagnent sans tricher.
On le voit aujourd’hui dans les grands titres, où d’une certaine manière, Pfizer semble remporter une énorme victoire. Ils se font des milliards et contraignent des millions de gens à accepter leurs vaccins mortels. Mais c’est encore une victoire de Phénicien, fondée sur l’achat du silence des agences de régulation et de gouvernement entiers, sur le mensonge permanent fait à tout le monde sur tout dans des médias achetés, et sur le meurtre de millions de gens comptabilisés dans la colonne pertes et profits. Selon toute définition humaine ou divine, ce ne sont pas seulement des perdants, ce sont des criminels. Ce sont littéralement des diables.
Ce qui leur échappe du haut de leurs obscurs donjons, c’est que les diables sont toujours perdants, même quand ils gagnent. Raison pour laquelle ils perdent toujours contre moi. C’est une loi de la Nature des plus fondamentales, qu’ils n’ont jamais apprise parce que pour l’apprendre il faut cesser une seconde de se prosterner devant ses ancêtres malfaisants et écouter la chanson du vent. Ils se targuent d’être en phase avec la Nature, puisqu’elle est faite de proies et de prédateurs. Eux sont les prédateurs et les prédateurs n’ont aucune pitié – je serais donc dans le déni, et pas eux. Mais je rappelle que dans la Nature les prédateurs ne trichent pas. Dans la Nature, le perdant ne ment pas, ne triche pas ou ne vole pas sa place au vainqueur. C’est pourquoi tricher est le plus grave péché contre la Nature. C’est une tentative de corruption de sa hiérarchie, et il n’y a rien qu’elle punisse plus sévèrement.
Vous penserez que ses seules punitions sont « naturelles », comme les fléaux, les famines ou les lignées dégénérées, mais ses punitions sont infligées quotidiennement à tous et à chacun, et elle est passée maîtresse dans l’art de la psychologie. Ce ne sont pas les psychologues qui ont inventé les complexes d’infériorité, les névroses, les psychoses, et toutes les autres formes d’auto-torture. Et ce ne sont pas non plus les Phéniciens, même s’ils en ont fait un usage de pire en pire. La nature elle-même est la source de tout, et elle rend la justice avec une équité étonnante, bien que souvent voilée. Ce qui veut dire que le PDG de Pfizer sait ce qu’il a fait. Comment pourrait-il l’ignorer? Ce savoir sera finalement une punition bien plus grande pour lui que n’importe quelle mort ou maladie qu’il pourrait infliger aux autres. La mort n’est pas une punition, et n’exige aucune expiation, mais Albert Bourla risque de payer jusqu’au dernier centime.
Vous direz qu’Anthony Fauci semble assumer sans aucun inconvénient ses décennies de péchés, en tant que psychopathe presque parfait. Mais il n’existe rien de tel. La psychopathie n’est que le refuge temporaire de l’esprit, et la Nature n’accorde pas de refuge permanent. La chute viendra certainement, si ce n’est pas avant sa mort, alors ce sera après, et elle sera impressionnante, n’ayez aucun doute là-dessus. Car il y a réincarnation et continuité, donc si Fauci pense qu’il peut tromper la Nature avec la mort, il se trompe lourdement. Tromper la Nature avec la mort, c’est comme tromper la CIA avec une mort simulée: c’est la CIA qui a inventé la mort simulée. La Nature a inventé la mort et en sait plus que nous: on ne peut pas l’utiliser contre elle.
Certains diront: » Comment se fait-il que vous en sachiez autant à ce sujet? » Je n’en sais pas plus qu’un autre. Nous le savons tous, mais la plupart l’ont appris à leurs dépens, d’une manière ou d’une autre. J’en ai juste un meilleur souvenir. Je n’ai pas vraiment grandi comme tout le monde, je suis resté coincé à un moment donné dans un passé lointain… avant ma naissance. Je n’ai jamais pu m’intégrer dans ce monde et je n’ai jamais vraiment essayé. Je me considère comme un être coincé entre deux mondes et je me demande parfois si je suis pleinement visible. Je suis beaucoup plus à l’aise dans le monde des rêves, et c’est là que je préfère être. Mon lien avec ce monde est très ténu, bien que tout le monde puisse peut-être en dire autant. J’habite un étrange royaume intermédiaire où, d’un côté, je me soucie beaucoup de ce monde et de l’autre, pas du tout. Je pourrais mourir ce soir sans regret, en fait avec un grand soulagement. Mais malgré cela, j’ai un étrange désir de sauver cet endroit, mais pas pour moi. Ma haine du mensonge et de l’injustice est disproportionnée par rapport à mes liens émotionnels réels, et elle semblerait académique si ce n’était la puissance de cette haine et son utilité dans mon travail. Je suppose que c’est aux autres de décider à quel point cela fait de moi quelqu’un de bizarre, puisqu’ils peuvent comparer cela à leurs propres expériences et croyances. Je ne connais que les miennes.
En guise de conclusion, je viens de regarder Idiocracy pour la première fois et j’ai quelques commentaires à faire. L’intrigue repose sur le fait que Joe est emmené 500 ans dans le futur, où tout le monde est devenu idiot. Il finit par être envoyé en prison et, une fois enfermé, on lui fait passer un test de QI. Il obtient le meilleur score, ce qui lui vaut d’être embauché par le Président. Ce qui, bien sûr, contredit toutes les autres hypothèses du film. C’est beaucoup trop logique, et ça dépasse de loin la logique qui règne actuellement. Est-ce que quiconque dans le gouvernement est aujourd’hui engagé sur base de son intelligence? Sont-ils engagés sur base de quelque chose de mesurable, autre que leur ambition et leur réseau de relations? Non. Malheureusement, on peut dire la même chose de tous les autres domaines, y compris la science. Dans la population générale, on pense que les scientifiques sont à tout le moins choisis pour leur intelligence, qu’ils gravissent les échelons et progressent en fonction de leurs accomplissements et de leur mérite. Mais ce n’est pas plus vrai en science qu’en politique, à Hollywood ou ailleurs. Les scientifiques progressent en fonction de leurs relations (familiales) antérieures, de leur ambition et de leur adhésion à la ligne du parti. L’intelligence est en fait exclue dans ce système, car toute personne vraiment intelligente menacerait l’ensemble de l’establishment consanguin, préfabriqué et pré-possédé des carriéristes. Toute nouvelle connaissance ferait immédiatement s’effondrer la structure existante de mensonges, de falsifications, d’équations truquées, et de préférences pour les bébés phéniciens qui occupent les sommets de tous les domaines. Cela détruirait également l’économie de projets fictifs qui drainent actuellement les trésors publics de manière si efficace.
Pour cette raison, je considère Idiocracy comme une fausse piste de plus. Certains ont accusé ses auteurs de vendre de l’eugénisme, ce qui est vrai, mais ce n’est pas son plus grand péché, ni son intention la plus cachée. Il s’agit, comme d’habitude, de vous faire regarder ailleurs que vers les Phéniciens, en vous faisant croire que le plus grand danger du système actuel est la baisse de l’intelligence, alors que ce n’est pas le cas. Oui, l’intelligence moyenne baisse, pour la raison donnée dans le film et pour bien d’autres raisons, mais la solution n’est pas de corseter les femmes stupides et d’élever sélectivement les plus intelligents. Les plus intelligents continueront à se marier entre eux sans qu’on les y pousse, à condition qu’ils ne soient pas activement séparés. Donc l’intelligence moyenne n’a pas d’importance. Les gens moyens ne dirigent pas le monde et ne le dirigeront jamais, donc les gens moyens n’ont pas d’importance de ce point de vue.
Et je ne crois pas que les percentiles supérieurs deviennent moins intelligents. Ils deviennent plus stupides, mais c’est le résultat d’une mauvaise éducation, pas d’une baisse de leur potentiel naturel. Je pense que notre strate supérieure est en fait plus intelligente qu’elle ne l’a jamais été, en termes de possibilités, mais que toutes ces possibilités sont volontairement étouffées. En fait, ce n’est pas une supposition: je sais que c’est le cas, car j’en ai une connaissance et une expérience de première main. J’ai été témoin du gaspillage délibéré des percentiles les plus élevés. J’ai moi-même été gâché volontairement, et je vous ai dit pourquoi.
Pour le comprendre, revenons à ce que j’ai dit sur le fait que les plus intelligents continuent à se marier entre eux sans y être incités, à condition que l’on ne les sépare pas délibérément. Eh bien, le coup de grâce est qu’ils sont délibérément séparés, du moins en dehors des grandes familles. Pourquoi? Parce qu’ils menacent les familles supérieures et parce que, une fois intégrés au prolétariat païen, ils sont considérés comme sacrifiables. À ce stade, ils sont considérés comme des proies et doivent se conformer à cette classification, dans laquelle les sexes des classes inférieures sont séparés et réduits à la misère pour un profit maximum. J’ai été assigné à cette catégorie à la naissance, et nous avons vu qu’aucun accomplissement réel ne pouvait m’en sortir. De même qu’aucun manque d’intelligence ou de réussite ne peut limiter la carrière d’un Phénicien de haut niveau – pensez à George Bush – aucun surcroît d’intelligence ou de réussite ne peut y faire entrer quelqu’un qui n’appartient pas à cette classe. Non seulement les États-Unis ne sont PAS sans classe, mais leurs deux classes principales sont les plus rigides de l’Histoire.
Il en va du sexe et de la reproduction comme de tout le reste: alors que la Nature essaie de nous gérer dans le sens du progrès, les Phéniciens essaient de nous gérer dans le sens de la stase ou de la régression. L’évolution est une menace pour eux, car il n’y a aucun moyen de garantir qu’elle choisira de faire évoluer les Phéniciens en priorité. En fait, nous avons constaté que c’est l’inverse qui se produit, puisque les Phéniciens échouent dans leurs propres rangs de manière flagrante dans leurs programmes de reproduction. Leur corruption interne n’engendre pas le progrès, elle engendre l’inversion, la maladie et la folie. Pensez aux maisons royales européennes, comme preuve la plus évidente de ce fait. Puisqu’ils n’ont pas été capables de gérer leur propre progrès, ils ont dû interférer avec celui de tous les autres.
Le génocide du Covid en est l’exemple le plus récent, puisque nous voyons les Phéniciens déclarer une guerre ouverte à toutes les classes inférieures. Ils peuvent tenter de le justifier à leurs propres yeux en invoquant le contrôle de la population ou d’autres mesures eugénistes nécessaires, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Si c’était le cas, ce serait ciblé sur les centres les plus peuplés d’Afrique et d’Asie, jamais sur l’hémisphère occidental peu peuplé. Non, c’est un geste désespéré pour protéger leur propre hégémonie, non seulement contre nous, mais aussi contre une Nature dont ils savent qu’elle les déteste. Nous savons qu’ils détestent la Nature, mais presque personne ne pose la question de savoir pourquoi. C’est parce que la Nature les déteste, et ils le savent. La Nature est leur plus grand ennemi, un ennemi bien plus puissant que nous ne le serons jamais. La mesure de leur orgueil est qu’ils croient qu’ils peuvent la vaincre. Ils croient qu’ils peuvent la maîtriser. Chaque échec les rend plus vicieux, plus vindicatifs et plus haineux envers eux-mêmes, tout cela à la fois. Ce que nous voyons est l’expression ultime de cette vengeance, tandis que les Phéniciens s’en prennent à tout ce qui les entoure dans leur chute vers l’abîme.
Nous savons que c’est bien de cela qu’il s’agit, car cela explique pourquoi ils attaquent les hommes blancs avec une telle férocité dans le premier monde, en particulier aux États-Unis. S’il s’agissait vraiment de contrôler la population, il n’y aurait aucune raison d’attaquer les hommes blancs, qui sont déjà les personnes les moins fertiles de la planète. Jusqu’à présent, l’attaque contre les hommes blancs a surtout été abordée (par des personnes comme Tucker Carlson) comme une tentative de fabriquer une guerre raciale et une guerre des sexes, ce qui est vrai, mais c’est bien plus que ça. Ils s’attaquent surtout à ceux qui les menacent le plus, à savoir les hommes blancs non phéniciens de grand talent et au taux de testostérone élevé. Nous sommes ceux qui mèneraient naturellement tout renversement, donc nous devons être continuellement attaqués à tous les niveaux, physique et psychologique. Nos spermatozoïdes sont attaqués par les drogues et les pollutions, tandis que nos esprits sont attaqués par la propagande 24h/24 et 7j/7.
La bonne nouvelle, c’est que l’on peut mesurer leur échec à l’aune de leur degré de méchanceté, ce qui signifie qu’ils échouent lourdement en ce moment. Comme je l’ai dit à maintes reprises, ils ont connu beaucoup plus de succès dans les années 1950, car leur propagande était presque totalement invisible et fonctionnait très bien. Satisfaits d’eux-mêmes dans ces années-là, et satisfaits du volume de leurs rapines, ils étaient beaucoup moins vicieux. Mais lorsque leurs stratagèmes ont commencé à échouer, en raison de leurs propres erreurs et de leurs ambitions excessives, leur dégoût d’eux-mêmes a augmenté, et avec lui leur avidité. Embarrassés par leurs échecs, ils ont essayé de se soutenir avec des piles de pièces toujours plus grandes, et le problème a commencé à faire boule de neige. Pris en flagrant délit de fraude, ils sont devenus encore plus vicieux, comme c’est souvent le cas, et plutôt que de reculer, ils ont redoublé d’efforts. L’histoire mondiale de ces cinquante dernières années nous a montré que Phénix s’est consumé à une vitesse croissante sur le bûcher funéraire qu’il avait lui-même créé, alors qu’il aurait pu à tout moment en descendre. Il le pourrait encore, comme je ne cesse de le lui conseiller. Mais le Phénix aime apparemment ses propres flammes et préfère poursuivre la conflagration jusqu’à sa fin amère. Il est comme ce conducteur qui s’approche d’une falaise, qui pourrait tourner le volant ou freiner, mais ne le fait pas. Il est maintenant hypnotisé par le ciel en face de lui, qui l’appelle à sa perte. Ce ciel, c’est la Nature.
Je sais que les Phéniciens eux-mêmes se gaussent, pensant qu’ils m’ont trompé, ainsi que la Nature et tous les autres. Ils pensent que la Nature s’est laissée tromper par leurs divisions et leurs mises à l’écart fabriquées de toutes pièces et par leurs complexes stratégies de conquête, qui se mettent lentement en place. Ils se disent que c’est leur projet de toujours, et qu’il se déroule parfaitement. Ils se disent qu’ils sont plus riches que jamais et qu’ils dirigent le monde entier, en exerçant une domination jamais vue dans l’Histoire. Mais c’est de ça que je parle quand je dis qu’ils sont incapables de sentir d’où vient le vent. Car la Nature n’a pas un pas de guerre de retard sur eux, elle en a toujours trois d’avance, et elle se moque de leur excès de confiance, qui a toujours engendré l’aveuglement. Tout ce qu’ils voient, c’est la vis qui se serre en dessous d’eux, puisque ce sont eux qui la serre. Mais ils sont à jamais inconscients de la vis qui se serre au-dessus d’eux, car ils croient à tort qu’il n’y a pas de « au-dessus d’eux ». Leur esprit est braqué en permanence les tours de vis qu’ils donnent, et non sur le fait que la leur se fait serrer. Ils sont tellement hypnotisés par leurs propres projets malades et tordus qu’ils ne peuvent pas voir plus loin que leurs propres cils, et ne peuvent pas envisager que Lucifer puisse n’être un qu’un mirage: un personnage de bande dessinée créé par les maîtres de l’imposture, par laquelle ils se sont corrompus eux-mêmes.
Après 5000 ans, ils se sont convaincus que leur ascension était ordonnée, et ils ont construit une mythologie entière sur cette ordination, avec leurs signes de la main et leurs symbologie cucul-la-praline. Mais les cyanobactéries de l’ère archéenne ont peut-être pensé la même chose, régnant sur le monde pendant des millions d’années avant de sur-oxygéner l’atmosphère et de mourir de leurs propres exhalaisons toxiques.
Nous savons que les Phéniciens sont aveugles à tout cela, puisqu’ils l’ont toujours été. Rien de nouveau. Leur effondrement n’a pas commencé en 2020 ou 2000, il a commencé avec leur réussite, et n’a cessé de les suivre. Plus ils ont gagné d’argent et plus ils ont accumulé de pouvoir, plus ils se sont avilis. Telle est leur histoire, et elle n’est pas difficile à lire. Pour eux-mêmes, leur empire ne peut pas prendre fin car il n’a jamais vraiment commencé. Un empire digne de ce nom apporterait une transcendance et un bonheur réels à ses dirigeants, mais les Phéniciens ont toujours été misérables. Comme je l’ai dit, les annales ne sont pas difficiles à lire, et ils doivent le savoir. C’est impossible à nier. Quels rois ou nobles ont jamais été royaux ou pleins de noblesse? Qui d’entre eux a jamais été vertueux ou heureux? On ne saurait même commencer la liste. Le modernisme, c’est l’aveu que les Phéniciens ont fait d’eux-mêmes: l’aveu du désert qu’ils avaient créé, de leur propre insatisfaction d’eux-mêmes et des empires qu’ils avaient érigés. Ils ont renoncé à toutes les beautés, admettant qu’ils les trouvaient creuses et fausses. Ils sont aliénés, inauthentiques et dénaturés. Ils ont inventé ces termes pour le milieu, mais ces termes ne s’appliquaient pas à nous ou au monde, mais à eux. Ils ont toujours écrit sur eux-mêmes, puisque personne d’autre n’existe pour eux. Le modernisme a été l’aveu explicite d’un échec, et il n’a cessé de s’effondrer depuis lors.
Leur Nouvel Ordre Mondial et leur Grand Reset ne sont pas des tentatives de Renaissance. Ces gens vivent dans leur propre post-apocalypse, et ils nous ont dit qu’ils ne croyaient pas aux renaissances. Tout cela fait partie d’une inauthenticité pré-moderne qu’ils ne se permettent plus. Pour eux, l’avenir est une revanche sur la Nature et le Monde pour leurs propres échecs. C’est une punition de la Nature pour ne pas avoir fait d’eux des êtres viables, malgré tout. Parce que les lignées qu’ils ont eux-même créées s’étaient crashées et consumées, les projetant dans un 20ème siècle où ils étaient devenus des trolls tordus, ils ont décidé de le reprocher à la Nature, et les deux minutes de la haine qu’ils lui ont consacrées sont devenues une haine éternelle.
Mais pendant qu’ils agissent ainsi et qu’ils l’admettent dans leur art et leur littérature, ils se disent en même temps que c’est exactement ce qu’ils ont toujours voulu, et que cela fait partie de leur grand projet. Vous voyez donc qu’il s’agit bien d’une folie consacrée et rebaptisée en mouvement politique ou en plan de gouvernance.
Le Grand Reset n’est pas un plan de gouvernance, c’est un projet limpide de vengeance, et de poursuite de l’avilissement et de l’effondrement des Phéniciens. Peut-être s’agit-il d’une sorte de suicide phénicien par la police, où ils nous supplient de mettre fin à leur misère.
Vous voyez donc que tout ça ne se terminera pas bien. Mais quelle que soit la manière de voir les choses, ça se terminera encore plus mal pour eux. Et surtout, il n’est pas nécessaire de les condamner à un quelconque enfer, puisqu’ils y ont vécu toute leur vie et tout au long de leur histoire.
Texte original
“Bad Conspiracy Theorists”
by Miles Mathis
Lecturi te salutamus
First published December 21, 2021
I will start with a little divertissement. My undertitle quote means “those who are about to read, we salute you”. You are among the last of a dying breed: the literate person. You DON’T prefer videos, because you know—consciously or unconsciously—that video propaganda is even more slippery than written propaganda. Written propaganda will at least sit still while you analyze it. For that reason, you want your news and other information in black and white, where you can more easily pin it down. Laid out in front of you, the text has a form that can be analyzed along with its content, and you find that you can learn to spot a lie as it is being told, just from its form — from its look on the page. Just as you can tell a hooker from her make-up or choice of footwear, you can tell propaganda from its dress. After years of practice, you will see the footprints and fingerprints of the liars marked on the page, and you may even taste the individuals within the committees. You will know them by their peculiar stench.
This is helpful, since most of the real authors have gone underground. In most cases, they now use attractive fronts to hide behind, and they are crouching in the margins with their odors. Their own names and faces would give them away. As they age, their souls imprint on their visages, and the evil becomes incarnate. See Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, and Klaus Schwab as examples of those who haven’t had the good sense to hire younger persons to front their ghastly opinions and plans, as their more humble or politic cabalists have.
Plus, reading is a far more active event than watching a video. Watching is completely passive, and seems to me to betray a lack of energy and curiosity. The video is both easier to produce—as a matter of content—and easier to consume, and it is usually just garbage that falls out of one head and into another. When it isn’t a spontaneous noxious eruption, it is normally taken from an external script supplied from some dungeons somewhere. Of course that may also happen with the written word, but it is harder to hide in that case. As with Modern Hollywood, the video acts as a cloak for a poor script, dressing it up with sexy visuals and fast patter and perhaps a dose of charm. I can’t make use of any of that when I write my papers, and my content has to be charming itself, with no help from my face or voice or other external props. Everything is created by my single hand and mind, so not only is everything baked right in, giving it a signature quality, everything is a long-running risk, a dive into the unknown. You are watching me go down the rabbit hole, as I go down the rabbit hole in real time. So it is not a report of history, it is history as it happens. It is like sitting in the grass with Newton, watching the apple release from the tree branch above him and fall and hit him in the head. That is what all real writing and creativity is about, and it has a look and feel that is like no other. What is real cannot be faked or replicated, as you will come to understand. The real gives off a sweet aroma that is all its own.
But to smell it, you have to be active. You have to be sniffing. You have to be seeking always, alert for the lie. You cannot be parked on a soft sofa eating chips and sipping on poisoned sodas as the media lofts insidiously into your skull from the blinking monitor. You have to be combing the page like Holmes with a magnifying glass, alert for a stray hair or a hint of ash. For you, everything is a clue, part of a larger whole to which it either fits or does not fit.
It is the same with proper learning. Learning is always active, and it comes from an unquenchable curiosity and questioning. Curiosity may have killed the cat, but it is what saved the man. It is why my learning curve is still as steep as ever, even as I approach 60: I retain a childlike curiosity. Like a kid, I see the world as an oyster to be cracked. I need to be constantly learning and creating and expanding. I know it is hard to keep that up in this world, which sits on you hard from the start. The last thing the Phoenicians want is ever-expanding citizens. They want small, pinched, docile people to do their bidding without question, and these people normally peak in their twenties if not before, soon falling into their assigned slots and ossifying or reverting. To achieve that, the Phoenicians have to apply strong pressure to you from the cradle, crushing you with their various projects disguised as education. If they didn’t, you would reach the age of maturity as I did, with your curiosity still fully intact and your faculties mostly undamaged. At that point, you are nothing but a danger to them.
At that point the schemes against you will be accelerated and multiplied, and the pressure from above will become truly monstrous, like trying to live in a cave thousands of miles underground. It will become almost unbearable until you finally look up and realize. . .
it is all a bluff. There is no roof above you and no real pressure, either. The pressure itself is a phantom, like all the rest. You are infinitely free just as you were at birth, and these people can take nothing from you that you do not give them.
They are now trying to apply pressure by threatening to withhold their world if we don’t comply. But to me that is no threat, because I don’t want their world. I can’t go to concerts or pubs? I can’t go to gyms or malls? Good. The sooner their world crumbles the better, so their threats threaten only them. You cannot threaten an Amish man with the loss of his car, can you?
And I have more news for them: threatening people you have already made miserable with more misery is no threat. Do you think the desperately miserable people of Kentucky and West Virginia, already split from one another and from any conception of reality and strung out on every drug imaginable, are going to look up when you tell them their Christmas is going to be miserable if they don’t take a fake vaccine? It is an empty threat.
The Phoenicians had already taken everything of their world from me before 2020, so the Covid scam had nothing to work on. You cannot threaten a monk with isolation or ostracism. But I am not so different from any average citizen of the world, who has already been crushed into a tiny box. Knocking on the box and threatening relocation to an even smaller box is just a joke at that point.
The main difference between me and the poor people of Kentucky is that they didn’t more strongly resist from the beginning. For whatever reasons, they took the drugs and I didn’t. Perhaps they were more miserable, it is hard to say. I am very good at living alone and entertaining myself, and most people aren’t. Most people are far more social and far more suggestible. If the world around them collapses, they also collapse. It isn’t hard to understand. I may be just one small puff of air away from that myself. But it won’t be because I will start taking drugs, legal or illegal, mandated or unmandated,and I wish I could convince others to refuse all drugs themselves. They must know the drugs will not solve anything, will only bring about the end for them. And that may be the point: suicide without pulling the trigger.
However that may be, knowledge is always useful, which is why it is so assiduously denied us. If the people of Kentucky knew who was attacking them and why, they might be able to resist. Which is why I am here. Education is my act of resistance.
Now, on to the main point of this paper, which is to address a new paper just posted at Infowars. For reasons I have previously uncovered for you, Alex Jones or those behind him like to reprint old articles from Mises.org, especially those by that oily Phoenician Murray Rothbard. The one reprinted today is from 1977, and only a part of it is at Infowars. The paper is called “A Conspiracy Theory of History Revisited”, and if you read it closely you will find it is addressed directly to me.
But before we get to that, I beg you to notice the form of the piece: the way it is written. The actual sentences and words. Here are two early paragraphs:
It is no wonder that usually these realistic analyses are spelled out by various “extremists” who are outside the Establishment consensus. For it is vital to the continued rule of the State apparatus that it have legitimacy and even sanctity in the eyes of the public, and it is vital to that sanctity that our politicians and bureaucrats be deemed to be disembodied spirits solely devoted to the “public good.”
Once let the cat out of the bag that these spirits are all too often grounded in the solid earth of advancing a set of economic interests through use of the State, and the basic mystique of government begins to collapse.
It’s very hard to follow, isn’t it? We can glean what he is trying to say, since we already have a good idea what he is trying to say going in, but the wording is curious. It is vital that our politicians are “disembodied spirits”? What? Did Rothbard just learn to speak English? We may hope our politicians are honest and incorruptible, but I don’t think that makes them disembodied spirits. And that next paragraph is a disaster in grammar and word choice, so much so that I doubt I have to list the faults.
Call me crazy, but I read that as a sign Rothbard is about dump a big lie on us, and his subconscious is telegraphing it. For Rothbard next begins to defend conspiracy theorists in general, or appear to, but he is really here to tell us which conspiracy theorists are BAD ones:
The bad conspiracy analyst tends to make two kinds of mistakes, which indeed leave him open to the Establishment charge of “paranoia.” First, he stops with the cui bono; if measure A benefits X and Y, he simply concludes that therefore X and Y were responsible. He fails to realize that this is just a hypothesis, and must be verifed by fnding out whether or not X and Y really did so. (Perhaps the wackiest example of this was the British journalist Douglas Reed who, seeing that the result of Hitler’s policies was the destruction of Germany, concluded, without further evidence, that therefore Hitler was a conscious agent of external forces who deliberately set out to ruin Germany.) Secondly, the bad conspiracy analyst seems to have a compulsion to wrap up all the conspiracies, all the bad guy power blocs, into one giant conspiracy.
I guess you can see now why I said this was directed at me. It is directed at my papers on Hitler and the Beer Hall Putsch. Rothbard didn’t direct it at me in 1977, of course, since I was only 13 then. Butwhoever chose this for reprint is directing it at me. They saw that bit about Douglas Reed and thought of me. They thought, “Oho, maybe we can keep a few people off Miles’ research with this warning from Rothbard! Like Reed, Miles is saying Hitler was used by external forces to deliberately ruin Germany, so maybe we can argue against that without really having to argue against Miles, or address his voluminous research. We can imply Reed and Miles are the same sort of bad conspiracy theorists, since they came to the same conclusion”.
You can see how they hoped it would work. They are going for the lazy reader, who will see the simple link between Reed and me, but won’t look more closely, reminding themselves I didn’t come to that conclusion without verification, or without further evidence. Neither did Reed, to be fair. Neither Reed nor I simply noticed a first thing and a last thing and filled in all the other things to suit ourselves. I prepared a long and detailed argument, including huge piles of evidence, to take you from given to conclusion. And I would assume Reed did, too.
However, after reading Reed’s bio, I see that this attempted blackwashing of me may have a second layer. Unlike me, Reed was a bestselling author with a major publisher and big-time mainstream promotion back to the late 1930s. He was also from the families, being named Douglas Lancelot Reed. So this republication at Infowars may be the rather late attempt to tie me to Reed. It won’t help them, because, due to their previous destruction of Reed, no one has ever heard of him. You can’t blackwash me by tying me to a ghost that no one has ever heard of. Only a few eggheads will have heard of either Reed or Rothbard, and they already hated me, so it is preaching to the choir. But it is informative regardless. Tying me to Reed risks the possibility a few of their eggheads will look up Reed, realizing how censored he was, and ask why. Why did Reed’s book on Zionism sit in the garbage for twenty years, not being published until 1978, and then only by a minor publisher? That may take them to his books, which I suspect tell way too much truth, even if they try to spin it. It is hard to say without reading Reed, and I have not done so. I may or may not, after consulting with my readers. You will be the first to know if I do.
Also curious is that Rothbard was mentioning Reed in 1977 there, and Reed’s book The Controversy of Zion came out in 1978. That seems like odd timing to me, almost like Rothbard was plugging it.
Reed doesn’t really matter, because, due to the internet, I have a far greater audience than he ever did. I can and do reach far more people worldwide than the fake bestselling authors, despite not being on their lists or being privy to their promotion. Which is precisely why Jones’ big site was chosen to answer me in this crafty way. That, too, may backfire, because although most of his readers aren’t Rothbard fans or intellectuals, some of them may look up Reed, taking the truth and leaving the spin. Plus, by republishing that, they have given me the opportunity to write this rebuttal, pulling in their people directly on general searches. That is why I put Rothbard’s and Reed’s names above title, so that the spiders can easily find them here. That will act to pull people from Infowars to my site. Once here, they will realize my papers about Hitler have much more content than anything Rothbard ever wrote. If you get to the end of any of my papers without an epiphany, you aren’t paying attention.
Which is just to say these people still haven’t figured out it is always a mistake to attack me, even obliquely like this, since I always catch them at it eventually and counter-attack, and they always lose. And why do they lose? It is definitional: losers always lose. They will answer, “We are the Phoenicians, and everyone knows we have always won. You admit that yourself, Miles”. Yes, but you always win by cheating, lying, and stealing, which means you are still a loser. Real winners win without cheating.
You can see this in today’s headlines, where by one measure, Pfizer seems to be winning big. They are making billions in profits and coercing millions of people to take their deadly vaccines. But it is the usual Phoenician win, one predicated on buying off regulatory agencies and entire governments, lying to everyone about everything through a bought media, and murdering millions of people while writing them off as the cost of doing business. So by any rational definition of men or gods, they are not just losers, they are criminals. They are quite literally devils.
What they fail to comprehend in their dark dungeons is that devils always lose, even when they win. Which is why they always lose against me. This is the deeper law of Nature they have never once become familiar with, because to become familiar with it you have to stop bowing to your evil ancestors for half a second and listen to the real song on the wind. They pretend they are tuned to Nature, because Nature is made of prey and predators. They are the predators, and predators show no mercy—meaning I am the one in denial, not them. But, I point out, in Nature the predators do not cheat. In Nature, those meant to win, win, and those meant to lose, lose. In Nature, the loser never lies or cheats or steals himself into the winner. In that sense, cheating is the ultimate sin against Nature. It is the attempt to undermine her hierarchies, and she punishes nothing more viciously.
You may think her only punishments are “natural”, as in plagues or famines or debased bloodlines, but her punishments are dealt out daily to each and all, and she is a master of psychology. It isn’t the psychologists who invented inferiority complexes, neuroses, psychoses, and every other form of self-torture. And it isn’t the Phoenicians, either, though they have made bad and worse use of them. Nature herself is the source of all, and she metes out justice with an astonishing, though often hidden, fairness. Which is to say the CEO of Pfizer knows what he has done. How could he not? That knowledge will ultimately be a punishment far greater to him than any death or disease he could inflict on others. Death is no punishment, and requires no atonement, but Albert Bourla faces payment down to the last farthing.
You will say that Anthony Fauci seems to be living with his decades of sins with no effect, being a nearly perfect psychopath. But there is no such thing. Psychopathy is only a temporary hiding in the mind, and Nature doesn’t allow a permanent hiding. The crash will assuredly come, if not before death then after, and it will be awe-inspiring, have no doubt. For there is reincarnation and a continuance, so if Fauci thinks he can cheat Nature with death, he is sadly mistaken. Cheating Nature with death is like cheating the CIA with a faked death: the CIA invented the fake death. Nature invented death and knows more about it than you do: you cannot use it against her.
Some will say, “Why do you know so much about it?” I don’t know anymore about it than anyone else. We all know it, but most have had it beaten out of them, one way or the other. I just have a better memory of it. I didn’t really grow up like everyone else, getting stuck at some time in the distant past . . . before I was born. I never fit into this world and never really tried. I think of myself as a being trapped between worlds and sometimes wonder if I am fully visible. I am far more at home in the dream world, and prefer it there. My connection to this world is very tenuous, though maybe everyone else could say the same. I inhabit a strange middle realm of caring for this world a great deal and not at all. I could die tonight with no regrets, in fact with a great deal of relief. But despite that, I have a strange desire to save this place, though not for myself. My hatred for lies and injustice is out of all proportion to my actual emotional ties, and it would seem academic except for the power of the hatred and its usefulness in my work. I guess it is for others to decide how odd that makes me, since they can compare that to their own experience and beliefs. I know only my own.
As a tack-on, I just watched Idiocracy for the first time and have a few comments. The plot hinges on Joe being taken 500 years into the future, when everyone is an idiot. He ends up getting sent to prison, and upon being booked in, he is given an IQ test. He scores the highest score ever and is hired by the President based on that. Which of course contradicts all the rest of the assumptions in the movie. It is entirely too logical, and far exceeds the logic we currently exhibit. Is anyone in government now hired based on Intelligence? Are they hired based on anything measurable, other than ambition and prior connections? No. Unfortunately that can also be said of all other fields, including science. There is some idea in the general population that at least scientists are chosen for their intelligence: that they work their way up in the field and advance on their accomplishments and on merit. But it isn’t any more true in science than in politics or Hollywood or anywhere else. Scientists advance based on prior (family) connections, on ambition, and on toeing the party line. Intelligence is actually selected against in that system, since anyone truly intelligent would threaten the entire inbred, prefab, preowned establishment of careerists. Any new knowledge would immediately crash the existing structure of lies, feints, fudged equations, and preferment for the Phoenician babies who inhabit the tops ends of everything. It would also crash the economy of fake projects which currently drain the treasuries so efficiently.
For this reason, I see Idiocracy as just more misdirection. Some have accused its writers of soft-selling eugenics, which is true, but that isn’t its greatest sin, or its most hidden intent. That would be, as usual, to get your eyes off the Phoenicians, by making you think the greatest danger in the present system is falling intelligence, when it isn’t. Yes, the average intelligence is falling, for the reason given in the film and many other reasons, but that won’t be solved by corking stupid women and selectively breeding the smartest. The smartest will continue to marry one another with no prodding, provided they aren’t actively kept apart. So average intelligence doesn’t matter. The average don’t run things and never will, so averages don’t matter in that regard.
And I don’t believe the top percentiles are getting any less intelligent. They are getting stupider, but that is due to a miseducation, not to a fall in native potential. I would guess that our top end is actually smarter than it has ever been, as a matter of possibilities, but all those possibilities are being squashed on purpose. Actually, that is not a guess: I know it is happening, having firsthand knowledge and experience of it. I have witnessed the highest percentiles being wasted on purpose. I myself have been wasted on purpose, and I have told you why.
To understand it, let us return to what I said about the smartest continuing to marry one another with no prodding, provided they aren’t actively kept apart. Well, that’s the turn of the screw, because they are being kept apart on purpose, at least outside the top families. Why? Because they threaten the top families, and because—once lumped into the Gentile proletariat—they are considered expendable. At that point they are considered prey, and must conform to that rubric, in which the sexes in the lower classes are split and made miserable for maximum profit. I was assigned to that category at birth, and we have seen that no real achievement could lift me out of it. Just as no lack of intelligence or achievement can limit the career of a top Phoenician—think George Bush—no surfeit of intelligence or achievement can lift someone not of that class into it. Not only is the US NOT classless, its two main classes are as rigid as any ever known.
As it goes with sex and reproduction, so it goes for everything else: while Nature tries to manage us for progress, the Phoenicians try to manage us for stasis or regression. Evolution is a threat to them, because there is no way to guarantee she will choose to evolve the Phoenicians the most. In fact, we have seen the reverse is the case, with the Phoenicians failing most obviously in their breeding programs in their own ranks. Their internal corruption doesn’t breed progress, it inbreeds inversion, disease, and madness. Think of the European royal houses, for the clearest proof of that. Since they haven’t been able to manage their own progress, they have had to interfere with everyone else’s.
The Covid genocide is the just the latest example of that, as we watch the Phoenicians declare overt war on all underclasses. They may try to explain it to themselves as population control or other necessary eugenics, but that isn’t what it is. If it were, it would be aimed at the highest population centers in Africa and Asia, never at the sparsely populated Western Hemisphere. No, it is a desperate move to protect their own hegemony, not only against us but against a Nature they know hates them. We know they hate Nature, but almost no one asks why. It is because Nature hates them, and they know it. Nature is their greatest enemy, a far more powerful enemy than we will ever be. The measure of their hubris is that they believe they can defeat her. They believe that they can master her. Every failure to do that makes them more vicious and more vengeful and more self-loathing, all at the same time. What we are seeing is the ultimate expression of that vengeance, as the Phoenicians lash out at everything around them as they fall into the abyss.
We know this is what it is about, because it explains why they are attacking white males with such ferocity in the first world, especially in the US. If this were really about population control, there would be no reason attack white males, who are already the least fertile people on the planet. So far, the attack on white males has mostly been addressed (by those such as Tucker Carlson) as being the attempt to manufacture a race war and gender war, which it is, but it is more than that. They are attacking most those who threaten them the most, which is non-Phoenician white males of great talent and high testosterone levels. We are the ones that would naturally lead any overthrow, so we have to be continually attacked on all levels, physical as well as psychological. Our sperm levels have be attacked with their drugs and pollutions, while out minds are attacked with 24/7 propaganda.
The good news is that you can measure their failure by their levels of viciousness, which means they are failing hugely right now. As I have said many times, they were far more successful back in the 1950s, since their propaganda was nearly completely invisible and worked very well. Being very self-satisfied in those years, and content with their levels of theft, they were far less vicious. But as their schemes began to fail, due to their own mistakes and over-reaches, their self-loathing grew, and with it their greed. Embarrassed by their failures, they tried to prop themselves up with ever larger piles of coins, and the problem began to snowball. Caught red-handed in their schemes, they got even more vicious, as people will do, and rather than back away they doubled down. World history of the past 50 years has been an ever steeper acceleration of the Phoenix burning itself up on its own created funereal pyre, though it could easily have stepped off the pyre at any time. It still could, as I keep advising it. But the Phoenix apparently loves its own flames and prefers to see the conflagration to its bitter end. It is like a driver approaching a cliff, who can turn the wheel or hit the brakes, but doesn’t. He has become hypnotized by the sky in front of him, beckoning him on to his doom. That sky is Nature.
I know the Phoenicians themselves are chuckling, thinking they have fooled me and Nature and everyone else. They think Nature has been hoodwinked by their manufactured divisions and self-outings and complex, slowly developing plans of conquest. They tell themselves this was the plan all along, and that it is proceeding perfectly. They tell themselves they have more wealth than ever and that they run the whole world, with a dominance never before seen. But that is what I mean by their inability to smell what is on the wind. For Nature isn’t one step behind them, she is always three steps ahead of them, and she herself chuckles at their overconfidence, for it it has always bred blindness. They can only see the turns of the screw beneath them, since they manufactured those turns. But theyare forever oblivious to the turns above them, because they mistakenly believe there is no “above them”. Their minds are always on the screwing, and not upon how they are being screwed. They are so mesmerized by their own sick and twisted plans, they cannot see beyond their own eyelashes, and cannot process the thought that Lucifer may be a mirage: a comic-book creation by the masters of fakery, by which they have corrupted themselves.
After 5000 years, they have convinced themselves their ascendance was ordained, and built an entire mythology on that ordination, complete with handsigns and cutesy symbology. But the cyanobacteria of the Archean age may have thought the same, ruling the world for millions of years before they over-oxygenated the atmosphere and died of their own poisonous exhalations.
We know the Phoenicians are blind to all this, since they always have been. It is nothing new. Their collapse didn’t begin in 2020 or 2000, it began with their success, and has tracked it. The more money they made and the more power they gathered, the more debased they became. Such is their history, and it is not hard to read. For themselves, their empire cannot end because it never really began. A proper empire would be one that brought real transcendence and happiness to its rulers, but the Phoenicians have always been miserable. As I say, the record is not hard to read, and they must know it. It would be impossible to deny. What kings or nobles have ever been kingly or noble? Who of them has been virtuous or happy? The list cannot even be begun. Modernism was the Phoenicians finally admitting this of themselves: the admission of the Wasteland they had created, their own dissatisfaction with themselves and the empires they had erected. They gave up on all beauties, admitting they found them hollow and false. They were alienated and inauthentic and derivative. They coined these terms for the milieu, but the terms applied not to us or to the world, but to them. They have always written about themselves, since no one else exists for them. Modernism was the express admission of failure, and it has continued to bottom out since then.
Their New World Order and Great Reset aren’t the attempts at a Renaissance. These people are living in their own post-apocalypse, and they have told us they don’t believe in renaissances. That is all part of a pre-Modern inauthenticity they no longer allow themselves. For them, the future is a revenge upon Nature and the World for their own failures. It is a punishment of Nature for not making them viable beings, despite everything. Because their own created bloodlines had crashed and burned, spitting them out into a 20th century where they had become twisted trolls, they decided to blame Nature for that, propping her up for a two-minutes hate that has become an everlasting hate.
But while they do that and admit they are doing it in their art and literature, at the same time they tell themselves this is right where they always wanted to be, and that it is part of their great plan. So you see how it is a madness enshrined and relabeled as a political movement or plan of governance.
The Great Reset isn’t a plan of governance, it is transparent recipe for revenge, and for further Phoenician debasement and collapse. It may be a sort of Phoenician suicide by police, where they beg us to put them out of their misery.
So you see, it can’t end well. But any way you look at it, it ends worst for them. Most of all, you don’t need to damn them to any hell, since they have been living in it all their lives and for all of their recorded history
Tout d’abord, j’aimerais que tous ces gens cessent de ne publier que des vidéos. Ça me prend un temps insensé pour transcrire leur bavardage avant de le traduire, alors que leur contenu pourrait être utilement résumé en quelques phrases écrites, en y incluant toutes les références utiles. Sauf exception éventuelle, c’est donc ce que je ferai désormais moi-même en commençant par ce clip, en réaction au format conférence Zoom/vidéo avec musique et effets visuels, produits de consommation « alternatifs » qui cultivent activement la maigre capacité d’attention du télespectateur lambda. Verba volant, scripta manent. Je résumerai aussi certaines infos que je n’ai soit pas le temps de développer, soit qui ne nécessitent pas de l’être, dans de futures éditions de « Nouvelles en vrac ».
La vidéo que le Dr Rashid Buttar a publié le 7 mai sur sa chaîne commence par une promo assez tonitruante pour le nouveau documentaire de la série Plandemic – dont ce sera le troisième épisode. J’ai publié à l’époque un lien vers les deux premiers épisodes de la série (sous-titrés en français), avant d’avoir récolté toutes les informations utiles sur Mikki Willis, le créateur de cette série.
Mikki Willis est un agent qui travaille pour le Renseignement – ce que les américains appellent un « spook« . Son rôle est de contrôler l’opposition – j’ai déjà expliqué mille fois ce mécanisme. Son cas est examiné – et à mon sens, réglé – à la page 2 et 3 de ce document déjà référencé dans mon article sur le Dr David Martin. Je ne veux décourager personne de regarder cette série mais je tenais à avertir le lecteur. Le fait que la vidéo du Dr Buttar commence par cette promo est un signal. J’en évoque d’autres tout aussi éloquents en fin d’article.
Après cette promo, le Dr Buttar annonce une nouvelle « crise », dont il dit avoir reçu confirmation par diverses sources, et s’appuie pour valider sa nouvelle révélation sur le fait qu’il aurait prédit avec justesse dès février 2020 tout ce qui s’est passé depuis lors dans la crise Covid. La « deuxième vague » était selon lui un composite des effets des injections et de la perturbation des canaux calciques voltage-dépendants causée par la 5g, qui induit une perméabilité à divers pathogènes, dont certains virus comme le corona, aggravée par les autres éléments découverts dans les flacons, dont fait partie le glyphosate.
Sa nouvelle prédiction est qu’il se trouve dans les injections – outre les nanoparticules, sujet déjà abondamment abordé sur ce blog – un genre de « cellule dormante » qui sera activée, à une date encore indéterminée, par un bombardement d’ondes du réseau 5g, d’une durée d’une minute, dans la gamme qui se situe entre 16 et 18 Ghz, qui libèrera une « charge » [payload] virale de trois pathogènes différents contenus dans les particules lipidiques (ou hydrogel). L’oxyde de graphène et les nano-structures présentes dans le sang des personnes injectées joueront vraisemblablement un rôle dans ce phénomène. La libération d’un de ces trois pathogènes contenus dans cette charge provoquera une fièvre hémorragique connue comme maladie de Marburg. Le taux de mortalité de cette maladie est de 88% mais le Dr Buttar spécule que ce mode de contamination particulier pourrait occasionner un taux de mortalité de 100%. Il estime que les personne non-injectées et dont le système immunitaire est intact seront à l’abri des pires effets de la contagion subséquente. Ces millions de décès créeront un vent de panique dans les populations et permettront une prise d’autorité sans précédent par les gouvernements qui instaureront l’état d’urgence, par l’armée qui prendra le contrôle via loi martiale, et par les institutions nationales et internationales, le CDC (aux Etats-Unis) et l’OMS, qui imposeront globalement des obligations vaccinales. Le Dr Buttar pense que tout ceci pourrait se produire cette année-même, devant la perte de contrôle du narratif infligé aux peuples depuis le début du Covid. D’après le Dr Buttar, l’ensemble de l’opération est dirigé par un noyau de 500 à 600 personnes, relayées par des personnes clé dans les gouvernements et les institutions.
Le Dr Buttar rappelle aussi qu’il a consacré beaucoup de temps et d’énergie à prévenir le public du danger potentiel des injections Covid mais que comme il n’a pas été écouté, il se désolidarise du sort prochain des personnes injectées. Il souligne que le choix de ceux qui ont cédé aux chantages à l’emploi n’a aucun sens, face à la menace sur leur existence même. Je note au passage qu’il ne semble pas faire grand cas des enfants, à qui on a pas laissé le choix, ou qui étaient des proies faciles pour la propagande.
Le Dr Buttar précise toutefois qu’il existerait une méthode permettant de contrer la présence dans le corps humain des éléments précités et donc d’éviter leur activation et ses conséquences. Pour des raisons d’efficacité et de sécurité, il tient toutefois à annoncer publiquement cette méthode lors de son passage à la quatrième édition de la Annual Advanced Medicine Conference (Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe), qui se tiendra les 28, 29 et 30 mai – c’est-à-dire à partir de demain si vous lisez cet article le jour de sa parution.
Quelques remarques:
Une des vidéos du Dr Buttar montre son intervention récente à l’événement Reawaken America, qui est essentiellement un outil de promotion du « clan » Trump – y figurent au nombre de ses invités le général Flynn, Roger Stone et Eric Trump. Faut-il rappeler que le vaccin contre lequel le Dr Buttar sonne depuis deux ans l’alerte maximale est l’oeuvre de Donald J. Trump, qui ne désavoue en rien sa création mais continue à en faire une promotion active?
La quatrième Conférence Annuelle sur la Médecine de Pointe accueillera quelques invités familiers de mes lecteurs et théoriquement dignes de confiance, mais également des personnages comme le Dr David Martin et le Dr Bryan Ardiss, totalement discrédités.
A propos du Dr Bryan Ardis, on peut observer une similitude avec la récente annonce du Dr Buttar: il s’agit d’une révélation fracassante, qui reprend des éléments connus pour en faire une théorie plutôt hardie, et les deux disent avoir été renseignés ou guidés par une tierce personne, dont ils ne révèlent pas l’identité.
A propos de révélation fracassante, dans ce récent article, Reiner Fuellmich chiffre l’objectif de l’ensemble de l’opération Covid/guerre/famine/Grand Reset/etc. à une dépopulation de 80% au niveau mondial. Une analyse – dont je n’ai plus la référence sous la main, sorry – calcule qu’une simple panne d’Internet de deux mois suffirait à éliminer ce même pourcentage de la population. Pourquoi alors avoir mis en place toute cette opération si quelque chose d’aussi simple que l’arrêt d’Internet offrait le même résultat? D’autre part, un taux de décès de 80% de la population mondiale ne pourrait être qu’une étape transitoire, le chaos indescriptible qui en résulterait éliminant probablement la majorité des 20% restant – le taux final se situerait donc plutôt autour de 99%. Penser qu’il serait possible d’établir une quelconque forme de gouvernance ou de loi martiale dans de telles conditions est une absurdité. On serait plutôt dans un scénario apocalyptique du style I am Legend ou The Book of Eli.
Dernière remarque, d’un point de vue purement technique, ce qu’annonce le Dr Buttar semble irréalisable pour la simple raison que de très vastes territoires ne disposent toujours pas de réseau 5g. On pourrait toutefois imaginer que les personnes hors-réseau seraient déplacées sous la contrainte dans des zones desservies par ce réseau, ce qui scellerait leur destin. Un déplacement d’une telle ampleur ne serait toutefois pas évident à mener. Je dirai toutefois qu’il existe une possibilité et un intérêt d’employer la 5g en synergie avec les nanoparticules vaccinales pour cibler certains individus, et que les fameuses adresses Mac des personnes injectées pourraient servir à cet objectif. Je pense d’ailleurs qu’une technologie de cet ordre a été employée au concert de Travis Scott, sur lequel j’avais promis un article, projet que je n’ai ni oublié ni abandonné mais pour lequel je n’ai juste pas encore trouvé le temps.
Quoiqu’il en soit, je ne manquerai pas de visionner l’intervention du Dr Buttar, de la résumer et de la commenter ici, d’autant que mon épouse n’est pas très partante pour m’accompagner au cirque qui s’est établi dans le village voisin.
Pour ceux qui ne sauraient toujours pas qui est Reiner Fuellmich, c’est l’avocat international qui a lancé le Comité d’Investigation Corona, auquel sont associés l’avocate Viviane Fischer et le Dr Wolfgang Wodarg, le politicien censé avoir désamorcé en Allemagne la magouille de la grippe H1N1, pneumologue pas très à jour dans son domaine, ce qui occasionne régulièrement des moments gênants lors de certains webinaires – comme le cousin un peu lent qu’on sort du grenier pour les repas de fête.
Ce comité a effectué et publié depuis la mi-juillet 2020 des dizaines d’interviews d’experts en tout genre (deux traductions, ici et ici), dont les noms étaient déjà familiers de mes lecteurs (voir note de bas de page). Bien qu’il ne lise pas mon blog, je lui ai recommandé ici, à moitié sérieusement, de s’adresser à des complotistes chevronnés, ce qu’il a fait avec Ole Dammegård, session amusante mais malheureusement sans grand intérêt. Il a aussi ouvert cette même tribune à des personnages assez douteux, notamment aux Drs Lanka et Kaufmann, dont je parle ici, au Dr David Martin dont il est question dans l’article précédent, et bien entendu à son acolyte le Dr Wodarg, ce qui pose le risque de non seulement discréditer son comité mais aussi, par effet d’association, ses invités plus sérieux. Outre ces sessions, le Comité Corona s’était initialement engagé à mener une action en justice au niveau international, notamment sous forme de class action aux Etats-Unis.
Après dix-huit mois de travail, Reiner Fuellmich en est arrivé à la conclusion que la solution ne viendra pas d’une action en justice (ici) mais d’une insurrection des peuples. Malgré qu’on ait observé dans de nombreux pays diverses initiatives d’avocats qui ont interpellé leur gouvernement avec quelque succès (mineur), Maître Fuellmich a déterminé que son projet de grand procès était voué à l’échec vu le niveau de corruption de l’appareil de justice.
En lieu et place, il a mis en place, début 2022, un Grand Jury, à savoir trois (très longues) sessions de conférences Zoom, où il a interrogé un florilège des mêmes intervenants, devant avocats et juge, avec en guise de jury le peuple lui-même, le tout devant servir de modèle à un hypothétique procès réel. En dépit de ce qu’explique Maître Fuellmich, je pense que ce procès réel n’aura vraisemblablement jamais lieu et que l’avenir de son verdict final – que je n’ai pas suivi – est de se perdre dans le vide intersidéral. Dans le cas contraire, il ne s’agirait de toute manière que d’une nouvelle mascarade à la Nuremberg, une de plus dans la longue liste des procès fantoches de personnalités publiques, qui n’ont jamais au cours de l’Histoire encouru le moindre inconvénient de leurs crimes, ni purgé la moindre peine de prison et encore moins été exécutées – malgré ce qu’on a réussi à en faire accroire aux peuples.
Pour ceux qui ne sauraient toujours pas qui est Alex Jones, voici une vidéo pas trop mal faite sur le sujet. En résumé, c’est un acteur du nom de Bill Hicks, prétendument mort en 1994, en réalité recyclé – après chirurgie plastique – comme figure de proue de l’opposition nationaliste/constitutionnaliste américaine, surgi comme un diable de sa boîte à l’époque où le Renseignement avait besoin d’un garde-barrière pour encadrer le narratif des attentats du World Trade Center en préparation. Je vous ai déjà donné un petit truc dans cet article au sujet de Gates et de ses petits ricanements. En voici un autre, que j’ai constaté chez beaucoup d’autres menteurs pathologiques ou professionnels, spectaculairement évident et constant chez Hicks/Jones: une voix anormalement éraillée. Hicks/Jones ne parle quasiment jamais sur le ton naturel de la conversation. Son mode de communication est en permanence dans l’outrance – il a toujours été un acteur très médiocre – ce qui le rend d’ailleurs très difficile à supporter. D’autres menteurs professionnels, comme Anthony Fauci, contrôlent beaucoup mieux leur voix quoiqu’il leur arrive parfois sous l’effet d’un stress inattendu de montrer ce genre de signe révélateur. Vous pouvez vérifier.
Par contre l’anglais de Maître Fuellmich est absolument parfait, très clair et très structuré et son ton est toujours très serein. Bien entendu, il est avocat de plaidoierie de haut niveau, c’est donc un excellent orateur. Mais il est aussi allemand. J’ai remarqué chez les allemands qui ont étudié l’anglais qu’ils le parlent généralement sur un mode très élégant et fluide, ce qui vient probablement de la maîtrise du concept qu’offre leur langue maternelle. Pour l’anecdote, j’avais constaté ce fait il y a vingt-cinq ans chez un cadre supérieur d’une très grosse entreprise allemande impliquée dans le projet sur lequel je travaillais en sous-traitance. Je lui téléphonais juste pour le plaisir de l’entendre parler (en anglais), ce qu’il tolérait de ma part car c’était aussi un homme d’une grande courtoisie.
Lors de son passage dans l’InfoWars de Jones, Maître Fuellmich explique que le projet global est d’éliminer physiquement 80% de la population mondiale et d’asservir les survivants dans une technocratie dystopique à la Huxley – bref, ce que j’annonçais il y a bientôt deux ans dans cet article et que je n’ai cessé d’argumenter depuis lors. Il pense aussi que les instigateurs de ce projet n’arriveront pas à leurs fins parce que les 20% du peuple qui s’y opposent finiront par éveiller les 40% encore indécis – les autres restant totalement inflexibles. La stratégie de résistance sur laquelle lui et « Jones » s’accordent est d’une part de diffuser un maximum d’information afin de convaincre ces 40% et d’autre part d’éviter toute action violente, qui donnerait du grain à moudre au pouvoir. Selon eux – et selon moi – la solution à court, moyen et long terme serait de construire dès maintenant des réseaux sociétaux « alternatifs » qui assureraient l’existence et l’avenir des survivants. Il semble que le mouvement soit déjà amorcé. Elliott Freed a écrit, de son point de vue d’anarchiste libertaire, un article très intéressant sur ce thème, que j’ai publié ici. Maître Fuellmich ajoute qu’il aimerait trouver le moyen d’éviter un conflit ouvert, qui ferait un nombre considérable de victimes, mais que tous les signes présents – notamment les nombreux camps de concentration en Australie et aux USA – pointent vers une opération de répression très violente pour cet automne, ce qui rend un peu étranges ses conseils pacifistes. Le choix du domaine d’action et de son intensité serait donc le coeur du problème. Parlons-en.
Comme déjà abordé sur ce blog, le boulot de l’opposition contrôlée est de capturer, censurer, orienter et au final dérailler le débat et, partant, de saboter l’action nécessaire. Non pas en délivrant forcément de fausses informations – du moins pas plus de 20% du total, par souci de crédibilité – mais 1) en laissant croire que quelque chose de significatif est entrepris au nom du peuple, 2) en faisant traîner suffisamment cette prétendue action pour empêcher le peuple de réagir à temps, 3) en orientant/contenant l’action de celui-ci pour qu’elle soit subordonnée à ce qui est censé être entrepris. L’objectif de ces trois points est évidemment de s’assurer que rien d’efficace ne puisse compromettre le projet.
Si je me fie à son discours et à sa gestuelle, je ne pense pas que Maître Fuellmich soit dans un rôle de subversion de la résistance mais que, du fait de son rang social assez élevé, il est arrivé très tardivement dans ce combat – ce qu’il reconnaît lui-même – et qu’il est contraint d’opérer dans le cadre existant de l’opposition contrôlée. Il n’est d’ailleurs pas le seul, puisque quelqu’un comme le Dr Vladimir Zelenko, que je tiens pour un homme intègre et courageux, se retrouve à apparaître dans des tribunes comme celles de « Jones » ou de Stew Peters, qui sont les employés directs des gens qu’il a juré de combattre.
Dans un même ordre d’idée, le héros judiciaire que Maître Fuellmich revendique lui-même ici et dont il cite volontiers la formule « Le soleil est le meilleur désinfectant », n’est autre que Louis Brandeis, dont vous trouverez le pédigrée ici (en anglais), qui pendant les longues années où il a oeuvré à la tête du système judiciaire américain, agissait au service d’une organisation secrète, contre les intérêts de son pays et en toute impunité. J’ignore si Maître Fuellmich est au courant de ce fait mais ça ne joue pas en faveur de sa crédibilité.
En conclusion, quelles que soient les intentions de ces intervenants, ils ne sont pas équipés pour règler le problème à eux seuls, ni censés le faire. Ils ont servi – honnêtement ou non – de condensateur mais on ne peut pas attendre qu’ils soient la résistance. Je lis et j’entends aussi qu’il s’est constitué un réseau de millionnaires qui craignent pour leur fortune – ou leur vie – et tentent en coulisses d’émanciper le peuple de sa passivité afin de former un front commun contre l’opération des milliardaires de Davos. Ce n’est pas impossible mais j’ai un léger doute sur la différence que ça ferait.
Alors qui, comment et quand?
Qui, c’est nous.
Je n’éprouve aucune tendresse pour les meurtriers de masse mais comme je n’ai absolument aucun accès à leur réseau, pour ma part, ils y sont nés et ils y resteront pour toujours bien à l’abri. Je ne crois pas non plus aux révolutions. Elles n’ont jamais été décidées par le peuple et ne lui ont jamais rendu service.
Par contre, j’ai accès à mon réseau, celui de la base – le petit peuple. Et je n’ai pas tellement plus de tendresse pour les collabos que pour la Kommandantur – et je ne parle pas ici particulièrement des injectés, dont beaucoup se rendent compte de leur erreur.
Dans les domaines de pouvoir que nous devons assumer nous-mêmes en personnes adultes – je parle par exemple ici de l’eugénisme et de la génétique – le recadrage des éléments toxiques qui pourrissent les rangs du peuple est l’affaire de ce même peuple. En gros, une affaire de familles. Et dans les familles, il n’y en a parfois qu’un ou une à s’armer de patience envers le reste d’un troupeau totalement dégénéré et extrêmement dangereux. Pour savoir si cette patience est légitime, il suffit d’en regarder le résultat autour de soi, de voir comment fonctionne ce monde, où ça nous a menés aujourd’hui et ce qui nous attend demain matin.
Je pense que le temps de la patience est révolu. La solution ne viendra pas de quelqu’un d’autre. Et l’argumentaire de la division à éviter à tout prix, parce qu’elle ferait le jeu du pouvoir, est un voeu pieux, qui n’a plus beaucoup de lien avec le terrain. Ceux qui ont mal choisi leur camp et s’y tiennent doivent en assumer les conséquences. Ça, c’est pour le comment.
La dernière question serait: quand?
Avant l’automne.
Note: pour mémoire, j’ai publié sur ce blog d’autres interviews et articles des experts interrogés par le Comité Corona: Catherine Austin-Fitts (1) (2), Ernst Wolff (1) (2) (3) (4), Robert F. Kennedy Jr (1) (2), le Dr Lee Merritt (1), le Dr Geert Vanden Bossche (1), Matthew Ehret (1) (2), le Dr Mike Yeadon (1) (2) (3 (4) le Dr Sherry Tenpenny (1) le Dr Christiane Northrup (1), le Dr Vladimir Zelenko (1), le Dr Tess Lawrie (1), le Dr Peter McCullough (1) (2), le Dr Stephanie Seneff (1), Valérie Bugault (1) (2), le Pr Mattias Desmet (1), le Dr Ryan Cole (1), James Corbett (1) (2), le Dr Robert Malone (1) (2) (3).
Le Dr David Martin est cette figure de la « résistance » très omniprésente, qui déclare lors de ses conférences, où il use et abuse de sa piètre maîtrise de la programmation neuro-linguistique, des choses très surprenantes, par exemple que nous n’avons pas d’ADN ou que tous ceux qui attribuent la corruption du système médical à la famille Rockefeller se sont fait berner – c’est en fait le réseau d’assurance-vie/maladie qui a tout organisé.
Pour ceux qui auraient le temps et la curiosité de s’intéresser à ce leader autoproclamé, à ses qualifications et à ses accointances, une monographie (en anglais) assez édifiante, bien rédigée et sourcée ici, uniquement basée sur ce que Martin a lui-même écrit. Si vous maîtrisez l’anglais, je vous invite à lire ce document en entier tout en sachant que l’auteur (un certain Omar Jordan, qui taille également un costard à Dolores Cahill, le même genre de serpent) défausse – volontairement, je pense – son propos en reprenant un des éléments les plus insidieux de cette opération psychologique: le narratif selon lequel il n’y a pas de virus, donc pas de contagion, donc pas d’épidémie, et qu’un des objectifs de l’opposition contrôlée serait de consolider la théorie virale. J’ai traité ce point dans un article précédent et j’en conclus que Omar Jordan (s’il existe) fait comme David Martin partie de l’opposition contrôlée. Ils jouent probablement aux cartes ensemble le dimanche.
Pour conclure avec le Dr Martin et contrairement à ce qui a été affirmé sur de nombreux sites, il a publié en décembre dernier un projet de mise en accusation, dont vous pouvez lire/télécharger ci-dessous la version originale et la traduction (approximative) en français.
Quelle que soit la valeur juridique de ce document, notez qu’il n’a pas été utilisé pour un dépot de plainte de la part du Dr Martin.
En revanche, ce dernier annonce avoir récemment saisi la justice de l’état de l’Utah, qui permet enfin, selon lui, par une particularité du Code de cet Etat de procéder aux inculpations qu’il aurait tentées par de multiples canaux depuis deux ans. Il annonce viser avant tout Joe Biden, ce qui arrive très opportunément au moment où son éjection de la Maison Blanche est imminente – même le Parti Démocrate fait tout pour s’en débarrasser, c’est dire. Il n’a toutefois pas l’intention de limiter son action au monde politique, qui ne sont que des relais, et compte s’en prendre directement aux instigateurs et bénéficiaires de l’ensemble de l’opération Grand Reset/Covid/Ukraine, les grands acteurs financiers. C’est-à-dire Blackrock et Vanguard.
Pour reprendre une formule plaisante de Bruno Léandri, j’ai confiance dans l’avenir de cette plainte.
Je posais ici la question de savoir si Stew Peters était un outil de l’opposition contrôlée. On a maintenant la réponse. Ses scénaristes ont même poussé le vice jusqu’à mettre en scène une prétendue descente du SWAT à son domicile, histoire de vendre l’idée que sa vie est menacée pour ses « révélations » (il vend la même idée à propos d’Ardis). La réponse qu’il a diffusée à ce sujet est d’ailleurs très informative: on le montre en pleine action dans sa carrière précédente, qui consistait à arrêter des gens recherchés, pistolet à la main – contre récompense, j’imagine. Un chasseur de primes, en somme, qui s’est trouvé un nouveau métier. Sa chaîne diffuse depuis la première dudit documentaire un chapelet de vidéos triomphalistes qui annoncent la défaite du Mal amenée par cette explosive révélation. Rien que ça.
En ce qui concerne le Dr Ardis, contrairement à certains de ses critiques, je ne le soupçonne pas de maladresse ou de naïveté. Il n’est certes pas médecin mais il a paraît-il passé quatre mois à préparer sa « théorie », là où j’ai mis beaucoup moins longtemps à en voir les trous béants – et je suis ouvrier. Il sait donc très bien ce qu’il fait.
Le côté sournois de ce genre de traître professionel me dégoûtant encore plus que les crapules à la Fauci, je laisse la parole à quelques auteurs sur Substack qui vous expliqueront la mécanique de l’arnaque aussi bien que moi, et surtout de façon plus courtoise. Je risquerais de devenir malpoli, voire désagréable.
Je commence par la critique la moins sévère. Comme je ne fais moi-même aucune promotion de ce blog nulle part, je compte un peu sur mes lecteurs pour diffuser cette article.
Il faut tuer cette histoire dans l’oeuf. C’est de la légitime défense.
« Nous, Serpentards, sommes courageux, oui, mais pas stupides. Par exemple, si on nous donne le choix, nous choisirons toujours de sauver notre propre peau. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)
Je ne vous en voudrais pas si vous sautiez la lecture de cet article.
Lorsque Steve Kirsch m’a invité à une réunion avec le Dr Bryan Ardis sur le thème de l’empoisonnement de l’approvisionnement en eau comme origine réelle de la pandémie, j’étais très sceptique et pas particulièrement enthousiaste à l’idée de consacrer du temps à cette rencontre. J’ai néanmoins apprécié la prise de position publique d’Ardis à propos du remdesivir – un médicament coûteux dont l’effet secondaire est de provoquer une insuffisance rénale et qui est utilisé tardivement au cours de l’hospitalisation (généralement trop tard pour qu’un antiviral puisse agir sur un virus qui cesse généralement de se répliquer avant l’hospitalisation), pour enrayer une maladie dont le coefficient de mortalité est extrêmement élevé chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale.
Mais à chaque fois que je le vois parler, j’ai l’impression de regarder une publicité. Est-ce qu’il se prépare chez lui à débiter son texte? Pourquoi ai-je l’impression que c’est ce que je suis en train de regarder? Est-ce que je suis le seul?
J’aurais bien consacré du temps à en discuter en gardant une certaine ouverture d’esprit, ne serait-ce qu’à titre d’exercice, histoire de voir ce qu’il pourrait être nécessaire de mieux comprendre pour faire la différence entre une preuve corrélative et une théorie simpliste. Peut-être m’aurait-il convaincu. À l’époque, je ne savais pas encore que le venin de serpent serait l’aspect le plus intéressant de la discussion.
Qu’est-ce que « Watch the Water » et pourquoi?
Comme je n’ai jamais suivi de près QAnon, je n’avais pas fait le lien, mais…
« Watch the Water » est une phrase de Q et elle est donc utilisée intentionnellement pour permettre à des groupes comme « Right wing watch » de discréditer quiconque la partage ou l’approuve. Mais il se trouvera un contenu véridique, noyé dans le brouhaha, qui se verra discrédité par la même occasion.
Oh là là. Que commence la lutte pour une discussion objective ou au moins éducative au milieu des états mentaux-émotionnels de notre époque! Que nous disent les vérificateurs de faits?
Q N’A PAS PRÉDIT LE BLOCAGE DU CANAL DE SUEZ Depuis plus de trois ans, les adeptes du tentaculaire réseau conspirationniste QAnon parcourent les publications anonymes sur le web d’un personnage nommé « Q » (qui prétend être un initié du gouvernement avec une habilitation de sécurité top secret) et analysent les déclarations de l’ancien président américain Donald Trump, qui, selon eux, combat secrètement une cabale de prédateurs sexuels d’enfants qui comprendrait des démocrates de premier plan, des élites hollywoodiennes et des alliés de l' »État profond » (ici). Les utilisateurs des médias sociaux affirmant que Q a prédit la crise du canal de Suez soulignent que Q avait déclaré » look at the water » et » watch the water « , une référence à un message posté par Q le 15 février 2018 (archivé ici).
J’espère sincèrement que le titre du documentaire d’Ardis n’a pas été choisi pour raviver les souvenirs d’un post QAnon extrêmement vague et vieux de plusieurs années. Je crains toutefois que ce soit le cas. Mais, indépendamment de nos préjugés, examinons les sujets dont il est question. Après tout, il s’agit d’un virus présentant des signes manifestes de manipulation génétique [d’éléments dangereux], qui a ensuite été converti en produits biologiques injectables qui furent distribués à des milliards de personnes sans tenir compte de la nécessité de dépasser les normes ordinaires de preuve d’efficacité.
Well this really interesting… Was #WatchTheWater an attempt to discredit the presence of "snake venom" peptides in the spike protein?
Bien, c’est vraiment intéressant. Est-ce que #WatchTheWater était une tentative de discréditer la présence de peptides de » venin de serpent » dans la protéine de pointe? Pourquoi? Quelle est l’histoire qu’ils essaient d’enterrer?
Qu’est-ce qui, dans l’histoire d’Ardis, chiffonnerait un observateur au point de penser qu’il s’agit d’une opération psychologique? Combien de personnes le pensent? Ou se posent au minimum la question?
Suggestion: sautez les dix premières minutes de la vidéo ci-dessous, qui est un composite de musique dramatique et de Stew Peters en train de récapituler sa vision du pandémonium. Mettez à profit ces dix minutes supplémentaires pour effectuer une recherche Internet sur les bibliothèques et les bases de données de toxines. Si ce niveau de difficulté vous rebute, choisissez un moment au hasard dans le documentaire et regardez-le pendant quelques minutes à demi vitesse. Je vous expliquerai plus tard.
Vous pouvez lire la réaction première de Steve Kirsch ici.
Ma toute première pensée a été: « Pourquoi un examen des liens potentiels entre le venin de serpent (ou d’autres toxines) doit-il nécessairement être associé à une hypothèse sur la façon dont l’approvisionnement en eau a été empoisonné? » Ou bien sont-elles indissociables? S’il existe une raison impérieuse de ne pas distinguer les deux discussions, je ne l’ai pas saisie. Je les aborderai comme deux hypothèses distinctes: (1) l’hypothèse du venin de serpent (HVS) et (2) l’hypothèse de l’empoisonnement de l’eau (HEP). Bien que je ne pense pas que les preuves aient été présentées de manière cohérente, je pense que la HVS est de loin la plus intéressante des deux, ce qui signifie que je présume que j’ai plus de chances d’apprendre quelque chose de valable en l’examinant.
Je voudrais commencer par dire que je ne suis pas du tout familier de ces sujets. J’ai juste assez de connaissances pour lire les recherches récentes, en tirer quelques enseignements, et en retirer de nombreuses questions car il y a des éléments que je ne comprends pas. Et au final, j’ai peu de temps libre. Heureusement pour moi, ma femme est biochimiste et elle a travaillé dans le domaine de la défense contre le bioterrorisme. J’ai donc trouvé chez elle des réponses à quelques questions qui m’ont permis de me sentir un peu moins dépassé par ces sujets. Soyons reconnaissants pour ces petites victoires.
Les venins de serpent sont des toxines, et les toxines elles-mêmes constituent un domaine de recherche intéressant et parfois fertile en biologie, précisément parce que chacune perturbe un ou plusieurs systèmes biologiques. Certaines recherches pharmacologiques démarrent par des recherches dans des bases de données moléculaires de toxines telles que la Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Même si nous n’avons qu’une compréhension embryonnaire de nombreuses interactions biochimiques, nous réussissons parfois à trouver le moyen de faire vibrer les bonnes cordes biologiques pour produire une résonance. L’une des applications les plus connues est le ciblage des tumeurs par des toxines (chimiothérapies).
Je vais citer Mowrey une dernière fois avant de poursuivre:
Ardis est sur la bonne voie lorsqu’il propose que la justification la plus cohérente du choix du venin de serpent (« l’arme biologique originale ») pour le Covid-19 et/ou SARS-CoV-2 et pour les transfections d’ARNm serait essentiellement symbolique. Ainsi, pour ceux qui sont enclins à penser que le virus ou sa protéine de pointe ont été conçus en laboratoire, l’argument d’Ardis reste intéressant, même si l’on ne croit pas les parties concernant l’eau du robinet ou le Remdesivir.
Cependant, Ardis n’offre pas beaucoup de preuves convaincantes de l’aspect « venin » de la protéine de pointe. En outre, ce n’est pas une théorie très utile, si ce n’est pour spéculer sur l’état d’esprit de ceux qui ont conçu le virus. Peut-être la protéine de pointe contient-elle des éléments de venin de serpent. Mais le venin de serpent est un ensemble de peptides qui interagissent avec les molécules de l’hôte, ce qui est également la définition d’une protéine virale.
Le venin de serpent à sonnettes contient un parent de sPLA2-II, qui est exprimé dans tous les tissus humains. Snider et al. ont constaté que les infections par le SARS-CoV-2 provoquaient des sécrétions extrêmes de sPLA2-II dans ces mêmes tissus, imitant ainsi l’empoisonnement par le venin. Les infections bactériennes incontrôlées menant à la septicémie favorisent également des sécrétions extrêmes de sPLA2-II, imitant l’empoisonnement par venin.
Addendum: C’est le moment idéal pour mentionner l’excellent fil de discussion de Kevin McKernan sur la toxine de cobra proposée par Geneticism.
Venomics to Snakes On a Plane. Snake Oil or Venom?
This topic maybe toxic but it's largely a function of poor scientific communication and sticking to proper definitions. pic.twitter.com/7QwMlF8tei
Des Venomics à Snakes On a Plane. Huile de serpent ou venin? Ce sujet est peut-être toxique, mais il est en grande partie dû à une mauvaise communication scientifique et au fait qu’il faut s’en tenir aux bonnes définitions.
Présentation problématique
Les dix premières minutes du documentaire sont incroyablement pénibles. Je les décrirais comme un test de loyauté pharmacopartisan (même si tout ou presque est correct), qui sert à faire fuir un certain public tout en caressant l’ego d’un autre. Ce n’est pas de cette manière que l’on conquiert les cœurs et les esprits de ceux qui se situent entre les deux, et prêcher à la chorale au sujet d’une hypothèse non vérifiée fait courir le risque que des milliers de personnes qui acceptent trop rapidement les hypothèses comme une vérité (peut-être en raison de l’opinion positive qu’elles ont d’Ardis et de Peters) se retrouvent dans la zone de combat impitoyable de l’Internet, sans être préparées aux critiques et au scepticisme raisonnables auxquels elles seront exposées (sans parler des inévitables étiquettes et insultes mesquines).
Pour le plaisir, allez là où la conversation débute et écoutez à demi vitesse. C’est ce que je fais lorsque je retranscris des vidéos, et le résultat est ici parfois DÉSOPILANT. On a l’impression que presque tout le monde est ivre ou défoncé. Ce genre de moment. C’est moi qui souligne.
Rien de ce que j’ai apporté à Stew n’a pour but de créer la peur et la panique… Dr Pierre Kory, vous aviez raison. Dr. Paul Marik, vous aviez raison. Dr Ben Marble et Zev Zelenko, vous aviez raison. Simone Gold, vous aviez raison. Sherry Tenpenny, vous aviez raison… Le Dr Ryan Cole pourra enfin conclure pourquoi ce qui est observé sous les lames, sous le microscope, est à ce point maléfique…
Entamer la discussion d’une histoire qui devrait être présentée comme une hypothèse de travail plutôt que « la vérité » (il n’y a clairement aucune preuve tangible, et beaucoup de détails à régler), puis créer une corrélation entre cette histoire et le milieu des célébrités du COVID revient à maquiller en chef-d’œuvre achevé un dossier incomplet. Cette étape est la première d’une lente et douloureuse progression vers le point focal de la conversation, qui comprend également la formulation de liens religieux et spirituels parmi ceux qui luttent pour la vérité. Commencer ou terminer par une prière qui ne servirait pas à remplir le milieu du documentaire, où on attend avec suspense de découvrir la révélation, serait plus respectueux d’un public qui a déjà collectivement passé plus d’un million d’heures à regarder ce documentaire cette semaine.
Mais je ne jugerai pas les preuves sur cette base, bien sûr. Je vous suggère toutefois d’écouter la séquence à 21 minutes à demi vitesse, car il s’agit de deux ou trois minutes qui illustrent bien ma critique de la proportion dramaturgie/contenu de cette émission.
Ardis: N’est-ce pas un virus? Est-ce un venin? C’est ce que je veux savoir. Est-ce que COVID est un venin et est-ce la raison pour laquelle ils ne veulent pas que l’on utilise des anticorps monoclonaux.
Peters: Ça semble complètement fou. Comme théorie.
Ardis: C’est complètement fou.
Peters: Je veux dire, comment… comment les populations seraient-elles infectées par des morsures de serpent?
Ardis: Ouais. Laissez-moi vous poser une question. Puis-je vous poser une question?
Peters: Bien sûr.
Ardis: Croyez-vous que les médias sont contrôlés?
Peters: Bien sûr.
Ardis: Et vous le croyez vraiment?..
Peters: Oui.
Ardis: Vous croyez donc que tout ce qui est diffusé dans les médias est orchestré et contrôlé.
Peters: Bien sûr.
Ardis: Dans tous les domaines?
Peters: Dans tous les domaines.
Ils semblent ici vouloir flatter le public pour son intuition et sa perception évidentes que les médias ont tort. Moi, je me sens flatté. Vous sentez-vous flatté? Moi, je me sens flatté. Passons à autre chose.
Non-A n’implique pas B.
Je préférerais en arriver à une conclusion (où que ceci nous mène) par l’intermédiaire d’une étude plus rigoureuse, qui montrerait qu’une version ou qu’un élément de la HSV est correct. Et s’il existe quelque chose dans cette histoire qui vaut la peine d’être découvert (et il pourrait y avoir une telle chose, que cette présentation soit ou non entièrement correcte), j’aimerais me concentrer sur les cinq minutes d’information que j’ai pu retirer de ce documentaire de 60 minutes, qui n’aurait jamais dû être aussi long. Il suffirait de me fournir une page avec les liens des études disponibles, et le jour où ces informations arriveront en tête de ma liste de priorités, je les lirai. Il aurait été préférable de les envoyer par e-mail à un grand nombre de chercheurs pour recueillir leurs réactions avant de produire ce documentaire.
Je n’ai rien contre les théories du complot, car je crois fermement que des complots sont bien en cours. Mais cette image n’inspire pas confiance en termes d’objectivité. C’est un petit tour de force visant à créer un spectacle sans intérêt. C’est le même problème que celui dont souffrait le documentaire Plandemic, mais amplifié. Et ce qu’il faut absolument éviter, c’est de renoncer à toute précieuse parcelle de vérité susceptible de résister à un examen approfondi, juste parce qu’elle aurait été un jour présentée dans le cadre d’un exposé non rigoureux brandi comme vérité dans un documentaire prématuré.
Cohérence et faits
J’aurais peur d’invoquer le meurtre de Bing [NdT. Bing Liu, chercheur sino-américain sur le point de publier une recherche sur l’origine du Covid, trouvé mort en 2020, prétendument assassiné par un rival romantique] en tant qu’alibi spirituel pour déterminer la validité d’une hypothèse spéculative. Non pas que je déteste les hypothèses spéculatives. Il nous faut en explorer un grand nombre pour nous rapprocher de la vérité, et il nous faut nous montrer plus conciliants avec les personnes qui le font, car c’est de là que proviennent beaucoup de vérités dérangeantes. C’est exactement la raison pour laquelle j’ai passé du temps à examiner différents aspects des hypothèses de l’omicron (sur lesquelles Igor Chudov a entrepris d’écrire [NdT. que j’ai publié ici], en incluant certaines informations qui allaient figurer dans mes futurs articles, et d’autres que je ne connaissais pas encore). Revenons à Bing: je n’aime pas la révélation dramatisée du biscuit chinois [NdT. Ardis présente comme synchronicité divine le fait qu’un « fortune cookie » qu’il aurait ouvert mentionnait les termes « Bing » et « Liu« ]. Si c’est vrai, il aurait mieux valu la garder pour une date ultérieure – après que l’hypothèse ait été correctement testée et après une enquête correcte sur le meurtre de Bing (qui n’a jamais eu lieu). L’aborder d’emblée donne l’impression qu’il utilise la mort de quelqu’un pour attirer davantage l’attention du public. Cela pourrait aussi avoir comme conséquences d’inhiber le désir d’un public partisan de l’enquête nécessaire à se forger une conclusion, et de faire en sorte que l’autre « équipe » partisane se moque que l’affaire soit suivie jusqu’au bout. Pour moi, cela franchit les limites de la décence, et je crains que cela provoque dans le public une grande déception si et quand l’hypothèse se révélera fausse, ou même partiellement fausse, ce qui entraînera des attaques de la part des consommateurs vengeurs de Crusted News Notworks [NdT. la chaîne CNN, dont l’auteur démonte la stratégie d’enfumage dans cet article très amusant et très matheux].
L’utilisation du venin de serpent est si courante dans la recherche pharmaceutique qu’il faut chercher bien au-delà de ce point de départ pour établir une corrélation. La recherche identifiant l’homologue de la toxine du venin de serpent dans le domaine de liaison du récepteur (receptor binding domain – RBD) du SARS-CoV-2 est réelle (Farsalinos et al, 2020). Et si le SARS-CoV-2 a été génétiquement modifié (ce dont je suis fermement convaincu), il se peut très bien qu’une telle toxine ait été insérée dans le génome du SARS-CoV-2 (et donc dans les quasi-vaccins) pour nuire aux gens. Et oui, cette recherche note l’interaction de cette toxine spécifique avec les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine. Mais c’est quelque chose que les chercheurs, y compris ceux qui s’intéressent au débat entre Génétiquement Modifié et Zoonoses/Autres, savaient déjà. Et oui, les chercheurs comme Dmitry Kats qui en ont parlé ont été bannis des médias sociaux.
J’ai lu l’article dont Ardis parle au début de la partie substantielle du documentaire, qui souligne la similitude entre les génomes du SARS-CoV-2 et du CoV du serpent (Wei Ji et al, 2020). J’ai l’impression qu’Ardis laisse de côté certains aspects importants de cet article (c’est moi qui souligne):
Les études sur le biais d’utilisation relative des codons synonymes (RSCU) entre les virus et leurs hôtes suggèrent que les virus ont tendance à évoluer vers un biais d’utilisation des codons comparable à celui de leurs hôtes. 10, 11 Les résultats de notre analyse suggèrent que le 2019-nCoV possède les informations génétiques les plus similaires à celles du coronovirus de la chauve-souris et le biais d’utilisation des codons le plus similaire à celui du serpent.
Ainsi, par nucléotide, la génétique est plus similaire à celle des CoVs de chauve-souris.
Comme nous le voyons, cette similarité est particulièrement élevée pour le clade A, issu des chauves-souris de Nanjing, en Chine. Il est difficile de regarder ce graphique sans penser » naturel, naturel, naturel, PAS NATUREL, naturel… « , ce qui signifie que je crois que le SARS-CoV-2 a été conçu à partir d’un CoV naturel, très probablement trouvé à l’origine chez une chauve-souris.
Qu’est-ce que signifie que le biais d’utilisation des codons ressemble davantage à celui des serpents?
Le biais d’utilisation des codons est lié au fait que chaque acide aminé peut être généré par différentes séquences de trois nucléotides. Je vais commencer par reprendre un de mes articles précédents:
Il y a une barrière linguistique à franchir ici, alors voici une leçon de génétique de base:
Remarque: il existe 4x4x4 = 64 codons, dont trois sont des « codons de terminaison » qui signalent la fin du processus de synthèse d’une protéine. C’est là que se termine la chaîne d’acides aminés qui constitue une protéine. Chacun des 61 autres codons code pour l’un des 20 acides aminés possibles. Il y a plus de codons que d’acides aminés car un acide aminé peut être généré en utilisant plus d’une séquence de codons. La plupart des acides aminés peuvent être produits par 2 ou 4 codons distincts.
Naïvement, on pourrait penser que toute mutation serait désastreuse pour ce qui concerne le processus de production de la bonne séquence d’acides aminés pour créer une protéine. Cependant, les différents codons qui produisent un acide aminé particulier sont souvent suffisamment similaires pour que la modification d’un (ou même de deux) des nucléotides donne lieu à un codon synonyme (qui code pour le même acide aminé exact). Dans d’autres cas, les mutations de codons non synonymes qui modifient un acide aminé n’affectent pas beaucoup la forme ou la fonction globale de la protéine produite.
Étant donné que plusieurs séquences de codons distinctes peuvent produire chaque acide aminé, il est logique d’étudier si l’un ou l’autre codon est plus fréquent dans un génome, puis d’en examiner les raisons et ce que cela implique. Pour rappel, ma compréhension de ce domaine de la génétique n’est que basique. J’ai donc plus de questions que de réponses. Mais il pourrait y avoir quelque chose dans le processus de génie génétique qui change certains codons, y compris la disponibilité de l’ARNt (Yulong Wei et al, 2019) (considérez cette suggestion comme spéculative). Cela pourrait ou non impliquer l’insertion intentionnelle de peptides ou de protéines de venin de serpent.
J’ai eu la chance de poser la question à Ardis et à son ami le Dr Tau Braun lors d’un appel auquel ils ont eu la gentillesse de participer hier, mais ils ont passé les 40 premières minutes à répéter en grande partie les informations du documentaire à grande vitesse, il était donc impossible d’entrer dans les détails, et j’ai dû quitter la conversation au moment où ce qui faisait penser chez eux à un accès psychotique a marqué une pause (j’avais un engagement antérieur auquel j’étais déjà en retard).
Je vais donc atterrir ici, pour l’instant, mais j’ai trop de choses sur ma liste de priorités pour considérer que cela vaille la peine de rédiger un autre article sur ce sujet. Mais il faut s’attendre à ce que d’autres le fassent, et je soupçonne que cela impliquera le décortiquage des différents éléments, car je n’ai actuellement aucune confiance dans la capacité d’Ardis et de Braun à interpréter les recherches et à formuler des questions sur ce qu’ils ne comprennent pas encore. J’aimerais ne pas avoir à le dire aussi durement, mais les Terriens ont déjà consacré quelques millions d’heures à une histoire qui semble mal développée et peut-être même manipulée. Et si je perds un ami ou deux pour l’avoir dit, qu’il en soit ainsi. C’est mon impression. Mais je demanderais au moins à ces personnes de prendre le temps de regarder d’abord le documentaire à demi vitesse.
Je n’ai pas eu le temps de vérifier. Je trouve qu’Ardis aurait dû fournir des liens. Jusqu’à ce que je tombe sur une histoire plus intéressante, j’ai d’autres priorités. Mais j’aimerais savoir si quelqu’un a vérifié la liste. Au moins, cela me donne une liste d’antivenins potentiels si jamais je suis dans le pétrin.
La parcimonie et la théorie du complot
J’éprouve une aversion face au rejet désinvolte de la théorie du complot. Ce rejet est le fait de personnes qui savent pertinemment que le monde fonctionne sur base de complots, et aussi d’individus peu informés qui ne sont pas capables de mieux, mais qui n’hésitent pas à faire preuve de mesquinerie envers ceux qui s’efforcent de découvrir des vérités cachées. Mais pour N théories du complot, il y en aura une qui se situera dans une fourchette de vérité raisonnable. Et la plupart du temps, celles qui se situent dans cette fourchette de vérité, une fois affinées, passent avec succès le test du principe de parcimonie [NdT. voir Rasoir d’Ockam, ici] auprès d’au moins une partie substantielle des experts honnêtes qui travaillent assidûment à cette tâche.
Un complot qui exige que de nombreuses personnes partout dans le monde introduisent des peptides dans les réserves d’eau est donné sans preuve, comme si le reste de l’histoire requérait cette pièce pour fonctionner. Un documentaire hypnotique truffé de messages partisans a peut-être donné cette impression à certains téléspectateurs, mais je ne vois aucune raison logique pour laquelle ce serait le cas. La HEP me semble être une affirmation purement gratuite, fournie sans aucune tentative de justification des schémas de données, qui sont nombreux. Il faudrait qu’un grand nombre de personnes soient impliquées, et s’attendre à ce que ces personnes réussissent à concevoir des courbes de Gompertz [NdT. modèle de Gompertz, loi de Gompertz] semblables à celles du SIRS [NdT. explication en français] que nous voyons dans les données du monde entier est un obstacle majeur dans le test du principe de parcimonie.
Pourquoi avons-nous besoin d’une HEP alors que le SARS-CoV-2 semble lui-même porteur d’une protéine de pointe toxique également incluse dans les quasi-vaccins? L’absence de besoin ne rend pas la HEP fausse, mais lui confère le caractère d’une allégation extraordinaire qui nécessiterait un élément de preuve tangible pour être prise au sérieux.
Qu’en est-il du sentiment étrange que j’ai chaque fois que je regarde Ardis parler et que mon instinct me dit qu’il s’y est soigneusement préparé?
Je vous laisse méditer de votre côté sur cette idée.
Texte original
Snake Bit? The Slytherin Hypothesis
The Vaccine Wars Part XXXIV
Mathew Crawford
Apr 15
« We Slytherins are brave, yes, but not stupid. For instance, given the choice, we will always choose to save our own necks. » -Phineas Nigellus (J.K. Rowling)
I wouldn’t blame you if you skipped reading this article.
When Steve Kirsch invited me to a meeting with Dr. Bryan Ardis regarding poisoning of the water supply as the true source of the pandemic, I was highly skeptical, and not particularly excited about the time spent. But I have appreciated Ardis’s public stance regarding remdesivir—an expensive drug with the side effect of renal failure, being used late during hospitalization (generally too late for an antiviral to work on a virus that usually ceases the replication process prior to hospitalization), to stop a disease with an extremely high mortality coefficient for those who experience renal failure.
Then again, every time I see him speak, I feel like I’m watching a commercial. Does he sit at home and practice delivering lines? Why do I feel like that’s what I’m watching? Is it just me?
I would have given time to the discussion and kept an open mind, perhaps just as an exercise in seeing what we all might need to further learn en route to distinguishing correlating evidence from a tight theory. But perhaps he would convince me. At the time, I was not yet aware that snake venom would be the most interesting aspect of the discussion.
What is « Watch the Water » and Why?
Since I was not a close follower of QAnon, I hadn’t made the connection, but…
Oh boy. Let the fight for objective or at least educational discussion amidst the mental-emotional states of our era commence! What do the fact checkers tell us?
I dearly hope that the name of the Ardis documentary was not chosen to stoke the memories of an extremely vague and several year old QAnon post. I do worry that it might have been. But let us, regardless of our biases, give some thought to the topics at hand. After all, we are talking about a virus with significant signs of genetic engineering [of dangerous elements] which were then engineered into biological injectable products that have been delivered to billions of people without regard for the plain need to surpass ordinary standards of evidence of efficacy.
Well this really interesting… Was #WatchTheWater an attempt to discredit the presence of "snake venom" peptides in the spike protein?
What would make an observer feel uncomfortable with Ardis’s story to the level of thinking it’s a psy-op? How many people are thinking that? Or are at least wondering?
Suggestion: skip the first ten minutes of the video below, which is a combination of dramatic music and Stew Peters summarizing his view of the pandemonium. Maybe use that extra ten minutes to perform an internet search on toxin libraries and databases. If you’re not up for that level of difficult reading, picking a random point in the documentary and watch for a couple of minutes on 0.5x speed. I’ll explain later.
My very first thought was, « Why does an examination of potential links between snake venom (or other toxins) have to come joined with a hypothesis about how the water supply was poisoned? » Or are they joined? If there was a particularly good reason not to separate the two as distinct discussions, I did not catch it. I will treat these as two hypotheses: (1) the snake venom hypothesis (SVH) and (2) the water poisoning hypothesis (WPH). While I don’t think that the evidence was presented coherently, I think the SVH is by far the more interesting of the two, meaning that I suspect that I am more likely to learn something valuable while examining it.
I would like to begin by saying that I am out of my depth in these topics. I have just enough knowledge to read recent research, learn some from it, then have a lot of questions because there are parts that I don’t understand. And ultimately, my spare time is a bit on the thin side. Fortunately for me, my wife is a biochemist with experience in bioterrorism defense, so I was able to get a few questions answered from home that allowed me to reach the point where I’m slightly less out of my depth in these topics. Hoorah for small victories.
Snake venoms are toxins, and toxins themselves are an interesting and sometimes fruitful area of research in biology precisely because each one perturbs some biological system(s). Some pharmacological investigations begin with searches of molecular databases of toxins such as the Toxin and Toxin-Target Database (T3DB). Even as we have nascent understanding of many biochemical interactions, we can sometimes figure out how to strum the right biological strings to produce resonance. One of the more well known applications is the targeting of tumors with toxins (chemotherapeutics).
I’ll quote Mowrey one more time before moving onward:
Ardis is on the right track when he proposes that the most coherent rationale for choosing snake venom (“the original bioweapon”) for Covid-19 and/or SARS-CoV-2 and for the mRNA transfections would be essentially symbolic. So, if you are inclined to think that the virus or its spike protein was designed in a lab, Ardis’ argument remains interesting, even if you don’t buy the parts about the tap water or Remdesivir.
However, Ardis doesn’t actually offer a lot of compelling evidence for the “venom”-ness of the spike protein. Beyond that, it’s not a very useful theory beyond speculating about the state of mind of those who may have designed the virus. Maybe the spike protein has bits of snake venom. But snake venom is a grab-bag of peptides that interact with host molecules; which is already the definition of a viral protein as well.
Rattlesnake venom contains a relative of sPLA2-II, which is expressed in all human tissues. SARS-CoV-2 infections were found by Snider, et al. to prompt extreme secretions of sPLA2-II by these same tissues, mimicking venom-poisoning. Out-of-control bacterial infections leading to sepsis also promote extreme secretions of sPLA2-II, mimicking venom-poisoning.
Addendum: This is a good spot to drop Geneticism Kevin McKernan’s excellent thread with respect to the proposed cobra toxin.
Venomics to Snakes On a Plane. Snake Oil or Venom?
This topic maybe toxic but it's largely a function of poor scientific communication and sticking to proper definitions. pic.twitter.com/7QwMlF8tei
The first 10 minutes of the documentary were absolutely painful. I would describe them as pharmacopartisan loyalty testing (even if most or all of it is correct), which is a way of turning off one audience while stroking the ego of another. That’s not the way to win hearts and minds in the middle, and preaching to the choir about an untested hypothesis runs the risk of sending thousands of people who too quickly accept the hypotheses as the truth (perhaps based on their positive views of Ardis and Peters) out into the vicious internet combat zone unprepared for the rightly reasonable grilling and skepticism they would be showered with (not to mention the inevitable mean-spirited labeling and insult hurling).
For kicks, just to around where the conversation begins and listen on 0.5x speed. That’s what I do to transcribe videos, and I’ve found it HI-LARIOUS at times. Almost everyone sounds drunk or high. This is one of those times. Emphasis mine.
There’s no part of me who brought this information to Stew, and started any of this research to create fear and panic…Dr. Pierre Kory, you were right. Dr. Paul Marik, you were right. Dr. Ben Marble and Zev Zelenko, you were right. Simone Gold, you were correct. Sherry Tenpenny, you were right…Dr. Ryan Cole will be able to finally conclude why the findings under the slides—under the microscope—have become so monumentally evil…
Beginning discussion of a tale that should be presented as a working hypothesis rather than « the truth » (there is certainly no smoking gun, and a lot of details to work out), then engineering association with the field of COVID celebrities comes off as dressing up an incomplete case to look more like a finished masterpiece. This is part of a slow and painful ramping into the meat of the conversation that also involves expressing religious and spiritual bonds among those fighting for truth. Beginning or ending with a prayer that does not fill the middle of the documentary where we’re waiting with suspense to experience the reveal would be more respectful of the audience that collectively spent more than a million hours viewing the documentary already this week.
But I won’t judge the evidence on that basis, of course. I will however give the 21:00 mark a suggested listen at 0.5x because it’s a good couple of minutes for my complaint over the drama-to-signal ratio.
Ardis: Is it not a virus? Is it a venom? Like this is what I want to know. Is COVID a venom and this is why they don’t want you using monoclonal antibodies.
Peters: I mean, that sounds completely insane. As a theory.
Ardis: It is completely insane.
Peters: I mean, How…how would the masses be infected by snake bites.
Ardis: Yeah. Let me ask you a question. May I ask you a question?
Peters: Sure.
Ardis: Do you believe the mass media is controlled?
Peters: Of course.
Ardis: And you actually do…believe that?
Peters: Yes.
Ardis: So you believe that whatever is being pumped out in the media is being orchestrated and controlled.
Peters: Of course.
Ardis: Like across all of it.
Peters: Across all of it.
They seem to be patting the audience on the back for the obvious intuition and perception that the media is wrong. I’m flattered. Are you flattered? I’m flattered. Let’s move on.
Not A does not imply B.
I’d rather get there (wherever we’re going with all this) through more rigorous study of some version or piece of the SVH is true. And if there is something to this story that is worth discovering (and there might be, whether or not this presentation is fully correct), I’d like to focus in on that five minutes of information that I can evaluate in this 60 minute documentary that never should have been stretched out that long. Just give me a page with the study links handy, and when it rises to the top of my priority list, I’ll read em. Better would have been to email them out to a wide group of researchers for feedback prior to producing the documentary.
I’m fine entertaining conspiracy theory because I fully believe some conspiracies are at play. But this image does not inspire confidence in objectivity. It’s a minor tour de force in creating an unnecessary spectacle. It’s the same problem that the Plandemic documentary suffered from, but magnified. And the last thing you want to do is give up whatever gem of truth might survive the gauntlet of examination because it came in the form of a non-rigorous examination declared as truth in a premature documentary.
Consistency and Facts
It gives me the willies to invoke Bing’s murder as a spiritual connection to whether or not a speculative hypothesis is true. That’s not because I dislike speculative hypotheses. We need to explore many of them to get closer to the truth, and we need to be friendlier to the people who do because a lot of difficult truths begin there. That’s exactly why I spent time examining different aspects of the omicron hypotheses (which Igor Chudov took up writing about, including some information that was going in my future articles, and some information I did not yet know). Back to Bing: I dislike the dramatic reveal of the fortune cookie. If it’s true, it’s better saved for a later date—after the hypothesis has been properly put to the test—and after Bing’s murder has been properly investigated (something that never took place). Leading with it on day 1 feels like using a death to draw in more audience emotionally. I could also come with the consequences of inhibiting the desire for one partisan audience to need an investigation to form a conclusion, and cause the other partisan « team » not to want the case followed to completion. That pushes beyond my boundaries of taste, and I worry that it sets the audience up for greater disappointment if and when the hypothesis turns out to be wrong or even partially wrong—either of which will result in attacks by the cudgel-wielding consumers of the Crusted News Notworks.
The use of snake venom is so common in pharmaceutical research, that we need to go substantially beyond that starting point to establish correlation. The research identifying the snake venom toxin homolog in the SARS-CoV-2 receptor binding domain (RBD) is real (Farsalinos et al, 2020). And if SARS-CoV-2 was genetically engineered (which I do believe fairly strongly), then it may very well be that such a toxin was in fact inserted into the SARS-CoV-2 genome (and thus the quasi-vaccines) to harm people. And yes, that research does note the interaction of that specific toxin with nicotinic acetylcholine receptors. But this is something that researchers, including many paying attention to the Engineered vs. Zoonosis/Other debate already knew. And yes, researchers like Dmitry Kats who talked about it were banned from social media.
I read the paper that Ardis talked about early during the substantive portion of the documentary pointing to the similarity between the SARS-CoV-2 and snake CoV genomes (Wei Ji et al, 2020). I feel like Ardis is leaving out some important aspects of this paper (emphasis mine):
Studies of relative synonymous codon usage (RSCU) bias between viruses and their hosts suggested that viruses tends to evolve codon usage bias that is comparable to their hosts.10, 11 Results from our analysis suggest that 2019-nCoV has most similar genetic information with bat coronovirus and has most similar codon usage bias with snake.
So, per nucleotide, the genetics are more similar with bat CoVs.
As we see, that similarity is particularly high for Clade A, derived from bats in Nanjing, China. And it’s hard to look at this graph and not think « nature, nature, nature, NOT NATURE, nature… », which is to say that I do believe that SARS-CoV-2 was engineered from a CoV taken from nature, and most likely originally found in a bat.
What does it even mean that there is more similar codon usage bias with snakes?
Codon usage bias relates to the fact that each amino acid can be generated by different three-nucleotide sequences. I’ll start by stealing from one of my own prior articles:
There is a lingo barrier to overcome here, so here is a basic genetics lesson:
Note: There are 4*4*4 = 64 codons, three of which are « stop codons » that signal for termination of a protein synthesis process. That’s where the amino acid chain that makes up a protein ends. Each of the other 61 codons encodes for one of 20 possible amino acids. There are more codons than amino acids because an amino acid can be generated using more than one codon sequence. Most amino acids can be produced by 2 or 4 distinct codons.
Naively, you might think that any mutation would be disastrous with respect to the process of producing the right amino acid sequence to create a protein. However, the several codons that produce a particular amino acid are often similar enough that changing one (or even two) of the nucleotides results in a synonymous codon (one that encodes for the same exact amino acid). Other times, non-synonymous codon mutations that do change an amino acid still don’t greatly affect the overall shape or function of the generated protein.
Since several distinct codon sequences can produce each amino acid, it makes sense to study whether one or another codon is more common in a genome, and then to examine the reasons why, and what that entails. For the record, my understanding of that area of genetics is merely basic. So, I have more questions than answers. But there could be something about the genetic engineering process that switches some codons, including tRNA availability (Yulong Wei et al, 2019) (consider the suggestion speculative). This might or might not involve the intentional insertion of snake venom peptides or proteins.
I had the chance to ask Ardis and his friend Dr. Tau Braun on a call where they were good enough to join in yesterday, but they spent the first 40 minutes largely just repeating the information in the documentary at rapid speed, so it was impossible to get into details, and I had to jump off the call by the time what felt like a manic episode took a pause (I had a prior engagement I was already late to).
I’ll begin landing my plane here, for now, but I have too many priorities to think this will be worth me writing another article about. But you can expect that others will, and I suspect that will involve picking pieces apart as I currently do not have confidence in the ability of Ardis and Braun to interpret the research and formulate questions about what they do not yet understand. I wish I didn’t have to say it that harshly, but Earthlings have already spent a few million hours on a story that feels poorly developed and maybe even manipulatively delivered. And if I lose a friend or two for saying so, so be it. That’s my impression. But I would at least ask those people to go back and watch the documentary on 0.5x first.
I haven’t had time to check. I feel like Ardis should have provided links. Until I see a more interesting story, I have higher priorities. But I’d like to know if somebody does check the list. At the very least, it gives me a list of potential antivenoms if I’m ever in a pinch.
Parsimony and Conspiracy Theory
I have a distaste for the casual dismissal of conspiracy theory. This is done by people who know full well that the world runs on conspiracies, and also the information impoverished individuals who don’t know any better, but are willing to aim mean-spiritedness at those working at uncovering hidden truths. But there are N conspiracy theories for every 1 that is in a reasonable ballpark of truth. And for the most part, those in the ballpark of truth, as refined, pass tests of parsimony for at least a substantial portion of the honest experts diligently working on the task.
A conspiracy that requires many people around the world to introduce peptides into water supplies is delivered without evidence, as if the rest of the story requires for that piece to fit. A hypnotic documentary filled with partisan moments may have made it feel that way to some viewers, but I see no logical reason why that would be the case. The WPH strikes me as a purely naked assertion, and with no attempt to explain data patterns, of which there are many. A great many people would need to be involved, and to expect those people to successfully engineer SIRS-likeGompertz curves that we see in data all over the world is an extreme hurdle in the test of parsimony.
Why do we need a WPH at all when SARS-CoV-2 itself looks to carry a toxic spike protein that is also included in the quasi-vaccines? The lack of need doesn’t make the WPH false, but makes it look like an extraordinary claim that needs something close to a smoking gun to take seriously.
How does that make me feel about my eerie feeling that every time I watch Ardis speak, my gut tells me he is well rehearsed?
I’ll just let you chew on that thought on your own.
Je cours après le temps pour rédiger mes articles, traduire et publier ceux des autres avant qu’ils se fassent rattraper par une actualité lancée au galop. Pour y arriver, vous aurez peut-être remarqué que je filtre autant que possible les sujets secondaires, sans intérêt ou entièrement fabriqués, qui n’existent que pour vous faire perdre votre temps. En voici un.
Donc, la Russie menace d’envahir l’Ukraine.
Poutine, dangereux nationaliste nostalgique de l’Union Soviétique, veut retrouver la grandeur passée de son empire. Révélation-choc du renseignement américain: la Russie se préparerait à une opération sous faux drapeau, à savoir le sabotage d’une de ses propres installations, comme prétexte à une invasion militaire. Source d’angoisse supplémentaire, si la réponse des Etats-Unis de Biden n’est pas suffisamment ferme, Xi Jinping, après avoir reconquis Hong Kong, pourrait profiter de cette faiblesse pour envahir Taiwan.
Soyons sérieux.
L’action concertée qui se cache derrière cette comédie est le chapitre suivant d’un programme scénarisé depuis des décennies: l’implosion organisée du pôle de pouvoir étatsunien, qui laissera la place au nouveau modèle civilisationnel, le bloc Chine/Russie (j’en parlais notamment ici il y a un an et demi), que les trois susnommés interprètes sont chargés de vendre comme jeu d’échec géostratégique.
La reconquête de Taiwan est probablement déjà programmée et minutée, tout comme l’était la farce du retrait américain d’Afghanistan – avec abandon de matériel militaire en ordre de marche – comme cadeau à la Chine et à sa Nouvelle Route de la Soie. Biden menace à présent la Russie de nouvelles sanctions économiques, qui consisteront essentiellement au découplage de l’économie russe du dollar, « sanctions » impatiemment attendues par la Russie – ce que vous expliquera ici Xavier Moreau – les précédentes lui ayant permis de retrouver une nouvelle autonomie agricole tout en mettant à genoux ce secteur en Europe – un hasard. Côté américain, le résultat de ces nouvelles sanctions – donc leur objectif – sera évidemment d’accélerer la destruction du dollar, de l’hégémonie américaine en externe et de l’état fédéral en interne. Pour vendre le narratif de la Guerre Froide 2.0 ou plutôt de la Guerre Tiède, on remobilise le spokeshole attitré du hoax ukrainien, Victoria Nuland, qui en profite pour glisser quelques pathétiques accroches de Build Back Better à l’adresse d’un peuple russe peu enclin à une révolution colorée. Les lecteurs attentifs auront peut-être repéré le gag de « l’opération sous faux drapeau », gros clin d’oeil interne des scénaristes des services secrets qui tendent leur script à ces acteurs médiatiques – un genre de private joke et une occasion supplémentaire de se payer notre tête.
Quant au « hara-kiri énergétique » de l’occident, expliqué ici par F. William Engdahl, l’objectif est de préparer le terrain qui permettra à la Russie grâce à son pipeline de gaz naturel flambant neuf, qui court-circuitera celui de l’Ukraine à l’abandon depuis trente ans, de tenir par les burnes – encore un hasard – une Europe totalement exsangue. Après des décennies d’érosion par migration incontrôlée, désindustrialisation et faillite économique planifiée – une Troisième Guerre Mondiale qui ne dit pas son nom – les pays d’Europe sont en état de mort clinique. Dans l’Union Européenne, qui leur sert à la fois d’assassin et de fosse commune, la cible prioritaire est, comme on l’aura remarqué, la France, avec Emmanuel Macron en petit sergent agité chargé de lui tirer la nécessaire balle dans la nuque et de liquider les biens de la pauvre vieille – pas nécessairement dans cet ordre.
Pour conclure sur cette histoire d’invasion, prétendre qu’une nation peut en envahir une autre est en soi une imposture. Si ce n’est qu’en tant qu’élément du narratif médiatique, les nations n’existent plus. Elles sont remplacées par des zones sous tutelle bancaire, administrées par des fonctionnaires peints aux couleurs politiques adéquates qui remplissent le rôle de « chefs d’Etat ». D’un côté, de notoires petits apparatchiks sans envergure comme Biden ou Jinping, de l’autre, Poutine, ex-KGB donc hyper-formé dans les meilleurs services de renseignement de l’Histoire, et Trump, ex-homme d’affaires maintes fois repêché par la Banque et excellent baratineur, qui remettra le couvert en 2024 pour, si jugé nécessaire, amener le conflit final avec la Chine (il ne doit rester que 69 millions d’américains en 2025), en héros « nationalistes » en lutte contre « l’Etat profond », personnages créés sur mesure pour berner les naïfs de la « résistance », fournir un narratif à l’opposition contrôlée et le cas échéant envoyer leurs militaires au casse-pipe voulu par le suspect habituel, le réseau finance/gestion d’actifs et leur outil de rentabilisation, les multinationales pharmaceutiques et agroalimentaires.
C’est ce réseau, dont le porte-parole s’appelle Schwab et les employés « chefs d’Etat », qui constitue, à tout point de vue, « l’Etat profond » – plus si profond que ça puisqu’il agit aujourd’hui en plein jour.
Ceux qui vous diront autre chose sont soit dans le déni, soit payés pour. Vous voilà prévenus.
PS: vous pouvez lire ici le texte entier de la lettre dont est extraite la citation ci-dessus.
Un article récent sur le site de Miles Mathis. Ça vous éclairera sur ce qui se passe en Inde – et ailleurs.
Je vous laisse le soin de regarder les photos sur le document original, qui est un pdf dont je ne sais pas extraire les photos sans y passer un bon moment. Or, j’ai plusieurs articles en préparation et très peu de temps. Vous aurez peut-être remarqué qu’on est dans une course contre la montre.
La photo ci-dessus, extraite d’un article du Wall Street Journal, est un bon moyen de se pencher sur ce qui se passe en Inde en examinant ce qu’on y trouve : le graphique. Il suffit de creuser un peu plus dans ce graphique qui montre un pic et d’y ajouter un détail supplémentaire qu’on n’y montre pas pour faire exploser toute l’histoire :
(photo)
Les données utiles sont extraites d’ici. Même problème si on examine le graphique qui montre les décès mais pas les cas :
(photo)
Remarquez les deux événements importants – la manifestation des agriculteurs et le Diwali [NdT. voir sur Wiki]. Pour ceux qui débarquent, ça fait environ cinq mois que se déroulent des manifestations d’agriculteurs dans toute l’Inde et en particulier autour de la région de la capitale, où des centaines de milliers de personnes se rassemblent pour protester contre la destruction de leurs moyens de subsistance par le gouvernement. Dans le froid glacial, en pleine vague de froid. Dehors.
(photos)
« Miraculeusement », pas de vague de cas de covid. Diwali est le plus grand de tous les festivals en Inde. Des milliers de gens se sont bousculés sur les marchés, ont fait la fête avec leurs familles, secouant à leur manière le joug de la covidoppression. Ici non plus, pas de vague.
Arrive alors la campagne de vaccination, le 16 janvier 2021. Et l’enfer se déchaîne. Les infrastructures de santé de l’Inde sont sous pression, les hôpitaux sont pleins et sur le terrain émergent des histoires réelles. A l’unisson des médias mondiaux, CNN saute dans le train de la pandémie et sélectionne les vidéos les plus émouvantes possibles pour répandre autant de peur que possible à propos de la «deuxième vague de covid» en Inde. Ensuite, le manège des accusations commence :
Certains accusent les élections (ben tiens, après le Diwali et les manifestations des agriculteurs?).
Certaines opérations contrôlées prétendent même que toute la crise indienne est un hoax, pour qu’ensuite les médias grand public puisse le débunker. C’est bien pensé, car les chiffres des décès ONT ÉTÉ truqués en Inde l’année dernière, mais les chiffres des décès actuels ne sont pas truqués. Mais qu’est-ce qu’on a pas le droit d’accuser? Exact : les VACCINS.
Des amis qui ne m’avaient plus parlé depuis des lustres apparaissent sur Facebook et d’autres réseaux sociaux en feignant de s’inquiéter :
Eux : «Oh, j’ai entendu dire que c’est affreux ce qui se passe en Inde et que les gens meurent du covid! Est-ce que ta famille va bien?»
Moi : «Bien sûr qu’ils vont bien, ils ne sont pas assez cons pour aller se faire vacciner.»
Eux : Silence.
Les histoires d’effets secondaires du vaccin ne sont pas faciles à camoufler, bien sûr. Par exemple, les cas de caillots sanguins ont augmenté exponentiellement, et des médecins de terrain que je connais m’ont signalé que les facteurs de coagulation dans les tests D-Dimer et les tests CRP affichent des valeurs anormalement élevées – ce qui n’était pas le cas en 2020. Difficile de ne pas le voir. Les médias doivent donc vite étouffer tout ça avec une belle histoire aseptisée : que le risque de caillots sanguins est «infime» et qu’on n’a enregistré jusqu’à présent que 26 cas. 26? Les lecteurs de Miles reconnaîtront ce genre de chiffres, mais dans ce cas, 260.000 serait probablement plus proche de la vérité. Mais ils doivent en admettre un petit nombre dans les médias, ce qui leur permet de faire d’une pierre deux coups.
En l’admettant, quiconque entend parler de l’effet secondaire de la coagulation pensera automatiquement: «rare»
Ils marquent un point en l’admettant – «Oh, ils ont admis leur faute même s’il n’y a que 26 cas! Voyez comme ils sont honnêtes et transparents! Si c’était pire, ils nous le diraient sûrement. »
La même astuce a déjà été utilisée aux États-Unis avec J&J. « Rendons leur grâce, ils ont interrompu [la vaccination] pour seulement six cas! » BEURK.
Ce qui aggrave aussi la situation, c’est l’excrétion vaccinale. Bien entendu, personne n’est prêt à l’admettre, mais on constate que ceux qui ont reçu le vaccin finissent par infecter toute la famille. Et que certains membres de la famille en meurent. Ce qui doit également être étouffé, on a donc droit à des histoires comme celle-ci :
Vous saisissez? Ils admettent que les gens tombent malades ET propagent l’infection juste après leur première injection, mais prétendent que c’est à cause du virus et non de l’injection elle-même! Voilà comment on déraille les gens après les avoir menés à deux doigts de la vérité. Revenons à Gates. Les deux principaux vaccins indiens, COVISHIELD et COVAXIN, portent partout l’empreinte de la Fondation Gates. Le fabricant de COVAXIN, Bharat Biotech, a été financé à hauteur de près de 40 millions de dollars ces dernières années (dont 20 millions juste avant le lancement du projet pandémie).
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Avec COVISHIELD, qui est essentiellement AstraZeneca avec un habillage différent, la piste souterraine mène plus loin. Le fabricant est le Serum Institute of India, qui est le plus grand fabricant de vaccins au monde! Je parie que vous n’en aviez jamais entendu parler, à moins que vous ne soyez indien. Le sinistre duo père-fils, Cyrus et Adar Poonawalla, sont de mèche avec Gates depuis des années, y compris en novembre 2019 (tout comme Bharat Biotech) lorsque le père a probablement été mis à la retraite avec récompense pour ses loyaux services, et que le fils a pris les rènes.
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J’ai dit «pris les rènes» ? En fait, Adar se planque au Royaume-Uni depuis le début. Juste au cas où la population indienne se réveillerait et se rendrait compte qu’un meurtrier de masse séjourne dans une ville voisine. Regardez son nez :
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Les Poonawallas étaient dans les courses de chevaux et l’élevage, et sont passés à la fabrication de vaccins en 1966. La ville d’origine des Poonawallas est Poona (d’où leur nom) ou Pune. Pune et la ville voisine de Bombay (Mumbai) comptaient près de la moitié des cas de tout le pays au plus fort de cette flambée. Que ce soit la ville du fabricant de vaccins la plus durement touchée par le «covid» est une simple coïncidence, je n’ai aucun doute là-dessus. Le Serum Institute des Poonawallas a son siège à Pune, tandis que l’homme le plus riche d’Inde, Ambani, se cache juste à côté à Mumbai. Où, alors, le virus devrait-il décider par pur hasard de culminer en Inde ? En plein milieu de l’État où se situent ces deux villes : Maharashtra. (Voir l’état de couleur sombre sur la carte ci-dessous)
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Les Poonawallas étaient également impliqués avec plusieurs de leurs cousins les plus riches dans le financement de des Guerres de l’Opium à l’époque. Ils poursuivent donc à ce jour leur projet, cette fois sur leurs propres compatriotes, en causant des dégâts beaucoup plus énormes.
Les médecins en Inde ne se sont pas réveillés même après que leur porte-drapeau de la campagne de vaccination, le Dr KK Aggarwal, soit décédé après avoir reçu le vaccin. Il avait en tout humilité déclaré qu’il représentait «la conscience du domaine médical». Je pense que ça a dû être très embêtant pour les vendeurs de vaccins, alors ils ont dû le camoufler, d’abord en étouffant les rumeurs de sa mort, puis, quand il est mort, en inondant les médias d’une multitude de nouveaux «experts» pour le remplacer. Aggarwal était également le lauréat du prix civil très renommé, le Padma Shri, et un ancien président de l’IMA (Indian Medical Association). Il travaillait à l’hôpital du père de Deepak Chopra. Vous trouverez ici une référence de Miles sur la taupe du Renseignement Chopra. Ses paroles dans sa dernière vidéo sont très révélatrices : le film n’est pas encore terminé, le spectacle doit continuer. Comme d’habitude, ils vous le disent en face, pendant que le spectacle continue.
Un autre cas exemplaire a été celui de l’expert en maladies infectieuses Rajendra Kapila de l’Université Rutger, qui a fait tout ce qu’il fallait pour «rester à la maison, rester en sécurité» pendant un an. Il a ensuite reçu l’injection de Pfizer, est allé en Inde, a été admis à l’hôpital et est décédé; du covid, voyez-vous, car juste au cas où vous ne le sauriez pas, un nouveau commandement a été martelé et enfoncé dans nos crânes cette année:
Tu n’accuseras point le vaccin.
L’Inde a aussi son lot de gourous-PDG-de-super-méga-corporations dont le boulot est d’égarer tout le monde, et parmi les meilleurs, il y a Sadhguru Jaggi Vasudev. Il a pris la parole au Forum Economique Mondial en 2007, 2017 et 2020, ce qui vous dit à peu près tout ce que vous devez savoir sur lui. Il a été un outil majeur dans la conversion de l’Inde en théocratie hindoue et a fait les éloges des vaccins en toute occasion, notamment lors d’une réunion de l’OMS à Genève en juin 2019. Selon le discours fuyant typique des gourous, sa suggestion est quelque chose du genre – «Oh, pas besoin de devenir un enragé de la vaccination, mais vous pourriez aussi bien vous faire vacciner contre le covid… la plupart d’entre nous sont en vie à cause des vaccins après tout. Soyez reconnaissants envers la médecine moderne». Et tout comme Aggarwal, il fait équipe avec Deepak Chopra pour faire passer le message. Comme d’habitude, quand vous voyez quiconque s’afficher avec Deepak Chopra, fuyez.
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Comme il faut se servir des deux côtés pour contrôler le peuple, ils ont dû balancer dans l’autre camp un autre gourou de la fraude – Baba Ramdev, le gourou indien du yoga. Lorsqu’on a commencé à voir au grand jour trop de décès de médecins (après vaccination), ils ont dû lâcher Ramdev pour affirmer que les vaccins ne fonctionnent pas et que ses remèdes de yoga fonctionnent mieux. Encore une fois, notez la tournure de phrase – les vaccins sont inutiles, mais pas dangerueux. Une fois de plus, on vous amène à deux doigts de la vérité et on vous déraille. Bien sûr, vous n’avez pas vraiment besoin d’analyser ce que raconte ce type, un seul regard vous donnera un aperçu du personnage :
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« Achetez-les chez moiiiii!! »
L’Association Médicale Indienne s’indigne fort à propos de tout ça – «Il dit que les vaccins ne fonctionnent pas? Sédition!! Désinformation!! » Tout ça pour créer un tollé et pour éloigner soigneusement les gens du détail mineur que les vaccins les tuent.
Il y a d’autres acteurs majeurs du côté des ONG – « le Gandhi du grain » Vandana Shiva et la lauréate du Booker PrizeArundhati Roy. Plus intelligentes que le Baba Ramdev moyen, elles prennent les choses en main de manière plus sophistiquée et sont placées au sommet de la montagne. Vandana Shiva est un peu comme Noam Chomsky… elle critique Bill Gates, les cultures OGM, l’industrie des vaccins de Gates, les pesticides, et elle est la lauréate du «Prix Nobel Alternatif». Mais dit-elle UN MOT contre les vaccins actuels, sur les dommages qu’ils causent? Zip, nada. Mais encore une fois, regardez-la:
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Et puis nous avons Arundhati Roy, dont le travail consiste à critiquer le gouvernement. Elle est la cousine de Prannoy Roy, qui dirige l’un des plus grands groupes médiatiques indiens: NDTV. Non seulement cela, il (Prannoy) a étudié à la Delhi School of Economics (subordonnée de la London School of Economics) et (de Wiki) :
En 2009, Roy était l’un des deux Indiens siégeant au Conseil Consultatif International du Council on Foreign Relations.
Eh oui, nos vieux copains du CFR. Arundhati Roy est manifestement assez bien connectée, et en mettant un peu de sophisme dans son écriture, elle réussit un autre retournement cinglant: «Nous assistons à un crime contre l’humanité».
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Oh, comme vous avez raison Madame, mais minute… elle reproche au gouvernement de ne pas en faire assez. Et ses mauvaises infrastructures. Et les fautes du Premier Ministre Modi. Bien que je sois tout à fait d’accord pour dire que Modi pourrait remporter plusieurs fois le prix du plus grand salopard en Inde, lui reprocher le manque d’infrastructures occulte une fois de plus la catastrophe actuelle causée par les vaccins. Modi s’est déjà « fait les dents » en dirigeant un génocide, et il en dirige maintenant un autre.
Une pensée me vient à l’esprit: pourquoi l’Inde? Pourquoi cibler cette partie du monde en particulier? Après tout, on n’entend pas un murmure sur la Chine voisine et la façon dont elle s’en sort avec la « crise du covid ». Je fais une supposition – une grande partie de la population indienne a conservé une forte tradition de médecine non-pharmaceutique. Certes, la Chine a la médecine traditionnelle chinoise, mais avec les niveaux de censure et de contrôle industriel qui pèsent déjà sur la vie paysanne là-bas, elle [la Chine] ne semble pas être utile au projet autrement que pour le rôle qu’elle a déjà joué en tant qu’opposant dialectique aux États-Unis. L’Inde a une culture médicinale locale beaucoup plus résiliente, basée sur l’Ayurveda, et aussi l’Homéopathie, et pour ces raisons a dû être attaquée pour radicalement éliminer ces concurrents, une bonne fois pour toutes. On s’y prend en plaçant des «leaders» comme Ramdev du côté de l’Ayurveda – la manoeuvre classique de discrédit par association. Quelle personne saine d’esprit voudrait suivre ce type? L’Indian Medical Association est, une fois de plus, fort à propos indignée par l’Ayurveda et son organisation AYUSH. Controverse suscitée, mission accomplie.
Un autre important mouvement des pièces de ce jeu a été l’astucieux placement d’Indiens à des postes supérieurs dans BigTech au cours des dernières années :
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Sundar Pichai (PDG de Google) Satya Nadella (PDG de Microsoft) Parag Agrawal (CTO de Twitter)
Ça permet de jouer la carte du patriotisme, en particulier pour les Indiens vivant aux États-Unis ou à l’étranger en général. Quel fantastique boost de l’ego de voir «nos compatriotes» au sommet! On ferait bien d’écouter ces experts, leurs modèles et leur expertise générale, non?
La dernière, Soumya Swaminathan, mérite une mention spéciale. Non seulement elle fait la promo incessante des vaccins en tant que « scientifique en chef de l’OMS », elle est également la fille de M. S. Swaminathan, qui a introduit les cultures OGM en Inde afin de saccager notre agriculture via la monoculture intensive de la «Révolution Verte». Il est également lauréat de la «Médaille d’Or du Mahatma Gandhi de l’UNESCO pour son travail exceptionnel visant à étendre les avantages de la biotechnologie aux populations marginalisées et frappées par la pauvreté dans les pays en développement et à garantir une base solide pour un développement agricole, environnemental et rural durable ». Vous comptez combien de drapeaux rouges dans tout ça?
Dans l’ensemble, l’Inde est dans une situation affreuse en ce moment. Nos prophètes impies ont prédit une troisième vague. Pourquoi? Ils ont besoin de cette histoire comme couverture puisqu’ils ouvrent les vaccinations aux plus jeunes: la catégorie des 18-45 ans. Et que se passe-t-il lorsque les jeunes parents commencent à excréter leur vaccin? Eh bien, les enfants tombent malades, évidemment.
On aurait bien besoin d’une prophétie dans ce cas, n’est-ce pas ? Mais certainement : «Les experts de la santé prédisent que la troisième vague du virus est susceptible de frapper le pays plus tard dans l’année et ont catégoriquement averti que les enfants seraient plus touchés par la troisième vague que les adultes. » Ces gens abominables ont déjà préparé une couverture pour le génocide des enfants – calmement, méthodiquement, conformément à leur plan.
Du côté de ceux qui résistent à la poussée vaccinale, on trouve une poignée de groupes, comme celui malheureusement dirigé par David Icke, Awaken India Mouvement. C’est mieux que rien, je suppose, mais j’espère qu’ils surmonteront rapidement leur problème initial en comprenant que leur chef fait partie de l’opposition contrôlée. Il y a aussi Great Game India – ce groupe est dirigé par un personnage suspect, Srinivas Kidambi, issu de la St. Edward’s University Austin, et, selon Wikipedia: St. Edward’s a été parmi les ceux qui ont formé le plus d’étudiants Fulbright aux États-Unis au cours des cinq dernières années. C’est-à-dire encore une école du Renseignement. On n’en aura jamais fait le tour? C’est la raison pour laquelle ce groupe continue d’attiser un sentiment nationaliste contre la Chine. Comme nous le savons, les frontières nationales ne signifient rien quand les pilleurs internationaux sont sur le terrain depuis des lustres.
Quoi qu’il en soit. Si vous venez d’Inde ou si vous connaissez des Indiens, donnez-leur les graphiques et les faits de cet article. La plupart d’entre eux ont subi un lavage de cerveau, mais j’espère que quelques-uns ouvriront les yeux sur cette folie. Ceux qui ont une formation en informatique sont pour la plupart des cas désespérés – et la majorité du personnel en informatique est indienne et donc malheureusement perdus d’avance – ils vénèrent les traces de leurs héros, des gens comme Steve Jobs, Elon Musk, Zuckerberg, Sundar Pichai et autres PDG. Ceux qui ont une formation en biotechnologie ou en médecine sont également des cas assez désespérés. Mais les gens du monde rural gardent encore un peu de bon sens. Faites de votre mieux pour réveiller ces gens. Ils ont parfois réussi à remballer les agents médicaux et la police en les tabassant et en leur faisant goûter à leur propre médecine – un truc que je regarde de temps en temps. C’est la lueur d’espoir dans ce tableau très sombre.
Texte original
India: The Real Crisis
by Hanuman Bhakt
May 31, 2021
(photo)
The photo above from a Wall Street Journal Article is a good way to dive into this whole Indian episode due to what they show on it: the graph. Digging just a little bit more into that graph with the spike, and adding one extra detail that they don’t show, is enough to blow the whole story:
(photo)
Data for this is taken from here. You have the same problem if you look at the graph with the deaths instead of cases:
(photo)
Note the two important events out there – the farmers’ protest and Diwali. For those who came in late, the farmers’ protests had been taking place for approximately 5 months all over India and especially near the capital region, with hundreds of thousands of people coming together to protest the government’s trampling of their livelihood. In the freezing cold in the midst of a cold wave. Outdoors.
(photo)
“Miraculously,” no wave of covid cases. Diwali is the biggest festival in India, bar none. Folks were thronging markets in the thousands, celebrating with their families, throwing off the yoke of covid oppression in their own ways. No wave to see here, either.
We can’t have that, now, can we? In order to teach ‘em all a lesson, Gates, with his by-now-well-known-habit of prophesying, stated in December 2020 that the next four to six months could be the worst of the pandemic. Where would we be without our prophets?
Along comes the vaccination drive, on January 16th, 2021. And all hell breaks loose. India’s health infrastructure creeks under the strain, hospitals get full, and on the ground real-life stories start to get visible. Along with the rest of the world media, CNN jumps on the pandemic bandwagon, and picks out the most emotional videos it can to spread as much fear as possible about India’s “second covid surge”. Then the merry-go-round of blame game starts:
Some blame the elections (yeah, right, after Diwali and the farmers’ protests?).
Some controlled ops even claim that the whole Indian crisis is fake, so that other mainstream media can come and debunk that. That’s a clever one, because deaths WERE faked in India last year, but the current deaths are not faked.
But what are you not allowed to blame? That’s right: the VACCINES.
Friends who have not spoken to me for ages pop up on facebook and other social media with faux-concern:
Them: “Oh, I heard things are very horrible in India and people are dying of covid! Is your family allright?”
Me: “Of course they are, they are not stupid enough to go and take the vaccine.”
Them: Silence.
The stories of the vaccine side effects couldn’t be kept down easily, of course. For example, blood clots have shot through the roof, and doctors whom I know on the ground have mentioned to me that clotting factors like the D-Dimer tests and CRP tests are showing abnormally high values – something that was not true in 2020. All this cannot be ignored. So the media has to rush in to cover it up with a nice-sounding sanitized story: that the chance of blood clots is ‘miniscule’ and only 26 cases have been seen so far. 26? Miles’ readers will recognize the pattern of such numbers, but in this case probably 260,000 is closer to the truth. But they gotta admit some tiny number in the media, so that way they can hit two birds with one stone:
By admitting it, anyone who hears about the clotting side-effect will automatically think: “rare”
They get brownie points for admitting it – “Oh, they admitted their fault even if it is only 26cases! See how honest and open they are! If it was worse, they would surely tell us.”
Another thing that is making things much worse is vaccine shedding. Of course, no one would admit to that, but it is being seen that those who have taken the vaccine end up infecting the entire family. And some in the family do not make it. Now, that has to be covered up as well, so we have stories like this:
Did you catch that? They admit people are falling sick AND spreading infection right after the first jab, but claim it is because of the virus, and not due to the jab itself! Talk about spinning people away after allowing them to get within a hair’s breadth of the truth.
Let’s get back to Gates. Both of India’s major vaccines, COVISHIELD and COVAXIN, have fingerprints of Gates Foundation all over them. The manufacturer of COVAXIN, Bharat Biotech, was funded to the tune of nearly $40 million in the last few years (including 20 million just before the whole pandemic project):
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With COVISHIELD, which is basically AstraZeneca in a different garb, the rabbit hole leads deeper. The manufacturer is the Serum Institute of India, which is the world’s largest vaccine maker! I bet you had not heard of it till today, unless you are Indian. Now the creepy father-and-son-duo, Cyrus and Adar Poonawalla, have been in cahoots with Gates for years, including in November 2019 (just like Bharat Biotech) when the dad was probably retired with an award for his services, and the son took the helm.
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Did I say “took the helm”? Actually Adar is safely hiding in the UK all this while. Just in case the Indian population wised up and realized that a mass murderer was staying in a city close by. Watch his nose:
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The Poonawallas were into horse racing and breeding, and switched to making vaccines in 1966. The city the Poonawallas are from is Poona (hence the name) or Pune. Pune, and nearby Bombay (Mumbai), had nearly half the entire country’s cases at the peak of this surge. Just a coincidence that the vaccine manufacturer’s city is the one hardest hit with “covid”, I’m sure. The Poonawallas’ Serum Institute is headquartered in Pune, while India’s richest man, Ambani, is holed up next door in Mumbai. Where, then, should the virus coincidentally decide to peak in India? Smack in the middle of the State these two cities are in: Maharashtra. (See the dark colored state in the map below)
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The Poonawallas were also involved with several of their richer cousins in financing the Opium Wars back in the day. They are hence continuing the project to this day, this time on their own countrymen,with a much larger devastation.
The doctors in India haven’t woken up even when their poster boy of the vaccine push, Dr. KK Aggarwal, died after taking the vaccine. He had made the humble claim that he represents the “state of consciousness of the medical field”. I think this was very inconvenient for the vaccine pushers, so they had to cover it up, first by quashing rumors of his death, and then, when he died, by flooding the media with a host of new “experts” to replace his presence. Aggarwal was also the winner of the highly renowned civilian award, the Padma Shri, and a former president of the IMA (Indian Medical Association). He used to work at the hospital of Deepak Chopra’s dad. See here for Miles’ reference to the spook Chopra. His words in his last video were very telling: The movie isn’t over yet, the show must go on. As usual, they tell you right in your face, as the show is going on.
Another exemplary case was that of the infectious disease expert Rajendra Kapila from Rutger’s University, who did the whole “stay home stay safe” thing for a year. Then he took the Pfizer jabs, went to India, got admitted to the hospital, and died; of covid, you see, because just in case you didn’t realize, a new commandment has been hammered and pounded into our mind this year:
Thou shalt not blame the vaccine.
India also has its host of guru-plus-mega-corporation-CEO’s to lead everyone astray, and right among thetop is Sadhguru Jaggi Vasudev. He has spoken at the World Economic Forum in 2007, 2017 and 2020, which pretty much tells you all you need to know. He has been a major tool in converting India into a Hindu theocracy, and has been harping about the vaccine at every opportunity, most notably at a WHO meeting in Geneva in June 2019. In classic vacillating guru fashion, the suggestion is something like –“Oh you don’t need to go crazy about vaccinations, but you might as well get the covid vaccine… most of us are alive because of vaccines after all. Be thankful to modern medicine”. And just like Aggarwal, he teams up with Deepak Chopra to give the message. As usual, when you see anyone with Deepak Chopra, run.
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Since two sides are needed to control the population, they had to throw out the other side of the story with another fraud guru – Baba Ramdev, the Yoga guru of India. When too many doctors’ deaths (after vaccinations) were coming into the limelight, they had to unleash Ramdev to claim that vaccines don’t work, and that his yoga solutions work better. Once again, note the turn of phrase – vaccines are useless, but not harmful. Once again, you get within an inch of the truth and are then spun away. Of course, you don’t really need to analyze what this guy says, as one look at him will give you a picture of his character:
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“Buy this from meeee!!”
The Indian Medical Association gets suitably riled up about all this – “He says vaccines do not work? Sedition!! Misinformation!!” All to create a furor and neatly guide people past the minor point that the vaccines are killing them. There are other major players from the NGO side – “the Gandhi of grain” Vandana Shiva and Booker Prize winner Arundhati Roy. Being more intelligent than the average Baba Ramdev, they take a sophisticated spin on things, and are placed highest up the mountain. Vandana Shiva is a bit like Noam Chomsky… she criticizes Bill Gates, the GMO crops, the Gates’ vaccine industry, the pesticides, and is the winner of the “Alternative Nobel Prize”. But does she say ONE WORD against the current vaccines, about the harms they are causing? Zip, nada.
But again, just look at her:
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And then we have Arundhati Roy, whose job is to criticize government. She is the cousin of Prannoy Roy, who heads up one of the largest Indian media groups: NDTV. Not only that, he (Prannoy) studied at the Delhi School of Economics (underling of the London School of Economics), and (from wiki):
In 2009 Roy was one of two Indians serving on the International Advisory Board of Council on Foreign Relations.
Yep, that’s our old buddies at CFR. Arundhati Roy is obviously pretty well connected, and with a little bit of sophistry with her writing, she manages another whiplash of a spin: “We are witnessing a crime against humanity”. Oh how right you are madam, but wait a minute… she is talking of the government not doing enough. And its bad infrastructure. And the faults of Prime Minister Modi. While I completely agree that Modi can win several prizes as the top scumbag of India, blaming him for the lack of infrastructure once again overlooks the current vaccine-caused disaster. Modi has “made his bones” by already being at the head of a genocide once, and he is heading another one now.
The thought comes to mind – why India? Why target this part of the world, in particular? After all, we hear nary a peep from next-door China about how it is faring with the “covid crisis”. I surmise here – India has a large population that has a strong tradition of non-pharmaceutical medicine. For sure, China has traditional Chinese medicine, but with the levels of censorship and industrial control already present on the peasant life over there, it doesn’t seem the right fit for the project other than the part it has already played as a dialectic for the US. India has had a much more resilient local medicinal culture, based in Ayurveda, and also Homeopathy, and as such had to be attacked to eliminate those competitors root and branch once and for all. They are going at it by plonking “leaders” like Ramdev on the side of Ayurveda – classic discredit-by-association. Who in their right mind would ever want to follow that guy? The Indian Medical Association is, once again, suitably outraged by Ayurveda and its organization AYUSH. Controversy stirred, mission accomplished.
Another important move in the game has been the placement of Indians neatly in top positions in BigTech as well over the last few years:
This facilitates tapping the patriotism card, especially for those Indians living in the US or abroad in general. What a fantastic ego-boost to have “our countrymen” all the way at the top! We’d better listen to these experts and their models and their expertise in general, right? The last one, Soumya Swaminathan, deserves special mention. Not only is she pushing vaccines all day as WHO’s “chief scientist”, she is also the daughter of M. S. Swaminathan, who introduced GMO crops to India to trash our agriculture via the monoculture-heavy « Green Revolution ». He is also the winner of « UNESCO Mahatma Gandhi Gold Medal for his outstanding work in extending the benefits of biotechnology to marginalised and poverty-stricken populations in developing countries and in securing a sound basis for sustainable agricultural, environmental and rural development ». How many red flags can you count there?
All in all, India is in a terrible place right now. Our unholy prophets have predicted a third wave. Why? They need that cover story since they are opening up the vaccinations to the younger folks: the 18-45 year old category. And what happens when young parents start shedding? Well, the kids get sick, of course. We need a prophecy for that one, don’t we? Sure enough: “Health experts predict that the third wave of the virus is likely to hit the country later this year and have categorically warned that children would be affected by the third wave more than adults.” These horrible people are preparing the cover story for a genocide of children – calmly, methodically, all according to plan.
On the side of those resisting the vaccine push, there are a handful of groups, such as the oneunfortunately led by David Icke, like Awaken India Movement. It’s better than nothing I guess, but I hope it goes through the teething problems of seeing through its controlled opposition leader quickly. There is also Great Game India – this group is lead by a suspicious character Srinivas Kidambi who came out of St. Edward’s University Austin, and, per Wikipedia: St. Edward’s has been among the top producers of U.S. Fulbright Students for the last five years. AKA another spook school. Is there no end to them? That is why this group keeps whipping up nationalistic sentiment against China. As we know, national boundaries mean nothing when the international looters have been at it for ages.
Anyway. If you’re from India, or know any Indians – smack them with the graphs and facts in this article. Most of them are pretty brainwashed, but hopefully a few will wake up to the nonsense. The ones with a computer background are mostly useless – and most IT help is Indian and therefore unfortunately that way – they worship the footsteps of their heroes like Steve Jobs, Elon Musk, Zuckerberg, Sundar Pichaiand the rest of CEO crew. The ones in the bio-tech or medical background are also pretty hopeless. But the rural folks still retain some common sense. Do your best to wake up these people. They have occasionally been sending the medical agents and the police packing by beating them up and giving them a taste of their own medicine – which I watch from time to time. It is the silver lining to a very dark cloud.
Commençons par un petit bilan de ce blog : fréquentation proche de zéro, mes plus fidèles lecteurs restant les services secrets du Parti, explication ici. En voilà des gens opiniâtres et curieux. Plus en tout cas que ceux pour qui l’enjeu d’une bonne information est pourtant vital et urgent, et la clé de pratiquement tout ce qui va se jouer dans les semaines qui viennent. Ceux qui viennent faire un petit tour ici filent bien vite voir ailleurs.
Apparemment, je déçois. Désolé, je ne suis pas très feel good movie, celui dans lequel on disait qu’on étaient les bons et les autres les méchants. Pour les questions d’ordre vital, il serait temps de sortir, au moins un moment, du niveau cour de récré.
Le monde de l’enfance est merveilleux, évidemment. Il faut le garder en soi le plus longtemps possible. Et c’est pourtant chez les jeunes que je constate le plus ce phénomène typique de toutes les tragédies et toutes les guerres : la fin de l’innocence. Ils prennent conscience de ce qu’est devenu leur quotidien et de ce que sont maintenant leurs perspectives d’avenir. Ils ont plus d’années à vivre – ou à perdre – que leurs aînés et probablement la réserve de courage qui va avec. Ils savent donc faire le tri dans ce monde entre les courageux et les autres. Ils ne sont pas dupes des adultes et de leurs masques. C’est leur métier.
Finalement il me semble que ce sont les adultes qui ont le plus de mal à sortir de la naïveté. Il faut dire qu’ils ont de l’entraînement. Je les vois continuer à se laver les neurones devant leurs télés. La fabrique du consentement, c’est déjà pas très sain en temps de paix. Mais ici il s’agit de consentir à leur propre fin. Comme j’aime à le répéter, la télévision est la seule arme dont le canon est pointé vers la personne qui appuie sur la gachette.
D’autres plus courageux – de plus en plus nombreux, Dieu merci – se cherchent des camarades de résistance et vont voir du côté des nouveaux chevaliers blancs du Net, héros au sourire si doux. C’est très bien mais prudence, ce ne sont pas tous vos amis. Même certains dont je traduis ici les articles, pourtant très intéressants, ne sont pas vos amis. Il y a de l’opposition contrôlée. Je vous l’explique de long en large sur ce blog. Je vous ai fait une page « Sommaire » accessible dans le menu pour vous faciliter la recherche. Je consacre énormément de mon temps libre à vous pondre des articles utiles. C’est vraiment un très bon blog. Je dois le dire moi-même parce que mes amis ne me le disent pas – je n’en ai pas.
Vous ne voudriez sans doute pas de moi comme ami non plus. Encore moins si je vous dis que vous vous êtes foutus dans ce merdier vous-mêmes. En tant que consommateurs pas très éclairés, en achetant la camelote des maîtres de ce monde. Celle qu’on voit à la télé. Celle pour laquelle ils exploitent, torturent et font crever les pauvres qui ont eu la fâcheuse idée de naître là où, par exemple, on trouve les terres rares indispensables à la fabrication de vos smartphones. On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre. C’est une erreur.
Et vous voilà bien, maintenant que vous vous apercevez que ces prodigieuses merveilles sont là pour vous hypnotiser, vous surveiller et vous dénoncer. Que c’est l’outil de votre esclavage et que cet esclavage était volontaire. Ludique, mais volontaire. Mais plus pour longtemps. Il va devenir obligatoire. Comme beaucoup d’autres choses nettement moins ludiques.
Vous ne voudrez pas non plus de moi comme ami si je vous dis que vous auriez pu vous émouvoir un peu plus tôt des bébés découpés vivants pour la fabrication des vaccins. Que l’administration de ces vaccins a déjà mutilé et tué des millions d’enfants, et pas que dans les pays pauvres. En toute connaissance de cause. Et que pour les vieux, on a même pas fait semblant de vouloir les sauver. Un coup de calmant et c’est terminé.
On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre non plus.
Et vous voilà bien, maintenant que ça va être votre tour. Il n’y pas grand monde pour vous défendre non plus. Mais vous avez de la chance, parce qu’il y en a quand même un peu. Les mêmes, d’ailleurs, que ceux qui faisaient le boulot pendant que vous étiez devant votre télé, votre smartphone ou dans quoi que ce soit d’aussi utile et intéressant. Et il y a moi. Comme je ne suis pas votre ami, je peux vous dire ceci : il va falloir plus de courage et moins de naïveté. La fin de l’innocence. La récréation est terminée.
Parce que maintenant si vous voulez vraiment vivre, il vous faudra le double de volonté dans un monde que vos maîtres ont tout fait pour rendre invivable, dans une vie qu’ils ont tout fait pour vider de son sens. Et tant que vous les laisserez faire, ils continueront de le faire. Leur objectif c’est l’enfer sur Terre. Pour vous et pour eux. Eux, ils aiment ça. Vous, je ne sais pas.
Si vous voulez de la liberté, il faudra la gagner. Et bien plus difficile, il faudra en faire quelque chose. De bien, si possible. De mieux que de participer à toute cette saloperie.
Si vous voulez de la justice, il faudra la rendre aux autres et à vous-mêmes. Je ne sais pas ce qui est le plus difficile.
Nous voici donc, chers presque amis, bientôt au terme de l’année 2020 – qui pourrait s’écrire ZOZO, vu ce pour quoi on nous prend. L’année qui marque le début de la Quatrième Guerre Mondiale. Guerre bactériologique – ou virale, plutôt. Guerre de l’information – ou de la désinformation, plutôt. Guerre de la santé, de la liberté, de la justice. Guerre économique, évidemment – c’est toujours l’arme ultime. C’est la guerre de toutes les guerres.
Mais c’est surtout la guerre pour la paix.
Je suis content d’avoir découvert tous les braves gens qui se sont battus du bon côté, d’avoir vu leur combat et leur courage. Il reste de bonnes âmes dans ce monde. J’avais oublié.
Encore un extrait d’un article de Miles Mathis. Qui tombe bien, je voulais justement écrire à ce sujet. Je profite donc de l’occasion pour le faire en préambule ci-après et pour présenter ces deux excellents auteurs. Deux pour le prix d’un alors ne vous plaignez pas.
Miles Mathis
Miles Mathis se revendique à la fois comme chercheur de vérité et « révolutionnaire de gauche », ce qui constitue un paradoxe. Il consacre beaucoup de temps à débusquer les crypto-juifs historiques, qu’il désigne comme membres de la « marine Phénicienne ». La démarche est un peu monomaniaque et simpliste mais permet de démonter pas mal d’arnaques historiques, travail que la majorité des « dissidents » ne font jamais. D’un autre côté, il se dit porteur de « l’esprit révolutionnaire », l’idéologie la plus mortifère dans l’arsenal des manipulations « phéniciennes ». Alors quoi? Selon lui, il y a une distinction à faire entre une fausse gauche contrôlée par les susnommés milliardaires et une gauche légitime issue du peuple, qu’il baptise « républicanisme » et assimile à un véritable élan populaire. Les Américains – enfin, les vrais – tiennent beaucoup à leurs libertés constitutionnelles (à leur « We, the People« ), en particulier au deuxième amendement, quoiqu’ils négligent souvent d’examiner le symbolisme de leurs monuments, qui figure également sur leurs billets de banque et pointe clairement les instigateurs de leur révolution, des gens qui ont la manie de tout signer de leurs pyramides, obélisques et autres compas. Mathis, en tant qu’Américain grand teint, voit donc sa république constitutionnelle comme le fruit d’une juste révolution, bien qu’il s’en défende. On peut d’ailleurs déceler dans ses définitions politiques le cliché typiquement étatsunien de la Liberté en lutte contre toutes les formes d’autoritarisme étatique, leur attribuant des appellations interchangeables telles que « fascisme » et « communisme ». Symptôme d’un manque de culture politique de sa part? Oui et non, les deux doctrines étant de facto issues des mêmes think tanks bancaires et produisant les mêmes effets, ce qui est tout sauf un hasard. En effet, c’est le XXème siècle qui aura servi à la haute finance de laboratoire planétaire du pouvoir politique – ce que Miles Mathis décrit très bien – au sein duquel fut testé et observé au niveau mondial le degré de soumission et de conformisme des peuples sous contraintes et stimuli divers : guerres, génocides, épidémies, dictatures, corruption institutionnelle, crises financières, capitalisme de connivence, ultra-libéralisme, consumérisme, décadence, perversions des moeurs – pièces d’artillerie lourde de l’ingéniérie sociale que l’on fait en ce début de XXIème converger dans la mécanique de soumission totale des peuples.
Alors pourquoi un bloggeur de droite relaye-t-il les écrits d’un gauchiste? D’abord pour confronter deux lectures du même phénomène et d’en retirer le plus grand dénominateur commun. On peut déjà dire qu’il se comporte en chrétien, et bien plus que moi. Ensuite, parce que son travail de décryptage historique (voir sur son site) en fait l’observateur idéal pour déjouer fausses pistes, manipulations et guerres triangulaires. Détail amusant, si selon sa propre tactique on s’en réfère à son patronyme, il pourrait lui aussi faire partie de la tribu (Mathis vient de l’hébreu « mattaï » qui signifie « don de dieu »). Enfin – on en est pas à un paradoxe près – parce qu’en dépit de son logiciel politique d’adolescent rebelle, il est tout ce qu’il y a de plus croyant, comme on le comprendra en le lisant. Ce n’est néanmoins pas sous cet angle qu’il exerce sa critique du marxisme. Ce que je ferai donc moi-même.
Moi
Je ne suis donc pas un « révolutionnaire de gauche » – je ne suis pas révolutionnaire du tout, d’ailleurs. On pourrait m’étiqueter – ou me diaboliser, au choix – « conservateur », « croyant » et/ou « de droite ». Appellations que je récuse : c’est l’athéisme qui a inventé les « croyants » et la gauche qui a inventé la « droite ». Avant que les premiers – athées et gauchistes – fassent déferler leurs maladies mentales sur le monde, les seconds étaient juste des gens normaux – tout ce à quoi je prétends.
Révolution
D’après moi, toute révolution est un fantasme et une imposture.
En théorie, le rôle d’une révolution serait d’ajuster la structure et l’organisation de la société aux aspirations et aux compétences de ses membres. Toujours en théorie, si elle peut advenir c’est grâce à la tension qui s’installe naturellement entre ces deux facteurs, qui demande résolution. Comme tout système entropique, les sociétés humaines finissent par dépasser leur date limite et doivent être mises à jour. Voire réinitialisées. N’est-ce pas, Klaus? Humour, je précise.
En pratique, ça n’arrive jamais.
Pourquoi? Par ce simple axiome : la société évolue, l’homme dégénère (c’est de moi, mais vous pouvez me le piquer). La vocation du cadre civilisationnel étant d’affranchir l’humain des limitations et périls des lois naturelles, une partie de ses compétences ne s’exerce plus, s’atrophie, et meurt, tandis que de nouvelles compétences peuvent se développer : c’est l’hyperspécialisation. Le problème réside dans l’issue logique de cette course à l’expertise, selon l’adage, « Un expert, c’est quelqu’un qui en sait de plus en plus sur de moins en moins de choses, jusqu’à ce qu’il sache tout sur rien ». En d’autres termes, c’est le meilleur moyen de se déconnecter du réel – dont certains psychologues prétendent aujourd’hui qu’il n’existe pas. J’invente pas. Ce qui implique que le rôle effectif de la société est moins de s’ajuster à des compétences humaines, volatiles et très relatives, qu’à ses lacunes, aux conséquences potentiellement tragiques. Je n’ai nul besoin de chiffres ou de statistiques pour savoir que la quasi-totalité des « citoyens » d’aujourd’hui est parfaitement incapable d’assurer sa simple survie en cadre naturel – et ce n’est pas la permaculture de balcon qui sauvera les bobos. Demain, selon la progression logique décrite plus haut, ils en deviendront tout autant incapables dans un cadre urbain, surtout si on les aide : d’ores et déjà, la maîtrise du langage et des concepts diminue de jour en jour. L’humain d’aujourd’hui est moins qu’un animal, demain il sera moins qu’une machine. La dégénérescence humaine précède donc l’évolution sociétale. Coup de bol incroyable, on a le Grand Reset et l’intelligence artificielle pour pallier à ce problème. On est donc passés en quelques siècles du risque de se faire bouffer par un ours à celui de se faire piquer par Bill Gates. On a les prédateurs qu’on mérite, je suppose.
La vie en société montre donc qu’elle est potentiellement un fléau pour l’homme. Rien de bien nouveau, mais rappel utile devant l’urgence présente de trouver des solutions humaines aux dégâts sociétaux, celles proposées par le haut de la hiérarchie étant pires que le mal : la faiblesse humaine est leur fonds de commerce.
On aura compris mon point de vue assez perplexe sur le « vivre ensemble » et partant, sur le modèle républicain. Le plus proche de moi (géographiquement) est la république française (ne me demandez pas de mettre des majuscules à ça), qui est depuis la première minute de la « révolution » jusqu’à ce jour est une histoire de mensonges, d’horreur, de terreur et de massacres. La petite élite parisienne dégénérée et corrompue qui tyrannise les régions : les Vendéens s’en souviennent. Histoire de haute trahison également, puisqu’elle a été et reste un coup d’Etat permanent, initialement téléguidé depuis la Banque d’Angleterre, alors aux mains des mêmes familles bancaires qu’aujourd’hui. Elle résume assez bien ce qu’ont été toutes les révolutions, colorées ou non (n’est-ce pas, George?) : opérations de corruption, de sabotage puis d’implosion artificielle d’un système, fomentées par une force externe, qui installera ensuite le système qui l’intéresse davantage. J’insiste, c’est ce que nous vivons aujourd’hui : le coup d’état bolchévique mondial commence par la mise à mort de ce qui reste du système économique et social, déjà à bout de souffle – comme un malade du Covid, en fait – pour son remplacement par le « nouveau normal » après Grand Reset. La Quatrième Révolution Industrielle n’est que le faux nez de la dictature technocratique, qui relaie la dictature bureaucratique actuelle sous couvert d’arguments « inclusifs » et « climatiques ». Green is the new red.
Et pour cause. Par définition, la « droite » tendant à la normalité, à l’ordre et à la stabilité, pratiquement toutes les révolutions sont « de gauche ». Dans leur version moderne, elles s’appuient côté logistique sur une junte d’assassins professionnels (milices privées, forces de l’ordre et militaires aux ordres) et côté politique sur un casting de têtes-à-claques, egos psychotiques, criminels, toxicomanes, pédophiles et autres pervers qui atteignent ainsi l’apogée de leur parcours d’enfants gâtés. Les Etats-Unis courent actuellement le danger d’en faire la douloureuse expérience. Ceci explique pourquoi l’infantilisation, la perversion et la corruption des masses est un prérequis indispensable à la prise de pouvoir par la gauche, pourquoi, comme nous l’explique Youri Bezmenov, ex-KGB, ses techniques de propagande visent en priorité les nouvelles générations, et pourquoi la classe moyenne est sa cible prioritaire, en tant que classe autonome, responsable et courageuse – donc adulte et par essence non-révolutionnaire, ou plutôt en révolution permanente contre son parasite éternel, la finance. La classe moyenne est de trop, entre maîtres très riches et esclaves très pauvres. A piller et éliminer, économiquement ou physiquement, ces deux procédés étant à cette minute mis en oeuvre simultanément.
La gauche
La « gauche révolutionnaire » a aujourd’hui tout infiltré, tout dénaturé, tout corrompu. Tous les Etats sont de gauche, y compris ceux de droite. Tous les partis politiques sont de gauche, y compris ceux de droite – à ce sujet, lire les bouquins de Ron Paul (notamment « End the Fed ») ou à défaut voir ses capsules vidéo. L’Eglise est de gauche. Les familles, derniers bastions supposés de la tradition, sont imprégnées de gauchisme, les pauvres. Pour protéger et perenniser cette pollution, la solution finale est aujourd’hui de détruire préventivement, à l’échelle industrielle, la dernière source potentielle de divin et de sacré directement dans le ventre de leurs mères avant qu’ils puissent advenir dans ce monde, de les découper vivants pour la recherche scientifique et la fabrication de vaccins destinés à stériliser les femmes et celle de cosmétiques à l’usage de tarées congénitales effrayées par le temps qui passe. Les enfants qui auront échappé au massacre seront à leur tour stérilisés par des bloqueurs hormonaux – bientôt administrés de force – avant l’âge de reproduction ou serviront éventuellement à l’hyperclasse de chair à sacrifier dans leurs messes noires ou de gibier dans leurs chasses privées. Dans l’indifférence quasi-générale.
« La fin de l’humanité telle que nous l’avons connue ». Effectivement.
La dernière revendication d’une humanité qui a déjà implosé sous l’effet de sa corruption mentale et morale est la liberté. Mais quelle liberté? Ceux qui la revendiquent ont bénéficié d’un accès à plus de privilèges que l’homme en a jamais connu dans l’histoire et qu’en ont-ils fait, sinon participer à leur propre perte? La liberté qu’ils demandent, c’est trop peu, trop tard, maintenant qu’ils sont confrontés à la destruction accélérée des dernières bribes de ce qu’ils ont été, ou auraient pu être.
Marxisme
D’après moi, le marxisme a au moins le mérite d’exposer la mécanique de l’imposture de la gauche, pour qui veut bien se donner la peine de la démonter. Il sert à une chose, le reste n’étant que diversion : la désacralisation de l’Homme, en confisquant et détournant de son sens le rôle social initialement rempli dans la société par l’Eglise, à travers la doctrine chrétienne. Je parle bien ici de la doctrine et non de son application, sujette à la corruption, comme tous les systèmes hiérarchisés. Ce n’est pas, loin s’en faut, l’idéologie qui fait la valeur de l’homme, fût-il d’Eglise, et à quelques rarissimes exceptions près, cette dernière est aujourd’hui aussi spectaculairement corrompue que l’ensemble du système politique et économique, voire davantage. Corruption qui arrive à point pour y laisser s’infiltrer le nouvel humanisme, version XXIème siécle.
La manoeuvre des concepteurs du marxisme consiste à imposer une analyse sociale de la société humaine articulée sur des catégories économiques qu’ils ont eux-mêmes créées avec la fabrication du prolétariat, pour leur permettre de vendre ensuite de la « lutte des classes » et de la dictature du susdit prolétariat – donc, là encore, l’éradication de la classe moyenne. En réduisant l’être humain à cette très misérable dimension travailleur/consommateur, le monde bancaire confie au marxisme la tâche de faire des valeurs chrétiennes l’ennemi, pour les remplacer par la déification de ses valeurs matérialistes – j’aurais pu écrire « défécation », terme plus approprié, d’ailleurs. Elle reprend ainsi le flambeau du darwinisme, articulé sur une falsification scientifique du même ordre, qui perdure à ce jour. Et pour cause : deux travaux de commande, aiguillages mentaux pour consommation de masse et pour le bénéfice des mêmes « suspects habituels », qu’il faut amortir le plus longtemps possible, selon leur logique d’investisseurs avisés. Une fois le terrain ainsi miné, toutes les « dérives » sont permises – absolument toutes : inversion totale des valeurs, négation des lois naturelles, déracinements, confiscation des propriétés et territoires, marchandisation de l’être humain, transhumanisme, avortement à l’échelle industrielle et commerce de bébés viables découpés en morceaux, eugénisme, euthanasie, génocides…
Mais faut-il vraiment y voir des dérives? Je ne crois pas, non. Dans les projets séculaires de ces familles, il faut comprendre que, toujours, le résultat était l’objectif. C’est la clé de tout. Les millions de morts, les destructions de civilisations entières, la perversion institutionnelle, le chaos et l’horreur sont parties essentielles des projets, dont il faut aussi comprendre qu’ils sont générationnels, mis en oeuvre en étapes successives au fil des siècles par les mêmes familles et cristallisés dans des doctrines encore plus explicites que le marxisme telles que le kabbalisme, recette de pouvoir occulte qui s’est frayé un chemin jusqu’aux plus hautes sphères de l’élite. Nous sommes en plein dedans.
Mais il faut bien gérer le troupeau. C’est la raison d’être du nouvel humanisme.
Opposition contrôlée
Cadeau Bonux de toute idéologie, l’opposition contrôlée en est un pilier marketing très utile, puisqu’il permet de protéger l’investissement initial. Piège intellectuel bien rodé mais facilement identifiable si on s’intéresse non à ce qu’elle dit – en général simple concession au sens commun – mais à ce qu’elle ne dit pas. Le marxisme permet de comprendre ce type de mécanique réductionniste, comme expliqué plus haut. Pour faire l’économie de la lecture de ce genre de littérature, on peut assister à une conférence d’un de leurs idéologues, exercice de démagogie assez hallucinant d’infantilisation – nous sommes les bons, ils sont les méchants – où on les voit s’emballer autour de leurs concepts creux tout en prenant garde à maintenir la distance de sécurité règlementaire avec le sacré. À force de ce genre de pirouettes, un de ces imbéciles finira par se froisser un ligament dans la tête.
La supercherie peut continuer indéfiniment. Après avoir fabriqué de la gauche pour détruire la « droite », on fabrique une droite en carton qui fait mine d’attaquer la gauche. C’est dans cette faune qu’on trouve certains « résistants » au « système » qui se présentent aujourd’hui comme alternative au pouvoir « libéral-libertaire » et comme seul rempart à la présente guerre anti-humaine. Le meilleur gag de ces clientélistes mondains est de les entendre se définir comme chrétiens, tout en citant volontiers Marx, Mao, Chavez, Castro et diverses autres créatures « révolutionnaires » formées chez les Rothschild, voire se déclarer national-socialistes ou prendre la Corée du Nord comme exemple de démocratie réussie. Tout ça en se défonçant aux drogues dures dans leur villa à l’étranger, pendant que j’écris entre deux journées de boulot ereintant les lignes qu’ils viendront me pomper allègrement. On se demanderait bien qui est le plus marxiste dans cette histoire. Si quelqu’un n’a pas compris après ça, je ne peux rien pour lui.
Je traduis donc cet extrait d’article aussi pour ceux qui auraient encore du mal à déterminer si c’est bien à ces gens qu’il faut accorder leur confiance et à qui éventuellement confier les clés de l’Etat, dans l’hypothétique cas où la présente organisation mafieuse d’analphabètes au pouvoir serait finalement évincée. Parce que quoiqu’en dise Miles Mathis, c’est ce qui arrive quand la détresse du peuple franchit les limites du supportable, qu’il crève de faim et de misère et qu’il ne lui reste que ça ou le suicide. Quand la peur de la mort s’efface devant le désir de vivre, en somme. Et dans ce cas ce n’est pas une révolution qui se produit mais une insurrection, dont l’objectif est exactement l’opposé. Nuance.
Je conclus sur l’anecdote suivante : j’ai posté sur le site le plus fréquenté de ladite opposition – contrôlée, donc – un commentaire (non publié) avec lien vers le présent blog. Je reçois depuis des visites quasi quotidiennes à partir d’adresses IP chinoises. C’est fort aimable de leur part. Question : qui a l’autorisation dans ce pays consulter le Net hors de leurs frontières?
Pour paraphraser Serge de Beketch, nos lecteurs en tireront les conclusions qu’ils voudront.
NB. Miles Mathis a écrit un (très long) article qui traite spécifiquement du personnage « Marx ». Il est en anglais. Je n’ai pas trouvé le temps de le traduire mais rien ne vous interdit de faire l’effort.
[…] Souvenez-vous que c’est exactement la raison pour laquelle le marxisme a été initialement inventé. Marx en fit la promotion dans les années 1840 pour contrer les mouvements républicains émergents de l’époque, dont certains étaient bien réels et avaient une chance de réussir. Mais tous ont été infiltrés, cooptés et réduits en fumée par des fils de riches marchands qui se faisaient passer pour des révolutionnaires. Oui, Marx, Engels, Owens et tous les autres étaient issus de familles milliardaires, et ils ont spécifiquement été introduits dans les rangs républicains et dans les soulèvements populaires pour les bloquer et les faire imploser. C’est bien ce qui leur est arrivé.
Bien que ce fût la méthode employée par la marine phénicienne pour contrôler l’opposition au fil de nombreux siècles, simulant des événements et infiltrant leurs ennemis, c’est dans les années 1800 qu’ils l’ont vraiment peaufinée. Le marxisme a été leur plus grande invention à cet égard, celle qu’ils ont sans cesse utilisée depuis lors, partout dans le monde. Bien qu’il ait servi de couverture au fascisme en Russie et en Chine, son usage principal dans le reste du monde a été de supplanter le républicanisme. Partout où se produit un véritable soulèvement populaire contre les milliardaires, la marine phénicienne insère ses agents, qui se présentent comme marxistes. Ces agents prennent ensuite le contrôle du soulèvement local, et en font de la merde. Ils élaborent des histoires d’atrocités et chargent ensuite leurs agents marxistes d’appeler les médias pour les revendiquer. Les gens lisent ces histoires ou les voient à la télévision, et la révolution échoue. C’est ce qui s’est passé au Pérou, et cela s’est produit encore et encore dans tous les autres pays, y compris aux États-Unis. Parce que le peuple ne voit pas clair dans cette supercherie, les dirigeants ont continué à la mettre en oeuvre encore et encore. Et ils continueront à le faire tant que vous n’aurez pas compris.
C’est ce qu’ils vous font en ce moment, tandis que vous lisez ces lignes. Selon vous, qui fomente les émeutes actuelles, la mini-révolution Black Lives Matter et tout le reste? Les mêmes. Ils ont perçu un réel danger de soulèvement après la grande arnaque du Corona [NdT. Je rappelle que Miles n’a toujours pas capté la gravité des cas sévères de Covid], et ont orchestré un soulèvement factice pour le prévenir. Ils vous vendent l’idée que votre gouvernement se soucie vraiment des Noirs et qu’il s’en occupe. Ils cacheront quelques statues de confédérés et adopteront quelques lois qu’ils n’ont aucune intention de faire appliquer, tout en continuant à faire de ce pays un État policier et un élevage de moutons. Mais vous vous ferez duper en pensant que des progrès sont en cours, et vous resterez donc assis dans votre fauteuil relax à manger le poulet frit de votre Eglise.
Parce que l’élan révolutionnaire était en réalité assez faible, cela a paru fonctionner, mais si un soulèvement populaire aux États-Unis devait vraiment émerger dans un proche avenir, attendez-vous de la part des dirigeants à une supercherie d’un tout autre niveau. C’est ce qui s’est produit à la fin des années 60, au début des années 70, lorsque le gouvernement a dû tout mettre en œuvre pour empêcher que quoi que ce soit de concret puisse se produire. C’est à ce moment-là qu’ils ont enchaîné de gigantesques falsifications, notamment plusieurs faux assassinats de haut niveau, les Black Panthers, Manson, Patty Hearst, le Chicago Eight, une mise en accusation présidentielle et tout un chapelet de faux tueurs en série. Actuellement, tout le monde reste enfermé par peur des assassins de masse et des faux virus [NdT. Même remarque], mais cela pourrait changer. Quand ça arrivera, préparez-vous à un niveau de trucage qui fera ressembler la fin des années 60 à un vaudeville. Ils tenteront de vous faire croire en une série de crises tellement spectaculaires qu’elles éclipseront tout ce qui précède. Ne tombez pas dans le piège. Ignorez la tragédie scénarisée qui se déroule sur votre écran et ne cessez pas d’exiger qu’ils vous rendent tout l’argent qu’ils vous ont volé. ET NE LEUR EN DONNEZ PLUS!
La plupart de mes lecteurs ne comprennent pas l’objectif de mes articles, je le sais. Ils me disent que je ne peux pas gagner. Quel espoir y aurait-il si j’ai comme tout allié la foule de ceux qui portent des masques et qui sont prêts à croire tout ce qu’on leur raconte? Mais ils sont à côté de la plaque, comme d’habitude. J’AI DÉJÀ GAGNÉ, parce que je me suis départi des dirigeants de la Terre. Je me suis départi de leur histoire pervertie, de leurs idées perverties, de leur art perverti, de leur science pervertie et de leur sexualité pervertie. On m’a proposé de les suivre dans leur corruption et j’ai refusé.
Rappelez-vous, nous avons récemment vu Neil DeGrasse Tyson admettre que tout ça était un test, ce à quoi je lui ai répondu qu’il s’agissait bien d’un test, mais d’une nature complètement différente de ce qu’il pensait, et d’un tout autre niveau. Beaucoup, voire la majorité des gens ne comprennent pas ce qu’ils font ici. Pourquoi sont-ils nés sur cette Terre pleine de mystères? Quel est le sens de tout ça? Eh bien, c’est effectivement un test. Les textes anciens de toutes les religions vous le disent, et ils ne mentent pas. Votre courte vie sur cette planète corrompue sert à y tester votre réponse. Accepterez-vous cette corruption, et si oui jusqu’où? Nous sommes au fond tous testés pareillement, même les peuplades autochtones qui n’ont apparemment aucun lien réel avec les maîtres de cette Terre. Les peuplades autochtones doivent décider si elles acceptent ou non la corruption de «l’homme blanc», et dans quelle mesure. En ce sens, ce sont les Phéniciens qui subissent en fait le test le plus difficile de tous, puisque eux vivent le plus près du centre. Ils ne sont pas testés de loin, ils sont testés par leurs propres frères, sœurs et parents. Imaginez à quel point cela doit être terrible et à quel point il doit être difficile pour eux de s’échapper. Plus vous êtes né loin de ce nid, plus vous devriez être reconnaissant – même si vous avez probablement acquis cette distance dans une vie antérieure.
Vous ne gagnerez pas ici sur Terre en devenant riche ou puissant. Vous ne gagnerez pas en contrôlant ceux qui vous entourent. Vous ne gagnerez pas en gagnant des guerres, des fusillades ou des débats. C’est précisément ainsi que vous PERDREZ. Vous gagnerez en vous séparant autant que possible de ces dirigeants et de ces gouvernements corrompus. Vous gagnerez en refusant de les laisser vous corrompre. Vous ne gagnerez pas en les renversant, car ce n’est pas le projet ici-bas. Actuellement, cette planète est corrompue, et il n’y a pas grand chose que vous puissiez faire pour y remédier. Ce n’est pas vous qui avez créé le test ou la planète, vous ne faites qu’y vivre. Ce que vous pouvez contrôler, c’est votre propre réponse. Votre travail consiste à arriver le plus dignement possible à la fin de ce test, en faisant le moins de mal possible, tout en faisant autant de bien que possible. Répandez la joie et la lumière et empêchez le mal d’advenir. C’est ainsi que votre esprit grandira, en apprenant la leçon inhérente à ce monde.
Donc je n’écris pas mes papiers pour «gagner». Je n’écris pas pour déclencher une révolution ou pour renverser le gouvernement. Le gouvernement devra se renverser lui-même, s’il espère tirer quoi que ce soit de cette vie. Je ne peux pas vivre la vie de ces gens à leur place, de toute façon. Les renverser ne les «sauvera» pas de toute façon, puisqu’il n’y a qu’eux qui puissent se sauver eux-mêmes. Et les renverser ne vous sauvera pas, ni moi non plus, puisque nous pouvons toujours être corrompus sous n’importe quel gouvernement, même le meilleur. En fin de compte, vous ne pouvez renverser que vos pires pulsions, et c’est tout ce que vous êtes censé renverser. Il faut espèrer que vous pourrez prendre de bonnes décisions au jour le jour, c’est ce pour quoi vous devez vous battre. Quoi que vous fassiez d’autre, ne cédez pas à la pression autour de vous. Restez ferme. Restez sain d’esprit. Restez vertueux. Et n’ayez pas peur de la mort. Il y a des choses bien pires, comme de vivre avec sa propre corruption.
Texte original
Remember, this is exactly why Marxism was invented in the first place. Marx promoted it back in the 1840s to counter the rising republican movements of the time, some of which were real and some of which had some chance of success. But all of them were infiltrated, co-opted, and blown to smithereens by the sons of rich merchants posing as revolutionaries. Yes, Marx, Engels, Owens, and all the rest were from billionaire families, and they were inserted into the Republican ranks and popular uprisings specifically to stall them and implode them. Which they did.
Although the Phoenician Navy had been controlling the opposition this way for many centuries, faking events and infiltrating their enemies, they learned how to fine-tune their methods in the 1800s. Marxism has been their greatest invention in this regard, and they have used it non-stop since then all over the world. Although it was used as a cover for fascism in Russia and China, its main use in the rest of the world has been as a replacement for republicanism. Anywhere that there is a real popular uprising against the billionaires, the Phoenician navy inserts their agents posing as Marxists. These agents then proceed to take over the local uprising, turning it to crud. They fake a bunch of atrocities, then have their Marxist agents phone the media taking credit for them. People read this or see it on TV, and the revolution fails. That is what happened in Peru, and it has also happened again and again in every other country, including the US. Because people haven’t seen through this charade, the governors have been able to keep going back to it over and over and over. They will keep doing so until you wise up.
They are doing it to you right now, as you read this. Who do you think is running the current riots, the Black Live Matter mini-revolution, and all the rest? Same people. They saw a danger of a real uprising after the big Corona fake, so they manufactured a fake uprising to forestall it. They want youto think your government really cares about blacks and is on the case. They will hide a few Confederate statues and pass a few laws they have no plans to enforce, while continuing to turn the country into a police state and sheep farm. But you will be fooled into thinking progress is being made, so you will stay in your comfy chair and keep eating your Church’s fried chicken.
Because the revolutionary spirit was actually low, this looks like working, but if a popular uprising in the US really should emerge in the near future, look for a whole other level of faking from the governors. This is what happened in the late 60s, early 70s, when the government had to go all out to prevent anything real from taking place. That’s when they ran one huge fake after another, including several high-profile fake assassinations, the Black Panthers, Manson, Patty Hearst, the Chicago Eight, an impeachment, and a whole raft of fake serial killers. Currently they have everyone locking themselves down due to fear of mass murderers and fake viruses, but that could change. When it does, prepare yourself for a level of faking that makes the late 60s look like a vaudeville romp. They will be asking for belief in a set of gaudy crises that dwarf any before. Don’t fall for it. Ignore the scripted tragedy playing on your screen, and simply continue to demand they return all the money they have stolen from you. AND DON’T GIVE THEM ANY MORE!
Most don’t understand what I am up to in these papers, I know. They tell me I can’t win. What hope is there when my allies are a bunch of people wearing face masks who will believe anything? But they are missing the point, as usual. I HAVE ALREADY WON, because I have successfully separated myself from the rulers of the Earth. I have separated myself from their perverted history, their perverted ideas, their perverted art, their perverted science, and their perverted sexuality. I have been offered their corruption and refused it.
Remember, we recently saw Neil DeGrasse Tyson admitting this was all a test, and we saw me answering him that this was indeed a test, but a different one entirely than he thought, on a different level entirely. Many or most people don’t understand why they are here. Why were they born on this mysterious Earth? What is the point of it all? Well, it is indeed a test. The ancient texts in all religions tell you this, and they are not wrong. You were installed for a short lifetime on a corrupt planet to test your response. Will you go along with this corruption, and if so how far? We are all being tested in the same basic way, even Natives who would seem to have no real connection to these rulers of the Earth. Natives still have to decide whether to go along with the corruption of “the white man”, and if so how far. In this sense, the Phoenicians actually have the toughest test of all, since they are installed here closest to the center. They aren’t tested from afar, they are tested by their own brothers and sisters and parents. Just imagine how terrible that must be, and how difficult it must be for them to escape. The further away from that nest you were born, the more grateful you should be – though you probably earned that distance in a previous life.
You don’t win here on Earth by getting rich or powerful. You don’t win by controlling those around you. You don’t win by winning wars or shootouts or debates. That is precisely how you LOSE. You win by separating yourself as far as possible from these corrupt governors and governments. You win by refusing to let them corrupt you. You won’t win by overthrowing them, since that isn’t the scheme here. This is the corrupt planet for now, and there isn’t much you can do about that. You didn’t create the test or the planet, you are simply installed inside it. What you can control is your own response. Your job is to get out the far side of this test as cleanly as you can, doing as little evil as you can, while doing as much good as you can. Spread joy and enlightenment and prevent harm. In this way your spirit will grow, learning the lesson embedded here.
So my papers aren’t written to “win”. They aren’t written to spark a revolution or to overthrow the government. The government will have to overthrow itself, if it hopes to get anything from this life. I can’t live those people’s lives for them regardless. Overthrowing them won’t “save” them anyway, since they can only save themselves. And overthrowing them won’t save you or me either, since we can still be corrupt under any government, even the best. Ultimately, you can’t overthrow anything but your own worst impulses, and that is all you are expected to overthrow. It is hoped you can make good decisions day to day, so that is what you should strive for. Whatever else you do, do not cave to the pressure around you. Stay inflated. Stay sane. Stay virtuous. And do not fear death. There are far worse things, such as living with your own corruption.
Encore un article de Miles Mathis. Après ça j’en ponds un à moi. Ce n’est pas de la paresse, la traduction me prend des heures! Je note que ce cher Miles n’a sans doute personne dans son entourage qui a enduré le Covid (sous sa forme sévère), ou il n’en parlerait pas comme d’un canular (voir ici). Sinon le reste de l’analyse est assez correct.
Un autre truc amusant c’est que je publie des traductions d’articles de Vernon Coleman sur ce blog et qu’il est ici soupçonné de faire partie de l’opposition contrôlée.
Il y a eu de grandes manifestations autour du Corona dans le monde entier la semaine dernière, y compris une à Berlin et une grande à Londres. Je ne pense pas qu’elles aient été fabriquées, mais elles ont clairement été infiltrées. Sur les dizaines de milliers de personnes présentes, il y en avait des milliers embauchés pour discréditer le mouvement en brandissant des pancartes volontairement stupides ou en faisant des truc idiots. Mais plus important encore, les manifestations ont été infiltrées directement depuis le podium, où les gouvernements allemand et britannique ont habilement installé leurs propres «leaders» du mouvement. À Londres, la manifestation a également été délibérément limitée en la confinant dans Trafalgar Square, lieu assez exigu, où seules quelques milliers de personnes pouvaient se rassembler.
À Londres, ces faux leaders comprenaient David Icke, Piers Corbyn et Vernon Coleman – tous les trois ont des liens étroits avec les médias grand public et tentent de façon évidente de contrôler l’opposition.
J’ai déjà démonté David Icke. Piers Corbyn est le frère de l’ancien dirigeant travailliste Jeremy Corbyn, et il était précédemment lié au Heartland Institute, un énorme drapeau rouge. Et devinez à quoi il ressemble :
(photo)
C’est vraiment trop facile avec eux. Il pourrait tout aussi bien porter une tunique mauve.
Idem pour Vernon Coleman,
(photo)
mis en vedette sur Youtube pour nous préparer à ses vidéos sur le Covid. Ce jour-là, il a bien fait attention à dire ce qu’il fallait, à plaire à son public, mais sa biographie le trahit. Il a travaillé pour le Sunday People jusqu’en 2003, et plusieurs de ses livres ont été promus par les grands éditeurs et par les listes de best-sellers du Sunday Times, bien qu’il soit prétendument à contre-courant. Ça n’arrive jamais qu’aux membres de l’opposition contrôlée. Vous ne verrez jamais les médias ou les éditeurs grand public publier mes livres ou me faire de la promo. C’est exactement le contraire qui arrive. Ainsi, quand nous lisons dans The Economist qu’«il incarne à lui seul le Lone Ranger, Robin Hood et l’Equalizer», nous savons que quelque chose cloche. Le Glasgow Evening Times l’a élevé au rang de «trésor national». Le Sunday Mirror a qualifié ses livres de «lecture compulsive». BBC World l’a décrit comme «sensé et rafraîchissant à la fois». Vous voudrez peut-être vous rappeler à qui appartiennent tous ces médias.
Répétons-le, il a été promu par The Economist, rien moins. The Economist, qui s’est spécialisé dans le plaidoyer pour la privatisation et la déréglementation. The Economist, fermement ancré dans la poche des grandes sociétés pharmaceutiques et de la médecine officielle. The Economist, qui appartient majoritairement à la famille Agnelli, fondatrice de Fiat et célèbre en tant que grands partisans de Mussolini. Autrement dit, du fascisme. Cette famille et cette entreprise ont été accusées de corruption depuis toujours et sont célèbres en Italie pour avoir été reconnues coupables dans les années 1990 de fraude massive, de pots-de-vin et d’escroquerie généralisée.
Chez Amazon, nous apprenons que Coleman est publié par l’European Medical Journal, qui tente de nous vendre désormais du Covid. Plutôt étrange, non? Voilà un type surtout connu pour avoir déclaré qu’on risque fort d’être tué par son propre médecin, et il est pourtant publié par l’European Medical Journal? Comment expliquer ça, si ce n’est par son appartenance à l’opposition contrôlée. Oui, il a parfois raison, mais c’est comme ça qu’ils procèdent. On contrôle l’opposition en leur disant beaucoup de choses qu’ils savent déjà et veulent entendre, puis on les détourne. Ce qu’il dit des vaccins est juste, par exemple, mais parmi ses 100 autres livres, il y a des titres comme The Coming Apocalypse et Are you Living with a Psychopath?
Il a également un livre intitulé The 100 Greatest Englishmen and Women. Ce n’est pas un classement public, ce sont ses «héros personnels». Oliver Cromwell est le numéro 4. Churchill est le numéro 7. William Wilberforce est en haut de la liste. Voir l’autre article que j’ai publié aujourd’hui. William Petty est au # 22 : Petty était l’arpenteur juif de Cromwell, cartographiant les terres à voler pendant la guerre et à donner ensuite à ses soldats. Comme tout les autres sur la liste, c’était un énorme escroc. John Lilburne est # 30. Il faut vraiment lire sa page Wiki, si vous ne savez pas qui il était. En voici juste un avant-goût :
Le 18 avril 1638, Lilburne fut flagellé sur la peau nue de son dos d’un fouet à trois lanières, tandis qu’il était traîné par les mains, attachées à l’arrière d’une charrette à bœufs, depuis la Fleet Prison jusqu’au pilori de Westminster. Il fut ensuite forcé de s’accroupir au pilori où il a quand même réussi à faire campagne contre ses censeurs, tout en distribuant davantage de littérature interdite aux foules. [7] Il fut ensuite bâillonné. Finalement, il fut jeté en prison. Il fut ramené au tribunal et de nouveau emprisonné. Pendant son emprisonnement à Fleet, il fut cruellement traité. [12] Pendant son séjour en prison, il réussit cependant à écrire et à faire imprimer en 1638 un récit de sa propre punition intitulé L’Oeuvre de la Bête et en 1639 un plaidoyer pour la séparation de l’église d’Angleterre, intitulée Sortez-en, mon peuple.
Il a distribué de la littérature interdite alors qu’il était au pilori? Et nous sommes censés croire ça? Et alors qu’il était en prison pour avoir publié sans autorisation, il a écrit et publié deux autres livres? Mais oui, bien sûr. Vous comprenez pourquoi il est un héros de Coleman.
Robert Peel est # 40. Vous vous souviendrez de lui sur la pochette de Sgt. Pepper’s [NdT. l’abum des Beatles, dont la pochette est un véritable catalogue des personnages-projets du Renseignement – tout comme les Beatles, d’ailleurs, création du Tavistock Institute]. Il a été ministre de l’Intérieur, chef secret du Renseignement, puis Premier ministre. Je doute fort que de vrais révolutionnaires ou des Robin des Bois l’incluent dans la liste de leurs héros. Moi non.
Je n’avais pas l’intention de démonter Coleman, mais c’était trop facile pour laisser passer l’occasion.
Mais revenons à Icke. La première chose que j’ai remarquée, c’est à quel point il a grossi. C’est un ex-athlète, chers amis, et il a maintenant l’air d’un type qui avalé un ballon de plage. Vous me direz qu’il vieillit, mais il n’a que 11 ans de plus que moi. Il n’a même pas 70 ans. Mais encore une fois, c’est ainsi que vieillissent les Phéniciens. Les entreprises de tromperie ne leur réussissent pas, question santé ou apparence.
Le pouvoir utilise les partisans d’Icke et de QAnon pour discréditer les manifestations Covid, nous devons donc nous demander qui a invité ces personnes? Pas besoin d’invitation pour faire partie de la foule, bien sûr, mais il faut être invité pour parler sur scène, ou pour figurer sur scène derrière les orateurs avec une bannière ou un masque/costume. Encore une fois, qui a géré tout ça? Après coup, il apparaît assez clairement que tout n’était que mise en scène, et nous aurions dû le prévoir depuis le début. Voici donc ma suggestion à ceux qui en sont mécontents :
Ne le tolérez pas! Lors de la prochaine grande manifestation de ce genre, préparez votre propre projet, qui sera prêt à être déployé à votre arrivée. Rassemblez quelques dizaines de personnes très bruyantes, de préférence des femmes à la voix aigüe, flanquées de grands types musclés, et garez-les près de la scène. Puis chahutez, huez et jetez des objets (non dangereux) sur les haut-parleurs. Apportez vos propres mégaphones et couvrez leurs voix. Vous avez tout autant le droit de parler qu’eux, ou même davantage, puisque vous êtes une personne réelle, pas un acteur payé. Refusez que ces manifestations soient cooptées et dirigées par des prostituées et des taupes des médias grand public.
Pendant le discours d’Icke, il était clair qu’ils avaient remplacé la foule près de la scène par leur propre équipe de petites frappes. Donc, si vous vous sentez dépassés en nombre, il y a d’autres choses à faire. Par exemple, apportez des caisses et une planche et installez votre propre scène du côté opposé. Apportez vos propres haut-parleurs et porte-voix, et dites plus de vérités que les clowns qui occupent la grande scène. Ça ne devrait pas être difficile. Mettez en avant vos personnes les plus charismatiques. La scène principale avait très peu d’allure, de charisme ou de panache, donc ça ne devrait pas être difficile de faire mieux. Battez-les à leur propre jeu. Donnez un meilleur spectacle. Mettez des animaux et des enfants sur votre scène. Mettez des jongleurs et des acrobates, des chanteurs et des poètes, de vrais médecins et scientifiques. Tous ces gens étaient déjà dans la foule – du talent gaspillé, comme d’habitude. La seule chose qui manquait c’était de la coordination. Mais c’est à ça que sert Internet. Utilisez leurs outils contre eux.
En fin de compte : vous n’avez pas à les laisser coordonner et infiltrer tout, même les manifestations. Il suffirait d’un peu de travail pour les contourner. Mais il faut vouloir le faire. Vous devez prendre le contrôle, et ne pas leur laisser. Et vous devez être prêt à filtrer. Quoique vous fassiez, ils tenteront de l’infiltrer. Dès que vous planifiez quelque chose, les agents apparaissent, alors soyez à l’affût. N’ayez pas peur de les montrer du doigt et de les envoyer promener. Sinon de tout ce que vous tentez de faire, ils feront de la merde.
Dans son petit discours, Icke se compare à Huxley et Orwell, qui, comme lui, ont prédit ce qui se passe actuellement. Ce qu’il oublie de vous dire, c’est l’autre point commun qu’il partage avec eux : ce sont tous des agents. Icke dit au public que le Covid est une affaire truquée, puis pose la question de savoir pourquoi elle a été truquée. Vous donne-t-il la réponse que je donne? Non. Il ne vous dit pas que c’était pour servir de couverture au vol actuel de plusieurs trillions de dollars/livres aux Trésors mondiaux. Au lieu de ça, il oriente votre regard vers l’avenir, pas vers le présent ni vers le passé récent : il s’agit de quelque chose qu’ils ont planifié, d’un objectif à long terme qui vient de se concrétiser. Mais ce n’est pas le cas. Le fascisme n’est pas un danger. Ce n’est pas quelque chose qui pourrait arriver si vous n’agissez pas maintenant. Vous avez vécu toute votre vie sous un fascisme intense, et ce truc de Covid n’est que le canular actuel d’une longue lignée de canulars similaires.
La matrice [NdT. the Matrix] n’est pas dans le futur. Le totalitarisme n’est pas dans le futur ou dans un autre pays. C’est ce que nous vivons tous depuis des siècles. Il n’y a pas d’apocalypse à venir, pas de fin des temps, rien de pire à craindre dans le futur. Nous y sommes. Vous avez vécu toute votre vie dans une petite cage et vous avez appris à être votre propre geôlier. C’est pourquoi lorsque vous allez à une manifestation, même là, vous regardez ces gens vous contrôler, sans rien y faire. Même lors d’une manifestation, vous êtes un observateur passif.
C’est pourquoi Huxley, Orwell et Icke ont pu «prédire» ce qui se passe actuellement : ce n’était pas une prédiction. Nous vivions à l’époque essentiellement dans la même matrice que celle où nous sommes maintenant, donc Huxley et Orwell ne vous disaient pas ce qui pourrait arriver dans le futur. Ils vous disaient ce qui se passait déjà dans le présent, mais le plaçaient dans le futur, ce qui était une manoeuvre. Rappelez-vous que nous avons déjà vécu toute cette histoire de Covid : ça s’appelait la grippe espagnole à l’époque, mais c’était exactement le même scénario, masques compris. Et elle a été employée pour la même raison : la couverture. La grippe espagnole a couvert la fin de la Première Guerre mondiale en 1918, empêchant quiconque de poser des questions sur cette guerre orchestrée. Ils ne voulaient pas qu’on remarque à quel point tout l’effondrement de l’Allemagne à Halloween était planifié, avec des rois abdiquant sans raison et des socialistes juifs s’installant comme par magie en tant que dirigeants etc., et donc ils ont inventé cette effrayante pandémie pour garder les yeux et l’esprit de tout le monde occupés pendant plus d’une année. Ils ont simulé et gonflé les chiffres, attribuant tous les décès de cette période à la grippe espagnole : exactement ce qu’ils font maintenant. À la fin de cette année-là, tout le monde avait «mis ça derrière lui». Tout le monde était tellement soulagé d’avoir survécu à cette pandémie, qu’ils n’ont pas pensé à jeter un oeil en arrière, sur la Première Guerre mondiale ou sur quoi que ce soit d’autre. Et la plupart des gens traiteront le Covid de la même manière : ils seront tellement reconnaissants d’avoir survécu à cette «horrible pandémie», qu’ils ne penseront pas à remettre en question tout ce qui s’est passé en 2020, y compris les vols massifs aux Trésors, les fausses émeutes, les faux événements BLM, ou quoi que ce soit d’autre. Ils avanceront aussi vite que possible, sans poser de questions.
En tant que contrôleur de l’opposition, Icke dit beaucoup de vérités. Il le doit, car son public sait déjà certaines choses. Il doit faire écho à ces choses pour obtenir leur attention. Il est conférencier professionnel : il a aboyé toute sa vie, il sait donc lire un public. Ce qu’il a lu à Londres était ceci : ces gens dans le public ne sont qu’à moitié réveillées, et encore. Ils savent que le Covid est bidon, mais ils n’ont aucune idée de la situation dans son ensemble. Et la plupart d’entre eux ne veulent pas savoir. Ils n’ont pas envie d’une révolution, car si c’était le cas, ils se précipiteraient sur la scène et balanceraient Icke et tout le reste de la clique dans des poubelles. Ces foules étaient nombreuses, mais pas au point d’être effrayantes. Il y a plus de public qui va aux concerts de rock, ce qui signifie que ce que ces gens désirent le plus, c’est la normalité. Ils veulent simplement que le gouvernement arrête de faire ce qu’il fait actuellement, dans un sens très limité. Mais Icke n’a lu aucune menace de soulèvement réel. S’il avait lu ça, la police serait intervenue et aurait fermé le tout.
Pour cette raison, Icke savait que très peu de personnes parmi le public étaient là pour parfaire leur éducation. Elles n’étaient pas là pour apprendre quoi que ce soit. Un petit pourcentage aurait pu accueillir quelqu’un comme moi qui leur aurait dit des choses qu’ils ne savaient pas déjà, mais la majorité m’aurait très vite indiqué la sortie. Icke savait donc qu’il ne lui restait plus qu’à se dandiner pendant quelques minutes en répétant ce qui avait déjà été dit des milliers de fois, tout en se faisant passer pour un révolutionnaire. Il savait qu’il pouvait compter sur ses camarades dans les médias pour plus tard, soit pour le décrire en positif ou en négatif, selon le cas, donc tout ce qu’il avait à faire était se pointer et d’éviter de se casser la figure.
Tout ce qu’il avait à faire était de flatter le public en citant Shelley, en lui disant qu’ils étaient nombreux et que leurs dirigeants n’étaient que quelques-uns. Comme si c’était un concours de nombres. Tout ce qu’ils avaient à faire était de se présenter avec une pancarte et d’être comptés. C’est ce en quoi consiste une révolution aujourd’hui, apparemment. Sauf que les « quelques-uns » savent qu’il en est autrement. Ils ont embauché beaucoup de monde, et ils sont prêts à travailler tous les jours pour maintenir leur hégémonie. Ils sont prêts à mentir, à tricher et à voler toute leur vie, année après année et décennie après décennie. S’ils subissent un petit retournement, ils reviennent sans cesse, comme des cafards. Ils n’abandonnent jamais.
L’ologarchie est prévoyante : probablement entre 1 personne sur 10 ou 1 personne sur 20 dans cette foule de Londres a été placée là par le Renseignement britannique, pour surveiller l’événement et le contrôler. Alors, qu’est-ce que vous êtes prêt à faire? L’oligarchie est organisée. L’êtes-vous? L’oligarchie est implacable. L’êtes-vous? L’oligarchie est enracinée dans toutes les positions de pouvoir dans le monde entier. Oui, vous pouvez les déloger, mais vous ne le ferez pas en brandissant des pancartes ou en écoutant parler David Icke. Ces gens sont sérieux et ils vous enterrent profondément. Vous feriez donc mieux d’acheter une grande pelle, de repérer où est le haut et d’être prêt à creuser longtemps. Pendant que vous creusez, vous pouvez continuer à vous réveiller. Cela peut prendre un certain temps, car je pense que vous constaterez que vous êtes loin d’être réveillé. La révolution est possible, mais pas avant que l’éveil n’ait progressé bien au-delà de ce qu’il est aujourd’hui. Le niveau d’éveil actuellement affiché ne suffit pas à inquiéter qui que ce soit, et c’est exactement ce sur quoi comptaient les orateurs de Londres et de Berlin. C’est ce sur quoi les gouverneurs des États-Unis comptaient, sachant qu’ils pouvaient bluffer la plupart des gens pour qu’ils fassent ce qu’on leur dit sans qu’une seule loi ne soit adoptée. Et c’est ce que Bill Gates et les autres responsables de tout ce projet s’attendaient à trouver lorsqu’ils ont exécuté ce dernier test. Il y avait eu quelques failles dans la matrice récemment, et ils avaient besoin de voir à quelle profondeur ces failles couraient.
Malheureusement, leur test n’a pu mesurer que la largeur de ces failles, pas la profondeur. Je peux vous dire ce qu’ils pensent avoir vu. Ils ont vu que les failles sont beaucoup plus larges et nombreuses que dans les années 50, mais toujours pas très larges et peu nombreuses. La plupart des gens se surveillent encore admirablement. Mais je leur rappelle que les fissures dans un rocher ne sont pas mesurées de cette façon. Ce n’est pas le nombre de fissures ou la largeur des fissures qui comptent. C’est la profondeur de la fissure principale. Une fissure profonde peut casser en deux la roche entière, et les morceaux tombent sous le seul effet de leur propre inertie.
Texte original
The Infiltrated Revolution
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by Miles Mathis
First published September 1, 2020
There have been big Corona protests all over the world in the past week, including in Berlin and a large one in London. I don’t believe they were manufactured, but they were definitely infiltrated. Of the tens of thousands who showed up, thousands were hired to blackwash the movement by holding up purposely stupid signs or to act crazy. But more importantly the protests were infiltrated directly from the podium, where the German and British governments cleverly installed their own “leaders” of the movement. In London, the protest was also purposely limited by holding it in the smallish Trafalgar square, where only a few thousand could possibly gather.
In London, these fake leaders included David Icke, Piers Corbyn, and Vernon Coleman — all three have strong previous ties to the mainstream media and are obviously trying to control the opposition.
I have previously outed David Icke. Piers Corbyn is the brother of former Labour leader Jeremy Corbyn, and he has previous ties to the Heartland Institute, a huge red flag. And guess what he looks like :
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They make this so easy. He might as well be wearing purple robes.
Ditto for Vernon Coleman,
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who they have been pushing on Youtube to warm us up for his Covid appearances. There, he has been careful to say everything right, to appeal to his audience, but his bio gives him away. He worked for the Sunday People up until 2003, and has had several books promoted by major publishers and The Sunday Times bestseller lists, despite allegedly being counter-mainstream. That doesn’t happen unless you are controlled opposition. You will never see the mainstream publishing my books or promoting me. Just the opposite. So when we see The Economist say “he is the Lone Ranger, Robin Hood, and the Equalizer rolled into one”, we know something is wrong. The Glasgow Evening Times has called him a “national treasure”. The Sunday Mirror has said he is “compulsive reading”. BBC World has called him “refreshingly sensible”. You may want to remind yourself who owns all those media outlets.
Again, he has been promoted by The Economist, of all places. The Economist, which specializes in horntooting for privatization and deregulation. The Economist, which is firmly in the pocket of big pharma and big medicine. The Economist, which is majority-owned by the Agnelli family, founders of Fiat, and famous for being big supporters of Mussolini. That is, fascism. That family and company has been accused of corruption from the beginning, and is famous in Italy for being convicted in the 1990s of massive fraud, bribery, and general skullduggery.
At Amazon, we learn Coleman is published by the European Medical Journal, which is now pushing Covid. That seems strange, doesn’t it? This is a guy who is most famous for saying you are most likely to be killed by your doctor, and yet he is published by the European Medical Journal? How does that make any sense, unless he is controlled opposition. Yes, he is right about some things, but that is how it is done. You control the opposition by telling them a lot of things they already know and want to hear, then spin them off. He is right about vaccines, for instance, but among his other 100 books are titles like The Coming Apocalypse and Are you Living with a Psychopath?
He also has a book entitled The 100 Greatest Englishmen and Women. This isn’t just a mainstream list, these are his “personal heroes”. Oliver Cromwell is number 4. Churchill is number 7. William Wilberforce is high on the list. See the other paper I published today. William Petty is at #22 : Petty was Cromwell’s Jewish land surveyor, mapping out lands to be stolen in war and given to his soldiers. Like everyone else on the list, he was a big crook. John Lilburne is #30. You really have to read his Wiki page, if you don’t know who he was. Here is just a taste:
On 18 April 1638 Lilburne was fogged with a three-thonged whip on his bare back, as he was dragged by his hands tied to the rear of an ox cart from Fleet Prison to the pillory at Westminster. He was then forced to stoop in the pillory where he still managed to campaign against his censors,while distributing more unlicensed literature to the crowds.[7] He was then gagged. Finally he was thrown in prison. He was taken back to the court and again imprisoned. During his imprisonment in Fleet he was cruelly treated.[12] While in prison he however managed to write and to get printed in 1638 an account of his own punishment styled The Work of the Beast and in 1639 an apology for separation from the church of England, entitled Come out of her, my people.
He distributed unlicensed literature while in the pillory? And we are supposed to believe that? And while in prison for publishing without a license, he wrote and published two more books? Yeah, I bet he did. You can see why he is a hero of Coleman. Robert Peel is #40. You remember him from the cover of Sgt. Pepper’s. He was Home Secretary, secret head of Intelligence, and later Prime Minister. I doubt any real revolutionaries or Robin Hoods have him on their heroes lists. I don’t. I hadn’t meant to out Coleman coming in, but it was too easy to pass up. But let’s return to Icke. The first thing I noticed is how fat he has gotten. This is an ex-athlete, my friends, who now looks like he has swallowed a beach ball. You will say he is getting old, but he is only 11 years older than I am. He isn’t even 70. But again, this is how the Phoenicians age. The lying projects don’t agree with them, health-wise or looks-wise. The mainstream is using Icke and QAnon supporters to blackwash the Covid protests, so we have to ask who invited these people? You don’t have to be invited to be in the crowd, of course, but you do have to be invited to make it on the stage to speak, or to stand behind the speakers on the stage with a banner or mask/costume. So again, who managed all that? After the fact, it is pretty clear it was all staged, and we should have known going in that it would be. So here is my suggestion to those who aren’t happy about it:
Don’t put up with it! At the next similar big protest, make your own plans going in. Gather a few dozen very noisy people, preferably women with high loud voices, flanked by some big guys as muscle, and park it near the stage. Then heckle, boo, and throw (non dangerous) things at the planted speakers. Bring your own bullhorns and drown them out. You have just as much right to speak as they do, or actually more, since you are a real person, not a hired actor. Refuse to let these protests be coopted and run by mainstream media whores and plants.
During Icke’s speech, it was clear they had packed the crowd near the stage with their own cheering goonsquad. So if you feel outnumbered, there are other things you can do. Like bring some crates and a plank and set up your own stage at the opposite end of the crowd. Bring your own speakers and bullhorns, and tell more truth than the bozos on the big stage. It shouldn’t be hard. Put your most charismatic people forward. The main stage had very little beauty, charisma, or panache, so it shouldn’t be hard to beat. Beat them at their own game. Put on a better show. Put animals and children on your stage. Put on jugglers and acrobats, singers and poets, real doctors and scientists. All these people were already in the crowd — there was talent wasted, as usual. The only thing lacking was coordination. But that is what the internet is for. Use their tools against them.
The bottom line : you don’t have to let them coordinate and infiltrate everything, even protests. It would take very little work to walk around them. But you have to want to do it. You have to take control, instead of letting them have it. And you have to be prepared to filter. No matter what you do, they will try to infiltrate it. As soon as you start planning something, the spooks will show up, so be on the lookout for them. Don’t be afraid to finger them and tell them to take a hike. If you don’t they will turn everything you try to do into crud.
In Icke’s little speech, he compares himself to Huxley and Orwell, who, like him, were able to predict what is now happening. What he forgets to tell you is what else he and those guys have in common : they are all agents. Icke tells the audience Covid is fake, then asks why it was faked. Does he give you the answer I have? No. He doesn’t tell you it acted as a cover for the present multi-trillion-dollar/pound theft from worldwide treasuries. Instead, he keeps your eyes on the future and off the present and recent past : it is about something they have planned, some long term goal that is just now coming to fruition. But it isn’t. Fascism isn’t a danger. It isn’t something that might happen if you don’t act now. You have been living under heavy fascism all your life, and this Covid thing is just the current hoax in a long line of similar hoaxes.
The Matrix isn’t in the future. Totalitarianism isn’t in the future or in some other country. It is where we have all been living for centuries. There is no coming apocalypse, no end times, nothing worse to fear in the future. This is it. You have been living in a tiny cage your entire life, and you have been taught to be your own jailor. This is why you will go to a protest, and even there you will watch these people control you, without doing anything about it. Even at a protest, you are a passive observer.
This is why Huxley and Orwell and Icke were able to “predict” what is going on now : there was never any prediction involved. We were living in basically the same Matrix back then as we are now, so Huxley and Orwell weren’t telling you what might happen in the future. They were telling you what was already happening in the present, but setting it in the future, as a stunt. Remember, we have been through this whole Covid thing before : it was called the Spanish flu back then, but it was the exact same script, down to the masks. And it was used for the same reason : cover. The Spanish flu covered the end of WWI in 1918, preventing anyone from asking questions about that managed war. They couldn’t have people noticing how staged the whole collapse of Germany on Halloween was, with kings abdicating for no reason and Jewish socialists magically installing themselves as leaders and soon, so they invented this scary pandemic to keep everyone’s eyes and minds occupied for over a year. They faked and inflated numbers, assigning all deaths in that period to Spanish flu : same thing they are doing now. By the end of that year, everyone had “moved on”. Everyone was so relieved to have survived that pandemic, they didn’t think of looking back, at WWI or anything else. And most people will treat Covid the same way : they will be so grateful to have survived this “horrible pandemic”, they won’t think of questioning anything else that happened in 2020, including the massive thefts from the treasuries, the fake rioting, the fake BLM events, or anything else. They will move on as fast as possible, no questions asked.
As a controller of the opposition, Icke does tell a lot of truth. He has to, because his audience already knows some things. He has to mirror those things back to them to gain their ears. He is professional speaker: he has been yakking all his life, so he knows how to read an audience. What he read in London was this : these people in the audience are only half-woke, if that. They know Covid is fake, but they have no clue as to the bigger or longer picture. And most of them don’t want to know. They have no stomach for a revolution, for if they did they would be rushing the stage and throwing Icke and the rest of those people into garbage cans. These crowds were large, but they weren’t scary large. More people show up for rock concerts, which means what these people want most is normalcy. They just want the government to quit doing what it is currently doing, in a very limited sense. But Icke read no threat of an actual uprising. If he had, the police would have come in and shut the whole thing down.
For that reason, Icke knew very few in the audience were there for a further education. They weren’t there to learn anything. A small percentage might have welcomed someone like me to tell them some things they didn’t already know, but the majority would have shown me the exit in short order. So Icke knew all he had to do is waddle around for a few minutes repeating what had already been said athousand times, while pretending to be a revolutionary. He knew he could count on his comrades in the media to later either spin him hard positive or hard negative, as the case may be, so all he had to do is show up and avoid falling down.
All he had to do is flatter the audience by quoting Shelley, telling him they were many and their leaders were few. As if it was a contest of numbers. All they had to do was show up with a sign and be counted. That is what a revolution now consists of, apparently. Except that the few know otherwise.The few have hired many, and they are willing to work everyday maintaining their hegemony. They are willing to lie and cheat and steal all the livelong day, year after year and decade after decade. If they suffer a small reversal, they keep coming back, like cockroaches. They never quit.
The few plan ahead : probably between 1 in 10 or 1 in 20 in that London crowd was planted by British Intelligence, to monitor the event and control it. So what are you, the many, willing to do? The few are organized. Are you? The few are relentless. Are you? The few are entrenched in all the positions of power all over the world. Yes, you could dislodge them, but you won’t do it by holding up signs or standing around listening to David Icke speak. These people are serious, and they have you buried deep. So you had better buy a large shovel, locate the direction up, and be prepared for a long dig. While you are digging, you can continue to wake up. It may take a while, because I think you will find you are far from woke. Revolution is possible, but not until the awakening progresses far beyond where it already is. The level of wokeness currently on display is not enough to worry anyone, which is exactly what the speakers in London and Berlin counted on. It is what the Governors in the US counted on, knowing they could bluff most people into doing what they were told without a single law being passed. And it is what Bill Gates and the other managers of this entire project expected to find when they ran this latest test. There had been some flickers in the Matrix recently, and they needed to see how deep those flickers ran.
Unfortunately, their test was only able to measure how wide those flickers ran, not how deep. I can tell you what they think they have seen. They have seen that the flickers are far wider and more numerous than in the 1950s, but still not very wide and not very numerous. Most people are still policing themselves admirably. But I remind them that fissures in a rock are not measured that way. It isn’t the number of fissures or the width of the fissures that matters. It is the depth of the main fissure. One deep fissure can crack the entire rock in half, at which point it simply falls to the side from its own inertia.